Suite sans fin + Pourquoi s`en faire + Clin d`oeil + La Fellah
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1. Chro niques du ne bo utique montr alaise CLEL TETE LEE ET EEE IT TTO Y SUITE SANS FIN X En juin 2OI j ai mis en place le site web de Collections 24 l onglet BLOGUE javais int gr une serie de chroniques qui d voilaient certains aspects de la vie de la boutique Vos r actions positives me laissent croire que leur leciti a fait na tre autant d int r t que de plaisir ressenti les crire offre donc un second ensemble de textes SUITE SANS PIN Bonne lecture Pour ceux et celles qui lisent l humeur je propose des voies multiples dont voici lode d emploi NS Y Les coups de T Les v nements cocasses cb Les faits ambiqus Les mauvaises cartes CLLLELT LEE ET TTO POURQUOI SEN FAIRE Tournier rappelle cette anecdote Quand on laissait entendre Ray Charles ae pour un musicien le fait d tre aveugle devait Que affreux il r pondait que sil avait t Noir en pl s cela aurait t bien pire Quand on me dit que d tre de p re palestinien a d me causer beaucoup d ennuis je r ponds E Imaginez si en plus ma mere avait t juive STITT gt o a P N PAEA a PA EE A PEE J PARE g 5 y 1e 7 TC gt 5 7 PA OAN D g6 T 7 MC D n s A r o En g 2 TS Ca TS d A P 4 D gt JS G A NY MY XY A N XY AAY2. XY NY A XY R XY P Je SIN ed NE P JS NS Pd VS D VE S JS JS ed Ne JS P d Vs CP AUS NV N N N N N N N A a dt NL A I AN AN N Ne AY 0 KI J A J XY S JNa AEAN N NE b KI A S u Ses N N d N R f d NT E 4 amp Le Le KI g y Q AOS MS C Jai le regard un peu flou de celle q qui cherche une personne une rue une voie L h sitation ne Ru fl che qui N ure qu Pasan ou deux puis mon regard devient une t te cherc a rate jamais la cible Ce rMhme double de la vision s inscrit profond ment dans la tra jectoire de ma vie A AR Y A Y AN AN AR AR AN A KY Nes CAN Ses CAN CA CAN LAN LE Ve CAN La Vs o Ys v Nes CAN Da N N Jeune jayais le regard foudroyant de celle qui poss de une vision parfaite Je l ai perdu d s mon arriv e au Qu bec Pourquoi Parce que jai t s par e de ma soeur et qu lil a fallu r apprendre voir Odette tait mon oeil gauche Arriv e ici je ne voyais que de l oeil droit Beyrouth Q on He appelait les ee du nous poss dions une vision super nn Oi parfois nous brouillions les cartde nous ne perdions jamais la boussole Nous bravions ensemble les chauffards un tions pr h ro nes des w affrontant les voitures indisciplin es les camions fous et les chauffeurs de taxi hyst rion rues Nous tions les plus fortes des fonceuses des battantes ke des t m raires Nous ne reculions devant aucun d fi
3. agricoles q que je voyais monter vers leurs 1 maisons juch es dans un recoin pentu De loin cils nous jetaient un regard furtif bref sec et dense Ils db des chemins qui ser Rentaient depui des amp a e la rs CS ils sotaient ne You ours de eun poches i papiers j aunis comme s ils brandissaient des droits de propri t pour nou leur pr sence Il nous arrivait T nous arr ter ils surgissaient devant ee auto Mon p re Ba parlait la t te sortie de fKporti te la main agripp e d volant Puis Nacc l hait et je voyais par l vitre arri re leurs cc immobiles leurs conp statufi s Des nuits ee leurs regards sombres et PE surgissaient de mes r ves se noyaient dans le mien et transformaient ma vision en kal idos cope Leurs RRTPS si durs et si fr les dans ces v tements lourds comme de la pierre leurs corps t tus Toe leurs b tes de ses io montagne aires a le hat ou ne regards d une telle intensit qu ils m effrayaient Leurs eux portaient donnaient l impression JO de ts 1 lointain de couvrir l Am rique Je LE disais c de un RU moi jirais dans ce continent G NS A R CX a capable de survolter ainsi les regards 2N LA da ene io mia me me LX plus je Ame de nes filhs CL ce Yegard dense efbut w rego de nand able Je ENT le de s r de sa route Elle a travers mes d sirs mes voyages mes errances Indiff rente m comme Da o a P ban r ne lui tait de rien Un lieu parmi d autres un o v
4. gravir les marches donnant acces unea citerne plonger t t te premi re du haut d une corniche dans la M diterran e zigzaguer en pleine zizanie urbaine R K R R R SY R SN SN SY N Le N N N N N ne N N Montr al loin l une de l autre jai d tout reprendre ZAO L apprentissage fut long Ay nocturne de rep rais toutes les A bichet tout ce qui pouvait me faire tr bucher ou tituber j p retenais les angles morts les points ae qe et le mau vais oeil La nuit j je mi tout jare ON nais par coeur les trac s les pla e me percevais _ une aveugle Je me for ais tout voir durn regard Je d v tais dx oeil space Jes attitudes les angles Longtemps j ai refus d en parler Je subissais limpatience des coll gues de travail C est l Tu ne vois pas pag N le temps jappris doarea meneo quim E je devins table aima la k lieux dans une P Po a me d placer a droite sur les trottoirs et les ES cyclables Jouvrais enfin l oeil et le i Le este dextre de regard droit j jassumais l espace et ma relation Toutre z Ua nA je A solai Ve ek EA blessu sans a l oeil Ne lui A foi a ce ea N lus 1 co laide que pour le partager En lui parlant j je compris tout ce qu im a fallu d effort et de volont p pour ne g mettre ma vie l ombre cause de E probl me pour esquisser EA o A simples et pr cis Parfois il me pla t penser que c est pour cette raison que j jai touj OUTS eu le g
