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1. a donne des probl mes qui sont bien document s somatiques des probl mes de fatigue de d pression des probl mes de sommeil Tout a c est bien connu a agit finalement globalement comme un stress un gros stress sur l organisme Alors ca peut rendre malade Le t moignage du Dr B langer lors de la s ance du 28 janvier 2003 tait clair ce sujet et je crois que la Commission aurait grand int r t prendre connaissance de ses propos d alors Tout comme la Commission devrait prendre connaissance des m moires et d pos s soit par la RRSSS Lanaudi re DM71 C soit par les m decins de l h pital Pierre Le Gardeur DM78 C Dans ce dernier cas l accent a t mis principalement sur le principe de pr caution qui veut que dans un cas d absence de preuve n gative il faut s abstenir de risquer la sant d une population R cemment dans le dossier du CHUM Outemont ce principe a t fermementavanc par le ministre puisqu il y avait un rique potentiel d la pr sence de produits dangeureux circulant tout pr s du site xvi DT6 T s ance du 10 mars p57 xvii DT5 T s ance du 9 mars 2005en soir e p 75 xv i DT3 L s ance du 28 janvier 2003 p xx DT71 C PMGMR R gie r gionale de la sant et des services sociaux Lanaudi re x DT78 C idem Centre hospitalier Pierre Le Gadeur DM23 doc 16 G QUELQUES MATI RES R SIDUELLES DE simili d mocratie Pieuvre gouvernementale Je ne peux igno
2. BAPE audience publique D POTOIR DE SAINT THOMAS M MOIRE PR SENT par Michel Legris Avril 2005 photos LIAISONNEUVE AVANT PROPOS Le pr sent document est une mise jour des m moires transmis au BAPE dans le cadre des dossiers de demande d agrandissement du d potoir de Lachenaie DM060 de celui de Matane DMD09 et de celui de Sainte Sophie DM3 Il comprend aussi certains commentaires relatifs au projet de PMGMR de la CMM DM40 Il tient compte de la teneur de certains m moires alors d pos s C est pourquoi les r f rences la documentation d pos e seront codifi es M pour Matane L pour Lachenaie C pour CMM S pour Sainte Sophie et T pour Saint Thomas Afin d en faciliter la lecture par le monde ordinaire sauf si pour tre compris des technocrates j utilise le moins possible le jargon sp cialis d autant plus que souvent il ne sert qu largir le foss avec nous du peuple pauvres tres inf rieurs Je vous remercie de me fournir l occasion de donner mon point de vue sur le dossier l tude et de manifester mon int r t et pour la d mocratie et pour l environnement Ce sont deux sujets qui me tiennent coeur ils sont la base de ma pr sentation Je d sire soumettre mes r flexions aux membres de la Commission ainsi qu la population et aux d cideurs locaux A PR SENTATION Je suis un retrait du secteur de l ducation o
3. Comme beaucoup d autres je suis tonn d apprendre que la MRC de Joliette n a fait aucune tude pour un autre mode d limination des mati res r siduelles J ai t tout aussi tonn d apprendre qu il se faisait peu de compostage et encore plus d apprendre que la seule solution envisag e tait lenfouissement On met en place des centres sophistiqu s pour le traitement des mati res dites r siduelles quand ce qui n cessite toutes ces installations c est l enfouissement des mati res putrescibles sources du jus de fermentation et des gaz odeur d ufs pourris Comme preuve additionnelle est il besoin d ajouter que Montr al a r serv l espace encore disponible de Pun de ses sites Saint Michel aux seules mati res s ches toutes ses mati res putrescibles tant achemin es dans les d potoirs de ses lointaines banlieues dont Saint Thomas Compostage Le compostage des mati res putrescibles bien fait r glerait ces deux probl mes A l chelle individuelle notre tas de compostage domestique ne cause pas de probl mes d odeurs quand on y d pose au fur et mesure la mati re fraiche Jai d j fait l exp rience une seule fois d y d poser le contenu de sacs de gazon vieilli de quelques jours c tait digne du tas de fumier des 13 vaches de mon oncle Le cas ch ant s il fallait un plus grand site expertise de la ville de Laval qui exp rimente le compostag
4. jai oeuvr quelques ann es titre d enseignant et plusieurs comme gestionnaire de services du personnel dans des commissions scolaires ou dans un coll ge En plus de m occuper de ma famille mes temps libres taient consacr es la chose scolaire en tant que parent la chose syndicale la chose municipale pendant un certain temps comme membre de la commission d urbanisme ou comme conseiller municipal la chose politique comme membre actif d un parti Jai une id e de ce qui se passe l avant sc ne et dans les coulisses Mon int r t pour l environnement a toujours t l a fait partie de moi Je suis membre du GAVAD Groupe d Aide aux Victimes d Agressions D potoirales comit cr la suite des auditions du dossier de Lachenaie Je suis membre de l Union paysanne dont l un des objectifs vise la gestion collective des bassins versants Je fais du compostage depuis l achat de ma maison en 1973 apr s avoir lu Encyclop die du jardinage de W H Perron Je remplis scrupuleusement mon bac de mati res recyclables Chaque semaine je nai pas d poser ma poubelle la rue sauf si quelques os de poulets me signalent de ne pas sauter celle l Je vis seul et je respecte d j l objectif vis de 15 pour le vraies mati res r siduelles je suis m me en de M me l je me demande pourquoi les os s y retrouvent alors qu il se vend de la poudre d os moulus pour le jardinage E
5. sans oublier qu il avait m me une tire lire puisque des fois Pour aider d frayer nos tudes mon p re ramassait le papier pour le revendre Quand j ai achet une maison dot e d une cave j accumulais mes journaux me disant qu un jour ou Pautre Effectivement alors que jen avais une bonne petite corde 4pi X 8pi un scout s est pr sent sa m re l attendait dans l auto valise toute grande ouverte Mais c est bien une partie de la troupe pick up l appui qui a r ussi sortir cette p che miraculeuse avec nergie et satisfaction est il besoin d ajouter Apr s le d c s de mon p re quand ma m re et ma soeur ont d cid de d m nager il a fallu vider le hangar de tout ce qui aurait pu servir J ai eu un dilemme trancher retourner tout cela la ruelle ou ma cave C est avec grand peine que je me suis r sign d poser le tout aux vidanges alors que tout pouvait encore servir je me souviens m me d avoir mal dormi cette nuit l Le lendemain il fallait compl ter op ration Surprise Il ne restait que les vraies mati res r siduelles Je m tais culpabilis inutilement tout ce qui aurait pu servir allait peut tre servir un jour Et comme je pr vois d m nager dans un avenir prochain je sens d j que j aurai des d cisions difficiles prendre Par contre modernit aidant il y a un site Internet qui fonctionne comme la ruelle de
6. titre d expert pollueur tant le principal utilisateur du d potoir Certaines des interventions de son porte parole concernait le bras de fer que se livrent la CMM et le ministre concernant la non autorisation de son PMGMR pour une question de condition rattach e au financement Pas d argent on ne bougera pas p y5 P ch ancier prolong jusqu en 2013 mine de rien Is doivent nous dire pour le 31 d cembre 2006 comment est ce qu ils vont liminer leurs d chets et pas un voeu pieu et pas un principe une solution concr te r elle p riode suivie d un temps pour pour r glementer pour modifier le zonage et pour consulter pour exproprier pour construire etc absence d analyse d autres modes d limination ce qui permettait de dire qu il n tait pas possible de penser avoir 82 lieux d enfouissement les seuls 5 lieux d limination utilis s actuellement hors son territoire en tentant d expliquer que les sites de Demix et Saint Michel dont la capacit d enfouissement n est pas atteinte et dont la phase empilement n a pas encore commenc ne sont pas ad quats encore absentes de son discours la compassion envers la population des bassins versants des d potoirs l quit sociale et Pacceptabilit sociale Je me permets d ins rer ici certains passages de mon m moire d pos la CMM esp rant notamment que la MRC de Joliette r vise sa d cision de
7. une trentaine d ann es Le Gardeur les abris de la piste cyclable ont t rig s l aide de mat riel r utilis Pourquoi lors de la r fection de rues ou de routes l asphalte d cap e ne serait elle pas r utilis e alors qu il se vend une machine pour la re conditionner par exemple pour paver des pistes cyclables ou des sentiers pi tonniers Et pourquoi pas des trottoirs Et le mat riel de fondation des routes bon seulement pour du remplissage i PMGMR tableau 2 4 p 26 vi PR 3 L p11 et DB 12 T4 v DM112 L M moire de M Pierre Vachon DM23 doc 8 Recommandation Que le Gouvernement adopte une politique afin d inciter les organismes gouvernementaux ou para gouvernementaux utiliser des mati res utilisables toutes les fois que l occasion se pr sente D TRAITEMENT DES MATI RES RECYCLABLES La Commission de l environnement de la CMM si geait au moment m me o se d roulait la premi re partie des auditions du BAPE Lachenaie fin janvier 2003 La lecture des compte rendus dans les journaux m avait fait craindre qu on s appr tait commettre la m me erreur que celle d nonc e pr c demment relativement la notion de mati res r siduelles On ne fait pas de distinction entre mati res recyclables et mati res utilisables On se pr pare tout recycler comme actuellement on enfouit tout Recycler une mati re utilisable c est une autre forme de gaspi
8. Son plan de gestion des d chets est compl t et il est en attente d une autorisation du ministre autorisation qu elle n a pas attendu de recevoir avant d agir Une simple consultation de son site Internet permet de constater qu elle a c ur la r ussite du dossier alors que le principal utilisateur du d potoir la CMM en est encore et toujours au stade de repousser l ch ancier et de poursuivre l exportation de ses poubelles Que veut elle comme preuve additionnelle de mauvaise foi Quel avantage y a t il accueillir les poubelles de la CMM autre que la compensation mon taire vers e la MRC ou Saint Thomas surtout si on regarde les inconv nients et les risques encourus par la population du bassin versant Qui lui certifie que dans quelques ann es comme ce f t le cas pour Lachenaie par un autre coup de baguette magique Saint Thomas ne fera pas partie de la CMGM communaut m tropolitaine du Grand Montr al Municipalit de Saint Thomas La ville avait le pouvoir de modifier le zonage du terrain et son usage ce qui semble avoir t fait en catimini M me si le porte parole de la ville pr tend que tout avait t fait lors d une op ration de concordance ma connaissance la concordance devait porter sur une fa on commune de nommer les m mes choses rien n obligeait la municipalit changer le zonage et l usage du terrain c est sa pr rogative peu importe les d sirs de la MRC La popul
9. c est quoi le co t r el de cette tonne de mati res Avons nous les moyens de mettre en place des centres sophistiqu s pour le traitement des mati res dites r siduelles quand 85 de ces mati res n ont pas tre enfouies Pen profite pour signaler que la mise en place d une solution all chante du type centrale productrice d nergie partir de la gaz ification des d chets est du m me ordre elle r gle bien des probl mes mais elle a la faiblesse d tre un autre mode de gaspillage puisqu elle bouffe tout sauf le m tal de fa on identique que ce soit utilisable recyclable ou compostable Par contre a pourrait tre une excellente solution pour le 15 de r els d chets Par contre la solution pr conis e par Conpostec Inc donne d excellents rendements tout en respectant la disposition ad quate des diff rentes mati res selon leur nature Les chantres des conomies d chelle pourraient se rendre facilement compte qu il en co terait moins cher beaucoup moins cher de ne traiter que ce 15 de d chets quelle que soit la m thode utilis e Avons nous les moyens de nous payer ce gaspillage Heureusement il est encore temps que le bon sens prenne le dessus I SOLUTIONS ENVISAG ES Solution de type technocratique la lumi re de la pr sentation faite par le promoteur malgr ses efforts pour s int grer son milieu il ne parle que de part de march conserv
