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RAPPORT

1. 274 213 274 2413 Services administratifs 175 1 169 347 151 990 432 24 178 915 TOTAL 799 7 501 500 652 6 297 446 147 1 204 054 TABLEAU COMPARATIF D TAILL SESSIONS D ORGANISATION Assembl e Mondiale de la Sant 160 278 160 278 Conseil R GULIER LR Te 68 780 68 780 Comit s r gionaux 37 800 37 800 TOTAL POUR LES SESSIONS D ORGANISATION 266 858 266 858 SERVICES TECHNIQUES CENTRAUX Bureau du Sous Directeur g n ral 3 34 416 2 27 062 1 7 354 Division des Services pid miologiques Bureau du Directeur 6 33 696 5 28 384 1 5 312 R glements internationaux et Quarantaine 10 60 229 9 50 376 1 9 853 Experts Conseils y compris leurs frais de voyage e aea PEN ee au Eh 9 094 9 094 Statistiques et informations pid miologiques 11 62 163 8 51 588 3 10 575 Station d informations pid miologiques Singapour A EU RM TOR ne CET 15 43 468 14 29 065 1 14 403 Services communs 11 989 11 989 Etudes sur les maladies transmissibles 11 81 721 6 45 270 5 36 451 Subsides SL MR EN Rae ei Lu 20 000 20 000 Services technologiques 6 31 087 2 12 948 4 18 139 Total pour la Division 59 353 447 44 258 714 15 94 733 Division des Statistiques sanitaires Bure
2. Total des services de personnel et des AMIS ETES LEP AA RE IL BUREAUX R GIONAUX Traitements et salaires Experts conseils court terme Total des services de personnel Indemnit s 26 as ae Total des services du personnel et des indemnit s III SERVICES OP RANT SUR LE TERRAIN Traitements et salaires Experts conseils court terme Total des services de personnel Endemnit ss ten a nee Total des services du personnel et des indemnit s 2 4 au ToTAUx Traitements et salaires Experts conseils court terme Total des services de personnel Ind MmL S ie Le AR ST nt Total des services de personnel et des indemnit s Montant estimatif des d penses 1949 1950 1951 du du du US budget US budget US budget total total total 1 091 087 24 91 1 898 550 25 31 1 956 225 24 51 12 800 0 30 21 000 0 28 28 500 0 36 1 103 887 25 21 1 919 550 25 59 1 984 725 24 87 289 939 6 62 497 816 6 64 497 963 6 24 1 393 826 31 83 2 417 366 32 23 2 482 688 31 11 149 430 3 41 456 065 6 08 599 108 7 51 149 430 3 41 456 065 6 08 599 108 7 51 48 053 1 10 137 463 1 83 162 039 2 03 197 483 4 51 593 528 7 91 761 147 9 54 280 046 6 40 810 935 10 81 927 869 11 63 76 600 1 75 138 000 1 84 103 800 1 30 356 646 8 15 948 935 12 65 1 031 669 12 93 78 590 1 79 24
3. Soins de maternit et hygi ne des m res Sous Comit Conf rence sur les aspects mentaux de la p diatrie et sur les soins aux enfants Sant mentale Toxicomanie Groupe g experts Alcoolisme Groupe d experts Aspects psychiatriques de la d lin quance Sous Comit aA Nutrition Comit mixte OAAJOMS Formation professionnelle et technique de personnel m dical et auxiliaire Echange d Informations scientifi ques Sous Comit Nombre de sessions Nombre de Membres Nombre de jours par session 1949 Ha 1950 en Ha 1951 1949 11 lol SA NET ex 12 1949 1951 d Nombre u au de jours 9 24 1 29 1 6 6 e 6 gt 9 29 8 2 9 5 7 ae pe 5 24 10 28 10 5 12 5 gt ne en 1951 o oo oO Le groupement des activit s est ant rieur aux changements de structure effectu s d apr s les recommandations du Comit permanent 9S II AILUVA4 NOISSAS ANHIAONIO fHILAIHKA TIHSNOO ANNEXE 7 57 Annexe 7 FONCTIONS DE LA DIVISION DE COORDINATION DES PLANS ET DE LIAISON Rapport du Directeur g n ral 1 Place de Ia Division dans l Organisation L Assistant sp cial du Directeur g n ral qui est galement Directeur de la Division de Coordination des Plans et de Liaison fait rapport au Directeur g n ral En sa qualit de fonctionnair
4. 9 9 6 6 Education sanitaire du public 1 7 5 Assainissement 1 1 1 6 13 11 12 9 17 9 6 8 Habitation Sous Comit 1 5 5 Action en faveur des cam Paludisme 1 1 11 13 13 10 8 17 8 8 9 9 pagnes contre les mala Tuberculose 1 1 1 9 11 11 26 7 30 7 5 10 9 dies transmissibles Maladies v n riennes 1 1 1 12 13 13 10 10 20 10 11 12 12 S rologie et Techniques de Labora toire Sous Comit 1 2 2 6 6 8 12 10 20 10 9 5 10 Commission d tude de la syphilis aux Etats Unis d Am rique 1 7 15 8 15 11 90 Commission internationale antiv n rienne du Rhin session pr paratoir ce euros en 1 9 30 5 1 6 3 Le groupement des activit s est ant rieur aux changements de structure effectu s d apr s les recommandations du Comit permanent Ant rieurement M dicaments engendrant l accoutumance 9 AXANNV cc TABLEAU COMPARATIF DES R UNIONS DES COMIT S D EXPERTS EN 1949 1950 1951 fn Activit Am lioration de la sant Enseignement profession nel et technique Comit s d Experts Hygi ne de la Maternit et de l Enfance Naissance pr matur e Groupe d ex perts pour l tude de Hygi ne scolaire Sous Comit pour T tude de 7
5. la section 8 de l annexe 8 le Directeur g n ral indique le pourcentage estimatif du temps que le personnel y compris les employ s de bureau et les dactylogr phes consacrent la pr paration la Section de la Tuberculose relevant de la Division des Maladies transmissibles Le comit recommande que le Directeur g n ral reprenne l tude de ces questions en tenant compte des suggestions qui ont t pr sent es D partement des Services administratifs et financiers 164 Le comit a examin si le Bureau du Service des Conf rences et des Services g n raux ne pourrait pas tre int gr la Division de la Gestion administrative et du Personnel Il n a abouti aucune conclusion sur ce point et a invit le Directeur g n ral continuer d tudier la question de cette incorporation ventuelle Bureaux r gionaux 165 Le comit n a pas t en mesure d examiner la structure organique et le rendement adminis tratif sur le plan r gional sinon d une mani re th orique qui est la seule possible au cours de sessions tenues au Bureau du Si ge De surcro t m me dans les territoires dot s de bureaux r gio naux le d veloppement r gional en est encore au stade initial et rev t un caract re exp rimental 166 Le comit estime toutefois que le terme r gionalisation ne doit pas tre pris comme synonyme de d centralisation La r gionali sation requiert une administration min
6. Nations Unies qui recommande chacune des institutions sp cialis es de maintenir chaque ann e les d penses imputables sur son budget ordinaire dans les limites des fonds qu elle peut raisonnablement s attendre recevoir au titre de l ann e consid r e et de proc der une revi sion p riodique en cours d ann e du programme de ces d penses afin de pouvoir s il est n ces saire le maintenir autant que possible dans les limites des recettes pr vues pour l ann e Ayant examin la situation financi re actuelle telle qu elle est expos e dans le document EB5 78 8 I CONSTATE que la situation financi re actuelle n est pas telle que l escomptait l Assembl e Mondiale de la Sant au moment de l adoption du budget de 1950 2 CONSTATE que l ex cution d un programme de d penses maintenu au niveau maximum du budget approuv pour 1950 placerait POMS dans une situation financi re grave 3 PRIE le Directeur g n ral d ex cuter au titre du budget approuv pour 1950 un programme de d penses qui n entra ne pas des d penses annuelles sup rieures 6 300 000 en attendant que la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant examine la situation financi re telle qu elle se pr sentera alors en relation avec le programme et le budget pour 1950 et donne des instructions pertinentes 4 AUTORISE le Directeur g n ral prendre toutes d cisions qu il jugera n cessaires po
7. a reconnu que la structure actuelle de l OMS refl tait la diversit d origine de l Orga nisation et l histoire de son d veloppement On trouvera ce sujet dans l annexe 3 un bref expos chronologique 107 L histoire de l OMS fait ressortir nettement qu en examinant la structure organique et le fonctionnement administratif de l Organisation il faut tenir compte des nombreux facteurs qui ont contribu donner celle ci sa forme pr sente Le r le jou par certains de ces facteurs est bri ve ment r sum ci apr s La Constitution 108 La structure g n rale de l Organisation est celle que la Constitution a d termin e Celle ci ne pr cise pas seulement l objectif et les fonctions de l Organisation elle dispose galement que la qua lit de Membre est accessible tous les Etats et que le fonctionnement de l Organisation est assur par l Assembl e Mondiale de la Sant le Conseil Ex cutif et le Secr tariat Le nombre de r unions est fix une par an pour l Assembl e et deux par an au minimum pour le Conseil Le Secr tariat est d fini comme comprenant le Directeur g n ral et le personnel technique et administratif n cessaire Le syst me des commissions est tabli par la Constitution qui pr voit aussi un r seau d organisations r gionales faisant partie int grante de l OMS Il y a lieu de mentionner entre autres dispositions contenues dans la Constitution celles qui conc
8. autres moments l aptitude pr senter des rapports et expliquer avec clart des plans des structures orga niques et les faits nouveaux survenus et l aptitude assumer et remplir les fonctions d autres per sonnes dans le cadre de la Division Des descriptions ad quates du travail requis pr par es en collaboration avec le Bureau du Person nel indiquent nettement aux candidats quelles sont les exigences que comportent les postes Quand le candidat est nomm on lui fait comprendre les fonctions qui lui sont confi es au cours de conver sations et au moyen d instructions que lui donnent le Directeur de la Division ainsi que des fonction naires de cette Division et d autres services La facult de comprendre et d appr cier les probl mes qui se posent au sujet de personnes appartenant des groupes culturels divers et l apti 4 Au 1 novembre 1949 tude travailler efficacement avec elles pr sentent une importance majeure Ces aptitudes sont jug es d apr s l int r t manifest par le candidat l gard des questions internationales et par l exp rience qu il en poss de par l tendue de sa culture g n rale et par sa connaissance sp ciale du travail des institutions appartenant au syst me des Nations Unies Les crit res d terminant l importance de la posi tion offrir sont les responsabilit s techniques et sp ciales que comporte le poste ainsi que les titres et qualifications l exp r
9. devra tablir un rapport dans lequel il mentionnera 1 Voir rapport du Comit permanent Section II cha pitre 3 p 35 S ai WHA 2 53 Actes off Org mond Sant L 6 8 3 toutes autres questions telles que 2 le gaspillage ou l utilisation irr guli re de fonds ou de stocks de l Organisation quand bien m me la comptabilit aff rente aux transactions serait en r gle Comme on peut le voir d apr s les paragraphes qui viennent d tre cit s les possibilit s de signaler des cas d administration d fectueuse la connais sance de l Assembl e de la Sant par le moyen des rapports de v rification sont tr s limit es En ce qui concerne le paragraphe 6 8 3 2 il ne suffit pas que le commissaire aux comptes ait le sentiment g n ral qu il y a un gaspillage de fonds mais il doit aussi tre en mesure de le prouver Or cette preuve est g n ralement plus difficile faire car il est toujours possible d envisager une question un grand nombre de points de vue diff rents que le commissaire aux comptes peut ne pas toujours conna tre en totalit Les exemples suivants illus treront ces observations 1 Si une Organisation poss de un syst me de distribution de fournitures de bureau qui oblige remplir un formulaire de demande en cinq exemplaires pour obtenir un crayon un tel arrangement peut manifestement tre tax de gaspillage d argent Toutefois ce syst me est jug
10. en tablissant des r gles particu li res une r gion 2 Budgeis r gionaux Les organisations r gionales faisant partie int grante de l OMS leur budget doit tre pr sent l Assembl e Mondiale de la Sant en tant que partie constitutive du budget que le Directeur g n ral conform ment la Constitution est tenu de soumettre Le budget r gional devrait comprendre le plan complet d op rations pr vu pour l ann e et indiquer le cas ch ant la partie de ce plan dont on escompte que les d penses seront couvertes par des contributions suppl mentaires des Etats appartenant la r gion en cause Normalement le budget r gional fera l objet d une recommandation pr sent e au Di recteur g n ral par le comit r gional Le budget r gional devrait tre subdivis en deux parties 2 1 Budget destin au fonctionnement du bureau r gional Ce budget doit tre pr par en vue du fonc tionnement du bureau r gional proprement dit Normalement les d penses du bureau r gional seront couvertes au moyen de fonds fournis par l Organisation 2 2 Budget pour l ex cution des programmes Le budget concernant les programmes doit comporter un relev des besoins des divers Etats de la r gion en mati re de services tels que les services de d monstrations et de consultations les bourses la documentation m dicale le mat riel sp cial d enseignement m dical etc Ce budget doit prendre
11. enseigne ment l acquisition et l exp dition de ces fourni tures se faisant conform ment aux instructions d taill es prescrites par le Si ge 5 Comit s r gionaux A titre de principe adopter pour l avenir il semble qu il y aurait int r t tenir les r unions des comit s r gionaux aux environs de septembre c est dire apr s la session de l Assembl e de la Sant et celle du Conseil Ex cutif qui la suit imm diatement En effet les d l gu s auraient alors le temps de consulter leurs gouvernements respectifs et d tablir des plans pour l ann e suivante ainsi que pour l ann e d apr s et la r union aurait lieu assez t t pour que les comit s r gionaux soumissent leurs pr visions de programmes au Si ge avant la mi octobre Il a t consid r que les comit s r gionaux devraient normalement se r unir une fois par an 6 Relations avec d autres institutions Les directeurs r gionaux sont charg s de coila borer avec les bureaux r gionaux d autres institu tions telles que le FISE l OAA et d autres encore suivant qu il y aura lieu pour appliquer des pro grammes mixtes ou des programmes similaires Il a t convenu avec le FISE par exemple que les directeurs r gionaux de l OMS et les directeurs r gionaux du FISE aideront conjointement les gouvernements laborer et pr senter des propo sitions concernant leurs programmes sanitaires Extrait de EB5 AF 4
12. le document EB5 78 soumis au Conseil Ex cutif par le Directeur g n ral Celui ci y examine la situation financi re de l Orga nisation et constate avec une certaine inqui tude le caract re peu satisfaisant de la situation dans laquelle se trouve l Organisation par suite des retards apport s au versement des contributions Le comit se croit oblig d attirer l attention du Conseil Ex cutif sur le fait que si cette situation devait se prolonger elle risquerait de mettre en p ril la stabilit financi re de l Organisation 2 Le comit constate qu la fin de l ann e 1949 53 698 669 seulement ont t re us sur un total de 55 046 293 fix pour l ensemble des contri butions le montant des contributions non vers es s l ve donc 1 347 624 soit 26 71 du chiffre total fix pour les contributions Le montant des contributions non re ues comprend 364 300 repr sentant la contribution non vers e de quatre Membres qui ont apparemment cess de s int resser l Organisation D apr s les estimations les d penses engag es et les d penses pay es impu tables au budget de 1949 s l veront approxima tivement 4 300 000 d o un exc dent de d penses sur les recettes qui se monte environ 600 000 3 En ce qui concerne 1048 le comit constate que la date du 31 d cembre 1949 sur un total de 3 172 726 fix pour l ensemble des contribu tions une somme de 2 595 405 a t re u
13. les fonds seront rendus disponibles sous r serve des r gles ou directives tablies par l Assembl e de la Sant et le Conseil Ex cutif et conform ment la r solution 222 IX A adopt e par le Conseil Economique et Social lors de sa neuvi me session v autoriser le Directeur g n ral dans la mesure o il recevra des demandes de la part des gouvernements d sireux d obtenir une assis tance aux termes des dispositions du programme largi d assistance technique des Nations Unies en vue du d veloppement conomique des pays sous volu s entreprendre les op rations n cessaires d assistance technique pour autant que celles ci seront approuv es par le Bureau de l Assistance technique m me dans le cas o ces gouvernements ne seraient pas Membres de l Organisation Mondiale de la Sant R solution 7 1 2 5 Niveau des d penses de 1950 Le Conseil Ex cutif Ayant pris acte de la r solution adopt e par l Assembl e g n rale des Nations Unies le 24 no vembre 1949 qui recommande chacune des institutions sp cialis es de maintenir chaque ann e les d penses imputables sur son budget ordinaire dans les limites des fonds qu elle peut raisonnablement s attendre recevoir au titre de l ann e consid r e et de proc der une revision p riodique en cours d ann e du programme de ses d penses afin de pouvoir s il est n cessaire le maintenir autant que possible dans les limite
14. muniquer aux Etats Membres de l Organisation un tat simplifi des comptes faisant ressortir au 31 d cembre de chaque ann e la position du fonds de roulement V rification ext rieure des comptes 238 Le comit a examin un rapport annexe 12 du commissaire aux comptes sur la port e de la v rification ext rieure des comptes de l Orga nisation qui peut tre r sum comme suit 1 Le commissaire aux comptes doit effectuer une v rification de caract re positif et non seulement donner des avis sur des questions d ordre pure ment financier et comptable mais pr ter son assistance dans les questions d administration pour lesquelles ses connaissances et son exp rience peuvent tre utiles 2 Le commissaire aux comptes doit avoir la possibilit de pr senter l Administration titre non officiel des observations au sujet de pratiques administratives qu il n approuve pas ou d irr gu larit s qu il constate au cours de sa v rification et qui si elles se renouvelaient non seulement entra veraient la bonne marche de l Organisation mais pourraient entra ner par la suite des pertes financi res Normalement toute intervention du commissaire aux comptes dans un cas de ce genre ne serait pas mentionn e dans le rapport du commissaire aux comptes l Assembl e de la Sant 239 Le comit estime que les connaissances et l exp rience du commissaire aux comptes doivent tre utilis es dans toute
15. organisation et l application des programmes d assainissement et sur les m thodes modernes d assainissement 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations d assainissement soit s par ment soit en liaison avec d autres programmes de POMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne la surveillance technique par le moyen de conseillers r gionaux des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Ser vices de Sant publique 6 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations non gouvernementales et les institutions appropri es pour les questions qui dans les programmes aux quels participe l OMS concernent l assainissement et 8 assure le secr tariat du Comit d experts de l Assainissement Section des Soins infirmiers En vue d aider les gouvernements relever le niveau de leurs soins inf
16. un syst me complexe de classification a pour effet d augmenter le travail administratif 191 Le comit a not que le Directeur g n ral a estim que la classification actuelle donnait des r sultats raisonnables quant l efficacit et au rendement mais qu elle pourra tre am lior e au fur et mesure que l Organisation se d veloppera et acquerra l exp rience du syst me Il a toujours t envisag que ce syst me serait revis de temps autre toutes les fois que se pr senteraient des occasions de l am liorer 192 Le Comit d experts en mati re de traite ments et salaires indemnit s et cong s de l Orga 32 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II nisation des Nations Unies a estim que la struc ture du personnel des Nations Unies tait caract ris e notamment par 1 une conception extr me ment troite des postes en tant que tels 2 une multiplicit de cat gories et de classes Ces obser vations semblent s appliquer POMS 193 Le Comit permanent estime que la classifi cation et le syst me hi rarchique de POMS sont complexes et trop pouss s et que s il est n cessaire de classer les postes d apr s les fonctions et les responsabilit s qu ils comportent le Directeur g n ral devrait n anmoins s efforcer de simplifier le syst me actuel 194 Il devrait tre sursis l examen des bar mes de traitements et indemnit s qui cadrent avec ceux des Nation
17. 1 249 500 ne soient pas vers s au cours de 1950 ou dans les premiers mois de 1951 Toutefois en tenant compte des c blogrammes qui ont t re us des gouvernements comme il est indiqu au paragraphe 4 on peut pr sumer que 13 55 des contributions au budget de 1950 soit environ 948 500 ne seront pas vers s au cours de 1950 ou dans les premiers mois de 1951 20 En sus du montant estimatif des recettes provenant des contributions montant qui s l verait 5 750 000 environ l Organisation dispose galement pour faire face ses d penses 7 501 500 pr vus au budget au cours de 1950 de 400 000 provenant du Fonds sp cial de l UNRRA de 100 000 provenant d autres sources de revenus et d environ 250 000 repr sentant des estimations aff rentes des conomies r sultant de la r va luation des monnaies Prenant en consid ration ces recettes probables le comit a estim qu il serait judicieux de limiter le niveau des d penses de 1950 un maximum annuel de 6 300 000 en attendant que la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant ait examin la situation financi re de l Organisation 21 Etant donn la situation actuelle de l Orga nisation le comit estime que la seule solution qu il puisse recommander au Conseil Ex cutif est l adoption de la r solution suivante Le Conseil Ex cutif Prenant acte de la r solution adopt e le 24 novembre 1949 par l Assembl e g n rale des
18. 182 Il n est pas possible tant donn le peu de temps disponible de juger si l effectif du personnel employ correspond bien la quantit actuelle de travail ou celle que l on pr voit Un calcul de cet ordre ne pourrait s op rer qu en valuant le travail effectuer ce qu il n appartient pas au comit de tenter et ce que celui ci ne pourrait d ailleurs mener bonne fin dans le temps limit dont il dispose Les donn es relatives la quantit de travail indiqu es dans les Actes officiels N 23 pour cer taines parties du D partement des Services admi nistratifs et financiers ne sont pas d un grand secours cet gard La tentative de mesurer le travail en est au stade exp rimental et de fait les chiffres indiqu s sont trop fragmentaires pour qu il soit possible d en tirer des conclusions positives 183 La m thode qui consiste pour le D parte ment des Services administratifs et financiers tenir des relev s relatifs la quantit de travail fournie devrait tre poursuivie et perfectionn e L objet vis ne devrait pas tre seulement d enre gistrer la quantit de travail effectu e mais en corr lation avec l valuation de normes raison nables de rendement d aider les chefs de services maintenir ce rendement un niveau lev et fournir les moyens d valuer l effectif exact de personnel n cessaire pour l ex cution du travail Le comit croit savoir que le Directeur g
19. 1951 devrait tre chang en Programme et pr visions budg taires pour l assistance technique propos s pour la deuxi me p riode Une note explicative ad quate devrait figurer dans le chapitre intitul Notes sur la pr sentation du programme et du budget dans la version imprim e 5 93 Le comit a estim que dans le cadre des directives g n rales r gissant le programme d assis tance technique des Nations Unies il y aurait lieu de ne pas perdre de vue l int r t qui s attache la d livrance de fournitures aux gouvernements pour l ex cution des programmes car de nombreux pays qui comptent des sp cialistes qualifi s ne peuvent faute des fournitures appropri es donner leurs programmes sanitaires toute l ampleur qui serait n cessaire 94 Ayant d ment pes les consid rations expo s es ci dessus le Comit permanent des Questions administratives et financi res recommande au Conseil Ex cutif d adopter les deux r solutions suivantes 26 I Le Conseil Ex cutif Conform ment aux instructions qui lui ont t donn es par la Deuxi me Assembl e Mondiale de 23 Cette suggestion a t adopt e dans la version imprim e du document EB5 44 Actes off Org mond Sant 23 24 Ces cr dits ont t supprim s dans la version imprim e du document EB5 44 Actes off Org mond Sant 23 25 Actes of Org mond Sant 23 10 26 Le texte adopt par le Conseil est reproduit dans Ia r solut
20. 25 RAPPORT DU COMIT PERMANENT 33 2 de m nager un d lai suffisant pour permettre aux personnes qualifi es de poser leur candida ture Il ne faut pas escompter en effet que des personnes qualifi es puissent prendre une d ci sion rapide quant un changement d emploi ni que une fois leur d cision prise ils aient toute latitude pour s organiser sans avoir gard aux obligations qu ils ont contract es l gard de ceux qui les emploient l poque consid r e Dur e des contrats Section 4 206 Le Directeur g n ral est invit examiner s il serait opportun de substituer la pr sente forme de contrats d engagement I des contrats court terme pour des engage ments titre sp cial ou temporaire 2 des contrats r guliers sans limite de temps mais contenant les clauses habituelles permettant la r siliation du contrat pour les raisons nonc es dans le R glement du Personnel 207 Contr le et v rification des demandes de per sonnel Le Secr tariat a reconnu qw aucune disposi tion sp ciale n a t inscrite dansle rapport du Direc teur g n ral au Comit permanent annexe 8 en vue de la v rification effective des demandes de personnel suppl mentaire et il a t reconnu d autre part que cette fonction devrait tre confi e express ment un service appropri de l Organisation 208 Il est recommand en cons quence que le Directeur de la Gestion
21. 67 449 564 39 287 455 28 162 109 15 64 908 15 64 908 Pe 30 166 616 23 125 466 7 44 1450 cn 6 000 6 000 z 161 200 164 200 Z 13 85 791 10 65 522 3 20 269 20 82 394 15 66 771 5 15 623 20 000 20 000 78 586 909 63 509 867 15 77 042 224 1 530 171 161 1 161 505 63 368 666 137 874 137 874 224 1 668 042 161 1 299 376 63 368 666 48 100 882 48 100 882 2 amp 33 410 4 33 4140 8 66 830 2 7 366 6 59 464 8 77 189 8 77 189 12 t 15 060 12 t 15 060 2 10 000 10 000 50 000 50 000 5 33 345 2 16 023 3 17 292 12 125 291 6 58 827 6 66 464 6 t 7 530 6 t 7 530 1 200 600 600 amp 27 961 3 24 733 1 3 228 2 20 652 2 2 20 652 8 t 10 040 8 t 10 040 6 46 152 2 18 001 4 28151 2 20 652 4 10 326 4 10 326 _ 12t 15 060 12 f 15 060 51 560 042 28 321 235 23 Les chiffres repr sentent le niveau des d penses en janvier 1950 et comprennent les obligations f Mois de services d experts conseils 238 807 44 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II TABLEAU COMPARATIF D TAILL suite Division des Services des Maladies transmis stbles Bureau du Directeur Paludisme o un rte A ide E e ein ct eh Op rations sur le terrain Personnel ee anne Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Tuberculose SIBER Dla tn M nee de Op rations sur le terrain Perso
22. 7 i Voir rapport du Comit permanent Section I chapitre 2 p I6 Le groupement des activit s est ant rieur aux changements de structure effectu s d apr s les recommandations du Comit permanent ps II HILYHVd NOISSHS ANHIAN NIO HILAOHXA TIESNOO TABLEAU COMPARATIF DES R UNIONS DES COMIT S D EXPERTS EN 1949 1950 1951 suite Nombre de sessions Nombre de Membres Nombre de jours par session Activit Comit s d Experts 1949 1949 1950 1951 1949 1950 1951 None du au de jours 1950 1951 Substances th rapeutiques Standardisation biologique 1 2 1 10 8 8 2 5 7 5 6 10 10 Vitamines liposolubles Sous Comit 1 11 26 4 29 4 4 Unification des Pharmacop es 2 2 2 7 8 8 20 4 30 4 14 12 12 Drogues susceptibles d engendrer la toxi 26 9 5 10 10 comanies 22 64 GRR TRS 1 2 2 5 6 6 24 1 29 1 6 7 7 Antibiotiques Se 2 1 8 8 7 fi Organisation des Services Administration de la Sant publique 1 1 9 9 6 6 de Sant publique Hygi ne professionnelle Comit mixte OITJOMSMS r a o a a O an 1 1 4 4 5 6 Hygi ne des gens de mer Comit mixte s Or SES GAS EE RE e 1 1 1 4 4 4 12 12 17 12 6 5 6 Hygi ne dentaire 1 4 5 Soins infirmiers 1 1
23. II janvier 1950 Annexe 6 TABLEAU COMPARATIF DES R UNIONS DES COMIT S D EXPERTS EN 1949 1950 1951 Nombre de sessions Nombre de Membres Nombre de jours par session Activit Comit s d experts 1949 1950 1957 1949 1950 1951 1949 1950 I951 du au Nombre de jours Services pid miologiques Epid miologie internationale et Quaran taine 1 2 2 9 12 9 5 12 14 12 10 6 6 Sous Comit juridique 1 1 4 4 6 6 Insecticides Loue 1 2 k 2 5 5 5 10 5 15 5 6 5 6 Fi vre jaune Groupe consultatif d ex perts 1 4 f 1 5 6 6 1 12 6 12 7 6 6 Rage Coruna 1 6 6 Brucellose aa 1 8 3 Peste 1 6 19 9 24 9 6 Chol ra Groupe mixte OIHP OMS d tudes 1 4 18 11 19 11 2 Schistosomiase africaine Bilharziose Groupe mixte OIHP OMS d tudes 1 4 24 10 29 10 6 Statistiques sanitaires Statistiques sanitaires 1 2 2 8 5 5 23 5 28 5 6 7 7 Statistiques hospitali res Sous Comit 2 2 6 6 3 3 Statistiques du Cancer Sous Comit 2 2 4 4 3 3 D finition de la mortinatalit et avortement Sous Comit 1 5
24. Pages Situation financi etesde OMS me EE le der an PT et a d 37 Comparaison entre les pr visions de d penses concernant le programme tel qu il a t approuv pour 1950 et les pr visions de d penses tablies d apr s le volume actuel d activit de ROT ANISATION PR TR CR ner then Tate OM EDEN Rd VISE 42 Historique du d veloppement organique et expos des principes fondamentaux appliqu s dans l tablissement des plans concernant l administration et l organisation de POMS 47 R partition des fonctions entre le Bureau du Si ge et les bureaux r gionaux de POMS 50 Principes et proc dures r gissant les fonctions des bureaux r gionaux 5I Tableau comparatif des r unions des comit s d experts en 1949 1950 et 1951 54 Fonctions de la Division de Coordination des Plans et de Liaison 57 Voies et moyens permettant d assurer l efficacit du fonctionnement et mesure dans laquelle ils sont tilis s dans la pratiqu se n s se RO RM NERO en ts ete le 62 Tableau comparatif des traitements salaires et indemnit s en 1949 1950 et 1951 68 R partition du personnel par cat gories pour 1940 1950 et IQ5I 69 Tirage et distribution des documents pour les sessions du Conseil Ex cutif et de l Assem pke Mondtak ide la Sant ans Ne RE RG ARE O PMR e E A 70 Port ed lar v rincation ext ri ure sva aoi US M RP eme a Eee ST ENS 7I Descri
25. aupr s des gouvernements classe analyse r sume et diffuse ces donn es et d termine les possibilit s de comparaison qu elles pr sentent 3 pr pare des rapports pid miologiques et d mo graphiques sur les statistiques de morbidit 4 effectue des tudes sp ciales sur demande dans le domaine des statistiques de morbidit en liaison avec des probl mes d termin s Section de la Nomenclature internationale des Mala dies et Causes de D c s En vue d tablir une norme internationale pour la classification statistique des maladies trauma tismes et causes de d c s la Section de la Nomen clature internationale des Maladies et Causes de D c s I pr pare des revisions d cennales de la Nomen clature internationale des Maladies et Causes de D c s et a tablit et communique aux gouvernements les revisions propos es b analyse les r ponses en vue de leur pr senta tion aux conf rences internationales sur la Revi sion des Nomenclatures internationales c pr pare le r glement de POMS concernant l application de la nomenclature internationale et d tablit et publie le Manuel de la Classification internationale des Maladies Traumatismes et Causes de D c s 2 interpr te l application des nomenclatures et r glements internationaux et donne des avis ce sujet aux gouvernements aux autres unit s admi nistratives de l Organisation et aux bureaux r gio naux 3 donne su
26. change direct de correspondance avec les directeurs r gionaux Avec d autres bureaux Les relations de travail sont ordinairement assur es par la voie des services comp tents du Bureau du Si ge Des contacts directs occasionnels et un change de correspon dance ont parfois lieu mais sous r serve de con sultations appropri es avec les services comp tents des bureaux r gionaux 5 Rapports Les rapports mensuels de situation manant des autres services de POMS sont coordonn s colla tionn s mis au point et r dig s nouveau dans le rapport mensuel de situation de l Organisation Ce rapport qui fait l objet d une distribution pr tablie l int rieur de POMS est utilis pour faciliter l administration int rieure et pour l infor mation du personnel tout entier En outre il cons titue une source de documentation pour la pr pa ration du Rapport annuel du Directeur g n ral Les rapports r sultant de l laboration de plans en commun ou de fonctions de liaison exerc es par certaines personnes dans le cadre de la Division et en dehors de celle ci sont centralis s Ces ren seignements accompagn s de documents sp ciaux sur la situation sont utilis s pour donner des instructions aux personnes qui auront accomplir une mission de repr sentation pour valuer les activit s et enfin dans le domaine de la liaison et de la coordination des plans Les rapports sur les r solutions les plans e
27. du Directeur g n ral ou par la soumission d un rapport au Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res ANNEXE 13 73 Annexe 13 DESCRIPTION DES FONCTIONS DES D PARTEMENTS DIVISIONS ET SECTIONS DE L OMS ET GRAPHIQUES EN INDIQUANT LA STRUCTURE Rapport du Directeur g n ral Division de l Information En vue d amener le public s int resser aux ques tions de sant en g n ral ainsi qu aux buts et aux travaux de l OMS en particulier la Division de l Information 1 labore les plans et les directives g n rales en mati re d information et donne des avis au Direc teur g n ral sur tous les aspects de cette question 2 est charg e d tablir les plans n cessaires et de poursuivre ses activit s dans ce domaine l aide de diff rents moyens presse publications radio et proc d s auditivo visuels 3 procure aux bureaux r gionaux les l ments d information r pondant aux besoins de la r gion et 4 maintient la liaison en mati re d information avec l Organisation des Nations Unies et les insti tutions sp cialis es ainsi qu avec les organisations gouvernementales et non gouvernementales les journaux les revues les stations de radio et de t l vision les producteurs de films documen taires etc Division de Coordination des Plans et de Liaison En vue de faciliter pour l Organisation l labo ration d un programme efficace et sa coh sion
28. du travail qu il s agisse de rapports officiels ou d autres communications para t rapidement sous forme imprim e Le rendement appara t dans la manifestation de qualit s et d aptitudes multiples et pour ainsi dire polyvalentes Chaque fonc tionnaire est invit apprendre toujours davan tage et il est galement encourag assumer dans toute la mesure possible les devoirs et les respon sabilit s de fonctionnaires attach s d autres ser vices de la Division Des membres du personnel sont affect s temporairement New Vork et Gen ve afin qu ils apprennent conna tre fond le travail et le personnel de l autre bureau Les rela tions entre divisions sont encourag es tous les chelons Comme les r sultats du travail des membres de la Division par le moyen de la liaison et de l tablissement de rapports sont constam ment et rigoureusement contr l s l int rieur de cette Division ainsi qu l int rieur et l ext rieur de l Organisation un niveau lev d efficience doit tre maintenu Cette efficience se mesure l apti tude observer des d lais limites l tablissement rapide de rapports clairs et bien r dig s et la mesure dans laquelle est maintenue une liaison satisfaisante 7 Connaissance des principes et des rela tions de POMS Comprendre les conceptions dont s inspire l OMS tre capable de faire conna tre d autres son pro gramme et ses
29. e la Commission du Programme et la Commission des Questions administratives et financi res si geraient en s ance mixte et en s inspirant des conclusions auxquelles aura conduit leur examen d ensemble du programme d une part et des aspects finan ciers du budget d autre part recommanderaient l Assembl e de la Sant le montant total du budget adopter ainsi que le montant affecter chacune des trois parties principales du budget 4 Se fondant sur le rapport pr sent conjoin tement par la Commission du Programme et la Commission des Questions administratives et financi res l Assembl e de la Sant fixerait le montant total du budget et le montant affecter chacune des principales parties du budget c est dire la Partie I Sessions d organisa tion la Partie II Programme d ex cution et la Partie IIHI Services administratifs La Commission du Programme proc derait ensuite un examen d taill du programme afin de d terminer les activit s entreprendre effecti vement dans les limites du chiffre fix et la Commission des Questions administratives et financi res proc derait tout examen compl mentaire du budget qu elle jugerait n cessaire Les deux commissions pourraient tenir d autres s ances mixtes si elles l estimaient opportun afin de r gler tout d saccord qui aurait pu surgir entre elles 105 Si le Conseil Ex cutif approuve la proc dure propos e ci
30. e de la Sant examine avec un soin particulier les rapports pr sent s au sujet de l tat des contributions A la deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant le Directeur g n ral a de nouveau attir l atten tion de la Commission des Questions adminis tratives et financi res sur la mani re peu satis faisante dont les contributions sont re ues A la suite d une proposition de cette commission la Deuxi me Assembl e de la Sant a adopt une r solution demandant aux Membres de s acquitter sans plus tarder de leurs contributions aux budgets de 1948 et de 1949 Elle a galement adopt un principe et une m thode applicables dans le cas o un Membre se trouve en retard pour le versement de ses contributions En d pit de tous ces appels le nombre des Membres qui n ont pas encore fait face leurs obligations financi res envers l Organisation reste important Treize Membres n ont encore effectu aucun versement et quinze autres Membres n ont fait que des versements partiels Ces chiffres ne comprennent pas les Etats non membres tenus de verser une contribution uniquement pour leur participation au pr t consenti par les Nations Unies la Commission Int rimaire 7 Recommandations des Nations Unies La situation financi re de l OMS et d autres institutions sp cialis es a t examin e minu tieusement par la Quatri me Session de l Assembl e g n rale des Nations Unies Dans les s ances co
31. entreprendre par les organisations participantes dans le cadre du programme largi d assistance technique devrait pouvoir s int grer dans leur activit normale 9I Certains doutes ont t exprim s au sein du comit quant l opportunit de pr senter le programme ordinaire et le programme largi d assistance technique dans un document qui les englobe tous deux Le comit a recommand en cons quence au Directeur g n ral que lorsqu il pr sentera son programme et ses pr visions budg taires la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant les estimations de d penses relatives au programme largi d assistance technique figurent la fin du document sur du papier de couleur 8 92 Le comit estime que le programme suppl mentaire approuv par la Deuxi me Assembl e de la Sant et le programme largi d assistance technique pr sent dans les Actes officiels N 23 s tendent sur deux p riodes Les parties perti nentes du premier devraient tre soumises par le Directeur g n ral au Bureau de l Assistance tech nique comme constituant les propositions de l Organisation au titre de sa participation au programme largi d assistance technique pour la premi re p riode Les cr dits inscrits pour 1950 dans le document EB5 44 au titre du programme largi d assistance technique devraient par cons quent tre supprim s Le titre Programme et pr visions budg taires propos s pour l exercice
32. est sugg r que le syst me g n ral suivant lequel le personnel des sections sera organis devrait comporter partout o cela est possible un fonc tionnaire sup rieur qui serait charg de la section avec un ou plusieurs fonctionnaires de cat gorie nettement moins lev e poss dant des aptitudes g n rales et appel s l assister 215 L observation du Directeur g n ral suivant laquelle il n est pas possible dans les sections o le programme est extr mement sp cialis de se con former au principe g n ral sugg r ci dessus a t retenue par le comit 216 Les fonctionnaires de rang moins lev de vraient sur un certain nombre d ann es et suivant un programme bien d fini permuter afin d ac qu rir une connaissance des questions m dicales ainsi que des principes d administration g n rale 34 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II ils se verraient m nager de la sorte plus de chances d avancement et repr senteraient pour l Orga nisation une valeur accrue Cet arrangement rece vrait un commencement d application si dans les stades interm diaires de leur service ces agents exer aient leurs fonctions dans des bureaux r gio naux ou sur le terrain et taient affect s des op ra tions Par la suite ces fonctionnaires pourraient se sp cialiser et remplir les conditions n cessaires pour devenir titulaires de postes de chef de section 217 Le comit a pris con
33. galement l tablissement du Secr tariat qui comprend le Directeur g n ral et le personnel technique et administratif n cessaire l Organisation 4 En attendant l entr e en vigueur de la Constitu tion et l tablissement de l Organisation Mondiale de la Sant la conf rence avait cr une Com mission Int rimaire dont les attributions com portaient notamment les points suivants 5 proc der au transfert des Nations Unies la Commission Int rimaire des fonctions activit s et avoirs de l Organisation d Hygi ne de la Soci t des Nations qui ont t assign s jusqu ici l Organisation des Nations Unies prendre des mesures pour le transfert la Commission Int rimaire des charges et fonctions de l Office International d Hygi ne publique prendre des mesures en vue de permettre la Commission Int rimaire d assumer les charges et fonctions confi es l Administration des Nations Unies pour les Secours et la Recon struction UNRRA par les diverses conventions sanitaires internationales entreprendre le travail de pr paration n cessaire en vue de la revision d cennale des Nomencla tures internationales des Causes de d c s et de l tablissement de Listes internationales des Causes de maladie examiner tous les probl mes de sant urgents que tout gouvernement pourra lui signaler donner des conseils techniques leur sujet attirer l attention des gouvernements et des organisations
34. ii de caract re r gional b de discuter les questions techniques c de discuter les r gles et pratiques adminis tratives d d examiner les probl mes g n raux concer nant les op rations 3 e de permettre des changes d informations entre le Si ge et les bureaux r gionaux et entre bureaux r gionaux La date et le lieu de ces r unions ne sont pas encore fix s De l avis g n ral la p riode convenant le mieux serait celle qui suit les sessions de l Assem bl e de la Sant condition que la r union ait lieu avant septembre mois pendant lequel si gent les comit s r gionaux 3 M thodes suivies pour le choix et le pla cement des membres du personnel Personnel de bureau et st nographes Les quelques postes qui comportent simplement un travail de bureau sont pourvus d apr s les demandes conserv es dans les dossiers du Bureau du Personnel et qui manent de personnes se trou vant sur place et paraissant le mieux r pondre aux conditions requises Les st nographes de la cat gorie 6 et des cat gories inf rieures sont recrut es sur place Gen ve si possible ou dans le cas de la plupart des st no graphes anglaises en Angleterre en raison de la question de langue Dans l un et l autre cas les m thodes pratiqu es pour le choix des candidates sont les suivantes Des annonces sont ins r es dans la presse du pays pour offrir des emplois de st no 64 CONSEIL EX CUTIF CINQUI
35. l cart entre les deux sommes corres pondant divers accroissements de d penses tels que augmentations de traitements pour promo tions cong s dans les foyers etc 72 Le comit a examin la question de limpor tance num rique des Services administratifs et financiers courants par rapport au travail effectif de l Organisation discut les niveaux de traite ment relatifs des diff rents postes dans ces deux branches d activit reconnu les difficult s sp ciales que soul ve dans toute institution internationale le maintien d un contr le administratif et financier satisfaisant et appr ci le haut degr de comp tence qui a caract ris le travail de ce d partement Le Directeur g n ral a en outre port la connais sance du comit qu il avait apr s m re r flexion d lib r ment adopt comme r gle de conduite de maintenir le d veloppement des rouages admi nistratifs quelque peu en avance sur la mise en train effective du programme afin de disposer des cadres administratifs n cessaires pour une ex cution efficace des op rations 73 Le comit est arriv la conclusion que les pr visions de 1950 pour les Services administratifs et financiers correspondaient bien au stade actuel de d veloppement de l Organisation Le comit a t d avis qu il devrait consacrer ult rieurement un nouvel examen aux services en question afin de pouvoir tudier de fa on plus d taill e leur importance num
36. la fin de l Annexe 4 fournit un service de coordination pour ce qui concerne l laboration des programmes par l OMS en vue d assurer la coh sion interne et la liaison ad quate avec les programmes des autres organisa tions et cette fin peut prendre l initiative de suggestions relatives aux programmes 5 labore et maintient un r seau de transmission de renseignements en vue d obtenir des donn es importantes sur les progr s des activit s de l OMS tablit et distribue des sommaires des activit s coordonne l laboration et la publication du rapport annuel du Directeur g n ral l Assembl e de la Sant et fournit d autres rapports lorsqu ils sont demand s par l Organisation des Nations Unies et par d autres institutions 6 tablit des m thodes d appr ciation du rende ment pratique des projets de l OMS et de l efficacit des activit s de cette Organisation 7 coordonne les demandes adress es aux gouver nements concernant des rapports et des renseigne ments Structure organique envisag e pour les Bureaux r gionaux Les projets de structure organique concernant les bureaux r gionaux se fondent sur les principes sui vants 1 Cette structure doit permettre l exercice efficace des fonctions et responsabilit s d l gu es par le Directeur g n ral au Directeur r gional 2 Le Directeur r gional doit disposer d un cadre administratif dans lequel les fonctions du personnel sont cl
37. laboration l ex cution et le contr le des plans n cessaires l activit de celle ci Le choix du meilleur personnel possible pour s acquitter du travail de l Organisation est indis pensable en vue d assurer la qualit des d cisions prises l occasion de ce travail La qualit du personnel se d finit par les facteurs suivants formation professionnelle exp rience et person nalit la volont de coop rer avec autrui tant particuli rement importante Les contacts personnels et es bonnes relations personnelles constituent d autres facteurs essen tiels au point de vue de la qualit des d cisions prises cet effet les Directeurs de l Organisation se r unissent p riodiquement pour laborer et pour fixer de concert le d tail des op rations de l Organisation Le but essentiel du travail du Comit des Directeurs et du Comit des Directives est de mettre les unit s de l Organisation charg es de l ex cution des d cisions en mesure de s acquit ter de leur t che sans difficult s et sans friction Les unit s administratives centrales de services consultatifs et autres par leur comp tence et leurs connaissances dans leurs domaines respectifs doivent veiller ce que ces connaissances sp cia lis es soient la disposition de chacun dans l Organisation tout enti re Les fonctions qui leur incombent int ressent directement le personnel leur existence ne se justifie que par l emploi que
38. ment la recom mandation du Comit permanent des Questions adminis tratives et financi res un nouveau paiement de 1 000 000 a t effectu en f vrier 1950 L Organisation des Nations Unies a t inform e que le solde soit 98 500 serait vers l ch ance c est dire en juillet 1950 ou une date ant rieure celle de l ch ance 4 Actes off Org mond Sant 13 318 g n ral Dans son rapport annuel la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant le Directeur g n ral a attir l attention de l Assembl e de la Sant sur la fa on peu satisfaisante dont les contributions sont re ues Le commissaire aux comptes dans son rapport sur la v rification des comptes de 1948 5 a soulign que en raison du non versement de contributions au budget et d avances au fonds de roulement l Organisation se trouvait dans une situation financi re instable et que en fait elle n tait pas solvable la date du 31 d cembre 1948 Le Comit ad hoc tabli par le Conseil Ex cutif pour examiner le rapport du commissaire aux comptes et pour pr senter cet gard des recom mandations la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a particuli rement soulign dans son rapport la n cessit pour les Membres de payer leurs contributions la date la plus rapproch e possible de fa on que le fonctionnement de l Orga nisation ne soit pas mis en p ril Il a en outre recommand que l Assembl
39. s en mati re d organisation et d administration Organisation du Secr tariat L org nisation du Secr tariat de l OMS s est d velopp e sur la base des principes ci apr s 1 L existence de l Organisation dans son en semble et celle de chacune de ses parties doivent r pondre des fins rigoureusement d finies 2 La structure organique doit se d velopper partir et autour de certaines fonctions princi pales qui sont n cessaires pour l accomplissement des travaux pr vus 3 Les principales fonctions doivent tre grou p es de fa on maintenir dans l Organisation l quilibre n cessaire viter les activit s faisant double emploi et les conflits d efforts et assurer qu aucun des secteurs de travail n est n glig 4 Le principe de la d l gation des responsabilit s doit tre appliqu dans toute la mesure compa tible avec le bon fonctionnement de l Organi sation et la coordination des directives g n rales Les responsabilit s et l autorit de chaque fonctionnaire doivent tre nettement d finies et l autorit aff rente chaque poste doit corres pondre aux responsabilit s que comporte ledit poste Cette autorit doit tre d l gu e par crit aux fonctionnaires responsables 5 Les fonctionnaires doivent faire preuve du maximum d initiative dans les limites de lau torit qui leur est d l gu e 6 Les services de personnel et d administration doivent autant que po
40. s verbaux des r unions des Directeurs pour circulation int rieure restreinte g documents traitant des directives g n rales et brochures d information destin s tre utilis s dans l Organisation ou au dehors Ces documents comprennent les instructions destin es aux repr sentants qui assistent des r unions organis es l ext rieur h rapports de situation sur les relations avec les organisations non gouvernementales tant pour la circulation int rieure qu ext rieure i calendriers des r unions int ressant l OMS Ceux ci destin s la circulation int rieure indiquent les dates des r unions convoqu es par l OMS par les autres institutions appartenant au syst me des Nations Unies et par les orga nisations non gouvernementales en relation avec l OMS Rapports suppl mentaires Des rapports int rieurs suppl mentaires ne sont pas envisag s Cependant le d veloppement m tho dique des activit s dont t moignent les rapports mensuels de situation sera amplifi par suite de l introduction de nouvelles techniques en mati re de relev s et d analyse des programmes Les rapports 60 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II mensuels de situation serviront non seulement de source d information pour le personnel mais ils constitueront galement un instrument de gestion administrative Dans le cadre des Nations Unies il existe un besoin urgent d tablir une s rie de rapports de
