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PV du 30/01/2012 - Syndicat CGT du personnel de Groupama PVL

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1. 25 IV Questions diverses 1 partie 25 1 Pr sentation du nouvel outil de gestion du temps ORQUIDAY ssssssssssssesssssessee 25 2 D signation de l expert comptable assistant le CE pour 2012 28 3 Pr sentation des budgets pr visionnels du CE uvres sociales et Fonctionnement pour 201255 SES ER EE ne 28 4 Gestion des badges d acc s aux diff rents tablissements pour les Elus du CE 29 5 Commission Droit et information au Logement 29 6 Service IDA W AUKEE nisnin hersis aa an dial see else 29 Olivet le 30 janvier 2012 3 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Las ance est ouverte 9 heures 31 sous la pr sidence de Monsieur BLONDEL I Adoption duproc s verbal de la r union ordinaire du 19 d cembre 2011 Le proc s verbal de la r union ordinaire du 19 d cembre 201 lest adopt l unanimit II Questions conomiques et d orientation m tier 1 Point sur les r sultats du d veloppement au 31 d cembre 2011 Monsieur BLONDEL effectue la pr sentation des tableaux de bord La production nette en IARD accuse un retrait important avec un atterrissage 13 64 millions d euros hors MRC sachant que cette derni re est en volution positive Ce recul est aliment par le march des collectivit s par le march agricole par le march des ACPS et par le march des particuliers En Assurance vie l Entreprise devrait accuser un d calage d environ
2. Monsieur BIOTTI n y voit pas d inconv nient si cette r cup ration a lieu sur la m me semaine Madame BIGOT CGT trouve que cela n est pas carr Lorsque des AC effectuent un temps suppl mentaire il leur est demand de ne pas indiquer ce suppl ment dans l auto d claration Madame BIGOT a du mal s y retrouver Monsieur BIOTTI explique que l horaire est hebdomadaire Si ces temps suppl mentaires sont r cup r s pendant la semaine il n y aura plus au global d heures suppl mentaires d clarer Si tel n est pas le cas l auto d claratif devra en tenir compte et il faudra que le manager valide le temps suppl mentaire ainsi d clar Il faut donc que les choses soient tr s claires entre le collaborateur et son manager quant la logique qui sera privil gi e Monsieur GORET CGT pense que la mani re de g rer le d passement doit faire l objet d une r gle claire et qu elle ne doit pas tre laiss e l appr ciation des uns et des autres Il consid re que par principe ce temps doit tre pay en heures suppl mentaires Si jamais le salari choisissait la r cup ration celle ci devrait avoir lieu dans la semaine pour tre en coh rence avec le format hebdomadaire de travail Il faut viter les flottements Madame BIGOT CGT d plore justement l existence de tels flottements Monsieur GORET CGT consid re qu il n en est que plus important encore que les collaborateurs puissent garder la main pour saisir
3. A plusieurs reprises en 2011 la CGT PVL avait officiellement pos la question de savoir si une nouvelle organisation du r seau serait prochainement mise en uvre De m me d s juin 2011 s tait telle ingui t e des bruits persistants sur les perspectives professionnelles des CAB au sein de GPVL toutes ces questions formul es bien en amont du projet trait ce jour la Direction avait r pondu par la n gative Jusqu au 19 d cembre 2011 o cette m me Direction a d cid de faire surgir ce dossier dans le processus de consultation du CE Processus qui l galement suppose une s ance d information et consultation du CE et une s ance pour avis de ce dernier Pourquoi le 19 d cembre et si tardivement alors que la Direction augurait d une mise en place rapide voire au 1 janvier 2012 Seule la Direction le sait et elle restera seule le savoir malgr les appels fait par l instance CE bien en amont de la consultation Parce que les membres du CE ont pour habitude de traiter chaque dossier pr sent par l employeur avec l attention et le s rieux que suppose le r le de cette instance nous avons demand l employeur d tre plus attentif au processus de consultation Et notamment au respect de d lais suffisants pour permettre tous un partage un dialogue et une bonne prise en compte des l ments constitutifs du dossier C est la raison pour laquelle nous avons d clin la demande pressante faite par la Dire
4. Il convient donc ici et l adresse des managers et salari s des r seaux de rappeler simplement les faits et les responsabilit s qui sont exclusivement celles de l employeur dans ce domaine comme dans malheureusement bien d autres Le projet des r mun rations variables 2012 a t pr sent aux membres du CE le 19 d cembre 2011 Conform ment aux dispositions l gales c est la s ance suivante du CE que sont recueillis les avis des membres du CE Cette r union a lieu ce jour conform ment au planning d cid par la Direction Si ce dossier est en recueil d avis en janvier alors m me que l ann e 2012 est commenc e c est du seul fait et de la seule responsabilit de l employeur Les ventuels retards dans l instruction sociale des divers dossiers sociaux soumis au CE sont ici comme ailleurs du seul fait et cadencement choisi par l employeur Quand aux pr tendues affreuses menaces que font peser les m chants syndicats sur les int r ts des salari s que d fend si bien l Entreprise j invite chacun quelque soit son r le ou sa fonction avoir un peu plus de discernement et ne pas trop prendre les salari s pour des simples d esprits Car au del des discours manipulatoires nous ne doutons pas que les salari s sachent mieux que quiconque ce qu ils vivent et qui leur fait vivre En cons quence tant sur le fond que sur la forme la CGT PVL donne unanimement ce jour un avis d favorable aux disposi
5. Cela facilitera la t che du r seau Monsieur CAULLET CGT r pond que ces dispositions ne sont pas critiqu es sur le fond mais sur le plan de leur op rationnalit Tant des commerciaux sur le terrain que des encadrants s en sont ouverts aupr s de lui Par exemple la circulaire relative la campagne de r vision 2012 fait 41 pages Il incombe chaque manager de l expliquer ses collaborateurs et de la d ployer ce qui est d autant moins vident que cette circulaire ne fournit pas d instructions pr cises quant la Olivet le 30 janvier 2012 6 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire mani re de traiter les diff rents cas de figure Au contraire elle renvoie r guli rement d autres circulaires Cela suppose un travail d analyse extr mement chronophage Cette technocratie est en train d touffer le r seau Monsieur BLONDEL prend note de cette remarque tant en ce qui concerne le nombre de pages de cette circulaire que son caract re peu op rationnel Il r fl chira la mani re de simplifier ces instructions Toutefois il insiste sur l importance d effectuer rigoureusement les r visions de contrats Monsieur GORET CGT rappelle qu aujourd hui fondamentalement les salari s ont besoin de clart de simplicit et de p rennit dans les diff rentes instructions qu ils re oivent Ces derni res doivent cesser de constituer un maquis l gislatif interne qui touffe le fonctionnement de l
6. la DRH Monsieur BIOTTI prend note de cette remarque 2 D signation de l expert comptable assistant le CE pour 2012 Monsieur CAULLET CGT indique qu en r union pr paratoire le CE a act la reconduite l unanimit du cabinet Secafi dans ses missions d assistance et d expertise Ces missions porteront notamment sur l analyse de la situation des comptes de la Caisse au 31 d cembre 2011 conform ment aux dispositions des articles L 2323 35 et suivants du Code du travail Secafi assistera en outre la Commission conomique dans l ensemble de ses attributions conform ment aux dispositions des articles L 2325 2 et L 2325 35 et suivants du Code du travail Monsieur PILLON CFDT propose de valider cette d lib ration par un vote formel en s ance pl ni re La reconduite du cabinet Secafi dans ses missions d assistance et d expertise recueilleun vote favorable unanime 13 votants 3 Pr sentation des budgets pr visionnels du CE uvres sociales et Fonctionnement pour 2012 Monsieur PILLON CFDT effectue la pr sentation des budgets voir annexe Madame CHEV ALLIER CFDT annonce des week ends v nementiels en 2012 les 22 et 23 septembre ainsi que les 6 et 7 octobre Center Parcs domaine des Hauts de bruy re Le co t pour les salari s sera de 35 euros par adulte de 20 euros pour les enfants g s de 12 16 ans et de Olivet le 30 janvier 2012 28 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de
7. notamment et dans l outil les r unions au pied lev Cela permettra d assurer une tra abilit du temps de travail effectif pass au poste ainsi que du temps pass autre chose formation r union etc Monsieur CAULLET CGT tient ce que la Direction r alise bien que les pratiques sont tr s disparates selon les secteurs et selon les managers De m me le syst me des bons de d placement n est pas connu de la majorit des collaborateurs du r seau Monsieur BIOTTI r pond que chacun disposera d sormais d un manuel d instructions complet Monsieur CAULLET CGT insiste sur le fait que les managers doivent converger vers des pratiques homog nes Monsieur BIOTTI indique que les managers seront form s par les correspondantes RH Un manuel du manager leur sera galement distribu Monsieur PILLON CFDT aimerait que la validation des d p ts de jours ARTT sur le CET soit effectu e par le biais d Orquiday Pour le moment les salari s doivent envoyer un document et ils n obtiennent aucune r ponse si ce n est l affichage fr quemment tardif du solde sur l intranet Madame BIDAULT explique que ces op rations tant possibles jusqu au 30 janvier ce n est qu en f vrier qu il est possible de consolider les donn es et d afficher les soldes Monsieur PILLON CFDT pense n anmoins que par le biais de ce logiciel les choses seraient plus simples Olivet le 30 janvier 2012 27 Comit Entreprise ordinai
8. tablissements sp cialis s En clair cela reviendrait relancer Apog e afin de rationaliser les activit s et de simplifier le mille feuilles organisationnel Il sera essentiel d impliquer les personnels de terrain dans cette d marche dans le but de garantir sa pertinence Monsieur ROISIN CFDT revient ensuite sur les r sultats du P le parisien Il appara t que ce sont environ 220 000 euros de production nette qui ont t perdus en Sant Apparemment via les hausses de tarifs l Entreprise est pr te sacrifier le chiffre d affaires afin de d gager davantage de rentabilit Monsieur ROISIN le comprend mais il souligne que cela remet en cause le business plan du P le parisien en termes d atteinte du point de rentabilit Quand le P le parisien devrait il donc devenir rentable Monsieur BLONDEL confirme que l Entreprise va continuer d ployer Apog e maintenant que les P les de gestion sont constitu s de mani re simplifier leurs rapports avec le r seau et soulager ce dernier en ce qui concerne certains actes simples En ce qui concerne le P le parisien Monsieur BLONDEL confirme qu il a souffert en 2011 des volutions tarifaires d cid es par Olivet le 30 janvier 2012 8 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire l Entreprise Ces volutions ont t cibl es sur les croisements de garanties qui donnaient lieu des d rives et les garanties plus ont t abandonn es En