10. moyen de r cup ration depuis 1989 est d environ 1 par ann e A ce rythme avec le genre de recommandation on peut tirer les choses pendant 85 ans soit dans quelques autres g n rations 3 BESOINS ET SC NARIOS POUR L ENFOUISSEMENT DES MATI RES R SIDUELLES Alors qu on prend la peine de reconna tre que ce point est d licat quiconque ayant suivi un tant soit peut les travaux du BAPE dans un dossier relatif un tel lieu peut en t moigner on se contente d un coin de table et de deux sc narios rapidement b cl s que l on soumet la consultation publique Le chapitre concernant les boues est plus fouill et document que celui concernant les lieux d enfouissement On n a m me pas pris la peine d extraire des rapports du BAPE 089 en 1995 et 177 en 2003 les donn es essentielles la compr hension des tenants et aboutissants relatifs un d potoir f t t il tiquet de lieu d enfouissement sanitaire dont les inconv nients observ s chaque jour par la population du xxiv Projet de PGMGMR pp et l xxv idem tableau 3 9 p 57 xxvi idem p 84 DM23 doc 19 bassin versant depuis des ann es et pour des ann es ou les diff rents dangers pour la sant ou l environnement qu ils soient caus s par les bio gaz on le jus de fermentation On num re cinq sites d enfouissement dont celui de Lachenaie qui a atteint capacit limite et du m me coup on omet d inclure celui de Demi
11. tablissement de ses normes de rejet tiennent compte non seulement du d bit de la rivi re Chaloupe mais aussi du fait que le jus de d potoir sera fortement dilu dans l eau provenant de la nappe phr atique Autorisation des PGMR Je me demande partir de quels principes et quelles conditions les PGMR sont autoris s Quand on sait que l on a mis en place une politique qui comprenait un principe visant au traitement r gional des vidanges plut t que d insister sur le pouvoir qu ont les MRC d exercer un droit de regard pourquoi pas rendre obligatoire le devoir de g rer ses vidanges sur son territoire Quand on sait que ce sont les mati res putrescibles qui sont la source de nombreux probl mes pourquoi ne pas exiger qu un PGMR rende obligatoire le compostage domestique ou la mise en place de centres de compostages Quand on conna t tous les probl mes cr s par la pr sence d un d potoir dans une communaut pourquoi ne pas exiger qu un PGMR examine d autres modes d limination des vidanges Ca c est pour le secteur des ordures municipales Les villes n ont pas juridiction pour r glementer celles provenant des ICI et des CRD On constate que ce qui provient de ces secteurs est enfoui p le m le sans une caract risation Wow du jargon aussi fine que pour le secteur municipal Pourquoi le minist re n laborerait il pas un PGMR pour ces secteurs Est ce que les principes mis de lavant
12. Canada 2000 au co t unitaire de 125 185 000 qui se sont retrouv es au d potoir Saint Michel parce que devenues embarassantes because le scandale des commandites f Visite du d potoir de Lachenaie BFT le 2003 02 19 i La Presse 11 mars 2005 p 3 Petite fortune enfouie dans le sol DM23 doc 6 Recommandation Que les membres devant faire partie de l quipe d experts charg s d identifier les mati res utilisables soient recrut s dans un bidon ville d un pays du Tiers Monde au Nicaragua par exemple Que leur traitement salarial soit au moins quivalent celui vers aux personne venues de P tranger pour la r colte des fruits et de l gumes Et surtout Qu ils soient assur s de recevoir l assistance professionnelle appropri e afin de surmonter Pin vitable choc psychologique provoqu par la vue de notre gaspillage institutionnalis notamment de la nourriture N B Je ne voudrais pas tre celui qui aurait leur expliquer que les restes de nourriture c est juste bon pour le compostage d autant plus que la nourriture produite et gaspill e serait de l ordre de 40 50 Traitement des mati res utilisables Une tr s partie de ce qui serait enfoui dans le d potoir de Saint Thomas provient de l ext rieur des MRC limitrophes La mode du passage de poubelles s est r pandue un peu partout dans la province Mais pour les mati res utilisables selon lavis du Minist re un sit
13. c est ce que je nomme gaspillage Afin d atteindre imm diatement les objectifs vis s 60 en 2008 trop g nant de dire que le 50 pr vu en 1989 pour 2000 tait report sine die avant de disposer de nos mati res exc dentaires il faudrait d cider du lieu o elles seront achemin es 1 Utilisables gt gt gt cocentre 2 Recyclables gt gt gt Bacs de r cup ration gt gt gt centres de recyclage 3 Compostables gt gt gt tas de compost 4 Mati re humide gt gt gt bac des mati res humides gt gt gt centre de compostage 5 Mati re s che gt gt gt bac des mati res s ches gt gt gt d potoir Un adulte pourrait tre responsable de la d cision du niveau 1 les enfants celles des autres niveaux Pour obtenir son dipl me terminal de maternelle un enfant devrait tre capable de r ussir parfaitement un test pratique de gestion des mati res exc dentaires Recommandation Que toute mati re d un niveau inf rieur ne puisse tre achemin e dans un centre r serv au traitement des mati res d un niveau sup rieur ce qui signifie que a Une mati re utilisable ne peut tre ni recycl e ni enfouie b Une mati re recyclable ou compostable ou putrescible ne peut pas tre enfouie DM23 doc 5 Contenant utilis s pour d poser les d chets et leur cueillette Tout en d non ant la trop grande quantit de mati res dites r siduelles on tol re on encourage m me l utilisation
14. cueillette de v los en vue de les acheminer l tranger Cet organisme demande si possible d en d frayer le co t de transport 10 Jose imaginer que des ententes semblables sont possibles pour d autres biens D ailleurs un reportage au Point de Radio Canada a montr qu un m decin recycle en R publique dominicaine du mat riel hospitalier dont des stimulateurs cardiaques r usin s aseptis s et sans danger qui valent 8 000 pi ce qui sont usage unique ici au pays et qui se retrouvent la poubelle Il y en aurait pour des millions de dollars Ce qui illustre encore une fois un autre double discours d un c t de la bouche on dit qu on a les moyens de mettre la poubelle pour des millions et de Pautre qu il faut faire des compressions parce qu on n a plus les moyens Chose certaine il y a s rement beaucoup de personnes migr es qui se feraient un plaisir d tablir les contacts avec leur pays d origine Personnellement la suite de l ouragan Mitch qui avait d vast le Nicaragua recul additionnel de 50 ans javais tent de sensibiliser le conseil municipal en vue de mettre en place un projet d entraide SOLIDARIT LE GARDEUR A ma premi re tentative ce f t une fin de non recevoir de la part du maire grand gestionnaire qui ne voulait pas risquer les deniers publics principalement je ne demandais pas d argentl A la seconde apr s un accueil poli du conseil ma d ma
15. de banlieue de la premi re ou de la deuxi me couronne Bien plus comble de l illogisme ses dirigeants ont d cid d une part de cr er une quipe d inspecteurs charg s de contr ler que les sacs verts ne contenaient pas de mati res recyclables et d autre part d emp cher les r cup rateurs de prendre ce qui tait encore utilisable ou recyclable D apr s un reportage la TV il y aurait m me eu un proc s afin de d terminer que la firme qui asssure la cueillette des ordures tait propri taire de ce qui tait mis au chemin Pourtant l heure o les PPP deviennent la mode pourquoi pas s associer aux scrappeurs comme c est pr vu dans le PGMR de la MRC de Joliette D j certains surplus de mati res utilisables sont exp di s dans des pays du Tiers Monde par exemple lors de la cueillette de v los ou de v tements Ce qui est nouveau c est la prise de conscience que le gaspillage actuel enfouissement des mati res utilisables se fait en ignorant totalement les besoins des plus d munis d ici et d ailleurs Les organismes gouvernementaux ou para gouvernementaux pourraient aussi donner l exemple Je me souviens que lors de sa d molition les briques du Centre Paul Sauv avaient t concass es et r duites en poussi re afin de servir par exemple pour l tablissement de terrains de tennis ou de sentiers pi tonniers peut tre pour faire oublier que l difice ne datait que d
16. de contenants de grandeur disproportionn e qui ne sont qu incitation linsouciance Que dire des camions compacteurs qui bouffent peu pr s tout Il f t un temps Le Gardeur o il y avait une cueillette mensuelle des gros objets Maintenant si tu d m nages le jour des vidanges n oublie pas ton sofa sur le bord de la rue sinon tu vas le retrouver au fond du camion compacteur Recommandation Que la capacit maximale d un contenant pouvant tre utilis pour disposer des d chets ne d passe pas celle des petits bacs actuels de r cup ration dont la cueillette pourrait tre r chaque semaine printemps t automne et aux deux semaines lhiver Que les super bacs ne puissent servir que pour a disposition des mati res recyclables dont la cueillette pourrait tre mensuelle C TRAITEMENT DES MATI RES UTILISABLES Inventaire des mati res utilisables Il me semble urgent d tablir la liste des mati res utilisables qui font partie du 85 de mati res qui aboutissent inutilement au d potoir Je pr conise la formation d un groupe d experts qui auraient pour t ches d tablir cette liste et le cas ch ant de r diger un recueil de suggestions pour d autres usages Ce groupe travaillerait sur le terrain et non confortablement assis derri re un pupitre dans une tour bureaux Sur une base exp rimentale pour un temps donn le jour des vidanges il verrait pr c der l quipe charg
17. e de la cueillette habituelle Ces experts verraient identifier les mati res utilisables et les d poser dans un camion remorque un 45 pieds par exemple qui devancerait le camion compacteur je devine qu la fin de la journ e ce dernier serait moiti vide Une telle quipe d experts pourrait faire le m me travail pour les mati res exc dentaires en provenance des commerces et des industries peut tre m me sans qu il ne soit n cessaire d avoir un autre v hicule de transport seule la destination du chargement serait diff rente En effet partir du principe que les biens produits le sont partir de mat riaux de qualit jen d duis que les mati res exc dentaires ne sont habituellement qu utilisables ou que recyclables De plus lors de mes discussions de corridor avec des gens du domaine de l enfouissement semble t il que beaucoup de biens tout fait neufs seraient rendus inutilisables avant leur enfouissement afin de ne pas tre mis sur le march Pour maintenir les prix comme pour le lait jet l gout afin de pas payer d amende suite un d passement de quotas ou comme les cinq millions de litres de lait qui ont failli tre d truits parce que les stocks taient assez lev s en cette p riode des F tes Des bottines neuves de l arm e lac r es pour les rendre inutilisables auraient subi le m me sort Et fen passe Que dire de ces 1500 encyclop dies produites pour c l brer le
18. fraises petits fruits dont tous et chacun se r galaient 1 5 S il est vrai que Saint Bruno est toujours en avant de la parade Laval serait loin derri re faisant du sur place avec son toujours m me projet pilote de compostage alors que le restant de la CMM continuerait plut t regarder passer la parade 6 Chicago a t cit e pour d montrer le temps que a peut prendre pour mettre en place une mesure J en conviens sauf que la fin de 2004 alors que je voyageais dans l Ouest am ricain j avais t surpris par le triage tr s pouss qui se pratiquait dans les auberges d Or gon o j avais s journ En tant ma premi re exp rience dans ce type d h bergement j avais cru que ce souci r sultait d une quelconque philosophie granola C est en lisant le projet de PMGMR que je me suis rendu compte que c tait une pratique r glement e en Or gon que l exp rience de Portland tait cit e de m me que son taux de d tournement de 58 que cet tat avait pris en main le dossier des vidanges peu pr s la m me poque que le Qu bec Tout a pour confesser mes allergies aux discours utilisant des lenteurs observ es ailleurs pour justifier son propre immobilisme Quand on a une r elle volont de bien performer on s inspire de ce qu il se fait de mieux Et tant qu y tre Toronto a pris les choses en main non sans avoir tent dans un premier temps de refiler ses poubelles Kirkland L