41. sanitaires l On a estim que l Organisation n accomplit pas la totalit de ses fonctions dans ce domaine et le Conseil Ex cutif ainsi que l Assem bl e ont les premiers accru les activit s de la division int ress e En cons quence certains enga gements concernant la fourniture de services des tin s des comit s d experts des gouvernements et d autres institutions ne peuvent tre tenus dans l tat actuel de d veloppement La plupart 12 R solutions WHA2 38 39 et 40 Actes of Org mond Sant 21 28 29 des douze membres du personnel que compte pr sentement cette division sont class s dans des cat gories inf rieures Le comit consid re que les propositions de dotation en personnel pour cette division devraient correspondre aux engagements dont il y a lieu de s acquitter en vertu des d cisions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e de la Sant Substances th rapeutiques 4 3 41 Dans l ensemble les propositions relatives aux activit s de la Division des Substances th ra peutiques sont analogues celles de 1950 bien que l on pr voie une l g re expansion Bureau de Recherches sur la Tuberculose Copen hague 4 3 4 1 42 Sur les 53 postes propos s 33 seulement ont t pourvus Il importe de noter cet gard que le Bureau de Recherches sur la Tuberculose assume en fait dans le domaine de l administration et des plans la responsabilit d environ 200 pers
42. si les articles 13 et 16e du R glement financier devaient tre appli qu s cette mesure ne ferait qu aggraver la situa tion financi re g n rale 15 Le comit estime donc souhaitable que soit suspendue l application des articles 13 et 16 du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis des cr dits vot s pour 1949 Ce solde non utilis devrait tre plac dans un compte d attente et la d cision concernant l affectation finale de cette somme devrait tre r serv e 16 Le comit approuve donc les r solutioris sui vantes propos es au Conseil Ex cutif par le Direc teur g n ral 5 I Le Conseil Ex cutif Ayant examin le rapport du Directeur g n ral sur la situation financi re de l Organisation Constatant avec inqui tude que 26 71 des contributions fix es pour 1949 n ont pas t re us et que 17 85 des contributions fix es pour 1948 n avaient pas encore t vers s la date du 31 d cembre 1949 Soucieux d viter la n cessit de pr l vements importants sur le fonds de roulement pour per mettre le financement d op rations en attendant le versement des contributions Craignant vivement que les retards apport s au versement de contributions ne mettent en p ril l ex cution des programmes approuv s par les Assembl es de la Sant FAIT DE NOUVEAU APPEL tous les Etats Mem bres pour qu ils s acquittent rapidement de leurs obligations financi res envers l O
43. surveiller les bourses soit s par ment soit en liaison avec d autres programmes de l OMS 2 fournit avec la collaboration des Bureaux r gio naux des avis aux gouvernements sur toutes les questions concernant les bourses la formation technique et les cours collectifs 3 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 4 fournit des avis au Directeur de la Division de l Enseignement professionnel et technique en ce qui concerne le programme 5 se livre un examen continu des r sultats du programme et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales appropri es pour toutes les questions qui dans les programmes aux quels participe l OMS concernent les bourses Section de l Echange des Informations scientifiques En vue d aider les gouvernements am liorer et acc l rer l change d informations scientifiques la Section de l Echange des Informations scienti fiques 1 projette et labore en collaboration avec les bureaux r gionaux des m thodes et techniques nouvelles en vue de l change d informations scien tifiques soit directement soit en liaison avec d autres programmes de l OMS et coordonne di verses activit s distinctes qui s
44. 22 201 2 18 020 1 4 181 6 42 261 5 30 507 1 11 754 27 218 580 25 194 442 2 24 138 49 23 845 13 t 16 315 6 f 7 530 12 828 12 828 375 375 5 34 348 4 22 594 1 11 754 21 165 582 10 98 642 11 66 940 42 t 52 7410 na 42 52 7410 2 000 2 000 8 53 144 6 44 501 2 8 643 16 129 407 13 144 620 3 14 787 27 33 885 45 f 18 825 12 f 15 060 E 25 319 19 000 6 319 500 500 20 000 20 000 2 16 254 2 16 254 4 10 380 1 10 380 12 f 15 060 9f 411 295 3 3 765 89 878 679 66 634 844 23 243 835 2 17 404 2 17 404 10 72 418 10 72 418 13 113 452 8 77 054 5 36 398 15 f 18 825 15 f 18 825 7 300 7 300 450 100 350 5 000 5 000 4 29 960 2 15 926 2 14 034 28 t 35 140 8 t 10 040 20 t 25 100 3 000 LL 3 000 5 34 299 3 21 188 2 13 111 3 36 207 1 12 069 2 24 138 24 t 30 120 16 t 20 080 8 10 040 1 800 600 1 200 1 000 450 550 14 000 14 000 37 420 375 26 266 329 11 154 046 Les chiffres repr sentent le niveau des d penses en janvier 1950 et comprennent les obligations t Mois de services d experts conseils ANNEXE 2 45 TABLEAU COMPARATIF D TAILL suite Division de l Enseignement professionnel et technique Bureau du Directeur Personnel EL LU Mme SUPSIES Pie EAU E Ce Etablissements d enseignemen
45. Des projets sanitaires sp ciaux sont envisag s dans le programme d assistance technique aux pays insuffisamment d velopp s Ces projets viseront favoriser le d veloppement cono mique par l am lioration et la protection de la sant 6 Des programmes communs sont envisag s avec d autres institutions internationales notam ment avec OAA Ils concerneront des projets visant directement l accroissement de la production alimentaire L OMS doit fournir le personnel technique que requiert l ex cution des projets sanitaires du FISE et surveille la mise en uvre de ces projets Des projets sp ciaux en cours d ex cution ont pour but d aider d autres institutions fournir des services sanitaires aux r fugi s 127 Les Services techniques centraux comprennent un ensemble vari d activit s parmi lesquelles on peut citer les suivantes tablissement d une pharmacop e internationale standardisation de RAPPORT DU COMIT PERMANENT 25 produits biologiques et contr le international des drogues engendrant la toxicomanie coordination des recherches service d informations pid mio logiques par radio c blogrammes et bulletins tudes pid miologiques administration desconven tions sanitaires internationales et tablissement de nouveaux r glements sanitaires tudes en mati re de statistiques sanitaires et tablissement d une nomenclature internationale des maladies et causes de d c s public
46. INTERIEUR DE LA VERIFICATION DES COMPTES SERVICE JURIDIQUE DIVISION DE LA GESTION ADMINISTRATIVE ET DU PERSONNEL DIVISION DU BUDGET ET DES FINANCES SECTION DE LA GESTION SECTION OU PERSONNEL ADMINISTRATIVE i SECTION DES FINANCES SECTION DU BUDGET ET DE LA COMPTABILITE BUREAU DES CONFERENCES ET DES SERVICES GENERAUX OMS 5079 z6 7 D IL HILUVA NOISSAS ANHIN NIO AILNOAXA TIASNOO GRAPHIQUE V STRUCTURE PROVISOIRE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE Approuv par le Conselt Ex cutif Jan 1950 COMITE REGIONAL BUREAU DU DIRECTEUR REGIONAL INFORMATION INFORMATIONS EPID PLANS ET OPERATIONS S QUES SERVICES ADMINISTR SANITAIRES ET FINANCIERS BUDGET ET FINANCES PROGRAMMES SUR LE TERRAIN SERVICES CONSULTATIFS SERVICES DE CONSULTATIONS EQUIPES DE DEMONSTRATIONS SERVICES GENERAUX DES CONSEILLERS REGIONAUX dans le cadre des programmes respectifs sont affect s aux r glons et attach s aux Bureaux r glonaux en ce qui concerne le contr le administratif et ie lieu officiel d affectation Du point de vue technique ils sont responsables envers le Si ge par l interm diaire du Directeur r glonal ous 5076 NOILVSINVOWO T aa AANIONAUIS 6
47. Les communications techniques n ayant pas d in cidence d ordre administratif peuvent passer direc tement des sections techniques du Si ge aux mem bres du personnel r gional int ress s Copie en doit tre adress e au Directeur r gional R le du Bureau r gional Le Bureau r gional en vue d aider les gouverne ments dans le cadre de la r gion am liorer la sant de leur population 1 projette coordonne et ex cute les travaux de la r gion et cet effet organise des sessions du comit r gional et fait rapport ce sujet projette et poursuit les activit s pertinentes dans la r gion et surveille les op rations 2 donne des avis aux gouvernements en ce qui concerne les services que peut rendre POMS se concerte avec eux sur l laboration de propositions relatives des programmes et projets et leur fournit une aide selon des plans d op rations agr s 3 soumet au Directeur g n ral les propositions rela tives aux programmes du comit r gional et des recommandations leur sujet 4 n gocie des arrangements avec les gouverne ments en ce qui concerne les programmes soumet les programmes au Directeur g n ral pour qu il les approuve en dernier ressort ou leur donne appro bation au nom du Directeur g n ral dans la mesure o il est habilit cet effet et 5 collabore avec les repr sentants r gionaux de l Organisation des Nations Unies des institutions sp cialis es des organisa
48. Nations Unies a t de 320 569 cette somme est disponible pour le remboursement du solde du pr t consenti par les Nations Unies Afin que le remboursement du pr t consenti par les Nations Unies puisse tre int gralement effectu il est n cessaire d obtenir une somme additionnelle de 69 495 il y a lieu d escompter que cette somme sera re ue dans un proche avenir tant donn les r ponses c bl es par les gouvernements comme il a t indiqu au paragraphe 4 c Le comit a pris acte de la d claration faite par le Directeur g n ral d apr s laquelle le montant de 399 064 qui reste d par des gouvernements se rapporte des contributions fix es pour le budget de 1948 Apr s d duction sur ce montant de 309 064 des 69 495 qui sont encore n cessaires pour permettre le remboursement int gral du pr t consenti par les Nations Unies il restera une somme de 329 569 en esp ces dans le fonds de roulement si les Gouvernements des Etats Membres int ress s versent leurs contributions fix es pour le budget de 1948 Cependant le comit a pris acte de la d claration du Directeur g n ral d apr s laquelle cette somme de 399 064 comprend 154 339 dus par les quatre Etats Membres mentionn s ci dessus Le Directeur g n ral a inform le comit que tant que le montant de 69 495 n aura pas t per u il ne sera pas possible d effectuer un rem boursement int gral aux Nations Unies moins que le
49. Organisation est essen tiellement une op ration d emprunt Les sommes vers es au fonds de roulement sont r serve faite du R glement financier sous le contr le de l Orga nisation mais ne constituent pas sa propri t L Organisation peut l gitimement emprunter afin de mener bonne fin ses op rations mais il n est pas de bonne m thode financi re pour l Organi sation Mondiale de la Sant ni vrai dire pour aucune autre organisation responsable d emprun ter sans avoir des perspectives raisonnables qu elle sera en mesure de rembourser sa dette Il appara t d sormais clairement que la perspective de recou vrer certaines des contributions non pay es l Organisation ne constitue pas un l ment de garantie satisfaisante pour un pr t consenti sur le fonds de roulement en cons quence le comit n estime pas que l article 14 du R glement finan cier qui autorise le recours au fonds de roulement en attendant le versement des contributions soit applicable ces contributions non pay es 33 Le comit se rend pleineme t compte cet gard que l tablissement par le Conseil Ex cutif d un niveau maximum de d penses m nagera des garanties appropri es pour pr munir contre l puisement du fonds de roulement 34 Le comit sugg re que le Conseil Ex cutif recommande la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant que le montant du fonds de roulement fasse l objet d un examen apr
50. Sant FAIT DE NOUVEAU APPEL tous les Etats Mem bres pour qu ils s acquittent sans d lai de leurs obligations financi res envers l Organisation II Le Conseil Ex cutif Consid rant que le solde non utilis des cr dits aff rents 1949 n est en fait pas disponible en esp ces Consid rant en outre que le fait de d duire en application des articles 13 et 16 e du R glement financier ce solde du montant consid rer pour l tablissement des contributions au titre de 19517 risque d aggraver encore la situation financi re en 1951 en raison du versement peu satisfaisant des contributions RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mon diale de la Sant l adoption de la r solution sui vante Attendu que conform ment aux articles 13 et 16 du R glement financier il doit tre tenu compte pour fixer la contribution des Etats Membres au titre de 1951 du solde non utilis des cr dits aff rents 1949 7 Actes off Org mond Sant 23 20 4 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Attendu que ce solde n est en fait pas dispo nible en esp ces Attendu que le fait de d duire ce solde du montant consid rer pour l tablissement des contributions au titre de 1951 risque d entra ner de lourds pr l vements sur le fonds de roulement en raison du versement peu satisfaisant des contributions ce qui aurait pour r sultat d ag graver encore la situation financi r
51. adapter aux modifications et de poursuivre avec comp tence par de nouveaux moyens la r alisation de fins pr alablement approuv es Les changements dans le personnel sup rieur pr sentent toujours un danger latent Ce danger existe d ailleurs dans les premiers stades du d veloppe ment de toute organisation nouvelle ou lors de modi fications dans la structure d institutions d j anciennes C est l le danger qui guette les b tis seurs d empires Sans doute l ardent d sir de d velopper des domaines d int r t sp ciaux est il un ph nom ne psychologique sain et normal mais l aptitude maintenir cet int r t dans des limites raisonnables doit tre consid r e comme une condi 1 Voir rapport du Comit permanent Section II cha pitre 3 p 29 tion premi re dans le choix du personnel Le soin de maintenir un juste rapport entre les int r ts sp cialis s et l ensemble du groupe incombe au Directeur g n ral Cette responsabilit a t cons tamment pr sente l esprit dans les choix r cents de personnel sup rieur et dans les d lib rations relatives la r organisation envisag e 2 Mesures prises pour assurer une connais sance suffisante des diff rents aspects du travail Les moyens adopt s pour assurer que les fonction naires responsables du Secr tariat soient suffisam ment familiaris s avec le travail des diff rents d partements sont g n ralement de deux sortes r un
52. autre part la t che de standardisation biologique et les 4 D sign depuis sous le nom de D partement des Services Techniques Centraux Voir ci apr s la descrip tion des fonctions qu il remplit 5 Actes off Org mond Sant 21 28 Actes of Org mond Sant 21 367 travaux relatifs la Pharmacopea Internationalis se d veloppent rapidement et justifient pleinement la cr ation de sections charg es de s occuper de ces questions Les drogues engendrant la toxicomanie forment un sujet s par et l galement il a paru opportun de cr er une section sp ciale Il tait donc n cessaire semble t il d tablir une Division des Substances th rapeutiques pour assurer le contr le et la coordination des travaux de ces quatre sec tions la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a d j accept cette proposition D partement des Services techniques centraux En vue d aider les gouvernements am liorer la sant de leurs populations le D partement des Services techniques centraux 1 donne des avis au Directeur g n ral sur toutes les directives concernant les services techniques y compris les relations avec les gouvernements l Organisation des Nations Unies les autres insti tutions sp cialis es et d autres organisations inter nationales et la coordination des services techniques avec les activit s des autres d partements de l Orga nisation et des Bureaux r gionaux ainsi que sur les q
53. comit a examin les m thodes adopt es pour l valuation du co t du programme aff rent 1951 et il estime que le budget pr sent est plus pr cis que tout budget ant rieurement tabli par l Organisation 27 En pr sentant ce programme et ces pr visions budg taires pour 10951 le Directeur g n ral a tenu compte des effets de la r valuation des monnaies Les conomies qui en r sulteront dans le total des pr visions du budget ordinaire pour 1951 peuvent tre valu es 330 164 28 D une mani re g n rale les programmes envisag s pour 1951 sont au m me niveau que ceux qui ont t approuv s pour 1950 par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant L augmentation propos e de 479 664 est due dans une large mesure aux dispositions du Statut du Personnel concernant a les augmentations annuelles et les traitements des membres du personnel b le remboursement des frais de voyage au titre des cong s statutaires dans les foyers pour les membres du personnel qui ont t engag s en 1949 et c le transport des effets personnels des membres du personnel recrut s en 1950 OBSERVATIONS SUR LES PROJETS DE R SOLUTIONS Projet de r solution portant ouverture de cr dits 29 La r solution portant ouverture de cr dits pour l exercice 1950 tait divis e en deux parties et comportait une subdivision par chapitres La forme du projet de r solution portant ouverture de cr dits pour 1951 cadre avec
54. d lai les sommes ainsi pro mises s levant 90 045 au titre de la Partie IV du budget de 1948 lorsque ces versements auront t re us ils permettront de rembourser l int gra lit du pr t consenti la Commission Int rimaire soit 2 150 000 et il restera un exc dent de 20 550 qui seront vir s au fonds de roulement En ce qui concerne le pr t de 400 000 accord pour le fonctionnement de l Organisation Mondiale de la Sant en 1948 les relev s de l Organisation montrent que la date du 31 d cembre 1949 des Etats Membres avaient vers des contributions s levant au total 830 541 au titre des Parties I et II du budget de 1948 et que comme suite aux demandes adress es par c blogramme comme il est indiqu ci dessus des promesses de versements une date rapproch e ont t re ues pour un total de 43 476 7 a En ce qui concerne les contributions fix es pour les gouvernements au titre du pr t la Commission Int rimaire la situation au 31 d cem bre 1940 tait la suivante US Montant des sommes re ues d Etats Membres et disponibles pour le remboursement 500 936 Montant restant d par les gouvernements int ress s 399 064 900 000 b Comme l indique le tableau figurant au para graphe 6 ci dessus les d penses de la Commission Int rimaire ont t inf rieures aux pr visions et en fait la partie non utilis e du pr t consenti par les
55. de d monstrations dans des zones qui pourraient ult rieurement devenir des zones de d monstra tions sanitaires sous r serve de disposer de fonds suffisants De cette mani re on vise cr er le noyau des trois zones de d monstrations sanitaires pr vues dans le cadre du programme largi d assis tance technique 50 Le comit constate que les bureaux locaux ont cess d exister en Chine en Ethiopie en Gr ce et en Italie et qu il en est tenu compte dans les pr visions Aucun cr dit n est inscrit pour le versement en 1951 d une subvention l Aide des Nations Unies aux R fugi s de Palestine car on envisage que ces besoins seront couverts au moyen de secours provenant d autres sources interna tionales Encouragement aux campagnes contre les maladies transmissibles 5 2 51 Les pr visions budg taires pour 1951 d pas sent de 170 114 celles de 1950 Cette augmentation est n cessaire pour les op rations entreprises sur place de lutte contre la tuberculose et les maladies v n riennes Paludisme 5 2 1 52 Les pr visions qui se rapportent au programme antipaludique de 1950 s l vent 335 699 et celles quiiconcernent 1951 300 565 La diff rence repr sente approximativement les frais qu entraf nera en 1950 soit 27 108 une conf rence du paludisme en Afrique quatoriale quine se renou vellera pas en 1951 et en outre la r duction des pr visions relatives aux
56. des cr dits affect s aux fournitures destin es l ex cution des pro grammes gouvernementaux Les d penses imput es sur ces cr dits sont aux termes de la r solution WHA 2 73 de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant subordonn es l approbation du Conseil Ex cutif et aucune affectation de fonds pour cet objet n a encore t approuv e en 1950 62 En ce qui concerne les mots montant sym bolique utilis s dans le document EB5 44 dans les Notes relatives la pr sentation du Pro gramme et du Budget Services consultatifs dernier paragraphe le comit croit comprendre que le montant pr vu pour les fournitures repr sente approximativement 25 du total n cessaire II re conna t que la plupart des fournitures requises pour l ex cution du programme envisag devront prove 14 Voir r solution 3 3 3 Actes off Org mond Sant 25 15 Actes off Org mond Sant 21 44 nir de sources nationales ou d autres sources inter nationales il estime toutefois que le montant inscrit dans les pr visions budg taires du Directeur g n ral pour 1951 est sup rieur un montant symbolique et recommande d s lors que ce terme soit remplac par l expression montant fortement r duit 16 63 En raison des principes directeurs pos s par l Assembl e de la Sant et par le Conseil Ex cutif l effet que les gouvernements doivent fournir les moyens de transport pour les services
57. des d cisions s tendant aux diff rentes unit s de l Organisation cet effet le Directeur g n ral les Sous Directeurs g n raux et les Directeursse r unissent une fois par semaine Le but principal de ces r unions est de transformer les directives g n rales prises l che lon sup rieur en des mesures pratiques coordon n es non seulement l int rieur du Secr tariat mais par rapport d autres institutions dans le cadre des Nations Unies La mise en uvre des directives courantes est constamment surveill e par les Directeurs En outre les suggestions ou recommandations visant de nouvelles directives font l objet d un examen Si le Directeur g n ral en d cide ainsi des directives g n rales peuvent tre adopt es aux r unions des Directeurs sans tre envoy es au Conseil des Direc tives Ce Conseil tel qu il est maintenant constitu se compose du Directeur g n ral et des chefs des trois D partements Services consultatifs Services tech niques centraux et Services administratifs et finan ciers Ces trois membres sont les trois hauts conseil lers du Directeur g n ral Le Conseil dans son ensemble doit harmoniser toutes les questions de directives g n rales entre les d partements et en particulier ses d cisions sont sans appel dans le cadre du Secr tariat pour les questions concernant le budget les finances et les programmes en g n ral Le Conseil des Directives s
58. des vaccins BCG les techniques de la tuberculino r action et les recherches pid miologiques sur la tuberculose 2 analyse et appr cie les r sultats du programme d action et tablit des rapports ce sujet en vue de leur publication ventuelle Division des Services d Edition et de Docu mentation En vue de fournir des services de documentation ad quats destin s faciliter les travaux de l Orga nisation et de pourvoir la publication des Actes officiels des documents techniques essentiels et des p riodiques la Division des Services d Edition et de Documentation 1 met au point traduit et fait para tre toutes les publications de l OMS y compris les Actes officiels et les documents techniques dont la publication a t demand e par l Assembl e de la Sant 2 participe au nom de l Organisation la t che de coordination des Services de comptes rendus analytiques m dicaux et biologiques 3 met au point et traduit les documents de travail qu emploient le Secr tariat le Conseil Ex cutif et l Assembl e de la Sant 4 assure le fonctionnement d une biblioth que de documentation technique et professionnelle d pouille et indexe les mat riaux de r f rence et les documents que font para tre l Organisation des Nations Unies et d autres organismes 5 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services techniques centraux sur les directives g n rales et su
59. ed EE ES Informations 2 E E nu E Le Experts conseils y compris leurs frais de VOYABE VIa RANCE NT MEN Total pour le Bureau du Directeur g n ral D partement des Services administratifs et financiers Bureau du Sous Directeur g n ral Experts conseils y compris leurs frais de VOYAPE es RENE O aA E Service juridique Service de la V rification int rieure des Comptes Division de la Gestion administrative et du Personnel Bureau du Directeur Personnel en LS MN AR re 2e Division du Budget et des Finances Bureau du Directeur Bud et FLE EPA RETIRE Finances et comptabilit Conf rences et Services g n raux Total pour le D partement TOTAL Services communs TOTAL POUR LES SERVICES ADMINISTRATIFS 1 Programme approuv 2 Volume actuel 3 Diff rence entre pour 1950 d activit les colonnes 1 et 2 Pts a araa Pots a Pate sn US US US ii ess Al ee 5 65 187 3 374617 2 27 570 19 132 715 16 117 036 3 15 670 9 53 618 7 36 314 2 17 304 13 86 704 10 68 247 3 18 457 E OOT T an 5000 46 31322 36 250244 10 84 010 amp 36 056 RU NE RE 000 lee 000 MTS 4 25 203 REC EE 6 45 701 4 29 941 2 15 850 2 16 856 E A 14 74330 13 66 414 1 7 925 5 36 126 2 11 244 3 24919 E N 2 16 903 11 68 776 10 56 738 1 12 038 29 137 646 28 1
60. est tabli et de celles encourues au titre du programme suppl mentaire des Services consul tatifs et techniques d j adopt exc dera le montant des cr dits qui selon les pr visions actuelles seront vraisemblablement affect s au programme d assistance technique des Nations Unies Toutefois le comit escompte que ce montant sera connu de fa on plus pr cise l poque de la session de l Assembl e de la Sant L Assem bl e se trouvera d s lors mieux m me d examiner la fois le programme suppl mentaire des Services consultatifs et techniques adopt par la Deuxi me Assembl e de la Sant et le programme largi d assistance technique en vue du d veloppement conomique et d approuver pour l s premi re et deuxi me p riodes d assistance technique des programmes tablis en fonction des disponibilit s financi res escompt es 89 Le comit s est demand si l on pourrait s assurer le concours d un personnel qualifi pour l ex cution du programme envisag pour l assis tance technique Il rel ve que le programme pro pos exigerait un personnel technique suppl mentaire tr s nombreux lequel viendrait s ajouter au personnel r gulier de l OMS Le comit a accept Tassurance donn e par le Directeur g n ral sur la possibilit de recruter ce personnel et a pris acte de l observation qu il a formul e selon laquelle ce recrutement n cessaire rendra extr mement difficile le maintie
61. expos ci dessus 35 m dicales liaison etc 2 Coordination des Augmentation du vo plans relatifs au pro lume de travail paral gramme de l OMS l le l ex cution de chelonnement chro projets nouveaux et nologique et mise en largis elle exigera uvre de ces program l emploi de personnel mes relev s et valua suppl mentaire pour tions comme il est ex les rapports relev s pos ci dessus 30 etc 3 Coordination juri Diminution du volume dique de l OMS com de travail mesure que prenant la pr senta les fonctionnaires res tion de propositions de ponsables de l OMS programmes au Conseil acquerront l exp rien Ex cutif et l Assem ce des sessions du Con bl e Mondiale de la seil Ex cutif et de Sant ainsi que le se l Assembl e cr tariat n cessaire 25 4 Coordination et liai Volume de travail ap son avec les organisa proximativement gal tions non gouverne ou l g re augmenta mentales 10 tion 5 Assistance techni que au d veloppement conomique Vers la fin de l ann e 1950 il sera sans doute n cessaire d en gager un fonctionnaire m dical de cat gorie sup rieure un fonc tionnaire du budget Gen ve et deux ou trois autres fonction naires au Bureau de New Vork Cette va luation devra peut tre tre revis e ult rieurement et l effectif pr vu augment 3 A cette fin la division peut tre consid r e comme ayant eu en 1949 la compositi
62. faire son choix en der nier ressort Cette m thode contribuerait r aliser la large r partition g ographique qui est l objet qu on se propose 204 Fonctionnaires d tach s Il y a des avantages vidents utiliser les services de fonctionnaires d tach s des services r guliers de sant publique et d autres services gouvernementaux ou appa rent s Le personnel recrut de cette mani re joui rait de la stabilit qui s attache la titularisation dans un poste permanent et s il n tait pas apte au travail d ordre international il pourrait tre plus ais ment r int gr dans son emploi initial Ainsi s ouvrirait un plus vaste champ de recrute ment et lorsque les contrats d engagement pren draient fin les fonctionnaires quittant l Orga nisation pourraient utiliser dans leur emploi initial l exp rience plus compl te qu ils auraient acquise aupr s de l OMS Il sera videmment n ces saire que l Organisation tablisse et maintienne un cadre de fonctionnaires internationaux permanents poss dant la comp tence voulue Une r solution a t adopt e ce sujet par le Conseil Ex cutif 3 205 Avis de vacances de postes Il serait d sirable cet gard 1 d obtenir des gouvernements toute l aide pos sible afin de parvenir au moyen de ces avis annoncer les postes vacants et s lectionner le personnel dans les diff rents pays 3 Voir r solution 7 5 3 Actes of Org mond Sant
63. font de ces services les l ments de l Organisation responsables de la direction et de l ex cution du programme et par la valeur que pr sentent pour eux lesdits services Ces unit s accomplissent leurs fonctions par persuasion plut t que par voie d instructions et pour la plus grande partie leur t che consiste sugg rer et recommander des solu tions pratiques reposant sur une exp rience et des connaissances d une qualit qu il serait trop co teux de pr voir dans le cadre de chaque unit d ex cution La facilit d adaptation des modifications ventuelles est essentielle si l on veut maintenir de fa on efficace la rapidit et la qualit des d cisions Il importe que l Organisation pr voie la n cessit de modifications ventuelles et que ces modifications soient accept es et effectivement r alis es Le meilleur moyen d assurer cette facilit d adaptation et la rapidit indispensable dans les modifications introduire r side dans une attitude parfaitement impartiale de la part de tous les fonctionnaires de l Organisation cette condition pr alable d pend de la souplesse m me des r gles int rieures de travail et de la qualit du personnel Afin de maintenir de fa on constante la qualit du personnel les m thodes administratives doivent avoir pour effet que chaque membre du personnel comprenne qu il constitue un l ment utile de l ensemble de l Organisation et non pas seulement une pi
64. fran ais 550 227 120 100 7 1 Voir Rapport du Comit permanent Section Il chapitre 3 page 35 2 Ces chiffres sont relatifs la Cinqui me Session du Conseil Ex cutif 3 Ces chiffres sont relatifs la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant ANNEXE 12 71 Annexe 12 PORT E DE LA V RIFICATION EXT RIEURE Expos g n ral du Commissaire aux Comptes La Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a adopt une r solution sur la port e de la v rification ext rieure des comptes J aimerais tout d abord pr senter quelques obser vations au sujet de la port e de cette v rification telle qu elle ressort de la r solution qui dans l en semble ne donne lieu aucune objection La r so lution pr cise toutes les obligations qui sont norma lement consid r es comme incombant un commis saire aux comptes En cons quence les instructions contenues dans la r solution n impliquent pas de principes nouveaux mais fixent plut t le minimum de responsabilit s g n ralement admis comme ap partenant au commissaire aux comptes Il est ind niable que telle qu elle est r dig e la r solution tendrait une v rification n gative mais j estime pour mon compte qu une Organisation internationale est en droit d attendre davantage de son commissaire aux comptes Celui ci doit accom plir une v rification de caract re positif et doit dans une large mesure jouer
65. g n ral de travail s tendant sur une p riode d termin e Le Secr tariat 132 I L article 30 de la Constitution dispose que le Secr tariat comprend le Directeur g n ral et le personnel technique et administratif n cessaire l Organisation 2 L article 31 de la Constitution dispose que le Directeur g n ral plac sous l autorit du Conseil Ex cutif est le plus haut fonctionnaire technique et administratif de l Organisation 3 L article 34 de la Constitution dispose que le Directeur g n ral doit pr parer et soumettre chaque ann e au Conseil Ex cutif les rapports financiers et les pr visions budg taires de l Organisation 133 Le Directeur g n ral a tabli et soumis au comit des graphiques de structure et des expos s sur les fonctions organiques 1 qui indiquent en d tail la composition de l Organisation Ces documents ont constitu une base tile pour les discussions 134 En outre le comit a longuement discut avec le Directeur g n ral et les Sous Directeurs g n raux et a rendu visite aux d partements et certaines sections particuli res 135 On trouvera ci apr s un r sum des obser vations du comit La structure organique recommand e par le comit est indiqu e dans le tableau reproduit ci apr s 1 Les graphiques de structure et les expos s sur les fonctions organiques tels qu ils ont t revis s selon les recom mandations du comit sont reproduits da
66. g n rale a galement demand que cette recommandation soit port e la connaissance de l organe directeur et de l assem bl e de chacune des institutions sp cialis es lors de leur prochaine session Il est possible que les trois commissions de l Assembl e g n rale des Nations Unies aient mal interpr t au tableau ITI qui figure dans le rapport du commissaire aux comptes pour 1948 8 la men tion d apr s laquelle le solde repr sentant un exc dent des d penses sur les recettes s l ve 1 345 101 48 alors que le d ficit en esp ces enregistr par l Organisation pour 1948 tait en r alit de 478 637 90 somme qui a d tre pr lev e sur le fonds de roulement 8 Mesures pr conis es au sujet des contribu tions arri r es Il y aurait peut tre lieu d envisager les mesures suivantes en vue de rem dier la situation peu satisfaisante qui se pr sente actuellement Les contributions non vers es pour 1948 l exclusion des sommes dues au fonds de roule ment s levaient la date du 31 d cembre 1940 577 321 y compris les 227 860 qui consti tuent la contribution non vers e des quatre Mem bres mentionn s plus haut Ce montant de 577 321 repr sente une dette l gard du fonds de roulement et les Etats Membres pourraient tre nouveau pri s de s acquitter de leurs obli gations Un appel analogue pourrait tre adress tous les Etats Membres en ce qui concer
67. galement un r le analogue celui de conseiller de l Organisation non seulement pour les questions d ordre purement financier et comptable mais aussi en g n ral pour toutes les activit s de l Organisation qui s exercent dans des domaines o ses connaissances et son exp rience peuvent tre utiles Bien qu elle ne puisse gu re tre formul e dans les instructions donn es au commissaire aux comptes c est l une conception laquelle j ai toujours t fid le jusqu ici et dont je continuerai m inspirer en accomplissant les v rifications de comptes des diverses institutions et organisations internationales aupr s desquelles j ai rempli et je remplis encore moi seul les fonctions de commissaire aux comptes En ce qui concerne la question d inclure dans les rapports de v rification des suggestions tendant la rectification ou l am lioration de pratiques administratives d fectueuses dans des domaines qui normalement ne rentrent pas dans le cadre de la v rification purement technique j aimerais me r f rer ce qui est dit dans les paragraphes ci apr s de la r solution relative la v rification ext rieure des comptes 6 5 Le commissaire aux comptes ne devra pas formuler de critiques portant sur des questions purement administratives mais il lui sera loisible de pr senter des observations sur les cons quences financi res de mesures administratives 6 8 Le commissaire aux comptes
68. joue un r le essentiel dans l Organisation Mondiale de la Sant On peut lire dans le rapport du Directeur g n ral au Comit permanent que le principe de la d l gation des responsabilit s doit tre appliqu dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement de l Organisation et la coordination des directives g n rales Aux premiers jours de l Organisation il n existait point d organisation r gionale sauf certaines missions envoy es dans diff rents pays groupes restreints qui assumaient de tr s lourdes responsabilit s en ce qui concerne le champ d action de l Organisation dans ces pays Les missions de ce genre ont aujourd hui peu pr s enti rement termin leur activit et des organisations r gio nales sont en voie de cr ation ou de d veloppement Dans l Asie du Sud Est et dans la M diterran e orientale il existe des organisations r gionales non enti rement d velopp es mais qui assument d j des responsabilit s dans l h misph re occidental le Bureau Sanitaire Panam ricain fait fonction de Bureau r gional pour les Am riques Il a t op r une d centralisation aussi pouss e que le permet taient les moyens dont disposaient les organisations r gionales mesure que ces derni res organisations se d velopperont et qu elles deviendront plus capables d assumer des responsabilit s la d cen tralisation se poursuivra et deviendra plus compl te L OMS ne poss de tout
69. l tablissement d un programme unifi 3 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services consultatifs sur les direc tives g n rales et sur les aspects techniques des divers programmes 4 donne des avis et apporte sa collaboration l Organisation des Nations Unies aux institutions sp cialis es aux organisations non gouvernemen tales et aux institutions sur les aspects sanitaires pertinents de certains projets et 5 participe la formation des comit s d experts de l Organisation des Services de Sant publique des Soins infirmiers de l Education sanitaire du public lorsqu il aura t constitu de l Assainis sement de la Sant mentale de Hygi ne de la Maternit et de l Enfance du Groupe d experts des Immunisations contre les maladies transmissibles de l enfance et du Comit mixte OAA OMS d ex perts de l Alimentation et de la Nutrition leur fournit les renseignements et l aide requis et donne effet leurs recommandations Section de l Administration de la Sant publique En vue d aider les gouvernements atteindre des niveaux lev s dans le domaine de l administration de la sant publique la Section de l Administration de la Sant publique 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstra tions aux gouvernements sur les m thodes mo dernes d administration de la sant publique sur l laboration de
70. l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es et les institutions et orga nisations non gouvernementales pour les aspects sanitaires pertinents des projets et 4 participe la formation des Comit s d experts pour la Standardisation biologique et pour l Unifi cation des Pharmacop es de celui des Drogues sus ceptibles d engendrer la toxicomanie et de celui des Antibiotiques lorsqu il aura t constitu et leur fournit les renseignements et l aide n ces saires i Section de la Standardisation biologique En vue d aider les gouvernements standardiser tous les produits dont l activit ne peut tre tablie que par des m thodes biologiques la Section de la Standardisation biologique I tablit et applique un programme d action qui l am ne notamment favoriser l tablissement de pr parations talons et d unit s internationales examiner les travaux de l Institut national de Recherches m dicales de Londres et de l Institut s rologique d Etat de Copenhague dans le domaine en question et tablir lorsqu il est possible de le faire des centres nationaux de contr le 2 distribue par l interm diaire des Bureaux r gio naux les talons internationaux aux laboratoires int ress s 3 fournit des avis aux gouvernements sur la standardisation biologique des s rums vitamines hormones antibiotiques et de certains autres m di caments et proc de des consulta
71. l Organisation doit suivre dans ses relations avec les fonctionnaires en faveur desquels l auto rit et les responsabilit s ont t d centralis es et d l gu es le fonctionnaire auquel les responsabilit s ont t confi es doit tre ou appuy ou d plac la haute direction doit s attendre ce que les fonctionnaires commettent des erreurs et doit examiner attentivement s il y a lieu de critiquer des d cisions prises dans les limites de l autorit qui a t d l gu e la haute direction doit viter de prodiguer les reproches lorsqu il y a exc s de pouvoir la haute direction doit r sister la tentation d ajouter des contr les non n cessaires La qualit des d cisions est obtenue gr ce un certain nombre de mesures troitement li es entre elles Pour l aider fixer les conditions dans lesquelles agira l Organisation le Directeur g n ral a cons titu les principaux fonctionnaires ex cutifs de l Organisation le Directeur g n ral les Sous Directeurs g n raux et le Directeur g n ral adjoint lorsque celui ci aura t nomm en Comit des Directives du Secr tariat Il incombe ce groupe de donner des avis sur la politique g n rale sur la coordination des programmes et sur les projets budg taires Le Directeur g n ral s adresse au Comit des Directives afin d obtenir des avis et une assistance pour atteindre les objectifs de l Organisa tion et pour guider l
72. la mesure possible au profit de l Organisation et recommande d inclure dans les r gles de la v rification une disposition pr voyant la possibilit de discussions non officielles avec l Administration au sujet de questions qui r sultent de la v rification et m ritent de l avis du commissaire aux comptes de retenir l attention 36 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 4 CONCLUSIONS SOMMAIRES 240 Le comit a constat que la structure orga nique de l Organisation est conforme aux termes de la Constitution ainsi qu aux d cisions de l Assem bl e de la Sant et du Conseil Ex cutif 241 Reconnaissant que le stade actuel de d ve loppement a un caract re exp rimental le comit n a pas estim n cessaire de recommander d appor ter une modification importante la structure orga nique du Bureau du Si ge ou des bureaux r gionaux Certains changements portant sur l am nagement en divisions et en sections sont indiqu s dans le corps du rapport Le comit a relev que post rieurement la date de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant et ant rieurement la pr sente session le Directeur g n ral a entrepris d introduire titre provisoire des modifications importantes dans l Organisation 242 Dans ses recommandations le comit incline en faveur d une organisation comportant trois divi sions pour le D partement des Services consultatifs quatre divisions pour le D par
73. la participation ffective ces r unions 171 Le comit souligne l int r t qu il y aurait r duire au minimum le temps consacr par le 30 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II personnel aux conf rences et r unions de tout genre et il recommande au Directeur g n ral de ne jamais perdre de vue cette question Dispositions relatives au personnel 172 Ilest commode de traiter d un certain nombre de sujets connexes sous la rubrique g n rale Dis positions relatives au personnel ces questions peuvent se r sumer comme suit Effectif du personnel employ R glement du Personnel Notices descriptives des postes Rendement du personnel Formation professionnelle Recrutement Contr le et v rification des demandes suppl mentaires de personnel Contrats d engagement Mouvement du personnel R unions Utilisation du personnel Bar me des indemnit s de subsistance Bar me diff rentiel des traitements 173 Les d tails relatifs l effectif du personnel n cessaire pour l ex cution du programme de tra vail de l Organisation sont expos s dans les Actes officiels N 23 tableau 1 L effectif du personnel peut tre indiqu comme suit 1949 1950 1951 Total 554 799 894 Effectif actuel du personnel janvier 1950 600 174 la demande du comit le Secr tariat a pr par un suppl ment d informations relatives au personnel Ces informations sont reproduites dans les an
74. la qualit et les possibilit s de comparaison sur le plan international des statistiques sanitaires la Section des Etudes statis tiques I recueille analyse et diffuse les donn es impor tantes sur les sujets statistiques m dicaux et sur la compilation des statistiques sanitaires 2 poursuit des tudes sur les m thodes employ es pour la compilation des statistiques d mographi ques et sanitaires 3 fournit des avis et des renseignements d ordre statistique au D partement des Services consulta tifs et aux Bureaux r gionaux en liaison avec les services fournis aux gouvernements 4 favorise au cours de l tude des probl mes sani taires l utilisation efficace des statistiques sani taires 5 donne des avis aux gouvernements sur l tablis sement et l am lioration des statistiques sanitaires nationales Section des Statistiques de Morbidit En vue d am liorer la qualit et les possibilit s de comparaison des statistiques de morbidit et de mortalit parmi les diff rentes nations la Section des Statistiques de Morbidit 1 poursuit des recherches sur les r sultats de lapplication de la Nomenclature internationale des Maladies Traumatismes et Causes de D c s et sur la classification la r union l analyse et la diffusion _ des statistiques de morbidit 2 fournit un service permanent de statistiques de morbidit et notamment rassemble des donn es rela tives la morbidit
75. n cessaire par l administration int ress e pour assurer un contr le efficace des fournitures 2 Si de l avis du commissaire aux comptes une Organisation d veloppe son syst me de rubriques budg taires dans une mesure qui d passe de beau coup celle qui est n cessaire une observation faite ce sujet par le commissaire aux comptes pour rait ais ment tre r fut e pour des raisons d ordre administratif cet gard je puis parler d un cas particulier o dans le cadre d une adminis tration nationale tr s importante le commissaire aux comptes a formul une critique justifi e au sujet de la comptabilisation des d penses sous 6 000 rubriques diff rentes Cette critique a t jug e sans fondement pour des raisons d ordre administratif Ces exemples ont simplement pour objet de mon trer combien sont limit es dans la r alit les possi bilit s de mettre en relief dans le rapport officiel les cas d administration d fectueuse et de sugg rer des am liorations D apr s la r solution relative la v rification des comptes le rapport officiel est le seul moyen dont dispose le commissaire aux comptes pour sugg rer les am liorations apporter Sur ce point je ne suis pas d accord mon avis le rapport officiel devrait tre aussi succinct que possible et en dehors des donn es techniques n cessaires ne devrait com prendre que des points soulevant des questions de 72 CONSEIL EX CUTIF CI
76. n ral en raison de l effet qu aurait sur le moral du per sonnel le changement propos mais encore en raison des inconv nients qui r sultent pour le rendement d interruptions prolong es dans la conduite des affaires de l Organisation 186 Le comit a recommand que le Conseil Ex cutif au cas o il se rallierait la mani re de voir du comit invite le Directeur g n ral la faire conna tre au Secr taire g n ral et modifier le r gime des cong s dans les foyers si le Secr taire g n ral en prend l initiative au Secr tariat des Nations Unies Sinon il y aurait lieu de surseoir toute action en attendant la d cision de l Assem bl e des Nations Unies Le Conseil Ex cutif n a pas t d avis de prendre des mesures l heure actuelle et il a d cid que le Directeur g n ral devrait proc der des modifi cations conformes celles qui pourraient tre introduites par le Secr taire g n ral de l Organisa tion des Nations Unies Notices descriptives des postes 187 Le comit n a pas examin d une mani re approfondie la classification des diff rents postes de l Organisation d apr s les caract res distinctifs du travail d une part et les connaissances apti tudes et autres qualifications requises d autre part La classification a pour objet de donner suite l article 16 du Statut du Personnel qui dispose que les traitements du personnel seront fix s compte tenu de
77. n ral a mis l tude l tablissement de normes de travail appro pri es R glement du Personnel et Statut du Personnel 184 Aux termes de l article 30 du Statut du Personnel le Directeur g n ral doit faire annuelle ment rapport l Assembl e de la Sant sur les r gles concernant le personnel et leurs amende ments qu il pourra dicter afin de donner effet au Statut du Personnel apr s confirmation par le Conseil Ex cutif 185 Les articles et les modifications qui doivent tre confirm s par le Conseil Ex cutif ne semblent pas appeler d autres observations que celles qui sont reproduites ci apr s Cong s dans les foyers Article 941 1 Aux termes de cet article et conform ment la pratique actuellement suivie par l Organisation des Na tions Unies tout membre du personnel a droit tous les deux ans un cong de deux semaines dans ses foyers augment des d lais de route effectifs Le Comit permanent a recommand que le Conseil Ex cutif se rallie aux conclusions du Comit d experts des Nations Unies en mati re de traitements et salaires indemnit s et cong s l effet que les cong s dans les foyers devraient tre tablis sur la base de trois au lieu de deux ann es comme c est actuellement le cas para graphe 123 du document NU A C 3 331 du 31 octobre 1949 non seulement pour des raisons d conomie lesquelles ne sont pas consid r es comme pertinentes par le Directeur g
78. o bien qu une r mun ration lui soit demand e au titre de ces fournitures La quantit actuelle de pages ron ographi es est d environ un demi million par mois Fournitures et services obtenus des Nations Unies et d institutions sp cialis es 231 Le comit recommande que le Secr tariat agissant isol ment ou en collaboration avec d autres institutions sp cialis es fasse tous les efforts pos sibles pour n gocier avec les Nations Unies un accord formel aux termes duquel serait tabli un bar me quitable de r mun ration des services ren dus par les Nations Unies Ce bar me devrait se fonder sur l examen par les deux organisations de la r mun ration demand e par rapport aux d penses support es Dans les conditions actuelles il ne semble pas que le besoin se fasse sentir de cr er d autres facilit s du m me ordre dans le cadre de l OMS R giement financier 232 Le comit ne propose pas d amendements au R glement financier en vigueur R gles de Gestion financi re 233 L article 22 c du R glement financier prescrit que le Directeur g n ral doit pr senter au commis saire aux comptes en m me temps que la compta bilit proprement dite un tat arr t au 31 d cembre de l exercice financier en cours du mat riel existant ainsi que de l actif et du passif de l Orga nisation etc 234 Les R gles de Gestion financi re ne portent pas express ment sur cette prescription 4 e
79. occasion de se mieux comprendre 138 Le comit a admis qu il y a probablement lieu d tudier dans un examen complet de la structure organique et de l efficacit administrative le statut la proc dure et les fonctions de l Assembl e de la Sant tels qu ils sont d finis par la Constitution Cependant le comit a estim que le temps dont il disposait ne lui permettait pas de proc der actuellement cette tude 139 En outre il est reconnu que l Assembl e de la Sant n a pas encore atteint sa pleine efficacit En dehors de difficult s de proc dure il se pose des probl mes nombreux concernant les langues la diversit des points de vue nationaux et les diff rences de conception au sujet des m thodes que doivent appliquer les conf rences et les comit s internationaux 140 Conform ment la Constitution l Assembl e de la Sant se r unit une fois par an La Premi re Assembl e de la Sant s est tenue au Si ge la Deuxi me Rome et la Troisi me aura galement lieu Gen ve La dur e des sessions est d environ trois semaines La r union de sessions annuelles constitue une lourde t che et soul ve de graves probl mes concernant les d penses encourues les pertes de temps et la perturbation des travaux du Secr tariat et l incidence de longues sessions sur le fonctionnement des administrations sanitaires nationales Il y a actuellement 68 pays repr sent s et les membres des d l ga
80. on compl te non seulement par les fonctionnaires plus anciens de la division mais aussi par ceux des autres unit s administratives du Secr tariat qui travaillent en liaison troite avec cette division Des contacts suivis sont maintenus par correspondance avec les membres du personnel qui travaillent sur le terrain Le personnel du Si ge et des autres bureaux re oit des instructions l encourageant tudier direc tement les activit s dont il est charg ou au sujet desquelles il doit tre d ment inform Dans les services techniques et professionnels en parti culier les faits nouv aux sont port s la connais sance des int ress s par la distribution assur e par l OMS de documentation technique Certaines sections ou divisions envisagent la distribution de bulletins d information tirage limit Le Bureau du Personnel a organis l intention de tous les membres du personnel assumant des responsabilit s administratives un cours sur les principes les m thodes et les probl mes de la direction d un service qui a lieu pendant les heures de bureau D autre part des cours de langues fran aise et anglaise ont commenc en janvier 1050 Il est d usage dans les sections et bureaux de former les membres du personnel pour des t ches plus ou moins semblables celles qui leur incom bent normalement afin de r duire au minimum les interruptions dans le travail pendant les cong s annuels et les cong
