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Industries de la machinerie (sauf électrique) au Québec

1. aea UUO Bruit vibrations Lame Arbre Exposition aux poussi res Sciage du bois de bois 285 ASSEMBLAGE L assemblage constitue la derni re activit du processus de pro duction Toutes les pi ces fabriqu es et usin es convergent en un 4 seul lieu pour le montage et l assemblage de la machine Par la suite la machine assembl e est pr te pour l exp dition Les risques pour la s curit et la sant concernant l op ration d assemblage sont en grande partie reli s des op rations d j 1 ma pr sent es telles la manutention manuelle et m canique et 1 outil lage portatif Toutefois certaines particularit s associ es l assemblage m ri tent une valuation des risques pour la s curit et la sant Il faut tenir compte de trois facteurs importants gt La dimension de la machine assembler Une machine pour les entreprises de p tes et papier doit tre assembl e en hauteur IL faut donc placer des chafaudages et utiliser des ponts roulants pour monter ce type de machine Pour d autres machines telles que les machines coudre et les machines d imprimerie le travail ne se fait pas en hauteur gt Installation des machines dans les entreprises clientes Les entreprises du secteur particuli rement celles du gous secteur des engins lourds assemblent la machine par module puis elles font l installation finale dans l entreprise cl
2. PREMI RE PARTIE CARACT RISTIQUES SOCI0 CONOMIQUES Dans la premi re partie nous verrons globalement les principales activit s du secteur des industries de la machinerie sauf lec trique au Qu bec et nous dresserons un portrait de celui ci sur le plan de la sant et de la s curit du travail C est ainsi que nous analyserons dans le premier chapitre la nature du secteur son origine son volution et sa situation actuelle Dans le deuxi me il sera question du nombre et de la taille des tablissements Dans le troisi me chapitre nous traiterons de la main d oeuvre La technique d analyse utilis e est relativement simple En effet elle repose sur une tude descriptive et statistique des principaux l ments relatifs cette industrie Les donn es brutes de certains tableaux feront l objet d analyses descriptives et explicatives Certaines de ces donn es serviront de base des tudes statistiques moins descriptives La principale source de renseignements utilis e dans ces trois chapitres est Statistique Canada On trouvera dans le glossaire pr sent en annexe au Chapitre 3 une d finition exhaustive des diff rents termes uti lis s dans les tableaux Enfin dans le quatri me chapitre nous pr senterons les interve nants appel s jouer d une fa on ou d une autre un r le en mati re de sant et de s curit du travail Nous mettrons alors l accent sur l historique les acti
3. les dispositifs de commande de l l ment mobile doivent tre con us ou prot g s de mani re ce qu ils ne puissent provoquer accidentellement 1a mise en marche de l l ment mobile utili ser des boutons de commande noy s des p dales prot g es par un carter par exemple Heurts avec les parties en mouvement tenir l op rateur loign des bielles de l outil sup rieur du serre flan et des parties amovibles crasement par basculement du b ti utiliser un verrouillage de larges dimensions et un v rin vis irr versible lectrocution en fonctionnement normal les installations lectriques doivent tre conformes aux pres criptions r glementaires durant le travail d entretien ou de r paration de la machine on doit arr ter le moteur avant de commencer les travaux verrouil ler ou cadenasser les dispositifs de d marrage ou de commande pour emp cher toute mise en marche accidentelle Cisaiiles Mesures sp cifiques de pr vention _ a Sectionnement d une main par la lame du c t avant de la machine des crans situ s devant la lame doivent interdire l acc s des doigts la lame 337 i y i 1 Mesures sp cifiques de pr vention Sora ee ces crans peuvent tre constitu s de t le perfor e ou de bar reaux suffisamment rigides les encoches ent
4. 8 e 9 31111 31211 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 31995 TOTAL R PARTITION DES CAS D INCAPACIT PERMANENTE DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Unit quipement agricole R frig ration Convoyeurs V rins hy drauliques G n rateurs Machines outils Filtres air Machines coudre quipement industriel R paration 174 28 19 32 31 388 20 540 65 5 TABLEAU 42 SELON LE TAUX ET L UNIT 143 181 21 9 Taux d incapacit 10 0 19 9 60 76 9 2 20 0 Total Propor et plus 21 28 3 4 20 37 24 53 40 612 28 825 100 0 tion 5 2 4 0 2 4 5 2 9 6 4 4 9 0 5 0 6 74 2 3 4 100 0 Taux moyen 4 5 36 TABLEAU 43 R PARTITION DES MALADIES PROFESSIONNELLES SELON LA NATURE DE LA MALADIE ET L UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE Untt 31942 G n rateurs 31991 Hachines vutils 31994 quipement ndus triel Autres unit s TOTAL x 1980 1983 Nature de la maladie professionnelle Derma Lntoxi Pneumo Surdit Syst me Autres Non tose cation coniose musculos patho cod es squelet logies tique 0 0 0 6 6 0 0 3 4 2 10 14 12 1
5. ig Source Statistique Canada n08 de catalogue Source Statistique Canada n 8 de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1975 1982 national et provincial 1975 1982 E 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1930 8 1945 et 1955 1970 Qu bec 1930 1945 et 1955 1970 Industrie manufacturi re du Canada par province Vol 2 1950 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province 31 209 Vol 2 1950 Employ s de l administration employ s de bureau et autre Employ s de l administration employ s de bureau et autre personnel hors fabrication personnel hors fabrication LE Estimation k Estimation 67 66 Les donn es respectives des salaires moyens pour le total des industries manufacturi res en 1982 s tablissaient 18 538 5 et 26 814 Les salaires la production talent donc plus lev s dans le secteur machinerie Une derni re observation concernant l volution du salaire moyen au Qu bec en Ontario et au Canada entre 1950 et 1982 Nous posons tout d abord l indice Qu bec 100 qui nous servira de barom tre dans l valuation de leur progression respective Ainsi en 1950 alors que l indice du salaire moyen la produc tion tait de 100 au Qu bec il s levait 101 7 en Ontario e
6. annuelle 2 10 7 7 0 21 9 13 9 7 6 10 3 11 3 19 8 41 5 8 5 6 6 10 7 Canada 811 lers de 509 950 585 216 662 869 816 389 956 7BU 1 021 958 114 191 1 258 896 1 506 715 1 763 280 1 951 133 1 827 648 Variation anncelle X 16 8 13 3 23 2 17 2 6 8 9 0 11 0 19 7 17 0 10 1 5 3 12 6 Sei 2 C Conf Ident iel Source Statistique Canada n de catalogue 41 209 Induatrle manufncturl re du Canada Niveaux nations et provinclal 1920 1982 1 lon 5 Pas normes La hausse annuelle moyenne au tableau 17 est gale 13 4 au Qu bec et 10 7 Z en Ontario ce qui est semblable celles du tableau 15 13 8 au Qu bec et 10 6 en Ontario Nous avons vu que cette diff rence entre le Qu bec et l Ontario pour ces derni res donn es correspond lorsque nous les jumelons avec le nombre d employ s la production une augmentation du salaire moyen au Qu bec de 12 9 Sup rieure celle de l Ontario Un exercice semblable Pour les autres employ s nous am ne cons tater que la diff rence de l augmentation entre les deux provinces n est plus que 2 3 5 toujours plus lev e au Qu bec Ainsi donc les similitudes entre les variations moyennes tablies pour le salaire la Production et pour les Salaires et traitements l activit totale ne sont qu apparentes et ne refl tent pas l vo lution r elle des
7. Br lures aux yeux par la chaleur Radiations mission de radiations ultraviolettes provoquant un malaise aux yeux eye flash Risques collectifs Les op rations de soudage et de d coupage constituent un risque pour 168 autres ouvriers travaillant proximit des postes de soudage 270 mm Risques pour la s curit reli s au soudage au plasma Les risques pour la s curit et les mesures de Pr vention qui y sont reli es sont similaires ceux pr sent s pour soudage au MIG au TIG et l lectrode enrob e Toutefois le soudage au plasma comporte des dangers plus lev s comparativement avec d autres types de soudage temp rature plus lev e radiation plus grande et sur un spectre plus large soudage de pr cision etc Risques Re lectrocution Risque d un choc lectrique par 1 400 volts arc plasma qui peut atteindre Br lures Br lures provoqu es par l arc haute fr quence Radiations missions possibles de rayons ultraviolets de rayons X de rayons infrarouges qui affectent l oeil et 1a peau Risques pour la s curit reli s au soudage l arc submerg Les risques reli s A ce type de soudage sont similaires ceux pr sent s pour le Soudage au TIG au MIG et l lectrode enrob e Toutefois cette op ration comporte Certains risques particuliers 271 RATE A
8. s ae Ph sn pre ne sm ere ide Aa 2 Mesures sp cifiques de pr vention maeaea quiper de flammes pilotes toutes les ouvertures des g n rateurs et des fours contr ler en continu la temp rature des fours et installer des dispositifs d alarme munir les fours de purges d azote d clenchement automatique en cas d anomalie de fonctionnement pr voir des consignes d taill es relatives aux proc dures de mise en route et d arr t des g n rateurs d atmosph res et des fours Explosions li es 13 mise en oeuvre de bains de sels pour viter les surchauffes installer des dispositifs de contr le et de r gulation de 18 temp rature pr voir une alarme et une coupure du chauffage 530 C pour des bains de nitrates utiliser des volumes de bains adapt s la quantit de pi ces traiter proc der r guli rement l limination des crasses Pour viter les m langes identifier clairement le contenu des diff rents creusets ne traiter que des pi ces propres n utiliser que des accessoires propres contr ler la teneur en cyanures des bains pr c dant les bains de nitrates 350 _ 92 sm Mesures sp cifiques de pr vention TT lectrocution li e la d gradation des isolements lectr
9. ALLCOTT G A Powered Hand Tools Morgantown Virg NIOSH and TOOLS ASSOCIATION PARITAIRE DE PR VENTION POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC La peinture au pistolet et ses risques Montr al APPSST 1981 20 p BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL Encyclopaedia of Occupational Health and Safety Vol 1 et 2 Gen ve BIT 1983 1176 p et 1361 p BURGESS William Recognition of Health Hazards in Industry Rewiew of Materials and Processes New York John Wiley amp Sons 1981 275 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL La commande de machines outils une application de la politique de pr vention Bruxelles CGPT 1983 79 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL S curit et hy gi ne dans l industrie du m tal vade mecum 2 d Bruxelles CGPT 1980 129 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL Travail en s cu rit sur les machines bois cam agne de s curit et d hygi ne dans les industries du bois 1975 1976 Bruxelles CGPT 1975 _ es ou bols _ 1975 1976 48 p 0 COMMISSION DE L EMPLOI ET DE L IMMIGRATION DU CANADA Machiniste Hull Centre d dition du gouvernement du Canada 1978 143 pe COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL quipement de transport au Qu bec Monographie sectorielle Montr al CSST 1984 285 p DUPONT DE
10. Le groupe industriel de la machinerie sauf lectrique se compose d tablissements dont l activit principale consiste produire une grande vari t de machines et d outils destin s aux indus tries tant canadiennes qu trang res des ressources de la transformation de la fabrication et des services Ce secteur comprend trois principaux sous secteurs 2 l industrie des instru ments aratoires l industrie du mat riel commercial de r frig ra tion et de climatisation et l industrie de la machinerie et de l quipement Industrie des instruments aratoires L industrie des instruments aratolres regroupe les tablissements dont l activit principale est la fabrication du mat riel agri cole incluant les tracteurs de ferme Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisa tion Entrent dans cette cat gorie les fabricants de mat riel commer cial lectrique ou non les fabricants de groupes autonomes de Climatisation sauf les climatiseurs d appartements de mat riel et de pi ces de climatisation pour installation dans des syst mes de climatisation particuliers ou incorpor s de m me que les fabri cants de rafrafchissements autonomes de tours de r frig ration et de pompes chaleur Industrie de la machinerie et de l quipement Ce sous secteur est lui m me subdivis en sept entit s diff rentes e Industrie des compresseurs des pompes et des ventilateurs Nous y trouvons les
11. ces t ches soit qualifi et tr s bien inform du fonctionnement de la machine et des risques possi bles En cons quence les presses devraient tre install es command es et prot g es de sorte que les op rateurs ne puissent de leur poste de travail atteindre m me volontairement les organes de travail en mouvement qui repr sentent la zone dangereuse Les principaux dispositifs de protection visant interdire l acc s 8 zone dangereuse sont les suivants commande double main qui occupe les mains de l op rateur pen dant la phase dangereuse cran grillag qui verrouille l embrayage en relevant l cran on lib re la commande d embrayage et tant que l on appuie sur la commande d embrayage l cran ne peut tre baiss cran palpeur la commande d embrayage actionne en premier lieu la descente de l crau palpeur si celui ci n a rencontr aucun obstacle alors la presse s actionne automatiquement chasse corps une barre horizontale situ e hauteur de la ceinture maintient l op rateur loign pendant la descente de la pi ce mobile de la presse dispositifs d alimentation et d injection automatique ou dis tance des pi ces travailler qui limine ainsi la n cessit d approcher les mains dans la zone dangereuse chasse mains dispositif bracelet qui retient les mains hors de la zone dangereuse lors de la descente de l l ment mobile cellules photo lect
12. charge psycho sociologique initiative frein e horaire trop d heures de travail ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES L Association paritaire pour la sant et 18 s curit du travail du secteur fabrication d quipement de transport et de machines a t mise sur pied en 1985 Elle exerce des fonctions d aide technique et professionnelle donne des services de formation d informa tion de recherche et de conseil en mati re de sant et de s cu rit du travail Le service de recherche et documentation offre divers services centre de documentation inventaire des tablissements du secteur inventaire des cours existants recherche de besoins en formation identification analyse solution des principaux dangers statistiques sur les l sions collaboration des tudes et des recherches Le service d information et de formation offre un bulletin organise des colloques ou des r unions offre un programme l intention des comit s de sant et de s curit des tablissements Le service d aide technique et de conseil fournit les services suivants formation et perfectionnement des comit s guides de pr vention particuliers avis sur les qualifications des inspecteurs de la CSST pr paration et suivi des programmes de pr vention projets pilotes d
13. l arri re de la cisaille avec des pi ces en mouvement les dispositifs de r glage de la but e arri re m canique doivent tre prot g s installer un plan inclin d vacuation des pi ces dans des bacs sur des chariots ou sur des bandes transporteuses pour viter qu un ouvrier soit amen s approcher des parties en mouvement l arri re de la cisaille but e Contact ou sectionnement par suite d introduction des mains dans la zone dangereuse du col de cygne les extr mit s de la lame dans la zone du col de cygne doivent tre prot g es soit par le b ti de la cisaille guillotine soit par des crans mobiles ou fixes permettant le cisaillage de t les qui d passent lat ralement Contact direct avec les organes en mouvement installer une barre de retenue de la bielle installer un dispositif de s curit contre 13 surcharge de la cisaille tenir l op rateur suffisamment loign des masses en mouvement par des crans et des carters de protection interdisant l acc s aux zones dangereuses interdire le port de v tements flottants et porter un bonnet de s curit attendre l arr t complet de la machine avant d ouvrir les ters interrupteurs d arr ts 339 Mesures sp cifiques de pr vention Mise en route intempestive ou arr t d urgence impossible le dispositif de commande doit permettre sans risque la mise en route et l arr t l acc s aux le
14. la machine doit tre raccord e l installation lectrique de l tablissement par l interm diaire d un contacteur auto ali ment le circuit de commande doit tre bien con u la s lection entre marche manuelle et marche automatique ne doit pr senter aucun risque de confusion l organe de commande manuelle de mise en marche doit tre con u et dispos de mani re ce qu il ne puisse tre actionn acci dentellement 324 A N a T Mesures sp cifiques de pr vention Acc s en hauteur pour les r glages fournir des escaliers des plates formes des passerelles et des garde corps Formation de film gras sur 16 801 par le d p t de grosses parti cules veiller installer un syst me de ventilation localis e sur la machine pour r duire 18 d huile source l mission de brouillards maintenir un bon entretien m nager des lieux Contact avec les particules contenant des additifs et des impu ret s installer une ventilation localis e pour r duire la source l mission de brouillards d huile renouveler fr quemment le lubrifiant choisir des proc d s qui n exposent pas syst matiquement les op rateurs au contact de l huile instaurer un programme de surveillance pour contr ler la concen tration d huile dans l air Contact avec l huile contenant des agents antiseptiques v rifier et maintenir au dossier la fiche de s curit sur le produit
15. nn aaa vaata amr araa a a ma a e Mesures sp cifiques de pr vention ne traiter que des pi ces ne pr sentant pas de cavit s d bou chantes porter des quipements de protection personnelle gants lunet tes tabliers et chaussures de s curit Br lures chimiques avec l utilisation de produits chimiques acides ou 81 611 5 pr voir un magasin d entreposage r serv uniquement pour ces produits porter des quipements de protection personnelle gants lu nettes tabliers et chaussures de s curit installer proximit des lieux d utilisation des moyens permet tant un lavage abondant douche lave yeux n entreposer dans l atelier que la quantit n cessaire au fonc tionnement normal de celui ci effectuer les op rations de pr l vement et de pr paration des solutions des postes de travail sp cialement am nag s cet usage Incendies li s aux bacs de trempe huile utiliser des huiles point d clair sup rieur d au moins 30 C la temp rature de travail installer un dispositif de contr le de la temp rature associ une alarme installer un dispositif de refroidissement adapt au volume des charges traiter doubler le dispositif automatique de descente deg charges s il existe par un dispositif manuel manoeuvrable distance 348 aa UOU
16. ou interdisant de poser l acte ou prescrivant de rem dier au d faut pour lequel il a t d clar coupable d une infraction 430 Communication de renseignements Lorsque pour l application de 13 partie IV du Code une personne est tenue de communiquer des renseignements le ministre du Tra vail peut en exiger la communication par un avis crit cet effet La personne vis e par l avis doit alors fournir les ren seignements requis dans le d lai raisonnable pr vu R glements Le gouverneur en conseil d tient le pouvoir g n ral d tablir des r glements et de prendre toute mesure pr vue express ment dans le Code de m me que toute autre mesure en vue de l application de la partie IV Des pouvoirs de r glementation sont entre autres express ment reconnus au gouverneur en conseil en ce qui concerne les comit s d hygi ne et de s curit et le repr sentant l hy gi ne et la s curit R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DU CODE CANADIEN DU TRAVAIL R glement du Canada 8 l hygi ne et la s curit du travail DORS 86 304 1986 120 Gaz can II 1105 En vigueur depuis mars 1986 le R glement du Canada sur l hygi ne et la s curit du travail regroupe un certain nombre de mati res qui auparavant faisaient l objet de r glements distincts Vu l importance de ce r glement nous en d crivons ici bri vement chacune des parties Partie I Cette partie contient les d finitions d limite
17. R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU D AUTRES LOIS R glement d application de la Loi sur 18 protection de la sant publique 8 0 1981 chap P 35 r 1 modifi par le d cret 2235 82 du 13 octobre 1982 par 16 d cret 975 83 du 18 mai 1983 par le d cret 1215 83 du 15 juin 1983 par le d cret 1814 84 du 16 ao t 1984 par le d cret 1894 84 du 22 ao t 1984 et par le d cret 47 85 du 16 janvier 1985 R glement sur les conditions sanitaires des campements industriels ou autres 8 0 1981 chap 0 2 r 3 R glement sur les d chets solides 8 8 0 1981 chap 0 2 re 14 modifi par le d cret 195 82 du 27 janvier 1982 et le d cret 1075 84 du 9 mai 1984 R glement sur les esux souterraines R R Q 1981 chap M 13 ra 3 448 F 4719 Gouvernement du Qu bec DC 400 8060
18. Safety Aspect of Soldering and Brazing Cincinnati NIOSH 1978 41 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Work Practices Guide for Manual Lifting Technical Report Cincinnati or anuai hitting Technical Report NIOSH 1981 183 p NATIONAL TECHNICAL INFORMATION SERVICE Mechanical Power Press Safety Engineering Guide Springfield Virg NTIS 1976 47 p PORCQ M Les dispositifs anti collision pour ponts roulants Villeneuve Caisse r gionale d assurance maladie 1982 15 Pe SPALBRINK H Plasma Arc Welding and Plasma and Cutting Seen from the Viewpoint of Industrial Health Defense Research Information Centre 1974 8 p THE ROYAL SOCIETY FOR THE PREVENTION OF ACCIDENTS Machine Sho Safety Birmingham ROSPA 15 TORONTO CONSTRUCTION SAFETY ASSOCIATION Spray Painting and Sandblasting A Practical Guide to Occupational Health and Safety Toronto OCSA 1980 16 p 378 P RIODIQUES ANDR G et coll R duction du bruit mis par une cisaille Travail et s curit n 1 1980 5 12 21 BULL H L Semi automated Plasma Spray System Proceedings of the 8th International Thermal Spraying Conference Miami Beach 1976 Pa 115 122 COLLING D A Machine Safeguarding and Safety Management Professional Safety ao t 1982 p 26 29 COMET M Ponts roulants dispositifs de s curit Revue de la s curit nov 1982 p 21 27 COURTNEY D Health and
19. ceinte et que les abords de la machine sont d gag s l clairage doit tre suffisant clairage compl mentaire l tat des lieux les sols les bruits la temp rature et l at mosph re ne doivent pas nuire aux r flexes de l ouvrier crasement des pieds porter des chaussures de s curit utiliser des appareils de manutention lectrocution par contact avec des pi ces sous tension mise la terre des masses m talliques de la machine installations lectriques conformes aux prescriptions r glemen taires pour les travaux d entretien ou de r paration de la machine couper le moteur avant de commencer les travaux et verrouiller ou cadenasser les dispositifs de d marrage et de commande pour emp cher la mise en marche accidentelle Bruits et vibrations munir la machine de coussins ou d amortisseurs pour r duire les vibrations porter des protecteurs auditifs 343 TRAITEMENT DU M TAL Le traitement du m tal comprend trois op rations la m tallisa tion le sablage et le traitement thermique Il existe des mesures sp cifiques de pr vention pour chacune de ces op rations M tallisation SR Mesures sp cifiques de pr vention Sa a Explosions des gaz sous pression adapter les tuyaux d alimentation et l quipement de compression aux besoins de la m tallisation entreposer les cylindres dans un espace ventil e
20. course de la broche puissance du moteur diff rentes gammes de vitesses de rotation de la broche et des valeurs de l avance par tour de broche dimensions utiles de la table et de la charge maximale qu elle peut supporter mode de commande 213 SCH MA 4 PERCEUSE COLONNE Capot protecteur Manette Pa Bouton de commande Le Double commande manuelle Voyant lumineux Circuit de commande Protecteur mobile Bi Enceinte protectrice Manivelle de manoeuvre Bridage de la table P dale de commande d arr t Point d ancrage Source INRS Fiche technique de s curit sur les perceuses 214 Par rapport aux op rations usuelles d usinage tournage fraisage rectification le per age est une op ration relativement mineure et la formation de l op rateur est plut t compl mentaire Risques pour la s curit La premi re mesure de s curit prendre dans l utilisation d une Perceuse consiste rendre la partie accessible de la broche et ses accessoires aussi lisses que possible car toute partie sail lante ou rugosit sur une pi ce en r volution favorise le ph no m ne d entra nement cheveux v tements etc par cette pi ce En cas d urgence il faut que la perceuse soit munie d un syst me d arr t qui puisse tre tr s facilement actionn ou mieux encore m me ind pendant de la volont de l op rateur s
21. du Cet v nement a constitu une premi re dans les annales du syndicalisme qu b cois SYNDICAT INTERNATIONAL DES TRAVAILLEURS UN IS DE L AUTOMOBILE DE L A ROSPATIALE ET DE L OUTILLAGE AGRICOLE D AM RIQUE TUA Le passage de la production Individuelle et du petit atelier la cha ne de montage et aux grandes usines d automobiles entra ne la cr ation des organisations syndicales dans cette industrie Le 8yndicalisme industriel commence alors r emplacer le syndicalisme de m tiers D s le d but du si cle leg travailleurs de l auto mobile tatent d j syndiqu s au Sein des Chevaliers du travail Plus tard bon nombre d entre eux ont adh r au syndicat One Big Union 17 En 1935 la F d ration am ricaine du travail FAT met des char tes de nombreuses Sections locales de l automobile et d signe En 1941 les TUA regrou pent pratiquement tous les travailleurs de 1 de 200 000 les TUA comme Syndicat international automobile soit pr s mt 17 Travailleurs unts de l automobile Histoire des TUA Solida rit Ville d Anjou TUA 98 Le premier r gime de retraite enti rement pay par h eupioyaur dans une industrie de production de masse est n goci e en 1949 avec Ford et Chrysler De 1955 1970 les principales revendica tions des TUA portent sur l obtention d un r gime de retraite an ticip e le plein paiement des primes d assurance maladie et
22. l quipement 1 0 9 31 58 55 46 47 262 TOTAL 3 19 11 34 69 63 58 65 314 a ER Source Statistique Canada n de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1 982 49 TABLEAU 8 LISTE DES PRINCIPALES ENTREPRISES DES INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE QU BEC 1984 i Nombre par rapport Di Lu de salari s l industrie Las tellers d ing nierie Dominion 754 6 5 A ilis Chalmers Canada 591 5 1 Beloit Canada 490 4 2 Forano 482 4 2 Ingersoll Rand Canada 360 3 1 Versatile Vickers 200 1 7 TOTAL 2 877 24 9 Ensemble des entreprises des industries de la machinerie sauf lectrique 11 558 100 0 Source R pertoire des produits fabriqu s au Qu bec CRIQ 1985 Estimation 191 personnes seulement taient affect es au secteur de la machi nerie sauf lectrique Les Ateliers d ing nierie Dominion concentrent leur production dans la fabrication de turbines hydrauliques de laminoirs de machines p tes et papier et de broyeurs Au cours de l ann e 1984 la Compagnie G n rale lec trique soci t m re a vendu sa division p te et papier Cette transaction a donn naissance la soci t Valmet Dominion qui occupe des locaux des Ateliers d ing nierie Dominion Lachine Compte tenu de cette transaction cette derni re entreprise ne comptait plus en 1985 que 400 personnes travaillant pour elle
23. la moyenne L industrie de la machinerie sauf lectrique ne fai sait pas partie de ce groupe Elle occupait 16 95 rang entre l industrie des quipements de transport au B rang et l industrie du papier et des activit s annexes au 10 rang 78 79 LES R GIONS Comme nous l avons vu pr c demment l industrie de la machinerie est concentr e surtout dans la r gion de Montr al En 1981 cette r gion regroupait 67 3 des tablissements 710 5 de 18 main d oeuvre et 79 1 de la valeur ajout e la production tableau 20 Le calcul de ces pourtentages pour l ann e 1971 nous permettra d observer la Progression de cette concentration Nous obtenons 71 4 des tablissements 64 9 Z de la main d oeuvre et 71 6 g ographique de la valeur ajout e la production Il 86 produit donc une intensification de la con centration g ogra phique au d triment d une r gionalisation Rappelons que cette industrie oeuvre principalement sur les march dessert aussi les march s locaux 67 2 facturiers sont situ s Montr al r gion est donc essentielle une main d 8 d exportation mais des tablissements manu Sa concentration dans cette De plus cette industrie n cessite oeuvre sp cialis e laquelle elle peut plus facilement avoir acc s dans cette r gion ceci ne repr sente que quelques facteurs d terminant 8a localisation En 1981 la r gion de Trois Rivi res se classait a
24. traitement thermique la manutention du mat riel l quipement de production de fonderie l quipement de nettoyage et de fini tion des pi ces coul es ainsi qu aux quipements de protection individuels R glement sur les travaux ex cut s dans le voisinage des lignes lectriques R R Q 1981 chap S 2 1 r 21 Ce r glement cr e l interdiction d ex cuter certains travaux une distance inf rieure celles pr vues dans ce r glement et pr cise qu une pancarte indicatrice du danger des lignes lectriques doit tre install e aupr s de certaines machines situ es pr s de ces lignes R glement sur l application d un Code du b timent d cret 912 84 du 11 avril 1984 Ce r glement adopt conjointement par la Commission de la sant et de la s curit du travail et le minist re de l Habitation et de la 421 Protection du consommateur remplace pour les b timents dont la construction a d but apr s le 25 mai 1984 formations ou additions ex cut es sur un b timent apr s cette date le Code du b timent du Qu bec R R 0Q 1981 chap 8 3 r 2 y compris les trans et modifications pte avec certaines modifications le Code national Ce r glement ado males de du b timent qui touche essentiellement les exigences mini s curit de solidit d hygi ne et de protection contre les incendies dans les b timents qui entrent dans son champ d applica tion R glement sur
25. 191 193 196 196 201 204 209 213 217 222 224 226 232 236 238 239 242 245 253 256 259 260 263 273 274 276 OUTILLAGE PORTATIF Outils main et petit outillage Machines outils portatives MENUISERIE ASSEMBLAGE SERVICE DE R PARATION BIBLIOGRAPHIE TROISI ME PARTIE L ORGANISATION DE LA PR VENTION EN SANT ET EN S CURIT CHAPITRE 7 LES PRINCIPALES MESURES DE PR VENTION DANS LE MILIEU DE TRAVAIL INTRODUCTION MESURES G N RALES DE PR VENTION MESURES DE PR VENTION D ORDRE TECHNIQUE Substitution Modification des proc d s Ventilation locale Isolation des machines Alarmes Entretien pr ventif MESURES DE PR VENTION D ORDRE ADMINISTRATIF Tenue des lieux Protection personnelle Formation Information Politique d achat Personnel MESURES SP CIFIQUES DE PR VENTION USINAGE Rectifieuses Tours Fraiseuses Perceuses Scies Al seuses Machines raboter et taux limeurs Presses m canique Cisailles Autres quipements 278 278 280 286 288 291 301 305 307 309 310 310 310 311 311 311 312 312 313 313 313 314 314 314 315 316 317 319 322 326 329 332 334 336 337 342 XV 17 PORT ent nt 8 CHAPITRE 9 LES EFFORTS DE RECHERCHE 401 TRAITEMENT DU M TAL 344 M tallisation 344 i Sablage au jet 345 INTRODUCTION 403 Traitement thermique du m tal 347
26. 3195 Industrie de la machinerie pour indus trie des p tes et papier Assemblage X XxX X x X X X Service de r para 3196 Industrie de la tion d urgence x machinerie et du mat riel i de construction et d entretien 3199 Autres industries de 18 machinerie et de l quipement Source Bureau de la statistique Qu bec La classification deu activit s cono miques du Qu bec 195 194 DESCRIPTION DES PRINCIPALES OP RATIONS INDUSTRIELLES ET DE L QUI PEMENT DU SECTEUR i Les entreprises faisant partie du secteur industries de la machi nerie utilisent dans la plupart des cas toutes les op rations industrielles et les quipements tels que pr sent s au tableau 48 comme l ont confirm les visites industrielles r alis es dans plusieurs usines du secteur tableau 49 Les principales op rations industrielles qui font partie du sec teur industries de la machinerie sont les suivantes usinage incluant les nombreuses machines utilis es pour 18 transformation des pi ces m talliques traitement du m tal d graissage pelnture soudage et d coupage manutention outillage portatif menuiserie assemblage service des r parations USINAGE L op ration d usinage est une activit importante de ce secteur Des visites industrielles effectu es dans ces industries d mon trent que l usinage occupe une place importante en termes d espace dans l u
27. L indice de gravit indique une perte quivalant 35 jours de trayail pour chaque l sion compensable Enfin l indice combin montre que les l sions compensables entra nent une perte quivalant en moyenne 9 6 jours de travail par employ par ann e Le co t des l sions dans le secteur s l ve 31 millions de dol lars pour les ann es 1980 1983 ce qui repr sente un co t annuel moyen de pr s de 500 00 par employ 11 y 8 eu 7 demandes accept es de retrait pr ventif de la travail leuse enceinte ou qui allaite durant les quatre ann es consi d r es 184 CUS PR ANNEXE GLOSSATRE Pour uniformiser la pr sentation avec les monographies pr c dentes des groupes II et III nous avons conserv les diff rentes d fini tions et cat gorisations tir es de la Loi sur les accidents du travail LAT plut t que de la nouvelle Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles LATMP L sions professionnelles Par l sions professionnelles on entend l ensemble des accidents du travail et des maladies professionnelles caract ristiques ou reli es directement aux risques particuliers du travail Accident du travail Un accident du travail est un v nement impr vu et soudain attribuable toute cause qui survient une personne par le fait ou l occasion de son travail et qui entra ne pour elle une blessure une maladie ou le d c s Il est important de souligner que l
28. Le n de code 9999 Autres professions sert de cat gorie r siduelle et regroupe les professions n entrant pas dans les cat gories pr c dentes Cette remarque vaut galement pour le code 9999 du tableau 39 pr sent plus loin Le tableau 37 montre la r partition des accidents compensables selon les principaux si ges des l sions dans le secteur relative ment leur r partition dans l ensemble des secteurs Comme l indique le tableau 38 sur la r partition des accidents compensables selon la nature de la l sion 76 7 des cas 86 concentrent dans cinq cat gories de l sions telle que dorsalgie lombalgie cervicalgie etc 17 9 contusion 17 7 cou pure charde 16 0 entorse foulure 15 4 et coupure plaie 9 7 Les autres l sions ont toutes l exception des cas li s aux arcs lectriques 6 7 des cas de fracture d arrachement osseux 4 2 et de br lure par la chaleur 2 6 5 une fr quence relative inf rieure 2 0 de l ensemble des cas survenus dans le secteur Le tableau 39 montre la r partition des accidents compensables selon la nature de la l sion et la profession La profession sou deurs et oxycoupeurs totalise elle seule 24 3 des accidents compensables du secteur Si cette profession l on ajoute les deux professions machinistes et r gleurs de machines outils 8 6 ainsi que manoeuvres manutentionnaires et travailleurs assimil s 7 7 5
29. TUA 1983 99 Les TUA repr sentent plus d un million et demi de membres re group s dans 1 600 sections locales aux tats Unis et au Canada Au Qu bec en 1982 l effectif des TUA est de 10 000 membres Dans le secteur fabrication de machines 11 syndicats locaux sont affili s aux TUA et r unissent 512 travailleurs F D RATION DE LA M TALLURGIE CSN Fond e en 1936 par des syndicats d Asbestos de Thetford et d East Broughton la F d ration nationale catholique de l amiante devient en 1944 la F d ration nationale catholique de l industrie mini re Durant 18 m me p riode les travailleurs de 13 m tallurgie forment deux f d rations la F d ration nationale de l aluminium en 1943 et la F d ration nationale de la m tallurgie en 1944 En novembre 1945 ces deux f d rations se fusionnent et deviennent la F d ra tion de 148 m tallurgie D s le d but la F d ration s int resse la sant et la s cu rit en demandant au gouvernement de l poque que la silicose contract e dans l industrie m tallurgique soit qualifi e de mala die industrielle et que les travailleurs touch s soient indem nis sl9 De 1946 1960 la F d ration de la m tallurgie voit quintupler le nombre de ses membres Pendant les ann es soixante la F d ration progresse rapidement Elle demande ses syndicats affili s d ins rer dans leurs conventions collectives une clause pr voyant la formation de comit s conjoints p
30. Ts 2773 57023 1703 1904 TRAVAILLEURS UNIS DE L AUTOMOBILE Histoire des TUA Num ro sp t TUA CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX ET CENTRALE DE L ENSEIGNE cial de Solidarit Ville d Anjou MENT DU QU BEC Histoire du mouvement ouvrier au Qu bec 150 ans de luttes Montr al CSN CEQ 1984 TRAVAILLEURS UNIS DE L AUTOMOBILE Statuts et r glements Dallas TUA 1983 DEVOST A L imprimerie au Qu bec Montr al CSST 1982 F D RATION DE LA M TALLURCIE Constitution et r glements Mont r al CSN F D RATION D MOCRATIQUE DE LA M TALLURGIE DES MINES ET DES PRO DUITS CHIMIQUES CSD Constitution et r glements F D RATION DES SYNDICATS DES MINES DE LA M TALLURGIE ET DES PRO DUITS CHIMIQUES Histoire depuis la fondation en 1944 Montr al CSN G RIN LAJOIE J Les m tallos 1936 1981 Montr al Bor al 229 1973071381 Express 1982 INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL annuel 1981 1981 Montr al IRSST 1982 Rapport M TALLURGISTES UNIS D AM RIQUE R glements des syndicats locaux locaux Pittsburgh AFL CIO CTC 1985 M TALLURGISTES UNIS D AM RIQUE 1984 Statute Pittsburgh AFL CIO CTC 139 138 DEUXI ME PARTIE LES RISQUES POUR LA SANT ET LA S CURIT Dans la deuxi me partie nous tudierons le secteur industries de la machinerte sauf lectrique au Qu bec sur le plan sp c
31. aide m moire Cahiers de notes docu mentaires n 118 Paris INRS 1985 p 73 82 Note doc n 1517 118 85 MAUGE M Fraiseuses machines fraiser Cahiers de notes documentaires n 118 Paris INRS 1985 p 1 23 Note doc n 1512 118 85 MAUGE M Tours Cahiers de notes documentaires n 119 ns ES cocumentaires Paris INRS 1985 p 183 204 Note doc n 1527 119 85 NATIONAL SAFETY COUNCIL Press Brakes Chicago NSC 1977 p 1 7 PEINEKE H H Outils de presses comment am liorer la s curit du travail Cahiers de notes documentaires n 83 Paris INRS documentaires 1976 p 217 237 Note doc n 1007 83 76 RAYMOND R Presses m taux conception et am nagement pour la s curit des interventions de d pannage Cahiers de notes docu 2 de notes docu mentaires n 91 Paris INRS 1978 p 253 271 Note doc n 1115 91 78 381 FAN PE Mn put PR ee ROBSMINIRE Agents antl bact riens pour fluide d usinage dqueux Lahlurs de notes documentaires n 108 Paris INRS 8 pe 7 4 8 Note doc 1390 108 92 SERVICE FR VENTIUN DE LA CAISSE R GIONALE DE S CURIT SOCIALE DE PARIS La protection des presses m caniques d couper ou embotir 11 Principes Cahiers de notes documentaires n 47 Paris INN 1967 pe 115 117 Note doc 535 47 67 SERVIE PR VENTION DE LA CAISSE R G
32. canadienne de la machinerie Profil du secteur Ottawa 1978 EE rofil du secteur 23 p 56 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA Rapport du Groupe d tude sur l industrie canadienne de 1a machinerie W L Mallory pr sident Ottawa 1978 52 p MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU QU BEC Regards sur l industrie qu b coise Brochure n 12 Machinerie Qu bec MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME L industrie du mat riel agricole au Qu bec Collection Analyse sectorielle Qu bec 1980 MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME La machine d emballage et de conditionnement au Qu bec Dossier d informa tion sectorielle Qu bec 1983 49 pe MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME Machines outils et accessoires pour le travail des m taux Dossier d in formation sectorielle Qu bec 1984 83 p OFFICE DE PLANIFICATION ET DE D VELOPPEMENT DU QU BEC Prospec tive socio conomique du Qu bec lre tape Sous syst me 5 EEonomique du Qu bec DCCETSJYSteme technologique Dossier technique mat riaux Qu bec 1978 ORGANISATION DE COOP RATIVE ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE Machines outils commande num rique Paris 1970 93 p a commande num rique PEAT MARWICK and Partners The Medium Term Employment Outlook The Canadian Equipment and Machinery Industry Ottawa 1981 51 PHILLIPS WG The Agr
33. e par la guerre de Cor e Le niveau d emploi fl chit nouveau par la suite et atteint un niveau consid r normal d apr s guerre En 1955 nous d nombrions 66 tablissements 8 152 employ s et 45 5 millions de dollars de valeur ajout e tableau 1 L impor tance de ce secteur au sein de l industrie manufacturi re qu b coise n tait plus que de 1 6 alors qu elle s tablissait 2 1 en 1940 tableau 3 La productivit par salari passait toutefois en 1950 4 741 5 comparativement 2 065 en 1940 tableau 2 Si nous Comparons ce chiffre au salaire moyen des travailleurs la production 2 402 en 1950 nous remarquons que le salaire moyen repr sentait 50 7 de la productivit par salari alors qu il tatt de 46 8 en 1930 et de 65 en 1940 En Ontario en 1950 la productivit par employ s tablissait 20 4 822 c est dire 128 5 millions de dollars de valeur ajout e et 26 646 employ s La productivit par employ se situait donc l g rement au dessus de celle enregistr e au Qu bec Les employ s la production recevaient en Ontario des salaires moyens de 2 580 8 ou 53 5 de la Productivit par salari Ce qui signifie que 18 part des employ s aux b n fices des entreprises ontariennes tait aussi l g rement sup rieure celle du Qu bec Voyons ces diff rentes donn es pour l industrie manufacturi re en g n ral La productivit par employ au Qu bec en 195
34. et de s curit du travail l tablis sement de normes le soutien l implantation et au fonctionne ment des programmes de pr vention et des m canismes de partici pation les services de sant de m me que des services de formation d information et de recherche La Commission est aussi responsable de la surveillance de l application des normes et des r glements en mati re de sant et de s curit du travail de m me que de la v rification dans les milieux de travail du respect des droits et des obligations que pr voit la loi pour les travailleurs et les employeurs Elle est la seule autorit en mati re d inspection du travail et ga comp tence s tend tous les aspects de la sant et de la s curit du travail partout au Qu bec 128 La vice pr sidence de la r paration labore les programmes et proc dures visant assurer l indemnisation l assistance m di cale et la r adaptation des victimes d accidents du travail de maladies professionnelles d actes criminels ou de l sions con s cutives des actes de civisme Elle planifie coordonne et contr le les activit s de r paration r alis es au sein des ser vices r gionaux de r paration La vice pr sidence de l administration est charg e de l labo ration de l implantation et du contr le des programmes n ces saires au bon fonctionnement administratif de la Commission notamment en mati re de financement de syst mes inf
35. ger efficacement du danger d crasement De plus la zone viter peut tre d limit e par un trait de pein ture voyante sur le sol Un second risque r side dans la possibilit d acc s aux m canismes d entra nement du coulisseau sur la machine raboter Il fau drait donc installer des gardes autour de ceux ci Le risque majeur des taux limeurs r side dans le mouvement de va et vient du couteau de travail l encoffrement du couteau assure une meilleure protection Il faut viter l acc s aux couteaux par l op rateur lors du fonc tionnement de ces deux types de machines De plus les gardes de s curit devraient tre install s de fa on emp cher les mains de s approcher de la zone d action dangereuse des couteaux Dans ce 225 SCH MA 7 contexte les commandes de type double main ne devraient jamais PLIEUSE M CANIQUE remplacer les crans de s curit P Par ailleurs le port de lunettes de protection combin un cran transparent pr vient le danger de projection des copeaux z CT ii Le tableau suivant r sume les risques reli s l utilisation des VE A ds Re raboteuses et des taux limeurs menean eee 8 Risques Causes probables Contacts fortuilts divers Fatigue gt Perte d quilibre crasement des pieds
36. la CSST ateliers sur le gestion des dossiers des accidents rencontres entre les repr sentants patronaux des ASP form es ou en vole de formation service de renselgnements t l phoniques Selon les besoins et les disponibilit s il est possible que les services et programmes suivants solent offerts en 1986 cours de Formation l intention des repr sentants patronaux des comit s de sant et de s curit du travail rencontres d changes entre comit s d un m me secteur sur divers sujets rell s la sant et 18 s curit du travail F D RATION DES TRAVAILLEURS DU QU BEC FTQ La F d ration des travailleurs du Qu bec compte quelque 400 000 membres elle constitue la plus importante centrale syndicale du Qu bec Elle a t fond e en 1957 lors de la fusion de la F d ra tion provinciale du travail du Qu bec et de la F d ration des unions industrielles du Qu bec 392 La FTQ regroupe les sections locales qu b coises des syndicats internationaux ainsi que des syndicats pancanadiens Ces syndi cats sont pr sents dans tous les secteurs d activit ainsi que dans toutes les r gions La FTQ comprend 19 grandes sections professionnelles telles que for t et bois p tes et papier tex tiles mines et m tallurgie confection v tements construction alimentation et consommation La FTQ comme centrale offre toute une gamme de services reli s l ducation syndicale aux accidents
37. la terre des quipements clatement d outil se conformer aux recommandations de vitesse p riph rique du constructeur de lame Mesures sp cifiques de pr vention aaaeeeaa a O aff tage de la lame mise au rebut des lames d t rior es Incendie ou explosion viter l accumulation de sciures ou de poussi res en utilisant un syst me d aspiration efficace pr voir des moyens accessibles de lutte contre le feu relier la terre les canalisations en mati re plastique Mise en route intempestive ou arr t d urgence impossible utiliser une bo te boutons noy s avec bouton stop en sail lie choisir un emplacement facilement accessible du poste de travail et viter la manoeuvre involontaire Poussi res de bois ventiler les locaux de menuiserie installer un syst me de ventilation localis pr s des machines produisant des poussi res en aspirant celles ci en dehors de la zone de travail de l ouvrier hygi ne corporelle recommand e Bruit vibrations emp cher les fr quences de r sonance de la lame raccorder les hottes d aspiration par des tuyaux flexibles quilibrage des pi ces en rotation monter la machine sur des amortisseurs 371 4 i ASSEMBLAGE Cette op ration industrielle est en fait la derni re activit de production avant l exp dition de la machine Les principale
38. ment s ou tremp s secs cela peut provoquer des clats de m tal ou une rupture mais utiliser plut t pour ces travaux une petite masse en m tal tendre cuivre ou laiton viter par des outils sp ciaux la production d tincelles dans une atmosph re explosive choisir la forme le poids et les autres caract ristiques des outils en fonction du travail ex cuter Outils de serrage Cl s se servir de pr f rence de cl s fixes correspondant aux dimen sions de l crou prendre une position stable pour exercer un effort important afin d viter une chute en cas d chappement de la cl ne pas allonger le bras de levier d une cl l aide d un tube car il y a risque de rupture soit de 18 pi ce soit de la cl ne pas se servir d une cl comme marteau car elle risquetait de se fissurer ou de se d former viter de frapper sur une cl pour bloquer ou desserrer mais choisir une cl en rapport avec l effort exig veiller l tat et au r glage des cl s molette griffe ou cha ne pour ne pas d t riorer les crous les raccords etc et pour viter un chappement impr vu proscrire l emploi de pinces ou de tenailles pour serrer ou desserrer des vis ou des crous afin d viter leur d forma tion 365 TR ee Mr nn Mesures sp cifiques de pr vention SR Tournevis employer des tournevis en bon tat et solidement emm
39. partition des accidents compensables selon les principaux si ges des l sions dans le secteur industries de la machi nerie 1980 1983 R partition des accidents compensables selon la nature de la l sion dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 155 156 158 159 163 164 165 167 168 xx Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau xxii 39 40 41 42 43 45 46 47 49 50 51 R pattition des accidents compensables selon les principales natures des l sions et les principales professions dans le secteur industries de la machi nerie 1980 1983 R partition des accidents compensables par genre d accident dans le secteur in dustries de la machinerie 1980 1983 R partition des accidents compensables par agent causal dans le secteur indus tries de la machinerie 1980 1983 R partition des cas d incapacit perma nente selon le taux et l unit dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R partition des maladies profession nelles selon la nature de la maladie et l unit dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R partition des maladies profession nelles selon la nature de la maladie dans le secteur industries de la machi nerie 1980 1983 Indicateurs des l sion
40. passant de 18 2 5 18 1 C est l industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation qui a subi les plus forts contrecoups de cette crise La variation annuelle moyenne entre 1981 et 1982 indi quait une baisse de la main d oeuvre de 27 5 alors que celle de la valeur ajout e tait de 24 4 808 rendement tait suivi par celui des instruments aratoires ses variations annuelles moyennes la baisse atteignaient 18 4 et 9 4 respectivement Le sous Secteur autres industries de la machinerie et de 1 quipement n a affich une baisse qu en 1982 tableau 6 C est surtout cause du recul marqu des investissements des entreprises entre 1981 et 1983 que cette industrie a chut si fortement Une reprise mod r e des investissements en 1984 devait permettre ce secteur de conna tre une certaine reprise Selon une analyse effectu e par la Banque Royale du Canada au d but de 1984 la reprise conomique va de pair avec la relance des investissements d autant plus que les investissements ont un effet direct sur l accroissement de 13 productivit et la moderni sation des capacit s existantes C est ainsi que la Banque Royale pr voyait pour 1984 et 1985 une progression de l achat de machines un taux annuel de 6 8 37 TABLEAU 6 R PARTITION INDUSTRIELLE PAR SOUS SECTEUR D ACTIVIT AU QU BEC 1981 et 1982 Code Sous secteur Ann e Nombre Nombre de x Nombre moyen V
41. rieur la norme Brouillards d huile et poussi res contr ler l mission de brouillards d huile ou de poussi res par un syst me de ventilation localis Porter un quipement de protection respiratoire si le contr le la source est difficile r aliser MENUISERIE Cette op ration industrielle est relativement restreinte cause du petit nombre de machines bois utilis es dans les usines du secteur 368 em OU Mesures sp cifiques de pr vention aaaea aaa UULU Contact direct avec la lame utiliser un protecteur automatique utiliser des poussoirs pour terminer les pi ces de bois scier disposer d une brosse main pour d gager la table encoffrer la lame pr voir un clairage suffisant utiliser un couteau diviseur bien r gl 1 cm de la lame maximum au le 801 doit tre nivel et les abords d gag s Rejet du bois utiliser un couteau diviseur d paisseur gale la largeur du trait de scie moins 0 3 mm le couteau diviseur doit pouvoir toujours rester dans le plan de la lame une distance maximale de 1 cm de celle ci et pouser au plus pr s 16 profil de la lame ne pas d passer la vitesse maximale admise par le constructeur respecter la r gle de la fl che 2 3 de la lame dans 16 bois 1 3 au dessus du bois r gler correctement le guide bas interm diaire en bois qui ne doit pas d passer le tiers avant de la partie d bo
42. roastronautique n e de l volution technologique de l apr s guerre L Association privil gie la n gociation coordonn e pour mieux n gocier avec les soci t s tablissements multiplesl4 Le syndicat local de l AIM regroupe des tablissements de diff rentes industries ou plusieurs tablissements d une m me industrie Les sections de district coordonnent les n gociations locales oeuvrant dans les m mes industries ou chez les m mes employeurs Les objectifs g n raux de l Association vise la justice au tra vail la s curit pour la famille et le service la communaut 13 Association internationale des machinistes et des travail leurs de l a roastronautique Profil de 1 AIM Montr al 1982 14 Id Machinists Leadership Schools 1982 L AIM est affili e au Congr s du travail du Canada et la F d ra tion am ricaine du travail FAT Le congr s de l AIM est l auto rit supr me Il lit les dirigeants et vote les grandes politi ques de l Association pour un mandat de quatre ans Le congell d administration g re les orientations du congr s Les 900 permanents de l AIM assurent un ventail de services dont certains en rapport avec la sant et la s curit du travail La ligue politique des machinistes canadiens est un organisme b n vole subventionn par les contributions volontaires des membres Dans le secteur de la fabrication de machines quatre syndicats locau
43. sur la machine ou dans un bassin appropri par immersion de pi ces en phase vapeur mixte par immersion ou phase vapeur Les produits utilis s pour les op rations de d graissage agissent par dissolution ou par mulsion On remplace de plus en plus les solvants hydrocarbon s comme le tolu ne le xyl ne le white spirit et le k ros ne par les hydrocarbures lourds temp rature d bullition sup rieure 200 C et un point d clair sup rieur 80 C Les solvants chlor s sont les plus utilis s pour le d grais sage des m taux car ils sont dot s d un grand pouvoir dissolvant en plus d tre ininflammables Cependant comme ces produits peuvent se d composer pour lib rer de l acide chlorhydrique sous l action de la chaleur et de la lumi re on y ajoute des stabilisants De plus des hydrocarbures chlorofluor s tel le trichlorotrifluoro thane sont galement uti lis s pour le d graissage particuli rement pour liminer les graisses et les flux de soudure sans endommager les diff rents mat riaux Risques pour 18 s curit A Risques Causes probables Chute Plancher glissant Travaux en hauteur lectrocution Courant lectrique utilis pour le chauffage des d graisseurs 254 2 _ _ Risques Causes probables EE a Incendie explosion S lectionner les solv
44. 0 En effet le taux moyen d incapacit perma nente pour l ensemble du secteur est de 5 36 On observe un certain parall le entre les r sultats du tableau 42 et ceux du tableau 31 lequel met en relation le nombre de l sions et le nombre d ann es personnes par unit On retrouve en effet plusieurs unit s taux moyen lev parmi les unit s ayant un indice sup rieur 1 00 au tableau 31 Toutes les unit s l exception des unit s fabrication de ma chines coudre r paration d quipements divers ainsi que fabri cation d quipement industriel ont un taux moyen d incapacit permanente inf rieur celui du secteur C est cette derni re unit fabrication d quipement industriel qui cause de son poids relatif tr s lev dans l ensemble 612 cas sur 825 soit 74 2 de l ensemble influence fortement la hausse le taux moyen du secteur LES MALADIES PROFESSIONNELLES Le tableau 43 et le tableau 44 pr sentent 18 r partition des mala dies professionnelles selon leur nature et l unit Deux cat go ries de maladies professionnelles totalisent 67 8 des cas sur venus entre 1980 et 1983 dans le secteur industries de la machi nerie sauf lectrique 57 0 soit pr s des 3 5 de l ensemble sont des cas de surdit et 10 8 sont des cas li s au syst me musculo squelettique tels que bursite tendinite synovite etc 173 6
45. 1970 110 11 555 91 7 105 122 6 92 5 1970 131 12 600 100 0 96 132 5 100 0 a 31L 312 319 Industrie des ing truments aratoires 1980 4l 832 4 8 20 24 0 4 7 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 1980 16 1 095 6 3 68 31 7 6 1 Autres industries de 18 machinerie et de l amp quipement 1980 244 15 371 86 9 63 463 4 89 2 RP TOTAL Source 1960 301 7 298 100 0 57 519 1 109 0 Starletique Canada n 8 de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1980 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section Qu bec 1970 Les donn es apparalagsant ce tableau ne sont pas conformes celles des fichiers de la CSST du fait qu elles ne sont pas compil es de la m me fa on C est ce qui explique l importante diff r nce entre nombre d tabliasements et de ualari e figurant dans ce tableau et les chiffres Correspondants des chapitres 4 et 5 Estimation 29 deux autres secteurs au cours des ann es solxante et soixante dix 11 tait ce moment en pleine expansion D j en 1970 il comp tait 441 employ s 3 5 du secteur et 4 9 millions de dollars de valeur ajout e 3 7 du secteur tableau 5 En 1980 son importance relative tait plus grande que celle de l industrie des instruments aratoires On y d nombrait 16 tablissements 1 095 employ s 6 3 Z du se
46. 26 39 4 66 Indemnisation 61 92 4 5 7 6 66 Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 116 Dans le domaine de l inspection pr ventive 32 conventions collec tives contiennent une disposition ce sujet 18 accordent la responsabilit de la pr vention au comit paritaire et 43 conven tions n ont aucune pr cision ce sujet Seulement 16 conventions collectives pr cisent la p riodicit pr vue pour l inspection pr ventive Sur les 66 conventions collectives du secteur 32 comportent une disposition sur 16 droit de refus 22 accordent ce droit au tra vailleur individuel et 19 conventions pr cisent que ce doit tre pour un motif raisonnable Par ailleurs dans 168 36 conventions qui pr voient un service de sant 6 lui attribuent la fonction de faire passer des examens m dicaux 18 de donner des services de premiers soins et 8 lui conf rent les deux fonctions Des 40 conventions qui comportent une clause traitant de la r a daptation du travailleur accident 14 pr voient retour l ancien emploi lorsque l accident est r tabli et 37 assurent selon diverses modalit s un emploi au travailleur dont les capa cit s sont moindres suite un accident du travail L indemnisation fait l objet d une disposition dans 61 conven tions soit un pourcentage de 92 De ce nombre 58 c
47. 312 1 104 12 0 1 788 61 7 Autres industries de la machinerie et de l quipement 319 7 828 83 4 16 866 46 4 TOTAL 9 386 100 0 19 207 48 8 Zn emma Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 Statistique Canada n de catalogue 31 203 1982 107 TABLEAU 23 R PARTITION DE L EFFECTIF SYNDICAL SELON L AFFILIATION ET LE SOUS SECTEUR QU BEC 1985 FTQ CSN CSD Ind pendants Sous secteur 6 _ Nbre Z Nbre 5 Nbre Nbre Industrie des ins truments aratoires 311 241 4 4 212 12 6 0 1 0 0 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 312 690 12 5 45 2 7 40 4 6 329 24 4 Autres industries de la machinerie et de l quipement 319 4 547 83 1 1427 84 7 834 99 4 1020 75 6 OOOO TOTAL 5 478 100 0 1 684 100 0 874 100 0 1 350 100 0 RS a L LL Source Qu bec Minist re du Travail Centre d sur le march du travail collectives juin 1985 e recherche et de statistiques Direction de l analyse des conventions Statistique Canada n de catalogue 31 203 1982 108 999 3 TABLEAU 24 R PARTITION DE L EFFECTIF SYNDICAL ET TAUX DE SYNDICALISATION SELON LA R GION ADMINISTRATIVE QU BEC 1985 Effectif R partition Nombre de
48. 7 13 5 17 4 21 1 8 8 11 5 Matte 0 5 3 5 18 9 8 0 2 2 13 2 17 2 13 4 18 9 5 5 1 10 4 ANNU e 566 Canada 5 19 362 19 864 21 301 25 619 27 579 30 390 33 178 38 998 44 356 50 295 58 385 59 56 EE 2 6 3 21 2 6 4 10 6 9 1 17 5 13 7 13 8 16 1 2 0 10 9 annue Conf ldent lel ce Statiuti Canada n de catalogue 31 20 Sinutscrurl es du Canads Niveaux mitlonal et provinclal 1970 1962 18 10 77 TABLEAU 19 A Contrairement toutefois au co t unitaire de la main d oeuvre qui EUR AJOU L ACTIVIT MANUFACTURI RE avait diminu moindrement au Qu bec qu en Ontario la productivit URE PERSONNE PAY E a augment davantage au Qu bec qu en Ontario de 1971 1982 Ce mouvement semble s tre consolid au cours des trois derni res ann es alors que le Qu bec pr sente des variations moyennes f nettement sup rieures celles de l Ontario Au Qu bec pour l ensemble des industries manufacturi res 16 valeur ajout e par heure homme VAHH s l ve 26 46 Sur 19 types d industries manufacturi res recens es en liminant les industries manufacturi res diverses 10 pr sentent une producti vit sup rieure la moyenne L industrie de la machinerie se classe au 9 rang La proportion de la VAHH de cette industrie 1971 1972 1973 aaao mo ams m n 55 OoOO en rapport avec toutes les industries s tabl
49. 966 cas soit 94 6 sont des incapacit s tem poraires 682 soit 4 0 sont des cas d incapacit permanente 11 y a eu 5 cas de d c s durant les quatre ann es consid r es et 223 soit 1 3 des l sions compensables sont des cas de maladie professionnelle avec interruption de travail ou avec incapacit permanente 154 31111 31211 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 31995 TOTAL Notes TABLEAU 29 ESTIMATION DU NOMBRE D EMPLOY S PAR UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE Unit Nombre total Moyenne d ann es annuelle personnes des 1980 1983 employ s quipement agricole 3 393 848 5 5 R frig ration l 631 408 2 6 Convoyeurs 1 800 450 2 9 V rins hydrauliques 2 327 582 3 7 G n rateurs 2 883 721 4 6 Machines out11ls 9 041 2 260 14 5 Filtres air 431 108 0 7 Machines coudre 1 085 271 1 7 quipement industriel 37 900 9 475 60 8 R paration 1 875 469 3 0 62 366 15 592 100 0 Le nombre d employ s a t tabli partir de la masse salariale assurable divis e par le salaire annuel moyen des r clamants de l unit ou du secteur selon le cas Il mesure donc le nombre d ann es personnes dans le secteur sur la base moyenne de quatre ann es C est le m me con cept d ann es personnes qui sera repris dans le ta bleau 45 Lorsque l on parle du nombre de travailleurs tout au long du pr sent document on fait r f rence ce concept d employ s
