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1. ECOGEOSAFE apporte des solutions innovantes pour la pr vention des risques la gestion environnementale et le traitement des sites pollu s www ecogeosafe com DE NOUVELLES INSTRUCTIONS POUR G RER LES MISSIONS ACCIDENTELLES DE POLLUANTS Faciliter le recours l expertise et se doter d une capacit ind pendante de pr l vement Telles sont les nouvelles exigences des pouvoirs publics qui tirent les le ons de l accident Lubrizol de Rouen Les ministres de l Ecologie et de l Int rieur ont adress le 12 ao t aux pr fets une instruction relative la gestion des situations incidentelles ou accidentelles impliquant des installations class es ICPE Cette circulaire tire les le ons de l accident survenu sur le site de la soci t Lubrizol en janvier 2013 accident qui avait entra n des manations de mercaptans gaz soufr s extr mement malodorants Si ces manations qui ont t ressenties jusqu en Angleterre n ont pas entra n d effets notables sur la sant selon l Administration elles ont caus de nombreux d sagr ments la population et entra n la saturation des standards des services d urgence La soci t Lubrizol a tout de m me cop en avril dernier d une peine d amende de 4 000 euros dans cette affaire le Tribunal de police de Rouen ayant retenu la n gligence de l exploitant Afin de tirer les enseignements de cet v nement le gouvernement a confi la r ali
2. SE EE Ls HALL 4 C ULL UTEG STAND H236 O 4 am O D O0 D Se LE SP CIALISTE DU TRAITEMENT DE L EAU Hors S rie Environnement amp TECHNIQUE www environnement et technique com xxx environnement et technique com publicite environnement et technique com abonnement environnement et technique com Optimiser pour r duire En temps de crise la France est trop souvent ra trap e par ses vieux d mons fini de jouer avec la protection de l environne ment et place au productivisme termin le financement de tech nologies vertes innovantes et retour au pragmatisme industriel autour de bonnes vielles technologies prouv es Pourtant s il y a bien des th mes sur lesquels les questions co nomiques et environnementiales devraient se retrouver ce sont ceux de l innovation et du bon usage des ressources Mais dans les faits les soubresauts r glementaires fran ais hypoth quent souvent les ambitions des investisseurs dans les cleantech commencer par celles des nergies renouvelables Pire le court termisme conomique se nourrit du consum risme populaire et entretient la gabegie d argent public Quelle gageure une poque o les collectivit s sont endett es et que partout l on parle d conomie circulaire les co ts et l impact environnemental Dans ce contexte une optimisation de l existant s impose pour rationaliser les co ts et abaisser l impact enviro
3. DE IE E QUI FA K ODU GSK U la yni gi de de Et aua g LL RE Aa ET nd i z NR ire Kr a x ETES A ING NIERI POLLUTEC 2014 HALL 5 STAND E176 BWT PERMO L EXPERTISE D UN LEADER PME PMI grande entreprise petite installation ou process de grande envergure projet standard ou sur mesure nos domaines d expertise s exercent sur rl int gralit du cycle de l eau a DBWT BEST WATER TECHNOLOGY bwipermo fr ise TIC js For You and Planet Blue 24 Risques LE S NAT FAIT LE POINT SUR LE DEFI DU DESAMIANTAGE Un manque de pilotage national des diagnostics d faillants et une insuffisance des contr les handicapent une r glementation pourtant protectrice 4 La commission des affaires sociales du S nat a remis le 1 juillet son rapport Amiante des enjeux toujours actuels relever le d fi du d samiantage Le diagnostic talon d Achille du d samiantage Selon l tude la qualit du rep rage et du diagnostic amiante constitue le talon d Achille de la r glementation actuelle Par exemple le diagnostic technique amiante DTA n est pas toujours r alis actualis et communiqu aux personnes qui le demandent l une des explications serait rechercher du c t des professionnels du diagnostic Insuffisamment form s et contr l s certifi s selon des normes peu exigeantes les diagnostiqueurs f d rent contr
4. Environnement amp TECHNIQUE D cembre 2014 Eaa E y pappe ATN LG i 4 2014 Hors s rie sp cial salon DOSSIER Quels outils pour optimiser la collecte des d chets w Ko D 2 4 0 Sti D lt lt ox N re 0 0 0N Fa 2 lt AIR INTERIEUR STATION D EPURATION Report de la surveillance des cr ches et coles Comment injecter le biogaz dans le r seau Une publication RECYCLAGE LOI SUR L EAU Le difficile financement des innovations Lancement de l exp rimentation d autorisation unique A A ACTU ENVIRONNEMENT Filiale de SUEZ ENVIRONNEMENT Degr mont est le sp cialiste mondial du traitement de l eau Depuis plus de 70 ans Degr mont con oit construit met en route exploite et finance des installations de traitement d eau conjuguant performance technique et conomique et respect des sites naturels ou urbains Production d eau potable ou d eau de process dessalement traitement des eaux us es recyclage traitement des boues les installations de Degr mont quipent ce jour plus de 80 capitales travers le monde Pr sent dans plus de 70 pays avec pr s de 5000 collaborateurs Degr mont met en oeuvre ses expertises avec la d termination d accompagner ses clients municipaux et industriels en leur proposant les solutions les plus avanc es les plus adapt es aux ressources et aux contextes locaux les plus fiables et accessibles en termes de co ts
5. Rh ne semble indique que les deux hypoth ses se combinent N anmoins la justification avanc e lors d une optimi sation de la fr quence des collectes est l adaptation du service aux besoins des citoyens Un message qui passe mieux que le discours inverse En effet limiter la fr quence de collecte si le besoin ne s en fait pas sentir est souvent per u comme une d gradation du service par les citoyens D ailleurs le Sitom a d faire la d monstration de la r alit du co t du service de collecte et s afficher en Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 bon gestionnaire des deniers publics explique t il ajoutant avoir organis de nombreuses r unions publiques mis en place un num ro vert et r alis un sondage t l phonique au pr s des habitants Paradoxalement la solution retenue collecte emballages et journaux en fr quence C0 5 tait l option la moins bien accept e par les sond s avec 52 d avis favorables contre 89 pour l option emballage et journaux en fr quence C1 et 72 pour le statu quo c est dire emballages seuls en fr quence C1 l argument selon lequel l optimisation r pond une attente des citoyens perd ici de sa force Il reste enfin la situation particuli re des villes et de l habitat vertical Compte tenu des contraintes de place voire de salu brit la r duction de fr quence semble difficile de prime abord N anmoins la r duction du volu
6. mM LN Le gt Pa r mia Lr Ar i mm Li 7 i Ile jil m nages bisontins a d j baiss de 3 entre 2012 et 2013 se f licite le Grand Besan on Mais t moigne une sp cialiste des collectivit s lo cales la premi re facture est tou jours un choc car les m nages ne savent pas ce qu ils produisent Ceux qui vont devoir payer plus font conna tre leur m contentement si bien que le passage la tarification incitative se r v le g n ralement d licat Autrement dit il s agit d un choix politique que les lus doivent tre capables d assumer et d expli quer avertit Ademe La mise en place de cette redevance n est pas forc ment synonyme de baisse des co ts confirme l Agence de l environnement Dans un rapport d information publi fin janvier deux s nateurs Jean Germain et Pierre Jarlier pointent le co t de mise en uvre du dispositif Vinstaura tion d une tarification incitative n cessite au pr alable un tat des lieux pr cis la fois en termes techniques 1 4 JA34 44 AA NOMME 33 1 44317 11 00 www cnim com financiers et organisationnels La col lectivit doit ensuite effectuer des investissements qui peuvent s av rer co teux pour acqu rir le mat riel permettant d identifier l usager et de mesurer la quantit de d chets pro duits alertent les deux parlemen taires En outre soulignent les lus si le m canisme incita
7. parall lement d une hausse de la production d autres d chets collecte s lective d chets verts encombrants apports en d ch teries Cette tendance devrait se poursuivre puisque l issue de la conf rence environnementale de 2013 le gouvernement a publi une feuille de route qui fixe un cadre pour am liorer le tri et donc la collecte des d chets Les fili res respon sabilit largie du producteur REP seront am lior es les consignes de tri ainsi que les bacs de collecte harmonis s Horizon 2020 Inciter les producteurs r duire les d chets La responsabilit largie du produc teur REP a t mise en place afin d obliger les fabricants prendre en charge la fin de vie de leurs produits L objectif terme inciter l co conception des produits et faciliter le recyclage Progressivement une fois que les fili res REP sur les embal lages ou les DEEE ont t install es des syst mes de bonus malus ont t introduits dans les contributions que versent les entreprises aux co organismes afin d inciter les bonnes pratiques Le principe est simple les mat riaux qui se recyclent b n ficie ront d un bonus tandis que ceux qui perturbent le tri ou ne disposent pas de fili re de recyclage verront leur contribution major e jusqu 50 Dans son rapport la Cour des comptes estimait que le d veloppement des fili res REP tait indispensable afin de pr venir la product
8. plan d chets 2020 qui doit tre pr sent prochainement par le Gouvernement Fruit de deux ans de travaux en particulier dans le cadre du groupe de travail pr vention du Conseil national des d chets le projet de plan a t soumis la consultation du public durant l hiver dernier Le minist re de l Ecologie a publi fin mars la synth se des observations recueillies durant cette consultation et indiqu celles qu il avait prises en compte Diminuer de 7 la production de d chets m nagers Ce programme fixe des objectifs quanti fi s visant d cou pler la production de d chets de la crois sance conomique indique la synth se du document Il pr voit en effet une diminution de 7 de la production de d chets m nagers et assimil s DMA par habitant en 2020 par rapport au niveau de 2010 M me si le p rim tre des d chets concern s est un peu plus large on notera que la France s tait dot e d un objectif sembla ble via la loi Grenelle sur une p riode qui se chevauche il pr voyait de r duire la production d ordures m nag res et assimil es de 7 par habitant entre 2008 et 2013 Cette r duc tion appara t acquise aujourd hui m me s il est difficile de mesurer pr cis ment la contribution des mesures de pr vention mises en place dans cette volution indique le minist re de l Ecologie dans la synth se du plan Il n y a pas de bon thermom
9. L article 73 de la Constitution pr voit que le l gislateur puisse habiliter les collectivit s d Outre mer d cider elles m mes les adaptations des lois et r glements dans les mati res o elles exercent leurs comp tences r ussir service HS308 lecteur Son p le Heat amp Power con oit r alise et met en service des solutions globales de production d nergie de 1 150 MWth adapt es tous types de combustibles LARGE PANEL TECHNOLOGIQUE i Chaudi res Tubes d eau WT ou Mites FT NT e_ Lit Flusdis de Garkfication Grile Grading Grille dincin ration UVE Autematsme et Contr le Commande p Lit Fludis dense de Combustion BFE SERVICE ET RETROFIT D INSTALLATIONS Professionnels reconnus dans les chaudi res industrielles et les syst mes de combustion nous vous accompagnons dans votre recherche d optimisation nerg tique et d am lioration de la performance dans la modernisation de vos quipements conversion des nergies fossiles la biomasse r novation augmentation des performances r parations modernisation de vos syst mes d automatisation ACTUALITE GAZEI FICATION DE CSR Le projet VaD O Valorisation de D chets Haut PCI dont LLT est chef de file a t retenu dans le cadre du 18 me Appel projet FUI Ce projet vise la validation technico conomique 150 MW des solutions de tri pr paration de d chets Haut PCI et leur 50MW
10. Un tarif major pour les Step Un second arr t vient modifier la r glementation des tarifs d achat applicable au biogaz inject dans le r seau Il pr cise aussi les conditions d efficacit nerg tique et environnementale Il autorise notamment l ajout d un quipement de r cup ration de chaleur pour satisfaire les besoins en chauffage du digesteur d une unit de m thanisation en Step S agissant des tarifs d achat la CRE avait mis un avis d favorable au projet d arr t au motif qu il n assurait pas une couverture homog ne des co ts pour l ensemble des cat gories d installations l ex cutif a modifi les deux m canismes tarifaires sp cifiques aux Step la prime PI3 li e usage de r sidus de Step et le coefficient S minorant le tarif d achat en fonction de l anciennet de l installation Ainsi le texte cr e un nouveau tarif PI3 sp cifique aux Step et calcul en fonction des intrants LS S i ikfotos DR nn utilis s qui vient s additionner au tarif g n ral variant de 9 5 centimes d euros par kilowattheure pouvoir calorifique sup rieur c kWh PCS hors taxes pour les installations d une capacit maximale inf rieure ou gale 50 m par heure 6 4 c kWh PCS pour les installations d une capacit maximale sup rieure ou gale 350 m par heure Ce tarif PI3 additionnel varie pour sa part de 0 1 3 9 c kWh PCS selon la puissance de l
11. de collectivit s ayant mis en uvre une tarification incitative constate t on des effets b n fiques Le Grand Besan on qui a g n ralis en 2012 la redevance incitative sur les 59 communes le composant annonce de tr s bons r sultats un an apr s L effet incita tif du dispositif a fait diminuer les d chets r siduels de 26 indique la communaut d agglom ration Coupl avec le d veloppement du compos tage et les campagnes de communi cation en faveur du tri ce dispositif a permis de diminuer nettement le taux de pr sentation des bacs la collecte La mise en place de la rede vance incitative entra ne une modifi cation des flux de d chets produits par les usagers du service public m nages et professionnels qui va dans le bon sens confirme l Ademe les ordures m nag res r siduelles dimi nuent de 15 50 et les d chets recyclables augmentent de 10 100 sans que la qualit du tri ne soit alt r e L association Amorce temp re toute fois ce bilan Si la tarification incita tive para t relativement efficace dans l acte de tri elle ne le serait pas en mati re de diminution de la produc tion de d chets La sensibilisation des habitants par des ambassadeurs du tri para t alors essentielle Pas forc ment de haisse des co ts C t finances les effets sont plus dis cut s La redevance moyenne des Vous projetez un Centre de Valorisation des D chets
12. de recommandations Surtout les audits devraient aller au del de l appr ciation de la mise en uvre des proc dures et s efforcer d valuer l effectivit des politiques de pr vention La p riode retenue est particuli rement importante en mati re de gestion des risques naturels puisque ces quinze ann es ont t marqu es par des catastrophes mondiales tsunami dans l oc an Indien en 2004 ouragan Katrina en Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 2005 tsunami de Fukushima en 2011 et nationales temp tes de 1999 inondations du Gard en 2002 et du Var en 2010 v nement Xynthia en 2010 De plus la p riode marque une volution significative de la l gislation voir encart Plus de moyens et de connaissances Premier constat les audits t moignent d une meilleure prise en compte des risques sur la p riode Les premiers audits soulignent la faiblesse des moyens humains affect s aux poli tiques de pr vention des risques dans les d partements mais gr ce aux regroupements et une plus grande sensibilit des directeurs de ces services la situation s am liore Seul b mol le renouvellement rapide du personnel fragilise la situation De m me les moyens financiers progressent notablement sous l effet conjugu de la hausse des cr dits budg taires et de la mise en place apr s 2000 du fonds de pr vention des risques naturels
13. des d chets marins La d clinaison concr te des premi res actions commencera d s 2014 annonce le minist re en particulier sur les th matiques de la dur e de vie des produits la consigne et l co modulation des bar mes de contributions dans le cadre des fi li res REP Si FNE se r jouit de l inscription de ces mesures dans le plan elle indique rester vigilante pour qu elles ne restent pas lettre morte Quant aux nouveaux mo d les conomiques tels que la re fabrication l conomie de fonc tionnalit la modularit des produits et des b timents ils ne font encore l objet d aucune mesure d plore la f d ration d associations Laurent RADISSON Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 service lecteur HS306 protection coupe feu 120 min NDR 724 pas de distance de s curit n cessaire SR Conforme l arr t du 6 mars 2012 www equipements collectivites fr Tel 02 32 47 50 97 14 D chets FINANCER L INNOVATION L ENJEU DES INDUSTRIELS DU RECYCLAGE Avoir de grands objectifs de recyclage c est bien financer l innovation pour y r pondre c est encore mieux Pourtant le mod le de financement fran ais n aide pas sortir les brevets des tiroirs contrairement d autres outils trangers l conomiste Nicolas Bouzou en est convaincu nous sommes l aube d une p riode de forte croissance qui va redistribuer les cartes et changer la cha ne de valeu
14. la conteneurisation enterr e est un r el progr s surtout dans un souci esth tique Mais on ne peut y proc der que dans le cadre de requalifications urbaines car l implantation des conteneurs doit prendre en compte les diff rents r seaux enterr s Les progr s techniques viennent aussi des possibilit s d identifier les d chets par un sys t me de puces sur les bacs ou de lec teurs de badges sur les points d apport volon taire dans un souci de tra abi lit des produits dangereux par y PORN exemple ou de mise en place d une tarification incitative E amp T La s curit des personnels charg s de la collecte est elle une pr occupation J Y M D importants progr s ont t faits ces derni res ann es travers les recommandations des Carsat en termes de vitesse de d placement des camions d utilisation de la marche gt gt m DOSSIER gt arri re de marchepieds de l ves conteneurs d quipement des agents ou de collecte des d chets d un seul c t de la rue Leur mise en uvre n en tra ne qu une hausse mod r e des co ts qu il faut mettre en perspective avec l am lioration des condi tions de travail apport e La mise en place d horaires cadr s qui permet d viter le fini parti pr sente aussi des avantages tant en termes de s curit que de qualit de service E amp T La redevance incitative est elle une bonne solution J Y M La redevan
15. la France a UN plan ss 12 Financer l innovation l enjeu des industriels du recyclage 14 NERGIES Donner aux Outre mer les moyens de r aliser leur transition nerg tique 0 Injection r seau du biogaz quel cadre r glementaire applicable aux stations d puration 7 18 M thanisation agricole en Bretagne la fili re se porte bien rer 20 RISQUES Le S nat fait le point sur le d fi du d samiantage ss a re 24 De nouvelles instructions pour g rer les missions accidentelles de polluants 26 Risques naturels et hydrauliques les audits d partementaux passent inaper us a 28 EAUX L exp rimentation d autorisation unique loi sur l eau a officiellement d marr 30 Protection des captages d eau potable une future comp tence des collectivit s 7 32 Quel avenir pour la mesure en Continu do 34 GOUVERANCE PLF 2015 les mesures fiscales en mati re d environnement 36 INTERVIEW 22 NERGIES Nous voulions cr er en Aquitaine un laboratoire de l autoconsommation Peggy Kancal Conseill re r gionale d Aquitaine d l gu e au Plan Climat LA UNE Quels outils pour optimiser la collecte des d chets L optimisation de la collecte des d chets m nagers passe par la simplification du geste de tri Interview de J Y Menou copr sident du groupe d chets de l AMF Rendre le tri plus efficace L instauratfion d une tarification incitative a t elle des effets positifs en mati re
16. majeurs FPRNM dit fonds Barnier qui contribue la r alisation des plans de pr vention des risques PPR Quant aux al as leur connais sance progresse notamment gr ce l apport des tablissements publics sp cialis s le Bureau de recherches g ologiques et mini res BRGM l Institut de recherche en sciences et technologies pour l environnement et l agriculture Irstea ex Cemagref et l Office national des for ts ONF De m me la surveillance des v nements atmosph riques et la pr vision des crues s am liorent En revanche la connaissance des vuln rabilit s est peu voqu e dans les rapports d inspection ou d audits et ne commence tre s rieusement tudi e que tardivement La l gislation s enrichit Le document rappelle que trois lois jettent les bases de la pr vention des risques celle de 1982 d finissant un r gime d indemnisation suite une catastrophe naturelle Catnat celle de 1987 relative l information pr ventive et celle de 1995 cr ant les plans de pr vention des risques PPR Ces lois ont ensuite t compl t es par quatre textes la loi de 2003 sur la pr vention des risques qui oblige informer les acqu reurs et locataires sur les risques celle de 2004 relative la modernisation de la s curit civile qui cr e les plans communaux de sauvegarde celle de 2006 sur l eau et les milieux aquatiques qui renforce le contr le de la s
17. que AIPO La colonne de sol non satur consiste en une colonne PVC de 1 m de longueur et 7 6 cm de diam tre int rieur Trois pr leveurs ont t install s en bas de colonnes et reli s un collecteur sous vide 100 mb Ainsi la condition non satur e est maintenue constamment en bas de colonne Les 3 pr leveurs Rhizon sont r unis pour former un seul chantillon Deux types de colonnes ont t fabriqu s la moiti tant remplie d un substrat artificiel et l autre contenant des cendres de centrales thermiques Les colonnes de sol ont t arros es avec 160 ml par 24 h durant 4 jours puis 160 ml par 48 h durant 8 jours 160 ml par 96 h durant 16 jours et enfin 160 ml par 192 h durant 32 jours Guyonnet et al 2005 Susset et Grathwohl 2008 Gradhwohl et Susset 2009 Kalbe et al 2008 Kruger et al 2012 COG N RATION BIOGAZ COMMENT OPTIMISER LE MOD LE CONOMIQUE 7 Lionel TRICOT charg de d veloppement Rh nalp nergie Environnement Extrait du EST n 339 Septembre 2014 A plus de 1 800 m gawatts lectrique MW de puissance install e de cog n ration en France dont 150 MW pour le biogaz et plus de 11 de la production d lectricit en Europe cette fili re de production est assur ment mature Le d veloppement attendu des unit s de m thanisation dont la proportion des moteurs de cog n ration est de plus de 95 r serve un avenir radieux pour cette technologie D
18. tre en la mati re d plore Patrick Hervier respon sable pour le r seau pr vention et gestion des d chets de l association France Nature Environnement FNE Les collectivit s qui ont adopt des plans de pr vention des d chets accompagn es par des aides de Ademe ont g n ralement atteint ces objectifs confirme le repr sen tant de l ONG m me si la conjoncture conomique a pu en partie expliquer la baisse Vers des programmes locaux obligatoires l enjeu du nouveau plan est de g n raliser ces initiatives ajoute Patrick Hervier Un projet de d cret va d ailleurs dans ce sens puisqu il vise rendre obligatoire l adoption d un programme local de pr cention des d chets m nagers et assimil s par les collectivit s en charge de la collecte ou du traitement de ces d chets Le fondement de ce texte est l article 164 de la loi Grenelle Il qui pr voyait l adoption de ces programmes au plus tard le 1 janvier 2012 Ce dispositif repose sur plusieurs chelons de plani fication coordonn s entre eux et couvrant dans une approche int gr e les questions de pr vention et de gestion des d chets indique le minist re Autrement dit le plan national est opposable aux d cisions d approbation des plans de pr vention et de gestion des d chets dangereux des d chets non dangereux et des d chets du BTP mais aussi aux futurs programmes locaux de pr vention des d chets
19. tres parcourus par les bennes de ramassage des OMR S agissant des co ts de la collecte s lec tive ils ont diminu de 11 avec une baisse de 25 pour le poste collecte et une hausse de 2 pour le tri des d chets en m lange De plus le syndicat a pu faire des conomies lors de la reconduc tion des contrats de collecte s lective connexes et notamment une baisse de 15 du co t de la collecte s lective aux points d apport volontaire Quant la performance de tri elle a progress de 8 avec en parall le 40 de refus de tri en moins Par ailleurs le recyclage des emballages et journaux a progress de 120 avance le syndi cat Cette meilleure performance de tri s est accompagn e d une r duction de quelque 1 175 tonnes des OMR collec t es Une baisse du tonnage que le Sitom relie une augmentation quivalente de d chets recyclables Ce transfert est d pour moiti la r duction de la fr quence de collecte OM C2 C1 qui contraint les usagers trier davantage et pour moiti au passage de l apport volontaire au porte porte plus facile pour l usager Encourager et contraindre Le transfert d une partie des OMR vers la collecte s lective du fait du changement de fr quence des collectes OMR est souvent un enjeu masqu de ce type d optimisation Est ce la baisse des volumes collect s qui permet une r duction de la fr quence des collectes ou l inverse L exemple du Sitom Sud
20. C est bien de rendre obligatoire ces plans c est mieux de donner les moyens pour que les collectivit s se conforment cette obligation soutiens financiers formations partage d exp riences r agit Patrick Hervier l enjeu n est pas d avoir 20 territoires volontaires dans une d marche exemplaire explique FNE en faisant allusion au lancement de l appel projets territoires z ro gaspillage z ro d chet mais bien de continuer d velopper une dynamique sur ensemble du territoire fran ais Pas d objectif de r duction pour les d chets non m nagers Quant aux d chets issus des activit s conomiques et du BTP le plan national ne pr voit pas d objectif de r duction de la production Ces d chets restent en croissance sur les derni res ann es constate le minist re de l Ecologie qui ne fixe comme objectif qu une stabi lisation de leur production Le programme aborde l ensemble des leviers d action associ s la pr vention indique pourtant le plan qui pr voit la mise en place progressive de 54 actions r parties en treize axes strat giques Parmi ces axes figurent la mobilisation des fili res REP la lutte contre obsolescence programm e la pr vention des d chets des entreprises et du BTP la pr vention des d chets verts la lutte contre le gaspillage alimentaire la planifi cation locale les administrations 13 exemplaires ou encore la r duction