81. place dans les op rations sanitaires d une importance particuli re Le comit estime que l effectif ainsi pr vu pour le personnel r gional et le personnel des op rations sur place sera suffisant au stade actuel du programme de l Organisation mais souligne nouveau l int r t qu il y aurait pousser au maximum la d centra lisation des services professionnels et techniques 67 Le comit constate que certains gards la cr ation de bureaux r gionaux donne une impulsion nouvelle aux services fournis par l Organisation Mondiale de la Sant De ce point de vue les organisations r gionales jouent un r le tr s im portant Comit s d experts et conf rences 7 68 Le r glement et les r gles de proc dure applicables aux comit s d experts 17 ne pr voient pour ces comit s qu un mandat tr s g n ral Etant donn l importance des travaux de ces comit s il conviendrait d tablir et de diffuser en temps voulu avant la date de leurs r unions des renseignements d taill s sur les dispositions rela tives ces r unions leur objet le mandat du comit etc 16 Ce changement a t fait dans la version imprim e du document EB5 44 Actes of Org mond Sant 23 4 17 Actes off Org mond Sant 13 376 16 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 69 Dans le programme ordinaire et les pr visions budg taires pour 1951 30 sessions de comit s d experts sont pr vues contre 42 en 1
82. postes sup rieurs ou relati vement lev s Les plans discut s dans la section de l annexe 8 concernant la formation professionnelle devraient tre mis en uvre le plus t t possible 202 Outre le Manuel d instructions et de r gles administratives qui croit on savoir sera mis jour et les circulaires du Directeur g n ral il serait indiqu de publier sous une forme condens e une description g n rale des attributions des diff rentes divisions et sections accompagn e des noms des fonctionnaires int ress s Cette publication contribuerait propager la connaissance des activit s de l Organisation dans le cadre de celle ci elle pourrait tre utilis e gale ment pour exposer les rapports existant entre POMS et d autres organisations internationales et pour donner un bref historique du d veloppement de l OMS M thodes suivies pour le choix et le placement des membres du personnel Section 3 203 Les dispositions relatives au recrutement d crites dans cette partie du rapport du Directeur g n ral sont satisfaisantes l exception de cer taines d entre elles qui sont examin es ci apr s ainsi que sous la rubrique Contr le et v rification des demandes de personnel Le comit estime que au fur et mesure que les bureaux r gionaux se d ve lopperont il y aurait lieu de les faire participer plus activement au recrutement du personnel en laissant au Directeur g n ral le soin de
83. quatre Membres mentionn s ci dessus s l vent 531 313 Si ces contributions et d autres encore ne sont pas acquitt es les sommes correspondantes seront obtenues au moyen d une avance pr lev e sur le fonds de roulement de mani re que le Directeur g n ral puisse ex cuter la totalit du programme approuv par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant Le projet de r solution soumis par le Directeur g n ral a t adopt par le Comit permanent et est reproduit dans le rapport de ce comit Section I page ro Appendice 1 1949 CR DITS VOT S CONTRIBUTIONS ET D PENSES en dollars des Etats Unis Description Montant US CR DITS VOT S Total des cr dits vot s en vertu de la r solution concernant les cr dits 5 000 000 CONTRIBUTIONS FIX ES ET CONTRI BUTIONS RE UES Total des contributions fix es en vertu de la r solution concernant les cr dits 5 900 000 A ajouter Contributions suppl mentaires fix es pour les Mem bres dont l adh sion l Organi sation a pris effet en 1949 46 293 5 046 293 d duire Contributions re ues la date du 31 d cembre 1949 3 698 669 Solde non re u la date du 31 d cembre 1949 1 347 624 mr Ce solde comprend les contribu tions non vers es des quatre Membres mentionn s dans l ex pos pr c dent contributions dont le total s l ve 364 300 RECETTES ET D PENSES Recettes Contribution
84. que cet aspect de la question bien que tr s important n est qu une partie du probl me fondamental savoir l valuation du temps qu exige le surcro t de travail occasionn par les r unions Le temps consacr ce surcro t de travail se r partit en deux l ments pr paration des r unions b participation aux r unions La pr pa ration des r unions comprend deux l ments t la production des documents l organisation des r unions et tout le travail de Secr tariat d am na gements mat riels etc qu elle comporte La par ticipation aux r unions qui est l autre partie prin cipale comprend 1 la pr sence effective et le maintien en tat de disponibilit et 41 l tablisse ment des proc s verbaux des s ances c est dire la prise de notes et la r daction Les chiffres ci dessous sont des moyennes approxi matives et indiquent les limites entre lesquelles varient les valuations Le temps consacr aux r unions des comit s d experts comprend le temps employ pour les sessions des comit s mixtes Comit mixte des Directives sanitaires FISE OMS r unions avec l OAA l UNESCO etc On ne poss de pas encore une exp rience suffisante des r unions des comit s r gionaux pour pouvoir esti mer valablement la d pense de temps qu elles entra nent Par cons quent ces r unions n ont pas t express ment prises en consid ration On estime que les valuations sont d u
85. r partition des fonctions entre le Si ge central et les bureaux r gionaux Il a galement indiqu que au stade pr sent de d veloppement les m thodes appliqu es pour fournir des services tech niques et consultatifs avaient en une large mesure un caract re exp rimental aussi bien au Si ge que dans les bureaux r gionaux Il est donc diffi cile de pr voir le type auquel devra correspondre en fin de compte le personnel technique et la r partition de ce personnel Il a soulign cepen dant que le personnel technique central devrait tre de plus haute valeur technique et poss der les aptitudes individuelles requises pour l action inter nationale 124 En sus des principes g n raux mentionn s ci dessus qui concernent l organisation et l admi nistration le comit a galement examin certaines sections pertinentes de l annexe 5 Les observations qu il a pr sent es sur ce document sont expos es ci apr s 1 Le bureau r gional a essentiellement pour objet d organiser de coordonner administrative ment de contr ler et de fournir les services consultatifs destin s aux gouvernements Il doit tre con u selon un plan simple et souple de mani re r pondre aux besoins de la r gion laquelle il tend ses services 2 Le comit a not et approuv le principe suivi actuellement selon lequel le personnel r gional doit tre r gi par le Statut et le R gle ment applicables l ensembl
86. rique les niveaux de traitement pr vus et l quilibre relatif entre lesdits services et les autres d partements de l Organisation Service de la V rification int rieure des Comptes 8 3 2 74 Les Premi re et Deuxi me Assembl es Mon diales de la Sant ont tabli des directives visant ce que les comptes des bureaux locaux soient soumis une v rification sur place Le com missaire aux comptes a inform le comit que le syst me de v rification int rieure fonctionnait de fa on satisfaisante 75 Ia estim que la proc dure tablie en mati re de v rification devrait tre continu e parce qu elle permettait de donner des instructions plus claires et avait pour r sultat d am liorer la pr sentation des comptes On se propose d envoyer le commis raire aux comptes visiter au moins un bureau r gional par an et de faire proc der par les v ri ficateurs int rieurs des comptes des visites aux autres bureaux locaux La d centralisation du syst me de v rification des comptes n est pas envisag e bien que avec l accord du commissaire aux comptes on ait l intention de placer plus tard dans les diverses r gions g ographiques des v rificateurs int rieurs des comptes d tach s du Si ge En vertu de ce plan les v rificateurs ainsi d tach s resteront responsables envers le Directeur g n ral 76 Le commissaire aux comptes a inform le comit qu il avait recours en grande partie au personnel d
87. s qu il aura t dot des fonds n cessaires pour l ex cution du budget ordinaire de 1951 Toutefois il a recommand et le Directeur g n ral a accept cette recomman dation que le paragraphe 1 b du projet de r solution sur le fonds de roulement qui figure dans le document EB5 44 soit supprim 10 OBSERVATIONS PORTANT SUR LE D TAIL DU PROGRAMME ET DES PR VISIONS BUDG TAIRES Quatri me session ordinaire de l Assembl e de la Sant 1 Y 35 Le comit a exprim au Gouvernement des Etats Unis son appr ciation de l invitation trans mise l Organisation de tenir la Quatri me Assembl e Mondiale de la Sant Washington Il attire l attention du Conseil Ex cutif sur le surcro t de d penses qui peut r sulter du fait des r unions qui se tiennent hors de Gen ve Il est d sirable que le Directeur g n ral proc de de concert avec le Gouvernement des Etats Unis une tude plus pr cise des frais aff rents la r u nion de la Quatri me Assembl e Mondiale de la Sant Washington et fasse rapport sur ce point la Troisi me Assembl e de la Sant 10 Ce paragraphe a t supprim dans la r solution reproduite dans la version imprim e du document EB5 44 Actes off Org mond Sant 23 22 11 Les chiffres entre parenth ses qui suivent les titres de paragraphes sont les num ros des sections correspon dantes dans Programme et Pr visions budg taires propo s es pour l exerc
88. ses fonctions et de ses respon sabilit s 188 La classification a eu pour effet d j de cr er 59 postes distincts qui sont d crits et group s sous 17 cat gories les cat gories ro et 8 de l chelle hi rarchique de 19 cat gories ont t supprim es et le poste de Directeur m dical dont le traitement est de 12 000 dollars par an se range sous la cat gorie 20 189 Certains des postes ayant fait l objet de classification sont subdivis s diff rents niveaux par exemple infirmi res de la sant publique I IF HI et IV indiquant les degr s respectifs de respon sabilit Compte tenu de ces subdivisions un total de 131 postes sont d crits s par ment dans le document traitant de la classification 190 Quel qu il puisse tre le m rite de cette analyse est masqu par la rigueur qui s attache aux d nominations sp cialis es dont sont tiquet s un si grand nombre de postes ce qui conf re une nuance de sp cialisation des postes dont le con tenu administratif ou les connaissances sp cialis es comportent une analogie fondamentale Une classi fication dont le d tail est pouss l extr me peut avoir pour effet de restreindre cette interchangea bilit et ces possibilit s de mutation entre des postes qui sont souhaitables pour d velopper chez tous les fonctionnaires la connaissance de l Orga nisation et de ses activit s et pour leur m nager de plus grandes chances d avancement En outre
89. titre Observations et Principes directeurs relatifs un programme largi d assistance technique en vue du d veloppement conomique Ayant examin le programme propos par le Directeur g n ral pour la participation de l OMS au programme des Nations Unies relatif l assistance technique en vue du d veloppe ment conomique des pays sous volu s tel qu il est transmis par le Conseil Ex cutif ainsi que les recommandations du Conseil ce sujet I APPROUVE la partie du programme contenue dans les Actes officiels N 23 sous le titre Pro gramme et pr visions budg taires propos s pour l assistance technique en vue du d veloppement conomique des pays insuffisamment d velopp s Deuxi me p riode telle qu elle a t amend e comme repr sentant les propositions de l OMS pour sa participation la deuxi me p riode du programme d assistance technique en vue du d veloppement conomique dans la mesure n cessaire pour modifier le programme suppl mentaire d ex cution des Services consultatifs et techniques approuv par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant pour la premi re p riode 2 AUTORISE le Conseil Ex cutif agir au nom de l Assembl e Mondiale de la Sant jusqu sa prochaine session pl ni re pour tout ce qui concerne un aspect quelconque de ce programme 3 HABILITE le Conseil Ex cutif i examiner les r solutions pertinentes du Conseil Economique et Socia
90. 000 pour 1949 Il est apparu au comit que l existence des publications p riodiques d TOMS n a pas fait l objet d une publicit suffisante On notera toutefois que l Organisation des Nations Unies assure pour le compte de POMS la vente des publications Le personnel de l OMS ne s occupe pas du d veloppement de ces ventes et les pr vi sions de 1951 ne contiennent pas de cr dit pour ce genre d activit Il a t sugg r que la Chronique soit distribu e gratuitement dans une plus large mesure aux maisons d dition d ouvrages m dicaux ainsi qu aux tablissements m dicaux afin d assurer une publicit aux autres publications p riodiques de l Organisation et d accro tre en m me temps l utilit de cette publication en tant qu organe d information sur les activit s de l OMS Le comit reconna t les avantages du syst me en vertu duquel la Biblioth que obtient des publi cations p riodiques en change des publications de l OMS Le comit a recommand de recourir plus largement dans les publications de l OMS la pr sentation graphique I4 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE H 46 Le Conseil d sirera peut tre r examiner une date ult rieure les r gles r gissant la distri bution et la vente des p riodiques Services consultatifs 5 Organisation des services de sant publique 5 1 47 Les programmes propos s pour 1950 et 1951 pr sentent peu de diff rences entre eux On
91. 1 Le temps du personnel du Bureau du Si ge est pris raison de 25 environ par les travaux relatifs aux r unions du Conseil et de comit s d experts 2 Le personnel de bureau les secr taires et les dactylographes du Bureau du Si ge consacrent aux r unions 15 20 de leur temps dont 7 9 la participation directe aux r unions 3 Il est vident que le nombre et la fr quence des r unions affectent directement la quantit de travail qui incombe l Organisation 211 Afin de r duire le laps de temps consacr aux travaux n cessaires aux r unions il est sugg r 1 que le Directeur g n ral fasse intervalles plus ou moins rapproch s proc der un examen des raisons motivant la participation aux r u nions du personnel de rang sup rieur notam ment quand la pr sence de ces fonctionnaires n cessite des d placements et cela afin que leur participation aux r unions puisse tre maintenue au minimum n cessaire et 2 pour autant qu il s agit du personnel de bu reau que le temps consacr par ces membres du personnel la participation aux r unions soit galement maintenu au minimum La m thode actuelle du Directeur g n ral qui consiste encourager le personnel de bureau assister aux r unions afin qu il puisse appr cier la valeur de son propre travail est excellente en principe mais il y aurait lieu toutefois de maintenir cette participation dans de strictes limites Ut
92. 1 174 3 22 246 816 3 09 435 236 9 94 1 190 109 15 87 1 278 485 16 02 1 520 563 34 72 3 165 550 42 20 3 483 202 43 65 89 400 2 05 159 000 2 12 132 300 1 66 1 609 963 36 77 3 324 550 44 32 3 615 502 45 31 416 582 9 51 876 453 11 69 906 818 11 36 2 026 545 46 28 4 201 003 56 01 4 522 320 56 67 t Voir Rapport du Comit permanent Section II chapitre 3 page 30 2 Les chiffres de ce tableau sont extraits des Actes off Org mond Sant 23 Montant du budget total 1949 4 378 420 1050 7 501 500 1951 7 981 164 ANNEXE IO 69 Annexe 101 R PARTITION DU PERSONNEL PAR CAT GORIES POUR 1949 1950 ET 1951 Si ge Bureaux r gionaux Op rations sur place Total Cat gorie 1949 1950 1951 1949 1950 1951 1949 1950 1951 1949 1950 1951 Personnel local 52 98 133 35 49 50 87 147 183 1 1 1 2 4 4 2 1 1 4 5 3 3 25 32 37 4 3 3 26 35 40 4 54 61 63 8 8 8 1 1 59 70 72 5 68 77 79 3 8 7 1 7 11 72 92 97 6 23 29 29 5 5 6 2 2 28 36 37 7 23 33 35 4 6 6 9 1 1 36 40 42 8 4 1 2 7 9 36 46 48 3 8 10 2 5 6 41 59 64 10 4 1 5 11 16 24 27 3 4 8 3 24 28 22 52 63 12 15 16 15 3 8 15 9 6 6 27 30 36 13 14 20 21 2 6 7 2 9 12 18 35 40 14 6 7 7 2 5 5 13 8 7 21 20 19 15 30 35 37 4 9 14 10 39 43 44 83 94 16 10 12 13 1 5 5 8 25 32 19 42 50 17 19 24 24 1 1 1 1 1 24 26 25
93. 18 4 3 4 1 1 1 2 4 2 19 5 10 13 2 4 6 7 14 19 Hors cat gorie 4 5 5 3 4 6 7 9 11 Torrar 358 438 456 99 183 237 97 178 201 554 799 894 1 Voir Rapport du Comit permanent Section II chapitre 3 page 30 2 Ces chiffres indiquent la r partition du personnel d apr s l valuation qui en est faite dans les Actes off Org mond Sant 23 70 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Annexe 11 TIRAGE ET DISTRIBUTION DES DOCUMENTS POUR LES SESSIONS DU CONSEIL EX CUTIF ET DE L ASSEMBL E MONDIALE DE LA SANT CONSEIL EX CUTIF Distribution initiale Tirage Conseil P Bureaux Total Ex cutif Secretariat rade Documents en anglais 450 257 98 125 34 en fran ais 250 128 51 70 7 Proc s verbaux en anglais 350 257 98 125 34 en fran ais 200 128 51 70 7 ASSEMBL E DE LA SANT Distribution initiale Tirage AR k ae a a a Documents de l Assembl e en anglais 1 100 606 181 11 230 150 34 en fran ais 800 371 140 4 120 100 7 Comptes rendus in extenso en anglais 900 606 181 t4 230 150 34 en fran ais 750 371 140 4 120 100 7 Documents des commissions en anglais 800 414 230 150 34 en fran ais 600 227 120 100 7 Proc s verbaux des com missions en anglais 750 414 230 150 34 en
94. 33 827 1 3 819 52 198 697 48 185 239 4 13 458 129 669 393 115 574488 14 94905 175 1 042 617 151 833 702 24 178 915 E AR ON 175 4 169 347 151 990 432 24 178 915 Les chiffres repr sentent le niveau des d penses en janvier 1950 et comprennent les obligations ANNEXE 3 47 Annexe 3 Extrait de EB 5 97 Rev 1 24 janvier 1950 HISTORIQUE DU D VELOPPEMENT ORGANIQUE ET EXPOS DES PRINCIPES FONDAMENTAUX APPLIQU S DANS L TABLISSEMENT DES PLANS CONCERNANT L ADMINISTRATION ET L ORGANISATION DE L OMS Rapport du Directeur g n ral 1 Historique du d veloppement organique L origine de l Organisation remonte une r solution du Conseil Economique et Social des Nations Unies qui en f vrier 1946 a d cid de convoquer une conf rence internationale charg e d tudier l tendue et le m canisme de l action internationale entreprendre dans le domaine de la sant publique ainsi que des propositions visant la cr ation d une organisation internationale unique des Nations Unies pour la sant publique La conf rence qui s est tenue New York du 19 au 22 juillet 1946 3 a labor la Constitution de l Organisation Mondiale de la Sant elle a d termin les objectifs et les fonctions de celle ci et tabli les organes Assembl e de la Sant et Conseil Ex cutif par l interm diaire desquels devait s effectuer le travail de l Organisation La Constitution pr voit
95. 950 Huit nouveaux comit s seront convoqu s en I95I voir annexe 6 Le comit recommande au Conseil Ex cutif de se montrer prudent en ce qui concerne l tablissement de comit s d experts ne s occupant pas des questions auxquelles l Assem bl e de la Sant a attribu la priorit Tout en reconnaissant l int r t que pr sente dans certains cas la constitution de sous comit s le comit a constat qu on avait une tendance en cr er un grand nombre et constituer des comit s pour s occuper de domaines d activit tr s sp cialis s Le Conseil est mis en garde contre cette tendance et il lui est recommand d examiner de fa on tr s attentive les propositions de ce genre avant de les approuver Jo Les pr visions de d penses relatives aux sessions de comit s d experts varient de moins de 100 plus de 200 par homme journ e L article de d penses le plus lev est celui des transports pour des sessions plus longues des intervalles moins fr quents la d pense par homme journ e serait sensiblement moins lev e Services administratifs 8 Services administratifs et financiers 8 3 71 Dans l tablissement des pr visions aff rentes pour 1951 au D partement des Services admi nistratifs et financiers il a t suppos que l effectif du personnel de ce D partement serait le m me qu en 1950 c est dire de 129 membres Toutefois les cr dits inscrits ont pass de 669 393 700 072
96. ACTES OFFICIELS DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT N 26 a RAPPORT CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION TENUE A GEN VE DU 16 JANVIER AU 2 F VRIER 1950 PARTIE II OBSERVATIONS ET RECOMMANDATIONS RELATIVES AUX PROGRAMME ET PR VISIONS BUDG TAIRES PROPOS ES POUR 1951 ET EXAMEN DE LA STRUCTURE ORGANIQUE ET DE L EFFICACIT DU FONCTIONNEMENT ADMINISTRATIF DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT Palais des Nations Gen ve Mars 1950 ABR VIATIONS Liste des abr viations employ es dans les Actes officiels de l Organisation Mondiale de la Sant ANURP Aide des Nations Unies aux R fugi s de Palestine BAT Bureau de l Assistance Technique BIE Bureau International d Education BIT Bureau International du Travail BSP Bureau Sanitaire Panam ricain CAC Comit Administratif de Coordination CAT Comit de l Assistance Technique CEE Commission Economique pour l Europe FISE L Fonds International de Secours l Enfance EMANU F d ration Mondiale des Associations pour les Nations Unies OAA Organisation pour l Alimentation et l Agriculture OACI Organisation de l Aviation Civile Internationale OIC Organisation Internationale du Commerce OIHP Office International d Hygi ne Publique OIR _ Organisation Internationale pour les R fugi s OIT Organisation Internationale du Travail OMCI Organisation
97. Bureau r gional pour les Am riques un Bureau administratif pour l Europe avait galement t tabli Le Conseil Ex cutif 115 Conform ment aux termes de la Constitution le Conseil Ex cutif a tenu au moins deux sessions par an pour donner effet aux d cisions de l Assem bl e de la Sant Pour ne mentionner que certaines de ses autres activit s le Conseil s est attach renforcer l efficacit de l organisation et de l admi nistration et il a r gl des questions de structure telles que la cr ation de comit s d experts et d administrations r gionales et l institution de rela tions avec d autres organisations il a galement sanctionn de son autorit un certain nombre de mesures d urgence 116 En outre le Conseil a formul des recom mandations la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant sur bon nombre de questions impor tantes et en soumettant le programme de 1950 et en examinant les pr visions budg taires il a jou un r le de premier plan dans l volution de l Orga nisation vers sa forme pr sente Principes fondamentaux appliqu s par le Directeur G n ral 117 Le comit a examin cet gard le rap port qui lui a t pr sent par le Directeur g n ral annexe 3 118 Il a accept les principes expos s dans l annexe 3 qui lui ont paru judicieux Il y a ajout une disposition suppl mentaire savoir que l existence de l Organisation dans so
98. Bureaux r gionaux et en assure le contr le technique et 5 collabore avec la biblioth que de l Organisation des Nations Unies pour les questions d int r t commun Port e et but de la R organisation du D partement des Services administratifs et financiers Au cours de la p riode o l organisation tant existante qu envisag e pour les deux d parte ments techniques faisait l objet d une tude des experts conseils proc daient l laboration d une classification des postes du Secr tariat Les propo sitions de r organisation qui en se pr cisant se ANNEXE 13 85 sont r v l es de nature exercer une influence sur la classification des postes ont t port es la connaissance du groupe d experts conseils en mati re de classification que le Directeur g n ral a pri s d valuer les r percussions de ces propo sitions dans le cadre de la structure d ensemble de l Organisation Plus particuli rement le Directeur g n ral a invit les experts lui adresser des recom mandations sur la fa on dont les fonctions com portant l laboration de directives g n rales pou vaient tre r parties entre les trois d partements principaux d une mani re quitable et qui rencontre leur agr ment Le Directeur des Services adminis tratifs et financiers ne se trouvant pas au Si ge lors de l enqu te sur la classification aucune pro position n a t formul e en vue de la r organisat
99. Conseil Ex cutif ou l Assembl e Mondiale de la Sant n autorise le Directeur g n ral utiliser cet effet d autres ressources disponibles de l Organisation 8 Le total des d penses engag es au titre des Parties I et II du budget de 1948 s est lev 2 Ce point a t mentionn dans les observations du commissaire aux comptes Actes off Org mond Sant 20 8 paragraphe 4 b 463 106 il appara t donc nettement que l on dispose de liquidit s pour rembourser int grale ment les 400 000 dus aux Nations Unies 9 Le comit estime qu il y a de puissants argu ments pr senter en faveur de la th se d apr s laquelle la dette contract e l gard des Nations Unies est une dette envers une Organisation com pos e dans l ensemble des m mes Etats Membres que l Organisation Mondiale de la Sant et dont certains de ces Etats n ont pas encore vers leurs contributions l Organisation n anmoins le comit estime souhaitable que l Organisation se lib re de cette obligation Il recommande donc que le solde total restant d aux Nations Unies soit rembours m me avant la date de l ch ance au moyen des fonds suivants partie non utilis e du pr t consenti la Commission Int rimaire soit 329 560 sommes d j vers es par des gou vernements pour le remboursement de ce pr t et montant de 69 495 provenant des versements effectu s par des Etats Membres au titre d arri r s d
100. I institutions non gouvernementales sur les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisations 7 assure le secr tariat du sous comit appropri du Comit d experts de l Enseignement profes sionnel et technique destin au personnel m dical et auxiliaire et 8 contr le le travail du Service des Fournitures m dicales et du Mat riel d enseignement ce qui comporte les activit s suivantes a prendre des arrangements pour fournir les approvisionnements m dicaux et le mat riel d enseignement destin s des services consul tatifs aux gouvernements b fournir aide et conseils aux gouvernements pour leur permettre d obtenir des approvisionne ments m dicaux de la documentation et du mat riel d enseignement c prendre des dispositions avec des gouverne ments des organisations et des institutions en vue de faciliter la mise en uvre des programmes et d collaborer avec l Organisation des Nations Unies des institutions sp cialis es des organisa tions et des instituts au sujet de la normalisa tion et de la fourniture d approvisionnements m dicaux de documentation et d quipement Port e et But de la R organisation du D par tement des Services techniques centraux Au moment de sa cr ation en octobre 1948 le D partement des Services techniques comprenait deux divisions la Division des services d Edition et la Division d Epid miologie et deux sectio
101. IQUE SECTIONS BOURSES D ETUDES ET FORMATION TECHNIQUE ECHANGE D INFORMATIONS SCIENTIFIQUES ASSISTANCE AUX ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT OMS 5077 06 II HILUVA NOISSAS ANYHIA NIO JILOOJXA TIESNOO GRAPHIQUE III STRUCTURE PROVISOIRE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE Approuv par le Conseil Ex cutif dan 1950 DEPARTEMENT DES SERVICES TECHNIQUES CENTRAUX DIVISION DES SERVICES D EDITION ET DE DOCUMENTATION IDIVISION DES SUBSTANCES THERAPEUTIQUES DIVISION DE DIVISION DES L EPIDEMIOLOGIE STATISTIQUES SANITAIRES SECTIONS SECTIONS SECTIONS SECTIONS CONVENTIONS SANITAIRES ET QUARANTAINE STANDARDISATION BIOLOGIQUE ETUDES STATISTIQUES EDITION STATISTIQUES DE MORBIDITE TECHNOLOGIQUE PHARMACEUTIQUE fm TRADUCTION NOMENCLATURE INTERNATIONALE ETUDES EPIDEMIOLOGIQUES 1 DES MALADIES ET CAUSES DE DECES DROGUES ENGENDRANT LA TOXICOMANIE PUBLICATIONS COORDINATION DES RECHERCHES BIBLIOTHEQUE ET INFORMATION EPIDEMIOLOGIQUE DOCUMENTATION STATION D INFORMATIONS EPIDEMICOLOGIQUES BUREAU DE RECHERCHES SUR LA TUBERCULOSE COPENHAGUE DE SINGAPOUR 0MS 5078 NOILVSINVOUO T 4A AUALONULES 16 GRAPHIQUE IV STRUCTURE PROVISOIRE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE Approuv par le Conseil Ex cutif Jan 1950 DEPARTEMENT DES SERVICES ADMINISTRATIFS ET FINANCIERS SERVICE
102. ME SESSION PARTIE Il graphes avec l indication d taill e des conditions requises Les demandes re ues sont soumises un premier triage afin de d terminer le niveau d ins truction et l exp rience pratique des candidates Etant donn le caract re scientifique des travaux de l OMS on consid re que les st nographes doivent pouvoir justifier d une immatriculation dans une universit ou d un degr d instruction quivalent Quant l exp rience pratique deux ann es au moins de travail satisfaisant dans un emploi sont jug es indispensables Si ces conditions paraissent remplies l int ress e est invit e se pr senter Gen ve ou Londres pour subir un examen et pour une entrevue Il a t tabli des textes uniformes pour les preuves de prise st nographique et de dactylo graphie En m me temps que la rapidit voulue il est exig un tr s haut degr d exactitude Si les candidates subissent avec succ s les preuves pra tiques une entrevue a lieu pour d terminer si elles poss dent les qualit s personnelles de stabilit et de maturit qui leur permettront de s adapter comme il convient au travail de l OMS et aux condi tions de vie Gen ve Les preuves ont lieu Gen ve sous la direction du chef du Service central de st nodactylographie et Londres sous la direction de membres du personnel de la Tr sorerie britannique Dans les deux cas ce sont des fonctionnaires du Bureau du
103. MS Le comit a tenu le 18 juillet 1949 une r union pr liminaire laquelle il fut d cid qu il devait s efforcer d tablir un expos complet mettant en lumi re les principes fondamentaux dont s inspire l Organisation et les r gles administratives par le moyen desquelles ces objectifs pourraient tre atteints A cette fin le comit a tabli une liste d un certain nombre de questions d taill es et demand au Directeur g n ral d laborer la documentation n cessaire qui permettrait au comit lors de sa session de janvier d examiner de fa on ad quate le vaste probl me pos par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant Le Directeur g n ral a pr sent au comit une s rie de documents qui r pondaient d une fa on claire et compl te aux questions qui avaient t pos es Certains de ces documents figurent en annexe au pr sent rapport D autres ont t r sum s et modifi s par le comit ils se trouvent pr sent s dans ses conclusions Le Conseil Ex cutif appr ciera la difficult de formuler des recommandations positives dans certains domaines de recherche et d tude Non seulement le comit a vu ses travaux limit s par le temps dont il disposait mais encore un certain nombre de facteurs fondamentaux ont exerc une influence restrictive Ce sont entre autres les suivants 1 L application enti re et compl te d un programme annuel approuv n a pas encore t possible 2 A cestade
104. Maritime Consultative Intergouvernementale OSP Organisation Sanitaire Panam ricaine UIT Organisation Internationale des T l communications UNESCO Organisation des Nations Unies pour l Education la Science et la Culture E UNRRA Administration des Nations Unies pour les Secours et la Recons truction NOTE Le pr sent volume contient les observations et recommandations faites par le Conseil Ex cutif lors de sa cinqui me session sur le programme et les pr visions budg taires propos s pour 19571 et rend compte de l examen auquel il a proc d de la structure organique et de l efficacit du fonctionnement administratif de l Organisation Mondiale de la Sant Il comprend en outre les r solutions pertinentes du Conseil le Rapport du Comit permanent des Questions administratives et financi res soumis la cinqui me session tel qu il a t amend et adopt par le Conseil ainsi que des annexes On trouvera dans les Actes officiels N 25 Rapport du Conseil Ex cutif cinqui me session Partie I le compte rendu int gral des d cisions prises par le Conseil lors de sa cinqui me session TABLE DES MATI RES R SOLUTIONS DE LA CINQUI ME SESSION DU CONSEIL EX CUTIF RELATIVES AU RAPPORT DU COMIT PERMANENT DES QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCI RES Pages 1 Repr sentation du Conseil Ex cutif la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant j 2 Programme largi d assistance techniqu
105. NQUI ME SESSION PARTIE II principe ou dont l importance est telle qu ils doivent tre signal s l Assembl e de la Sant Le commissaire aux comptes doit en toutes cir constances se garder dans toute la mesure du possible de placer l Organisation sous un jour d fa vorable aux yeux du public en ins rant dans son rapport des observations d importance secondaire Il ne faut pas perdre de vue que la plupart des lec teurs du rapport n ont aucune connaissance sp ciale de la question et sont probablement incapables de distinguer entre les points essentiels et ceux qui pr sentent relativement peu d importance C est pourquoi j ai pour r gle de soumettre l Adminis tration au cours de mes v rifications r guli res des rapports ne portant que sur des questions de comptabilit qui appellent des rectifications soit parce que des erreurs ont t commises soit parce que les r gles et r glements en vigueur n ont pas t observ s En outre les irr gularit s administratives viter devraient pouvoir tre signal es d une mani re plus souple que par la voie du rapport officiel dans Pin t r t d un fonctionnement plus ais des rouages administratifs Il est de la plus haute importance qu une parfaite confiance r gne entre l Organisation et le commis saire aux comptes L Organisation doit avoir le sentiment qu elle peut soumettre sans h sitation toutes questions m me les plus d licate
106. Organisation et de l efficacit de celle ci et 3 D CIDE galement que le Conseil sera officielle ment repr sent la Troisi me Assembl e de la Sant par Sir Arcot Mudaliar le Dr H S Gear le Dr J Zozaya 3 4 RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mon diale de la Sant l adoption de la r solution sui vante L Assembl e de la Sant I CHARGE la Commission du Programme d exa miner dans ses grandes lignes le programme propos ainsi que les observations et recom mandations du Conseil Ex cutif 2 CHARGE la Commission des Questions admi nistratives et financi res d examiner dans leurs grandes lignes les aspects financiers du pro gramme et du budget ainsi que les observations et recommandations du Conseil Ex cutif 3 CHARGE la Commission du Programme et la Commission des Questions administratives et financi res de se r unir en s ance mixte au d but de la session la date qui sera fix e par le Bureau de l Assembl e pour pr senter conjointement des recommandations l Assembl e de la Sant sur le montant total du budget et sur les frac tions de ce total qui devront tre consacr es chacune des parties du budget savoir Partie I essions d organisation Partie Il Programme d ex cution Partie III Services administratifs R solution 1 8 3 2 Programme largi d assistance technique pour les pays insuffisamment d velopp s Fournitures Le Conseil Ex cut
107. Personnel de POMS qui ont des entrevues avec les candidates Avant les preuves collectives institu es Lon dres les candidates sont inform es de la nature du travail qu elles auront accomplir ainsi que des conditions et du co t de la vie Gen ve Postes des cat gories 7 II I s agit surtout en l esp ce de travaux de bureau d un degr sup rieur ou de travaux administratifs d un degr inf rieur Lorsqu un tel poste est vacant un membre du personnel autoris appartenant la section int ress e avise le Bureau du Personnel que le poste est pourvoir La vacance de poste est alors affich e aux Nations Unies et dans les insti tutions sp cialis es ainsi que dans les bureaux r gionaux et autres bureaux de POMS Cet avis contient une description du poste l indication des titres requis de la cat gorie et du traitement Si des aptitudes et une exp rience sp ciales sont exig es comme par exemple dans les Services d Edition ou dans les Services administratifs et financiers le Bureau du Personnel se mettra sur demande directement en rapport avec les institu tions ou organisations consid r es comme ayant des relations avec des sp cialistes de la branche d activit dont il s agit Des avis sont galement ins r s dans les journaux professionnels et techni ques en particulier pour les postes vacants dans les Services d Edition Avant la date de cl ture fix e pour la r ception des dem
108. RIBUTIONS FIXES ET CON TRIBUTIONS RE UES Total des contributions fix es en vertu de la r solution concernant les cr dits RU A ajouter Contributions suppl mentaires fix es pour les Mem bres dont l adh sion l Organi sation a pris effet entre le 127 sep tembre et le 31 d cembre 1948 d duire Contributions re ues la date du 31 d cembre 1948 Solde non re u la date du 31 d cembre 1948 A d duire 1949 Contributions re ues en Solde non re u la date du 31 d cembre 1949 f Ce solde comprend les contribu tions non vers es des quatre Membres mentionn s dans l an nexe x contributions dont le total s l ve RECETTES ET D PENSES l exclu sion du budget de l aide sanitaire aux pays et du Fonds sp cial de l UNRRA qui sont report s en vertu des r solutions pertinentes Recettes Contributions re ues voir ci dessus Recettes diverses en 1948 D penses Parties I et II du Budget de 1948 Partie IV du Budget de 1948 A d duire Montant imput au bud get de l aide sanitaire aux pays Solde soit exc dent de d penses sur les recettes avanc par le fonds de roulement Montant US 4 800 000 1 650 000 3 150 000 1 546 758 4 696 758 3 150 000 22 726 3 172 726 1 791 151 1 381 575 804 254 577 321 227 860 1 791451 13 748 1 804 899 972 443 1 820 431 2 799 874 509 337 2 283 537 478 638 Description SOLDE
109. S NON UTILIS S DES CR DITS VOT S Cr dits vot s l exclusion des som mes pr vues pour le fonds de roulement A d duire D penses payer sur ces cr dits voir ci dessus r Solde des cr dits non utilis s vir s au fonds de roulement conform ment la r solution concernant les cr dits Appendice 3 Montant US FONDS DE ROULEMENT en dollars des Etats Unis Description FONDS TABLI PAR LA PREMI RE ASSEMBL E MONDIALE DE LA SANT 1948 Contributions au fonds fix es en rela tion avec le budget de 1948 A ajouter Contributions suppl mentaires fix es pour les Membres dont l adh sion l Organisation a pris effet en 1948 A d duire Contributions non re ues la date du 3r d cembre 1948 Solde soit contributions re ues la date du 31 d cembre 1948 A d duire Montant avanc par le fonds pour couvrir l exc dent des d penses sur les recettes pour 1948 voir appendice 2 Solde disponible en esp ces la date du 31 d cembre 1948 Composition du fonds au 31 d cembre 1948 Esp ces disponibles Contributions non re ues Cr ances valoir sur des contribu tions non vers es d Etats Mem bres au budget de 1948 contribu tions qui sont dues un autre titre que celui du fonds de roule ment Montant total des cr dits vot s pour le fonds Dans les contributions non re ues ainsi que dans les cr ances sont compris les montants ci apr s d
110. S SERVICES TECHNIQUES CENTRAUX SERVICES CONSULTATIFS Bureau du Sous Directeur g n ral Division de l Organisation des Services de Sant publique Bureau du Directeur Administration de la Sant publique et zones de d monstrations sanitaires SR ET EC E S aa Op rations sur le terrain P TSONNE LE PRE NE EE h Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Subsides UNRPR Assainissement EEE ER D ES Op rations sur le terrain Personnels RE RECENT Eee PEL PIE Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Education sanitaire du public SICRR ee NA ET Op rations sur le terrain Personnels aoire LE EE Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Soins infirmiers DIRE R RE AA a RS A A nn Op rations sur le terrain Personnel E E act jen Ces La CC ns s eb s E S Le Ca re Le CC T e E ST et ne 16e Ce a Lan a on ren a Be Vies Len Len En at E one te Total pour la Division 43 1 2 8 Poeem nt voume ere ne Postes de ee Postes de ue Postes Ps US US US 2 18 128 gt 2 18 128 3 20 975 1 4 693 2 16 282 1415490 145 4190 a 2 12 956 2 12 956 Z 2 14 450 2 14 450 5 34 477 1 9 853 amp 24624 30 000 30 000 53 213 988 33 127 713 20 86 275 16 800 16 800 72 600 72 600 _
111. Services des Maladies transmissibles Hygi ne de la Maternit et de l Enfance Services consultatifs Organisation des Services Hy8i ne mentale Nutrition 7 Soins infirmiers Administration de la Sant publique Education sanitaire du Public Assainissement de Sant publique _Enseignement professionnel Formation technique et Bourses d tudes et techni E que Echange d Informations scientifiques Fournitures m dicales et Mat riel S r gionaux d enseignement RAPPORT DU COMIT PERMANENT 27 Observations sur la structure organique L Assembl e 136 L Assembl e de la Sant est l organe l gis latif qui r git l Organisation elle constitue le moyen par lequel tous les Etats Membres arr tent le programme et fixent les principes directeurs de l Organisation et ses assises financi res 137 L Assembl e de la Sant n est pas seulement la source de l autorit elle exerce en outre certaines influences qui pour tre moins imm diatement visibles ne doivent pas tre n glig es Les Assem bl es de la Sant ont permis de se faire une id e exacte des probl mes sanitaires internationaux de conna tre les points de vue r gionaux et natio naux et d tablir des contacts personnels fort utiles Les Assembl es ont contribu faire na tre une conception internationale des questions de sant et de m decine Elles ont donn aux d l ga tions et au Secr tariat l
112. a insist sur le d veloppement des administrations de la sant publique et sur les aspects sociaux du programme Le comit fait ressortir l importance des avis que peut fournir l Organisation pour aider les gouvernements renforcer leurs administrations de la sant publique et consid re que le chapitre des Actes officiels n 23 page 109 traitant du programme d assistance technique qui est pro pos pour l organisation des services de sant publique pr sente un aper u excellent des m thodes gr ce auxquelles les services sanitaires nationaux peuvent tre mis sur pied am lior s et renforc s Administration de la sant publique 5 1 1 et zones de d monstrations sanitaires page 109 48 Conform ment aux d cisions de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant des zones de d monstrations sanitaires ont t comprises dans le programme largi d assistance technique Le comit consid re que l application de ces projets pr sente une importance primordiale pour l uvre de l Organisation et qu elle devrait tre entreprise aussit t que possible Toutefois avant d organiser des zones de d monstrations sanitaires dans un pays quelconque il sera n cessaire de s assurer que le gouvernement de ce pays sera en mesure de poursuivre la t che ult rieurement 49 Il a t pr vu dans le budget ordinaire que du personnel suppl mentaire sera envoy sur le terrain en vue de renforcer des projets sp ciaux
113. a Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant l adoption de la r solution suivante La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant AUTORISE ET INVITE le Conseil Ex cutif fixer vers la fin de 1950 ou au d but de 1951 selon la situation financi re de l Organisation ce moment et les valuations tablies l gard de la situation financi re en 1951 le niveau des d penses qui devra tre maintenu pendant les six premiers mois de 1951 le soin tant laiss la Quatri me Assembl e Mondiale de la Sant d examiner le niveau des d penses pour les six derniers mois de 1951 R solution 7 1 9 19 Ce document tel qu il a t amend est publi dans les Actes officiels N 23 RAPPORT DU COMIT PERMANENT DES QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCI RES ADRESS A LA CINQUI ME SESSION DU CONSEIL EX CUTIF INTRODUCTION Composition et mandat du Comit permanent Lors de sa quatri me session tenue en juillet 1949 le Conseil Ex cutif a constitu un Comit per manent des Questions administratives et financi res compos des membres suivants 1 Dr H S GEAR Pr sident Union Sud Africaine Dr Naz r Bey Vice Pr sident et Rapporteur Egypte Dr C VAN DEN BERG Pays Bas Dr H HYDE Etats Unis d Am rique Dr M MACKENZIE Royaume Uni D A STAMPAR Yougoslavie D A VILLARAMA Philippines Secr taire Mr Milton P SIEGEL Ce comit tait charg d tudier les pr visions budg taires pour 1951
114. a inform le comit que la structure de l Organisation Mon diale de la Sant diff re de celle d autres organisa tions internationales et que cette diff rence se refl te n cessairement dans la pr sentation du budget Compte tenu de ce fait il estime que la pr sentation des pr visions budg taires aff rentes 1951 cadre d une mani re g n rale avec le syst me adopt par les Nations Unies 25 La bar me des traitements des Nations Unies a t respect mais en raison de l enqu te sur la classification des postes qui a eu lieu au Secr tariat dans l t et l automne de 1940 il a t recommand que pour l OMS deux et peut tre m me quatre 7 R solution 311 IV C 8 Reproduit dans l annexe 1 12 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE Il cat gories des Nations Unies ne soient pas utilis es Toutefois aucune mesure n est envisag e pour donner effet cette recommandation tant qu un suppl ment d information n aura pas t re u des Nations Unies qui proc dent actuellement l examen de l ensemble de leur syst me de com pensation D une mani re g n rale POMS les postes de chefs de section sont class s dans la cat gorie 17 et les postes des directeurs adjoints des divisions ainsi que les autres postes auxquels sont attach es des responsabilit s comportant le contr le d op rations de grande envergure sur le terrain ont t class s dans la cat gorie 18 26 Le
115. administrative et du Per sonnel se voie confier le soin normalement par l interm diaire de la Section du Personnel 1 de veiller ce que avant que toute vacance de poste soit pourvue dans les cat gories I II il soit proc d une enqu te pour v rifier si le poste ainsi que la cat gorie correspondante se justifient 2 de veiller ce qu il soit proc d cet examen lorsqu il s agit de postes sup rieurs de concert avec le haut fonctionnaire qui demande que le poste soit pourvu 3 de maintenir un contr le sur les demandes de personnel suppl mentaire en tudiant les effets des changements de programmes et de m thodes sur l effectif du personnel des divisions Nominations et d parts de membres du personnel Section 5 209 En raison de toutes les difficult s que le Directeur g n ral prouve constituer son per sonnel les chiffres relatifs au mouvement du per sonnel ne sont pas lev s Il pourrait y avoir int r t ce que la Section du Personnel tudie tout au moins pendant quelque temps les raisons du d part de membres du personnel afin d tablir des prin cipes directeurs permettant de formuler et d appli quer les m thodes suivre l gard du personnel Temps consacr aux r unions Section 8 210 Le personnel de POMS consacre une grande partie de son temps pr parer les r unions et y participer Trois points m ritent de retenir sp cia lement l attention
116. airement d finies et les voies de transmission d termin es de fa on pr cise 3 La structure doit permettre une d centralisation croissante des fonctions administratives sans abou tir un chevauchement des activit s du Si ge et des bureaux r gionaux 4 L laboration l ex cution et le contr le des op rations sur le terrain doivent pouvoir s effectuer sous la responsabilit technique du Si ge par lin term diaire du Directeur r gional Voies de transmission a destination du Si ge Sur les questions de caract re technique les conseillers r gionaux les experts conseils et les chefs des quipes de d mons trations peuvent communiquer directement avec les Sections techniques du Si ge Copie des commu nications chang es doit tre adress e aux bureaux r gionaux Toutes les communications qui impliquent ou exigent des mesures administratives doivent passer par le si ge r gional Aucune mesure administra tive n est prise au Si ge en ce qui concerne les communications de nature technique que les sec tions techniques re oivent directement du per sonnel ou des experts conseils op rant sur le terrain 74 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II b En provenance du Si ge Les communications manant du Si ge et qui supposent ou sugg rent des mesures administratives doivent passer par le bu reau du Sous Directeur g n ral comp tent pour tre adress es au Directeur r gional
117. andes et indiqu e dans l avis de vacance de poste le Bureau du Personnel recherche dans ses dossiers toutes les demandes re ues ant rieure ment qui paraissent r pondre aux conditions impo s es et les joint aux nouvelles demandes Le Bureau du Personnel tudie toutes les deman des et pr pare une liste des noms avec le r sum des titres des candidats qui lui paraissent tre les plus aptes remplir les conditions sp ciales requises dans la description du poste en question Cette liste r capitulative et les dossiers sont envoy s la section int ress e Lorsque la section ou le bureau int ress a tudi les demandes des candidats le Bureau du Personnel est invit convoquer un comit des nominations pour le poste dont il s agit Ce comit comprend un membre du personnel du bureau dans lequel le poste est pourvoir un fonctionnaire du Bureau du Personnel et afin d assurer la pr sence d un tiers d sint ress un repr sentant d un autre bureau ou d une autre section C est ce comit qui choisit la personne destin e occuper le poste vacant i Le comit peut d cider de renvoyer une date ult rieure la nomination un poste vacant si aucun candidat ne semble poss der le minimum d apti tudes requises pour ce poste Postes des cat gories I2 et au dessus Les m thodes suivies pour la nomination ces postes sont les m mes que pour les cat gories 7 II avec les exceptions suivante
118. ant on n a pas cherch mesurer l influence du Conseil Le comit tient cependant signaler qu il serait souhaitable d examiner ult rieurement le statut du Conseil Un tel examen devrait porter notamment sur les points suivants statut constitutionnel composition fonctions r glement int rieur et s ances du Conseil ses relations avec l Assembl e les comit s et le Secr tariat 145 Le comit croit savoir que l Assembl e de la Sant est saisie d une proposition formul e par certains Etats Membres d sireux de voir modifier la nature fondamentale du Conseil et qui ferait de ses membres des repr sentants de gouvernements plut t que des experts de la sant publique servant titre personnel Comit s d experts 146 Conform ment aux articles 18 et 38 de la Constitution l Assembl e de la Sant et le Conseil Ex cutif ont chaque fois qu ils l ont jug utile prescrit que l Organisation avait besoin de tel ou tel comit d experts ou comit auxiliaire De concert avec l OIHP l Organisation a galement r uni des groupes d tude qui ont jou un r le analogue Les avis et conseils techniques que ces comit s ont fournis l Organisation lui ont t pr cieux 147 Le Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res a constat que le nombre de ces comit s se d veloppait rapidement Cependant leur importance et leur nombre le temps qu ils exigent de leurs membres les service
119. ant aux orga nisations d valuer conjointement les programmes et en encourager l emploi Les m thodes utilis es ce sujet consistent notamment a repr senter l OMS des r unions des Nations Unies et d autres institutions y compris le Conseil Economique et Social le repr sentant de l OMS tant un fonctionnaire charg de l labo ration de plans qui re oit des instructions appro pri es et qui est m me de donner des avis sur les plans de POMS et d encourager la coordina tion au stade de l laboration des plans avant que des engagements n aient t pris par une autre institution attirer l attention sur les enga gements pris et les perspectives probables d vo lution fournir tous renseignements sur les plans et les activit s pass s pr sents et propos s de POMS associer les vues et l exp rience de l OMS aux d lib rations de l organisme int ress faire rapport l OMS sur les r sultats obtenus b prendre des dispositions en consultation avec les services comp tents de POMS pour assurer la participation de l OMS aux travaux du Comit administratif de Coordination de ses organes subsidiaires du Bureau de l Assistance technique et d autres organismes communs plusieurs ins titutions c faciliter les relations techniques entre institu tions sur le plan du travail afin que les projets relatifs aux programmes communs puissent tre mis ex cution aussi rapide
