7. Conclusion - Faculté de Médecine
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1. 2007 Plan cantonal genevois de promotion de la sant et de pr vention 2007 2010 rapport strat gique Gen ve D partement de l conomie et de la sant SFWISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2004 Ecole et cannabis R gles mesures et d tection pr coce Lausanne SFA ISPA et le soutien de l OFSP Documents non publi s Viredaz Y Sahinpasic L amp Niculescu V 2009 La toxicod pendance Gen ve Facult de M decine Ferrero J D 2009 Pharmacologie Gen ve Facult de M decine Texte l gislatif Loi sur les stup fiants LStup Loi f d rale du 3 octobre 1951 sur les stup fiants et les substances psychotropes RS 812 121 1 juin 1952 Documents lectroniques Sites internet _ ADOSEN Action et Documentation Sant pour l Education Nationale 2010 La toxicomanie Pr vention Page web Acc s http www prevention ch latoxicomanie htm 56 Clinique Belmont 2009 Traitement des addictions et des troubles alimentaires Clinique Belmont Traitement des addictions et des troubles alimentaires Page web Acc s http www cliniquebelmont ch HUG H pitaux Universitaires de Gen ve 2010 H ro ne m dicale Gen ve Service d addictologie Page web Acc s http addictologie hug ge ch _ library pdf MoldavieMircea pdf KotZot Mauritius Newspaper 2010 Un nouveau mouvement r clame que la consommation du gandia soit l2. et r pondre nos questions Enfin nous adressons nos remerciements aux personnes suivantes pour l int r t qu elles ont port notre sujet et le temps qu elles nous ont consacr Antenne Drogue Famille 8 rue du Vieux Billard CH 1205 Gen ve T l 41 0 22 320 77 24 http www infoset ch inst adf Dani le Geisendorf Pr sidente info agpcd ch Argos 68 route de Troinex CH 1256 Troinex T l 41 0 22 809 62 62 Fax 41 0 22 809 62 52 http www argos ch Herv Durgnat Directeur direction argos ch Brasserie Yucca 25 rue des Tanneurs CH 2502 Bienne T l 41 0 32 322 23 13 Clinique Belmont 26 route de Ch ne CH 1207 Gen ve T l 41 0 22 735 78 11 Fax 41 0 22 735 10 55 http www cliniquebelmont ch 50 Decrind G rard Th rapie syst mique sp cialiste des addictions th rapie cognitivo comportementale traitement NADA _Lelerre Sandie Di t ticienne sandie lelerre gmail com Nicole Sophie Directrice snicole cliniquebelmont ch Tihon lvanyi Corinne Th rapie cognitivo comportementale travail sur les r ves troubles de insomnie EMDR sp cialiste des addictions traitement NADA D partement f d ral de justice et police DFJP Office f d ral de la police fedpol Police judiciaire f d rale Commissariat V Traite d tres humains trafic de migrants CH 3003 Berne T l 41 0 31 324 74 26 Fax 41 0 31 322 53 04 www fedpol admin ch
3. galis e Maurice Mauritius News Portal KotZot Page web Acc s http www kotzot com news un nouveau mouvement reclame que la consommation du gandia soit legalisee a maurice html Marchi Florian 2009 Phenix Florian Marchi Page web Acc s http florianmarchi blogspot com 2009 01 phenix html Mecanopolis 2009 2010 H ro ne Mecanopolis Page web Acc s http www mecanopolis org tag heroine Minerva Revue d Evidence Based Medicine 2008 L usage de cannabis cause t il psychose et d pression Minerva Revue d Evidence Based Medicine Page web Acc s http www minerva ebm be fr author_articles asp author amp id 1548 OMS Organisation Mondiale de la Sant The ICD 10 Classification of Mental and Behavioural Disorders Diagnostic criteria for research Organisation Mondiale de la Sant Acc s http www who int substance_abuse terminology ICD10ResearchDiagnosis p df OFSP Office F d ral de la Sant Publique 2010 Les bases d une th rapie de la d pendance visant l abstinence Office f d ral de la sant publique Sant en Suisse Page web Acc s http www bag admin ch themen drogen 00042 00629 00799 index html lang fr OFSP Office F d ral de la Sant Publique 2010 Traitement de substitution en cas d d h ro nomanie Office f d ral de la sant publique Sant en Suisse Page web Acc s http www bag admin ch themen drogen 00042 00629 00798 01191 ind