21. DE L ADMINISTRATION MIEUX ENCADR S Les d l gations de services publics dans le domaine de l eau de l assainissement et des d chets ne doivent pas d passer 20 ans Une instruction vient encadrer l avis du DDFIP sur celles qui d rogent cette r gle La Direction g n rale des finances publiques qui rel ve du minist re des Finances a adress le 22 juillet dernier une instruction aux directeurs d partementaux des finances publiques DDFiP relative la dur e des d l gations de services publics dans les domaines de l eau de l assainissement et des d chets Son objectif Fournir une m thodologie ces repr sentants de l Etat afin qu ils puissent rendre dans les meilleures conditions leur avis sur la validit des d l gations qui d passent cette dur e Dur e maximale de 20 ans Afin d accro tre la transparence des proc dures de passation des d l gations de service public la loi Sapin de 1993 avait pr vu que ces d l gations devaient tre limit es dans la dur e La loi Barnier de 1995 est venue compl ter ces dispositions en pr voyant sauf exceptions une dur e maximale de 20 ans pour les d l gations dans le domaine de l eau potable de l assainissement et des d chets Par un arr t du 8 avril 20099 portant sur un contentieux opposant la Compagnie g n rale des eaux la commune d Olivet le Conseil d Etat a jug que les dispositions de la loi Sapin s appliquaient galement au
22. Selon le document la protection des captages se heurte la superpo sition des comp tences entre la collectivit gestionnaire du captage et le pr fet charg d laborer le plan d action Les EPCI garants de la protection des captages La mission recommande donc de donner la responsabilit juridique de la pr vention des pollutions diffuses toute commune gestionnaire d un captage et d inscrire cette fonction dans le service public de l eau po table l aire d action de la commune serait d finie apr s l laboration des p rim tres de protection et du plan d action Elle serait valid e par l arr t pr fectoral de d claration d utilit publique DUP Moyens disponibles potentiels conflits d in t r ts cette nouvelle charge pourrait toutefois dans certains cas amener des interrogations Cette comp tence pourrait en outre tre transf r e aux tablissements publics de coop ration intercom munale fiscalit propre selon le rapport Cela permettrait de mieux g rer les tensions parfois signal es entre commune gestionnaire du captage et commune h te de celui ci pour les cas o celles ci feraient parties de la m me communaut comp tente sur le sujet pointe la mission Le document souhaite galement ne plus disposer de deux proc dures qui traitent de la protection des captages les p rim tres de protection du code de la sant publique et la proc dure ZSCE du code de l
23. au 5 d cembre GRTgaz stand 180 hall 4 all e H UN R SEAU OUVERT SUR DES SOLUTIONS NERG TIQUES D AVENIR Avec plus de 32000 km de gazoducs et 26 stations de compression GRTgaz assure l acheminement du gaz entre les points d entr e sur le r seau interconnexions terminaux m thaniers stockages et pr s de 4500 points de consommation r seaux de distribution publique clients Le r le des r seaux est fondamental pour assurer l efficacit et industriels la coh rence des syst mes nerg tiques ainsi que la solidarit entre les territoires Dans le cadre de la transition nerg tique GRTgaz innove et adapte son r seau pour accompagner ses clients avec la volont d offrir des solutions performantes et favorables au d veloppement des nergies renouvelables gaz et lectricit GRTgaz r unit plus de 3000 collaborateurs mobilis s pour assurer un service de qualit et soutenir la comp titivit de ses clients Www grtgaz com Suivez GRTgaz w gaz Construisons le transport de demain QUIPEMENTS LECTRIQUES POURQUOI LES RECYCLER LE MAUVAIS R FLEXE NE JETEZ PAS VOS DEEE PRO DANS UNE BENNE FERRAILLE OU DIB ILS NE SERAIENT PAS D POLLU S Si vous jetez vos quipements dans la benne a DIB ils seront enfouis sans tre d pollu s et les matieres recyclables perdues jamais Si vous jetez vos equipements dans une benne ferraille ils seront
24. cette r gle en introduisant des possibilit s de d rogation On parle de CT pour une collecte de C2 pour deux collectes par semaine de C7 pour une collecte quotidienne ou encore de CO 5 pour une collecte toutes les hebdomadaire deux semaines notam ment pour les collectes de d chets autres que les ordures m nag res G HS323 service lecteur k ii Photographee eu Fotolia com 51 OPTIMISATION DES V HICULES quels gains environnementaux 7 Bennes bicompartiment es et tri m canique v hicules hybrides Autant de modes de collectes alternatifs au service des collectivit s S ils repr sentent un surco t par rapport aux bennes classiques ils g n rent des gains environnementaux concrets Rachida BOUGHRIET Loose de la collecte des d chets passe par le type de v hicules utilis s et une meil leure gestion des tourn es Dans une tude dat e de mai 2013 de plus 150 pages l association d lus Amorce et l Ademe ont rassembl les retours d exp riences de collec tivit s qui ont test diff rentes voies d innovation en mati re de trans ports plus propres des d chets et les freins lever pour leur d ploie ment Objectifs r duire les impacts financiers et environnementaux tout en am liorant la qualit du service aupr s des riverains et le confort de travail des agents de collecte Bennes ordures m nag res BOM compar
25. collectif G otexia l crasante ma jorit des projets accompagn s sont port s par des agriculteurs de mani re individuelle explique VAILE pr cisant que pour les projets soutenus la proportion de projet agricole est de 80 Ainsi 24 des 41 unit s r gionales sont des sites la ferme Elles produisent 7 500 tonnes quivalent p trole tep d nergie primaire sous forme de biogaz et repr sentent une puis sance lectrique de 4 931 kilowatts KW A cela s ajoutent trois unit s collectives agricoles 1 785 tep de biogaz et 840 kW de puissance lectrique install e qui rassemblent de 4 15 agriculteurs et une unit centralis e 2 805 tep de biogaz et 1 600 kW de puissance lectrique install e Les treize autres unit s sont associ es des stations d pu ration 6 unit s des sites industriels agroalimentaires 4 des d charges 2 et la valorisation de la fraction fermentescible des ordures m na g res FFOM Une fili re qui se structure Par ailleurs dans le cadre du pacte lectrique breton et du sch ma r gional climat air nergie SRCAE la r gion s est fix e un tr s ambi tieux objectif de 100 MW de puissance lectrique pour la m tha nisation l horizon 2020 Aujour d hui avec pr s de 20 MW install s d but 2014 les r sultats actuels sont en phase avec les objectifs affich s Mais l effort consentir reste important puisqu il faut permett
26. curit des ouvrages hydrauliques et enfin la loi Grenelle 2 de 2010 qui transpose la directive europ enne sur les inondations Mais l information ne circule pas Cons quence de ces progr s les inspections et audits apportent une valuation utile et appr ci e N anmoins cet audit passe ina per u aupr s des administrations centrales mise part la direction g n rale de la pr vention des risques DGPR Quant aux autres acteurs de la pr vention des risques ils n ont connaissance ni des audits ni des synth ses puisqu ils ne sont pas publi s hormis ceux de 2011 et 2012 Quant aux collectivit s locales le rapport pointe un manque d implication malgr l ob ligation d informer acqu reurs et locataires introduite par la loi de 2003 relative la pr vention des risques technologiques et naturels et la r paration des dommages dite loi Bachelot Ainsi la mission constate que les dossiers commu naux d information sur les risques majeurs Dicrim ont toutes les r La couverture environnementale adapt e vos vrais risques L peines du monde voir le jour En effet certains acteurs dont les collectivit s territoriales estiment que les Dicrim et les rep res de crues ne permettent pas une ap propriation de la situation suffisante pour les populations et donc l ac quisition de comportements adapt s au moment des v nements De m me le nombre des PP
27. d hydrog ne H2S doit tre bas moins de 100 ppm et r gulier la temp rature de gaz doit tre comprise en 5 et 10 C en permanence Sur certain contrat le co t de maintenance est li au taux d H2S augmentation si d passement du seuil de 100 ppm Ces quipements peuvent tre fournis voire exploit s par le prestataire La proc dure de r ception des quipements doit tre d finie par crit sous forme de protocole annex au contrat La validation dela r ception par les parties permettra le transfert de propri t C est une tape sous estim e qui pourtant est une condition de succ s d un projet La validation de l atteinte de la puissance nominale permet de ma triser un des risques identifi s sur un compte d exploitation pr visionnel ce qui peut avoir pour cons quence l am lioration du taux bancaire Une formation est n cessaire pour assurer la bonne conduite des quipements rep rage des armoires pi ces de premier secours op rations standards contr les visuels pr ventifs Cette formation d au moins deux jours dont un jour in situ doit tr s clairement expliciter les parties techniques le module de gestion GTC et fournir un guide de d pannage Ces outils sont indispensables pour minimiser le temps d arr t et donc assurer une bonne disponibilit Les annexes doivent comporter un plan de maintenance et les fr quences d intervention des manuels techni ques en fran ais et
28. dans les lieux accueil lant du public est issue du Grenelle de l environnement Le d cret d ap Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 plication pr voit une entr e en vigueur progressive de ce dispositif chelonn e entre 2015 et 2023 selon le type d tablissement Les tablissements recevant des enfants de moins de six ans devaient tre les premiers mettre en uvre cette obligation d s le 1 janvier 2015 Non sans inqui tude des lus Dans le contexte des budgets contraints des collectivit s les maires ont un souci d efficacit souligne Laurence Tartour charg e des questions des finances locales pour l association des petites villes de France APVF Sans rejeter l enjeu de la qualit de l air int rieur ceux ci sont n anmoins demandeurs de mesures de bon sens sans lourdeurs administratives Or les d crets tels qu ils ont t r dig s sont tr s complexes Ceux ci pr voyaient notamment que les tablissements concern s par l obligation fassent appel un organisme accr dit pour effectuer l valuation des dispositifs d a ration et la surveillance de trois substances prioritaires formald hyde benz ne CO tous les sept ans Et c est l que le b t blesse Le recours des entreprises accr dit es peu nombreuses en France engen drait des co ts exorbitants pour les communes Dans les petites villes de 3 000 20 000 habitants ce co
29. de collecte Adapter la fr quence des collectes aux besoins pour susciter de nouveaux comportements Optimisation des v hicules quels gains environnementaux Retour la collecte hippomobile des d chets 42 44 46 48 5 54 I BUSINESS 30 L efficacit nerg tique un march mondial de 310 milliards de dollars 36 Veolia les activit s eau et propret boostent son chiffre d affaires 40 Mia Electric relanc e en Vend e par Mia G n ration 41 Alstom et DCNS d veloppent une olienne flottante de 6 MW 41 I FOCUS 0 Incin ration de d chets quelles futures Valeurs Limites d missions Par Hubert de Chefdebien CNIV Environnement 56 Terres excav es la chronologie la repr sentativit et l exhaustivit des analyses sont essentielles Par Philippe Duchesne GRC KALLO 2 00 Une m thode de changement d chelle dans les essais de lixiviation Par Olivier Atteia Fanny Coutelot FONDATION INNOVASOL O Cog n ration biogaz comment optimiser le mod le conomique Par Lionel Tricot RH NALP NERGIE NVIRONNEMENT 62 www environnement et technigue com gt SERVICE LECTEUR Acc dez aux informations compl mentaires en ligne 1 Connectez vous la rubrique Service Lecteur 2 Entrez le chiffre TRE du pictogramme HS300 jecteur gt ESPACE ABONN Connectez vous l aide d
30. fossiles puisque Des potentiels ENR identifi s mais sous exploit s Pourtant ces territoires disposent d un potentiel important en nergies renouvelables photovolta que olien mais aussi biomasse bagasse g othermie et nergies marines Pourquoi leur d veloppement est il alors frein Une inadaptation du cadre r glementaire national conjugu une absence de valeur prescriptive des diff rents documents de planification prive ces territoires de prise d initiative en faveur des nergies renouvelables R sultat les d cisions sont prises Paris sans forc ment s adapter au contexte local Ce blocage tient galement l organisation m me de la gestion du syst me lectrique l op rateur de service public EDF SEI joue la fois le r le de gestionnaire du r seau et de producteur hormis Mayotte Ainsi il peut prendre des d cisions d investissements qui engagent le territoire pour plusieurs d cennies sans en r f rer aux collectivit s locales EDF SEI a r cemment in vesti 1 5 Md compens s par la CSPE dans le d veloppement de trois centrales thermiques inaugur es entre 2012 et 2014 la R union la Guadeloupe et la Martinique L entr e en service de ces centrales prive tout concurrent potentiel d un espace conomique et ralentit l investissement dans des moyens de production alternatifs rel vent les rapporteurs En parall le EDF a pu refuser de sout
31. gislatives et r glementaires n cessaires Doroth e LAPERCHE Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 Notes Minist re des Affaires sociales et de la Sant minist re de l Ecologie et du D veloppement durable et de l Energie et minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t La mise en place d un plan d action pour la pr vention des pollutions diffuses s appuie sur les dispositions applicables aux zones soumises contraintes environnementales ZSCE du code rural Le pr fet tablit un plan d action qui s applique dans la zone de protection de l aire d alimentation du captage AAC La ZSCE permet au pr fet de rendre obligatoires certaines mesures qui touchent aux pratiques agricoles et ce au bout de trois ans voire un an si la phase volontaire a t inefficace Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural service HS316 lecteur Sens de circulation de l eau dans la nappe af QUEL AVENIR POUR LA MESURE EN CONTINU Une tude technico conomique de la mesure en continu dans le domaine de l eau montre que si sa r activit permet une meilleure d tection des pollutions l absence de r glementation ad hoc et son co t limitent son d veloppement Entre 244 300 et 1 132 424 euros ce sont les co ts li s une pollution accidentelle du Rhin vit s gr ce la station d alerte d Huningue Alsace de mesure des eaux en continu Cette der
32. gt Difficile mettre en uvre en milieu urbain En outre la tarification incitative ne semble pas adapt e tous les territoires I n est en effet pas toujours facile de mesurer les volumes de d chets produits par m nage malgr la diversit des syst mes disponibles pes e embar qu e points d apports volontaires conteneurs tambour avec badge d identification sacs pr pay s etc Le sys t me le plus op rationnel est de multiplier un tarif par la fr quence de la lev e estime toutefois l association Amorce Un changement d chelle pourrait permettre de simplifier le dispositif au lieu de raisonner au niveau de chaque usager il pourrait tre envisag de consid rer un ensemble plus vaste un lotissement par exemple sug g rent Jean Germain et Pierre Jarlier l chelle ne serait plus le conteneur mais la tourn e d un camion par exemple En tout tat de cause les conditions de r ussite de la mise en place d une tarification incitative sont difficiles r unir notamment en milieu urbain au del de certaines exp riences positives indiquent les parlementaires Le principe d une fiscalit cologique est bon mais nous souhaitons que la tarification incitative reste une d marche volontaire conclut Pierre Jarlier oe HS322 service lecteur Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 Adapter la FR QUEN aux besoins pour de no l optimisa
33. hui trois projets atteignent 100 l sorte cr er un laboratoire de l auto consommation A l poque et aujourd hui encore il y a des doutes sur le principe d autoconsommation Nous voulons d montrer que dans certains b timents elle peut permettre d atteindre des objectifs conomiques et cologiques E amp T Quels sont les crit res de s lection des projets PK Les projets sont not s de 0 5 selon leur performance en mati re de gestion environnementale de l activit de ma trise des consom mations d nergie du b timent de qualit architecturale selon le caract re d monstrateur du projet sa pertinence conomique Le mini mum d autoconsommation est fix deux tiers Au d part on nous disait que ce n tait pas r aliste alors qu aujourd hui trois projets atteignent 100 Selon le bilan E amp T Comment financez vous les projets PK Nous nous sommes bas s sur les courbes d augmentation du prix de l lectricit de la Commission de la r gulation de l nergie CRE Celle ci projette une hausse de 30 entre 2012 et 2017 Nous recherchons en nous basant sur une dur e d amortissement de 25 ans dur e de vie estim e des capteurs le point de parit r seau c est dire le moment o l lectricit produite deviendra comp titive L aide r gionale porte sur la p riode o la parit r seau n est pas encore atteinte la dur e de l aide peut donc varier d
34. l eau toutes les autres autorisations environnementales relevant de l Etat modification d une r serve naturelle nationale modification d un site class d rogation l interdiction d atteinte aux esp ces et habitats prot g s d frichement Le d cret fixe notamment le contenu du dossier de demande d autorisation unique ainsi que les modalit s d instruction et de Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 A VW K N W y 1 1 i A i b i VW i An d livrance de la d cision par le pr fet Le porteur de projet peut ainsi obtenir apr s une seule demande l issue d une proc dure d instruction unique et d une enqu te publique une autorisation unique d livr e par le pr fet couvrant l ensemble des aspects du projet vante le minist re de l Ecologie Ce dernier a mis en ligne le bilan de la consultation sur le projet de d cret et sur le projet d ordonnance qui a eu lieu en avril dernier Les deux principales observations du public essentiellement des f d rations de p che FNE et la LPO portent sur l avis rendu consultatif des instances comme le Coderst Conseil de l environnement et des risques sani taires et technologiques et sur les d lais de recours de deux mois pour les tiers jug s trop courts Le minist re y apporte des r ponses d taill es mais oppose une fin de non recevoir le fait de re
35. la capacit d ana lyse des polluants et le niveau de pr cision de la mesure ne constituent pas des facteurs discriminants Doroth e LAPERCHE Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 Notes 0 Cas n 1 station d alerte d Huningue sur l eau potable cas n 2 service de l eau et de l assainissement d une collectivit Clermont Ferrand cas n 3 retour d exp rience d un op rateur Veolia Eau exploitant plusieurs stations Cas n 4 station d alerte et de suivi des eaux de surface g r e par un op rateur Station d observation de la qualit des eaux de la Loire de Saint Denis de l H tel cas n 5 r seau de surveillance des eaux de surface Syndicat de l Orge Aval Sivoa cas n 6 gestion de 2 stations mobiles par une agence de l eau Agence de l eau Artois Picardie Cas n 7 eaux de rejets d assainissement Station d puration de l agglom ration de Bordeaux cas n 8 eaux de rejets d Usine d incin ration des ordures m nag res Usines de Novergie Sita 4 Cas n 9 r seau de 6 stations de surveillance des eaux estuariennes Groupement d Int r t public Loire Estuaire service HS317 lecteur WATCHF ROG Aa Micropolluants Un effluent une rivi re surveiller BOLLUTEC D 5 sa 20 LYON EUREXPO I RANCE 3014 J 5 d cemore si Hall 4 All e H Stand 140 Plus il y a de polluants plus la larve s allume Evaluer une fi
36. mise en consultation du texte que cette r forme constituait un pr alable indispensable la mise en uvre de l exp rimentation de l autorisation unique Les installa tions hydro lectriques comme les barrages ont t jusqu pr sent trait es d une mani re diff rente des autres installations soumises au r gime de la loi sur l eau par volont de d marquer l usage de la force hydraulique soumis une loi sp cifique datant de 1919 des autres usages de l eau rappelle le minist re de l Ecologie Dans un souci de simplification ajoute t il la codification de la loi de 1919 dans le code de l nergie et les disposi tions issues de la loi Warsmann sur la simplification du droit ont tendu supprimer les sp cificit s attach es la proc dure d autorisation des installations hydro lectriques pour la rapprocher de celle en vigueur pour les installations soumises la l gislation sur l eau Ce d cret en tire les cons quences en adaptant les dispositions r glementaires du code de l environnement aff rentes ces proc dures Ces adaptations concernent les arr t s de prescriptions g n rales le contenu du dossier de demande d autorisation la proc dure d enqu te publique mais aussi les proc dures de police de l eau indique le minist re de l Ecologie Ce dernier a l aussi mis en ligne le bilan de la consultation sur le projet de d cret Onze contributions ont t
37. placements sur les grands axes routiers et leurs abords aux p riodes de pointe Suivant les caract ristiques de l pisode de pollution et les sp cificit s locales les messages les plus appropri s pourront tre repris dans la communication locale apr s avoir ventuellement t ajust s au contexte local pr cise le minist re de la Sant LR Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 service HS303 lecteur EURO 6 LES MISSIONS DE NOx des v hicules diesel r duites de moiti Depuis le 1 septembre la norme Euro 6 s applique aux v hicules particuliers nouvellement homologu s dans un Etat membre de l Union europ enne En plus des limites d missions mises en place par la norme Euro 5 pour le monoxyde de carbone et les particules la norme Euro 6 encadre les missions d oxyde d azote NOx des v hicules quip s d un moteur diesel Ces missions sont d sormais plafonn es 80 mg km soit une r duction suppl mentaire de plus de 50 par rapport la norme Euro 5 indique le r glement europ en du 20 juin 20072 Les missions combin es d hydrocarbures et d oxydes d azote sont quant elles plafonn es 170 mg km Pour les nouveaux v hicules vendus et immatricul s dans l Union europ enne cette norme s appliquera partir du 1 septembre 2015 SF Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 service HS304 lecteur DUR E DES D L GATIONS DE SERVICE PUBLIC LES AVIS
38. re ues dont trois jug es par le minist re globalement d favorables et huit globalement favorables au principe de la r forme avec n anmoins certaines remarques o oppositions Ces contributions n ont pas donn lieu non plus des modifications du texte Il n a pas t tenu compte des oppositions certaines dispositions ou aux demandes de certains points de proc dure indique le minist re car elles ont 31 t d battues maintes occasions lors des concertations pr alables l laboration du projet De m me ajoute t il il n a pas t tenu compte des propositions de r daction alternative de l article R 214 6 du code de l environnement relatif au dossier de demande d autorisation loi sur l eau car la suite donn e l exp rimentation de l autorisation unique IOTA conduira de nouvelles modifications plus approfondies Le coup d acc l rateur mis par le Gouvernement sur la simplification du droit montre toutefois que des d cisions continueront tre prises avant la fin des diff rentes exp rimentations pr vues Laurent RADISSON service lecteur HS315 DESINFECTION DES EAUX POTABLES DE PISCINE ET DE PROCESS Chlore gazeux Puret de 99 8 Entretien r gulier des bouteilles Bouteilles de diff rentes capacit s 6 15 30 et 50kg Mat riel de chloration et de s curit Mat riel de chloration Analyseur de chlore Mat
39. riel de s curit NOUVEAU Module cl en main pour le stockage du chlore Formation amp Audit Formation Le chlore gazeux et la s curit NOUVEAU Formation Traitement des eaux de piscine NOUVEAU Audit des piscines confront es au probl me de chloramines Eurochlore SAS JE p a fie mjr MWE LIFCUIAITE E s F n aa Ti a nt half 34 GU 11 38 Fax 33 01 34 60 11 93 SE UROCHLORE SAS el as E cn RES PS Re ntto www eurochlior e con PROTECTION DES CAPTAGES D EAU POTABLE UNE FUTURE COMP TENCE DES COLLECTIVIT S Un rapport interminist riel propose de confier aux collectivit s ou leurs groupements en charge du service public de l eau la comp tence de protection des captages d eau potable D tails des propositions Apr s la comp tence obligatoire de gestion des milieux aquatiques et de pr vention des inondations les communes pourraient galement h riter de celle de la protection de la qualit de la ressource des captages d eau potable C est la proposition d un rapport interminist riel rendu public fin ao t La mission esp re ainsi clarifier les responsabilit s de l Etat et celles des collectivit s en la mati re Son constat 8 5 des points de captages sur un total de 35 392 d passeraient l un ou l autre des crit res nitrates ou pesticides au printemps 2014 Et face cette pollution l option retenue dans de nomb
40. sommes alors tourn s vers l autoconsommation E amp T Quels sont les projets cibl s par vos appels projets PK Nous soutenons les projets sur les b timents neufs ou existants des collectivit s des donneurs d ordre priv s des bailleurs sociaux Seules sont exclues les exploitations agricoles et les centrales au sol L id e premi re est de revenir dans une d marche de bons sens nous ne voulons pas couvrir de panneaux photovolta ques les passoires nerg Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 Entretien avec Peggy Kancal Conseill re r gionale d Aquitaine d l gu e au Plan Climat Alors que le projet de loi sur la transition nerg tique pr voit la mise en place par ordonnance d un r gime pour l autoconsommation la r gion Aquitaine a pris une longueur d avance Depuis 2011 elle soutient des projets gr ce un m canisme d aide innovant D tails Propos recueillis par Sophie FABR GAT tiques Nous demandons donc aux porteurs de projets de s inscrire dans une d marche environnementale globale et de proposer des syst mes innovants Nous voulions en quelque 2013 les projets affichent de 66 100 d autoconsommation Le taux de couverture des consommations par l lectricit photovolta que produite va quant lui de 6 90 Le minimum d autoconsommation est fix deux tiers Au d part on nous disait que ce n tait pas r aliste alors qu aujourd
41. sonore passage de 107 72 d cibels Ses freins Des points techniques sont toutefois r gler en amont du service mis en place les bennes hybrides pr sentent un porte faux de 50 cm sup rieur aux anciennes bennes qui n cessite une PB Environnement Provence Bennes Vecteur d innovation pour la collecte MEDIUM G1 refonte de certains circuits Pour les rues troites ou en pente et pour les impasses des mini bennes assurent les collectes d ordures m nag res r siduelles des emballages m nagers recyclables papiers en m lange et de d chets verts De son c t la communaut urbaine Lille M tropole Nord a choisi de d velopper du biom thane carbu rant produit partir de d chets orga niques pour alimenter ses bennes ordures m nag res en partenariat avec le prestataire de collecte Esterra et le fournisseur de bennes GNV Mer cedes Esterra dispose d un parc de 10 BOM roulant au m lange GNV biom thane 9 bennes de PTAC de 19T et 1 BOM de 26 T acquises entre 2005 et 2008 Lille M tropole rel ve jusqu 95 de r duction des mis sions de particules et 85 de r duc tion des oxydes d azote par rapport aux bennes roulant au gasoil Elle constate galement 23 de r duction des missions de CO par rapport UN SAVOIR FAIRE UNIQUE BENNES amp COMPACTION TOUT ALUMINIUM SUR CH SSIS TROITS EMPATTEMENT COURT POUR UNE OPTIMISATION DE LA CAPACIT DE CHARGEME
