La Lettre de l`IFR - Aix Marseille Université
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1. Sciences du Cerveau et de la Cognition sciences de la cognition 8h30 Accueil 9h00 9h30 Introduction Patrick Chauvel Perception Mod rateurs H l ne Bras et Monique Esclapez 9h30 10h00 Laurent Goffart Structure et fonction a la recherche des fondements neurobiologiques du comportement d orientation 10h00 10h30 Fran oise Vitu Thibault De la psychologie de la lecture la neurophysiologie du syst me oculomoteur 10h30 11h00 Pause Cat gorisation Christine Assaiante et Daniele Sch n 11h00 11h30 Jo l Fagot Contribution des travaux de psychologie animale l tude de la cat gorisation 11h30 12h00 Franck Chaillan Bruno Truchet Apprentissage M moire et Plasticit Nerveuse M moire raisonnement Fran ois Xavier Alario et Bruno Poucet 12h00 12h30 Etienne Save Sans l animal que saurions nous des bases neurales de la cognition spatiale 12h30 13h00 Patrick Lemaire Le R le des Variations Strategiques dans le Vieillissement Cognitif 13h00 15h00 Seance de Posters D jeuner offert Dysfonctionnements cognitifs Boris Burle et Monique Esclapez 15h00 15h30 Beatrice Alescio Lautier Stimulation des reserves c r brale et cognitive dans la restauration du fonctionnement cognitif au cours du vieillissement et de la maladie d Alzheimer 15h30 16h00 Christelle Baunez Tatiana Witjas L apport des tudes r alis es chez l animal pour les diver2. IFR 131 SCIENCES DU CERVEAU ET DE LA COGNITION d cembre 2009 n 8 La lettre de l IFR La Lettre de l IFR Sciences du Cerveau et de la Cognition 31 chemin Joseph Aiguier 13402 Marseille cedex 20 T l 04 91 16 41 05 Fax 04 91 16 44 17 M l colette pourpe incm cnrs mrs fr http sites univ provence fr ifrscc Directeur de la publication Bruno Poucet R dactrice en chef H l ne Bras Comit de r daction Xavier Alario Christine Assaiante Boris Burle Monique Esclapez Daniele Sch n Secr taire de r daction Colette Pouroe Sommaire gt Editorial gt La journ e de l IFR bilan gt L hommage a Jacques Paillard gt La station de primatologie de Rousset gt Les th ses de l IFR gt Les annonces de I IFR La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 p 2 amp 3 p 5 amp 6 p 7 amp 8 p9 La Journ e de l IFR Toujours une belle r ussite Peut on se passer de experimentation animale dans les sciences de la cognition Journ e de l TFR 131 10 Septembre 2009 Environ 130 personnes ont particip la gia journ e de IFR qui s est d roul e le 10 SS septembre dernier dans l Amphith tre de Sciences Naturelles du campus Saint Charles La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 2 10 Septembre 2009 Journ e de l IFR 131 gt IFR 131 SCIENCES DU CERVEAU CES CORRE ES Peut on se passer de l exp rimentation animale dans les
3. temporelles incertaines Implicitement on pense qu un mouvement intentionnel perturb peut tre assimil un mouvement non perturb auquel s ajoutent les m canismes r flexes qui compensent les effets des perturbations Or nous montrons dans ce travail que la pr paration motrice peut tre d pendante la fois de l intention prise en compte par le syst me nerveux central SNC en vue de r aliser l acte moteur la t che et des perturbations externes Les r sultats obtenus au cours de cette th se soutiennent l id e que le r glage du syst me corticospinal CS au cours de la pr paration d pend du contexte dynamique de la production du mouvement Notre premi re exp rience a montr que les r flexes d tirement courte latence 20 lt SLSR lt 45 ms ne sont pas modul s par l intention Cependant les r flexes longues latences 45 lt LLSR lt 90 ms r v lent une forte augmentation de l activit EMG quand les sujets se pr parent r sister la perturbation m canique De plus des modulations de l excitabilit corticale ont t observ es sur le muscle antagoniste MEP NINT lt COMP et de l inhibition corticale sur le muscle agoniste SP NINT gt COMP Dans une deuxi me exp rience pour tudier les m canismes Top down nous avons appliqu la stimulation magn tique transcranienne TMS au niveau de l aire motrice primaire M1 une intensit suffisante pour voquer un mouvement pour tester la