4. seau Contact Antenne r gionale Bienne 15 ruelle du Haut Case postale CH 2501 Bienne 52 T l 41 0 32 321 75 00 info biel bienne contactmail ch Philippe Hernand s Ethno psychologue hilippe hernandes contactmail ch Rue C ur aum nerie de rue 23 rue des Tanneurs CH 2502 Bienne T l 41 0 32 322 22 78 Christophe Reichenbach Pasteur de rue aumonerie rue a coeur ch Service d addictologie HUG Daniele Zullino M decin chef de service Privat Docent 2 rue Verte CH 1205 Gen ve T l 41 0 22 372 55 60 Fax 41 0 22 328 17 60 daniele zullino hcuge ch Riaz Khan M decin adjoint riaz khan hcuge ch Yves Alexandre Kaufmann M decin chef de service Consultation PEPS Navigation 35 Rue des P quis CH 1201 Gen ve T l 41 0 22 716 55 11 Fax 41 0 22 849 96 99 yves alexandre kaufmann hcuge ch Service de M decine de Premier Recours HUG 4 rue Gabrielle Perret Gentil CH 1211 Gen ve 14 T l 41 0 22 372 95 37 Barbara Broers M decin adjoint au D partement de M decine Communautaire aux HUG barbara broers unige ch 53 Service de sant de la jeunesse 11 rue des Glacis de Rive Case postale 3682 1211 Gen ve 3 T l 41 0 22 546 43 40 __ Claire Anne Wyler Lazarevic M decin Directrice adjointe claire anne xyler etat ge ch Notre reconnaissance va galement aux deux anciens toxicomanes qui ont accept de nous livrer leur t moignage 54 9 Bi
5. 7 Conclusion La toxicomanie est une maladie qui de son apparition son ventuelle gu rison volue dans des milieux tr s divers Il est ainsi n cessaire de proposer des approches multiples pluri et interdisciplinaires De plus il est fondamental de maintenir l int gration et la coordination des quatre piliers car les isoler serait contre productif Les synergies et la culture de collaboration avec l h pital psychiatrique et l h pital g n ral ainsi qu avec des structures interm diaires et la m decine de premier recours doivent tre approfondies Le risque est l abord technocratique et bureaucratique r ducteur centr principalement sur une approche court terme du financement d un probl me caract ris par la complexit complexit dont la prise en compte est indispensable pour g rer ad quatement une politique sanitaire moderne des addictions L entente et la coordination des professionnels du terrain est la meilleure protection contre ce type de d rive qui marquerait un v ritable d mant lement social pour le plus grand malheur des personnes pr sentant des d pendances et bien plus encore pour la population en g n ral Nous avons t frapp es par la multitude d acteurs agissant pour lutter contre les probl mes li s la consommation de drogue Tous sont convaincus qu une politique progressiste et que l action en amont sont plus efficaces qu une intervention cherchant radiquer la consommat
6. Tumelero Marco Chef de Commissariat Suppl ant Coordinateur marco tumelero fedpol admin ch Drop in 5 Fausses Brayes CH 2000 Neuch tel T l 41 0 32 724 60 10 Fax 41 0 32 729 98 58 http www drop in ne ch Cattin Michel Co responsable du secteur th rapeutique Th rapeute de famille r f rent psychosocial michel cattin ne ch Coste Jean Marie Co responsable du secteur th rapeutique Infirmier en psychiatrie r f rent psychosocial jean marie coste ne ch Grecuccio Yvan Psychologue r f rent psychosocial yvan grecuccio ne ch 51 Jaggi Christophe Collaborateur social intervenant en addictions christophe jaggi ne ch Fondation Ph nix Centre de Ch ne 100 route de Ch ne CH 1124 Ch ne Bougeries T l 41 0 22 404 02 210 Fax 41 0 22 4040219 http www phenix ch __Nur Santoro M decin psychiatre responsable nure santoro phenix ch Police Cantonale de Gen ve Roger Imboden Task Force Drogue Chef de Brigade T l 41 0 22 427 89 01 Fax 41 0 22 427 89 13 roger imboden police ge ch Olivier Schneeberger Police judiciaire Gen ve Chef d engagement T l 41 0 22 427 81 11 Fax 41 0 22 427 77 04 olivier schneeberger police ge ch Premi re Ligne 6 rue de la P pini re CH 1201 Gen ve T l 41 0 22 748 28 78 Fax 41 0 22 748 28 79 info premiereligne ch http www premiereligne ch Didier Mathis Educateur social didiermathis hotmail com R
