Home

Le Labora t o i re suisse d`analyse du dopage: un expert

Contents

1. Rattach e au D partement m dico chirurgical de p diatrie du CHUV ser vice de chirurgie p diatrique elle res tera cependant fortement li e au service OTR et au futur D partement de l appareil locomoteur et d pendra d une seule institution L ensemble de ses activit s se d rou lera sur le site de Mont tan dans un cadre sp cialement con u pour l ac cueil des enfants Il n y aura que deux exceptions la prise en charge des cas les plus lourds continuera de se faire au CHUV pour b n ficier de son pla teau technique et l unit de r adap tation p diatrique dont l activit est essentiellement ambulatoire sera maintenue au moins provisoirement l H pital orthop dique Avec les 29 lits d hospitalisation 26 lits ordinaires et 3 lits de type soins continus l HEL l unit pourra faire face aux fluctuations importantes d activit s au cours de l ann e et mieux r pondre aux besoins Cette masse critique et la r union des excellentes comp tences des quipes en place permettent de constituer un p le de r f rence pour les pathologies de l appareil locomoteur dans le domaine des soins de la formation des sp cialistes et de la recherche cli nique Fonctionnant comme une enti t sp cifique autour de l appareil loco moteur l unit va pouvoir d velopper des sous sp cialit s Elle formera les chirurgiens p diatres les chirurgiens orthop distes les p diatres et les m decins
2. Sommaire Le Laboratoire suisse d analyse du dopage Une expertise reconnue sur le plan international Page 2 DOSSIER FORMATION CONTINUE 1 Service de la formation continue de la Direction des soins 25 ans d investissement dans les resources humaines Page 5 2 Ce qui a le plus chang en 25 ans Ce qui va encore voluer Page 6 3 Le regard de la Direction des soins Le pari de la comp tence Page 8 Psychiatrie et psychoth rapie de l ge avanc Le nouveau Centre communautaire est install rue du Tunnel Page 10 Nutrition des patients aux soins intensifs adultes Premiers r sultats du projet NUTSIA Page 12 Nouvelle gestion du tri et de l vacuation des d chets Le volume des d chets hospitaliers a fortement diminu Page 14 Les adolescents et la consommation de drogues Un outil d valuation standardis est disponible en fran ais Page 17 Enqu te aupr s du personnel sur les Hospices CHUV sans fum e 94 approuvent la mesure prise en mai 2005 Page 19 Nouvelle Unit p diatrique de chirur gie orthop dique et traumatologique Pour une prise en charge optimale des jeunes patients Page 21 Visite de directeurs d h pitaux chinois Au programme management de l h pital et maladies infectieuses Page 13 V ux de fin d ann e Un petit clin d il de la CP Page 24 CHUV Magazine Editeur responsable Bernard Decrauzat directeur g n ral R daction Fabien Dunand Photos C E M CAV Graphisme Antidot
3. lui faire prendre en charge des cas plus aigus pour limiter les hospitalisations au strict n cessaire et viter la stigmatisation qu elles repr sentent L quipe mobile d intervention domicile prend en charge en moyenne quatre nou velles situations par semaine a Lausanne soit environ 200 patients par ann e Cette quipe mobile ne fonctionne que depuis 18 mois Elle a t mise sur pied en mobilisant des ressources internes pour la moiti de son financement et gr ce au soutien de la Fondation Leenaards pour l autre moiti lard Panteleimon Giannakopoulos Une quipe mobile en psychiatrie de l ge avanc s Ga m dicale suisse 20 septembre 2006 pp 2088 2091 o c uymagazine ue du Tunnel Deux tiers des interventions de l quipe mobile r pondent des situations de crise dont plus du tiers pour des patients pr sentant un risque imminent de d compen sation un risque suicidaire ou un risque de passage l acte L essentiel des consulta tions est r alis conjointement par un m de cin et une infirmi re dans plus de 90 des cas intervention de l quipe mobile est g n ralement tr s br ve en termes de nombre de consultations Le type d inter vention porte la fois sur de l aide au dia gnostic sur des conseils de strat gie th rapeutique et sur la coordination du r seau Ces conseils suffisent souvent stabiliser une situation risque La majorit des pre mi res consu
4. comme un objectif strat gique perma nent des Hospices CHUV Ce magnifique effort a t assur par une quipe comp tente tr s motiv e et dont les effectifs n ont pas gonfl avec le temps ce qui est assez rare pour tre soulign Vous en voulez la preuve Le Service compte aujourd hui 13 emplois plein temps Il en comptait 12 6 en 1983 quand M Pierre Rougemont en a pris la t te Je viens de nommer la personne Pierre Rougemont qui sans jamais se d partir de sa modestie est depuis 23 ans et pour quelques mois encore l animateur effi cace et opini tre du Service Un hommage appuy J aimerais vous rendre vous et toute votre quipe un hommage appuy Votre plus belle r compense est sans doute de constater le taux de satisfaction lev e manifest par toutes celles et tous ceux qui suivent vos modules de formation En leur nom et au nom de toute la direc tion des Hospices CHUV je vous exprime notre reconnaissance et vous adresse les plus chaleureux remerciements J y ajou te si vous le permettez ma gratitude per sonnelle pour l engagement et l uvre accomplie et mes encouragements pour celle qui vous attend Car travailler dans le domaine de la formation continue c est d abord penser demain Pour Pierre Rougemont qui a pris les r nes du service en 1983 apr s y avoir enseign quelques mois beaucoup de choses ont chang en un quart de si cle Les attentes de la cli
5. e moyenne du tabagisme 19 ans 19 cuymagazine d cembre 2006 Enqu te aupr s du personnel sur les Hospices CHUV sans fum e Les effets de la mesure n ont pas t n gligeables 12 des fumeurs qui ont r pondu l enqu te soit 52 personnes ont effec tivanent arr t de fumer depuis le 31 mai 2005 28 ont diminu leur consommation la diminution est en moyenne de 7 cigarettes par jour et 18 ont essay d arr ter de fumer mais ont fait une rechute on sait qu il est rare et difficile d arr ter au premier essai 48 des fumeurs au moment de l en qu te d clarent d ailleurs souhaiter arr ter de fumer Parmi eux 57 sans avoir fix de d lai 9 souhaitent arr ter dans un d lai de 6 mois 25 dans un d lai inf rieur six mois 9 dans un d lai d un mois Les mesures de suivi La mesure tant en place reste suivre son application et son accompagnement Le groupe de travail Hospices CHUV lieu de sant sans fum e ayant atteint l ob jectif c est d sormais le Dr Jacques Cornuz directeur adjoint de la PMU et responsable de l Unit de tabacologie et Jean Luc Chevalier directeur de l Office de logistique hospitali re qui sont char g s de traiter les questions relevant de l application de la mesure dans l en semble des batiments des Hospices CHUV Les mesures d accompagnement aupr s du personnel et des patients fumeurs r
6. a cependant subi qu une hausse d environ 10 000 francs elle est pass e de 80 463 91 371 Au total et en moins d une ann e le nouveau dispositif a donc per mis d conomiser 100 000 francs Une efficacit reconnue Ces efforts et ces r sultats ne sont pas pass s inaper us Au del du soutien de la direction des Hospices CHUYV le grou pe de travail Gestion des d chets a vu d autres h pitaux vaudois ceux de Morges et de la Riviera s int resser au dispositif mis en place Et en septembre dernier le Service cantonal des eaux sols et assainissement a approuv la nouve l le gestion des d chets des Hospices CHUV en constatant qu elle am liorait de mani re notoire la protection des collaborateurs et de l environnement Tenir le cap L essentiel du syst me est aujourd hui en place Des directives institutionnelles r glent le tri et la proc dure d vacuation des d chets pour les diff rents corps de m tier Un syst me d information permet d informer les services des pannes constat es dans le tri la source Cette information servira de vaccin de rappel sur les mesures suivre Les principes de base Plusieurs lois et ordonnances f d rales et cantonales r gissent la gestion des d chets La directive institutionnelle en rappelle les principes g n raux suivants La production de d chets doit tre limi t e dans la mesure du possible Les d chets doivent tre valori
7. c D chets infectieux fili re de d chets m nagers d autre part D Autre d chets sp ciaux 7 Ha E 7 verre papier carton aluminium etc D chets sp ciaux pouvant galement tre produits ailleurs que dans des tablissements sanitaires 14 c uymagazine CEMCAV gt S a 3 9 Des r sultats imm diats Depuis pr s d une centaine de locaux de tri des d chets ont t install s dans les b timents du CHUV du CUTR Sylvana et de Cery Ces mini d chetteries ont co t entre 500 et 1 00 francs par local Simples facilement modifiables elles sont adapt es aux besoins de chaque local et m tier Des pictogrammes et un d pliant en facilitent l usage Avec l arriv des nouveaux sacs jaunes au cours de la deuxi me semaine de juillet 2006 le tri des d chets en a t fortement am lior Le volume des d chets hospita liers a brutalement chut Voir graphiques En 2005 les d chets hospitaliers dont l limination est beaucoup plus co teu se repr sentaient 40 du total des d chets produits Ils n en repr sentaient plus que 23 en ao t 2006 La facture a suivi Sur les huit premiers mois de l ann e 2006 le co t d limina 2 0 0 6 d cembre CEMCAV CEMCAV tion des d chets hospitaliers a diminu de 110 000 francs il est pass de 220 000 a 109 000 La facture d limi nation des ordures m nag res dont le volume a parall lement augment n
8. de se fami liariser avec l instrument C est dans ce but que la version fran aise de l ADAD est d sor mais disponible en DVD Ce DVD r alis par le CEMCAV reproduit l enregis trement vid o d un entretien adapt d un cas r el Le r le de l valuateur est tenu par L onie Chinet membre de l quipe de recherche du SUPEA Le r le de l adolescent est jou par une actrice Cet entretien permet de futurs valuateurs clini ciens de se familiariser avec le protocole et son d roulement Le DVD contient aussi le questionnaire int gral ainsi qu un manuel d utilisation et plusieurs publi cations de l quipe de recherche du SUPEA sur l ADAD Pr sent au Festival d Amiens ce DVD a int ress l audiovd oth que de l H pital Ste Justine Montr al qui se charge de diffuser au Canada les films du domaine de la sant et qui dispose d une importante collection de documents audiovisuels Le titre fera partie de son catalogue et pourra tre consult sur place emprunt ou achet Vendu 150 francs pi ce ce DVD peut tre com mand directement au SUPEA Monique Bolognini Unit de recherche Bugnon 25A 1005 Lausanne e mail Monique Bolognini chuv ch Il sera galement diffus en France et en Belgique Le SUPEA organise aussi sur demande une forma tion pratique s appuyant sur des jeux de r le OEE O EEE EERE EE EEE EERE EEE EERE EEE EOE E EE EEE EEE EEE EEE EEE REESE EEE EEE EEE EEE EEE EOEEE EEE EEEEEEEE
9. e pour les patients leurs proches et les profession nels du r seau Le but tant de faire du Centre communautaire un des leviers de la strat gie du SUPAA 11 d cembre 200 6 Pere eee URE RE EO SOSOOOSOOOOSCE Les travaux r alis s CEMCAV F y JC EYA Oia w Les locaux occup s par le Centre communautaire du SUPAA au n 1 de l Avenue du Tunnel ont t transform s de mani re fonctionnelle e L accueil et la salle d attente ont t am nag s dans l espace du hall et les acc s ont t adapt s aux besoins des personnes se d pla ant avec difficult s ou en fauteuil roulant e Les transformations ont permis de cr er notamment pour accueillir l h pital de jour des salles d activit s collectives des salles de r union et d entretien des locaux pour les soins l ergoth rapie et la pharmacie ainsi qu un espace de d tente pour tout le personnel e De nouvelles entr es de lumi re ont galement t cr es jusqu au centre des tages surtout au fer tage o se trouve l h pital de jour Cette lumi re a compl tement chang l allure des lieux en am liorant leur convivialit unes en nn nes nee nn n nn een een sense neue men eenseueeesesne DUR OR RSR RO RU RSR SR RD RSR RO OR RSR RSR OR OR TR OR SUR RO nee ue CREELEEEELEELEEEEELEEEELEEE EEE EEE ELEEEEEEELEEEEZEEEEEEEEELEEEEEEEEEEEEZELZLR Atelier Brico CES services Cery
