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RAPPORT DE MISSION DU CONSULTANT EN

1. Totale Extension Irrigu e Ttale SRI SRA Am lior e TRAD Total cultiv e VOHEMAR 196 ANTALAHA 400 180 21 42 9 113 SAMBAVA 319 65 34 5 el 256 TOTAL 2002 729 1273 675 12 98 110 565 1 2 3 4 5 6 7 8 9 8 4 83 7 714 16 3 6 4 14 5 5 4 1 8 413 53 4 1 33 7 PRODUCTION ISAMBAVA _ AMBAVA 8 9 7 9 69 5 9 ADOPTANTS 30 26 3 3 7 VOHEMAR ANTALAHA SAMBAVA TOTAL 16 9 21 7 20 8 20 1 36 ANNEXE 3 SITUATION DE LA MISE EN VALEUR RIZ DE CONTRE SAISON 2001 2002 SURFACE ha Totale Extension Irrigu e Totale SRI SRA Am lior e TRAD Total cultiv e VOHEMAR 658 224 4 204 5 58 146 ANTALAHA 400 189 2 24 151 SAMBAVA 9441 319 625 470 130 134 336 TOTAL 202 2 849 E Gs 633 1 2 3 4 5 6 7 8 9 8 4 74 5 714 Yo 25 5 6 4 24 5 4 1 5 4 3 66 7 4 1 42 4 PRODUCTION Tonnes 8 9 79 35 7 69 32 9 5 9 2 8 ADOPTANTS VOHEMAR 27 8 ANTALAHA 20 1 SAMBAVA 46 8 TOTAL 37 1 37 ANNEXE 3 SITUATION DE LA MISE EN VALEUR SAISON CONTRE SAISON 01 02
2. SURFACE Totale Extension Ttale SRI SRA Am lior e TRAD Total VOHEMAR 658 221 45 A 71 73 342 ANTALAHA 400 20 ss e e 592 TOTAL 2002 72 1273 i524 302 326 1198 1 2 3 4 5 6 7 8 9 8 4 78 6 7 4 21 4 64 19 8 5 4 1 6 PRODUCTION Tonnes 8 9 66 5 119 33 5 6 9 30 3 5 9 3 2 ADOPTANTS E A Totaux Adoptants VOHEMAR 443 33 75 98 469 27 8 ANTALAHA 8 al 27 20 1 SAMBAVA TOTAL 2069 1775 417 658 20 1 37 1 38 ANNEXE 4 RELANCE DE L APPROVISIONNEMENT EN MATERIELS AGRICOLES PAR LE CREDIT DOCUMENTAIRE De l analyse de la situation il est ressorti que les obstacles principaux qui freinent l adoption des techniques d intensification de la production sont en premi re position le manque de mat riels agricoles charrues herses sarcleuses pulv risateurs en deuxi me position la ma trise de l eau Le premier obstacle le manque de mat riels chez les revendeurs locaux dont la cause est connue la solution qui est la plus ad quate est la formule du cr dit documentaire Elle redonne confiance aux revendeurs sur la possibilit d coulement des mat riels qu ils importeront des fabricants de la r gion de Le Cr dit documentaire Lorsqu un contrat de vente stipule que le paieme
3. Rea 44 ANNEXE 7 QUELQUES VARIETES DE RIZ POUR RIZIERES IRRIGUEES A TESTER N de collection 34 2798 4012 X21 3184 X372 Nom Tche Kouai IR 40 HB 96 Nom commun MAKALIOKA MAROTEA TSEMAKA MALAKY MAHALOMBA KELIMAMOA SOAFILIA KELIMIREFAKA Origine Alaotra Chine FOFIFA CALA Philippines Indes Philippines Thailand Philippines Cycle v g tatif jours 180 125 170 110 125 116 130 125 120 Aptitude culturale R Irr R Irr R Irr R Irr R Irr R Irr R Irr R Irr Zone productrice principale Alaotra S O O S E Alaotra S O S O S O S O S O CARACTERISTIQUES VARIETALES Hauteur de la plante cm 120 130 90 85 90 65 95 70 75 80 Port de la plante Semi rig Dress dress Dress Dress Dress Dress Dress Port de la feuille paniculaire Semi dress Dress Semi dress Dress Semi dress Dress Erig Erig Type de graine Long et fin Rond Long Long Rond Long et fin Long Long et fin PADDY Aristation e Longueur largeur mm 3 5 7 412 2 7 8 11 8 7 5 2 5 8 7 11 9 8 5 2 2 9 9 2 5 CARYOPSE Longueur mm 7 1 5 4 6 7 5 8 5 5 6 7 6 5 6 6 Translucidit Bonne M diocre Bonne Bonne Bonne Bonne Bonne Moyenne CARACTERISTIQUES AGRONOMIQUES R sistante la verse R sistante R sistante la Pyriculariose R ponse aux engrais Moyenne Bonne Bonne Bonne Bonne Bonne Bonne Bonne Tol rance la s
4. l Helminthosporiose que des profanes confondraient facilement avec celles par de la Pyriculariose gt Contr le des mauvaises herbes et de la Fertilisation gt vaut mieux contr ler les mauvaises herbes sans fertiliser plut t que fertiliser sans contr ler les mauvaises herbes 4 LE SYSTEME DE RIZICULTURE INTENSIVE SRI Le SRI est un syst me de riziculture qui met profit la capacit des jeunes plants de riz mettre beaucoup de talles Cette abondante mission de talles d bouche normalement sur une production abondante galement Des r coltes de 6 5 tonnes l hectares sont tr s courantes Des rendements de 10 12 tonnes l hectares ne constituent cependant pas des exceptions Cette capacit de tallage n est toutefois pas bien exprim e que sous des conditions de culture qui demandent tre ex cut es rigoureusement La formation qui a t dispens e par l ONG Saina avait pour objectif de rendre les assistants capables la fin de la formation de ma triser les conditions r clam es par la pratique du SRI D roulement de la formation La formation de chaque groupe se d roule sur 5 jours avec le programme suivant 1e jour Ouverture de la formation Pr sentation des diff rents intervenants et de l objet de la formation Ecoute des attentes des participants La riziculture Madagascar les syst mes de rizicultures rencontr s Histoire du SRI Bascule de d veloppemen
5. Mba hahazoana mitahiry ny voam bary tsara sy madio
6. est dire que l avancement vers la p rennisation est r el e de son impact sur les b n ficiaires Si les indicateurs sont positifs l impact comportemental le plus important et le plus difficile obtenir sur les b n ficiaires l est galement L espoir de r ussir la p rennisation des actions entreprises est justifi 2 lt Les conditions de p rennisation des actions entreprises gt Le concept contenu dans cette expression rel ve de l option strat gique de d veloppement qui vise le d veloppement par soi m me auto prise en charge auto gestion qui est la garantie d un d veloppement durable Les programmes de d veloppement apportent les r ponses aux besoins des b n ficiaires lls sont ou seront responsables de la Conception de l Ex cution de Evaluation CEE des programmes de d veloppement Le cycle CEE recommence apr s l valuation 3 lt de la pertinence de la d marche en cours gt Tous les projets de d veloppement Madagascar et particuli rement ceux qui s int ressent au milieu rural se donnent comme l un de leurs objectifs principaux la pr paration des b n ficiaires devenir responsables de leur propre d veloppement Cette activit justifie l existence de la composante Appui aux Groupements Ruraux AGR dans l organisation du PADANE La composante Appui la Production Agricole APA d crit galement comme suit la m thodologie ou elle utilise dans ses relatio
7. tre assum es en priorit par les APs les AVBs les TS Ils doivent tre en cons quence pr par s pour le faire formation comment constituer et formaliser la constitution d une une association et documents d accompagnement 41 ANNEXE 5 CLIMATOLOGIE DE LA REGION DU PROJET sur la base des relev s de 1961 1990 Station AMBATORATSY ANTALAHA Temp rature C Pluie Nbdejrs ETP mm Humidit Insolation Mois Min Max Moy heures Jan 22 4 30 3 26 3 358 1 20 145 85 209 2 F v 22 5 30 7 26 6 245 8 17 129 85 198 6 Mars 22 4 30 2 26 3 306 3 20 136 88 202 3 Avril 21 9 29 6 25 7 225 8 19 115 88 204 1 Mai 20 4 28 2 24 3 165 1 19 100 87 203 3 Juin 19 26 7 22 8 176 9 20 79 87 178 4 Juillet 18 4 25 9 221 170 1 24 72 87 181 8 18 1 25 7 21 9 188 6 24 15 87 196 5 Sept 18 4 26 4 22 4 90 9 19 79 85 208 8 Oct 19 3 27 9 23 4 92 17 99 85 237 8 Nov 20 7 28 8 24 7 143 8 18 114 86 224 9 D c 21 9 30 0 25 9 212 6 19 136 87 223 2376 0 236 1279 2469 6 Station SAMBAVA AEROPORT Temp rature C Pluie mm Nbdejrs ETP mm Humidit Insolation Mois Min Max Moy heures Jan 22 6 30 5 26 6 312 2 20 159 84 220 2 F v 22 8 30 9 26 9 257 2 17 139 85 215 7 Mars 22 8 30 6 26 7 284 4 20 149 85 216 4 Avril 22 1 29 9 26 0 227 1 18 126 85 215 9 Mai 20 7 28 7 24 7 183 3 18 107 83 223 1 J
8. 5 La banque de l acheteur l OTIV v rifie si les documents re us correspondent en tous points aux conditions du cr dit documentaire Comme la banque de l acheteur n est pas en mesure de v rifier si la marchandise livr e correspond effectivement celle d crite dans le cr dit documentaire elle ne saurait tre tenue responsable de diff rences entre les marchandises factur es et celles effectivement livr es Ainsi le besoin d un minimum de garantie pour l acheteur recommande d inclure dans les conditions du cr dit documentaire le paiement du vendeur aussit t la r ception par la banque de l acheteur du bon de livraison vis par ce dernier attestant la conformit des marchandises livr es celles command es Pour ne pas p naliser le vendeur le d lai entre la livraison des marchandises et la r ception du bon de livraison vis par l acheteur la banque doit tre le strict minimum ll est sugg r ici que l acheteur vienne constater dans les magasins du vendeur l tat des quipements au moment de leur prise en charge et de viser cette occasion le bon de livraison qui sera remis aussit t l OTIV pour d clencher le paiement Mise en uvre de la formule par le dispositif de PADANE 1 Information des associations et de leurs membres sur les prix des quipements mentionn s dans la facture proforma re ue du vendeur est recommand de laisser un exemplaire de la proforma chaque association po
9. Evaluation et demand es par Mr SYRIACK un agent de qui tait de passage au si ge restaient introuvables jusqu la fin de mon s jour L existence des Manuels d entretien des ouvrages r alis s par la composante AHA est ignor e par la composante APA Le manuel lt FOMBA FIKOJAKOJANA NY HORAKA AGNOLAKELY qui ma t donn par Mr AUGUSTE est inconnu de Mme NIVOARY Un collaborateur de Mr AUGUSTE a confirm que TAPA n est pas destinataire de ces manuels Les agents de TAPA sont cependant les utilisateurs des ouvrages avec les associations Une coordination effective des activit s des composantes du projet apportera une contribution norme l am lioration de l efficacit du projet gt Compte tenu de l objectif du Projet la fonction de coordination doit logiquement tre assur e par le responsable de la Composante APA De la structure de TAPA La Vulgarisation tant Information Formation il est recommand de cr er une Cellule Communication au sein de la structure de la Composante APA 27 lll lt Faire des recommandations d taill es sur les actions entreprendre afin de valoriser les investissements hydroagricoles r alis s par le projet en termes de production additionnelle de riz et d am lioration des revenus des petits paysans gt Une mise en valeur rationnelle des sols hydromophes recommande d viter la succession Riz Riz mais plut t de faire d autres cultures pendant la
10. L amendement calcique base de dolomie pourrait tre un moyen pour corriger l acidit des sols tourbeux On a eu un gain de rendement en paddy de 1 46 tonnes par hectare en utilisant l amendement base de dolomie en compl ment de l engrais complet NPK et un gain de 880 Kg Ha en utilisant la dolomie en compl ment de NP 5 3 Conclusion D apr s ces r sultats l amendement calcique base de dolomie et en pr sence de phosphore est un moyen pour corriger ces types de sols tourbeux Le sympt me de toxicit ferreuse qui appara t souvent sur les plants de riz cultiv s sur ces sols tourbeux semble att nu et n appara t plus en stade de maturation Extrait du Rapport Scientifique AGROTECHNIE Campagne 1998 1999 du Centre R gional de Recherche du Moyen Est FOFIFA Octobre 1999 51 ANNEXE 12 CLASSEMENT DES SURFACES DES PERIMETRES EN CATEGORIES A B ZONES DE SAMBAVA CENTRE P rim tres Observations s Andampy 15 Beazafo Antsahamanoro Andranomadio Bekaraoka Anjombalava Bemanoro Ampano gatete man EE Anjinjaomby Ambahavala aval Ambahavala amont Ambodizavy Soboka ll travaux en cours S T 52 50 50 2 Ambohimitsinjo Beahilava 12 8 8 4 Sarandrano 14 9 9 5 Bebaro Antsahamangoraka S T 26 17 17 9 Andratamarina Lohan
11. Le lt dina gt n est pas appliqu Membres indisciplin s Manque de solidarit Personne n a encore vers sa participation aux frais d entretien du barrage Ce qui fait qu une association en est une est m connu 34 ANNEXE 3 SITUATION DE LA MISE EN VALEUR RIZ DE SAISON 2002 2003 SURFACE ha Totale Extension Irrigu e Totale SRI SRA Am lior e TRAD Total cultiv e VOHEMAR 786 223 563 512 13 96 109 403 ANTALAHA 627 140 487 519 17 110 127 392 SAMBAVA 896 309 587 705 27 308 335 370 TOTAL 2309 672 1637 1736 57 514 571 1165 1 3 4 5 6 7 8 9 8 4 67 1 714 32 9 6 4 29 6 5 4 3 3 413 4 1 75 2 PRODUCTION Tonnes VOHEMAR 50 285 335 822 1157 7 TOTAL 277 1815 2092 2522 4614 8 9 54 7 719 45 3 6 9 39 3 5 9 6 0 ADOPTANTS VOHEMAR ANTALAHA SAMBAVA TOTAL T Ge 22 Vue d ensemble Sur 32 9 des surfaces cultiv es les membres des associations ont mis en pratique les techniques am lior es de production 3 3 SRI 29 6 en SRA Les 3 3 en SRI ont contribu pour 6 la production totale les 29 6 en SRA pour 39 3 22 3 des membres des associations pratiquent les techniques de production am lior es 35 ANNEXE 3 SITUATION DE LA MISE EN VALEUR RIZ DE SAISON 2001 2002 SURFACE ha
12. R 2 408 P 6988 3 2 Relation entre Dur e d enherbement et Rendements 8000 7000 6000 5000 4000 R 3000 2000 1000 0 0 20 40 60 80 100 120 140 160 Relation entre la dur e de comp tition Riz Mauvaises herbes D jours apr s repiquage et le rendement en paddy R en g 12 21 52 D 7 374 3 48 CLASSIFICATION OF NUTRITIONAL DISORDERS ANNEXE 10 TANAKA and YOSHIDA 1970 classified nutritional disorders of rice in Asia as showm in Table 10 6 At low pH the main nutritional disorders are iron toxicity phosphorus deficiency manganese toxicity and hydrogen sulfide toxicity At high pH the nutritional disorders are phosphorus iron and zinc deficiency salinity alkalinity and boron toxicity Deficiencies of phosphorus and zinc are discussed in this chapter Table 10 6 Classification of nutritional disorders in Asia from Tanaka and Yoshida 1970 Soil Soil condition Disorder Local name Very low pH Acid sulfate soil lron toxicity Bronzing Low pH High in active iron Low in organic Phosphorus matter deficiency High in organic Phophorus matter deficiency combined with iron toxicity High in iodine lodine toxicity com Akagare type III bined with phospho rus deficiency High in manganese Maganese toxicity Low in active iron Low in potassium Iron toxicity interac Bronzing and exchangeable ted with potassium Akagare type cations deficiency Low in bases end Imbalance