7. bale du patient La toxicomanie tait pour moi un univers myst rieux mais captivant tr s peu connu et parfois m me incompr hensible Pourquoi prennent ils de la drogue m me s ils savent que c est mauvais Par contre je savais plus ou moins ce que cela engendrait sur le plan physique psychique social familial des tudes ou m me professionnel travers mes recherches et rencontres j ai r alis que la toxicomanie n est parfois que la pointe de l iceberg J ai t impressionn e par le nombre d quipes priv es ou non se mobilisant pour aider ces personnes d pendantes Aller leur rencontre est indispensable pour maintenir leur t te hors de l eau Je n ai peut tre pas pu r pondre toutes mes questions mais j ai pu comprendre que la toxicomanie est un monde parall le qui donne une r ponse la vie pr sente mais dont les r gles qui le r gissent sont tr s vite ali nantes et destructrices La prise de drogue est souvent une auto m dication qui devient malheureusement une d pendance Le mode d emploi pour les aider se fait au cas par cas Les st r otypes certainement pas faux pour certains ne repr sentent en tous cas pas la majorit particuli rement pour l h ro nomane Finalement les toxicomanes sont ils elles des personnes normales malades souffrantes d sesp r es fragiles je voudrais r pondre toutes la fois ce qui montre la complexit l ampleur et le d fi continuel
8. bliographie Documents publi s Ouvrages Anonyme 1972 L herbe bleue Paris Editions Pocket Bailly D 2009 Alcool drogues chez les jeunes Agissons Paris Editions Odile Jacob Campagne P 2007 La mauvaise fr quentation Paris Editions Michalon Comit fran ais d ducation pour la sant et Mission interminist rielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie 2001 Drogues Savoir plus Risquer moins Paris Editions Points Cormier D Brochu S amp Bergevin J P 1991 La pr vention primaire et secondaire de la toxicomanie Montr al Editions du M ridien Curtet F 1995 La Drogue Toulouse Editions Milan H l ne avec la collaboration de Cuny M T 2006 Jai commenc par un joint Paris Oh Editions Matysiak J C 2002 Tu ne seras pas accro mon fils Paris Editions Albin Michel Morel A Herv F Fontaine B 2003 Soigner les toxicomanes Paris Edition Dunod Rahioui H amp Reynaud M 2006 Th rapies Cognitives et Comportementales et Addictions Paris Flammarion M decine Sciences Rivier L 2006 Cannabis ch Aspects ethnotoxicologiques du chanvre en Suisse Lausanne Editions du Flon Articles Revues Avonts D 2008 L usage de cannabis cause t il psychose et d pression Minerva SFA ISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2007 Amph tamines et m thamph tamines Lausanne SFA ISPA SFA ISPA Institu
9. de la drogue les locaux d injections ont permis de r duire l utilisation de substances dans les lieux publics et ainsi l ins curit ressentie la vue de toxicomanes ou de leur mat riel laiss sur place Il est galement courant d entendre que les traitements de substitutions de prescription d h ro ne sont beaucoup plus chers que le sevrage et qu il n est pas 46 normal qu ils soient financ s par la soci t A cela on peut r pondre qu il est prouv que les b n fices sont plus importants que les co ts notamment gr ce la r duction des frais li s aux poursuites et ex cutions p nales ainsi qu aux traitements m dicaux par exemple lors de surdoses Le fait que ces soins soient propos s une population encore stigmatis e par beaucoup de pr jug s n aide pas lls n avaient qu ne pas essayer Ils ne veulent rien faire de leur vie lance t on parfois Ce raisonnement pourrait s tendre d autres populations malades comme les ob ses Pourtant il ne nous viendrait pas l esprit de dire qu il est scandaleux que les traitements de l hypertension soient rembours s alors qu il suffirait de marcher trente minutes par jour pour la diminuer Enfin beaucoup craignent que les traitements de substitutions attirent les toxicomanes A cela il convient de r p ter que les crit res d int gration dans ces programmes sont stricts De plus ces prescriptions s inscrivent dans une prise en charge glo
10. ex ht ml lang fr Pharmacie du sablon L h ro ne Cyberpharmacie Page web Acc s http cyberpharmacie free fr heroine htm 57 SFA ISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2009 Statistiques Pr vention de l alcoolisme et autres toxicomanies Page web Acc s http www ispa ch index php 1Dtheme 199 amp IDcat67visible 1 amp langue F Tribune de Gen ve 2010 Quai 9 la salle d inhalation fait le plein Tribune de Gen ve Page web Acc s http www tdg ch geneve actu quai 9 salle inhalation fait plein 2010 03 22 Document audiovisuel Boyle D R al 1996 Trainspotting DVD 58
