Mai 2002 - Spécialistes et généralistes. Je t`aime un peu
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1. Sp cialistes et g n ralistes Je t aime IMbUNn peu 1 CMV 3 2002 Editorial ditorial So mmaire Des relations la saveur douce ame re Editorial Les quatre textes pr sent s dans ce num ro du CMV consacr aux relations g n ralistes sp cialistes et ue vice versa ont un point commun me semblett il la difficult de conna tre les attentes et les besoins de D DO IRSS l autre et parfois aussi comme l crit le Dr Kaiser G n ralistes sp cialistes la difficult d tre reconnu L artide du D Burnier montre DCS DEC CROS on en mutation que le statut des sp cialistes s est pour le moins am lior Nous sommes tous Daniel Laufer largit le champ de la r flexion au monde des sp cialistes litique tandis que la soussign e s est efforo e de faire A E ponuque qu gn relation de vieux couple sortir les psychiatres de leur colloque singulier Les sp cialistes sont ils plus heureux que leurs coll gues d en face chez qui on per oit une rtaine amertume B Celle de se voir notamment dans leurs rapports avec les Chez les d l gu s institutions qu elles soient politiques ou m dicales trait s Reflets de l assembl e en scouts toujours pr ts ob ir sans rechigner eD AA Est ce que tout va pour le mieux entre sp cialistes et g n ralistes Le bonheur comme les grandes douleurs Communiqu s est il muet Je terminerai en lan ant un appel pour que le CMV Courir pour pr2. est in admissible par son aspect extr me ment lib ral par rapport la situation actuelle des indications m dicales Comment accepter d avorter tel em bryon pour la seule raison que sa m re l a d cid alors que l on doit comme membre du personnel m dical faire le maximum pour pr server cet autre embryon lui d sir Pourquoi sauver ce f tus de 20 semaines par une in tervention intra ut rine alors que tel autre va tre limin sans autre dis cussion Une telle activit pratiqu e en toute l galit para t relever d une atti tude m dicale schizophr ne plus que scientifique et humaine La Conf d ration vient de l gif rer juste titre sur d utilisation du patri moine es de gametes et d em bryons humains afin d assurer la pro tection de la dignit humaine de la per sonnalit et de la famille Par cet article 119 notre Constitution f d rale recon na t bien le caract re et la valeur hu maine d s la conception Comment d s lors cautionnerun r gime des d lais qui bien apr s les premiers stades de la f condation abandonne au libre choix personnel le devenir de l embryon CMV 3 2002 Courrier Si le droit d autod termination de la femme doit tre respect on ne peut pas oublier que l embryon bien qu in timement li sa m re en est fonda mentalement distinct et doit lui aussi tre respect Par ailleurs la nouvelle loi ne parviendrait ni d charger ni d
3. rents des n tres Le point de vue forc ment frag mentaire des sp cialistes les am ne parfois du haut de leurs connais sances sp cifiques faire directe ment des commentaires imp ratifs ou imp rieux au patient lesquels peuvent s av rer inapplicables dans la r alit globale du malade Sans le vouloir savoir ils nous compli quent ainsi la vie Esp rances inventaire non exhaustif Patient G n raliste Sp cialiste Les relations sont probl matiques dans ce triangle et autour de lui Si l on entend r guli rement que le m decin g n raliste est ou qu il est souhait tre un coordinateur es sentiel ne devrions nous pas tous aussi g n ralistes et sp cialistes tre des coordonnateurs au sens de l ordonnance voire des ordres donner Ces deux notions s imbri quent de fait surtout en ces temps friands de seaux non Pour leur formation postgradu e les m decins g n ralistes sont obli g s de passer d une sp cialit l autre sans tenir compte des sp cificit s de leur m tier venir Ne serait il pas normal d exiger pour tous les sp cialistes une formation de 6 12 mois obligatoire en cabinet de m decine g n rale Conclusion en forme d inqui tude Si l on prend la peine de lire la convention TarMed il appara t que le m decin g n raliste devra au del de sa formation FMH obtenir des erti fications suppl mentaires pour avoir le droit d utilise
4. ses int r ts et ses besoins En fonction de l volution g n rale de la situation la strat gie mise en place pourra tre adapt e maintenant ainsi un dialogue ouvert entre le client et son conseiller Alors que la gestion de fortune a tendance se mondialiser le conseil patrimonial demeure quant lui ancr dans les r alit s locales Il suffit de penser un instant aux probl matiques immobili res fiscales ou successo rales pour s en convaincre Fid le sa mission de proximit et son ancrage culturel la BCV est m me d offrir chacun de ses clients un conseil adapt aux particularit s locales Les prestations du BCV Private Banking en mati re de conseil patri monial sont regroup es en six do maines de comp tences gestion de fortune pr voyance et planification de re traite conseil fiscal conseil successoral financement conseils juridiques et particuliers BCV Private Banking CMV 3 2002 Calendrier Calendrier m dical vaudois P riode du 17 juin au 19 juillet 2002 JEUDI 6 JUIN 2002 CORRECTIF 14 h 30 19 h Cours d enseigne ment continu de l H pital ophtalmique Jules Go nin D Guex Croisier il et virus aujourd hui Lausanne CHUV auditoire Tissot Rensei gnements t l 021 626 85 95 fax 021 626 81 22 LUNDI 17 JUIN 2002 10 h 15 12 h Cours s minaire de privat docent Dr L Benaroyo thique et m decine le lien re trouv IUHMSP Lausanne
5. venir continue de voler haut bien s r il aurait un urgent besoin courir pour le plaisir de plumes Qu elles soient sp cialistes ou g n ralistes toutes sont n cessaires et bienvenues Ne restez pas a graphiques Dresse Jacqueline Caillat Courrier Le coin du banquier Prochaines parutions f Calendrier ET 10 juillet 2002 COURRIER d lai nd M GI S NOR 31 mai 2002 No 5 2002 28 ao t 2002 d lai r dactionnel 19 juillet 2002 ossier CMV 3 2002 Dossier Toujours plus de contacts Par d finition le m decin g n raliste aura des contacts avec les tablissements hospitaliers ou avec les sp cialistes en cabinet Si l on renonce l image d Epinal les constats d montrent que la situation tend se p jorer II faut que les d cideurs politiques en prennent conscience Voici ce que je souhaite relever propos de nos contacts avec les ser vices sp cialis s hospitaliers Nos demandes d hospitalisations sont souvent sujettes pol miques r it r es avec l assistant de garde On n a pas de lit disponible Pour quoi ne l adressez vous pas l h pital de votre r gion De toute fa on on devra transf rer le patient etc Pourquoi douter des constatations du m decin de terrain alors que les services d urgences hospitaliers ac ceptent sans discussion le amp out ve nant des consultations qui trop souvent ne n cessitent pas l infra structure inst
