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H1-9-23-2011-fra - Publications du gouvernement du Canada

1. snnneeeneeeeeeeeeeeee eneee eetere teee treer reet tenn ten nenen nanan annn nn nanne ennenen 2 07 tablissement d une concentration d quivalent radon pour la prise en compte de l exposition au thoron a a eaaa a AEAEE EA a EE E RA i 2 08 Analyse des tendances en mati re d exposition dans l ensemble de la population Substances hautement prioritaires valu es dans le cadre du D fi du Plan de gestion des produits chimiques du Canada 2 09 Examen et valuation de l utilisation de m langes d activation m tabolique contenant le surnageant postmitochondrial h patique humain pour valuer la eet Ale Ce ousar sn sr are an nat ea en nt 2 10 M thylation d l ments r p t s d ADN dans le foie de rats expos s en p riode p rinatale des polluants organiques persistants 2 11 Concentrations de contaminants chez les m res dans le Nord du Canada consid rations relatives chantillonnage eeeeeeeeeeeeeieirreeeeeerrerrirrnesssrererenn 2 12 Pr sence de produits ignifuges contenant des esters organophosphor s dans la poussi re domestique au Canada m thode d analyse et r sultats 2 13 Variables influen ant l utilisation des lecteurs MP3 chez les enfants et les lee ELE 2 14 valuation de l incidence de la m decine personnalis e perspective du portefeuille de la sant 2 15 MetaPath outil mondial de modernisation des valuations des risques li s aux p
2. B Njie et D Clapin 1 Direction des politiques de la planification et des affaires internationales Bureau des initiatives p diatriques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 Conseiller scientifique de la DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Cette tude examine les produits r pertori s dans le SickKids Formulary afin de d terminer les facteurs contribuant aux profils avantages risques de l usage hors tiquette de m dicaments chez les nouveau n s L usage d un m dicament est consid r comme hors tiquette lorsqu il est prescrit pour une indication qui n a pas t approuv e par Sant Canada Quatre vingt neuf m dicaments ont t class s l aide de deux syst mes standard ATC et AMFS Nous avons compar ensuite la fr quence de rapports spontan s d effets ind sirables El aux cinq classes de m dicaments les plus courants dans chaque syst me Cette tude vise g n rer des hypoth ses et les observations recueillies pourraient tre utilis es pour examiner les questions de politique pour l usage hors tiquette de m dicaments chez les enfants OBJECTIF Caract riser l usage hors tiquette de m dicaments chez les nouveau n s MAT RIEL ET M THODES Trois sources standard d information sur les m dicaments ont t utilis es le SickKids Drug Handbook de 2009 2010 et le Formulary qui dressent la liste de 89 m dicaments utilis s pour des indications hors tiquette chez les
3. 1 20 2 53 4 37 4 38 Wong K 1 58 Wong L 1 47 Wong S L 2 35 Wood C M 1 24 1 59 1 60 Wright K 3 04 Wu F 2 13 Wu J 1 02 X Xiao G h 1 16 2 11 2 52 Xu X 2 27 Y Yan J 1 20 1 37 2 53 Yi J 3 02 Yauk C L 1 17 1 21 1 34 1 39 1 45 Yip A 1 40 1 53 2 04 You S H 1 17 Ye Q 4 27 Yousefi P 2 33 Yeung C K 2 44 Yu H 2 15 Z Zhang J 1 12 2 38 Zhu J 1 23 1 40 1 50 2 38 2 48 Zhang W 3 02 3 05 Zidek A 2 09 2 34 Zhao T 1 03 Zitomer N 4 05 Zheng J 1 35 Zoka R 1 47 Zhou S N 1 40 Salle 110 S ances Inscription parall les Pl ni re Les affiches et les Salle 201 202 kiosques ee parall les Salle 209 S ances parall les Salle 219 S ances parall les
4. 1 28 1 56 2 19 2 29 2 44 Thomson V 1 55 Tokhonov C 2 05 Tounekti O 1 11 Trainer M 4 41 4 46 Tran L 4 44 Trottier Y L 4 18 4 22 Tugulea A M 5 03 Tyler K 4 04 Ulbrich B 2 41 2 42 Ungar K 3 02 3 03 3 05 Van Dyke D 1 05 van Gaalen R 2 51 Van Oostdam J 2 12 Van Ryswyk K 2 28 2 45 Veres T 4 11 Verreault J 1 22 Verreault M 1 15 Verreault M F 1 52 Viel D 4 20 Vik J 4 24 Wade M G 1 01 1 17 1 25 1 45 2 06 2 47 Wahba A 1 57 Walker S 5 04 Wallace L 2 28 2 45 Wallin H 2 04 Wang B 1 40 1 50 Wang D 1 61 2 49 4 12 4 23 Wang J 4 14 4 27 4 30 4 42 Wang J X Y 1 37 Wang J Z 2 38 2 48 Wardlaw G M 1 26 Weichenthal S 2 45 2 49 Wells W 4 34 Wheeler A 2 22 2 27 2 28 White L 2 50 White P A 1 38 2 10 2 31 2 33 2 37 Xian Q 1 50 Xiao C W 1 24 1 59 1 60 U Upham J 4 18 Urch B 2 32 V Villeneuve J 2 46 Villeneuve M 1 52 Villeneuve P 2 27 Vincent R 1 08 1 28 1 41 1 42 2 19 2 29 2 44 4 06 4 15 5 02 Vladisavljevic D 1 56 2 44 Vogel U 2 04 Vresk L 1 05 Vu D 1 32 1 61 4 12 4 16 4 23 W Whitteker J 4 30 Whyte J 3 04 Wiebe P 2 51 Wilke R 2 28 Wilkins R C 2 03 2 24 Williams A 1 17 1 28 1 39 1 45 2 19 2 31 Williams R 2 28 Willmore W
5. R SUM Le d clin des populations d insectes pollinisateurs constitue depuis quelques ann es une source de pr occupation croissante pour la communaut scientifique et le grand public Un certain nombre de facteurs dont les pesticides sont soup onn s d tre l origine du ph nom ne L ARLA de Sant Canada a collabor de fa on proactive avec divers partenaires canadiens et trangers en vue de favoriser l acc s aux donn es scientifiques pertinentes et de faire en sorte que cette information serve de fondement aux d cisions r glementaires cette fin PARLA s affaire laborer une approche r vis e pour valuation des risques pour les pollinisateurs permettant de mieux caract riser les risques pos s par les pulv risations foliaires le pelliculage des semences et les applications au sol de pesticides syst miques et non syst miques CONTEXTE Les pesticides sont au nombre des facteurs soup onn s d tre l origine du d clin des populations de pollinisateurs l chelle mondiale Les approches classiques actuellement utilis es pour l valuation des risques que posent les pesticides pour les pollinisateurs restreignent l analyse des effets de l exposition directe aux pesticides presque exclusivement aux adultes Des donn es r centes donnent croire qu il convient de revoir ces approches de mani re permettre la prise en compte d autres voies d exposition et profils de toxicit M THODE
6. 2 28 Malone S 2 03 Malowany M 1 45 Manibusan M 2 16 Mansfield B 1 52 Marchetti F 1 39 Marcoux A 2 14 Marro L 1 16 Martin C 2 49 Martin M T 2 41 2 42 Martinovic B 2 21 Mattison K 4 10 4 18 McAllister M 1 49 Li N 1 20 1 36 1 37 2 05 Li N Q 1 16 Li S 4 30 Li X 4 14 4 42 Lillycrop W 1 47 Li Muller A 2 50 Liston V 1 14 Liu H 1 57 Liu L 2 32 Loft S 2 04 Long A S 1 38 2 33 Longpr D 2 36 2 50 Lorbetskie B 1 33 4 20 Lowman R 4 07 Luebbert C 4 11 4 33 Lukenbill N 1 53 M McCauley M 1 18 2 21 McEwan C 2 36 McEwen B 2 36 Mcllwham S 4 18 McKenzie N 4 31 Mehta R 1 46 2 02 4 05 Mendez E 2 41 2 42 Mercado I R 2 33 Mette Madsen A 2 04 Michaud D 2 14 Mifflin C 3 04 Miller D 1 52 Miller J D 4 05 Mitchell M 2 21 Mohajer S 4 07 4 18 Mohottalage S 1 41 1 42 4 15 5 02 Moir D 2 08 Moisey J 4 39 M ller P 2 04 Moody R P 1 40 Morton K 4 11 Mourlon C 2 43 Moussa C 1 43 Muller A 2 41 2 42 Murphy P 1 05 Mutzke E 4 35 Nadon C 4 26 Nath K 1 11 Nazarowec White M 4 26 Nead J 2 37 Nethery E 2 27 Newsome L 2 43 Ng A 4 36 Nguyen K 4 35 4 37 4 38 Ouhna K 4 22 Pagotto F 4 01 4 18 4 22 4 33 Pantazapoulos P 1 47 Pantazopoulos P 4 39
7. La comparaison des g nes touch s r v le l existence de diff rences possibles entre les souris TG et les souris TS dans les voies menant la n phrotoxicit de FOTA Des analyses plus approfondies ont t entreprises pour d terminer si ces diff rences sont indicatrices du mode d action de POTA 1 15 Acide folique dans les c r ales pour petit d jeuner au Canada J Deeks R Klutka et M Verreault 1 Bureau des sciences de la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Des chantillons de c r ales pour petit d jeuner des marques les plus vendues ont t pr lev s combin s en composites et analys s pour d terminer leur teneur en nutriments dans le cadre du Programme d chantillonnage et d valuation des l ments nutritifs du Canada PEEENC Contre toute attente les r sultats montrent que la majorit des c r ales pour petit d jeuner qui sont enrichies d acide folique renferment des concentrations jusqu 700 sup rieures celles prescrites CONTEXTE Les c r ales pour petit d jeuner ont t choisies comme aliment prioritaire parce que c est un aliment couramment consomm et un v hicule populaire pour l enrichissement Bien que l enrichissement de ces c r ales ne soit pas obligatoire des r glements stipulent quels nutriments peuvent tre ajout s et dans quelle proportion La quantit des nutriments ajout s devrait se situer dans un rayon de 10 de la valeur prescrite Un
8. ajout d alcoo l 10 l eau potable soit par de l eau potable uniquement pendant six semaines partir de la troisi me semaine de traitement avec de l alcool les animaux ont re u par voie orale un m lange de 23 CN MCN 0 mg kg p c j huile de ma s 1 6 mg kg p c j ou 16 mg kg p c j pendant quatre semaines Tout au long de l tude le poids corporel et la consommation d eau d alcool ont t mesur s quotidiennement La consommation de nourriture a t mesur e chaque semaine Le sang et les organes ont t pr lev s et pes s la fin de l tude On a effectu une analyse des chantillons de tissu afin de mesurer les taux sanguins et s riques de MCN de glucose d insuline et d thanol ainsi que les marqueurs biochimiques cliniques PRODUITS R SULTATS Les taux s riques de MCN augmentaient avec la dose de MCN et correspondaient g n ralement aux taux de MCN observ s dans le sang des Inuits Les taux s riques de MCN taient habituellement plus faibles chez les rats trait s avec de l alcool que chez les autres Le MCN 16 mg kg p c a entra n une l g re diminution du gain pond ral et de la consommation d eau et de nourriture en particulier chez les rats qui n ont pas re u d alcool Qu il y ait eu ou non consommation d alcool cette dose de MCN a eu pour effet d augmenter sensiblement le poids absolu et le poids relatif du foie le poids relatif des reins et les taux s riques d t
9. celui des essais contr l s historiques En raison des cons quences m thodologiques une conclusion de non inf riorit n est pas une garantie de validit de l tude Les intervenants participant au d bat thique n ont pas t tous dispos s reconna tre comprendre ou accepter cette lacune du plan exp rimental des essais de non inf riorit ce qui explique l impasse persistante et l chec des n gociations pendant de nombreuses ann es CONCLUSION Les r sultats d un essai clinique sont valables et utiles lorsque l instrument de recherche employ est bien d fini repose sur des bases scientifiques solides et respecte les principes d ordre thique Un essai clinique pr sentant des faiblesses sur le plan m thodologique peut tre consid r comme tant un gaspillage de ressources contraire aux principes thiques puisque les sujets de recherche sont expos s des risques non n cessaires Il est extr mement difficile d avoir des discussions en mati re d thique de la recherche si l on ne reconna t pas l importance des interactions entre la science et l thique Tant que l on continuera ne pas tenir compte des aspects scientifiques caract risant le plan exp rimental des essais de non inf riorit le d bat se poursuivra 4 33 tude sur l tape la plus d terminante de l analyse microbiologique des aliments la pr paration de l chantillon F Pagotto N Corneau K H bert et C
10. coutes se faisaient au volume maximal Les grandes incertitudes entourant les param tres sp cifiques p ex ajustement niveaux de bruit ambiant temps d coute pourraient affecter les r sultats de l tude La fr quence des pertes auditives sup rieures 15 dBA tait de 22 7 si l on fait la moyenne des fr quences basses 0 5 1 et 2 kHz et hautes 4 et 8 kHz Le quart des sujets ont d clar des sympt mes de perte auditive INCIDENCES ET CONCLUSIONS Certains sujets de l tude coutaient leur lecteur MP3 des volumes dangereux les exposant un risque de perte auditive Etant donn la nature cumulative de la perte auditive due au bruit il importe de noter que certains sujets ont d clar qu ils pratiquaient d autres activit s entra nant des expositions des bruits intenses c d gt 85 dBA notamment se balader en motocyclette utiliser des appareils de jardinage jouer dans un groupe de musique et faire de la motoneige ou du kart Des interventions ducatives cibl es visant sensibiliser les jeunes la perte auditive due au bruit et des tudes longitudinales destin es r duire les incertitudes seraient utiles 2 15 valuation de l incidence de la m decine personnalis e perspective du portefeuille de la sant Groupe de travail sur la m decine personnalis e du portefeuille de la sant secr tariat le directeur H Yu et L G mar Portefeuille de la sant Ottawa Ont S DBIIP D
11. croire que la poussi re domestique constitue une voie d exposition potentiellement importante ces produits chimiques Les donn es de la pr sente tude fourniront de l information pouvant servir l valuation des risques pos s par cette classe de contaminants mergents 2 14 Variables influen ant l utilisation des lecteurs MP3 chez les enfants et les adolescents K Feder PhD D Michaud PhD S Keith PhD A Marcoux PhD I Haider et E Thompson s Bureau de la protection contre les rayonnements des produits cliniques et de consommation DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Universit d Ottawa Facult des sciences de la sant Programme d audiologie et d orthophonie Ottawa Ont tudiant du programme coop ratif adjoint la recherche Universit Carleton Ottawa Ont tudiante de 4 ann e adjointe la recherche cole de psychologie Universit d Ottawa Ottawa Ont 2 3 4 R SUM L tude de 247 enfants adolescents visait valuer si les lecteurs MP3 sont utilis s d une mani re pouvant endommager l ou e Les niveaux sonores mesur s et les dur es d utilisation d clar es taient assez lev s pour causer des dommages auditifs chez 3 9 des sujets Le quart des sujets ont d clar des sympt mes de perte auditive et des tests d audition ont montr que 23 des sujets pr sentaient une perte auditive mesurable Certains sujets coutant leur lecteur au volume max
12. iodure de propidium Les cellules contenant les micronoyaux ont t mesur es par cytom trie flux R SULTATS tude sur le sevrage Une alimentation carenc e en acide folique entra ne une augmentation statistiquement significative de 1 24 fois P lt 0 001 la fr quence des micronoyaux dans les rythrocytes de souris Etude sur plusieurs g n rations L alimentation d ficiente en acide folique a men une augmentation statistiquement significative de 3 fois et 2 7 fois P lt 0 0001 la fr quence des micronoyaux dans les r ticulocytes et les rythrocytes respectivement L alimentation enrichie n a pas modifi la fr quence des micronoyaux CONCLUSIONS Une carence en acide folique entra ne une augmentation des l sions l ADN dans les rythrocytes de souris du sevrage jusqu l ge mature et sur plusieurs g n rations Les r gimes alimentaires enrichis en acide folique n ont pas caus de variation de la fr quence des micronoyaux ce qui laisser croire qu une trop grande quantit d acide folique n est pas nocive ni ne prot ge contre les l sions l ADN Ces donn es permettent de r duire les pr occupations li es au risque de l sions l ADN attribuables une exposition long terme des concentrations lev es d acide folique de source alimentaire 1 54 Poids de la preuve et valuation du risque T Tao Y Bhuller Y Bonvalot M HU Klein A G Kozak I Plante et N R
13. lev es dans des mousses AFFF d autres compos s fluor s inconnus pourraient tre encore plus abondants Les travaux venir qui viseront une caract risation plus d taill e comprendront notamment l utilisation de techniques de spectroscopie de masse haute r solution temps de vol ainsi que du bilan massique par l analyse du fluor organique total 2 02 Expression des r cepteurs activ s par la prolif ration des peroxysomes a OI et y dans des foies de rats trait s par du sulfonate de perfluorooctane SPFO tude immunohistochimique S Aziz Curran G Bondy M Barker K Kapal B Pascale Gagnon E MacLellan et R Mehta 1 Division de la recherche toxicologique Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Il est essentiel d tablir le ou les m canismes de toxicit des contaminants chimiques des aliments pour caract riser prendre en charge et r duire les risques pour la sant associ s leur pr sence dans les aliments canadiens Le sulfonate de perfluorooctane SPFO un produit chimique industriel s accumule dans la cha ne alimentaire et le sang humain ce qui donne penser que les humains sont assez largement expos s Nos tudes r centes chez le rat ont r v l que les perturbations du m tabolisme des lipides jouaient un r le consid rable dans la toxicit h patique du SPFO Les modifications de l hom ostasi
14. mais les effets sont complexes et mettent en cause des cibles cellulaires des voies et des organes diff rents Les mod les simplifi s sont utiles pour tudier les m canismes cellulaires et mol culaires de la toxicit Les analyses prot omiques de cultures cellulaires fournissent des donn es sur les variations de profils prot iques induites par des facteurs de stress Pour ce faire la spectrom trie de masse temps de vol par d sorption laser assist e par matrice MALDI TOF MS convient particuli rement l tablissement de profils prot iques de matrices biologiques complexes Notre objectif tait d tudier les variations prot omiques des lysats de cellules expos es des particules de l air ambiant afin de rechercher des biomarqueurs ventuels indiquant une cytotoxicit PLAN M THODE DESCRIPTION Des cellules pith liales de poumon humain A549 ont t expos es diff rentes doses 0 30 100 et 300 ug cm de particules ambiantes EHC 6802 d Ottawa pendant 24 heures Les lysats cellulaires congel s et d gel s ont t soumis une centrifugation 12 000 g pendant 10 min et ont t dig r s avec de la trypsine avant de subir des analyses par spectrom trie de masse MALDI TOF Nous avons examin les spectres de masse pour y chercher des biomarqueurs potentiels de l exposition des particules Noua avons fait appel la reconnaissance de tendances l aide d un algorithme des k plus proches voisins
15. p 0 019 et PPAR p 0 022 dans les foies trait s de rats aussi bien m les que femelles L expression prot ique des PPAR a augment de fa on proportionnelle la dose dans les foies de rats m les et femelles mais aucune diff rence significative n a t observ e entre les rats expos s au SPFO et les rats non expos s p 0 516 INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES L augmentation de l expression des PPAR induite par la prolif ration des peroxysomes dans le foie de rats expos s au SPFO concorde avec la modification des profils d acides gras et l l vation de l acyl CoA oxydase 1 observ es dans la m me tude confirmant l existence d un mode d action de type PP pour le SPFO Les PPAR connus pour tre exprim s davantage que les PPAR 4 dans les tissus humains et de fa on pr dominante dans les tissus adipeux taient aussi exprim s davantage dans les foies des rats trait s par le SPFO Les donn es actuelles indiquent que de fa on g n rale l humain est r fractaire la prolif ration des peroxysomes h patiques d pendants de PPAR et par cons quent peut tre aussi l h patotoxicit du SPFO Cependant d autres tudes sont n cessaires pour valuer du point de vue toxicologique et de la sant humaine l incidence de l activation observ e de PPAR induite par le SPFO dans le mod le de rat et sa relation avec les concentrations de SPFO d tect es dans le s
16. sur la stabilit conformationnelle INCIDENCES PRODUITS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Cette tude enrichit nos connaissances sur le r le des mutations individuelles dans la r plication et la croissance des virus de la grippe et sur leur contribution aux propri t s du produit vaccinal final 4 31 la recherche de solutions pr sentant moins de risques pour les produits contenant de l azinphos m thyl une strat gie de transition P G Levesque PhD N McKenzie MSc M Haber PhD et T Caunter MSc 1 Direction de l valuation de la valeur et de la p rennit ARLA Sant Canada Ottawa Ont R SUM En vertu du programme de r valuation des pesticides de l Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire ARLA les pesticides font l objet d une r valuation selon des normes modernes visant d terminer si et dans quelles conditions leur homologation demeure toujours acceptable Dans le cas de certains usages de pesticides faisant l objet d une limination graduelle PARLA s est engag e aider les groupes de biens et services touch s avoir acc s des pesticides et des pratiques de gestion pr sentant moins de risques en mettant leur disposition des forums de discussion appel s Strat gies de transition Actuellement de concert avec les intervenants PARLA tudie diff rents produits dont ceux qui contiennent les insecticides azinphos m thyl et diazinon
17. utilisation des deux lign es au lieu d une seule permet de mieux couvrir les effets possibles On tudie en ce moment la m thylation des promoteurs des g nes 2 53 Expression globale des g nes dans les fibroblastes m senchymateux villeux humains FMVH expos s au bisph nol A BPA dans diff rentes conditions de culture J Yan PhD M C Coughlan M Florian PhD M Laziyan MSc W Willmore Dr et D Jin PhD Division de la recherche toxicologique Bureau d innocuit des produits chimiques Direction 2 des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partements de biologie et de chimie Universit Carleton Ottawa Ont R SUM Le placenta humain est essentiel pour le d veloppement f tal normal Pour expliquer les effets du bisph nol A BPA sur le d veloppement f tal qui ont t signal s nous avons expos des cellules de placenta humain diff rentes concentrations de BPA dans trois conditions de culture L expression globale des g nes a t compar e par la technique des micror seaux biopuces Les conditions de culture ont eu une influence sur ces effets du BPA QUESTIONS OBJECTIFS Il existe des variations importantes des effets faible dose lt 107 M du PBA sur la r ponse cellulaire qui ont t signal s On ignorait si ces variations taient imputables l utilisation de cellules cultiv es dans des milieux dont les conditions taient diff rentes en ce qui con
18. v nements ind sirables propre au SSCTO 2 un manuel d instructions et de d finitions 3 un manuel exposant les l ments de donn es de base et 4 des ententes de partage de donn es Ces mesures visent harmoniser la collecte des donn es du SSCTO et l int grer dans les pratiques de d claration Sant Canada cependant la d claration dans le cadre du SSCTO n limine pas les exigences r glementaires en mati re de d claration aupr s de Sant Canada DPSC DPBTG et l Inspectorat en vertu du R glement sur les CTO R SULTATS Le SSCTO peut fournir des donn es tr s utiles pour l tablissement des taux d incidence des v nements ind sirables li s aux transplantations titre de comparaison et de param tres Des donn es sur les v nements ind sirables li s aux transplantations pourraient servir de point de d part pour des am liorations tant g n rales que cibl es dans la cha ne transfusionnelle CONCLUSIONS La transplantation des cellules des tissus et des organes est le traitement de choix contre un nombre croissant de maladies au Canada mais elle comporte toujours certains risques Ces risques et les v nements ind sirables doivent tre surveill s et d finis et c est ce que le SSCTO nous donne la possibilit de faire La diffusion et la d claration des donn es du SSCTO peuvent mener des mesures correctives 2 26 Erreurs transfusionnelles signal es au Syst me de surveillance des er
19. 18 h La concentration de PUF dans les v hicules Toronto tait en g n ral plus lev e sur les routes principales durant les p riodes de pointe du matin en hiver CONTEXTE L tude Urban Transportation Exposure Study UTES tude sur l exposition par le transport urbain a t r alis e dans le but de caract riser l exposition la pollution routi re dans l autobus le m tro et les v hicules priv s dans trois grandes villes canadiennes Nous pr sentons ici les r sultats pour les v hicules priv s Toronto M THODES On a mesur les concentrations de particules ultrafines PUF l int rieur et l ext rieur de v hicules priv s l aide de compteurs de particules condensation TSI 3007 pendant 10 jours en t septembre et pendant 5 jours en hiver mars sur trois itin raires savoir des rues du centre ville des rues en banlieue et des routes principales Trois v hicules mini fourgonnettes Dodge 2008 2010 ont suivi chacun simultan ment un de ces itin raires le matin de 7 h 10 h et l apr s midi de 15 h 18 h Les param tres associ s la ventilation taient les suivants fen tres ferm es ventilateur basse vitesse et recirculation coup e R SULTATS Durant les matins d t les taux moyens de PUF dans les v hicules taient de 26 600 cm de 21 000 cm 3 et de 40 000 cm 7 respectivement pour les itin raires au centre ville en banlieue et sur les routes principales L
20. 2 R SUM L closion de list riose qui s est produite l chelle nationale au Canada en 2008 est une parfaite illustration du fait que les pathog nes d origine alimentaire constituent une menace constante Les m thodes actuelles de d tection des bact ries pathog nes dans les aliments sont longues r aliser parce qu elles sont fond es sur la culture des microorganismes Les m thodes classiques peuvent par exemple n cessiter jusqu 10 jours pour la d tection de Listeria monocytogenes Nous travaillons mettre au point des technologies microfluidiques permettant d am liorer l efficacit de la d tection des pathog nes d origine alimentaire Les plateformes mises au point dans le cadre du pr sent projet permettront d utiliser un syst me comprenant un appareil de pr paration d chantillon sensible capable de s parer les pathog nes des d bris d aliments une plateforme de capture et une composante d identification mol culaire pour la d tection rapide des pathog nes viables d origine alimentaire OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Les perc es r centes des technologies microfluidiques montrent que les m thodes classiques et mol culaires peuvent tre combin es pour offrir des outils rapides et portables de d tection des bact ries pathog nes Le pr sent projet vise int grer sur une plateforme de laboratoire sur puce la pr paration d chantillons permettant le pr l vement et l isolement des
21. 4 fois les concentrations dans le s rum 14 et 28 jours apr s le traitement ainsi que les concentrations dans le foie les muscles et le cerveau 2 4 fois et les tissus adipeux CONCLUSIONS R PERCUSSIONS L augmentation des concentrations dans le foie les muscles et le cerveau apr s le r gime amaigrissant indique que la perte de poids entra ne la lib ration dans la circulation sanguine de contaminants lipophiles emmagasin s dans les tissus adipeux et leur redistribution vers d autres organes foie muscles et cerveau Chez les populations ayant des ant c dents d exposition des BPC les r gimes amaigrissants sont susceptibles d accro tre les concentrations de contaminants dans le sang et dans les tissus des organes Comme les concentrations de contaminants dans les tissus lipophiles sont mal connues chez l humain les effets sur la sant des concentrations accrues de contaminants dans le sang et dans les tissus des organes attribuables un r gime amaigrissant sont inconnues Bien que les r gimes amaigrissants puissent r duire certains risques pour la sant les cons quences de la r exposition aux contaminants restent d terminer 2 06 Nouvelle ligne directrice de l OCDE visant l tude prolong e de la toxicit pour la reproduction sur une g n ration S Butt M G Wade et L Stachiw Direction de l valuation sanitaire ARLA Sant Canada Ottawa Ont Direction des sciences de la sant environnemental
22. 95 20 0 34 et positivement au ratio des puissances faible et haute fr quence b ta 1 4 IC 95 0 35 2 5 2 heures apr s le d but de l exercice On a galement observ des associations inverses significatives entre les niveaux ambiants de O et la racine carr e de la moyenne des diff rences au carr des intervalles NN successifs 3 heures apr s le d but de l exercice L exposition la pollution atmosph rique imputable la circulation automobile n tait associ e aucun changement de la fonction respiratoire ou du NO exhal CONCLUSIONS Les expositions de courte dur e la pollution automobile peuvent contribuer une alt ration de la modulation autonome cardiaque dans les heures suivant imm diatement l utilisation d un v lo 2 50 laboration des premi res recommandations sur la qualit des s diments pour la protection de la sant humaine au Canada O Bose H Jones Otazo D Lee A Li Muller D Longpr S Petrovic M J Poulin M Roushorne L Smith Munoz et L White 1 Division des sites contamin s DGRP Sant Canada Halifax Montr al Toronto Winnipeg Edmonton et Vancouver Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM La Division des sites contamin s labore des Recommandations pour la qualit des sols RQS pour le Conseil canadien des ministres de l Environnement CCME Actuellement les recommandations pour la
23. Cincotta J 2 51 Clapin D 1 07 Clement G 1 13 Clime L 4 11 Coady L 4 05 Coates F 2 07 Coleman G 4 09 Cook M C 4 27 4 28 Cooke G M 1 12 Cooper A 4 10 Cooper D 2 16 Cooper M 1 05 1 55 D Amours R 3 02 Dabeka L 5 03 Dabeka R W 1 13 4 39 Dahiya J 1 60 Dai Hoa X 4 11 Dales R 2 07 2 27 2 49 Dalipaj M 1 28 2 19 Dam Y Y 1 05 Das D 1 41 1 42 4 06 4 15 5 02 Davis K 2 12 de Frutos M 1 33 De Silva A 2 01 Decker W 1 19 Deeks J 1 15 Delage D 2 34 Delorme P 2 21 DeRosa M 1 57 Dertinger S D 1 38 Desaulniers D 1 16 2 11 2 52 Ek N 3 02 Elvidge L A 1 52 Enros E C 1 18 Cooper R 2 41 2 42 Corbett C 4 29 Corneau N 4 11 4 33 Cornel F 1 11 4 20 Coughlan M C 1 20 1 37 2 53 Cox J 2 10 Craan A G 4 12 Creskey M 4 14 4 30 Crispo J 1 41 4 06 Crosthwait J 4 13 4 44 Croteau L 2 16 Cummings Lorbetskie C 2 11 2 52 Curran l 1 14 2 02 1 12 Curren M 2 12 Currie A 4 26 Curry P 2 20 Curti A 2 43 Curtin K 1 28 2 19 Cyr T 4 14 4 30 D Desjardins S 1 51 DeWinter L 4 18 Dextraze L 1 22 Diderich B 2 16 Dietz R 2 28 Dix D J 2 41 2 42 Dixon B 4 10 4 18 Donaldson S 2 12 Dong H 1 17 1 45 Douey D 4 18 Drmanic Storbeck S 1 61 4 16 Dubeau A 2 49 Dubl
24. Hentges a d montr les m canismes d inhibition entre les coliformes et Klebsiella l gard de Shigella La pr sence de la flore intestinale ci dessus dans les chantillons alimentaires pr lev s lors d une closion explique pourquoi il est difficile d isoler Shigella dans les aliments impliqu s dans les closions M me si la d tection de Shigella par des m thodes mol culaires comme la PCR donne g n ralement des r sultats positifs dans les cas de poursuite en justice apr s une closion une souche vivante de Shigella est toujours n cessaire Par cons quent la mise au point de m thodes de d tection des cellules vivantes de Shigella demeure une priorit pour les microbiologistes alimentaires OBJECTIF II s agissait de d montrer que l inhibition de Shigella par la microflore d origine alimentaire se traduit par des r sultats faussement n gatifs M THODES Dans la pr sente tude nous avons utilis le test antagoniste de CBK Campos une version simplifi e de celui de Halbert 1948 Premi rement nous avons mis 94 souches dE colien pr sence d isolats cliniques de Shigella sonnei les isolats HCSL 83 et HCS 103 du Health Canada Sh gella Laboratory laboratoire d analyse de Shigella de Sant Canadal impliqu s dans des closions et en pr sence de quatre souches de r f rence de Shigella spp tableau 1 Deuxi mement nous avons mis 63 souches alimentaires d ent robact rie en pr sence des deux isolat
25. Il s agissait donc de comparer les diff rents mod les de transfert des radionucl ides dans l environnement employ s par les mod lisateurs dans diff rents pays Comme il est tr s complexe de mod liser les processus physiques et chimiques qui r gissent le devenir et le comportement des substances radioactives dans l environnement les r sultats sont raisonnables 2 44 Cartographie des effets biologiques des polluants inhal s ciblant le cerveau et l hypophyse E Thomson D Viadisavljevic C K Yeung P Kumarathasan et R Vincent 1 Laboratoire de toxicologie de l inhalation Division de l identification des dangers Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Laboratoire de prot omique Division des tudes m canistes Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada D partement de chimie Universit de Waterloo Waterloo Ont 2 3 R SUM Les tudes sur la population montrent que la pollution atmosph rique pourrait avoir des effets sur le cerveau Autrement dit la r duction des niveaux de pollution atmosph rique aurait des effets soci taux b n fiques allant au del de l am lioration de la sant cardiopulmonaire Comme les processus sous jacents sont encore inconnus nous avons utilis un mod le animal pour recenser les effets de l exposition des agents polluants tr s r pandus savoir l ozone et
26. M THODES Nous avons mis au point une proc dure en deux tapes consistant identifier puis quantifier les antig nes h magglutinine HA et neuraminidase NA dans les vaccins annuels trivalents ou les vaccins pand miques monovalents contre la grippe L tape de l identification fait appel deux enzymes prot olytiques ind pendantes trypsine et chymotrypsine puis des analyses en triple exemplaire par CLHP SM SM Nous avons optimis les analyses CLHP SM SM afin de maximiser la couverture peptidique des HA et NA pour s assurer d avoir des r sultats de recherche non ambigus dans la base de donn es Cette pr caution est n cessaire car bon nombre de souches diff rent par la substitution d un seul acide amin Pour r duire la variabilit de la m thode de quantification nous avons r duit au strict minimum la manipulation des chantillons Nous avons simplement trait l chantillon de vaccin avec un exc s de trypsine et un surfactant labile en milieu acide puis nous avons proc d une acidification avant d analyser les peptides tryptiques en triple exemplaire par spectrom trie de masse en tandem par la suite nous avons compar les r sultats une base de donn es personnalis e produite partir de souches identifi es pr c demment et du g nome du poulet EFFETS Ces m thodes montrent une excellente corr lation avec la m thodologie actuelle immunodiffusion radiale simple IDRS pour les souches de la grip
27. SUM La m thylation de l ADN est une forme de marqueur pig n tique qui joue un r le essentiel dans le maintien de fonctions cellulaires par une r gulation de l expression de g nes L exposition des produits chimiques de l environnement peut modifier la m thylation de l ADN ce qui entra ne des variations dans l expression de g nes pouvant contribuer la maladie Par cons quent les variations de la m thylation de l ADN et de l expression g nique peuvent servir d indicateurs r v lant de fa on pr coce les effets d une exposition des contaminants Nous avons valid une m thode sensible permettant de d celer des variations de la m thylation de l ADN dans le but de compl ter des donn es sur l expression g nique dans le cadre d tudes toxicologiques Cette m thode nous permettra d approfondir ces tudes visant d terminer les risques pos s par une exposition des conditions environnementales CONTEXTE Les marqueurs pig n tiques comme la m thylation de l ADN jouent un r le essentiel dans la sant et la maladie chez l humain car ils r gulent l expression des g nes Les contaminants de l environnement y compris les polluants atmosph riques peuvent modifier la m thylation de l ADN C est la raison pour laquelle cette derni re constitue un important param tre dans les tudes de toxicologie Le fait de traiter chimiquement l ADN avec du bisulfite de sodium permet distinguer un tat de m thylat
28. THODE L application des techniques RMN repose sur le marquage de la prot ine vis e avec des isotopes d tectables par spectroscopie RMN C et N Pour ce faire on exprime la DTA la prot ine CRM et les G52X o X A S Q N mutants chez Escherichia coli Les bact ries sont incub es dans un milieu de culture minimum o l unique source de carbone est le glucose marqu par le C et o l unique source d azote est le chlorure d ammonium marqu par le SN Apr s avoir purifi les prot ines on utilise la spectroscopie RMN pour l enregistrement et l attribution des r sonnances de tous les atomes et pour la mesure des param tres li s la structure PRODUIT Nous pr sentons ici l attribution des r sonnances de la DTA et l analyse initiale de la structure de la DTA de la prot ine CRM 7 et des autres G52X mutants Nos r sultats r v lent que le domaine catalytique est bien repli en solution Toutefois les spectres RMN de la prot ine CRM et des mutants pr sentent toutes les caract ristiques d un domaine non repli Cela semble indiquer que toutes les mutations du r sidu G52 de la DT emp chent le repliement du domaine catalytique INCIDENCE La prot ine CRM 97 et son analogue trait au formald hyde sont largement utilis s comme prot ine porteuse et adjuvant dans les vaccins notre connaissance la pr sente tude est la premi re du genre fournir des renseignements sur la structure de cette prot i
29. a roports et les installations militaires Les mousses AFFF sont principalement compos es d eau mais elles contiennent g n ralement entre 1 et 6 de tensioactifs fluor s Comme les renseignements sur la composition des mousses AFFF sont exclusifs la proportion de ces tensioactifs fluor s qui pourraient avoir des incidences sur la sant humaine et sur l environnement dans les m langes mousse AFFF est en grande partie inconnue Dans la pr sente tude nous avons analys des mousses AFFF afin d tablir les concentrations de diff rentes classes de tensioactifs fluor s dans des produits et de pr dire quels compos s pourraient tre pr sents dans les sites contamin s par des mousses AFFF CONTEXTE L utilisation r pandue de produits mousse AFFF a entra n la contamination de nombreux sites par des tensioactifs fluor s un peu partout au Canada et dans le monde La d termination de la composition de ces produits pourrait orienter l valuation la prise en charge et le nettoyage des sites contamin s Ces connaissances pourraient aussi tre utiles dans l laboration de recommandations pour la qualit de l environnement M THODE Nous avons pr lev des chantillons de quatre produits fluor s et de trois produits non fluor s mousse AFFF dans deux bases de la Force a rienne du Canada l une Winnipeg Man et l autre Greenwood N E ainsi que dans un poste de pompiers et un a roport Winnipeg
30. acides gras de glycidol dans les aliments sur le march au Canada Elle pourrait tre raffin e si on ajoute une tape de pr concentration qui liminerait la plupart des triglyc rides et des diglyc rides de l chantillon 1 04 L exposition de gam tes m les de l acide folique alimentaire alt re le bilan en folate des descendants NA Behan et A J MacFarlane Division de la recherche en nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partement de biologie Universit Carleton Ottawa Ont D partement de biochimie de microtechnologie et d immunologie Universit d Ottawa Ottawa Ont R SUM Depuis que l enrichissement de la farine blanche en acide folique AF a t impos en 1998 l incidence des malformations du tube neural a diminu de 46 Une proportion importante de la population g n rale a cependant un bilan en folate qui d note un fort apport en AF Nous visons d terminer l effet de la d ficience en AF et de la suppl mentation en AF sur le bilan en folate de populations non cibl es savoir les m les et leurs descendants Nous avons constat que les descendants m les de souris m les expos s un apport insuffisant en AF An utero ou lors du sevrage pr sentaient une concentration accrue de folate dans les tissus m me s ils recevaient une di te t moin ce qui indique que les gam tes m les sont sensibles la programmation m tabolique par AF OBJECTIF
31. aucun risque pour le Canada et que la coop ration entre les agences peut faciliter le genre de surveillance requis par le Plan f d ral en cas d urgence nucl aire 3 05 Surveillance par la station de d tection de radionucl ides TICEN Sidney Canada de la radioactivit des a rosols rejet s par l accident nucl aire de Fukushima conception et d veloppement d un nouvel chantillonneur d a rosols volume lev W Zhang PhD M Bean M Benotto B Ahier PhD et K Ungar PhD 1 Direction des sciences de l environnement et de radioprotection Programme de la s curit des produits DGSESC Sant Canada Ottawa ON R SUM Un chantillonneur d a rosols volume lev d nomm Grey Owl a t con u et d velopp au Bureau de la radioprotection BRP de Sant Canada Sa conception s appuie sur les principes suivants faible co t d exploitation fiabilit de l appareil et possibilit de l utiliser en parall le avec l chantillonneur Snow White pour fournir quotidiennement des chantillons d a rosols de r f rence pour les tudes radiologiques canadiennes Plus r cemment on a mis au point le Grey Owl II pour fournir un d bit d air constant avec de faibles chutes de pression 3 kPa pour un chantillonnage de jour et des variations de moins de 1 du d bit pleine chelle II consomme environ 1 5 KW d nergie seulement pour un chantillonnage par filtre de plus de 22 000 m
32. chantillons d urine et de sang visant mesurer par des m thodes analytiques la concentration d acrylamide et de sous produits de l acrylamide et les adduits l ADN dont nous ne traiterons pas ici La teneur en acrylamide des aliments les plus consomm s par les adolescents au cours de l tude a galement t mesur e tandis que la teneur en acrylamide de certains aliments a t d termin e partir d analyses ant rieures de SC Les doses journali res d acrylamide ont par la suite t calcul es l aide d une m thode utilis e couramment dans le domaine de l pid miologie nutritionnelle aliment consomm x fr quence x taille de la portion R SULTATS En raison de probl mes de recrutement le cadre d chantillonnage initial a t modifi et complexifi trois sous chantillons diff rents l chantillon d adolescents est ainsi devenu non repr sentatif Trois m thodes de traitement des donn es ont t utilis es i corrections de l chantillon des fins de repr sentativit ii sc narios probabilistes de l exposition iii une combinaison de i et de ii Les doses journali res d acrylamide en pg kg p c obtenues l aide de chacune de ces trois m thodes seront d riv es et compar es celles obtenues sans correction moyenne 0 58 0 80 m diane 0 29 CONCLUSION La pr sente tude permet de formuler des recommandations m thodologiques destin es aux tude
33. clairent sur l alt ration du d veloppement c r bral provoqu e par les produits chimiques qui agissent comme perturbateurs de HT D autres recherches sur ces g nes et sur les miARN permettront d identifier d ventuels biomarqueurs de la perturbation de l HT dans le cerveau en d veloppement 1 18 Projet TeleForm sur le diab te et la grossesse PTDG E C Enros MSc RD M McCauley BA et S Khan PhD Direction des programmes communautaires DGSPNI Sant Canada Ottawa Ont Politiques planification et analyse strat giques DGSPNI Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le diab te gestationnel a t reconnu comme un enjeu important par les communaut s des Premi res nations les intervenants et les programmes de la Direction g n rale de la sant des Premi res nations et des Inuits DGSPNI Le projet TeleForm sur le diab te et la grossesse PTDG value un nouveau proc d de collecte de donn es dans les r serves visant recueillir les renseignements n cessaires l laboration des programmes et des politiques l heure actuelle des accords de partage des donn es ont t sign s avec six communaut s des Premi res nations qui ont transmis par t l copieur un questionnaire d une page comprenant des donn es sur 106 grossesses termin es Le PTDG est une initiative communautaire qui soutient la prise de d cisions fond es sur des donn es probantes l chelle communautaire et f d rale par
34. es scientifiques r alis es dans le domaine de PERSH notamment en ce qui a trait l acquisition de nouvelles donn es sur l exposition la toxicit et l environnement sont appliqu es l laboration des RQSSH pour r duire le degr d incertitude li au processus et pr venir l adoption d une approche guid e par une prudence excessive Cette fa on de faire permet Sant Canada d laborer des RQSSH justifiables sur le plan scientifique et d valuer plus efficacement les risques associ s aux nouvelles substances chimiques pr occupantes dans l environnement OBJECTIFS Les RQSSH sont labor es des fins d utilisation aux sites contamin s pour pr ciser les concentrations dans les sols ne comportant aucun risque pour la sant humaine Notre objectif consiste int grer les avanc es scientifiques r alis es dans le domaine de l ERSH au processus d laboration des RQSSH de mani re am liorer la gestion des sites contamin s au Canada en laborant des recommandations pour la qualit des sols fond es sur de nouvelles donn es sur l exposition la toxicit et l environnement DESCRIPTION Une publication du CCME intitul e Protocole d laboration de recommandations pour la qualit des sols en fonction de l environnement et de la sant humaine CCME 2006 d crit le processus d laboration des RQSSH Des recherches ont t men es bien en appui aux activit s d ERSH et au processus d laboration de RA
35. et analyse des miARN a t r alis e au moyen des puces Agilent Le logiciel R a servi effectuer l analyse statistique R SULTATS La concentration en HT dans le cerveau tait consid rablement r duite dans le groupe hypo et augment e dans les groupes hypo et hyper par rapport au groupe t moin L analyse typologique a r v l que les mod les d expression g nique du groupe t moin et du groupe hypo taient semblables tandis que ceux des groupes hypo et hyper avaient form des grappes distinctes Les groupes hypo et hyper avaient en commun 29 g nes significativement alt r s par rapport au groupe t moin Nous avons confirm 7 de ces 8 g nes par la m thode RT PCR les r sultats de l analyse par puces ADN ont t confirm s 88 L expression des miARN a t analys e dans le groupe t moin et le groupe hyper Le traitement l HT a augment l expression de la plupart des miARN Les miR 693 30 302 ont pr sent les hausses les plus marqu es CONCLUSIONS Les g nes touch s par la modification de la concentration en HT sont impliqu s dans des voies cruciales pour le d veloppement neurologique notamment l activation du r cepteur de l hormone thyro dienne la potentialisation long terme et la signalisation de la neurotrophine et de la reelin Les miARN dont l expression est alt r e jouent un r le dans la lib ration de neurotransmetteurs et dans le comportement neurologique Ces observations nous
36. identifier les bandes d int r t Une partie de l outil analytique actuel d ImageJ analyse gt gel a t utilis e pour produire un histogramme de l intensit des pixels le long des pistes Le programme permet l utilisateur de s lectionner un script R pouvant fonctionner avec un minimum d intervention Dans le logiciel R nous avons utilis un algorithme de lissage suivi du calcul du 1 d riv Une expression normale a par la suite servi trouver les pics qui correspondaient aux bandes dans le gel Les expressions normales sont des mod les qui peuvent rapidement rep rer des motifs dans les donn es s quentielles La distance entre les bandes p ex entre les bandes d int r t et les talons de taille internes a t calcul e partir du sommet des pics L initialisation a t utilis e pour estimer la variabilit et pour calculer la probabilit que la piste contienne un mutant R SULTATS Le programme a rapidement rep r les all les anc tres et mutants ainsi que les gains et les pertes d l ments d ADN r p t s Il a produit un tableau des r sultats fournis par R qui pr sente les distances entre les bandes et qui circonscrit les bandes mutantes l aide d un indicateur de probabilit R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les r sultats obtenus par le d nombrement manuel et ceux obtenus l aide du pr sent progiciel seront compar s afin de d terminer la probabilit de faux positifs et de faux n g
37. les fausses cartouches mais non chez ceux ayant respir l air filtr Cet effet s est maintenu des concentrations de polluants bien en de des limites actuelles Nos donn es exp rimentales appuient directement l existence d une relation sans seuil entre les contaminants dans l air ambiant et des effets cardiovasculaires INTRODUCTION Les standards pancanadiens actuels sont de 30 ug m moyenne sur 24 heures pour les PM et de 65 ppb moyenne sur 8 heures pour TO Les objectifs nationaux aff rents la qualit de l air ambiant sont de 13 ppm moyenne sur 8 heures pour le CO et de 106 ppb moyenne sur 24 heures pour le NO Il reste n anmoins d terminer s il existe des concentrations seuils pour les effets des polluants atmosph riques sur la sant Pour mieux comprendre les effets faible dose nous avons tudi la r ponse physiologique de sujets bien portants respirant soit de l air ambiant soit de l air filtr M THODE L tude s est d roul e l int rieur de l immeuble du CHM de septembre 2009 mars 2010 La pollution de l air ambiant Surveillance nationale de la pollution atmosph rique tait en moyenne min max 4 ug m 0 21 pour les PM 5 0 25 ppm 0 10 0 65 pour le CO 9 ppb 0 44 pour le NO et 15 ppb 0 48 pour TO La p n tration des polluants dans l air int rieur ambiant tait de 95 100 Pendant 2 jours les sujets 8 hommes 2 femmes g s de 24 55 ans et
38. les r sultats pr liminaires obtenus par r sonance plasmon de surface laissent croire que cette technique sera cruciale pour la d termination de l affinit de liaison et la mise au point de capteurs CONCLUSIONS La mise au point d aptam res pr sente de nombreuses difficult s quant il s agit de petites mol cules La modification de protocoles SELEX et la mise en uvre de la r sonance plasmon de surface est prometteuse et permettra de mesurer en temps r el des cyanotoxines sur le terrain Bien qu il existe des techniques de laboratoire d celant les toxines d algue l analyse est co teuse et dans certains endroits o la demande est grande les d lais d obtention des r sultats sont longs jours La mise au point de capteurs de cyanotoxines constituerait un outil pr cieux permettant d intervenir rapidement en cas de prolif ration de cyanobact ries la fois dans les sources d eau potable et les plans d eau servant aux activit s r cr atives 1 58 Les impuret s associ es aux produits d samid s r duisent elles la conservation des m dicaments base prot ine comme l interf ron K Wong S Smith et M A Hefford PhD A Centre for Vaccine Evaluation Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les m dicaments base de prot ine pr sentent une structure beaucoup plus complexe que les m dicaments classiques petites mol cules Par c
39. nes sensibles des changements de la concentration en HT Ces observations nous en apprennent davantage sur la fa on dont la perturbation de l HT compromet le d veloppement du cerveau Ces r sultats peuvent servir identifier des marqueurs biologiques sensibles aux perturbateurs de l hormone thyro dienne OBJECTIF L objectif long terme de cette tude est de comprendre quels sont les effets nocifs sur le cerveau des produits chimiques qui agissent comme perturbateurs de l hormone thyro dienne HT et d identifier des biomarqueurs de l exposition ces perturbateurs Dans le cadre de cette tude nous avons identifi les g nes r gul s par l HT dans le cortex de f tus en fin de gestation M THODES Nous avons provoqu chez des souris C57BL 6 gravides une hypothyro die transitoire au moyen d un traitement avec des m dicaments antithyro diens administr s pendant trois jours partir du 13 jour de gestation G13 groupe hypo ou une hyperthyro die transitoire par injection d HT au jour G15 12 heures avant de les sacrifier groupe hyper Un troisi me groupe hypo a re u les deux traitements alors que le groupe t moin n a re u que le v hicule Le cortex de l h misph re gauche a t pr lev afin de mesurer les taux de T4 tandis que celui de l h misph re droit a servi l extraction de PARN L expression globale des g nes a t analys e l aide des puces ADN Affymetrix
40. notable entre les estimations nationales de la pr valence du tabagisme fond e sur les d clarations des r pondants et celles obtenues partir de la concentration de cotinine ce qui laisse croire que la pr valence du tabagisme fond e sur les d clarations des r pondants est une estimation valable de la pr valence du tabagisme au Canada 2 36 Avanc es scientifiques dans le domaine de l valuation des risques pour la sant humaine et du processus d laboration de recommandations sur la qualit du sol pour la protection de la sant humaine B McEwen C McEwan et D Longpre i Division des lieux contamin s Programme de sant environnementale DGRP Sant Canada Winnipeg Man Division des lieux contamin s Programme de la s curit du milieu DGSESC Sant Canada Ont Division des lieux contamin s Programme de sant environnementale DGRP Sant Canada Montr al Qc 2 3 R SUM La Division des lieux contamin s de Sant Canada labore des Recommandations sur la qualit du sol pour la protection de la sant humaine RQSSH au Canada en collaboration avec le Conseil canadien des ministres de l environnement CCME Les RQSSH pr cisent les concentrations de diverses substances chimiques dans le sol en de desquelles aucun effet sur la sant humaine ne devrait tre observ Les processus d laboration des RQSSH et d valuation des risques pour la sant humaine ERSH sont similaires Les avanc
41. nous avons administr aux animaux des doses orales d un m lange de 23 polluants environnementaux raison de 0 huile de ma s 1 6 ou 16 mg kg de poids corporel par jour pendant 4 semaines la fin des traitements les rats ont t sacrifi s et nous avons r cup r du s rum et plusieurs tissus Apr s avoir trait les chantillons par une extraction une d rivation et un nettoyage nous avons analys la concentration des r sidus de polluants organiques dans les tissus par chromatographie en phase gazeuse CG La concentration en lipides s riques a t mesur e par gravim trie PRODUITS R SULTATS La consommation quotidienne d alcool a entra n une baisse consid rable de la concentration des polluants organiques dans le s rum y compris les BPC les pesticides organochlor s les ignifuges brom s et le pentachloroph nol Chez le rat la concentration s rique moyenne s est abaiss e de 29 40 dans le groupe ayant re u une forte dose et de 28 53 dans le groupe ayant re u une faible dose CONCLUSIONS Ces r sultats r v lent qu une consommation mod r e d alcool peut r duire la concentration des r sidus de polluants organiques dans le s rum peut tre en raison d une modification de l absorption et ou du m tabolisme de ces produits chimiques Nous sommes en train de proc der une analyse approfondie afin de d terminer si la consommation d alcool a aussi des effets sur la distribution ti
42. pitaux et les autres tablissements participants r partis dans quatre provinces h pitaux de petite moyenne ou grande taille d termin e selon le volume annuel de transfusions de globules rouges re oivent une formation continue Les donn es qui sont h berg es sur un serveur Web s curis sont transmises tous les trois mois l ASPC en vue de leur publication dans des rapports annuels Les erreurs signal es pendant la p riode de 2005 2007 2009 sont d crites R SULTATS De janvier 2005 d cembre 2009 60 705 erreurs ont t signal es 10 273 9 918 11 798 15 193 et 13 523 respectivement De celles ci 5 781 9 5 taient des erreurs graves potentiellement nuisibles pour le patient 7 2 10 1 2005 2007 2009 Les pr l vements ont t la principale source d erreurs survenues en milieu clinique 29 3 vs 29 6 2005 2007 2009 Les analyses ont t la principale source d erreurs en laboratoire 12 6 vs 8 3 2005 2007 2009 Les pr l vements les manipulations d chantillons et les demandes de produits ont t les principales sources d erreurs graves La plupart des erreurs sont survenues entre 8 h et 20 h 72 6 et un jour de semaine 82 2 La proportion d erreurs d tect es le jour m me tait de 56 9 En 2009 les principaux professionnels impliqu s tait des infirmi res 47 7 des techniciens 37 9 et des m decins 7 2 comparativement 46 6 39 7 et 6 5 respectivem
43. ponse des hormones intestinales GLP 1 PYY ghr line apr s 30 minutes et l apport alimentaire quotidien total seront mesur s Apr s un je ne pendant la nuit les animaux seront euthanasi s 30 minutes apr s avoir re u soit une pr charge de glucose ou une pr charge d eau Des chantillons de sang et de tissus tube digestif et hypothalamus seront pr lev s pour des analyses ult rieures PRODUITS Des mesures de l apport alimentaire du poids et de la composition corporels et des dosages des hormones intestinales seront effectu s durant l t et au d but de l automne Nous nous attendons ce que chez les rats ayant re u la di te FOS la suppression de la consommation d aliments soit plus grande apr s les pr charges de nutriments selon nous cet effet est li aux concentrations d hormones intestinales PROCHAINES TAPES R PERCUSSIONS Dans des tudes futures on pourrait examiner le r le direct des hormones intestinales dans la r ponse l ingestion d aliments en administrant des antagonistes des r cepteurs hormonaux Les r sultats de cette tude devraient aider valuer les fondements scientifiques des all gations sant relatives la sati t qui accompagnent certains aliments 1 03 Esters acides gras de glycidol dans les aliments mise au point d une m thode d analyse A Becalski S Feng B P Y Lau et T Zhao L Division de la recherche sur les aliments Bureau d innocuit des pr
44. rielle systolique et la concentration ambiante de polluants atmosph riques tels que le NO l O et les PM 5 Dans le pr sent article nous d crivons une m thode pratique et non effractive permettant de mesurer la concentration de divers biomarqueurs dans des tudes sur la pollution atmosph rique en particulier chez les enfants CONTEXTE Les concentrations plasmatiques d endoth lines ET se sont r v l es tre de bons indicateurs des effets cardiovasculaires des polluants atmosph riques Les analyses de s ries chronologiques portant sur la physiologie cardiovasculaire et les concentrations sanguines de biomarqueurs comme les endoth lines sont limit es par le caract re effractif des pr l vements sanguins Nous avons tabli qu il existait une corr lation positive entre divers isoformes de peptides de l endoth line dans des chantillons appari s de plasma et de salive pr lev s chez des sujets en bonne sant L objectif de notre tude tait d tudier la relation entre diverses isoformes de l endoth line dans la salive de sujets en bonne sant leur pression art rielle et les concentrations ambiantes quotidiennes de polluants atmosph riques M THODES Les exp riences ont t r alis es dans le Centre de la sant environnementale entre septembre 2009 et mars 2010 Les concentrations ambiantes moyennes des polluants atmosph riques R seau national de surveillance de la pollution atmosph rique pendant la
45. ristiques de la s curisation culturelle identifi es R SULTATS Cinq caract ristiques fondamentales de la s curisation culturelles ont t jug es pertinentes pour la prise de d cisions dans le contexte organisationnel de la DGSPNI 1 une croissance continue sur le plan tant personnel qu organisationnel fond e sur des principes plut t que sur des proc dures 2 une r flexion y compris une autor flexion en vue de mieux comprendre la mani re dont les ant c dents culturels les contextes historiques et structurels l in galit sociale et les positions au sein des rapports de force peuvent influer sur les perspectives les int r ts les valeurs les priorit s les comportements et les gestes tant sur le plan personnel qu organisationnel 3 une reconnaissance de la diversit tant d une communaut autochtone l autre qu l int rieur de chaque communaut 4 la n cessit de se garder des st r otypes 5 le tissage et l entretien de liens de confiance par une communication ouverte le travail en partenariat avec les communaut s autochtones y compris au niveau local et la reconnaissance du fait que les membres d une communaut sont des experts au sujet de celle ci CONCLUSIONS Si des travaux de partenariat plus approfondis seront n cessaires pour valider ces r sultats l examen des l ments probants sur la s curisation culturelle semble avoir permis de d gager une s rie de principes cl s cet
46. s s6 4 45 D 55 Valeur de pixel nette Valeurs de pixel nettes non expos expos a es 7 af 1 Rampado et al Phys Med Biol 51 2006 2 Rampado et al Med Phys 37 2010 TABLE 1 CONTROL EXPONENTIAL MODEL QUADRATIC MODEL lonisation Chamber Gafcrhomic Film Gafchromic Film Dose D mGy 5 Deaic MGy Deaic MGy 4 376 4 87 0 41 4 31 0 37 5 360 6 30 0 42 5 68 0 43 9 103 9 96 0 46 9 32 0 51 22 62 23 2 0 6 23 7 0 8 43 93 41 8 0 8 45 1 1 3 76 38 66 2 1 1 72 8 1 9 1 27 Empreintes de glycoprot ines recombinantes th rapeutiques obtenues par RMN G Gingras et Y Aubin PhD 1 Centre d valuation des vaccins DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L analyse des produits biologiques ult rieurs PBU un PBU est un m dicament biologique faisant son entr e sur le march apr s une version dont la vente est autoris e au Canada voir le document Les ignes directrices l intention des promoteurs Exigences en mati re de renseignements et de pr sentations relatives aux produits biologiques ult rieurs est une t che tr s difficile Pour ce faire nous avons labor une m thode faisant appel la spectroscopie par r sonance magn tique nucl aire pour valuer la structure des ingr dients actifs des PBU Le recours cette m thode a t limit l valuation de prot ines non glycosyl es Cependant un certain n
47. sultats de cette tude montreront si les diff rences entre la consommation aux U et au Canada justifient la cr ation d une version canadienne de la Food Commodity Intake Database FCID des U actuellement utilis e par les deux pays pour valuer l exposition alimentaire aux pesticides 1 11 M dicaments biologiques issus de la mol culture v g tale comment se frayer un chemin vers le march canadien T Burton F Cornel N Irobi S Khamisa H MacDonald Piquard D Petrin D Rodrigues S Sontakke E Tackaberry O Tounekti et K Nath S Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont KR L inspectorat du DGPSA Ottawa Ont R SUM La mol culture v g tale MV est une nouvelle plate forme de production de m dicaments qui utilise des plantes manipul es g n tiquement pour produire des prot ines usage th rapeutique Pendant que la plante g n tiquement modifi e cro t elle fabrique les prot ines du g ne qui a t ins r et ces prot ines sont par la suite extraites de la plante Sant Canada est en train d laborer un document d orientation qui expliquera la fa on dont les exigences relatives aux pr sentations diff rent dans le cas des m dicaments biologiques issus de la mol culture v g tale cause des risques particuliers qui existent avant la r colte et durant la r colte des plantes Sant Canada diffuse les d
48. taient pr sents ou absents selon la souche ont t analys s par PCR par hybridation de Southern et par s quen age nucl otidique partiel des fins de validation PRODUIT R SULTATS L hybridation de chaque souche de Pa figurant dans la LIS avec les g nes de la souche PaO1 a donn des indices de similitude d passant 95 Toutefois un faible pourcentage moins de 3 des g nes de chaque souche a obtenu un r sultat consid r comme ambigu Un nombre petit mais variable de g nes de la souche PaO1 tait absent dans chacune des souches figurant dans la LIS dont plusieurs g nes de virulence Parmi le petit ensemble de g nes analys s trois g nes ont obtenu des r sultats par PCR et par hybridation de Southern qui correspondaient aux r sultats de l analyse par micror seau En ce qui concerne le quatri me g ne imm2 les r sultats de l analyse par micror seau ne concordaient pas avec les r sultats de la PCR et de l hybridation de Southern INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES L analyse par CGH indique que les souches utilis es en biotechnologie semblent contenir beaucoup de g nes pr sents dans la souche PaO01 Cependant le contenu en g nes de virulence des souches figurant dans la LIS para t inf rieur celui de la souche PaO1 Par ailleurs il semble y avoir de faux r sultats puisque pour un des g nes tudi s le r sultat obtenu lors de l analyse par micror seau tait con
49. tection du cytom tre Pour les exp riences avec les macrophages les cellules ont re u des PPS de taille et de concentration variables avant la prise de mesures de l absorption et de l agglom ration R SULTATS Le diluant le plus efficace pour la r duction de l agglom ration a t la BSA 1 car c est celui qui a produit le coefficient de variation le plus faible Le cytom tre permet une discrimination des PPS dilu es par taille et par concentration gt 200 nm et 10 PPS mi Il a t possible de d terminer le degr d agglom ration l aide du nombre de pics de fluorescence Des billes de tailles diff rentes apparaissaient dans des r gions discr tes des repr sentations graphiques de la diffusion vers l avant FSC par rapport la diffusion lat rale SSC et des histogrammes de fluorescence Dans le cas des macrophages trait s aux PPS on a observ une corr lation lin aire entre la taille des billes gt 20 nm et la granularit complexit cellulaire II n a pas t possible de d celer des changements de concentration des PPS par des changements de SSC CONCLUSION l aide du cytom tre il a t possible de d tecter des PPS jusqu 200 nm apr s dilution et jusqu 20 nm apr s absorption par les cellules Les r sultats pr sent s ici d montrent que la cytom trie de flux put tre une m thode utile pour la d tection et la caract risation des PPS On pr voit poursuivre les recherches
50. tude nous avons expos des macrophages pulmonaires des nanotubes de carbone NTC poss dant diff rentes propri t s physico chimiques et concentrations d impuret s afin d valuer les risques associ s l exposition ces structures Ce projet s inscrit dans l initiative de recherche faisant partie du mandat de Sant Canada CMP Nano et de ses obligations internationales Initiative du GTN de l OCDE en vue de combler les lacunes dans les connaissances au sujet de l valuation fiable des risques que pr sentent les nanomat riaux CONTEXTE ET OBJECTIFS Les crit res d valuation de la cytotoxicit An vitro peuvent donner de l information sur la toxicit globale des nanomat riaux toutefois il est difficile de pr dire les r sultats d une analyse en profondeur des voies m canistes Par cons quent l analyse des changements au niveau du profil prot omique dans les cellules expos es aux nanomat riaux peut permettre de comprendre les m canismes de leur toxicit et l analyse dose r ponse correspondante Les objectifs de cette tude sont les suivants 1 tudier les profils prot iques dans les lysats des cellules J774 apr s exposition des NTC parois simples ou multiples sous une forme tant inalt r e qu oxyd e 2 tudier le r le de la chimie de surface et des impuret s m talliques sur les profils prot omiques qui peuvent leur tour tre li s la toxicit cellulaire M THODES Des cellules J
51. 08 Berndt Weis M L 1 39 Bertinato J 1 05 1 06 Bertrand D 4 20 B rub D 5 03 Bhuller Y 1 54 Bidawid S 4 11 Bielecki A 1 08 5 02 Cabecinha A 5 03 Cakmak S 2 07 Caldwell D 1 20 1 37 1 46 4 05 Cao X L 1 12 1 13 Carrillo C 4 07 4 10 4 18 4 25 Carrillo C D 4 02 Caunter T 2 20 4 31 A Arvanitakis G 4 41 4 46 Asher B J 2 01 Atlas E 1 01 1 25 Aubin Y 1 27 1 30 4 43 Auclair J P 3 01 Austin J W 4 29 Avon L 2 40 Ayotte P 5 01 Aziz A 1 02 1 55 Aziz S 2 02 Azzi G 4 02 B Bin Kingombe C I 4 04 4 18 Blais E 1 08 5 02 Blanchet C 5 01 Bliu A 4 19 4 28 Bogdanovic D 1 19 Bonchuk l 2 43 Bondy G 1 14 2 02 4 05 Bonvalot Y 1 09 1 54 5 01 Bose O 2 50 Bouchard M 5 01 Boucher F 4 22 Bourdon J A 2 04 2 37 Bowers W J 1 36 2 05 Boyer P 2 43 Brassard P 1 10 Breton F 5 03 Breznan D 1 41 4 06 Brion O 2 41 Bristow A F 1 30 Brook J R 2 32 Brooks S 1 02 Brooks S P J 1 49 Burnett R 2 41 Burton T 1 11 Butt S 2 06 C Cekic N 1 36 Cerqueira Campos M L 4 04 Chan T 2 29 2 37 Charbonneau J 4 20 Chauhan B 4 36 Chauhan V 2 24 Chen J 2 08 Chen L 4 08 Chen Q 1 49 Ch nier M 1 44 Chomyshyn E 4 10 4 35 Chu I 1 36 Chun C 2 09 Chyly P 2 43
52. 2010 sur des PNH de GC Des billes recouvertes d ASB et de lysats de cellules infect es par une substance t moin ont servi de t moins n gatifs Les s rums t moins r agissant chaque virus ont servi la mise au point de l essai Le proc d a fait appel un appareil robotis distribuant une solution liquide et lavant les billes Hudson Robotics Les r sultats ont t compar s ceux obtenus par une m thode immunologique commerciale avec transfert sur membrane DIA et par une analyse de transfert de Western mise au point l interne R SULTATS Des anticorps dirig s contre le virus de l herp s B ont t d tect s dans tous les chantillons t moins positifs n 5 titres 900 gt 10 000 et aucun n a t d tect dans les chantillons t moins n gatifs n 7 L essai avec des billes a donn d aussi bons r sultats que le transfert de Western pour la d tection des anticorps dirig s contre le VSS n 5 positifs n 2 n gatifs Une concordance a t observ e entre les r sultats obtenus par essai immunologique multiplex et par DIA transfert de Western Tous les s rums contenaient des anticorps dirig s contre le VSS sauf celui d un groupe choisi de macaques maintenu exempt de ce virus Quatre chantillons ont r agi au HTLV 1 et un autre aux billes recouvertes du SIV Aucune r activit au SRV 1 ma t d tect e Des analyses de confirmation sont en cours pour les chantillons qui ont montr un
53. 22 J Johnson M 2 27 2 28 Johnston M J W 4 21 Jolette P 1 43 Jones J 2 16 Jones Mclean E 1 52 Jones Otazo H 2 50 Jordan S A 1 32 Julien M 4 20 Juqqa S 1 28 2 19 K Klein A 1 54 Kliaus V 2 43 Klutka R 1 15 Knee C 1 05 Kolanczyk R C 2 16 Korpach E 3 03 Kozak G 1 54 4 26 Krajewski P 2 43 Kubwabo C 2 13 5 03 Kuchta S 2 34 Kulka R 2 28 2 49 Kumarathasan P 1 08 1 28 1 41 1 42 2 19 2 29 2 44 4 06 4 15 5 02 Kunkel J P 4 27 4 28 Kuo B 1 34 Kwong 1 47 L Langlois K 1 10 Lapointe C 5 01 Larivi re E 2 40 2 46 Larocque L 4 42 Latouche G 2 43 Lau B P Y 1 03 Lauria D 2 43 Laziyan M 2 53 Leatherdale S 2 35 Leblanc A 1 16 LeBlanc D 2 20 Lee D 2 50 Lee H C 2 21 Leech T 2 12 L gar C 4 24 Leingartner K 1 16 Leitch R 1 32 Lemay M 2 21 Lemieux C L 1 38 2 33 Lemieux M 4 19 4 30 L v que E 1 10 Levesque C 1 44 Levesque P G 4 31 Li C 4 14 4 30 4 42 Li K Y R 4 32 Maal Bared R 4 07 MacDonald Piquard H 1 11 MacFarlane A J 1 29 1 43 1 53 1 04 Macintyre D J 1 28 2 19 Mack D R 1 05 MacKinnon L 2 34 Mackinnon Roy C 1 41 4 06 MacLean L C W 2 39 5 04 MacLellan E 2 02 MacNeill M 2 27 Mah Cawthorn G 1 61 Mahemuti L 1 20 Malaison E 2 35 Mallach G
54. 43 Said F 2 12 Samiee S 2 03 Sandles D 3 04 Sandstrom P 1 19 Sangster P 2 40 Saravanabhavan G 1 08 Saravanamuthu A 5 02 Sattar S 2 01 Sauv S 4 43 Savard M 4 05 Schenk E 2 41 2 42 Schmidt L 4 29 Schmieder P 2 16 Schrader T 1 48 Scoggan K A 1 49 Scott P M 4 39 Sebastien R 2 21 Semalulu S 4 12 4 16 4 23 Servranckx R 3 02 Seyer K 4 18 Shaikh N 2 33 Sharma D 4 26 Sherrard L 1 05 Sherring A 1 19 Shields M 2 35 Shin H 2 41 Taboada E 4 07 4 25 Taboada E N 4 02 Tackaberry E 1 11 Takahara G 2 41 Takser L 1 50 Tam J 4 39 Tan J 4 37 Tao T 1 54 Tayabali A F 4 09 4 35 4 37 4 38 Taylor J 1 05 1 06 Telleria D M 2 43 Thach W 1 30 Russell M 4 42 S Shwed P 4 13 4 44 Siddique S 1 50 Silverman F 2 32 Siu M 1 51 Skipper N 4 45 Sluiter A 2 01 Smith D 4 14 4 20 Smith J 2 43 Smith K 2 33 Smith S 1 58 Smith Doiron M 2 41 Smith Munoz L 2 50 Sondagar C 1 46 Sontakke S 1 11 4 20 Soo E 1 51 Speck M 2 32 Spencer C 2 01 Stachiw L 2 06 2 41 2 42 Stieb D 2 41 Stocki T J 2 43 Storey K 1 02 St Pierre K 4 11 St Pierre S 1 52 Stubbert L 2 52 Swayne B 1 53 Swist E 1 49 Szyszkowicz M 2 32 T Thomas Zoeller R 1 17 Thompson E 2 14 Thomson E
55. C B 2 R SUM On ne comprend pas tout fait les effets des isoflavones associ es aux prot ines de soja sur le m tabolisme des acides amin s et la croissance La pr sente tude a montr que la consommation d une grande quantit d isoflavones de soja conduisait une diminution du poids corporel un accroissement de la citrulline et de la m thionine s riques ainsi qu une augmentation du poids des reins et des ovaires chez les jeunes rats femelles ce qui semble indiquer qu un exc s d isoflavones pourrait nuire la croissance d r gler le m tabolisme des prot ines et modifier le poids de certains organes chez les jeunes consommateurs OBJECTIF S La consommation de prot ines de soja a t associ e de nombreux bienfaits pour la sant mais il existe certains doutes quant leur valeur nutritionnelle et l innocuit des isoflavones qui leur sont associ es La pr sente tude a port sur les effets des prot ines de soja et de quantit s croissantes de suppl ments d isoflavones sur la croissance les profils en acides amin s s riques et le d veloppement des organes reproducteurs chez les jeunes rats femelles M THODE Nous avons s par al atoirement en quatre groupes des rates Sprague Dawley de 28 jours auxquelles nous avons donn une ration contenant 20 de cas ine ou 20 d isolats de prot ines de soja IPS extraits l alcool ainsi que 50 250 ou 1 000 mg d isoflavones de
56. CONTEXTE Les insecticides contenant l ingr dient actif azinphos m thyl AZM sont commun ment utilis s dans l industrie fruiti re En 2004 dans le cadre de son programme de r valuation ARLA a conclu que les risques pour les travailleurs n taient pas conformes aux normes actuelles et a annonc une limination graduelle de tous les produits contenant de l AZM d ici 2012 L Environment Protection Agency EPA des tats Unis a annonc un calendrier similaire d limination graduelle en 2006 L EPA et PARLA ont mis sur pied conjointement un projet pilote appel AZM Transition Strategy strat gie de transition pour l AZM dans le but d att nuer les incidences sur les cultivateurs et de favoriser la r duction des risques par l utilisation de produits de substitution de AZM Les objectifs de la strat gie de transition canadienne taient de collaborer avec les intervenants afin de 1 d finir un plan de travail pr cisant la marche suivre pour obtenir l homologation de produits de substitution pr sentant de plus faibles risques 2 fournir de l aide tout au long du processus r glementaire pour l homologation des produits de substitution identifi s M THODES On a mis sur pied des groupes de travail r unissant des cultivateurs des chercheurs et des responsables de la r glementation pour chacune des principales cultures touch es canneberges et fruits de verger Chacun de ces groupes a t consult de nombr
57. D autres analyses seront n cessaires pour d terminer l incidence des polluants individuels sur les effets observ s 2 20 La Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs des Etats Unis et du Canada M Haber PhD D LeBlanc MSc T Caunter MSc et P Curry BSc 1 Direction de l valuation de la valeur et de la p rennit ARLA Sant Canada Ottawa Ont R SUM La Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs des tats Unis et du Canada tablie en 2008 a t mise sur pied pour r pondre aux questions soulev es par les producteurs au sujet des diff rences d un pays l autre concernant les usages homologu s des pesticides et ou les limites maximales de r sidus dans les aliments Pour mieux comprendre les besoins de la communaut agricole l Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire ARLA de Sant Canada a aid les intervenants canadiens classer par priorit leurs besoins en mati re de lutte antiparasitaire On s attend ce que la base de donn es devienne un outil pr cieux pour les producteurs am ricains et canadiens dans l tablissement de leurs priorit s ainsi que pour les titulaires de pesticides et les organismes de r glementation OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S la lumi re des questions des producteurs au sujet de l harmonisation des pesticides dans les pays membres de ALENA les repr sentants du Groupe de travail technique de ALENA sur les pesticides ont
58. L ARLA de Sant Canada a codirig plusieurs initiatives nationales et internationales li es au d clin des populations de pollinisateurs ou a particip activement de telles activit s Parmi ces initiatives mentionnons une tude de l OCDE sur les interactions pesticides pollinisateurs les travaux d un groupe d experts de l OCDE sur les effets des pesticides sur les insectes pollinisateurs un atelier SETAC Pellston sur l valuation des risques des risques des pesticides pour les pollinisateurs l tablissement d une collaboration troite entre les divers minist res f d raux directement concern s par le d clin des pollinisateurs et la mise en place d un r seau de recherche sur les pollinisateurs CANPOLLIN financ par le CRSNG L ARLA se fonde sur les r sultats de ces initiatives pour laborer une approche r vis e pour l valuation des risques pos s par les pesticides pour les pollinisateurs Cette nouvelle approche r vis e pr voit la prise en compte des l ments additionnels suivants 1 voies d exposition potentielles en fonction du profil d utilisation des pesticides cultures cibl es r partition spatiale et temporelle des applications des caract ristiques des pesticides produits syst miques et non syst miques et des m thodes d application pulv risations foliaires pelliculage des semences et applications au sol 2 concentrations des r sidus de pesticides dans divers compartiments de l environneme
59. Les r sultats du module de la sant buccodentaire orienteront les discussions en cours l chelle nationale sur les in galit s en mati re de sant buccodentaire et sur les questions li es l acc s aux soins dentaires Ces renseignements pourront aussi tre pris en consid ration dans la mise sur pied de politiques et de programmes de sant publique buccodentaire destin s am liorer la sant buccodentaire et du m me coup la sant g n rale des Canadiens plus g s 2 18 Comparaison pr liminaire de deux m thodes de type RQSA pour pr dire la toxicit J Grundy Ph D et K Hammill 1 Bureau de l valuation et du contr le des substances nouvelles DES DGSESC Sant Canada Ottawa ON R SUM Le Bureau des nouvelles substances fait l valuation des risques pos s par de nouveaux compos s chimiques et de nouveaux polym res substances dont on envisage l utilisation au Canada Pour avis relatif une faible quantit d une nouvelle substance le d clarant n est pas dans l obligation de fournir des tudes sur sa toxicit telles que des tudes sur des modifications de l ADN mutag nicit Lors de l valuation de la s curit pour la sant la nouvelle substance est compar e des substances similaires comparaison crois e et ou valu e au moyen de programmes de type relation quantitative structure activit RQSA Pour le pr sent projet on a compar la pr cision de deux m thodes RQS
60. M G Wade et C L Yauk Division de la d termination des risques DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division des tudes sur la population DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement de biologie Universit de Carleton Ottawa Ont R SUM L hormone thyro dienne TH produite par la glande thyro de est essentielle la croissance et au m tabolisme Le pr sent projet de recherche vise examiner les effets d une variation de la concentration de la TH sur l expression de g nes au cours du d veloppement du foie afin de comprendre le fonctionnement de la TH Nous avons trait des souris avec des produits chimiques induisant une faible concentration de TH et avons compar ces souris des souris ayant une concentration normale ou lev e de TH Nous avons trouv 28 g nes h patiques ayant directement r pondu aux variations de TH Nous avons aussi d cel des petites s quences d ADN qui semblent jouer un r le dans ces r ponses Les r sultats permettront d tablir quels produits chimiques ont des effets sur l activit de la TH ce qui aidera Sant Canada am liorer la r glementation relative ces substances CONTEXTE OBJECTIFS Une perturbation de la signalisation de la TH induite par les substances toxiques dans les premi res phases du d veloppement peut avoir des effets sur la croissance le d veloppement et le m tabolisme de l nergie Les hormones thyro diennes exercent leurs effets en i
61. M THODE DESCRIPTION Nous avons nourri des rats Fischer 344 m les 10 groupe pendant six semaines avec une alimentation t moin contenant 10 g g de cellulose une alimentation enrichie 2 5 ou 10 g g de SB ou une alimentation enrichie 2 5 ou 8 g g de FOS Nous avons isol l ARN de l pith lium du c lon proximal de chacun des rats Puis nous avons fait appel la PCR quantitative en temps r el pour mesurer l expression d ARNm de g nes connus pour jouer un r le dans le transport du monocarboxylate la transduction du signal de r cepteurs coupl s la prot ine G la prolif ration cellulaire apoptose et l oncogen se EFFETS R SULTATS Comparativement aux rats t moins les rats ayant eu un r gime alimentaire base de FOS rapidement fermentables taient associ s une quantit plus lev e d ARNm de g nes jouant un r le dans le transport des acides gras courte cha ne comme les transporteurs de monocarboxylate Smct2 Mcti et Mct4 et une quantit plus faible d ARNm de Mct2 P lt 0 05 L alimentation base de FOS a aussi eu une incidence sur des g nes jouant un r le dans la transduction du signal des prot ines G en augmentant l expression de ARNm de Gpr109a et en abaissant la quantit d ARNm de Gpr120 de Gpr43 de Gprcba de Rgs2 et de Rgs16 P lt 0 05 Le r gime base de FOS a aussi bausse la quantit d ARNm de certains g nes connus li s l apoptose y compris G
62. Man Les chantillons ont t recueillis directement dans des seaux et dilu s Nous avons fait appel la chromatographie liquide coupl e la spectrom trie de masse en tandem LC MS MS pour quantifier plusieurs tensioactifs couramment analys s savoir les alkylcarboxylates perfluor s les alkylsulfonates perfluor s les sulfonates de t lom res fluor s et les alkylsulfonamides perfluor s R SULTATS Les alkylsulfonates perfluor s y compris le perfluorooctane sulfonate PFOS et le perfluorooctane sulfonamide un pr curseur du PFOS taient absents des formulations AFFF actuellement utilis es Les sulfonates de t lom res fluor s constituent la principale classe de tensioactifs fluor s d tect s dans les m langes mousse AFFF les sulfonates de t lom res fluor s 8 2 et 6 2 tant les plus courants Des quantit s importantes de plusieurs alkylcarboxylates perfluor s dont l acide perfluorooctano que APFO taient aussi pr sentes dans plusieurs formulations Ces r sultats concordent avec les donn es environnementales limit es portant sur la pr sence des mousses AFFF dans les sites contamin s CONCLUSIONS ET TRAVAUX VENIR La pr sence de sulfonates de t lom res fluor s dans ces produits r pandus met en vidence la n cessit d tudes approfondies sur les incidences de ces compos s sur la sant humaine et sur l environnement Bien que ces compos s aient t observ s des concentrations
63. Nous traitons de l utilisation des donn es de toxicog nomique dans l valuation du risque associ aux produits chimiques environnementaux tel le BaP CONTEXTE Le BaP est un agent mutag ne environnemental modifiant l expression des g nes et intervenant dans plusieurs processus biologiques La principale voie d exposition au BaP est l ingestion orale toutefois l exposition orale n entra ne pas de tumeurs h patiques mais plut t des tumeurs pulmonaires Nous avons examin les changements d expression de ARNm dans les poumons la suite de l exposition subchronique au BaP afin de comprendre les m canismes mol culaires particuliers qui contribuent de fa on s lective l apparition des tumeurs pulmonaires M THODES Chaque jour pendant 28 jours des souris Muta C m les adultes ont t expos es au BaP 25 50 ou 75 mg kg de poids corporel jour ou au v hicule t moin par gavage puis elles ont t sacrifi es 3 jours apr s l exposition La fr quence des adduits l ADN et celle des mutations du transg ne ac7 dans le tissu pulmonaire ont t mesur es L expression de ARNm dans les poumons a t valu e l aide d une biopuce ADN contenant l ensemble du g nome Les r sultats ont t valid s au moyen d une biopuce produits PCR sp cifiques de la voie Les profils d expression dans les poumons ont t compar s ceux du foie chez la m me souris R SULTATS Par comparaison aux t moins corres
64. QUESTION S La g nist ine la glycit ine et la da dz ine sont les principaux phytoestrog nes que l on trouve dans le soja On peut galement d tecter de l quol un m tabolite de la da dz ine dans le s rum de rats apr s la consommation de soja Nous avons donc mis au point une m thode sensible et non biais e permettant de mesurer la concentration de ces compos s dans le s rum de rats soumis divers r gimes alimentaires PLAN M THODE DESCRIPTION Avant l analyse les chantillons de s rum ont t d prot in s d conjugu s par voie enzymatique soumis un processus d extraction l ac tate d thyle s ch s puis reconstitu s La s paration a t effectu e l aide d un appareil Agilent 1200 LC colonne Kinetex 2 6 um PFP 50 x 2 1 mm DI 100 A coupl un spectrom tre de masse API 4000 QTRAP dans une solution d acide formique 0 1 dans de l eau A et de l ac tonitrile B raison de 0 6 mL min par lution gradu e 0 3 min 17 5 50 B 3 4 min 50 95 B 4 5 min isocratique 95 B pour laver la colonne 5 6 min retour 17 5 B 6 10 min r quilibration 17 5 B Les concentrations d analytes ont t mesur es au moyen d un d tecteur UV 258 nm et par MRM da dz ine 255 65 glycit ine 285 242 g nist ine 271 91 quol 243 123 oi de fa on simultan e Nous avons utilis de la da dz ine marqu e au deut rium d3 258 93 de la g nist ine marqu e au
65. Sondagar D Caldwell S Hayward et R Mehta i Division de la recherche toxicologique Bureau de l innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division des services scientifiques Bureau de l innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division de la statistique et de l pid miologie Bureau de la biostatistique et des applications informatiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM L acrylamide est un carcinog ne connu chez le rongeur et a t class dans la cat gorie des a carcinog nes probables chez l humain a L acrylamide se forme toujours dans certains aliments cuits haute temp rature Cette substance se trouve en forte concentration dans des aliments tr s appr ci s comme le pain les frites les croustilles et le caf Par cons quent l exposition cette substance n cessite une caract risation du risque qu elle pose pour la sant Dans la pr sente tude nous visons valuer si l acrylamide de source alimentaire agit comme un carcinog ne du c lon l aide de mod les exp rimentaux L acrylamide n a pas induit de tumeurs au c lon mais en pr sence d un carcinog ne connu propre au c lon il agit comme un cocarcinog ne En outre l acrylamide n a pas exacerb l volution des tumeurs ectopiques du c lon humaines dans un mod le animal
