Qualité de vie dans les parcs lausannois
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1. Nature en ville La mise en uvre de ces principes doit permettre de r pondre aux d fis que la pression humaine exerce sur les fonctions cologiques des espaces verts de la ville 5 5 Charte d entretien des espaces verts Afin de formaliser la r alisation des objectifs fix s dans le pr sent pr avis en termes de propret s curit et qualit environnementale une charte d entretien des espaces verts de la ville a t adopt e par la Municipalit le 22 janvier 2015 Elle doit permettre de fixer le cadre et guider l action quotidienne des collaboratrices et collaborateurs du service en charge des espaces verts de la ville Cette charte pr cise la vision et la mission du service par rapport aux espaces verts entendus largement les principes d entretien et d application ainsi que les objectifs atteindre Les descriptions de postes de toutes les collaboratrices et tous les collaborateurs en charge de l entretien des espaces verts de la ville pr cisent d sormais l obligation d appliquer les l ments de la charte Les l ments principaux de la charte d entretien des espaces verts de la Ville de Lausanne sont repris ci dessous 10 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Charte d entretien des espaces verts de la Ville de Lausanne e Vision La population lausannoise vit et volue dans un environnement urbain de qualit gr ce notamment ses espaces verts e Mission Par un entretien ap2. accompagne d un dispositif op rationnel afin de produire des effets pratiques et dissuasifs attendus sur le terrain Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 9 Ainsi en 2014 une vingtaine de collaborateurs du Service des parcs et domaines ont t asserment s et ont suivi une formation afin d tre m me de d noncer dans les limites des missions qui leur sont confi es les infractions constat es dans les espaces verts Cette opportunit alli e l introduction future de la loi cantonale sur les amendes d ordre communales LAOC devrait permettre de mieux intervenir face celles et ceux qui par leur comportement contreviennent aux dispositions sp cifiques aux espaces verts De plus il est pr vu d accro tre la collaboration avec le Corps de police travers un contrat de prestations et un transfert de ressources d un volume d heures quivalent un poste plein temps Le Corps de police sera en charge de fournir ainsi une prestation suppl mentaire pour garantir une efficience maximum et l attemte des objectifs fix s en mati re de qualit de vie dans les parcs publics Une convention sera tablie cet effet et un groupe d accompagnement sera mis en place afin d valuer la pertinence et l efficience des diff rentes actions men es sur le terrain A noter encore que les futurs correspondants de nuit SIP d coulant de la mise en uvre du rapport pr avis N 2014 79 Politique municipale e
3. t mise en place durant ces quatre derni res ann es d abord sur les rives du lac puis au centre ville Les retours sont encourageants et les r sultats visibles sur le terrain En juin 2015 une invitation publique participer une action de nettoyage au bord du lac est int gr e au catalogue des balades du Service des parcs et domaines La mise en ligne d une page web interactive sur le site de la Ville permettant la population de signaler toute forme d incivilit dans les espaces verts est pr vue au mois de mai 2015 8 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Enfin pour pallier aux d bordements pr visibles et r currents d ann e en ann e les organisateurs de manifestations sont dor navant syst matiquement contact s afin d int grer cette probl matique dans leur planification 5 3 Nouvelles dispositions r glementaires Afin de pr ciser les comportements admis dans les espaces verts et pour permettre aux agents en charge de la force publique ou des espaces verts de pouvoir intervenir plus efficacement la Municipalit a fix des dispositions r glementaires sp cifiques sur l usage des espaces verts de la Ville de Lausanne Celles ci sont fond es juridiquement sur l article 89 du RGP Ces dispositions traitent notamment des d finitions et de l utilisation des espaces verts en g n ral allant de la protection de la faune et de la flore en passant par la pratique des sports et jeux les pique ni
4. usage de l espace public conflits entre noctambules et voisinage conflits entre diff rents usagers des espaces verts comportements inad quats souvent dus une consommation excessive d alcool augmentation de la pression humaine sur les ressources naturelles des parcs pression sur la faune et la flore Cela implique de la part des services communaux une approche diff renci e et coordonn e afin de pr server une qualit de vie optimale sur ces sites 4 1 Evolution des volumes de d chets moyens de r colte et p nibilit du travail Les habitudes des usagers et la fr quentation des parcs ont fortement volu au cours de ces derni res ann es Les services en charge du nettoyage des espaces publics sont donc confront s de nouveaux d fis qui n cessitent notamment une adaptation de leur quipement Le volume de d chets ramass s dans l espace public cro t r guli rement influenc par les facteurs suivants l volution des habitudes des usagers qui consomment davantage de nourriture l emporter produisant plus de d chets urbains la densification de la Ville qui s accompagne d une augmentation de la pression sur les espaces mis disposition des habitants et des visiteurs l augmentation de l attractivit de Lausanne qui accueille un public toujours plus nombreux de jour comme de nuit dans le cadre de diverses manifestations De mani re g n rale les co ts du nettoyage engend