4. 2009 Delphine Bastard Rosset Mardi 10 novembre 2009 Institut de Neurosciences Cognitives de la M diterran e UMR 6193 Sous la direction de Christian Marendaz et Christine Deruelle Influence de l expertise sur le traitement des expressions faciales d motions chez les enfants RESUME Le deficit de reconnaissance des expressions faciales d motions occupe une place centrale dans les difficult s sociales des personnes autistes Afin de mieux comprendre l origine de ce d ficit nous nous sommes int ress s un processus top down susceptible d alt rer les capacit s des enfants autistes reconna tre les motions leur expertise restreinte avec les visages r els Dans nos travaux nous avons tudi l influence du facteur expertise en comparant les performances des enfants autistes dans des preuves impliquant des personnes ou des visages r els et de dessins anim s En effet si ces enfants ont tendance viter de regarder les visages r els conduisant a un niveau d expertise restreint avec ces visages ce n est pas le cas pour les visages de dessins anim s Les r sultats de la premi re tude montrent que la reconnaissance des motions sur des visages de dessins anim s repose chez les enfants autistes sur un traitement configural donc typique alors que la reconnaissance de ces m mes motions repose sur un traitement local donc atypique dans le cas de visages r els Ainsi le manque d expert
5. le d veloppement de la psycho physiologie a t de ceux qui ont fait la transition dans les sciences du mouvement entre les concepts reflexologiques de Sherrington et les approches cognitives actuelles Ses premi res recherches sur la motricit chez l homme commenc rent en 1947 comme chercheur au CNRS sous la direction du neurophysiologiste fran ais Alfred Fessard 1900 1982 directeur de l Institut Marey Sa th se pass e en 1955 traitait de l activit spinale chez re I homme test e par deux r flexes compl mentaires le r flexe tendineux et le r flexe de Hoffmann Elle d montrait importance de la r gulation du fuseau neuromusculaire dans le contr le de la posture et du mouvement Assistant en 1955 en psychophysiologie la Sorbonne a Paris Paillard rejoint l Universit de Marseille en 1957 en tant que professeur dans la m me discipline Il va participer en 1963 la cr ation de l Institut de Neurophysiologie et de Psychophysiologie INP sur le campus Joseph Aiguier du CNRS D abord sous directeur il le dirigera a partir de 1970 Apr s avoir enseign la Facult de St J r me il sera professeur Luminy o il favorisera le d veloppement des neurosciences appliqu es au domaine du sport S il abandonne son enseignement en 1991 il poursuivra ses recherches jusqu sa disparition travaillant surtout au Qu bec avec la patiente Ginette qui priv e de proprioception lui a permis de v rifier bi
6. mises en jeu lors de la mise en place des ajustements comportementaux Ces r sultats sugg rent galement l existence de m canismes capables de d tecter en ligne un risque d erreur dans le but de pr venir une erreur en cours d essai La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 C LES ANNONCES DE L IFR S minaire soutenu par IFR Jeudi 3 d cembre 2009 14h Amphi Pierre Desnuelle Campus Joseph Aiguier 31 chemin Joseph Aiguier 13009 Marseille Prof Moshe Abeles Head Gonda Brain Resarch Center Bar Ilan University How much can we tell about information processing in the brain by measuring brain activity Conference exceptionnelle de l IFR Vendredi 5 mars 2010 10h30 Amphi Pierre Desnuelle Campus Joseph Aiguier 31 chemin Joseph Aiguier 13009 Marseille John F Kalaska Universit de Montr al Qu bec Canada Neural Correlates of Overt and Covert Motor Functions in the Primate Dorsal Premotor Cortex La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 Projet de livre le cerveau mode d emploi La lettre de l IFR 131 d cembre 2009
7. processus top down li s l expertise Beatrice Marcelin Lunai 28 septembre 2009 Laboratoire Epilepsie et Cognition UMR751 Sous la direction de Christophe Bernard et Jean R gis Reorganisation fonctionnelle dans un mod le d pilepsie du lobe temporal avant et apr s chirurgie RESUME L pilepsie du lobe temporal ELT la forme d pilepsie la plus r pandue chez l adulte est pharmacor sistante chez 30 des patients Une des solutions consiste utiliser la radiochirurgie Gamma Knife GK dont les m canismes ne sont pas connus Le but de ce travail tait de continuer caract riser les remaniements de la circuiterie neuronale dans l ELT et son ventuelle r paration apr s GK Pour cela nous avons utilis le mod le pilocarpine dELT chez le rat Nous nous sommes focalis s sur la r gion CA1 de lhippocampe Nous avons tudi les canaux HCN courant Ih dans les dendrites des cellules pyramidales de CA1 car ce canal joue un r le important dans le contr le des oscillations th ta 4 12 Hz un rythme au centre de nombreux processus cognitifs qui sont alt r s chez les patients Nous avons montr que l pileptogen se est associ e a une canalopathie des canaux HCN provoquant une Gamma Knife de la prot ine au r seau diminution du courant Ih et une perte de la r sonance dans la bande th ta Cette canalopathie pourrait jouer un r le dans les d ficits des processus cognitifs d pendant de lhippoc