42. sp cifiques conclue l tude Les deux types de mesures peuvent m me appara tre compl mentaires l tude souligne que la rapidit d intervention constitue un l ment d terminant pour limiter l impact de la pollution sur le milieu Selon elle la continuit de la mesure donne une lecture en dynamique alors que la mesure en laboratoire n offre qu une mesure instantan e Autre avantage le contr le in situ permet d viter la potentielle d t rioration de l chantillon pr lev et analys en laboratoire La mesure en continu offre une tra abilit des donn es et en cons quence une meilleure d tection des pollutions et des pollueurs HYDREOS Une meilleure d tection des pollutions et des pollueurs La mesure en continu offre une tra abilit des donn es et une meilleure d tection des pollutions et des pollueurs estime l tude Elle permettra terme de constituer des bases de donn es significatives qui pourront tre exploit es pour mod liser les risques et optimiser les solutions palliatives D un point de vue qualitatif l utilisation semble complexe pour le suivi des eaux superficielles pour la production d eau potable Des incertitudes demeurent sur son degr de pr cision De plus les r seaux denses couvrir laissent envisager des co ts proportionnellement importants A l inverse la maintenance et l entre tien semblent plus compliqu s dans le cas des eaux de rejets Il
43. turbine PC Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 72 Collecte des d chets Dossier publi dans E amp T n 335 Avril 2014 1 db 5 i Ce r x j i p j Na E PAN i z F T i i i 1 1 A j i i 4 Al p Pri fi D A TA pm i L Es A i l A A h i 1 F i CJ i k a Quels oufils p la collecte d om 4 CET Re 43 L OPTIMISATION DE LA COLLECTE DES D CHETS M NAGERS PASSE PAR LA SIMPLIFICATION DU GESTE DE TRI Entretien avec J Y Menou copr sident du groupe d chets de l AMF Alors que les Fran ais renouvellent leurs conseils municipaux Jean Yves Menou co pr sident du groupe d chets de l Association des maires de France pr sente les voies d optimisation du service public de la collecte des d chets Propos recueillis par Laurent RADISSON Environnement amp Technique Com ment peut on optimiser la collecte des d chets m nagers Jean Yves Menou C est une bonne chose de parler de la collecte car elle repr sente jusqu 60 du co t d limination des d chets alors qu on a tendance ne parler que du traitement Les modes de collecte ont beaucoup chang avec le d veloppe ment des collectes s lectives du verre et des emballages en particulier La question est celle de savoir si on peut remplacer les collectes traditionnelles par des collectes s lectives ou si celles ci s ajoutent aux coll
44. valorisation par gaz ification 18 Energies INJECTION R SEAU DU BIOGAZ QUEL CADRE R GLEMENTAIRE APPLICABLE AUX STATIONS D PURATION Le cadre r glementaire de l injection du biogaz produit en station d puration a t publi fin juin Il cr e un nouveau tarif dont l une des principales caract ristiques est d adapter le cadre actuel des installations d j en service Trois textes r glementaires publi s au Journal officiel du 26 juin ont modifi le cadre r glementaire tabli en novembre 2011 et encadrant l injection de biogaz dans le r seau de gaz naturel Ils modifient la r glementation en vigueur de telle sorte ce que le biogaz produit en station d puration Step puisse tre inject au r seau Trois modifications sont apport es la liste des intrants valorisables sous forme de biogaz inclut maintenant les mati res issues du traitement des eaux us es un tarif d achat sp cifique est cr et la d gressivit des tarifs d achat appliqu e aux installations en service avant leur raccordement au r seau gazier est adapt e Les r sidus de Step autoris s La mesure tait attendue puisque de nombreuses Step utilisent d j la m thanisation pour r duire le volume des boues d puration rappelle la Commission de r gulation de l nergie CRE dans sa d lib ration qui accompagne la publication des textes r glementaires La m thanisation permet une diminution pouvant all
45. 014 Note Le 1 janvier 2018 pour les coles l men taires avant le 1 janvier 2020 pour les accueils de loisirs et les tablissements d enseignement du second degr et avant le 1 janvier 2023 pour les autres tablissements structures sociales et m dico sociales rattach es aux tablissements de sant tablissements d accueil de personnes handicap es tablissements p nitentiaires pour mineurs piscines HS301 jecteur PUBLI COMMUNIQU b UNE NOUVELLE OFFRE EN QUALIT DE L AIR Fort de ses 9 ann es d exp rience dans le domaine de l analyse EXPLO RAI R des gaz et COV en temps r el chez les industriels EXPLORAIR se Expertise GAZ COV sur site diversifie et mise sur la Qualit de l air int rieur et air ambiant Conseiller les collectivit s et les promoteurs Accr dit selon le Labref 30 sur les analyses et mesures des polluants dans les ERP l entreprise accompagne d sormais les collectivit s locales et les mairies dans le diagnostic et la recherche des sources polluantes ou l optimisation du confort int rieur EXPLORAIR s adresse aussi aux AMO promoteurs immobiliers architectes pour les mesures dans les b timents selon la cible HQE 11 et 13 qualit de l air gestion des risques de pollution par les produits de construction confort olfactif Accompagner les responsables d exploitation Les gestionnaires de STEP ou de centre de production de Biogaz sont galement concern s par l offr
46. 9 72 12 79 30 Email ioetmmw techholoqgi es Gom TMW a contain ris sa technologie ECOSTILL pour des applications locatives de 1 de 20 m3 jour apportant avantages financiers et op rationnels Une technologie innovante et modulable au service du recyclage de vos effluents wiww_tmw I8chnolsqies com RISQUES NATURELS ET HYDRAULIQUES LES AUDITS D PARTEMENTAUX PASSENT INAPER US l information relative la mise en uvre de la politique de pr vention des risques dans les d partements n a cess de progresser explique un rapport officiel Cependant mise part la DGPR peu d acteurs s y int ressent Un rapport minist riel publi fin septembre dresse un bilan mitig des inspections et audits relatifs la mise en uvre dans les d partements de la politique de pr vention des risques naturels et hydrauliques portant sur la p riode de 1997 2012 Le document r dig conjointement par le Conseil g n ral de l alimen tation de l agriculture et des espaces ruraux CGAAER et le Conseil g n ral de l environnement et du d veloppement durable CGEDD montre que par le biais de ces audits la connaissance en mati re de risque progresse Cependant la plupart des administrations n y pr te pas grand int r t Quant aux citoyens ils restent mal inform s malgr les obligations l gales Il conviendrait donc d am liorer la synth se annu elle et de l enrichir d un nombre limit
47. B G E 0 A HS319 RSE Six candidats retenus pour fabriquer les COMPTEURS LINKY ERDF filiale de distribution de EDF a choisi six entre prises pour la fabrication de 3 millions de compteurs lectriques Linky a annonc Les Echos le 26 ao t Les candidats retenus sont l Am ricain Itron le Suisse Landis Gyr les Fran ais Sagemcom et Maec l Allemand Ester et l Espagnol Ziv Ces entreprises ont d sormais une petite ann e pour produire le d ploiement des premiers compteurs dans les foyers interviendra partir de l automne 2015 relaie le quotidien Entre 60 et 80 des l ments des compteurs Linky seront fabriqu s en France avait d clar EDF en octobre 2013 CC Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 AGROCARBURANTS d velopper des textiles pour acc l rer la production d algues Financ hauteur de 3 4 M par l Union europ enne le projet AT SEA 9 met au point des textiles performants pour l exploitation haut rendement d algues marines d di es la production de m dicaments engrais bio logiques denr es alimentaires et agrocarburants Les essais de textiles men s dans les trois sites exp ri mentaux en Norv ge Ecosse et Irlande ont conduit des rendements allant jusqu 16 kg d algues humides par nr soit trois cinq fois plus que le rendement obtenu avec les m thodes d exploitation traditionnelles des algues marines Selon la Commission europ enne
48. Bretagne et le Conseil r gional de Bretagne ont lanc un appel projets compl mentaire destin aider les groupements de producteurs des coop ratives ou encore des terri toires En parall le le plan national Energie M thanisation Autonomie Azote EMAA lanc en mars 2013 s est illustr par le financement de 17 unit s de m thanisation des effluents agricoles sur les bassins versants concern s par les algues vertes en amont des zones littorales les plus touch es Quatre de ces unit s sont d j en service L agriculture tire la m thanisation bretonne Globalement en sept ans les deux plans r gionaux successifs ont permis de soutenir 112 projets sur les deux r gions pour un soutien public de 73 millions d euros sur un investissement total de 315 millions En Bretagne 72 projets ont b n fici de fonds publics pour un budget de 37 millions d euros Les unit s bretonnes devraient permettre de valoriser 932 000 tonnes de d chets organiques dont 40 d effluents d levage 50 d autres d chets et 10 de produits agricoles Quant la valorisation du biogaz des 41 unit s bretonnes en activit elle se fait avant tout en moteur de cog n ration c est dire en production simultan e d lectricit inject e sur le r seau r gional et de la chaleur valoris e proximit du lieu de production Bien que le premier projet de m thanisation d velopp sur le territoire soit un projet
49. Etretat Seine Maritime ou Verdun Meuse Cette collecte r pond par ailleurs deux objectifs du Grenelle de l Environnement convertir 25 du transport routier en un autre mode de transport moins polluant et atteindre un taux de recyclage des d chets m nagers de 45 en 2015 rappelle Sita Cette proximit avec le cheval fait prendre conscience aux plus jeunes de l importance du tri du recyclage et du respect de la nature note t il Les trieurs participent mieux et plus Une tude d Amorce et de l Ademe confirme que ce type de collec te permet de regagner la parti cipation des non trieurs La commune de Pont Sainte Marie Aube obtient un taux de refus moyen compris entre 4 5 et 5 contre 12 15 avant la collecte hippomobile mise en place en 2009 en partenariat avec le prestataire Hippo Ecolo En 2011 le tonnage d emballages m nagers recyclables EMR collect en secteur pavillonnaire tait de 110 tonnes Si dans la commune l augmentation de la performance de la collecte des EMR est un peu limit e par la pr sence des petits collectifs le presta taire de service Hippo Ecolo a mesur des volutions de tonnages allant jusqu 25 sur d autres collecti vit s indique Amorce Le bilan carbone est galement am lior de 65 Autre avantage une augmen tation importante des soutiens la tonne tri e et la r duction du co t aid de gestion des d chets Sur Pont Saint
50. Les algues marines sont promet feuses pour la production d agrocarburants si elles sont r colt es en quantit s suffisantes pour la pro duction industrielle estime la Commission Ce projet europ en r unit six PME une grande entreprise et quatre centres de recherche en provenance de Belgique Irlande Maroc Pays Bas Norv ge Portugal Espagne et Royaume Uni II pourrait contribuer cr er un secteur industriel repr sentant des milliards d euros en Europe ef favoriser ainsi la croissance et la cr ation d emplois estime Bert Groenendaal coordinateur du projet RB Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 HS320 jecteur Mia Electric relanc e en Vend e par MIA G N RATION La vente aux ench res des actifs de l entreprise de v hicules lectriques Mia Electric plac e en liquidation judiciaire en mars dernier s est d roul e les 24 et 25 septembre sur son site Cerizay Deux S vres Selon l AFP la marque les brevets et la cha ne de production de Mia ont t acquis pour 1 35 million d euros par un des actionnaires de Mia G n ration le consortium appartenant Mich le Boos l ex PDG de l entreprise Trois sp cialistes des batteries Mia G n ration regroupe le fonds d investissement asiatique Focus Asia ex actionnaire principal de Mia Electric le cor en Kokam et la holding Fulmen qui sont sp cialis s dans les batteries Alors que fin juillet le tribunal de com
51. NT n o eee ie a rE l essence et jusqu 5 par rapport au diesel Jusqu 50 de r duction de la pollution sonore par rapport un v hicule diesel est constat Les BOM s alimentent en GNV biom thane sur le d p t de bus g r par Transpole Elles consomment entre 80 et 100 normaux m tre cube NM au 100 km Le surco t des bennes GNV par rap port aux classiques est de 45 k l in vestissement pour les BOM de 19T et 54 k pour celles de 26T pr cise Lille M tropole Un changement de motorisation du parc de v hicules de collecte n cessite une tude pour un sch ma conomiquement viable des points suivants consom mation autonomie du v hicule fiabilit et performance suivi des co ts de maintenance et acceptabilit du personnel recommande la communaut urbaine service lecteur HS324 F G R ie K Tri Be gt i ga F P rs ES 3 NPA LA GAMME QUI R POND CHAQUE SITUATION ET GARANTIT L OPTIMISATION DU GO T DE VOS COLLECTES VOTRE MEILLEUR RETOUR SUR INVESTISSEMENT 4UTAC BAGUPE UTAE CERLM UVWUNVUNV_EBE CV _COEER 04 42 9279 30 06 16 36 45 04 mn DOSSIER Collecte des d chets Retour la COLLECTE HIPPOMOBILE des d chets La collecte hippomohile a fait son retour dans les ann es 2000 Plus de 250 communes fran aises de toute taille font appel aux services du cheval de trait plus cologique conomique et incitatif qu un
52. O dans les gaz d chappement sont autant d indicateurs qui permettent de qualifier les quipements de production et qui vont garantir l optimisation du site et assurer la rentabilit de l op ration Des enjeux conomiques associ s l optimisation de la production conomique des biogaz d pend du d achat de 90 Le mod le cog n rations contrat d obligation l lectricit En effet 75 E O LB 2 tr 7 f dd L I Lr m g 5 d hu dd m Ea bed O x du chiffre d affaires provient de la production d lectricit La structure tarifaire de ce contrat implique un fonctionnement annuel avec tout de m me la d claration d une puissance d injection sans plancher de production et une valorisation optimis e d nergie parts d lectricit et de chaleur autoconsomm e et ou revendue M me si ce productible d pend du rendement de la cog n ration il provient avant tout de l efficacit nerg tique et biologique du syst me et de sa disponibilit technique ces param tres sont corr l s et indissociables Le chiffre d affaires annuel sera donc d pendant de l optimisation nerg tique du proc d ce qui impliquera la ma trise de l autoconsommation et des usages nerg tiques le mode de calcul est d crit dans le contrat d obligation d achat BG11 le param tre principal tant la valorisation effective de la chaleur l optimisation d
53. Outre mer des laboratoires de la transition nerg tique H las aujourd hui les Outre mer sont bien loin de la trajectoire fix e par la PPI Le d veloppement des ENR est au point mort constate un rapport d information sur l adaptation du droit de l nergie aux Outre mer pr sent le 19 septembre la commission sp ciale charg e d examiner le projet de loi sur la transition nerg tique Les rapporteurs Ericka Bareigts PS Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 La R union et Daniel Fasquelle UMP Pas de Calais proposent d enrichir les dispositions inscrites dans le projet de loi afin d accro tre la gouvernance locale en mati re d nergie Selon eux l inadaptation de la politique nerg tique nationale ces territoires est l origine du blocage de la quasi totalit des projets d nergies renouvelables Une d pendance nerg tique probl matique Pourtant l enjeu est norme ces territoires sont particuli rement d pendants des nergies fossiles Ces mix nerg tiques co tent cher et p sent sur la contribution au service public de l lectricit CSPE qui supporte la p r quation tarifaire un tiers des charges Ils vont l encontre des objectifs climatiques nationaux tr s carbon s Mais ils posent galement un probl me social les activit s conomiques et les services publics d pendent de l approvisionnement en nergies
54. R a forte ment augment mais ils n ont pas t r alis s partout selon des crit res homog nes la concertation avec les collectivit s locales ayant souvent abouti des adaptations par rapport aux principes rappel s dans les circulaires Etre plus complet pour int resser plus d acteurs Pour rem dier ces probl mes le rapport met 25 recommandations Parmi celles ci il sugg re de faire conna tre les synth ses annuelles des audits De m me afin de mieux EN l impliquer l ensemble des directions administratives la mission propose que les audits s int ressent la prise en compte de la pr vention des risques dans les politiques de l Etat relatives l agriculture la for t l environnement la construction les transports l nergie le tourisme et la s curit civile Quant au contenu des audits le rapport pr conise qu ils Js int ressent la connais sance de la vuln rabilit Cette approche est notamment n cessaire la hi rarchisation des risques et au classement en terme de priorit des actions mener Enfin le rapport appelle mettre en uvre la directive Inspire pour rassembler les donn es g ographiques pour faciliter l acc s aux donn es relatives aux risques Philippe COLLET Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 service lecteur HS314 Profitez de plus de 10 ans d expertise en risques environnementaux en prot geant la p r
55. Renault KANGOO Express ZE utilitaire lectrique 24 236 km 9 890 TTC hors loyer batterie Chronologie r alisation des analyses avant les excavations Pour pouvoir identifier clairement les zones pollu es et limiter au strict n cessaire les quantit s de terres vacuer les analyses doivent tre r alis es id alement avant le d marrage des terrassements De plus la r alisation pr coce des analyses permet en s appuyant sur l historique du site de d terminer avec pr cision les polluants qui sont susceptibles d tre pr sents et qui doivent tre recherch s en priorit Dans le cas contraire la r partition des terres et des fili res devient plus al atoire avec un risque important de sur ou de sous repr sentation des pollutions et des volumes Repr sentativit r alisation d un nombre suffisant d analyses Le nombre d analyses doit tre suf fisant pour garantir la repr sentativit de la des pollution s et des volumes concern s Le co t des analyses rapport au prix final des frais de d pollution reste tr s faible par rap port aux conomies que ces ana lyses peuvent d gager aussi bien par l objectivation des volumes r el lement pollu s que par l importance de la pollution de niveau CET 1 dangereux ou seulement CET 2 non dangereux voire CET 3 etc Exhaustivit analyse des polluants concern s norm s et non norm s Les analyses doivent tre exha
56. a permettre de boucler les contrats de plans Ftat r gions qui Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 engag es compter du 1 septembre 2014 Le montant des travaux pris en compte est limit 8 000 euros pour une personne seule et 16 000 euros pour un couple La condition li e la r alisation d un bouquet de travaux est supprim e Le champ du cr dit d imp t est par ailleurs largi aux d penses d acquisition de bornes de recharge pour les v hicules lectriques et de comp teurs individuels d eau chaude ou de chauffage dans les copropri t s A compter du 1 janvier 2015 les travaux devront toutefois tre r al is s par des professionnels qualifi s reconnu garant de l environnement RGE comme cela est d j exig en mati re d co pr t taux z ro Une mesure transitoire est pr vue pour les contribuables ayant effec tu des d penses entre le 1 janvier et le 31 ao t 2014 dans le cadre d un bouquet de travaux Ainsi pour ceux qui ont r alis une premi re action ligible au bouquet avant le 31 ao t 2014 et qui r aliseront une seconde action apr s cette date la premi re b n ficiera du taux de 25 et la seconde du taux de 30 Les m thaniseurs agricoles exon r s de taxe fonci re Conform ment ce qu avait an nonc le ministre de l Agriculture mi septembre une disposition pr voit de faire b n ficier les m thaniseurs ag
57. agence estimant qu il est donc n cessaire de mettre en place une norme por performance des syst mes purateurs et ma t riaux toutes circonstances ainsi Que etH IL nocuit sa note l Ademe ne fait tat que d F trois normes exp riment les Ai NT C v ritier1a r A Pag service HS302 lecteur ft y j Fa F j AAA l 7 TE p I Wi j ds fi j Fi y mmac72 iStg Nouvelles recommandations sanitaires en cas de PIC DE POLLUTION Un arr t de la ministre de la Sant publi le 31 ao t pr cise les recommandations sanitaires qui doivent tre diffus es la population en cas d pisode de pollution atmosph rique Il abroge l arr t du 11 juin 2003 jusque l applicable Le texte pr cise les diff rents messages diffuser selon que lon est en phase d information ou d alerte selon le polluant qui est en cause particules fines dioxyde d azote dioxyde de soufre ou ozone et selon la cat gorie de population laquelle on s adresse populations vuln rables populations sensibles ou population g n rale Ainsi dans le cas d un pic de pollution aux particules fines le texte demande toujours aux populations vuln rables et sensibles d viter les activit s physiques et sportives intenses mais d sormais autant en plein air qu l int rieur et de reporter les activit s qui demandent le plus d effort Nouveaut il recommande d viter les d
58. aintenance sur les moteurs qui impliquent une r partition des interventions diff rentes e Cas par cas intervention forfaitaire et sans contrat les co ts sont variables selon le type d intervention et difficilement planifiables sur une ann e e Contrat type pr ventif la maintenance pr ventive qui va inclure toutes les maintenances pr vues dans le plan de maintenance simple du constructeur de la machine l exclusion de la maintenance g n rale des 60 000 heures 2019 2020 2021 2022 Fig 3 R partition des charges annuelles d exploitation en euros ou moins s curiser la production de l intervention au cas par cas au contrat li un plan de maintenance co t l heure de fonctionnement ou au MWh en passant par le contrat d un an tacite reconduction forfaitaire Sachant que le contrat d obligation d achat de l lectricit produite par la cog n ration biogaz est de 15 ans soit 120 000 h il est important de planifier la r novation du moteur dit overhaul sur l horizon conomique du projet Pour cela il faut pr voir un r investissement l ann e 8 et ventuellement la fin du contrat initial en cas de poursuite ou une provision annuelle Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 e Contrat type curatif ce type de contrat comprend la maintenance pr ventive et la t l assistance La maintenance curative permet la prise en charge de toutes les
59. aut d agglom ration Ainsi l ancienne solution pratiqu e pour collecter les d chets sur la plage tracteur remorque avec flux en sacs consommait 84 L 100 km de gasoil en pr hension manuelle kilom tres par jour Le co t total d investissement des trois bennes 2 ch ssis RVI et un ch ssis Volvo de PTAC de 26 T est de 534 833 euros Le syndicat souligne une r duction des impacts environnementaux li s la circulation des v hicules de col lecte sans toutefois les quantifier Sur les bennes bicompartiment es la ca pacit du petit compartiment pour le s lectif a n cessit un r am nagement des tourn es et les bennes ordures m nag res rentrent parfois 2 3 de remplissage en ordures m nag res le compartiment des recyclables est trop petit et sa vitesse de gt gt m DOSSIER gt remplissage peut p naliser l optimisation des tourn es pointe le syndicat Il recommande avant toute mise en oeuvre une tude globale pr alable de faisabilit ainsi que d opter pour une r partition 50 50 pour les compartiments ordures m nag res et d chets recyclables i de 26 tonnes qui circule dans seize communes de l agglom ration Le constructeur l avait d j mis l essai dans les rues du Grand Lyon en 2009 Avec environ 500 heures d exploitation ce v hicule avait parcouru Lyon plus de 5 000 kilom tres et collect 550 tonnes de Le prototype de BMO hybrid
60. bricant europ en de mobilier de bureaux d EMG Mobilier sp cialis dans le commerce de gros de mobilier de bureau d Office D p t distributeur de fournitures de bureau d A E Production professionnel de l agencement des espaces de travail et de Stal Industrie sp cialis dans la fabrication de mobiliers de magasin Ces cinq soci t s compl tent l actionnariat actuel de Valdelia compos de 12 fabricants Buronomic Clen Delagrave Eurosif Haworth Office Furniture Majencia Simire Sokoa Souvignef Steelcase Tecnitol et Umann RB Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 porcorex iStockphoto com BURBAN PALETTES rach te Recyclage emballage Industriel Sp cialis e dans la collecte le tri et la r paration des palettes usag es l entreprise Burban paletes vient d acqu rir Recyclage emballage industriel RED Cette reprise permet au groupe d accentuer sa pr sence sur le march du recyclage et de consolider ses implantations dans tout l Ouest de la France Le groupe esp re surtout largir ses sources d approvisionnement et optimiser ses co ts de transport D autres projets de reprise sont galement l tude dont deux en Bretagne qui permettraient au groupe Burban palettes d avoisiner les 20 millions d euros de chiffre d affaires sur la r gion D ici fin 2015 le groupe Burban palettes ef ses trois filiales Valorpal Palet facility management et Recyclage emballage industriel rep
61. ce incitative vise responsabiliser le producteur de d chets par une incitation financi re le conduisant produire le moins possible de d chets Mais on a pass ce cap l Les campagnes de commu nication fonctionnent bien et les Fran ais trient bien les d chets Plut t que de faire reposer la redevance sur la quantit de d chets r siduelle il vaudrait mieux qu elle prenne la forme d un bonus sur la qualit de tri qui se traduira par une ristourne en fin d ann e A d faut cela peut conduire br ler la poubelle r siduelle dans son jardin ou la d poser au fond d un bois et le bon geste de tri serait alors d truit par l app t d une conomie inf rieure 50 euros par an E amp T Les collectivit s doivent elles prendre en charge les d chets des entreprises J Y M II faut laisser ces d chets l chelle des terri toires d s lors que les volumes restent acceptables et que leur nature reste compatible avec les techniques de traitement des ordures m nag res Les possibilit s de collecte des d chets par la collectivit font partie des param tres examin s par les entreprises lorsqu elles tudient une implantation E amp T Les probl matiques de collecte sont elles les m mes en r gie et en d l gation de service public J Y M Les enjeux techniques sont les m mes En termes financiers en revanche les conomies r alis es ne sont pas r percut es aux usagers lorsque l on est en
