La Directive Eaux de Baignade Le lundi 29 juin 2009
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1. Pascal GREGOI RE Chef du D partement Management de l Environnement du Grand Port Maritime de Dunkerque Programme d actions de reconqu te de la qualit des eaux littorales et portuaires 2 DunKerque Grand Port Maritime de Dunkerque Zr 2 i EU ETUDE D G NOST TE REHABIL Tm Domit L ASSAIN Kd l IECTIF 7 i ef Presentation des AMODIAG ENVIRONNEMENT SOMMAIRE Enjeux de l tude R glementation portant sur l assainissement non collectif R sultats des diagnostics des installations d assainissement non collectif Grille de classification initiale des ouvrages R sultats des diagnostics des installations d assainissement non collectif v Techniques d assainissement employ es v Bilan statistique de l tude de r habilitation Dossier Co t Enjeux environnementaux Efficacit Continuit de l tude ENJEUX DE L ETUDE Les Enjeux de l Etude u R soudre les probl mes li s l vacuation et au traitement des eaux us es en g n ral Prot ger la qualit des eaux de surface u D terminer le syst me d assainissement le plus appropri chaque secteur du GRAND PORT MARITIME DE DUNKERQUE u R soudre les probl mes li s l vacuation et au traitement des eaux pluviales en g n ral Le Comit de Pilotage Maitre d ouvrage GPMD M GREGOIRE D partement Management de l Environ2. fi T s CIN TO j Fa illi EA Ci e iG 4 4 LS Bi 154 s Artoi Picardie 29 j juin 12009 f PORT AUTONOMEN e DUNKERQ B Caract ristiques du projet e D shydratation naturelle par lagunage actif Biorem diation e Capacit totale des 3 lagunes 50 000 m e Bassin tampon d cantation pour le traitement de l eau e Objectif de siccit des s diments 60 1 PORT AUTONOME DE uf DUNKERQUE Ecole d ing nieur Centre da Rachercha Mines de Douai Lagunage Fonctionnement d une lagune Eclusettes ferm es sediments dragues Etape 1 Remplissage PORT AUTONOME DE 2 DUNKERQUE BEEN UO Centre de Recherche Mines de Douai Lagunage Fonctionnement d une lagune drainage des eaux d infiltration 3l eau superficielle l s diments d cant s Etape 2 D cantation PORT AUTONOME DE DUNKERQUE IN Lagunage i Fonctionnement d une lagune Eclusettes ouvertes d veloppement de fentes de dessication Etape 3 Consolidation a PORT AUTONOME DE p DUNKERQUE Lagunage Fonctionnement d une lagune ci s diments siccit 6096 andain _ gt w tape 4 D shvdratation forc e Do ORT AUTONOME DE e DUNK ERQUE xa G ENVISAN Travaux realises Mines Terrassement PORT
3. La Directive Eaux de Baignade Le lundi 29 juin 2009 A BOULOGNE sur MER e Ouverture de la Alain STREBELLE Directeur G n ral de l Agence de l Eau Artois Picardie e Qualit des eaux de baignade enjeux sanitaires et nouvelles obligations r glementaires Cl ment BASSI I ng nieur du G nie Sanitaire au Service Sant et Environnement de la Direction R gionale des Affaires Sanitaires et Sociales Nord Pas de Calais e Nouveau r f rentiel de certification du systeme de gestion de la qualit des eaux de baignade eaux de mer et eaux douces Jean Francois RAPI N Maire de Merlimont Conseiller R gional Nord Pas de Calais Tr sorier de l Association Nationale des Elus du Littoral et Membre du Conseil National du Littoral e La qualit des eaux de baignade du littoral Dunkerquois Contexte enjeux et perspectives de la gestion des eaux de baignade S verine ARNOUTS DEGRAND Charg e de l Ecologie Urbaine la Direction Am nagement Urbain de la Ville de Dunkerque Programme d actions de reconqu te de la qualit des eaux littorales et portuaires Pascal GREGOI RE Chef du D partement Management de l Environnement du Grand Port Maritime de Dunkerque e Les strat gies d interventions de l Agence de l Eau pour pr server l avenir de notre littoral Ludovic LEMAI RE Chef de la Mission Littoral de l Agence de l Eau Artois Picardie e Cl ture de la conf rence Nouvelle Directive baignade tout c
4. de l Eau Arto tout commenc Nouvelle Directive baiqnade gt s LK SSTES CONFE RE NI SE PROFESSIONNEL Les grandes o orientations e gestion des eaux us es de temps pluie facteur de d gradation de la qualit des eaux de baignade solutions curatives bassins de d pollution Capter la pluie lt mensuelle gt d veloppement de solutions alternatives tudes pr alables zonage pluvial prise en compte dans les documents d urbanisme Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Relancer Pessnintessmant non collectif e politique territoriale priorit aux communes littorales e criteres d ligibilit zonage communal approuv SPANC op rationnel avec MO publique ou d l gation de service public habitation ou immeuble 5 ans op ration group e mini 5 contractualisation PPC Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Les profils de baignade e obligatoire avant mars 2011 e par le gestionnaire de la baignade e outil support la gestion active des eaux de baignade description de la zone de baignade identification et valuation des causes de pollution mesures de gestion r sorption des pollutions v nements critiques e cahier de recommandations de l agence de l eau e promouvoir une d marche territoriale Exemp
5. Le r f rentiel Document technique d appui pour conduire la certification Principe d un syst me de management de l environnement de type ISO 14001 Conditions pr alables Profil de baignade Strat gie de surveillance Mise en uvre de la strat gie de surveillance Gestion de crise Information du public Am lioration continue Gestion des documents et enregistrements Communication sur la certification La Certification Les tapes Auto v rification de recevabilit 50 A ou B Officialisation d lib rative Choix et contractualisation certificateur Envoi du dossier D marrage du processus D livrance du certificat Communication au public sur l obtention TTPROFESSIONN ELLES ANEL Merci et bon t sur nos plages Jean Fran ois RAPIN Maire de MERLI MONT 62 Conseiller R gional 59 62 Vice pr sident de la Communaut de Communes Mer et Terres d Opale Membre du Conseil National du Littoral pr side la commission loi littoral Membre du Conseil de rivages Manche Mer du Nord Tr sorier de l Association Nationale des Elus du Littoral Pr sident de la commission Gestion du Littoral de Syndicat Mixte de la C te d Opale et de l Association des Maires du Pas de Calais Membre du comit des finances locales et de la CCEN en repr sentation des communes du littoral national jean francois rapin orange fr anell wanadoo fr Nouvelle Directive baignade tout c
6. 2 pics de pollution bact riennes non expliqu s R vision de la Directive 76 160 CEE les normes plus severes qui entraineraient l interdiction de baignade aussi bien sur la Digue du Break qu a la plage de Malo Centre Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui TES CONFERENCES 7 PHOFESSIONNELL s Les objectifs terme e Am lioration durable de la qualit des eaux e Anticipation de la r vision de la Directive Europ enne e Mise en uvre d un compl ment au protocole d valuation permanent de la qualit des eaux de baignade e Proposition d une m thode de gestion des baignades vis vis du risque sanitaire Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Etude sur la qualit des eaux de baignade Phase 1 synthese bibliographique 2003 Objectifs de la phase 1 gt Recensement et synth se des tudes et donn es existantes gt Propositions pour la poursuite de l tude phase 2 gt Solutions envisageables ce stade Origines de la pollution gt Pollution f cale issue des r seaux d assainissement notamment par temps de pluie gt Chasse vers la mer par l cluse Tixier mar e descendante gt Pas de connaissance sur les pollutions venant du PAD v rifier en phase 2 L tude bibliographique a permis de d terminer les facteurs principaux influencant la qua
7. AUTONOME DE DUNKERQUE 154 de Do ouai Travaux r alis s Pose 505 M 8 E m i PORT AUTONOME DE f DUNKERQUE ma dan Be Hul Travaux realises ny Taran menas Teehnarkgtet Mise en oeuvre du systeme de drainage PORT AUTONOME DE DUNKERQUE g s SODRACO De Nul Gro Ecole d ing nieurs Tw Travaux realises Miines Installation des conduites de refoulement des s diments dragu s 7 ass PME ORT AUTONOME DE e DUNKERQUE 157 SODRACO INTERNATIONAL S A S dan De Nul Grou d ing nieurs 3 Centre de Recherche aum Travaux realises Mines niran Medal tenna egi de Douai ORT AUTO DE Mars 2008 INTERNATIONAL S A S Jan De Nul x soc IT Ecole d ing nieurs Centre da Recherche Travaux r alis s mines ENVISAN ouai Enwisgn mial ur de Douai me E ni k PORT AUTONOME DE Mars 2008 DUNKERQUE ENVISAN Tayip mental r alis s a an e D cantation P PORT AUTONOME DE DUNKERQUE Ef SODRACO INTERNATIONAL S A S Jan De Nul Gre Ecole d ing nieurs Centre de Recherche d XXE TID a di ES zy di Ex
8. Ace had avec ewtracteur en tatur de EF Fart emm yenila tion Lit de pose grave ciment ou b ton malgre FILTRE BIOCOMPACT coupe FOSSE TOUTES EAUX e PORT AUTONOME DUNKERQUE Plan v rifi le AMODIAG ECOLE HYDRAULIQUE JEch SANS Date 24 11 2008 LAS Far WES ins Fil d eau Fosse toutes us Sos BASSIN TAMP N eaux 15 m3 iuis lt Entretien compar des fili res propos es 4 Pour tous les types de fili re 1 est important de bien entretenir les ouvrages Le bac de d graissage cr mer les flottants du bac au moins deux fois par an u Le pr filtre sortir le panier deux fois par an et le passer sous un jet d eau La fosse toutes eaux vidange de la FTE tous les quatre ans par un vidangeur agr u es pompes de relevage v rification du fonctionnement et nettoyage deux fois par an Dans les ouvrages de traitement bien v rifier le bon coulement des effluents partir soit des regards de r partition ou de bouclage soit par les diff rents regards dispos s sur les ouvrages Pour la microstation les vidanges de la r serve de boues doivent tre r alis es environ tous les 6 mois Une v rification des quipements lectrom caniques doit tre r guli rement r alis e Chaque microstation est sp cifique 11 est F r f r