66. Vp isol es partir de 203 chantillons durant la p riode P2 14 se sont r v l es potentiellement pathog nes montrant ainsi une diversit g n tique significative CONCLUSION Le r chauffement climatique et l eutrophisation sont deux forces motrices qui pourraient alt rer le risque de maladies li es Vp dans les r gions temp r es L mergence de certains traits observ s chez Vp pourrait avoir pour r le de maintenir cette esp ce dans l h misph re Nord aux d pens de la micro volution Toutefois des tudes et des donn es probantes additionnelles sont n cessaires pour permettre de comprendre la signification r elle des r sultats 4 04 Guerre invisible dans le monde des microorganismes pathog nes d origine alimentaire une tude de cas sur les ent robact ries contre Sh gella spp C I Bin Kingombe PhD M L Cerqueira Campos et K Tyler 1 Division de la recherche en microbiologie Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Alfred Nissle a d montr en 1917 l inhibition de Shigella par E coli dans l intestin humain En 1925 Andr Gratia a t le premier montrer l antagonisme entre deux souches dE coli sur une g lose En 1948 Halbert travaillant sur le terrain dans le sud du Texas aux Etats Unis a t le premier tablir la preuve de l inhibition de Shigella par E coli dans l intestin humain et dans un milieu de culture C est en 1967 et 1968 que
67. a t calcul e l aide d un test microbiologique R SULTATS Les concentrations de folate dans le foie et les globules rouges avaient augment de 10 15 et de 15 20 respectivement dans les souris F2 F3 issues de m les F1 expos s un apport insuffisant 7 utero ou lors du sevrage comparativement des souris expos es une di te ad quate n utero ou lors du sevrage La suppl mentation n exer ait aucun effet Les r sultats de la Q PCR n ont r v l aucune diff rence dans les transporteurs h patiques de folate CONCLUSIONS Les donn es indiquent que les gam tes m les expos s un apport insuffisant en acide folique durant la p riode f tale n onatale ou apr s le sevrage sont programm s pour produire des descendants qui s questrent le folate Une analyse par biopuce nous clairera sur les m canismes sous tendant ce ph notype m tabolique Environ 70 des Canadiens avaient une d ficience en folate ou un bilan marginal avant l enrichissement obligatoire ce qui indique que les enfants n s apr s 1998 dont le p re souffrait auparavant d une d ficience en AF peuvent tre programm s pour s questrer le folate 1 05 Une suppl mentation en zinc sup rieure l apport maximal tol rable n abaisse pas le bilan en cuivre chez les gar ons J Bertinato PhD J Randall Simpson PhD RD L Sherrard BSc J Taylor L J Plouffe D Van Dyke BASc M Geleynse BASc RD Y Y Dam BASc
68. a t observ sur la plupart des param tres indicateurs de l action des hormones thyro diennes dans les tissus cibles ce qui laisse croire que ces substances n agiraient pas sur la fonction thyro dienne Toutefois il est n cessaire de poursuivre les tudes sur les effets de ce m lange sur le d veloppement du f tus afin de d terminer si des mesures de gestion des risques additionnelles sont n cessaires pour r duire l exposition aux PBDE 2 48 Transformation dans l environnement des polybromodiph nyl thers PBDE expos s aux rayons UV formation de polluants secondaires J Z Wang PhD J Zhu Ph D T Harner PhD et Y L Feng PhD 1 Division de l exposition et de la biosurveillance Bureau de la recherche de la science et de la sant environnementales DGSESC Sant Canada Ottawa Ont S Environnement Canada Toronto Ont R SUM Le d cabromodiph nyl ther BDE 209 et la pr paration commerciale de pentaBDE important m lange de t trabromodiph nyl ther BDE 47 et de pentabromodiph nyl ther BDE 99 sont habituellement utilis s comme produits ignifuges dans les mousses de polyur thane souples et pour d autres applications On les trouve partout dans l environnement y compris dans l air et la poussi re int rieurs et on les consid re habituellement comme des polluants organiques persistants Toutefois nous avons d couvert au cours de la pr sente tude que les trois PBDE mis l essai
69. apparition des maladies m taboliques et cardiovasculaires et l interaction avec la consommation d alcool ont t examin s l aide d un mod le de rat Les donn es pr liminaires indiquent que les CN peuvent alt rer le m tabolisme et ou le transport lipidique ainsi que le traitement de l insuline pancr atique ce qui est conforme l apparition des maladies m taboliques et cardiovasculaires CONTEXTE QUESTION S Au cours des derni res d cennies les populations des r gions nordiques ont t expos es des concentrations lev es de contaminants du Nord CN comme les biph nyles polychlor s et les m taux lourds principalement par la consommation de poissons et de mammif res marins contamin s Parall lement on a observ une augmentation de la pr valence de l ob sit de l hypertension du diab te et des maladies cardiovasculaires Bien que des modifications du mode de vie et de l alimentation aient t associ es la pr valence de maladies chroniques il reste d terminer si l exposition aux CN joue galement un r le et si les habitudes de vie telles que la consommation d alcool peuvent moduler les effets des CN La pr sente tude examine ces questions l aide d un mod le de rongeur des maladies m taboliques et cardiovasculaires humaines PLAN M THODE On a acclimat des rats JCR m les ob ses et g s de huit semaines un r gime AIN93G purifi Les animaux ont t trait s soit par l
70. approches existantes en mati re de r glementation des animaux vivants et de leurs produits La feuille de route fournit un aper u complet des intervenants responsables de la r glementation des diverses utilisations biotechnologiques dont font l objet les animaux des instruments l gislatifs permettant leur valuation et des personnes ressources dans chacun des centres de responsabilit en mati re de r glementation Un guide similaire a t r dig au sujet des microorganismes CONTEXTE Le Canada r glemente les animaux issus de la biotechnologie leurs produits et leurs sous produits selon l utilisation qui en est pr vue Si vous avez l intention de produire d importer de vendre de distribuer ou d utiliser des animaux vivants leurs produits ou leurs sous produits le gouvernement du Canada vous recommande de consulter les minist res et les organismes appropri s comme il est indiqu dans le pr sent guide de r glementation La Loi canadienne sur la protection de l environnement 1999 LCPE 1999 joue un r le important dans la r glementation des animaux nouveaux issus de la biotechnologie Toutefois lorsqu un tel animal est vis par une des lois ou un des r glements mentionn s l annexe 4 de la LCPE 1999 cette loi ou ce r glement est consid r comme tant quivalent la LCPE 1999 et l animal est exempt des exigences de notification de la LCPE 1999 concernant les substances nouvelles La redondance de la r g
71. apr s leur validation marquerait un changement d approche r glementaire passant des essais d innocuit chez l animal des mesures de l uniformit des proc d s de fabrication de produits pr sentant des profils d innocuit appropri s MAT RIEL ET M THODES La DPBTG a test neuf chantillons de vaccins en utilisant des protocoles faisant appel la CLHP et au test ELISA fournis par le NIBSC ainsi que des m thodes analogues mises au point dans les laboratoires de recherche de la DPBTG Les essais de CLHP permettent de d terminer l activit enzymatique de la PTx en surveillant les changements de concentration d un substrat peptidique fluorescent Les tests ELISA permettent de quantifier la liaison de la PTx une glycoprot ine mod le f tuine en utilisant des anticorps polyclonaux NIBSC ou monoclonaux DPBTG dirig s contre la PTx R SULTATS l aide des m thodes de CLHP du NIBSC et de la DPBTG les laboratoires de la DPBTG ont pour les m mes chantillons d termin que l activit de la PTx tait lev e 4 10 ug ml moyenne 0 1 1 ug ml ou faible traces Avec le test ELISA les concentrations de PTx dans les chantillons de vaccin taient environ 200 fois plus lev es avec le protocole du NIBSC moyenne 58 6 ng ml 0 300 ng ml qu avec la m thode mise au point l interne moyenne 0 09 ng ml 0 1 5 ng ml ce qui laisse croire que les anticorps polyclonaux du NIBSC sont moins sp ci
72. assurer une approche collaborative pour la d termination des besoins et pour la collecte et l interpr tation des donn es R SULTATS En juin 2011 les accords de partage des donn es ont t sign s les guides l intention des communaut s et les diagrammes de processus ont t achev s et 106 formulaires TeleForm ont t transmis par t l copieur au bureau national de la DGSPNI Ces formulaires comprennent des donn es sur e client le les facteurs de risque modifiables notamment l indice de masse corporelle IMC avant la grossesse la consommation de multivitamines et la prise de poids de la m re e services de sant les fournisseurs de services et les pratiques de d pistage du diab te gestationnel e l issue des grossesses comme les complications le poids la naissance et l allaitement R PERCUSSIONS La collecte de donn es se poursuit et les donn es pr liminaires seront pr sent es au Forum scientifique de Sant Canada Le PTDG est un exemple de projet communautaire participatif ayant t r alis gr ce une participation tr s active et un appui soutenu des communaut s des Premi res nations 1 19 Mise au point d un essai avec des billes pour le d pistage s rologique haut d bit chez les primates non humains A Sherring D Bogdanovic W Decker J Fournier P Sandstrom et S Faucher 1 S Laboratoires nationaux du VIH et de r trovirologie ASPC Ottawa Ont
73. autres traitements ont aussi t examin s CONCLUSION D apr s les r sultats il est possible de pr parer des colonnes d immunoaffinit pour extraire s lectivement EPO En recourant des conditions g n rales d lution nous avons obtenu une dissolution des complexes d EPO comme il a t observ par lectrophor se capillaire D autres travaux sont n cessaires pour am liorer les conditions d lution si l on souhaite augmenter le rendement d EPO tout en vitant sa d gradation 1 34 Base de donn es de corr lation de puces ADN BDCPA un mod le de base de donn es permettant de d couvrir de nouvelles corr lations entre des g nes l aide d un ensemble d exp riences r alis es avec des puces ADN B Kuo MSc et C L Yauk PhD 1 Division des tudes m canistes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les exp riences men es l aide de puces ADN EPA servent valuer globalement comment les g nes modifient leur expression dans des conditions particuli res ou apr s un traitement donn Afin d accro tre la capacit de stocker les donn es d un ensemble d exp riences et d extraire des donn es tir es de cet ensemble une base de donn es relationnelle la base de donn es de corr lation de puces ADN BDCPA a t cr e La BDCPA permet aux scientifiques de chercher des tendances et des corr lations dans un ensemble d exp riences afin d obtenir de nouvelles donn
74. ayant re u de l acrylamide et les souris t moins ICIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Ces r sultats laissent penser que l acrylamide pr sent dans l alimentation aux doses examin es ne constitue pas un carcinog ne mais agit comme un cocarcinog ne exacerbant les effets d un carcinog ne connu propre au c lon AOM et augmentant le risque d apparition de tumeurs du c lon Cet effet cocarcinog ne de l acrylamide n est observ qu la dose la plus lev e d acrylamide tudi e 2 mg kg d aliments dans ce mod le rongeur En outre l acrylamide n a pas acc l r la croissance des tumeurs ectopiques dans le mod le de la souris nue Nos donn es semblent indiquer que l acrylamide par lui m me n est pas carcinog ne pour le c lon aux concentrations lev es g n ralement observ es dans les aliments bien appr ci s comme nous le constatons dans notre mod le exp rimental de cancer du c lon humain Or en association avec d autres agents tumorig nes de l environnement l acrylamide pr sente dans l alimentation des doses semblables peut induire des tumeurs On ignore si l acrylamide pr sente dans les aliments a d autres effets favorisant l apparition de tumeurs dans des affections comme les maladies m taboliques l ob sit ou l inflammation Cette hypoth se m rite d tre explor e dans le futur Nos donn es permettent de mieux comprendre les risques q
75. bact ries pathog nes viables ainsi qu une caract risation mol culaire en quelques heures PLAN M THODE DESCRIPTION Nous travaillons la mise au point l int gration et la validation d une plateforme microfluidique haut d bit sans blocage s parateur inertie pour la d tection rapide de L monocytogenes dans les d bris d aliments afin d acc l rer les analyses d aliments et den am liorer la sensibilit et la sp cificit On applique une m thode hydrodynamique pour la s paration des pathog nes des d bris d aliments par une filtration haut d bit dans des canaux microfluidiques Le filtrat p n tre ensuite dans une unit de filtration fine constitu e d un r seau d obstacles bump array qui sert purifier davantage les pathog nes et les concentrer dans un volume de quelques centaines de microlitres La puce de capture et de culture C Chip permet ensuite la capture rapide de la cible sa sortie de l unit de pr paration d chantillon La capture est suivie par la culture sur la puce apr s quoi un chantillon est d pos sur une g lose d analyses de laboratoire approfondies On a recours la lyse o situ pour l identification mol culaire par PCR multiplex PRODUITS R SULTATS Le principe de s paration inertie de la biopuce permet d isoler avec succ s L monocytogenes pr sent dans les particules de b uf hach gt 8 um Nous avons produit des prototypes de r seau d obstacles que nous av
76. biomasse est un choix populaire pour le chauffage r sidentiel dans les pays industrialis s davantage m me que l lectricit La mutag nicit est un marqueur connu de l exposition humaine aux missions issues de la combustion Dans cette tude on value si la mutag nicit urinaire est un biomarqueur de l exposition aux missions issues de la combustion de la biomasse chez les individus qui utilisent r guli rement des temazcals PLAN M THODES Les participants de l tude sont des familles mayas du Guatemala qui utilisent r guli rement des temazcals traditionnels ainsi que des individus t moins de la m me population qui n en utilisent pas Les chantillons d une obtenus avant et apr s l exposition dans le temazcal ont fait l objet d une hydrolyse enzymatique pendant une nuit et les m tabolites urinaires d conjugu s ont t concentr s par extraction en phase solide On a valu le pouvoir mutag ne PM des extraits concentr s l aide de la version standard par incorporation sur plaques du test d Ames Salmonella souche YG1041 avec activation S9 On a galement mesur le taux de monoxyde de carbone exhal ppm et dans le sang COHb Cette tude a t r alis e apr s avoir re u l approbation du Comit d thique de la recherche de Sant Canada R SULTATS On a observ une augmentation significative tant du CO exhal que des taux sanguins de CO apr s exposition Le PM semble tre galement m
77. canadien CONTEXTE OBJECTIFS Les gels d agarose sont utilis s en laboratoire pour d tecter dans des cellules uniques les mutations dans les loci de s quences d ADN motif simple r p t es en tandem et amplifi es SRTA Le d nombrement des mutations SRTA est un proc d laborieux qui peut entra ner des erreurs de mesures en raison de la capacit limit e de l il humain de mesurer l intensit des taches Les pistes du gel contiennent des all les uniques et des talons de taille internes pour l ADN de r f rence Les gels sont analys s par transfert de Southern sond s puis les images sont num ris es G n ralement les mutations sont d tect es par la mesure directe de la distance entre les bandes de r f rence et les bandes des chantillons dans chaque piste au moyen d une r gle Lorsque les images sont num ris es l intensit des pixels de 0 255 en niveau de gris est facile distinguer Par cons quent les distances entre les bandes de r f rence internes et les bandes analyser peuvent tre mesur es avec une plus grande certitude et une meilleure reproductibilit M THODE Nous avons utilis une combinaison du logiciel ImageJ des NIH et du logiciel R de CRAN afin d effectuer l analyse Un module d extension a t con u pour l ImageJ qui a produit un script R permettant de r aliser l analyse statistique Le logiciel ImageJ a servi lire l image saisir les pistes d int r t et
78. cette perspective la pr sente tude visait laborer et mettre en uvre des m thodes de d tection et de caract risation des NP dans les suspensions liquides et dans les cellules mammaliennes La m thodologie mise au point dans cette recherche viendra enrichir la gamme de techniques analytiques disponibles pour l tude des NP et permettra aux valuateurs d obtenir des donn es jour sur les NP qui les int ressent OBJECTIF Cette tude qui utilise comme mod le des particules de polystyr ne PPS granulom trie fine et nanom trique a t labor e dans le but de d terminer la limite inf rieure de d tection de la taille et de la concentration des particules Cet exercice a t effectu avec des particules dilu es ou absorb es par des cellules mammaliennes Un autre objectif tait de voir s il tait possible de mesurer et de manipuler le degr d agglom ration de ces particules MAT RIEL ET M THODES On a utilis des PPS de 20 2 000 nm dans des s ries de dilution ou une lign e cellulaire de macrophages de souris J774A 1 On a employ un cytom tre BD FACSCalibur pour la caract risation et un microscope confocal Nikon C1 pour la confirmation des donn es Pour l tude par dilution on a ajout des PPS de diff rentes tailles divers diluants avec pour objectif de r duire au minimum l agglom ration On a analys diff rentes concentrations de PPS dilu es pour d terminer la limite de d
79. change d air entre les micro environnements int rieurs ainsi que les taux d change d air venant de l ext rieur Huit gaz traceurs diff rents ont t utilis s pour chaque hauteur de la tour Les renseignements sur l immeuble et sur ses habitants ont t obtenus au moyen d un questionnaire de r f rence et de questionnaires quotidiens R SULTATS Les r sultats pr liminaires concernant les changes d air pendant l t portent croire que la majorit des changes d air proviennent de l ext rieur ce qui explique la contribution moyenne de 53 de l air ext rieur dans les changes d air comparativement une contribution moyenne de 41 pour le syst me de climatisation centralis e et de 1 pour les appartements voisins Cependant la contribution de l air ext rieur du syst me central et des appartements voisins variait consid rablement d un appartement l autre Les analyses pr liminaires des donn es obtenues par DustTrak ont fait ressortir des tendances continues entourant les PM dans les micro environnements int rieurs et ext rieurs INCIDENCES ET CONCLUSIONS L expos portera sur les facteurs qui influent sur les changes d air et sur la pollution atmosph rique l int rieur des immeubles notamment les comportements des habitants la dispersion verticale et la direction des vents Les observations tir es de la pr sente tude permettront de caract riser la pollution de l air dans les to
80. commenc travailler avec les principaux intervenants sur l laboration d une approche g n rale qui permettrait de r pondre aux besoins prioritaires des producteurs Cette approche fond e sur les ingr dients actifs a men l laboration de la Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs des Etats Unis et du Canada Destin e aux producteurs aux titulaires de pesticides et aux organismes de r glementation la base de donn es vise devenir le point d acc s unique des producteurs des deux c t s de la fronti re pour d terminer leurs besoins prioritaires en mati re de lutte antiparasitaire PLAN M THODE DESCRIPTION la fin de 2008 sous la direction de la Minor Crop Farmer Alliance U et gr ce au financement du D partement d Agriculture des tats Unis la partie am ricaine de la base de donn es est entr e en fonction tandis qu un comit d valuation canadien distinct relevant de ARLA Sant Canada a t form pour d terminer les priorit s des producteurs canadiens La liste originale tait fond e sur les priorit s nonc es par les producteurs dans les programmes ant rieurs notamment la liste pour l tablissement des priorit s relatives aux pesticides usage limit 2008 le Programme de r duction des risques li s aux pesticides d Agriculture et Agroalimentaire Canada AAC et de ARLA ainsi que les projets de l ALENA fond s sur des groupes de produits PRODUITS R SULTATS E
81. comp tences offertes 2 caract riser les th mes des travaux de recherche et 3 montrer le lien entre les travaux scientifiques et d autres activit s de recherche r alis s Sant Canada et les priorit s du Minist re de fa on visuelle et expressive OBJECTIF Favoriser la connaissance des comp tences en mati re de recherche en am liorer la gestion et l utilisation am liorer la compr hension des orientations am liorer la gestion des produits de Sant Canada et encourager le recours ceux ci l aide d une repr sentation visuelle et factuelle des travaux r alis s et en cours de r alisation dans tout le Minist re ces travaux tant ceux qui sont pr sent s aux Forums scientifiques M THODOLOGIE Le contenu des r sum s pr sent s chacun des Forums scientifiques tenus de 2002 2010 ont t entr s dans une feuille de calcul Exce en fonction des en t tes classiques suivants Auteur Affiliation R sum M thodes R sultats et Conclusions Ces donn es ont t caract ris es selon le jugement d un auteur NS en fonction de la mesure dans laquelle elles se rapportent un ou plusieurs des l ments suivants th mes essentiels la mission domaines scientifiques fonctionnels potentiels ou activit s n cessitant des donn es scientifiques lesquels ont t tablis au cours de l exercice de d finition des priorit s scientifiques de 2010 Cinq 5 autres domaines scientifiques fonct
82. culture sont d ordinaire expos es en milieu liquide ce qui rend difficile l tablissement d un contact entre l a rosol et les cellules Le principe de fonctionnement du syst me Vitrocell permet de r aliser facilement une exposition dans des conditions tr s proches de celles qui pr valent A vivo On cultive des cellules sur des membranes poreuses o elles sont expos es aux a rosols c est dire des missions des v hicules dilu es en temps r el dans des conditions exp rimentales contr l es Le dispositif offre la possibilit de proc der des valuations toxicologiques syst matiques des missions de v hicules sans avoir composer avec la complexit inh rente l exposition par inhalation chez l animal M THODES Des cellules pith liales de carcinome pulmonaire de la lign e A549 ont t cultiv es sur des l ments amovibles recouverts d une membrane poreuse qui ont t introduits dans la chambre d essai Les cellules ont t expos es 5 ppm et 20 ppm de NO et des missions de moteur diesel dilu es 1 8 ainsi qu de l air propre titre d exposition t moin un d bit pr alablement d termin de 8 3 mL min pendant une heure On a valu la viabilit cellulaire en mesurant le clivage des sels de t trazolium WST 1 par les d shydrog nases mitochondriales pour valuer la production relative d AIP on a utilis le syst me ATPlite faisant appel la lucif rase Tous les r
83. d une lign e cellulaire mammalienne dans laquelle l expression du g ne codant la cystathionine f synthase CBS est inhib e pour caract riser des polymorphismes g n tiques de la CBS sasssssessseesssesseeesrerrreerreesrrerrreerresrreeereee 1 29 Analyse de l empreinte du facteur de stimulation des colonies de granulocytes obtenue par RMN exemple d une tude de comparabilit avec le produit innovant et effets des mutations issues 1 30 Estimation de l exposition la caf ine provenant de l alimentation au Canada 1 31 valuation des donn es sur la lutte antipoison une nouvelle source de donn es sur l innocuit des produits de sant naturels n000nnnnnnnnoennnnninnnensnnnnnrenerenenrnnene 1 32 M thode permettant d extraire s lectivement et de concentrer l rythropo tine par immunochromatographie et de la d tecter par lectrophor se capillaire une validation de principe ss 1 33 Base de donn es de corr lation de puces ADN BDCPA un mod le de base de donn es permettant de d couvrir de nouvelles corr lations entre des g nes l aide d un ensemble d exp riences r alis es avec des puces ADN 1 34 Mise au point d un syst me rapporteur fond sur l utilisation de la prot ine verte fluorescente pour d tecter les mutations dans les r p titions en tandem chez des lign es cellulaires de souris us 1 35 M thode fond e sur une colonne de s paration base
84. d urgence d origine alimentaire Dans la pr sente tude nous voulions cr er une nouvelle m thode d isolement des esp ces de Listeria plus rapide et plus sensible que la m thode de culture MFHPB 30 m thode de r f rence actuelle OBJECTIF Il s agissait de mettre au point une m thode de culture con ue pour isoler les esp ces de Listeria dans un d lai plus court ce qui permettrait de prendre plus rapidement les dispositions qui s imposent en mati re de r glementation ou de conformit PLAN La nouvelle m thode consiste ensemencer le bouillon d enrichissement primaire UVM1 puis l incuber 48 h Pour accro tre la sensibilit nous avons transf r le double du volume de bouillon UVM1 dans le milieu Fraser un bouillon secondaire 200 mL et ajout une g lose chromog ne Rapid L mono Nous avons remplac la g lose Oxford par la g lose Palcam pour augmenter la probabilit que les techniciens d exp rience s lectionnent les colonies pr sum es de Listeria monocytogenes Nous avons effectu des tests de confirmation sur les colonies bleues de la g lose chromog ne au moyen de la m thode MFLP 78 et du syst me O B I S respectivement une m thode PCR et un test chromog ne puis nous avons soumis les colonies de la g lose Palcam des preuves d h molyse de mobilit et de fermentation des sucres rhamnose mannose xylose La validation exp rimentale consistait utiliser 20 chantillons faiblement co
85. dans la toxicit et la neurotoxicit pour le d veloppement et dans limmunotoxicit s est r uni pour tablir la structure le contenu et la faisabilit d une tude EOGRTS PRODUITS L tude EOGRTS fournira de nouvelles donn es et ou corroborera les donn es existantes au sujet des effets des produits chimiques sur le d veloppement l int grit et la performance des appareils reproducteurs de l homme et de la femme Ce nouveau plan comporte de nouveaux param tres li s au d veloppement et la reproduction comparativement la ligne directrice 416 c d distance ano g nitale toxicocin tique r tention des mamelons autres examens histopathologiques chimie clinique et mesures h matologiques Bien que l tude EOGRTS n cessite le m me nombre de femelles gravides que la ligne directrice 416 plusieurs param tres sont valu s chez un plus grand nombre d animaux permettant une utilisation plus efficace de ceux ci La d cision d valuer la deuxi me g n ration sera fond e sur des crit res internes et externes ligne directrice 117 de l OCDE De plus l tude EOGRTS offre la possibilit d valuer la neurotoxicit pour le d veloppement et ou l immunotoxicit pour le d veloppement qui pourrait r duire consid rablement l utilisation d animaux dans les cas o ces th mes distincts ne sont pas tudi s INCIDENCE L tude EOGRTS du fait de sa prise en compte d un plus grand nombre de param tres
86. dans le lait maternel S Siddique PhD Q Xian PhD N Abdelouahab PhD L Takser PhD S P Phillips MD Y L Feng PhD B Wang et J Zhu PhD 1 S Division de l exposition et de la biosurveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Principal laboratoire de l tat sur la lutte contre la pollution et la r utilisation des ressources Facult de l environnement Universit de Nanjing Nanjing Chine D partement de p diatrie facult de M decine Universit de Sherbrooke Sherbrooke Qc Family Medicine Queen s University Kingston Ont 3 4 R SUM Dechlorane Plus DP est l un des nouveaux produits ignifuges On a fait tat de sa pr sence dans diverses matrices de l environnement Dans cette tude nous avons pour objectif de mesurer simultan ment la concentration de DP et d thers diph nyliques polybrom s EDPB dans le lait maternel Il a t tabli que la concentration de DP dans le lait maternel tait inf rieure celle des EDPB et n tait pas lev e par rapport celle d autres esp ces biologiques Toutefois comparativement la concentration pr sente dans la poussi re domestique le DP semble pr senter un plus grand risque de bioaccumulation que les EDPB Cette observation n cessite d tre confirm e par d autres travaux de recherche CONTEXTE OBJECTIF L utilisation des thers diph nyliques polybrom s a t interdite ou restreinte dans plusieurs pays Or de
87. de cytom trie de flux est plus int ressante que les anciennes m thodes reposant sur l examen au microscope et permet un chantillonnage de volumes plus lev s dans un intervalle de temps plus court L utilisation du colorant SytoX rouge de cellules mortes au lieu de l IP est int ressante pour les recherches futures car le SytoX produit un recouvrement spectral minime et cette s rie de colorants cellulaires imperm ants est disponible en plusieurs couleurs ce qui permet d utiliser diff rentes combinaisons laser fluorochrome CONCLUSION L identification et la d termination de la viabilit de Cryptosporidium et de Giardia par cytom trie de flux permettent une identification et une quantification rapides sensibles et pr cises de ces parasites dans les chantillons de fumier L utilisation possible de cette m thode avec d autres chantillons environnementaux et alimentaires fera l objet d une valuation 4 11 tablissement d une capacit d intervention rapide reposant sur une nouvelle plateforme microfluidique de d tection des pathog nes d origine alimentaire N Corneau C Luebbert M Duplessis K St Pierre S Bidawid J M Farber K Morton X Dai Hoa L Clime et T Veres l Bureau des dangers microbiens Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Groupe Nanomat riaux fonctionnels Institut des mat riaux industriels Conseil national de recherches du Canada Boucherville Qc
88. de 2004 et le Fichier canadien sur les l ments nutritifs Nous avons appliqu des m thodes statistiques modernes pour combiner les donn es provenant des diverses sources et estim l apport en caf ine dans les populations pertinentes y compris les estimations bretelles des erreurs types pour chacune des quantit s estim es R SULTATS Les r sultats indiquent qu en g n ral environ 90 des adultes autant les hommes que les femmes consomment de la caf ine L apport en caf ine des enfants est plus faible que celui des adultes Environ 60 80 des enfants consomment de la caf ine Chez les adultes environ 23 des hommes consomment une quantit de caf ine d passant l AQMR comparativement 16 des femmes Chez les enfants ce chiffre avoisine les 15 chez les adolescents et 5 dans les autres cat gories d ge Les principaux aliments contribuant l exposition la caf ine sont le caf le th et les boissons gazeuses Les boissons nergisantes peuvent constituer une source importante chez les jeunes Il s agit d un aspect qui devra tre tudi de pr s CONCLUSION PROCHAINES TAPES La prochaine tape de cette tude est de recueillir des donn es sur la consommation de boissons nergisantes au cours des futures enqu tes et de mettre jour les r sultats en fonction de ces donn es Les donn es sur l exposition la caf ine de source alimentaire dans la population canadienne constituent une source de
89. de la population certains SPD mergents mais elles d montrent aussi la n cessit de poursuivre la recherche afin de suivre le rythme des changements dans l industrie OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS Pour r duire la formation de SPD r glement s les stations de traitement de l eau remplacent souvent le chlore par des chloramines d sinfectants secondaires Dans certaines conditions ce remplacement fait augmenter la formation d autres SPD dont la toxicit est potentiellement plus lev e que celle des SPD r glement s Un de nos objectifs tait d valuer la formation de SPD non r glement s dans les r seaux d eau utilisant divers proc d s de d sinfection PLAN M THODE DESCRIPTION Au total soixante cinq r seaux municipaux ont t s lectionn s dans tout le pays sur la base de la source d eau du proc d de traitement et de la taille de la population et ils ont t chantillonn s deux fois dans la m me ann e hiver t Pour stabiliser l eau nous avons ajout de l acide ascorbique et ajust le pH La N nitrosodim thylamine NDMA et les nitrosamines substitu es ont t d termin es par adsorption sur Ambersorb 572 puis par d sorption dans du dichlorom thane et par analyse par couplage CG SM D autres SPD contenant de l azote ont t extraits dans de l ther m thylique ter butylique et quantifi s par CG DCE Du bromure de l iodure des concentrations de brome total et des concentration
90. de produire une deuxi me g n ration pour valuer le potentiel de risques pour la sant humaine a t mise en doute Travaillant de concert les Pays Bas les tats Unis le Canada l Allemagne et le Royaume Uni ont analys les r sultats de 498 tudes portant sur la reproduction chez le rat et ont d couvert que le recours une deuxi me g n ration permettait rarement d obtenir des informations suppl mentaires au sujet des effets des substances chimiques sur la reproduction Cette d couverte a conduit l laboration d un nouveau plan exp rimental plus efficient voir l affiche de l tude EOGRTS DESCRIPTION La pr sente analyse r trospective normalis e de l effet du recours une deuxi me g n ration sur les r sultats g n raux d une tude porte sur des analyses ant rieures et couvre 498 tudes multig n rationnelles chez le rat portant sur 438 diff rentes substances PRODUITS Une valuation d taill e des rapports d tude n a r v l aucune diff rence interg n rationnelle importante quant la sensibilit pour tous les param tres valu s Notre analyse indique que la g n ration de la F2 ne fournit que tr s rarement des informations essentielles INCIDENCES Les pr sents r sultats vont dans le sens des conclusions d analyses r trospectives men es ant rieurement par le RIVM USEPA et l ARLA et soutiennent l adoption du protocole d tude prolong e de toxicit pour la reproduction su
91. de repr sentants des minist res du gouvernement f d ral canadien qui ont un r le jouer dans les enqu tes portant sur les closions de maladies d origine alimentaire dont Sant Canada l Agence de la sant publique du Canada et l Agence canadienne d inspection des aliments la suite de discussions et de recherche de consens l quipe a r dig un document d orientation sur la fa on de d terminer le type et la force probante de preuve n cessaire et ou suffisante pour la prise de mesures On a galement consult des experts nationaux et internationaux PRODUITS R SULTATS Le document comprend des diagrammes de d cision indiquant quelle information doit tre obtenue au cours d une enqu te et fournissant des directives permettant de d terminer la force probante des donn es obtenues faible ou forte Un cadre conceptuel permet de d terminer la force probante de toutes les donn es amass es En ce qui a trait la force probante des donn es microbiologiques on prend en consid ration des crit res comme la caract risation de l organisme par lectrophor se en champ puls alors que les donn es pid miologiques comprennent des facteurs comme la plausibilit la constance la sp cificit ou la force de l association statistique Pour ce qui est de la force des donn es de retra age en amont aval on tient compte de crit res comme la capacit d identifier le fabricant de d terminer le point d achat et les canaux d
92. de sujets en sant De m me les concentrations de la m talloprot inase 1 matricielle 1 MMP 1 de la prot ine chimiotactique monocytaire 1 et du facteur de croissance de l endoth lium vasculaire taient significativement lev es p lt 0 05 chez les asthmatiques par rapport aux sujets en sant La concentration de MMP 1 tait galement lev e chez les sujets hypertendus p lt 0 05 alors que celle de la 8 isoprostane tait lev e chez les sujets asthmatiques p lt 0 05 INCIDENCES CONCLUSIONS Les biomarqueurs du stress oxydatif du stress nitratif et de l inflammation sont pr sents en fortes concentrations chez les sujets atteints de maladies qui accroissent la vuln rabilit la pollution atmosph rique par exemple l asthme l hypertension et le diab te Il est int ressant de noter que le stress nitratif et oxydatif ainsi que l inflammation sont des m canismes d action connus des contaminants atmosph riques comme le NO l O et les particules Nos observations nous aideront mieux comprendre les bases biologiques de la vuln rabilit de sous populations et devraient faciliter les interventions 1 09 Adoption de nouvelles doses journali res estim es pour la population canadienne Y Bonvalot PhD et B Langlet MSc Division des lieux contamin s DGRP Sant Canada Montr al Qc Universit de Montr al Qc R SUM La Division des lieux contamin s de Sant Canada participe l
93. donn es exp rimentales sur la caract risation de certains microorganismes de la Liste int rieure des substances LIS l re de la bio informatique G Coleman A F Tayabali et V Seligy i Laboratoire de biotechnologie Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM L un des mandats de Sant Canada est d valuer si une substance est effectivement ou potentiellement toxique au sens de la Loi canadienne sur la protection de l environnement LCPE Dans notre laboratoire nous mettons au point et valuons des tests de toxicit cette fin et utilisons comme substances d essai les bact ries figurant dans la LIS de la LCPE Ces bact ries jouent des r les importants dans l industrie en recherche et en m decine Durant nos recherches nous avons observ que certaines souches produisaient des colonies diff rentes d un test microbiologique lautre Selon nos observations de suivi le fait de partir d une seule colonie avant l exp rimentation peut produire des donn es contradictoires OBJECTIF Comparer par rapport deux lign es cellulaires de mammif re des variants distincts sur le plan de la morphologie des colonies obtenus partir de cultures microbiennes d amor age par des essais mesurant la r sistance aux antibiotiques la morphologie des colonies la composition en acides gras les milieux s lectifs et diff rentiels l activit
94. du Canada afin de d terminer si des organismes de l esp ce V parahaemolyticus Vp taient pr sents Les chantillons de mollusques ont t pr lev s dans diff rents sites de r colte situ s dans les m mes r gions des c tes Est et Ouest du Canada entre mai et octobre de chaque ann e de 2002 2010 Pour isoler et caract riser les souches on a eu recours des proc d s maison s appuyant sur des techniques biochimiques et immunologiques standard ainsi que sur la r action en cha ne de la polym rase PCR R SULTATS Sur les 360 chantillons de mollusques qui ont t analys s au cours de la p riode de 9 ans afin de d terminer s ils taient contamin s par Vp 177 49 se sont r v l s positifs ce qui donne un pourcentage d isolats pr sum s de Vp de 58 pour les 200 chantillons de la c te Ouest et de 39 pour les 160 chantillons de la c te Est Globalement apr s avoir scind l tude en deux p riodes d analyse une tendance claire s est d gag e Les souches de Vp soup onn es d tre pathog nes taient non d tectables de 2002 2006 P1 mais ont t isol es entre 2007 et 2010 P2 En regroupant les souches des deux r gions on a constat que l ensemble des 75 souches de Vp isol es partir de 157 chantillons donnaient un r sultat n gatif l gard de l h molysine directe thermostable cod e par le g ne tdh durant la p riode P1 En revanche parmi les 102 souches de
95. du plomb et du mercure est l une des preuves qui pourraient tre r alis es sur les PSN par digestion en milieu ouvert et par absorption atomique avec flamme AAF Toutefois des pertes importantes d l ments peuvent survenir au cours du proc d de digestion en milieu ouvert et AAF ne peut d tecter qu un seul l ment la fois avec un seuil de d tection relativement lev par rapport d autres techniques comme lICP MS II fallait donc une m thode plus rapide et efficiente permettant de d tecter et de quantifier ces contaminants pr sents l tat de trace dans les PSN Le potentiel de l ICP MS pour l analyse des l ments traces est bien connu L ICP MS permet d abaisser les seuils de d tection et de r duire la dur e de l analyse Cette technique comporte de grands avantages par rapport aux anciennes techniques telles que AAF L objectif de ce projet tait d am liorer l tape de la pr paration des chantillons et de concevoir une m thode ICP MS permettant de d terminer la concentration des m taux lourds pr sents l tat de traces dans les PSN PLAN M THODE DESCRIPTION L analyse peut tre divis e en trois tapes la pr paration des chantillons l analyse instrumentale et l analyse des donn es La pr paration des chantillons a t effectu e par digestion aux micro ondes Les analyses instrumentales semi quantitative et quantitative ont t r alis es l aide de ICP MS L analyse
96. e de conservation Par cons quent la d samidation N65 pourrait avoir un effet direct et nuisible sur la dur e de conservation des pr parations d IFN alpha 2a INCIDENCES EFFETS La d samidation N65 r duit la stabilit thermique et peut aussi r duire la dur e de conservation du produit Cette possibilit doit tre surveill e de pr s 1 59 Les isoflavones de soja ont emp ch l accumulation de lipides dans les cellules h patiques chez le rat et chez l humain J Gaudet C M Wood MSc et C W Xiao PhD l Division de la recherche sur la nutrition Bureau des sciences de la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM La st atose h patique est l atteinte h patique chronique la plus courante en Occident L tude que nous avons men e r cemment chez le rat a montr qu une alimentation comprenant des prot ines de soja pr venait la formation de gouttelettes de lipides dans le foie qui sont une caract ristique typique de la st atose h patique Toutefois on ne savait pas encore quelles taient les composantes bioactives du soja prot ines ou isoflavones associ es et si elles taient efficaces chez l humain La pr sente tude a montr que les isoflavones d riv es du soja et leurs principaux compos s la g nist ine et la daidz ine avaient bloqu de fa on significative l accumulation de lipides induite par l acide ol ique dans les cellules h patiques de rat et d humain en culture
97. envahissant dans les aliments 4 03 D tection de diff rentes souches de Wbrio parahaemolyticus provenant des estuaires canadiens micro volution et dangers possibles S K Banerjee PhD L Bakouche et M Farber PhD 1 Bureau des dangers microbiens Direction des aliments Sant Canada Ottawa Ont R SUM On retrouve en g n ral dans les estuaires du monde entier divers types de bact ries les variations r gionales tant influenc es par la temp rature et la mati re organique disponible Ces param tres environnementaux ont vraisemblablement des incidences sur les membres du genre Vibrio qui s accumulent l int rieur des coquillages filtreurs des fruits de mer tr s appr ci s Ces bact ries s adaptent et voluent au gr des stimuli environnementaux V parahaemolyticus est une esp ce de ce groupe importante sur le plan clinique que Ton a trouv e dans les mollusques provenant des estuaires canadiens pouvant provoquer des maladies chez les consommateurs de fruits de mer crus ou partiellement cuits OBJECTIF Surveiller la pr sence de V parahaemolyticus dans les mollusques r colt s au Canada en s int ressant plus particuli rement aux biotypes cotypes pr sentant un risque de pathog nicit pour humain M THODES On a pr lev des mollusques bivalves palourdes moules et hu tres qui se nourrissent par filtration de plancton et de polluants organiques provenant des algues dans les eaux c ti res
98. es des rayons alpha Nos donn es montrent que les particules alpha causent des alt rations des miARN menant des maladies telles que le cancer OBJECTIF tant donn la pr sence r pandue des particules alpha sous la forme de gaz radon et leur utilisation actuelle dans les traitements anticanc reux il est important de comprendre leurs effets biologiques long terme Aucune tude n a encore valu les effets biologiques induits par les rayons alpha l chelle des r seaux de g nes r gul s par des miARN La pr sente tude visait d terminer les miARN r agissant de fa on proportionnelle aux doses faibles et mod r es de rayons alpha car ils repr senteraient des cibles ayant des r actions fiables au rayonnement Ces miARN r actifs aideraient comprendre les r seaux de r gulation activ s par l exposition aux rayons alpha Pour les besoins de l tude nous avons expos trois lign es cellulaires humaines A549 THP 1 et HLF 0 0 5 1 et 1 5 Gy de particules alpha puis nous les avons analys es 24 heures apr s l exposition pour examiner les changements diff rentiels dans les profils d expression des miARN par rapport un groupe t moin MAT RIEL ET M THODES De l ARN de haute qualit a t extrait des chantillons expos s aux rayons alpha et converti en ARN marqu par fluorescence en vue d une hybridation sur billes destin e tablir le profil d expression des miARN Les modifications de l ex
99. es et un maximum de r sultats des EPA Ces nouvelles donn es peuvent servir orienter les futurs travaux de recherche et stimuler de nouvelles avenues de recherches CONTEXTE Les puces ADN sont largement utilis es pour mesurer les variations d expression des g nes EG Les ensembles de donn es tir es des EPA sont imposants Ils subissent une analyse statistique qui vise mesurer les variations d expression pour chacune des sondes en fonction d un ensemble de conditions Dans de nombreux laboratoires les ensembles de donn es sur les puces ADN obtenues d une exp rience sont souvent stock s ind pendamment des autres exp riences Avec une bonne gestion de ces donn es on pourrait d couvrir de nouvelles corr lations entre g nes ou entre des g nes et l environnement en analysant les donn es tir es d un ensemble d exp riences men es avec des puces ADN M THODES Une base de donn es relationnelle la BDCPA qui fait appel au gestionnaire de donn es MySQL en tant que principal dispositif de stockage et Java Server Pages JSP pour cr er une interface utilisateur par navigateur a t con ue pour stocker et explorer les donn es tir es des EPA Des tables de donn es ont t pr par es pour enregistrer les donn es li es au contexte telles que les conditions les t moins et les substances d une exp rience de m me que les tiquettes personnalis es ajout es par les utilisateurs pour d crire en
100. est la composante caract ristique de chaque souche dans des lots multiples de plusieurs produits vaccinaux OBJECTIFS Les ingr dients actifs de la plupart des vaccins antim ningococciques sont les polysaccharides immunog nes de quatre s rogroupes ACYW135 dans des m langes monovalents ou multivalents Les polysaccharides contiennent des unit s r p t es dont le galactose le glucose et le Wac tyImannosamine 6 phosphate que l on retrouve uniquement dans les s rogroupes W135 Y et A respectivement tandis que l acide N ac tylneuraminique est commun aux s rogroupes C Y et W135 L objectif de ce projet tait d optimiser de qualifier et de mettre en application des techniques permettant de mesurer les quatre polysaccharides des s rogroupes pr sents dans diff rents vaccins antim ningococciques afin de s assurer que ces vaccins contiennent des quantit s efficaces de chaque ingr dient MAT RIEL ET M THODES Nous avons expos des solutions standard contenant des polysaccharides une gamme de conditions d hydrolyse entra nant une d polym risation Les m langes de monosaccharides obtenus ont t s par s par chromatographie et quantifi s l aide d une s rie de solutions standard d talonnage Une analyse multivari e de ces conditions a permis de d terminer les rendements optimaux de chaque monosaccharide partir de la solution standard de chaque mol cule et dans un vaccin multivalent d imitation Les m tho
101. et cis Nonachlor indique que la s paration r alis e par la colonne est efficace La r manence des BPC non planaires a t surveill e par la d tection du BPC153 La m thode a subi une validation et a t appliqu e l analyse des chantillons de tissu adipeux de rat CONCLUSIONS Le Florisil est un adsorbant largement utilis pour nettoyer les chantillons en vue d une analyse chimique Comparativement la m thode faisant appel au carbone graphite il est avantageux de recourir une colonne base de Florisil pour s parer les BPC coplanaires car celle ci peut s parer simultan ment les lipides des chantillons biologiques 1 37 La consommation dalcool r duit la concentration des polluants organiques persistants dans le s rum de rat selon une analyse en laboratoire N Li J X Y Wang I Petrov M Florian J Yan M C Coughlan D Caldwell et X Jin 1 Division de l tablissement des risques Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division de la recherche toxicologique Bureau de l innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont tudiant stagiaire du programme COOP de l Universit d Ottawa Ottawa Ont Division des services scientifiques Bureau de l innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 3 4 R SUM Les effe
102. et observ es R SULTATS Nous avons observ une forte corr lation entre les concentrations de polluants pr dites et mesur es Rho NO 0 75 Rho PM 5 0 86 Une analyse des effets mixtes indique que les mod les coupl s de NO permettaient d expliquer dans une plus grande mesure que les donn es du RNSPA et les mod les de RUT pris s par ment les variations spatiales et temporelles observ es sur le plan des concentrations de polluants Par exemple les mod les coupl s ont pris en compte 27 des variations spatiales et 39 des variations temporelles du NO l t comparativement 23 et lt 1 respectivement pour les mod les de RUT et lt 5 et 40 respectivement pour les donn es du RNSPA Les concentrations ambiantes de PM variaient peu selon l emplacement par cons quent les mod les quotidiens de PM taient semblables au RNSPA sur le plan des variations prises en compte Les concentrations quotidiennes mesur es et pr dites de NO dans les m nages taient associ es des diminutions de 6 7 du VEMS par El apr s ajustement en fonction de l ge du sexe de la taille du poids et de l exposition la fum e de tabac p lt 0 05 Les mesures quotidiennes du NO par le RNSPA ne pr sentaient pas de corr lation significative avec la fonction pulmonaire p gt 0 10 Aucune des mesures des DM n a t associ e une diminution de la fonction pulmonaire INCIDENCES ET CONCLUSIONS Les r
103. exposition des concentrations lev es de substances chimiques pr sentes dans l environnement peut tre associ e des effets n gatifs sur la sant reproductive L tude m re enfant sur les compos s chimiques de l environnement tude MIREC a t entreprise dans le but d tablir un profil national de l exposition pendant la gestation et l allaitement aux contaminants pr sents dans l environnement et d examiner les effets possibles sur l issue de la grossesse Les d terminants de la sant maternelle peuvent modifier l issue de la grossesse La pr sente tude part du principe que la modification de la physiologie de la m re par des facteurs tels que l exposition des contaminants pourrait provoquer une perturbation de la perfusion ut roplacentaire et nuire au d veloppement du f tus L insuffisance pond rale la naissance est un indicateur de la sant g n rale du nouveau n et un d terminant important de sa survie de son tat de sant et de son d veloppement La pr sente tude vise effectuer un suivi des modifications prot omiques du plasma maternel pouvant tres li es l issue de la grossesse M THODES Nous pr sentons ici les analyses effectu es sur des chantillons de plasma maternel pr lev s au cours du troisi me trimestre afin de d celer les modifications prot omiques et nous d crivons les m thodes prot omiques cibl es et globales utilis es Des chantillons de plasma de femmes ence
104. f d ral en cas d urgence nucl aire et a mis contribution ses r seaux de surveillance son expertise en mati re d effets radiologiques ses outils d aide la d cision et ses produits d information pour valuer et g rer les risques soutenir les d cideurs et mettre en uvre des mesures protectrices Cette approche multidisciplinaire s appuyant sur les connaissances scientifiques a jou un r le crucial dans la formulation de recommandations de nature assurer la protection des Canadiens au vivant au Canada et au Japon CONTEXTE Apr s le s isme et le tsunami qui ont frapp l Est du Japon en mars 2011 et la situation d urgence qui s est pr sent e simultan ment la centrale nucl aire de Fukushima Daiichi les autorit s canadiennes ont d relever le d fi d assurer la protection de plus de 10 000 Canadiens vivant au Japon De plus il fallait aussi agir pour r pondre aux pr occupations concernant l exposition la contamination radioactive soulev es par les agents travaillant aux douanes dans les ports et les tablissements postaux par les transporteurs a riens et les a roports et par les personnes voyageant entre l Asie et le Canada et celles qui vivent au Canada en particulier sur la c te ouest Si le Canada a labor et test depuis d j de nombreuses ann es des mesures de gestion des incidents nucl aires cet v nement constituait la premi re urgence nucl aire majeure depuis Tchernobyl ayant n c
105. f d raux provinciaux territoriaux ont galement t invit s fournir d autres donn es de surveillance R SULTATS Les donn es d une pl thore d tudes allant d exp riences cibl es court terme des programmes provinciaux de surveillance continue ont t examin es Un tableau r capitulatif incluant plus de 80 mati res actives de pesticides pr sente des donn es sur la fr quence de d tection les concentrations d tect es et la date et les auteurs des recherches effectu es Une analyse pr liminaire des donn es donne croire que de fa on globale la plupart des pesticides sont d tect s peu fr quemment dans les eaux souterraines et le cas ch ant sont d cel es des concentrations inf rieures aux Recommandations pour la qualit de l eau potable au Canada CONCLUSIONS PROCHAINES TAPES Comme ce projet ne porte que sur un sous ensemble des donn es disponibles sur la question il est difficile de tirer des conclusions d finitives ce stade ci La prochaine tape consistera examiner d autres donn es accessibles au public ainsi que les donn es plus exhaustives des bases de donn es am ricaines pour valuer les tendances li es la d tection de pesticides dans les deux pays Une fois qu une quantit suffisante de ces donn es aura t analys e on pourra se fonder sur les r sultats du projet pour laborer des approches d valuation et d att nuation des risques ou des politiques rela
106. gard qui pourraient aider cr er un espace thique pour les processus d laboration des programmes et des politiques L examen des donn es probantes a t effectu dans le but d clairer le processus d laboration d outil et non pas de cr er cet outil Toutefois d apr s les commentaires re us ce jour les principes qui ont t recens s pourraient trouver une application plus large compte tenu de l importance de cr er des liens entre les diff rentes sources de donn es probantes dans le contexte de la prise de d cisions par la DGSPNI 2 52 Effets des contaminants de l environnement sur l expression des enzymes de phase m tabolisant les m dicaments sur l activit m tabolique et sur la m thylation de l ADN dans des s quences r p t es d ADN de deux lign es de cellules h patiques humaines G H Xiao L Stubbert C Cummings Lorbetskie C Parfett et D Desaulniers 1 BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM La m thylation de l ADN est une modification chimique normale de notre mat riel g n tique Elle se produit dans diverses r gions de l ADN y compris les promoteurs r gions r gulatrices des g nes et les segments d ADN qui sont r p t s de nombreuses reprises tout au long de l ADN La m thylation anormale de ces s quences r p t es d ADN et des promoteurs est associ e de nombreuses maladies dont le cancer Les contaminants de l environnement peuvent modifier la m th
107. graisses et l expression de marqueurs prot iques aP2 et adipsine La capacit des substances chimiques d agir comme ob sog nes potentiels a galement t examin e au moyen du BPA utilis comme substance chimique mod le Des cellules ont t trait es par le BPA en l absence ou en pr sence d une faible dose de dexam thasone PRODUITS R SULTATS Plusieurs g nes susceptibles d tre responsables de l initiation de l adipogen se ont t identifi s et confirm s l aide de la RT PCR De faibles concentrations de BPA ont interagi de fa on synergique avec de faibles doses de DEX pour induire la diff renciation Le co traitement par le BPA a entra n une augmentation significative de l activation transcriptionnelle du r cepteur des glucocorticoides RG par rapport l usage exclusif de DEX INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Ces tudes ont permis d identifier plusieurs g nes cibles qui pourraient tre des marqueurs pr coces de la diff renciation Elles renforcent en outre l id e que certaines substances chimiques comme le BPA de m me que d autres facteurs environnementaux devraient faire l objet d un examen et ce dans un environnement hormonal appropri si Ton veut comprendre tout leur danger potentiel Comme les cellules adipeuses contribuent au syndrome m tabolique nos r sultats corroborent l hypoth se suivant laquelle des substances chimiques peuvent contribuer
108. information DGSG Samir Khan Analyste principal de la recherche Politiques planification et analyse strat giques DGSPNI Nadine Kolas Chercheuse scientifique Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Sarah Leslie Analyste des politiques Direction de la recherche et de la radioprotection DGSASC Jean Fran ois Luc Assistant au directeur Division de la politique en mati re de recherche et diffusion Direction des politiques strat giques DGPS Helen McElroy Gestionnaire par int rim Direction des politiques de soins de sant DGPS Jason Rancourt Gestionnaire Promotion de la science propri t intellectuelle Direction des politiques strat giques DGPS Veronica Roscoe Sp cialiste en r sidus organiques Programmes de sant et laboratoires DGRP r gion du Manitoba Erling Rud Gestionnaire de recherche Chef par interim Bureau de dangers microbiens DGPSA Anu Shukla Jones Agente de politiques r glementaires Direction des aliments DGPSA Phil Shwed Chercheur scientifique Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Eilleen Tackaberry Gestionnaire de recherche Direction des produits biologiques et des therapies g n tiques DGPSA Azam Tayabali Chercheur scientifique Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Comit de revision des r sum s Azam Tayabali Pr sident Chercheur scientifique Direction de
109. la recherche et de la radioprotection DGSESC Bio Aikawa Chimiste Evaluatrice Direction de la s curit des milieux DGSESC Swapan Banerjee Chercheur scientifique Direction des aliments DGPSA Marie Breton Biologiste principale Direction de la s curit des milieux DGSESC Enrico Buenaventura Chef de section Evaluation du risqu Direction des aliments DGPSA Xu Liang Cao Chercheur scientifique Direction des aliments DGPSA Guosheng Chen Biologiste Toxicologiste Direction de la s curit des milieux DGSESC Marcia Cooper Chercheuse scientifique Direction des aliments DGPSA Suzanne Desilets Agente de projet Direction des politiques scientifiques DGPS Jason W Dubois Agent d valuation Direction de l valuation de la valeur et de la p rennit ARLA Sheila Dubois pid miologiste principale Direction des aliments DGPSA Sabina Halappanavar Chercheuse scientifique Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Jianli Jiao valuateur principal Direction de la s curit des milieux DGSESC Dawn Jin Chercheuse scientifique Direction des aliments DGPSA Lisa Marie Kauri Agente de recherche effets de pollution de l air sur la sant Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Nadine Kolas Chercheuse scientifique Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DG
110. la collecte de donn es sur la client le CONTEXTE Bien que les donn es probantes obtenues r cemment semblent indiquer que la pr valence accrue de diab te gestationnel chez les femmes des Premi res nations pourrait jouer un r le cl dans le risque futur de diab te de type 2 et d ob sit il existe peu de donn es sur les indicateurs connexes de l tat de sant et sur les processus de soins dans les r serves L une des grandes priorit s de la Direction g n rale de la sant des Premi res nations et des Inuits DGSPNI est d aider les communaut s des Premi res nations et les communaut s inuites recueillir et transmettre des donn es qui permettront d orienter les politiques et les programmes l chelle communautaire et f d rale Le projet TeleForm sur le diab te et la grossesse PTDG permet d valuer une nouvelle m thode de collecte de donn es dans les r serves M THODES Six communaut s des Premi res nations participent ce projet La p riode de collecte de donn es s tend de janvier 2011 d cembre 2012 et la m thode comporte cinq l ments 1 un guide l intention des communaut s visant fournir des donn es de base 2 un accord de partage des donn es 3 un formulaire d une page t l copier 4 un diagramme de processus donnant une description graphique des processus de soins de sant communautaires 5 des rencontres r guli res avec les communaut s et les intervenants afin d
111. la pr paration de l chantillon 4 33 Les m dias sociaux et la gestion des urgences sessseeereetiiteseerrrriiiresssrrrreen 4 34 Caract risation de particules de polystyr ne fines et nanom triques par cytometrie de ML euro editer retard ro nt 4 35 Renforcement des capacit s de r glementation une initiative canadienne pour le Vaccin anti e stress a E mn ne rites 4 36 Toxicit mitochondriale des points quantiques de tellurure de cadmium chez les cellules de mammif res n0 nannnnnnonoanennnnonsesenrnririrseserrntrrirrerennnrrrerrsrsnnenerrrenenen 4 37 Effets de l exposition aux rayons ultraviolets sur la cytotoxicit des points quantiques de tellurure de cadmium 4 38 Une application de la spectrom trie de masse avec dilution isotopique d termination de la quantit d ochratoxine A dans l Etude canadienne sur Falimentationitotale nnee este nn en Dm in a AE aE niet lire rente 4 39 Conformit aux bonnes pratiques cliniques et application de celles ci une approche proactive par la promotion de la conformit 4 40 Feuille de route concernant la r glementation canadienne des animaux vivants issus de la biotechnologie et de leurs produits ssssnessreerrrerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrren 4 41 D termination rapide et pr cise de la puissance du vaccin contre la varicelle au moyen de l amplification en cha ne par polym rase quantitative 4 42 Le fragment A de la prot in
112. la provenance d un SMS e La collecte d information et de renseignements concernant le manque de ressources les probl mes li s infrastructure p ex fermeture de routes les mises jour de l information etc Ouverture de canaux de communication avec le public On peut ainsi non seulement partager de l information avec le public mais aussi tisser des liens avec celui ci MISE EN UVRE Pour exploiter tout le potentiel des m dias sociaux il faudrait que la politique du gouvernement du Canada pose les jalons de louverture du paysage de ces m dias Si cela devenait une r alit Sant Canada pourrait implanter sur diff rentes plates formes de m dias sociaux une pr sence visant exclusivement la gestion des urgences ainsi que des logiciels con us pour am liorer la surveillance de telles plates formes et utiliser de tels outils pour informer le public pendant et avant les situations d urgence Apr s l implantation d un r seau concret de m dias sociaux par le Minist re le dialogue avec le public par l interm diaire des m dias sociaux pourrait permettre de l informer des initiatives et des strat gies en mati re de gestion des urgences susceptibles d avoir des r percussions directes sur les citoyens CONCLUSION Comme nous l avons dit l utilisation des m dias sociaux pour la gestion des urgences pose des risques en mati re de communication D autres risques inh rents un tel usage des m dias sociaux son
113. la quantit de poussi re accumul e les caract ristiques des particules et les conditions du milieu p ex humidit OBJECTIFS CONTEXTE L tude porte sur la sp ciation et les transformations du zinc Zn dans la poussi re domestique Selon l analyse de poussi re domestique et de sols chantillonn s dans des quartiers non industriels la bioacessibilit du Zn a tendance tre plus lev e l int rieur des maisons 65 que le sol de leurs jardins 29 Cette tendance pourrait s expliquer par des diff rences dans les sources de Zn des effets chimiques possibles de la matrice de poussi re et des transformations du Zn dans le milieu int rieur Des travaux exp rimentaux ont t effectu s pour d terminer l effet des transformations dans l environnement int rieur sur la bioacessibilit du Zn dans la poussi re domestique M THODE La spectroscopie d absorption des rayons X a servi caract riser les principales esp ces de Zn dans un chantillon de poussi re domestique d une maison t moin contenant 500 mg kg de Zn bioaccessible L effet de l humidit sur la sp ciation du Zn a t valu sur trois chantillons de poussi re forte concentration de Zn bioaccessible gt 1100 mg kg en les exposant une atmosph re oxyg n e contenant 100 d humidit dans une chambre ferm e durant trois mois La bioaccessibilit du Zn a t d termin e avant et apr s l exp rience par digestion simul e l ac
114. la radioactivit environnementale de Sant Canada pour s assurer que les retomb es provenant du Japon ne pr sentaient aucun danger pour le Canada La Section de la surveillance nationale a analys de nombreux chantillons du Canada et des aliments import s du Japon au cours des semaines qui ont suivi l accident ce qui a permis d assurer que les r sidents du Canada n taient pas expos s un risque significatif d irradiation OBJECTIF D terminer si le risque radiologique pour la population canadienne entra n par l accident de la centrale nucl aire japonaise de Fukushima tait tr s faible MAT RIEL ET M THODES Nous avons analys par spectroscopie gamma avec germanium de haute puret les filtres d chantillonneurs dar grand d bit et des chantillons de pr cipitations provenant du R seau canadien de surveillance radiologique Nous avons galement analys par spectrom trie gamma des chantillons d aliments provenant du Japon et des chantillons de lait produit en Colombie Britannique Les aliments import s du Japon ont t analys s gr ce la coop ration entre l Agence canadienne d inspection des aliments ACIA qui a amass les chantillons la Direction des aliments de Sant Canada qui a transform les chantillons pour les rendre analysables et la Section de la surveillance nationale SSN du Bureau de la radioprotection qui a effectu les analyses par spectrom trie gamma La SSN a communiqu le
115. la structure tridimensionnelle de l ingr dient actif de Neupogen le produit autoris CONTEXTE Filgrastim est la d nomination commune du facteur de croissance granulocytaire humain m thionyl recombinant r metHuG CSF Il est produit dans la bact rie Escherichia coli E coli sous une forme non glycosyl e Le filgrastim a t commercialis sous le nom commercial Neupogen par la soci t Amgen Depuis que ce produit n est plus prot g par un brevet de nombreux produits biologiques ult rieurs ont t autoris s ou sont l tude en vue d une autorisation de commercialisation dans divers pays y compris au Canada Afin que leurs produits soient autoris s en tant que produits biologiques ult rieurs les promoteurs doivent d montrer que ceux ci pr sentent des similitudes avec un produit autoris au Canada au moyen d une comparaison appropri e OBJECTIF Mise au point d une m thode faisant appel la RMN pour comparer la conformation du r metHuG CSF celle de Neupogen VD Nous pr sentons galement des donn es sur les effets de diverses conditions pH de la solution force ionique de la solution mutations excipients sur les spectres de RMN PRODUITS R SULTATS Le metHuG CSF recombinant a t pr par dans E coli et a t soumis un processus d enrichissement isotopique avec des isotopes de C et de N Nous avons analys les chantillons par RMN pour tudier les effets associ s des
116. le sang et les tissus apr s l autopsie R SULTATS Le gain pond ral tait plus bas chez les souris TG expos es des doses lev es que chez les souris TG t moins aucun changement n a t observ dans le gain pond ral chez les souris TS Le nombre de leucocytes et la concentration d immunoglobulines plasmatiques taient lev s chez les souris TS et TG ce qui r v le une modification des r actions immunitaires Les l sions h patiques prolif ratives taient plus graves et l apoptose tait plus importante chez les souris TS et les souris TG Des ad nomes et des cholangiomes h patiques ont t observ s avec la dose la plus forte avec un nombre gal de tumeurs chez les souris TS et les souris TG On sait que la FB1 perturbe le m tabolisme des sphingolipides en inhibant la c ramide synthase ce qui se traduit par une augmentation de la concentration de sphinganine et de sphinganine 1 phosphate dans le foie et les reins Ces analytes taient pr sents en quantit significativement plus lev e chez les souris TS et les souris TG De plus une nouvelle classe de m tabolites de sphingolipides bioactifs a t mise en vidence et ces derniers se sont r v l s augment s tant chez les souris TS que chez les souris TG en raison de l exposition la FB1 CONCLUSIONS La FB1 a t h patocanc rog ne pour les souris TG et les souris TS Les effets de la FB1 sur les souris TG taient plus importants mais la diff
117. les concentrations naturelles dans le sol de divers compos s pouvant avoir une incidence sur la sant humaine en cours INCIDENCES ET R PERCUSSIONS Les RQSSH labor es par Sant Canada et publi es par le CCME sont utilis es par les gestionnaires de sites l chelle du Canada Utilis es aux fins de l valuation de sites potentiellement contamin s les RASSH permettent de d terminer si des activit s de gestion additionnelles s imposent En outre les gestionnaires de sites peuvent utiliser les documents scientifiques servant de fondement aux RQSSH qui d crivent les m thodes et les donn es utilis es aux fins de l laboration des RQSSH pour interpr ter les ERSH et tablir des objectifs propres au site La r alisation de nouveaux projets de recherche accro t le degr de confiance des gestionnaires de sites l gard de la capacit des RQSSH de prot ger efficacement la sant humaine et permet Sant Canada d harmoniser ses pratiques avec celles des organismes de r glementation des provinces et des pays trangers Sant Canada est galement plus m me d valuer les risques associ s aux nouvelles substances chimiques pr occupantes dans l environnement L laboration des RQSSH tire profit des pratiques et des donn es amass es par d autres services de Sant Canada rattach s au Bureau de l eau de l air et des changements climatiques et au Bureau de l valuation des risques des substances existantes a
118. les particules Nous avons constat que plusieurs voies biologiques du cerveau et de l hypophyse taient activ es en r ponse l exposition aux polluants et que les effets dans l ensemble de l organisme correspondaient ceux d une signalisation hormonale Des tudes additionnelles sont n cessaires pour caract riser les cons quences physiologiques de ces effets CONTEXTE La pollution atmosph rique est reconnue comme tant un facteur de risque des maladies respiratoires et cardiovasculaires On a observ r cemment une association entre la variation court terme de la pollution atmosph rique et les maux de t te l irritabilit l agression l augmentation des hospitalisations dans des tablissements psychiatriques et le suicide mais les m canismes biologiques de ce ph nom ne restent lucider Nous avons analys les r percussions de l exposition des polluants sur un large ventail de voies biologiques dans le cerveau M THODE Des rats Fisher 344 ont t expos s pendant 4 h des particules et de l ozone et ont t euthanasi s imm diatement ou 24 h apr s l exposition Les g nes jouant un r le dans l inflammation le stress oxydatif le m tabolisme des x nobiotiques la r action l exposition aux m taux et la dysfonction endoth liale ont t analys s par la technique de la r action en cha ne de la polym rase en temps r el dans plusieurs organes y compris le cerveau et l hypophyse
119. les personnes hypertendues asthmatiques diab tiques et ob ses Nous avons avanc l hypoth se que la perturbation pathologique de m canismes biologiques pourrait expliquer la vuln rabilit de certains sujets aux polluants Cette tude visait comparer au moyen d analyses m tabolomiques et prot omiques des marqueurs biologiques des voies mises en cause dans les effets ind sirables de contaminants marqueurs qui sont pr sents dans le s rum de sujets pr sentant des pathologies d finies cens es les pr disposer des r actions ind sirables aux polluants M THODE Des chantillons de s rum de sujets en sant et de sujets pr sentant des pathologies d finies ont t obtenus dans le commerce N 6 groupe sexe et ont fait l objet d une analyse pour mesurer le stress nitratif et oxydatif et les biomarqueurs de linflammation l aide des techniques HPLC CoulArray et de la puce prot ines Le marqueur de l oxydation des lipides le 8 isoprostane a t dos par EIA Les principaux effets et interactions de la maladie et du sexe sur les concentrations de biomarqueurs ont t analys s par ANOVA deux facteurs R SULTATS Le m tabolite modifi par oxydation la m tyrosine et le m tabolite modifi par stress nitratif la N tyrosine taient pr sents des concentrations lev es p lt 0 05 dans le s rum de sujets atteints d asthme d hypertension et de diab te comparativement aux taux dans le s rum
120. lt 0 0001 ANOVA du degr de m thylation li es l ge atteignant un valeur comprise entre 2 et 4 L analyse des l ments LINE a aussi permis de mettre en vidence une m thylation sup rieure de 1 5 dans le foie des femelles par comparaison aux m les p lt 0 0001 ANOVA Aucun produit chimique n a chang le degr de m thylation globale de l ADN du foie des rats INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES La m thylation des l ments r p titifs de l ADN du foie n est pas un indicateur sensible de l exposition p rinatale aux POP La m thylation des promoteurs g niques est actuellement l tude Par ailleurs l analyse de l ADN du sang des rats correspondrait peut tre mieux rendre aux travaux effectu s sur le sang humain Notre projet devrait contribuer d terminer l origine chimique des changements du degr de m thylation de l ADN observ s chez l tre humain et jeter sur cette question un clairage tr s utile pour les valuateurs et les analystes de politiques 2 12 Concentrations de contaminants chez les m res dans le Nord du Canada consid rations relatives l chantillonnage M Curren J Van Oostdam K Davis B Adlard T Leech S Donaldson K Kandola J Brewster et F Said Bureau de la surveillance des produits chimiques DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division des tudes sur la population DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Gouvernement de
121. m dicaments contre le rhume et les c phal es La pr sente tude vise valuer l exposition la caf ine de source alimentaire toutes sources confondues dans la population canadienne Les r sultats de l tude permettront d clairer les initiatives de SC en cours et d am liorer la r glementation sur le contenu en caf ine des produits alimentaires OBJECTIFS Dans l tude on a estim des valeurs cl s de caf ine de source alimentaire consomm e par la population canadienne En particulier on a relev les principales sources de caf ine dans les aliments et estim l apport moyen de caf ine par jour et le 95e percentile de l apport quotidien de caf ine ainsi que le pourcentage de personnes ayant d pass l apport quotidien maximal recommand AQMR par cat gorie d ge et par sexe Ces donn es sont primordiales car elles permettent d laborer des politiques et des r glements efficaces sur l apport total de caf ine MAT RIEL ET M THODES Pour estimer l exposition tout produit chimique contenu dans des aliments il faut la fois des donn es sur les habitudes alimentaires des consommateurs et la concentration du produit chimique d int r t dans les aliments consomm s L estimation de l exposition la caf ine provenant de l alimentation est principalement fond e sur le couplage de deux sources de donn es les r sultats de l enqu te canadienne sur la sant dans les collectivit s canadiennes cycle 2 2
122. ml a compl tement bloqu les effets de l acide ol ique 200 uM La pr sence de g nist ine ou de daidz ine les principales isoflavones du soja a inhib l accumulation de lipides induite par l acide ol ique et la formation de gouttelettes de lipides dans les cellules de la lign e HAIIE De plus on a observ des effets similaires des isoflavones du soja de la g nist ine et de la daidz ine chez les cellules de la lign e HepGz2 CONCLUSIONS Les isoflavones du soja peuvent bloquer de fa on efficace l accumulation de lipides et la formation de gouttelettes de lipides dans les cellules h patiques du rat et de l humain ce qui semble indiquer que l ingestion d isoflavones par la consommation d aliments ou de suppl ments de soja pourrait r duire l incidence des st atoses h patiques Ces donn es sont utiles Sant Canada qui doit valuer les all gations sant relatives au soja 1 60 Effets des isoflavones et des prot ines de soja alimentaires sur la croissance et les taux s riques de lipides et d acides amin s chez les jeunes rats femelles C W Xiao PhD C M Wood MSc N Gibbons BSc S Dubland MSc J Dahiya PhD L Fan PhD P Robertson BSc et G S Gilani PhD 1 Division de la recherche sur la nutrition Bureau des sciences de la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de la r gion de l Ouest Direction des programmes de sant et des laboratoires DGRP Sant Canada Burnaby
123. n ont pas encore fait l objet d un examen critique des analyses pr liminaires donnent croire que la plupart des pesticides sont d tect s peu fr quemment dans les eaux souterraines et le cas ch ant sont d cel s des concentrations inf rieures aux Recommandations pour la qualit de l eau potable au Canada CONTEXTE OBJECTIFS Notre compr hension de la situation actuelle en ce qui concerne la pr sence et les concentrations de pesticides dans les eaux souterraines canadiennes demeure fragmentaire Les donn es amass es dans le cadre des divers programmes de surveillance et projets de recherche entrepris l chelle du Canada ne sont pas toujours facilement accessibles L objectif du pr sent projet consiste compiler des donn es de diverses sources en vue de pr ciser l ampleur r elle de la contamination des eaux souterraines canadiennes par les pesticides DESCRIPTION Initialement la collecte de donn es ne visait que les pesticides reconnus par ARLA comme pr sentant le plus fort potentiel de lessivage vers les eaux souterraines ainsi que ceux au sujet desquels ARLA avait recueilli des donn es de surveillance de la qualit de l eau dans le cadre de son programme de r valuation D autres donn es facilement accessibles comme les donn es de surveillance collig es dans des bases de donn es am ricaines importantes NAQWA STORET ont galement t prises en compte Environnement Canada et divers comit s
124. nous permettront d interpr ter avec plus de pr cision les donn es sur la toxicit et leur incidence sur les politiques 1 17 Les effets de la perturbation de l hormone thyro dienne sur le d veloppement c r bral de la souris au d but de la gestation H Dong PhD S H You PhD R Thomas Zoeller PhD A Williams MSc M G Wade PhD et C L Yauk PhD Division de l tablissement des dangers BSRSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Translational Research Center University of Pennsylvania Sch Med U Molecular amp Cellular Biology Program University of Massachusetts Amherst Mass U Division des tudes sur la population BSRSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division des tudes m canistes BSRSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont oO AeA N R SUM L hormone thyro dienne HT est cruciale pour le d veloppement c r bral De nombreuses substances chimiques perturbant l quilibre endocrinien peuvent modifier la concentration en HT et entra ner des d ficiences cognitives et comportementales l heure actuelle les m thodes qui permettent de d tecter de tels effets sont laborieuses et co teuses Nous avons examin l effet de la modification de la concentration en HT sur les g nes exprim s dans le cerveau en d veloppement afin d identifier des marqueurs des troubles neurod veloppemen taux caus s par cette perturbation Nous avons trouv dans le cerveau des f tus de souris 160 g
125. nouveau n s la Base de donn es sur les produits pharmaceutiques de Sant Canada qui fournit des liens avec les monographies de produit et le Compendium des produits et sp cialit s pharmaceutiques qui pr sente des extraits des monographies de produit Gr ce ces sources on peut comparer l usage hors tiquette l usage approuv par voie de r glement et l extrait de l information approuv e qui est couramment utilis pour les usages conformes aux indications figurant sur l tiquette Les m dicaments sont class s au moyen de deux syst mes Index anatomique th rapeutique chimique ATC qui regroupe les m dicaments selon la cat gorie anatomique selon l organe l appareil ou le syst me cible et l American hospital Formulary Service AHFS qui regroupe les m dicaments selon l indication raison valide pour prescrire un m dicament Pour chaque produit la fr quence des rapports spontan s d El est obtenue par le biais de la Base de donn es en ligne de Canada Vigilance sur les effets ind sirables R SULTATS Le formulaire ou la liste de m dicaments fournit de l information qui peut tre class e en plusieurs regroupements distincts stratification du risque en fonction de l tat de sant du patient effets de la classe toxicit efficacit arr t interactions m dicamenteuses restriction de la prescription et instruction pour la pr paration officinale Un examen pr liminaire a r v l que plus les classes de
126. oxydation et la d samidation peut aussi alt rer la conformation et la stabilit des prot ines et de ce fait peut en fait favoriser la d gradation du produit par d autres voies Dans cette tude nous avons examin une impuret li e au produit IFN alpha 2a ayant subi une d samidation l asparagine 65 dans afin de voir si elle a une incidence sur la stabilit inh rente la prot ine mesur e par d naturation thermique la performance du produit dans des tudes de stabilit en conditions acc l r es en milieu liquide en solution dans un tampon 42 C et la capacit de l IFN alpha 2a tre conserv congel 20 C dans une solution pendant plusieurs mois PLAN M THODES Nous avons pr par une variante de DIEN alpha 2a N65D par mutagen se dirig e du g ne de l IFN alpha 2a exprim l ADNr et purifi la prot ine r sultante L tude de la stabilit thermique de la prot ine tait suivie d une mesure du dichro sme circulaire de la prot ine fra chement pr par e et la prot ine ayant t conserv e pendant un nombre variable de semaines et de mois 20 C ou apr s incubation 42 C Nous avons compar les r sultats un t moin de l EDQM trait de mani re semblable PRODUITS R SULTATS L IFN alpha 2a N65D pr sentait une stabilit thermique consid rablement moins grande que le t moin de l EDQM Tm 52 C vs Tm 70 C et cette stabilit semblait d cro tre avec la dur
127. p riode pr cit e taient les suivantes les valeurs minimum et maximum sont pr sent es entre parenth ses PM 5 4 ug m 0 21 CO 0 25 ppm 0 10 0 65 NO 9 ppb 0 44 O3 15 ppb 0 48 Le taux de p n tration des polluants atmosph riques l int rieur de l difice tait de 95 100 Nous avons mesur la pression art rielle et la fr quence cardiaque et pr lev des chantillons de salive chez 10 sujets en bonne sant 8 hommes et 2 femmes de 22 56 ans et de 60 120 kg des intervalles de 30 minutes entre 8 h et 14 h 30 pendant deux jours s ance d activit physique entre 8 h 30 et 9 h Les concentrations de peptides de l endoth line bigET 1 ET 1 ET 3 dans la salive ont t analys es par la technique ELISA R SULTATS La s cr tion des isoformes de l endoth line suit un profil diurne Les concentrations de bigET 1 taient faibles le matin et elles avaient augment dans les chantillons pr lev s 10 h vraisemblablement en r ponse l activit physique En revanche les concentrations de ET 1 et de ET 3 taient plus lev es le matin et diminuaient progressivement jusqu 13 h pour ensuite recommencer augmenter Il y avait une corr lation positive entre la concentration moyenne quotidienne de bigET 1 dans la salive et la pression art rielle et la fr quence cardiaque p lt 0 001 Nous avons galement observ des corr lations positives statistiquement significatives p l
128. pas d pass les recommandations nationales am ricaines relatives la qualit de l air ambiant http www epa gov air criteria html Nous avons not des diff rences entre les villes sur le plan de la pollution atmosph rique les plus importantes concernaient les PM 6 qui ont vari d environ 12 27 ug m de mars octobre La densit pollinique quotidienne s est situ e en moyenne autour de 15 grains par m tre cube pour le gazon et les mauvaises herbes et de 30 pour les arbres La densit des spores ascomyc tes champignons en forme de coupe les basidiomyc tes champignons de type truffe deut romyc tes champignons imparfaits a vari de 300 2 200 par m tre cube Des modifications importantes p 0 05 du risque relatif d hospitalisation associ es aux augmentations interquartiles des pollens d arbres ont t observ es les jours de faibles PM par rapport aux jours de PM lev es Nous avons aussi not un risque relatif lev d hospitalisation p 0 05 les jours de faibles PM par rapport aux jours de PM lev es pour les spores d ascomyc tes de basidiomyc tes et de deut romyc tes ainsi que de pollens de mauvaises herbes CONCLUSIONS L effet des basidiomyc tes et des deut romyc tes semble tre plus lev les jours de forte pollution atmosph rique La r duction de la pollution atmosph rique pourrait r duire le nombre d exacerbations des sympt mes allergiques de l asthme