13. il est simplement sugg r sur la base des informations recueillies par les agents du projet l occasion des enqu tes r alis es 2002 et qui devraient tre poursuivies sur les p rim tres qui n en ont pas encore t l objet d effectuer une valuation technique objective des p rim tres en cause d tudier les solutions techniques appropri es afin de d cider de l opportunit d envisager l engagement des travaux Concernant le r gime de m tayage il y aurait lieu de le formaliser par un contrat de louage enregistr la Commune pr cisant la dur e pendant laquelle le m tayer est autoris mettre en valeur la rizi re ainsi que les conditions d occupation stade des questions peuvent tre soulev es Les paysans sont ils enti rement fautifs de montrer peu d enthousiasme adh rer aux activit s associatives L application du partage th orique et standard des contributions des partenaires le Projet et les b n ficiaires la r alisation des travaux d am nagement n est il pas reconsid rer Un exemple partant d un sol forte porosit et peu stable la possibilit d ex cuter un canal en remblai par les paysans avec les moyens dont ils peuvent disposer para t peu probable On sait en effet que c est en augmentant par compactage la densit de 10 qu on peut r duire la perm abilit d un terrain au 1 100 de ce qu elle tait l origine gt l am liorati
14. ils rel vent la fr quence du travail du sol et du sarclage premier sarclage tr s pr coce ainsi que le drainage et le maintien d un sol humide non submerg durant la phase v g tative du riz De l avenir des techniques d intensification de la riziculture SRA et SRI dans la r gion SAVA L impossibilit d assurer une bonne ma trise de l eau au niveau des parcelles ne favorise gu re le d veloppement de la pratique des techniques d intensification L volution de la pratique des syst mes am lior s SRA d abord et SRI ensuite dans un p rim tre suivra l volution de la possibilit de l am lioration du syst me de gestion de l eau au niveau des parcelles Si le projet ne peut pas pousser son intervention jusqu aux am nagements terminaux Ou au moins lors de la remise de l ouvrage l association b n ficiaire lui soit galement remis officiellement un plan du p rim tre sur lequel figurent les trac s des primaires et des secondaires ainsi que ceux des drains principaux Des associations pensent que ce document lt officiel gt pourrait faciliter par exemple la n gociation du passage d un canal travers le terrain d un ou de quelques membres 22 Enfin la faiblesse des travaux pratiques doit tre compens e par un encadrement rapproch afin de multiplier les activit s de d monstration des techniques d intensification au niveau des associations 5 VULGARISATION DES TECHNIQUES D INTENSIFICATION ET
15. la mise au contact de l eau des grains de riz Le tableau suivant d crit le lt Mod le de tallage gt selon Katayama de Laulani Phyllochrone 0111213 1415161718 9 10 11 12 Total Brin maitre 1 1 Talle de 1 rang 111111 111 6 Talle de 2 m rang 1121314 Se 6151 26 Talle de 3 re rang 113161 110115 35 Talle de 4 re rang 114110 15 Talle de 5 rang 1 1 TOTAL 1 111121315 8 12 20 31 84 Totaux par 3 phyllochrones 1 40 4 4 16 42 63 43 1 Totaux par 4 phyllochrones 2 11 71 Total cumul chaque phyllochrone 1111112131518 13 21 33 53 84 Le phyllochrone est l intervalle de temps qui s pare l apparition de deux feuilles successives sur la m me tige Le phyllochrone 0 est le temps qui pr c de l apparition de la premi re feuille depuis le d but de la mise en germination Le phyllochrone est un caract re vari tal surtout li la chaleur et qu on exprime en degr s jour somme des temp ratures moyennes des jours qui se succ dent La succession des phyllochrones est le calendrier du riz Les dates d apparition des talles sont imp ratives La talle qui n appara t pas au point voulu la date voulue ne se d veloppera jamais Le tableau repr sente les phyllochrones d une vari t qui d veloppera successivement 12 feuilles Les cons quences majeures du mod le de Katayama sont e la croissance exponentiel
16. lt Gestion de l eau la parcelle en relation avec les stades v g tatif du riz Elle contribue la fois am liorer la disponibilit en eau sur le p rim tre et la productivit de la culture Elle consiste en la gestion de l eau la parcelle en relation avec les stades v g tatifs du riz Optimiser l utilisation de l eau par le riz c est viser satisfaire les besoins du riz pendant les p riodes critiques de sa v g tation et viter les gaspillages On am liore ainsi la disponibilit en eau Pour comprendre la conduite pratique de la gestion de l eau la parcelle seront prises en consid ration 4 phases de d veloppement du riz phase plantule Le besoin en eau est tr s faible pendant cette phase Une submersion de la rizi re ou de la p pini re apr s l ensemencement entrave le d veloppement des radicules par manque d oxyg ne phase v g tative de la germination l initiation des panicules Cette phase est domin e par la formation des talles Une mince lame d eau courante est suffisante Un exc s d eau freine la formation des racines et des talles phase reproductive de l initiation des panicules la floraison Pendant cette phase le riz consomme la grande partie de son besoin en eau total Il est tr s sensible une insuffisance d eau pendant cette phase Si tel est le cas nombreuses seront les panicules st riles La cause en est une mauvaise formation des panicules qui peut g ner la monta
17. acquis par le cr dit accord par l OTIV jusqu ce que les membres b n ficiaires des quipements se soient acquitt s enti rement de leurs co ts lls sont consid r s comme locataires jusqu ce que la somme des loyers vers s AIA ou l OTIV atteigne la valeur d acquisition finale valeur initiale int r ts frais D s les derniers loyers pay s ils deviennent propri taires des quipements En cas de d faillance du paiement d un loyer AIA peut reprendre les quipements et les attribuer d autres membres ou les vendre des tiers pour reconstituer la caution qui aurait ventuellement t pay e du paragraphe 6 II est temps de faire jouer un r le plus important aux agents du projet qui sont en contact quasi permanent avec les associations car ils vivent au milieu d elles et les accompagnent dans leurs activit s quotidiennes de mise en valeur de production Cette relation qu ils entretiennent avec les associations leur fait jouer un r le d ducation compagnonnage ducation en malagasy mifampitaiza toutes les occasions de rencontre sont des occasions de formation pour la consolidation de la vie associative conduisant vers l auto prise en charge l auto gestion Celui qui est charg de l intensification dor navant devrait avoir une approche globale des pr occupations des paysans et particuli rement ceux membres des associations Sensibilisation et mobilisation gt devraient
18. ces types de sols tourbeux Le sympt me de toxicit ferreuse qui appara t souvent sur les plants de riz cultiv s sur ces sols tourbeux semble att nu et n appara t plus en stade de maturation gt Cette conclusion conduit sugg rer d s pr sent l utilisation comme produit d amendement de Barren qui apporte la fois du calcium et du phosphore la place de la dolomie qui n apporte que du calcium e Dela d ficience en Phosphore Le Riz comme les autres c r ales demande une quantit consid rable de Phosphore pour lui assurer une v g tation vigoureuse et une r colte satisfaisante En effet le Phosphore participe tous les processus biochimiques de la vie des plants de riz fourniture et transfert d nergie Il intervient particuli rement dans le d veloppement du syst me racinaire la stimulation du tallage et de la floraison Cependant dans certains sols qui pr sentent d j une d ficience en phosphore il arrive que le phosphore soit encore bloqu sous des formes insolubles La gestion de la fertilisation phosphat e d pend largement des caract ristiques des sols pH types d argile et galement de la conduite des cultures Les sols ayant port des cultures sous submersion montrent une capacit de fixation du phosphore plus importante que les sols non inond s Ainsi des observations faites en Australie sugg rent que les sols qui ont port du riz inond demandent plus de phosphore
19. cheresse et l exc s d eau Bonne Bonne Bonne Bonne Bonne Rendement moyen t ha 4 5 5 5 6 4 5 4 4 79 Rendement max t ha 7 5 10 7 8 6 5 10 5 7 Tol rance a la salinit Bonne Sensibilit a la photop riode SAISON CULTURALE Saisons pluvieuses et c s X X X X X Saison pluvieuse 1ere saison vary taona X X X X Saison interm diaire X X Contre saison c s vary ririnina x X X 45 ANNEXE 8 Sur la Nuisibilit des Mauvaises herbes Rapport d activit s 1 986 du Programme de Lutte Int gr e PLI en Riziculture au Lac Alaotra concernant le d veloppement du Riz Page 66 Quant la formation de la biomasse de riz les parcelles qui ont profit d un desherbage au d but de la saison savoir les parcelles trait es au RIFIT RH celles sarcl es une fois au d but du tallage RS1 et celles sarcl es plusieurs fois partir du d but du tallage RSDT se distinguent bien des autres parcelles RSFT RSM RNS Dans ces derni res le riz a souffert d un ralentissement de la croissance d la concurrence initiale des mauvaises herbes et ce ralentissement n a pas pu tre r cup r Plus le sarclage a t effectu tardivement plus ce ralentissement a t important RNS Repiquage Non Sarcl 51 Repiquage avec 1 seul Sarclage au d but du tallage RSDT Repiquage avec 1 Sarclage toutes les 3 semaines partir du D but du
20. d un bon entretien et d une bonne gestion des r seaux d irrigation ne pourrait tre justifi e que pour ceux qui veulent effectivement pratiquer les techniques d intensification de la production n est ce pas la raison d tre des AlAs le Consultant sugg re de remplacer les 2 me 3 me et 4 me tir s du paragraphe par un seul 2 me tir lt Etre membre d une Association d Intensification Agricole tablie sur un p rim tre r habilit par PADANE du paragraphe 4 porter le montant maximum 1 350 000 pour couvrir au moins la valeur totale des principaux mat riels charrue de 35 kg sarcleuse manuelle herse m tallique proforma fournie par l Agence de Sambava de l Etablissement RAMANANDRAIBE De l Annulation gt cette ligne serait peut tre supprimer car en ligne la caution solidaire assure la garantie du pr t De cette caution solidaire D coulant de la responsabilit de groupe concr tis e travers la caution solidaire le consultant recommande de convaincre action de persuasion r pondant au besoin de compr hension pr c dant la d cision PAIA d inclure dans la partie de son r glement int rieur traitant du recours au cr dit d quipements des dispositions tendant rassurer les membres du bien fond de la caution solidaire Que l AIA tous ses membres qui cautionne le paiement des ch ances du pr t reste propri taire des quipements
21. intensification Des interviews individuelles ou en groupes des paysans il ressort les facteurs suivants par ordre de priorit 1 insuffisance ou manque de petits mat riels agricoles charrues herses houes rotatives pulv risateurs 2 attaques des ravageurs et des maladies poux du riz kaka ou bemavo pyriculariose menamiretaka virose RYMV vary folera faiblesse de la fertilit des sols sols puis s horaka reraka La synth se du d pouillement de l enqu te r alis e par les agents du projet de juillet d cembre 2002 sur 60 p rim tres vient confirmer ces l ments recueillis pendant les interviews Les cinq 5 premiers facteurs limitants sont 1 attaques des ravageurs et des maladies mavobe vary folera pour 72 des p rim tres 2 insuffisance ou manque de petits mat riels agricoles tsy ampy fitaovana charrues herses houes rotatives pulv risateurs pour 60 des p rim tres insuffisance de formation en techniques d intensification tsy fiofanana teknika pratique difficiles des techniques d intensification sarotra ny fampiharana ny voly teknika pour 57 des p rim tres 4 non respect du calendrier cultural pour cause de surcharge de travail tsy mirindra ny fotoam pambolena be asan ny mpamboly pour 27 des p rim tres 5 faiblesse de la fertilit des sols horaka reraka pou
22. l impact des d sherbages 13 Page 7 lt des essais de lutte chimique men s de 1975 a 1976 au Lac Alaotra ont d j montr que les cultures non d sherb es enregistrent une perte de r colte de 60 par rapport une culture d sherb e temps et une perte de 40 par rapport une culture d sherb e tardivement CIBA GEIGY dans RANDRIAMAMPIANINA 1984 Lors essais visant l identification d herbicides efficaces et adapt s RASOLOFO RAZAFINDRA MAMBA rapporte des augmentations de rendement entre les parcelles trait es et celles non trait es allant de 26 5 a 213 5 donn es non publi es ce qui correspond a des pertes caus es par les mauvaises herbes variant de 21 et 69 Source Rapport d activit s 1 987 du Programme de Lutte Int gr e PLI en Riziculture au Lac Alaotra Consid rations techniques de base Nuisibilit des mauvaises herbes ANNEXE 8 et 9 Toutes les tudes sur la nuisibilit des mauvaises herbes qui d une mani re globale se mesure par l impact de la concurrence entre les mauvaises herbes et le riz sur le rendement de ce dernier convergent quant leur conclusion la baisse de rendement est d autant plus importante que la densit des mauvaises herbes est plus lev e ou que la biomasse des mauvaises herbes est plus lev e la baisse de rendement est d autant plus importante que la comp tition est plus durable De l tude de la relation de la densit et le te