5. velopper au maximum des possibilit s offertes par les gabarits a riens et souterrains e privil gier la v g tation indig ne par rapport la v g tation exotique e lutter syst matiquement contre les plantes envahissantes dans les zones d finies par le concept de lutte lausannois Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 11 e conserver toute v g tation indig ne contribuant l augmentation de la biomasse et de la biodiversit lierres plantes grimpantes v g tation interstitielle pour autant qu elle ne mette pas en p ril la stabilit et durabilit des arbres et des ouvrages e appliquer des mesures raisonn es permettant de conserver les vieux arbres e veiller conserver les valeurs biologiques dans les zones valeur cologique identifi e et dans les zones strat giques du r seau cologique e favoriser les infrastructures perm ables de desserte et de mobilit e lutter syst matiquement contre les salissures le littering les tags et la d gradation intentionnelle des infrastructures e appliquer strictement le concept de contr le de s curit des arbres des places de jeux et de toutes les infrastructures sous la responsabilit du service Des objectifs chiffr s ainsi que des indicateurs permettent d valuer annuellement l atteinte des objectifs L atteinte des objectifs fix s sera valu e annuellement dans un rapport l intention de la Municipalit 6 Am lioration
6. de l infrastructure des moyens de collecte des d chets Eu gard aux constatations pr sent es de l tat de la situation et en vue de compl ter le dispositif existant du nettoyage des parcs et cimeti res lausannois la Municipalit propose d am liorer les moyens de collecte et de ramassage des d chets en d veloppant trois axes d finis suite une tude attentive des syst mes mis en place dans d autres villes suisses e la mise en place de nouvelles poubelles avec des capacit s adapt es aux besoins identifi s e la m canisation des vidanges des contenants chaque fois que c est possible e la m canisation des moyens de nettoyage des surfaces 6 1 Nouvelles poubelles Des poubelles enterr es ont t mises en place en 2013 lors de la r fection du parc de Derri re Bourg ainsi qu au Parc Bourget Il s agit de contenants de 300 1000 litres compos s d une cuve enterr e dans le sol La partie visible est constitu e d un tube d une trentaine de centim tres de diam tre semblable une poubelle troite Elles sont vidang es par une trappe plac e m me le sol l aide d un puissant aspirateur plac sur un v hicule Ce syst me pr sente les avantages suivants la vidange par aspiration vite la manipulation de charges lourdes ainsi que les souillures et risques de blessures l op rateur n tant plus en contact avec le contenu des poubelles le volume important des cuves permet d espacer les
7. des collaboratrices et espaces verts de la Ville de tous les collaborateurs en Lausanne charge de l entretien des espaces verts ont t modifi es et font mention de l obligation d appliquer les chartes du service Collaborations avec Nettoyage des tags sur les 2011 l EVAM et Diverscit s places de jeux 16 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Nettoyage des for ts collecte de d tritus en tous genres nettoyage r gulier des camps de personnes sans domicile fixe Am lioration des moyens de collectes et de ramassage des d chets Augmentation du volume des poubelles avec des capacit s adapt es aux besoins identifi s Installation de 200 poubelles conteneurs d chets enterr es et de 100 poubelles de grande contenance dans les parcs Achat de nouveaux contenants et syst me de collectes des d chets des cimeti res de la ville Pr sent pr avis M canisation des vidanges des contenants Achat d un v hicule aspirateur acquis pour RM Pr sent pr avis M canisation des moyens de nettoyage des surfaces brossage des zones en dur dans les parcs M canisation du nettoyage des zones vertes Achat d une balayeuse de petite dimension Acquisition d un syst me de brossage des surfaces engazonn es et d aspirateurs pour les zones confin es Pr sent pr avis Rationalisation du transport vers l usine d incin ration Achats de 2 bennes compa
8. l ex cution et du suivi des demandes 3 La direction du service tablit et tient jour les principes d action et les objectifs Elle est responsable d tablir le bilan annuel de la mise en application de la charte d entretien l intention de la Municipalit Les principes sp cifiques pour les parcs Le service applique un entretien cologique diff renci contribuant au r seau cologique urbain selon le manuel d entretien diff renci et les directives des sp cialistes du paysage et de la nature Cela se traduit par les actions principales suivantes e intervenir dans le respect des valeurs paysag res et historiques des espaces verts et dans le respect de la valeur d usage pour le public e renoncer l utilisation de produits phytosanitaires ou d engrais de synth se e laisser pousser la v g tation l o elle peut se d velopper sans mettre en p ril d autres fonctions e am liorer la visibilit et la coh rence des espaces fleuris en utilisant toute forme de fleurissement tout en diminuant la surface horticole traditionnelle totale e d velopper les connaissances et le recours aux plantes vivaces pour les massifs horticoles e utiliser en priorit les plantes issues de l tablissement horticole de la Ville de Lausanne e recourir la force de tonte animale partout o cela est possible et diminuer les interventions m canis es sur les surfaces herbeuses e laisser les arbres se d