50. D GRAISSAGE 352 i DESCRIPTION DES TUDES 405 PEINTURE 354 SOUDAGE ET D COUPAGE 357 LISTE DES PROJETS DE RECHERCHE 406 MANUTENTION 360 Manutention manuelle 360 BIBLIOGRAPHIE 407 Manutention m canique 361 OUTILLAGE PORTATIF 363 Outils main et petit outillage 363 Machines outils portatives 366 CHAPITRE 10 LA L GISLATION PERTINENTE 409 MENUISERIE 368 ASSEMBLAGE 372 SERVICE DE R PARATION 373 INTRODUCTION 411 BIBLIOGRAPHIE 375 NOTE 413 LA L GISLATION QU B COISE 415 LOI SUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL 415 CHAPITRE 8 LES ASSOCIATIONS ET LES ORGANISMES LEURS R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DES LOIS DU QU BEC 418 PROGRAMMES ET SERVICES 385 LA L GISLATION F D RALE 424 CODE CANADIEN DU TRAVAIL 424 INTRODUCTION 387 R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DU CODE CANADIEN DU TRAVAIL 431 COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL CSST 389 ANNEXE R GLEMENTS TUDI S MAIS NON RETENUS 445 R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DE LA LOI SUR LA SANT ET LA INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL S CURIT DU TRAVAIL 445 855 389 R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DE LA LOI SUR LES ACCIDENTS DU TRAVAIL 447 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS DE R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU D AUTRES LOIS 448 PARTEMENTS DE SANT COMMUNAUTAIRE DSC ET CENTRES LOCAUX DE SERVICES COMMUNAUTAIRES CLSC 389 CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC CPSSTQ 391 F D RATION
51. DES TRAVAILLEURS DU QU BEC FTQ 392 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX CSN 394 CENTRALE DES SYNDICATS D MOCRATIQUES CSD 396 ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRA VAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES 397 BIBLIOGRAPHIE 399 xvii xvi Tableau 1 Tableau 2 Tableau 3 Tableau 4 Tableau 5 Tableau 6 Tableau 7 Tableau 8 Tableau 9 Tableau 10 Tableau 11 Tableau 12 Tableau 13 LISTE DES TABLEAUX volution de l industrie de la machine rie sauf lectrique au Qu bec 1930 1982 Taux de croissance productivit et nom bre moyen de salari s 1930 1980 Importance relative du secteur Qu bec Canada 1930 1982 R partition industrielle par sous sec teur d activit au Qu bec 1950 et 1960 R partition industrielle par sous sec teur d activit au Qu bec 1970 et 1980 R partition industrielle par sous sec teur d activit au Qu bec 1981 et 1982 Nombre d tablissements par tranche de salari s Qu bec 1982 Liste des principales entreprises des industries de la machinerie sauf trique Qu bec 1984 Nombre de salari s par sexe et par ge Qu bec 1981 R partition par sexe de la main d oeuvre Qu bec 1930 1982 R mun ration de la main d oeuvre Qu bec 1930 1982 Taux de masculinit 1930 1982 Principales statistiques sur la main d oeuvre
52. DINE R et M JACQMIN Enqu te sur les accidents provoqu s par les machines meuler Cahiers de notes documentaires n 104 7 coctmentaires Paris INRS 1981 p 367 372 Note doc n 1331 104 81 295 DU VAL C E Reducing Eye Injuries in Foundry Grinding Opera tions How it Was Accomplished Professional Safety vol 22 n 4 avril 1977 p 44 45 GROUPEMENT DE RECHERCHES ERGONOMIQUES SUR MACHINES OUTILS GREMO Conception des quipements une d marche des r alisations Lettre d information ANACT n 76 Paris juin 1983 p 1 9 HART J W Safeguarding Metalcutting Machines Professional Safety janv 1983 p 13 16 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT Annexe commune aux fiches techniques de s curit relatives aux machines outils Cahiers_ de notes documentaires n 85 Paris INRS 1976 495 507 Note doc n AP 000616 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT Guide pratique de ventilation captage et traitement des brouillards d huile Cahiers de notes documentaires n 119 Paris INRS 1985 p 159 182 Note doc 1526 119 85 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT Lutte contre 16 bruit dans un atelier de presses Cahiers de notes documentaires ct SE TO TES documentaires n 100 Paris INRS 1880 p 405 413 Note doc n 1270 100 80 LACORE J P Perceuses machines percer et tarauder Cahiers de notes d
53. Fours de c mentation instillation Le fonctionnement normal de ces fours comporte l introduction de liquides inflammables alcools etc destin s fournir par combustion l int rieur de ceux ci l atmosph re gazeuse n ces saire au traitement L inflammation peut se produire dans les cas suivants op rations de transvasement fuite du bac de r serve du four d faillance du dispositif de transfert 33 Le poiut d clair est la temp rature laquelle un produit chauff met suffisamment de vapeur pour fournir avec l air ambiant un m lange inflammable Sa d finition exacte fait l objet d une norme 248 tna ar a a Risques a aS E EE Explosion Le risque d explosion est li la mise en oeuvre de gaz d atmos ph res diverses et de bains de sel Gaz Diff rents gaz sont utilis s pour le chauffage des fours gaz naturel gaz propane gaz butane etc Ces gaz sont suscepti bles de former des m langes explosifs avec l air L explosion peut survenir la suite de l allumage ou l arr t des br leurs ou du mauvais fonctionne ment de ceux ci fuite sur le r seau d alimentation Atmosph res de four Afin de soustraire les pi ces trait es l action de l oxyg ne de l air de nombreux traitements s effectuent sous atmosph res contr l es Parmi celles ci les atmosph res de type endother mique ou exothermique obtenues par craquage de gaz naturel ou de gaz propane so
54. H C RIENDEAU et C TRUDEAU VILLERET Le secteur canadien de la machinerie avec r f rence au Qu bec et l Ontario Sherbrooke Universit de Sherbrooke 1973 58 p BRISSON Roger L industrie de la machine agricole au Canada Montr al H E C 1930 BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC La province de Qu bec et ses manufactures Vol 5 Fer et acier M taux non ferreux Qu bec 1952 CHATLLON Colette L histoire de l agriculture au Qu bec Mont r al L tincelle 1976 125 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines agricoles Ottawa 1956 47 p il 4 1 COMMISSION ROYALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines 5 ft canadienne des machines industrielles Ottawa 1956 34 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE Rapport de la Commission royale EE SE Tommission royale d enqu te relative aux machines agricoles Clarence L Barker commissaire Ottawa 1971 674 p CONSEIL DES SCIENCES DU CANADA Les entreprises mergentes pour jouer gagnant tude de documentation n 48 Guy P F Steed d Ottawa 1982 D AMBROISE G et Y GASSE La PME manufacturi re 12 cas qu b cois Chicoutimi Ga tan Morin 1984 FANTUS COMPANY THE L industrie deg mini tracteurs et acces tracteurs et acces soires New York 1973 32 P FANTUS COMPANY THE Machines pour l industrie de transforma E 5 industrie de transforma tion N
55. L60 179 17 722 70 1 2 211 72 4 434 28 1 7 3 875 3 5 415 2 6 es a t B 289 15 966 682 5 201 223 25 266 100 0 16 876 100 0 32 4 63 2 2 7 0 0 0 4 0 9 100 0 les L alons 6 8 6631 8 on soustentt les 1 non compensablen et ler malalien professionnelles non compen contraire toutes 166 8 81 181 provlennent thi fichier STAT 35 CSST On observe galement que 72 4 des l sions compensables 8e retrouvent dans l unit fabrication d engins lourds ce pourcen tage est sensiblement plus lev que l emploi correspondant de 60 8 de cette unit A l inverse l unit fabrication de machines outils a une part des l sions compensables 6 3 du secteur beaucoup plus basse que le pourcentage d emploi correspon dant 14 5 5 Il en est de m me pour les unit s quipement agricole r frig ration v rins hydrauliques machines coudre et r paration d quipements divers Les unit s convoyeurs et g n rateurs et quipement industriel tel que d j mentionn e ont pour leur part une proportion des l sions compensables du secteur plus lev e que l emploi correspondant Le tableau 31 mesure la relation entre la proportion de l sions et la proportion de travailleurs par unit dans 16 secteur industries de la machinerie L indice de proportion Ip pour le secteur est de 1 00 Un indice inf rieur 1 00 19 1 00 signifie une pro portion de
56. Mesures sp cifiques de pr vention aaaea OO pr voir des cuves de volume suffisant et installer un moyen de contr le de la teneur en eau de l huile pour viter les d borde ments pr voir la mise en place d un couvercle sur le bac et des dis positifs d extinction adapt s mousse pagation de l incendie CO gt pour viter la pro Incendies li s aux fours de c mentation instillation entreposer les produits inflammables dans un local sp cial ne pas d poser la r serve de produits inflammables proximit imm diate des fours ou d une paroi chaude pr voir des dispositifs d extinction proximit imm diate ne garder pr s des fours que la quantit de produits n cessaire au fonctionnement normal de ceux ci Explosions li es la mise en oeuvre des gaz gaz naturel pro pane etca installer des dispositifs de s curit de flamme commandant l arr t d arriv e du gaz pr voir des consignes d atelier concernant les proc dures d al lumage et d extinction des fours effectuer des v rifications p riodiques des circuits du gaz rendre accessible le r seau d alimentation des diff rents br leurs Explosions li es la mise en oeuvre d atmosph res de four rendre accessible le r seau de distribution du gaz et effectuer des v rifications p riodiques 349 UE Va 5 aa a ia SAS ons ire CRE
57. Mise en marche accidentelle d un des 6l ments du tour dispositif de verrouillage et d interverrouillage commande d arr t agissant de fa on irr versible Organes de service con us et dispos s de mani re viter qu ils soient actionn s accidentellement protection contre le r tablissement inopin de la tension con tact auto aliment bonne conception du circuit de commande Commande de l alimentation en nergie r alis e d s que le capot protecteur est cart de sa position efficace Obligation de remise en marche par action sur l organe de service sp cifique 319 Ce Mesures sp cifiques de pr vention a ES Mouvement d un organe surprenant l op rateur protection par crans barrages capots dispositifs de non r p tition sur le circuit de commande Contact accidentel avec 138 pi ce en rotation proscrire les pratiques telles la mesure du diam tre avec ver nier la finition d al sage toile d meri le cassage d angles la lime et la finition des surfaces externes la toile d meri am lioration de l accessibilit du dispositif d arrosage ou des organes permettant de le r gler gt garder une distance s curitaire pour les membres inf rieurs Copeaux longs fragmentation de copeaux outils brise copeaux manipulation des copeaux avec des outils adapt s et des gants gt aspiration ou tapi
58. NEMOURS Properties and Uses of Dupont Chlorinated Hydrocarbon Solvents Wilmington Del 1966 13 p DUPONT DE NEMOURS Standard Practices Metal Degreasing with Chlorinated Solvents Wilmington Del 1966 13 p GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Guarding of Cutters of Horizontal Milling Machines Londres H M 5 0 1976 20 p GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Portable Grinding Machines Control of Dust Londres H M S 0 1982 42 p GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Safety in the Use of Guillotines and Shears Londres H M S 0 1978 1974 33 p HYDRO QU BEC Soudage et coupage oxyac tyl nique division appa reillage Chap 5 Le brasage Montr al Hydro Qu bec 1975 5 p INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT L hygi ne et la s curit dans l application des peintures par __ pulv risation Paris INRS 1970 64 Pe INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT La s curit dans l emploi des machines outils travaillant par formage ou cisail lage Paris INRS 1978 109 p 376 INSTITUT NATIONAL DE S CURIT La s curit dans l emploi des machines outils travaillant par d formation de m tal 5e d A par d tormation de m tal Paris INS 1966 102 p INSTITUT NATIONAL DE S CURIT La s curit dans l emploi des machines outils travaillant par enl vement de m tal 75 ed Paris INS 1968 118 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice
59. Safeguarding Grinding and Honing Machines Londres MITA 1978 40 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Horizontal Boring Machines Londres MITA 1980 32 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Machines Centres and Associated Machines Londres MITA 1978 7 50 r socIated Machines 29 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Milling Machines Londres MITA 1979 44 pe MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Saving and Cutting Off Machines Londres MTTA 1977 34 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Transfer Machines and Other Special Purpose Machine Tools Lon dres MITA 1979 35 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding _vareguarding Transfer Machines and Other Special Purpose Machine Tools 2 partie Installation Commissionning and Acceptance Lon dres MITA 1981 23 p 377 MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Turning Machines Londres MITA 1978 35 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Wood Working Machines 1 5 partie General and Sawing Machines Londres MITA 1981 60 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Spray Painting Good Practices for Employees Cincinnati NIOSH 1976 22 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Health and
60. Safety in Soft Soldering Circuit World vol 9 n 4 1983 p 2 4 CRAPNELL S G Noise Fights a Losing Battle at Packard Electric Occupational Hazards juill 1980 p 35 39 CURTIS E J et N PERCIVAL Codes of Practice for the Safe guarding of Machine Tools Protection vol 17 n 1 janv 1980 p 27 29 D graissage des pi ces m talliques tude critique de 16 technologie des machines utilisant 16 tri et le perchlor thyl ne Cahiers de notes documentaires n 52 Paris INS juill 1968 SSP ge notes documentaires 5 225 229 Note doc n 603 52 68 DINE R et M JACQMIN Enqu te sur les accidents provoqu s par les machines meuler Cahiers de notes documentaires n 104 Ve N9 E8 documentaires Paris INRS 1981 p 367 372 Note doc n 1331 104 81 379 DU VAL C E Reducing Eye Injuries in Foundry Grinding Opera tions How it Was Accomplished Professional Safety vol 22 n 4 avril 1977 p 44 45 GROUPEMENT DE RECHERCHES RGONOMIQUES SUR MACHINES OUTILS GREMO Conception des quipements une d marche des r alisations Lettre d information ANACT n 76 Paris juin 1983 p 1 9 ES 1rormation ANACT HART J W Safeguarding Metalcutting Machines Professional Safety janv 1983 pe 13 16 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT Annexe commune aux fiches techniques de s curit relatives aux machines outils Cahiers de notes documentai
61. Taux d in Indice Indice Rang cidence de com selon par tra gravit bin l indice vailleur combin 31111 quipement agricole 0 22 16 95 3 65 8 31211 R frig ration 0 12 10 78 1 34 10 31921 Convoyeurs 0 36 31 92 11 55 4 31941 V rins hydrauliques 0 19 27 98 5 30 6 31942 G n rateurs 0 33 42 44 13 82 2 31991 Machines outils 0 12 24 93 2 94 9 31992 Filtres air 0 29 29 32 8 57 5 31993 Machines coudre 0 07 55 15 3 76 7 31994 quipement indus triel 0 32 36 90 11 89 3 31995 R paration 0 23 72 28 16 77 1 TOTAL 0 27 35 79 9 68 TR Nombre de l sions compensables divis par nombre total d ann es personnes total des 4 ann es kk Jours standards plus les jours r els divis par nombre total d ann es personnes total des 4 ann es Notes Comme on l a soulign au tableau 29 le nombre d ann es personnes et le nombre de travailleurs sont consid r s comme synonymes La fiabilit des indices est moins grande lorsque les donn es de base relatives au nombre de travailleurs et au nombre de l sions sont peu lev es 179 LES CO TS DES L SIONS Le tableau 46 montre le co t total des l sions survenues entre 1980 et 1983 dans chaque unit On observe que l unit fabrica tion d quipement industriel totalise elle seule 67 2 du co t total des l sions du secteur Le co t annuel moyen par employ est de 499 00 Il varie de 187 00 pour l unit fabrication d quipement
62. Xain Polgt Fouce Calonue Wwa Pol paule Cenou Che Pied Autres Torat lombaire WUA trine vilie si ges 8313 Machiniatus de mavhlace ourila 197 24 17 3 130 33 5 123 36 46 69 2 217 1 445 335 56 0 et 8 1 425 5 45 76 164 386 69 21 336 16 103 2 7 b9 253 542 052 8393 Limeure meu le ru NCA 300 9 14 16 32 75 13 23 25 10 18 34 16 17 85 668 8521 Fabrication de machinas NCA 72 15 15 39 58 20 19 35 11 21 16 49 552 4529 Fabrication de praduita m tallique NCA 151 16 9 30 49 141 21 53 8 19 23 57 5 44 12 ai 8584 M canicians de nachines industrielles 50 9 h 9 24 1 15 55 11 17 22 9 29 59 406 9318 Hanoeuvres ns autent lonnalres 206 19 22 24 86 230 37 75 r 44 31 57 34 22 203 1 278 9999 autres pro re 1 194 152 87 151 452 1 072 185 512 731 W 258 422 226 570 1 294 7 43 TOTAL 3 597 309 204 338 981 2 410 433 979 L 565 35 519 901 412 981 2 550 15 65 21 6 1 9 1 2 2 0 5 9 14 5 266 5 9 9 4 2 6 3 1 5 4 2 5 5 9 15 5 109 0 rt b 4 3 4 3 3 su 44 6 100 0 quart soit 24 3 des l sions du secteur Les l sions l oeil au doigt et au dos de cette profession repr sentent elles seules 12 9 des l sions du secteur Les soudeurs et peurs ont 39 6 des blessures l oeil
63. a tiseptique instaurer un programme de surveillance pour contr ler toute allergie ou r action cutan e au contact de l huile 325 Perceuses Mesures sp cifiques de pr vention Broches et forets accessibles pendant qu ils tournent isoler broches et forets au moyen d une enceinte ou d un protec teur mobile et d un montage de per age s curit int gr e dans 1368 cas o pour des raisons justifiables on n utilise aucune des deux techniques de protection cit es ci dessus arr ter la broche avant toute intervention son voisinage ou au voisinage de l outil Pour cela la broche doit pouvoir s immo biliser en un temps tr s court par exemple moins de trois secondes liminer les copeaux par aspiration ou bien utiliser des outils du type pinceau ou brosse long manche ne pouvant entra ner la main s ils sont eux m mes entra n s manche lisse sans bou cle ni crochet ne porter ni gants ni v tements flottants pendant l usinage ne pas manipuler de chiffons au voisinage de la broche et du foret en rotation placer les organes de commande manuelle et le robinet de r glage du d bit de lubrifiant de coupe en des endroits accessibles par l op rateur sans qu il ait s approcher de la broche et du foret Mise en marche intempestive du moteur de broche pendant le montage et le d montage d un foret concevoir l organe de command
64. agent de s curit concluant qu il n y 8 pas danger peut la demande de l employ faire l objet d un renvoi aupr s du Conseil canadien des relations du travail Le Conseil peut confirmer la d cision de l agent de s curit ou donner les instructions qu il juge indiqu es Comit s d hygi ne et de s curit Tout employeur doit constituer un comit d hygi ne et de s curit pour chaque lieu de travail qu il dirige et qui compte habituelle ment au moins 20 employ s Un employeur peut tre exempt de l obligation de constituer un tel comit si le ministre du Travail est d avis que le lieu de travail pr sente peu de risques Ce comit est compos d au moins deux personnes dont une est un employ dans le cas o le comit compte plus de deux membres la moiti doit tre compos e d employ s ne faisant pas partie de la direction et ayant t choisis par les employ s ou si les travailleurs sont syndiqu s par leur s syndicat s 426 ssa D S mp A Les pouvoirs et fonctions principales du comit d hygi ne et de s curit sont les suivante recevoir prendre en consid ration et disposer rapidement des plaintes relatives la sant et la s curit des employ s mettre sur pled et promouvoir des Programmes d hygi ne et de s curit visant l ducation des employ s qu il repr sente participer toutes les enqu teg et investigations relatives l h
65. ais 55 p OFFICE DE LA LANGUE FRAN AISE Vocabulaire g n ral de l outillage anglais fran ais Qu bec diteur officiel 1983 75 D 299 Cahiers de notes docu 5 notes _docur Cahiers de mm HE TROISI ME PARTIE L ORGANISATION DE LA PR VENTION EN SANT ET EN S CURIT Dans cette troisi me partie nous traiterons de l organisation de la pr vention en mati re de sant et de s curit du travail dans le secteur industries de la machinerie sauf lectrique Nous verrons d abord dans le chapitre 7 les principales mesures de pr vention mises en oeuvre dans diff rents milieux de travail Puis nous aborderons dans le suivant les programmes et services offerts par divers organismes et associations vou s la mise sur pied de la pr vention en sant et en s curit du travail Dans le chapitre 9 nous passerons en revue les plus r cents projets de recherche effectu s dans 188 domaines d activit du secteur Dans le dernier chapitre nous pr senterons la l gislation en mati re de sant et de s curit du travail actuellement en vigueur au Qu bec CHAPITRE 7 LES PRINCIPALES MESURES DE PR VENTION DANS LE MILIEU DE TRAVAIL Recherche et r daction Michel Galimard Lesage Dumont experts conseils INTRODUCTION Ce chapitre traite des mesures g n rales de m me que des mesures sp cifiques de pr vention en fonction des statisti
66. association sectorielle L association sectorielle vise aider former et faire fonctionner des comit s de sant et de s curit dans les tablissements du secteur concevoir et r aliser des programmes de formation et d in formation pour ces comit s de sant et de s curit laborer des guides de pr vention faire des recommandations relativement aux r glements et aux normes de sant et de s curit ES collaborer la pr paration des dossiers sur la sant des 1 travailleurs concernant les risques auxquels ils sont expos s donner son avis sur les qualifications requises des inspec teurs de la CSST se doter de r glements de r gie interne En 1985 les activit s de l association sectorielle ont port sur l analyse des besoins de formation et la production d un pro gramme de formation en sant et s curit la mise sur pied d un centre de documentation et la cr ation d un syst me de donn es statistiques sur les accident s du tra vail gt la publication d un bulletin d information p riodique l inventaire des programmes de pr vention 123 l identification des dangers et des solutions concernant la san t et la s curit gt l inventaire des comit s de sant et de s curit Les objectifs g n raux que s est donn l association sectorielle pour 1986 sont tr s nombreux s approprier une connaissance ad quate
67. aux yeux porter un tablier de cuir pour le soudage et un tablier d a miante pour le d coupage les pieds doivent tre prot g s par des souliers de s curit et les jambes par des gu tres les gants de cuir offrent la meilleure protection pour les mains prot ger les yeux durant les op rations de soudage et de d cou page un masque avec une visi re filtrant les rayons ultraviolets et infrarouges est essentiel 358 O Mesures sp cifiques de pr vention n lectrocution mettre la terre les raccordements les c bles doivent avoir la capacit de maintenir le courant entretenir p riodiquement le g n rateur les c bles les raccor dements et le support lectrodes s assurer que le poste de travail est sec s r et ne pr sente aucune obstruction dangereuse formation du personnel qui utilise le soudage ou le d coupage l arc plasma Intoxications aux gaz et aux fum es de soudage de flux et des rev tements m talliques installer une ventilation localis e ad quate avec une v locit de capture suffisante pour retirer les fum es et les gaz hors de la zone de travail du soudeur installer par mesure pr ventive suppl mentaire un syst me de ventilation g n rale pour compenser les difficult s de captage de la ventilation localis e assurer une protection personnelle aux soudeurs travaillant avec des m taux toxiques ou durant des op rations en espace con fin Br
68. avec le comit d hygi ne et de s curit de signaler son employeur tout objet ou circonstance suscepti ble d tre dangereux de se conformer aux instructions de l agent de s curit Droit de refus Le Code canadien du travail conf re tout employ le droit de refuser de travailler s il a des motifs raisonnables de croire que l utilisation ou le fonctionnement d une machine ou d un objet constitue un danger pour sa sant ou sa s curit ou pour celles d un autre employ ou qu il existe dans un lieu de travail des 425 m me Le Code circonstances qui constituent un danger pour lui m me d finit 18 notion de danger comme tant un risque ou une situation susceptible de causer des blessures une personne qui y est exp 666 ou de la rendre malade avant qu il puisse y tre rem di Un employ ne peut invoquer son droit de refuser de travailler si son refus met en danger imminent la vie la sant ou la s curit d une autre personne ou si 16 danger fait partie int grante de son 1 travail ou constitue une condition normale d emploi L employ qui se pr vaut de son droit de refuser de travailler fait imm diatement un rapport son employeur Lorsque l employeur conteste ce rapport et que l employ maintient son refus l em ployeur et l employ en avisent imm diatement l agent de s curit qui au terme d une enqu te d cide de l existence ou de l inexis tence du danger Une d cision de l
69. bec tait de 2 345 tableau 2 et de 2 866 en Ontario soit 18 2 sup rieur au Qu bec 17 TABLEAU 2 TAUX DE CROISSANCE PRODUCTIVIT ET NOMBRE MOYEN DE SALARI S 1930 1980 Ann e Nombre moyen Producti Taux de crois Taux de de salari s vit par sance du nom croissance par ta salari bre de salari s de la valeur blissement 5 5 ajout e 1930 104 2 345 T _ 1940 117 2 065 3 7 2 3 1950 99 4 741 1 8 10 6 1960 91 7 143 1 8 6 4 1970 96 11 111 5 1 8 9 1980 58 30 009 3 2 14 6 1981 55 36 743 3 3 18 4 1982 45 39 564 14 7 8 1 Source Statistique Canada 895 de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1975 1982 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1930 1945 et 1955 1970 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province Val 2 1950 Estimation 18 TABLEAU 3 IMPORTANCE RELATIVE DU SECTEUR QU BEC CANADA 1930 1982 A QU BEC CANADA Nonbre de Nombre de x 100 Nombre x 100 Ann e salari s salari s B de A Ensemble des 5 salari s 5 activit s C manufacturi res B nn 1930 3 752 204 802 1 8 18 449 20 3 1940 5 376 252 492 2 1 39 207 13 7 1950 6 412 390 163 1 6 35 612 18 0 1960 7 671 433 949 1 8 40 136 19 1 1970 12 600 514 150 2 5 64 765 19 5 1980 17 298 527 925 3 3 94 904 18 2 1981 16 727 525 843 3 2 9
70. bec la variation s ta blissait 22 Z alors qu elle tait seulement de 15 7 en Onta rio Cette diff rence est significative D ailleurs les bran ches dont la valeur de la production a le plus augment en 1980 taient celles des Pompes et des compresseurs 34 des machines de laminerie et de m tallurgie 28 du mat riel de foresterie 21 et d exploitation mini re 18 trois des sp cialit s de l industrie qu b coise Malgr cette tr s forte croissance les fabricants canadiens n ont r ussi saisir qu une faible part des nouveaux d bouch s N oublions Pas que l industrie canadienne ne fabriquait qu environ 30 des machines qu elle utilisait les importations taient 2 2 fois plus lev es que les exportations Nous comptions au Canada en 1980 1 601 tablissements de machines dont 207 employaient plus de 100 employ s paient pr s de 70 Z de la 881 Ils occu oeuvre et r alisaient le m me Pourcentage de la production La majorit des petites exploita tions sont propri t s canadiennes mais la plupart des grandes 33 entreprises sont des filiales de soci t s trang res surtout am ricaines Ces derni res poss daient pr s de 70 de l actif de ce secteur en 1980 Une tude r alis e par le Conseil des sciences du Canada au d but des ann es quatre vingt d voilait que l industrie de la machinerie comptait le plus grand nombre d entreprises mergent
71. bois Dents de la partie de la lame en prise sur le bois Pincement du bots entre la lame et le guide longitudinal R sistance anormale pr sence de noeuds Angle d attaque insuffisant Manque de voie Lame gauchie Basculement de planche Grandes dimensions de la planche porte faux Contact direct avec les Poulie organes en mouvement Arbre Courroie Projections diverses Pr sence de noeuds d chardes ou de d bris divers clatement d outils Vitesse de rotation trop lev e clats de la lame fissures criques poin onnage Incendie explosion Sciure copeaux Mise en route intempestive Bo tier de commande mal implant 284 Risques Causes probables D Arr t d urgence impossible Bo tier de commande mal implant lectrocution 7 Contact avec des pi ces sous tension Risques pour la sant L activit de menuiserie pr sente peu de risques pour la sant parce que l op ration n est pas continue N anmoins ces risques doivent tre connus afin de pouvoir appliquer des mesures de pr vention efficaces Les risques pour la sant reli s l utilisation de l outillage main ont t pr sent s dans la section traitant de l outillage portatif Pour la scie circulaire table voici les principaux risques reli s son utilisation Risques Causes probables
72. calcium mettent des fum es toxiques d s 800 C et en quantit s de plus en plus importantes au fur et mesure que la temp rature s l ve 252 nn te ma om ea ne an aaas Risques re US en Des bains d huile qui mettent des fum es nocives en quantit s importantes lors des op ra tions de trempe des a rosols dont la composition correspond celle de l huile s enrichissant en cours de vieillissement de produits de d gradation nocifs Des atmosph res contr l es o le risque est d aux gaz toxiques notamment l oxyde de carbone et l ammoniac susceptibles de se r pandre et d tre inhal s par les op ra teurs aux gaz non toxiques gaz carbonique azote hydrog ne qui par dilution dans l air peuvent abaisser le taux d oxyg ne respirable suffisamment pour provoquer des troubles graves soit aux postes de travail soit lors d op rations d entretien n cessitant une intervention l int rieur des fours D GRAISSAGE Lors de la fabrication des machines il convient de d graisser l aide de solvants organiques les surfaces m talliques avant de proc der des traitements ult rieurs de protection tels le pla cage la galvanisation ou la peinture G n ralement on utilise des solvants organiques selon diff rentes mani res 253 froid ou chaud de fa on manuelle l aide de chiffon ou de brosse directement
73. coupe ou de particules m talliques porter des lunettes de s curit limiter autant que possible l pandage de l huile de coupe Contact direct avec les organes en mouvement installer des protecteurs sur les poulies les arbres les en grenages et les courroies 7 attendre l arr t complet de la machine avant d ouvrir les pro tecteurs interdire le port de v tements flottants Mise en route intempestive ou arr t d urgence impossible le dispositif de commande doit permettre sans risque la mise en route et l arr t ind pendants de chacun des mouvements des divers organes de la machine installer un dis joncteur minimum de tension l acc s aux leviers de commande ou aux bo tes boutons doit tre facile ils doivent tre dispos s ou prot g s de telle fa on qu une mise en marche intempestive ne puisse se produire liminer toute confusion possible entre une position arr t et une position marche permettre l arr t imm diat de la machine par une p dale stop associ e au frein de la machine 331 DE AE anna norme pee cg donci a a OO aa aMMa Mesures sp cifiques de pr vention aaaea Contacts fortuits divers le sol doit tre nivel et propre les abords de la machine d gag s limiter autant que possible l pandage d huile l clairage doit tre suffisant le poste de travail doit tre am nag en fonction de la positi
74. curit Le chapitre 7 d crit les principales mesures de pr vention dans le milieu de travail le suivant nous renseigne sur les programmes et services en sant et en s curit disponibles dans le secteur tandis que le chapitre 9 nous fournit un r pertoire des projets de recherche en cours sur le plan inter national Le dernier traite de la l gislation en mati re de sant et de s curit du travail Les donn es statistiques recuelllies au cours de cette tude proviennent de diff rentes sources Statistique Canada le Bureau de la statistique du Qu bec et la Commission de la sant et de la s curit du travail du Qu bec Chacun de ces organismes utilise des donn es pour des usages distincts et sp cifiques Il faudra en tenir compte lors de la comparaison de certains tableaux car leurs sources diff rent De plus pour certains chapitres comme par exemple le cinqui me il n a pas t possible d utiliser d autres r f rences que celles mentionn es Cependant en raison de l int r t qu elles offrent nous avons cru bon de faire b n ficier 18 lecteur de toutes 168 donn es disponibles en y ajoutant lorsque c tait possible des tableaux de correspondance viii Nous avons Con u et men terme cette monographie en voulant cerner le plus fid lement possible la r alit du secteur Cepen dant il se peut que certains l ments fassent d faut cause de la diversit des activit s inh rente ce secte
75. d hygi ne ou le repr sentant l hygi ne et la s curit doivent tablir un plan d vacuation et des proc dures pr cisant la marche suivre lors de certaines situations d urgence L employeur doit fournir de l information ses employ s sur ces proc dures d urgence de m me que sur l emplacement l utilisation et la mise en service de l quipement de protection contre les incendies et de l quipement d urgence Cette partie contient des dispositions sp cifiques pr voyant la nomination de gardiens ayant des responsabilit s en cas d urgence 1 inspection des b timents la tenue d exercices et l interdiction de certaines activit s dans les endroits haut risque d incendie Partie XVIII Conducteurs de v hicules automobiles Cette partie s applique aux transporteurs routiers et aux conducteurs de v hicules automobiles L expression transporteur routier d signe 442 une personne qui exploite en location un ouvrage une entreprise ou une affaire pour le transport de marchandises ou de passagers par v hicule automobile entre un endroit situ dans une province et un endroit situ l ext rieur de cette province ou pour le transport du courrier n importe o au Canada Quant au conduc teur de v hicule automobile celui ci est d fini comme 18 personne qui conduit un v hicule automobile titre de transporteur rou tier d employ amp d un transporteur routier de sous traitant d un transporteur rout
76. dangereuses sur les voies publiques Partie XI Espaces clos Constitue un espace clos au sens de cette partie un r servoir une cuve de traitement une vo te souterraine un tunnel ou autre espace qui sauf pour y ex cuter un travail n est pas con u pour tre occup par des personnes ni destin l tre dont le nombre d ouvertures d entr e et de sortie est limit et dont l a ration pr sente certaines carences Conform ment cette partie il est interdit un employeur de permettre un employ de p n trer dans un espace clos dangereux de m me qu un employ de p n trer dans un tel espace moins que l employ ne puisse le faire conform ment certaines normes et que l espace clos dangereux n ait une ouverture qui permette l employ de p n trer l int rieur de toutes les parties acces sibles dudit espace clos et d en sortir sans risque alors m me qu il est rev tu de tout l quipement protecteur ou de tout autre quipement prescrit Cette partie fixe galement des normes en mati re d acc s un espace clos dangereux de mat riel de ventilation d air comprim d inspection et d entretien des lieux 437 Partie XII Mat riel quipement dispositifs v tements de s curit Conform ment cette partie un employeur doit dans le cas o il n est pas raisonnablement possible d liminer un denier inh rent au travail ou de contenir ce danger dans des limites s res et o le port
77. de donner une vue d ensemble du secteur en ce qui a trait aux l sions professionnelles leurs co ts ainsi qu aux retraits pr ventifs de la travailleuse enceinte ou qui allaite Des donn es statis tiques sp cifiques une r gion 8 un DSC une unit ou une entreprise pourront ventuellement enrichir la description du secteur contenue dans le pr sent document Les donn es utilis es proviennent des fichiers de la r paration ce sont avant tout des donn es d indemnisation et d ordre m dical Ainsi la cueillette de donn es plus pr cises sur le terrain peut s av rer galement n cessaire dans le cas de recherches plus sp cialis es Des projets de recherche pourraient partir des donn es dont on dispose actuellement nous fournir des l ments de solution CORRESPONDANCE ENTRE LA CLASSIFICATION DE DU QU BEC ET LES UNIT S CSST LECTRIQUE Code de sous secteur CAEQ 311 Industrie des instruments ara toires 312 Industrie du mat riel commer cial de r frig ration et de climatisation 319 Autres industries de la machi nerie et de l quipement S ACTIVIT S CONOMIQUES INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF Code d unit CSST 31111 Fabrication d quipement agri cole ou d instruments aratoires 31211 Fabrication d quipement com mercial de r frig ration 31921 Fabrication de convoyeurs 31941 Fabrication y compris la pose ou la r paration de v rin
78. de l abrasif Dispositif d arr t automatique Source Construction Safety Association of Ontario Spray Painting and Sandblasting 243 Le sable de silice est le produit de choix pour le jet de sable Mais cause de sa toxicit et de ses effets sur la sant on utilise de plus en plus des produits tels que les billes de verre ou de m tal On se sert des billes de verre ou de m tal particuli rement pour le nettoyage de petits morceaux Par contre le nettoyage de grosses pi ces est encore fait avec du sable de silice Risques pour la s curit Il importe de bien conna tre les risques pour la s curit reli s l usage du jet de sable Risques Accidents Le risque caus par la perte de contr le du pistolet jet Le risque d une d faillance des tuyaux d alimentation ou que le tuyau accroche un morceau d quipement Le fait que deux personnes soient dans la m me enceinte peut occasionner un risque si par m garde l op rateur du jet de sable dirige le jet vers l autre employ Pour le nettoyage des petits morceaux les unit s scell es peu vent perdre leur tanch it et laisser chapper de la poussi re ou un clat provenant du jet de sable Ceci entra ne un risque pour les yeux Le risque d une chute possible caus e par une accumulation de poussi re et de sable sur 18 plancher Le risque de chute d objets est possible s il y a un encombre ment des morceau
79. de prot ger la vie et la sant des travailleurs R glement aur les tablissements industriels R R Q 1981 chap S 2 1 r 8 Ce r glement vise dans son ensemble contr ler les maladies professionnelles au moyen d examens de sant et d autres mesures de surveillance m dicale Des mesutes sp ciales sont pr vues dans 419 le cas des industries o l on trouve des poussi res dangereuses pour la sant des poisons industriels du benzol et ses d riv s ou du plomb et 868 compos s De plus ce r glement cr e l obligation tout m decin de d clarer la Commission les cas de maladies professionnelles qu il ren contre dont 168 cas d intoxication divers contaminants R glement sur les associations sectorielles paritaires de sant et de s curit du travail R R Q 1981 chap S 2 1 re 1 modifi par le d cret 582 83 du 23 mars 1983 par le d cret 47 83 du 12 janvier 1983 par le d cret 1405 83 du 22 juin 1983 par le d cret 1406 83 du 22 juin 1983 par le d cret 1606 84 du 4 juillet 1984 par le d cret 2487 84 du 7 novembre 1984 et par le d cret 287 85 du 3 avril 1985 Ce r glement qui vise certaines classes d industries du secteur industries de la machinerie sauf lectrique pr voit les condi tions de formation des associations sectorielles et en d finit certaines r gles de r gie interne Il d termine galement les conditions et crit res des subventions qui peuvent tre accord
80. des mati res inflammables Brouil lards d huile 208 Fraiseuses Les fraiseuses enl vent des copeaux l aide d un outil rotatif ar tes multiples appel fraise On utilise cette machine outil pour effectuer des travaux aussi divers que l usinage d une pi ce d outillage unique le fraisage sur surface plane d une pi ce de m tal ou la r alisation d encoches sur de grandes s ries de pi ces Les fraiseuses verticales horizontales ou universelles fonctionnent g n ralement selon trois axes orthogonaux Il existe quatre types de fraiseuses les fralseuses console sch ma 3 les fraiseuses banc fixe les fraiseuses lat rales et les frai seuses portique tant donn leur grande diversit dans les travaux les fraiseuses sont d architecture tr s vari e Elles sont caract ris es par la distance entre la table le b ti et le nez de la broche les dimensions de la table et la charge qu elle peut supporter la course de chaque l ment mobile table console chariot transversal b lier gt la puissance du moteur la gamme des vitesses de broche et d avance leur mode de commande manuel semi automatique automatique ou num rique Les alliages utilis s sont les m mes que ceux g n ralement em ploy s pour les travaux par enl vement de copeaux c est dire les aciers les fontes les alliages ultra l gers aluminium et magn sium et les alliages cuivreux Ri
81. des travailleurs quelle que soit la nature des facteurs en cause qu ils soient d ordre physique biologique chimique ou psycho social Dans le cadre de sa mission les objectifs g n raux de l Institut sont les suivants effectuer ou faire effectuer des recherches dans les domaines jug s prioritaires favoriser par des entreprises conjointes et des programmes sp cifiques le d veloppement de la recherche en sant et en s curit du travail dans ses unit s ou les autres organismes de recherche contribuer la formation de chercheurs en sant et en s curit du travail par l octroi de bourses et 16 soutien aux programmes de recherche des universit s rendre disponibles les services sp cialis s de laboratoire pour r pondre des besoins d analyse et d expertise n cessaires la r alisation des mandats d inspection et de pr vention assum s par la Commission de la sant et de la s curit du travail et par d autres intervenants 29 Institut de recherche en sant et en s curit du travail Rapport annuel 1981 Montr al IRSST 1982 131 Formellement autonome l Institut est tr s intimement 116 sur le plan fonctionnel la Commission de la sant et de la s curit du travail Son conseil d administration auquel r pond le directeur g n ral ainsi que son comit ex cutif sont les m mes que ceux de la Commission de la sant et de la s curit du travail Le conseil scient
82. des lignes de production largies investigation des besoins des march s domestiques et d exportation ouverture accrue sur les march s d exportation et acceptation du d clin de la production Nous remarquons done pour les ann es 1981 et 1982 aux tableau d 2 3 et 6 une baisse g n rale de tous les indicateurs Le nombre d employ s variait de 17 298 en 1980 14 273 en 1982 ce qui quivaut une baisse du taux de croissance gale 3 3 en 1981 et 14 7 en 1982 La valeur ajout e n a toutefois connu une baisse qu en 1982 Elle s levait 614 6 millions de dollars en 1981 et 564 7 millions de dollars en 1982 soit une baisse gale 8 8 1 4 Ce qui nous fait dire avec les analystes conomiques que les premiers ressentir les m faits de la r cession sont ies travailleurs et les consommateurs puisque les grandes entreprises ont le pouvoir de d terminer les prix Ainsi la hausse de la valeur ajout e enregistr e en 1981 est davantage due la hausse 36 des prix qu une hausse de production La valeur ajout e par salari la productivit est d ailleurs pass e de 30 009 en 1980 39 564 en 1982 L importance du secteur machinerie au Qu bec par rapport l en semble de l industrie manufacturi re a l g rement diminu entre 1980 et 1982 Elle s tablissait alors 3 3 et n tait plus en 1982 qu 3 L importance du secteur au Qu bec et au Canada 8 peu vari quant elle
83. doivent tre conformes aux pres criptions r glementaires pour les travaux d entretien ou de r parations sur la machine on doit couper le moteur avant de commencer les travaux et ver rouiller ou cadenasser les dispositifs de d marrage ou de com mande pour emp cher la mise en marche accidentelle Bruits et vibrations assurer un bon quilibrage des pi ces en rotation assurer le bon tat de la cisaille munir la machine d amortisseurs pour r duire la vibration amortir la chute des pi ces coup es l aide d un tissu pais charg de plomb porter des protecteurs auditifs Autres quipements lt lt __ O Mesures sp cifiques de pr vention A aaa Machine quilibrage dynamique Contacts ou projections de m tal et mise en marche intempestive de la machine Construire une enceinte autour de la machine avec des blocs de b ton 342 LL oo raen s Mesures sp cifiques de pr vention r re a a a placer un dispositif automatique sur la porte pour emp cher l acc s au moment de l quilibrage doter les fen tres de verre r sistant aux chocs placer les commandes de contr le l ext rieur de l enceinte Contacts fortuits divers caus s par la fatigue et la perte d qui libre s assurer que le sol est nivel et propre l int rieur de l en
84. du secteur et d velopper les moyens n cessaires pour l obtenir et la maintenir d velopper l information et se donner cette fin les res sources n cessaires pour assurer l excellence de cette informa tion aupr s d un large secteur de sa client le poursuivre et largir les travaux commenc s dans le cadre de ses projets pilotes promouvoir les comit s de sant et de s curit en s effor ant d introduire et d am liorer la qualit du fonctionnement de ces comit s plut t que de viser l implantation du plus grand nombre gt maintenir la qualit de sa gestion raffermir la comp tence de son personnel et stimuler le dyna uisme de son action favoriser l implication des administrateurs qui repr sentent les groupements membres Dans le cadre de ses objectifs g n raux l association sectorielle s est donn pour 1986 un programme d action diversifi prolonger l inventaire du secteur y compris l inventaire des comit s de sant et de s curit et des programmes de pr vention 25 Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur fabrication d quipement de transport et de ma chines Demande de budget et programmation 1985 Montr al 1984 i 26 Ibidem 124 participer une recherche sur les facteurs d efficacit de l organisation de la s curit du travail dans les entreprises avec un groupe de recherche de l Universit de Montr al poursuivre la
85. du travail la sant et la s curit la recherche la documentation ainsi qu l in formation Les services quotidiens aux travailleurs membres des syndicats affili s la FTQ sont pris en charge par chacun de ces syndicats Quelque 800 permanents assurent ces services Le Service de l ducation offre 168 programmes suivants cours sur les demandes d indemnit s la CSST cours sur les demandes d indemnit s la CSST pour les probl mes de surdit cours sur le bruit en milieu de travail cours sur les poussi res enqu tes d accidents gt cours sur les vibrations cours sur les probl mes de vision cours sur le r le des comit s de sant et de s curit du tra vail cours sur les crans cathodiques Le Service de sant et de s curit du travail offre les services suivants 393 documentation information et appui technique destin s principa lement aux dirigeants qui sl gent au conseil d administration de la CSST et aux comit s consultatifs de cet organisme aide aux accident s d fense des travailleurs repr sentation et liaison avec le milieu CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX CSN C est en r action au syndicalisme am ricain que des syndicats du Qu bec se sont regroup s en 1921 pour donner naissance 18 Conf d ration des travailleurs catholiques du Canada CTCC En 1960 la CTCC opte pour la d confessionnalisation et pren
86. et r gle ments alors en vigueur et pr voit que le ministre responsable de l application de la loi est d sign par le gouvernement Au sujet de la transition pr cisons que la loi pr voit que les r glements adopt s en vertu de la Lol sur les tablissements industriels et commerciaux L R Q chap E 15 remplac e par l article 285 de la pr sente loi ainsi que certains r glements adopt s en vertu de la Loi sur les mines L R Q chap M 13 de la Loi sur la protection de la sant publique L R Q chap P 35 et de la Loi sur la qualit de l environnement L R Q chap Q 2 demeurent en vigueur dans la mesure o ils sont conciliables avec la pr sente loi jusqu ce qu ils soient modifi s remplac s ou abrog s par un r glement adopt en vertu de la pr sente loi Ces r glements constituent alors des r glements adopt s en vertu de la pr sente loi art 286 294 300 et 310 R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DES LOIS DU QU BEC R glement sur les tablissements industriels et commerciaux 1 1981 chap S 2 1 r 9 Ce r glement prescrit des normes g n rales de sant et de s curit applicables aux tablissements Le champ d application de ce r glement est tr s vaste et englobe principalement l tat des lieux de travail les moyens d vacuation et de protection contre l incendie les qualit s de l environnement de travail quant la ventilation l clairage au bruit et aux vibra
87. exempt de poussi res de taches d huiles etc On peut se r f rer aux risques communs li s l usinage Machines raboter et taux limeurs Les machines raboter et les taux limeurs sont des machines d usinage servant travailler des pi ces m talliques froid par enl vement de copeaux Les machines raboter sont des machines de grandes dimensions tandis que les taux limeurs sont g n rale ment de petites dimensions Pour les machines raboter le ou les couteaux de travail sont en position fixe alors que les 224 pi ces travailler sont mont es sur une table mobile qui se d place horizontalement dans un mouvement alternatif les pi ces sont donc pouss es entre les couteaux par la table mobile Toute fois le couteau est g n ralement du type rotatif Par contre les taux limeurs effectuent le m me travail mais l inverse En effet c est le couteau travailler qui est mobile et qui se d place horizontalement tandis que la pi ce travailler est fixe Risques pour la s curit Le mouvement du coulisseau table de travail mobile repr sente s rement un des risques majeurs reli s au travail sur les rabo teuses Il arrive souvent que le coulisseau dans ses positions extr mes laisse un passage insuffisant entre 18 machine et le mur ou l obstacle fixe situ dans l environnement de la machine Un garde corps d une longueur Correspondant la course extr me du coulisseau peut prot
88. glement adopt l origine conjointement en vertu de 18 Loi sur les tablissements industriels et commerciaux L R Q 4 La LE 3 ps E 15 remplac e par L R Q chap S 2 1 et de la Loi sur la s curit dans les difices publics LeR Q chap 8 3 contient en e r glement prescrit les normes de s curit relatives la cons truction d un puits d ascenseur ou de monte charge la salle des machines la f osse d ascenseur ou de monte charge la protec ti on des acc s au palier au rail guide au support l attache la b ut e et l amortisseur de cabine et de contrepoids 1 t P Pp au parachute de cabine et de contrepoids et au r gulateur de vi tesse aux machines d entra nement poulies et c bles au monte charge de trottoir aux escaliers roulants et 11 contient d es prescriptions suppl mentaires Pour ascenseurs ou monte hydrauliques on Code du b timent 0 1981 chap 5 3 r 2 e r glement adopt l origine conjointement en vertu de la Loi sur les tablissements industriels et commerciaux L R Q 4 L2 3 chap E 15 remplac e par L R Q chap 5 2 1 et de la Loi sur la s curit dans 168 difices publics L R Q chap 8 3 contient des dispositions ncernant indirectement la sant et 1 du travail e r glement touche essentiellement les exigences minimales de s cur
89. gorie il faut faire une distinction entre les outils main et les machines outils Ces deux sous cat gories pr sentent des risques et des mesures pr ventives diff rentes quant leur emploi et leur mode de fonctionnement Outils main et petit outillage TT aaO Mesures sp cifiques de pr vention lt lt _ _ _ U Outils main en g n ral ne pas les abandonner en position instable sur un tabli une chelle ou une tablette pour viter une chute malencontreuse ne pas les mettre en poche c est un danger pour soi m me et pour les autres utiliser une sacoche pour outils tout en pro t geant la partie coupante faire attention ses gestes en maniant les outils transporter les outils en prot geant leur tranchant par un four reau en cuir ou en bois et les mettre dans un emplacement sp cialement am nag dans les coffres outils ou casiers sp ciaux Outils pointus ne pas laisser en d sordre ni enchev tr s dans un tiroir les pointes tracer les compas et les verniers prot ger la partie piquante par un bloc de li ge ou un tui pro tecteur 363 A a dore E eee og Mesures sp cifiques de pr vention A a A A ne jamais utiliser la queue d une lime ou d une r pe pour rem placer une broche cette partie de la lime ne peut tre tremp e car cela la rendrai
90. indice combin 188 unit s de ce secteur telles que pr sent es au tableau 45 varient de 16 77 pour l unit r paration d quipements divers 1 34 pour l unit fabrication d quipement de r frig ration L unit r paration d quipements divers se classe donc au premier rang quant l indice combin c est dire l unit dont le nombre de jours compensables par travailleur est le plus lev elle est suivie au deuxi me rang par l unit fabrication de g n rateurs 13 82 au troisi me rang par l unit fabrication d quipement industriel 11 89 et ainsi de suite jusqu la dixi me unit du secteur d j mentionn e L indice combin moyen est de 9 68 L indice de gravit moyen est de 35 79 pour l ensemble du secteur Certaines unit s telles les unit s r paration d quipements divers et fabrication de machines coudre pr sentent un indice de gra vit particuli rement lev soit une perte respective de 72 et 55 jours de travail par l sion compensable dans ces unit s Le secteur industries de la machinerie pr sente un taux d inci dence de 27 accidents par 100 employ s Les taux d incidence les Plus lev s pour leur part se retrouvent dans les unit s fabri cation de convoyeurs et fabrication de g n rateurs qui ont des taux respectifs de 0 36 et 0 33 TABLEAU 45 INDICATEURS DES L SIONS COMPENSABLES PAR UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Unit
91. industries seule l industrie de la fabrication des produits en m tal a pr sent une performance sup rieure La production de celle ci a t multi pli e par 1 83 sa main d oeuvre par 1 29 et ses tablissements par 1 29 En fait cette sup riorit n a t r alis e qu au plan des exp ditions La croissance de l industrie manufacturi re 22 refl te le rendement de la majorit des industries Sa production a t multipli e par 1 31 sa main d oeuvre par 1 15 et ses ta blissements par 0 92 soit une l g re diminution Cela nous permet de constater la forte progression de l industrie de la machinerie Le co t des mat riaux et des fournitures utilis s accapare toute fois une part importante du prix de revient Il atteignait 49 de la valeur des exp ditions en 1965 Cette industrie est un gros utilisateur de produits de l industrie de la premi re transforma tion des m taux et requiert aussi un volume important de pi ces composantes et de fournitures de toutes sortes plastiques caoutchouc tissus bois peinture huiles et vernis L industrie continuait d employer une plus grande proportion de travailleurs hautement sp cialis s que les autres industries ouvriers op rateurs dessinateurs et ing nieurs Le gouvernement provincial de l poque tait sensible leurs besoins et com mand des tudes sur les transformations n cessaires apporter au syst me d enseignement afin qu il r ponde
92. l on voit que ces trois professions regroupent 40 6 des accidents compensables du secteur Ainsi les cinq 166 TABLEAU 37 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES SELON LES PRINCIPAUX SI GES DES L SIONS DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Nombre Pourcentage Si ge Secteur Tous Secteur Tous 1 2 de la l sion industries les industries les X 100 de la secteurs de la secteurs machinerie 2 machinerie 1 Oeil 3 597 50 497 21 6 7 4 7 12 Coude 309 13 593 1 9 2 0 2 27 Bras 204 14 780 1 2 1 7 1 73 Poignet 338 20 020 2 0 2 9 1 69 Main 981 44 232 5 9 6 5 2 22 Doigt 2 410 95 578 14 5 14 1 2 52 Pouce 433 20 403 2 6 3 0 2 12 Colonne lombaire 979 45 336 5 9 6 7 2 16 Dos NCA 1 565 83 860 9 4 12 3 1 87 Poitrine 434 20 839 2 6 3 1 2 08 paule 519 26 710 35 1 3 9 1 94 Genou 901 38 902 5 4 5 7 2 32 Cheville 412 24 128 2 5 3 5 1 71 Pied 981 38 965 5 9 5 7 2 52 Autres si ges 2 590 145 021 15 5 21 3 1 79 TOTAL 16 653 679 864 100 0 100 0 2 45 167 TABLEAU 38 R PARTITION D S ACCIDENTS COMPENSABLES SELON LA NATURE DE LA L SION DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 om Nombre Pourcentage Nature Secteur Tous Secteur Tous 1 2 de 18 l sion industries les industries les Xx 100 de la secteurs de la secteurs machinerie 2 machinerie 1 RS Contusion 2 948 120 514 17 7 17 7 24 46 Douleur 2 979 135 517 17 9 19 9 2 20 Ent
93. le salaire annuel garanti afin de fournir une protection aux travail leurs dont l emploi est de nature cyclique En 1973 Chrysler accepte de mettre sur pied un programme de s cu rit et d hygi ne d am liorer son r gime de retraite et de res treindre son droit d effectuer du temps suppl mentaire Cependant l ann e suivante 168 tats Unis et le Canada entrent dans ce qui sera 18 pire r cession conomique depuis 168 ann es trente Au cours des deux ann es subs quentes pr s de 300 000 ne des grands fabricants d automobiles et des milliers d autres employ s d industries connexes sont en ch mage En 1974 clate un conflit la United Aircraft de Longueuil qui va durer 22 mois La FTQ organise une gr ve g n rale de solida rit de 24 heures qui mobilise 100 000 travailleurs Selon les statuts et r glements de ce syndicatl8 les 5386 tifs des TUA sont de promouvoir une d mocratie active de cr er un r gime uniforme de r duction des heures de travail et d augmenta tion des salaires Les membres administrent le syndicat inter national par le congr s international instance supr me form des d l gu s lus dans chaque section locale Le bureau international se r unit trimestriellement pour administrer les d cisions du congr s Entre les r unions du bureau l autorit administrative est d volue au pr sident international 18 Travailleurs unis de l automobile Statuts et r glements Dallas
94. les risques asso cl s la t che et les dispositions prendre en cas d urgence L affichage des r gles de s curit ainsi que des r unions exclusi vement r serv es des principes de s curit constituent des moyens efficaces de rappel pour les travailleurs qui doivent prendre conscience de leur sant de leur s curit et de leur int grit physique Politique d achat Les entreprises de ce secteur doivent tenir compte de l aspect sant et s curit lors d achat de machineries ou d outils On peut facilement demander un fournisseur la puissance acoustique d une machine et conna tre partir de ces informations le niveau de bruit g n r par cette machine La m me pratique s ap plique concernant les vibrations g n r es par une machine On peut aussi demander aux fournisseurs quelles sont les mesures de contr le la source utilis es pour r duire les manations de brouillards d huile au site d op ration de la pi ce machiner Tous ces l ments peuvent inciter les fournisseurs ajouter dans leurs efforts de vente l l ment de sant et de s curit Personnel Les entreprises du secteur peuvent se doter d un programme de d pistage lors de l embauche des travailleurs qui pr sentent une sensibilit particuli re au bruit aux brouillards d huile 314 sensibilit cutan e probl mes respiratoires et en tenir compte dans l am nagement du poste de travail ou bien elles peuvent avo
95. m talliques fusion nent On ajoute alors du m tal en fusion pour joindre les deux morceaux Cette op ration se fait par une lectrode fusible ou bien par une tige qui fond l lectrode dans ce cas n est pas fusible Le soudage l arc conventionnel est surtout manuel On utilise une lectrode enrob e qui se consume au moment de la soudure l arc Mais 11 existe des proc d s semi automatiques et automa tiques de soudage l arc Soudage l arc avec un gaz protecteur Dans ce proc d un gaz inerte prot ge la soudure contre l oxydation et la contamina tion L argon l h lium l azote et le bioxyde de carbone sont les gaz habituellement utilis s La s lection du gaz d pend du type de m tal souder Il existe deux types de soudage l arc m tal inerte gaz MIG l lectrode est une tige fusible qui a une composition m tallique similaire la pi ce m tallique souder Cette tige est aliment e de fa on continue sch ma 12 tungst ne inerte gaz TIG l lectrode est en tungst ne lequel ne se consume pas sous l action de l arc On ajoute un m tal d apport qui se consume sous l arc Cette op ration est manuelle sch ma 13 Soudage manuel l arc lectrique Cette op ration de soudage consiste 8 fournir l arc lectrique une lectrode fusible simi laire la pi ce m tallique souder enrob e d un mat riel compos de min raux et d autres composantes Cet enrobage
96. machine outil maintenir la pi ce usiner l aide de pinces employer la technique recommand e par le fabricant pr voir un syst me d arr t automatique en cas de probl mes avec les machines outils Projection d outils d manchement rupture mettre des dispositifs de s ret sur les outils pneumatiques tester les machines outils avant de d buter les op rations munir les machines outils scies abrasives de gardes pour viter les projections Bris ou usure des fils lectriques ou des tuyaux d air comprim inspecter p riodiquement les fils lectriques inspecter r guli rement les tuyaux d air comprim ainsi que les raccordements et les valves 367 4 3 i 4 Mesures sp cifiques de pr vention Projection d clats ou de poussi res porter l quipement personnel de protection tel que lunettes de s curit ou cran facial et des souliers de s curit Risques d entra nement caus s par les v tements et les cheveux porter des bonnets en filet pour les cheveux porter des v tements ajust s Vibration et bruit r duire les vibrations la source des machines outils porta tives par une diminution de 18 vitesse rotative porter des gants ou des amp quipements antivibratoires sur la machine outil porter des protecteurs auditifs lors de l utilisation des ma chines outils qui ont un niveau de bruit sup
97. mat riel agricole au Qu bec L Association poursuit plusieurs objectifs 7 grouper en association les fabricants de machinerie et de mat riel agricole au Qu bec 24 Association des fabricants de mat riel a gricole du Qu bec R glements g n raux Montr al 1981 112 devenir le porte parole officiel de ces fabricants tudier promouvoir prot ger d fendre et d velopper de toutes les mani res les int r te professionnels de ses membres imprimer et publier toutes publications pour fins d information de culture professionnelle et de promotion promouvoir la machinerie et le mat riel agricole l ext rieur du Qu bec L Association regroupe 25 membres actifs et 4 membres associ s Les entreprises qui d sirent devenir membres doivent consacrer 50 de leurs activit s la fabrication au Qu bec et il faut qu une partie de celles ci soit reli e l exploitation agricole ou para agricole Une assembl e annuelle lit les sept administrateurs qui si gent au conseil d administration Le quorum de l assembl e g n rale est de 25 et celui du conseil d administration est de 50 Le conseil d administration se r unit au moins six fois par ann e Depuis sa fondation l Association 8 d fini son r le les priorit s pour orienter ses actions et elle a produit un annuaire contenant des renseignements sur ses membres s est dot e d un sceau de conformit pour fournir une