23. la dolomie n appara t que vers la troisi me ann e de test L e sympt me de toxicit ferreuse a t faible sur les plants de riz des traitements avec dolomie et devient de plus en plus s v re sur le t moin sans amendement calcique 5 R sultats de l ann e Quatre traitements ont t compar s T1 T moin sans amendement T2 NP 30 45 T3 Dolomie 1000 Kg Ha NP 30 45 T4 Dolomie NPK 30 45 45 5 1 R sultats Rendement moyen en paddy observ par traitement Kg Ha Tableau d analyse de variance de rendement en paddy SCE DDL CM F Proba V totale 10 63 11 0 97 V amendement 3 41 3 1 14 11 2 0 0008 V sites 6 61 2 3 30 32 5 0 0002 V r siduelle 0 61 6 0 10 C V 10 9 E T 0 32 T Classement des moyennes de rendement Test de Newman Keuls seuil 5 T4 Do NPK 3680 A Do NP 3100 B T2 NP 2730 B C T 1 t moin 2220 C 50 ANNEXE 11 suite Nombre de talles fertiles par traitement Tableau d analyse de variance de nombre de talles fertiles SCE DDL CM F Proba V totale 387 00 11 25 80 V amendement 113 50 3 37 83 7 74 0 0076 V sites 229 50 2 76 50 15 65 0 0008 V r siduelle 44 00 6 4 89 C V 15 5 Classement des moyennes de nombre de talles test de Newman Keuls seuil 5 T4 Do NPK 20 50 A T3 Do NP 17 25 T2 NP 15 75 B C T1 t moin 13 25 C 5 2 Interpr tation Une fois encore les r sultats de l ann e derni re ont t confirm s
24. meilleures informations sur l tat d avancement de l ex cution du projet et se trouve ainsi tre l interlocuteur d sign du TS ou de 24 De l Animateur de P rim tre AP L animateur de p rim tres per u comme l auxiliaire de l agent du projet la charge des associations sera d laiss par ces derni res ou d laissera ces derni res d s que la pr sence du projet cessera Dans une r gion o un projet a eu recours au service de tels auxiliaires les Animateurs paysans avec le m me objectif de p rennisation des actions la f d ration des associations n a pas attendu plusieurs ann es pour affecter le budget qui leur tait destin d autres activit s La prise de conscience de l association de la n cessit de la fonction de suivi de l ex cution de tout projet est la garantie de la p rennisation des actions La r mun ration ou l indemnisation de la fonction d pendra de l importance de son r le indispensable ou non dans le bon d roulement des activit s de l association Les actions du d sign la fonction pourront grandement contribuer c t de celles du pr sident l panouissement de l association On pourra appeler le responsable l Animateur de l association Nombreuses sont les possibilit s d extension des activit s des associations d veloppement vertical l int gration des activit s relevant de la fili re riz achat et distribution d intrants production e
25. membres d une AUE qui se seraient regroup s volontairement dans le but d am liorer leurs productions par la pratique des techniques d intensification de la production e P rennisation des actions par la relance du mouvement associatif travers les Associations d Intensification Agricole AIA Le rythme recherch pour la mise en uvre des programmes d investissement dans les ouvrages hydroagricoles aurait pu tre l origine de d rapages qui ont fragilis par la pr cipitation l assise des AUEs Tr s peu d entre elles arrivent peine au stade v raison Si comme l affirme les AlAs sont constitu s de membres volontaires anim s par la m me motivation de produire plus pour avoir plus de revenus on pourrait probablement insuffler un dynamique nouveau pour les mobiliser atteindre ce qu ils recherchent Alors la volont de produire plus justifiera leurs yeux la ma trise des moyens de production dont les petits mat riels l eau les intrants le cr dit en cas de besoin les voies d acc s L agent du projet aura le soin de rappeler leur attention lors de la r union d laboration du programme d activit s annuel ou saisonnier de ne pas omettre les actions que n cessite le maintien c est de la maintenance en effet en tat de bon fonctionnement de tous les moyens de production Ce programme d activit s annuel labor en assembl e g n ral sur la base du v cu de chacun des membres de l ass
26. ny tany fandemena ny tany alohan ny Mba hahamora ny fitaterana zana bary Mba tsy ho fofon drano hatrany Mba hahazo hafanana malaky Hahamora ny fikarakarana Hahamora ny fanondrahana Hahamora ny fandehanan ny mpaka zana bary Hanatsarana ny tsiron tany Mba hifanaraka amin ny toerana horaka Tsy ilaina hisy fako na angafom bary Mba hanalana ny voam bary miempo rehetra Mba hahazoana zana bary antonona ny horaka Mba hamono ny aretina ka hahazoana zana bary salama Mba hampalaky ny famakiam bazana Mba ho mora alona Mba hahamora ny famakiam bazana Mba hanafaingana sy hanatsara ny famakiam bazana ny akotry 3 kapoaka afafy amin ny platy bandy 10 m Mba hahazo aina tsara ny zana bary Mba hahazo sakafo ampy ny zana bary Mba tsy ho hitan ny fody sy voalavo ary manatsara ny hafanana azon ny voam bary Mba tsy ho voan ny hafanana be loatra ka mety hamono ny mason jana bary Mba ho mando hatrany ny tany sy ny voam bary Mba ho lo tsara ny ahidratsy Mba ho potika tsara ny bainga mba halemy bebe kokoa ny fotaka Mba ho lena tsara ny tany Mba halemy tsara ny tanin koraka 56 hanetsa Avela ho tany madity ny horaka FANETSANA Tondrahana aloha ny fafy vary Sorohina amin ny angady na ny lapelina ny zana bary Zana bary 15 adnro an tanim pafy fara fahatarany no haketsa Zana bary iray no ho fototra vary iray Atao mahalana ny ketsa 20 sm hatra amin ny 5
27. of Akiochi silica with sulfate nutrients associated application with hydrogen sulfide toxicity High pH High in calcium Phosphorus Khaira deficiency lron deficiency Hadda Zinc deficiency Taya Taya Akagare type High in calcium and low in potassium High in sodium Potassium deficiency associated with high calcium Salinity problem lron deficiency Boron toxicity Source lt Principles and Practices of Rice Production gt By Surajit K De Datta Head Department of Agronomy The International Rice Research Institute Los Bands The Philippines 49 ANNEXE 11 Travaux r alis s au Centre R gional de Recherche du Moyen Est FOFIFA 1 Intitul TEST D AMENDEMENT SUR SOLS TOURBEUX Intervenant Rabarimandimby Berojo 2 Objectif Essayer de trouver une formule de fertilisation ad quate pour les types de sol tourbeux Essayer de r soudre le probl me de toxicit ferreuse observ sur les vari t s cultiv es sur ce type de sol Rang de l ann e d exp rimentation cinqui me ann e 4 Rappel des acquis de la campagne pr c dente L arri re effet de l amendement calcique a base de dolomie pendant les trois premi res ann es d exp rimentation appara t sur le traitement Dolomie NPK avec un gain de rendement paddy de 1 660 Kg Ha par rapport au t moin Le traitement Dolomie NPK a montr un gain de 410 Kg L amendement des sols tourbeux est un traitement long terme L effet de
28. pour la culture lui succ dant conduite en pluvial que des sols qui ont port du ma s Ces observations sont en faveur de la gestion de l eau au niveau des parcelles qui pr voit une alternance de submersions et d assecs Le probl me du Phosphore sera abord avec la fertilisation des sols hydromorphes organiques e Dela fertilisation des diff rentes familles de sol Cas des SOLS HYDROMORPHES MINERAUX et des SOLS HYDROMORPHES MOYENNEMENT ORGANIQUES Les formules de fertilisation formules moyennes devenues classiques Premier niveau 30 uN 60u P 45uK la mise en boue ou au repiquage Deuxi me niveau 30uN 60uP 45uK la mise en boue ou au repiquage 30 u N la montaison Troisi me niveau 60uN 140 u P 80 u K la mise en boue ou au repiquage 25 u N la montaison paraissent convenir aux sols hydromophes min raux gt et aux sols hydromorphes moyennement organiques 17 adoption d finitive pr c der par des essais de comportement dans ce second cas Pour relever la faible teneur en M O des SHM il est une obligation d enfouir le plus de paille de riz possible la pr paration du sol au labour la charrue attel e Cette pratique est fortement recommand e pour les SHMO pour maintenir leurs teneurs en M O a bon niveau donc leur fertilit r duisant voire pargnant l apport d intrants exog nes Cas des SOLS HYDROMORPHES ORGANIQUES Suite aux essais en pots de
29. qu il est possible de mettre en culture sans besoin imm diat de travaux de r paration ou de r habilitation Le r sultat de la tentative d valuation de ces surfaces effectu es par le Consultant avec la collaboration des techniciens sp cialis s ANNEXE 12 para t trop irr aliste au vu des informations fournies par l enqu te Am liorer la coordination des interventions des composantes du Projet Am liorer la mise en uvre de la d marche participative dans la Vulgarisation Faciliter la mobilit des agents de terrain 30 ANNEXES 10 11 12 13 31 LISTE DES ANNEXES Guide de l Interview de groupe Olana momba ny Fikambanana Les probl mes de la vie des Associations gt Situation de mise en valeur des p rim tres irrigu s Relance de l approvisionnement par le Cr dit Documentaire Climatologie de la r gion Calendrier cultural recommand Quelques vari t s mettre en essais de comportement Nuisibilit des Mauvaises herbes Nuisibilit des adventices Classification of Nutritional Disorders Test d amendement sur sols tourbeux Classement des surfaces des p rim tres Fiche Technique Argumentaire 32 ANNEXE 1 GUIDE DE L INTERVIEW DE GROUPE Objectif avoir les avis des paysans concernant les facteurs limitant la pratique des techniques d intensification de la production Formulation de l id e directrice du guide Les am nagements hydroagricoles en place et la formatio
30. qui r duit la probabilit de contact du produit avec les plants de riz Les produits de post mergence pr coce des adventices II peut arriver que la condition de pr mergence stricte ne soit pas respect e et que des graines de mauvaises herbes aient commenc a germer il est alors recommand d utiliser des herbicides de post mergence pr coce des adventices Ils sont souvent constitu s par l association d un herbicide de contact faible dose destin contr ler les jeunes pousses de mauvaises herbes et d un herbicide de pr mergence pour pr venir la germination des graines non encore germ es L objectif d une application en post mergence pr coce des adventices est de prot ger le riz de la concurrence dans sa phase pr coce de v g tation et de limiter ainsi la perte de r colte Pour ce cas on trouve des associations de 2 4 D Butachlor de 2 4 D Pip rophos Rilof H Annexe 8 de l impact des d sherbages FERTILISATION Sur 25 des p rim tres les paysans signalent la faiblesse de la fertilit des sols horaka reraka sol puis e Bases des orientations de la fertilisation Faute d l ments donn es p dochimiques r sultats d essais de fertilisation concernant pr cis ment les plaines de la r gion couverte par le projet les orientations ici propos es constituent une synth se des observations du consultant lors de sa visite sur le terrain et des
31. suivants vont tenter de fournir l encadrement des l ments de rationnalisation des conseils qu il serait amen donner le cas ch ant e Du pH du sol dela r action du sol Le pH du sol est un param tre important pour l valuation et la gestion de la fertilit du sol La r action tr s fortement acide des sols des rizi res de la c te Est 5 p rim tres de Mananara Avaratra pH lt 5 Marais d Ambila pH 4 6 Marais d lvoloina pH 4 4 peut tre l origine de d sordres nutritionnels tels la d ficience en Phosphore assimilable la toxicit ferreuse Sources Volet lt P dologie gt Etudes d am nagement des 5 plaines rizicoles dans la r gion de Mananara Nord SOMEAH SOGREAH Juin 98 Fertilisation de Fond en Rizi re Madagascar Sols Hydromorphes Organiques Gley par J VELLY J CELTON P ROCHE Nov 1967 16 L ANNEXE 10 d critles d sordres nutritionnels Classification of Nutritional Disorders in Asia qui s expliquent principalement par la r action du sol La seule correction du pH par un apport de Dolomie ne cependant pas suffisante au vu du rapport d activit s du Service Agrotechnie du Centre de Recherche du Moyen Est de FOFIFA au Lac Alaotra Octobre 1999 ANNEXE 11 II est crit dans la conclusion de ce rapport D apr s ces r sultats l amendement calcique base de dolomie et en pr sence de phosphore est un moyen pour corriger
32. 0 sm arakaraky ny karazam bary sy ny fotoana hambolena taona ririnina FIKOJAKOJANA Tantanana tsara ny rano ao anaty horaka Kapaina na avaina indroa fara fahakeliny ny tanim bary Tsaboina ny vary raha misy bibikely na aretina Cypvert 4 ml 10 Tsaboina ny ambe vaky vazana alohan ny afafy Lentialm 1 fonosana ho an ny ambe 1 daba FIJINJANA Matoy tsara ny vary Jinjaina ny vary fa tsy sangorina Kapohina eo ambony tsihy ny vary voajinja Atapy na amainina ny vary Diovina na kakahina ny vary Mba hitazona tsara ny vodin janabary haketsa Mba hahamora ny fanaratsarahana ny zana bary Mba tsy ho tapatapaka ny zana bary Mba tsy ho lava ny vahiny na fakany ka tsy tapaka Afaka manome zanany maro ny vary haketsa mbola zaza ketsa zaza Malalaka ny hamoahany zanany maro Mba ialana amin ny fahalavon ny vary alohan ny fahatoizany Mba ialana amin ny vary angafonina be angafony Mba hampihena ny fahabetysahan ny ahi dratsy Mba ho mandomando tsara ny vody vary Mba hamono ny ahi dratsy Mba hamoraboraka ny tany hahamora ny fidiran ny rano rivotra ary hafanana ho an ny vahi bary Mba hahatsara ny voka bary hiakatra Mba hiarovana amin ny aretina Raha efa mafy ny voam bary eo amin ny rantsam pohy farany ambany Malaky noho ny fomba mahazatra misan gotra Mba tsy hitondrana fako any amin ny tohitra na sompitra Mba hahatsara ny fitehirizana mora lo ny vary mando
33. 2 lt Faire des propositions couvrant tous les aspects li s la probl matique de l intensification de la riziculture dans les p rim tres irrigu s de SAVA ainsi qu l organisation du travail au sein du projet gt 3 lt Faire des recommandations d taill es sur les actions entreprendre afin de valoriser les investissements hydroagricoles r alis s par le projet en termes de production additionnelle de riz et d am lioration des revenus des petits paysans Le rapport traitera successivement des trois l ments attendus de la mission du consultant La m thodologie utilis e sera expos e au d but de chaque partie du rapport traitant de chaque l ment I lt Faire ressortir les l ments d valuation des conditions de p rennisation des actions entreprises travers une analyse e dela pertinence de la d marche en cours e l efficacit des programmes et des moyens mis en uvre e de son impact sur les b n ficiaires gt 1 METHODOLOGIE e Que faut il entendre par lt les conditions de p rennisation des actions entreprises e de la pertinence de la d marche en cours gt la d marche en cours gt permet elle de s acheminer vers la p rennisation des actions entreprise e de l efficacit des programmes et des moyens mis en uvre gt Les indicateurs confirment ils que les programmes et les moyens mis en uvre dans le cadre de la d marche en cours sont efficaces c