9. 16 par rapport la m me poque de l ann e pr c dente ce qui la placera dans la moyenne des Caisses r gionales Sachant qu en moyenne le march devrait atterrir 14 Monsieur GORET CGT demande si ces chiffres int grent les effets de la loi Ch tel Monsieur BLONDEL r pond que ces chiffres n int grent que partiellement les effets de la loi Ch tel Il est encore trop t t pour faire un point ce sujet sachant que comptablement l impact de cette loi se mesure toujours sur l exercice suivant Monsieur GORET CGT est soucieux de conna tre l volution des impacts de la loi Ch tel sur les comptes d un exercice sur l autre Monsieur BLONDEL rappelle qu il convient galement de faire un bilan complet en tenant compte aussi bien des r siliations que des conqu tes r sultant de la loi Ch tel Monsieur GORET CGT r clame galement un bilan complet des r silations effectu es soit l initiative des soci taires soit l initiative de l Entreprise sur l ensemble des march s Monsieur BLONDEL r pond que ce bilan sera dress la fin du mois de f vrier d s lors que la totalit des remont es aura t trait e Monsieur SEGUIN CFDT note que depuis plusieurs ann es une partie des r siliations sur le march des collectivit s est l initiative de GPVL Quelles sont donc les motivations de l Entreprise Monsieur BLONDEL explique que l Entreprise est motiv e par la pr servation de ses quili
10. Enfin le nombre de soci taires est en l g re croissance 862 En synth se Monsieur BLONDEL constate un retrait significatif en volume avec une productivit qui est inf rieure aux ambitions En nombre toutefois les niveaux enregistr s sont globalement en progr s l exception significative de la Sant Monsieur ROISIN CFDT aimerait disposer d un tableau de bord formel concernant au moins la Sant individuelle Sachant que cette derni re g n re beaucoup plus d activit notamment en termes de gestion des appels t l phoniques Par ailleurs Monsieur ROISIN est frapp par la c sure qui existe en nombre entre l ex Nord et l ex Sud C est le cas par exemple en Automobile Or les nombres auront une influence directe sur l activit des tablissements qui sont d sormais sp cialis s Enfin dans l Oise sur le march agricole c est la deuxi me ann e de suite que l Entreprise perd globalement 1 million d euros de production nette sur un portefeuille de 15 millions d euros Il semble que ce probl me r sulte de la proximit entre les structures de la FNSEA et le Cr dit Agricole et non pas de l activit des conseillers agri de Groupama Les administrateurs devraient s attacher le r gler au lieu de se soucier uniquement des co ts d expertise qui r sultent des d marches engag es par un CE inquiet Monsieur SEGUIN CFDT aimerait conna tre les r sultats du premier mois de ACC sur l Epargne Monsieur B
11. JUTTIER CFDT Monsieur Olivier COTTIN SNEEMA CFE CGC Madame MASSON Nadia CGT Monsieur OFFRET Yvon UNSA AA Monsieur PITARD Serge UNSA AA Monsieur REGIS Pascal UNSA AA Monsieur REBOULEAU Gilles CGT Madame WEBER Maria CGT Madame ZANCAI Emilie CFDT Olivet le 30 janvier 2012 Groupama Paris Val de Loire Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Ordre du jour I Adoption du proc s verbal de la r union ordinaire du 19 d cembre 2011 4 II Questions conomiques et d orientation m tier 4 1 Point sur les r sultats du d veloppement au 31 d cembre 2011 4 2 Point sur les r sultats de la simistralit au 31 d cembre 10 3 Information Consultation sur le Projet d volution du management commercial March des Particuliers Recueil de lavis situait tm tiar fe naines 10 I Questions d ordre social 1 partie 16 1 Information Consultation sur le projet d volution du dispositif de r mun ration variable pour 2012 Recueil de l AvIS sissnementannsnisnnnamens 16 2 Pr sentation du Bagage de communication sur la GPEC ssseeeceeereereeererreresee 19 3 Consultation du CE sur la d rogation l octroi du repos hebdomadaire le dimanche et information du CE sur la r alisation d heures suppl mentaires 24 4 Information du CE sur la situation de l emploi
12. Loire 10 euros pour les enfants g s de moins de 12 ans Ce prix inclut le logement le d jeuner du samedi midi le repas festif du samedi soir le petit d jeuner du dimanche matin et le d jeuner du dimanche midi Les salari s qui choisiront de venir par leurs propres moyens pourront acc der au site d s le vendredi 16heures et rester jusqu au lundi 10heures Cet v nement est essentiellement ouvert aux salari s n ayant pas particip aux deux v nements pr c dents Beauval et la Baie de Somme raison de 225 personnes par date Si ce nombre tait d pass il y aurait tirage au sort 4 Gestion des badges d acc s aux diff rents tablissements pour les Elus du CE Monsieur PILLON CFDT indique que les badges d acc s fournis aux lus du CE ne leur permettent pas d ouvrir tous les sites Il convient d y rem dier Monsieur GORET CGT rappelle que cette demande a d j t formul e en r union des DSC et qu il a adress une demande crite aupr s de la DRH en 2011 Monsieur BIOTTI fera le n cessaire dans les plus brefs d lais 5 Commission Droit et information au Logement Monsieur GORET CGT en tant que Pr sident de la Commission rappelle que l exercice 2011 tant chu il convient de pr voir une pr sentation d finitive des r sultats de la consommation des prestations propos es aupr s des membres de la Commission et du CE Monsieur BIOTTI lui adressera les bilans prochainement 6 Service I
13. ans n est pas la bonne Si la CFDT ne reprend pas ici la liste de ses revendications en mati re de r mun ration variable des commerciaux elle reste persuad e de leur propos et attend toujours la preuve du contraire de la part de la Direction Sur les maigres modifications apport es pour 2012 sur le syst me de r mun ration variable la CFDT donne un avis d favorable Monsieur PILLON CFDT propose ensuite de passer au vote Le projet d volution du dispositif de r mun ration variable pour 2012 recueille 13 votes d favorables et 1 abstention 14 votants Monsieur BLONDEL prend note de l avis 2 Pr sentation du Bagage de communication sur la GPEC Monsieur BIOTTI indique que le bagage de communication a d j t pr sent devant la Commission formation Il r capitule ensuite le dossier Les quipes RH ont travaill la d clinaison de l accord sign la fin du mois de juin afin de fournir l ensemble des collaborateurs des l ments d information permettant de clarifier les processus qui sont l uvre dans la d marche de GPEC Monsieur GORET CGT constate que d ann e en ann e l tape acc dant qui est une sp cificit de GPVL tend se transformer en une p riode d essai de plus en plus longue Ainsi en classe 4 et 5 elle est port e quatre ans Il n est pas possible d accepter une telle configuration d autant que les exigences auxquelles sont soumises les personnes concern es
14. autres et sur la constitution des nouveaux secteurs Plus troublant enfin pour les lus que nous sommes de d couvrir des coll gues ayant une cartographie aussi pr cise des nouveaux secteurs en pleine consultation du CE Ces faits et atermoiements ne sont pas nouveaux dans le processus de consultation de l instance CE sur GPVL Ils prennent syst matiquement naissance dans la cha ne hi rarchique qui semble avoir bien du mal respecter les pr rogatives l gales des uns et des autres quand il ne s agit pas d en critiquer la pr tendue lenteur Tout cela nous l affirmons ici est de la seule responsabilit de l employeur et nous r it rons officiellement notre demande d une meilleure prise en consid ration des pr rogatives l gales des instances sociales de l Entreprise au risque effectivement d tre en situation de d lit d entrave lorsque la patience et la bonne volont des repr sentants du personnel aura atteint ses limites devant les franchissements r p t s de l employeur et ses principaux repr sentants de la ligne blanche l gale Nous attendons donc et plus encore la lumi re de ce dossier que l employeur se conforme d sormais positivement au droit mais galement au bon sens notamment en mati re de chronologie de consultation s il veut viter les ventuels cafouillages dont il se rend coupable Ceci dit les membres CGT PVL de cette instance ont malgr tout pris soin de faire l analyse de ce dos
15. de changements de fili re il est absolument n cessaire d acqu rir des comp tences et une exp rience Monsieur GORET CGT estime que ce n est toutefois pas aux salari s d en assumer la charge conomique sur le plan de la classification et de tous les droits qui s y rapportent mais l Entreprise Monsieur ROISIN CFDT ajoute que normalement lorsqu un salari d marre dans une fili re sa p riode d essai est de six mois Ensuite il a acquis suffisamment de comp tences pour tre consid r comme un d butant sur son poste et 1l se retrouve au minimum de la classe correspondante Par la suite au fil du temps sa ma trise du poste progresse et cette volution est sanctionn e par des augmentations de salaire Le syst me d accession lui op re un transfert de responsabilit de l Entreprise vers le salari Cela n a rien voir avec la philosophie de l accord national Monsieur SEGUIN CFDT trouve par ailleurs scandaleuse l tape 3 du bilan RH qui suppose de refaire passer le test de personnalit et le test de r solution de probl mes aux collaborateurs qui sont l depuis plus d un an Lorsque l Entreprise conna t un collaborateur et qu il fait l affaire il n y a pas lieu de lui faire repasser ces tests Monsieur BIOTTI r pond que cette proc dure fonctionne pourtant tr s bien Monsieur SEGUIN CFDT le conteste Il y voit une explication au taux de turnover historiquement lev de GPVL par rapport aux autre
16. de client le collectivit s il doit acqu rir de l exp rience sur le terrain et r aliser certains apprentissages qui lui permettront d tre autonome dans son emploi cible Monsieur CAULLET CGT souligne que malgr tout cela ne l emp che pas de r aliser des t ches qui correspondent l emploi cible dont la classification est sup rieure Olivet le 30 janvier 2012 23 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur SEGUIN CFDT ajoute que pour d terminer si cette personne est susceptible d voluer vers l emploi cible l Entreprise lui a d j fait passer une batterie de tests A partir du moment o il appara t qu elle est capable de prendre le poste pourquoi la sanctionner en lui faisant accomplir les t ches pr vues sans qu elle ne b n ficie de la classification correspondante Monsieur BIOTTI r pond qu il ne s agit pas d une sanction Au contraire ce syst me a permis de produire des volutions professionnelles qui ont t des r ussites notables De plus durant le passage par le poste d acc dant des volutions salariales peuvent se produire Toutefois Monsieur BIOTTI est tout fait pr t discuter d une ventuelle r duction de la dur e d accession Monsieur GORET CGT r p te que l existence de ce poste d acc dant est inacceptable aux yeux de la CGT et que celle ci combattra la mani re dont la Direction le con oit et l instrumentalise Il ne s agit que d un levier qui e