10. errr ere rere rarer re rere re rere reer reer rere rere ress nternational Quand les contr les sont ils effectu s M S I y a deux types de timing pour le pr l vement des chantillons aupr s des athl tes Dans la majorit des cas le pr l vement intervient juste apr s la comp tition Ce type de contr le porte surtout sur l urine et la recherche dans les chantillons constitu s de tous les produits interdits Les autres contr les sont effectu s hors comp tition Ils ne sont g n ralement pas annonc s et interviennent en p riode d en trainement des moments qui varient en fonction du type de sport pratiqu ainsi que du potentiel et de la dur e des effets des produits dopants Dans ce type d in tervention on contr le surtout toujours dans l urine les st roides et les peptides Le moment du contr le a son importance Dans les courses cyclistes par exemple le contr le d urine peut intervenir entre 7h du matin et 9h du soir Cette limite a pour but de pr server la tranquillit et le repos des sportifs Mais cette pause peut tre utilis e pour chapper la fen tre de d tection du produit dopant En prenant la bonne dose de testost rone 10 h du soir et en urinant juste avant 7h le lendemain matin le risque d tre trouv positif est quasi nul D autant que les contr les urinaires sont difficiles le matin en tout cas de mani re r guli re Vous parlez de contr le de l urine jus
11. faire son uvre R sultat l chantillon A tant ana lys rapidement peut encore donner un r sultat positif alors que l chantillon B est d grad quand son analyse intervient ll faut galement savoir qu entre un chan tillon A d clar positif et un chantillon B d clar n gatif ce n est pas comme si l un tait tout noir et l autre tout blanc C est le plus souvent une question de seuil L chantillon B d clar n gatif contient bien des traces de substances dopantes mais le seuil qui serait jug probant devant les tribunaux n est pas atteint C est cela qui le fait consid rer comme n gatif On comprend mieux pourquoi les sportifs contr l s positifs cherchent toujours retarder le plus possible l analyse de l chantillon B M S Effectivement Ils ont l impression que le temps travaille pour eux qu il aug mente les chances de d gradation de l chantillon B Il faut donc harmoniser et raccourcir le temps qui s pare le contr le des chantillons A et B Il faut simpli fier la proc dure Aujourd hui le contr le de l chantillon B doit se d rouler en pr sence d experts d sign s par l athl te A l avenir il faut que le contr le de l chantillon B se d roule le plus vite pos sible en pr sence d experts neutres Pourquoi parle t on maintenant de contr le d ADN M S On en parle maintenant la suite de l op ration Puerto en Espagne Disposer de l ADN des sportifs co
12. g n ralistes dans ses domaines de comp tence Gr ce au 21 cuymagazine CLEEEELEEELEEEEEEELEELEEEEEER Un projet n my d un large consensus Une telle unit fonctionnelle n est pas une inno vation en Suisse Elle existe Gen ve et B le Mais c est la premi re fois au CHUV qu une unit p diatrique s organise autour d un appareil d organes en l occurrence l appareil locomoteur L initiative en revient aux m decins cadres Bruno Fragni re Nicolas Lutz et Pierre Yves Zambelli dont la bonne entente a permis au pro jet de se d velopper avec l appui des principaux responsables m dicaux infirmiers administra tifs et m dico techniques concern s en particu lier de la radiologie de la physioth rapie et de l ergoth rapie Sa r alisation a aussi t facilit e par les r flexions en cours sur la constitution d un D partement de l appareil locomoteur r unissant dans un m me ensemble les comp tences des quipes du CHUV et de l H pital orthop dique Le projet UPCOT a t d velopp avec les res sources en place Les Drs Bruno Fagni re Nicolas Lutz Pierre Yves Zambelli et le profes seur Michel Dutoit ont t mandat s pour ce travail par leurs chefs de service et de d parte ment respectifs lls ont t soutenus au cours de cette d marche par les cadres infirmiers Jocelyne Bouton Laurence Bouche Jose Iglesias Rui Terra les ICUS de l H pital de l Enfance les directeurs admini
13. impliquent la possibilit de poursuivre des athl tes pour dopage sur la base des profils indi viduels plut t qu en prenant pour r f rence des seuils identiques pour tous Poe PRU CEC ECT OOSESOCOCOOOOSOCOOOOEOSOOCOS IS POOR OEE EERE EERE EEE EEE EEE REESE EEE E EEE EERE EEE EEE EEE EEE REESE EEE ss ss ses EEE EEE EEE EE EEE EES d cembre 200 6 Service de la formation continue de la Direction des soins 25 ans d investissement dans les ressources humaines Le Service de la formation continue de la Direction des soins a t cr au CHUV en 1981 Une manifestation organis e le 27 novembre dernier l auditoire C sar Roux a marqu avec clat son 25e anniversaire Elle a soulign la n cessit et l ampleur de la formation continue dans le domaine des soins En 25 ans ce service a en effet contribu la formation compl mentaire de pr s de 18 000 professionnels particip l int gration de 12 000 nouveaux collaborateurs quasiment doubl son offre de cours dans le domaine des formations sp c
14. infection s v re grands br l s etc Dans les autres cas le score NRS permet de d pister d s le premier jour le risque nutri tionnel auquel les patients sont expos s Cet outil value la situation du patient sur une chelle de 0 7 points en fonction de son ge de la s v rit de sa maladie et de la d t rioration de son tat nutritionnel indice de masse corporelle perte de poids au cours des trois derniers mois apports alimentaires restreints durant la derni re semaine Aux soins intensifs adultes du CHUV une nutri tion artificielle est prescrite au patient d s que son score global est gal ou sup rieur 4 points dont un point au moins rel ve de la d t rioration de son tat nutritionnel Selon l aptitude du patient s alimenter cette assistance nutritionnelle prend la forme de suppl ments nutritifs oraux et ou d une nutrition artificielle ent rale ou parent rale Mais la surveillance ne s arr te pas l Chaque jour des contr les doivent tre effectu s par rapport aux cibles de nutrition fix es pour chaque patient La progression de nutrition ent rale doit faire l objet d une surveillance serr e car le tube digestif est tr s capricieux en soins intensifs Si la cible n est pas atteinte en trois jours et que le d ficit calorique cumul au cours des trois premiers jours atteint les 8000 kilocalories le patient se voit prescrire une nutrition 1 eae parent rale de compl men
15. interventions dans les services aupr s des quipes et des cadres etc Ainsi ce va et vient quotidien entre les terrains de soins et le Service de la form ation continue se r v le une caract ristique unique et indispensable qui permet une fertilisation crois e constante entre ce qui est enseign et ce qui est pratiqu En intervenant directement au lit des malades les enseignants font par ailleurs profiter tant les soi gnants que les patients de leurs comp tences contribuant l enrichissement des connaissances des premiers et l am liora on de l tat de sant des seconds lls confirment ainsi jour apr s jour leur volont d tre des infirmiers et des infir mi res enseignant s Acteur essentiel du Plan strat gique de la Direction des soins dont le pari de la comp tence est un des piliers le Service de la formation continue se trou ve au c ur d un giratoire qui permet une circula tion permanente de l information entre la litt ratu re professionnelle et scientifique les informations institutionnelles les attentes des cadres les besoins des patients et les exp riences des soignants Un large rayonnement lnscrivant son action dans l histoire et la culture tant des soins infirmiers que de notre institution il accueille des professionnels des soins des domaines de la sant communautaire de la psy chiatrie et des soins somatiques non seulement des Hospices CHUV mais galement d instituti
16. me immeuble de l avenue du Tunnel une consultation g n rale une consultation m moire un h pital de jour et une quipe mobile d intervention domicile Un regroupement pour quoi faire Pourquoi ce regroupement au c ur de la ville Quand on pose la question au Dr Gaillard il voque la convergence de dif f rents motifs En arri re fond il y a la volont de r pondre sans faire exploser les co ts l augmentation de la popula tion g e et des besoins en soins psy chiatriques correspondants Il y a aussi la volont d agir au plus pr s de la commu naut d aller au devant de cette popula tion souvent doublement stigmatis e par l ge et par la maladie psychiatrique et qui n a pas t habitu e recourir aux psy Il y a enfin l objectif d aider les m de cins g n ralistes et les soins domicile s occuper de ces patients psychiatriques g s quand ils sentent venir la crise Concr tement le regroupement la rue du Tunnel des unit s ambulatoires jus qu ici dispers es dans trois endroits dif f rents Cery l avenue de Morges et la Riponne va permettre d accro tre les d cembre 200 6 l inauguration de la Policlinique psychiatrique de Chauderon et du nou veau Centre communautaire de psychiatrie et de psychoth rapie de l ge avanc a eu lieu le m me jour le 14 d cembre dernier en pr sence du conseiller d Etat Pierre Yves Maillard ses La Pol
17. p diatrie orthop dique et traumatolo gique sera pilot e par un conseil m dical compos des Drs Bruno Fragni re a 40 Nicolas Lutz 60 et Pierre Yves Zambelli 40 L un de ces quatre m decins cadres sera pr sent chaque jour de la semaine De m me la garde sera toujours assur e par un m decin cadre en fonction d un tournus hebdomadaire Cet encadre 22 ___E uymagazine ment permettra d assurer en perma nence la supervision et la formation des chefs de clinique et des m decins assis tants et la gestion quotidienne des acti vit s ambulatoires et hospitali res de l unit Au centre d un r seau L unit travaillera en relation troite avec la neurop diatrie et la neuror adaptation ainsi qu avec les tablissements sp cia lis s de Suisse romande qui prennent en charge les polyhandicap s Elle fonctionnera galement en r seau avec les services d orthop die et de trau matologie des h pitaux r gionaux vau dois et certains centres et sp cialistes extra cantonaux Dans ce domaine l ob jectif est de r f rer l UPCOT les cas d op rations orthop diques lectives l or thop die froide qui traite les malfor mations En offrant une prise en charge optimale des jeunes patients en am liorant la qua lit de la formation et de la recherche la cr ation de l UPCOT assurera une visibi lit accrue de la place lausannoise dans le domaine de l appareil locomoteur de l e
18. savoir ne s puise pas il progresse Par ailleurs le savoir peut tre utilis par plusieurs per sonnes en m me temps et il peut tre acquis par tout le monde C est un moteur de d mocratie Nous avons donc tout int r t favoriser l augmentation du savoir aussi bien pour am liorer notre cr dibilit que notre fonc tionnement et notre confort voire m me notre niveau de vie Ces propos ne doivent pas tre interpr t s comme le reflet d une Vision purement conomique et gocen trique La formation nous offre en effet en th orie certes mais en pratique surtout une magnifique occasion de partager avec autrui La transmission du savoir se heurte pourtant deux difficult s importantes Premi re difficult l augmentation expo nentielle des connaissances et leur com plexit croissante Jusqu ici notre soci t a tent de r pondre cette volution en allon geant la dur e des tudes de la scolarit obligatoire aux formations dispens es dans les hautes coles et les universit s Mais on ne peut pas ind finiment prolonger la dur e des tudes Cette politique a des limites en particulier des limites conomiques qui sont sans doute atteintes aujourd hui Deuxi me difficult l volution des connaissances les rend aujourd hui rapi dement obsol tes Les connaissances acquises sur les bancs de l cole parfois m me dans les auditoires les laboratoires et les ateliers des universit