9. l utilisation de ces espaces Il en r sulte d une part une perte de qualit ou une simple destruction des habitats par compactage des sols d au pi tinement apports de nitrates et autres polluants dus la pr sence de d chets d jections canines ou autres et d autre part une d sertion des esp ces qui ne sont pas m me de s adapter aux d rangements constants li s une forte pr sence humaine Divers moyens sont utilis s pour tenter de limiter la p n tration du public dans des milieux naturels ou semi naturels et cr er des zones de calme Il s agit g n ralement de mettre en place des obstacles naturels visant d courager le public p n trer une zone par exemple l aide de buissons denses ou pineux amoncellements de bois troncs etc La cr ation de telles zones demande souvent une cl ture temporaire afin de permettre la v g tation de prendre de l envergure sans quoi elle ne parvient pas pousser Ces moyens Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 7 fonctionnent g n ralement bien dans des lieux bois s dont la fr quentation n atteint pas son seuil de tol rance maximale comme c est le cas au Bourget en t par exemple L entretien cologique diff renci permet de cr er et maintenir des zones d volues la nature en adaptant de mani re fine l am nagement et l entretien des espaces verts selon l usage qui en est fait De ce fait des espaces naturels ou semi natur
10. le dispositif existant afin d am liorer la qualit de vie dans les parcs lausannois par des actions de pr vention de sensibilisation de r pression et en am liorant la coordination entre les diff rents services ainsi que l infrastructure des services de nettoyage La mise en uvre des l ments pr sent s dans ce pr avis doit permettre d impacter visiblement et positivement la propret des espaces verts Par ailleurs l optimisation des ressources permettra d en d gager en vue de remplir de nouvelles missions en lien avec la densification de la ville ou encore en faveur de la nature en ville tels que le suivi du patrimoine arbor les conseils aux cultivateurs de plantages la v g talisation des pieds d arbres les actions concert es avec des associations ou des habitants pour un verdissement de la Ville ou l entretien de toitures v g talis es Pour r pondre ces nouvelles missions un responsable du patrimoine arbor a d ailleurs t d sign au 1 f vrier 2015 afin de r pondre cet enjeu capital d un point de vue s curitaire et environnemental Des collaborateurs seront affect s des t ches sp cifiques de conseils nature aux habitants de mise en uvre des mesures destin es renforcer la biodiversit et de mesures destin es am liorer la propret de certains espaces verts Les pieds d arbre notamment feront l objet d une attention particuli re tant certains sont syst matiquement jo
11. vidanges passage hebdomadaire au lieu de passages quotidiens voire biquotidiens La faible utilisation souterraine des parcs par les r seaux eau lectricit fibre optique chauffage distance gaz permet l implantation de poubelles enterr es en de nombreux lieux Dans les endroits inaccessibles au v hicule de vidange il est pr vu d installer des poubelles de type requin offrant un volume trois fois sup rieur celui des corbeilles grillag es Le co t moyen d une poubelle enterr e est de 4000 francs l unit L tude men e montre que 200 poubelles enterr es permettraient de couvrir l essentiel des besoins ce montant il faut ajouter 2 000 francs pi ce pour la pose Le montant total correspondant la fourniture et la mise en place des ces poubelles s l ve donc 1 200 000 francs 12 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Le co t des poubelles requin est de 2 500 francs pi ce ce montant il faut ajouter un montant de 800 francs pi ce pour la pose Les 100 unit s destin es compl ter le dispositif des poubelles enterr es co teront 330 000 francs pose comprise La pose de ces nouvelles poubelles se ferait sur plusieurs ann es d ici 2018 La localisation des nouvelles poubelles se fera en concertation avec le Service des routes et de la mobilit Il s agit de se doter d un volume suffisant pour accueillir les d chets dans les parcs tout en vitant la mul
12. 10 R capitulatif aneneen nnn EE E EEE EEEE EN EE A en E ne 15 11 CONCUSSIONS enere A n aE O E AEE RTE O A O E E A er E EU 16 Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 3 3 Pr ambule Le concept de qualit de vie dans les parcs tel qu expos dans le pr sent pr avis doit permettre la Ville de disposer ainsi d un dispositif coh rent constitu non seulement de mesures r glementaires et organisationnelles mais aussi de mesures pr ventives et dissuasives ax es sur une offre plus ad quate de mesures structurelles plus sp cifiquement des mesures m me d influer sur le comportement de certains usagers des espaces publics 4 Etat de la situation Les espaces verts lausannois mis la disposition du public voient se regrouper tout au long de l ann e et particuli rement en p riode estivale de nombreux usagers occupant divers titres ces lieux privil gi s S il est essentiel que la Ville offre des espaces de d lassement de rencontre pour ses habitants et des ressources naturelles pour un d veloppement harmonieux de la faune et la flore l usage accru des espaces verts de la ville n cessite la mise en place de nouvelles r ponses pour garantir la r ussite de ces enjeux L augmentation de la fr quentation des espaces verts de la ville depuis quelques ann es g n re principalement les probl matiques suivantes augmentation des d chets et d pr dations augmentation des d bordements lors de l