19. l assiette ou installer un abri mobile sous lequel les camions d lesteraient leur cargaison comme cela se fait au Saguenay Comment se fait il qu chaque audience il faille repartir z ro tout r examiner Pourquoi pas une base de donn es de la jurisprudence La population qui s informe pourrait tre mise au courant de ce qui existe d j plut t que d assister la r citation d une litanie de bonnes intentions quand ce n est simplement pas de promesses de type lectorales Gestion du jus de d potoir On a envisag utiliser l usine d puration des eaux us es pour disposer du jus de d potoir solution qui n a pas t retenue compte tenu d un probl me de tuyau qui serait situ de part et d autre de lautoroute Au cas o un jour cette solution serait de nouveau envisag ee je me permets de glisser un mot sur le dossier de Matane o on se proposait de faire transiter le jus de d potoir par l usine d puration avant son rejet dans le fleuve comme c est actuellement le cas Lachenaie Certains intervenants ont soulev ce point En effet Particle 45 du Projet de r glement sur limination des mati res r siduelles stipule les normes pour 23 types de contaminant quand le promoteur traite son jus sur place avant de le rejeter dans le r seau des eaux de surface Comme la station d puration des eaux us es rel ve d une autre juridiction du minist re des Affaires municipales les exige
20. la CMM pour se rabattre sur le nombre de cinq secteurs sous pr texte que c est le chiffre qui n a pas pos probl me jusqu date il a sembl tre accept par la population T aurait pu y avoir d autres facons de diviser Beaucoup de ces villes ont une population qui d passe largement celle de la MRC de Joliette ou celle D Autray Un juste milieu est trouver Recommandation Pour Montr al Longueil et Laval chaque arrondissement doit tre consid r comme un secteur et avoir Penti re responsabilit de la gestion de ses d chets de leur cueillette jusqu leur limination sur son territoire Pour les couronnes Nord et Sud il faut que chacune des MRC assument sa pleine responsabilit en ce qui concerne la gestion des d chets tout comme c est le cas pour toute autre MRC Vu P norme retard observ le MENV pourrait imposer provisoirement que chacune de ces instances appliquent un PGMR d j autoris dans une MRC de la province qui aurait pris en charg la gestion compl te chez elle de ses mati res exc dentaires xxix DT3 T soir e du 8 mars 2005 p 62 DM23 doc Il y a lieu de remarquer que toutes les MRC couronne nord ou sud confondues trainent la patte en ce qui concerne la gestion des mati res exc dentaires un simple coup d il sur leurs sites Internet suffit Certaines tant m me silencieuses ce sujet r f rant l Internaute au site de la CMM Toutes se sont mises sur le
21. mode attente que 3 Il est encore plus audacieux de rejeter un peu trop facilement du revers de la main la possibilit que Montr al g re ses vidanges sur place en retournant le site Saint Michel sa vocation premi re B tir un mur de briques sur un trampoline a ne marchera jamais cette affaire l G niale cette comparaison avec une trampoline un peu frustrant de constater que quelqu un d autre y ait pens avant moi Effectivement depuis 2001 les poubelles de Montr al rebondissent dans toutes les directions ext rieur dont Lachenaie Saint Thomas et Sainte Sophie Quant au mur de briques c est un peu moins g nial Et sans tre d accord avec les apprentis sorciers qui veulent ceinturer le p rim tre du d potoir de Saint Thomas avec une membrane tanche sic de bentonite cette solution pourrait tre retenue pour le site Saint Michel Il n y aurait qu excaver sur le pourtour en utilisant si jai bien compris une cabane pression n gative et tout son gr ement pour emprisonner les odeurs et couler un mur de ciment bentonite ou quelque chose d autre Qui sait si un autre apprenti sorcier n aurait pas une id e toute aussi brillante sinon plus 4 Tant qu charrier concernant l engrais fournir aux tomates qui ne devrait pas provenir des couches de b b de souvenance l poque c est du fumier de moutons ou de vaches qui tait r pandu sur les plants de
22. pour le secteur municipal ne s appliqueraient pas tout aussi bien Recommandation Que le minist re de l Environnement labore un PGMR national pour le secteur des ICI et des CRD ax sur les grands principes reconnnus pour le secteur municipal Je sais que certaines villes r clament cette juridiction mais compte tenu des pi tres r sultats obtenus dans les domaines qui les concernaient je suis plut t d avis que c est au minist re de prendre cette responsabilit On n a pas un autre vingt ans perdre Une fois qu elles auront fait leurs preuves le ministre pourrait revoir sa d cision DM 23 doc 14 Commission des transports et de l environnement 2 juillet 2003 Etude des cr dits du minist re de l Environnement La lecture du compte rendu des travaux de cette commission celle qui suivait l lection d un nouveau gouvernement est tr s enrichissante et tr s informatrice On d couvre un nouveau ministre qui tait pr t Les briefing re us semblaient avoir t tr s efficaces puisqu il avait r ponse tout et surtout il avait une tr s bonne id e de ce qu il y avait faire pour performer mieux que son pr d cesseur particuli rement en ce qui concernait la gestion des vidanges Son questionnement quant l insouciance pratiqu e relativement aux mati res dangeureuses tait prometteur avec raison m me un faible pourcentage tant beaucoup plus dommageable l environnement
23. utilisent deux sortes de poubelles une pour les mati res humides et l autre pour les mati res s ches Pose imaginer que leur contenu n est pas enfoui dans la m me parcelle du d potoir Gestion des odeurs Dans l tude d impact les odeurs sont consid r es comme facteur n gligeable Pourtant m me quand elles ne sont pas fortes elles sont facilement perceptibles Pas besoin d un nez lectronique Elles ont un effet sur l humain et sont un facteur de stress la documentation scientifique existe Ind pendamment de cela l appr ciation de leur perception peut varier d un nez l autre Aussi le cas ch ant afin que les plaintes soient toujours re ues avec empathie il serait bon que l v nement l origine soit galement connu du plaignant et du responsable des plaintes Pour cela il suffit de bien localiser les locaux administratifs du promoteur Recommandation Que les locaux administratifs du promoteur soient situ s sur le terrain du d potoir et obligatoirement en aval du secteur d enfouissement dans l axe des vents dominants xiDM 105 L R gie r gionale de la sant et des services sociaux de Lanaudi re DM23 doc 12 Gestion des go lands Encore une fois on se pose des questions on se propose de faire des exp riences pour r gler un probl me auquel un autre site a t et continue tre confront Lachenaie deux solutions ont t sugg r es r duire
24. 0t a demand es soit l application de l objectif vis l poque de r cup rer 50 2 limiter l usage du site aux 2 MRC limitrophes au d potoir L assomption et des Moulins excluant d s lors la CUM et Laval En ignorant la premi re recommandation le message du ministre tait clair On a une politique visant a diminuer la quantit des mati res enfouies mais on ne fait rien pour l appliquer Et en ignorant la deuxi me Eh hop Que se poursuive l exportation des poubelles Je ne doute pas de l honn tet ni de la sinc rit de membres de la Commission leur insistance aller au fond des choses est exemplaire mais ces faits sont de nature a bien saisir la r elle importance accord e au BAPE rel gu au r le d amuseur du public pendant que les d cisions sont d j prises ailleurs Et cette remarque du nouveau ministre me laisse songeur quand il dit Par contre le BAPE a fait un travail mon sens tr s quilibr l dedans Is nous viennent avec certaines recommandations C est toujours important de savoir ce qu est le BAPE et ce qu il n est pas Le BAPE va faire une analyse qui contient beaucoup d observations des gens autour Donc ils vont refl ter leurs d sirs Mais il faut aussi regarder la science qui sous tend xxxvi DT1 T soir e du 7 mars 2005 p 2 xvi DM38 2 L Rapport d analyse environnementale svii DQ11 2 L Motifs soumis au Conseil des ministres d cret 1995 DM23 doc 25
25. 65 pour Pan 2008 Digitu in oculo bis On semble tre rendu mi chemin de l tape alors qu en r alit seize 16 ans se sont coul s depuis la premi re prise de conscience du probl me en 1989 Sans m me esquisser un sourire on rassure la population en lui disant qu au 31 d cembre 2006 il y aura un plan qui va nous mener destination La personne qui se console en disant qu avec une note de 12 5 on est un peu sous la moyenne des cancres 14 5 ne m rite t elle pas de porter le bonnet d ne tout comme cette autre personne celle l porteuse d un doctorat en ducation qui se pette les bretelles parce que sa ville est au dessus 17 5 de cette moyenne Dring dring La note de passage fix e 50 est maintenant rendue 65 sans oublier que c est 85 qui est l objectif acceptable DM23 doc 27 La m thode des petits pas faits sur place a fait ses preuves au moins essayons en une autre Il me semble que pour attraper un taureau on ne fixe pas d objectifs moyen ou long terme il faut prendre son courage et l attraper par les deux cornes tout de suite Par une corne seulement ou par un bout de queue c est un chec garanti Tu ne peux pas y parvenir en attrapant un nouveau petit bout chaque jour La solution du probl me du traitement des mati res exc dentaires ce n est qu une question de volont de le r soudre et en cons quence de choix budg taire Et pas demain t
26. Berthier m riterait de faire le tour du Qu bec c est en peu de mots un cours de d mocrataie 101 On sait que dans un plan de gestion des mati res r siduelles on doit faire des audiences publiques a fait que pour nous on avait refus cette entente l en disant que c est un peu de piper les d s dire en fin de compte notre population peu importe ce que vous allez dire de toute facon a ne servira rien parce qu on a d j une entente avec l entrepreneur a fait que c est pour cette raison l qu on avait refus pour que la population puisse faire valoir ses points sur ce projet six CTE 2 juillet 2003 10h00 7 OO S ance du 10 mars 2005 pp 44ss ne DTA4 T 9 mars 2005 apr s midi p 20 DM 23 doc 26 Est il n cessaire de faire remarquer que la majorit des d cisions affectant la population d un bassin versant ont t prises par des organismes agissant gr ce une d l gation de pouvoirs sans que la population n ait de droit de regards ou de r els recours Recommandations Que le minist re de l Environnement soit d sign comme le ma tre d uvre pour Papplication de la Loi sur l Environnement avec mandat de jouer un r le pro actif Que tout projet assujetti aux disposition de la Loi sur l Environnement soit d abord autoris par le minist re de l Environnement pr alablement toute d cision d un autre minist re ou d une ville Que tout r glement ou toute modification de r
27. MM en cinq secteurs on ne sait trop pourquoi la g ographie l organisation municipale le logo de la CMM qui soit dit en passant amalgame l Ile de Montr al et lIle Laval la magie du nombre ing un simple brassage de d s Ainsi dans le domaine qui nous int resse la gestion des vidanges l un de ces secteurs lile de Montr al l entit la plus populeuse produit autant de d chets que les quatre autres secteurs r unis Bien s r quand on maintient le principe du d placement des poubelles ailleurs on a int r t faire croire que chaque secteur sul CTE Commission des transports et de l environnement 2 juillet 2003 10h DM23 doc 20 aura les m mes responsabilit s mon sens il faut que l autonomie municipale prenne tout son sens et que chaque ville on chaque arrondissement ait la pleine et enti re responsabilit de la gestion de ses d chets de leur cueillette jusqu leur limination sur son territoire Ce serait une facon non contestable de satisfaire imm diatement tout le moins partiellement ceux qui pr nent les d fusions municipales C est un excellent dossier pour d montrer son savoir faire m me si on ne s en est pas pr occup dans le pass Ainsi les secteurs les mieux nantis pourraient mettre en place les meilleures et s rement les plus belles infrastructures 6 INVENTAIRE D AUTRES MESURES D LIMINATION DES D CHETS Mis part quelques br ves allusions l existenc