62. contrat de maintenance sur la dur e de vie du moteur avec le prestataire o sont pr cis s notamment la dur e du contrat le co t des prestations qui sera li la quantit d nergie produite les limites de prestation les d lais d intervention Etablir un contrat est doublement avantageux pour l exploitant du site en cas de panne c est la garantie qu un technicien va intervenir rapidement il n y a donc pas d interruption prolong e du moteur c est aussi le moyen pour lui de ma triser ses d penses annuelles car ce qu il doit payer est pr vu dans le contrat Un contrat se n gocie lors de la consultation des entreprises DCE lors des tudes de conception Un montage de projet passent successivement par les tapes opportunit gt 64 gt gt faisabilit conception construction exploitation forma tion Afin d obtenir un outil de production adapt ses besoins le ma tre d ouvrage doit n gocier ou d finir plusieurs points cl s e Les garanties des quipements e Les garanties de performance e Le protocole de r ception e Le plan de maintenance e Une formation adapt e e La liste des pi ces d tach es minimum et leur prix e Le contrat d assistance technique et biologique Plusieurs types de contrat sont disponibles et permettent de plus OVERHAUL valeur moyenne 2014 2015 2016 2017 2018 pour assurer cette r novation Il y a plusieurs types de contrat de m
63. d l gation Mais les entreprises sont mises en comp tition au moment de la ren gociation des contrats E amp T La marge de man uvre des collectivit s n est elle pas r duite par les capacit s de traitement existantes J Y M Il y a une n cessit de proximit Les habitants doivent savoir o vont leurs d chets Mais il y aussi une n cessit de performance des quipements C est pourquoi les outils doivent tre mutualis s au sein des d partements Cette mutualisation doit aller plus loin travers un renforcement des plans d partementaux de gestion des d chets Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 Kendre LE TRI olus efficace Am liorer la collecte se pr pare en amont lors de la conception des produits mais aussi au moment du geste du tri en clarifiant les messages d livr s aux consom mateurs D ici 2020 de nouveaux dispositifs devraient tre mis en place Sophie FABR GAT Nomad_Soul Fotolia com vant de collecter les d chets il faut en r duire leurs volumes et am liorer le tri La production d ordures m nag res r siduaires est en diminution depuis 2005 Ainsi l objectif de r duction de 7 fix par le plan national de pr vention de la production des d chets pour 2009 2012 est aujourd hui pratiquement atteint soulignait la Cour des comptes dans son rapport public annuel publi le 11 f vrier dernier Cette diminution s est accompagn e
64. dechiquetes sans d pollution pr alable LE BON GESTE D POSEZ VOS DEEE PRO DANS LES CONTENEURS R CYLUM D DIES ils seront achemines vers un centre de traitement les mati res premi res r introduites dans un nouveau produit et Les polluants isol s pour etre traites 1000 TONNES DE DEEE PRO RECYCL ES DE MATI RES DANGEREUSES DE FACON ADAPT E D POLLU ES LA FILI RE EST FINANC E PAR LES FABRICANTS DE MAT RIELS ELECTRIQUES DE LINDUSTRIE DU BATIMENT DE L RECHERCHE ET DU MEDICAL MES b sx CS industrie B timent Recherche M dical Pour en savoir plus contactez nous Www recylum com r CY co organisme but non lucratif
65. e soit d acier soit d aluminium soit de papier ou de carton soit de plastique ainsi que leurs bouchons et leurs couvercles En revanche la r daction d un deuxi me d cret d application semble plus incertaine H las face notamment la pression de certains industriels le flou artistique n a de cesse d tre aliment quant l avenir qui lui sera finalement r serv Ainsi alors qu une r union interminist rielle devait se tenir cet apr s midi autour de l avenir du d cret d application rendant obligatoire le Triman au oe 1 janvier 2015 on apprend qu elle a t ajourn e regrettait le d put de la Meuse UDI Bertrand Pancher dans un communiqu de presse publi le 12 mars Pourtant rel ve t il ce logo est d j pr sent sur certains emballages Dans l attente de l obli gation Eco emballage et Adelphe ont galement lanc fin 2011 leur propre logo Info tri point vert Ces co organismes appliquent un bonus de 2 sur le point vert aux adh rents qui l utilisent ou utilisent une signal tique similaire Parall lement apr s une exp rimentation lanc e en 2012 sur l extension des consignes de tri l ensemble des emballages plastiques le gouvernement a pr vu la g n ralisation de cette mesure Il n exclut pas dans les cas pertinents la mise en place de syst mes de consigne Enfin est pr vue une harmo nisation progressive des couleurs des po
66. e d ouvrage et l op rateur bancaire associ Un contrat d un an avec tacite reconduction est fr quemment propos Il est important de privil gier un contrat li un plan de maintenance de dur e longue 7 8 ou 15 ans afin de b n ficier d un co t liss sur la dur e Le prix va d pendre du contrat et de sa dur e Le prestataire doit proposer un prix li au fonctionnement du moteur h ou MWh A titre d exemple sur un moteur de 500 kW les charges d exploitation sur 15 ans seront tr s variables de 11 k an 49 k an dans le temps selon l usure de la machine Seul un co t li la production permet de les lisser 23 k an hors overhaul et d assurer une meilleure ma trise de son compte d exploitation fig 3 Ce prix sera r visable selon une formule d actualisation qui modifiera le prix annuellement Il faut veiller ce que les indices utilis s soient connus et ma tris s Id alement ils seront proches de ceux utilis s pour l obligation d achat de l lectricit afin d viter les carts d favorables dans le temps Il est important de fixer les limites d intervention entre le prestataire et le ma tre d ouvrage et de d terminer les engagements de chacun Les obligations du prestataire e Les engagements en termes de r sultat taux de disponibilit puissances fournies consommations missions e Les engagements en termes de moyen d lais d intervention fournitu
67. e 25 de la consommation Soit une consommation moyenne de 52 L 100 km repr sentant une baisse de 16 litres par rapport une benne diesel classique de m me gabarit Cette r duction de la consommation de gasoil laisse envisager un gain de 5 000 par an sur le poste carburant par BOM table l agglom ration Le gain chiffr du bilan carbone est estim 8 tonnes de CO par an Le moteur lectrique du v hicule est dot d une puissance de 120 kW kilowatt en pic et de 70 kW en continu l agglom ration conclut une technologie fiable avec un fonctionnement abouti Les batte ries de traction n ont pas besoin d tre recharg es A partir d environ 20 km h le moteur diesel prend le relais II n est alors utilis que dans les phases o il consomme le moins c est dire en dehors de la phase de d marrage Le v hicule est en lo cation full service sur 5 ans dans le cadre du test I co te toutefois pr s du double d une location quivalente d un v hicule diesel L agglom ra tion ne pr voit pas d extension du test d autres secteurs ou d achat de BOM hybrides pour le moment Du fait de la pr sence des l ves conteneurs lectriques automatiques tr mie haute la collecte des sacs est rendue p nible pour les agents de collecte La conteneurisation de l agglom ration est effective depuis de nombreuses ann es dans la moiti des communes elle est en cour
68. e EXPLORAIR pour le diagnostic olfactif en limites de propri t s Une quipe mobile exp riment e et r active proc de toutes les mesures n cessaires COV mol cules pr conis es par l OQAI poussi res PM2 5 et 10 NO2 O3 CO2 H25 NH3 POLLUTEC Hall amp all e F stand 43 contact exploraircom e 04 74 79 85 36 www explorair com Air D POLLUTION PHOTOCATALYTIQUE DE L AIR UNE EFFICACIT R ELLE DOUTEUSE La d pollution photocatalytique de l air a conquis un march mondial de plus d un milliard d euros Mais l Ademe n est pas convaincue de son efficacit car les r sultats en conditions r elles ne confirment pas ceux obtenus en laboratoire L efficacit de la photocatalyse est non prouv e en conditions r elles d utilisation car d pendante de la concentration en polluants de l humidit de l intensit lumineuse des variations de temp rature comme du contact avec le catalyseur a indiqu l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Ademe courant septembre en s appuyant sur une fiche technique r dig e en mai 2013 De plus l Ademe souligne qu il est difficile aujourd hui de mesurer leurs effets sur la sant ainsi que leur consommation ner g tique compte tenu de l absence de certification Faute de parvenir d montrer l efficacit de la photo catalyse en condition r elle pour l Ademe la priorit en mati re d am li
69. e Marie il a t constat en 2011 un quasi triplement des soutiens l co organisme Eco Emballages avec l arriv e du cheval Au global la tourn e met 3 jours en mode cheval contre 2 jours en bennes sur la commune service lecteur HS325 DEKRA Industrial votre partenaire Qualit Hygi ne S curit Environnement DEKRA vous aide pr server l environnement et vous accompagne sur le chemin d une croissance durable www dekra industrial fr On the safe side INCIN RATION DE D CHETS QUELLES UTURES VALEURS LIMITES D MISSIONS Hubert DE CHEFDEBIEN Directeur des relations institutionnelles de CNIM Environnement pr sident du Snide syndicat des concepteurs constructeurs de centres de valorisation des d chets Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 uelles seront les futures Valeurs Limites d Emission des centres de valorisation ner g tique des d chets par incin ration C est pr cis ment la mission d un groupe de travail europ en qui commence ses travaux sur la r vision du document de r f rence BREF d crivant les Meilleures Techniques Disponibles pour ces installations ainsi que les per formances qui leur sont associ es La Directive de 1996 connue sous le nom d IPPC Integrated Pollution Prevention and Control est sans aucun doute le texte qui a fait de l Union europ enne le pionnier de la protection globale de l environnement Elle propose un
70. e annex s au contrat de maintenance M me s il est moins facile d obtenir un contrat sur la dur e pour des petites puissances il y a de plus en plus de prestataires qui proposent un service complet et engageant Cependant il s agit bien de mettre en place un partenariat qu il faut construire en prenant en compte une mont e en comp tence progressive du ma tre d ouvrage Un transfert de m thode et de savoir faire doit s op rer entre le constructeur et le ma tre d ouvrage dans le but de diminuer le taux de pannes et d indisponibilit de la machine Une 36 00 14 400 108 000 18 Cas cas forfait 27 00 21600 1 8 79 4 7 17 33 20800 155 997 11 93 14320 107398 1185 34527 284455 11 84 56 842 426 312 8 RSR 8 47 7 Garanties Heure 7 89 16 89 71199 533991 8 e 14 65 16 88 115 500 8 8 985 Garanties mwh is 12 42 105599 791993 Fig 4 co t des prestations d exploitation selon les puissances question du surinvestissement initial li aux choix de mat riel doit se poser syst matiquement projet par projet s il permet d abaisser les co ts de fonctionnement cas 5 Des compteurs de qualit permettent un meilleur suivi des performances et vitent les d rives tout comme le traitement de l H2S et de la teneur en eau du biogaz vite le vieillissement pr
71. e approche int gr e comprenant 12 crit res et pr cise qu am liorer un crit re comme la protection de lair ne doit pas se faire au d triment d un autre par exemple la consommation d nergie ou de r actif Cette directive d finit la notion de Meilleures Techniques Disponibles MTD ou BAT qui pour chacune des industries qu elle couvre ont t d crites dans un ensemble de 33 documents de r f rence les BREF non juridiquement contraignants r dig s par des groupes de travail techni ques compos s de repr sentants de la Commission europ enne et des Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 Etats membres d industriels et d ONG Publi en 2006 le BREF d di l incin ration compte 638 pages On y trouve la liste des MTD et les niveaux moyens d missions qui leur sont typiquement associ s en situation de fonctionnement normal les BATAELs Mais dans le cadre de la directive IPPC la mise en uvre de toutes les MTD n tait pas obligatoire et les BATAELS valeurs obtenues en exploitation taient forc ment inf rieures aux Valeurs Limite d Emission VLE Un encadrement plus strict pour les installations industrielles En 2010 la directive IPPC et six autres directives dont celle sur l incin ration des d chets ont t fusionn es dans la directive sur les missions industrielles IED Avec un changement majeur les installations industrielles
72. e de Renault Trucks a t test en 2009 dans les rues du Grand Lyon Les v hicules hybrides nouvelle g n ration Des choix techniques ambitieux pris par certaines collectivit s no tamment en mati re de motorisation des v hicules de collecte confir ment la volont de s orienter vers un transport plus propre des d chets estiment Amorce et l Ademe Ces orientations techniques sont toute fois tudier de pr s au regard des enjeux financiers des conditions d approvisionnement en carburant qui peut provenir de la transformation m me de d chets de l ad quation la typologie de l habitat crois s avec la performance et l autonomie des v hicules analysent l association et l Agence Certaines collectivit s l instar de Mulhouse Alsace Agglom ra tion M2A testent des bennes ordures m nag res hybrides diesel lectriques Depuis f vrier 2012 M2A exp rimente un prototype d velopp par Renault Trucks Distribution Hybrys Tech de PTAC Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 d chets La BOM hybride livr e M2A est la premi re de ce genre tre exploit e en r gie La technologie hybride est particuli rement adapt e la distribution ou la collecte de d chets en milieu urbain ou p riurbain souligne l agglom ration Le gain de consommation gasoil estim par le constructeur peut se traduire par une baisse d
73. e eux un grand nombre de critiques rel ve le rapport Mieux informer sur les d chets contenant de l amiante D s lors que les particuliers r alisent eux m mes en d pit des textes des travaux les conduisant produire des d chets contenant de l amiante il convient de r fl chir au meilleur moyen de permettre la collecte de ces d chets explique le rapport Le comit de suivi propose donc de renforcer l information des populations sur les d chets contenant de l amiante mais aussi de r fl chir au co t des op rations de traitement car un co t de stockage lev renforce le risque de d charges sauvages sp cialement en milieu rural Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 EN Lo 4 Sa El m rn me Un manque de controle de la part des services de l Etat Le nombre de corps de contr le est faible et les interventions ne sont pas bien coordonn es Ceci explique l absence d am lioration des pratiques de d samiantage pourtant attendue suite au d cret du 4 mai 20129 rel ve l tude De plus les organismes accr dit s ne r alisent pas assez de contr le des entreprises de d samiantage sur les chantiers en situation r elle Or l effectivit du d cret du 4 mai 2012 relatif aux risques d exposition l amiante est cruciale En effet ce d cret a r form en profondeur le code du travail I a notamment abaiss la valeur limite d exposition p
74. e forme avait atteint sa capacit maximale de production De ce fait le site ne permettait plus d int grer de nouveaux paliers de croissance explique Eric Bestion directeur de Chimirec Massif central Construite sur un terrain de plus de 1 2 hectare et d une superficie totale de 2 600 m2 le site a n cessit un investissement de 2 2 millions d euros Il accueille des huiles usag es et des d chets dangereux et non dangereux Apr s un tri et un regroupement ces d chets sont envoy s dans les centres de valorisation du groupe ou vers des centres partenaires L afout majeur de cette nouvelle plate forme r side dans son laboratoire permettant d analyser les d chets ef de trouver les meilleures solutions de valorisation pour r pondre de nouveaux march s explique Chimirec FR Note Cet investissement a t r alis gr ce au concours financier de la r gion Languedoc Roussillon et du d partement de la Loz re avec l appui de la Carsat Languedoc Roussillon Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 Adivalor cr ation d une REP pour les FILETS AGRICOLES PARAGR LE Le 8 octobre les producteurs de fruits leurs organisations conomiques les coop ratives et les fabricants de filets ont annonc s tre alli s pour organiser une fili re nationale de collecte et de valorisation des filets paragr le Depuis le 1 octobre les principaux fabricants et importateurs appliquent leur facture une co conirib
75. e hausse du diesel va toucher les particuliers et les entreprises l exception des transporteurs explique Christian Eckert Elle s ajoutera la hausse de 2 centimes par litre li e la mont e en puissance de la contribution climat nergie Des augmentations qui sont relativiser pr cise Michel Sapin lorsqu on les met en regard de la baisse de 7 centimes du litre de gazole constat e depuis le d but de l ann e Cr ation du cr dit d imp t pour la transition nergetique Comme l avait annonc le Premier ministre Manuel Valls fin ao t il est cr un cr dit d imp t pour la transition nerg tique CITE qui est une refonte du cr dit d imp t d veloppement durable CIDD b n ficiant aux d penses engag es pour la r novation nerg tique des logements Son taux est port de 25 15 pour les travaux uniques D 30 du montant des d penses La valorisation des d chets agricoles est une source importante et insuffisamment exploit e d nergie renouvelable MINIST RE DES FINANCES deux centimes par litre de la taxe int rieure de consommation sur les produits nerg tiques TICPE frappant le gazole dont les effets nocifs sur la sant et l environnement sont connus rappelle le secr taire d Etat Cette augmentation ne va pas au budget de fonctionnement de Etat mais est enti rement affect e des travaux de transport insiste Michel Sapin pr cisant qu elle v
76. e le 1 septembre 2014 et le 30 d cembre 2015 Le projet de loi pr voit galement une exon ration temporaire sur les donations de terrains b tir dans la limite de 100 000 euros Elle concernera les donations constat es par un acte authentique sign entre le 1 janvier et le 31 d cembre 2015 La condition pour en b n ficier S engager construire dans un d lai de quatre ans un logement destin l habitation S ajoute cela une s rie de mesures visant encourager la construction de logements neufs et faciliter l acc s la propri t Dans ce cadre il est pr vu de prolonger le pr t taux z ro jusqu au 31 d cembre 2017 Le dispositif sera largi l achat de logements anciens r habiliter dans certaines communes rurales Par mesure de simplification le minist re de l Economie annonce que la condition de performance nerg tique des logements acquis sera supprim e La r glementation thermique de 2012 tant d j la norme r glementaire depuis le 1 janvier 2013 justifie t il Suppression de taxes faible rendement Le ministre de l Economie confirme enfin sans autres pr cisions la suppression de plusieurs taxes rendement nul ou faible pr sentant des co ts de gestion lev e Parmi ces taxes figurent la taxe Grenelle 2 sur les ventes immobili res aux abords des transports collectifs en site propre la redevance due par les titulaires de concessions de s
77. e quelques kilowatts plusieurs dizaines de m gawatts de multiples process sont disponibles avec un degr de fiabilit et d efficacit important les premiers moteurs gaz en obligation d achat ont t mis en service il y a plus de 20 ans N anmoins comme tout proc d industriel ces installations demandent une conduite et une exploitation adapt es qui passent par une m thodologie m lant technique conomie organisation et contrat Il existe diff rents proc d s permet tant de produire de l lectricit partir de la combustion de biomasse des moteurs et turbines gaz des turbines vapeur Cycle organique de Rankine ORC des moteurs Stirling moteurs vapeur Quelle que soit la technique la cog n ration n cessite un entretien programm et demande au ma tre Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 d ouvrage une v ritable polyvalence afin d assurer l exploitation Celle ci concerne de multiples domaines tels que la m canique l lectricit la thermique l informatique et demande une gestion n cessitant de la planification des astreintes et du contr le r gulier Cette organisation est indispensable afin d assurer une disponibilit technique maximale et ainsi optimiser les recettes de production Les rendements le temps de fonctionnement annuel la production r elle inject e sur le r seau le taux d oxydes d azote Nox et de monoxyde de carbone C
78. e simple benne ordures Rachida BOUGHRIET jamg FRE m iis a Ma La collecte hippomobile permettrait une progression de 15 17 du tonnage des emballages collect s ujourd hui plus de 250 communes en France de toute taille optent pour le ser vice hippomobile pour remplir leurs missions de services publics parce que cela co te moins cher parce que cela pollue moins et parce que cela renforce les liens sociaux et sensibilise les habitants au respect de l environnement et du d veloppement durable selon Olivier Linot pr sident de la commission nationale des che vaux territoriaux L utilisation des chevaux territoriaux ne cesse d augmenter puisqu en 2001 seule une quinzaine de communes employait cet animal Et pour cause un cheval peut travailler une quinzaine d ann es avec un co t d entretien inf rieur celui d un engin m canique selon M Linot Outre la collecte des d chets le cheval reprend du ser vice dans d autres t ches arro sage des espaces verts ramassage Scolaire ou transport des personnes Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 Partenariat entre Sita et les Haras nationaux La collecte s lective de d chets que ce soit en centre ville et en zones touristiques s effectue par le biais d une voiture tir e par un ou deux chevaux En 2008 Sita filiale de Suez Environnement a sign un partenariat avec les Haras nationa
79. e votre num ro abonn ABxxxxx Feuilletez votre revue en ligne T l chargez votre revue en PDF e Recherchez dans les archives L OBLIGATION DE SURVEILLANCE DE L AIR DANS LES CR CHES ET COLES EST REPOUSS E SINE DIE La ministre de l Ecologie a annonc le 24 septembre le report de l obligation de surveillance de la qualit de l air dans les cr ches pr vue pour le 1 janvier 2015 Les lus avaient point du doigt le co t et la complexit de cette mesure Le communiqu est laconique S gol ne Royal repousse l obligation pr vue en janvier 2015 de mesurer la qualit de l air dans les 9 000 cr ches et 17 000 coles maternelles fran aises et la remplace par un guide de bonnes pratiques La ministre de l Ecologie r pond ainsi aux inqui tudes des maires face aux d crets encadrant cette mesure parus fin 2011 d but 2012 Si le communiqu ne pr cise pas quelle date cette obligation est report e cette annonce confirme la volont du gouvernent de simplifier le dispositif En juillet dernier plusieurs projets de texte pr voyant un all gement de cette mesure ont en effet t mis en consultation Il s agissait pour le gouvernement de faire cho au rapport Lambert Boulard sur la simplification des normes qui avait d cern au dispositif le deuxi me prix des normes absurdes Une obligation complexe et co teuse L obligation de la surveillance de l air int rieur
80. echerch par les collectivit s est la r duction des co ts de collecte C est le cas du syndicat intercommunal de traitement des ordures m nag res Sitom Sud Rh ne qui a engag au d but des ann es 2000 une politique volontariste de ma trise des co ts du a service collecte bas e sur la AtomA iStock com CE DES COLLECTES uveaux COMporements r duction et l optimisation du nombre des tourn es de ramassage l objectif affich tait clair conte nir la hausse programm e de 25 des march s de collecte d ordures m nag res Cependant cette r duction du nombre de tourn es vise aussi d autres objectifs Le plus souvent il s agit d adapter le ser vice aux nouvelles habitudes et tout particuli rement au d veloppement du tri et de la collecte s lective qui d tourne certains d chets des bacs OMR vers les bacs de collecte s lective ou les points d apport L objectif est donc ici de mieux coordonner les diff rents types de ramassage plut t que de seulement r duire le nombre de passages La d marche participe l adaptation du service aux contraintes du terri toire la r glementation et aux besoins des usagers De meilleures performances de tri Les r sultats obtenus par le Sitom Sud Rh ne sont particuli rement instructifs concernant les diff rents enjeux et leur articulation Concr tement le Sitom a d abord modifi la collecte s lective en passant d une fr
81. ectes existantes E amp T Peut on baisser les fr quences de collecte J Y M Les situations sont tr s diff rentes entre le milieu rural et le milieu urbain Ce dernier se caract rise par sa forte densit et des capacit s de stockage limit es qui imposent des collectes plus fr quentes En milieu rural on peut faire moins d une col lecte par semaine en d veloppant le compostage des d chets organiques et les apports volontaires du verre ou des encombrants en d ch teries E amp T Que pensez vous du projet de d cret sur cette question J Y M Le fait d avoir demander une d rogation pour pouvoir faire moins d une collecte par semaine pose probl me Cela signifie que l on est hors r gle Des citoyens pointilleux pourraient venir chercher des noises Les maires en tant que responsables de la salubrit publique savent ce qu ils font Il faut laisser les territoires s adapter aux caract ristiques locales E amp T Qu est ce qui permet au final d am liorer la collecte J Y M C est la simplification du geste de tri Dans le p rim tre du syndicat mixte que je pr side la pro duction de d chets a baiss de 16 en moins de deux ans gr ce l exten sion des consignes de tri une collecte monoflux des d chets recyclables accompagn e d une cha ne de tri permettant leur s paration E amp T Des am liorations tech niques sont elles possibles J Y M En milieu urbain
82. embre 2014 des terres d pollu es L utilisation conjointe des diff rentes fili res fran aises et limitrophes permet d at teindre un optimum conomique et de minimiser les co ts de d pollution chaque polluant son traitement Les principales fili res concern es sont le traitement biologique le la vage physico chimique et la d sorp tion thermique La plupart des traite ments ont une action seulement sur un nombre limit de polluants Le traitement biologique agit essentiel lement sur les hydrocarbures l gers et les volatils BTEX et la d sorption thermique agit sur les m mes polluants les HAP COHV cyanures PCB etc Ces deux traitements ne sont par contre pas efficaces sur les pollutions m talliques Le lavage physico chimique est le seul traitement qui par d finition s paration granulaire concentration des polluants dans la fraction fine liminer a une action sur tous les polluants Les r glemen tations des pays limitrophes fixent des crit res d acceptation qui comme en France concernent les centres d en fouissement CET 3 CET 2 CET1 mais galement les fili res de traite ment et donc les niveaux de concen trations r siduelles qui permettent la r utilisation des terres apr s d pol lution Ces crit res polluants et m thodes d analyse fix s par le l gisla teur ne sont pas les m mes d un pays l autre Tels polluants consid r s comme norm s dans un