120. approuv par la Deuxi me Assembl e de la Sant 3 consid re que le programme envisag peut tre ex cut au cours de l ann e budg taire Le personnel de base n cessaire pour le Bureau du Si ge a t en grande mesure recrut La princi pale r serve formul e par le comit est qu il est possible que les contributions financi res ne rentrent pas dans la mesure requise pour l ex cution int grale du programme 4 a examin dans leurs grandes lignes les r per cussions financi res des pr visions budg taires en tenant compte des consid rations suivantes a les niveaux budg taires approuv s par les Premi re et Deuxi me Assembl es de la Sant en tant qu indice des obligations financi res que les gouvernements ont consenti assumer 18 Le document EB5 44 tel qu il a t amend a t imprim dans les Actes officiels N 23 Programme et pr visions budg taires propos s pour l exercice financier Ier janvier au 3r d cembre 1957 et Programme et pr visions budg taires propos s pour l assistance technique en vue du d veloppement conomique des pays insuffisamment d velopp s Deuxi me p riode 18 R solution WHA 2 62 Actes of Org mond Sant 21 38 22 11 4 23 b l approbation par la Premi re Assembl e de la Sant d un budget de 5 000 000 pour 1948 tant entendu que le niveau des d penses la fin de ladite ann e ou aux environs de cette date atteindrait
121. aquelle se trouve FOrganisation principalement en raison des retards apport s au paiement des contributions Si cette situation devait persister elle risquerait la longue de mettre en p ril la stabilit financi re de l Orga nisation 1 Etat des contributions au budget de 1949 la fin de 1949 73 29 des contributions fix es soit US 3 698 669 avaient t re us sur un total de US 5 046 293 Le montant des contributions non re ues s l ve donc US 1 347 624 soit 26 71 du total des contributions fix es Le montant des contributions non re ues comprend 364 300 repr sentant la contribution non vers e des quatre Membres qui ont apparem ment cess de s int resser l Organisation D apr s les estimations les d penses engag es et les d penses pay es imputer au budget de 1949 s l veront approximativement 4 300 000 d o un exc dent de d penses sur les recettes qui se monte approximativement 600 000 Cet exc dent a d tre couvert par une avance pr lev e sur le fonds de roulement Si l on suppose qu une partie importante des contributions non re ues sera vers e au cours de 1950 et si l on prend pour base le pourcentage des contributions re ues pour 1948 il se peut que l Organisation re oive en 1950 une somme qui atteigne US 400 000 ce qui r duirait le montant avanc par le fonds de roulement 200 000 L appendice voir page 39 contient u
122. ation pour la p riode comprise entre le 1 no vembre 1948 et le 31 octobre 1040 Effectif moyen Nominations du personnel Nombre et d parts Cat gorie pendant de d parts en pourcentage l ann e de leffectif pour l ann e 16 et au dessus 33 3 9 09 AIS 73 7 9 57 B II a 53 4 7 54 7 et au dessous 163 24 14 72 TOTAL 322 38 11 80 Le pourcentage mensuel s tablit imm diatement au dessous de 1 chiffre tr s bas m me lorsque l on consid re que l Organisation tait r cente et se trouvait dans la phase initiale du recrutement de son personnel On ne poss de pas tous les renseignements d sir s sur les raisons v ritables de quelques uns des d parts n anmoins les causes connues num r es ci apr s semblent donner une id e exacte pour le groupe tout entier Cat gories 16 et au dessus Ont d missionn en vue de retourner dans une administration sanitaire nationale pour des raisons personnelles 2 repris son tat de retrait qu il EME provi soirement quitt pour aider la mise en marche de l Organisation I Cat gories I2 Is A donn sa d mission en vue de retourner dans une administration sanitaire nationale pour des raisons personnelles I donn sa d mission pour des raisons s de sant I A donn sa d mission en raison des conditions existant dans le pays d affectation aucun autre poste convenable n tait vacant I Ont t lic
123. ation d une s rie de travaux sGientifiques et de p riodiques techniques appartenant une quinzaine de genres diff rents 2 STRUCTURE ORGANIQUE DE L OMS 128 L article 2 de la Constitution expose les fonctions de l Organisation 129 L article 9 de la Constitution dispose que le fonctionnement de l Organisation est assur par a L Assembl e Mondiale de la Sant b Le Conseil Ex cutif c Le Secr tariat L Assembl e de la Sant 130 Les fonctions de l Assembl e de la Sant sont expos es dans l article 18 de la Constitution qui dispose notamment que l Assembl e de la Sant est charg e d arr ter la politique de l Organisation d tudier et d approuver les rapports et les acti vit s du Conseil Ex cutif et du Directeur g n ral et donner au Conseil des instructions en des mati res o certaines mesures certaines tudes et recherches ainsi que la pr sentation de rapports pourraient tre consid r es comme d sirables de contr ler la politique financi re de l Organi sation examiner et approuver son budget Le Conseil Ex cutif 131 Les fonctions du Conseil Ex c tif sont expos es l article 28 de la Constitution qui dispose notamment que le Conseil applique les d cisions et les directives de l Assembl e de la Sant agit comme organisme ex cutif de l Assembl e de la Sant soumet l Assembl e de la Sant pour exa men et approbation un programme
124. au du Directeur 2 16 880 2 16 880 Etudes statistiques et statistiques de morbidit 13 72 236 9 44 808 4 27 428 Subsides RER ETES A T TE RCE ee 4 000 4 000 Nomenclature internationale 2 12 719 2 12 719 Total pour la Division 17 105 835 13 78 407 4 27 428 Les chiffres repr sentent le niveau des d penses en janvier 1950 et comprennent les obligations 1 Publi dans les Actes off Org mond Sant 23 2 Voir rapport du Comit permanent Section I chapitre 2 page II ANNEXE 2 TABLEAU COMPARATIF D TAILL suite Division des Substances th rapeutiques Bureau du Directeur Standardisation biologique SUDSIAES nro e o a T entre te Unification des pharmacop es Drogues engendrant la toxicomanie Coordination des recherches Subsides ES MR a Es LME E Bureau de Recherches sur la Tuberculose Copenhagu aoan su 4 ve me Experts Conseils Services communs s s s Total pour la Division Division des Services d Edition et de Documen lation Bureau du Directeur Services d dition SUBSLAES ES TRE es CN et 2 Publications een HR Re rad lon es Us Pet E Biblioth que et documentation Ouvrages de biblioth que Total pour la Division TOTAL Services communs TOTAL POUR LE
125. avec les autres activit s des Nations Unies la Division de Coordination des Plans et de Liaison I fournit des services de coordination en ce qui concerne la pr paration et l organisation et l tablis sement de documents et de comptes rendus des sessions de l OMS Assembl e Conseil Ex cutif et autres et prend des dispositions en vue de la repr sentation de POMS aux r unions mixtes et autres des institutions sp cialis es et aux sessions des Nations Unies et d autres organisations 2 tablit et entretient une liaison efficace avec d autres organisations Organisation des Nations Unies institutions sp cialis es organismes sani taires intergouvernementaux et organisations non gouvernementales en vue de faciliter l change mutuel d informations relatives aux activit s ainsi que des relations de travail appropri es 3 maintient une liaison efficace avec les d l gu s aux r unions de l Organisation des Nations Unies d autres organisations sp cialis es et d organisations non gouvernementales afin de mettre leur dispo sition les renseignements qu ils peuvent demander au sujet des responsabilit s et des fonctions de POMS 1 La description des fonctions a t revis e chaque fois qu il s est r v l n cessaire conform ment aux propositions formul es par le Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res Les graphiques montrant la nouvelle structure organique figurent
126. blit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations non gouvernementales et les institutions appropri es pour les questions qui dans les programmes aux quels participe l OMS concernent l ducation sani taire du public et i 78 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 7 assurera apr s la cr ation de ce Comit le secr tariat du Comit d experts de l Education sanitaire du Public Section de l Hygi ne de la Maternit et de l Enfance En vue d aider les gouvernements atteindre un niveau lev dans le domaine de l hygi ne de la maternit et de l enfance la Section de Hygi ne de la Maternit et de l Enfance 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstra tions aux gouvernements sur l organisation et lap plication de programmes concernant l hygi ne de la maternit et de lenfance et sur les m thodes mo dernes de prophylaxie et de traitement 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux en vue de d monstrations des m thodes modernes dans les domaines des ser vices d hygi ne de la maternit et de l enfance de la p diatrie et de l obst trique tant sociaux que clini ques soit s par ment soit en liaison avec d autres
127. ce d un certain rouage de la machine Voies de transmission Dans toutes les branches d une administration efficace la bonne marche des transmissions int rieures est essentielle Les relations dans toute l Organisation et la confiance r ciproque que les fonctionnaires prouvent l gard les uns des autres d terminent le bon fonctionnement de ces transmissions Le personnel doit tre inform de fa on ad quate et constante des plans labor s des m thodes adopt es des programmes de travail tablis des probl mes qui surgissent des v nements qui sur viennent et des progr s qui sont r alis s dans l Organisation tout enti re Il est n cessaire que les instructions les informations et les connais sances pertinentes soient communiqu es aux fins d application pratique tous les int ress s et qu elles soient pr sent es de fa on assez nette pour rendre impossible tout malentendu ou toute inter pr tation erron e Les changes de personnel comp tent d un secteur un autre de l Organisation facilitent le d veloppement de l exp rience et de la compr hension individuelles 50 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Annexe 4 Extrait de EB5 AF Min 1 6 janvier 1950 R PARTITION DES FONCTIONS ENTRE LE BUREAU DU SI GE ET LES BUREAUX R GIONAUX DE L OMS Expos du Directeur g n ral 1 Le principe de la d centralisation est formul dans la Constitution et il
128. centrale avec les Nations Unies les institutions sp cialis es et les institutions b n voles donner des avis techniques qui d passent les moyens des bureaux r gionaux fournir des services de per sonnel procurer des approvisionnements et maintenir un contr le financier 122 Le comit a indiqu en outre que ces acti vit s centrales devaient tre essentiellement de 1 Coordonner et surveiller les services de for mation technique 24 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 2 Coordonner les renseignements pid mio logiques et en faire la synth se 3 Standardiser les produits biologiques et phar maceutiques les preuves de laboratoires etc 4 Coordonner les services de statistiques sani taires et assurer la synth se de leurs activit s 5 Etablir sur la base d changes des arrange ments relatifs aux renseignements sanitaires 6 Coordonner les services consultatifs centraux destin s aux gouvernements et assurer la syn th se de leurs activit s 7 Etablir les r glements internationaux relatifs l am lioration de la sant 8 S occuper de questions techniques qui tel ou tel moment peuvent pr senter une impor tance particuli re 123 Etant donn la situation de transition qui est celle de l Organisation par suite de la r gionali sation partielle actuelle le comit a t d avis qu il n y a pas lieu de d finir pr sent de fa on rigide la
129. ces documents dont on s assure qu ils sont conformes et complets les projets de r solution faisant l objet d une attention particuli re c les rapports des commissions de l Assembl e Mondiale de la Sant rapports qui sont int gr s et utilis s pour la r daction des rapports d fi nitifs des sessions Les rapports des organisations non gouverne mentales comprennent g n ralement des comptes rendus p riodiques sur le d veloppement de leur activit et des propositions nouvelles Ils sont examin s et mis en circulation Rapports tablis a Le programme et les pr visions budg taires annuelles de l Organisation pr par s en collabo ration avec les d partements int ress s les Ser vices d Edition pour le style et la pr sentation et avec la Section du Budget b rapports annuels du Directeur g n ral pour distribution g n rale et statutaire c projets de rapports des sessions du Conseil Ex cutif pr par s sur la base de notes relatives aux d cisions prises suivant approbation du Rapporteur t projet de rapport sur les r solu tions adopt es par l Assembl e de la Sant pr par sur la base des rapports des Commissions de l Assembl e tels qu ils ont t approuv s par les comit s de r daction et les rapporteurs d rapports mensuels int rieurs de situation de l Organisation e autres rapports demand s par les Nations Unies ou les institutions sp cialis es f proc
130. chacune des institutions sp cialis es de maintenir chaque ann e les d penses imputables sur son budget ordinaire dans les limites des fonds qu elle peut raison nablement s attendre recevoir au titre de lan n e consid r e et de proc der une revision p riodique en cours d ann e du programme de ces d penses afin de pouvoir s il est n cessaire le maintenir autant que possible dans les limites des recettes pr vues pour l ann e 3 DEMANDE que cette recommandation soit port e la connaissance de l organe directeur et de l assembl e de chacune des institutions sp cialis es lors de sa prochaine session 19 Le comit attire l attention du Conseil Ex cutif sur le fait que la majorit des Etats Membres de l Assembl e g n rale des Nations Unies sont galement Membres de l Organisation Mondiale de la Sant et il rappelle au Conseil Ex cutif que certains Membres qui ont vot l Assembl e g n rale des Nations Unies en faveur de la r so lution cit e ci dessus portent une part de la res ponsabilit de la situation financi re s rieuse dans laquelle se trouve l Organisation Mondiale de la Sant Si l on s en r f re l exp rience de l Organi RAPPORT DU COMIT PERMANENT tf sation pour 1948 en se fondant sur les contribu tions re ues au 31 d cembre 1949 il y a lieu de s attendre ce que 17 85 des contributions fix es pour le budget de 1950 soit environ
131. ci s la fin de leur contrat 6 Avancement l int rieur des cat gories pour services exceptionnels Aucun membre du personnel n a encore re u un avancement l int rieur de sa cat gorie pour services exceptionnels Il sera n cessaire aupara vant de fixer les crit res suivant lesquels on d ter minera ce qui constitue des services exceptionnels par opposition aux services que l on peut raison nablement attendre d un membre du personnel normalement comp tent Il n est que juste d observer que s il n y a pas eu jusqu ici d avancement pour services exception nels les promotions de ce genre seraient probable ment justifi es dans certains cas Le facteur temps est seul responsable du fait qu il n a pas encore t labor de normes et de crit res pour servir de base aux d cisions pertinentes 7 D penses aff rentes r unions Le co t de la pr sence d observateurs de l OMS aux r unions des Nations Unies d autres institu tions sp cialis es et de groupements professionnels a t du xe janvier au 30 novembre 1949 de 15 142 41 Vingt cinq membres du personnel ont assist 61 r unions la participation aux 66 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Le co t de la pr sence des Directeurs r gionaux l Assembl e de la Sant et la quatri me session du Conseil Ex cutif en 1949 a t de 53 939 38 8 Temps consacr aux r unions Le Comi
132. comptes de l Organisation y compris les comptes de tout Bureau r gional ou Bureau local de Organi sation afin de d terminer si les transactions sont conformes aux directives r gles et r glements si les m thodes et proc dures tablies pour le contr le et la comptabilit des engagements et d penses sont observ es et si le syst me de contr le fonctionne de fa on satisfaisante 2 contr le l observation et l application du Statut du personnel du R glement du personnel du R gle ment financier des R gles de gestion financi re des r gles relatives aux voyages et aux transports de mobilier et d autres r gles tablies 3 d termine si les directives et les proc dures admi nistratives tablies sont appliqu es et recommande des amendements auxdites directives et proc dures en vue de favoriser un rendement satisfaisant et une bonne conomie 4 ex cute l occasion de la v rification des comptes les t ches sp ciales que le Sous Directeur g n ral du D partement des Services administratifs et financiers peut lui confier 5 examine les rapports et les tats financiers et 6 soumet au Sous Directeur g n ral du D parte ment des Services administratifs et financiers des rapports d taill s concernant la t che accomplie et recommande des am liorations lorsque celles ci sont jug es n cessaires Division de la Gestion administrative et du Personnel 1 La Division de la Gestion administrative
133. contrats concer nant le personnel tablit des normes minima de comp tence pour les divers types de postes est charg du recrutement de l affectation et des mou vements du personnel labore un programme de formation professionnelle pour le personnel en fonc tion et donne des avis en ce qui concerne l ex cu tion de ce programme analyse les rapports sur les activit s de chacun des membres du personnel et est responsable de la suite donner 3 effectue les enqu tes n cessaires et donne des avis au Directeur g n ral sur les mesures discipli naires prendre ventuellement labore et entre tient un service de conseils et d avis pour les mem bres du personnel conserve les archives et les donn es statistiques concernant le personnel ta blit et applique les syst mes d assurances et de retraites coop re avec la Section de la Gestion administrative des enqu tes mixtes sur la gestion administrative et l valuation des postes 4 labore des donn es sur les questions de per sonnel en vue de leur soumission au Conseil Ex cutif et l Assembl e de la Sant 5 assure la liaison avec les autorit s suisses sur les questions concernant le personnel immunit s pri vil ges etc Division du Budget et des Finances La Division du Budget et des Finances 1 est responsable envers le Sous Directeur g n ral du D partement des Services administratifs et financiers de la pr vision et de la marc
134. d monstrations sp ciales de ser ANNEXE 13 77 vices sanitaires dans des r gions choisies et sur l administration des soins hospitaliers m dicaux et dentaires 2 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 3 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 4 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Services de Sant publique 5 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations non gouvernementales et les autres institutions appro pri es pour les questions qui dans les programmes auxquels participe l OMS concernent la sant pu blique et 7 assure le secr tariat du Comit d experts de l Administration de la Sant publique Section de l Assainissement A En vue d aider les gouvernements relever les niveaux de l assainissement la Section de l Assai nissement 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstra tions aux gouvernements sur l
135. dans les zones de d monstrations demeure une fonction du bureau central mais il appartiendra aux bureaux r gio naux comme c est le cas aujourd hui d obtenir effectivement ces approvisionnements chaque fois que cela sera possible La coordination de cet aspect du travail repr sente une attribution importante qui selon les pr visions actuelles devra probablement continuer tre du ressort de l organisation centrale Les contr les financiers doivent continuer tre effectu s l chelon central Il serait impossible de cr er des contr les financiers r gionaux enti re ment autonomes car il en r sulterait in vitable ment un manque complet d homog n it sans compter que l Organisation est li e par les d cisions de l Assembl e de la Sant et du Conseil Ex cutif par des accords pass s avec l Organisation des Nations Unies et d autres institutions sp cialis es et par l ensemble du syst me de coordination avec ces organismes le Comit administratif de Coordination et son Comit pr paratoire On ne saurait souligner trop fortement que l Organisation est un organisme unique et non pas une f d ration d organisations locales ou autonomes Il n existe qu une seule Organisation Mondiale de la Sant le personnel employ dans les bureaux r gionaux appartient l Organisation exactement dans la m me mesure que le personnel du Si ge central et il a les m mes conditions d emploi Il y a lieu d es
136. de la Sant gt 113 La Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a vot pour 1950 les cr dits n cessaires l ex cution d un programme d une ampleur com parable celui de 1949 en mettant l accent sur le renforcement des services techniques sur le d ve loppement de la formation du personnel m dical et du personnel apparent ainsi que sur les six questions prioritaires Elle a adopt un budget d environ 7 500 000 dollars Sous r serve de la r ception des fonds n cessaires elle a approuv un programme suppl mentaire d assistance technique aux pays insuffisamment d velopp s ce sujet il a t propos un budget sp cial d environ 10 000 000 de dollars Le montant du fonds de roulement a t fix 4 000 000 de dollars pour 1950 Une d cision importante concernant la res ponsabilit du Conseil Ex cutif qui est charg d examiner les pr visions budg taires avant qu elles soient soumises l Assembl e de la Sant a t soulign e 114 l poque o la Deuxi me Assembl e Mon diale de la Sant s est r unie de sensibles progr s avaient t accomplis dans le d veloppement des organisations sanitaires r gionales La cr ation de Bureaux r gionaux pour l Asie du Sud Est et pour la M diterran e orientale avait t approuv e ces Bureaux taient tablis et les arrangements tr s avanc s en ce qui concernait l int gration du Bureau Sanitaire Panam ricain en tant que
137. de la Sant comme devant b n ficier de la priorit II Le Conseil Ex cutif RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant d adopter la r solution suivante La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant AUTORISE ET INVITE le Conseil Ex cutif fixer vers la fin de 1950 ou au d but de 1951 selon la situation financi re de l Organisation ce moment et les valuations tablies l gard de la situation financi re en 1951 le niveau des d penses qui devra tre maintenu pendant les six premiers mois de 1951 le soin tant laiss la Quatri me Assembl e Mondiale de la Sant d examiner le niveau des d penses pour les six derniers mois de 1951 3 PROGRAMME LARGI D ASSISTANCE TECHNIQUE EN VUE DU D VELOPPEMENT CONOMIQUE DES PAYS INSUFFISAMMENT D VELOPP S 87 Dans l examen des aspects du document EB5 44 qui concerne le programme largi d assistance technique en vue du d veloppement conomique le comit s est appuy sur les consi d rations suivantes 1 le programme d assistance technique des Na tions Unies pour les r gions insuffisamment d ve lopp es en est encore la p riode d laboration Le fait nouveau le plus important depuis la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant est l approbation par l Assembl e g n rale des Nations Unies d une r solution fondamentale du Conseil Economique et Social qui pr voit entre autres points 2 a la cr ation d
138. dessus il d sirera peut tre envisager l adoption d une r solution con ue dans le sens suivant 28 Le texte adopt par le Conseil est reproduit dans la r solution 1 8 3 page 1 Le Conseil Ex cutif Ayant examin la marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 et Prenant note des instructions qu il a re ues sur ce point de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant notamment lorsqu elle l a charg de proc der un examen de la structure organique de l Organisation et de l efficacit de son fonction nement administratif I D CIDE que l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 par la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant se trouvera facilit si le Conseil soumet un rapport complet sur lexa men auquel il a proc d et s il prend galement des dispositions pour se faire officiellement repr senter l Assembl e 2 INVITE le Directeur g n ral faire imprimer le rapport sur les travaux de la cinqui me session du Conseil en deux parties l une de ces parties devant tre consacr e exclusivement aux obser vations et recommandations du Conseil sur le programme et les pr visions budg taires pour 1951 ainsi qu aux conclusions de l examen fait par lui de la structure organique de l Organisation et de l efficacit de son fonctionnement administratif et 3 D CIDE galement que le Conseil sera officielle ment r
139. e soit 82 15 des contributions il reste donc un solde non per u qui s l ve 577 321 ou 17 85 du total Cette somme comprend galement les contri butions non vers es des quatre Membres mention n s ci dessus soit 227 860 4 Le comit a estim souhaitable que le Directeur g n ral envoie un c blogramme tous les gouver nements qui n ont pas pay leurs contributions pour 1948 et 1949 tant donn qu sa prochaine session le Conseil Ex cutif allait examiner les mesures prendre pour r duire le programme de 1950 si les contributions n taient pas re ues les gouvernements devaient tre pri s de fournir une r ponse par c blogramme pour faire conna tre quel moment les contributions non encore pay es seraient vers es la suite de cette d cision et la date du 24 janvier 1950 des r ponses ont t re ues de neuf gouvernements Il ressort de ces r ponses qu une somme de 734 360 50 a t vers e ou sera vers e une date rapproch e Sur cette somme 205 254 se rapportent l ann e 1948 et 529 106 50 l ann e 1940 1 Reproduit dans l annexe I 5 ce sujet le comit d sire souligner qu apr s m re r flexion il estime que les pays qui ont fait savoir qu ils cessaient de s int resser l Organisa tion sont n anmoins redevables celle ci des contributions qu ils n ont pas vers es Situation du pr t consenti par les Nations Unies 6 Le comit a exam
140. e Assembl e Mondiale de la Sant assurer l efficacit administrative de l Organisa tion et tablir des principes directeurs g n raux ce sujet et Attendu que conform ment ces instructions le Conseil Ex cutif sa quatri me session a institu un Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res compos de sept de ses membres et charg d tudier les pr visions budg taires pour 1951 d examiner la structure adminis trative de d terminer la marche suivre par la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant pour 1 R solution WHA2 62 Actes off Org mond Sant 21 38 2 R solution WHA2 78 Actes off Ovg mond Sant 21 46 3 Actes of Org mond Sant 22 11 4 2 3 2 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1051 et de faire rapport au Conseil Ex cutif sur ses conclusions et ses recommanda tions cet gard Le Conseil Ex cutif Ayant examin le Rapport du Comit perma nent des Questions administratives et financi res I ADOPTE le rapport du Comit permanent des Questions administratives et financi res tel qu il ba a t amend par le Conseil Ex cutif et 2 ADOPTE les r solutions suivantes sur des points particuliers R solution 7 1 1 4 Assistance technique pour le d veloppe ment conomique des pays insuffisamment d velopp s Le Conseil Ex cutif C
141. e charg de la coordination il travaille en collaboration avec les Sous Directeurs g n raux et les Directeurs r gio naux et il est d une mani re g n rale responsable envers eux La Division comprend les services sui vants 1 Bureau des Plans et de Liaison Gen ve et New York et 2 Bureau des Rapports et de l Analyse Gen ve 2 Objectifs La principale fonction de la Division est d assurer la coordination des plans et des rapports relatifs chaque programme ainsi que l valuation de ces m mes programmes qu ils soient propos s et admi nistr s par l OMS ou conjointement par l OMS et d autres institutions La Division encourage galement l tablissement et l change de renseignements entre l OMS les organes des Nations Unies et les organismes non gouvernementaux Ces renseignements concernent les plans l ex cution et les r sultats des divers pro grammes ainsi que leur rapport avec les progr s r alis s l chelon r gional et l chelon interna tional dans l am lioration des conditions sanitaires La Division s efforce galement au stade de l labo ration des plans de promouvoir des propositions relatives de nouveaux projets conjointement avec d autres institutions Dans de nombreux cas ces propositions sont le r sultat direct de contacts avec d autres institutions et les progr s accomplis sont r ciproques Une autre fonction de la Division est de faire en sorte
142. e contributions aff rentes la Partie IV du budget de 1948 Tous autres versements d arri r s de contributions au budget de 1948 que viendraient effectuer des Etats Membres viendront s ajouter aux sommes disponibles dans le fonds de roulement Fonds de roulement 10 Le Directeur g n ral a indiqu la d cision prise par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant d apr s laquelle le fonds de roulement de l Organisation est constitu sous la forme d un fonds unique dont le montant est fix 4 000 000 pour 1950 Le comit constate qu au IT janvier 1950 les sommes disponibles en esp ces dans le fonds de roulement s levaient 1 341 740 II Le Directeur g n ral a expos qu en atten dant le versement des contributions par les Mem bres les d penses ne pourraient tre pay es que parce que l Organisation poss de d autres res sources Ce point a t soulign par le commissaire aux comptes dans les Actes officiels n 20 page 0 paragraphe 7 Les autres ressources qui ont permis l Organisation de faire face ses engagements en attendant le versement des contributions comprenaient le Fonds sp cial de l UNRRA soit 1 000 000 dont 600 000 restent encore dispo nibles 12 Le Directeur g n ral et le commissaire aux comptes ont inform le comit qu actuellement la situation de caisse de l Organisation n est pas grave mais que l ann e prochaine elle pourrait devenir tr s s r
143. e d mons trations et de services consultatifs en mati re de paludisme de tuberculose de maladies v n riennes et d autres maladies transmissibles telles que le typhus le chol ra la peste etc 2 Une aide est fournie aux gouvernements pour leur permettre d organiser leurs services de sant publique elle s exerce par le moyen de services d experts conseils et de projets de d monstra tions dans les domaines suivants administration de la sant publique soins infirmiers ducation sanitaire du public et assainissement Des zones de d monstrations sanitaires sont envisag es en vue de d montrer comment peut s effectuer l int gration de tous les services consultatifs applicables une zone donn e d op rations 3 Une aide est fournie aux gouvernements pour leur permettre de d velopper leurs services sani taires cette aide s exerce par le moyen de projets de d monstrations et de services consultatifs concernant l hygi ne de la maternit et de l en fance l alimentation et la nutrition et la sant mentale 4 Une aide est fournie aux gouvernements dans le domaine de l ducation et de la formation du personnel m dical et du personnel apparent cette aide s exerce par les moyens suivants bourses assistance aux tablissements d ensei gnement cours s adressant des groupes r u nions d tude et de discussion et fourniture de documentation m dicale et de mat riel d ensei gnement 5
144. e du personnel et doit tre choisi d apr s les m mes crit res que ceux qui s appliquent l ensemble de l Orga nisation 3 Il a approuv les principes relatifs aux fonc tions des directeurs r gionaux en ce qui con cerne les services de consultations et de d mons trations fournir aux gouvernements principes qui sont expos s dans la section 4 de l annexe 5 4 Il a pris acte de la responsabilit incombant aux directeurs r gionaux de collaborer avec les bureaux r gionaux d autres organisations inter nationales mais il a retenu que le manque d uni formit dans les arrangements r gionaux pr vus par les diverses institutions soulevait un certain nombre de difhcult s Aper u des fonctions et programmes actuels 125 Les programmes approuv s par l Assembl e peuvent se classer en deux grandes cat gories 1 Services consultatifs et 2 Services techniques centraux Les programmes sont labor s avec l assistance des comit s r gionaux et selon les avis des comit s d experts ils sont mis en uvre comme il est sommairement indiqu ci dessous 126 Les Services consullatifs comprennent essen tiellement les programmes d assistance sur le ter rain fournie comme suit aux gouvernements sur leur demande par l interm diaire des bureaux r gionaux d centralis s 1 Une aide est fournie aux gouvernements pour enrayer et extirper les maladies transmis sibles elle rev t la forme de projets d
145. e g n rale en 1951 La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant 1 D CIDE suivant les recommandations du Conseil Ex cutif de suspendre l application des articles 13 et 16 du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis des cr dits aff rents 1940 et 2 D CIDE que ce solde sera vir un Compte d attente tout en r servant sa d cision quant l affectation finale des sommes figurant ce compte R solution 7 1 5 9 Etat des contributions Le Conseil Ex cutif Se fondant sur les termes de la r solution WHA2 56 8 Ayant examin le rapport du Directeur g n ral sur les r sultats des d marches effectu es au sujet des retards dans le paiement des contributions dues par certains Etats Membres de l Organisation Ayant not d apr s ce rapport qu un certain nombre d Etats Membres sont redevables d arri r s pour une ann e et Consid rant que le Conseil ne doit pas se r unir nouveau avant la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant I INVITE le Directeur g n ral poursuivre ses d marches et soumettre la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant au nom du Conseil un rapport d taill sur les circonstances de chaque cas d esp ce dans lequel un Etat Membre la date de l ouverture de ladite Assembl e se trouvera redevable d arri r s pour une ann e et 2 RECOMMANDE la Troisi me Assembl e de la Sant de prendre conform ment aux di
146. e personnel les archives les documents et tous autres arrangements mat riels 2 se procure et administre les locaux et le mobilier attribu s l Organisation au Si ge 3 tablit et maintient la liaison avec les autorit s gouvernementales comp tentes au Si ge en ce qui concerne les services g n raux 4 constitue l organe charg de passer les contrats pour l Organisation sauf dans les questions de personnel 5 prend des dispositions en vue de l approvision nement en fournitures quipement et mat riel et tient une comptabilit mati res appropri e pour les articles r cup rables de mobilier et le mat riel administratif d op rations 6 est charg de prendre des dispositions en vue du voyage du transport et du logement des d l gu s des membres des comit s et des membres du per sonnel selon les besoins et 7 assure les services g n raux tels que les com munications et les archives les pr sentations gra phiques les arrangements pour le contr le la reproduction et la distribution des documents n cessaires pour les conf rences et des fins admi nistratives ainsi que les services de st nographie et de dactylographie Service de la V rification int rieure des Comptes Le Bureau de la V rification int rieure des Comptes I est responsable envers le Sous Directeur charg des Services administratifs et financiers de la v ri fication int rieure des documents financiers et des
147. e pour les pays insuffisamment d velopp s Fournitures I 3 Adoption du Rapport du Comit permanent des Questions administratives et financi res I 4 Assistance technique pour le d veloppement conomique des pays insuffisamment d velopp s 2 go Niveau des d penses Pour 1960102 LE Mu ee Din ti min de et En VU 3 6 D cision relative la r solution portant ouverture de cr dits 3 7 D cision concernant la r solution relative au fonds de roulement 3 8 Suspension des articles 13 et 16 e du R glement financier en ce qui concerne le solde non D S AE ST OA ee TN D REA NE RE MR N ne A PET a A e a 7 3 g Etat des COntribUtIONS eos ye en AE UE EE CR AR ER 4 10 Frais de transport pour les comit s r gionaux 4 11 Structure organique et efficacit administrative 4 12 Conclusions RO RE RE M EE RP Mo RP RTE ee 4 RAPPORT DU COMIT PERMANENT DES QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCI RES ADRESS A LA CINQUI ME SESSION DU CONSEIL EX CUTIF Mmtrod ction Ama ER RE TS NS LE a a a nl eee San 5 SECTION I RAPPORT SUR LES QUESTIONS D ORDRE BUDG TAIRE ET FINANCIER I Principes g n raux d ordre budg taire et financier Situation financi re actuelle de l OMS 8 Contributions des Etats Membres 8 Situation du pr t consenti par les Nations Unies 8 Fonds de roulement 9 Suspension de l application des articl
148. e r unit r guli rement une fois par semaine ou plus souvent s il en est besoin BUREAUX REGIONAUX EUROPE AFRIQUE MEDITERRANEE ORJENTALE Le ASIE DU SUD EST bi PACIFIQUE OCCIDENTAL AMERIQUES STRUCTURE DE L ORGANISATION GRAPHIQUE I ASSEMBLEE DE LA SANTE CONSEIL EXECUTIF DIVISION DE L INFORMATION BUREAU DU DIRECTEUR GENERAL DIVISION DE COORDINATION DES PLANS ET DE LIAISON U M IMMM STRUCTURE PROVISOIRE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE Approuv par le Consefl Ex cutif dan 1950 DEPARTEMENT DES SERVICES TECHNIQUES CENTRAUX NOILVSINVOUO T 4GA HYALINALS DEPARTEMENT DES SERVICES CONSULTATIFS DEPARTEMENT DES SERVICES ADMINISTRATIFS ET FINANCIERS 68 oms 5075 GRAPHIQUE Il DIVISION DES SERVICES DES MALADIES TRANSMISSIBLES SECTIONS PALUDISME TUBERCULOSE MALADIES VERERIENNES AUTRES MALADIES TRANSMISSIBLES STRUCTURE PROVISOIRE DE DEPARTEMENT DES SERVICES CONSULTATIFS DIVISION DE L ORGANISATION DES SERVICES DE LA SANTE PUBLIQUE SECTIONS SECTIONS HYGIENE DE LA MATERNITE ADMINISTRATION DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE L ENFANCE SANTE MENTALE SOINS INFIRMIERS ALIMENTATION ET EDUCATION SANITAIRE NUTRITION DU PUBLIC ASSAINISSEMENT 7 L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE Approuv par le Conseil Ex cutif Jan 1950 DIV DE L ENSEIGNEMENT PROFESSIONEL ET TECHN
149. e rattachent cet change d informations 2 fournit des avis et des services de d monstra tions aux gouvernements avec la collaboration des Bureaux r gionaux sur les m thodes modernes d change d informations scientifiques 3 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 4 fournit des avis au directeur de la Division de la Formation professionnelle et technique en ce qui concerne la surveillance technique des pro grammes 5 se livre un examen continu des r sultats des programm s adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales appropri es pour les questions pertinentes rentrant dans les pro grammes auxquels participe l OMS et 7 assurera le secr tariat du Sous Comit d experts pour l Echange des informations scientifiques lorsque ce sous comit aura t cr Section de l Assistance aux Etablissements d ensei gnement En vue d aider les gouvernements relever les niveaux de leurs tablissements d enseignement et de leurs cours de formation technique dans le domaine de la sant la Section de l Assistance aux Etablissements d enseignement 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services cons
150. e v rification int rieure des comptes et qu un grave probl me se poserait si le comit d cidait qu il ne devrait pas y avoir d augmenta tion de ce personnel Les estimations du co t de la v rification ext rieure des comptes reposent sur l hypoth se que le personnel du Service de la V rification int rieure sera suffisamment nombreux Le comit souligne la n cessit de maintenir au stade actuel un syst me complet de v rification tant donn que l Organisation est relativement jeune et que le personnel n est pas pleinement exp riment Gestion administrative et Personnel 8 3 3 77 Le Gouvernement d un Etat Membre a adress l Organisation une demande d assistance en vue d obtenir des avis sur des questions d admi nistration et de gestion qui concernent la r orga nisation de ses services sanitaires Le comit consid re que l Organisation devrait fournir des services de cette nature chaque fois que cela serait possible Section du Personnel 8 3 3 1 78 En sus du travail normal qui concerne le recrutement et la nomination des membres r gu liers du personnel le Bureau du Personnel s occupe de la nomination des experts conseils court terme et des membres des quipes op rant sur le terrain Le recrutement et le choix du personnel temporaire n cessaire pour les r unions des divers comit s d experts et pour les sessions d organisation sont rendus d licats et difficiles par suite de la co
151. efois aucune organi sation r gionale pour le Pacifique occidental ni pour l Afrique et pour l Europe il existe seule ment le petit bureau administratif qui a t autoris par le Conseil Ex cutif Il s ensuit que les fonctions relatives aux pays de ces r gions doivent encore tre exerc es enti rement par le Bureau du Si ge Quatorze Etats Membres ont signifi leur d sir de voir cr er un comit r gional pour l Europe Le programme du Secr tariat comporte la d cen tralisation dans la plus large mesure possible de toutes les fonctions qui se rapportent des gouver nements nationaux et des services sanitaires nationaux Le r le du Bureau du Si ge diminuera consid rablement avec le temps Dans l intervalle il est n cessaire que le bureau central assume le r le des bureaux r gionaux pour de vastes parties du monde qui ne sont pas encore pourvues d orga nisations r gionales La fonction principale qu exer cera en d finitive le Si ge central consistera coordonner le travail des bureaux r gionaux r unir des informations provenant de toutes les parties du globe et les diffuser dans d autres parties du monde par l interm diaire des bureaux r gionaux tablir les liaisons n cessaires avec l Organisation des Nations Unies ses institutions sp cialis es et les organisations b n voles Le travail de liaison avec tous ces organismes demeurera une fonction centrale La coordination et la
152. eil Ex cutif sur les travaux de sa cinqui me session 20 Recommandations relatives la marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 Roi 20 SECTION II RAPPORT SUR LA STRUCTURE ORGANIQUE ET L EFFICACIT ADMINISTRATIVE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT 1 Introduction 22 Historique du d veloppement organique 22 Principes fondamentaux appliqu s par le Directeur g n ral 23 Aper u des fonctions et programmes actuels 24 2 Structure organique de POMS 25 L Assembl e de la Sant 25 Le Conseil Ex cutif 25 Le Secr tariat Observations sur la structure organique 27 3 Efficacit du fonctionnement 29 Temps consacr aux r unions 29 Dispositions relatives au personnel 30 R glement du Personnel et Statut du Personnel 31 Notices descriptives des postes 31 Rendement du personnel 32 Voies et moyens permettant d assurer l efficacit du fonctionnement 32 Utilisation du personnel 33 Bar me des indemnit s de subsistance 34 Bar me diff rentiel des traitements 34 Locaux du Secr tariat 34 Fournitures 34 Documents et distribution 34 Fournitures et services obtenus des Nations Unies et d institutions sp cialis es 35 R glement financier 35 R gles de Gestion financi re 35 Relev annuel des comptes 35 Fonds de roulement 35 V rification ext rieure des comptes 35 4 Conclusions sommaires VII IO II I2 13 LISTE DES ANNEXES
153. elui d une d centra lisation continue des op rations Le bureau r gional a essentiellement pour fonctions d laborer des plans d ensemble et d assurer une coordination et une surveillance administratives Tels qu ils ont t tablis les bureaux r gionaux ne comprennent pas en tant qu l ment de leur structure de sections ou d unit s administratives charg es des services d op rations Toutefois le programme relatif chaque question peut en cas de besoin comprendre un conseiller r gional qui il incombe de donner des avis aux gouvernements sur l application des pro grammes et s il le faut de diriger et de coordonner les travaux de consultants temporaires ou d quipes P de d monstrations sur le terrain 2 Principes relatifs au personnel sa deuxi me session le Conseil Ex cutif a adopt les principes g n raux suivants pour r gir les relations entre le Si ge et les bureaux r gionaux au sujet des questions de personnel 1 Application aux bureaux r gionaux du Statut du Personnel et du R glement du Personnel Le Statut du Personnel et le R glement du Personnel sont applicables l ensemble de l Or ganisation Il sera proc d aux modifications qui pourraient s av rer n cessaires dans les zones r gionales afin de satisfaire aux conditions locales en modifiant ou en compl tant le R glement du Personnel plut t qu en tablissant des r gles sp ciales ou distinctes po
154. en ce qui concerne certaines contributions 102 Le Directeur g n ral a reconnu qu il tait souhaitable de proc der comme il a t indiqu grands traits dans les paragraphes pr c dents Le comit et le Directeur g n ral ont t d avis que la s ance mixte propos e pourrait avoir lieu au d but de la session RAPPORT DU COMIT PERMANENT 2I 103 Le comit a mis galement lopinion que la r union mixte devrait fixer les plafonds budg taires pour chacune des trois parties du budget Il serait ainsi plus facile de ramener le co t du programme dans les limites du plafond qui aura t fix pour l ensemble du budget 104 La proc dure suivante pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 la Troisi me Assembl e Mondiale de Ia Sant est recommand e au Conseil Ex cutif 1 D s le d but de la session de l Assembl e la Commission du Programme examinerait dans ses grandes lignes le programme propos par le Directeur g n ral ainsi que les observations et recommandations du Conseil Ex cutif 2 De son c t la Commission des Questions administratives et financi res examinerait dans leur ensemble les aspects financiers du pro gramme propos par le Directeur g n ral ainsi que les observations et recommandations du Conseil Ex cutif 3 Aussit t que possible au cours de la session de l Assembl e de la Sant et la date fix e par le Bureau de l Assembl
155. en consid ration notam ment 2 2 1 les buts et le programme de l Organisa tion Mondiale de la Sant 3 Actes off Org mond Sant 14 53 52 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 4 g Services de consultations et de 2 2 2 les expos s fournis par les divers Etats au sujet de leurs besoins 2 2 3 les recommandations du comit r gional R gles de Gestion financi re visant les contribu tions dans le cadre de la r gion Les R gles de Gestion financi re renfermeront des dispositions tablissant une comptabilit dis tincte pour les fonds re us titre de contribution en monnaie locale pour l ex cution des pro grammes r gionaux Elles renfermeront galement des dispositions visant porter au cr dit du budget ex cution de l ann e suivante le solde des contributions locales Services consultatifs Principes relatifs aux fonctions des directeurs r gionaux en ce qui concerne les services fournir aux gouvernements A la s ance que les directeurs r gionaux ont tenue Rome le 11 juin 1949 il a t d cid ce qui suit d monstrations aux gouvernements I I Les Directeurs r gionaux seront charg s de consulter les comit s r gionaux et les gouverne ments int ress s de leur r gion au sujet des ser vices de consultations et de d monstrations les mieux appropri s que l Organisation devrait fournir chacun des pays 1 2 Le Directeur g n ral exam
156. enci s comme tant en surnombre lorsque les activit s auxquelles ils taient affect s ont pris fin aucun autre HE conve nable n tait vacant 2 t licenci pour insuffisance dans T service I Cat gories 8 II A d missionn pour accepter une meilleure si tuation oaoa o I Ont t licenci s comme tant en surnombre lorsque les activit s auxquelles ils taient affect s ont pris fin aucun autre poste conve nable n tait vacant 2 Cat gories 7 et au dessous Ont d missionn pour cause de mariage 3 A d missionn en vue de rentrer dans son pays pour des raisons personnelles I Ont d missionn parce que les possibilit s d avancement ou les conditions de travail ne leur donnaient pas satisfaction 2 A d missionn pour accepter une meilleure si tuation Da en D Cm d missionn pour raisons de sant eee 1 Ont t licenci s comme tant en surnombre lorsque les activit s auxquelles ils taient affect s ont pris fin aucun autre poste conve nable n tait vacant 6 Ont t licenci s pour insuffisance dans le s ser vice a 4 Les chiffres ci dessus ne repr sentent que le personnel r gulier ou permanent et ne comprennent pas un grand nombre de personnes engag es comme experts conseils personnel de conf rence et autres membres du personnel temporaire employ s pour de courtes p riodes et licen
157. epr sent la Troisi me Assembl e de la Sant par Sir Arcot Mudaliar Dr H S Gear Dr J Zozaya Et en outre 4 RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mon diale de la Sant l adoption de la r solution sui vante La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant I CHARGE la Commission du Programme d exa miner dans ses grandes lignes le programme propos ainsi que les observations et recom mandations du Conseil Ex cutif 2 CHARGE la Commission des Questions admi nistratives et financi res d examiner dans leurs grandes lignes les aspects financiers du pro gramme et des pr visions budg taires ainsi que les observations et recommandations du Conseil Ex cutif et 3 CHARGE la Commission du Programme et la Commission des Questions administratives et financi res de se r unir en s ance mixte au d but de la session la date qui sera fix e par le Bureau de l Assembl e pour pr senter con jointement des recommandations l Assembl e de la Sant sur le mont nt total du budget et sur les fractions de ce total qu il conviendrait d affecter chacune des parties du budget savoir Partie I Sessions d organisation Par tie Il Programme d ex cution Partie IIT Services administratifs SECTION II RAPPORT SUR LA STRUCTURE ORGANIQUE ET L EFFICACIT ADMINISTRATIVE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT 1 INTRODUCTION Historique du d veloppement organique 106 Le comit
158. er la coordination g n rale des plans 2 Pr parer l usage du Secr tariat ou d organes ext rieurs lui des rapports mensuels et annuels sur les programmes de POMS et leurs progr s 3 Elaborer des m thodes et proc dures pour l va luation des programmes Les m thodes sont les suivantes a participer aux conf rences que tiennent les Directeurs et en assurer le secr tariat et notam ment la r daction des ordres du jour la mise au point par crit des d cisions et leur diffusion b aider le Service du Budget et les Services d Edition d terminer les dates des travaux relatifs au programme et aux pr visions budg taires annuelles de POMS et la pr paration de ces documents ainsi que la forme sous laquelle ils doivent para tre c pr parer et faire circuler des rapports men suels de situation d terminer en consultation avec d autres divisions les m thodes les plus efficaces pour l tablissement des rapports sur les programmes et l valuation de ceux ci d tablir un syst me de relev s des programmes et des propositions de projets leur calendrier et leur d veloppement Le relev porte sur tous les programmes int ressant l OMS qu ils soient directement administr s par elle par une autre institution internationale ou conjointement par TOMS et ces institutions e aider d autres d partements et sur leur demande leur fournir des avis sur la forme sous laquelle doivent
159. ernent les relations avec d autres organisa tions les arrangements d ordre financier et budg taire les rapports le r glement int rieur le vote les amendements et d autres questions d ordre juridique Fonctions h rit es par l Organisation 109 L acceptation de fonctions h rit es de l Office International d Hygi ne Publique de la Section d Hygi ne de la Soci t des Nations et de la Section d Hygi ne de l UNRRA a exig l engagement d un certain nombre de fonctionnaires appartenant ces organismes ainsi que le maintien pour lins tant de certaines structures administratives et de certaines m thodes qui leur taient propres La Commission Int rimaire 110 La Commission Int rimaire qui est rest e en fonctions de 1946 1948 avait pour t che prin cipale de continuer l uvre sanitaire internationale des organisations ant rieures En outre elle a labor certaines m thodes consultatives qui ont exerc une influence sur le d veloppement de l Organisation actuelle citons notamment les comit s consultatifs d experts les fonctionnaires charg s de la liaison les experts conseils les conseillers et les missions consultatives sur place Les publications des organisations ant rieures furent dans l ensemble continu es et largies par la publication de p riodiques tels que le Bulletin et la Chronique de l Organisation Mondiale de la Sant Les propositions pr sent es par la Commis