34. ERES IRRIGUEES Ann e avec cyclones Riziculture 1 saison Occupation du sol Cultures contre saison Occupation du sol Ann e sans cyclones Riz de 1 amp saison Cultures contre saison reste ll ressort de la lecture de ce tableau que pour soustraire la r colte aux effets n fastes des cyclones et temp tes il faut recourir l utilisation de vari t s cycle de 120 135 jours II faut souligner toutefois que s il n y a pas lieu de craindre les cyclones et temp tes l utilisation des vari t s taona gt cycle de 180 190 jours est tout fait possible Dans ces conditions les vari t s locales de 1 saison Mamoriaka fotsy Komoja sont susceptibles de produire gt 5 t ha dans les bonnes conditions t enregistr dans la cuvette d Andapa pour Mamoriaka fotsy un rendement de 6 3 t ha Source Monographie de la Riziculture dans la cuvette d Andapa gt par Jos TANG SOAMA Communication n 15 l Atelier sur l Etat des lieux de la fili re RIZ 1996 Ces rendements sont galement atteints chez les paysans du projet Am lioration des itin raires culturaux Le contr le des mauvaises herbes et la fertilisation compte tenu de l importance qu on devrait leur accorder feront l objet de paragraphes particuliers Pour faciliter la m morisation sont pr sent s face fa
35. RAPPORT DE MISSION DU CONSULTANT EN INTENSIFICATION DE LA RIZICULTURE Mission d Appui au projet PADANE Premi re mission du 21 juillet au 10 ao t RAVELOMANANTSOA L on L INTRODUCTION Pour bien positionner l objet de la mission du Consultant il apparait utile de rappeler la finalit du Projet qui est exprim e dans son objectif global L objectif global de PADANE est d am liorer les niveaux et conditions de vie des petits producteurs en milieu rural en particulier des populations les plus pauvres grace l augmentation des revenus des m nages l volution de la disponibilit de services socio conomiques de base et l am lioration de l acc s ces services Connaissant la population cible du Projet l augmentation des revenus attendue sera g n r e par l adoption des techniques efficaces d intensification de la production Les revenus additionnels ainsi obtenus donneront aux m nages la possibilit d am liorer leurs conditions de vie Le TDR du lt Consultant Sp cialiste en Intensification de la Riziculture appel le Consultant par la suite d crit ainsi les r sultats attendus de sa mission 1 lt Faire ressortir les l ments d valuation des conditions de p rennisation des actions entreprises travers une analyse e dela pertinence de la d marche en cours e de l efficacit des programmes et des moyens mis en uvre e de son impact sur les b n ficiaires gt
36. RENFORCEMENT DE LA CAPACITE D ORGANISATION DES ASSOCIATIONS Reformulons l objectif global du projet pour retrouver la justification du regroupement des deux id es dans l intitul du paragraphe Objectif global augmenter les revenus des m nages Moyens augmenter la production par la vulgarisation des techniques d intensification Finalit afin qu ils puissent am liorer leurs niveaux et conditions de vie de mani re durable auto prise en charge auto gestion e Option premi re gt TOUS les efforts du projet doivent converger d abord vers l intensification de la production et ensuite vers le d veloppement des activit s qui visent la valorisation de la production e Approche de la Vulgarisation La pertinence de la d marche participative comme approche conduisant a la p rennisation des activit s entreprises a t d montr e dans le paragraphe traitant du premier point des r sultats attendus de la mission du Consultant Toutefois il n a pas t possible de prouver son efficacit car aucun indicateur na permis de constater son impact sur les b n ficiaires les associations L explication en est simple Si l quipe du projet a effectivement utilis la d marche participative pour faire l analyse de la situation afin de s en servir pour fixer les objectifs de ses activit s pendant la campagne et qu il manque au niveau des associations des indicateurs prouvant leurs implications c est que l engag
37. Tallage RSFT Repiquage avec 1 Sarclage toutes les 3 semaines partir de la Fin de Tallage RSM Repiquage avec 1 Sarclage toutes les semaines partir de la Montaison RH Repiquage avec un traitement herbicide en pr mergence RIFIT concernant le d veloppement des adventices Dans les repiquages non sarcl s RNS on a observ une croissance pratiquement lin aire des mauvaises herbes pendant les trois premiers mois Vers la fin de la saison la biomasse a diminu l g rement cause de et de la mort naturelle de certaines esp ces de l impact des d sherbages Page 78 du RIFIT son application a entra n une augmentation de rendement de 54 par rapport aux parcelles non d sherb es Pour un rendement moyen de 2 t ha pour les parcelles non d sherb es on devrait r colter 3 08 t ha en cas de traitement avec le RIFIT herbicide de pr mergence dont la mati re active est le Pr tilachlor du Rilof H il a provoqu une augmentation du rendement de 39 par rapport aux semis non d sherb s RILOF H est un herbicide appliquer en post mergence pr coce des adventices dont les mati res actives sont Pip rophos 2 4 D Rapport d activit s 1 987 du PLI en Riziculture au Lac Alaotra de l origine de l enherbement des rizi res Page 7 lt le peuplement des adventices pr sentes dans une rizi re peut avoir plusieurs origines les pr c dents cultur
38. activit s l ments enregistr s par membre Cahier de gestion de chacune des activit s pour les autres activit s utilisation en commun de mat riels Ces documents le Planning constitue le document contractuel des activit s vont permettre aux charg s du suivi des activit s au sein des associations et des agents du projet en visite d animation rappeler chacun ses engagements pendant la p riode de suivi de la campagne devant toute l assistance en cas de besoin proc der avec les membres individuellement ou en assembl e l valuation du d roulement de la campagne conduisant des mesures correctives l valuation en fin de campagne conduisant la pr paration de la campagne suivante fixation raisonn e des objectifs de campagne d finition des activit s r partition des t ches L valuation sera faite les premi res fois avec l assistance de l agent du projet a titre d instruction et d entra nement de l association Elle la fera elle m me par la suite auto valuation 25 du c t de l agent du projet Planning d taill des activit s con u sur la base du calendrier des travaux culturaux le que celui de l association Fiches Techniques argumentaires Fiches de suivi des activit s projets et r alisations effectives Fiche de porte indiquant l itin raire du jour l agent doit pouvoir juger de l intensit de l appui apporter chacun des membres de l
39. age 7 lt des essais de lutte chimique men s de 1975 1976 au Lac Alaotra ont d j montr que les cultures non d sherb es enregistrent une perte de r colte de 60 par rapport une culture d sherb e temps et une perte de 40 par rapport une culture d sherb e tardivement CIBA GEIGY dans RANDRIAMAMPIANINA 1984 Lors d essais visant l identification d herbicides efficaces et adapt s RASOLOFO RAZAFINDRA MAMBA rapporte des augmentations de rendement entre les parcelles trait es et celles non trait es allant de 46 26 5 213 5 donn es non publi es ce qui correspond des pertes caus es par les mauvaises herbes variant de 21 et 69 gt de l efficacit du Desormone Page 52 lt Dans le cas de la parcelle 7 le traitement au Desormone n a pas t efficace l application a t faite alors que les adventices taient encore trop petites et que la plupart d entre elles n avaient pas encore germ gt Page 53 lt Les applications de Desormone de l quipe ont t plus efficaces que celles des paysans environ 30 d augmentation contre 20 de la sensibilit du Riz la concurrence des mauvaises herbes Page 54 C est surtout au d but de la p riode v g tative que le riz souffre de la concurrence des adventices il faudrait donc sarcler t t environ 4 semaines apr s le repiquage Or ce moment l les mauvaises herbes sont encore assez petites et le sarclage
40. agement suppl mentaire Cat gorie B partie n cessitant des am nagements suppl mentaires r alisables par les paysans eux m mes avant son utilisation en intensification Cat gorie C partie demandant encore des travaux importants dont la r alisation d passe les possibilit s des paysans 54 ZONES ANTALAHA A B C Communes _ P rim tres See Del TVR __ Observations Ambinanifaho Ambohitravato 15 15 Ambato 1 18 18 Ambodimanga 1 13 5 8 Ampanjana 12 12 12 Ankotsokely 35 35 18 17 Andranofotsy tanety canal non fait Antombana Ambatandolo Maroakoho Antsirimanasa canal non fait Ankorakabe bache en terre de 70m Nasana canal en remblai Ankompany Madina drain a largir Soavary Ampahana Amboronalabe rizi re a cr er Masondrano drainage important Marofaniry drainage important Antampolo canal non fait paysans d sint ress s Andamasina travaux importants bache et canal Ratsianarana Bearamy S T 102 38 36 17 39 pb murette sur canal assoc active caferaie a transformer en rizi re barrage construit marais a drainer ae 15 a 226 79 100 Cd Ee Ne ay Total g n ral PADANE VT Vary Taona VR Vary Ririnina Classement Cat gorie A partie du p rim tre pouvant tre utilis e en intensif
41. ascar qu au d but de 1988 et mis sous la forme du tableau reproduit plus haut qu en 1990 gt Le SRI soul ve beaucoup de curiosit s et d int r ts Les tudes et observations faites depuis ont r v l qu un grand nombre de facteurs affectent d une mani re ou d une autre la performance du SRI Parmi les facteurs critiques on peut citer le sol et le climat principalement la temp rature et la pluviom trie pr paration de la p pini re et la dose de semence utilis e la pr paration du sol de la rizi re pour le repiquage lerepiquage de tr s jeunes plants 2 feuilles de 8 10 jours le repiquage de un 1 plant 1 cartements entre les plants larges de 25 x 25 50 x 50 cm vari t s a bon potentiel bonne capacit de tallage 21 le contr le de l eau aux diff rents stades de d veloppement du riz possibilit d irrigation et de drainage la fr quence du travail du sol et du sarclage la fertilit du sol et la gestion de la fertilit du sol fumures organiques et ou fumures min rales pr paration des fumures organiques et la rotation de cultures cultures de contre saison Aucun de ces facteurs ne peut tre d tach des autres si Ton veut s attendre a des r coltes lev es Face cette contrainte joueront certainement des r les importants des facteurs d ordre plus g n ral le niveau d ducation du producteur son intelligen
42. association dont il est responsable donc pas d itin raires pr fix s Cahier de Rapport d activit s de formation d monstrations services rendus mise en relation avec un nouveau partenaire avec assistance la n gociation Registre de r capitulation mensuel des l ments de suivi hebdomadaire de ses activit s par l association Pour sa documentation Manuel d entretien des ouvrages des p rim tres dont il est responsable Recueil des Proc dures de formalisation des associations La Fiche technique existant FISY TEKNIKA FAMBOLENA VARY NOHATSARAINA d crit simplement ce qui doit tre fait Entre les mains d un agent peu dou comme formateur mais qui est appel remplir des t ches de formation la Fiche telle ou elle est crite ne lui donne pas la r ponse la question lt pourquoi doit on faire comme a Ala demande du Consultant une Fiche technique argumentaire a t r dig par le TS Tsima Arinesy en ANNEXE 12 Des mesures incitatives d accompagnement Les objectifs en sont soutenir les adoptants afin qu ils puissent continuer pratiquer les techniques d intensification et parvenir les pratiquer sur la totalit de leurs rizi res SRI ou SRA de s duire les adoptants potentiels afin qu ils viennent grossir rapidement l effectif des adoptants r els Ce domaine laisse libre cours la cr ativit rel ve de la publicit technique de communi
43. aux influent videmment sur la densit de mauvaises herbes perennes et sur l abondance du stock grainier L utilisation de semences non certifi es peut galement contribuer enrichir ce peuplement Enfin et c est l peut tre le facteur le plus difficile quantifier un nombre important de graines peuvent tre apport es soit par le vent soit par l eau d irrigation gt Page 67 L tude de l origine de enherbement a permis d valuer l importance des graines d adventices apport es par les semences et de celles accumul es dans le sol par rapport l enherbement durant la saison en ressort que le stock grainier du sol est de loin la principale source d enherbement Page 55 lt pour la majorit des parcelles il ressort que la quantit de plantes d adventices apport es dans la rizi re avec les semences ne d passe pas 1 du nombre de plantes de riz Dans la parcelle 6 dont les semences taient les moins pures de toutes les parcelles les plantes de mauvaises herbes repr sentent 20 des plantes de riz Page 67 lt La pr irrigation et l limination m canique des mauvaises herbes germ es avant la mise en culture semis ou repiquage serait des moyens efficaces pour diminuer le potentiel grainier du sol La mise en uvre de cette strat gie est toutefois difficile puisque la majorit des rizi res au lac Alaotra ne poss de pas la ma trise de l eau de I impact des d sherbages P