83. en batch et en percolation donnent des r sultats quivalents pour un m me L S et align s sur une droite croissante Uniquement dans ce cas ces r sultats peuvent tre extrapol s pour pr dire des flux lixivi s long terme Afin de d terminer si l l ment consid r correspond ce crit re sur un sol donn il faut donc r aliser la fois des essais de percolation et en batch plusieurs L S Notes S paration de corps adsorb s par lavage progressif Les quatre colonnes de substrat artificiel ont t pr par es deux avec du sable de Fontainebleau pur et deux avec 95 de sable et 5 de kaolinite Les 20 premiers centim tres de la colonne ont t artificiellement pollu s avec des min raux m talliques et m tallo des que sont Cr K O ZnCO Cr 0 et As S avec une concentration des l ments de 3 54 5 25 7 7 et 1 42 g kg respectivement Les min raux ont t ajout s sous forme de poudre dans les m mes proportions pour les deux types de colonnes sable et sable kaolinite Trois colonnes de cendres ont t pr par es avec 80 centim tres de sol sablonneux non remani Les carottes de sol ont t pr lev es l aide d un carottier creux en acier de 85millim tres de diam tre int rieur et 1 080 millim tres de longueur Les 20 premiers centim tres de la colonne ont t compl t s par des cendres de combustion contenant du quartz de la mullite de la mullite chromienne ainsi
84. enir des projets de production d lectricit renouvelable qui emportaient l adh sion de toutes les parties prenantes locales comme par exemple le projet de g othermie dans l arc carib en Deux r gions ultramarines b n ficient de l habili tation l gislative en mati re d ner gie la Martinique et la Guadeloupe et peuvent d finir leurs propres r gles en mati re d ENR et de ma trise de l nergie Si cela leur permet d tre plus r actives et de corriger les inadaptations de la r glementation nationale elles manquent cependant d appui technique des services de l Etat dans la mise en uvre de leurs politiques regrettent les rapporteurs Revoir la gouvernance de l nergie Face ces constats les rapporteurs proposent de renforcer les disposi tions inscrites dans le projet de loi sur la transition nerg tique Celui ci pr voit que chaque territoire d Outre mer fasse l objet d une programma tion pluriannuelle de l nergie PPE avec des objectifs quantitatifs par fili re et une enveloppe maximale de financements publics Les LEROUX amp LOTZ Groupe Altawest Leroux amp Lotz Technologies LLT fournit des lots chaudi re et des quipements industriels rapporteurs proposent que ces PPE int grent les sch mas pr existants Prerure et SRCAE et soient co construits par l Etat et la R gion Les PPE Outre mer devraient galement pouvoir fixer un seuil appropri de d c
85. ennit de votre entreprise gr ce aux solutions d assurances du leader fran ais des risques environnementaux Les nouvelles Lois sur la responsabilit environnementale n cessitent de nouvelles solutions d assurances AIG regroupe des souscripteurs dont l exp rience internationale et l expertise leur permettent de traiter des expositions environnementales complexes incluant la pollution graduelle les frais de d pollution des sites et les dommages qui menacent notre cosyst me Quoi de plus naturel avec le n 1 fran ais des risques environnementaux Pour en savoir plus www aig com fr EnviroPro Pr ts pour demain Ales est le nom commercial du segu mondal d osnuonce dommages el responsabilit d AlL ne elven ANG Europe limited Les ossoranens son unies pot AIG Eiropa Limited le pr sent docurneni i eai hoin ite informel unigvement e pe peur er cucymons servir de justificatif d assurance Polle eu susceptible de varier selon des paya al peut ne pos Ahe dianonible den tous les poyi eur pen l tendue ei les conchiions d application des garanies sont aswjetles max disposions du conira losswuronce qui sont disponibles sur sinple demande Fous plus d inlorm stins vous pouvez vistier notre gie emne an COUT AIG Europe limiled Socidi gu copial de 197118 478 h res saring immainicuh e an Anoloterre ot qu Pays de Galles sous le numre IAB 260 Bulking 58 Fenchurch Street london ECIM AAB Uried ngdom Suceursots ri
86. environnement mais uniquement celle du code de la sant publique avec d claration d utilit publique Certaines utilisations des sols ou pratiques notamment agricoles pourraient faire l objet de servitudes d utilit publique et donc tre indemnis es en cons quence d veloppe le rapport Dans les cas o cela est n cessaire la DUP offrirait la possibilit la collectivit de proc der l acquisition des parcelles les plus strat giques par voie d expropriation et d autres par la voie du droit de pr emption sans pr judice bien s r de l accord amiable des propri taires Vers une convergence des normes d eau brute et d eau potable Le document consid re galement que les diff rences entre les limites de qualit tablies pour l eau brute et l eau desservie encouragent les traitements curatifs au d pend des approches pr ventives Pour la mission il faudrait donc arr ter un ch ancier de convergence des normes d eau brute et d eau potable pour les nitrates et les pesticides afin de favoriser la pr vention des pollu tions diffuses en vue de reconqu rir la qualit des eaux brutes des cap tages au plus tard en 2027 Autre difficult selon le rapport les me sures agri environnementales MAE financement privil gi des plans d action s av rent inadapt es du fait de la trop faible dur e d engagement r ciproque le montant de l aide et la non prise en compte de la
87. er de 15 40 de mati re Let RE se es Rene ag Es SE s che en fonction des substrats indique la CRE Selon les chiffres de GrDF 28 stations d puration sont potentiellement int ress es par une injection dans son r seau neuf projets ayant d j demand une tude de faisabilit et trois une tude d taill e Le d bit moyen de ces installations est de l ordre de 180 m par heure mais avec une forte dispersion de 40 500 m par heure pr cise la CRE En supposant que les installations b n ficiant d un contrat d achat aux tarifs propos s injecteront environ 500 gigawattheures GWh de biom thane dans les r seaux de gaz naturel en 2020 les charges de service public sont estim es environ 25 millions d euros par an explique la CRE L Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Ademe value pour sa part le potentiel total 2 000 GWh Un premier arr t modifie la liste des intrants dans la production de biom thane pour l injection dans les r seaux de gaz naturel Il pr voit que le biogaz produit partir des mati res telles que boues graisses liquides organiques r sultant du traitement des eaux us es trait es en digesteur puisse tre inject au r seau Comme F AL A PRE ES i r annonc par S gol ne Royal mi juillet cet arr t ouvre la voie l injection du biogaz produit en station d puration
88. es installations industrielles et les VLE qui leur sont appliqu es sont d j depuis de longues ann es les plus basses De plus pour toutes les autres industries le respect des limites d missions n est requis qu en p riode normale de fonction nement alors que pour l incin ration il l est aussi en p riodes de d mar rage d arr t et m me de panne Quels enjeux pour la sant et pour l environnement Les exigences drastiques qui enca drent l incin ration depuis plusieurs ann es ont eu un effet b n fique les missions des usines d incin ration des d chets toutes aux normes les plus s v res en Europe depuis pr s de dix ans ne pr sentent pas de caract re dangereux ni pour la qualit de lair que pour la sant En t moignent diff rents rapports Combustion Install ITAS oxidizers to reach scientifiques ainsi d ailleurs qu un document du minist re de l Environnement allemand alors dirig par J rgen Trittin du parti Vert die Gr nen Le niveau de performance atteint aujourd hui par les acteurs du secteur de l incin ration des d chets est tel que la marge de progression est aujourd hui tr s faible Il convient donc de veiller ce que la volont de r duire encore davantage les missions ne soit pas contre productive en sur dosant par exemple un r actif pour r cup rer une quantit suppl mentaire infime de polluant Ne serait il pas plus efficace d utiliser
89. essais de lixiviation n cessaires pour chaque sol La diff rence de comportement ne se situe pas n cessairement entre diff rents m taux il s agit de couples sols m taux qui ont des comportements sp cifiques Ce point a d j t constat dans la litt rature En effet hormis pour les l ments ais ment lixiviables il n existe pas de comportement sp cifique un m tal valable sur tous les sols En raison de ces diff rents comportements et malgr de nombreuses tudes il n est pas possible actuellement de pr dire le devenir de chaque l ment sur un sol donn Il est donc n cessaire de r aliser des essais de lixiviation sur chaque sol Dans le cas d une relation lin aire la pr diction est possible Il semble que ce cas puisse tre identifi par la pr sence d une corr lation lin aire entre teneur lixivi e et L S pr sente la fois sur les batch et les colonnes de percolation Dans ce cas en effet la colonne non satur e conduit des valeurs qui correspondent aux valeurs extrapol es partir de la relation pr c dente Lorsque les concentrations lixivi es ne sont pas croissantes avec le L S les diff rents essais batch et percolation montrent des diff rences d un facteur 10 100 Dans ce cas aucune pr vision n est possible l aide d essais de lixiviation classiques et la seule solution consiste r aliser des essais long terme dans les conditions proches du terrain En c
90. est particuli rement int ressant d obser ver de fortes contraintes ressenties dans le cas des eaux de rejets en aaf p 2 N Toa nes lt RD rr i n m i N 1 A T dr K E o a PA S l i E ri An Ah f I 0 Ke w f i 5 gt Capteur amp rom trique pour la mesure en continu et in situ de la teneur en nitrate dans les eaux sortie d usine d incin ration alors que c est le seul domaine d appli cation soumis une obligation r gle mentaire constate l tude Toutefois pour l ensemble des eaux littorales marines estuariennes la mesure en continu se d gage des biais dus la m t o et la logis tique traitement de conservation transport Pour les eaux pluviales cette m thode autorise des pr vi sions dans un large p rim tre mais n cessite galement une expertise pour calibrer des radars et r aliser une mod lisation hydraulique com pl mentaire Enfin pour les eaux souterraines elle rend possible les calculs de recharge de nappe Un co t d investissement lev pour les eaux de surface D un point de vue financier l tude a estim que selon le type de param tres mesur s et la technologie utilis e il faudrait de une trois mesures de laboratoire par jour pour justifier la mesure en continu Ce ratio est amen diminuer du fait de la baisse des codts de la mesure en continu et de la stagnation des co ts de laboratoire
91. g tique des d chets par voie thermique De m me que l italien est la forme moderne du latin thermovalorisateur qualifie l objectif de valorisation de l nergie des d chets qui l emporte aujourd hui sur le simple but initial de r duction des d chets en cendre que traduit l ancienne d nomination d incin rateur du latin in cinere service HS326 lecteur fives www Itas com www fivesgroup com r _ TERRES EXCAV ES lo chronologie a repr sentativit et l exhaustivit des analyses sont essentielles terres excav es gt Philippe Duchesne Ing nieur d affaires France chez Grond Recyclage Centrum revient sur les diff rentes fili res en France et dans les pays limitrophes qui permettent d atteindre un optimum conomique et de minimiser les co ts de d pollution des Philippe DUCHESNE Ing nieur d affaires France chez GRC KALLO es terres excav es pollu es sont dans la majorit des cas vacu es vers des centres d enfouisse ment CET 1 CET 2 Ces derni res ann es des quantit s de plus en plus importantes sont aussi envoy es vers les fili res traitement et recyclage de quelques pays limitrophes Belgique Pays Bas Allemagne Les co ts de traitement y sont sensiblement moins lev s qu en France car ces pays disposent d une r glementation qui permet la r utilisation large chelle Environnement amp Technique HS Pollutec D c
92. ifs de l lectricit et met jour les pr visions de demande en eau potable Selon Suez ce syst me permettrait de r duire jusqu 20 des co ts Le groupe rappelle que les nouveaux services font partie de ses priorit s de d veloppement et qu il anticipe sur ce march une croissance annuelle moyenne de son chiffre d affaires sup rieure 10 SF Extrait du EST n 340 Octobre 2014 Alstom et DCNS d veloppent UNE EOLIENNE FLOTTANTE DE 6 MW Mi octobre Alstom et DCNS ont sign un accord de partenariat afin de d velopper puis commercialiser un syst me int gr d olienne flottante semi submersible d une puissance de 6 m gawa ts MW Cette olienne devrait coupler un syst me flottant semi submersible d velopp par DCNS et la turbine olienne offshore Haliade 150 produite par Alstom et utilis e dans l olien offshore pos Le projet intitul Sea Reed a t retenu par l Ademe dans le cadre de l appel manifestation d int r t AMD Briques technologiques des nergies marines renouvelables La phase d tude et de certification du syst me flottant quip de la turbine sera ainsi couverte par les 6 M apport s par les Investissements d avenir Alstom sera en charge des tudes pour l adaptation et l int gration de l Haliade au syst me flottant De son c t DCNS conduira les tudes sur le comportement le dimensionnement l industrialisation et l installation du syst me flottant avec la
93. innovation index 2014 GESTION DES D CHETS 4 D Cet aide m moire propose une synth se technique qui aborde successivement les diff rents types de d chets les modes de collecte et de gestion les fili res de traitement et leurs perspectives les acteurs du secteur et les principales donn es conomiques GESTION GLOBALE DES D CHETS MENAGERS Cet ouvrage sous forme de classeur a pour vocation de suivre toutes les tapes de la vie des d chets m nagers depuis la collecte jusqu au stockage V ritable outil d aide la gestion des d chets il est enrichi d exemples concrets et de retours d exp riences II vous permettra de choisir les meilleures options d optimiser les diff rentes fili res et d tablir votre plan de pr vention AIDE M MOIRE Er et financi res Cet ouvrage est un outil de travail indispensable aux responsables environnement Il est n cessaire d engager la transition vers une conomie circulaire qui repose sur la r utilisation la r paration la refabrication et le recyclage des produits Mais comment Par la mise en place d une L CONOMIE CIRCULAIRE Comment la mettre en oeuvre dans l entreprise gr ce la reverse supply chain co industries et chefs d entreprise LE CHEVAL AU SERVICE DE LA VILLE En l an 2000 Trouville sur Mer d cide d utiliser le cheval pour collecter les bouteilles vides dans les restaurants et bars Aujourd hui les chevaux ass
94. ins concluantes en raison notamment d une saturation trop rapide du semi conducteur Trop de param tres prendre en compte Cependant lorsqu on passe aux tudes en conditions r elles il est difficile de prouver l efficacit du proc d S agissant de la d pollution de lair int rieur les quelques exp rimentations men es sur les filtres catalytiques ont montr de forts carts de performances selon les m langes de polluants employ s et les d bits d air test s rapporte l agence Celles men es sur des purateurs d air autonomes et des mat riaux photoactifs ont montr un abattement tr s faible des mol cules chimiques Sont notamment en cause l usure du photocataliseur et les coulements d air en int rieur qui ne permettent pas une adsorption suffisante des polluants Selon l Ademe le nombre important de param tres d terminant l efficacit du proc d est en cause La concentration du polluant tout d abord ne doit pas d passer certains seuils au del desquels la surface du photocatalyseur est satur e M me chose pour l humidit qui favorise la g n ration des radicaux libres qui d gradent le polluant mais qui r duit aussi la fixation des polluants sur le catalyseur La lumi re est tout aussi essentielle notamment la lumi re UV indispensable la photocatalyse Mais l encore les conditions varient trop selon l heure la latitude l orientation ou la n bu
95. installation Cette surprime ne s applique qu la fraction des intrants directement issus de la Step et pas l int gralit des intrants trait s Des conditions avantageuses pour les anciennes installations Enfin l arr t modifie le dispositif fixant les conditions d achat du biogaz produit par des installations d j en service avant la mise en uvre de la r glementation relative l injection dans le r seau mais n ayant fait l objet d aucun contrat d achat Pour cela un d cret vient modifier pr alablement le d cret de novembre 2011 relatif aux conditions contractuelles entre producteurs de biom thane et fournisseurs de gaz naturel La r gle g n rale pr voit que ces installations b n ficient du tarif d achat du biogaz pond r en fonction de leur anciennet Elle ne b n ficient que d une fraction du tarif calcul e en multipliant le tarif par le coefficient 15 N 15 o N est le nombre d ann e d existence de l installation Ainsi le cadre g n ral pr voit qu une installation g e de dix ans ne peut b n ficier que d un tarif correspondant 5 15 soit 33 du tarif auquel aurait droit une unit neuve comparable Les installations g es de plus de quinze ans se voyaient appliquer le coefficient 1 15 soit 6 6 du tarif normal En revanche si le m thaniseur est install e dans une station d puration une nouvelle formule plus favorable que l ancienne s applique 1 Cgen N 15 o Cgen est
96. interventions cons cutives un arr t moteur n cessitant le changement d une pi ce d tach e du groupe hors bougies filtres Ce type de contrat est assorti d une garantie de r sultat portant sur la disponibilit de la machine e Contrat type garanties ce type de contrat comprend la maintenance pr ventive la t l assistance le curatif la garantie de disponibilit 2023 Il inclut aussi une assurance bris de machine et couvre les pertes d exploitation souvent plafonn es e Contrat type full comprend toutes les prestations du contrat garanties ainsi que la conduite incluant plusieurs visites par semaine des r glages du moteur et la r alisation des vidanges Contrat type des clauses g n riques indispensables Un contrat est tr s diff rent d un constructeur l autre il faut veiller ce qu il comporte des clauses essentielles notamment dur e co t 2024 2025 2026 2027 2028 et formule de r vision responsabilit et limite de prestation objectifs de performance assurance p nalit s quipement associ r ception des ouvrages formation mais galement en annexe la liste des services et le plan de maintenance Certains l ments sont maftriser afin d obtenir un niveau de prestation lev tout en garantissant une production optimis e chaque ann e Cela permet de consolider le compte d exploitation pr visionnel ce qui satisfera le ma tr
97. ion de d chets Mais apr s avoir r alis le bilan des fili res REP existantes le gouverne ment a d cid qu aucune nouvelle fili re ne serait cr e court terme afin de permettre collectivement l am lioration des pratiques et r sultats des fili res existantes Des extensions ci bl es et coh rentes du p rim tre de certaines fili res REP seront valu es indiquait il dans la feuille de route environnementale Une position pr cis e par le ministre de l Ecologie la Cour des comptes Le gouvernement consid re qu une tude d impact doit tre faite avant la cr ation d une nouvelle fili re REP afin de v rifier sa faisabilit et sa pertinence Les pou voirs publics pr f rent mettre l accent sur l aspect qualitatif de ces fili res Les renouvellements d agr ment des diff rents co organismes sont l occa sion d accentuer les efforts en mati re de pr vention notamment en impo sant l application d une co modula tion sur le bar me amont pour inciter les producteurs co concevoir leurs 45 produits afin de diminuer la quantit de d chets ou faciliter la r utilisation et le recyclage Am liorer l information du consommateur Il faut galement ancrer le geste de tri dans les habitudes des consom mateurs La loi Grenelle 2 pr voyait une harmonisation des consignes de tri afin de simplifier cette pratique Ainsi tout produit recyclable so
98. isque de volatilisation de l azote en conditions douces et s ches Son utilisation au d but du printemps est donc compliqu e Reste l pineux probl me de la normalisation des digestats sur laquelle l Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail Anses a mis un avis n gatif ou de leur homologation qui reste on reuse Cette derni re d marche dure entre 12 et 18 mois avec un co t de 20 40 000 euros explique l AILE Philippe COLLET Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 T l 00 33 0 477 532 872 33 01477 533 244 ISO 9001 Qualit AFNOR CERTIFICATION Energies NOUS VOULIONS CR ER EN AQUITAINE UN LABORATOIRE DE LAUTOCONSOMMATION Environnement amp Technique Comment est n e l id e de lancer un appel projets sur l autoconsommation photovolta que Peggy Kan al En 2007 nous avons lanc un appel projets sur le photovolta que en toiture l objectif tait double soutenir les acteurs r gionaux du solaire regroup s au sein du cluster Sysolia mais aussi encourager les installations en toiture au moment o il y avait une surench re de centrales au sol li e au tarif d achat avantageux En 2011 la suite du moratoire sur le tarif d achat nous avons voulu faire voluer la logique Le mod le de la fili re bas sur un tarif d achat tr s fluctuant nous a sembl n faste pour les entreprises Nous nous
99. les aquif res Le temps durant lequel la lixiviation va durer en conditions naturelles est inconnu Pour estimer les flux long terme il est la fois n cessaire de conna tre les concentrations dans les eaux lixivi es et que celles ci restent constantes au cours du temps Les essais de lixiviation tant repr sent s en mg kg d l ment lixivi du solide en fonction du rapport L S si la concentration lixivi e reste constante quel que soit le mode de lixiviation on doit obtenir une relation lin aire entre la concentration lixivi e et le L S Comme ces essais sont effectu s avec des temps de contact diff rents les points obtenus avec les diff rentes m thodes ne s aligneront pas si la r action est de type cin tique De m me si la r action d pend du pH ou d autres param tres chimiques les diff rentes techniques ne donneront pas le m me r sultat Cet article propose une approche simple permettant de savoir s il est possible d tablir une relation entre flux potentiel et les exp riences de lixiviation pour un sol donn Exp rimentations et r sultats Des lixiviations en batch et colonnes satur es selon la norme EN 12457 2 et le projet de norme NF CEN TS 14405 ont t effectu es pour des liquides solides vari s avec r plicats De plus afin d tre au plus proche des conditions naturelles nous avons aussi mis en place des colonnes non satur es de 1m Les colonnes ont t successiveme
100. les soci t s de services nerg tiques et la multiplication des contrats de performance nerg tique Des march s privil gi s dans certains pays Le march de l clairage diode lectroluminescente LED esten train de d coller au Japon et en Tha lande Les ventes ont atteint 5 2 Mds en 2013 au Japon et repr sentaient plus de 30 de toutes les ampoules japonaises vendues cette ann e Le march LED tha landais a galement connu une croissance rapide avec des ventes atteignant pr s de 15 M en 2011 et38 M en 2013 Le march de l am lioration de l efficacit ner g tique dans le secteur du b timent a connu un soutien important des gouvernements dans plusieurs pays notamment en Europe l Italie a offert une d duction d imp t de 55 pour les d penses d efficacit nerg tique dans le secteur r si dentiel En 2012 plus de 2 8 Mds ont t investis Les investissements dans l isolation des b timents dans les Pays Bas ont galement connu une croissance rapide un taux de 10 par an atteignant une valeur de 680 M en 2012 Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 service HS318 lecteur Cinq nouveaux actionnaires au CAPITAL DE VALDELIA Agr fin d cembre 2012 l co organisme Valdelia en charge des d chets d ameublement pro fessionnel DEA pro a annonc le 30 septembre l entr e de cinq nouveaux actionnaires son capital Il s agit de Kinnarps fa
101. les voies plus larges mais dans tous les cas le galop est fortement d conseill selon la commission Des am nagements peuvent tre en visag s si besoin en fonction du type de service et de la configuration de la commune La mise en place de panonceaux de voies r serv es ou de tout autre dispositif permet de facili ter la circulation du cheval en ville A pr voir galement la cr ation de points de stationnement d abreuvoirs et d attaches si le parcours le n cessite valid e par des experts des Haras nationaux Ordures m nag res journaux papier carton plastique ou d chets verts Seul le mode de collecte change les consignes de tri et les tourn es restent les m mes Plus de 70 communes sont desservies par les chevaux en partenariat avec Sita Par exemple Trouville sur mer Calvados le cheval permet de ramasser pr s de 150 tonnes de verre usag par an mais aussi du carton et des piles pour un investis sement de 9 400 contre 22 800 pour un camion non polluant et 13 700 pour un camion classique chiffre Sita A Beauvais Oise plus de deux tonnes de verre sont collect es chaque semaine au cours des deux collectes hebdomadaires du cheval Toutes les villes qui l ont choisi ont pu observer une progression de 15 17 du tonnage des emballages collect s selon le groupe Parmi les communes pionni res figurent galement St Pierre sur Dives Calvados
102. li re de traitement Prot ger les ressources aquatiques Surveiller un r seau Rendre visible la qualit de l eau pour le citoyen labo watchfroqg fr 01 69 36 11 15 PLF 2015 LES MESURES FISCALES EN MATI RE D ENVIRONNEMENT Hausse de taxe sur le diesel largissement du CIDD exon ration de taxe fonci re pour les m thaniseurs suppression de la TGAP sur les installations class es Autant de mesures inscrites dans le projet de loi de finances pour 2015 PLF 2015 Le ministre des Finances Michel Sapin et le secr taire d Etat au Budget Christian Eckert ont pr sent le 1 octobre en Conseil des ministres le projet de loi de finances pour 2015 PLF 2015 Parmi les mesures fiscales inscrites dans ce texte plusieurs dispositions affichent l ambition de mettre en uvre la transition nerg tique et la croissance verte mais aussi de soutenir l activit dans le secteur de la construction et des travaux publics Une hausse du diesel de 2 c l On ne va pas rappeler le d bat sur l cotaxe largement connu indique Christian Eckert Une fa on de rappeler le manque gagner li la refonte du dispositif initial transform en p age de transit et la n cessit de trouver des sources de financement compl mentaires pour les infrastructures de transport Cette source compl mentaire le Gouvernement propose de la d gager via une augmentation de sont tr s attendus Cett
103. losit Quant aux dispositifs en int rieur il faut s assurer qu ils re oivent suffisamment de lumi re du jour ou bien installer des lampes UV voire doper le semi conducteur avec des m taux s activant sans UV les vitres bloquant les UV Le contact avec le catalyseur pose aussi probl me puisqu il n cessite soit un d bit d air suffisant pour les purateurs soit un contact r el pour les rev tements d polluants Enfin les variations de temp rature peuvent impacter elles aussi l efficacit directe des dispositifs Quid de l impact sanitaire du TiO nanom trique Par ailleurs l Ademe alerte sur la m connaissance des effets sur la sant du dioxyde de titane TiO nanom trique utilis par la plupart des photocatalyseurs Or ce dernier est class par le Centre international pour la recherche sur le cancer CIRC de l Organisation mondiale de la sant OMS depuis 2007 comme canc rog ne possible pour l homme et on ne conna t pas les ventuelles missions de particules de TiO par les photocatalyseurs De plus en cas de d gradation incompl te des polluants la photocatalyse peut g n rer des compos s appel s galement sous produits nocifs pour la sant ou l environnement comme des c tones et des ald hydes Finalement les consommateurs et ma tres d ouvrage n ont pour l instant aucun moyen de conna tre l efficience r elle des appareils et mat riaux propos s d clare l