19. sont les techniques que vous utilisez pour d celer le dopage dans les chantillons qui vous sont transmis M S Pour l immense majorit des pro duits qui figurent sur la liste interdite il s agit de petites mol cules qui sont d tectables a partir de l urine par les techniques de la chimie analytique chro matographie gazeuse ou liquide coupl e la spectrom trie de masse Ces techniques sont utilis es depuis de nombreuses ann es dans les laboratoires Elles s am liorent d ann e en ann e et sont de plus en plus sp cifiques pour la d tection des faux positifs et de plus en plus sensibles pour la d tection des faux Le Laboratoire suisse d analyse du dopage a t mandat par le CIO et l Agence mondiale antidopage pour effec tuer des analyses de dopage sanguin lors des Jeux olympiques de Turin C est la premi re fois dans l histoire des Jeux qu une partie des tests taient effectu s par un laboratoire tranger sous sa responsabilit propre et son accr ditation Si le gros du travail a tout de m me t accompli par le laboratoire italien toutes les analyses urinaires notamment ce mandat fourni au laboratoire du CHUV est une reconnaissance internationale tr s significative 3 c uymagazine Les am Le ne ae A T bone CS i gt eens eget Par le ge ss ne ine islfitarssr difi uiererr n gatifs Elles ont fait leurs preuves devant les tribunaux Pour les pepti
20. DAD a t cr en 1989 par Friedmann et Utada a partir d un ins trument destin aux adultes l ASI pour Addiction Severity Index C est un ques viron trois quarts d heure Il aborde au total 150 items qui touchent neuf domaines diff rents tionnaire qui permet d avoir un entretien structur avec les adolescents consom mateurs de drogues et un regard multi dimensionnel sur leurs probl mes Il est utilis lors d un entretien individuel d en Domaine m dical Domaine scolaire Domaine social Domaine familial Domaine psychologique Domaine l gal ol D lits Consommation alcool et drogues Substance qui pose le plus de p Statut scolaire D roulement de la vie scolaire r sultats absences Un score peut tre calcul pour chaque domaine a partir d une partie des items abord s Ce score constitue une mesure standardis e du degr de gravit de la situation Satisfaction par rapport a la vie sociale Relations avec les pairs et vie intime Probl mes somatiques psychiques d alcool ou de drogue d un membre de la famille Conflits familiaux et relations avec les parents Episodes de traitements psychologiques V cu motionnel symptomatique et troubles psychiques d clar s Probl mes avec la justice Consommation fr quence quantit ge du d but de la consommation co t 7 c uymagazine Regard du sujet A la fin du regard port sur chacun de ces domaine
21. EEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEE EEE EEE SSSR EERE E OE EEE EEE EEE ESOS EEE HERES EROS EEE EEE EEE ESHER EEE EEEEEEE EEE SESE ESHER SEES EE EEE EEE REESE EE EEE EEE EEEEEEE THERESE EEE EEE ss ses sssses dons EO OCOCOSOOOSCOOCOCOCOOOUECESES ESE d cembre 200 6 Enqu te aupr s du personnel sur les Hospices CHUV sans fum e 94 approuvent la mesure prise en mai 2005 Depuis le 31 mai 2005 tous les batiments des Hospices CHUV sont lieux de sant sans fum e Un an apr s une enqu te anonyme a t r alis e aupr s du personnel pour savoir comment cette mesure tait appr ci e et quels taient ses effets CEMCAV Le score est sans appel A la question de CH UV savoir s ils sont d accord avec la mesure lieu de sant e 81 r pondent oui tout fait e et 13 r pondent plut t oui Cette enqu te a t pilot e par le groupe de travail Hospices CHUV lieu de sant sans fum e et concr tis e par Isabelle Jacot Sadowski qui travaille l Unit de pr vention de l Institut universitaire de m decine sociale et pr ventive sous la responsabilit du Dr Jacques Cornuz CHUV Magazine en pr sente les principaux r sultats lus de 8000 questionnaires 8010 exactement ont t envoy s aux collaboratrices et collaborateurs des Hospices CHUV avec la fiche de salaire en juin 2006 2231 questionnaires ont t retourn s soit 28 d entre eux ce qui repr sente un taux de participation import
22. Le volume des d chets hospitaliers a fortement diminu On a dit ce qu on allait faire et on a fait ce qu on a dit C est ainsi que Silvano Campani chef du Service transports communication et approvisionnements r sume l action du groupe de travail qui a mis en place la nouvelle gestion des d chets des Hospices CHUV Les r sultats sont la Ils ont t obtenus gr ce la collaboration des quipes soignantes m decins et infirmi res qui sont l origine du tri En 2006 le volume des d chets hospitaliers a baiss de moiti et la facture li e l vacuation de l ensemble des d chets a diminu de 100 000 francs Mais cet effort doit tre poursuivi par la recherche de nouvelles fili res et l am lioration constante du tri Suivi mensuel d chets hospitaliers 2004 2006 a 80 Tonnes 70 60 40 30 20 Janv Feve Mars Avril Mai Juin Juil Ao t Sept Oct Nov D c Comparaison Ordures m nag res OM d chets hospitaliers 2005 2006 es IPS 20 00 J j I 1 f a 1 80 00 UE Laurent Bres chef de projet ihe bh ere rene runs 7110 TS as H F n ao t 2005 CHUV Magazine avait pr 60 00 me d ch hosp_05 sent les premi res mesures prises pour DA A z A 7 fi 50 00 s sare 3 E STS 4 am liorer la s curit et le tri des d chets ee S 40 00 a ee a a e Introduction de bidons jaunes pour tous LA les d chets pr sentant un risque de 30 00 contaminati
23. ant dans le cadre d une enqu te qui n a proc d aucun rappel voir encadr sur l chantillon des r pondants L approbation de la mesure varie essentiellement selon deux facteurs 1 Tout en restant massive 88 l approbation est moins forte en psychiatrie que dans le reste de l institution Cela s explique peut tre par le fait que la mesure est moins facile appliquer aupr s des patients dont s occupent les collaboratrices et les collaborateurs en psychiatrie 2 Tout en restant largement majoritaire 74 l approbation est moins lev e parmi les fumeurs ce qui est ais ment compr hensible Trouvez vous normal que l tablissement Hospices CHUV soit sans fum e Hospices CHUV Psychiatrie seule Non fumeurs Ex fumeurs Fumeurs Tout fait 81 70 91 80 46 Plut t oui 13 18 7 16 28 ty compris psychiatrie L effet sur l image des Hospices CHUV L effet sur les fumeurs La d cision de faire des Hospices CHUV un lieu de sant sans fum e est gale Le profil des fumeurs qui ont r pondu ment jug e positive pour l image de l institution l enqu te est le suivant Effet sur l image des Hospices CHUV Hospices CHUV Non fumeurs Exfumeurs Fumeurs Fumeurs r guliers 71 2 ea 5 5 r z Fumeursoccasionnels 23 Tr s positif 61 68 62 33 Fumeursde pipe ou de cigares 6 Plut t positif 32 29 32 46 Nombre moyen de cigarettes par jour 12 ie saan VEL Dur
24. auteurs le premier iMDsoft Bcellence Award d une valeur de 5000 dollars Mais l effort doit tre poursuivi Chaque patient chaque jour doit effectivement faire l objet d une valuation documen t e D s janvier 2007 une di t ticienne 50 aura pour mission de s assurer que cette valuation est bien effectu e de veiller l application du protocole et de continuer former les quipes Au del de ce contr le plusieurs indica teurs permettront de suivre l volution des r sultats en particulier certaines don n es extraites de M tavision le recueil des v nements ind sirables li s la nutrition et le nombre de patients annon c s l UNC en vue d un suivi nutritionnel apr s leur transfert Le projet NUTSIA et son impl mentation ont d ores et d j am lior la prise en char ge nutritionnelle des patients au Service de m decine intensive adulte Mais le temps n cessaire l appropriation des nouveaux outils par les quipes soignantes avait t sous estim Un exemple montre en effet la difficult surmonter il faut compter un d lai d environ trois mois pour qu un nou veau membre des quipes ait re u la for mation sur la documentation et les outils disposition Une nouvelle appr ciation de la situation sera faite en avril juin 2007 4 Impact of a computerized info r m ation system on quality of nutritional support in the ICU Nutrition 22 2006 221 229 d cembre 200 6
25. bles d pressifs et pour les sympt mes psychiatriques accompa gnant les troubles de la m moire Eux m mes ou leur m decin traitant veut alors savoir ce qu il en est Le Centre per met ainsi d tablir un diagnostic diff ren tiel et de prendre en charge le patient en fonction de ses troubles perte de la m moire d pression n vrose psycho se troubles du comportement La consultation g n rale accueille environ sE patients par ann e Elle joue le r le d une policlinique psychiatrique comme pour les autres ges de la vie Sa sp cifi cit r side dans la n cessit accrue d in ter vention domicile et dans le nombre croissant de patients pr sentant des pre miers sympt mes apr s la retraite La consultation m moire effectue aujour d hui entre 350 et 370 consultations par ann e Elle repr sente un soutien impor tant pour les patients eux m mes mais aussi pour les familles quand la perte de m moire rend leur proche agressif ou inconscient du danger puisqu il suffit par fois d oublier d teindre une plaque de cui sini re pour provoquer une catastrophe L h pital de jour accueille environ 200 patients par ann e Ses objectifs sont en train de se transformer Il a longtemps t utilis comme une aide apr s une hospi talisation pour terminer un traitement ou suivre une client le de d pressifs et de psychotiques qu il aurait fallu d faut laisser l h pital On cherche aujourd hui
26. culier reste l coute et au service des patients et que le personnel puisse y accomplir la tache qui lui est confi e dans un climat de respect et de s r nit Afin de nous donner de meilleurs moyens d atteindre nos objectifs nous avons mis en place de nouveaux modes de fonctionnement et depuis peu nous travaillons la mise jour de nos statuts Nous vous invitons d ores et d j participer l assembl e du personnel qui aura lieu le 12 janvier l auditoire C sar Roux de 12h30 a 14h Vous aurez tr s prochainement d autres infor mations par voie d affiche Nous profitons de cet article pour vous inviter nous rejoindre Les lections auront lieu du 19 au 23 mars 2007 Toute per sonne travaillant au CHUV depuis plus de trois mois un taux gal ou sup rieur 50 peut se pr senter l lection Le d lai d inscription de candidatures est fix au 15 f vrier 2007 Si vous tes int ress s contactez nous BONNES FETES La Commission du personnel du CHUV 24___E uymagazine
27. de 72 heures en soins intensifs avaient 3 cuymagazine TT Dee Un travail d quipe interdisciplinaire Wis NUTSIA a t conduit comme un projet qualit par un groupe de travail intedisciplinaire compo s d une aide soignante cing infirmi res deux m decins un expert pro fesseur Mette Berger et deux di t ticiennes dont la cheffe de projet Ludivine Soguel Alexander NUTSIA a t lanc en janvier 2005 apr s six mois de planification et d tat des lieux pour se terminer en mars 2006 Les informations et les outils disponibles sur intranet ont t mis en z forme par l quipe SICASI et le pro fesseur Mette Berger qui assure galement le suivi des mesures Le groupe de travail a t remplac par un groupe d int r t compos de la m me mani re et avec le m me pilote Ludivine Soguel Alexander nr nn eee eee eee Cee ee eee SS eee eS eee eS eee eee eee b n fici d une valuation de leurs besoins nerg tiques cette proportion atteint 90 en 2006 C est mieux et cela confirme que l utilisation d un protocole issu de l quipe soignante et informatis permet d am lio rer le support nutritionnel des patients L utilisation de l informatique avait d j per mis des progr s dans ce sens Les r sul tats publi s en 2006 de l impact de cette informatisation a d ailleurs valu ses