28. ake puis dans un deuxi me temps les avoir refil es au Michigan jusqu ce que la population s oppose cette cohabitation avec les poubelles de la m tropole canadienne xxx idem p 64 xxxi DT3 T soir e du 8 mars 2005 p 66 xxxii idem p 66 xxxiii PMGMR septembre 2003 p 156 DM23 doc 23 7 Pas d accord pour mettre une police dans chaque cuisine une seule dans le bureau de chaque maire d arrondissement suffirait Cette police de l thique aurait pour mandat de veiller notamment ce que les d cisions prises soient conformes aux principes d mocratiques avec un souci particulier pour le respect du citoyen et conformes aux engagements lectoraux pris en p riode lectorale certaines que l on recycle d lection en lection La cr ation de ces postes serait co t nul puisqu il suffirait que les budgets allou s aux cabinets politiques i e personnes charg es de veiller la r lection des lus m me les deniers publics servent au paiement des salaires de ces nouveaux postes Dans le cas de Repentigny a repr senterait une somme d environ 100 000 belles piastres Ce sont les partis politiques qui auraient financerles cabinets politiques comme cela devrait tre MRC de Joliette La MRC s est entendue avec le promoteur sous le couvert d un partenariat a fait bien a fait moderne sans avoir en main toutes les donn es pertinentes celles que le BAPE permet de recevoir
29. artie publique de cette proc dure qui est men e par le BAPE et laquelle vous participez ce soir le Minist re proc de sa propre analyse environnementale C est la lumi re des deux valuations que le Ministre fera une recommandation au conseil des ministres o sera prise la d cision de r aliser ou non le projet et si oui quelles conditions En voici la port e la r elle importance accord e au BAPE tel que d montr par des faits dans le dossier de la premi re demande d agrandissement du d potoir de Lachena ie en 1995 1 Dans son rapport d analyse environnementale le minist re de l environnement mentionne peine le BAPE et il ne fait aucune analyse critique de ses principales recommandations ou ne donne les motifs pour ne pas en tenir compte Fait troublant l existence de ce rapport a t connue uniquement parce qu il a t annex dans le m moire d un groupe requ rant la tenue d audiences publiques 2 La note explicative du ministre au Conseil des ministres mentionnait laconiquement Le rapport de la Commission du Bureau d andiences publiques sur l environnement arrive la conclusion que le projet est aussi acceptable certaines conditions Fait tout aussi troublant il ma fallu intervenir plus d une fois avant que cette note soit plac e au dossier deux mois apr s la demande initiale Quelles taient ces conditions 1 N autoriser que 470 000t a des 870 00
30. ation n a pas t mise dans le coup encore moins celle du bassin versant Seul l aspect mon taire semble avoir t retenu et encore l sur division du conseil Des taxes c est donc important peu importe leur source L argent n a pas d odeur Pourquoi ne pas faire comme a fait la ville de Matane suite aux audiences du BAPE et proc der un r f rendum aupr s de la population du bassin versant afin de v rifier le r el degr de son appui Est ce que dans un dossier semblable on peut se contenter d un Qui n a dit mot a consenti surtout quand l vidence m me ce n est pas le cas La situation g ographique du d potoir permet de mettre en lumi re l incoh rence du syst me une xxxiv www mrcjoliette qc ca xxxv BAPE Matane rapport 184 p 96 DM23 doc 24 autrel C est une seule municipalit qui d cide de l usage d un terrain r gi par la Loi sur l Environnement et qui collecte les taxes alors que c est la population du bassin versant en tr s grande partie contribuable dans d autres municipalit s qui en subit les inconv nients odeurs bruits go lands et pollution de sa source d eau potable sans avoir un mot dire BAPE Tout comme l avait fait la pr sidente de la commission de l audition du dossier de Lachenaie et la pr sidente de l audition du dossier de Sainte Sophie la pr sidentea pris soin de mentionner en d but d audition Parall lement la p
31. demandes pour des motifs tout aussi louables Malgr qu elle avait le pouvoir de maintenir son credo sans avoir de fardeau de preuve surmonter elle a permis que s ouvre la bo te de Pandore avec le r sultat que Pon voit actuellement On fait croire la population que l on veille au grain alors que ce n est pas le cas la porte est barr e double tour mais pas pour tous C est de la pure hypocrisie La simple lecture de sa d cision permet de comprendre sa r gle de son fonctionnement surtout quand on place cette d cision en parall le avec celles prises dans les dossiers ci haut num r s Tout coup la qualit des sols est prise en compte en prenant soin de la sous estimer es parties de lots vis s sont d j utilis s des fins non agricoles alors qu ailleurs on la sur estimait pour ne pas d zoner Encore plus intriguant l usage non agricole ne devait tre que temporaire Le d cret 1051 2002 levait le moratoire pour tenir compte des besoins r gionaux La Commission jugeait qu il n y avait pas de sites de moindre impact qu un agrandissement tait toujours moins susceptible que l implantation d un nouveau de bouleverser l homog n it d un milieu agricole Le probl me c est que la demande d agrandissement visait surtout la satisfaction de la CMM pourtant bien pourvue en zones non agricoles Et tel Ponce Pilate la Commission prend soint de signaler l exclusion recherch
32. e d autres moyens pour l limination des d chets aucune tude s rieuse ne vient appuyer la d cision de ne retenir que l enfouissement comme mode de leur limination Pourquoi ne pas avoir tabli une liste des autres moyens en d crivant les avantages et les inconv nients pour chacun L inconv nient de travailler sur un coin de table c est d oublier des pans importants d un dossier et de pr senter un travail b cl m me si premi re vue la pr sentation visuelle du rapport est excellente tout semble parfait 7 CH ANCES DES CONTRATS DE CUEILLETTE DES D CHETS Afin de continuer pelleter encore en avant le dossier on voque l ch ance des contrats la ren goriation de contrats etc Tout ce qui est de nature appuyer un report des d cisions est utilis On prend bien soin de ne pas analyser le contenu de ces contrats les consid rer comme tous identiques alors qu on sait qu ils sont tr s diversifi s Malgr cela qu est ce qui emp cherait de n gocier des ajouts il serait tonnant de d couvrir qu il existe un seul contrat contenant un service supprimer puisque selon les pratiques existantes ce n est que le minimum qui est fait actuellement Qu est ce qui emp cherait d aller en soumission pour ajouter une ou des cueillettes sp cialis es en addition ce qui se fait pr sentement Bien plus on signale que des contrats venant ch ance avant l adoption du plan seraient ren goci s
33. e de certains r sidus pourrait tre utile Corner Brook Terre Neuve on traite les r sidus provenant de ces industries et on produit du compost que l on vend travers le monde un million de sacs Dur e du compostage quatre 4 mois En Alberta une ferme communautaire utilise un syst me de recyclage de lisier proc d invent au Luxembourg pour traiter le lisier de porc le fumier de vaches et le crottin de moutons Proc d qui diminue les odeurs de 80 qui permet de produire de l lectricit qui g n re de la chaleur pouvant chauffer des installations ou le jus de d charge qui donne de l eau potable et dont les r sidus servent engrais Dur e du processus un 1 mois De Pautre c t du fleuve la MRC du Bas Richelieu fait affaire avec la compagnier Conporec inc dont le traitement des mati res r siduelles donne en bout de ligne du compost et des mati res recycl es d j il n y aurait plus que 29 de r sidus qui se rendraient au d potoir i La Presse 12 mai 2003 p B7 x http radio Canada ca actualit semaineverte mission du 26 janvier 2003 xi http radio Canada ca actualit semaineverte mission du 16 mars 2003 ai www mtrc bas richelieu qc ca DM 23 doc Fl F ARGUMENTS SUBSIDIAIRES Tout ce qui pr c de va dans le sens de l limination de l enfouissement comme mode de traitement des mati res r siduelles qu elles soient utilisables recyclables ou co
34. e n est pas l tape ultime mais en est une pr alable la d fense du dosssier devant le minist re de l Environnement et le BAPE En un mot sa r gle de fonctionnement c est l arbitraire xi DA4 S CPTAQ d cision 332064 du 3 octobre 2003 DM 23 doc 17 Feu le minist re de l Environnement Et fait tout aussi impressionnant sinon plus c tait m me une constante remarqu e tout au long de la premi re partie des audiences Lachenaie le Minist re de l Environnement semblait bien s accommoder de la chose Il n aurait pas eu tre consult Le voulait il Le veut il Le voudrait HE Que dire du d cret 1051 2002 qui levait le moratoire pour faire face des besoins r gionaux alors que plus de 70 des vidanges viennent de l ext rieur de la r gion Et finalement ce minist re est disparu comme par enchantement lors du r cent remaniement minist riel l Environnement tant rel gu au rang de simple principe inscrit dans le Plan de d veloppement durable Son ancien titulaire avocat de formation donc habitu l importance des mots ne s tait pas rendu compte de ce fait laissant deviner sa v ritable pr occupation et celle de son gouvernement pour l Environnement bien s r quand il est question de limousine et de chauffeur un d tail ou l autre peut chapper CMM La Communaut m tropolitaine de Montr al tait pr sente lors de la premi re partie des audiences j imagine
35. e r siduelle tout ce qui est achemin au d potoir Ainsi la m me bouteille peut tre consid r e comme une mati re utilisable si quelqu un la conserve pour embouteiller son vin en vrac ou une mati re recyclable s il la d pose dans son bac de recyclage ou une mati re r siduelle lorsqu il la met la poubelle C est une d finition flexible tout d pend de la d cision de chacun tonnant pour un non avertil DM23 doc 4 Pour les fins de ce qui suit et pour vraiment r pondre aux objectifs vis s par la nouvelle tentative pour r duire les mati res dites r siduelles je suis d avis que les notions doivent tre clarifi es On devrait parler de mati res exc dentaires quitte les cat goriser comme suit Recommandation Que les d finitions suivantes soient retenues aux fins de distinguer les diff rents types de mati res exc dentaires Utilisable mati re qui peut tre encore utilis e telle quelle ou en partie pour les m mes fins ou pour toute autre Recyclable mati re qui peut tre recycl e en totalit ou en partie compostable putrescible R siduelles D chets ordures ou vidanges mati re qui n est ni une mati re utilisable ni une mati re recyclable ni une mati re compostable ou putrescible Triage la source des mati res exc dentaires On d plore que trop de d chets aboutissent au d potoir
36. e temporaire de transition n a pas r pondre aux normes fix es pour le traitement des vraies mati res r siduelles Recommandation Que chaque ville voit d terminer imm diatement un lieu situ sur son territoire lieu o seront trait es toutes les mati res utilisables Que ce lieu soit facilement accessible aux citoyens afin de leur permettre d y d poser leurs mati res utilisables et ce des heures d ouverture appropri es surtout les samedis dimanches et jours de cong Qu un syst me de cueillette fr quente des mati res utilisables soit mis en place imm diatement Ces r gles doivent s appliquer dans chaque ville C est facilement r alisable imm diatement C est un d but pour r gler l change de poubelles entre les villes C est une fa on de sensibiliser la population d une ville au fait que ses d chets ne disparaissent pas comme par enchantement En visitant la Foire des Villages en f vrier 2003 je mai pas t tonn d apprendre que le m me ph nom ne existe ailleurs par exemple dans la r gion de Drummonville Plessisville D j je savais ii La Presse 27 mars 2005 p A3 Tant de nourriture gaspill e DM130 L R seau des ressourceries du Qu bec DQ10 L question 2 DM23 doc 7 que les poubelles de Le Gardeur et de Repentigny aboutissaient Saint Thomas Pourquoi Saint Thomas Parce que a co tait moins cher vu que la technologie tait
37. emps il est mis en bouteilles celles ci moins d tre r utilis es lors de l achat de vin en vrac se retrouvent soit dans le bac de recyclage soit au d potoir Les boissons gazeuses sont mises de plus en plus dans des contenants de plastique ou dans des cannettes consign s Pourquoi le lait n est il plus mis dans des bouteilles de verre r utilisables Et les jus Recommandation Que dans un premier temps seuls les contenants consign s faits de verre ou de mat riel recyclable soient autoris s pour lembouteillage Que par la suite les contenants remplissage unique soient interdits DM23 doc 9 Tel que recommand pour les mati res utilisables les organismes gouvernementaux ou para gouvernementaux pourraient aussi donner exemple en favorisant l utilisation de mati res recyclables Recommandation Que le gouvernement adopte une politique afin d inciter les organismes gouvernementaux ou para gouvernementaux utiliser des mati res recyclables toutes les fois que l occasion se pr sente Et pourquoi pas instaurer ou d velopper un programme de collectes s lectives pour certaines mati res certaines p riodes de l ann e Par exemple les branches ou les d barras apparaissant habituellement lors de la collecte suivant les fins de semaine allong es par un cong f ri Ca pourrait donner un quelconque signal qu on se soucie du probl me et avoir un effet d entra nement Recommanda