9. EE pi gt j 4 x e e b _ N Wn ho _ ne Po ATE ue mk ta s 50 d E um 2 1e 24 EUN D JA Y 5 AW fa A g V e y a H C f 4 a l b v LE TR WA a 59 s 1 Am E A NUR Ed 35 i i E A v 2 e l A Le TM m v A A 4 4 po ar S furis 5 A y 3 fi 22 57 e A h 1 WW a WA V DA AW N MCN h 4 b w p EN a 487 N d A A gt n WA 4 ja i J X noci vo y 4 Wu i Rd m E S i SE EE A ji ER R Qu u 1 221 2 gi UE 2 l 1 E 2 gie de Douai sg n 1 e Formation des andains 161 so SS INTERNATIONAL 5 4 5 Jan De Nul Group d ing nieurs Centre de Recherche Travaux r alis s mines is de Douai r Un centre de traitement op rationnel e D shydratation forc e et andains sns NEI by M US 72 2 UE didt P rae PORT AUTONOME DE octobre 2008 DUNKERQUE BEEN UO ro A Ludovic LEMAI RE Mission Littoral de l Agence de l Eau Artois Picardie Les strat gies d interventions de l Agence de l Eau pour pr server l avenir de notre littoral gt 2 A LES CONFER ENC ES 4 E PROFESSIONNELLES Dunkerque 250 Km de cotes Calais population Boulog
10. Escherichia coli sont inf rieurs o gaux au nombre imp ratif Au moins 90 des r sultats en Streptocoques f caux sont inf rieurs o gaux au nombre guide Au moins 95 des r sultats en Coliformes totaux sont inf rieurs o gaux au nombre imp ratif Au moins 80 des r sultats en Coliformes totaux sont inf rieurs o gaux au nombre guide Au moins 95 des r sultats en sont inf rieurs ou gaux aux seuils imp ratifs pour les huiles min rales les ph nols et les mousses B Eau de qualit moyenne Au moins 95 des pr l vements respectent le nombre imp ratif pour les Escherichia coli et les Coliformes totaux Au moins 95 des r sultats sont inf rieurs ou gaux aux seuils imp ratifs pour les huiles min rales les ph nols et les mousses Les conditions relatives aux nombres guides ne sont pas Nouvelle Directive baignade tout commence 2010 Eau pouvant tre Les eaux class es en cat gories A ou B sont conformes la r glementation europ enne C momentan ment pollu e La fr quence de d passement des limites imp ratives est comprise entre 5 et 33 3 en tout ou en partie v rifi es D Eau de mauvaise qualit Les conditions relatives aux limites imp ratives sont d pass es au moins une fois sur trois Toutes les zones class es en cat gorie D une ann e doivent tre interdites la baignade l ann e suivante Les eaux class es en cat g
11. et de leur vacuation par le sol Ces dispositifs d infiltration doivent tre cl tur s toutefois dans le cas des stations d puration d une capacit de traitement inf rieure 30 kg j de DBOS une d rogation cette obligation peut tre approuv e lors de l envoi du r c piss si une justification technique est pr sent e dans le document d incidence AMODI ENVIRONNEMENT Arr t du 22 juin 2007 L arr t du 22 juin 2007 impose des rendements aux fili res d assainissement ainsi qu un programme de surveillance de l installation plus ou moins contraignant en fonction de la taille de l installation Annexe 1 Performances minimales des stations d puration des agglom rations devant traiter une charge brute de pollution organique inf rieure ou gale 120 kg j de DBOS 1 Tableau 1 CONCENTRATION RENDEMENT PARAMETRES ne pas d passer minimum atteindre DBOS 35 mg l DCO 1 606 pour les installations de lagunage les mesures sont effectu es exclusivement sur la Demande Chimique Oxyg ne mesur e sur chantillons non filtr s Pour le param tre DBOS5 les performances sont respect es soit en rendement soit en concentration ENVIRONNEMENT Arret du 22 Juin 2007 Tableau 2 installations de lagunage RENDEMENT PARAMETRE minimum atteindre DCO chantillon non filtr pour les installations de lagunage les mesures sont effectu e
12. fili re mettre en ceuvre en fonction de l occupation Profil hydraulique entre les points de sortie et l exutoire ventuel tablissement d un sch ma de l installation projet e et d un devis quantitatif et estimatif de la solution projet e Presentation des r sultats Bilan de la rehabilitation des ouvrages Nombre d immeuble r habiliter en ANG 116 TITRE Nombre Tvpe d immeuble maisons d habitation individuelles autres immeubles 3 9 Charge Charge Charge DBO5 lt 1 2 kg j DBO5 gt Charge DBO5 lt 1 2 kg j DBO5 gt 1 2 kg j 1 2 Type de fili re TI Massif FS Petits TI Massifa FS Filtre Micro Petits Micro mettre en uvre Z olithe VND travaux Z olithe VND compact station travaux station Nombre Charge pollution entrante Nombre Presentation des r sultats Bilan de la rehabilitation des ouvrages Hypoth ses gt Bordereau des Prix Unitaires valid par le comit de pilotage Estimation de complications relatives au contexte du GPMD Anciennes fondations en sous sol circulation importante charge roulante tr s importante estim e V 20 96 pour les b timents V 10 96 pour les habitations gt Frais de ma trise d ceuvre de contr les du SPANC de la du passage d un Huissier de consultation d un hydrog ologue de protection des syst mes d assainissement par des cl tures emp chant la circulation et le stationnem
13. investissement d une installation en H T par rapport l utilisation de l immeuble nous nous basons sur un ratio entre le montant de la r habilitation en prenant en compte les subventions possibles et l occupation de l immeuble Ce ratio sera gal au montant de la r habilitation en HT nombre de pi ces principales de l immeuble maisons d habitation individuelles ou au montant de la r habilitation en HT nombre d EH autres immeubles qui sera not de la facon suivante Ratio co t occupation compris entre sup rieur 10000 De cette mani re nous allons privil gier la r duction de la plus forte pollution pour le plus faible co t possible Crit re Enjeux environnementaux Ce param tre se d cline en deux parties Une premi re notation correspond la nature de l exutoire des ouvrages de collecte et de traitement des installations existantes gt Une seconde notation porte sur la nature de l exutoire des ouvrages de collecte et de traitement apr s r habilitation des ouvrages Type de rejet existant Type de rejet projet Mer 12 _ Puits d infiltration RMR wa o Foe tanche _ 0 Cette double classification permet de favoriser la r habilitation des ouvrages existants rejetant en zone de baignade et la r habilitation des ouvrages projet s favorisant les infiltrations dans le sol AMODI ENVIRONNEMENT Cr
14. l h tellerie de plein air promouvoir la gestion durable de l eau conomies d eau maitrise des rejets Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui a la conchyliculture e exigence lev e en mati re de qualit de l eau accumulation rapide des polluants e gislation plus rigoureuse que la baignade suivi REMI IFREMER classement AFMAR A B C D e perspectives de d veloppement de l activit sur le littoral du Bassin Artois Picardie mais qualit des eaux insuffisante mergence de conflits d usage e les actions financables tudes de d finition des zones potentielles de d veloppement exemple littoral 80 station de purification des coquillages Le Crotoy Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui T PROFESSIONNELLES Les aides financi res du 9 Programme 2007 2012 Etablissement des profils de baignade et mesures d accompagnement visant l am lioration de la qualit des eaux de baignade Etudes Assainissement Travaux Actions prioritaires listees stations d puration reseaux Assainissement Assainissement Non Collectif Travaux H tellerie de plein air Am nagement d Aires de service Camping car Travaux d quipement des ports de plaisance et de commerce en syst me de collecte EU et
15. la transposition complete de la Directive et l ventualit d un renforcement des seuils en 2011 ou 2015 e Une aide pour les communes l information sur les nouvelles r gles et l auto valuation de son svsteme de gestion de la qualit de l eau de baignade e avec le r f rentiel de certification de syst me de gestion labor de mani re collective 2 associations d lus le MEEDDAT les minist res de la Sant Int rieur Tourisme les organismes priv s de la FP 2 repr sentants des collectivit s e un logo et une charte d utilisation reconnaissant par une certification par un organisme agr e une d marche de qualit Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui T PROFESSIONNELLES La certification Conformit la reglementation e Connaissance des sources de pollution e Surveiller la qualite sanitaire des eaux e Informer et prot ger les baigneurs e Am liorer la qualit des eaux de baignade e Mise en place de mesures anti pollution certificatio Objectifs Garantir une methode de surveillance et de gestion des eaux de baignade par une collectivit publique ou une personne priv e visant a am liorer la qualit de l eau et en informer largement le public afin de prot ger la sant des baigneurs Validit 3 ans avec valuation annuelle ANEL 1 2 3 4 9 6 7 8 9 La certification