13. Direction des finances et du patrimoine vert Direction des travaux Direction du logement et de la s curit publique Qualit de vie dans les parcs lausannois Pr avis N 2015 32 Lausanne le 30 avril 2015 Monsieur le pr sident Mesdames et Messieurs 1 Objet du pr avis En raison de leur succ s depuis quelques ann es les espaces verts subissent une pression grandissante de la part des usagers ainsi que de nombreuses d gradations La Municipalit a d j mis en uvre plusieurs mesures pour pr server la qualit de vie dans les espaces verts de la ville et compte au travers du pr sent pr avis pouvoir renforcer significativement celles d j prises dans l objectif de garantir la propret un usage adapt et la qualit cologique des parcs lausannois La Municipalit tient ainsi pr senter au Conseil communal un concept global permettant d assurer la qualit de vie dans les espaces verts lausannois Ce concept s articule autour de trois axes principaux savoir un entretien et un nettoyage renforc s l introduction de r gles d usage ainsi qu une mise en place accrue de l entretien cologique Les mesures d am lioration de la propret des parcs passent par une m canisation et modernisation de l infrastructure de collecte de d chets Pour ce faire la Municipalit sollicite aupr s du Conseil communal un cr dit d investissement du patrimoine administratif de 2 500 000 francs afin de perme
14. ctrices Pr sent pr avis Communication Action cheval urbain rives du lac puis au centre ville Chaque t Mise en ligne d une page web interactive pour signaler les incivilit s Mai 2015 Invitation publique pour une journ e de ramassage Chaque t Exposition au forum de l H tel de Ville 2013 11 Conclusions Fond e sur ce qui pr c de la Municipalit vous prie Monsieur le pr sident Mesdames et Messieurs de bien vouloir voter les conclusions suivantes ou le rapport de la commission nomm e pour examiner cette affaire Le Conseil communal de Lausanne vu le pr avis N 2015 32 de la Municipalit du 30 avril 2015 consid rant que cet objet a t port l ordre du jour Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 17 d cide de prendre acte du concept de la Municipalit de Qualit de vie dans les parcs lausannois d allouer la Municipalit un cr dit d investissement du patrimoine administratif de 2 500 000 francs pour couvrir les frais d acquisition et d installation du mat riel et des machines d autoriser la Municipalit enregistrer les charges d int r ts et d amortissement y relatives respectivement sous les rubriques 6601 390 et 6601 331 du budget de la Direction des finances et du patrimoine vert Service des parcs et domaines Au nom de la Municipalit Le syndic Daniel Br laz Le secr
15. els m me r siduels peuvent tre mise en place en faveur de la faune et de la flore parfois m me de mani re saisonni re par exemple des prairies de fauche qui sont tondues apr s la premi re coupe de juin ou juillet 5 Actions men es et en cours 5 1 Collaborations pluridisciplinaires et interservices Les observatoires de la s curit et de la propret r unissent les services en charge de la s curit et de la propret de l espace public Pilot s par un membre de la Municipalit ces observatoires veillent assurer la coordination entre les services de l administration touch s de pr s ou de loin par les th mes abord s tant sur les questions de nettoyage que de s curit Les contacts r guliers entre les diff rents services en charge de l entretien de l espace public ont permis de d velopper des actions et r flexions communes Il en va de m me avec le Corps de police lorsqu il s agit de g rer les diff rentes incivilit s L ensemble de ces collaborations fructueuses permettent de d velopper des synergies int ressantes et la coordination qui en d coule garantit une efficience accrue des moyens engag s 5 2 Actions sp cifiques de nettoyage et communication Pour mener bien des actions sp cifique de nettoyage des collaborations ont t conclues entre la Ville et l Etablissement vaudois d accueil des migrants EVAM depuis 2011 ainsi qu avec Diverscit s programme de r insertion socioprof
16. essionnel pour les emplois temporaires subventionn s Ces partenariats permettent d am liorer la propret des places de jeux en nettoyant les tags ou encore en ramassant les d tritus en tous genres La collaboration avec PEVAM s est intensifi e ces derni res ann es et ce sont parfois plus de 20 migrants qui sont employ s dans diverses actions de nettoyage Cette collaboration permet de r aliser des t ches suppl mentaires de nettoyage et d am liorer la qualit de l entretien de base tout en offrant des migrants souffrant souvent de d s uvrement la possibilit de faire un premier pas dans le monde du travail de leur pays d accueil Les retours des migrants et du public sont tr s encourageants nombre de personnes tant sensibles l investissement des migrants engag s dans ces travaux Tant la Municipalit que l EVAM pour leurs int r ts respectifs tiennent maintenir voire renforcer cette collaboration fructueuse Plusieurs actions de communication ont t entreprises par la Ville pour sensibiliser le public la question des d chets En plus de la campagne d accompagnement de l introduction de la taxe d chets plus sp cifiquement par rapport aux enjeux li s aux espaces verts une exposition au forum de l H tel de Ville a t organis e la fin 2013 en collaboration avec les services partenaires en charge de l espace public Par ailleurs une action cheval urbain de ramassage des d chets a