104. matur du moteur Dans le cas 9 il est pr vu la maintenance sur l horizon conomique du projet soit 15 ans cela permet de ma triser l ensemble des charges annuelles sur la cog n ration Elle inclut notamment Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 facteur d aide la d cision Il convient de distinguer le d lai de r ponse entre 4 et 8h le d lai d intervention sur place en semaine entre 16 et 24 h et le d lai d intervention sur place le week end souvent 48h Le fait de conjuguer la mise en place d un stock de pi ces de premi re urgence sur place bougies c bles HT filtre air relais disjoncteurs au stock de pi ces ma tresses du constructeur permet d assurer un temps d arr t faible De plus le fait que les d lais d approvisionnement soient contractualis s avec des p nalit s associ es est aussi un bonne conduite et une optimisation de la maintenance permettent d abaisser le nombre d incidents et de bris de machine donc d enrayer l volution des cotisations d assurance sur les unit s de m thanisation La professionnalisation de la conduite et de l exploitation des sites permettra assur ment de maintenir la confiance des financeurs sur ce mode de production vertueux et soutenu par tous les pays europ ens pour ainsi p renniser son d veloppement Bibliographie wwWw cogenerationbiomasserhonealpes org www raee org SALON POLLUTEC du 2
105. me des d chets offre des opportunit s C est ainsi que la ville de Paris envisage de passer d une col lecte C7 une collecte C6 sur une partie de son territoire l horizon 2019 Une d lib ration du Conseil de Paris adop t e en f vrier 2014 propose d tudier le passage aussi large que possible la collecte sur six jours compte tenu de la baisse de 11 5 des d chets collec t s entre 2000 et 2011 et de l objectif de r duction suppl mentaire fix 7 d ici 2015 Mais partis d un constat de baisse du tonnage collect les lus parisiens fa vorables la mesure ne cachent pas qu il s agit aussi d encourager la tendance la r duction des d chets La collecte du dimanche pourrait donc tre abandonn e jour o le volume collect est inf rieur de pr s de moiti la moyenne des jours ouvrables dans les quartiers les moins actifs le dimanche c est dire ceux pour 2 lesquels les d chets d activit conomique collect s en tant qu assimil s aux d chets m nagers sont limit s Quelle collecte et quelle obli gation Aujourd hui le d cret MAS 1977 impose toujours de collecter les ordures m nag res OM au mini mum une fois par semaine du 7 f vrier pour les zones agglom r es groupant plus de cinq cents habitants perma nents qu elles soient com prises dans une ou dans plusieurs communes Un d cret devrait prochaine ment revoir
106. merce de Niort avait rejet son offre de reprise le consortium a annonc mi septembre avoir install son site en Vend e Saint Michel Mont Mercure qui compte une quinzaine d anciens salari s de Mia Electric sur les 200 licenci s Environ 60 voitures Mia dont une trentaine en parfait tat de marche ont galement t vendues pour des prix allant de 3 000 6 500 euros L ensemble de la vente a rapport 1 9 million d euros selon le commissaire priseur Ga l Biard Selon l AFP Mia G n ration esp re sortir de nouvelles voitures au second semestre 2015 avec un design l g rement diff rent de la Mia et bas prix moins de 10 000 euros rendu possible par l assemblage local de pi ces produites ailleurs a indiqu un porte parole RB Extrait du EST n 340 Octobre 2014 Simon SoMe wikimedia Performance nerg tique des r seaux d eau potable SUEZ ACHETE DERCETO I Ondeo Systems filiale de Suez environnement sp cialis e dans les technologies d information pour l environnement a finalis l acquisition de la soci t Derceto Sp cialis e dans les solutions d optimisation des co ts nerg tiques des syst mes de gestion d eau potable ce te entreprise n o z landaise est galement implant e aux Etats Unis au Canada et au Royaume Uni Decerto a d velopp une solution qui connect e au dispositif de supervision et de contr le des ouvrages d eau potable acc de en temps r el aux tar
107. mod re t elle Le rapport co ts de fonctionnement co ts d investissement s l ve en moyenne 2 9 pour l eau potable 1 4 pour les eaux de surface 1 2 pour les eaux de rejets et 0 7 pour les eaux littorales La maintenance n cessaire semble tr s importante pour les eaux de rejets et relativement faible pour les eaux de surface Cela s explique par les co ts d investis sement tr s lev s pour les eaux de surface car les infrastructures sont construire note le rapport Concernant les eaux marines les co ts d investissement et de fonctionnement s av rent lev s du fait de l environnement hostile Quatre obstacles son d veloppement Le rapport souligne que le d veloppement de la mesure en continu se heurte aujourd hui quatre obstacles principaux tout d abord l absence de r glementation et de normes ad hoc n incitent pas les industriels investir dans ces solutions Vient ensuite le co t global Toutefois au co t de la mesure en laboratoire doivent tre ajout s les co ts de transport ainsi que les co ts vit s co ts proportionnels aux risques auxquels est expos le milieu ajoute le rapport Cette technologie n cessite aussi une simplification de sa main tenance et une optimisation de son autonomie nerg tique ainsi que de ses infrastructures de fonctionnement afin de permettre son adaptation dans diff rents milieux Enfin pour une alerte et le contr le in situ des eaux
108. n essor en Bretagne Des entreprises se sont install es sur le territoire permettant l mergence d une fili re En Bretagne la m thanisation agri cole tire vers le haut la production de biogaz En janvier 2014 la r gion comptait 41 unit s de production et de valorisation de biogaz en fonctionnement pour une puissance de 11 m gawatts MW et une valorisation de quelque 500 000 tonnes de d chets organiques Ce n est qu un d but esp re le conseil r gional puisque le gisement mobilisable est de quatre huit fois sup rieur y compris en incluant la quarantaine de projets en cours C est ce qui ressort de l tude Bilan r gional et perspectives de d veloppement de la fili re m tha nisation en Bretagne pr sent mi septembre 2014 et r alis par le conseil r gional l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Ademe et l Association d initiatives locales pour l nergie et l environnement AILE Depuis 2007 rappelle l tude deux plans Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 biogaz soutenus par l Ademe les conseils r gionaux de Bretagne et Pays de la Loire et anim s par AILE ont t mis en place Cette d mar che a abouti au lancement r gulier de sessions dans le cadre de l appel projets Plan biogaz En 2014 trois sessions ont d j t lanc es et une quatri me devrait l tre d ici la fin de l ann e Parall lement l Ademe
109. ndre facultatif les avis est un des objectifs de simplification du Gouvernement et le d lai de recours est un compromis des modalit s de recours des l gislations int gr es argumente t il Lors de la consultation FNE avait galement demand r duire le nombre de territoires d exp rimentation mais la r ponse a l aussi t d favorable L valuation de l efficacit de cette exp rimentation sur un plus grand nombre de territoires permettra un retour d exp riences plus exhaustif qui clairera l Etat quant au choix d une g n ralisation ou non de l exp rimentation sur l ensemble du territoire national a r pondu le minist re de l Ecologie Sauf que le Gouvernement n a pas attendu la fin de l exp rimentation ni m me son d but pour trancher La ministre de l Ecologie a annonc le 24 juin en vue de rassurer la profession agricole mobilis e contre l touffement administratif et r glementaire que cette exp rimentation serait tendue l ensemble du territoire national via un amendement au projet de la loi sur la biodiversit qui doit tre d battu l Assembl e nationale l automne Installations hydro lectriques une consultation du public sans cons quences Le deuxi me d cret publi harmonise la proc dure d autorisation des instal lations hydro lectriques avec la proc dure IOTA Le minist re de l Ecologie avait pr cis lors de la
110. ner gie entre 2001 et 2011 dans les 18 pays tudi s Les transports un march norme et croissant Le transport est un secteur tr s privil gi L AIE estime qu au cours des 10 prochaines ann es il repr sentera 60 des investissements r alis s en mati re d efficacit nerg tique Le premier outil mis en place reste les normes limitant la Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 consommation de carburant 70 des v hicules mis sur le march mondial sont d j con cern s Ces normes conduiront des investissements d efficacit nerg tique de 80 Mds par an d ici 2020 et permettront d co nomiser entre 40 et 190 Mds en co ts de carburant Le financement de l efficacit nerg tique n est plus une niche Le financement de l efficacit ner g tique est d sormais un segment bien tabli au vu de l ventail des produits financiers existants De nouveaux mod les et acteurs facilitent ces financements L AIE note une participation active des banques publiques 16 Mds pour la banque d investissement alle mande Kfw 2 1 Mds par la banque europ enne BEI ou encore 453 M de la part de la Caisse des D p ts en France La mise en place de nouveaux montages financiers attractifs pour les investisseurs priv s participe galement au d ploiement des mesures d efficacit nerg tique L AIE cite par exemple l apparition d entit s sp cialis es comme
111. ni re permet effectivement en cas de d tection de pollution dans le fleuve de fermer le canal d Huningue qui alimente en partie la nappe phr atique d Alsace Cet exemple repris dans une tude technico conomique de la mesure en continu dans le domaine de l eau illustre les nouveaux services forte valeur ajout e au b n fice des op rateurs de l eau qu apporte cette technique selon la Direction de la recherche et de l innovation DRI du minist re de l Ecologie Si son co t est souvent per u comme un frein son d veloppement cette perception est erron e surtout parce que la proportion d investissement est tr s forte dans la mesure en continu alors que les co ts d exploitation sont pr pond rants dans la mesure de laboratoire pr cise la DRI Mesures en continu et en laboratoire compl mentaires Financ e par l Office national de l eau et des milieux aquatiques Onema et le p le de comp titivit Hydreos l tude technico conomique s est pench e sur neuf utilisations de la mesure en continu protection de la ressource en eau potablef suivi de la qualit des eaux de surface et des eaux de rejets ainsi que des eaux de transition et littorales La mesure en continu et la mesure en laboratoire n entrent pas en concurrence l une Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 contre l autre mais r pondent des enjeux et des situations tr s
112. nnemental de l conomie Et ceci tous les niveaux dans les foyers pour gagner en confort plut t qu en simple pouvoir d achat dans les entreprises pour gagner en comp titivit au sein de l Etat pour gagner en r activit et en efficacit dans les collectivit s pour r sorber les d ficits Dans ce hors s rie Environnement amp Technique illustre justement les b n fices tirer d une d marche d optimisation en faisant le point sur les outils disposition des collectivit s pour r duire les impacts de la collecte des d chets m nagers Car tandis qu il p se toujours plus lourd sur les budgets le transport des d chets depuis l habitat des particuliers jusqu aux sites de traitement est toujours responsable d une large part des missions de gaz effet de serre imputables aux collectivit s TR FSC Papier issu de sources responsables FSC C012908 Document imprim sur papier demi mat fabriqu partir de fibres recycl es www fsc org et de p te issue de la gestion responsable de for ts MIXTE mn DOMMAIRE Hors S rie Pollutec Environnement amp Technique D cembre 2014 ACIU OO AIR L obligation de surveillance de l air dans les cr ches et coles est repouss e sine die 6 D pollution photocatalytique de l air une efficacit r elle douteuse 8 D CHETS Dur e des d l gations de service public les avis de l Administration mieux encadr s 10 Pr vention des d chets
113. nt irrigu es dans plusieurs conditions avec des ajouts de 160 ml d eau du robinet pendant 60 jours Quatre intensit s d irrigation ont t test es Pour certains m taux comme l arsenic As nous obtenons une tendance lin aire nette L augmentation de la concentration augmente avec le L S et indique donc que les concentrations lixivi es sont relativement constantes A l inverse dans les autres cas le Chrome Cr mais aussi le zinc Zn non pr sent ici aucune des techniques ne donne de tendance lin aire On observe plut t sur ces couples m taux sols des courbes croissantes que la pente diminue avec le L S exemple de l arsenic dans le substrat artificiel ou du chrome dans les cendres Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette diminution de pente une adsorption de l l ment par un substrat comme le zinc dans le substrat artificiel ou l influence des conditions chimiques sur la lixiviation des l ments par exemple le chrome dans les cendres qui est influenc par une diff rence de pH entre les diff rents tests Sur ces exemples les diff rentes techniques donnent aussi des valeurs de concentrations lixivi es diff rentes pour une m me valeur de L S Plusieurs types de mod les sont envisageables pour expliquer ces donn es mais le point majeur est l impossibilit d extrapoler les r sultats d une technique pour un ratio L S plus grand c est dire un temps de lixiviation plus long Des
114. on de personnels form s aux m tiers de la propret et du d chet www sepur com 01 30 79 20 00 9 RENAULT TRUCKS 1 ISNIN EOLIEN EN MER Technip va fermer sa filiale cossaise Selon l AFP le groupe fran ais d ing nierie Technip a confirm le 8 septembre qu il allait fermer sa filiale sp cialis e dans l olien en mer Technip Offshore Wind bas e Aberdeen en Ecosse une fois achev l ensemble de ses projets Technip Offshore Wind cr e en 2011 est galement implant e Tyneside et Londres et emploie 200 personnes Une proc dure de consultation collective a t engag e En France le groupe au sein du consortium lberdrola Eoles Res a remport le premier appel d offres pour la construction d un parc olien en mer Saint Brieuc C te d Armor d une puissance install e de 500 m gawatts d ici 2018 RB Extrait du EST n 340 Octobre 2014 Veolia les activit s EAU ET PROPRET boostent son chiffre d affaires il i Pa LER i l i i Eo i mk BE amp j al Mm all Da r ir in Le groupe Veolia a annonc fin ao t un chiffre d affaires en croissance au premier semestre 2014 s levant 11 23 milliards d euros tir par les activit s eau et propret en Europe et l international qui enregistrent respectivement une hausse de 3 1 et de 2 8 p rim tre et taux de change constants En France l activit est s
115. on moyenne annuelle devra repr senter les trois quarts de la production lectrique gr ce l utilisation d un stockage tampon sur 12h maximum Nous voulons galement aller plus loin sur les co et socio conditionnalit s privil gier la provenance fran aise et europ enne des panneaux et prendre en compte l analyse de cycle de vie Enfin nous menons des r flexions une chelle plus grande les territoires nergie positive pour lesquels un appel manifestation d int r t a t lanc en 2012 E amp T Qu attendez vous des travaux lanc s par le gouvernement sur l autoconsommation PK Notre initiative suivie par d autres r gions a enclench le d bat au niveau national L ancien ministre de l Ecologie Philippe Martin s est rendu compte que c tait un des aspects lacunaires du projet de loi sur la transition nerg tique De plus certains acteurs comme ERDF taient tr s critiques et s inqui taient des cons quences du d veloppement de l autoconsommation sur le r seau D un point de vue juridique il n y a pas d interdiction aujourd hui mais pas de facilitation Nous attendons de ces travaux qu ils aboutissent un cadre institutionnel I serait opportun de faire reconna tre par la loi ce genre d initiatives Extrait du E amp T n 339 Septembre 2014 i service HS311 lecteur TE I 1 A U S EAL D m F kh F lb LT ERVICES JITS SERVICE 4 R
116. onal de recherche sur l eau et l environnement de Suez environnement Cirsee Une partie des d chets pourra galement tre s lectionn e pour servir de combustible CSR Les d chets non valorisables seront orient s vers le centre de stockage de Lambert situ proximit o le biogaz sera r cup r et transform en lectricit Sita pr voit un fonctionnement optimal pour avril 2017 Cr ation d un institut de recherche publique Le site industriel accueillera en son sein un institut de recherche publique anim par le Cirsee et Inra Narbonne via son laboratoire de biotechnologie de l environnement L objectif de celte collaboration est l tude et l optimisation des techniques de m fhanisation des biod chets issus de la collecte s lective des gros producteurs tels que des cuisines centrales des march s L enjeu est de proposer terme de nouvelles fili res de valorisation adapt es aux contraintes des gisements locaux II est pr vu par ailleurs la construction d une halle exp rimentale sur le site de Lambert Elle accueillera des modules pilotes de d monstration bas s sur la m fhanisation par voie s che FR Note 39 communes et 125 000 habitants Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 11 UN NOUVEAU SITE Mende pour Chimirec La soci t Chimirec sp cialis e dans la collecte et le traitement des d chets a inaugur une nouvelle plateforme dans le Massif central Mende Nofre ancienne plat
117. onclusion nous montrons que dans la plupart Cendres 100E 01 1 00E 00 1 00E 01 1 00E 02 1 00E 03 1 00E 04 As relarguage cumul mg kg 100E 05 1 10E 05 1 10E 03 US kg 1 10E 01 1 10E 01 Colonnes non satur es Colonnes ascendantes moyennes Batch Cendres 1 00E 02 100E 01 1 00E 00 100E 01 100E 02 100E 03 1 00E 04 Cr relarguage cumul mg kg end 110E 01 1 00E 05 1 10E 05 110E 03 US l kg 1 10 01 Colonnes non satur es Colonnes ascendantes moyennes Batch Substrat artificiel 1 00E 03 As Relarguage cumul mg kg 1 00E 01 US l kg 1 00E 00 100E 01 Colonne non satur e Sable Colonne non satur e Argile Colonne ascendante Sable Colonne ascendante Argile Batch Sable Batch Argile Substrat artificiel 1 00E 05 1 00E 04 100E 03 1 00E 02 1 00E 01 1 00E 00 1 00 01 Cr relarguage cumul mg kg 1 00 02 1 00 03 1 00E 03 100E 02 100E 01 1 00E 00 100E 01 US kg Colonne non satur e Sable Colonne non satur e Argile Colonne ascendante Sable Colonne ascendante Argile Batch Sable Batch Argile Evolution de la concentration en fonction du L S pour l arsenic As en haut et le chrome Cr en bas pour deux types de sols substrat artificiel et cendres des cas les essais classiques en batch et en percolation ne permettent pas de pr dire les flux de m taux traces lixivi s long terme Dans certaines situations les essais
118. onnexion des nergies intermittentes plafonn 30 pour l heure sans tenir compte des diff rences entre les syst mes lectriques Pour cela les rapporteurs demandent davantage de transparence de la part du gestion naire du r seau comme c est d j le cas en m tropole avec RTE Ils souhaitent galement que les Conseils r gionaux soient associ s aux proc dures d appel d offres et l laboration des tarifs d achat et demandent une adaptation du Fonds chaleur peu appropri ces terri toires alors que la biomasse affiche un v ritable potentiel Le projet de loi pr voit que les exploitants produi sant plus du tiers de la production lectrique nationale l instar d EDF LEROUX ET LOTZ TECHNOLOGIES HEAT amp POWER Cr ateur de solutions nerg tiques d avenir 17 pr sentent un plan au gouvernement d crivant leur strat gie pour diver sifier leur production lectrique afin de respecter les objectifs fix s dans la programmation pluri annuelle Les rapporteurs demandent la m me obligation pour les territoires d Outre mer Pour le cas sp cifique de la Guyane ils pr conisent la co laboration Etat R gion d un plan prioritaire pour l lectrification des communes et l attribution d une enveloppe sp cifique d di e Sophie FABR GAT Extrait du EST n 340 Octobre 2014 Notes Grenelle environnement la R union l innovation Syst mes nerg tiques insulaires 6
119. ont d sormais l obli gation de mettre en uvre toutes les MTD ou sinon de le justifier Et surtout les VLE qui seront fix es dans les autorisations d exploiter ne devront pas d passer les BATAELS indiqu es dans le BREF de leur secteur industriel Ceci s applique aux installations nou velles et dans un d lai de quatre ans apr s publication du BREF aux existantes La nature m me de ces BATAELS se trouve ainsi modifi e de simple indication des niveaux moyens d missions dans la directive IPPC les BATAELS deviennent avec VIED des valeurs plafond pour les futures VLE La r vision du BREF sur l incin ration des d chets a t lanc e en mai 2014 par la Commission europ enne et devrait durer au moins trois ans La d termination des nouvelles BATAELS constitue donc aujourd hui un enjeu de premi re importance d autant que la m thode appliquer devra tre beaucoup plus pointue que pour les autres industries En effet les substances contr l es Glossaire e BAT ou MTD Best Available Techniques Meilleures Techniques Disponibles e BREF BAT Reference documents indiquent les BATs et les BATAELS e BATAELS BAT Associated Emissions Levels e IED IPPC Industrial Emission Directive 2010 75 UE laquelle a remplac l IED Industrial Emission Directive 96 61 CE e VLE ou ELV Valeur Limite d Emission Emission Limit Value pour les incin rateurs sont plus nombreuses que pour les autr
120. oration de la qualit de l air doit tre donn e la pr vention de la pollution Quant aux proc d s photocatalytiques ils peuvent ven tuellement tre employ s pour un traitement de lair faiblement pollu avec une source de lumi re naturelle suffisante et pour des d bits d air permettant le transport des compos s polluants vers les appareils et mat riaux photocatalytiques tout en respectant un temps de contact suffisant pour que le processus puisse avoir lieu De bons r sultats exp rimentaux Actuellement le march de la construction repr sente pr s de 90 du march mondial du traitement de l air par photocatalyse pour un chifre d affaires d un milliard d euros dont quelques centaines de millions pour l Europe Ce march corres ond principalement la fourniture d applications de d pollution de l air ext rieur En effet de nom breuses recherches en laboratoire confirment les propri t s d polluantes de la technique ce qui lui vaut de figurer parmi les techniques innovantes pour traiter les effluents industriels dans l air Du c t des avantages l Ademe note que sous certaines conditions la photoca talyse permet de traiter certains Un proc d vieux de 40 ans La photocatalyse consiste d truire des compos s gazeux en les d gradant la surface d un catalyseur Ce proc d s est d velopp au Japon dans les ann es 1970 Il a t appliqu dans le
121. pays sulfates antimoine fluorures etc en France conform ment l arr t CET 3 pour les d chets inertes du 28 10 2010 seront consid r s comme non norm s dans un autre m me exemples des sulfates de l antimoine des fluorures etc en Belgique Pour pouvoir recevoir des terres qui contiennent des polluants non norm s les centres doivent avoir ob tenu des seuils sp cifiques de r utili sation Ces derniers sont fix s en te nant compte principalement de la ou des fili re s recyclage utilis e s par le centre apr s le traitement typique ment des chantiers de terrassement ou de construction dans un contexte environnemental sp cifique Ces seuils autorisations d acceptation sp cifiques doivent avoir t d livr s par l administration ou par un bureau d tude agr La r alisation d ana lyses initiales d orientation est donc indispensable mais la fa on dont celles ci sont r alis es doit pour tre r ellement utiles et exploitables par les centres de traitement respecter quelques principes rappel s ci des sous Le respect de ces principes per mettra de confirmer la faisabilit des traitements et de pouvoir r aliser une excavation r ellement s lective des terres 521 lecteur m 2002 hydrocureur RIVARD Mistral ch ssis 19T Renault Premium 320DCI 320 000 km parfait tat 2014 presse balles ORWAK 5070 DC e r vis e garantie 3 mois 4 500 EHT 2011
122. pi FAC L N ONI OI NA gt A CN El AC RA RAI EE p e Al D x i ne e g n ration enma riaux plastique ip imple E As ECOSTILL fonctionne pression sph rique basse temp rature et r cup ration d nergie et vous permet de 2 R duire jusqu plus de 10 fois le volume de d chets liquides de process industriels Produire de l eau distill e valorisable en recyclage Les solutions ECOSTILL Sont propos es en location et offrant des conomies de co t significatives une mise en uvre rapide une exploitation simple et une maintenance l g re AN IT DI Se Eg 21 les plus pertinentes pr sentant des risques sanitaires aigus impor tants il convient de s int resser galement celles susceptibles de g n rer des incommodit s fortes sur de grandes distances indique le document Les modalit s de mobilisation de ces capacit s pren dront la forme de fiches ressources au sein des plans d op ration interne POI des exploitants Lorsqu il s agit d valuation des rejets hors du site ces l ments devront figurer dans le plan particulier d intervention Orsec PPI au titre de l interface POI PPI concernant le r le de l exploitant pr cise l instruction Laurent RADISSON Extrait du E amp T n 340 Octobre 2014 service HS313 lecteur gy i IV vs IC ATI AA V a LY y S S LIQ UID ES EFFLUENTS INDUSTRIELS EVAPOREZ CONCENTREZ LOUEZ T l 0
123. pui face aux risques technologiques Radart Les Dreal et les Sdis peuvent sous l autorit du pr fet s appuyer sur l analyse r alis e par la cellule d appui aux situations d urgence Casu de l Ineris Cette cellule qui fait l objet d une circulaire du 15 juillet 20059 peut d sormais valuer les incommodit s importantes pou vant affecter les populations au del de sa capacit renseigner sur les dangers des produits en cause et d terminer des p rim tres de s curit en cas d accident Un r seau de conseil interprofessionnel bientot en place Les ministres demandent galement aux pr fets de se rapprocher de l association agr e de surveillance de la qualit de l air de leur r gion afin de d terminer les modalit s de sa participation au dispositif de gestion de crise Une lettre de cadrage du 7 ao t 2013 apporte des pr cisions sur les missions des AASQA afin de faciliter leur intervention en cas de situation accidentelle d origine technologique en coh rence avec l action de l Etat rappelle le document Les pouvoirs publics ont inhaus reative iStockphoto com par ailleurs demand aux f d rations professionnelles concern es de mettre en place un r seau de conseil interprofessionnel charg de mener des expertises compl mentaires lors que les exploitants sont confront s des incidents ou des accidents complexes l Union des industries chimiques UIC a d ore