6. La r alit du ter rain est heureusement tout autre Cha cun d entre nous travaille en r seau collaborant avec ses confr res dans un climat de confiance et de respect r ci proque Dans un tel contexte le pa tient circule librement Les r seaux s adaptent aux conditions locales dans certaines r gions le sp cialiste ne peut subsister en pratiquant sa seule sp cialit il devient donc lt g n raliste par n cessit le g n raliste de la m me r gion devant n cessaire ment faire appel moins souvent au sp cialiste moins accessible et deve nir ainsi plus polyvalent que son confr re citadin Alors o est le probl me L acc s au sp cialiste sera certainement un jour limit parles exigences mises par les caisses maladie suisses nous d en d finir le cadre si n cessaire nous de r sister si elles sont inadapt es L obligation d une formation continue vot e par la Chambre m dicale estun dabel de qualit Cette formation est certes contraignante mais correspond l image d autres professions une volution in luctable Il nous appar tient d en faire un enrichissement Dr Daniel Laufer Nyon REMETTRE CABINET DE GROUPE au centre ville de Lausanne labo ratoire radiologie pour 2003 Faire offres sous chiffre CMV 30 05 02 inEDIT Publications SA case postale 74 1025 Saint Sulpice CMV 3 2002 Dossier Psychiatres somaticiens une relation de vieux couple
7. culpabiliser la femme en la laissant seule prendre cette difficile d cision d interrompre sa grossesse Le r gime des d lais en retirant l Etat sa part de responsabilit dans la protection de la maternit va laisser les femmes en core plus isol es qu auparavant et en courager la d mission des g niteurs d j trop absents La solution Reconna tre l tat de d tresse que traversent certaines femmes durantleur grossesse certainementoui Se donner davantage les moyens de les soutenir socialement et moralement oui Chercher une solution in dite res pectant la m re et son enfant plut t que proposer tout de suite l avorte ment oui Envisager en dernier ressort une IVG ventuellement Mais en tout cas rejoindre les nombreux m decins qui disent NON au r gime du d lai une loi mauvaise caren d saccord avec nos consciences professionnelles site In ternet www medecinsnon ch Dr Pierre Meylan Le Sentier Centrale romande d achat pour le m dical et le laboratoire Installation de cabinets Service apr s vente m dico technique ROMEDIC SA Route Aloys Fauquez 60 Case 22 1000 Lausanne 8 T l 021 646 40 36 Fax 021 646 62 68 o IMPRIMERIE FLEURY IPH amp CIE L Petits Champs 13 1401 Yverdon les Bains T l 024 425 90 19 Fax 024 425 62 12 E mail fleury fastnet ch CMV 3 2002 Banque 14 e coin du banquier BCV Private Banking le conseil patrimonial sur mesure Situation
8. doit d finir ses relations avec l h pital avec le 144 et le SMUR pour la r gion lausan noise avec la CTM et pour toutes les r gions avec les diff rents groupe ments de sp cialistes La garde devrait galement d fi nir les conditions dans lesquelles les diff rents intervenants vont tra vailler il s agit de voir ce qui est ac ceptable et tol rable au niveau de la densit des gardes Le remodelage des secteurs la d finition des ho raires le syst me d appel une inci tation de participation au co t par les communes etparl Etatrestentdes points ouverts Les gardes de sp cialistes sont galement sujettes r flexion et il faudra aboutir des pro positions concr tes Le bureau de la Commission de la garde pense mettre en route des groupes de r flexion qui travailleraient d avril fin juin d but juillet 2002 et soumet traient par crit leurs propositions En septembre 2002 un geudi de la Vaudoise est destin pr senter ces diff rentes tudes Le Dr Daniel Laufer esp re que ce nouveau r glement ne provoquera pas de nouveaux conflits entre m decins de premier recours et sp cia listes Il devrait au contraire contri buer mettre en place un syst me harmonieux fiable confortable pour tous rentable et rationnel Aucun candidat ne s tant an nonc pour une lection au comit les deux membres titulaires arrivant au terme de leur mandat acceptent de le prolonger jusqu
9. solutions disponibles et permet de combiner au mieux les possibilit s offertes par les deuxi me et troi si me piliers ainsi que par les pro duits de bancassurance La pr paration de sa succession La transmission du patrimoine fi nancier est une tape ne pas n gliger par respect envers ses descendants Pr parer temps sa succession permet de bien faire conna tre ses volont s et d assurer un partage harmonieux Pour ac compagner les h ritiers dans leurs Une question e Pour un premier contact avec un conseiller BCV Private Ban king n h sitez pas appeler le 021 212 27 60 ou consultez le site Internet www bcvpb ch Pour les questions g n rales merci de les transmettre au se cr tariat de la Soci t vaudoise de m decine Vous trouverez la k onse dans une prochaine ition du magazine d marches successorales la ban que peut galement servir d exe cuteur testamentaire Au service de vos projets Au moment des choix importants le recours au conseil patrimonial aide optimiser la gestion des biens et la charge fiscale Au cours d une ou de plusieurs discussions avec un con seiller BCV Private Banking chaque client identifie les l ments qui in fluencent son patrimoine L analyse de toutes ces informations permettra en suite de proposer une palette de me sures concr tes C est ainsi en toute connaissance de cause que le client choisira la meilleure solution par rap port
