Home

SOUS-PROGRAMME IDA Régions de Saint-Louis, Matam

1. Ua di amp Tambacounda A s k _ rm Pa N aem Pua Su ia A ame mROSSO SENEGAL O Vee o ue CP AR A STAR D T n A Eisg C f a 5 ra 6 R EL MBANE f e f meast 4 Pi F 4 FN L L gende N amp Chef Lieu de D partement ou amp Chef Lieu d Arrondissement o Commune Chef Lieu de Communaut Rurale m Limite d Etat Limite de R gion 0 7 5 15 Kilometers Limite de D partement e Source Direction de l Am nagement du Territoire Lim ite de Communaut Rurale Projection UTA WGS 84 h misph re nord zone 28 C Aires prot g es Source DGPRE Tableau 33 Donn es de base du d partement de Podor Superficie 12 947 km soit 67 98 du territoire r gional et 6 58 du territoire national Population 329 379 habitants soit pr s de 43 de la population r gionale Densit 25 hab km D coupage administratif 4 Communes Podor Ndioum Ndiandane et Gollere 4 Arrondissements Cas Cas Gamadji Sarr Sald et Thill Boubacar 10 Communaut s Rurales A r Lao Madina Ndiatb Mboumba Dodel Gamadji Sarr Gu d Village Galoya Toucouleur P t Fanaye et Ndiay ne Pendao Source Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS mmm Figure 17 Carte de localisation du d partement de Podor CARTE DE LOCALISATION DU DEPARTEMENT DE PODOR Er X j pets La Nes 4 Tambacounda GRTAND s PT gat A S GE Les FA THILLEBOUBAEAR s P NDIAYENE
2. Des consultations avec les acteurs et les personnes potentiellement affect es y compris les communaut s rurales aussi bien que la mise disposition d informations aux personnes affect es et d autres ayants droit devront tre organis es par les consultants et tre refl t es dans le rapport du CGES En outre un plan de consultation du public pendant la vie du projet devra tre d velopp et inclus dans le rapport du CGES 5 TACHES SPECIFIQUES Les t ches sp cifiques suivantes entre autres seront exig es e Identifier valuer et mesurer l ampleur des impacts positifs et n gatifs potentiels directs et indirects et les risques environnementaux et sociaux dans les zones d intervention du programme Ceci concerne notamment 1 la phase d implantation et travaux et 11 la phase d exploitation mise en service et de maintenance Cette analyse pr liminaire sommaire des impacts potentiels en attendant d obtenir des informations pr cises sur le lieu d implantation des infrastructures portera sur les milieux biophysique socio conomique et culturel e Proposer en annexe une checklist des impacts types rencontr s dans des mesures correctives appropri es pour viter ou att nuer ces impacts Le Consultant pr sentera en annexe un tableau des impacts types et leurs mesures d att nuation e D velopper un cadre de programme de suivi valuation de ces mesures en sp cifiant les indicateurs environnementaux et s
3. Phase de suivi environnemental L int gration des aspects environnementaux et sociaux lors de cette phase a pour objectif de mettre en place le programme de suivi environnemental L E doit faire tat des impacts r siduels et des mesures qui seront mises en place pour corroborer l valuation faite sur les impacts tendue intensit dur e etc valuer l efficacit des mesures d att nuation de compensation d insertion et valuer tout autre aspect pour lesquels il subsiste des Page 31 sur 44 incertitudes ou qui concerne un enjeu majeur Par ailleurs le suivi devra tenir compte des impacts sur la ressource sur les aspects sanitaires sociaux et culturels entre autres Le suivi pourra tre r alis par les agents du PEPAM dans le cadre du suivi valuation du programme ou tre d l gu un bureau d tude Ce processus sera supervis par la DEEC et ou les DRREC qui supervisent la protection de l environnement et assure le secr tariat du Comit Technique d EIE Dans le cas des projets r alis s dans le cadre du PEPAM la DEEC donnera son avis sur la n cessit ou non de r aliser des EIES pour les projets d assainissement et pour les projets d AEP Plus sp cifiquement les activit s pr vues pour la gestion environnementale et sociale du projet sont e la r alisation des EIE incluant des plans de gestion environnementale et sociale concernant les travaux class s en cat gorie B Il faut p
4. sscccccccssesesescecesccscccecccccccecccscececeeeooo y Annexe 2 iv Directives environnementales pour les entrepreneurs ssesssesssssooccessssooccecssssooocecessssosseee mm Annexe 2 v Clauses environnementales ins rer dans les DAO eeessssscsccecsessoocccessssococcceesssosocccessssocceesoo nn Annexe 2 vi Termes de r f rences pour une EIE sseessscsccscscececccceccecceeecsssssssssessssssssssssssssssssssssssssssssssssso SS Annexe 2 v Cadre biophysique de la zone d intervention du programme sssscssssssssssecececeecccccoccssssssseee uu Page 2 sur 44 Tableau 1 LISTE DES TABLEAUX Synth se de l analyse du cadre physique de la r gion de Tambacounda d partement de Bakel PEER a a E A E A E 13 Tableau 2 Indicateurs d mographiques et socio conomiques de la zone d tude sosoooeeeeneese 16 ADIEU oe PaE POS a a N E N 24 Tableau 4 Impacts positits partype d OUVTAS S INR Ne a E es 24 Tableau 5 Synth se des impacts environnementaux potentiels des projets d approvisionnement en eatet leurs causes lors de phase exploitation RS Re a EE E EEE A ETTR 25 Tableau 6 Synth ses des impacts environnementaux potentiels des projets d assainissement et leurs EE E EEE EEE E EE AERE E EAE A AEE AE EE EE AEE AE AE TR 26 Tableau 7 Classification des infections li es aux excr ta ss 26 Tableau 8 R capitulatif des pr occupations ees reiissi nannan eaen iE a E i e ont 30 Tableau 9 R capitulatif des
5. Ne pas proc der l incin ration sur site Assurer la collecte et l limination des d chets issus des travaux Informer et sensibiliser les populations avant toute activit de d gradation de biens priv s S assurer de l indemnisation les b n ficiaires avant toute d molition E liminer convenablement les huiles et les d chets solides Ouverture et gestion rationnelle des carri res en respect avec la r glementation notamment le code minier R habilitation des carri res temporaires Effectuer une plantation de compensation apr s les travaux en cas de d boisement ou d abattage d arbres R tablir le couvert forestier pertinent et de mani re ad quate viter les pentes les sols sujets l rosion Pr venir les d frichements et mesures de protection sur les essences prot g es ou rare le cas ch ant reboiser avec des essences sp cifiques Adopter une limitation de vitesse pour les engins et v hicules de chantiers Proc der la signalisation des travaux Veiller au respect des r gles de s curit lors des travaux Mener des campagnes de sensibilisation sur les IST VIH SIDA pour les ouvriers et les populations locales Mener une campagne de communication et de sensibilisation avant les travaux nstaller des panneaux de signalisation et des ralentisseurs la travers e des villages Organiser le stockage de mat riaux le stationnement et les d p
6. Y a t il des points d eau des zones bois es des coteaux des marais ou d autres sites vuln rables proximit Quelles sont la nature les quantit s et les sources de mat riaux de construction Quelle est leur provenance ex une carri re une for t relativement peu d grad e Si Oui s inspirer des O les ouvriers dormiront 1ls nu de en eq d att nuation d crite Quel type d approvisionnement en eau d installations en annexe 2 iii sanitaires et d limination des d chets solides est pr vu pour les ouvriers A t on entrepris les d marches n cessaires pour s assurer que ces services seront fournis d une mani re qui sera respectueuse de l environnement D o viendront les quipes d ouvriers Le calendrier de la construction sera t il en conflit avec la p riode des r coltes Comment les mat riaux seront ils achemin s et stock s sur le site Y a t il des services ad quats pour l vacuation des d chets pr vus pendant les chantiers Les quipements et mat riel de s curit et de secours en cas d accident seront ils disponibles pendant la phase de chantier et d exploitation du projet Y a t il des impacts sur la sant des populations riveraines et celle du personnel de mise en uvre et d exploitation Y a t il des impacts visuels caus s par les travaux Y a t il des odeurs pouvant provenir du rejet des d chets des Planification et conception
7. la fin des _travaux Polluer le sol par les hydrocarbures ou par les d chets Gestion des d chets ad quate ef veiller y n ier les conditions de stockage des produits p troliers nn D en teen mn emmener B K DF 1 IQ C6 CC DAS CAUSE CAUSE CASE UN ao mme S RIE NANTES TRUE AS EEEE LNE SOTA SR RROHRNNEE A Spa D ms REN E ment dans la mesure du possible _t mporair ment le paysage et le cadre de vie 2202200 i Collecter et vacuer les exc s de d blais d s la fin du remblaiement ____ mg mm Aa ERRENA SESTA ontaminer I S nfants jouant avec les d blais pollu s du fait de Ta n rer des eche S ia Nettoyage du chantier sols surface bases vie LPESHUCHON CES 1OSSES Se SUVAN SUR Avertir tes chefs de m rages des risques d accidentts et de transmiissions de matadies encourus Re dde ble enormement tete nee ee Dour 3 fotamissurgalilsiemalisthion des travaux par des panneaux la pose de bandes r flectoris es etc enfants Disposer d un kit pour les premiers soins en cas d accident SRE SERRE SERRE ERA RECENT EEE RECRUE EEEE ENTREE ER ER RE EEEE EEES EEE RIVER ENCERNNE ENPRRPUE BONE NNERNNE EET PRES SON ERIE ESA AEE E A E A jj R seaux F amp M D gradation de l environnement par la pollution de l exutoire Assurer le curage et l entretien p riodique du r seau N 2 9 Z Le Mal fonctionnement des ouvrages du un d faut d ex cution des Respecter les normes environnementales et
8. Le coefficient de perm abilit de ces nappes est de l ordre de 104 10 m s Ce coefficient relativement lev est du aux sables qui sont des s diments relativement perm ables Le niveau statique de la nappe alluviale Mbilor est environ 5 m de profondeur et qu il est moins gal environ 3 m au niveau de Dagana En somme les profondeurs des nappes se r sument comme suit Pour les puits les nappes alluviales et du Continental Terminal a des profondeurs variant de 15 20 m Pour les forages la nappe des sables du Continental Terminal a des profondeurs variant de 60 80 m alors que pour celle des sables du Maastrichtien la profondeur varie de 150 400 m Le ravitaillement en eau de la population rurale et du cheptel se fait essentiellement partir des puits traditionnels existants qui tarissent souvent pour l essentiel pendant la saison s che accessoirement du fleuve S n gal et des forages Les d bits sont dans l ensemble int ressants dans tout le d partement de Dagana et que les aquif res sont productifs En plus on note une variation lat rale des d bits et que l unit eaux sal es de la CR de Ross B thio l Ouest pr sente les plus forts d bits 60 80 m h gqq Figure 19 Carte des d bits de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de Dagana Evaluation Environnemental SRE PEPAM DA Carte des d bits en m8 h de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de
9. est le d ficit d dicules publics au niveau des march s hebdomadaires et permanents travers le d partement le manque d tanch it des fosses et la prolif ration des d chets plastiques qui sont les principales pr occupations Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale strat gique du PEPAM Les services techniques nationaux Activit fonction Mamadou Ndiaye Responsable du projet PEPAM 7177391403 Chef de la division hydraulique urbaine Homologue programme PEPAM BAD DGPRE 775573795 Chef division hydrog ologie DGPRE 776438386 Alassane Tahirou Chef division DHR 338321906 Alassane Dieng Directeur Etudes et Travaux de PONAS oe Dia a Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale strat gique du PEPAM Les services techniques locaux de Tambacounda Nom TEL Page m Chef service r gional de l assainissement de tambacounda 776436074 Moussa Inspection d acad mie de Tambacounda 339811257 Wally DREEC Tambacounda Oo M decin Chef r gional de Tambacounda EL Gouverneur r gion de Tambacounda 716409790 Chef de Brigade Puits et forages de Tambacounda a Bokar Kane Chef de service r gional de l hydraulique de Tambacounda Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale
10. 3 Ex cution du travail environnemental si n cessaire 3 1 Pr paration de termes de ARE DREEC r f rence ARE d uvre UCP PEPAM 3 2 Choix du consultant _ UCP PEPAM Le d uvre ACE DREEC 3 3 R alisation de l tude d impact Consultant agr Ma tre d uvre int gration du plan de gestion ARE ACE environnemental et social dans les dossiers d appel d offres 4 Revue et approbation des cat gories environnementales 4 1 Sous projets cat gorie B1 Comit technique d Evaluation Minist re de l Environnement DEEC 4 2 Sous projets cat gorie B2 __ Commission environnementale ONAS DAHU PEPAM 5 Consultation publique et diffusion Comit technique Ce pilotage CR d Evaluation DREEC ARE 6 6 Sui Ma tre O uvre ARE ARC S S 7 a Indicateurs de suivi en si projet Ma tre Eiaa ARE cat gorie B1 EIE gt ASUFORS si projet AGETIP cat gorie B2 ONAS DAHU PEPAM 9 4 Renforcement des capacit s institutionnelles La politique environnementale du PEPAM pr voit des programmes de surveillance et de suivi environnementaux pour les projets d AEPA Les structures impliqu es dans le suivi valuation sont d taill es dans les manuels de proc dures du PEPAM et comprennent Tableau 10 Dispositif institutionnel d intervention du PEPAM Niveau Minist re de Autres structures et organisations d intervention l Environnement Commission Brigade d partemental Brigade
11. aliser une Etude d impact environnementale avant tout captage Cr er des conflits avec les autres usagers de la ressource Utilisation de produits chimiques Stockage Contaminer les sols et des eaux Consignes crites de manipulation et manipulation de r actifs chlore chlorure en NE Em Stocker les r actifs en respectant les normes de s curit errique F amp M e Stockage des r actifs dans des cuves double enveloppe e viter l utilisation du chlore gazeux utiliser comme alternative de l hypochlorite de sodium ou une d sinfection avec des lampes UV Elaborer un plan d intervention en situation d urgence G n rer des d chets sp ciaux emballage des r actifs huiles usag es Mise en d charge autoris e et remise de certains d chets des repreneurs agr es boues Entrainer des blessures des traumatismes physiques Prise d eau F amp M Enliser la prise d eau ainsi que le poste de pompage Choisir un syst me de pompage qui prend en compte ces probl matiques un syst me de pompage flottant d assurer la continuit du service d eau potable sans pour autant alt rer la qualit de l eau distribu e gg Tableau 21 Impacts n gatifs des syst mes d assainissement autonome latrine lave mains et dicules publics Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une p
12. approvisionnement en eau et leurs causes lors de phase exploitation Impacts secondaires possibles Destruction de la ressource naturelle Destruction de la vie aquatique Perte de productivit conomique Perte de zones de r cr ation A ffaissement des terres Augmentation des co ts de l alimentation en eau l avenir ou en aval Concentration de pollution dans les sources d eau de surface Intrusion d eau sal e Eau de qualit inf rieure associ e des probl mes sanitaires Augmentation des co ts de traitement de l eau l avenir ou en aval Augmentation des maladies transmission vectorielle Pollution de l eau stagnante par des mati res f cales des d chets solides etc conduisant des probl mes sanitaires Erosion s dimentation du sol Alt ration de la structure et de la fonction de l cosyst me et perte de biodiversit Perte de productivit conomique Perte de beaut naturelle Pertes de valeurs r cr atives Erosion s dimentation du sol Empoisonnement par des m taux lourds Empoisonnement au mercure Maladies infectieuses li es l eau Page 25 sur 44 Causes possibles Surestimation des r serves d eau Sous estimation de la demande en eau Pompage excessif dans les r serves d eau Manque d informations sur le rendement des r serves Gaspillage et fuites d eau potable Mauvaises politiques et pratiques concernant les politiques de prix de l eau condui
13. constitue l instrument par lequel le Gouvernement du S n gal compte d ici 2015 atteindre les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD en mati re d eau potable et d assainissement en milieu urbain et en milieu rural Il a t cr par arr t interminist riel n 5773 du 20 octobre 2005 et met en oeuvre la lettre de politique sectorielle de l hydraulique et de l assainissement en milieu urbain et rural du 15 juillet 2005 Les objectifs nationaux retenus pour l atteinte des OMD en 2015 sont 1 pour l eau potable l universalit de l acc s en milieu urbain et un taux d acc s de 82 en milieu rural et 11 pour l assainissement un taux d acc s de 78 en milieu urbain et de 59 en milieu rural L objectif sp cifique du projet est de contribuer la r alisation des OMD dans les r gions de Matam Tambacounda et Saint louis Les populations rurales de ces r gions sont estim es en fin 2006 407 000 personnes pour Matam 559 000 pour Tambacounda 473 000 pour Saint louis soit une population totale de 2 317 000 personnes qui devrait atteindre 2 945 000 personnes en 2015 Certaines activit s pr vues dans le cadre du programme peuvent avoir des effets n gatifs plus ou moins s v res sur l environnement Aussi le pr sent document constitue les termes de r f rence de l valuation des politiques environnementales et sociales en vue de contribuer la mise en place du Sous Programme IDA PEPAM au S n gal
14. des r servoirs et des suppresseurs les m thodes de traitement d eaux adapt es complets de l eau notamment des analyses physiques chimiques et bact riologiques e Les m thodes de pr vention de conflit potentiel d usage de la ressource entre la SAED et les populations locales Dans le domaine de l assainissement la r gion se particularise par un taux lev de atrinisation surtout dans les habitats traditionnels ou l on retrouve plusieurs g n rations v Les perceptions et les pr occupations des services techniques locaux de Matam La r gion de Matam se caract rise selon les responsables de service technique par une forte disparit du r seau d acc s l eau Autant les zones situ es le long de la route nationale sont bien desservies avec une densit relativement importante autant les parties situ es dans l hinterland sont quasiment d pourvues d infrastructures d adduction d eau Page k Parmi ces zones figure le Ferlo qui couvre une partie du d partement de Kanel Matam et tout le d partement de Ran rou Dans cette partie de la r gion de Matam un forage couvre un rayon estim entre 25 et 30 km En plus l essentiel des ouvrages qui sont dans la zone date de l poque coloniale Le Ferlo tant un espace d intense activit pastorale le d ficit de point d eau concourt selon les techniciens une forte d gradation de l environnement Car en effet la forte pression du b tail auto
15. encombrement du domaine public reste pr occupant dans la commune de Tambacounda L boulement des berges du fleuve S n gal ainsi que la pollution de l eau de ce m me cours d eau par les d p ts d ordures demeure une pr occupation des populations de la commune de Bakel A 3 3 1 Eaux us es domestiques et eaux pluviales Aucune commune n est dot e de r seau d assainissement A Bakel les eaux pluviales sont vacu es suivant la pente naturelle vers le fleuve S n gal et K dougou vers le fleuve Gambie L assainissement communautaire qui consiste en la gestion collective des probl mes d assainissement dans les zones forte concentration humaine par la mise en place de syst me de collecte et d vacuation des eaux us es et de station d puration Ce dispositif est inexistant dans les diff rentes communes de la r gion de Tambacounda L assainissement individuel qui consiste en la mise en place d un syst me individuel d limination des excr ta est couramment utilis s avec les fosses septiques les latrines traditionnelles et am lior es et les puisards CCC Dans la commune de Tambacounda les eaux de pluies par gravitation sont vacu es naturellement vers les lits cours d eau du fleuve S n gal de la Gambie ou du marigot Mamacounda qui traverse la ville de Tambacounda et joue la fonction principale de collecte naturelle des eaux pluviales L usage des fosses traditionnelles latrines est g n ra
16. la DEEC travaillera en troite collaboration avec la Direction de l Hydraulique Urbaine DHU la SONES la Direction de l Hydraulique Rurale DHR la Direction de l Exploitation et de la Maintenance DEM et la Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau DGPRE Dans ce contexte il conviendrait d int grer l Initiative National pour le Lavage des Mains au Savon INLMS dont les activit s en faveur de la promotion de l hygi ne en zones urbaine et rurale s int grent bien dans les objectifs du PEPAM Ces institutions peuvent en cas de besoin faire appel des bureaux d tudes et laboratoires recrut s pour des missions ponctuelles L ensemble des r sultats du suivi devrait tre galement discut s et partag s lors des sessions du Comit National de Pilotage du PEPAM pour validation Au niveau r gional et local le dispositif de surveillance et de suivi d fini au niveau central s appuiera sur les Divisions r gionales de l environnement et des tablissements class s les autres services techniques d concentr s et aux agences d ex cution r gionales du PEPAM Tandis qu au plan op rationnel le suivi implique les services techniques comme les divisions r gionales de l Hydraulique les subdivisions maintenance les brigades des puits et forages les brigades hydrologiques la Brigade d partemental hygi ne etc Outre les services techniques comp tents les collectivit s pourrai
17. mesures pour minimiser le d gagement de poussi re P amp D C ff Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet de l activit S lection du site SS Planification et conception P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M o Entourer les installations d arbres ou de cl tures afin de contr ler le bruit P amp D e Utiliser des abats poussi res au besoin Couverture des bennes de transport de mat riaux de construction Cl turer les chantiers C e Limiter la vitesse des v hicules sur les sites de construction 10 km h C D grader la qualit de lair par l mission de polluants atmosph rique Entretenir p riodiquement les engins et la machinerie C contenant du NOx SO2 CO particules C Polluer le sol ou des eaux par les fuites hydrocarbures C Entretenir p riodiquement et inspecter les engins et la machinerie afin d viter les fuites d huile ou de carburant sur les sites C Etre l origine de blessures de traumatismes Limiter l acc s aux chantiers et le cl turer C Disposer d un kit pour les premiers soins en cas d accident Rabattre significativement les nappes et ass cher les points d eau environnants Pompage de l eau superficiel F amp M Fragiliser la faune fluviatile voire destruction de la vie aquatique R
18. s Locales Le Minist re charg de l Am nagement du Territoire Le Minist re charg de l Agriculture Le Minist re charg de l Elevage Le Minist re charg de la Sant Le Minist re charg de la Famille Le Minist re charg de l Enseignement Primaire L Agence pour la Propret du S n gal APROSEN Les Agences R gionales de D veloppement Les r gions communes et communaut s rurales Etc Les acteurs non tatiques Ongs OCBs soci t civile et secteur priv pourraient galement jouer un r le important dans le processus de prise de d cision en terme de veille r glementaire de participation de contr le de l application des principes de bonne gouvernance environnementale d appui conseil entre autres Au niveau du Minist re charg de l Environnement la Direction de l Environnement et des Etablissements Class s DEEC est le service technique charg de la coordination au niveau national de l administration du processus d valuation environnementale et a labor des Guides M thodologiques pour les secteurs de l eau potable et de l assainissement 4 3 2 Cadre institutionnel du sous secteur eau potable et assainissement et modalit s de mise en uvre des sous projets du programme IDA PEPAM Le cadre institutionnel du sous secteur de l hydraulique rurale comprend l ensemble des institutions impliqu es dans l approvisionnement en eau des populations et du chep
19. s de de la population nationale Population rurale 503 303 habitants Population urbaine 102 392 habitants Densit 8 7 hab km D coupage administratif 03 d partements Tambacounda Bakel et K dougou 04 Communes Tambacounda Bakel K dougou et 13 Arrondissements 35 Communaut s Rurales 1465 villages officiels Source Plan d Action Environnementale R gionale de Tambacounda Direction de la Pr vision et de la Statistique Figure 1 Carte de la division administrative de la r gion de Tambacounda 550000 650000 700000 750000 850000 REPUBLIQUE DU SENEGAL REGION DE TAMBACOUNDA SUBDIVISIONS ADMINISTRATIVES Goudiry Kouthiaba i i 5 k A HS A gan gt HRURIpentoum me n MS Sia Malef Niari g ASR Dougue _ Sinthiou Maler E Kkoussanar TEE N x AOSE z Bani Israek SR S Maka Coulibantang Missirah Localit s El Capitale d Etat 2 Dialakoto Chef lieu de R gion Chef lieu de D partement Limites administratives SN LES imi s Ra Tombre onto Limite d Etat Ta A 5 p RE Limite de R gion PS ie Za r a Saraya LS a a A a ae FEDOUCOU Bdndafassi Dimboli Dakat li J Limite de D parte ment Limite d Arrondisse ment Limite de Communaut Rurale Sources DTGC DAT Cartographie Centre de Suivi Ecologique Mars 2001 550000 650000 700000 750000 850000 Source DGPRE uu Figure 2 Situation du d partement de Bakel CART
20. tapes du screening valuation et des responsables 32 Tableau 10 Dispositif institutionnel d intervention du PEPAM 33 Tableau 11 Renforcement des dispositions institutionnelles pour la mise en uvre du PCGES 35 Tableau 12 Canevas de surveillance par les Ma tres d uvre 38 Tableau To Indicateurs sty LAND OSTAME e a ste re te R T 39 Tableau 14 Plan de gestion environnementale et sociale du Programme 42 Tableau IS AUTEURS de T Mde aE E e o est 1 Tableau 16 Les mesures d att nuation peuvent tre amend es si n cessaire X Tableau 17 Mesures d att nuation g n rales pour l ex cution de tous les sous projets sssss000eeses Z Tableau 18 Conduite d eau et ouvrages de distribution aa Tableau 19 Mesures d att nuation du fon age de l quipement des forages et de construction des ouvrages de stockage r servoirs ch teau d eau ss cc Tablet 20 C Paces er mae Ee 22 a a Ut ff Tableau 21 Impacts n gatifs des syst mes d assainissement autonome latrine lave mains et IOUI S DUDHOS SSSR RS ann en lens da de en de nec at ee tt in tn hh Tableau 22 Mesures d att nuation du r seau d assainissement Jj Tableau 23 Donn es de base de la r gion de Tambacounda nssessssoenesessssseeeresssssssrrssssssseeresssss uu Tableau 24 Donn es de base du d partement de Bakel Us VV Tableau 25 Enjeux envir
21. A la surexploitation En ce qui concerne l assainissement 1l pose plusieurs questions dont e La surlatrinisation autrement dit chaque maison comporte plusieurs latrines qui sont reli es chacun avec sa fosse La proximit des puits et des fosses non tanches dans les maisons La difficult de vidanger les fosses pleines du fait de l inaccessibilit de certaines maisons Le co t exorbitant de la vidange des fosses La construction de certaines fosses dans la rue La stagnation des eaux pluviales Le rejet par les populations des dicules publics L inexistence de bacs laver Les probl mes d vacuation des eaux us es gt La CR de Gabou La situation de l acc s l eau dans la CR de Gabou est caract ris e selon les lus par e la v tust du mat riel notamment les pompes e l absence d tude approfondie avant la r alisation des ouvrages e intervention de plusieurs acteurs dans le domaine de l adduction d eau UEMOA Arabie Saoudite e le risque de frustration de certains villages laiss s pour compte par rapport l adduction d eau et e l absence de r sultats probants du syst me de forage marteau fonds de trou Par ailleurs au niveau de l assainissement la CR dispose globalement d un syst me traditionnel Il consiste au creusage d un trou sur lequel on pose une dalle trou e au milieu Le tout est ensuite Page entour d une cl ture en mur ou
22. CU GUN OU GUN CU GUN UN OU GUN CU GUN CU GUN CU OM OM M UE M MU M UM M UE M M M M M M M M M M M M UE OO QE QU OO QE OO QU OU QU QU OO QU QU OO A M OO OO UE OO M M M A M OM M M M OM ME ME M ME ME UE ME ME M M 0 Circulation d engins de chantier C Limiter la vitesse des v hicules sur les sites des travaux d ouverture des tranch es 10 P ESS G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par la d gradation de km h C P amp C l ambiance sonore C P amp C Concentrer les types de travail les plus bruyants sur une p riode aussi courte que possible et pendant les moments de la journ e o cela d range le moins Prendre des mesures pour minimiser le d gagement de poussi re P amp D C D grader la qualit de l air par l mission de polluants atmosph rique contenant du NOx SO2 CO particules C P amp C EE Salir les voies de communication et polluer le sol par les hydrocarbures Nettoyage et r habilitation des voies de circulation C P amp C C P amp C L ex cution de tranch es pour la pose des Perturber boucher les voies de circulation Toutes les routes et voies creus s par le passage des conduites devront tre remis en tat conduites C la fin des travaux Signalisation des chantiers r paration des d g ts caus s d autres infrastructures G n rer d importantes quantit s de d blais qui peuvent d grader R utiliser les d blais pour le remblaiement dans la mesure du
23. Evaluation Environnemental i e Carte des d bits en m3 h de l aquif re du Maastrichtien du d partement de Ran rou L gende C1 Limite d partement Er Limite communaut rurale Classe des valeurs en m3 h 23 40 bn 40 65 EM ss 100 EM 100 110 EM 10 115 wio 12 Kilometers Source DGPRE C 3 1 3 Utilisation gt Pr l vement pour usage industriel Le tissu industriel de la r gion de Matam se caract rise essentiellement par sa faiblesse La r gion ne compte que quelques rares PMI PME Par cons quent la consommation d eau par ce secteur est n gligeable gt Pr l vement pour l irrigation Les cultures pluviales et de d crue occupent l essentiel des terres cultivables dans la r gion Le potentiel de terres irrigables se situe 55 000 ha dont pr s de 4 000 ha ont t am nag s par la SAED et les projets Le d partement de Ran rou Ferlo ne dispose pas de surfaces cultivables dans le walo tandis que les superficies cultivables dans le Ferlo et le Di ri sont estim es plus de 1358 ha Cependant le d partement abrite un certain nombre de projets d am nagements hydro agricoles qui pratiquent l agriculture irrigu e C 3 2 DIAGNOSTIC DIMENSION POLLUTION E 3 1 Qualit des eaux de surface Nous ne disposons pas d analyses physico chimiques ni bact riologiques des eaux de surface dans le d partement de Ran rou Ferlo C 3 2 Qualit des eaux souterraines L approvisionnement en eau
24. La Banque mondiale a appuy le processus de formulation du PEPAM en prenant en charge les services de consultant travers les ressources du PLT et en participant activement tous les ateliers de concertation et de validation L objectif sp cifique du projet qui fait l objet du pr sent document est de contribuer la r alisation des OMD dans les r gions de Matam Tambacounda et Saint Louis Cependant certaines activit s pr vues dans le cadre du programme peuvent avoir des effets n gatifs plus ou moins s v res sur l environnement d o la conduite de la pr sente valuation environnementale et sociale 1 2 Objectif de l valuation Environnementale et Sociale La pr sente Evaluation Environnementale et Sociale EES et le Plan Cadre de Gestion Environnementale et Sociale PCGES y aff rent portent sur le programme IDA PEPAM en cours de formulation pour les r gions de Matam Tambacounda et Saint Louis Le programme sera soumis au financement de la Banque Mondiale ce qui suppose une conformit avec les directives op rationnelles De ce point de vue le PCGES a pour objectif d assurer que le Page 8 sur 44 programme prendra en compte les principes et les pratiques de gestion environnementale et sociale durable en conformit avec les politiques de sauvegarde de la Banque et les politiques et lois environnementales du Gouvernement du S n gal Plus pr cis ment l objectif du PCGES comme sp cifi dans les ter
25. Ma tres d uvre MO seront charg s de v rifier l application des mesures d att nuation travers les indicateurs li s ces mesures S agissant des co ts de la surveillance ils concernent principalement les prestations des Ma tres d uvre qui en sus du suivi technique vont inclure la surveillance environnementale et sociale qu il s agira d int grer dans leur contrat Page 37 sur 44 Tableau 12 Canevas de surveillance par les Ma tres d uvre El ments Mesures de surveillance Acteur surveiller surveillance Eaux sols Surveillance du rejet des huiles et hydrocarbures Entreprise Surveillance des pollutions et contaminations diverses des sols et des eaux Pollution et Contr le du transport et du d potage de d blais gravats Entreprise nuisances risques sanitaires Environnement Information des autorit s administratives locales et des Entreprise ONAS humain et populations socioculturel Sensibilisation des populations riveraines Entreprise R organisation des activit s productrices de revenus Embauche de la main d uvre locale des quartiers Soci t s Informer les populations des interruptions de service concessionnaires Mesures de s curit Existence d une signalisation appropri e Entreprise Conformit des v hicules de transport Port d quipements ad quats de protection Disponibilit de consignes de s curit en cas d accident Disponibilit de kits de premiers soins Sensibilisation du personnel et d