17. l accompagnement en client le Cependant si le renforcement manag rial est une n cessit il est craindre qu il ne soit insuffisant pour r aliser les objectifs et un d veloppement positif et durable qui est n cessaire l Entreprise GPVL En effet cela passe par Olivet le 30 janvier 2012 11 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire des moyens mis la disposition des collaborateurs commerciaux et plus particuli rement par des tarifs attractifs et une plus grande disponibilit des commerciaux pour l entretien de leur portefeuille A cet gard quel que soit le march concern les r organisations successives n ont jamais mis l accent sur la conservation du portefeuille Aucun objectif aucune ligne sur ce point Mauvais calcul si l on consid re que l acquisition d un client co te trois quatre fois plus cher que son maintien FO met un avis favorable Monsieur GORET CGT donne lecture de la d claration suivante au nom de la CGT Les membres du Comit d Entreprise sont invit s ce jour rendre un avis sur le projet d volution du management commercial du march des Particuliers Pr alablement l argumentaire qui d termine de l avis des membres lu e sde la CGT PVL au sein du Comit d Entreprise nous souhaitons revenir sur l historique de ce dossier et sur les cons quences du cadencement retenu par l employeur dans le cadre de la consultation l gale de cette instance
18. ne sont pas des exigences acc dantes Olivet le 30 janvier 2012 19 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur SEGUIN CFDT rappelle que ces emplois d acc dant ne devaient concerner que les d buts de fili re Or il y a des acc dants en classe 3 pour des emplois cible en classe 4 qui sont en milieu de fili re Monsieur BIOTTI r pond que les emplois d acc dant en classe 3 pour de la classe 4 se situent dans la fili re Production entreprises risques complexes qui d marre en classe 4 avec des R dacteurs souscripteurs La cr ation d un emploi de r dacteur souscripteur dommages RC acc dant permet de favoriser la mobilit depuis par exemple un emploi de Technicien souscription ACPS en classe 3 Monsieur SEGUIN CFDT estime que les fili res m tier ne concernent que le r seau la gestion et l encadrement Il n est pas question de cr er une fili re ERE Monsieur GORET CGT ajoute que les actes que GPVL fait accomplir sur ces cat gories d emplois n introduisent pas de sp cificit s par rapport la nomenclature nationale Il n y a donc aucune raison pour que les postes d acc dant se multiplient ce point et sur des dur es aussi longues La notion d acquisition de l emploi est d ailleurs fallacieuse puisque dans le cadre de la formation professionnelle continue chaque salari acquiert en permanence des comp tences nouvelles qui lui permettent de tenir son emploi En aucun ca
19. nous am ne nous interroger sur le positionnement dans le d partement de l Oise de l agence de Beauvais Gambetta enclav e dans le secteur Nord Ouest et sur l tendue territoriale couverte par cette derni re De m me la nouvelle segmentation du p le Est de l Ile de France divisant en deux le secteur d Est Noisy nous para t toujours h t roclite du fait du rattachement de l agence du Raincy au secteur Ouest X du p le Ouest Enfin il reste souligner que contrairement ce qui est indiqu dans le dossier de pr sentation pr cisant que les secteurs ne d passeront pas 10 12 collaborateurs certain RDM seront toujours en charge d encadrer des quipes de 14 personnes Ex Secteur urbain de la Somme et Secteur Centre de l Yonne alors que d autres manageront 9 personnes Le SNEEMA CFE CGC donne cependant un avis favorable ce projet d volution tout en demandant la Direction de tenir compte des remarques qu il a formul es Monsieur DRANCOURT FO donne lecture de la d claration suivante au nom de FO Le projet a pour but de renforcer l efficacit des commerciaux du march des particuliers par la formation d quipes plus r duites puisque chaque RDM aura sous sa responsabilit 10 12 commerciaux Les lus ont depuis longtemps voulu un changement dans ce sens afin que les quipes aient une dimension humaine permettant une efficacit accrue plus particuli rement sur le plan du tutorat et de
20. se donne l Entreprise pour la r ussite de ce projet Il y a fort parier que rien ne change sur les pratiques actuelles or c est principalement sur ce point qu il faudrait agir La CFDT met donc un avis d favorable m me si le bien fond du projet est indispensable Elle souhaite d autre part que le suivi de cette r organisation soit effectif et transparent Un premier bilan devra donc tre pr vu quelques mois apr s sa mise en place Monsieur PILLON CFDT propose ensuite de passer au vote Le projet d volution du management commercial March des Particuliers recueille 11 votes d favorables 2 abstentions et 1 vote favorable 14 votants III Questions d ordre social 1 partie 1 Information Consultation sur le projet d volution du dispositif de r mun ration variable pour 2012 Recueil de l avis Monsieur PILLON CFDT propose de prendre connaissance des d clarations des organisations syndicales Madame BEUCHER UNSA AA donne lecture de la d claration suivante au nom de UNSA AA D s sa mise en place au 1 janvier 2009 l ensemble des organisations syndicales avait contest le dispositif de r mun ration variable En effet toutes les simulations faites l poque par les Elus du personnel se traduisaient pour une grande partie des collaborateurs commerciaux par une forte r duction de la r mun ration variable ce qui dans les faits s est av r exact De surcro t ce disposi
21. soit confirm quand bien m me il donnerait satisfaction dans son r le Ce genre de pratiques n est pas m me de donner aux salari s l envie de monter en comp tence n1 d voluer professionnellement L Entreprise doit donc absolument supprimer ce syst me sauf en ce qui concerne les entr es de fili re sous peine de priver la GPEC de tout son sens Le fait de redonner de la lisibilit et du sens aux individus permettra de r duire le turnover Monsieur GORET CGT insiste la notion d acc dant ne correspond aucun accord sign GPVL De plus en instaurant cette notion l Entreprise d roge un accord national La CGT n exclut pas de devoir attaquer l entreprise au niveau du droit pour faire stopper de telles d rives sociales Olivet le 30 janvier 2012 20 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur BIOTTI ne pense pas du tout que GPVL soit en d faut par rapport l accord national Ce dispositif n a pas pour objet de p naliser les collaborateurs mais de favoriser la mobilit interne de fili re en fili re Monsieur PILLON CFDT r pond qu avec ce syst me l Entreprise est en train d instaurer un syst me selon lequel les collaborateurs changeront de m tier mais conserveront le m me salaire qu avant pendant un certain nombre de mois ou d ann es Elle d construit compl tement ce que doit tre la gestion normale des volutions professionnelles Monsieur BIOTTI r pond que lors
22. Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Proc s verbal de la r union ordinaire du CE du 30 janvier 2012 Repr sentants de la Direction Monsieur BLONDEL Olivier Directeur G n ral Monsieur BIOTTI Jean Christophe Directeur des Ressources Humaines Madame BIDAULTEvelyne D l gation salariale ELUS TITULAIRES Monsieur BENKERROUM Abderrahmane CFDT Monsieur CHARPENTIER Jean Pierre CFTC Madame CHEV ALLIER Anne Sophie CFDT Madame DELCROIX Isabelle CFDT Monsieur HARE Thierry SNEEMA CFE CGC Madame MORGADO Adozinda CGT Monsieur MOUILLE Laurent CFDT Monsieur PILLON CFDT Jo l CFDT Secr taire Madame RICHARD Yasmina CGT Secr taire adjoint ELUS SUPPLEANTS Madame BEUCHER Marie Laure UNSA AA Madame BIGOT Marie Dominique CGT Monsieur CAULLET Christophe CGT Monsieur DUDONNE Alain CFDT Monsieur LAMIDEL Gilles CFDT Madame LATAPY Evelyne CFDT Monsieur MEUNIER Micha l CGT Monsieur PREVOT Thierry SNEEMA CFE CGC Monsieur ROISIN Jean Jacques CFDT REPRESENTANTS SYNDICAUX Monsieur DRANCOURT Charles FO Monsieur GORET Philippe CGT Monsieur SEGUIN Jean Vincent CFDT Olivet le 30 janvier 2012 1 Comit d Entreprise ordinaire Excus s Madame BALMAJOU Muriel FO Monsieur BULCOURT Richard CFDT Monsieur DIOP Sidi CFDT Monsieur DUCHENE Jean Pierre SNEEMA CFE CGC Madame FAMELART Christelle CFDT Madame GENDRIER Marie Th r se UNSA AA Monsieur
23. DA d Auxerre Monsieur LAMIDEL CFDT rappelle que le service IDA d Auxerre qui a t cr suite Sagittaire est aujourd hui constitu de quatre personnes 1 CDD et 3 titulaires L un des titulaires partira prochainement dans le cadre d un cong de maternit Ce service a contribu l entraide entre tablissements au niveau des d clarations Aujourd hui ce service IDA d Auxerre s en trouve fortement impact puisque son r sultat est n gatif tandis que celui du service IDA d Amiens est positif Les collaborateurs souhaitent donc que leurs services soient dot s d un effectif suffisant et constant Ils alertent galement l Entreprise quant au fait que lorsque certains recours sont rat s il n est pas possible de les rattraper Ils veulent donc conna tre les mesures que compte prendre l Entreprise afin de favoriser le retour la normale Monsieur BIOTTI transmettra ces remarques la Direction Organisation qui examinera cette question avec la Direction de l tablissement concern La s ance est lev e 15 heures 32 LE PRESIDENT LE SECRETAIRE Olivier BLONDEL Jo l PILLON Olivet le 30 janvier 2012 29 Comit Entreprise ordinaire Annexes Groupama Paris Val de Loire BUDGET PREVISIONNEL FONCTIONNEMENT 2012 Budget Dotation PREVISIONNEL 2012 2012 DOTATION Estimation 181916 78 PRODUITS FINANCIERS 4083 22 Reprise sur ant rieurs 6000 SALAIRE SECRETARIATS 89000 ORGANISATIONS SYND