16. nterpr tation des r sultats e Criteres d evaluation parametres microbiologiques e coliformes totaux e Escherichia coli e ent rocoques intestinaux parametres physico chimiques observations de terrain e mousses ph nols huiles min rales e couleur de l eau transparence de l eau CANCER et microcystines Ste kul Ta LES CONFE ITP g PROF FESSIONN Interpr tation des r s suite au pr l vement R sultats des analyses de coliformes totaux en UFC 100mL valeur guide 500 valeur imp rative 10 000 RESULTAT RESULTAT BON RESULTAT MOYEN MAUVAIS 0 500 10000 R sultats des analvses d Escherichia coli en UFC 100mL valeur guide 100 valeur imp rative 2000 RESULTAT BON RESULTAT MOYEN RESULTAT MAUVAIS 0 100 2000 R sultats des analyses d ent rocoques intestinaux en UFC 100mL valeur guide 100 Pas de valeur imp rative RESULTAT BON RESULTAT MOYEN 0 100 Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui LLES ultats ow T PROFESSIONNE LES RENCE Interpr tation des r sultats suite la saison Crit res de classement de la qualit des eaux de baignade en France A Eau de bonne qualit Au moins 80 des r sultats en Escherichia coli sont inf rieurs o gaux au nombre guide Au moins 95 des r sultats en
17. 4 11 2008 BLG e AMODIAG Environnement WWW afmota Corm HYDRAULIQUE OU REGARD ZDE BOUCLAGE REGARD DE REGARD DE PIQUAGE DE REPARTITION T VENTILATION RA A 2m VEGETALE TUYAU D EPANDAGE EN FOND DE FOUILLE AMODIAG keta HYDRAULIQUE zl CR A 25435 PROFIL REGARD DE CONTROLE FRERE DALLE D ANCRAGE SI NECESSAIRE REGARD DE Plan v rifi le Par 5 s B K A P hei 4 Z f PM 7 a p Couvercle visser r haussable 400mm Tube de ventillation interne liri granlometrie s plus grossi re granlometrie fine Z G otextile 24 Gravier pu PORT AUTONOME DE DUNKERQUE PROFIL FILIERE BIOCOMPACTE COUPE ANC p DB AMODIAG WIO Mee HYDRAULIQUE ech SANS sete 24 11 208 B LG VE LN QT Lars Dj Dalle de r partition en b ton arm reposent de 50 cm sur Le terrain non polsseur de dalle 20 Tampon Fonte CES ouverture Ubre 700 x 700 mm Renblal en grave cine r Rehaussg et couvercle Colonne trolt es P ue Grile avnlair servant de m vpatiatiar naturelle sm 222412 000 pr trelt os X entia tisri houte fosse toutes A Pr fRtre
18. E 2 2004 Le contenu gt Une campagne de mesures syst matiques et ses enseignements Elaboration du profil des eaux de baignade Evaluation des solutions techniques envisageables La campagne de mesures gt Campagne du 1er juin au 28 septembre 2004 120 jours Une saison compl te pour le parametre Escherichia Coli gt 1 chantillon chaque jour sur les lieux de la Digue du Break et Malo centre et dans le canal exutoire 360 chantillons avec pr cision sur l heure la mar e et la salinit ventuelle arriv e d eau douce potentiellement charg e en bact ries sur les lieux de baignade les pr cipitations le vent gt 2 chantillons par semaine au droit du quai Usinor pour mesurer le flux bact rien en provenance du bassin maritime soit 34 chantillons sur 17 semaines Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Pic de pellutiom lr acies emus iba 24 jumliet i Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 j Analvse des resultats Prise en compte de l ensemble des parametres influen ant la concentration en Escheriechia Coli Pluviometres auto surveillance des deversions d orage fonctionnement de l ouvrage Tixier m t o mar es La digue du Break est sensible aux v nements pluvieux importants Pour la plage de Malo centre il n y a pas de corr lation entre les valeurs d gradan
19. able de consulter le manuel d entretien transmis par le fournisseur AG AMODI ENVIRONNEMENT BILAN STATISTIQUE Statistique globale Repartition des rehabilitations de sur le nombre reel nombre d installation concern e Tvpe de fili re DOSSIER COUT ENJEUX EFFICACITE Contexte du dossier AMODIA ENVIRONNEME u Les crit res de la grille d valuation devaient permettre de d finir une hi rarchisation des travaux Cependant nous avons atteint les limites de cette classification sans r pondre au contexte particulier de la r habilitation des ouvrages d assainissement sur un territoire aussi complexe que le GPMD u Au vu des caract ristiques des immeubles rencontr s de l occupation de certains des contraintes de r alisation des travaux du montant lev des travaux de r habilitation des ouvrages d assainissement et des ordres de priorit s assortis la classification initiale l Agence de l eau Artois Picardie a souhait que nous tudions plus particuli rement la corr lation entre les crit res de co t en tenant compte des subventions envisageables d efficacit et d enjeux environnementaux impact des rejets sur le milieu naturel en vue d une hi rarchisation des travaux plus proches des r alit s de terrain D un point de vue conomique 11 est apparu que nous avions des montants de travaux tres lev s pour une utilisation tr s limi
20. al exutoire Quai d Armement Quai des Am ricains le chenal jet e de Malo les Bains Les fortes pluies du 4 juillet ont engendr une forte pollution bact rienne via les rejets des d versoirs d orage au canal exutoire j Les valeurs aux Ecluses Charles de Gaulle Wattier et Trystram restent faibles Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui gt LES CONFER A Lr n E kai getan L V TLLA LT Tj Lj amp a _ 1 gt E if S L E EHOFESSION Etude de la qualit des eaux de baignade de Dunkerque Phase 3 R sultats d analyses des pr l vements des 5 21 6 Juillet 2005 MERA OT gt ode Pulsa de pap lira Haak ja F rx 1 de geeleeemeni DDABS 59 Dalee ud HOME risa owe i Wb TA E aria Cali 350 m iriam a un vw mea manso z kum quum 47000 Cashu Puk uS enmt Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 21 et 22 juillet 2005 Valeur importante en E Coli le 22 juillet Malo centre et Malo terminus Les concentrations en E Coli Brav Dunes et Zuvdcoote sont entre 210 et 350 E Coli 100ml Etude de la qualit des eaux de baignade de Dunkerque Phase 3 R sultats d ana
21. as les conditions d infiltration ou les caract ristiques des effluents ne permettent pas d assurer leur dispersion dans le sol et sous r serve des dispositions pr vues aux articles 2 et 4 Sont interdits les rejets d effluents m me trait s dans un puisard puits perdu puits d saffect cavit naturelle ou artificielle S1 aucune des voies d vacuation cit es ci dessus y compris vers le milieu superficiel ne peut tre mise en oeuvre le rejet d effluents ayant subi un traitement complet dans une couche sous jacente perm able par puits d infiltration tel que d crit en annexe est autoris par d rogation du pr fet conform ment l article 12 du pr sent arr t AMODIAG ENVIRONNEMENT Arret du 22 juin 2007 Arret du 22 Juin 2007 Article 9 de l arr t du 22 juin 2007 de conception lt Les stations d puration doivent tre concues dimensionn es r alis es entretenues et r habilit es conform ment aux r gles de l art A cette fin le maitre d ouvrage peut se r f rer aux prescriptions du fascicule n 81 titre II du cahier des clauses techniques g n rales applicables aux march s publics de travaux relatif la conception et l ex cution de stations d puration d eaux us es Article 10 de l arr t du 22 juin 2007 Rejet des effluents trait s des stations d puration Les rejets effectu s sur le domaine public maritime doivent l tre au d
22. atiments du P A D Sensibilisation des ports de plaisance Point d information r gulier du REMI R seau de contr le microbiologique des zones de production conchylicole des moules sont produites au large de Zuydcoote et Bray Dunes Prochainement lancement d une tude des impacts microbiologiques de la station d puration de Coudekerque Branche sur la qualit des plages 2 pr l vements par semaine sur 11 points en amont et aval de la station durant 3 mois La DDE a t sollicit e afin de pr senter l tude VSC Visite Simplifi e Compar e relative aux ouvrages de d fense contre la submersion marine Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui TES CONF RENCI ES A PROFESSIONNELLES Le groupe de travail s interroge sur l tat des ouvrages les remises en tat ventuelles et le volume financier n cessaire pour une r flexion La m me d marche sera r alis e avec le P A D Prochainement Contact avec nos homologues de la C te Belge pour une presentation de leur dispositif de suivi et de gestion des eaux de baignades Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Reflexion en cours sur l laboration des profils de plage pour un d marrage d but 2010 Des donn es existent d j au niveau de l tude de Royal Haskoning de la CUD
23. aux d assainissement Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui 8 sites sont s lectionn s Pont Lefol Chenal Quai des Am ricains Quai d Armement Ecluse Trystram Ecluse Watier Ecluse Charles de Gaulle Jet e de Malo au niveau du canal exutoire avant qu il ne rejette dans l avant port Est au niveau de la sortie de l cluse Tixier proximit du port de plaisance proximit du port de plaisance passage des voiliers vers les diff rents ports de plaisance passage de bateaux du port Est vers les darses passage des p troliers vers les raffineries a l entr e du port de Dunkerque les eaux transitent n cessairement par ce point pour rejoindre la Mer Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 j A 6 ES 4 STesi CONF RENCE PROFESSIONNELI Resultats Analyse de la pluviom trie la conductivit salinite des eaux proportion eau douce eau sal e la frequentation A 25 indicateur de 10H 16H dans le sens Lille Dunkerque et de 16H 22H dans le sens Dunkerque Lille Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui 5 et 6 juillet 2005 Pic de pollution bact rienne au can