160. es 13 et 16e du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis de 1949 I0 DE eS O SOS NIORT EP Re CARE de T 10 2 Examen du programme et des pr visions budg taires ordinaires propos s pour 1951 II Consid rationseg n ral s ae 4 Be Dane a ne NL I in en 8 II Observations sur la partie introductive II Notes relatives la pr sentation du programme et 1e pr visions Dares ESS II Observations sur les projets de r solutions I2 Projet de r solution portant ouverture de cr dits a 12 Projet de r solution relatif au fonds de roulement 12 VI Pages Observations portant sur le d tail du programme et des pr visions budg taires amp Quatri me session ordinaire de l Assembl e de la Sant 12 Comit s r gionaux 13 Services techniques centraux 13 Services consultatifs I4 Bureaux r gionaux 15 Comit s d experts et conf rences 15 Services administratifs 16 Conclusions 17 3 Programme largi d assistance technique en vue du d veloppement conomique des pays insuffisamment d velopp s Mer SPA AMENER 18 4 Marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 20 Repr sentation du Conseil Ex cutif la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant 20 Impression du Rapport du Cons
161. es adminis tratives partie IV 3 Documentation m dicale et mat riel sp cial d enseignement 3 1 Les directeurs r gionaux seront charg s de consulter les comit s r gionaux et les divers gou vernements de leur r gion au sujet du genre et de l importance de la documentation m dicale et du mat riel sp cial d enseignement qui devront tre demand s l Organisation ANNEXE 5 53 3 2 Les directeurs r gionaux transmettront au Directeur g n ral les demandes de documentation m dicale et de mat riel sp cial d enseignement manant des gouvernements de la r gion en les accompagnant de recommandations le Directeur g n ral les tudiera en s inspirant des directives tablies par l Assembl e de la Sant et par le Conseil Ex cutif et en tenant compte des limita tions budg taires 3 3 Le Directeur g n ral fera une r partition provisoire de cr dits chaque r gion Dans les limites de cette r partition r gionale provisoire le directeur r gional recommandera au Directeur g n ral les montants accorder chacun des pays de la r gion 3 4 Apr s avoir examin les propositions et les recommandations le Directeur g n ral approu vera le programme relatif chaque pays et informera le directeur r gional des cr dits perti nents allou s cet effet 3 5 Les directeurs r gionaux seront charg s d ob tenir les demandes particuli res de documenta tion m dicale et de mat riel sp cial d
162. es lors du vote par l Assembl e de la Sant des cr dits aff rents cet exercice Ainsi qu il ressort de l appendice 2 voir page 40 le solde non utilis pour 1948 s est lev 866 463 et cette somme conform ment aux dispositions de la r solution concernant les cr dits 4 qui a t vot e par la Premi re Assembl e Mondiale de la Sant nonobstant les dispositions du R gle ment financier a t vir e au fonds de roulement Le solde non utilis des cr dits vot s pour 1949 comme l indique l appendice est estim 700 000 Dans son rapport au Conseil Ex cutif sur les locaux pr voir pour les bureaux du Si ge de l OMS le Directeur g n ral propose que le Conseil Ex cutif recommande la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant de pr voir en sus du don du Gouvernement suisse un montant approximatif de 233 000 verser un Fonds du B timent qui servira couvrir les frais de la nouvelle construction cette somme tant pr lev e sur le solde non utilis des cr dits aff rents 1940 Le solde non utilis serait donc ramen 467 000 6 Mesures prises ant rieurement au sujet des contributions arri r es La question des contributions non vers es a fait l objet de la pr occupation constante du Directeur 3 Depuis la date laquelle le pr sent document a t tabli le versement de 201 500 venu ch ance en janvier 1950 a t effectu Conform
163. es pr visions budg taires qui sont n cessaires pour r unir les donn es fondamentales per tinentes 3 examine les pr visions soumises et formule des recommandations en tenant compte des directives tablies pour l ouverture de cr dits 4 tablit des contr les pour assurer une ex cution ad quate du budget 5 tient jour toutes les pi ces concernant les demandes de cr dit approuv es et leur contr le x 6 proc de de fa on continue une analyse de la position de chaque cr dit et recommande les mesures n cessaires et 7 tablit et publie des listes d tats de cr dits ap prouv s conform ment au budget adopt Echelle des responsabilit s L encha nement des responsabilit s peut se d duire des graphiques soumis avec le pr sent rapport 8 Pour d crire les voies de transmission et appr cier leur caract re ad quat on en indiquera le fonc tionnement des chelons inf rieurs aux chelons sup rieurs de l Organisation Toutes les sections ou bureaux r unissent leur personnel r guli rement ou dans un but d termin notamment en vue de donner des claircisse ments sur les instructions re ues d un chelon sup rieur ou les moyens de leur donner effet d organiser les travaux ou les programmes des sections ou bureaux de traiter toutes les questions soulev es par les membres du personnel qui pr sentent plus d importance du point de vue de l Organisation que sur le
164. es transmissibles qui rel ve du D partement des Services consultatifs 6 transf rer la Division des Maladies transmis sibles du D partement des Services consultatifs au D partement des Services techniques et la fondre avec la Division de l Epid miologie 7 rattacher la Section des Informations pid miologiques la Division des Statistiques sanitaires 162 Le comit a d cid que les fusions et trans ferts propos s ci dessus ne devraient pas tre effectu s l heure actuelle et qu il y aurait lieu de maintenir pour le moment quatre divisions 163 Le comit a examin le choix d un titre mieux appropri pour la Section qui s occupe de la Coordination des Recherches et a envisag le transfert ventuel de la responsabilit du Bureau des Recherches sur la Tuberculose de Copenhague 3 EFFICACIT DU 168 Le comit a examin un rapport voir annexe 8 pr sent par le Directeur g n ral et dans lequel il expose les voies et moyens permet tant d assurer l efficacit du fonctionnement et indi que dans quelle mesure ceux ci sont d j utilis s dans la pratique Le comit a pris acte avec satis faction des dispositions prises par le Directeur g n ral cet gard Il propose toutefois que toute tude future de ce genre comprenne galement une description du contr le administratif et finan cier et de la mani re dont les programmes ont t ex cut s Temps consacr aux r unions 169
165. et d examiner la structure de l Organisation Mondiale de la Sant Le texte in extenso des deux r solutions adopt es cet gard par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant est reproduit ci apr s sous 4 et b a R solution WHA2 62 sa deuxi me session tenue en juin et juillet 1940 l Assembl e Mondiale de la Sant en approuvant le programme et le budget pour 1950 a adopt la r solution suivante Consid rant que l article 28 g de la Constitution dispose que le Conseil Ex cutif soumet l Assembl e de la Sant pour examen et approbation un programme g n ral de travail s tendant sur une p riode d termin e Consid rant que l article 55 de la Constitution dispose que le Directeur g n ral pr pare et soumet au Conseil les pr visions budg taires annuelles de l Organisation et que le Conseil examine ces pr visions budg taires et les soumet l Assembl e de la Sant en les accompagnant de telles recom mandations qu il croit opportunes Consid rant que l article 56 de la Constitution dispose que sous r serve de tel accord entre l Organisation et les Nations Unies l Assembl e de la Sant examine et approuve les pr visions bud g taires et effectue la r partition des d penses parmi les Etats Membres conform ment au bar me que l Assembl e de la Sant devra arr ter La Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant I INVITE le Conseil soumettre conform ment l a
166. et du Personnel est responsable envers le Sous Directeur g n ral du D partement des Services administratifs et financiers de la pr vision et de la marche de toutes les activit s de l Organisation en ce qui concerne a les pratiques et les services de gestion admi nistrative et b les directives concernant le personnel et les bureaux et services du personnel 2 fournit des avis et une aide aux autres divisions et aux bureaux r gionaux sur les questions de gestion administrative et de personnel et coor donne les travaux de la Division avec ceux des autres l ments de l Organisation Section de la Gestion administrative La Section de la Gestion administrative est res ponsable envers le Directeur de la Division de la Gestion administrative et du Personnel de l labo ration des plans et des m thodes destin s assurer une saine gestion Elle 1 coordonne les d clarations de politique g n rale et de proc dure les diffuse et les centralise par un ensemble de manuels de circulaires et de brochures et tablit des normes de pr sentation crites cet effet 2 tablit des projets et effectue des enqu tes rela tives la gestion en consultation avec les unit s administratives appropri es pour d velopper une administration efficace et conomique et cet effet appr cie la structure de l organisation et la r par tition du personnel et formule des recommanda tions ce sujet 3 coo
167. f rences par le candidat ainsi qu d autres personnes connues du Secr tariat pour d terminer si le candidat pos s de bien les qualit s personnelles jug es n cessaires Certaines questions sont pos es au sujet de son aptitude travailler avec d autres personnes faire passer les objectifs de l Organisation avant des int r ts particuliers ou le succ s personnel fournir un effort exceptionnel dans les cas d urgence et s adapter rapidement et ais ment des situa tions nouvelles 4 Dur e des contrats Lorsque la Commission Int rimaire est devenue l Organisation d finitive les membres du personnel consid r s comme aptes faire partie du personnel de l OMS et qui taient au service de la Commission Int rimaire depuis au moins une ann e ont re u l offre de contrats de cinq ans comportant une p riode de stage de six mois Ceux qui avaient t moins d une ann e au service de la Commission Int rimaire ont re u l offre d un contrat de deux ans avec une p riode de stage d une ann e pour le ANNEXE 8 65 personnel des cat gories 8 et au dessus et une p riode de stage de six mois pour le personnel des cat gories 7 et au dessous Depuis cette poque les membres du personnel r gulier par opposition aux experts conseils aux membres des quipes op rant sur place et au per sonnel temporaire re oivent des contrats de deux ans comportant une p riode de stage d un an ou de six mo
168. fournitures et au mat riel pour les quipes qui passent de 12 828 en 1950 1 650 en 1951 car il est pr sum que les fourni tures n cessaires proviendront d autres sources internationales Tuberculose 5 2 2 53 Les pr visions aff rentes ce programme s l vent pour 1951 366 983 Dans les pr vi sions pour 1950 concernant la tuberculose n taient pas compris les fournitures et le mat riel destin s aux quipes du fait qu ils provenaient du FISE Une somme de 69 854 a t inscrite ce titre pour 1951 elle est destin e dans l ensemble des pays qui ne re oivent pas d aide d autres sources internationales de fournitures L accroisse ment g n ral des pr visions pour 1951 par rapport celles de 1950 366 983 contre 264 123 rela tives la tuberculose r sulte de propositions fond es sur de nombreuses tudes effectu es en 1949 en vue d tendre l activit sur le terrain principalement en vue de la cr ation d unit s de formation professionnelle Maladies v n riennes et tr pon matoses 5 2 3 54 Les pr visions de d penses pour la Conf rence internationale de S rologie et des Techniques de Laboratoire qui doit avoir lieu en 1951 s l vent 53 485 On envisage d accorder des subventions atteignant 10 000 certaines institutions pour les essais concernant les antig nes et les s rums et pour des tudes sur le b jel On envisage galement une extens
169. gations pour 1950 d activit les colonnes r et 2 Postes d d pens Postes qe d penses Post de d penses US US US 3 18 901 3 18 901 44 000 44 000 2 16 954 2 16 254 5 38 449 5 38 449 15 335 15 335 183 508 183 508 7 39 997 7 39 997 666 500 666 500 ee 2 15 624 2 15 624 19 1 038 568 17 41 022 314 2 16 254 3 16 802 2 13 271 1 3 534 1415 000 1145 000 3 131 802 2 128 271 1 3 531 217 3 130 348 157 2 473 875 60 656 473 90 157 90 157 217 3 220 505 157 2 564 032 60 656 473 28 125 032 28 125 032 26 250 26 250 28 151 282 28 151 282 4 30 843 4 30 843 12 075 12 075 4 42 918 4 42 918 50 169 736 50 169 736 25 695 25 695 50 195 431 50 195 431 57 143 066 57 143 066 27 950 27 950 57 171 016 57 171 016 11 47 977 14 47 977 30 525 30 525 14 78 502 14 78 502 33 195 774 33 195 771 67 615 67 615 33 263 386 33 263 386 183 902 535 183 902 535 46 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II TABLEAU COMPARATIF D TAILL suite COMIT S D EXPERTS SERVICES ADMINISTRATIFS Bureau du Directeur g n ral Coordination des Plans et Liaison id NeW York onna ae
170. harg de la s curit sociale envisag e sous son aspect m dical 4 Il a t sugg r de cr er une Division des Services sociaux comprenant 6 sections Hygi ne de la maternit et de l enfance Sant mentale Alimentation et nutrition Soins infirmiers Tuberculose Maladies v n riennes 159 Ces propositions et d autres encore ont fait l objet de discussions prolong es Le comit a finalement d cid en se fondant sur l activit pr sente du d partement de recommander qu il soit pour l instant constitu trois divisions au lieu de quatre La r duction devra s op rer par la fusion de la Division de l Organisation des Services de Sant publique et de la Division de l Am lio ration de la Sant en une nouvelle Division de l Organisation des Services de Sant publique Le comit a pris acte de l observation pr sent e par le Directeur g n ral et suivant laquelle le Directeur g n ral doit n cessairement conserver le droit d enlever des sections une division quelconque lorsque le travail de contr le prend des proportions excessives dans cette division ainsi que le droit d augmenter le nombre des divisions lorsque l activit de l Organisation vient le justifier 160 Le comit a propos et le Directeur g n ral a accept la fusion dans la Division de l Enseigne ment professionnel et technique des deux sections pr c dentes charg es respectivement des Etablis sements d enseigne
171. he de toutes les activit s de l Organisation en ce qui concerne a la pr paration et la pr sentation du budget et l application des contr les pr vus pour le bud get et b la perception le d caissement et la compta bilit de tous les fonds 2 fournit des avis et une aide aux autres divisions et aux Bureaux r gionaux pour les questions budg taires et financi res et coordonne les travaux de la Division avec ceux des autres l ments de l Orga nisation Section des Finances et de la Comptabilit La Section des Finances et de la Comptabilit est responsable envers le Directeur de la Division du Budget et des Finances de l laboration des direc tives g n rales et des plans financiers ainsi que des proc dures de comptabilit et de paiement de lOr ganisation Elle 1 tablit et applique un syst me de rapports ten dant pr senter un tableau appropri et exact de la situation financi re de l Organisation de l tat des cr dits et dans l ensemble de l tat des ressources de l Organisation et tous autres rapports financiers qui peuvent tre demand s par le Sous Directeur g n ral du D partement des Services administra tifs et financiers 2 fournit des avis sur les relations financi res avec les Etats Membres et les autres organisations 3 tablit le montant des contributions verser par les Etats Membres et prend des mesures en vue de la rentr e de ces contributions en se f
172. ial aux termes de laquelle 22 des fonds vers s titre de contri bution au Compte sp cial du Secr taire g n ral pour l Assistance technique devraient tre allou s l OMS ainsi que toutes sommes sup pl mentaires pr lev es sur le fonds de r serve envisag qui pourraient tre ult rieurement consenties par le Bureau de l Assistance tech nique Confirmant son int r t et son approbation l endroit de la r solution 200 ITI de l Assembl e g n rale et notamment du paragraphe 4 d de ladite r solution qui porte L assistance technique fournie i ne constituera pas un pr texte d ing rence conomique ou politique Actes of Org mond Sant 21 44 de la part de l tranger dans les affaires int rieures du pays int ress et ne sera accompagn e d aucune consid ration de caract re politique ii ne sera donn e qu aux gouvernements ou par leur interm diaire iii devra r pondre aux besoins du pays int ress iv sera assur e dans toute la mesure possible sous la forme d sir e par le pays int ress v sera de premier ordre au point de vue de la qualit et de la comp tence technique Et ayant pris note avec int r t et appro bation de la r solution adopt e par l Assembl e g n rale sa 242 s ance pl ni re du 16 novembre 1949 qui approuve la r solution ECOSOC 222 IX du 15 ao t 1949 et les principes tablis par le Conseil Economique et Social sous le
173. ice financier IT janvier 31 d cembre 1951 Actes off Org mond Sant 23 RAPPORT DU COMIT PERMANENT 13 Comit s r gionaux 3 36 Il n a t tenu compte des frais de voyage des repr sentants venant des divers pays ressor tissant aux r gions afin d assister aux r unions des comit s r gionaux que pour la r union inaugurale A cet gard le comit attire l attention du Conseil Ex cutif sur une recommandation re ue du Comit r gional pour la M diterran e orientale l effet que le Conseil autorise le Directeur g n ral pourvoir aux frais de d placement des repr sen tants qui se rendent toutes les r unions des comit s r gionaux Le Comit permanent estime toutefois que en raison des lourdes d penses suppl mentaires qui sont en cause le Conseil Ex cutif ne devrait pas changer de m thode cet gard Services techniques centraux 4 37 Le budget pr voit un accroissement de 40 213 pour le cr dit affect aux Services tech niques centraux dans le budget de 1951 Des augmentations de cr dit sont pr vues pour les Services pid miologiques les Statistiques sani taires les Services d Edition et de Documentation et une diminution de 14 845 est pr vue pour la Division des Substances th rapeutiques Etudes sur les maladies transmissibles 4 1 3 38 Pour des raisons d ordre administratif une distinction a t faite dans la pr sentation du budget entre les malad
174. ices consulta tifs avec les activit s des autres d partements de l Organisation et des Bureaux r gionaux ainsi que sur les questions constitutionnelles qui int ressent les Services consultatifs 2 pr voit coordonne et administre les services consultatifs de l Organisation en vue d une aide aux gouvernements par le moyen de programmes court et long terme comportant des d monstra tions et des avis sur les probl mes sanitaires dans les domaines suivants a la campagne contre les maladies transmissibles b le renforcement de l organisation des services de sant publique et c le renforcement de l enseignement profession nel et technique 3 prend des dispositions en vue de la pr station de services consultatifs et de d monstrations l oc troi de bourses de documentation m dicale de fournitures et de mat riel en liaison avec ces activit s 4 labore et applique des programmes communs avec l Organisation des Nations Unies les institu tions sp cialis es et d autres institutions concer nant les services fournir aux gouvernements et 5 participe la formation des comit s d experts des questions qui int ressent le d partement leur fournit les renseignements et l aide n cessaires et donne effet leurs recommandations Division des Services des Maladies transmis sibles En vue d aider les gouvernements combattre et extirper la tuberculose le paludisme les mala dies
175. ices consultatifs Voir ci apr s la description des fonc tions qu il remplit ganiser des services pour des projets La Division des Op rations d Ai de sanitaire non seulement avait une appellation peu ad quate mais poursui vait des activit s qui ne concernaient pas les op ra tions dites sur le terrain et comportait gale ment sur le plan r gional des liaisons qui ne cor respondent pas la conception actuelle des Bu reaux r gionaux maintenant institu s et des fonctions dont ils sont charg s Une proposition a t faite en vue d tablir quatre divisions Organisation des services de sant publique Services des maladies transmis sibles Am lioration de la sant et Enseigne ment professionnel et technique elle visait donner une place ad quate aux branches les plus importantes des services d op rations L analogie des fonctions et le bon fonctionnement administratif ont fourni la base du groupement des sections D partement des Services consultatifs En vue d aider les gouvernements am liorer la sant de leurs populations le D partement des Services consultatifs I donne des avis au Directeur g n ral sur toutes les directives concernant les services consultatifs y compris les relations avec les gouvernements l Organisation des Nations Unies les autres insti tutions sp cialis es et d autres organisations inter nationales et la coordination des Serv
176. ience la personnalit et l aptitude du candidat se familiariser avec les questions internationales 10 Voyages Le Directeur g n ral d cide des voyages que doit accomplir le Directeur par int rim de la Division Celui ci d cide et autorise les voyages du personnel de la Division En outre il donne des avis sur l utilit et la n cessit de voyages effectuer par d autres personnes qui peuvent tre choisies pour repr senter l OMS des r unions int ressant l Or ganisation 62 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Annexe 8 VOIES ET MOYENS PERMETTANT D ASSURER L EFFICACIT DU FONCTIONNEMENT ET MESURE DANS LAQUELLE ILS SONT UTILIS S DANS LA PRATIQUE 1 Rapport du Directeur g n ral 1 Appr ciation des modifications virtuelles de structure r sultant de modifications survenues dans le personnel sup rieur Il n est pas facile d appr cier jusqu quel point les modifications survenues dans le personnel sup rieur pourront ventuellement affecter la structure de l Organisation Le pr sent rapport sur la struc ture organique propos e pour 1950 indique l objet et l tendue de ces modifications ainsi que les raisons qui les justifient L organisation qui existait en octobre 1948 tait en quelque sorte une construc tion provisoire reposant sur le personnel employ ce moment ou consid r comme disponible pour l ex cution du programme tel qu il tait alors envisag De p
177. ies dont l tude a t assez pouss e pour qu elles puissent faire l objet de dispo sitions concr tes et celles qui en sont encore au stade des tudes th oriques Ces derni res maladies rel vent du D partement des Services techniques centraux Dans certains cas les maladies qui en sont au stade de l tude th orique appellent des recherches sur le terrain D un commun accord les deux d partements int ress s doivent entreprendre conjointement ces recherches dont la responsabilit technique incombe au D partement des Services techniques centraux et la responsabilit adminis trative au D partement des Services consultatifs Lorsque lesdites recherches sur le terrain seront achev es la responsabilit administrative des mesures prendre sur le terrain sera assum e par le D partement des Services consultatifs 39 Cette section s occupe principalement d inten sifier l tude des maladies pid miques Il n a pas t possible de retenir toutes les maladies dont la liste a t tablie par l Assembl e Mondiale de la Sant mais actuellement l attention se porte en particulier sur la brucellose contre laquelle l Assembl e aussi bien que le Conseil Ex cutif ont deux reprises recommand des mesures offensives nergiques Siahstiques Sanitaires 4 2 40 Il est rappel au Conseil Ex cutif que la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a attach une grande importance aux statistiques
178. ieuse car cette date ces ressources seront puis es et l Organisation d pendra enti rement des contributions des gouvernements 13 Le comit attire l attention du Conseil Ex cutif sur le rapport du commissaire aux comptes relatif la v rification des comptes pour l exercice 1948 4 Dans ce rapport le commissaire aux comptes signale que du fait du non versement de contributions budg taires chues et du non paiement d avances au fonds de roulement l Orga nisation Mondiale de la Sant s est trouv e dans une situation financi re peu satisfaisante et qu en fait l Organisation n tait pas solvable au 31 d cembre 1048 3 R solution WHA2 57 et WHA2 66 Actes of Org mond Sant 21 36 40 4 Actes off Org mond Sant 20 9 10 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Suspension de l application des articles 13 et 16e du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis de 1949 14 Le comit rappelle au Conseil Ex cutif qu en vertu du R glement financier les soldes non utilis s des cr dits vot s pour 1949 devront tre pris en consid ration lors de la fixation des contributions des Membres pour 1951 Il y a lieu de s attendre ce que ce solde non utilis s l ve 467 000 Ce montant est enti rement repr sent par des contri butions non vers es et de lavis du comit il est douteux que la somme de 467 000 soit int grale ment re ue Il en r sulte que
179. if Constatant que dans de nombreux cas des gouvernements sont emp ch s de mener bien d importants programmes de travail surtout par suite des difficult s qu ils rencontrent pour obtenir les fournitures n cessaires RECOMMANDE que l Organisation Mondiale de la Sant procure pour de tels programmes de travail des fournitures aussi consid rables que possible en se conformant aux principes g n raux suivis par les Nations Unies dans leur programme d assistance technique R solution 3 4 3 3 Adoption du rapport du Comit perma nent des Questions administratives et financi res Attendu que la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a prescrit que le Conseil Ex cutif en examinant les pr visions budg taires annuelles devra 1 tenir compte de l aptitude des pr visions budg taires satisfaire aux besoins sanitaires 2 d terminer si le programme suit le programme g n ral de travail approuv par l Assembl e de la Sant 3 consid rer si le programme envisag peut tre ex cut au cours de l ann e budg taire 4 tudier dans leurs grandes lignes les r per cussions financi res des pr visions budg taires et joindre un expos d ordre g n ral non ant les renseignements sur lesquels se fondent ces consid rations et Attendu que la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a invit le Conseil Ex cutif exa miner la structure administrative afin d aider la Troisi m
180. il devrait recommander la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant que le para graphe IT du projet de r solution portant ouver ture de cr dits soit supprim ou revis R solution 7 1 4 1 7 D cision concernant la r solution relative au fonds de roulement Le Conseil a accept galement la suggestion du Comit permanent des Questions administratives et financi res selon laquelle le Conseil devrait recommander la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant que le montant du fonds de roulement fasse l objet d un examen apr s que des fonds auront t allou s au budget ordinaire de 1951 R solution 7 1 4 2 8 Suspension de l application des articles 13 et 16e du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis de 1949 I Le Conseil Ex cutif Ayant examin le rapport du Directeur g n ral sur la situation financi re de l Organisation Constatant avec inqui tude que 26 71 des contributions fix es pour 1949 n ont pas t re us et que 17 85 des contributions fix es pour 1948 n ont pas encore t vers s au 31 d cembre 1949 Soucieux d viter la n cessit de pr l vements importants sur le fonds de roulement pour per mettre le financement d op rations en attendant la rentr e des contributions Craignant vivement que les retards apport s au versement des contributions ne mettent en p ril l ex cution des programmes approuv s par les Assembl es de la
181. ilisation du personnel 212 L une des raisons expliquant la forte propor tion de personnel sup rieur par rapport aux autres cat gories de personnel r side sans nul doute dans le caract re sp cialis des travaux de l Organisa tion Toutefois il ne s ensuit pas n cessairement que tous les chefs de section doivent tre aid s par un ou plusieurs fonctionnaires sup rieurs poss dant une comp tence analogue et qui ne se diff rencient pas beaucoup d eux par leur cat gorie Il n est pas davantage indispensable qu un adjoint plein ment qualifi soit toujours disponible car il devrait tre possible de d tacher le fonctionnaire de grade moins lev aupr s d un comit d experts et de le charger en l absence de son chef d autres fonc tions comportant des responsabilit s 213 Une autre consid ration d coulant de la forte proportion de fonctionnaires m dicaux dans l Orga nisation a trait la possibilit on pourrait dire en fait la certitude tant donn une aussi forte proportion que les fonctionnaires m dicaux sont affect s dans une certaine mesure des travaux non techniques Une enqu te pourrait montrer particuli rement en ce qui concerne les travaux pr paratoires des r unions que les fonctionnaires m dicaux consacrent du temps des travaux de secr tariat qui pourraient tre ex cut s aussi bien par le personnel de bureau 214 la lumi re des consid rations ci dessus il
182. in le rapport suivant qui a t soumis par le Directeur g n ral au sujet de la situation existant la date du 31 d cembre 1949 en ce qui concerne le pr t consenti par les Nations Unies US US a Somme emprunt e par la Com mission Int rimaire 2 150 000 400 000 Somme emprunt e par l OMS Montant total du pr t 2 550 000 Somme rembours e au 31 d cembre 1949 1 250 000 Solde exigible en janvier 1950 en avril 1950 en juillet 1950 201 500 457 317 641 183 1 300 000 Se d composant comme suit Pr t consenti l OMS 400 000 Solde non rembours sur le montant du pr t la Commis sion Int rimaire 900 000 b En ce qui concerne le pr t la Commission Int rimaire Solde non rembours sur le mon tant du pr t 900 000 Montant des sommes re ues d Etats Membres et disponibles pour le remboursement la date du 31 d cembre 1949 500 936 Solde non utilis du pr t con senti la Commission Int ri maire 329 569 Montant total disponible pour le remboursement du pr t consenti la Commission Int rimaire 830 505 Somme restant r unir 69 495 En ce qui concerne le solde de 69 495 les demandes par c blogramme envoy es r cemment aux gouvernements redevables d arri r s pour 1948 et 1949 ont permis d obtenir des promesses RAPPORT DU COMIT PERMANENT 9 de versements bref
183. inera les proposi tions et les recommandations transmises par les directeurs r gionaux en s inspirant cet gard des directives fix es par l Assembl e de la Sant et par le Conseil Ex cutif et en tenant compte de l ensemble des directives applicables aux plans ainsi que des limitations budg taires 1 3 Le Directeur g n ral fera une r partition provisoire de cr dits par domaine d activit s pour chacune des r gions Dans les limites de cette r partition r gionale provisoire par domaine d ac tivit s le directeur r gional recommandera au Directeur g n ral un programme destin cha cun des pays de la r gion I 4 Apr s avoir examin les propositions et les re commandations le Directeur g n ral approuvera les programmes relatifs chaque pays et infor mera le directeur r gional des cr dits pertinents allou s cet effet 1 5 Le directeur r gional sera charg de n gocier les accords g n raux avec les gouvernements per tinents de la r gion 1 6 Le directeur r gional sera charg de n gocier l tablissement de lettres d accord avec les admi nistrations sanitaires nationales comp tentes en vue de l application des divers projets contenus dans les programmes approuv s conform ment l article VIII de l accord de l ensemble 1 7 Le Directeur g n ral affectera des consultants et des membres d quipe la r gion pertinente en vue de mettre en uvre les programmes ap pro
184. initial d une organisation internationale de sant bien des proc dures des arrangements et des m thodes doivent n cessairement avoir un caract re provisoire et exp rimental 3 L Assembl e de la Sant doit encore approuver un programme long terme seule base ration nelle permettant d organiser et de mettre en uvre un programme et un plan administratif 4 L organisation r gionale n est que partiellement r alis e 5 La liaison et la coordination avec d autres institutions internationales en sont encore au stade d laboration 6 La structure de l Organisation en ce qui concerne le personnel n est pas int gralement tablie Les probl mes relatifs au personnel tels que ceux que posent la s lection et la formation n cessaires pour l exercice d une activit internationale et les exigences de la repr sentation g ographique entravent l obtention rapide d un rendement lev 7 Les incertitudes qui subsistent en ce qui concerne la n ture et l ampleur du programme d assis tance technique cr ent des probl mes qui doivent tre examin s par anticipation mais pour lesquels il est impossible de trouver une solution ferme et imm diate Dans ces limites le comit s est efforc de proc der un examen g n ral appropri accompagn d une tude d taill e et de recommandations expresses sur certaines directives et pratiques qui son avis doivent tre consid r es imm diatement par
185. ion du D partement des Services administratifs et financiers Le rapport relatif la classification des postes comprenait donc un certain nombre de recomman dations tendant r aliser l harmonie entre le D partement des Services administratifs et finan ciers et les voies de transmission plus nettement d finies dont l laboration se poursuivait dans la nouvelle organisation propos e et plus particu li rement permettre certains hauts fonction naires de ce D partement de prendre part sur le plan sup rieur ou imm diatement inf rieur la d termination des directives g n rales Ces objec tifs ont t incorpor s aux recommandations du rapport sans que soit envisag e l augmentation num rique du personnel actuellement autoris Essentiellement les propositions taient les sui vantes I le Directeur des Services administratifs et finan ciers devrait faire partie comme dans le cas des autres organismes des Nations Unies du groupe sup rieur charg de d terminer les directives g n rales tat de choses qui a exist en fait POMS mais n a jamais t officiellement reconnu et 2 en vue d accro tre le rendement administratif la charge de la gestion administrative devrait ne plus incomber au Bureau du Budget et de la Gestion mais tre combin e avec celle du Bureau du Per sonnel Les experts responsables de l enqu te ont indiqu que le travail aff rent au personnel diminue
186. ion mais n a recommand d apporter aucun changement soit dans les fonctions qu elle exerce soit dans son organisation Subdivision du Bureau du Si ge en d partements 154 La question fondamentale de savoir si le stade actuel de d veloppement justifiait la division en trois d partements a fait l objet d une discussion prolong e Un des membres du comit a exprim l avis qu en raison des perspectives financi res g n rales telles qu elles lui apparaissaient il y avait lieu de ne pr voir pour le moment qu un d partement technique 155 Prenant acte des d cisions des Premi re et Deuxi me Assembl es de la Sant de la politique de d centralisation actuellement poursuivie et constatant que si la structure actuelle r pond aux exigences du programme pr vu pour 1950 elle est destin e faire face aux responsabilit s qui d cou leront ventuellement du programme d assistance technique le comit a convenu que le Bureau du Si ge devait comprendre trois d partements entre lesquels les activit s devraient se r partir comme suit I Services de caract re consultatif fournis directement aux gouvernements 2 Services de caract re technique int ressant le monde entier 3 Services administratifs et financiers 156 Le comit a reconnu que toute d marcation aurait n cessairement un caract re tant soit peu arbitraire en ce qu elle ne pourrait tenir compte de certaines affinit s naturelles e
187. ion 7 1 2 page 2 20 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II la Sant dans la r solution WHA2 75 qui lauto risait agir au nom de l Assembl e Mondiale de la Sant jusqu sa prochaine session 7 Ayant examin les r solutions pertinentes du Conseil Economique et Social et de l Assembl e g n rale des Nations Unies 1 RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mon diale de la Sant l adoption de la r solution II propos e ci dessous et En attendant la d cision de la Troisi me Assem bl e Mondiale de la Sant 2 AUTORISE le Directeur g n ral prendre toutes les mesures n cessaires conform ment aux termes du projet de r solution II ci apr s II Le Conseil Ex cutif recommande la Troi si me Assembl e Mondiale de la Sant l adoption de la r solution suivante On trouvera la page 2 du pr sent volume le projet de r solution propos par le comit et qui a t adopt sans changement par le Conseil Ex cutif pour soumission la Troisi me Assembl e de la Sant 4 MARCHE A SUIVRE POUR L EXAMEN DU PROGRAMME ET DES PR VISIONS BUDG TAIRES POUR 1951 Repr sentation du Conseil Ex cutif la Troi si me Assembl e Mondiale de la Sant 95 Le comit a examin un document pr sent par le Directeur g n ral au Conseil Ex cutif au sujet de la marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 Le Direc teur g n ra
188. ion du programme sur le terrain en rapport avec la lutte antiv n rienne C est ce qui explique l augmentation des d penses qui passent de 283 064 304 411 Autres maladies transmissibles 5 2 4 5 2 7 55 On pr voit que des fonds resteront disponibles sur le budget de 1051 pour la lutte contre la peste le typhus exanth matique et la fi vre r currente et peut tre encore pour d autres maladies trans missibles Enseignement professionnel et technique 5 4 56 Les pr visions budg taires pour 1951 d pas sent de 157 671 celles de 1950 Sur ce montant 72 716 repr sentent des augmentations de sub ventions des tablissements de formation pro fessionnelle et technique de personnel m dical et autres cat gories connexes de personnel et 65 724 des augmentations de d penses concer nant des Cours s minaires et groupes d tude Le comit a indiqu que l on pouvait escompter que les augmentations pr vues pour la formation professionnelle et technique collective au moyen de cours de s minaires et de groupes d tude et les subventions aux tablissements d enseigne ment permettraient de mettre au point des m tho des de formation plus conomiques Cette mani re de voir est en harmonie avec les termes de la r so lution WHA 2 713 de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant qui fait ressortir la valeur de l enseignement collectif Programme de bourses d tudes 5 4 2 57 Le com
189. ion tr s troite La pr paration du pro gramme annuel et des pr visions budg taires par exemple est repr sent e dans les valuations donn es ci apr s mais par contre le travail que comporte la pr paration du Rapport annuel du Directeur g n ral n est pas compris dans ces chiffres La plus importante variable est peut tre le stade de d veloppement de l Organisation Il est incontestable que 1948 et 1949 furent des ann es au cours desquelles un pourcentage de temps plus lev a t consacr individuellement et dans l ensemble tant la pr paration des r unions qu la pr sence effective ces r unions Il en est ainsi en particulier pour le personnel adminis TEMPS CONSACR AUX R UNIONS EXPRIM tratif sup rieur commencer par le Bureau du Directeur g n ral Il en est de m me dans une mesure moindre pour les directeurs des d parte ments et des divisions Le lieu o se tiennent les r unions a galement des r percussions sur le temps qui leur est consacr La pr paration des r unions qui se tiennent ailleurs qu au Si ge central n est pas seulement plus com pliqu e en ce qui concerne les arrangements prendre mais exige aussi une pr paration documen taire plus intensive et plus compl te Le comit a demand que l on pr cise quel tait la fraction de temps consacr la pr paration des documents en vue des r unions Il est respectueuse ment sugg r
190. ions d une part documentation notamment circulaires d autre part Les r unions ont lieu l chelon de l Organisa tion du d partement et de la division Les r unions l chelon de l Organisation sont bi mensuelles elles groupent le personnel sup rieur 50 60 personnes Elles permettent de prendre connaissance et de discuter des v nements r sultant des sessions de l Assembl e de la Sant du Conseil Ex cutif des comit s d experts et d examiner les rapports pr sent s sur les projets entrepris ou les plans d action d int r t commun Au cours des r unions du personnel des d parte ments ou des divisions convoqu es normalement pour examiner des questions d int r t limit des observations sont d ordinaire galement pr sent es sur des faits int ressant l Organisation tout enti re et d autre part des discussions interviennent sui vant les besoins sur la liaison qui peut exister entre le d partement ou la division et certains plans et v nements particuliers int ressant d au tres secteurs de l Organisation Les documents et circulaires distribu s par les bureaux du Si ge central et des r gions repr sentent une documentation tr s compl te Elle comprend des rapports sur les r unions des prin cipaux comit s et de comit s sp cialis s la docu mentation pr paratoire tablie pour ces r unions des documents de travail concernant des questions particuli res ou les r sultats q
191. ir en prenant en consid ration les modifications qui pourront tre introduites par le Directeur g n ral en raison des besoins de l Organisation y compris le programme d assis tance technique R solution 7 1 8 12 Conclusions I Le Conseil Ex cutif Ayant pris acte des consid rations formul es par le Comit permanent dans son rapport sur le programme ordinaire et les pr visions budg taires pour l exercice 1951 propos s par le Directeur g n ral dans le document EB5 44 10 I CONSID RE qu un budget de 7 300 000 est financi rement justifi pour 1951 et permettrait de poursuivre en 1951 l ex cution du programme au niveau approuv par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant pour 1950 2 CONSID RE que les 200 000 qui seront dispo nibles sur le Fonds sp cial de PUNRRA en 1951 devraient venir en d duction du montant de 7 300 000 avant que soit fix le montant des contributions des Etats Membres pour l exercice 1957 3 INVITE le Directeur g n ral soumettre la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant un expos indiquant les ajustements qui peuvent tre op r s pour ramener le montant total des pr vi sions budg taires 7 300 000 en r duisant les pr visions relatives des doma nes autres que ceux qui ont t d sign s par la Premi re et la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant comme devant b n ficier de la priorit II Le Conseil Ex cutif RECOMMANDE l
192. irmiers la Section des Soins infirmiers I fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur lorganisation et le d ve loppement de services efficaces de soins infirmiers et sur les m thodes modernes de soins infirmiers 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations des m thodes modernes de soins infirmiers soit s par ment soit en liaison avec d autres pro grammes de POMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gou vernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gio naux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Services de la Sant publique 6 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales pour les ques tions qui dans les programmes auxquels participe l OMS concernent
193. is suivant la cat gorie dans laquelle est class leur poste Lorsqu ils ont accompli de fa on satisfaisante deux ann es de service il y a tout lieu de s attendre ce que leur contrat soit renouvel pour une p riode de cinq ans L octroi de contrats permanents de plus de cinq ans n est pas envisag pour le moment On tudie actuellement la possibilit d accorder d s le d but un contrat de cinq ans Le Directeur g n ral estime que la dur e du contrat n est pas d une importance primordiale Aux termes du R glement du Personnel les contrats peuvent tre r sili s moyennant un pr avis suffi sant lorsque des raisons valables le justifient Par cons quent un contrat de cinq ans n offre pas en r alit plus de s curit qu un contrat de moindre dur e Les conditions qui importent surtout sont a l esprit dans lequel les contrats sont inter pr t s b l existence de dispositions ad quates permet tant aux membres du personnel de faire appel des d cisions prises c l adoption de m thodes appropri es pour le choix du personnel d une direction offrant toutes garanties et une formation dans ce sens et e un syst me de classification et de cat gories bien con u et convenablement appliqu 5 Nominations et d parts de membres du personnel Le tableau suivant indique le pourcentage de l effectif du personnel que repr sentent les nomina tions et les d parts dans l ensemble de l Orga nis
194. it a proc d une tude tr s minu tieuse des m thodes de s lection des boursiers et de la surveillance qu exerce l Organisation au cours de leur p riode d tudes Le comit d sirait parti culi rement savoir par quels moyens l Organisation 18 Actes off Org mond Sant 21 20 RAPPORT DU COMIT PERMANENT 15 se trouvait en mesure de se procurer des rensei gnements sur les progr s accomplis par les bour siers au cours de leur p riode d tudes Les mem bres du comit ont insist sur le probl me des langues et sur la n cessit d accorder des bourses dans les domaines prioritaires tablis par l Assem bl e de la Sant Jusqu pr sent il a incomb aux autorit s nationales de choisir les candidats qu elles consid rent comme les mieux qualifi s pour recevoir des bourses Il n existe pas de syst me g n ral de surveillance bien que les boursiers soient tenus de fournir des rapports p riodiques Le comit estime que ni la s lection ni la surveillance des boursiers ne sont actuellement ad quates mais envisage que par suite de la d centralisation des fonctions au b n fice des bureaux r gionaux les directeurs r gionaux auront un r le plus important en ce qui concerne l aide donner aux gouverne ments pour le choix des boursiers et la surveillance des activit s de ces derniers 58 Dans de nombreux cas les boursiers qui se rendent dans des collectivit s tr s volu es en
195. l en proposant un budget de 7 600 000 s associait apparemment l ensemble des vues exprim es par le comit 84 Le manque de fonds suppl mentaires notam ment de ceux rendus disponibles en 1950 sur les cr dits de l UNRRA le maintien du fonds de roulement un niveau d op rations offrant des garanties de s curit et l accroissement de d penses r sultant de l application du Statut du Personnel malgr les conomies dues la r valuation de certaines monnaies ont oblig augmenter l g rement les pr visions du programme et du budget ordinaires de 1951 Le comit a examin la situation financi re g n rale de l Organisation telle qu elle ressort des tats annex s au pr sent rapport et il est d avis qu un budget de 7 300 000 est financi rement justifi et permettrait de pour suivre en 1951 l ex cution du programme au niveau approuv par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant pour 1950 Le comit recommande que le Con seil Ex cutif fasse conna tre cette opinion la Troi si me Assembl e Mondiale de la Sant et invite le Directeur g n ral exposer l Assembl e de quelle fa on le programme et les pr visions budg taires soumises par lui pourraient tre ramen s de 7 600 000 7 300 000 sans entraver les progr s dans la r alisation des parties du pro gramme d sign es comme devant b n ficier de la priorit 85 L exp rience de l Organisation
196. l a inform le comit qu au moment o l Organisation a t cr e on a commis une grave omission en ne fixant pas de r gles suivant lesquelles le Conseil Ex cutif pourrait se faire repr senter l Assembl e de la Sant 96 Au cours de la Deuxi me Assembl e de la Sant tenue Rome le Secr tariat s est trouv plac dans la situation embarrassante d tre le seul porte parole du Conseil Ex cutif Les membres du Secr tariat pouvant dans certains cas ne pas approuver sans r serve les d cisions du Conseil Ex cutif il serait souhaitable que le Conseil f t repr sent l Assembl e afin que ses d cisions puissent y tre expos es et d velopp es par ses propres repr sentants 97 Le comit a pens qu il pourrait tre difficile d assurer la repr sentation du Conseil si les mem bres d sign s par celui ci pour d fendre son point de vue l Assembl e taient galement membres de leur propre d l gation nationale En cons quence le comit recommande que le Conseil Ex cutif d signe trois de ses membres peut tre le pr sident du Conseil Ex cutif et les deux vice pr sidents pour le repr senter la prochaine Assembl e de la Sant et qu il d cide galement que les d penses de ces trois membres seront pay es par l Organisation et que ceux ci assisteront l Assembl e de la Sant en ayant pendant toute la dur e de celle ci exclusivement la qualit de repr sen
197. l et de l Assembl e g n rale relatives au programme d assistance technique en vue du d veloppement conomique et donner au Directeur g n ral les instructions n cessaires ii autoriser le Directeur g n ral participer aux d lib rations du Bureau de l Assistance technique et repr senter l OMS aux r unions de la Conf rence sur l Assistance technique et du Comit de l Assistance technique ainsi que du Conseil Economique et Social iii autoriser le Directeur g n ral proc der en 1950 et 1951 aux n gociations qui pourront tre n cessaires concernant les fonds qui seront rendus disponibles sur le Compte sp cial tabli par l Assembl e g n rale conform ment la recommandation du Conseil Economique et Social et accepter ces fonds sous r serve de toutes conditions qui pourront tre fix es par le Conseil Ex cutif ou par l Assembl e Mondiale de la Sant et sous r serve galement que toutes conditions attach es l octroi de ces fonds devront tre compatibles avec les principes contenus dans la r solution 200 III de l Assem bl e g n rale notamment dans le paragraphe 4 d de ladite r solution et avec les dispositions de l article 57 de la Constitution R SOLUTIONS 3 iv autoriser le Directeur g n ral administrer le programme d assistance technique tel qu il a t approuv au paragraphe x ci dessus aussit t que et dans la mesure o
198. la pr sentation du budget Elle comporte trois parties Partie I Sessions d organisation Partie II Programme d ex cution Partie III Services administratifs et conform ment la pratique adopt e par les Nations Unies la r solution relative l exercice 1951 ne comporte pas de subdivisions par chapitres 30 Au cours des ann es pr c dentes la r solution portant ouverture de cr dits contenait une dis position aux termes de laquelle le solde non utilis des cr dits aff rents la documentation m dicale pouvait tre report l exercice suivant Cette disposition n a pas t retenue pour 1951 31 Le comit estime que la forme de la r solution portant ouverture de cr dits pour 1951 sera de nature rendre le fonctionnement interne de l Organisation plus efficace et plus conomique et recommande au Conseil Ex cutif de l approuver Toutefois en raison des conclusions qu il a pr sen t es au Conseil Ex cutif la fin de son rapport sur le programme et les pr visions budg taires 9 Actes off Org mond Sant 23 20 propos s par le Directeur g n ral le comit sugg re au Conseil Ex cutif de recommander la Troi si me Assembl e Mondiale de la Sant que le paragraphe IT du projet de r solution portant ouverture de cr dits soit supprim ou revis Projet de r solution relatif au fonds de roule ment 32 L utilisation du fonds de roulement pour financer les op rations de l
199. ladies v n riennes En vue d aider les gouvernements lutter contre les maladies v n riennes et les tr pon matoses la Section des Maladies v n riennes 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et l applica tion des programmes de lutte contre les maladies v n riennes et les tr pon matoses et sur les m thodes modernes de traitement et de lutte en ratta chant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations des m thodes modernes de lutte soit s pa r ment soit en liaison avec d autres programmes de l OMS 76 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division des Services des maladies transmis sibles 6 surveille l application de l Arrangement inter national labor Bru