24. ICALES 39000 Formations et Vie de l OS CFDT dont 16000 CGT dont 9000 UNSA AA dont 5000 SNEEMA CFE CGC dont 4000 FO dont 4000 CFTC dont 1000 Frais de Missions des lus CE 24000 Frais de restauration 2000 Fournitures administratives 1000 ADHESIONS PARTENARIATS 5000 Butterfly Ch ques Vacances ABONNEMENTS et LIBRAIRIE 2000 FRAIS d affranchissements 8000 PRESTATAIRES EXTERIEURES 22000 FDUCAC Dont 8000 SCRIPTEOS rer TOTAL 192000 192000 Olivet le 30 janvier 2012 30 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire RECETTES Budget 2011 PREVISIONNELLES DOTATION 2011 Estimation 1 030 861 73 Produits Financiers Estimation 9 138 27 PRESTATIONS INDIVIDUELLES 620000 Dont Ch ques Vacances 50 000 S jours Vacances Familiales 360 000 Activit sportive 105 000 Activit Billetterie 72 000 Fond Social Secours 30 000 Muitipropri t 3000 ENFANCE 160000 Dont S jours Enfants 80 000 Ch ques Cadeaux No l 35 000 Spectacles No l 18 500 Aide l ducation et 26500 Etudes sup rieures PRESTATIONS COLLECTIVES 275000 Reprise sur ant rieurs Dont Voyages Collectifs GRECE 15000 100 000 Sortie Ev nementielle 75 000 Week End 100 000 TOTAL 1 055 000 1 055 000 BUDGET PREVISIONNEL UVRES SOCIALES 2012 Olivet le 30 janvier 2012 31 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Olivet le 30 janvier 2012 32
25. LONDEL indique que les premi res remont es montrent une situation difficile en termes de production GPVL se situe dans la moyenne des Caisses r gionales mais en retrait par rapport aux performances traditionnellement observ es cette poque de l ann e Monsieur PILLON CFDT trouve que la Direction n tablit des comparaisons avec la moyenne des Caisses r gionales que lorsque cela l arrange Or s agissant du montant des affaires nouvelles qui rejoint la notion de productivit il ressortait 38 27 millions d euros au 31 12 2010 alors que l Entreprise ne comptabilisait pas les effets diff r s ni en valeur ni en nombre Malgr l OPC et la l g re augmentation du nombre de commerciaux sur le terrain le montant des affaires nouvelles est pass 34 74 millions d euros soit une baisse de productivit de 12 Monsieur PILLON est donc particuli rement inquiet des r ponses apport es par la Direction pour renouer avec le chemin du d veloppement La Direction devrait reconna tre ses erreurs afin de corriger le tir Olivet le 30 janvier 2012 5 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur BLONDEL confirme que la situation en montant ne correspond pas aux ambitions de l Entreprise m me si un progr s est observable dans la quasi totalit des branches Une comparaison avec les autres Caisses r gionales appelle effectivement des efforts et de la mobilisation de la part de l ensemble de l Entreprise En
26. am tres conomiques De m me le peu de bons usages fait d OPC ce jour et la lumi re de certains mais r currents propos nous pouvons affirmer que ce projet n augure pas des r ussites collectives mais une plus grande pression et donc de souffrance au travail des salari s du r seau des particuliers Dans ces conditions la d l gation CGT PVL aupr s du CE donne un avis d favorable au projet pr sent et sera particuli rement attentive ses effets sur le plan commercial mais galement social au travers du taux de turn over des quipes du march des particuliers Monsieur CHARPENTIER CFTC donne lecture de la d claration suivante au nom de la CFTC La CFTC regrette le timing de ce dossier Pourquoi avoir attendu la fin de l ann e pour pr senter ce dossier au CE alors que l Entreprise savait qu il devait tre boucl pour le 15 d cembre dernier et qu elle y travaillait depuis plusieurs mois Tout est maintenant en place O est le dialogue A quoi sert le CE La Direction n a pas tenu compte des pr rogatives du CE et regrette cette Olivet le 30 janvier 2012 14 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire situation qui perdure La CFTC demande la Direction qu elle donne au CE le planning des futures consultations qu elle envisage sur 2012 La Direction veut un avis c est la loi mais elle se fiche de cet avis La CFTC ne peut que s abstenir sur ce dossier qui n a pas que des aspects n g
27. atifs Monsieur SEGUIN CFDT donne lecture de la d claration suivante au nom de la CFDT Quel empressement Un dossier qui pouvait tre men tranquillement voil qu il faut tout g rer en 1 mois La gestion du temps ne semble pas tre le point fort de nos dirigeants A tel point qu en urgence la Direction demande aux OS de lui faire cadeau d une acceptation de modifications informatiques sans attendre l avis sur le projet La CFDT a accept les autres ont fait de m me preuve que les IRP ne sont pas que des imb ciles qui ne comprennent rien rien et que le bon sens reste une exigence dans leur d cision Malheureusement sur bien des dossiers nous pouvons nous poser la question pour ceux qui nous gouvernent A aujourd hui la CFDT a donc fait un pas pour simplifier la mise en place d un projet avec lequel elle ne peut tre que d accord Par contre suite aux r ponses apport es par la Direction elle reste tr s interrogative quand sa r ussite En effet certaines questions pos es pour approfondir la compr hension du futur fonctionnement ont amen des r ponses quelque peu simplistes et manquant s rieusement de pr cision 1 Certaines agences vont tourner sur 1 AC uniquement Comment vont elles fonctionner 2 Nous avons dans le dossier un document appel Fiche de synth se accompagnement qui la lecture de la r ponse fait r f rence en mati re de suivi des dits accompagnements La que
28. ations servent alimenter l ETP exact du salari ainsi que la proratisation de ses objectifs notamment en termes de rendez vous Il ne faut donc pas laisser ces d clarations uniquement la main des managers pour viter d ventuels quiproquos et une surcharge de travail des managers Monsieur PILLON CFDT prend le cas d un commercial qui est invit une r union et qui doit accomplir 1 heure de trajet pour s y rendre depuis son agence Ce d placement aller retour vient en sus de l horaire normal d une journ e traditionnelle et le logiciel doit en tenir compte Monsieur BIOTTI r pond que ce collaborateur doit syst matiquement remplir un bon de d placement Madame BIGOT CGT demande si le temps de d placement donne bien lieu indemnisation et non pas r cup ration Monsieur BIOTTI confirme que le temps de d placement au del du temps de trajet habituel est indemnis Monsieur SEGUIN CFDT demande ce qui se passera pour une AC si la somme des temps incluant le temps de d placement est sup rieure l horaire collectif affich Monsieur BIOTTI indique que cette personne sera pay e en heures suppl mentaires si son temps de travail effectif hebdomadaire est sup rieur au temps contractuel Olivet le 30 janvier 2012 26 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur PILLON CFDT note que pour le moment tous les managers indiquent leurs collaborateurs qu ils r cup reront
29. bres Elle effectue donc un travail au fil de l eau en fonction des r sultats que produit son analyse des risques Par exemple elle a essentiellement r sili des communes de la r gion parisienne dont la situation apparaissait d grad e de mani re p renne Olivet le 30 janvier 2012 4 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire S agissant des r sultats en nombre de contrats la situation est contrast e En Automobile GPVL n atteint pas son objectif Fil rouge qui consistait finir l ann e avec 1 000 v hicules Au contraire elle atterrit 724 v hicules Monsieur GORET CGT note que ces chiffres tranchent avec la situation pr sent e en Ile de France lors des v ux En effet il tait question d une situation positive en Automobile Monsieur BLONDEL nuance la situation au niveau r gional a volu positivement par rapport l atterrissage 2010 qui s tablissait presque 5 000 v hicules Par ailleurs il est vrai que sur le p rim tre de l tablissement d Ile de France le solde de v hicules est positif En ce qui concerne le nombre de contrats en Habitation Monsieur BLONDEL souligne qu il est positif et en croissance par rapport 2010 avec un solde de 1 668 contrats En mati re de Sant GPVL accuse un recul significatif avec 2 300 contrats contre 2 300 environ en 2010 Pour ce qui est de la GAV en revanche la croissance est forte avec 3 000 contrats contre 1 500 en 2010
30. ce Monsieur BIOTTI explique que l anticipation sera aussi forte que possible mais que malgr tout certaines volutions ne seront pas forc ment lisibles tr s longtemps l avance Monsieur BLONDEL le confirme Toutefois il doit tre possible de d terminer que fondamentalement tel emploi a de l avenir tandisque telautre emploi a toutes les chances de subir une d croissance dans le futur La s ance est suspendue de 12 heures 52 13 heures 59 3 Consultation du CE sur la d rogation l octroi du repos hebdomadaire le dimanche et information du CE sur la r alisation d heures suppl mentaires Monsieur BIOTTI consulte le CE sur la d rogation l octroi du repos hebdomadaire le dimanche pour 2 collaborateurs du r seau commercial du Loir et Cher 1 ADC et 1CDC le dimanche 29 avril 2012 de 8 heures 12 heures et de 14 heures 19 heures dans le cadre de la Foire du vin du fromage et produits du terroir Selles sur Cher Olivet le 30 janvier 2012 24 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur PILLON CFDT souhaite revenir sur la notion de forfait jours Il souhaite conna tre les mesures que l Entreprise met en uvre afin de se conformer l arr t rendu sur ce sujet par la Cour de Cassation Il s agit notamment de pouvoir d montrer le nombre d heures effectu es par tel ou tel collaborateur Monsieur BIOTTI r pond qu il n y a absolument pas lieu de d compter les heures r al
31. ction d une s ance extraordinaire du CE sur ce seul sujet au d but du mois de janvier consid rant que la p riode des f tes ne pouvait constituer un moment propice un travail d analyse s rieux du dossier par une majorit de membres l gitimement en cong s Pour autant et malgr un accord sur ce point les repr sentants syndicaux ont t sollicit s dans les jours suivants par la Direction pour permettre la mise en place effective des nouveaux secteurs au niveau informatique GRC Bien que ce seul fait soit constitutif d un d lit d entrave la consultation du CE la CGT PVL et d autres organisations syndicales ont donn le feu vert ce moulinage informatique sur la base des arguments techniques avanc s par l employeur Olivet le 30 janvier 2012 12 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Le plus interpellant dans cette demande n tant pas la situation de d lit d entrave dans laquelle l employeur s tait mis de son seul fait mais qu aucun moment la Direction n ait fait en amont le lien entre le planning de consultation de l instance CE avec les contraintes informatiques directement li es la mise en uvre du projet Plus interpellant encore le moulinage fait non exclusivement sur la GRC mais galement sur l outil annuaire des salari s et notamment des RDM Ainsi d s le d but de janvier avons nous pu constater la naissance de sp culations multiples sur les affectations des uns et des