98. mieux aux besoins de la soci t Il en est r sult la cr ation des coll ges d enseigne ment g n ral et professionnel c geps Ils n ont malheureusement pas encore su r pondre aux besoins de cette industrie puisqu une p nurie constante de main d oeuvre qualifi e pour la production de machines relativement nouvelles et complexes constituait et cons titue toujours un de ses grands probi mes Enfin le salaire hebdomadaire moyen per u par les travailleurs y tait sup rieur aux autres industries justement Cause de la proportion assez lev e de main d oeuvre qualifi e En 1970 nous remarquons que cette industrie accusait toujours au Qu bec un retard sur l Ontario ceci malgr que sa croissance ait 23 t consid r e comme tr s bonne de 1960 8 1970 le taux de croissance atteignait 8 9 tableau 2 mais sa valeur Mes se situait loin derri re celle de l Ontario Cette derni re appropriait ce moment au del de 70 5 du march canadien et le Qu bec moins de 20 Toutefois le taux de croissance du nombre d employ s au cours des ann es soixante a t de 5 1 au Qu bec et 4 2 en Ontario En 1960 le Qu bec avec ses 7 671 employ s comptait 26 6 du nombre d employ s ontariens qui se ou 28 824 personnes alors qu en 1970 les 12 600 employ s du RARES correspondaient 28 9 de la main d oeuvre ontarienne Malgr ce gain nous remarquons la lecture des don
99. ou sur la pi ce Intervention manuelle sur une pi ce en rotation Contact accidentel avec une pi ce en rotation crasement au serrage des pi ces avec les l ments de la machine montage et d montage de pi ces L sions r sultant de l im jection d une pi ce d un l pact d un objet ou d un ment de bridage fragment de mati re sur une Projection de copeaux ou de partie du corps mains fragments yeux etc Rupture d outils Projection d un l ment de ser rage de la machine Blessures diverses pouvant V tements ou cheveux entra n s tre tr s graves par un l ment de la machine ou de la pi ce en rotation gt Mise en marche intempestive du moteur contr lant le mouvement des l ments de la machine 200 EE SO 9 Risques Causes probables Coupures br lures Contact avec des copeaux ou pi ces non bavur s ou port s haute temp rature lectrocution Contact avec les parties nor malement sous tension ou acci dentellement sous tension Nous examinerons maintenant les risques qui peuvent mettre en danger la sant et la s curit et qui sont sp cifiques chaque type de machine utilis e Rectifieuses Les rectifieuses servent la finition des pi ces qui n cessitent des tol rances d usinage tr s troites de quelques centim tres quelques milli mes de millim tre et au calibrage d b
100. ouvrier et des mouvements effectuer l tat des lieux les sols les bruits la temp rature et l at mosph re ne doivent pas nuire aux r flexes de l op rateur Mesures sp cifiques de pr vention lectrocution mise 18 terre des masses m talliques de 18 machine installations lectriques conformes aux prescriptions r glemen taires gt clairage compl mentaire avec protection par disjoncteur diff rentiel dispositifs de d marrage ou de commande verrouill s ou cade nass s durant les op rations d entretien ou de r paration Presses m caniques Mesures sp cifiques de pr vention crasement des mains dans la zone dangereuse de la presse installer des dispositifs protecteurs interdisant l introduction des mains emploi de personnel qualifi et form utiliser des pinces ou ventouses pour les presses non automa tiques gt lorsqu une presse comporte plusieurs postes de commande la commande de l l ment mobile ne doit tre possible qu avec une pression continue exerc e simultan ment par tous les op rateurs le dispositif d terminant le mode de fonctionnement doit tre l abri de tout changement provenant de 18 seule initiative de l op rateur la presse doit tre munie d un verrouillage du dis positif permettant de passer de l un l autre 336 Mesures sp cifiques de pr vention
101. permet d observer la Progression de ce secteur Nous remarquons tout d abord qu entre q q 1930 et 1935 l industrie est affect e comme toute l conomie TABLEAU 1 VOLUTION DE L INDUSTRIE DE MACHINERIE SAUF LECTRIQUE AU QU BEC 1930 1982 Ann e Nombre Nombre de salari s Valeur ajout e d ta activit totale l activit blissements manufacturi re millions de RL es ne 1930 36 3 752 8 8 1935 40 3 109 6 2 1940 46 5 376 11 1 1945 51 7 858 30 3 1950 65 6 412 30 4 1955 66 8 152 45 5 1960 84 7 671 56 6 1965 109 12 160 109 7 19705 131 12 600 132 5 1975 182 17 129 315 5 1980 301 17 298 519 1 1981 305 16 727 614 6 1982 314 14 273 564 7 aa a UO Source Statistique Canada n 8 de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re Canada Niveaux national et provincial 1975 1982 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1930 1945 et 1955 1970 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province Vol 2 1950 Estimation 16 d ailleurs par la crise conomique Malgr une augmentation du nombre d tablissements travers tout le Canada nous assistons une baisse de 17 1 du nombre d employ s et une baisse de 29 5 de la valeur ajout e L Ontario naturellement t plus affect par cette crise Il a affich une baisse de 27 Z du nombre d employ s et de 51 4 de la
102. pour la derni re d cennie et pour 1981 et 1982 au Qu bec en Ontario et au Canada travailleurs affect s la production et assimil s 16 18 19 27 29 38 49 50 64 65 66 67 69 Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau Tableau 14 15 16 17 18 19 20 21 22 24 25 26 27 28 Nombre de salari s Salaires 13 production Salaires horaires la production Salaires et traitements l activit totale Valeur ajout e l activit manufactu ri re par salari Valeur ajout e l activit manufactu ri re par heure personne pay e Statistiques par r gion administrative Qu bec 1971 1976 et 1981 R partition de l effectif syndical selon l affiliation Qu bec 1985 R partition de l effectif syndical et taux de syndicalisation Qu bec 1985 R partition de l effectif syndical selon l affiliation et le sous secteur Qu bec 1985 R partition de l effectif syndical et taux de syndicalisation selon 18 r gion administrative Qu bec 1985 R partition de l effectif syndical selon l affiliation et la r gion admi nistrative Qu bec 1985 Nombre de conventions collectives avec ou sans clauses sp cifiques sur la sant et la s curit Nombre de clauses de conventions collec tives portant sur les quipemen
103. publication de son bulletin d information p rio dique l intention principalement desg employeurs et des travailleurs du secteur promouvoir la constitution le d veloppement et le fonctionne ment des comit s de sant et de s curit dans les tablisse ments aviser la CSST de la qualification de ses inspecteurs continuer l exp rience de ses projets pilotes et l tendre d autres entreprises notamment les tablissements de fabrica tion de machines AUTRES INTERVENANTS D autres organismes interviennent galement dans le secteur indus tries de la machinerie comme la Commission de la sant et de la s curit du travail les d partements de sant communautaire l Institut de recherche en sant et en s curit du travail et le Centre patronai de sant et de s curit du travail du Qu bec Apr s un bref historique nous pr senterons leur r le leur struc ture et leur fonctionnement Il faut se r f rer au chapitre 8 pour une description plus d taill e des programmes et des services qu offrent ces organismes COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL cssr 7 En 1885 le gouvernement Ross adopte l Acte des manufactures qui r git la vie et la sant des ouvriers ainsi que le travail des 27 Commission de la sant et de la s curit du travail Rapports annuels 1980 1981 1982 1983 1984 Montr al CSST 125 femmes et des enfants du Qu bec Cependant cette mesure l g
104. re indication de la gravit de l accident du travail D ail leurs certains organismes europ ens en sant et en s curit du travail utilisent le terme accident bagatelle pour d signer les accidents sans interruption de travail et accident grave pour ceux qui entrafnent une interruption de travail En revanche en ce qui a trait aux maladies professionnelles cette m me distinc tion est beaucoup moins significative nous expliquerons pourquoi un peu plus loin 186 Les accidents du travail avec interruption de travail se subdivi sent en trois Sous cat gories les incapacit s temporaires les incapacit s permanentes et les d c s Incapacit s temporaires Cette sous cat gorie regroupe les dossiers des victimes d acci dents du travail qui ont perdu suite l accident un ou plu sieurs jours de travail au del de la journ e de l accident Ces journ es de travail perdues nomm es jours d indemnisa tion sont compens es par la Commission 90 du revenu net de l accident revenu net calcul selon la d finition de la Loi sur les accidents du travail la Loi sur les accidents du tra vail et les maladies professionnelles partir d ao t 1985 en tenant compte videmment d un maximum assurable Incapacit s permanentes Cette sous cat gorie regroupe les dossiers des victimes d acci dents du travail qui la Commission a attribu un taux d inca pacit permanente suite un acci
105. remplace la Commission des accidents du travail du Qu bec et assume la responsabilit de la mise en oeuvre du r gime de sant et de s curit du travail Elle dote cette Commission d un conseil d administration o sont repr sent s en nombre gal les travailleurs et les employeurs et lui accorde les divers pouvoirs r glementaires requis pour l exer cice de ses fonctions Elle pr voit la nomination d inspecteurs qui sont charg s de s assurer du respect de la loi Tout en tant assujetti aux autres dispositions de la loi le sec teur de 18 construction fatt l objet de dispositions particuli res pour pr voir notamment les obligations du ma tre d oeuvre et des employeurs la formation la composition et les fonctions du comit de chantier la d signation d un repr sentant la pr ven tion les conditions particuli res en mati re d inspection et les r gles applicables au chantier de construction de grande impor tance La loi tablit des recours pour le travailleur qui croit avoir ill galement fait l objet d un cong diement d une suspension d un d placement ou d une mesure discriminatoire ou de repr sailles en raison de l exercice d un droit ou d une fonction que lui reconna t la loi 417 Elle tablit en outre les sanctions p nales applicables en cas d infraction la loi et accorde un pouvoir d ordonnance au Tri bunal du travail Elle assure enfin la transition par rapport aux lois
106. riel employ le compresseur cause des courroies des poulies et des pi ces en saillie les ventilateurs cause des pales et des transmissions non pro t g es Injection sous cutan e Le risque est li l utilisation des pistolets sous haute pres sion sans air Le jet de peinture sortant du pistolet d muni de sa buse ou sortant de la tuyauterie de peinture peut perforer la peau et injecter de la peinture Risques pour la gant Les l ments qui composent 18 peinture et les diluants pr sentent des risques pour la sant non n gligeables Risques ne Intoxication Trois types de compos s chimiques contenus dans les peintures et les diluants peuvent tre l origine de manifestations patholo giques par inhalation d a rosols de peinture de vapeurs et par contacts cutan s 258 ne A Risques les diluants sont des solvants qui exercent une action s da tive et anesth siante et qui agissent sur le syst me nerveux central les pigments qui donnent la couleur d sir e peuvent entrer en contact avec la peau surtout lors d op rations de pulv ri sation Ces pigments sont compos s de m taux toxiques le plomb le cadmium le chrome et le zinc les liants sont pr sents dans les peintures base de r sines ph noliques poxydiques liquides ou acrylates Ils se trou vent aussi dans
107. s curit Le ministre du Travail Peut conform ment au Code canadien du travail nommer des agents de s curit charg s d effectuer les v rifications les enqu tes et 168 inspections qu ils jugent n cessaires pour s assurer que la partie du Code soit obs Ceux ci peuvent ces fins erv e faire des pr l vements pour fins d analyse ou exiger certains documents d un employeur Un agent de s curit qui constate une contravention une disposi tion de la partie IV du Code peut demander l employeur ou l employ vis de corriger la situation l int rieur d un d lai qu il peut pr ciser De la m me mani re l agent de s curit qui estime que l utilisa tion d une machine ou d un objet ou que 16 situation dans un lieu constitue une source de danger pour les travailleurs peut enjoin dre l employeur par crit de proc der dans un d lai pr cis l application de mesures propres parer au danger ou prot ger les personnes contre ce danger Un employeur un employ ou un syndicat qui se croit l s par de telles directives peut dans un d lai de 14 jours en demander la r vision un agent r gional de s curit Apr s enqu te celui ci peut modifier annuler ou confirmer les directives contest es 11 est noter que le Code autorise le ministre du Travail du Canada conclure avec une province ou un organisme provincial un 429 accord sp cifiant les modalit
108. s de l administration employ s de bureau et autre personnel hors fabrication Estimation 65 64 TABLEAU 12 TAUX DE MASCULINIT TABLEAU 11 1930 1982 R MUN RATION DE LA MAIN D OEUVRE QU BEC 1930 1982 aa aO Ann e Taux Taux Taux de masculinit de masculinit de masculinit A production autres activit Travailleurs affect s Autres tale la production et assimil s a Ann e 1930 95 8 76 8 92 0 Salaire Salaire Traitement Traitement 1935 96 3 80 9 92 8 millions de 5 moyen millions de moyen 9 1940 96 5 76 9 92 7 1930 3 3 1 098 1 5 2 008 1945 94 4 64 4 88 3 1935 2 3 957 1 2 1 702 1950 98 3 70 7 85 5 ak 1 803 DS ie h 1955 98 1 72 5 89 1 n 1945 15 5 2 402 3 0 1 868 1950 10 5 2 535 5 9 2 957 l 1960 98 5 77 3 90 7 1955 17 0 3 280 11 1 3 870 1965 98 6 76 4 90 5 1960 19 2 ue M 197055 97 7 78 5 89 8 ol 1965 36 7 784 25 9 5 771 1970 48 8 6 565 42 3 8 187 1975 95 9 77 6 90 5 1975 114 6 9 503 66 3 13 077 1980 96 5 79 7 89 9 1980 195 3 16 687 112 3 20 075 1981 94 5 74 5 88 2 1981 207 9 18 176 120 0 22 689 E 1982 196 6 20 356 116 3 25 200 1982 96 0 74 5 89 0 35272 53 ER 9
109. s du tour pour cor riger fr quemment la direction du jet 207 Les tours verticaux Compte tenu des dimensions des pi ces les travailleurs doivent acc der au plateau de la machine pour effectuer les op rations de montage de r glage et de contr le Certains d entre eux ont pris la mauvaise habitude de monter sur le plateau en rotation faible vitesse Il est donc souhaitable d quiper la machine d un dispositif de consignation cl vi tant 18 mise en marche accidentelle du tour On note galement que toute pi ce d pos e et non fix e sur le pla teau devient un projectile La meilleure solution demeure bien s r l encoffrement total de la machine mais cette solution ne peut s appliquer qu aux machines automatiques de petites ou moyennes dimensions Les huiles de coupe constituent le risque pour 18 sant 16 plus fr quent On peut se r f rer aux risques communs pr sent s pr c demment pour valuer le risque associ l usage des huiles de coupe Le tableau ci dessous r sume les principaux risques pour 18 s curit du travail sp cifiques aux tours Risques Causes probables Blessures aux mains et aux Mouvement d un organe se d clen bras chant normalement en cours de cycle mais surprenant l op ra teur tour cycle automatique tour commande num rique Copeaux longs Incendie chauffement anormal de parties de l quipement lectrique peaux chauds projet s sur
110. son usine de Lachine Ces entreprises sont toutes les deux des filiales de compagnies am ricaines Versatile Corporation et General Electric Company et sont situ es dans 13 r gion de Montr al Les autres entreprises cit es plus haut fabriquent principalement de la machinerie pour l industrie de p tes et papier Beloit Canada Saint Joseph de Sorel Ingersoll Rand Canada Sherbrooke des compresseurs Ingersoll Rand Canada Allis Chalmers Canada Montr al des machines tamis des concasseurs des broyeurs et fours des pompes Allis Chalmers Canada de la machinerie ara toire des transmissions m caniques de puissance des appareils de manutention et des machines pour l industrie du bois et de ses produits Forano Plessisville Cette entreprise est la seule parmi ce groupe tre d tenue par des int r ts canadiens Un groupe de quatre personnes l ont d ailleurs achet e de la Soci t g n rale de financement en avril 1985 Cette entreprise ne s est pas encore remise de la crise qui a frapp l industrie foresti re et mini re au d but des ann es quatre vingt Son chiffre d af faires l indique bien passant de 60 3 millions de dollars en 1980 20 2 millions de dollars en 1983 51 EEA ORGANISATION DU TRAVAIL Comme nous le pr cisions plus t t une particularit de l indus trie de la machinerie r side dans son caract re cyclique qui n est pas saisonn
111. sont lev s si on ne prend pas certaines pr cau tions _ _ _ _ __ Risques Incendie Le risque d incendie provient des pr parations contenant des compos s inflammables 256 Risques L inflammation provoqu e par l entreposage de peinture et de vernis peut tre caus e par une tincelle provenant d un d faut de l installation lec trique un chauffement anormal de l installation lectrique une d charge d lectricit statique l utilisation d un appareil flamme nue briquet allumette Dans les ateliers et cabines de peinture 11 y a un risque d in flammation dans les conduits de ventilation des cabines dans les parois filtrantes des cabines dans les bo tes d chets impr gn es de peinture dans les r cipients de peinture en cours d utilisation Explosion Le risque d explosion est caus par l inflammation de m langes d air avec les vapeurs de solvants inflammables L explosion peut survenir pendant l application par pulv risation de peintures inflammables Ce risque s accro t avec la pulv risa tion lectrostatique lectrocution Les installations de pulv risation amp lectostatique ont des tensions lectriques lev es leur intensit est suffisante pour cr er un risque de choc lectrique dangereux 257 Risques Risques m caniques Les risques sont surtout reli s au mat
112. support e par les organes de locomotion L annexe regroupe les donn es recueillies concernant chacun des projets recens s le nom du responsable le titre de la recher che le nom du centre de recherche et la date du d but de l tude lorsque ces renseignements sont disponibles LISTE DES PROJETS DE RECHERCHE N Nom du responsable Titre de la recherche tablissement D but ES 1 Ekholn 3 2 Ganter 3 Kurppa K 4 Kvarnstr m 8 5 Leanerl f L 6 Non mentionn 406 Comparaison de diverses m thodes de travail utllfs es dana l industrie m canique et dans d autres secteurs d activit du point de vue de la charge biom canique aupport e par les organes de locomotion Recherche dea principes permettant une r duction de cette charge Risques li s L utilisation des lubrt fiants industriels en particulier lea nitrites de sodium les polycyelt quea aromatiques benzopyr na les brouillards salins tat de sant des travailleurs expos s au plomb dans les entreprises fabri quant dea batteries de v hicules au Kenya Occurence of nuseulo skeletel 186 489 in an engineering company with special attention to occupatlonal shoulder dis orders Work conditions in computerized automa tion in the engineering londustry L influence du d veloppement technolo gique aur l organisation du travail dans la construction m canique On tu diera notamment cette influence sur le
113. tableau 17 porte sur les salaires et traitements l activit totale Les diff rences avec les donn es du tableau 15 ne sont 73 TABLEAU 16 SALATRES HORAIRES LA PRODUCTION 1971 1972 1973 1974 Qu bec 5 3 23 4 2 Variacion annuelle 1 ns _ Ontaria 5 3 77 4 00 4 35 4 91 Varlation annuelle 6 1 6 8 12 9 Caneda 5 3 64 3 07 4 21 4 74 Varlation annuelle X 6 3 8 8 12 6 lt onfidentiei Source 5 Statistique Canada n de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Estinacion 74 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 Variation muyenno aaam aaaea U 4 76 5 23 5 92 6 33 6 99 7 86 8 80 9 81 13 3 9 9 12 2 6 9 10 4 12 6 12 0 11 5 1a 6 5 39 5 94 6 55 6 89 7 63 8 43 9 36 10 3 9 8 10 2 10 1 5 2 10 7 10 5 11 0 10 8 5 7 5 23 5 79 6 6 87 7 56 8 42 9 42 10 45 10 3 10 7 11 6 6 3 10 0 11 4 11 9 10 9 11 1 Niveaux nations et provincial 1970 1982 TABLEAU 17 SALAIRES ET TRAITEMENTS L ACTIVIT TOTALE 1979 1960 1982 1971 1972 1973 1974 1975 1975 1977 1976 1951 Variation moyenne Qu bec 41 liera de 5 90 045 t 157 134 186 852 193 595 207 496 226 072 26 596 307 590 327 928 313 005 Varlacian snnuclie 18 9 3 6 7 2 9 9 19 0 14 9 6 6 4 5 13 44 Ontario mii Hers de 355 374 392 283 419 65 511 402 562 320 626 325 691 010 769 236 551 231 1 045 625 1 134 275 1 059 612 18
114. ussi conserver leur part de march en produisant de la machinerie faite sur demande ce qui r dutt Par cons quent l incidence d une conomie d chelle 11 Institut national de productivit du Qu bec Note secto rielle section de 18 machinerie Montr al 1979 84 ANNEXE GLOSSAIREl 2 Valeur ajout e De 1935 1951 la valeur ajout e se calcule en soustrayant le co t total des mati res premi res du combustible et de l lec tricit de la valeur brute des produits Depuis 1952 on d finit la valeur ajout e par l activit manu facturi re comme la somme de la valeur des livraisons de fabri cation propre et de la variation nette des stocks de produits en cours de fabrication et des produits finis d duction faite du co t des mati res premi res des fournitures du combustible et de l lectricit En 1983 la valeur ajout e se calcule en soustrayant la valeur des mati res premi res de la valeur brute des produits Celle ci a correspondu jusqu en 1951 la valeur de vente des pro duits fabriqu s qu ils soient vendus ou non tablissement De 1917 1974 le recensement visait en principe tous les ta blissements manufacturiers Cependant il s est r v l difficile 12 Statistique Canada n 8 de catalogue 31 205 1952 31 528 1979 et 31 206 1981 de tenir compte de tous les petits tablissements Dans la pratique un tablissement manufacturier
115. usure d une pi ce points durs dans la transmis recul insuffisant du sabre sion de la commande sous la pouss e de la came de s ret D autres causes peuvent tre l origine du coup retard Passage intempestif de la marche l appui sur les poign es ou oou gt P par coup la marche sur la p dale de commande est la vol e caus par insuffisant ou si la com rupture des goupilles de rete mande est r alis e par l in nue de la but e d arr t term diaire d un v rin pneuma rupture d une pi ce de l em tique la pression de l air brayage de la clavette ou du comprim est insuffisante doit de clav tte 230 231 qq Risques Causes probables t erreur dans le remontage d une pi ce grippage du volant sur le vi lebrequin mauvais graissage Chute du coulisseau par gravit Descente du coulisseau par iner tie crasement par basculement B ti inclinable non verrouill du b ti Cisailles Une cisaille est une machine outil utilis e pour couper les mat riaux m talliques qui sont la plupart du temps des feuilles de t le Parmi les cisailles utilis es en industrie on distingue gt les cisailles levier les cisailles crocodile les cisailles guillotine sch ma 8 Toutefois dans les ateliers industriels on se sert le plus sou
116. utilis la place du nombre de travailleurs 31 Les jours standards permettent d valuer en nombre de jours les cas d incapacit permanente de d c s et de maladie professionnelle avec incapacit Un cas de d c s correspond 8 6 000 jours standards et un cas d incapacit permanente correspond au produit de 6 000 jours standards par le taux d incapacit permanente 176 TABLEAU 44 R PARTITION DES MALADIES PROFESSIONNELLES SELON LA NATURE DE LA MALADIE DANS LE SECTEUR ENDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Nombre Pourcentage Nature de la maladie Secteur Tous Secteur Tous 1 2 professionnelle industries les industries les X 100 de la secteurs de la secteurs machinerie 2 machinerie 1 Dermatose 16 2 221 7 2 22 4 0 72 Intoxication 17 1 091 7 6 11 0 1 56 Pneumoconiose 13 238 5 8 2 4 5 46 Surdit 127 3 302 57 0 33 3 3 85 Syst me musculo squelettique 24 1 488 10 8 15 1 1 61 Autres pathologies et non cod es 26 1 814 1 6 17 9 1 65 TOTAL 223 10 154 100 0 100 0 2 20 om 6 8 177 Le taux d incidence et l indice combin sont indirectement li s au niveau des salaires dans le secteur tant donn que le nombre d ann es personnes estim utilis dans le calcul de ces indices est bas sur le rapport entre la masse salariale et le salaire moyen du secteur En ce qui a trait l
117. valeur ajout e de ce secteur industriel Les deux provinces n ont pas appliqu les m mes solutions pour endiguer la crise et l augmentation du ch mage La solution retenue par le Qu bec a contribu accentuer l cart entre ces deux provinces sur le plan du d veloppement industriel Le gouvernement du Qu bec et les autres institutions influentes ont favoris titre de solution le retour la terre Alors qu au d but du si cle nous assistions la d sertion des campagnes c est le ph nom ne inverse qui se produisit Les producteurs P agricoles b n fici rent de ce courant et eurent acc s une main d oeuvre abondante et co t avantageux Cette situation les ont port s refuser ou ne pas ressentir l utilit d adopter des moyens de production m canis e puisqu ils arrivaient produire des co ts semblables sinon inf rieurs aux co ts de production engendr s par les fermes m canis es Ils n avaient surtout aucun probl me d entretien de r paration ou de modifica tion des instruments aratoires Nous voyons 18 une explication de l immense retard qu a accumul le Qu bec sur la province voisine dans ce champ de sp cialisation industrielle Toujours en 1930 l importance relative de la main d oeuvre du secteur au Qu bec en rapport avec celle de l industrie manufactu ri re s levait 1 8 Z tableau 3 Cette importance atteignait 4 6 en Ontario La productivit par salari au Qu
118. vent des cisailles guillotine Munies d ar tes parall les dont l une coulisse verticalement vers le bas elles servent donc couper des t les par pincement entre deux lames Une cisaille comprend habituellement les parties suivantes 232 Un b ti c est dire le corps principal qui supporte toutes les pi ces composantes de la machine il est en g n ral fabriqu en t les paisses soud es entre elles 7 Une table de travail qui consiste en une surface plac e sur la partie avant galement en t les d acier soud es Cette table Supporte les pi ces m talliques que l on d sire couper On peut y fixer des accessoires tels que rallonges de table guides d querrage etc 7 Un coulisseur mouvement vertical guid par des glissi res Deux lames l une fix e sur le coulisseur et l autre en bout de table Un presseur qui sert maintenir les pi ces couper en place pendant la coupe Un groupe de moteur soit hydraulique soit m canique actionnant les diff rents organes de la machine Un dispositif de commande manuel ou au pied boutons p dale etc Risques pour la s curit Le principal risque lors du travail sur une cisaille est de 86 couper ou de s craser une main ou des doigts Il ne faut donc jamais introduire les mains dans la zone dangereuse De plus ce risque est plus lev lors des op rations d entretien ou de r glage Par cons quent le personnel affect ces t ches do
119. ventif des machines est indispensable pour la r duction de la fr quence d accidents On veillera principalement ce que tous les l ments m caniques soient v rifi s p riodique ment et les organes d fectueux chang s les quipements lectri ques seront examin s intervalles r guliers et le graissage assur aux points et la fr quence indiqu s par le constructeur De plus les protecteurs de meule et de table seront entretenus afin de leur conserver toute leur efficacit Lors de l utilisa tion il est n cessaire d interrompre le circuit du liquide et de laisser tourner la meule un moment pour l essorer avant de couper le courant du moteur de la broche porte meule Les bacs de d can tation devraient tre nettoy s une fois par semaine 202 SCH MA 1 RECTIFIEUSE UNIVERSELLE Source Machine Tool Trade Association Code of Practice guarding Grinding and Honing Machines Safe 203 On recommande vivement d quiper les rectifieuses de carter de protection r sistant aux chocs et capable de retenir les parties de la meule en cas de rupture de celles ci et d emp cher toute jection de pi ce hors de la machine dans le cas des rectifieuses planes Risques pour la s curit Risques Causes probables Blessures diverses pouvant Fixation d ficiente des pi ces tre tr s graves mains interruption d alimentation bras dos lectrique Cassure de pi ces jection d
120. 0 s ta blissait 4 608 soit l g rement inf rieure l industrie l tude le salaire moyen atteignait 1 995 ce qui repr sente un rapport de 43 4 et ce qui est aussi inf rieur l industrie de la machinerie pour la m me ann e En Ontario ce rapport attei gnait 43 L cart entre ces rapports pour l industrie de la machinerie et le total des industries au Qu bec tait de 7 4 3 alors qu il s levait 10 5 en Ontario Au Qu bec comme en Ontario les travailleurs de cette industrie recevaient donc en g n ral une plus grande part des b n fices que les autres travail leurs mais en Ontario cette diff rence tait encore plus lev e Toujours en 1950 pr s des deux tiers des tablissements avaient lu 18 r gion de Montr al Comme site d exploitation le deuxi me centre tant Qu bec Nous retrouvions alors au sein de cette industrie un haut niveau d employ s sp cialis s Ceux ci prove naient toutefois en majeure partie des Pays europ ens notre Syst me d enseignement ne pouvant r pondre la demande de 1 dustrie in Une tude r alis e la fin des ann es soixante r v le qu en 1966 les industries qu b coises avaient d pens pour fins de r para tion et d immobilisation un milliard et demi de dollars en 21 Noir as machines et outillage de toutes sortes cette poque et encore aujourd hui le Qu bec ne r pondait qu une partie seulem
121. 1 Emploi la 1971 863 721 846 057 produce lon 1976 598 1 260 919 8 39 11 230 1981 9 1 247 920 10 161 91 13 467 539164 l ac 1971 435 1 400 1 111 6 219 12 656 54106 totals 1976 650 1 719 1 421 12 524 15 158 1981 757 1 735 1 197 16 755 279 20 913 aplot total de 1971 nid ned nids nd nsd asd nd n d nde 447 l ensenble des 1976 66 89 371 152 52 1 501 102 39 31 2 456 ctaurs d acti 1981 74 10 168 85 1 8 10 49 45 2 685 vic de a r gion 811115 8 de 5 52 191 1 1971 1 Livit tocala 1976 0 1 1 1 7 0 8 emploi toral 3 1981 0 2 1 0 1 4 0 9 D 6 34131 6 3 1971 2 237 5 225 5 147 34 840 69 197 production 1976 4 735 13 128 9 588 94 105 123 237 6111 4 8 de 1951 9 955 21 429 15 382 179 522 2 585 215 580 Salaires 4 L ace 1971 3 035 9 135 8 425 66 019 99 228 51 156 0 41 1975 6 57 19 116 15 841 154 539 211 137 4111 5 da 1981 19 092 35 635 20 496 265 458 4 75 404 289 Valeur 319 69 1971 3 707 Li 518 17 111 91 161 127 270 3 la production 1976 9 520 12 4 29 368 245 720 321 362 milliers da 19 1 24 030 52 254 l 245 608 149 9 382 768 812 Valeur ajour e 1971 147 15 608 23 948 101 559 gt 149 011 l activit tocala 1
122. 12 12 8 11 3 3 1 5 4 2 5 16 17 13 127 24 10 16 7 2 7 6 5 8 57 0 10 8 4 4 7 2 Total x 15 6 3 12 5 4 179 80 3 18 8 0 223 100 0 100 0 175 On peut constater que 80 3 de ces 223 cas de maladie profession nelle sont survenus dans l unit fabrication d quipement indus triel Cette unit regroupe 112 cas de surdit Soulignons que cette unit regroupe 60 8 des travalileurs du secteur et 70 1 de l ensemble des l sions du secteur Les cas de surdit de cette unit constituent donc eux seuls 50 2 des cas de maladie professionnelle de l ensemble du secteur Le tableau 44 montre la r partition des maladies professionnelles selon la nature de la maladie dans le secteur relativement leur r partition dans l ensemble des secteurs LES INDICATEURS DES L SIONS PROFESSIONNELLES Trois indicateurs ont t d velopp s afin de mesurer les l sions professionnelles le taux d incidence l indice de gravit et l indice combin Le taux d incidence mesure la fr quence annuelle des l sions par travailleur tandis que l indice de gravit mesure le nombre de jours indemnis s et standards3l par l sion compensable Le produit de ces deux indices permet d obtenir l indice combin facteur qui tient compte de la fr quence et de la gravit des l sions L indice combin mesure en fait 16 nombre de jours con pensables par travailleur Toutefois dans les pr sentes statis tiques le nombre d employ s a t
123. 168 peintures base de r sines polyur thanes deux composantes r sine durcisseur qui contiennent des isocyanates dont l effet est tr s irritant pour les yeux et les voies respiratoires Le m lange des peintures avec les diluants ou les durcisseurs entra ne une exposition aux diff rents cit s plus haut lors des op rations de transversement de remplissage de r servoirs de dilution des peintures et de nettoyage aux sol vants SOUDAGE ET D COUPAGE Le soudage et le d coupage repr sentent des op rations tr s impor tantes dans la production des entreprises du secteur Gr ce aux proc d s de soudage et de d coupage on peut joindre ou couper deux l ments m talliques pour r aliser des produits vari s sous diff rentes formes selon des sp cifications pr tablies On 86 sert de trois sources directes de chaleur lors de ces op rations 259 une flamme produite par 18 combustion d un gaz avec de l air ou de l oxyg ne un arc lectrique produit entre une lectrode et la pi ce de travail ou produit entre deux lectrodes la r sistance lectrique qui par la chaleur qu elle cr e per met de souder deux ou plusieurs pi ces de travail proc d assez rare dans l industrie Soudage et d coupage au gaz Ce type de soudage s effectue avec une torche o le gaz l ac tyl ne dans 16 plupart des cas et l oxyg ne ou de l air sont m lang s avant la combustion Cette flamm
124. 2 370 18 1 1982 14 273 482 337 3 0 18 979 18 1 Source Statistique Canada n 8 de catalogue 31 201 Industrie manufacturi re du Canada Rapport sommaire 1930 1945 31 203 Industrie manufacturi re Canada Niveaux national et provincial 1955 1982 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province Vol 2 1950 Estimation 19 amie cote mm re Un v nement majeur dans le monde viendra cependant modifier le cours que suivait jusqu alors le Qu bec la Deuxi me Guerre mondiale Toute l industrie manufacturi re du Qu bec s est acc l r e C est toutefois le secteur des produits du fer et de l acier qui est le plus stimul par l industrie de guerre L in dustrie des instruments aratoires n a jou aucun r le d terminant dans cette progression Le sommet de production de l industrie de la machinerie sauf lectrique durant la Seconde Guerre mondiale se situe en 1942 En fait la valeur ajout e produite par cette industrie en 1940 11 1 millions de dollars est inf rieure celle enregistr e en 1937 11 4 millions de dollars La reprise d bute toutefois en 1940 et atteint son sommet en 1942 30 3 millions de dollars de valeur ajout e Les ann es suivantes elle pr sentera un dossier variable enregistrant des baisses et des hausses titre d exemple l emploi a augment entre 1949 et 1952 cause de la demande accrue de mat riel provoqu
125. 5 soit 81 2 du total En 1982 Beloit Canada Ingersoll Rand Canada Versatile Vickers et les Ateliers d ing nierie Dominion repr sentaient les quatre plus grandes entreprises de l industrie pour leur concentration du nombre d employ s Elles employaient 4 597 personnes soit 32 2 de la main d oeuvre du secteur En 1984 elles n en employaient plus que 1 804 ce qui repr sentait environ 15 6 du secteur tableau 8 En 1984 toujours les compagnies Allis Chalmers Canada et Forano sont venues s adjoindre ce groupe La concentration de main d oeuvre d tenue par ces six entreprises s levait pour cette derni re ann e 24 9 environ totalisant 2 877 employ s tableau 8 Versatile Vickers se sp cialise dans la production de machines construites sur demande et de r acteurs nucl aires Elle produit aussi du mat riel roulant de chemin de fer et effectue de la r pa ration navale En juillet 1985 sur 996 employ s la production 8 Minist re de l Industrie et du Commerce du Canada op cit Pe 3 48 TABLEAU 7 NOMBRE D TABLISSEMENTS PAR TRANCHE DE SALARI S QU BEC 1982 Tranche de 000 500 999 200 499 100 199 50 99 20 49 10 19 5 9 l 4 Total 8818 168 et plus Tndustrie des instruments aratoirea _ Industrie du ma t riel commer cial de r fri g ration et de climatisation 2 1 2 Autres indus trieg de la ma chinerie et de
126. 5 0 8 Interr gionale 45 0 8 113 6 7 53 3 9 TOTAL 5 478 100 0 1 684 100 0 874 100 0 1 350 100 0 CV Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 Statistique Canada n de catalogue 31 209 1981 Signifie qu une convention collective touche plusieurs tablissements dans plus d une r gion 110 LES ASSOCIATIONS PATRONALES Les associations patronales repr sentatives au Qu bec dans le sec teur industries de la machinerie sont l Association canadienne des fabricants de machinerie et d qui pement l Association des fabricants de mat riel agricole du Qu bec ASSOCIATION CANADIENNE DES FABRICANTS DE MACHINERIE ET EQUIPE MENT L Association canadienne des fabricants de machinerie et d quipe ment s est constitu e en d cembre 1955 pour repr senter la multi tude de fabricants de ce secteur au Canada Elle d fend les int r ts des membres qui ne peuvent tre d fendus par l Asso ciation canadienne des manufacturiers ACM L Association croit que l industrie peut combler une large part des besoins du march int rieur et favoriser un climat conomique et fiscal propice la croissance La structure de l Association est form e d une composante centrale repr sentant les int r ts de l ensemble du secteur et d une autre compos
127. 555 4 sa i K EDERREK Risques Br lures s Cette op ration est relativement s curitaire mais un mauvais aju ent du m tal tement de l instrument peut occasionner l coulem fondu ou du flux fondant de brasage Risques pour la sant reli s au soudage et au d coupage l arc Risques Intoxication Fum es de soudure produites par l lectrode et par la pi ce m tallique seadet ou d couper Exemples fer aluminium ou des alliages de chrome et nlckel Fum es de soudure produites par des rev tements de m tal ou d lectrodes tels que le zinc et le cadmium provenant du pla cage le zinc pour la galvanisation ou le cuivre qui sert de couche protectrice de l acier Ce dernier se pr sente sous forme de fil continu dans les applications de soudage au MIG Fum es produites par la peinture la graisse l huile les d bris m talliques etc qui se trouvent sur la pi ce m tallique souder ou d couper Exemples monoxyde de carbone bioxyde de carbone et tout autre produit de d composition irritant fum es produites par le flux fondant de brasage des 818 trodes enrob es tel que le fluorure inorganique 272 E E Risques RS fum es ou gaz Produits par l action de la chaleur ou de la lumi re ultraviolette Sur l air environnant tels que les oxydes d azote l ozone fum es ou gaz provenan
128. 7 THONY C Le bruit dans le d colletage Cahiers de notes docu mentaires n 55 Paris INRS 1969 p 195 207 Note doc n 643 55 69 TOBELEM W Presses m caniques clavette tournante Cahiers de notes documentaires n 71 Paris INRS 1973 p 145 155 Note doc n 837 71 73 TOBELEM W Presses plieuses Cahiers de notes documentaires n 88 Paris INRS 1977 p 283 302 Note doc n 1066 88 77 298 me e TOBELEM W Scies ruban table mentaires n 74 Paris INRS 1974 p 5 13 Note doc n 876 74 74 TOBELEM W et BRILLAUT Machines rectifier notes documentaires n 73 Paris INRS 1973 p 407 418 lt 5 documentaires Note doc n 862 73 73 TRUMF T et coll Machine Guards Can Protect Workers lre partie Ergonomics and Lathe Safety National Safety News sept 1983 p 33 38 VAUTRIN J P et M KNEPPERT Ponts roulants 16 dispositif anticollision seuil d alarme variable de l INRS Travail et s curit Paris INRS juill ao t 1979 p 1 11 WESTGATE S A Safety and Resistance Welding Metal Construc tion ao t 1979 p 371 VOCABULAIRES ET LEXIQUES B LANGER F Vocabulaire des outils abrasifs anglais fran ais Qu bec diteur officiel 1983 111 Pe MERCIER J Lexique des tours et du tournage des m taux anglais fran ais d provisoire Montr al diteur officiel 1982 an
129. 9 1 059 1 706 15 656 799 17 298 16 727 14 273 nombre d employ s la production au Qu bec comparativement Variation annuelle X 7 3 6 2 2 2 0 3 7 3 3 0 3 3 7 2 2 l Ontario et au Canada en g n ral Ontario 52 379 44 158 43995 47 655 69 29b 47 836 48 JOS 0395 54263 56 08B 53 a03 189 Variation annuelle 2 4 2 0 4 8 3 3 4 3 0 1 0 4 3 7 7 3 4 4 1 14 2 1 0 Par ailleurs la hausse moyenne du nombre de salari s tableau 14 Canada 62 366 67 303 76 774 77 758 82 677 79 453 790223 02 465 89607 94 804 92 370 78 979 est toujours plus lev e au Qu bec qu en Ontario mats inf rieure Variation annuelle 2 7 3 5 2 3 9 3 3 9 5 4 4 8 6 5 9 2 7 14 5 2 4 celle du Canada Une analyse plus d taill e de ces deux premiers 2 2 gt a Confidentiel tableaux nous permet d observer que le nombre d employ s d admi Source Scatietique Canada n de catalogue 31 203 Induatrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provinetal 1970 1982 nistration de bureau et autre personnel hors fabrication avait Estimation diminu au Qu bec alors qu il avait augment en Ontario et au Canada R MUN RATION Le tableau 15 portant sur 16 salaire la production d observer la croissance nous permet sup rieure de la masse salariale au Qu bec par rapport l Onta
130. 976 9 46 418 4 179 258 478 364 313 311116 3 da 1981 24 105 49 015 85 653 641 719 11 010 839 597 Val ur das ex 1971 6 687 21 199 32 200 187 577 257 722 p dicions de pro 1976 16 433 55 131 54 226 477 13 612 Bl duite de propra 151 43 591 96 250 97 814 1 188 21 17 409 466 223 fabriestion 811116 8 de 9 Valaur des ex 1971 6 896 35 220 50 819 226 855 331 547 p ditions at 1926 _ 16 850 84 520 101 387 568 74 781 809 auttas racettas 1981 4 0 116 954 185 027 1 305 528 23 188 1 732 512 11114 8 de 5 Valeur des exp 1971 0 7 2 9 9 2 l G iclons at autreg 1976 0 7 3 8 10 1 2 9 racecces de ce 1981 0 9 3 0 10 6 3 5 1 7 arand groupe par rapport l en sesble du secteur manufacturler 4 Valeur des x 1971 2 7 10 6 15 3 68 4 pSditions 95 av 1976 2 2 10 8 13 1 72 7 trad r cettes de 1981 2 8 6 j 5 1 6 ca gesnd groupe par rapport celles du m me grand groupa an Qu bec 5 RS gt Source Sraristique Canada n de catalogue 21 203 Ladustrie manufacturi re au Qu bac Niveaux narlonal 95 peuvlnetat 1971 1976 ot 1981 2 209 Industrie manufacturi re du Canada par province 1971 1976 et 1901 71 001 Popularlon scrive Moyenne annualle 1971 1976 et 1961 Concrairement l ensemble des donn es r percorikes l int rieur de c
131. ALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines M enne aes machines agricoles Ottawa 1956 47 p AE NAIEF PERRET SRE ST O A S rai N a RES SES COMMISSION ROYALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines Re canadienne des machines industrielles Ottawa 1956 34 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE Rapport de la Commission royale d enqu te relative aux machines agricoles Clarence L Barker 5 ir nacnines agricoles commissaire Ottawa 1971 674 p CONSEIL DES SCIENCES DU CANADA Les entreprises mergentes pour jouer gagnant tude de documentation n 48 Guy P F Steed d Ottawa 1982 D AMBROISE G et Y GASSE La PME manufacturi re 12 cas qu b EE TE 1 cas qu be cois Chicoutimi Ga tan Morin 1984 FANTUS COMPANY THE L industrie des mini tracteurs et acces tracteurs et acces soires New York 1973 32 p FANTUS COMPANY THE Machines pour l industrie de transforma tion New York 1974 52 Pe FANTUS COMPANY THE Pi ces et accessoires de machines agricoles de machines agricoles et de construction New York 1974 54 LE INSTITUT NATIONAL DE PRODUCTIVIT DU QU BEC Note sectorielle section de la machinerie Montr al 1979 eE ra machinerie LEMIEUX Roderick E L industrie de la machine agricole au a macnine agricole au Canada Montr al H E C 1949 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA L industrie
132. ANNEXE GLOSSAIRE BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE 4 LES INTERVENANTS SOCIAUX INTRODUCTION NS SYNDICALES OO ONE DU D S MACHINISTES ET DES TRAVAIL LEURS DE PR E AIM ES UNIS D AM RIQUE en DES TRAVAILLEURS UNIS DE L AUTO MOBILE DE L A ROSPATIALE ET DE L OUTILLAGE AGRICOLE D AM RIQUE TUA F D RATION DE LA M TALLURGIE CSN F D RATION D MOCRATIQUE DE LA M TALLURGIE DES MINES ET DES PRODUITS CHIMIQUES CSD EFFECTIF SYNDICAL LES ASSOCIATIONS PATRONALES ASSOCIATION CANADIENNE DES FABRICANTS DE MACHINERIE ET D QUIPEMENT ASSOCIATION DES FABRICANTS DE MAT RIEL AGRICOLE DU QU BEC ANALYSE DU CONTENU DES CONVENTIONS COLLECTIVES xii 59 61 63 68 68 70 80 83 85 87 91 93 95 95 96 98 100 102 103 111 111 112 114 AUTRE INTERVENANT PROPRE AU SECTEUR ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRA VAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES AUTRES INTERVENANTS COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL CSST D PARTEMENTS DE SANT COMMUNAUTAIRE DSC INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL IRSST CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC CPSSTQ BIBLIOGRAPHIE DEUXI ME PARTIE LES RISQUES POUR LA SANT ET LA S CURIT CHAPITRE 5 LES L SIONS PROFESSIONNELLES LEURS CO TS ET LES RETRAITS PR VENTIFS DE LA TRAVAITLLEUSE ENCEINTE OU QUI ALLAITE INTRODUC
133. H M 5 0 1978 1974 33 p 0 8 Soudage et coupage oxyac tyl nique division appa relllage Chap 5 Le brasage Montr al Hydro Qu bec 1975 5 p INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT L hygi ne et la s curit dans l application des peintures par pulv risation Paris INRS 1970 64 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT La s curit dans l emploi des machines outils travaillant lage Paris INRS 1978 109 p ar formage ou cisail 292 INSTITUT NATIONAL DE S CURIT La s curit dans l emploi des machines outils travaillant par d formation de m tal 35 d Paris INS 1966 102 p INSTITUT NATIONAL DE S CURIT La s curit dans l emploi des gt a Securite qans emploi des machines outils travaillant par enl vement de m tal 7 ed Paris INS 1968 118 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Grinding and Honing Machines Londres MITA 1978 40 pe MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Horizontal Boring Machines Londres MTTA 1980 32 PE MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Machines Centres and Associated Machines Londres MITA 1978 rreg and Associated Machines 29 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Milling Machines Londres MTTA 1979 44 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Saving
134. ICAL Il n est pas ais d obtenir pr cis ment le nombre de membres que repr sentent les diff rents organismes syndicaux au Qu bec Les chiffres les plus exhaustifs et les plus r cents sont ceux con tenus dans une tude de la Direction g n rale de la recherche du minist re du Travail et de la Main d oeuvre intitul e Aspects de la r alit syndicale qu b coise 1976 Afin d obtenir des don n es plus r centes nous avons demand l aide du Centre de recher che et de statistiques sur le march du travail du minist re du Travail et de la Main d oeuvre Lorsque la partie patronale ou syndicale d pose au bureau du commissaire g n ral du travail copie de la convention collective elle doit indiquer le nombre de travailleurs couverts par cette convention C est le relev de ce nombre de travailleurs inscrit dans chaque convention collective que le Centre a compil pour chaque organisation syndicale en date du 19 juin 1985 videmment puisque certaines conventions ont t d pos es il y a deux ou trois ans et qu elles n ont pas fait l objet d un renouvellement 103 8889 22228888 865 8 cons quence que le nombre de travailleurs est diff rent en date du 19 9 juin 1985 ou encore n pas refl ter un changement d all geance syndicale survenu lors de l expiration de la convention collec tive Malgr cela nous avons c
135. II cette partie num re les r gles suivre concernant l entretien la mise en service et l utilisation des appareils de manutention de mat riaux Elle traite entre autres d inspection d essai et d entretien de formation des conduc teurs de mise en service de r paration de chargement et de d chargement 439 Pius pr cis ment l employeur doit s assurer que les conducteurs son service poss dent la formation et les aptitudes physiques requises pour conduire de tels appareils Quant au EDEA d un appareil de manutention des mat riaux il lui est e faire fonctionner l appareil qui lui est confi d une mani re imprudente ou n gligente ou de compromettre de quelque autre 88 propre s curit ou celle des autres employ s Il doit faire ions fonctionner son appareil selon la formation et les instruct donn es par l employeur Cette partie contient galement des dispositions relatives la manutention manuelle des mat riaux et leur entreposage Ainsi il appartient l employeur de former ses employ s qui ont soulever ou transporter la main des charges de plus de 10 kg des m thodes et des techniques s curitaires pour ce faire Par ailleurs les mat riaux entrepos s sur un lieu de travaii ne doi 8 travailleurs vent d aucune mani re constituer un danger pour le La partie XIV ne s applique pas l utilisation et la mise en service de v hicules automobiles sur les voies publ
136. IONALE DE S CURIT SOCIALE DE PARIS La protection des presses m caniques d couper ou embuutir 2 Uispositions et dispositifs de protection dans la zone de travail Cahiers de notes documentaires n 47 Paris INS 1967 pe 119 124 Note doc n 3934 47 67 SERVICE PR VENTION DE LA CAISSE REGIONALE DE S CURIT SOCIALE DE RS des PARIS La protection des presses m caniques d couper ou em bouutir 3 Dispositions annexes Cahiers de notes documen 5 26 notes documen taires n 47 Paris INS 1967 p 125 131 Note 534 47 57 doc THONY C Le brutt dans le d colletage Cahiers de notes docu de notes docu mentaires 55 Paris INRS 1969 p 195 207 n 6 53 69 Note doc TUBELEM W Presgeg m caniques clavette tournante Cahiers de notes documentaires n 71 Paris INRS 1973 p 145 155 Note doc n 837 71 73 TOBELEM W Presses plieuses Cahiers de notes documentaires n B8 Puris LNRS 1977 p 283 302 Note doc n 1066 88 77 382 TOBELEM W Scies ruban table Cahiers de notes docu mentaires n 74 Paris INRS 1974 5 13 Note doc Ml mie p n 876 74 74 TOBELEM We et C BRILLAUT Machines rectifier Cahiers de notes documentaires n 73 Paris INRS 1973 p 407 418 Note doc n 862 73 73 TRUMF T et coll Machine Guards Can Protect Worke
137. Industries de la machinerie sauf lectrique au Qu bec Monographie sectorielle tm SPQ Montr al Un Commission de la ranig et de la s curit du travail 35 A 0 6 INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE AU QU BEC INSTITUT NATIONAL DE SANT PUBLIQUE DU QU BEC CENTRE DE DOCUMENTATION MONTR AL SO LE om AEE INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE AU QU BEC Monographie sectorielle la direction de Denis Caron di Vice pr sidence la pr vention inspection R alisation Direction des communications R vision Services de r vision de textes Guy Connolly avec la collaboration de Francine Cardina Photo couverture Photomaje Enr Afin d all ger la pr sentation des textes nous avons respect la r gle selon laquelle la forme non marqu e qu est le masculin repr sente les deux genres grammaticaux du fran ais moins Fe le contexte ne l interdise par exenple travailleurs d signe soit l ensemble des travailleurs sans distinction de sexe soit uniquement des hommes alors que travailleuses est employ dans un contexte o il n est question que de femmes D p t l gal 2 trimestre 1987 Biblioth que nationale du Qu bec ISBN 2 550 16524 1 REMERCIEMENTS Cette monographie traitant des industries de la machinerie sauf lectrique au Qu bec est le r sultat du travail de plusieurs collaborateurs titre de responsable de ce projet je reme
138. Manipulation de pi ces lourdes Maux de dos Manipulation de pi ces lourdes Risques pour la sant L op ration de ces machines ne n cessite aucun lubrifiant pour effectuer le travail De plus l op ration est assez lente et ne produit pas un niveau de bruit lev En fait les risques pour la sant peuvent provenir des op rations adjacentes qui contri buent un niveau de bruit lev ou produire des brouillards 1 d huile Fresses m caniques On utilise plusieurs types de presses m caniques dans l industrie chaque type est adapt l op ration effectuer emboutir Source Commissariat g n ral 13 promotion du travail S curit d couper plier sch ma 7 poin onner et cisatller hygi ne dans l industrie du m tal vade mecum i d 1 226 227 La caract ristique commune toutes les presses c est qu une forte pression est appliqu e sur une ou des pi ces de m tal Il y a donc des pi ces mobiles qui 86 d placent selon un mouvement alternatif et qui viennent la rencontre d autres pi ces fixes La vitesse de d placement de ces pi ces mobiles d pend du type de presse et du genre de production pour lequel est utilis e la presse production la cha ne ou l unit Les commandes peuvent tre manuelles ou automatiques selon plusieurs types de m canismes facilement utilisables par l op rateur p dale barre de commande boutons Lors de
139. TION NOTE CORRESPONDANCE ENTRE LA CLASSIFICATION DES ACTIVIT S CO NOMIQUES DU QU BEC ET LES UNIT S CSST INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE LISTE DES UNIT S DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE ET DE LEURS ABR VIATIONS IMPORTANCE RELATIVE DES UNIT S DU SECTEUR LES L SIONS PROFESSIONNELLES LES L SIONS COMPENSABLES LES ACCIDENTS COMPENSABLES 119 119 125 125 129 131 134 137 341 145 147 150 153 154 154 162 xiii LES CAS D INCAPACIT PERMANENTE LES MALADIES PROFESSIONNELLES LES INDICATEURS DES L SIONS PROFESSIONNELLES LES COUTS DES L SIONS LES RETRAITS PR VENTIFS DE LA TRAVAILLEUSE ENCEINTE OU QUI ALLAITE CONCLUSION ANNEXE GLOSSAIRE CHAPITRE 6 LES RISQUES ASSOCI S AU SECTEUR VUE D ENSEMBLE DES PRINCIPALES OP RATIONS INDUSTRIELLES ET DE L QUIPEMENT DU SECTEUR DESCRIPTION DES PRINCIPALES OP RATIONS INDUSTRIELLES ET DE L QUIPEMENT DU SECTEUR USINAGE Rectifieuses Tours Fralseuses Perceuses Scies Al seuses Machines raboter et taux limeurs Presses m caniques Cisailles Autres quipements TRAITEMENT DU M TAL M tallisation Sablage au jet Traitement thermique du m tal D GRAISSAGE PEINTURE SOUDAGE ET D COUPAGE Soudage et d coupage au gaz Soudage et d coupage l arc lectrique MANUTENTION Manutention m canique Manutention manuelle xiv 173 173 176 180 180 183 185
140. Taux de R gion administrative syndical 5 salari s syndica lisation O1 Bas Saint Lau rent Gasp sie 11 02 Saguenay Lac Saint Jean 201 2 1 _ 03 Qu bec 231 2 5 968 23 9 04 Trois Rivi res 1 087 11 6 1 302 83 5 05 Estrie 1 009 10 8 1 108 93 1 06 Montr al 6 498 69 2 15 218 42 7 07 Outaouais z 08 Abitibi T mis camingue 134 1 4 226 59 3 09 C te Nord 15 0 2 16 93 8 Interr gionale 211 2 2 364 58 0 TOTAL 9 386 100 0 19 213 48 8 a aa Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 Statistique Canada n de catalogue 31 209 1981 Signifie qu une convention collective touche plusieurs tablissements dans plus d une r gion 109 TABLEAU 25 R PARTITION DE L EFFECTIF SYNDICAL F SELON L AFFILIATION ET LA R GION ADMINISTRATIVE QU BEC 1985 aA aa FTQ CSN CSD Ind pendants Sous secteur Nbre Nbre Nbre Z Nbre 01 Bas Saint Lau rent Gasp sie s 5 02 Saguenay Lac Saint Jean LE 75 4 5 88 10 0 38 2 8 03 Qu bec 28 0 5 103 6 1 100 11 4 04 Trois Rivi res 204 3 7 178 10 6 588 67 3 117 8 7 05 Estrie 1 004 18 3 2 m 5 06 Montr al 4 093 74 7 1 200 71 3 98 11 2 1 107 82 0 07 Outaouais 08 Abitibi T mis camingue 104 1 9 s 30 2 2 09 C te Nord 1
141. U 10 TABLEAU 9 R PARTITION PAR SEXE DE LA MAIN D OEUVRE NOMBRE DE SALARI S PAR SEXE ET PAR GE QU BEC 1930 1982 QU BEC 1981 lt lt ra aa Travailleurs affect s Autres Employ s l activit totale la production Groupe d ge Le nue et assimil s Hommes Femmes Total i mA E o pe Hommes Femmes Total Hommes Femmes Total 1 ae s as aa 1930 2 879 126 3 005 574 173 747 20 24 ans 3 445 850 4 295 1935 2 315 89 2 404 570 135 705 er du iasa TET 1940 172 150 4 322 810 244 1 054 1945 5 904 348 6 252 1 034 572 1 606 as Ppa Li his 1950 4 301 71 4372 1 447 593 2 040 55 64 ans 2 150 235 2 385 1955 5 183 101 5 284 2 079 789 2 868 RIT A ji 150 196044 810 72 4 882 2 155 634 2 789 1965 7 568 104 7 672 3 431 1 017 4 488 en 19 888 23 255 1970 7 262 171 7 433 4 054 1 113 5 167 1975 11 559 500 12 059 3 935 1 135 5 070 Source Statistique Canada n de catalogue 1980 11 293 411 11 704 257 1 337 5 594 92 921 Population 1981 10 813 625 11 438 3 942 1 347 5 289 1982 9 267 391 9 658 3 440 1 175 4615 aaa Source Statistique Canada 08 de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1975 1982 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1930 1945 et 1955 1970 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province Vol 2 1950 Employ
142. ain d oeuvre de ce secteur a t plus forte que pour le total des industries manufacturi res 3 3 et 14 7 Z contre 0 4 et 8 3 5 Malgr sa tr s forte progression au cours des ann es soixante dix cette industrie tait mal quip e pour assurer la formation en cours d emploi que n cessitent les m tiers Sp cialis s Aupara vant la main d oeuvre de ce secteur provenait surtout d Europe Toutefois la hausse des salaires l bas et les fluctuations encourues par les diff rentes monnaies ont progressivement tari cette source de main d oeuvre Nous notons dans 16 rapport du Groupe d tude sur l industrie canadienne de la machinerie que Un grand nombre d entreprises ne veulent pas ou ne peuvent pas prendre leur charge les frais lev s qu entra ne 18 formation de la main d oeuvre tout en sachant qu elles risquent de se faire subtiliser ces employ s par d autres entreprises il est particuli rement difficile d attirer vers des m tiers sp cialis s des ouvriers qui peuvent obtenir des salaires gaux ou sup rieurs pour des emplois moins sp cia lis s n cessitant moins d apprentissage l industrie manque de conseil et de contr le en mati re de formation qui devrait tre assur e par des professeurs ouvriers dont la premi re responsabilit serait d assurer la formation en cours d em ploi des apprentis9 Une tudel0 plus r cente soul ve le m me point et pr cise qu la fin des ann es soixa
143. aleur ajout e x d activit d ta salari e des de 818 159 l activit de la blissements activit salari s par tablis manufacturi re valeur totale sement millions de ajout e aaa e aa aaa 311 ladustrie des ins truments aratoires 1981 40 714 4 3 16 24 2 3 9 312 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 1981 il 641 3 8 58 21 9 3 7 319 Autres industries de la machinerie et de l quipement 1981 254 15 372 91 9 61 568 5 92 4 TOTAL 1981 305 16 757 100 0 55 568 6 100 0 a 311 Industrie des ins truments aratolres 1982 38 553 3 9 15 19 7 Ts 312 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 1582 14 555 3 9 40 18 0 1 2 319 Autres industries de la machinerie et de l quipement 1982 262 13 165 92 2 50 527 0 93 3 TT 2 TOTAL 1982 314 14 273 100 0 45 564 7 100 0 2 EEE Source Statistique Canada n de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1981 at 1982 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1970 Les donn es apparaissant ce tableau ne sont pas conformes celles des fichiers de la CSST du fait qu elles ne sont pas compil es de la m me fa on C est ce qui explique l importante diff rence entre le nombre d tablissements et de salari s figurant dans ce tableau et l
144. anch s ne pas employer de tournevis avec extr mit d form e tranchante ou br ch e qui risqueraient de tomber ou de blesser l ouvrier choisir un tournevis correspondant aux gammes de vis serrer ou desserrer ne jamais frapper sur le manche Machines outils portatives or pape Mesures sp cifiques de pr vention Heurt au point de contact entre la machine et la pi ce tra vailler poser des gardes la machine installer des contr les pour viter le d marrage accidentel porter des gants des souliers de s curit des lunettes de s curit et des gu tres Risques associ s 18 source lectrique mettre la terre des pi ces en contact avec les machines outils lectriques isoler les appareils 366 Mesures sp cifiques de pr vention lt lt lt TE Chutes provoqu es par les fils lectriques ou les lignes d air comprim ter autant que possible les fils ou les lignes d air au sol et surtout aux voles de passage des autres ouvriers utiliser des fils ou lignes r tractables permettant d employer seulement la longueur n cessaire am nager des passages sp cialement con us pour les fils ou lignes d air Chutes provoqu es par le bris de la machine out11 entretenir les outils et 168 quipements de support former les op rateurs R troaction de la
145. and Cutting Off Machines Londres MITA 1977 34 pe MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Transfer Machines and Other Special Purpose Machine Tools Lon dres MITA 1979 35 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Transfer Machines and Other Special Purpose Machine Tools 2 partie Installation Commissionning and Acceptance Lon dres MITA 1981 23 p 293 MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Turning Machines Londres MITA 1978 35 p MACHINE TOOL TRADES ASSOCIATION Code of Practice Safeguarding Wood Working Machines 1re partie General and Sawing Machines Londres MITA 1981 60 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Spray Painting Good Practices for Employees Cincinnati NIOSH 1976 22 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Health and Safety Aspect of Soldering and Brazing Cincinnati NIOSH 1978 41 p NATIONAL INSTITUTE FOR OCCUPATIONAL SAFETY AND HEALTH Work Practices Guide for Manual Lifting Technical Report Cincinnati NATIONAL TECHNICAL INFORMATION SERVICE Mechanical Power Press Safety Engineering Guide Springfield Virg NTIS 1976 47 P FORCQ M Les dispositifs anti collision pour ponts roulants Villeneuve Caisse r gionale d assurance maladie 1982 15 p SPALBRINK H Plasma Arc Welding and Plasma and Cutting Seen from the Viewpoint of I
146. angereuses pr voir une arriv e de lubrifiant de coupe de chaque c t de la broche placer des plaques du tapis ou des barres sensibles provoquant l arr t du mouvement dangereux 323 Mesures sp cifiques de pr vention EN r gler pendant les p riodes d arr t de la broche la direction du tube d arrosage ensuite pendant l usinage d placer 16 point d impact du jet en provoquant de petites variations de d bit pour loigner les copeaux de la zone de travail de la fraise utiliser des outils du type pinceau ou brosse long manche incapables d entra ner la main s ils sont eux m mes entra n s manche lisse sans boucle ni crochet ne porter ni gants ni v tements flottants pendant l usinage ne pas manipuler de chiffons proximit de la fraise choisir pour chaque op ration de fraisage une fraise dont la partie non travaillante soit aussi restreinte que possible arr ter la broche avant de commencer fixer une pi ce sur la table l en retirer effectuer une mesure nettoyer la machine pour cela il importe que la broche puisse tre arr t e en un temps tr s court Mise en marche intempestive de la fraise la commande d arr t doit agir irr versiblement pas de remise en contact lorsqu on la l che dispositif de verrouillage et d interverrouillage