17. exploitation des nouveaux v hicules sera pris en charge par le budget de fonctionnement 10 R capitulatif Le tableau ci dessous pr sente de mani re sch matique les mesures d j mises en uvre et celles propos es en vue d am liorer la qualit de vie dans les parcs lausannois TYPE DE MESURE DISPOSITIONS ACTIONS TIMING Mesure r glementaires R glement g n ral de En vigueur police de la commune de Lausanne RGP Dispositions r glementaires Mai 2015 des espaces verts de la Commune de Lausanne DREV Loi sur les amendes d ordre A venir mesure communale LAOC cantonale Mesures Observatoire de la s curit Assurer la coordination entre Existants organisationnelles ObNaoe del propiet les services de l administration touch s de pr s ou de loin par les probl matiques de la s curit et de la propret Assermentation de 18 2014 collaborateurs du SPADOM 2014 Mise en place des Comportements des Septembre 2015 correspondants de nuit SIP noctambules dans les parcs Assurer la vidange des poubelles enterr es Transfert de 1 poste de SPADOM RM 1 octobre 2015 Am lioration de la Transfert d un EPT au CP avec Courant 2015 collaboration entre le charge de fournir une SPADOM et le Corps de prestation contractuelle police CP quivalente dans les parcs publics Mise en application de la Toutes les descriptions de Mars 2014 charte d entretien des postes
18. ives l entr e en vigueur de cette taxe au 1 janvier 2013 sur les poubelles de rue par une forte augmentation venir des volumes collecter Le graphique ci dessous pr sente de fa on explicite l augmentation du poids des d chets depuis l introduction de la taxe au sac Poids en kg collect s dans les corbeilles de rue 59420 63980 62 560 61 240 55 340 Cet MT 5330 5 52440 gt 71 ee 54 380 Th 53 Dos 54200 51 640 49 360 p e 61 800 pessera 46 190 46 840 ee 40 7 22080 43360 eT die e 37 630 37 920 37 680 48 980 37 100 33 749 35020 32 520 27 320 Septembre Novembre D cembre 12012 2013 2014 En parall le les heures de travail que les collaborateurs du Service des parcs et domaines SPADOM consacraient au nettoyage suivent cette m me volution Alors que pr s de 23 000 heures par an suffisaient au nettoyage des d chets et au balayage des chemins en 2002 ils y consacrent plus de 30 000 heures aujourd hui soit une augmentation de pr s de 30 du temps ceci sans compter la prise en charge de d pr dations diverses l Le littering a un co t Co t du nettoyage par fractions de d chets en Suisse OFEV 2011 Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 5 Evolution des heures de ramassage au cours des onze derni res ann es 35 000 30 000 25 000 20 000 15 000 n v Le 5 o T v i 2 zZ 10 000 5 000 Les parcs et promenades de la vi
19. l aide de balais et de pinces papiers Les collaborateurs accomplissent un travail long et fastidieux pour lequel salissures d jections seringues verres bris s et autres d chets divers constituent une source de d sagr ment voire de danger Aujourd hui le nettoyage des espaces confin s des cimeti res de la ville est aussi assur manuellement Seules les all es principales sont bross es par les grosses balayeuses De plus les corbeilles disposition du public pour les d chets v g taux ne permettent pas le tri qui doit se faire ensuite sur les ponts des v hicules collecteurs Une analyse men e par les responsables s curit la Ville confirme les probl matiques voqu es ci dessus Dans ses conclusions le rapport fait tat des difficult s li es la vidange des poubelles mentionnant les probl mes de poids de hauteur de d chargement et de salissures Il pr conise non seulement des mesures de protection individuelles mais aussi la m canisation du ramassage et la modification des contenants 6 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Derni rement quelques poubelles fosses enterr es dont le volume va de 600 1 000 litres ont t install es Elles sont vidang es par aspiration gr ce une balayeuse La promenade de Derri re Bourg a t quip e d un tel dispositif l occasion de sa r cente r novation et ceci l enti re satisfaction des services en charge de son entretien Co
20. lle sont dot s majoritairement de corbeilles grillag es d une contenance d environ 35 litres En maints endroits ces contenants se r v lent trop petits au vu de la fr quentation toujours plus intensive des parcs de l utilisation importante d emballages et de l entr e en vigueur r cente de la taxe au sac Une premi re r ponse a t apport e en installant de nombreux f ts m talliques de 200 litres Leur nombre s l ve pr sent environ 1 000 r partis dans tous les parcs et promenades de la ville Par ailleurs des bennes d une contenance de 3 m ont t install es dans des lieux comme le parc du Bourget Actuellement le contenu des poubelles est vid la main sans assistance m canique A vide les corbeilles de m tal sont lourdes certaines p sent plus de 12 kg pour une contenance d peine 35 1 et leur maniement r p t induit une charge importante pour les collaborateurs Les f ts de 200 litres offrent un volume int ressant cependant la taille et le poids du sac qu ils contiennent les rendent difficiles manipuler Les jus de ces contenants souillent r guli rement les collaborateurs collectant les d chets De plus ces d chets doivent tre charg s sur les ponts de v hicules relativement hauts d passant ainsi les limites ergonomiques acceptables pour les collaborateurs du Service des parcs et domaines Concernant le nettoyage des d tritus jonchant le sol il se fait galement souvent la main