28. des EPO et hormones de crois sance qui sont des mol cules plus com plexes les techniques de la chimie analytique s am liorent et peuvent tre utilisables Mais on se rapproche aujourd hui des techniques de la biochimie pour leur analyse Il reste un travail faire pour d montrer la robustesse des techniques utilis es et leur donner force de preuve devant un tribunal Dans quelle direction va ton aujourd hui M S Les sportifs et leur entourage s adap tent tr s vite aux nouvelles techniques de contr le L avenir est dans la constitution de bases de donn es bas es sur l analyse du sang et de l urine des sportifs qui permet tent d assurer un suivi de leurs param tres biologiques C est le sportif lui m me qui sert alors de r f rence S il joue avec des hormones ou des transfusions sanguines ses param tres biologiques vont automati quement se modifier Si les changements sont suffisamment significatifs ils pourront tre consid r s comme anormaux La col lecte de toutes ces donn es et les volutions individuelles et collectives constat es per mettront de d terminer ce qui est normal et ce qui ne l est pas Par exemple de voir son taux d h matocrite passer de 43 50 la suite d un entrainement en altitude On va dans cette direction pour les pro chains Jeux olympiques de P kin en 2008 m me si tout n est pas encore r solu R guli rement les r sultats des ana lyses sont mis en cause par les s
29. e Design Impression Imprimerie PAPERFORMS SA Tirage 9 000 exemplaires Vous souhaitez que CHUV Magazine aborde un th me important ou fasse cho une information int ressante Envoyez vos suggestions l adresse e mail Fabien Dunand chuv ch d cembre 200 6 Le laboratoire suisse d analyse du dopage Une expertise reconnue sur le plat Le Laboratoire suisse d analyse du dopage LAD a emm nag dans ses nouveaux Locaux 22 rue des Croisettes Epalinges dans le courant du mois de mai dernier Il tait install jusqu ici au rez de chauss e du 21 rue du Bugnon Lausanne Les nouveaux locaux qui sont devenus op rationnels Le 1er juin permettent une meilleure valorisation des quipements du laboratoire et une prise en charge plus rationnelle des chantillons qui lui sont confi s CHUV Magazine a profit de l occasion pour faire un tour d horizon de la lutte anti dopage avec Martial Saugy responsable du LAD __ CHUV Magazine Que contr le t on dans la lutte antidopage Martial Saugy C est l Agence mondiale antidopage l AMA qui tablit la liste des substances et des m thodes interdites dans le sport Cette liste est mise jour chaque automne Le recours la plupart des substances et des m thodes interdites peut tre d cel en laboratoire Certaines d entre elles restent cependant difficile ment contr lables actuellement C est le cas des hormones et des facteurs de cro
30. e variable o l on note un cart vraiment sensible porte sur les lieux de travail Meeeerrererrrererrrrerererererete Sexe parmi les r pondants aux Hospices CHUV Femmes 72 67 Hommes 28 33 Age gt 16 24 ans 3 1 3 5 25 34 ans 24 7 30 6 gt 35 44 ans 29 0 29 0 2 45 54 ans 25 8 23 3 55 ans et 17 4 13 6 Secteur professionnel gt Medical 18 16 i 2 Infirmier 31 37 gt Para m dical 14 17 Lieu de travail Cit hospitali re 75 94 Institutions psychiatriques 13 7 5 Autres 11 3 1 POU UCU REC SE OCOECCECECESEC SSE OCCSCSOCSE OCS SELS TES EST TESTS EESTI EE OSES Ee ee Seer ereeryy o c uymagazine CEMCAV d cembre 2 0 0 6 Nouvelle Unit p diatrique de chirurgie orthop dique et traumatologique Pour une prise en charge optimale des jeunes patients l Unit p diatrique de chirurgie orthop dique et traumatologique UPCOT verra le jour le 1er janvier 2007 Plac e sous la responsabilit du profes seur Michel Dutoit elle r unira les comp tences compl mentaires des chi rurgiens p diatres du CHUV et des chirurgiens orthop distes de l H pital orthop dique de la Suisse romande L activit de la nouvelle unit sera transf r e l H pital de l Enfance Mont tan L objectif est de constituer un p le de r f rence pour toutes les pathologies de l appareil locomoteur de l enfant et de l adolescent aussi bien dans le domaine des so
31. ef du Service transports communication et approvisionnements Patrick Genoud directeur adjoint des soins Silvia Hanhart cheffe du Service de maison POSH COOH ESET ETE HH HTH E THOT HHH HHH HTEH HOHE HT HHTTET OTT OVHETHVHHUHTVORVTETONTE SOO eee EERE EE SOE EE SHEER EERE EEE EEE E EEE PPS hee meses eee ses sees esa sesessaessseseanees ce qui peut tre fait raisonnablement dans leur entreprise pour viter tout accident du travail ou maladie profes sionnelle Le non respect de ces principes et des proc dures ou instructions d application mises par l institution peut donner lieu des sanctions administratives civiles et m me p nales 16 c uymagazine d cembre 2006 on Les adolescents et la consommation de drogues Un outil d valuation standardis est disponible en francais IL n existait pas dans les pays francophones d instrument standardis et valid permettant d valuer la consommation de drogues des adolescents et de faire la comparaison entre les diff rentes tudes L Unit de recherche du Service universitaire de psychiatrie de l enfant et de l adolescent SUPEA a mis au point une version francaise d un outil largement test et utilis aux Etats Unis L ADAD pour Adolescent Drug Abuse Diagnosis Cette version fran aise est d sormais disponible en DVD Le professeur Olivier Halfon chef du Service universitaire de psychiatrie de l enfant et NE LSS Ce adolescent A
32. ent le Les attentes du personnel ont volu dans deux directions La demande se tourne davantage aujourd hui vers des formations d bouchant sur un certificat ou un dipl me reconnu dans un cursus officiel Mais paradoxalement la tendan ce au zapping et la recherche d une for mation individualis e r pondant des v ux personnels ont consid rablement augment sous l effet de l volution cul turelle de la soci t Les jeunes g n ra tions ont plus de difficult s se projeter dans des formations longues et main tenir leur motivation dans la dur e Anne Marie Marquis met en vidence un autre l ment Mme Marquis a rejoint le service en 1985 Elle y travaille en tant que consultante en soins aussi bien qu enset gnante au programme d int gration des nouveaux collaborateurs et la formation des infirmi res cliniciennes tout en tant responsable de la formation des praticiens formateurs Les cadres ont dvantage recours au service de formation continue des soins qu auparavant explique telle 2 0 0 6 d cembre Au d part c tait surtout les infirmi res d butantes qui s adressaient a nous Les cadres taient peu nombreux suivre nos cours et nous sollicitaient rarement L volution de la conception m me des soins vers un partenariat multidisciplinai re une approche davantage fond e sur le dialogue et l change y sont sans doute pour quelque chose Les formations de base L int grat
33. es tent en place La consultation Stop tabac compos e de sp cialistes m decins et infirmi res reste disposition pour don ner informations et conseils aux patients fumeurs Pour le personnel la gratuit de la premi re consultation aupr s de la m decine du personnel pour les collabo 2 ratrices et les collaborateurs qui sou UV ha tent arr ter de fumer est maintenue CH de m me que la vente de produits de lieu de sant substitution dans les pharmacies du CHUV et de la PMU L une des derni res d cisions du grou pe de travail a t d inscrire les Hospices CHUV au concours organis par l Office f d ral de la sant publique destin aux entreprises cherchant sans am liorer d ann e en ann e la protec tion contre le tabagisme passif dans f z leurs locaux L inscription au concours umee s est faite dans la cat gorie Or r ser v e aux entreprises sans fum e c est a dire ou la caf t ria les locaux de repos et les bureaux individuels sont galement sans fum e Pee ee RECEP PREP OOOOUCSOCOOCSCOCOOCOCOOOOS SESS L chantillon des r pondants est repr sentatif du personnel Sans tre une image parfaite de l ensemble des collaboratrices et des collaborateurs des Hospices CHUV celles et ceux qui ont r pondu l enqu te constituent un chantillon repr sentatif du per sonnel Comme le montre la comparaison des principales caract ristiques des deux populations La seul
34. es requises pour le contr le et la certification officielle pr vus par la nouvelle loi Pour qu une ins titution non scolaire comme l h pital soit reconnue en tant qu institution de forma tion elle devra r pondre aux yeux de l OFFT l Office f d ral de la formation pro fessionnelle et de la technologie aux conditions cadre et au plan d tudes ta blis sur le plan national Ce document d crit dans le d tail les cursus les com p tences qui doivent tre acquises les examens pr vus pour chaque formation Avec son exp rience le Service de la for mation continue de la Direction des soins a toutes les chances d y parvenir Pour Pierre Rougemont et Anne Marie Marquis les changements les plus profonds des 5 10 ans venir vont d couler de deux tendances compl mentaires l accen tuation des collaborations et des approches multidisciplinaires en particulier avec les HES et la Facult de biologie et de m deci ne de Lausanne FBM et le d veloppe ment de la recherche en soins On en voit aujourd hui les premi res perspectives avec le d veloppement des HES apr s la p riode de leur mise en place la cr ation au 1er janvier 2007 d un D partement de la formation et de la recherche au sein des Hospices CHUV dirig par le doyen de la FBM la cr ation en 2007 d une maitrise en soins en collaboration troite avec la FBM le d veloppement de la recherche en soins que ce soit par la Fonda
35. et facilement utilisable dans la pratique de tous les jours en clair laissant suffisamment de temps pour les soins et connu de tous ce qui n est pas le plus facile r aliser La diffusion de l information sur les pro tocoles existants dans une quipe aussi grande est en effet un probl me crucial pour leur mise en uvre En juillet 2004 une enqu te par questionnaire aupr s du personnel des soins intensifs adultes avait montr que 42 seulement des m de cins 5 des infirmi res et aucune aide soignante taient capables de citer spon tan ment un protocole de nutrition comme support interne a la d marche Evaluation nutritionnelle des patients Depuis janvier 2006 un outil d valuation nutritionnelle informatis Score NRS Nutritional Risk Screening est dispo nible dans M taVision gt amp a or 9 Une partie de l quipe interdisciplinaire au 1er rang de gauche droite Eliane Foucault Sylvie Bouvry Aline Schmid Au 2e rang de gauche a droite Mait Abando Dominique Brunner et Ludivine Soguel Alexander Manquent sur la photo Pierre Turini Barbara Kohut Manu lle Godio Sabine Richard Caroline Braichotte et Patrick Fran ois La majorit des patients pris en charge aux soins intensifs adultes ont besoin d une assistance nutritionnelle Elle inter vient d s leur admission pour toutes les situations graves patients d nutris patients victimes d un traumatisme ou d une