32. effet il tait n cessaire d enrayer la d gradation des quilibres entre sinistres et cotisations Monsieur MOUILLE CFDT indique que le r seau commercial attend avec impatience les tableaux de bord au 31 d cembre tant en nombre qu en solde En effet les collaborateurs ont t interpell s par ces l ments la fin du mois de novembre et ils sont soucieux de disposer d une mise jour qui soit bien en ligne avec le r alis Pour le moment la lisibilit du syst me en solde et en nombre laisse d sirer malgr les remont es effectu es par les commerciaux Cela induit un manque de confiance par rapport l outil et fait peser des craintes au niveau de la part variable Autrement dit compter de la fin du mois de janvier il faudrait que tout soit bien cal et ne bouge plus Madame RICHARD CGT ajoute qu il faudrait galement que la GRC cesse de mouliner Pour le moment les commerciaux continuent perdre des clients et s en voir affecter de nouveaux Monsieur GORET CGT Concernant l atterrissage des r mun rations variables il rappelle galement et d nonce le peu de temps qu il est laiss chaque ann e aux commerciaux pour retrouver leurs petits et faire valoir leurs demandes de correctifs une fois qu ils auront re u un tableau de bord peu pr s d finitif Monsieur DUDONNE CFDT revient sur les allers retours de dossiers qui concernent tous les P les de gestion Ces mouvements peuven
33. effet le niveau de productivit commerciale de GPVL est en d calage comme l a d ailleurs d j indiqu la Direction en r ponse aux questions pos es dans le cadre du droit d alerte Ce sujet est une priorit pour l Entreprise Sachant que dans la conjoncture actuelle il ne faut pas consid rer uniquement le d veloppement mais galement s int resser la rentabilit des op rations En sa qualit de Repr sentant du personnel Monsieur PILLON CFDT constate que la Direction consid re que le r seau ne travaille pas assez Il en prend acte Quant lui Monsieur PILLON estime plut t que la Direction g n rale n a pas trouv de solutions permettant de motiver l ensemble des collaborateurs de GPVL Monsieur BLONDEL se d fend d avoir exprim un tel point de vue Il a indiqu que la productivit commerciale tait insuffisante mais n a jamais dit que les commerciaux ne travaillaient pas Monsieur ROISIN CFDT note que dans le domaine de la sant les commerciaux prouvent de grandes difficult s Ils doivent travailler norm ment pour r ussir r aliser une ou deux affaires nouvelles Ils traitent un grand nombre de r siliations ainsi que de nombreuses baisses de formule Monsieur ROISIN est donc inquiet pour la Sant en 2012 dans un contexte de r cession et de perte de pouvoir d achat C est le nombre qui fait l activit et il y a vraiment de quoi tre pessimiste De plus il note une perte d envie dans le r seau d
34. el finiront par r clamer des consultations en deux tapes La premi re tape sera une consultation sur les intentions La seconde tape sera une consultation sur la mise en place avec pour perspective la coh rence entre les deux tapes Monsieur BLONDEL r pond qu il ne faut pas pr juger du fait que le dispositif pourrait tre mis en place sous une forme diff rente de celle qui a donn lieu signature de l accord au motif qu un point particulier soul verait des questions D ailleurs la Direction r pondra ces derni res Monsieur BLONDEL rappelle que le dossier a fait l objet d une pr paration en commun la fois extr mement importante et s rieuse Monsieur PILLON CFDT consid re que le dossier GPEC qui est pr sent correspond ce qui avait t d cid sauf pour ce qui concerne la notion d acc dant Monsieur BIOTTI r pond que la nomenclature des emplois n a pas fait l objet d une n gociation Il n est donc pas possible de consid rer qu elle est incluse dans l accord qui a t sign Par ailleurs il n est pas question d instaurer syst matiquement une p riode d accession lorsqu un collaborateur passe d un poste en classe 4 un poste en classe 5 Cette disposition ne vaut que lors de l entr e dans une fili re ce qui limite significativement le nombre d emplois concern s Par exemple lorsqu un Charg de client le souhaite voluer vers un poste de Directeur de client le entreprises ou de Directeur
35. entreprise et g n re trop souvent des incompr hensions et des lourdeurs Monsieur GORET CGT revient sur la question du maquis l gislatif Les notes sont multiples et touchent tous les domaines le nombre de contrats qui existent dans l Entreprise tant un facteur de d multiplication Ces instructions qui ne sont pas p rennes finissent par se contredire lorsqu elles ne sont pas brouill es par des d cisions promotionnelles qui viennent les amender en raison d imp ratifs marketing Fondamentalement les salari s ont besoin aujourd hui de clart et de p rennit dans toutes ces instructions Toutefois l Entreprise n est pas dans cette configuration quelles que soient les excellentes raisons qui peuvent tre l origine de tout cela et que Monsieur GORET CGT peut ventuellement partager En effet 1l exerce ce m tier depuis suffisamment longtemps pour avoir conscience des cons quences d une mauvaise gestion de la souscription aupr s des soci taires notamment sur l appr ciation du risque et sur ses cons quences en termes de sinistres Il faut absolument r soudre ce probl me c est dire tre capable de normer le fonctionnement de l entreprise de mani re coh rente c est dire avec de la p rennit et de la simplicit Le probl me est que tout retombe sur les commerciaux qui doivent ingurgiter un travail administratif de plus en plus lourd y compris en raison de la traduction de contraintes l gales qui frisent parfo
36. es risques R coltes avec un S Pi de 94 1 Globalement en termes de r sultats techniques l ann e 2011 a t de bon niveau Monsieur PILLON CFDT aimerait conna tre les tendances fin janvier en termes de r sultat contributif au Groupe et de r sultat social Il aimerait aussi conna tre le niveau du ratio combin de GPVL au 31 d cembre Monsieur BLONDEL r pond que la tendance est favorable en termes de r sultat social par rapport 2010 Le r sultat de fin d ann e sera de bonne facture sous r serve du niveau de valorisation dans les comptes de GPVL des actions de Groupama Holding Cet l ment ne sera connu qu la mi mars Pour ce qui est du ratio combin il devrait galement tre de bonne facture Toutefois les calculs ne sont pas termin s La s ance est suspendue de 11 heures 10 11 heures 29 3 Information Consultation sur le Projet d volution du management commercial March des Particuliers Recueil de l avis Monsieur PILLON CFDT propose de prendre connaissance des d clarations des organisations syndicales Madame BEUCHER UNSA AA donne lecture de la d claration suivante au nom de UNSA AA Red finir les secteurs du march des particuliers pour les rendre plus homog nes et plus compacts est l vidence une bonne proposition N anmoins certains d coupages sont pour le moins surprenants et ne semblent pas en phase avec l objectif recherch De plus sur la forme cette no
37. ffort tr s important a t r alis afin de r duire au maximum ces allers retours qui constituent un probl me end mique GPVL Ainsi l Entreprise a t elle commenc distribuer aux commerciaux pour les diff rents produits la liste des pi ces n cessaires De ce fait ces derniers seront en mesure d adresser aux services de gestion des dossiers qui soient les plus complets possible De plus il est d sormais demand aux services de gestion de traiter directement les sujets mineurs avec le client et par t l phone autant que possible Ainsi l UG Vie peut elle d sormais r clamer directement un certain nombre de documents aupr s du client En revanche les documents essentiels doivent tre r cup r s par le r seau Monsieur SEGUIN CFDT d plore une perte de bon sens qui se traduit par des allers retours trop nombreux Malheureusement cette perte de bon sens tend se g n raliser partout dans les services de gestion Monsieur BLONDEL trouve que ce propos est caricatural Monsieur ROISIN CFDT a l impression que beaucoup de collaborateurs du r seau sont demandeurs d un approfondissement de la d marche initi e dans le cadre d OPC qui consistait examiner le travail administratif r alis en agence et l all ger pour d gager du temps commercial Monsieur ROISIN demande lui aussi que ce travail soit men jusqu son terme Cela permettra peut tre de transf rer certaines activit s des agences vers les
38. ions Monsieur SEGUIN CFDT ajoute que certains collaborateurs restent dans la classe inf rieure alors m me que leur volution de m tier est accomplie L Entreprise est absolument responsable de ces d viances Monsieur PILLON CFDT demande M Blondel de prendre position En effet en tant que Directeur g n ral il a pour responsabilit d intervenir publiquement sur ce sujet Monsieur BLONDEL ne dira pas autre chose que la DRH Par principe le fait que la nomenclature interne comporte des postes sur lesquels pendant une certaine dur e l Entreprise teste la capacit d un collaborateur remplir l emploi de fa on satisfaisante correspond une logique qui existe peu pr s partout Monsieur PILLON CFDT en conclut que la Direction g n rale en train d instaurer une p riode d essai dans l emploi D s lors que se passerait 1l si la personne concern e ne faisait finalement pas l affaire Juridiquement que ferait l Entreprise L enl verait elle de ce poste Monsieur BIOTTI r pond que c est une possibilit m me si ce genre de cas de figure ne s est jamais produit Monsieur PILLON CFDT estime que cela n est pas compatible avec ce que devrait tre une GPEC active Olivet le 30 janvier 2012 22 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur GORET CGT et Monsieur PILLON CFDT pensent qu une telle mesure de la part de l Entreprise ne peut servir qu ma triser la masse sala
39. is es par les collaborateurs qui sont au forfait jours Monsieur PILLON CFDT insiste l Entreprise doit pouvoir d montrer qu ils n en font pas davantage que ce qui est pr vu Monsieur BIOTTI le conteste Cela dit GPVL poss de un dispositif de d claration mensuelle du nombre de jours r alis s avec possibilit d inscrire des remarques en cas de d passement D autre part l occasion de l entretien annuel l Entreprise fait le point sur les items pr vus par le Code du travail charge de travail quilibre entre vie professionnelle et vie personnelle r mun ration etc Autrement dit GPVL dispose de tous les outils qui lui permettent de s assurer que la charge de travail reste compatible avec les exigences de la loi en ce qui concerne les conventions de forfait jours Il n est donc pas question de compter les heures Monsieur PILLON CFDT r pond que pour d montrer qu une personne au forfait jours ne d passe pas les limites pr vues par la convention le mieux serait de proc der de mani re factuelle Rien n interdit de penser que l Entreprise n en a pas la possibilit La consultation du CE sur la d rogation l octroi du repos hebdomadaire le dimanche pour 2 collaborateurs du r seau commercial du Loir et Cher 1 ADC et 1 CDC le dimanche 29 avril 2012 de 8 heures 12 heures et de 14 heures 19 heures dans le cadre de la Foire du vin du fromage et produits du terroir Selles sur Cher recueille un avis d fav
