9. Mutualisation, mode d`emploi
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1. 9 Mutualisation mode d emploi Mercredi 10 avril 2013 Table ronde pr par e par le CDG 22 Salle Bor ale environ 70 participants Animateur Lo c CAURET Maire de Lamballe Pr sident de Lamballe Communaut Pr sident du CDG 22 Intervenants Gilles GUIHEUX directeur de l IPAG Pierre Jean JOYEUX DGRH de Rennes Rennes M tropole Claude RIBIERAS DGA de Saint Brieuc SBABA Saint Brieuc Agglom ration Baie d Armor La titia LAURGEAU r f rente m dico social du CDG 22 Contexte Suite la r forme territoriale la mutualisation appara t comme un processus in vitable dans un contexte conomique et financier contraint Ce processus n est pas neutre et soul ve des points tant sur un plan juridique que culturel et humain Les retours sur exp rience clairent sur les pistes les plus adapt es chaque contexte sur la mani re d engager les processus et de bien associer tous les acteurs Les interventions Lo c CAURET Maire de Lamballe Pr sident de Lamballe Communaut Pr sident du CDG 22 introduction La mutualisation contrairement aux id es re ues ne g n re pas des conomies d chelle En r alit la mutualisation c est Un projet politique Du temps Un travail sur l acceptabilit des agents des lus et de la population Des prises de risques nous ne sommes jamais s r que cela marche Gilles GUIHEUX directeur de l IPAG A la base de toutes mutualisations il faut un projet co2. haut Ne pas sous estimer le plan de charge des RH Communiquer Ne pas minimiser les diff rences de culture Rendre lisible le projet de service Accepter de travailler momentan ment sur un mode d grad Accepter le principe selon lequel tout n est pas harmonisable D gager des moyens humains RH d di s ce processus Construire un dialogue social Claude RIBIERAS DGA de Saint Brieuc SBABA La mutualisation entre Saint Brieuc ville et la SBABA s est construite petit petit et uniquement sur des comp tences nouvelles pas de transfert de comp tences Difficult s l agglom ration recouvre 14 communes et une commune est gale une voix Le principe est la CO CONSTRUCTION l acquisition des comp tences s est toujours faite l unanimit La collectivit se fait accompagner sur la m thode par un cabinet Conseils 3 grands chantiers en cours am nagement urbanisme informatique et parcs de v hicule L une des mutualisations un poste de DGA 70 sur l agglom ration et 30 sur la ville Objectifs mettre en place une coh rence dans la gestion des projets et avoir un interlocuteur unique dans la direction g n rale M thodologie mise disposition de 3 ans mise en place de comit s de pilotage travail en mode projet confiance des deux ex cutifs Difficult s travailler avec 2 DGS 2 lus 2 mentalit s diff rentes un projet qui demande du temps et une n cessit de prioriser les dossiers Conclusio
3. mmun sur la finalit et les modalit s de gestion Les modalit s de gestion Il existe plusieurs modalit s de gestion dont la convention de gestion et la mise disposition La loi du 16 d cembre 2010 vient pr ciser ces diff rentes possibilit s et met en place un nouveau mode de gestion le Service commun Elle distingue la mutualisation subie et la mutualisation voulue Lorsqu une mutualisation est mise en place il est n cessaire de distinguer l autorit fonctionnelle et l autorit hi rarchique La mutualisation vue comme substitution l tat La mutualisation est annonciatrice de changement elle anticipe ce changement L Etat confie de plus en plus de missions aux collectivit s locales la modification des lignes est lente mais la tendance est au transfert des comp tences Les lections de 2014 avec la mise en place du fl chage constituent une transition vers une d mocratie locale au niveau des intercommunalit s Celles ci vont devenir la r gle M GUIHEUX voit le passage d une mutualisation une int gration compl te des comp tences l horizon 2020 Pierre Jean JOYEUX DGRH de Rennes Rennes M tropole La mutualisation n est pas une uniformisation La mutualisation est complexe mettre en uvre complexit des normes pluralit des m tiers et des cultures professionnelles identification des possibilit s de doublon Quelques remarques recommandations Mettre en place une mutualisation par le
4. n Penser global agir local questions sur le territoire pertinent le service r pond t il aux besoins des usagers De gauche droite Claude Ribieras Pierre Jean Joyeux Lo c Cauret La titia Laurgeau Michel Le Magouarou La titia LAURGEAU r f rente m dico social au CDG 22 Probl matique des emplois partag s dans les EHPAD Objectif Apporter des solutions concr tes aux tablissements la recherche de professionnels sp cifiques m decins psychologues kin sith rapeutes etc en fonction de leur localisation M thodologie utilis e Travail de recensement sur le terrain afin d identifier o les besoins des tablissements sur des m tiers sp cifiques o les ressources disponibles sur ces m mes m tiers Mise en place d une exp rimentation sur 2 territoires Extension de l exp rimentation d autres territoires Intervention aupr s des tablissements Prise de contact o Pr sentation de la d marche du CDG o Retour sur les r sultats de l tude Travail et changes sur les sp cificit s des territoires o La situation particuli re de chaque EHPAD o Les habitudes de travail entre tablissements territoriaux Mise en place de solutions concr tes o Travail sur les temps de mise disposition du personnel sur chaque tablissement o R daction des profils de postes o Mise en place de jurys de recrutements Les difficult s rencontr es Une exp rimentation pr coce en raison du contexte o Un ma
5. nque d habitudes de travail en commun o Une solution en d calage avec les probl matiques du moment Les points forts de cette d marche Un int r t important des EHPAD pour la d marche Une exp rimentation riche en enseignements o N cessit de prendre appui sur les habitudes de travail existantes o N cessit d adapter la d marche aux calendriers des tablissements Questions changes Une disparition totale des communes est elle envisag e Pourquoi les concitoyens n ont ils pas t interrog s il ne s agit pas de la disparition des communes elles ont 2000 ans d histoire le l gislateur ne l a jamais fait et ne le fera pas C est la richesse de la France Elle repr sente des comp tences bas es sur la d mocratie et la proximit ilne faut pas confondre transfert de comp tences et transfert de souverainet Synth se R flexions La mutualisation n est pas un transfert de souverainet Durant les premi res ann es les collectivit s ne feront pas d conomies Il est n cessaire d avoir une articulation entre les tablissements ressources et les collectivit s en lien direct avec les usagers
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