26. Normes S n galaise eaux us es normes de rejet NS 05 061 Juillet 2001 C est un document fixant les valeurs limites de rejets dans les milieux r cepteurs et dans le r seau de PONAS Elles prennent en consid ration les capacit s d auto puration du milieu et visent pr server leurs valeurs d usage Le respect de ces normes par les projets dans le secteur de l assainissement permet d optimiser les b n fices environnementaux li s ces projets et d assurer leur soutenabilit cologique 4 3 Cadre Institutionnel 4 3 1 Cadre institutionnel de gestion environnementale et sociale La gestion et la protection de l environnement au S n gal impliquent quasiment tous les secteurs d activit s Dans le cadre du projet les structures qui vont tre au centre de son cadre institutionnel en ce qui concerne la gestion environnementale et sociale sont principalement le Minist re de l Environnement de la protection de la Nature des Bassins de r tention et des Lacs artificiels le Minist re de l Urbanisme de l Habitat de l Hydraulique urbaine de l hygi ne publique et de l assainissement le Minist re de l hydraulique rurale et du r seau hydrographique national Par ailleurs d autres structures tatiques et d centralis es pourraient tre impliqu es eu gard aux effets sur l environnement en amont et en aval et au d veloppement sectoriel induit notamment Le Minist re charg des Collectivit
27. PGE ARE DREEC Une fois dans Ma tre d uvre la dur e de vie du programme Rapport de l valuation finale du PGES A la fin de DREEC chaque formation Rapport de formation Tableau 14 Plan de gestion environnementale et sociale du Programme Domaines d intervention Responsable Ech ancier Co t F Cfa et Contr le Supervision P riode Source de financement Ma tre d uvre UCP PEPAM Durant toutes les Inclus dans le budget technique et social ARE phases du de fonctionnement des MOTS Elus locaux programme entreprises Ex cution Mesures g n rales et sp cifiques des Entreprises impacts n gatifs des travaux de construction et de r habilitation des ouvrages Mesures d att nuation Mesures UCP PEPAM Une fois les APS institutionnelles R alisation d EIE Consultants MOTS ARE de diff rentes 25 000 000 r glementaires et DEEC DREEC infrastructures techniques valid es Appuyer les structures niveau national Commission r gional et local charg es de la mise en environnement uvre du PGES notamment lors des Dreec CADL UCP PEPAM APS phases de s lection environnementale ARE ARE 50 000 000 ou screening DREEC Appui logistique des structures niveau DEEC Durant toutes les national r gional et local charg es du Commission phases du suivi environnemental du programme Environnementale programme et Sociale CES
28. Phases de construction et d exploitation activit s du projet Page x Annexe 2 iii Check list des Impacts et des Mesures d att nuation Les mesures d att nuation sont identifi es pour assurer l atteinte des objectifs du programme tout en pr venant et minimisant les impacts environnementaux ind sirables Les mesures d att nuations seront ex cut es en principe par le contractant lors de la phase de construction et par les services techniques concern s lors de la phase d exploitation Le plan de gestion de l environnement pr sente les impacts potentiels associ s aux diff rentes activit s du projet et qui sont susceptibles de se produire lors des phases de construction et d exploitation de ce projet La check list d crit pour chaque source d impact ou pour chaque type d activit la nature de l impact en question et la mesure d att nuation pour y rem dier l impact n gatif Les mesures propos es constituent les actions de base que les gestionnaires des diff rentes composantes du projet doivent prendre en consid ration notamment lors de la mise en uvre des tapes de construction et d exploitation Il s agit de prime abord de mesures d att nuations types pour les composantes activit s ayant un impact potentiel sur l environnement Ainsi en rapport avec ces impacts des orientations relatives au renforcement des impacts positifs et d autres relatives la pr vention l att nuat
29. acceptable mais elle est quelques fois saum tre et sert pour l abreuvement du b tail La tr s forte conductivit 11 410 uS cm not e au niveau de Mbilor montre une tr s forte min ralisation de ces eaux souterraines Figure 23 Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Dagana Evaluation Environnemental d pe Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtiendu d partement de Dagana L gende LI Limite d partement El Limite communaut rurale Classe des valeurs en mg l C 259 500 C 5090 1000 L 1000 1500 1500 2000 E 2000 5000 EM 5000 7500 EM 7500 10000 wo MM 1000 20000 MM 0000 25512 12 Kilometers Source DGPRE amp Dans le d partement de Podor les nappes ont dans l ensemble une min ralisation totale quantit de sels min raux dissous inf rieure la norme de POMS Les eaux du Maastrichtien sont dans l ensemble plus douces que celles sur Quaternaire Les plus fortes min ralisations se localisent dans les eaux des CR de Gu d Village et de Ndiay ne Pendao Figure 24 Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Podor WWW Evaluation Environnemental et Strat gique du sous Programme PEPAM IDA L gende C Limite d partement C Limite communaut rurale Classe des valeurs en mg l 1500 2000 2500 3000 3500 EM 500 4500 12 Kilometers Source DGPRE XX
30. agit de prime abord de mesures d att nuations types pour les composantes activit s du programme ayant un impact potentiel sur l environnement Il est entendu que d autres mesures plus sp cifiques pour les diff rentes composantes seront identifi es dans le cadre du travail environnement sp cifique Evaluation Environnementale et Sociale aux sous projets pour lesquels l approfondissement des impacts est une obligation vis vis de la l gislation environnementale en vigueur au S n gal 9 3 Le processus de s lection environnementale ou screening Le tableau ci dessous donne un r capitulatif des tapes et des responsabilit s institutionnelles pour le screening et la pr paration l valuation l approbation et la mise en uvre des sous projets Tableau 9 R capitulatif des tapes du screening valuation et des responsables Responsable Ex cution Responsable Supervision 1 S lection environnementale et sociale du Comit de pilotage Agence r gion d ex cution projet CR Commission environnement Services techniques CR communaux ouvrages collectifs 2 D termination des cat gories environnementales appropri es Page 32 sur 44 2 1 Validation de la s lection Agences R gionales Agence Centrale d Ex cution d Ex cution ARE ACE ASUFOR 2 2 Classification du projet et DREEC ACE D termination du travail _ UCP PEPAM environnemental simples mesures de mitigation ou EIE
31. ce qui concerne la desserte des villages de plus 1000 habitants par r seau d adduction avec un taux de desserte de 57 9 pour une moyenne nationale de 56 3 Les villages les plus importants non encore desservis sont majoritairement situ s en bordure du fleuve S n gal et pr sentent un risque sanitaire majeur r sultant de la forte densit d habitat de l absence de syst mes ad quats d assainissement des excr ta et du recours aux puits traditionnels non prot g s ou m me au fleuve pour l eau de boisson Enfin Matam est avec Saint Louis l une des deux r gions qui la fin 2007 ne sont pas encore couvertes par un financement de sous programme PEPAM R gion de Saint Louis L approvisionnement de la Commune de St Louis en eau potable assur e par la SDE 14 000 m3 jour reste encore une pr occupation majeure l chelle r gionale d autant plus que seules les communes et certaines grandes agglom rations sont branch es aux r seaux d adduction d eau potable pendant que la grande majorit utilise encore l eau du fleuve comme boisson ce qui constitue un v ritable probl me de sant publique notamment avec la forte pr valence de la bilharziose et du ver de Guin e Les petits ouvrages hydrauliques sont surtout pr sents dans la zone du Di ri Les villages qui sont aux alentours du fleuve se servent g n ralement de cette eau non trait e pour leurs travaux domestiques Le syst me de branchement l gout n exi
32. d exploitation Volume de boues g n r es Quotidien Nombre et nature des incidents de pollutions Volume d eau produit Impacts sanitaires Taux de mortalit Annuelle Enqu te statistique Structure de la pyramide Taux de mortalit infantile 5 ans sanitaires sanitaire pr sente sur le Taux de malnutrition de 5 ans site pose de sant case Pr valence des maladies diarrh iques de sant volution des budgets des m nages li s la sant Impact socio conomiques Taux de scolarisation global Annuelle Rapport socio Inspection d Acad mie Revenu des m nages conomique annuel Service R gional de la Temps moyen destin la corv e d eau pour les Statistique zones non raccord es Consommation unitaire d eau potable Budget allou l alimentation en eau potable Nombre de personnes ayant re u une formation environnementale comme la conservation des eaux et la surveillance de la qualit de l eau P nibilit de l exhaure et du transport polarisation par les BF distance m nage point d eau fr quentation des points d eau Indicateurs de suivi des projets traditionnels Page 39 sur 44 Composante Indicateurs Fr quence de M thode de collecte Responsable Types environnementale th matique collecte Niveau de respects des mesures d hygi ne et de d indicateurs s s curit Taux d activit des femmes Taux de scolarisation des petites filles IEC communication Nombre
33. dans la mise en application des mesures d att nuation le suivi et l valuation de l ensemble du projet en vue d valuer l efficacit de ses activit s Les indicateurs de suivi peuvent tre r sum s comme suit e Niveau de respects des mesures d hygi ne et de s curit autour des points d eau nombre de points d eau disposant d un p rim tre e Structures de gestion mises en place et sensibilis es dans la mise en uvre des mesures des bonnes pratiques de gestion environnementale e Contribution la mise en uvre des Plans locaux de d veloppement e Main d uvre locale utilis e pour la mise en uvre des activit s e Ftc Page s Situation du projet Ville Village Communaut Rurale Commune d arrondissement Commune Responsables du projet Nom de la personne contacter Nom de l Autorit qui Approuve Personne charg e de remplir le pr sent formulaire Nom Fonction Num ro de T l phone Num ro du fac simil Adresse lectronique Adresse g ographique Date Signatures Partie A Br ve description de l ouvrage et ou des infrastructures pr vues Partie B Identification des impacts environnementaux et sociaux Pr occupations environnementales et sociales Observation Ressources du secteur Le projet n cessitera t il des volumes importants de mat riaux de construction dans les ressources naturelles locales sable gravier lat rite eau bois de chantie
34. des consultations men es dans le cadre de cette tude le consultant a identifi un certain nombre de risques qui p sent sur la r ussite du programme sur la base des t moignages et exp riences formul es par les acteurs de terrain d une part et sur les caract ristiques biophysiques des futures zones d intervention d autre part Il s agit notamment pour la composante I acc s l eau potable e des difficult s d acc s aux ressources en eau souterraines profondes dans la zone du socle D partement de Bakel Cette contrainte a longtemps oblig les diff rents intervenants privil gier les forages peu profonds avec de faible d bit qui ne peuvent pas satisfaire les besoins des populations e de la qualit des eaux souterraines du maastrichtien dans la zone du socle sont caract ris e par 1 une teneur tr s forte en fer total ouest et centre du d partement parfois 10 fois gt la norme OMS 0 2mg 1l 11 une pr sence de fluor galement sup rieure la norme OMS Ces contraintes peuvent avoir des effets sur la qualit des eaux de boissons et poser des probl mes de sant publique e du taux du domaine class du d partement de Ran rou est tr s lev 88 du d partement ceci limite les possibilit s de r aliser des ouvrages hydrauliques tant donn que la l gislation foresti re ne le permet pas alors que le cheptel est assez important et d pourvu d ouvrages pour leur abreuvement Il s ag
35. des eaux souterraines du sol et de l alimentation par des excr ments des produits chimiques et des agents pathog nes 2 D g ts cologiques dus la d gradation de la qualit de l eau des cours d eau des lacs des estuaires et de la mer et des habitats terrestres Impacts possibles Augmentation de la transmission des maladies associ es aux excr ments diarrh es parasites etc Malnutrition due aux maladies cit es ci dessus Mortalit infantile lev e R duction de la productivit conomique Mauvaise qualit des eaux de surface et souterraines Probl mes sanitaires dus l utilisation d une eau chimiquement pollu e Augmentation en aval du co t du traitement de l eau usage domestique et industriel Probl mes sanitaires cause d un contact avec de l eau pollu e Contamination des poissons ou des coquillages Contamination par Causes possibles Non utilisation des installations sanitaires Evacuation sans traitement appropri des excr ments ou des eaux us es directement sur le sol ou dans des eaux de surface Mauvais emplacement des installations sanitaires c t de points d approvisionnement en eau Mauvaise protection des eaux souterraines Mauvaise utilisation des installations sanitaires Insucc s des installations sanitaires cause du manque de maintenance Usage inappropri des eaux us es dans la production alimentaire Non utilisation des installations
36. des ma tres des ma ons et des relais f minins La mise en uvre du projet appliquera les principes du cadre unifi des interventions du PEPAM notamment 1 la responsabilisation des collectivit s locales et des populations dans la planification et la hi rarchisation des travaux travers les PLHA ii et la participation des b n ficiaires aux investissements L important volet IEC pr vu est destin entre autres faciliter l application des ces deux principes de base 2 3 Composante 3 Appui institutionnel et renforcement des capacit s Cette composante pr voit le renforcement des capacit s travers deux volets comprenant a le volet d appui institutionnel qui sera principalement ax sur l assistance la conception et au suivi des r formes dans l hydraulique urbaine ch ance 2011 du contrat d affermage l assainissement urbain volution institutionnelle de PONAS renforcement du sous secteur de l assainissement urbain et l hydraulique rurale d l gation de gestion du service de l eau et d sengagement de la DEM des activit s de maintenance b le volet de renforcement des capacit s qui visera d velopper les comp tences des acteurs impliqu s dans ces r formes en mati re de gestion technique et financi re et apporter PUCP et aux agences d ex cution l appui requis pour la mise en uvre du projet notamment en mati re de suivi valuation Page 11 sur 44 3 PROFIL ENVIRONNEME
37. des puits et forages environnement de la CR hygi ne Brigade hydrologique Comit de pilotage Ma tre d uvre social et technique Comit villageois ASUFOR Ing nierie sociale M nages Relais communautaire R gional Division R gionale de Agence d ex cution Divisions R gionales l Environnement et des r gionale du PEPAM l Hydraulique Etablissements Class s Divisions les Subdivision Maintenance les Brigades des Puits et Forages les Brigades Hydrologiques National Direction de Agence d ex cution SONES l Environnement et des centrale ACE Direction de l Hydraulique Rurale Page 33 sur 44 Etablissements Class s Comit national de DHR Division charg e des pilotage Direction de l Exploitation et de la tudes d impacts e Secr tariat ex cutif du Maintenance DEM Comit Technique PDNL Direction de la Gestion et de la d Evaluation des Etudes Direction nationale de Planification des Ressources en Eau Environnementales P hygi ne DGPRE e ONAS e INLMS initiative nationale pour le lavage des mains au savon e AGETIP Ce montage institutionnel ci dessus pr sent d termine les besoins de renforcement des capacit s de gestion environnementales et le suivi environnemental des sous projets En effet 1l s av re n cessaire que les capacit s actuelles soient renforc es au regard de la diversit des sources d impacts environnementaux et sociaux d rivant de la
38. emeeeeeeeeeeeeeneeeeeeeeee eee E A A OU S OU A ON OU A OU OO A OU S OU A OU A OU A OU S S OU S OU S S OO S OU OU OO OU SS S SS OO OU S S OU SS OU SS S S OO OU S S S OU SS S S SS S SS OO A OU S SS OU OO OU OU S OU OU OU OU S OU S OU RO OU S OU SS OU OU OU a OU a OU a OO OO a OU OO OO Ou ae Polluer le sol ou des eaux par les fuites hydrocarbures C Entretenir p riodiquement et inspecter les engins et la machinerie afin d viter les fuites d huile ou de carburant sur les sites C Etre l origine de blessures de traumatismes Limiter l acc s aux chantiers et le cl turer C Disposer d un kit pour les premiers soins en cas d accident Fon age du forage utilisation d argile C G n rer des boues de forages charg es en additifs et susceptible de Utiliser de la bentonite pour fabriquer la boue C Si cela n est pas possible contaminer les nappes perch es superficielles et de colmater les venues d eau Les boues devront tre d pos es dans des d charges autoris es Vidange et de nettoyage du r servoir F amp M G n rer des eaux de nettoyage contenant des s diments fins de parois du les eaux de rin age et de d sinfection des conduites seront coul es dans les milieux r servoir et des d tergents biod gradables et non toxiques r cepteurs Pompage du forage F amp M Rabattre significativement les nappes et ass cher les points d eau environnants Surexploiter la ressource par rapport aux capacit s de r a
39. en tat des lieux avant repli de chantier pourra tre impos e en cas de modification significative du site Toute zone de sensibilit environnementale doit tre contourn e par le projet exemple des zones d inondation saisonni re Aussi toutes les pr cautions doivent tre prises afin de pr server les points d eau puits sources fontaines mares 8 ASPECTS SOCIAUX ET CULTURELS Pour permettre au projet de g n rer des retomb es positives sur le milieu social d accueil l Entrepreneur veillera 1 viter que le projet modifie les sites historiques arch ologiques ou culturels 2 prendre en charge les pr occupations des femmes et favoriser leur implication dans la prise de d cision 3 recruter en priorit la main d uvre non qualifi e dans la population locale Les mesures suivantes sont prendre au cas o des objets de valeur culturelle ou religieuse seraient mis Jour pendant les excavations e arr ter le travail imm diatement a la suite de la d couverte de tout mat riel ayant une valeur possible arch ologique historique ou pal ontologique ou autre valeur culturelle de faire connaitre les trouvailles au promoteur et de la notifier aux autorit s comp tentes e prot ger les objets autant que possible en utilisant des couvertures en plastique et prendre le cas ch ant des mesures pour stabiliser la zone afin de prot ger correctement les objets e ne reprendre les travaux qu apr s avoir
40. en zinc Lorsque la fosse est pleine elle est obtur e et une autre est creus e dans la maison A noter que ce syst me ne dispose pas d un syst me d a ration A cot de ce mod le traditionnel une autre forme qui n utilise pas l eau courante est entrain d tre initi e par les migr s Si l usage des fosses fait timidement son entr e elles demeurent cependant mal con ues et sont implant es dans la rue avec tous les risques que cela comporte Ainsi les principales contraintes auxquelles un projet d assainissement pourrait tre confront dans la CR restent e La difficult de mobilisation de la contre partie financi re pour certaines populations d munies e L absence de camions de vidanges et e Le probl me de la gestion des ordures m nag res e La gestion des eaux de ruissellement gt Les OCB et les ONG de Bakel Le d partement de Bakel est caract ris par une forte demande en ce qui concerne l adduction d eau Deux contraintes majeures sont signal es pour assurer l alimentation en eau des populations Il s agit d une part de la zone du socle o l obtention de la ressource est difficile et al atoire Et d autre part de la zone s dimentaire o la ressource se trouve une profondeur tr s importante Ainsi le transfert d eau partir du fleuve a t l alternative qui a t propos e pour assurer durablement l alimentation en eau des populations Pour l assainissement c
41. l eau douce prolif ration des plantes envahissantes d veloppement des maladies hydriques Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de l eau douce prolif ration des plantes envahissantes d veloppement des maladies hydriques Abreuvement du cheptel Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes Pr servation de la qualit des eaux souterraines pour l alimentation en eau potable fer total sup rieur la norme de l OMS Pollution des eaux de surface par les r sidus de pesticides et d engrais qui par le biais du r seau de drainage peut atteint la nature Disponibilit des cours d eau dans le Ferlo lat ritique Potentiel pastoral important abreuvement du cheptel Surp turage Page 13 sur 44 Collectivit s locales Dimensions Principaux enjeux Disponibilit des ressources en eau souterraine Pourcentage lev du domaine class Nature lat ritique des sols dans une partie du Ferlo Pollution Pr servation des nappes souterraines Page 14 sur 44 3 2 Cadre socio conomique 3 2 1 Donn es r gionales relatives la couverture des besoins en eau potable et assainissement R gion de Matam La r gion de Matam affiche un taux d acc s de 79 1 fin 2006 qui la situe au 4 me rang sur 11 r gions taux d acc s national 69 et au 7 me rang sur 11 en
42. l urbanisme fixe les r gles relatives aux normes de construction et r glemente les plans d urbanisme en trois cat gories les sch mas d urbanisme les plans directeurs d urbanisme et le plan d urbanisme de d tail Le plan directeur d urbanisme et le plan d urbanisme de d tail d terminent la r partition et l organisation des sols en zone le trac des voies de communication les emplacements r serv s au service public les installations d int r t g n ral les espaces libres les r gles et servitudes de construction les conditions d occupation des sols etc 4 2 6 Le Code du Domaine de l Etat Le statut juridique des ressources en eau est r gl par le Code du Domaine de l Etat qui affirme le droit de propri t de l Etat sur les ressources en eau En particulier 1l pr cise le contenu du Domaine public naturel et du Domaine public artificiel de l Etat Domaine public naturel de l Etat les eaux de surface et les nappes aquif res souterraines quelle que soit leur provenance leur nature ou leur profondeur Domaine public artificiel de l Etat Les forages et puits les conduites d eau et d gouts ainsi que les d pendances de ces ouvrages les servitudes d utilit publique qui comprennent notamment les Page 18 sur 44 servitudes de passage d implantation d appui et de circulation n cessit es par l tablissement l entretien et l exploitation des installations et ouvrages vis s ci dessus 4 2 7 Les
43. leur insuffisance et leur irr gularit et des carts interannuels importants Elles sont un peu sup rieures 250 mm dans la zone Nord de la r gion et varient de 300 500 mm dans le Sud La dur e de la saison des pluies utiles est g n ralement inf rieure 60 jours Le r gime des vents est troitement li aux diff rents flux recommand s par la dynamique climatique Ainsi deux 2 types de vents pr dominent dans toute la r gion d une part l aliz frais et humide logeant la c te et d autre part l harmattan vent continental venant de l Est chaud et sec Dans la moyenne vall e soufflent les aliz s continentaux chauds et secs et l harmattan demeure pr pond rant dans la seconde p riode de la saison s che A l oppos la zone du delta conna t pendant la m me p riode le r gime des aliz s maritimes Les vents sont dominantes Nord N et Nord Est NE En dehors du fleuve S n gal et ses d pendants localis s dans la vall e et dans le delta le r seau hydrographique du Di ri et du Walo se r duit de nombreux thalwegs et mares temporaires aliment s pendant la saison des pluies En r sum avec la mise en service des barrages de Diama et de Manantali le potentiel en eau de surface de la r gion est important dans le Delta et dans la vall e La r gion de Saint Louis appartient au grand bassin s dimentaire s n galo mauritanien On y rencontre plusieurs nappes ayant des caract rist
44. m h et d passant rarement 20 m h Figure 5 Carte du potentiel aquif re du d partement de Bakel XX Evaluation Environnemental mn n et Strat gique du sous Progamme Carte des Unit s aquif res exploitable PEPAM IDA du d partement de Bakel L gende es limite d partement ARC limite communaut rurale Unit s aquif resz fi Cont terminal O M Maastrichtien Cont terminal O M Maastrichtien Eocene Maastrichtien Socle granitique E Socle m etam orphiqu e woo 60 Kilometers o a Source DGPRE Figure 6 Carte des d bits de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de Bakel et Strat gique du sous Propramme Carte des d bits en m3 h de l aquif re du socle dans le d partement de Bakel L gende a Limite d partement A Limite com munaut rurale Classe dor valeur en m3 h DOTGVI 60 Kilometers Source DGPRE Figure 7 Carte des d bits de l aquif re du socle dans le d partement de Bakel yy et Stat gique au sous P Fogamme Carte des d bits en m3 h de l aquif re du socle dans le d partement de Bakel GAaBOU L gende Res HI PF GOVDIFI ri C timite d partement BA Limite com munaut rurale pm THIOV 11884 M ns ai PA gt 4 gt DIATAEOIO M DOTGVI 60 Kilometers Source DGPRE A 3 1 3 Utilisation gt Pr l vement pour usage industriel L industrialisation est encore un stade embryonnaire dans
45. peu d impact sur le plan environnemental et social et que par cons quent elles ne n cessitent pas un autre travail environnemental Ainsi si le formulaire de s lection ne contient que les mentions NON l activit propos e cat gorie C ne n cessitera pas d autre travail environnemental et la DEEC donnera son approbation en vue de commencer la mise en uvre de l activit Apr s l analyse des informations contenues dans les r sultats de la s lection et apr s avoir d termin l ampleur du travail environnemental requis la DEEC fera une recommandation pour dire si a un travail environnemental ne sera pas n cessaire b l application de simples mesures d att nuation suffira ou c une Evaluation d Impact Environnemental EIE s par e devra tre effectu e Etape 3 Ex cution du travail environnemental a Lorsqu une EIE est n cessaire correspondant la cat gorie B 1de la Banque Mondiale L Agence d ex cution r gionale du PEPAM aid e par la DREEC et les services techniques d concentr s effectuera les activit s suivantes pr paration des termes de r f rence pour l EIES recrutement des consultants pour effectuer l EIES supervision de l EIES et des consultations publiques conform ment aux termes de r f rence revues des EIES et soumission au Comit technique pour validation E EIES sera effectu e par des consultants agr s par le Minist re charg de l Enviro
46. possible tempor airement le paysage et le cadre de vie Collecter et vacuer les exc s de d blais d s la fin du remblaiement Dee en men em eme nn meme nee ennemie np een CD DD QE D CR D en D D immmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmnmmnnmnnnnnnnnnnnnnennenenenennenenenennenenen en enenne enenn nne fe qqnqeeeeeeee C CO ER aa r flectoris es etc e Disposer d un kit pour les premiers soins en cas d accident e Avertir les chefs de m nages des risques d accidents encourus notamment par les enfants Polluer le sol par les hydrocarbures ou par les d chets Gestion des d chets ad quate et veiller v rifier les conditions de stockage des produits p troliers Perturber ponctuellement les r seaux des soci t s concessionnaires Coordonner avec la SDE SENELEC SDE SENELEC Pose des conduites C Exposer le personnel aux poussi res de sciures des tuyauteries en PVC Respecter les r gles de sant et de s curit du travail Fournir des EPI et sensibiliser les ouvriers pour le port Le rin age et la d sinfection des conduits G n rer des eaux de rin age Les eaux de rin age et de d sinfection des conduites seront coul es dans les milieux C r cepteurs Transport et circulation pour l entretien l Perturber les activit s artisanales ou conomiques agriculture levage Planifier les travaux autant que possible en dehors de la saison des pluies des conduits F amp M maraichage m
47. ralisation totale des eaux de l aquif re des sables alluvionnaires dans le d partement de Saint Louis PEPAM IDA L gende LE 1 Limite des cables alu vionnares C Limite communaut rurale C1 limite departement Classe des valeurs en mg l 126 C_ 1000 GATDOI EM 1500 2 j E 2000 E 5000 7 57 REEE 12 Kilometers Source DGPRE amp Dans le d partement de Dagana les aquif res ont dans l ensemble une min ralisation totale quantit de sels min raux dissous sup rieure la norme de potabilit de leau de consommation humaine prescrite par POMS qui est de 1 5 g l Les eaux du Maastrichtien dans l unit eau sal e sont de tr s mauvaise qualit car la min ralisation est plus de treize fois sup rieure la norme entre 20 plus de 25 g 1 dans la partie centrale de la CR de Roos B thio Par contre la qualit chimique de l eau du Maastrichtien est de tr s bonne qualit dans la CR de Mbane En r sum les eaux du Maastrichtien sont dans l ensemble moins min ralis es que celles des sables du Quaternaire Le Maastrichtien d un puissant d bit est malheureusement sal dans la majeur partie de l une des Communaut s Rurales du D partement Ga et que la quantit de min raux dissous dans cette nappe peut atteindre 3000 mg l 8 Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau VVV Au fur et mesure que l on avance dans le Di ni l eau est dans l ensemble
48. sanitaires avant les rejets des effluents travaux Ee Sensibiliser la population locale sur l utilisation correcte des ouvrages kk c Mesures de bonification des impacts positifs Les principales mesures de bonification recommand es pour am liorer la performance des impacts positifs de l exploitation des ouvrages sont Le recours l approche haute intensit de main d uvre HIMO devra d avantage tre privil gi e dans le cadre de la mise en uvre du programme la participation des groupes cibles dans l valuation des sous projets et l exploitation des ouvrages la prise en compte des groupes pouvant perdre leurs revenus du fait du projet exp vendeurs d eau l implication des artisans locaux dans la gestion des infrastructures et la sensibilisation aux bonnes pratiques d utilisation et d entretien la mise en uvre d un programme d ducation des acteurs charg s des vidanges en vue d un vitement du rejet des boues de vidange dans les cours d eau l organisation d animations et causeries ducatives dans les quartiers pour d velopper une culture citoyenne urbaine la sensibilisation des femmes pour une meilleure gestion des ouvrages le d veloppement d op rations du type journ e quartier propre le renforcement des capacit s des femmes d favoris es pour qu elles puissent prendre en charge les activit s li es leur environnement Des campagnes de sensibilisation
49. seront men es aupr s des populations sur l hygi ne et la salubrit la sant la protection des denr es alimentaires le lavage des mains l eau et au savon l entretien des ouvrages dans les lieux publics et les coles la gestion des d chets solides les maladies d origine hydrique la protection de la qualit d eau l utilisation rationnelle et la conservation de l eau et la protection de l environnement En sus le programme devra pr voir dans la promotion de l hygi ne publique l organisation des concours quartiers propres et coles propres Les s ances de sensibilisation se focaliseront surtout sur les femmes et les enfants Annexe 2 iv Directives environnementales pour les entrepreneurs Les directives ci apr s seront parties int grantes des contrats des entreprises Doter la base de chantier d quipements sanitaires et des installations appropri es Disposer des autorisations n cessaires en conformit avec les lois et r glements en vigueur Veiller au respect des mesures d hygi ne et de s curit des installations de chantiers Etablir un r glement de chantier ce que l on permet et ne permet pas dans les chantiers Prot ger les propri t s avoisinantes du chantier Assurez la permanence du trafic et l acc s des populations riveraines pendant les travaux Installer des conteneurs pour collecter les d chets produits c t des secteurs d activit