147. ans certains tablissements 398 BIBLIOGRAPHIE COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL Rapport annuel 1984 Montr al CSST 1985 91 pe DOMINGUE C line Les prograwmes et services institutionnels en sant et s curit du travail Montr al CSST 1986 409 pe E SEC ire du travail INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL Rapport annuel 1983 Montr al IRSST 1984 83 pe MINIST RE DES AFFAIRES SOCIALES Rapport annuel 1983 1984 Qu En 704 bec Direction g n rale des publications gouvernementales 1985 52 p CHAPITRE 9 LES EFFORTS DE RECHERCHE Recherche et r daction IRSST INTRODUCTION Dans ce chapitre nous d crivons les recherches actuellement en cours dans le secteur industries de la machinerie sauf lec trique L IRSST s est adress 191 organismes de recherche canadiens et trangers afin d obtenir des informations relatives aux tudes qu ils m nent dans ce secteur Environ 25 5 d entre eux nous ont transmis des renseignements sur leurs activit s Outre ces sources de donn es nous avons consult un r pertoire de recherches publi par l Institut national de recherche et de s curit la suite de la cueillette des donn es nous avons s lectionn les projets en fonction de la nature des facteurs de risque des l sions professionnelles ou des populations de travailleurs tudi s Nous n avons retenu que l
148. ante d centralis e qui regroupe des sections identifi es un produit particulier Ce type de structure vise concilier les int r ts globaux aux int r ts particuliers des membres 23 Association canadienne des fabricants de machinerie et d quipement Manuel d information 1983 1984 Brantford Ont MEMAC 1984 111 L Association a comme objectifs de promouvoir la croissance de l industrie doter l industrie d une voix efficace aupr s du gouvernement du public des autres secteurs et des autres intervenants du sec teur cr er des forums o les membres partageant Le m me int r t peuvent changer coop rer avec les autres industries gt tablir un bureau de statistiques qui puissent servir les mem bres L Association a mis sur pied 13 comit s pour subvenir aux besoins des membres sur des sujets divers marketing robotique exporta tion tandis que 14 sections d fendent les int r ts des fabri cants d un type de produits particuliers L Association regroupe des entreprises concentr es dans les secteurs primaire et secon daire Elle regroupe 120 entreprises dont 31 font affaire au Qu bec Parmi les plus importantes on trouve Dominion Bridge Sulzer et Midland Ross ASSOCIATION DES FABRICANTS DE MAT RIEL AGRICOLE DU QU BEC L Association des fabricants de mat riel agricole du Qu bec24 est un organisme fond en septembre 1979 pour veiller au progr s de l industrie du
149. ants ayant un point d bullition et un point d clair lev Risques pour la sant Risques Causes probables Intoxication des concentrations excessives les solvants chlor s sont irri tants toxiques et pr sentent des propri t s narcotiques pour le syst me nerveux central 1 1 1 trichloro thane ou m thyl chloroforme trichloro thyl ne perchloro thyl ne chlorure de m thyl ne Les fluorocarbures fr on et les m langes d hydro carbures varsol sont des irritants toxiques des concen trations excessives 255 PEINTURE Dans le secteur industries de la machinerie on recourt la peinture pour afficher la marque de commerce sur les b tis ext rieurs des machines G n ralement les peintures sont constitu es d une partie solide appel e pigments et d une partie liquide appel e solvant Ainsi le choix varie selon les caract ristiques d sir es et selon les m langes Les types d application les plus r pandus dans le secteur sont brosses rouleaux ou pinceaux pulv risation pneumatique pulv risation haute pression sans air airless pulv risation lectrostatique trempage Le s chage se fait souvent l air la temp rature ambiante Risques pour la s curit 1 z L activit de peinture quoique restreinte dans le secteur indus tries de la machinerie ne doit pas tre n glig e car les risques pour la s curit
150. ation Nombre de R partition conventions 4 Comit paritaire 32 48 5 Repr sentant syndical ou des employ s 2 3 0 Comit paritaire comit syndical ou des employ s 2 3 0 Comit paritaire repr sentant syndical ou des employ s 8 12 1 Comit paritaire repr sentant la pr vention 5 7 6 Repr sentant syndical repr sentant la pr vention ou des employ s 1 1 5 Comit paritaire repr sentant syndical repr sentant la pr vention ou des employ s 2 Aucune disposition 14 TOTAL 66 100 0 Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de Statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 120 l Une association sectorielle a pour objet de fournir aux employeurs et aux travailleurs de son secteur des services de formation d information de recherche et de conseil Dans ce cadre g n ral le conseil d administration d termine les priorit s et les strat gies d intervention aupr s des employeurs et des travailleurs du secteur La formation d une telle association n est toutefois pas obliga toire sauf dans le secteur de l industrie de la construction o un tel organisme a t constitu par la Loi Pour toute autre association sectorielle sa constitution repose sur la volont des associations patronale
151. au travail etller les mesures et programmes se rapportan surv 8 5 travail ou l quipement Enqu te et programmes de s curit 5 Le ministre du Travail du Canada peut pour l une des ns ne r la partie IV du Code canadien du travail faire faire u 1 14 enqu te relative l hygi ne et la s curit professionnelle e Les per peut nommer une ou plusieurs personnes pour ce fair reer tous 168 sonnes ainsi nomm es poss dent et peuvent exerc de la partie I de la Loi pouvoirs d un commissaire nomm en vertu p sur les enqu tes S R C 1970 chap I 13 s en vue Le ministre peut galement mettre sur pied des programme la de diminuer ou de pr venir les blessures au travail et les ma dies professionnelles Conseil consultatif de l hygi ne et de la s curit professionnelle La partie IV du Code canadien du travail pr voit la constitution du Consell consultatif de l hygi ne et de la s curit profession nelle form d au plus 14 membres nomm s par le gouverneur en con seil Le Conseil est constitu parts gales de repr sentants de la direction et des travailleurs 428 508 r le est de conseiller le ministre du Travail sur les ques tions qui lui sont soumises de pr senter au ministre ses recom mandations sur le contr le et l application de la partie IV du Code ainsi qu un rapport annuel de ses activit s Agent de s curit et services de
152. auches qui font l objet de reprises d usinage Il existe divers types de rectifieuses rectifieuses cylindriques ext rieures usinage p riph rique de surfaces de r volution tournant autour de leur axe entre deux pointes pour la plupart automatiques rectifieuses sans centre semblables aux pr c dentes avec la diff rence que les pi ces ne sont pas tenues entre les pointes elles sont en appui sur une r glette et entra fn es en rotation par deux meules meule de travail et meule d entra nement rectifieuses cylindriques int rieures usinage interne de sur faces de r volution rectifieuses planes usinage de surfaces planes 201 rectifieuses universelles pouvant usiner comme les recti fieuses cylindriques ext rieures ou int rieures sch ma 1 Les rectifieuses sont install es dans l usine en tenant compte des param tres suivants les aires de circulation entre les machines doivent tre d au moins 60 cm le travailleur affect A une machine ne doit pas se trouver dans un plan de rotation ou aux abords d un engin pesant et tournant grande vitesse niveaux d clairage suffisants gt mise terre et intercounexion des masses conformes la r gle mentation Les alliages utilis s pour les rectifieuses sont tablis en fonc tion de la vitesse et de la dimension des meules On emploie principalement la fonte mall able l acier lamin et l acier moul Un entretien pr
153. availleurs unis de l automobile 512 5 4 Autres syndicats affili s la FTQ 840 8 9 TOTAL 3 578 58 4 Er 9 CSN F d ration de la m tallurgie 1 684 17 9 TOTAL 1 684 17 9 CSD F d ration d mocrarique de la m tallurgie des mines et des produits chimiques 833 8 9 Autres syndicats affili s la CSD 41 0 4 RE e a TOTAL 674 9 3 RO Ind pendants Syndicats charte directe 735 7 8 Autres syndicats ind pendante 198 2 1 TOTAL 933 9 9 SE SE S S Autres F d ration canadienne du travail 417 4 4 TOTAL 417 4 4 TOTAL G N RAL 9 386 100 0 Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de atatis tiques sur le march du travail Direction de l analyse des con ventions collectives juin 1985 105 Le tableau 22 nous montre l effectif syndical et les taux secto riels de syndicalisation Le sous secteur autres industries de la machinerie et de l quipement occupe 83 4 de l effectif syndical du secteur Le tableau nous indique que ce sous secteur est syndiqu 46 4 ce qui est environ la m me proportion que le teux de syndicalisation de l ensemble du secteur soit 48 8 5 Le tableau 23 nous apprend que la majorit des effectifs des trois centrales FTQ CSN et CSD ainsi que celui des syndicats ind pen dants se concentrent dans le sou
154. butaire de l avancement de ceux ci Les tats Unis ont jou un r le de pourvoyeur des machines et de l quipement vis vis de notre industrie manufacturi re en m me temps qu ils ont aliment l industrie de la machinerie par leurs d couvertes et par leur avancement technologique om 2 Ibid pe 87 12 LS pem A nn one En 1910 au Qu bec l industrie manufacturi re comptait 6 587 usines qui utilisaient 1 100 machines ou moteurs d ployant une force motrice machines vapeur gaz essence turbines roues hydrauliques moteurs lectriques Au Canada l industrie manufacturi re regroupait 19 218 usines soit presque trois fois plus qu au Qu bec Le nombre d usines oeuvrant dans le secteur de la machinerie sauf lectrique s levait 36 au Qu bec et 114 au Canada Quant au nombre d employ s il atteignait 2 271 et 11 028 respectivement Ces chiffres nous permettent de comparer le Qu bec et le Canada Concernant le nombre d tablissements manufacturiers le rapport s tablit 3 4 au Qu bec contre 10 au Canada et concernant le nombre total d employ s il est de 3 1 contre 10 Les m mes rapports pour l industrie de 18 machinerie sauf lectrique se chiffrent 3 2 contre 10 et 2 1 contre 10 respectivement Ceci nous fait r aliser la disproportion du nombre d employ s de l in dustrie au Qu bec par rapport au reste du Canada Ces chiffres permettent galement d tabli
155. cation d engins lourds ou d quipement industriel R paration installation ou en tretien de machinerie et d qui pements divers Abr viation quipement agri cole R frig ration Convoyeurs V rins hydrauli ques G n rateurs Machines out1ils Filtres air Machines cour dre quipement in dustriel R paration 153 IMPORTANCE RELATIVE DES UNIT S DU SECTEUR Le tableau 29 pr sente l estimation du nombre d employ s dans le secteur industries de la machinerie sauf lectrique pour les ann es 1980 1983 On d nombre en moyenne 15 592 employ s r partis dans 10 unit s L unit fabrication d quipement industriel regroupe elle seule 60 8 des travailleurs du secteur Cette derni re unit ainsi que l unit fabrication de machines outils repr sentent 75 3 des travailleurs du secteur LES L SIONS PROFESSIONNELLES Le tableau 30 pr sente les diverses cat gories de l sions profes sionnelles selon l unit survenues dans le secteur industries de la machinerie De 1980 1983 ce secteur conna t 25 266 cas de l sions dont 8 390 soit 33 2 sont d clar s non compensables On compte 201 cas de maladie professionnelle sans interruption de travail et sans incapacit permanente Si l on exclut ces 201 cas de maladie professionnelle ainsi que les 8 189 cas d accident non compensable l on obtient 16 876 cas de l sions compensables Parmi ceux ci 15
156. cessaire par la suite de donner une formation ad quate au travailleur Modification des proc d s Certains proc d s sans tre chang s totalement peuvent tre modifi s de fa on liminer les dangers d accidents ou de mala dies IT faut parfois insister sur les m thodes s curitaires d accomplir une t che en v rifiant soigneusement que 33 machinerie ne puisse provoquer d accidents cause de coins anguleux ou d un clairage d ficient On peut aussi dans certains cas remplacer 310 le rev tement par le soudage si possible ou remplacer les machines riveter par martellage par des machines action rotatoire conique type taumel Ventilation locale Certains produits contiennent des contaminants qu il est impos sible d liminer des proc d s solvants de d graissage huiles de coupe m taux lourds peinture etc 1 s agit alors de pr voir l installation d quipements de ventilation locale sous forme de hottes de rideaux d eau de capteurs etc Isolation des machines Certains risques ou contaminants ne peuvent tre limin s qu en isolant la machine ou le proc d panneaux isolants ou absorbants contre le bruit gardes pos s devant les parties mobiles des machines courroies engrenages panneaux ou murs install s pour pr venir le rejet au loin des particules de m tal ou d abrasifs meules op rations d quilibrage dynamique silencieux sur les orifices d aspiration et de refoulement d
157. collisions v rifier r guli rement les limiteurs de course 361 CES lt Mesures sp cifiques de pr vention ne pas transporter de pi ces au dessus des personnes s assurer de la bonne mise la terre du pont roulant afin d viter l lectrocution veiller la s curit de l op rateur ou des hommes d entretien en pla ant des garde corps sur les chelles et sur les plates formes acc dant au poste d op ration entretenir les ponts roulants moteurs cha nes c bles cro chets tringles lingues poulies p riodiquement et instaurer l entretien pr ventif Poulies de levage s assurer que les poulies soient munies d un dispositif emp chant les c bles de sortir de la gorge entretenir p riodiquement les quipements de levage et instaurer l entretien pr ventif couvrir autant que possible tout l ment pouvant cr er des cra sements ou des co ncements autour des points de contact par exemple le c ble et la gorge de la poulie Monte charge ne pas d passer 18 capacit nominale du monte charge instaurer l entretien pr ventif v rifier p riodiquement les divers l ments du monte charge poulies cha nes c bles etc afficher la capacit nominale et leg directives de fonctionne ment du monte charge 362 OUTILLAGE PORTATIF L outillage portatif est utilis pour diverses op rations Dans cette cat
158. couper du mat riel compos principalement de m taux ferreux ou non ferreux et l occasion d autres mat riaux Les lames utilis es peuvent tre de trois types lames de m tal dentel es bandes abrasives non m talliques lames non m talliques coupant par usure lames rondes Voici les principaux types de scies utilis s dans l industrie Scies horizontales ruban avec t te pivotante pivot type La t te de la scie est fix e une extr mit sur un axe pivotant et descend sur la pi ce couper selon un mouvement de ciseau Scies horizontales ruban pilier pillar type La t te de la scie est mont e sur un ou des piliers verticaux et la des cente s effectue selon un plan vertical 217 i A Uni Scies verticales ruban sch ma 5 La lame est fixe et les pi ces couper peuvent tre mont es sur une table de travail mobile qui se d place sur un plan horizontal ou bien la table est fixe et les pi ces sont pouss es manuellement ou m caniquement contre la lame gt Scies rondes t te pivotante sch ma 5 La t te de la scie est fix e comme une scie horizontale ruban avec t te pivotante cependant la lame n est pas un ruban sans fin mais une lame circulaire Scies rondes verticales La lame est mont e sur un coulisseau qui peut soit descendre et couper par le dessus de la pi ce soit monter et coup
159. cteur et 31 7 millions de dollars 6 1 du secteur tableau 5 En fait sa croissance au cours de ces deux d cennies a fulgurante Cette industrie a pr sent deg taux annuels de croissance de la valeur ajout e de 16 1 5 et de 20 5 Z pour les ann es soixante et soixante dix alors que le secteur affichait des taux annuels de croissance de 8 9 et 14 6 respectivement Nous observons des carts semblables du taux de croissance de sa main d oeuvre Ils atteignaient 11 1 et 9 5 contre 5 1 et 3 2 pour le total du secteur Sa chute au cours des ann es de crise au d but des ann es quatre vingt a t la mesure de sa croissance d routante Autres industries de 18 machinerie et de l quipement Ce sous secteur nous l avons vu la section NATURE DU SECTEUR est subdivis en cinq entit s diff rentes l industrie des com presseurs pompes et ventilateurs l industrie de la machinerie de construction et d extraction mini re et de l quipement de manu tention l industrie de la machinerie pour scieries et ateliers de fa onnage du bois l industrie des turbines et du mat riel de transmission d nergie m canique et enfin toutes les autres industries de la machinerie et de l quipement non class es ailleurs Dans les ann es cinquante la r gion de Montr al 8e distinguait et apparaissait comme le centre de la fabrication des machines lourdes On y fabriquait la majeure partie de la producti
160. d le nom de Conf d ration des syndicats nationaux La CSN compte actuellement neuf f d rations papier et for t communication b timent et bois m tallurgie commerce services publics affaires sociales professionnels salari s et cadres enseignants ainsi que plus de 1 800 syndicats locaux et quelque 220 000 membres La CSN poss de un service de sant et de s curit qui agit en interrelation avec d autres services de l organisme le service d organisation le service d ducation le service d information et de t l amp communication l service de recherche le service de g nie industriel et le service de la condition f minine Dans l ensemble les cours en sant et s curit principalement le cours de base formulent la strat gie de la CSN sur les sujets suivants 394 le r le du comit de sant et de s curit les droits des travailleurs les tapes de la proc dure en cas d accident le droit de refus la pr vention le retrait pr ventif des femmes enceintes la coordination de la strat gie syndicale l endroit des pro bl mes connus dans le milieu de travail Le comit sur 18 sant et la s curit du travail a le mandat de proposer des strat gies en mati re de sant et de s curit d la borer des programmes de formation et de formuler des recommanda tions 18 CSN en ce qui concerne 16 l gislation Le service de g nie industriel condui
161. daptation dispositions relatives la r adaptation profes sionnelle par des mesures garantissant le retour l ancien em ploi ou un emploi correspondant aux capacit s r duites du tra vallleur Indemnisation dispositions relatives l am lioration du r gi me d indemnisation des travailleurs accident s offert par la CSST Le tableau 26 nous informe de la pr sence ou de l absence dans les conventions collectives de clauses touchant les sujets nu m r s pr c demment Parmi les 66 conventions collectives du secteur 42 d entre elles contiennent une disposition sur l information Cependant 54 con ventions ne pr cisent pas qui doit tre transmise l information sur les risques inh rents au travail et qui tablit les programmes d information Les dispositions concernant la formation et le retrait pr ventif sont les moins nombreuses du secteur se retrouvant respectivement dans 13 et 3 conventions collectives 115 TABLEAU 26 NOMBRE DE CONVENTIONS COLLECTIVES AVEC OU SANS CLAUSES SP CIFIQUES SUR LA SANT ET LA S CURIT vec Sans Total Clauses Nbre 5 Nbre 5 1005 ec Information 42 63 6 24 36 4 66 Formation 13 19 7 23 80 3 66 Inspection 32 48 5 34 51 5 66 Droit de refus 32 48 5 34 51 5 66 Retrait pr ventif 3 4 5 63 95 5 66 Services de sant 36 54 5 30 45 5 66 quipement de s curit 63 95 4 3 4 5 66 M canismes de participation 52 78 8 14 21 2 66 R adaptation 40 60 6
162. de Ces r gions devinrent en peu de temps un lieu d imnigrations conomiques importantes On assista alors une forte migration de la population de l Ontario vers l Ouest Ceci provoqua une p nurie de main d oeuvre et acc l ra le processus de m canisation des industries et le d veloppement de l industrie des instruments aratoires dans cette r gion l Ontario a produit au cours de la premi re moiti du si cle plus de 90 de la produc tion d instruments aratoires du Canada Ces facteurs et d autres ont contribu faire de l Ontario le centre de l industrie de la machinerie au Canada Selon Statistique Canada en 1930 l industrie de la machinerie comptait au Qu bec 36 tablissements o travaillaient 3 752 employ s qui g n raient 8 8 millions de dollars de valeur ajout e tableau 1 En Ontario ces chiffres s levaient respectivement 163 tablissements 14 200 employ s et 40 7 millions de dollars Ces donn es sont r v latrices de la disproportion existant alors entre ces deux provinces Si nous consid rons ces caract ris tiques pour le Canada nous r alisons que la part du Qu bec attei gnait respectivement 15 6 20 3 et 17 3 alors que celle de l Ontario s levait 70 6 77 et 80 La concentration de l industrie de la machinerie en Ontario ce moment est vi dente Un regard attentif au tableau l volution de l industrie de la machinerie sauf lectrique au Qu bec nous
163. de pi ces non s ches introduction de pi ces creuses utilisation de montages r alis s en tubes dilatations bru tales des gaz contenus dans les cavit s mise en route des bains de sels en cas de fusion retard e de la cro te Br lures chimiques Les br lures chimiques sont li es l utilisation de divers pro duits chimiques acides ou alcalins notamment comme additifs l eau de trempe Elles pourront survenir lors de manipulations de produits 7 par suite de projection au cours des op rations de trempe Incendie Le risque d incendie est li principalement aux bacs de trempe huile et aux fours de c mentation instillation2 32 Instillation gout te goutte 247 ann mie Risques Re Bacs de trempe l huile L inflammation est le plus souvent cons cutive 33 l utilisation d une huile point d clair trop bas une surchauffe par suite d un volume de bain trop faible par rapport celui des pl ces trait es une insuffisance ou une d faillance du syst me de refroidisse ment un blocage de la charge chaude en cours d immersion l huile vaporis e au cours de l immersion de la pi ce chaude s en flamme au contact de la partie au rouge de la pi ce non encore immerg e un d bordement d huile faisant suite un moussage provoqu par une introduction d eau
164. de r frig ration 880 00 pour l unit r paration d quipements divers Soulignons que l unit r paration d quipements divers est celle o l indice combin et l indice de gravit sont les plus lev s du secteur tandis que l unit fabrication d quipement de r frig ration est celle o le taux d incidence l indice de gravit et l indice combin sont les plus faibles du secteur LES RETRAITS PR VENTIFS DE LA TRAVAILLEUSE ENCEINTE O QUI ALLAITE Voici maintenant certaines statistiques sur le programme de retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allaite Entre 1981 et 1984 11 y a eu 7 demandes de retrait pr ventif accept es dans 18 secteur industries de la machinerie 6 de ces 7 demandes de retrait sont concentr es dans le groupe des 25 29 ans Le nombre de jours pay s moyen des retraits est de 100 jours pour le secteur et de 82 jours pour l ensemble des secteurs 3 de ces 7 demandes se trouvent dans le groupe 101 150 jours pay s Le salaire hebdomadaire des b n ficiaires de retraits pr ventifs est de 200 00 pour le secteur et de 172 00 pour l ensemble des secteurs Le d bours moyen de la Commission est de 3 714 00 pour le secteur et de 3 030 00 pour l ensemble des secteurs 180 TABLEAU 46 CO TS DES L SIONS PAR UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 a U UUL Co t total des l sions Co t annuel Nombre Co t annuel Unit d
165. del de la date de la demande de prestation ou du premier examen m dical Maladie professionnelle compensable Dans cette cat gorie sont class s 168 dossiers des victimes de maladies professionnelles qui la Commission reconna t une incapacit permanente que le travailleur soit apte ou non occuper son emploi ainsi que les dossiers des victimes qui en raison de leur maladie professionnelle sont devenues temporai rement incapables d occuper leur emploi Ainsi les maladies professionnelles compensables peuvent tre subdivis es en trois sous cat gories avec incapacit permanente et avec interruption du travail avec incapacit permanente seule ment et avec interruption du travail seulement Une l sion peut tre class e dans une autre cat gorie avant qu elle ne soit class e dans la cat gorie maladie professionnelle Cette situation r sulte du fait que tout comme les dossiers d ac cidents avec incapacit permanente ceux de la cat gorie maladie professionnelle n cessitent une expertise m dicale et une tude attentive pour d terminer la relation entre la maladie et 36 milieu environnemental de travail du r clamant avant que la vic time ne soit d clar e admissible la compensation pr vue par les lois administr es par la Commission 189 Jacques Bolduc Lesage Dumont experts conseils z CHAPITRE 6 LES RISQUES ASSOCI S AU SECTEUR Recherche et r daction Michel Ga
166. dent ce taux repr sente la somme du DAP et de 1 Le DAP est le pourcentage de d ficit anatomo physiologique tabli d apr s le r glement n 59 sur le Bar me des d ficits anatomo phy siologiques de la Commission Par exemple l amputation au tiers moyen de l avant bras repr sente un DAP de 55 d apr s ce m me r glement Cependant comme l accident qui l on a attribu un DAP aura ubir une perte d int grit physique permanente il est possibile que ce travailleur ait de la difficult r int grer le march du travail Pour contrer cette perte d int grit la Com mission d termine donc un pourcentage pour l inaptitude repren dre le travail IRT La nouvelle Loi sur les accidents du tra vail et les maladies professionnelles LATMP entr e en vigueur 187 en ao t 1985 parlera dans ce cas plut t d IRR indemnit de rem placement du revenu que d IRT Ce pourcentage d IRT est tabli en fonction de plusieurs crit res tels que l ge 16 DAP et 18 nature de la l sion en fonction de l occupation de l accident sa scolarit son exp rience de travail sa mobilit etc Compte tenu de la complexit de cette cat gorie d accidents du travail chaque cas n cessite une expertise m dicale approfondie Ainsi il s coule un certain laps de temps avant qu un dossier n soit d finitivement class dans la sous cat gorie incapacit per manente Le dossier pourra donc se retrou
167. donn es en fonction des sous secteurs tels qu ils sont d finis dans la classification des activit s conomiques version de 1984 C est pourquoi dans l optique d une pr sentation uni forme les statistiques ne seront pr sent es que par unit s CSST celles ci tant les seules disponibles pour l ensemble des sec teurs du groupe IV La liste comparative qui suit montre la correspondance entre les codes de sous secteurs d apr s la classification des activit s conomiques du Qu bec CAEQ et les codes d unit s CSST Afin de dresser un tableau complet de la situation nous examine rons ensuite les statistiques suivantes l importance relative des unit s du secteur les l sions professionnelles les l sions compensables ies accidents compensables selon une s rie de variables tir es des divers formulaires administratifs de la Commission les cas d incapacit permanente les maladies professionnelles les indicateurs des l sions professionnelles le co t des l sions le retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allaite selon une s rie de variables N B Les statistiques pr sent es dans ce chapitre sont tir es des fichiers de la CSST Les employeurs n tant pas tenus de contribuer au fonds d accident tabli en vertu de la Loi sur les accidents du travail certains en sont donc exclus 149 NOTE Les donn es statistiques pr sent es dans ce chapitre permettent
168. dustriels et commerciaux le R glement sur la qualit du milieu de travail et le R glement sur les tablisse ments industriels et en mati re de r glementation f d rale le R glement sur les outils main le R glement sur les substances ent dangereuses et le R glement sur les v tements et l quipem protecteurs Il est noter que rien dans ce chapitre ne doit tre lu ou interpr t comme soustrayant ou assujettisgant une personne l application d une loi ou d un r glement donn ces questions relevant plut t de 18 comp tence de nos tribunaux Voyons maintenant quelle est en mati re de sant et de s curit du travail la l gislation en vigueur le 107 juillet 1985 NOTE On remarquera que la plupart des textes l gislatifs relatifs la sant et la s curit du travail sont r dig s en fonction des sujets couvrir plut t qu en fonction d une approche sectorielle ce qui a pour effet de rendre applicables chacun des secteurs d activit vis s un nombre consid rable de textes l gislatifs Il nous para t donc important de pr ciser que les r sum s de textes l gislatifs que l on trouve dans ce chapitre n ont pas la pr tention d tre exhaustifs ni de synth tiser tous les droits et toutes les obligations cr s par ces l gislations Ces r sum s constituent en fait un genre de table des mati res de ces textes l gislatifs dans laquelle un point particulier est plus facile me
169. e Nous devons admettre la lecture de ces donn es que ce secteur d tient une place tr s importante dans l conomie canadienne mais qu elle pourrait tre P q beaucoup plus grande En 1978 environ 85 Z des activit s de cette industrie taient concentr es en Ontario et au Qu bec Environ 300 entreprises relativement importantes appropriaient la plus grande part de la production pr s de 200 parmi celles ci taient des filiales de soci t s multinationales Nous remarquons que les grandes entre prises fabriquent une gamme assez vaste de machines et coulent une bonne partie de leur production sur les march s trangers tandis que les petites et les moyennes entreprises se sp cialisent dans 18 fabrication de quelques produits particuliers qui r pon dent principalement Ja demande locale Une tude r alis e en 1978 pour le minist re de l Industrie et du Commerce du Canada r v le que La fabrication des machines a une envergure internationale et la demande canadienne de mac hinerie est grande et diversi i e En cons quence les importations et les exportations continueront d tre des l ments importants de ce secteur Cependant m me s il tait irr aliste pour le Canada d envi sager une production autarcique dans la machinerie la crois sance future de l industrie sera conditionn e en grande partie par son SP eue obtenir une part plus importante du march int rieur
170. e circulation doivent tre d gag s et dot s de surfaces antid ra pantes et les d chets et rebuts enlev s et limin s Partie III Structures temporaires et travaux de creusage Sui vant cette partie du R glement il est interdit de mettre en place ou d utiliser une structure temporaire lorsqu il est raisonnable ment possible de mettre en place ou d utiliser une structure permanente 432 Il est interdit un employ de travailler sur une structure temporaire sous la pluie la neige ou la gr le ou durant un orage ou une temp te de vent susceptibles d tre dangereux pour la s curit ou pour la sant de l employ sauf si le travail est n cessaire pour liminer un danger ou pour le sauvetage d un autre employ Il est interdit l employ d utiliser une Structure temporaire moins qu il n ait 6 autoris le faire qu il n ait re u la formation et les directives voulues et qu il n ait pr alablement fait une inspection visuelle de la structure On y nonce encore certaines dispositions relatives aux bar ri res n cessaires l installation d une structure temporaire aux garde fous et butoirs de pied aux escaliers passerelles et plates formes temporaires ainsi qu aux chelles portatives Les travaux de creusage font aussi l objet de quelques prescrip tions notamment en ce qui a trait la pr sence de c bles amp lec triques ou de conduites de gaz dont l employeur doit indiq
171. e ete les fours lectriques les fours bains de sel le chalumeau Pour le refroidissement l air gt la trempe l eau pure ou avec addi tif gt la trempe l huile la trempe en bain de sel Dans le cas des modifications chimiques les techniques utilis es se font par apport d l ments sous forme Solide l aide de m langes en poudre solides Liquide l aide de bains de sels fondus c mentation durcis sement de l acier par 18 formation de carbures ou de nitrures Gaz proc d atmosph re contr l e atmosph re endothermique exothermique neutre r ductrice Plasma gaz ionis par d charge lectrique sous pression r duite Le traitement thermique du m tal s applique aux m taux ferreux fonte acier aciers sp ciaux l aluminium au cuivre et 868 alliages Pour cette op ration industrielle on se sert des fours du chalumeau des bains lectrolytiques des bains d huile et d eau du plasma 246 Risques pour 18 s curit lt Risques e a e E a Br lures thermiques Les br lures thermiques se produisent la suite de Contact avec des objets chauds parois de fours creusets pi ces chaudes en cours de manipulation crochets et acces soires Projection de liquides chauds eau huile sels fondus dans les circonstances suivantes immersion trop rapide ou chute
172. e 1980 1983 moyen par total moyen l employ de par l sion l sions 5 aene aa a a a 31111 quipement agricole 1 012 922 3 2 299 1 161 872 31211 R frig ration 304 610 1 0 187 357 853 31921 Convoyeurs 1 162 724 3 8 646 1 110 1 047 31941 V rins hy drauliques 638 208 2 0 274 752 849 31942 G n rateurs 2 387 024 7 7 828 1 348 1 771 31991 Machines outils 2 614 836 8 4 289 1 639 1 595 31992 Filtres air 244 311 0 8 567 170 1 437 31993 Machines coudre 203 475 0 6 188 131 1 553 31994 quipement industriel 20 916 272 67 2 552 17 722 1 180 31995 R paration 1 650 566 5 3 880 876 1 884 Le a e CN ae A U TOTAL 31 134 948 100 0 499 25 266 1 232 Note Le co t des l sions comprend l ensemble des d penses effectu es par la Commission ainsi que les r serves actuarielles capitalis es au fonds d accidents 181 CONCLUSION Le secteur industries de la machinerie sauf lectrique compte annuellement plus de 15 000 travailleurs r partis dans 10 unit s Durant les quatre ann es observ es ce secteur conna t plus de 25 000 l sions professionnelles C est entre 20 et 24 ans que survient le plus grand nombre de l sions compensables soit 20 2 du total Le nombre de cas diminue ensuite progressivement avec l ge les groupes 25 29 ans 30 34 ans et 35 39 ans comptent respectivement pour 18 8 14 5 et 11 8 des l sions compensa bles du secteur Les deux tiers des l sions du secteur s
173. e chapitre il nous a t impossible de na consid rer les induatries faisent partie de la nouvelle classification type 1984 Far cons quent les chif fres pr sent s dans ca cablesu fneluent Los donn vs relatives l industrie des machinas pour buraau et commerce En 1971 2 6 X deu tablissements de c soctaur gppartenaiant cette indumtrie 7 9 dea employ s l activit totale 1 Y de la valaur ajour e 18 production ot 1 7 X de la valeur des axp ditions et autres recettes en 1975 ces pourcentages v levalentc reupectivement 4 1 11 6 X 7 3 Zat 8 6 X enfin en 1981 118 taiant de gt 10 9 X 20 1 Xat 21 4 X Les deux tiers de ces tsblisaenante sont situ a dans la r gion da Hontr al Parmi les tablissements regroup s dans ce tablaau seule la r gion Abltibi T nlscemingue n en compte aucun 81 CONCLUSION L industrie de la machinerie sauf lectrique est primordiale pour une conomie moderne son importance refl te la capacit d une 86858 fournir les biens d quipements n cessit s par son industrialisation et le d veloppement de ses ressources Un des probl mes majeurs de notre conomie et du secteur machinerie en particulier est la hausse graduelle des importations dans ce secteur d activit C est pourquoi nous croyons que l avenir de cette industrie d pend de la facilit pour les entrepreneurs d obtenir les fonds suf fisants pour accro tre l
174. e chauffe le m tal en faisant fondre la surface et ainsi les deux pi ces se soudent sch ma 11 On peut aussi souder par brasage c est dire en ajoutant un alliage qui fond une temp rature inf rieure au m tal chauff pour joindre les pi ces Cette application de soudure commande une temp rature de fusion sup rieure 450 C tandis que le brasage tendre est r alis avec un m tal dont la temp rature de fusion est inf rieure 450 C Les m taux utilis s pour le brasage sont le cuivre les alliages de cuivre les alliages d argent et les alliages d aluminium Pour le brasage tendre on recourt un fer souder pour r aliser les soudures Les m taux d apport les plus souvent utilis s pour ce type de soudure sont en alliages de plomb d tain et d anti moine mais des concentrations moindres pour ce dernier Pour le d coupage du m tal on recourt au m me proc d avec une torche aliment e par de l ac tyl ne mais cette fois ci on utilise de l oxyg ne pur sous forme de jet qui coupe le m tal apr s que celui ci ait t chauff par la flamme 260 SCH MA 11 SOUDAGE AU GAZ Soupape de la torche Manom tre d oxyg ne de pression Buse Manom tre de pression du cylindre R gulateur d oxyg ne Soupape de s ret Soupape de la torche d ac tyl ne de s ret R gulateur d ac tyl ne Manom tre de pression du cyclindre Ac tyl ne Ox
175. e d crire sommairement la l gis lation en mati re de sant et de s curit du travail au Qu bec Mais au fait qu entend on par l gislation La l gislation se compose d un ensemble de normes de conduite aux quelles doivent se conformer l ensemble des citoyens ou certaines cat gories d entre eux Ces normes peuvent exister sous forme de loi ou de r glement D une fa on g n rale on peut d finir la lot comme tant une r gle caract re obligatoire par laquelle l tat d limite les droits et les obligations des citoyens dans un domaine particu lier Les lois sont adopt es soit par le Parlement canadien soit par les l gislatures provinciales comme l Assembl e nationale du Qu bec l int rieur m me de la loi le l gislateur veille galement d l guer soit au Conseil des ministres soit un ministre en particulier ou encore l organisme responsable de l application de la loi le pouvoir d adopter une l gislation subordonn e appel e r glement Le r glement vise essentiellement tablir des normes caract re g n ral et impersonnel d application de la loi Ces normes ont un caract re obligatoire comme la loi Compte tenu des risques particuliers auxquels sont expos s les travailleurs du secteur industries de la machinerie sauf lectrique les principaux r glements applicables en mati re de r glementation provinciale comprennent le R glement sur les tabiissements in
176. e dispositif d alimentation lectrique cadenass Si certains syst mes doivent tre v rifi s alors que la machine fonctionne un permis doit tre d livr des m cant ciens ou des lectriciens autoris s et form s pour faire ce travail Quant l entretien lectrique seules des personnes qualifi es doivent l entreprendre Toutes ces mesures de pr vention d ordre technique peuvent r duire le nombre d accidents et de maladies professionnelles MESURES DE PR VENTION D ORDRE ADMINISTRATIF Pour plus d efficacit les mesures de pr vention d ordre tech nique doivent tre conjugu es des mesures de pr vention d ordre administratif 312 Tenue des lieux La tenue des lieux semble la mesure de pr vention d ordre adminis tratif 15 moins co teuse entreprendre toutefois c est souvent la plus difficile appliquer et parfois 13 plus importante suivre de fa on constante La bonne tenue des lieux exige une attention constante et une discipline rigoureuse Trop souvent parmi les causes d un accident on identifie un bout de m tal qui trafnait une all e bloqu e des lampes bris es etc Et de fait la plupart des tablissements souffrent de graves lacunes ce chapitre Les usines doivent entreprendre un nettoyage en r gle qui inclut le d gagement des all es l identification des postes le cloisonnement ou le d cloisonnement des aires de tra vail etc Chaque poste de travail doit c
177. e l cart existant Ce dernier tableau nous servira aussi tablir le co t unitaire de la main d oeuvre Il se calcule partir de la masse salariale des employ s 13 production qu on divise par la valeur des exp ditions Nous prendrons quatre dates pour d terminer la diff rence entre le Qu bec l Ontario et le Canada En 1971 il en co tait 19 3 de la valeur des exp ditions au Qu bec 18 8 en Ontario et 19 1 au Canada en 1975 nous passions respectivement 22 2 5 18 4 et 19 3 en 1980 20 2 16 4 et 17 4 et enfin en 1982 19 17 et 17 8 C est donc au Qu bec qu il en co te le plus En posant l indice 100 1971 nous obtenons en 1982 au Qu bec 98 4 en Ontario 90 4 et au Canada 93 2 C est encore au Qu bec que la r duction des co ts de la main d oeuvre s est fait le moins ressentir Le tableau 16 pr sente le salaire horaire la production La variation moyenne a t plus forte au Qu bec qu en Ontario mais moins qu au Canada Malgr cela en 1982 le salaire horaire la production est demeur sup rieur en Ontario tout comme il l tait en 1971 Si le Qu bec se trouve au premier rang pour le co t uni taire de la main d oeuvre le plus lev ce n est donc pas cause du co t direct de la main d oeuvre Cette in galit s expliquerait plut t par d autres facteurs co t des mat riaux des combusti bles niveau de production diversification de 18 production etc Le
178. e machinerie et d quipement l Association canadienne des industries a rospatiales l Associa tion canadienne des industries de l automobile l Association canadienne des chantiers maritimes l Association des fabricants de mat riel agricole du Qu bec et le Groupement qu b cois d entre prises La partie syndicale de son c t se compose du Syndicat inter national des travailleurs unis de l automobile FTQ de l Asso ciation internationale des machinistes et des travailleurs de l a roastronautique FTQ des M tallurgistes unis d Am rique FTQ de la F d ration de la m tallurgie CSN et de la F d ra tion d mocratique de la m tallurgie des mines et des produits chimiques CSD La premi re assembl e g n rale de cette association sectorielle a eu lieu 16 3 novembre 1984 Les d l gu s toute assembl e g n rale sont au nombre de 100 dont 50 repr sentent les associations signataires patronales Les d l gu s choisissent parmi eux 20 personnes qui deviennent membres du conseil d administration 10 repr sentent les associa tions signataires patronales et 10 repr sentent les associations signataires syndicales 122 Les membres du conseil d administration lisent parmi eux 10 men bres pour constituer le comit administratif compos parts gales de repr sentants de la partie syndicale et de repr sen tants de la partie patronale Un directeur g n ral assure 16 permanence de l
179. e manuelle de mise en marche de la broche et 16 disposer de mani re ce qu il ne puisse tre ac tioun accidentellement qe A a Mesures sp cifiques de pr vention lt concevoir le circuit de commande de mani re fauts ce que les d d isolement ne provoquent en aucun cas la mise en marche du moteur voir ce que la commande d arr t agisse de fa on irr versible pas de remise en marche lorsqu on la l che la s lection entre marche manuelle et marche automatique ne porte 8 aucune confusion Mise en marche intempestive du moteur de broche pendant une inter vention manuelle sur une transmission courroie associer un dispositif de verrouillage lectrique la partie mobile du capot isolant la transmission placer un sectionneur entre l installation de distribution lec trique de l atelier et l quipement lectrique de la machine si ces deux installations sont s par es par au moins 30 m tres Mouvement inattendu de la t te de per age quiper la perceuse d une enceinte et d un dispositif de ver rouillage lectrique du mouvement d avance quand cette enceinte est ouverte Intervention manuelle entre foret et pi ce apr s 16 d clenchement du mouvement d avance de la t te de per age utiliser une double commande manuelle et choisir l emplacement des boutons de commande de mani re ce qu on ne puisse les actionner simultan ment
180. e membres des membres r guliers c est dire des associations patronales ou d affaires verticales des f d rations ou des regroupements d associations patronales ou d affaires verticales qui d l guent au Centre patronal l exercice de leur droit toute subvention de la CSST en vertu de l article 104 de la Lol sur la sant et la s curit du travail pme 30 Centre patronal de sant et de s curit du travail du Qu bec R glement g n ral Montr al 1985 et idem Objectifs 1985 Montr al 1984 134 des membres affili s c est dire des associations patronales ou d affaires horizontales des f d rations ou des regroupements d associations ou d affaires horizontales des membres associ s c est dire des entreprises En 1985 29 associations verticales 5 associations horizontales et 42 entreprises coristituaient les membres r guliers affili s et associ s du Centre Le conseil d administration est compos de 15 membres dont 10 repr sentent les membres r guliers 3 les membres affili s et un les membres associ s le quinzi me est un d l gu officiel nomm par le Conseil du patronat du Qu bec Le Centre se finance principalement gr ce aux subventions que les membres obtiennent de la CSST en se pr valant de l article 104 de la Loi sur la sant et la s curit du travail La client le est constitu e des associations d employeurs et des entreprises qui en sont membres ain
181. e n cessaire au va et vient des l ments mobiles de la fraiseuse On recommande fortement de d limiter les d placements de la machine par des traits de peinture au plancher Il faut tenir compte galement de la circulation des pi ces et de l vacuation des copeaux Comme la plupart des op rations d usinage par enl vement de copeaux le fraisage requiert l utilisation d un lubrifiant de coupe Outre les risques pour la sant reli s cette utilisa tion l emploi d un lubrifiant de ce genre exige de l op rateur qu il corrige fr quemment la direction du jet en saisissant un embout de tuyauterie situ pr s de la fraiseuse Le dispositif d arrosage doit tre plac de telle sorte qu il ne force pas l op rateur s approcher de la machine outil qe 8 Risques Causes probables om e L sions par crasement ou Zone dangereuse cr e lors du par cisaillement mouvement d avance rapide de la table entre des pi ces li es la table et des pi ces li es au b ti Zone dangereuse engendr e par 16 changeur automatique d outils fralseuses commande num ri que fcrasement entre la table et un obstacle L sions diverses Heurt par la poign e d un volant de manoeuvre Chute Acc s en hauteur pour les r gla ges l entretien et la surveil lance Chute par glissade Formation de film gras sur les sols par la s dimentation des gr
182. e pi ces Heurts chocs avec des par Contact avec la table au cours ties en mouvement de son d placement Commande in tempestive Blessures aux yeux Projection de poussi res Risques pour la sant Risques Causes probables Surdit et syndrome de Ray Installation d ficiente de la naud bruit et vibrations machine D s quilibre de la pi ce tournante Tours Les tours sont utilis s en industrie pour fa onner des pi ces m caniques par enl vement de copeaux G n ralement on utilise 204 des alliages d aciers de fontes de m taux ultra l gers alumi nium et magn sium et des alliages cuivreux Il existe quatre types de modes de commande des tours manuel tous les ordres proviennent de l op rateur tour clas sique seni automatique commande manuelle de l encha nement des s quences qui s ex cutent par la suite m caniquement sans intervention automatique les cycles d usinage se tr p tent d une pi ce l autre sans intervention num rique programmation robotique sur plaquette par l op ra teur sans intervention suppl mentaire Risques pour la s curit et la sant Les risques pour la sant et la s curit sont sensiblement les m mes pour les trois premiers types de commande La commande num rique a l avantage que toutes les op rations sont pr tablies sans intervention de l op rateur donc r duction des risques Le genre d accidents ditt re surtout en
183. e plusieurs dispo sitifs de commande pour viter tout le moins la mise en marche accidentelle et assurer l arr t d urgence Les boutons de d part d arr t et d urgence doivent tre clairement identifiables et facilement accessibles ac ns nn 4 SCH MA 6 AL SEUSES HORIZONTALES pp AL SEUSE HORIZONTALE AL SEUSE HORIZONTALE SUR PLANCHER SUR TABLE AL SEUSE HORIZONTALE RABOTEUSE Source Machine Tool Trade Association Code of Practice Safe guarding Horizontal Boring Machines 223 On recommande de peindre certaines parties de la machine de sorte que les couleurs caract ristiques ne seront visibles que lorsque le danger est pr sent En ce qui a trait l installation l al seuse requiert une aire de circulation entre les machines d au moins 60 cm en tenant compte du mouvement des pi ces mobiles Il serait opportun de se r f rer aux directives du fabricant pour plus de d tails Risques Causes probables Maux de dos Efforts physiques Chute Plancher malpropre ou glissant Risques pour la sant L emploi d une huile de coupe peut engendrer chez le travailleur des probl mes de sant La machine outil devrait donc tre con ue de mani re alimenter directement l op ration sans que l op ra teur ne soit oblig de manipuler ces huiles L environnement de travail doit tre le plus salubre possible c est dire
184. e r glement fixe les modalit s de d signation des repr sentants de l employeur ainsi que des employ s non syndiqu s au sein du comit d hygi ne et de s curit Plus pr cis ment R glement prescrit les modalit s du choix des pr sidents et du renouvellement du mandat des membres le quorum aux r unions la fa on de combler une vacance ainsi que les res ponsabilit s du pr sident choisi par l employeur en ce qui trait au proc s verbal et au rapport produire annuellement au bureau r gional Ce r glement pr voit aussi dans 168 entreprises o 168 employ s sont non syndiqu s la nomination par ceux ci d un repr sentant l hygi ne et la s curit 444 ANNEXE R GLEMENTS TUDI S MAIS NON RETENUS R glements adopt s en vertu des 1018 du Qu bec examin s mais non retenus puisqu ils ne traitent pas directement de la sant et de la s curit du travail ou ne visent pas le secteur tudi R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DE LA LOI SUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL L R Q chap S 2 1 R glement sur le certificat m dical des ouvriers R R Q 1981 chap S 2 1 r 3 R glement sur les chantiers maritimes CR R Q 1981 chap S 2 1 La 4 Code de s curit pour les travaux de construction R R Q 1981 chap S 2 1 r 6 modifi par 16 d cret 749 83 du 13 avril 1983 republi dans la Gazette officielle du Qu bec du 8 f vrier 1984 pe 939 et modifi nouv
185. e sant au travail sur les territoires qu ils desservent Les diverses t ches des DSC se regroupent autour des trois grandes fonctions de sant publique savoir l identification des pro bl mes prioritaires de la sant au travail la coordination des ressources pour permettre la r alisation des programmes de sant au travail et enfin l valuation de l efficacit de ces pro grammes de sant Depuis 1981 la CSST conclut des ententes de services avec les DSC pour assurer aux travailleurs l acc s aux services de sant pr ventifs et curatifs pr vus par la loi Ainsi en 1986 les DSC et les CLSC centres locaux de services communautaires disposaient de 830 postes pour leurs quipes responsables des divers mandats reli s la mise en place et au fonctionnement du r gime soit l laboration et la mise en application des programmes de sant les tudes industrielles relatives l indemnisation pour maladies professionnelles et l exercice du droit au retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allaite INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL IRSST 29 La mission de l Institut de recherche en sant et en S curit du travail est de contribuer par la recherche ce qui est l objet fondamental de la Loi sur la sant et la s curit du travail soit l identification et surtout l limination la source m me des dangers pour la sant la s curit et l int grit physique
186. e sels de bains d huile ainsi que les produits utilis s dans certaines techniques du traitement thermique 251 T Risques See T Intoxication Les nombreux produits chimiques utilis s peuvent tre l origine d intoxications dues l inhalation des vapeurs d a rosols ou de poussi res mis lors des manipulations ou des traitements C est notamment le cas Des c ments qui contiennent des sels de baryum et pour cer taines c mentations particuli res des l ments m talliques tels que chrome b ryllium mangan se Le risque est li l inhalation de poussi res mises lors des op rations de chargement et de vidage des caisses et lors des op rations de tamisage du c ment Des bains de sel les bains de nitrite nitrate d gagent des oxydes d azote toxiques en quantit s parfois importantes notamment dans le cas de contamination par des sels de calcium les bains de sels cyanur s d gagent galement en fonction nement normal des vapeurs toxiques contenant de l acide cyanhydrique De plus en cas de contact avec des acides solutions de d ca page des d gagements importants d acide cyanhydrique peuvent se produire en quantit s susceptibles d entra ner des intoxi cations aigu s graves Les autres bains de gels contenant des sels de baryum de Strontium et de
187. eau par le d cret 21 85 du 9 janvier 1985 R glement sur la coupe de la glace R R Q 1981 chap S 2 1 r 7 R glement sur l taiement des coffrages b ton CR R Q 1981 chap S 2 1 Ts 10 R glement sur la manutention et l usage des explosifs R R Q 1981 chap S 2 1 ra 11 R glement sur la mise en application des dispositions relatives aux accidents du travail et aux maladies professionnelles conte aues dans l Entente entre le gouvernement du Qu bec et le gouver nement de la R publique fran aise en mati re de s curit sociale 8 0 1981 chap S 2 1 re 12 R glement sur les postes d appareils de sauvetage dans les mines 8 1981 chap S 2 1 Te 13 R glement sur la protection des ouvriers travaillant avec de l air comprim R R Q 1981 chap S 2 1 r 14 R glement de r gie interne de la Commission de la sant et de la s curit du travail R R Q 1981 chap S 2 1 r 16 modifi par le d cret 1687 82 du 7 juillet 1982 et par le d cret 1036 85 du 29 mars 1985 R glement sur les r gles de preuve de proc dure et de pratique des bureaux de r vision de la Commission de la sant et de 18 s curit du travail CReR Q 1981 chap S 2 1 r 17 R glement sur le remboursement de certains frais occasionn s par une enqu te ou une audition 0 1981 chap S 2 1 r 18 R glement sur la salubrit et la s curit du travail dens les mines
188. ectivement La valeur ajout e par employ en Ontario est pass e de 13 389 5 37 608 soit un taux de croissance gal 10 9 Au Qu bec 11 tait l g rement sup rieur atteignant 11 la valeur ajout e par employ passe de 10 610 30 148 SITUATION ACTUELLE Selon une tude r alis e par la Direction de la machinerie du minist re f d ral de l Industrie et du Commerce l industrie de la machinerie au Canada 8 produit en 1980 pour pr s de neuf mil liards de dollars Les auteurs ont valu que la production avait 4 WR Graham L industrie canadienne de la fabrication de machines Commerce Canada juin 1980 32 1u u Re 22 my ye e pm augment de 11 en un an Cette augmentation tait inf rieure l ann e pr c dente et elle tait due l effondrement du march des machines agricoles et des machines de construction ble des autres sous secteurs d Sup rieur soit 3 Z de plus L ensem activit ont pr sent un bilan En raison de la sp cialisation de l industrie qu b coise dans des champs autres que ceux pr c demment cit s cette industrie a subi un moindre choc de cette baisse de production 1973 et 1980 le nombre d D ailleurs entre employ s la production au Qu bec tait en baisse de 0 1 Seulement alors qu il chutait de 4 5 en Ontario Si nous observons les hausses de 13 valeur ajout e dans chacune des provinces nous remarquons qu au Qu
189. eenaa 3 Minist re de l Industrie et du Commerce du Canada Rapport du zapport du groupe d tude sur l industrie canadienne de la machinerie Ottawa 1978 p 2 25 En 1980 l Ontario pr sentait toujours la plus forte concentration de ce type d industrie puisqu on y d nombrait 785 tablissements soit 51 4 de l industrie canadienne contre 20 4 au Qu bec Les industriels se localisent dans les r gions centrales conceu tration plus lev e de l industrie pour plusieurs raisons main d oeuvre sp cialis e Fournisseurs de mati res premi res et march s industriels nombreux Toujours en 1980 nous comptions au Qu bec 17 298 employ s dans cette industrie et elle g n rait 519 1 millions de dollars de valeur ajout e tableau 1 La productivit calcul e partir de la valeur ajout e par salari tait pass e 30 009 8 soit un taux de croissance de 12 7 depuis 1970 tableau 2 En Ontario la productivit s levait 32 021 soit un taux de croissance de 9 5 depuis 1970 L industrie au Qu bec au cours de cette d cennie a presque r ussi r tablir l quilibre existant en 1960 entre ces deux provinces au plan de 18 productivit Industrie des instruments aratoires En 1950 on d nombrait 64 tablissements dans l industrie de la machinerie au Qu bec dont 6 appartenaient au sous secteur indus trie des instruments aratoires Le sous secteur industrie du mat riel commercial de r frig ra
190. ement les dimensions les trous qui traversent une pi ce m canique L al seuse rectifie la fois les op rations de per age et de fraisage 08 regroupe les al seuses en trois cat go ries al seuse horizontale sur plancher sch ma 6 al seuse horizontale sur table sch ma 6 al seuse horizontale raboteuse sch ma 6 La diff rence entre chacune d elles r side dans les axes de mouve ments orthogonaux possibles dans leurs parties mobiles et leur fixation au sol Risques pour la s curit Les risques pour la s curit sont surtout reli s au danger de coincement d une partie du corps Des barri res de s curit peu vent tre int gr es l al seuse elle m me ou rajout es quoique en ralson de ses larges dimensions l al seuse est souvent diffi cile encoffrer Toutes les barri res de s curit devraient tre solidement fix es et impossibles ter ou ouvrir sans l aide d un outil La n cessit de poser des barri res devrait tre valu e en fonction de l application de la machine car il arrive parfois que les pi ces travailler servent elles m mes de bar ri re de s curit naturelle en raison de leurs grandes dimensions Les barri res doivent respecter des distances minimales au cas o l op rateur serait oblig d ouvrir les barri res de s curit pour alimenter la machine ou pour observer la progression du proc d De plus il est n cessaire de munir l al seuse d
191. en sant et en s curit du travail Les programes et services ont rarement la m me signification d un organisme l autre et d une unit administrative l autre dans un m me organisme Tant t c est un programme de formation dont la dur e peut varier de quelques heures plus d une ann e tant t c est un programme ayant l envergure de l ensemble des r alisa tions d une direction ou d un service minist riel N anmoins programmes et services sont regroup s ici dans un seul bloc 388 COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL CSST La CSST offre plusieurs programmes et services g n raux applica bles tous leg secteurs soutien technique et scientifique centres de documentation r pertoire toxicologique et centre de r f rence Services r gionaux en pr vention inspection publication de documents divers service g n ral d information et de consultation INSTITUT DE RECHERCHE EN SANT ET EN S CURIT DU TRAVAIL IRSST En plus d tre orient sp cifiquement vers des Programmes de recherche applicables de nombreux secteurs l IRSST offre les services suivante laboratotre analyse soutien et r f rence pour les chercheurs les intervenants de la CSST des d partements de sant communau taire DSC des centres locaux de services communautaires CLSC et des associations sectorielles paritaires ASP information et documentation pour le public en g n
192. ent des besoins de nos industries en machines et outillage Alors que le Canada produisait environ 60 de la consommation canadienne en ce domaine 18 part du Qu bec s levait 12 seulement de l ensem ble de celle ci Il va de 801 que ce pourcentage variait selon les sous secteurs et selon leur production Le nombre de gros exploitants situ s au Qu bec en fait foi au milieu des ann es soixante 8 des 13 plus importants tablisse ments canadiens de la machinerie se sont install s au Qu bec 5 Montr al 1 Sherbrooke 1 Plessisville et 1 Sorel La r gion de Montr al se pr sentait comme le principal centre cana dien de la machine industrielle lourde Les fabricants de cette r gion manufacturaient le gros de la production canadienne de compresseurs de roues hydrauliques de turbines de pompes de mat riel de mines d quipement pour les usines de p tes et papier de moteurs diesels et de pelles m caniques En 1965 l industrie qu b coise de 13 machinerie employait pr s de 12 160 personnes dont 7 672 employ s la production Elle com prenait 109 tablissements et g n rait 109 7 millions de dollars de valeur ajout e tableau 1 De 1960 1965 le chiffre d af faires exp ditions de cette industrie a presque doubl 1 78 fois la valeur de 1960 alors que le nombre d employ s s est multipli par 1 59 et le nombre d tablissements par 1 30 Ce rendement se compare avantageusement aux autres
193. er par le dessous Scies rondes longitudinales La lame est mont e sur un curseur qui se d place horizontalement Le curseur peut tre incorpor la table de travail ou sur une tige au dessus de 16 table de tra vail Scies radiales circulaires La lame est mont e sur un curseur qui se d place horizontalement comme les scies longitudinales mais avec la possibilit de coupes radiales angle Scies rondes pendule oscillatoire swing type La lame est mont e sur un bras qui oscille selon un mouvement de pendule Les diff rents types de scies peuvent tre commande manuelle semi automatique ou automatique selon les fabricants et le type de travail ex cuter Risques pour la s curit Les coupures repr sentent le principal risque reli aux travaux effectu s sur des scies Les scies devraient done tre quip es de protecteurs pour r duire au minimum le risque de contact avec les lames en mouvement ainsi qu avec les autres parties mobiles de la machine 218 SCIE VERTICALE RUBAN SCIE RONDE T TE PIVOTANTE Machine Tool Trade Association Code of Practice guarding Sawing and Cutting off Machines Scies ruban Toutes les scies ruban devraient tre munies de protecteurs ou m me d un encoffrement isolant 168 volants d en tra nement du ruban ainsi que 18 plus grande section possible de la lame qui ne sert pas la coupe comme telle Pour prot ger l op
194. erie et de l quipement 1960 66 7 252 94 6 110 53 6 94 7 TOTAL 1960 84 7 671 100 0 91 56 6 100 0 Source Sractatique Canada n 8 de catalogue 31 205 Industrie manufacturi re du Canada Section C Qu bec 1960 31 209 Industrie manufacturi re du Canada par province Vol 2 1950 Ces donn es ont t regroup es pour conserver la confidentialit des renseignements Eatimation 27 provinces des Prairies Ceci explique sa faible importance au Qu bec Nos industriels sont surtout localis s dans les r gions et r pondent aux besoins sp cifiques de leur r gion L industrie agricole s est toutefois norm ment transform e depuis 1950 L industrie de la machinerie a suivi ce courant Jusqu en 1970 elle a conserv l importance relative qu elle d tenait en 1950 l int rieur de son secteur d activit Comme le montre le tableau 5 nous y d nombrions 12 tablissements 604 employ s et 5 millions de dollars de valeur ajout e c est dire 4 8 5 de la main d oeuvre et 3 8 de la valeur ajout e Au cours des ann es soixante dix elle a toutefois gagn du terrain au plan de 18 valeur ajout e En 1980 celle ci correspondait 4 7 du total de l industrie ou 24 millions de dollars Sa part de ma in d oeu vre restait toutefois stable 4 8 malgr qu en chiffres absolus elle soit pass e 832 salari s Cette croissance s explique en partie par la venue au pouvoir du Parti qu b cois et de so