38. er que de libre concurrence subordonnant ces principes l quit sociale et Padmissibilit sociale je crains qu une d cision de type technocratique ne soit prise en ne consid rant que le respect des normes que la modernit des m thodes utilis es des plus petits d potoirs ne favorisant pas la rentabilit d quipements tr s sophistiqu s sans gards pour l environnement y compris la population habitant le bassin versant D autant plus que le dossier actuel ressemble trangement celui de Lachenaie et celui de Sainte Sophie que les conseillers du Ministre et que la culture du minist re normes statistiques p p m etc doivent tre probablement encore les m mes que le nouveau ministre n a pas perdu de temps plier P chine devant ses fonctionnaires et d cr ter une prolongation d un an Sainte Sophie m me apr s avoir d clar en juillet E on a des biogaz qui s chappent d en dessous et on a des puits on a de leau contamin e tout pr s On a des vrais probl mes Sainte Sophie Lachenaie2003 m moire wpd 32 Solution privil gi e mon avis la demande d agrandissement doit tre refus e La nappe phr atique est d j atteinte et rien ne garantit que malgr les efforts des apprentis sorciers elle sera prot g e ind finiment Il faut donc appliquer le principe de pr caution non pas uniquement celui du plan de d veloppement durable Lorsqu il y a un risque de d
39. ertaines villes de la Mont r gie transitent par Montr al avant d aboutir Sainte Sophie Par contre on retrouve la r ponse ce myst re dans le PGMR de la MRC de Joliette les co ts additionnels de transport si la demande d agrandissement du d potoir de Saint Thomas n est pas accept e sont de l ordre de 12 20 c est dire de 7 12 Ce qui permet de comprendre que ce n est finalement pas un myst re ne pas avoir ses poubelles dans sa cour a co te entre 7 et 12 un vrai bargain I Tout cela tant dit plut t que de s attarder des conomies de bouts de chandelles a t on valu les co ts du transport des seules v ritables mati res r siduelles xlvii PGMR MRC de Joliette p Lachenaie2003 m moire wpd 31 Co ts du gaspillage J ai trop souvent entendu des directeurs de finances d fendre leurs deux colonnes revenus d penses ignorant et passant sous silence des co ts cach s des co ts indirects difficilement valuables mais bien r els Quels sont les co ts du gaspillage Quels en sont les co ts environnementaux les co ts sociaux les co ts humains La tonne de mati res utilisables recyclables ou compostables que l on transporte que l on enfouit qui d gage des biogaz que Pon br le et rejette perte dans l atmosph re et qui ont des effets pas trop tudi s sur l environnement y compris sut la population du bassin versant qui qui qui
40. es y d poser l plut t qu au chemin Co ts du triage la source Combien co terait la somme des fractions de seconde n cessaires la prise de d cision relative la disposition des mati res exc dentaires Est ce que je d pose cela avec les mati res utilisables en attendant la cueillette Dans le grand bac recyclage Sur le tas de compostage Dans le petit bac de d chets secs Dans le petit bac de d chets humides Quel en est leur co t quand toutes ces d cisions individuelles se prennent au d potoir lors du triage afin de d m ler et tenter de remettre les mati res exc dentaires un peu dans l tat o elles taient avant d tre abandonn es la rue Co ts du transport Il est quand m me tonnant de voir l appui donn par la CMM pour l agrandissement du d potoir quand dans son projet de plan de gestion des d chets elle n labore que sur un seul inconv nient relatif l limination de ses vidanges soit les co ts du transport Montr al et Laval ont ferm tous leurs d potoirs et exportent leurs poubelles en dehors de leurs territoires dans des banlieues situ es plusieurs kilom tres Repentigny et Le Gardeur qui se plaignent des inconv nients du d potoir de Lachenaie acheminent leurs poubelles Joliette une trentaine de km Mascouche dont Pusine d puration traite le jus de d charge du d potoir de Lachenaie achemine ses vidanges Sainte Sophie les vidanges de c
41. et la sant que le fort pourcentage de mati res recyclables inertes enfouies Par contre il n a pas fallu beaucoup de temps pour qu il se laisse bouffer par la machine apr s avoir signal que le probl me de Sainte Sophie tait pas mal plus grave que celui de Lachenaie la nappe phr atique tant atteinte il n a pas perdu beaucoup de temps peine quelques mois pour autoriser urgence un ajout d un million de tonnes sur le tas pour ensuite accepter la demande d agrandissement Un autre sujet abord concernait les statistiques utilis es pour la gestion des vidanges Voici en rafale une s rie de remarques C est quoi son pourcentage Parce que c est exactement la m me question que moi je pose RECYC QU BEC depuis que je suis arriv C est quoi ton pourcentage Sur quelle base vous arrivez votre calcul Alors moi j ai demand la m thodologie de ce qui tait utilis En l occurrence on se basait sur des sondages litt ralement pas des coups de sonde dans le sens comptable mais des sondages des papiers qui taient envoy s aux gestionnaires des diff rents lieux d enfouissement sanitaire qui eux s antod clara ent en ce qui concerne la quantit qui tait d pos e puis la quantit qui tait recycl e _ j tais fort insatisfait de cette fa on de faire Quand on me balance un chiffre de 37 ou de 42 ou de 45 45 de quoi pes par qui me
42. fs aux co ts cologiques je crois que l quation est mal pos e Je suis d avis qu il faudrait plut t consid rer celle des co ts de recyclage compar s la somme des co ts pour l enfouissement ET ceux pour la production d une mati re nouvelle Sans avoir pu obtenir des chiffres plus d taill s et pr cis en ce qui concerne les co ts de production Recyc Qu bec a fait du progr s car il a d pos un tableau illustrant les valeurs des mati res recyclables je reposerai la m me demande lors d un prochain BAPE afin qu une colonnne soit ajout e pour inscrire le prix du co t du recyclage de chaque mati re et une autre pour y inscrire son co t de production il me semble aller de soi qu sa face m me le co t de recyclage est inf rieur au co t de production quelle que soit la mati re concern e Alors l quation consid rer est celle ci co ts de recyclage lt co ts d enfouissement co ts de remplacement Et comment ne pas penser qu un jour prochain quelqu un aura l id e de surtaxer l enfouissement comme pour l essence ce qui devrait tre un incitatif suffisant pour le non enfouissement des mati res recyclables Financement par la tarification de l industrie Le Gouvernement a d cid de taxer les industries de l emballage Je crois plut t pr f rable ladoption d un r glement qui obligerait les organismes vis s inscrire le co t de emballage du contenant ou de la circulaire A
43. glement municipal soit soumis Papprobation de la population habitant le bassin versant sans gards la ville d appartenance H CERTAINS ASPECTS CONOMIQUES Je suis tonn pas vraiment d entendre claironner qu on ne peut faire autrement qu on n a pas les moyens qu il en co terait beaucoup trop cher On pr ne la th orie des conomies d chelle alors que dans le cas pr sent la mise en commun des vidanges engendre plut t des co ts d chelle En ce qui me concerne le probl me n est pas d ordre financier Comme dans le domaine de la sant il est beaucoup d aux modes de gestion d ficients Le laissez faire a un prix qu il faut payer un jour c est actuellement le cas JI Ce n est qu un d but con ti nu ons le Il faut une volont politique de r gler le probl me un peu comme la fait l H pital Juif de Montr al qui avait une des pires performances concernant la gestion de son service d urgences Un jour quelqu un a dit On r gle le probl me il n y a plus aucune bonne raison acceptable pour ne pas le r gler et le probl me est r gl Leur fa on de faire sert maintenant de r f rence dans les autres h pitaux Je ne pense pas que ce soit avec des mesures tal es dans le temps qu on y parviendra En 1995 lobjectif de 50 de r duction fix en 1989 pour Pan 2000 n tait atteint qu 5 En 2003 on en tait 17 alors qu en 1998 on visait
44. insi le consommateur serait en mesure de voir ce que ces facteurs de pollution repr sentent sur son porte feuille Par exemple la tr s belle publicit de Bell tr s tudi e tr s sophistiqu e que je re ois sans lavoir sollicit e qu est ce que a me co te surtout quand les augmentations de tarifs sont justifi s par d autres motifs Et les circulaires de la SAQ sur papier glac qualit magazine pour annoncer les produits d un monopole d tat J aimerais ne pas les recevoir et obtenir un rabais quivalent leurs co ts de production m me si ce n tait que quelques cennes par mois Recommandation Que le Gouvernement adopte un r glement rendant obligatoire la divulgation du co t de Pemballage du contenant ou du support publicitaire crit afin que le consommateur puisse se rendre compte ce qu il lui en co te Compensation financi re Il a t question de compensation financi re dans le projet de la CMM I va de soi qu ce titre la CMM devrait galement identifier des mesures de compensation pour inciter les autorit s locales et la population les accepter Ces mesures sont plus souvent qu autrement des compensations financi res Traduction libre les secteurs riches qui n ont pas besoin d apport financier pourront continuer exporter leurs poubelles vers les secteurs moins bien nantis avides de nouveaux fonds C est m conna tre ce que dit la ivi PMGMR p 70 Lache
45. la rue Darling tout doit tre gratuit http ca groups yahoo com group freecyclemontreal D j je respire mieux il y a de fortes chances qu il n y ait pas grand chose qui se retrouve la rue En 1994 je me suis rendu au Nicaragua un des pays les plus pauvres des Am riques comme accompagnateur d un groupe d tudiants d un coll ge impliqu dans un programme de solidarit internationale Liaisonneuve J ai v cu une semaine dans un petit village de montagnes J y ai retrouv le Qu bec rural d il y a 60 ans J tais h berg dans une famille Pour viter le choc je me disais que je faisais du camping l int rieur la propret de la maison tait quand m me sup rieure celle des blocs sanitaires de certains campings Mat riellement parlant m me si c tait pauvre les gens habitaient dans des lieux convenables comparer ce que j ai pu voir par la suite Les outils taient rares une pelle pour 10 personnes Le salaire moyen de ceux qui avaient la chance de travailler taux de ch mage de 65 en 1996 tait d un dollar par jour 300 an 71 de la population vit sous le seuil de la pauvret lt 1 US jour Dans un petit h tel o nous avions s journ quelques jours nos restants de poulet boeuf poisson l gumes ou riz ne se rendaient m me pas aux poubelles de jeunes enfants les pla aient p le m le dans des sacs de plastique afin d en partager le contenu avec leur famille En
46. les cl s finiront dans des usines de recyclage et les maigres profits de la vente du m tal seront vers s des oeuvres de charit Les lunettes seront envoy es des organismes non gouvernementaux pour distribution dans les pays du tiers monde Quant aux objets de grande valeur appareils lectroniques appareils photo et aux valises ils sont vendus en vrac un prix d risoire juste bon couvrir nos frais de manutention une compagnie priv e d Ottawa qui y a pignon sur rue 59 Montreal Road sous la raison sociale de The Unclaimed Luggage an Goods Store O chaque objet est vendu s par ment J D ROULEMENT DES AUDITIONS J ai t agr ablement surpris de constater qu un organisme gouvernemental reconnaissait au citoyen le droit d tre inform et de donner son opinion sur un sujet d int r t public ou de lui en donner Pillusion si le gouvernement a d j pris sa d cision Petit d tail la cote d un document d pos s ance tenante ou celle du document auquel une intervention se r f rait n appara t pas au verbatim cela faciliterait les recherches dans la documentation Gros d tail les commissaires devraient avoir acc s une base de donn es contenant les principales questions d j soulev es dans des dossiers semblables Ainsi information serait donn e imm diatement aux citoyens et cela viterait de nouveaux frais de recherches encourus par de nouveaux intervenants la lecture des com