24. de ces effluents priv s u La Loi n 2006 1772 du 30 d cembre 2006 sur l eau et les milieux aquatiques indique dans l article 46 que AMODIAG ENVIRONNEMENT lt En cas de non conformit de son installation d assainissement non collectif la r glementation le propri taire fait proc der aux travaux prescrits par le document tabli l issue du contr le dans un d lai de quatre ans suivant sa r alisation uc Les communes d terminent la date laquelle elles proc dent au contr le des installations non collectif Elles effectuent ce contr le au plus tard le 31 d cembre 2012 puis selon une p riodicit qui ne peut exc der huit ans Arr t du 06 mai 1996 Arr t du 06 mai 1996 u Section 2 Prescriptions particuli res applicables aux seuls ouvrages d assainissement non collectif des maisons d habitations individuelles u Art 8 lt Les syst mes mis ceuvre doivent permettre le traitement commun des eaux vannes et des eaux m nag res et comporter a Un dispositif de pr traitement FTE installations d puration biologique boues activ es ou culture fix es b Des dispositifs assurant soit la fois l puration et l vacuation tranch es ou lit d pandage lit filtrant ou tertre d infiltration Section 3 Prescriptions particuli res applicables aux seuls ouvrages d assainissement non collectif des autres immeubles a Art 13 La pr sente section est appl
25. de la saison 2003 Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 j Initiative de l Elu Adjoint charg de l cologie Urbaine de la Ville de Dunkerque Composition CUD DDASS SIDF Syndicat Intercommunal des Dunes de Flandre Agence de l Eau Artois Picardie Services Maritimes PAD SMCO Syndicat Mixte de la C te d Opale AGUR Agence d Urbanisme ULCO Universit du Littoral C te d Opale Institut Interd partemental des Wateringues Port de Plaisance ADELE et ADELFA Associations de d fense de l environnement Direction D partementale des Affaires Maritimes DDE du Nord LES CONF RENCE s PROFESSIONNELLES a R unir tous les acteurs Objectifs du groupe de travail gt R unir les acteurs concern s par la probl matique des eaux de baignade gt Mutualiser les connaissances changer cr er un r seau gt Identifier les origines de pics de pollution gt Mettre en place des actions concert es gt 1 groupe de travail un moteur pour agir Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui En 2003 pourquoi une tude Depuis plusieurs ann es les eaux de baignade du dunkerquois sont ancr es en B qualit acceptable A la suite de la saison baln aire 2002 la plage de la digue du Break a t interdite la baignade
26. des lixiviats des aires de car nage Etudes Travaux Etude diagnostic et d environnement des ports de commerce et de plaisance Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 S 50 du montant HT A 40 S 25 S U R 20 communes rurales du montant HT A 30 S 20 plafond 5 700 HT br S U R 20 communes rurales du montant HT S 40 plafond 8 000 TTC installation 200 dossier d instruction S 50 du montant HT A 10 1 55 A 15 subvention du montant HT S 50 du montant HT convertible en Agence de l Eau Artois Picardie 29 ELLES T PROFESSIONN Les aides financi res du 9 Programme 2007 2012 Aide la mise en place de fili res de traitement des s diments pollu s et acquisition fonci re Etudes S 50 du montant TTC Travaux S tablie par le CA en fonction du dossier Conchyliculture Etudes sites de d veloppement potentiels S 50 du montant HT Travaux de construction et d quipement de bassins de purification des coquillages A 10 1 55 A 15 convertible en subvention du montant HT Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui FIN
27. e immeu t non collectif des INISSEMEN Pour les ouvrages d assa Bilan du diagnostic des ouvrages ins un pr traitement 44 90 poss dent au mo b timents confondus Entretien urgent r aliser 5 5 Pr traitement et 34 4 doivent faire l objet d un entretien urgent 9 6 poss dent un traitement ENVIRONNEMENT AMODIAG GRILLE DE CLASSIFICATION DES OUVRAGES D ASSAINISSEMENT EXISTAN Grille de classification initiale Pour la remise aux normes de la gestion de ses eaux pluviales et de leur rejet le GPMD est soumis des arr t s pr fectoraux Ces arr t s ont t d finis par secteur et soumis des d lais d application Ainsi l ordre de priorit d intervention par secteur suit l ordre chronologique des dates butoirs de remises aux normes des arr t s pr fectoraux La chronologie donne les notes de priorit suivantes Maisons d habitation individuelles Secteur Ecluses R parations navales Secteur des Darses 1 6 Secteur QGS Escaut 2 SevwrQGSEsa 3 secteur Port Ouest Port Rapide Secteur QPO Grille de classification initiale P Note associ e Rubrique Crit re Definition du crit re Note au critere Rejet direct au milieu naturel sans Inexistant 3 dispositif absence de pr traitement et de traitement Le dispositif n a pas tous les l ments pour Partiel 2 MAN fonctionn
28. e l eau aM Q LES sic gt ONF RENC ES mic DEINER Les apports de la nouvelle directive mise en place de profils de baignade e Le profil de baignade doit comporter une description des caract ristiques physiques g ographiques et hydrographiques de la zone de baignade la localisation du point de mesure une identification et une valuation des causes de pollutions affectant la qualit des eaux de baignade une valuation du risque de prolif ration des cyanobact ries une valuation du risque de prolif ration du et des algues P PROF FESSION pa ANGES Les apports dela nouvelle directive mise en place de profils de baignade e Si risque potentiel d pisode de pollution de courte dur e a nature l occurrence et la dur e des ces pisodes une description d taill e des causes de cette pollution ainsi que les mesures de gestion es mesures de gestion prises pendant les pisodes de pollution de courte dur e BROF FESSION pa LATE Les apports de la nouvelle directive am lioration de l information du public e Mise en place de registres en mairie e Informations sur le site de baignade et sur Internet Mise disposition du classement de l ann e pr c dente Mise disposition des derni res analyses Mise disposition d un profil de baignade simplifi i ont ge sah r r
29. eme de fermeture preventive des plages probleme de Malo les Bains sans prediction gt Rejet des eaux du canal exutoire mar e montante par le biais de l ouvrage Tixier le mod le montre que l impact de la mesure n est pas significative gt Recherche compl mentaire de sources de pollution pour expliquer les pics sur Malo les Bains secteur entre l cluse Tixier et l avant Port Est Pas d apport de bassin maritime Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui L I PROFESSIONN ELLES PHASE 3 CAMPAGNE DE MESURES 2005 Periode 13 jours r partis entre le 5 juillet et le 5 septembre 2005 et ce par groupe de 2 jours cons cutifs Le 2 jour concordait avec le jour du pr l vement de la DDASS sur les plages Le but identifier les causes de d passement de normes mesurees par le D D A S S partir des r sultats de mesures sur la partie amont Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Mode operatoire Les prelevements sont effectu s mar e descendante lors des vidanges du canal exutoire et de l avant port Est de Dunkerque dans la mer du Nord Les param tres mesur s sont E Coli et la conductivit Sites de pr l vement La phase 2 a mis en vidence qu une partie de la pollution provenait du canal exutoire L autre partie proviendrait des eaux us es des r se
30. ent non pris en compte AMODIAG ENVIRONNEMENT Presentation des r sultats Bilan de la rehabilitation des ouvrages Enveloppe financi re de r habilitation 2 700 000 de travaux Co t moyen de r habilitation d un b timent 22 494 Gamme de prix d une installation Maximum 122 500 semi collectif cluse r paration navale 60 EH Minimum 1 227 ajout d une ventilation secondaire 3EH TECHNIQUES D ANC EMPLOVEES POUR LA REHABILITATION DES INSTALLATIONS SUR LE GPM PORT AUTONOME DE DUNKERQUE 7 PROFIT LIT FILTRANT VERTICAL DRAINE EN Ech SANS 24 11 2008 BLG AMODIAG Environnement BT Cl ccm Plan v rifi le PIQUAGE DE REGARD DE REGARD DE REPARTITION r F CARD DE TUYAU D EPANDAGE TN w k 2 FTAUIER i x 4 j gt I Fil d eau pf EL IE cric Fosse toutes eaux KY Vf LA VE LE L EAU M P 7 gt VERS EXUTOIRE COUPE TRANSVERSALE TUYAU D EPANDAGE TERRE VEGETALE 5 00 d Q E ELA L L ALA AA LAA GT AT TA A D AAA TELL DER METRE a z 6 m d Er A EFFEEF J FRA FF m 0 20 0 20 FEUILLES ANTICONTAMINANTES x Ld Nd 0 10 DRAIN DE FIL RAIN DE GRAVIER 10 40 PORT AUTONOME DE DUNKERQUE f PROFIL TERTRE D INFILTRATION PENTE Ech SANS Dote 2
31. er correctement fili re enterr e Dispositif Le dispositif dispose de tous les l ments Complet pour fonctionner correctement G ne importante pour le voisinage fili re G nant 2 mE inexistante pnctionnement G ne pour l usager colmatage vidange odeurs non r alis e dispositif d fectueux fosse non probl mes Al atoire tanche canalisatlons colmat es dispositif hvdrauligues inadapt infiltration insuffisante ou non permanente satisfaisant BENE fili re en bon tat de fonctionnement ENVIRONNEMENT Grille de classification initiale L Ech ance de remise aux normes des Priorit par Arr t installations d assainissement due l arr t secteur pr fectoral pr fectoral Dispositif rejetant dans le milieu sanitaires Faible superficiel foss Fili re acceptable au regard des exigences Dispositif situ dans une zone risque p rim tre de protection de captage ev puits risque de contact humain avec le rejet Risques des eaux us es nappe faible profondeur de la sant publique TOTAL Grille de classification initiale La classification initiale donne une note finale qui correspond un ordre de priorit Priorit Note comprise entre 9 et 12 Priorit 2 Note comprise entre 5 et 8 Priorit 3 Note comprise entre 0 et 4 Dispositifs r habilitation urgente installati