21. n mati re de pr vention et de vie nocturne auront aussi une action d terminante en mati re de propret et de tranquillit dans les espaces verts L valuation de leur action portera notamment sur la baisse du volume de d chets sauvages abandonn s par les noctambules 5 4 Moyens de mise en uvre d une politique d entretien cologique diff renci La Ville de Lausanne a introduit un concept d entretien de ses espaces verts d s l ann e 1990 Ce choix visait des objectifs la fois cologiques conomiques et esth tiques et r pondait la volont suivante occupons nous de nos pr cieux Jardins en laissant le plus possible faire la nature phrase tir e du manuel d entretien diff renci de la Ville de Lausanne Lors de cette l gislature l entretien diff renci a volu vers un entretien cologique diff renci La nuance r side prioritairement dans la volont d abandonner tout recours aux produits synth tiques engrais et herbicides d utiliser principalement des v g taux indig nes d intervenir aussi peu que n cessaire pour garantir une bonne valeur d usage et paysag re des espaces verts de favoriser autant que possible les structures v g tales naturelles et de lutter contre l envahissement des plantes n ophytes Ces principes d entretien cologique diff renci font partie des intentions municipales en mati re de nature en ville qui d coulent du rapport pr avis N 2012 11
22. ncernant les surfaces de nettoyage le Service des parcs et domaines a acquis il y a trois ans une machine tract e permettant de brosser des surfaces herbeuses et d aspirer les d chets Son utilisation essentiellement au Bourget et dans les parcs du bord du lac dessine des perspectives int ressantes et soulage grandement le travail fastidieux de nettoyage manuel de ces surfaces 4 2 Evolution des comportements des usagers des parcs publics L utilisation accrue ces derni res ann es des espaces verts de la ville est source potentielle de tensions entre les diff rents usagers de l espace public et des habitants C est notamment le cas lorsque des groupes de personnes occupent en soir e et bruyamment certains espaces verts souvent sous influence d alcool Ces comportements occasionnent d une part des d chets suppl mentaires et sont d autre part des sources de nuisances importantes pour les habitants qui se plaignent juste titre de ces diff rentes incivilit s Des actions de sensibilisation et de pr vention existent d j notamment via le r seau des travailleurs sociaux hors murs ou encore seront renforc es prochainement par la cr ation d quipes SIP s curit intervention pr vention suite l adoption par le Conseil communal du rapport pr avis N 2014 79 Toutefois lorsque les actions de sensibilisation et de pr vention ne suffisent plus viter de constantes et souvent importantes d gradations les
23. nch s de d chets en tout genre Ces postes et ces nouvelles missions seront assum s sans augmentation d effectif mais par une r affectation des ressources humaines cons cutives l am lioration des moyens de nettoyage des espaces verts et aux effets des actions de pr vention de sensibilisation et de r pression 8 Mise en uvre Les nouvelles dispositions entreront en vigueur au printemps 2015 la charte a t adopt e par la Municipalit en janvier 2015 et est formellement int gr e la description de poste des collaborateurs concern s Des nouveaux grills communautaires de grande dimension vont tre install s Vidy au mois de mai afin de compenser l interdiction d utilisation des grills jetables Il est pr vu de r partir l acquisition du mat riel pr sent dans ce pr avis sur une p riode de 3 4 ans ce qui permettra d installer de mani re optimale ces contenants et d effectuer les adaptations n cessaires de l organisation au fur et mesure En premier lieu il est pr vu d quiper les parcs du centre ville parcs Montbenon Mon Repos ainsi que divers parcs et espaces de plus petite dimension puis le parc de Valency la place de Milan et de nombreux autres parcs de quartier ainsi que l ensemble de la zone du bord du lac Les machines seront achet es dans les meilleurs d lais les besoins tant clairement d finis Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 Cette d pense est p
24. possibilit s de passage un stade plus r pressif est n cessaire et doit permettre d viter le renouvellement de telles situations Un autre fl au assez r cent est le grill jetable Largement r pandu pour son utilisation tr s simple il est souvent pos m me le gazon ou le mobilier ce qui occasionne d importants et co teux d g ts Les dispositions du r glement g n ral de police de la commune de Lausanne RGP permettent d j au Corps de police de d noncer les infractions constat es aupr s de la Commission de police Bien qu il soit un outil l gal pr cieux le RGP demeure toutefois trop g n rique s agissant des espaces verts qui n cessitent une approche r glementaire plus sp cifique au regard de leurs particularit s et des diverses activit s parfois uniques qui s y d roulent 4 3 Pression sur les ressources naturelles des parcs de la Ville Le nombre croissant d usagers dans les parcs implique non seulement une pression sur les espaces d volus au public gazon pelouse abords de places de jeux mais galement sur les espaces caract re plus naturels sous bois zones buissonnantes for t prairies etc Ces espaces repr sentent des habitats essentiels pour la faune et la flore lausannoise dont la pr sence est garante de la qualit de vie en ville Malheureusement cette fonction est mise parfois en p ril par une comp tition croissante entre l humain les esp ces animales et v g tales pour