11. il qui s y fait est remarquable par sa qualit et l nergie que les professionnels y investissent L utopie voudrait que tous teignent d finitivement leur addiction et reprennent une vie conventionnelle Or peu y arrivent et combien le souhaitent r ellement Plus que de chercher radiquer la toxicod pendance il m a sembl que les nouvelles th rapies substitution prescription d h ro ne permettaient d accompagner la consommation de drogue de passer d une toxicomanie de rue une toxicomanie m dicalis e et parfois heureusement une ancienne toxicomanie A E Certains citoyens ne souhaitent pas la proximit avec la population toxicomane Cependant tenter de la d placer en p riph rie serait vain car aucun toxicomane ne ferait le d placement et les structures se retrouveraient ainsi inutilis es et inutiles Il est par ailleurs important de souligner ce paradoxe de nombreux magasins de chanvre sont ouverts Bienne alors que le cannabis est l galement illicite Est ce que la cr dibilit de la pr vention s en retrouve corch e Enfant des ann es nonante j ai souvent re u le conseil de ne pas finir comme tous ces drogu s qui se piquent dans les toilettes publiques Ces pr jug s se sont retrouv s abolis au cours de ce travail tant j ai t touch e par la reconnaissance de cette population Qu est ce que gu rir Est ce s en sortir g rer sa consommation ou deme
12. ion de substances et ses cons quences Une politique trop s v re risque de cacher aux yeux de la soci t les d g ts caus s par la toxicomanie stigmatisant et marginalisant encore plus ceux qui en vivent et augmentant l apparition d infections et la d linquance Cependant devons nous rester d faitistes et agir dans le seul but de limiter les d g ts ou devons nous nous mobiliser pour non pas limiter mais r duire cette probl matique d vastatrice Avant de nous immerger dans la prise en charge de la toxicomanie nous nous posions un certain nombre de questions Pourquoi tant de structures sont elles en place pour un probl me qui ne concerne finalement qu une minorit d entre nous Ne devrait on pas punir plus s v rement les personnes impliqu es dans le trafic de la drogue Ne serait il pas pr f rable de traiter les toxicomanes par le sevrage En proposant des mesures de substitution l Etat ne risque t il pas de devenir un Etat dealer Faut il interdire compl tement la drogue ou au contraire la l galiser Il n y a pas de r ponse ces questions Elles feront toujours partie du d bat entre les partisans d une politique ferme et ceux d une prise en charge plus laxiste En tant inform e des diff rentes actions la population est amen e revoir ses a priori Par exemple on entend souvent que la mise en place de lieux de consommation risque de l encourager Or en plus de diminuer les risques dus l usage
13. qu une prise en charge implique Suite ce stage je traduirais mon ressenti et le r sum de toutes mes r flexions travers ces quelques mots C est tr s difficile d aider soigner stabiliser et encore plus de gu rir A moins d un miracle et par exp rience ce miracle je sais qu il existe A D De ce travail je retire deux enseignements Tout d abord la toxicomanie est un terme tr s vague regroupant l usage festif de drogue et l usage compulsif Le premier est courant Bien qu il ne faille pas le banaliser je pense qu il est inutile de crier au loup La pr vention est certes indispensable mais son effet dissuasif n est que partiel Dans une soir e on oublie rapidement les cons quences de ses actes Le second ne concerne qu une minorit f Info drogue La prescription de m thadone et d h ro ne ISPA Lausanne 47 d usagers devenus addicts Je m imagine ces personnes comme des pharmaciens qui auraient trouv un rem de miracle gu rissant leur souffrance L addiction est une pathologie et ces individus sont malades Ce qui m am ne la seconde le on Dans beaucoup de domaines il est plus r aliste de vouloir soigner plut t que chercher gu rir tout prix En consid rant l abstinence comme la gu rison ceci est valable pour la toxicod pendance Le nombre de structures mises en place pour aider ces patients am liorer leur condition est impressionnant et le trava