8. voie CS avant les retours sensoriels Des modulations diff rentes de l excitabilit CS MEP et de l inhibition corticale SP ont t trouv es pendant cette phase de pr paration Ensuite les signaux EEG ont t analys s afin de mettre en vidence la dynamique c r brale pendant la phase de pr paration p riode pr TMS o il a t observ une modulation des potentiels lents de pr paration CNV par l intention ainsi que la composante N100 en r ponse la stimulation Les r sultats ont montr une forte corr lation CNV N100 quelle que soit l intention pr alable du sujet La seconde phase de cette th se a t consacr e la partie technique Mon exp rience en ing nierie biom dicale m a permis de contribuer mettre en place une plate forme technique nouvelle en France savoir la mise en uvre et l installation des diff rents syst mes d acquisition de donn es EEG EMG mouvement les instruments de perturbation TMS manipulandum ainsi qu un syst me de neuronavigation coupl a des images IRM anatomiques du cerveau permettant de localiser une zone corticale pr cise telle que la cible de Stimulation Clemence Roger Jeudi 19 novembre 2009 Laboratoire de Neurobiologie de la Cognition UMR 6155 Sous la direction de Boris Burle Supervision de l action et optimisation des comportements Etudes lectrophysiologiques et IRMf RESUME Les m canismes c r braux impliqu s dans l opti
9. C Assaiante Orientation posturale verticale en microgravit apres un mouvement Assis Debout AD combin a un changement de l angulation de la cheville J Chobert C Fran ois C Marie D Schon J L Velay M Habib amp M Besson Multi feature MMN to speech sounds in dyslexic and control children S Dutheil J M Brezun J Leonard M Lacour amp B Tighilet Neurogenesis and astrogenesis contribute to vestibular compensation in the neurectomized adult cat cellular and behavioral evidences C Francois amp D Schon Statistical learning of a sung language in musicians and non musicians adults and in dyslexics and non dyslexics children an ERP study to compare linguistic and musical dimensions C Francois amp D Schon Statistical learning of a sung language in musicians and non musicians adults and in dyslexics and non dyslexics children an ERP study to compare linguistic and musical dimensions S Liabeuf P Boulenguez A Stil amp L Vinay Expression of KCC2 and NKCC1 during development and after spinal cord injury C Marie F Delogu G Lampis M Olivetti Belardinelli amp M Besson Influence of musical expertise on tonal language processing Behavioural and Electtrophysiological study S Massol J Grainger K J Midgley amp P J Holcomb Masked Priming of Pronounceable and Unpronounceable Nonwords An ERP Investigation H B Meziane L Spieser J Pailhous amp M Bonnard How is corticospinal control of wris
10. ampe Nous avons aussi montr que la resonance et les propri t s de Ih varient au cours du d veloppement et selon l axe_ septo temporal de lhippocampe ce qui pourrait avoir un r le fonctionnel dans l ELT Nous avons ensuite analyse les cons quences de l irradiation GK sur les animaux pileptiques Dans une premi re phase nous avons calibr la machine pour le cerveau du rat Apr s chirurgie GK nous n avons pas constat d am lioration de epilepsie des performances cognitives ou une r paration du syst me la dose utilis e Nous discutons ce r sultat n gatif en le comparant ceux de la litt rature La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 Hadj Meziane Mardi 13 octobre 2009 Institut de Neurosciences Cognitives de la M diterran e UMR 6193 Sous la direction de Jean Pailhous Anticipation d une perturbation d origine p riph rique ou centrale du mouvement volontaire chez homme RESUME L accomplissement d un mouvement volontaire suppose la mise en jeu de processus de pr paration qui pr d terminent l efficacit du contr le moteur Cette pr paration du mouvement volontaire a donn lieu de nombreux travaux chez l homme et l animal la fois sur le plan comportemental et neurophysiologique mais presque toujours dans un environnement dynamique du mouvement stable Or dans la vie courante un mouvement intentionnel peut tre perturb par des forces externes qui ont des propri t s spatio