129. populaire de Chine permet un acc s sans pr c dent aux vaccins et produits th rapeutiques biologiques chinois Aux termes de cette entente bilat rale il a t possible d analyser un grand nombre de vaccins antim ningococciques chinois Les m thodes d analyse des sous unit s qui avaient t labor es et qualifi es en interne l aide de la gamme restreinte de vaccins disponibles ont t mises l preuve avec un assortiment beaucoup plus large de vaccins auparavant inaccessibles OBJECTIFS Les ingr dients actifs de la plupart des vaccins dirig s contre le m ningocoque Neisseria meningitidis sont des polysaccharides capsulaires de quatre s rogroupes ACYW135 Les vaccins qui sont des m langes monovalents ou multivalents de polysaccharides libres ou conjugu s des vecteurs prot iques immunog nes peuvent se pr senter sous la forme d une pr paration liquide ou lyophilis e et contenir ou non des excipients La pr sence d excipients saccharidiques tels que le sucrose ou le lactose peut interf rer avec l identification des polysaccharides de certains s rogroupes L objectif de ce projet tait d appliquer et de mettre l preuve des m thodes tablies en vue d analyser les sous unit s polysaccharidiques des s rogroupes pr sentes dans un large ventail de vaccins antim ningococciques polysaccharidiques multivalents transmis par le NIFDC MAT RIEL ET M THODES Nous avons fait appel des m thodes d
130. pour tudier les effets des PPS sur diff rents types de cellules et pour d terminer si cette m thode peut tre appliqu e diff rents types de NP 4 36 Renforcement des capacit s de r glementation l initiative canadienne pour le vaccin anti VIH A Ng et B Chauhan 1 Bureau de la politique et de la collaboration internationale DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM En vertu de l Initiative canadienne de vaccin contre le VIH ICVV Sant Canada est responsable du programme de renforcement des capacit s de r glementation dans le cadre de l ensemble de ses efforts en vue de mettre au point un vaccin contre le VIH qui soit la fois s r abordable efficace et accessible dans le monde entier Sant Canada entend renforcer les capacit s de r glementation des organismes r glementaires nationaux ORN en voie de cr ation qui seront charg s de veiller l int grit scientifique et thique des essais cliniques sur les vaccins contre le VIH sida se d roulant dans leur pays Dans les pays o des ORN sont en voie de cr ation Sant Canada a mis en uvre des initiatives visant renforcer les capacit s de r glementation des essais cliniques sur les vaccins contre le VIH sida par l laboration de solutions de formation novatrices et fond es sur des donn es probantes en mati re de renforcement des capacit s OBJECTIFS Renforcer les capacit s de r glementation des organismes r glementaires natio
131. pouvaient subir une d gradation par les rayons UV ce qui r duit le nombre d atomes de brome de leurs mol cules Des tudes r centes ont montr que le potentiel de bioaccumulation et la toxicit des PBDE sont inversement proportionnels au nombre d atomes de brome de leurs mol cules OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Dans la liste des produits chimiques prioritaires du PGPC le BDE 209 et la pr paration commerciale de pentaBDE sont le plus souvent utilis s comme produits ignifuges dans les mousses de polyur thane souples et pour d autres applications On les trouve partout dans l environnement y compris dans l air et la poussi re int rieurs Toutefois les transformations qu ils subissent une fois en suspension dans l air par exemple sous l effet de la lumi re UV ne sont pas enti rement comprises L objectif de la pr sente tude est l tude du devenir de ces trois PBDE et de leurs produits de transformation la suite d une photo oxydation par les rayons UV PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons pr par dans diff rents solvants une solution de 2 5 pg de BDE 209 de BDE 47 ou de BDE 99 que nous avons tout d abord inject dans une chambre en cristaux de quartz scell e volume de 200 mL Nous avons ensuite expos la chambre une lumi re UVA B de 0 4 jours Apr s l exposition aux rayons UV nous avons rinc les produits chimiques d origine et leurs sous produits avec un m lange de dichlorom thane hexan
132. pression art rielle systolique chez des adultes bien portants expos s de faibles concentrations de contaminants de l air ambiant dans une tude transversale randomis e simple insu R Gurusankar S Jetha A Filiatreault K Curtin D J Macintyre J Guenette S Juqqa P Kumarathasan E Thomson S Karthikeyan A Williams T Ruddy M Dalipaj et R Vincent L Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Division de la d termination des dangers DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Division des tudes sur la population DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Division des tudes m canistes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Institut de cardiologie de l Universit d Ottawa Ottawa Ont 2 3 4 R SUM Nous proposons une nouvelle approche pour examiner les modifications physiologiques chez des sujets non restreints ayant inhal des polluants atmosph riques mais tenus dans l ignorance de leur exposition Les sujets respiraient des particules et vapeurs organiques travers soit des filtres air propre soit des cartouches dont on avait retir les milieux filtrants air ambiant Des l vations de la pression art rielle systolique quotidienne moyenne ont t observ es chez les sujets ayant respir lair ambiant travers
133. produits de sant commercialis s et de mettre en uvre des mesures appropri es d att nuation ou de gestion pour r duire le plus possible ces risques OBJECTIF Comparer et mettre en opposition l utilit des PGR et des RPP pour ce qui concerne la pharmacovigilance CONTEXTE QUESTIONS Le PGR peut tre d crit comme un ensemble d activit s de pharmacosvigilance visant identifier caract riser pr venir ou r duire au minimum les risques li s un produit m dicinal valuer l efficacit de ces interventions et communiquer ces risques aux patients et aux dispensateurs de soins de sant De plus les activit s de pharmacovigilance post rieures la mise en march utilisent le RPP titre d outil important pour l valuation apr s commercialisation des avantages et des risques d un produit m dicinal et devraient appuyer les initiatives continues de gestion des risques ainsi qu un m canisme de suivi surveillant l efficacit de telles initiatives PLAN M THODE DESCRIPTION Les exigences r glementaires concernant la fr quence de pr sentation et le contenu des RPP et des PGR ne sont pas les m mes dans les diff rentes r gions du monde UE Japon U Australie et Asie c d Singapour Si les PGR et les RPP fournissent tous deux des renseignements sur l innocuit des produits de sant r glement s les donn es cumulatives pr sent es dans les RPP servent d celer les nouveaux signaux conce
134. r guliers Les membres de ce groupe de travail ont compar diff rents mod les de transfert dans l environnement et d valuation des doses pour diff rents sc narios de rejets Les r sultats permettront chaque pays participant d affiner ses m thodes et mod les d estimation de l impact des rejets de radionucl ides dans l environnement de plus ils orienteront la mod lisation environnementale PLAN Au cours de la premi re phase le groupe a travaill sur un sc nario de centrale nucl aire situ e sur une c te qui rejette r guli rement du Co du kr du I et du Cs dans l atmosph re et du Co du Cs et du Ter dans l environnement marin Afin de comparer efficacement les r sultats les param tres du mod le et les caract ristiques du groupe repr sentatif ont t d finis au pr alable Divers mod les ont t utilis s dans cette comparaison savoir PC CREAM CROM IMPACT CLRP et POSEIDON R SULTATS Le travail avec le premier sc nario d montre que les r sultats du mod le atmosph rique sont l int rieur d un facteur de 4 pour la dose de rayonnement totale pour le public Toutefois les voies individuelles inhalation ingestion exposition externe etc ont tendance varier consid rablement entre les diff rents mod les INCIDENCES ET CONCLUSIONS Cet exercice vise orienter et baliser la mod lisation de l environnement par la comparaison de mod les perfectionn s d valuation des doses
135. s diments en suspension comme voie d ingestion e Estimation des param tres li s au contact cutan avec les s diments e Pertinence du floc et cons quences pour la mesure des concentrations de contaminants dans les s diments e Variabilit r gionale et disponibilit des donn es de base sur les s diments 3 En 2011 les contrats octroy s au sujet des s diments contamin s ont port sur les l ments suivants e bauche de directives provisoires pour l valuation des risques e bauche de directive sur la consommation de poisson et de fruits de mer e Taux d ingestion de s diments de novo pour les s diments et les s diments en suspension INCIDENCES DU PROJET Au cours des prochaines ann es le Groupe de travail sur les s diments entend e Publier des directives sur l valuation des risques que pr sentent les s diments contamin s Produire les premi res recommandations sur la qualit des s diments pour la protection de la sant humaine dans le cas du contact direct ingestion et contact cutan et de la consommation de poisson et de fruits de mer 2 51 Caract ristiques fondamentales de la s curisation culturelle examen des donn es probantes visant clairer la prise de d cisions en mati re de programmes et de politiques de sant des communaut s des Premi res nations et des Inuits P Wiebe MD MPH R van Gaalen J Cincotta et S MacDonald Direction des programmes communautair
136. s afin de r pondre aux besoins en mati re de r glementation dont avaient fait tat les ORN en cours de cr ation e Pr paration et prestation de s ances de formation en mati re r glementaire par l interm diaire de forums sur les vaccins et les essais cliniques et parrainage des ORN admissibles pour leur permettre de participer ces forums pour approfondir leurs connaissances et encourager les changes de meilleures pratiques r glementaires e laboration et prestation de programmes de mentorat assist en mati re d examen ainsi que de cours sur les vaccins et les essais cliniques en collaboration avec l Organisation mondiale de la sant PRODUITS Les ORN en cours de cr ation et l Organisation mondiale de la sant ont exprim leur gratitude Sant Canada pour l aide apport e dans le renforcement des capacit s de r glementation Une r flexion sur les enseignements tir s et les r ussites au cours de la derni re ann e servira am liorer les initiatives de renforcement des capacit s de r glementation et les rendre plus novatrices afin que Sant Canada continue s acquitter de ses responsabilit s en vertu du programme de renforcement des capacit s de r glementation de lICVV 4 37 Toxicit mitochondriale des points quantiques de tellurure de cadmium chez les cellules de mammif res K Nguyen P Rippstein J Tan W Willmore et A F Tayabali l Laboratoire de biotechnologie Division des tude
137. standard dar ce qui est 10 fois moindre que Snow White L chantillonneur install la station de surveillance de Sydney C B a d tect les premiers isotopes radioactifs atteindre le Canada apr s les rejets dus l accident de Fukushima OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION Depuis 1998 Sant Canada contribue au Syst me de surveillance international SSI associ au r gime de v rification supervis par le Trait d interdiction compl te des essais nucl aires TICEN On avait estim que la surveillance des radionucl ides transport s dans l atmosph re et provenant des essais d armes nucl aires tait le moyen le plus s r pour assurer le respect du trait cette fin on a mis en place un syst me de surveillance des radionucl ides compos d un r seau de 80 stations de surveillance des radionucl ides distribu es sur toute la plan te Dans le cadre du r seau mondial du TICEN Sant Canada exploite quatre stations SSI homologu es de surveillance des particules Sidney C B Yellowknife T N O Resolute Bay NU et St John s T N L Les stations sont quip es d chantillonneurs d a rosols Snow White produits par la soci t finlandaise Senya Oy Les spectres gamma recueillis par ces stations sont transmis par liaisons de donn es s curis es au Centre international de donn es CID Vienne pour l identification des radionucl ides et l analyse de l activit De plus tous les filtres d a rosol
138. stimul es et non stimul es La DLs des cellules non stimul es tait de 55 uM et celle des cellules stimul es tait de 43 uM L examen de la mutag nicit du BPA au locus du g ne HGPRT a r v l peu de signes d une mutag nicit dans les cellules non stimul es la concentration de 10 uM mais il a t tabli que le BPA tait mutag ne dans les cellules stimul es la mutag nicit ayant doubl 100 pM de BPA et ayant augment de 6 fois 1 uM INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les effets de l inflammation sur le m tabolisme des substances chimiques pourraient justifier une modification des politiques sur l valuation des effets des produits chimiques sur la sant La lign e cellulaire RAW 264 7 constitue une plateforme offerte dans le commerce permettant l tude des effets d une induction de l inflammation sur la mutag nicit ou d autres effets biologiques 1 49 Diff rence dans les effets des fructooligosaccharides et du son de bl de source alimentaire sur l expression des g nes jouant un r le dans le transport la transduction du signal l apoptose la prolif ration cellulaire et loncogen se de l pith lium du c lon proximal de rats Fischer 344 en bonne sant Q Chen PhD E Swist M McAllister J Raju PhD S P J Brooks PhD et K A Scoggan PhD 1 Division de la recherche sur la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division de la r
139. sur des sujets humains a pris effet en septembre 2001 Depuis des activit s r glementaires se sont d roul es y compris des inspections des v rifications de la conformit et des enqu tes sur les tudes cliniques Les principaux objectifs de ces activit s men es principalement chez les chercheurs qualifi s les promoteurs et les organismes de recherche sous contrat sont de s assurer que les principes g n ralement accept s des bonnes pratiques cliniques sont respect s de valider les donn es obtenues et de v rifier la conformit au titre 5 du R glement Le R glement laisse place une grande part d interpr tation ce qui am ne les intervenants qui r alisent des essais cliniques poser de nombreuses questions et avoir de la difficult se conformer aux exigences r glementaires M THODE Plusieurs initiatives de promotion de la conformit ont t mises en place la principale activit r cente est l organisation d une s rie de s ances d information donn es partout au Canada en novembre 2010 Ces s ances d information ont t offertes par le personnel du programme de lInspectorat de la DGPSA et de la DGRP avec l appui de la DPT et de la DPBTG ainsi que du BCPP R SULTATS Tout au long de ce forum les intervenants ont relev les principaux points du R glement qui posent des difficult s de mise en uvre et pourraient faire l objet de directives plus d taill es II a t d montr qu
140. sur les donn es probantes le BPU travaille en troite collaboration avec les programmes et les r gions de l ASPC et SC en vue d laborer une approche uniforme et int gr e de la gestion des urgences reposant sur l ducation la formation l exp rience et l am lioration continue L un des l ments cl s de ce changement devrait tre le PSGU de PS destin tre un document volutif servant de r f rence centrale et d crivant les activit s de gestion des urgences allant de l tat de pr paration l att nuation en passant par la pr paration la r ponse et le r tablissement SC sera l un des premiers minist res s acquitter de son obligation en ce qui concerne l implantation d un PSGU et la promotion d une approche mieux int gr e et concert e 4 18 Les Lignes directrices du Comit des m thodes microbiologiques pour la validation relative des m thodes microbiologiques alimentaires qualitatives indirectes L DeWinter C Bin Kingombe C Carrillo B Dison D Douey I lugovaz K Mattison F Pagotto S Mcllwham D Plante S Mohajer K Seyer Y L Trottier et J Upham 1 Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Direction de la salubrit des aliments Agence canadienne d inspection des aliments Ottawa Ont Microbiologie alimentaire Direction g n rale des r gions et des programmes Sant Canada Longueuil Qc Laboratoire de St Hyacinthe Ag
141. t s ch s l air et tamis s Les fractions fines lt 80 pm 0 05 g ont t extraites par solvant et nettoy es par extraction en phase solide avant de faire l objet d une chromatographie liquide coupl e la spectrom trie de masse en tandem LC MS MS en mode ionisation chimique positive ICP PRODUITS R SULTATS Le nettoyage des chantillons par extraction en phase solide combin la d tection par LC MS MS a donn des chromatogrammes clairs pour les analytes cibl s dans les chantillons de poussi re La m thode a pr sent une bonne sensibilit et un bon taux de r cup ration l gard de tous les analytes cibl s Les limites de d tection de la m thode LDM allaient de 0 01 ug g 0 12 ug g et les taux de r cup ration de 58 118 Les produits chimiques suivants ont t d tect s dans tous les chantillons de poussi re n 20 TCEP TCPP TBEP EHDPP TPhP TDCPP et TCrP Leur concentration m diane ug g tait de 1 46 0 46 11 4 0 77 0 88 0 85 et 0 06 respectivement D autres esters organophosphor s ont t d tect s des concentrations tr s faibles ou en de des LDM INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les analytes cibl s ont t observ s des concentrations tr s variables indiquant une grande variabilit de l exposition domestique ces produits chimiques au Canada La pr sence r pandue des principaux esters organophosphor s porte
142. ts et la qualit des donn es La pr sente tude vise d une part analyser les donn es existantes du PLCN et tablir les consid rations en mati re d chantillonnage int grer dans les activit s de biosurveillance venir afin de faciliter la mise au point d tudes de suivi et d autre part comparer les donn es sur les femmes du Nord canadien aux r sultats de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant ECMS concernant les femmes dans le Sud du Canada afin de v rifier si des facteurs tels que la parit et la r gion influent sur les concentrations de contaminants M THODES Dans les tudes du PLCN on a recueilli des chantillons de commodit de sang maternel en raison de la faible densit de population dans la plupart des r gions de l Arctique canadien Inversement dans le cadre de l ECMS on a r cemment examin plus de 5 000 sujets d un chantillon stratifi al atoire et mesur les concentrations de contaminants dans un sous ensemble de femmes en ge de procr er n 285 2007 2009 Deux contaminants PCB 153 et mercure total courants dans les chantillons du Nord et du Sud ont t retenus pour la pr sente analyse R SULTATS L analyse initiale indique que la taille actuelle des chantillons de population du Nord permet de rep rer les modifications importantes des concentrations de contaminants d une population l autre La r alisation de plusieurs chantillonnages ponctuels pe
143. un r le dans une activation chimique mutag ne par les r actions d oxydation de nitrosation ou de chloration qui s y rapportent Par cons quent il se peut qu il faille consid rer les personnes combattant une infection ou atteintes d une maladie inflammatoire comme faisant partie ou non d une population vuln rable risque lev de cancer durant la vie selon leur tat inflammatoire et leur degr d inflammation Des essais sont donc n cessaires pour examiner les effets de l inflammation sur la mutag nicit carcinog nicit et d autres r sultats en mati re de sant PLAN M THODE DESCRIPTION Des macrophages de souris RAW 264 7 ont t stimul s avec des lipopolysaccharides et de l interf ron y Le bisph nol A est pr occupant car il perturbe le syst me endocrinien et induit une carcinogen se La toxicit du bisph nol A un contaminant trouv dans les aliments a t caract ris e au moyen de l essai au bromure de m thylthiazolyidiph nyl t trazolium MTT Puis nous avons examin l effet de linflammation sur la mutag nicit du bisph nol A au locus du g ne de l hypoxanthine guanine phosphoribosyl transf rase HGPRT en comptant le nombre de colonies de mutants r sistants la thioguanine form es Nous avons compar les r sultats avec ceux des cellules non stimul es PRODUITS R SULTATS La toxicit du BPA mesur e par l essai au MTT tait comparable dans les cellules RAW 264 7 en culture
144. une politique plus large du gouvernement du Canada en mati re de m dias sociaux l emportent sur les risques li s la communication M THODE La recherche comprend une analyse exhaustive de l environnement y compris les aspects suivants recension des tudes existantes sur l utilisation des m dias sociaux dans la gestion des urgences examen du recours aux m dias sociaux durant des v nements planifi s tels que les Jeux olympiques de Vancouver en 2010 et les sommets du G8 et du G20 On valuera galement la politique actuelle du gouvernement du Canada en mati re de m dias sociaux c est dire Twitter Facebook ainsi que le logiciel disponible pour les adapter aux imp ratifs de la gestion des urgences c est dire ArcGIS un syst me d information g ographique R SULTATS Les premiers r sultats indiquent que le recours depuis peu aux m dias sociaux durant les situations d urgence pr sente de nombreux risques en mati re de communication alors que les premiers r pondants et les organismes gouvernementaux utilisent de plus en plus ce moyen pour surveiller les urgences y r pondre et faire rapport ce sujet Les premiers r sultats font galement ressortir les avantages du recours aux m dias sociaux dans les situations d urgence qui peut permettre de sauver des vies Ces avantages sont notamment les suivants e Localiser les personnes lors d une situation d urgence gr ce Twitter ou l identification de
145. une incidence sur l exposition dermique long terme CONTEXTE OBJECTIF Le di 2 thylhexyl adipate DEHA pr sente les caract ristiques d une faible toxicit court terme L tude o vitro vise examiner la p n tration du DEHA contenu dans une cr me d odorante commerciale dans la peau humaine MATERIEL ET M THODES Nous avons appliqu deux doses de cr me chacune trois endroits sur des surplus de peau de sein pr lev s par chirurgie La peau tait plac e non greff e dans une cellule de diffusion coulement continu en Teflon de type Bronaugh 32 C et baignait sur une solution r ceptrice qui s coule de fa on continue pendant la p riode d exposition de 24 heures de l exp rience La quantit de DEHA a t mesur e par chromatographie en phase gazeuse et par spectrom trie de masse ou par chromatographie en phase gazeuse coupl e la spectrom trie de masse R SULTATS La quantit totale de DEHA dans la solution r ceptrice tait inf rieure 0 05 de la quantit totale de DEHA appliqu e la fois dans le cadre de l tude sur la dose faible et l tude sur la dose lev e La majorit du DEHA a t d tect e dans la zone de d p t de la substance sur la peau 21 et 34 pour les exp riences effectu es faible et forte dose respectivement et dans la solution de lavage avec savon de la cellule de diffusion 21 et 8 6 dans les exp riences effectu es faible et forte dos
146. valuer d autres vaccins polysaccharidiques 4 29 Un nouveau test ELISA pour la d tection de biomarqueurs de substitution de la toxine de C ostridium botulinum D Lambert PhD L Schmidt BSc C Corbett PhD et J W Austin PhD i Division de la recherche en microbiologie Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire national de microbiologie Agence de la sant publique du Canada Winnipeg Man 2 R SUM Les toxines de C ostridium botulinum C botulinum qui sont l origine du botulisme sont l tales des doses extr mement faibles et elles sont pr sentes en tr s faible concentration dans les aliments contamin s ce qui rend difficile leur d tection durant une closion ou une ventuelle attaque de bioterrorisme Nous avons con u un essai permettant de d tecter des biomarqueurs de substitution de ces toxines qui sont pr sents des concentrations plus lev es que la toxine du botulisme dans les cultures bact riennes Nous avons d termin les limites de d tection la sp cificit et la robustesse de cet essai Cette nouvelle m thode de d tection permettra de proc der plus rapidement au rappel d un aliment et de d celer de mani re pr coce d ventuelles attaques de bioterrorisme CONTEXTE Si les closions de botulisme sont rares au Canada elles sont trop souvent mortelles C botulinum produit la toxine la plus puissante qui soit connue dont la dose l tale est
147. variations du pH de la concentration des excipients sorbitol et polysorbate 80 et de la force ionique au moyen de divers sels et co solut s Nous avons enregistr les spectres des formes mutantes pour valuer la sensibilit de la m thode relativement de petits changements structuraux Enfin nous avons enregistr les spectres de RMN de Neupogen que nous nous sommes procur s dans une pharmacie locale et d un talon de r f rence chimique produit par la Direction europ enne de la qualit du m dicament DEQM INCIDENCE EFFETS CONCLUSION Notre m thode de d termination de l empreinte du filgrastim par RMN nous a fourni de l information sur la structure de l ingr dient actif d un produit en fonction des r sidus qui le composent En plus des m thodes actuelles la possibilit d analyser la conformation d un produit avec un haut degr de r solution facilitera grandement les comparaisons 1 31 Estimation de l exposition la caf ine provenant de l alimentation au Canada R Huang MSc et W Ross PhD l Bureau de la surveillance des aliments et de l int gration scientifique Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les Canadiens consomment de la caf ine en tant qu ingr dient naturel trouv dans certaines plantes comme additif alimentaire dans certaines boissons gazeuses et boissons nergisantes ou comme ingr dient dans certains produits pharmaceutiques par exemple les
148. 10 souches dans chaque groupe et g n r les profils de transcrits au moyen d une biopuce ADN pang nomique de Campylobacter R SULTATS Nous avons observ un certain nombre de diff rences ph notypiques entre les souches de C jejuni des diff rentes sources Les groupes d isolats provenant de l eau pr sentaient des taux d envahissement significativement plus bas que les groupes d origines clinique et animale combin es P 0 01 Les souches cliniques se sont r v l es plus adh rentes que les souches provenant de l eau P 0 05 Le profil d expression g nique d un sous ensemble de ces souches a aussi r v l une expression diff rentielle significative dans les isolats d origine clinique et animale par comparaison aux isolats environnementaux Parmi ces diff rences citons l expression accrue des g nes associ s la virulence EFFETS CONCLUSIONS Nous avons utilis les donn es ph notypiques et les profils de transcrits pour mettre en vidence la variabilit naturelle de l expression g nique diff rentielle entre les souches de C jejuni Nos analyses montrent que l expression des propri t s pathog nes est plus faible dans les isolats provenant de l eau que dans les isolats cliniques La d termination de marqueurs g n tiques et ph notypiques des souches de C jejuni d importance clinique sera essentielle la mise en place d une r glementation visant la d tection et la ma trise de ce microorganisme
149. 2 Goulet A F 4 20 Goulet M 2 25 Gravel C 4 14 Greenan J 2 37 Greene Finestone L 1 52 Grenier G 5 03 Grgicak Mannion A 2 27 Grundy J 2 18 Guenette J 1 28 2 19 Gupta P 1 08 1 41 Gurofsky S 1 14 Gurusankar R 1 28 2 19 Gutzman D 2 34 H H bert K 4 22 4 33 Hefford M A 1 58 Heinrich Hirsch B 2 41 2 42 Heling R 2 43 H roux M 2 22 2 28 Hess K 2 23 Hilder C 4 40 Hill M 1 54 4 08 Hnatiw J 5 03 Hodge V 2 40 Hodgson D J 1 30 Hoffman l 3 02 3 03 Hogue R 3 02 Holland N 1 05 2 33 Hou W 2 21 Howland M 2 24 Ing R 4 16 lrobi N 1 11 Jack S A 1 32 Jacobs M 2 16 Jacobsen N R 2 04 Jamieson H 5 04 Jensen K A 2 04 Jessiman B 2 41 Jetha S 1 28 2 19 Jin D 2 53 Jin X 1 20 1 37 Kandola K 2 12 Kane A 1 33 Kany r B 2 43 Kapal K 2 02 Karthikeyan S 1 28 2 19 2 29 Kasina A 4 40 Kawata A 1 25 Keith S 2 14 Kenney L 102 Kenny P 2 25 Kenwell R 4 07 4 25 Khamisa S 1 11 Khan S 1 18 Khoury C 2 22 Kiser S 3 04 Kivi M 2 40 L Abb M R 1 05 Labib S 2 31 Lalancette C 2 47 Lam N 2 33 Lambert D 4 29 Landry L 4 26 Langlet B 1 09 Langlois l 1 48 Huang R 1 31 Huang W 4 23 Hyson C 2 25 2 26 4 24 Isbrucker R 4 20 lugovaz l 4 18 4
150. 200 729 la valeur prescrite de 60 ug 100 g de c r ales R PERCUSSIONS Les donn es semblent indiquer qu il est n cessaire de mieux contr ler les proc d s d adjonction d acide folique aux c r ales pour petit d jeuner Bien qu il ait t tabli que l acide folique r duit le risque de malformations du tube neural la consommation d une quantit excessive de folate a t associ e dans certaines tudes au risque de d velopper diff rents types de cancers dans divers groupes de la population Ces r sultats confirment ceux d une tude universitaire publi e en 2010 Un examen plus approfondi du risque s impose 1 16 Accumulation tissulaire de produits chimiques la suite de l exposition pr natale et ou postnatale des m langes de contaminants environnementaux D Desaulniers PhD N Q Li PhD K Leingartner BSc A Leblanc BSc L Marro PhD et G h Xiao PhD l Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les effets ind sirables des produits chimiques sont souvent attribu s leur accumulation dans certains tissus Dans le cadre d une vaste tude examinant les effets sur la sant l ge adulte de rats expos s dans les premiers stades de la vie des m langes de contaminants environnementaux pr par s partir du profil observ dans le sang humain nous faisons tat des diff rences entre la composition
151. 4 Surveillance par la station de d tection de radionucl ides TICEN Sidney Canada de la radioactivit des a rosols rejet s par l accident nucl aire de Fukushima conception et d veloppement d un nouvel chantillonneur d a rosols volume lev reee 3 05 C est un petit monde apr s tout Pathogen se des esp ces du genre Cronobacter adh sion et franchissement de la barri re h matoenc phalique sseeeeeeeeeeeeeeeeeeee teer rerreeereenn nnen n nenn ennenen ennenen 4 01 Analyses comparatives de l expression g nique de souches de Campylobacter jejuni d origine clinique environnementale et animale nnesnnennrerrrrrr renr rtnr rreren 4 02 D tection de diff rentes souches de Wbrio parahaemolyticus provenant des estuaires canadiens micro volution et dangers possibles 4 03 Guerre invisible dans le monde des microorganismes pathog nes d origine alimentaire une tude de cas sur les ent robact ries contre Shigella epp 4 04 Effets de l exposition long terme la mycotoxine fumonisine B1 FB1 sur les souris de type sauvage et les souris transg niques pr dispos es au Cancer A 08 Optimisation et validation d un bioessai int gr n fro pour le criblage des nanomat riaux selon leur toxicit iii iii eeissrecsccecceenneeeere 4 06 Campylobacter spp dans les sources d eau de milieux agricoles dans l Est
152. 53 ainsi qu un talon de d m thylation la 5 aza 2 d soxycytidine 5aCdR On a mesur la m thylation de l ADN dans cinq s quences r p titives d ADN Line 1 AluYb8 NBL Sat alpha et D4Z4 par des essais de pyros quen age Ces crit res d valuation ont t compar s aux changements de l activit m tabolique test AlamarBlue comme substitut de la mesure de la toxicit et l expression de 84 enzymes de phase m tabolisant les m dicaments R SULTATS Le niveau de m thylation est diff rent pour l ADN obtenu par biopsie et pour les cellules HC04 et HepG2 81 64 et 63 respectivement pour Line 1 Les deux lign es cellulaires ont r pondu l agent d m thylant 5aCdR par une r duction de la m thylation de l ADN mais les effets n taient pas les m mes d une lign e cellulaire l autre et d une s quence r p titive l autre Les effets des autres substances chimiques sur la m thylation de l ADN taient mineurs en d pit de l induction significative de plusieurs g nes et de r ductions de l activit m tabolique Le vanadium a t plus toxique que le nickel et le PBDE 71 a t le plus toxique des PBDE CONCLUSION La m thylation de l ADN des s quences r p titives diff rait d un type de cellule l autre mais ces crit res n taient pas des indicateurs sensibles de l exposition aux contaminants de l environnement Comme les lign es cellulaires ont r pondu diff remment l
153. 774 ont t expos es diff rentes formes de NTC dans des plaques de 96 puits une dose de 30 g cm pendant 24 heures Les lysats cellulaires ont t pass s travers un filtre poss dant un seuil de coupure de 100 kDa de poids mol culaire dig r s par la trypsine et analys s par un syst me nano HPLC Chip Cube L identit des prot ines a t d termin e par cartographie peptidique massique l aide du logiciel de recherche SpectraMill Agilent Ltd PRODUITS R SULTATS CONCLUSIONS L analyse par cartographie peptidique massique du prot ome global par CL SM 2D a r v l la pr sence de pr s de 50 prot ines dans le lysat des cellules J774 expos es au NTC Les prot ines identifi es taient notamment des prot ines de choc thermique la pyruvate kinase de type M2 la prothymosine a etc Nous avons constat que les TNC oxyd s pr sentant une surface hydrophile et un nombre moindre d impuret s m talliques engendraient davantage de changements de nature prot omique que les TNC inalt r s ce qui montre l importance de la chimie de surface des nanoparticules pour ce qui concerne les r ponses biologiques L association entre les propri t s physico chimiques et les changements prot omiques engendr s pourrait fournir de nouveaux renseignements sur les m canismes de la toxicit des TNC INCIDENCES L approche prot omique de l valuation de la toxicit va contribuer combler les lacunes relatives aux connaiss
154. 91 53 suivi des publicit s 7 163 46 La majeure partie des messages renseignaient les lecteurs sur la sant g n rale 39 la source d un nutriment 27 et une all gation sur la teneur en nutriment 21 respectivement Une proportion de 91 des messages s av re exacte lorsqu on les compare aux publications sur la nutrition et les donn es probantes scientifiques Les messages ayant un lien avec des politiques canadiennes sur la nutrition taient tous conformes R PERCUSSIONS ET CONCLUSIONS Il a t tabli que les messages taient principalement des articles et des publicit s Bien que beaucoup d efforts de recherche aient t d ploy s pour tudier l indice glyc mique ce dernier tait peu couvert dans ces magazines Les messages concernant les fibres taient les plus fr quents ce qui tait pr visible tant donn que les fibres alimentaires ont fait l objet de travaux scientifiques en nutrition et d importantes politiques pendant des d cennies Les messages trouv s dans ces magazines taient tr s exacts et correspondaient aux donn es scientifiques probantes et aux politiques f d rales 1 56 Validation d analyses haute r solution de courbes de fusion pour d celer des variations de m thylation de l ADN D Vladisavljevic MSc et E Thomson PhD 1 Laboratoire de toxicologie par inhalation Division de la d termination des dangers BSRSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R
155. A appliqu es plusieurs compos s chimiques sur lesquels on poss dait des donn es de mutag nicit positives ou n gatives Une de ces m thodes RQSA QSAR Toolbox s est av r e plus pr cise que l autre TOPKAT OBJECTIF CONTEXTE Le pr sent projet a t con u en tant qu exercice pr liminaire court terme 6 semaines pour comparer deux m thodes RQSA pouvant actuellement tre utilis es par notre Bureau L objectif tait de comparer leur pr cision pour la pr diction de l activit mutag ne lors du test de mutation inverse bact rienne Ames puis en utilisant les programmes de pr dire la mutag nicit d autres compos s chimiques sur lesquels on ne dispose pas de donn es de type Ames Un objectif secondaire tait de se familiariser avec le programme QSAR Toolbox Conception les r sultats de la pr diction de la toxicit obtenus au moyen du programme de Komputer Assisted Technology TOPKAT sont compar s ceux obtenus au moyen du programme QSAR Toolbox 2 1 On a recherch dans la base de donn es de notre Syst me int gr d information scientifique SIIS sur les substances ayant fait l objet d un avis au Bureau des compos s chimiques donnant une r ponse positive lors d une preuve Ames contr les positifs des compos s chimiques comportant un groupe fonctionnel associ quelques fois la mutag nicit colorants azo ques qui donnait un r sultat positif et des compos s chimiques qui donnaien
156. Athens G orgie 2 3 4 R SUM On a cr des souris transg niques pour am liorer les tudes animales visant d terminer si un produit chimique est canc rog ne La souris p53 TG a t con ue de mani re tre plus pr dispos e au cancer que son homologue de type sauvage TS On se sert de cette souris pour pr dire et tudier la canc rog nicit des toxines naturelles produites par les moisissures qui poussent sur les plantes cultiv es La mycotoxine FB1 a caus des tumeurs et des l sions h patiques chez les souris TG et TS Dans l ensemble les effets de la FB1 taient l g rement plus prononc s chez les souris TG que chez les souris TS Notre tude 1 facilitera la prise de d cisions concernant l utilisation future des souris TG et 2 fournira des donn es sur la toxicit chronique de la FB1 OBJECTIFS II s agissait de comparer les souris TG et les souris TS et d obtenir des donn es sur la toxicit chronique de la mycotoxine FB1 M THODES Des souris TG m les h t rozygotes pour le g ne suppresseur de tumeur p53 et des souris TS correspondantes homozygotes pour le g ne p53 ont t expos es la FB1 pendant 26 semaines des doses de 0 5 50 ou 150 mg kg ajout es leur ration Le poids et la consommation de nourriture des souris ont t surveill s tout au long de la p riode d exposition Les changements dans les param tres toxicologiques et biochimiques ont t valu s dans
157. BJECTIFS Rechercher la pr sence de BPA dans des chantillons composites d aliments repr sentatifs de l alimentation totale et estimer les apports alimentaires en bisph nol A dans des populations canadiennes PLAN M THODE DESCRIPTION Des aliments dans diverses cat gories produits laitiers viandes poisson volaille fruits l gumes aliments pour b b s etc ont t recueillis dans la ville de Qu bec en 2008 et ont t pr par s pour la consommation et combin s dans des composites alimentaires La pr sence de BPA a t recherch e dans les composites alimentaires par chromatographie gazeuse spectrom trie de masse apr s extraction par solvant extraction en phase solide et d rivatisation avec l anhydride ac tique PRODUIT R SULTATS Du BPA a t d tect dans 55 des 154 chantillons test s La plus forte concentration de BPA a t relev e dans le poisson en conserve 106 ng g suivi du ma s en conserve 83 7 ng g des soupes en conserve 22 2 44 4 ng g des f ves au lard en conserve 23 5 ng g des pois en conserve 16 8 ng g du lait vapor en conserve 15 3 ng g et des viandes froides en conserve 10 5 ng g Les concentrations de BPA dans des chantillons composites d aliments pour b b s taient faibles soit 2 75 ng g dans des pr parations lact es en conserve pour nourrissons et 0 84 2 46 ng g dans les aliments pour b b s en pot Du BPA a galement t d tect dans certains alimen
158. Bowers N Li et C Tokhonov 1 Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 Direction des soins de sant primaires et de la sant publique DGSPNI Sant Canada Ottawa Ont R SUM L exposition aux BPC et aux pesticides organochlor s et l ob sit sont des probl mes plus courants chez les Autochtones que dans le reste de la population Comme les BPC et les pesticides organochlor s s accumulent dans les tissus adipeux les r gimes visant r duire la masse adipeuse peuvent favoriser leur lib ration dans le sang et dans d autres organes La pr sente tude visait examiner cette question par lanalyse de rongeurs expos s un m lange de ces produits chimiques Un r gime visant r duire la masse adipeuse a accru les concentrations de BPC et de pesticides de 4 fois dans le sang et de 2 4 fois dans les muscles le foie et le cerveau Les r gimes amaigrissants ont des avantages vidents pour la sant mais ils augmentent galement l exposition des organes aux produits chimiques ci dessus les effets de cette exposition sur la sant sont inconnus CONTEXTE Historiquement les populations autochtones consommant des aliments traditionnels sont davantage expos es aux contaminants lipophiles BPC et pesticides et pr sentent des taux d ob sit plus lev s que l ensemble de la population canadienne la perte de poids visant r duire l ob si
159. Bureau de l int gration des politiques alimentaires et des sciences Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM Nous avons produit des souris pr dispos es au cancer pour r duire les co ts raccourcir la dur e des tudes et fournir des donn es m canistes servant valuer la canc rog nicit de substances chimiques Des souris h t rozygotes p53 transg niques TG ont t test es la Direction des aliments Dans les souris TG et les souris de type sauvage TS correspondantes OTA exer ait un effet n phrotoxique et canc rog ne sur le rein qui causait des l sions et des modifications dans la biochimie r nale Sur le plan physiologique les souris TG taient l g rement plus sensibles POTA que les souris TS Les donn es de cette tude 1 faciliteront la prise de d cisions sur l utilisation future des souris TG et 2 fourniront des renseignements sur la toxicit mol culaire de POTA qui pourront tre utilis s dans l valuation du risque OBJECTIF Fournir des donn es sur la toxicit mol culaire du mode d action de OTA au moyen de souris h t rozygotes p53 TG MAT RIEL ET M THODES Des souris m les TG et TS ont t expos es des concentrations de 0 0 5 2 ou 10 mg kg d OTA dans leur di te pendant 26 semaines Leurs reins ont t pr lev s lors de la n cropsie et de l ARN a t isol dans les groupes de souris TS et TG expos es toutes les doses L ARN de sou
160. C Sant Canada Ottawa Ont R SUM L valuation environnementale EE est un outil de planification utilis pour pr dire les effets n gatifs des projets de d veloppement sur l environnement afin de les r duire et de les surveiller la demande d autres minist res Sant Canada a commenc laborer des documents d orientation et des fiches de renseignements pour l valuation des donn es sur la sant humaine destin es aux rapports dEE Six documents d orientation exposant l expertise de Sant Canada dans la qualit de lair la qualit de l eau la contamination des aliments d origine locale le bruit les effets radiologiques et l valuation des risques pour la sant humaine sont en voie d tre r dig s Ces documents seront mis la disposition des minist res du gouvernement f d ral et d autres parties concern es CONTEXTE Les EE sont men es en vertu de la Loi canadienne sur l valuation environnementale LCEE pour les projets auxquels participe le gouvernement f d ral p ex octroi de terres de fonds ou de permis projets dont le gouvernement f d ral est le promoteur Les projets peuvent comporter des ouvrages p ex construction de routes ou des activit s concr tes p ex coupes blanc au sens de la LC E Les documents d orientation sont pr par s la demande d autres minist res souhaitant informer des promoteurs consultants des exigences sp cifiques de Sant Canada e
161. CBS sur le m tabolisme de lhomocyst ine dans les h patocytes humains CONTEXTE La cystathionine B synthase CBS humaine catalyse la premi re tape de la voie de transsulfuration responsable de la conversion de lhomocyst ine en cystathionine Les polymorphismes mononucl otidiques SNP du g ne codant la CBS sont associ s des risques accrus de maladie cardiovasculaire d homocyst inurie et d hyperhomocyst in mie Jusqu ce jour la caract risation des mutations pathog nes du g ne de la CBS a t limit e des techniques faisant appel l expression de prot ines recombinantes dans des syst mes d expression non mammaliens et dans des syst mes sans cellules OBJECTIF Mettre au point un syst me d expression mammalien permettant d tudier les effets de polymorphismes mononucl otidiques SNP du g ne de la CBS sur le m tabolisme de l homocyst ine MAT RIEL ET M THODES Le g ne codant la CBS humaine de type sauvage ainsi que les g nes codant quatre prot ines mutantes li es l homocyst inurie E176K K384E N et G307S obtenus par mutag n se dirig e seront sous clon s dans le vecteur pcDNA3 1 qui contient le promoteur du cytom galovirus CMV pour amorcer l expression dans des cellules mammaliennes L expression endog ne du g ne codant la CBS dans des cellules HEP G2 a t inhib e de fa on transitoire au moyen de petits ARN interf rents siRNA sp cifiques de la CBS ciblant la r gion 3 non tradu
162. Division des services scientifiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les primates non humains PNH sont des mod les animaux importants pour la recherche sur le sida La pr sence de virus indig nes comme le virus de l herp s B constitue une grave menace pour les personnes qui manipulent les animaux en raison du taux lev de mortalit Le virus spumeux simien VSS un autre virus pr sent chez les macaques sauvages et en captivit compromet grandement les travaux sur les cellules puisqu il transforme les cellules en culture D autres r trovirus tels que le SIV le STLV 1 et le SRV 1 figurent galement sur la liste des agents pathog nes cibl s dans les colonies servant la recherche contre le cancer et le sida Nous avons mis au point un essai immunologique multiplex destin au d pistage s rologique chez les PNH cet outil permettra de maintenir une colonie exempte d un agent pathog ne donn OBJECTIF Mettre au point un essai immunologique avec des billes pour le d pistage s rologique du virus de l herp s B du VSS du STLV 1 du SIV et du SRV 1 afin de former et de maintenir au sein de la colonie de PNH des macaques crabiers exempts de virus sp cifiques M THODES Des pr parations antig niques de virus ou de lysats cellulaires ont t fix es par liaison covalente des billes Luminex et utilis es dans une analyse 9 plex pour le d pistage s rologique 7 163 d chantillons pr lev s en
163. ES pour short interspersed nuclear elements et l ADN alpha satellite a sat a t reli e l instabilit chromosomique du cancer Dans l tude pr sent e ici nous avons voulu d terminer si l exposition des POP en p riode p rinatale change la m thylation de l ADN du foie principal organe de d toxification PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons expos des rats n utero et ou par ingestion de lait des POP en donnant manger des rates en gestation du jour 0 au jour 20 post natal l un ou l autre des 3 m langes de produits chimiques suivants 1 M raison de 1 mg kg jour BPC pesticides organochlor s et m thylmercure 2 un m lange d agonistes du r cepteur des aryl hydrocarbures AhR raison de 1 7 ng kg jour BPC non ortho PCDD PCDFSs ou 3 un m lange de 0 5 M Ahr Aux jours 0 21 et 85 apr s la naissance des rats nous avons mesur la m thylation de l ADN dans leur foie par pyros quen age des l ments r p titifs LINE 1 ID pour Identifier Elements l ments appartenant la famille des SINE et a sat PRODUITS R SULTATS Toutes les analyses portaient sur la m thylation de positions individuelles de la cytosine et la corr lation de Pearson a atteint une valeur comprise entre 0 910 et 0 941 pour les LINE chiffr e 0 997 pour les l ments ID et comprise entre 0 982 et0 983 pour les a sat Toutes les analyses ont permis de d tecter des augmentations significatives p
164. Examiner l effet de la d ficience en acide folique et de la suppl mentation en AF durant la grossesse ou apr s le sevrage sur le m tabolisme du folate et l expression g n tique dans le foie de descendants m les M THODE Des souris m les BALB c consanguines F1 dont la m re avait re u une di te sans AF 0 mg kg ou additionn e d AF 6 mg kg ont t sevr es 21 jours apr s leur naissance et sont pass es une di te contenant suffisamment d AF 2 mg kg Des souris m les BALB c consanguines dont la m re avait re u une di te contenant suffisamment d AF ont t sevr es 21 jours apr s leur naissance et sont pass es une di te contenant insuffisamment suffisamment ou additionn e d AF Des souris m les F1 ont gard cette di te pendant 14 semaines ont t accoupl es avec une femelle et n cropsi es trois semaines plus tard Des souriceaux m les F2 ont t sevr s 21 jours apr s leur naissance pour ensuite recevoir une di te contenant suffisamment d AF ils ont t accoupl s avec une femelle l ge de 8 semaines et n cropsi s Des souriceaux m les F3 ont t sevr s 21 jours apr s leur naissance et sont pass s une di te contenant suffisamment d AF et ont t n cropsi s l ge de 8 semaines Des chantillons de sang de tissu du c lon et du foie ont t pr lev s Une analyse par Q PCR de Folr1 Slc19a1 et PCFT a t effectu e La concentration de folate dans les tissus
165. L application des m thodes d analyse des vaccins antim ningococciques mises au point ant rieurement une plus large gamme d chantillons de vaccins a donn des r sultats extr mement satisfaisants On s attend une poursuite de la coop ration et des changes d expertises entre le CEV Sant Canada et le NIFDC Chine dans ce champ de recherche et dans divers autres domaines 4 28 Optimisation qualification et application de m thodes d analyse quantitative des vaccins antim ningococciques polysaccharidiques commerciaux M C Cook PhD A Bliu MSc et J P Kunkel PhD f Laboratoire de glycobiologie et des glycoprot ines th rapeutiques Division des vaccins bact riens et combin s DVBC Centre d valuation des vaccins CEV DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Unit de biostatistique Centre d valuation des vaccins CEV DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM Les vaccins prophylactiques servent pr venir les infections bact riennes parfois mortelles du cerveau m ningite et du sang septic mie Ces vaccins contiennent des sucres de la paroi externe des bact ries m ningococciques qui diff rent d une souche l autre Il existe des vaccins commerciaux qui permettent en une seule injection limmunisation contre jusqu quatre souches diff rentes En vue de l approbation et de la mise sur le march de ces vaccins nous avons labor des m thodes visant mesurer le sucre qui
166. LAN Nous avons expos des cellules HEPG2 de carcinome h patocellulaire humain diff rentes concentrations de points quantiques de CdTe pendant 24 heures Nous avons utilis la microscopie confocale et la microscopie lectronique transmission MET pour examiner la morphologie des mitochondries Nous avons effectu des analyses enzymatiques et des tests ELISA enzyme linked Immunosorbent assay pour valuer le stress oxydatif subi par les cellules expos es Nous avons utilis des mitochondries isol es pour d terminer les modifications subies par les composantes de la cha ne respiratoire et la fa on dont la respiration cellulaire a t touch e PRODUITS R SULTATS Les r sultats obtenus par microscopie confocale et par MET ont r v l que le traitement aux points quantiques de CdTe avait provoqu un accroissement de la taille des mitochondries et une modification de leur potentiel membranaire Les cellules trait es ont galement manifest un accroissement de leur production d esp ces r actives de l oxyg ne une diminution de leur taux de glutathion une diminution du rapport glutathion r duit glutathion oxyd et un accroissement de l activit de la superoxyde dismutase ce qui semble indiquer que les cellules ont subi un stress oxydatif Les points quantiques de CdTe ont galement entra n une modification des taux et de l activit des enzymes de la cha ne respiratoire ainsi qu une diminution de la respiration ce
167. LUSIONS Le BPA n a eu aucun effet faible dose sur l expression des g nes dans les FMVH sans gard aux conditions li es au s rum Les voies associ es au contr le du cycle cellulaire taient les cibles principales de l action du BPA haute dose D autres processus cellulaires ont t touch s par le BPA de mani re diff rente selon les conditions de s rum utilis es Ces donn es fournissent des l ments d information m canistes pour certains effets d veloppementaux du BPA observ s chez les animaux dans des conditions exp rimentales et pourraient contribuer l valuation des risques pour la sant li s au BPA chez l humain 3 01 R ponse de Sant Canada pour assurer la protection des Canadiens au pays et l tranger la suite de l accident de la centrale nucl aire de Fukushima Daiichi au Japon J P Auclair B Ahier et D Nsengiyumva 1 Bureau de la radioprotection Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM la suite du s isme et du tsunami qui ont frapp l Est du Japon en mars 2011 des probl mes la centrale nucl aire japonaise de Fukushima Daiichi ont entra n une d faillance du confinement de plusieurs r acteurs et la lib ration de mati res radioactives Pour appuyer la r ponse du gouvernement du Canada cet v nement Sant Canada a mis sur pied un groupe interminist riel d experts en vertu du Plan
168. La valeur moyenne de f anti valeur de l ant DP divis e par la valeur totale de DP 0 67 0 10 tait tr s semblable celle des DP vendus dans le commerce L EDB 47 pr sentait la valeur la plus lev e 10 12 ng EW suivi de l EDB 153 5 2 10 1 et l EDB 99 4 1 4 5 et le BDE 100 pr sentait la valeur la moins lev e 3 0 3 7 ng g Nous avons observ trois sources d exposition distinctes DP d ca EDB et penta octa EDB CONCLUSION Nous avons d termin que la concentration de DP dans le lait maternel tait plus faible que celle des EDPB et n tait pas lev e par rapport celle d autres esp ces biologiques Toutefois comparativement la concentration de la poussi re domestique le DP semble pr senter un plus grand risque de bioaccumulation que les EDPB Cette observation n cessite d tre confirm e par d autres travaux de recherche 1 51 tude de la fum e principale mise par les cigarettes ultrafines vendues au Canada en fonction de quatre conditions diff rentes de tabagisme M Siu E Soo et S Desjardins 1 Direction des substances contr l es et de la lutte au tabagisme Bureau de la recherche et de la surveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM En 2007 plusieurs marques de cigarettes ultrafines CUF c est dire ayant une plus petite circonf rence que les cigarettes classiques ont fait leur apparition Les cigarettes plus fines semblent produire mo
169. Livre de r sum s Forum scientifique 2011 de Sant Canada Int gration des technologies de l information et des communications dans les secteurs de la science de la recherche et de la prestation de soins Avant propos Livre de r sum s Int gration des technologies de l information et des communications dans les secteurs de la science de la recherche et de la prestation de soins Forum scientifique 2011 de Sant Canada Les 7 et 8 novembre 2011 J ai le plaisir de vous pr senter le Livre des r sum s pour le Forum scientifique de 2011 Ce forum annuel constitue un v nement majeur au calendrier du Minist re et cette ann e marque son dixi me anniversaire Comme par le pass le Comit d examen des r sum s a travaill d arrache pied pour examiner les quelque 170 r sum s soumis par les employ s sous le th me du Forum soit l nt gration des technologies de l information et des communications TIC dans les secteurs de la science de la recherche et de la prestation de soins Les membres du Comit ont galement jou un r le cl dans la s lection des 30 r sum s qui feront l objet de discussions au cours de s ances parall les Le Comit d examen a valu la qualit et la pertinence des r sum s et a choisi 168 d entres eux pour tre pr sent au Forum J aimerais d ailleurs profiter de l occasion pour remercier tous les auteurs qui ont pr sent un r sum Les personnes qui d sirent utilise
170. Luebbert L Division de la recherche Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Service de r f rence sur la list riose du Canada Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Centre de r f rence pour les techniques de diagnostic rapide R glementation scientifique et salubrit des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Les aliments sont des mati res complexes et contiennent de nombreux inhibiteurs qui repr sentent des d fis particuliers pour les laboratoires de microbiologie qui utilisent des m thodes diagnostiques mol culaires rapides Les aliments couramment analys s contiennent une faible concentration d organismes pathog nes suspects ou n en contiennent pas du tout par cons quent le d fi consiste comme le dit le proverbe chercher une aiguille dans une botte de foin Dans la pr sente tude nous d crivons une nouvelle m thode de pr paration qui permet de retirer de l chantillon les mati res inhibitrices tout en concentrant les organismes pathog nes d origine alimentaire Cette m thode pourrait tre appliqu e aux techniques courantes de pr paration de l chantillon utilis es dans les laboratoires canadiens avant l isolement des bact ries virus et parasites pathog nes OBJECTIFS Dans le cadre de cette tude nous voulions mettre au point une nouvelle m thode de pr paration de l chantillon applicable aux matrices ali
171. M DGSESC Ottawa Ont R SUM Les progr s r alis s dans le domaine des nanotechnologies ont permis la commercialisation de nombreux produits de consommation am lior s par l ajout de nanomat riaux ce qui a donn lieu l laboration de nouvelles applications et l am lioration du rendement et de la durabilit des produits existants En particulier on utilise de plus en plus les nanomat riaux titre d additifs dans les polym res entrant dans la composition d emballages alimentaires de textiles de peintures et de rev tements du ciment de mat riaux de construction d articles de sport et de produits d hygi ne personnelle En l absence d information sur les effets toxicologiques propres aux nanomat riaux il est imp ratif de d terminer quelles sont les voies d exposition pertinentes durant le cycle de vie des produits afin de r duire les risques pour la sant Par le biais d une tude de cas portant sur la nanosilice nous allons d terminer quelles sont les voies d exposition critiques pour diff rentes applications dans le domaine des produits de consommation tous les stades de leur cycle de vie et valuer des sc narios d exposition r alistes On recensera les lacunes sur le plan des donn es et les possibilit s de recherches et de collaborations OBJECTIF laborer une approche int gr e pour l valuation et la gestion des nanomat riaux pr sents dans les produits de consommation tout au long de le
172. M THODES Nous avons mesur par chromatographie en phase gazeuse la concentration d AGT dans 282 chantillons de lait maternel recueillis de 2009 2011 aupr s de m res au Canada R SULTATS La concentration moyenne d AGT tait de 2 5 des mati res grasses totales du lait Cette valeur est consid rablement plus faible que la valeur de 7 2 mesur e pr c demment dans le lait maternel en 1992 au Canada D apr s la concentration moyenne d AGT actuelle on a estim que l apport d AGT des m res allaitantes tait de 1 5 g par jour Cette valeur est inf rieure l apport maximal de 2 g d AGT ou 1 des calories totales recommand par l OMS dans le cadre d une alimentation saine Le profil moyen des isom res ans des chantillons de lait maternel tait semblable celui des mati res grasses du lait de vache ce indique que les mati res grasses des produits laitiers et non les huiles v g tales partiellement hydrog n es constituent la principale source d AGT de l alimentation des Canadiens actuellement CONCLUSIONS La r glementation sur l tiquetage des gras trans et les recommandations incitant l industrie alimentaire restreindre les gras trans dans les aliments ont entra n une baisse consid rable de la concentration d AGT d origine industrielle dans l alimentation des m res allaitantes au Canada 1 48 Effet mutag ne du bisph nol A dans des cellules RAW 264 7 dans lesquelles on induit une inflammat
173. MP stimule diff rentes fonctions associ es aux biofilms telles que la formation de pili d autres adh sines et diff rents exopolysaccharides matriciels en revanche les faibles concentrations favorisent la motilit et la virulence Pour obtenir une bonne adh sion la barri re h matoenc phalique et la production d un biofilm par les esp ces du genre Cronobacter le g ne DGC doit tre activ Les observations faites dans cette tude pourraient aider lucider les m canismes de la pathogen se de Cronobacter et conduire l laboration de strat gies d intervention visant inactiver le g ne DGC 4 02 Analyses comparatives de l expression g nique de souches de Campylobacter jejuni d origine clinique environnementale et animale G Azzi EN Taboada J M Farber et C D Carrillo 1 D partement de biochimie de microbiologie et d immunologie Universit d Ottawa Ottawa Ont Bureau des dangers microbiens DGSA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de lutte contre les zoonoses d origine alimentaire unit de Lethbridge ASPC Institut de recherches v t rinaires Lethbridge Alb 2 3 R SUM Au Canada Campylobacter jejuni est la principale cause de diarrh e d origine alimentaire Nous avons analys 70 souches d origine clinique environnementale et animale pour mieux comprendre leur aptitude causer une maladie Nous avons d couvert que les souches issues de cas cliniques taient plus susc
174. NDMA est difficile pr dire Les donn es pr sent es semblent confirmer les Recommandations de SC tant donn la toxicit lev e pr sum e des SPD contenant de l azote et de l iode il est important de d terminer les caract ristiques de l eau qui favorisent leur formation Une tude cibl e a commenc 5 04 Sources de m taux sp ciation et bioaccessibilit dans les milieux r sidentiels P E Rasmussen S Beauchemin H Jamieson L C W MacLean et S Walker l Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM l int rieur des maisons les m taux s accumulent dans des d p ts de poussi re provenant de sources tr s vari es comme les produits de consommation contenant des m taux les passe temps et les travaux de r novation les salet s transport es depuis l ext rieur et les particules a roport es qui s infiltrent l int rieur Dans le cadre de cette recherche nous avons analys des chantillons de poussi re r sidentielle et de sol l aide de techniques synchrotron afin de d terminer quelles sont les sources et les voies d exposition aux m taux pr sents l int rieur des maisons de zones r sidentielles urbaines au Canada OBJECTIFS La sp ciation des m taux a t tudi e l chelle mol culaire partir d chantillons de poussi re domestique et de sol de jardin pr lev s dans des zones r sidentiel
175. OBJECTIF S tudier l effet pr ventif des isoflavones du soja de la g nist ine et de la daidz ine pour la st atose h patique en se servant de cultures de cellules h patiques de rat et d humain comme mod le M THODE Nous avons ensemenc une lign e cellulaire h patique de rat HAIIE dans des plaques 96 puits raison de 1 x 10 cellules puit Nous avons trait les cellules avec des concentrations croissantes d acide ol ique 0 50 100 200 uM ou avec 200 uM d acide ol ique en l absence ou en pr sence de 0 1 1 10 50 UM de g nist ine ou de daidz ine ou de 0 1 1 10 ou 50 ug ml d isoflavones pendant 24 heures La formation de gouttelettes de lipides a t mise en vidence par coloration immunocytochimique et nous avons quantifi l accumulation de lipides par un essai colorim trique pour la st atose Nous avons men la m me exp rience avec la lign e cellulaire h patique humaine HepG2 afin de d terminer si les isoflavones du soja avait des effets similaires chez les cellules humaines R SULTATS L acide ol ique a fait augmenter l accumulation de lipides et la formation de gouttelettes de lipides de fa on proportionnelle la dose chez les cellules de la lign e HAIIE L ajout d isoflavones de soja a bloqu de fa on significative l accumulation de lipides induite par l acide ol ique et la formation de gouttelettes de lipides La suppl mentation en isoflavones une concentration de 50 ug
176. OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Nous avons pr c demment publi que l acrylamide lorsqu elle est administr e par l alimentation des doses connues pour induire la formation de tumeurs chez les rongeurs ne stimule pas la formation de foyers de cryptes aberrantes FCA coliques induites par un carcinog ne des l sions pr canc reuses pr sum es Toutefois la plus faible dose d acrylamide test e 5 mg kg d aliments nous avons observ une tendance vers la hausse du nombre de FCA Dans la pr sente tude nous avons examin si l acrylamide de source alimentaire une concentration quivalente celle mesur e dans les aliments appr ci s par les humains module la formation de tumeurs du c lon et leur volution PLAN M THODE DESCRIPTION Dans l exp rience 1 des rats m les F344 sevr s ont t r partis al atoirement dans 4 groupes pour recevoir une alimentation AIN 93G sans acrylamide 0 mg kg d aliments t moin ou avec acrylamide une concentration de 0 5 1 0 ou 2 0 mg kg d aliments Apr s deux semaines chaque groupe a t divis pour recevoir deux injections sous cutan es d azoxym thane AOM 15 mg kg de poids corporel n 24 groupe ou de solut physiologique 0 2 mL rat n 8 groupe par semaine Apr s avoir re u les injections d AOM ou de solut physiologique les rats ont mang volont pendant 20 semaines Par la suite ils ont t sacrifi s et leur c lon a t examin pour y
177. On a galement explor les r percussions possibles sur le syst me neuroendocrinien R SULTATS On a observ dans l h misph re c r bral et dans l hypophyse une augmentation transitoire de l expression production d ARNm des g nes sensibles l oxydor duction p ex facteur 3a induit par hypoxie m tallothion ines On a constat une augmentation de l expression de la cyclooxyg nase 2 un activateur important de Taxe hypothalamo hypophyso surr nalien HHS apr s exposition aux deux polluants dans lhypophyse mais pas dans l h misph re c r bral L expression de la proopiom lanocortine hypophysaire le pr curseur de l hormone adr nocorticotrope responsable de la signalisation des glucocortico des a augment apr s l exposition aux particules Conform ment aux cons quences de la production de glucocortico des on a observ une r duction syst mique p ex dans la rate le c ur le foie de l expression des ARNm des m diateurs de linflammation p ex facteur de n crose tumorale a interleukine 16 prot ine chimiotactique des monocytes de type 1 et une augmentation de l expression des g nes r pondant aux glucocortico des p ex eucine zipper induit par les glucocortico des kinase 1 induite par le s rum et les glucocortico des CONCLUSIONS On sait que le d r glement de l axe HHS est associ des troubles neurologiques Nos r sultats indiquent que les polluants tant particulaires que gazeux peu
178. PS DGPS Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les perc es dans le domaine de l informatique ont accru notre capacit d identifier des marqueurs mol culaires des maladies et de mettre sur pied des outils et des strat gies permettant aux professionnels de la sant de personnaliser leurs traitements pr ventifs et curatifs Le pr sent projet vise examiner l incidence de ces perc es rapides sur les activit s du portefeuille de la sant Un groupe de travail a pr sent des recommandations concernant des aspects du mandat du portefeuille pour lesquels des donn es additionnelles ou nouvelles sont n cessaires Son analyse a fait ressortir les secteurs traiter en priorit dans les mesures propos es pour orienter les activit s du portefeuille en mati re de recherche de politique et de r glementation OBJECTIF Examiner les perc es scientifiques et technologiques notamment en bioinformatique qui font avancer la science de la m decine personnalis e dans le but de cerner leurs lacunes potentielles et leur incidence sur le portefeuille de la sant ainsi que de formuler des recommandations destin es orienter les politiques les priorit s de recherche et les mesures de r glementation PLAN M THODE DESCRIPTION La personnalisation des mesures de pr vention de diagnostic et de traitement selon le profil g nomique des patients est consid r e comme le plus grand avantage potentiel de la m decine personnalis e Les principa
179. Paparella M 2 41 2 42 Paquette M 1 45 Parfett C 1 35 2 52 Parrington L 4 10 Pascale Gagnon B 2 02 Pellerin E 3 04 Perez Locas C 1 13 Petrin D 1 11 Petrov l 1 20 1 37 Petrovic S 2 50 Phaneuf D 5 01 Qiao C 1 14 Quach H 1 05 Raju J 1 46 1 49 Ramsingh D 2 41 2 42 Randall Simpson J 1 05 Rasmussen P E 1 44 2 13 2 39 5 04 Ratnayake W M N 1 47 Rawn T 2 47 Reaves E 2 41 2 42 Reed M 4 20 Richard I D K 4 39 Rideout G 2 29 Ridgway P 2 41 2 42 Riley R 4 05 N Nguyen K B 1 07 Niu J 1 44 Njie B 1 07 Nong A 1 23 Normandin L 5 01 Nsengiyumva D 3 01 Nunnikhoven A 1 14 Nwobu Nnebe O 2 46 O zkaynak H 2 28 P Phillips S P 1 50 Piersma A H 2 41 2 42 Plante D 4 18 4 22 Plante I 1 54 Plouffe L J 1 05 Poon R 2 32 Pope L 101 Popovic S 1 13 Poulin M J 2 50 Poulin N 4 22 Powell S 2 17 Priem J 1 24 2 38 Proehl G 2 43 Proulx C 4 40 Q Qutob S 4 38 R Ringuette N 2 03 Rippstein P 4 37 Robaire B 2 47 Roberts J 1 46 Robertson P 1 60 Robillard P 4 24 Rodrigues D 1 11 Rorije E 2 41 2 42 Rosenblatt D 2 29 2 37 Ross W 1 31 Rotaru S 4 41 4 46 Roushorne M 2 50 Rowan Carroll A 1 21 1 39 Rubab M 1 23 Ruddy T 1 28 2 19 Saber A T 2 04 S gi L 2
180. Pb de m me que du gypse de la bassanite et du ciment Portland CONCLUSIONS Les r sultats indiquent qu il est possible de pr dire la bioaccessibilit du Pb dans la poussi re partir de sa sp ciation Les r sultats r v lent galement que la poussi re domestique des maisons plus r centes lt 10 ans peut constituer un vecteur d exposition des concentrations lev es de Pb ce qui vient modifier de fa on importante la perception selon laquelle la contamination domestique au Pb ne concerne que les maisons plus anciennes Cette tude souligne l importance de prendre des pr cautions afin de r duire au minimum l exposition au Pb provenant de la poussi re domestique surtout pendant les travaux de r novation Liste d auteurs et les num ros d affiches Abdelouahab N 1 50 Abdesselam K 4 01 Adlard B 2 12 Afghan A 4 08 Ahier B 3 01 3 05 Aitken S 1 29 Alexander P E 2 25 2 26 Ali K 4 41 Amado V 2 43 Aranda Rodriguez R 1 57 5 03 Arbuckle T 5 02 Armstrong C 4 05 Baca Estrada M 4 20 Badovinac K 4 45 Bakouche L 4 03 Banerjee S K 4 03 Barker M 2 02 Barton Maclaren T 1 54 Bean M 3 02 3 05 Beaton L A 2 03 Beauchemin S 2 39 5 04 Becalski A 1 03 Beekhuijzen M E W 2 41 2 42 Behan N A 1 04 B langer G 4 22 Benotto M 3 05 Bensimon D 3 02 Beraldin F 1 13 Berg R 3 03 Bergman L 2 43 Bernatchez S 4
181. RD P Murphy MSC C Knee MSc L Vresk MSc RD N Holland MSc H Quach MSc D R Mack MD M Cooper PhD RD M R L Abb PhD et S Hayward 1 Bureau des sciences de la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 D partement des relations familiales et de la nutrition appliqu e Universit de Guelph Ont 3 H pital pour enfants de l est de l Ontario Ottawa Ont 4 D partement des sciences nutritionnelles Facult de m decine Universit de Toronto Toronto Ont 5 Bureau de l int gration des politiques alimentaires et des sciences Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L apport maximal tol rable AMT est la plus forte dose quotidienne susceptible de ne pas pr senter de risque pour la sant Lorsque la dose d passe l AMT le risque potentiel d effets ind sirables peut cro tre De nombreux experts pensent que les AMT actuels pour le zinc Zn chez les enfants sont trop faibles Dans la pr sente tude des gar ons ont re u des suppl ments de Zn et les effets ind sirables sur le bilan en cuivre Cu ont t recherch s La suppl mentation en Zn a augment la prise de poids et n a pas diminu le bilan en Cu Ces r sultats montrent qu il est n cessaire de r valuer les AMT pour le Zn chez les enfants OBJECTIFS Le Zn est un nutriment essentiel qui joue un r le important dans la croissance et le bon fonctionnement de n
182. S CONTEXTE QUESTION S Les compos s chimiques des polluants environnementaux peuvent se lier l ADN et former ainsi des adduits d ADN Les adduits d ADN sont g n ralement analys s l aide de compos s radiomarqu s par exemple la m thode de postmarquage au P Nous avons pour objectif de mettre au point une autre m thode qui ne n cessite pas le recours des compos s radiomarqu s C est la raison pour laquelle nous avons choisi la spectrom trie de masse En outre nous visons galement adapter cette m thode dans le but d analyser rapidement l exposition aux contaminants de l environnement PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons choisi de synth tiser des adduits d ADN contenant de l ad nosine et de la crotonald hyde un contaminant chimique fr quemment pr sent dans l environnement qui a tenu lieu de mod le Nous avons fait r agir l ad nosine avec la crotonald hyde en pr sence de la fraction S9 de foie de rat pendant 48 heures 37 puis cette r action a t suivie d une extraction organique Par la suite les chantillons ont subi des analyses par LCMS et MALDI TOF MS MS Les param tres de la m thode par LCMS taient les suivants pour ce qui est de la colonne C18 en phase inverse capillaire pour la phase mobile 10 90 d ACN en solution aqueuse 0 1 de TFA pour le d bit 10 L min Les chantillons ont t d pos s sur des plaques MALDI s ch s lav s avec une solution aqu
183. SESC Sarah Leslie Analyste des politiques Direction de la recherche et de la radioprotection DGSASC Kirsten Mattison Chercheuse scientifique Direction des aliments DGPSA Jamie Nakai Chimiste Direction de la s curit des milieux DGSESC Sithian Pandian Agent d valuation Direction des produits th rapeutiques DGPSA Jayadev Raju Chercheur scientifique Direction des aliments DGPSA Atiq Rehman Coordinateur des valuations Direction des aliments DGPSA Marc Rigden Biologiste Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Michael Rosu Myles Chercheur scientifique Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Erling Rud Gestionnaire de recherche Chef par int rim Bureau de dangers microbiens DGPSA Neeru Shrestha Analyste principale des politiques Direction des politiques de la planification et de l int gration DGSESC Anu Shukla Jones Agente de politiques r glementaires Direction des aliments DGPSA Phil Shwed Chercheur scientifique Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Trevor J Stocki Chercheur scientifique Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Mike Wade Chercheur scientifique Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Chaowu Xiao Chercheur scientifique Direction des aliments DGPSA Kathrina Yambao Biologiste principale Direction de la s curi
184. SIONS Les r sultats indiquent que les rayons UV ont pour effet d accro tre de fa on consid rable la toxicit des PQ TeCd l gard des cellules mammaliennes expos es ces nanoparticules L tude a confirm l existence d une corr lation entre la toxicit des PQ TeCd et la r action de photolyse des nanoparticules qui produit des esp ces r actives de l oxyg ne et du cadmium libre toxiques Cette tude fournit des renseignements qui devraient tre pris en compte par les valuateurs en ce qui concerne la toxicit associ e aux PQ TeCd activ s par les rayonnements qui pourraient tre utilis s dans un proche avenir en milieu clinique Ces travaux sont effectu s sous la direction conjointe des D Willmore Universit Carleton et Tayabali Sant Canada 4 39 Une application de la spectrom trie de masse avec dilution isotopique d termination de la quantit d ochratoxine A dans l tude canadienne sur l alimentation totale P Pantazopoulos J Tam P M Scott J Moisey R W Dabeka et I D K Richard L Division de la recherche sur les aliments R gion de l Ontario DGRP Sant Canada Toronto Ont SALES des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Dans cette tude nous mesurons les quantit s d ochratoxine A OTA dans un r gime alimentaire canadien typique L OTA est une mycotoxine qui a t associ e des n phropathies chez l humain et l animal et a t class e
185. SSH pour combler les lacunes dans les domaines suivants comportement et devenir des substances chimiques dans l environnement toxicologie des substances chimiques exposition aux concentrations naturelles physiologie humaine ingestion et biodisponibilit des particules de sol et des poussi res et param tres anthropom triques poids corporel EFFETS 1 Des profils toxicologiques ont r cemment t tablis nouvelles RQSSH ou mis jour RQSSH existantes pour les hydrocarbures aromatiques polycycliques le n hexane et plusieurs m taux c d Pb Ni Zn et Ba et d autres sont en voie d tre tablis pour le chlorure de vinyle les compos s perfluor s et un certain nombre d autres m taux c d Cr 2 De nouveaux milieux d exposition poussi re air int rieur lait humain ont t pris en compte dans l valuation des sources environnementales de produits chimiques 3 La m thodologie de d termination de la dose journali re estim e DJE a t mise jour pour inclure une approche probabiliste 4 Les facteurs d exposition ont t mis jour de mani re ce qu ils refl tent les donn es amass es actuellement au sein de la population canadienne c d projet d harmonisation en fonction du poids corporel en cours 5 Mise jour des taux d ingestion des particules de sol et des poussi res en cours 6 Collaboration avec la Geological Society of Canada visant obtenir des donn es sur
186. TS CONCLUSIONS Dans l ensemble les donn es microbiologiques g n tiques et sur les acides gras produites par les constituants du m lange microbien dans les cultures liquides et la matrice organique concordaient avec l identification microbienne et les quantit s de microbes L analyse directe des cultures liquides a permis l optimisation du protocole d analyse des EMAG et l observation impr vue des plaques de lyse L analyse indirecte du m lange effectu e par extraction de ADN m tag nomique suivie du clonage et du s quen age de l ADNr 16S s est r v l e prometteuse comme m thode de d termination de la proportion des constituants du m lange Les prochaines tapes porteront sur le s quen age d un marqueur phylog n tique bact rien additionnel gyrB ainsi que sur la validation et l identification du bact riophage Les r sultats de notre tude permettront d optimiser les futures analyses de m langes microbiens plus complexes dont ceux qui figurent dans la Liste int rieure des substances 4 14 Quantification par spectrom trie de masse des antig nes viraux h magglutinine et neuraminidase dans les vaccins contre la grippe M Creskey C Li J Wang M Girard C Gravel A Farnsworth X Li D Smith et T Cyr Centre d valuation des vaccins DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont National Institutes for Food and Drug Control The State Food and Drug Administration R publique populaire de Chi
187. Warrington Royaume Uni Environmental Assessments Deparment Chilton Royaume Uni JO Om ON ef et ei et L N R SUM L Agence internationale de l nergie atomique AIEA a mis sur pied le programme Mod lisation de l environnement pour la s ret radiologique Il dans lequel Groupe de travail 1 GT1 compare les diff rentes m thodes d valuation des doses pour les rejets radioactifs r guliers dans l environnement par les installations nucl aires Cette comparaison s effectue selon deux sc narios diff rents de mod lisation des rejets un pour un r acteur nucl aire situ sur la c te et l autre pour un r acteur nucl aire situ sur la rive d un fleuve Cet exercice de mod lisation vise mieux comprendre les proc dures d valuation des impacts radiologiques des installations nucl aires en tenant compte de toutes les voies d exposition possibles OBJECTIFS En janvier 2009 TAIEA a lanc le programme EMRAS II afin d laborer et de comparer les mod les d valuation des impacts radiologiques des sources anthropiques de radioactivit sur le public et l environnement En offrant un forum pour l change d exp riences le programme vise soutenir les pays d sirant implanter et harmoniser leurs capacit s en la mati re Neuf groupes de travail GT sont actifs au sein du programme EMARS II et le pr sent document porte sur les travaux du GT1 M thodes de r f rence pour le contr le des rejets
188. a r vision et l laboration de nouvelles recommandations pour la qualit des sols en fonction de la sant RQSS Le processus d laboration de RQSS repose en partie sur les doses journali res estim es DJE qui valuent l exposition naturelle concomitante habituelle aux substances chimiques provenant de toutes les sources connues ou soup onn es air eau sol poussi re aliments et produits de consommation et via toutes les voies d exposition connues ou soup onn es inhalation ingestion contact cutan chez le Canadien moyen Au lieu d utiliser une approche d terministe pour tablir les DJE nous avons labor une m thode probabiliste et nous la pr senterons ici avec ses forces ses limites et les am liorations y apporter dans le futur OBJECTIFS valuer les nouvelles doses journali res estim es pour la population canadienne requises pour qu on puisse tablir des recommandations pour la qualit des sols en fonction de la sant humaine M THODES Pour chaque substance chimique faisant l objet d une r vision ou d une mise jour des RQSS un examen approfondi de toutes les bases de donn es canadiennes disponibles portant sur l air l eau la poussi re et les aliments a t effectu au moyen de recherches dans les publications scientifiques et la documentation parall le La validit scientifique de tous les articles existants des rapports non publi s et des bases de donn es a t valu e
189. abitudes alimentaires aux U et au Canada r percussions sur l estimation de l exposition aux pesticides P Brassard PhD D Garriguet K Langlois et E L v que PhD Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire Sant Canada Ottawa Ont Division de l analyse de la sant Statistique Canada Ottawa Ont R SUM Des tudes r centes montrent que les Canadiens mangent peut tre plus de fruits et de l gumes frais que les Am ricains Sant Canada compare donc les habitudes alimentaires dans les deux pays afin de d terminer s il conviendrait d laborer une version canadienne de la Food Commodity Intake Database FCID des U actuellement utilis e dans les deux pays pour valuer l exposition aux pesticides Les r sultats de cette comparaison devraient indiquer si la croyance populaire suivant laquelle les habitudes alimentaires des Canadiens et des Am ricains devraient g n ralement tre les m mes vu que les denr es alimentaires sont distribu es partout et accessibles tous sur le march nord am ricain CONTEXTE Des tudes r centes r v lent que les Canadiens consomment peut tre plus de fruits et de l gumes frais que les Am ricains Bien que les taux de disparition dans la consommation de fruits et de l gumes frais semblent galement indiquer une diff rence similaire la validit statistique de cette tendance n a pas t tablie Sant Canada compare donc les habitudes ali
190. aciliter l valuation des fondements scientifiques des all gations sant relatives la sati t accompagnant certains aliments CONTEXTE OBJECTIF Les strat gies nutritionnelles qui augmentent la sati t et r duisent la consommation d aliments pourraient se r v ler un outil potentiel pour la gestion de poids La forte consommation de fibres alimentaires est associ e des concentrations d hormones intestinales qui influent sur l apport alimentaire Toutefois l effet des fibres alimentaires semble d pendre la fois du degr et de la vitesse de leur fermentation dans le gros intestin La pr sente tude examine l effet de mati res fermentescibles sur la consommation court terme d aliments l accent tant mis sur l association entre le taux de fermentation et les hormones intestinales PLAN M THODE DESCRIPTION Trois cent quarante quatre rats m les Fisher g s de 7 semaines suivront des di tes caloriquement appari es contenant soit de la cellulose t moins 10 de son de bl SB ou 5 de fructo oligosaccharides FOS pendant 3 semaines avant le d but des tests Le SB et les FOS renferment la m me quantit totale de mati res fermentescibles mais leur taux de fermentation diff re Apr s la p riode d adaptation les rats recevront par gavage quatre pr charges de nutriments glucose prot ine de petit lait huile de canola et eau des jours diff rents La consommation court terme d aliments 2 h la r
191. aintien de la r ponse inflammatoire l gard d une infection Le blocage du TNF a entra ne l interruption des fonctions dont ce facteur est l interm diaire notamment l activation cellulaire la prolif ration la formation et le maintien des granulomes Par cons quent il a t d montr que les inhibiteurs du TNF a augmentent le risque d infection granulomateuse dont la plus importante est la TB R SULTATS Dans la gestion du risque de TB il est important d effectuer un test cutan la tuberculine et une radiographie pulmonaire pour d terminer les conditions de base avant l instauration du traitement Le dosage de l interf ron gamma dans un chantillon de sang total est un nouveau test prometteur pour le d pistage de la TB latente qui peut servir d appoint au test de r action la tuberculine On doit galement surveiller la TB active pendant que les patients sont sous immunoth rapie aux AcM y compris ceux ayant obtenu un r sultat n gatif au d pistage de la TB latente CONCLUSION En cons quence de la sensibilisation accrue au risque d infection associ aux traitements immunomod rateurs aux AcM la TB fait partie des risques mentionn s dans la monographie de produit canadienne concernant l ensemble de la classe des th rapies immunomod ratrices aux AcM Il est essentiel d informer les patients des complications infectieuses associ es ce traitement et de faire preuve de vigilance pour d celer ces v neme
192. alation La fum e tait produite par une machine fumer la cigarette Les t moins ont subi un traitement fictif Pour valuer la fonction et l int grit des spermatozo des on a mesur les param tres suivants mobilit l sions l ADN et mutations l ADN L exposition la fum e de tabac a t d termin e par une mesure de la concentration de cotinine dans le plasma R SULTATS Selon la concentration de cotinine les expositions taient comparables celles des fumeurs l gers lt 5 cigarettes jour et celles des fumeurs passifs pour ce qui de la FTP et de la FTS respectivement On a observ les diff rences de sensibilit particuli res suivantes dans les cellules germinales apr s une exposition la FTP et la FTS 1 seule la FTS a r duit la mobilit des spermatozo des 2 seule la FTP a induit des bris de brins d ADN dans les spermatozo des 3 la fois la FTP et la FTS ont augment le nombre d anomalies dans la structure de la chromatine et 4 la fois la FTP et la FTS ont caus des mutations l ADN dans les spermatozo des Il est int ressant de noter que pour la majorit des param tres tudi s on a obtenu peu de signes d effets li s la dose puisque l exposition aux faibles doses de FTP et de FTS tait aussi efficace que les fortes doses CONCLUSIONS Ces r sultats indiquent que la FTP et la FTS ont des effets diff rents sur l int grit g n tique et la fonction des spermatozo de