50. sultats de la s lection Cf Annexe 2 1 et des mesures d att nuation propos es dans l Annexe 2 iii devront aboutir cat gorie environnementale B ou C de la Banque Mondiale Cette tape sera men e par la DEEC Conform ment la PO 4 01 les activit s r aliser dans le cadre du Projet vont n cessiter soit une tude d impact approfondie ou bien une analyse environnementale initiale conform ment la cat gorie B ou C de la Banque mondiale La cat gorie B veut dire que leurs impacts environnementaux n gatifs potentiels sur les populations humaines ou les zones d importance cologique y compris les terres humides les for ts les p turages et autres habitats naturels sont sp cifiques pour un site peu nombreux si jamais les impacts sont irr versibles et peuvent tre att nu s dans l imm diat Les activit s du projet class es comme B n cessiteront un travail environnemental soit l application de mesures d att nuation simples cat gorie B 2 ou soit la pr paration d une EIE s par e cat gorie B 1 La cat gorie C indique que les impacts environnementaux et sociaux ventuels sont consid r s comme peu importants et ne n cessitent pas de mesures d att nuation Par exemple certaines activit s Page q de r habilitation d infrastructures hydrauliques pourraient tre class es C si les r sultats de s lection environnementale et sociale indiquent que ces activit s auront
51. Daa Louis Gestion des excr ta et des eaux us es Cadre de vie Dagana Gestion des excr ta et des eaux us es Gestion des excr ta et des eaux us es excr ta et des eaux us es Podor Gestion des excr ta et des eaux us es aaaa
52. Dagana L gende L Limite d partement _ Limite communaut rurale Classe des valeurs en m3 h C 535 40 M 40 50 EM o 60 EM o es woo 12 Kilometers Source DGPRE amp Dans le d partement de Podor le potentiel aquif re est compos de l unit eaux sal es des aquif res du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne de l Eoc ne et du Maastrichtien Leur r partition au niveau d partemental se pr sente comme suit laquf re renfermant les eaux sal es occupe la moiti septentrionale de la Communaut Rurale de Ouassadou les aquif res du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne et du Maastrichtien une bonne partie des Communaut s Rurales de Galoya Toucouleur et de P t au Sud les aquif res de l Eoc ne et du Maastrichtien qui occupent presque toute la partie septentrionale des Communaut s Rurales de Ndiay ne Gu d Village Gamadji Sarr Dodel A r Lao M dina Ndiatb Mboumba P t et Galoya Toucouleur laquif re du Maastrichtien le plus tendu et qui occupe toute la partie australe du d partement rrr Figure 20 Carte du potentiel aquif re du d partement de Podor Evaluation Environnemental dii d Carte des Unit s aquif res du d partement de Podor L gende en limite d partement FE Limite communaut rurale Ez Eocene Maacttrichtien EM maastrichtien 12 Kilometers Source DGPRE La nappe alluviale est aliment e ess
53. E DE LOCALISATION DU DEPARTEMENT DE BAKEL y MOUDERY ds gran ES ED q Tambacounda TAMBA CO UNDA A DOUGUE ue t r 3 e K TH AR KEDOUGO U Si re MADINA FOULBE ON BANI ISRAEL i m gt z SADATOU F 4 i us i P mr r lt is LS ES A N i mia T Limite d Etat nn i 2 gt 5 D N K lt p L gende Limite de R gion N o LT amp Chef Lieu de D partement rc Limite de D part ement PART anai 10 20 40 Kilometers o Chef Lieu d Arrondissement Limite d Arrondissement e Commune Limite de Communaut Rurale Source Direct ion de l Am nagement du Territoire f C Ai t a Projection UTM WGS 84 h misph re nord zone 28 Chef Lieu de Communaut Rurale TES praregmes Source DGPRE Tableau 24 Donn es de base du d partement de Bakel Superficie km soit du territoire r gional et du territoire national Population 192522 habitants soit pr s de de la population r gionale Densit hab km D coupage administratif Communes Arrondissements Communaut s Rurales Source Plan d Action Environnementale R gionale de Tambacounda Direction de la Pr vision et de la Statistique A 2 ENVIRONNEMENT PHYSIQUE Par rapport au reste du pays le relief de la r gion peut tre consid r comme accident On distingue deux types de model s correspondant aux formations g ologiques d
54. ED et les populations locales Les services techniques La pr sence des r serves foresti res dans le Ferlo de Matam Les lus locaux de le d ficit de comp tence manag rial de l ASUFOR qui constitue le comit Moud ry de gestion les difficult s de trouver des moyens financiers pour acqu rir des pi ces de rechange la surexploitation du forage la surlatrinisation des concessions la proximit des puits et des fosses non tanches dans les maisons la difficult de vidanger les fosses pleines du fait de l inaccessibilit de certaines maisons le co t exorbitant de la vidange des fosses la construction de certaine fosse dans la rue la stagnation des eaux pluviales le rejet par les populations des dicules publics l inexistence de bacs laver les probl mes d vacuation des eaux us es Les lus locaux de Gabou la difficult de mobilisation de la contre partie financi re pour certaines populations d munies l absence de camions de vidanges le probl me de gestion des ordures m nag res Les OCB et ONG de Bakel ressource al atoire dans la zone du socle ressource loign e dans la zone s dimentaire le d ficit d dicules publics dans les lieux publics le manque d eau et l hygi ne dans les dicules absence d tanch it des fosses la prolif ration des d chets plastiques Page 30 sur 44 9 PLAN DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE La pr sente section pr se
55. Evaluation PGES permanent m1 UCP PEPAM parcours et finale Consultants ARE A mi parcours et 20 000 000 DREEC MOTS la fin du programme Formation Evaluation environnementale et sociale Consultants ARE UCP PEPAM 100 000 000 des projets DREEC ACE Durant toutes les Inclus dans la Suivi et Ex cution des mesures DEEC phases du subvention du projet environnementales programme composante 3 IEC Campagne de communication et de Ma tre d uvre ARE UCP PEPAM Sensibilisation sensibilisation avant pendant et apr s social ACE Durant toutes les 40 000 000 DPIC phases du Inclus dans la DREEC programme subvention du projet composante 3 Mobilisation les travaux Sensibilisation et plaidoyer Plaidoyer sur les enjeux environnementaux et sociaux des projets et sensibilisation sur les IST VIH SIDA Page 42 sur 44 CONCLUSION L atteinte des objectifs du mill naire pour le d veloppement OMD pour laquelle le Gouvernement du S n gal GDS s est r solument engag travers le rel vement des taux d acc s l eau potable et un syst me d vacuation des excr tas en faveur des populations les plus d munies est assur ment une opportunit pour rehausser l indice de d veloppement humain du pays dans la prochaine d cennie La pr paration de ce programme pour les milieux rural et urbain constitue un pas vers une atteinte des OMD et la mise en uvre de la politique sectorielle du gouvernement c est dire de faire a
56. La production annuelle des forages partir du Maastrichtien de l Eoc ne et du Continental Terminal avoisine 700 000 000 m3 par an soit un taux d exploitation de par rapport la capacit qui est de ggg Dans le d partement de Ran rou Ferlo nous avons 2 grands ensembles d aquif res les aquif res du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne et du Maastrichtien qui se superposent et occupent la presque totalit du d partement l aquif re du Maastrichtien qui se trouve sur une petite partie occidentale de la communaut rurale de Lougr Thiolly Figure 13 Carte du potentiel aquif re du d partement de Ran rou Ferlo Evaluation Environnemental ee Carte des Unit s aquif res du d partement de Ran rou L gende C1 Limite d partement Limite communaut rurale Unit s aquif res Es Cont terminal O M Maastrichtien m Maastrichtien woo 12 Kilometers Source DGPRE Pour les puits la nappe des sables du Continental Terminal se situe des profondeurs variant de 40 60 m alors que pour les forages la nappe des sables du Maastrichtien se trouve des profondeurs variant de 100 300 m Les nappes du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne et du Maastrichtien sont plus productives dans la partie centrale du d partement de Ran rou Ferlo avec des d bits variant de 65 110 m h Figure 14 Carte des d bits de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de Ran rou Ferlo hhh
57. NTAL ET SOCIAL DANS LES ZONES CIBLES Le profil environnemental et social permet de d crire les aspects pertinents de la situation environnementale actuelle ainsi que son volution probable Il r sume les donn es de base et pr sente notamment les enjeux environnementaux et sociaux principalement dans les zones cibles du programme que sont e la r gion de Tambacounda d partement de Bakel e la r gion de saint louis Podor Dagana e la r gion de Matam d partement de Ran rou 3 1 Le cadre biophysique Les tableaux suivants r sument les donn es de base sur les milieux biophysiques des diff rentes zones cibles qui seront concern es pas la mise en uvre de ce programme Le d tail de cette analyse en Annexe 2 v Les tableaux suivants rappellent les diff rents enjeux environnementaux des zones du programme partir du diagnostic Page 12 sur 44 Tableau 1 Synth se de l analyse du cadre physique de la r gion de Tambacounda d partement de Bakel Principaux enjeux Collectivit s locales Dimensions Ressources Naturelles Domaine Eaux D partement de bakel Cadre de vie Saint Louis Ressources Naturelles Domaine Eaux D partement de Ran rou Ferlo Ressources Disponibilit de l eau souterraine dans le socle Pr servation de la qualit des eaux souterraines du Maastrichtien pour l alimentation en eau potable teneur en fer total sup rieure la norme de l OM
58. OJET L Objectif principal du Projet est d appuyer le PEPAM pour am liorer de fa on durable l hydraulique et l assainissement en milieu rural en faveur d une population rurale qui devra atteindre 2 945 000 personnes en 2015 Zone du Projet Le projet couvrira un total de trois zones r parties dans les r gions de Matam Tambacounda et Saint Louis Il s agit de r gions o se trouve un grand nombre d habitants urbains et ruraux sans acc s l eau potable et o par ailleurs les ressources en eaux souterraines de qualit sont parmi les plus difficilement mobilisables pour des fins d eau de boisson L alimentation en eau de la zone du projet est actuellement assur e par 316 r seaux d adduction d eau villageois ou multi villages 133 dans la r gion de Tambacounda 107 pour la r gion de Saint Louis et 76 dans la r gion de Matam desservant environ 1 720 villages On recense par ailleurs environ 4 800 puits modernes et forages quip s de pompes motricit humaine qui participent l alimentation en eau Le projet permettra de renforcer la couverture des besoins en infrastructures d eau et d assainissement dans les trois r gions Le projet permettra de soutenir les communaut s rurales cibl es par le projet elles verront leur taux d acc s l eau potable et l assainissement progresser de mani re substantielle et b n ficieront en outre d une am lioration de l assainissement avec la r alisation d dicule
59. PENDAO RA RE DODEL 7 DAGANA r _ AERE LAO r i Ve SA H Mers cas F i ta i H MEDIN NDIY HBE k7 y GOLLERE ARE 9 Ya LDE Pod e vd PA PETE 7 L 1 a GALOYA Sms L gende amp Chef Lieu de D partement amp Chef Lieu d Arrondissement o Commune Chef Lieu de Communaut Rurale um Limite d Etat Limite de R gion Limite de D partement 0 5 10 20 Kilometers Limite d Arrondissement Limite de Communaut Rurale Source Direction de l Am nagement du Territoire ARE Project ion UTA WES 84 h misph re nord zne 28 C Aires prot g es Source DGPRE D 2 ENVIRONNEMENT PHYSIQUE La configuration naturelle de la r gion de Saint Louis d finit trois 3 zones cologiques distinctes le Walo le Di ri le Gandiolais ou la zone des Niayes situ e sur la frange maritime connue pour les activit s de p che et de mara chage Sur le plan p dologique on distingue les sols du walo divis s en 3 cat gories selon leur situation topographique et leur fertilit amp Je Falo ou terre situ e sur lit mineur du fleuve S n gal o la pente est g n ralement tr s forte Ce sont des terres souvent tr s fertiles et qui abritent les jardins de saison s che amp le Fond ou terre constitu e par les bourrelets de berges insubmersibles bordant le cours du fleuve S n gal et les autres cours d eau Ce sont des sols limoneux et pe
60. Potentiel des terres 1rrigables Abreuvement du cheptel insuffisance de l eau pour le b tail Etat des berges du fleuve S n gal dans la commune de Bakel Pr servation de l environnement urbain avec un assainissement ad quat d p ts d ordures sauvages absence de r seaux d vacuation des eaux us es et pluviales Pr servation de l environnement rural ou de la salubrit en milieu rural d p ts sauvages d ordures m nag res maladies hydriques et p ril f cal Inondation absence de r seau d assainissement Encombrement de la voie publique occupation anarchique de la voie publique Cadre de vie B PR SENTATION SOMMAIRE ET G N RALE DES CONDITIONS DU MILIEU A MATAM RANEROU FERLO Le pr sent chapitre tablit le mimi profil environnemental de la r gion de Matam Il d crit la composante physique de la zone d intervention du programme Il proc de par une description analytique diagnostic de la composante environnementale de la r gion en mettant l accent sur les enjeux environnementaux probl matiques qui engagent le devenir du territoire d partemental de Ran rou Ferlo Ces enjeux sont constitu s des atouts ou potentialit s des vuln rabilit s ou faiblesses du territoire en mati re d environnement enjeux au regard desquels les incidences du programme seront analys es B 1 CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET DECOUPAGE ADMINISTRATIF En 2002 Matam jusque l d partement de la r gio
61. REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple un but une foi MI NI STERE DE L URBANI SME DE L HABITAT DE L HYDRAULI QUE ET DE L ASSAI NI SSEMENT SEM Programme d eau potable et d assainissement du Mill naire Rapport final R alis e par Al Assane SENE Consultant Agr en Evaluation Environnementale et Sociale gaskel arc sn tel 221 33 867 55 62 221 77 637 01 48 Juin 2009 TABLE DES MATIERES kL INTRODUCTION indien autistes nntenesensstiiidid issus ANPES aioa S 8 1 1 Contexte et justihicaton du projel encre ess tete SaS ee D ESKAE 8 1 2 Objectif de valuation Environnementale et Sociale eseessesssesseosecsecosecsecsscosecsecosscsscoseosscsscosses 8 1 3 Methodologie LS EE E EEE 9 2 DESCRIPTION DUPROJE D n E ner EEEE EEE rete tent ete 10 2 1 Composante 1 Acc s l eau potable production et desserte sssssscocccceessssssoooccccccecccecessssssssoe 10 2 2 Composante 2 Acc s Passainissement eeeseeeeesssssccccccccccceeeeescssoocccccccceceeececeoeccccececeeeeesssssscscceeee 10 2 3 Composante 3 Appui institutionnel et renforcement des capacit s ssscccccccccceccccccccccccccccccccee 11 3 PROFIL ENVIRONNEMENTAL ET SOCIAL DANS LES ZONES CIBLES ses 12 3 1 Lecadre DIODhYSIQU EE ERNST rennes seeds e terasse tant enste vs ss sde sav nee side ei et 12 3 2 Cadre socioccono NIQUE nan ie a este ee dt deesssecenere nn ente ste esse 15 4 CADRE POLITIQUE ET JURIDIQUE nn retenir tai
62. S Pr servation de la qualit des eaux souterraines du Maastrichtien pour l alimentation en eau potable teneur en fluor sup rieure la norme de l OMS dans les parties Sud et Nord des communaut s rurales de Koular et de Kothiary Pr servation de la qualit des eaux de surface non pr serv e les eaux superficielles peuvent tre source de maladies hydriques telles que l onchocercose etc Ma trise de l eau drain e par le fleuve S n gal Niveau d exploitation des eaux continentales Potentiel des terres irrigables Abreuvement du cheptel insuffisance de l eau pour le b tail Etat des berges du fleuve S n gal dans la commune de Bakel Pr servation de l environnement urbain avec un assainissement ad quat d p ts d ordures sauvages absence de r seaux d vacuation des eaux us es et pluviales Pr servation de l environnement rural ou de la salubrit en milieu rural d p ts sauvages d ordures m nag res maladies hydriques et p ril f cal Inondation absence de r seau d assainissement Encombrement de la voie publique occupation anarchique de la voie publique Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de l eau douce prolif ration des plantes envahissantes d veloppement des maladies hydriques Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes Avanc e du biseau sal Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de
63. X Figure 25 Carte de la min ralisation totale des eaux du Quaternaire dans le d partement de Podor Evaluation Environnemental niet pu Carte de la min ralisation totale des eaux du Quaternaire dans le d partement de Podor L gende C Limite d partement C Limite communaut rurale Classe des valeurs en mg l C_ 2 500 L soo 1000 1500 2000 5000 7000 8500 12 Kilometers Source DGPRE La probl matique des eaux souterraines du d partement de Podor est le fer total dont la teneur est sup rieure celle prescrite par POMS 0 2 mg l pour les eaux de consommation humaine Cependant les eaux du Maastrichtien sont de qualit meilleure que celles du Quaternaire car les teneurs en fer sont dans la majeure partie du territoire d partemental inf rieures ou gales 1 mg l Les zones les plus probl matiques sont le Sud de la CR de Ouassadou et le Nord des CR de Gamadji Sarr et de Ndiay ne Pendao et le centre de la CR de Gu d Village Figure 26 Carte des teneurs en fer dans le d partement de Podor Evaluation Environnemental ki o a Carte des teneurs en fer des eaux du Quaternaire dans le d partement de Podor L gende E Limite d partement D Limite com munaut rurale Classe des valeurs en mg l 1 12 Kilometers Source DGPRE yyy D 3 2 3 Qualit de l eau potable L eau potable consomm e au niveau des Communes de Saint Louis Richard Toll Dagana et Podor est pr lev e par p
64. a par cons quent la mise en uvre des actions suivantes 1 la r alisation de nouvelles infrastructures d AEP et la r habilitation de celles existantes 11 la r alisation de syst mes d assainissement familial latrines 111 la formation la sensibilisation et l animation des populations b n ficiaires et iv le renforcement des capacit s des structures nationales et r gionales du secteur de l eau et l assainissement L objectif du CGES est d tablir un outil d aide la d cision qui d une part permettra aux acteurs de la mise en uvre du projet d valuer la n cessit ou non de r aliser une tude d impact environnementale approfondie lors de la phase de la planification et d autre part d identifier les mesures du PGES clauses environnementales prendre en compte dans les DAO de mani re att nuer les impacts n gatifs et bonifier les impacts positifs La proc dure de revue environnementale et sociale propos e dans le cadre du pr sent CGES sera int gr e la proc dure d approbation et de financement g n rale des projets soumis la banque mondiale et sera conforme aux lois de la R publique du S n gal Par ailleurs l analyse du cadre politique et juridique pertinent pour le programme a r v l l existence de documents de planification strat giques ainsi que des textes pertinents au plan l gislatif et r glementaire concernant l valuation environnementale des sous projets A
65. aire partie int grante du rapport IV Plan du rapport page de garde table des mati res liste des abr viations r sum analytique si n cessaire en anglais et en fran ais introduction description des activit s du projet propos dans le cadre du Pepam description de l environnement de la zone de r alisation du projet SS description du cadre politique institutionnel et r glementaire M thodes et techniques utilis es dans l valuation et analyse des impacts du projet propos Description des impacts environnementaux et sociaux des diverses composantes du projet propos Plan de Gestion Environnementale PGE du projet comprenant les mesures de mitigation des impacts n gatifs et de bomification des impacts positifs du projet propos les acteurs de mis en uvre le suivi ainsi que les indicateurs de suivi et les diff rents acteurs impliquer Recommandations R f rences Liste des individus institutions contact es Tableau de r sum du Plan d Att nuation Environnementale V Profil du consultant Le Consultant doit disposer d un agr ment du Minist re de l Environnement pour la conduite des tudes d impact La liste des consultants agr s est disponible sur demande la Direction de l Environnement et des Etablissements Class s DEEC VI Dur e du travail et sp cialisation La dur e de l tude sera d termin e en fonction du type de projet VII Production du rapport
66. akel est la pr sence de fluorure Les eaux souterraines du Maastrichtien comportent des teneurs en fluor souvent sup rieures aux normes admissibles norme OMS entre 0 8 et 1 7 mg l alors qu elles repr sentent un moyen d approvisionnement en eau potable des populations Ce d passement des normes est observ respectivement au Nord et au Sud des communaut s rurales de Kothiary et de Koular Figure 8 Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Bakel et Stat gique du sous Programme Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien du d partement de Bakel L gende CI Limite d partement o communaut rurale e zone m aactrichtien 60 Kilometers Source DGPRE Figure 9 Carte de la min ralisation totale des eaux du socle dans le d partement de Bakel aaa sen ee mn Pom Carte de la min ralisation totale des eaux du Socle PEPAM IDA du d partement de Bakel L gende GOTDIFI L Limite d partement ___ Limite communaut rurale Classe des valeurs en mg l EM 1000 1500 EM 500 2000 EE DOTGVI BANIISPAIL 60 Kilometers Source DGPRE Figure 10 Carte des teneurs en fer des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Bakel Evaluation Environnemental ee BO Carte des teneurs en fer des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Bakel L gende CO Limite d partement __ Limite communaut rurale C Limite zone maastrichtien Classe des
67. ale De D veloppement Agence R gionale D ex cution Association Des Usagers Du Forage Cadre De Gestion Environnementale Et Sociale Cahier Des Prescriptions Sp ciales Communaut Rurale Direction De L assainissement Direction De L environnement Et Des Etablissements Class es Direction De L exploitation Et De La Maintenance Direction De La Gestion Et De La Planification Des Ressources En Eau Direction De L hydraulique Rurale Direction de l hydraulique urbaine Direction R gionale De L assainissement Division R gionale De L environnement Et Des Etablissements Class es Document De Strat gie De R duction De La Pauvret Evaluation Environnementale Etude D impact Environnemental Etude D impact Environnemental Et Social Gestion Int gr e Des Ressources En Eau Installations Class es Pour La Protection De L environnement Information Education Et Communication Initiative Nationale Pour Le Lavage Des Mains Au Savon Organisation Communautaire De Base Objectif Du Mill naire Pour Le D veloppement Organisation Mondiale Pour La Sant Office Nationale De L assainissement Du S n gal Organisation Non Gouvernementale Politique Op rationnelle Plan Cadre De Gestion Environnementale Et Sociale Programme D eau Potable Et D assainissement Du Mill naire Page 4 sur 44 PLHA PLT PNAE PNDL SDE SNH SIG SONES TCM UCP UE UEMOA Plan Local Hydraulique Et Assainissement Proj
68. ale et sociale Les diff rentes tapes du processus de s lection environnementale et sociale sont d termin es dans les paragraphes suivants L ampleur des mesures environnementales et sociales requises pour les activit s du projet d pendra des r sultats du processus de s lection Ce processus de s lection vise 1 d terminer les activit s du projet qui sont susceptibles d avoir des impacts n gatifs au niveau environnemental et social 11 d terminer les mesures d att nuation appropri es pour les activit s ayant des impacts pr judiciables 111 identifier les activit s n cessitant des EIE s par es iv d crire les responsabilit s institutionnelles pour l analyse et l approbation des r sultats de la s lection la mise en uvre des mesures d att nuation propos es et ventuellement la pr paration des rapports EIE v assurer le suivi des param tres environnementaux Etape 1 Identification et Screening environnemental et social des sous projets Le remplissage du formulaire initial de s lection Cf Annexe 2 1 et de la liste de contr le environnemental et social Cf Annexe 2 i y compris la proposition de mesures ad quates d att nuation Cf Annexe 2 iii sera effectu au niveau r gional par les chefs de Divisions R gionales de l Environnement et des Etablissements Class s DREEC appuy s en cela par les Agences d ex cution r gionales du PEPAM pour les projets d assainissement
69. anque Mondiale Notons que ce CGES s applique aux constructions pr vues pour tre mises en uvre durant la premi re et autres ann es subs quentes du projet A cet titre il sert de guide l laboration d tudes d Impacts Environnementaux et Sociaux sp cifiques des infrastructures r aliser au cours du projet 4 DOCUMENTS A CONSULTER Le consultant travaillera sous la direction de l UC du PEPAM qui mettra la disposition du consultant tous les documents pertinents relatifs au projet et aux directives de la Banque Mondiale ainsi que toutes autres informations jug es n cessaires la r alisation de la mission du consultant Le consultant devra identifier et passer en revue les r glements et les directives qui r giront la conduite du plan cadre de gestion environnementale et sociale Ceux ci incluent notamment a Politique Op rationnelle de la Banque mondiale 4 01 OP et Proc dure de la Banque mondiale BP 4 01 b Politiques nationales lois r glements et cadres administratifs concernant l valuation d impact environnemental et social c R glements r gionaux et communaux d valuation environnementale En ce qui concerne les directives de la Banque mondiale le consultant devra se familiariser avec les directives suivantes i OP 4 01 valuation Environnementale y compris la participation du Public 1 OP 4 12 D placement Involontaire de populations ainsi que toutes autres directives jug es pertinentes
70. au Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet de l activit S lection du site SS planification et conception P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M Fon age de l quipement des forages et de construction des ouvrages de stockage r servoirs ch teau d eau Etude hydrog ologique pr alable SS Perturber et limiter l usage des parcelles pour l levage l agriculture Les zones de forage devront tre choisies afin de limiter ces restrictions sur les activit s de SS surface S lection des site et Acquisition des terrains Perturber r duire et entrainer la perte d activit s d usage de fonctions e Trouver un autre emplacement SS Si cela n est pas possible SS artisanales commerciales ou conomiques agriculture levage maraichage SS Fournir des terres et ou un logement quivalent ou une compensation financi re a quitable condition que cela soit accept volontairement et sans contrainte SS D placer des r sidents temporaires ou r duire les terres des agriculteurs ou des leveurs Site rev tant une importance historique Offenser la population locale endommager le tissu social local Trouver un autre site SS culturelle ou sociale SS Site sujet aux in
71. aulique Urbaine environnemental Atelier de formation sur les proc dures environnementales de la Banque mondiale le remplissage des formulaires de screening l identification des impacts potentiels et le choix des mesures d att nuation dans les check lists Organisme de formation Consultant environnemental 3 Jours Atelier de sensibilisation sur les aspects environnementaux associ s la composante eau potable DHU Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau DGPRE Atelier de sensibilisation sur les aspects Agence d ex cution centrale ACE Organisme de formation environnementaux associ s au composant Comit national de pilotage gt Consilt nt 2 Jours assainissement Secr tariat ex cutif du PDNL environnemental Page 35 sur 44 Nature de l action Atelier de formation sur la mise en uvre du PGES et du plan de surveillance et Suivi Atelier de formation sur la gestion des d chets solides i e emballages hypochlorite de sodium Campagne de sensibilisation sur l conomie d eau et la protection de la ressource Direction nationale de l hygi ne ONAS AGETIP DEEC DREEC SONES Direction de l Hydraulique Rurale DHR Direction de l Hydraulique Urbaine DHU Direction de l Exploitation et de la Maintenance DEM Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau DGPRE Agence d ex cution cent
72. cc der tout citoyen l eau potable et l assainissement au prix qu il peut supporter Cet objectif pourra tre atteint gr ce l introduction des services et infrastructures peu co teux pouvant tre mis en place et g r s l chelon des communaut s locales Cependant l image de tout programme de d veloppement pour ne pas dire l aube de toute innovation les dommages environnementaux potentiels doivent tre pris en compte tr s t t dans le processus de conception afin d viter des effets irr versibles qui pourraient compromettre les chances de succ s du programme eau assainissement pour le mill naire Le paquet technologique introduit par le PEPAM ainsi que la r forme du secteur de l eau et de l assainissement en milieu rural impliquent de nouveaux modes de consommation et de nouveaux comportements qui n cessitent de la part des b n ficiaires et des gestionnaires du programme un long apprentissage En effet des probl mes environnementaux sociaux et culturels peuvent survenir lorsque ces am liorations ne sont pas ou sont mal utilis es ou ne sont pas entretenues ou encore si les gens n adoptent pas les habitudes compl mentaires n cessaires C est donc dire que ce programme n est pas exempt de tout reproche vis vis de l environnement en ce sens qu il englobe des microprojets diff rents les uns plus susceptibles que les autres de causer des dommages aux cosyst mes et la sant des populat
73. cceccsesssssosoococoeesssssooo 31 9 1 M canisme d int gration de l environnementale dans le cycle du projet sssssssscsscccoececccceccceeee 31 9 2 Plan d att nuation des impacts n gatifs ssseeeececccoccecccccceccccecccecccecccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccceee 32 9 3 Le processus de s lection environnementale Ou screening ssssscccceeeceesssssccccccccccceececsessososccccceceee 32 9 4 Renforcement des capacit s institutionnelles csscccccoccococccccccccccccccccccccccccccccccecccccccececececcececcceeee 33 9 5 CADRE DE SUIVI ET EVALUATION insistent 37 Page 1 sur 44 CONCLUSION nn inerte aa aaa a E e Ea un ane a ere iete ane E 43 10 ANNEXES GENERALES sen te stricte cites ete ta oeil G c A TERMES DE REFERENCES een opan ae a E ea aaa d BAUTEURSDE L ETUDE eriein E Msn taedenee lues tien nes l ind sr een et oder ects i C R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES essessessesseoseossoscossoscoseossosscsscsscsscoseoseossossosscsscsscsscsscscoecoseoseosses j D COMPTE RENDU DES CONSULTATIONS PERSONNES RENCONTREES ET CONSULTEES TEET OAIE EENT RI OEI T I SR E T R k 11 ANNEXES TECHNIQUES a EEE E aE EE E E a p Annexe 2 i Etapes du screening et Formulaire de s lection environnementale et sociale ss q Annexe 2 ii Liste de contr le environnemental et social ssssscocsesssssooccesssoooocsesssosooocecssssoooseesssssscsssessoo X Annexe 2 iii Check list des Impacts et des Mesures d att nuation
74. cution d un programme d acc s l eau et l assainissement Les structures et acteurs rencontr s sont nombreux et vari s Ils peuvent toutefois tre r unis en quatre 4 cat gories savoir 1 les services techniques nationaux 11 les services techniques locaux de la r gion de Tambacounda 111 les services techniques locaux de la r gion de Matam et 1V les lus locaux les OCB et les ONG Chaque cat gorie comprend en son sein plusieurs acteurs 8 3 Le contenu des consultations Les tableaux 8 rappellent les pr occupations des diff rents acteurs rencontr s Page 29 sur 44 Tableau 8 R capitulatif des pr occupations R actions Les pr occupations Acteurs Les services techniques une r duction du paquet technologique qui tait propos dans le programme nationaux initial un probl me au niveau des populations pour honorer la contre partie financi re requise pour b n ficier des latrines un d ficit d IEC d information d ducation et de communication aupr s des populations locales pour participer activement la mise en uvre du programme Les services techniques le tarissement de la Fal m en cas de transfert de Tambacounda les points de passage des canalisations cause du caract re accident du relief la cr ation de lacs d accumulation des r servoirs et des suppresseurs la pr vention des conflits potentiels qui pourraient na tre de l usage de la ressource entre la SA
75. d uvre En fonction de la composante de l environnement concern e par la pollution les services techniques comp tents seront avis s L Entrepreneur prendra toute disposition utile pour faire cesser la cause du probl me et proc der au traitement de la pollution Les consignes conservatoires prescrites devront tre rapidement mise en uvre 5 4 Principe d intervention suite une pollution accidentelle En cas de d versement accidentel de substances polluantes les mesures suivantes devront tre prises e viter la contamination du sol par le saupoudrage de produits absorbants sp cifiques e en cas de proximit d une source d eau puits cours d eau viter la contamination des eaux par blocage barrage digue de terre dans un premier temps PP e excaver les terres pollu es au droit de la surface d infiltration e traiter les parties pollu es de fa on cologiquement rationnelle mise en d charge enfouissement incin ration selon la nature de la pollution 6 PROTECTION DES ESPACES NATURELS CONTRE L INCENDIE Il sera fait une stricte application de la r glementation en vigueur code forestier D une fa on g n rale l emploi du feu est interdit sur le chantier sauf d rogation expresse d livr e par le ma tre d uvre dans la limite des permissions dict es par la r glementation nationale en vigueur Dans ce cas l Entrepreneur observera les consignes minimales suivantes e b