44. cation qui explore et exploite toutes les possibilit s offertes par les raisons de d cider par les motivations qui poussent les personnes agir On peut distinguer les programmes de maintien en veil qui visent particuli rement les lt d j gt adoptants les programmes apparent s ceux utilis s en marketing pour les march s en d veloppement qui seront destin s s duire les adoptants potentiels De tels programmes sont pour conditionner l environnement des lt d cideurs et particuli rement pour agir sur les influenceurs les plus efficaces Pour compl ter les mesures incitatives le Consultant recommande la mise en uvre d un programme d alphab tisation pour am liorer la participation des non lettr s encore majoritaires aux prises de d cisions l acc s l information et la formation Cons quence sur la Structure de Gestion du Projet La structure de gestion du Projet doit refl ter l id e exprim e dans l option premi re lue au d but du chapitre traitant de la Vulgarisation Tous les efforts du projet doivent converger d abord vers l intensification de la production et ensuite vers le d veloppement des activit s qui visent la valorisation de la production 26 Le s jour du Consultant au milieu des diff rents services du Projet lui a donn l impression que chaque composante travaille isol meni Des informations sur les GCVs non disponibles la composante Suivi
45. ce ses motivations ses int r ts et sa capacit a contr ler et g rer correctement le calendrier des op rations de la pr paration du sol et de la p pini re jusqu la r colte en prenant en consid ration tous les facteurs cit s pr c demment Exemple un extrait du calendrier des op rations Auphyllochrone 0 le riz est tremp et mis au trou pr chauff Auphyllochrone 1 le riz est en p pini re apr s semis Auphyllochrone 2 le riz est dans la rizi re apr s repiquage Auphyllochrone 3 premier sarclage Au phyllochrone 4 deuxi me sarclage phyllochrone 5 troisi me sarclage Avis des paysans Mis part l attrait d une r colte abondante les paysans appr cient galement la forte r duction des quantit s de semence utilis es le 1 10 de la pratique habituelle en cas de resemis en p pini re la d pense n est pas excessive Le tableau suivant montre ce que l ONG Tefy Saina pr conise Semences en kapoaka P pini re m Rizi re 1 3 de kapoaka 1m 100 m ou 1 are 1 kapoaka 3 m 300 m ou 3 ares 3 kapoaka 10 m 1 000 m ou 10 ares 10 kapoaka 30 m 3 000 m ou 30 ares 15 kapoaka 50 m 5 000 m ou 50 ares 22 5 kapoaka 75 m 7 500 m ou 75 ares 30 kapoaka 10 m 10 000 m ou 100 ares ou 1 hectare 1 kapoaka une bo te de lait concentr trouv e facilement sur le march pouvant contenir 200 g de paddy Parmi les contraintes
46. ce dans le tableau suivant les l ments du diagnostic du syst me traditionnel et les am liorations propos es les l ments du SRA El ments du diagnostic Axes des am liorations VARIETES CULTIVEES Dominance des vari t s locales 1 re saison Mamoriaka Fotsy Mamoriaka mena Komoja contre saison Mamoriaka malady Java Mananko Kitrana TECHNIQUES CULTURALES P pini re Semis trop dense gt 30 k are Rizi re Pr paration du sol par pi tinage Repiquage tardif de plants de gt 5 semaines a plusieurs brins faible tallage Repiquage dense gt 45 m Mauvaise conduite de l eau nappe d eau en permanence Sarclage inexistant ou tr s sommaire Absence de fertilisation PROTECTION CONTRE LES RAVAGEURS ET LES MALADIES Attaque non ma tris e des poux du riz Infestation de pyriculariose menamiretaka Infestation RYMV vary folera Respect des calendriers culturaux recommand s se mis et repiquage pr coce mois d octobre ANNEXE 6 Introduction de vari t s nouvelles par des essais de comportement IR 45 IR 46 voir ANNEXE 7 Semis clair 8 10 k are semence pr germ e Date de semis 3 semaines avant date probable de repiquage Pr paration du sol labour et mise en boue avec quipements attel s Repiquage de plants jeunes gt de 2 3 semaines 2 3 brins Densit de repiquage 15 25 m Alternance assec et mise en eau su
47. contre saison Le diagramme de CHILDERS amp al sur la page suivante sur lequel est port l intervalle des temp ratures moyennes des mois d avril octobre montre que les conditions climatiques de cette p riode autorisent avec des chances de r ussite la culture de nombreuses esp ces maraich res La conduite de ces cultures maraich res r clame toutefois un sol bien ressuy pour faciliter la pr paration des plates bandes labour ameublissement confection des planches L irrigation en cours de v g tation pourrait tre assur e l arrosoir Aucune donn e sur des essais de cultures maraich res en contre saison sur rizi re n est disponible localement Il est donc souhaitable de R aliser sur la base du diagramme de CHILDERS amp al des tests de comportement d un ventail d esp ces maraich res R aliser une tude sommaire des march s de l gumes accessibles par camion partir de la r gion Quant la production rizicole son volution d pendra des changements qui affecteront l environnement de la production 1 est prudent de voir s esquisser les premiers signes des changements esp r s avant d avancer des pr visions qui devraient en tenir compte La deuxi me mission r serve peut tre de meilleures perspectives On pourra alors envisager lavenir avec plus de s r nit A ce jour la relance de l approvisionnement en mat riels agricoles qu on a tant pouss n enregistre pas encore ses p
48. des rizi res de l application du 2 4 D 14 La possibilit de tendre vers une situation de z ro concurrence l utilisation des herbicides de pr mergence des mauvaises herbes Consid rations techniques de base l origine de l enherbement de rizi res Des tudes faites sur l origine de l enherbement des rizi res il ressort que le stock grainier du sol est de loin la principale source d enherbement La solution logique qui en d coule pour conduire l limination de la concurrence de mauvaises herbes serait d emp cher la germination des graines L utilisation d un herbicide de pr mergence des adventices dont la propri t est d inhiber la germination des graines permet d obtenir une situation de z ro concurrence de s en rapprocher au cas o quelques esp ces chapperaient au contr le pour quelque cause que ce soit Solutions disponibles Trois produits sont d une utilisation tr s r pandue dans les pays rizicoles d Asie Butachlor Oxadiazon Pr tilachlor Les deux derniers ont t introduits Madagascar depuis pr s de 15 ans pour Pr tilachlor et depuis pr s de 20 ans pour Oxadiazon Le Pr tilachlor sous le nom commercial RIFIT 500 EC est d j bien connu dans les r gions rizicoles comme l Alaotra le Bas Mangoky la r gion centrale Pr tilachlor s utilise 500 750 g de mati re active par hectare L poque d application est souple
49. ement de l quipe du projet n a pas t total II n est pas all au bout de ce qu il faut faire On imagine un agent du marketing visitant un client pour lui proposer un produit et qui en revient avec l enregistrement de l intention de commande du client et non avec le bon de commande sign par celui ci Le bon de commande est un document contractuel engageant la fois le client et la maison de commerce repr sent e par l agent e Am lioration propos e Que les objectifs arr t s au terme des discussions soient concr tis s par un document sign par les deux parties pour marquer leur approbation e Implications L association est engag e pour ex cuter le programme Le Projet est engag pour am liorer la capacit d ex cution de l association Suivi participatif de l ex cution et valuation participative des r alisations en cours de campagne vont faire merger des besoins de formation que les agents du projet doivent satisfaire aussit t soit par une intervention directe soit par le recours un tiers comp tent 23 e De la relation Projet Association Du c t Projet l interlocuteur permanent de l association ne peut tre autre que l agent de la composante APA qui par ses attributions et comp tences est charg de la vulgarisation des techniques d intensification Du c t des paysans l entit interlocutrice privil gi e du Projet est AIA entit constitu e th oriquement des paysans
50. en charge progressive d animateurs de p rim tres Il en sera question dans le paragraphe traitant de la Vulgarisation 4 de l efficacit des programmes et des moyens mis uvre gt et lt de son impact l impact de la d marche sur les b n ficiaires Pour appr cier les qualit s de formateur et de communicateur des agents du projet l intention premi re du Consultant a t d assister quelques s ances de pratique de la d marche participative par le dispositif de mise en place de point de d monstration ou suivi participatif ou valuation participative Malheureusement elle n a pas pu se r aliser pour des causes qui le d passent Les trois points les indicateurs retenus par le Consultant mentionn s dans le Guide de l interview de groupe existence de Planning des activit s de l ann e ou de la saison Registre des PV de r unions Registre de la situation des contributions des membres par nature d activit et dont il s est entretenu syst matiquement avec les associations qu il a rencontr es sur le terrain lui ont toutefois permis de juger de l engagement des agents du projet dans la formation des associations de la vitalit et du dynamisme de ces derni res Aucune des associations visit es tant Antalaha qu Sambava ne dispose d un Planning m morisant et visualisant les activit s de l ann e ou de la saison Antsahalalina sur la page d un cahier AVB n a pu mon
51. en train de pourrir dans la commune d Antsahanoro cas des ouvrages 18 Antsahabeorana 19 Antsahanambihy e des d t riorations des canaux d amen e d eau et des ouvrages de franchissement fuite d eau importante sur les canaux en remblai tola hambana quelques exemples dans la commune d Ampahana cas des ouvrages 42 Andamasina 33 m de canal en remblai 32 Marofarihy b che non r alis e dans la commune de Lanjarivo cas de l ouvrage 79 Ankotsohely 40 m de canal en remblai e l absence de r seaux rationnels de drainage et d irrigation limitant les possibilit s de mise en valeur et plus particuli rement la pratique des techniques d intensification de la production risques d inondation impossibilit de la ma trise de l eau la parcelle 3 PROPOSITIONS EN FAVEUR DE L ACCELERATION DE LA PROMOTION DE L INTENSIFICATION DE LA RIZICULTURE Pour la pr sentation des propositions les facteurs limitants seront regroup s en Ceux situ s en amont de la mise en valeur Insuffisance ou manque de petits mat riels agricoles dans une moindre mesure des produits phytosanitaires et engrais Fonctionnalit des am nagements relatifs aux techniques de mise en valeur l am lioration des itin raires culturaux Le syst me de Riziculture Intensif SRI qui para t tre consid r comme le syst me objectif compte tenu des perspectives de production qu il laisse esp rer fera l ob
52. endant les trois premiers jours 20 Les qualit s personnelles des 2 membres de l quipe d animation ma trise des sujets utilisation bon escient de supports appropri s usage de style de langage et de vocabulaires bien re us et compr hensibles par les stagiaires ont contribu tenir en veil l assistance toute la dur e de chaque s ance de formation et les faire participer activement aux discussions Certains m me r pondaient la place des animateurs aux questions que posaient d autres stagiaires les animateurs n apportant que des pr cisions si besoin en tait encore Les messages techniques ont t bien re us par les stagiaires Les s ances de Travaux pratiques sur le terrain pr sentaient malheureusement quelques d faillances que le Consultant a signal es la fin des s ances aux animateurs de Tefy Saina Ces d faillances se r sument en l absence ou le non respect d une structuration rigoureuse du d roulement des lt Travaux pratiques gt La phase Instruction qui devait pr c der la phase Application n avait pas eu lieu Cette phase devait tre l occasion de rappeler les techniques th oriques apprises en salle et de discuter des ajustements que pourraient imposer les contraintes rencontr es sur le terrain pendant leur mise en pratique Parmi les sujets reprendre pendant la phase Instruction pourraient tre cit s l tat de la rizi re avant le repiqua
53. entabilit du travail Elle demande de 1 4 jours de travail par hectare pour une personne selon que le travail est b cl ou bien ex cut limites biologiques quant leur contribution l augmentation de la productivit de la culture Le sarclage manuel le sarclage la houe ainsi que le d sherbage avec le d sormone ne sont efficaces que quand les mauvaises herbes couvrent bien la rizi re en quelque sorte bien tablies partir de la 4 me Semaine apr s le repiquage pour le sarclage manuel ou m canique et entre la 8 et la 11 me semaine apr s la germination pour le d sherbage avec le d sormone pour cause d incompatibilit biologique Les trois techniques sont des techniques de d sherbage en post mergence tardive des mauvaises herbes Leurs contributions respectives seront ainsi a relativiser sachant qu avec aucune d elles on ne peut prot ger le riz pendant la phase pr coce de sa v g tation o il est le plus vuln rable a la concurrence para t ici important de souligner que le 2 4 D d sormone est un produit de contact s lectif des Cyp rac es et des Dicotyledones Son usage exclusif r p t risque de conduire une r duction de ces esp ces et a un envahissement par les gramin es voir Annexes 8 et 9 sur la Nuisibilit des mauvaises herbes du d veloppement du riz de la sensibilt du riz la concurrence des mauvaises herbes de l origine de l enherbement
54. ge tat de la boue du planage et des moyens utilis s pour le planage du syst me d irrigation et d vacuation de l eau l tat de la p pini re et des plants repiquer comment se pr sente un plant deux feuilles e les probl mes pos s par le transport des jeunes plants de la p pini re dans la rizi re La phase lt Application gt n avait pas eu lieu non plus Cette phase de pratique comment e d monstration du lt comment faire par les formateurs eux m mes pourrait rev tir une grande importance pour certaines pratiques ex le repiquage par plaquage lat ral La phase lt Entra nement ne s tait pas d roul e comme elle devrait l tre Il n y a pas eu beaucoup d interventions des animateurs sugg rant des corrections de ce que faisaient les stagiaires or on ne pouvait pas dire qu ils faisaient du sans faute Certes il ya eu une s ance de questions r ponses apr s la pratique sur le terrain pour revoir et discuter de ce qui a t fait Cependant il est permis de douter de l efficacit sur le plan p dagogique d une telle s ance comparativement des observations correctives faites au moment o les erreurs sont commises De l avenir proche du Syst me de Riziculture Intensive Le premier repiquage 15 jours apr s semis ne date que de novembre 1983 Les tr s gros tallages ont commenc appara tre en 1986vet 1987 Le mod le Katayama na t connu Madag