193. ali res estim es pour la population e lee 1 09 Habitudes alimentaires aux U et au Canada r percussions sur l estimation de l exposition aux pesticides 1 10 M dicaments biologiques issus de la mol culture v g tale comment se frayer un chemin vers le march canadien ssseertrrrtttrtttttttttttttttttttttttttttttttEtEtEEteEnt 1 11 Bisph nol A dans le placenta et le foie de f tus humains nensnsenernnrertrerrrrrrrene 1 12 Pr sence du bisph nol A dans des chantillons d aliments repr sentatifs de l alimentation totale et estimations de la dose journali re 1 13 Effets de l exposition prolong e la mycotoxine ochratoxine A OTA sur l expression g nique dans les reins de souris de type sauvage et de souris transg niques pr dispos es au cancer esseeeseeeeeeeetteettett teretne ttnn n ennenen ennenen nenene 1 14 Acide folique dans les c r ales pour petit d jeuner au Canada 1 15 Accumulation tissulaire de produits chimiques la suite de l exposition pr natale et ou postnatale des m langes de contaminants environnementaux 1 16 Les effets de la perturbation de l hormone thyro dienne sur le d veloppement c r bral de la souris au d but de la gestation 1 17 Projet TeleForm sur le diab te et la grossesse PTDG eecnccnnnnnenrneeeeen 1 18 Mise au point
194. aluations des doses dues des isotopes sp cifiques ont t r alis es pour s assurer qu il ny avait aucun risque pour la sant des Canadiens Les r sultats obtenus Tokyo taient rapport s quotidiennement l ambassade ainsi qu une valuation des risques pour la sant Dans le cadre du suivi en temps r el de la situation on tait pr t 24 heures par jour 7 jours par semaine d clencher des alarmes si les niveaux d passaient les directives de s curit Ce type de surveillance t moigne du degr de pr paration de Sant Canada dans le cas d une urgence radiologique en sol canadien CONCLUSION Cette surveillance environnementale des d bits de dose pour la population et la connaissance situationnelle accrue ont contribu assurer la sant et la s curit des Canadiens au pays et l tranger 3 04 La surveillance radiologique au service du Plan f d ral en cas d urgence nucl aire la suite de l accident nucl aire de Fukushima au Japon J Whyte MSc E Pellerin MSc D Sandles S Kiser C Mifflin et K Wright 1 Section de la surveillance nationale Bureau de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le 11 mars 2011 le Japon a connu un important tremblement de terre suivi d un tsunami et d un accident la centrale nucl aire de Fukushima Aux termes du Plan f d ral en cas d urgence nucl aire du Canada on s est tourn vers les r seaux de surveillance de
195. ances sur le r le des propri t s physico chimiques dans la toxicit des nanomat riaux et l analyse des m canismes de toxicit Les r sultats claireront les aspects m canistes des interactions cellule NTC et de leurs effets possibles sur la sant Cette information sera utile pour bien valuer les risques pos s par les nanotubes de carbone et pour r glementer ce domaine en cons quence 4 16 Comparaison et mise en opposition de l utilit pour la pharmacovigilance du Plan de gestion des risques et du Rapport p riodique de pharmacovigilance le point de vue r glementaire S Drmanic Storbeck MSc R Ing S Semalulu PhD et D Vu PhD 1 Bureau des produits biologiques biotechnologiques et de sant naturels commercialis s Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Un Plan de gestion des risques PGR est une description des mesures de gestion et d att nuation des risques mises en uvre par le commanditaire pour faire face aux risques pr vus associ s son produit et doit tre pr sent durant les phases du cycle de vie pr c dant et suivant l autorisation du produit Le Rapport p riodique de pharmacosvigilance RPP un outil de gestion des risques pour les produits de sant commercialis s assujettis la r glementation est un document ind pendant Ces valuations permettent de d celer des signaux indiquant des risques nouveaux ou accrus associ s aux
196. and S 1 60 Dubowski J 1 57 Dufresne G 1 13 Dumais L 1 52 Duplessis M 4 11 Dyck M 4 17 E Ernest S 2 47 Esslinger K 1 52 Faizan M 1 44 Fan L 1 60 Fan X 2 13 Farber J M 4 01 4 02 4 03 4 11 4 26 Farnsworth A 4 14 4 19 4 30 4 42 Faucher S 1 19 Feder K 2 14 Feeley M 1 13 Feng S 1 03 Gaertner D 2 47 Gagn R 1 21 1 45 Gagnon H 1 22 Gagnon J 1 22 Gallo A 1 32 Gao Y 1 47 Gao Z 2 38 Garriguet D 1 10 Gaudet J 1 59 Gauvin S 5 03 Gavina J M A 1 23 1 24 Geleynse M 1 05 G mar L 2 15 Genovesi L 3 04 Gerdes M 1 25 Gerrits M F 2 16 Gibbons N 1 60 Gibeault S 4 27 Gibson M 2 28 Gilani G S 1 60 Habashi R 1 29 Haber M 2 20 4 31 Haider 2 14 Hakkert B C 2 41 2 42 Halappanavar S 2 31 Hales B 2 47 Hamm K 2 18 Hammond D 2 35 Harner T 2 48 Hart C 2 21 Hassen W 1 57 Hayward S 1 05 1 46 He R 4 42 Feng Y L 1 23 1 24 1 50 2 38 2 48 Ferrarotto C 2 03 Filiatreault A 1 28 2 19 Filippenko V 4 20 4 27 Florian M 1 20 1 37 2 53 Fontana Chow F 1 32 Fotakis G 2 16 Fournier J 1 19 Frahm G 4 21 Fraser W 5 02 G Gillis A 2 17 Gillis D 1 26 Gillmore J 4 17 Gingras G 1 27 1 30 4 43 Girard M 1 33 4 14 4 20 Gold D 2 32 Goodyer C G 1 1
197. ang humain 2 03 Examen de l utilisation potentielle de la r ponse y H2AX et des atteintes chromosomiques dans les lymphocytes humains comme biomarqueurs de la sensibilit aux radiations LA Beaton MSc S Samiee MD S Malone MD C Ferrarotto N Ringuette et R C Wilkins PhD 1 Bureau de la protection contre les rayonnements des produits cliniques et de consommation DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement de radio oncologie Centre de canc rologie de l H pital d Ottawa Universit d Ottawa Ottawa Ont 2 R SUM Les patients canc reux ayant subi une radioth rapie peuvent souffrir d effets secondaires graves apr s leur traitement Le pr sent projet qui consiste examiner des chantillons de sang de patients ayant pr sent des effets induits par les radiations ainsi que de patients chez qui les radiations n ont entra n aucun effet toxique vise tablir une m thode permettant de cerner les patients les plus sensibles aux radiations Les r sultats pr liminaires montrent que apr s l exposition une dose lev e de radiations les cellules sanguines des patients sensibles pr sentaient plus d alt rations que celles des patients non radiosensibles La comparaison du nombre d alt rations apr s l irradiation pourrait permettre de d terminer les patients sensibles et de leur offrir un traitement diff rent ou moins intense La connaissance de l intervalle des r ponses aux radiatio
198. anistes BSSER Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les produits biotechnologiques contenant des microorganismes sont r glement s par divers minist res et agences du gouvernement dont Sant Canada L une des cat gories de produits microbiens comprend les m langes de diff rents microorganismes qui agissent de concert pour exercer une fonction telle la promotion de la croissance des v g taux Dans le cadre de notre projet nous analysons diff rentes techniques d identification des constituants d un m lange bact rien Nous avons obtenu l identification partielle de chaque microbe en comparant les s quences g nomiques et les composants de la membrane cellulaire aux bases de donn es du laboratoire Les r sultats de notre tude peuvent servir de fondement des travaux de recherche ult rieurs et repr sentent un pas important dans la validation et l optimisation de futurs protocoles d analyse des m langes microbiens plus complexes comme les consortiums OBJECTIFS Un certain nombre de produits biotechnologiques utilis s au Canada sont des m langes microbiens et la mise au point ainsi que la validation des m thodes d identification et de d nombrement pourraient faciliter l valuation des produits Nous pr sentons ici une comparaison entre les m thodes microbiologiques le s quen age g nomique de TADN ribosomique ADNr 16S et l analyse des esters m thyliques d acides gras EMAG appliqu s un produit brevet conten
199. ant Canada Ottawa Ont Bureau d valuation du risque des substances existantes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Il est connu que la fum e principale et secondaire cause des effets nuisibles sur la sant Il a t tabli que la fum e principale entra ne des l sions l ADN et des mutations dans les spermatozo des qui peuvent tre transmises aux descendants On en sait peu sur les r percussions de la fum e secondaire sur la reproduction La pr sente tude montre que la fum e secondaire a des effets sur la fonction des spermatozo des et induit des l sions l ADN dans le mod le souris Ces effets ont t mesur s des degr s d exposition comparables aux degr s auxquels des humains c toyant des fumeurs sont expos s et viennent l appui de la r glementation actuelle du gouvernement du Canada qui vise viter et r duire l exposition la fum e de tabac OBJECTIFS D terminer si l exposition la fum e principale et secondaire a des effets sur la fonction et l int grit des spermatozo des de souris et tablir si les effets diff rent entre les deux types de fum e MAT RIEL ET M THODES Des souris m les ont t expos es deux doses de fum e de tabac principale FTP soit la fum e inhal e par les fumeurs ou la fum e de tabac secondaire FTS Les animaux ont t expos s la fum e de 3 ou 16 cigarettes par jour pendant deux semaines dans des chambres d inh
200. ant Canada Ottawa Ont R SUM Les vaccins contre le m ningocoque de s rogroupe C ou contre Haemophilus influenzae de type b Hib reposent sur la liaison chimique de l ingr dient actif soit un ou plusieurs polysaccharides isol s partir de la bact rie une prot ine porteuse comme la prot ine CRM 7 prot ine r action crois e Cette derni re est un mutant naturel de la toxine dipht rique issu d une modification unique du g ne qui produit une mol cule non toxique Ces vaccins font appel la capacit de la prot ine CRM 9 de stimuler le syst me immunitaire d agir comme un adjuvant afin d accro tre la production d anticorps neutralisants contre la bact rie cible La spectroscopie RMN nous permet de d montrer que le fragment A de la prot ine CRM 97 pr sente une structure tr s diff rente de celle du domaine correspondant de la toxine dipht rique CONTEXTE La prot ine CRM 97 est un mutant naturel non toxique de la toxine dipht rique DT La modification d un seul nucl otide provoque la transformation de la glycine 52 en un glutamate dans le domaine catalytique fragment A de la toxine dipht rique DTA L absence de toxicit de la prot ine CRM s explique probablement par une modification de la structure du domaine catalytique qui perturbe l activit catalytique Notre principal objectif est de comparer la structure de la DTA celle de la prot ine CRM 97 l aide de la spectroscopie RMN M
201. ant deux esp ces bact riennes sous forme de m lange dans une matrice organique de m me que dans des cultures liquides distinctes pour chaque souche PLAN Nous avons ensemenc et cultiv chaque produit sur un milieu s lectif en vue du d nombrement Nous avons s quenc lADNr 16S provenant des cultures liquides ou l ADN m tag nomique extrait du m lange et nous avons effectu une comparaison avec les s quences d ADNr 16S brevet es d une base de donn es Nous avons saponifi les cultures liquides suivant un protocole standard d analyse des EMAG analys les extraits par chromatographie en phase gazeuse et compar les r sultats une banque d EMAG brevet s R SULTATS C est l ADNr 16S des cultures liquides qui correspondait le mieux aux entr es relatives Bradyrhizobium sp souche ATCC 10319 Bsp et au Bacillus sp souche ATCC 23350 8 amyloliquefaciens Avec l analyse des EMAG les meilleures correspondances ont t obtenues pour un sous groupe de Bradyrhizobium japonicum et les membres d un sous groupe de Bacillus respectivement Les d nombrements des colonies se situaient dans les limites de l erreur exp rimentale des valeurs du fournisseur Lorsque la densit de l ensemencement de Bacillus tait lev e nous avons observ des plaques de lyse Nous avons constat que l ADNr 16S m tag nomique issu du m lange correspondait Bsp et Bacillus sp ATCC 6633 dans un rapport de 9 sur 1 EFFE
202. aparella D Ramsingh E Reaves P Ridgway E Schenk L Stachiw B Ulbrich et B C Hakkert L Laboratory for Health Protection Research National Institute for Public Health and the Environment RIVM Bilthoven Pays Bas Substance Expertise Center National Institute for Public Health and the Environment RIVM Bilthoven Pays Bas Center for Substances and Integrated Risk Assessment National Institute for Public Health and the Environment RIVM Bilthoven Pays Bas Institute for Risk Assessment Sciences IRAS Utrecht University Utrecht Pays Bas Office of Research and Development U S Environmental Protection Agency tats Unis Office of Pesticide Programs U S Environmental Protection Agency tats Unis ARLA Sant Canada Ottawa Ont Federal Institute for Risk Assessment BfR Safety of Substances and Preparations Berlin Allemagne 3 NOTOX B V s Hertogenbosch Pays Bas Chemicals Regulation Directorate Health and Safety Executive Bootle L20 7HS GB Environment Agency Austria Vienne Autriche R SUM Les tudes de toxicit pour la reproduction sur deux g n rations ligne directrice 416 de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE et USEPA 870 3800 ont t abondamment utilis es l chelle internationale pour l valuation des effets n fastes des substances sur la reproduction Avec moins de ressources et des appels pour le testes d animaux la n cessit
203. aricelle OBJECTIFS CONTEXTE La puissance des vaccins contre la varicelle est actuellement d termin e par la m thode des plages de lyse qui consiste incuber le virus avec les cellules pendant sept jours afin de permettre aux plages de lyse virales de se former puis compter les plages de lyse l il nu Cette m thode comporte les limites suivantes 1 dur e de l essai 2 grand besoin de main d uvre 3 r sultats ambigus entra nant des variations au sein des laboratoires et entre ceux ci R cemment le Comit consultatif national de l immunisation a recommand l Agence de la sant publique du Canada ASPC de modifier le calendrier d immunisation syst matique des enfants afin que soient administr es deux doses du vaccin contre la varicelle plut t qu une seule comme c est le cas actuellement En raison de l augmentation de la demande l gard de ce vaccin il est n cessaire de disposer d un nouvel essai permettant d accro tre la capacit des fabricants et des organismes de r glementation de fournir un plus grand nombre de lots de vaccins tout en respectant les m mes les exigences de qualit PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons con u un nouvel essai qui permet d valuer la puissance des vaccins contre la varicelle au moyen de la PCR quantitative combin e une technique permettant d infecter plus efficacement les cellules Gr ce cette m thode il est possible d obtenir les r sultats rela
204. arqueurs du stress oxydatif a galement augment la suite de l exposition aux particules fines L exposition aux particules grossi res n a pas entra n de changement notable des marqueurs de l urine Dans le sang l exposition aux particules grossi res a engendr une augmentation statistiquement significative de la concentration d endoth line 1 un vasoconstricteur L exposition des particules tant fines que grossi res a entra n une r duction de la concentration de la prot ine C r active un biomarqueur r actif de la phase aigu de l inflammation syst mique tandis que l exposition aux particules fines seulement a produit une r duction des concentrations de TBARS CONCLUSIONS Les particules fines et grossi res semblent exercer leurs effets n fastes de mani re diff rente Les particules fines et grossi res ont des sources diff rentes les particules fines proviennent principalement de la combustion des combustibles fossiles tandis que les particules grossi res proviennent des activit s de construction de la poussi re des routes et de sources biologiques pollen bact ries champignons Les donn es fournies par cette tude permettront Sant Canada d valuer les risques pour la sant des polluants particulaires leur source et leurs l ments constitutifs et d laborer des lignes directrices sur la qualit de Pair 2 33 valuation de biomarqueurs humains apr s exposition la fum e de bois pa
205. asian annee ln te tanins 2 43 Cartographie des effets biologiques des polluants inhal s ciblant le cerveau et LE NA siele TN ae i E i a A A ea Tsa 2 44 Variation saisonni re et diurne des niveaux d exposition aux particules ultrafines dans les v hicules priv s Toronto Canada eseesseseeeeeeeeeeeeerrrreirreessrrrrrrnnen 2 45 Difficult s associ es l utilisation des donn es de surveillance de la qualit de l eau comme fondement aux d cisions r glementaires visant les pesticides 2 46 Toxicit chez les rats m les adultes d un m lange de substances ignifuges comparable ce qui existe dans l environnement des doses observ es dans la poussi re domestique sense 2 47 Transformation dans l environnement des polybromodiph nyl thers PBDE expos s aux rayons UV formation de polluants secondaires 2 48 Pollution atmosph rique li e la circulation automobile et changements aigus de la variabilit de la fr quence cardiaque et de la fonction respiratoire chez les cyclistes en milieu urbain ss 2 49 laboration des premi res recommandations sur la qualit des s diments pour la protection de la sant humaine au Canada nannnnnnnonenennnnenoensnnrnnrernsesenenrrrrenn 2 50 Caract ristiques fondamentales de la s curisation culturelle examen des donn es probantes visant clairer la prise de d cisions en mati re de programmes et de p
206. atifs Une trousse sera produite et mise la disposition des autres laboratoires qui voudront l utiliser Gr ce l automatisation du proc d de d nombrement l application permet de gagner beaucoup de temps et d am liorer la reproductibilit de l analyse des mutations SRTA 1 22 Analyse de traces de m taux lourds dans les produits de sant naturels par ICP MS H Gagnon BSc L Dextraze BSc J Verreault BSc et J Gagnon MSc Programme de laboratoire de l Inspectorat laboratoire de Longueuil DGRP r gion du Qu bec Sant Canada Longueuil Qc R SUM Puisque les produits de sant naturels PSN sont utilis s par une grande partie de la population canadienne on a constat qu une m thode rapide et fiable d analyse des m taux lourds pr sents l tat de traces dans ces produits tait n cessaire et une m thode analytique reposant sur lICP MS a t con ue Utilis e depuis quelques ann es cette m thode s est r v l e fiable et avantageuse par rapport celle utilis e auparavant De plus cette nouvelle m thode permet au Programme des produits de sant naturels d assurer linnocuit des produits de sant naturels au Canada OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Dans le cadre de son mandat le Programme de laboratoire de l Inspectorat de SC doit fournir des r sultats d analyse chimique fiables afin d appuyer les inspections et les enqu tes relatives aux PSN Le dosage de l arsenic du cadmium
207. ation annuelle Si l on observe plusieurs progr s r alis s sur le plan de la production de l innocuit et de limmunog nicit rares sont les am liorations obtenues en mati re de stabilit Nous avons labor un mod le permettant d expliquer la perte d activit des vaccins et avons utilis la bio informatique pour s lectionner d ventuels stabilisateurs du vaccin antigrippal Nous avons valu l effet de plusieurs compos s identifi s sur la thermostabilit de vaccins antigrippaux trivalents Ces r sultats laissent entrevoir une m thode pour mettre au point des vaccins thermostables et d autres m thodes biophysiques pour valuer l efficacit des vaccins antigrippaux CONTEXTE Le vaccin antigrippal standard actuellement recommand par l OMS est un vaccin trivalent d riv de deux sous types de virus de la grippe A et d un type de virus de la grippe B La vaccination annuelle est recommand e pour maintenir une protection compl te et la dur e de conservation d un vaccin antigrippal n est g n ralement pas un sujet de pr occupation Toutefois peu de temps apr s la mise en circulation des vaccins monovalents H1N1 en 2009 les fabricants et les autorit s r glementaires ont commenc faire tat d une diminution de la teneur en h maggjlutinine HA ce qui a amen revoir la date de p remption de bon nombre de ces vaccins Nous avons not une corr lation entre certaines souches vaccinales particuli res
208. ayons ultraviolets UV Il est important de comprendre les m canismes de la l sion cellulaire induite par les PQ TeCd expos s aux rayons UV pour pouvoir valuer les risques pos s par les nanoparticules et promouvoir leur application clinique Dans cette tude nous examinons les effets des rayons UV sur la toxicit des PQ TeCd dans les cellules h patiques humaines car le foie semble tre un des principaux organes cibles de la toxicit des PQ lors de l utilisation des nanoparticules dans des applications cliniques Les cellules ont t expos es des PQ TeCd dans diff rentes conditions d clairage Les r sultats ont r v l que les rayons UV provoquaient une augmentation marqu e de la toxicit des PQ TeCd Ces observations donnent des renseignements d ordre m caniste sur la toxicit des PQ TeCd qui aideront les responsables de la r glementation d finir les conditions d utilisation s curitaire de ces nanoparticules OBJECTIF Le but de cette tude tait d examiner les effets des rayons UV sur la cytotoxicit des PQ TeCd dans une lign e de cellules h patiques humaines PLAN On a utilis diff rentes concentrations 10 10 ug ml de PQ TeCd pour l exposition de cellules d h patome humain HepG2 dans diff rentes conditions d clairage Dans une s rie d exp riences les cellules ont t expos es des PQ TeCd pendant 24 h l obscurit ou dans des conditions d clairage fluorescent ambiant de la pi ce o
209. bl me en 2010 la Direction des politiques scientifiques de Sant Canada a entam une analyse approfondie de l approche fond e sur le poids de la preuve dans le cadre d un projet planifi par un groupe de travail sur l valuation scientifique des risques En examinant les interpr tations actuelles et en recherchant les meilleures pratiques exemplaires possibles gr ce l analyse on vise am liorer l uniformit et la coh rence des valuations de risque CONTEXTE L valuation du risque associ une preuve scientifique est un l ment essentiel permettant de prendre des d cisions clair es fond es sur des donn es probantes Sant Canada En outre dans le cas de nombreux programmes de r glementation du Minist re les conclusions et les recommandations tir es d une valuation du risque doivent souvent tre formul es en l absence de donn es probantes d finitives indiquant un lien de cause effet entre une substance particuli re ou une activit et les effets sur la sant associ s Dans ce contexte une approche fond e sur le poids de la preuve est fr quemment cit e comme assise sur laquelle s appuient les recommandations en mati re d valuation du risque et en dernier les prises de d cisions sur la gestion du risque Toutefois dans de nombreux cas le recours ce terme ne s accompagne pas de d finitions pr cises ni de d tails Dans beaucoup de cas cette utilisation aboutit plusie
210. cerne le s rum On a r cemment compris que le placenta humain essentiel au d veloppement f tal normal tait le si ge d une accumulation de BPA Dans le but d identifier les g nes cibles et les voies associ s au BPA dans le placenta humain et d expliquer les variations des effets faible dose du PBA observ es A7 vitro nous avons compar l expression globale des g nes dans des FMVH expos s au BPA dans trois conditions sur le plan du s rum M THODES Les FMVH ont t cultiv s dans du milieu contenant 10 de s rum de veau f tal FBS 10 de FBS trait au charbon CSFBS ou 0 de FBS NFBS et ont t expos s du BPA raison de 0 0 01 1 ou 100 uM pendant 24 heures On a valu l expression globale des g nes l aide d une biopuce Affymetrix Human Gene 1 0 ST Les valeurs de l expression ont t analys es l aide de la biblioth que d algorithmes MAANOVA Microarray Analysis of Variance dans l environnement R un langage d analyse statistique La fonction des g nes et les r seaux de voies en cause ont t identifi s l aide de la fonction Core Analysis du logiciel Ingenuity Pathways Analysis IPA R SULTATS Ce n est qu une dose de 100 pM que le BPA a modifi de mani re significative gt 1 5 fois l expression de 533 800 et 712 g nes dans les FMVH dont le milieu de culture contenait respectivement du FBS du CSFBS et 0 de FBS Parmi ces g nes 188 ont vu leur expr
211. clonaux pr sentent en g n ral un bon tableau d innocuit il est cependant essentiel d avoir une bonne connaissance pratique des complications infectieuses qui leur sont associ es afin d informer les patients de ces risques et de faire preuve de vigilance pour d celer ces v nements ind sirables OBJECTIF Souligner le risque d infection tuberculeuse associ aux th rapies immunomod ratrices faisant appel aux anticorps monoclonaux AcM et l importance de proc der un d pistage pr alable chez les patients et d effectuer une surveillance troite chez ces personnes apr s l instauration du traitement aux AcM DESCRIPTION Le traitement aux AcM est un type d immunoth rapie utilis dans le cas de diff rentes maladies graves telles que la polyarthrite rhumato de Il pr sente des avantages sur le plan de l activit de la sp cificit et de l innocuit car le produit est con u pour se lier des cibles mol culaires particuli res Toutefois comme ces anticorps interf rent avec limmunit naturelle de l organisme ils causent souvent des infections rares et courantes chez les patients trait s Des cas de TB ont t signal s chez des patients suivant un traitement immunosuppresseur aux AcM L adalimumab inhibiteur du facteur de n crose tumorale TNF a est l un des AcM utilis s dans le traitement de la polyarthrite rhumato de Le TNF a est une cytokine qui joue un r le central dans l tablissement et le m
212. compos s n cessitant une activation par CYP1A1 p ex BaP 3MC ainsi que l aflatoxine B1 et les imadazo azaar nes tels que Trp P 2 et IQ 1 2 5 ordres de grandeur Inversement l activation par fraction S9 de foie humain donne des potentiels plus lev s pour les amines aromatiques tels que 2AA 2AF et AAF 0 5 1 5 ordre de grandeur Bien que les r sultats n aient fait ressortir aucune diff rence significative entre les chantillons de S9 d origine humaine selon qu ils taient combin s ou pris individuellement nous avons observ que certains foies humains avaient une activit enzymatique consid rablement plus lev e que d autres INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES La mutag nicit sur Sa monella des compos s n cessitant une activation m tabolique exog ne S9 s av re g n ralement plus faible si l valuation fait appel des pr parations constitu es de fractions h patiques S9 humaines Cependant certaines substances telles que les amines aromatiques peuvent produire des r ponses plus importantes si elles sont valu es au moyen de fractions h patiques S9 humaines Les variations individuelles du profil enzymatique des fractions h patiques S9 humaines rendent n cessaire l utilisation de mat riel combin Des recherches devraient explorer l effet relatif des fractions h patiques S9 humaines l activit mutag ne valu e dans le cadre des tests sur cellules de mamm
213. concentrations variant entre 0 64 et 20 ng g la moyenne tant de 3 9 ng g et la m diane de 1 5 ng g INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Cette tude montre clairement que le BPA est pr sent dans des chantillons de foie de f tus humains ce qui constitue la premi re preuve directe de l exposition du f tus humain au BPA d s le troisi me mois de vie f tale 1 13 Pr sence du bisph nol A dans des chantillons d aliments repr sentatifs de l alimentation totale et estimations de la dose journali re X L Cao C Perez Locas G Dufresne G Clement S Popovic F Beraldin R W Dabeka et M Feeley l Bureau d d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire r gional du Qu bec Direction des aliments DGPSA Sant Canada Longueuil Qc 2 R SUM Selon l Organisation mondiale de la sant l tude de l alimentation totale constitue la strat gie la plus rentable pour valuer les apports alimentaires r el en substances chimiques toxiques et importantes du point de vue nutritionnel Dans la pr sente tude des chantillons composites d aliments repr sentatifs de l alimentation totale ont fait pour la premi re fois l objet d un dosage du bisph nol A BPA et les r sultats ont t utilis s pour estimer les apports alimentaires en BPA pour diff rents groupes d ge sexe dans des populations au Canada O
214. contre la pand mie de grippe par spectrom trie de masse et par traitement thermique ou faible pH avant une preuve d h magglutination ou de sensibilit la trypsine Nous avons analys diff rentes souches vaccinales par traitement la PNGaseF et par traitement thermique ou faible pH suivi d une preuve d h maggJlutination ou de sensibilit la trypsine ainsi que par l tude de la morphologie des plaques de la croissance et de l activit de la neuraminidase Nous avons mod lis les sites sp cifiques de la mol cule d HA de la souche vaccinale corr l e une diminution de la stabilit l aide de l application Deep View Swiss PDB Viewer pour comprendre les contributions possibles aux ph notypes observ s Enfin nous avons reproduit les mutations observ es dans diff rents virus analogues la souche A California 7 2009 de mani re individuelle ou combin e Nous avons valu ces souches apr s cette modification g n tique afin de d terminer les contributions relatives aux ph notypes observ s PRODUITS R SULTATS Nous avons observ que la teneur en antig nes et la stabilit conformationnelle du virus de la grippe taient corr l es la teneur en antig nes et la stabilit du produit final Nous avons d montr que la mutation Q223R pr sente dans certaines souches analogues la souche A California 7 2009 utilis es pour produire les vaccins contre la pand mie exer ait l effet le plus marqu
215. d un essai avec des billes pour le d pistage s rologique haut d bit chez les primates non humains 1 19 Effets sanitaires des contaminants du Nord et de la consommation d alcool chez un mod le de rongeur des maladies m taboliques et cardiovasculaires humaines 1 20 Identification automatis e des mutations de l ADN r p t en tandem par analysed image NES LR ete Ne nee ete et RC Re nn ns neue 1 21 Analyse de traces de m taux lourds dans les produits de sant naturels par le GE 1 22 D tection des dangers de nature chimique par la mesure de la vitesse de r action et du pouvoir d interaction entre les produits chimiques et l ADN 1 23 D termination des concentrations d isoflavones par chromatographie en phase liquide spectrom trie de masse en tandem chez des rats dont l alimentation comprend des prot ines de sol 1 24 Mise au point d une m thode o vitro permettant de d tecter des inhibiteurs de prot ines de transport membranaires de l hormone thyro dienne ou des inhibiteurs de r cepteurs de l hormone thyro dienne sseeeeseeeeeeeeeeeriirttereeesriinrrressssrrrrrnnneenne 1 25 talonnage et dosim trie au moyen d un film Gafchromic Exp rience initiale 1 26 Empreintes de glycoprot ines recombinantes th rapeutiques obtenues par RMN 1 27 Endoth lines salivaires en tant que biomarqueurs cardiovasculaires non effractifs des effets de la pollution atmosph rique 1 28 Mise au point
216. d tail l exp rience La base de donn es a t con ue pour tre conforme aux plateformes du Gene Expression Omnibus GEO du National Center for Biotechnology Information s NCBI ce qui facilite l importation et l exportation de donn es R SULTATS La BDCPA stocke les donn es sur les EPA et permet aux utilisateurs de chercher et d tablir des corr lations statistiquement significatives entre g nes l aide d un ensemble d exp riences Outre l annotation des sondes et les donn es exp rimentales le fait que les utilisateurs puissent recourir des tiquettes personnalis es pour d crire une exp rience offre une flexibilit et permet de mieux explorer les donn es sur l expression g nique tir es des analyses et des exp riences La conformit aux plateformes du GEO permet aux utilisateurs d importer facilement des donn es publiques sur l expression g nique avec la m me plateforme ou des plateformes diff rentes de m me que d exporter des donn es de la BDCPA vers le GEO Actuellement 10 ensembles de donn es de puces ADN cr s partir d exp riences sur le benzo a pyr ne ont t vers s dans la base de donn es CONCLUSIONS La BDCPA stocke des donn es tir es des EPA mais aussi des tiquettes personnalis es et offre une flexibilit pour ce qui est d importer et d exporter les donn es conformes au GEO Cette nouvelle dimension de l analyse de donn es facilitera la d couverte de corr lations inconn
217. d termin les erreurs en pourcentage des concentrations de min raux signal es sur les tiquettes R SULTATS Les concentrations de Mg Ca et Na variaient entre 0 et 103 306 et 429 mg L respectivement Toutes les eaux plates contenaient peu de K lt 28 mg L alors qu un certain nombre d eaux aromatis es et enrichies de nutriments pr sentaient des concentrations plus lev es gt 250 mg L Une estimation du pourcentage des valeurs de r f rence qui pouvait tre apport par chaque source d eau a r v l que de nombreuses eaux pouvaient contribuer de fa on importante l apport recommand en ces min raux si elles taient r guli rement consomm es Une comparaison des concentrations mesur es de min raux avec les niveaux signal s sur les tiquettes des eaux embouteill es a montr qu il y avait une forte concordance pour la plupart des eaux erreur de moins de 20 mais qu il y avait des carts importants dans le cas de certaines eaux R PERCUSSIONS Ces donn es montrent qu une vaste gamme d eaux embouteill es achet es par les consommateurs canadiens ont une teneur variable en Mg Ca Na et K ce qui indique que le choix de l eau de boisson peut influer sur le bilan physiologique en ces min raux chez les personnes qui consomment peu ou beaucoup de ces min raux 1 07 Caract risation de l usage hors tiquette de m dicaments chez les nouveau n s selon l index anatomique et les indications K B Nguyen
218. d terminer l tat inflammatoire et cardiovasculaire des animaux expos s R SULTATS L exposition des animaux au gaz d chappement non trait a conduit des blessures pulmonaires aigu s caract ris es par une neutrophilie pulmonaire accrue 24 h apr s l exposition et une expression de l interluekine 6 de la prostaglandine synthase et de la m tallothion ine accrues 2 h apr s l exposition De mani re surprenante l exposition au gaz d chappement trait sur COD ne provoquait aucune modification biologique statistiquement significative d une large gamme de param tres cliniques h matologie transaminases cr atine kinases lactate d shydrog nase etc biochimiques lavage pulmonaire et cytokines du plasma endoth lines d expression de g nes pulmonaires ou cardiaques inflammation m tabolisme x nobiotique stress oxydatif et vasor gulation L inhalation des particules a t confirm e par la pr sence de macrophages dans les zones fonc es des poumons chez les animaux ayant inhal des gaz d chappement trait sur COD Les macrophages des animaux ayant inhal des gaz d chappement trait s sur COD et HEPA ne pouvaient pas tre distingu s de ceux d animaux ayant respir de lair propre CONCLUSION L inhalation de concentrations de particules de gaz d chappement de moteur diesel presque deux ordres de grandeur sup rieures la norme pan canadienne pour la MP2 n est pas suffisante pour provoq
219. da Ottawa Ont S Facult des Sciences Universit Queens Kingston Ont R SUM Les tudes de pharmacologie de l innocuit PI visent d terminer comment les organes vitaux p ex ceux du syst me nerveux central du syst me cardiovasculaire ou de l appareil respiratoire r agissent aux m dicaments et d celer les effets ind sirables possibles Les experts en PI effectuent une batterie de tests ind pendants sur des animaux conscients tout en faisant un usage optimal des techniques non effractives qui visent les structures et les fonctions vitales La Conf rence internationale sur l harmonisation ICH a publi les directives M3 R2 S6 R1 S7A et S7B qui saluent l int gration de la PI dans les lignes directrices sur les essais de toxicit ET non cliniques Les toxicologues de laboratoire sont toutefois r ticents cette proposition originale de l industrie proposition de PI OBJECTIFS valuer les avantages et les inconv nients de la planification et de la r alisation d essais de PI valables dans le m me contexte programme que les essais de toxicit ET et dans le cadre des lignes directrices traditionnelles sur les ET MAT RIEL ET M THODES On a compar les strat gies d essai actuelles et les sc narios de la proposition de PI en s appuyant sur les exp riences postcommercialisation p ex en ce qui concerne les AINS et les inhibiteurs du TNFa ainsi que sur la litt rature scientifique et r gle
220. dans le groupe des substances a peut tre canc rog nes pour l homme par le Centre international de recherche sur le cancer On a analys la teneur en OTA de 140 chantillons dans le cadre de l tude canadienne sur l alimentation totale Les r sultats indiquent que 73 des aliments analys s pr sentaient des niveaux d tectables d OTA et que les taux les plus lev s de contamination par cette substance se retrouvaient dans les chantillons de pain OBJECTIF L objectif de cette tude tait double mettre au point une m thode sensible pour mesurer les niveaux d OTA dans une tude sur l alimentation totale et d terminer quels produits alimentaires sont les plus contamin s afin de caract riser plus pr cis ment les risques pour la sant DESCRIPTION L tude canadienne sur l alimentation totale qui pr sente les produits alimentaires caract ristiques de l alimentation des Canadiens est un important programme de surveillance du gouvernement Les donn es obtenues servent surveiller les niveaux de nutriments et de contaminants et les tendances cet gard dans notre approvisionnement alimentaire et clairer la planification et l laboration des politiques On a analys la teneur en OTA de 140 chantillons dans le cadre de l tude canadienne sur l alimentation totale Les chantillons ont t obtenus dans des commerces de d tail de deux villes canadiennes soit Qu bec et Calgary en 2008 et en 2009 respecti
221. de Ontario Canadai 5 sas PR ne NA Ne A A n da 4 07 valuation du risque pour la sant humaine des nanomat riaux comprendre les sc narios d exposition pertinents tout au long du cycle de vie des produits de consommation am lior s par l ajout de nanomat riaux l tude du cas de ER INL le RER aa EA Eaa Te Aa ARANETA EEEE 4 08 Les d fis de l interpr tation des donn es exp rimentales sur la caract risation de certains microorganismes de la Liste int rieure des substances LIS l re de la bio informatique AEE EEA E EE E E E E 4 09 M thode de cytom trie de flux pour l identification et l valuation de la viabilit de Giardia et de Cryptosporidium ses 4 10 tablissement d une capacit d intervention rapide reposant sur une nouvelle plateforme microfluidique de d tection des pathog nes d origine alimentaire 4 11 Prise en compte des avantages et des risques pour l int gration de la pharmacologie de l innocuit dans les strat gies d essais de toxicit 000000 00 4 12 Identification et d nombrement des microorganismes dans des produits constitu s de m langes Suresnes sen at EE ER e Ed ESERERSEEERdESNd ENEE 4 13 Quantification par spectrom trie de masse des antig nes viraux h maggjlutinine et neuraminidase dans les vaccins contre la grippe 4 14 valuation de la toxicit des nanotubes de carbone une approche ax e sur la t
222. de 1 3 ng kg de poids corporel Cette puissance fait de la toxine du botulisme une arme id ale pour les bioterroristes La d tection de substances chimiques tr s dilu es peut poser de grandes difficult s techniques et prendre beaucoup de temps Nous avons mis au point un essai pour la d tection de marqueurs de substitution de la toxine qui nous permet de d duire la pr sence de celle ci dans les aliments M THODE Afin d isoler nos biomarqueurs cibles nous avons en premier lieu cultiv 20 souches de C botulinum productrices de toxines des groupes 1 35 C II 25 C et III 35 C repr sentatives de tous les toxinotypes A B C D E et F et 15 esp ces clostridiennes additionnelles dont cinq souches de C sporogenes toutes cultiv es 35 C sur g lose de McClung Toabe ou g lose c ur cervelle additionn e d extrait de levure Nous avons ensuite ensemenc 100 ml de bouillon TPGY trypticase peptone glucose et extrait de levure qui a t cultiv pendant 22 h avant la r colte des cellules et l isolement des biomarqueurs par centrifugation Nous avons proc d aux tests ELISA l aide d anticorps monoclonaux AcM sp cifiques des biomarqueurs mis au point au LNM R SULTATS Durant la caract risation initiale du test ELISA nous avons d termin la limite de d tection pour chaque souche de C botulinum productrice de toxines et avons d montr que cet essai est sp cifique de ces souches car les AcM n
223. de Florisil destin e l analyse de cong n res coplanaires du PCB non ortho contenus dans des tissus adipeux de rat expos s Aroclor 1254 1 36 La consommation d alcool r duit la concentration des polluants organiques persistants dans le s rum de rat selon une analyse en laboratoire 1 37 tude de l utilit de l essai Muta Mouse chez des rongeurs transg niques pour guider la prise de d cisions r glementaires une comparaison multiparam trique de plusieurs faux n gatifs 7 VO issue 1 38 Effets de la fum e secondaire sur les cellules germinales masculines 1 39 tude o vitro de la p n tration du di 2 thylhexyl adipate DEHA contenu dans une cr me d odorante dans la peau humaine ssssesesseessrrrrrrerrrrrrrrerrrreerrrerreerre 1 40 Exposition A vitro de cellules A549 des particules de l air ambiant et tude des modifications prot iques associ es par spectrom trie de masse MALDI TOF 1 41 tude d adduits d ADN par spectroscopie de masse en vue d une application en surveillance des expositions sssrerrrtrtttrttttttttttttttttttEtEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE EEEE EEEE 1 42 Perturbation du m tabolisme du folate et d veloppement du placenta nnenennn 1 43 De micro nano instruments mesurant les particules a riennes dans le lieu lo Eie NA AAAA T EEE EEN TA E A E Ee 1 44 Biomarqueurs h patiques recherche d indicateurs perm
224. de la qualit de l eau comme fondement aux d cisions r glementaires visant les pesticides E Larivi re MSc J Villeneuve MSc et O Nwobu Nnebe l Direction de l valuation environnementale ARLA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire ARLA estime que les donn es de surveillance de la qualit de l eau disponibles contribuent am liorer les d cisions r glementaires relatives aux risques pour la sant humaine et l environnement aquatique pos s par les pesticides L utilit des donn es de surveillance est maximale lorsqu on dispose d informations spatiales et temporelles permettant d tablir une corr lation entre les donn es d chantillonnage et l usage des pesticides et de donn es ad quates sur les plans d tude et de donn es accessoires Les niveaux de variabilit et d incertitude associ s aux donn es de surveillance existantes peuvent toutefois compliquer l utilisation de ces donn es pour l estimation des niveaux d exposition Dans cette pr sentation nous examinons diverses options permettant d utiliser efficacement ces donn es variables et nous insistons sur l importance de maintenir une troite collaboration avec les partenaires recueillant ces donn es de surveillance CONTEXTE Cette pr sentation a pour but de d crire de fa on succincte la strat gie actuelle qui sous tend l utilisation des donn es de surveillance de la qualit de l
225. de microorganismes dont le g nome a t enti rement s quenc permettent de comparer les g nes qu ont en commun des souches troitement apparent es Les g nes qui contribuent la virulence peuvent tre d nombr s ils aident pr dire les g notypes des souches non caract ris es Cependant la fiabilit des r sultats repose sur la pertinence des param tres relatifs aux signaux et sur la pr sence de g nes semblables dans les g nomes compar s La pr sente affiche r sume les donn es d une tude CGH impliquant des souches de Pa utilis es en biotechnologie et comportant une validation des r sultats de l analyse par micror seau au moyen de l examen de certains g nes par PCR par hybridation de Southern et par analyse de s quence PLAN M THODE DESCRIPTION Des micror seaux con us partir de la souche PaO1 dont le g nome a t s quenc ont t hybrid s avec de l ADN chromosomique extrait de la souche PaOl et de trois souches de Pa figurant dans la LIS Liste int rieure des substances au g nome non caract ris Les donn es sur l intensit de l hybridation ont t normalis es et la pr sence ou l absence de signal a t d termin e en comparant les signaux d hybridation aux valeurs obtenues par hybridation avec la souche PaO ces valeurs tant utilis es titre de r f rence Les g nes chromosomiques et les g nes de virulence des diff rentes souches ont t d nombr s Quatre g nes qui
226. des m langes administr s et celle des m langes mesur s dans le sang le s rum et le foie Le partage chimique entre les liquides tait fonction des taux de lipides et d rythrocytes Les concentrations observ es chez l adulte provenaient en partie de l exposition pr natale mais surtout de l exposition postnatale Ces r sultats nous aident mieux comprendre le partage chimique la toxicit des m langes et la d termination de la p riode critique d exposition OBJECTIF Le fait de conna tre la dose interne qui d coule du protocole d exposition et du partage des substances dans divers tissus permet de mieux interpr ter les enqu tes toxicologiques L tude a pour objectif de pr senter les diff rences entre la composition du m lange administr et celle du m lange mesur dans le sang le s rum et le foie des rats expos s n ut ro ou apr s la naissance M THODE Des rats ont t expos s Jo ut ro et ou pendant la lactation des produits chimiques par l ajout dans la nourriture des m res rates de l un des trois m langes de produits chimiques suivants pr par s partir du profil observ dans le sang humain de produits chimiques omnipr sents h rit s du secteur industriel 1 un m lange M comprenant 14 BPC 12 pesticides organochlor s et du m thylmercure 2 un m lange ARR comprenant 14 agonistes du r cepteur des hydrocarbures aromatiques BPC non substitu s en ortho PCDD PCDF et 3 un
227. des optimis es ont t qualifi es lors de l analyse de diff rents lots d un large ventail de vaccins antim ningococciques R SULTATS Dans le cas des s rogroupes W et Y les rendements maximums de galactose et de glucose ont t obtenus avec une seule hydrolyse Pour ce qui concerne le s rogroupe C le rendement maximum d acide neuraminique a t obtenu dans des conditions beaucoup plus douces avec des contributions minimales des s rogroupes W et Y Dans le cas du s rogroupe A le rendement maximal de mannosamine 6 phosphate a t obtenu dans des conditions interm diaires L analyse statistique a r v l que les m thodes taient remarquablement reproductibles CV lt 5 Les r sultats ont fait ressortir certaines variations entre les lots et entre les produits Toutefois tous les vaccins ont donn des r sultats l int rieur des sp cifications acceptables pour les polysaccharides de chaque s rogroupe CONCLUSIONS Ces techniques sont extr mement utiles pour les comparaisons entre lots et entre produits ainsi que pour l valuation de l efficacit et de l innocuit des vaccins antim ningococciques Cette recherche li e la r glementation a jou un r le crucial dans l approbation d un vaccin commercial et est aujourd hui appliqu e de mani re syst matique pour la mise en circulation des lots de ce produit Ces m thodes d hydrolyse et de chromatographie peuvent tre adapt es pour servir
228. deut rium d4 275 93 et de l quol marqu au deut rium d4 247 125 m 2 comme t moins internes Nous avons utilis la 4 m thyl umbellif rone comme t moin interne pour la glycit ine 177 77 m2 PRODUITS R SULTATS La m thode que nous avons labor e a r v l un intervalle d talonnage dynamique lin aire de 10 5 000 ng mL le seuil de d tection s tendant de 24 33 ng mL dans le s rum de rat Nous avons obtenu un bon degr de pr cision en utilisant du s rum de rat surcharg les taux de r cup ration allant de 91 100 INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Cette m thode permet de d terminer de mani re sensible sp cifique et fiable les concentrations s riques d isoflavones chez des rats soumis un r gime alimentaire comprenant des prot ines de soja 1 25 Mise au point d une m thode n vitro permettant de d tecter des inhibiteurs de prot ines de transport membranaires de l hormone thyro dienne ou des inhibiteurs de r cepteurs de l hormone thyro dienne M Gerdes E Atlas A Kawata et M G Wade Division de l tablissement des dangers DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Des chercheurs de partout au monde tentent actuellement de mettre au point des preuves rapides permettant de d tecter les substances chimiques capables d alt rer la fonction hormonale L hormone thyro dienne TH est une hormone qui joue un r le majeur dans le d v
229. dioth rapies D autres travaux sont en cours pour valider les r sultats 2 04 L instillation de nanoparticules de noir de carbone provoque un stress oxydatif une inflammation et des dommages persistants l ADN des poumons et entra ne une g notoxicit h patique chez la souris J A Bourdon A T Saber N R Jacobsen K A Jensen A Mette Madsen H Wallin P Meller S Loft C L Yauk et U Vogel 1 Direction des sciences de l environnement et de l hygi ne des rayonnements Division des tudes m canistiques DGSESC Sant Canada Ottawa Ont National Research Centre for the Working Environment Copenhague Danemark University of Copenhagen Department of Public Health Section of Environmental Health Copenhague Danemark 2 3 R SUM Les nanoparticules de noir de carbone NpNC particules obtenues par r action de combustion sont utilis es dans la fabrication de produits de caoutchouc et de pigments Elles ont des propri t s uniques en raison de leur petite taille Par exemple lorsqu elles sont inhal es les NpNC peuvent p n trer profond ment dans les poumons et m me atteindre d autres tissus en passant dans la circulation sanguine Dans la pr sente tude nous avons constat de l inflammation et une augmentation des dommages caus s l ADN chez les souris expos es une seule fois des NpNC Nous avons constat des dommages l ADN dans les poumons et le foie lesquels ont persis
230. donn es scientifiques permettant d valuer la sant et d orienter l laboration de politiques 1 32 valuation des donn es sur la lutte antipoison une nouvelle source de donn es sur l innocuit des produits de sant naturels SA Jordan PhD S A Jack MSc D Vu PhD R Leitch MSc A Gallo RN BScN CSP et K Fontana Chow RN BScN MN Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Centre anti poison de l Ontario The Hospital for Sick Children Toronto Ont R SUM Les produits de sant naturels PSN sont largement utilis s par les Canadiens La surveillance des effets ind sirables li s aux produits de sant commercialis s est un l ment crucial permettant de garantir une utilisation s re Les effets ind sirables des PSN ne sont pas toujours signal s Sant Canada si bien que l on recherche d autres sources de donn es sur les effets ind sirables Or les donn es provenant des centres antipoison pourraient compl ter les renseignements actuellement achemin s Sant Canada Cette affiche porte sur une tude men e dans le but d examiner la nature et la quantit de donn es sur les PSN de deux CLP canadiens Les r sultats pr liminaires indiquent que les donn es existantes dans les bases de donn es sur la lutte antipoison pourraient tre utiles dans l valuation de l innocuit des PSN CONTEXTE La surveillance des r actions ind sirables RI l
231. du poumon la communication intercellulaire et la biosynth se du sulfate de k ratine CONCLUSION Mises ensemble les donn es indiquent que les alt rations de l expression de certains miARN pourraient traduire l exposition des rayonnements et tre associ es des effets nocifs li s la canc rogen se Cependant des tudes de validation sont n cessaires pour cerner les voies exactes qui interviennent dans ces r actions de r gulation 2 25 Mise sur pied du Syst me de surveillance des cellules des tissus et des organes SSCTO de l Agence de la sant publique du Canada ASPC pour le suivi des v nements ind sirables li s aux transplantations contexte C Hyson P E Alexander P Kenny M Goulet GTN sur le SSCTO et A Dudani 1 Unit de surveillance des v nements ind sirables Division de surveillance et d pid miologie ASPC Ottawa Ont 2 Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM La s ret des greffes de tissus et d organes au Canada doit tre am lior e Le Canada ne compte aucun syst me de surveillance cibl e ni de suivi des v nements ind sirables li s aux transplantations Il existe un manque de donn es fiables et pr cises sur les v nements ind sirables le quoi le o et le pourquoi ainsi que la mani re dont les probl mes sont corrig s qui pourraient augmenter la s curit des receveurs d une t
232. du logiciel ClinproTools L identit des ions candidats a t d termin e l aide du moteur de recherche MASCOT dans les bases de donn es SWISSPROT et MSDB PRODUITS R SULTATS Nos analyses ont permis de d celer 18 biomarqueurs possibles parmi lesquels quatre m z 1065 5 1517 1 2730 1 et 2015 3 ont t caract ris s plus en d tail Nous avons identifi que ces derniers taient la sous unit alpha 2 de l int grine les int grines jouent un r le dans l adh rence cellulaire et la signalisation commen ant la surface de la cellule l actine beta cytoplasmique l ment du cytosquelette et m diateur interne du mouvement cellulaire la prot ine 3 de la membrane pith liale interactions intercellulaires et r gulation n gative de la prolif ration des cellules toutes les trois tant r gul es la hausse et le polypeptide 1 apparent l immunoglobuline lambda transduction du signal qui a t r gul e la baisse INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS La spectrom trie de masse MAL DL TOF peut servir analyser rapidement des cellules expos es des particules de l air ambiant o vitro Cette m thode sera appliqu e pour tudier un ventail de particules fractionn es selon la taille et recueillies diff rents endroits au Canada et pollu es par diverses sources de contaminants Les donn es devraient permettre d tablir une association entre la toxicit ventuelle des particules e
233. e D autres r sultats de l analyse seront d crits y compris les tendances en mati re d exposition qui sont ressorties dans les valuations des substances hautement prioritaires La connaissance des facteurs d exposition contribuera tablir et am liorer les approches venir du Plan de gestion des produits chimiques du Canada CONTEXTE Le Plan de gestion des produits chimiques du Canada pr voit la tenue d valuations des risques dans le cadre de l engagement international du Canada envers une gestion cologiquement rationnelle des produits chimiques d ici 2020 A la suite du d nombrement d environ 23 000 substances commerciales existantes Sant Canada et Environnement Canada ont effectu une valuation pr alable des substances hautement prioritaires dans le cadre du D fi en tout plus de 50 substances d finies comme hautement prioritaires ont t valu es sur le plan de leur incidence sur la sant humaine Dans cette valuation nous avons caract ris l exposition de l ensemble de la population aux substances dans l environnement partir des donn es de surveillance existantes et de mod les d exposition tels que ChemCAN dans le but d estimer les concentrations dans l environnement L exposition aux substances par l utilisation de produits de consommation a t caract ris e l aide de mod les d exposition d algorithmes d tudes fond es sur l exposition et de donn es sur les concentrat
234. e lymphocytes T selon une analyse 1 61 pid miologie surveillance toxicit g n rale des polluants et dangers chimiques Composition des tensioactifs fluor s dans la mousse formation de pellicule aqueuse 0 iiieieeeeeeeeeeeeneeeeeeeeeeenseenee 2 01 Expression des r cepteurs activ s par la prolif ration des peroxysomes a Oo et y dans des foies de rats trait s par du sulfonate de perfluorooctane SPFO tude immunohistochimique 2 02 Examen de l utilisation potentielle de la r ponse y H2AX et des atteintes chromosomiques dans les lymphocytes humains comme biomarqueurs de la sensibilit aux radiations 2 03 L instillation de nanoparticules de noir de carbone provoque un stress oxydatif une inflammation et des dommages persistants l ADN des poumons et entra ne une g notoxicit h patique chez la souris sssesseesseeseseesteerteertresrrrrrrrerrrerreserenereee 2 04 Les r gimes amaigrissants augmentent les concentrations s riques et tissulaires de BPC et de pesticides organochlor s emmagasin s dans les tissus adipeux 2 05 Nouvelle ligne directrice de l OCDE visant l tude prolong e de la toxicit pour la reproduction sur une g n ration E 2 06 Les polluants atmosph riques augmentent ils l effet des a roallerg nes sur les hospitalisations pour l asthme R sultats d une analyse chronologique dans 11 villes canadiennes
235. e valid e avec des produits alimentaires pr sentant un risque lev de contamination par les esp ces de Listeria la r duction du d lai d obtention des r sultats sans perte de sensibilit accro tra la confiance dans l approvisionnement alimentaire tout en permettant aux chercheurs d analyser plus d aliments au cours d une enqu te sur une closion L ajout de la m thode au Compendium de m thodes du Canada aidera l industrie canadienne 4 23 Risque d activation ou de r activation de la tuberculose latente associ au traitement aux anticorps monoclonaux W Huang PhD S Semalulu PhD D Wang et D Vu PhD i Bureau des produits biologiques biotechnologiques et de sant commercialis s DPBTG Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le traitement aux anticorps monoclonaux pr sente des avantages par rapport la th rapie classique sur le plan de l activit de la sp cificit et de l innocuit car ces agents sont con us pour se lier des cibles mol culaires particuli res En bloquant de mani re s lective certains m canismes participant la r ponse inflammatoire et immunitaire ils interf rent avec l immunit de l organisme causant souvent une augmentation des taux d infection chez les patients trait s La tuberculose TB fait partie des infections courantes signal es chez les patients que l on traite par des th rapies monoclonales immunomodulatrices TMI Si la plupart des agents mono
236. e CRM 7 pr sente des diff rences structurales frappantes par rapport au domaine catalytique de la toxine dipht rique de type sauvage comme le r v le la spectroscopie RMN 4 43 Analyse par micror seau du contenu g nique des souches de Pseudomonas utilis es en biotechnologie 4 iii 4 44 Sch matisation des r sum s pr sent s aux Forums scientifiques tenus de 2002 EAR LACH 4 45 Feuille de route concernant la r glementation canadienne des microorganismes issus de la biotechnologie et de leurs produits 4 46 Plan de gestion des produits chimiques Correction d chantillon des fins de repr sentativit et mod lisation des habitudes alimentaires des effets significatifs sur les doses journali res Ee Vulle eZ a ea naine ne afp ni ere ne tn tn eat eat 5 01 Suivi des modifications du prot ome plasmatique associ es l issue de la lte 5 02 SPD mergents dans l eau potable canadienne R sultats d une tude nationale sur les sous produits de d sinfection et sur certains contaminants mergents 20092010 s rater oem a ne deed A eege 5 03 Sources de m taux sp ciation et bioaccessibilit dans les milieux r sidentiels 5 04 noter Dans cette publication les directions g n rales de Sant Canada sont repr sent es par les sigles suivants DGSPNI Direction g n rale de la sant des Premi res nations et des Inuits DGSESC Direction g n
237. e de techniques de d tection satisfaisantes Le but de ce projet est d assembler et de tester un ensemble d instruments capable de d tecter et de caract riser les NP ou les PUF dans le lieu de travail afin de combler cette lacune de conaissances OBJECTIFS QUESTION S Nous visons recueillir un ensemble d chantillons fiables et tablir une strat gie de mesure et de caract risation pour combler les lacunes existantes dans les donn es portant sur l exposition en milieu de travail aux particules de l air ultramicrons et nanom triques Le premier objectif est de mettre au point des modes op ratoires normalis s MON portant sur un ensemble d instruments lecture directe et de le tester dans un laboratoire f d ral Les param tres cl s li s l exposition comprennent la source de l exposition et le degr d exposition la distribution de la taille des particules laire de surface et la concentration en masse PLAN DESCRIPTION La distribution de la taille des particules et la concentration en nombre des particules ont t d termin es l aide d un spectrom tre SMPM Scanning Mobility Particle Sizer avec compteur fonctionnant l eau et un spectrom tre SMPS avec compteur fonctionnant l alcool de compteurs de particules condensation un spectrom tre de mesure de la taille des particules a rodynamiques Aerodynamic Particle Sizer un analyseur de mobilit diff rentielle et un spectrom tre d a roso
238. e des lipides peuvent tre attribu es la prolif ration des peroxysomes PP dans le foie et l interaction entre le SPFO et les r cepteurs activ s par la prolif ration des peroxysomes PPAR ce jour trois sous types de PPAR et dont le profil d expression et le ou les r les varient selon le type de tissu ont t identifi s chez de nombreuses esp ces y compris l humain Dans la pr sente tude nous avons tabli l expression relative de ces trois formes de PPAR dans des foies de rats expos s et non expos s au SPFO dans le but d claircir leur r le potentiel dans l h patotoxicit du SPFO OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS S tudier l expression de sous types de PPAR et leur r le potentiel dans l h patotoxicit chez le rat induite par l exposition au SPFO PLAN M THODE DESCRIPTION Des foies fix s dans le formol provenant de rats expos s au SPFO par leur alimentation 0 100 mg kg d aliments pendant 28 jours ont t trait s par coloration immunohistochimique pour d tecter les PPAR Les PPAR visualis s comme des complexes prot ine anticorps immunocolor s ont t quantifi s c est dire le nombre de cellules color es positivement a t calcul par unit de surface au moyen d une analyse d images microscopiques PRODUITS R SULTATS L immunohistochimie indique que comparativement aux foies non trait s le SPFO augmente de fa on significative l expression prot ique des PPAR
239. e des substances toxiques pour la reproduction de cat gorie 3 Leur devenir dans l environnement est m connu notamment en pr sence d ozone et de rayons UV Cette information est importante pour bien valuer les risques que ces substances pr sentent L tude a pour objectif d tudier la stabilit du D4 et du D5 atmosph riques en pr sence d ozone et de rayons UV en chambre atmosph rique grandeur r elle PLAN M THODE DESCRIPTION Les essais ont t r alis s dans une chambre atmosph rique de volume interne de 56 4 m On a introduit du D4 ou du D5 dans la chambre une concentration de 1 mg m puis on a ajout de l ozone ou des rayons UVA et UVB intensit d environ 1 mW cm ou les deux La concentration d ozone a t mesur e en continu l aide d un analyseur d ozone tandis que le D4 le D5 et d autres COV ont t analys s par chromatographie gazeuse coupl e la spectrom trie de masse PRODUITS R SULTATS Le D4 et D5 taient stables en pr sence soit d ozone soit de lumi re UV Par contre ils taient instables en pr sence la fois de rayons UV et d ozone sans doute en raison de la rupture de leur anneau Il semble que la lumi re UV favorise la production d ozone et la r duction des siloxanes atmosph riques probablement par la combinaison de la photo oxydation et de l ozonation INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES L tude montre que les siloxanes atmosph riques d i
240. e distribution etc INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Le document pr sente une approche syst matique de la prise de d cision qui fait appel la force probante g n rale des donn es scientifiques pour ce qui est de la d cision de proc der une valuation du risque sanitaire et des mesures de gestion du risque prendre Esp rons que ce type d approche syst matique se r v lera utile pour tous ceux qui jouent un r le dans les enqu tes sur les closions de maladies d origine alimentaire au Canada 4 27 Analyse des sous unit s des vaccins antim ningococciques polysaccharidiques et conjugu s produits en Chine M C Cook PhD S Gibeault BSc V Filippenko MSc Q Ye PhD J Wang PhD et J P Kunkel PhD 1 Laboratoire de glycobiologie et des glycoprot ines th rapeutiques 2 Division des vaccins bact riens et combin s DVBC Centre d valuation des vaccins CEV DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 3 La Cit Coll giale Ottawa Ont projet de recherche tudiant du programme de biotechnologie hiver 2011 4 National Institutes for Food and Drug Control NIFDC State Food and Drug Administration Beijing R publique populaire de Chine R SUM Une collaboration internationale continue et unique entre le Centre d valuation des vaccins de Sant Canada et les National Institutes for Food and Drug Control de la State Food and Drug Administration R publique
241. e et cinq chantillons non inocul s pour chaque type d aliment Au moins cinq souches bact riennes pertinentes devraient tre utilis es pour l inoculation Les cultures doivent tre stress es et quilibr es dans la matrice alimentaire et il faut tenir compte de la microflore naturelle et des organismes susceptibles de causer des interf rences Parmi les autres exigences citons les tudes d inclusivit exclusivit une tude sur les limites de d tection et une tude de transf rabilit EFFETS Les Lignes directrices pour la validation relative des m thodes microbiologiques qualitatives indirectes Partie 4 de la section laboration de m thodes du Compendium des m thodes d analyse sont publi es sur le site Web de Sant Canada Ce document aidera les sp cialistes de la mise au point de m thodes concevoir des exp riences de validation afin de pouvoir inclure leurs m thodes dans le Compendium des m thodes d analyse 4 19 Thermostabilit activit et vaccins antigrippaux saisonniers A Farnsworth A Bliu et M Lemieux S Centre d valuation des vaccins Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les virus de l influenza se propagent rapidement et sont responsables chaque ann e d une morbidit et d une mortalit importantes dans le monde entier l heure actuelle la protection la plus efficace contre l infection est la vaccin
242. e et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Un groupe de scientifiques internationaux a mis au point une nouvelle m thode pour tudier les effets des produits chimiques sur le d veloppement avant et apr s la naissance Ce nouveau plan repr sente une am lioration par rapport la m thode actuelle d analyse des effets tout en permettant une utilisation plus efficace des animaux Les r sultats de l tude qui am lioreront les d cisions en mati re de r glementation touchant la sant de la population canadienne deviendront la norme mondiale pour d terminer si des produits chimiques posent des risques pour la reproduction et le d veloppement CONTEXTE L Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE a mis au point une tude prolong e de toxicit pour la reproduction sur une g n ration EOGRTS comme solution de rechange l tude de toxicit pour la reproduction sur deux g n rations ligne directrice 416 de l OCDE pour fournir une orientation suppl mentaire concernant l examen des effets des produits chimiques sur 1 l int grit et la performance de l appareil reproducteur 2 le d veloppement pr natal et postnatal et 3 la toxicit syst mique aux diff rents stades de la vie DESCRIPTION Un groupe de travail de l OCDE constitu de scientifiques de milieux gouvernementaux universitaires et industriels sp cialis s dans la toxicit pour la reproduction
243. e exposition au thoron pouvant avoir t manqu e INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Ce concept limine la n cessit d tablir une ligne directrice distincte pour l exposition au thoron dans l air int rieur Comme les concentrations de thoron sont beaucoup plus faibles que les concentrations de radon dans la plupart des r sidences du Canada il n est pas non plus n cessaire de mesurer les concentrations de thoron dans les r sidences ayant d j fait l objet d analyses des concentrations de radon 2 09 Analyse des tendances en mati re d exposition dans l ensemble de la population Substances hautement prioritaires valu es dans le cadre du D fi du Plan de gestion des produits chimiques du Canada A Zidek et C Chun i Bureau d valuation du risque des substances existantes Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Depuis 2007 Sant Canada et Environnement Canada ont men des valuations des risques li s aux substances d finies comme hautement prioritaires dans le cadre du D fi Pour d terminer les facteurs d exposition chez l humain nous avons examin les diff rents param tres et mesures d exposition utilis s pour estimer l exposition dans l ensemble de la population Cette analyse a permis de d terminer les principales voies d exposition savoir les voies respiratoires inhalation et la peau p n tration cutan
244. e l atteinte de la conformit passait imp rativement par une communication claire et ouverte entre les intervenants et Sant Canada INCIDENCES Les intervenants se sont montr s enthousiastes d avoir eu la possibilit d en apprendre davantage au sujet des exigences des BPC canadiennes de faire part de leurs r flexions sur les questions de conformit et de pouvoir rencontrer les membres du personnel de Sant Canada Le Programme de conformit aux BPC de Sant Canada utilisera leurs commentaires pour adapter les directives et les politiques futures Un rapport sur les valuations des s ances d information et les commentaires re us est en pr paration pour analyser les r sultats de celles ci et laborer un plan d initiatives futures pour la promotion de la conformit CONCLUSIONS Il a t conclu qu il est avantageux pour la promotion de la conformit dans le d roulement des essais cliniques au Canada de multiplier les initiatives de promotion de la conformit et les instructions sur certains aspects particuliers du R glement 4 41 Feuille de route concernant la r glementation canadienne des animaux vivants issus de la biotechnologie et de leurs produits S Rotaru M Trainer K Ali et G Arvanitakis l BECSN DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le but du pr sent projet tait d laborer un guide de r glementation ou feuille de route pour la biotechnologie qui soit ax sur l unification des
245. e nombreux vaccins monovalents contre cette pand mie leur dur e de vie a t revue la baisse en raison de r ductions inattendues de l activit de l HA Nous avons analys diff rents vaccins fabriqu s dans le monde entier et avons remarqu des diff rences marqu es sur le plan de la teneur en antig nes et de la stabilit Nous avons observ que ces diff rences taient corr l es la souche utilis e pour produire le vaccin initial OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS En r ponse la pand mie de grippe en 2009 de nombreux centres ont produit des souches vaccinales afin de donner aux fabricants les outils n cessaires pour cr er un vaccin efficace Les premi res souches vaccinales obtenues se cultivaient difficilement et on a effectu une s lection pour produire des souches ayant une meilleure croissance Comme plusieurs autorit s r glementaires avaient fait tat d une perte d activit nous avons analys de nombreux vaccins et avons observ des diff rences sur le plan de la glycosylation de la teneur en antig nes et de la stabilit des prot ines Nous avons corr l ces diff rences avec les souches virales particuli res utilis es pour produire les vaccins Nous avons reproduit les diff rentes mutations dans de nouveaux virus afin de d terminer quelles taient les contributions de chacune d elles aux ph notypes respectifs PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons analys de multiples vaccins monovalents
246. e politique d enrichissement discr tionnaire a t propos e d o la n cessit de disposer de donn es de base sur les v hicules d enrichissement potentiels pour faciliter la surveillance future L aide financi re pour le pr l vement et le traitement des chantillons a t fournie par des fonds cibl s pour l enrichissement des aliments M THODE Des donn es sur les parts de march ont r v l que 76 marques se partageaient plus de 85 des quantit s vendues de c r ales pour petit d jeuner Des chantillons composites de ces c r ales 3 lots diff rents ont t pr lev s et analys s pour mesurer la pr sence de folate et d acide folique naturels au moyen d une m thode LC MS MS qui permet de quantifier les deux fractions simultan ment Ces analyses ont t entreprises dans le laboratoire r gional de Sant Canada Longueuil PRODUITS L enrichissement des c r ales pour petit d jeuner est volontaire mais selon le R glement sur les aliments et drogues la quantit d acide folique ajout ne devrait pas d passer 60 ug 100 g de c r ales Le r sultat de nos dosages de l acide folique a r v l que sur les 76 marques de c r ales test es 60 contenaient de l acide folique ajout Quatre d entre elles renfermaient moins de 90 de la quantit requise 25 contenaient une quantit d acide folique d passant de 120 200 la quantit requise et les 28 marques restantes d passaient de
247. e pollution atmosph riques enregistr s dans les m nages ainsi que les effets n fastes sur la sant li s la pollution atmosph rique indiquant que les mod les quotidiens peuvent am liorer les tudes sur la pollution atmosph rique cout terme CONTEXTE Les mod les de r gression de l utilisation des terres RUT sont devenus une m thode r pandue de caract risation de la pollution ambiante dans les tudes sur la sant Toutefois elles n offrent pas la r solution temporelle fine qui est n cessaire pour pr dire les expositions aig es Inversement les donn es de surveillance concernant des emplacements fixes fournissent des concentrations quotidiennes mais ne tiennent pas compte de la variabilit spatiale des zones urbaines M THODES Dans la pr sente tude nous avons coupl des mod les de RUT et les donn es de surveillance continue du R seau national de surveillance de la pollution atmosph rique RNSPA pour pr dire les concentrations ambiantes quotidiennes de dioxyde d azote NO et de particules PM dans 40 m nages Windsor en Ontario Pour valuer le mod le nous avons compar les concentrations pr dites et les r sultats des mesures effectu es dans chaque m nage pendant cinq jours en hiver et en t Nous avons aussi examin les associations ventuelles entre la pollution atmosph rique et la fonction pulmonaire chez les enfants habitant dans ces maisons l aide des concentrations pr dites
248. e r activit aux anticorps CONCLUSION Cet essai immunologique 9 plex avec des billes a donn d excellents r sultats par rapport aux analyses classiques Le d pistage des anticorps dirig s contre chacun des cinq virus a pu tre effectu dans l ensemble de la colonie dans un laps de temps beaucoup plus court et un co t bien inf rieur celui des analyses classiques En ce qui concerne la colonie de PNH de SC cet essai immunologique multiplex s est r v l un outil pr cieux tant pour la sant des animaux que pour la s curit des travailleurs 1 20 Effets sanitaires des contaminants du Nord et de la consommation d alcool chez un mod le de rongeur des maladies m taboliques et cardiovasculaires humaines M Florian PhD J Yan PhD I Petrov MSc D Caldwell PhD M Coughlan L Mahemuti MSc NU PhD W Willmore PhD et X Jin PhD Division de la recherche toxicologique Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division des services scientifiques Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division de l tablissement des dangers Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partements de biologie et de chimie Universit Carleton Ottawa Ont 2 3 4 R SUM Le r le des contaminants du Nord CN dans l
249. e r agissent avec les biomarqueurs d aucune esp ce voisine mise l essai Nous sommes en train de tester diff rents aliments et boissons afin de mieux d terminer la robustesse de l essai CONCLUSION PROCHAINES TAPES Cette m thode de d tection unique lorsqu elle aura t mise l essai de mani re approfondie constituera un outil plus rapide pour la d tection pr coce des risques d closion de botulisme ou d v nement de bioterrorisme au Canada Nous explorons par ailleurs la possibilit d largir l application de cette m thode d autres biomarqueurs de C botulinum 4 30 D terminants mol culaires corr l s la perte d efficacit des vaccins monovalents ant HIN de 2009 M Lemieux J Whitteker M Creskey C Li J Wang T Cyr S Li et A Farnsworth Centre d valuation des vaccins CEV DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont National Institute for the Control of Pharmaceutical and Biological Products The State Food and Drug Administration R publique populaire de Chine R SUM L mergence d un nouveau virus de la grippe en 2009 a d clench la fois une pand mie et une r ponse mondiale rapide Les premi res souches vaccinales obtenues se cultivaient difficilement et ne produisaient que de faibles quantit s d antig nes On a obtenu d autres souches que l on a par la suite utilis es pour la production de vaccins antigrippaux Toutefois peu apr s la mise sur le march d
250. eau aux fins de la r glementation des pesticides de passer en revue les difficult s qui se rattachent l utilisation de ces donn es et de solliciter des avis sur la fa on d am liorer le processus Les donn es de surveillance des concentrations de pesticides dans l eau sont prises en compte par ARLA dans le cadre des valuations des risques pour la sant humaine et l environnement Ces donn es proviennent d autres minist res f d raux et de divers organismes provinciaux territoriaux et municipaux de titulaires d homologation et de la litt rature publique Lorsqu elle juge ces donn es satisfaisantes sur le plan de la qualit et de la quantit ARLA les utilise pour estimer les niveaux d exposition et valuer le risque potentiel d exposition pour les humains li s la consommation d eau potable et pour les organismes aquatiques DESCRIPTION L utilisation de ces donn es est entrav e par la variabilit de la qualit et de la quantit des donn es de surveillance disponibles L analyse et l interpr tation des donn es de surveillance sont pour leur part compliqu es par le manque g n ral d informations spatiales et temporelles la fr quence insuffisante des chantillonnages et le traitement des ensembles de donn es censur s gauche c d grand nombre d chantillons sans d tection PRODUITS Conform ment la strat gie propos e pour att nuer le niveau d incertitude se rattachant l valuation des ri
251. echerche toxicologique DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partement de biochimie microbiologie et immunologie Universit d Ottawa Ottawa Ont R SUM Sant Canada examine la possibilit de modifier sa d finition des fibres alimentaires FA pour inclure les glucides de synth se comme les fructooligosaccharides FOS qui sont consid r s comme des FA dans d autres pays Afin d tre consid r s comme des FA au Canada les FOS doivent tre associ s un avantage physiologique acceptable En outre la liste des avantages physiologiques acceptables pourrait tre rallong e pour inclure la fermentation Dans la pr sente tude nous avons explor les liens entre la fermentation et des effets physiologiques en mesurant l expression de g nes de l pith lium du c lon de rats apr s avoir nourri ceux ci de deux mati res fermentables MF diff rentes soit le son de bl SB ou les FOS Les r sultats indiquent que des quantit s semblables de MF de diff rentes sources induisent diff rents effets Par cons quent Sant Canada doit tenir compte la fois de la source et de la quantit de MF pour laborer des politiques sur les fibres alimentaires OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S tudier les diff rents effets de deux sources de mati res fermentables alimentaires FOS et SB sur l expression de g nes jouant un r le dans des voies fonctionnelles particuli res du c lon proximal de rats en bonne sant PLAN
252. ee Tute CET en ne en ei an nantes ets 4 15 Comparaison et mise en opposition de l utilit pour la pharmacovigilance du Plan de gestion des risques et du Rapport p riodique de pharmacovigilance le point de vue r glementaires tenant ant nan mn tone ra ea Ee 4 16 Le Plan strat gique de gestion des urgences de Sant Canada proposition d une approche de la gestion des urgences concert e et ax e sur des donn es probante SRE aE a E a ae eaaa E EN A 4 17 Les Lignes directrices du Comit des m thodes microbiologiques pour la validation relative des m thodes microbiologiques alimentaires qualitatives le We 4 18 Thermostabilit activit et vaccins antigrippaux saisonniers 4 19 De la recherche la r glementation nouveaux essais n vitro pour quantifier l activit de la toxine coquelucheuse dans les vaccins anticoquelucheux e EE 4 20 Am lioration de la stabilit des prot ines par l utilisation de nanoparticules 4 21 Une nouvelle m thode d isolement des esp ces de Listeria dans les aliments en r action l closion de list riose de 2008 survenue au Canada 000nnnnn0n00000 4 22 Risque d activation ou de r activation de la tuberculose latente associ au traitement aux anticorps monoclonaux seeeeeeeeeeeeeeeererttetererensrenen rtnn nenene nenene nenene 4 23 valuation de l incidence de lignes directrices nationales en vue d am liorer la s curi
253. effectu e suivant la m thode MELP 25 a donn un r sultat n gatif aucune colonie de Shigella n a pu tre isol e des carottes enrichies mais la m thode MFLP 26 PCR a donn un r sultat positif figure 1 Le test CBK Campos a montr ou E coli Fd 18 inhibait l isolat HCSL 103 de S sonnei figure 1 CONCLUSIONS Nous d montrons pour la premi re fois les effets ou ont certaines bact ries de la microflore sur la d tection de microorganismes pathog nes d origine alimentaire Comme il n y a pas actuellement de milieu de culture s lectif appropri pour Shigella nous recommandons fortement l utilisation de la m thode PCR ex MFLP 26 et du test antagoniste de CBK Campos pour tablir la preuve de la pr sence de bact ries antagonistes dans les chantillons alimentaires concern s 4 05 Effets de l exposition long terme la mycotoxine fumonisine B1 FB1 sur les souris de type sauvage et les souris transg niques pr dispos es au cancer G Bondy R Mehta D Caldwell L Coady C Armstrong M Savard J D Miller N Zitomer et R Riley 1 Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Centre de recherches de l Est sur les c r ales et les ol agineux Agriculture et Agroalimentaire Canada Ottawa Ont Coll ge des sciences naturelles Universit Carleton Ottawa Ont Toxicology and Mycotoxin Research Unit USDA ARS C P 5677
254. eloppement du cerveau du f tus Les substances qui perturbent le m canisme par lequel la TH p n tre dans les cellules cibles et ou qui perturbent l activation du r cepteur de la TH peuvent nuire au d veloppement normal du cerveau Nous avons mis au point une preuve faisant appel une culture de cellules g n tiquement modifi es qui nous permet de d tecter rapidement les substances pouvant avoir l un ou l autre des effets pr cit s CONTEXTE OBJECTIFS La perturbation des voies de signalisation associ es l hormone thyro dienne TH lors de p riodes sensibles du d veloppement f tal ou de la jeune enfance peut nuire au d veloppement normal de divers organes dont le cerveau Des chercheurs de partout au monde tentent de mettre au point des m thodes qui permettraient d identifier les substances chimiques qui pourraient avoir un effet sur la signalisation associ e l hormone thyro dienne Nous avons mis au point une m thode qui nous permet d identifier les substances chimiques qui perturbent le m canisme par lequel la TH p n tre dans les cellules ou qui perturbent l interaction de la TH avec son r cepteur M THODE Nous avons mis au point une preuve faisant appel un plasmide rapporteur en utilisant des cellules COS7 transfect es de fa on transitoire Ces cellules ont t co transfect es avec les plasmides suivants 1 un plasmide exprimant les r cepteurs alpha ou b ta de la TH humaine hTHR 2 un plasmide
255. elopper plusieurs cancers y compris un lymphome Les donn es d une tude entreprise par des promoteurs et des chercheurs universitaires indiquent que ces patients sont particuli rement risque d une forme rare de lymphome le lymphome h patospl nique lymphocytes T surtout chez les adolescents et les jeunes adultes atteints de maladie de Crohn ou de colite ulc reuse CU lorsqu ils sont trait s par des analogues de purine et des inhibiteurs du TNF Tumor Necrosis Factor administr s en association ou cons cutivement La question est de savoir si ces donn es ont une incidence sur les strat gies d att nuation du risque li es ces produits OBJECTIF tablir s il est n cessaire de mettre en uvre des strat gies d att nuation du risque suppl mentaires chez les patients atteints de lymphome h patospl nique lymphocytes T recevant des analogues de purine et des inhibiteurs du TNF de fa on concomitante ou cons cutive DESCRIPTION S Les deux principaux types de MII soit la maladie de Crohn et la CU sont des maladies chroniques associ es un taux lev de morbidit mais une l g re augmentation du taux de mortalit par rapport la population g n rale Les r sultats d une m ta analyse laissent croire que les patients recevant des analogues de purine dans le cadre d un traitement de la MII pr sentent un risque de lymphome 4 fois plus grand que pr vu pour cette population L examen des patients risq
256. ementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Section de la biosurveillance nationale Bureau de surveillance des substances chimiques DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de toxicologie de l inhalation Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Les biomarqueurs sont des indicateurs de changements dans les syst mes biologiques qui sont caus s par des contaminants environnementaux ou une pathologie Nous tentons d identifier les profils de biomarqueurs chez les personnes pr sentant certaines pathologies afin d avoir une meilleure id e de leur vuln rabilit potentielle aux polluants environnementaux Nos analyses r v lent qu un certain nombre de biomarqueurs li s au stress oxydatif et l inflammation sont pr sents en concentrations lev es chez les patients asthmatiques et hypertendus On sait que ces probl mes de sant accroissent le risque d effets ind sirables associ s aux polluants atmosph riques Cette recherche aidera mieux comprendre l interaction des polluants et des processus morbides dans des populations vuln rables qui est une importante cible des strat gies de gestion du risque CONTEXTE L exposition des polluants atmosph riques dans l air ambiant est associ e des effets ind sirables sur la sant p ex morbidit et mortalit respiratoires et cardiovasculaires notamment chez
257. en TopTaq donnait les meilleurs r sultats d apr s la mesure de l intensit des bandes dans les 8 r actions d amplification multiplex par la PCR L addition la plus importante au m lange r actionnel a t l incorporation d une concentration finale de 3 0 uM de MgCl et de 400 uM de dNTP Le MgCl ajout a conduit une augmentation des concentrations du produit de amplification par la PCR tandis que l addition de nucl otides a r duit l amplification non sp cifique des fragments courts On a constat que dans de telles conditions de r action augmentation de la dur e de la d naturation dans les conditions de d roulement des cycles d amplification par la PCR am liorait l uniformit de Tessat Enfin on a int gr un ARNr 16S t moin dans chaque r action en quintuplex pour am liorer la fiabilit de l valuation de ces essais 4 26 Force probante des donn es facteurs prendre en consid ration pour la prise de mesures appropri es en temps utile au cours d une enqu te sur une maladie d origine alimentaire G Kozak M Nazarowec White PhD D Sharma L Landry A Currie C Nadon PhD et J M Farber PhD 1 S Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Rappels et enqu tes sur la s curit alimentaire Agence canadienne d inspection des aliments Ottawa Ont Centre des maladies infectieuses d origine alimentaire environnementale et zoonotique ASPC Guelp
258. en 1995 186 000 tonnes en 2001 Des tudes r centes ont montr que certains esters organophosphor s peuvent avoir des effets n fastes sur la sant Cependant les donn es sont limit es concernant l exposition humaine ces produits chimiques Nous avons labor une m thode simple et fiable pour mesurer certains esters organophosphor s dans la poussi re domestique qui est une importante voie d exposition aux polluants de lair int rieur OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Les esters organophosphor s sont couramment utilis s comme agents ignifuges plastifiants fluides hydrauliques solvants agents d extraction agents antimoussants adh sifs et rev tements pour dispositifs lectroniques Des tudes r centes ont montr que certains esters organophosphor s pouvaient avoir des effets n fastes sur la sant La pr sente tude vise tablir une m thode rapide et sensible permettant de mesurer simultan ment 13 esters organophosphor s dans des chantillons de poussi re domestique pr lev s par aspiration dans le cadre de l Enqu te sur la poussi re domestique au Canada Les r sultats de cette tude pourraient permettre de mieux comprendre l exposition humaine ces compos s par le biais de la poussi re domestique PLAN M THODE DESCRIPTION Les chantillons de poussi re ont t pr lev s par les appareils d aspiration normalement utilis s par les participants pour leur entretien m nager Les chantillons ont
259. en se situant dans la sph re sociale politique linguistique conomique et spirituelle de ce patient la s curisation culturelle passe par la reconnaissance du fait que le dispensateur de soins de sant apporte sa propre culture et ses attitudes la relation Organisation nationale de la sant autochtone 2008 Cette tude portait sur une tape initiale cl de la d marche visant s assurer que les processus d orientation de la prise de d cisions par des donn es probantes de la DGSPNI prennent en compte les valeurs culturelles savoir un examen des donn es probantes visant recenser les caract ristiques fondamentales de la s curisation culturelle qui sont pertinentes pour la prise de d cisions dans le contexte organisationnel de la DGSPNI M THODES On a eu recours trois approches pour recenser les r f rences susceptibles d tre pertinentes On a communiqu avec des partenaires autochtones ou issus d autres milieux des contacts professionnels et des r seaux pour leur demander de sugg rer des sources susceptibles d clairer cet examen On a effectu des recensions l aide de plusieurs moteurs de recherche lectronique La troisi me approche utilis e pour recenser les ressources pouvant tre utiles tait ax e sur la litt rature grise La m thodologie du projet a galement t clair e par un dialogue constant avec les partenaires des Premi res nations et des Inuits et refl tait les caract
260. ence canadienne d inspection des aliments St Hyacinthe Qc Laboratoire de Dartmouth Agence canadienne d inspection des aliments Dartmouth N E 3 4 5 R SUM Le Comit des m thodes microbiologiques CMM donne des conseils d ordre m thodologique l appui du mandat de Sant Canada et de l Agence canadienne d inspection des aliments de surveiller l innocuit de l approvisionnement alimentaire canadien Les m thodes microbiologiques alimentaires publi es dans le Compendium des m thodes d analyse peuvent tre utilis es des fins r glementaires pour valuer la conformit diff rentes normes et lignes directrices et ce titre doivent avoir fait l objet de validations et d essais appropri s On a labor de nouvelles lignes directrices pour la validation des m thodes afin de mettre l accent sur les donn es sur chaque produit alimentaire de permettre des types additionnels de validation de m thodes et de tendre vers la plus grande harmonisation possible avec les lignes directrices sur la validation des m thodes des organisations internationales de normalisation OBJECTIFS Les nouvelles lignes directrices sur la validation des m thodes permettent d valuer les donn es d chantillons non appari s provenant d enrichissements initiaux non communs aux deux m thodes On retrouve de plus en plus d chantillons non appari s dans les m thodes rapides qui utilisent des composants exclusifs Les nouvelles l
261. ent pour 2005 2007 Les emplacements les plus courants des erreurs taient les services de transfusion les services m dicaux et chirurgicaux et les salles d urgence 2005 2007 2009 On a d nombr 2 7 d erreurs r elles et 97 2 d erreurs vit es de justesse la proportion d erreurs qui se sont av r es nuisibles pour le patient s est situ e 0 05 Les pr l vements et les transfusions d unit s milieu clinique et la r ception d chantillons et la s lection d unit s laboratoire ont t associ s aux taux d erreurs les plus lev s pendant la p riode 2005 2007 2009 CONCLUSION Les taux lev s derreurs associ es aux pr l vements restent un probl me de s ret important pour les patients car ces erreurs peuvent mener des incompatibilit s ABO et avoir des cons quences graves Des erreurs graves p ex commande d un produit qui n est pas destin au patient trait administration d un produit au mauvais patient continuent de se produire L identification lectronique p ex codes barres pourrait am liorer la s ret des transfusions Le SSET est constamment mis jour et la formation est continue L ASPC organise tous les mois des t l conf rences sur la qualit des donn es afin de normaliser la codification et de faire conna tre les moyens employ s pour r duire les erreurs La formation continue et l examen r gulier de la s ret des transfusions restent importants pour l am liorati
262. ents dans l air autour des centrales nucl aires canadiennes et l chelle r gionale Ces d tecteurs de rayonnement surveillent et signalent en temps r el les rayonnements pr sents dans l air Ils surveillent les missions quotidiennes des centrales nucl aires et peuvent servir en cas d urgence pour d terminer le d bit de dose pour le public et valuer les types de mesures d urgence requises Sant Canada a galement labor un ensemble de d tecteurs similaires qui peuvent tre rapidement d ploy s le cas ch ant M THODE En mars 2011 une urgence est survenue la centrale nucl aire de Fukushima au Japon ce qui a activ le r seau mondial de surveillance radiologique En r ponse Sant Canada a install 8 d tecteurs SPF additionnels dans l Ouest canadien et 9 autres d tecteurs rapidement d ployables Deux d tecteurs ont aussi t envoy s l ambassade canadienne Tokyo la demande du MAECI pour assurer la protection des Canadiens l tranger et prendre des d cisions et des mesures en ce sens R SULTATS Des gaz atmosph riques rares Xe ont t mesur s et ces concentrations d activit ont aliment les mod les de transport atmosph rique d Environnement Canada afin de d terminer la quantit de mati res radioactives rejet es par la centrale de Fukushima Des valuations quotidiennes des d bits de dose ont t r alis es et les r sultats ont t publi s sur le site de Sant Canada Des v
263. eptibles de poss der des propri t s li es la propension causer une maladie que les souches provenant de l eau Nos r sultats seront utilis s pour la mise en vidence de marqueurs associ s aux souches de Campylobacter les plus susceptibles de causer une maladie OBJECTIFS L analyse g nomique comparative des souches de Campylobacter r v le une plasticit g nomique qui permet de mieux comprendre l volution des caract res de virulence de cette bact rie La survie dans diff rents milieux d pend du contenu en g nes et de l adaptation de l expression g nique en r action aux signaux environnementaux Pour d terminer les g nes d importance pour la virulence de la bact rie nous avons effectu l analyse du transcriptome des souches d origine clinique environnementale et animale PLAN Nous avons s lectionn un sous ensemble de 70 souches de C jejuni 26 provenant de cas cliniques 23 de l eau et 21 d animaux issues de pr l vements faits entre 2004 et 2007 dans l ensemble du Canada Nous avons effectu des essais pour valuer la croissance l adh rence et l envahissement la mobilit et la formation de biofilm afin d tablir les propri t s ph notypiques de chaque souche Nous avons compar l aide du test de Mann Whitney les r sultats des essais obtenus pour les souches des diff rentes origines et pour les groupes de souches g n tiquement reli es Nous avons s lectionn un sous ensemble de
264. er la croissance dans les cas o l chantillon contiendrait moins de 5 cellules par chantillon de 25 grammes PRODUITS R SULTATS Nous avons contamin artificiellement de la viande froide de dinde ou du fromage avec L monocytogenes et nous les avons entrepos s 48 heures 4 C Nous avons effectu un d nombrement dans les doubles des chantillons pour r v ler des concentrations d enrichissement de 25 1 500 unit s formant des colonies par gramme UF C g M me lorsque les quantit s inocul es taient faibles la m thode a permis la d tection de la charge d organismes pathog nes sans perte de sensibilit Nous avons r ussi isoler L monocytogenes en deux jours INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS Les technologies mergentes reposant sur la nanotechnologie ou la microfluidique requi rent une petite quantit d chantillon exempt de d bris nuisibles La m thode d crite ici facilitera le transfert de telles technologies vers l industrie alimentaire et sera un compl ment utile aux m thodes classiques d isolement des organismes pathog nes d origine alimentaire que l on trouve dans des matrices alimentaires complexes 4 34 Les m dias sociaux et la gestion des urgences W Wells L Bureau des pr paratifs d urgence DGRP Sant Canada Ottawa Ont R SUM L utilisation des m dias sociaux par les premiers r pondants et les organismes gouvernementaux pour surveiller les urgences y r pondre et faire rappor
265. es respectivement la fois dans les exp riences men es faible et forte dose le DEHA demeur dans la cr me et dans la peau constituait environ 43 de la quantit totale appliqu e La quantit totale de DEHA r cup r e tait inf rieure 50 selon le bilan massique CONCLUSION La diffusion mol culaire tait le principal facteur limitant la p n tration du DEHA dans la peau et diffusant dans la solution r ceptrice La faible r cup ration du DEHA tait probablement attribuable au m tabolisme rapide du DEHA dans la peau et perte du DEHA par vaporation Compte tenu du nombre limit de peaux utilis es dans l exp rience et de la p riode d exposition de 24 heures nous avons conclu que le DEHA p n trant dans la peau et atteignant la circulation sanguine pendant une p riode d exposition de 24 heures est probablement faible soit 2 2 ng cm h la fois aux doses faible et lev e Toutefois le DEHA demeurant dans la peau pourrait continuer diffuser dans la circulation sanguine avec le temps d o le besoin de mener d autres travaux de recherche sur le sujet 1 41 Exposition o vitro de cellules A549 des particules de l air ambiant et tude des modifications prot iques associ es par spectrom trie de masse MALDI TOF S Mohottalage PhD D Breznan PhD J Crispo MSc C Mackinnon Roy MSc D Das PhD P Gupta MSc R Vincent PhD et P Kumarathasan PhD e Laboratoire de p
266. es 50 50 v v Nous avons ensuite r cup r les extraits ainsi rinc s et les avons analys s par CPG SM Agilent afin d examiner la d gradation des PBDE mis l essai et de d terminer la nature des nouveaux produits de transformation PRODUITS R SULTATS Sous les effets des rayons UVA B le BDE 209 le BDE 47 et le BDE 99 se sont d grad s et leurs mol cules ont perdu des atomes de brome par d bromination Avec le BDE 99 et le BDE 47 la d gradation a t diff rente pour les solutions d isooctane et de nonane ce qui semble indiquer que les DBE se retrouvant en suspension dans l air peuvent subir diff rentes transformations Les r sultats ont r v l que la vitesse de d gradation des PBDE allait comme suit BDE 209 gt BDE 99 gt BDE 47 2 49 Pollution atmosph rique li e la circulation automobile et changements aigus de la variabilit de la fr quence cardiaque et de la fonction respiratoire chez les cyclistes en milieu urbain S Weichenthal R Kulka A Dubeau C Martin D Wang et R Dales i Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM On comprend mal les effets court terme sur la sant associ s l exposition la pollution atmosph rique chez les cyclistes Au cours de l t 2010 Sant Canada a r alis une tude visant examiner l incidence de l exposition la pollution atmosph rique sur les changements de courte dur e de la variabil
267. es DGSPNI Sant Canada Ottawa Ont Direction de sant nonassur s DGSPNI Sant Canada Ottawa Ont Inuit Tapiriit Kanatami Assembl e des Premi res Nations Ottawa Ont Ae N R SUM Les donn es probantes de nature g n rale peuvent ne pas tre directement applicables la diversit des contextes des communaut s des Premi res nations et des Inuits Parmi les sources de donn es probantes valables figurent les approches culturelles et traditionnelles Il serait utile d laborer un outil pouvant aider les employ s de la DGSPNI prendre des d cisions fond es sur des donn es probantes qui respectent les valeurs culturelles Cette tude est un examen des donn es probantes effectu avec des partenaires des communaut s des Premi res nations et des Inuits dans le but d clairer l laboration d un outil Les r sultats font ressortir la nature relationnelle de la s curisation culturelle y compris l importance de travailler en partenariat avec les Premi res nations et les Inuits lors de l engagement dans un processus tel que l laboration d un outil destin guider la prise de d cisions OBJECTIF Le concept de s curisation culturelle trouve sa source dans le contexte clinique o sa d finition est la suivante d marche faisant en sorte que les ducateurs les praticiens et les professionnels qu ils soient indig nes ou pas puissent communiquer de mani re comp tente avec un patient
268. es adultes d un m lange de substances ignifuges comparable ce qui existe dans l environnement des doses observ es dans la poussi re domestique S Ernest C Lalancette D Gaertner M G Wade T Rawn B Robaire et B Hales 1 2 3 D partement de pharmacologie et de th rapeutique Universit McGill Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM R cemment Sant Canada a interdit l utilisation des produits ignifuges contenant des polybromodiph nyl thers PBDE dans les produits neufs Toutefois l exposition ces produits se poursuit car les PBDE sont encore pr sents dans de nombreux produits existants Nous avons examin les effets de l exposition un m lange de produits ignifuges principalement des PBDE similaire ce que Ton retrouve dans l environnement Ce m lange n a produit aucun effet chez des rats m les adultes des doses que l on estime quivalentes celles de lexposition actuelle la poussi re domestique une dose 1 000 fois plus lev e on a not une certaine toxicit Ces r sultats laissent croire que l exposition actuelle aux PBDE dans la poussi re domestique ne pose pas de risque pour la sant g n rale l appareil reproducteur ou la fonction thyro dienne chez les m les adultes OBJECTIF CONTEXTE QUESTIONS R cemment la vente de to
269. es collectivit s canadiennes cycle 2 2 ESCC 2 2 men es par Statistique Canada ou dans les provinces Or la classification des aliments dans le FCEN ne correspondait pas aux recommandations du plus r cent guide Bien manger avec le Guide alimentaire canadien BMGAC Par cons quent il tait impossible d valuer l alimentation des Canadiens selon ce guide Nous avons labor un mod le de profil nutritionnel en suivant les recommandations de BMGAC afin de permettre cette valuation CONTEXTE Afin que Sant Canada puisse valuer comment les Canadiens suivent les conseils du guide BMGAC il tait n cessaire de classifier les aliments du FCEN en fonction des lignes directrices du guide BMGAC L objectif de ces travaux tait de cat goriser classifier les aliments du FCEN en tenant compte du guide BMGAC et de valider cette classification OBJECTIF Cat goriser classifier les aliments du FCEN en tenant compte du guide BMGAC et valider cette classification MAT RIEL ET M THODES Selon les recommandations du guide BMGAC nous avons labor un mod le de profil nutritionnel Les principaux l ments nutritifs utilis s pour classifier les aliments du FCEN taient les suivants mati res grasses totales glucides et sodium En fonction des crit res relatifs aux all gations nutritionnelles et de la Campagne d ducation sur le tableau de la valeur nutritive nous avons tabli les limites sup rieures et inf rieures e
270. es d valuation pouvaient tre facilement modifi s par une simple limination des nanomat riaux par centrifugation avant les analyses CONCLUSION La plate forme est d ploy e pour permettre l analyse des nanomat riaux constituant une pr occupation r glementaire pour Sant Canada et dans le cadre d une initiative internationale de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE 4 07 Campylobacter spp dans les sources d eau de milieux agricoles dans l Est de l Ontario Canada C Carrillo PhD R Kenwell S Mohajer R Maal Bared PhD R Lowman DVM and E Taboada PhD Bureau des dangers microbiens Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Agence canadienne d inspection des aliments Ottawa Ont CRME Universit d Ottawa Ottawa Ont Laboratoire de lutte contre les zoonoses d origine alimentaire ASPC Lethbridge Alb 2 3 4 R SUM Chaque ann e environ 1 de la population souffre de gastro ent rite due Campylobacter principalement apr s avoir consomm de la volaille mais aussi d autres aliments p ex viandes lait cru eau Nous avons analys des chantillons d eau pr lev s dans des zones rurales pr s de fermes avicoles et avons d couvert que l eau tait contamin e durant toute l ann e Des mesures d intervention visant emp cher l exposition de la volaille aux sources d eau sur les fermes pourraient r duire la con
271. es indiquent que le CPO re oit environ 300 appels par ann e li s des produits v g taux Bien que la plupart de ces appels n taient associ s des RI des donn es sur les Hl existent dans la base de donn es du CPO CONCLUSIONS PROCHAINES TAPES Le CPO re oit des appels li s des PSN Des donn es sur les RI li es des produits v g taux existent dans la base de donn es Au cours des deux ou trois prochaines ann es nous projetons 1 d obtenir des d tails sur la nature exacte de ces donn es afin de d terminer si les donn es recueillies partir des appels peuvent servir Sant Canada dans son valuation de l innocuit des PSN et 2 de mettre au point une tude prospective pilote dans le but de recueillir des RI li es des PSN qui permettrait d acqu rir des donn es pertinentes en temps r el mesure que des appels sont re us au CPO et au DPIC 1 33 M thode permettant d extraire s lectivement et de concentrer l rythropo tine par immunochromatographie et de la d tecter par lectrophor se capillaire une validation de principe A Kane MSc B Lorbetskie BSc M de Frutos PhD et M Girard PhD 1 Centre d valuation des vaccins Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Institut de chimie organique g n rale Conseil national de recherche espagnol CSIC 3 Juan de la Cierva Madrid Espagne 2 R SUM Afin de mes
272. es ruptures de la cha ne du froid peuvent engendrer des changements d favorables des propri t s du produit p ex perte d efficacit Le maintien de la cha ne du froid est particuli rement difficile dans les r gions o l infrastructure ad quate fait d faut et le recours aux nanotechnologies pourrait permettre d am liorer la stabilit thermique des prot ines th rapeutiques Dans l tude pr sent e ici nous utilisons des nanoparticules de lipides charg es pour accro tre la stabilit thermique de l albumine M THODES Nous avons valu la stabilit thermique de trois albumines albumine s rique bovine BSA et albumine s rique humaine recombinante rHSA produite dans la levure P pastoris ou le riz O satival en pr sence de diff rentes formulations de NPL en mesurant la teneur en h lices a 222 nm l aide d un spectropolarim tre de dichro sme circulaire dans UV lointain R SULTATS La pr sence de NPL charg es n gativement a am lior la stabilit thermique de la BSA et de la rHSA P pastoris de 10 et de 15 C respectivement Les NPL charge neutre ont eu un effet minime ou nul sur la stabilit thermique de ces deux albumines Inversement les NPL charg es n gativement ont eu un effet minime ou nul sur la rHSA extraite d O sativa et les NPL charge neutre ont r duit la stabilit thermique de cette prot ine d environ 10 C CONCLUSION Nous d montrons que les NPL sont un moyen ef
273. es sur leur exposition aux divers polluants de l air dans leurs r sidences Sant Canada a r cemment conduit une s rie d tudes d exposition dans diff rents centres urbains travers le Canada Ces tudes visent documenter les niveaux de polluants de l air et obtenir une meilleure compr hension des sources Les niveaux de particules fines PM sont d int r t particulier en raison des effets document s sur la sant cardiovasculaire et respiratoire Ces tudes supporteront le d veloppement d outils de gestion et de communication du risque CONTEXTE ET OBJECTIFS Sant Canada a r cemment conduit une s rie d tudes d exposition dans diff rents centres urbains canadiens Ces tudes d exposition ont t effectu es afin d obtenir une meilleure compr hension des sources de pollution de l air int rieur et des niveaux auxquels les Canadiens sont expos s en milieu r sidentiel La contribution de la pollution ext rieure aux niveaux int rieurs ainsi que la variabilit des concentrations selon les saisons ont galement t investigu s MAT RIEL ET M THODE Sant Canada a mesur l exposition aux PM l int rieur et l ext rieur de r sidences Windsor Toronto Hamilton Regina et Halifax entre 2005 et 2009 Des maisons comparables mais avec fumeurs ont galement t incluses dans l tude conduite Regina Dans chaque r sidence des questionnaires uniformis s sur les caract ristiques des ma
274. es taux moyens de PUF dans les v hicules durant les p riodes de pointe estivales de d apr s midi taient similaires ceux du matin pour les itin raires au centre ville 21 300 cm 3 et en banlieue 21 500 cm mais inf rieurs dans le cas de l itin raire empruntant des routes principales 31 300 cm Pour tous les itin raires confondus les taux moyens de PUF dans les v hicules tendaient tre l g rement plus lev s en hiver diff rence moyenne 8 800 cm intervalle de confiance IC 95 40 17 626 et durant la p riode matinale diff rence moyenne 6 100 cm IC 95 600 12 800 La valeur moyenne maximale sur 3 heures des taux de PUF pour un itin raire donn a t mesur e sur les routes principales le matin en hiver 133 400 cm e En moyenne le ratio int rieur ext rieur des taux de PUF tait gal 0 86 intervalle 0 26 1 51 ce qui semble indiquer que l exposition l int rieur du v hicule est l g rement moins lev e qu l ext rieur lorsque les fen tres sont ferm es le ventilateur est basse vitesse et la recirculation est coup e CONCLUSIONS Les taux moyens de PUF dans les v hicules Toronto taient comparables en milieu urbain et en banlieue mais tendaient tre plus lev s sur les routes principales De plus ils taient plus lev s durant la p riode de pointe matinale en hiver 2 46 Difficult s associ es l utilisation des donn es de surveillance
275. ession modifi e dans les trois conditions susmentionn es il s agit de g nes qui jouent pour la plupart un r le dans le contr le du cycle cellulaire l organisation et l assemblage cellulaires ainsi que la r plication la recombinaison et la r paration de l ADN Par contre 21 242 et 452 g nes n ont t touch s que par une des trois conditions savoir respectivement FBS CSFBS et NFBS L analyse par le logiciel IPA a mis en vidence une r gulation n gative des voies associ es au contr le du cycle cellulaire et une r gulation positive des voies de signalisation de l interf ron par le BPA dans les trois conditions de s rum Toutefois la r gulation positive par le BPA de la voie associ e la r ponse aux antioxydants et au stress n a t observ e que dans les conditions NFBS Parmi les exemples des g nes dont l expression tait alt r e par le BPA figurent ceux codant le facteur de diff renciation et de croissance 15 l h m oxyg nase 1 l endoth line 1 et le facteur de croissance fibroblastique 7 dans toutes les conditions la phosphoprot ine associ e aux microdomaines riches en glycosphingolipides 1 et la coronine dans les conditions FBS seulement homologue mitog ne pith lial et le r cepteur 1 de l interleukine 1 dans les conditions CSFBS seulement ainsi que l interleukine 6 et la prot ine de liaison au facteur de croissance insulinomim tique de type 5 dans les conditions NEBS seulement CONC
276. essit une r ponse d envergure et concert e de plusieurs minist res et ordres de gouvernement M THODE L intervention en cas d urgence nucl aire exige l int gration et l valuation d un large ventail de param tres technologiques avant la prise de mesures appropri es pour r duire les risques Parall lement la gestion de la catastrophe naturelle par le gouvernement Sant Canada a r uni des scientifiques de diff rentes organisations f d rales cl s en vertu du Plan f d ral en cas d urgence nucl aire auxquels il a donn le mandat d effectuer une valuation rapide et continue de la situation d urgence nucl aire et de son volution possible Le Bureau de la radioprotection de Sant Canada a par ailleurs mis sur pied des quipes charg es de la surveillance des rayonnements de l valuation des effets radiologiques des conseils en mati re de sant des communications et de l assistance internationale Les analyses et les recommandations de mesures de protection s appuyaient sur le fonctionnement et l valuation de r seaux de surveillance du rayonnement sp cialis s l chelle canadienne et mondiale ainsi que sur les changes avec leurs homologues l tranger R SULTATS Une troite collaboration entre les partenaires f d raux cl s dont Sant Canada radioprotection surveillance du rayonnement la Commission canadienne de la s ret nucl aire analyse des r acteurs Environnement Canada mod
277. et d animaux par port e pr sente une puissance et une sensibilit accrues en ce qui a trait la d tection des effets sur la reproduction et le d veloppement comparativement la ligne directrice 416 Par ailleurs comme la deuxi me g n ration ne sera plus syst matiquement requise cette m thode n cessitera nettement moins d animaux que la ligne directrice 416 Les r sultats de l tude EOGRTS am lioreront les d cisions en mati re de r glementation touchant la sant de la population canadienne 2 07 Les polluants atmosph riques augmentent ils l effet des a roallerg nes sur les hospitalisations pour l asthme R sultats d une analyse chronologique dans 11 villes canadiennes S Cakmak PhD R Dales MD et F Coates MSc Division des tudes sur la population BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement d pid miologie et de m decine sociale Universit d Ottawa Ottawa Ont Aerobiology Research Laboratories Ottawa Ont R SUM Il y a lieu de croire que la r ponse asthmatique aux allerg nes en suspension dans l air est intensifi e par l exposition la pollution atmosph rique Pour explorer ce ph nom ne nous avons analys des donn es sur les hospitalisations et la pollution atmosph rique dans dix villes canadiennes sur une p riode de 13 ans Nous avons observ que les polluants atmosph riques modifient l association entre les expositions de courte dur e des a roallerg nes
278. et les hospitalisations pour l asthme ce qui porte croire qu une pr disposition allergique augmente la sensibilit lair de mauvaise qualit L effet des a roallerg nes tait plus marqu les jours de forte pollution atmosph rique La r duction de l exposition la pollution atmosph rique pourrait se traduire par un moins grand nombre d exacerbations des sympt mes allergiques de l asthme BUT Des donn es exp rimentales indiquent que la r ponse asthmatique un a roallerg ne peut tre intensifi e par l exposition ant rieure un polluant atmosph rique Pour d terminer l importance de cette observation dans l ensemble de la population nous avons compar l effet d a roallerg nes sur les hospitalisations pour l asthme entre les jours de forte et de faible pollution atmosph rique dans dix grandes villes canadiennes M THODES Nous avons men une analyse chronologique quotidienne Les r sultats ont t ajust s selon le jour de la semaine la temp rature la pression atmosph rique et l humidit relative R SULTATS La population totale des villes tait de 12 155 739 personnes en 2000 ann e correspondant au milieu de l tude La saison des allergies dure g n ralement de mars octobre Le nombre moyen d hospitalisations pour l asthme pendant les treize ann es vis es par l tude durant la saison des allergies tait de 28 67 Les moyennes quotidiennes de la pollution atmosph rique n ont
279. et les produits monovalents dont la dur e de conservation avait t r vis e Nous avons mis l hypoth se que la stabilit conformationnelle de l h magglutinine dans le virus serait un d terminant majeur de la stabilit du vaccin antigrippal et avons appliqu celle ci pour examiner la perte d activit et la thermostabilit dans le vaccin trivalent saisonnier de 2010 2011 M THODE Nous avons analys diff rentes h maggjlutinines l aide de donn es sur la structure cristalline et la s quence et avons s lectionn des compos s qui devraient interagir avec le sous type H1ou H3 contenu dans le vaccin antigrippal 2010 2011 Nous avons valu leur effet en fonction de la dose sur l activit fusog ne de plusieurs souches virales vaccinales par des preuves d inhibition sur plaques Nous avons ensuite soumis ces compos s au test standard avant la mise en circulation des lots l essai d immunodiffusion radiale simple IDRS afin d valuer leur effet en fonction de la dose sur la thermostabilit des HA monovalentes en vrac produites par un seul fabricant Enfin nous avons utilis l essai d IDRS pour caract riser l effet de ces compos s s par ment ou ensemble sur diff rents lots de vaccins fabriqu s par divers fabricants R SULTATS Nos r sultats confirment l hypoth se selon laquelle la stabilit conformationnelle de PHA est un d terminant majeur de la stabilit du vaccin Ces donn es donnent de l informat
280. ettant de d celer une perturbation de l hormone thyro dienne eesseeeeeeeeeeeeeieirttieeeeriiiirrrrssnstennrnneseeee 1 45 Effets tumoraux induits la suite d une exposition l acrylamide par l alimentation dans deux mod les exp rimentaux de cancer du c lon humaine 1 46 Incidence d une r glementation sur l tiquetage obligatoire des gras trans et d une reformulation des produits alimentaires en vue de r duire la concentration en acides gras trans dans les aliments sur la concentration des gras trans dans le lait maternel des Canadiennes 1 47 Effet mutag ne du bisph nol A dans des cellules RAW 264 7 dans lesquelles on induit une Imflarmmmatton ses 1 48 Diff rence dans les effets des fructooligosaccharides et du son de bl de source alimentaire sur l expression des g nes jouant un r le dans le transport la transduction du signal apoptose la prolif ration cellulaire et l oncogen se de l pith lium du c lon proximal de rats Fischer 344 en bonne sant 000000nn0n00000 1 49 Mesure simultan e du D chlorane Plus et de diph nyl thers polybrom s dans EI WEE EEN 1 50 tude de la fum e principale mise par les cigarettes ultrafines vendues au Canada en fonction de quatre conditions diff rentes de tabagisme 00000sscneeneen 1 51 Classification des aliments du Fichier canadien sur les l ments nutritifs en tenant compte des lignes directrices du guide Bien ma
281. euse froide 0 1 de TFA et analys s par couplage MALDI TOF MS MS PRODUITS R SULTATS Les r sultats de LCMS ont mis en vidence deux adduits d ADN de m me que la base de d part de l ADN Les deux adduits ont t d cel s m z 337 ce qui indique tr s probablement un produit d addition de Michael de l ad nosine m z 267 et de la crotonald hyde m z 70 L analyse par couplage MALDI TOF MS MS a aussi r v l la pr sence d un adduit m z 337 ion parent INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les r sultats pr liminaires indiquent que les deux m thodes soit LCMS et MALDI TOF MS MS peuvent servir d celer la formation d adduits d ADN lorsque des tissus biologiques ou cellules sont expos s des contaminants de l environnement Le recours une combinaison de ces m thodes am liore la recherche d adduits d ADN Ces m thodes peuvent tre appliqu es des analyses grande chelle et des tudes sur la biosurveillance et permettent par cons quent de d terminer les risques 1 43 Perturbation du m tabolisme du folate et d veloppement du placenta C Moussa P Jolette et A J MacFarlane S D partement de biologie Universit d Ottawa Ottawa Ont D partement de biochimie de microbiologie et d immunologie Universit d Ottawa Ottawa Ont Division de la recherche sur la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM La pr cla
282. euses reprises et a tabli l ordre prioritaire d homologation des produits de substitution Par ce processus ARLA a communiqu les exigences en mati re de donn es les groupes de travail ont tabli les besoins en mati re de recherche et un plan de travail a t arr t Au fur et mesure de l examen des exigences r glementaires par les membres des groupes de travail les dossiers complets des produits taient pr sent s l ARLA pour examen R SULTATS ce jour la strat gie de transition pour l AZM a permis la pr sentation ou l homologation de plus de 50 des produits de substitution dont la priorit avait t tablie dans les plans de travail D autres dossiers r glementaires sont en pr paration et devraient tre pr sent s prochainement CONCLUSION L ARLA s est engag e collaborer avec les intervenants afin de trouver des produits de substitution pr sentant des risques moindres d ici la fin de la p riode d limination graduelle de AZM 4 32 Comment les objectifs des essais cliniques de sup riorit et de non inf riorit ont nui au discours sur l thique des essais cliniques contr l s contre placebo et contre t moin actif K Y R Li MSc 1 Bureau de la science Bureau des politiques sciences et programmes internationaux Direction des produits th rapeutiques DGPSA Ottawa Ont R SUM L thique de l utilisation de placebos dans les essais cliniques est l objet de vives co
283. exige que l industrie alimentaire limite la quantit de gras trans dans la margarine pour qu elle soit inf rieure 2 des mati res grasses totales et 5 ou moins dans les autres aliments ont donn lieu une r duction consid rable des gras trans dans le lait maternel et dans l alimentation des m res allaitantes OBJECTIF CONTEXTE Les acides gras trans AGT d origine industrielle sont form s par une hydrog nation partielle d huiles v g tales laquelle permet de produire des graisses semi solides que l on utilise dans la fabrication d aliments La consommation d AGT augmente le risque de maladie coronarienne Parmi les r cents efforts d ploy s pour r duire les AGT dans les aliments citons l affichage obligatoire de la quantit d AGT sur l tiquette des aliments et les recommandations de Sant Canada qui encouragent l industrie alimentaire restreindre volontairement la quantit d AGT dans les margarines 2 des mati res grasses totales et dans les autres aliments 5 ou moins des mati res grasses totales Afin d valuer l incidence de ces initiatives nous avons mesur la concentration d AGT dans des chantillons de lait maternel La quantit d AGT pr sente dans le lait maternel est r v latrice de l alimentation de la m re le jour pr c dant la mesure par cons quent le lait maternel constitue un chantillon biologique pratique permettant de mesurer la concentration d AGT dans les aliments
284. ficace d am liorer la stabilit thermique de la BSA et de la rHSA de P pastoris mais pas de la rHSA provenant d sativa L am lioration de la stabilit thermique de l albumine est une n cessit car cette mol cule est utilis e comme excipient dans bon nombre de pr parations pharmaceutiques et comme v hicule pour l administration de petites mol cules D apr s certaines tudes elle pourrait avoir un usage th rapeutique 4 22 Une nouvelle m thode d isolement des esp ces de Listeria dans les aliments en r action l closion de list riose de 2008 survenue au Canada F Pagotto G B langer F Boucher K H bert I lugovaz K Ouhna D Plante N Poulin et Y L Trottier 1 Division de la recherche Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont S DGRP r gion du Qu bec DGPSA Sant Canada 3 Service de r f rence pour la list riose du Canada Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L closion de list riose associ e aux viandes pr tes manger survenue au Canada en 2008 a soulev de nombreuses questions sur la s curit et la fiabilit de l approvisionnement alimentaire au pays Trois recommandations du rapport Weatherill portaient plus particuli rement sur le perfectionnement et la validation des m thodes et visaient une meilleure d tection de la bact rie et par cons quent une efficacit accrue des interventions en cas
285. fiques l gard de la PTx CONCLUSIONS Ces travaux d montrent le potentiel d utilisation des essais 7 vitro pour tablir des sp cifications en mati re de PTx r siduelle dans les vaccins anticoquelucheux et remplacer le test HIST effectu chez l animal De plus les preuves mises au point par la DPBTG taient transf rables fiables et offraient plusieurs avantages importants 4 21 Am lioration de la stabilit des prot ines par l utilisation de nanoparticules G Frahm MSc M J W Johnston PhD 1 Centre d valuation des vaccins DPBTG Sant Canada Ottawa Ont R SUM La r frig ration continue des vaccins et des m dicaments base de prot ines est d une importance cruciale car ceux ci sont thermosensibles et peuvent tre endommag s par des temp ratures lev es ce qui peut r duire leur activit et leur efficacit Nous pr sentons ici des r sultats montrant que des nanoparticules de lipides NPL peuvent r duire les dommages engendr s par la chaleur dans le cas de l albumine une prot ine utilis e dans un grand nombre de pr parations pharmaceutiques CONTEXTE L int grit structurale des prot ines est cruciale pour le bon fonctionnement des produits th rapeutiques base de prot ines De nombreux facteurs peuvent alt rer la structure des prot ines notamment les agents d naturants p ex l ur e et le stress thermique Le stress thermique est particuli rement pr occupant car l
286. g nomique a t extrait par addition de ph nol chloroforme par lyse alcaline et par la m thode Chelex Nous avons galement valu des m langes r actionnels de PCR commerciaux Qiagen multiplex Promega GoTaq Clear Qiagen TopTaq MP Taq GE diff rentes concentrations de composants du milieu r actionnel MgCb dNTP diverses conditions de cycles de PCR et diff rents additifs BSA b ta ne DMSO Qiagen Q en solution afin de d terminer comment chaque composant influait sur l amplification multiplex Apr s optimisation un t moin universel d ARNr 16S eubact rien a t int gr chacune des r actions multiplex R SULTATS Pour optimiser la qualit des r sultats avec cette m thode il est n cessaire de disposer d une matrice d ADN de haute qualit Nous avons constat que l incorporation de r sine Chelex la m thode de lyse par bullition donnait des r sultats comparables l utilisation d ADNg de haute qualit isol par des m thodes standard L utilisation de micro ondes pour la lyse cellulaire a donn des r sultats quivalents ceux de l bullition et a r duit le temps requis et la condensation dans les tubes un facteur qui pourrait avoir son importance pour la pr vention de la contamination crois e lorsqu on travaille avec de nombreux isolats Les r sultats variaient galement selon les syst mes commerciaux d amplification par la PCR utilis s Nous avons observ que le m lange Qiag
287. h Ont PulseNet Canada Agence de la sant publique du Canada Winnipeg Manitoba 3 4 R SUM Mener une enqu te sur une closion de maladie d origine alimentaire est une t che complexe multidisciplinaire non lin aire et dynamique La collecte des donn es de laboratoire de m me que les enqu tes sur la salubrit alimentaire et les enqu tes pid miologiques sont des l ments essentiels Dans le cadre des exercices ax s sur les le ons retenues par suite de l closion de list riose de 2008 qui a touch la charcuterie canadienne un document d orientation a t r dig pour fournir de l information sur les facteurs prendre en consid ration dans l valuation de la force probante de la preuve pour assurer la prise de mesures appropri es en temps utile Il s agit d un document d orientation g n rale pour les d cideurs f d raux en ce qui a trait aux enqu tes sur les closions de maladies d origine alimentaire Le document contient une description des facteurs prendre en consid ration et offre des indications sur la force probante accorder aux donn es amass es OBJECTIF CONTEXTE QUESTION I s agit d un document d orientation f d ral pouvant tre utilis au cours d une enqu te sur une closion de maladie d origine alimentaire afin d assurer la mise en place en temps opportun de strat gies d att nuation des risques appropri es PLAN M THODE DESCRIPTION On a r uni une quipe
288. h molytique l examen au microscope et la cytotoxicit MAT RIEL ET M THODES Des lots achet s dans le commerce de plusieurs esp ces et souches du genre Bacillus ont t amplifi s en conditions st riles dans du bouillon trypticase soja BTS sous un gradient d oxyg ne la temp rature de la pi ce jusqu ce qu une croissance importante soit visible Les cultures bact riennes ont t fractionn es en aliquotes et conserv es 20 C dans 20 de glyc rol Ensuite les cultures ont t tal es sur des plaques de g lose contenant du TSB et du sang de mouton pour obtenir des isolats de colonies distinctes Les colonies visuellement distinctes ont t isol es et remises en culture dans les conditions susmentionn es Pour d terminer l identit taxonomique des isolats on a proc d un criblage l aide du syst me d identification microbienne Sherlock On a galement utilis divers lots de production pour valider la reproductibilit de la m thode et carter toute possibilit de contamination Les isolats ont fait l objet d un examen plus pouss faisant appel diff rents essais et techniques microbiologiques ayant fait leurs preuves R SULTATS La comparaison d isolats bact riens distincts obtenus partir de cultures d amor age provenant d une banque de cultures a r v l que certaines colonies poss daient des propri t s morphologiques biochimiques et physiologiques uniques Ces propri t
289. hanol Le MCN a aussi provoqu une baisse des taux s riques d insuline de cholest rol de triglyc rides de HDL et de LDL 1 21 Identification automatis e des mutations de l ADN r p t en tandem par analyse d image R Gagn A Rowan Carroll et C L Yauk 1 Division des tudes m canistes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM L valuation du risque toxicologique des produits chimiques pr sents dans l environnement canadien r glement e en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l environnement doit permettre de d terminer leur pouvoir mutag ne sur l ADN Les produits chimiques qui provoquent des mutations de l ADN peuvent tre consid r s a g notoxiques puisqu ils pourraient accro tre le risque de maladie g n tique dans la population expos e Les mutations peuvent tre d tect es en triant l ADN selon la taille l aide d une matrice de gel lectrophor se en gel Habituellement les modifications de la taille de ADN sont mesur es manuellement partir d images num ris es de l ADN dans le gel mais cette m thode demande beaucoup de temps comporte des risques d erreur humaine et est inapplicable pour l analyse de milliers de produits chimiques Nous avons con u une solution informatique qui permet d accro tre la vitesse et le degr d exactitude du proc d rendant ainsi possible la d tection de la g notoxicit des milliers de produits chimiques pr sents dans l environnement
290. hydrolyse et de chromatographie pr c demment optimis es pour identifier les sous l ments caract ristiques du s rogroupe dans 23 lots de 8 vaccins antim ningococciques polysaccharidiques diff rents des fins de comparaison entre lots et entre produits La reproduction des mesures par trois analystes diff rents a mis les m thodes encore davantage l preuve L analyse des s rogroupes Y et W135 a n cessit l limination du lactose utilis titre d excipient avant l hydrolyse Nous avons test plusieurs syst mes de dialyse et de filtration centrifuge et une marque de filtre centrifuge s est r v l e largement sup rieure toutes les autres options R SULTATS La filtration centrifuge a permis d liminer le lactose utilis titre d excipient sans perte de polysaccharides afin de permettre d analyser les s rogroupes Y et W135 L analyse statistique a r v l que les m thodes taient remarquablement reproductibles lorsqu elles taient mises l preuve avec une plus grande vari t de vaccins et plusieurs analystes CV lt 5 Les r sultats ont fait ressortir certaines variations entre les lots et entre les produits Toutefois tous les vaccins ont donn des r sultats l int rieur des sp cifications acceptables pour les polysaccharides de chaque s rogroupe l exception de tous les lots d un vaccin dans lequel manquait la sous unit polysaccharidique du s rogroupe A CONCLUSIONS
291. i es aux produits de sant y compris les produits de sant naturels PSN est une activit primordiale favorisant leur utilisation en toute s curit Il est reconnu que la sous d claration des RI aux autorit s r glementaires constitue un probl me qui fausse l valuation des risques possibles associ s l utilisation des produits naturels La Direction des produits de sant commercialis s DPSC se consacre la recherche de nouvelles sources de donn es sur les RI li es aux PSN y compris les donn es sur la lutte antipoison provenant de deux centres antipoison canadiens qui re oivent des appels portant sur des PSN La pleine port e et la nature de ces donn es ne sont pas encore connues M THODES En tenant compte de la population provinciale et de l utilisation des PSN le Centre antipoison de l Ontario CPO financ et g r par The Hospital for Sick Children et le British Columbia Drug and Poison Information Centre DPIC ont t choisis pour r aliser ce projet Nous avons mis au point une strat gie de recherche pour obtenir des renseignements importants sur le nombre et le type d appels re us entre 2005 et 2009 par les centres antipoison et li s un seul ingr dient provenant de produits v g taux p ex ph dra de m me que des produits compos s de plusieurs v g taux R SULTATS Actuellement nous avons acc s aux donn es sur le nombre et le type d appels re us par le CPO Les donn es pr liminair
292. ide gastrique R SULTATS Bien que la poussi re domestique contient beaucoup de mati re organique concentration moyenne de carbone organique 27 en poids le Zn tait surtout associ la fraction inorganique min rale sous forme de carbonates ou de sulfures et li des oxydes hydroxydes de fer L exposition de la poussi re domestique l humidit a entra n une hausse importante de la bioaccessibilit du Zn allant de 20 60 de la valeur initiale selon l chantillon CONCLUSIONS PROCHAINES TAPES Ces r sultats indiquent qu une forte humidit dans les environnements int rieurs pourrait accro tre la bioaccessibilit du Zn dans la poussi re d pos e par rapport des conditions s ches La prochaine tape consistera d terminer les transformations chimiques de diverses esp ces de Zn dans la poussi re forte teneur organique en milieu humide 2 40 Examen pr liminaire des concentrations de pesticides dans les eaux souterraines canadiennes P Sangster E Larivi re M KM L Avon et V Hodge 1 Direction de l valuation environnementale ARLA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire ARLA de Sant Canada s emploie pr ciser l ampleur actuelle de la contamination des eaux souterraines canadiennes par les pesticides en compilant des donn es de surveillance provenant de diverses sources M me si toutes les donn es pertinentes disponibles
293. identifier les facteurs de virulence intervenant dans la pathog nicit associ e la barri re h matoenc phalique Nous effectuons en ce moment la caract risation des biofilms associ s un ensemble de 30 souches diff rentes l aide du test de la concentration minimale d radication du biofilm R SULTATS Le criblage d une banque de transposons a r v l qu un mutant isog nique de la souche HPB3231 avait perdu sa capacit d adh rer aux cellules de la barri re h matoenc phalique La r cup ration des transposons combin e au s quen age de l ADN a r v l que le site d insertion tait situ l int rieur d un g ne codant la diguanylate cyclase DGC Un mutant isog nique de la souche 3787 un isolat alimentaire qui a r duit de mani re statistiquement significative la capacit de production de biofilms est en ce moment l tude Il a t d montr que l absence de la diguanylate cyclase dans la souche 3231 de Cronobacter due l insertion du transposon a un effet sur l adh sion aux cellules endoth liales microvasculaires du cerveau humain CONCLUSION Un r le majeur de la DGC chez bon nombre de bact ries Gram n gatif est de synth tiser le diguanylate cyclique c di GMP Le c di GMP est un second messager bact rien dont on sait qu il r gule la formation du biofilm la motilit et la virulence ou d autres aspects de la pathog nicit microbienne des concentrations lev es le c di G
294. iens Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa GE de microbiologie d immunologie et de biochimie Universit d Ottawa Ottawa ei d innocuit des produits chimiques Division des services scientifiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Jusqu un quart des maladies gastro intestinales d clar es au Canada sont associ es une infection par les parasites d origine hydrique et alimentaire G ardia et Cryptosporidium Comme ces organismes ne peuvent tre amplifi s en laboratoire il faut recourir des m thodes de num ration au microscope qui prennent du temps et dont l interpr tation n cessite une certaine expertise Nous avons mis au point une m thode de cytom trie de flux permettant la d tection rapide et pr cise des kystes de Giardia et des ookystes de Cryptosporidium vivants Cette m thode permettra d analyser avec pr cision un grand nombre d chantillons l int rieur d une p riode beaucoup plus courte OBJECTIFS Les m thodes actuelles de d tection des ookystes de Cryptosporidium et des kystes de Giardia s appuient sur l examen au microscope des chantillons L analyse microscopique est de port e limit e car on ne peut examiner simultan ment qu un petit nombre de cellules dans un volume r duit La cytom trie de flux est une m thode rapide et efficace de quantification de particules dans des volumes importants d chantillons Cette technologie a t employ e pr c demmen
295. if res 2 11 M thylation d l ments r p t s d ADN dans le foie de rats expos s en p riode p rinatale des polluants organiques persistants C Cummings Lorbetskie G h Xiao et D Desaulniers 1 Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Nous avons mesur le degr de modification d origine chimique de l ADN dans le foie de rats expos s des m langes de polluants environnementaux avant et apr s leur naissance M me si des tudes chez l humain ont montr que la m thylation de l ADN des cellules sanguines tait li e la concentration sanguine de polluants nous n avons pas observ de modification de ADN du foie de rats expos s des produits chimiques Nous avons analys l ADN du foie car il s agit l du principal organe de d toxification de l organisme mais les globules blancs pourraient se r v ler tre un indicateur plus sensible de l exposition aux produits chimiques OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Des tudes portant sur l tre humain ont permis de mettre en vidence une association n gative entre la concentration plasmatique de polluants organiques persistants POP et le degr de m thylation globale de l ADN du sang L hypom thylation globale de s quences g nomiques r p titives telles que les longs et les courts l ments d ADN r p t s dispers s LINE pour long interspersed nuclear elements et SIN
296. ignes directrices exigent la pr sentation de donn es pour chaque produit alimentaire et non pas un nombre global de points de donn es On a galement apport des modifications la s lection et aux types d chantillons d aliments ainsi qu l valuation statistique de la s rie de donn es Enfin il tait n cessaire d harmoniser le plus possible les lignes directrices sur la validation des m thodes avec celles des organisations internationales de normalisation PLAN Un document de consensus d crivant la conception et l valuation des tudes de validation relative des m thodes a t pr par PRODUIT Une exigence cl pour la validation d une m thode est que sa comparaison avec une m thode de r f rence accept e donne les r sultats suivants sensibilit gt 98 sp cificit gt 90 4 taux de faux positifs lt 9 6 taux de faux n gatifs lt 2 et efficacit gt 94 Pour que la m thode soit utilisable pour tous les aliments les donn es de validation doivent tre accept es pour l ensemble des cat gories d aliments chacune tant repr sent e par trois types d aliments Un tableau indique la classification des cat gories d aliments et les combinaisons type aliment agent pathog ne sugg r es Les tudes portant sur des chantillons contamin s par voie artificielle devraient comporter 20 chantillons inocul s faible concentration 20 chantillons inocul s concentration lev
297. imal ne connaissaient pas les risques associ s ce comportement et pr sentaient d j une perte auditive mesurable Des programmes d ducation sensibilisant les enfants adolescents la perte auditive due au bruit et d autres tests pourraient tre utiles CONTEXTE ET OBJECTIFS Des recherches men es par Sant Canada ont tabli que le niveau maximal de pression sonore des lecteurs MP3 peut d passer la plus rigoureuse limite d exposition professionnelle au bruit 85 dBA sur 8 heures en aussi peu que trois minutes La pr sente tude visait valuer si les sujets utilisaient leur lecteur MP3 assez longtemps pour que leur niveau d exposition sonore augmente leur risque de perte auditive M THODE Les enfants adolescents n 247 g s de 10 17 ans recrut s dans 15 coles diff rentes ont rempli un questionnaire portant sur leur utilisation habituelle de lecteurs MP3 sur le type l ajustement des couteurs et sur l valuation subjective de leur audition Deux mesures du niveau sonore des lecteurs MP3 ont t prises la premi re correspondait au volume d coute normal des sujets et la seconde au volume d coute maximal des sujets Les sujets ont aussi subi un test audiom trique de 0 5 8 kHz dans une cabine de son R SULTATS Dans les conditions d coute normale 3 des sujets d passaient la limite d exposition professionnelle au bruit Cette proportion s levait 9 si l on pr sumait que toutes les
298. iner la relation entre la pollution imputable la circulation automobile et les changements aigus de la variabilit de la fr quence cardiaque VFC La VFC fournit des renseignements importants li s la r gulation autonome de la fr quence cardiaque et est importante pour la sant de la fonction cardiaque M THODES Quarante deux adultes en bonne sant ont roul v lo pendant 1 heure en empruntant des itin raires tr s ou peu fr quent s ou ont p dal sur un v lo stationnaire Les marqueurs de la sant ont t mesur s avant et 1 4 heures apr s l exercice On a mesur le taux de PUF lt 0 1 um de PM 5 de carbone noir et de compos s organiques volatils le long de chaque itin raire emprunt par les cyclistes les niveaux ambiants de NO et d O ont t mesur s l aide d un moniteur fixe On a utilis des mod les effets conjugu s pour estimer les associations entre les polluants atmosph riques et les changements au niveau des marqueurs de la sant mesur s par rapport aux valeurs de base avant l exercice R SULTATS Une augmentation d un intervalle interquartile des taux de PUF 18 200 cm tait associ e une r duction significative de la puissance fr quence lev e 4 heures apr s le d but de l exercice b ta 224 me IC 95 386 63 On a constat que les niveaux ambiants de NO taient associ s n gativement l cart type des intervalles NN b ta 10 ms IC
299. ins de fum e et peuvent donner l impression qu elles constituent un produit moins nocif La pr sente tude r v le que les CUF contiennent moins de tabac que les cigarettes classiques Toutefois en raison de la forme de leur filtre la concentration de nombreux produits chimiques pr sents dans la fum e principale mise par les CUF y compris la nicotine tait comparable celle des cigarettes classiques En outre la concentration de la formald hyde des compos s ph nol s et de lammoniac tait beaucoup plus lev e dans la fum e principale des CUF que dans celle des autres cigarettes canadiennes OBJECTIF tudier les marques de cigarettes ultrafines vendues au Canada et analyser l effet d une forme de cigarette pr sentant une plus petite circonf rence sur les missions de fum e MAT RIEL ET M THODES Dans l tude nous avons examin l effet d une plus petite circonf rence sur l mission de fum e principale en comparant six marques canadiennes de cigarettes ultrafines avec des cigarettes ayant la circonf rence habituelle Nous avons fait appel quatre conditions de tabagisme diff rentes y compris celles de l ISO de Sant Canada conditions intenses et deux autres conditions Nous avons analys les missions de fum e principale conform ment au R glement sur les rapports relatifs au tabac pour ce qui est des analytes qui comprenaient titre d exemple le goudron la nicotine le monoxyde de carbone l am
300. intes obtenus de dix centres m dicaux canadiens ont t stabilis s d s r ception puis analys s dans le but de d terminer les modifications prot omiques au moyen de la spectrom trie de masse technique de SM MALDI TOF TOF qui comprend des analyses prot omiques par shot gun suivies d analyses par SM SM et de l analyse de micror seaux de prot ines de type affinitaire PRODUITS R SULTATS CONCLUSIONS Bien qu environ 30 prot ines aient t identifi es par la m thode globale de spectrom trie de masse par shot gun certaines prot ines comme l ubiquitine ligase impliqu e dans l activation de NFKB1 le facteur de croissance transformant DI et la cha ne B du r cepteur des lymphocytes T semblaient caract ristiques du poids la naissance Par ailleurs lors de l analyse de micror seaux de prot ines de type affinitaire la MCP 1 la MMP 9 et la VCAM taient associ es n gativement au poids la naissance Fait int ressant la MCP 1 et la MMP 9 sont la fois impliqu es dans la dysfonction endoth liale et les maladies cardiovasculaires et li es aux sc narios de stress oxydatif INCIDENCES Nos r sultats tendent confirmer que les deux m thodes utilis es fournissent des renseignements compl mentaires quant la d termination des biomarqueurs prot omiques associ s aux voies m canistiques comme le stress oxydatif et la dysfonction endoth liale Cette information est essentielle la compr hension des d te
301. ion Notre projet regroupe les approches r glementaires existantes pour une cat gorie de substances nouvelles les microorganismes au Canada en une seule repr sentation graphique Il indique galement quelle est l autorit appropri e pour les diff rents produits et offre un aper u des minist res des organismes et des unit s cl s jouant un r le dans leur r glementation Les produits sont associ s la r glementation la plus pertinente afin que puisse tre d termin e l unit de r glementation la plus appropri e en fonction de l utilisation pr vue du produit CONTEXTE Les microorganismes consid r s comme tant nouveaux au Canada sont r glement s aux termes de la partie 6 de la LCPE ils peuvent toutefois tre galement assujettis certains autres r glements et lois Afin que soit vit e la redondance de la r glementation une substance qui est r glement e par une loi quivalente est exempt e des exigences relatives la d claration des substances nouvelles de la LCPE Ainsi la LCPE constitue un filet de s curit l gislatif pour les produits nouveaux au Canada OBJECTIF La r glementation des substances nouvelles est complexe et peut cr er de la confusion tant chez les d clarants que chez les organismes de r glementation au sujet du cadre r glementaire d une substance donn e L objectif de la pr sente tude tait de pr parer une feuille de route concernant la r glementation d
302. ion T Schrader PhD et I Langlois BSc l Division de la recherche en toxicologie Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM L inflammation des tissus qui comprend de la rougeur et un d me comme on l observe au cours d une infection ou dans le cadre de l arthrite produit plusieurs esp ces chimiques r actives qui peuvent favoriser le d veloppement d un cancer L interaction de ces esp ces r actives avec d autres compos s de l alimentation et leurs effets sur le risque de cancer ne sont pas g n ralement pris en compte dans les valuations de l innocuit des produits chimiques Le bisph nol A BPA est un contaminant trouv dans les aliments et l eau l aide d un essai faisant appel une lign e cellulaire il a t tabli que le potentiel du bisph nol A provoquer le cancer tait augment dans des conditions o l on induit une inflammation Le recours des essais permettant d examiner les effets de l inflammation sur le m tabolisme de produits chimiques pourrait entra ner une modification des politiques sur l valuation des effets des produits chimiques sur la sant OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Au cours de la r ponse inflammatoire l expression de g nes codant la synth tase de l oxyde nitrique la synth tase 2 de la prostaglandine H et la my loperoxydase est augment e Ces enzymes produisent diff rentes esp ces de radicaux libres qui peuvent jouer
303. ion car les cytosines non m thyl es sont transform es en thymine tandis que les cytosines m thyl es demeurent prot g es ce qui cr e essentiellement un polymorphisme Cette tude pr sente une m thode haut rendement permettant de d celer des variations de m thylation de l ADN l aide d une analyse des courbes de fusion haute r solution M THODE Nous avons utilis des dilutions en s rie d ADN g nomique m thyl et non m thyl et des oligonucl otides de synth se dont on connait la s quence pour contr ler de fa on pr cise les profils de m thylation utilis s au cours de la validation des essais Les amorces ont t con ues pour amplifier l ADN ayant subi un traitement au bisulfite peu importe le statut de m thylation En modifiant la temp rature de renaturation des amorces nous avons pu optimiser l intervalle et la r solution de l essai Apr s une amplification par PCR l ADN a t analys l aide de courbes de fusion haute r solution et les chantillons ont t group s selon leur profil de fusion Afin de d montrer l utilit de l approche nous avons trait des cellules pith liales alv olaires humaines A549 avec un agent hypom thylant le 5 aza 2 d soxycytidine DAC 0 0 1 5 M pendant 24 h et 72 h et avons examin les variations de m thylation de l ADN R SULTATS Le fait de modifier la temp rature de renaturation des amorces nous a permis de d tecter 1 de m thylat
304. ion il se concentre plut t sur les v nements ind sirables li s aux transplantations Un bref aper u du SSCTO est pr sent ci dessous PLAN Quatre tablissements de transplantation une tablissement ajout pour 2011 2012 participent au SSCTO qui est au stade de projet pilote L objet initial du SSCTO est la surveillance des receveurs d allogreffes de tissus et de produits tissulaires Les receveurs d allogreffes de tissus au Canada se divisent en deux groupes distincts 1 interventions chirurgicales et dentaires en milieu hospitalier et 2 en clinique priv e Les receveurs de transplantations dos chirurgicaux d os cadav riques de tissus mous de tissus cutan s de tissus cardiaques de tissus vasculaires de tissus oculaires et de membranes amniotiques sont aussi vis s par la surveillance Les principales donn es sur les v nements ind sirables li s aux transplantations comprennent le type de r action ind sirable les signes sympt mes cliniques les examens effectu s et les observations Des donn es anonymes sur les v nements ind sirables li s aux transplantations seront transmises l ASPC par voie lectronique tous les trois mois la collecte de donn es d butera le deuxi me trimestre de 2011 Pour mettre en route la surveillance des v nements ind sirables l ASPC a tabli en collaboration avec le GTN les parties concern es et des experts dans le domaine 1 un formulaire de d claration des
305. ion cellulaire d environ 12 et 20 respectivement Un apport compl mentaire d acide folique a corrig la prolif ration des cellules ayant subi une invalidation du g ne de la MTHFD1 mais pas du g ne de la MTR CONCLUSIONS Ces donn es indiquent que la prolif ration des cellules JEG3 d pend de l acide folique En outre l invalidation des g nes de la MTHFD1 ou de la MTR perturbe la prolif ration cellulaire Par cons quent chez les femmes risque de PE la r ponse un apport compl mentaire d acide folique peut d pendre de leur profil g nique sous jacent 1 44 De micro nano instruments mesurant les particules a riennes dans le lieu de travail J Niu PhD P E Rasmussen PhD M Faizan C Levesque et M Ch nier Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement des sciences de la terre Universit d Ottawa Ottawa Ont R SUM Les avanc es li es de la nanotechnologie et le nombre croissant de produits de consommation commerciaux issus de la nanotechnologie ont suscit des pr occupations majeures dans la population et de la part des l gislateurs sur les effets sur la sant des nanoparticules NP ou des particules ultrafines PUF inf rieures 100 nm la suite d une exposition L valuation de l innocuit et du risque pour la sant d une exposition possible des NP ou des PUF est toutefois limit e car on manqu
306. ion dans un ensemble de s quences non m thyl es Un seul site m thyl de fa on diff rente tait suffisant pour tablir une distinction entre des ensembles homog nes Le traitement de cellules A549 avec 0 1 M de DAC a diminu la m thylation de la s quence d ADN r p t e LINE 1 long interspersed element mais aucune modification n a t observ e la dose lev e ce qui est coh rent avec les donn es de pyros quen age publi es L tat de m thylation d un promoteur de g ne donn ne suit pas n cessairement la tendance observ e avec LINE 1 ce qui laisse penser que les variations de m thylation peuvent d pendre d une voie CONCLUSIONS L analyse des courbes de fusion haute r solution est une m thode sensible permettant de d tecter des variations attendues de la m thylation globale de l ADN mesur es avec LINE 1 et de la m thylation propre un g ne Dans de futurs travaux nous nous servirons de cette m thode pour compl ter les donn es sur l expression g nique recueillies en vue d une analyse de la toxicit 1 57 Aptam res capteurs base d ADN destin s la bioanalyse et la d tection des dangers A Wahba PhD A Cabecinha M DeRosa PhD W Hassen PhD H Liu PhD J Dubowski PhD et R Aranda Rodriguez PhD 1 2 3 Division de l exposition et de la biosurveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement de chimie Universit Carleton Ottawa Ont D partemen
307. ion sur Le m canisme conduisant la perte d activit des vaccins antigrippaux Une approche permettant de mettre au point des vaccins antigrippaux thermostables La d tection de la structure antig nique de HA par IDRS INCIDENCES PROCHAINES TAPES Cette tude permettra la mise au point de m thodes pour valuer l activit par des approches biophysiques S lectionner des souches vaccinales candidates permettant de produire des vaccins plus thermostables 4 20 De la recherche la r glementation nouveaux essais n vitro pour quantifier l activit de la toxine coquelucheuse dans les vaccins anticoquelucheux acellulaires V Filippenko A F Goulet D Bertrand B Lorbetskie F Cornel D Viel M Julien J Charbonneau M Reed M Baca Estrada S Sontakke M Girard D Smith et R Isbrucker i Division des vaccins bact riens et combinaisons de vaccins DPBTG Sant Canada Ottawa Ont Laboratoires d analyse de la structure des prot ines DPBTG Sant Canada Ottawa Ont Laboratoires d analyse biologique DPBTG Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM La Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DPBTG value les lots de vaccins et autorise leur mise en circulation pour tous les programmes d immunisation canadiens l heure actuelle on s int resse beaucoup la mise au point de m thodes n vitro qui remplaceraient les tests actue
308. ionnels potentiels mod lisation sch matisation laboration utilisation d un sondage lignes directrices transfert int gration gestion des connaissances et cr ation utilisation de banques de donn es ont t ajout s aux sept domaines 7 d crits au cours de l exercice de d finition des priorit s scientifiques Chacune des caract risations tait repr sent e par un num ro ce qui permettait une visualisation simple et informatis e des orientations de recherche des th mes des comp tences des tendances et d autres caract ristiques de la R amp D et des activit s scientifiques connexes r alis es Sant Canada Toutes les cat gories ayant servi l analyse de m me que l interpr tation figurent dans l affiche R SULTATS Les r sultats sont indiqu s pour les ann es 2003 2010 D autres outils de visualisation et des outils compl mentaires sont utilis s La feuille de calcul pr sentant les r sum s y compris la caract risation du contenu de ces derniers et les visualisations peuvent tre consult s gratuitement la Direction des politiques scientifiques personne ressource Nigel Skipper CONCLUSIONS 1 La pr sente analyse constitue une premi re tentative de caract risation des travaux de recherche effectu s au Minist re l aide d une cat gorisation des travaux en cours d laboration que sont les r sum s pr sent s aux Forums scientifiques Puisqu ils sont en chiffres les r sultats
309. ions de diff rentes sources DESCRIPTION Nous avons effectu une analyse des caract risations de l exposition humaine fond es sur environ 200 valuations des risques men es dans le cadre du D fi en examinant collectivement les donn es produites les mod les d exposition les sources et les voies d exposition les mesures de l exposition et les principales expositions R SULTATS En g n ral les principales voies d exposition par les produits de consommation et par les milieux de l environnement taient la peau et les voies respiratoires respectivement Des expositions par les produits de consommation ont t observ es et estim es dans environ 70 des valuations Des expositions par les milieux de l environnement air eau potable aliments sol poussi res ont t observ es et estim es dans pr s de 70 des valuations dont environ la moiti taient fond es sur des donn es de surveillance canadiennes D autres r sultats de l analyse seront d crits dans la pr sente affiche y compris les tendances en mati re d exposition qui sont ressorties dans les valuations ci dessus R PERCUSSIONS La connaissance des facteurs d exposition contribuera la mise au point de nouveaux outils d valuation des expositions en plus d am liorer les activit s venir du Plan de gestion des produits chimiques du Canada Les besoins en mati re de donn es et d outils seront d finis partir des valuations des
310. ipaux isotopes du radon le terme radon d signant le radon 222 et le terme thoron le radon 220 Des tudes ont montr que le thoron est l origine de 10 de l exposition au radon dans l air int rieur au Canada Pour valuer l exposition totale au radon et au thoron dans l air int rieur nous avons tabli pour le thoron le concept de concentration d quivalent radon PLAN M THODE DESCRIPTION L quivalent radon de la concentration de thoron se d finit comme la concentration de radon n cessaire pour produire la m me dose effective annuelle que celle d coulant d une concentration donn e de thoron L exposition totale au radon et au thoron dans l air int rieur correspond la somme de la concentration de radon et de l quivalent radon de la concentration de thoron PRODUITS R SULTATS L exposition totale au radon et au thoron devrait tre compar e la ligne directrice canadienne sur le radon Si l exposition totale d passe la valeur de la ligne directrice les mesures correctives n cessaires doivent tre prises Dans le cas des r sidences ayant d j fait l objet d analyses des concentrations de radon au moyen de d tecteurs de radon Sant Canada recommande de mesurer la concentration de radon pendant 3 mois durant la p riode de chauffage de l automne et de l hiver non seulement pour assurer une estimation conservatrice de la concentration annuelle moyenne de radon mais aussi pour faire ressortir tout
311. ires pour l valuation et la gestion du risque Il est important de mettre au point des outils rapides pour d tecter les polluants chimiques dangereux et d terminer le risque qu ils posent La d termination du risque n cessite habituellement la caract risation du produit chimique et de longues tudes de toxicit Dans la pr sente tude nous proposons d utiliser l interaction avec l ADN comme biomarqueur pour estimer le risque relatif pos l ADN par les produits chimiques mis l essai en utilisant le pouvoir d interaction et la cin tique de l interaction entre le produit chimique et l ADN l objectif tant la mise au point d un outil permettant de d celer rapidement les dangers de nature chimique PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons choisi les produits chimiques suivants pour repr senter les produits chimiques dangereux capables de modifier directement l ADN le benzo a pyr ne 7 8 dihydrodiol 9 10 poxyde BPDE l ther de ph nyle et de glycidyle PGE la t trachlorohydroquinone CI4HQ le m thanesulfonate de m thyle MMS et l oxyde de styr ne 7 8 SO Nous avons mesur l interaction avec l ADN par CLHP et CL SM la suite de la r action An vitro des produits chimiques avec des oligod soxynucl otides de 20 acides nucl iques et tabli les param tres descriptifs PRODUITS R SULTATS Nous avons d tect une modification de l ADN par le BPDE la CLHO le MMS le PGE et le SO Nous avons calcul les facte
312. isons et sur les activit s des participants lors de l chantillonnage ont t administr s R SULTATS Au total 369 maisons ont particip aux tudes La majorit de ces r sidences tait des maisons unifamiliales La moyenne des concentrations de PM25 mesur es variait entre 4 1 et 8 5 ug m maisons sans fumeurs et entre 17 et 22 ug m maisons avec fumeurs Le ratio moyen entre les concentrations int rieures et ext rieures ratio E variait entre 0 47 et 1 2 maisons sans fumeurs et entre 3 6 et 4 4 maisons avec fumeurs DISCUSSION ET CONCLUSIONS Les concentrations de particules mesur es taient en g n ral plus lev es l ext rieur qu l int rieur UE lt 1 Dans le cas sp cifique de l tude Halifax les ratios UE plus grands que l unit peuvent tre expliqu s par des concentrations ext rieures de particules particuli rement faibles Dans les maisons avec sources int rieures significatives de particules comme dans le cas des maisons avec fumeurs Regina les ratios UE taient beaucoup plus lev s que unit Dans ce cas le contr le de ces sources int rieures serait un moyen efficace pour r duire l exposition des r sidents aux particules fines 2 23 Documents d orientation exposant l expertise et le r le de Sant Canada en vertu de la Loi canadienne sur l valuation environnementale K Hess i Division de l valuation environnementale Direction de la s curit des milieux DGSES
313. it de la fonction pulmonaire et de la fr quence cardiaque chez des cyclistes en bonne sant Quarante deux adultes en bonne sant ont roul v lo pendant 1 heure en empruntant des itin raires tr s ou peu fr quent s ou ont p dal sur un v lo stationnaire On a mesur la concentration de polluants li s la circulation automobile sur chaque itin raire emprunt par les cyclistes et on a consign les marqueurs de la sant avant et apr s le trajet v lo On a constat une augmentation significative de l exposition la pollution atmosph rique sur l itin raire tr s fr quent par rapport l itin raire peu fr quent Si la pollution atmosph rique n a pas eu d incidence importante sur la fonction pulmonaire le dioxyde d azote l ozone et les particules ultrafines semblent avoir des r percussions importantes sur les syst mes biologiques qui r gulent la fr quence cardiaque D apr s les r sultats de cette tude les cyclistes devraient opter dans la mesure du possible pour l itin raire qui pr sente une exposition minimale la circulation afin de r duire leur risque de subir des effets n fastes attribuables la pollution caus e par la circulation automobile CONTEXTE Rares sont les tudes qui se sont pench es sur les effets aigus sur la sant des cyclistes d coulant de l exposition la pollution atmosph rique caus e par la circulation OBJECTIFS On a r alis une tude crois e en vue d exam
314. ite de ARNm de la CBS L inhibition de l expression de la CBS endog ne et la surexpression de la CBS mutante seront r alis es de fa on simultan e par transfection double des siRNA et des vecteurs d expression La v rification de l inhibition de l expression du g ne codant la CBS endog ne et de la surexpression du g ne codant la CBS mutante sera effectu e par PCR quantitative et par transfert Western R SULTATS Une s rie de quatre mutations associ es l homocyst inurie E176K K384E N et G307S a t cr e par mutag n se dirig e confirm e par s quen age L expression de la CBS endog ne dans les cellules HEP G2 et l inhibition transitoire de la CBS ont t confirm es par PCR quantitative et ou par transfert Western Nous travaillons l optimisation du protocole de transfection double et de surexpression de la prot ine CBS mutante dans les cellules HEP G2 CONCLUSIONS La mise au point d un mod le d expression mammalien de la CBS est essentielle la compr hension des r percussions que peuvent avoir les SNP du g ne codant la CBS sur les alt rations du m tabolisme de l homocyst ine sur les risques de maladie et sur la r ponse la vitaminoth rapie chez les personnes susceptibles dans la population canadienne Les mutants E176K K384E N et G307S seront utilis s pour la caract risation du site actif de la CBS qui interagit avec le substrat savoir l homocyst ine et qui interagjit indirectement avec le
315. l aide d un outil d valuation de la qualit mis au point express ment cette fin Apr s la s lection finale des donn es cl s nous avons estim tous les param tres de distribution des concentrations dans l environnement et tous les param tres de la distribution physiologique utilis s dans les quations servant au calcul des DJE Nous nous sommes servis du logiciel compl mentaire Crystal Ball pour Excel pour les simulations de Monte Carlo et des distributions probabilistes des DJE ont t obtenues pour chacun des cinq groupes d ge des r cepteurs humains de Sant Canada R SULTATS Au lieu de d river des DJE d terministes nous avons obtenu des distributions probabilistes multim dia au moyen d une approche compl tement transparente et syst matique Le travail a d j t men bien pour neuf substances chimiques ou esp ces baryum b ryllium cadmium chrome total et hexavalent plomb nickel chlorure de vinyle zinc CONCLUSION II s agit d une premi re tape pour tablir des DJE canadiennes qui int grent tous les renseignements pertinents Or lorsqu on utilise ce processus syst matique et transparent il est possible de cerner un grand nombre de limites lacunes dans les donn es limites m thodologiques absence de corr lation entre les milieux d exposition etc On peut ainsi classer par ordre de priorit les projets de recherche futurs en vue d am liorer les DJE de Sant Canada 1 10 H
316. l pid mie d ob sit et aux risques pour la sant qui y sont associ s 1 02 Effet du taux de fermentation des fibres alimentaires sur la consommation court terme d aliments et sur la r ponse des hormones intestinales chez des rats m les J Wu BSc L Kenney MSc K Storey PhD S Brooks PhD et A Aziz PhD 1 S D partement de biologie Facult des sciences Universit Carleton Division de la recherche en nutrition Bureau des sciences de la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partement des neurosciences Facult des sciences Universit Carleton Ottawa Ont Programme de nutrition Facult des sciences de la sant Universit d Ottawa Ottawa Ont 3 4 R SUM Comme les taux d ob sit ont augment dans le monde les outils potentiels de gestion du poids ont retenu beaucoup l attention Un de ces outils peut tre la consommation accrue de fibres alimentaires qui a t associ e au maintien du poids Au nombre des m canismes possibles qui interviennent citons une augmentation de la sati t et une r duction de la consommation d aliments sous l influence des concentrations d hormones intestinales La pr sente porte sur deux types de fibres alimentaires dont le taux de fermentation varie et vise mesurer leur effet sur la consommation court terme d aliments et sur la r ponse des hormones intestinales Les r sultats de cette tude devraient f
317. la polym rase et sont r introduites dans la colonne pour y subir plusieurs processus de s lection En g n ral il faut jusqu 20 processus de s lection pour obtenir des aptam res pr sentant une affinit et une sp cificit fortes envers la mol cule cible L affinit de liaison d un ensemble d aptam res pour la cible peut tre valu e par r sonance plasmon de surface Une fois qu il a t tabli qu un ensemble d aptam res pr sente une forte affinit de liaison la s quence des aptam res est d termin e par clonage mol culaire Les meilleurs aptam res sont alors ajout s un capteur fonctionnant par r sonance plasmon de surface et destin l analyse de l eau R SULTATS La premi re g n ration d aptam res obtenus Sant Canada a t prometteuse une fois que 6 SELEX ont eu lieu Diverses m thodes permettant de d terminer l affinit de liaison ont donn des r sultats non concluants polarisation de fluorescence dialyse l quilibre et LC MS MS Enfin la comparaison de ces aptam res des anticorps offerts dans le commerce laisse penser que laffinit de liaison de la cible libre est de l ordre du M Sant Canada met actuellement au point une deuxi me g n ration d aptam res en recourant des strat gies anti s lection et en ajoutant des mol cules comp titrices destin es saturer les interactions non sp cifiques ce qui devrait am liorer l affinit de liaison En outre
318. lacebo P lt 0 05 Les gar ons ayant re u un suppl ment de Zn avaient galement pris plus de poids Une valuation de l tat nutritionnel en Cu au moyen de biomarqueurs classiques Cu plasmatique activit de la c ruloplasmine plasmatique activit rythrocytaire de la superoxyde dismutase Cu Zn et d un nouveau biomarqueur ratio rythrocytaire des prot ines CCS SOD1 du bilan en Cu n a r v l aucune r duction du bilan en Cu la suite de la suppl mentation en Zn R PERCUSSIONS Ces donn es regroup es montrent que l administration d un suppl ment de 5 15 mg jour de Zn a augment le gain de poids chez les gar ons de 6 8 ans sans exercer d effets n gatifs sur le bilan en Cu Ces r sultats soulignent la n cessit de r examiner les AMT actuels pour le Zn chez les enfants qui ont t tablis par l IOM 1 06 Dosage du magn sium du calcium du sodium et du potassium dans des eaux embouteill es vendues Ottawa Canada J Bertinato PhD et J Taylor 1 Bureau des sciences de la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM De nombreux Canadiens ne consomment pas assez de magn sium Mg et de calcium Ca et peut tre de potassium K Les Canadiens consomment par contre trop de sodium Na Dans la pr sente tude nous avons mesur la teneur en ces min raux d une s rie exhaustive d eaux embouteill es vendues Ottawa Canada La teneur en sels min ra