40. is chez nous l inquisition Il s ensuit parfois des contradictions entre la volont de souscrire tout prix pour faire rentrer du chiffre et la n cessit de prendre du recul pour ne pas souscrire n importe quoi Les commerciaux sont en permanence dans cette situation de grand cart avec les difficult s que cela suppose Ils ont donc du mal int grer cet ensemble d l ments et y trouver quelque chose de positif Les retours de ce type re us par les des Elus et repr sentants du personnel sont de plus en plus nombreux et Monsieur GORET CGT tient en alerter la Direction Monsieur BLONDEL l entend bien et rappelle d ailleurs que dans le cadre de Sagittaire l Entreprise a revu les proc dures applicables un certain nombre de m tiers et d actes de gestion Elle s est efforc e d aller dans le sens d une simplification mais ce travail n est r alis qu environ 60 Il faudra l achever N anmoins Monsieur BLONDEL r p te qu il n est pas possible de se soustraire aux obligations r glementaires impos es par la directive Solvabilit 2 Celle ci stipule que tous les actes de gestion doivent pouvoir tre audit s et qu ils doivent d couler de proc dures crites Sinon l Autorit de contr le estimera que l Entreprise n a pas la ma trise de ses op rations et elle en tirera les cons quences au niveau du montant des fonds propres exigibles Il est donc crucial de se conformer ces exigences r glementaires ce qui sup
41. nsi au lieu de mettre sur la table des n gociations une refonte globale du syst me la Direction s apercevant au fil du temps des d ficiences de ce dernier se contente d apporter quelques saupoudrages la marge Le SNEEMA estime que les propositions faites pour l ann e 2012 confirment ce qui pr c de et que ces modifications n apportent aucune am lioration notoire sur le potentiel de r mun ration des commerciaux Certaines normes 1 et 2 apparaissent quasiment inaccessibles comme sur l pargne ou la banque Nous constatons galement qu il n est toujours pas tenu compte du potentiel en fonction du secteur Enfin remarquons que pour les nouvelles dispositions concernant la r mun ration des CGP la Direction a instaur un plafond par client ce qui semble en contradiction avec la notion m me de d veloppement et de performance Ces propositions ne permettent pas au SNEEMA CFE CGC d mettre un avis favorable sur l volution 2012 du dispositif de r mun ration variable d cid par la Direction En cons quence le SNEEMA CFE CGC s abstient Monsieur GORET CGT donne lecture de la d claration suivante au nom de la CGT Comme chaque ann e et conform ment aux dispositions l gales les membres du Comit d Entreprise sont invit s ce jour devoir rendre un avis sur le dispositif de r mun rations variables applicable pour l ann e 2012 Comme chaque ann e et conform ment aux dispositions l gales l employe
42. orable unanime 14 votants 4 Information du CE sur la situation de l emploi Monsieur BIOTTI pr sente la situation de l emploi Au 31 d cembre 2011 l effectif CDI s tablissait 1 625 collaborateurs dont 918 dans le r seau et 707 hors r seau avec 6 entr es au cours du mois contre 28 sorties L effectif CDI temps partiel s levait 121 collaborateurs dont 54 dans le r seau et 67 hors r seau L Entreprise a employ 75 CDD dont 38 pour motif de surcro t d activit 18 pour motif de remplacement 8 en contrat d apprentissage et 11 en contrat de professionnalisation 6 collaborateurs sont entr s en CDD au cours du mois tandis que 27 sont sortis L Entreprise a employ 25 int rimaires au cours du mois dont 19 pour motif de surcro t d activit et 6 pour motif de remplacement Enfin 3 stagiaires taient pr sents au 31 d cembre IV Questions diverses 1 partie 1 Pr sentation du nouvel outil de gestion du temps ORQUIDAY Madame BIDAULT effectue la pr sentation dynamique du nouvel outil intranet RH baptis Orquiday Les fondamentaux de gestion ont t pr serv s et les principales am liorations concernent essentiellement l interface ainsi que les modalit s d utilisation Olivet le 30 janvier 2012 25 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Madame BEUCHER UNSA AA demande ce qu il en sera d sormais de la d claration des r unions et des formations Madame BIDAULT e
43. pose un norme travail M GORET rappelle que l existence de guides de proc dures dans tous les services de gestion et dont fait tat la Direction est une n cessit fonctionnelle incontournable pour l entreprise C est du Olivet le 30 janvier 2012 7 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire reste la raison pour laquelle bien en amont de la mise en place de Sagittaire les lus avaient demand qu un v ritable travail soit fait sur ce point pr cis et plus encore pour encadrer positivement des salari s confront s un changement de m tier Ce qui est donc le plus interpellant ce jour est que 8 mois apr s le lancement de Sagittaire la Direction consente faire sienne la justesse de l analyse des Elus sans pour autant tre encore en mesure d y satisfaire Les difficult s que rencontre l entreprise en mati re de transparence de lisibilit et d efficacit trouvent l ses causes les plus symptomatiques Nous devons imp rativement rattraper ce retard de moyens de d outils n cessaires l exercice des m tiers La responsabilit en incombe la Direction qui n a pas pris soin de consid rer avec justesse les alertes des lus Monsieur BENKERROUM CFDT d plore les allers retours de dossiers qui se produisent entre le Service vie et le r seau commercial chaque fois qu il manque une pi ce Cela p nalise la fois les commerciaux et les clients Monsieur BLONDEL r pond qu un e
44. re Groupama Paris Val de Loire En ce qui concerne les tableaux de bord et les d lais Monsieur BIOTTI se rapprochera de la Direction du d veloppement Pour ce qui est des mouvements jug s anormaux au niveau de la GRC il demande aux Elus et repr sentants du personnel de lui faire remonter des cas pr cis Madame RICHARD CGT l invite aussi interroger les AOAV qui sont parfaitement au courant de ces probl matiques Monsieur SEGUIN CFDT ajoute que cela fait quand m me deux ou trois ans que de tels probl mes sont signal s Il ne s agit pas simplement de r gler les probl mes qui sont remont s sans chercher savoir pourquoi ils se sont produits Monsieur ROISIN CFDT insiste maintenant que les tablissements ont t sp cialis s par march il ne devrait pas tre compliqu de r unir les commerciaux et les personnels des services de gestion afin r fl chir aux processus qui permettront d all ger le travail administratif en agence 2 Point sur les r sultats de la sinistralit au 31 d cembre Monsieur BLONDEL indique que les r sultats techniques enregistr s en d cembre sont dans le prolongement de ceux du mois de novembre Autrement dit l atterrissage est de bonne facture avec un total cr t de 63 1 La situation est satisfaisante sur la quasi totalit des risques Ambitions sauf sur la branche Sant pour laquelle le S Pi est 70 1 pour un objectif 67 En revanche la situation est d grad e sur l
45. re Groupama Paris Val de Loire Ze Z Madame BIDAULT indique qu une demande dans ce sens a d j t effectu e aupr s de la DSI Il s agit de supprimer les formulaires papier et d obtenir que l cran CET permette de faire appara tre le solde de l exercice ant rieur ainsi que les mouvements de l ann e en cours Ces d veloppements feront partie du lot 2 d Orquiday Monsieur BIOTTI ajoute que tout d pendra des arbitrages en termes de d veloppement informatique sur 2012 qui n ont pas encore t effectu s S agissant des Elus et repr sentants du personnel ils disposeront d un compteur par type de mandat qui permettra de consigner le nombre d heures d clar es au mois le mois Monsieur PILLON CFDT revient sur la question du coefficient correcteur qui est appliqu pour le calcul de la r mun ration variable Tient 1l compte des cong s pris durant l ann e Monsieur GORET CGT r pond que les vacances ne semblent pas comptabilis es Il en va semble t il de m me pour la prise en compte de l ensemble les heures de mandats d clar es Il demande que ce point soit v rifi Monsieur PILLON CFDT aimerait que le syst me conserve une rubrique Autres mandats afin de pouvoir englober la grande vari t des mandats Groupe notamment Monsieur GORET CGT partage cette demande Monsieur SEGUIN CFDT aussi sachant que de toute fa on les Elus et repr sentants du personnel remettent ensuite des attestations
46. riale et r guler les frais g n raux sur le dos des salari s mais qu elle ne saurait en aucun cas r duire le turnover ni cr er une ambiance dynamique au sein de l Entreprise Monsieur ROISIN CFDT ajoute que les fiches de poste partir desquelles ces acc dants travaillent sont celles des postes cible Or ce sont les t ches pr dominantes qui emportent la classification Ces personnes doivent donc avoir la classification correspondante et le minimum de paie qui correspond GPVL ne peut pas r inventer l ANG Monsieur PILLON CFDT estime que M Blondel en tant que Directeur g n ral ne peut pas tol rer un tel cart par rapport la norme lui qui par ailleurs est si soucieux du respect de la r glementation Monsieur BLONDEL r p te qu il n est pas choqu par l existence d une p riode d observation l occasion d un changement de m tier Monsieur GORET CGT d clare que si toutes les mises en uvre de projets sont syst matiquement d cal es par rapport aux attentes exprim es lors des n gociations et par rapport aux accords sign s il sera tr s difficile aux Organisations syndicales et la Direction g n rale de fonctionner ensemble La CGT a r clam la GPEC pendant de nombreuses ann es et elle est plus que d ue par les l ments de sa mise en oeuvre Le dispositif qui est mis en pratique est absolument contraire aux buts vers lesquels tend la CGT A ce rythme les Elus et repr sentants du personn
47. s Caisses qui s tablit 19 Monsieur BIOTTI r pond que ce turnover de 19 est calcul en tenant compte du P le parisien qui poss de ses sp cificit s Monsieur PILLON CFDT souhaite qu avant que le document sur la GPEC ne soit mis en ligne la Direction supprime cette d cision Par ailleurs il a vu passer une note de la DRH mentionnant l embauche de Collaboratrices sur le P le de gestion d Orl ans De quoi s agit il donc Monsieur BIOTTI explique qu il s agit de l emploi correspondant la classe 3 au sein de la fili re Secr tariat Assistanat Monsieur MEUNIER CGT estime que ce poste devrait aussi tre ouvert aux hommes Monsieur BIOTTI en convient et fera corriger il sera question de Collaborateurs et non plus de Collaboratrices Olivet le 30 janvier 2012 21 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Monsieur ROISIN CFDT revient sur la notion d acc dant Il insiste nouveau sur son d calage par rapport l esprit de l ANG et sur le fait qu elle contribue au d passement de certaines limites Monsieur BIOTTI effectue un rappel historique Initialement les emplois taient segment s selon une nomenclature en classe 2 ou 3 selon les m tiers en d but de fili re Toutefois certaines personnes qui taient cens es occuper ces emplois pendant une dur e maximale de 18 mois ou de deux ans par exemple s y trouvaient encore cinq ou six ans apr s De ce fait il exis