32. essous de la laisse de basse mer Dans le cas ou le rejet des effluents trait s dans les eaux superficielles n est pas possible les effluents trait s peuvent tre soit limin s par infiltration dans le sol si le sol est apte ce mode d limination soit r utilis s pour l arrosage des espaces verts ou l irrigation des cultures conform ment aux dispositions d finies par arr t du ministre charg de la sant et du ministre charg de l environnement AMODI ENVIRONNEMENT Arret du 22 Juin 2007 Suite de l Article 10 de du 22 2007 lt SI les effluents trait s sont infiltr s l aptitude des sols l infiltration est tablie par une tude hydrog ologique jointe au dossier de d claration ou de demande d autorisation et qui d termine L impact de l infiltration sur les eaux souterraines notamment par r alisation d essais de tracage des coulements Le dimensionnement et les caract ristiques du dispositif de traitement avant infiltration et du dispositif d infiltration mettre en place Les mesures visant limiter les risques pour la population et les dispositions pr voir pour contr ler la qualit des effluents trait s Cette tude est soumise l avis de l hydrog ologue agr Le traitement doit tenir compte de l aptitude des sols l infiltration des eaux trait es et les dispositifs mis en uvre doivent assurer la permanence de l infiltration des effluents
33. f caux les Escherichia coli coliformes f caux Ils doivent tre faits avant le d but de chaque saison baln aire et au moins quatre fois pendant la saison e Les tats membres peuvent autoriser d autres m thodes d analyses condition que les r sultats obtenus soient quivalents ceux obtenus par les m thodes nonc es par la directive Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui l CONF RENCES FESSIONNELLES PRO Va amp La directive europeenne e La nouvelle directive de 2006 ne conserve que les deux indicateurs Attention voir le r f rentiel plus explicite pages 21 et 22 Param tres Excellente Bonne guide obligatoire qualit qualit guide obligatoire ichi 250 500 Escherichia coli CFU 100ml 2000 Ent rocoques CFU 100m 100 Plus deux autres classes suffisante et insuffisante Avant 2020 la Commission devra fournir un rapport au Parlement et au Conseil qui prendra en compte les r sultats d une tude pid miologique appropri e men e par la Commission en collaboration avec les pays membres les autres enseignements scientifiques analytiques et pid miologiques propos de ces parametres les recommandations de l organisation mondiale de la Sant La directive sera alors amend e la lumi re de ce rapport Nouvelle Directive baignade t
34. i m ug gt LESCONFERENCES gu uus 4 lt E s jer ii ROFESSIONNELLES La nouvelle directive les grandes dates retenir Transposition de la nouvelle directive loi sur l eau de d cembre 2006 d cret du 18 septembre 2008 31 12 2014 abrogation de la directive de 1975 Etablissement des profils de baignade d ici a mars 2011 2013 premier classement des plages avec la nouvelle classification T PROFESSIONNELLES Que va changer la nouvelle directive e Allegement du controle sanitaire Moins de parametres controles Fr quence de controle all g e e Durcissement des valeurs limites microbiologiques Diminution du risque sanitaire li la baignade Incitation des acteurs concern s am liorer la qualit des eaux afin d viter la fermeture de sites ERO FESSIONN N ELLES Que va changer la nouvelle directive e Profils de eaux de baignade Outils pour identifier les sources de pollution Possibilit d interagir sur ces sources pour am liorer la qualit des eaux e Information et participation du public Le public inform devient acteur de la gestion de la qualit de l eau de baignade LE X ONFERE Ci ES PROFESSIONNEL RES W J ean Francois Maire de Merlimont Conseiller R gional Nord Pas de Calais Tr sorier de l Association Nationale des Elus du Littoral et Membre du Conseil National du Littoral N
35. icable aux dispositifs d assainissement non collectif destin s traiter les eaux us es domestiques des immeubles ensembles immobiliers et installations diverses qu elle qu en soit la destination l exception des maisons d habitations individuelles Art 14 gt l assainissement de ces immeubles peut relever soit des techniques admises pour les maisons d habitation individuelles telles que d finies dans la section 2 du pr sent arr t soit des techniques mises en ceuvre en mati re d assainissement collectif AMODIAG ENVIRONNEMENT Arr t du 06 mai 1996 article 3 de l arr t du 06 mai 1996 inf rieur 1 2 Kg DBOS j lt La qualit minimale requise pour le rejet constat e la sortie du dispositif d puration sur un chantillon repr sentatif de deux heures non d cant est de 30 mg par litre pour les mati res en suspension M E S et de 40 mg par litre pour la demande biochimique en oxyg ne sur cinq jours DBO5 lt Les eaux us es domestiques ne peuvent rejoindre le milieu naturel qu apr s avoir subi un trattement permettant de satisfaire la r glementation en vigueur et les objectifs suivants u 1 Assurer la permanence de l infiltration des effluents par des dispositifs d puration et d vacuation par le sol 2 Assurer la protection des nappes d eaux souterraines Le rejet vers le milieu hydraulique superficiel ne peut tre effectu qu titre exceptionnel dans le c
36. ie 12 000 Communaut Urbaine de Dunkerque 3 000 Service Maritime analyses Phase 2005 10 285 60 TTC TOTAL 109 673 20 TTC 36 000 soit 1 3 du total TI ES CON F ENCE PROFESSIONI IELLES Analvse de l v namant du 7 ao t 2006 Contexte La plage de Malo centre a connu un pic de pollution bact riologique le lundi 7 ao t 2006 qui a entrain la fermeture de la plage du vendredi 11 au lundi 14 ao t Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui LES CONF RENCE S uz PROFESSIONNELLES Analyse de la situation 9000 E Coli 100 mil Pas de pr cipitations significatives pas de fonctionnement des d versoirs d orage le pic de pollution bact riologique n a donc pas t engendr par des d versements du r seau d assainissement Vent faible Fr quentation des plages faibles Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Conclusion l v nement du 7 Ao t 2006 Aucun l ment particulier ne permet d expliquer le pic de pollution bact riologique de la plage de Malo centre Le pr l vement effectu le lundi dont les r sultats parviennent le vendredi a entrain la fermeture de la plage le week end Or d un jour l autre la pollution d origine bact riologique diminue tr s vite Le risque sanitaire n a concern
37. intenir et d velopper la conchyliculture SDAGE objectifs ambitieux pour la baignade qualit bonne des eaux de baignade r ouverture de la plage de Boulogne sur mer Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui T PROFESSIONNELLES Les enjeux conomiques du tourisme Le risque conomique ou co t vit d une mauvaise qualit g n ralis e des eaux de Baignade Hypoth se haute perte de 50 d activit perte de 500 millions d par an Hypothese haute perte de 3096 activit perte de 300 millions d par an Les grandes orientations e penser et agir globalement Influence des rejets du bassin versant amont Pollutions bact riennes diffuses d origine animales Int grer la protection des usages lt aval gt dans les d cisions des communes amont d finition d une zone d influence de la pollution microbiologique modernisation des stations d puration ERU extension et am lioration des r seaux de collecte e autosurveillance du syst me d assainissement gestion active des eaux de baignade Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui 2009 uin o N le Tt ige P IS lun ferma r Ra m 1 ul le AZ n je I 4 i q 1 Mw org AX i l e du l
38. it re Enjeux environnementaux 4 L Une cartographie est jointe en annexe Elle reprend les types d exutoire pour les rejets d effluents vers le milieu naturel Une carte pour l existant et une carte pour l tat projet sont r alis es par secteur avec la l gende dessous Type de rejet existant Type de rejet projet ewe 7e Puits d infiltration O Foss Fosse tanche AMO DIAG ENVIRONNEMENT Note finale d Efficacit Ainsi nous poss dons trois notes qui nous permettent de d finir une hi rarchisation efficace des travaux v Note initiale li e l tat existant de la fili re sur 12 Y Note issue du ratio co t occupation li e au caract re conomique des travaux sur 12 Y Note sur les enjeux environnementaux li l impact des rejets de la fili re existante et du rejet de la solution future sur 24 AMODI ENVIRONNEMENT Note finale d Efficacit WW Ainsi la note d efficacit permet d attribuer l ordre de priorit d intervention des travaux d finis comme ci dessous Do 3 _ Dispositifs r habilitation urgente dont l impact financier sera Priorit 1 N 5 faible au regard du b n fice apport la qualit du milieu naturel Dispositifs r habilitation diff r e dont l impact financier sera Priorit 2 i E i certain au regard du b n fice apport la qualit du milieu naturel Dispositifs dont la