76. dant l hivernage C 4 ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX Tableau 29 Enjeux environnementaux dans le d partement de Ran rou Ferlo Principaux enjeux Disponibilit des cours d eau dans le Ferlo lat ritique Potentiel pastoral important abreuvement du cheptel Surp turage Ressources Naturelles Disponibilit des ressources en eau souterraine Pourcentage lev du domaine class Nature lat ritique des sols dans une partie du Ferlo Pollution Pr servation des nappes souterraines jjj C PR SENTATION SOMMAIRE ET G N RALE DES CONDITIONS DU MILIEU A SAINT LOUIS Le pr sent chapitre tablit le mini profil environnemental de la r gion de Saint Louis Il d crit la composante physique de la zone d intervention du programme Il proc de par une description analytique diagnostic de la composante environnementale de la r gion en mettant l accent sur les enjeux environnementaux probl matiques qui engagent le devenir du territoire d partemental Ces enjeux sont constitu s des atouts ou potentialit s des vuln rabilit s ou faiblesses du territoire en mati re d environnement enjeux au regard desquels les incidences du programme seront analys es D 1 CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET DECOUPAGE ADMINISTRATIF Situ e l extr me Nord du territoire s n galais la r gion de Saint Louis est limit e au Nord par le fleuve S n gal qui constitue la fronti re avec la R publique Islamique de Mauritanie au Sud
77. darra ekaa aai 17 4 1 Cadre PO sen nn na Sn date tree one ent GS des tes 17 4 2 Cadre Juridigt Cse o MR ns ne 18 4 3 Cadre Tnstitatonnhe l ss IR in a anaa A teste 19 5 POLITIQUE DE SAUVEGARDE ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DE LA BANQUE MONDIALE moeni e E E a esse E EE E etes es tenute 21 5 1 Politique OP 4 01 valuation environnementale s ss ssseseesssosecsssosscsecosscsecsscosscsscosscsscsscosecsecossess 21 S2 Politique OP 4 12 D placement involontaire des populations sssscccccccocsossscccccccccccccsccccecceceeee 21 5 3 Politique OP 7 50 Projets sur des cours d eaux internationaux ssscecssssssceecececeecocccossesssssssee 21 5 4 Les Autres Politiques de Sauvegarde esse 21 6 EVALUATION DES INCIDENCES ENVIRONNEMENTALES DU SOUS PROGRAMME IDA PEPAM SUR EL ENVIRONNEMENT RE anian a e a A aeaa 23 6 1 L analyse des impacts de la situation sans projet ssssssssssccccccccccccccssssseccccccccccccocccsssssseseececoccosesssssse 23 6 2 Les impacts des composantes 1 et 2 du programme sur l environnement 23 Te RISQUES ET MESURES PROPOSEES nn ni effets 28 8 LA CONSUETATION DU PUBLIC m eE is Reese 29 8 1 Les objectifs de la consultati n snese eessen eede eaa EEN EE ESE en A NEEE ESEE 29 8 2 La demarche adopte nistentte aaa aaa Ea aa Aaa aa ea 29 8 3 Le contenu d s consultations sise as suier io ua eea eaea dedas aie udas eies 29 9 PLAN DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE eesecescsssssssssscccooc
78. de s ances de formation organis es Mensuelle Rapports d activit Ma tre d uvre social Nombre de s ances de sensibilisation mensuels organis es Evaluations Nombre d associations locales OCB participatives impliqu es dans la mise en uvre et le suivi Nombre d ONG impliqu es dans la mise en uvre et le suivi Niveau d implication des collectivit s et acteurs locaux dans le suivi des travaux Impacts socio conomiques du programme Qualit des infrastructures r alis es Fonctionnalit des infrastructures d assainissement r alis es Nombre de petites et moyennes entreprises masculines et f minines par type de travaux et march s Niveau d implication des collectivit s et acteurs locaux dans le suivi des travaux Restauration des sols au Sur chaque aire de reboisement l an pendant 3 Echantillonnage sur Service d concentr des niveau des bassins versants ESSENCES ans compter les aires de eaux et for ts diam tres de la fin des reboisement travaux Page 40 sur 44 Indicateurs Composante Types environnementale th matique Fr quence de M thode de collecte Responsable collecte d indicateurs d entreprises respectant les environnementales lors des travaux Nombre de points d eau pollu s par les travaux Nombre de sites dont les d chets issus des chantiers sont bien g r s Nombre d entreprises de travaux ayant resp
79. des populations rurales se fait exclusivement gr ce aux eaux souterraines des forages et des puits existants dans le territoire d partemental Les eaux souterraines sont douces car la min ralisation totale est comprise entre 160 et 604 mg l norme de potabilit de OMS 1500 mg l maximum dans tout le d partement Figure 5 Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Ran rou Ferlo Evaluation Environnemental i dates FoprEmme Carte de la min ralisation totale des eaux du Maastrichtien du d partement de Ran rou L gende L Limite d partement E Limite com munaut rurale Classe des valeurs en mg l EE 160 300 EM 300 500 S 500 604 12 Kilometers Source DGPRE C 3 3 Qualit de l eau potable consomm e par les populations L approvisionnement en eau potable des populations rurales du d partement se fait exclusivement gr ce aux eaux souterraines des forages et des puits existants C 3 3 DIAGNOSTIC DIMENSION CADRE DE VIE L objectif de ce diagnostic est d am liorer le cadre de vie quotidien des populations et de r duire les nuisances Le p ril f cal aussi constitue un probl me r el d assainissement en milieu rural En effet l usage de latrines appropri es n est pas encore g n ralis dans le d partement La nature est tr s souvent transform e comme lieu d aisance par les populations rurales ce qui peut constituer une menace pour le p ril f cal pen
80. dre des valuations environnementales est d associer les populations la prise de d cision finale concernant un programme ou un projet Quant aux objectifs sp cifiques poursuivis par une telle d marche ils permettent de fournir premi rement aux acteurs int ress s une information juste et pertinente sur le programme notamment sa description assortie des effets n gatifs d inviter les acteurs donner leurs avis sur les propositions de solutions et instaurer un dialogue de valoriser le savoir faire local par sa prise en compte dans les choix technologiques op rer p F asseoir les bases d une mise en uvre concert e et durable des actions pr vues au programme 8 2 La d marche adopt e La d marche a privil gi les entretiens collectifs ou individuels avec les acteurs concern s par le programme Ces types d entretiens individuels ou par groupe de discussion r alis s sur la base d un check list pr tabli favorise une grande profondeur des l ments d analyse recueillis La souplesse et la faible directivit du dispositif permettent de r colter des t moignages et les interpr tations des interlocuteurs en respectant leur propre cadre de r f rence leur langage et leurs cat gories mentales Le choix des acteurs consult s r side dans leur implication directe ou indirecte quelque chelon national r gional local niveau village dans le processus de conception et ou d ex
81. e 1 800 km Avec la cr ation de l OMVS les barrages de Diama et de Manantali ont t r alis s pour permettre de mieux stabiliser le niveau d eau du fleuve La moyenne vall e a un r seau hydrographique r duit par rapport la haute vall e cause d une part de la faible pluviosit g n ralement inf rieure 300 mm an mais aussi de sa faible pente 0 03 en moyenne L av nement des barrages de Diama mis en service en 1986 situ 27 km en amont de Saint Louis et de Manantali mis en service en 1988 est venu accro tre le potentiel en eau de surface au niveau de la moyenne vall e Diama est un barrage anti sel qui permet aussi l irrigation en double culture ainsi que l am lioration du remplissage du Lac de Guiers En effet le d bit moyen interannuel du fleuve S n gal est ce jour de 732 m s soit un volume d eau correspondant 23 milliards de m tre cube contre 432 m s pour un volume d eau correspondant 13 milliards de m tre cube avant la mise en service des barrages de Diama et Manantali Ainsi l am nagement du fleuve S n gal gr ce aux p rim tres hydro agricoles pose de nombreux probl mes environnementaux et socio conomiques qui risquent de compromettre la ressource et la sant des populations Les probl mes majeurs y d coulant sont Terres loign es du fleuve S n gal jamais atteintes par les crues favorables au mara chage l levage et la culture pluviale Delta et vall
82. e dans l ensemble de la vall e du fleuve S n gal a galement un impact sur l volution de la qualit des eaux de surface De s rieux cas de contaminations des ressources en eau par les pesticides utilis s dans l agriculture ont t relev s dans le Lac de Guiers et dans la Vall e du fleuve S n gal mais aussi sur les cosyst mes avoisinant les am nagements hydro agricoles La SDE proc de galement l analyse des eaux brutes du fleuve S n gal pomp es avant le traitement et acheminement au r seau d eau potable Cependant nous ne disposons pas de ces r sultats Voir avec Mr Kane de l Usine de Khor St Louis D 3 2 2 Qualit des eaux souterraines La qualit des eaux souterraines est surtout fonction de la nature m me de son aquif re Elle est souvent fonction de l occupation des sols et des activit s sus jacentes En effet le d veloppement de l agriculture comporte des risques de pollution r els Les eaux souterraines sont vuln rables lorsque les types de sols ou la structure g ologique favorisent un mouvement rapide vers le bas des eaux contamin es le risque de contamination est fonction de la profondeur de la nappe les nappes profondes sont moins atteintes Organisation Mondiale de la Sant Environnemental Protection Agency Agence de Protection de l Environnement des Etats Unis 7 Union Europ enne uuu La pollution des nappes phr atiques par les usages urbains et par les d chets agro
83. e des arbres pour toute raison en dehors de la zone de construction approuv e 1 chasser ou capturer la faune locale 111 utiliser des produits toxiques non approuv s tels que des peintures au plomb iv perturber quoi que ce soit ayant une valeur architecturale ou historique 6 La communaut sera avis e au moins cinq jours l avance de toute interruption de service eau lectricit le t l phone par voies de presse en privil giant les radios communautaires ou locales lorsqu elles existent 3 ENTRETIEN ET GESTION DES DECHETS Pendant la dur e du chantier l Entrepreneur veillera ce que l ensemble du site et ses abords soient maintenus en bon tat de propret et ce que les d chets produits soient correctement g r s en prenant les mesures suivantes e Suivre les proc dures appropri es en ce qui concerne l entreposage la collecte le transport et l limination des d chets dangereux Pour les d chets comme les huiles usag es il est indispensable de les collecter et de le remettre des repreneurs agr es e Identifier et d limiter clairement les aires d limination et sp cifiant quels mat riaux peuvent tre d pos s dans chaque aire e Contr ler le placement de tous les d chets de construction y compris les excavations de sol dans des sites d limination approuv s gt 300 m des rivi res cours d eau lacs ou terres mar cageuses e Placez dans les aires autoris es toutes les ordure
84. e du fleuve S n gal terres bordant le fleuve S n gal et inondables propices la culture de d crue et la pisciculture 000 La r gulation du fleuve S n gal qui limite l importance des terres inond es et cultivables en p riode de crue r duit l ampleur et la dur e de la crue modifie le gradient de salinit dans le delta effet barrage de Diama et diminue qualitativement et quantitativement la faune itchyologique et r duit par cons quent les potentialit s de la p che fluviale D 3 1 1 2 Eaux souterraines On rencontre plusieurs nappes dans la r gion de Saint Louis avec des caract ristiques hydrochimiques diff rentes dont la nappe du delta qui est peu profonde et sal e et qui couvre une grande partie du d partement de Dagana environ 8 10 les nappes phr atiques rencontr es soit dans les alluvions du Quaternaire de la vall e soit dans les sables du Continental Terminal la nappe des sables du Maastrichtien amp Dans le d partement de Saint Louis nous avons 2 grands ensembles d aquif res les aquif res du Quaternaire et du Continental Terminal qui occupent la partie australe du d partement et les eaux sal es qui correspondent l aquif re des sables alluvionnaires se situant au niveau septentrional et qui occupant la plus grande partie du d partement Les eaux souterraines sont dans l ensemble abondantes Elles sont constitu es de plusieurs types que sont les na
85. e l eau et de l assainissement seront mis en uvre 4 1 5 La Strat gie de r duction de pauvret Le PEPAM est une composante explicite de la strat gie de r duction de la pauvret au S n gal dans son axe IT visant l acc l ration de la promotion de l acc s aux services sociaux de base Ainsi le document de strat gie de r duction de la pauvret de seconde g n ration 2006 2010 DSRP IT int gre la strat gie et le plan d investissement du PEPAM comme outil de r alisation des objectifs de r duction de la pauvret dans le secteur de l eau potable et de l assainissement L implication des populations et de leurs regroupements est privil gi e dans le pilotage l ex cution et le suivi valuation des programmes C est ce niveau qu il faut situer la pertinence et la n cessit de consid rer les collectivit s comme acteurs au niveau d centralis des projets et programmes contribuant la r duction de la pauvret 4 1 6 La R forme de la gestion des forages ruraux La r forme de la gestion des forages ruraux motoris s a t men e titre pilote sur un noyau de 100 forages sur les 400 de la zone centre ouest Cette r forme a introduit des principes novateurs en mati re d organisation des usagers de viabilisation de l exploitation des syst mes d approvisionnement en eau et d implication du secteur priv et des institutions de microfinance dans le financement des infrastructures Ces princip
86. ect les dispositions environnementales contenues dans le DAO Nombre de carri res ouvertes et remises en tat Nombre de main d uvre locale utilis e pour les travaux Gestion environnementale dispositions des chantiers Formation form s en suivi environnemental des sous projets Nombre d ouvriers sensibilis s sur les mesures d hygi ne et de s curit et les IST VIH SIDA Nombre d agents form s Nombre d EIES r alis es Niveau d application des mesures d att nuation Indicateurs de surveillance des travaux R alisation d Etudes environnementales et sociales pour les sous projets d entretien Mesures de suivi et valuation Formation IEC Sensibilisation Nombre et types d indicateurs suivis Nombre de missions de suivi du PGES environnementale et social des organis es Indicateurs de suivi des mesures Page 41 sur 44 Nombre de bureau de contr le ou contr leur Manuel d entretien S ances de formation en valuation et suivi projets Nombre des modules en valuation et suivi environnementale et social des projets labor s Nombre de s ances d IEC organis es Nombre et typologie des personnes sensibilis es A la fin des Ma tre d uvre travaux inspections sur site et rapport de l ing nieur charg du contr le Rapports de surveillance environnementale Evaluation mi parcours et final du
87. ement Agence fran aise de d veloppement Cabinet merlin et ICEA Juin 2007 Evaluation environnementale et Sociale du Global Partership for Output Based aid GPABA Mbaye Mbengue Faye janvier 2006 Environmental Guidelines for Small Scale Activities in Africa 2nd Edition Approvisionnement en eau et syst mes sanitaires Construction USAID 2005 Page j D COMPTE RENDU DES CONSULTATIONS ET PERSONNES RENCONTREES ET CONSULTEES Pour l essentiel l ensemble des services techniques nationaux salue l initiative du programme PEPAM qui selon eux est une opportunit pour le S n gal de r sorber un d ficit important dans les secteurs de l acc s l eau et l assainissement surtout en milieu rural Cependant ils estiment que les besoins pour l acc s l eau sont sp cifiques chaque zone Des sp cificit s r gionales qui peuvent se r sumer comme suit e La zone de Matam Bakel est caract ris e par l irr gularit de la disponibilit de l eau et la pollution des eaux de surface par les exploitations de la SAED e Celle de Saint Louis par la salinisation progressive de la nappe e La zone de Tambacounda est caract ris e par sa vaste tendue et la dispersion des villages qui rendent difficile le syst me d adduction multi village e Ft enfin la zone du Ferlo qui se particularise par la vieillesse et la v tust de ses infrastructures qui ont plus de quarante ans d ge 40 Dans le domaine de l a
88. emental et social De plus il permet d valuer la conformit aux politiques et aux normes environnementales et sociales nationales ainsi qu aux politiques de sauvegarde de l environnement de la Banque Mondiale et du Gouvernement du S n gal La mise en uvre du programme de suivi sera de la responsabilit premi re de la DEEC avec l appui de ses directions techniques et de l UCP du PEPAM Le fonctionnement du dispositif de suivi Page 6 sur 44 n cessitera galement la mobilisation des services d concentr s au niveau r gional et les agences d ex cution du PEPAM les ONGs les OCB et les associations d usagers dans chaque r gion d intervention Au titre des actions compl mentaires mettre en uvre 1l s agit de d velopper un programme IEC Changement de comportement avec notamment l int gration de la dimension environnementale et sanitaire dans le cadre du programme de formation et de sensibilisation dans les quatre r gions Les co ts de mise en uvre des mesures du PGES programme IDA PEPAM sont estim s dans le budget qui se pr sente comme suit i Co t total F Cfa Rubriques PETAR 50 000 000 Mesures institutionnelles Mesures techniques 45 000 000 a 140 000 000 Formation et Sensibilisation Total 235 000 000 Page 7 sur 44 l INTRODUCTION 1 1 Contexte et justification du projet Le Programme national d eau potable et d assainissement du Mill naire PEPAM est l instrument par lequel le G
89. en es dans les emprises Pr sence des ouvrages F amp M Augmenter la pression sur les ressources en eau Evaluer de mani re p riodique le bilan hydrologique signaler les fuites et ruptures de tuyauteries Augmenter le gaspillage de l eau et lever la facture incidence sur le sensibiliser sur l conomie de l eau pour viter les gaspillages revenu familial gt 7 S 1 S gt gt 2 e 2 2 2 Z 1 id gt Augmenter l incidence des maladies li es l eau suite la contamination v rifier p riodiquement l tat du r seau et proc der avec diligence aux r parations de la source et des infrastructures des eaux souterraines Ouvrage de distribution F amp M Cr ation d eau stagnante F amp M Ce probl me peut tre plus s v re S assurer que l eau r pandue et les eaux de pluie sont drain es vers un puisard ou quand la nappe d eau est haute quand le sol est argileux ou quand le une structure quivalente et ne s accumulent ni ne cr ent d eau stagnante C nombre d habitants par robinet est lev e i Surveiller et r parer les fuites des conteneurs fendus des tuyaux perc s ou cass s des valves d fectueuses et de structures similaires Sensibiliser sur l conomie de l eau pour viter les gaspillages bb Tableau 19 Mesures d att nuation du fon age de l quipement des forages et de construction des ouvrages de stockage r servoirs ch teau d e
90. encouragera et f d rera les initiatives dans leur diversit et garantira leur coh rence par rapport la strat gie et au plan d action pour atteindre les OMD travers la responsabilisation des partenaires et l valuation p riodique de leur plan d actions Les instruments du PEPAM sont principalement la lettre de politique sectorielle pour l eau potable et l assainissement en milieu urbain et rural sign e le 15 juillet 2005 qui consacre l approche programmatique du PEPAM ainsi que ses orientations strat giques La mise en uvre du PEPAM pose un certain nombre de d fis relever Les principaux enjeux et contraintes se situent 1 pour l hydraulique rurale au niveau des capacit s d ex cution de l acc l ration de l application de la r forme et du processus de transfert de la maintenance au secteur priv et de la mise en place de la gestion int gr e des ressources en eau GIRE 1 pour l hydraulique urbaine dans la ma trise des utilisations de l eau la r duction des disparit s d acc s entre les usagers la prise en charge de probl mes ponctuels de qualit physico chimique la r duction des fuites et la mobilisation de financement concessionnels 11 pour l assainissement dans la mobilisation de nouvelles ressources financi res destin es prioritairement la gestion des eaux us es dans le maintien de l quilibre financier durable du secteur et dans la mise en place de capacit s d ex cution du volet rural
91. ent prendre part aux activit s de suivi Les actions de renforcement des capacit s mener incluent les formations au profit de ces diff rents acteurs en vue d assurer une appropriation du contenu du PGES Elles concernent galement les missions d appui au niveau r gional dans le cadre de la mise en uvre du programme de suivi environnemental Le dispositif de suivi environnemental d j mis en place par le PNDL offre un cadre de r f rence pour les activit s communautaires du PEPAM A d faut le programme gagnerait int grer et ou participer la cr ation de la Commission Environnementale et Sociale CES pour les programmes futurs et le rendre dynamique en assurant son r le de cadre de concertation d change et de coordination de la mise en uvre sur les questions environnementales et sociale Quant la surveillance de l application des mesures d att nuation elle devra tre assur e par les ma tres d uvre charg s du contr le des travaux ce suivi sera mensuel durant toute la phase d ex cution des projets la fin des travaux une valuation r trospective sera effectu e 9 5 2 Programme de Surveillance et de suivi La surveillance environnementale concernera principalement la phase de chantier et vise respecter notamment les mesures pr conis es dans cette tude ainsi que la phase d exploitation Le tableau ci apr s ressort les l ments et les mesures de surveillance environnementale Les
92. entiellement par les eaux du fleuve S n gal et dans un degr moindre par l infiltration des eaux de pluies cause d une couche argileuse superficielle qui favorise le ruissellement en limitant l infiltration La profondeur de la nappe alluviale tait estim e 25 m Le niveau statique de la nappe alluviale Nianga Di ri est environ 14 m de profondeur En somme les profondeurs des nappes se r sument comme suit Pour les puits les nappes alluviales et des sables du Continental Terminal a des profondeurs variant de 6 20 m Pour les forages la nappe des sables du Maastrichtien a des profondeurs variant de 150 300 m Le ravitaillement en eau de la population rurale et du cheptel se fait essentiellement partir des puits traditionnels existants qui tarissent souvent pour l essentiel pendant la saison s che accessoirement du fleuve S n gal et des forages Les d bits sont dans l ensemble int ressants dans tout le d partement de Podor et que les aquif res sont productifs L aquif re du Maastrichtien pr sente les plus forts d bits surtout dans le centre de la CR de Dodel et le Nord de la CR de Galoya Toucouleur avec une productivit de 130 273 m h SSS Figure 21 Carte des d bits de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de Podor Evaluation Environnemental RRCERRPAM DA S Carte des d bits en m3 h de l aquif re du Maastrichtien dans le d partement de Podor L gende C Limi
93. es ont t valid s par la Lettre de Politique Sectorielle pour une g n ralisation de la r forme aux points d eau ruraux Page 17 sur 44 4 2 Cadre Juridique Dans la constitution s n galaise on retrouve un principe environnemental port e lev e sur la sant l hygi ne et la s curit l article 8 le droit un environnement sain et ces droits sont prot g s par les lois Les textes les plus nationaux susceptibles d interpeller le projet sont les suivants 4 2 1 Le Code de l environnement Il est le principal instrument de gestion de l environnement au S n gal A cet effet le Code de l environnement encadre tous les secteurs de l environnement et d gage les principes directeurs d une bonne gestion dont le respect est n cessaire quel qu en soit le domaine vis Selon le code loi art L48 tout projet de d veloppement ou activit susceptible de porter atteinte l environnement de m me que les politiques les plans les programmes les tudes r gionales et sectorielles devront faire l objet d une valuation environnementale Le projet faisant l objet de ce PCGES entre dans cette cat gorie C est ce qui justifie d ailleurs la pr sente valuation environnementale Un ensemble de textes arr t d cret nomenclature compl te le code de l environnement 4 2 2 Le code des collectivit s locales La loi n 96 06 du 22 mars 1996 portant code des collect
94. es populations riveraines 9 5 3 Indicateurs Environnementaux et Sociaux Les indicateurs objectivement v rifiables IOV servent d une part la description avec une exactitude v rifiable de l impact g n r directement ou indirectement par les activit s d assainissement et d approvisionnement en eau potable et d autre part la mise en exergue de l importance de l impact En tant que tels ils constituent une composante essentielle dans l Evaluation environnementale du programme et contribueront la mise en place et la documentation d une base de donn es environnementales et sociales li es l eau assainissement et 21 1 am lioration du cadre de vie Les indicateurs de surveillance renseigneront sur la mise en uvre des mesures pr conis es par le pr sent cadre de gestion environnemental et sociale annexe 2 iii check liste des impacts et mesures att nuation et les futures valuations environnementales tude d impact approfondie et ou analyse environnementale qui seront men es pour chaque projet qu il s agisse de gestion environnementale des chantiers par l entreprise de mesures techniques de g nie civil ou de mesures d accompagnement Les param tres minimaux caract risant les pratiques environnementales de l entreprise et qui feront l objet de notation concevoir une grille de notation en d but de chantier sont les directives environnementales pour les entrepre
95. essus de planification macro conomique 4 1 2 La lettre de politique sectorielle de l environnement Elle fait une revue de la situation environnementale et des ressources naturelles dans le but d orienter la politique nationale vers un d veloppement durable conform ment la politique internationale en mati re environnementale pour laquelle le S n gal est partie prenante 4 1 3 La politique relative aux modes de production et de consommation C est une politique visant essentiellement la protection de l environnement contre la pollution et les nuisances d coulant de ces activit s Cette directive int resse le programme IDA PEPAM en ce sens que le fonctionnement des ouvrages autonomes d assainissement induit la g n ration de boues de vidange qui peuvent impacter l atmosph rique et probablement le sol et les ressources en eaux 4 1 4 La Lettre de Politique Sectorielle de l Eau et de l Assainissement Le Gouvernement a fait du secteur de l eau potable et de l assainissement une priorit pour la r duction de la pauvret Cette priorit s est confirm e dans la lettre de politique sectorielle de l eau de l assainissement Pour renforcer les acquis et inscrire les objectifs dans une perspective globale et long terme le Gouvernement a labor en 2005 le Programme d Eau Potable et d Assainissement du Mill naire PEPAM travers lequel les objectifs de r duction de la pauvret dans le secteur d
96. et les Divisions R gionales de l Hydraulique les Subdivision Maintenance les Brigades des Puits et Forages et les Brigades Hydrologiques pour les projets d AEP En plus des impacts environnementaux et sociaux potentiels les r sultats de la s lection indiqueront galement le type de consultations publiques qui ont t men es pendant l exercice de s lection Etape 2 Validation du screening et classification des sous projets Les r sultats de ces premiers exercices de remplissage du formulaire seront transmis la Direction de l Environnement et des Etablissements Class s DEEC qui assure le Secr tariat du Comit technique qui va d abord analyser les informations contenues dans les formulaires et proc der ensuite la classification du sous projet La DEEC pourra se baser sur les annexes 1 et 2 du d cret d application du code de l environnement et au besoin sur la nomenclature des Installations Class es pour la Protection de l Environnement ICPE pour cat goriser les sous projets Ces r f rences juridiques pourront satisfaire aux exigences de la Banque mondiale notamment l OP 4 01 car elles peuvent servir sugg rer les activit s du Projet susceptibles d avoir des impacts significatifs directs ou indirects sur l environnement donc sujettes ou non d une valuation environnementale et sociale Toutefois il faut souligner que le pr sent Projet a t class en cat gorie B Sous ce rapport les r
97. et Eau A Long Terme Plan National D action Pour L environnement Programme Nationale De D veloppement Local S n galaise Des Eaux Service national d hygi ne Syst me D information G ographique Soci t Nationale D exploitation Des Eaux Du S n gal Toilettes chasse manuelle Unit De Coordination Du Programme Union Europ enne Union Economique et Mon taire Ouest Africaine Page 5 sur 44 Avertissement La pr sente version du CGES pourrait faire l objet d amendements l issue de la mission d valuation du projet pr vue en septembre 2009 RESUME EXECUTIF Le Programme IDA PEPAM pour les r gions de Matam Tambacounda et Saint Louis s inscrit dans la continuit du programme d approvisionnement en Eau Potable et d Assainissement pour le mill naire mis en uvre par l Unit de coordination du PEPAM pour le compte du Gouvernement du S n gal Ce pr sent programme appel projet vise contribuer la r alisation des OMD dans le secteur de l eau et de l assainissement au b n fice d une population rurale qui devra atteindre 2 945 000 personnes en 2015 Le projet s articule autour de trois composantes savoir 1 le d veloppement des infrastructures de base d AEP 1 la mise en place d ouvrages d assainissement et 111 l appui institutionnel et le renforcement des capacit s aux structures intervenant dans le projet y compris la coordination et la gestion du projet Le projet conduir
98. existe un r seau d assainissement eaux pluviales r alis dans le cadre du projet du FED Cependant il n existe pas de r seau d eaux us es domestiques D 4 ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX Tableau 34 Enjeux environnementaux dans la r gion de Saint Louis Principaux enjeux Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de l eau douce prolif ration des Ressources Naturelles plantes envahissantes d veloppement des maladies Domaine Eaux Saint Louis hydriques Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes ZZZ Avanc e du biseau sal Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de l eau douce prolif ration des plantes envahissantes d veloppement des maladies hydriques Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes Qualit des ressources en eaux de surface Pr servation de l eau douce prolif ration des plantes envahissantes d veloppement des maladies hydriques Abreuvement du cheptel Surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques qui abaisse le niveau des nappes Pr servation de la qualit des eaux souterraines pour l alimentation en eau potable fer total sup rieur la norme de l OMS ms o o Pollution des eaux de surface par les r sidus de Pollution pesticides et d engrais qui par le biais du r seau de drainage peut atteint la nature
99. face Les eaux de surface sous constitu es par des mares naturelles et artificielles et un r seau hydrographique dense Le potentiel de la r gion en eau de surface estim 32 milliards de m an provient essentiellement d un r seau hydrographique qui s articule autour du fleuve S n gal de la Fal m du fleuve Gambie et de leurs affluents En p riode de crue le d bit du fleuve S n gal la station de Bakel est de 738 m s Chaque ann e mis part le fleuve S n gal dont le cours est r gul par 2 grands barrages en hivernage les r seau hydrographique draine d normes quantit s d eau qui faute d tre ma tris es sont presque totalement perdues Le niveau d exploitation des eaux continentales est tr s faible Ceci est la cons quence des fortes variations du r gime hydrographique li es principalement la non ma trise de l eau d une part et d autre part la forte vaporation en saison s che Figure 3 Etat du r seau hydrographique r gional 550000 600000 650000 700000 750000 8300000 850000 00000 REPUBLIQUE DU SENEGAL R seau hydrographique REGION DE THIES contours RESEAU HYDROGRAPHIQUE i cours d eau permanent 0000591 cours d eau temporaire 0000091 En ET i ih Koreperteuine re G ni DRS nf ane yoy P pi thifi M ae 0000551 NES A Ma a Bal acar Maka RS r ads 0000051 Localit s EI Capitale d Etat Chef lieu de R gion 000051 o Chef