200. le Conseil Ex cutif 4 Actes off Org mond Sant 21 46 5 Actes of Org mond Sant 22 II 4 2 3 RAPPORT DU COMIT PERMANENT 7 M thode de travail adopt e par le comit Le Comit permanent des Questions administratives et financi res a commenc ses travaux le 6 jan vier 1950 et a tenu en tout vingt quatre s ances Le comit a estim souhaitable de s occuper des deux r solutions s par ment et de pr senter son rapport en deux parties sous les titres suivants Section I Rapport sur les questions d ordre budg taire et financier Section II Rapport sur la structure organique et l efficacit administrative de l Organisation Mondiale de la Sant Le comit d sire exprimer sa vive reconnaissance pour l aide pr cieuse qu ils lui ont apport e au Directeur g n ral et au personnel de l Organisation qui n ont rien n glig pour fournir au comit tous les renseignements demand s Le Commissaire aux Comptes M Uno Brunskog a t invit assister la session Le comit tient le remercier des utiles avis qu il a bien voulu donner Gen ve le 25 janvier 1950 Dr H S GEAR Pr sident du Comit permanent des Questions administratives et financi res SECTION I RAPPORT SUR LES QUESTIONS D ORDRE BUDG TAIRE ET FINANCIER 1 PRINCIPES G N RAUX D ORDRE BUDG TAIRE ET FINANCIER SITUATION FINANCI RE ACTUELLE DE L OMS Contributions des Etats Membres I Le comit a examin
201. les gouvernements et les autres organisations concernant des programmes projet s ou en cours d ex cution 3 tablit les projets et examine les textes en ce qui concerne les pactes accords lettres portant arrangement et autres documents juridiques et conserve les archives appropri es dans des condi tions donnant toutes garanties 4 donne des avis sur la mise en uvre du point de vue juridique des conventions accords lettres portant arrangement et r glements concernant POMS 5 agit comme repr sentant juridique du secr ta riat de POMS en cas de diff rend action judi ciaire et d arbitrage et le cas ch ant engage les services d un conseil juridique 6 proc de des recherches sur les probl mes juri diques qui int ressent l Organisation 7 donne des avis en ce qui concerne les exigences protocolaires et diplomatiques dans la correspon dance et autres questions connexes 8 entreprend en collaboration avec les autres ser vices int ress s des tudes en mati re de l gislation sanitaire compar e 86 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Bureau des Conf rences et des Services g n raux Le Bureau des Conf rences et des Services g n raux 1 est responsable envers le Sous Directeur g n ral du D partement des Services administratifs et financiers des dispositions prendre en vue des conf rences pour ce qui concerne notamment les locaux l
202. les soins infirmiers et 8 assure le secr tariat du Comit d experts des Soins infirmiers Section de l Education sanitaire du public En vue d aider les gouvernements augmenter l efficacit des programmes d ducation sanitaire du publie la Section de l Education sanitaire du Public I fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstra tions aux gouvernements sur les programmes d ducation sanitaire et sur la formation du per sonnel professionnel en ce qui concerne les techni ques de l ducation sanitaire du public et prend des dispositions en vue de la poursuite d tudes et d enqu tes se rapportant ses activit s 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations des m thodes modernes d ducation sani taire du public soit s par ment soit en liaison avec d autres programmes de l OMS 3 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvte de programmes 4 coordonne par le moyen de conseillers r gio naux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Services de la Sant publique 5 se livre un examen continu des r sultats des programmes adopt s et ta
203. liaison l chelon local seront effectu es localement quand des bureaux r gionaux auront t tablis Entre temps la majeure partie du travail de coordination 1 Fait la premi re r union du Comit permanent des Questions administratives et financi res le 6 janvier 1950 Voir Rapport du Comit permanent Section II chapitre 1 P 23 2 Voir annexe 3 p 48 sera assur e au Si ge et il continuera d en tre ainsi pendant quelque temps encore Les avis techniques d un degr sup rieur incomberont au bureau central autrement dit la coordination du travail technique sera entreprise dans toutes les r gions les avis techniques n cessaires tant fournis aux experts conseils locaux par linter m diaire du bureau central L Organisation cen trale continuera fournir aux bureaux r gionaux certains services Elle s occupera par exemple de trouver et de fournir le personnel personnel technique m dical administratif et de tous autres genres dont les r gions pourraient avoir besoin de fournir des experts conseils temporaires du personnel destin aux d monstrations sur place aux zones de d monstrations et d autres activit s le travail de toutes ces personnes tant directement contr l par les organisations r gionales et non par l Organisation centrale Pour autant qu il est possible de le pr voir il sera n cessaire que la fourniture d approvisionne ments pour les quipes op rant
204. lication des articles 13 et 16e du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis des cr dits aff rents 1940 et 2 D CIDE que ce solde sera vir un compte d attente tout en r servant sa d cision sur l affectation finale des sommes vir es ce compte Le comit tient attirer l attention du Conseil Ex cutif sur la n cessit de prot ger le fonds de roulement Cette question est trait e de fa on plus d taill e au paragraphe 32 du pr sent rapport D penses pour 1950 17 Le budget de 1950 pr voit aux d penses une somme de 7 501 500 dont 7 000 000 doivent provenir des contributions des Etats Membres Il est encore trop t t pour d terminer le montant qui sera per u mais l exp rience acquise d montre que le montant global ne sera sans doute pas vers 18 Le comit a pris acte de la r solution adopt e le 24 novembre 1949 par l Assembl e g n rale des Nations Unies et dont le texte est le suivant L Assembl e g n rale Ayant examin les budgets administratifs des institutions sp cialis es conform ment au para graphe 3 de l article 17 de la Charte I CONSTATE AVEC INQUI TUDE que le verse ment de plusieurs contributions n ayant pas t effectu l poque pr vue les d penses de certaines institutions d passent consid rable ment les fonds qu elles peuvent raisonnablement s attendre recevoir au cours de l ann e 2 RECOMMANDE
205. lus comme il n y avait pas de sys t me appropri de classification des postes les notions n taient pas tr s claires sur ce que devait tre la configuration g n rale du personnel Un certain nombre de postes sup rieurs taient vacants quelques uns d ailleurs le sont encore Il est incontestable que les changements survenus dans le personnel sup rieur pendant l ann e 1949 ont exerc une influence d terminante sur les modifi cations apport es l organisation Dans les condi tions cr es par un programme en voie de d velop pement et tant donn la nature des comp tences et de l exp rience que pouvaient offrir les personnes engag es il ne pouvait en tre autrement et il n tait d ailleurs pas souhaitable qu il en f t autre ment La structure organique est une conception qui n a pas de r alit propre Elle d coule d une fonc tion et sert uniquement r aliser de fa on efficace des fins clairement envisag es Il est possible en restant dans des limites tr s larges de fixer les buts atteindre mais dans une soci t dynamique les moyens de les atteindre se modifient constam ment alors que les r gles qui pr sident l emploi de ces moyens ne changent que plus lentement La structure des institutions est moins que toute autre susceptible de se modifier car on touche alors des droits acquis On peut dire que la valeur du person nel sup rieur se mesure sa facult de s
206. ment et des cours de formation technique et des Bourses d tudes Cette recommandation a pour objet de faciliter la coor dination totale du programme de bourses d tudes avec la formation technique assurer par l entre mise des tablissements nationaux d enseignement RAPPORT DU COMIT PERMANENT 29 D partement des Services techniques centraux 161 Le comit a examin plusieurs propositions tendant diminuer le nombre des divisions de ce d partement Parmi ces propositions figurent les suivantes 1 transf rer la Division des Statistiques sani taires au D partement des Services consultatifs cette division s occupant des donn es qui servent tablir et valuer tous les programmes 2 combiner la Division des Statistiques sani taires avec la Division de l Epid miologie et fusionner certaines sections qui d pendent actuel lement de la Division de l Epid miologie 3 transf rer la Division de l Enseignement pro fessionnel et technique au D partement des Services techniques 4 subdiviser la Section de Technologie qui rel ve de la Division de l Epid miologie et rattacher l une des parties la Section des Conventions sanitaires et de la Quarantaine et l autre la Section des Informations pid mio logiques 5 transf rer la Section des Conventions sani taires et de la Quarantaine et la Station d Infor mations pid miologiques de Singapour la Division des Maladi
207. ment que possible d encourager et organiser la repr sentation r ci proque des r unions d autres institutions lors que ces r unions sont de moindre importance ou ne sont pas appel es s occuper de questions de principe ce qui r duirait sensiblement les d pen ses de voyage et autres tout en assurant la liaison n cessaire et la confiance mutuelle e porter la connaissance des d l gu s aux r unions de OMS et d autres organismes des Nations Unies ainsi qu la connaissance des repr sentants des d l gations permanentes les plans et les faits nouveaux pertinents propres l OMS et les responsabilit s assum es par elle f obtenir la documentation pertinente concer nant les d cisions les plans et les faits nouveaux survenus dans le syst me des Nations Unies et susceptibles d int resser l OMS annoter cette documentation et l envoyer aux fonctionnaires responsables de l OMS 3 Etablir des circulaires d information sur les initiatives prises par les institutions des Nations Unies et pouvant avoir des cons quences pour l OMS et veiller la distribution de ces circulaires 58 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE Il 4 En collaboration avec les services de la Biblio th que veiller la distribution g n rale l int rieur de l OMS des documents p riodiques perti nents manant de l Organisation des Nations Unies Dans le cadre du Secr tariat de POMS I Assur
208. ments et distribution 228 L Organisation a pour principe d utiliser les facilit s que les Nations Unies mettent sa dispo sition pour la reproduction et la distribution des RAPPORT DU COMIT PERMANENT 35 documents ron ographi s Les frais acquitter pour ces services sont calcul s respectivement par page et par document les frais d affranchissement sont factur s en sus 229 Les documents de l Assembl e de la Sant du Conseil Ex cutif et des comit s d experts repr sentaient en 1949 environ 85 du total des pages ron ographi es Un tableau indiquant le nombre des documents de ce genre qui ont t tablis et leur distribution initiale est joint au pr c dent document annexe 11 Le nombre des exemplaires tir s en sus de celui qui est n cessaire pour la distribution initiale semble raisonnable et d une mani re g n rale suffisant pour faire face aux besoins de l ann e suivante Compte tenu de l exp rience acquise cette marge pourra tre fix e avec plus d exactitude encore Le nombre d exemplaires tir s afin de pourvoir ces deux ordres de distribu tion est tabli d apr s les demandes manant des gouvernements ainsi que d autres institutions et bureaux 230 A ce jour ces demandes ont t raisonna bles Mais au cas o des demandes massives de documents parviendraient l avenir il est sugg r que le requ rant soit invit les reproduire ses propres frais
209. met au point toute la documentation destin e la publication les comptes rendus et documents des organes de direction et des comit s d experts ainsi que les documents pr liminaires circulaires et lettres Section des Publications En vue d tablir avec exactitude et de fa on appropri e les documents et les publications de l OMS la Section des Publications I en collaboration avec la Section d Edition met au point la pr sentation et la disposition typo graphiques 2 calcule les frais aff rents la production des publications et des documents et 3 tient registre de l exp dition et de la r ception des manuscrits et des preuves Seciion de la Biblioth que et de la Documentation Afin que l Organisation soit constamment bien inform e sur les sujets qui concernent sa t che la Section de la Biblioth que et de la Documenta tion i 1 fournit des services appropri s de biblioth que et de documentation y compris les catalogues et index de r f rence et de documentation 2 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des avis techniques sur l organisation et le d veloppement des services de biblioth que en rattachant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 3 par l interm diaire du Comit de la Biblioth que ach te les livres et les p riodiques n cessaires etc 4 joue le r le d une biblioth que centrale l gard des biblioth ques des
210. mit s d experts 2 3 1 2 3 9 2 3 3 4 5 7 4 5 3 3 7 8 Total 8 14 7 9 15 20 Les chiffres les plus lev s sont en g n ral applicables 1948 et 1949 A mesure que l OMS se d veloppera la fraction de temps consacr e au Conseil Ex cutif et l Assembl e Mondiale de la Sant diminuera probablement et celle qui le sera aux comit s d experts restera la m me ou pourra s accro tre 9 Syst me d acheminement et d enregistre ment des documents Archives Comprenant l importance que pr sente le mode d acheminement et d enregistrement des docu ments dans une administration bien organis e le Directeur g n ral a engag un expert conseil en ma ti re d archives pour tudier le syst me en vigueur dans l Organisation et donner des avis ce sujet Cette tude s est poursuivie pendant les mois de mars et d avril 1949 Une r organisation du Service des Archives ainsi que d autres am liorations sug g r es d apr s le rapport de l expert conseil ont t entreprises Un syst me uniforme sera galement appliqu aux bureaux r gionaux et aux autres bureaux de l Organisation 68 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Annexe 91 TABLEAU COMPARATIF DES TRAITEMENTS SALAIRES ET INDEMNIT S EN 1949 1950 ET 1951 I SI GE Traitements et salaires Experts conseils court terme Total des services de personnel Indemnit s Loo
211. mment en une aide aux gouvernements sous des formes diverses services consultatifs d experts quipes de d monstrations bourses et facilit s pour la formation technique en g n ral et diverses facilit s internationales en mati re de standardisation de renseignements m dicaux et de m thodes statistiques L Assem bl e a accept les quatre questions prioritaires primitivement propos es par la Commission Int ri maire elle a en outre ajout ces questions celles de l alimentation et de la nutrition et celle de l assainissement Elle a galement d cid d inscrire son programme d autres activit s 112 Une d cision qui rev t une grande impor tance pour la pr sente tude a t prise par la Premi re Assembl e Mondiale de la Sant lors qu elle a approuv la division du monde en six zones r gionales et convenu que des organisations r gionales seraient constitu es d s que la majorit des Etats Membres de la r gion int ress e auraient donn leur accord L approbation d un budget de RAPPORT DU COMIT PERMANENT 23 5 000 000 de dollars pour 1949 le choix de Gen ve comme Si ge et l adoption d un projet d accord avec les Nations Unies l UNESCO l OAA l OIT et d arrangements avec l OACI sont galement des points qui int ressent la pr sente tude Un R glement financier provisoire et un Statut provi soire du Personnel ont t approuv s par la Pre mi re Assembl e Mondiale
212. mmunes tenues par les Deuxi me Troisi me et Cinqui me Commissions les 5 7 et 8 novembre 1949 le d l gu de l Australie aux Nations Unies a formul des critiques s v res contre les discus sions financi res qui ont eu lieu la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant et il s est r f r notamment au fait que les cr dits budg taires vot s n ont pas tenu compte du non versement probable de certaines contributions en 1950 Des critiques ont t galement lev es contre le recours au fonds de roulement pour faire face au d ficit r sultant du non versement de contributions Sur la recommandation des trois commissions si geant en s ances communes l Assembl e g n 5 Actes off Org mond Sant 16 42 6 Actes of Org mond Sant 20 9 7 R solutions WHA2 54 WHA2 55 et WHA2 56 Actes of Org mond Sant 21 35 ANNEXE I 39 rale des Nations Unies a adopt une r solution dont le texte int gral est reproduit dans le rapport du Comit permanent des Questions administra tives et financi res page I0 recommandant chaque institution sp cialis e de maintenir ses d penses dans les limites des fonds qu elle peut raisonnablement s attendre recevoir et de proc der une revision p riodique en cours d ann e du programme de d penses afin de pouvoir s il est n cessaire le maintenir autant que possible dans les limites des recettes pr vues pour l ann e L Assembl e
213. montre que d une mani re g n rale les fonds ne rentrent pas dans une mesure suffisante pour ex cuter int gra lement le programme pr vu au budget et le comit estime n cessaire d tablir un mode de contr le 18 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II appropri pour maintenir les d penses dans le cadre du budget ordinaire L exercice permanent d un tel contr le sera une sauvegarde contre une nouvelle diminution du fonds de roulement et permettra selon la recommandation des Nations Unies de limiter les d penses de fa on qu elles correspondent aux fonds que l Organisation peut raisonnablement s attendre recevoir 86 Le comit a pris sp cialement note de la r solution adopt e par l Assembl e g n rale des Nations Unies le 24 novembre 1949 voir page 10 qui indique que les institutions sp cialis es devraient maintenir chaque ann e les d penses imputables sur leur budget ordinaire dans les limites des fonds qu elles peuvent raisonnablement s attendre recevoir au titre de l ann e consid r e et de proc der une revision p riodique en cours d ann e du programme de ces d penses afin de pouvoir s il est n cessaire le maintenir autant que possible dans les limites des recettes pr vues pour l ann e Ayant pris note galement des d li b rations de l Assembl e g n rale et des r unions mixtes des Deuxi me Troisi me et Cinqui me Commissions et en particulier de
214. n cons quence le comit recommande d apporter un amen dement au paragraphe 753 des R gles de Gestion financi re afin de faire en sorte que l inventaire requis en application de ce paragraphe soit dress le 31 d cembre de chaque ann e ou imm diate 4 Actes off Org mond Sant 22 33 ment apr s cette date et que copie en soit remise au commissaire aux comptes 235 Le programme 753 des R gles de Gestion financi re amend selon la proposition susvis e serait ainsi con u Il sera proc d au 31 d cembre de chaque ann e un inventaire annuel de tous les avoirs fourni tures et mat riel en service copie de cet inven taire sera remise au Commissaire aux comptes Relev annuel des comptes 236 Le comit reconna t que la forme dans laquelle les comptes de l Organisation sont actuelle ment pr sent s est conforme la pratique adopt e par les Nations Unies il estime toutefois que sous cette forme la situation financi re de l Organisa tion n appara t pas clairement et ne peut tre discern e qu apr s un examen minutieux et pro long des comptes ce qui n est pas toujours possible dans les limites du temps disponible lors des sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e de la Sant Le comit recommande en cons quence que le Directeur g n ral examine la situation de concert avec le commissaire aux comptes Fonds de roulement 237 Le comit recommande galement de com
215. n de la r partition g ographique du personnel que l on d sire voir assur e Toutefois le comit attire l attention du Conseil sur le fait que les sp cialistes hautement comp tents ne peuvent tre recrut s qu au d triment de travaux importants ex cuter dans leur propre pays Pour cette raison le Directeur g n ral aura besoin de l appui total et actif des gouvernements qui dans l int r t g n ral doivent tre pr ts se priver des services de certains membres du per sonnel de leurs administrations nationales Quelle que soit leur comp tence technique ceux ci tireront profit d une p riode de travail et de perfectionnement dans les services internationaux Dans le cadre de son programme d assistance technique et de pr f rence en collaboration avec d autres institutions participantes l OMS doit fournir cette formation qui permettra au personnel appel en b n ficier d acqu rir la connaissance du milieu social politique et HO des pays o il travaillera 90 La m thode d valuation du co t du pro gramme d assistance technique est identique celle qui a t utilis e pour l valuation des d penses aff rentes au programme ordinaire pour 1951 et que le comit juge satisfaisante Le comit estime galement que le programme propos par le Directeur g n ral satisfait la demande formul e par le Conseil Economique et Social lors de sa neuvi me session et suivant laquelle le travail
216. n ensemble et celle de chacune de ces parties r pondent des fins pr cises 119 Le comit a pris acte d une d claration ver bale qui lui a t pr sent e par le Directeur g n ral voir annexe 4 et il a examin le rapport de ce dernier sur les principes et les proc dures qui r gissent les fonctions des bureaux r gionaux annexe 5 L application aux bureaux r gionaux sur une base largie du principe de la d centrali sation selon les modalit s d crites par le Directeur g n ral a t accept e par le comit comme essentielle la r alisation des fins de l Orga nisation D une fa on g n rale le comit a donc approuv la description que contient l annexe 4 du processus de d centralisation appliqu aux bureaux r gionaux mais il a soulign que cer taines responsabilit s fondamentales doivent con tinuer incomber au Si ge Le Directeur g n ral a fait valoir qu aucune des autres institutions sp cialis es n tait aussi d centralis e que l Orga nisation Mondiale de la Sant 120 Le comit a pr sent les observations que lui a sugg r es l examen de l annexe 4 et qui sont reproduites ci apr s 1 Le comit a soulign l importance qu il y avait d velopper l esprit de d cision ind pen dante et le sens de la responsabilit locale pour l laboration et l ex cution des programmes de l Organisation 2 Le comit a constat que dans la phase de transition au c
217. n particulier a poursuit des recherches pid miologiques no tamment sur le chol ra la peste le typhus la l pre et la fi vre jaune b se livre des tudes sp ciales sur les maladies transmissibles et collabore avec la Division des Services des Maladies transmissibles pour insti tuer des services consultatifs et de d monstrations en ce qui concerne ces maladies Actes off Org mond Sant 18 48 ANNEXE 13 gI c applique et revise les Conventions sanitaires internationales et d recueille et diffuse des informations et des statistiques pid miologiques 2 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services techniques centraux sur les directives g n rales et sur les aspects techniques de sa t che 3 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales sur les aspects sanitaires pertinents des projets et 4 participe la formation du Comit d experts de l Epid miologie internationale et de la Quaran taine de son Sous Comit juridique et du Groupe d experts de la Fi vre jaune et leur fournit les renseignements et l aide n cessaires Section des Conventions sanitaires et de la Quaran laine En vue d aider les gouvernements combattre l extension internationale des maladies transmis sibles la Section des Conventions sanitaires et de la Quarantaine I tablit et applique
218. n technique et professionnelle d commande des fournitures de la documenta tion et du mat riel m dicaux demand s par les autres unit s administratives de l Organisation 2 collabore avec d autres divisions de l Organisa tion l tablissement d un programme unifi 3 fournit des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services consultatifs sur les direc tives g n rales et sur les aspects techniques du programme 4 donne des avis et apporte sa collaboration l Organisation des Nations Unies aux institutions sp cialis es aux organisations non gouvernemen tales et aux institutions sur les aspects sanitaires pertinents de certains projets et 5 participe la formation de Groupe consultatif d experts de l Enseignement professionnel et tech nique de Comit s et Sous Comit s d experts et d autres groupes consultatifs en mati re de forma tion et de perfectionnement leur fournit les rensei gnements et l aide n cessaires et donne effet leurs recommandations Section des Bourses d tudes et de la Formation technique En vue d aider les gouvernements s assurer un personnel sanitaire ayant re u une formation plus satisfaisante la Section des Bourses d Etudes et de la Formation technique 1 tablit et applique un programme d action qui l am ne notamment examiner les demandes de bourses individuelles et collectives manant de gouvernements placer les boursiers
219. naissance des recom mandations du Comit consultatif pour les Questions administratives et budg taires des Nations Unies mais il ne s est pas trouv en mesure de les tudier toutes dans le d tail A l gard notamment de l avertissement qui met en garde contre l tablis sement d un personnel satellite nombreux autour des chefs de d partement le comit a t heureux de noter que cette situation ne semble pas exister POMS Bar me des indemnit s de subsistance 218 L Organisation Mondiale de la Sant verse des indemnit s journali res de subsistance un taux uniforme a aux membres du personnel b aux membres du Conseil Ex cutif c aux mem bres des comit s d experts sans avoir gard la baisse du co t de la vie dans certains pays o les d penses indemniser sont support es Le comit a recommand d adopter pour le paiement des indemnit s journali res de subsistance une chelle mobile tablie d apr s le co t estimatif de la vie dans les pays respectifs et qui devrait tre revis e de temps autre Le Conseil Ex cutif a diff r sa d cision ce sujet et a t d avis que toute mesure que pourrait prendre l OMS devrait tre conforme celles qui seraient ventuellement adopt es par l Organisa tion des Nations Unies Bar me diff rentiel des traitements 219 En raison du caract re variable des d penses inh rentes au co t de la vie dans le monde entier et c
220. national et international de la part des organisations gouvernementales r gionales tout sp cialement en ce qui concerne la relation entre ces activit s et l OMS 4 Relations de travail avec d autres parties de l Organisation Au Bureau du Si ge Des relations directes sont maintenues avec les autres Directeurs lors de conf rences r guli res et par d autres moyens avec les Services du Budget et les Services d Edition notamment pour la pr paration du programme et ANNEXE 7 59 des pr visions budg taires des rapports imprim s et des Actes officiels avec le Service des Documents au sujet de la distribution int rieure et ext rieure de la documentation avec les Services de la Biblio th que propos de la circulation g n rale des infor mations p riodiques et autres Des relations sont maintenues avec tous les services principaux gr ce la documentation qu ils envoient pour les rap ports mensuels de situation et qui fait l objet d une coordination sans perdre de vue la liaison avec les autres organisations des Nations Unies et avec les organisations non gouvernementales L affectation de personnel aux sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e Mondiale de la Sant assure encore des contacts suppl mentaires Avec les bureaux r gionaux Les relations de travail sont comparables celles qui sont tablies avec les services principaux du Bureau du Si ge Il est proc d un
221. naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et l applica tion de programmes de sant mentale et sur les m thodes modernes de prophylaxie et de traite ment 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux sur l ex cution de d mons trations relatives aux m thodes de prophylaxie et de traitement soit s par ment soit en liaison avec d autres programmes de l OMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gio naux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Services de Sant publique 6 se livre un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales appropri es pour les questions qui dans les programmes auxquels participe POMS concernent la Sant mentale et 8 assure le secr tariat du Comit d expe
222. ncurrence faite par d autres institutions inter nationales La collaboration avec d autres institu tions des Nations Unies Gen ve est en train de s tablir en vue de faire dispara tre certaines de ces difficult s Les donn es relatives au volume de travail pour cette section telles qu elles figurent dans les Actes officiels n 23 reposent sur les rap ports mensuels r guliers de cette section Elles ne proviennent pas d enqu tes de gestion destin es valuer l efficacit administrative Des enqu tes de cet ordre sont envisag es partir de 1950 mais la Section de la Gestion administrative ne poss de pas encore le personnel n cessaire cet effet RAPPORT DU COMIT PERMANENT 17 CONCLUSIONS 79 Le Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res du Conseil Ex cutif apr s avoir attentivement examin le programme et les pr visions budg taires concernant le pro gramme ordinaire d ex cution pour l exercice 1951 pr sent au comit par le Directeur g n ral dans le document EB5 44 1 donne d une mani re g n rale son assentiment aux activit s propos es Le comit a t frapp non seulement de l utilit de l quilibre et de l envergure du programme propos mais aussi de l laboration et de la liaison minutieuses des plans qui sont n cessaires pour assurer des r sultats satisfaisants 80 Le comit attire l attention du Conseil Ex cutif sur le fait que le
223. ne analyse plus d taill e de la situation existant au point de vue des contributions pour 1949 et des pr visions de d penses 2 Etat des contributions au budget de 1948 On trouvera ci apr s un bref r sum de la situation existant au point de vue des contributions au budget de 1948 cette situation est analys e dans l appendice 2 voir page 40 A la fin de 1949 82 15 des contributions fix es avaient t re ues soit US 2 595 405 sur un total qui s levait 3 172 726 Il reste donc un solde non re u qui s l ve 577 321 Cette somme comprend 227 860 qui repr sentent les contribu tions non vers es des quatre Membres mentionn s ci dessus 1 Voir Rapport du Comit permanent Section I cha pitre r p 8 Ce chiffre repr sente le montant du budget de 1948 apr s d duction des sommes affect es au fonds de roule ment titre de premi re dotation 3 Fonds de roulement Les contributions non re ues ont eu des r per cussions tr s d favorables sur le fonds de roule ment Comme il ressort de l analyse d taill e contenue dans lappendice 3 voir page 40 ce fonds dont le montant par d cision de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant a t fix pour 1950 4 000 000 ne contenait au d but de 1950 qu environ un tiers de cette somme en esp ces le solde tant repr sent soit par des avances au fonds qui n ont pas t vers es soit par des cr ances valoir s
224. ne le paiement des contributions non vers es pour 1949 Cependant cette mesure ne saurait en elle m me tre estim e suffisante pour redresser la situation D apr s le R glement financier le solde non utilis des cr dits de 1949 doit tre pris en consid ration lors de l tablissement des contributions des Membres en 1951 Le solde non utilis apr s d duction des 233 000 qu il est propos l Assembl e de la Sant de virer au Fonds du B timent est estim 467 000 Il est int gralement constitu par des contributions non acquitt es Le versement int gral de cette somme dans un proche avenir tant douteux il en r sulte que si les articles 13 et 16e du R glement financier devaient tre appliqu s la situation en 1951 ne ferait que repr senter une aggravation de la situation financi re g n rale Il semblerait donc souhaitable de recommander la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant de suspendre l application des articles 13 et 16e du R glement financier en ce qui concerne le solde non utilis des cr dits aff rents 1949 et de virer ce solde un compte d attente l Assembl e de la Sant r servant sa d cision quant l affectation finale des sommes vir es ce compte Plus d licate est la situation pour 1950 les Etats Membres ont d j t inform s des sommes 8 Actes off Org mond Sant 20 13 qu ils auront verser en 1950 Les contributions dues par les
225. ne mani re g n rale caract ristiques pour le personnel du Si ge central Elles sont applicables semble t il dans une moindre mesure au personnel des bureaux r gionaux et des op rations sur place EN POURCENTAGES MINIMUM ET MAXIMUM Personnel sup rieur Chefs d section et cat gories sup rieures Conseil Ex cutif deux sessions Ae Assembl e Mondiale de la Sant Comit s d experts Autres fonctionnaires m dicaux et administratifs Conseil Ex cutif deux sessions Assembl e Mondiale de la Sant Comit s d experts Pr paration Participation Total des r unions aux r unions 4 6 2 3 6 9 4 6 5 6 9 12 7 40 3 4 10 14 Total 15 22 10 13 25 35 4 6 4 2 5 8 4 6 0 1 4 7 7 9 4 6 11 15 Total 5 9 20 30 15 21 Les chiffres les plus lev s sont en g n ral applicables 1948 et 1949 mesure que l OMS se d veloppera la fraction de temps consacr e au Conseil Ex cutif et l Assembl e Mondiale de la Sant diminuera probablement et celle qui le sera aux comit s d experts restera la m me ou pourra s accro tre ANNEXE 8 67 TEMPS CONSACR AUX R UNIONS EXPRIM EN POURCENTAGES MINIMUM ET MAXIMUM Suite Pr paration Participation Total des r unions aux r unions Personnel de bureau secr taires st nodactylographes y compris le service central de st nodactylographie Conseil Ex cutif deux sessions Assembl e Mondiale de la Sant Co
226. nexes 9 et 10 L annexe 9 donne les chiffres compar s des traitements et indemnit s du per sonnel et leurs pourcentages par rapport au budget total de l ann e consid r e L annexe ro indique la r partition du personnel par cat gories hi rar chiques 175 La plus forte proportion des d penses de l OMS a trait au personnel qu elle emploie ces d penses sont encourues essentiellement pour les traitements du personnel les indemnit s et autres frais inh rents aux activit s du personnel par exemple les envois en mission etc Les donn es reproduites l annexe 9 montrent que plus de 56 du total des pr visions budg taires pour 1951 se rapportent aux traitements et indemnit s du per sonnel et aux honoraires des experts conseils L conomie et l emploi rationnel du temps du personnel exercent d s lors une influence directe et importante sur le co t du fonctionnement 176 Les d penses aff rentes au personnel se r par tissent comme suit Pourcentage du montant total du budget 1949 1950 1951 a Bureau du Si ge 31 83 32 23 31 11 b Bureaux r gionaux 4 51 7 91 9 54 c Envois en mission 9 94 15 87 16 02 Total 46 28 56 01 56 67 177 De cette analyse il ressort qu il n a encore t proc d jusqu ici aucune d centralisation importante du Bureau du Si ge en faveur de l activit r gionale et que les d penses inh rentes au personnel du Bureau du Si ge demeurent un nivea
227. nis tratives ainsi que par les circulaires du Directeur g n ral Le Manuel d instructions et de r gles administra tives est la seule source de r f rence unifi e pour les r gles r glements instructions et dispositions administratives de l Organisation tout enti re Les circulaires du Directeur g n ral contiennent des renseignements d ordre g n ral ou des instruc tions ou r gles administratives applicables une seule fois ou pendant un temps limit On se propose d introduire certaines modifications dans l objet et la port e des circulaires du Directeur g n ral afin de les rattacher plus troitement au R glement du Personnel D autres dispositions seront prises en ce qui concerne les instructions et r gles adminis tratives d une port e plus limit e R union annuelle des directeurs r gionaux et du personnel du Si ge L objet de la r union annuelle des directeurs r gionaux et du personnel du Si ge est d une ma ni re g n rale de coordonner les diverses activit s et d assurer que les directives et les plans d en semble adopt s soient conformes ceux qui ont t tablis par l Assembl e de la Sant et du Conseil Ex cutif et que les programmes labor s d ann e en ann e par les diff rentes R gions pr sentent entre eux une certaine uniformit Ces r unions de personnel auront plus particuli rement pour objet a d tudier l laboration de plans i de caract re g n ral
228. nnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations des m thodes modernes de lutte soit s pa r ment soit en liaison avec d autres programmes de l OMS 3 prend des dispositions de concert avec le D par tement des Services techniques centraux n vue de la poursuite de recherches enqu tes t tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division des Services des maladies transmis sibles 6 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales appropri es pour les questions qui dans les programmes auxquels par ticipe l OMS ont des points communs avec celles dont s occupent ces organisations et 8 assure le secr tariat des Comit s d experts qui existent ou qui seront cr s pour tudier ces ques tions chaque fois que des tudes sur le terrain des d monstrations ou des programmes comportant la prestation de services viennent en discussion Divisi
229. nnels seen PANNE TERRE Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Maladies v n riennes SIDE RE A me eee AA Op rations sur le terrain Personnel t ea Es none PE es Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Subsides m RE PR NT EU Autres maladies transmissibles o MES re Le A ELU AT Pad Op rations sur le terrain Personnels RM es LAS EMTEC Experts conseils Total pour la Division Division de I Am lioration de la Sant Bureau du Directeur Hygi ne de la Maternit et de l Enfance SIDE re E DIE Dee ne E E E Se Op rations sur le terrain Personnels 4 a seng o A rar Nr Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Subsides Nutrition SOUS RE E Re di PL Op rations sur le terrain Personnel SERRE ee S Experts conseils Fournitures et mat riel Sant mentale SO E E E E E Op rations sur le terrain Personnel ea a a a n e n E Lie Experts conseils Fournitures et mat riel Documentation sp ciale Subsides a Pure ne ET Le et Total pour la Division 1 Programme approuv 2 Volume actuel 3 Diff rence entre pour 1950 d activit les colonnes I et 2 me Pise nee Pit run Pie US US US 3
230. ns la section des Statistiques sanitaires et la section des Substances th rapeutiques Toutefois depuis lors les t ches confi es ces deux sections ont subi un accroissement consid rable qui justifie la trans formation de ces sections en divisions En ce qui concerne les statistiques sanitaires la r solution WHA2 38 de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant pr voit l tablissement de trois sous comit s et d un organisme central pour le maintien de la liaison avec les commissions nationales Il y a galement lieu d attirer Patten tion sur la note relative aux statistiques sanitaires soumise par la D l gation du Royaume Uni En raison de l int r t tout particulier manifest ainsi par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant pour les travaux statistiques l int rieur du Secr tariat il a paru opportun de cr er une Division des Statistiques sanitaires comprenant trois sections Etudes statistiques Statistiques de morbidit et Section de la Nomenclature internationale des Maladies et Causes de d c s En ce qui concerne les substances th rapeutiques le r le de la coordination des recherches qui lui tait conf impliquait une liaison troite avec le Centre international des Salmonella et le Centre mondial de la Grippe et en particulier avec le Bureau de Recherches sur la tuberculose Copen hague La cr ation d une Section de coordination des Recherches paraissait donc justifi e D
231. ns budg taires 2 3 Le Directeur g n ral fera une r partition provisoire de cr dits pour chaque r gion Dans les limites de cette r partition r gionale provi soire le directeur r gional recommandera au Directeur g n ral le montant allouer chacun des pays de la r gion 2 4 Apr s avoir examin les propositions et les recommandations le Directeur g n ral approu vera le programme relatif chaque pays et informera le directeur r gional des cr dits perti nents allou s cet effet 2 5 Les directeurs r gionaux seront charg s d ob tenir des gouvernements de leur r gion les deman des de bourses individuelles ils transmettront celles ci au Directeur g n ral qui accordera les bourses conform ment la proc dure tablie dans le Manuel d instructions et de r gles adminis tratives partie IV et partie IX avec cette r serve que les directeurs r gionaux recevront pouvoir d accorder des bourses d tudes dans la r gion aux boursiers originaires de ladite r gion les dispositions n cessaires tant prises pour qu un contr le financier ad quat soit institu 2 6 Les proc dures d taill es relatives aux fonc tions des directeurs r gionaux en ce qui concerne les tablissements o seront affect s les boursiers la surveillance exercer sur l activit de ces personnes les paiements qui leur seront effectu s et autres dispositions sont contenues dans le Manuel d instructions et de r gl
232. ns l annexe 13 26 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE If ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT ASSEMBL E DE LA SANT CONSEIL EX CUTIF DIRECTEUR G N RAL DIRECTEUR G N RAL ADJOINT Division de Coordination des Plans et de Liaison D partements Divisions Sections Information Conventions sanitaires et Quarantaine Technologique Epid miologie Etudes pid miologiques Informations pid miologiques Station pid miologique de Singapour Etudes statistiques Statistiques sanitaires Statistiques de Morbidit Nomenclature internationale des Services techniques Maladies etc centraux A Standardisation biologique Pharmaceutique Substances th rapeutiques Drogues engendrant la Toxicomanie Coordination des Recherches Bureau de Recherches sur la Tuber culose Copenhague Services d Edition et de Edition Documentation h Traduction Publications Biblioth que et Documentation Gestion administrative as Gestion administrative et Personnel E 7 Personnel Services administratifs et financiers Service juridique Conf rences et Services g n raux Service de la V rification int rieure des Comptes Budget et Finances _ Finances et Comptabilit Budget Paludisme Tuberculose 7 Maladies v n riennes Autres Maladies transmissibles
233. ntre diverses fonctions et m thodes techniques 157 Le comit a recommand de d signer comme suit les trois d partements 1 D partement des Services consultatifs le comit a estim cette d nomination pr f rable celle de D partement des Services d Op ra tions utilis e auparavant 2 D partement des Services techniques cen traux 3 D partement des Services administratifs et financiers D partement des Services consultatifs 158 Le comit a consacr beaucoup de temps discuter les fonctions et l organisation du D par tement des Services consultatifs Entre autres opinions exprim es par les membres du comit les suivantes sont consid r es comme dignes d une attention toute particuli re 1 Etant donn la similitude des objectifs vis s par la Division de l Epid miologie D parte ment des Services techniques et la Division des Maladies transmissibles D partement des Ser vices consultatifs et les relations troites qui existent entre ces deux divisions la premi re pourrait tre transf r e du D partement des Services techniques au D partement des Services consultatifs et fusionn e avec la seconde 2 La Section du Paludisme pourrait tre fusionn e avec la Section de l Assainissement 3 Les aspects curatifs de la m decine risquant de ne pas recevoir l attention qu ils m ritent il y aurait peut tre lieu de pr voir la cr ation d un service qui serait c
234. nts l Organisation des Nations Unies les autres institutions sp cialis es et les autres organisations internationales sur la coordi nation des Services administratifs et financiers avec les activit s des autres D partements de l Organisa tion et des Bureaux r gionaux et sur les directives de nature juridique et constitutionnelle qui int ressent l Organisation 2 est charg des plans et de l administration en ce qui concerne toutes les questions d ordre adminis tratif financier juridique et constitutionnel int ressant l Organisation y compris les Bureaux r gio naux et les Bureaux locaux 3 labore dans le cadre des disponibilit s finan ci res et sur la base d une analyse des programmes envisag s des recommandations visant un plan unifi d action pour faire face aux besoins priori taires et 4 formule des directives concernant la v rification int rieure des comptes le service juridique la gestion administrative et le personnel les finances et le budget le Service des Conf rences et les ser vices g n raux et assume la responsabilit des fonctions et op rations de ces unit s administra tives Service juridique Le Service juridique sous le contr le du Sous Directeur g n ral des Services Administratifs et Financiers 1 donne des avis sur toutes les questions de carac t re juridique ou constitutionnel 2 donne des avis sur les aspects juridiques des n gociations avec
235. nua les services de notifications pid miologiques de celle ci y compris la publication du Relev Epi d miologique Hebdomadaire ainsi que ses travaux sur la standardisation biologique Elle reprit galement le Bureau d Orient de la Soci t des Nations qui tait install Singapour Le personnel restreint qui pendant la guerre avait poursuivi certaines des activit s de la Section d Hygi ne de la Soci t des Nations renseigne ments pid miologiques et statistiques sanitaires administration des talons biologiques interna tionaux passa au service de la Commission Int rimaire et constitua le noyau de son service d in formations pid miologiques et de statistiques sanitaires ainsi que celui du service de standardi sation biologique A titre d activit connexe ses travaux sur la standardisation biologique la Commission Int rimaire entreprit des tudes pr liminaires sur l unification des pharmacop es poursuivant ainsi l activit ant rieurement exerc e dans ce domaine par la Soci t des Nations Vers la m me poque la Commission Int ri maire reprit dans son Service d Epid miologie l uvre pid miologique de l OIHP Vers la fin de 1946 la Commission Int rimaire assuma la responsabilit de l administration des conventions sanitaires internationales dont l UNRRA s tait momentan ment acquitt e La Commission Int rimaire reprit galement la plu part des activit s poursuivies s
236. ogie Division des Statistiques sanitaires En vue d am liorer la qualit et les possibilit s de comparaison des statistiques d mographiques et sanitaires dans le monde entier la Division des Statistiques sanitaires I pr voit coordonne et administre les activit s concernant les statistiques sanitaires et notamment a recueille et analyse la documentation statis tique aux fins de publication et b favorise la standardisation des m thodes de r union et de classification des statistiques sani taires 2 fournit des avis et une aide aux gouvernements pour les probl mes concernant les statistiques sani taires 3 fournit des renseignements sur les statistiques sanitaires aux autres Divisions et aux Bureaux r gionaux de l Organisation en vue du d veloppe ment des services fournis aux gouvernements 4 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services techniques centraux sur les directives g n rales et sur les aspects techniques de sa t che 5 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions gouvernementales pour les questions sta tistiques d int r t commun 6 participe la formation d un Comit d experts des Statistiques sanitaires et de ses sous comit s leur fournit les renseignements et l aide n cessaires et donne effet leurs recommandations Section des Etudes Statistiques En vue d am liorer
237. ompte tenu d autre part de la r valuation r cente de certaines monnaies nationales le comit a recommand une revision du bar me des traite ments du personnel qui exerce ses fonctions en dehors de la Suisse Cette revision permettrait d adopter des bar mes diff rentiels de traitement qui fourniraient des chiffres comparables en ce qui concerne le pouvoir d achat des traitements locaux respectifs Le Conseil Ex cutif a diff r sa d cision sur cette question et a t d avis que toute mesure que pourrait prendre l OMS ce sujet devrait tre conforme celles qui seraient ventuellement adopt es par l Organisation des Nations Unies Locaux du Secr tariat 220 Le comit n a pas proc d un examen d taill des locaux et autres facilit s la disposi tion du personnel du Bureau du Si ge Il a not toutefois qu il n existe pas d espace d un seul tenant pour tout le personnel et qu environ 75 per sonnes sont log es dans des baraques temporaire ment am nag es dans le voisinage du Palais des Nations 221 Les locaux du personnel technique actuel ne sont pas consid r s comme donnant enti re satis faction du point de vue du rendement maximum La difficult de fournir des locaux satisfaisants particuli rement pour le personnel technique qui doit travailler dans un milieu relativement silen cieux et loign de la circulation ne pourra que s accro tre au fur et mesure que du nou
238. on de l Organisation des Services de Sant publique En vue d aider les gouvernements d velopper l organisation de leurs services de sant publique et notamment l administration de la sant publique et l administration des h pitaux les soins m dicaux et dentaires l assainissement les soins infirmiers et l ducation sanitaire du public et am liorer l hygi ne de la maternit et de l enfance l hygi ne de l alimentation et de la nutrition la sant men tale et l hygi ne professionnelle et sociale la Division de l Organisation des Services de sant publique 1 pr voit coordonne et administre les activit s concernant l am lioration de la sant et notam ment a examine et appr cie les programmes propos s par les comit s r gionaux afin de veiller ce qu ils se pr tent une action internationale et soient r alisables du point de vue scientifique ce que les moyens n cessaires soient disponibles et ce qu il en r sulte des am liorations sociales et conomiques b donne des avis techniques sur les d monstra tions des m thodes modernes d administration de la sant de prophylaxie et de traitement et sur la formation technique du personnel local participant ces d monstrations et c fournit des avis techniques directement ou par l interm diaire d experts conseils de la do cumentation et du mat riel m dical 2 collabore avec les autres divisions de l Orga nisation
239. on et tablit des rapports sur ce sujet en vue d une publication ventuelle et 5 assure le secr tariat du Comit d experts pour l Unification des Pharmacop es Section des Drogues engendrant la Toxicomanie En vue d aider les gouvernements extirper la toxicomanie et l alcoolisme la Section des Drogues engendrant la Toxicomanie 1 tablit et applique un programme d action en vertu duquel notamment elle tudie les rapports sur les stup fiants et recueille et fournit de la docu mentation sur la toxicomanie et l alcoolisme 2 donne sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division des Substances th rapeutiques 3 examine le programme d action et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ven tuelle 4 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces institutions et 5 assure le secr tariat du Comit d experts des Drogues susceptibles d engendrer la Toxicomanie Section de Coordination des Recherches En vue d aider les gouvernements d velopper la recherche la Section de Coordination des Re cherches 1 tablit et applique un programme d action en vertu duquel notamment elle analyse et value les progr s r alis s dans le domaine de la recherche et favorise l application pra