124. quence C1 voir encart pour les embal lages une fr quence C0 5 pour les emballages et journaux Ensuite les diff rents march s de collecte des OMR ont t regroup s dans un march unique assorti d une r duction des fr quences Trois rythmes ont t retenus C1 C1 5 et C2 selon les communes De mani re g n rale la r duction des collectes OMR s est accompagn e de la mise en place de la collecte des emballages et journaux rythme C0 5 pour les communes qui n en disposaient pas auparavant Cette d marche a impact tous les secteurs de la gestion des d chets Les co ts tout d abord qui pour la collecte OMR s inscrivent en baisse de 0 25 Un r sultat qui doit tre mis en rapport avec l objectif de minimiser la hausse attendue de 25 gt gt HANTSCH La k TOP du traitement des biod chets installation de traitement des biod chets du SMICVAL Retourneur Topturn X53 y LS KOMPTECH Interlocuteur de premier plan pour un traitement efficace des biod chets HANTSCH dispose de nombreuses r f rences dans ce domaine tant pour la fermentation que pour les solutions de confinement Hisa im ee snie HANTSCH TECH FOUR UERVIRGERENEMEHT B P 2 Z 67521 Marlenheim Cedex T l 03 88 87 52 53 Fax 03 88 87 53 00 info hantsch fr www hantsch fr mn DOSSIER Collecte des d chets gt gt Ce gain s est accompagn d une baisse de 10 des kilom
125. r ler toutes les op rations de maintenance et des usages nerg tiques du site La maintenance du moteur de cog n ration l ment cl de la rentabilit Le moteur de moyenne une cog n ration a en dur e de vie de Fig 2 Impact de la variation de param tres sur le CA 63 60 000 heures soit environ 7 8 ann es de fonctionnement dans le cadre du biogaz fonctionnement en continu environ 8 000 heures par an Pendant cette p riode il est n cessaire de l entretenir r guli rement pour garantir ses performances et la s curit de l installation Dans la plupart des cas l exploitant effectue certaines op rations simples comme la conduite journali re relev s de compteurs et contr les visuels les vidanges et le changement des filtres huile des filtres air ou encore des bougies Il re oit syst matiquement une formation pour ces op rations m lant m canique thermique hydraulique et informatique Il peut aussi d cider de les sous traiter un prestataire sp cialis En revanche il doit obligatoirement sous traiter les op rations de maintenance plus complexes n cessitant un outillage et des comp tences particuli res comme des analyses ou param trages sur le moteur endoscopie r glage des culbuteurs du m langeur etc ou des interventions sur des pi ces ma tresses l alternateur les culasses le vilebrequin etc Il est conseill l exploitant d tablir un
126. r senteront 450 emplois et pr s de 60 millions d euros de chiffre d affaires FR Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 SEPUR renouvelle sa confiance RENAULT TRUCKS pour la gamme EURO VI Partenaire de RENAULT TRUCKS et des tablissements CHAPELIER 78 depuis sa cr ation SEPUR a renouvel ses investis sements avec l acquisition de mat riels de la nouvelle gamme RENAULT TRUCKS EURO VI Les premiers mod les D12 D19 et D26 ont t livr s en octobre pour le contrat avec la ville de Plaisir 78 Ces mod les ont obtenu la lab lisation Origine France Garantie Ils sont dot s des moteurs Euro VI respectant les derni res normes en terme de r duction de consommation et des missions polluantes ils r pondent ainsi parfaitement aux exigences des collectivit s sensibles au respect de l environnement Depuis 50 ans SEPUR est expert dans la gestion des d chets et la propret urbaine Avec 17 agences en lle de France et province et fort de plus de 2500 collaborateurs et d une flotte de 1 150 v hicules SEPUR sert plus de 200 municipalit s et pr s de 2 5 millions d habitants Le groupe propose une offre globale de services Collecte des d chets m nagers et industriels banals et sp ciaux Nettoiement urbain et nettoiement industriel Tri de collectes s lectives valorisation et recyclage Compostage avec une fili re de traitement et valorisation des d chets verts Ressources humaines mise dispositi
127. r le sable Ce v hicule en service depuis 2006 est adapt la conduite sur sable indique Perpignan M diterran e et permet de collecter m caniquement les conteneurs Avec la nouvelle BOM 4x4 cette consommation est pass e 68 L 100 km en collecte m canis e Si la col lectivit n a pas pr cis le montant du v hicule elle indique un surco t par rapport une BOM classique de 25 en investissement et de 20 en maintenance Selon elle les freins restent la conduite sp cifique sur sable g n rant des risques d enlisement mais galement la raret du v hicule seul prototype disponible sur le parc de Veolia Le syndicat intercommunal des eaux de Rochefort Samson Dr me s est galement dot en 2006 de sa premi re benne bi compartiment e puis en 2009 et en 2012 de deux autres pour optimiser les co ts sur les secteurs loign s de Noth o la benne parcourait plus de 100 La technologie hybride est particuli rement adapt e la distribution ou la collecte de d chets en milieu urbain ou p riurbain MULHOUSE ALSACE AGGLOMERATION d chets des deux flux simultan ment ordures m nag res r siduelles et emballages m nagers recyclables papiers en m lange En haute saison de mai fin septembre la benne collecte ces d chets 7 jours sur 7 Ce type de v hicule de collecte s par e g n re une consommation moins lev e de gasoil souligne la Commun
128. re des consommables sur place bougies huile kit e Assistance t l phonique supervision et interventions Les obligations du ma tre d ouvrage e Conduite de l installation avec inspection quotidienne e Garantie de l accessibilit de l installation e Fournir du biogaz en quantit et en qualit e Informer le prestataire avant toutes modifications et de toutes anomalies de fonctionnement Les quipements doivent tre clairement d taill s les p riodes de garantie bien d finies et clairement mentionn es selon le type d quipement Pour la performance des installations cela peut prendre plusieurs formes l engagement sur une disponibilit du moteur 90 93 sur un rendement lectrique nets d auxiliaires 36 39 ou sur un syst me de bonus malus de production avec int ressement partage du d passement avec le prestataire ou versement d une compensation Une assurance Bris de Machine est souhaitable ainsi qu une Perte d Exploitation Ces l ments peuvent tre inclus dans le contrat avec le prestataire ou pris en charge dans le contrat g n ral d assurance du process de m thanisation Des quipements de d sulfuration et de refroidissement assurent un gaz de qualit et une fr quence de maintenance moindre Ce poste est souvent n glig par les ma tres d ouvrage pourtant il est le garant de la bonne ma trise des co ts d exploitation dans le temps Le taux de sulfure
129. re du chantier pour soustraire les salari s un danger grave et imminent Aujourd hui seul est concern le secteur du BTP Alors que l arr t de chantier amiante est actuellement d clench en cas de retrait d amiante le comit de suivi propose de l tendre aux travaux de retrait ou d encapsulage d amiante y compris dans les cas de d molition ainsi qu aux interventions sur des mat riaux susceptibles de provoquer des missions de fibres d amiante En outre le comit de suivi propose la cr ation d une obligation g n rale de rep rage et de diagnostic de l amiante pour tous les donneurs d ordre et les propri taires Il s agit du rep rage avant travaux Le comit s oppose ainsi l Union sociale pour l habitat USH qui se positionne pour la restriction de cette obligation aux travaux programm s ou de grande ampleur Cyrielle CHAZAL Extrait du E amp T n 339 Septembre 2014 Notes Ce diagnostic n est pas obligatoire dans tous les immeubles b tis Il s appuie sur un rep rage principalement visuel et ne peut pas se substituer au rep rage avant travaux pr cise le rapport Microscopie optique transmission de phase Microscopie lectronique transmission analytique 4 article L 4731 1 du code du Travail 6 articles L 4121 3 et L 4531 1 du code du travail Hs312 x ECOGEOSAFE Integrated solutions d for a safe and clean worl
130. re la r alisation chaque ann e d une puissance identique l ensemble de ce qui a t aid jusqu pr sent La Bretagne b n ficie maintenant de l implantation progressive des entreprises du secteur Avant la mise en place du premier plan biogaz aucun constructeur n tait recens sur le territoire rappelle VAILE ajoutant qu aujourd hui 30 entre prises sont bas es en Bretagne et en Pays de Loire Ce sont donc seize constructeurs quinze organismes pro fessionnels agricoles sept bureaux d tudes et cinq d veloppeurs qui constituent aujourd hui la fili re m thanisation dans l Ouest D autre part des partenariats inter r gions ont t tablis permettant de r f rencer pr s de 70 entreprises afin de favoriser le transfert de technologies et savoir faire Seul b mol en tant qu effluent d installation class e le digestat est un d chet soumis plan d pandage rappelle VAILE expliquant que les contraintes administratives tr s lourdes pour TECHNIQUES DU M LANGE INDUSTRIEL SKID e Livr cl en main 1 Rue Gustave Eiffel BP 70305 ZI La Chazotte F 49353 LA TALAUDIERE Cedex Fax 0 Email tmi tmi fr 21 modifier un plan d pandage sont des obstacles la substitution des engrais min raux par les digestats Par ailleurs la mati re pose probl me puisque si les essais au champ ont confirm leur valeur fertilisante ils ont aussi montr un r
131. res la multiplicit des protocoles d lution norm s et l absence de convergence dans les pratiques usuelles qui poursuivent pourtant un objectif commun Les travaux exploratoires restent donc indispensables ils peuvent amener proposer de nouvelles approches et concevoir de nouveaux protocoles analytiques permettant en particulier d appr cier les flux calendaires et concentrations vraies Une litt rature abondante existe sur les tests d extraction cens s luer certaines fractions de la matrice mais tr s peu d tudes ont mis en vidence une relation entre flux effectivement relargu et tests de lixiviation Il appara t en effet compr hensible qu un essai en batch liquide renouvel p riodiquement avec un rapport liquide solide L S de 10 ne repr sente pas directement le flux Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 NL Olivier ATTEIA ENSEGID Fondation Innovasol Fanny COUTELOT Fondation Innovasol Avec la contribution de Y LECORFEC EDF R amp D et M FRANCESCHI ENSEGID Extrait du E amp T n 339 Septembre 2014 d l ments pouvant tre lib r s par le sol ou le d chet consid r car le test se limite une dur e de 24h et est r alis en condition satur e sans contr le du couple potentiel bH La norme permet avant tout de comparer des chantillons entre eux Les mesures de lixiviation ont pour but de d terminer les flux long terme vers
132. reux cas est l abandon du captage Ainsi sur les 5 000 points de pr l vement ferm s en 15 ans la cause tait pour 41 d entre eux une mauvaise qualit de l eau Concernant la pollution Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 aux nitrates la tendance ne semble pas tre l am lioration Avec le dernier classement encore soumis consultation 70 de la surface agricole utile fran aise pourrait ainsi tre class e en zone vuln rable Au niveau des moyens d ploy s l exemple des captages prioritaires du Grenelle montre que 48 pr sentent un plan d actions pour la pr vention des pollutions Si on d duit le budget des agences de l eau consacr la pr vention des pollutions diffuses et les aides du Feader il en r sulte un besoin de financement de 120 a 260 millions an selon le sc nario envisag RAPPORT INTERMINIST RIEL diffuses achev mais seulement 17 b n ficient dun arr t validant celui ci La critique est appuy e sur les points suivants des outils juridiques et financiers limit s une l gitimit variable du porteur de projet la difficile articulation entre zones soumises contraintes environnementales ZSCE et p rim tres de protection du captage et une appr ciation globalement pessimiste sur l ambition des plans d action et la crainte que ceux ci soient en fin de compte rendus obligatoires pr cise le rapport interminist riel
133. ricoles d une exon ration temporaire de taxe fonci re et de cotisation fonci re des entreprises CFE Ces exon ra tions s appliqueront compter de 2016 au titre des cinq premi res ann es suivant l ach vement des m thaniseurs Cette mesure s inscrit dans le cadre du plan Energie m thanisation autonomie azote EMAA qui vise atteindre 1 000 m thaniseurs agricoles en 2020 La valorisation des d chets agricoles est une source importante et insuffisamment exploit e d nergie renouvelable justifie Bercy qui entend ainsi combler le retard de la France par rapport ses VOISINS Mobiliser le foncier pour construire Le ministre de l Economie a galement rappel les mesures fis cales annonc es le 29 ao t dans le plan de relance de la construction qui doivent avant tout permettre la mobilisation du foncier pour pouvoir p n I D T O construire L imposition des plus values sur les terrains b tir est r form e compter de septembre 2014 pour rendre les cessions plus attractives et faire en sorte qu elles soient exon r es d imp t sur le revenu au bout de 22 ans au lieu de 30 ans actuellement indique le minist re de l Economie qui souhaite ainsi mettre fin aux incitations la r tention du foncier Un abattement suppl mentaire de 30 sur les plus values destin e cr er un choc d offres est pr vu sur les promesses de ventes conclues entr
134. rix Une soixantaine d organismes ont t accr dit s pour cette mission Un guide plutot qu une obligation Mais il semble que le gouvernement veuille aller encore plus loin dans la simplification La r alisation de mesures n est pas une fin en soi et doit rester un outil d valuation de la qualit de l air int rieur utiliser au cas par cas quand un besoin a clairement t identifi indique un guide sur la surveillance de la qualit de l air int rieur dans les tablissements recevant du public ERP publi en 2010 par le minist re de la Sant Et d insister quelques lignes plus loin Une bonne gestion de la qualit de lair int rieur ne n cessite pas forc ment la mise en place d une campagne de mesure Le gouvernement reviendra t il sur cette obligation Pour l heure la ministre de l Ecologie renvoie vers un guide de bonnes pratiques Ecol air D velopp en 2011 par l Ademe ce kit destination des collectivit s locales et aux responsables d tablis sements scolaires et de cr ches comprend un guide de diagnostic simplifi des installations de venti lation un guide d achat et d utili sation des produits d entretien un cahier de recommandation pour la prise en compte de la qualit de l air int rieur dans les op rations de construction et de r habilitation des coles et des outils de sensibilisation Sophie FABR GAT Extrait du E amp T n 341 Novembre 2
135. rofessionnelle qui sera de 10 fibres par litre au 1 juillet 2015 contre 100 fibres par litre actuellement En mati re de contr le de l empoussi rement en milieu professionnel il a remplac la m thode MOCP par une m thode jug e plus performante la m thode Meta Il a aussi cr trois niveaux d empoussi rement permettant ainsi une graduation des moyens de pr vention collectifs MPC et des quipements de protection individuelle EPI Par ailleurs l tude souligne l insuffisance des r gles quoique la r glementation soit jug e globalement protectrice Le fort retard dans la r valuation du seuil d empoussi rement pour prot ger la population est ainsi d nonc par le S nat L information des particuliers doit galement tre renforc e de m me que les tudes pid miologiques et le suivi post professionnel Abaisser le seuil de d clenchement du d samiantage Le comit de suivi propose d abaisser le seuil d amiante dans l air qui d clenche des travaux de d samiantage car le seuil actuel de 5 fibres par litre est contest L Anses ayant propos dans un avis de 2009 un seuil de 0 47 fibre par litre c est cette valeur que le comit souhaite voir retenue Par ailleurs il propose de g n raliser l arr t de chantier pour risque amiante tous les types d activit s et tous les risques li s l amiante l inspecteur du travail peut en effet prescrire l arr t temporai
136. rs Il faudra produire moins mais mieux et passer d une conomie de la quantit une conomie de la qualit o les entreprises forte valeur ajout e seront gagnantes a d clar le fondateur du cabinet Aster s l occasion du colloque Fili res et Recyclage de l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Ademe organis les 14 et 15 octobre dernier Et selon lui le secteur du recyclage a toute sa place dans cette nouvelle conomie avec des technologies et des savoir faire non d localisables Des brevets qui restent dans les tiroirs Avec des volumes croissants de d chets traiter l industrie du recy clage va devoir encore se moderniser et innover pour tre la hauteur Selon Michel Valade pr sident de la F d ration nationale des activit s de la d pollution et de l environnement Fnade 5 6 milliards d euros d in vestissement seront n cessaires d ici 2025 Si la volont ne manque pas les financements font d faut plomb s par un mod le fran ais inadapt L industrie du recyclage n cessite des technologies innovantes dont la mise sur le march peut tre relativement longue selon le niveau de Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 complexit du produit ou du service analyse Christophe Rouvi re direc teur g n ral de Natureo Finance Cette dur e de mise sur le march est rendue difficile car chaque nouvelle fili re de rec
137. s 22400 Courbevoie Adresse Postale AG Europe Limited Si ge spra The ANG pour la France l ploca de leur CR b ploce de llis 2040 Ports Lo Delenio Codex CS Horserre 752 862 540 30 L EXP RIMENTATION D AUTORISATION UNIQUE LOI SUR L EAU A OFFICIELLEMENT D MARR Modification de la proc dure d autorisation des installations hydro lectriques et exp rimentation d une autorisation unique IOTA sont entr es en vigueur d but juillet avec une g n ralisation pr vue sur tout le territoire AE Ed 7 PK fhoto com i A i Pr d f r ps vg Y 2 Fe millowpik SS Fm L exp rimentation d une autorisation unique pour les projets relevant de la l gislation sur l eau dans les r gions Rh ne Alpes et Languedoc Roussillon a d marr officiellement le 4 juillet En effet le d cret d application de l ordonnance qui pr voit cette ex p rimentation d autorisation unique pour les installations ouvrages travaux et activit s IOTA relevant de la l gislation sur l eau est paru le 3 juillet au Journal officiel En m me temps qu un deuxi me d cret qui harmonise la proc dure d autorisation des installations hydro lectriques avec la proc dure IOTA L exp rimentation d bute son extension d j d cid e L exp rimentation d une dur e de trois ans vise rassembler autour de la proc dure d autorisation des IOTA au titre de la loi sur
138. s ann es 1990 dans le secteur industriel et pour des traitements en ext rieur En pr sence d oxyg ne et de vapeur d eau le rayonnement ultra violet qui active un mat riau semi conducteur permet aux mol cules entrant en contact avec la surface r active de se transformer en dioxyde de carbone et en vapeur d eau explique t elle ajoutant que cette technique permet d liminer les micro organismes ou les odeurs mais galement d autres compos s gazeux inorganiques comme les oxydes d azote Deux familles de produits existent des purateurs d air utilis s en int rieur mobiles fixes ou coupl s au r seau de ventilation et des mat riaux photoactifs utilis s comme rev tement pour le traitement de l air int rieur ou ext rieur compos s organiques volatils COV et les micro organismes gr ce un effet germicide Les micro organismes s accrochent suffisam ment longtemps la surface du semi conducteur pour que cela bloque leur reproduction effet bact riostatique ou les d truise effet bact ricide d taille t elle En ext rieur la photocatalyse traite surtout les COV voire les oxydes d azote NOx S agissant des NOx Ademe note que des exp ri mentations men es grandeur nature sur des rev tements de b timent ou de route ont montr une r duction des concentrations de NOx allant jusqu 40 57 proximit imm diate mais d autres exp rimentations ont t mo
139. s dans d autres D ici peu cette contrainte n en sera plus une indique t elle parmi les freins En 2012 le parc du syndicat mixte des ordures m nag res SIOM de la vall e de Chevreuse Essonne et Yvelines tait pour sa part com pos de vingt six bennes ordures m nag res hybrides GNV gaz natu rel pour v hicules et lectriques de PTAC de 26T Les investissements du prestataire de collecte Veolia Pro pret Otus sont de 248 000 par benne hybride contre 160 000 pour un v hicule classique diesel Le syn dicat mixte a install 26 bornes lec triques pour un co t de 130 000 permettant la recharge des v hicules Il dispose depuis 2003 d une station de livraison de GNV et de 10 bornes d approvisionnement investissement de 777 000 euros Le choix du GNV permet de r duire entre 2 5 fois les missions d oxyde d azote par rapport au diesel 20 km h et n met presque pas de particules indique le SIOM Une benne hybride GNV lectrique permet galement une r duction suppl mentaire de 20 de la consom mation de GNV l optimisation des circuits de collecte gr ce au syst me de tr mie modulable polyvalente r duit le parc de 10 camions Les nouveaux v hicules hybrides garantissent en outre un niveau sonore moindre par rapport un v hicule diesel muni d une benne compaction non lectrique ajoute le SIOM Soit une diminution de 40 de la pollution
140. s et d j accept la mise en place d un tel r seau titre exp rimental Baptis Unisaid ce r seau doit permettre aux exploitants mais aussi aux pr fets de solliciter le conseil d experts industriels identifi s par type de substances ou de r actions chimiques l Administration souhaite que d autres f d rations profession nelles rejoignent UIC L objectif Rendre le r seau Unisaid op ration nel courant 2015 Une convention entre les f d rations professionnelles les minist res de l Ecologie et de l Int rieur viendra pr ciser les moda lit s de fourniture de ce conseil Faire des analyses ind pendantes rapidement l instruction impose galement aux exploitants d tablissements Seveso seuil haut de se doter d une capacit ind pendante pour effectuer rapide ment des pr l vements et mesures dans lair ambiant en cas d mis sions accidentelles l objectif est de disposer d chantillons conservatoires repr sentatifs de la phase aigu de l accident afin de pouvoir effectuer ult rieurement des v rifications sur l impact des rejets mais aussi de disposer de r sultats de mesure des missions hors du site durant toute la phase de l accident afin d estimer l exposition des populations Les pr fets doivent veiller ce que ces capacit s de pr l vement et d analyse soient adapt es aux proc d s et substances mis en uvre Au del des substances Ta F IAC Te m re i L
141. sation d une mission de hauts fonctionnaires qui a donn lieu la publication d un rapport en septembre 2013 Deux groupes de travail associant services de l Etat associations agr es pour la surveillance de la qualit de l air AASQA et f d rations profession nelles avaient galement t mis en place L instruction prend en compte les r sultats de ces diff rents travaux Faire appel rapidement au r seau d expertise de l Etat l instruction vise en premier lieu le recours rapide au r seau d expertise constitu par les p les interr gionaux risques accidentels des directions r gionales de l environnement de l am nagement et du logement Dreal L id e est que les pouvoirs publics puissent rapidement s assurer que les actions mises en uvre par l exploitant permettent de ma triser l incident ou l accident m me si rappelle l instruction le pilotage des installations en situation d grad e demeure de la responsabilit premi re de l industriel Au del de l expertise sur les process industriels et les substances susceptibles d tre produites accidentellement l instruc tion rappelle la cha ne d expertise existante en mati re de s curit civile Celles ci fait appel aux conseillers techniques d partementaux et zonaux des services d incendie et de secours Sdis renforc e par la cr ation du R seau national d aide ju nil AL nn NL LL la d cision et d ap
142. t pouvait aller jusqu 40 000 indique Laurence Tartour Lors d une exp rimentation pilote men e dans pr s de 300 coles et cr ches entre 2009 et 2011 les co ts moyens par tablissement avaient t valu s 3 500 Le minist re estimait qu ils pouvaient tre abaiss s 2 600 en moyenne gr ce la mont e en puissance des organismes accr dit s Vers un all gement du dispositif Lors des questions orales au gou vernement en juillet dernier au S nat Fr d ric Cuvillier alors secr taire d Etat avait indiqu que le gouvernement comptait suppri mer cette obligation et que l valuation des syst mes d a ration pourrait tre effectu e par les services techniques des collectivit s Il s agit de permettre de r duire de pr s de 15 le co t de cette surveillance d s l entr e en vigueur du dispositif Un am nagement l chelon intercommunal peut d ailleurs permettre la mutualisation de ces services Selon lui l Ineris a t mandat pour examiner la possibilit de mettre disposition des collectivit s des kits pour qu elles proc dent par elles m mes aux pr l vements Si ces travaux sont concluants ils devraient d boucher d ici la fin de l ann e Enfin il pr cisait que les services du minist re ont travaill l mergence d un march particuli rement concurrentiel pour la r alisation de ces mesures afin de faire baisser les p
143. table dans l eau et dans la propret en d pit d un contexte macro conomique difficile pr cise le groupe Sa branche nergie est en revanche en baisse fin juin 2014 10 1 p rim tre et change constants p nalis e par un hiver tr s doux qui a pes sur l activit de sa filiale Dalkia France explique le groupe Le chiffre d affaires de l nerg ticien a en effet accus une baisse de 14 6 sur le semestre li e galement la poursuite de l arr t progressif des cog n rations gaz Fin juillet le groupe a annonc la finalisation d un accord dans le cadre duquel EDF reprend l int gralit des activit s de Dalkia en France Hors Dalkia France le chiffre d affaires est en progression soutenue 6 5 change constant et 3 6 p rim tre et change constants pr cise Veolia La capacit d autofinancement op rationnelle est galement en croissance de 9 9 change constant soit 1 milliard d euros Cette hausse s explique notamment par Ia poursuite des conomies de co ts la tr s bonne performance de l activit propret dans toutes les g ographies ainsi qu un sensible redressement des performances de l eau en France souligne Veolia Les r sultats du premier semestre sont satisfaisants et prometteurs Le chiffre d affaires est en croissance soutenue et nos efforts commerciaux de conqu te des march s industriels portent d j leurs fruits a d clar Antoine Fr rot PDG du groupe R
144. tif qui vise r duire la quantit de d chets produits et trier davantage est efficace il en r sultera une baisse des recettes pour les collectivit s territoriales Celles ci auront tendance la compenser par une augmentation des taux no tamment en raison des co ts fixes D autant que la baisse des recettes est susceptible d entra ner une baisse de certaines dotations En bref il ne faut pas donner de faux espoirs aux citoyens en terme de diminu tion de facture Les s nateurs pr conisent par cons quent d insis ter aupr s des redevables sur la seule port e environnementale de la tarification incitative gt gt clefs en main ti BEN 5 N st t Appelez nous i mr ot D RE LE i i a L m DS REM S ree OM i j Pa j OM kd z F z k L i i IM T j men MM EH i d Imaginer et Agir m DOSSIER Collecte des d chets La taxe incitative d sormais possible La tarification incitative est une contribution au financement du service dont le montant exig des usagers varie selon l utilisation r elle du service Depuis 2013 elle peut s appliquer aussi bien la redevance qu la taxe d enl vement des ordures m nag res Six collectivit s seulement auraient toutefois mis en place la TEOM incitative ce jour tandis qu environ 190 auraient instaur la REOM incitative N Ei 4s 4 y L 4 Fa L gt