11. en des hypoth ses qu il avait labor au cours de sa vie active EL Brain Research BITAL La lettre de IFR 131 d cembre 2009 Si ses premiers travaux ont port sur les r gulations proprioceptives il s est int ress tous les probl mes pos s par le mouvement et ceci en relation avec espace le monde ext rieur ou l environnement Il considere que cest par son systeme moteur et ses activit s motrices que le sujet humain rend le monde Fig 1 The first administrative meeting of the INP in Marseille in 1963 From left to right Jacques Paillard the assistant director Georges Morin the director and Maurice Dupuis the head administrator This photograph is available from F C upon request coherent en mettant l hypoth se que les mouvements actifs calibrent le monde ext rieur Ainsi la perception d une position finale lors du pointage de la main vers une cible n cessite l intervention des aff rences proprioceptives du bras induites par sa projection Il a oppos dans l espace une adaptation egocentrique c est dire qui fait appel aux r f rents internes du sujet une adaptation allocentrique tourn e vers le milieu Paillard a consid r que dans le traitement de l espace il co existe deux types de processus de niveaux tr s diff rents L un inconscient concerne le dialogue direct que l organisme entretient avec le monde physique par l interm diaire de son appareil sensori moteur Le
12. ise des enfants autistes avec les visages r els induirait un traitement perceptif des visages motionnels atypique Les quatre tudes suivantes montrent que l expertise restreinte des autistes enfants autistes avec les personnes ou les visages r els contrairement leur expertise avec les dessins anim s affecte d autres competences Tout d abord dans une preuve de cat gorisation de visages morph s entre un visage r el et un visage de dessin anim s les enfants autistes pr sentent un biais perceptif en faveur des visages de dessins anim s Ce biais sugg re une sensibilit perceptive plus importante pour ces visages comparativement aux visages r els Dans une troisi me et quatri me tudes l valuation des aspects attentionnels de la perception des visages montre d une part une absence de sp cificit des capacit s de discrimination perceptive pour les visages r els compar s aux visages de dessins anim s et d autre part une absence de sp cialisation des processus attentionnels et pr attentionnels impliqu s dans la d tection des visages motionnels joyeux et en col re chez les enfants autistes Enfin une cinqui me tude a permis de v rifier que l influence de l expertise sur la perception des visages s tend la perception des mouvements biologiques L ensemble de ces r sultats a permis de mettre en vidence le r le fondamental du statut r el des visages travers la mise en uvre de
13. misation des comportements sont encore mal connus Nous avonscherch pr ciser leur fonctionnement travers des tudes EEG et IRMf dans des t ches de temps de r action manipulant la compatibilit Stimulus R ponse Plusieurs arguments issus de m thodologies diff rentes nous ont permis de pr ciser le r le de la N gativit d Erreur Ne une onde EEG initialement rapport e dans les erreur et qui atteint son maximum juste apr s la r ponse Initialement attribu e la d tection de l erreur cette activit localis e dans la zone cingulaire rostrale pourrait avoir pour r le d valuer la performance en cours d essai dans le but de rattraper l erreur Nous nous sommes int ress s aux m canismes impliqu s de la s lection de la r ponse La N 40 enregistr e au dessus de l aire motrice suppl mentaire incarnerait l association stimulus r ponse alors que les cortex moteurs seraient le lieu de la mise en place d un m canisme de pr vention de l erreur impl ment par une l vation du seuil de d clenchement des r ponses en pr sence d un risque d erreur Enfin dans une tude IRMf nous avons montr que les ajustements comportementaux suite un essai incompatible prenaient la forme d une augmentation du traitement perceptif des caract ristiques pertinentes de la t che et d une diminution du traitement des caract ristiques non pertinentes Nous avons pr cis le r le fonctionnel de la Ne ainsi que les op rations
14. second le niveau conscient assure l organisation des activit s cognitives pr sentes dans les structures corticales sup rieures aliment es par l ensemble des activit s mn siques La Station de primatologie de Rousset La station CNRS existe depuis 1978 Elle est situee a l Est d Aix en Provence sur un terrain de 20 hectares securises Depuis 1990 cette unite propre de service se consacre exclusivement aux mod les primates Depuis 2000 lunit a connu un d veloppement consid rable par la diversit des esp ces de primates accessibles et mises en levages sur le site Babouins macaques ei singes cureuils dont l effectif d passe aujourd hui 800 individus mais aussi gr ce l extension des structures de recherche la construction en 2010 d un b timent de 500m2 accueil des chercheurs et administration et enfin la mise en place progressive d une quipe de 19 agents titulaires Les activit s Scientifiques sont orient es principalement sur le comportemental et le biom dical non infectieux Les infrastructures Douze b timents d levage reli s des parcs ou des voli res ext rieures une infirmerie et une salle de pr l vements un laboratoire d analyse g n tique et de diagnostic des structures d experimentation Les moyens humains Deux v t rinaires un comportementaliste un informaticien deux assistants ing nieurs et dix zootechniciens Situation et evolution Au plan national Par