55. ication sans am nagement suppl mentaire Cat gorie B partie n cessitant des am nagements suppl mentaires r alisables par le paysans eux m mes avant son utilisation en intensification Cat gorie C partie demandant encore des travaux importants dont la r alisation d passe les possibilit s des paysans TEKNIKA FAMBOLEM 55 ANNEXE 13 BARY NOHATSARAINA ASA ATAO ANTONANTONY TOERAM PAMAFAZANA Atao tsy lavitry ny horaka na nivon ny horaka FANOMANANA TANIM PAFY Atao an tanety Hanaovana platy bandy 1 m ny sakany potehina tsara ny fotaka asiana zezi pahitra na zez FANOMANANA AMBEM BARY Safidina ny ambe Diovina na kakahina Avarina anaty rano Kapoahina na lanjaina ny ambe FAMPITSIMOHANA NY AMBE Ajobo anaty rano mafana tsy tantintantin ny tanana 45 mandritra ny 15 minitra Ajobo anaty rano mafana Atao anaty kitapo helitra Alona anaty rano mangatsiaka mandritra 24 ora indray andro Alevina anaty lavaka vao nodorana ka mbola mafana tsara mandritra 24 ora indray andro FAMAFAZANA Afafy mahalana elanelana 1 sm eo ambony platy bandy ny ambe vaky vazana Totofana tany malemy voapotipotika tsara Asiana alokaloka ambony talatalana Tondrahana maraina sy hariva FANOMANANA NY HORAKA Avadi bainga na atao lavoretra iray vola alohan ny hanetsana Ragiragina na alavoretra faharoa Ampidirana rano ny horaka Ragiragina na hosena anaty petsapetsan drano
56. ilampy 12 6 6 6 Ambinanitelo 10 8 8 2 Bevoay 12 culture pluviale Ambahavala 18 10 10 8 Anosy 8 en Trad Antsahamaribony 8 p rim non fonct Antsahalonjo 20 culture pluviale S T 88 24 24 16 Ambohimalaza 7 7 7 Andatsakana 8 6 6 2 Antsorindrina 20 12 Antsahavanona 189 7 7 12 S T 224 32 20 12 Ambodivoara Antsahamanolotra 10 5 2 5 Andranomadio 13 8 8 5 Ambatomangotraka 9 6 3 3 fuite sur barrage Ambalatevana 15 5 2 barrage d truit Ambodivohitra 17 11 7 6 ankavia Bealava Andranohely 17 10 5 pb rosion Antsahamena 8 7 7 1 Antsahahely 17 12 12 5 Soboka 11 9 9 2 Antsirabolo 14 8 5 6 S T 131 81 60 33 52 ZONE SAMBAVA CENTRE suite P rim tres Observations Antilongo Antsiatsiaka Ankabokely Amboangisay barrage d truit Ambinanin Ambatobe Andohan Antsahabe Antanambao Antilongo Antsambalahy Andilambazaha Antsahaberaoka Andrafiatokana Ambarialoha Andratambe Antsahabe Antsahamidragno 20 8 8 12 S T 93 70 70 23 Morafeno Ambatoafo 13 11 11 2 Langaina Andohanakalampona Antsahavary Ankazomihogo Berano ambony travaux en cours Maroj la conflit interne Farahalana Berano ambany travaux en cours ZE EE en cours Amboangibe e ES en cours Total g n ral Centre VT Vary Taona VR Var Ririnina Classe
57. ison la floraison et la pollinisation Un exc s d eau avant la montaison rend cependant fragiles les tiges et favorise la verse La lame d eau optimum est de 5 cm phase de m rissement Elle commence la floraison et couvre toute la p riode de formation et d volution de la graine jusqu sa maturit stades laiteux p teux dur pour la r colte Le riz a besoin de tr s peu d eau pendant cette phase Au stade grain dur la rizi re doit tre drain e pour tre bien s che une dizaine de jours avant la moisson Observation De nombreuses tudes conduites sur les calendriers d irrigation submersions et assecs et leur effet sur la croissance et le rendement du riz ont montr que pratiqu de la fin du tallage l initiation florale cause un accroissement du rendement par rapport au t moin submerg de fa on continue Apr s cette p riode c est dire pendant les stades succ dant l initiation florale savoir la montaison et la plante consomme beaucoup d eau aussi le manque d eau pendant cette p riode entra ne toujours une chute marqu e du rendement Le r le de l eau dans la rizi re gt Noburu YAMADA paru dans Techniques et D veloppement n 8 de Juillet Ao t 1973 CONTROLE DES MAUVAISES HERBES Place accorder au contr le des mauvaises herbes La concurrence des mauvaises herbes est un d nominateur commun tous les syst mes de culture de
58. ivant les stades de d veloppement des plants de riz 2 sarclages la houe suivis de sarclages manuels ou pulv risation d herbicides Pretilachlor 2 4D Fertilisation organique par enfouissement des pailles apr s r colte Fertilisation min rale voir fertilisation Traitement obligatoire car les poux du riz sont vecteurs du pulv risation de pyrethrino de alphamethrine deltametrine cypermethrine Utilisation de vari t s r sistantes telles X 265 X360 Correction de la fertilit du sol en cas de besoin apport de Phosphore sur les sols organiques Traitement des semences Tricyclazole B nomyl Traitement en cours de v g tation Tricyclazole B no Utilisation de vari t s r sistantes X360 IR8 inclure les vari t s confirm es des essais saison jeby de FOFIFA Propositions de vari t s pour une succession riz de saison riz de contre saison Sans crainte de cyclones Saison Mamoriaka fotsy IR 45 IR 46 1632 X 265 X 360 IR 8 Contre saison Mamoriaka malady IR 45 IR 46 Mananko Kitrana Java Avec crainte des cyclones Saison Mamoriaka malady Mananko Kitrana Kelimamoa Kelimirefaka Contre saison Mamoriaka malady Mananko Kitrana Kelimamoa Kelimirefaka Pour pr parer l avenir sont pr sent es en ANNEXE des vari t s de riz irrigu qui pourraient tre incluses dans un programme de tests de comportement d
59. jet d un paragraphe particulier Cette place qu on lui accorde justifie les efforts de formation des agents du projet et des paysans mis en uvre actuellement par le projet Ceux relatifs la formation des paysans aux techniques d intensification la VULGARISATION des techniques d intensification et associ e cette derni re l approche visant le renforcement de la capacit d organisation des associations en vue de leur auto prise en charge de leur auto gestion LES PROPOSITIONS A PROPOS gt l insuffisance ou manque de petits mat riels agricoles II s agit des petits mat riels agricoles charrues herses houes rotatives pulv risateurs Faute de chiffres disponibles et fiables sur la dimension du parc de ces petits mat riels TAPA a mis dans le circuit des fiches de recueil d informations fiches qui auraient du tre retourn es a la direction du projet la fin du mois d ao t dernier Ces petits mat riels sont tous indispensables La possession d une charrue encourage les paysans proc der au drainage de sa rizi re op ration qu il na pas faire s il utilise des boeufs pour le pi tinage qu il reconna t tre un travail tr s p nible pour les b ufs s il en dispose La herse compl te le travail de la charrue pour I mottage et la mise en boue L intervention de la herse facilite le planage de la rizi re qui son tour facilite la ma trise de l eau la parcelle r glage de
60. la lame d eau La houe rotative est pour sarcler Sans elle le sarclage doit tre fait manuellement Le sarclage manuel d une parcelle de 85 ares la taille moyenne dune exploitation d un m nage comprenant 2 adultes actifs ne peut tre que mal fait ou pas fait du tout car il faut 17 jours de travail effectif soit 3 semaines au m nage pour la sarcler une seule fois Le pulv risateur sert la pulv risation des produits phytosanitaires destin s a contr ler les ravageurs et les maladies Conscients de l utilit des ces petits mat riels les paysans cherchent s en procurer mais ne semblent pas en trouver sur place L absence de ces mat riels sur le march local aurait pour cause la mauvaise exp rience des revendeurs gel de leurs tr soreries dans la constitution de stock de mat riels qui n ont pas trouv d acqu reurs pendant plus de 5 ans Pour redonner confiance aux revendeurs le Consultant propose la formule du cr dit documentaire en anne 4 Relance de l approvisionnement en mat riels agricoles par le cr dit documentaire gt Dela fonctionnalit des am nagements Les solutions aux difficult s imputables au comportement des paysans eux m mes seront abord es dans le cadre de la VULGARISATION des techniques d intensification associ e l approche visant le renforcement de la capacit d organisation des associations Concernant les probl mes dominante technique selon la perception des paysans
61. le des talles voir ligne des totaux par 3 phyllochrones e solidarit de toutes les talles cette solidarit est constante pendant tout le tallage Toutes les talles travaillent ensemble la production des nouvelles du d but jusqu la fin du tallage e le calcul raisonn des dates de repiquage Talle de 1 rang ere 2 me 3 me 4 me Dome 6 Talle de Zem rang 6 6 5 4 3 2 26 Talle de 3 m rang 15 10 6 3 1 35 Talle de 4 re rang 10 4 1 15 Talle de 5 me rang 1 1 TOTAL 33 21 13 8 5 3 83 Totaux par 3 phyllochrones 39 7 25 3 15 6 96 6 02 36 99 82 La comparaison des descendances des six talles primaires montre l importance du repiquage de plants jeunes En effet si la premi re talle n appara t pas au d but du quatri me phyllochrone le tallage ne pourra pas d passer 50 Si l on repique un mois le quatri me phyllochrone est d j avanc Si le repiquage est tant soit peu m diocre le plant n aura pas r cup r avant le cinqui me phyllochrone et il est impossible d esp rer plus de 16 talles Si on a repiqu deux ou trois plants ensemble la solidarit est remplac e par la concurrence et le tallage d un plant sera limit 5 au maximum C est ce qui se passe dans la riziculture traditionnelle que l on peut alors appeler riziculture anti tallage Les formateurs de Tefy Saina ont conduit avec ma trise les formations en salle p
62. manuel est d licat Les paysans pr f rent donc attendre qu elles soient plus grandes et le sarclage perd une grande partie de son efficacit De la p riode d apparition des mauvaises herbes dans la rizi re Time of weed emergence Weeds wich are introduced into plots after rice plants are well established do not reduce grain yields An experiment with transplanted rice indicated that barnyardgrass Echinochloa crus galli var oryzicola which germinated at a density of 20 plants per m twelve days after transplanting of rice did not significantly reduce rice yield whereas barnyardgrass which germinated soon after transplanting reduced rice yield by 16 at the same density Thus the relative ability of rice to compete with weeds increased remarkably with the delay of weed emergence extrait de Weed damage to crops Yield Loss Due to Weed Competition by Hideo Chisaka Crops Research Division Central Agricultural Experoment Station Ministry oy Agriculture and Forestry Konosu Saitama Japan De l application de 2 4 D Desormone Dans le cas de traitements au sol les produits sont absorb s sans aucune difficult par les racines des c r ales et les dommages subis par la culture sont d autant plus importants que la c r ale est jeune notre exp rience son utilisation en p pini re est proscrire Les herbicides hormon s ne sont donc pas selectifs lorsqu ils sont absorb s par la racine Dans le cas d
63. ment Cat gorie A partie du p rim tre pouvant tre utilis e en intensification sans am nagement suppl mentaire Cat gorie B partie n cessitant des am nagements suppl mentaires r alisables par les paysans eux m mes avant son utilisation en intensification Cat gorie C partie demandant encore des travaux importants dont la r alisation d passe les possibilit s des paysans 53 ZONE SAMBAVA NORD Communes P rim tres Sce Tie Observations Belambo Beantafana 3 en Trad Anketrakabe 7 14 14 Betsakotsako Ge KC Ga 1 cours Antsirabe Andampy 6 Nord Ambanihidina 10 pb irrig et drainage Ambalabe 12 Antsahakolompona 10 Beankana 8 pb RYMV Ambodimagora 6 village d sert Antsaratanana 2 Maririhy 13 S T 120 5 46 67 Ampanefena Ankarakara 7 en cours Ankirombo 30 Ambalantany 12 SRI 6T ha SRA 4T ha Antsahavary 20 Mafaipoza 8 Mahazava 10 Antsaha GP Befandriana B1 GP Befandriana B2 GP 60 S T 323 226 176 87 Tsarabaria Total g n ral Antanamilanja 15 Ankovika Andrafialava en semis direct sans diguette Andrafiamena en semis direct sans diguette Barazin lbe 15 en semis direct S T 285 35 3 60 _ Sambava Nord 281 222 VT Vary VR Vary Ririnina Classement Cat gorie A partie du p rim tre pouvant tre utilis e en intensification sans am n
64. mps d apparition des mauvaises herbes dans la culture et le rendement du riz faite par Hideo Chisaka on peut ajouter que plus t t les mauvaises herbes apparaissent dans les rizi res plus important est leur impact sur le rendement Ceci laisse comprendre une grande sensibilit du riz la concurrence des mauvaises herbes pendant sa phase pr coce de v g tation une capacit notable du riz bien tabli r sister la concurrence des mauvaises herbes De ces conclusions on peut dire que la situation qui donnerait le meilleur rendement est une situation de z ro concurrence pour qualifier une culture de riz poussant sur une rizi re indemne de mauvaises herbes la pratique courante actuelle et ses limites facteurs physiques d favorables et favorables Le sarclage la houe rotative qui a t vulgaris sur les Hauts Plateaux du pays surface moyenne des rizi re valu e 0 30 ha dans le but de remplacer le sarclage manuel jug tr s laborieux ne l est pas moins En effet sarcler la houe rotative revient la pousser sur 80 100 km par hectare et par sarclage pour un travail peu soign et 120 150 km pour un travail acceptable Un minimum de 2 sarclages par saison demanderait en cons quence le parcours de 240 300 km par saison et par hectare soit de 204 255 km par saison pour une surface moyenne 0 85 hectare Au lac Alaotra l utilisation d un herbicide tel le d sormone am liore norm ment la r