25. propri les collaboratrices et collaborateurs en charge des espaces verts veillent offrir aux habitants et visiteurs de la ville un environnement de bonne qualit paysag re et valeur d usage naturel propre et s curis Cet entretien appropri se traduit par un certain nombre de principes d action e Principes d action Les principes g n raux communs l entretien de tous les espaces verts 1 Les collaboratrices et collaborateurs en charge des espaces verts sont au service du public toutes leurs actions sont destin es assurer la mission ci dessus Les collaboratrices et collaborateurs contribuent par leurs actions et propositions permettre l atteinte des objectifs d entretien de la ville Elles ils relaient toute information ou demande des usagers leurs sup rieur e s hi rarchiques Elles ils communiquent font des propositions de communication afin d informer au mieux le public et d veloppent des v nements pour encourager celui ci participer aux travaux d entretien 2 Dans les domaines de la s curit et de la salubrit les mesures sont prises imm diatement par les collaboratrices et collaborateurs ou des demandes aux structures sp cialis es sont tablies sans d lai Les collaboratrices et collaborateurs informent leurs sup rieur e s hi rarchique des mesures prises afin qu elles ils puissent tenir jour les tableaux de contr le Les chefs d entit sont responsables du contr le de
26. ques et la gestion des d chets Ces nouvelles dispositions permettent d organiser au mieux l usage des espaces verts et de cadrer leur utilisation par le public notamment en e formalisant le tri des d chets e permettant la Municipalit des restrictions lors d v nements particuliers permettant la Municipalit des restrictions en mati re de consommation d alcool et de diffusion de musique limit es dans le temps et l espace d finissant les mesures de protection de la faune et de la flore instaurant des sanctions pour l usage pr judiciable des grills jetables r glementant l usage du slackline donnant de nouvelles comp tences d intervention aux collaborateurs du SPADOM Prescriptions pr pond rantes Titre ou article Sujet Nature de la cr ation Titre I art 2 Espaces verts D finitions Titre I art 3 Comp tences D signation des intervenants d intervention Titre II art 6 R gles de D finitions des agissements prohib s comportement Titre II art 7 Protection de la faune Idem et de la flore Titre II art 9 et 11 Pique niques D finition des r gles de comportement y compris dans le domaine de l utilisation des grills jetables et des d chets Titre II art 13 Slackline Prescriptions devant tre respect es dans la pratique de cette activit p riodicit mat riel arbres Cette nouvelle base r glementaire s
27. r s par le littering dans les communes et les transports publics en Suisse se sont lev s 192 millions de francs en 2010 dont 75 soit 144 millions de francs la charge des communes Dans les communes plus de 50 des co ts de nettoyage imputables au littering 77 millions de francs sont dus aux emballages de repas et de boissons et aux autres accessoires de restauration emporter serviettes en papier gobelets en plastique etc S y ajoute le ramassage des m gots sur les surfaces naturelles 4 Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 pelouse gravier copeaux de bois haies pav s qui constitue une part importante des co ts avec 36 53 millions de francs Depuis l introduction de la taxe au sac en 2013 la Ville de Lausanne voit r guli rement ses poubelles publiques absorber de d chets domestiques avec une augmentation du volume des d chets d environ 50 voire 100 en certains lieux en 2013 et 2014 Pour contrer le ph nom ne les services en charge de l entretien de l espace public ont notamment d intensifier les contr les et poser des plaques r ductrices sur les corbeilles de rue Si la situation est actuellement stabilis e aucune diminution n est encore constat e Le rapport pr avis N 2012 24 li l introduction de la taxe au sac Plan directeur de Gestion des D chets R glement communal sur la Gestion des D chets avait d ailleurs clairement identifi les r percussions cons cut
28. r vue dans le plan des investissements initialement pour 4 ans de 2015 2018 pour un 9 1 9 Aspects financiers Plan des investissements montant de 2 500 000 francs L chelonnement des d penses se r sume dans le tableau ci dessous en milliers de CHF 2015 2016 2017 2018 Total D penses d investissements 880 620 500 500 2500 Recettes d investissements 0 Total net 830 620 500 500 2500 9 1 1 Charges d int r ts Calcul s sur la base d un taux d int r t moyen de 2 75 les int r ts th oriques moyens d velopp s par le y q y ppes p pr sent pr avis s l vent 37800 francs par ann e compter de l ann e 2016 Sur la base de la dur e d amortissement retenue soit 10 ans les charges d amortissement s l vent 250 000 9 2 francs par ann e compter de l ann e 2016 Charges d amortissements 9 3 Charges d exploitation 2016 2017 2018 2019 2020 2021 Total Personnel suppl en 0 0 EPT en milliers de CHEF Charges de personnel 0 0 Charges d exploitation 0 0 Charge d int r ts 37 8 37 8 37 8 37 8 37 8 37 8 226 8 Amortissement 250 0 250 0 250 0 250 0 250 0 250 0 1 500 0 Total charges suppl 287 8 287 8 287 8 287 8 287 8 287 8 1726 8 Diminution de charges 0 0 Revenus 0 0 Total net 287 8 287 8 287 8 287 8 287 8 287 8 1726 8 Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 15 Le co t d