48. s il ne doit s agir d un levier social utilis pour sous r mun rer ou sous dimensionner les classifications de personnes vis vis desquelles contrario les exigences de l Entreprise sont bien sup rieures la classification constat e comme nous avons pu le voir encore derni rement avec Sagittaire Il s agit d une v ritable p e de Damocl s sociale que l entreprise entend faire peser sur les salari s ce qui est inacceptable aux yeux de la CGT D autant qu au rythme des restructurations v cues dans notre entreprise de nombreuses personnes ont ou vont changer r guli rement de m tier Avec cette notion abusive d acc s l ensemble des salari s est en situation de se retrouver en permanence en position d acc dant Il s agit bel et bien d une volont de sous classification des salari s D ailleurs dans la configuration du turn over constat sur GPVL certains risques fort de quitter l Entreprise sans jamais avoir t titulaires de la classification correspondant au poste occup Monsieur GORET consid re qu il s agit d un hold up social qui d roge qui plus est totalement aux aux dispositifs sociaux du Groupe auxquels GPVL doit se conformer Monsieur PILLON CFDT rappelle qu il tait bien pr vu que les postes d acc dant ne concernent que les entr es de fili re pr sent l Entreprise applique cette notion lors des changements de m tiers Par exemple dans le cas d un RDM il faut attendre quatre ans pour qu il
49. s vient accentuer n gativement ce ph nom ne Olivet le 30 janvier 2012 13 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Nous sommes en cons quence en droit de nous inqui ter sur les param tres constitutifs des nouveaux secteurs avec la certitude que certains RDM et salari s vont devoir officier avec des handicaps incontournables qui contredisent les attentes purement math matiques de l Entreprise en mati re de d veloppement A titre d exemple sur l IDF le secteur Ouest X ne peut tre consid r avec m me potentiel et la m me r alit conomique que celui de Ouest Seine Ce seul sujet m rite lui seul un avis d favorable de la d l gation CGT Plus encore parce qu au del de cette in quit conomique des nouveaux territoires c est une l in quit de la gestion manag riale et sociale qui va d couler au regard des objectifs intangibles et unilat ralement fix s En r sum ce sont les RDM qui avec leurs agences ont le plus de difficult s pouvoir r aliser actuellement vont tre ceux qui subiront le plus les effets n gatifs de cette re sectorisation et des contraintes accentu es d un processus OPC con u d j sur GPVL plus comme un outil de pression sanction que d accompagnement et de soutien La meilleure d monstration que nous puissions faire de la perception du management des bienfaits d OPC pouvant tre rapproch e des quelques propos que nous rapportons ici A un RDM s inqui
50. se se sont vus r pondre en substance que l Entreprise n tait nullement responsable d un retard d information Celui ci tant exclusivement imputable aux syndicats qui pr tendument bloqueraient ce dossier Et de rajouter que devant la menace d un d lit d entrave l Entreprise ne pouvait malgr toute sa bonne volont communiquer librement De tels propos et une telle manipulation des faits ne sont pas acceptables dans cette Entreprise Non seulement parce qu ils reposent sur des affirmations fausses sur des l ments chronologiques faux et l vidence sur une m connaissance flagrante des processus l gaux Mais qui s en tonnerait lorsque que cette incomp tence de la chose sociale tend devenir une norme manag riale dans notre Entreprise comme nous avons d j pu le constater sur de nombreux sujets et notamment sur le droit aux cong s sur les dispositions l gales applicables aux horaires ou aux forfaits jours Au travers de tels propos tenus par des managers destination d autres managers transpara t aujourd hui pleinement l ampleur de la d gradation constante du dialogue sociale dans notre Entreprise Une d gradation qui n est pas la cons quence d un ni me acte isol mais d une posture g n rale du haut management qui tol re ou favorise de tels agissement afin de discr diter par tous les moyens le r le l galement protecteur des instances repr sentatives du personnel vis vis des salari s
51. sier A la lecture des r ponses faites par la Direction nous sommes aujourd hui en mesure de faire certains constats qui interpellent sur l instruction faite par la Direction de ce dossier et sur les cons quences qu auront en subir les salari s du terrain Et en premier lieu les RDM Ainsi nous constatons que l Entreprises est exclusivement concentr e sur une perspective de rapprochement d un manager avec un effectif cible Cette configuration devant satisfaire essentiellement l un des crit res du chantier OPC qui il semble utile de le dire en comporte bien d autres Nous consid rons que cette seule approche qui ne tient aucun compte de la coh rence territoriale en mati re de portefeuille et de potentiel de d veloppement est insuffisante pour garantir une relative quit d exercice et de r sultats commerciaux entre les divers territoires red finis Ainsi d faut de pouvoir nous en apporter la d monstration chiffr e nous sommes en mesure de supposer qu il va exister d s l origine de fortes disparit s entre les secteurs Ces disparit s portent essentiellement sur les taux de d veloppement et de r siliations connus et cumul s des nouveaux secteurs Nous savons tous que ces l ments sont constitutifs de la coh rence d un secteur mais galement de ses potentialit s commerciales Le fait que les objectifs d finis unilat ralement par l Entreprise soient cal s sur des m tiers et non des territoire
52. st conomiquement utile la Direction et qui de surcro t permet de faire pression manag riale sur les salari s Ces derniers le subissent tout en tant confront s des exigences de performances ou de rentabilit s exactement l oppos Le meilleur exemple que nous pouvons citer 1c1 se constate sur les objectifs impos s notamment aux salari s des p pini res dans le r seau Ces objectifs sont bien loin d tre proportion des comp tences suppos es par la RH alors notons le qu ils ne sont m mes pas encore acc dants Il va falloir que cesse cette mani re de prendre les salaries et les instances du personnel pour des simples d esprits Monsieur SEGUIN CFDT sollicite une nouvelle r union des DSC sur ce sujet avant la mise en uvre afin d essayer d aplanir ce probl me et de restaurer la coh rence du projet par rapport l accord qui a t sign La CFDT r clame une nouvelle r union d di e ce sujet Monsieur BLONDEL r pond qu une telle r union sera donc organis e Toutefois il rappelle que la notion d acc dant n est pas innovante par rapport aux pratiques de l Entreprise et qu il ne s agit pas d un l ment constitutif en soi de l accord GPEC qui a t sign Monsieur CHARPENTIER CFTC s interroge concernant les personnes qui exercent des m tiers qui risquent de dispara tre au fil du temps Comment seront elles int gr es dans la GPEC Sera t il possible d anticiper suffisamment l avan
53. stion se pose quant au suivi de ces fiches qui ont mainte fois t demand es lors d entretiens et qui n ont jamais pu tre fournies 3 aujourd hui la Direction nous dit qu un RDM passe entre 5 7 demi journ es en monitage et entretiens individuels Sachant que la grande majorit ne travaille qu 80 en m me temps que leur quipe cela ne laisse que peu d espace pour augmenter le temps d accompagnement de monitage et de coaching qui est pr sent comme nerf de la guerre d OPC Surtout qu une masse de formation jusqu alors dispens e par les CAB leur revient que la relation avec G Bangue leur revient et ce n est pas une mince affaire La CFDT reste tr s dubitative quand elle apprend qu un commercial confirm ne verra son RDM en accompagnement qu une fois par trimestre a laisse perplexe quant la qualit du coaching 4 Sur la sauvegarde de la r mun ration variable au vu de la r ponse on peut estimer que l impact des modifications ne sera pas pris en compte La liste des remarques pourrait tre plus longue mais quel int r t Olivet le 30 janvier 2012 15 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Donc sur le fond du dossier la CFDT ne peut que se f liciter de voir l Entreprise prendre conscience de l enjeu en augmentant le nombre de RDM pour diminuer les quipes Par contre les r ponses sont bien loin de donner une vision optimiste de la possibilit que
54. t occasionner des d calages allant jusqu plus de cinq mois Certes il existe des contraintes l gales mais sur certains sujets un simple coup de t l phone permettrait de gagner deux ou trois mois De plus cela rendrait la position du r seau beaucoup plus tenable vis vis des clients Monsieur BLONDEL l entend et demande aux Elus et repr sentants du personnel de lui faire remonter des exemples factuels et pr cis Il y sera attentif Monsieur MOUILLE CFDT indique par exemple que dans le cadre de la NOA lorsqu une exploitation poss de 15 tracteurs assurer il faut imp rativement fournir 15 fiches de contr le check lists Monsieur MEUNIER CGT explique qu il lui a fallu presque deux mois pour demander une r siliation en loi Ch tel et 6 allers retours avec la production pour lui faire comprendre que les d lais avaient bien t respect s Monsieur BLONDEL sollicite nouveau de telles remont es via la hi rarchie afin que l Entreprise puisse les examiner Madame RICHARD CGT invite la Direction g n rale s adresser directement aux RDM qui ont d j collect ce genre d l ments Monsieur PILLON CFDT estime qu il est important que chaque chelon hi rarchique r apprenne faire remonter l information m me lorsqu il s agit de dysfonctionnements et qu il soit rassur quant au fait que cette d marche est tout fait normale Olivet le 30 janvier 2012 9 Comit Entreprise ordinai