319. lementation est ainsi vit e ce qui assure l efficacit du processus OBJECTIF Le pr sent projet vise d une part sensibiliser les d clarants ainsi que les organismes de r glementation sur la fa on dont le Canada r glemente les animaux vivants ainsi que leurs produits et d autre part liminer toute confusion possible ce sujet M THODE L information en question a t amass e au fil de nombreux changes avec des organismes de r glementation du gouvernement du Canada ainsi qu avec des membres du groupe de travail interminist riel sur la biotechnologie animale De plus nous avons examin en profondeur les lois et r glements r gissant les animaux vivants et leurs produits au Canada PRODUIT La feuille de route concernant les animaux vivants et leurs produits est un guide d une page qui indique clairement tous les instruments l gislatifs permettant l valuation de tels produits et les personnes ressources de chacun des centres de responsabilit en mati re de r glementation CONCLUSIONS Le pr sent guide vise regrouper en un seul document les informations les plus compl tes et jour concernant la r glementation canadienne relative aux animaux vivants issus de la biotechnologie Nous esp rons que ce document permettra de trouver plus facilement les organismes de r glementation appropri s aux produits animaux en question La feuille de route n est actuellement offerte qu l interne mais nous a
320. les urbaines du Canada afin de 1 pr ciser la bioaccessibilit des m taux 2 distinguer les m taux associ s aux particules de sol des m taux issus de produits se trouvant dans l environnement int rieur M THODES La spectroscopie de structure fine d absorption des rayons X spectroscopie XAFS a servi caract riser les compos s base de plomb Pb dans des chantillons de poussi re contenant des concentrations lev es de Pb gt 750 mg kg D autres compos s m talliques ont t identifi s par micro XRD et micro XRF La bioaccessibilit des m taux dans les compos s de r f rence et dans les chantillons de poussi re a t tablie l aide d une digestion par acide gastrique simul suivie d une spectroscopie de masse plasma induit par haute fr quence R SULTATS L tude d taill e d une vieille maison construite avant 1960 a fait ressortir que les compos s base de Pb pr sents dans les d p ts de poussi re r cents provenaient d anciennes couches de peinture situ es sous la surface Dans la poussi re du salon d une autre vieille maison le Pb tait associ l hydroxyde de Mn et de Fe et aux min raux phosphat s comme les particules identifi es dans le sol du jardin Les particules de poussi re dans les chambres de cette m me maison pr sentaient une signature diff rente en raison de travaux de r novation localis s On y a retrouv des pigments de peinture base de Pb et sans
321. lisation atmosph rique et Ressources naturelles Canada surveillance du rayonnement a permis la pr vision des cons quences radiologiques possibles de la situation tandis qu elle voluait et de surveiller et d valuer ses r percussions partir de ces activit s des recommandations et des mises jour quotidiennes concernant les mesures de protection appropri es ont t transmises aux d cideurs pendant toute la dur e de la situation d urgence R PERCUSSIONS ET CONCLUSIONS L approche multidisciplinaire scientifique et labor e avec soin qui a t utilis e pour intervenir lors de la situation d urgence de Fukushima a jou un r le crucial dans la formulation de recommandations point nomm pour la protection des Canadiens tant au Canada qu au Japon Les enseignements tir s l chelle nationale et internationale sont utilis s pour am liorer les mesures aff rentes la gestion des urgences nucl aires 3 02 Utilisation d un r seau mondial de surveillance des radionucl ides transport s dans l atmosph re et du Centre national de donn es CND de Sant Canada pour valuer les risques et les incidences pour les Canadiens pendant l accident du r acteur de Fukushima I Hoffman W Zhang M Bean K Ungar J Yi N EK R D Amours D Bensimon R Servranckx et R Hogue L Bureau de la radioprotection Direction des sciences de l environnement et de radioprotection DGSESC Sant Canada O
322. lle publi es par l ASPC en 2008 pour servir d instructions normalis es applicables aux enqu tes sur les cas soup onn s de contamination bact rienne li s la transfusion de composants sanguins M THODES Une enqu te par Internet en anglais et en fran ais a t r alis e aupr s du personnel des banques de sang dans un chantillon d h pitaux de chaque province Dans cette enqu te les r pondants taient interrog s au sujet de leur connaissance des Lignes directrices de l utilit de celles ci et des pratiques hospitali res mises en uvre pour faire enqu te dans les cas soup onn s de contamination bact rienne li e la transfusion Les r ponses taient fournies de fa on anonyme Pour permettre de comparer les pratiques avant et apr s la publication des Lignes directrices une s rie de questions tait identique celles pos es lors de l enqu te de 2006 R SULTATS Vingt quatre 53 personnes ont r pondu l enqu te Quatre vingt douze pour cent d entre elles ont indiqu que les Lignes directrices leur avaient t utiles et 63 ont d clar que le protocole d enqu te de leur tablissement avait t modifi la suite de la publication des Lignes directrices La modification la plus fr quente apport e dans 40 des cas tait l ajout de l examen direct coloration de Gram afin d acc l rer l identification des bact ries et l interpr tation des r sultats des cultures Les modifications ap
323. llement effectu s chez l animal pour l valuation des vaccins R cemment les laboratoires de recherche et de contr le de la qualit CQ de la DPBTG ont particip une tude de collaboration internationale organis e par le National Institute for Biological Standards and Control NIBSC portant sur de nouveaux essais n vitro produits par le NIBSC ou mis au point l interne pour les essais de CQ des vaccins anticoquelucheux acellulaires Les r sultats obtenus par les deux groupes de laboratoire de la DPBTG sont comparables et nos m thodes mises au point interne offrent plusieurs avantages importants CONTEXTE OBJECTIFS La vaccination contre la coqueluche toux coquelucheuse est un volet essentiel des programmes d immunisation dans le monde entier Un l ment cl des vaccins anticoquelucheux acellulaires est la forme a toxo de inactiv e de la toxine coquelucheuse PTXx et la r alisation d essais visant mesurer l activit de la PTx non inactiv e r siduelle dans les vaccins est n cessaire pour en assurer l innocuit L essai de sensibilisation l histamine HIST effectu chez l animal est actuellement un test cl pour le CQ mais comme bon nombre d essais n vivo ses r sultats sont tr s variables Ces m thodes 3 vitro offriraient plusieurs avantages dont une meilleure quantification une reproductibilit accrue et une r duction des essais chez l animal L utilisation de ces m thodes 3 vitro
324. llons de l avant avec l intention de rendre ces renseignements publics dans un avenir rapproch 4 42 D termination rapide et pr cise de la puissance du vaccin contre la varicelle au moyen de l amplification en cha ne par polym rase quantitative M Russell MSc C Li J Wang R He L Larocque A Farnsworth et X Li i Centre d valuation des vaccins Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Instituts nationaux de contr le des aliments et des m dicaments Secr tariat d tat aux produits alimentaires et pharmaceutiques Beijing Chine Laboratoire national de microbiologie ASPC Winnipeg Man 2 3 R SUM Tous les vaccins destin s aux humains doivent tre soumis des essais avant qu on en autorise la vente au Canada et cette tape cruciale de contr le de la qualit rel ve de Sant Canada La demande l gard des vaccins contre la varicelle qui visent prot ger les enfants contre cette maladie est de plus en plus grande il y a donc un urgent besoin de concevoir des essais plus rapides et plus pr cis afin den contr ler la qualit La pr sente tude d crit la mise au point d une nouvelle m thode permettant d obtenir rapidement des mesures pr cises sur le vaccin contre la varicelle L application future de cette m thode au contr le r gulier de la qualit des vaccins pourrait accro tre la disponibilit du vaccin contre la v
325. llulaire ce qui indique une dysfonction des mitochondries INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS Les r sultats indiquent que les points quantiques de CdTe ont manifest une toxicit mitochondriale par la modification de la morphologie et du fonctionnement des mitochondries La pr sente tude a permis d obtenir de pr cieux d tails quant aux m canismes de la toxicit des points quantiques nanoparticules de CdTe dont la compr hension pourrait se r v ler importante pour les valuateurs de Sant Canada et pour la communaut scientifique en g n ral en ce qui a trait la d termination des risques potentiels pos s par les nanomat riaux Cette recherche est effectu e sous la co supervision de W Willmore Carleton University et d A F Tayabali Sant Canada 4 38 Effets de l exposition aux rayons ultraviolets sur la cytotoxicit des points quantiques de tellurure de cadmium K Nguyen S Qutob W Willmore et A F Tayabali 1 Laboratoire de biotechnologie Division des tudes m canistes BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont S Division des lasers et de l lectro optique BPCRPCC DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Universit Carleton D partement de biologie Ottawa Ont 2 R SUM Les points quantiques de tellurure de cadmium PQ TeCd ont un grand potentiel titre de sondes fluorescentes dans le domaine de l imagerie m dicale diagnostique Ces applications sont en g n ral associ es aux r
326. ls portables Des estimations en temps r el de la concentration massique des mati res particulaires respirables ont t obtenues l aide des appareils TSI DustTrak Il et DRX La surface active a t mesur e au moyen d un appareil EcoChem DC 2000 CE Cet ensemble d appareils a t utilis dans divers laboratoires et bureaux du gouvernement f d ral afin de mesurer l exposition de base R SULTATS L ensemble int gr d instruments permet d obtenir des mesures simultan es en temps r el d un large ventail de tailles de particule allant de 0 8 nm 32 um La concentration en nombre des particules variait de 3 6 x 10 6 6 x 10 cm 3 nm et de 3 3 x10 5 8 x10 cm 100 nm la concentration massique des particules respirables variait de lt 2 30 ug m et la surface active atteignait 64 mm Dm Ces mesures d pendent de la taille des particules et de l environnement et varient largement avec le temps INCIDENCES EFFETS L ensemble d instruments de mesure directe sera utilis en combinaison avec des technologies filtrantes afin de combler les lacunes existantes sur les donn es portant sur l exposition des Canadiens aux NP et aux PUF dans le milieu de travail et au cours des activit s ayant lieu dans des locaux 1 45 Biomarqueurs h patiques recherche d indicateurs permettant de d celer une perturbation de l hormone thyro dienne M Paquette H Dong R Gagn A Williams M Malowany
327. lulaire qui peuvent entra ner des l sions l ADN On a mis l hypoth se qu un suppl ment d acide folique inhibe le m tabolisme monocarbon de la voie des folates qui pourrait aussi conduire des l sions de ADN Depuis l introduction d une fortification une proportion consid rable de la population g n rale pr sente une concentration sanguine de folate indiquant un apport lev d acide folique La pr sente tude examine les effets de r gimes alimentaires enrichis ou insuffisants en acide folique sur les l sions l ADN afin de v rifier le bien fond de pr occupations li es la fortification en acide folique M THODES Les micronoyaux sont des fragments de chromosomes endommag s perdus au cours de l anaphase et constituent une indication d une l sion l ADN Nous avons utilis un essai sur les micronoyaux pour tudier la fr quence des micronoyaux chez des souris Balb c soumises une alimentation carenc e en acide folique 0 mg kg une alimentation normale 2 mg kg ou une alimentation enrichie en acide folique 6 mg kg pendant a trois g n rations ou b partir du sevrage pendant 15 semaines Nous avons mesur les micronoyaux dans des r ticulocytes cellules sanguines immatures et des rythrocytes cellules sanguines matures Nous avons distingu les deux types cellulaires par l expression du r cepteur de la transferrine qui se limite aux r ticulocytes L ADN intracellulaire tait color l
328. lyse appropri et que l on puisse collaborer efficacement avec une communaut d experts La double utilisation du CND de Sant Canada pour les accidents est recommand e 3 03 Surveillance au Canada et l tranger par le R seau de surveillance en poste fixe des rejets nucl aires dus l accident la centrale de Fukushima E Korpach I Hoffman R Berg et K Ungar PhD 1 Direction des sciences de l environnement et de radioprotection Programme de la s curit des produits DGSESC Sant Canada Ottawa ON R SUM Au cours des derni res ann es Sant Canada a install et exploit un R seau de surveillance en poste fixe SPF comportant 75 d tecteurs spectroscopiques au Nal T qui mesurent en temps r el les rayonnements pr sents dans l air autour des centrales nucl aires canadiennes et l chelle r gionale En r ponse la situation d urgence nucl aire au Japon Sant Canada a d ploy plusieurs d tecteurs suppl mentaires pour compl ter le r seau SPF dans l Ouest canadien et l ambassade du Canada Tokyo Les niveaux de dose de rayonnement ont t suivis avec ces syst mes afin d aider la prise de d cisions pendant l urgence et d assurer la sant et la s curit des Canadiens au pays et l tranger CONTEXTE Sant Canada exploite un R seau de surveillance en poste fixe SPF comportant 75 d tecteurs spectroscopiques au Nal Tout mesurent en temps r el les rayonnements pr s
329. m dicaments taient utilis es classes les plus nombreuses comme les anti infectieux les m dicaments pour l appareil cardiovasculaire et le syst me nerveux plus la fr quence des rapports spontan s tait lev e CONCLUSION Une liste de 89 m dicaments utilis s chez les nouveau n s pour une indication ne figurant pas sur l tiquette a t examin e et class e selon deux syst mes diff rents L information qualitative obtenue par le biais de la pratique clinique fait ressortir plusieurs th mes qui sont li s au risque Il semble y avoir une corr lation entre la pr valence des classes de m dicaments et l augmentation des taux de rapports de RI Les recherches futures sur l usage hors tiquette de m dicaments devraient porter plus pr cis ment sur les m dicaments qui sont utilis s fr quemment et pour des usages non tay s par des donn es suffisantes en particulier si des probl mes connus d innocuit le co t lev des m dicaments l entr e r cente sur le march et une commercialisation grande chelle soul vent d autres pr occupations 1 08 Analyses m tabolomiques et prot omiques de biomarqueurs chez les personnes pr sentant des pathologies qui augmentent leur vuln rabilit aux polluants atmosph riques P Kumarathasan PhD A Bielecki MSc P Gupta MSc G Saravanabhavan PhD E Blais BSc et R Vincent PhD 1 Laboratoire de prot omique Bureau des sciences de la sant environn
330. m lange 0 5MARR comprenant une demi concentration du m lange M en plus du m lange o AhR Les concentrations tissulaires ont t mesur es par chromatographie en phase gazeuse En ce qui concerne les effets biologiques trois mesures de l activit enzymatique du foie ont t prises EROD BROD et PROD R SULTATS Le partage chimique de certaines substances tait fonction des taux d rythrocytes et de lipides des chantillons Par exemple l hexachlorobenz ne et le BPC153 chez les m les adultes repr sentaient respectivement 29 et 15 des produits chimiques dans le sang mais 6 et 21 dans le s rum Curieusement l exposition An ut ro a contribu l accumulation des produits chimiques mesur s dans le sang 21 jours apr s la naissance Par exemple les concentrations de BPC153 atteignaient 0 09 ng ml 1 7 ng ml et 53 ng ml respectivement chez les rats du groupe t moin les rats expos s n ut ro seulement et ceux expos s avant et apr s la naissance L enrichissement du m lange 0 5M par le m langer AhR n a pas modifi la persistance chimique ni l activit des enzymes du foie en raison peut tre de la concentration inattendue du BPC126 un contaminant du 0 5M CONCLUSIONS Ces r sultats sur le partage chimique entre les tissus la dose interne et la d termination de la p riode critique d exposition au cours du d veloppement nous aideront mieux comprendre la toxicit des m langes et
331. m thodes de sp ciation de l arsenic et du germanium afin de distinguer les compos s organiques et les compos s inorganiques contenant ces l ments L attrait de la sp ciation vient de ce qu elle s int resse la toxicit des diff rentes formes rencontr es 1 23 D tection des dangers de nature chimique par la mesure de la vitesse de r action et du pouvoir d interaction entre les produits chimiques et l ADN J M A Gavina PhD J Zhu PhD A Nong PhD M Rubab et Y L Feng PhD L Division de l exposition et de la biosurveillance Bureau de la recherche de la science et de la sant environnementales DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Il est important de mettre au point des outils permettant d valuer rapidement le risque pos la sant humaine par les produits chimiques polluants Nous avons mis au point une m thode o vitro simple qui permet de mesurer le pouvoir d interaction relatif et les vitesses de r action des produits chimiques en utilisant les dommages caus s l ADN comme biomarqueurs Nous avons eu recours au pouvoir d interaction et aux vitesses de r action pour d terminer la capacit des produits chimiques endommager l ADN Cette m thode permet d valuer rapidement le risque potentiel des contaminants environnementaux OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Le processus de cat gorisation des produits chimiques du gouvernement canadien permet de d terminer les produits chimiques priorita
332. me de folate obtenue par synth se au cours des second et troisi me trimestres diminue le risque de PE OBJECTIF L objectif tait de d terminer l effet d une invalidation g nique de la MTR et de la MTHFD1 deux enzymes importantes de la voie m tabolique du folate sur la prolif ration et la diff renciation des cellules du placenta M THODE Des cellules de choriocarcinome placentaire humaines JEG3 ont t mises en culture dans un milieu MEM Alpha contenant 10 de s rum de veau f tal de la p nicilline et de la streptomycine L invalidation g nique de la MTR et de la MTHFD1 a t obtenue l aide de petits ARN interf rents sp cifiques au g ne L ARN total a t extrait de cellules JEG3 transfect es avec de petits ARN interf rents et de l ADNc a t synth tis par une r action mettant en jeu une transcriptase inverse On a fait appel une PCR quantitative pour mesurer l invalidation de l expression g nique La prolif ration cellulaire a t mesur e par immunohistochimie apr s une incorporation de BrdU R SULTATS Nous avons obtenu une invalidation g nique de 40 et de 50 pour l expression de la MTHFD1 et de la MTR respectivement 24 heures apr s la transfection Une hausse de la concentration d acide folique dans le milieu de culture tait associ e une plus grande prolif ration cellulaire L invalidation des g nes de la MTHFD1 et de la MTR a consid rablement inhib la prolif rat
333. menant une hospitalisation 2 08 tablissement d une concentration d quivalent radon pour la prise en compte de l exposition au thoron J Chen PhD et D Moir PhD 1 Bureau de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM L exposition au radon a t tablie comme la deuxi me cause du cancer du poumon apr s le tabagisme Le thoron est un isotope du radon Pour valuer l exposition totale au radon et au thoron nous avons tabli pour le thoron le concept de concentration d quivalent radon d fini comme la concentration de radon n cessaire pour produire la m me dose effective annuelle que celle d coulant d une concentration donn e de thoron L exposition totale qui correspond la somme de la concentration de radon et de l quivalent radon de la concentration de thoron devrait tre compar e la ligne directrice canadienne sur le radon Ce concept limine la n cessit d tablir une ligne directrice distincte pour l exposition au thoron dans l air int rieur OBJECTIF CONTEXTE QUESTION Le radon est un gaz radioactif d origine naturelle qui provient de la d sint gration de l uranium et du thorium pr sents dans les roches et le sol Le radon et ses produits de d sint gration qui sont les principales causes de l exposition humaine des rayonnements naturels ont t tablis comme la deuxi me cause du cancer du poumon apr s le tabagisme Le radon 222 et le radon 220 sont les princ
334. mentaire sp cifique pour la MV au Canada et 2 des exigences pour la pr sentation de produits de la MV dossier Common Technical Document pour les pratiques de fabrication en amont et en aval Ces concepts visent s assurer qu on labore et met en uvre un syst me ad quat de la gestion de la qualit qui int gre les Bonnes pratiques de fabrication BPF et les lignes directrices de base Sant Canada Lignes directrices sur les Bonnes pratiques de fabrication dition 2009 L valuation de produits pour les m dicaments biologiques issus de la MV devrait tenir compte express ment des risques particuliers cette nouvelle plate forme de production de m dicaments notamment ceux associ s la conception des produits et aux stades avant et pendant la r colte des plantes Le promoteur devrait d montrer comment il satisfait aux exigences relatives la pr sentation de produits de la MV afin de respecter les exigences g n rales en mati re de pr sentation touchant l innocuit l efficacit et la qualit La demande propos e d information s applique aux pr sentations de drogues nouvelles Un sous ensemble de ces donn es devrait tre fourni pour les demandes d essais cliniques PROCHAINES TAPES Sant Canada tiendra compte de tous les commentaires re us durant la consultation pr liminaire Sant Canada devrait soumettre la version pr liminaire du document d orientation une consultation externe en 2012 1 12 Bi
335. mentaire recens e y compris les documents suivants 1 Lignes directrices de l OCDE pour les essais de toxicit 2 directives de ICH 3 les documents d orientation destin s l industrie manant de diff rents organismes sur les tudes non cliniques et les plans de gestion des risques et de pharmacovigilance de Sant Canada de la Food and Drug Administration des tats Unis et de l Agence europ enne des m dicaments R SULTATS Aux termes de la proposition de PI les donn es pharmacologiques sur l innocuit sont obtenues chez les m mes animaux que ceux qui sont utilis s pour recueillir les donn es pharmacodynamiques toxicologiques et toxicocin tiques On r duit ainsi la quantit de travail en laboratoire tout en optimisant l usage des animaux on maximise l identification des dangers et on facilite l obtention de l approbation r glementaire et le passage aux essais cliniques en produisant les donn es probantes n cessaires pour prot ger les participants recrut s dans les premiers essais cliniques d un m dicament chez humain Au contraire l int gration de la PI aux ET brise la s quence des essais tels qu ils ont t normalis s dans les lignes directrices de l OCDE sur les essais de toxicologie prolonge le temps consacr aux essais et change les strat gies et les formats de collecte et de pr sentation des donn es Ces inconv nients sont pr occupants pour les toxicologues actifs dans les domaines de la planificati
336. mentaires qui limine les particules nuisant aux op rations en aval telles la d tection et la caract risation Pour ce faire nous avons utilis Listeria monocytogenes comme paradigme pour v rifier la m thode PLAN Des chantillons de charcuteries pr tes manger PAM ou de fromage p te molle ont t ajout s un bouillon d enrichissement primaire pour Listeria et ont t homog n is s 5 minutes dans un sac stomacher muni d une membrane Le contenu a t filtr travers une colonne de a pierres pour l exclusion des particules grossi res puis travers un filtre de 75 um avant d tre centrifug 10 minutes 5 000 x g Le culot a t remis en suspension dans 1 2 mL de tampon phosphate salin PBS et ensemenc sur un milieu s lectif pour l isolement des bact ries L monocytogenes viables Les exp riences utilisant 1 10 UFC g avec des cellules endommag es de L monocytogenes permettront d tablir la limite de d tection et de d terminer si une courte p riode d enrichissement est n cessaire La suspension de 1 2 mL de PBS utilis e pour l ensemencement direct sera divis e en trois 100 uL seront utilis s pour une preuve PCR de diagnostic rapide MFLP 78 ciblant le g ne A yA et permettant de d terminer si le microoorganisme est pr sent ou non 500 uL seront utilis s pour l ensemencement direct et 400 uL seront ajout s 4 mL de bouillon d enrichissement pour Listeria LEB afin de favoris
337. mentaires dans les deux pays M THODE La pr sente tude examine la consommation d aliments et d ingr dients communs dans la National Health and Nutrition Examination Survey NHANES des U et l Enqu te sur la sant dans les collectivit s canadiennes ESCC 2 2 afin de d terminer les diff rences significatives entre les deux pays en ce qui concerne les aliments pr ts manger Pour ce faire nous avons cr une liste commune de d finitions d aliments qui sont exactement quivalentes dans les deux bases de donn es et partir de cette liste nous avons labor une s rie de cat gories alimentaires communes La consommation de chaque cat gorie d aliments est ensuite calcul e pour des sous groupes pr d finis class s selon l ge et le sexe Il est essentiel de disposer de m thodes d estimation de la variance pour valuer la signification et ces m thodes doivent tenir compte du plan des enqu tes respectives Nous utiliserons des m thodes bootstrap pour estimer les erreurs types et les intervalles de confiance dans l ESCC La NHANES des U emploie des unit s masqu es de la variance des fins similaires R SULTATS Nous valuerons la croyance populaire selon laquelle les habitudes alimentaires des Canadiens et des Am ricains devraient en g n ral tre les m mes vu que les denr es alimentaires sont distribu es partout et accessibles tous sur le march nord am ricain INCIDENCES ET CONCLUSION Les r
338. moniac les carbonyles et les ph nols l aide de m thodes officielles de Sant Canada Afin de mieux valuer comment certaines formes de cigarette peuvent influencer la composition de la fum e le rendement d analyte par gramme de tabac constituant la cigarette c est dire la concentration d analyte a t tudi et a servi tablir des comparaisons R SULTATS Les analyses des marques canadiennes de cigarette ultrafines indiquent que celles ci pr sentent la m me longueur et la m me densit du bourrage que les cigarettes classiques mais contiennent la moiti moins de tabac Lorsque nous avons compar les missions de fum e principale d une marque de cigarette ultrafine celles d une cigarette classique pr sentant une ventilation par le bout filtre semblable toutes les concentrations d analyte de la marque de cigarette ultrafine taient semblables ou plus lev es que la marque de cigarette classique dans les quatre conditions de tabagisme Les quantit s de nicotine fournies par les cigarettes ultra minces taient comparables celles des cigarettes classiques tandis que celles de la formald hyde des compos s ph noliques ph nol o cr sol et de l ammoniac taient majoritairement plus lev es dans les marques de cigarettes ultrafines CONCLUSION Il est important d examiner les habitudes de consommation et de comprendre l interaction entre la forme du produit et le comportement li au tabagi
339. mpsie PE est une maladie apparaissant au cours de la grossesse pendant le troisi me trimestre Il a t tabli qu un apport compl mentaire d acide folique pendant les deuxi me et troisi me trimestres diminue le risque d apparition de la PE Dans la pr sente tude nous visons d terminer les effets d une invalidation g nique de la MTR et de la MTHFD1 deux enzymes de la voie m tabolique du folate sur la prolif ration et la diff renciation des cellules du placenta Une augmentation de la concentration de l acide folique dans la culture tait associ e une plus grande prolif ration cellulaire L invalidation du g ne de la MTHFD1 ou de la MTR se traduit par une perturbation de la prolif ration cellulaire Chez les femmes risque de PE la r ponse un suppl ment d acide folique peut d pendre de leur profil g nique sous jacent CONTEXTE Le folate est une vitamine B une vitamine essentielle hydrosoluble n cessaire la synth se de la purine du thymidylate et de la m thionine La pr clampsie PE est une maladie deux stades apparaissant au cours de la grossesse et caract ris e par une hypertension et une prot inurie un risque d insuffisance r nale un syndrome HELLP et des l sions aux organes cibles pendant le troisi me trimestre On croit que le d veloppement d un placenta d fectueux contribue accro tre le risque de PE Il a t d montr qu un apport suppl mentaire d acide folique for
340. n de la g notoxicit jn vitro repose g n ralement sur l utilisation d un m lange exog ne d activation m tabolique pour reproduire le m tabolisme chez les mammif res Un grand nombre de m langes d activation contiennent un surnageant postmitochondrial p ex microsomes S9 de foie de rat Le syst me d activation pr dominant est constitu de la fraction h patique S9 de rats Sprague Dawley m les expos s l Aroclor 1254 Bien que les lignes directrices de l OCDE permettent l utilisation d autres pr parations S9 les valuations font rarement appel des fractions S9 d origine humaine La pr sente tude vise examiner et valuer l utilisation de fractions h patiques S9 humaines dans l valuation de la g notoxicit PLAN M THODE DESCRIPTION Nous avons men un examen approfondi des publications scientifiques et nous avons r uni toutes les valuations publi es de la g notoxicit ayant fait appel des fractions S9 de foie humain dans une feuille de calcul MS Excel Au total 1 178 observations fonctions concentration r ponse ont t obtenues De celles ci 904 proviennent d un essai de mutation r verse sur Sa monella c d test d Ames Les donn es recueillies ont fait l objet d une analyse de la variance par le logiciel SAS v 9 2 PRODUITS R SULTATS L activation par fraction S9 de foie humain donne souvent une mutag nicit plus faible sur Sa monella particuli rement pour les
341. n environnementale ambiante ainsi que des approches permettant d valuer les expositions dans les milieux int rieurs PROCHAINES TAPES En ce qui concerne l avenir il est acquis qu il faudra trouver des approches novatrices pour mener bien l valuation des quelque 3 000 substances prioris es restantes et am liorer les outils d valuation de l exposition la disposition des responsables de la r glementation Pour valuer l exposition il faut imp rativement savoir o et comment les substances chimiques sont utilis es durant tout leur cycle de vie et la poursuite des efforts cette fin que ce soit par des initiatives internationales ou par la mise contribution des intervenants est la cl de l am lioration de la qualit des valuations de l exposition 2 35 Validit du statut tabagique autod clar par les Canadiens S L Wong M Shields S Leatherdale E Malaison et D Hammond 1 2 3 Division de l analyse de la sant Statistique Canada Ottawa Ont Service de pr vention et d pistage Action Cancer Ontario Toronto Ont Division des recherches sur le tabac Bureau de la recherche et de la surveillance Direction des substances contr l es et de la lutte au tabagisme DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement d tudes en sant et de g rontologie Universit de Waterloo Waterloo Ont R SUM La consommation de cigarettes est associ e de nombreux effets n faste
342. n mars 2010 IARLA a financ l ajout de plus de 5 000 priorit s canadiennes visant plus de 100 produits la Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs des Etats Unis et du Canada L ARLA a galement contribu rendre les priorit s canadiennes disponibles dans les deux langues officielles sur le site Web de la F d ration canadienne de l agriculture La base de donn es a d j t utilis e dans le cadre de programmes existants de r glementation ARLA notamment pour la d termination des ingr dients actifs pouvant faire l objet d un examen acc l r et pour les strat gies continues de r duction des risques et de transition visant trouver d ventuels produits de remplacement ceux qui sont perdus dans le cadre de la r valuation des pesticides plus anciens Des repr sentants de l industrie ont indiqu qu ils avaient utilis la Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs pour chercher des possibilit s de d veloppement commercial Des discussions sont en cours en vue d laborer un processus de gestion du contenu de la Base de donn es qui assurera sa tenue jour 2 21 Pollinisateurs et pesticides r examen des approches sous tendant les valuations des risques environnementaux C Hart W Hou R Sebastien S McCauley B Martinovic M Lemay H C Lee M Mitchell et P Delorme 1 Direction de l valuation environnementale ARLA Sant Canada Ottawa Ont
343. n mati re de donn es pour l valuation des effets des projets sur la sant humaine dans le cadre des EE La pr sentation de ces donn es am liore l valuation des effets sur la sant humaine favorise l opportunit des directives de Sant Canada et ouvre la voie des mesures cibl es de r duction des risques ainsi qu des programmes de suivi DESCRIPTION Six documents d orientation exposant l expertise et le r le de Sant Canada dans le processus dEE sont en voie d tre r dig s pour les secteurs mentionn s ci dessus Ces documents tablissent les l ments essentiels les proc dures les donn es n cessaires et les m thodes de collecte et d autres aspects li s l valuation des donn es la sant humaine destin es aux rapports d EE concernant des projets Des fiches de renseignements sp cialement con ues pour l industrie p ex projets de centrale hydro lectrique de centrale olienne d exploitation mini re ou de centrale nucl aire sont aussi en voie d tre r dig es pour fournir aux minist res f d raux et aux autres parties concern es un aper u des secteurs d expertise de Sant Canada pouvant s appliquer un secteur donn de l industrie PRODUIT La Division de l valuation environnementale de Sant Canada pr voit publier une s rie de documents d orientation et de fiches de renseignements au cours de la prochaine ann e Ces travaux visent contribuer au respect des obligations d
344. naux ORN en voie de cr ation qui seront charg s de veiller l int grit scientifique et thique des essais cliniques sur les vaccins contre le VIH sida se d roulant dans leur pays DESCRIPTION Les membres du personnel responsable des politiques et de la r glementation ont mis profit l interface science politique en travaillant en troite collaboration avec des examinateurs scientifiques et des sp cialistes en la mati re afin d laborer et de proposer des activit s de renforcement des capacit s de r glementation reposant sur des donn es probantes La mise en uvre de solutions de formation cet gard est pass e par deux tapes importantes utilisant l interface science politique Tout d abord on a proc d une valuation des besoins afin de s assurer que les solutions taient adapt es aux besoins particuliers en mati re de r glementation des ORN en voie de cr ation deuxi mement on a tir profit de l expertise des examinateurs scientifiques que l on a traduite en exp rience d apprentissage pratique susceptible d tre appliqu e par les ORN dans les situations propres leur pays R SULTATS Depuis que l initiative a t renouvel e en 2010 et que le programme cl de renforcement des capacit s de r glementation y a t ajout Sant Canada a son actif les r alisations suivantes e Le Forum international de r glementation de la DGPSA a vu sa structure et le contenu de ses cours modifi
345. ncentr s environ 0 2 1 NPP 25 g 20 chantillons fortement concentr s environ 2 5 NPP 25 g et 5 chantillons non inocul s de produits de poulet cuits de poisson fum de produits laitiers crus et pasteuris s ainsi que de produits de viande ferment s Avant l inoculation de la matrice alimentaire les souches bact riennes les principaux s rotypes de Listeria dont la souche responsable de l closion ont t soumises un stress d termin en fonction du produit analys Par contre d apr s la m thode MFHPB 30 l incubation dans le bouillon UVM1 est de 48 h et seulement 100 uL sont transf r s dans le bouillon Fraser apr s 24 h et 48 h Le bouillon Fraser est ensuite incub jusqu 48 h avant l talement sur les g loses PRODUITS R SULTATS Les analyses statistiques ont r v l que le fait d omettre l enrichissement secondaire dans le bouillon Palcam ne modifiait pas la sensibilit de la m thode La nouvelle m thode a t con ue pour d tecter les esp ces de Listeria en 48h dans des matrices alimentaires fortement contamin es Dans l ensemble le d lai d obtention des r sultats a t r duit passant de 7 10 jours MFHPB 30 3 5 jours La m thode a d ailleurs t valid e dans le cadre d une tude de validation du gouvernement GovVal approuv e par l Association of Analytical Communities AOAC INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS M me si la nouvelle m thode continuera d tr
346. ndations pour la qualit des sols qui tiennent compte de la sant humaine lorsqu ils doivent laborer des recommandations concernant les s diments ou tudier les expositions Une telle approche de sous ou surestimations bas e sur les diff rences physico chimiques entre le sol et les s diments tableau 1 et diff rents sc narios d exposition tableau 2 M THODES La DSC a mis sur pied un Groupe de travail sur les s diments qui a t charg d laborer 1 des directives pour l valuation des risques que pr sentent les s diments contamin s 2 un protocole pour formuler des recommandations sur la qualit des s diments pour prot ger la sant humaine R SULTATS 1 2010 D termination initiale de la port e du projet e Recherches dans le monde entier ayant permis de d terminer qu il n existe aucune ligne directrice sur la qualit des s diments tenant compte de la sant hormis pour la consommation de poisson et de fruits de mer e laboration de mod les conceptuels d exposition figures 1 3 des activit s humaines dans les milieux riches en s diments e Proposition d une approche pour l valuation des risques pr sent s par les s diments contamin s 2 Un atelier sur les s diments a ensuite t organis pour recueillir les commentaires de sp cialistes de l ext rieur Durant cet atelier les lacunes suivantes ont t recens es e Taux d ingestion des s diments e Importance relative des
347. ne R SUM Les vaccins conf rent une protection contre les maladies infectieuses en stimulant la production d anticorps dirig s contre des prot ines microbiennes cl s Dans le cas de la grippe on atteint ce but en injectant des prot ines virales ou antig nes qui simulent l exposition une infection r elle Pour tre prot g e contre la souche virale en circulation la plus pr valente la population doit tre revaccin e tous les ans Pour quantifier les antig nes cl s dans le vaccin contre la grippe on utilise en g n ral une m thode de liaison des anticorps reposant sur un talon de r f rence international Nous avons mis au point une m thode ind pendante par spectrom trie de masse qui permet d identifier et de quantifier avec exactitude les antig nes dans les vaccins et les talons de r f rence OBJECTIFS Mettre au point une m thode permettant d identifier et de quantifier rapidement les antig nes h magglutinine et neuraminidase dans les vaccins contre la grippe en faisant appel la prot olyse enzymatique la s paration des peptides et la spectrom trie de masse en tandem La m thode doit permettre d identifier des souches virales particuli res dans tous les produits et de quantifier les antig nes cl s Pour tre applicable dans des situations d urgence pand mie r cente de grippe H1N1 la m thode ne doit pas passer par des tapes fastidieuses de production et de standardisation d anticorps
348. ne Nos constatations comblent une importante lacune dans le champ des connaissances relatives aux vaccins glycoconjugu s 4 44 Analyse par micror seau du contenu g nique des souches de Pseudomonas utilis es en biotechnologie P S Shwed PhD L Tran et J Crosthwait 1 Laboratoire de biotechnologie Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont S Sciences biopharmaceutiques Universit d Ottawa Ottawa Ont R SUM Sant Canada effectue des valuations pr alables des microorganismes aux termes de la Loi canadienne sur la protection de l environnement 1999 Certaines souches de Pseudomonas aeruginosa Pa une bact rie pr sente dans l environnement sont utilis es en biotechnologie alors que d autres provoquent des infections chez l animal et l humain Les g nes de trois souches de Pa utilis es en biotechnologie ont t compar s d autres souches cliniques afin den d terminer la similarit et de conna tre le nombre de g nes nocifs pr sents Entre la souche clinique et les souches utilis es en biotechnologie seule une faible proportion des g nes variait mais certains r sultats se trouvaient la limite du positif Des essais g n tiques suppl mentaires ont permis de pr ciser certains de ces r sultats OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S Les tudes sur l hybridation g nomique comparative CGH faisant appel des micror seaux con us partir
349. ne au Canada aupr s de 4 530 Canadiens g s de 12 79 ans On a compar la pr valence du tabagisme calcul e partir des d clarations des r pondants et celle fond e sur les concentrations de cotinine dans Purine R SULTATS La pr valence du tabagisme estim e partir des d clarations des r pondants tait inf rieure de 0 3 point de pourcentage celle fond e sur les concentrations de cotinine dans l urine Il ny avait aucune diff rence statistiquement significative entre les deux m thodes d estimation sans gard au sexe ou au groupe d ge Les analyses de corr lation font ressortir une concordance lev e entre l estimation du tabagisme partir des d clarations des r pondants et celle fond e sur les concentrations de cotinine 7 0 90 p lt 0 001 Les analyses de sensibilit c est dire le pourcentage de r pondants ayant d clar tre fumeurs parmi ceux qui ont t class s dans cette cat gorie en fonction des concentrations de cotinine ont donn des r sultats similaires chez les hommes et les femmes Si la sensibilit tendait tre moins lev e chez les r pondants de 12 19 ans par rapport ceux de 20 79 ans la diff rence n tait cependant pas assez importante pour tre statistiquement significative CONCLUSION Les r sultats de cette tude qui s appuie sur des donn es sur la population canadienne repr sentatives l chelle nationale ne mettent en vidence aucune diff rence
350. ne source tr s importante d exposition l OTA pour les ann es d chantillonnage 2008 et 2009 Sant Canada envisage actuellement l adoption de teneurs maximales d OTA titre d outil de gestion des risques pour la sant 4 40 Conformit aux bonnes pratiques cliniques et application de celles ci une approche proactive par la promotion de la conformit C Proulx BSc A Kasina MSc BPharma et C Hilder BSc 1 Inspectorat de la DGPSA DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les exigences r glementaires sont fr quemment sujettes interpr tation Les intervenants de la recherche clinique sur les m dicaments destin s l humain au Canada en particulier prouvent de la difficult cet gard lorsqu ils tentent de se conformer au R glement Pour s attaquer ce probl me l Inspectorat a mis en uvre des initiatives de promotion de la conformit telles que les s ances d information sur les bonnes pratiques cliniques BPC organis es dans six villes canadiennes en novembre 2010 Lors de ces s ances on a pr sent de l information sur les exigences de la r glementation et sur les attentes de Sant Canada en mati re de conformit elles ont galement t l occasion de recevoir les commentaires des intervenants sur la mani re dont Sant Canada pourrait promouvoir la conformit dans ce secteur CONTEXTE Le nouveau volet r glementaire portant le libell Drogues destin es aux essais cliniques
351. ner la dose journali re estim e d acrylamide en ug kg p c et de mieux caract riser sa distribution et son incertitude statistiques chez l adolescent CONTEXTE BUTS Les recommandations pour la sant humaine sont fond es sur les doses journali res estim es Cependant en ce qui concerne de nombreux produits chimiques d int r t prioritaire aucune donn e sur l exposition n est disponible Sant Canada SC s appuie sur des tudes d valuation de l exposition mais pour de telles tudes en population il est souvent difficile d obtenir un chantillon repr sentatif Une estimation de la g n ralisation et de la densit de probabilit s av re alors difficile r aliser Dans le pr sent article nous avons utilis des donn es originales sur l acrylamide afin d valuer les effets quantitatifs de la correction d chantillon des fins de repr sentativit sur les estimations des doses journali res d acrylamide d origine alimentaire chez les adolescents Les r sultats les forces et les limites des analyses statistiques sont galement compar s M THODES Une tude d valuation de l exposition con ue pour des adolescents repr sentatifs sur le plan socio conomique de la population montr alaise a t r alis e en 2009 2010 Environ 200 adolescents g s de 10 17 ans ont t recrut s par t l phone On leur a demand de remplir des questionnaires d taill s sur leur alimentation et de fournir des
352. nger avec le Guide alimentaire Canadien EE 1 52 Effets d une carence et d une alimentation enrichie en acide folique multig n rationnelles sur les l sions chromosomiques chez la souris 1 53 Poids de la preuve et valuation du risque 1 54 Type quantit et exactitude des messages v hicul s sur les glucides l indice glyc mique le sucre et les fibres dans les magazines canadiens 1 55 Validation d analyses haute r solution de courbes de fusion pour d celer des variations de m thylation de l ADN 1 56 Aptam res capteurs base d ADN destin s la bioanalyse et la d tection d s dangersss ii rar nan EE 1 57 Les impuret s associ es aux produits d samid s r duisent elles la conservation des m dicaments base prot ine comme l interf ron noooooanennnnnnensenenerenenenenea 1 58 Les isoflavones de soja ont emp ch l accumulation de lipides dans les cellules h patiques chez le rat et chez l humain nnssnnnsnnrnrrertrrrtttrttttttrtrtrttrtttrrrrtrrrrrrrrrnt 1 59 Effets des isoflavones et des prot ines de soja alimentaires sur la croissance et les taux s riques de lipides et d acides amin s chez les jeunes rats femelles 1 60 Un traitement d association par des analogues de purine et des inhibiteurs du TNF visant les maladies inflammatoires de l intestin peut accro tre davantage le risque de lymphome h patospl niqu
353. niveau du sol et les nombres de d c s enregistr s quotidiennement pendant la saison chaude avril septembre durant 23 ann es 1984 2006 dans 24 villes canadiennes regroup es dans 4 r gions Est du Canada Golden Horseshoe Ouest de l Ontario et Ouest du Canada Pour mettre en vidence d ventuelles diff rences r gionales nous nous sommes fond s sur les disparit s intrar gionales et interr gionales relev es au fil du temps Les estimations du risque ont t compar es par cause de mortalit cardiopulmonaire vs non cardiopulmonaire PRODUITS R SULTATS En comparaison du risque de d c s d origine non cardiopulmonaire le risque annuel de d c s d origine cardiopulmonaire s est r v l plus lev et moins variable dans le temps l chelle nationale Une association a t tablie entre les hausses de 0 8 de la mortalit cardiopulmonaire et de 0 5 de la mortalit non cardiopulmonaire et l augmentation journali re de 10 ppb de l exposition l ozone au cours de la p riode de 23 ans La m me corr lation positive 0 02 0 06 g n rale a t observ e dans les quatre r gions En ce qui a trait au risque de d c s d origine cardiopulmonaire aucune tendance temporelle n a t relev e l chelle nationale mais une tendance la baisse a t d tect e p 0 04 au fil du temps dans la r gion 3 Ouest de l Ontario L h t rog n it tait habituellement plus importante entre les q
354. nki Finlande Autorit europ enne de s curit des aliments ltalie DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Bureau des programmes sur les pesticides Agence de protection de l environnement des tats Unis Washington DC DJ o Om A R SUM Un projet regroupant des scientifiques internationaux est en cours pour faire avancer et largir le contenu d une base de donn es sur les produits et les voies de d gradation des pesticides Cette base de donn es appel e MetaPath contient galement des outils d valuation de pointe qui accro tront notre capacit de diffuser et d examiner des donn es scientifiques l chelle mondiale MetaPath contribuera aussi l tablissement de nouvelles m thodes pour pr dire la d gradation des produits chimiques chez les animaux et dans l environnement et l utilisation plus efficace des donn es existantes dans l valuation des risques pour la sant humaine et pour l environnement OBJECTIF L Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE a lanc un projet pour laborer et enrichir MetaPath en vue d en faire une base de donn es accessible l chelle mondiale dans laquelle il sera possible de faire des recherches de structures sur les voies de d gradation chimique des pesticides Bien que la base de donn es en soi ne soit pas encore accessible tous une version des outils logiciels de MetaPath a t int gr e l ensemble des outils de l OCDE ac
355. nombreux autres produits ignifuges halog n s sont toujours en usage L un de ces produits halog n s est le Dechlorane plus DP Le DP est un produit ignifuge chlor que l EPA des tats Unis consid re comme un produit chimique produit en grande quantit Jusqu maintenant on n a pas signal de pr sence de DP dans la population g n rale L objectif de cette tude tait de mesurer la concentration relative de DP et d EDPB dans le lait maternel M THODE Nous avons recueilli 87 chantillons de lait provenant de femmes en bonne sant Dans 2 0 g de lait nous avons ajout des substituts marqu s Nous avons ajout 12 g de sulfate de sodium au lait puis nous avons proc d une extraction deux fois chacune l aide de 15 mi de DCM hexane 1 1 v v suivi d un nettoyage par chromatographie sur gel perm able GPC La fraction GPC fraction entre 12 et 22 minutes a t recueillie et r duite un volume de 500 ul Le t moin interne a t ajout avant que l chantillon subisse une analyse au GC MS l aide d une colonne DB 1MS Le spectrom tre de masse fonctionnait en mode d ionisation chimique n gative pour la capture d lectrons l aide du programme de surveillance de Ton choisi SIM Les analyses statistiques ont t r alis es l aide de la version 9 2 du logiciel SAS STAT R SULTATS La concentration totale de DP variait de ND 8 0 ng g moyenne cart type 0 98 1 34 ng g
356. ns qui est essentielle l valuation des risques pour la sant associ s l irradiation aidera orienter les recommandations relatives l exposition aux dispositifs mettant des radiations OBJECTIFS Certains patients ayant subi une radioth rapie manifestent des effets secondaires graves L histone H2AX phosphoryl e y H2AX est un signal rapide de cassure double brin de l ADN qui survient lorsque les cellules sont expos es des agents dommageables comme des radiations ionisantes Le pr sent projet consiste valuer la r ponse H2AX n vitro dans les lymphocytes ainsi que des param tres cytog n tiques chez des patients ayant pr sent une r ponse de radiosensibilit dans le but d tablir un marqueur sp cifique pour la radiosensibilit PLAN EXP RIMENTAL Le projet s inscrit dans le cadre d un essai clinique de phase III portant sur 430 patients atteints d un cancer de la prostate dont 3 radiosensibles ont contract une rectite de grade 3 Nous avons pr lev des chantillons de sang p riph rique aupr s de 10 patients radiosensibles et de 12 patients ayant bien r pondu au traitement t moins Pour chacun des chantillons nous avons valu la r ponse y H2AX o vitro dans des lymphocytes et dans des sous populations lymphocytaires ainsi que des param tres cytog n tiques Pour valuer la r ponse y H2AX nous avons expos les chantillons des doses de 0 10 Gy et nous avons mis en inc
357. nsions l exposition des rayonnements OBJECTIF V rifier et mettre au point une m thode d talonnage qui permettra une quantification et une visualisation en deux dimensions de divers types d exposition des rayons X MAT RIEL ET M THODES Nous avons constitu une base pour tracer une courbe d talonnage en utilisant 14 points d exposition entre 3 et 20 mGy 4 points entre 30 et 100 mGy et un t moin non expos Les expositions ont t v rifi es de mani re ind pendante et mesur es au moyen d une chambre d ionisation de 6 cc et d un lectrom tre Trois morceaux de film 3 cm x 3 cm ont t expos s chaque dose d exposition et ont t num ris s au moyen d un scanneur plat commercial Les images ont t sauvegard es en format TIFF 300 ppp et analys es au moyen du logiciel gratuit ImageJ pour que l on puisse obtenir des donn es sur les pixels associ s au canal rouge celles ci tant proportionnelles l exposition aux rayons X Deux mod les simples exponentiel et quadratique d crivant la relation entre les valeurs associ es au pixel du canal rouge et les points d talonnage ont t trouv s figure 1 Nous avons galement v rifi la a pr visibilit de chaque mod le au moyen de six expositions l aveugle apr s talonnage Seules les valeurs de pixel ont t fournies aux chercheurs afin que ceux ci les substituent dans chaque mod le Les expositions t moins l aveugle et les
358. nt air source d eau sol et plantes incluant le pollen et le nectar o les abeilles sont susceptibles d entrer en contact avec des pesticides ou de se nourrir de mati res contamin es par des r sidus 3 effets potentiels des pesticides sur les pollinisateurs adultes ou le couvain Les auteurs d crivent l approche par tapes tudes en laboratoire tudes en conditions semi naturelles et tudes sur le terrain requise pour obtenir les donn es n cessaires l valuation des risques pos s par l exposition aux pesticides ou la toxicit de ces produits L abeille domestique est utilis e comme esp ce substitutive mais d autres esp ces d insectes pollinisateurs sont galement prises en compte R SULTS INCIDENCES CONCLUSIONS Les auteurs proposent de nouveaux mod les conceptuels et de nouvelles formulations et approches pour l valuation des risques pos s par les pesticides syst miques et non syst miques utilis s pour les pulv risations foliaires le pelliculage des semences et les applications au sol et examinent diverses mesures potentielles d att nuation des risques 2 22 Mesures de l exposition aux particules fines PM 5 en milieu r sidentiel dans cinq villes canadiennes ME H roux MSc C Khoury BSc and A Wheeler PhD 1 Water Air and Climate Change Bureau HECSB Health Canada Ottawa ON SOMMAIRE Les Canadiens passent la majorit de leur temps l int rieur Toutefois il existe peu de donn
359. nt r t prioritaire du PGPC comme le D4 et le D5 sont instables en pr sence simultan e de rayons UV et d ozone La d gradation possible de siloxanes illustre la complexit du comportement des contaminants dans l environnement et l importance den valuer les risques en tenant compte de leur devenir dans l environnement II faut tudier davantage l identification et la quantification des produits de d gradation ainsi que le m canisme en cause 2 39 Bioaccessibilit du zinc dans la poussi re domestique sp ciation et transformation S Beauchemin PhD P E Rasmussen PhD et L C W MacLean PhD Ressources naturelles Canada LMSM CANMET Ottawa Ont Division de l exposition et de la biosurveillance BSRSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Canadian Light Source Inc Saskatoon Saskatchewan R SUM Le zinc Zn et ses compos s constituent un groupe de substances prioritaires du Plan de gestion des produits chimiques Dans les environnements int rieurs on est expos au Zn dans un large ventail de produits p ex peintures produits pharmaceutiques cosm tiques et plastiques et dans la poussi re d pos e qui contient des m taux provenant de sources ext rieures et int rieures Cette tude porte sur les formes du Zn dans la poussi re et montre que des conditions tr s humides peuvent favoriser les formes solubles du Zn Dans une r sidence les voies d exposition au Zn varient selon les sources de Zn
360. nt de 1999 les ministres de la Sant et de l Environnement proc dent conjointement des valuations pr alables des substances chimiques existantes Depuis 2007 Sant Canada et Environnement Canada par l interm diaire du Plan de gestion des produits chimiques PGPC ont examin quelque 200 substances hautement prioritaires en vertu de l initiative D fi de ce plan Dans cette affiche sont soulign s les points forts et les faiblesses des exercices ant rieurs d tablissement des priorit s en fonction de l exposition les enseignements tir s de l initiative D fi et les besoins actuels en mati re de donn es et d outils alors qu est abord l examen des 3 000 substances prioris es restantes CONTEXTE L valuation des risques dans le cadre de l engagement g n ral pris par le Canada d examiner les produits chimiques existants d ici 2020 est mise en uvre par l interm diaire du PGPC Le PGPC int gre tous les programmes f d raux existants pertinents de fa on que les substances chimiques soient valu es et g r es de mani re appropri e afin de ne pas nuire aux Canadiens et leur environnement Un volet majeur de ces activit s est la caract risation de l exposition humaine et de l exposition environnementale OBJECTIF Dans cette affiche sont soulign s les points forts et les faiblesses des exercices ant rieurs d tablissement des priorit s en fonction de l exposition les enseignements tir s de l ini
361. nt les recherches publi es qui portent sur les effets n fastes pour la sant humaine des particules atmosph riques grossi res Cette information est n cessaire pour l laboration d une politique en mati re de qualit de l air Nous avons observ les changements biologiques provoqu s par des polluants atmosph riques particulaires de taille fine et grossi re dans un cadre clinique M THODES L exposition contr l e s est d roul e dans un tablissement dont l air int rieur provenait d une rue de Toronto Dix neuf volontaires non fumeurs en bonne sant g s de 18 50 ans ont t expos s de l air contenant des particules fines et grossi res et de lair d pourvu de particules dans un ordre al atoire pendant deux heures au moins deux semaines d intervalle Les concentrations moyennes de particules fines et grossi res taient respectivement de 244 et de 206 ug m On a examin les biomarqueurs syst miques de l inflammation de la fonction vasculaire et du stress oxydatif dans l urine et dans le sang p riph rique avant l exposition et apr s 3 et 24 heures R SULTATS Dans l urine on a observ une association statistiquement significative entre l exposition aux particules fines et la concentration du facteur de croissance endoth lial vasculaire un agent qui r duit la perm abilit vasculaire et stimule l angiogen se La concentration des substances r actives l acide thiobarbiturique TBARS biom
362. ntant 97 de la population g e de 60 79 ans Les donn es ont t recueillies par une quipe de sp cialistes des mesures physiques qui se sont rendus bord de cliniques mobiles dans les 15 sites de collecte de donn es situ s divers endroits au Canada Sant Canada a conclu un partenariat avec le minist re de la D fense nationale afin d obtenir les services de dentistes qui avaient pour mandat d effectuer les examens dentaires Sant Canada s est occup d offrir aux dentistes la formation n cessaire pour effectuer les examens selon les normes de l Organisation mondiale de la sant et pour consigner les donn es recueillies de mani re uniforme Les donn es ont t analys es par Statistique Canada en collaboration avec Sant Canada PRODUITS R SULTATS De fa on g n rale les Canadiens ont une bonne sant buccodentaire les points am liorer suivants ont t relev s e 62 des Canadiens poss dent une assurance dentaire priv e comparativement seulement 39 des Canadiens g s de 60 ans et plus e 20 des Canadiens ont des ant c dents de carie radiculaire comparativement pr s de la moiti 43 des Canadiens g s de 60 ans et plus e 21 des Canadiens ont des parodontopathies perte d attache comparativement 47 des Canadiens g s de 60 ans et plus e 6 des Canadiens ont perdu toutes leurs dents comparativement 22 des Canadiens g s de 60 ans et plus CONCLUSIONS
363. ntation en fonction du guide BMGAC mais pourrait galement avoir d autres utilit s et applications li es la surveillance et ou la recherche au sein du Portefeuille de la Sant 1 53 Effets d une carence et d une alimentation enrichie en acide folique multig n rationnelles sur les l sions chromosomiques chez la souris B Swayne N Lukenbill C L Yauk PhD et A J MacFarlane PhD L Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partement de biologie Universit Carleton Ottawa Ont 2 3 R SUM Ce projet vise d terminer si un apport lev en acide folique peut entra ner des l sions l ADN dans des rythrocytes de souris Cela est important car la concentration sanguine de folate dans la population s est accrue en raison de la fortification obligatoire en acide folique des produits c r aliers depuis 1998 Nous avons tabli qu un apport lev en acide folique ne cause pas de l sions l ADN ni ne prot ge contre les l sions l ADN chez la souris Ces donn es permettent de r duire les inqui tudes li es au risque de l sions l ADN attribuables une exposition long terme des concentrations lev es d acide folique de source alimentaire CONTEXTE Une carence en folate diminue la synth se de novo des nucl otides et le potentiel de m thylation cel
364. nteragissant avec certains r cepteurs directement li s l ADN et adjacents des g nes dont ils r gulent la transcription Afin d examiner les r percussions sur le plan mol culaire d une perturbation touchant l hormone thyro dienne au cours du d veloppement nous avons valu les effets d une perturbation de courte dur e de la TH sur la transcription d ARNm h patique chez de jeunes souris Ces travaux de recherche visent mieux comprendre les m canismes d action de la TH au cours du d veloppement du foie et de rechercher des biomarqueurs candidats permettant l tude de substances chimiques perturbant la TH M THODE Nous avons induit une perturbation de la TH du 12 jour apr s la naissance jusqu au 15 jour en ajoutant des substances goitrog nes substances liminant la production de TH soit le m thimazole et le perchlorate de sodium dans l eau de boisson de la m re hypothyro die Un sous groupe de rejetons dont la TH tait perturb e a re u des injections intrap riton ales de substitut de TH 4 heures avant le sacrifice remplacement Un autre groupe a re u uniquement de la TH avant le sacrifice hyperthyro die Nous avons isol l ARNm h patique et l avons hybrid des puces ADN de souris d Agilent Nous avons tent de trouver des l ments indiquant une r ponse thyro dienne en cherchant des s quences ressemblant des l ments indiquant une r ponse thyro dienne dans les r gions r gula
365. ntroverses depuis 15 ans Le processus amorc par le Canada dans le but de concilier diff rentes perspectives d ordre thique s est av r long et laborieux s talant sur plus de 10 ans et a retard l adoption d une directive r glementaire sur le plan exp rimental des essais cliniques Le n ud du probl me tient au manque de prise en compte des cons quences des aspects scientifiques et de la m thodologie de recherche appliqu e sur la validit des r sultats de l essai pour diff rents plans exp rimentaux En fin de compte si on ne peut s attendre ce qu un essai produise de mani re fiable des r sultats valables son thique doit tre remise en question Cette pr sentation sera utile pour explorer les prochaines tapes dans l laboration de directives r glementaires sur le plan exp rimental des essais cliniques OBJECTIF Expliquer les aspects scientifiques l origine de l impasse qui persiste depuis 10 ans dans le processus de consultation nationale concernant l utilisation de placebos dans les essais cliniques contr l s r partition al atoire HISTORIQUE ET CONTEXTE Depuis l inclusion d un article concernant le contr le par placebo dans la D claration d Helsinki DH en 1996 un d bat parfois houleux a cours au sujet de l thique d une telle pratique Le Canada a amorc un processus visant concilier les diff rentes positions prises par l nonc de politique des trois conseils sur l
366. nts ind sirables 4 24 valuation de l incidence de lignes directrices nationales en vue d am liorer la s curit transfusionnelle au Canada J Vik C Hyson P Robillard et C Legare 1 5 Centre de la lutte contre les maladies transmissibles et les infections ASPC Ottawa Ont D partement d pid miologie de biostatistique et de sant au travail Universit McGill Montr al Qc DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les Lignes directrices relatives aux enqu tes sur les cas soup onn s de contamination bact rienne transfusionnelle publi es en 2008 ont t labor es par un groupe de travail mis sur pied par l Agence de la sant publique du Canada ASPC et charg de r diger des instructions normalis es applicables aux enqu tes sur les cas soup onn s de contamination bact rienne li s la transfusion de composants sanguins En 2010 l ASPC a effectu une enqu te visant valuer l incidence des lignes directrices sur le personnel des banques de sang des h pitaux Comparativement ceux de l enqu te r alis e par l ASPC en 2006 les r sultats ont r v l une observation accrue des meilleures pratiques ce qui est encourageant pour la production d autres lignes directrices visant am liorer la s curit transfusionnelle au Canada OBJECTIF valuer l incidence des Lignes directrices relatives aux enqu tes sur les cas soup onn s de contamination bact rienne transfusionne
367. o Bcl2 like 1 Gatti Caspase 3 Caspase 8 et Caspase 9 P lt 0 05 Les FOS ont aussi diminu la quantit d ARNm d oncog nes et de g nes ayant un r le dans la formation de m tastases soit Ros1 Fos Cd44 Fn1 et Plau de m me que plusieurs g nes jouant un r le dans la prolif ration cellulaire y compris Hbegf Hoxb13 Cgrefi Wfdc1 Tgm3 Fgf7 Nov et Lumican P lt 0 05 L alimentation contenant du SB lentement fermentable n a hausse que ARNm des g nes Smct2 Rgs16 Gprcba Gpr109a Bcl2 like 1 Caspase 8 et Fos P lt 0 05 INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les quantit s semblables de MF alimentaires provenant de FOS ou de SB ont modifi de fa on diff rente l expression de g nes jouant un r le dans le transport des acides gras courte cha ne la transduction du signal des r cepteurs coupl s la prot ine G l apoptose la prolif ration cellulaire et l oncogen se dans l pith lium du c lon proximal de rats en bonne sant ce qui indique que la fermentation seule n est pas le seul agent d terminant la r ponse des g nes Par cons quent la fois la source et la quantit de MF peuvent avoir des effets diff rents sur des fonctions de l pith lium du c lon C est la raison pour laquelle l on doit tenir compte de ces deux facteurs dans l laboration de politiques sur les fibres alimentaires 1 50 Mesure simultan e du D chlorane Plus et de diph nyl thers polybrom s
368. obert L Division de la bio thique de l innovation et de l int gration des politiques Direction des politiques scientifiques DPS Sant Canada Ottawa Ont Direction de l valuation sanitaire Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire Ottawa Ont Programme de sant environnementale r gion du Qu bec DGRP Sant Canada Longueuil Qc Bureau de l valuation et du contr le des substances nouvelles Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Centre d valuation des produits radiopharmaceutiques et bioth rapeutiques Direction des produits biologiques et des th rapies g n tiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Bureau des dangers microbiens Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Bureau de la gestion des risques et de la science Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Bureau d valuation du risque des substances existantes Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM On cite fr quemment a l approche fond e sur le poids de la preuve comme une base sur laquelle on s appuie pour tirer les conclusions d une valuation du risque Toutefois les diff rentes interpr tations et l absence d un consensus sur sa signification pourraient ventuellement entraver la communication entre les divers intervenants participant une prise de d cision Pour r soudre ce pro
369. ocuments suivants des fins de consultation 1 caract ristiques propos es pour le cadre r glementaire de la MV au Canada 2 exigences propos es pour les pr sentations de produits de la MV QUESTION Sant Canada reconna t que la MV est un proc d de fabrication mergent au moyen duquel des prot ines th rapeutiques sont produites dans des plantes au moyen de la technologie de recombinaison de l ADN Sant Canada diffuse un certain nombre de documents d orientation pour aider les promoteurs de produits interpr ter les lois et r glements touchant la commercialisation des m dicaments biologiques au Canada Il n existe actuellement aucun document d orientation portant express ment sur les diff rences dans les proc d s de fabrication requis pour les m dicaments biologiques d origine v g tale La mise au point de produits pour ces m dicaments biologiques au Canada en est maintenant au stade de l essai clinique de phase II M THODE Sant Canada est en train d laborer un document d orientation qui interpr tera les r glements existants visant les m dicaments et int grera les notions d innocuit et de qualit applicables aux plantes dans l valuation r glementaire des m dicaments biologiques issus de la MV qui sont destin s au march canadien Sant Canada diffuse ces concepts propos s dans le cadre d une consultation pr liminaire PRODUIT Sant Canada propose 1 les caract ristiques du cadre r gle
370. odifi par l utilisation du temazcal On a observ une tendance g n rale l augmentation de la mutag nicit apr s l exposition dans le temazcal d un facteur 2 1 par rapport au groupe t moin On a observ une corr lation significative entre le PM du concentrat urinaire et le taux sanguin de CO et le CO exhal ainsi qu entre le PM du concentrat urinaire des individus expos s et le temps pass dans le temazcal CONCLUSIONS INCIDENCES L utilisation du temazcal engendre la production et l excr tion dans l urine de m tabolites mutag nes L utilisation du temazcal a contribu une augmentation du PM urinaire qui est empiriquement li e d autres mesures de l exposition telles que le COHb et la dur e de l utilisation du temazcal ce qui d montre que la mutag nicit urinaire peut tre utilis e comme biomarqueur de l exposition la fum e de bois dans les temazcals traditionnels 2 34 Caract risation de l exposition humaine et de l exposition environnementale dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques du Canada hier aujourd hui et demain A Zidek L MacKinnon S Kuchta D Gutzman et D Delage Bureau de l valuation des risques des substances existantes Direction de la s curit des milieux Sant Canada Ottawa Ont Section des valuations prioritaires Environnement Canada Gatineau Qc R SUM Aux termes de la Loi canadienne sur la protection de l environneme
371. oduits chimiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Des tudes r centes ont r v l la pr sence de glycidol li sous forme d esters d acides gras dans de nombreuses graisses et huiles raffin es de m me que dans des produits contenant des graisses et huiles tels que les pr parations lact es pour nourrissons Les esters d acides gras de glycidol pourraient en th orie tre hydrolis s dans le glycidol d origine dans le tube digestif Le glycidol est un poxyde class par le CIRC dans le groupe 2A probablement canc rog ne pour les humains OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS Des esters d acides gras de glycidol ont t d tect s dans des huiles transform es des concentrations allant jusqu 20 ppm de m me que dans de l huile riche en diglyc rides des concentrations atteignant 250 ppm donn es pour le Japon et les U Des esters de glycidol se forment durant la transformation le raffinage des huiles commerciales Le glycidol est un mutag ne action directe et un canc rog ne multisite chez les rongeurs mais aucune tude pid miologique ou clinique n a t publi e sur le glycidol chez les humains On ne dispose d aucune donn e sur les concentrations d esters de glycidol au Canada Les m thodes actuelles de GC MS pour le dosage du glycidol li n cessite une d rivatisation et sont sujettes la formation d artefacts alors que les m thodes actuelles de LC MS p chent par un manq
372. olitiques de sant des communaut s des Premi res nations Fe Ua LE EN LA UT E EE A A Se deeg AE 2 51 Effets des contaminants de l environnement sur l expression des enzymes de phase m tabolisant les m dicaments sur l activit m tabolique et sur la m thylation de l ADN dans des s quences r p t es d ADN de deux lign es de cellules h patiques humaines ss 2 52 Expression globale des g nes dans les fibroblastes m senchymateux villeux humains FMVH expos s au bisph nol A BPA dans diff rentes conditions de eu TI EE 2 53 Accident nucl aire de Fukushima R ponse de Sant Canada pour assurer la protection des Canadiens au pays et l tranger la suite de l accident de la centrale nucl aire de Fukushima Daiichi au Japon sisi E E E 3 01 Utilisation d un r seau mondial de surveillance des radionucl ides transport s dans l atmosph re et du Centre national de donn es CND de Sant Canada pour valuer les risques et les incidences pour les Canadiens pendant l accident du r acteur de FUKUSHIMA 20 rss ssl See terne late ee basent tete n emma gite tt 3 02 Surveillance au Canada et l tranger par le R seau de surveillance en poste fixe des rejets nucl aires dus l accident la centrale de Fukushima 3 03 La surveillance radiologique au service du Plan f d ral en cas d urgence nucl aire la suite de l accident nucl aire de Fukushima au Japon sssssssseesseesese 3 0
373. ombre de produits contiennent des glycoprot ines recombinantes comme l rythropo tine et l interf ron b ta en tant qu ingr dients actifs Ces substances th rapeutiques sont plus difficiles caract riser en raison de la pr sence de cha nes oligosaccharidiques de diverses longueurs et compositions Dans le pr sent article nous pr sentons les progr s que nous avons r alis s quant l application de cette m thodologie aux glycoprot ines recombinantes th rapeutiques CONTEXTE L un des principaux domaines sur lesquels nous travaillons est la mise au point de m thodes faisant appel la spectroscopie par r sonance magn tique nucl aire RMN pour caract riser la structure de prot ines recombinantes th rapeutiques Parmi celles ci les prot ines th rapeutiques glycosyl es sont particuli rement difficiles valuer en raison de la complexit de leurs cha nes de glycanes Il est par cons quent difficile de comparer la caract risation de ces prot ines th rapeutiques avec celle de produits d j approuv s dans le cas d un produit biologique ult rieur PBU La mise au point d une m thode fond e sur la RMN n cessite la production de glycoprot ines marqu es au moyen d isotopes d tectables par RMN comme le carbone 13 et l azote 15 L utilisation d chantillons ainsi marqu s permet d optimiser les param tres de la RMN pour l acquisition des donn es n cessaires la caract risation Il devient donc p
374. ombreux processus physiologiques Un apport excessif en Zn peut cependant r duire l absorption du Cu et entra ner une d ficience en Cu Un bilan faible en Cu a t le param tre utilis par l Institut of Medecine IOM pour tablir AMT pour le Zn chez les adultes Des enqu tes nutritionnelles r v lent ou une forte proportion de jeunes enfants ont des apports en Zn qui d passent les AMT ce qui d note soit un probl me de surcharge en Zn chez les enfants ou indique que les AMT actuels sont trop faibles Dans la pr sente tude nous avons examin les effets de la suppl mentation en Zn sur la croissance taille et poids et les biomarqueurs du bilan en Zn et en Cu chez des gar ons PLAN Des gar ons en sant vivant Guelph Ontario et g s de 6 8 ans ont re u un placebo n 10 ou 5 mg n 10 10 mg n 9 ou 15 mg n 8 de Zn par jour pendant 4 mois dans le cadre d un essai clinique double insu contr l par placebo ISRCTN77377400 La plus forte dose de Zn d passait AMT actuel pour ce groupe d ge soit 12 mg jour Nous avons pr lev des chantillons de sang et d une au d but niveaux de r f rence au milieu et la fin de la p riode de suppl mentation en vue d valuer le bilan en Zn et en Cu R SULTATS Les gar ons qui avaient re u un suppl ment de Zn pr sentaient un plus grand changement dans la concentration urinaire de Zn par rapport au niveau de r f rence que ceux qui avaient re u le p
375. on des r sultats 2 27 Estimation de la pollution atmosph rique ambiante quotidienne l chelle des m nages par le couplage de mod les de r gression de l utilisation des terres et de donn es de surveillance dans une tude portant sur la fonction pulmonaire d enfants asthmatiques M Johnson M MacNeill A Grgicak Mannion E Nethery and P Villeneuve X Xut R Dales et A Wheeler 1 Division des sciences de la qualit de l air DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 Great Lake Institute for Environmental Research Universit de Windsor Windsor Ont j Division des tudes sur la population DGSESC Sant Canada Ottawa Ont D partement de g nie civil et de l environnement Universit de Windsor Windsor Ont R SUM L valuation exacte de l exposition court et long termes est n cessaire pour d terminer les effets de la pollution atmosph rique sur la sant Les mesures de la pollution peuvent tre co teuses et compliqu es r aliser mais les mod les de pr diction de la pollution atmosph rique peuvent constituer une solution de rechange peu dispendieuse Dans la pr sente tude nous avons utilis l information tir e de mod les annuels de pollution l chelle des m nages et des mesures quotidiennes l chelle communautaire pour pr dire les concentrations quotidiennes dans les maisons d enfants asthmatiques Windsor en Ontario Le mod le a pr dit correctement les niveaux d
376. on et de la mise en uvre des essais en laboratoire et de l analyse des donn es Le co t additionnel semblera minime ou nul si la proposition de PI sous entend uniquement 1 une r elle harmonisation collaboration avec le secteur des ET des ressources humaines et mat rielles existantes en mati re de PI 2 m mes donn es pr sent es dans des formats modifi s de mani re appropri e pour tre accessibles aux valuateurs Les principaux d fis associ s cette proposition sont les suivants 1 la proportion des donn es de PI qui seront fusionn es celles des ET 2 ce qui est pr vu pour la surveillance apr s la mise en march CONCLUSION La diversit des avantages que pr sente la proposition de PI contraste avec le fait que ses inconv nients ne sont li s qu au contexte des ET Si l on ajoute cela la position favorable des directives de l ICH et l appui de la Safety Pharmacology Society l av nement de nouvelles technologies non effractives pourrait faciliter l acceptation de la proposition de PI par les toxicologues Il reste valuer les incidences de cette proposition sur la surveillance r alis e apr s la mise en march par rapport ses avantages dans le contexte de l approche de gestion du cycle de vie du m dicament 4 13 Identification et d nombrement des microorganismes dans des produits constitu s de m langes J Crosthwait et P Shwed PhD 1 Laboratoire de biotechnologie Division des tudes m c
377. on mitochondriale Cell Titer Blue la prolif ration cellulaire incorporation de BrdU le m tabolisme nerg tique taux d ATP et les l sions des membranes cellulaires lib ration de LDH Les essais font appel des substances poss dant des propri t s chimiques distinctes et utilisent un large ventail de m thodes de d tection et de quantification absorbance fluorescence et luminescence R SULTATS On a mesur la fuite de la LDH cytoplasmique par colorim trie dans le surnageant apr s 24 h apr s clarification par centrifugation pour liminer toutes les mati res particulaires On a ensuite ajout du Cell Titer Blue pour valuer le potentiel d oxydor duction cellulaire Les nanotubes de carbone ont emp ch la lecture directe de la fluorescence par extinction On a r solu ce probl me en transf rant une aliquote du surnageant de culture cellulaire ton et tu dans des plaques de lecture et en les centrifugeant avant la mesure de la fluorescence On a ensuite lys les cellules l aide de Triton X 100 dilu dans une solution saline additionn e de magn sium afin de pr server l int grit des prot ines et de ARNm pour les analyses prot omiques et g nomiques et la stabilit des activit s enzymatiques p ex LDH Pour assurer la stabilit de l ATP on a transf r une aliquote du lysat directement dans le m lange r actionnel contenant la lucif rase la luminescence est stable pendant 4 h Tous les crit r
378. onnementale des aspects scientifiques de la gestion des urgences et a fait l historique de la planification de la gestion des urgences au Canada par le gouvernement f d ral il a galement dress un inventaire des plans de gestion des urgences existant au sein de SC R SULTATS D apr s des r sultats pr liminaires le gouvernement du Canada a fait beaucoup de chemin en ce qui concerne la promotion de la planification de la gestion des urgences au sein des minist res toutefois son approche depuis la Deuxi me Guerre mondiale est devenue de plus en plus cibl e en fonction du type de danger On se retrouve ainsi avec une multiplicit de plans et de proc dures ce qui contribue la fragmentation de la planification de la gestion des situations d urgence Un inventaire des plans de gestion des urgences existant au sein de SC a r v l que le Minist re jouait un r le dans au moins 98 documents de planification en mati re de gestion des urgences qui ciblaient presque tous un type particulier de danger sans faire l objet d aucune int gration SC a besoin d un plan g n ral de gestion des urgences qui servirait de r f rence centrale pour le Minist re quel que soit le type de danger concern PROCHAINES TAPES Aujourd hui SC s efforce de mieux coordonner ses plans de gestion des urgences afin qu ils puissent tous tre compatibles En adoptant une approche de la planification de la gestion des urgences ax e davantage
379. ons quent leur dur e de conservation a tendance tre plus courte Dans la pr sente tude nous avons examin les effets de la d samidation d un r sidu particulier de l interf ron alpha 2a IFNa 2a une substance pharmaceutique sur la stabilit de la prot ine sur la performance de l IFNa 2a dans des tudes de stabilit dans des conditions acc l r es et sur la capacit de l IFNa 2a tre conserv en solution 20 C Les r sultats pr liminaires indiquent que non seulement ces impuret s li s au produit r duisent la stabilit thermique mais leur vitesse de d gradation peut galement tre acc l r e lorsque le produit est stock OBJECTIFS CONTEXTE Les produits pharmaceutiques base de prot ine contiennent presque invariablement de petites quantit s d impuret s li es au produit p ex variantes oxyd es d samid es ou coll es de l ingr dient actif et ces impuret s sont connues pour allonger la dur e de conservation du produit pharmaceutique Comme ces impuret s li es au produit peuvent tre moins efficaces que le produit base prot ine d origine ou pr sentent une plus grande tendance s agr ger la concentration des produits oxyd s et ou d samid s doit respecter les sp cifications du produit fini et peut en partie du moins permettre de d terminer la date de p remption du produit Des travaux ant rieurs ont montr qu une modification chimique des prot ines telle que l
380. ons mis l essai avec des bact ries Listeria et qui nous ont permis d effectuer une filtration de l ordre de 3 um Cette plateforme de pr paration d chantillon innovante est capable de traiter rapidement et efficacement d importantes quantit s d aliments 10 mL en 15 min Nous avons mis l essai la puce de capture et de culture dans diff rentes conditions de chimie de surface ainsi qu avec diff rents d bits et diff rentes tailles d obstacles de mani re am liorer la capture de L monocytogenes Jusqu pr sent les plateformes de capture culture ont montr une bonne sensibilit 100 UFC dans un tampon phosphate salin PBS et dans le b uf hach et ont soutenu la croissance bact rienne Il est possible de d tecter en 24 heures les aliments pr sentant une faible concentration de bact ries par la mise en culture sur puce et la caract risation mol culaire INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS Les plateformes microfluidiques fourniraient l ACIA et aux organismes de r glementation un outil de diagnostic rapide aux fins de d pistage 4 12 Prise en compte des avantages et des risques pour l int gration de la pharmacologie de l innocuit dans les strat gies d essais de toxicit A G Craan PhD S Semalulu PhD D Wang BSc et D Vu PhD f Bureau des produits biologiques biotechnologiques et de sant naturels commercialis s Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Cana
381. ont l alimentation comprend des prot ines de soja J M A Gavina PhD J Priem MSc C M Wood MSc C W Xiao PhD et Y L Feng PhD l Division de l exposition et de la biosurveillance Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division de la recherche sur la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM La consommation de soja et de produits base de soja de m me que de suppl ments nutritifs base de soja a t associ e des effets favorables sur la sant comme une diminution des taux de cholest rol et de triglyc rides et une diminution du risque de diverses maladies comme le diab te et les maladies cardiovasculaires Il faut toutefois mener davantage d tudes pour identifier et valuer les composantes bioactives responsables de ces effets favorables sur la sant Nous avons mis au point une m thode permettant de mesurer les concentrations d isoflavones dans le s rum de rats dont l alimentation comprenait des suppl ments nutritifs base de soja Nous avons pu d celer de mani re reproductible de faibles concentrations d isoflavones dans le s rum de ces rats Les valeurs que nous pr sentons dans le pr sent article justifieront la r alisation d tudes sur l innocuit des produits base de soja et sur les effets sur la sant associ s la consommation de tels produits OBJECTIFS CONTEXTE