39. la population que le lundi 7 Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Protocole mis en place suite au 7 Ao t 2006 Pr l vement de la D D A S S le lundi Envoi des r sultats non formalis s dans les 48 h le mercredi B Si le r sultat est conforme le calendrier d analyses est maintenu et le r sultat formalis parvient le vendredi Si le r sultat est non conforme le S I D F commande une analyse compl mentaire le mercredi Envoi du r sultat de l analyse compl mentaire dans les 48 heures le vendredi Si le r sultat est conforme l ouverture de la plage est maintenue le week end Si le r sultat est non conforme fermeture de la plage le week end Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui aM FESSION pa TEN ES Les actions engag es et projet es par le groupe de travail R ception dans les 48 heures d un premier r sultat de l analyse de la D D A S S avec r alisation en cas d alerte d une analyse suppl mentaire et ainsi viter une fermeture inutile des plages le week end R alisation et mise en service de la nouvelle station d puration de Coudekerque Branche au printemps 2009 traitement des effluents doubl s donc r duction des d versements des r servoirs Etude diagnostique et projet de r habilitation des installations d assainissement non collectif des b
40. le le littoral de la Somme Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 e DCE 3 masses d eau fortement modifi es Report d objectif lt bon potentiel gt 2027 e ports de commerce et de p che et plaisance 2800 anneaux e probl matiques qualit des eaux et des sediments dragage e Les actions financables tudes diagnostiques d environnement travaux de lutte contre les pollutions exemple aire de car nage port de plaisance de Calais CCI programme type lt port propre gt Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui e activit en plein d veloppement e Source de pollution diffuse e point de vidange des eaux us es eaux grises et eaux noires e travaux financables aire b tonn e borne de vidange raccordement au r seau d assainissement ou cuve de stockage eaux pluviales techniques alternatives Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 juin 2009 L hotellerie de plein air e 5090 de la d accueil du bassin se situe sur le littoral 24500 emplacements e 1 3 non raccordes aux svstemes collectifs e Charte lt les engagements pour l eau gt signee avec les f d rations d partementales de
41. lit des eaux de baignade pr cipitation mar e horaires coefficient vent Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Les actions entreprises pour limiter la contamination bacterienne gt D veloppement par la CUD des techniques dites alternatives aux r seaux d assainissement gt Cr ation de bassin d orage Mise en place de l auto surveillance des bassins d orage Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Les pistes de reflexion gt Mise en place durant la saison 2004 d une campagne d analyse des eaux sur 2 plages situ es l Est et a l Ouest de l missaire de l avant port Est Mod lisation du panache bact rien Ifremer gt Diagnostic d assainissement et r alisation des travaux de mise en conformit sur le terrain gt Connaissance des rejets au niveau du PAD Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Solutions envisageables gt Rejet des eaux du canal exutoire mar e montante abattement de la concentration bact rienne par exposition aux eaux sal es gt Mise en place d un syst me d alerte et de fermeture pr ventive des plages si occurrence faible Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui ETUDE SUR LA QUALI TE DES EAUX DE BAI GNADE PHAS
42. lyses des pr l vements des 21 et 22 juillet 2005 Poste de secours de Bray Dunes a GIELI fri m li 34 3 Yk Point de pr l vement Haskoning France MPA tir Point da pr l vement DDASS 59 A ain valeur guide c 2501 blir eure h lp narma enu de baignade 2 5001 sup rieure bla norme enu de baignade a ROC Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 26 et 27 juillet 2005 Concentration de pollution bact rienne dans le port la veille et le jour m me aucun pic de pollution n est constat le 27 juillet sur les plages Etude de la qualit des eaux de baignade de Dunkerque Phase 3 a I R sultats d analyses des pr l vements des 26 et 27 juillet 2005 f x Le 2 R a g p x t ug aj mm ne d 26 jolies 37 E DT CET L E ju F ar UO EB T ph H Us a T eel Y V xu A il 28 t LA zm all m dat PA r dr ET mm eres elg s cor NN e pe AT IT N SIR AO mie RS E Ne Mueve ers ARE lj i Let reine UE Td 3 gu xt cau Ne c NSS qis Point de pr l vement 5 59 1 art iY B L i N b La bo guide L 2501 kiln norme eau de baignade 1 550 aupe rieure la norme de baignade 1 555 Nouvelle Directive baignade tou
43. ne i hiver 600 000 habitants en t le double 43 lieux de baignade LI Petit rappel historique e 1988 un constat alarmant de la qualit de nos plages 50 des lieux de baignade ne respectent pas la r glementation 15 des sites en auraient du tre interdits la baignade e Colloque du Touquet 20 octobre 1988 comit de bassin lus locaux services de l Etat scientifiques base de la politique littorale de l Agence Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui TLI ES CON FERENCES TEE LLES Les grandes lignes de cette politique e orientations techniques capter et traiter 10090 de la pollution de temps sec traiter de facon appropri e la pollution de temps de pluie e orientations financi res solidarit de tout le Bassin aides major es d veloppement d outils contractuels e le bilan 20 ans apres 400 ME investis plus de 95 des plages conformes Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui z PROFESSIONNELLES laboration du volet lt littoral gt du 9 me Programme e evolution du contexte r glementaire nouvelle directive baignade tude prospective agence de l eau SAFEGE 2005 e d marche de concertation groupe de travail littoral Enjeux pr server l activit touristique ma
44. ne et de l cart type des concentrations en Escherichia coli et en ent rocoques avec calcul des percentiles 90 et 95 pour chaque parametre T PROFESSIONNELLES ms Sports d la nouvelle directive simulation partir des donn es des 4 ann es ant rieures Classement simulation normes futures Normes actuelles m Bonne qualit m Qualit moyenne 11 m Excellente qualit 31 m Bonne qualit 28 Qualit suffisante Qualit insuffisante 2090 Momentan m ent pollu e Mauvaise qualit Globalement pour les 47 points de baignade situ s dans le bassin versant Artois Picardie la simulation donne 14 plages d excellente qualit 15 plages de bonne qualit 13 plages de qualit suffisante 5 plages de qualit insuffisante Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui A LES CONF RENCES SLESIECONF ERENCE ES RSR rentes Pes apports de la nouvelle directive mise en place de profils de baignade e Outil au service de la gestion des baignades e Objectif global definition d un diagnostic de la vulnerabilite et des sources de pollution pour chaque baignade e Renforcer les outils de prevention a la disposition du gestionnaire e A tablir d ici 2011 e A renouveler tous les 3 ou 4 ans en fonction de la Classe de qualit d
45. nement u Acence de l Eau Artois Picardie Mission littorale Mme LEMAIRE Partenaire technique et financier Validation technique et avis de conformit d finitif des contr les diagnostics SPANC de la Communaut Urbaine de Dunkerque Mme DANTIN u Police de l eau M CHEVALIER Partenaire technique u Prestations r alis es par le Bureau d tudes AMODIAG Environnement REGLEMENTATION PORTANT SUR L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Loi sur l eau de d cembre 2006 Loi sur l eau de d cembre 2006 u L article L 1331 1 du code de la sant publique modifi par la loi n 2006 1772 du 30 d cembre 2006 sur l eau et les milieux aquatiques dispose d sormais lt Les immeubles non raccord s au r seau public de collecte des eaux us es sont quip s d une installation d assainissement non collectif dont le propri taire fait r guli rement assurer l entretien et la vidange par une personne agr e par le repr sentant de l tat dans le d partement afin d en earantir le bon fonctionnement lt Cette obligation ne s applique ni aux immeubles abandonn s ni aux immeubles qui en application de la r glementation doivent tre d molis ou doivent cesser d tre utilis s ni aux immeubles qui sont raccord s une installation d puration industrielle ou agricole sous r serve d une convention entre la commune et le propri taire d finissant les conditions notamment financi res de raccordement
46. ommence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui gt LESCON CES 7 PROFESSIONNELLES Cl ment BASSI Ing nieur du G nie Sanitaire au Service Sant et Environnement de la Direction R gionale des Affaires Sanitaires et Sociales Nord Pas de Calais Qualit des eaux de baignade enjeux sanitaires et nouvelles obligations r glementaires Qualit des eaux de enjeux sanitaires et nouvelles obligations r glementaires Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Ac T PROFESSIONN N ELLES Le suivi de la qualit des eaux de baignade e Le contr le sanitaire des eaux de baignade dans ses dispositions actuelles e Le r sultat pour la saison 2008 e Les apports de la directive de 2006 et sa transposition en droit francais OI ERENCES Organisation du contr le sanitaire des eaux de baignades e Buts prevenir tout risque pour la sante des baigneurs connaitre les impacts des rejets en amont des sites d fauts li s a l assainissement aux rejets d eau pluviale souill e gt Fournir une aide a la d cision aux collectivit s locales e Mis en ceuvre par les DDASS 7 PROFESSIONNELLES Constitution du r seau de mesures e Surveillance de points pr cis e Points d clar s par le responsable de la baignade le maire si domaine public le ma tre d ouvrage si domaine priv e Responsabilit des baigneurs sur le