65. n au SRI constituent ou constitueront des acquis pour les repr sentants des paysans venus au stage de formation dispens e par TeFy Saina Ceci tant quels pourraient tre encore selon eux les facteurs limitant la pratique des techniques am lior es de culture 1 Guide de l interview e Nombre de fois de plantation de riz dans l ann e description du calendrier des travaux culturaux e De la culture m me R alisation des travaux de pr paration du sol moyens utilis s Fertilit du sol bonne fertilit sol lt fatigu gt Semences vari t origine quantit sem e en relation avec rizi re repiquer Repiquage age des plants au repiquage densit de repiquage nombre de brins repiqu s Sarclage agressivit des mauvaises herbes quelles mauvaises herbes moyens de sarclage nombre de fois Contrdle des ravageurs quels ravageurs moyens de contr le Contrdle des maladies quelles maladies moyens de contr le Conduite de l eau Comment fait en relation avec les phases v g tatives du riz 2 Fonctionnalit des am nagements Bonne fonctionnalit possibilit de faciliter une bonne gestion de l eau En cas de mauvaise fonctionnalit des am nagements les causes per ues par les paysans e relevant de l tat des am nagements des ouvrages e relevant des usagers 3 Dela vie des associations e Planning des activit
66. ns d encadrement avec les paysans Pour mettre en uvre ce programme de travail l approche adopt e est l approche participative au niveau p rim tre APNP En assembl e g n rale avec l quipe du projet fait l analyse de la situation du p rim tre un diagnostic participatif l issue de ce diagnostic on fixera les objectifs long terme moyen terme et court terme pour tablir ensuite un plan d action global afin de d terminer le programme pour l ann e Le diagnostic participatif de la campagne 2002 a contribu la fixation des objectifs du programme de travail 2003 gt La d marche participative dont par ses attributions peut th oriquement tre consid r comme le sp cialiste et que TAPA utilise pour d finir les programmes et plans d action est sans conteste reconnue ad quate et efficace dans ses diff rentes formes dont la M thode Active de Recherche et de Planification Participative MARPP pour la formation et la pr paration des groupements des associations et des communaut s la prise de responsabilit De son c t AGR s active a la constitution des AUEs la formalisation officielle de leurs existences et les accompagner dans leur fonctionnement Du sien TAPA s active promouvoir la constitution des AIAs pour mieux cibler ses actions et en am liorer l efficacit Pour la p rennisation de ses actions TAPA a propos aux associations le recrutement et la prise
67. nt sera garanti par un cr dit documentaire l acheteur demandera sa banque d en ouvrir un en faveur du vendeur Ce cr dit documentaire repr sente en fait l accord de la banque de mettre la disposition du vendeur en lieu et place de l acheteur une somme convenue des conditions pr cises Lorsque le vendeur est au b n fice d un tel cr dit documentaire il est assur que le paiement sera effectu par une partie ind pendante d s qu il aura livr la marchandise pr sent la banque les documents prescrits et rempli les autres conditions du cr dit documentaire De son c t l acheteur a la certitude que le montant indiqu dans le cr dit documentaire ne sera mis disposition que si les conditions qu il a prescrites sont remplies II s agit donc d une op ration effectu e donnant donnant la banque est ici OTIV La formule qui est pr conis e ici est une formule simplifi e du Cr dit documentaire en usage dans les transactions internationales dans la mesure ou elle ne fera intervenir que trois partenaires Acheteur sa Banque le Vendeur au lieu de quatre l Acheteur sa Banque appel e mettrice le Vendeur sa Banque appel e notificatrice Conditions pr alables e Les Associations en tant que telles ont des comptes courants ouverts a l OTIV e Les membres des associations ont des comptes courants ouverts l OTIV Les tapes de mise en ceuvre 1 Une de
68. ociation avec l assistance de l agent du projet dans les premiers temps constitue le document contractuel engageant chaque membre vis vis de l association et engageant galement l association vis vis de l agent du projet et ce dernier vis vis de l association e Des Statuts des AlAs La motivation du regroupement des membres des AlAs tant d am liorer leurs revenus par le partage des b n fices g n r s par leurs activ s elles ne peuvent pas se r f rer l Ordonnance 60 133 du 03 octobre 1960 pour justifier juridiquement leur existence mais plut t la Loi n 99 004 du 21 avril 1999 et Ordonnance n 256 00 du 03 ao t 2000 r gissant les Coop ratives II faut un minimum de 7 membres pou cr er une Unit Coop rative De l organisation structurelle e Du c t du projet Un TS ou un AVB pourrait bien assurer la fonction Il est l interlocuteur permanent de l association Cette permanence est primordiale car elle seule est source de confiance Il joue alors le r le d un m decin g n raliste et fera appel des sp cialistes pour des interventions ponctuelles dans les cas de probl mes dont il n a pas les solutions e Du c t des associations L ex cution un projet le programme d activit s annuel doit amener se doter d une cellule ou dun responsable de l ex cution parmi ses membres Pratiquement ce responsable assurera le suivi de l ex cution du projet Il aura les
69. on des itin raires culturaux Avant les am nagements le syst me traditionnel de riziculture tait celui pratiqu par l ensemble des paysans sinon par la majorit Les am nagements devraient les amener voluer vers la pratique des techniques d intensification SRA et SRI 10 Pr alablement la pr sentation des am liorations propos es il parait utile de retracer rapidement l incidence des cyclones et temp tes tropicaux dont est victime p riodiquement la r gion de SAVA L objectif est de minimaliser les d g ts cons cutifs leurs passages S d Incidence des cyclones et temp tes tropicaux De l examen des l ments de la climatologie de la r gion annexe 5 on rel ve que les cyclones et temp tes tropicaux surviennent dans la r gion de f vrier avril et plus fr quemment au mois de mars La s curisation de la r colte du riz de 1 re saison dans ces conditions recommande de la situer au tour de la fin du mois de janvier ou pendant la premi re quinzaine de f vrier Ce qui n est pas en faveur de l emploi des vari t s de riz a cycle long vari t s productives sensibles a la photop riode vary manenji taona telles celles actuellement utilis es dans la r gion et appr ci es par les paysans Mamoriaka fotsy Mamoriaka mena Komojabe Le sch ma suivant pr sente les p riodes d occupation de la rizi re par le riz de saison et de contre saison Cyclones temp tes RIZI
70. our les recueillir est lt l interview gt 1 2 Sa description Elle consiste en des entretiens semi structur s avec des agriculteurs individuellement ou en groupes de dimension variable de 30 40 personnes dans les cas des repr sentants d associations r unis en formation au SRI Antalaha ou Sambava de5a10 personnes dans les cas de visite d une association son si ge le domicile du pr sident ou sur le terrain visite de rizi res 1 2 personnes dans les cas d entretiens ayant lieu a l occasion des d placements pour les visites d ouvrages ou sur les sites de d monstration Ces entretiens interview de groupe se sont d roul s en pr sence d agents du projet a l exception de ce dernier cas 1 3 limite De telle interview compte tenu de sa dur e et des circonstances dans lesquelles il se d roule ne permet de recueillir que les probl mes les plus flagrants aux yeux des interview s Mais cette limite constitue aussi sa meilleure qualit celle de faire ressortir les probl mes les plus importants tels des seuils rocheux g nant l coulement d une rivi re dans son lit Le d roctage constitue alors un pr alable la bonne exploitation de la rivi re 1 4 Les outils utilis s 1 4 1 Un Guide d Interview de groupe annexe 1 C est un check list des points principaux qui doivent tre soulev s pendant l interview La formulation de l id e directrice du G
71. r partition par syst me des 1736 hectares de surface totale cultiv e en riz de saison en 2003 a t la suivante Syst me Surface Production TRAD 1165 2 522 SRA 514 1815 SRI 57 277 TOTAL 1736 ha 4614 Tonnes 67 de la surface totale cultiv e sont sous le syst me traditionnel 33 sous les syst mes am lior s dont 29 7 en SRA et 3 3 en SRI 22 3 des exploitants sur un ensemble de 2 340 ont pratiqu les syst mes am lior s de production SRA et SRI L volution de l adoption des syst mes am lior s en riz de saison pendant les deux derni res campagnes se pr sente comme suit Syst mes Surface ha Rdt moyen T ha Production T 01 02 02 03 01 02 02 03 01 02 02 03 SRA 98 514 2 99 3 5 293 1815 SRI 12 57 3 5 49 42 277 Les surfaces sous SRA ont t multipli es par 5 24 passant de 98 ha 514 ha Celles sous SRI ont t multipli es par 4 75 passant de 12 ha 57 ha Pour la campagne 01 02 le riz de saison et de contre saison se pr sentaient comme suit Syst mes Surface ha Rdt moyen Production T Saison C saison Saison C saison Saison C saison SRA 98 204 2 99 2 90 293 591 SRI 12 12 35 4 25 42 51 Si les surfaces sous SRA ont doubl en contre saison comparativement celle en saison Les surfaces sous SRI n ont pas chang 2 2 les facteurs limitant la pratique des techniques d
72. r sultats de travaux d tudes et d exp rimentations qui ont concern des rizi res de la r gion de la c te Est p rim tres de Manambolosy Fontsimaro Fahambahy Tanambao Tanjona et Anoromby dans la r gion de Mananara Avaratra le Marais d Ambila dans la r gion de Manakara le marais d Ivoloina dans la r gion de Toamasina e Des caract ristiques p dochimiques Les sols des rizi res de la r gion appartiennent g n ralement aux familles des Sols Hydromorphes En fonction de leurs richesse en mati re organique on distingue les Sols Hydromorphes Min raux SHM Sols Hydromorphes Moyennement Organiques SHMO Sols Hydromorphes Organiques SHO Le tableau suivant pr sente sommairement les caract ristiques communes toutes les familles et sp cifiques chacune Elles pourraient servir orienter les mesures d entretien et d am lioration de la fertilit des sols Les caract ristiques communes R action du sol tr s fortement acide pH lt 5 D ficience en Phosphore assimilable lt 30 ppm Teneur en Fer libre assez lev e Les caract ristiques sp cifiques SHM SHMO SHO Teneur en M O Faible Elev e Tr s lev e N total Pauvre moyen Elev Elev C N Moyen Moyen Moyen Capacit d change Moyenne Moyenne Forte gt des Bases changeables Faible Faible Faible Saturation Tr s faible Tr s faible Tr s faible e Orientations de la fertilisation Les paragraphes
73. r 25 des p rim tres Fonctionnalit des am nagements Bien que le Consultant ait tent d luder le sujet en le supposant au d part r solu la d termination avec laquelle les membres des associations pr sents la formation au SRI tant Antalaha qu Sambava ont voulu parler des am nagements montre quel point ces derniers les pr occupent Les responsables du projet ne sont pas ignorants des probl mes car les enqu tes men es par leurs agents de juillet d cembre 2002 ont fourni des informations objectives sur le sujet Du d pouillement de ces enqu tes 60 p rim tres il appara t que pour 25 des p rim tres les difficult s seraient imputables la mauvaise gestion du r seau et de l eau par les paysans eux m mes la m sentente r gnant parmi eux emp chant la r alisation des travaux d entretien faucardage curage des canaux et petits travaux confortatifs la finalisation de creusement des canaux Le sentiment d ins curit v cu par les m tayers ne les encourage pas participer activement aux diff rents travaux pour les autres 75 les probl mes auraient pour origine e des d t riorations des ouvrages de d rivation quelques exemples des fuites d eau sont signal es la base de certains ouvrages dans la commune d Antsirabe Nord cas des ouvrages 69 Antsahakolompana 70 Ambalabe 71 Ambanihidina les pieux en bois ronds la base des ouvrages sont
74. remiers r sultats L inertie des habitudes est trop grande 28 INTERVALLES de TEMPERATURE PERMETTANT UNE CROISSANCE SATISFAISANTE POUR DIVERSES ESPECES MARAICHERES 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 Chou de Bruxelles Epinard europ en Petit pois F ve Poireau Ail Pomme de terre Pois chichelPhaseolus coccineus Chou pomm Chou fleur Chou de Chine C l ri Laitue Navet Cucurbita maxima Betterave Oignon Cristophine Parotte Laitues d t Pois Manoa sugar Cucurbita pepo Phaseolus luhatus chalote Ciboules et Cives Concombfe Cucurbita moscha Cotes de Blette Haricot Persil Fraisier Tomate Poivron Melon Vigna Gombo bergine Ignames Aro d es Patate douce Past que d apr s CHILDERS amp al 29 CONCLUSION La premi re mission du Consultant l am ne conclure que pour am liorer les r sultats du Projet quelques mesures doivent tre prises Trouver imp rativement les moyens d assurer l approvisionnement en petits mat riels agricoles des paysans R aliser rapidement les travaux de r paration ou de r habilitation des ouvrages d t rior s Compte tenu des informations recueillies aupr s des paysans concernant l tat des am nagements il y a urgence valuer l importance des surfaces
75. s de l ann e ou de la saison e Registre des PV des r unions e Registre de la situation des contributions des membres par nature 33 ANNEXE 2 Les probl mes de la vie des Association Extraits du Synth se de l enqu te r alis e de juillet d cembre 2002 concernant la mise en valeur de 60 p rim tres am nag s par PADANE Olana momba ny fikambanana Tsy miroborobo ny fikambanana Tsy tonga mivory ny mpikambana Tsy tia mivory ny mambra Malemy ny fikambanana Tsy miraihina tsy tonga mivory tsy mandoa latsakemboka Tsy mifanaja tsy mandray andraikitra tsy misy latsakemboka Tsy ny fitsipika mifehy Latsakemboka tsy voaloa ara dal na Tsy manaja ny zavatra tapaka Tsy misy fampiharana ny dina Sarotra entina tsy misy firaisankina ny mpikambana tsy mbola nisy nandoa saram pikojakojana barazy Tsy misy maha fikambanana ny fikambanana Les probl mes de la vie des Associations L association n est pas tr s active Les membres n assistent pas aux r unions Les membres n aiment pas venir aux r unions L association est faible Manque de solidarit Les membres n assistent pas aux r unions et ne paient pas leurs cotisations Les membres ne se respectent pas mutuellement ne prennent pas de responsabilit ne paient pas leurs cotisations R glements et disciplines ne sont pas respect s Les cotisations ne sont pas pay es Les choses d cid es ne sont pas respect es