47. llage qui en plus co te plus cher Il n y a pas de comparaison faire entre les co ts de r utilisation et les co ts de recyclage Seulement titre d exemples de gaspillage la liste pourrait tre longue chacun y ajoutant du sien j aimerais parler des emballages des contenants de liquide des circulaires ou des encarts publicitaires et de l industrie de la restauration rapide Emballages Pour les F tes j ai achet ma petite fille un logiciel p dagogique un CD dans sa bo te de plastique elle m me habilement ins r e dans un carton ondul au moins quatre fois trop grand lui m me plac dans une bo te elle m me prot g e par un papier cellophane le tout mis dans un sac en plastique lors du paiement la caisse Quand j ai voulu installer le CD ne trouvant pas le manuel d instructions annonc j ai failli rapporter le tout au magasin Heureusement que non puisque pendant que la petite apprivoisait le logiciel jai d couvert le manuel d instructions ins r dans le couvercle de la bo te de plastique Il me faudrait en acheter plus souvent je sais maintenant On peut facilement dire L industrie de l emballage s est emball e Contenants R gle g n rale comme dans le temps la bi re est embouteill e dans des contenants de verre consign s que l on rapporte chez le marchand ou modernit voulant dans des contenants en aluminium tout autant consign s Quant au vin comme dans le t
48. moins sophistiqu e Donc a co te moins cher parce qu on pollue plus Connaissant un peu la th orie des dominos je n ai pas de peine pr dire que le BAPE a du pain sur la planche pour de nombreuses ann es venir peine 3 mois apr s l audience de Lachenaie j tais Matane puis une ann e plus tard Sainte Sophie alors que l je suis rendu Saint Thomas Avec ces recommandations il n y a rien de nouveau sinon qu un syst me fonctionnel et structur est mis en place Pensons ce qui existe d j comme lieux de distribution des mati res utilisables la Saint Vincent de Paul les friperies les centres de mat riaux usag s les centres de vente de meubles usag s les pawn shops les cours de scrap les magasins d antiquit s les magasins de surplus de Parm e etc La CMM a recens 2 107 ressources et 2 031 organismes sur son territoire Une bonne partie de ce qui est enfoui dans le d potoir provient de Montr al tous ses centres de traitement de d chets ont t ferm s d potoirs et incin rateurs Lorsqu il f t question d en tablir un qui aurait t situ l int rieur du vaste quadrilat re industriel lourd dans le secteur est il y a e t une lev e de boucliers Il n tait pas question de vivre tous les inconv nients reli s au traitement des d chets Il tait donc facile de passer la poubelle aux voisins c est dire aux autres sites
49. mpostables elles se doivent d tre trait es diff remment selon leur nature voir toutes les exp riences qui sont tent es dans ce grand laboratoire ciel ouvert on croirait avoir faire des apprentis sorciers qui plut t que de s attaquer la source du probl me qu ils g n rent pr f rent solutionner les probl mes cr s par leur propre solution imparfaite sans aucun respect pour la Nature Je fais r f rence particuli rement la pollution de la nappe phr atique La Nature a donn un message clair et pourtant on s acharne la d fier et trouver des solutions partir d une quelconque mod lisation Comment ces apprentis sorciers peuvent ils oublier que de grandes catastrophes se produisent souvent quand on a d fi la Nature Mais s il fallait maintenir des lieux sophistiqu s encore faudrait il les g rer efficacement en se posant quelques questions Pour certaines mati res il faut un plus grand nombre d ann es avant qu elles ne se d composent Ce n est pas une raison de les enfouir p le m le sans gards leur dur e de d composition et de ne pas faire une certaine rotation dans l utilisation du site une fois que les mati res enfouies dans une cellule sont devenues inertes Quand la for t tait consid r e comme une ressource in puisable on ne se pr occupait pas on ne faisait que des coupes blanc Maintenant on fait des rotations dit on Plusieurs terrains de camping
50. naie2003 m moire wpd 30 population du bassin versant du d potoir de Lachenaie ou de celui de Matane Dans les deux cas j ai entendu peu pr s la m me r flexion La taxe de 100 pour la collecte des ordures je la paierais volontiers afin de ne pas avoir cette senteur longueur d ann e ou Une conomie de 438 pour avoir les poubelles d ailleurs dans ma cour Merci En fait cette compensation financi re ce n est qu un nanan en change des poubelles d ailleurs Un cheval un lapin dirait Pautre De plus cette id e d une compensation mon taire me fait penser Avec de l argent on peut tout faire faire faire mais aussi faire faire validant peut tre une autre l gende urbaine concernant les enveloppes secr tes surtout quand des d cisions ind fendables sont prises Co ts du compostage De plus en plus les gens jardinent et s occupent d am nagement paysager De plus en plus aussi on vend des sacs de terre noire dans les centres sp cialis s dans les centres de r novation m me dans les march s d alimentation Le co t habituel est de 5 pour 3 sacs c est presque donn Si ces 3 sacs p sent 50 livres a fait 200 la tonne Si ce compost provient d un d potoir qui en produit il faut ajouter le co t du transport des mati res premi res au d potoir 68 presque rien Conserver les mati res premi res dans un tas de compostage a co te rien Juste l effort de l
51. nces de rejet ne tiennent compte que 2 types de contaminant demande biologique en oxyg ne DBO et des coliformes f caux En d autres mots alors qu on laisse croire que le jus de d charge recevrait un traitement additionnel c est plut t sa dilution qu on proc de M me si les normes taient les m mes l effet de sa dilution pourrait nous amener qualifier l op ration de pratique l galis e de l hom opathie environnementale Voil pour l aspect hom opathique de l op ration Il y en a un autre ce transfert du jus s accompagne du transfert de responsabilit s du promoteur la ville Et advenant un accident c est la ville donc la population qui aurait assumer les co ts rattach s toute r paration C est pourquoi le rapport du BAPE recommandait la mise en place d un syst me ind pendant de traitement du jus sous l enti re responsabilit du promoteur Est il besoin de signaler qu Lachenaie les thurif raires politiques ne s taient pas priv s pour encenser la grandeur d me du promoteur ce citoyen corporatif exemplaire qui avait m me assum la totalit des co ts du conduit pour le transfert du jus vers l usine d puration Pour les besoins de la cause disons 1M Pour ce prix le promoteur s est pay la meilleure police d assurance qui soit puisqu il se mettait dor navant l abri de toute poursuite Et le minist re de l Environnement a m me modifi son d c
52. ne pas exercer son droit de regard PMGMR Normalement la lumi re des solutions contenues dans le projet de PMGMER je devrais me r jouir Tel n est pas le cas Non pas que la plupart des solutions pr conis es ne ressemblent pas celles que j avais soumises mais xiDT 9 L p 64 et DQ 27 1 si DM40 C M moire du 3 d cembre PMGMR pp 25 30 DM 23 doc di plut t parce qu il contient des irritants majeurs principalement au niveau de certaines orientations D entr e de jeu on peut le consid rer comme tant un aveu de ce qu on n a pas fait qu on aurait pu faire bien avant et qu on ne veut pas faire tout de suite L l phant a accouch d une souris jouet 1 CH ANCIER Afin de bien d montrer qu on veut continuer reporter la solution du probl me plus tard le traitement de textes aidant on r p te sati t Puisque la Politique 1998 2008 pr voyait l origine une p riode de dix ans pour atteindre les objectifs de r cup ration la CMM se donne jusqu en 2013 pour atteindre progressivement les objectifs de r cup ration de 60 Comme sophisme on ne peut trouver mieux On passe sous silence qu avant la mise en place de cette politique il y en avait une autre qui remontait 1989 dans laquelle l objectif de r cup ration tait de 50 qui ne serait m me pas atteint en 2012 selon les projections apparaissant au tableau 3 97 Au moins comme on l a fait en 1998 si on pr tendait que le d lai additio
53. ne raison pour ne pas faire Les co ts de transfert pour une utilisation locale pourraient tre assum s par l organisme receveur titre d exemple quand j avais fait part une connaissance professeur en techniques administratives de mon intention de m installer sur une terre en vue d y am nager une p pini re il m avait inform qu il tait lui m me propri taire d une telle entreprise Une p pini re de fr nes parce que ce bois est utilis pour la fabrication de manches de hockey qu il y avait l mati re faire un jour des profits int ressants Afin de diminuer sa t che il avait d cid d pandre du paillis autour de ses arbustes Il fallait donc en trouver bon prix Il a r ussi alors qu il s appr tait d bourser de sa poche une ville voisine de chez lui le payait pour qu il transporte ailleurs sur sa plantation les r sidus de cueillette des branches hach es des feuilles mortes etc Il pourrait en tre de m me pour les co ts d exp dition l tranger Avec un salaire m me de 600 par ann e personne ne songe s acheter une bicyclette valant 100 Les pays du Tiers Monde produisent peu ou pas de biens de consommation tout est import au prix en vigueur ici auquel prix il faut ajouter les co ts de transport Par contre la limite s ils n avaient qu payer les co ts de transport a pourrait tre diff rent Par exemple Cyclo Nord Sud fait la
54. nnel servirait pour expliquer qu on vise dor navant le taux maximal de r cup ration soit 85 2 UN CHOIX DE SOCI T CHOISIR L AUTONOMIE ET LA COLLABORATION INTERR GIONALE Alors que toute la documentation existante va dans le sens que chaque milieu g re sur son propre territoire le cycle complet du traitement des d chets produits sur son propre territoire Les poubelles d ailleurs pas dans ma cour la CMM invoque la propre turpitude de ses membres n gligence prendre au cours de toutes ces ann es le temps pour r gler le probl me en soutenant que l autonomie demande du temps qu il faut donc continuer exporter nos poubelles ailleurs Elle demande m me que la Loi soit modifi e afin que le droit de regard des MRC h tesses de lieu d enfouissement recevant des d chets ultimes en provenance du territoire de la CMM ne puisse tre exerc I faut le faire il faut avoir du culot pour qu un organisme responsable ose m me penser faire une telle recommandation lui seul ce texte m rite d tre soumis au concours des textes humoristiques du festival Juste pour rire cat gorie du monde Je suis persuad qu il gagnerait le Grand Prix Juste pour rire du monde I n en d montre pas moins l absence de volont de r gler le probl me a fait quinze ans qu on garde le statu quo pourquoi pas un autre dix en mettant de l avant de bonnes intentions et en continuant faire semblant Le taux
55. nt 1 Les mati res dangereuses 2 Les mati res putrescibles 3 Etc Que ces objectifs soient fix s indistinctement du secteur d o proviennent ces diff rentes mati res Co ts d un centre local de traitement des mati res utilisables La seule nouveaut dans tout ce qui pr c de c est d intercepter les mati res utilisables bien avant leur arriv e au d potoir le plus pr s possible de leur source Le co t de traitement de ces mati res est insignifiant comparer celui des mati res recyclables ou des mati res r siduelles Dans chaque ville a prend un terrain qui existe d j et une personne pour diriger les mati res vers les sections appropri es containers par exemple Ainsi chaque ville pourrait avoir son centre local de traitement des mati res utilisables son cocentre ou son coparc Ce nom serait plus conforme la r alit que celui utilis pour d crire les lieux d enfouissement LET ou LES quand on sait que cet enfouissement s l ve sur une hauteur de 20 m tres ou m me 40 m tres au dessus du niveau du sol Au moins si on parlait de lieu d empilement xi DM23 C M moire de la ville de Laval annexe A pp 74 75 Lachenaie2003 m moire wpd 28 Co ts de transfert des mati res utilisables On pourrait argumenter que le transfert des mati res utilisables va engendrer de nouveaux co ts surtout si elles sont exp di es l tranger C est encore u