240. on les pr visions se r unira avant la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant 2 l adoption par la Deuxi me Assembl e Mon diale de la Sant du programme suppl mentaire d ex cution aff rent au budget des Services consul tatifs et techniques en tant que base de la parti cipation de l OMS au cours de la premi re p riode du programme d assistance technique des Nations Unies 3 le fait que le programme suppl mentaire a fourni la base de n gociations entre POMS et RAPPORT DU COMIT PERMANENT 19 l Organisation des Nations Unies en ce qui con cerne le programme d assistance technique ainsi que la base sur laquelle les Etats Membres ont envisag leur participation au programme total 4 la n cessit dans laquelle se trouve la Troi si me Assembl e Mondiale de la Sant d examiner le programme d assistance technique des Nations Unies en tenant compte de la situation existant alors 5 la n cessit de fournir la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant comme base de l examen de la situation dans son ensemble des propositions pr cises concernant la deuxi me p riode du programme d assistance technique 88 Le comit recommande au Conseil d approuver comme document de travail pour la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant la partie du document EB5 44 qui concerne l assistance tech nique Ce faisant le comit reconna t que le montant des d penses aff rentes au programme tel qu il
241. on suivante 10 fonction naires fonctions m dicales liaison administration t rapports 7 Gen ve 3 New York et 6 secr taires ou commis 4 Gen ve 2 New York Cet effectif ne com prend pas le fonctionnaire charg de la liaison avec la presse et sa secr taire Un commis suppl mentaire est attach au Bureau de liaison de New Vork o il est avant tout charg de questions administratives et financi res ANNEXE 7 6I TEMPS CONSACR AUX FONCTIONS PRINCIPALES EN 1949 EN POURCENTAGE Coordination des plans relatifs aux programmes ou activit s de liaison Effectif Service 4 du Conseil Organisa personnel A S Ex cutif tions non Total pae tone e n o aa Bureau du Directeur 2 15 40 35 10 100 Liaison et plans Gen ve 3 50 10 15 25 100 Liaison et plans New York 5 75 10 10 5 100 Rapports 4 60 40 100 Analyse des programmes 2 20 40 30 10 100 Total et moyennes 16 37 30 24 9 100 Moyennes arrondies 35 30 25 10 100 TEMPS CONSACR AUX R UNIONS Environ 25 du temps de la Division non compris celui qui est consacr aux programmes et pr visions budg taires annuels et au Rapport annuel du Directeur g n ral sont absorb s par les sessions des organes directeurs Si l on admet que l ann e moyenne de travail 1949 comporte environ 240 jours et que le temps consacr en 1949 aux deux se
242. ondant sur les directives g n rales tablies par l Assembl e de la Sant et tient jour les archives pertinentes 4 labore des m thodes de comptabilit destin es aux bureaux r gionaux et aux bureaux locaux et fournit des avis sur la mise effet de ces m thodes 5 assure les rentr es et sorties de fonds de l Orga nisation tablit et conserve toutes les pi ces n ces saires 6 tient jour toutes les archives se rapportant au contr le des ouvertures de cr dits 7 est responsable de l administration financi re de la Caisse de Pr voyance du personnel et de la Caisse commune des Pensions ainsi que de tous autres fonds sp ciaux 8 tient jour les relev s des pr sences et des cong s 9 examine les cr ances exigibles et d livre les autorisations de paiement pertinentes et 10 exerce un contr le sur les fonds en caisse et autres avoirs de l Organisation Section du Budget La Section du Budget est responsable envers le Directeur de la Division du Budget et des Finances de l laboration des directives g n rales et des plans concernant le budget de l Organisation Elle 1 tablit et applique les proc dures budg taires et notamment labore et examine les pr visions rela tives au budget qui sont n cessaires pour financer les programmes de l Organisation et fournit toutes explications et justifications 2 tablit le document budg taire et les formulaires concernant l
243. onform ment aux instructions qui lui ont t donn es par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant dans la r solution WHA2 75 qui lauto risait agir au nom de l Assembl e Mondiale de la Sant jusqu sa prochaine session 4 Ayant examin les r solutions pertinentes du Conseil Economique et Social et de l Assembl e g n rale des Nations Unies RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mon diale de la Sant l adoption de la r solution sui vante La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant Estimant que le programme d assistance tech nique en vue du d veloppement conomique des pays sous volu s expos par le Conseil Econo mique et Social lors de ses huiti me et neuvi me sessions offre l occasion d am liorer les niveaux de vie des habitants des pays sous volu s du globe Estimant que l OMS a un r le important jouer dans ce programme et Constatant que ce fait a t reconnu lors des discussions pr liminaires qui ont eu lieu sur l initiative du Secr taire g n ral des Nations Unies et lors des d lib rations de la neuvi me session du Conseil Economique et Social et de la quatri me session de l Assembl e g n rale Constatant que l Assembl e g n rale des Nations Unies sous r serve de l assentiment final de la Conf rence sp ciale sur l Assistance technique qui doit tre convoqu e dans un proche avenir a approuv la proposition du Conseil Economique et Soc
244. onner au Secr tariat une structure organique provisoire reposant sur les divers ser vices qui s taient d velopp s pendant la p riode d existence de la Commission Int rimaire Les services du Secr tariat furent titre d essai group s en trois d partements principaux i D partement des Services techniques divis en Services pid miologiques Standardisation biologique Services d Edition et de Documen tation et une section des Statistiques sanitaires 2 D partement des Op rations subdivis en Division des Plans et en Division des Op rations sanitaires 3 D partement des Services administratifs et financiers Une section de liaison technique une section juridique et un bureau de l information directe ment rattach s au Bureau du Directeur g n ral compl t rent la structure susindiqu e Cette structure devint effective le 1 T octobre 1948 2 Principes fondamentaux appliqu s par le Directeur g n ral dans l tablissement des plans concernant l administration et Por ganisation de l OMS Les principes num r s ci dessous sont bien connus et il peut sembler assez inutile de les noncer nouveau On estime toutefois que le Conseil Ex cutif d sirera tre assur que le Direc teur g n ral dans l exercice de ses responsabilit s en tant que principal fonctionnaire administratif de l Organisation Mondiale de la Sant applique des principes bien tablis et largement accept
245. onnes dont certaines proviennent du FISE et de uvre commune Le comit consid re que ce Bureau ex cute une partie extr mement importante de la t che de l Organisation Mondiale de la Sant et que certains probl mes tr s complexes se poseront vis vis d autres organisations si le programme pour lequel des plans d taill s ont t tablis ne peut tre mis en vigueur Services d dition et de documentation 4 4 43 Le budget propose pour ces services une augmentation de 47 828 en 1951 Cet accroisse ment est d en grande partie l accroissement du personnel de la Section de Traduction et de la Biblio th que Il est malais de d terminer l effectif dont a besoin cette division la publication des textes en deux ou plusieurs langues et la mise au point de textes dont les auteurs crivent en une langue autre que leur langue maternelle entra nant un surcro t de travail difficile valuer 44 Les d penses indiqu es sous la rubrique Publications exception faite de celles qui concernent les documents officiels et qui figurent la page go des Actes officiels n 23 seront proba blement r duites de 28 550 en I951 par suite d une diminution du nombre de pages et des frais par page de certaines publications p riodiques 45 Aucun rapport sur la distribution et la vente des publications p riodiques n a pu tre pr sent au Comit permanent mais les recettes sont va lu es 25
246. ons non gouvernementales I La coordination des activit s et des programmes internationaux et r gionaux concernant les orga nisations non gouvernementales et POMS est assur e primordialement par un vaste syst me de rapports et de comptes rendus 2 La Division encourage galement le d veloppe ment des programmes sanitaires internationaux et r gionaux des organisations non gouvernementales et la mise en uvre de nouveaux programmes pr sentant un int r t pour l OMS Ce travail comprend les activit s suivantes a fournir en consultation avec les groupements int ress s des expos s de la politique de POMS visant d velopper l exercice d activit s sani taires de la part des organisations non gouver nementales qui collaborent avec POMS b sous r serve des d cisions du Conseil Ex cutif et de son Comit permanent des Organisations non gouvernementales surveiller les relations officielles avec les organisations non gouverne mentales et recommander l tablissement le maintien ou la cessation de ces relations c tablir et encourager la repr sentation r ci proque et les changes d informations d tudier et faire rapport p riodiquement sur l tablissement de relations officielles et officieuses entre POMS et des organisations non gouverne mentales ainsi que sur les r sultats obtenus gr ce ces relations Une action analogue porte sur les plans et le d veloppement d activit s sanitaires d ordre
247. onseil Ex cutif sa quatri me session tenue en juillet 1949 a constitu un Comit permanent des Questions administratives et financi res en adoptant la r sol tion suivante 5 Consid rant la n cessit d une valuation d taill e du programme et du budget de 1951 et Consid rant les r solutions de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant relatives aux res ponsabilit s financi res du Conseil Ex cutif et l examen de la structure administrative de Organi sation Le Conseil Ex cutif I TABLIT un comit permanent des questions administratives et financi res compos de sept de ses membres et 2 CHARGE ce comit de se r unir dix jours environ avant le commencement de la cinqui me session du Conseil Ex cutif en vue d tudier les pr visions budg taires pour 1951 d examiner la structure administrative et de faire rapport au Conseil Ex cutif sur ses conclusions et ses recommandations cet gard Questions d ordre budg taire et financier Les termes de la r solution adopt e par le Conseil Ex cutif sa quatri me session invitaient le comit examiner seulement les pr visions budg taires cependant le comit a estim qu il convenait vu le paragraphe 2 4 de la r solution WHA2 62 susmentionn e de s occuper d un certain nombre de principes tr s g n raux d ordre financier et budg taire qu il a jug s pertinents tant donn la situation actuelle Structure organique de l O
248. oulent de leurs rapports La Division aide sur demande diriger des r unions de comit s r gionaux Conseil Ex cutif et l Assembl e de la Sant de programmes et de propositions y compris ceux qui r sultent de plans tablis en commun entre institu tions ou qu il est propos d administrer en commun Ces travaux comprennent les activit s suivantes a pr parer en consultation avec d autres divi sions du Secr tariat des propositions relatives aux dates de r unions et aux plans concernant les sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e Mondiale de la Sant b r diger et tablir en consultation avec d au tres divisions les ordres du jour des sessions donner des instructions pour la pr paration des documents n cessaires et le cas ch ant r diger les projets de r solution appropri s c recommander les principes suivre et les pro c dures appliquer y compris ceux relatifs l utilisation du personnel en ce qui concerne la pr sentation de propositions de programmes d administrer et dans la mesure n cessaire assurer le secr tariat des r unions Cette t che comprend la pr paration et ou la revision des rapports et proc s verbaux La Division de Coor dination des Plans et de Liaison aide v rifier au point de vue de leur exactitude technique les proc s verbaux des r unions tablis par la Divi sion des Services d Edition et de Documentation Avec des organisati
249. ours de laquelle l Organisation Sanitaire Panam ricaine s int gre l OMS pour en constituer le Bureau r gional pour les Am riques les relations entre les Etats Membres le Bureau r gional en voie de cr ation et l Organi sation centrale soulevaient certaines difficult s Il a t reconnu que en de nombreux cas la liaison sur le plan international n tait pas aussi satisfaisante qu on pourrait le souhaiter parce que certains gouvernements n avaient pas encore modifi leur proc dure int rieure pour l adapter aux exigences de l action internationale 3 En troisi me lieu le comit a constat que l absence actuelle d organisation r gionale pour certaines zones du monde conditionnait la structure organique existante Une nouvelle extension de la r gionalisation aboutirait des modifications diverses de structure et d admi nistration modifications qu il n est pas possible d entreprendre actuellement 121 En donnant son approbation au principe fondamental de la d centralisation le comit a reconnu que certaines fonctions taient de nature telle qu elles devaient tre exerc es par le Si ge de l Organisation Dans sa d claration verbale annexe 4 le Directeur g n ral a d fini les fonc tions principales qui seront finalement celles du bureau central comme consistant coordonner le travail des bureaux r gionaux r unir collationner et diffuser des informations assurer la liaison
250. p rer que le personnel des bureaux r gionaux et du Si ge central sera tr s largement inter changeable et qu il y aura un mouvement consi d rable de personnel entre les r gions et le Si ge central Il a d j t proc d certains changes Quelques bureaux r gionaux emploient des per sonnes venant d autres r gions c est l une situa tion extr mement satisfaisante et qui pr sente des avantages pour tous Il y a lieu d esp rer que de tels changes de personnel pourront se d velopper consid rablement dans lavenir afin que les r gions puissent conna tre d autres points de vue et que les exp riences acquises en n importe quel lieu soient mises la disposition des autres r gions du globe susceptibles de les utiliser ANNEXE 5 SI Annexe 5 PRINCIPES ET PROC DURES R GISSANT LES FONCTIONS DES BUREAUX R GIONAUX Rapport du Directeur g n ral Le pr sent rapport pr par lintention du Comit permanent des Questions administratives et financi res expose les principes et les proc dures essentiels qui ont t institu s au cours de l tablis sement des bureaux r gionaux Ces principes et ces proc dures ont t tablis lors de s ances tenues avec les directeurs r gionaux de r unions des comit s r gionaux et de sessions ant rieures du Conseil Ex cutif 1 Consid rations g n rales Le principe qui a servi de base l tablissement des bureaux r gionaux a t c
251. plan personnel partir de cet chelon l ache minement se poursuit soit vers le groupe division naire soit vers le groupe d partemental suivant les circonstances 8 Voir p 89 88 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Les r unions de divisions et ou de d partements ont lieu au moins une fois tous les quinze jours Elles visent surtout donner une application pratique effective aux directives venant d en haut Les chefs de section ou de bureau re oivent des instructions d taill es sur les incidences g n rales des directives et sur leurs t ches et responsabilit s pr cises Lorsque les directives sup rieures en sont encore au stade pr liminaire la division ou le d partement peuvent tre pri s de fournir des projets de docu ment ou des documents de travail Apr s un examen en commun du but et de la port e de ces documents la responsabilit des mesures prendre fait l objet d une d termination pr cise Les chefs de section ou de bureau peuvent inscrire l ordre du jour de ces s ances tous les points sur lesquels il convient de proc der un examen ou de prendre des d ci sions cet chelon ou toutes recommandations qu ils estiment devoir tre adress es aux Direc teurs pour examen ou directement au Conseil des Directives Outre ces r unions qui se tiennent dans le cadre de chaque unit administrative il s est r v l n ces saire d changer des vues et de prendre
252. pour 1948 et 1049 ont permis d obtenir des promesses de versements bref d lai les sommes ainsi promises s levant 90 045 au titre de la partie IV du budget de 1048 lorsque ces versements auront t re us ils permettront de rembourser l int gralit du pr t consenti la Commission Int rimaire soit 2 150 000 et il restera un exc dent de 20 550 qui seront vir s au fonds de roulement En ce qui concerne le pr t de 400 000 accord pour le fonctionnement de l Organisation Mondiale de la Sant en 1948 les relev s de l Organisation montrent que la date du 31 d cembre 1949 des Etats Membres avaient vers des contributions s levant au total 839 541 au titre des par ties I et II du budget de 1948 et que comme suite aux demandes adress es par c blogramme comme il est indiqu ci dessus des promesses de verse ments une date rapproch e ont t re ues pour un total de 43 476 De ce total de 883 017 vers s ou promis il faut d duire les d penses aff rentes aux parties I et II du budget de 1948 et qui s l vent 463 106 ce qui laisse un solde de 419 911 sur lequel les 400 000 dus aux Nations Unies peuvent tre rembours s 5 Soldes non utilis s des cr dits Conform ment aux articles 13 et 16 e du R gle ment financier les soldes non utilis s sont report s comme cr dits sur l exercice suivant et il en est tenu compte pour fixer la contribution des Etats Membr
253. principes tre familiaris avec ses m thodes et ses relations de travail telles sont les aptitudes essentielles que doivent poss der les fonctionnaires de la Division Celle ci s efforce de tenir rapidement et convenablement son personnel au courant des faits nouveaux survenus l int rieur de l OMS et aussi du syst me des Nations Unies Des conf rences r unissant le personnel de la Division sont organis es lorsque cela est n ces saire 8 Volume de travail par fonctions principales et personnel suppl mentaire n cessaire Pour l ensemble de la Division les pourcen tages indiquant le temps que le personnel a en 1949 consacr l ex cution des fonctions princi pales et le volume de travail qu il lui faudra proba blement effectuer en 1950 y compris les r percus sions sur les besoins en personnel sont valu s comme suit Fonctions principales Temps consa Volume du travail pr vu pour et domaines cr en 1949 1950 et son incidence sur de responsabilit en pour les bescins en personnel centage 1 Coordination des Augmentation proba plans relatifs de vas ble du volume de tra tes programmes dans vail notamment en le cadre des Nations relation avec le pro Unies y compris les gramme d assistance fonctions de liaison et technique elle n ces l tablissement de rap sitera l emploi de 4 ports l int rieur du fonctionnaires suppl Secr tariat comme il mentaires fonctions est
254. programmes de POMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre des programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de l Organisation des Services de Sant publique 6 se livre un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales appropri es pour les questions qui dans les programmes auxquels participe POMS concernent l hygi ne de la mater nit et de l enfance et 8 assure le secr tariat du Comit d experts de FHygi ne de la Maternit et de l Enfance et du Groupe d experts conseils des Immunisations contre les Maladies transmissibles ordinaires de l Enfance Section de la Sant mentale En vue d aider les gouvernements poursuivre des travaux de prophylaxie mentale et atteindre un niveau lev en ce qui concerne le traitement psychiatrique dans le monde entier la Section de la Sant mentale 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio
255. ption des fonctions des d partements divisions et sections de POMS et graphiques naindiquant la STUET 2 2 A e aE a Re MMS a a NS a AS GR 73 R SOLUTIONS DE LA CINQUI ME SESSION DU CONSEIL EX CUTIF RELATIVES AU RAPPORT DU COMIT PERMANENT DES QUESTIONS ADMINISTRATIVES ET FINANCI RES 1 Repr sentation du Conseil Ex cutif la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant Le Conseil Ex cutif Ayant examin la marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 et 5 te Prenant note des instructions qu il a re ues sur ce point de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant y compris les instructions visant un exa men de la structure administrative de l Organisa tion et de son efficacit I D CIDE que l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 par la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant se trouvera faci lit si le Conseil soumet un rapport complet sur l examen auquel il aura proc d et s il prend gale ment des dispositions pour se faire officiellement repr senter l Assembl e 2 INVITE le Directeur g n ral faire imprimer le rapport sur les travaux de la cinqui me session du Conseil en deux parties l une de ces parties devant tre consacr e exclusivement aux observa tions et recommandations du Conseil sur le pro gramme et les pr visions budg taires pour 1951 y compris son examen de la structure administrative de l
256. que les services aff rents aux r unions des organes directeurs de POMS fonctionnent avec la plus grande efficacit possible Cette activit com porte la direction des travaux de secr tariat des sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e Mondiale de la Sant La fonction g n rale de la Division consiste promouvoir et faciliter la coordination des pro grammes entre institutions et l int rieur de l Or ganisation Cette coordination est assur e par la r union de renseignements par des contacts directs par des efforts de persuasion et par le contr le subs quent La division formule galement des recommandations lorsque doivent tre prises des d cisions de nature affecter les principes direc teurs et qui int ressent la fois l OMS et d autres institutions appartenant au syst me des Nations Unies ou d autres organismes 3 Responsabilit s particuli res Les responsabilit s ainsi que les m thodes et proc dures utilis es sont expos es ci apr s pour chacun des grands domaines d activit 1 Voir Rapport du Comit permanent Section II cha pitre 2 p 28 Dans le cadre des Nations Unies Le travail de coordination dans le domaine cono mique et social comporte les activit s ci apr s 1 Aider l OMS les organes des Nations Unies et d autres institutions sp cialis es laborer leurs programmes conjointement d s le stade initial 2 Instituer des m thodes permett
257. qui leur sont rendus par l Organisation aucune pr vision n a t pr sent e pour l acquisition de v hicules moteur en 1951 Cette observation s applique galement au co t d utilisation des v hicules moteur employ s dans la mise ex cution des programmes appliqu s sur le terrain Bureaux r gionaux 6 64 Ilest rappel au Conseil Ex cutif que l Assem bl e Mondiale de la Sant a d cid de cr er des bureaux r gionaux aux moments opportuns en vue de mettre en uvre le principe de d centrali sation Quand des bureaux r gionaux sont cr s il est essentiel qu ils soient pourvus d un personnel suffisant pour leur permettre de s acquitter de leurs responsabilit s 65 Les pr visions pour 1950 contiennent des cr dits concernant l tablissement de petits bureaux administratifs pour les r gions de l Afrique et du Pacifique occidental Des cr dits sont inscrits pour 1951 pour le fonctionnement d un bureau complet dans chacune des six r gions Il n a pas encore t re u de demandes de la majorit des membres appartenant aux r gions du Pacifique occidental et de l Afrique en vue de la cr ation de bureaux r gionaux 66 Le personnel r gional envisag dans le budget de 1951 sera compl t par du personnel suppl mentaire r mun r l aide des cr dits aff rents au D partement des Services consultatifs qui sous la direction des bureaux r gionaux assu rera les services sur
258. r ci dessus 435 404 quatre Membres mentionn s aee 290 355 ci dessus Cr ances valoir sur des contribu Contributions non re ues tions non vers es au I janvier Au titre du fonds pour 1949 120 643 1949 4 845 101 Contributions pour 1950 104 171 224 814 A d duire Contributions re ues Cr ances sur les contributions voir ci dessus 804 254 non vers es Re Au titre du fonds pour 1949 Solde 540 847 Contributions dues pour 1948 s voir appendice 2 227 860 A ajouter Nouvelle avance voir Contributions dues pour 1949 ci dessus 600 000 chiffre approximatif 40 000 1 140 847 267 860 2 553 960 492 674 42 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II EB5 AF 5 13 janvier 1950 Annexe 2 COMPARAISON ENTRE LES PR VISIONS DE D PENSES CONCERNANT LE PROGRAMME TEL QU IL A T APPROUV POUR 1950 ET LES PR VISIONS DE D PENSES TABLIES D APR S LE VOLUME ACTUEL D ACTIVIT DE L ORGANISATION Rapport du Directeur g n ral TABLEAU COMPARATIF R SUM 1 2 8 Fe ne rats l issue Postes qe d penses Postes ded memses Postes de d penses US Us US Sessions d organisation 266 858 266 858 Services techniques centraux 224 1 668 042 161 1 299 376 63 368 666 Services consultatifs 217 3 220 505 157 2 564 032 60 656 473 Bureaux r gionaux 183 902 535 183 902 535 Comit s d experts o
259. r des d mons trations des m thodes modernes de lutte soit s pa r ment soit en liaison avec d autres programmes de POMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division des Services des maladies transmis sibles 6 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales pour les ques tions qui dans les programmes auxquels participe l OMS concernent le paludisme et 8 assure le secr tariat du Comit d experts du Paludisme et du Comit d experts des Insecticides Section de la Tuberculose En vue d aider les gouvernements perfectionner la lutte antituberculeuse la Section de la Tuber culose 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstra tions aux gouvernements sur l organisation et l application des programmes de lutte antituber culeuse et su
260. r les aspects techniques des services et 6 fournit des avis au D partement des Services consultatifs sur les demandes de documentation m dicale manant des gouvernements dans le cadre du programme de l OMS et examine les demandes de documentation m dicale manant des gouver nements Section d Edition En vue de pourvoir aux besoins de POMS en actes archives et en documentation la Section d Edition 1 met au point et tablit en vue de l impression les publications techniques et les actes et documents polycopi s soit en consultation avec les autres unit s constitutives de l Organisation soit confor m ment aux instructions que fournissent ces der ni res 2 assure le contr le de la parution des proc s ver baux pendant les conf rences de l OMS 3 aide le secr tariat des Comit s d experts pour le travail d dition dans la pr paration des rapports des Comit s et 4 v rifie toutes les demandes de publications et de documents techniques ron ographi s de l OMS en vue de d terminer si elles satisfont aux r gles tablies pour la distribution gratuite 5 tient jour les listes de distribution gratuite concernant les publications de l OMS les tirages part du Bulletin et les documents techniques ron ographi s Section de Traduction En vue d tablir avec exactitude les actes les archives et les publications de POMS la Section de Traduction traduit dans les langues appropri es et
261. r les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division des Statistiques sanitaires 4 donne des avis aux gouvernements sur l labo ration de la classification nationale 5 assure le secr tariat du Comit d experts com p tent Division des Substances th rapeutiques En vue de donner des avis aux gouvernements sur les applications pratiques possibles des d cou vertes scientifiques sur les probl mes que font na tre la toxicomanie et l alcoolisme et sur l tablis ANNEXE 13 83 sement de normes internationales reconnues en ce qui concerne les s rums les vaccins et les m dica ments la Division des Substances th rapeutiques I pr voit coordonne et administre les activit s concernant la coordination des recherches et les substances th rapeutiques et notamment a tudie les faits nouveaux survenus dans la recherche en diff rents domaines y compris celui du BCG et des antibiotiques b favorise l tablissement et le maintien de pr parations et d unit s talons c assure la surveillance de l laboration de la Pharmacopea internationalis et d effectue des recherches sur les m dicaments susceptibles d engendrer la toxicomanie en vue de les soumettre au contr le international 2 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services techniques centraux sur les directives g n rales et sur les aspects techniques de sa t che 3 collabore avec
262. r les m thodes modernes de pro phylaxie de diagnostic et de traitement en ratta chant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectuer des d mons trations des m thodes modernes de prophylaxie de diagnostic et de traitement soit s par ment soit en liaison avec d autres programmes de POMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gio naux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division des Services des maladies transmis sibles 6 proc de un examen continu des r sultats d s programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations non gouvernementales et les institutions appropri es pour les questions qui dans les programmes aux quels participe l OMS concernent la tuberculose et 8 assure le secr tariat du Comit d experts de la Tuberculose Section des Ma
263. rait en ce qui concerne certaines t ches courantes mesure que l Organisation prendrait de la matu rit mais que la t che aff rente la gestion admi nistrative qui se rattache au personnel plus troi tement qu toute autre section du D partement des Services administratifs et financiers ne ferait que s accro tre Comme corollaire cette mesure il a t recom mand que le Bureau du Budget et le Bureau des Finances et de la Comptabilit fussent galement r unis Les deux modifications propos es confiaient na turellement aux chefs des deux groupes respectifs des responsabilit s beaucoup plus tendues Il a t recommand en cons quence de transformer ces groupes en Divisions ayant leur t te des Direc teurs et compos es chacune de deux sections Cet arrangement aurait en outre pensait on l avan tage de fournir au Sous Directeur g n ral du D partement des Services administratifs et finan ciers les avis et le concours de deux Directeurs qui par les r unions des Directeurs se trouveraient en mesure de coordonner les travaux de leurs divisions respectives avec ceux du reste de l Organisation D partement des Services administratifs et financiers Le D partement des Services administratifs et financiers I1 fournit des avis au Directeur g n ral sur toutes les directives concernant l administration et les finances y compris celles qui visent les relations avec les gouverneme
264. rdonne et normalise l laboration des formu laires de l Organisation 4 formule des recommandations sur le fonctionne ment des relations internes de l Organisation et sur les moyens de les rendre plus claires et plus pr cises 5 labore les proc dures normes et pratiques fon damentales ou participe avec les fonctionnaires comp tents leur laboration et proc de une analyse continue en vue de les simplifier et de les am liorer 6 fournit des avis sur l laboration des normes d op rations dans leurs rapports avec les t ches accomplir x 7 proc de des consultations avec les fonction naires comp tents de l Organisation en vue de leur fournir des avis sur les questions de gestion et 8 appr cie l application des pratiques approuv es et l efficacit des programmes de formation tech nique du personnel en fonction et formule des recommandations ce sujet Section du Personnel La Section du Personnel est responsable envers le Directeur de la Division de la Gestion adminis trative et du Personnel de l laboration et de la mise en uvre des directives g n rales des m thodes et des proc dures concernant le personnel 1 tablit et tient jour un plan de classification des postes applique le syst me de r mun ration et d termine la classification des diff rents postes ANNEXE 13 87 2 applique les dispositions du Statut et du R gle ment du Personnel et d livre les
265. rganisation II Le Conseil Ex cutif Consid rant que le solde non utilis des cr dits aff rents 1949 n est en fait pas disponible en esp ces Consid rant en outre que le fait de d duire en application des articles 13 et 16e du R glement financier ce solde du montant consid rer pour l tablissement des contributions au titre de 1951 risque d aggraver encore la situation financi re en 1951 la suite du versement peu satisfaisant des contributions RECOMMANDE la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant l adoption de la r solution suivante Attendu que conform ment aux articles 13 et 16e du R glement financier il doit tre tenu compte pour fixer la contribution des Etats Membres au titre de 1951 du solde non utilis des cr dits aff rents 1949 Attendu que ce solde qui s l ve n est en fait pas disponible en esp ces Le texte adopt par le Conseil est reproduit dans la r solution 7 1 5 p 3 Attendu que le fait de d duire ce solde du montant consid rer pour l tablissement des contributions au titre de 1951 risque d entra ner de lourds pr l vements sur le fonds de roulement en raison du versement peu satisfaisant des contributions ce qui aurait pour r sultat d ag graver la situation financi re g n rale en 1951 La Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant 1 D CIDE suivant les recommandations du Conseil Ex cutif de suspendre l app
266. rogramme qui les concernent ainsi que le travail du personnel qu ils ont sous leurs ordres Ils de vraient tenir le Directeur g n ral au courant des d veloppements intervenus et notamment des carts qu ils auraient constat s par rapport aux plans ou aux arrangements convenus 199 Cette responsabilit personnelle des Sous Directeurs g n raux ne saurait tre remplac e effectivement par la r union dans un service cen tral de renseignements abstraits relatifs aux pro gr s r alis s dans l ex cution des programmes car ce service central ne serait pas associ la sur veillance journali re des activit s poursuivies Toutefois au pr sent stade de d veloppement de l Organisation il se peut que le Directeur g n ral ait besoin personnellement d un nombre limit de fonctionnaires pour l aider s acquitter des responsabilit s qui lui incombent Voies et moyens permettant d assurer l efficacit du fontionnement 200 Les paragraphes suivants concernent l an nexe 8 Les sections 1 6 et 7 ne semblent pas 4 Document des Nations Unies A C 5 331 page 15 appeler de commentaires Les autres points sont trait s dans l ordre des rubriques qui figurent dans l annexe 8 Mesures prises pour assurer une connaissance suffisante des diff rents aspects du travail Sec tion 2 201 Des difficult s videntes emp chent le Direc teur g n ral d assurer une formation effective des nouveaux titulaires de
267. rraient s par ment proc der un examen d ensemble l une du pro gramme l autre de la situation financi re apr s quoi elles tiendraient une r union mixte au cours de laquelle un plafond budg taire pourrait tre fix 100 Le Directeur g n ral a d clar que la ques tion de la fixation d un plafond budg taire avait d j t discut e lors des Premi re et Deuxi me Assembl es de la Sant et que l attitude g n rale adopt e dans les deux cas avait t que l Assembl e devrait avant de fixer un plafond budg taire examiner le programme d activit de l Organisation soumis son approbation Ce n est que lorsqu ils ont examin le programme que les Etats sont m me de d cider jusqu quel point ils sont dispos s contribuer aux d penses budg taires 101 S il a t sugg r que la Commission du Programme et la Commission des Questions admi nistratives et financi res devraient au cours d une s ance mixte tablir un plafond budg taire c est afin qu il soit bien entendu que la responsabilit de la fixation de ce plafond budg taire incombe aux deux commissions Le Directeur g n ral a sugg r que les commissions avant de fixer un plafond budg taire d sireraient conna tre approxi mativement le montant des contributions qui pourront tre vers es en monnaies autres que le dollar des Etats Unis ou le franc suisse facteur de nature influer profond ment sur la situation
268. rs savoir la Division de la Gestion adminis trative et du Personnel Dans la Division du Budget et des Finances ce rapport est inf rieur soit un peu moins de I 3 D autre part il y a lieu de noter que si l on consid rait l ensemble des fonc tions du D partement des Services administratifs et financiers les rapports indiqu s ci dessus se pr senteraient sous un jour plus favorable encore l effectif du personnel du D partement des Services administratifs et financiers est consid r par le Directeur g n ral comme constituant un minimum En effet ce personnel doit s attaquer des pro bl mes comparables ceux d une organisation plu sieurs fois plus importante que ne l est l OMS Quelques fonctionnaires de cat gorie relativement peu lev e devraient suffire pour la mise ex cution du programme largi d assistance technique 181 Le Directeur g n ral devrait examiner soi gneusement la r partition actuelle du personnel aux diff rents chelons dans toute l Organisation de mani re assurer 1 que par rapport au travail ex cut dans chaque partie de l Organisation la proportion du RAPPORT DU COMIT PERMANENT 31 personnel sup rieur au personnel subordonn soit raisonnable et 2 que le personnel sup rieur ou sp cialement qualifi ne soit pas employ des travaux inf rieurs ses capacit s et qui devraient tre juste titre ex cut s par du personnel subalterne
269. rticle 28 g de la Constitution des recomman dations la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant A 2 PRESCRIT que en examinant les pr visions budg taires annuelles conform ment l article 55 de la Constitution le Conseil devra 1 tenir compte de l aptitude des pr visions budg taires satisfaire aux besoins sanitaires 2 consid rer si le programme suit le programme g n ral de travail approuv par l Assembl e de la Sant 3 consid rer si le programme envisag peut tre ex cut au cours de l ann e budg taire 4 tudier les implications financi res g n rales des pr visions budg taires et joindre un expos ordre g n ral non ant les renseignements sur lesquels se fondent toutes ces consid rations d cet gard et 3 RECOMMANDE que la situation soit tudi e pour la Cinqui me Assembl e Mondiale de la Sant au plus tard 1 Actes off Org mond Sant 22 11 4 2 3 2 Repr sentant le Professeur M De Laet 3 Actes off Org mond Sant 21 38 6 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II b R solution WHA2 78 4 La Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant 3 INVITE le Conseil Ex cutif examiner la structure administrative afin d aider la Troisi me Assem bl e Mondiale de la Sant assurer l efficacit administrative de l Organisation et tablir des prin cipes directeurs g n raux ce sujet En vue d ex cuter ces instructions le C
270. rts de la Sant mentale Section de l Alimentation et de la Nutrition En vue d aider les gouvernements atteindre un niveau lev d alimentation et de nutrition dans le monde entier la Section de l Alimentation et de Ja Nutrition 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et la r alisa tion de services dans le domaine de l alimentation et de la nutrition 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux en vue de l am lioration des services d alimentation et de nutrition soit s par ment soit en liaison avec d autres program mes de l OMS 3 prend des dispositions en vue de la poursuite de recherches enqu tes et tudes se rapportant ses activit s 4 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre des programmes 5 coordonne par le moyen de conseillers r gionaux la surveillance technique des programmes sur le terrain et donne ce sujet des avis au Directeur de la Division de lOrganisation des Services de Sant publique 6 se livre un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 7 collabore avec l Organisation des Nations Unies les in
271. s I Il existe un comit permanent des nomina tions compos de trois sous directeurs g n raux 2 Des avis notifiant et d crivant les postes vacants sont adress s tous les Etats Membres de POMS dans tous les cas o le Directeur g n ral estime que le temps dont on dispose le permet et qu il est d sirable de le faire pour assurer une plus large repr sentation g ographique dans les postes sup rieurs 3 Outre les m thodes de recrutement indiqu es pour les cat gories inf rieures le membre du personnel sup rieur que concerne une vacance de poste des cat gories 12 et au dessus se met en rapport par correspondance avec le personnel professionnel de la sp cialit dont il s agit afin de susciter des candidatures qualifi es pour le poste en question Cette correspondance s ef fectue enti rement par l interm diaire du Bureau du Personnel afin d assurer qu il ne soit fait aucune offre ou promesse d emploi et que s il est donn des indications sur les attributions remplir et sur la cat gorie du poste celles ci soient conformes au syst me de classification et aux cat gories en vigueur au Secr tariat Comme il est g n ralement impossible en raison de la distance d avoir une entrevue avec les can didats aux postes sup rieurs afin de d terminer s ils sont aptes travailler dans une quipe inter nationale il est d usage ordinairement d crire aux personnes indiqu es comme r
272. s l examen et s il y a lieu l appr ciation du commissaire aux comptes qui lui doit agir selon ses responsabilit s vis vis de l Assembl e de la Sant En cons quence le commissaire aux comptes doit avoir le pouvoir de soulever titre officieux devant l Administration des points d ordre admi nistratif en vue de discussions objectives destin es amener les am liorations n cessaires et souhaita bles Au cas o ces discussions n auraient pas le r sultat voulu le commissaire aux comptes devrait en r f rer par crit au Directeur g n ral et si cette d marche ne donnait pas non plus satisfaction il devrait faire rapport au Comit permanent des Questions administratives et financi res ou au Con seil Ex cutif Toutefois de longues ann es d exp rience ont montr qu il n a jamais t n cessaire de recourir ces derni res mesures La raison semble en tre en premier lieu que les fonction naires sont anim s du d sir d agir toujours dans l int r t sup rieur de l Organisation Pour conclure j aimerais d clarer que mon avis sauf dans les cas sp ciaux les questions se rapportant l organisation et au fonctionnement g n ral de l Administration ne peuvent pas et ne doivent pas tre incluses dans le rapport officiel de v rification mais doivent tre r gl es soit titre officieux entre l Administration et le commis saire aux comptes soit par une d marche aupr s
273. s des recettes pr vues de l ann e et Ayant examin la situation financi re actuelle telle qu elle est expos e dans le document EB5 78 5 I CONSTATE que la situation financi re actuelle n est pas telle que l escomptait l Assembl e Mon diale de la Sant au moment de l adoption du budget de 1950 et 2 CONSID RE que l ex cution d un programme de d penses maintenu au niveau maximum du budget approuv pour 1950 placerait l Organisation Mon diale de la Sant dans une situation financi re grave 3 PRIE le Directeur g n ral d ex cuter au titre du budget approuv pour 1950 un programme de d penses qui n entra ne pas des d penses annuelles sup rieures 6 300 000 dollars en attendant que la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant ait examin la situation financi re telle qu elle se pr sentera alors en relation avec le programme et le budget pour 1950 et ait donn les instructions pertinentes et 4 AUTORISE le Directeur g n ral prendre toutes d cisions qu il jugera n cessaires pour assurer effectivement cette limitation des d penses R solution 7 1 3 5 R solution 311 IV C 8 Reproduit l annexe I 6 D cision relative la r soiution portant ouverture de cr dits Le Conseil a approuv les termes du projet de r solution soumis pour l ann e 1951 et a accept la suggestion du Comit permanent des Questions administratives et financi res selon laquelle le Conse
274. s fonctions de la Division de Coordination des Plans et de Liaison qui fait directement rapport au Directeur g n ral Certains membres du comit ont manifest quelque inqui tude en constatant que le personnel consacrait beaucoup de temps assurer la liaison avec les diverses institutions internationales Tout en n estimant pas que l OMS ait fait appel pour exercer ce genre d activit un effectif proportionnellement plus important que ce n est le cas dans d autres institutions sp cia lis es ils ont estim qu il fallait ne rien n gliger pour r duire au minimum le travail de liaison non indispensable ou de pure forme Le comit estime en particulier que le travail de cette division ne devrait pas d charger les fonctionnaires s occupant du programme du soin d assurer la coordination et la liaison tant dans le cadre de l Organisation elle m me qu avec d autres institutions internationales 151 Le Directeur g n ral a pr sent au comit un document annexe 7 qui expose en d tail les objectifs les responsabilit s et les fonctions de cette division 152 Le comit est parvenu la conclusion que certaines fonctions confi es cette division n taient peut tre pas du ressort de celle ci mais n a recommand d apporter au stade actuel aucun changement dans les fonctions le statut ou la structure de la division Division de l Information 153 Le comit a examin le travail de cette divis
275. s que doit leur rendre le Secr tariat les frais qu ils entra nent et l influence directe qu ils exercent sur la structure et le programme de l OMS doivent tre consid r s comme des facteurs non n gli geables dans l organisation et l administration de l OMS Organisation du Bureau du Si ge 148 En examinant la structure du Bureau du Si ge le comit a constat qu en raison de sa cr ation r cente l Organisation en tait encore au stade exp rimental elle s acquitte de nombreuses fonctions et applique de nombreuses techniques qui sont elles m mes nouvelles dans le domaine sanitaire international et n ont pas encore t mises l preuve elle comporte une structure partiellement d centralis e sur une base r gionale elle doit enfin se pr parer ex cuter un programme d assistance technique conform ment aux propo sitions des Nations Unies programme dont elle ignore pour une large part et la nature et l ampleur Bureau du Directeur g n ral 149 Le comit n a aucune observation pr senter sur l organisation actuelle de ce bureau mais il tient souligner l int r t qu il y aurait pourvoir le poste de Directeur g n ral adjoint 28 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE t Division de Coordination des Plans et de Liaison 150 Le comit s est demand s il ne serait pas souhaitable qu il recommand t de transf rer d autres divisions une partie voire la totalit de
276. s Services des Mala dies transmissibles en ce qui concerne la lutte contre les maladies transmissibles pertinentes 3 donne sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division de l pid miologie 4 revise le programme d action et tablit des rap ports ce sujet en vue d une publication ven tuelle 5 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales pour les aspects de ses tudes qui ont des points communs avec celles de ces organisations et 6 assure le secr tariat des comit s d experts qui s occupent des maladies transmissibles l exclusion de la tuberculose du paludisme des maladies v n riennes et autres tr pon matoses et des insecti cides et intervient en collaboration avec la Section des autres maladies transmissibles du D parte ment des Services consultatifs chaque fois que des tudes sur le terrain des d monstrations et autres programmes comportant la prestation de services viennent en discussion Section des Informations pid miologiques En vue d aider les gouvernements lutter contre l extension internationale des maladies transmis sibles la Section des Informations pid miolo giques 1 tablit et applique un programme d action en vertu duquel elle recueille des renseignements sur la fr quence des maladies transmissibles tudie ces informations et le
277. s Unies jusqu ce que les Nations Unies aient examin le rapport du comit d experts Rendement du personnel 195 Pour autant qu il s agit de l activit de l OMS dans son ensemble il est videmment d sirable que le Directeur g n ral ait imm diatement sous ses ordres un fonctionnaire ayant l exp rience g n rale de l administration de la sant publique dans un vaste domaine Le comit a t heureux d apprendre que le Directeur g n ral a l intention de pourvoir bref d lai le poste de Directeur g n ral adjoint 196 L efficacit du fonctionnement d pend en une large mesure de l emploi rationnel du personnel Le Directeur g n ral a donn cet gard des pr cisions qui sont reproduites l annexe 8 qui traite principalement de cet aspect du rendement 197 Le comit a examin d autres aspects de l efficacit du fonctionnement en particulier la n cessit d appr cier intervalles r guliers l avan cement des programmes Le Directeur g n ral a reconnu qu il tait d sirable d am liorer cette v ri fication de l efficacit du programme il est dans ses intentions d assurer l exercice d un contr le appro pri 198 Pour que le contr le de l ex cution du pro gramme soit vraiment efficace r aliste et d une application conomique les Sous Directeurs g n raux devraient tre respectivement charg s de sur veiller et de contr ler le progr s des parties du p
278. s de maladie et galement pour rendre le personnel aussi interchangeable que possible l int rieur d un m me service ou entre services diff rents Un groupe de travail comprenant des membres du D partement des Services consultatifs et du Bureau du Personnel labore actuellement un pro gramme concret de formation professionnelle des tin tre appliqu au personnel des quipes travaillant sur place et d autres membres du personnel avant leur entr e en fonctions dans les bureaux du Si ge ou les autres bureaux de l Orga nisation Le projet tend ce que tous les nouveaux membres du personnel a connaissent tous les aspects du programme d ex cution de l OMS b soient au courant de la structure et des m thodes financi res et administratives de l OMS c aient une connaissance g n rale des aspects des sciences sociales notamment sociologie psychologie sociale et ethnographie qui sont utiles pour les op rations sur place de l action sanitaire internationale d soient familiaris s avec les conceptions mo dernes de l ducation sanitaire du public e poss dent les connaissances fondamentales et g n rales sur le pays dans lequel ils doivent tra vailler Manuel d instructions et de r gles administratives et circulaires du Directeur g n ral L Organisation communique au personnel ses instructions administratives et ses avis au moyen d un Manuel d instructions et de r gles admi
279. s diffuse aupr s des autorit s sani taires nationales y compris les autorit s des ports soit directement soit en liaison avec d autres pro grammes de l OMS 2 donne sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Divison de l Epid mio logie 3 revise le programme d action et tablit des rap ports ce sujet en vue d une publication ven tuelle et 4 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es et les institutions pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisations 82 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Station d Informations pid miologiques de Sin gapour La Station d Informations pid miologiques de Singapour qui est l un des l ments d un r seau mondial diffusant des informations pid miolo giques 1 recueille des informations pid miologiques ma nant des administrations sanitaires nationales cen trales locales et portuaires et les diffuse au moyen de publications hebdomadaires de circulaires d missions de radio et de rapports sp ciaux par c blogrammes et proc de en cas de besoin l interpr tation et l application des conventions sanitaires internationales 2 fournit aux gouvernements des informations sur la quarantaine internationale et 3 donne sur les aspects techniques de son travail des avis au Directeur de la Division de l Epid mio l