29. s de r colte et p nibilit du travail 3 4 2 Evolution des comportements des usagers des parcs publics 6 4 3 Pression sur les ressources naturelles des parcs de la Ville 6 5 ACtonsmen es et COURS fers laut aa tn nt nm nt cdi EAEE 7 5 1 Collaborations pluridisciplinaires et interservices 7 5 2 Actions sp cifiques de nettoyage et COMMUNICATION rene 7 5 3 Nouvelles dispositions r glementaires ss 8 5 4 Moyens de mise en uvre d une politique d entretien cologique diff renci ssssenseseseese0see 9 5 5 Charte d entretien des espaces verts 9 6 Am lioration de l infrastructure des moyens de collecte des d chets esseeeeeseseeeseeesssesrsrreresesresesssss 11 6 1 Nouvell s poubelles 8eme fete dote ne rt een tete ln 11 6 2 Moyens m caniques et outillag 2ses sn itenati aiee tn nent test 12 6 3 R capitulatif des contenants et moyens m caniques 12 1 B n nices rnan tennis rite tte ie Ro na en Te An Men ie 13 Mise en EUV orein dei E ne ne E N AE TEE E E EE at tnt tree 13 9 Aspects TINANCIETS 5 aei E Ta NEE E TE E E EENE TO E EEE E EE ane tente E ESA 14 9 1 Plan des INVestiSSeMentS 56 areo a E EE ER ER A ES ER E E A ES SE 14 92 Charges d int r ts anng r ea a a a E a A a aia 14 9 3 Charges d amortissemMEntS esenee ea a dette tie a LEA 14 9 4 Charges d EXDIOHATION sprint panee Erene REEE etait REET EEEE EREKE PE E SNEEN EEN r i 14
30. si qu un v hicule tracteur Co t 150 000 francs trois aspirateurs type gloutons de petite dimension actionn s la main et destin s nettoyer les espaces r siduels des espaces verts Co t 80 000 francs une balayeuse de petite dimension pour le nettoyage m canis des surfaces en dur Co t 180 000 francs deux bennes compactrices en vue de minimiser les d placements l usine d incin ration Co t 80 000 francs un syst me de ramassage des d chets des cimeti res Co t 280 000 francs comprenant outre les 100 000 francs pour les corbeilles grillag es e un porte outils compact avec benne d aspiration brosse et nettoyeur haute pression 155 000 francs e un syst me remorqu de relevage des contenants d chets 25 000 francs 6 3 R capitulatif des contenants et moyens m caniques Les acquisitions pour permettre de se doter de moyens performants pour assurer le nettoyage des tous les espaces verts de la ville sont les suivantes Poubelles enterr es 1 200 000 francs Poubelles requin 330 000 francs Pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 13 V hicule aspirateur RM 200 000 francs Brosse et tracteur 150 000 francs Aspirateurs trois pi ces 80 000 francs Balayeuse troite 180 000 francs Bennes compactrices deux pi ces 80 000 francs Syst me de ramassage cimeti res 280 000 francs TOTAL 2 500 000 francs 7 B n fices Le pr sent pr avis permet de compl ter
31. taire Sylvain Jaquenoud
32. tiplication des postes de collecte Les services en charge de la propret de l espace public coordonnent leurs actions afin d liminer les doublons et d optimiser la collecte des poubelles en place et l allocation des ressources notamment celles qui avaient t octroy es par le Conseil communal la Municipalit par le biais du pr avis N 2005 76 Entretien 2006 De plus il est pr vu de transf rer un EPT du Service des parcs et domaines au Service des routes et de la mobilit RM pour permettre d assurer la vidange des poubelles enterr es Concernant les cimeti res il est pr vu d acqu rir 140 bennes grillag es de 800 x 800 mm destin es permettre le tri des d chets et qui sont adapt es une vidange enti rement m canis e pour un co t de 100 000 francs 6 2 Moyens m caniques et outillage Il est propos d acqu rir les moyens m caniques permettant de vidanger les poubelles et de nettoyer les surfaces vertes et exigu s des parcs savoir un v hicule dot d un aspirateur permettant la vidange des 200 poubelles enterr es dans l espace public Ce v hicule doit permettre la vidange hebdomadaire de l entier des contenants et sera acquis pour le compte du Service des routes et de la mobilit Co t 200 000 francs une brosse tract e permettant d aspirer efficacement les d chets pr sents dans le gazon l exemple de celle dont est dot e l quipe en charge de l entretien du parc Bourget ain
33. ttre l adaptation d ici 2018 des moyens de nettoyage augmentation des contenants m canisation du travail de collecte m canisation du nettoyage des surfaces etc Les mesures accrues de s curit dans les espaces verts d coulent de l adoption par la Municipalit de nouvelles dispositions r glementaires fond es sur le r glement g n ral de police Elles doivent permettre une action plus efficace du Corps de police avec notamment la possibilit ponctuelle limit e dans le temps et l espace pour la Municipalit de r guler la diffusion de musique ou encore la consommation d alcoo Un renforcement de la collaboration du Service des parcs et domaines et du Corps de police est galement pr vu convention de collaboration Enfin ce pr avis d crit les mesures internes prises en vue d une syst matisation de l entretien cologique des espaces verts Une charte d entretien des espaces verts doit garantir l avenir la r alisation des objectifs pr cit s propret s curit et nature dans les espaces verts de la ville Rapport pr avis N 2015 32 du 30 avril 2015 2 Table des mati res t Objet du pr avis send n A int Ie A E nn tune 1 2 Tabledes mati res rtean re a peene eee er aee r aaeeea Aa loue ns Ne An rer EE eeraa ia 2 3 Pr ambule encina AE E E E E NEEE AEE EA EA E EEEE EAS 3 4 Etat de la Situations st a a e e a E E et R E E E rte Sida 3 4 1 Evolution des volumes de d chets moyen
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