56. nt un million de tonnes additionnelles deux milliards de livres conscient que les villes majoritairement d ailleurs qui y d posaient leurs d chets n avaient pas fait leurs devoirs et n avaient pas pris leurs responsabilit s Et lors de l tude des cr dits le nouveau ministre de l Environnement sous un autre gouvernement signalait On ne fera pas avec un coup de b ton magique dispara tre les poubelles de Montr al ni dans un an ni dans cinq ans Si le gouvernement reconna t ne pas poss der de baguette magique comment se fait il que d un semblable coup de baguette magique Lachena e ait t inclus dans le territoire de la CMM et d sormais consid r comme le seul d potoir sur le territoire de la CMM Bon sens aidant comment a ton pu tout le moins pour la gestion des vidanges consid rer la CCM comme un seul territoire alors que la moiti de la population du Qu bec s y retrouve De plus pour ajouter la m connaissance de ce dossier aucune mention n est faite du rapport 089 du BAPE de 1995 portant sur une premi re demande d agrandissement et dont le dossier 2003 tait une copie conforme Ce rapport comportait des recommandations dont deux principales l une limitant l acc s au site aux deux MRC de l Assomption et Des Moulins principe du non voyagement des poubelles l autre tenant compte de la politique de r cup ration environ 50 de la demande 3 SECTEURS DE LA CMM On divise la C
57. omie du pays une minorit de riches en sont les seuls fournisseurs Plus pr s de nous l automne dernier suite aux inondations en Ha ti il f t question de reloger la population des Gona ves dans des camps de r fugi s le temps de nettoyer la ville Les organimes humanitaires se sont object s de crainte que cette population ne veuille plus quitter ces h tels cinq toiles Aujourd hui je raconte tout cela l occasion d un forum organis pour savoir s il y aura agrandissement du d potoir terminal de notre surconsommation et de notre gaspillage Et ce n est que la pointe du iceberg Au lieu de nous attaquer aux cons quences attaquons nous plut t aux causes Mon propos va donc surtout porter sur le gaspillage g n r par notre soci t de surconsommation notre soci t de consommateurs compulsifs Je laisse le soin aux citoyens habitant notamment le bassin versant du d potoir de nous entretenir des effets qu il a ou aura sur leur environnement Dans un monde o le Pas dans ma cour domine ils pourront expliquer comment les poubelles des autres affectent leur qualit de vie Dans les faits ils sont dans la m me situation o ceux de Lachena ie taient en 1995 appr hendant lavenir partir de leur v cu des ann es pr c dentes En 2003 leurs appr hensions s taient confirm es B GESTION DES MATI RES EXC DENTAIRES J ai t tonn de la d finition employ e pour d signer une mati r
58. ommage grave ou irr versible l absence de certitudes scientifiques absolues ne doit pas servir de pr texte pour remettre plus tard l adoption de mesures effectives visant pr venir une d gradation de l environnement mais aussi celui du domaine de la sant puisqu il existe un doute raisonnable d impacts n gatifs sur la sant de la population Si le Ministre d cidait de prendre le risque encore une fois il devrait quand m me ne tenir compte que des besoins des deux MRC de la r gion Joliette et Autray et que des objectifs de r cup ration vis s pour 2008 65 on pourrait alors parler de 75 000 tonnes an Car de d potoir municipal on est pass d potoir r gional d potoir m tropolitain d potoir grand m tropolitain bient t d potoir provincial et pourquoi pas d potoir national ou international Si le site r pond aux normes il n y a pas de limites EBI ne demande que du tonnage peu importe la provenance des mati res r siduelles Son mandat c est d enfouir pas de r glementer la gestion des d chets Il est temps que le Pas dans ma cour c de la place Chacun sa poubelle dans sa cour Mais pr alablement il faudrait d cider si c est Saint Thomas qui doit servir de d potoir r gional apr s consultation de la population du bassin versant La poubelle chacun son tout ou La poubelle pas tout le temps dans ma cour serait peut tre une bonne id e Et dan
59. out de suite Je me suis rendu compte qu on utilise des pourcentages dont la signification varie d un document Pautre Lors de l tude des cr dits le ministre en a profit pour confirmer la situation et son intention de la corriger Quand on me balance un chiffre de 37 on de 42 ou de 45 45 de quoi pes par qui mesur comment sur quelle base on a fait cette mesure l Fini le guessage puis l peu pr s il n y en aura plus de a avec moi C est pourquoi il me semble que les objectifs bas s sur des chiffres approximatifs peu cr dibles devraient faire place des objectifs fix s en fonction des mati res qu on ne veut plus voir achemin es aux lieux d limination Et ces objectifs pourraient s appliquer indistinctement tous les secteurs mettant fin aux querelles de juridiction sur le secteur des ICI On Va fait pour les pneus qui ne se rendent plus au d potoir pourquoi pas le m me genre de d cision pour toutes les mati res constituant le 85 qui ne doit pas s y rendre La ville de Laval a d ailleurs gt xlii annex son m moire la CMM une fliste sugg r e de mati res r cup r es Recommandation Que les objectifs relatifs la gestion des mati res exc dentaires soient fix s en termes de nature de mati res d tourner du d potoir plut t qu en termes de pourcentage atteindre Peffort tant mis sur le degr d effet n gatif sur l Environnement et la Sa
60. pour plusieurs autres ann es venir Ce serait impensable que des administrateurs soucieux de g rer dans l int r t du bien public songent m me agir ainsi si tel tait le cas il faudrait exiger leur d mission imm diate Car on vit dans une soci t de droit et la loi c est l esprit et la lettre Si un organisme public ne se soucie que de la lettre c est un signal qu il donne toute la population de se comporter ainsi avec toutes les cons quences que cela peut entra ner Il y a la loi pour tous et les contraventions l gales pour les finauds qui ont les ressources n cessaires pour exploiter les zones grises C est d ailleurs ce que fait le projet quand dans son chapitre sur le droit de regard il avance Ce dernier ne sera assujetti au droit de regard de la MRC de Drummond que durant une p riode de pr s de sept ans selon sa vitesse de remplissage actuelle Pourtant l esprit c est d arr ter l change de poubelles entre les r gions 15 CONCLUSION Dans le dossier de la demande d agrandissement du d potoir de Lachenaie les ministres ont dit attendre l adoption du Plan de la CMM D j des signaux clairs avaient t donn s que le dossier serait repouss dans le temps qu on ne visait qu acheter du temps Avec le projet d pos on en a maintenant la preuve du moins pour l essentiel du volet Vieux d limination des d chets RUE PMGMR p 80 DM 23 doc 21 Recommanda
61. pte rendus des auditions de la premi re partie m a permis de constater l absence de r ponses des questions ayant d j re ues r ponse dans le dossier de Lachenaie Plus gros d tail le BAPE ne pourrait il pas inclure automatiquement la CPTAQ dans sa liste d experts inviter lors d audiences concernant un d potoir d faut de partager on pourrait au moins comprendre sa logique g om trie variable Merci de votre attention J esp re que ma r flexion saura alimenter la v tre Bonne fin de travaux et la prochaine xlviii La Presse 1 f vrier 2003 DM23 doc E
62. r atique soit atteinte Jai m me t surpris de la teneur des changes avec les repr sentants de la R gie de la sant En effet leur pr sentation et la documentation d pos e bien qu ad quates taient plut t d ordre g n ral concernant un site d enfouissement et moins bien centr e sur la situation pr valant Saint Thomas Bon en r sum madame la Pr sidente jusqu aujourd hui il n y a pas d tude qui a pu d montrer de facon donc hors de tout doute raisonnable qu il y a une association de cause effet entre la r sidence autour des sites d enfouissement de d chets et au d veloppement de cancer au sein des populations avoisinantes a me laisse songeur cet avis ne conccorde pas avec le principe de pr caution en vigueur dans le demaine de la sant La preuve habituellement exig e est une preuve n gative on ne prend pas de chance en attendant qu il se pr sente une preuve positive d atteinte la sant La R gie appuie t elle la demande d agrandissement et pourquoi Y a t il une incertitude et si oui qu en est il du principe de pr caution Ainsi sa s ance du 9 mars au soir alors qu il a t question des odeurs il aurait t int ressant qu une des r ponses soit Non mais plut t que Alors la r ponse directe la question c est non car alors la sous question aurait pu tre Non mais quoi et la suite aurait t du genre videmment
63. rche s est arr t e un fonctionnaire qui n tait m me pas au courant alors qu il devait l tre qui m a remis une formule de demande de modification ma charte inexistante d organisme but non lucratif On dit Se faire tirer la cha ne traduction libre de l anglais la limite les subventions pour encourager le recyclage pourraient servir en partie pour l exp dition des mati res utilisables Ou les subventions de l ACDI d pens es en tr s grande partie ici m me au pays seules les miettes se rendent la population des pays aid s apr s que leurs dirigeants se soient trop souvent servis Chose certaine si la barge de vidanges de New York qui s est jadis promen e xlii La Presse semaine du d veloppement international 2 8 f vrier 2003 p 2 Fiy Cyclo Nord Sud www cam org xlv Radio Canada Le Point Emission du 3 juin 2003 Lachenaie2003 m moire wpd 29 jusqu en Am rique du Sud n avait contenue que des mati res utilisables on ne se demanderait pas encore ce jour quel endroit dans Atlantique elle s est perdue Co ts du recyclage vs co ts de l enfouissement Les co ts pour l enfouissement de l ordre de 57 t semblent privil gier cette m thode de traitement des mati res r siduelles et retarder le recours au recyclage dont les co ts sont valu s 100 t Co ts d enfouissement lt co ts de recyclage Sans tenir compte des arguments relati
64. rer le manque de communications entre les diff rentes tentacules de l appareil gouvernemental En temps normal on dit La main gauche ignore ce que fait la main droite Dans le pr sent dossier il faut plut t dire a fentacule X ignore ce que fait la tentacule Y qui ignore ce que fait la tentacule Z qui ignore ce que fait la tentacule X Toutes ont mis la charrue devant les b ufs en prenant des d cisions sans tenir compte de leur impact sur l Environnement ce dont se soucie le BAPE en phase terminale du processus CPTA Jadis fai fait confiance au travail de la Commission de la protection du territoire agricole qui agissait avec fermet en paroles dans d autres dossiers La zone blanche pour Le Gardeur permet d atteindre une population de 25 000 mes pas plus de blanc On ne tient pas compte seulement des terres cultivables ma s aussi de l cosyst me et On ferme le 3 me neuf du golf du Domaine de Rouville c est situ dans la zone agricoles Mais je me rends compte qu elle a d zon une partie du terrain concern par l tablissement du d potoir sans audiences publiques sans lavis du Minist re de l Environnement Pour se d charger elle signale le d cret 1051 2002 levant le moratoire pour permettre un agrandissement du d potoir et les recommandations de la municipalit et de la MRC quelle belle jambe Pourquoi encore cette mollesse alors qu elle avait rejet de nombreuses autres
65. ret pour que ce soit possible Une autre petite vite avec Parlant de petite vite il me semble y en avoir une autre dans le pr sent dossier L entrepreneur va se charger du traitement du jus mais je me demande si cela sera n cessaire En effet apr s avoir lu sans le croire que la membrane de sol bentonique serait tanche confirm par un savant professeur sv DM98 L M moire de Mary Ann McMarron p 2 xDM20 M Front commun qu b cois pour une gestion cologique des d chets DM23 doc 13 d universit on apprend qu il y aura une infiltration de l ordre de 250 000m annuellement 685m par jour L on ne parle pas d eau d go ts dans laquelle serait dilu e le jus de d potoir on parle d eau provenant de la nappe phr atique donc d eau sinon potable tout le moins d assez bonne qualit Quant au jus proprement dit son volume serait de l ordre de 440m par jour soit une dilution d une partie pour une partie et demie Tout cela gr ce au pi ge hydrolique que certains l esprit un peu tordu pourraient appeler pi ge ours ou qu un finaud de son c t pourrait appeler cage homard Si les normes demeurent les m mes cela voudrait dire que pendant que les gens s inqui teront quant l atteinte de la nappe phr atique il y aura un d versement directement dans la nature via la rivi re Chaloupe au vu de tous Recommandation Que le MENV pour l