10. une assem bl e ult rieure Nous les remercions Cherche une ASSISTANTE M DICALE 100 Lausanne secr tariat RX labora toire pour tout de suite Faire offres sous chiffre CMV 30 05 02 inEDIT Publications SA case postale 74 1025 Saint Sulpice 9 chaleureusement de leur pr cieux engagement Commission de d ontologie le professeur Jean Pierre Guignard ar rive au terme de son mandat mais accepte de poursuivre Il est vive ment applaudi Conseil de d ontologie de la FMH Conseil de famille les deux d l gu s arrivant en fin de mandat soit la Dress Graziella Bertona etle Dr Ul rich Schmid acceptent de se repr senter et sont reconduits dans leur fonction par acclamation le Dr Ul rich Schmid signale cependant qu il n assumera pas cette fonction au del de la fin de l ann e 2002 Chambre m dicale le d l gu actuel d sirant se d charger de cette fonction le D Daniel laufer propose sa candidature pour le remplacer Il est lu l unanimit avec applau dissements et remerciements Preuve selon le D Jean Pierre Pa villon que l on peut avoir t pr si dent de la SVM et rester tr s popu laire Les nouveaux membres suivants ont t admis lors de cette session Dr Ahmad Zalmai Azam Desse Isabelle Bennani Fleischer Dr Andres Bircher Dr Jean Philippe Cerottni Dr Didier Chardonnens Dress V ronique Chaudet Briaux Dr Pierre Cochand Dress Christine Constanti
11. Ch des Falaises 1 Renseignements IUHMSP t l 021 314 70 50 17 h 30 Colloque du service de chirurgie Dr J M Calmes de m sorectum Lausanne CHUV salle de colloque 325 BH 15 Rensei gnements Mne M Arslan t l 021 314 24 03 fax 021 314 23 76 MARDI 18 JUIN 2002 18 h 30 Colloque hospitalo r gional de Morges D5 L Odier et J D Baumgartner Pr senta tion de cas d infectiologie Morges auditoire de l ESIM Renseignements t l 021 801 92 11 fax 021 803 39 14 MERCREDI 19 JUIN 2002 14 h 15 16 h Cours de droit public de la sant Droit public de la sant Universit de Neu ch tel Renseignements etinscriptions Mme M L B guin t l 032 718 12 37 fax 032 718 12 35 e mail marie laure beguin unine ch 17 h 15 18 h 45 Cours public d histoire des sciencesbiom dicales Professeur Gayon 4n troduction la philosophie de la biologie La g n tique mend lienne a t elle t r duite la g n tique mol culaire Facult de m decine de l Universit de Gen ve centre m dical uni versitaire auditoire C150 Renseignements IUHMSP t l 021 314 70 50 17 h 30 18 h 30 Conf rence postgradu e du ser vice d anesth siologie Professeur S Kozek Langenecker 4mpact of HES on blood coagu lation and platelet function Lausanne CHUV auditoire Yersin Renseignements M e B Fe licione t l 021 314 20 01 fax 021 314 20 04 MERCREDI 19 AU JEUDI 20 JUIN 2002 Colloque d
12. En tant que psychiatre je me suis souvent demand ce qui pou vait bien poser autant de probl mes d clencher autant de r actions passionnelles que nos relations avec les somaticiens J avoue que je n ai pas de bonne r ponse tout au plus quelques pistes sur lesquelles ma pratique m a amen e Essayons de voir ce qui a bien pu clocher dans la constitution de notre wieux couple 1 Le mariage at il t arrang ou les conjoints se sont ils choisis en toute libert Le mariage a peut tre t arrang par on ne sait quelle obscure ins tance qui a un jour serait ce une nuit d cid que la psychiatrie fai sait partie de la m decine Autre possibilit les pionniers de la psy chiatrie taient avant tout des neu ropsychiatres qui le euro conf rait une identit m dicale s rieuse et qui avaient un terrain concret sur lequel ils pouvaient re trouver leurs confr res Si le ma riage n a pas t arrang cela de vient encore plus compliqu Les m decins auraient ils choisi de se marier avec les psychiatres ces gens si compliqu s se seraient ils jet s dans la gueule du loup Dif ficile admettre Les psychiatres auraient ils de leur c t choisi d unir leur destin un conjoint qui ne les aimait pas vraiment Tout aussi difficile admettre Il y au rait d cid ment top de maso chisme des deux c t s 1 Quel a t le r le des familles d ori gine C est vrai qu un ce
13. M Dolci Anesth sie endoveineuse Lausanne CHUV auditoire Yersin Renseignements Mme B Felicione t l 021 314 20 01 fax 021 314 20 04 19 h Colloque du Groupe des orthop distes vau dois Pr sentation de cas lausanne H6pi tal orthop dique de la Suisse romande audi toire Placide Nicod niveau 05 Renseigne ments t l 021 310 36 03 20 h Les mercredis du GRAAP Ma vie quel sens gt Lausanne rue de la Borde Renseigne ments http wWww graap ch conferences html JEUDI 27 JUIN 2002 8 h 30 17 h Journ e du Groupement des m de cins g n ralistes vaudois GMGV M decine et politique ge t aime moi non plus Lau sanne Dorigny La Grange Renseignements et inscriptions SVM t l 021 652 99 12 fax 021 652 32 21 e mail secgen svm menet ch 12 h S minaire et cours de formation post gradu e de maladies infectieuses microbiolo gie m decine pr ventive hospitali re D5 P 16 Meylan et R Sahli Diagnostic virologique et s rologique Lausanne CHUV auditoire Tissot Renseignements t l 021 314 16 43 fax 021 314 02 98 12 h 30 13 h 30 Colloque lausannois d immuno allergologie Pr sentation de cas Lausanne CHUV salle de colloque 18 549 BH 18 Ren seignements t l 021 314 07 90 fax 021 314 07 91 e mail pierrette braun chuv hospv ch 14 h 15 15 h 45 S minaire du service universitaire de psychiatrie de l enfant et de l adolescent Pro fesseur E Ansermet
14. aire personnalis e s a Grand Rue 92 1820 Montreux T l phone 021 963 07 08 T l fax 021 963 14 07 Les cabinets m dicaux sont notre sp cialit Budget d installation Gestion comptable et fiscale D comptes salaire du personnel Assurances sociales Membre de l Union Suisse des Fiduciaires brique ge sais et n ai de comptes rendre personne Ces trois exemples sontissus de ma seule imagination Toute relation avec des personnes ou des groupements existants ne peut tre que le fruit du hasard Lorsqu un informaticien vient mo difier les programmes de mon ordina teur j aime bien conna tre ses comp tences et tre certain que ses connais sances sont mises jour r guli rement Qui n a jamais trouv son disque dur bloqu par des man uvres intempes tives Le corps humain aux m ca nismes tout aussi complexes ne m rite t il pas les m mes garanties Les exemples cit s plus haut montrent quel point persistent chez certains m decins des r flexes protectionnistes Le noyau du r seau M decin g n raliste m decin de famille m decin de premier recours gate keeper ou sp cialiste en m decine g n rale De la d finition de ce m decin de la fonction que nous lui don nerons l avenir d pendront les rela tions entre confr res Il ny a aucun doute qu il deviendra de plus en plus le centre du processus de soins Il est le noyau du r seau Ses connaissances de l i