382. ossible d analyser la structure des glycanes H C 2D HSQC et des cha nes polypeptidique H N 2D HSQC de mani re non destructive Le syst me d expression chez la levure Pichia pastoris nous permet d obtenir des prot ines glycosyl es marqu es en grande quantit et un co t raisonnable Ce syst me fait appel du m thanol marqu au carbone 13 et du sel d ammonium marqu l azote 15 pour seules sources de carbone et d azote respectivement OBJECTIF L objectif du projet est de mettre au point un protocole d expression chez la levure pour la production de GM CSF marqu une prot ine recombinante utilis e en partie pour accro tre la production de neutrophiles globules blancs chez les patients immunod prim s PRODUITS R SULTATS Nous avons optimis l expression et la purification de GM CSF N glycosyl marqu au moyen d isotopes stables et actifs d tectables par RMN L analyse des spectres de RMN nous permet de comparer la conformation de la prot ine en pr sence de glycanes et en l absence de glycanes Dans le cas du GM CSF la conformation globale de la prot ine est maintenue Cependant la pr sence de glycanes au niveau du r sidu N37 a modifi la petite h lice un tour qui pr c de le site de glycosylation qui a adopt une conformation en pelote al atoire INCIDENCES EFFETS CONCLUSION La possibilit de produire des glycoprot ines marqu es facilitera grandement l laboration de m thode
383. ous avons identifi s par cytom trie de flux La concentration en ARNm des g nes cibl s a t mesur e par RT PCR R SULTATS La fr quence des mutations a augment significativement apr s l inactivation par knockout des g nes Fen1 Top2a Top hek2 Recql Recqld Lig1 et Rpa2 dans le pJ6 A10 _c16 Les fr quences de mutations les plus lev es ont t observ es avec l inhibition des g nes Fen1 et Top2a o les fr quences de mutations taient plus de vingt fois sup rieures celle observ e chez le t moin n gatif L expression de ARNm de ces g nes a diminuait de fa on consid rable apr s le knockdown EFFETS CONCLUSIONS Le syst me de reportage des s quences de r p titions en tandem GFP fournit une m thode rapide et fiable pour la d tection de mutations dans les s quences r p t es de d phasage Elle peut tre appliqu e la caract risation comparaisons des agents carcinog nes potentiels y compris avec r activit de l ADN ARNi en tant que mod le La g n ration de mutations de d phasage par des moyens indirects avec un potentiel faible dose seuils a des implications pour les politiques chimiques d valuation de risque de d faut exigeant lin aires faible dose extrapolation des donn es bioassary de cancer 1 36 M thode fond e sur une colonne de s paration base de Florisil destin e l analyse de cong n res coplanaires du PCB non ortho contenus dans des tissus adipeux de rat expo
384. ous avons observ des CBaon pulmonaires pour toutes les doses au jour 1 suivant l exposition p lt 0 001 lesquelles taient nombreuses jusqu au jour 28 p lt 0 05 aux deux doses les plus lev es Le nombre de CBabn dans les cellules du LLBA tait lev en comparaison des t moins pour la dose la plus lev e tous les jours suivant l exposition p lt 0 05 Les csesF pg dans les poumons ont augment toutes les doses et pour tous les temps de r cup ration avec un accroissement significatif aux jours 1 et 3 suivant l exposition en comparaison des t moins p lt 0 001 0 05 Nous avons observ des CBAbN dans les cellules h patiques au jour 1 p lt 0 001 et au jour 28 p lt 0 001 suivant l exposition Le nombre de cellules du LLBA tait en forte corr lation avec les se DO des cellules pulmonaires r 0 88 p lt 0 001 mais la corr lation avec les CBann tait plus faible r 0 52 p 0 08 CONCLUSION Le d p t de NpNC dans les poumons des souris provoque des effets inflammatoires et g notoxiques qui persistent longtemps apr s l exposition Les NpNC cause un stress oxydatif et entra ne une g notoxicit tant dans les tissus expos s directement poumons et cellules broncho alv olaires que les tissus expos s de fa on indirecte foie 2 05 Les r gimes amaigrissants augmentent les concentrations s riques et tissulaires de BPC et de pesticides organochlor s emmagasin s dans les tissus adipeux W J
385. pe HA1 et HA3 toutefois on observe un cart marqu en ce qui concerne la quantit d HA pour les virus de la grippe B l heure actuelle aucune m thode de quantification de la NA n est n cessaire INCIDENCES La m thodologie d IDRS a t utile pour standardiser les concentrations d HA dans les vaccins antigrippaux annuels Les probl mes r solus avec notre nouvelle m thode sont les suivants standardisation des antig nes de r f rence m thode de rechange rapide pour la quantification de PHA sans anticorps m thode de quantification de la NA et des prot ines d uf identification des souches 4 15 valuation de la toxicit des nanotubes de carbone une approche ax e sur la prot omique D Das PhD S Mohottalage PhD R Vincent PhD et P Kumarathasan PhD S Laboratoire de biochimie analytique et de prot omique Division des tudes m canistes BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de toxicologie de l inhalation Division de l identification des dangers BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM la diff rence de celles des mat riaux en vrac les propri t s des nanomat riaux varient en fonction de la forme des dimensions et de la chimie de surface Les nanomat riaux pr sentant des propri t s physico chimiques variables peuvent tre l origine de diff rents types de changements biochimiques au niveau cellulaire et mol culaire prot ines Dans cette
386. pes dont It 131 Te PCs 16Cs et Cs ont t d tect s dans une plage de concentrations radioactives On a mod lis par r gression lin aire la relation entre les r sultats de deux chantillonneurs Les r sultats indiquent un tr s bon accord entre les deux syst mes de surveillance avec un coefficient de corr lation r2 de 0 993 INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les r sultats d montrent une excellente corr lation lin aire entre les deux chantillonneurs ce qui indique que l appareil Grey Owl peut mesurer et contr ler avec exactitude les d bits Le co t op rationnel de l chantillonneur Grey Owl est tr s faible il consomme environ 1 KW seulement pour filtrer plus de 22 000 m standard d air par jour au travers d une surface de 2 500 cm constitu e d un milieu filtrant haut rendement et faible chute de pression 4 01 Pathogen se des esp ces du genre Cronobactfer adh sion et franchissement de la barri re h matoenc phalique K Abdesselam J M Farber et F Pagotto 1 Division de la recherche Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Facult de m decine D partement de biochimie microbiologie et immunologie Universit d Ottawa Ottawa Ont Service de r f rence pour la list riose au Canada Bureau des dangers microbiens DGPSA Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Les esp ces du genre Cronobacter
387. pesant de 68 118 kg ont port un appareil de protection respiratoire pression positive avec lequel ils ont respir des vapeurs organiques trait es soit par des filtres HEPA air propre soit par des cartouches dont on avait retir les milieux filtrants air ambiant Nous avons mesur la pression art rielle et pr lev des chantillons de salive toutes les 30 minutes de 8 h 14 h 30 programme d exercices de 8 h 30 9 h De 14h 14 h 30 les sujets passaient aux fausses cartouches Les taux salivaires d endoth line ont t mesur s par test ELISA R SULTATS La pression art rielle systolique des sujets respirant de l air ambiant a augment le jour 8 h 131 mm Hg 14 h 30 138 mm Hg La pression art rielle systolique des sujets respirant de l air propre est demeur e stable 8 h 130 mm Hg 14h 130 mm Hg cartouche pleine vs fausse cartouche 14 h p 0 0 098 mais elle a augment apr s le passage aux fausses cartouches 14 h 30 138 mm Hg 14 h vs 14 h 30 p lt 0 0 001 La modification des taux salivaires d endoth line moyenne quotidienne cartouche pleine vs cartouche factice correspondait aux donn es sur la pression art rielle bigET 1 74 vs 84 pg ml ET 1 0 86 vs 1 22 pg ml CONCLUSION L tude a fait ressortir des effets cardiovasculaires importants chez les sujets bien portants des concentrations inf rieures d un ordre de grandeur aux limites actuelles concernant la qualit de l air
388. peuvent tre affich s de diff rentes fa ons selon les besoins ou les pr f rences 2 L une des difficult s de la mise en application a t de maintenir une sp cificit ou une r solution suffisante Par exemple il aurait t facile d tablir que presque tous les r sum s appartiennent aux Activit s n cessitant des donn es scientifiques li es une valuation du risque gestion du risque Communication du risque Cela est pr visible car ces activit s sont des l ments cruciaux du mandat du Minist re Toutefois cette faible r solution n aide pas mettre en vidence les tendances les forces potentielles etc Or l am lioration de la r solution n cessite beaucoup de jugement C est la raison pour laquelle il se peut qu ult rieurement des observateurs ne soient pas en accord avec les conclusions de la pr sente analyse 3 Afin de tirer avantage au maximum des donn es contenues dans les r sum s pr sent s aux Forums scientifiques il faudrait envisager d inclure un vocabulaire fixe de mots cl s y compris un ensemble am lior de cat gories ou de d nominateurs sous lesquels les auteurs pourront cat goriser leur travail 4 Parmi les autres indicateurs des priorit s et des orientations en science ayant le potentiel de fournir des points de rep re compl mentaires figurent les publications produites par le Minist re et les propositions de projet de recherche mettant en jeu des sujets humains ce
389. phosphate de pyridoxal PLP La substitution G307S pr sente un int r t particulier car il s agit de l une des mutations les plus courantes du g ne codant la CBS qui pr disposent diverses maladies 1 30 Analyse de l empreinte du facteur de stimulation des colonies de granulocytes obtenue par RMN exemple d une tude de comparabilit avec le produit innovant et effets des mutations D J Hodgson W Thach G Gingras A F Bristow PhD et Y Aubin PhD 1 2 3 Centre d valuation des vaccins DPBTG DGPSA Sant Canada Ottawa Ont D partement de biochimie Universit de Waterloo Waterloo Ont The National Institute for Biological Standards and Control Blanche Lane South Mimms Potters Bar Hertfordshire R U R SUM Le filgrastim est un produit utilis pour le traitement de la neutrop nie diminution du nombre de globules blancs r sultant principalement d une chimioth rapie Comme le seul produit autoris contenant du filgrastim Neupogen D n est plus prot g par un brevet divers promoteurs tenteront d obtenir une autorisation de commercialisation pour leurs produits biologiques ult rieurs base de filgrastim au Canada Selon les Lignes directrices l intention des promoteurs ceux ci devront d montrer que leurs produits pr sentent une similitude avec un produit autoris Dans le pr sent article nous montrons qu il est possible d utiliser les empreintes obtenues par RMN pour analyser
390. pondants nous avons observ dans les poumons des augmentations proportionnelles la dose administr e du nombre d adduits l ADN 240 600 fois plus et de la fr quence des mutations 5 18 fois plus Nous avons not 423 g nes diff rentiellement exprim s de fa on significative facteur de variation de gt 1 5 et valeur P lt 0 05 corrig e en fonction du taux de fausses d couvertes dans les poumons et ces g nes taient associ s aux processus mol culaires int ressant le d veloppement du cancer tels que la r paration de l ADN la prolif ration cellulaire l apoptose l angiogen se et l hom ostasie du calcium Comparativement au foie les poumons pr sentaient plus de 2 fois plus d adduits l ADN et une r ponse plus importante du nombre de g nes modifi s apr s l exposition au BaP 134 g nes intervenant principalement dans le m tabolisme l inflammation et les voies de la r ponse immunitaire taient diff rentiellement exprim s INCIDENCES ET CONCLUSIONS Nous d montrons ici que le poumon est plus sensible l exposition orale au BaP De plus nous observons des modifications de l expression g nique associ es des processus carcinog nes uniquement dans les poumons Nous traiterons des incidences de telles modifications s lectives cons cutives l exposition subchronique au BaP 2 32 Exposition humaine contr l e des particules fines et grossi res dans l air ambiant et effets sur le
391. port es aux protocoles ont t rapport es plus fr quemment par les r pondants des h pitaux communautaires 77 que par les h pitaux universitaires 50 Par rapport l tude de 2006 les changements not s dans les pratiques taient une diminution de 35 4 du nombre d h pitaux utilisant des segments de sacs pour les cultures lorsqu il ne reste aucun produit r siduel dans le sac de sang et une augmentation correspondante de 22 83 du nombre d h pitaux qui injectent du milieu de culture ou une solution saline dans le sac de sang dans de telles situations La proportion d h pitaux mettant les sacs de sang aux rebuts imm diatement apr s la transfusion a diminu de 51 21 et celle des tablissements effectuant un examen direct dans le cadre du protocole d enqu te en laboratoire a augment de 53 79 CONCLUSION Les r sultats de l tude ont montr que les Lignes directrices sont utiles pour les h pitaux et qu elles ont amen des changements qui ont permis d am liorer l observance des meilleures pratiques 4 25 Optimisation de la cartographie g nomique comparative par PCR multiplex pour le typage mol culaire de Campylobacter jejuni R Kenwell E Taboada Dh et C Carrillo PhD 5 Bureau des dangers microbiens Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de lutte contre les zoonoses d origine alimentaire ASPC Lethbridge Alb R SUM On estime
392. ppartements et les sources int rieures de polluants telles que la cuisson et le tabagisme Les r sultats de l tude contribueront orienter les politiques et les directives en mati re de r glementation destin es prot ger la population canadienne CONTEXTE Plus de la moiti de la population mondiale habite dans des villes et un grand nombre d habitants des villes r sident dans des tours d habitation La pr sente tude visait examiner les sources int rieures et ext rieures de polluants atmosph riques et valuer les changes d air dans une tour d habitation du centre ville d Ottawa en Ontario M THODES Nous avons s lectionn des appartements situ s dans le bas dans le milieu et dans le haut de la tour Les infiltrations d air verticales et horizontales dans les appartements voisins ont t prises en compte L tude visait mesurer les compos s organiques volatils les mati res particulaires p ex PM25 le dioxyde d azote et le dioxyde de carbone ainsi qu valuer les changes d air la temp rature et l humidit relative Des mesures continues et int gr es de la pollution atmosph rique et des changes d air ont t recueillies chaque jour environ 30 emplacements savoir dans les appartements l int rieur et sur les balcons dans les corridors dans les ascenseurs dans les escaliers et sur le toit Des gaz traceurs m thode PFT ont t utilis s pour tablir les taux d
393. pression des mol cules et les diff rences entre le groupe exp rimental et le groupe t moin ont t d termin es par des m thodes statistiques rigoureuses Les r actions s lectionn es des miARN ont fait l objet d une analyse de pr diction de cibles DIANA mirPath visant faire ressortir les voies mol culaires potentiellement alt r es par l expression de plusieurs miARN R SULTATS Le d pistage de 1 145 miARN dans trois lign es cellulaires humaines a produit des r ponses cellulaires sp cifiques et uniques sans aucun chevauchement de l expression des miARN dans les trois lign es cellulaires Les cellules A549 ont pr sent le plus grand nombre de miARN r actifs en tout 7 miARN ont t exprim s l analyse portant sur trois doses Le miARN le plus fortement exprim tait miR 486 5p et le moins fortement exprim tait miR 424 Les fibroblastes pulmonaires humains expos s aux rayons alpha ont exprim D miARN r actifs tous r gul s positivement L expression de trois de ceux ci miR 663 miR 560 9 1 et miR 675 avait au moins doubl L examen des cellules THP 1 n a r v l aucune r action statistiquement significative 24 heures apr s l exposition au rayonnement Cependant l activation de miR 708 a t observ e trois jours apr s l exposition L analyse de pr diction indique que ces particules alpha ont induit le ciblage par les miARN de g nes li s l assemblage des ribosomes au d veloppement du cancer
394. qualit des s diments du CCME ne sont formul es qu en fonction de la protection des v g taux et des animaux sans prendre en consid ration la sant humaine Les responsables de l valuation des risques utilisent souvent les RQS titre de recommandations pour la qualit des s diments ce qui peut entra ner une sous estimation du risque en raison des diff rences entre les s diments et les sols On a mis sur pied un groupe de travail dont la mission est d laborer des recommandations pour la qualit des s diments qui prot gent la sant humaine ce jour un atelier a t organis pour permettre de recenser les lacunes en mati re d information et de d terminer les prochaines tapes trois contrats ont t octroy s pour combler certaines lacunes en mati re d information et un groupe consultatif technique a t constitu CONTEXTE La Division des sites contamin s DSC de Sant Canada appuie les efforts du Conseil canadien des ministres de l Environnement CCME dans l laboration de recommandations pour la qualit des sols de l eau potable etc du point de vue de la sant humaine Actuellement les recommandations pour la qualit des s diments du CCME ne sont formul es qu en fonction de la protection de la sant cologique car il n existe aucune recommandation formul e du point de vue de la sant humaine En g n ral les responsables de l valuation des risques adoptent ou modifient des recomma
395. que chaque ann e 1 de la population contracte une gastroent rite transmise par Campylobacter l heure actuelle rares sont les isolats alimentaires ou cliniques de cet organisme qui ont t caract ris s et les sources de cette infection principalement sporadique sont rarement identifi es Le co t lev des m thodes de typage existantes et l expertise qu elles n cessitent pourraient expliquer en partie la pauvret des renseignements sur les souches La pr sente tude a t r alis e en vue d optimiser une nouvelle m thode de typage de ces bact ries la cartographie g nomique comparative CGC Le faible co t et la rapidit sup rieure de cette m thode favoriseront une utilisation plus r pandue des donn es de typage pour la surveillance pid miologique de la campylobact riose dans la population canadienne OBJECTIF La CGC est une m thode de typage binaire qui permet par l amplification d un ensemble de 40 g nes huit r actions de PCR en quintuplex de d celer la pr sence de ces derniers dans un isolat de C jejuni L objet de la pr sente tude tait d optimiser la CGC afin de r duire son co t et sa dur e de traitement pour le typage des souches de C jejuni MAT RIEL ET M THODES Des souches de C jejuniont t cultiv es en microa robiose pendant 48 heures dans un bouillon pour Brucella Les cellules pr sentes dans des chantillons de 1 ml ont t concentr es par centrifugation et l ADN
396. que courant le bisph nol A peut accro tre la formation de cellules adipeuses Ce test aidera Sant Canada r duire l exposition des Canadiens aux perturbateurs endocriniens OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS Les facteurs l origine de l pid mie d ob sit en Am rique du Nord sont assez mal connus Un apport calorique excessif et le manque d exercice sont de toute vidence des d terminants importants Il reste que de plus en plus de donn es indiquent que le stress et l effet toxique des produits chimiques peuvent jouer un r le Nous avons examin des marqueurs g n tiques pr coces et l interaction des hormones du stress et du bisph nol A sur la formation de cellules adipeuses Nous avons tudi les m canismes mol culaires pr coces qui m dient les effets des facteurs adipog nes p ex hormones du stress tudi es l aide du dexam thasone ou DEX sur l adipogen se afin de mettre au point un test de d tection des substances chimiques potentiellement adipog nes PLAN M THODES DESCRIPTION Nous avons utilis des pr adipocytes 3T3 L1 pour ces tudes Nous avons tabli un mod le sans s rum et d termin la plus faible dose de DEX n cessaire pour induire une diff renciation De ARN a t extrait assez t t diff rents moments apr s l initiation de la diff renciation Nous avons confirm la formation de cellules adipeuses dans ces conditions dans des incubations parall les en examinant l accumulation de
397. ques d acc s p ex m dicaments orphelins prix des m dicaments tests diagnostiques Les r sultats de cette valuation ont men la formulation de recommandations pour liminer les difficult s et les probl mes ressortis dans l analyse des lacunes CONCLUSIONS ET PROCHAINES TAPES L analyse et les recommandations constituent le fondement du plan d action visant orienter les activit s du portefeuille de la sant en mati re de r glementation de politique et de recherche Le plan d action sera pr sent dans le cadre d une r union de plusieurs intervenants qui sera conjointement organis e par Sant Canada et par les IRSC en janvier 2012 2 16 MetaPath outil mondial de modernisation des valuations des risques li s aux produits chimiques ME Gerrits L Croteau P Schmieder R C Kolanczyk J Jones B Diderich G Fotakis M Jacobs D Cooper et M Manibusan 1 5 Direction de l valuation sanitaire ARLA Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de recherche sur l cologie du centre du continent Bureau de la recherche et du d veloppement Agence de protection de l environnement des tats Unis Duluth Minn Division de recherche d cosyst me Bureau de la recherche et du d veloppement Agence de protection de l environnement des tats Unis Athens Ge Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques Paris France Agence europ enne des produits chimiques Helsi
398. r s l obtention d un consentement clair par crit Les tissus ont t plac s dans des flacons st riles et congel s instantan ment dans un bain de glace s che ac tone initialement conserv s l Universit McGill 80 C ils ont ensuite t transf r s dans de la glace s che Sant Canada pour leur traitement L Universit McGill et Sant Canada ont approuv le caract re thique du pr l vement et de l utilisation des tissus f taux et placentaires humains La pr sence de BPA libre et total a t recherch e dans les tissus humains par chromatographie gazeuse spectrom trie de masse apr s traitement par la B glucuronidase pour le dosage du BPA total extraction par solvant extraction en phase solide et d rivatisation l anhydride ac tique PRODUIT R SULTATS Du BPA a t d tect dans 86 des 21 chantillons de placenta les concentrations de BPA libre dans les chantillons positifs variaient entre 0 60 ng g 64 ng g la moyenne tant de 9 5 ng g et la m diane de 3 0 ng g la concentration de BPA conjugu atteignait 7 8 ng g Du BPA a galement t d tect dans la plupart des 21 chantillons de foie de f tus les concentrations de BPA libre dans les chantillons positifs variaient entre 1 3 et 27 ng g la moyenne tant de 8 5 ng g et la m diane de 3 2 ng g Du BPA conjugu a galement t d cel dans la plupart des chantillons de foie o l on a mesur le BPA total les
399. r ces r sum s titre de r f rence ou les citer doivent d abord obtenir l approbation du ou des auteurs Pour finir j aimerais remercier les membres du Comit d examen des r sum s notamment son pr sident le D Azam Tayabali d avoir consacr temps et efforts pour s assurer que le Forum puisse faire tat des r alisations de notre communaut scientifique i eg Abby Hoffman Sous ministre adjointe Direction g n rale de la politique strat gique Sant Canada Comit de planification Rudy de Sa co pr sident Directeur g n rale Dirigeant principal de l information DGSG Beth Pieterson co pr sidente Directrice g n rale Direction des sciences et de la radioprotection DGSESC Alfred Aziz Chercheur scientifique Direction des aliments DGPSA Kevin Crombie Conseiller principal Direction des communications strat giques DGAPCC Suzanne Desilets Agente de projet Direction des politiques scientifiques DGPS Marc Desjardins Directeur Division des politiques de recherche et relations Direction des politiques scientifiques DGPS Jason W Dubois Agent d valuation Direction de l valuation de la valeur et de la p rennit ARLA Lori Engler Todd Conseill re principale aupr s du DG Direction des politiques scientifiques DGPS Janine Glaser Agente principale d valuation Direction de l valuation environnementale ARLA Sonja C Heikkila Directrice g n rale Gestion de l
400. r l utilisation de temazcals traditionnels A S Long C L Lemieux N Shaikh P Yousefi I R Mercado N Lam DA White K Smith et N Holland Division des tudes m canistes BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont School of Public Health University of California Berkeley Calif R SUM Les peuples indig nes d Am rique centrale utilisent les temazcals huttes de sudation chauff es au bois des fins d hygi ne et de purification Le processus de combustion du bois produit des particules dont on sait que l inhalation a des effets n fastes pour la sant On a obtenu des chantillons d une d individus avant et apr s usage d un temazcal dans lesquels on a valu la capacit de produire des mutations chez les bact ries On a constat que Tune des individus utilisant des temazcals provoquait des mutations et que le niveau d activit tait associ d autres mesures de l exposition p ex dur e d utilisation du temazcal Cela indique que la mutag nicit de l urine est une bonne mesure de l exposition aux particules de fum e de bois CONTEXTE OBJECTIFS Les temazcals traditionnels huttes de sudation sont commun ment utilis s par les peuples autochtones d Am rique centrale Les temazcals sont chauff s par la combustion de biomasse et l exposition aux missions particulaires a t associ e effets n fastes pour la sant humaine canc rog nes du groupe 2A du CIRC Par ailleurs la
401. r une g n ration propos par l OCDE dans les strat gies de r glementation pour les essais visant l valuation des risques voir l affiche de l EOGRTS 2070 Elsevier Inc Tous droits r serv s 2 43 M thodes de r f rence pour les rejets radioactifs contr l s Une activit du programme Mod lisation de l environnement pour la s ret radiologique Il EMRAS Il de l AIEA T J Stocki D M Telleria L Bergman G Proehl V Amado I Bonchuk P Boyer P Chyly A Curti R Heling B Kany r V Kliaus P Krajewski G Latouche D Lauria C Mourlon L Newsome L S gi et J Smith l Division de la surveillance du rayonnement et des valuations de sant Bureau de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa ON Agence internationale de l nergie atomique Vienne Autriche Autoridad Regulartora Nuclear Buenos Aires Argentine Institut ukrainien de radioprotection Kiev Ukraine Institut de Radioprotection et de S ret Nucl aire Saint Paul Lez Durance France Nuclear Research amp Consultancy Group Es Arnhem Pays Bas Institut de recherche sur l nergie atomique KFKI Budapest Hongrie Centre r publicain de pratique scientifique en hygi ne Minsk Bi lorussie Laboratoire central de radioprotection Varsovie Pologne Commission canadienne de s ret nucl aire Ottawa Canada Instituto de Radioprote ao e Dosimetria Rio de Janeiro Br sil The Environment Agency
402. rale de la sant environnementale et de la s curit des consommateurs DGPSA Direction g n rale des produits de sant et des aliments DGPS Direction g n rale de la politique strat gique DGRP Direction g n rale des r gions et des programmes DGAPCR Direction g n rale des affaires publiques de la consultation et des communications DGSG Direction g n rales des services de gestion Autres acronymes ARLA Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire ASPC Agence de sant publique du Canada IRSC Instituts de recherche en sant du Canada 1 01 M canismes de ob sit chimio induite accent sur le dexam thasone et le BPA E Atlas L Pope et M G Wade l Division de la d termination des dangers Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le taux d ob sit et de maladies connexes augmente rapidement au Canada S il est vrai que des facteurs li s au mode de vie alimentation manque d exercice etc contribuent nettement au ph nom ne de plus en plus de donn es montrent cependant que le stress et la pollution peuvent galement jouer un r le Nous avons mis au point un test sur culture cellulaire qui pourrait tre utilis pour valuer les produits chimiques afin de voir s ils peuvent augmenter la formation de cellules adipeuses chez les personnes expos es Nous avons utilis ce test pour montrer qu un produit chimi
403. ransplantation L ASPC a labor un premier syst me de suivi en ce sens appel le Syst me de surveillance des cellules des tissus et des organes SSCTO Les donn es du SSCTO pourraient aider am liorer la s ret des transplantations l chelle tant locale qu internationale en r v lant o dans la cha ne de transplantation que les actions correctives sont n cessaires Les donn es du SSCTO sur les v nements ind sirables peuvent tre transmises et diffus es et servir l tablissement de param tres et de taux d incidence en vue de comparaisons CONTEXTE Les transplantations posent des risques mais elles comportent des avantages pouvant sauver et am liorer la vie Chaque ann e au Canada environ 2 000 transplantations d organes sont r alis es et plus de 90 000 allogreffes de tissus sont distribu es en vue d une transplantation L ASPC reconna t que l am lioration de la qualit et de la s ret des transplantations pour la population canadienne d pend de l am lioration de la surveillance et de la d claration des v nements ind sirables l chelle nationale lASPC a entrepris de mettre sur pied en collaboration avec les provinces territoires et d autres parties concern es le premier syst me de suivi visant sp cifiquement les v nements ind sirables li s aux transplantations en l occurrence le SSCTO Ce syst me ne fait pas le suivi des cellules des tissus et des organes ni de leur transplantat
404. rapporteur exprimant le g ne codant la lucif rase pDR4 Luc contr l par des l ments de r ponse aux hormones thyro diennes TRE 3 un plasmide exprimant le g ne codant la lucif rase chez Renilla pour contr ler l efficacit de la transfection L activit de la lucif rase a t mesur e apr s une exposition de 24 heures aux substances l tude Des incubations en parall le ont t effectu es pour tudier la survie des cellules R SULTATS La forme active de la TH T3 a provoqu une augmentation dose d pendante de l activit de la lucif rase lorsque les cellules taient co transfect es par un plasmide contenant un hTHR L exposition des cellules diverses substances que l on savait capables de bloquer la p n tration de la T3 dans les cellules a provoqu une diminution de la stimulation de l activit de la lucif rase attribuable la T3 Cette preuve a t utilis e pour passer au crible une s rie de contaminants environnementaux CONCLUSION PROCHAINES TAPES Notre preuve s est r v l e efficace pour ce qui concerne l identification des substances qui perturbent le transport de la T3 dans les cellules et des substances qui influencent la transactivation des hTHR L preuve ne nous permet toutefois pas de distinguer ces deux fonctions car la perturbation du transport de la T3 dans les cellules et la perturbation de la transactivitation des hTHR produisent toutes deux une diminution de la stim
405. rd hui eg eu LE D D RE N 2 34 Validit du statut tabagique autod clar par les Canadiens 2 35 Avanc es scientifiques dans le domaine de l valuation des risques pour la sant humaine et du processus d laboration de recommandations sur la qualit du sol pour la protection de la sant humaine 2 36 Mise en uvre du syst me Vitrocell pour l valuation n vitro de la toxicit des a rosols et des missions des v hicules au niveau d une interface air liquide 2 37 Que savons nous du devenir du D4 et du D5 dans l atmosph re tude en chambre atmosph rique grandeur r elle dans diverses conditions environnementales innari ti ii eei E a SCENE ENEE aki EE 2 38 Bioaccessibilit du zinc dans la poussi re domestique sp ciation et ug tel nare LiL A EE 2 39 Examen pr liminaire des concentrations de pesticides dans les eaux souterraines canadiennes sisi 2 40 Le risque sanitaire li l exposition l ozone d pend il de l endroit et du moment O l on Vita Ganada sis EE 2 41 Analyse r trospective combin e de 498 tudes multig n rationnelles portant sur la toxicit pour la reproduction chez le rat effet des param tres li s au succ s d accouplement de la F1 et sa prog niture F2 sessscsscerreeere 2 42 M thodes de r f rence pour les rejets radioactifs contr l s Une activit du programme a Mod lisation de l environnement pour la s ret radiologique Is EMRAS ID de TE
406. rence entre les souris TS et TG tait faible Les r sultats de notre tude contribueront l ensemble des donn es disponibles sur la sensibilit des souris TG p53 en vue des tudes sur la canc rog nicit En outre les donn es de notre tude ont t utilis es par le Comit mixte d experts sur les additifs alimentaires de l Organisation pour l alimentation et l agriculture et de l Organisation mondiale de la sant JECFA pour appuyer l valuation toxicologique de la FB1 4 06 Optimisation et validation d un bioessai int gr A Vitro pour le criblage des nanomat riaux selon leur toxicit D Breznan D Das C MacKinnon Roy J Crispo P Kumarathasan et R Vincent 1 7 Laboratoire de toxicologie de l inhalation DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de biochimie analytique et de prot omique Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Nous avons valu une plate forme d essai faisant appel la culture de cellules pour le criblage des nanomat riaux La disponibilit de petites quantit s de nanoparticules surface modifi e limite le nombre d essais pouvant tre effectu s Les nanomat riaux poss dent des propri t s physico chimiques uniques qui peuvent provoquer des interf rences avec les essais et emp cher l interpr tation co
407. res physico chimiques tels que le pH et le d bit Les fractions non retenues et retenues correspondant aux diff rents pics ont t recueillies et nous avons confirm la pr sence de l EPO par lectrophor se capillaire EC l aide de m thodes capables de s parer les isoformes de l EPO R SULTATS Nous avons pr par deux colonnes avec diff rents anticorps monoclonaux soit les clones 9C21D11 et AE7A5 des anticorps de souris anti EPO humaine l aide de conditions d lution g n rales et de solutions d EPO nous avons test les deux colonnes Il a t tabli que la colonne pr par e avec le clone 9C21D11 retenait une quantit consid rable du compos Le compos retenu tait beaucoup plus facilement d tect par fluorescence naturelle plut t que par ultraviolets Nous avons observ une augmentation du rapport des compos s retenus sur les compos s non retenus lorsque le d bit est plus faible mais les variations de pH du tampon n ont pas consid rablement augment le rendement L analyse par EC des fractions correspondant aux pics non retenus et retenus r v le que l EPO tait pr sente mais des concentrations plus faibles que pr vu Afin de d terminer la cause du faible rendement nous avons modifi le traitement des fractions recueillies Apr s une simple vaporation des chantillons l analyse par EC met en vidence un gros pic ne pr sentant pas le profil habituel des isoformes associ l EPO D
408. reurs transfusionnelles SSET de l Agence de la sant publique du Canada ASPC de 2005 2009 un aper u pid miologique C Hyson P E Alexander et GTN sur les v nements ind sirables li s aux transfusions et aux transplantations 1 Unit de surveillance des v nements ind sirables Division de surveillance et d pid miologie ASPC Ottawa Ont R SUM Les transfusions sanguines sont courantes au Canada Cependant ces interventions posent des risques pour les receveurs p ex erreurs dans la cha ne transfusionnelle transmission de maladies infectieuses effets ind sirables La connaissance des facteurs contribuant ces risques et aux issues potentiellement d favorables est essentielle la correction et l am lioration des processus Pour r pondre ce besoin l ASPC a cr le Syst me de surveillance des erreurs transfusionnelles SSET Ce syst me de collecte de donn es sur les erreurs transfusionnelles au Canada ouvre la voie des collaborations et des changes de donn es avec les tablissements hospitaliers et la mise en uvre des mesures correctives appropri es Cela permet de r duire les risques pour les receveurs de transfusions CONTEXTE Le Syst me de surveillance des erreurs transfusionnelles SSET mis sur pied par l ASPC est un syst me de surveillance nationale des erreurs transfusionnelles M THODES Le SSET emploie un syst me normalis de codification les h
409. rides en comparaison de la ration la cas ine CONCLUSIONS La consommation de grandes quantit s d isoflavones de soja soit l quivalent de la prise de suppl ments d isoflavones chez l humain semble nuire la croissance entra ner une modification des taux d acides amin s dans le sang et accro tre le poids relatif des reins et des ovaires chez les jeunes rates Il reste d terminer si les humains consommant des suppl ments d isoflavones de soja sont affect s de mani re similaire Ces informations sont utiles Sant Canada qui doit valuer les all gations sant relatives au soja et la gestion de l innocuit des produits base de soja comme les pr parations pour nourrissons 1 61 Un traitement d association par des analogues de purine et des inhibiteurs du TNF visant les maladies inflammatoires de l intestin peut accro tre davantage le risque de lymphome h patospl nique lymphocytes T selon une analyse postcommercialisation S Drmanic Storbeck D Wang G Mah Cawthorn S Semalulu et D Vu 1 Bureau des produits biologiques biotechnologiques et de sant naturelle commercialis s Direction des produits de sant commercialis s DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le risque de lymphome constitue un important probl me de sant li la prise en charge des patients atteints de maladie inflammatoire de l intestin MII Les patients atteints de MII courent un risque lev de d v
410. ris t moins et 2 0 mg kg PC TS et TG ont t marqu s et hybrid s sur des biopuces de souris Agilent 22k Les puces ont t normalis es et des changements dans l expression g nique ont t mesur s avec une valeur p corrig e en fonction d un taux de fausse d couverte FDR de lt 0 05 Une analyse des voies critiques des g nes significativement modifi s comparant les souris t moins et 2 0 mg kg PC de souris TS et TG a t effectu e par Ingenuity Pathway Analysis Plusieurs marqueurs g niques de l sions r nales ont fait l objet d une surveillance sp cifique par RT PCR au moyen de la technologie TaqMan R SULTATS Une analyse sur biopuces de l expression g nique dans les reins de souris TS et TG a r v l que 420 g nes chez les souris TS et 371 g nes chez les souris TG filtration p lt 0 05 facteur de variation z 1 5 taient significativement touch s lorsqu on comparait les souris trait es par OTA et les souris t moins La comparaison des souris trait es et des souris t moins a permis de d tecter des g nes communs dans les deux souches de souris ils taient au nombre de 261 L analyse des voies critiques indique que les principales fonctions de r seau touch es taient la mort cellulaire ainsi que la croissance et la prolif ration cellulaires Les g nes sp cifiquement contr l s comme marqueurs de l sions r nales taient tous alt r s chez les souris expos es la dose moyenne CONCLUSIONS
411. risques destin es orienter les d cisions en mati re de r glementation 2 10 Examen et valuation de l utilisation de m langes d activation m tabolique contenant le surnageant postmitochondrial h patique humain pour valuer la g notoxicit n vitro J Cox BSc et P A White PhD Division des tudes m canistes Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Sant Canada utilise r guli rement des donn es toxicologiques obtenues par l exposition de cellules en culture des produits chimiques c d essais n vitro Des pr parations d origine murine sont employ es pour reproduire le m tabolisme h patique chez les mammif res Dans la pr sente tude nous avons compar les r sultats obtenus au moyen de mat riel conventionnel d origine murine ceux obtenus au moyen de mat riel d origine humaine dans le but de d terminer si l utilisation de mat riel d origine humaine augmentait la pr cision des essais toxicologiques Les r sultats indiquent que le mat riel d origine murine entra ne fr quemment une surestimation de la toxicit Cependant certains groupes de compos s montrent une tendance inverse D autres recherches sont n cessaires pour tablir de fa on d finitive l utilit relative des syst mes m taboliques d origine humaine dans les valuations toxicologiques n vitro OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS L valuatio
412. rminants maternels du d veloppement f tal qui entra nent une insuffisance pond rale la naissance 5 03 SPD mergents dans l eau potable canadienne R sultats d une tude nationale sur les sous produits de d sinfection et sur certains contaminants mergents 2009 2010 A M Tugulea R Aranda Rodriguez D B rub C Kubwabo L Dabekal J Hnatiw F Breton S Gauvin A Cabecinha and G Grenier Division de l exposition et de la biosurveillance Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Programme de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Cette tude nationale a examin les teneurs en contaminants y compris les sous produits de d sinfection SPD r glement s et mergents dans l eau potable canadienne Les r sultats des tudes pr c dentes faisaient tat d une progression dans la protection des Canadiens contre les risques potentiels pour la sant des SPD r glement s gr ce une diminution de l exposition ces contaminants L tude actuelle porte principalement sur les SPD mergents et non r glement s Elle vise faire le point sur les pr occupations concernant l augmentation de l exposition aux autres classes de SPD en raison de la concentration des efforts sur la r duction de l exposition aux SPD r glement s Les donn es d montrent que les efforts visant assurer la conformit r glementaire r duisent l exposition
413. rnant l innocuit en particulier les v nements ind sirables rares Le PGR devrait inclure les risques pr vus recens s et des renseignements additionnels sur les mesures d att nuation pr vues pour chaque question pr occupante en mati re d innocuit PRODUITS R SULTATS Les PGR comme les RPP sont des outils d information importants pour la pharmacovigilance lls permettent la surveillance en continu de tout risque pour la sant publique associ un produit de sant et constituent des v hicules permettant d identifier le risque et d y faire face Les PGR comme les RPP doivent tre transmis intervalles r guliers aux responsables de la r glementation afin de permettre une valuation appropri e du profil avantages risques d un produit m dicinal qui peut avoir plusieurs usages et plusieurs profils d utilisateurs INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Le RPP aide identifier le risque tandis que le PGR est un moyen de r duire ou d att nuer les risques pr vus ou r cemment identifi s Ils jouent chacun un r le important dans la gestion et la surveillance en continu de l innocuit des produits de sant durant tout leur cycle de vie et sont compl mentaires de sorte qu ils ne s excluent pas mutuellement 4 17 Le Plan strat gique de gestion des urgences de Sant Canada proposition d une approche de la gestion des urgences concert e et ax e sur des donn es probantes M D
414. roduits chimiques 2 16 R sultats du module de la sant buccodentaire de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant chez les adultes de 60 79 ans 2 17 Comparaison pr liminaire de deux m thodes de type RQSA pour pr dire ENT SR AAN RE RS A TAEAE Re ne NT Un nt 2 18 l vation de la pression art rielle systolique chez des adultes bien portants expos s de faibles concentrations de contaminants de l air ambiant dans une tude transversale randomis e simple insu 2 19 La Base de donn es sur les priorit s pour les producteurs des tats Unis td Canada ebessi SSES EE E A seu entre tend Une n ve ae a ren etre nien re 2 20 Pollinisateurs et pesticides r examen des approches sous tendant les valuations des risques ervilronnementaus renerne 2 21 Mesures de l exposition aux particules fines PM2 5 en milieu r sidentiel dans cinq villes canadiennes nnennoeeeeeeeee neee e neee e teere nerean traer EEEn Ennn Ennn Ean EE Eann n Ennan nnan nennen 2 22 Documents d orientation exposant l expertise et le r le de Sant Canada en vertu de la Loi canadienne sur l valuation ekiOnermtientaie 2 23 Effets des particules alpha sur les r actions des microARN dans les lign es cellulaires humaines iii 2 24 Mise sur pied du Syst me de surveillance des cellules des tissus et des organes SSCTO de l Agence de la sant publique du Canada ASPC pour le suivi des v nements ind sirables li s aux tran
415. rot omique Division des tudes m canistes Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de toxicologie par inhalation Division de la d termination des risques Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM Afin d obtenir des connaissances sur les effets imm diats des particules respirables sur les poumons nous avons analys par spectrom trie de masse en mode shot gun des cellules humaines expos es des particules d Ottawa Une comparaison des spectres de masse des peptides a permis d tablir que l int grine alpha 2 la b ta actine cytoplasmique la prot ine 3 de la membrane pith liale et le polypeptide 1 apparent limmunoglobuline lambda sont des marqueurs possibles de la r ponse cellulaire la suite de cette validation de principe nous tudierons la r ponse des cellules pith liales et des macrophages expos s des particules fractionn es selon la taille recueillies diff rents endroits au Canada et pollu es par diverses sources de contaminants Les donn es permettront d tablir un lien entre le potentiel toxique des particules et la source afin de venir l appui du programme de r glementation de la qualit de l air OBJECTIF CONTEXTE QUESTION Le fait de respirer des particules de l air ambiant est associ des cons quences n gatives sur la sant
416. rrecte des r sultats Nous avons combin plusieurs crit res d valuation l int rieur d un seul essai d exposition et nous avons d montr qu il est possible d adapter cet essai pour liminer ou r duire les interf rences imputables aux mat riaux La plate forme fait appel la robotique pour permettre l analyse des nanomat riaux constituant une pr occupation r glementaire pour Sant Canada et dans le cadre d une initiative internationale de l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE CONTEXTE Si les nanomat riaux poss dent des propri t s structurales et chimiques uniques et sont susceptibles d offrir d importants avantages sur le plan soci tal il n en demeure pas moins n cessaire d valuer leurs r percussions possibles sur la sant et l environnement Dans le monde entier des efforts et des ressources consid rables ont t consacr s l tude de la s ret des nanomat riaux Toutefois en raison des propri t s uniques de ces mat riaux des difficult s se sont pos es lors de l utilisation de certains bioessais existants pour valuer leur toxicit M THODES On a expos pendant 24 h des cellules pith liales pulmonaires A549 et des macrophages J774A 1 des suspensions de nanomat riaux et de mat riaux de r f rence nanotubes de carbone SiO TiO diff rentes doses dans des plaques de culture de 96 puits On a mesur plusieurs param tres dont la foncti
417. s Il est important de souligner que les r sultats r v lent que la FTP et la FTS tous deux peuvent induire des mutations dans les spermatozo des qui peuvent tre transmises aux futures g n rations lesquelles peuvent avoir des effets dommageables ventuels sur la sant Ces donn es constituent d autres preuves que l exposition des m les la fum e secondaire de m me qu la fum e primaire a vraisemblablement des effets sur la reproduction qui d passent le tabagisme passif 1 40 tude jn vitro de la p n tration du di 2 thylhexyl adipate DEHA contenu dans une cr me d odorante dans la peau humaine S N Zhou PhD R P Moody PhD A Yip B Wang et J Zhu PhD 1 Division de l exposition et de la biosurveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le di 2 thylhexyl adipate DEHA est largement utilis comme plastifiant et pr sente une faible toxicit court terme Nous avons men des tudes n vitro sur la p n tration dermique du DEHA contenu dans une cr me La majeure partie du DEHA 43 a t d cel e dans la peau et dans la cr me Le m tabolisme rapide du DEHA dans la peau et sa perte par l vaporation sont probablement responsables de la faible r cup ration lt 50 La quantit de DEHA p n trant dans la peau par la circulation sanguine au cours d une p riode de 24 heures chez l humain est faible mais la grande quantit de DEHA demeurant dans la peau peut avoir
418. s biomarqueurs syst miques L Liu MD PhD R Poon PhD B Urch PhD M Speck M Szyszkowicz PhD JR Brook PhD D Gold MD F Silverman PhD BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont H pital St Michael e Toronto Ont Universit de Toronto Toronto Ont Environnement Canada Ottawa Ont Harvard School of Public Health Boston MA EU oao AeA Go N R SUM Nous avons tudi les effets biologiques chez l humain de polluants atmosph riques particulaires de tailles et de compositions diverses Cette information est n cessaire pour effectuer des valuations du risque pour la sant humaine de la pollution atmosph rique L air l int rieur de l tablissement o s est d roul e l exposition clinique est celui du centre ville de Toronto Des adultes non fumeurs en bonne sant ont t expos s de l air contenant des particules fines et grossi res et de l air d pourvu de particules des jours diff rents Apr s l exposition aux polluants nous avons observ des changements n gatifs au niveau de certaines prot ines jouant un r le d interm diaires dans la fonction des vaisseaux sanguins et des biomarqueurs du stress oxydatif dans le sang et dans l urine Les particules fines et les particules grossi res ne semblent pas exercer des effets de m me amplitude ce qui pourrait s expliquer par leur contenu diff rent sur le plan tant chimique que biologique OBJECTIF Rares so
419. s pr lev s doivent tre envoy s au CID pour constituer les archives historiques Afin d avoir un chantillonneur en parall le chaque station pour r pondre aux besoins canadiens en mati re d tudes radiologiques un nouvel chantillonneur d a rosols volume lev d nomm Grey Owl a t con u et d velopp au BRP On a install un exemplaire de cet chantillonneur toutes les stations TICEN canadiennes et certaines stations du R seau canadien de surveillance radiologique afin d am liorer ses capacit s de pr l vement d a rosols PLAN M THODE DESCRIPTION L chantillonneur Grey Owl aspire lair au travers de filtres d environ 2 500 cm un d bit d environ 700 m par heure avec un volume d chantillon quotidien d environ 16 000 m Ces chantillons de filtres sont exp di s au laboratoire du BRP Ottawa o on les analyse pour d terminer les radionucl ides artificiels et naturels mettant un rayonnement gamma l aide d un d tecteur au germanium de haute puret PRODUITS R SULTATS Le 17 mars sept jours apr s l accident nucl aire de Fukushima le nuage radioactif a travers l oc an Pacifique et des traces de produits de fission ont t capt es la fois par les chantillonneurs Grey Owl et Snow White la station SSI canadienne de surveillance des particules Sidney C B Depuis la premi re analyse des r sultats des donn es de surveillance plusieurs radio isoto
420. s s Aroclor 1254 N Li N Cekic W J Bowers et I Chut Division de la d termination des risques Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont tudiant COOP de l Universit d Ottawa Ottawa Ont Scientifique m rite Sant Canada Ottawa Ont 2 3 R SUM Les biph nyles polychlor s BPC coplanaires non ortho substitu s sont fortement toxiques Leur concentration est extr mement faible dans les formulations de BPC commerciales par exemple Aroclor 1254 Nous avons mis au point une nouvelle m thode pour analyser des BPC coplanaires dans des tissus adipeux de rat dans le cadre d une tude toxicologique o les animaux ont t expos s Aroclor 1254 Nous avons utilis une colonne remplie de l adsorbant Florisil pour s parer les lipides et les BPC ortho substitu s de l chantillon avant de proc der une chromatographie en phase gazeuse L tude tait ax e sur les conditions permettant une s paration des BPC coplanaires non ortho des autres BPC La m thode a t valid e et appliqu e pour l analyse des chantillons de l tude toxicologique OBJECTIFS CONTEXTE Mettre au point une nouvelle m thode pour analyser des BPC coplanaires non ortho substitu s dans des chantillons de tissu adipeux de rat ayant t expos s Aroclor 1254 PLAN M THODOLOGIE Nous avons analys 35 BPC coplanaires et non planaires repr sentatif
421. s Territoires du Nord Ouest Gouvernement de Nunavut Ae N R SUM Le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord a analys un grand nombre d chantillons de sang maternel pour y v rifier la pr sence de contaminants environnementaux dans l Arctique canadien Les ensembles de donn es r gionales permettent de suivre l volution de la situation et d valuer si les taux de contaminants vont en augmentant ou en diminuant De plus l analyse des donn es permet d valuer les plans d tude et fournit des renseignements sur la taille ad quate des chantillons de population sur la fr quence des collectes de donn es et sur la parit de chaque m re Les m thodes d chantillonnage actuelles ont mis au jour des donn es r v lant des expositions plus lev es certains organochlor s et m taux lourds chez les m res dans les r gions du Nord comparativement aux femmes en ge de procr er dans le Sud du Canada cependant de fa on g n rale les concentrations de ces substances dans le sang maternel est en train de diminuer dans le Nord OBJECTIFS CONTEXTE Depuis 1991 le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord PLCN a analys un large ventail de m taux et d organochlor s dans le sang maternel un ou plusieurs points diff rents dans le temps dans l Arctique canadien Les difficult s li es aux tudes de biosurveillance comprennent notamment le recrutement des participantes les co
422. s cliniques tableau 2 Troisi mement nous avons valu l effet antagoniste des isolats positifs du tableau 2 contre 111 isolats d ent robact rie de notre collection tableau 3 Finalement nous avons d montr l effet inhibiteur d une souche dE coli Fd 18 isol e dans des chantillons de carottes lors d une closion tableau 2 sur l isolat HCSL 103 au moyen des m thodes MFLP Method for Food Laboratory Procedure 25 isolement et MFLP 26 PCR R SULTATS Une proportion de 56 53 94 et de 62 58 94 des souches d E coli ont inhib les isolats HCSL 103 et HCSL 83 de S sonnei respectivement Les souches de r f rence de Shigella spp ont t inhib es 57 pour S sonnei 38 pour S flexneri 6 pour S boydii et 0 pour S dysenteriae tableau 1 Sur les 63 souches alimentaires d ent robact rie 37 23 63 ont inhib l isolat HCSL 83 de S sonne 37 C et 29 18 63 l ont fait 42 C en pr sence de CO 5 Aussi 38 24 63 des souches alimentaires d ent robact ries ont r ussi inhiber l isolat HCSL 103 37 C mais seulement 30 19 63 ont inhib cet isolat 42 C en pr sence de CO 5 L incubation 42 C en pr sence de CO 5 r v le un effet s lectif contre Ac netobacter spp Hafnia alveiet Pantoae spp tableau 1 P aeruginosa isol des pinards a t la bact rie la plus inhibitrice des ent robact riac es 92 102 111 La culture
423. s d valuation de l exposition pour lesquelles il est difficile d obtenir des chantillons repr sentatifs et de calculer la densit de probabilit une donn e qui faisait d faut l chelle internationale en ce qui concerne l acrylamide chez les adolescents 5 02 Suivi des modifications du prot ome plasmatique associ es l issue de la grossesse P Kumarathasan PhD A Bielecki MSc E Blais BSc A Saravanamuthu PhD D Das PhD S Mohottalage PhD T Arbuckle PhD W Fraser MD et R Vincent PhD Laboratoire de biochimie analytique et de prot omique BSRSE Sant Canada Ottawa Ont Division des tudes sur la population BSRSE Sant Canada Ottawa Ont H pital Sainte Justine Montr al Qc Laboratoire de toxicologie de l inhalation BSRSE Sant Canada Ottawa Ont A N R SUM Dans le cadre des pr sents travaux nous d crivons l utilisation d outils prot omiques destin s l tude des modifications biologiques du plasma des femmes enceintes Nous avons examin ces modifications dans le but de d couvrir les biomarqueurs sp cifiques l issue de la grossesse Nos r sultats ont r v l la pr sence dans le plasma des m res de modifications de prot ines sp cifiques associ es l insuffisance pond rale la naissance Ces modifications sont reconnues comme tant li es des sc narios de stress oxydatif et de dysfonction endoth liale CONTEXTE ET OBJECTIFS L
424. s d iode total ont t aussi d termin s PRODUITS R SULTATS Les concentrations de haloac tonitriles HAN taient bien corr l es avec les concentrations de trihalom thanes THM totaux Les concentrations de chlorure de cyanog ne taient de lt 3 4 ug L et elles taient plus lev es dans les r seaux utilisant les chloramines Les concentrations de chloropicrine taient en g n ral de lt 1 ug L Seuls trois r seaux d eau pr sentaient des teneurs d celables de NDMA dont un d passait la CMA recommand e 40 mg L Les concentrations de mutag ne X MX taient r parties sur deux ordres de grandeur et corr l es avec le pH Des iodo THM ont t trouv s dans environ 50 des emplacements et trois emplacements les concentrations allaient de 1 8 ug L Dans beaucoup de cas la sp ciation des SPD halog n s corr lait avec la pr sence de pr curseurs halog n s et elle augmentait le long des r seaux de distribution INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES La corr lation entre les HAN totaux et les THM totaux sugg re que la r glementation existante qui vise r duire les concentrations de THM totaux a un effet concomitant sur les concentrations de HAN Les donn es confirment que la formation de chlorure de cyanog ne est plus lev e dans les r seaux qui utilisent le traitement aux chloramines un facteur qui influe sur le choix du proc d de d sinfection La formation de
425. s du site source titre d organisme de soutien scientifique au gouvernement du Canada afin d assurer le respect du TICEN Sant Canada a acc s aux donn es brutes et aux produits analys s provenant d un r seau mondial de 80 stations d une capacit de d tection in gal e Ces stations sont exploit es pour surveiller la radioactivit dans l atmosph re sous forme d a rosols et de gaz rares Cette tude d montre la valeur de l interpr tation des donn es d un r seau dont les stations sont s par es d environ 2 000 km pour valuer les risques pos s par l environnement d un r acteur couvrant une superficie beaucoup plus petite pourvu que l on puisse assimiler les donn es des stations et interpr ter l ampleur de la source dans les d lais propres une gestion de crise en cas d accident M THODE Le CND canadien utilise un pipeline de traitement automatis des donn es de spectroscopie gamma et un syst me de stockage sur bases de donn es mis au point de concert avec le STUK l autorit finlandaise de radioprotection http linssi hut fi Toutes les d tections faites automatiques par les stations ont t analys es de mani re interactive avec des r sultats pertinents pour les gaz rares Ce syst me offre la possibilit unique d exporter les rapports des r sultats d analyse et de partager pleinement les r sultats entre bases de donn es On a pu ainsi analyser 24 heures par jour 7 jours par semaine les no
426. s durant l t et l automne o les temp ratures sont plus chaudes Durant les mois d hiver lorsque la temp rature de l eau tait de 0 C les concentrations taient moins lev es mais C jejunia t d tect dans tous les chantillons Aucun C coliou C arin a t isol dans les chantillons et la PCRm effectu e directement sur les bouillons d enrichissement a confirm que ces esp ces n taient pas pr sentes dans les chantillons pr lev s Le typage par CGC des souches isol es a identifi un petit nombre de g notypes persistants dans l eau durant toute l ann e CONCLUSIONS Campylobacter est hautement pr valent dans les sources d eau naturelles des milieux agricoles m me dans des conditions normalement nuisibles l organisme temp ratures lev es teneur lev e en oxyg ne Les eaux libres pr s des poulaillers peuvent agir de r servoir pour Campylobacter dans les fermes avicoles Les r sultats de ces travaux guideront l laboration d interventions pour pr venir la colonisation des volailles de ferme par Campylobacter 4 08 valuation du risque pour la sant humaine des nanomat riaux comprendre les sc narios d exposition pertinents tout au long du cycle de vie des produits de consommation am lior s par l ajout de nanomat riaux l tude du cas de la nanosilice M Hu L Chen A Afghan et S Bernatchez 1 Bureau de l valuation et du contr le des substances nouvelles DS
427. s et plusieurs compos s organochlor s retenus dans des colonnes de Florisil de deux tailles diff rentes 8 0 g et 1 0 g apr s une lution l hexane Les seuils associ s l lution ont t choisis en fonction des volumes de r tention Les BPC non planaires ont t lu s hors de la colonne en premier puis les BPC coplanaires ont t lu s de fa on s quentielle avec un solvant plus puissant 30 de dichlorom thane dans l hexane On a d cel une r manence mineure de BPC non planaires avec la colonne de Florisil un probl me qui pourrait tre r solu par le recours plusieurs colonnes de s paration une colonne de 8 0 g et deux colonnes de 1 0 g L oxychlordane le BHC et le cis Nonachlor pr sentent une r tention semblable celle des BPC coplanaires dans la colonne de Florisil ont t utilis s comme t moin interne et t moin substitut et ont t ajout s l chantillon avant l extraction PRODUITS R SULTATS Il existe une grande diff rence de r tention entre les BPC non planaires et les BPC coplanaires dans la colonne de Florisil lorsque l hexane sert de solvant d lution Au moins cinq BPC coplanaires non ortho substitu s 77 81 126 127 169 peuvent tre s par s des autres BPC Le t moin interne oxychlordane a servi effectuer une correction li e la perte d chantillon au cours de l vaporation et le transfert L obtention d un bon rendement des t moins substituts BHC
428. s fond es sur la RMN pour l analyse des PBU glycosyl s 1 28 Endoth lines salivaires en tant que biomarqueurs cardiovasculaires non effractifs des effets de la pollution atmosph rique R Gurusankar P Kumarathasan S Karthikeyan E Thomson S Jetha A Filiatreault K Curtin D J Macintyre J Guenette S Juqqa A Williams T Ruddy M Dalipaj et R Vincent 1 Laboratoire de toxicologie d inhalation DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de biochimie analytique et de prot omique DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division des tudes de population Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Institut de cardiologique de l Universit d Ottawa Ottawa Ont 3 4 R SUM Dans la pr sente tude nous montrons que la salive peut remplacer le plasma comme matrice pour mesurer les concentrations des peptides de l endoth line des biomarqueurs d alt rations cardiovasculaires associ es la pollution atmosph rique En pr levant des chantillons de salive et en mesurant simultan ment la pression art rielle chez des sujets en bonne sant 30 minutes d intervalle pendant deux jours nous avons pu observer un profil de s cr tion diurne en ce qui concerne les endoth lines Par ailleurs les concentrations salivaires du peptide bigET 1 de l endoth line taient corr l es positivement avec la pression art
429. s m canistiques BRSSE DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Universit d Ottawa Institut de cardiologie Ottawa Ont Carleton University Biology Department Ottawa Ont 2 3 R SUM Sant Canada a la responsabilit d laborer un cadre de r glementation pour les nanomat riaux L tude des m canismes de la toxicit de diff rents nanomat riaux fournira une base pour leur classification aux fins de la r glementation et pour la recommandation de strat gies de gestion des risques Les points quantiques nanoparticules de tellurure de cadmium CdTe sont couramment utilis s en micro lectronique ainsi qu en recherche biom dicale et ils pr sentent un formidable potentiel pour l imagerie m dicale l tablissement de diagnostics et les th rapies cibl es M me si des tudes ant rieures ont r v l la toxicit de ces nanoparticules les m canismes de cette toxicit ne sont toujours pas bien compris Dans la pr sente tude nous avons examin les m canismes de la toxicit des points quantiques de CdTe dans les cellules de mammif res Les r sultats ont indiqu qu une exposition aux points quantiques de CdTe tait toxique pour les mitochondries et rendait les cellules dysfonctionnelles OBJECTIF L objectif de la pr sente recherche tait d tudier les m canismes de la toxicit des points quantiques de CdTe par un examen des effets des nanoparticules sur les mitochondries des cellules de mammif res P
430. s m les ont t sacrifi s et les indicateurs de la toxicit g n rale de la fonction reproductrice et de la fonction thyro dienne ont t mesur s PRODUITS R SULTATS la dose la plus lev e 1 000 fois plus que celle r sultant probablement de l exposition la poussi re domestique le m lange de PBDE a provoqu une hypertrophie du foie et des reins une stimulation de l activit des enzymes m tabolisant les substances m dicamenteuses et une r duction des taux s riques de glucose d acide urique et de thyroxine L analyse d un large ventail d indicateurs de la sant de l appareil reproducteur m le n a permis de d celer aucun effet sur ces param tres sans gard la dose De plus des analyses multiples des r ponses des tissus cibles aux hormones thyro diennes ont mis en vidence la m me absence de r ponse l exposition aux PBDE INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Ces donn es montrent que l exposition subchronique un m lange de substances ignifuges comparable ce que l on trouve dans l environnement compos principalement de PBDE et fond sur des normes nord am ricaines a tr s peu d effets sur les animaux m les adultes En particulier aucun effet sur la fonction reproductrice n a t observ ce qui ne permet pas de confirmer les preuves pid miologiques reliant l exposition aux PBDE la baisse de la qualit du sperme De surcro t aucun effet n
431. s pour la sant y compris le cancer les maladies respiratoires et les cardiopathies Au Canada les donn es autod clar es servent g n ralement tablir et surveiller les tendances en mati re de tabagisme Toutefois on peut galement utiliser la mesure de la concentration de cotinine dans l urine une mesure objective de l exposition la fum e de tabac qui est largement accept e Par cons quent l objet de cette tude tait d examiner la validit du statut tabagique autod clar par les Canadiens en comparant la pr valence du tabagisme estim e partir des donn es autod clar es et celle obtenue par la mesure des concentrations de cotinine Ces donn es laissent croire que la pr valence du tabagisme estim e partir des donn es autod clar es est une estimation valable de la pr valence du tabagisme au Canada OBJECTIF Examiner la validit du statut tabagique autod clar par les Canadiens en comparant la pr valence du tabagisme estim e partir des donn es autod clar es et celle obtenue par la mesure des concentrations de cotinine MAT RIEL ET M THODES Les donn es provenaient de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant 2007 2009 une enqu te transversale repr sentative l chelle nationale dans laquelle parmi les donn es recueillies figuraient le statut tabagique autod clar et les premi res mesures repr sentatives l chelle nationale de la concentration de cotinine dans l uri
432. s r sultats l ACIA moins de 24 heures apr s avoir re u les chantillons Des chantillons obtenus par frottis sur les porte conteneurs arrivant au Port de Vancouver ont galement t analys s par spectroscopie gamma gr ce un effort de coop ration entre l Agence des services frontaliers du Canada la Commission canadienne de s ret nucl aire et le Bureau de la radioprotection R SULTATS Les filtres air des stations dans l Ouest canadien ont t les premiers r v ler la pr sence de tr s faibles quantit s de 1 131 de Cs 134 et de Cs 137 Ces nucl ides taient pr sents des concentrations inf rieures 6 mBq m Plusieurs centaines de filtres air ont t analys s depuis mars De plus 180 chantillons d aliments import s du Japon ont t analys s jusqu pr sent et ils se sont r v l s tre sans danger Nous avons analys 34 chantillons de lait produits en Colombie Britannique en avril mai et juin pour en d terminer la radioactivit gamma et dans quelques cas pour tenter dv d celer la pr sence de Sr 90 tous pr sentaient un niveau normal de radioactivit De plus nous avons d couvert de faibles concentrations de 1 131 Cs 134 et Cs 137 dans 39 chantillons obtenus par frottis sur les porte conteneurs CONCLUSION Les r sultats de la surveillance radiologique ont servi la prise de d cisions fond es sur la science montrer que l accident nucl aire de Fukushima ne posait
433. s ressortaient de mani re particuli rement marqu e lors de la culture de souches d esp ces troitement apparent es telles que Bacillus amyloliquefaciens B licheniformis et B subtilis Les signatures morphologiques des colonies taient complexes et pourraient repr senter non pas un variant distinct mais plut t la r sultante de plusieurs variants se d veloppant au sein d une m me colonie CONCLUSION Les cultures amplifi es partir de certaines cultures d amor age provenant de banques de cultures sont complexes et peuvent produire des variants de colonies poss dant des caract ristiques morphologiques biochimiques et physiologiques diff rentes de mani re stable et reproductible L observation a des retomb es pour les cultures amplifi es partir d isolats de colonies distinctes une technique couramment utilis e en recherche g nomique microbiologique et taxonomique L h t rog n it de la complexit des souches n est pas observ e lorsqu on choisit un seul isolat variant pour l amplification et l analyse Cela pourrait donner lieu la transmission de donn es ambigu s ou contradictoires aux banques de cultures microbiennes ou aux bases de donn es accessibles au public 4 10 M thode de cytom trie de flux pour l identification et l valuation de la viabilit de G arda et de Cryptosporidium A Cooper B Dixon E Chomyshyn L Parrington K Mattison et C Carrillo L Bureau des dangers microb
434. s sources de nutriments Les messages trouv s dans ces magazines taient tr s exacts et correspondaient aux donn es scientifiques probantes et aux politiques f d rales OBJECTIFS Les m dias imprim s constituent une source majeure de renseignements sur l alimentation pour les Canadiens Les glucides l indice glyc mique IG le sucre et les fibres sont des sujets faisant l objet de recherches actives en nutrition Pourtant on ne connait aucune tude ayant examin les messages v hicul s dans les magazines canadiens sur ces sujets Ces travaux de recherche visent analyser le type la quantit et l exactitude des messages portant sur les glucides publi s dans les magazines M THODES L chantillon comprenait une ann e artificielle constitu e de 12 num ros de Ch telaine CH et de 12 num ros de Canadian Living CL choisis entre 2009 et 2010 Nous avons men une analyse du contenu par d duction l aide de crit res pr tablis p ex but du message format du message Nous avons valu l exactitude du message et le degr de correspondance avec les politiques en effectuant des comparaisons avec les donn es scientifiques probantes et les politiques canadiennes sur la nutrition R SULTATS Au total 358 messages de CL et de CH ont subi un codage 43 5 130 et 197 portant sur des glucides l indice glyc mique le sucre et les fibres respectivement Le format de la plupart des messages tait l article 7 1
435. s travaux de recherche tant soumis un comit d thique de la recherche Ensemble l analyse des propositions de projet de recherche des r sum s pr sent s au Forum scientifique et des publications pourraient constituer une perspective utile sur la nature et l cologie des travaux scientifiques men s au Minist re 4 46 Feuille de route concernant la r glementation canadienne des microorganismes issus de la biotechnologie et de leurs produits M Trainer PhD S Rotaru et G Arvanitakis 1 Bureau de l valuation et du contr le des substances nouvelles Direction de la s curit des milieux DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Avant qu une a substance nouvelle puisse tre fabriqu e import e ou vendue pour tre utilis e au Canada elle doit faire l objet d une valuation par lorganisme de r glementation gouvernemental appropri quant ses effets possibles sur la sant humaine et environnementale La Loi canadienne sur la protection de l environnement 1999 LCPE est le principal instrument l gislatif pour la r glementation des substances nouvelles toutefois il s agit d une loi parmi un certain nombre d autres lois destin es r glementer les substances et prot ger la sant humaine et l environnement Par cons quent l ensemble de la r glementation concernant ces substances est complexe et peut pr ter confusion tant pour les d clarants que les organismes de r glementat
436. sai pilote similaire est en voie d tre lanc en Europe l heure actuelle 218 produits chimiques et 391 voies de d gradation ont t cod s Environ 65 de ces donn es ont fait l objet d un contr le de la qualit et ont t vers es dans MetaPath R PERCUSSIONS MetaPath int gre des donn es sur des produits chimiques dans des matrices biologiques et environnementales Il contribue moderniser les valuations des risques li s aux produits chimiques et d finir les r sidus des pesticides MetaPath est aussi un mod le pour la simplification des changes d information entre l industrie et les responsables de la r glementation L information cod e par le demandeur peut tre adapt e selon les besoins en mati re de donn es d une organisation Ce paradigme d change d information r duit les mesures r glementaires n cessaires pour produire des r sum s d tude La base de donn es facilitera galement l laboration et l am lioration des m thodes de pr diction ce qui r duira les essais chez l animal et aidera d terminer les besoins en mati re de recherche 2 17 R sultats du module de la sant buccodentaire de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant chez les adultes de 60 79 ans A Gillis MPH et S Powell MA MSW Bureau du dentiste en chef Sant Canada Ottawa Ont Division du vieillissement et des a n s ASPC Ottawa Ont R SUM Le pr sent expos fo
437. savons nous du devenir du D4 et du D5 dans l atmosph re tude en chambre atmosph rique grandeur r elle dans diverses conditions environnementales Z Gao PRD J Z Wang PhD J Priem MSc J Zhu PhD J Zhang PhD et Y L Feng PhD 1 S Division de l exposition et de la biosurveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Department of Mechanical and Aerospace Engineering 263 Link Hall Syracuse University Syracuse NY R SUM Les siloxanes cycliques organiques courants octam thylcyclot trasiloxane D4 et d cam thylcyclopentasiloxane D5 sont volatils et toxiques Ces compos s sont pr sents partout dans l environnement y compris dans l air int rieur car ils sont utilis s dans de nombreux produits de consommation et applications industrielles On s inqui te donc de plus en plus de leurs effets sur la sant humaine Notre tude porte sur la transformation possible du D4 et du D5 dans diverses conditions du milieu Le D4 et le D5 taient stables en pr sence soit d ozone soit de lumi re UV mais ils semblent tre instables et se transformer en d autres compos s en pr sence simultan e de rayons UV et d ozone OBJECTIF CONTEXTE QUESTION S Le D4 et le D5 sont omnipr sents dans l environnement car ils sont utilis s dans de nombreux produits de consommation p ex des cosm tiques et applications industrielles On s inqui te de leurs effets sur la sant ils sont d ailleurs class s comm
438. semi quantitative qui ne prend que quelques minutes fournit une caract risation des l ments pr sents dans un chantillon de m me que leur concentration approximative L information recueillie au cours de cette analyse sert d terminer quels sont les l ments quantifier Dans une analyse quantitative classique la concentration de chaque l ment est d termin e par la comparaison des mesures obtenues pour un isotope donn avec une courbe de calibration externe cr e pour cet l ment particulier PRODUITS R SULTATS De nombreux chantillons ayant des concentrations de contaminants mesurables par AAF ont t analys s au moyen des deux techniques Les r sultats ont t compar s et jug s quivalents mais ils ont t obtenus plus rapidement par ICP MS En raison des r sultats de cette tude et du fait que l ICP MS permette d abaisser les seuils de d tection nous avons adopt la nouvelle m thode Une vaste gamme de produits de sant naturelle comprim s g lules m langes v g taux sirop etc a t analys e environ 140 et la fiabilit de la m thode est bien tablie INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES La m thode con ue pour l analyse des l ments traces dans les PSN est rapide pr cise exacte et sensible Elle nous permet de fournir des r sultats fiables l appui du Programme des produits de sant naturels Les travaux venir porteront sur l laboration de
439. sme chez les humains lorsqu il s agit d valuer le risque d un produit du tabac Toutefois les r sultats de cette tude indiquent que les missions de fum e principale des cigarettes canadiennes ultrafines sont comparables celles des cigarettes classiques Par cons quent les cigarettes ultrafines canadiennes ne doivent pas tre consid r es comme un produit moins nocif 1 52 Classification des aliments du Fichier canadien sur les l ments nutritifs en tenant compte des lignes directrices du guide Bien manger avec le Guide alimentaire canadien S St Pierre L Dumais L A Elvidge K Esslinger L Greene Finestone E Jones Mclean B Mansfeld M F Verreault M Villeneuve et D Miller 1 S Bureau de la politique et de la promotion de la nutrition DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Bureau des sciences de la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Centre de pr vention et de contr le des maladies chroniques Direction g n rale de la promotion de la sant et de la pr vention des maladies chroniques ASPC Ottawa Ont 3 R SUM Le Fichier canadien sur les l ments nutritifs FCEN est une base de donn es qui dresse la liste de la valeur nutritive de plus de 5 800 aliments On y fait souvent appel pour analyser la teneur en l ments nutritifs des aliments consomm s selon les enqu tes sur la consommation d aliments au pays enqu te sur la sant dans l
440. soja par kg d aliments Au bout de six semaines nous avons autopsi les rates et mesur leurs taux d quol de glyc tine de daidz ine de g nist ine d acides amin s et de lipides s riques R SULTATS L augmentation de la prise alimentaire d isoflavones de soja a fait augmenter les taux s riques de g nist ine de daidz ine de glyc tine et d quol Les rates nourries avec une ration contenant 20 d IPS additionn e de 250 ou 1 000 mg d isoflavones par kg d aliments pr sentaient un poids corporel significativement inf rieur celui des rates recevant la ration contenant de la cas ine p lt 0 05 Toutefois le poids relatif des reins et des ovaires en pourcentage du poids corporel des rates recevant une ration contenant 1 000 mg d isoflavones tait plus important que celui des rates recevant la ration avec la cas ine Le poids relatif de l ut rus et du foie n a pas vari en fonction de la source de prot ines alimentaires et de la pr sence d isoflavones Les rates recevant la ration aux IPS pr sentaient un taux s rique d acide glutamique plus faible mais un taux de glycine plus lev que les rates recevant la ration la cas ine La suppl mentation alimentaire de 1 000 mg d isoflavones par kg d aliments a fait augmenter de fa on importante le taux s rique de citrulline et de m thionine tout en faisant diminuer le taux s rique de LDL de HDL de cholest rol total et libre ainsi que de triglyc
441. sont la source d infections graves telles la m ningite et l ent rite chez les nouveau n s le principal v hicule tant les pr parations en poudre pour nourrissons contamin es On ignore toujours quels facteurs jouent un r le dans la pathog nicit de cet organisme et dans sa capacit de franchir la barri re h matoenc phalique Nous avons identifi une nouvelle prot ine qui pourrait jouer un r le important dans la survie de l organisme dans les milieux de l industrie alimentaire OBJECTIF Identifier les facteurs de virulence requis par les esp ces du genre Cronobacter pour adh rer aux cellules endoth liales microvasculaires du cerveau humain et d terminer si les souches de source clinique alimentaire et environnementale diff rent dans leur capacit de produire des biofilms M THODES Nous avons test l adh sion aux cellules de la barri re h matoenc phalique et l invasion de ces cellules l aide d un test modifi de protection la gentamicine Nous avons proc d par mutagen se al atoire en ins rant des transposons dans des souches potentiel lev d invasion et d adh sion Les souches HPB 3267 potentiel le plus lev d invasion des cellules endoth liales microvasculaires du cerveau humain et HPB 3404 adh rence maximale aux cellules endoth liales microvasculaires du cerveau humain sont utilis es titre de t moins positifs Nous comptons cribler la banque des mutants isog niques afin d
442. sph nol A dans le placenta et le foie de f tus humains X L Cao J Zhang G M Cooke LHA Curran et C G Goodyer 1 Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Centre de sant de l Universit McGill Institut de recherche de l H pital de Montr al pour enfants Montr al Qc 2 R SUM Bien qu on ait facilement acc s de l information sur l exposition au bisph nol A BPA de la population g n rale y compris des nourrissons on conna t relativement peu de choses encore sur l exposition du f tus humain au BPA durant la gestation Dans cette tude pr liminaire nous avons analys des chantillons de tissus de placenta et de foie de f tus humains pour d tecter le BPA libre et total afin de fournir pour la premi re fois de l information sur l exposition du f tus humain au BPA du d but jusqu au milieu de la gestation et sur le transfert du BPA du placenta humain au f tus OBJECTIFS Rechercher la pr sence de BPA dans des tissus placentaires et des tissus h patiques de f tus humains afin de fournir de l information sur l exposition 7 utero au BPA PLAN M THODE DESCRIPTION Des chantillons de placenta humain n 21 12 3 20 semaines d ge f tal SAF et de foie f tal n 21 11 3 22 SAF ont t pr lev s apr s une interruption facultative de la grossesse entre 1998 et 2006 dans l agglom ration urbaine de Montr al Qu bec ap
443. splantations contexte eessseeerreerrereeeee 2 25 Erreurs transfusionnelles signal es au Syst me de surveillance des erreurs transfusionnelles SSET de l Agence de la sant publique du Canada ASPC de 2005 2009 un aper u pid miologique 2 26 Estimation de la pollution atmosph rique ambiante quotidienne l chelle des m nages par le couplage de mod les de r gression de l utilisation des terres et de donn es de surveillance dans une tude portant sur la fonction pulmonaire d enfants asthmatiques seen 2 27 Pollution atmosph rique et changes d air dans une tour d habitation urbaine 2 28 Effets biologiques de gaz d chappement de moteur diesel inhal s apr s limination des particules 2 29 EE 2 30 L exposition orale subchronique au benzo a pyr ne produit des modifications de l expression g nique dans les poumons de la souris modifications associ es une transformation Cellulaire ss 2 31 Exposition humaine contr l e des particules fines et grossi res dans l air ambiant et effets sur les biomarqueurs syst miques 2 32 valuation de biomarqueurs humains apr s exposition la fum e de bois par l utilisation de temazcals traditionnels 2 33 Caract risation de l exposition humaine et de l exposition environnementale dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques du Canada hier aujou
444. sques des analyses statistiques de base seront r alis es pour g n rer des niveaux estimatifs d exposition aigu et chronique Toutes les donn es de surveillance seront consid r es selon une approche fond e sur le poids de la preuve dans les valuations des risques pour la sant humaine et l environnement mais le poids attribu ces donn es d pendra de leur qualit globale et de la disponibilit d informations temporelles et spatiales additionnelles Les donn es pond r es seront utilis es pour estimer de fa on plus pr cise les niveaux d exposition aux pesticides pour les humains li s la consommation d eau potable et pour les organismes aquatiques INCIDENCES ET PROCHAINES TAPES L ARLA r examinera le processus de d termination des niveaux d exposition partir de donn es de surveillance L utilit des donn es de surveillance disponibles dans un contexte r glementaire pourrait tre accrue par l inclusion d informations additionnelles sur les plans d tude et de donn es accessoires temporelles et spatiales appropri es L Agence s affaire combler ces lacunes et amasser des donn es de plus grande qualit sur les concentrations de pesticides dans les sources d eau canadiennes Le maintien d une collaboration troite avec les partenaires f d raux provinciaux territoriaux et municipaux et les titulaires d homologation est indispensable au succ s de ce processus 2 47 Toxicit chez les rats m l
445. ssulaire de ces polluants 1 38 tude de l utilit de l essai Muta Mouse chez des rongeurs transg niques pour guider la prise de d cisions r glementaires une comparaison multiparam trique de plusieurs a faux n gatifs n vivo AS Long C L Lemieux S D Dertinger et P A White 1 S D partement de biologie Universit d Ottawa Ottawa Ont Division des tudes m canistes Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 3 Litron Laboratories Rochester New York tats Unis R SUM Plusieurs essais sont utilis s r guli rement pour valuer la capacit des produits chimiques de l ser l ADN une tape importante du d veloppement de certains cancers Ces essais sont g n ralement efficaces pour d tecter les produits chimiques dangereux cependant certaines substances carcinog nes chez les animaux ne donnent pas de r sultat positif dans les essais classiques mesurant les l sions l ADN chez les animaux Ces compos s sont souvent appel s faux n gatifs pour ce qui est de leur carcinog nicit Le pr sent projet vise examiner la performance d un test r cemment reconnu chez la souris essai Muta Mousel qui permet d valuer par score les mutations touchant l ADN de la plupart des tissus de r soudre des probl mes comme les r sultats faussement n gatifs en carcinog nicit Deux autres param tres li s aux l sions ADN ont a