66. s la pire des hypoth ses m me si la population riveraine consentait vivre proximit du d p t des poubelles d ailleurs il ne faudrait enfouir que les r elles mati res r siduelles Nous n avons pas le droit de continuer enfouir les mati res utilisables et les mati res recyclables sans gards pour les plus d munis des n tres ou d ailleurs Continuer serait immoral Continuer serait scandaleux La justice infinie pourrait aussi prendre la forme du partage non pas de nos richesses mais juste de la partie utilisable de nos vidanges J esp re que les d cideurs locaux particuli rement ceux de la CMM n attendront pas la recommandation de la Commission ou la d cision du ministre avant d arr ter de se tra ner les pieds Ils ont le pouvoir et le devoir de prendre les mesures appropri es pour mettre fin imm diatement au gaspillage J esp re que ce dossier nous fera prendre conscience que la solidarit humaine a un sens surtout quand le gaspillage est notre r gle de conduite DM 23 doc 33 Afin d illustrer que ce qui pr c de a du sens je vous invite prendre connaissance de la politique d Air Canada relative la disposition des bagages non r clam s et dont les propri taires n ont pu tre retrac s Si on n y parvient pas on commencera alors par disposer du contenu les v tements partiront vers des oeuvres de charit les bouquins prendront le chemin des librairies de livres d occasion et
67. suite j ai s journ pendant 3 semaines Managua la capitale J habitais chez un professeur d universit qui gagnait dans les 700 par ann e Sa maison tait situ e comme dans une ruelle Il y avait des champs au centre ville qui a t d vast e par un tremblement de terre en 1972 Les immeubles en hauteur encore debout taient squatt s Certains champs taient envahis par des familles venues des campagnes esp rant que la grande ville leur apporterait un mieux tre Dans ses bidonvilles jai c toy la vraie mis re humaine notre soci t de SURCONSOMMATION et DM23 doc 3 de GASPILAGE m ont alors frapp comme un coup de poing au visage Auparavant je croyais qu un bidonville tait constitu de maisons de t le C est vrai en partie pour les mieux nantis du bidonville Des gens vivent dans des maisons aux murs de carton de tissus ou m me de papier Ils empruntent l lectricit en se connectant sur le r seau public Paide de bouts de fils about s les poteaux sont form s de bouts de bois tout autant about s des fois l aide de broche Le local tenant lieu d cole pour les enfants de la rue soutiens de famille poss de quelques madriers servant de bancs il y a un tableau noir mais pas de livres pas de papier pas de crayons Le d potoir pour les mati res r siduelles qui finissent par s y rendre sert d picerie et de magasin g n ral Ceux qui contr lent l con
68. sur comment sur quelle base on a fait cette mesure l Fini le guessage puis l a peu pr s il n y en aura plus de a avec moi Force est d admettre que deux ann es plus tard on en est encore au guessage on utilise encore les m mes pourcentages d avant son intervention le 85 est peut tre 88 ou 92 le 60 est peut tre 65 etc Une seule certitude demeure l objectif vis est loin d tre atteint Mati res dangeureuses RDD On fait grand tat avec raison des produits dangereux que l on peut trouver dans le cocktail pr sent dans le d potoir Comme le signalait le ministre le faible volume est tr s pr occupant Par contre je mai rien vu rien entendu qui allait dans le sens d viter absolument que ces produits se fassent enfouir Les gens semblent utiliser ses centres de r cup ration que pour des produits qu ils ont en quantit int ressante Mais qu en est il des milliers de gouttes qui demeurent au fond des milliers de contenants ma connaissance je n ai t t moin d aucune campagne de sensibilisation ce sujet Quel inventaire a t on r alis ce sujet On semble prendre pour acquis que toutes les mati res dangereuses se retrouvent dans les centres de r cup ration c est tr s inqui tant DM 23 doc 15 Sant Cet aspect du dossier a re u beaucoup moins d attention qu il n en avait re u lors des des audiences de 2003 Lachenaie malgr que la nappe ph
69. t ma grand m re serait en droit de me demander Vous jetez vos corps gras la poubelle Avec quoi fabriquez vous votre savon du pays C est pourquoi sans vouloir servir de mod le j ai de la difficult comprendre le tonnage de fausses mati res r siduelles que l on doit enfouir avec toutes que les cons quences que cela peu entra ner Toute ma jeunesse je l ai v cue dans le quartier Hochelaga quartier ouvrier de Montr al Je suis un ramasseux avec comme particularit que la majeure partie de ce que l on retrouve dans ma cave sous sol provient des activit s de cueillette de mon p re Veux tu a a peut toujours servir J ai v cu au temps o le guenillou faisait partie int grante de notre soci t Selon la l gende urbaine il tait riche millions enn r alit c tait vrai Apr s son passage c tait la collecte des vidanges un camion dans lequel taient d vers es les vraies mati res r siduelles Avec le recul du temps ayant DM23 doc 2 pataug dans les conventions collectives je serais m me en mesure de dire que celui qui se tenait dans la bo te du camion tait soit un rempla ant soit un pr caire s rement celui qui avait le moins anciennet Et quelqu un ayant fait ce travail d t comme tudiant m a inform que la bo te tait compartiment e virtuellement qu il faisait un tri afin de r cup rer ou r utiliser ce qui devait l tre
70. tion Qu un programme de cueillette cyclique de mati res sp cifiquement identifi es recyclables ou utilisables soit mis en place imm diatement Restauration rapide Je disais que Pour obtenir son dipl me terminal de maternelle un enfant devrait tre capable de r ussir parfaitement un test pratique de gestion des mati res exv dentaires Sauf que ce n est pas possible dans les lieux de restauration rapide tout se retrouve p le m le dans la m me poubelle C est comme me disait ma petite fille qui pourtant depuis l ge de deux ans se fait un plaisir de rep rer le logo de ce qui est recyclable et den recommander le d p t dans le bac de r cup ration quand ce n est pas un commandement Et pourquoi pas des bacs distincts Recommandation Que les villes soient imm diatement autoris es adopter un r glement obligeant les lieux de restauration rapide se doter de bacs distincts afin de disposer selon leur nature les mati res utilis es pour servir leurs mets plastique styromousse papier carton restes de nourriture M me avant l adoption d une telle r glementation pourquoi pas une campagne de sensibilisation aupr s de cette industrie au cas o il y aurait quelqu un question de vouloir se d marquer de ses comp titeurs dispos faire une campagne de publicit ax e sur son souci environnemental DM 23 doc 10 E TRAITEMENT DES D CHETS
71. tion Que le Gouvernement refuse totalement la demande d agrandissement du d potoir exploit par la compagnie BFP sur la partie nord de sa propri t Recommandation Que le Gouvernement revoit sa politique et oblige chaque ville chaque arrondissement le cas ch ant traiter dor navant sur son propre territoire tous les d chets g n r s sur son territoire Les informations fournies par le repr sentant de la CMM m am nent faire les remarques qui suivent 1 Ilest exact de dire que la CMM a t cr e en 2000 2001 Faut il pr ciser que le gouvernement visait principalement une meilleure r partition du financement des services offerts par la ville centre Montr al grandement utilis s par les banlieusards Le dossier de la gestion des vidanges s est greff non sans que de nombreux lus de l ext rieur eussent fait remarquer l in quit que cette d cision ferait porter la communaut du bassin versant de Lachenaie Pourquoi la centralisation de la gestion des vidanges et non de la s curit publique Soit dit en passant le terme Couronne Nord tout comme le terme Couronne Sud se r f raient plus un tat de fait g ographique qu une organisation structur e Lachenaie tait situ e g ographiquement dans la couronne nord sans autre effet alors qu elle faisait partie de la MRC des Manoirs 2 Je trouve audacieux d agiter le grand nombre de villes 82 composant
72. tions alors d vers es favorise un mieux tre allant jusqu viter des auto mutilations dans les cas de d sarroi extr me 4 Au cas o les d cisions ne seraient pas d j prises Constatation J ai remarqu un manque de confiance avec raison envers le MENV non seulement venant de simples citoyens mais aussi venant d lus de petites munipalit s trait s sans gards tout au long des ans par des quelconques fonctionnaires jouissant d un quelconque petit pouvoir Je l ve quand m me mon chapeau ce fonctionnaire qui une intervention d un citoyen rappelant ses nombreuses plaintes pass es relativement la pr sence d un tuyau qui drainait encore une zone humide demandait de faire une nouvelle plainte pas besoin d un long discours pour illustrer le peu de consid ration accord e aux simples citoyens Je mai pas de nez lectronique mais c est un autre signal que notre d mocratie est mal en point Les d cisions prises en catimini par la CPTA ne peuvent que susciter pareille m fiance envers les organismes gouvernementaux Et que dire des lus MRC de Joliette et de Saint Thomas A la lumi re de leurs comportements dans le pr sent dossier peuvent ils comprendre les r sultats constants de sondages comprendre pourquoi ils se placent au dernier rang plus bas que les vendeurs de chars usag s dans l chelle de confiance de la population Le point de vue donn par le maire de Sainte Genevi ve de
73. x on celui de Saint Michel celui l transform en d p t de mat riaux secs en 2001 probablement parce les riverains en avaient marre des odeurs des mouettes du bruit des contaminants etc On passe sous silence les tudes qui ont pu tre faites par des MRC dont celle de l Assomption afin d identifier des sites alternatifs d enfouissement On omet de fournir les explications n cessaires pour ne pas avoir fait de telles tudes surtout qu au moins depuis le BAPE de 1995 Lachenaie on sait que la capacit pr vue pour tous les sites alors utilis s serait atteinte tr s court terme On ne tient compte que d un seul inconv nient observ sur lile de Montr al la circulation de camions bien s r le seul qui demeure lorsque l on a pris l habitude d exporter ses poubelles ailleurs On agite le spectre de la CPTA commission pour la protection du territoire agricole alors que les zones blanches ne manquent pas sur son territoire particuli rement sur VIe de Montr al exportatrice de tous ses d chets l ext rieur que la CPTA a d j fait preuve de mollesse plus d une fois en mati re de d zonage de d potoir ef ce sans audiences publiques 4 D POTOIR DE LACHENAIE Le projet continue consid rer le d potoir de Lachenaie quand il a atteint sa pleine capacit tout au plus le Gouvernement a t il accord comme sans audiences publiques un d passement de capacit pour un an en accorda
74. xxxix fa Faudrait il pour autant d cider de abolir Je r ponds NON Jen suis mon quatri me m moire d autant plus que le premier fut pr sent comme un journal de bord r dig au gr des soubresauts au fur et mesure que je d couvrais ce qui s tait pass en 1995 dont le dossier de 2003 tait la copie conforme Le pr sent texte a t d pouill de cet aspect Je dis NON labolition du BAPE parce que 1 Les audiences publiques permettent d avoir acc s des informations qui autrement seraient pratiquement inaccessibles m me si Poccasion un flou artistique est savamment entretenu Dans le dossier de Lachenaie jamais il n avait t question des 100 000 tonnes de fluff utilis es annuellement comme mati re de recouvrement on parlait de terre de qualit inf rieure celle du sable 2 tout le moins ces audiences sont de nature d masquer le genre de syst me dans lequel nous vivons syst me o l on donne l illusion au peuple qu il a son mot dire qu il peut participer alors que ce n est pas le cas Ce que j appelle d mocrature i e syst me contr l par un petit groupe pr occup uniquement par ses propres int r ts 3 Le BAPE permet aussi aux citoyens de se d fouler En fait c est la version qu b coise du Mur des lamentations S rement qu une recherche s rieuse faite par des psychologues saurait d montrer que le trop plein de frustra
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