15. arles A Favrod Coune Dr Daniel Laufer Dr Carlos Lima Dr Jean Pierre Randin Dr Patrick Olivier Rosselet Secr tariat g n ral P Repond secr taire g n ral Inka Moritz secr taire g n rale adjointe Soci t vaudoise de m decine Route d Oron 1 Case postale 76 1010 Lausanne 10 T l 021 652 99 12 CCP Lausanne 10 1500 5 Fax 021 652 32 21 E mail SecGen SVM com menet ch Fondation pour la garde m dicale S O S M decin de garde T l 021 213 77 77 24 heures sur 24 Abonnements de d viation et de t l communications au service des m decins de la r gion lausannoise Administration et r daction Case postale 76 1010 Lausanne 10 R gie des annonces Suisse romande inEDIT Publications SA Chemin des Jordils 40 Case postale 74 1025 Saint Sulpice T l 021 695 95 95 Fax 021 695 95 51 R alisation inEDIT Publications SA 13 ourrier Le r gime du d lai pr voit de lib raliser totalement l interruption de grossesse durant les douze premi res semaines et facilite aussi beaucoup l avortement jusqu en fin de maternite Loin du projet initial des Chambres f d rales qui souhaitaient une loi res pectant les int r ts de la m re et de l enfant nous constatons une absence quasi totale de protection juridique de l embryon dans la nouvelle modifica tion du Code p nal S il est l gitime de proposer une r glementation mieux adapt e la pra tique actuelle le texte pr sent
16. avant soud les forces par une politique de com munication interne renforc e ce qui a d ja t entrepris Pour y parvenir un effort suppl mentaire dans ce sens doit imp rativement tre con senti Les premiers effets commen cent se faire sentir il faudra per s v rer Au nom du comit le pr sident de la SVM informe qu une phase de mise en uvre est en cours afin d ai der les membres introduire le Tar Med et continuer de pouvoir exer cer leur m tier dans de bonnes con ditions malgr les inqui tudes de certains Le Dr Daniel Laufer rappelle que ce nouveau r glement a t accept lors de la derni re assembl e avec une confortable majorit La premi re question est de sa voir quand ce nouveau r glement sera applicable La Loi sur la sant publique a t accept e r cemment par le Grand Conseil vaudois et le r glement de la garde devrait entrer en application une fois la LSP elle m me applicable ce qui porte la mise en uvre du r glement d but septembre La loi institutionna lise donc l obligation tout d ten teur de droit de pratique du Canton participer un dispositif de garde et elle d l gue l organisation de cette garde la Soci t vaudoise de m decine Les prochains pas sont tout d abord une r flexion au niveau g n ral au niveau r gional et au ni veau des groupements Le centre du dispositif est le m decin de garde de premier recours qui
17. dical Conform ment aux dispositions transitoires les m decins d tenteurs d un ca binet m dical avant le 1 janvier 2001 ou qui acqui rent un titre de sp cia liste avant la fin de 2002 pouvaient obtenir sans autre formalit le certificat d aptitude technique pour la pratique du laboratoire m dical Entre temps le D H H Brunner a chang d avis et estime actuellement que ce certificat n est pas exigible pour les personnes qui poss dent d j un la boratoire qui pourront continuer l exploiter sans certificat dans le cadre de la garantie des droits acquis Toutefois le comit central de la FMH ainsi que le CMPR conseillent malgr tout tout le monde d acqu rir le certificat d aptitude technique qui co te finalement Fr 50 En outre pour limiter les frais d enregistrement il a t d cid de s parer l attribution du certificat d aptitude technique de la mise disposition du ma t riel d enseignement pour le cours qui pourra tre acquis s par ment Pour ceux qui le d sirent les formulaires de demande et d information sur le CAT peuvent tre obtenus aupr s du secr tariat du CMPR Effingerstrasse 40 3008 Berne t l 031 389 92 80 fax 031 382 92 80 e mail khm hin ch ou directement t l charg s depuis le site Internet de la SSMG www ssmg ch rubrique Certificat d aptitude CMV 3 2002 Dossier 6 Nous sommes tous des sp cialistes Faut il vraiment opposer le g n raliste au sp cialist
18. e N est ce pas un combat d arri re garde l heure des r seaux Le m de cin g n raliste est le noyau du r seau au point que l on verra sans doute na tre une sp cialisation en m decine g n rale Il tait une fois un m decin super sp cialiste qui flirtait avec le monde politique Il nous a dit un jour Qui peut le plus peut le moins Par l il cla mait la sup riorit du sp cialiste sur le g n raliste et pensait ainsi pouvoir du jour au lendemain se convertir sans coup f rir dans la m decine g n rale C est notre rubrique de sais tout Il tait une fois un groupement de super sp cialistes national qui pro posa des directives concernant sa sp cialit Ces derni res d finissaient avec exactitude les comp tences et la for mation n cessaire la pratique de cer tains tests Cela serait parfaitement ho norable si de telles directives venaient d un organe neutre Emises par des sp cialistes c est du protectionnisme C est notre rubrique ge suis le seul savoir et pouvoir Il taitune fois un groupement can tonal qui cette fois ci mettait des di rectives pour un vote concernant un nouveau tarif m dical C tait non non et non Parmi les motifs justifiant cet nergique refus l obligation faite tout m decin de prouver ses comp tences lors d actes d passant le strict cadre de sa formation C est en miroir de la citation pr c dente notre ru f i d u p e r Fiduci