15. ses applications de la stimulation c r brale profonde en clinique Exp rimentation humaine exp rimentation animale et neurosciences computationnelles Xavier Alario et Boris Burle 16h00 16h30 Guillaume Masson In vivo ou in computo peut on faire de la technologie bio inspir e sans exp rimentation animale 00004000000900000000000000000000000000600000000008000900060000000000000000000000600600000900000000000000900 16h30 17h30 TABLE RONDE lvan Balansard Guillaume Masson Bruno Poucet Laurent Vinay Jean Philippe Azulay Arnaud Rey Ap ritif Amphitheatre Sciences Naturelles Universit de Provence Campus St Charles Contact Colette Pourpe 04 91 16 41 05 colette_pourpe incm cnrs mrs fr La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 LES POSTERS F Baarlam M Descoins O Bertrand T Hasbroucg F Vidal C Assaiante amp C Schmitz Time frequency analysis of EEG to characterize anticipatory postural adjustements in a bimanual load lifting task P Roubertoux M Carlier E Robin amp D Smith Genes et d ficit neurocognitif dans la trisomie 21 la souris transg nique comme mod le S Casteau amp F Vitu Thibault Evidence for and against a role of lateral interactions in saccade generation L Centelles C Assaiante K Etchegoyhen M Bouvard amp C Schmitz Understanding social interaction in children with autistic spectrum disorders does human motion talk to them PY Chabeauti M Vaugoyeau amp
16. t muscles affected during expectation of a motor perturbation a Transcranial Magnetic Stimulation study A Montagnini D Souto amp G S Masson Anticipating uncertain events estimates of probability driving anticipatory eye movements C Mourre L Sreng F A Chaillan B Truchet C Manrique amp F S Roman Kv4 potassium channel modulation contributes to hippocampal long term potentiation maintenance and mnesic processes in a spatial radial maze task in rats R Moussa M Amalric B Poucet amp F Sargolini Dissociation of dorsomedial and dorsolateral striatum in the acquisition of a spatial alternation task F Guilleminot amp I Vanzetta Disentangling specific temporal frequency channels of motion processing in awake monkey V4 using color and luminance I Vanzetta C Flynn A I Ivanov C Bernard amp C G B nar Liner coupling between single event blood flow responses and interictal discharges in experimental epilepsy M Yao N Dre F Vitu Thibault amp E Castet Role of fixation instability when reading continuous text with an artificial macular scotoma La lettre de IFR 131 d cembre 2009 R flexions sur Jacques Paillard 1920 2006 Un pionnier dans le domaine de la cognition motrice Francois Clarac Jean Massion Douglas G Stuart Brain Res Review 61 2009 256 280 Cet article fait le point sur la vie et les diverses contributions scientifiques de Jacques Paillard 1920 2006 qui en favorisant
17. tenaires principaux Laboratoires de lIFR 131 La plus importante structure de primatologie du Fac de Medecine Marseille et Montpellier CNRS Unite propre de service UPS 0846 CEA INSERM Institut Pasteur et partenaires rattach e a l IFR 131 Sciences du cerveau et prives de la region PACA de la Cognition en 2002 Plateforme RIO 2006 et labellisation IBISA Aout Dans l Environnement europ en 2009 Int gration depuis 2005 l ensemble EUPRIM Plateforme d explorations fonctionnelles Net European Primate Network qui tisse un chez les primates r seau de collaborations entre 8 centres de primatologie La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 6 EFF FF FEF Les prestations et services Pensions de primates Mise disposition et s lection de mod les sur le site et dans les laboratoires ext rieurs R alisation de protocoles sur le site Fourniture et conservation de produits biologiques cellules tissus ADN serum etc Diagnostic Conseils techniques La lettre de l IFR 131 d cembre 2009 Les activit s scientifiques Trois plateformes sont aujourd hui en service Une plateforme d anthropologie Gilles Berillon 4 Une plateforme de psychologie compar e Joel Fagot et Jacques Vauclair Une plateforme biom dicale Dr Guy Dubreuil parasitologie paludisme mycologie histoplasmose virologie STLV pharmacologie neurologie pathologies vasculaires orthopedie HESES
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