55. tait parfois des carts impressionnants entre la description de l emploi et la r alit du travail effectu sur le terrain En cons quence la Direction a mis en place le syst me d accession avec les organisations syndicales afin de limiter ces p riodes dans le temps et de les rationaliser Il s agissait de formaliser le fait qu il existe une p riode pendant laquelle le collaborateur apprend son m tier et acquiert de l exp rience Ces param tres tant essentiels L id e tant d enclencher effectivement une volution vers l emploi pivot partir du moment o sur cette p riode l exp rience et l expertise acquises taient valid es Cette volution s accompagnant d une volution de classification et de salaire Monsieur BIOTTI ne pense pas que GPVL abuse de ce dispositif Monsieur PILLON CFDT lui demande alors de produire des statistiques concernant le nombre d acc dants qui acc dent effectivement au poste cible avant l issue de la p riode maximale pr vue ainsi que le nombre d acc dants qui n voluent qu une fois arriv s la toute fin de cette p riode Monsieur BIOTTI pourra fournir ces informations Monsieur SEGUIN CFDT indique que malgr les r gles fix es certains collaborateurs restent acc dants au del du terme de la p riode d accession Monsieur GORET CGT le confirme Les Repr sentants du personnel sont trop r guli rement contraints d intervenir directement afin de d bloquer de telles situat
56. tant de savoir s il conserverait globalement le p rim tre de son ancien secteur et donc un outil conomique qu il connait on lui affirma qu il y avait de forte chance qu on le change de secteur parce qu il n tait pas assez dur avec ses quipes N ayant pas eu le loisir de constater dans les pi ces fournies au CE que ce nouveau crit re faisait parti de ceux qui proc dent l affectation des secteurs via OPC nous nous en tiendrons la signification exacte et r v latrice des propos tenus De m me concernant la notion d accompagnement ces propos commun ment pratiqu s chez certains managers confront s aux r alit s du terrain et aux attentes d aides et de soutiens bien souvent techniques des salari s Je ne suis pas l pour faire mais pour vous faire faire Faut il encore que ce qu ils aient faire soit r aliste et r alisable Ceci est loin d tre une vidence r v l e et d montr e tant par les r sultats actuels que par la juste prise en compte de la charge de travail des acteurs commerciaux de GPVL Que peut on esp rer de telles postures manag riales aussi distanci es pour valoriser et accompagner une r ussite collective dans la confiance et le respect de tous et toutes En conclusion nous constatons que ce projet pourtant coh rent avec les pr conisations d OPC en mati re d effectifs a t construit en surface avec un manque de consid ration ou pour le moins de transparence et de partage des par
57. tif g n re de fa on indirecte des effets tr s contre productifs pour le d veloppement commercial de notre Entreprise Les correctifs apport s pour l exercice 2012 sont tr s la marge et ne changent en rien l architecture du syst me Quant la prime de production nette en nombre d autos habitations sant pour le march des particuliers elle est al atoire du fait du moulinage des portefeuilles Consid rant que les quelques volutions qui nous sont pr sent es aujourd hui ne font que maintenir un syst me toujours aussi injuste et in quitable pour la r mun ration des collaborateurs commerciaux et par ailleurs peu enclin dynamiser le d veloppement commercial de l Entreprise l UNSA AA ne peut que donner un avis d favorable Monsieur CHARPENTIER CFTC donne lecture de la d claration suivante au nom de la CFTC Ce projet ne pr sente pas de modifications notables par rapport celui de l an dernier Or l an dernier la CFTC avait vot contre Cette ann e elle rendra donc un avis d favorable Monsieur PREVOT SNEEMA CFE CGC donne lecture de la d claration suivante au nom du SNEEMA CFE CGcC Olivet le 30 janvier 2012 16 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Le SNEEMA CFE CGC rappelle une fois de plus que le dispositif de r mun ration variable est la cons quence d une d cision unilat rale de l employeur et non d un accord sign avec les organisations syndicales Ai
58. tions 2012 en mati re de r mun rations variables Monsieur SEGUIN CFDT donne lecture de la d claration suivante au nom de la CFDT Olivet le 30 janvier 2012 18 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire A GROUPAMA Paris Val de Loire les ann es se suivent et se ressemblent malgr les modifications des environnements conomiques et administratifs qui eux sont en mouvement permanent La CFDT r p te ann e apr s ann e que certaines tudes doivent tre faites pour appliquer une r mun ration variable plus proche de la r alit du terrain Pour exemple le travail n est pas le m me pour un commercial sur un secteur fort taux de p n tration que sur un secteur fort taux de d veloppement La CFDT r p te une fois de plus qu une r mun ration variable uniquement bas e sur de l individuel n est pas la bonne solution Aujourd hui la CFDT ne voit rien qui fasse penser que la Direction prend conscience de l ampleur de la crise conomique et des effets n fastes de la mauvaise gestion de GSA sur le march de l pargne GROUPAMA Les ann es venir vont tre compliqu es dans ce domaine Malheureusement pour les commerciaux de GPVL les demandes faites par la CFDT ne sont pas entendues le syst me mis en place par la Direction lui ne bouge pas et les r sultats en termes de d veloppement restent toujours plus catastrophiques preuve que la politique de la Direction depuis 6
59. u Nord Ce r seau jeune est de moins en moins motiv Dans le Sud il a l impression d une forte perte d esp rance De plus les salari s font tat d une complexification croissante en provenance d Olivet avec la multiplication des proc dures Les services support commencent leur devenir insupportables Monsieur BLONDEL n a pas le sentiment d un d couragement g n ralis chez les collaborateurs Les services support font un tr s bon travail et les proc dures ainsi que les contr les qui ont t d velopp s taient absolument essentiels En effet le r gulateur y attache une importance consid rable Monsieur MOUILLE CFDT r pond qu aujourd hui les r gles administratives et les r gles de souscription font peser des contraintes consid rables au d triment du temps commercial Ce ph nom ne est particuli rement criant en ce qui concerne l Assurance vie Monsieur BLONDEL rappelle qu en Assurance vie justement la r glementation s est consid rablement durcie De plus afin de prouver sa capacit honorer son devoir de conseil l Entreprise doit d sormais pouvoir d montrer qu elle conna t bien sa client le Ces contraintes p sent sur tous les r seaux qui doivent remonter beaucoup plus d informations qu auparavant De ce fait GPVL a commenc distribuer au r seau des grilles pour chaque produit qui permettent de visualiser pr cis ment l ensemble des informations faire remonter au moment de la souscription
60. ur a pr sent pr alablement son projet d volution de ces r mun rations aupr s des D l gu s Syndicaux Centraux dans le cadre des N gociations Annuelles Obligatoires puis aux membres du Comit d Entreprise Lors de cette pr sentation pr alable et l gale suppos e tre un espace de n gociation comme chaque ann e l employeur n a tenu aucun compte des demandes propositions et revendications formul es notamment par la CGT PVL pour permettre au syst me des r mun rations variables de r compenser justement et pleinement les efforts commerciaux faits par les salari s sur les diff rents march s Plus gravement aucune prise en compte n a t faite des perspectives conomiques de 2012 en mati re d ambitions et d objectifs rapport s aux r mun rations variables Nous pourrions consid rer en cela qu il n y a rien de nouveau dans l attitude cavali re de notre employeur tant vis vis des salari s que des repr sentants du personnel C tait sans compter sur les initiatives prises en mati re de communication par certains repr sentants mandat s de l Entreprise sur un dossier toujours sensible pour les acteurs commerciaux Olivet le 30 janvier 2012 17 Comit d Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire Ainsi tr s derni rement et face l attente d information l gitimement formul e par les RDM sur les dispositions 2012 du syst me de r mun rations variables ceux ci notre grande surpri
61. uvelle r organisation a t pour le moins mal appr hend e tant en termes de planning que Olivet le 30 janvier 2012 10 Comit Entreprise ordinaire Groupama Paris Val de Loire de communication En effet bon nombre de collaborateurs commerciaux ont maintenant d couvert leur nouveau secteur d affectation au travers de leurs codes informatiques bien avant toute diffusion de l information Par cons quent l UNSA AA s abstiendra sur ce projet Monsieur HARE SNEEMA CFE CGC donne lecture de la d claration suivante au nom du SNEEMA CFE CGcC Le SNEEMA CFE CGC a examin avec grand int r t le dossier remis par la Direction concernant l volution du management commercial du march des particuliers Si nous sommes d accord sur le principe d am liorer la disponibilit des RDM aupr s de leurs quipeset de r duire les temps de d placement sur des secteurs g ographiques plus compacts nous restons toutefois dubitatifs sur les points suivants e La capacit pour les RDM animer l activit bancaire avec autant de professionnalisme qu un CAB e La capacit d un CAB sp cialis dans un domaine d activit comme la banque devenir manager ou Directeur de client le agricole ou ACPS e La possibilit de reclassement des CAB qui ne correspondraient pas au profil ci dessus e L galit des chances de d veloppement dans la nouvelle configuration des secteurs En outre le nouveau d coupage g ographique
62. xplique que ces derni res constituent d sormais des motifs d absence au poste de travail sachant que le collaborateur reste dans l Entreprise Si le collaborateur est sur site il pointera ou effectuera son auto d claration habituelle Si le collaborateur doit partir l ext rieur il d clarera un bon de d placement et celui ci ne sera plus bloqu comme actuellement avec le motif r union Ce dernier sera utilis uniquement titre indicatif pour indiquer que le collaborateur n est pas son poste de travail mais qu il est bien dans l Entreprise Madame BEUCHER UNSA AA en conclut que les commerciaux devront remplir un bon de d placement alors qu actuellement ils cliquent sur r union et posent leur journ e Madame BIDAULT indique que le motif r union appara tra quand m me Monsieur BIOTTI note pourtant qu il n est pas visible sur l interface Madame BIDAULT indique que cette application est en cours de d veloppement et que le motif sera affich dans le planning Elle ajoute que normalement les r unions sont positionn es par le manager Monsieur GORET CGT n est pas favorable cette fa on de proc der Certaines r unions sont organis es au pied lev en agence et si les salari s ne sont pas en mesure de d clarer qu ils taient en r union en formation terrain ou en entretien manager m me s ils sont rest s leur poste de travail cela posera des difficult s En effet de telles inform

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