36. fon Abus de substances l adolescence pr senta tion d une version fran aise de l ADAD Ann M d Psychol 2000 158 n 8 Cette version fran aise traduit au plus pr s la version originale afin que les don n es r colt es par les deux versions soient comparables Toutes les questions figurant dans l original ont t reprises dans la version fran aise La traduction a t effectu e en trois temps Elle a t r alis e par un membre 1 de l Unit de recherche du SUPEA avant d tre retravaill e individuellement puis en groupe par les six chercheurs de l quipe Les items qui posaient un pro bl me ont ensuite fait l objet d une tra duction de contr le du fran ais l an glais avec l aide de deux personnes de langue maternelle anglaise Les seules modifications apport es l ont t pour tenir compte des diff rences de contexte socio culturel aux Etats Unis et en Europe Elles concernent notamment les domaines scolaire l gal et du travail Par exemple le concept d cole obligatoire a t introduit dans l valuation du statut sco laire et certaines questions du domaine l gal ont d tre ajust es en fonction des sys t mes juridiques europ ens Tous les chan gements ont t soumis l auteur de l ins trument qui les a approuv s Dans un premier temps Alfred Friedmann a transmis au SUPEA une bande vid o d un entretien r alis avec un jeune toxi comane La bande a
37. he te os LES La Direction g n rale des Hospices CHUV et le D canat de la Facult de biologie LES SA et de m decine s associent pour en remercier tr s chaleureusement chacune S 1 rs r Li es et chacun d entre vous Paw CD LE LE XI ABD ASD ARK LL ARK ARK ARK ARK ARS AIS Any XIS Le BRING INR NL NL IN NL NL NES RMI NL NII Un petit clin d il de la CP ous voici bient t arriv s au terme de notre mandat 2005 2007 A l approche de cette fin d ann e nousvous souhaitons de belles f tes et voulons passer un moment avec vous C est avec beaucoup d enthousiasme et pas mal d nergie que nous avons essay durant les mois coul s d apporter des solutions aux probl mes multiples qui nous taient pos s Transferts impos s accompagnement lors des entretiens d appr ciation conflits divers sur le lieu de travail proc dures d avertissement et de licenciement changement de classe renseignements et conseils pour diff rentes d marches ou compr hension des directives institution nelles information sur les droits et devoirs Au cours de s ances r guli res avec la Direction les syndi cats mais aussi avec notre chef du D partement nous avons voqu les difficult s du personnel du CHUV et transmis ses souhaits Nous traversons une p riode de bouleversements politiques et conomiques importants et nous sommes conscients qu il nous faudra continuer nous battre pour que l h pital ce lieu de vie si parti
38. ialis es et d cern pr s de 1300 certificats correspondants dont pr s d un quart des personnes employ es dans d autres tablissements que Les Hospices CHUV omme l a relev le Directeur g n ral Bernard Decrauzat dans son allocu tion ces chiffres t moignent de la constan ce et du haut niveau de la formation conti nue dispens e de son adaptation aux besoins et de son rayonnement l int rieur comme l ext rieur de l institution Voici de larges extraits de cette allocution La formation est d abord une valeur ines timable propre assurer l ind pendance et la reconnaissance de chaque individu La formation constitue aussi la richesse des nations C est la source de la connais sance sans laquelle il n y a pas de d ve loppement conomique social et humain sans laquelle il n y a pas de d eloppe ment durable comme on dit aujourd hui Nous le savons bien dans notre pays o ce ne sont gu re les richesses de notre sol et de notre sous sol qui nous ont amen ce haut degr d innovation et de prosp rit Pour sa part Gorki a crit que la connaissance est toujours un butin Un butin que nous avons la responsabili t politique et institutionnelle de faire fruc tifier pour le b n fice de toutes et de tous en particulier des jeunes Une nergie renouvelable Le savoir est une nergie renouvelable Au contraire des autres sources de pou voir que sont la force et l argent le
39. iclinique psychiatrique de Chauderon a d j fait l objet d une pr sentation dans le num ro de CHUV Magazine d avril 2006 C est aujour d hui le tour du Centre communautaire de psychiatrie et de psychoth ra pie de l ge avanc L ensemble des unit s qui en font partie sont d sormais install es dans des locaux r nov s au n 1 de la rue du Tunnel Lausanne qui donne en fait sur la place de la Riponne Le Dr Michel Gaillard m decin chef du Service universitaire de psychiatrie de l ge avanc synergies entre ces structures et d am liorer la prise en charge des patients La capacit de l h pital de jour traiter des situations complexes sera renforc e D une mani re g n rale on atteindra une masse critique plus int ressante en termes de personnel et en nombre de patients Ce mouvement communautaire cherche ainsi atteindre deux objectifs 1 viter des hospitalisations et maintenir le nombre de lits disposition au nombre actuel malgr l augmentation pr visible des besoins en assurant aux patients les soins ambulatoires ad quats le plus vite possible 2 promouvoir une approche commu nautaire par le biais des visites domi cile dans l optique de garder les per sonnes g es souffrant de pathologies psychiatriques au plus proche de leur milieu naturel Et pour quels patients Les patients accueillis dans ce type de structure le sont d abord le plus souvent pour des trou
40. ieurs messages cl s ont t retenus e La n cessit d une collaboration troite tous les niveaux de la lutte antidopage entre les gouvernements les organisations antidopage les f d rations sportives et les laboratoires en particulier pour harmoniser les pratiques et les bases l gales La r vision du code mondial antidopage avec la participation de tous les intervenants dans le monde du sport Le soutien de plusieurs stars de l athl tisme une lutte antidopage mise sur pied avec le concours des athl tes mieux adapt e la vie des sportifs mais plus efficace Michael Conley l ex champion olympique de triple saut Paula Radcliffe recordwoman du monde en titre du marathon Debbie Ferguson m daill e lors des trois derni res ditions des Jeux olym piques se sont exprim s dans ce sens L extension possible sur la base de disposi tions l gales claires des poursuites l entou rage du sportif en cas de dopage et l introduc tion de sanctions financi res contre les spor tifs fraudeurs Sur ce dernier point St phane Diagana ex champion du monde du 400m haies a propos que des p nalit s financi res soient int gr es aux proc dures disciplinaires Diagana a expliqu que si c est l app t du gain qui pousse certains athl tes tricher le fait de savoir que toute somme gagn e de mani re illicite pourra tre r cup r e pourrait se r v ler tr s dissuasif i Ces contr les intelligents
41. ins qu en mati re de formation et de recherche Explications usqu ici la traumatologie et l orthop die p diatriques taient r parties sur trois sites et d pendaient de deux insti tutions distinctes La traumatologie p diatrique d pendait du Service de chirurgie p diatrique pro fesseur Judith Hohlfeld rattach au D partement m dico chirurgical de p diatrie du CHUV dirig par le profes seur Sergio Fanconi Ces activit s taient r parties entre l H pital de l Enfance et le CHUV pour les cas lourds Les pathologies orthop diques taient prises en charge par l Unit p diatrique professeur Michel Dutoit de l H pital orthop dique de la Suisse romande diri g par le Professeur Pierre Fran ois Leyvraz Des inconv nients importants Cette situation pr sentait des inconv nients importants un surco t de fonctionnement d cer taines activit s redondantes entre les deux institutions une masse critique insuffisante en nombre de patients et en nombre de lits pour constituer chacun de son c t un centre de r f rence une prise en charge de jeunes patients dans un environnement non p dia trique alors que tout doit tre fait pour cr er des fili res infantiles y compris au bloc op ratoire des difficult s de coordination de la for mation et de la recherche La nouvelle unit fonctionnelle met fin la dispersion des moyens et des comp tences 1
42. ion des formations de base au sein des Hautes Ecoles sp cialis es et les cursus fond s sur l obtention de cr dits ont modifi le profil des nouveaux dipl m s lls ont acquis la sortie des tudes une forme de raisonnement plus large que par le pass mais leurs connaissances de base sont plus diff renci es moins g n ralistes Ce bagage plus personnalis ren force la n cessit d une formation conti nue qui leur permette d adapter leurs acquis aux types de patients accueillis dans un h pital universitaire marqu ces derni res ann es par une diminution de la dur e de s jour et une augmentation de la complexit des soins Les interventions a la carte Certains cours ont disparu d autres ont fait leur apparition l informatique par 6 F CEMCAV exemple a pris la place croissante qui est la sienne dans le fonctionnement quoti dien de l h pital Les grandes lignes de l offre du service n ont cependant pas chang On y retrouve toujours l int gration des nouveaux collaborateurs la formation continue les formations sp cialis es et les interventions la carte Mais cette derni re prestation tait enco re embryonnaire il y a 25 ans Elle s est consid rablement d velopp e pour r pondre aux besoins des services et aux demandes individuelles soutien conseils coaching Cette offre couvre des formations tr s techniques la r ani mation par exemple jusqu l analyse de pratiques ou
43. is sance d une part et des transfusions de sang autologues d autre part Dans ces deux cas on ne dispose pas encore aujourd hui d indicateurs suffisamment probants aux yeux d un tribunal De nouveaux produits peuvent galement appara tre pour lesquels il faut mettre au point une m thode de d tection Une nouvelle EPO par exemple une EPO retard va tre lanc e Il s agit d une mol cule d EPO munie d un transporteur syn th tique On s attend ce que le produit 2 ce _uymagazine soit efficace et le LAD a t choisi par l Agence mondiale antidopage pour mettre au point en collaboration avec Roche une m thode de d tection avant que le produit ne soit lanc sur le march Quels sont les crit res utilis s pour interdire aux sportifs d utiliser une substance ou une m thode sous peine de sanctions M S L AMA utilise trois crit res pour mettre une substance ou une m thode sur la liste des interdits 1 Le fait qu elle peut objectivement avoir un effet direct ou indirect sur la performance du sportif 2 Le fait qu elle peut nuire la sant de l athl te et 3 que son usage est contrai re l esprit sportif Les grandes familles de produits interdits sont les st roides anabolisants par exemple la testost rone les stimulants comme les amph tamines et les hor mones peptidiques l EPO par exemple ou les hormones de croissance CEMCAV C REPELEESEELE EEE ELEC EEE TELE e rere rere
44. l accompagnement lors d un changement institutionnel ou la suite d un conflit Ces interventions sont tr s variables Certaines durent quelques heures pour un groupe de 25 personnes D autres peuvent se prolonger sur une ann e et concerner une dizaine de per sonnes En 25 ans le service a ainsi assur 500 interventions la carte qui ont touch 7 400 personnes et repr sent 4 000 heures directes d engagement Les formations sp cialis es Le Service dispense aujourd hui sept for mations sp cialis es post dipl mes Quatre d entre elles remontent la cr ation du service les formations en soins intensifs en anesth sie en salle d op ration et d infirmi re clinicienne La formation interdisciplinaire en soins palliatifs est venue s y ajouter en 1998 celle de praticien formateur en 2001 et celle de soins en urgence organis e en collaboration avec les HUG en 2000 Certaines de ces formations sont ouvertes aussi bien aux collaboratrices et collaborateurs des Hospices CHUV qu au personnel d autres tablisse ments de Suisse romande Les tu diants provenant d autres h pitaux et cliniques suivent uniquement les cours th oriques au CHUV leur formation pratique tant assur e par leur tablis sement Modules et techniques d enseignement Le catalogue des cours propos s l ort gine peut para tre assez disparate m me s il donnait satisfaction l poque Les formations sont aujour d hui davan