19. e caisse maladie d put au Grand Conseil ancien conseiller aux Etats d un conseil l autre 10 h 15 10h 30 dialogue avec l assembl e 10 h 30 10 h 45 Pause caf croissants 10h45 11h 15 Professeur P Guex de m decin son patient et le tiers sociopolitique un couple trois 11h15 11h 30 dialogue avec l assembl e 11h 30 12 h Table ronde Le regard des m decins sur le monde sociopolitique 12 h 15 13 h 45 Repas au restaurant La Banane Dorigny 14 h 14h 15 Pr sentation du site Internet du GMGV 14h 15 14 h 45 Professeur B Crettaz sociologue Gen ve lt e r le so cial et politique du m decin 14h 45 15 h dialogue avec l assembl e 15 h 15 h 30 Ma tre J Michelli avocat Lausanne de m decin d fenseur du droit des patients L assurance perte de gain comme cas de figure 15h 30 15 h 45 dialogue avec l assembl e 15h 45 16h 15 Mme F Saudan Gen ve conseill re aux Etats de m decin et la politique engagez vous rengagez vous qu ils disaient 16 h 15 16 h 30 dialogue avec l assembl e 16h 30 17h Table ronde Le regard du monde sociopolitique sur les m decins 17h Fin de la journ e Collation CMV 3 2002 Communiqu s Communiqu s 20KM DE LAUSANNE Samedi 27 avril 2002 Stade Pierre de Coubertin Reflets d une journ e enso leill e o la SVM a pris l air Lausanne Aux 20 Km Arborant fi rement leur T sh
20. enseignements Gastro ent rologie H matologie coagulation Ethique au quotidien Urgences neurologiques Pneumologie Raisonnement clinique Commission de la formation continue Soci t vaudoise de m decine Route d Oron 1 CP 76 1010 Lausanne T l 021 652 99 12 fax 021 652 32 21 E mail secgen svm menet ch La Soci t vaudoise de m decine et le Groupement des m decins travaillant en diniques priv es GMCP vous pr sentent R mun ration du m decin relation financiere me decin patient hors de LAMal Cette publication fait suite la conf rence donn e l occasion de l assem bl e g n rale du GMCP du 28 juin 2001 par Me Baptiste Rusconi avocat Lausanne Gratuit pour les membres de la SVM Prix normal CHEF 15 Je d sire commander l ouvrage de Me Rusconi R mun ration du m decin relation financi re m decin patient hors LAMal O Je suis membre de la SVM O Prix normal Soci t vaudoise de m decine Secr tariat g n ral Route d Oron 1 CP 76 1010 Lausanne Fax 021 652 32 21 E mail secgen svm menet ch A renvoyer la 12 COURRIER Erea Soci t vaudoise de m decine Comit de la SVM Dr Charles A Favrod Coune pr sident Dr Charles Alexandre Steinh uslin vice pr sident Dress Jacqueline Caillat Dr Jean Philippe Grob secr taire Dr Daniel Laufer Professeur Alain P coud Dr Bertrand Vuilleumier Comit de r daction du CMV Dresse Jacqueline Caillat Dr Ch
21. erver d ores et d j votre apr s midi et votre d but de soir e Le programme vous sera propos dans un prochain CMV CMV 3 2002 D l gu s hez les d l gu s Reflets de l assembl e des d l gu s du printemps 2002 Elle s est tenue le 21 mars dernier au Centre de congr s de La Longe raie Morges sous la pr sidence du Dr Jean Pierre Pavillon Le rapport du comit a tout d abord abord le th me des con ventions La Convention ambulatoire a t ratifi e par les assureurs vaudois A titre formel elle doit encore re cevoir l approbation du gouver nement vaudois La Convention d h bergement 2002 a galement t approuv e par les assureurs Une proc dure identique la convention ambu latoire doit tre appliqu e Dans le secteur hospitalier et semi hospitalier la Convention vaudoise d hospitalisation a main tenant abouti ainsi que la Conven tion d hospitalisation dans le do maine de la LAA La proc dure est en cours pour la Convention d hos pitalisation d un jour sign e de puis lors En pr ambule il est soulign que le travail de la communication n est pas toujours visible Il ne s agit pas de faire des coups d clat mais de mettre en place une structure du rable etcoh rente En conclusion on se rend compte que la SVM est une grande association avec beaucoup de tendances concilier Une com munication externe sera difficile r aliser sans avoir aupar
22. es sion de tous c t s par le milieu poli tique par les m dias et par les pa tients Un regard nouveau se pose sur la m decine qui change la m decine elle m me y compris les relations l int rieur du corps m dical La mise en place d une formation continue obli gatoire l tablissement des recom mandations pour la pratique sont deux 1 Rapport du Conseil municipal de la ville de Lausanne 1892 Extraits fournis par MF Vouilloz Burnier 2 Kiefer B Retour sur l insatisfaction m di cale M d Hyg 2002 60 776 exemples de cette nouvelle dynamique qui tablit progressivement un nou veau mode de collaboration entre la m decine acad mique et les praticiens install s d ignor s les praticiens de viennent peu peu courtis s par la m decine acad mique Ainsi bon gr mal gr les praticiens entrent dans les pro grammes de formation universitaire participent aux examens de m decine organisent conjointement avec le mi lieu acad mique la formation postgra du e et finalement contribuent au fonctionnement de l h pital comme c est le cas aux urgences de l H pital cantonal de Gen ve Personnellement je me r jouis de ce nouveau mode de relation entre g n ralistes et sp cialistes universitaires A cheval entre ces deux mondes je n y vois que des b n fices pour les uns et pour les autres En effet la m decine acad mique ne peut que s enrichir des questionnements de la m decine pra
23. es Hospices civils de Lyon H pital etinnovation technologique le mod le de l ima gerie France Lyon Bron Ecole du service de sant des arm es Renseignements et ins criptions Hospices civils de Lyon direction de la communication t l 00 33 4 72 40 70 27 fax 00 33 4 72 40 72 30 e mail martine lariviere chu lyon fr JEUDI 20 JUIN 2002 12 h 15 13 h 45 Colloque commun de l UMSA et du SUPEA M B Pierrehumbert Processus d attachement et conduites de d pendance l adolescence Lausanne Beaumont 48 salle de colloque 1er tage Renseignements t l 021 314 37 60 fax 021 314 37 69 e mail umsa chuv hospvd ch 12 h 15 13 h 45 S minaire de th orie de la connaissance m dicale des dessous du savoir le pathologique et le normal les fronti res de l invalidit avec un praticien Lausanne ch des Falaises 1 Biblioth que de l Institut univer sitaire d histoire de la m decine 12 h 15 14 h S minaire de th orie de la connais sance m dicale ous feriez mieux de vous consid rer comme malade les rapports de la sant et de la maladie IUHMSP Lausanne ch des Falaises 1 t l 021 314 70 50 12 h 30 13 h 30 Colloque lausannois d immuno allergologie Professeur M Seitz Novel aspects on molecular and cellular effects of metho trexate and other DMARD S Lausanne CHUV auditoire Yersin BH 08 Renseignements t l 021 31407 90 fax 021 314 07 91 e mail pierrette braun chuv ho