100. final Le consultant produira le rapport final deux semaine apr s avoir re u les commentaires du PEPAM et du CTN du Ministre de l Environnement Le rapport final devra tenir compte de tous les commentaires tt Annexe 2 vii Cadre biophysique de la zone d intervention du programme A PR SENTATION SOMMAIRE ET G N RALE DES CONDITIONS DU MILIEU A BAKEL Le pr sent chapitre tablit le mini profil environnemental de la r gion de Saint Louis Il d crit la composante physique de la zone d intervention du programme Il proc de par une description analytique diagnostic de la composante environnementale de la r gion en mettant l accent sur les enjeux environnementaux probl matiques qui engagent le devenir du territoire d partemental Ces enjeux sont constitu s des atouts ou potentialit s des vuln rabilit s ou faiblesses du territoire en mati re d environnement enjeux au regard desquels les incidences du programme seront analys es A 1 CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET DECOUPAGE ADMINISTRATIF Situ e l extr me Sud Est du territoire s n galais la r gion de Tambacounda est limit e au Nord par la r gion de Matam et la R publique Islamique de Mauritanie au Sud par la R publique de Guin e Conakry l Ouest par les r gions de Kaolack et de Kolda et la R publique de Gambie et l Est par la R publique du Mali Tableau 23 Donn es de base de la r gion de Tambacounda Population totale 605 695 habitants soit pr
101. hase sp cifique du projet S lection du site SS planification et conception P amp C construction C ou de l activit fonctionnement et maintenance F amp M Station de traitement lagunage a r et d posante de boue S lection du site latrines et dicules publics Perturber r duire et entrainer la perte d activit s d usage de fonctions e Trouver un autre emplacement SS Si cela n est pas possible et Acquisition des terrains dicules publics artisanales commerciales ou conomiques agriculture levage o N SS maraichage SS Fournir des terres et ou un logement quivalent ou une compensation financi re i quitable condition que cela soit accept volontairement et sans contrainte SS D placer des r sidents temporaires ou r duire les terres des agriculteurs ou des leveurs Site rev tant une importance historique Offenser la population locale endommager le tissu social local Trouver un autre site SS culturelle ou sociale pour les dicules publics SS Transport manutention des boues de vidange e Augmenter la transmission des maladies transmission vectorielle Fournir des v tements protecteurs des gants en caoutchouc au minimum aux travailleurs F amp M F assurant le service le transport ou tant de quelque autre fa on expos s aux boues de vidange e Transmettre des maladies aux personnes qui vidanges aux maraichers ou agricul
102. imension cadre de vie C 3 1 DIAGNOSTIC DIMENSION RESSOURCES NATURELLES L objectif de ce diagnostic est d assurer l utilisation durable de la ressource en eau en la pr levant de mani re ce que les g n rations futures puissent avoir le m me niveau de d veloppement C 3 1 Ressource en eau fff Le potentiel hydraulique de la r gion essentiellement constitu par les eaux de surface et les eaux souterraines reste important C 3 1 1 Eaux superficielles Except la vall e alluviale et la zone d inondation fleuve S n gal le potentiel en eau de surface de la r gion de Matam est appr ciable La mise en service des barrages de Diama et Manantali vient accro tre le potentiel en eau de surface de la r gion Le r seau hydrographique de la r gion de Matam est constitu par le fleuve S n gal qui ceinture la r gion sur toute la frange Nord Est sur environ 200 km des mares des plateaux de cours d eau temporaires et de c anes Les mares d eau apparaissent la faveur d effondrement dans les cuirasses lat ritiques et 1l n est pas possible des les recreuser conomiquement pour qu elles soient utilisables pour l levage Les cours d eau temporaires d pendent essentiellement des pr cipitations Dans le d partement de Ran rou Ferlo le potentiel en eau de surface est tr s limit L essentiel des eaux superficielles se trouve dans la partie septentrionale du d partement Figure 12 Etat du r seau hyd
103. industiels ou simplement par un usage immod r des engrais chimiques et des pesticides utilis s par les soci t s de la place CSS GDS SOCAS etc constitue une menace pour la ressource Les donn es sur la qualit des eaux souterraines recueillies aupr s de la DGPRE ont permis de faire une synth se cartographique de la qualit des aquif res l chelle des diff rents d partements de la r gion En fonction de la probl matique rencontr e dans tel ou tel d partement ces cartes confectionn es portent sur la min ralisation totale TDS des eaux et sur les teneurs en fer total amp Dans le d partement de Saint Louis les eaux de l aquif re des sables du Quaternaire et du Continental Terminal au niveau sont moins min ralis es et de plus meilleure qualit que celles des sables alluvionnaires Par contre les eaux de l aquif re des sables alluvionnaires sont moyennement min ralis es norme de OMS gale 1500 mg l dans une bonne partie du centre du d partement avec un r sidu sec tr s souvent inf rieur la limite de qualit requise pour eau de boisson Par contre dans les zones orientales et occidentale du d partement les eaux sont tr s riches en sels min raux avec des TDS sont sup rieurs 1500 mg l Figure 22 Carte de la min ralisation totale des eaux de l aquif re des sables alluvionnaires dans le d partement de Saint Louis tion Environnemental et Strat gique du sous Programme Carte de la min
104. ion P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M Captages superficiels et des stations de traitement et de pompage S lection des site et Acquisition des terrains Perturber r duire et entrainer la perte d activit s d usage de fonctions e Trouver un autre emplacement SS Si cela n est pas possible SS artisanales commerciales ou conomiques agriculture levage maraichage SS Fournir des terres et ou un logement quivalent ou une compensation financi re E E quitable condition que cela soit accept volontairement et sans contrainte SS D placer des r sidents temporaires ou r duire les terres des agriculteurs ou des leveurs a A Offenser la population locale endommager le tissu social local Trouver un autre site SS culturelle ou sociale SS Site sujet aux inondations Causer en cas d inondations des dommages cologiques par des Trouver si possible un autre emplacement pour le site SS d gagements accidentels de produits toxiques infectieux ou de tout autre did Concevoir les infrastructures de fa on minimiser les risques ex avec un am nagement produit dangereux et un drainage appropri s P amp D bi 9 Contaminer l eau potable Eviter de stocker des mat riaux dangereux sur des sites sujets un risque d inondation SS Si cela n est pas possible Concevoir la zone de stockage de fa on placer les mat riaux dangereux au de
105. ion P amp D construction C ou fonctionnement et maintenance Mise en place des adductions d eau et distribution Lib ration des emprises n cessaires pour Perturber r duire et entrainer la perte d activit s d usage de fonctions Choisir un trac qui vite autant que possible la destruction des biens et services P amp D les conduites et ouvrages de distribution artisanales ou conomiques agriculture levage P amp C Indemniser les propri taires ou les usagers P amp D mc EE Replanter les plantes et la flore r cup r es de l cosyst me local apr s la fin de la construction C mm mmmmmmmmmmmmmnnmnmnnnnnnnnen nn De AE CC DE DC DC DE DC D CD DC DC DE DCE DC D DC DC CE Ce CR Site rev tant une importance historique Offenser la population locale endommager le tissu social local Trouver un autre site SS culturelle ou sociale pour les ouvrages de distribution SS Transport et circulation de la machinerie G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par le d gagement de Utiliser des abats poussi res au besoin Couverture des bennes de transport des C P amp C poussi res C P amp C d blais C P amp C nm mm MMM MMM Re ee CN Ce ON Ce CN CU GUN CU GUN CON GUN ON CON GUN CU GUN CU GUN CN GUN UN CON GUN CU GUN CU GUN UN CON OU CU CU CU GUN CN CON GUN CU GUN CU GUN CN GUN OU CU GUN OUR CU OUR CN CON OU CON GUN CU GUN CN GUN UN CON GUN CU GUN CU GUN CN OUR GUN CU GUN CU GUN CU OU UN
106. ion chez quelques agents pathog nes P riode de latence et persistance consid rable dose infectieuse faible Ascaridiase Uncinariose Trichuriose Helminthiases Sans h tes interm diaires Milieu domestique Aliments fertilis s avec des eaux r siduaires ou des boues f cales Milieu domestique Champs Fourrage P riode de latence et T niase persistance consid rable dose infectieuse faibles Helminthiases cestodes avec comme h tes interm diaires Page 26 sur 44 Cat gories d infections le bovin ou le porc Helminthiases tr matodes avec comme h tes interm diaires des organismes aquatiques Transmission par des insectes Caract ristiques pid miologiques de l agent pathog ne P riode de latence et persistance consid rable h tes aquatiques interm diaires dose infectieuse faible Transmission par des insectes moustique cafards Infections typiques Bilharziose Schistosomiase Filariose El phantiasis En principe toutes les infections transmises par des agents pathog nes excr t s controvers Source Feachem et al 1983 cit dans Strauss et Montangero 1999 Page 27 sur 44 Voie principale de transmission Excr tion des selles urines dans les eaux mollusques comme h tes interm diaires Foyers d incubation d insectes contamin s par des excr ta p ex des latrines l RISQUES ET MESURES PROPOSEES 7 1 Risques identifi s Lors
107. ion des eaux us es 11 ABANDON DES INSTALLATIONS EN FIN DE TRAVAUX A la fin des travaux l Entrepreneur doit r aliser tous les travaux n cessaires la remise en tat des lieux L Entrepreneur r cup re tout son mat riel engins et mat riaux Il ne peut abandonner aucun quipement ni mat riaux sur le site ni dans les environs Les aires b tonn es sont d molies et les mat riaux de d molition mis en d p t sur un site ad quat approuv par l ing nieur Au moment du repli les drains de l installation sont cur s pour viter l rosion acc l r e du site S il est dans l int r t du Ma tre d ouvrage de r cup rer les installations fixes pour une utilisation future l Administration peut demander l Entrepreneur de lui c der sans d dommagement les installations sujettes d molition lors d un repli Apr s le repli du mat riel un proc s verbal constatant la remise en tat du site doit tre dress et joint au PV de la r ception des travaux rr Annexe 2 vi Termes de r f rences pour une EIE I Introduction et contexte Cette partie sera compl t e au moment opportun et devra donner les informations n cessaires relatives au contexte et les approches m thodologiques entreprendre II Objectifs de l tude Cette section montrera 1 les objectifs et les activit s du projet pr vu dans le cadre du sous programme et 11 indiquera les activit s pouvant avoir des impacts environnementa
108. ion et la compensation des impacts n gatifs sont d clin s Ces directives g n rales sont formul es en tenant compte de la r glementation nationale en vigueur et des exigences des politiques de sauvegarde de la Banque mondiale dont nous avons jug par ailleurs de l opportunit de leur consid ration Il est entendu que d autres mesures plus sp cifiques pour les diff rentes composantes seront identifi es dans le cadre d Evaluation Environnementale tude d impact approfondie ou analyse environnementale initiale selon les enjeux en question conform ment aux dispositions du code de l environnement a Mesures g n rales d att nuation des Impacts n gatifs Certaines activit s ou projets du programme devront faire l objet d une valuation environnementale et sociale avant tout d marrage y compris un Plan d Action pour la R installation en cas de d placements involontaires d localisation de personnes pertes de biens etc conform ment aux dispositions juridiques nationales et aux politiques op rationnelles de la Banque mondiale Les autres mesures d ordre technique r aliser aussi bien lors de la phase de construction qu en p riode d exploitation sont consign es dans le tableau ci dessous Page y Tableau 17 Mesures d att nuation g n rales pour l ex cution de tous les sous projets Mesures Actions propos es R alisation d Etudes environnementales et sociales pour les projets
109. ion pourraient avoir des impacts n gatifs sur le cadre physique et apporter des d sagr ments g nes ponctuelles aux zones avoisinantes et aux riverains il essentiel de d finir et respecter des r gles y compris les interdictions sp cifiques et les mesures prendre pour la gestion de la construction qui devront tre soigneusement respect es par les contractants L information qui suit est donn e titre de prescriptions ins rer sous r serve d ventuelles adaptations l g res au cahier des clauses techniques particuli res du dossier d appel d offres des diff rents types d ouvrage qui seront financ s dans le cadre de ce programme Elles devront tre suivies en liaison avec la l gislation nationale en mati re de sant s curit et hygi ne au travai Aussi les travaux soumis la proc dure d valuation environnementale tude d impact approfondie ou analyse environnementale initiale feront l objet en plus des pr sentes prescriptions d une analyse plus compl te et d un Plan de Gestion Environnementale et Sociale PGES qui seront annex s au DAO 1 CONTEXTE ET JUSTIFICATION La r alisation de la pr sente tude visait la prise en compte de la dimension environnementale et sociale dans la planification et l ex cution du programme travers la mise en uvre d un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES Ainsi l int gration de prescriptions environnementales et sociales dan
110. ions b n ficiaires Les impacts environnementaux n gatifs identifi s et qui sont pour la plupart temporaires sont pris en consid ration par le PGES propos Ce dernier pr conise des mesures d att nuation types notamment lors des phases de construction et d exploitation ainsi que des mesures de suivi de l efficacit de la mise en uvre des actions propos es afin de consolider les impacts positifs du projet Il est entendu que d autres mesures plus sp cifiques seront identifi es dans le cadre d valuations environnementales et sociales sp cifiques aux sous projets de ce programme Page 43 sur 44 ANNEXES ji jii V vl vii 1 ANNEXES GENERALES A TERMES DE REFERENCES B AUTEURS DU CGRES C BIBLIOGRAPHIE D LISTE DES PERSONNES CONSULTEES 2 ANNEXES TECHNIQUES FORMULAIRE DE SCREENING DES SOUS PROJETS LISTE DE CONTROLE DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX PROBABLES CHECKLIST DES IMPACTS ET MESURES D ATTENUATION DIRECTIVES ENVIRONNEMENTALES POUR LES ENTREPRENEURS CLAUSES ENVIRONNEMENTALES A INSERER DANS LES DAO TERMESDE REFERENCE POUR UNE EVALUATION D IMPACT ENVIRONNEMENTALET SOCIAL CADRE BIOPHYSIQUE Page b 10 ANNEXES GENERALES Page c TERMES DE REFERENCES SOUS PROGRAMME IDA O O Formulation de la composante ENVIRONNEMENT TERMES DE REFERENCE E 1 CONTEXTE DE L ETUDE Le Programme national d eau potable et d assainissement du Mill naire PEPAM
111. iques hydrochimiques diff rentes dont la nappe du Delta qui recouvre les 8 10 du d partement de Dagana D 3 DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL Le diagnostic pr sente la situation de l environnement et ses grandes tendances d volution Il est organis selon les dimensions pertinentes de l environnement du territoire concern eu gard aux termes de r f rences TDR de l tude Le champ de l tude portant sur les composantes hydraulique et assainissement en milieu rural le diagnostic va concerner la dimension ressources naturelles la dimension pollution et la dimension cadre de vie D 3 1 DIAGNOSTIC DIMENSION RESSOURCES NATURELLES L objectif de ce diagnostic est d assurer l utilisation durable de la ressource en eau en la pr levant de mani re ce que les g n rations futures puissent avoir le m me niveau de d veloppement D 3 1 1 Ressource en eau La r gion de Saint Louis rec le un potentiel important de ressources en eau comprenant les eaux de pluies les eaux de surface et les eaux souterraines D 3 1 1 1 Eaux de surface Les eaux de surface de la r gion sont constitu es essentiellement par le fleuve S n gal et ses r servoirs annexes que sont ses affluents et d fluents et le lac de Guiers qui alimente Dakar et certaines autres localit s du S n gal Le fleuve S n gal est le plus grand fleuve de l Afrique du Nord Occidentale la superficie de son bassin versant est d environ 300 000 km avec une longueur d
112. it de Sauvegarde Environnementale et Sociale de la Banque mondiale ASPEN devra approuver le CGES et le Gouvernement du S n gal devra tre d accord sur les diff rentes actions recommand es et autoriser la publication Le plan cadre devra ensuite tre publi au niveau de la Banque mondiale et dans le pays 6 CONTENU ET PLAN DU RAPPORT D ETUDE a Liste des acronymes b Une introduction d crivant la finalit du CGES ses objectifs ses principes et la m thodologie suivie c une description du projet mettant en exergue les composantes construction sanitaire des zones cibles des dispositifs de coordination et de mise en uvre d Une pr sentation sommaire et g n rale des conditions du milieu naturel physique et biologique du milieu humain socio conomique et culturel dans la zone d intervention du projet e Le cadre juridique r glementaire et un aper u des politiques de sauvegarde environnementales applicables aux infrastructures hydrauliques ainsi qu une discussion des conditions requises par les diff rentes politiques f Le cadre institutionnel en d taillant les dispositions institutionnelles relatives aux phases de travaux et d exploitation et de maintenance de ces infrastructures hydrauliques g Une description du renforcement des capacit s de la formation et de l assistance technique si besoin en est n cessaire la mise en uvre du CGES h Le Cadre de suivi et valuation avec des indicateu
113. it s sup rieures des moustiquaires en fonction de la mouches et risques de transmission de maladie direction dominante du vent Entrainer un probl me de fr quentation par les filles surtout en milieu Pr voir des blocs s par s en milieu scolaire scolaire hh Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet de l activit S lection du site SS planification et conception P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M Etre mal utilis par les usagers Programme d entretien et de sensibilisation des populations Tableau 22 Mesures d att nuation du r seau d assainissement Activit Impact Att nuation Technologie L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet planification et conception P amp D construction C ou fonctionnement et maintenance O amp M Mise en place de r seau d assainissement Lib ration des emprises Perturber r duire et entrainer la perte d activit s d usage de Choisir un trac qui vite autant que possible la destruction des biens et services P amp D n cessaires C fonctions artisanales commerciales ou conomiques boutiques choppes P amp C S een ne ne ane ee nn en an np QG Indemniser les pr
114. it pour la composante IT assainissement du choix de ne mettre en uvre que l infrastructure d assainissement et de laisser aux b n ficiaires r aliser la superstructure Cette option peut poser des probl mes d acceptabilit sociale des ouvrages propos s par le sous programme 7 2 Mesures propos es Il est recommand pour la composante acc s l eau potable e Que le captage des eaux superficielles soient privil gier pour une adduction d eau multi village avec un traitement pr alable e Que des unit s de d f risation et de d fluorisation soient accoupl es aux ouvrages de distribution d eau e Que le domaine class soit viter pour la r alisation d ouvrages hydrauliques Concernant la composante assainissement il est recommand un renforcement de l IEC pour une meilleure acceptation des ouvrages propos s d faut de r aliser la superstructure Page 28 sur 44 8 LA CONSULTATION DU PUBLIC Des s ances de consultations avec les parties prenantes et les acteurs int ress s ont t organis es en vue de les informer sur le projet d une part et de recueillir leurs points de vue d autre part La consultation du public permet la prise en compte du r le des capacit s des perceptions des attentes et des pr occupations de l ensemble des acteurs concern s dans la formulation du sous programme IDA PEPAM 8 1 Les objectifs de la consultation L objectif global des consultations publiques dans le ca
115. ivit s locales et la loi n 96 07 du 22 mars 1996 portant transfert des comp tences d finissent les attributions des collectivit s locales en mati re de gestion du cadre de vie L article 34 du d cret n 96 1134 du 27 d cembre 1996 pr cise ces attributions Ainsi la collectivit locale prend toutes les dispositions indispensables pour la collecte le transport et le traitement des d chets liquides et solides Elle peut aussi en collaboration avec d autres collectivit s locales installer des centres de traitement des d chets 4 2 3 Le code de l eau Le Code de l eau loi n 81 13 du 04 Mars 1981 dont le titre IT est consacr la protection qualitative des eaux articles 47 63 pollution Si on analyse l articulation de cette loi on se rend compte que l eau et l assainissement sont troitement li s sur la proc dure de prise de d cisions car la participation des autorit s charg es de l assainissement est souvent sollicit e 4 2 4 Le code l hygi ne publique Les dispositions de ce code sont ins parables aux normes de rejet qui peuvent sans doute tre consid r es comme tant le compl ment de la loi n 83 71 du 5 Juillet 1983 portant code l hygi ne public au S n gal C est le chapitre II qui int resse le plus le pr sent CGES quant l application de cette loi art 16 19 notamment l article 17 qui r glemente les mati res us es liquides 4 2 5 Le code de l urbanisme Le code de
116. l assainissement autonome en raison des conditions hydrog ologiques l absence de syst me d assainissement autonome pour les m nages non pourvus ou dont les syst mes sont inop rants sont des param tres qui vont accentuer la d gradation du cadre de vie et l environnement avec le rejet anarchique des eaux sur la voie publique les d f cations l air libre l enfouissement des boues se traduisant par le p ril f cal En mati re d acc s l eau potable l absence du programme constituerait un frein la campagne d quipements de r habilitation des populations en syst me d alimentation en eau potable et aux r formes en cours dans le secteur 6 2 Les impacts des composantes 1 et 2 du programme sur l environnement La r alisation du programme d acc s l eau potable et l assainissement dans toutes leurs composantes aura principalement des impacts positifs Ces impacts positifs largement majoritaires ne doivent pas occulter quelques impacts environnementaux n gatifs qui pourraient mailler son cycle de vie savoir lors des tapes de pr paration construction et d exploitation 6 1 1 Les impacts positifs des composantes du programme 6 1 1 1 Les impacts positifs associ s aux activit s de le composante I acc s l eau potable Le tableau ci apr s rappel les impacts de la mise en uvre de la composante I Page 23 sur 44 Tableau 3 Impact positifs Ouvrages Impacts Impact
117. la mousson avec de l air chaud et humide Les principaux types de sols de la r gion sont les suivants les sols min raux bruts d rosion lithosols les sols peu volu s d rosion gravillonnaire les sols ferrugineux tropicaux non lessiv s lessiv s sans concr tions et lessiv s concr tions les vertisols les sols hydromorphes et halomorphes Il est noter que les sols ferrugineux tropicaux et les sols peu volu s d rosion pr dominent dans la r gion A 3 DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL Le diagnostic pr sente la situation de l environnement et ses grandes tendances d volution Il est organis selon les dimensions pertinentes de l environnement du territoire concern eu gard aux termes de r f rences TDR de l tude Le champ de l tude portant sur les composantes hydraulique et assainissement en milieu rural le diagnostic va concerner la dimension ressources naturelles la dimension pollution et la dimension cadre de vie 3 1 DIAGNOSTIC DIMENSION RESSOURCES NATURELLES L objectif de ce diagnostic est d assurer l utilisation durable de la ressource en eau en la pr levant de mani re ce que les g n rations futures puissent avoir le m me niveau de d veloppement A 3 1 Ressource en eau La r gion de Tambacounda et le d partement de Bakel rec le un potentiel important de ressources en eau comprenant les eaux de pluies les eaux de surface et les eaux souterraines 3 1 1 Eaux de sur
118. la r gion de Tambacounda La r gion ne dispose que de deux unit s d grenage de coton implant es Tambacounda et K dougou et appartenant la SODEFITEX Ces tablissements sont aliment s par le r seau d eau potable de ces 2 communes gr ce au r seau de la SDE gt Pr l vement pour l eau potable Dans la r gion seuls 9 des concessions sont connect s au r seau d adduction d eau potable de la SDE La majorit des m nages s approvisionnent au niveau des puits ou directement des cours d eau Ce syst me encore traditionnel pr sente des risques de parasitoses qui ne manquent pas d affecter la sant des usagers onchocercose diarrh e Jadis l approvisionnement de la commune de Bakel se faisait par pompage des eaux du fleuve S n gal apr s traitement Actuellement la SDE dispose d un forage qui assure l alimentation en eau potable des populations Bakel et K dougou l eau du fleuve est souvent utilis e par les populations comme eau de boisson sans traitement pr alable Elle constitue donc de r els dangers pour ces populations Il convient cependant de pr ciser que l acc s l eau potable est satisfaisant en milieu urbain 75 de la population mais il reste tr s faible en milieu rural 33 gt Pr l vement pour l irrigation Sur le potentiel de terres irrigables 150 000 ha seules 3000 ha sont exploit es principalement pour la culture du riz dans le Walo Il faut cependan
119. lacements de machines de sorte viter toute g ne Respecter des sites culturels Organiser les activit s du chantier en prenant en compte les nuisances bruit la poussi re et la s curit de la population environnante Prot gez le sol pendant la construction et proc der au boisement ou reboisement ainsi qu la stabilisation des surfaces fragiles Proc der au choix judicieux et motiv des sites d implantation loin des points d eau des habitations et des secteurs sensibles Assurer le drainage appropri lorsque n cessaire Eviter la stagnation des eaux dans les fosses de construction les carri res source de contamination potentielle de la nappe d eau et de d veloppement des insectes vecteur de maladie Eviter tout rejet d eaux us es d versement accidentel ou non d huile usag e et de d versement de polluants sur les sols dans les eaux superficielles ou souterraines dans les gouts les foss s de drainage etc Eviter au maximum la production de poussi re Employer la main d uvre locale en priorit mm Annexe 2 v Clauses environnementales ins rer dans les DAO TRAVAUX DE CONSTRUCTION DE RESERVOIRS D EAU DE STATION DE POMPAGE DE TRAITEMENT D EAU DE STATION D EPURATION DE RESEAU D ADDUCTION ET DE DISTRIBUTION D EAU D EDICULES PUBLICS PRESCRIPTIONS ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES A RESPECTER PAR L ENTREPRENEUR Etant donn que les activit s de construct
120. les impacts qui seront pr sent s ici restent transversaux sur l ensemble des contextes d intervention Le d tail des impacts pour chaque type d infrastructure est en annexe 2 iii Au stade des tudes d taill es projet par projet selon les dispositions du code de l environnement des valuations environnementale plus pr cise devront tre conduites afin d affiner localement les orientations d finies ci apr s 6 1 L analyse des impacts de la situation sans projet L option de r alisation de ce programme a t compar e avec l option sans programme Si l on ne r alise pas le programme on viterait certes provisoirement les impacts environnementaux n gatifs associ s aux diff rentes composantes du projet construction de station de traitement des eaux pose des conduites forages construction d ouvrages assainissement autonome En mati re d assainissement et d acc s l eau potable l absence de ce programme implique le maintien de l tat actuel d inexistence d insuffisance et ou de d gradation des quipements d assainissement autonomes ainsi que des ouvrages hydrauliques dans les zones d intervention futures du programme La non r alisation de ce programme aura pour cons quence des effets induits n fastes en termes environnemental et social En effet l absence de r seau d assainissement pour les zones inaccessibles par les camions de vidange des boues des fosses ou inaptes
121. lieu de D partement Limites administratives Limite d Etat Limite de R gion Limite de D partement 00000 L Limite d Arrondissement Limite de Communaut Rurdle J Sources DTGC DAT Cartographie Centre de Suivi Ecologique Mars 2001 550000 600000 650000 700000 750000 800000 850000 900000 WW Figure 4 Etat du r seau hydrographique du d partement de Bakel x DIAWARA bakeL ai D a 5 fii KIDIRA amp BELE j SINTHIOU FISS fe s F T GATHIARY eL a L gende Localit s Chef Lieu de D partement Chef Lieu d Arrondissement Commune Chef Lieu de Communaut Rurale Hydrographie C Aires prot g es Es Limite D partement de Bakel 0 75 15 30 Kilometers OR Source T l dt tect ion et Cartographie des Ressources Naturelles du S n gal Project ion UTA WGS 84 h misph re nord zone 28 Source DGPRE 3 1 2 Eaux souterraines L essentiel des ressources en eau souterraines de la r gion se trouve sous le Continental Terminal qui couvre pratiquement tout le d partement de Tambacounda et les 2 3 du d partement de Bakel Le potentiel exploitable est estim 12 5 milliards de m dont 10 milliards de m dans les nappes phr atiques et 2 5 milliards de m pour les nappes profondes du Maastrichtien Le socle ancien qui couvre 52 du territoire r gional ne renferme que des nappes localis es et dispers es de faible importance et donc les possibilit s de renou
122. limentation contr ler les pr l vements et appliquer des mesures d conomie d eau Elaborer et d rouler un programme de sensibilisation la protection et la pr servation de l eau l attention des usagers d pliant spots publicitaires audio visuels Favoriser la r alimentation de la nappe par des am nagements comme le boisement de bassin versant Contaminer les eaux d exhaure par la pr sence de compos s physico Contr ler la qualit des eaux et pr voir la d f risation chimiques d origine naturelle ou anthropiques fluor fer dd Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait de l activit Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet S lection du site SS planification et conception P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M avoriser l intrusion d eau sal e ou saum tre dans les zones c ti res ou dans les aquif res sal s Abandon ou des forages ou diminution de leur d bit d exploitation Rabattement de la nappe sal e par pompage vers l oc an ee Tableau 20 Captages et traitement Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet de l activit S lection du site SS planification et concept
123. lis dans la commune et avec la prolif ration des puits les risques de contamination sont lev s Le p ril f cal aussi constitue un probl me r el d assainissement en milieu rural En effet l usage de latrines appropri es n est pas encore g n ralis et on d note que 44 6 des m nages font leur aisance dans la nature Cependant des interventions d Organisations Non Gouvermentale et d autres organismes onusiens dans la lutte contre le ver de Guin e et contre le p ril f cal ont permis la r alisation de syst mes individuels d assainissements A 4 ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX Tableau 25 Enjeux environnementaux dans le d partement de Bakel Principaux enjeux Disponibilit de l eau souterraine dans le socle Pr servation de la qualit des eaux souterraines du Maastrichtien pour l alimentation en eau potable teneur en fer total sup rieure la norme de l OMS Pr servation de la qualit des eaux souterraines du Maastrichtien pour l alimentation en eau potable teneur en fluor sup rieure la norme de POMS dans les parties Sud et Nord des communaut s rurales de Koular et de Kothiary Pr servation de la qualit des eaux de surface non pr serv e les eaux superficielles peuvent tre source de maladies hydriques telles que onchocercose etc Ma trise de l eau drain e par le fleuve S n gal Ressources Naturelles Domaine Eaux Niveau d exploitation des eaux continentales
124. ls le projet en question incorpore des mesures d att nuation acceptables par la Banque Selon les informations disponibles et par r f rence aux conditions environnementales de base dans les diff rentes zones d intervention du projet ces derni res Page 21 sur 44 n abritent pas d aires prot g es et ou des sites int r t biologique et cologique En cons quence cette politique ne s applique pas au pr sent Projet e Politique OP 4 36 For ts Les zones d intervention du pr sent Projet en milieu rural comme en milieu urbain ne se trouveront ni dans ou ni autours d espaces forestiers ou d aires prot g es Ceci veut dire que le Projet n aura pas d impact sur la sant gestion ou utilisation des for ts n1 sur les usagers des for ts En cons quence cette politique relative aux for ts ne s applique pas au pr sent Projet e Politique OP 4 09 Lutte antiparasitaire Le Projet ne financera ni l achat ni l application des pesticides chimiques et 1l n induira pas d augmentation dans l utilisation des pesticides chimiques dans les zones d intervention du Projet En cons quence cette politique relative la lutte antiparasitaire ne s applique pas au pr sent Projet e Politique OD 4 20 Groupe indig ne Le terme groupe indig ne d signe un groupe social ayant une identit sociale et culturelle distincte de la population dominante faisant de lui un groupe vuln rable et d savantag dans le pr