195. es en particulier celles fabriquant de la machinerie industrielle et des machines utilis es pour l extraction des mati res premi res Son auteur ajoute qu au cours des ann es soixante dix La branche de construction des machines l industrie l tude a t fortement branl e par les progr s techniques particuli rement par la n cessit d int grer les nouvelles technologies telles la micro lectronique les ultrasons et le laser la conception des machines plan internatio nal ce secteur se caract rise par des m thodes perfection n es de fabrication et compte un grand nombre de PME cer taines voluent dans un contexte oligopolitique r ussissant parfois exercer un quasi monopole g n ralement de courte dur e en mettant au point des produits nouveaux ou en am liorant certains produits existants Certaines entreprises alimentent un march r gional ce qui abr ge souvent les d lais de d marrage Certaines PME ont aussi remport des succ s en se cantonnant dans la fabrication en longues s ries d un ou deux produits et d autres se sont taill des cr neaux dans la fabrication sur mesure ou en fabriquant des produits en sous traitance pour de grandes entreprises et conform ment leurs exigences et leur cahier de charge Pour ce qui a trait aux nouvelles technologies 11 y a d j plus de 30 ans que s est amorc le processus d automatisation Ja Guy P F Steed Les entrepri
196. es chiffres correspondants des chapitres 4 5 38 Ce rapport indique aussi que presque tous les sous secteurs d activit de cette industrie ont souffert de la compression des investissements au cours de la p riode 1980 1983 Il en ressort qu en termes de valeur nominale la production de biens d quipe ment usage industriel a chut de 6 Z au Canada en 1982 la pro duction de biens d quipement l usage des ressources naturelles de 10 et la production de machinerie agricole et de mat riel de construction de 23 Enfin la hausse des prix enregistr e dans ce secteur s levait 9 et la baisse des livraisons s tablis sait plus de 20 39 BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES G N RAUX BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC Annuaire du Qu bec De 1914 1930 BUREAU F D RAL DE LA STATISTIQUE Diff rents num ros de catalo gue Ottawa OUVRAGES SP CIALIS S BERGERON H RIENDEAU et C TRUDEAU VILLERET Le secteur canadien de la machinerie avec r f rence au Qu bec et l Ontario lt lt ete avec rererence au Qu bec et l Ontario Sherbrooke Universit de Sherbrooke 1973 58 p BRISSON Roger L industrie de la machine agricole au Canada Montr al H E C 1930 BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC La province de Qu bec et ses manufactures Vol 5 Fer et acier M taux non ferreux Qu bec PT Ge ee eee s 1 1952 CHAILLON Colette L
197. es machines moteurs compresseurs mat riaux amortissants pour rev tir les surfaces bruyantes pi ces en mati re plastique pour remplacer les l ments m talliques Alarmes Certains contaminants ou risques pour la s curit sont sous con tr le en tout temps Il convient d installer tout de m me un signal d alarme qui permet aux ouvriers de r agir ou d vacuer des postes de travail qui pr sentent des risques Par exemple un Programme de pr vention des incendies peut inclure les sonneries d alarme De m me l mission fortuite de certains contaminants l taux cyanures monoxyde de carbone peut justifier l installa tion d un syst me d alarme On peut aussi instaurer un syst me de 311 z 1 surveillance continue afin de suivre l volution d un contaminant dans l environnement de travail Entretien pr ventif Un quipement qui est sur le point de se briser est souvent dange reux en plus d tre moins efficace Le programme de pr vention doit donc inclure l entretien pr ventif des quipements aigulsage des couteaux lubrification des pi ces mobiles v rification du syst me lectrique v rification et changement des principales pi ces mobiles des coussinets des freins etc Chaque machine doit tre accompagn e d un manuel d instructions pour chaque produit et la machine doit pouvoir fonctionner selon le manuel Lorsque les gardes doivent tre enlev s la machine doit tre arr t e et l
198. es mais n cessaires dans 15 processus de fabrica tion elles gravitent autour de l op ration d usinage soit avant l usinage comme le soudage soit apr s l usinage comme la pein ture ou l assemblage TABLEAU 47 TABLEAU 48 LE GRAND GROUPE 31 QUIPEMENTS ET OP RATIONS INDUSTRIELLES PAR SOUS SECTEUR Groupe Industries de la machinerie sauf lectrique n a quipement et 311 312 319 311 Industrie des 312 Industrie du 319 Autres industries 5 op ration instruments aratoires mat riel de r frig ratio de la machinerie et de et de climatisation l Equipement industrielle sSous secteur 3111 Industrie des 3121 Induacrie du 3191 Industrie des astruments arato res at riel de r frig racio rs Pompes et 3111 Se D 3121 3191 3192 3193 3196 3195 396 3199 aaa aa eao UO 1 Usinage x x x x x x x x x 3192 industrie de l quipement de 16 Traitement du m tal x t D graissage x X x x X X x x x 3199 Industrie de La machinerie pour r colter Peinture xX x x xX xX xX X couper et fa onner le bois Soudage et d cou page x x x x x x x x 3194 Industrie des P turbines et du mat riel Manutention X X X x xX X xX de transmission d nergie m canique Outillage portatif x x xX x xX x x Menuiserie x x x x x x x
199. es par la CSST une association secto rielle et pr cise que cette derni re doit transmettre chaque ann e la CSST certaines informations dont un rapport d activit s R glement sur le certificat d livr pour le retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allaite R R Q 1981 chap S 2 1 r 2 Ce r glement d termine simplement la forme et la teneur du certi ficat d livr pour le retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allaite le retrait lui m me tant r gi par les articles 40 48 de la Loi sur la sant et la s curit du travail 420 Code de s curit pour l industrie du bois ouvr 8 0 1981 chap S 2 1 Te 5 Ce r glement d termine les meilleures pratiques de s curit pour l installation le fonctionnement et l entretien des machines travailler le bois y compris la tonnellerie et la fabrication de placage Il traite principalement des op rations dangereuses sur les machines travailler le bois 1 ne s applique pas aux scieries ni au travail du bois en for t R glement sur la s curit et l hygi ne dans les travaux de fonde rie R R Q 1981 chap S 2 1 r 20 Ce r glement prescrit les normes de sant et de s curit relatives aux entr es et aux lieux de travail la pr paration des fours aux fours cubilots creuset sole lectrique induction et arc aux tuves moule et noyaux aux fours r chauffer ou
200. es plus significatives D abord voici une br ve explication du sens de chacune des variables consid r es Information dispositions relatives aux renseignements sur les risques pr sents dans le milieu de travail les effets sur la sant les fa ons de les liminer ainsi que les dispositions r glementaires et l gislatives respecter Formation dispositions relatives aux proc d s et aux m thodes visant rendre chacun des intervenants apte jouer son r le efficacement et assumer ses responsabilit s en mati re de sant et de s curit du travail Inspection dispositions relatives aux activit s d inspection pr ventive et d enqu te suite un accident 114 Droit de refus dispositions relatives au refus de travailler dans des situations dangereuses Retrait pr ventif dispositions relatives la travailleuse en qui allaite ou encore un travailleur dont la sant pr sente des signes d alt ration Service de sant ceinte ou dispositions relatives aux services de pre miers soins sur les lieux de travail ou aux services de sant Mat riel de s curit dispositions relatives la nature au choix l usage et au paiement de l quipement de protection Individuel M canismes de participation dispositions relatives l identi fication la composition au mandat etc des m canismes de participation sur la sant et la s curit du travail R a
201. es rayons ultra violets Sablage au jet eee aaa aramama e aa a i a Mesures sp cifiques de pr vention an aal a a a Perte de contr le du pistolet jet couper l air comprim pr s du compresseur quiper le pistolet jet d un dispositif d arr t automatique de l air comprim dead man control 345 UT te te A PU mu Mesures sp cifiques de pr vention Je 900 5 D faillance des tuyaux d alimentation d air comprim v rifier r guli rement l quipement de jet de sable afin de d celer toute trace d usure d gager le poste de travail d obstacles pouvant abfmer les tuyaux d alimentation Projection de poussi res ou de pl ces entretenir r guli rement les unit s de sablage porter des lunettes de s curit ou un masque facial pour le sablage au jet dans une enceinte Chute provoqu e par l accumulation de poussi res ou encombrement des pi ces entretenir chaque jour les unit s de sablage instaurer une politique d entretien syst matique dans les unit s de sablage et ranger les pi ces de m tal trait es pour viter l encombrement et les chutes d objets clatement des tuyaux d alimentation provoqu par l lectricit statique bonne mise la terre de l quipement de sablage bonne mise la terre des tuyaux d alimentat
202. es recherches pertinentes ce secteur Compte tenu du nombre peu lev de projets recens s six au total et surtout du caract re restreint des renseignements disponibles concernant chacune des tudes il nous est impossible de les d crire de fa on exhaustive et par cons quent de les analyser 35 Comit international pour la recherche dans le domaine de la pr vention des risques professionnels Bulletin de recherches appliqu es la protection de l homme au travail vol Ta 998 l 4 Paris INRS 1983 1984 650p et Ibidem vol 2 n 8 1 3 1985 324 p DESCRIPTION DES TUDES Deux des six projets mettent l accent sur l impact de nouvelles technologies sur les conditions de travail La premi re n 5 est men e dans une industrie d ing nierie La seconde n 6 effectu e dans le sous secteur de la construction m canique aborde 18 question des interactions entre l homme la machine et l organisation du travail Deux projets concernent les effets de l exposition des contami nants chimiques L un d entre eux n 2 value 168 risques 1168 l utilisation de lubrifiants industriels L autre n 3 tente d identifier les effets du plomb sur la sant des travailleurs Une recherche porte sur l occurrence de probl mes musculo squeiet tiques n 4 dans une compagnie d ing nierie Enfin un projet n 1 vise tablir des m thodes de travail favorisant une r duction de la charge
203. es scies ruban toute partie des lames ne servant pas la coupe proprement dite devrait tre couverte par un protecteur suffisamment robuste pour contenir tout clat de lame pouvant tre projet lors d un bris de celle ci Ces protecteurs peuvent tre fixes ou mobiles Dans le cas de gardes mobiles il est possible d installer un garde qui est ferm compl tement lorsque la t te de la scie est en position d arr t et qui s ouvre lorsque la lame est approch e de la pi ce couper 6 Risques Causes probables Contact fortuit avec la par Contact de la t te avec le vo tie principale et les bras lant sup rieur pendant le sciage des volants Manutention de pi ces longues Perte d quilibre Protection du ruban Rupture du ruban Fatigue de la lame Brasage incorrect Avance trop importante Mauvaise vitesse de coupe Contact avec la partie tra R glage du guide lame incorrect vaillante de la lame Sciage de pi ces de petites di mensions Avance et maintien de la pi ce la main Nettoyage de la table Perte d quilibre Fatigue Risques pour la sant l Les huiles de coupe sont tr s fr quemment utilis es lors des tra vaux avec des scies On peut se r f rer aux risques communs reli s aux travaux d usinage 221 Al seuses L al sage est l op ration qui consiste parachever en calibrant exact
204. et carri res R R Q 1981 chap S 2 1 r 19 R glement sur les travaux forestiers R R Q 1981 chap S 2 1 Ye 22 446 R glement sur l utilisation des Pistolets de scellement RRQ 1981 chap S 2 1 r 23 R glement sur les services de sant au travail d cret 1281 82 du 26 mat 1982 0 1 46 par le d cret 748 83 du 13 avrii 1983 et par le d cret 362 85 du 21 f vrier 1985 R glement sur le Programme de pr vention d cret 1282 82 du 26 mai 1982 modifi par le d cret 747 83 du 13 avril 1983 et par le d cret 361 85 du 21 f vrier 1985 R glement sur les comit s de sant et de s curit du travatl d cret 2025 83 du 28 septembre 1983 R glement sur l association paritaire pour la sant et la s curit du travail dans le secteur de la construction d cret 209 84 du 25 janvier 1984 R glement sur le repr sentant la pr vention dans un amp tablisse ment d cret 1879 84 du 16 ao t 1984 R GLEMENTS ADOPT S EN VERTU DE LA LOI SUR LES ACCIDENTS DU TRA VAIL L R Q chap A 3 Tous les r glements ont 6 examin s mais seul le R glement sur les normes minimales de premiers secours et de premiers soins d cret 1922 84 du 22 ao t 1984 8 t retenu Notons que ce r glement devient compter du 19 ao t 1985 un r glement adopt en vertu de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles laquelle remplace la Loi sur les accidents du travail 447
205. et leur qualit scienti fique Le Programme de formation de chercheurs qui vise pr parer une rel ve dans la recherche en sant et en s curit du travail Cing types de bourses sont accord es des tudiants des pre mier deuxi me et troisi me cycles universitaires 133 CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC CPSSTQ 0 Mis sur pied en mai 1983 le Centre patronal de sant et de s cu rit du travail du Qu bec est compos d associations patronales de f d rations d associations patronales et de regroupements d associations patronales d associations d affaires et d entre prises int ress es coordonner leurs objectifs en mati re de sant et de s curit du travail Le Centre patronal a pour but de promouvoir aupr s des employeurs et de leurs repr sentants la sant et la s curit du travail par les moyens suivants fournir des services techniques en agissant comme organisme res source en mati re de formation et d information en sant et en s curit du travail coordonner les ressources actuelles des associations et des en treprises en mati re de formation et d information en sant et en s curit du travail gt constituer un centre de donn es coordonner les travaux des parties patronales des associations sectorielles et leur fournir l appui technique n cessaire Le Centre patronal regroupe trois cat gories d
206. eur capacit et am liorer la technologie requise afin de r pondre aux besoins de plus en plus diversifi s de l industrie moderne de l expansion des moyens de recherche et de d veloppement n cessaire pour mettre au point des machines de haute technicit et de dimensions sup rieures afin d assurer le progr s des sec teurs de l nergie et autres de l exercice par les filiales canadiennes d une plus grande libert d entreprise qui leur permettra de conclure avec leur soci t m re des ententes de sp cialisation et de rationalisa tion afin de profiter des nouvelles possibilit s offertes par le march national et le march d exportation de la capacit et du d sir des administrateurs canadiens d ef fectuer certains investissements relativement tr s sp culatifs qui permettront l industrie de se procurer du meilleur mat riel afin de concurrencer les importations et de r aliser un degr lev de remplacement des importations de l orientation plus marqu e vers l exportation des soci t s de propri t canadiennell En 1985 cette industrie demeurait un secteur presque marginal de l activit conomique qu b coise et pr sentait un taux de produc tivit moyen C est une industrie tr s concentr e tant g ographi quement qu conomiquement De plus les principales entreprises de ce secteur sont des filiales de soci t s trang res Toute fois les entreprises de motns grande envergure ont r
207. ew York 1974 52 p FANTUS COMPANY THE Pi ces et accessoires de machines agricoles et de construction New York 1974 54 p INSTITUT NATIONAL DE PRODUCTIVIT DU QU BEC Note sectorielle D ER Section de la machinerie Montr al 1979 LEMIEUX Roderick E L industrie de la machine agricole au Canada Montr al H E C 1949 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA canadienne de la machinerie Profil du secteur SE Profil du secteur 23 P e L industrie Ottawa 1978 88 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA Rapport du Groupe d tude sur l industrie canadienne de la machinerie W L Mallory pr sident Ottawa 1978 42 p MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU QU BEC Regards sur l industrie qu b coise Brochure n 12 Machinerie Qu bec 1969 32 p MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME L industrie du mat riel agricole au Qu bec Collection Analyse sectorielle Qu bec 1980 MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME La machine d emballage et de conditionnement au Qu bec Dossier d informa tion sectorielle Qu bec 1983 49 p MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME Machines outils et accessoires pour le travail des m taux Dossier d in formation sectorielle Qu bec 1984 83 p OFFICE DE PLANIFICATION ET DE D VELOPPEMENT DU QU BEC Prospec tive socio conomique du Qu bec lre tape Sous sys
208. fabricants de compresseurs de pompes et de ventilateurs et les fabricants de souffleuses industrielles Industrie de l quipement de manutention Cette industrie regroupe les fabricants de produits tels qu ascenseurs casiers et tr mies en m tal chariots convoyeurs monte pentes etc en fait tout ce qui concerne l quipement de manutention Industrie de la machinerie pour r colter couper et fa onner le bois Les fabricants class s dans ce sous secteur produisent des machines r colter et travailler le 018 des machines de scie ries et des scies cha nes Industrie des turbines et du mat riel de transmission d nergie m canique Cette industrie regroupe les fabricants de mat riel de transmission de puissance hydraulique et m canique de turbines et de pi ces pour r acteurs nergie nucl aire Industrie de la machinerie pour l industrie des p tes et papier Elle comprend les fabricants de machines fabriquer la p te les feuilles de p tes et les Panneaux de construction et les fabricants de machines pr parer le papier et de rouleaux papier a Industrie de la machinerie et du mat riel de construction et d entretien Nous y trouvons les fabricants de balayeuses de 10 chasse neige de rouleaux compresseurs etc tout ce qui concerne la machinerie et le mat riel de construction et d entretien Autres industries de la machinerie et de l quipement non clas s es ai
209. hinerie sauf lectrique Elle employait 11 555 personnes soit 91 7 5 du total des employ s La valeur de ses exp ditions s levait 237 millions de dollars ce qui repr sentait 18 5 de la produc tion canadienne En 1965 l industrie qu b coise fournissait 60 Z de la machinerie produite au Canada et destin e aux usines de p tes et papier elle fabriquait environ 40 de la production 31 canadienne de compresseurs et de pompes de machinerie d extrac tion mini re et de traitement de minerais enfin on valuait la production qu b coise des machines travailler le bois de l outillage de scierie du mat riel d exploitation foresti re et des machines d excavation et de forage plus du quart de la production canadienne De 1970 1980 la valeur ajout e de ce secteur est pass e de 122 6 millions 463 4 millions de dollars Elle a donc multipli e par 3 8 au cours de cette p riode Quant au nombre d tablissements 11 est pass de 110 244 l emploi s est accru de 37 3 5 Ces donn es refl tent la forte augmentation de la productivit de ce sous secteur Le taux de croissance de ce sous secteur entre 1970 et 1980 cor respond 8 3 pour le nombre d tablissements 2 9 pour la main d oeuvre et 14 2 pour la valeur ajout e Une comparaison avec l Ontario nous permettra de mieux saisir sa progression Les taux de croissance atteignaient dans cette province 5 5 2 2 4 et 13 4 resp
210. histoire de l agriculture au Qu bec Mont r al L tincelle 1976 125 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines n Enecienne ces machines agricoles Ottawa 1956 47 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE L industrie canadienne des machines industrielles Ottawa 1956 34 p COMMISSION ROYALE D ENQU TE Rapport de la Commission royale d enqu te relative aux machines agricoles Clarence L Barker commissaire Ottawa 1971 674 p CONSEIL DES SCIENCES DU CANADA Les entreprises mergentes pour jouer gagnant tude de documentation n 48 Guy P F Steed d Ottawa 1982 D AMBROISE G et Y GASSE La PME manufacturi re 12 cas qu b cois Chicoutimi Ga tan Morin 1984 FANTUS COMPANY THE L industrie des mini tracteurs et acces soires New York 1973 32 p FANTUS COMPANY THE Machines pour l industrie de transforma tion New York 1974 52 p FANTUS COMPANY THE Pi ces et accessoires de machines agricoles et de construction New York 1974 54 p INSTITUT NATIONAL DE PRODUCTIVIT DU QU BEC Note sectorielle section de la machinerie Montr al 1979 LEMIEUX Roderick E L industrie de la machine agricole 6 Canada Montr al H E C 1949 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA L industrie canadienne de la machinerie Profil du secteur Ottawa 1978 23 p 42 MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU CANADA Rapport du Groupe d
211. hoisi de travailler avec ces chiffres puisque ce sont lea seuls disponibles qui proviennent d une source uni que et qui nous permettent de faire deg comparaisons valables entre les effectifs des diff rents organismes syndicaux De plus pour tablir les taux de syndicalisation gt utiliser nous avons d en plus des donn es du Centre de recherche et de statis ti ques du Qu bec datant de 1985 celles Provenant de Statistique anada qui datent de 1982 Cette p riode diff rente de r f rence nous oblige consid rer avec r serve les taux pr sent s L a r partition de l effectif syndical du secteur jumel e un certain nombre d 6 variables du secteur d activit permet d va luer le degr de g n ralisation des divers cales eS Organisations syndi Qu bec repr sente plus de la moiti des syndiqu s du secteur 58 4 5 58 L Association internationale des machinistes avec 27 0 et les M tallurgistes unis d Am rique avec 16 9 sont les 3 a plus importants Syndicats affili s la FTQ La F d ration de la 104 TABLEAU 21 R PARTITION DE L EFFECTIF SYNDICAL SELON L AFFILIATION QU BEC 1985 Affiliation Effectif R partition syndical 3 neeaae PP FTQ Association internationale dea michinistes et des travailleura de l a roastronautique 2 539 27 0 M tallurgistes unis d am rique 1 587 16 9 Syndicat international des tr
212. i un d but d en tra nement vient se produire Les gants protecteurs ne seront utilis s que lors des manipulations de pi ces de l vacuation des copeaux ou de nettoyage de la machine mais il est dangereux de les porter lorsque la machine est en rotation Avec les ne is e de emploie des aciers non alli s des fontes des alliages l gers et ultra l gers aluminium et magn sium et des alliages cuivreux Les copeaux d gag s la suite de l usi nage de ces alliages peuvent avoir des formes tr s diverses allant des copeaux courts aux longs copeaux en forme de ruban La formation de copeaux longs doit tre vit e dans la mesure du possible cause des risques suppl mentaires qu ils engendrent En effet les copeaux longs peuvent tre entra n s par les mouve ments d sordonn s du foret mais surtout parce que leur aspiration 8 18 source est impossible IL importe donc de bien choisir la vitesse d avance par tour principale responsable de la formation des copeaux longs 215 Lors de leur installation les perceuses devraient tre stabili s es convenablement et la plupart du temps leur fixation au sol de l atelier est indispensable L aire de circulation pour les mouvements du bras avec les perceuses radiales devrait tre clairement d limit e et on recommande fortement de tracer la peinture l espace n cessaire au fonctionnement s curitaire de la machine outil Comme toute op ration d us
213. iculture Implement Industry in Canada i gr cu ture Implement Industry in Canada Toronto University of Toronto Press 1956 208 p 57 STEED Guy P F Les entreprises mergentes pour jouer gagnant tude documentation n 48 Ottawa Conseil des sciences du Canada 1982 P RIODIQUES Qu bec conomique Qu bec Mai juin 1979 4 GRAHAM W R L industrie canadienne de la fabrication de ma E chines Commerce Canada Ottawa Juin 1980 CHAPITRE 3 LA MAIN D OEUVRE DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE Recherche et r daction Fran ois Vaillancourt UQAM 58 LA MAIN D OEUVRE DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE Le chapitre qui suit porte sur l ensemble des salari s du secteur c est dire les travailleurs affect s la production et assi mil s les employ s de l administration les employ s de bureau ainsi que tout le personnel hors fabrication VOLUME ET CARACT RISTIQUES DE L EMPLOI Concernant la main d oeuvre l industrie de la machinerie repr sentait en 1982 2 9 du nombre total d tablissements et engagealt pr s de 3 des employ s de toutes les industries manufacturi res Entre 1970 et 1980 le taux annuel de croissance du nombre d employ s de ce secteur s levait 3 2 alors qu il n tait que de 0 3 pour l industrie manufacturi re en g n ral Toutefois en 1981 et en 1982 la chute du volume de la m
214. iente Plusieurs ouvriers de l entreprise fabricante sont alors appel s travailler dans les entreprises clientes pendant de longues p riodes Cette caract ristique comporte des implications importantes concernant la responsabilit de l entreprise fabri cante et de l entreprise cliente propos des l sions profes sionnelles 286 Nouvelles technologies L av nement des circuits int gr s a modifi les proc dures d assemblage Dans bon nombre de cas le montage des machines comporte l installation de circuits int gr s dans la conception des machines Dans la plupart des entreprises du secteur on a cr un d partement d lectronique afin de satisfaire aux exi Bences de la nouvelle technologie L impact de cette nouvelle technologie a sensiblement r duit la dimension des machines et a engendr de nouvelles applications Toutefois l lectronique comporte des risques nouveaux pour la s curit et la sant dans les entreprises du secteur qui font de l assemblage des circuits int gr s dans l installation des machines Risques pour la s curit L op ration d assemblage pr sente des tisques sp cifiques pour la sant _ _ Risques c U Accidents Chute d outils sur l op rateur ou sur les ouvriers environnants lorsque la machine assembler demande un chafaudage Chute des ouvriers de l chafaudage lors de l assemblage de machines de grandes dimensions Br
215. ier mais qui correspond davantage au cycle du d veloppement conomique Cette industrie r agit souvent avec un retard de 12 18 mois sur l ensemble des autres industries manu facturi res La modernisation de l quipement d un secteur d activit conomique correspond d une certaine fa on un cycle dont l industrie de la machinerie d pend Les employ s sp cialis s semi sp cialis s et les techniciens ont g n ralement re u une formation caract re institutionnel soit un cours de technicien de niveau coll gial Malgr cela dans la majorit des entreprises ils doivent parfaire leur formation gr ce un stage de 3 6 mois d pendant de la vitesse d acquisi tion des habilet s des individus Les emplois les plus fr quents dans cette industrie sont les machinistes les estampeurs les outilleurs les soudeurs et les techniciens Ces trois derniers emplois sont consid r s comme les plus r mun rateurs de l industrie Il y a peu d outilleurs form s ici la majorit d entre eux viennent d Europe Le tarif horaire repr sente la forme de r mun ration la plus courante l int rieur de cette industrie La dur e normale d une semaine de travail est de 40 heures Jusqu r cemment on fai salt peu de temps suppl mentaire On Commence maintenant ta blir plus d un quart de travail par jour L horaire de travail est par cons quent fixe et le travail s effectue durant le jour 52 Nous
216. ier ou encore d employ d un sous traitant d un transporteur routier Elle vise essentiellement obliger tous les transporteurs rou tiers ainsi que les conducteurs de v hicules automobiles res pecter certaines normes en mati re d heures de repos et de dur e des heures de service Selon cette partie il est en principe interdit un conducteur de faire fonctionner un v hicule automobile et un transporteur de permettre un conducteur de faire fonctionner un tel v hicule s1 l habilet ou les facult s du conducteur sont affect es par la fatigue 16 maladie ou toute autre cause au point o il est dange reux pour lui de commencer ou de continuer faire fonctionner le v hicule automobile AUX fins d assurer la r alisation des objectifs poursuivis la partie XVIII prescrit au conducteur de remplir un registre journa lier tablissant ses p riodes de travail et de repos et au trans porteur de s assurer que les conducteurs qu il emploie remplissent quotidiennement une telle fiche Signalons enfin que cette partie ne s applique pas lorsque le transport de marchandises ou de passagers s effectue des fins 443 tig d assistance en cas de tremblement de terre d inondation d in cendie de famine de s cheresse d pid mie de peste ou de tout autre d sastre ou calamit R glement sur les comit s d hygi ne et de s curit et les repr sentante DORS 86 305 1986 120 Gaz can II 1200 C
217. ifique des l sions professionnelles et des risques pour la sant et la s curit du travail Ainsi dans le chapitre 5 nous analyserons A partir des plus r centes donn es Statistiques les cat gories et les types de l sions professionnelles associ es ce secteur la fr quence et la gravit des accidents du travail et des maladies profession nelles qui s y produisent ainsi que leurs co ts Puis dans le chapitre 6 nous verrons les principaux proc d s utilis s dans le secteur de m me que les risques pour la sant et la s curit qui y sont associ s CHAPITRE 5 LES L SIONS PROFESSIONNELLES LEURS CO TS ET LES RETRAITS PR VENTIFS DE LA TRAVAILLEUSE ENCEINTE OU QUI ALLAITE Recherche et r daction Richard B lisle CSST Christiane Jobin CSST INTRODUCTION Le but du chapitre qui suit est de tracer un portrait statistique des l sions professionnelles et des retraits pr ventifs ainsi que des aspects relatifs leur indemnisation La cueillette de ces donn es s inscrit dans le cadre de l application de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles et des programmes d indemnisation de la Direction g n rale de la r para tion de la Commission de la sant et de la s curit du travail Contrairement aux autres chapitres comprenant des donn es statis tiques nous pr senterons ici ces derni res selon la structure de classification des unit s d employeurs 1985 de la CSST
218. ifique de 1 IRSST a t institu titre d ins tance consultative aupr s de la direction g n rale de l Institut Il constitue une assembl e tripartite assurant la participation des milieux scientifique patronal et syndical Il value la pertinence et le caract re prioritaire des programmes ou projets de recherche et consulte des comit s d experts pour valuer la qualit scientifique des programmes et des recherches propos s La Direction de la recherche interne regroupe trois programmes de recherches 7 Le Programme de recherche en s curit ergonomie qui analyse des situations de travail pr sentant des risques d accidents afin de proposer des mesures correctives Le Programme de recherche sur le travail et la grossesse qui vise d terminer si le travail exerc par la femme enceinte peut avoir un effet sur sa grossesse Le Programme de recherche sur l organisation du travail qui tudie les facteurs organisationnels techniques et humains susceptibles d expliquer l occurrence d accidents de travail dans certains secteurs d industrie Ce m me programme fournit un support d analyse et de traitement des donn es statistiques et d mographiques afin d en d gager les l ments significatifs permettant d identifier les sources de danger Certains besoins sp cifiques de recherche sont confi s au Pro gramme des projets sp claux qui r alise des bilans de connais sances ou des synth ses de travaux men s en dehor
219. ils 9 041 14 5 1 639 6 5 0 45 31992 Filtres air 431 0 7 170 0 7 1 00 31993 Machines coudre 085 1 7 131 0 5 0 29 31994 quipement industriel 37 900 60 8 17 722 70 1 1 15 31995 R paration 1 875 3 0 876 3 5 1 17 SN 2 TOTAL 62 366 100 0 25 266 100 0 1 00 158 TABLEAU 32 R PARTITION DES L SIONS PROFESSIONNELLES SELON LA CAT GORIE ET L ANN E DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 LE Accident D c s Maladie Toutes les L sions professionnelle l sions compensables Ann e a Non com Inca Inca Non com gt Avec nter Nombre X Nombre pensable pac it pac t pensable ruption ou tempo perma incapacit raire neante permanente D aa eee am 1980 2 563 amp 556 179 1 80 99 7 478 29 6 4 835 28 7 1981 2 346 4 643 199 1 38 39 7 266 28 8 4 882 28 9 1982 1 882 4 326 202 3 40 51 6 504 25 7 4 582 27 1 1983 1 398 2 445 102 0 43 34 4 018 15 9 2 377 15 3 LL rm pe TOTAL 8 189 15 966 682 5 201 223 25 266 100 0 16 876 100 0 32 4 63 2 2 7 0 0 0 8 0 9 100 0 LES L SIONS COMPENSABLES TABLEAU 33 R PARTITION DES L SIONS COMPENSABLES SELON LE GROUPE D GE Le tableau 33 pr sente la distribution des l sions compensables DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE selon le groupe d ge des travailleurs qui ont subi une l sion 1980 1983 profess
220. inage par enl vement de copeaux le travail est plus efficace si on emploie des huiles de coupe Outre 168 dangers pour la sant que provoque l utilisation de ces huiles l arrosage de la pi ce peut causer des accidents par le fait que l op rateur est oblig afin de rectifier r guli rement la direction du jet de passer tr s pr s du foret pendant l usi nage Enfin l quipement lectrique de chaque machine doit comporter un sectionneur verrouillable qui emp che la perceuse de se remettre en marche d une mani re intempestive La suite d une panne lec trique ou d une intervention manuelle de l op rateur Risques pour la s curit Risques Causes probables RE L sions diverses g n rale Intervention manuelle entre fo ment aux mains ret et pl ce apr s le d clenche ment du mouvement d avance de la t te de per age L sions aux mains aux bras Entra nement en rotation de la au tronc pl ce par le foret 216 EE l Risques Causes probables RES RS L sions diverses Entra nement par un arbre ou une vis de transmission crasement par un tau un man drin hydraulique ou pneumatique Risques pour la sant L utilisation des huiles de coupe est sans doute le probl me le plus fr quent On peut se r f rer aux risques communs reli s l usinage Scies Les scies sont des machines d usage g n ral qui servent videmment
221. ion Unit e aasi a aR Ocili Coude Bras Palgnec Ma ln Doigt Fouce Colonne Dos Pat paule Canau Che Pred Autres Total x lombaire NCA tring ville 1 MAH quipomont agricole 135 6 16 13 55 140 21 17 8 18 19 18 13 45 84 727 4 4 31211 RGfrig ration 23 1 1 8 15 Cr 13 8 2 6 1 7 5 9 20 201 1 2 31921 Convayeurs 199 9 2 15 40 1 21 15 56 14 6 22 12 54 88 049 3 9 31941 188 by drsuliques 68 8 G 10 15 91 15 il 54 5 5 14 10 28 74 439 2 4 31942 G n rateurs 148 25 5 24 42 119 12 96 62 31 45 58 31 60 166 925 3 0 3199 Machines outils 204 11 15 26 57 197 34 34 137 25 3 35 24 40 142 1 054 6 3 31992 Flltras 3 air 10 2 2 12 21 6 2 26 0 6 5 4 21 125 n a 3199 Hachinen 2 coudre 7 o o 3 4 16 2 1 10 1 4 4 6 40 69 0 4 31994 quipement industriel 2 676 21 140 220 654 1 629 301 786 1 060 323 365 715 300 712 1 891 12 032 72 2 21993 R pararion 17 5 10 11 32 64 4 11 49 9 17 22 5 24 86 632 2 6 OT 3 3 309 204 318 951 2 410 433 575 1 565 519 901 512 981 2 590 16 653 100 0 2 5 64 5 9 15 5 100 0 TABLEAU 36 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES SELON LES PRINCIPAUX SI GES DES L SIONS ET LES PRINCIPALES PROFESSIONS DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Si ge de La 10 816 trof euslan RS A ed te o 61 Coude Bras Folgoet
222. ion par exemple les tuyaux de caoutchouc contenant un fil conducteur Intoxication aux poussi res de silice ou de m tal quiper l ouvrier d une cagoule munie d un syst me d air frais dans la cagoule pour les op rations au jet de sable avec des pi ces de grandes dimensions 346 Mesures sp cifiques de pr vention pr voir un syst me de ventilation qui aspire les poussi res pro duites par le sablage de petites pi ces dans les unit s scel 1668 ce syst me est muni d un collecteur de poussi res pour r cup rer le sable Bruit durant les op rations de sablage sur des pi ces de grandes dimensions quiper l ouvrier d une protection personnelle contre le bruit le port de coquilles est recommand en plus de la protection personnelle contre les poussi res Traitement thermique du m tal aaae Mesures sp cifiques de pr vention UO Br lures thermiques la suite de contact avec des objets chauds parois de fours creusets crochets et accessoires adopter pour l atelier une disposition claire et ordonn e en espa ant les fours en am nageant des all es de circulation d gag es en utilisant des montages et des accessoires adapt s et en bon tat Br lures thermiques la suite de projection de liquides chauds eau huile sels fondus traiter uniquement des pi ces propres et s ches 347
223. ion de la meule est compati ble avec la vitesse de rotation de la machine veiller la pr sence et au maintien en bon tat des carters de protection Contacts avec la table au cours de son d placement emp cher les manipulations proximit de 13 pi ce en cours de travail proscrire les finitions la pierre la lime la toile d meri sur la machine interrompre le cycle de travail avant d effectuer les v rifica tions mat rialiser l encombrement maximum au 801 bandes altern es de couleur jaune orang et noir utiliser de pr f rence une machine dont la logique de commande peut interdire les manoeuvres dangereuses cons cutives des commandes intempestives Projection de poussi res arr ter la machine en cas d interruption de l arrosage porter des lunettes de protection Contacts directs ou indirects avec les l ments sous tension l installation lectrique doit tre conforme aux prescriptions r glementaires 318 A _ _ _ Mesures sp cifiques de pr vention ESC a EE OS Bruits et vibrations respecter les indications des fournisseurs pour l installation de la machine quilibrer statiquement les meules Boutons d huile emp cher les contacts inutiles ou prolong s avec le liquide d arrosage renouveler les huiles de coupe Tours aa r Mesures sp cifiques de pr vention mm
224. ion du centre de gravit de la charge par rapport l ou vrier gt Fr quence dur e allure d un travail r p t Instabillt du centre de gravit de la charge lors de la manu tention des pi ces encombrantes G om trie du poste de travail c est dire la direction les obstacles les contraintes de posture etc Facteurs environnementaux tels que temp rature humidit clai rage bruit vibrations etc OUTILLAGE PORTATIF On distingue deux types d outillage portatif outils main et petit outillage et machines outils portatives Outils main et petit outillage Cette cat gorie d outillage portatif est utilis e pour diverses op rations Les outils sont nombreux et leurs applications sont laiss es au jugement des utilisateurs Ce sont des outils l gers 278 faciles prendre avec une main Malheureusement les utilisa teurs ne les consid rent pas comme des outils dangereux cause de cette id e fausse ces outils engendrent encore trop d acci dents Le mauvais tat de l outil n gligence de l entretien l utilisation incorrecte choix inappropri mauvais usage le manque de protection individuelle et 16 d sordre sont les causes d un plus grand nombre d accidents le plus souvent des coupures Un outil main doit tre entretenu avec soin Il doit tre uti lis uniquement pour les travaux pour lesquels il est destin Les gants et les gu tres doivent prot ger les par
225. ion est gale ou sup rieure 2 0 de l ensemble 171 x R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES PAR AGENT CAUSAL TABLEAU 41 DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE Agent causal Machines R cipients bo tes Articles de m tal Mouvements du corps Outils non m ca niques Surface de plancher Mat riel radiant Articles de bois Particules Outils m caniques Autres agents et non cod s TOTAL 1980 1983 qe Nombre Pourcentage Secteur Tous Secteur Tous 1 2 industries les industries les X 100 de la secteurs de 18 secteurs machinerie 5 machinerie 1 827 33 539 5 0 4 9 2 47 543 61 219 3 3 9 0 0 89 5 993 93 259 36 0 13 7 6 43 1 489 71 214 8 9 10 5 2 09 816 39 438 4 9 5 8 2 07 1 123 79 327 6 7 11 7 1 42 1 164 6 797 7 0 1 0 17 13 415 32 104 2 5 4 7 1 29 1 082 19 936 6 5 2 9 5 43 382 12 927 2 3 1 9 2 96 2 819 230 104 16 9 33 8 1 23 16 653 679 864 100 0 100 0 2 45 On ne retient ici que les agents causals dont la proportion est gale ou sup rieure 2 0 de l ensemble 172 LES CAS D INCAPACIT PERMANENTE Le tableau 42 montre la r partition des 825 cas d incapacit per manente selon le taux d incapacit et l unit dans le secteur A l exception de 28 cas soit 3 4 du total tous les autres cas pr sentent un taux d incapacit inf rieur 20 0 Dans l ensem ble 7 21 cas soit 87 4 des cas ont m me un taux d incapacit inf rieur 10
226. ionnelle dans le secteur industries de la machinerie entre 1980 et 1983 Le groupe 20 24 ans est celui o survient 18 plus grand nombre de l sions soit 412 20 2 il est suivi du Nombre Pourcentage groupe des 25 29 ans qui compte 18 8 des cas du secteur En fait les moins de 40 ans subissent 71 4 des l sions compensa ie tA bles du secteur Ces donn es seraient plus concluantes g il tait Groupe d ge Secteur Tous Secteur Tous 1 2 industries les industries les X 100 possible d tablir pour la p riode correspondante un parall le de 16 de la secteurs avec la r partition de la population de travailleurs du secteur machinerie 2 machinerie selon le groupe d ge Lorsque l on met en parall le la fr quence des l sions compensa Mofos de Ie eRs 145 FU re TR bles du secteur industries de la machinerie avec celle de l ensem 18 19 ans 883 42 819 5 2 6 3 0 02 ble des secteurs l on observe que de fa on g n rale 188 l sions 500 2 0 compensables semblent proportionnellement plus lev es chez les SARE DALM groupes 25 29 30 34 33 39 35 59 et 60 64 ans que dans les 25 29 ans 3 167 118 702 18 8 17 5 0 03 autres groupes d ge Pour valuer la pr sence d carts signifi group g u P 8 30 34 ans 2 437 94 102 14 5 13 8 0 03 catifs il faudrait avoir des donn es sur la structure d ge des travailleurs du secteur e
227. iquement est chauff par une flamme ac tyl ne oxyg ne propane oxyg ne Le m tal fondu est pulv ris gr ce de l air comprim environnant la flamme Les m taux utilis s pour ce proc d sont le cuivre le zinc le plomb 16 cadmium l aluminium l acier inoxydable ou le bronze sch ma 9 Le m me proc d est utilis avec le m me quipement mais le fil m tallique est remplac par une poudre qui provient d une tr mie Les m taux utilis s sont des m langes de nickel chrome bore silicium carbure de tungst ne ou de la c ramique La m tallisation avec un pistolet au plasma qui l ve la temp rature jusqu 17 000 C permet l utilisateur de s lectionner une vari t de m taux d oxydes m talliques pulv riser sur le mat riel La m tallisation vide est un autre proc d qui permet de pul v riser la couche de m tal sur l quipement ou le mat riel en le pla ant dans un r cipient sous vide 239 SCH MA 9 INSTALLATION DE M TALLISATION Pistolet de pulv risation Fil m tallique tireur Le comprim Compresseur Source Bureau international du travail tional Health and Safety 240 Pi ce m talliser _ Cabine de protection de la pulv risation Encyclopedia of Occupa Risques pour la s curit Risques 2 2 a raaa UL Explo
228. iques l uti lisation et ia mise en service d appareils de levage pour le chargement et le d chargement des navires ni aux travaux dans les mines souterraines e Partie XV Enqu tes et rapports sur les situations hasardeuses Cette partie oblige l employ faire rapport son employeur de tout accident ou de tout v nement survenant dans le cadre de son travail qui soit la cause d une blessure L employeur doit liminer la situation dangereuse nommer une per sonne qualifi e pour faire enqu te et aviser le comit d hygi ne et de s curit de la situation dangereuse et du nom de la personne 440 nomm e pour faire enqu te Cette personne fournit un rapport qui est transmis par l employeur au comit De plus l employeur doit aviser un agent de s curit lorsque l accident entra ne la mort d un employ une blessure invalidante plus d un employ une explosion des dommages une chaudi re ou encore la chute libre ou l endommagement d teur rendu inutilisable un appareil l va L employeur doit tentr un registre des accidents et un registre des blessures l g res Dans certaines circonstances il devra produire un rapport crit au comit de sant et d hygi ne Il devra galement soumettre un rapport annuel au Ministre La partie XV ne s applique pas aux employ s travaillant dans les mines souterraines Partie XVI Premiers soins Conform ment cette partie l em pl
229. iques et au contact direct des r sistances nues de fours lectriques effectuer des inspections r guli res du mat riel installer des dispositifs de coupure automatique de l alimenta tion lectrique lors de l ouverture des portes de sas sur les fours r sistance apparente op rations d enfournement et de d fournement Intoxication due l inhalation des vapeurs a rosols ou pous si res mis lors des traitements avec les fours de c mentation am nager les postes de travail avec un syst me de ventilation Pour capter les poussi res de m taux tels que le chrome le b ryllium et le mangan se effectuer les op rations dans un espace clos Intoxication due l inhalation des vapeurs a rosols ou pous si res mis lors de traitements avec les bains de sels capter les vapeurs mises par les bains 46 nitrite nitrate et de cyanure capter les vapeurs mises par les bains de sels de baryum de calcium et de strontium pour des temp ratures d utilisation sup rieures 800 C entreposer les cyanures dans un local ferm et s par proscrire l emploi d acide dans un atelier utilisant des cya nures Intoxication due l inhalation des vapeurs a rosols ou pous si res mis lors de traitements avec des bains d huiles 351 Mesures sp cifiques de pr vention capter les vapeurs les brouillards et les a rosols mis lors des op rations de trempe renouveler p riodique
230. ir un quipement de protection personnelle au cas o la techno logie n aurait pas encore r ussi contr ler la source les agresseurs physiques ou chimiques Une entreprise du secteur devrait d abord valuer les programmes les r gles actuellement en vigueur pour d celer les lacunes et les efforts d j accomplis en mati re de sant et s curit partir de cette valuation elle pourra r pertorier les diff rentes mesures de pr vention d j implant es et proc der par tapes l incorporation de nouvelles mesures de pr vention en fonction des risques d cel s des accidents et des maladies professionnelles enregistr s dans l entreprise On devra recourir un programme de pr vention adapt l entre prise pour g rer efficacement 18 sant et la s curit du travail cet effet la CSST a produit une s rie de guides et de documents d information utiles l implantation d un tel programe MESURES SP CIFIQUES DE PR VENTION Apr s avoir pass en revue les mesures g n rales de pr vention ax es sur une m thodologie globale d intervention par les entre prises du secteur nous examinerons les principales mesures de pr vention sp cifiques chaque type d op rations industrielles existant dans le secteur industries de la machinerie 315 USINAGE L usinage est une op ration industrielle qui regroupe un ensemble de machines outils effectuant des traltements d
231. iratoires aspiration la source des missions de poussi res et de brouil lards d huile ajouter des bact ricides dans les mulsions d huile solubles instaurer un programme de surveillance pour contr ler les con centrations de brouillards d huile dans l air Contact avec les parties normalement sous tension ou accidentelle ment 1668 sous tension interconnexion des masses et raccordement de celles ci wne mise la terre de bonne qualit 321 1 at 8 Fraiseuses ER ES Mesures sp cifiques de pr vention RS Mouvement d avance rapide de la table eutre les pi ces et le b ti isoler totalement la zone dangereuse gt ajouter au protecteur isolant de la fraise un dispositif sen sible arr tant le mouvement d avance quand il est actionn gt utiliser une double commande manuelle pour le mouvement d avance rapide ce dispositif doit tre plac en dehors de la zone dan gereuse Zone s dangereuse s engendr e s par le changeur automatique d outils fraiseuses commande num rique veiller ce que les zones dangereuses engendr es par le chan geur d outils soient inaccessibles par leur loignement ou par des protecteurs crasement entre la table et un obstacle tenir compte des positions extr mes de la table ainsi que des autres organes mobiles Copeaux projet s par la fraise placer des crans protecteurs porter des l
232. irectement reli s la sant et la s curit et sp cifiques ce secteur Les ser vices quant eux sont offerts plus d un secteur d activit socio conomique Nous avons consult la documentation officielle des organismes disponible en juillet 1985 1 ne pr sente donc pas une liste exhaustive de tout ce qui existe D une part la majorit des programmes et services g n raux des institutions varient peu au cours des ann es Iis sont num r s dans un document actuellement disponible la CSST34 D autre part quelques programmes et services en particulier des programmes ou cours de formation ponctuels et de courte dur e ne sont pas cit s ils s adressent par exemple uniquement un groupe de travailleurs d un tablissement qui en fait la demande et ils ne sont pas disponibles pour tous d une ann e l autre Les programmes sont peu nombreux puisque les associations et les organismes au moment o ces lignes sont crites pr voient que le 34 C line Domingue Les programmes et services institutionnels en sant et s curit du travail Montr al CSST 1986 Sn 0 a SERIE Sd n pree sang ntent secteur sera prioritaire dans un an Les organismes orie leurs nergies vers les groupes d j prioritaires De plus m me si plusieurs organismes s occupent soit de la sant soit de la s curit en g n ral leurs services ne sont pas princi palement orient s
233. isla tive demeure inop rante C est du moins ce que constate lors de 808 passage au Qu bec 18 commission royale d enqu te institu e en 1886 et charg e d tudier les relations entre le travail et le capital au Canada Ses recommandations portent essentiellement sur le nombre lev des heures de travail et introduisent l id e du paiement collectif en cas de l sions la suite des recommandations de cette commission le Qu bec vote en 1888 les R glements des manufactures du Qu bec En 1894 il adopte 13 Loi des tablissements industriels laquelle remplace l Acte des manufactures de 1885 mais exclut les mines Enfin la situation est telle qu en 1907 la province institue la Commission sur les accidents du travail S inspirant des recommandations de la Commission le Qu bec adopte en 1909 la loi concernant les responsabilit s des accidents dont les ouvriers sont victimes dans leur travail et la r paration des dommages qui en r sultent Toutefois en raison des difficult s auxquelles se heurte l application de cette loi on met sur pied en 1923 1a Commission d tude sur la r paration des accidents du travail Cette initiative aboutit en 1928 l abrogation de la loi de 1909 On lui substitue alors la loi relative aux accidents du travail qui hausse les indemnit s et la loi concernant la Commission des accidents du travail laquelle pr voit notamment l arbitrage des diff rends 38 suite des pressions e
234. isons mat rielles Elle se compose d un metteur mobile qui est port par l op rateur situ dans ou proximit de la zone d action du pont roulant et d un quipement de r ception et de traitement des ordres mis qui est fix sur le pont Dans ces deux derniers cas l op rateur travaille au sol et doit surveiller le mat riel au sol dispos dans les all es de circula tion de l atelier et la charge suspendue au pont roulant Il peut donc s enguivre des risques de chute si l op rateur est inatten tif Poulie de levage Cet appareil est compos d une poulie por tant une corde un c ble ou une cha ne Cette poulie est fix e Sur un arbre de longueur vari e permettant de d placer la pi ce soit le long de l arbre soit transversalement l arbre Au bout de la corde du c ble ou de la cha ne est fix un crochet permet tant de d placer l objet souvent lourd ou encombrant dans un p rim tre restreint Monte charge Le monte charge sert transporter des pi ces pour une usine dont 168 activit s de Production sont r parties sur plusieurs tages Les facteurs limitatifs de cet appareil sont la dimension et le poids de la pi ce d placer Le monte charge est retenu par des c bles reli s un moteur faisant fonctionner une poulie 275 Manutention manuelle Dans 16 cas de 18 manutention manuelle le travailleur repr sente le principal appareil de levage Tout comme pour les appareils m cani
235. it tre qualifi et tr s bien inform des risques pr sents La zone dangereuse de la cisaille devrait tre prot g e par des gardes ou des crans ou bien 11 faudrait utiliser des chasse corps pour interdire l acc s la zone dangereuse l op rateur 233 SCH MA 8 CISAILLE A GUILLOTINE Source 234 Health and Safety at Work 33 Health and Safety Exec utive reproduit avec la permission du controller of Her Majesty s Stationery Office alaaa e UO Risques Sectionnement d une main par la lame du c t avant de la machine crasement des doigts par le presse t le Contact des mains avec la lame du c t avant de la machine Contact direct avec les or ganes en mouvement crasement de la main dans la zone dangereuse sous le porte lame Coupures aux mains crasement des mains ou des pieds Contacts fortuits divers Causes probables a Pas de protecteur Protecteur mal adapt Lev e du presse t le de plus de 6 mm Pieds du presse t le non pro t g s La lame est accessible en posi tion de lev e maximum Bielle par rupture de la t te de bielle Parties sup rieures mobiles porte lames presse t le lant arbres engrenages pou lies courroies Coincement entre des parties mo biles et le b ti Chute du coulisseau porte lame par gravit Pi ce bords coupants Manipulation de pi ces lou
236. it 1 07 L indus 1982 Verlation p E ET TEO jane l trie du produit du p trole et du charbon a une VAHH gale Variation X 14 02 15 79 17 85 20 89 DS dore r 00 Monte i 28 18 118 26 ou une proportion de 4 47 vient ensuite l industrie du Ontario 5 3 64 9 20 PEMA 7 8 4 12 6 13 0 17 0 24 5 ac 5865 19 68 65 aS 1933 11 9 tabac avec 68 48 ou 2 59 Le secteur qui se classe au 105 Varlation 21 85 25 annuelle 2 9 2 38 27 12 28 55 i x 8 2 20 9 2 4 7 1 ran t l industrie des roduits min raux non talliques Canada 5 2 20 9 40 10 12 14 3 14 6 15 1 13 3 12 3 10 3 5 5 8 es P m q meuble et des articles d ameublement de la bonneterie de 1 ha 14 5 i ee 4 2 UM 2109 24 05 21 59 28 79 27 45 ou 1 04 Les secteurs qui ont une VAHH inf rieure la 2 3 7 6 21 9 6 5 1 Se aa a 1 8 Re ie ai moyenne sont en ordre d croissant 168 industries de la fabrication onFident tel 1 4 Source Stntlettque Game n de catalogues de produits en m tal de la fabrication d quipement de transport Industrie manufacturi re du Canaun Niv enus 961 et pruvinetal 1970 4 1982 du caoutchouc et des mati res plastiques du textile du bois du K billement et du cuir La VAHH de ce dernier secteur s l ve 12 75 ou une proportion gale 0 48 En Ontario 8 secteurs pr sentaient une VAHH sup rieure
237. it de solidit d hygi ne et de protection contre les in ee dans les b timents qui entrent dans son champ d applica on ce qui exclut notamment les tablissements vis s par le R glement sur l application d un Code du b timent 423 LA L GISLATION F D RALE CODE CANADIEN DU TRAVAIL S R C 1970 chap L 1 ar modifica tions Les principales dispositions l gislatives adopt es par le Parle ment du Canada en mati re de sant et de s curit du travail sont contenues dans 18 partie IV du Code canadien du travail qui 8 pour objet la pr vention des accidents et des maladies qui sur viennent au cours de l occupation d un emploi qui en r sultent ou qui y sont li s Champ d application Les dispositions de 18 partie IV du Code canadien du travail s ap pliquent toute entreprise f d rale au sens de l article 2 du Code de m me qu toute corporation tablie pour remplir une fonction ou une attribution pour le compte du gouvernement du Canada L article 2 du Code d finit l entreprise f d rale comme tout ouvrage entreprise ou affaire ressortissant du pouvoir l gislatif du Parlement du Canada 11 s ensuit qu une entreprise est une entreprise f d rale lorsque en raison de la nature m me de l ensemble de ses activit s et op rations elle rel ve de la com p tence l gislative du Parlement du Canada conform ment l arti cle 91 ou au paragraphe 10 de l article 92 de la Loi constit
238. it sur demande pour lequel l chelle de production constitue habituellement un facteur moins important car les commandes visent des sys t mes entiers ou un nombre limit de grosses machines La fabrication sur demande de machines exige une conception sp ciale et l adaptation du processus de production aux besoins sp ciaux d un client la fabrication peut tre assez longue parfois jusqu deux ans En soi 38 taille de l usine ne constitue pas un facteur restrictif tr s important sauf pendant les p riodes o l activit conomique globale est intense c est dire lorsque les soci t s doivent refuser de nouvelles commandes ou ne peuvent consentir des d lais de livraison concurrentiels en raison de leur capacit limit e Compte tenu de cette situation la petite taille des entre prises canadiennes du secteur ne constitue pas n cessairement un inconv nient majeur lorsqu elles n gocient en m me temps que de grandes soci t s trang res des contrats pour des machines fabriqu es sur commande Ainsi nous sommes en mesure de comprendre la r partition des tablissements selon les tranches de salari s tableau 7 En 1982 seuls quatre tablissements comptaient plus de 500 employ s et faisaient partie de la cat gorie de tr s grandes entreprises La majorit des tablissements tait concentr e dans la cat gorie des petites entreprises moins de 50 employ s nous en comptions alors 25
239. ivers aux pi ces de m tal travailler On doit installer les machines dans le d partement d usinage en tenant compte de certaines mesures de pr vention reli es la disposition des machines et leurs mouvements op ratoires les aires de circulation entre les machines doivent tre d au moins 60 cm l ouvrier affect une machine ne doit pas se trouver dans un plan de rotation ou aux abords d un engin lourd et tournant grande vitesse les niveaux d clairage doivent tre suffisants la mise la terre et l interconnexion des masses doivent tre conformes 18 r glementation Il faut aussi veiller l entretien pr ventif des machines prin cipalement la v rification des parties m caniques et le remplace ment des organes d fectueux Les quipements lectriques doivent tre v rifi s p riodiquement Il faut lubrifier les pi ces et les m canismes selon la fr quence prescrite par le constructeur On doit aussi pr voir l entretien pr ventif des l ments protecteurs des machines pour qu ils conservent toute leur efficacit Enfin les machines commande num rique constituent une solution pratique aux probl mes de la pr vention elles diminuent de fa on appr ciable 168 op rations manuelles de l ouvrier tout en permet tant celui ci de se tenir distance de la projection des copeaux et des fluides de coupe ainsi que des parties mobiles des machines 316 Les principale
240. l sions inf rieure la proportion de travailleurs du secteur dans l unit consid r e ce qui est le cas pour les unit s quipement agricole r frig ration v rins hydrauliques machines outils etc Un indice sup rieur 1 00 Ip 1 00 signifie une proportion de l sions sup rieure la proportion de travailleurs du secteur dans l unit consid r e ce qui est le cas pour les unit s convoyeurs g n rateurs quipement industriel Le tableau 32 montre la r partition des l sions professionnelles selon la cat gorie et l ann e dans le secteur industries de la machinerie On observe une baisse l g re en 1982 ainsi qu une baisse beaucoup plus marqu e en 1983 Il s agirait de voir dans quelle mesure ce ph nom ne est 116 une baisse de l emploi dans le secteur durant cette p riode 157 TABLEAU 31 RELATION ENTRE LA FR QUENCE DE L SIONS ET LA FR QUENCE DE TRAVAILLEURS PAR UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Total Toutes les Indice d ann es personnes l sions Ip de 1980 1983 Unit Nombre Nombre 2 1 1 2 X 100 31111 quipement agricole 3 393 5 5 1 161 4 6 0 84 31211 R frig ration 1 631 2 6 357 1 4 0 54 31921 Convoyeurs 1 800 2 9 1 110 4 4 52 31941 V rins hydrauliques 2 327 3 7 752 3 0 0 81 31942 G n rateurs 2 883 4 6 1 348 5 3 1 15 31991 Machines out
241. l infrastructure peut vibrer sous l action de la rotation haute vitesse de la pi ce et la vibration de la structure peut se reporter sur le plancher qui est souvent en b ton TRAITEMENT DU M TAL Le traitement du m tal est une op ration industrielle qui se divi se en trois cat gories distinctes La premi re cat gorie la m tallisation est l op ration effectu e avant toutes les op ra tions d usinage Elle permet de conf rer au m tal un fini lisse Vient ensuite le nettoyage du m tal qui se fait par sablage et par d graissage ce dernier sujet sera trait part dans ce docu ment Enfin le traitement thermique est la derni re op ration qui consiste apporter au m tal les propri t s physiques requises pour ses futures utilisations avant d y appiiquer un traitement de finition qui agira comme protection provisoire 238 M tallisation Cette op ration industrielle consiste recouvrir avec une couche de m tal un quipement ayant une surface rugueuse L application se fait par pulv risation de m tal fondu sur le mat riel qui a besoin d une protection contre la corrosion ce qui permet d aug menter la r sistance contre l usure ou de recycler de l quipement us ou corrad La m tallisation s effectue selon quatre proc d s diff rents et avec quatre quipements diff rents La pulv risation du m tal se fait l aide d un pistolet travers lequel un fil m tallique aliment automat