5. ers d autres espaces Elle tait toutefois dd mais son attirance allait sa mere non son travail Elle pouvait Aire tr s pr s d moi presque otch mais Taat Yous les je lui offrais tait r parbative tout ce P de pr s ou de loin Pevar la SR v tements gu X E mode Une fe loh Dee aux a de toutes sortes projetait dette imdge d dsilibre de solidit de Arce Elle sest liss atter pare mong e de lN ne chats chevaux cuyere n finance de la gestion en y injectant son go t de la r ussite de la comp tition et cette farouche e volont de tracer seule son Ta n bureau sans fen tres pour favoriser la E R T tudes universitaires en gestion ar en droit DOS sa ma trise des dossiers une a ASleure te et une gestuelle a pour inscrire la dhane D oesie une saine respira gt tion Adolescente elle se promenait avec une souris et afti hait fi rement au bas des reins un tatouage en arabe signifiant La force Javais alors tent de lui faire valoir que sur les plages am ricaines un tel signe pouvait disconvenir Elle m avait alor affirm De quoi hi parles Ne J ai d autres pays explorer Jaime autant cette fellah que ma propre vie e pe AN a N X N i ii N m N N D s son plus j jupe ge elle ma ae la boutique les clientes la connaissaient bien les employ es l aimaient DoniblN dure au travail elle n tait pas mena ante la boutique ne l int ressait gas Toujours pr te m
6. ge a Re bS A Va a I Re RS S RS a S NS RS RS Se LS NS oN KR O O oN SN SN SN AL SN K N N NS e N o NN Q Nr A ae Fe Nr L Ve Aay Q y Re AYY R ASR NR RI LI LI RO QU DS RI S RAD LI LI RS AN SY AR XY A AA y XY XY KY XY C f y 8 H 9 NY C gy ANS LEP AS CE AS ANS ANS PIN ANS PINS CAS LAN HAN HAN IN V o N 2 Wa N A LS NS R L Ni J RS R S Lo RIS RD RIT DS RIO RS A Ra A AR A A AY ANY ANY AY AY AY XY S P JS CPAS IS SIN JT P JS INe IN JS PJN PJ No NUS N L N en 17 r T g A1 7 Te te gt s 2 5 y A Me w 6 C e n 7 T2 g 7 a JA 1 2 A2 D g ua T2 u sA fi s CXY Y A Q NY ae NY es JU IS INe SIT PACS Ss JS JIN INe PINS D JS PIS N N N N N re XY At Yj N SX N fR fR I AO A GY LP DES Pd NE N N N Ayy Ne y ANo y NL 0 5 5 Ny s LS JO 39 RS y A QS TAS X XY AA Ay PJN IR INe JS INe P JV JS P JNa PJN N N k N Ne VV g NV e Ve N R Ne NV Le aa NL I KI ve LI I I RN NI No NY L XY P JS Mon p re me surnommait la fellah en be la paysanne Il av ait bien raison m me si l appellation me choquait Il avait d cel mansecr te attirance pour ces petits propri taires
7. n dia e don dune partie d cadeaux mai in et stimulant YX ii a vail sere conge N SJ Lat de tra L univers de la boutique ne vibrait pas s s jours d Ve clim Ne N elle as e affection Mal aux N La ments ance x fe ete a e son rique aux v KI on cat g de intact a RW s unn a gar RS A nt im rir L Le KW A offrir igue ais lui ve s refuse la rel s yst mati je vou 4 A a t ON oux et aux bij fellah assure O hns s G P To s Me 27 Ca es pS D 29 JS g D gt LA D LA D D 27 DA e 27 27 D LA 227 nn 2 US D LA gt 2 C e27 C3 e27 D DA Les gt 2 D DA DA 29 ca 27 27 D 2 PA EE 27 22 7 e27 C3 Ea Ea Me D IS D LA G 12 ra 227 D JS D gt JS gt P D D gt JS es DA JS S e27 2 gt o JS Les ZA ea 1e W X R Te
8. pauler m encourager elle tait fi re de ma r ussite elle aeo en et le s ner tous er ed a paa N rma dai le eE N financier elle r servait toujours trois o quatre jours de cong malgr ses tudes pour tre RII KI LR AI KI KI KI KI KI amp eu AO KI KI PSE DG NS rss at NS AS NS MAS N e w gt gt a No Ay m Y a Ch Y at ON gt ar a Y E s A E E s a R E a A N H N N N N di ON N X N KDA Ta 2 Ce e n D A Ce Do PA 2 D JS 2 27 y he e effort cette activit entrait rieurs ister cet bris ext ue drain de r s ee De es US utenu Elle s occupait des portants et des tables SO les a nse ner LI aces et ca elle savait l imme jeunes effic ommerciales lt de trouver des rs des foires co a difficu sente lo PX mmMAIC ph de et l y han y ysique so ayer les N g J t Le geste NYa Ve aait uny SSL artait PE A ait les tensions sayage et re e elle apais bines des LR Ne iscret ion a u aux C se d une d pagnait jusq les accom pI K e sence chaleureu 1 clientes la pre a Ta PR y enereux C Eg n e e Q et mon S heures libre f a Y nnait se reconnaissance a LE N TE NA i jours forc mc R mals AT Sy 5 a japason e sa jeunesse a t NE DF e N a so
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