47. ommence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Severine ARNOUTS DEGRAND Direction Amenagement Urbain de la Ville de Dunkerque Contexte enjeux et perspectives de la gestion des eaux de baignade TES CONF RENCES 5 FESSION pa ANGES Contexte enjeux et perspectives de la gestion des eaux de baignade PLAN DE PRESENTATI ON Situation g ographique Contexte En 2003 pourquoi une tude tude sur la qualit des eaux de baignade Etude sur la qualit des eaux de baignade Etude sur la qualit des eaux de baignade Financement global de l tude Analyse de l v nement du 7 Ao t 2006 Les actions engag es et projet es Phase 1 2003 Phase 2 2004 Phase 3 2005 aM PROFESSIONNELLES Situation g ographique BELGIQUE LES CONFI ESS RARE s 7 a F IO Sur l agglom ration dunkerquoise de Dunkerque Bray Dunes un groupe de travail sur la qualit des eaux de baignade a t mis en place suite des pics de pollution non expliqu s sur Malo les Bains contamination f cale dont la fr quence constat e jusqu ici n a pas amen d interdiction de baignade EE gu m P MATE E DM 1 LE LE K A E e frin kicks ma E p p coL HR L gende Classement onne Figure 2 Plages du dunkerquois et classement la suite
48. ons incompl tes ou inadapt es avec rejets riorit polluants eaux vannes eaux m nag res dans le milieu aquatique superficiel Dispositifs r habilitation diff r e installations incompl tes ou inadapt es avec g ne riorit pour l usager et pollution pisodique du rejet en milieu naturel Dispositifs dont la r habilitation n est pas indispensable dispositifs complets et sans riorit probl mes majeurs ne n cessitant pas de travaux ENVIRONNEMENT Classification des ouvrages Ordres de priorit W Suite la r alisation du diagnostic des installations la notation nous a permis de d terminer un ordre de priorit pour la r alisation des travaux de r habilitation dont les r sultats sont les suivant Ordres de priorit BI priorit 3 MI priorit 2 Priorit 1 PRESENTATION DES RESULTATS DE L TUDE DE REHABILITATION DES INSTALLATIONS D ANC DES BATIMENTS DU GPMD M thodologie pour les tudes de r habilitation Visite syst matique des b timents au moyen du questionnaire rempli en phase diagnostique Collecte des informations administratives nom type d activit occupation des lieux fr quence d utilisation Localisation des sorties des eaux us es et pluviales R alisation d un sondage de sol et ou consultation de la carte des sols s Identification des contraintes li es aux futurs travaux Definition de la
49. orie C ou D ne sont pas conformes la r glementation europ enne Agence de l Eau Artois Picardie 29 Consultation des ultats Le maire doit informer les usagers de la baignade de la qualite de l eau mairie et sites de baignades La DDASS envoie aux mairies les r sultats des analyses du contr le sanitaire A l issue de la saison la DDASS r alise le classement Disponibilit des r sultats en temps r el http baianades sante gouv fr QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE Saison baln aire 2009 analyses 2008 Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 D PROFESSIONNELLES 4 Les apports de la nouvelle directive e Adoption le 15 f vrier 2006 d une nouvelle directive europ enne qui abrogera la directive du 8 d cembre 1975 Transposition en droit francais par la loi sur l eau de d cembre 2006 et le d cret du 18 septembre 2008 e Les trois aspects de la modification Surveillance et classement de la qualit des eaux de baignade Gestion de la qualit des eaux de baignades Information au public A Objectif renforcement et modernisation de la directive de 1975 aM gt LES CONF HENCES EE Les apports de la nouvelle directive les nouvelles modalit s de controle e A partir du 1 janvier 2010 e 2 parametres microbiologiques e Escherichia coli e ent rocoques intestinaux e 1 p
50. out commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 j e 3500 lieux de baignades control s par les DDASS 55 en littoral maritime 45 en eaux douces int rieures e 96 00 de ces eaux sont de bonne qualit 540 millions de nuit es touristiques sur le littoral soit 36 11 millions de fran ais pratiquent les loisirs nautiques Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Q lt PRSS TED NEL Face ces enjeux Des responsabilit s l Des objectifs Des dispositions i S Ke lt b gt TTESICONFERENCES PRO FESSION TES lt Responsa bilit s Responsabilite des Maires art L 2213 23 CGCT Le Maire exerce la police des baignades et des activit s nautiques bande des 300 r glemente l utilisation des am nagements pourvoit d urgence toutes les mesures d assistance et de Secours d termine une ou plusieurs zones surveill es d termine les p riodes de surveillance est tenu d informer le public des r sultats des contr les de la qualit accompagn s des pr cisions n cessaires a leur interpr tation Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui bjectifs e Assumer toutes ces responsabilit s en toute s curit Bien pour le Maire e S curit juridique Bien pour les to
51. ouveau r f rentiel de certification du systeme de gestion de la qualit des eaux de baignade eaux de mer et eaux douces mm re 4 LES CONF ERENCES PROFE SIONNE IELLES 2d Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 j IE LEES F HET K CES T PROFESSION NELLES Contexte e Avril 2002 Polemique sur les pavillons 9 e Janvier 2003 L tat engage une mission N cessit d un repere sur la qualit facile interpr ter D sengagement de l tat dans l instruction de ces labels priv s Repositionner le Pavillon bleu eco label g n ral Engager une r flexion sur les syst mes de contr le et d information existants e FEVRIER 2006 Nouvelle Directive Europ enne sur la Gestion de la qualit des eaux de Mii b LESCONFEREF P INI T PROFESSION La directive europ enne Adopt e le 15 FEVRIER 2006 par le Conseil Europ en e Les tats membres recensent chaque ann e tous les sites de baignade Les communes d finissent la dur e de la saison baln aire et doivent mettre un registre la disposition du public pour recenser d ventuels nouveaux sites Voir les d crets et arr t s de septembre 2008 TIPROFESSIONN A xri La directive europ enn e Les contr les portent sur les ent rocoques intestinaux streptocoques
52. r habilitation entraine de gros investissement pour un b n fice apport au milieu naturel limit Note d Efficacit Habitations individuelles Ordres de priorit issus de la classification Co t Enjeux Environnementaux Efficacit pour les maisons d habitation individuelles R partition des ordres de priorit suite la note d efficacit Ordre priorit 1 H Ordre priorit 2 B Ordre priorit 3 Classification Initiale Habitations individuelles Ordres de priorit issus de la classification Initiale pour les maisons d habitation individuelles R partition des ordres de priorit suite la note de classification Initiale B Ordre de priorit 3 H Ordre de priorit 2 Ordre de priorit 1 Note d Efficacit Autres Immeubles sp Ordres de priorit issus de la classification Co t Enjeux Environnementaux Efficacit pour les autres types d immeuble R partition des ordres de priorit R partition des ordres suite la note d efficacit O Ordre priorit 1 Bl Ordre priorit 2 B Ordre priorit 3 ENVIRONNEMENT Classification Initiale Autres Immeubles Ordres de priorit issus de la classification initiale pour les autres types d immeuble R partition des ordres de priorit suite la note de classification Initiale O Ordre de priorit 3 MI O
53. r l vement avant saison 4 pr l vements au minimum par saison baln aire avec un d lai maximum entre 2 pr l vements ne d passant pas 1 mois ERS RS rome ES Les apports de la nouvelle directive les nouvelles modalit s de classement de la qualit des eaux de baignade e Normes differentes pour les eaux de mer et les eaux douces e Classement partir de 4 saisons balneaires e Changement de la methode de classement penalisation des variations de qualit e Maintien de 4 classes de qualit Excellente bonne suffisante ou insuffisante PROFESSIONNELLES EE M i Les apports de la nouvelle directive vers une diminution du risque sanitaire e Durcissement des parametres microbiologiques Nombre guide germes 100mL Nombre imp ratif germes 100mL Z Nombre guide germes 100mL Nombre imp ratif germes 100mL Nombre guide germes 100mL Nombre imp ratif germes 100mL Directive de 2006 abandon du param tre abandon du param tre Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui T PROFESSIONNELLES Les apports de la nouvelle directive la nouvelle m thode de classement e Classement r alis sur 4 ans partir de l ensemble des analyses e Possibilit d carter un pr l vement correspondant une pollution ponctuelle sous certaines conditions de fr quence et d information e Prise en compte de la moyen
54. rdre de priorit 2 B Ordre de Priorit 1 ENVIRONNEMENT Continuit de l tude Continuit de l tude 4 Dans le cadre de cette tude ar gt Nous sommes en attente de la validation des diagnostics par le SPANC de la CUD gt Nous sommes en attente de l avis de la police de l eau concernant les dossiers de r habilitation des installations d assainissement recevant une charge brute de pollution de plus de 1 2 Kg de DBO5 u Afin de faire avancer au plus vite ce dossier il a t d cider par le GPMD de lancer les travaux sur cinq installations dans le but de d finir l organisation interne au GPMD et le cheminement des dossiers entre le GPMD le SPANC les entreprises et les co financeurs Dans ce cadre les cinq dossiers choisis ont t valid s par le SPANC u l est pr vu de r aliser les travaux au plus vite pour la r habilitation de l ensemble des b timents du GPMD sur une dur e de 5 ans Pour les b timents priv s il est pr vu que le SPANC intervienne rapidement pour la r alisation de ces diagnostics H sooraco _ Va INTERNATIONAL SAS Jan De Approche novatrice a Mines de Douai ENVISAN en mati re de gestion des sediments non immergeables dans le port de Dunkerque ZONE D IMPLANTATION 7 1 1 p TIM va NL T o ila K LE il ful i ki a