76. scription pr cise des mat riels recherch s et des conditions de livraison souhait es d lai de livraison est adress e par l Acheteur au Vendeur pour une demande de proforma facture in voice PAPA doit jouer ce r le actuellement 2 le Vendeur en connaissance des besoins de l Acheteur et de ses possibilit s propres de fourniture tablit la facture proforma dans laquelle sont stipul s les prix des diff rents mat riels dont il est capable de fournir et les conditions de paiement et de livraison 39 3 Siles deux parties s accordent sur les conditions de transaction ce qui est tr s souvent le cas car des discussions pr alables ont toujours lieu pour d finir ensemble les conditions de transaction Acheteur confirme sa commande au Vendeur et adresse une copie de cette confirmation a sa banque qui vaut ordre pour cette derni re concernant les modalit s de finalisation de l op ration c est a dire l ouverture d un cr dit documentaire au b n fice du Vendeur Avant d ouvrir le cr dit documentaire la banque v rifie si les avoirs de l acheteur ou les arrangements pris avec lui permettront d effectuer le paiement lors de l utilisation du cr dit 4 Le Vendeur livrera les marchandises l acheteur les mat riels en l occurrence et adressera au m me moment la banque de l acheteur l OTIV les doubles des documents qui ont accompagn la livraison la facture d finitive le bon de livraison
77. t 2 re jour Base du SRI le tableau de tallage de Katayama de Laulani Le ons en tirer repiquage au 2 me phyllochrone espacement des plants en faveur d veloppement des racines Techniques du SRI choix et pr paration des semences 3 me jour Les facteurs de production du riz une terre fertile un peu d eau la chaleur l oxyg ne par les racines Techniques du SRI pr paration des p pini res Pr paration des rizi res Pr paration des jeunes plants Repiquage dans une boue visqueuse T P trempage avant pr germination 24 h apr s thermoth rapie 4 me jour T P incubation des semences apr s trempage pour pr germination 24 h Visite d ouvrage environnements de la gestion de l eau expertise par les groupes Probl mes de la ma trise de l eau Insectes et maladies du riz Moisson 5 me jour T P pratique des p pini res s ches p pini res jardin es pr paration et semis tra age des parcelles par passages crois s d un rayonneur repiquage des parcelles l tat de boue visqueuse un plant deux feuilles Questions R ponses en salle Evaluation Cl ture de la formation plants issus de p pini re sem e une semaine plus t t avec l assistance des agents du projet Le phyllochrone l ment d terminant le calendrier du riz Les techniques ont t labor es sur la base du processus de la formation des talles aussit t le processus de germination en marche suite
78. t distribution de semences s lectionn es transformation conditionnement et vente de riz blanc et des sous produits d veloppement horizontal partant de l utilisation des sous produits provenderie levage porcin levage de volailles De l organisation du travail Si on convient que l avenir n est pas aux Animateurs de P rim tres il faut d ores et d j pr parer l av nement des Animateurs d Association AA Tant que le projet supporte la totalit de la r mun ration des APs ils seront mieux utilis s pr parer l av nement des AAs Des activit s et relations de l association et du projet agent APA En l absence de descriptions d taill es des activit s des partenaires les quelques documents principaux suivants qui seront utilis s par et l autre donneront une id e de ces activit s du c t association Fiche d exploitation fiche cartonn e triennale remplie en fin de campagne par le paysan assist de l agent du projet document personnel du paysan qu il conserve chez lui et qui doit lui permettre de mieux conna tre son exploitation surfaces de ses parcelles culture port e par chaque parcelle doses d engrais d penses engag es quantit s r colt es valeurs des ventes de produit Planning d taill des activit s con u sur la basse du calendrier des travaux culturaux Registre des proc s verbaux des r unions Registre ou Fiches de suivi hebdomadaire des
79. trer que le calendrier des travaux culturaux qui aurait servi de base la discussion des activit s de l ann e Aucune association ne pouvait pr senter ni Registre des PV de r unions ni Registre de la situation des contributions des membres L impression qui se d gage des entretiens du Consultant avec les associations et qui para t tre confirm e par la synth se du d pouillement de l enqu te r alis e par les agents du projet de juillet d cembre 2002 annexe est qu aucune association ne semble avoir atteint une maturit suffisante Les types de r ponse aux questions relatives la vie des associations et pr sent s sous l intitul lt Olana momba ny fikambanana Les probl mes de la vie des associations gt en annexe 2 refl tent cette immaturit Les causes en sont multiples et complexes L avis du Consultant sera donn l occasion du paragraphe traitant de la Vulgarisation II lt Faire des propositions couvrant tous les aspects li s la probl matique de l intensification de la riziculture dans les p rim tres irrigu s de la SAVA ainsi qu l organisation du travail au sein du projet gt 1 METHODOLOGIE 1 1 Sa justification Comme les paysans individuellement ou en association sont les acteurs de la mise en valeur des p rim tres leurs avis sur les facteurs limitant la pratique des techniques d intensification de la production rev tent une importance capitale La m thodologie utilis e p
80. u riz des essais ont permis de v rifier que les phases v g tatives sensibles l action des herbicides hormon s taient les suivantes 1 la germination jusqu au stade 4 5 feuilles de la plantule 4 semaines apr s le semis dans les conditions climatiques de l Espagne 2 la p riode du tallage 3 4 semaine plus tard 3 le d but de la formation de panicule 12 13 semaines apr s le semis Si exclut donc ces trois p riodes de sensibilit plus ou moins grande du riz pour les herbicides hormon s p riode la plus propice aux traitements se situerait au moment de la montaison c est dire lorsque la plante atteint son stade de r sistance le plus lev entre la 8 et la 11 semaine apr s le semis Cette poque est recommander dans le cas des d riv s de l acide ph noxyac tique en premier lieu le 2 4 D gt Extrait de lt Le riz et les herbicides hormon s gt crit par Juan Antonio Batalla Ing nieur Departamento del Arroz INIA Sueca Espagne Le Desormone est ainsi un herbicide de contact appliqu en post mergence tardif des mauvaises herbes 47 ANNEXE 9 NUISIBILITE DES ADVENTICES 1 Relation entre Biomasse des Mauvaises herbes et Rendements 8000 6000 4000 2000 0 0 200 400 600 800 1000 1200 j Relation entre la biomasse moyenne des mauvaises herbes en g 1 08 et le rendement en paddy R en g 12
81. uide a t voulue au d part pour circonscrire les entretiens aux seuls probl mes rattach s aux techniques culturales point 1 du Guide Alors que l entretien allait prendre fin sur les techniques culturales les paysans avaient lt forc la porte gt pour parler de la fonctionnalit des am nagements Ceci est l origine du point 2 du Guide Mise en valeur des p rim tres et Fonctionnalit des am nagements gt sont le fait des associations ainsi le point 3 du Guide aborde la vie des associations dont il tait d j question dans le premier point des r sultats attendus de la mission du Consultant En plus des facteurs limitants la conception du Guide a permis au Consultant d avoir des l ments de diagnostic du syst me traditionnel de culture compl tant ce qu il peut recueillir pendant les visites de terrain 1 4 2 Un Dictaphone Pour donner une allure normale aux entretiens le consultant s est servi d un dictaphone pour les enregistrer en ayant inform pr alablement ses interlocuteurs consommation 12 cassettes de 60 minutes la vitesse 2 4 cm 2 LES FACTEURS LIMITANT LA PRATIQUE DES TECHNIQUES D INTENSIFICATION 2 1 Situation actuelle de la mise en valeur des p rim tres irrigu s annexe 3 Trois syst mes de riziculture sont pratiqu s dans la r gion du projet le syst me traditionnel TRAD le syst me de riziculture am lior SRA le syst me de riziculture intensive SRI La
82. uin 19 1 27 2 23 1 182 6 19 83 83 190 0 Juillet 18 4 26 4 22 4 176 3 22 76 83 189 4 Ao t 18 1 26 3 22 2 194 9 23 79 83 199 7 Sept 18 6 26 9 22 8 100 4 19 83 81 213 6 Oct 19 7 27 9 23 8 109 3 18 104 82 241 3 Nov 21 1 29 1 25 1 132 0 18 123 83 228 2 D c 22 2 30 2 26 2 219 3 20 146 83 238 7 2379 0 232 1374 2592 2 ETP Evapotranspiration 42 ANNEXE 5 LES DIFFERENTS CYCLONES DE 1985 A 2000 Saison cyclonique Noms des perturbations Date de passage Zones influenc es 1985 1986 Cyclone tropical 09 03 86 au 17 03 86 ANTALAHA HONORINA 1987 1988 Cyclone tropical 11 01 88 au 20 01 88 VOHEMAR CALIDERA SAMBAVA 1993 1994 Cyclone tropical NADIA 21 03 94 au 24 03 94 VOHEMAR SAMBAVA ANTALAHA 1996 1997 Cyclone tropical JOSIE 07 02 97 au 08 02 97 SAMBAVA ANTALAHA 1999 2000 Temp te tropicale 01 03 00 au 05 03 00 VOHEMAR mod r e GLORIA SAMBAVA ANTALAHA Cyclone tropical tr s 02 04 00 au 03 04 00 SAMBAVA intense HUDAH ANTALAHA ANDAPA 43 ANNEXE 6 CALENDRIERS CULTURAUX RECOMMANDES de travail Culture Septembr Octobre Novembre Janvier F vrier Mars Avril Mai Juin Juillet Aott Saison Vary taona P pini re Pr paration du sol NPK EE Ee EE anaman pis s Saison Vary ririnina renee TI Pr paration du so
83. un peu avant le repiquage pendant le repiquage et apr s le repiquage avant toute germination des graines des mauvaises herbes Le produit contr le toutes les mauvaises herbes se multipliant par graines gramin es cyp rac es et dicotyl dones Pr tilachlor montre une efficacit spectaculaire contre Scirpus sp vovoko Ischaemum rugosum tsingalabany les Echinochloa malemisandry tsingarivary menavody Cyperus difformis atodihao rangidina les mauvaises herbes les plus fr quemment rencontr es dans les rizi res de la r gion Oxadiazon utilis 1 250 g de m ha en riziculture pluviale s utilise 625 750 g de m ha en riziculture repiqu e ll est tr s efficace contre les gramin es en ayant toutefois une efficacit moyenne contre Ischaemum rugosum sp esp ce tr s envahissante dans les rizi res pr sentant quelques difficult s m me temporaires de ma trise de l eau lt Bilan de 9 ans d exp rimentation d accompagnement en riziculture aquatique au lac Alaotra 1980 1989 CIRAD IRAT C FEAU Rapport de campagne 85 86 du Projet P R D IRAT par Hubert CHARPENTIER et Bellarmin RAKOTOSIHANAKA Janvier 87 Oxadiazon pr sente une certaine phytotoxicit vis vis des plants de riz aussi faut il l appliquer trois jours avant le repiquage du riz pour viter d endommager les jeunes plants ou trois jours apr s le repiquage avec un lt shaker bottle gt technique
84. ur son archive 2 Recensement des besoins Etablissement de la liste par association des membres qui veulent acqu rir des quipements suivant la formule du cr dit documentaire La liste sera d ment sign e par tous les membres int ress s ainsi que par les membres du bureau de l association 3 Ouverture de compte courant l OTIV par l association si elle nen a pas encore un 4 Enclenchement de la proc dure au niveau de l tape 3 d crit pr c demment l acheteur confirme sa commande au vendeur Deux cas peuvent se pr senter que l acheteur soit l association ou soit un membre de l association Cas 1 le compte de l acheteur pr sente un solde d un montant d passant la valeur totale des quipements dont l acquisition est souhait e Dans ce cas les tapes du cr dit documentaire peuvent se d rouler normalement jusqu au terme de l op ration 40 Cas 2 le compte de l acheteur pr sente un solde moindre que la valeur totale des quipements dont l acquisition est souhait e Dans ce cas il y a lieu de n gocier des arrangements avec l OTIV Il faut n gocier un pr t avec l OTIV A ce niveau devrait jouer l Instruction sur le lt Cr dit Equipements Mat riels gt qui a t mise par APA Toutefois le Consultant sugg re les am nagements suivants au contenu de l instruction Convaincu du fait que la bonne mise en valeur des p rim tres r habilit s d pendra des AlAs actifs la n cessit
85. v g tation la hi rarchie des carences para t tre Phosphore et peut tre Potasse L examen des courbes de r ponse des essais de Phosphore de Potasse et d Azote des doses croissantes sur les sols tourbeux de l Ivoloina a montr un besoin en fumure de fond phosphat e que l on peut estimer 300 400 unit s de P205 On a not galement une r ponse l apport de potasse jusqu une dose voisine de 300 unit s l hectare En fonction des vari t s les besoins en Azote peuvent varier de 90 150 unit s l hectare Les exp rimentations sur le Marais d Ambila a permis d estimer une carence en acide phosphorique de 400 unit s de P205 r sultat qui se rapproche de celui de l Ivoloina Lors de la mise en valeur effective de ces sols la fertilisation de fond ne serait employer que dans les cas o Ton constaterait des r coltes fort pourcentage de grains vides et ceci pendant quelques campagnes cons cutives Il faut s attacher au contraire am liorer les techniques culturales le planage de la rizi re la ma trise de l eau et la lutte contre les adventices faut aussi aider l a ration du sol par le drainage et le labour apr s r colte et ventuellement des cultures de contre saison pour favoriser l volution de la tourbe Un probl me tr s important pour les sols des rizi res de la c te Est est de trouver des vari t s de riz r sistantes aux lt brunissures gt dues des infestations par

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