125. mes de r f rence du consultant est d identifier les mesures d att nuation mettre en uvre pour limiter voire viter les effets n gatifs sur l environnement des diff rentes actions engag es dans le cadre du pr sent projet Le PCGES tablira galement le processus et les crit res pour la gestion environnementale notamment le processus de tri pr liminaire et le processus de suivi environnemental 1 3 M thodologie La m thodologie utilis e dans le cadre de cette tude a t bas e sur une approche participative en concertation avec l ensemble des acteurs et partenaires concern s par le Projet notamment l Unit de Coordination du PEPAM les agences d ex cution du PEPAM les services techniques tatiques centraux et d concentr s les collectivit s locales et certains b n ficiaires potentiels Par ailleurs l tude a privil gi une d marche articul e autour de 1 la collecte et l analyse des documents du projet et d autres documents strat giques et de planification sant environnement hydraulique assainissement et 11 les rencontres avec les acteurs institutionnels principalement concern s par le projet En outre le consultant s est bas sur la politique op rationnelle de la Banque mondiale relative aux proc dures d valuation environnementale O P 4 01 ainsi que les politiques et textes juridiques du S n gal pertinents pour le projet Page 9 sur 44 2 DESCRIPTION DU PR
126. mise en uvre du projet ainsi que l chelle d intervention et des niveaux national r gional et local 9 4 1 Evaluation des besoins en renforcement de capacit s des acteurs Le cadre unifi d intervention propos dans le cadre de la mise en uvre du pr sent programme du PEPAM dans les r gions de Saint Louis Matam et Tambacounda implique une mise niveau de l ensemble des acteurs et partenaires strat giques dans un souci d appropriation des r gles et bonnes pratiques environnementales et sociales gage de la durabilit des infrastructures d assainissement et d AEP Aussi pour la mise en uvre et le suivi environnemental des sous projets du Programme dans les trois r gions vis es plus haut il importe que les capacit s actuelles soient renforc es Les organes de pilotage et les agences d ex cution aux niveaux local r gional et national ainsi que les partenaires strat giques ma tres d uvre prestataires priv s etc doivent disposer d une expertise ad quate fin de jouer pleinement leurs r les assign s A cet effet nous avons privil gi la d marche participative avec les acteurs concern s par le biais du diagnostic des besoins en formation exprim s par chaque partie tous les chelons de planification 9 4 2 Programme de formation en environnement des acteurs C est sur la base des besoins identifi s et adapt s au contexte des projets du PEPAM dans la zone d tude que des mesu
127. mographiques et socio conomiques de la zone d tude INDICATEURS Matam Tamba Urbain Rural La _ EPRE ETAT ET STRUCTURE DE LA POPULATION ET ETAT ET STRUCTURE DE LA POPULATION DE LA POPULATION Ge manosios A AE o CSA SE A ES CS o CN a RE os as o EC ET mmesnmememenmens as ne f a Pourcentage de m nages ayant une chasse raccord e un gout Pourcentage de m nages ayant comme type d aisance les 43 6 52 6 397 42 0 latrines Pourcentage de m nages ayant comme type d aisance un 2 1 2 1 0 7 1 5 23 dicule public Pourcentage de m nages ayant comme type d aisance la ows 284 364 34 f oaa nature TAT EE EE ramos ora romane en sms sen mu acnvmercononmou LL manemsamon scoiamsanoermsrenos area n os un jus Source Troisi me Recensement G n ral de la Population et de l Habitat RGPH 2002 ANSD d cembre 2006 Page 16 sur 44 4 CADRE POLITIQUE ET JURIDIQUE 4 1 Cadre Politique Le cadre national de la politique en mati re environnementale est marqu par les documents d orientation et les exercices de planification suivants 4 1 1 Le Plan National d Action pour l Environnement Le Plan National d Action pour l Environnement PNAE constitue le cadre strat gique de r f rence en mati re de planification environnementale Il veille l int gration de la dimension environnementale dans le proc
128. n chaud et sec de direction Nord Sud Est avec une vitesse de 1 8 m s et la mousson chaud et humide soufflant pendant l hivernage avec une vitesse de 1 5 m s La r gion est caract ris e par d importantes nappes d eau souterraine et des eaux de surface du fleuve S n gal et de ces affluents Diamel Dioulol Tigu r et Barga Le domaine forestier class au niveau de la r gion de Matam est constitu del2 massifs class s occupant 1 562 640 ha Le d partement de Ran rou localise une bonne partie du domaine forestier existant Il est constitu de 7 massifs class s pour une superficie de 1 395 100 ha soit 88 du territoire d partemental dont 05 r serves sylvo pastorales et 02 r serves de faune Les potentialit s foresti res sont maigres du fait des agressions imputables aux feux de brousse la s cheresse et aux pratiques d mondage des leveurs Cependant on note la pr sence de 7 for ts class es 2 r serves de faune et 5 r serves sylvo pastorales C 3 DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL Le diagnostic pr sente la situation de l environnement et ses grandes tendances d volution Il est organis selon les dimensions pertinentes de l environnement du territoire concern eu gard aux termes de r f rences TDR de l tude Le champ de l tude portant sur les composantes hydraulique rural et assainissement rural et le diagnostic va concerner la dimension ressources naturelles la dimension pollution et la d
129. n de Saint Louis devient la 11e r gion du pays par le d cret N 06 du 15 f vrier 2002 Situ e au Nord Est du territoire s n galais la r gion de Matam est limit e ddd l Est par la R publique Islamique de Mauritanie au Nord Ouest par la r gion de Saint Louis au Sud par la r gion de Tambacounda l Ouest par la r gion de Louga au Sud Ouest par la nouvelle r gion de Ka frine Elle est situ e entre 15 06 18 de latitude Nord et 13 38 30 de longitude Ouest Tableau 26 Donn es de base de la r gion de Tambacounda Superficie 29 615 km soit 15 05 du territoire national Population totale 424 106 habitants soit pr s de de la population nationale Population rurale habitants Population urbaine habitants Densit 14 hab km D coupage administratif 03 d partements Matam Ran rou Ferlo et Kanel 07 Communes 05 Arrondissements 14 Communaut s Rurales 435 villages officiels et hameaux Source Plan d Action Environnementale R gionale de Matam et Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS Tableau 27 Situation du d partement de Ran rou Ferlo CARTE DE LOCALISATION DU DEPARTEMENT DE RANEROU LOUGRE THIOLY RANER OU L gende amp Chef Lieu de D partement amp Chef Lieu de d Arrondissement Chef Lieu de Communaut Rurale Limite de R gion Limite de D partement Limite de Communaut Rurale C Aires prot g es Ran ro
130. neurs cf Annexe 2 iv Si un projet du programme est de cat gorie B2 le Comite ad hoc indiquera en fonction des mesures de mitigation de l annexe 2 iii les indicateurs de surveillance et de suivi pertinents S il s agit d un sous projet B1 le consultant ayant r alis l valuation environnementale fera ce travail aussi sur la base de l annexe 2 iii 1 Une recommandation allant dans le sens de la cr ation d une base de donn es environnementale et sociale a t faite dans l valuation du PGE du PELT Mbaye Mbengue Faye 2008 Page 38 sur 44 Tableau 13 Indicateurs suivi du programme Composante Indicateurs Fr quence de M thode de collecte Responsable Types environnementale th matique collecte d indicateurs Mensuelle R sultats Protection des aquif res Param tre physico chimiques de la qualit des exploit s points d eau d analyses DGPRE Param tres bact riologique des nappes physico phr atiques chimiques Niveaux pi zom trique statique et dynamique Fonctionnement des unit s de R actifs consomm s Mensuelle T l gestion Exploitant production et de traitement Nombre et nature des pollutions accidentelles enqu tes de d eau potable les accidents impliquant la fuite de r actifs dans voisinages Pair ou le sol inspections sur les aires de stockage et la gestion des jus de site et relev s lixiviation d exploitation sp ciaux des stations de traitement des eaux
131. nnement qui seront recrut s par le PEPAM b Lorsau une EIE n est pas n cessaire correspondant la cat gorie B 2 de la Banque Mondiale n cessitant uniquement de simples mesures d att nuation comme travail environnemental Dans ces cas de figure le sch ma ci dessous s applique Pour les projets AEP le comit form par la Brigade des puits et forages la Brigade hydrologique le Ma tre d uvre social et technique et l ASUFOR consulte le check list de du PGES pour s lectionner les mesures d att nuation appropri es Pour les ouvrages d assainissement le comit form par la Brigade d partemental hygi ne le Comit de pilotage le Comit villageois l Ing nierie sociale et le Relais communautaire consulte la check list de du PGES pour s lectionner les mesures d att nuation appropri es Etape 4 Examen et approbation des rapports PEIES Le Comit technique avec l appui de la DEEC va proc der l examen et l approbation 1 des mesures att nuation propos es figurant dans les listes de contr le environnementales et sociales pour assurer que tous les impacts environnementaux et sociaux ont t identifi s et que des mesures d att nuation ont t propos es 11 des tudes environnementales r alis es pour les activit s class es en cat gorie B Etape 5 Consultations publiques et diffusion La l gislation environnementale s n galaise en mati re d EIE a formul des disposi
132. nte les axes majeurs qui composent le plan de gestion environnementale et sociale du sous programme IDA PEPAM d gag s partir des priorit s pr sent es ci dessus et tenant compte des exigences du Code de l environnement ainsi que les normes et bonnes pratiques y aff rentes L objectif du Plan de Gestion Environnementale et Sociale PGES pour le projet est de servir de guide aux diff rentes parties prenantes du projet pour l identification des impacts positifs et n gatifs des diff rentes activit s d finir les directives l attention des diff rents acteurs sur l opportunit et la nature des valuations environnementales entreprendre fournir des crit res pour les modalit s de formulation des mesures d att nuation permettre la pr paration d un plan de suivi valuation des mesures d att nuation renforcer les capacit s au sein des structures impliqu es dans le processus d identification d valuation et de suivi des impacts environnementaux et sociaux Le PGE comprend 1 le plan d att nuation des impacts 11 le processus de s lection environnemental 111 les mesures de renforcement institutionnel iv le plan de surveillance et de suivi et le budget pour assurer une gestion efficace des impacts sur l environnement Afin d tre effectif le plan cadre de gestion environnementale et sociale doit tre pleinement int gr l effort de gestion globale du projet to
133. ocessus du d veloppement Sur la base des informations et donn es disponibles 1l n existe pas de groupes indig nes dans les zones d intervention du Projet En cons quence cette politique ne s applique pas au pr sent Projet e Politique OPN 11 03 Propri t culturelle Etant donn que les composantes du projet requi rent des travaux de construction d ouvrages et de conduites ce genre d op rations pourrait pr senter d une fa on g n rale un risque de dommages potentiel l h ritage culturel quand elles sont r alis es sans tudes pr alables d impact sur l environnement et sans consultation coordination pr alable avec l institution charg e du patrimoine Afin de satisfaire cette exigence l EE identifiera dans le cadre de son PGES les composantes sp cifiques du projet qui feront l objet d une EIE afin de traiter cette question dans les d tails et de v rifier s il y a ou non risque de d gradation du patrimoine culturel Conform ment la loi portant Code de l environnement du S n gal tous les am nagements et les infrastructures r aliser dans le cadre du pr sent projet devront tre implant s en dehors de sites arch ologiques et loin de sites et monuments class s En cons quence le pr sent Projet est en conformit avec les exigences de cette politique e Politique OP 4 37 S curit des Barrages Dans le cadre du pr sent Projet il n est pas pr vu de financer la construction de barrages n1 d autres fo
134. ociaux types pour leur suivi valuation ainsi que la m thodologie de leur mise en uvre donn e de r f rence fr quence des collectes responsabilit s etc Le programme de suivi valuation devra comporter en outre un plan sp cifique de surveillance environnementale et sociale pour s assurer du contr le efficace des questions environnementales et sociales Page f e D crire le m canisme et les arrangements institutionnels de mise en uvre du CGES en clarifiant les r les et responsabilit s des agences et de toutes les parties prenantes au niveau local communal district provincial et national impliqu es dans sa mise en uvre D crire le processus le m canisme et dans quelles circonstances les valuations environnementales sp cifiques 1 e valuation limit e ou approfondie pour chaque infrastructure hydraulique se d roulent e valuer la capacit du Gouvernement et des agences d ex cution impliqu es dans la mise en uvre du CGES y compris la sensibilisation aux probl matiques environnementales et sociales du projet et proposer des mesures pour la sensibilisation le renforcement institutionnel et ou le renforcement des capacit s techniques des parties prenantes concern es par cette mise en uvre du CGES e Pr parer un budget r capitulatif de toutes les actions et activit s propos es dans le CGES e D velopper un plan de consultation publique inclure en annexe dans le rapport du CGES L Un
135. ompage dans les eaux de surface du fleuve S n gal Par contre l approvisionnement en eau potable des populations rurales se fait exclusivement gr ce aux eaux souterraines des forages et des puits D 3 3 DIAGNOSTIC DIMENSION CADRE DE VIE L objectif de ce diagnostic est d am liorer le cadre de vie quotidien des populations et de r duire les nuisances La d gradation progressive du cadre de vie est de plus en plus une r alit dans toute la r gion de Saint Louis et par ricochet dans toutes les communes secondaires La faiblesse d vacuation des ordures et des infrastructures d assainissement eaux us es domestiques et eaux pluviales favorise la d t rioration du cadre de vie au niveau des diff rentes localit s de la r gion D 3 3 1 Eaux des excr ta et des eaux us es domestiques En mati re de gestion des eaux us es seule la commune de Saint Louis dispose d un r seau d gout dans tout le d partement L tat a engag un vaste programme social d assainissement depuis 2005 pour l extension du r seau d vacuation des eaux us es aux quartiers p riph riques L ona Diamagu ne Ndiolof ne et Darou dans la commune de Saint Louis Ces m mes quartiers sujets des inondations en p riode hivernale avaient aussi b n fici de canaux d vacuation d eaux pluviales partir de l ann e 2000 La commune de Saint Louis dispose d une station de lagunage macrophytes Ndiawsir communaut rurale de Gand
136. on o toutes les eaux us es collect es convergent pour tre trait es Le fonctionnement correct de cette station est assujetti un entretien r gulier des bassins de d cantation Tous les quartiers de la Commune de Saint Louis non raccord s au r seau collectif et toutes les autres localit s du d partement font recours l assainissement autonome Dans la commune de Saint Louis la plupart des installations se caract risent par une fosse sceptique 75 eaux vannes uniquement recueillies et par une fosse toutes eaux 25 La destination des eaux apr s la fosse est diverse 33 par une vidange de la fosse quand elle est pleine 42 par une infiltration en puits perdu 25 par rejet dans le jardin la rue ou autres Dans la commune de Saint Louis l vacuation des eaux pluviales pose souvent probl mes Certaines maisons ont un r seau interne de r cup ration des eaux de pluie pour un rejet dans la rue Pour les maisons ne disposant pas de r seaux il n y a pas d vacuation ce qui entra ne l inondation des habitations en p riode d hivernage Le r seau de drainage est peu d velopp 1l est de plus dans certains secteurs colmat s par les d ches m nagers La situation des probl mes d assainissement est pire dans les autres villes de la r gion ou communes secondaires Dans la commune de Richard Toll on note un petit r seau eaux pluviales r alis par l AGETIP Pour la commune de Podor 1l
137. on d eau eaux us es diarrh es chol ra travaux Embellissement du paysage etc domestiques urbain r duction des rejets Am lioration de l iniquit en Emergence et ou d eaux sur la voie publique mati re d acc s consolidation de Pas de vidange manuelle l assainissement pour les nouvelles le trop plein des fosses ne populations d munies et les repr sentations et va plus couler sur la voie autres citoyens visions endog nes publique Am lioration de l hygi ne dans les pratiques domestique et de la Sant d hygi ne et publique d assainissement R duction et ou disparition des latrines non appropri es Baisse du parc de latrines traditionnelles Usage prolong des ouvrages 3 gt 7 L a W A S T 5 R d A Q a4 6 1 2 Les impacts n gatifs des composantes du programme Les tableaux 5 et 6 rappellent les impacts n gatifs de la mise en uvre des composantes Le tableau 7 pr cise la classification des infections li es aux excr ta Page 24 sur 44 Probl mes impacts primaires 1 Diminution des ressources en eau douce de surface et souterraine 2 D gradation chimique de la qualit des ressources en eau potable de surface et souterraine 3 Cr ation d eau stagnante 4 D gradation des habitats terrestres aquatiques et c tiers 5 Augmentation des risques sanitaires Tableau 5 Synth se des impacts environnementaux potentiels des projets d
138. ondations Causer en cas d inondations des dommages cologiques par des Trouver si possible un autre emplacement pour le site SS d gagements accidentels de produits toxiques infectieux ou de tout autre oi Concevoir les infrastructures de fa on minimiser les risques ex avec un am nagement produit dangereux et un drainage appropri s P amp D s 9 Contaminer l eau potable Eviter de stocker des mat riaux dangereux sur des sites sujets un risque d inondation SS Si cela n est pas possible e Concevoir la zone de stockage de fa on placer les mat riaux dangereux au dessus du niveau du sol et ou dans des conteneurs tanches avec des couvercles v rouillables gard s ferm s S assurer que les op rateurs des installations respectent ces pratiques P amp D O amp M Lib ration des emprises n cessaires C D truire ou endommager des plantes ou des animaux qui rev tent une Trouver un autre emplacement SS Si cela n est pas possible importance cologique culturelle et ou conomique P amp ique q e Limiter l acc s au site e Concevoir toute infrastructure si in vitable de fa on cr er le moins d impact possible P amp D e Minimiser les perturbations de la flore indig ne pendant la construction P amp D C e Enlever sans les d truire les grandes plantes et la couverture du sol l o c est possible C e Replanter les plantes et la flore r cup r es de l cos
139. onnementaux dans le d partement de Bakel nnnnnnnnssssssssssseeerrrssssssss ddd Tableau 29 Donn es de base de la r gion de Tambacounda n neesssssooenssessssssseerrssssssseerresssssseeeee eee Tableau 30 Situation du d partement de Ran rou Ferlo ss eee Tableau 31 Donn es de base du d partement de Ran rou Ferlo eee Tableau 32 Enjeux environnementaux dans le d partement de Ran rou Ferlo ossssssnseesesssssseressss jjj Tableau 33 Donn es de base de la r gion de Saint Louis ss kkk Tableau 34 Donn es de base du d partement de Saint Louis kkk Tableau 35 Donn es de base du d partement de Dagana Il Tableau 36 Donn es de base du d partement de Podor UV ss mmm Tableau 37 Enjeux environnementaux dans la r gion de Saint Louis sssssseeeesssssssseeeerssssssseeeeees ZZZ Page 3 sur 44 ACE AEP AEPA AEPAH APD APROSEN APS ARD ARE ASUFOR CGES CPS CR DAS D EC DEM DGPRE DHR DHU DRA DREEC DSRP EE EIE EIES GIRE ICPE IEC INLMS OCB OMD OMS ONAS ONG OP PCGES PEPAM LISTE DES ACRONYMES Agence Centrale D ex cution Alimentation En Eau Potable Alimentation En Eau Potable Et Assainissement Approvisionnement En Eau Potable Assainissement Et Hygi ne Avant Projet D taill Agence Pour La Propret Du S n gal Avant Projet Sommaire Agence R gion
140. opri taires ou les usagers P amp D Transport et circulation de G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par le d gagement Utiliser des abats poussi res au besoin Couverture des bennes de transport des d blais C la machinerie C P amp C de poussi res C P amp C P amp C Circulation d engins de Limiter la vitesse des v hicules sur les sites des travaux d ouverture des tranch es 10 km h C hantier C P amp C grantet G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par la d gradation P amp C de l ambiance sonore C P amp C Concentrer les types de travail les plus bruyants sur une p riode aussi courte que possible et pendant les moments de la journ e o cela d range le moins Prendre des mesures pour minimiser le d gagement de poussi re P amp D C D grader la qualit de lair par l mission de polluants atmosph rique contenant du NOx SO2 CO particules C P amp C Salir les voies de communication et polluer le sol par les Nettoyage et r habilitation des voies de circulation C P amp C hydrocarbures C P amp C L ex cution de tranch es Perturber boucher les voies de circulation Planifier les travaux autant que possible en dehors des heures de trafic pour la pose des conduites _ a a aa a CS CU nu Signalisation des chantiers et maintient de la circulation Toutes les routes et voies creus s par le passage des conduites devront tre remis en tat
141. ouvernement du S n gal compte d ici 2015 atteindre les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement en mati re d eau potable et d assainissement en milieu urbain et en milieu rural Le PEPAM constitue le cadre programmatique global dans lequel l ensemble des interventions r alis es au S n gal doivent l avenir s inscrire en vue de contribuer l atteinte des objectifs nationaux fix s pour 2015 soit pour l eau potable l universalit de l acc s en milieu urbain et un taux d acc s de 82 en milieu rural Pour l assainissement un taux d acc s de 78 en milieu urbain et de 59 en milieu rural En milieu urbain la strat gie du PEPAM s articule autour de la mise en uvre de r formes dites de deuxi me g n ration prolongeant celles initi es dans le cadre du Programme Sectoriel Eau PSE puis du Projet Eau Long Terme PLT et qui ont permis depuis 1996 d am liorer de mani re continue la qualit des services d eau potable et d assainissement En milieu rural la strat gie du PEPAM marque une volution en profondeur des m thodes de planification et de programmation des projets de l organisation et de la gestion du service de l eau et de la participation du secteur priv Cette strat gie s appuie sur un cadre unifi d interventions constitu d un socle commun d outils et de r gles de port e globale qui s imposeront tous les acteurs Ce cadre sera g n rateur de synergies et d efficacit
142. par la r gion de Louga l Est par la r gion de Matam et l Ouest par l Oc an Atlantique Le d coupage actuel r sulte du D cret No 2002 166 du 21 f vrier 2002 Tableau 30 Donn es de base de la r gion de Saint Louis Population totale 764 347 habitants soit pr s de 7 de la population nationale Population rurale 486 346 habitants Population urbaine 278 001 habitants Densit 40 hab km D coupage administratif 03 d partements Saint Louis Dagana et Podor 08 Commune Saint Louis 07 Arrondissements Rao 16 Communaut s Rurales Gandon et Mpal 641 villages officiels Source Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS La r gion se subdivise en 2 zones cog ographiques avec des caract ristiques sp cifiques la vall e du fleuve S n gal le delta et le littoral La vall e constitue une bande le long de la rive gauche du fleuve S n gal entre Bakel et Richard Toll L agriculture pluviale extensive les cultures du walo ou de d crues et les cultures irrigu es constituent les activit s dominantes dans cette partie La zone du delta s tend par contre du Gandiolais Richard Toll et concentre l essentiel des activit s industrielles de la r gion Tableau 31 Donn es de base du d partement de Saint Louis Superficie 879 75 km soit 4 61 du territoire r gional et 0 44 du territoire national Population totale 226 977 habitants soit pr s de 30 de la pop
143. ppement des p rim tres hydroagricoles avec une superficie am nag e de 80665 ha dont 37907 ha par les pouvoirs publics et 42 758 ha par les priv s utilisent de grandes quantit s d eau de surface Ainsi la r gion abrite plus de la moiti du potentiel des terres irrigables de la rive gauche du fleuve S n gal soit 180 000 ha sur les 240 000 ha disponibles ttt La disponibilit des ressources hydriques et les importants ouvrages hydrauliques de Diama et Manantali font qu annuellement trois campagnes agricoles hivernage contre saison froide et contre saison chaude y sont pratiqu es D 3 2 DIAGNOSTIC DIMENSION POLLUTION L objectif de ce diagnostic est de minimiser les rejets dans les milieux et de les d adapter aux capacit s de ces m mes milieux D 3 2 1 Qualit des eaux de surface tant la source principale de pr l vement pour l alimentation en eau potable de plusieurs communes de la r gion l analyse de la qualit des eaux du fleuve S n gal s av re n cessaire pour le respect des normes de potabilit dict es par l Organisation Mondiale de la Sant OMS Avec le d veloppement de la culture irrigu e gr ce de multiples p rim tres hydroagricoles qui en plus de l eau du fleuve utilisent des quantit s importantes d engrais de produits phytosanitaires pesticides qui peuvent constituer une source de pollution des eaux de surface L chantillonnage pour l analyse des pesticides a t r ali
144. ppes phr atiques peu profondes mais sujettes la salinisation et l importante nappe du Maastrichtien dont la profondeur est de 50 m au Nord Cette derni re pr sente une certaine salinit dans le d partement et alimente l ensemble des forages du Di ri avec des d bits d exploitation variant entre 20 et 110 m h La faiblesse de la pluviom trie a des r percussions n fastes sur la recharge des nappes souterraines De m me l exploitation 1rrationnelle de cette ressource cause beaucoup d ennuis aux populations mais aussi contribue la d gradation de l environnement La surexploitation des aquif res pour les besoins domestiques m ne la baisse consid rable du niveau des nappes accompagn e d une salinisation progressive des eaux Dans le d partement de Dagana on a les diff rentes nappes suivantes la nappe du delta qui est peu profonde et sal e et qui couvre les 8 10 du d partement la nappe superficielle dans les silts du Quaternaire r cent l aquif re sableux du Continental Terminal l aquii re calcaire de l Eoc ne l aquif re calcaire du Pal oc ne l aquif re des sables du Maastrichtien PPP Figure 18 Carte du potentiel aquif re du d partement de Dagana Evaluation Environnemental SRE PBPAM DA Carte des Unit s aquif res du d partement de Dagana L gende e co mmunaut rurale imite d partement oc ne IMazsstrichtien 12 Kilometers Source DGPRE
145. programm s du sous Mesures programme r glementaires et Elaboration de manuel de proc dures et des directives environnementales et sociales ins rer techniques dans les march s de travaux Mise en place d une base de donn es Proc der au choix judicieux et motiv des sites d implantation Elaborer un plan d action pour la r installation en cas de d placement involontaire des populations Mener une campagne de communication et de sensibilisation avant les travaux Veiller au respect des mesures d hygi ne et de s curit des installations de chantiers Proc der la signalisation des travaux Mesures d ex cution Employer la main d uvre locale en priorit Veiller au respect des r gles de s curit lors des travaux Assurer la collecte et l limination des d chets issus des travaux Mener des campagnes de sensibilisation sur les IST VIH SIDA Impliquer troitement les services des collectivit s locales dans le suivi de la mise en uvre R habiliter les carri res et autres sites d emprunts Respects des esp ces prot g es notamment les arbres b Mesures d att nuation impacts sp cifiques par secteur d investissement Page z Tableau 18 Conduite d eau et ouvrages de distribution Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet aspect de l activit di et concept
146. r ciser que pour les activit s class es en cat gorie B 2 ou C l application de simples mesures indiqu es dans l Annexe 2 iii suffit compte tenu de la simplicit des projets en hydraulique et assainissement Toutefois 1l est probable qu l issue du tri que le projet r alise des EIES pour les sous projets d alimentation en eau potable particuli rement le captage et le traitement des eaux de surfaces e l laboration de manuels d entretien des infrastructures hydrauliques et d assainissement incluant des bonnes pratiques environnementales de gestion durable au profit des acteurs charg s de la gestion et de la maintenance des ouvrages Ces documents techniques permettront d assurer une meilleure gestion et un suivi performant des infrastructures e L appui institutionnel la DEEC et le suivi de la mise en uvre suivi permanent valuation finale effectu e par les agents de la DEKC les services techniques de l Etat et les Communaut s locales e La formation sensibilisation des acteurs locaux sur les bonnes pratiques environnementales et d hygi ne 9 2 Plan d att nuation des impacts n gatifs Les mesures d att nuation cf Annexe 2 iii sont identifi es pour assurer l atteinte des objectifs du projet tout en pr venant et minimisant les impacts environnementaux ind sirables Elles comprennent une liste des mesures et sp cifiques organis es par cat gories de projets Il s
147. r etc N cessitera t il un d frichement important DR Page t Diversit biologique Pr occupations environnementales et sociales Observation Le projet risque t il de causer des effets sur des esp ces rares vuln rables et ou importants du point de vue conomique cologique culturel Y a t il des zones de sensibilit environnementale qui pourraient tre affect es n gativement par le projet for t zones humides lacs rivi res zones d inondation saisonni res Zones prot g es La zone du projet ou de ses composantes comprend t elle des aires prot g es parcs nationaux r serve nationales for t prot g e site de patrimoine mondial etc Si le projet est en dehors mais faible distance de zones prot g es pourrait il affecter n gativement l cologie dans la zone prot g e P ex interf rence avec les vols d oiseau avec les migrations de mammif res G ologie et sols y a t il des zones instables d un point de vue g ologique ou des sols rosion glissement de terrain effondrement y a t il des zones risque de salinisation EUR Paysage esth tique Le projet aurait t il un effet adverse sur la valeur esth tique du paysage DR Sites historiques arch ologiques ou culturels Le projet pourrait il changer un ou plusieurs sites historiques arch ologique ou culturel ou n cessiter des excavations Perte d actifs et autres Est ce que le p
148. r lage autoris uniquement par vent faible e site pr alablement d broussaill sur vingt m tres de rayon e feu sous surveillance constante d une personne comp tente arm e de moyens de lutte contre l incendie e en cas de propagation alerte rapide des secours et du ma tre d uvre par tout moyen e extinction totale du foyer en fin du br lage Le recouvrement par de la terre est interdit 7 CONSERVATION DE L INTEGRITE PAYSAGERE DU SITE Aucune atteinte ne sera port e la v g tation situ e hors de l emprise des ouvrages des acc s ou des aires de travail ou de stockage pr vues De plus des mesures de protection sur les essences prot g es ou rares devraient tre prises Seul l abattage des arbres autoris par le service forestier est tol r se conformer aux dispositions du code forestier en cas d abattage d arbre ou de d boisement Des p nalit s sont encourues en cas d abattage non autoris d arbre ou la destruction de la v g tation du site L Entrepreneur devrait effectuer une plantation de compensation apr s les travaux en cas de d boisement ou d abattage d arbres Les mat riaux utilis s pour les travaux sable et gravier notamment doivent obligatoirement provenir des carri res et sabli res autoris es et contr l es par le service des mines Conform ment aux dispositions du code minier les carri res et sites d emprunts devront tre imp rativement r habilit s La remise