446. sultats obtenus portent croire que les mod les de RUT peuvent tre coupl s aux donn es de surveillance continue pour pr dire les niveaux de pollution ambiante court terme quotidiens l chelle des m nages dans les tudes pid miologiques 2 28 Pollution atmosph rique et changes dar dans une tour d habitation urbaine M Johnson G Mallach R Kulka R Dietz R Wilke M Gibson L Wallace H Ozkaynak R Williams K Van Ryswyk A Wheeler et M Heroux Division des sciences de la qualit de l air DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire national de Brookhaven Upton N Y D partement du g nie des proc d s et des sciences appliqu es Universit Dalhousie Halifax N E Consultant Reston Ve Laboratoire national de recherche sur les expositions Agence des tats Unis pour la protection de l environnement Research Triangle Park C N R SUM Environ 80 des Canadiens habitent dans des villes et un grand nombre d habitants des villes r sident dans des tours d habitation cependant en raison des difficult s inh rentes la tenue d tudes sur la pollution atmosph rique dans les tours d habitation il existe peu de donn es sur ce sujet Dans la pr sente tude nous avons mesur les concentrations de polluants dans l ensemble d une tour d habitation l air entrant dans chaque appartement depuis des espaces int rieurs et ext rieurs y compris les autres a
447. sultats ont t compar s des t moins cultiv s dans des incubateurs R SULTATS On a observ une r duction statistiquement significative de l activit mitochondriale et de la production d ATP apr s exposition au NO 5 ppm 20 ppm comparativement aux t moins en incubateur La viabilit des cellules expos es lair synth tique tait l g rement inf rieure celle des t moins en incubateur Les cellules expos es aux missions de moteur diesel dilu es affichaient une r duction statistiquement significative 42 6 3 4 de la production d ATP et une r duction statistiquement significative 44 0 1 0 de l activit mitochondriale par rapport aux t moins en incubateur CONCLUSIONS PROCHAINES TAPES Les r sultats obtenus apr s exposition au NO et aux missions de v hicules confirment que le syst me Vitrocell utilis avec des cellules A549 se pr te bien l valuation de la toxicit des a rosols Les prochaines tapes seront notamment de proc der des valuations toxicologiques des missions de moteur diesel repr sentant une vari t de formulations de carburant et de conditions post traitement On aura galement recours d autres crit res d valuation peroxydation des lipides l sions de l ADN On utilisera des cultures primaires de cellules pith liales des voies a riennes humaines pour valuer les variations interindividuelles de la r ponse aux missions de v hicules 2 38 Que
448. suppl mentaires destin s la communication entre les valuateurs de risques et les gestionnaires du risque Au sein du Minist re le document explicatif pourrait servir de ressource valeur ajout e pr sentant des donn es tr s en contexte et des principes orienteurs permettant de compl menter des lignes directrices et des outils particuliers li s des programmes 1 55 Type quantit et exactitude des messages v hicul s sur les glucides l indice glyc mique le sucre et les fibres dans les magazines canadiens V Thomson BASc RD A Aziz PhD et M Cooper PhD RD Division de la recherche sur la nutrition Bureau des sciences de la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les m dias imprim s constituent une source majeure de renseignements sur la nutrition pour les Canadiens Aucune recherche connue n a examin les messages v hicul s par les m dias propos des glucides Pourtant il importe de le faire car les glucides repr sentent la source d nergie la plus importante de l alimentation Ces travaux de recherche visent examiner le type la quantit et l exactitude des messages sur les glucides v hicul s dans les magazines Nous avons analys les messages v hicul s dans certains exemplaires des magazines Ch telaine CH et Canadian Living CL La majeure partie des messages portant sur les glucides fournissaient des renseignements sur la sant g n rale et le
449. t ce sujet est une tendance la hausse Dans la pr sente tude nous examinons l importance des m dias sociaux dans la surveillance et la r ponse en mati re de gestion des urgences et cherchons d terminer si cette importance l emporte sur les risques li s la communication inh rents aux m dias sociaux Ces risques li s la communication sont notamment les suivants 1 le risque que les mises jour de l information soient inexactes qu elles n aient pas t approuv es par la haute direction ou qu elles contiennent des renseignements trompeurs en raison de l instantan it qui est le propre des m dias sociaux 2 le risque d une surveillance de l information inad quate en raison de la fausset de certains renseignements glan s sur les plates formes des m dias sociaux D apr s des examens pr liminaires de la litt rature disponible et des tudes de cas r alis es sur des situations d urgence r centes y compris la pand mie de H1N1 le s isme et l pid mie de chol ra survenus en Ha ti ainsi que d autres situations d urgence ou catastrophes naturelles plus r centes il est avantageux d adopter une politique plus large en mati re de m dias sociaux qui peut contribuer sauver la vie des Canadiens en cas d urgence OBJECTIF Cette tude vise mettre en lumi re les risques et les avantages de l utilisation des m dias sociaux dans la gestion des urgences et de d terminer si les avantages d
450. t des milieux DGPSA Table de mati re M thodologie d veloppement biomarqueurs et analyses post commercialisation M canismes de l ob sit chimio induite accent sur le dexam thasone et EN CIS EE 1 01 Effet du taux de fermentation des fibres alimentaires sur la consommation court terme d aliments et sur la r ponse des hormones intestinales chez des SE EE e E eege 1 02 Esters d acides gras de glycidol dans les aliments mise au point d une m thode KEE EE 1 03 L exposition de gam tes m les de l acide folique alimentaire alt re le bilan en folate des descendants 1 04 Une suppl mentation en zinc sup rieure l apport maximal tol rable n abaisse pas le bilan en cuivre chez les gar ons 5kkRRREEEEEEEEEEEEERRREEEEEEEEEEREEERRREEEEEEEEEEEEEEEn 1 05 Dosage du magn sium du calcium du sodium et du potassium dans des eaux embouteill es vendues Ottawa Canada ssessseeseeesseesreerteerrtesrtrrrterrreerrerereeerene 1 06 Caract risation de l usage hors tiquette de m dicaments chez les nouveau n s selon l index anatomique et les indications sssresrrrerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrerrren 1 07 Analyses m tabolomiques et prot omiques de biomarqueurs chez les personnes pr sentant des pathologies qui augmentent leur vuln rabilit aux polluants atmosph riques sise 1 08 Adoption de nouvelles doses journ
451. t est donc recommand e dans ces populations Comme les contaminants lipophiles s accumulent dans les tissus adipeux les r gimes amaigrissants peuvent favoriser leur lib ration dans la circulation sanguine Des tudes limit es sur l alimentation chez l humain indiquent que les r gimes amaigrissants augmentent les concentrations s riques de contaminants La pr sente tude visait tablir si la perte de poids augmentait les concentrations s riques et tissulaires de contaminants lipophiles chez des rongeurs soumis des conditions de laboratoire rigoureusement contr l es PLAN M THODES Des rats ont t expos s un m lange de produits chimiques fond sur les profils sanguins d Inuits raison de 2 5 mg kg j pendant 28 jours puis soumis un r gime visant r duire la masse corporelle de 20 en 14 ou 28 jours D autres rats ont re u la m me dose sans toutefois faire l objet du r gime amaigrissant Des chantillons de tissus ont t pr lev s 0 14 ou 28 jours apr s le traitement et les concentrations r siduelles ont t mesur es dans le s rum les tissus adipeux le foie les muscles et le cerveau R SULTATS Les concentrations de contaminants chez les animaux non soumis au r gime amaigrissant ont diminu d environ 25 50 en 28 jours dans le s rum le foie les muscles et le cerveau mais elles ont augment dans les tissus adipeux pendant la m me p riode La perte de poids a augment jusqu
452. t jusqu 28 jours apr s l exposition Ces constatations sont importantes parce que les dommages caus s l ADN peuvent entra ner des mutations et causer le cancer Ainsi nos r sultats fournissent d importantes informations sur les r percussions potentielles de l inhalation de nanoparticules sur la sant aux fins de la r glementation des produits toxiques OBJECTIF 1 D terminer les r percussions g notoxiques en fonction de la dose dans les poumons et le foie par suite de l inhalation de nanoparticules de noir de carbone 2 Etablir le lien entre la g notoxicit et le stress oxydatif ainsi que l inflammation en fonction de la dose et apr s diff rents temps de r cup ration suivant l exposition MAT RIELS ET M THODES Nous avons examin la composition cellulaire du liquide de lavage broncho alv olaire LLBA les cassures des brins d ADN CB et les dommages oxydatifs caus s l ADN chez des souris C57BL 6 1 3 et 28 jours apr s une instillation de 0 018 0 054 ou 0 162 mg de NpNC Printex 90 nous avons compar ces r sultats avec ceux obtenus pour des t moins Nous avons proc d un test des com tes pour valuer les CBann des cellules du LLBA des poumons et du foie de m me que les cibles de la formamidopyrimidine ADN glycosylase Lac pg dans les poumons R SULTATS Le nombre de cellules du LLBA est rest lev jusqu 28 jours apr s l exposition p lt 0 001 aux deux doses les plus lev es N
453. t transfusionnelle au Canada eeeeeeeeeeeeeeiiiitttteeetiirinttttesesriiinnrnsssssrrrre nnns 4 24 Optimisation de la cartographie g nomique comparative par PCR multiplex pour le typage mol culaire de Campylobacter jejuni 4 25 Force probante des donn es facteurs prendre en consid ration pour la prise de mesures appropri es en temps utile au cours d une enqu te sur une maladie d origine alimentaire 4 26 Analyse des sous unit s des vaccins antim ningococciques polysaccharidiques et conjugu s produits en Chine ie 4 27 Optimisation qualification et application de m thodes d analyse quantitative des vaccins antim ningococciques polysaccharidiques commerciaux 4 28 Un nouveau test ELISA pour la d tection de biomarqueurs de substitution de la toxine de Clostridium botulinum ns 4 29 D terminants mol culaires corr l s la perte d efficacit des vaccins monovalents anti H1N1 de 2009 LR 4 30 la recherche de solutions pr sentant moins de risques pour les produits contenant de l azinphos m thyl une strat gie de transition 4 31 Comment les objectifs des essais cliniques de sup riorit et de non inf riorit ont nui au discours sur l thique des essais cliniques contr l s contre placebo et COME t EMON aCi MP EE a a a a Ae Eaa E eaa A aE eA 4 32 tude sur l tape la plus d terminante de l analyse microbiologique des aliments
454. t 0 05 Pearson entre la concentration salivaire de bigET 1 la pression art rielle systolique et les concentrations de divers polluants tels que le NO l O et les PM 5 CONCLUSION Nos analyses r v lent que les endoth lines salivaires pourraient servir d indicateurs des effets de la pollution atmosph rique Contrairement au pr l vement d chantillons sanguins le fait que le pr l vement d chantillons de salive soit non effractif devrait r duire l anxi t et l inconfort des sujets et simplifier le pr l vement d chantillons r p tition 1 29 Mise au point d une lign e cellulaire mammalienne dans laquelle l expression du g ne codant la cystathionine B synthase CBS est inhib e pour caract riser des polymorphismes g n tiques de la CBS R Habashi S Aitken et A J MacFarlane D partement de biologie Universit de Carleton Ottawa Ont Division de la recherche sur la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM La cystathionine synthase CBS humaine est une enzyme n cessaire au catabolisme de l homocyst ine et la biosynth se de la m thionine de la cystathionine et de la cyst ine Les mutations du g ne codant la CBS sont associ es des concentrations lev es d homocyst ine circulante un facteur de risque de maladie cardiovasculaire et de certains cancers La pr sente tude porte sur les effets de mutations courantes du g ne codant la
455. t avons class les aliments dans l une des trois cat gories de chacun des groupes alimentaires Ainsi les aliments de la cat gorie 1 suivent les conseils du guide BMGAC faible en mati res grasses en glucides et en sodium Les aliments de la cat gorie 2 suivent en partie les recommandations peu de mati res grasses et ou peu de glucides et ou peu de sodium et les aliments de la cat gorie 3 ne correspondent pas du tout aux conseils du BMGAC riches en mati res grasses ou en glucides ou en sodium R SULTATS En utilisant les tendances alimentaires du BMGAC nous avons cr 500 r gimes alimentaires pour les 16 groupes d apports nutritionnels de r f rence ANREF selon l ge et et le sexe l aide des aliments des cat gories 1 et 2 La teneur en l ments nutritifs de ces r gimes alimentaires a t valu e en fonction de l ANREF qui s y rapporte Ce proc d de validation garantit qu en cas de consommation des aliments des cat gories 1 et 2 les besoins caloriques ne sont pas d pass s et les besoins nutritionnels sont combl s Les r sultats de l exercice de validation feront en sorte que le mod le de profil nutritionnel labor permettra une classification les aliments conform ment aux recommandations du guide BMGAC Un proc d de validation est en cours au moment o ce r sum est r dig CONCLUSION Le mod le de profil nutritionnel qui r sulte de ces travaux permettra une valuation de l alime
456. t de g nie lectrique et de g nie informatique Universit de Sherbrooke Sherbrooke Qc R SUM L int r t croissant pour la surveillance des agents dans l environnement entra ne une plus grande demande pour des m thodes de d tection rapides conomiques et portables Les aptam res constituent une classe de mol cules d ADN capables de reconna tre des compos s cibles pr cis et sont plus avantageux que les anticorps car ils sont plus stables et plus faciles synth tiser et manipuler La Division de l exposition et de la biosurveillance a amorc un projet visant mettre au point un capteur base d aptam re rapide et conomique pour d tecter les toxines d algue dans l eau OBJECTIFS L objectif de ce projet est de mettre au point des aptam res d ADN pr sentant une affinit particuli re pour les toxines d algue Ces aptam res seraient alors utilis s dans un capteur conomique permettant de surveiller la pr sence de ces toxines dans l eau potable et l eau douce en temps r el au Canada M THODES Les aptam res sont produits l aide d un proc d de s lection Jo vitro appel SELEX dans lequel une banque contenant 107 s quences d ADN al atoires est mis en contact avec un support solide sur lequel une mol cule cible est fix e Seules les mol cules d ADN pr sentant une affinit pour la cible sont retenues Ces mol cules sont par la suite amplifi es par PCR r action en cha ne de
457. t la source afin d tayer le programme de r glementation de la qualit de Pair 1 42 tude d adduits d ADN par spectroscopie de masse en vue d une application en surveillance des expositions S Mohottalage PhD D Das PhD R Vincent PhD et P Kumarathasan PhD 1 Laboratoire de prot omique Division des tudes m canistes Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Laboratoire de toxicologie par inhalation Division de la d termination des dangers Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 R SUM L exposition aux contaminants de l environnement entra ne une formation d adduits d ADN long terme cette exposition se traduit par des effets nuisibles sur la sant Ces adduits peuvent servir de biomarqueurs dans le cadre d une valuation de l exposition des contaminants Dans la pr sente nous d crivons deux m thodes de spectrom trie de masse soit la chromatographie en phase liquide coupl e de la spectrom trie de masse LCMS et la spectrom trie de masse temps de vol par d sorption laser assist e par matrice MALDI TOF qui permettent de rechercher les adduits d ADN pouvant tre utilis s pour surveiller l exposition Les r sultats indiquent qu une combinaison des deux m thodes am liore l analyse de ces adduits dans les chantillons biologiques OBJECTIF
458. t notamment le piratage informatique l incapacit des ressources humaines soutenir le rythme du dialogue engendr par les m dias sociaux et la possibilit pour les membres du public de publier des renseignements n gatifs ou erron s Si de tels risques peuvent se poser dans le cadre d une strat gie de m dias sociaux engag e et transparente ils peuvent cependant tre largement compens s par les avantages possibles pour la s curit du public canadien Dans un tel cas il pourrait tre justifi d largir la politique du gouvernement du Canada en mati re de m dias sociaux afin de tendre vers une politique plus ax e sur un secteur de programme en particulier 4 35 Caract risation de particules de polystyr ne fines et nanom triques par cytom trie de flux E Mutzke E Chomyshyn K Nguyen et A F Tayabali PhD Laboratoire de biotechnologie BSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division des services scientifiques DGPSA Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les nanoparticules NP sont des particules dont l une des dimensions est inf rieure ou gale 100 nm Comme on utilise de plus en plus les NP dans des applications environnementales et th rapeutiques ainsi que dans des emballages et des produits de consommation il devient urgent d effectuer des recherches sur les m thodes permettant d analyser leurs caract ristiques et sur les effets possibles sur la sant de l exposition de tels produits Dans
459. t pour la d tection de Cryptosporidium et de Giardia dans des chantillons d eau L objet de cette tude tait de mettre au point une m thode rapide de num ration et d valuation de la viabilit des ookystes et des kystes dans des chantillons de fumier M THODES On a compar les colorants d valuation de la viabilit SytoX colorant rouge de cellules mortes iodure de propidium IP et DAPI en conjonction avec diff rents fluorochromes li s des anticorps monoclonaux FITC R phyco rythrine ALexa647 plusieurs concentrations et dur es d incubation 37 C Les chantillons ont t analys s l aide d un cytom tre de flux BD LSRFortessa quip de trois lasers Les ookystes et les kystes ont t extraits par flottaison partir des chantillons de fumier dop s et ont t analys s par cytom trie de flux avec les param tres tablis lors des exp riences pr liminaires R SULTATS La combinaison d anticorps monoclonaux conjugu s la R phyco rythrine et au FITC pour Cryptosporidium et Giardia respectivement et de colorant SytoX rouge de cellules mortes pour d terminer la viabilit a donn des r sultats pr cis pr sentant un recouvrement spectral moindre comparativement l IP et Alexa647 L utilisation d anticorps conjugu s Alexa647 a engendr une agglutination d ookystes ce qui a fauss les v nements et n cessit des changements de param trage des fen tres Cette m thode
460. t un r sultat n gatif contr les n gatifs Finalement on a retenu un groupe de 30 compos s azo ques sur lesquels on n avait aucune donn e Ames R SULTATS Pour les compos s chimiques qui donnent une r ponse positive lors d une preuve Ames mais qui ne contiennent pas de groupe azo que la pr cision accord entre la pr diction et les donn es r elles tait faible la pr cision de TOPKAT tait de 0 et celle de QSAR Toolbox tait de 27 Pour les compos s azo ques qui donnent une r ponse positive lors d une preuve Ames la pr cision de TOPKAT tait de 27 et celle de QSAR Toolbox tait de 60 Pour les contr les n gatifs la pr cision de TOPKAT tait de 13 alors que celle de QSAR Toolbox tait de 87 Pour les 30 compos s azo ques sur lesquels on ne disposait pas de donn es la validation de TOPKAT crit re pour d terminer la similarit de la structure a chou pour la plupart des substances les compos s pour lesquels la validation a t positive ont tous t pr dits comme positifs QSAR Toolbox pr disait que 14 des 30 compos s donneraient des r sultats positifs lors d une preuve Ames y compris ceux pr dits au moyen de TOPKAT CONCLUSIONS PROCAINES TAPES le programme QSAR Toolbox peut tre plus utile que le programme TOPKAT On valuera le programme QSAR Toolbox avec d autres compos s comportant des groupes fonctionnels suscitant des inqui tudes 2 19 l vation de la
461. tamination des poulets frire par cet organisme CONTEXTE OBJECTIFS L exposition des produits de volaille contamin s est probablement responsable d une grande partie des cas canadiens de gastro ent rite due Campylobacter Cette bact rie commensale est souvent pr sente chez la volaille de ferme et les tudes indiquent que les sources d eau pr s des poulaillers peuvent abriter la bact rie qui colonise les bandes L objectif de la pr sente tude tait d examiner la contamination des sources d eau sur les fermes avec Campylobacter spp PLAN Pour d terminer les teneurs en Campylobacter des sources d eau naturelles en milieu agricole et tudier comment cet organisme exigeant survit dans cette niche nous avons recueilli de l eau des s diments et des biofilms dans quatre sites le long d un foss pr s d une ferme agricole d une exploitation bovine et de deux fermes avicoles North Lancaster en Ontario Des chantillons ont t pr lev s tous les mois pendant un an juillet 2009 juin 2010 et Campylobacter spp a t isol quantifi par la m thode du nombre le plus probable NPP amplifi par la PCR multiplex PCRm et typ par la cartographie g nomique compar e CGC R SULTATS C jejunia t d tect dans tous les chantillons d eau pr lev s durant l ann e des concentrations comprises entre 0 003 et 4 6 UFC m1 et les concentrations les plus lev es ont t observ e
462. thique de la recherche avec des tres humains EPTC et la Conf rence internationale sur l harmonisation ICH En d finitive ce processus a dur plus de 10 ans et a pris fin avec la mise jour de l EPTC et l officialisation de l adoption du document E10 de l ICH datant de 11 ans sur le choix des groupes t moins dans les essais cliniques OBSERVATIONS Le vrai d bat au sujet de l thique du recours au contr le par placebo ne se situe pas simplement au niveau de la comparaison entre t moins actifs et t moins placebo mais plut t celui des aspects scientifiques expliquant la diff rence entre le plan exp rimental d un essai clinique de sup riorit et celui d un essai de non inf riorit La diff rence entre un essai clinique de sup riorit et un essai clinique de non inf riorit repose sur les tests statistiques utilis s Un essai de sup riorit est con u pour d montrer qu un traitement est plus efficace qu un autre Un essai de non inf riorit est con u pour d montrer qu un traitement n est pas de mani re appr ciable plus mauvais qu un autre Dans les essais de non inf riorit l absence d insu est une caract ristique intrins que que l on ne retrouve pas dans les essais contr l s contre placebo La n cessit de se tourner vers les renseignements historiques externes pour valuer la validit rel gue les essais de non inf riorit contr l s contre t moins actifs un statut semblable
463. tiative D fi et les besoins actuels en mati re de donn es et d outils dans le contexte de la gestion des substances chimiques DESCRIPTION En 2006 le Canada a cat goris quelque 23 000 substances commerciales existantes dans le cadre d un exercice d tablissement des priorit s partir des donn es disponibles de mod les de relation quantitative structure activit mod les QSAR et d outils simples permettant de classer les substances selon un certain nombre de param tres y compris le risque d exposition humaine qu ils pr sentent Depuis 2007 Sant Canada et Environnement Canada ont effectu cet exercice pour les substances les plus prioritaires en proc dant conjointement des valuations pr alables de quelque 200 substances en vertu de l initiative a D fi du plan On a proc d la caract risation de l exposition en utilisant des donn es empiriques et des mod les d exposition pour estimer les concentrations dans l environnement savoir dans l air l eau le sol les s diments les aliments et les poussi res ainsi que l exposition r sultant de l utilisation de produits de consommation Par ailleurs pour les substances moins prioritaires on a labor des m thodes d examen pr alable rapide Nous pr sentons une vue d ensemble des outils et des m thodes d valuation de l exposition tant humaine ou environnementale utilis s pour estimer les rejets dans l environnement et pour valuer l expositio
464. ticulier pour traiter une MII pour laquelle il n existe pas d autre traitement L ajout d une mise en garde dans la monographie de produit un document qui sp cifie le mode d emploi du m dicament attire l attention sur le risque de lymphome h patospl nique lymphocytes T chez les patients recevant des inhibiteurs du TNF en association avec des analogues de purine Les donn es sur l innocuit des analogues de purine auxquels on s int resse ont t mises jour par plusieurs organisations de r glementation pour tenir compte de ce risque accru Il reste d terminer si les strat gies actuelles de gestion du risque sont suffisantes pour r duire au minimum ce risque ou s il faut des mesures plus s v res En faisant conna tre ces strat gies de gestion du risque SC garantira que tous les Canadiens re oivent un traitement s r par ces produits 2 01 Composition des tensioactifs fluor s dans la mousse formation de pellicule aqueuse B J Asher A De Silva C Spencer A Sluiter et S Sattar 1 7 Division des lieux contamin s DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division de la recherche sur la protection des cosyst mes aquatiques Environnement Canada Ottawa Ont S Infrastructure et Environnement D fense nationale Ottawa Ont R SUM La mousse formation de pellicule aqueuse AFFF est un produit industriel couramment utilis pour teindre les incendies d hydrocarbures notamment dans les
465. tifs la puissance des vaccins 24 h apr s l infection En plus d en r duire la dur e nous avons modifi l essai en y ajoutant une plaque 96 cupules qui permet un haut d bit En ayant recours la PCR nous avons aussi informatis l acquisition des donn es r duisant par le fait m me la variation au sein des laboratoires et entre ceux ci PRODUITS R SULTATS Cet essai pr sente une reproductibilit et une pr cision acceptables si on le compare la m thode traditionnelle des plages de lyse qui repose sur le d nombrement manuel des plages de lyse sept jours apr s l infection INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Par rapport la m thode traditionnelle des plages de lyse notre essai constitue une m thode haut d bit pr sentant une variation r duite et fournissant les r sultats vis s en 24 h avec une pr cision et une reproductibilit acceptables La demande de vaccins contre la varicelle tant croissante notre essai permettra aux fabricants et aux organismes de r glementation de fournir un plus grand nombre de lots de vaccins tout en assurant la qualit de ces vaccins 443 Le fragment A de la prot ine CRM 97 pr sente des diff rences structurales frappantes par rapport au domaine catalytique de la toxine dipht rique de type sauvage comme le r v le la spectroscopie RMN S Sauv PhD G Gingras BSc et Y Aubin PhD Centre d valuation des vaccins DPBTG DGPSA S
466. tives la contamination des eaux souterraines par les pesticides 2 41 Le risque sanitaire li l exposition l ozone d pend il de l endroit et du moment o l on vit au Canada H Shin PhD R Burnett PhD D Stieb MD G Takahara PhD O Brion MSc M Smith Doiron MSc et B Jessiman MSc S Division des tudes sur la population Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Centre R Samuel McLaughlin d valuation du risque sur la sant des populations Institut de recherche sur la sant des populations Universit d Ottawa Ottawa Ont Department of Mathematics and Statistics Queen s University Kingston Ont Division des effets de l air sur la sant Bureau de l eau de l air et le changement climatique Sant Canada Ottawa Ont 2 3 4 R SUM Les Canadiens sont r guli rement expos s des concentrations d ozone au niveau du sol provenant de sources ext rieures ou g n r es par les moyens de transport et les activit s industrielles Cette exposition peut accro tre le risque de maladies chroniques ou de d c s d origine cardiopulmonaire d c s imputable une maladie du c ur ou des poumons En partenariat avec Environnement Canada Sant Canada a labor un indicateur permettant de surveiller les effets long terme de l exposition l ozone sur la sant des Canadiens http www ec gc ca indicate
467. traire celui obtenu par la PCR et le transfert de Southern Plusieurs g nes de virulence dont le nombre variait selon la souche lors de l analyse par micror seau font actuellement l objet d une validation Des analyses plus approfondies des g nes de chaque souche dont le r sultat est consid r comme ambigu seront n cessaires afin de pr ciser le potentiel g n tique des souches figurant dans la LIS 4 45 Sch matisation des r sum s pr sent s aux Forums scientifiques tenus de 2002 2010 N Skipper et K Badovinac Direction des politiques scientifiques DGPS Sant Canada Ottawa Ont Partenariat canadien contre le cancer Alliance canadienne pour la recherche sur le cancer Toronto Ont R SUM Tous r sum s pr sent s aux Forums scientifiques de Sant Canada de 2003 2010 subissent une caract risation pour que l on tablisse si le but vis remplit le mandat du Minist re qui est d aider les Canadiens maintenir et am liorer leur sant Les r sum s d crivent des travaux de recherche et de d veloppement R amp D et des activit s scientifiques connexes la fois en sciences naturelles et sociales Cette sch matisation vise 1 identifier les domaines d expertise dans le but d aider les employ s de l organisation peu importe l chelon mieux comprendre les travaux men s Sant Canada mieux les g rer et en tirer profit ainsi qu mieux conna tre les
468. trices du g nome adjacentes ces g nes R SULTATS La concentration s rique de thyroxine des rejetons de 15 jours avait consid rablement vari apr s une exposition de trois jours Une analyse MAANOVA a permis de d celer environ 400 g nes grandement modifi s chez les rejetons m les et femelles pour au moins un traitement donn Une recherche en bioinformatique a permis de d tecter 33 l ments indiquant une r ponse thyro dienne dans le promoteur des g nes que l on croit tre directement r gul s par les TH Les l ments indiquant une r ponse thyro dienne trouv s dans les promoteurs de tor1a 2310003H01R ik hect3d et sic25a45 ont subi une validation confirmant que le r cepteur de la TH est associ ces s quences n vivo et que celui ci peut directement lier ces s quences n vitro CONCLUSION PROCHAINES TAPES Ces r sultats permettent d obtenir des donn es sur le transcriptome r gul par la TH chez les jeunes souris et de comprendre les m canismes par lequel la TH module le d veloppement du foie En outre les g nes qui r pondent directement aux concentrations d hormone thyro dienne peuvent servir d indicateurs associ s des effets chimiques exerc s sur l hormone thyro dienne dans le cadre d tudes toxicologiques 1 46 Effets tumoraux induits la suite d une exposition l acrylamide par l alimentation dans deux mod les exp rimentaux de cancer du c lon humain J Raju J Roberts C
469. trique glandulaire petit intestin moelle osseuse foie En outre nous avons analys des r ticulocytes RET et des rythrocytes normochromatiques ENC pour y d celer le ph notype mutant Pig a et mesurer la fr quence des micronoyaux MN R SULTATS Jusqu maintenant les r sultats indiquent un effet statistiquement significatif de la MBDA sur la fr quence des MN chez les ENC et du ph notype mutant Pig a dans les ENC Les mutants LacZ n ont pas t touch s par le traitement dans le foie et la moelle osseuse cependant nous sommes actuellement en train d examiner plusieurs autres tissus L exposition au nitrof ne et au 2 4 dinitrotolu ne est termin e L analyse des tissus est en cours R PERCUSSIONS Les r sultats obtenus contribueront valider les essais mesurant les mutations chez les rongeurs transg niques et qui plus est d valuer la capacit de ces essais r soudre les probl mes entre les anciens param tres A vivo et les r sultats des bioessais d celant le cancer 1 39 Effets de la fum e secondaire sur les cellules germinales masculines F Marchetti DSc A Rowan Carroll MSc A Williams PhD M L Berndt Weis MSc et C L Yauk PhD l Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Division des tudes m canistes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Bureau de la science et de la recherche en sant environnementale Division des tudes de sur la population DGSESC S
470. trouver des tumeurs Dans l exp rience 2 des souris nues sans thymus nu nu ont re u des injections sous cutan es de cellules et de tumeurs d ad nocarcinome du c lon HT 29 Apr s trois semaines les souris ont re u al atoirement l un des quatre r gimes alimentaires mentionn s pr c demment Nous avons surveill la croissance de tumeurs deux fois par semaine puis sacrifi les souris quatre semaines plus tard EFFETS R SULTATS Aucun des rats ayant re u le solut physiologique n a eu de tumeurs dans le c lon Vingt trois rats auxquels on a administr de l acrylamide dans l alimentation avaient du sang dans leurs excr ments 19 semaines apr s les injections d AOM parmi ces rats 10 faisaient partie du groupe ayant re u la dose la plus forte ce qui nous incit interrompre l tude rapidement soit 20 semaines apr s les injections d AOM L incidence des tumeurs de c lon tait de 54 2 dans le groupe t moin et de 66 67 dans le groupe ayant re u la dose la plus lev e d acrylamide 2 mg kg d aliments Le nombre de tumeurs tait semblable dans tous les groupes Cependant la taille des tumeurs tait plus importante et le fardeau de la maladie tait plus lev la plus forte dose d acrylamide test e soit 2 mg kg d aliments comparativement au t moin Dans l tude sur les souris nues on n a constat aucune diff rence dans la croissance des tumeurs ectopiques de c lon humaines entre les souris
471. ts d une consommation mod r e d alcool sur la r tention dans le s rum et la distribution tissulaire des polluants environnementaux ont t examin s l aide d un mod le rongeur Les r sultats pr liminaires indiquent qu une consommation mod r e d alcool diminue la concentration s rique de certains polluants organiques l oppos de l abstinence Cependant il reste d terminer si la consommation d alcool modifie aussi la distribution de ces polluants dans les tissus OBJECTIFS CONTEXTE Les tres humains sont expos s divers polluants environnementaux comme les biph nyles polychlor s BPC les pesticides organochlor s POC les ignifuges brom s IB et les ph nols chlor s et brom s qui peuvent entra ner plusieurs probl mes de sant selon le degr d exposition Certaines populations humaines sont aussi expos es l alcool Toutefois il s agit de d terminer si la consommation d alcool a des effets sur la r tention de ces polluants et leur distribution dans les tissus Pour r pondre cette question nous avons men une tude d exposition o vivo l aide d un mod le rongeur PLAN M THODES Des rats JCR ob ses de 8 semaines ont t habitu s un r gime alimentaire AIN93G purifi Les animaux ont subi le traitement suivant consommation d eau contenant 10 d alcool ou d eau sans alcool pendant uniquement 6 semaines partir de la troisi me semaine du traitement par l alcool
472. ts non vendus en conserve ou en pot tels que la levure 8 52 ng g la poudre p te 0 64 ng g certains fromages 0 68 2 24 ng g des pains et certaines c r ales 0 40 1 73 ng g et des aliments pr ts manger 1 1 10 9 ng g Les apports alimentaires en BPA taient faibles pour tous les groupes d ge sexe variant entre 0 17 et 0 33 g kg de poids corporel jour pour les nourrissons entre 0 082 et 0 23 g kg de poids corporel jour pour les enfants de 1 19 ans et entre 0 052 et 0 081 g kg de poids corporel jour pour les adultes INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Des concentrations relativement lev es de BPA ont t retrouv es surtout dans les chantillons composites contenant des aliments en conserve Du BPA tait galement pr sent dans certains aliments non vendus en conserve ou en pot Les apports alimentaires de BPA ont t estim s comme tant bien en de de la dose journali re admissible de 25 g kg poids corporel jour tablie provisoirement par Sant Canada pour tous les groupes d ge sexe 1 14 Effets de l exposition prolong e la mycotoxine ochratoxine A OTA sur l expression g nique dans les reins de souris de type sauvage et de souris transg niques pr dispos es au cancer L Curran S Gurofsky V Liston A Nunnikhoven C Qiao et G Bondy Bureau d innocuit des produits chimiques Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont
473. ttawa ON R Centre m t orologique canadien Environnement Canada Dorval QC R SUM Un r seau mondial de 80 stations de surveillance de la radioactivit dans le cadre du TICEN peut il contribuer l valuation des risques des accidents nucl aires comme celui de Fukushima dont les dangers directs s tendent au plus quelques dizaines quelques centaines de kilom tres du lieu de l accident Oui en utilisant un r seau scientifique hautement automatis pour l analyse et des mod les sophistiqu s de transport atmosph rique nous avons tabli un lien entre les observations faites par les stations loign es et les missions de la centrale de Fukushima Ce syst me a fourni des estimations ind pendantes et exactes des rejets du r acteur de Fukushima dans les 30 heures suivant l accident initial La double utilisation du CND TICEN pour les accidents est recommand e CONTEXTE Un r seau mondial de 80 stations de surveillance de la radioactivit dans le cadre du TICEN peut il contribuer l valuation des risques des accidents nucl aires comme celui de Fukushima dont les dangers directs s tendent au plus quelques dizaines quelques centaines de kilom tres du lieu de l accident Oui en utilisant un r seau scientifique hautement automatis pour l analyse et des mod les sophistiqu s de transport atmosph rique nous avons tabli un lien entre les observations faites par les stations loign es et les mission
474. tuellement offerts pour la pr diction des risques li s la structure p ex bo te outils QSAR DESCRIPTION MetaPath qui est la fois un outil informatique et une base de donn es offre des capacit s de r cup ration de donn es vari es et d valuation approfondie de la structure d un produit chimique Cette plateforme et son logiciel de flux de donn es DER Composers ont t con us et d velopp s par l Agence de protection de l environnement des Etats Unis EPA et par l Universit Bourgas L EPA a d abord vers dans MetaPath des donn es sur le m tabolisme du rat Des donn es d autres matrices biologiques et environnementales peuvent aussi tre encod es Maintenant que le projet rel ve de l OCDE un groupe international d valuateurs des risques travaille ensemble l avancement et l expansion de MetaPath dans le but d am liorer les valuations des risques li s aux produits chimiques PRODUITS Un groupe d utilisateurs de MetaPath constitu d valuateurs des risques d Am rique du Nord d Europe et de l Australie oriente et assure le d veloppement et l expansion de MetaPath tout en participant aux formations et aux essais pilotes coordonn s par EPA Un essai pilote r ussi par l Agence de r glementation de la lutte antiparasitaire a men au d veloppement d un logiciel l expansion de la base de donn es et aux premi res donn es cod es sur les r sidus chez les animaux d levage Un es
475. u Canada pour les intervenants externes 5 01 Correction d chantillon des fins de repr sentativit et mod lisation des habitudes alimentaires des effets significatifs sur les doses journali res d acrylamide Y Bonvalot PhD C Lapointe MSc P Ayotte PhD L Normandin PhD C Blanchet MSc D Phaneuf MSc et M Bouchard PhD Programme de l hygi ne du milieu Sant Canada Montr al Qc Universit de Montr al Montr al Qc Institut national de sant publique du Qu bec Montr al Qc Universit de Sherbrooke Sherbrooke Qc A N R SUM La R gion du Qu bec de Sant Canada en collaboration avec l Institut national de sant publique du Qu bec et l Universit de Montr al a coordonn une tude visant valuer l exposition l acrylamide d adolescents consommant des aliments dont la teneur en acrylamide est lev e Selon le CIRC l exposition chronique l acrylamide est potentiellement canc rig ne pour l humain mais l valuation de l exposition cette substance en est ses balbutiements En raison de probl mes de recrutement le cadre d chantillonnage initial a t modifi et l chantillon d adolescents est devenu a non repr sentatif l aide d une mod lisation probabiliste de sc narios d exposition et de donn es d mographiques nous avons effectu des corrections de l chantillon des fins de repr sentativit dans le but de d termi
476. u encore en pr sence de rayons UVA 365 nm 3 mW cm pendant des p riodes de dur e variable 2 24 h Dans une autre s rie d exp riences les PQ TeCd seuls ont t expos s au pr alable des rayons UVA 365 nm 3 mW cm ou UVB 312 nm 3 mW cm pendant 2 h avant d tre ajout s la culture cellulaire et incub s pendant 24 h On a utilis une preuve au MTT bromure de 3 4 5 dim thylthiazol 2 yl 2 5 diph nylt trazolium pour mesurer la viabilit cytotoxicit des cellules essai et pour optimiser les conditions d exposition PRODUITS R SULTATS Dans les cellules expos es l obscurit des PQ TeCd non pr alablement trait s aux rayons UV la cytotoxicit a t de 10 20 inf rieure celle des cellules expos es des PQ TeCd dans des conditions d clairage ambiant de la pi ce Par contre l exposition des cellules des PQ TeCd en pr sence de rayons UVA s est traduite par une augmentation de 15 60 de la cytotoxicit Pour les valeurs choisies de dur e et de dose d exposition aux UV on n a constat aucun changement observable de la viabilit des cellules t moins qui avaient t trait es uniquement aux UV La cytotoxicit observ e apr s l exposition des cellules des PQ TeCd pr alablement trait s aux rayons UVA ou UVB tait moins lev e de 10 15 que celle observ e apr s l exposition des cellules des PQ TeCd non pr alablement trait s INCIDENCES EFFETS CONCLU
477. u minist re en vertu de la LCEE c est dire de fournir aux autres minist res et consultants du gouvernement f d ral des conseils d taill s sur l valuation des effets sur la sant humaine en vue de la r alisation d EE pour des projets de d veloppement PROCHAINES TAPES Des s minaires Web sont pr vus pour pr senter aux minist res f d raux et aux autres parties concern es les documents d orientation et les fiches de renseignements Les documents d orientation seront mis jour p riodiquement ou selon les besoins 2 24 Effets des particules alpha sur les r actions des microARN dans les lign es cellulaires humaines M Howland R C Wilkins PhD et V Chauhan PhD i Direction des sciences de la sant environnementale et de la radioprotection Programme de la s curit des produits de consommation DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Plusieurs metteurs de particules alpha a type de rayonnement ionisant pr sents dans l environnement et dans des produits commerciaux peuvent tre dangereux s il sont utilis s des fins malveillantes Les m canismes biologiques et les effets sur la sant long terme de l exposition des particules alpha sont mal connus L exposition un rayonnement ionisant peut affecter les r seaux de g nes dans lesquels interviennent les microARN miARN Dans la pr sente tude nous avons v rifi la pr sence d alt rations des miARN dans des cellules expos
478. u sans limination de la phase particulaire Nos donn es sugg rent que la toxicit des particules d mission de moteur diesel inhal es peut tre conditionn e par le NO2 CONTEXTE Les gaz et les particules mises par les automobiles comme le NO et le monoxyde carbone CO sont des l ments importants de la pollution atmosph rique li e au trafic et sont impliqu s dans les impacts n gatifs sur la sant Nous avons cherch tablir un mod le pour d limiter les r ponses biologiques attribuables la phase gazeuse et aux particules des gaz d chappement de moteur diesel Pour d terminer les contributions relatives de NO et des particules on a trait le gaz d chappement en le faisant passer sur un catalyseur d oxydation diesel COD pour liminer le NO et sur un filtre HEPA pour liminer les particules M THODES Des rats Fisher ont t expos s par inhalation pendant 4 h de l air propre ou aux milieux de gaz d chappement de moteur diesel suivants gaz d chappement non trait particules 0 25 mg m CO 6 ppm NO 44 ppm NO 4 ppm gaz d chappement trait sur COD particules 2 mg m CO 0 5 ppm NO 18 ppm NO lt 0 1 ppm gaz d chappement trait sur COD et HEPA particules lt 0 0001 mg m CO NO et NO identiques au gaz d chappement trait sur COD Les animaux ont t euthanasi s 2 h ou 24 h apr s l exposition On a mesur un certain nombre de param tres biochimiques pertinents pour
479. uatre r gions tudi es qu entre les villes d une m me r gion Une l g re tendance la hausse de l h t rog n it a t d cel e p 0 05 au fil du temps entre les r gions mais pas l chelle intrar gionale INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES De fa on g n rale aucune tendance temporelle li e aux risques annuels de d c s d origine cardiopulmonaire n a t relev e aux chelles nationale et r gionale durant les 23 ann es de l tude mais une l g re tendance la hausse a t observ e au fil du temps entre les r gions La r alisation d autres tudes s impose pour expliquer les diff rences relev es entre les r gions Classification des r gions R gion 1 Est du Canada Halifax Saint Jean Qu bec Montr al et Ottawa R gion 2 Golden Horseshoe Oshawa York Toronto Peel Oakville Hamilton et Niagara R gion 3 Ouest de l Ontario Waterloo Windsor Lambton London Sudbury et Sault Ste Marie R gion 4 Ouest du Canada Winnipeg Regina Saskatoon Calgary Edmonton et Vancouver 2 42 Analyse r trospective combin e de 498 tudes multig n rationnelles portant sur la toxicit pour la reproduction chez le rat effet des param tres li s au succ s d accouplement de la F1 et sa prog niture F2 AH Piersma E Rolle M E W Beekhu jzen R Cooper D J Dix B Heinrich Hirsch M T Martin E Mendez A Muller M P
480. ubation les chantillons expos s 2 Gy pendant 0 24 heures entre l exposition et le traitement Apr s l incubation les chantillons ont t fix s et color s avec y H2AX FITC CD4 PE CD8 APC et CD19 PC7 puis analys s par cytom trie en flux L preuve de d nombrement des chromosomes dicentriques a t utilis e pour d terminer dans les chantillons expos s 0 et 6 Gy le nombre d aberrations chromosomiques et de fragments surnum raires par cellule R SULTATS Les diff rentes doses n ont fait ressortir aucune diff rence notable entre les patients radiosensibles et les t moins Les diff rentes p riodes d incubation ont montr que la r ponse y H2AX tait l g rement plus lev e chez les patients radiosensibles que chez les t moins 0 Gy on n a observ aucune diff rence significative sur le plan des aberrations chromosomiques ni des fragments surnum raires par cellule tandis qu 6 Gy le nombre moyen de fragments surnum raires par cellule tait consid rablement plus lev chez les patients radiosensibles que chez les t moins les valeurs moyennes tant de 2 1 0 4 et de 1 7 0 3 respectivement p 0 005 INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Les r sultats pr liminaires portent croire que les param tres pourraient tre utilis s comme marqueurs pour pr dire la radiosensibilit ce qui pourrait tre utile dans l adaptation individuelle des ra
481. ue de lymphome recevant des inhibiteurs du TNF est plus compliqu car la plupart de ces patients utilisent de fa on concomitante des agents immunosuppresseurs PRODUIT S R cemment une tude de cohorte observationnelle men e en France a montr une plus grande incidence de lymphome chez les patients atteints de MII et recevant des thiopurines Dans le monde les rapports de cas indiquent un risque particuli rement accru d une forme rare de lymphome le lymphome h patospl nique lymphocytes T principalement chez les adolescents et les jeunes adultes atteints de maladie de Crohn ou de CU lorsque ceux ci sont trait s par des analogues de purine et des inhibiteurs du TNF administr s en association de fa on concomitante ou cons cutivement de fa on rapproch e Cette observation soul ve d autant plus des pr occupations quant au profil risques avantages de ces traitements dans le cadre d une prise en charge des MII EFFET S PROCHAINES TAPES Actuellement en Am rique du Nord les donn es sur l innocuit des inhibiteurs du TNF utilis dans le cadre d une prise en charge d une MII indiquent des risques et des avantages d un recours ces inhibiteurs administr s de fa on concomitante ou apr s un traitement par l azathioprine et ou la mercaptopurine Il y aurait lieu de soigneusement soupeser les avantages et les inconv nients au moment o l on prescrit ces m dicaments aux enfants et aux jeunes adultes en par
482. ue de robustesse PLAN M THODE DESCRIPTION Une nouvelle m thode bas e sur la LC MS MS a t mise au point Cette m thode int gre une technique de dilution isotopique pour doser les cinq analytes cibles les esters de glycidol des acides palmitique st arique ol ique linol ique et linol nique Aux fins de l analyse des chantillons contenant 10 mg d huile ont t additionn s d analogues deut r s d esters de glycidol et purifi s par une chromatographie en deux tapes sur silice C18 et silice normale Un extrait sec a t redissous dans 250 uL de solvant et 15 uL ont t inject s sur une colonne C18 avec lution dans le m thanol Pour la d tection des esters d acides gras de glycidol cibles nous avons eu recours la technique de surveillance de r actions multiples MRM en mode d ionisation chimique pression atmosph rique APCI avec 2 transitions ioniques pour chaque analyte PRODUITS R SULTATS La m thodologie a t mise l essai sur des r plicats d huile d olive vierge qui ne contenaient pas d esters de glycidol et la limite de d tection de la m thode tait de 0 125 ppm pour chaque analyte Le principal avantage de cette m thode tient au fait qu on ne retrouve pas dans les chromatogrammes de la MS MS les pics fallacieux pr sents dans les chromatogrammes de la LC MS INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES La m thode sera appliqu e au relev des esters d
483. ue pose l acrylamide de source alimentaire pour la sant et aident Sant Canada laborer des strat gies de gestion du risque en vue d tablir des politiques et une r glementation sur l acrylamide Ce projet est financ par le Plan de gestion des produits chimiques du gouvernement du Canada 1 47 Incidence d une r glementation sur l tiquetage obligatoire des gras trans et d une reformulation des produits alimentaires en vue de r duire la concentration en acides gras trans dans les aliments sur la concentration des gras frans dans le lait maternel des Canadiennes W M N Ratnayake PhD R Zoka W Lillycrop P Pantazapoulos K Kwong Y Gao et L Wong 1 S Division de la recherche sur la nutrition Direction des aliments DGPSA Sant Canada Ottawa Ont Division des laboratoires des aliments R gion de l Ontario DGRP Sant Canada Scarborough Ont R SUM La pr sente tude a permis de mesurer les gras trans contenus dans des chantillons de lait maternel de 282 Canadiennes recueillis de 2009 2011 La concentration moyenne en gras trans mesur e tait de 2 5 des mati res grasses totales contenues dans le lait Cette valeur est consid rablement plus faible que la valeur mesur e en 1992 qui tait de 7 2 Ces donn es laissent croire que la r glementation sur l tiquetage des gras trans mise en uvre en 2005 et les recommandations de Sant Canada formul es en 2007 qui
484. uer des effets biologiques vidents chez des rats en bonne sant La capacit toxique des particules peut tre modul e par la pr sence de gaz r actifs comme le NO 2 30 RETIR 2 31 L exposition orale subchronique au benzol a pyr ne produit des modifications de l expression g nique dans les poumons de la souris modifications associ es une transformation cellulaire S Labib MSc A Williams MSc P A White PhD et S Halappanavar PhD 1 Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont 2 Division de la biostatistique et de l pid miologie DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le benzo a pyr ne ou BaP est un sous produit de combustion que l on trouve fr quemment dans la fum e de cigarette et la viande carbonis e Il est principalement d grad dans le foie mais les tumeurs apparaissent dans les poumons et non dans le foie Dans la pr sente tude nous examinons le fonctionnement de tous les g nes toxicog nomique et les param tres toxicologiques classiques afin d explorer les m canismes biologiques qui rendent plus particuli rement les poumons pr dispos s au cancer Nous montrons que les poumons des souris expos es au BaP pr sentent une fr quence accrue de mutations et de dommages l ADN les premiers stades de d veloppement du cancer L analyse des g nes a mis en lumi re les g nes associ s au d veloppement du cancer
485. ues entre g nes dans un ensemble d exp riences ce qui permettra d am liorer globalement l efficacit et de permettre un approfondissement des travaux de recherche en toxicog nomique 1 35 Mise au point d un syst me rapporteur fond sur l utilisation de la prot ine verte fluorescente pour d tecter les mutations dans les r p titions en tandem chez des lign es cellulaires de souris J Zheng et Craig Patent i Division des tudes m canistiques Bireau de la science de la sant environnementale et de la recherche DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM L exposition aux polluants environnementaux peut causer des modifications de la s quence et de la structure de l ADN De telles modifications ou mutations peuvent donner lieu des cancers ainsi qu diff rentes maladies g n tiques De nombreuses preuves ont t mises au point pour valuer la toxicit des contaminants environnementaux mais il s agit habituellement d essais qui sont longs r aliser et ou qui manquent de sensibilit Dans la pr sente tude nous avons mis au point une preuve fond e sur la prot ine verte fluorescente GFP pour Green Fluorescent Protein et des cellules de mammif res pour d tecter de fa on rapide et fiable des mutations r sultant de l exposition un mutag ne ou un un canc rog ne dans l environnement OBJECTIFS CONTEXTE Les s quences de r p titions en tandem sont sensibles un vaste
486. ulation de l activit de la lucif rase par la T3 Comme ces m canismes sont tr s peu tudi s malgr les indications selon lesquelles la perturbation de l un ou l autre m canisme peut nuire au d veloppement normal notre preuve sera un outil tr s utile qui permettra d identifier des substances aux propri t s potentiellement dangereuses Les tudes que nous m nerons ult rieurement nous permettront de mieux valider cette preuve et incorporeront une analyse du m tabolisme o vitro pour nous aider mieux pr voir les interactions chimiques Jo vivo 1 26 talonnage et dosim trie au moyen d un film Gafchromic Exp rience initiale G M Wardlaw PhD et D Gillis 1 Division d imagerie m dicale PCRPCC DSSER DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Le film Gafchromic constitue une solution int ressante pour l imagerie m dicale radiographique Il s agit d un outil simple et flexible sur lequel on peut voir une repr sentation tr s d taill e d une dose de rayonnement sur une surface donn e Dans de r centes tudes 1 2 on a propos de simples mod les pour d crire la r ponse du film Gafchromic sur une plage typique de doses d exposition des rayons X dans un contexte m dical Dans le cadre de nos travaux nous avons tent de v rifier et d valuer ces mod les simples avant de d cider d utiliser ce type de film pour les tests d assurance de la qualit et pour cartographier en deux dime
487. une cat gorie de substances r glement es aux termes de la LCPE M THODE La feuille de route a t pr par e la suite d un examen approfondi des lois et r glements Cette feuille de route regroupe les r sultats de cet examen en un seul document qui pr sente sous une forme graphique la r glementation visant les microorganismes Elle offre galement un aper u des minist res des organisations et des unit s de r glementation cl s qui jouent un r le dans la r glementation des microorganismes et elle indique l autorit appropri e pour les diff rents produits PRODUIT La feuille de route regroupe les r sultats du pr sent examen en un seul document qui d crit la r glementation des microorganismes Elle pr sente galement un aper u des minist res organismes et unit s de r glementation cl s jouant un r le dans la r glementation des microorganismes et pr sente l autorit appropri e pour les diff rents produits CONCLUSIONS Dans sa pr sente version la feuille de route constitue un document d orientation interne destin aux organismes de r glementation et aux valuateurs du Bureau de l valuation et du contr le des substances nouvelles BECSN de Sant Canada Cependant il serait galement souhaitable d avoir une version destin e au public Une telle version permettrait de r duire la confusion au sein des communaut s touch es par la r glementation et d accro tre la transparence du gouvernement d
488. ur cycle de vie afin de prot ger la sant humaine et l environnement des effets n fastes possibles des nanoparticules PLAN On a effectu une revue de la litt rature tant scientifique que r glementaire sur la nanosilice afin de r pertorier les pratiques actuelles en mati re de fabrication d usage et d limination les connaissances actuelles sur la lib ration de nanoparticules par les mat riaux nanocomposites selon diff rents sc narios et les m thodologies disponibles pour la d tection la quantification et la caract risation des substances lib r es On a effectu une analyse de cycle de vie d applications repr sentatives de l incorporation de la nanosilice aux produits de consommation et on a recens les voies d exposition critiques et les lacunes en mati re d information devant tre combl es pour pouvoir estimer l exposition On a mis en lumi re et class par ordre de priorit les besoins en mati re de recherche R SULTATS D apr s l information disponible les nanoparticules de silice incorpor es une matrice polym rique ont le potentiel de migrer au sein de la matrice et d tre lib r es l ext rieur des produits Les connaissances scientifiques sur la lib ration des nanoparticules hors des produits de consommation et des mat riaux nanocomposites sont encore tr s limit es mais on retrouve parmi les m canismes possibles qui ont t r pertori s la lixiviation la migration l abrasion l
489. urer la pr sence de petites quantit s d rythropo tine une prot ine usage th rapeutique dans des m langes complexes nous avons tudi comment l enrichir s lectivement par immunoaffinit c est dire l aide d une r action cr ant un complexe anticorps antig ne Dans la premi re tape nous avons pr par une colonne de chromatographie par immunoaffinit sur laquelle nous avons fix un anticorps anti EPO au moyen d une r action chimique Par la suite nous avons mesur la capacit de la colonne retenir s lectivement l rythropo tine par formation de complexes et par dissolution de complexes Les r sultats indiquent que ce proc d est faisable mais de meilleures conditions stimulant la dissolution de complexes sont n cessaires afin d am liorer le rendement en rythropo tine OBJECTIFS La pr sente tude vise montrer le potentiel de l immunochromatographie pour extraire s lectivement et concentrer l rythropo tine EPO ainsi que pour tablir son identit par lectrophor se capillaire M THODES Nous avons pr par des colonnes d immunoaffinit en fixant des anticorps anti EPO des billes de silice activ es Nous avons install les colonnes d immunoaffinit dans un appareil de chromatographie liquide haute performance et valu leur capacit retenir l EPO Nous avons optimis les conditions de formation et de dissolution de complexes en variant des param t
490. urnira des renseignements sur la sant buccodentaire des Canadiens g s de 60 79 ans Ces renseignements sont tir s de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant dans laquelle on a examin la bouche de 6 000 personnes un peu partout au Canada Avant cette enqu te on savait peu de choses sur la sant buccodentaire des Canadiens y compris le fait que les personnes g es ont une moins bonne sant buccodentaire et un acc s r duit aux dentistes comparativement au reste de la population canadienne Les gouvernements et les organisations de la sant dentaire pourront utiliser ces renseignements pour mettre sur pied des programmes et des politiques destin s am liorer la sant buccodentaire des Canadiens plus particuli rement ceux qui ont atteint ou atteindront bient t le troisi me ge OBJECTIFS CONTEXTE QUESTION S L objectif de cette pr sentation par affiches est de donner un aper u des r sultats du module sur la sant buccodentaire de l Enqu te canadienne sur les mesures de la sant ECMS Elle pr sente les r sultats obtenus l aide du questionnaire qualitatif et des examens cliniques en particulier pour les Canadiens g s de 60 79 ans PLAN M THODE DESCRIPTION L ECMS a t dirig e par Statistique Canada en partenariat avec Sant Canada et l Agence de la sant publique du Canada La collecte des donn es a eu lieu pendant la p riode de 2007 2009 aupr s d environ 6 000 personnes repr se
491. urs indicators default asp lang Fr amp n CB7B92BA 1 En nous fondant sur les donn es recueillies dans 24 villes regroup es dans quatre r gions nous avons examin la mortalit cardiopulmonaire imputable l exposition ozone au niveau du sol durant la saison chaude pour la p riode 1984 2006 et analys l volution des risques annuels de d c s d origine cardiopulmonaire aux chelles r gionale et nationale respectivement Cette analyse a r v l que le risque de d c s d origine cardiopulmonaire imputable l exposition l ozone est de fa on g n rale demeur constant l chelle du Canada durant la p riode couverte par l tude OBJECTIFS CONTEXTE QUESTIONS Au Canada l ozone au niveau du sol est consid r comme un des principaux polluants atmosph riques contribuant l aggravation des risques de d c s et de morbidit et fait ce titre l objet d une surveillance Nous avons examin les fluctuations r gionales et temporelles des risques de d c s associ s l exposition l ozone au niveau du sol PLAN M THODES DESCRIPTION Dans le cadre d un projet ant rieur nous avons labor un mod le dynamique permettant d valuer le risque annuel pour la sant publique aux chelles nationale et r gionale l aide d un mod le hi rarchique bay sien deux niveaux l aide de ce mod le dynamique nous avons estim l association annuelle entre les concentrations journali res d ozone au
492. urs interpr tations de l approche fond e sur le poids de la preuve et un manque de consensus sur sa signification Pour r soudre ce probl me en 2010 la Direction des politiques scientifiques de Sant Canada a entam une analyse approfondie de l approche fond e sur le poids de la preuve dans le cadre d un projet planifi par un groupe de travail sur l valuation scientifique des risques M THODE Nous avons examin l approche fond e sur le poids de la preuve telle qu elle est interpr t e mise en uvre et diffus e dans divers programmes d valuation du risque Sant Canada et l avons compar aux lignes directrices de partenaires cl s internationaux R SULTATS INCIDENCES ET CONCLUSIONS Les outils et les m thodologies sont souvent propres un contexte donn volets particuliers de programme mais les principes sous jacents l approche fond e sur le poids de la preuve par lesquels plusieurs sources d information sont rassembl es valu es et combin es pour aboutir une conclusion globale taient g n ralement appliqu s dans le Minist re et taient consid r s comme compatibles avec les pratiques internationales RECOMMANDATIONS On a d termin les domaines qui subiront ventuellement une harmonisation et on a tabli des listes de v rification pour que la documentation soit transparente De plus les sch mas les profils ou les tableaux de preuves pourraient tre utiles en tant qu outils
493. urs d quivalence toxique PEQ pour potency equivalency quotien et cin tique KEQ pour kinetic rate equivalency pour quantifier l interaction Les PEQ compar es au BPDE taient PGE gt CI4HQ gt MMS gt SO pour l ADNdb et PGE gt SO gt MMS gt CLHAQ pour l ADNsb Les KEQ d finies comme tant le rapport entre les constantes de vitesse pour la cin tique du premier ordre des substances l essai et le BPDE taient MMS gt SO gt PGE gt CI4HQ pour l ADNdb et SO CI4HQ MMS gt PGE pour l ADNSsb INCIDENCES EFFETS CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Nous avons mesur l amplitude de l interaction entre l ADN et les produits chimiques capables de le modifier directement au moyen de la CLHP et nous l avons quantifi e sous la forme des PEQ et des KEQ En plus de fournir des donn es fondamentales sur la r ponse en fonction de la dose et sur la cin tique les r sultats pourraient tre utilis s pour d terminer rapidement si des produits chimiques potentiellement dangereux sont pr sents dans l environnement sans qu il ne soit n cessaire de proc der de longues tudes de toxicit et sans connaissance pr alable des compos s chimiques pr sents Les prochaines tapes comprendront la d tection de dangers de nature chimique dans des chantillons environnementaux 1 24 D termination des concentrations d eofl vones par chromatographie en phase liquide spectrom trie de masse en tandem chez des rats d
494. urs d habitation et de cerner les facteurs pouvant tre corrig s pour r duire les expositions 2 29 Effets biologiques de gaz d chappement de moteur diesel inhal s apr s limination des particules S Karthikeyan E Thomson P kKumaratbasan D Rosenblatt T Chan G Rideout et R Vincent Laboratoire de toxicologie de l inhalation Bureau de la science de la sant environnementale et de la recherche Direction de la recherche et de la radioprotection DGSESC Sant Canada Ottawa ON Section de la recherche et des mesures des missions Division de la recherche sur la qualit de l air Direction de la science et de la technologie Environnement Canada Ottawa ON A N R SUM Nous avons valu la toxicit de la phase gazeuse et des l ments particulaires de gaz d chappement de moteur diesel Une exposition aigu directe de rats des gaz d chappement de moteur diesel a produit des blessures pulmonaires caract ris es par une neutrophilie et des cytokines inflammatoires Afin de d terminer les contributions relatives du dioxyde d azote NO2 et des particules aux effets le gaz d chappement a t trait en le faisant passer sur un catalyseur d oxydation pour r duire la teneur en NO2 et sur un filtre HEPA pour liminer les particules De mani re surprenante aucun effet vident n a t observ chez les animaux respirant des gaz d chappement dont on avait limin le NO2 avec o
495. ussi t mesur s CONTEXTE OBJECTIFS Les ensembles d essais permettant de rechercher les produits chimiques mutag nes sont associ s plusieurs param tres que l on consid re efficaces pour d tecter les mutag nes et par extension les carcinog nes mutag nes Toutefois on reconna t de plus en plus que les r sultats ne sont pas coh rents n vitro les substances a positives non pertinentes induisent une r ponse statistiquement significative jn vitro qui ne se confirme pas A0 vivo In vivo les substances faussement n gatives sont des carcinog nes de rongeur qui ne donnent pas de r sultat positif An vivo La pr sente tude vise examiner si l essai Muta Mouse mutation du g ne acZ peut r soudre le probl me des substances faussement n gatives PLAN M THODE Nous avons choisi trois compos s carcinog nes qui donnent un r sultat positif o vitro pour ce qui est des mutations de g ne mais qui sont associ s un r sultat n gatif en ce qui a trait aux l sions cytog n tiques A7 vivo dans les cellules h matopo tiques 4 4 m thyl nebis N N dim thylaniline MBDA 2 4 dinitrotolu ne et nitrof ne Les animaux de l essai Muta Mc Mouse ont re u 3 doses par gavage oral administr es pendant 28 jours Apr s une p riode de fixation de 3 jours les souris ont t sacrifi es et nous avons valu par score la fr quence des mutations touchant le g ne ac7 dans les tissus p ex muqueuse gas
496. usure et la d gradation des polym res Les sources de lib ration des particules pourraient tre notamment le sablage le lavage la transpiration et l incin ration Le degr de lib ration des nanoparticules varierait en fonction des caract ristiques de la matrice polym rique des propri t s physico chimiques du nanomat riau des interactions entre le nanomat riau et la matrice et les propri t s du milieu dans lequel elles sont lib r es Par cons quent l analyse durant tout le cycle de vie doit tre effectu e pour chaque application et pour chaque matrice polym re nanomat riau CONCLUSIONS R PERCUSSIONS PROCHAINES TAPES Cette analyse pr liminaire a permis de mettre en lumi re de nombreuses lacunes en mati re de donn es tous les stades du cycle de vie des produits de consommation am lior s par l ajout de nanomat riaux Les besoins en mati re de recherche ont t recens s et on a commenc tisser des partenariats en vue d laborer une m thodologie normalis e pour la caract risation et la quantification des nanoparticules lib r es Il faudrait recueillir et analyser les donn es sur la disponibilit des nanomat riaux sur le march canadien Il s agit d une information cruciale pour permettre de d terminer les sources d exposition humaine aux nanomat riaux pouvant tre utilis e dans l valuation du risque pour la sant associ aux nouvelles substances 4 09 Les d fis de l interpr tation des
497. ut faire ressortir des tendances temporelles et permettre la d tection de modifications plus faibles des concentrations de contaminants L inclusion de toutes les m res dans notre valuation a des implications positives pour le futur chantillonnage et aideront maintenir la taille de l chantillon actuel CONCLUSIONS L analyse du PCB 153 et du mercure total dans les chantillons de sang maternel indique que en g n ral les concentrations de contaminants dans le sang maternel diminuent progressivement dans l Arctique canadien mais qu elles restent plus lev es chez les m res inuites et inuvialuites comparativement aux femmes en ge de procr er du Sud du Canada On pourra v rifier ces tendances dans le cadre d tudes ult rieures en augmentant le nombre d chantillonnages ponctuels 2 13 Pr sence de produits ignifuges contenant des esters organophosphor s dans la poussi re domestique au Canada m thode d analyse et r sultats X Fan PhD C Kubwabo PhD P Rasmussen PhD et F Wu PhD 1 Division de l exposition et de la biosurveillance DGSESC Sant Canada Ottawa Ont R SUM Les esters organophosphor s sont couramment utilis s comme agents ignifuges plastifiants fluides hydrauliques solvants agents d extraction agents antimoussants adh sifs et rev tements pour dispositifs lectroniques La consommation mondiale d esters organophosphor s comme produits ignifuges est pass e de 108 000 tonnes
498. ute forme de polybromodiph nyl ther PBDE a t interdite au Canada Comme les PBDE sont toujours pr sents en grandes quantit s dans les articles d ameublement et les appareils lectroniques existants l exposition humaine et environnementale continuera pendant de nombreuses ann es I est important de bien comprendre les risques de la continuation de cette exposition afin de d terminer s ils sont assez importants pour justifier limination active des mat riaux contamin s pr sents dans les foyers canadiens PLAN M THODES Pour tablir la formulation du m lange utilis pour l exposition on a utilis les proportions relatives des cong n res de PBDE mesur es dans une tude exhaustive sur des chantillons de poussi re domestique dans une grande ville de l Est de l Am rique du Nord Boston On a galement inclus une faible proportion d un autre produit ignifuge brom le HBCD car celui ci est galement pr sent dans la poussi re domestique On a confirm les doses administr es en mesurant les concentrations de toutes les substances ignifuges dans des chantillons de nourriture Des rats m les ayant atteint la maturit sexuelle ont t expos s au m lange par l alimentation des taux que l on estime comparables aux expositions fond s sur le 95 percentile de chaque cong n re dose la plus faible et trois doses croissantes augmentant chaque fois d un ordre de grandeur Apr s 70 jours de traitement le
499. uveaux spectres mesure qu ils arrivaient en partageant le travail avec les scientifiques du STUK Ce mode op ratoire a permis un contr le important et la vol e des r sultats avec les coll gues du TICEN dans le monde entier Les mod les de transport atmosph rique fournis par Environnement Canada ont permis d estimer les rejets du r acteur d apr s les observations des stations R SULTATS ET INCIDENCES Ce syst me a fourni des estimations ind pendantes et exactes des rejets du r acteur Fukushima dans les 30 heures suivant l accident initial en utilisant la station TICEN de Takasaki 200 km de Fukushima et dans les 48 heures la Commission canadienne de s ret nucl aire a utilis cette information pour d terminer le mode de d faillance du r acteur le plus r aliste et pour toutes les valuations subs quentes des risques dans l environnement du r acteur En moins d une semaine plusieurs autres sites TICEN ont confirm l ampleur des rejets du r acteur et le mode de d faillance donn es toujours utilis es par les gestionnaires des mesures d urgence au Canada On a ainsi pu obtenir des preuves significatives de la d faillance des crayons combustibles et de la fusion partielle du c ur ce qui a r cemment t confirm par les autorit s japonaises CONCLUSION En r sum le r seau TICEN peut avoir une grande valeur dans la gestion des urgences nucl aires pourvu que l on poss de un syst me d ana
500. ux catalyseurs scientifiques de l mergence de ce secteur comprennent le s quen age des g nes la diminution des co ts li s cette activit et l augmentation des capacit s informatiques Le Groupe de travail sur la m decine personnalis e une quipe pluridisciplinaire constitu e de scientifiques de responsables de la r glementation et d analystes strat giques a mis au point une approche int gr e pour la m decine personnalis e pour ce faire il s est fond sur des ouvrages publi s sur des projets en cours sur des avis d experts et sur des r seaux professionnels pour synth tiser et analyser les donn es pertinentes Les r sultats ont t raffin s par des discussions et par des examens par les pairs PRODUITS Le Groupe de travail a cern plusieurs secteurs o la m decine personnalis e peut contribuer aux activit s actuelles ou futures du portefeuille de la sant Entre autres notons les lacunes en mati re d application des connaissances issues de la recherche sur les biomarqueurs l acc s des donn es fiables sur les co ts et les avantages pour le syst me ainsi que des questions telles que l ducation du public et des professionnels et les consid rations d ontologiques p ex vie priv e discrimination g n tique Des lacunes ont galement t not es dans le cadre de r glementation p ex orientation sur l valuation des biomarqueurs et des outils de diagnostic compl mentaires et dans les politi
501. ux variait consid rablement d une eau embouteill e l autre ce qui indique que le choix de l eau de boisson peut influer sur les r serves physiologiques de ces min raux chez les personnes vuln rables OBJECTIFS L Enqu te sur la sant dans les collectivit s canadiennes cycle 2 2 ESCC 2 2 effectu e en 2004 tait une enqu te nutritionnelle nationale qui visait d terminer les apports nutritionnels des Canadiens La pr sente tude a montr que de nombreux Canadiens ont des apports insuffisants en Mg et en Ca et peut tre en K En revanche les Canadiens consomment trop de Na L eau de boisson peut contribuer norm ment aux apports alimentaires totaux en sels min raux Pour avoir une bonne id e des quantit s de sels min raux fournies par les eaux embouteill es nous avons mesur leur teneur dans des eaux plates des eaux aromatis es et des eaux enrichies de nutriments vendues Ottawa Canada M THODES Des eaux embouteill es ont t achet es dans de grands supermarch s des d panneurs et aupr s de distributeurs d eaux embouteill es entre le 5 et le 30 novembre 2010 Les concentrations de min raux ont t mesur es par spectrom trie d absorption atomique dans la flamme Mg Ca et K ou spectrom trie d mission atomique de flamme Na Le pourcentage des valeurs de r f rence pour le Mg le Ca le Na et le K qui pouvait tre atteint a t estim pour chaque source d eau Nous avons galement
502. valeurs calcul es au moyen des mod les sont r sum es dans le tableau 1 R SULTATS La figure 1 montre que les deux mod les pr sentent une tr s bonne concordance R 0 9977 et 0 9990 respectivement et qu ils pr sentent une bonne correspondance avec les points d exposition de la courbe d talonnage cercles rouges L analyse des t moins d exposition l aveugle tableau 1 r v le que le mod le exponentiel pr sente une forte tendance la surestimation des doses de faibles valeurs et une forte tendance la sous estimation des doses aux valeurs lev es 17 6 13 4 tandis que le mod le quadratique est plus coh rent 6 0 4 7 L erreur estim r elle selon une exposition croissante tait de 8 4 1 7 exponentiel et de 8 6 2 6 quadratique ce qui concorde avec les r sultats pr c dents 2 CONCLUSION Le mod le quadratique associ au film Gafchromic pr sente un bon potentiel pour ce qui concerne des applications g n rales de dosim trie bidimensionnelle Nous menons actuellement d autres travaux visant r gulariser la m thode d talonnage pour permettre une estimation fiable de l erreur avant d utiliser ce type de film dans des travaux de recherche et pour l assurance de la qualit 1 Rampado et ai Phys Med Biol 51 2006 2 Rampado era Med Phys 37 2010 FIGURE 1 120 T T Exponentiel R 0 9977 Quadratique R 0 9990 Exponentiel Quadratique
503. vec lesquels la Division de lieux contamin s collabore 2 37 Mise en uvre du syst me Vitrocell pour l valuation An v tro de la toxicit des a rosols et des missions des v hicules au niveau d une interface air liquide J Nead T Chan D Rosenblatt J A Bourdon MSc R Greenan et P A White PhD Division des tudes m canistes DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Division de la recherche et de la mesure des missions Environnement Canada Ottawa Ont R SUM Le dispositif d exposition Vitrocell permet d exposer des cellules animales en culture des a rosols p ex les gaz d chappement des automobiles au niveau d une interface air liquide Avant d utiliser l instrument pour tudier les missions de moteur diesel on a valu le rendement de l appareil l aide d un gaz de r f rence dioxyde d azote Par la suite on a utilis le syst me Vitrocell pour tudier l activit toxicologique des missions de moteur diesel dilu es On a observ une r duction statistiquement significative de la viabilit cellulaire lorsque les cellules avaient t expos es tant au NO qu aux missions de moteur diesel dilu es Les r sultats de ces expositions confirment que le syst me Vitrocell est un outil utile pour l valuation toxicologique syst matique des missions des v hicules CONTEXTE L valuation in vitro de la toxicit des a rosols pose certains probl mes car les cellules en
504. vement Les tudes sur l alimentation totale posent un d fi analytique parce que chaque produit alimentaire est diff rent Nous avons mis au point une nouvelle m thode analytique pr voyant l extraction par un solvant acidifi le passage sur une colonne d immunoaffinit pour la purification la chromatographie en phase liquide associ e la spectrom trie de masse pour l identification et la quantification et l utilisation d une OTA marqu e par un isotope uniform ment stable titre d talon interne de r cup ration R SULTATS La m thode est exacte r cup ration moyenne de 101 et pr cise TR 5 5 d apr s 17 analyses effectu es en double sur diff rents produits alimentaires sur une p riode de deux ans On a analys la teneur en OTA de 140 composites d aliments dans le cadre de l tude canadienne sur l alimentation totale Les chantillons ont t recueillis par l Agence canadienne d inspection des aliments obtenus dans des commerces de d tail de deux villes canadiennes soit Qu bec et Calgary en 2008 et en 2009 respectivement Les r sultats indiquent que 73 102 140 des chantillons pr sentaient des niveaux d tectables d OTA CONCLUSIONS PROCHAINES TAPES Le pain est une denr e de tr s grande consommation tant chez les adultes que chez les enfants Les r sultats indiquent qu au Canada le pain et de mani re plus g n rale les produits alimentaires contenant des c r ales semblent tre u
505. vent activer des voies transcriptionnelles dans le cerveau et l hypophyse Les perturbations neuroendocriniennes peuvent avoir des cons quences syst miques comme le montre la d pression de g nes associ s la r ponse immunitaire Des tudes additionnelles sont n cessaires pour valuer la signification de nos observations sur le plan de la sant 2 45 Variation saisonni re et diurne des niveaux d exposition aux particules ultrafines dans les v hicules priv s Toronto Canada K Van Ryswyk S Weichenthal et L Wallace Division des effets de la pollution de l air sur la sant DGSESC Sant Canada Ottawa Ont Consultant Reston VA R SUM L tude Urban Transportation Exposure Study UTES tude sur l exposition par le transport urbain a t r alis e dans le but de caract riser l exposition la pollution routi re dans l autobus le m tro et les v hicules priv s dans trois grandes villes canadiennes Dans le cadre de cette tude on a mesur les concentrations de particules ultrafines PUF l int rieur et l ext rieur de v hicules priv s l aide de compteurs de particules condensation TSI 3007 pendant 10 jours en septembre 2011 et pendant 5 jours en mars 2011 La surveillance a t effectu e sur des itin raires empruntant des rues de la ville et des banlieues ainsi que des routes principales pendant les p riodes de pointe du matin de 7 h 10 h et de l apr s midi de 15 h
506. ventail de stress environnementaux dont les mutag nes classiques et les canc rog nes L instabilit de ces s quences a t associ e des cancers de m me qu des maladies neurologiques Nous avons mis au point une preuve An vitro rapide et fiable fond e sur la GFP pour d tecter les d calages du cadre de lecture des r p titions en tandem r sultant de l inhibition par de petits ARN interf rents pARNi et de l exposition des produits chimiques PLAN M THODE Pour construire le vecteur rapporteur nous avons ins r un oligonucl otide de 79 paires de bases contenant la s quence de r p tition A du r cepteur du facteur de croissance transformant b ta 2 facteur de suppression de tumeur en amont de la s quence codant la prot ine verte fluorescence accrue EGFP pour Enhanced Green Fluorescent Protein du plasmide pJ6 EGFP ce qui a d phas le cadre de lecture de EGFP Le vecteur rapporteur a ensuite t ins r par transfection dans des cellules murines embryonnaires de la lign e C3H10T1 2 afin de produire des populations transfect es stables Le clone 16 d sign pJ6 A10 _c16 a t choisi pour poursuivre l exp rience Nous avons utilis la technologie du knockdown pour valuer l instabilit des r p titions en tandem dans les cellules transfect es l aide de diff rents pARNi synth tis s chimiquement Les mutations de d phasage ont donn lieu des r vertants fluorescence verte que n
507. yck MA et J Gillmore 1 Bureau des pr paratifs d urgence BPMIURS DGRP Sant Canada Ottawa Ont R SUM Depuis la Deuxi me Guerre mondiale la planification de la gestion des urgences au gouvernement du Canda est devenue de plus en plus fragment e et cibl e en fonction du type de danger Au sein de Sant Canada SC le Bureau des pr paratifs d urgence BPU a dress un inventaire des plans de gestion des urgences existants et confirm l existence dau moins 98 documents de planification en mati re de gestion des urgences SC s oriente vers une approche reposant davantage sur les donn es probantes pour int grer et coordonner ces plans visant chacun un type de danger particulier Le BPU en consultation avec les programmes et les r gions de l ASPC et SC est en train d laborer un plan strat gique de gestion des urgences PSGU pour le portfolio de sant PS qui pourrait servir de r f rence centrale et num rer les activit s de gestion des urgences du Minist re allant de l tat de pr paration l att nuation en passant par la pr paration la r ponse et le r tablissement OBJECTIF Mettre au point en collaboration avec les programmes et les r gions de l ASPC et SC une approche homog ne et scientifique de la gestion des urgences en commen ant par l laboration d un PSGU pour le PS M THODES Le BPU de la Direction g n rale des r gions et des programmes DGRO a r alis une analyse envir
508. ylation de l ADN toutefois dans nos exp riences sur des cultures cellulaires d une dur e de 72 h les contaminants ont engendr de nombreux effets sans provoquer d alt rations de la m thylation dans cinq s quences r p titives d ADN Ces crit res d valuation mesur s dans nos conditions exp rimentales ne sont pas utiles pour l valuation du risque pr sent par les substances chimiques l essai OBJECTIFS Dans le contexte d exp riences sur des cultures cellulaires de courte dur e 72 h susceptibles d tre utilis es dans des strat gies d valuation pr alable de substances chimiques afin d tablir leur priorit relative pour les essais ou pour la classification des substances chimiques selon leur m canisme d action notre objectif tait de d terminer si les alt rations de la m thylation dans diff rentes s quences r p titives d ADN sont des indicateurs sensibles de l exposition aux substances chimiques M THODE Les lign es de cellules h patiques HC04 et HepG2 ont fait l objet d une caract risation fond e sur les diff rences de la m thylation de l ADN par rapport une biopsie de foie humain normal apr s une tude dose r ponse des substances chimiques vis es Le vanadium le nickel et trois m langes de polybromodiph nyl thers PBDE 71 79 et 83 ont t test s en plus des activateurs des voies associ es aux r cepteurs nucl aires APR et CAR respectivement biph nyles polychlor s 126 et 1

H1-9-23-2011-fra - Publications du gouvernement du Canada

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