145. timent es v hicules hybrides lectrique gaz naturel pour v hi cules GNV diesel biom thane sont autant de solutions exp rimen t es par les communes l tude chiffre les gains g n r s en mati re de co ts de collecte de diminution des kilo metres parcourus et par cons quent d conomies de carburant et des missions de CO mais aussi de baisse de la pollution sonore par rapport aux bennes ordures classiques Les bennes compartiment es per mettent la collecte en simultan de plusieurs flux de d chets ordures m nag res r siduelles OMR et biod chets emballages recyclables et verre OMR et cartons l avantage incontestable de cette typologie de v hicules est de permettre l optimi sation des tourn es avec une collecte d au minimum 2 flux de d chets en un seul passage qui s accompagne d une baisse des trajets desservis et des co ts de fonctionnement du service associ s carburant et personnel de collecte soulignent Amorce et l Ademe Collecte s par e m canis e Parmi les initiatives pour pouvoir d velopper le tri sur les plages Pavil lon bleu du Canet en Roussillon la Communaut d agglom ration Perpignan M diterran e Pyr n es orientales et la soci t Veolia Propret exp rimentent une benne ordures m nag res bi compartimen t e de type 4x4 Renault Trucks de poids total autoris en charge PTAC de 14 tonnes pour collecter les bacs install s su
146. tion et la r duction des tourn es de ramassage des d chets permettent de r pondre aux nouvelles pratiques des citoyens notamment en mati re de tri Elles favorisent aussi les bonnes pratiques en les encourageant et en simplifiant Philippe COLLET D les pistes d optimisation figure la r duction de la fr quence des tourn es de collecte d ordures m nag res r siduelles OMR et de d chets recy clables Si la mesure est complexe appliquer en ville elle pr sente un int r t dans les zones rurales o elle favorise une baisse des co ts de collecte ainsi qu une diminution des OMR collect es Dans les faits la r duction du nombre de collectes peut tre tr s sensible puisqu il est possible de passer de deux collectes hebdomadaires une seule Une situation rencontr e notamment en milieu rural Cela s inscrit donc dans une refonte de l ensemble de la collecte assortie de mesures d accompagnement des citoyens afin d assurer le succ s de cette volution Le plus souvent cet accompagnement vise favoriser les gestes de tri soit sur les d chets fermentescibles par exemple en fournissant un composteur lorsque c est possible soit en modifiant les consignes de tri R duire les co ts mais pas seulement Selon les informations recueillies par l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Ademe via son programme d optimisation de la gestion des d chets Optiged le principal b n fice r
147. tockage souterrain d hydrocarbures la taxe pour la gestion des eaux pluviales urbaines ainsi que la taxe g n rale sur les activit s polluantes TGAP pesant sur les installations class es pour la protection de l en vironnement ICPE Reste suivre les travaux d un Parlement moins docile que par le pass pour savoir s il approuve amende ou supprime ces dispositions voire en ajoute de nouvelles Laurent RADISSON Extrait du E amp T n 341 Novembre 2014 ClaudioVentrella iStockphoto com EVANS EET KEE EET L efficacit nerg tique un march mondial de 310 MILLIARDS DE DOLLARS L efficacit nerg tique est un march en pleine croissance et vou un bel avenir selon le dernier rapport de l AIE Le secteur des transports est particuli rement prometteur et devrait concentrer 60 des investissements sur la prochaine d cennie Florence ROUSSEL L efficacit nerg tique est le moteur invisible qui travaille en coulisses pour am liorer notre s curit ner g tique r duire nos factures et atteindre nos objectifs en mati re climatique commente Maria van der Hoeven directeur ex cutif de l Agence internationale de l nergie AIE l occasion de la publication du rapport 2014 sur le march de l efficacit nerg tique Ce march en pleine croissance pesait entre 310 et 360 milliards de dollars en 2012 et a permis une r duction de 5 de la consommation d
148. tre couverts par le secret des affaires le mod le type de rapport d analyse ne devra tre communiqu qu aux seuls membres du conseil municipal et aux seules personnes charg es du contr le des actes des collectivit s Ces avis bien qu obligatoires ne sont pas conformes rappelle par ailleurs l instruction C est dire que la collectivit peut ne pas suivre l avis du DDFiP rel ve de sa seule responsabilit de prendre une d lib ration constatant le maintien ou au contraire la caducit d un contrat pr cise le minist re des Finances Peoplelmatesk IStocfhoto com Laurent RADISSON Extrait du E amp T n 339 Septembre 2014 service HS305 lecteur Sita retenu pour le POLE ENVIRONNEMENT DE NARBONNE La communaut d agglom ration du Grand Narbonne confie Sita filiale de Suez environnement la conception la construction et l exploitation de son futur p le environnement pour 202 millions d euros sur 20 ans Cette nouvelle unit de traitement accueillera les 75 000 tonnes de d chets collect es chaque ann e sur le territoire du Grand Narbonne Trois formes de valorisation sont pr vues la valorisation mati re pour le bois les emballages et les encombrants La valorisation organique pour les biod cheis via un atelier de compostage puis ult rieurement en s appuyant sur les solutions et le programme de recherche qui sera engag avec l Inra Narbonne et le Centre internati
149. u mis un dispositif de responsabilit largie des producteurs REP devait faire l objet depuis le 1 janvier 2012 d une signal tique commune infor mant que ce produit rel ve d une consigne de tri l objectif viter la multiplication de messages jetant le trouble dans l esprit du consom mateur point vert Le Triman mis au point par l Ademe n a pas pour l heure t rendu obligatoire Le comit interminist riel pour la modernisation de l action gt gt LE MEILLEUR DE LA TECHNIQUE ET UN R SEAU DE SAV UNIQUE EN FRANCE Valormax 172150 Le broyeur rapide capable de valoriser la fraction bois des d chets verts Ta an Ph M aN ladt tt tt AJNOREMAT NANCY 03 83 25 77 78 AUXERRE 03 86 94 07 93 Tana Valormax 400 Le broyeur lent 7 d une polyvalencen extr me Fabriqu par TAMD LYON 04 7468 7925 046602 19 30 D NOREMAT N MES TOULOUSE 05 63 41 28 15 BORDEAUX CHOLET RENNES 05 56 31 53 54 O2 41 75 00 89 02 99 37 65 07 m DOSSIER Collecte des d chets gt gt publique Cimap charg de d cliner le choc de simplification a en effet d cid d un report de cette obligation 2015 afin de laisser aux industriels le temps de s adapter Un premier d cret a t publi le 2 mars 2012 afin de pr ciser la liste des d chets concern s tous les d chets d emballages m nagers consti tu s majoritairement soit de verr
150. u prix se constate galement selon la puissance install e les parties fixes notamment le forfait de d placement p nalisant les plus petites installations Cependant on observe galement des carts de prix puissance quivalente Il faut tre vigilant aux types de prestations et aux garanties assur es Les cas 6 et 7 sont significatifs bien que plus lev le cas 6 inclut la fourniture d huile et des jeux de bougies les vidanges la garantie de performance de 93 et une astreinte avec intervention sous 24h Au contraire du cas 7 qui n inclut que les entretiens moteur classiques sans garanties de performance ni aucune fourniture de consommable La la r vision majeure des 60 000 h C est un point important n gocier en amont car des carts significatifs sont observ s Dans tous les cas il faut soit pr voir une provision annuelle pour le changement du moteur soit investir dans une r novation en ann e 7 ou 8 Pour cette derni re il est int ressant de s interroger sur les volutions techniques ventuel les notamment au niveau des rendements moteur Une analyse technico conomique avec le nouveau productible th orique semble indispensable Elle permettra de d finir les futures orientations Plus g n ralement la situation g ographique de la soci t qui assurera l exploitation du site est un moyen de s curiser la production d lectricit Tous ces l ments doivent tr
151. u d bit de biogaz et de sa qualit via des traitements ad quats sera aussi d terminante le rendement du moteur fluctuera selon les variations de d bit et sa qualit impactera directement les fr quences d entretien et l usure des pi ces Enfin la ma trise de la disponibilit technique dont le taux r el va d pendre de la maintenance globale du site pr sence de pi ces d tach es astreinte sera essentielle Sur une cog n ration biogaz de 500 kWe le chiffre d affaires CA potentiel serait de 680 k par an Il ne sera assur qu en respectant quatre param tres importants que sont la disponibilit l efficacit biologique 13 100 tonnes 1h E 1010 tonnes Disponibilit 90 OSOD tonnes 9 800 MWh primaire EB le rendement lectrique rend et l efficacit nerg tique EE comme d crit sur le sch ma fig 1 La repr sentation fig 2 retrace plusieurs cas de figure de diminution du CA perte de 10 de disponibilit 9 de CA diminution de 5 du rendement lectrique 15 de CA et absence de valorisation de chaleur 20 de CA Aucun projet ne peut supporter une telle baisse de recette sur la dur e Pour obtenir un fonctionnement optimal d une installation il faudra assurer une conduite journali re et une exploitation en suivant un plan de maintenance rigoureux d taill et li la dur e de vie des quipements Une vision globale est galement n cessaire afin de cor
152. ubelles et consignes de tri d une collectivit l autre Celle ci sera planifi e apr s concertation avec les collectivit s comp tentes et les industriels sans surco ts au fil du renouvellement des quipements avec un horizon 2020 pr cise la feuille de route service lecteur HS321 L INSTAURATION D UNE TARIFICATION mati re de collecte Si la tarification incitative permet d am liorer le tri ses effets semblent en revanche limit s en mati re de baisse de production des d chets et de r duction des co ts Laurent RADISSON a loi Grenelle I pr voyait que tant la redevance REOM que la taxe d enl vement des ordures m nag res TEOM int grent dans un d lai de cinq ans une part incitative Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 A quelques mois de cette ch ance la tarification incitative est loin d tre g n ralis e A l occasion de la publication de son rapport annuel en f vrier dernier la Cour des comptes indiquait que seuls 6 5 de la population fran aise taient aujourd hui couverts par une telle tarification l explication La col lectivit locale doit cr er et entrete nir le fichier des usagers mettre et recouvrer les factures recevoir les questions et r clamations des usagers et y r pondre pr cise la juridiction financi re INCITATIVE cle des effets positifs en Efficace en mati re de tri Pour la minorit
153. un coefficient compris entre 0 19 et 0 13 selon la puissance de l installation Ainsi une installation fonctionnant sur une Step et g e de dix ans pourra b n ficier d un tarif correspondant 1 Cgen 10 15 du tarif normal soit de 87 33 pour les installation de capacit inf rieure ou gale 50 m par heure Cgen fix 0 19 91 33 pour les installations de capacit sup rieure ou gale 350 m par heure Cgen fix 0 13 Lorsque l installation a plus de 15 ans le coefficient est 1 Cgen soit de 81 pour les installations de petite taille 87 pour les installations de grande taille du tarif de base Philippe COLLET Extrait du E amp T n 339 Septembre 2014 HS309 teur 19 Journ e de l OlEau Pour l intervention en espaces confin s dans le domaine de l eau et de l assainissement 2 Colloque g nie v g tal g nie cologique 16 Assises nationales de l nergie 16 Carrefour des gestions locales de l eau Rencontre autour de la r glementation REACH 2015 Conf rence sur les syst mes de soutien aux EnR 4 mes Journ es Recherche et industrie Biogaz M thanisation BEPOSITIVE le rendez vous B timent Bois Energies Salon Biogaz Europe 2015 HS310 l cteur M THANISATION AGRICOLE EN BRETAGNE LA FILI RE SE PORTE BIEN Sous l impulsion des politiques r gionales et nationales de r duction des fuites de nitrates la m thanisation la ferme est en plei
154. un projet l autre Pour l appel projets 2011 le taux moyen d investissement dans les projets tait de 15 Nous avons soutenu une quarantaine de projets pour une enveloppe d aides de 1 3 ME Pour le deuxi me appel projets lanc en 2013 ce taux est pass 20 avec une participation allant de 7 31 selon les projets l enveloppe est rest e la m me mais nous avons financ moins de projets une vingtaine seulement Certains projets ont t touch s par le ralentissement d investissement dans le secteur du b timent Nous aimerions rester sur un rythme d une quarantaine de projets soutenus par an E amp T Quelles sont les perspectives pour les appels projets venir PK Nous voudrions toucher davantage les indus triels et les petites et moyennes entreprises PME alors que pour l instant nous travaillons surtout dans le priv avec la grande distribution les domaines viticoles Il faut que nous leur d montrions que cela peut permettre de baisser les co ts d exploita tion de leurs b timents tout en assurant une s curit nerg tique Avec l appel projets 20149 nous prenons davantage en compte les possibilit s de stockage qui permet de r pondre aux pics de consommation de lisser la production et de couvrir les consommations nocturnes Cela permettra d augmenter le taux de couverture de certains projets La puissance install e devra tre au minimum de 10 kWc et l auto consommati
155. un tel r actif dans un secteur o ce m me polluant n est pas encore capt de fa on optimale De plus dans les incin rateurs les instruments de mesure arrivent la limite de d tection compatible avec les standards de calibration Enfin 7 Turnkey solutions for Volatile Organic Compound VOC emission treatment Oxidizers Activated carbon systems for solvent recovery Wet removal units with washing towers and scrubbers Pioneering and tailor made ITAS solutions to help customers reach the perfect balance between investment thermal recovery f J to enhance emission trealment In 2014 ITAS joined Fives a French engineering group that designs and supplies machines process equipment and production lines for the world s major industrial players in various sectors la nature h t rog ne des d chets provoque de petits pics d missions n cessitant le maintien d une marge entre les VLE d j tr s basses et les valeurs obtenues en moyenne sur le long terme qui sont encore plus faibles Le d fi des industriels est donc aujourd hui de faire com prendre l Union europ enne la sp cificit du secteur et ses cons quences pour l laboration des nouvelles BATAELS dans le cadre de la r vision du BREF pour les incin rateurs de d chets devenus entre temps des thermo valorisateurs Note Thermovalorisateur vient de l italien termovalorizzatore centre de valorisation ner
156. une liste des pi ces d tach es avec prix et les dis ponibilit s respectives engageantes Vers un partenariat entre le constructeur et le ma tre d ouvrage Sur un chantillon de 9 contrats sur des puissances du moteur variant de 50 1 000 kW et des types de prestations variables plusieurs constats s imposent Tout d abord le plus vident le prix des moteurs est souvent d gressif en fonction de sa taille passant de 1 650 moins de 900 euros du kW install mais selon le p rim tre analys des diff rences importantes peuvent s observer Il faut tre attentif aux quipements inclus au poste cog n ration de type s cheur de gaz traitement H2S torch re chaudi re de compl ment transformateur r seau de chaleur sous station M me si l cart de prix peut tre important c est surtout l analyse en co t global qui sera pertinente Ramen l horizon conomique du projet c est le co t cumul de la maintenance de la r novation et du prix initial du process qui servira de base de comparaison Au niveau du co t d exploitation les prix sont ramen s au MWh afin de les comparer on constate des carts significatifs l l ment cl sera le niveau de prestation associ en fonction du type de contrat Les variations sont importantes de 36 11 84 MWh ce qui s explique par des diff rences sur les dur es contractuelles et le type de gt gt gt gt contrat La d gressivit d
157. ure la collecte des d chets m nagers et d chets verts le ramassage scolaire le transport des personnes Dans ce livre d entretiens Daniel Simon journaliste am ne Olivier Linot des services de la ville d crire les b n fices financiers cologiques et sociaux de l hippomobilit reverse supply chain qui permet de r cup rer les produits usag s et les r introduire dans le cycle de production de distribution et d utilisation service HS307 lecteur 16 DONNER AUX OUTRE MER LES MOYENS DE R ALISER LEUR TRANSITION NERG TIQUE Malgr l ambition politique affich e depuis des ann es les territoires d Outre mer peinent d velopper les ENR et la ma trise de l nergie Un rapport propose d enrichir les dispositions pr vues dans le projet de loi sur la transition nerg tique Lors du Grenelle de l environ nement d j les enjeux ner g tiques et le potentiel des territoires ultramarins avaient t soulign s En 2008 l le de la R union se lan ait dans le programme Gerri dont l objectif tait de parvenir l autonomie nerg tique d ici 2025 En 2009 la programmation pluri annuelle des investissements PPI pr voyait d ici 2020 de porter 50 la part des nergies renouvelables dans la consommation finale d ner gie de ces zones non intercon nect es 30 pour Mayotte Depuis r guli rement les lus nationaux et locaux ont port l ambition de faire des
158. ustives Comme indiqu plus haut les pollu ants et ou les m thodes d analyses concern es varient d un pays l autre Le choix des polluants analyser norm s et non norm s devra donc tre fait en tenant compte des contraintes des fili res fran aises et des fili res exports retenues service HS327 lecteur aprii Hs330 ayie 1998 SVETRUCK 16120 chariot frontal pour conteneur 20 40 4F 8 400 heures de fonctionnement bon tat 30 000 HT 2011 Analyseur de terre INNOV X DP4000 112 heures de fonction nement r vis garanti 3 mois 18 490 HT Acc dez aux offres Saisir la r f rence de l annonce dans l espace service lecteur sur www environnement et technique com amp TECHNIQUE UNE M THODE DE CHANGEMENT D CHELLE DANS LES ESSAIS DE LIXIVIATION CM 1 SUB D le domaine de l analyse des risques li s aux sols pollu s les professionnels sont la recherche de descripteurs non biais s qui permettent d tablir un sch ma conceptuel d exposition consensuel et s curitaire Si les tests de lixiviation restent les plus utilis s ils ne pr sentent pas de garantie suffisante de robustesse et de repr sentativit pour pouvoir tre mis en uvre sans discernement l usage qui peut en tre fait dans le contexte r glementaire et l gislatif actuel continue donc de soulever des interrogations Cela explique entre aut
159. ution de six euros par millier de m tre carr factur La somme collect e est revers e au Comit fran ais des plastiques en agriculture qui finance le dispositif de collecte Adivalor La collecte des filets d butera le 1 mars 2015 Elle Sera gratuite pour les retraits sup rieurs 2 5 tonnes soit l quivalent de la couverture de cinq hectares si agriculteur peut justifier de l achat de la m me quantit de filets neufs En France m tropolitaine les filets plastiques de protection d une dur e de vie de 10 ans recouvrent actuellement plus de 17 000 hectares de vergers Leur utilisation est en croissance r guli re et le gisement est valu 1 000 tonnes par an PG Extat du A n TENS RE COTE He ps GA PART 12 D chets PR VENTION DES D CHETS LA FRANCE A UN PLAN Rompre le lien entre croissance conomique et impacts sur l environnement dus la production de d chets Telle est l ambition affich e par le nouveau plan national de pr vention des d chets L arr t de la ministre de l Ecologie approuvant le nouveau plan national de pr vention des d chets est paru au Journal officiel du 28 ao t Ce plan dont l adoption est impos e par la directive cadre sur les d chets de 2008 fixe les objectifs et me sures en mati re de pr vention des d chets pour la p riode 2014 2020 Succ dant un premier plan lanc de mani re volontaire en 2004 il constitue le volet pr vention du
160. ux visant tendre son dispositif de collecte hippo mobile Concr tement accom pagn de la meneuse qui conduit le cheval et d un ripeur qui charge les sacs un rythme r gulier l animal effectue sa tourn e au pas au maximum trois heures en continu suivies d une pause d une heure au cours de laquelle il est d tel nourri et abreuv explique Sita De retour de sa collecte d une longueur variable de 5 10 kilom tres la benne est d charg e sur le site du prestataire et le cheval retourne au centre questre Se d roulant g n ralement le matin la tourn e est programm e puis Ne pas g ner la circulation automobile Durant la collecte le v hicule hippomobile doit respecter les r gles du code de la route au m me titre qu un v hicule motoris rappelle la commission nationale des chevaux territoriaux En 2012 elle a publi un guide technique destination des communes souhaitant mettre en place ce type de services Les articles du code de la route faisant r f rence la traction animale ne mentionnent que des obligations sur les v hicules ou les dimensions des convois La commune tudiera la pertinence et l insertion de l itin raire choisi pour que cela ne cause aucune g ne la circulation automobile existante et que le service puisse tre assur en toute s curit Concernant les allures le pas est privil gier dans les petites ruelles et le trot dans
161. vari t des situations Il estime le co t global des plans d actions entre 400 et 540 millions an Si on d duit le budget des agences de l eau consacr la pr vention des pollutions diffuses 180 M an et les aides du Feader 100 M an il en r sulte un besoin de financement de 120 260 M an selon le sc nario envisag value la mission Sa proposition Accro tre la part de budget des agences de l eau consacr e la lutte contre les pollutions diffuses pour aider la mise en uvre des plans d action dans les captages identifi s comme prioritaires Si l id e semble bonne premi re vue elle se confronte toutefois la r alit de la baisse r guli re de cr dit budg taire La mission appelle aussi la cr ation au niveau national d un r gime d aides sp cifique la pr vention des pollutions diffuses des captages qui permette notamment d augmenter la dur e des contrats et le montant des mesures Concernant P rim tres de protection d un champ captant 33 la gouvernance du dispositif elle propose que le pr fet puisse prescrire la cr ation ou r vision du p rim tre de protection de captage et rendre obligatoires des mesures du plan d action de pr vention des pollutions diffuses La mission envisage qu un d l gu interminist riel soit nomm pour mettre en place cette nouvelle strat gie la coordonner et faire adopter les modifications l
162. vironnement qui a enqu t pour le compte de l Ademe Mis en place en 2011 pour soutenir des projets pilote en mati re de biodiversit d nergie de mati res premi res ou encore de mobilit d eau ou d alimentation ce programme prend la forme d un contrat entre l Etat les entreprises priv es les acteurs publics et d autres organismes f d ration ONG Tous les acteurs prennent des engagements volontaires pour faire voluer tr s rapidement un projet et chacun doit agir son niveau pour apporter des financements modifier la l gislation et la r glementation ou favoriser la concertation En trois ans 160 Green Deals ont t sign s entre 750 acteurs diff rents dont 60 d entreprises 8 d ONG 14 d acteurs publics locaux 6 d instituts de recherche et 2 d instituts financiers Ces contrats bas s sur la confiance entre les acteurs ont par exemple permis de d velopper une solution de traitement des m che fers d incin ration capable de r cup rer les m taux pr cieux de d ployer l utilisation des chutes de bois dans l industrie des emballages en bois ou encore de tester l utilisation d agrocarburants dans l aviation Selon Nicolas Bouzou un tel outil d velopp dans un petit pays ne pourrait pas se d cliner tel quel en France mais il serait faisable l chelle des r gions bon entendeur Florence ROUSSEL Extrait du EST n 341 Novembre 2014 Note Source classement global
163. x contrats sign s avant son entr e en vigueur Mais que cette application n entra nait pas pour autant la nullit des contrats d une dur e sup rieure 20 ans conclus avant cette entr e en vigueur ni une obligation de ren gociation afin d en r duire la dur e Elle a pour effet d emp cher que ces contrats puissent tre r guli rement ex cut s au del de cette dur e sauf examen pr alable Environnement amp Technique HS Pollutec D cembre 2014 ge AN 3 U SD L i i PA md I NN p E B sv par le tr sorier payeur g n ral l initiative de l autorit d l gante des justificatifs de d passement de cette dur e Garantir un traitement homog ne des analyses C est dans ce cadre l que les DDFiP peuvent tre saisis par une collectivit en vue d indiquer si la convention peut aller jusqu son terme ou si elle est devenue caduque Compte tenu des nombreuses demandes et au regard de la n cessit de garantir un traitement homog ne des analyses la Direction g n rale des finances publiques fournit via cette nouvelle instruction une m thodologie l attention des DDFiP L instruction comprend une notice explicative de l avis que doit rendre le DDFiP accompagn e de trois mod les types courrier adresser l ordonnateur rapport d analyse et avis du DDFiP lt ue Elle pr cise que au regard des l ments susceptibles d
164. yclage ne peut r ellement merger sans avoir acc s un gisement qualifi Et qui dit longue dur e dit investissement principalement en fonds propre ajoute t il Or trouver des capitaux n est pas chose facile Le dispositif fran ais d aide l innovation repose sur le co investissement public priv mais l heure o l investissement priv se tarit difficile d investir dans des dossiers r ellement innovants souvent per us comme les plus risqu s Comment investir dans un projet industriel par d finition long terme alors que l horizon d investissement des fonds est g n ralement de 4 5 ans interroge Christophe Rouvi re R sultat alors que la France se classe 6 mondiale en mati re de recherche et d veloppement avec de nombreux brevets d pos s elle tombe au 22 rang question innovation L exemple copier des green deals n erlandais Alors qu en France la phase du pilote industriel est la plus d licate financer l Etat f d ral am ricain ou encore les acteurs publics japonais ou chinois concentrent leur effort sur cette phase pr cis ment constate Christophe Rouvi re Ils consid rent que c est dans la phase la plus risqu e qu il faut soutenir les entreprises innovantes Une fois que le concept a fait ses preuves le financement priv peut alors s en emparer Le mod le des Green Deals aux Pays Bas a retenu l attention du cabinet RDC En

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