149. r le compte et la demande du Conseil Sup rieur toutes questions relatives la gestion de l eau Unit de coordination du PEPAM UCP Les services techniques d concentr s Divisions r gionales de l hydraulique et Brigades des puits et forages de la DEM Divisions r gionales de l assainissement de la DAS seront mobilis s pour la mise en uvre des sous composantes hydraulique rurale et assainissement rural Ils seront les interlocuteurs directs des b n ficiaires du projet communaut s rurales populations ASUFOR et des acteurs r gionaux ARD projets ONG etc e Organisation au niveau central Le projet sera mis en uvre par les agences d ex cution du PEPAM ci apr s en se basant sur la r partition de leurs attributions et responsabilit s telles que d finies dans l arr t interminist riel n 5773 du 20 10 2005 portant cr ation du PEPAM Minist re de l hydraulique rurale et du r seau hydrographique national e la Direction de l hydraulique rurale DHR e la Direction de l exploitation et de la maintenance DEM et e la Direction de la gestion et de la planification des ressources en eau DGPRE Minist re de l Urbanisme de l habitat de l hydraulique urbaine de l hygi ne publique et de l assainissement e la Direction de l assainissement DAS e la Soci t nationale des eaux du S n gal SONES e la Direction de l hydraulique urbaine e l Office national de l assaini
150. rale ACE Comit national de pilotage Secr tariat ex cutif du PDNL Direction nationale de hygi ne ONAS AGETIP Les gestionnaires des stations de traitement Les usagers Organisme Charg e de la mise en uvre Consultant g nie sanitaire Organisme de formation Consultant environnemental Consultant g nie sanitaire 10 JOURS 2jours par localit Consultant environnemental Consultant g nie sanitaire Agence d ex cution Communication SONES Continu Campagne de sensibilisation sur les techniques a i i ampas o q Les b n ficiaires Maitre d uvre Continu d entretien des ouvrages d assainissement autonome Page 36 sur 44 9 5 Cadre de suivi et valuation 9 5 1 Arrangements institutionnels pour le suivi et la surveillance La surveillance et le suivi environnemental seront assur s par les structures impliqu es dans le projet Du point de vue des dispositions institutionnelles au niveau central le suivi environnemental incombera en premier chef la DEEC eu gard sa mission r galienne Au plan op rationnel elle sera appuy e par une quipe pluridisciplinaire constitu e par l Agence d ex cution centrale ACE du PEPAM le Comit national de pilotage le Secr tariat ex cutif du PDNL la Direction nationale de l hygi ne l ONAS et l AGETIP pour ce qui est de la composante Acc s l assainissement tandis que lors du suivi de la composante Acc s l eau potable
151. re u l autorisation des autorit s comp tentes qq 9 OUVERTURE ET EXPLOITATION DES CARRIERES ET EMPRUNTS L Entrepreneur doit demander les autorisations pr vues par les textes et r glements en vigueur dont le code minier avant toute ouverture et exploitation de nouvelle carri re Avant de solliciter l autorisation d ouverture de nouvelles zones d emprunts les emprunts retenus pour les travaux d entretien devront tre puis s 10 SECURITE DES PERSONNES ET DES BIENS assurer la s curit de la circulation les tranch es seront au besoin entour es de solides barri res un clairage des barri res et des passerelles sera assur pendant la nuit assurer la signalisation et le gardiennage impos s assurer le passage des v hicules sauf impossibilit absolue les routes ne seront pas coup es en m me temps sur plus de la moiti de leur largeur les tranch es longeant les routes et engageant l emprise de celles c1 ne seront pas ouvertes sur une longueur sup rieure 200 m e pr server de toutes d gradations les murs des riverains les ouvrages des voies publiques tels que bordures bornes etc les lignes lectriques ou t l phoniques et les canalisations et c bles de toute nature rencontr s dans le sol e Maintenir en tat de fonctionnement pendant toute la dur e des travaux les c bles existants et les canalisations et installations existantes assurant la distribution d eau potable ou l vacuat
152. res Environmental Assessment BP 4 01 January 1999 The World Bank Operational Manuel Bank Procedures Environmental Assessment BP 4 01 Annex A January 1999 The World Bank Operational Manuel Operational Policies OP 4 01 Environmental Assessment January 1999 The World Bank Operational Manuel Operational Policies OP 401 Annex C Environmental Management Plan January 1999 Manuel Evaluation Environnementale Vol 1 Politiques proc dures et questions intersectorielles Banque Mondiale Secr tariat francophone de l Association Internationale pour l Evaluation d Impacts Montr al 1999 Manuel d Evaluation Environnementale Vol 2 Lignes directrices sectorielles Banque Mondiale Secr tariat francophone de l Association Internationale pour l Evaluation d Impacts Montr al 1999 Manuel Op rationnel de la Banque Mondiale Politiques Op rationnelles Banque Mondiale Washington 1999 Cadre de gestion environnementale et sociale du PNDL Novembre 2005 Buursink Evaluation Environnementale Strat gique de la composante Eau Potable et Assainissement en milieu rural dans les r gions de Ziguinchor Kolda et Tambacounda EDE Juillet 2007 Evaluation environnementale du projet d eau potable du grand Tunis et des centres urbains Centre de Production Propre CP3 Mars 2005 Etude d impact environnemental de l tude d identification et de faisabilit d un programme d investissement eau potable financ
153. res de renforcement des capacit s institutionnelles des membres des organes de la mise en uvre des diff rentes composantes du programme d AEPAH sont propos es en vue d assurer leur mise niveau en mati re d valuation environnementale et de gestion des infrastructures dans une perspective de d veloppement durable Le tableau suivant donne les recommandations pour les mesures de 1 renforcement des dispositions institutionnelles en environnement au niveau du projet et des zones d intervention et 11 formation en mati re environnement des principaux acteurs impliqu s et l ex cution de programmes d information d ducation et de sensibilisation Page 34 sur 44 Tableau 11 Renforcement des dispositions institutionnelles pour la mise en uvre du PCGES Nature de l action Cible Organisme Charg e de la mise en uvre DEEC DREEC SONES Direction de l Hydraulique Rurale DHR Direction de l Hydraulique Urbaine DHU Direction de l Exploitation et de la Maintenance DEM Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau DGPRE Agence d ex cution centrale ACE Comit national de pilotage Secr tariat ex cutif du PDNL Direction nationale de hygi ne ONAS AGETIP DEEC DREEC SONES Direction de l Hydraulique Rurale DHR Organisme de formation Direction de l Exploitation et de la Ou 2 Jours Maintenance DEM Consultant agr Direction de l Hydr
154. rm ables Ils sont faciles travailler fertiles et convenables toutes les cultures Je Hollald ou terre constitu e par les grandes cuvettes r guli rement inond es par la crue Ce sont des terres argileuses et hydromorphes Leur vocation est rizicole Les sols du Di ri qui correspondent des sols bruns rouges faiblement constitu s texture sableuse et peu fertiles Ils sont essentiellement de types Dior et contiennent 80 90 de sable sols sablonneux et ils supportent toutes les cultures autres que le riz Le climat de toute la r gion recouvre les caract ristiques de la zone sah lienne avec des temp ratures des vents et une pluviom trie typiques Il se caract rise par une conjugaison de deux 2 facteurs sa situation g ographique et la pr sence du fleuve S n gal et ses affluents et d fluents La r gion se caract rise par des temp ratures moyennes annuelles lev es Les moyennes maximales sont observ es entre le mois de juin et septembre la moyenne maximale est de 31 1 C entre 1951 2006 et les temp ratures minimales en novembre f vrier la moyenne minimale est de 20 4 C et la temp rature moyenne est de 25 7 C durant la m me p riode Les temp ratures les plus basses sont observ es dans le Delta du fait de l influence oc anique nnn Les pluies constituent un facteur important du climat et le principal l ment de diff renciation r gionale Elles sont caract ris es par
155. rmes de retenues d eau de surface En cons quence la politique relative aux barrages ne s applique pas au pr sent Projet e Politique OP 7 60 Projets dans des zones en litige les zones d intervention du Projet ne sont pas en litige par cons quent cette politique ne s applique pas au pr sent Projet Ainsi le projet avec toutes ses composantes serait conforme avec l ensemble des politiques de sauvegarde environnementale et sociale de la Banque Mondiale analys es ci dessus Les volets n cessitant une attention particuli re sont ceux relatifs l valuation environnementale l h ritage culturel et les Projets sur des cours d eaux internationaux Dans ce cadre l int gration de l valuation environnementale dans le cycle de pr paration des composantes du projet fera l objet d une importance particuli re au moment de l ex cution du projet Page 22 sur 44 6 EVALUATION DES INCIDENCES ENVIRONNEMENTALES DU SOUS PROGRAMME IDA PEPAM SUR L ENVIRONNEMENT Pour rappel l tape de l valuation environnementale strat gique ou cadre de gestion environnementale et sociale des impacts pr cis des activit s services pr vus ne peuvent pas tre analys s identification et valuation en raison de l absence de d finition pr cise des projets et de leur site d implantation parcelles retenues zones concern es contexte biophysique et socio conomique pr cis population activit s environnantes C est pourquoi
156. rographique du d partement de Ran rou Ferlo CARTE HYDROGRAPHIQUE DU DEPARTEMENT DE RANEROU ar 2 UGRE THIOLY le SR Fr Localit s ChefLieu de D partement ChefLieu d Arrondissement ChefLieu de Communaut Rurale Hydrographie Limite D partement de Ran rou C Aires prot g es 0 5 10 20 Kilometers E Source Direct ion de l Am nagement du Territoire Project ion UTA WGS 84 h misph re nord zone 28 Source DGPRE C 3 1 2 Eaux souterraines Les eaux souterraines sont dans l ensemble abondantes Elles sont contenues dans les nappes peu profondes ou phr atiques o elles sont atteintes partir de puits dont la profondeur varie 25 et 100 m tres les nappes de l oc ne et du Continental Terminal capt s entre 100 et 200 m la nappe du Maastrichtien dont la profondeur peut atteindre parfois 300 m tres et capt es par les forages Les nappes phr atiques sont g n ralement capt es par puits tandis que pour les nappes du Maastrichtien de l Eoc ne le captage n est possible que par forage Hormis la zone du socle situ e dans la partie sud est de la r gion CR de Bokiladji ces deux types de nappes g n ralis es et renouvelables produisent une eau de bonne qualit Le niveau d exploitation des eaux souterraines du Maastrichtien est faible cause surtout de la profondeur de la nappe qui engendre des co ts de mobilisation de l eau tr s lev s
157. rojet identifier toutes les lacunes qui pourraient exister et faire des recommandations de les combler dans le contexte des activit s du PEPAM Identifier les responsabilit s et acteurs pour mettre en uvre les mesures de mitigation propos es Evaluer la capacit disponible mettre en uvre les mesures d att nuation propos es et faire des recommandations appropri es y compris les besoins en formation et en renforcement des capacit s ainsi que leur co ts Pr parer un Plan de Gestion Environnemental PGE pour le projet Le PGE doit montr a les impacts environnementaux et sociaux potentiels r sultant des activit s du projet qui tient compte des mesures d att nuation contenues dans la check list des mesures d att nuation du CGES b les mesures d att nuation propos es c les responsabilit s institutionnelles pour l ex cution des mesures d att nuation d les indicateurs de suivi e les responsabilit s institutionnelles pour le suivi de l application des mesures d att nuation f estimation des co ts pour toutes ces activit s et g le calendrier pour l ex cution du PGE Consultations du public Les r sultats de l valuation d impact environnemental ainsi que les mesures d att nuations propos es seront partag s avec la population les ONG l administration locale et le secteur priv s uvrant dans le milieu o l activit sera r alis e Le proc s verbal de cette consultation devra f
158. rojet d clenchera la perte temporaire ou permanente de cultures de terres agricole de p turage d arbres fruitiers et d infrastructure domestique D RE EE ES Si oui l infrastructure dispose t elle d un plan pour leur collecte et limination Ut ooo lasssuss A EN EE Le projet risque pourrait il affecter la qualit des eaux de surface souterraine sources d eau potable Page u Pr occupations environnementales et sociales Observation Le projet risque t il d affecter l atmosph re poussi re gaz divers DS Mode de vie Sr ES f DS Mass RE OS FRS Le projet peut il entra ner des utilisations incompatibles ou des conflits sociaux entre les diff rents usagers RES Sant s curit ES DS Ptaa A E Le projet peut il entra ner une augmentation de la population des vecteurs de maladies Revenus locaux E Ed S ane DE ES ES SE nn Le projet prend t il en charge les pr occupations des femmes et favorise t il leur implication dans la prise de d cision Consultation du public La consultation et la participation du public ont elles t recherch es Oui Non Si Oui d crire bri vement les mesures qui ont t prises cet effet Partie C Mesures d att nuation Page v Au vu de l Annexe pour toutes les r ponses Oui d crire bri vement les mesures prises cet effet Partie D Classification du projet et travail environnemental e Pas de travail environnemen
159. rs types un calendrier de monitoring et les parties responsables de la mise en uvre du ce plan D Un budget de mise en uvre du CGES et j Des annexes techniques aidant la mise en uvre du CGES o Grille de Contr le environnemental comprenant la grille d impact environnemental et les mesures d att nuation o un formulaire de revue environnemental o Une matrice type pr sentant les composantes du plan de gestion environnemental et social o R f rences Page g 7 CALENDRIER Le cadre de gestion environnementale et sociale sera r alis dans un d lai de quatre 4 semaines r parties comme suit deux 2 semaines sur place pour la collecte de donn es d actualisation en juillet ao t 2008 deux 2 semaines entre septembre et octobre 2008 de r daction du rapport provisoire d int gration des observations commentaires et de finalisation du rapport apr s la revue par ASPEN Il est pr vu que le CGES soit r alis pass en revue dit et publi apr s obtention de toutes les approbations n cessaires 8 RELATIONS AVEC LES AUTRES PARTENAIRES Le consultant travaillera en troite collaboration avec entre autres les municipalit s les communaut s rurales les Minist res en charge de l hydraulique et de l assainissement de la Sant de l Environnement des ONG et tous autres services et projets impliqu s dans les questions d impact social et environnemental 9 EXPERTISE REQUISE Le consultant de
160. s la g te d tape de Richard Toll 50 m de part et d autre de la prise Richard Toll Nenith Est Nonith Ouest et Taou Amont barrage Richard Toll amp Qualit physico chimique Rappelons que les usages des eaux du fleuve sont multiples alimentation des populations de Dagana en eau potable par le r seau de la SDE l irrigation des terres la p che approvisionnant les populations en poissons etc Au niveau du fleuve S n gal qui alimente en eau potable plusieurs communes de la vall e dont la commune de Podor des tudes ont toujours t men es sur la qualit des eaux pour le compte de la SDE par le laboratoire de chimie environnementale CERES jusqu en 2002 Le choix de ces sites d chantillonnage s expliquerait par le fait que les activit s qui utilisent beaucoup plus ces pesticides sont concentr es autour de Richard Toll avec les p rim tres 1rrigu s de la CSS et de la SAED Une panoplie de pesticides a t analys e pour l tude de la pollution de ces eaux Tous les r sultats obtenus jusqu en au 31 mai 2002 montrent que les pesticides trouv s sont l tat de traces ou tr s largement en de des valeurs de concentrations recommand es par l OMS l EPA et de PUF Depuis 2002 la SDE a jug n cessaire d arr ter ces investigations car les r sultats sont toujours les m mes et que le co t de ces analyses est trop on reux N anmoins le d veloppement de la culture 1rrigu
161. s m taux huiles us es et mat riaux en exc s produits pendant la construction en incorporant des syst mes de recyclage et la s paration des mat riaux e L Entrepreneur prendra les dispositions n cessaires pour viter la dispersion par le vent ou les eaux de pluie par exemple avant l limination des d chets e Les produits du d capage des emprises des Terrassements seront mis en d p t et ventuellement r employ s e Le transport des terres dans l emprise du terrain sur les lieux remblayer ou leurs vacuations aux d charges publiques e Minimiser la g n ration des d chets pendant la construction et r utiliser les d chets de construction l ou c est possible e Collecte et transfert des d chets de d molition de terre excav e des sites municipaux appropri s ou d charges contr l es Les mesures suivantes devront tre prises pour l entretien du chantier e Identifier et d limiter les aires pour l quipement d entretien loin des rivi res cours d eau lacs ou terres mar cageuses e Veiller ce que toutes les activit s de l quipement d entretien soient faites dans les zones d entretien d limit es e Ne Jamais liminer de l huile ou la verser sur le sol dans les cours d eau les zones basses les cavit s des carri res d saffect es 4 MESURES PREVENTIVES CONTRE LES NUISANCES SONORES ET LES EMISSIONS DE POUSSIERES L Entrepreneur pr tera une attention particuli re pour limi
162. s dans les postes de sant coles et principaux lieux publics Les Composantes Les activit s du Projet peuvent tre regroup es en trois grandes composantes 2 1 Composante 1 Acc s l eau potable production et desserte Cette composante vise alimenter les populations cibles partir d une ressource p renne et de bonne qualit Il s agira des services suivants pour La Sous composante hydraulique rurale Biens et travaux 1 construction de 22 adductions d eau multi villages 11 construction de 40 extensions de r seaux partir de forages existants 111 construction de 25 ch teaux d eau en remplacement de r servoirs au sol ou de ch teaux d eau existants 1v remise niveau de 100 syst mes d exhaure dans la perspective du transfert de la maintenance v r habilitation de 20 ch teaux d eau existants vi r habilitation de 20 ouvrages de captage vii remplacement de 10 ouvrages de captage hors service vili lectrification de 30 forages 1x pose de 10000 branchements particuliers x pose de 200 compteurs de production et xi pose de 1000 compteurs sur point de distribution communautaire Services 1 tudes APD et contr le de travaux pour le volet eau potable forages g nie civil conduites et quipements lectrom caniques 11 IEC pour le volet eau potable d l gation de gestion aux ASUFOR planification locale par les CR 1 IEC et contr le de travaux pour le
163. s le DAO telle que pr conis e dans la strat gie de mise en uvre du CGES permet l entreprise adjudicataire du march d appr cier sa responsabilit environnementale et d en tenir compte dans le planning et l ex cution des travaux Ces prescriptions devront tre respect es sans exception par l Entrepreneur A cet effet elles feront l objet d un contr le au cours des missions de visite de chantier De m me l entrepreneur demeure responsable des accidents ou dommages cologiques qui seraient la cons quence de ces travaux ou des installations li es au chantier 2 INFORMATIONS ET MESURES D ACCOMPAGNEMENT L entrepreneur doit en rapport avec le ma tre d uvre veiller rigoureusement au respect des directives suivantes l Mener une campagne de communication et de sensibilisation avant les travaux sur le calendrier des travaux l interruption des services et les d tours la circulation selon les besoins 2 Limiter les activit s de construction pendant la nuit S ils sont n cessaires veiller a ce que le travail nocturne soit soigneusement planifi et que la communaut soit inform e pour qu elle puisse prendre les mesures n cessaires 3 Proc der la signalisation des travaux 4 Mener des campagnes de sensibilisation sur les IST VIH SIDA pour les ouvriers et les populations locales 2 La s rie de d crets N 2006 1249 au d cret N 2006 1261 nn 5 Faire interdire 1 la coup
164. s ne permettant pas l acc s une personne ext rieure au chantier e manipulation par des personnels responsabilis s e signalisation du site de stockage par un panneau indiquant la nature du danger e Le stockage des produits chimiques liquides se fera sur r tention pour pr venir les d versements accidentels et la pollution du sol e Les produits chimiques utilis s devront tre munis de fiche de donn es de s curit FDS afficher sur le lieu de stockage 5 1 Carburants et lubrifiants Dans le cas o l entrepreneur utilise dans le chantier des carburants et lubrifiants ils seront stock s en conteneurs tanches pos s sur un sol plan propre et stable Les conteneurs seront isol s du sol par une b che plastique ou un mat riau absorbant sable ou sciure pour permettre la r cup ration des ventuels rejets accidentels A l issue des travaux le site du chantier sera d barrass de toutes traces ou sous produits 5 2 Autres substances potentiellement polluantes L emploi d autres substances potentiellement polluantes sera signal au ma tre d uvre avant leur utilisation L entreprise apportera la preuve du caract re l gal de leur emploi et le ma tre d uvre avisera les services techniques comp tents pour autorisation et ventuellement prescription de consignes de pr caution 5 3 Gestion des pollutions accidentelles En cas de pollution accidentelle l Entrepreneur avisera sans d lai le ma tre
165. s pour g rer et suivre les pr occupations environnementales et sociales relatives ces activit s e D terminer les besoins en formation renforcement des capacit s et autre assistance technique pour la mise en uvre ad quate des dispositions du CGES e Fixer le montant du financement pourvoir par le projet pour mettre en uvre les conditions requises par le CGES et e Fournir les moyens d information adapt s pour ex cuter le CGES 3 PORTEE DE L ETUDE La port e de l tude vise d finir un Cadre de gestion environnementale et sociale CGES pour les sous composantes suivantes 1 Hydraulique et assainissement en milieu rural e _adductions d eau multi villages extensions de r seaux partir de forages existants construction et ou r habilitation de ch teaux d eau remise niveau de syst mes d exhaure r habilitation d ouvrages de captage remplacement d ouvrages de captage hors service lectrification de forages pose de branchements particuliers pose de compteurs de production et pose de compteurs sur point de distribution communautaire r alisation de latrines familiales et d dicules publiques 2 Hydraulique urbaine e fourniture et pose de 22 000 branchements sociaux 11 e renouvellement de 50 km de r seaux v tustes Page e L tude sera men e en en conformit avec les politiques et les lignes directrices de sauvegarde environnementale et sociale du pays et de la B
166. s socio conomiques Impacts culturels environnementaux la r duction des l augmentation de l offre et la promotion la promotion du pertes d eau et de l acc s l eau potable aux m nages genre et l quit l conomie de la faible revenu dans les zones rurales sociale ressource en eau l am lioration de la qualit d eau potable l am lioration de la qualit et l acc s aux services d eau potable dans les zones du programme le maintien des services d alimentation en eau potable qualitativement et quantitativement satisfaisants dans les diff rents tablissements humains concern s par le programme Usage prolong des ouvrages le renforcement des activit s dans plusieurs secteurs conomiques notamment l levage abreuvement du b tail l agriculture r duction des distances pour la recherche de l eau pour les femmes meilleure sant des populations l ducation les activit s de soin etc z F D D S ar D E lt 6 1 1 2 Les impacts positifs associ s aux activit s de le composante II acc s l assainissement Le tableau ci apr s rappel les impacts de la mise en uvre de la composante IT Tableau 4 Impacts positifs par type d ouvrages Ouvrages Impacts environnementaux Impacts socio conomiques Impacts culturels Assainissement Mod ration dans la Recul des maladies li es aux All sement des Autonome consommati
167. sanitaires Evacuation directe des excr ments ou des eaux us es dans des zones sensibles sans traitement appropri Mauvaise utilisation des installations sanitaires Insucc s des installations sanitaires cause du manque de maintenance Mauvais emplacement des installations sanitaires dans des mar cages ou d autres habitats sensibles etc Mauvaises pratiques de construction eutrophisation Alt ration de la structure et de la fonction de l cosyst me perte de biodiversit R duction de la productivit conomique Erosion et s dimentation du sol Source Alan Wyatt William Hogrewe et Eugene Brantly 1992 Environnemental Guidelines for PVOs and NGOs Potable Water and Sanitation Projects Water and Sanitation for Health Project USAID Tableau 7 Classification des infections li es aux excr ta Cat gories d infections Caract ristiques pid miologiques de l agent pathog ne F cal oral virus et Pas de latence dose protozoaires infectieuse faible Infections typiques Voie principale de transmission Contact personnel Transmission domestique p ex la vaisselle Amibiase H patite A Infection virales et gastro intestinales Chol ra Fi vre Typho de Shigelle dysentrique F cal oral bact ries Pas de latence persistance consid rable dose infectieuse moyenne Contact personnel Transmission domestique Aliments eau lev e capacit de prolif rat
168. sant une utilisation excessive au gaspillage et aux fuites Diminution des r serves d eau de surface et souterraines voir ci dessus Baisse du d bit des rivi res Ecoulements drainage de d chets solides et liquides impropres ou vacuation d excr ments Absence ou mauvaise conception des syst mes de drainage Fuites dans les tuyaux pertes au niveau des robinets Indiff rence des usagers op rateurs au sujet de l eau stagnante Mauvais emplacement des quipements dans des mar cages ou d autres habitats sensibles etc Mauvaises pratiques de construction Fuites gaspillage au niveau des tuyaux ou des robinets Augmentation de la densit de la population des activit s agricoles cause des nouveaux syst mes d eau Absence de contr le de la qualit de l eau avant l exploitation de la ressource Absence d un suivi r gulier de la qualit de l eau Protection inad quate des puits et des points d eau Pollution biologique cause d une mauvaise protection des puits et des points d approvisionnement en eau Source Alan Wyatt William Hogrewe et Eugene Brantly 1992 Environmental Guidelines for PVOs and NGOs Potable Water and Sanitation Projects Water and Sanitation for Health Project USAID Tableau 6 Synth ses des impacts environnementaux potentiels des projets d assainissement et leurs Causes Probl mes 1 Augmentation des risques sanitaires cause de la pollution des eaux de surface
169. sation ou une perte d habitat 11 une perte de biens ou d acc s ces biens ou 11 une perte de sources de revenu ou de moyens d existence que les personnes affect es aient ou non se d placer sur un autre site OU e la restriction involontaire de l acc s des parcs d finis comme tels juridiquement et des aires prot g es entra nant des cons quences n gatives sur les moyens d existence des personnes d plac es Pour r pondre aux premi res exigences de la politique un Cadre de Politique de R installation CPR va compl ter ce cadre de gestion environnementale et sociale 5 3 Politique OP 7 50 Projets sur des cours d eaux internationaux Le sous programme est susceptible de financer des sous projets d approvisionnement en eau dont l eau n cessaire est tir e de fleuve international notamment le fleuve S n gal Cette PO est donc interpell e par le sous programme IDA PEPAM C est pourquoi le PEPAM devra informer l OMVS sur les activit s du projet envisag es et sur les quantit s pr visionnelles d eau extraire et les modalit s de poursuite du projet 5 4 Les Autres Politiques de Sauvegarde Le CGES a galement confirm que les autres politiques de sauvegarde ne s appliquent pas au Projet e Politique OP 4 04 Habitats naturels L OP 4 04 stipule que Si l valuation environnementale montre qu un projet va modifier ou d grader de mani re significative des habitats nature
170. ssainissement ils craignent qu il y ait e Une r duction du paquet technologique qui tait propos dans le programme initial Cela pourrait selon les techniciens compromettre l efficacit du programme e Un probl me au niveau du pouvoir d achat des populations pour honorer la contre partie financi re requise pour b n ficier des latrines e Un d ficit d IEC d information d ducation et de communication aupr s des populations locales pour participer activement et efficacement la mise en uvre du programme v Les perceptions et les pr occupations des services techniques locaux de Tambacounda D apr s les services techniques la situation globale de l acc s l eau dans la r gion de Tambacounda est caract ris e par une faiblesse chronique de la desserte notamment en zone rurale Parfois si l acc s existe c est la qualit de l eau qui pose probl me Ainsi du fait de la nature peu productive des forages qui sont en exploitation dans la zone du socle les techniciens recommandent qu il soit envisag un transfert d eau partir du fleuve la condition de mener une r flexion pr alable sur L absence de dallage peut augmenter les risques de contamination des ouvrages hydraulique les cons quences de cette approche notamment le tarissement de la Fal m les points de passage des canalisations cause du caract re accident du relief la possibilit de cr er des lacs d accumulation
171. ssement ONAS e Les ma tres d ouvrage des projets du PEPAM Composante I Acc s l eau potable La ma trise d ouvrage de la sous composante hydraulique rurale sera assur e par la DHR travaux de forages g nie civil et r seaux hydrauliques la DEM travaux d lectrification fourniture et pose d quipements d exhaure et de compteurs activit s IEC et animation ma trise d ouvrage et la SONES DHU Direction de l hydraulique urbaine Composante II Acc s l assainissement La ma trise d ouvrage de la sous composante assainissement rural sera assur e par la Direction de l assainissement Le choix de l option de la ma trise d uvre sera arr t dans le cadre de la pr paration du projet Composante III Appui institutionnel et renforcement de capacit s La ma trise d ouvrage de cette composante sera assur e par l Unit de coordination du PEPAM Page 20 sur 44 5 POLITIQUE DE SAUVEGARDE ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DE LA BANQUE MONDIALE Etant donn que ce Projet devrait faire l objet d un financement Banque mondiale il doit tre en conformit avec les Directives op rationnelles de l institution financi re Ces directives sont au nombre de dix politiques de sauvegarde Dans le cas du Projet l valuation initiale de la Banque a indiqu que trois de ces politiques de sauvegarde seront appliqu es l valuation environnementale le d placement involontaire des personnes et proje
172. ssus du niveau du sol et ou dans des conteneurs tanches avec des couvercles qui peuvent tre verrouill es S assurer que les op rateurs des installations respectent ces pratiques P amp D O amp M Lib ration des emprises n cessaires C D truire ou endommager des plantes ou des animaux qui rev tent une Trouver un autre emplacement SS Si cela n est pas possible importance cologique culturelle et ou conomique ET nn o Limiter l acc s au site e Concevoir toute infrastructure si in vitable de fa on cr er le moins d impact possible P amp D e Minimiser les perturbations de la flore indig ne pendant la construction P amp D C e Enlever sans les d truire les grandes plantes et la couverture du sol l o c est possible C e Replanter les plantes et la flore r cup r es de l cosyst me local apr s la fin de la construction C Am nagement des acc s Transport et G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par le d gagement de e Construire aussi loin que possible du voisinage SS circulation de la machinerie Circulation poussi res C i d engins de chantier Construction des 7 Concentrer les types de travail les plus bruyants sur une p riode aussi courte que ouvrages C G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par la d gradation de possible et pendant les moments de la journ e o cela d range le moins Prendre des l ambiance sonore C
173. ste que dans la commune de Saint Louis Les installations y sont v tustes car datant du temps colonial et concernent particuli rement quelques concessions situ es sur la langue de barbarie et l le Pour le syst me d vacuation des eaux pluviales la commune de Saint Louis dispose de 3 bassins de r tention dot s de stations de pompage dans les quartiers de Eaux Claires Diaminar Diamagu ne et Sor Nord qui permettent d att nuer consid rablement les probl mes d inondation dans la commune Cependant il n existe pas encore de r seaux d vacuation des eaux us es dans la r gion de Saint Louis La commune de Dagana dispose elle aussi d un bassin de r tention des eaux pluviales de petite taille R gion de Tambacounda La r gion de Tambacounda affiche un taux d acc s l eau potable de 57 1 qui la situe au 9 me rang sur 11 r gions tr s en dessous de la moyenne nationale de 69 Les op rations en cours et venir sous programme Fonds Saoudien de d veloppement sous programme UEMOA et projet ONG Eau Vive Facilit Eau UE PNDL ne sont pas d une ampleur suffisante pour r duire significativement le retard accumul par cette r gion Le taux d acc s l assainissement en milieu rural est estim en moyenne national 17 nous ne disposons pas encore de statistiques repr sentatives au niveau r gional 3 2 2 Donn es socio conomiques r gionale de la zone d tude Page 15 sur 44 Tableau 2 Indicateurs d