24. et Dr C Nix raumatisme p rinatal et m moire Lausanne av P Decker b timent Nestl niveau 5 Renseignements et inscriptions Mme F Evrard t l 021 314 19 60 e mail francoise evrard inst hospvd ch 14 h 17 h Colloque Vaud Gen ve de l UMSA et du SUPEA Professeur M R Moro Sant des adolescents migrants approches transcultu relles Ch teau de Rolle Renseignements t l 021 314 37 60 fax 021 314 37 69 e mail umsa chuv hospvd ch 20 h 22 h Conf rence de la formation continue du pharmacien d officine D Ch Frigerio Al lergies et traitements Dorigny Renseigne ments etinscriptions Service de formation conti nue Ch teau de Dorigny t l 021 692 22 90 fax 021 692 22 95 e mail formcont unil ch site In ternet http www unil ch sfc JEUDI 27 AU SAMEDI 29 JUIN 2002 Premi re Universit d t de l Afforthecc Troubles anxieux troubles d pressifs et soma tisations Lausanne Renseignements et ins criptions Afforthecc t l 00 33 4 50 64 51 75 fax 00 33 4 50 64 58 46 e mail afforthecc aol com site Internet www afforthecc com JEUDI 4 JUILLET 2002 12 h 30 13 h 30 Colloque lausannois d immuno allergologie D C Deruaz Rhinite allergique mise au pointsurles m canismes inflammatoires et sur les moyens th rapeutiques Lausanne CHUV auditoire Yersin Renseignements t l 021 314 07 90 fax 021 31407 91 e mail pierrette braun chuv hospvd ch 13 h S minaire de
25. formation continue de mala dies infectieuses Professeur J Tschopp 4PS and activation of pro inflammatory caspases Lausanne CHUV auditoire Tissot Renseigne ments t l 021 314 16 43 fax 021 314 02 98 14 h 15 15 h 45 S minaire du service universi taire de psychiatrie de l enfant et de l adolescent Dr O Bonard d analyse finie et l analyse in finie Lausanne consultation du Bugnon rue du Bugnon 23A Renseignements et inscrip tions Mne F Evrard t l 021 314 19 60 e mail francoise evrard inst hospvd ch VENDREDI 5 JUILLET 2002 14 h S minaire de l Institut de pharmacologie et toxicologie Dr D Tang Molecular epidemio logy in children Lausanne rue du Bugnon 27 entr e C3 1 tage salle de conf rences Renseignements http www unil ch ipharm seminaire html Prochain d lai de r daction pour annoncer les manifestations ayant lieu entre le 22 juillet et le 6 septembre 2002 nous vous prions de bien vouloir nous faire parvenir vos textes avant le 17 juin 2002
26. ire Et si l on s en r jouissait En 1892 en r ponse une de mande de subside pourle financement des m decins de la Policlinique m di cale le Conseil municipal de la ville de Lausanne d cida que le montant al lou devait servir r tribuer les m decins du matin pour lesconsultations g n rales qui sont p nibles Les m de cins des consultations sp ciales de l apr s midi ne touchent aucune r tribution ces services sp ciaux sont tr sutilesaux maladesmaisnettement moins astreignants pour les m decins ils exigent moins de temps la presta tion est moins on reuse et elles offrent un int r t scientifique consid rable portant en elles m mes une certaine r compense Voil une repr sentation pour le moins originale du r le respectif des m decins g n ralistes et sp cialistes chacun appr ciera Depuis lors cette vision a bien chang L explosion scientifique du XXe siecle a progressi vement creus un foss entre les sp cialistes universitaires confin s dans leurs ch teaux acad miques et les praticiens install s isol s dans leur ca binet m dical Avec la distance sont n s l arrogance des uns et un certain m pris des autres en somme une in compr hension grandissante et l ab sence de communication Le pr sent Apr s l envol e biom dicale voici venu le temps de l valuation critique du retour aux valeurs essentielles Le monde de la sant est mis sous pr
27. irt avec l endroit le sigle de la SVM et l envers le logo Courir pour pr venir plus de 70 membres de la SVMontpar ticip la 21 dition des 20 Km de Lausanne le samedi 27 avril 2002 Tant la course pour le plaisir que les 10 km ou la cat gorie reine les 20 kil ont permis nos confr res de se r unir pour un th me la pr vention des ma ladies cardio vasculaires et un plaisir communs la course pied Parici un sourire et un regard complice entre confr res par l une tape amicale sur l paule pour encourager avantou pen dant l effort La famille tait aussi de la partie plus anonyme sans T shirt les 10 enfants franchissant fi rement la ligne d arriv e des 4 km pourle plaisir gt avec leur parent m decin ou un confr re ac compagn de son conjoint complice d une activit commune loin des pr occupations du cabinet Merci tous ceux qui ont particip et rendez vous plus nombreux encore le 26 avril 2003 pour la prochaine di tion L essentiel c est de participer Dr M Potin Samedi 27 avril 2002 Stade Pierre de Coubertin CMV 3 2002 Communiqu s CMV 3 2002 Communiqu s Les Jeudis de la Vaudoise Programme de formation continue Septembre 2002 juin 2003 26 septembre 2002 31 octobre 2002 La garde m dicale Anesth sie nouveautes et bilan pre ope ratoire 28 novembre 2002 30 janvier 2003 20 f vrier 2003 27 mars 2003 1er mai 2003 22 mai 2003 R
28. itutionnelle et se plaignent d tre d bord s Par contre si c est l quipe SMUR Ali Baba qui d cide Nous ressentons les m decins as sistants comme tant souvent coin c sventre la hi rarchie et les mots d ordre des patrons inclus le conseiller d Etat Charles Louis Ro chat ou le chef de la Sant publique Marc Diserens d une part etles n cessit s du patient et du m decin g n raliste d autre part Le fax du vendredi soir qui annonce que M X viendra lundi votre ca binet pour contr ler son T P le m decin g n raliste n a qu obtem p rer m me s il ne conna t pas les doses de Sintrom d cid es l h0 pital ni le profil T P qui en d coule darce qu on n a pas eu le temps de remplir la carte N y a til pas quelque analogie avec le type de re lations patron assistant De plus en plus fr quemment les conditions de sortie h tives ou h t es de l h pital public ne prennent plus ou peu en compte l environ nement familial domiciliaire ou professionnel du patient En est il de m me dans les cliniques priv es Les documents de transmission sont souvent incomplets mal formul s voire illisibles fax s parfois apr s l arriv e du patient au cabinet du g n raliste Doit on en faire un oreiller de paresse justifiant les d lais de lettres de sortie presque osthumes Y a t il engorgement des secr tariats m dicaux hospita liers Ou alors une inertie due