14. s offerts Comme j ai pu le constater au travers de cette exp rience d immersion en communaut la toxicomanie peut tre trait e et g r e avec succ s Mais peut on en gu rir Une rechute peut toujours se produire Pour cette raison il est important que les personnes qui ont un probl me de d pendance sachent o elles peuvent suivre un traitement et comment elles peuvent profiter des p riodes o la consommation de ces substances n est pas probl matique pour rester en bonne sant et viter une rechute De plus au cours de cette exp rience j ai pris conscience que le fait de se droguer n est pas un choix mais plut t un moyen de faire face aux blessures de la vie Il est vident que le r tablissement est un cheminement qui peut tre long Il faut du courage et de la d termination pour faire face un probl me d addiction Toutefois n oublions pas que plusieurs ressources dont les professionnels de la sant peuvent venir en aide ces personnes N S L addiction m me la plus prolong e doit tre consid r e comme une situation provisoire et r versible Devise d Argos 49 8 Remerciements Tout d abord nous souhaitons remercier la Haute Ecole de Sant et la Facult de M decine de Gen ve de nous offrir la possibilit d effectuer ce travail d immersion en communaut Merci au Dr Jean Fran ois Etter notre tuteur qui a pris le temps de nous orienter relire nos rapports
15. t Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2005 Cannabis Lausanne SFAISPA SFA ISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2003 Cannabis en parler aux ados Lausanne SFA ISPA SFA ISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2007 Coca ne Lausanne SFA ISPA 55 SFAISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2007 Ecstasy Lausanne SFA ISPA SFAISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2007 Hallucinog nes Lausanne SFA ISPA SFAISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2008 H ro ne Lausanne SFA ISPA SFAISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies Info drogue la prescription de m thadone et d h roine Lausanne SFA ISPA SFAISPA Institut Suisse de Pr vention de l Alcoolisme et autres toxicomanies 2007 Produits inhaler Lausanne SFA ISPA Rapports Antenne Drogue Famille 2006 Antenne Drogue Famille f te ses 10 ans Gen ve Antenne Drogue Famille Conf d ration suisse D partement f d ral de l int rieur Office f d ral de la sant publique 2006 La politique suisse en mati re de drogue Berne Office F d ral de la Sant Publique OFSP R publique et canton de Gen ve D partement de l conomie et de la sant
16. urer dans une totale abstinence Je demeure convaincue qu il est possible de s en sortir et de ne plus laisser son quotidien tre dict par l addiction mais je pense qu une fragilit une vuln rabilit persistent dans un pr sent influenc par un pass parfois chaotique Pouvons nous obliger une personne d pendante se soigner Les toxicomanes atteignent un ge plus lev qu auparavant ceci gr ce la r duction des risques et l utilisation d un mat riel d injection plus hygi nique Certes leur vie est prolong e mais qu en est il de la qualit de cette vie Pouvons nous objecter que la r duction des risques entretient le probl me Heureusement l heure actuelle un syst me complet coh rent est l pour les accompagner L R Il ny a pas de soci t sans drogues il ny en a d ailleurs jamais eu La solution miracle n existe pas ni en Suisse ni dans aucun autre pays Toutefois j ai appris qu il y a beaucoup de r ponses efficaces et l efficacit de ces r ponses de la pr vention au traitement la r duction des risques de la r pression du trafic celui de l usage est directement proportionnelle la capacit de l ensemble de la soci t 48 et non seulement des professionnels de la sant affronter comprendre et partager les m mes enjeux Dans le pr sent rapport nous avons donn un aper u de la toxicomanie de ses causes possibles et des divers traitement
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