45. ltations ont effectivement eu lieu dans les 24 heures suivant la demande dans 56 des cas et la dur e moyenne de suivi est d un peu plus de 10 jours A l image de ce qui a t constat l tran ger en particulier dans les pays anglo saxons l exp rience lausannoise montre que ces interventions donnent de bons r sultats au niveau de la diminution des troubles du comportement et d un recours moins fr quent aux hospitalisations Un seul num ro d appel A l exception de la Consultation m moire plac e sous la responsabilit du Dr Armin von Gunten le Centre communautaire du Tunnel est supervis par un m decin cadre la Dresse loana Stancu Elle sera second e par des chefs de clinique 1 EPT pour la consultation g n rale 0 6 EPT pour l qut pe mobile 0 5 EPT pour l h pital de jour et 0 2 EPT pour la consultation m moire et 3 m decins assistants ainsi que par une quipe d infirmi res d ergoth rapeutes d assistantes sociales et de psychologues L id e est de cr er des mouvements l in t rieur de cette structure en particulier que les chefs de clinique et les m decins assis tants passent d une unit l autre de la consultation g n rale l h pital de jour en passant par l quipe mobile D s avril 2007 un seul num ro de t l phone r pondra tous les appels quels qu ils soient C est un chef de clinique qui sera au bout du fil afin d assurer la meilleure comp tence l entr
46. ncern s permettrait de savoir s il est identique ou compatible avec celui des poches de sang saisies lors de l op ration Quelles mesures faudrait il prendre pour renforcer l efficacit du contr le antido page souvent nargu aujourd hui M S Le symposium organis fin sep tembre Lausanne par la F d ration internationale d athl tisme IAAF a sou lign des vidences et montr les pistes suivre La priorit consiste harmoni ser les r gles d un sport a l autre et d un pays l autre voir encadr 4 amp uymagazine Symposium mondial ia antidopage de l IAAF Lausanne i Le 3e Symposium mondial antidopage de l IAAF qui s est tenu Lausanne du 30 septembre au 2 octobre 2006 a r uni pr s de 400 participants venus du monde entier Les d l gu s taient des repr entants des f d rations nationales de l IAAF de l AMA et d autres organisations antidopage du CIO de diff rentes organisations sportives et de laboratoires Martial Saugy est membre du Comit m dical et antidopage de l IAAF Au terme des trois journ es portant sur les aspects scientifiques pratiques et juridiques de la lutte antidopage plusieurs conclusions impor tantes ont t tablies qui serviront de base des recommandations Au del du d veloppement du nombre et de la qualit des tests afin de d boucher sur des contr les intelligents et non sur un contr le alibi plus
47. nesessese Le regard de la Direction des soins DR SR SR D SR 0 ns es nes sn ss essences sous Le pari de La comp tence Au cours de la manifestation du 27 novembre der nier la Directrice des soins des Hospices CHUV H l ne Brioschi Levi a elle aussi apport son hommage l quipe du Service de la formation continue et montr comment le pari de la com p tence avait t gagn Voici de larges extraits de son intervention Certains plaident pour une fertilisation des savoirs D autres appellent la Suisse fa i rele pari de la connaissance Au sein du Service de la for mation continue de la Direction des soins c est le pari de la comp tence que nous avons fait et ce n est pas un hasard Ce n est pas un hasard si lors de nos campagnes de recrutement en Suisse et l tranger tant d in firmiers et d infirmi res postulent pour venir prati quer aux Hospices CHUV invoquant parmi leurs principaux arguments l existence en notre sein d un Service de formation centr sur leur profession Le culte de l imm diatet Aujourd hui une poque o le culte de l im m diatet semble avoir l adh sion d une bonne partie des professionnels quelles que soient leurs fonctions d ailleurs il nous est apparu impor tant de faire un arr t sur image 2 heures pour 25 ans vous conviendrez ce n est pas beau coup un stop sur un service qui par d finition doit constamment tre l aff t des
48. nfant et de l adolescent d cembre 200 6 Au programme management de l h pital et maladies infectieuses Le 27 octobre dernier un groupe d une douzaine de directeurs d h pitaux chinois a visit Le CHUV Avec deux centres d int r t Le r le de L h pital et son management en particulier sous l angle conomique et la gestion des maladies infectieuses n programme avait t mis au point en fonction de leurs demandes Le r le et les missions du CHUV dans sa r gion son management conomique et financier a fait l objet d un expos d Herv Guillain de la direction des finances Le Service des maladies infectieuses leur a t pr sent par le professeur Thierry Calandra et le contr le des maladies noso comiales par Cristina Bellini et Dominique Blanc collaborateurs du Service de m de cine pr ventive hospitali re Le program CEMCAV me s est achev par la visite du secteur hospitalisation du Service des maladies infectieuses l H pital de Beaumont sous la conduite du Dr Oscar Marchetti Le 18 mai un autre groupe de directeurs d h pitaux chinois avait d j demand a visiter le CHUV Le programme avait t l aussi adapter leurs demandes Apr s une pr sentation de l organisation m di cale du CHUV par Jean Blaise Wasserfal len directeur m dical adjoint et du mana 23 ET gement de l h pital par Herv Guillain ils s taient r partis en deux sous groupes pour vi
49. nn nes nn neueeeueueeese dossssssssssss ss ssssessessessesssssesse c uymagazine d cembre 2 0 0 6 Premiers r sultats du projet NUTSIA Une tude europ enne men e aupr s de 14 000 patients l a d montr la d nutrition est fr quente chez les patients hospitalis s Elle contribue lourdement aux complications infectieuses et prolonge le s jour C est d autant plus vrai pour Les patients pris en charge aux soins intensifs Ce constat avait conduit Le Service de m decine intensive adulte du CHUV que dirige le professeur Ren Chiol ro introduire des protocoles de nutrition en 1999 En vain Plusieurs contr les de qualit ont montr que certains patients restaient insuffisamment nourris En 2005 le Service a donc d cid de prendre le probl me bras le corps en lan ant le projet qualit NUTSIA Premier bilan e risque de d nutrition des patients pris Le charge l h pital est lev pour deux raisons principales Les investigations n ces saires et la technicit des traitements pro voquent des interruptions fr quentes de la nutrition des patients Dans certains cas extr mes un patient peut enchainer jusqu six jours de je ne La deuxi me cause de la d nutrition r side dans le manque d app tit du patient et la d faillance relative de son intestin Or l exp rience a montr en parti culier dans le cas des grands br l s qu une nutrition ad quate r duit la perte de poids et acc l re la g
50. nouvelles connaissances dans le domaine passionnant des soins ainsi que dans ceux de la m decine et de la biologie des connaissances dans le domaine des sciences humaines et sociales psychologie anthropologie sociologie thique etc des connaissances li es l volution des techniques qui foisonnent dans le monde des soins et de l in formatique et bien s r l aff t des connais sances apport es dans les sciences de l duca tion domaine qui n est pas nomm en fin de liste par hasard puisqu il est pour nous un support fan tastique indispensable certes mais un support au service des champs de connaissances dits commun ment m tiers L explosion des connaissances Au milieu de cette explosion de connaissances le Service de la formation continue des soins infirmiers doit faire preuve d une curiosit toute particuli re pour s parer le bon grain de l ivraie transformer et Organiser les nouveaux apports pour les rendre congruents avec les besoins des terrains de soins transmettre ces nouveaux savo i rs et favoriser leur int gration dans la r flexion et l action des profes sionnels aupr s des malades et de leurs proches donne nn nement nee een eee EH HHH HH OH EHH EHH es 8 c_uymagazine Un ensemble d activit s compl mentaires a t progressivement d velopp dans ce but cours enseignements cliniques au lit des malades s mi naires d analyse de pratique supervision profes sionnelle
51. nts et la consommation de drogues ss Les avantages de l ADAD L ADAD est un instrument utile la fois dans le domaine clinique et pour la recherche Dans le domaine clinique l ADAD 1 offre la possibilit d valuer certains aspects de la conduite du sujet par exemple sa capacit de concentration la logique de ses r ponses la qualit de la communication permet d valuer galement la capacit du sujet tablir un lien avec un professionnel 2 fournit un aper u global de la vie du sujet et une information tr s d taill e sur sa consommation de substances Pour chaque substance il aborde la fr quence de la consommation actuelle la fr quence maximale l ge du d but de la consommation et le mode d ad ministration 3 value le besoin d un traitement pour cha cun des neuf domaines abord s et l ven tuelle n cessit d une aide professionnelle Dans le domaine de la recherche le pr codage des 150 items du questionnaire permet de faire des analyses la fois qua litatives et quantitatives Les diff rents scores enregistr s donnent la possibilit d inscrire dans la dur e une appr ciation de la probl matique L apport du SUPEA ADAD a t largement tudi aux Etats Unis o il est d emploi courant Une version fran aise a t mise au point par l Unit de recherche du SUPEA Monique Bolognini Jacques Laget Bernard Plancherel L onie Chinet Val rie Rossier Olivier Hal
52. on ou de blessure voir l en E Sa d ch hosp_06 cadr sur la classification des d chets _ 10 00 e Remplacement des sacs rouges et NZ r 0 00 blancs utilis s pour les autres d chets on Janv Fevr Mars Avril Mai Juin Juil Ao t Sept Oct Nov D c sp ciaux m dicaux par des sacs jaunes eux aussi Cette couleur a en effet t adopt e par l Union europ enne et la D chets du secteur de la sant Conf d ration pour les distinguer des Groupe Description des d chets sacs gris utilis s pour le ramassage des A D chets m dicaux ne posant pas de probl me d chets dits urbains o m nagers dont la composition est similaire celle des d chets urbains D chets sp ciaux m dicaux champ d application de l aide l ex cution e Diminution des manutentions des B1 D chets pr sentant un danger de contamination A d chets sp ciaux pour r duire les B1 1 D chets anatomiques organes et tissus pr sentant un danger de contamination a risques d accidents d chets pathologiques cadavre d animaux de laboratoire compris 2 B1 2 D chets contenant du sang des excr tions et des s cr tions pr sentant un danger ES TON PRN de contamination S e Cr ation de fili res et campagnes de B2 D chets pr sentant un danger de blessure sharps sensibilisation visant am liorer le tri B3 M dicaments p rim s des d chets entre d chets hospitaliers B4 D chets cytostatiques et d chets m nagers d une part et par
53. ons de soins de toute la Suisse romande du Valais au Jura et m me parfois du Tessin Fruits d un v ritable travail d quipe les activi t s du Service de la for mation continue des soins infirmiersse sont pro fond ment d velopp es et renouvel es au cours de ces 25 ann es pour r pondreaux comp tences requises par les soins aux personnes malades hospitalis es dans notre institution et pour inscrire nos cursus dans des r glementatons nationales deformation Des col laborations se sont galement d velopp es avec d autre centres de formation dans lesquels les collaborateurs du SFC interviennent comme ensei gnants et comme experts Une coop ration r ussie Quelles que soient leurs qualit s ils ne peuvent cependant r ussir seuls le pari de la comp tence POU UC URUS EC ERESEC COE SSCS COCSOCOOCOE CCC OUU CCCP ee Cee ee ereeceeererrygy CEMCAV Sous l gide d H l ne Brioschi Levi la formation continue de la Direction des soins est devenue un objectif strat Un tel pari repose sur un ensemble d acteurs qui sont l expression d une coop ration r ussie toute p trie de responsabilit s endoss es Par les professionnels soignants qui se sont engag s dans un cycle de formation et l on sait bien qu il n est pas ais de concilier travail tude et vie priv e Par les cadres infirmiers ICUS ICS Directeurs de soins et les cadres responsables des diff rents co