242. l installation d une presse m canique il faudrait tenir compte des facteurs suivants pr voir des passages entre les machines d au moins 60 cm et niveler le sol tenir compte des prescriptions du fabricant pour la fixation du b ti en g n ral deux solutions sont possibles fixation au sol ou pose de supports antivibratoires situer le coffret lectrique ailleurs que sur la machine si possible et dans tous les cas le soustraire aux vibrations prendre toutes les dispositions n cessaires pour rendre impos sible l empilage de pi ces usin es ou tre travaill es et l accumulation de rognures de d coupe installer la presse de sorte que l acc s la zone dangereuse soit impossible par l arri re ou par les c t s si l installa tion ne le permet pas il faut interdire les possibilit s d acc s par des dispositifs mat riels Risques pour la s curit Le principal risque en cours de travail sur une presse est l cra sement des doigts ou des mains entre la partie sup rieure de l outil g n ralement appel e poin on et la partie inf rieure g n ralement appel e matrice ainsi qu entre le poin on et la pi ce travailler ou entre la pi ce et la matrice 228 Ce risque est augment lors des op rations d entretien et de r glage puisque les syst mes de protection sont tr s souvent rendus dinop rants par la n cessit des interventions Il faut donc que le personnel affect
243. la machinerie et de l quipement b n ficia de cette re de prosp rit De plus ces industries profit rent du march cr par la demande d quipement venant d autres industries en plein essor Pendant cette p riode cette industrie avait acquis une certaine vigueur La situation diff rait toutefois en Ontario L exploitation des mines de charbon 8 favoris 18 construction de hauts fourneaux d s le d but du si cle Le d veloppement de la sid rurgie de l auto mobile etc incita les industries oeuvrant dans le secteur de la machinerie s installer dans cette province De plus la situa tion g ographique de cette province la favorisait Avec la cons truction d un chemin de fer pan canadien elle devenait le centre d approvisionnement du Canada et par cons quent le centre de production Sa proximit des march s am ricains s av rait un atout suppl mentaire L industrie de la transformation s y est donc d velopp e plus rapidement L industrie des instruments aratoires b n ficia du d veloppement acc l r des provinces de l Ouest Lors de 38 Premi re Guerre mondiale l URSS cessa d approvisionner les pays europ ens en 14 c r ales alors qu elle en tait le principal pourvoyeur Ce changement apporta la prosp rit dans l Ouest canadien et profita l industrie agricole de ces provinces Les fermes c r ali res se hiss rent rapidement parmi les principaux producteurs de cette denr e au mon
244. lame les protecteurs doivent permettre une manipulation facile du ru ban s ils sont mus par des dispositifs parties ouvrantes Celles ci devront tre munies d un verrouillage interdisant une ouverture inopin e gt 16 protecteur du volant ou un autre suppl mentaire doit prot ger l utilisateur contre la partie de la lame situ e entre la table et le volant inf rieur Projection du ruban de la lame placer le protecteur au dessus du ruban r sistant la rupture de la lame et d une largeur suffisante pour la maintenir utiliser une denture en rapport avec la mati re et l paisseur de la pi ce scier munir la scie d un frein action progressive choisir une avance de la pi ce et une vitesse de coupe compa tibles avec la nature et l paisseur de la pi ce scier Contact avec la partie travaillante de la lame assurer que le r glage du guide lame soit commande m canique ou hydraulique afin d tre le plus pr s possible de la pi ce scier veiller ce que la pi ce solt bien fix e pour qu elle n entre pas en Contact avec les parties fixes de la scie disposer d une brosse main pour d gager la table et porter des gants de protection te Mesures sp cifiques de pr vention _ O fixer la pi ce scier sur la table de la machine et commander l avance de la pi ce par le d placement m canique ou hydraulique de la table Projection d huile de
245. lancher malpropre ou glissant nettoyage fr quent sol garni d un antid rapant pour les travaux d entretien ou de r paration de la machine on doit arr ter le moteur avant de commencer les travaux et ver rouiller ou cadenasser les dispositifs de d marrage et de com mande pour emp cher toute mise en marche accidentelle Copeaux form s la suite de l op ration port de gants indispensable pour 16 manipulation des copeaux Efforts physiques bonnes proc dures prendre pour lever les charges lourdes si les charges sont trop lourdes utiliser un engin de levage 333 is if Mesures sp cifiques de pr vention Affections cutan es et respiratoires nettoyage r gulier dans la zone de l al seuse contenant renfermant l huile de coupe ferm herm tiquement Machines raboter et taux limeurs Mesures sp cifiques de pr vention Heurts et contact avec les parties en mouvement condamner la zone de d placement du coulisseur par des garde corps fixes utiliser un pinceau pour le d gagement des copeaux prot ger par des crans les parties mobiles de r glage Frojection de copeaux 7 monter une museli re autour de l outil placer un cran devant la table qui guidera les copeaux vers le bac porter des lunettes de s curit avant 18 mise en
246. le ZX 4 9 1 9 4 3 6 4 gt 5 6 0 2 4 11 4 4 5 0 3 20 6 5 Canada 41 528 45 391 68 999 54 165 59 113 54 919 54 055 56 735 63 840 66 848 64 216 53 269 Variation annuelle X 9 3 7 9 10 5 9 1 7 1 1 6 5 0 12 5 4 7 3 9 17 0 2 7 Confidentiel Source Statistique Canada n de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux national et provincial 1970 1982 Estimation 69 TABLEAU 14 travailleurs au Qu bec une en 1976 de 12 7 et l autre en 1982 2 NOMBRE DE SALARI S de 15 6 Les baisses en Ontario sont moins fortes au milieu des RE ALARI ann es soixante dix mais plus accentu es au cours des ann es quatre vingt La crise a affect tr s fortement l industrie des instruments agricoles lors de cette p riode or cette industrie est surtout concentr e en Ontario et dans les provinces des Prai ries Malgr tout cela n explique pas enti rement la diff rence des variations moyennes de 1971 1982 Elles attelgnaient 3 5 5 au Qu bec 0 6 en Ontario et 2 7 au Canada si nous tenons compte strictement de la p riode allant jusqu en 1979 Avant la RS crise elles s tablissaient respectivement 6 3 5 3 5 Z et 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 Variation moyenne 5 1 5 Il en ressort donc clairement une croissance sup rieure du QuEbec 11 653 15 986 17 12
247. le champ d application et prescrit certaines obligations quant la conservation et au droit de consultation des registres et rapports ou autres documents qu un employeur doit poss der q P 431 t tion du Certaines cat gories d employ s sont exclues de l applicatio trains R glement c est le cas des employ s travaillant bord de 3 ue dans et d a ronefs en exploitation bord de navires ainsi t aussi l industrie p troli re en g n ral Le gouvernement peu soustraire une entreprise par d cret e Partie II S curit des b timents D une fa on sp cifique cette partie prescrit l employeur de respecter certaines normes en mati re de construction et de conception de b timents dans la mesure o ces normes sont indispensables l hygi ne et la s curit des employ s Cette partie comprend galement des prescriptions concernant 168 installations de chauffage temporaires leg portes et les fen tres les ouvertures dans 168 planchers et les murs les chelles les escaliers et les plans inclin s les compartiments tr mies cuves et fosses dont la partie sup rieure est ouverte l ordre la propret et l entretien des lieux cet gard mentionnons que selon la partie II l employeur doit s assurer que tout b timent occup par des travailleurs est r gu li rement entretenu et r par de fa on ne pas compromettre la sant et la s curit de ceux ci Les passages et les ajres d
248. les Les quipements utilis s dans la menuiserie sont peu nombreux principalement des scies radiales portatives ou sur table et des scies ruban table Risques pour la s curit L activit de menuiserie repr sente des risques s rieux surtout lorsque les ouvriers n effectuent pas ce travail plein temps En effet une activit comme celle ci peut tre une source d acci dents parce qu elle n est pas continue Les comportements de tra vail avec les quipements demandent une adaptation de l op rateur chaque fois qu il utilise une machine ou qu il construit une caisse de bois Cette condition est un facteur de risque suppl mentaire en plus de ceux associ s la manipulation de l outillage et des machines Comme les risques pour la s curit reli s l outillage main ont d j fait l objet d un chapitre intitul Outillage portatif on pourra donc s y r f rer Le tableau d analyse qui suit dresse un portrait g n ral des ris ques associ s l utilisation de la scie circulaire table la machine 18 plus utilis e dans le secteur Risques Causes probables T a Contact direct avec la lame Sciage de pi ces de petites di mensions Sciage de bois fendu Contact avec la partie arri re lors de la reprise du bois 283 Risques Causes probables En gt Nettoyage sous la table enl ve ment de la sciure Perte d quilibre Fatigue Rejet du
249. les la pr sence d hy drocarbures canc rig nes selon des concentrations diverses Ces hydrocarbures apr s un temps d exposition assez long 13 20 ans peuvent entra ner des cancers cutan s chez les travailleurs Lorsque les huiles se transforment en brouillard elles peuvent causer des affections respiratoires 198 nd ann in cn Risque de Risque de dermatose cancer Types d huiles Pollution Actions bact rienne m caniques et chimiques Huiles dites pleines ou enti res utilis es non mulsionn es raffin es au solvant ou trait es l hydrog ne par des proc d s complexes raffin es par des proc d s plus sommaires huiles dites banales Huiles dites solubles uti lis es en mulsion dans l eau Huiles ou fluides synth tiques ne contenant pas d huile min rale Risque tr s faible ou nul Risque faible Risque pr occupant Source INRS Tours 1527 119 85 199 Voici maintenant les risques communs les plus fr quents par rap port aux accidents dans le secteur tableau 38 ef Risques Causes probables re Blessures aux mains et aux Mise en marche accidentelle des bras frapp par heurt l ments de la machine pendant contre coupures etc une intervention manuelle sur l un des l ments
250. les normes minimoles de premiers secours et de premiers soins d cret 1922 84 du 22 ao t 1984 modifi par 35 d cret 688 85 du 3 avril 1985 Ce r glement en vigueur depuis le 22 septembre 1984 R glement sur les services de premiers secours R R Q chap A 3 r 12 remplace le 1981 Il pr voit que l employeur dans un tablissement et le ma tre d oeuvre sur un chantier de construction doivent assurer la pr sence d un nombre d termin de secouristes et de trousses contenu de la trousse est d fini et varie en fonction de l usage auquel elle est destin e De plus il est pr vu un syst me de communication avec les services d urgence et un affichage permet tant de localiser ce syst me afnsi que les trousses Ce r glement pr voit galement que certains lieux de travail doivent tre munis d un local l usage du secouriste l quipement minimal de ce local est pr cis Il pr voit galement que certains tablissements ou chantiers de construction doivent tre munis d un service de premiers soins comprenant une infirmi re ou un infirmier 81884 qu une salle de premiers soins dont le contenu minimal est d fini De plus le r glement pr voit un registre des premiers secours ainsi qu un registre des premiers soins 422 R gl glement sur les ascenseurs monte charge petits monte charge escaliers roulants et tapis roulants R R Q 1981 3 5 a pe chap 5 3 e r
251. limard Richard Goulet Joanne H nault VUE D ENSEMBLE DES PRINCIPALES OP RATIONS INDUSTRIELLES ET DE L QUIPEMENT DU SECTEUR Le tableau 47 d crit le groupe et les sous secteurs du secteur industries de la machinerie Le sous secteur 3199 autres indus tries de la machinerie et de l quipement est le plus important du secteur si on se base sur le nombre d employ s et d entreprises de fabrication des machines Les sous secteurs autres industries de la machinerie et de l quipement 3199 fabrication d quipements commerciaux de r frig ration 3121 et fabrication d quipements agricoles ou d instruments aratoires 3111 sont les plus impor tants du secteur Le tableau 48 pr sente pour chaque sous secteur un sommaire des quipements et des op rations industrielles Dans presque tous les cas les unit s d employeurs regroup s dans les sous secteurs d finis au tableau 47 effectuent les op rations industrielles et utilisent les quipements pour la fabrication des machines La fabrication des machines et des appareils ainsi que la r para tion et le reconditionnement des machines endommag es ou us es constituent les op rations industrielles les plus fr quentes dans ce type d industrie Dans le secteur industries de la machinerie ies op rations d usi nage repr sentent le coeur du proc d de fabrication des machines Toutes les autres op rations industrielles sont des activit s moins important
252. lleurs Font partie de cette cat gories les fabricants des produits pr s de 50 en tout servant 18 transformation et la fabrication dans les secteurs d activit conomique telles que les industries des aliments et boissons des min raux non m tal liques des produits du textile du bois de l imprimerie des produits en mati res plastiques et en m tal machines outils etc En fait l industrie de fabrication m canique met en oeuvre Tout proc d ou moyen propre la production industrielle d l ments ou d ensembles r alisant soit des fonctions purement m caniques transmissions engrenage par exemple soit des fonctions complexes faisant appel d autres techniques lectrique lectronique pneumatique hydrau lique l Il s agit essentiellement d une industrie sp cialis e qui repose sut des efforts de recherche et de d veloppement R D et dont les produits constituent les principales entr es toutes les tapes de l activit industrielle Elle doit par cons quent tre class e parmi les secteurs cl s de l industrie manufacturi re globale C est un des secteurs qui a le plus d impact conomique On consid re que le d veloppement ad quat de ses activit s contri bue l essor g n ral de l industrie manufacturi re puisqu il fa vorise l accroissement de la consommation domestique en r duisant le Office de planification et de d veloppement du Qu bec Pros pective socio conomique du Q
253. lon la dimension des ventilateurs ou des rotors tre quilibr s Risques pour la s curit tant donn que les pi ces tournent de tr s hautes vitesses les risques sont assez lev s 236 Risques a Heurts et contacts avec les parties mobiles Certains quipements qui tournent haute vitesse cr ent un vide autour d elles Projection de morceaux de m tal qui se d tachent de la pi ce quilibrer pendant la rotation haute vitesse Contact direct avec les organes de la machine poulies arbres engrenages et courroies Projection de la pi ce quilibrer qui quitte ses points de fixation ceci est caus par un d s quilibre excessif de la pi ce ou par un mauvais positionnement de 18 pi ce aux points de fixation Contacts fortuits divers caus s par la fatigue ou par la perte d quilibre crasement des pieds par 18 manipulation de pi ces lourdes Maux de dos Risques pour la sant Les risques pour la sant avec ce type de machine sont reli s surtout au bruit et aux vibrations 237 Bruit La grosseur de 18 pi ce la vitesse de rotation de la pi ce lors des essais d quilibrage dynamique et la forme de 18 pi ce test e sont des facteurs qui peuvent contribuer l l vation du niveau de bruit Vibration Durant les essais d quilibrage dynamique
254. lures Dans le d partement de l lectronique l assemblage des circuits int gr s demande l utilisation d un fer souder pour joindre les circuits int gr s soudage brasage tendre temp rature autour de 450 C 287 Risques pour la sant Les op rations d assemblage pr sentent un risque d intoxication En effet dans le d partement d lectronique les ouvriers qui utilisent 18 fer souder pour le soudage au brasage tendre sont sujets aux expositions de fum es m talliques compos es g n rale ment de plomb d tain ou d antimoine Afin de r duire l exposi tion aux fum es lors du brasage tendre il faut placer 18 hauteur de la table de travail un syst me de ventilation de telle sorte que 168 fum es sont aspir es en dehors des voies resplra toires des ouvriers Ce syst me est particuli rement recommand quand ce type de soudage est fr quent SERVICE DE R PARATION Cette activit est tr s inportante dans le secteur industries de la machinerie Comme l usure et 16 bris des composantes d une machine sont relativement fr quents les entreprises fabricantes de machines se sont dot es d un service de r paration pour recon ditionner les composantes des machines C est ainsi que des entreprises du secteur ont mis au point deux services de r paration sp cialis s un service de r paration pour les composantes us es et bris es envoy es l usine par les entreprises clientes qui n cessite
255. manuelle 328 EEE EEE RU Mesures sp cifiques de pr vention ieee a Contact avec des particules huileuses des impuret s et des agents antiseptiques installer une ventilation localis e pour r duire la source l mission de brouillards d huile renouveler fr quemment le lubrifiant v rifier et maintenir au dossier la fiche de s curit sur le produit antiseptique d celer rapidement les allergies ou r actions cutan es au con tact avec l huile choisir des proc d s qui n exposent pas syst matiquement les op rateurs au contact de l huile instaurer un programme de surveillance pour contr ler l appari tion de r actions cutan es et d allergies et pour contr ler la concentration d huile dans l air Scies Mesures sp cifiques de pr vention Contact avec 168 diff rentes parties de 18 scie isolement total du b ti et des parties amovibles de la scie l aide d un protecteur fix la machine mais permettant une manipulation facile du ruban Contact avec la partie non travaillante du ruban la protection du brin ascendant sera assur e par un dispositif fix au b ti constituant un protecteur global pour le brin 329 Mesures sp cifiques de pr vention descendant la protection est assur e par un dispositif soli daire du guide lame qui recouvrira la partie descendante non travaiilante du ruban quelle que soit la position du guide
256. ment au transport des charges palettis es Le transport s effectue au moyen de fourches situ es l avant du chariot qui peut tre ali ment par un moteur lectrique l essence ou au gaz propane Le plus souvent les chariots l vateurs fonctionnent au gaz propane Ces chariots servent transporter pousser tirer lever et empiler divers produits destin s tre fabriqu s ou tre emmagasin s Pont roulant Le pont roulant est un appareil de levage et de manutention qui consiste en un pont proprement dit muni d une cabine fixe mobile et d un treuil se d pla ant le long de ce pont Le treuil 6 d place sur des roues selon l axe longitu dinal de l usine Le pont roulant peut d placer une charge de haut en bas l aide du treuil transversalement par le d placement du treuil sur Je pont et longitudinalement par le d placement du pont sur segs roues On peut manoeuvrer un pont roulant par bofte boutons pendante ou encore par radiocommande La bofte boutons pendante peut tre fix e au pont au chariot palan ou support e par un rail mont le long de la poutre Dans ce cas l op rateur est oblig de suivre l appareil la m me vitesse et 11 est tenu de se trouver pendant une m me manoeuvre toujours dans la m me position par rapport la charge et tr s proche de cette derni re Quant la radio commande ou t l commande elle permet de lib rer l op rateur des lia
257. ment le contenu des bacs avec des huiles neuves Intoxication due l inhalation des vapeurs a rosols ou pous si res mis lors de traitements avec des fours atmosph res contr l es v rifier p riodiquement l tanch it des circuits de gaz ventiler les locaux de travail purger abondamment avec de l air neuf les enceintes closes avant toute intervention l int rieur de celles ci ou utiliser des appareils respiratoires autonomes adduction d air D GRAISSAGE Cette op ration est effectu e apr s l usinage des pi ces pour liminer les huiles accumul es lors des traitements des pi ces m talliques A Mesures sp cifiques de pr vention RS Chutes caus es par les planchers glissants entretenir p riodiquement les lieux de d graissage pr voir des surfaces antid rapantes et faciles nettoyer proximit des lieux de d graissage 352 _ OUO Mesures sp cifiques de pr vention Chutes caus es par des travaux effectu s en hauteur V rifier le bon tat des marches installer des garde corps assurer le d gagement et la Propret des escaliers et des passe relles lectrocution s assurer du respect du code d lectricit canadien v rifier le bon tat des installations lectriques remplacer les fils lectriques endommag s ou us s Incendie e
258. n es sur la RE tivit par salari que le Qu bec a perdu du terrain De 1960 i 1970 la valeur ajout e par salari est pass e de 7 143 11 111 5 tableau 2 alors qu en Ontario elle passait de 7 237 12 971 En posant l indice 100 gal 1960 nous obtenons en 1970 un indice gal 156 au Qu bec et 179 en Ontario En 1975 l industrie de la machinerie regroupait plus de 1 000 tablissements au Canada qui produisaient pour pr s de 3 5 mil liards de dollars et qui employaient plus de 80 000 travailleurs La valeur des exportations canadiennes de machinerie atteignait environ 35 de la valeur totale des exp ditions de cette industrie Toutefois les importations comptaient pour environ 60 5 du march int rieur de la machinerie alors que dix ans plus t t elles ne s levaient qu 40 Z Les importations sont pas s es de 1 7 milliard de dollars en 1965 5 5 milliards de dollars en 1975 ce qui repr sente un taux de croissance de 16 4 alors que le taux de croissance de l industrie s tablissait 11 1 Par cons quent les importations ont aliment une partie de plus ie les en plus grande du march int rieur En contrepartie 24 m ea a m aas tablissements du secteur proc daient des exportations 41 valeur de 1 7 milliard de dollars en 1975 une alors qu elles ne s levaient qu 365 millions de dollars en 1965 un taux annuel de croissance de 16 6 Cela repr sent
259. n d sir d augmenter l autosuffisance alimentaire du Qu bec L atteinte de cet objectif passait par une rationalisation des cultures et de l levage et par la modernisation des quipements Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisa tion En 1960 l industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation apparaissait comme sous secteur distinct Sur 84 tablissements dans le secteur cette industrie en totalisait 7 employait 2 des employ s 154 personnes et g n rait 1 9 5 de la valeur ajout e 1 1 million de dollars tableau 4 Le sous sec teur autres industries de la machinerie et de l quipement consti tuait encore la plus forte proportion du secteur l tude Le Sous secteur industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation a toutefois progress plus rapidement que les TABLEAU 5 R PARTITION INDUSTRIELLE PAR SOUS SECTEUR D ACTIVIT AU QU BEC 1970 et 1980 312 319 Sous secteur Ann e Nombre Nombre de x Nombre moyen Valeur ajout e X d activit d ta salari s des de salari s 8 l activit de la blissements activit salari e par tablia manufacturi re valeur totale sement millions de a jout e Industrie des ins trunents aratoires 1970 12 604 4 8 50 5 0 3 8 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 1970 9 1 3 5 49 4 9 3 7 Autres industries de la machinerie et de l quipement
260. n des heures de travail gt prendre part des activit s dans 168 doma nes de l ducation de la l gislation de la politique etc afin de promouvoir la d mocratie et la justice sociale gt travailler consolider le syndicalisme international et 16 mouvement ouvrier prendre toute mesure pour mener bien les int r ts du syndicat international L autorit supr me du syndicat international des m tallos est le congr s qui a lieu tous les deux ans Il r unit les d l gu s des syndicats locaux et tracent les grandes orientations du syndicat Le bureau international se r unit deux fois par ann e et il a comme mission d administrer le syndicat international Il veille l observance des statuts et met ex cution les instruc tions du congr s international Les dirigeants internationaux ont 16 M tallurgistes unis d Am rique Statuts Pittsburgh AFL CIO CTC 1984 97 pour mandat de veiller aux activit s quotidiennes du syndicat international Ils sont lus Pour quatre ans Depuis le d but les m tallos ont tou jours d fendu le principe de la parit salariale Dans le domaine de la sant et de la s cu rit du travail les m tallos sont d avant garde En effet d s refus d ex cuter un travail De plus ce sont les m tallos qui ont incit la FTQ organiser en 1975 un Colloque sur la sant et travail 1962 ils ont comme principe le dangereux la s curit
261. nctions et la fr quence de ses r unions Elle pr voit qu un repr sentant la pr vention peut tre d sign parmi les travailleurs de certaines cat gories d ta blissements et elle en d termine les fonctions Cette loi permet la cr ation d associations sectorielles pari taires dont l objectif est de fournir aux employeurs et aux travailleurs des secteurs d activit qu elles repr sentent des services de formation d information et de conseil en mati re de sant et de s curit du travail Elle confie au r seau public l organisation et 18 r partition des services de sant sur les lieux de travail Elle pr cise 168 fonctions de l employeur du comit de sant et de s curit du d partement de sant communautaire du centre hospitalier du minist re de la Sant et des Services sociaux et de la Commission de la sant et de la s curit du travail dans l laboration et l application des programmes de sant Elle d termine 16 mode de nomination du m decin responsable des services de sant aupr s d un tablissement et le contenu du programme de sant sp cifique un tablissement Elle pr voit que les services de sant qui 416 existaient le 20 juin 1979 peuvent tre reconnus par 16 centre hospitalier dans la mesure o ils sont quivalents aux services de sant pr vus par la loi La loi institue un nouvel organisme la Commission de la sant et de 18 s curit du travail du Qu bec qui
262. ndustrial Health Defense Research Information Centre 1974 8 p THE ROYAL SOCIETY FOR THE PREVENTION OF ACCIDENTS Safety Birmingham ROSPA 15 Pe Machine Shop TORONTO CONSTRUCTION SAFETY ASSOCIATION Spray Painting and Sandblasting Practical Guide to Occupational Health and Safety Toronto OCSA 1980 16 p 294 P RIODIQUES ANDR G et coll R duction du bruit mis par une cisaille Travail et s curit n 1 1980 p 12 21 BULL H L Semi automated Plasma Spray System Proceedings of the 8th International Thermal Spraying Conference Miami Beach Terme Spraying Conference 1976 p 115 122 COLLING D A Machine Safeguarding and Safety Management Professional Safety ao t 1982 p 26 29 COMET M Ponts roulants dispositifs de s curit Revue de la s curit nov 1982 p 21 27 COURTNEY D Health and Safety in Soft Soldering Circuit World vol 9 n 4 1983 p 2 4 CRAPNELL S G Noise Fights Losing Battle at Packard Electric Occupational Hazards juill 1980 p 35 39 CURTIS E J et N PERCIVAL Codes of Practice for the Safe guarding of Machine Tools Protection vol 17 n 1 janv 1980 p 27 29 D graissage des pi ces m talliques tude critique de la technologie des machines utilisant le tri et le perchlor thyl ne Cahiers de notes documentaires n 52 Paris INS juill 1968 p 225 229 Note doc n 603 52 68
263. nt la m me activit principale ou des activit s connexes qui restent ratta ch es au m me secteur industriel les statistiques relatives ce s cteur restent coh rentes Cependant si des tablissements exercent des activit s rattach es un autre secteur industriel il peut alors se produire une surestimation des donn es sp ci fiques au secteur dans lequel est class l employeur En effet 8 l heure actuelle on ne peut faire ces distinctions d apr s les statistiques disponibles Nous pr sentons dans la liste qui suit la correspondance entre les sous secteurs des industries de la machinerie sauf lectrique et les unit s CSST qui leur sont reli es Une analyse d taill e de cette liste montre d une part que plusieurs unit s CSST peuvent tre rattach es un m me sous secteur industriel par exemple les unit s 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 et 31995 correspondent au sous secteur 319 autres industries de la machinerie et de l quipement D autre part une m me unit peut tre rattach e plusieurs sous secteurs Par exemple l unit 31992 fabrication de filtres air se retrouve dans les sous secteurs 319 autres industries de la machinerie et de l quipe ment et 325 industries des pi ces et accessotres pour v hicules automobiles 148 Ces probl mes de correspondance multiple entre les unit s CSST et les sous secteurs industriels rendent impossible la pr sentation des
264. nt rep rable Par cons quent une consultation du texte l gislatif original s av re indispensable en cas d tude plus approfondie Il convient aussi d attirer l attention sur le champ d application des textes l gislatifs En effet il peut sembler assez tonnant au premier abord d y trouver certains r glements apparemment trangers un secteur d activit 11 s agit de r glements qui visent 168 t ches connexes susceptibles d tre effectu es dans ce secteur d activit plut t que les activit s principales du sec teur Pr cisons de plus que la d termination des r glements potentielle ment applicables un secteur d activit donn a fait l objet d une v rification serr e aupr s des experts de la Direction de la programmation de la pr vention tant donn que les Services juri diques ne se veulent pas une autorit en mati re de techniques et de proc d s de travail LA L GISLATION QU B COISE LOT SUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL L R Q chap S 2 1 Cette loi sanctionn e le 21 d cembre 1979 a pour objet d ta blir les m canismes de participation des travailleurs et des employeurs l limination des causes d accidents du travail et de maladies professionnelles Elle tablit cet effet les droits et les obligations des tra vailleurs employeurs propri taires et fournisseurs qui y sont assujettis Elle reconnaft au travailleur le droit des conditions de travail qui
265. nt susceptibles de former des m langes explosifs avec l air En cas d entr e d air dans le four si la temp rature est gale ou sup rieure celle d auto inflammation du m lange soit 750 C la combustion de celui ci se fera au fur et mesure de sa formation 11 n y a pas de risque d explosion une temp rature inf rieure un m lange explosif peut se former en quantit importante et la moindre source d inflamation entra nera une explosion 249 PA Risques Ce risque potentiel se pr sente dans les cas suivants mise en route et arr t des fours op rations d enfournement et de d fournement des pi ces mise en d pression du four la suite de son refroidissement entrafnant la contraction du gaz arr t du chauffage coupure de courant d faillance de l alimentation en gaz etc fonctionnement continu d un four temp rature inf rieure 750 C risque grave permanent Bains de sel Le risque d explosion existe pour tous les bains de sel en cas de fusion retard e de la cro te lors des op rations de refusion d un bain solidifi dans les fours chauffage ext rieur lec trique ou gaz Les bains de nitrate pr sentent des risques sp cifiques En effet les nitrates sont d s compos s chimiques qui peuvent donner lieu des r actions de d composition brutale en cas d l vation de la temp rature au dessus de 540 C en pr sence du fer des creusets Ceci
266. nt un reconditionnement com plet et la r paration d urgence pour r parer rapidement les bris Bur une machine Risques pour la s curit et la sant La r paration des composantes endommag es 1 ou us es n cessite utilisation des m mes quipements et des m mes op rations indus trielles que pour la fabrication des machines Ces composantes 288 doivent tre usin es pour subir un traitement m tallisation traitement thermique du d graissage de la manutention et du soudage Les risques pour la s curit sont donc les m mes Toutefois le service de r paration d urgence est particulier parce que l entreprise du secteur envoie une quipe pour r parer sur place les composantes endommag es Le nouvel environnement de travail et les conditions de travail pendant la r paration consti tuent des facteurs de risques suppl mentaires 289 BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES SP CIALIS S ALLCOTT G A Powered Hand Tools Morgantown Virg NIOSH 1979 47 p ASSOCIATION PARITAIRE DE PR VENTION POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC La peinture au pistolet et ses risques Montr al APPSST 1981 20 pe BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL Encyclopaedia of Occupational Health and Safety Vol 1 et 2 Gen ve BIT 1983 1176 p et 1361 p BURGESS William A Recognition of Health Hazards in Industry A Rewiew of Materials and Processes New York John Wiley amp Sons 2 e rIars and fr
267. nte dix ce secteur faisait face une p nurie de main d oeuvre hautement sp cialis e Cette p nurie repr sentait un probl me critique sinon le probl me le plus grave auquel l industrie avait faire face Au cours des ann es subs quentes le manque d investissement en 1981 et en 1982 devient le probl me majeur Selon 168 auteurs de l tude cit e plus haut les employ s moyennement sp cialis s et form s en fonction des besoins particuliers de chaque entreprise feront l objet d une demande accrue dans l avenir Toutefois ceci ne repr senterait pas un probl me l industrie jugeant qu elle trouvera les res sources n cessaires Selon celle ci la formation technique de base devrait tre dispens e en institution et par la suite chaque entreprise pourrait former les travailleurs en fonction de ses propres besoins La moyenne d ge des employ s la production est assez lev e dans certaines entreprises elle est sup rieure 40 ans La 9 Minist re de l Industrie et du Commerce du Canada op cit P 1 10 Peat Marwick and Partners The Medium Term Employment Out look The Canadian Equipment and Machinery Industry Ottawa 1981 62 crise conomique du d but des ann es quatre vingt a jou un certain r le dans le vieillissement de cette main d oeuvre Les mises pied ont touch principalement les derniere arriv s et par cons quent les plus jeunes tableau 9 Depuis 1984 la rep
268. ntre chaque congr s et poss de sensiblement les m mes pouvoirs que le congr s Le bureau f d ral administre la f d ration et la repr sente embauche supervise le comit ex cutif et prend des d cisions Depuis 1975 une des principales activit s de la F d ration est ax e sur la sant et la s curit du travail Aussi depuis 1970 la CSN insiste sur l implantation de programmes conjoints de sant au travail qui ont pour but de pr venir les dangers 18 source20 Dans le secteur industries de la machinerie 22 syndicats locaux sont affili s la F d ration et ils r unissent L 684 travail leurs 20 Ibid pe 33 101 F D RATION D MOCRATIQUE DE LA M TALLURGIE DES MINES ET DES PRO DUITS CHIMIQUES CSD La Centrale des syndicats d mocratiques CSD a t fond e en juin 1972 par les repr sentants de quelque 150 syndicats affili s la Conf d ration des syndicats nationaux2l D s juillet 1972 l Assembl e nationale du Qu bec adopte l unanimit une loi cons tituant la CSD en corporation et amendant la lot des syndicats professionnels pour conf rer 18 CSD les m mes droits les m mes avantages et 18 m me protection qu aux autres corporations consti tu es en vertu de ladite loi et aussi pour l assujettir aux m mes obligations La F d ration d mocratique de la m tallurgie des mines et des produits chimiques CSD est l un des huit regroupements secto riels de la Cent
269. ocesses 1981 275 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL La commande de machines outils une application de la politique de pr vention Bruxelles CGPT 1983 79 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL S curit et gi ne dans l industrie du m tal vade mecum 25 54 Bruxelles CGPT 1980 129 p COMMISSARIAT G N RAL LA PROMOTION DU TRAVAIL Travail en s cu rit sur les machines bois campagne de s curit et d hygi ne dans les industries du bois 1975 1976 Bruxelles CGPT 1975 DOLB 17 5719 6 48 p 4 COMMISSION DE L EMPLOI ET DE L IMMIGRATION DU CANADA Machiniste Hull Centre d dition du gouvernement du Canada 1978 143 p COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL Equipement de transport au Qu bec Monographle sectorielle Montr al CSST 1984 285 p DUPONT DE NEMOURS Properties and Uses of Dupont Chlorinated Hydrocarbon Solvents Wilmington Del 1966 13 p DUPONT DE NEMOURS Standard Practices Metal Degreasing with Chlorinated Solvents Wiimington Del 1966 13 p GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Guarding of Cutters of Horizontal Milling Machines Londres H M S 0 1976 20 Pe GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Portable Grinding Machines Control of Dust Londres H M S 0 1982 42 pe GREAT BRITAIN HEALTH AND SAFETY EXECUTIVE Safety in the Use of Guillotines and Shears Londres
270. ocumentaires n 93 Paris INRS 1978 p 485 notes documentaires 505 Note doc n 1139 93 78 LAFOREST J C Traitements thermiques aide m moire Cahiers de notes documentaires n 97 Paris INRS 1979 p 537 543 Note doc n 1213 97 79 296 LEBLOND 8 et coll Le bruit dans les ateliers de d colietage Cahiers de notes documentaires n 88 Paris INRS 1977 p 303 313 Note doc n 1067 88 77 LELEU J Travaux de peinture aide m moire Cahiers de notes documentaires n 101 Paris INRS 1980 p 505 510 Note doc n 1283 101 80 LUNAU F W Occupational Health Aspects of Soft Soldering Australian Welding Journal vol 24 n 2 1980 p 21 23 MAHIEU J C Pr paration des surfaces m talliques d capage d graissage polissage aide m moitre Cahiers de notes docu mentaires n 118 Paris INRS 1985 p 73 82 Note doc n 1517 118 85 MAUGE M Fraiseuses machines fraiser Cahiers de notes documentaires n 118 Paris INRS 1985 p 1 23 Note doc n 1512 118 85 MAUGE M Tours Cahiers de notes documentaires n 119 TEE dE notes documentaires Paris INRS 1985 p 183 204 Note doc n 1527 119 85 NATIONAL SAFETY COUNCIL Press Brakes Chicago NSC 1977 p 1 7 PEINEKE H H Outils de presses comment am liorer la s curit du travail Cahiers de notes documentaires n 83 Paris INRS 72 06 notes cocumentali
271. omposantes qui sont en fonctionnement couper l alimentation lectrique du moteur et mettre des protec teurs autour des transmissions lors d un travail d entretien autour des ventilateurs verrouiller ou cadenasser les dispositifs de d marrage ou de commande pour emp cher toute mise en marche accidentelle Injection sous cutan e n utiliser que des pistolets haute pression munis d un syst ne de verrouillage de d tente d comprimer compl tement l installation la fin du travail et avant de d connecter le pistolet 355 Mesures sp cifiques de pr vention mm n utiliser que les tuyauteries sp cialement con ues pour l usage sous haute pression verrouiller la d tente avant tout changement de base au cours d une op ration de peinture v rifier fr quemment le fonctionnement du verrouillage du pisto let et le bon tat de la tuyauterie prot ger la tuyauterie sp cialement con ue pour l usage haute pression de toute d t rioration possible caus e par des pliages des coincements ou des crasements notamment dans les lieux de passage Intoxication aux diluants aux pigments et aux liants de peinture quiper les emplacements r serv s la peinture d une cabine dot e d une aspiration d air pollu pr voir des consignes d atelier concernant le fonctionnement et l utilisation des cabines s assurer de ne pas peindre lorsque le peintre est plac en
272. on L employeur doit galement tenir un registre contenant les rap ports d inspection Partie VI Niveaux d clairage Cette partie tablit certaines normes en mati re d clairage des endroits normalement occup s par des employ s dans l ex cution de leur travail Elle impose l employeur des obligations sp cifiques en mati re d installation de syst mes d clairage de qualit et de quantit de lumi re et de v rification des installations d clairage et d clairage de secours Partie VII Niveaux acoustiques Cette partie prescrit la norme que doit respecter un employeur concernant le niveau de 434 bruit auquel peut tre expos un employ sur un lieu de travail et pr cise les mesures prendre lorsque l employeur ne peut s y conformer L employeur doit s il ne peut se conformer la norme de 90 d ci bels r duire le nombre d heures d exposition des employ s ou si cela est impossible il doit en faire rapport l agent r gional de s curit et fournir aux employ s un protecteur auditif conforme aux normes de l Association canadienne de normalisation Des panneaux d avertissement doivent tre install s par l em ployeur dans les lieux de travail o les niveaux de bruit sont sup rieurs 90 d cibels Partie VIII Protection contre les dangers de l lectricit Cette partie pr voit que 18 conception la construction et l ins tallation de l outillage lectrique doivent tre c
273. on leur fabrication leur mise en service et leur utilisation 438 Les employ s d couvrant un bris sur les machines ou les outils dont ils se servent doivent le signaler leur employeur qui doit les mettre hors de service Les employ s doivent galement recevoir la formation et 1 nement assurant qu ils feront une entra utilisation s curitaire des outils et des machines dont ils se servent dans leur travail Cette partie traite plus sp cifiquement des dispositifs protec teurs dont doivent tre munis certaines machines meules appa reils de transmission m canique d nergie machines bois et presses d couper Partie XIV Manutention et entreposage des mat riaux partie traite d Cette abord de la conception et de la construction des appareils de manutention des mat riaux cet gard elle certaines r gles sp cifiques concernant notamment la protection contre la chute d num re dans une premi re section objets la protection contre le renversement la position des r servoirs de carburant la protection contre les intemp ries les vibrations la conception des tableaux de commande la pr sence d un extinc teur la pr sence d entr es ou de sorties rage la pr sence d clai la pr sence de freins et de m canismes directionnels ou de contr le d un klaxon ou d un dispositif avertisseur de ceintures de s curit de r troviseur etc Dans sa section
274. on 30 canadienne de compresseurs de roues hydrauliques et de turbines une grande partie de la production totale de pompes de machines pour mines de machines pour le papier et la p te de papier de moteurs diesels et de pelles m caniques De leur c t les r gions industrielles de Toronto et du sud de l Ontario d tenaient la palme des producteurs de machines et d outillage d un genre plus l ger Les machines outils entre autres taient presque toutes fabriqu es dans le sud de l Ontario Ce n est qu partir de 1960 qu on a vu des fabricants de machines outils s installer au Qu bec D j ce moment ce sous secteur tait compos d un pourcentage tr s lev 67 de petits tablissements moins de 50 employ s et d un tr s faible pourcentage 2 4 de tr s grandes entreprises plus de 500 employ s Les petites entreprises du secteur indus tries de la machinerie pouvaient contrairement celles d autres secteurs industriels se maintenir et affronter la concurrence Elles concentraient leurs efforts dans un champ particulier et taient en mesure de fabriquer des articles sur commande et d as surer leur r paration et leur entretien des prix concurren tiels En 1970 ce sous secteur de l industrie tait toujours le plus important et le plus dynamique de l industrie qu b coise de la machinerie Comme on le voit au tableau 5 sa valeur ajout e repr sentait 92 5 de celle de l industrie de la mac
275. on de l ouvrier et des mouvements effectuer l tat des lieux les sols les bruits la temp rature et l atmosph re ne doivent pas nuire aux r flexes de l op rateur Affections cutan es avoir une bonne hygi ne personnelle utiliser des agents antiseptiques dans les lubrifiants solubles renouveler fr quemment le lubrifiant surveiller les allergies ou r actions cutan es apparaissant au contact avec l huile Al seuses D En Mesures sp cifiques de pr vention EEE ee Mouvement de va et vient d une pi ce mobile sur un objet fixe barri res de s curit d limitation de la zone n cessaire au d placement des pi ces mobiles dispositif de verrouillage et d interverrouillage syst me de double commande manuelle isolement de la zone de travail f 332 aa a a UU Mesures sp cifiques de pr vention aaaea aaa O Ejection d une pi ce port de protection oculaire capot et cran protecteur syst me de contr le indiquant l op rateur que la pi ce usi ner est solidement fix e Entra nement des cheveux ou des v tements par une pi ce en rota tion 7 ne pas porter de v tements flottants identifier clairement le dispositif d arr t d urgence proxi mit de l al seuse porter un bonnet pour retenir les cheveux isolement des parties en rotation se tenir distance des l ments en rotation P
276. onformes aux normes nonc es dans le Code canadien de l lectricit dans la mesure ces normes gont indispensables l hygi ne et 13 s curit des employ s La mise en service et l entretien de l outillage lectrique doivent aussi tre conformes aux normes de ce code La notion d outillage lectrique comprend tout outillage qui sert la production la distribution ou l utilisation de l lec tricit a Ce chapitre contient galement une proc dure de s curit d taill e qui s applique lorsqu un employ doit travailler sur de l outil lage lectrique Il pr voit galement la pr sence d un surveil lant de s curit lorsqu un employ travaille sur un outillage lectrique sous tension 435 Enfin cette partie prescrit des mesures de s curit concernant le travail dans des poteaux et constructions lev es l interruption la source de l alimentation en courant de l outillage lectrique et la localisation des dispositifs et interrupteurs de commande e Partie IX Mesures d hygi ne Cette partie impose l em ployeur l obligation g n rale de voir la propret et la salu brit constantes des installations sanitaires des locaux r serv s au personnel et des aires de pr paration des aliments Quant l employ qui se sert d une installation sanitaire d un local r serv au personnel ou d une aire de pr paration des ali ments il doit le faire de fa on en conserve
277. ont compensables Les cas d incapacit temporaire sont les plus fr quents puisqu ils consti tuent pr s de 95 de ces l sions compensables Plus de 90 des accidents compensables qui se sont produits dans le secteur entre 1980 et 1983 ont une dur e d interruption du travail gale ou inf rieure 40 jours En ce qui concerne le si ge de la l sion ce sont les yeux qui sont le plus souvent atteints 21 6 des cas L unit engins lourds encoure pr s des trois quarts des cas d accidents compensa bles La profession soudeurs et oxycoupeurs 86 classe au premier rang avec pr s de 25 des accidents compensables du secteur Quant la nature de la l sion les cas de douleur dorsalgie lombalgie etc sont les plus fr quents 17 9 Au sujet du genre d accident et de l agent causal les cas frapp par et articles en m tal comptent respectivement pour 19 6 et 36 0 de 1 ensemble On a d nombr 825 incapacit s permanentes Le taux moyen d inca pacit est de 5 36 pour le secteur Seulement 223 cas de maladies professionnelles compensables ont t rapport s Plus des deux tiers se r partissent entre les cas de surdit 57 0 et les maladies du syst me musculo squelet tique 10 8 Le taux d incidence qui mesure le nombre de l sions compensables par employ indique qu en moyenne il a chaque ann e 27 l sions compensables par 100 employ s dans le secteur industries de la machinerie
278. ontinuellement tre lib r des objets inutiles des pandages d huile etc aussit t que possible et au moins la fin de chaque quart de travail Protection personnelle Les quipements de protection personnelle font partie int grante du processus de pr vention Souvent ces quipements font partie de la solution temporaire propos e en attendant que le danger la source ait t limin Chaque condition de travail doit tre valu e en fonction des risques qu elle comporte Par 18 suite une d cision peut tre prise quant au port de lunettes de mas ques de gants de v tements de souliers appropri s ou autres quipements appropri s de travail Formation La formation c est la cl de 13 r ussite en mati re de sant et de s curit au travail Le travailleur qui manipule une machine ou effectue une op ration particuli re dans le processus de la fabrication des machines doit accomplir sa t che d une mani re s re en comprenant et en connaissant les risques associ s cette 313 E ra 4 H i i 1 i 4 i aeea E TI TEE t che La formation devient donc n cessaire cette transmission de connaissance en mati re de sant et de s curit est un pro cessus continu o il faut rappeler intervalles r guliers les risques et les mesures pr ventives existantes pour r duire les risques Information On ne doit pas n gliger l information concernant
279. ontmagny Est du Qu bec Saguenay Lac Saint Jean Qu bec Mauricie Estrie Montr al Vall e du Richelieu Beauce Bois Francs Le service de sant et de s curit s inscrit dans la strat gie de la Centrale fond e sur le principe de la qualit de vie au tra vail et vise l am lioration des conditions de travail Dans cette optique la Centrale offre les cours suivants cours de base pr vention indemnisation r adaptation r le des participants et des intervenants selon la loi qu b coise cours sur la sant au travail le r le des intervenants le bruit les maladies pulmonaires l ergonomie l indemnisation des accidents la r adaptation les intoxications les notions m dicales le r le d un agent syndical 7 Cours en hygi ne industrielle sur le bruit les agresseurs chi miques les contraintes thermiques l clairage les structures pr vues par la Loi sur la sant et la s curit du travail cours de pr vention m dicale et d hygi ne alimentaire formation interne pour les permanents et les repr sentants syn dicaux Les contenus en sant et s curit des cours proviennent d une enqu te men e aupr s de 1 300 membres en 1984 Il en est ressorti les risques et dangers suivants environnement physique temp rature et bruit environnement chimique poussi res charge physique postures de travail effort physique charge mentale attention vitesse pr cision
280. onventions pr voient que le travailleur victime d un accident du travail est r mun r par son employeur pour le reste de la journ e Les clauses relatives aux quipements de s curit sont les plus fr quentes dans ce secteur 95 2 Les principaux articles de protection mentionn s dans les conventions collectives sont les lunettes 45 les chaussures 29 les bottines 25 les gants 25 les tabliers 12 et les salopettes 11 tels que pr sent s au tableau 27 117 TABLEAU 27 NOMBRE CLAUSES DE CONVENTIONS COLLECTIVES PORTANT SUR LES QUIPEMENTS DE S CURIT quipements de s curit Nombre de R partition clauses C4 Lunettes 45 6 8 Chaussures 29 4 4 Bottines 25 3 8 Gants 25 3 8 Tabliers 12 1 8 Salopettes 11 1 7 Imperm ables 10 1 5 V tements ext rieurs 9 1 4 Sarraus 8 1 2 Masques 6 0 9 Casques de s curit 6 0 9 Autres 21 3 2 Aucune disposition 451 68 3 _ _ TOTAL 658 100 0 EL Source Qu bec Minist re du Travail Centre de recherche et de statistiques sur le march du travail Direction de l analyse des conventions collectives juin 1985 118 Seulement 8 conventions sp cifient qui appartient la responsa b ilit de choisir les quipements de s curit Il a 47 conven tions qui stipulent que l ensemble des quipements de s curit l exception des bottines et des lunettes est enti rement pay par l employeu
281. ori taires La CSST verse les ressources financi res pour la r alisa tion des programmes Les DSC sont sp cifiquement mandat s pour l ex cution de pro grames et la prestation de services de sant au travail La plupart sont exclusivement orient s vers les programmes pr vus Pour les groupes d j prioritaires Toutefois offrent un service d plusieurs DSC expertise lorsqu il s agit de retrait pr ventif de la travailleuse enceinte ou qui allatte Les DSC et les CLSC ont des services d accueil ou d information qui varient gelon les r gions et parfois les ann es Par exem ple des CLSC publient des t moignages o des tudes propres un 390 secteur ou un autre ils tentent par diverses strat gies de joindre les travailleurs moins bien organis s et non syndiqu s Les CH DSC et les CLSC sont surtout impliqu s dans l laboration et la mise en application des Programmes des secteurs priori taires CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC CPSSTQ Le Centre patronal de sant et de s curit du travail du Qu bec fait appel aux ressources et aux comp tences du milieu plut t que de d velopper des comp tences techniques tr s approfondies En retour il assure une large diffusion de l information ainsi recueillie et il offre des services g n raux et collectifs en mati re d information de formation et de conseil Le Centre patronal vise ainsi r pondre aux
282. ormatiques de ressources humaines de services auxiliaires de programma tion budg taire et d information de gestion Elle planifie coordonne et contr le la perception des cotisations des em ployeurs En plus des 3 grandes vice pr sidences 11 existe 14 directions r gionales desquelles rel vent directement les services de pr ven tion inspection et de r paration Ces directions sont responsa bles au niveau du territoire de leur r gion d appliquer les programmes de la Commission et d assurer les services destin s aux diverses client les D PARTEMENTS DE SANT COMMUNAUTAIRE DSC 28 Les d partements de sant communautaire sont des organismes n s de la r forme du secteur de la sant Cr s en vertu des r glements de la Loi sur 168 services de sant et les services sociaux L R Q 1977 S 5 et modifications ils int grent le mod le de la sant communautaire dans la structure de la sant 28 Devost L imprimerie au Qu bec Montr al CSST 1982 129 130 C est en 1979 que des postes de coordonnateur en sant au travail sont accord s aux d partements de sant communautaire par le minist re des Affaires sociales pour assister les chefs de d par tements de sant communautaire dans leurs responsabilit s aupr s des travailleurs tablis dans 32 h pitaux g n raux du Qu bec les DSC ont pour mission d assurer les services n cessaires la mise en applica tion des programmes d
283. orse foulure 2 572 143 583 15 4 21 1 1 79 Coupure plaie 1 609 75 691 9 7 11 1 2 13 Coupure charde 2 663 61 581 16 0 9 1 4 32 L sions caus es par arcs lectriques 1 124 6 431 6 7 0 9 17 48 Fracture arrache ment osseux 705 35 743 4 2 5 3 1 97 Br lure chaleur 426 15 693 2 6 2 3 2 71 Autres natures et non cod es 17627 85 111 9 8 12 5 1 91 TOTAL 16 653 679 864 100 0 100 0 2 45 On ne retient ici que les natures dont la proportion est gale ou sup rieure 2 0 de l ensemble 168 8313 8335 8393 8523 8529 B584 9318 9999 TOTAL TABLEAU 39 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES SELON LES PRINCIPALES NATURES DES L SIONS ET LES PRINCIPALES PROFESSIONS DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE Profession Contusion Coupure Plaie Machinisteg de ma chines out ls Soudeurs et oxycoupeurs Limeurs meuleurs NCA Fabrication de ma chines NCA Fabrication de pro duite m talliques NCA M caniciens de machines industrielles Manoeuvres manutenr tiannaires Autres professions 274 589 82 96 157 70 215 1 465 2 948 17 7 279 228 82 93 53 144 662 609 1980 8 1983 Nature de la l sion Coupure Entorse charde Foulure 237 752 265 341 52 245 914 2 663 16 0 213 572 92 92 122 175 1 238 2 572 Douleur 234 580 125 170 80 305 1 415 2 979 Autre
284. orsqu on parle d accident il s agit en fait des s quelles subies par 16 travailleur et non pas des accidents eux m mes on ne d crit pas comment l accident est survenu mais on indique duel sont les diff rents l ments qui ont r sult en une s quelle soit la nature le si ge etc de la blessure Maladie professionnelle Une maladie professionnelle est une maladie contract e par le fait ou l occasion du travail et reconnue par la Commission comme caract ristique d un travail ou reli e directement aux risques particuliers du travail Les accidents du travail se divisent en deux cat gories ceux avec interruption de travail et ceux sans interruption de travail Nous utilisons parfois les termes compensable et non compensable pour d signer ces deux cat gories Accident du travail sans interruption de travail L accident du travail sans interruption de travail ou non com pensable est un accident qui ne rend pas le travailleur incapa ble d occuper son emploi au del de la journ e au cours de laquelle l accident se produit Accident du travail avec interruption de travail L accident du travail avec interruption de travail ou compensa ble est un accident qui rend le travailleur incapable d occuper son emploi au del de la journ e au cours de laquelle l accident se produit La distinction entre sans interruption de travail et avec inter ruption de travail est importante parce qu elle constitue la pre mi
285. osses particules d huile Risques pour la sant Le lubrifiant de coupe utilis ou se transformant en brouillard est susceptible de provoquer des affections respiratoires sans compter les dermatoses et les risques de cancer 212 Du c t ergonomique dans les cas o les travailleurs seraient en position assise le choix des dimensions et des angles pour la conception des si ges sera bien adapt la morphologie des op ra teurs On valuera galement les efforts limites admissibles en fonction de leur fr quence pour les principales actions muscu laires de l op rateur de machine outil Perceuses Les perceuses sont des machines outils qui remplissent deux fonc tions principales le per age et 16 taraudage Le per age est l op ration qui consiste creuser des trous de diam tre g n ra lement inf rieur 60 mm dans des pi ces d usinage et ce par enl vement de copeaux Le taraudage quant lui dessine un filetage dans un trou cylindrique l aide d un outil tranchant appel taraud Les perceuses se classent dans l une ou l autre des cat gories suivantes les perceuses colonne sch ma 4 les perceuses plusieurs broches dispos es en ligne les perceuses radiales les perceuses multibroches Les perceuses poss dent toutes les caract ristiques suivantes capacit de per age exprim e par la grandeur du diam tre du trou
286. ou d ann es personnes tel qu tabli ici Ces donn es peuvent diff rer des donn es sur le nombre de travailleurs rapport es dans les autres mono graphies Les donn es sur la masse salariale assurable et sur le salaire moyen des r clamants proviennent des fichiers de la CSST 155 33511 31211 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 31995 TOTAL 5 Unit quipement agricole R frig ration Canvoyeurs V rins bydrouliques CEn rateurs Hachines outila Filtres air Hachines coudre quipenent industriel R paration L alons compenanbler Toutes Sources ables moins d indication 156 TABLEAU 30 R PARTITION DES L SIONS PROFESSIONNELLES SELON LA CAT GORIE ET L UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 PE 2 Accident D c s Haladie profesafonnelle TT _ _ _ _ _ A Toutes les l sionn L gions compenunblen Non com Inca Tnca Non coe Avec inter Nombre t Nowbre x penaable pocit pacit pensable ruptlon ou Eaapo porna q incapacit raire nente Permanente 425 707 20 0 5 4 1 161 4 6 731 5 155 200 1 6 1 1 357 1 4 202 1 2 45 613 35 0 5 1 110 4 4 651 3 9 308 415 24 o 2 752 3 0 441 2 6 395 875 f 1 14 44 1 346 5 3 9 9 5 6 568 1 018 36 5 12 1 639 6 5 1 066 6 3 hk 121 4 0 0 1 170 0 7 126 0 7 56 67 2 D 1l 5 131 0 5 74 0 4 5 351 11 544 486 2
287. ou l utilisation d un quipement de protection individuel peut emp cher ou diminuer sensiblement gravit d une blessure ventuelle s assurer que chaque employ expos un tel danger porte ou utilise cet quipement de la fa on prescrite par la pr sente partie l exception du casque protecteur et des chaussures de s curit l employeur doit fournir ses frais l quipement de protection individuel prescrit par la partie XII 14 doit aussi veiller ce que chacun de ses employ s re coive des directives et une formation relatives au fonctionnement l utilisation et l entretien de tout quipement qu il doit porter ou utiliser Enfin l employeur doit s assurer que l quipement qu il doi t mettre la disposition de ses employ s est entrepos entretenu inspect et v rifi par une personne qualifi e de mani re ce que cet quipement soit en tout temps s r et pleinement efficace Quant l employ il ne peut entreprendre une t che ou dans un lieu de travail o le port ou l utilisation d un quipe ment de protection individuel est requis par la partie XII moins qu il ne porte ou n utilise cet quipement et qu il n ait re u une formation ou des directives ad quates pour ce faire Partie XIII Outils et machines Selon cette partie l en ployeur doit s assurer de la conformit des outils aux normes de l Association canadienne de normalisation dans leur concepti
288. our les cas d acci dents de pr vention d accidents et des mesures d hygi ne 19 F d ration des syndicats des mines de la m tallurgie et des produits chimiques Histoire depuis la fondation en 1944 Montr al CSN 100 N e en 1953 la F d ration nationale des produits chimiques dispa raft en 1957 La plupart de ses syndicats s int grent la F d ration de la m tallurgie Dans les ann es soixante la F d ration des mines prouve des dif ficult s la direction la finance et la n gociation Ces probl mes m nent 18 fusion entre la F d ration des mines et 18 F d ration de la m tallurgie en 1968 Cet v nement porte l ef fectif de la F d ration des syndicats des mines de la m tallurgie et des produits chimiques plus de 30 000 membres En 1983 elle devient la F d ration de la m tallurgie La cr ation de la Cen trale des syndicats d mocratiques ainsi que ia d saffiliation des travailleurs de l aluminium porte un dur coup la F d ration en 1972 cette ann e l elle perd 10 000 membres Le congr s l assembl e pl ni re le bureau f d ral et le comit ex cutif constituent les instances d cisionnelles la F d ration de la m tallurgie Le congr s r unit les d l gu s des syndicats locaux tous les deux ans pour juger la conduite des instances inf rieures et pour d terminer les grandes politiques de la F d ration L assembl e pl ni re se r unit e
289. oyeur doit tablir par crit la marche suivre pour donner les premiers soins dans les cas de blessures de maladies profession nelles ou de malaises On y reconna t aussi l obligation pour l employeur lorsque le nombre des employ s affect s un lieu de travail le justifie d employer un travailleur qui soit un secouriste qualifi Il doit fournir ses frais l enploy bless un moyen de trans port appropri pour se rendre l h pital un service de sant une installation m dicale ou sa r sidence Il doit de plus y avoir un Poste de secours sur tout lieu de Une telle salle doit en principe tre am nag e lorsqu un lieu de travail sauf si une salle de premiers soins est am nag e travail compte 200 employ s ou plus un moment quelconque 441 L employeur doit fournir la quantit et le type de mat riel d instruments et d quipements de premiers soins prescrits par la partie XVI t Cette partie pr voit enfin la tenue et la conservation d un registre de premiers soins Partie XVII S journer en s curit dans un lieu de travail Suivant cette partie du R glement l employeur doit installer inspecter et entretenir un quipement de protection contre les incendies conforme aux normes du Code national de pr vention des incendies Lorsque plus de 50 employ s sont au travail dans un b timent l employeur ou les employeurs en consultation avec le comit de sant et