29. la hi rarchie et pourtant Sp cialistes install s en priv C est un avantage de pouvoir les choisiren fonction de leur attitude m dicale face au patient et au m decin g n raliste et selon leurs comp tences dont la itration FMH n est pas forc ment une garantie de qualit au sens de plus en plus courant de ce terme creux Bien choisi le sp cialiste nous adresse un rapport dont la qualit constitue un excellent outil de for mation continue propos est ce valid par des oints dans notre carnet du lait Il est souvent difficile de wendre le cas lorsqu il est moyennement ur gent par exemple quand le patient est l arr t de travail donc charge financi re de la soci t via l APG Assembl e g n rale annuelle du Groupement des m decins tra vaillant en cliniques priv es GMCP Jeudi 13 juin 2002 16 heures H tel Royal Savoy Lausanne Rapport annuel Elections au comit du GMCP Conf rence de M Luc Schenker pr sident du groupe AP DRG Suisse AP DRG en cliniques priv es quelles cons quences Renseignements Secr tariat g n ral de la SVM T l 021 652 99 12 Fax 021 652 32 21 E mail secgen sym mecnet ch ou D Bernard Burri Lausanne pr sident T l 021 321 44 34 Fax 021 311 75 77 E mail bernard burri bluewin ch CMV 3 2002 Dossier De plus il existe un probl me de disponibilit du sp cialiste et de ses horaires de travail bien diff
30. n Dress Germaine Duruz Dress Martine Fankhauser Dress Huguette Lagnaz Dr Armand Mova ffaghy Dr Juan Olivieri Dr Jean Perdrix Dr Salim Saber Dr Alain Sauty Dress Verena Schweizer Rohner Dresse Marie H l ne Terrien Dr Francesco Viani Dr Michel Zadory Dresse Anne Sylvie Zweifel Une tr s cordiale bienvenue leur fut d ores et d j souhait e en at tendant leur accueil officiel l occa sion de la journ e SVM du 10 oc tobre 2002 La s ance est suivie d un ap ritif et Robapharm est remerci de son soutien Le secr tariat g n ral CMV 3 2002 D l gu s Journ e de juin du GMGV M decine et politique je t aime moi non plus Jeudi 27 juin 2002 de 8 h 30 17h La Grange de Dorigny Mod ratrice des d bats Mme Martina Chyba journaliste En pr sence de M Ch L Rochat conseiller aux Etats chef du DSAS Programme D s 8h Accueil inscriptions 8 h 30 D but de la journ e Pr sentation du programme et des orateurs Remerciements 8 h 40 Allocution de M Ch L Rochat conseiller d Etat chef du DSAS 9h 9h 30 D Jean Martin m decin cantonal vaudois d exp rience d un m decin cantonal un quart de si cle l interface entre les pouvoirs publics le monde m dical et les usa gers du syst me de sant 9h30 9h45 dialogue avec l assembl e 9h45 10h15 Dr Eric Rochat m decin g n raliste Saint L gier M decin g n raliste m decin conseil d une grand
31. ndividu malade de son environ nement social et psychique font de lui un partenaire incontournable Cette sp cialisation se verra de plus en plus reconnue avec une formation de plus en plus pointue Le Groupement des p diatres suisses qui a form une branche de p diatrie ambulatoire d montre l volution inexorable d un m decin g n raliste vers un m decin sp cialiste en m decine g n rale dont les connaissances sont sp ci fiques L appel au confr re sp cialiste d pend des comp tences de chaque praticien d abord du dialogue entre malade et m decin ensuite Un r seau d exceptionnelle qualit Le m decin sp cialiste est pour sa part tenu de rester toujours au plus haut niveau Notre densit m dicale nous permet ainsi d avoir disposi tion partout en Suisse un confr re appropri dans un d lai tr s court Cette rapidit dans l intervention est un l ment indiscutable de qualit de soins et de confort Ce facteur est trop souvent n glig par ceux qui nous re prochent la fois d tre trop nombreux et trop chers A mes yeux une consul tation pr par e et demand e par le m decin de premier recours sera tou jours plus efficace que celle obtenue dans le cadre de ce que l on appelle le 4ourisme m dical la multiplication des avis tant contre productive A nous d tre vigilants Les exemples cit s plus haut pour raient donner de notre corporation une image n gative
32. ons avec le temps et que du temps il en faut plus pour gu rir d une n vrose que d une angine Par ailleurs c est quand ils ne sa vent plus quoi faire qu ils nous adressent les patients mais sinon ils sont bien contents de s en oc cuper car ils constituent quand m me le gros de leur client le En d autres termes apr s nous avoir enlev le pain de la bouche ils vou draient qu on l ouvre toute grande quand ils le demandent La question qui reste ouverte est de savoir s il existe des th rapies pour ce genre de probl mes Il semblerait que jusqu ici le couple soit rest bloqu dans une impasse relationnelle et qu il ait des choix faire rester dans le statu quo ce qui est en apparence confor table et vite de se remettre en ques tion ou oser prendre le risque d al ler la rencontre de ceux d en face Il pourrait J avoir cependant une issue comme dans la constitution d un couple il faudrait d abord choisir son partenaire lui faire un brin de cour et passer ensuite aux choses s rieuses comme le contrat de mariage Somati ciens et psychiatres apr s s tre mu tuellement choisis pourraient d finir les conditions de leur collaboration sous forme d un document convenant aux deux parties Toutes les id es et suggestions sont les bienvenues Drese Jacqueline Caillat Nyon A noter dans votre agenda La prochaine Journee de la SVM est fix e au jeudi 10 octobre 2002 Merci de r s