54. portifs CEMCAV d cembre 2006 Le Laboratoire suisse d analyse du dopage sens IEEE EE E A E NE I OOIE NI T SIT Suds een e LAD a re u mandat de l Agence mondiale antidopage pour proposer des solutions cr dibles et harmonis es de contr le du sang contr l s positifs Quelle est la fiabilit de ces tests M S l immense majorit des tests effec tu s sont fiables et ils le sont de plus en plus Alors que se passe t il quand des deux chantillons du m me athl te l chantillon A est positif et l chantillon B n gatif Il est arriv que le probl me vienne du laboratoire mais les cas o cela a t prouv sont rares Le plus souvent le pro bl me vient d une mauvaise manipulation des chantillons au d part Dans le pre mier cas de figure il s agit bien de l urine du m me athl te mais elle a t recueillie des moments diff rents pour disposer des 70 ml n cessaires l analyse Or il suffit de trois heures d cart entre la pre mi re r colte et la seconde pour faire la diff rence est donc important de bien m langer l urine r colt e avant de la divi ser en deux chantillons et B Dans l autre cas de figure l urine a bien t r colt e au m me moment mais les conditions de transport et de stockage n ont pas respect les conditions de pr servation des chantillons Si la cong la tion n intervient pas rapidement l volu tion bact rienne a le temps de
55. res moyens confor m ment aux prescriptions ou en les acheminant dans un centre de ramas sage ou de traitement I doit s assurer que ces d chets sont transport s et trait s par des entreprises autoris es Les employeurs et les employ s sont par ailleurs tenus d entreprendre tout CEMCAV OOOO REE OOO EERE EEE EERE E EEE EE EEE EEE EEE EEE EEE EEE EROS EEE EEE ESE SESE EEE EEE EE EEE EEE BE Le projet d am lioration du tri et de l vacuation des d chets a t r alis gr ce la motivation et l investissement d un groupe de travail ad hoc avec les ressources humaines disponibles sans qu au cun poste ne lui soit sp cifiquement d di Le groupe de travail Gestion des d chets r unit Laurent Bres chef de projet gouvernant au Service de maison Etienne Aubry ICUS la st rilisation centrale Jean Paul Chappatte chef des transports au Service transports communication et approvisionnements Alessandro Foletti responsable s curit biologique au Service de s curit Muriel Gasser infirmi re a la m decine du personnel Laurent Gattlen responsable mat riel et d veloppement au Service de m decine intensive adulte Jorge Pimentel responsable mat riel au Service de chirurgie cardiovasculaire Marc Andr Demi re responsable d chetterie Pia Raselli ICS au Service de m decine pr ventive hospitali re Le comit de pilotage est compos de Silvano Campani ch
56. rps pro fessionnels qui participent occa sionnellement nos cours laborantines di t ticiennes assistantes en pharmacie secr taires etc je ne peux tous les nommer ici cadres qui ont fait le pari avec nous de tout mettre en ceuvre pour que les professionnels puissent se former je les en remercie vivement Parle corps m dical qui participe avec un sens presque inn du devoir l imp rative n cessi t de partager leur savoir Sur ce point mais aussi sur d autres vous tes un mod le que nous n h sitons pas suivre Par tous ceux physioth rapeutes thiciens juristes infirmiers et infirmi res sp cialis es aum niers assistants sociaux membres de l Office du personnel ergonome et je ne peux l encore tous les citer qui contribuent acti vement au d veloppement des connaissances et des comp tences requises pour des soins rigoureux et humains Coordonnant l ensemble de ce r seau sur lequel repose l efficience d un syst me de formation les collaborateurs pr sents et anciens du Service de la formation continue m ritent en ce jour un hom mage tout particulier vec les lits d hospitalisation Cery A le service de liaison au CHUV le nouveau Centre communautaire consti tue le pilier ambulatoire du Service uni versitaire de psychiatrie de l ge avanc SUPAA Cr sous l impulsion du Professeur Panteleimon Giannakopoulos et du Dr Michel Gaillard il r unit dans le m
57. s l adolescent est appel a donn sa propre appr ciation sur sa situa tion en r pondant sur une chelle de quatre degr s pas du tout un peu pas sablement beaucoup aux deux ques tions suivantes 1 Au cours des 30 derniers jours dans quelle mesure avez vous t g n e ou pr occup e par des probl mes dans le domaine concern 2 Dans quelle mesure estimez vous avoir besoin d une aide pour des probl mes dans le domaine concern Regard de l valuateur De son c t valuateur doit r pondre sur une chelle de 0 9 la question sui vante Dans quelle mesure jugez vous n cessaire que le sujet b n ficie d une aide ext rieure pour ses probl mes dans le domaine concern Le degr de 0 9 augmente en fonction de l importan ce de la dur e et ou de l intensit des probl mes constat s Echelle de confiance L valuateur est galement appel se prononcer sur la v racit des r ponses du sujet et sur sa capacit comprendre la nature et les objectifs de l entretien Si la conduite du sujet sugg re clairement quil ne r pond pas de mani re sinc re ou s il y a des contradictions dans les r ponses l valuateur doit le signaler en r pondant la question suivante Jugez vous les r ponses ci dessus fauss es par a une d formation des faits par le sujet b un manque de compr hension de la part du sujet d cembre 200 6 s Les adolesce
58. s s dans la mesure du possible Les d chets doivent tre limin s d une mani re respectueuse de l environne ment et pour autant que ce soit pos d cembre 2006 Nouvelle gestion du tri et de l vacuation des d chets rise decsssaceacsersncvassosacussspasaqesevesaaesancssnasaae EZEEEEZEZELELEEZEEEEEEZEEEEEEZEEELEEZEEELELZEEEEEELEEEEELEELELEET Un groupe de travail Gestion des d chets ES 0 EO OE 0 0 0 0 EEE 6 0 0 0 6 0 0 sn ess sens ses ses sense s nu Ont pu tre r unis pour la photo Au 1er rang de gauche droite Laurent Bres Silvia Hanhart Silvano Campani et Etienne Aubry Au 2e rang de gauche a droite Alessandro Foletti Laurent Gattlen Jorge Pimentel Marc Andr Demi re et Muriel Gasser POR URE PEEP ECE SO SSESSESESS SOOO SSSOCESESCO OSES sible et appropri e sur le territoire national Il importe de tenir compte de l tat de la technique pour liminer les d chets m dicaux Alors que les d chets urbains sont li min s par les cantons les autres d chets doivent tre limin s par leur d tenteur ce dernier pouvant manda ter un tiers pour cette tache Le d tenteur des d chets assume le co t de leur limination que ce soit directement ou par l interm diaire d moluments ou de taxes per us notamment en fonction du type et de la quantit de d chets mis Le d tenteur de d chets sp ciaux a l obligation de les traiter ses frais que ce soit par ses prop
59. s sont souvent d pass es quelques ann es plus tard Le seul moyen efficace de r pondre ces deux difficult s c est pr cis ment ce qui nous r unit ici m me aujourd hui et qui s appelle la formation continue Trois ambitions Les Hospices CHUV peuvent se f liciter qu il y a 25 ans d j la Direction des soins en l occurrence Mme Yolanda Hartmann ait su cr er ce Service de la formation continue Yolanda Hartmann et l quipe d il y a 25 ans ont d entr e de jeu donner trois ambitions au Service de formation continue L ambition d assurer l adaptation des connaissances pour faire face aux mutations permanentes de notre envi ronnement et int grer les nouvelles donn es du savoir l ambition de proposer un perfection nement professionnel aux collabora trices et collaborateurs ce qui revient offrir une formation continue toutes les cat gories du personnel et pas seu lement aux cadres ou ceux qui sont d j les plus dipl m s 5 c uymagazine L ambition d offrir galement un per fectionnement personnel c est dire que la formation continue vise aussi bien le d veloppement du savoir tre que du savoir faire Un objectif strat gique Sous l gide de Mme H l ne Brioschi Levi quia succ d a Mme Hartmann la formation continue de la direction des soins a poursuivi largi d amp elopp constamment adapt son offre aux besoins et se pr sente aujourd hui
60. siter le Bloc op ratoire le Service de m decine intensive adulte le Service de chirurgie cardiovasculaire et le Laboratoire central d h matologie Dans les deux cas nos visiteurs chinois ont fait part de leur extr me satisfaction C est d ailleurs la r ussite de la premi re visite au mois de mai qui est l origine de celle d octobre CEMCAV d cembre 2006 gat OR NS mm mienne inner NE E REINE EIRE EE ENTREE EIRE KE ZIK K RON D D D D D D De D De aaa ere AAVAT NL IN NL INC N CIN RENNES Sa 4 Avec tous nos v ux pour les f tes de fin d an e SE rN ip TE Y A ni7 Le CHUV Magazine vous souhaite d excellentes f tes de fin d ann e Qu elles a ie l a vous apportent ainsi qu vos proches les moments de d tente de convivialit kas D 4 de r confort et de bonheur que vous en attendez apr s une ann e de travail S377 La A PENE P A 7 Chaque num ro du CHUV Magazine t moigne des comp tences humaines ae i et du savoir faire technologique des Hospices CHUV C est par votre interm diaire Je nf ae que l institution les met au service du patient Vous repr sentez plus _ d une centaine de m tiers et pr s d une centaine de nationalit s Joie se C est gr ce votre engagement personnel dans cet ensemble multidisciplinaire ey i ki et multiculturel que l H pital universitaire peut fonctionner et remplir ee k es ses missions de soins de formation et de recherc
61. stratifs Jacques Bourquenoud Christine Gnecchi et Inka Moritz et le directeur de l HEL Roger Pauli Ils ont galement re u l appui de Val rie Blanc cheffe de projet au D partement m dico chirur z gical de p diatrie et d Urs Benz responsable de l Unit d organisation Cee Ue ECE CER ESEC EC nues neue Sons sn ne nn EEE EERE EEE EE EEE EEE EEE HOES sense ses esse EE EEEE DEE EEE BES DR RS messe d cembre 2006 Nouvelle Unit p diatrique de chirurgie orthop dique et traumatologique ssessereseeseerersesrerersesrerenntereseeees ig CT Ro LS a CEMCAV Le rt llin f a TUT LM TE T Une partie de l quipe UPCOT avec de gauche a droite Le Dr Nicolas Lutz le Professeur Michel Dutoit Val rie Blanc et le Dr Pierre Yves Zambelli plus grand nombre de cas trait s les tudes cliniques pourront tre davan tage prospectives 5 L organisation rationnelle des activit s conduit une meilleure conomie du syst me Le regroupement des forces et la r organisation intervenue en cons quence l H pital de l Enfance permettent de r aliser le projet avec des effectifs stables Malgr l am lio ration des capacit s il ne provoquera pas d augmentation du personnel autour de la prise en charge des pathologies p diatriques de l appareil locomoteur Le pilotage m dical Sous la direction du professeur Michel Dutoit m decin chef 60 l Unit de
62. t visionn e s pa r ment par chacun des membres de l quipe de recherche ce qui leur a per mis de se familiariser avec l instrument et la cotation Les scores de gravit ont t communiqu s l auteur du questionnai re qui a confirm l ad quation de va luation du m me entretien par les cher cheurs suisses Dans un deuxi me temps six entretiens ont t r alis s et enregistr s sur casset te audio Les membres de l quipe de recherche du SUPEA ont auditionn s pa r ment ces six entretiens et cod les r ponses pour l ensemble des 150 items Ce contr le a permis de v rifier la coh rence des scores obtenus La version fran aise de l ADAD ainsi mise au point a enfin t test e sur une popu lation de 72 adolescents francophones vivant dans les cantons de Vaud et de Gen ve 43 gar ons et 29 filles de 13 a 19 ans Les r sultats compar s aux tudes r alis es par les auteurs de l ins trument confirment qu il fournit des don n es tr s diversifi es sur le v cu de l ado lescent en particulier sur les aspects li s sa consommation de drogues 8 c uymagazine Peeevreerrverervererenre Tout sur un DVD Adolescent Drug Abuse Diagnosis ADAD Entretien d valuation multidimensionnelle de la consommation de substances chez les adolescents SUPEA Monique Bolognini L onie Chinet Olivier Halfon cemcay EA hN giv Unik L utilisation de l ADAD n cessite