290. ozone est particuli re ment importante durant les op rations au pistolet au plasma Agresseurs physiques gt Le bruit est particuli rement lev durant les op rations au pistolet au plasma La radiation aux rayons ultraviolets repr sente un risque pour les yeux Sablage au jet Cette op ration est utilis e avant un traitement thermique ou la m tallisation pour nettoyer les pi ces ayant quelques imperfec tions Il existe deux types de jets de sable le jet de sable effectu dans une pi ce pour le nettoyage de morceaux de grandes dimensions sch ma 10 le jet de sable effectu dans une enceinte scell e pour le nettoyage de petits morceaux 242 SCH MA 10 QUIPEMENT DE SABLAGE AU JET PRESSION Compresseur Purificateur d air Filtre i d abrasif Tuyau d alimentation de l abrasif Ligne d air d arr t automatique RU sa aaa A y SAG A Le L Gants gt urinni il R SERVOIR POUR LE JET DE SABLE Passoire de l abrasif Soupape distance de la ligne d abrasif Dispositif de s ret pour l arr t et le d marrage du r servoir Soupape de s ret Prise de main pour le transport pn R serve d air distance Soupape d tranglement de l air Connection de tuyaux Ligne d air du r servoir du dispositif d arr t automatique Tuyaux d alimentation f avec fil conducteur a E Mise la terre Soupape d coulement
291. parantie de s curit pour l acheteur et l utilisateur a confectionn un catalogue pour faire conna tre l industrie et ses produits sp cialement l ext rieur du Qu bec 8 r solu un probl me de douanes puisant l exportation des pro duits de l industrie Derni rement l Association a ax ses efforts dans la promotion du sceau de conformit et dans la consultation de ses membres afin de faire consensus sur les moyens prendre pour am liorer la qualit de l aide gouvernementale 113 ANALYSE DU CONTENU DES CONVENTIONS COLLECTIVES En septembre 1982 16 CSST confie au Laboratoire de recherche en relations industrielles de l Universit Laval le soin d analyser et de codifier les conventions collectives sign es en vertu du Code du travail du Qu bec et dont la date d ch ance est post rieure au 31 ao t 1982 Au d but de 1984 plus de 4 200 conventions collectives ont t analys es et codifi es dans diff rents secteurs d activit s incluant celui des industries de la machinerie L analyse et 16 codification des conventions collectives sont faites sur une base continue par une mise jour tous les trois mois L analyse et la codification sont effectu es partir d une grille d analyse comprenant quelque 130 variables Ces variables corres pondent des dispositions des conventions collectives traitant de sant et de s curit Nous avons cru bon de retenir les donn es sur les variables l
292. permet de prot ger la soudure contre l oxydation et la contamination sch ma 14 263 no SCH MA 12 SOUDAGE AU MIG Alimenteur continu Gaz protecteur 5 Cylindre de gaz inerte G n rateur de coutant continu Disjoncteur Bo te de contr le Source William A Burgess Recognition of Health Hazards in Industry A Review of Materials and Processes reproduit avec la permission de John Wiley and Sons 264 SCH MA 13 SOUDAGE AU TIG Support l lectrode lectrode au tungst ne gt 7 Gaine isolante Conducteur Conduits de gaz lectrique re Gaz protecteur W Machine souder M tal souder Source William A Burgess Recognition of Health Hazards in Industry A Review of Materials and Processes reproduit avec la permission de John Wiley and Sons 265 SCH MA 14 COUPE TRANSVERSALE D UNE SOUDURE L LECTRODE ENROB E Enrobage de l lectrode M tal d apport Atmosph re protectrice Soudure Coul e de l arc Crasse solidifi e paisseur souder M tal soud Base de Health Hazards in William A Burgess Recognition o 5 Industry A Revia of Materials and Processes avec la permission de John Wiley and Sons 266 D coupage l arc lectrique Le d coupage l arc lectrique peut se r aliser de deux fa ons arc ox
293. peut se produire dans les cas suivants absence ou d faillance du syst me de r gularisation surcharge en pi ces chaudes surchauffe locale accumulation de crasse Des r actions brutales peuvent galement se produire en cas de m lange avec divers autres compos s chimiques incompatibles tels 250 EE Risques E a que aluminium magn sium cyanure bois chiffon huile gra phite etc Les accidents surviennent plus particuli rement dans les cas suivants traitement de pi ces non d graiss es traitement de pi ces sortant d un bain de sels cyanur s et non nettoy s rechargement d un creuset avec des sels non compatibles traitement de pi ces en alliage plus de 2 Z de magn sium lectrocution Le risque sp cifique aux ateliers de traitement thermique provient plus sp cialement des points suivants d gradation des isolements cons cutive aux variations impor tantes de temp rature subies par le mat riel contact direct possible des r sistances non recouvertes de certains fours lectriques avec des crochets ou des acces soires de manutention tenus la main lors des op rations de chargement et de d chargement des pi ces alimentation haute tension de certains fours nitruration ionique Risques pour la sant Les risques pour la sant sont surtout reli s l intoxication par les produits utilis s dans les fours de bains d
294. pieds porter des gants avec des aimants ne pas couper de bandes dont la largeur est inf rieure 20 fois l paisseur du m tal cisaill porter des chaussures de protection utiliser des appareils de manutention installer des billes de glissement dans la table ou des rouleaux au bord de celle ci pour faciliter la manutention ne pas cisailler de pi ces d paisseur sup rieure la capacit normale de la cisaille Contacts fortuits divers les protecteurs et le presse t le doivent permettre une bonne visibilit de la ligne de coupe pour un clairage suffisant pr voir des lampes d clairage entre le presse t le et la lame un indicateur lumineux de la ligne de coupe facilite 16 cisail lage au trait le poste de travail doit tre am nag en fonction des mouvements effectuer par l ouvrier le dispositif de commande doit tre con u et install pour faci liter le travail de l op rateur utiliser des appareils de manutention le sol doit tre nivel et propre les abords de la machine d gag s limiter autant que possible l pandage d huile sur le sol l tat des lieux les bruits la temp rature l atmosph re ne doivent pas nuire aux r flexes de l ouvrier 341 4 arhi Fi 451 i qe Mesures sp cifiques de pr vention PP lectrocution en fonctionnement uormal mise la terre des masses m talliques de la machine gt les installations lectriques
295. piratoires par inhalation repr sentent un autre risque pour la sant De nombreuses cat gories d huile contiennent des hydrocarbures canc rig nes des concentrations diverses Ces hydrocarbures apr s un temps d exposition assez long 15 20 ans peuvent tre responsables de cancers cutan s ou 8 tout 16 moins de dermatoses plus court terme EE Si l on tient compte des statistiques d accidents et des risques pour la sant et la s curit on peut apporter des mesures de pr vention adapt es aux probl mes rencontr s dans le secteur industries de la machinerie Ces mesures g n rales de pr vention peuvent se diviser en deux cat gories principales les mesures de pr vention d ordre technique et les mesures de pr vention d ordre administratif MESURES DE PR VENTION D ORDRE TECHNIQUE Les mesures de pr vention d ordre technique peuvent tre employ es seules ou en conjonction avec d autres 068 mesures de pr vention d ordre technique sont nombreuses et vari es Substitution Un proc d ou une machine dangereux peuvent moyen ou court terme tre chang s par d autres moins dangereux Un solvant peut aussi se substituer un autre Souvent cette solution draco nienne qui peut sembler on reuse au premier abord peut tre justifi e par une augmentation sensible et significative de 18 productivit Si la s curit est int gr e l quipement ou au proc d il sera moins n
296. pr occupations de gestion communes ses membres sur le plan de la sant et de la s curit du travail Parce que le CPSSTQ entend respecter le r le jou par le secteur priv ce dernier doit adapter et individualiser les outils d ve lopp s par le Centre Le CPSSTQ collabore avec les associations membres dont le secteur d activit est d sign prioritaire Ainsi plusieurs programmes et services tels que l laboration de programmes types de pr ven tion et les sessions d information ont con us de fa on r pondre aux besoins sp cifiques de la client le dont le secteur d activit vient d tre d clar prioritaire par la CSST Les autres programmes et services s adressent tous les membres du Centre y compris les entreprises du groupe IV Voici la liste des programmes et services du CPSSTOQ laboration de programmes types de pr vention mod les sessions d information trimestrielles par exemple laboration du programme de pr vention en entreprise les comit s de sant et de s curit du travail le repr sentant la pr vention l ments de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles les m canismes d appel les maux de dos et 18 gestion du dossier des accidents cours de formation 8 l intention des superviseurs de premier niveau sensibilisation des dirigeants d entreprises d un m me secteur d activit conomique ateliers concernant les cotisations
297. ques d accidents et des maladies professionnelles et des risques pour la sant et pour la s curit r pertori s dans le secteur MESURES G N RALES DE PR VENTION Cette section permettra au lecteur de choisir les mesures g n rales de pr vention qui s adaptent le mieux aux besoins des entre prises du secteur industries de la machinerie Avant d aborder les mesures g n rales de pr vention il convient de pr senter les principaux accidents et les principales maladies professionnelles le plus souvent r pertori s dans les donn es statistiques du secteur Les l sions affectant les yeux soudage poussi re etc le dos soul vement d objet les doigts cou pures crasement etc constituent les principaux si ges de l sions enregistr s et la surdit bruit la principale maladie professionnelle r pertori e De plus les risques pour la sant et la s curit sont associ s aux diff rents travaux reli s aux machines d usinage responsables des coupures aux doigts et des poussi res dans les yeux les travaux de soudage effectu s dans les industries du secteur sont responsables des l sions aux yeux flash tandis que les travaux d assemblage des machines et de manutention entra nent des l sions au dos Par contre la surdit est g n ralement une maladie professionnelle reli e aux soudeurs et certaines op rations d usinage Enfin les brouillards d huile qui peuvent affecter la peau et les voiles res
298. ques de levage la capacit de lever et de transporter un chargement est limit e Les techniques de levage sont donc impor tantes conna tre et utiliser Pour transporter plusieurs petites pi ces le travailleur utilise un chariot sur roues Il doit lever pousser tirer et empiler diff rents objets de dimensions et de poids ne d passant pas ses propres limites Risques reli s la manutention m canique Les principaux risques reli s la manutention m canique concer nent principalement la s curit Risques a a O OOO Pour les chariots l vateurs Chute de charges particuli rement en tournant ou sur un plan inclin Remplissage du gaz propane et les fuites possibles D s quilibre du chariot lorsque la charge est au point le plus lev Circulation difficile l int rieur de l usine Contact avec des parties en mouvement du chariot Collisions avec d autres objets Gaz d chappement des chariots l vateurs monoxyde de carbone et produits de combustion 276 A Risques A Pour les ponts roulants Le transport des pi ces s effectue en hauteur hors du champ visuel normal Cette particularit repr sente des risques divers pour l op rateur pour le personnel au sol et pour les ouvriers affect s l entretien Cisalllement ou crasement du personnel se t
299. r De plus 28 conventions indiquent les circonstances o ces quipements doivent tre port s et 34 mentionnent que le port est obligatoire sauf pour des ratsons m dicales Comme le d montre le tableau 28 79 des conventions collectives du secteur traitent des 88 1 66 9 de participation la sant et la s curit du travail 49 conventions pr voient un comit paritaire de sant et de s curit du travail En ce qui a trait au mandat du comit paritaire 37 conventions lui confient un mandat d enqu te et d inspection soit propos de l exercice du droit de refus 18 soit pour appliquer les lois et r glements 15 soit pour choisir les quipements de s curit 11 De l ensemble des conventions collectives du secteur les clauses sur les quipements de s curit sont les plus nombreuses Il est heureux de constater que les dispositions sur l indemnisation et celles sur les m canismes de participation sont aussi nombreuses AUTRE INTERVENANT PROPRE AU SECTEUR ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES Rappelons que la Loi sur la sant et la s curit du travail pr voit la cr ation d une association sectorielle pour chaque secteur d activit s conomiques 119 TABLEAU 28 NOMBRE LE CONVENTIONS COLLECTIVES COMPORTANT UNE CLAUSE SUR LES M CANISMES DE PARTICIPATION M canisme de particip
300. r sume les risques pour la sant et la s curit reli s l ensemble des machines outils portatives tandis que le tableau 51 pr sente les risques relatifs chaque machine out11l portative selon son application et sa source d alimentation MENUISERIE Cette op ration industrielle ne sert qu construire des caisses de bois pour prot ger les machines qui sont exp di es aux entre prises clientes En fait les op rations de menuiserie sont r duites au strict minimum et les ouvriers ne travaillent qu temps partiel dans ce d partement Cette activit se situe la fin du Processus de production de la fabrication des machines entre l assemblage et l exp dition de la machine 280 TABLEAU 50 RISQUES POUR LA S CURIT ET LA SANT RELI S AUX MACHINES OUTILS PORTATIVES A e aan l Heurt au point de contact entre la machine et la pi ce 2 Choc associ la source lectrique 3 Choc lectrique associ la pi ce de travail 4 Chute provoqu e par les fils lectriques ou les lignes d air comprim 5 Chute provoqu e par le bris de la machine outil portative a Chute d outils sur l op rateur ou sur les ouvriers environ nants R troaction de la machine outil portative Projection d manchement ou rupture d outils Le Explosion ou incendie 10 Bris ou usure des fils lectriques o des tuyaux d air com prim 11 Projection d clats ou de po
301. r compte des facteurs environnenentaux tels la temp rature l humidit l clairage 19 bruit et les vibrations 360 Manutention m canique Dans le cas de la manutention m canique les principales mesures de pr vention sont reli es au type d appareil de levage utilis aaa Mesures sp cifiques de pr vention R E aa aA Chariots l vateurs former ad quatement les conducteurs de chariots l vateurs pour la conduite la manipulation des pi ces transporter et 16 remplissage ou le remplacement des bonbonnes de gaz propane d gager les all es de circulation du chariot l vateur et am na ger la signalisation des voies par des bandes voyantes entretenir p riodiquement les chariots l vateurs et instaurer l entretien pr ventif se d placer en marche arri re aussi souvent que possible ne pas circuler avec la charge haute mais avec la charge basse d gag e du sol d environ 15 cm couvrir tout l ment en mouvement qui pourrait tre en contact avec l op rateur ou avec les autres ouvriers avoisinant le cha riot Ponts roulants former l op rateur manoeuvrant les ponts roulants ne jamais d passer la charge nominale du pont roulant des indi cations sp cifiques sont n cessaires ou utiliser un limiteur de charge qui r agit lorsque la charge d passe la capacit nominale du pont soit en coupant l alimentation soit en actionnant une alarme mettre en place des dispositifs anti
302. r la propret et la salubrit Cette partie dicte des normes sp cifiques ayant trait l entre tien la tuyauterie aux lieux d aisances aux salles de toi lette et lavabos aux douches et salles de douches 1l a ration l eau potable au rangement des v tements au logement sur place la pr paration et l entreposage des aliments aux cantines ainsi qu aux d chets Partie X Substances dangereuses Cette partie vise res treindre l utilisation ou contr ler l usage de toute substance qui en raison de l une ou l autre de 858 propri t s peut pr senter un danger pour la sant ou la s curit de l employ qui y est expos On y prescrit la tenue d une enqu te lorsque 18 sant ou 18 s cu rit d un employ risque d tre compromise par l exposition une substance dangereuse et s il est raisonnablement possible de le faire l obligation de substituer des substances non dangereuses aux substances dangereuses 436 Elle contient galement des dispositions relatives l a ration aux syst mes d avertissement alarme l entreposage la manipulation et l utilisation des substances dangereuses leur d signation ainsi qu au r seau de tuyaux utilis pour leur trans port Enfin cette partie contient certaines dispositions concer nant la formation des employ s et les examens m dicaux Cette partie ne s applique pas la manutention ou au transport de marchandises
303. r un rapprochement avec une caract ristique de l conomie qu b coise du d but du si cle Notre industrie manufacturi re tait alors concentr e dans les secteurs faible potentiel de d veloppement poss dant peu d incidence sur l conomie en g n ral Les industries les plus productrices apr s les scieries taient celles de la chaussure et du textile Elles constituaient aussi et dans l ordre les trois plus gros employeurs L industrie de la machinerie est tributaire de l industrie de la premi re transformation des m taux Elle a d atileurs longtemps fait partie du secteur industriel autrefois appel produits du fer et de l acier et cela parce que l on fabriquait les produits de cette industrie principalement partir de ces l ments 13 Qu bec la sid rurgie n a jamais constitu une industrie majeure dans le secteur manufacturier contrairement l Ontario Ce n est qu apr s 1950 que l on a r ellement commenc exploiter des gisements de fer Cette situation n a pas favoris le d veloppe ment de l industrie de la machinerie Enfin les march s de l automobile des machines agricoles de l industrie lourde taient surtout concentr s l ext rieur du Qu bec Toutefois entre 1921 et 1929 l expansion mini re et hydro lec trique de m me que le progr s de l industrie des p tes et papier furent particuli rement importants au Qu bec Le sous secteur autres industries de
304. ral et pour les m mes client les que le service de laboratoire MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS D PARTEMENTS DE SANT COMMUNAUTAIRE DSC ET CENTRES LOCAUX DE SERVICES COMMU NAUTAIRES CLSC Le minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS con oit et applique la politique sociale du Qu bec Il est responsable de 389 nn l implantation et du maintien des tablissements de sant et de services sociaux 11 a pour fonction d laborer et de proposer pour le Qu bec la politique relative la sant et aux services sociaux de fa on donner chaque personne et chaque famille une qualit de vie convenable Le MSSS planifie d veloppe surveille et contr le les programmes de sant et de services sociaux La mise en oeuvre des programmes est confi e la R gie de l assurance maladie du Qu bec aux conseils r gionaux de la sant et des services sociaux et aux tablissements de sant et de services sociaux parmi lesquels se trouvent les centres hospitaliers les DSC et les CLSC La Direction de la sant communautaire et des services aux commu naut s autochtones offre des services pour la r alisation de programmes de sant au travail dans les DSC Ces derniers tel qu il a t pr vu dans le Chapitre 8 de la Loi sur la sant et la s curit du travail laborent des programmes de sant sp cifiques l intention des tablissements des secteurs d clar s pri
305. rale des Syndicats d mocratiques Outre cette f d ration la CSD en compte deux autres textiles et v tement ainsi que cing autres secteurs r unis agro alimentaire b timent et bois commerce et institutions financi res papier et carton public et parapublic La F d ration tient un congr s tous les deux 8822 Ce congr s est l instance Supr me la F d ration Entre les con gr s la F d ration est administr e par le Bureau f d ral compos du comit ex cutif et des d l gu s nomm s par chacun des syndicats membres a aa 21 Conf d ration des syndicats nationaux et Centrale de l ensei gnement du Qu bec Histoire du mouvement ouvrier au Qu bec 150 ans de lutte Montr al CSN CEQ 1984 22 F d ration d mocratique de 18 m tallurgie des mines et des produits chimiques CSD Constitution et r glements 102 Le comit ex cutif compte cinq membres et s occupe de l adminis tration des affaires courantes de la F d ration La F d ration a regroup ses syndicats membres en branches professionnelles a ronautique aluminium chantiers maritimes garages mines et produits chimiques La Centrale fournit aux syndicats les ser vices techniques sp cialis s tandis que la F d ration s occupe du cadre juridique de la convention collective Dans le secteur industries de la machinerie 13 syndicats locaux sont affili s la F d ration et r unissent 833 travailleurs EFFECTIF SYND
306. rateur contre la partie d couverte de la lame qui sert la coupe un poussoir m canique ou manuel de la pi ce couper peut tre utilis Dans le cas d un poussoir de pi ces m caniques incorpor 18 machine 11 est possible d utiliser un m canisme de commande n cessitant l usage des deux mains pour son fonctionnement Lorsque la lame est mobile et que la pi ce couper est fixe des gardes de s curit mobiles devraient tre install s de fa on ne pas permettre l acc s la zone dangereuse On peut installer un dispositif coupant l alimentation de la machine si l garde n est pas en position de sorte que la scie ne fonctionnera pas si le tout n est pas prot g de fa on s curitaire De plus les gardes d vraient tre construits de fa on robuste et devraient emp cher les projections de morceaux de lame si celle ci se brise lors du fonctionnement De plus l op rateur devrait porter des lunettes de s curit Comme pour tous les types de scies il faut pr voir un espace de travail suffisamment d gag autour de 18 machine et pour l entre tien des lieux afin d viter tout risque de chute de l op rateur et des personnes qui y circulent ce qui pourrait occasionner des blessures en particulier s il y avait contact avec la lame en mouvement Des criteaux indiquant le danger devraient tre ins tall s dans la zone de travail et pr s de la machine elle m me 220 Scies rondes Comme dans le cas d
307. rcie toutes les personnes et en Particulier les professionnels et techniciens de la Commission qui ont contribu sa r daction sans qui elle n aurait jamais vu le jour Des remerciements doivent aussi tre exprim s l Institut de recherche en sant et en s curit du travail pour son r pertoire des diff rents projets de recherche en Cours pr sent s dans le chapitre 9 Mentionnons aussi la contribution de M Jorge Niosi professeur de sociologie conomique l Universit du Qu bec Montr al qui a dirig l quipe de recherche responsable de l laboration des trois premiers chapitres et de M Marc Trudeau Lesage Dumont Bolduc et Associ s pour son excellent travail de coordination des chapitres 6 et 7 1 faut souligner avec une attention toute sp ciale le constant et infatigable soutien apport par 16 personnel de secr tariat et du Centre de documentation de la CSST durant la pr paration de ce document qui a demand plusieurs mois Nous devons galement souligner le support du comit de coordina tion dirig par M Jean Louis Bertrand vice pr sident la pr vention inspection de la CSST dont l appui constant a t d un pr cieux secours durant tout ce projet Enfin il faut remercier toutes les personnes qui ont particip de pr s ou de loin la pr paration ou l am lioration de cette monographie particuli rement les membres du comit de lecture interne l Association paritai
308. rdante de la lame aff ter les lames en respectant les angles sp cifi s par le constructeur utiliser une lame bien plan e utiliser si possible des lames antirecul ou des lames pla quettes en carbure de tungst ne installer et orienter l appareil de telle mani re que le rejet d une pi ce de bois ne puisse blesser un ouvrier 369 EE RRQ QE Mesures sp cifiques de pr vention Contact direct avec des organes en mouvement installer des protecteurs aux poulies aux arbres et aux cour roies emp cher les ouvriers de se tenir pr s des machines s ils por tent des v tements flottants attendre l arr t complet de la machine avant d ouvrir les pro tecteurs interrupteur d arr t pour l entretien ou la r paration de la machine arr ter le moteur avant de commencer les travaux et verrouiller ou cade nasser les dispositifs de d marrage ou de commande pour emp cher toute mise en marche accidentelle Projections diverses utiliser un dispositif d aspiration des sciures et des copeaux porter des lunettes de s curit v rifier le bois avant le sciage lectrocution installer des quipements lectriques conformes aux prescrip tions r glementaires pour l entretien ou la r paration de la machine arr ter le moteur avant de commencer les travaux et verrouiller ou cade nasser Les dispositifs de commande ou de d marrage mise
309. rdes Fatigue Perte d quilibre 235 mat aeiia 2 Risques pour la sant Dans les ateliers m caniques les machines 1881116 constituent souvent un secteur particuli rement bruyant Une des sources principales de bruit est la chute des morceaux de m tal coup s qui tombent par terre ou dans un quelconque r cipient de r cup ration De plus un mauvais entretien m canique de 18 machine augmente 136 niveau de bruit g n r par celle ci Autres quipements Cette cat gorie est r serv e des quipements sp cialis s qui ne sont pas utilis s dans toutes les entreprises du secteur Une seule machine a t retenue aux fins de la pr sente tude en raison des risques lev s qu elle repr sente la machine qui librage dynamique dynamic balancing Elle effectue l quili brage dynamique des tiges et des rouleaux des ventilateurs des rotors et des turbines Cette machine sert surtout contr ler la qualit du produit et elle permet d installer des rotors ou des ventilateurs de diff rentes formes sur des coussinets m talliques Un moteur actionne l appareil par un syst me de poulies et de courroies qui tournent haute vitesse de sorte que l quipement d pos sur les coussi nets m talliques tourne lui aussi haute vitesse Un syst me lectronique informatis analyse les variations de vibrations Ces machines varient se
310. re les pieds du presse t le doivent tre obstru es crasement des doigts par le presse t le si la lev e du presse t le est de plus de 6 mm les pieds du presse t le doivent tre prot g s de fa on interdire l intro duction des doigts sous les pieds gt la lev e du presse t le ne doit jamais d passer trois fois l paisseur maximale de la t le admise sur la machine Contact des mains avec la lame du c t avant de la machine le protecteur de lame doit avoir une hauteur telle que le tran chant de la lame reste couvert quand celle ci est dans 88 posi tion la plus relev e Contact avec la lame du c t arri re de la machine les travaux par l arri re de la cisaille guililotine sont proscrire l acc s la lame par l arri re de la cisatlle doit tre rendu difficile par des crans si un ouvrier doit l arri re de la cisaille manipuler la t le pr s de la lame 11 doit pouvoir utiliser un dispositif de verrouillage de l embrayage de commande de la machine permet tant d interdire la descente de la lame la cisaille doit tre quip e d un dispositif anti r p titeur pour le travail en coup par coup frein doit tre en parfait tat utiliser l arri re de la machine des dispositifs de maintien des t les du type support magn tique aimants permanents 338 m a Mesures sp cifiques de pr vention aaa aaaea U Contact ou crasement
311. re pour la sant et la s curit du travail du secteur fabrication d quipement de transport et de machines les d partements de sant communautaire les associa tions patronales et syndicales consult es ainsi que la Direction des communications de 18 CSST Nous leur t moignons toute notre reconnaissance Denis Caron vi se es ee eee Eu AVANT PROPOS Dans le cadre de la Loi sur la sant et la s curit du travail la Commission a pour fonction d laborer de proposer et de mettre en oeuvre des politiques relatives la sant et la s curit des travailleurs de fa on assurer une meilleure qualit des milieux de travail De ce fait elle a comme but premier l objet fonda mental de la Loi soit l limination la source m me des dangers pour la sant la s curit et l int grit physique des travail leurs Pour contribuer cet objectif la Commission de la sant et de la s curit du travail s est donn pour t che entre autres de rassembler et de diffuser les informations pertinentes par secteur d activit conomique qui sont reli es aux pr occupations de sant et de s curit du travail la suite d une consultation aupr s de futurs utilisateurs nous avons retenu la forme actuelle de cette monographie pour rendre accessibles les divers renseigne ments La monographie Industries de 18 machinerie sauf lectrique a
312. res 1976 p 217 237 Note doc n 1007 83 76 RAYMOND R Presses m taux conception et am nagement pour la s curit des interventions de d pannage Cahiers de notes docu ns OOTEL docu mentaires n 91 Paris INRS 1978 p 253 271 Note doc n 1115 91 78 297 ROSSMOORE H W Agents anti bact riens pour fluide d usinage z 5 aqueux Cahiers de notes documentaires n 108 Paris INRS 8 e 8 1982 p 397 408 Note doc n 1390 108 92 SERVICE PR VENTION DE LA CAISSE R GIONALE DE S CURIT SOCIALE DE PARIS La protection des presses m caniques d couper ou emboutir l Principes Cahiers de notes documentaires n 47 Paris INS 1967 pe 115 117 Note doc n 535 4767 SERVICE PR VENTION DE LA CAISSE R GIONALE DE S CURIT SOCIALE DE PARIS La protection des presses m caniques d couper ou emboutir 2 Dispositions et dispositifs de protection dans la zone de travail Cahiers de notes documentaires n 47 Paris INS 1967 p 119 124 Note doc n 534 47 67 SERVICE PR VENTION DE LA CAISSE R GIONALE DE S CURIT SOCIALE DE PARIS La protection des presses m caniques d couper ou em boutir 3 Dispositions annexes Cahiers de notes documen taires n 47 Paris INS 1967 p 125 131 Note doc n 534 47 6
313. res n 85 Paris INRS 1976 p 495 507 Note doc n AP 000616 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT Guide pratique de ventilation captage et traitement des brouillards d huile Cahiers de notes documentaires n 119 Paris INRS 1985 p 159 documentaires 182 Note doc 1526 119 85 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE S CURIT bruit dans un atelier de presses Cahiers de notes documentaires n 100 Paris INRS 1880 p e 405 413 Note doc n 1270 100 80 Lutte contre le LACORE J P Perceuses machines percer et tarauder Cahiers de notes documentaires n 93 Paris INRS 1978 p 485 notes documentaires 505 Note doc n 1139 93 78 LAFOREST J C Traitements thermiques aide m moire Cahiers de notes documentaires n 97 Paris INRS 1979 537 543 Note doc n 1213 97 79 380 LEBLOND H et coll Le bruit dans les ateliers de d coliletage Cahiers de notes documentaires n 88 Paris INRS 1977 p 303 313 Note doc n 1067 88 77 LELEU J Travaux de peinture aide m moire Cahiers de notes documentaires n 101 Paris INRS 1980 p 505 510 Note doc n 1283 101 80 LUNAU F W Occupational Health Aspects of Soft Soldering Australian Welding Journal vol 24 n 2 1980 p 21 23 SE e drng Journal MAHIEU J C Pr paration des surfaces m talliques d capage d graissage polissage
314. respectent sa sant 88 s curit et son int grit physique et lui assure en particulier le droit de refuser d ex cuter un tra vail lorsqu il a des motifs raisonnables de croire que l ex cution de ce travail l expose un danger pour sa sant sa s curit ou 808 int grit physique ou peut avoir l effet d exposer une autre personne un semblable danger moins que le refus d ex cuter ce travail ne mette en p ril imm diat la vie la sant la s curit ou l int grit physique d une autre personne ou que les conditions d ex cution de ce travail ne soient normales dans le genre de travail qu il exerce La loi assure au travailleur le droit au retrait pr ventif lorsque l exposition un contaminant comporte pour lut des dangers eu gard au fait que sa sant pr sente des signes d alt ration La loi assure la travailleuse enceinte le droit de b n ficier d un retrait pr ventif lorsque les conditions de son travail comportent des dangers physiques pour l enfant na tre ou pour elle m me en raison de son tat de grossesse De m me la tra vailleuse peut b n ficier d un retrait pr ventif si les condi tions de son travail comportent des dangers pour l enfant qu elle allaite Elle pr voit qu un ou plusieurs comit s de sant et de s curit peuvent tre form s au sein de certaines cat gories d tablisse ments en d termine la composition et pr cise le mode de d si gnation de ses membres ses fo
315. rio elle est toutefois inf rieure celle du Canada Si nous r tournons au tableau 13 et si nous le jumelons avec le pr sent tableau nous pouvons calculer le salaire moyen la production I s levait au Qu bec 6 973 et en 70 71 TABLEAU 15 SALAIRES LA PRODUCTION 1974 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1902 Variation moyenne _ I Qu bec ail liers de 48 863 c 93 278 120 560 115 985 177 04B 139 151 173 319 195 251 207 938 196 600 Variation annuelle 2 29 2 3 8 9 5 3 5 24 6 12 7 6 5 5 5 13 8 Ontario 1 liera de 225 537 251 983 777 538 333 900 397 951 413 995 451 979 597 125 627 030 700 320 715 191 660 636 Variation annuelle Y 11 7 10 1 22 5 17 1 4 0 9 2 12 2 23 6 11 7 2 0 7 5 10 6 Canada 11 liera de 317 909 371 3688 433 641 536 949 446 733 665 465 71 315 819 265 1 013 466 1 177 175 1 279 857 1 151 655 Variation annuelle 2 16 8 30 8 23 8 20 5 2 9 8 0 14 1 24 0 15 9 8 10 0 14 1 C Confidentiel Source Statistique Canada n de catalogue 31 203 Industrie manufacturi re du Canada Niveaux nacional et provincial 1970 1982 4 Estimation 72 Ontario 7 873 en 1971 en 1982 11 passait 20 356 et 21 386 respectivement En partant de l indice 100 en 1971 nous observons qu il grimpe en 1982 291 9 au Qu bec et 258 6 en Ontario En 12 ans le Qu bec a donc r ussi r duir
316. riques un rideau immat riel est cr par un faisceau lumineux et capt par des cellules photo lectri ques Lorsque ce rideau est coup par la pr sence d un obstacle mains doigts il arr te imm diatement le d placement de la pi ce mobile de la presse pour la faire revenir au point mort 229 one Risques Causes probables a fonc Le tableau suivant r sume les risques pouvant r sulter d un tionnement anormal de la presse nt i l intervalle de temps entre la Risques Causes probables lib ration de la but e de cla 6 4 vette et la mise en mouvement de l ensemble mobile est trop z Eng t Le coup retard est g n ralemen Blessures diverses P important provoqu par un d r glage des pi ces m caniques savoir Coup redoubl sur presse r gl e mauvais r glage des tringle en marche coup par coup Cet ries provoquant un d gagement incident peut avoir plusieurs insuffisant entre les extr causes nit s du talon de clavette et 11 affaiblissement ou d t rto 5 ration des ressorts de com la but e d arr t au moment de l embrayage rupture ou affaiblissement du ressort de la clavette d em Pression sur le support d em brayage insuffisance ou inexistence de freinage par d r glage casse brayage 0 ou
317. rise conomique a entra n l embauche de personnel suppl men taire ce qui a eu pour effet de diminuer la moyenne d ge De plus en plus la moyenne est de 30 ans et plus R PARTITION ET R MUN RATION DE LA MA IN D OEUVRE Un coup d oeil aux tableaux 10 11 et 12 nous permet de suivre l volution de l emploi l int rieur de cette industrie En 1950 8 2 de la main d oeuvre tait affect e la production et assimil s La proportion des hommes y tait tr s lev e 98 3 m me au sein du groupe des employ s de l administration de bureau et d autre p rsonnel hors fabrication le taux de masculinit atteignait 70 7 En fait depuis lors la composition de la main d oeuvre a tr s peu chang En 1982 67 7 des employ s taient affect s la production 96 Z de ceux ci taient des hommes alors que ce pourcentage s levait 74 5 pour les autres employ s Ces pourcentages repr sentaient respectivement 73 8 5 et 71 3 de l ensemble des industries manufacturi res en 1982 Il ressort que ce secteur tait et demeure masculin Le salaire moyen la production en 1950 s levait 2 535 ceux des autres employ s 2 957 En 1982 ils taient respective ment de 20 356 et de 25 200 Par cons quent le salaire moyen des autres employ s a progress plus rapidement que celui des employ s la production cet cart s est accentu davantage entre 1980 et 1982 63 TABLEA
318. route veiller ce que les dispositifs de mise en place soient bien utilis s et que la pi ce soit convenable ment maintenue Contact direct avec les organes de la machine Poser des crans et des garde corps autour des poulies des arbres des engrenages et des courroies 334 LO Mesures sp cifiques de pr vention a a interdire le port de v tements flottante attendre l arr t complet de la machine avant d ouvrir leg car ters interrupteurs d arr t Mise en marche intempestive le dispositif de commande doit permettre sans risque la mise en marche et l arr t et comporter un disjoncteur minimum de tension aucune confusion possible entre la position arr t et la posi tion marche possibilit d arr ter la machine par bouton stop en saillie l acc s aux leviers de commande ou aux bo tes boutons doit tre facile et ils doivent tre dispos s ou prot g s de telle fa on qu une mise en marche intempestive ne puisse se produire pr f rer des machines avec dispositif de freinage crasement des pieds porter des chaussures de s curit utiliser des appareils de manutention Contacts fortuits divers le sol doit tre nivel et Propre les abords de la machine d gag s l clairage doit tre suffisant clairage compl mentaire 16 poste de travail doit tre am nag en fonction de la position de l
319. rouvant sur ou proximit de l appareil Chute de 18 charge lectrocution Heurt d un obstacle Chute d une personne lors de l ascension la cabine ou des op rateurs d entretien se trouvant proximit de l appareil Capacit maximale du pont roulant non respect e Pour les poulies de levage Rupture de l organe d accrochage de la poulie au pont fixe Echappement du c ble de la poulie Coincement de doigts entre la poulie et la gorge de la poulie Chute de la charge Heurt d un obstacle Pour le monte charge Rupture du c ble entre la cabine et le treuil Capacit maximale du monte charge non respect e C est pourquoi il faut veiller la s curit de l op rateur ou des hommes d entretien en pla ant des garde corps sur les chelles et sur les plates formes acc dant au poste d op ration De plus 11 faut entretenir les ponts roulants moteurs cha nes c bles cro chets tringles lingues et poulies r guli rement et instaurer l entretien pr ventif 277 Risques reli s la manutention manuelle Les risques pour la s curit reli s la manutention manuelle concernent surtout le syst me musculo squelettique de l ouvrier soit les mains les pieds et la colonne vert brale Ces risques sont caus s par divers facteurs qui apparaissent dans 18 liste qui suit Risques Poids de la charge soulever c est dire la force demand e Posit
320. rrupteur l ext rieur du local clairer par des lampes lectriques munies d une double enve loppe Incendies dans les ateliers et cabines de peinture effectuer un nettoyage p riodique des conduits de ventilation remplacer les filtres secs avant leur colmatage pour maintenir la pleine efficacit d aspiration apposer une affiche D fense de fumer dans les ateliers et les cabines de peinture quiper les bo tes d chets de couvercles herm tiquement fer m s ne pr voir pour cet usage que des r cipients m talliques ne pr voir que la quantit de peinture n cessaire pour le tra vail en cours 354 TS T Mesures sp cifiques de pr vention Explosion des vapeurs de solvants inflammables 7 pendant l application par pulv risation l a rosol et les va peurs de solvants doivent tre aspir s efficacement et de 1 neuf doit pouvoir circuler air dans le cas d une pulv risation lectrostatique les pistolets doivent tre munis d un dispositif limitant l nergie lectrique de l tincelle en cas de court circuit lectrocution Pr voir des consignes dans les ateliers de peinture couper l alimentation haute tension pendant l inutilisation du pistolet lectrostatique Risques m caniques pr voir des gartde corps et des protecteurs autour du compresseur limitant le risque de heurt ou de contact direct avec les pi ces C
321. rruption du travail gale ou inf rieure 40 jours Plus de 90 des accidents compensables font done l objet d indem 4565 d assez courte dur e 40 jours et moins Le nombre de jours moyen par accident compensable varie peu d une unit l autre l exception des trois unit s fabrication d quipement agricole fabrication d quipement de r frig ration et fabrication de con voyeurs o 11 est tr s inf rieur celui du secteur respective ment 12 1 9 5 et 11 6 et de l unit r paration d quipements divers o 11 est de beaucoup sup rieur 34 2 celui du secteur Le tableau 35 pr sente la r partition des accidents compensables selon les principaux si ges des l sions et l unit Les 14 si ges retenus regroupent 84 5 des cas de l sions survenus dans le secteur durant les quatre ann es consid r es Les 3 597 cas 1468 l oeil 21 6 et les 2 410 cas li s au doigt 14 5 Z totali sent eux seuls 36 1 des l sions du secteur 72 2 des l sions se sont produites dans On voit que l unit fabrication d quipement industriel Les cas li s l oeil 2 676 et au doigt 1 629 de cette unit fabrication d engins lourds regrou pent eux seuls 25 9 de l ensemble des accidents compensables du secteur Le tableau 36 pr sente la r partition des accidents compensables selon les principaux si ges des l sions et les principales profes sions Ainsi les soudeurs et ox
322. rs 155 partie Ergonomics and Lathe Safety National Safety News sept 1983 p 33 38 VAUTRIN J P et M KNEPPERT Ponts roulants le dispositif anticolliision seuil d alarme variable de L INRS Travail et s curit Paris INRS juill ao t 1979 p 1 11 WESTGATE S A Safety and Resistance Welding Metal Construc tion ao t 1979 p 371 VOCABULAIRES ET LEXIQUES B LANGER F Vocabulaire des outils abrasifs anglais fran ais Qu bec diteur officiel 1983 111 p MERCIER J Lexique des tours et du tournage des m taux anglais fran ais d provisoire Montr al diteur officiel 1982 55 OFFICE DE LA LANGUE FRAN AISE Vocabulaire g n ral de l outillage anglais fran ais Qu bec diteur officiel 1983 75 p 383 CHAPITRE 8 LES ASSOCIATIONS ET LES ORGANISMES LEURS PROGRAMMES ET SERVICES Recherche et r daction Raymond Mailhot CSST mon ae 58 ee enfer 227 222 825 mr dr ee pot 22 25 22 arte cam a du a MIE EL INTRODUCTION L organisation de la pr vention en sant et en s curit du travail a n cessit la mise sur pied en tout ou en partie d associations ou d organismes vou s cette cause Ces organismes ont d velopp des programmes et des services qui visent directement ou indirec tement 168 client les et 168 intervenants du secteur industries de la machinerie Ce chapitre n num re que les programmes d
323. s hydrauliques ou pneumatiques 31942 Fabrication de g n rateurs de vapeur d vaporateurs et de composantes de centrale nu cl aire 31991 Fabrication de machines outils Code de sous secteur CAEQ 319 Autres industries de la machi nerie et de l quipement suite Code d unit CSST 31992 Fabrication de filtres air 31993 Fabrication de machines cou dre 31994 Fabrication d engins lourds ou d quipement industriel 31995 R paration installation ou entretien de machinerie et d quipement divers Cette unit n appartient que partiellement au secteur LISTE DES UNIT S DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE ET DE LEURS ABR VIATIONS Dans le but de faciliter la disposition des tableaux nous avons pr par une liste des abr viations qui seront utilis es la place du nom des unit s CSST Code d unit 31111 31211 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 31995 Nom de l unit Fabrication d quipement agricole ou d instruments aratoires Fabrication d quipement commer cial de r frig ration Fabrication de convoyeurs Fabrication y compris la pose ou la r paration de v rins hydrau liques ou pneumatiques Fabrication de g n rateurs de va peur d vaporateurs et de compo santes de centrale nucl aire Fabrication de machines outils Fabrication de filtres air Fabrication de machines coudre Fabri
324. s mesures de pr vention pour cette activit sont principalement associ es celles reli es la manutention et l outillage portatif Toutefois l assemblage des machines de grandes dimen sions et l installation de circuits imprim s constituent des acti vit s sp cifiques l assemblage a ne Re es Mesures sp cifiques de pr vention Chute d outils ou d ouvriers des chafaudages entourant l assem blage de machines de grandes dimensions placer en s ret les outils non utilis s dans leur tui de protection muni d une corde de s curit pour les retenir installer des chafaudages solides et s rs gt g assurer que les chafaudages sont exempta d huile d impuret s ou de solvants afin d viter toute glissade gt s assurer que les chafaudages ne sont pas encombr s Br lures caus es par le contact des fers souder dans le service d lectronique munir l appareil d un protecteur m tallique en spirale autour du fer souder Intoxication aux fum es produites par le soudage ou le brasage tendre dans le service d lectronique installer un syst me de ventilation localis au poste de tra vail 372 SERVICE DE R PARATION Cette activit fait partie des Op rations r guli res du secteur industri es de la machinerie Les mesures de pr vention reli es trielles pr sent es pr c demment 373 BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES SP CIALIS S
325. s natures 201 1n L11 90 139 194 1 739 EE mm 542 822 400 1 276 7 433 16 653 15 4 17 9 3 882 23 3 100 0 100 0 169 cat gories de nature de 166108 consid r es rassemblent pour ces trois seules professions 5 042 cas d accidents compensables soit 30 3 des cas survenus en quatre ann es dans l ensemble du secteur Le tableau 40 montre la r partition des accidents compensables selon le genre d accident survenu dans le secteur industries de la machinerie entre 1980 et 1983 Les 4 cat gories frapp par 19 6 effort excessif 17 4 abrasion par 15 0 et heurter 10 0 regroupent plus des 3 5 soit pr cis ment 62 0 des accidents compensables qui se sont produits dans le secteur Si l on ajoute ces cat gories les cat gories r action caus e 8 9 4 substance 7 7 coinc 7 6 4 chute au m me niveau 5 0 4 chute plus bas 3 0 et temp rature extr me 2 6 on observe que seulement 10 cat gories totalisent 96 8 5 des acci dents compensables du secteur Le genre d accident qui survient habituellement dans le secteur industries de la machinerie est donc li quelques variables bien pr cises Le tableau 41 montre la r partition des accidents compensables selon l agent causal dans le secteur industries de la machinerie Les 2 cat gories articles de m tal et mouvements du corps regrou pent plus des 2 5 des acciden
326. s pourvus d un syst me de ventilation efficace pour liminer 166 solvants et les vapeurs pr voir le port de gants de tabliers et de lunettes de s curit pour viter 168 claboussures pouvant occasionner des derma tites SOUDAGE ET D COUPAGE Cette op ration industrielle est la plus active apr s celle de l usinage dans le secteur Elle est tr s importante dans le Sous secteur des engins lourds 357 Mesures sp cifiques de pr vention TERRE RRQ Danger d incendie proximit de mat riel combustible v rifier le poste de travail afin d loigner tout mat riel pouvant causer un incendie v rifier que les murs les planchers et tout autre mat riel combustible soient retir s ou bien prot g s par du m tal ou de l amiante pr voir un extincteur proximit de l op ration Celui ci de vrait contenir de la poudre s che du t trachlorure de carbone ou du bioxyde de carbone Danger d explosion avec la pr sence d oxyac tyl ne dans l air installer un syst me de ventilation pour liminer l ac tyl ne dans l air et v rifier p riodiquement les fuites possibles au niveau des raccordements et des tuyaux d alimentation s assurer que les r gulateurs les cylindres et les tuyaux d alimentation soient con us pour supporter des gaz installer des clapets antiretour Br lures thermiques au corps et
327. s r gles qui d terminent le versement des subventions tudie et approuve le budget de la CSST les taux de cotisations des em ployeurs etc L administration et la direction de la Commission reviennent en vertu de la loi au pr sident qui assume donc galement les fonctions de directeur g n ral Le comit administratif se compose du pr sident d un repr sentant des travailleurs et d un repr sentant des employeurs tous deux 127 d sign s par leurs pairs au sein du conseil d administration et choisis parmi eux Le comit a pour fonction d assurer une prise de d cision rapide sur des sujets mis l ordre du jour par le conseil d administra tion tout en respectant le principe de la parit Des comit s consultatifs paritaires ad hoc peuvent tre form s au besoin pour examiner et analyser certains projets de r glement de politique o de programme Les comit s doivent tre pr sid s par un vice pr sident de la Commission La CSST est compos e de trois grandes vice pr sidences La vice pr sidence de la pr vention inspection a pour r le de permettre aux travailleurs aux employeurs et leurs associa tions de participer l am lioration des conditions de sant et de s curit dans les milieux de travail et d assumer pleinement les droits que leur reconna t la loi et les obligations qu elle leur impose Ses fonctions touchent principalement la r glemen tation en mati re de sant
328. s rapports d interaction entre l homue la machine et l organisation du travail et sur le proc d de fabrication dane les industries o sont utilis es des machines contr le num rique par ordi nateur et des m thodes de conception asaist e par ordinateur Cao Arbetarskyddsfonden Karo linaka Institutet Anato wiska Institutionen Su da Centre techniqua des indus tries m caniques France Tybterveyslaitos Finlande National Swedish Board of 1983 Occupational Safety and Research Department Su de National Swedish Board of Occupational Safety and Health Research Department Su de European Foundatton far the Improvement of Living and Working Conditiona Irlande BIBLIOGRAPHIE COMIT INTERNATIONAL POUR LA RECHERCHE DANS LE DOMAINE DE LA PR VENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Bulletin de recherches appli m_a appli qu es la protection de l homme au travail Vol l 98 1 4 Paris INRS 1983 1984 650 pe COMIT INTERNATIONAL POUR LA RECHERCHE DANS LE DOMAINE DE LA PR VENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Bulletin de recherches appli TE ces appli u es la protection de l homme au travail Vol 2 808 3 4 Paris INRS 1985 324 p CHAPITRE 10 LA L GISLATION PERTINENTE Recherche et r daction Sylvain Gadoury CSST Yves Tremblay CSST Pierre Vigneauit CSST INTRODUCTION Le pr sent chapitre a pour objet d
329. s compensables par unit dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 Co ts des l sions par unit dans le sec teur Industries de la machinerie 1980 1983 Le grand groupe 31 quipements et op rations industrielles par sous secteur Processus des op rations industrielles du secteur Risques pour la s curit et la sant reli s aux machines outils portatives Risques reli s aux machines outils por tatives selon leur application et leur source d alimentation 169 171 172 174 175 177 179 181 194 195 197 281 282 Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma Sch ma l 2 3 4 5 LISTE DES SCH MAS Rectifieuse universelle Tour parall le Fra iseuse console sans b lier Perceuse colonne Scie verticale ruban Scie ronde t te pivotante Al seuses horizontales Plieuse m canique Cisaille guillotine Installation de m tallisation quipement de sablage au jet pression R servoir pour le jet de sable Soudage au gaz Soudage au MIG Soudage au TIG Coupe transversale d une soudure l lectrode enrob e Soudage l arc plasma Soudage l arc submerg 203 206 210 214 219 223 227 234 240 243 261 264 265 266 268 269 D R E ANERE einna co Ae
330. s de l Institut 132 La Direction des laboratoires fournit des services d analyse de contaminants chimiques ou physiques aux intervenants en pr ven tion inspection de 16 CSST et ceux des services de sant des DSC ou des CLSC De plus elle assure le contr le de la qualit des instruments qu utilisent les intervenants pour valuer leur milieu de travail et elle veille la qualit de l ex cution des analyses effec tu es La Direction des laboratoires assume galement un r le d expert conseil aupr s des chercheurs et des Intervenants oeu vrant en sant et en s curit du travail Enfin elle ex cute des activit s de recherche et de d veloppement ax es sur l laboration de strat gies d intervention sur le terrain ou sur l am lioration de certains quipements machines ou outils risque La Direction de 1a recherche externe compte trois programmes qui permettent des ressources externes l Institut d assumer cer taines recherches Le Programme d quipes associ es dont le but est de permettre des quipes universitaires d effectuer des recherches dans des domaines sp cifiques consid r s importants par l Institut En 1986 l Institut compte huit quipes associ es dont les frais d infrastructure sont ainsi subventionn s Le Programme de chercheurs subventionn s qui accorde des fonds des chercheurs dont les projets ont t choisis pour leur pertinence leur caract re prioritaire
331. s et des associations syndicales du sec teur Dans le pr sent cas le secteur de la fabrication d quipement de transport et celui de la fabrication de machines ont t r unis dans un m me secteur d activit s conomiques pour lequel on a constitu une m me association sectorielle Le 23 octobre 1982 avait lieu la premi re r union du comit pr incorporatif qui groupait un certain nombre de repr sentants d associations patronales et d associations syndicales la suite de ses consultations avec le comit pr incorporatif la Commission de la sant et de la s curit du travail CSST adop tait le 22 janvier 1983 un r glement qui d limitait le secteur de l association sectorielle Ce r glement avait pour objet de d crire le secteur constitu des tablissements de fabrication d quipement de transport et de fabrication d quipement de machines Ce r glement a t d finitivement adopt et mis en vigueur le 19 mai 1983 12i Le 26 septembre 1983 lors d une r union du comit pr incorpo ratif les associations patronales et syndicales ont sign une entente de fondation de la nouvelle association sectorielle pour le secteur dont la description avait fait l objet du r glement pr cit Le 11 novembre 1983 la CSST approuvait cette entente qui constituait d finitivement l association sectorielle Les associations senbres pour la partie patronale incluent l Asso ciation canadienne des fabricants d
332. s mesures de pr vention mentionn es jusqu mainte nant sont applicables pour le secteur d usinage dans son ensemble N anmoins il s av re n cessaire de d velopper les principales mesures de pr vention sp cifiques pour les diff rentes machines utilis es dans la section d usinage Rectifieuses _ Mesures sp cifiques de pr vention _ jection des pi ces utiliser des plateaux magn tiques aimants permanents de pr f rence aux plateaux lectromagn tiques ceinturer la machine par une t le de protection munie d une partie r glable v rifier la fixation de la pi ce avant d enclencher le cycle limiter la profondeur de passe une valeur acceptable dans le cas d utilisation de plateaux lectromagn tiques qui per l installation d une batterie tampon de secours Chocs et bris de meule sonner les meules avant de les monter utiliser des dispositifs de levage pour mettre en place les meules lourdes au moment du montage emp cher les contacts brutaux de 18 meule et des pi ces usi ner laisser tourner environ une minute les meules vide avant de Commencer une s rie de pi ces en vitant de stationner dans la zone dangereuse 317 ii ER t a 1 1 De a co AE 55 2 5 RES Mesures sp cifiques de pr vention s assurer que la vitesse d utilisat
333. s secteur autres industries de la machinerie et de l quipement Ainsi 83 1 Z 84 7 99 4 et 75 6 de l effectif de ces centrales se trouve dans ce sous secteur Les tableaux 24 et 25 illustrent la distribution de l effectif syndical selon l affiliation et la r gion administrative Cette compilation permet d valuer le degr de g n ralisation des diverses graudes organisations syndicales par r gion Comme l indique le tableau 24 la r gion de Montr al r unit 69 2 de l ensemble des travailleurs syndiqu s du secteur mais seulement 42 7 des travailleurs de cette r gion sont syndiqu s Deux r gions importantes celle 46 l Estrie et celle de Trois Rivi res sont fortement syndiqu es dans ce secteur avec des taux de 91 1 et 83 5 Quant au tableau 25 il nous indique que 18 majorit de l effectif de la FTQ de la CSN et des syndicats ind pendants 8e situe dans la r gion de Montr al L effectif de la CSD 67 3 dans le secteur est concentr dans la r gion de Trois Rivi res 106 TABLEAU 22 R PARTITION DE L EFFECTIF SYNDICAL ET TAUX DE SYNDICALISATION QU BEC 1985 666 UU Effectif R partition Nombre de Taux de Sous secteur syndical 5 salari s syndica lisation aaa iaaa Industrie des ins truments aratoires 311 454 4 8 553 82 1 Industrie du mat riel comercial de r frig ration et de climatisation
334. s selon lesquelles une personne t employ e par cette province ou cet organisme peut agir titre d agent de s curit pour l application de la partie IV du Code canadien du travail Interdictions l employeur Suivant la partie IV du Code nul employeur ne peut cong dier suspendre mettre pied r trograder ou imposer une sanction financi re ou disciplinaire un employ ayant exerc un des droits que lui reconna t le Code ou ayant t moign lors d une enqu te ou d une poursuite ou ayant fourni un quelconque rensei gnement touchant sa sant ou sa s curit une personne exer ant une fonction pr vue par la Loi Un employeur ne peut non plus omettre ou n gliger de fournir un comit d hygi ne et de s curit ou un repr sentant l hygi ne et la s curit des renseignements que ceux ci sont en droit d exiger en vertu du Code canadien du travail Infractions D une mani re g n rale quiconque enfreint une disposition de 18 partie du Code canadien du travail commet une infraction et il est passible sur d claration sommaire de culpabilit d une amende maximale de 15 000 Proc dure d injonction Le ministre du Travail peut demander ou faire demander un juge d une Cour sup rieure ou de la division de premi re instance de la Cour f d rale une ordonnance interdisant quiconque d enfreindre une disposition de la partie IV du Code que des poursuites aient t entam es ou non
335. s transporteur pour vacuer et liminer les copeaux crasement au serrage des pi ces dans le mandrin ou l avance de la contrepointe commande deux boutons poussoirs et dispositif de serrage deux niveaux d effort faible pour l approche et fort pour le serrage jection d une pi ce capot protecteur r sistant aux chocs violents dispositifs de s curit pour mandrins serrage hydraulique ou pneumatique quilibrage de l quipement tournant lorsque la forme des pl ces provoque un d balancement statique ou dynamique 320 qe Mesures sp cifiques de pr vention aaa a aa aa a U Projection de copeaux rupture d outil ou de la cl de serrage du mandrin capot et cran protecteur lunettes de s curit dispositif d jection de la cl sur le mandrin ou sur la cl V tements ou cheveux entra n s par vis m re ou barre de chario tage mandrin ou pi ce en rotation isolement total de ces parties tubes guide barres et capot d extr mit pour tours aliment s travers la broche Huile de coupe ou copeaux port s haute temp rature crans capots choix de proc d s qui n exposent pas l op rateur au contact de l huile Incendie protection des circuits contre les surintensit s crans capots emp cher l accumulation de chiffons imbib s d huile au poste de travail Affections cutan es ou resp
336. salaires et traitements MOYENS VALEUR AJOUT E Nous avons cherch valuer dans les tableaux 18 et 19 la productivit du secteur machinerie et de 13 comparer avec celle de l Ontario Nous pouvons aussi d terminer l aide de ces ta bleaux le r le que joue la main d oeuvre dans une industrie par le nombre d heures homme requis pour produire 1 000 de valeur ajout e Dans les industries intensives en capital le nombre d heures homme requis est peu lev alors qu il est lev dans une industrie de main d oeuvre intensive Pour le secteur machi nerie nous obtenons 35 5 heures homme ce qui l identifie une industrie moyenne en capital et en main d oeuvre Selon les donn es de la valeur ajout e Par salari et de la valeur ajout e par homme heure 18 productivit au Qu bec est inf rieure celle de l Ontario En 1982 la valeur ajout e par honme heure S tablissait 28 18 au Qu bec et 28 55 en Ontario 76 TABLEAU 18 VALEUR AJOUT E L ACTIVIT MANUFACTURI RE PAR SALARI D 7 1980 1981 1982 Variation 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 m ee n me Qu bec 17 804 La 24 905 26 169 28 249 28 852 33 385 37 765 h 351 53 727 58 570 Vurlatlon 8 1 2 1 annuelle 2 z 31 s 587 Ontario 20 212 20 3 1 22 279 26 585 28 590 39 47 34 678 40 650 46 165 54 893 57 B95 58 15
337. ses mergentes pour ouer gagnant Ottawa Conseil des sciences du Canada 1982 6 Ibid p 86 87 l int rieur de cette industrie Ce processus est fortement influenc par le d sir toujours croissant d augmenter la producti vit de diminuer les co ts unitaires et d obtenir une plus grande souplesse dans les op rations Ainsi on a vu appara tre paral l lement au d veloppement des proc d s du travail des plastiques les techniques lectroniques et plus rarement fluidiques pneuma tique ou hydraulique Ceci En vue de r aliser la commande num rique des machines par bandes perfor es ou magn tiques commande directe par ordina teur optimisation des conditions de travail v rification qualitative des pi ces ou organes gestion des lignes de production des ateliers et peut tre un jour d ici 1995 d usines enti res Avant d arriver ce niveau tr s avanc d volution les recher ches s effectueront principalement dans l all gement des op ra tions de finition la diversification dans les mat riaux de base et l automatisation pouss e Nous r alisons par cons quent que le mode d acquisition du savoir faire est d terminant dans le secteur de la machinerie Les entreprises peuvent tre amen es renouveler constamment la gamme de leurs produits C est pourquoi la recherche et le d ve loppement R D acqui rent une importance fondamentale dans ce milieu Il est essentiel que chaque en