55. s exclusivement sur Demande Chimique en Oxyg ne mesur e sur chantillons non filtr s 1 Les dispositifs d assainissement mettant en uvre une puration par infiltration ne sont pas vis s par la pr sente annexe AMODI ENVIRONNEMENT PRESENTATION DES RESULTATS DE L TUDE DIAGNOSTIQUE DES INSTALLATIONS D ANC DES BATIMENTS DU GPMD Methodologie pour les controles de l existant Visite syst matique des b timents au moyen d un questionnaire rempli en collaboration avec chaque occupant et un repr sentant du service GPC du GPMD Collecte des informations administratives nom type d activit occupation des lieux fr quence d utilisation Localisation des sorties des eaux us es et pluviales Inventaire des dispositifs existants Ouverture de tous les regards existants Localisation de l exutoire e tablissement d un sch ma de l installation Bilan du diagnostic des ouvrages 188 Visites diagnostiques r alis es sur 189 B timents 1 en attente l Nombre d immeuble diagnostiquer lt I Assainissement ANC Assainissement Non visit ars EE TREES Assainissement AC Assainissement Pas de us a collectif 2 a collectif ERE NES uM d EU onforme Conforme Conforme Conforme em tm rt conforme Conformit des dispositifs d assainissement non collectif 5 Dispositifs conformes 490 120 Dispositifs non conformes 96 bles tous tvpes d
56. s sites autres que les sites controles recensement pr vu par la directive 2006 r alis en 2007 Q Constitution du r seau e mesures e D termination du site de baignade zones accessibles au public la baignade v est habituellement pratiqu e d fini conjointement entre le responsable de la baignade et la DDASS e Choix du point de pr l vement toujours identique correspond la zone de fr quentation maximale de baigneurs d fini conjointement entre le responsable de la ali aids et la DDASS R alisation du sanitaire e Prelevements d chantillons d eau r alis s par des pr leveurs habilit s laboratoire agr par le Ministere de la Sant e P riode de suivi du 1er juin au 15 septembre e Fr quence des pr l vements 1 pr l vement 10 20 jours avant la saison au moins 2 pr l vements par mois durant la saison 1 par mois si r sultats conformes pendant les 2 pr c dentes ann es e Interaction DDASS responsable de la baignade sur le programme de contr le C PROFESSIONNELLES R alisation du controle sanitaire e Analyses laboratoire agr par la Minist re de la Sant e Prise en charge financiere D 1332 14 du Code de la Sant Publique Frais de prise en charge de la responsabilit de la personne qui fait la d claration a savoir le responsable de la baignade PROF FESSIONN N ELLES
57. t e de certains b timents D un point de vue environnemental nous avons de nombreux rejets au r seau de collecte des eaux pluviales sans avoir d tude particuli re sur la nature du milieu r cepteur au niveau de l exutoire du r seau dans un soucis particulier de protection des zones de baignade cette fin plusieurs crit res compl mentaires seront pris en compte et not s afin de pouvoir les comparer entre eux Puis l ensemble des crit res seront corr l s afin de d finir les besoins exactes et une hi rarchisation plus pr cise des travaux r aliser Crit res pris compte D e s Les crit res tudi s sont les suivant Classification initiale d finie partir de la grille de notation tablie lors de la phase de diagnostic des ouvrages d assainissement des b timents du GPMD Co t Ratio du co t de r habilitation en prenant en compte les possibilit s de subvention par rapport l occupation de l immeuble Enjeux environnementaux Impact des rejets sur le milieu naturel et sensibilit du milieu r cepteur Ces crit res nous permettent de d finir une note d efficacit finale La note d efficacit est le compromis entre la r duction la plus rapide des fortes pollutions moindre co t mais aussi la limitation de l impact sur le milieu naturel dans le contexte du GPMD et de l impact sur les eaux de baignade Crit re Co t Afin de d terminer le montant de l
58. t commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 LES CONF RER PROFESSIONNELL 16 et 17 ao t 2005 Le 17 ao t la digue des Alli s pr sente une concentration bact rienne plus lev e qui pourrait tre expliqu e par la tres forte fr quentation des plages ce jour l lors des pr l vements Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Etude de la qualit des eaux de baignade de Dunkerque Phase 3 R sultats d analyses des pr l vements des 16 et 17 ao t 2005 Point de pr l vement Haskoning France b t Point de prol vement DDASS 59 OL MA up ARE ATE Us vr A 5100 78 Tenmeurs Eschericin Coll 100 mL la norme eau de baignade 509 Conductivit uem la norte eau de balgeade 5001 44 5 2 a Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 Conclusions de la phase 3 Le canal exutoire est la source principale de pollution bacteriologique des plages et notamment en cas de fortes pr cipitations Des sources de pollutions bact riennes sont pr sentes au niveau du Quai des Am ricains et Armement 9 voir les ports de plaisance Aucune mesure sur la qualit des eaux du port d chouage n a t effectu e Il est n cessaire de d terminer si le port d chouage voisin du port de plaisance clairemen
59. t identifi comme une source de pollution ponctuelle constitue aussi une source de pollution Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Conclusions de la phase 3 Les apports de pollution bact riologique depuis les darses et le bassin du Freycinet vers le chenal et l avant port Est sont quasiment nuls L influence de la pluviom trie et donc des d versoirs d orage et des rejets pluviaux sur la pollution bact rienne dans le canal exutoire est confirm Cette campagne a mis en valeur l ordre de grandeur de la dilution entre la pollution bact rienne a la sortie du canal exutoire et au niveau de la jet e de Malo ordre de 500 Dilution plus faible que l estimation en phase 2 La fr quentation influence de mani re limit e la qualit des plages Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Perspectives de l etude gt Recherche d taill e des sources de pollution bact rienne au niveau du canal exutoire et de l avant Port Est gt Rencontre des acteurs du Port de plaisance tude de la qualit des eaux de baignade sur un secteur d tude plus vaste Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui FINANCEMENT GLOBAL DE L ETUDE Phase 1 2003 1490006 00000 Phase 2 2004 94 437 60 TTC 21 000 Agence de l Eau Artois Picard
60. tes et la pluie Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui T PROFESSIONNELLES se de 4 d gt hvdrodvnamidue deversement d eau us e concentration bacterienne 24 juillet 2004 au poste digue du Break 10 et 13 aout 2004 aux poste de Malo centre poste de secours et digue du Break 28 aout 2004 aux postes de Malo centre et digue du Break gt 11 septembre 2004 au poste de Malo centre La campagne de mesures confirme la sensibilit de Malo centre La digue du Break est la premi re plage influenc e par l vacuation d eau douce On constate aussi une r action aux v nements pluvieux augmentant la charge en bact rie du canal exutoire Corr lation beaucoup moins nette pour la plage de Malo les Bains Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Modelisation de la dispersion t demand l Ifremer de modeliser l impact de rejet du canal exutoire de Dunkerque source la plus importante sur les plages environnantes logiciel Mars 2D et notamment sur la plage de Malo les Bains Les pistes de r flexion Am liorer le r seau d assainissement de la Am liorer le r seau d assainissement du PAD Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Solutions envisageables Svst
61. uristes e Information e S curit face aux infections ORL Digestives Dermatologiques dermatite du baigneur cercaire Dispositions Gestion active des plages et des sites de baignade lt LES HEN K CES T PROFESSION NELLES Dispositions LES EAUX DE BAI GNADE mer et eaux douces e laborer un profil de vuln rabilit du site aux diverses pollutions possibles tude du contenu en cours par l Agence de l Eau Artois Picardie e d finir un programme de surveillance COLIPLAGE test 04 avec succ s d velopp t 05 confirme en 2006 2007 2008 e Autres m thodes men es par les groupes SUEZ et la SAUR _ i F L gt nt PRO FESSIC ON NIE LLES Dispositions LES EAUX e informer le public en temps r el surtout en cas d incident e Par des moyens modernes e Par des panneaux et drapeaux Ce dispositif inspir de la Direction europ enne est transpos a l art 20 bis de la loi sur l eau et les milieux aquatiques LEMA du 30 d cembre 2006 ne remet pas en question le contr le officiel D D A S S utilis pour le classement annuel A B C D pr l vement tous les 10 15 jours 5 10 par saison r sultat env 8 jours apres Nouvelle Directive baignade tout commence en 2010 Agence de l Eau Artois Picardie 29 jui Perspectives e valoriser les bonnes pratiques e anticiper
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