63. t ou exclusive apr s analyse de la situation avec un clini cien Si ce d ficit atteint 10 000 kilocalories l alerte se transforme en signal danger le risque de complication en lien avec la d nu trition se transforme en quasi certitude Cette surveillance en vaut largement la peine car elle vise a r duire les complications et la dur e du s jour en soins intensifs et donc les co ts Le prix d une journ e de nutri tion parent rale 250 francs est nettement plus lev que celui d une nutrition ent ra le explique le professeur Mette Berger Ce n est certes qu un pis aller mais qui sauve la mise quand la nutrition ent rale ne fonc tionne pas Or une journ e d antibiotiques co te 1 000 francs et une journ e aux soins intensifs entre 4 et 5 000 francs Transmission des informations Depuis mai 2006 une proc dure est en place pour assurer l annonce l Unit de nutrition clinique UNC des transferts de patients n cessitant une prise en charge nutritionnelle Un fax est envoy l UNC lorsque le m decin a coch sur l avis de sortie provisoire la case selon laquelle le patient requiert un suivi nutritionnel Des r sultats encourageants Les premiers r sultats sont encourageants Une premi re appr ciation a t faite trois mois apr s l impl mentation de NUTSIA en comparant la p riode avril juin 2006 la m me p riode en 2006 Alors qu en 2005 environ 70 des patients s journant plus
64. tage organis es sur la base de modules qui peuvent tre pris pour eux m mes ou combin s dans la dur e pour d boucher sur un certificat inter ne ou externe Les collaborateurs peu vent ainsi choisir les modules qui leur conviennent les faire valider les uns apr s les autres en remplissant les cri t res fix s tests travaux crits etc et obtenir la fin un certificat de l une ou l autre des formations sp cialis es L ensemble des modules correspondant une formation doit simplement tre valid sur une dur e maximale de quatre ans Quant aux techniques d enseignement les cours ex cathedra sont devenus plus rares au profit de mise en situa tion d ateliers de travail qui permet tent de mettre en relation directe et imm diate la th orie et la pratique et parall lement de pratiquer ce que les sp cialistes appellent l alternance int grative Pour Anne Marie Marquis les collaboratrices et collaborateurs du service effectuent davantage aujour d hui un travail de formateur que d en seignant d cembre 200 6 Ce qui va encore voluer Les tendances enregistr es ces derni res ann es vont naturellement se poursuivre Dans l imm diat le Service de la forma tion continue des soins va devoir faire vo luer sa certification Ila en effet obtenu une certification priv e la certification EDUQUA pour l ensemble de ses presta tions le 1er janvier 2005 D ici 2009 il devra int grer les norm
65. te apr s la comp tition ou en p riode d entrainement mais il y a aussi des contr les sanguins M S Les contr les sanguins sont effec tu s dans les disciplines d endurance dans une perspective de screening Les donn es h matologiques r colt es per mettent de voir dans la dur e si l athl te manipule son sang Ces contr les interviennent divers moments mais surtout la veille ou le jour m me de la comp tition Ils peuvent d boucher sur une exclusion de l athl te de la comp tition Selon les r gles pos es par l Union cycliste internationale l UCI un coureur est ainsi exclu de la course d cembre 2006 NADAL i AU TAPIS LS Opu ile oe ae ome benane pbs GT hi Co Marion Jones passe encorc entre les mailles du filet d s que son taux d h matocrite est trop lev s il d passe 50 Le probl me c est que les r gles varient d un sport l autre et manquent parfois de bases suffisamment solides L AMA a donn un mandat au Laboratoire suisse d analyse du dopage qui dispose d une exp rience de dix ans dans ce domaine pour pr senter un certain nombre de solu tions Il s agit de rendre ces contr les cr dibles de les harmoniser et de leur donner un cadre l gal avec un processus d accr ditation du contr le et de l analyse qui fixent aussi les bases d interpr tation des r sultats Nous avons un gros projet en cours avec le Fonds national dans ce but Quelles
66. tion FORESO qui conduit notamment des tudes sur les effets de la politique de sant et le r le des formations soi gnantes ou par le Service de la forma tion continue qui m ne et encadre des recherches dans le domaine de la p da gogie et des soins proprement dits Tous ces rapprochements et d veloppe ments ne resteront pas sans cons quen ce pour la formation continue 7 c uymagazine Les d fis de demain Pour Serge Gallant responsable du pro gramme d int gration des nouveaux col laborateurs depuis 2001 trois d fis prin cipaux attendent galement le service ces prochaines ann es Premier d fi la r ponse au changement de soci t D un c t la relation au travail des collaborateurs s est modifi e avec l int gration des loisirs dans les projets de vie De l autre il appara t de plus en plus claire ment qu on n est pas un professionnel la fin d une formation mais qu on se profes sionnalise en permanence Pour r pondre cette double volution la formation conti nue doit encore davantage ancrer son offre sur le terrain en collaboration avec les autres services d velopper le r le de l in tervention ponctuelle privil gier des p riodes de formation courtes qui fonc tionnent bien Tout en poursuivant les efforts entrepris pour se positionner sur le plan national dans le domaine des forma tions post dipl mes qui s inscrivent par d finition dans une plus longue dur e De
67. u rison des patients en r duisant de mani re significative la dur e de s jour en soins intensifs Le projet NUTSIA avait donc pour objec tif prioritaire d am liorer la prise en char ge nutritionnelle des patients en renfor ant la structure d accompagnement des quipes soignantes dans ce domaine et en mettant leur disposition des outils de contr les adapt s leurs besoins Cet objectif impliquait plus en d tail un renforcement de la formation continue des quipes soignantes m decins et infir mi res dans le domaine de la nutrition un acc s facile informatis une documentation de r f rence aussi syn th tique et simple que possible la mise en place d une valuation nutri tionnelle syst matique des patients sui vie d un contr le et de la transmission des informations l Unit de nutrition cli nique lors du transfert de patients n ces sitant une prise en charge nutritionnelle un renforcement de l encadrement avec la d finition des r les de chaque professionnel des soins intensifs dans la prise en charge nutritionnelle des patients et la d signation claire de per sonnes de r f rence dans ce domaine Formation et sensibilisation Les cours de nutrition d ja int gr s dans la formation continue des infirmi res et des m decins ont t revus Plusieurs ont t cr s afin de toucher tous les profes sionnels concern s Tous les cours sont int gr s aux acti
68. uxi me d fi maintenir l expertise tech nique des professionnels qui est la partie la plus visible des comp tences la plus facile mesurer et quantifier tout en incitant les collaboratrices et les collaborateurs ne pas se satisfaire de ce bagage technique s ou vrir d autres comp tences la communi cation la gestion de crise la relation d aide etc Car il faut souvent une dizaine d ann es de m tier pour prendre conscience avec l exp rience de l int r t de ne pas limiter son savoir faire aux seuls gestes techniques Troisi me d fi le d veloppement d un enseignement plus individualis de l ap prentissage par probl me trouve ses limites dans les ressources financi res disponibles Mais ces limites doivent tre prises comme une donn e plut t que comme un obs tacle Cette donn e doit conduire la for mation continue utiliser au maximum l avantage qui lui est propre la proximit avec le terrain l alternance directe imm diate de la th orie et de la pratique Cela nous oblige revoir notre didactique notre relation au savoir conclut Serge Gallant en proposant une formation qui n est ni tota lement acad mique ni seulement ax e sur le r sultat ici et maintenant Service de la formation continue de la Direction des soins ccvcccsccsssescsescecsecececececececesevevevevevevevevevevecevecseetecetece d cembre 200 6 tonnes ronenesneresneeesneeeeneeesnenesrensesresesenesee
69. vit s habituelles du ser 1 Les principaux promoteurs du projet le Dr Mette Berger Ludivine Soguel Alexander cheffe de projet et Philippe Maravic ICS aux soins intensifs adultes vice et sont propos s de mani re r gu li re C est indispensable dans un servi ce d environ 300 personnes o 70 des m decins changent tous les six mois en raison des tournus de formation et ou le taux de rotation est en moyenne de 20 par an pour le personnel soignant Protocole et documentation Un groupe multidisciplinaire a travaill pendant une ann e raison d une r union par mois pour laborer d abord des protocoles longs destin s la for mation avant d en extraire des docu ments courts destin s la pratique 17 documents ont ainsi t tablis et cinq autres ont t repris de la documentation labor e par l Unit de nutrition clinique Depuis f vrier 2006 un protocole com plet de nutrition interdisciplinaire et tous les documents pratiques qui en sont issus sont accessibles par ordinateur directe ment dans M taVision Ludivine Soguel Alexander di t ticienne de recherche et cheffe du projet et le professeur Mette Berger qui a particip au groupe de travail en tant qu expert 2 c uymagazine insistent toutes les deux sur la n cessit de disposer d un protocole unique identique pour tous m decins infirmi res aides soignantes accessible en tout temps
70. w Journ e portes ouvertes du samedi 30 septembre i Le samedi 30 septembre 2006 une centaine de personnes ont particip Cery la premi re Journ e Portes ouvertes de l Atelier Brico CES services et du Centre d ergo socioth rapie CES d pendant de l Unit de r habilitation du service de psychiatrie communautaire Organis e l chelle romande par les institutions sociales suisses pour personnes handicap es INSOS cette journ e voulait ouvrir les institutions au grand public et par l m me faire conna tre les efforts d int gration des personnes souffrant de handicap Pour l Atelier Brico CES services atelier prot g d occupation pour personnes souffrant de handicap psychique cette journ e a t tr s positive Les visiteurs en grande majorit des proches des usagers ont t enchant s par la diversit des activit s offertes de la restauration de meubles aux travaux de cartonnage en passant par l atelier C sure peinture poterie musique o les visiteurs ont pu d cou vrir plusieurs talents L atelier Jardin a galement obtenu un large succ s avec la confection sur place de tresses artisanales et la vente de l gumes de saison DR mn nee sesseues Une grande satisfaction a t manifest e par les usagers pr sents cette journ e Et pour la direction et le z personnel de l Atelier Brico CES services cet enthousiasme et cette implication a t un v ritable succ s PURE CEP

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Soluciones para pruebas de redes LAN  Normas a serem discutidas pelo GT Simplificação das  Ingenico DITEO  Installation instructions  diabete n°21 n3.indd  1997 à 2001  パンフレットのダウンロード（1057KB）  "取扱説明書"  Epson 850Z Product Support Bulletin  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file