338. si que des parties patronales des associations sectorielles paritaires et des comit s de sant et de s curit lorsque ces derniers existent 135 BIBLIOGRAPHIE ASSOCIATION CANADIENNE DES FABRICANTS DE MACHINERIE ET D QUIPE MENT Manuel d information 1983 1984 Brantford Ont MEMAC 1984 ASSOCIATION DES FABRICANTS DE MAT RIEL AGRICOLE DU QU BEC R gle ments g n raux Montr al 1981 ASSOCIATION INTERNATIONALE DES MACHINISTES ET DES TRAVAILLEURS DE L A ROASTRONAUTIQUE Profil de 1 AIM Montr al 1982 ASSOCIATION INTERNATIONALE DES MACHINISTES ET DES TRAVAILLEURS DE L A ROASTRONAUTIQUE Machinists Leadership Schools 1982 ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES Bulletin Sant s curit vol 1 n 1 d cembre 1984 ASSOCIATION PARITAIRE POUR LA SANT ET LA S CURIT DU TRAVAIL DU SECTEUR FABRICATION D QUIPEMENT DE TRANSPORT ET DE MACHINES Demande de budget et programmation 1985 Montr al 1984 CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC R glement g n ral Montr al 1985 CENTRE PATRONAL DE SANT ET DE S CURIT DU TRAVAIL DU QU BEC Objectifs 1985 Montr al 1984 i ROUILLARD J Histoire de la CSN 1921 1981 Montr al Bor al COMMISSION DE LA SANT ET DE LA S CURIT DU TRAVAIL Rapports Express 1981 annuels 1980 1981 1982 1983 1984 Montr al CSST
339. sine surtout cause des dimensions et du nombre de machines d usinage utilis es pour le proc d de fabrication 196 TABLEAU 49 PROCESSUS DES OP RATIONS INDUSTRIELLES DU SECTEUR R ception des mati res premi res Soudage et d coupage Traitement du m tal M tallisation et sablage ou d graissage Usinage Peinture Assemblage Exp dition 197 L usinage est am nag en fonction de plusieurs machines qui effectuent des op rations bien pr cises pour fa onner les pi ces m talliques De plus ces machines peuvent avoir des dimensions diverses selon l application et le type de pi ces fabriquer Pour bien cerner cette op ration industrielle en termes de risques il faut conna tre les risques en fonction des machines utilis es Avant de d crire les diff rentes machines utilis es dans l op ra tion d usinage il s av re utile de pr senter les risques communs la sant et la s curit avec l utilisation de ces machines Les huiles de coupe constituent un des risques communs li s la sant D une mani re g n rale l emploi de lubrifiants et de fluides de refroidissement peut provoquer des dermatoses cause des ph nom nes suivants action d graissante exerc e sur la peau irritation allergie caus e par certains additifs obturation des pores de la peau infection par des micro organismes prolif rant au sein du lubrifiant De plus on a not dans de nombreuses hui
340. sion La compression de l ac tyl ne de l air ou du gaz naturel L entreposage des cylindres d ac tyl ne de propane et d oxyg ne proximit des op rations de m tallisation Les diff rents gaz utilis s pour la m tallisation sont suscepti bles de former des m langes explosifs L explosion peut sur venir la suite de la fuite du r seau d alimentation particuli rement dans les espaces confin s l usure ou du sectionnement des tuyaux d alimentation La formation de poussi res de m tal peut occasionner des explo sions autour de l op ration de m tallisation Incendie Les situations suivantes pr sentent des risques d incendie Des m langes de fer oxyd avec de l aluminium causent un m lange exothermique Les op rations de m tallisation s effectuent proximit d op rations utilisant des liquides des poussi res ou des solvants inflammables L op ration de m tallisation peut constituer un danger lorsque le m tal fondu tombe sur un plancher combustible bois Br lures Des br lures peuvent tre occasionn es par des morceaux de m tal fondu 241 Risques pour la sant Risques Intoxication Le risque principal est l exposition aux diff rents m taux fer plomb zinc cuivre ete qui sont pulv ris s l efficacit de cette op ration varie entre 60 5 et 90 5 L exposition aux oxydes d azote et l
341. sques pour la s curit Une tude britannique d montre que les 9 10 des accidents reli s au fraisage se produisent lors de l ex cution de travaux r p ti tifs ou d interventions en marge du programme qu elles soient 209 SCH MA 3 FRAISEUSE CONSOLE SANS B LIER Pendentif B ti lt lt Tt Broche T te universelle Table Console Source INRS Fiche technique de s curit sur les fralseuses 210 A A nan PTE m6 me pr vues r glages changements d outils ou impr vues incidents Les accidents sont surtout reli s la rotation de l outil tran chant blessure par cisaillement et la zone de convergence entre la denture de l outil et la pi ce blessure par crase ment Les copeaux d gag s de la fraiseuse qui peuvent tre de formes tr s diverses et atteindre jusqu plusieurs centaines de degr s Celsius constituent une autre source d accidents lis se pr sen tent sous la forme de copeaux courts ou de fines aiguilles Le port de gants est donc indispensable lors de la manipulation des copeaux 81 l on veut minimiser les risques de blessures Certaines machines modernes de production sont quip es d un syst me automa tique d vacuation des copeaux par aspiration ou par transporteur bande Dans une usine les fraiseuses devratent tre install es sur un sol nivel avec un passage entre les machines d au moins 60 cm Sans compter l espac
342. t 99 4 au Canada Celui des autres employ s s tablissait respecti vement 100 111 2 et 104 En 1982 les donn es pour le salaire moyen la production sont de 100 105 et 106 2 et celles pour le traitement moyen des autres employ s atteignent 100 103 5 et 88 7 Par cons quent 168 salaires la production se sont accrus davantage en Ontario et au Canada alors qu un processus inverse s est produit pour les traitements des autres employ s qui ont davantage progress au Qu bec LES DOUZE DERNI RES ANN ES Une comparaison des donn es du Qu bec de l Ontario et du Canada pour les douze derni res ann es nous permettra d valuer le dyna misme relatif du secteur EMPLOI Le tableau 13 porte sur les travailleurs affect s la production et assimil s Il se produit deux chutes majeures du nombre de 68 TABLEAU 13 PRINCIPALES STATISTIQUES SUR LA MAIN D OEUVRE POUR LA DERNI RE D CENNIE ET POUR 1981 ET 1982 AU QU BEC EN ONTARIO ET AU CANADA TRAVAILLEURS AFFECT ES LA PRODUCTION ET ASSIMIL S 1971 4972 1973 1974 1975 1976 1977 1975 1979 1980 1951 1982 Variation moyenne 2 _ _ a Qu bec 007 c 10 537 12 059 10 526 10 418 10 427 11 711 11 704 11 438 9 658 Variation annuelle X 14 4 12 7 1 0 9 1 2 1 2 2 5 6 2 5 Ontario 28 647 30 059 30 639 33 187 35 323 33 345 33 405 34 962 38 935 37 191 37 995 30 891 Variation annuel
343. t les principaux risques pour la s curit Un choix judicieux de la vitesse de coupe et de la vitesse d avan ce du tour peuvent eux seuls r duire consid rablement le taux des accidents Il est donc indispensable pour les compagnies soucieuses de la s curit de leurs travailleurs de donner un bon programme de formation et d information La disposition des tours dans l usine est aussi un l ment impor tant dans la pr vention des accidents Il faut viter que chaque tourneur traverse fr quemment le plan de rotation du plateau ou du mandrin de chacun des tours voisins Il faut galement pr voir une aire de circulation de dimension respectable autour des ma chines une aire de stockage pr s de la machine et un endroit pour l vacuation des copeaux Les personnes trang res au poste de travail devraient se voir interdire l acc s aux zones par la mise en place de barrages mat riels garde corps par exemple et par la diffusion de consignes strictes Par ailleurs on emploie fr quemment de l huile de coupe pendant l usinage pour les raisons suivantes am lioration de la qualit de coupe de lubrification dissipation des calories concentr es au niveau de l ar te de coupe de l outil vacuation plus facile des copeaux Outre les risques pour la sant provoqu s par ces utilisations la pratique de l arrosage peut engendrer des accidents l op rateur doit saisir un embout de tuyauterie situ pr
344. t me technologique Dossier technique mat riaux Qu bec 1978 ORGANISATION DE COOP RATIVE ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE Machines outils commande num rique Paris 1970 93 p a commande numerique PEAT MARWICK and Partners The Medium Term Employment Outlook The Canadian Equipment and Machinery Industry Ottawa 1981 51 p PHILLIPS W G The Agriculture Implement Industry in Canada Toronto University of Toronto Press 1956 208 Pp 89 STEED Guy P F Les entreprises mergentes pour jouer gagnant tude documentation n 48 Ottawa Conseil des sciences du Canada 1982 P RIODIQUES Qu bec conomique Qu bec Mai juin 1979 GRAHAM W R L industrie canadienne de la fabrication de ma chines Commerce Canada Ottawa Juin 1980 90 CHAPITRE 4 LES INTERVENANTS SOCIAUX Recherche et r daction Laurent Gratton CSST collabor la recherche St phane Kelly stagiaire Universit de Montr al INTRODUCTION La Loi sur la sant et la s curit du travail repose enti rement sur deux principes g n raux la prise en charge de la sant et de la s curit du travail par les employeurs et les travailleurs et l limination la source des risques d accidents ou des dangers pour la sant des travailleurs Bien s r la Loi comporte une s rie compl te de m canismes d outils de r glements de normes etc qui encadrent les principaux int ress s dans le
345. t cassante non emmanch e elle peut blesser profond ment la paume de 18 main et m me le bras nettoyer les limes l aide d une carde file card ou d une curette ce qui facilitera le travail Outils percussion la t te des outils doit rester sans bavures 11 faut casser les petites bavures en les martelant l envers ou meuler la t te si les bavures sont trop importantes il faut reforger l outil la trempe de la t te ne peut tre dure afin d viter 168 projections de fragments ni trop douce pour viter l crasement du m tal gt le tranchant d un burin doit subir une trempe correspondant la nuance de l acier utilis se m fier des projections en coupant des fers ou des rivets ne jamais oublier qu une broche peut s chapper sous le coup mal dirig d une masse l lasticit du m tal broches pouvant faciliter cet chappement prot ger la main tenant l outil par un gant prot ger 168 yeux par des lunettes de s curit Outils frapper v rifier le bon tat du manche et sa fixation par un coin m tal lique crant enfonc en diagonale utiliser un manche en bois dur fr ne proscrire le trempage dans l eau pour gonfler le bois car d s qu il sera sec l outil risquerait de tomber 364 RE Te mn Li Dr non Mesures sp cifiques de pr vention _ a ne jamais frapper avec un marteau sur les pi ces ou les outils c
346. t de l ensemble des secteurs En t ab 35 39 ans 1 990 75 345 11 8 11 1 0 03 t sence de cette structure d ge nous pouvons quand m me observer due 1 304 57 082 7 7 8 4 0 02 certaines tendances int ressantes quant la structure d ge des travailleurs du secteur et de l ensemble des secteurs ayant subi 45 49 ans 1 107 48 006 6 6 7 1 0 02 une l sion entre 1980 et 1983 50 54 ans 968 41 356 5 7 6 1 0 02 Tant dans le secteur tudi ici que dans l ensemble des secteurs 55 59 ans 813 29 554 4 8 4 3 0 03 on observe une d croissance continue des l sions compensables 60 64 ans 578 15 149 3 4 2 2 0 04 partir du groupe des 20 24 ans Cette d croissance est elle attribuable la jeunesse relative ou l exp rience relative des 65 ans et plus et manquants 72 3 398 0 4 0 5 0 02 travailleurs qui ont subi une l gion ou la r partition des travailleurs du secteur ou de l ensemble des secteurs dans les divers groupes d ge Des recherches ult rieures pourraient TOTAL 19950 FSU us apporter une r ponse de telles interrogations 160 161 LES ACCIDENTS COMPENSABLES Le tableau 34 montre la r partition des accidents compensables selon l unit et la dur e d interruption du travail dans le sec teur On observe que 59 6 des accidents compensables encourent une dur e d interruption du travail gale ou inf rieure 5 jours tandis que 91 8 de ces m mes accidents compensables ont une dur e d inte
347. t des gaz protecteurs comme le bioxyde de carbone l h lium ou l argon Risques pour la sant reli s au soudage 1 d coupage l arc air Risques PS Bruit arc au plasma et av Pour ces deux proc d s l arc plasma et l arc air l air sous forme de jets produisent un bruit intense au la pi ce m tallique le gaz ou contact de MANUTENTION La manutention est une op ration tr s fr quente dans le secteur industries de la machinerie Elle peut se faire m caniquement ou manuellement Dans 16 cas de 13 manutention m canique on utilise divers appa reils pour transporter des charges lourdes sur de longues dis tances les ponts roulants les chariots l vateurs les poulies de levage les monte charge 273 Dans le cas de la manutention manuelle l op rateur d place lui m me les pi ces souvent de petites dimensions la distance parcourir est courte Il peut aussi utiliser des chariots rou lants pour d placer plusieurs pi ces fabriqu es Les deux types de manutention manuelle et m canique sont des activit s r guli res des travailleurs du secteur On doit donc apporter une attention particuli re cette op ration indus trielle Manutention m canique Le choix du type d appareil m canique servant la manutention du mat riel d pend beaucoup de l activit de l entreprise du secteur Chariot l vateur Le chariot l vateur sert particuli re
348. t des recherches en mati re de sant et de s curit d organisation du trevaii et d valuation des t ches Il pr pare la documentation participe la formation et assiste les f d rations sur ces questions Sur demande 41 proc de avec des instruments de mesure appropri s des enqu tes et des inspections dans les milieux de travail Le service de g nie industriel a adopt une approche sectorielle de la pr vention et labor les cadres de r f rence technique n cessaires Ainsi trois f d rations commerce m tallurgie ainsi que papier et for t ont institu des cours de formation ax s sur les probl mes inh rents leur vocation industrielle Un effort concret a galement t fourni quant 18 pr vention m di cale et l hygi ne industrielle 395 CENTRALE DES SYNDICATS D MOCRATIQUES CSD La Centrale des syndicats d mocratiques a t fond e en 1972 lors d un clatement survenu parmi les syndicats affili s la CSN Des divergences profondes au sujet des r gles de fonctionnement et des orientations id ologiques sont l origine de la scission La CSD compte aujourd hui quelque 55 000 membres regroup s au sein d environ 350 syndicats affili s Sa structure repose sur trois f d rations textile v tement m tallurgie cinq secteurs r unis agro alimentaire b timent et bols commerce et institutions financi res papier et carton public et parapublic et neuf r gions M
349. t explosion S lectionner les solvants ayant un point d bullition et un point d clair lev pr voir des dispositifs d extinction proximit imm diate Intoxication aux solvants limiter les op rations manuelles avec un chiffon ou une brosse sur une grande surface 7 respecter les proc dures d utilisation durant les op rations de d graissage s assurer du bon fonctionnement des quipements de d graissage ne pas produire une flamme ouverte chalumeau soudage proxi mit des op rations de d graissage car il y a g n ration de phosg ne pr voir une ventilation localis e au dessus des bacs de d grais sage emp cher tout contact des solvants avec la peau interdire de manger ou de fumer sur les lieux du poste de tra vail 353 PETNTURE Cette op ration industrielle repr sente une activit mod r e dans le secteur industries de la machinerie Elle est toutefois plus importante dans le secteur industries de la machinerie agricole Mesures sp cifiques de pr vention Incendies dans le magasin d entreposage des peintures pr voir un magasin d entreposage ind pendant de l atelier de peinture mettre les f ts de peinture m tallique la terre pr voir une ventilation l int rieur du local pr voir des extincteurs portatifs proximit ou une installa tion d extinction automatique adapter l installation lectrique strictement aux besoins et placer l inte
350. t frais et s parer les diff rents cylindres de gaz v rifier p riodiquement les valves les tuyaux d alimentation et l quipement de compression quiper le syst me de ventilation d un collecteur de poussi res pour diminuer le danger d explosion Incendie s assurer que les m langes de m taux oxyd s pr sentant des ris ques d incendie ne se produisent pas liminer toute op ration qui utilise des produits inflammables proximit de la m tailisation prot ger les planchers combustibles par des mat riaux non com bustibles ou recouvrir les planchers d une plaque m tallique Br lures fournir aux ouvriers un quipement de protection contre les br lures aux bras aux mains aux yeux et la figure par une pro tection personnelle 344 lt lt r a UU Mesures sp cifiques de pr vention aaa a UOU Intoxication liminer les fum es de m taux et les gaz par une ventilation localis e fournir l ouvrier un respirateur ou un masque reli une ligne d air ou une bonbonne portative adduction d air positive Bruits et radiations retirer si possible l ouvrier du poste de travail gr ce une automatisation de la m tallisation au plasma sinon fournir l ouvrier une protection auditive accrue et limiter son temps d exposition au bruit prot ger les yeux de l ouvrier des rayons ultraviolets l aide d un masque souder dot d une vitre filtrant l
351. tait g n ralement une fabrique une usine ou un moulin Depuis 1974 unit d ce concept est d fini comme tant la plus petite exploitation en mesure de fournir certaines donn es sur ses facteurs de production entr es et sur sga sorties production Il s agit en g n ral d une usine ou d une fabrique Salari s Employ s d administration et de bureau comprenant les adminis trateurs et les surveillants tels que les pr sidents 168 vice pr sidents les secr taires les tr soriers etc ainsi que les directeurs les membres de professions lib rales les tech niciens les surintendants etc Travailleurs affect s la production et assimil s comprenant tous les autres travailleurs de l tablissement pay s au mois la semaine l heure ou la pi ce Traitements et Salaires Ils sont calcul s avant les retenues la source de 1 imp t sur le revenu et les cotisations d assurance sociale et d avantages sociaux vers s par l employ Ils comprennent la r mun ration des heures normales et Suppl mentaires les cong s pay s les les commissions accord es aux salari s r guliers 1 indemnit s de d part etc primes es 86 BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES G N RAUX BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC Annuaire du Qu bec De 1914 1930 BUREAU F D RAL DE LA STATISTIQUE Diff rents num ros de catalo gug Ottawa OUVRAGES SP CIALIS S BERGERON
352. tant qu une partie du corps est dans la zone dangereuse Entrafnement en rotation de la pi ce par le foret pr voir des moyens efficaces et commodes pour contr ler la vi tesse rotative de la perceuse 327 eee Mesures sp cifiques de pr vention an Projection de copeaux de fragments de foret ou d une cl de man drin mettre en place des protecteurs porter des lunettes de protection en compl ment des protecteurs fixes soigner la fixation des outils et le bridage des pi ces choisir des vitesses de coupe et d avance bien adapt es au mat riau usiner et au foret utilis munir les perceuses de dispositifs dits de serrage rapide des outils gt utiliser des cl s de manoeuvre du mandrin dites de s curit Manipulation de copeaux gt s efforcer d obtenir des copeaux fragment s et les liminer par aspiration porter des gants de protection chaque fois que les mains doivent entrer en contact avec les copeaux et des pi ces coupantes mais ne pas conserver ces gants pendant des interventions proximit de la broche et du foret en rotation Entra nement par un arbre ou une vis de transmission rendre ces l ments inaccessibles crasement par un tau un mandrin hydraulique ou pneumatique utiliser un tau ou un mandrin course tr s faible sous pres sion de fluide ou n exer ant un effort important que lorsqu on actionne une double commande
353. ties du corps pouvant tre en contact avec la Partie tranchante ou pointue de l outil Les yeux doivent tre prot g s des clats ou des pous si res par des lunettes de s curit De crans peuvent tre install s pour prot ger les ouvriers occup s proximit de ceux qui produisent des clats ou des poussi res avec des outils de choc Les risques et les pr cautions prendre de fa on g n rale sont pr sent s ici par type d outil Outils pointus Pointes tracer compas limes vrilles forets verniers Risques piq res a Outils percussion Burins chisels b danes pointeaux poin ons tranchets broches etc Risques projection d clats m talliques ou de mat riaux Outils frapper Marteaux masses maillets Risques d manchement bris du manche projection de l outil 279 Outils de serrage Cl s fixes molette griffe tournevis Risques chappement ou rupture de l outil d s quilibre chute ou heurt en r sultant Machines outils portatives Cette cat gorie d outillage portatif est utilis e pour une vari t d applications Les machines outils portatives fonctionnent l lectricit ou l air comprim pneumatique Les risques potentiels reli s l utilisation de ces machines outils portatives sont vari s br lures coupures et douleurs provoqu es par l effort et par l accumulation de fatigue Le tableau 50
354. tion et de climatisation tait alors inclus dans 16 secteur des autres industries de la machi nerie et de l quipement Nous comptions en 1950 l int rieur de l industrie des instru ments aratoires 276 employ s et la valeur ajout e s levait 1 1 million de dollars soit respectivement 4 3 des salari s et 3 6 de la valeur ajout e de l industrie de la machinerie tableau 4 Nous avons vu pr c demment que ce secteur s est principalement d velopp en Ontario et progressivement dans les 26 TABLEAU 4 R PARTITION INDUSTRIELLE PAR SOUS SECTEUR D ACTIVIT AU QU BEC 1950 et 1960 maa a a UO Code Sous secteur Ann e Nombre Nombre de Nombre moyen Valeur ajout e d activit d ta salari s des de salari s l activit de la blissements activit salari s par tablis manufacturi re valeur totale sement millions de amp jour e a a a a 311 Industrie des ine trumenta araboires 1950 6 276 4 3 46 1 1 3 6 312 Lndustrie du mar riel commercial de r frig ration et de climatisation 1950 59 6 136 95 7 104 23 3 96 4 319 Autres industries de 18 machinerie ot de l quipement 1950 TOTAL 1950 65 6 412 190 0 99 30 4 190 0 311 Industrie des ina truments aratoires 1960 il 265 3 4 24 1 9 3 4 312 Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation 1960 7 154 2 0 22 1 1 319 Autres industries de la machin
355. tions les 418 pr cautions prendre contre les dangers des machines les qua lit s de l outillage main et de l outillage portatif moteur la manutention et le transport du mat riel les travaux d entre tien et de r paration ainsi que les travaux dangereux le contr le des substances et des radiations dangereuses l hygi ne et le bien tre g n ral des travailleurs les quipements de protection individuels ainsi que les qualit s des v hicules servant trans porter des travailleurs Ce r glement pr voit galement qu une d claration doit tre faite la Commission en cas d accident et qu un examen m dical d un travailleur peut tre exig par le Service d inspection De plus ce r glement pr voit la formation de comit s de s curit lesquels peuvent devenir des comit s de sant et de s curit en vertu de 18 Loi sur 16 sant et la s curit du travail aux condi tions de l article 327 de cette 101 R glement sur la qualit du milieu de travail R R Q 1981 chap 5 2 1 r 15 modifi par le d cret 576 82 du 10 mars 1982 Ce r glement g n ral a pour objet de r gir la pr sence de pous si res de gaz de fum es de vapeurs et de brouillards l clai rage la temp rature l humidit les contraintes thermiques le bruit les installations sanitaires la ventilation l hygi ne la salubrit et la propret dans les tablissements en vue d assurer la qualit du milieu de travail et
356. tout en d crivant la correspondance entre ces unit s et la classification des activit s conomiques du Qu bec en 1984 CAEQ Avant de pr senter ces statistiques il convient d tablir la Correspondance entre les sous secteurs des industries de la machi nerie sauf lectrique d apr s la classification des activit s conomiques du Qu bec en 1985 CAEQ et les unit s CSST du secteur prioritaire industries de la machinerie sauf lectrique La Commission de la sant et de la s curit du travail utilise pour ses fins propres une classification des industries elle m me subdivis e en unit s Ces unit s CSST sont des unit s de classi fication des employeurs et non des tablissements et chacune regroupe ceux dont l activit principale est sensiblement la m me et qui ont en commun certains l ments comme les mati res pre mi res utilis es les op rations les produits finis etc Ces unit s servent essentiellement tablir des indices de comparai son bas s sur les d penses reli es aux accidents et maladies professionnelles survenus chez les employeurs de ces unit s au cours des cinq ann es pr c dentes En utilisant ces indices de Comparaison on tablit les taux de cotisation payables par les employeurs La CSST classe dans ses unit s selon leur activit conomique dominante des employeurs qui peuvent dans certains cas poss der plusieurs tablissements Si ces tablissements exerce
357. tre l objet et la paroi aspirante munir l op rateur d un appareil de protection respiratoire individuelle appropri e au travail pour des objets de grandes dimensions v rifier l efficacit de l aspiration des cabines l emplace ment occup par le peintre dans les conditions de travail faire fonctionner la ventilation tant que le peintre est dans la cabine et en pr sence d objets d gageant des vapeurs de sol vants 7 placer les objets fra chement peints dans un local de pr s chage ventil 356 89 gt Mesures sp cifiques de pr vention 7 emp cher tout contact avec la peau et porter des gants et des v tements propres avec les peintures base de r sine effectuer l application et le s chage dans des cabines quip es d une ventilation tr s efficace pour les peintures base de r sine informer les peintres d un risque d intoxication avec les pig ments toxiques Z Porter un appareil de protection respiratoire individuelle des v tements de travail un bonnet et des gants lors d utilisation de pigments toxiques changer et nettoyer fr quemment les v tements de travail avec l utilisation de pigments prendre des mesures d hygi ne corporelle avant les repas et apr s le travail effectuer les op rations de m lange l ext rieur des chambres peinture dans des locaux sp cialement am nag
358. tre les tours parall les et verticaux En effet ces derniers pr sentent deux risques suppl mentaires distincts en raison de leurs dimensions et de la dispo sition des pi ces sur un axe diff rent Les tours horizontaux La grande majorit des industries emploient des tours parall les caract ris s par sch ma 2 la distance maximale et la hauteur des pointes la gamme de vitesses de rotation et la puissance du moteur de broche la gamme de vitesses d avance de chariots l alternative de fileter ou de copier 205 i HA A 4 SCH MA 2 TOUR PARALL LE Poup e fixe Broche 42 Mandrin 1 Banc O Porte outils 9 Chariot transversal 1 7 Contre pointe 4 6 Poup e mobile S lecteurs de vitesse Ga Vis m re lt Barre de chariotage 27 B ti G Trafnard gt P dale d arr t 5 3 et 10 assurent la stabilit et la rigidit des or N ganes de la machine 4 1 2 8 et 9 assurent le d placement de l outil 6 7 11 12 et 13 assurent la fixation et l entra nement de la pi ce usiner 5 et 14 Mode de commande du tour parall le Source INRS Fiche technique de s curit sur les tours 206 L entrafnement d une partie du corps de l op rateur ainsi que les chocs coupures ou br lures caus s par des projections de diverses natures copeaux fragments d outils cl de mandrin repr senten
359. treprise poss de ou ait acc s un bureau de conception et d tude technique des produits On devrait y trouver des sp cialistes capables d ex cuter des dessins industriels et de diriger les fiches techniques des pro duits le cahier des charges de l quipement celui des mat riaux et des pi ces Enfin des sp cialistes dans les techniques de fabrication et le contr le de la qualit seraient indispensables 7 Office de la planification et de d veloppement du Qu bec Op cit Pe 86 35 compter de 1981 et malgr la R D l industrie de la machinerie a subi les effets de la r cession Alors que la majorit des sec teurs industriels ont connu une reprise en 1983 cette industrie a tard reprendre le chemin de la croissance Traditionnellement elle r agit au cycle conomique avec un retard de 9 18 mois L industrie de l quipement de la transformation des aliments a la premi re se remettre de cette crise Les conomistes en g n ral ne pr voyaient pas de reprise pour les autres branches avant le d but de 1984 et aucun gain significatif avant 1985 En fait les chiffres disponibles montrent que cette industrie au Canada a r duit son chiffre d affaires annuel de 15 en 1982 et de 30 en 1983 Les industriels ont r agi cette baisse en adoptant des mesures nergiques rationalisation de la production r duction des d penses concentration du d veloppement de nouveaux produits dans
360. trouvons dans les sous secteurs de la machinerie lourde un type de production caract ris par le regroupement des t ches o les employ s sont appel s travailler en quipes Toutefois le travail en s rie est privil gi l o c est possible et 11 implique un travail individuel Enfin environ 60 des tablissements existent depuis plus de 20 ans Cependant depuis quelques ann es on observe une moder nisation de l quipement en vue de r pondre aux besoins croissants de l industrie manufacturi re par l adaptation de nouvelles m thodes et de nouvelles technologies 53 OR RE BIBLIOGRAPHIE OUVRAGES G N RAUX BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC Annuaire du Qu bec De 1914 lt gt 25 AUR DEE 1930 BUREAU F D RAL DE LA STATISTIQUE Diff rents num ros de catalo gue Ottawa OUVRAGES SP CIALIS S BERGERON H RIENDEAU et C TRUDEAU VILLERET Le secteur canadien de la machinerie avec r f rence au Qu bec et l Ontario Sherbrooke Universit de Sherbrooke 1973 58 Pe BRISSON Roger I industrie de la machine agricole au Canada L Aee agricole au Canada Montr al H E C 1930 BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QU BEC La province de Qu bec et 8es Er el ses manufactures Vol 5 Fer et acier M taux non ferreux Qu bec 1952 CHAILLON Colette L histoire de l agriculture au Qu bec Mont r al L tincelle 1976 125 pe COMMISSION ROY
361. ts compensables survenus dans le secteur entre 1980 et 1983 soit pr cis ment 44 9 des cas de l ensemble du secteur Si l on ajoute ces 2 cat gories les cat gories mat riel radiant surface de plancher particules machines outils non m canis s r cipients et bo tes articles de 018 et outils m caniques l on voit que seulement 10 cat gories parmi l ensemble des cat gories d agent causal totalisent 83 1 des accidents compensables du secteur Le type d accident compen sable qui se produit dans le secteur est done 116 quelques agents causals bien sp cifiques 170 TABLEAU 40 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES PAR GENRE D ACCIDENT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Nombre Pourcentage Genre Secteur Tous Secteur Tous 1 2 d accident industries les industries les x 100 de la secteurs de 18 secteurs machinerie 2 machinerie 1 Effort excessif 2 899 148 951 17 4 21 9 1 95 Coinc 1 258 56 212 7 6 8 3 2 24 Frapp par 3 255 128 680 19 6 18 9 2 53 Heurter 1 661 65 859 10 0 9 7 2 52 R action caus e 1 489 71 122 8 9 10 5 2 09 Abrasion par 2 504 48 731 15 0 7 2 5 14 Chute m me niveau 840 50 918 5 0 7 5 1 65 Chute plus bas 501 38 911 3 0 5 7 1 29 Substance 1 283 14 970 7 7 2 2 8 57 Temp rature extr me 425 15 73 2 6 2 3 2 70 Autres genres et non cod s 538 39 779 3 2 5 8 1 35 TOTAL 16 653 679 864 100 0 100 0 2 45 On ne retient ici que les genres dont la proport
362. ts de s curit Nombre de conventions collectives com portant une clause sur les m canigmes de participation 71 72 74 75 77 78 81 105 107 108 109 110 116 118 120 Tableau 29 Tableau 30 Tableau 31 Tableau 32 Tableau 33 Tableau 34 Tableau 35 Tableau 36 Tableau 37 Tableau 38 Estimation du nombre d employ s par unit dans le secteur industries de la machinerie R partition des l sions professionnelles selon la cat gorie et l unit dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 Relation entre la fr quence de l sions et la fr quence de travailleurs par unit dans le secteur industries de 16 machinerie 1980 1983 R partition des l sions professionnelles selon la cat gorie et l ann e dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R partition des l sions compensables selon le groupe d ge dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R partition des accidents compensables selon l unit et la dur e d interruption du travail dans le secteur industries de 18 machinerie 1980 1983 R partition des accidents compensables selon 168 principaux si ges des l sions et l unit dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R partition des accidents compensables selon les principaux si ges des l sions et les principales professions dans le secteur industries de la machinerie 1980 1983 R
363. ttawa Conseil des sciences du Canada 1982 P RIODIQUES Qu bec conomique Qu bec Mai juin 1979 GRAHAM W R L industrie canadienne de la fabrication de ma chines Commerce Canada Ottawa Juin 1980 l CHAPITRE 2 LES TABLISSEMENTS DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE Recherche et r daction Fran ois Vaillancourt UQAM 44 LES TABLISSEMENTS TAILLE DES TABLISSEMENTS En d pit de 13 contraction qu a subie l industrie de la machinerie au d but des ann es quatre vingt le nombre d tablissements s est constamment accru principalement dans le sous secteur autres industries de la machinerie et de l quipement Ceci parce que dans cette industrie les moyennes et les petites entreprises peuvent tre consid r es comme techniquement viables ce qui n est pas le cas de beaucoup d autres secteurs dont celui de 1l indus trie de la fabrication de produits lectriques par exemple De plus il s agit qu un entrepreneur d couvre am liore ou ait acc s un nouveau produit pour lequel il y ait une demande pour qu il perce dans ce secteur Comme le souligne le rapport du Groupe d tude sur l industrie canadienne de la machinerie publi en 1978 en r gle g n rale Les conomies d chelle repr sentent un l ment important de concurrence pour la production de machines ordinaires ou courantes Cependant la fabrication de machines comprend souvent l utilisation de mat riel fa
364. tude sur l industrie canadienne de la machinerie 2e canadienne de la machinerie W L Mallory pr sident Ottawa 1978 42 p MINIST RE DE L INDUSTRIE ET DU COMMERCE DU QU BEC Regards sur l industrie qu b coise Brochure n 12 Machinerie Qu bec 1969 32 p MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME L industrie du mat riel agricole au Qu bec Collection Analyse sectorielle Qu bec 1980 MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME La machine d emballage et de conditionnement au Qu bec Dossier d informa tion sectorielle Qu bec 1983 49 p MINIST RE DE L INDUSTRIE DU COMMERCE ET DU TOURISME Machines outiis et accessoires pour 16 travail des m taux Dossier d in formation sectorielle Qu bec 1984 83 p OFFICE DE PLANIFICATION ET DE D VELOPPEMENT DU QU BEC Prospec tive socio conomique du Qu bec ire tape Sous syst me technologique Dossier technique mat riaux Qu bec 1978 ORGANISATION DE COOP RATIVE ET DE D VELOPPEMENT CONOMIQUE Machines outils commande num rique Paris 1970 93 p PEAT MARWICK and Partners The Medium Term Employment Outlook The Canadian Equipment and Machinery Industry Ottawa 1981 51 p PHILLIPS W G The Agriculture Implement Industry in Canada Toronto University of Toronto Press 1956 208 pe 43 ri A STEED Guy P F Les entreprises mergentes _ pour jouer gagnant tude documentation n 48 O
365. u Qu bec s inscrit dans la quatri me s rie de publications du m me type La premi re s rie publi e en 1982 engloba t les secteurs d activit conomique du groupe I la deuxi me s rie publi e en 1983 touchait ceux du groupe II la troisi me s rie publi e en 1985 traitait des secteurs du groupe III cette nouvelle s rie se rapporte aux secteurs d activit conomique du groupe IV qui Seront ventuellement d clar s prioritaires par la Commission Les renseignements pr sent s dans cette monographie proviennent des r sultats d une analyse de besoins effectu e par diverses quipes de travail sur chacun des sujets retenus Dans 18 premi re partie les quatre premiers chapitres traitent des caract ristiques socio conomiques du secteur de son volution et donnent des informations iat les tablissements sur la main d oeuvre qui les compose ainsi que sur les intervenants sociaux qui travaillent dans ce La deuxi me partie qui englobe les chapitres 5 et 6 traite des risques pour la sant et la s curit on y pr sente les statistiques sur les l sions professionnelles sur leurs co ts et sur les retraite pr ventifs de la travailleuse enceinte ou qui allaite puis on d crit divers proc d s industriels et les risques qui en d coulent Finalement dans la tro si me partie qui regroupe les chapitres 7 8 9 et 10 on trouve des informations sur l organisation de la pr vention en sant et en s
366. u bec 1re tape Sous syst me technologique Dossier technique mat riaux Qu bec 1978 85 11 les co ts d quipement et de machines et en augmentant la produc tivit Ainsi selon les auteurs du document Prospective socio 2AE conomique du Qu bec L ensemble des industries m caniques r pond la notion de p le industriel en raison de leurs effets d entra nement sur le reste de l conomie Leurs gains de productivit se r percutent souvent sur les autres branches et peuvent impo ser des r organisations en aval et en amont mais il faut se rappeler qu elles sont aussi tributaires des conditions d volution des autres branches ORIGINE ET VOLUTION La plupart des pays industrialis s poss dent de grandes capacit s de production de machines Ils se livrent d ailleurs une vive concurrence pour satisfaire la grande diversit des besoins en machines qui caract risent les conomies d velopp es L essor de cette industrie a troitement reli celui de la industrialis e du si cle dernier En raison de sa situa tion strat gique en amont dans la cha ne de la production indus trielle cette industrie peut tre consid r e comme le fer de lance de la r volution industrielle Son d veloppement au Canada et au Qu bec en particulier a toute fois accus un retard certain sur nos voisins du Sud d autant plus qu il a t tri
367. u deuxi me rang Pour le nombre d tablissements et le nombre d employ s l acti vit totale cette r gion regroupait respectivement 14 3 et 8 3 des effectifs de l ensemble du secteur machinerie est d ailleurs plus qu elle ne 1 L industrie de la importante dans cette r gion est dans la r gion de Montr al 1 du total des employ s de 1 la r gion de Trois Rivi res contre 0 9 dans la r gion de Mont r al C est toutefois en Estrie qu elle tait la plus importante 1 4 de la main d oeuvre totale de la r gion Cependant entre 1976 et 1981 il y a une baisse de cette importance dans les r gions de Trois Rivi res et de l Estrie baisse est attribuable la sp cialisation tablissements des r gions autres que Montr a en grande partie sur les march s locaux Elle repr sentait ensemble des secteurs d activit de Nous croyons que cette de la production des production coul e 80 TABLEAU 20 STATISTIQUES PAR R GION ADMINISTRATIVE QU BEC 1971 1976 et 1981 qe Ann e ol 02 03 04 05 96 07 08 09 et 10 Totsl 838 58 Saguo Qu bec Trole Evcrla Montr nl Outaauaia Abitibi Cate Nord Laurent nay Lac 1 65 48 Nouveau Cuup ute Satnt Jean choingue Qu bec mo Nombre d ra 1971 17 16 6 110 154 Slisveuents 1976 20 25 9 134 195 1951 31 46 9 216 10 32
368. uer l emplacement Des travaux d tan onnement et un entretoisement doivent accompagner les travaux de CTeusage dans certaines circonstances Partie IV Appareils l vateurs IL est noter tout d abord que cette partie ne s applique pas aux appareils l vateurs dans les mines souterraines Pour le reste chaque appareil l vateur et chaque dispositif de s curit doivent tre conformes aux normes pertinentes de l Asso ciation canadienne de normalisation dans la mesure O ces normes sont indispensables l hygi ne et la s curit des employ s 433 Ils doivent tre utilis s mis en service et entretenus conform ment aux normes pertinentes Cette partie prescrit des normes concernant plus sp cifiquement l utilisation et la mise en service l inspection et la mise l essai de m me que la r paration et l entretien des appareils l vateurs Partie V Chaudi res et r cipients soumis une pression interne Cette partie impose l employeur l obligation de s assurer que la conception la construction l installation le fonctionnement l inspection la v rification et la r paration des chaudi res des r cipients soumis une pression interne et des r seaux de cana lisation contenant un gaz de la vapeur ou un liquide sont con formes certaines normes d crites dans 18 Code de l Association canadienne de normalisation Elle pr voit aussi certaines res trictions son champ d applicati
369. uits avec les op rations de d coupage l arc air ou les op ra tions l arc plasma obliger les soudeurs travaillant ces op rations porter une protection auditive une protection personnelle est n cessaire pour l arc air l op rateur doit tre isol autant que possible de l op ration l arc plasma 359 MANUTENTION Cette op ration industrielle est importante dans le secteur indus tries de la machinerie Les pi ces m talliques sont usin es trait es par diff rents proc d s et elles n cessitent dans l usine des d placements fr quents partir de la mati re premi re jusqu la finition du produit Durant ce processus de transformation les pi ces m talliques peuvent tre de petites ou de grandes dimensions exigeant une manutention manuelle ou m canique selon le Case Manutention manuelle Ici le principal appareil de levage c est le travailleur Les mesures de pr vention sont donc orient es vers le travailleurs pour lui viter les risques reli s au syst me musculo squelettique maux de dos UU Mesures sp cifiques de pr vention Et U Former ad quatement l ouvrier concernant les techniques de levage utiliser le plus possible des appareils de manutention pour le transport des pi ces valuer la r p tition du m me travail valuer les aspects de la t che concernant 13 direction les obstacles et les contraintes de posture teni
370. unettes de protection pr voir des dispositifs facilitant l adaptation des protecteurs Projection de fragments d outils ou d une cl soigner la fixation des outils et le bridage des pl ces choisir des vitesses de coupe et d avance bien adapt es aux mat riaux usiner et l outil utilis 322 Mesures sp cifiques de pr vention TR et ne pas fraiser en avalant si le m canisme d avance a du jeu proscrire la pratique tr s dangereuse qui consiste tenter de desserrer un outil en faisant tourner la broche d une fraction de tour au moteur utiliser des dispositifs lectrom caniques ou hydrauliques ou pneumatiques de fixation des outils Manipulation de copeaux et de fraises porter des gants de protection chaque fois que les mains doivent entrer en contact avec des copeaux ou des pi ces coupantes vacuer les copeaux par aspiration ou par transporteur bande Entra nement de v tements ou crasement de la main par l arbre de transmission du mouvement d avance ou par les pignons du diviseur rendre ces l ments inaccessibles Heurt par la poign e d un volant de manoeuvre volants lisses volants d brayables Accessibilit de la fraise et intervention manuelle proximit de la fraise en rotation isoler la fraise au moyen de protecteurs placer les organes de commande en des endroits accessibles sans que l op rateur ait prendre des postures d
371. ur Pi ce souder Source William Burgess Recognition of Health Hazards in Industry A Review of Materials and Processes reproduit avec la permission de John Wiley and Sons 268 SCH MA 16 SOUDAGE L ARC SUBMERG Coupe transversale de la soudure lectrode Tube d alimentation du fondant de brasage Crasse fondue Crasse solidifi e Fondant de brasage AATE ES M tal solidifi M tal souder NY Passage de l arc M tal fondu quipement de soudage Ir mie du fondant de brasage Alimentation du fil souder Alimentation continue du fil Guide du fil souder et accumulateur de courant M tal souder G n rateur de courant 269 Te CR SRE i i 4 si 4 i Risques pour la s curit reli s aux proc d s de soudage MIG TIG et l lectrode enrob e RS 6 Risques 8 IIIa lectrocution M me si le voltage dans le proc d de soudage l arc est fai ble le courant lui est lev Le risque d lectrocution est donc toujours pr sent Pour les op rations de d coupage l arc la tension est plus lev e Incendie Danger d incendie proximit du mat riel combustible Br lures thermiques Br lures aux diff rentes parties du corps par le m tal en fusion
372. ur Malgr le manque d exhaustivit dans des domaines plus sp cifiques nous osons croire qu elle servira de document de base aux nombreux intervenants Denis Caron ix TABLE DES MATIRRES LISTE DES TABLEAUX LISTE DES SCH MAS PREMI RE PARTIE CARACT RISTIQUES SOCIO0 CONOMIQUES CHAPITRE 1 VOLUTION DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHI NERIE SAUF LECTRIQUE INTRODUCTION LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE AU QU BEC 1 NATURE DU SECTEUR Industrie des instruments aratotres Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation Industrie de la machinerie et de l quipement ORIGINE ET VOLUTION Industrie des instruments aratoires Industrie du mat riel commercial de r frig ration et de climatisation Autres industries de la machinerie et de l quipement SITUATION ACTUELLE BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE 2 LES TABLISSEMENTS DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE LES TABLISSEMENTS TAILLE DES TABLISSEMENTS ORGANISATION DU TRAVAIL BIBLIOGRAPHIE xix xxiii 45 47 47 52 55 CHAPITRE 3 MAIN D OEUVRE DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE LA MAIN D OEUVRE DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE VOLUME ET CARACT RISTIQUES DE R PARTITION ET R MUN RATION DE LA MAIN D OEUVRE LES DOUZE DERNI RES ANN ES EMPLOI R MUN RATION VALEUR AJOUT E LES R GIONS CONCLUSION
373. urs d marches pour atteindre ces objectifs Il ne faut toutefois pas minimiser le r le que doivent jouer les parties syndicales et patronales de m me que les diff rents intervenants La Loi tente d organiser et d harmoniser les interventions des divers organismes directement touch s par la sant et 18 s curit au travail La Loi pr cise en outre les droits et obligations des parties et confie un r le pr cis divers organismes pour seconder les tra vailleurs et les employeurs Dans ce chapitre nous pr sentons les associations syndicales et patronales les organismes et les institutions qui interviennent dans le domaine de la sant et de la s curit du travail Nous en d crivons bri vement l historique la structure et le fonctionne ment De LES ASSOCIATIONS SYNDICALES ASSOCIATION INTERNATIONALE DES MACHINISTES ET DES TRAVAILLEURS DE L A ROASTRONAUTIQUE AIM L Association internationale des machinistes AIM est un des plus importants syndicats en Am rique du Nord L AIM compte actuelle ment pr s d un million de membres dans quelque 2 000 sections locales Ses membres sont dispers s dans 11 000 tabiissements d tenus par 8 000 employeurs de l industrie du transport et de ses industries connexes 13 L Association est fond e en 1888 Atlanta par 19 machinistes de chemin de fer Plus tard en 1893 l Association tablit 17 sec tions locales au Canada L AIM s implante dans l industrie de l a
374. ussi res 12 Lubrification excessive 13 Risque d entra nement caus par les v tements ou par les che veux 14 Utilisation incorrecte surcharge de puissance vitesse des machines outils portatives non conforme aux exigences du fabricant 15 Vibrations bruit 16 Contaminants poussi res brouillards etc aS UUS 281 1 iil 1 j Sh TABLEAU 51 RISQUES RELI S AUX MACHINES OUTILS PORTATIVES SELON LEUR APPLICATION ET LEUR SOURCE D ALIMENTATION lt mn mm Source d alimentation Application des des machines outils portatives machines outils portatives lectrique Pneumatique Risques Nes Abrasives meuleuse x xX 7 8 11 13 15 16 sableuse x x 7 8 13 15 16 ponceuse x x 7 15 16 Rotatives perceuse X x 3 5 7 11 13 tournevis x x 13 cl crous x x 7 13 entrafnement par moteur xX x 5 7 13 Scies circulaire X X 7 8 13 14 sauteuse x xX P 8 bande x stl 8 chafne x x 5 7 8 10 11 13 14 Percussion burin x x 5 8 10 11 rivets x 8 10 11 15 compacteur x 7 10 11 P n tration brocheuse x xX 3 8 11 Coupage x X 3 8 11 aaaea UULU Risques 1 2 4 6 1 4 6 10 associ s 10 15 12 15 16 la source EEE 282 Malgr le peu 4 que repr sente cette op ration elle comporte des risques non n gligeab
375. ution nelle de 1867 Obligations des employeurs Le Code canadien du travaii impose l employeur l obligation g n rale de veiller l hygi ne et la s curit des employ s qu il engage De fa on plus sp cifique le Code impose 424 l employeur entre autres obligations celles de fournir le mat riel l quipement les dispositifs et v tements r glementaires de s curit toute personne qui 11 permet l acc s au lieu de tra vail de veiller de la mani re r glementaire ce que les ploy s puissent entrer dans le lieu de travail en sortir et y s journer en s curit et de pr voir de la mani re r glementaire l information la formation l entra nement et la supervision n cessaires pour assurer l hygi ne et la s curit du travail de chacun des employ s Obligations des employ s Le Code voit galement imposer l employ certaines obliga tions parmi lesquelles se trouvent celles d utiliser le mat riel l quipement les dispositifs et v te ments de s curit que 194 fournit son employeur ou que pr voient les r glements pour assurer sa s curit de se plier aux proc dures d hygi ne et de s curit pr vues et de se conformer aux consignes de l employeur cet effet de prendre toutes les mesures n cessaires pour assurer 88 propre sant et s curit ainsi que celle de quiconque risque d tre affect par ses actes ou omissions de collaborer
376. ver entre temps dans les cat gories non compensable ou incapacit temporaire D c s Cette sous cat gorie regroupe les dossiers des victimes d acci dents du travail et de maladies professionnelles qui ont en tra n le d c s de la victime Lorsque le d c s survient quelque temps apr s l accident le dossier pourrait avoir t inscrit d abord sous une autre cat gorie avant d tre d finiti vement class d c s Chaque cas de d c s est tudi attenti vement par la Commission afin de d terminer s il est effective ment reli au travail Nous avons mentionn pr c demment que 18 distinction entre avec et sans interruption de travail est peu significative dans le cas des maladies professionnelles En effet les maladies profession elles en raison de leur caract re volutif de la nature m me de la maladie et du traitement qu on y apporte ne n cessitent pas dans la plupart des cas de journ e d absence bien qu elles puis sent souvent tre consid r es plus graves que les accidents avec interruption de travail N anmoins les maladies profession helles tout comme les accidents du travail se subdivisent en deux cat gories non compensables et compensables Maladie professionnelle non compensable Dans cette cat gorie on retrouve les dossiers des victimes de maladies professionnelles qui n ont pas un taux d incapacit permanente et qui sont aptes occuper leur emploi au
377. viers de commande et aux bo tes boutons doit tre facile et ceux ci doivent tre dispos s ou prot g s de telle fa on qu une mise en marche intempestive ne puisse se pro duire emp cher qu une confusion soit possible entre la position arr t et la position marche la p dale le bras de p dale et la tringlerie doivent tre pro t g s par un capot quiper la machine d un disjoncteur tension minimum choisir umn emplacement du ou des boutons stop qui soit facile ment accessible du poste de travail afin d viter toute manoeu vre involontaire chacun des ouvriers travaillant sur une m me cisaille guillo tine doit pouvoir se servir d un dispositif de commande inter verrouillable n cessitant une action continue et simultan e de tous les op rateurs lors des r parations ou des changements de lame il faut sup primer la transmission entre le moteur et la machine bloquer l embrayage ou couper l alimentation lectrique de la machine et cadenasser le dispositif de commande ou de d marrage crasement de la main dans la zone dangereuse sous le porte lame dans le cas de travaux d entretien ou de changement de lame interposer des chandelles entre le coulisseau et la table v rifier l tat du frein 340 Mesures sp cifiques de pr vention PR lt lt Coupure aux mains ou crasement des mains ou des
378. vit s et le fonctionnement des institutions et des organismes vis s par la Loi les associations syndicales patronales et aussi sectorielles la Commission de la sant et de la s curit du travail CSST les d partements de sant communautaire DSC l Institut de recherche en sant et en s curit du travall IRSST etc CHAPITRE 1 VOLUTION DU SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE Recherche et r daction Fran ois Vaillancourt UQAM INTRODUCTION La Commission de la sant et de la s curit du travail CSST a une approche par secteur d activit conomique Le secteur industries de la machinerie sauf lectrique fait partie des privil gi pour l implantation de 868 programmes majeurs secteurs d activit conomique du groupe IV Cons quemment toutes les donn es pertinentes ce secteur et se d gageant du pr sent texte concernent des pr occupations de sant et de s curit au travail R cemment le Bureau de la statistique du Qu bec a apport des modifications la classification type des industries de 1973 et en 8 adopt une nouvelle en 1984 Ces modifications affectent la composition des diff rents sous secteurs de l industrie l tude Nous tenons compte de ces changements dans les trois premiers chapitres de ce document AP EN E LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE SAUF LECTRIQUE AU QU BEC NATURE DU SECTEUR
379. x nettoyer et des produits de sablage lectrocution De l lectricit statique peut tre g n r e et faire clater les tuyaux d alimentation L op rateur peut recevoir un choc lec trique caus par l accumulation d lectricit statique 244 Risques pour la sant nn A tn Risques Re gt Intoxication Dans le cas du sablage des morceaux de grandes dimensions la silice est une poussi re nocive elle peut engendrer la silicose Le sablage aux billes de m tal quant lui peut engendrer la sid rose De plus les particules des morceaux m talliques nettoyer peuvent se retrouver dans l air combin es au sable Agresseurs physiques Le bruit constitue le principal risque de cette op ration indus trielle l impact du sable sur le morceau m tallique nettoyer produit un niveau de bruit lev Traitement thermique du m tal Cette op ration industrielle est utilis e pour conf rer un m tal ou un alliage des propri t s m caniques adapt es son utilisa tion Pour y parvenir on recourt soit aux cycles thermiques chauffage et refroidissement pour modifier la structure physique du mat riau soit un l ment ext rieur carbone azote pour en modifier la composition chimique Dans le cas des cycles thermiques on utilise les techniques sui vantes 245 Pour le chauffage les fours flammes aliment s en gaz natu rel gaz propane huil
380. x sont affili s l AIM et r unissent 2 539 travailleurs M TALLURGISTES UNIS D AM RIQUELS Au Qu bec la premi re tentative pour former un syndicat de type industriel en 1936 choue et c est en 1942 Dosco que le Syndicat des m tallos obtient sa premi re accr ditation C est ce moment que na t le syndicalisme de type industriel Ce type de syndicalisme r unit tous les travailleurs de la m me usine dans un seul et m me syndicat par opposition au syndicalisme de m tiers qui regroupe les travailleurs dans diff rents syndicats selon leur m tier Vers les ann es cinquante le Syndicat des m tallos commence vrai ment prendre racine dans les diff rentes r gions au Qu bec De mg 15 J G rin Lajoie Les m tallos 1936 1981 Montr al Bor al Express 1982 96 1949 1959 l effectif syndical des m tallos double passant de 5 000 10 000 membres Les m tallos du Qu bec participent en 1957 la fondation de la F d ration des travailleurs du Qu bec FTQ partir de 1960 les m tallos repr sentent le principal syndicat industriel au Qu bec De 1960 1976 l effectif du syndicat grimpe de 11 000 45 000 membres Selon leurs statutsl6 les m tallos poursuivent les objectifs sulvants unir au sein du syndicat sans aucune discrimination tous les travailleurs admissibles comme membres obtenir par la n gociation collective des taux de salaires justes et 18 r ductio
381. xerc es pour que les co ts des l sions soient imput s l employeur une nouvelle loi sur les accidents du travail est adopt e en 1931 Pour la premi re fois au Qu bec 126 les employeurs cotisent une mutuelle d assurance en vue d indem uiser les victimes du travail Cette loi confie la Commission des accidents du travail CAT la gestion d un fonds d indemnisa tion auquel doivent contribuer les employeurs En 1974 la Commission forme un groupe de travail charg d tudier les objectifs et les structures de la CAT Les travaux prennent fin en 1977 et servent de canevas la r gionalisation des ser vices d indemnisation D sormais 12 bureaux r gionaux se parta geront le territoire qu b cois Apr s un long d bat sur la place publique en commission parlemen taire et l Assembl e nationale la Loi sur la sant et la s cu rit du travail est adopt e le 21 d cembre 1979 La Commission de la sant et de la s curit du travail CSST na t le 31 mars 1980 lors de la proclamation du chapitre 9 de la Loi sur la sant et la s curit du travail Elle se substitue d s lors la Commission des accidents du travail en assume les pou voirs et les obligations mais en acquiert galement les droits Le conseil d administration paritaire a pour fonction d approuver les objectifs les politiques les programmes et les priorit s de la Comission Il ratifie les protocoles d entente r vise le
382. ycoupeurs regroupent pr s du 162 DS Dors ne a PE nd M D ne en Se ee qq aaa 31111 31211 31921 31941 31942 31991 31992 31993 31994 31995 TOTAL SELON L UNIT ET LA DUR E D INTERRUPTION DU TRAVAIL TABLEAU 34 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 Unit quipement agricole R frig ra tion Convoyeurs V rins hy drauliques G n rateurs Machines outils Filtres air Machines coudre quipement industriel R paration Aucun ou in d ter min 14 20 13 11 1 5 452 130 415 231 535 656 76 36 6 809 206 9 546 57 3 Nombre de jours 6 10 11 40 102 122 35 26 83 83 80 86 134 174 170 155 18 18 16 12 1 893 1 996 75 79 2 606 2 751 15 7 16 5 4l et plus 37 48 39 69 62 12 1 024 64 Total 727 201 649 439 925 1 054 125 69 12 032 432 16 653 100 0 4 4 1 2 3 9 2 6 5 6 6 3 0 8 0 4 72 2 2 6 100 0 Nombre de jours moyen 12 05 9 46 11 64 18 60 18 41 16 48 20 36 19 29 18 56 34 18 18 18 163 TABLEAU 35 R PARTITION DES ACCIDENTS COMPENSABLES SELON LES PRINCIPAUX SI GES DES L SIONS ET L UNIT DANS LE SECTEUR INDUSTRIES DE LA MACHINERIE 1980 1983 81584 de la l g
383. yg ne Source William A Burgess Recognition of Health Hazards in Industry Review of Materials and Processes reproduit avec la permission de John Wiley and Sons 261 Risques pour la s curit Risques Explosion La pr sence d ac tyl ne dans l air dans des proportions de 80 peut provoquer une explosion Incendie cause des gaz en pr sence le risque d incendie est toujours pr sent surtout s il existe du mat riel combustible autour de l op ration de soudage et de d coupage au gaz Br lures thermiques Certaines parties du corps peuvent tre expos es aux br lures soit par la chaleur g n r e par l op ration soit par des particules de m tal en fusion dispers es par le d coupage Les yeux sont expos s la chaleur et la radiation Risques pour la sant LL n Risques Intoxication Les fum es de soudage ou de d coupage sont souvent reli es au type de m tal trait La graisse et la peinture qui peuvent se trouver sur la pi ce sont aussi des contaminants pouvant affecter le soudeur L action de la chaleur et des rayons ultraviolets peuvent g n rer de l ozone et des oxydes d azote 262 Soudage et d coupage l arc lectrique Un arc est cr entre une lectrode et la pi ce m tallique qui sont reli es par une g n ratrice de courant alternatif ou continu La temp rature atteint 4000 C quand les pi ces
384. yg ne une lectrode tubulaire est utilis e pour provo quer l arc l oxyg ne est fnject dans l orifice de l lectrode et la pi ce m tallique ainsi chauff e par l arc s oxyde avec la pr sence de l oxyg ne arc atr une lectrode au carbone est utilis e pour provoquer l arc entre la pi ce m tallique et l lectrode Le m tal fon dant est ject par un jet d air comprim Autres proc d s Soudage l arc plasma et tungsten arc cutting dans ces deux proc d s la source de chaleur provient d un arc form dans un tr s petit orifice o l on injecte de l air de l argon de l h lium de l azote de l hydrog ne ou un m lange de ces gaz Un jet form par la pression des gaz qui devient une flamme la sortie de la buse permet de cr er un arc plasma sch ma 15 Soudage l arc submerg dans ce proc d l arc lectrique est prot g par un flux fusible qui se d pose avant la soudure pro prement dite L lectrode est un fil m tallique de composition similaire la pi ce de m tal souder Durant le soudage le fil m tallique fond ainsi que le flux qui ajoute la soudure certains alliages Cette op ration peut tre semi automatique ou automatique sch ma 16 267 aiii Dire 7 vie acte de jure a SCH MA 1 5 SOUDAGE L ARC PLASMA lectrode Orifice des gaz Eau de refroidissement Gaz protecte
385. ygi ne et la s curit au travail d velopper mettre sur pied et maintenir des programmes relatifs la protection et l am lioration de l hygi ne et de la s cu rit des employ s coop rer avec les agents de s curit exiger de l employeur les renseignements qu il juge n cessaires afin d identifier les dangers pr sents ou ventuels que peuvent pr senter les mat riaux les m thodes de travail ou l quipe ment voir la tenue de certains registres Le comit doit se r unir au moins une fois par mois et toutes les fois qu une urgence ou des circonstances exceptionnelles 1l exi gent Repr sentant l hygi ne et 15 s curit Tout employeur nomme un repr sentant l hygi ne et la s curit du travail dans chaque lieu de travatl qu il dirige et occupant habituellement au moins cinq employ s et pour lequel un comit d hygi ne et de s curit n a pas t constitu Les employ s du lieu de travail ou lorsque ceux ci sont syndiqu s leur s syn dicat s choisissent parmi 168 travailleurs le repr sentant l hygi ne et la s curit Le repr sentant l hygi ne et la s curit a pour fonctions de 427 nt des ndre en consid ration et disposer rapideme pre gt recevoir des employ s curit plaintes relatives la sant et 18 s cu L reli es einer toutes les enqu tes et investigations particip l hygi ne et la g curit

Industries de la machinerie (sauf électrique) au Québec

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