174. strat gique du PEPAM Les services techniques locaux de Matam Activit fonction Chef service r gional de l hydraulique de Matam EAT Chef de Brigade Puits et Forage de Matam 716467337 Aboubacry Responsable am lioration du potentiel productif 716489422 PRODAm Agence r gionale de d veloppment de Matam m e Chef secteur eaux et for ts de Matam Chef DPF IREF Matam Tn Chef DGF IREF MATAM DIA Chef service r gional de l levage Matam 339661004 Chef service d partemental de l levage Matam DER Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale strat gique du PEPAM CR de Moud ry Khalifa S Khalifa Conseiller Moud ry 339833151 Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale strat gique du PEPAM CR de Gabou Page n Activit fonction 715115126 Sen Sp Rouble MST Waly Diawara Pr sident Dental 776304405 Diarra Diawara conseiller 7176050636 ADL gabou 1175257664 1155415296 Oooo Opa Kant Notable 774542310 Liste des personnes ayant pris part la consultation du public dans le cadre de l valuation environnementale strat gique du PEPAM ONG et OCB du d partement de Bakel 775115126 GRDR 115471376 GRED 775329990 Page o 11 ANNEXES TECHNIQUES Page p Annexe 2 i Etapes du screening et Formulaire de s lection environnement
175. surveillance Suivi au niveau national Au niveau national la Direction de l Environnement et des Etablissements Class s DEEC en collaboration avec les autres services centraux notamment de la DGPRE la SONES fera en sorte que le suivi des indicateurs environnementaux et sociaux de la composante Acc s l eau potable soit effectu et que des mesures correctives soient prises dans le cas o les r sultats de suivi indiqueraient par exemple une d t rioration dans la qualit de l eau souterraine ou du sol Le suivi national fera aussi appel des Experts nationaux voire internationaux pour l valuation finale du CGES Relativement au suivi national de la composante Acc s l assainissement la DEEC travaillera en troite collaboration avec les structures comme les agences d ex cution centrales ACE le Comit national de pilotage Seea E A PNT la DI CHOMMANONAE de l hygi ne PONAS et Elle peut galement faire appel des structures priv es comme des experts et des laboratoires Suivi au niveau r gional et local Au niveau r gional et local le suivi sera effectu par les DREEC en rapport avec les Agences d ex cution r gionales du PEPAM et les services techniques d concentr s tels que les Divisions R gionales de l Hydraulique les Subdivision Maintenance les Brigades des Puits et Forages les Brigades Hydrologiques Etape 7 Indicateurs de suivi Les indicateurs de suivi aideront
176. t signaler qu il est pr vu un programme de r alisation de barrages sur la Fal m et le fleuve Gambie 3 2 DIAGNOSTIC DIMENSION POLLUTION A 3 2 1 Qualit des eaux de surface Nous ne disposons pas d analyses physico chimiques ni bact riologiques des eaux de surface Bakel A 3 2 2 Qualit des eaux souterraines ZZ L eau potable consomm e au niveau de la commune de Bakel provient d un forage de la SDE De la m me mani re l approvisionnement en eau des populations rurales se fait exclusivement gr ce aux eaux souterraines des forages et des puits existants dans le territoire d partemental La min ralisation totale dans les eaux souterraines du Maastrichtien n exc de pas 288 mg l norme de potabilit de OMS 1500 mg l maximum On a un gradient lat ral pour la min ralisation plus on se d place vers le centre plus les eaux sont douces Par contre la min ralisation des eaux du socle est plus lev e mais elles sont dans la limite dict e par l OMS Cependant des quantit s pouvant d passer cette limite sont constat es dans une poche de la partie septentrionale du d partement L une des probl matiques des eaux souterraines du Maastrichtien du d partement de Bakel est le fer total dont la teneur est sup rieure de plus de 10 fois celle prescrite par l OMS norme OMS gale 0 2 mg l pour les eaux de consommation humaine L autre probl matique des aquif res du Maastrichtien du d partement de B
177. tal e Simples mesures de mitigation e Etude d Impact Environnemental Page w Annexe 2 ii Liste de contr le environnemental et social Pour chaque activit propos e remplir la section correspondante de la liste de contr le Les questions suivantes class es par phase du projet ont pour but de stimuler la prise en consid ration de la gamme tout enti re des impacts Pour trouver des mesures permettant de s occuper de ces impacts nous vous invitons consulter la check list des mesures d att nuation Annexe 2 11 Toutes les mesures ne s appliquent pas tous les projets et toutes les mesures d att nuation possibles n ont pu tre incorpor es ces tableaux Tableau 16 Les mesures d att nuation peuvent tre amend es si n cessaire Activit composante du Questions auxquelles if faut r pondre OUI NON Si OUI projet S lection du site Quelles sont les usages et activit s actuels sur le site du projet propos Qui sera d plac A quelle distance les habitations voisines se trouvent elles Quels sont les types d environnement de paysage de flore et de faune pr sents dans la zone Y trouve t on des esp ces d une valeur biologique m dicale culturelle historique sociale ou commerciale particuli re Si oui le projet pourrait 1l les endommager Le site lui m me rev t il une importance particuli re au niveau culturel arch ologique historique ou social
178. te d partement C Limite communaut rurale Classe des valeurs en m3 h 12 Kilometers Source DGPRE D 3 1 1 3 Utilisation gt Pr l vement pour l eau potable Le secteur domestique est le plus gros consommateur d eau de la r gion du fait de la faiblesse de l industrialisation En mati re d alimentation en eau potable des communes de Saint Louis Richard Toll Dagana et Podor de gros volumes sont pr lev s sur le fleuve S n gal gr ce aux diff rentes stations de pompage et la gestion est assur e par la SDE Par contre l alimentation en eau potable de la commune de Ran rou Ferlo et des populations rurales proviennent des eaux souterraines gr ce aux multiples forages et puits Dans la commune de Saint Louis la station de traitement produit 13 000 m j d eau qui est envoy e dans 3 ouvrages de stockage situ s Sor et Ngall le Le r seau de distribution d eau potable a un lin aire d environ 200 km qui alimente 97 de la population L alimentation en eau potable des populations urbaines Communes de Saint Louis Dagana Richard Toll et Podor est assur e par la SDE partir de pompages d eau dans le fleuve S n gal situ e 6 km par la station de traitement de Khor gt Pr l vement pour l irrigation Le secteur agricole occupe une place centrale dans l conomie de la r gion de Saint Louis du fait de l importance des potentialit s terres cultivables et disponibilit en eaux Le d velo
179. tel Le sous secteur de l hydraulique rurale rel ve du secteur de l hydraulique domaine de comp tence de l Etat qui dispose de toutes les comp tences relatives ce secteur A ce titre l Etat a plac ce secteur sous la tutelle de deux minist res dont l un est charg de l hydraulique rurale La composition la d nomination et les missions de ce minist re sont d finies et modifi s par d cret le Minist re charg de l Hydraulique rurale qui met en uvre la politique et les projets et programmes d hydraulique rurale Page 19 sur 44 Minist re de l Urbanisme de l habitat de l hydraulique urbaine de l hygi ne publique et de l assainissement qui met en uvre la politique et les projets et programmes d hygi ne publique et d assainissement et de l Hydraulique urbaine le Minist re de l Economie et des Finances qui assure la ma trise d ouvrage des programmes et projets d hydraulique financ s par l Etat en recherche les financements et g re le service de la dette le Conseil Sup rieur de l Eau cr par D cret N 98 557 du 25 juin 1998 est plac sous l autorit du Premier Ministre statue sur les orientations g n rales du secteur et d cide des grandes options d am nagement et de gestion des ressources en eau Il a galement des attributions de r gulation du secteur le Comit Technique de l Eau cr par arr t n 9060 du 14 d cembre 1998 est charg d tudier pou
180. ter les ventuelles nuisances par le bruit A cet effet 11 devra respecter les seuils de bruit prescrits par l article R 84 du Code de l Environnement Il veillera limiter l usage des engins bruyants au strict n cessaire et arr tera ceux qui ne servent pas groupe lectrog ne par exemple Sauf cas d urgence les nuisances sonores engins v hicules etc proximit d habitations seront prohib es de 19 heures 8 heures ainsi que le week end et les jours f ri s O0 Lors de l ex cution des travaux pour lutter contre la poussi re et les d sagr ments le contractant devra e limiter la vitesse de la circulation li e a la construction a 24 km h dans les rues dans un rayon de 200 m tres autour du chantier et limiter la vitesse de tous les v hicules sur le chantier a 16 km h e placer des crans contre la poussi re autour des aires de construction en portant une attention particuli re aux aires proches des habitations zones commerciales et aires de loisirs e arroser les routes en terre les excavations le mat riel de remplissage et le sol entass autant qu il le faudra 5 STOCKAGE ET UTILISATION DES SUBSTANCES POTENTIELLEMENT POLLUANTES De mani re g n rale le stockage et la manipulation de substances potentiellement polluantes ou dangereuses huiles carburant devra respecter les principes suivants e limitation des quantit s stock es e stockage organis en un site ou selon des modalit
181. tions relatives la participation du public Cependant pour tre en conformit le cadre de la Politique de diffusion de la Banque mondiale BP 17 50 il a t pr conis que le Projet adopte un m canisme ou canevas de diffusion de l tude d impact environnemental toutes ses tapes pour assurer un meilleur acc s l information Etape 6 Suivi environnemental Le suivi environnemental des activit s sera men dans le cadre du syst me de suivi g n ral du projet Le suivi environnemental concerne aussi bien la phase de mise en uvre qu exploitation des ouvrages Page r ou infrastructures hydrauliques et d assainissement r aliser avec l appui du projet Le programme de suivi peut permettre si n cessaire de r orienter les travaux et ventuellement d am liorer le d roulement de la construction et de la mise en place des diff rents l ments du projet Le suivi va de pair avec l tablissement des impacts et la proposition de mesures de pr vention d att nuation ou de compensation Le suivi est essentiel pour s assurer que 1 les pr dictions des impacts sont exactes surveillance des effets 11 des mesures de pr vention d att nuation et de compensation permettent de r aliser les objectifs voulus surveillance des effets 111 les r glements et les normes sont respect s surveillance de la conformit iv les crit res d exploitation de l environnement sont respect s inspection et
182. travers l laboration du cadre de gestion environnementale et sociale Page d 2 OBJECTIFS DU CADRE DE GESTION ENVIRONMENTALE ET SOCIALE PCGES Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES est con u comme tant un m canisme de tri pour les impacts environnementaux et sociaux des investissements et activit s inconnues avant l valuation du projet Il se pr sente donc comme un instrument pour d terminer et valuer les impacts environnementaux et sociaux potentiels futurs des investissements hydrauliques r aliser dans le cadre du programme En outre le CGES devra d finir le cadre de suivi et de surveillance ainsi que les dispositions institutionnelles prendre durant la mise en uvre du programme et la r alisation des activit s pour att nuer les impacts environnementaux et sociaux d favorables les supprimer ou les r duire des niveaux acceptables Il convient de noter que les pr sents TDRS concernent uniquement les infrastructures et quipements sanitaires Les objectifs sp cifiques du CGES incluront les mesures suivantes e Fixer les proc dures et m thodologies explicites pour la planification environnementale et sociale ainsi que pour l valuation l approbation et la mise en uvre des activit s aff rentes aux infrastructures sanitaires devant tre financ es dans le cadre du projet e Pr ciser les r les et responsabilit s ad hoc et d esquisser les proc dures de compte rendu imp rative
183. ts sur des cours d eaux internationaux Dans le contexte de ce CGES l ensemble des composantes du projet a fait l objet d un examen approfondi afin de v rifier sa conformit avec ces politiques Dans ce qui suit les principaux r sultats et conclusions de cet examen sont pr sent s 5 1 Politique OP 4 01 valuation environnementale Le projet est de cat gorie B selon la classification de la Banque mondiale politique environnementale 4 01 du fait de sa taille moyenne les nombreux b n fices environnementaux et sociaux g n r s et les incidences environnementales facilement maf trisables par la mise en uvre des mesures appropri es Le pr sent Projet fait l objet dans son ensemble d une valuation environnementale qui comprend entre autre l identification des impacts potentiels et l laboration d un cadre de proc dures pour la Gestion Environnementale prendre en compte dans le cycle de pr paration des activit s du Projet Le projet propos est en conformit avec la politique en question et pour laquelle cette valuation environnementale est r alis e en vue de satisfaire cette exigence 5 2 Politique OP 4 12 D placement involontaire des populations Cette politique couvre les cons quences conomiques et sociales directes qui tout la fois r sultent de projets d investissement financ s par la Banque et sont provoqu es par e le retrait involontaire de terres provoquant 1 une relocali
184. tures utilisateurs des boues et aux Apprendre aux employ s se laver fr quemment les mains et le visage avec du savon et de consommateurs des produits agricoles F l eau chaude qu il faut tenir leur disposition F amp M Pr sence de la latrine et d dicules publics i Evaluer la profondeur du niveau d eau en tenant compte des fluctuations saisonni res et de F amp M i l hydrologie souterraine Les fosses de latrines ne devraient pas tre install es l o le niveau hydrostatique est peu profond ou l o la composition des s diments sus jacents rend la nappe phr atique ou l aquif re vuln rable la contamination P amp C Contaminer la nappe phr atique par des agents pathog nes F amp M S1 la profondeur de la nappe phr atique n est pas importante doubler le r servoir avec de l argile des feuilles de plastique ou tout autre mat riau imperm able pour pr venir les fuites P amp C C Les latrines VIP seront situ es 30 m ou plus des puits actuels afin de diminuer les risques de contamination de cette source d eau la profondeur des fosses devra tre inf rieure celle de la nappe phr atique Provoquer le d gagement d odeur et incommodit pour le voisinage par Placer les latrines et les tuyaux verticaux de ventilation qui d passeront d environ 0 5 m le ventilation insuffisante et la prolif ration potentiel d insectes cafards haut des toits avec leurs extr m
185. u 0 5 10 20 Kilom eters E Source Direction de l Am nagement du Territoire Projection UTA WGS 84 h misph re nord zone 28 Source DGPRE Tableau 28 Donn es de base du d partement de Ran rou Ferlo Superficie 15 100 8 km soit pr s de 51 du territoire r gional et du territoire national Population 48 475 habitants soit pr s de 11 45 de la population r gionale Densit 3 2 hab km D coupage administratif 1 Commune Ran rou 1 Arrondissement V lingara 3 Communaut s Rurales Lougr Thiolly Oudalaye et V lingara Source Plan d Action Environnementale R gionale de Matam et Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS eee Le d partement de Ran rou se trouve dans le Ferlo une zone assez isol e la jonction entre la R serve de faune du Ferlo Nord et la R serve de faune du Ferlo Sud au bord de la Route Nationale 3 et une piste qui relie Lingu re Matam C 2 ENVIRONNEMENT PHYSIQUE Avec le d partement de Podor elle forme une sorte de continuit naturelle la moyenne vall e du fleuve S n gal La r gion de Matam est une r gion agro sylvopastorale Elle regroupe de potentialit s notamment agricoles et pastorales du fait de la disponibilit des sols de bonne qualit de grandes superficies p turables et un potentiel fourrager appr ciable Situ e dans la zone sah lienne la r gion de Matam est caract ris e par une pluviom trie relativement faible moyenne ann
186. u socle ancien et le Primaire qui repose en discordance sur le socle Le socle ancien se caract rise par des altitudes variant de 250 540 m correspondant aux Monts Bassari et aux collines du Boundou Quant au second type 1l est situ dans le Continental Terminal au centre et l Ouest de la r gion La r gion de Tambacounda se situe dans les zones phytog ographiques soudano sah lienne et soudano guin enne On distingue deux grandes p riodes de r gime thermique La p riode de basses temp ratures moyenne minimale entre 25 et 28 C au niveau r gional et 22 7 C Bakel entre Juillet et f vrier avec plus de fra cheur aux mois de d cembre et de Janvier et la p riode de hautes temp ratures se situant entre mars et juin moyenne maximale entre 29 et 33 C au niveau r gional et 37 3 C Bakel La r gion de Tambacounda se situe entre les isohy tes 450 et 1200 mm avec une moyenne de 502 51 mm Bakel entre 1921 2006 ce qui la place parmi les r gions les plus pluvieuses du pays La saison des pluies dure 4 5 mois et son installation s effectue de mani re chelonn e du Sud au Nord La quantit d eau et le nombre de jours de pluie sont croissants du Nord au Sud VV Sous l effet de l anticyclone des A ores la r gion est soumise aux types de vents que sont les aliz s maritimes de secteur nord les aliz s continentaux de direction nord est l harmattan du secteur Est avec de l air chaud et sec et
187. uelle gale variant entre 300 et 500 mm Les d partements les plus arros s sont Ran rou Ferlo et Kanel Les temp ratures sont tr s lev es la temp rature moyenne maximale se situe entre 43 et 45 C et la temp rature moyenne minimale de 22 3 C Le relief est relativement plat par rapport au reste du pays et est caract ris par une vaste plaine incis e de vall e Ce relief permet de distinguer deux zones co g ographiques bien d finies la vall e du fleuve constitu e de d pressions et de micro reliefs appel s commun ment Dand Maayo le Di ri qui est une zone interm diaire la zone du Ferlo lat ritique dans la majeure partie de son espace et sableux dans sa partie occidentale vers Lougr Thiolly et V lingara On note dans la r gion de Matam 4 types de sol sols de la berge du fleuve et des marigots appel Falo partie submersible les sols des lev es fluviaux appel Fond qui sont l abri des faibles crues partie non submersible les sols lourds des cuvettes de d cantation appel s Hollald ils peuvent subir une longue dur e de submersion au moment de la crue les sols dunaires Di ri et Ferlo sableux de texture essentiellement sableuse Dior avec un taux d argile faible 5 En r sum les sols peuvent tre regroup s en deux ensembles les sols lourds de la vall e alluviale et des sols l gers du Ferlo Deux types de vent balaient la r gion l harmatta
188. ulation r gionale Densit 258 hab km2 D coupage administratif 1 Commune Saint Louis 1 Arrondissement Rao 2 Communaut s Rurales Gandon et Mpal Source Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS Figure 15 Carte de localisation du d partement de Saint Louis kkk CARTE DE LOCALISATION DU DEPARTEMENT DE SAINT LOUIS SAINT LOUIS SAND ON L gende Chef Lieu de R gion amp Chef Lieu de D partement Chef Lieu d Arrondissement Commune Chef Lieu de Communaut Rurale m Limite d Etat Limite de R gion Limite de D partement 0 15 3 Kilometers Limite de Com munaut Rurale C te Source Direct ion de l Am nagement du Territoire Projection UTM WGS 84 h misph re nord zone 28 C Aires prot g es Source DGPRE Tableau 32 Donn es de base du d partement de Dagana Superficie 6 087 km soit 31 96 du territoire r gional et 3 09 du territoire national Population 207 991 habitants soit pr s de 27 de la population r gionale Population rurale Population urbaine Densit 34 hab km2 D coupage administratif 3 Communes Dagana Richard Toll et Rosso S n gal 2 Arrondissement Mbane et Ross B th1o 4 Communaut s Rurales Ga Mbane Ronkh et Ross B thio Source Direction de la Pr vision et de la Statistique DPS Figure 16 Carte de localisation du d partement de Dagana CARTE DE LOCALISATION DU DEPARTEMENT DE DAGANA
189. ur des rares forages occasionne un pi tinement important qui d grade consid rablement la v g tation aux abords de ceux ci Ainsi la r solution des probl mes d acc s l eau et d environnement dans le Ferlo devrait passer par une densification du r seau de forages Seulement cette hypoth se se heurte une autre contrainte li e l existence de for ts class es Celles ci limitent les possibilit s de densifier le r seau dans le Ferlo Car il est ill gal selon le service des eaux et for t d implanter un forage dans une for t class e v Les perceptions et les pr occupations des lus locaux OCB et ONG gt La CR de Moud ry Selon les lus locaux sur les 17 villages que compte la Communaut Rurale de Moud ry seul 02 ont acc s l adduction d eau Il s agit des villages de Galary et de Manay ne Par ailleurs d apr s les lus les forages ne sont pas une solution durable pour l acc s l eau dans la zone Car les forages qui sont fait ont un d bit relativement faible et dur en moyenne entre 05 ou 10 ans La solution p renne d apr s eux c est le transfert et le traitement de l eau du fleuve Les forages posent en outre des contraintes li es e Au d ficit de comp tence manag rial de l ASUFOR qui constitue le comit de gestion e Aux difficult s financi res pour acqu rir des pi ces de rechange e Aux prix pratiqu s qui ne refl tent pas la valeur r elle de la ressource et e
190. us les niveaux Il doit tre pris en compte au cours du cycle Le PGES sera inclus dans le Manuel d ex cution du projet L UCP du PEPAM en relation avec la DEEC seront charg es de la mise en uvre du PCGES en articulation avec les proc dures environnementales d j prouv es par le PNDL 9 1 M canisme d int gration de l environnementale dans le cycle du projet La d marche m thodologique permettant d int grer l environnement au cours des phases de planification tude construction r alisation et exploitation des sous projets est la suivante a Phase de Planification tudes APS APD du sous projet Phase de r alisation de PEE Cette phase comprend 1 les tudes de PLHA ii les tudes d ex cution APS et APD C est ce stade qu a lieu la proc dure de tri et PEE L E E fait partie int grante de l tude APS et est r alis e par un bureau d tude agr par le Minist re charg de l environnement b Phase de R alisation Construction des ouvrages Phase de surveillance environnementale La phase de r alisation du sous projet qui devra appliquer les mesures d att nuation sp cifiques d crites dans l EE et inscrites dans les CPS ainsi que le programme de surveillance environnementale La surveillance sera assur e par le ma tre d uvre des travaux et sera sanctionn par un rapport de surveillance environnementale faire valider par la DREEC c Phase Exploitation
191. ussi la proc dure de s lection et de classification des projets sera renforc e pour tenir en compte les exigences des politiques de sauvegarde de la Banque mondiale en terme de screening ou s lection environnementale S agissant du contexte institutionnel plusieurs acteurs sont interpell s dans la mise en uvre du programme aussi bien au niveau central qu l chelon r gional et local Au plan environnemental des responsabilit s institutionnelles dans la mise en uvre du PGES les capacit s de ces acteurs seront renforc es pour permettre ces acteurs de mieux int grer la dimension environnement dans les activit s du projet Vis vis des probl mes environnementaux et sociaux potentiels le CGES du programme IDA PEPAM a permis d identifier des impacts positifs et n gatifs potentiels inh rents la mise en uvre des composantes du programme comme montr dans le tableau ci dessous Le CGES comporte un Plan de Gestion Environnementale et Sociale PGES du programme IDA PEPAM Le PGES identifie le cadre d orientation des interventions futures en termes de priorit s nationales de gestion environnementale et sociale en tenant compte des exigences des politiques de sauvegarde de la Banque Mondiale Il traite galement du suivi environnemental travers un programme qui vise s assurer que les mesures d att nuation et de bonification sont mises en uvre telles que d crites dans le plan d taill de gestion environn
192. ux et sociaux et qui n cessitent des mesures d att nuation appropri es HI Le Mandat du Consultant Le consultant aura pour mandat de a b c d e g h 0 Mener une description des caract ristiques biophysiques de l environnement dans lequel les activit s du projet auront lieu et mettre en vidence les contraintes majeures qui n cessitent d tre prise en compte au moment de la pr paration du terrain de la construction ainsi que durant l installation des quipements au moment de l exploitation Evaluer les impacts environnementaux et sociaux potentiels dus aux activit s du projet et recommander des mesures d att nuation appropri es y compris les estimations de co ts Evaluer les besoins de collectes des d chets solides et liquides leur et liminations ainsi que leur gestion dans les infrastructures et faire des recommandations Evaluer dans les projets de sant les pratiques d limination des d chets m dicaux en vigueur dans les infrastructures y compris le stockage le transport et l limination finale et faire des recommandations appropri es pour une bonne gestion des d chets m dicaux Mener une revue des politiques l gislations et les cadres administratifs et institutionnelles nationales respectives en mati re d environnement par rapport aux 10 politiques de sauvegarde de la Banque Mondiale indiquer laquelle de ces politiques est applicable aux activit s du p
193. valeurs en mg l 60 Kilometers Source DGPRE Figure 11 Carte des teneurs en fluorures des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Bakel bbb Evaluation Environnemental ie qu Carte des teneurs en fluorure des eaux du Maastrichtien dans le d partement de Bakel GOVDIFI d 3 L gende L Limite d partement UE _ Limite communaut rurale hs Classe des valeurs en mg l DOTGUI BAIIISFAII ps a Il si l ij ij 60 Kilometers Source DGPRE A 3 2 3 Qualit de l eau potable consomm e par les populations L approvisionnement en eau potable des populations rurales du d partement se fait exclusivement gr ce aux eaux souterraines des forages et des puits existants A 3 3 DIAGNOSTIC DIMENSION CADRE DE VIE L objectif de ce diagnostic est d am liorer le cadre de vie quotidien des populations et de r duire les nuisances Le cadre de vie est marqu par l insalubrit avec l absence de r seau d vacuation des eaux us es et pluviales au niveau des communes de la r gion La d gradation progressive du cadre de vie est de plus en plus une r alit dans toute la r gion de Tambacounda et par ricochet dans toutes les communes secondaires La faiblesse d vacuation des ordures et des infrastructures d assainissement eaux us es domestiques et eaux pluviales favorise la d t rioration du cadre de vie au niveau des diff rentes localit s de la r gion L
194. vellement sont presque nulles Les principales contraintes au niveau du socle sont li es la rar faction et l puisement terme des nappes Au niveau de ces deux types de nappes qui sont renouvelables et g n ralis es l eau est de bonne qualit Dans le d partement de Bakel nous avons 3 grands ensembles d aquif res les aquif res du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne et du Maastrichtien qui occupent les parties occidentale et centrale du d partement aquif re de l Eoc ne et du Maastrichtien qui se trouve dans la partie septentrionale les aquif res du socle qui occupent la partie orientale du d partement Les nappes phr atiques sont g n ralement capt es par puits une profondeur variant de 40 80 m Par contre pour les nappes du Maastrichtien leur profondeur varie de 100 m plus de 500 m et leur captage n est possible que par forage Le niveau d exploitation des eaux souterraines est faible cause de deux facteurs essentiels le manque d eau dans le socle ancien et la profondeur des nappes dans le Continental Terminal engendrant des co ts de mobilisation de l eau tr s lev s Les nappes du Continental Terminal de l Oligo Mioc ne et du Maastrichtien les plus productives se trouvent dans le c ur de la partie occidentale du d partement avec des d bits pouvant d passer 200 m h Par contre les nappes du socle ont une productivit moins lev e inf rieure ou gale 10
195. volet assainissement ducation l hygi ne formation des ma tres formation des ma ons relais f minins etc Sous composante hydraulique urbaine Biens et travaux 1 fourniture et pose de 22 000 branchements sociaux 11 renouvellement de 50 km de r seaux v tustes Services ma trise d oeuvre 2 2 Composante 2 Acc s l assainissement Cette composante a t introduite pour r pondre la demande croissante de la population rurale et urbaine pour les branchements individuels Cette composante prendra en charge une sous composante assainissement rural qui comporte essentiellement une sous composante assainissement rural Page 10 sur 44 Elle int resse les r gions de Saint Louis de Matam et de Tambacounda d partement de Bakel qui forment un espace g ographique continu o vivent 1 050 000 ruraux Bien et travaux 1l est pr vu une offre de base constitu e d un ouvrage individuel d assainissement des excr tas et d un dispositif lave mains Environ 175 000 personnes auront acc s cette offre de base et 330 des principaux lieux publics postes de sant coles march s mosqu es seront dot s d dicules publics qui vont contribuer l am lioration du cadre de vie Services Le projet pr voit des op rations d IEC la ma trise d ouvrage d l gu e et le contr le de travaux En plus de l ducation l hygi ne les services d IEC comporteront galement la formation
196. vra avoir une exp rience av r e dans la pr paration de documents d valuation d impact environnemental au standard de la Banque mondiale Il aura une bonne connaissance des projets sociaux Il devra ma triser les exigences et les proc dures de la Banque mondiale en mati re d tudes environnementales et sociales et devra avoir r alis au moins un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale 10 RAPPORTS La version provisoire du document cadre de gestion environnementale et sociale devra tre soumise au client pour revue et commentaires avant transmission par l emprunteur la Banque mondiale pour commentaires La version finale devra tre disponible apr s prise en compte des observations du client dans des d lais permettant sa publication dans le pays et la Banque Ceci est une condition d valuation du projet Le consultant produira le rapport provisoire et le rapport final avec une version lectronique La version finale comportera un sommaire ex cutif en Anglais Page h B AUTEURS DE L ETUDE Tableau 15 Auteurs de l tude Mamadou Diedhiou Sociologue Environnementaliste Ibrahima Fall Expert en risques Consultant Agr Insa Fall Hydrog ologue biologiste environnementaliste Oumar Fall Hygi niste Environnementaliste Coordonateur G ographe Al Assane Sene environnementaliste Page i C R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES 10 11 12 The World Bank Operational Manuel Bank Procedu
197. yst me local apr s la fin de la construction C Am nagement des acc s Transport et _ G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par le d gagement de __ e Construire aussi loin que possible du voisinage SS circulation de la machinerie Circulation CC Activit Impact Att nuation Technologie _ question ou aspect L activit ou la technologie pourrait Remarque les mesures d att nuation s appliquent une phase sp cifique du projet de l activit S lection du site SS planification et conception P amp C construction C ou fonctionnement et maintenance F amp M oncentrer les types de travail les plus bruyants sur une p riode aussi courte que possible et pendant les moments de la journ e o cela d range le moins Prendre des G ner ponctuellement le voisinage et le personnel par la d gradation de mesures pour trim le d easemencde pousiiite PEDIC l ambiance sonore C ouvrages C e Fntourer les installations d arbres ou de cl tures afin de contr ler le bruit P amp D e Utiliser des abats poussi res au besoin Couverture des bennes de transport de mat riaux de construction Cl turer les chantiers C e Limiter la vitesse des v hicules sur les sites de construction 10 km h C D grader la qualit de lair par l mission de polluants atmosph rique Entretenir p riodiquement les engins et la machinerie C contenant du NOx SO2 CO particules C b

SOUS-PROGRAMME IDA Régions de Saint-Louis, Matam

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

SOUS-PROGRAMME IDA R&eacute;gions de Saint-Louis, Matam

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

SOUS-PROGRAMME IDA Régions de Saint-Louis, Matam