33. personnelle et familiale changement professionnel achat d un logement Les nombreux choix pris au fil des ans ont des incidences en mati re financi re Le conseil patrimonial d velopp par le BCV Private Banking permet d accompagner chaque client dans ses d marches personnelles Les d cisions prises aux grandes tapes de sa vie influencent sa situa tion financi re et celle de ses proches Dans ce contexte une planification ju dicieuse permet de garantir la couver ture des besoins de mani re optimale tout moment et en toutes circons tances Trois principaux stades de l volution du patrimoine sont prendre en compte La constitution du patrimoine Les d cisions prises au d but de la vie active exerceront une incidence consid rable sur la situation finan ci re future En fonction du cadre familial du taux d activit du choix d un logement les besoins varie ront D autres aspects par exemple un changement d activit profes sionnelle la volont de se mettre son compte ou encore le finance ment de la formation des enfants demandent un examen attentif La planification de la retraite La r duction de l activit profession nelle puis la retraite sont des tapes qu il convient d anticiper Pour les ind pendants les questions de pr voyance sont tout particuli rement complexes et requi rent souvent l aide d un sp cialiste Une planifi cation pr coce largit l ventail des
34. r des positions de sp cialiste A quel prix dans quel espace temps et selon des crit res d cid s par qui S il ne le fait pas il devra se contenter des prestations g n rales que les sp cialistes pourront aussi uti liser librement En esp rant tre caricatural je peux imaginer l tudiant finaliste renoncer d autant plus facilement la carri re de g n raliste Celle d une sp cialit risque d tre bien plus confortable dans plusieurs sens du terme Tout cela va bien s r en direction oppos e aux discours politiques et conomiques dont nous sommes les sages auditeurs n est ce pas cher Monsieur le Conseiller d Etat Rochat cher Monsieur le M decin cantonal et cher Dr Brunner J en viens parfois me demander si nous gardons notre on sens ou si nous avons oubli de prendre nos neuroleptiques Il y a un grand probl me de reconnaissance etje ne parlerai pas ici de la qua lit des relations avec les sp cialistes travaillant au sein de l AT C est encore une autre histoire Dr Pierre Kaiser Moudon CMV 3 2002 Dossier G n ralistes sp cialistes universitaires Une relation en mutation Les relations entre m decins install s et sp cialistes universi taires ont pass par tous les tats d me Aujourd hui le monde de la sant est mis sous une telle pression que les relations l in t rieur du corps m dical voluent touchant m me l h pital uni versita
35. rtain Sigmund que je ne me risquerais pas qua lifier de p re juifvest venu se m ler de l histoire de ce jeune couple et jeter le doute dans les esprits en disant que les esprits justement n taient pas vraiment purs ceux des m decins inclus Voil qui nous ramenait au rang de simples n vros s comme tout le monde si jose dire Pire on sous entendait qu il pouvait y avoir des sentiments voire de l amour dans une relation qui jusque l tait bien d finie ca dr e avec d un c t un docteur qui savait et de l autre un patient qui ne savait pas 3 Y at il eu des difficult s dans la r partition des t ches dans le couple Il semble que de nombreux re proches soient faits de part et d autre Du c t des somaticiens on entend que les psychiatres sont des gens que l on ne peut atteindre qu entre moins dix et l heure qui parlent un jargon qu eux seuls comprennent et encore qui refu sent syst matiquement de partici per une quelconque garde etdont on se demande s ils sont vraiment m decins Quand on a besoin d eux en urgence impossible d en d nicher un qui r ponde pr sent avant un d lai de six mois quand tout va bien croire que chez eux l urgence n existe pas De l autre c t les reproches sont que les autres ne comprennent absolu ment pas comment les psychiatres travaillent que les somaticiens veulent toujours tout tout de suite sans tenir compte du fait que nous travaill
36. spvd ch 15 h 17 h 30 Colloque de formation continue deladivision decardiologie D T L scher rai tement sp cifique de la dysfonction endoth liale une r alit Lausanne CHUV Rensei gnements Dr A Jaussi t l 024 425 52 44 fax 024 425 56 72 17 h 30 19 h Conf rence de la Clinique La M tairie Dr B Hochstrasser 4a d pression m nopausique traitement antid presseur ou hormonoth rapie Nyon Clinique La M tai rie Renseignements t l 022 363 28 12 fax 022 363 20 01 e mail h martelet lametairie ch 19 h Conf rence d bat du GRAAP Mme M Cornuz 4a peur du travail R insertion profes sionnelle Lausanne Borde 23 27 GRAAP Renseignements t l 021 647 16 00 LUNDI 24 JUIN 2002 14 h 15 h Colloque du m tabolisme phospho calcique Dese I Pache et D A Sauty Mu coviscidose et os Lausanne CHUV auditoire 3 Renseignements t l 021 31408 70 fax 021 314 08 71 18 h Colloque du DSCA Dr M Wintermark de polytraumatis approche radiodiagnostique Lausanne CHUV auditoire Tissot Renseigne ments Mme M Arslan t l 021 314 24 03 fax 021 314 23 76 MERCREDI 26 JUIN 2002 17 h 30 Colloque romand de radiologie Dr S Diederich dung cancer screening Lausanne CHUV niveau 08 auditoire 2 Renseignements t l 021 314 45 56 fax 021 314 45 54 e mail pierre schnyder chuv hospvd ch 17 h 30 18 h 30 Conf rence postgradu e du ser vice d anesth siologie Dr
37. tique qui lui rappelle parfois la finalit des choses De leur c t les praticiens tirentun b n fice ind niable des com p tences et des d veloppements pro pos s par les sp cialistes surtout lorsqu il s agit de prendre en charge des cas complexes L am lioration des relations entre le monde acad mique et les m decins praticiens est n ces saire et doit poursuivre sa mutation Un nouvel esprit de partenariat devrait S appliquer tous les domaines qu il s agisse des soins de l enseignement ou de la recherche domaine dans le quel les praticiens n ont que rarement un r le initiateur Une telle volution aboutira certainement une meilleure compr hension et au respect du tra vail de chacun conditions sine qua non pour que se d veloppent des r seaux de soins efficaces englobant l ensemble des partenaires Dr Michel Burnier Policlinique m dicale universitaire et Division d hypertension et de m decine vasculaire Le GMGV communique certificat d aptitude technique pour la pratique du laboratoire au cabinet m dical CATLP Dans le GMV Info de septembre 2001 et conform ment aux directives de la Commission suisse pour l assurance de qualit au laboratoire m dical nous vous annoncions qu il serait d sormais n cessaire d tre au b n fice d un certificat d aptitude technique CAT d livr par la commission du Coll ge de m decine de premier recours CMPR pour exploiter un laboratoire au cabinet m
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