280. s pays qui n ont pas contribu aux d penses budg taires de l Organi sation re oivent les publications et b n ficient d autres services gratuitement 81 Le comit a examin avec toute l attention voulue la situation financi re de l Organisation Mondiale de la Sant telle qu elle est expos e dans le document EB5 78 annexe 1 et l tat des contri butions aff rentes aux exercices 1948 et 1949 ainsi qu au fonds de roulement au 31 d cembre 1949 82 Apr s examen des pr visions budg taires de 1951 conform ment aux instructions donn es dans la r solution de la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant et de la quatri me session du Conseil Ex cutif le comit I estime que ces pr visions ne sont pas suffi santes pour faire face aux besoins sanitaires Les besoins actuels de la sant mondiale sont si vastes et si complexes que l on ne saurait s attendre les satisfaire avant de longues ann es Toutefois le programme tablit de solides bases pour cette t che et pr voit en outre une action efficace dans les domaines d sign s par la Deuxi me Assembl e de la Sant comme devant b n ficier de la priorit 2 est convaincu que le programme soumis par le Directeur g n ral suit le programme g n ral de travail approuv par l Assembl e de la Sant Ce programme est essentiellement de par son contenu et le niveau des d penses pr vues la continuation de celui de 1950 qui a t
281. s re ues en 1949 voir ci dessus 3 698 669 4 300 000 D penses chiffre estimatif Solde en chiffres ronds soit un exc dent de d penses sur les re cettes avanc par le fonds de roulement 600 000 SOLDES NON UTILIS S DES CR DITS VOT S Cr dits vot s A d duire D penses voir chiffre estimatif ci dessus 5 000 000 4 300 000 Solde dont le montant doit tre annul et report en vertu des articles 13 et 16 e du R glement financier aa OM ON CNT 700 000 L article 14 du R glement financier pr voit que en attendant le versement de ces contributions les d penses budg taires pourront tre couvertes par le fonds de roulement 40 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II Appendice 2 1948 CR DITS VOT S CONTRIBUTIONS ET D PENSES en dollars des Etats Unis Description CR DITS VOT S Total des cr dits vot s en vertu de la r solution concernant les cr dits A d duire Sommes pr vues pour le fonds de roulement et comprises dans ces cr dits voir appendice 3 A ajouter Soldes non utilis s du budget approuv par la Commis sion Int rimaire pour l aide sani taire aux pays ces soldes ayant t ajout s au budget par la r so lution concernant les cr dits Montant disponible pour le paie ment des d penses engag es pen dant la p riode du 1 septembre au 31 d cembre 1948 non com pris le Fonds sp cial de l UNRRA CONT
282. s un d partement de l Organisation La Commission entreprit galement la pr pa ration de plusieurs publications destin es diffuser des renseignements d ordre g n ral scientifique et juridique Bulletin de l Organisation Mondiale de la Sant Recueil International de L gislation sanitaire Chronique de l Organisation Mondiale de la Sant qui entra n rent la cr ation d un service d dition et de traduction La Commission Int rimaire jeta galement les bases d une biblioth que sp cialis e de services de documentation et d un service d information Pour permettre le bon fonctionnement de la Commission Int rimaire et des services techniques du Secr tariat il fut n cessaire d s le d but de cr er des services administratifs dont les premiers furent les suivants archives service financier service du personnel et service de st nographie mesure que s accr t le travail de la Commission Int rimaire ces services durent tre d velopp s et constitu rent ult rieurement le D partement des Services administratifs et financiers Un service juridique restreint un bureau de liai son destin assurer la liaison avec les Nations Unies et les autres institutions sp cialis es vinrent compl ter le Secr tariat de la Commission Int rimaire tablissement de POMS et l adoption du pro gramme de travail par la Premi re Assembl e Mondiale de la Sant permirent au Directeur g n ral de d
283. s vues exprim es au cours de ces d lib rations par des repr sentants de gouvernements au sujet du caract re de plus en plus on reux des activit s internationales le Comit permanent des Questions administratives et financi res recommande au Conseil Ex cutif d adopter les r solutions suivantes 22 I Le Conseil Ex cutif Prenant acte des consid rations formul es par le Comit permanent dans son rapport sur le programme ordinaire et les pr visions budg taires pour l exercice 1951 propos s par le Directeur g n ral dans le document EB5 44 1 I CONSID RE qu un budget de 7 300 000 dollars pour 1951 se justifie du point de vue financier et permettrait de poursuivre en 1951 l ex cution du programme selon le niveau adopt pour 1950 par la Deuxi me Assembl e Mondiale de la Sant 2 CONSID RE que les 200 000 dollars qui seront disponibles sur le fonds sp cial de l UNRRA en 1951 devraient venir en d duction du montant de 7 300 000 dollars avant que ne soient tablies les contributions des Etats Membres au budget de 1951 3 INVITE le Directeur g n ral soumettre la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant un expos indiquant les ajustements qui peuvent tre op r s pour ramener le montant total des pr vi sions budg taires 7 300 000 dollars en r duisant les pr visions relatives des domaines autres que ceux qui ont t d sign s par les Premi re et Deuxi me Assembl es Mondiales
284. sion Int rimaire ont eu une influence directe sur l tablissement des premiers programmes et par cons quent sur la nature de l Organisation telle qu elle a t constitu e la suite de la Premi re Assembl e Mondiale de la Sant Ces propositions tout en pr voyant le maintien des grandes activit s internationales ant rieures d ordre sanitaire ont introduit la notion nouvelle de questions priori taires dans le programme Ces questions priori taires qui comprenaient au d but le paludisme l hygi ne de la maternit et de l enfance la tuber culose et les maladies v n riennes ont eu une influence d cisive sur la structure organique de POMS La Commission nt rimaire a soumis des propositions concernant le Si ge de l Organisation et a formul les principes qui doivent r gir les relations de l Organisation avec d autres organi sations internationales gouvernementales et non gouvernementales La t che finale de la Commis sion Int rimaire a t d organiser et de r unir la Premi re Assembl e Mondiale de la Sant Les Premi re et Deuxi me Assembl es de la Sant 111 La Premi re Assembl e Mondiale de la Sant a dot l Organisation de ses pouvoirs et lui a donn une forme pr cise Elle a dans l ensemble accept les propositions pr sent es par la Commission Int rimaire notamment celles qui concernaient les m thodes d action sanitaire internationale Ces m thodes consistent nota
285. situation unifi s portant sur les principaux do maines d activit Ces rapports auront une immense valeur pour l laboration de programmes d en semble et l valuation des programmes notam ment de ceux dont les plans ont t tablis conjoin tement par plusieurs institutions La division encourage l tablissement de rapports de ce genre 6 Utilisation efficace des ressources en per sonnel Dans le cadre de l OMS Le degr d efficacit d pend d une action unifi e en mati re de program mes d un chelonnement chronologique des fins vis es par les programmes et des progr s r alis s La Division y contribue en assurant la coordination des buts que se proposent les programmes et les projets en tablissant les tableaux chronologiques y relatifs et en rendant compte du d veloppement g n ral des activit s d apr s les indications conte nues dans les divers rapports mensuels de situation Dans le cadre des Nations Unies la Division repr sente galement l Organisation ou prend des dispositions pour en assurer la repr sentation afin d obtenir le maximum de collaboration de compr hension et de participation de la part des institu tions qui tablissent des plans et proc dent des op rations C est l une des responsabilit s impor tantes de la division que de contribuer emp cher sur le plan international le chevauchement des efforts Dans le cadre de la Division La plus grande partie
286. spositions de l article 7 de la Constitution des mesures l gard de tout Membre dont la contribution au titre de l ann e 1948 sera rest e impay e apr s une p riode de deux ans R solution 7 1 6 19 Frais de transport pour les comit s r gionaux Le Conseil Ex cutif Ayant pris note de la recommandation re ue du Comit r gional pour la M diterran e orientale l effet que le Conseil autorise le Directeur g n ral pourvoir aux frais de d placement des repr sen tants qui se rendent toutes les r unions du comit r gional et Ayant consid r les lourdes d penses suppl mentaires qui en r sulteraient CONFIRME sa d cision selon laquelle le rem boursement des frais de voyage sera autoris 8 Actes off Org mond Sant 21 35 9 Actes off Org mond Sant 14 26 4 1 4 pour un seul repr sentant de chaque Etat Membre la premi re session de chaque comit r gional et le remboursement de ces d penses ne sera pas autoris pour les r unions ult rieures des comit s r gionaux R solution 7 1 7 11 Structure organique et efficacit admi nistrative Le Conseil Ex cutif I APPROUVE la partie du rapport du Comit per manent des Questions administratives et financi res qui traite de la structure organique et de l effica cit administrative 2 INVITE le Comit permanent des Questions administratives et financi res tudier ces ques tions dans laven
287. ssible tre distincts des fonctions d ex cution 7 L Organisation doit pr senter une souplesse suffisante pour permettre l ex cution de pro grammes soit largis soit restreints sans com promettre la structure organique fondamentale 8 Le nombre des principaux subordonn s qui ont rendre comipte chaque sup rieur doit tre limit conform ment au principe selon lequel cinq sept subordonn s doivent rendre compte directement de leur travail un sup rieur 9 Aucune personne ne doit rendre compte plus d un sup rieur 10 Le nombre des chelons hi rarchiques doit tre maintenu au minimum afin que les voies de transmission soient aussi courtes que possible 11 La structure organique doit tre aussi simple que le permet le travail de l Organisation 12 Les transmissions doivent tre facilit es partir du Directeur g n ral vers tous les chelons de l Organisation et partir des divers chelons jusqu au Directeur g n ral par un syst me coordonn d chelons hi rarchiques car des moyens de transmission efficaces sont d une importance majeure au point de vue de la coh sion et de l unit de l Organisation 13 Dans les limites de leurs attributions offi cielles les fonctionnaires doivent tre incit s tablir et maintenir des relations de travail avec les autres fonctionnaires int ress s dans l Organisation tout enti re Administration Il incombe au Directe
288. ssions du Conseil Ex cutif et la session de l Assembl e Mondiale de la Sant a t r parti peu pr s galement le nombre moyen de journ es homme par fonctionnaire et pour l ensemble de la Division que celle ci consacre aux sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e Mondiale de la Sant a t valu comme suit Nombre de journ es homme relatives soit au Nombre total Conseil Ex cutif deux sessions soit l Assembl e de journ es de la Sant R partition die dd Fonctions du temps Pour l ensemble du personnel du Conseil en AE P i et Ex cutif et age Par tone R FaN aE de l Assembl e tionnaire adminis et st no Total de la Sant tratif et dactylo ensemble m dical graphes Pr paration de documen tation l int rieur de la Division 10 3 33 15 48 96 Arrangements de secr ta riat avant les sessions 50 15 165 75 240 480 Direction du secr tariat pendant les sessions 40 12 132 60 192 384 Total 100 30 330 150 480 960 9 S lection et affectation du personnel Toute l attention voulue est donn e aux titres et aptitudes n cessaires entre autres l aptitude analyser les activit s relatives au programme et les coordonner les unes avec les autres et avec les activit s connexes d autres institutions l aptitude travailler avec exactitude un rythme acc l r et soutenu pendant les conf rences et d
289. stitutions sp cialis es notamment FOAA les organisations et institutions non gouvernementales appropri es sur les questions qui dans les pro grammes auxquels participe l OMS concernent lPalimentation et la nutrition et 8 assure le secr tariat du Comit mixte OAA OMS d experts de l Alimentation et de la Nutrition Division de l Enseignement professionnel et technique En vue d aider les gouvernements d velopper leurs ressources dans le domaine de la formation technique et relever leurs niveaux d enseignement en ce qui concerne la sant la Division de l enseigne ment professionnel et technique 1 pr voit coordonne et administre les activit s concernant l enseignement professionnel et tech nique et notamment a examine et appr cie les programmes propos s par les Comit s r gionaux afin de veiller ce ANNEXE 13 79 qu ils soient tablis sous l angle international et soient r alisables du point de vue scientifique ce que les moyens n cessaires soient disponibles et ce qu il en r sulte des am liorations sociales et conomiques b fournit des bourses pour la formation tech nique sup rieure du personnel professionnel et technique des Etats Membres c procure des avis des d monstrations du mat riel de la documentation et des fournitures en vue de l am lioration de l change des rensei gnements scientifiques et du d veloppement et de l extension des moyens de formatio
290. susceptibles d apporter leur con cours sur les besoins urgents en ce qui concerne la sant et prendre toutes les mesures d sirables afin de coordonner toute assistance que ces 1 Voir Rapport du Comit permanent Section II cha pitre 1 2 Actes finaux de la Conf rence internationale de la Sant Actes off Org mond Sant 2 98 3 Voir comptes rendus des d bats de la Conf rence internationale de la Sant dans Actes off Org mond Sant 2 4 Article 30 de la Constitution 5 Actes finaux de la Conf rence internationale de la Sant Actes Off Org mond Sant 2 IIO III gouvernements et ces organisations sont suscep tibles apporter L Arrangement portant cr ation de la Commis sion Int rimaire stipulait en outre que la Com mission d signerait un Secr taire ex cutif lequel est le plus haut fonctionnaire technique et admi nistratif ayant le droit dans les limites de l auto risation g n rale donn e par la Commission Int rimaire de nommer le personnel technique et administratif n cessaire f Avec la reprise progressive par la Commission Int rimaire des fonctions des organisations inter nationales ant rieures conform ment au mandat re u de la conf rence les services techniques et administratifs du Secr tariat ont d se d velopper Moins de quatre mois apr s sa cr ation la Commission reprit les fonctions de l Organisation d Hygi ne de la Soci t des Nations et conti
291. t permanent des Questions administra tives et financi res a demand quel tait approxi mativement la fraction de son temps l exclusion du travail de bureau et de st nodactylographie que le personnel consacre la pr paration des documents destin s aux r unions du Conseil Ex cutif de l Assembl e de la Sant et des comit s d experts I est tr s difficile et ce pour plusieurs raisons de r pondre de fa on satisfaisante cette question En premier lieu le temps consacr par le personnel ce travail n a pas t enregistr car ce genre de contr le entra nerait de trop grosses d penses En outre les documents pr par s par le Secr tariat pour les r unions sont souvent repris partiellement ou int gralement dans des tudes ou des rapports tablis l origine pour d autres fins Ainsi les travaux relatifs l unification des pharmacop es fournissent la fois les l ments de l ordre du jour d un comit d experts et la mati re premi re de la Pharmacopoea Internationalis d finitive De m me la documentation pr par e la fois pour le Conseil Ex cutif et pour l Assembl e Mondiale de la Sant au sujet du Si ge permanent de l OMS aurait t de toute fa on n cessaire En g n ral cependant le travail qu entra nent les r unions soit du Conseil Ex cutif soit de l Assembl e de la Sant peut tre approximativement valu si l on s en tient une d finit
292. t et cours de formation technique Siegen Se RE PAR PR EEE Op rations sur le terrain Personnels ME Len tee Autres services Cours s minaires et groupes d tudes Subsides aux tablissements assurant la formation de personnel m dical et apparente CPS UT Miro ea ue Bourses d tudes Personnels ee Re BOUTSES LEE NE RE EE N Echange d informations scientifiques Personnel LEE A ae era Total pour la Division Fournitures m dicales Services consultatifs Fournitures pour les programmes gouver nementaux oo ae ER En Re Ar LS Total pour les Fournitures m dicales TOTAL Services communs TOTAL POUR LES SERVICES CONSULTATIFS BUREAUX R GIONAUX EUVODE LT LR RTE AR Eee TO E A Services communs Afrique SR NE ENS Be E Services communs a M diterran e orientale Services communs Asie du Sud Est v o sos ea o Services communs s s Pacifique occidental n Services communs i e t AM TIQUES de nee A AN Don a Services communs s TOTAL POUR LES BUREAUX R GIONAUX 1 Programme approuv 2 Volume actuel 3 Diff rence entre Les chiffres repr sentent le niveau des d penses en janvier 1950 et comprennent les obli
293. t les progr s d autres institutions appartenant au sys t me des Nations Unies et des organisations non gouvernementales sont analys s pour tre distribu s de fa on appropri e l int rieur de l OMS Il s agit l d une pratique d j tablie mais qui sera d ve lopp e Rapports re us Les rapports manant d organismes appartenant au syst me des Nations Unies sont revus distribu s et class s Ils comprennent a les documents rapports et r solutions de l Assembl e g n rale des Nations Unies du Conseil Economique et Social du Conseil de Tutelle et de leurs organes subordonn s b les rapports g n raux et sp ciaux du Secr taire g n ral c les documents proc s verbaux et d cisions du Comit administratif de Coodination de ses organes subsidiaires et ceux du Bureau de l Assistance technique et de ses organes subsi diaires lorsqu ils auront t constitu s d les rapports ordinaires et autres ainsi que les documents de travail pertinents des institu tions sp cialis es Les rapports tablis par le Secr tariat m me de l OMS comprennent a les rapports mensuels de situation provenant des principaux services de POMS y compris les bureaux r gionaux et les bureaux temporaires sp ciaux pour certaines r gions b les documents destin s aux sessions du Conseil Ex cutif et de l Assembl e Mondiale de la Sant des dispositions sont prises pour la pr sentation de
294. tants du Conseil Ex cutif Impression du Rapport du Conseil Ex cutif sur les travaux de sa cinqui me session 98 Le comit recommande au Conseil Ex cutif que le rapport sur les travaux de sa cinqui me session soit imprim en deux parties La partie I rendrait compte d une mani re g n rale des tra vaux de la session La partie IT comprendrait le rapport du Comit permanent des Questions admi nistratives et financi res et les recommandations y aff rentes adress es par le Conseil l Assembl e Mondiale de la Sant 37 Actes off Org mond Sant 21 45 Recommandations relatives la marche suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 99 Le comit a tudi la proc dure suivre pour l examen du programme et des pr visions budg taires pour 1951 proc dure que le Directeur g n ral devrait proposer la Troisi me Assembl e Mondiale de la Sant Le comit a estim qu il n tait pas sans danger de fixer arbitrairement un plafond sans tenir compte des exigences du pro gramme Il a estim que l on devrait trouver un compromis entre la m thode qui consisterait fixer un plafond budg taire au d but de la session de l As sembl e de la Sant et la m thode selon laquelle un plafond serait fix apr s un examen d taill du pro gramme Le comit a estim que la Commission du Programme et la Commission des Questions adminis tratives et financi res pou
295. tement des Services techniques centraux ainsi que des Bureaux d In formation et de Coordination des Plans et de Liaison La configuration et la structure du D par tement des Services administratifs et financiers ont t accept es dans l ensemble 243 L examen actuel n a pas r v l au comit de d fectuosit s ou d omissions importantes soit dans le personnel soit dans l organisation financi re 244 Le comit reconna t qu il s est trouv pour les raisons indiqu es dans le rapport dans l impossibilit de s acquitter compl tement de son mandat Son rapport doit tre consid r comme un examen pr liminaire de c rtains aspects des divers probl mes dont il tait saisi 245 En soumettant son rapport au Conseil le comit tient en cons quence pr ciser qu il serait d sirable de remettre ult rieurement l tude la question de la structure organique et de l effica cit administrative de l Organisation Cela per mettra de tenir compte d une part de la consolida tion de la nouvelle structure de l OMS en cours de d veloppement et d autre part des r sultats de l examen actuel par les Nations Unies de questions analogues Extrait de EB5 78 11 janvier 1950 Annexe i SITUATION FINANCI RE DE L OMS 1 Rapport du Directeur g n ral Le Directeur g n ral d sire attirer l attention du Conseil Ex cutif sur le caract re peu satisfaisant de la situation financi re dans l
296. tions avec les gouvernements pour le choix des organismes qui doivent servir de centres nationaux de contr le 4 fournit sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division des Substances th rapeutiques 5 examine le programme d action et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ven tuelle 6 collabore avec les institutions sp cialis es et les organisations pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisa tions et 7 assure le secr tariat du Comit d experts pour la Standardisation biologique Section de Pharmacie En vue d aider les gouvernements contr ler la qualit la puret et l activit des produits bio logiques pharmaceutiques et analogues ainsi que les indications donn es par la publicit et port es sur l tiquette la Section de Pharmacie 1 tablit et applique un programme d action en vertu duquel notamment elle labore la Pharma copea Internationalis et introduit des appellations communes pour les m dicaments importants qui se trouvent dans le commerce international coordonne les r glements nationaux et donne des informations sur les m dicaments 2 fournit des avis aux gouvernements sur les questions qui rel vent du domaine de sa comp tence 3 donne sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division des Substances th rapeutiques 4 examine le programme d acti
297. tions et institutions non gouvernementales en ce qui concerne les aspects sanitaires pertinents des projets r gionaux Port e et but de la r organisation du D par tement des Services d Op rations Le concept des fonctions tel qu il s exprime ici dans le cadre de l organisation administrative suit de tr s pr s les principes fondamentaux d adminis tration tablis par le Directeur g n ral qui figurent dans la premi re partie du pr sent rapport Changement d appellation L appellation pr c dente du D partement des Op rations est consid r e comme inad quate pour deux raisons principales Elle semble indiquer que des op rations effectives sont poursuivies partir du Si ge de Gen ve Elle suppose la centralisation plut t que la d centralisation et n exprime pas le principe fondamental de la fourniture des services aux administrations nationales sur demande par l interm diaire des voies r gionales L un des buts de la r organisation est de souligner la nature v ritable des activit s de l OMS Changements dans les Divisions C est sensiblement pour les m mes raisons que les appellations de la Division des Plans et de celle des Op rations d Aide sanitaire ont t abandonn es L laboration de plans est inh rente l tablissement de tout programme et incombe initialement aux personnes qui sont charg es d or 2 D sign depuis sous le nom de D partement des Ser v
298. tions s l vent approxi mativement 500 personnes La session de l Assem bl e de la Sant requiert les services de 300 per sonnes environ 141 Lorsque l Assembl e de la Sant se r unit hors du Si ge il faut pr voir des cr dits lev s pour couvrir les d penses suppl mentaires encou rues si le gouvernement h te n en prend pas sa charge une fraction importante 142 Le comit a convenu qu il ne pouvait pas dans les circonstances actuelles formuler de recommandations sur la structure organique de l Assembl e l avis g n ral tant que le comit devrait simplement attirer l attention sur quelques uns des probl mes qui ont surgi A cet gard le Conseil Ex cutif a t saisi d une recommandation pr sent e par certains Etats qui seraient partisans de sessions tenues tous les deux ans et non tous les ans Le Conseil Ex cutif 143 Le statut et les fonctions du Conseil Ex cutif tels que les d finit la Constitution font de cet organe un rouage important qu il entrait dans le mandat du comit d examiner 144 Lorsqu il applique les d cisions et direc tives de l Assembl e de la Sant tablit l ordre du jour de l Assembl e et le programme g n ral de travail pour une p riode donn e et agit en tant qu organe ex cutif de l Assembl e de la Sant le Conseil exerce une influence appr ciable sur la structure organique et l agencement administratif de l Organisation Cepend
299. tique des techniques et des produits perfectionn s qui en sont le r sultat patronne les tudes sur le BCG les antibioti ques etc donne des avis concernant les tudes sur le terrain effectu es dans le cadre du D partement des Services consultatifs et examine les travaux du Bureau de Recherches sur la Tuberculose Copen hague 2 fournit sur les aspects techniques de sa t che des avis au Directeur de la Division des Substances th rapeutiques 3 examine les r sultats du programme d action et tablit des rapports ce sujet en vue d une publi cation ventuelle et 84 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE Il 4 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales y compris le Centre Mondial de la Grippe Londres et le Centre inter national des Salmonella Copenhague pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisations Bureau de Recherches sur la Tuberculose Copen hague En vue d aider les gouvernements dans la pro phylaxie et le traitement de la tuberculose en ce qui concerne notamment la vaccination ea s rie au BCG le Bureau de Recherches sur la Tuber culose I tablit et applique un programme d action en vertu duquel notamment il recueille et analyse les donn es scientifiques fournies par la campagne internationale du BCG les tudes sur le terrain
300. toutes les maladies transmissibles l exception de la tuberculose du paludisme et des maladies v n riennes 3 donne des avis au Sous Directeur g n ral du D partement des Services consultatifs sur les direc tives g n rales et sur les aspects techniques des programmes 4 donne des avis et apporte sa collaboration l Or ganisation des Nations Unies aux institutions sp cialis es aux organisations et institutions non gouvernementales sur les aspects sanitaires perti nents de certains projets 5 participe la formation des Comit s d experts du Paludisme des Insecticides de la Tuberculose des Maladies v n riennes et du Sous Comit de la S ro logie et des Techniques de Laboratoire leur fournit les renseignements et l aide n cessaires et donne effet leurs recommandations Section du Paludisme En vue d aider les gouvernements combattre et extirper en d finitive le paludisme la Section du paludisme 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et l applica tion des programmes de lutte antipaludique et sur les m thodes modernes de traitement et de lutte en rattachant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du personnel technique attach aux Bureaux r gionaux pour effectue
301. tre publi s les rapports annuels adress s par des gouvernements POMS et sur la distribution de ces rapports f revoir les lettres circulaires adress es aux gou vernements en s assurant que la documentation relative au questionnaire a suivi la fili re pr vue dans le syst me des Nations Unies g en consultation avec les autres bureaux fixer les grandes lignes du Rapport annuel du Directeur g n ral le r diger et prendre des dispositions pour sa distribution h pr parer la documentation n cessaire au Conseil Economique et Social et d autres orga nismes ou prendre les dispositions pour la pr pa ration de cette documentation Avec le Conseil Ex cutif et l Assembl e Mondiale de la Sant Coordination des dispositions en mati re de secr tariat l exclusion de l aspect m nager de la question en ce qui concerne les r unions des organismes directeurs de l OMS pr sentation au 2 La Division n a pas de rapports directs avec les comit s d experts sauf dans la mesure o des comit s mixtes d experts constituent fr quemment l un des r sultats aux quels aboutissent les activit s de la Division Celle ci est toutefois responsable des instructions donner aux per sonnes qui participent ces r unions sur les questions de politique g n rale elle est galement responsable de la publication du calendrier des r unions des comit s d ex perts et de la r daction des r solutions qui d c
302. u relativement stable Il y a lieu de pr voir que le pourcentage des d penses aff rent au per sonnel du Bureau du Si ge fl chira constamment l avenir mesure que s accro tra le personnel des quipes envoy es en mission et des bureaux r gio naux conform ment au principe de la d centra lisation 178 Les donn es relatives au classement hi rar chique expos es l annexe 10 peuvent se r sumer comme suit Bureau Bureaux Personnel Cat gorie du Si ge r gionaux en mission Total 1949 1950 1951 1949 1950 1951 1949 1950 1951 1949 1950 1951 Personnel local 52 98 133 35 49 50 87 147 183 Ti 1 1 2 10 238 282 293 25 39 4 15 16 21 278 337 355 11 19 RM ER 116 151 158 18 42 57 47 113 130 181 306 345 Hors cat gorie 4 5 5 3 4 6 7 9 11 Total 358 438 456 99 183 237 97 178 201 554 799 894 179 Il est possible qu en raison m me de leur 180 Le comit a not que l heure actuelle nature les travaux de l OMS n cessitent une forte proportion de fonctionnaires sup rieurs particu li rement dans le domaine des services techniques et des services consultatifs m dicaux La propor tion d environ un poste dans les cat gories II et sup rieures II au Bureau du Si ge deux postes dans les cat gories 10 et inf rieures 10 est gale ment celle qui existe dans certaines parties du D partement des Services administratifs et finan cie
303. ue commencent donner certains plans sp ciaux Le rapport men suel de situation relatif l Organisation est dis tribu au Bureau du Si ge et aux bureaux r gionaux Des r unions sont organis es de temps autre pour tous les membres du personnel Des r unions de ce genre ont eu lieu peu de temps avant l Assem bl e Mondiale de la Sant tenue Rome et deux ont t organis es depuis lors l une pour faire conna tre l objet et les m thodes de l enqu te sur la classification des postes et l autre afin d examiner les plans et m thodes adopt s pour la pr paration du programme et du budget de 195r Il est vident que chaque fonctionnaire sup rieur est tenu de veiller ce que son personnel acqui re la plus haute comp tence possible dans son travail ANNEXE 8 63 Le but vis est d obtenir que chaque membre du personnel sache tout ce qu il doit savoir sur son propre travail et sur l accomplissement de ses fonc tions et connaisse en outre les autres fonctions qui ont des rapports avec les siennes aussi compl tement que cela lui est n cessaire pour s acquitter efficacement de sa propre t che Le Bureau du Personnel est dispos fournir des avis techniques pour la formation professionnelle du personnel en fonctions mais cette aide ne lib re pas le chef hi rarchique de ses responsabilit s primordiales son entr e dans une division le nouveau fonc tionnaire est mis au courant de fa
304. uestions constitutionnelles qui int ressent les services techniques 2 pr voit coordonne et administre les services techniques de l Organisation par le moyen de pro grammes court et long terme de recherches d avis techniques et de services sp cialis s notam ment par a des tudes pid miologiques des statistiques et des services techniques b l organisation d un change mondial efficace de statistiques sanitaires c la coordination des recherches et l encourage ment la standardisation des s rums vaccins et m dicaments d la prestation de services d dition et de docu mentation 3 entretient un r seau de stations de diffusion d informations pid miologiques et poursuit des n gociations relatives au r glement de diff rends au sujet de violations all gu es des dispositions des Conventions et des R glements sanitaires 4 entretient des relations de travail efficaces avec les organisations et institutions scientifiques et pro fessionnelles appropri es 5 participe la formation de comit s d experts des questions qui int ressent le D partement leur fournit les renseignements et l aide n cessaires et donne effet leurs recommandations Division de l Epid miologie En vue d aider les gouvernements combattre et extirper les maladies transmissibles la Division de l Epid miologie 1 pr voit coordonne et administre les activit s du domaine de l pid miologie et e
305. ultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et l applica tion de programmes en vue de relever les niveaux des tablissements d enseignement et des cours de formation technique da s le domaine de la sant en rattachant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 2 tablit et applique un programme d action qui l am ne notamment laborer des programmes d aide aux institutions de formation profession nelle donner des avis sur les programmes d en seignement des institutions et des cours tudier les probl mes concernant la formation profes sionnelle recueillir et diffuser des informations et coordonner les activit s des unit s adminis tratives de l OMS qui apportent une aide aux insti tutions et aux cours de formation technique 3 met en uvre les accords relatifs l aide donn e aux institutions et prend des dispositions concer nant le personnel et le mat riel fournir aux termes de ces accords 4 fournit des avis au Directeur de la Division de l enseignement professionnel et technique sur les aspects techniques des programmes 5 se livre un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et 80 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE I
306. un Compte sp cial des Nations Unies pour l Assistance technique sur lequel seront pr lev es au b n fice de l OMS des sommes s levant 22 de la premi re tranche 20 Le texte adopt par le Conseil est reproduit dans la r solution 7 1 9 page 4 E 21 Le document EB5 44 tel qu il a t amend a t imprim dans les Actes officiels N 23 Programme et pr visions budg taires propos s pour l exercice financier xer janvier au 31 d cembre 1951 t Programme et pr vi sions budg taires propos s pour l assistance technique en vue du d veloppement conomique des pays insuffisamment d velopp s Deuxi me p riode eee ONE 22 R solution ECOSOC 222 IX A du 15 ao t 1949 de 10 000 000 et 22 des 70 de la deuxi me tranche de I0 000 000 provenant des contributions des gouvernements b un m canisme de coordination mettant en jeu un Comit de l Assistance technique o si ge ront tous les membres du Conseil Economique et Social et un Bureau de l Assistance technique compos du Secr taire g n ral de l Organisation des Nations Unies et des chefs des institutions sp cialis es et c une Conf rence sp ciale de l Assistance tech nique compos e de tous les Membres des Nations Unies et des institutions sp cialis es conf rence au cours de laquelle les aspects financiers du programme feront l objet de n gociations entre les gouvernements repr sent s cette conf rence sel
307. un programme d action en vertu duquel elle notifie l apparition des maladies transmissibles fournit des informations sur la qua rantaine et les sujets connexes labore les R gle ments sanitaires de l OMS et applique les Conven tions sanitaires internationales de 1926 1933 et 1944 2 fournit des avis aux gouvernements en ce qui concerne l application des Conventions sanitaires internationales 3 labore les arrangements conclure avec les gouvernements organisations et institutions en vue de faciliter la mise en uvre de programmes 4 donne des avis au Directeur de la Division de l Epid miologie sur le contr le technique du pro gramme 5 examine les r sultats du programme d action et tablit des rapports ce sujet en vue d une publi cation ventuelle 6 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et ins titutions non gouvernementales appropri es pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisations et 7 assure le secr tariat du Comit d experts de l Epid miologie internationale et de la Quaran taine du Groupe d experts de la Fi vre jaune et du Sous Comit juridique des Conventions sanitaires internationales Section de Technologie En vue de faciliter les activit s des autres sections de la Division la Section de Technologie I fournit des services technologiques qui com portent l ex c
308. un taux annuel de 7 000 000 c l approbation par la Deuxi me Assembl e de la Sant pour 1950 d un budget de 7 500 000 ouverture de cr dit de 7 000 000 sous r serve que cette approbation n engage en aucune fa on la Troisi me Assembl e de la Sant ni les Assembl es ult rieures l gard d un niveau de d penses particuli res La discussion qui a conduit formuler cette r serve indique que l intention tait d viter l attitude de la Premi re Assembl e de la Sant en raison de laquelle l Assembl e suivante s est trouv e engag e voter un niveau de d penses sup rieur d la situation actuelle et future du fonds de roulement e la possibilit d obtenir des fonds suppl mentaires f la r valuation r cente de nombreuses mon naies qui rend plus difficile un grand nombre de Membres de payer leurs contributions en monnaie forte g les plans d assistance technique en cours d laboration qui impliquent que les gouver nements d sireront peut tre donner plus d ex tension leur activit sanitaire internationale par la voie de contributions suppl mentaires plut t que par un accroissement des contribu tions aff rentes au budget ordinaire 83 Apr s avoir analys ces consid rations le comit est arriv la conclusion que le programme et le budget devaient tre maintenus essentielle ment au niveau de 1950 Il a constat avec satis faction que le Directeur g n ra
309. ur assurer effectivement cette limitation des d penses 2 EXAMEN DU PROGRAMME ET DES PR VISIONS BUDG TAIRES ORDINAIRES PROPOS S POUR 1951 Consid ration g n rales 22 Dans son examen du programme et des pr visions budg taires ordinaires pour 1951 le comit a tenu compte des points suivants a leniveaucourant desop rations voirannexe2 b la relation avec le programme approuv par l Assembl e pour 1950 c l aptitude faire face aux besoins sanitaires d la question de savoir si le programme envisag pourra tre ex cut en 1951 e les pr visions relatives la future situation financi re de l Organisation 23 Lorsque le comit a estim devoir faire rapport sur son examen du programme et du budget soumis par le Directeur g n ral ses obser vations sont pr sent es dans l ordre de la table des mati res des Actes officiels n 23 Le rapport du comit sur le programme largi d assistance technique figure s par ment dans le chapitre 3 8 Le texte adopt par le Conseil est reproduit dans la r solution 7 1 3 P 3 OBSERVATIONS SUR LA PARTIE INTRODUCTIVE Notes relatives la pr sentation du pro gramme et des pr visions budg taires 24 Le comit rappelle au Conseil Ex cutif que les Nations Unies ont exprim le d sir de voir les institutions sp cialis es adopter un mode de pr sentation du budget aussi uniforme que possible A cet gard le commissaire aux comptes
310. ur g n ral en tant que principal fonctionnaire administratif d obtenir des ANNEXE 3 49 r sultats effectifs d ensemble et d assumer toutes responsabilit s en ce qui concerne le travail de l Organisation la qualit la quantit l chelonne ment chronologique de ce travail et les d penses y aff rentes Par cons quent dans la gestion de l Organisation il doit veiller particuli rement la rapidit des d cisions la qualit de ces d cisions aux facilit s d adaptation des modifications ventuelles La rapidit des d cisions est obtenue en d l guant et en d centralisant les responsabilit s et l autorit L intention est que dans chaque cas les d cisions soient prises l chelon le plus bas possible de l Organisation Les divers contr les s exercent par le moyen du plan annuel d op rations tel qu il est indiqu dans le programme et le budget ainsi que dans les affectations de cr dits qui marquent le d but ou la continuation de diverses activit s par les mesures prises la suite de rapports p riodiques de situation sur les activit s tech niques et les questions financi res conform ment au plan d op rations par le choix du personnel sup rieur par la formation du personnel tous les chelons Pour assurer que cette d centralisation et cette d l gation des responsabilit s produisent les effets d sir s il y a certaines r gles que la haute direction de
311. ur le terrain par la Division sanitaire de l UNRRA Ces activit s comportaient une aide aux gouvernements sous forme de missions travaillant sur place de bourses d tudes et d autres services Pour l ex cution de ce travail une Division des Services d Aide sani taire fut cr e Entre autres activit s de la Commission Int rimaire dans le domaine des tudes et des recher ches il convient de mentionner l tude des aspects m dicaux du contr le des stup fiants et autres dro gues engendrant la toxicomanie la pr paration de la sixi me revision d cennale des Nomenclatures inter nationales des Causes de D c s et l tablissement de Listes internationales des Causes de Maladie Actes finaux de la Conf rence internationale de la Sant Actes off Org mond Sant 2 111 48 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II En dehors des activit s num r es ci dessus la Commission Int rimaire eut lancer une attaque directe contre certaines des principales maladies dont souffre l humanit le paludisme la tuber culose et les maladies v n riennes La Commission Int rimaire amor a galement des travaux portant sur le programme d hygi ne de la maternit et de l enfance et prit des dispositions pr liminaires en mati re de services de sant publique Des m decins sp cialistes disposant chacun d un personnel restreint furent charg s de ces probl mes et group s ult rieurement dan
312. ur les bureaux r gionaux 2 Recrutement du personnel L article concernant les crit res de recrute ment en particulier la comp tence personnelle et la repr sentation g ographique est applicable l ensemble de l Organisation Il est en cons quence vident que tous les postes vacants des bureaux r gionaux sauf ceux des cat gories subalternes qui peuvent tre exempt es de la r gle de repr sentation g ographique ne doivent tre pourvus qu apr s examen de toutes les can didatures pos es 1 Voir Rapport du Comit permanent Section II chapitre 1 p 23 3 Actes off Org mond Sant 14 25 4 1 1 3 Principes de gestion financi re A sa deuxi me session le Conseil Ex cutif a adopt les principes g n raux suivants pour r gir les relations entre le Si ge et les bureaux r gionaux au sujet des questions financi res I Application aux bureaux r gionaux du R gle ment financier et des R gles de Gestion finan ci re Le R glement financier et les R gles de Gestion financi re sont applicables l Organisation tout enti re Tous les fonds re us par l Organisation seront assujettis aux dispositions nonc es dans le R glement financier et dans les R gles de Ges tion financi re Il y aura lieu de proc der dans les diverses r gions aux ajustements inh rents la situation locale en amendant ou en compl tant les dispositions des R gles de Gestion finan ci re plut t qu
313. ur les contributions ordinaires au budget annuel cr ances correspondant des pr l vements effectu s en vue de couvrir les d ficits en esp ces de 1948 et de 1940 4 Situation du pr t consenti par les Nations Unies US US a Somme emprunt e par la Com mission Int rimaire 2 150 000 Somme emprunt e par POMS 400 000 Montant total du pr t Somme rembours e au 31 d cembre 1949 2 550 000 1 250 000 201 500 457 317 641 183 Solde exigible en janvier 1950 en avril 1950 en juillet 1950 1 300 000 Se d composant comme suit Pr t consenti l OMS Solde non rembours sur le montant du pr t la Commis sion Int rimaire 400 000 900 000 b En ce qui concerne le pr t la Commission Int rimaire Solde non rembours sur le mon tant du pr t Montant des sommes re ues d Etats Membres et disponibles pour le remboursement la date du 31 d cembre 1949 Solde non utilis du pr t consenti la Commission Int rimaire 900 000 500 936 329 569 Montant total disponible pour le remboursement du pr t consenti la Commission Int rimaire 830 505 Somme restant r unir 69 495 2 R solution WHA2 66 Actes off Org mond Sant 21 40 38 CONSEIL EX CUTIF CINQUI ME SESSION PARTIE II En ce qui concerne le solde de 69 495 les demandes par c blogramme envoy es r cemment aux gouvernements redevables d arri r s
314. urement mais Montant total des cr dits vot s avant le 31 d cembre 1949 15 891 pour le fonds 2 553 960 1 461 931 A d duire Contributions re ues re au 31 d cembre 1949 au titre Op rations effectu es en 1949 des contributions suppl men Contributions taires 218 991 Contributions fix es pour le ps nr fonds 435 401 Solde soit contributions suppl See mentaires non re ues 1 242 940 Contributions non re ues 804 254 DANSE 2 1 239 655 Composition du fonds Sommes avanc es pour couvrir au l r janvier 1950 l exc dent de d penses sur les recettes pour 1949 voir appen Esp ces disponibles dice 1 600 000 Fonds de 1949 voir ci dessus 1 122 758 ee Contributions re ues au titre de Solde net ajouter aux esp ces 1950 218 991 disponibles 639 655 1 341 749 f Contributions non re ues Fonds de 1949 voir ci dessus 290 355 Composition du fonds Contributions pour 1950 1 242 940 au 31 d cembre 1949 1 533 295 Cr ances sur des contributions non Esp ces disponibles au 1 janvier vers es 1949 483 103 Fonds de 1949 voir ci dessus 1 140 847 A ajouter Solde net ajouter voir ci dessus 639 655 4 015 831 1 122 758 Dans les contributions non re ues Contributions non re ues au Ir jan ainsi que dans les cr ances vier 1949 725 756 valoir sur des contributions non vers es sont comprises les A d duire Contributions re ues sommes suivantes dues par les voi
315. us par les quatre Membres mentionn s dans l annexe 1 Contributions non re ues Cr ances sur les contributions non vers es Montant US 1 650 000 37 497 1 687 497 725 756 961 741 478 638 483 103 483 103 725 756 478 638 1 687 497 120 643 227 860 348 503 mt 3 150 000 2 283 537 866 463 ANNEXE I AI Description Montant Description Montant US US 1949 FONDS DE ROULEMENT TABLI PAR Total des contributions fix es pour LA DEUXI ME ASSEMBL E MON le fonds comme il est indiqu ci DIALE DE LA SANT dessus 1 687 497 1950 Fonds la date du 31 d cembre A ajouter Solde des cr dits non 1949 voir ci dessus 2 553 960 utilis s vir s au fonds en vertu Contributions suppl mentaires au de la r solution concernant les fonds vot es par la Deuxi me cr dits voir appendice 2 866 463 Assembl e 1 446 040 Montant total du fonds pour 1949 2 553 960 4 000 000 Ce montant se d compose au na A a Abu ter janvier T940 eb cernant des contributions sup J EROI pl mentaires Esp ces disponibles 483 103 Contributions fix es dont le mon Contributions non re ues 725 756 tant a t notifi aux Etats Membres voir ci dessus 1 446 040 Cr ances sur des contributions A ajouter Contributions fix es non vers es dont le montant a t notifi NA aux Etats Membres qui sont Cr ances indiqu es ci dessus 478 638 devenus Membres de l Organi Soldes vir s 866 463 sation ult rie
316. utieuse si l on veut viter que les bureaux r gionaux en n gligeant de r aliser la d centralisation n cessaire de leurs fonctions ne repr sentent le type de l organisation on reuse et inefficace 167 En ce qui concerne la structure r gionale actuelle le comit a discut la question de la distribution g ographique des activit s de l OMS sur le terrain Leur localisation d pend enti rement des demandes pr sent es par les gouvernements responsables De nombreux gouvernements n ont pas recouru aux services de POMS ou ne lont fait qu avec r serve Le comit tient souligner que la carte de la r partition des services de l OMS ne refl te pas n cessairement le degr d int r t qu elle prend au d veloppement des services sanitaires locaux FONCTIONNEMENT des documents destin s aux sessions de l Assembl e de la Sant du Conseil Ex cutif et des comit s d experts 170 Le comit est d avis que les diverses sessions tenues dans le cadre de l Organisation ne devraient pas normalement occuper une partie aussi consi d rable du temps du personnel Il a cependant pris acte de l explication donn e par le Direc teur g n ral et suivant laquelle 1948 et 1049 ont t des ann es de croissance l inexp rience de l Organisation a eu pour cons quence in vitable qu une fraction consid rable du temps a t consa cr e individuellement et collectivement tant la pr paration des sessions qu
317. ution des travaux concernant la g o graphie et la pr sentation visuelle l tude de la t l communication des informations pid miolo giques la pr paration d un code t l graphique pi d miologique et de cartes pid miologiques et la tenue jour d archives des pid mies 2 donne des avis au Directeur de la Division d Epid miologie sur les aspects techniques non m dicaux des travaux de cette Division 3 examine les r sultats du programme d action et tablit des rapports ce sujet et 4 collabore avec l Organisation des Nations Unies et les institutions sp cialis es pour les aspects de sa t che qui ont des points communs avec celle de ces organisations Section des Etudes pid miologiques En vue d aider les gouvernements lutter contre les maladies transmissibles l exclusion de la tuber culose des maladies v n riennes et du paludisme la Section des Etudes pid miologiques I tablit et applique un programme d action en vertu duquel notamment elle tudie les m thodes les plus r centes de lutte contre les maladies trans missibles fournit des informations techniques sur ces maladies d autres services de l OMS des administrations sanitaires nationales et dans la limite des possibilit s pratiques toutes institu tions ou personnes qui demandent de tels rensei gnements 2 fournit des renseignements et des avis de carac t re technique la Division de
318. uv s qui auront t d finis dans les lettres d accord dont l tablissement aura t n goci par le directeur r gional avec les administrations sanitaires nationales comp tentes 4 Actes off Org mond Sant 21 395 1 8 Les directeurs r gionaux seront charg s en ce qui concerne les gouvernements de leur r gion de prendre toutes les dispositions n cessaires en corr lation avec les projets et ou les services consultatifs accept s notamment en ce qui con cerne les contributions que devront verser res pectivement les gouvernements pour faire face aux d penses de ces services de consultations et de d monstrations accept s et ou des services d avis consultatifs tels qu ils auront t d finis dans les lettres d accord dont l tablissement aura t n goci avec les administrations sanitaires nationales comp tentes 2 Bourses d tudes 2 1 Les directeurs r gionaux seront charg s de consulter les comit s r gionaux et les divers gou vernements de leur r gion au sujet du nombre et du genre de bourses d tudes demander l Or ganisation 2 2 Les directeurs r gionaux transmettront au Directeur g n ral les demandes de bourses d tudes manant des gouvernements de leur r gion en les accompagnant de recommanda tions le Directeur g n ral les tudiera en s ins pirant des directives tablies par l Assembl e de la Sant et par le Conseil Ex cutif et en tenant compte des limitatio
319. ux termes duquel les d penses aff rentes aux approvisionnements quipe ment et aux autres besoins et services de l Orga nisation seraient engag es dans la plus large mesure possible dans d autres r gions que les zones monnaies fortes 226 L id e d tablir un service d information des achats a retenu l attention Les activit s de ce service consisteraient notamment fournir des informations sur les sources d approvisionnement ainsi que des devis et des services consultatifs sur l organisation m thodique des fournitures d appro visionnements Les achats pour le compte de gou vernements sauf dans des cas sp ciaux ne sont ni pratiques ni envisag s pour le moment l ave nir il pourrait y avoir int r t pour les gouverne ments tablir un fonds de roulement pour les approvisionnements en fournitures et en quipe ment d ordre m dical 227 Une description d taill e des m thodes et des principes appliqu s par l Organisation en mati re d approvisionnements a t pr par e pour tre incorpor e dans le Manuel d instructions et de r gles administratives Cette description fournit une base rationnelle pour l conomat et la gestion des biens Les moyens et le personnel actuellement dis ponibles pour l approvisionnement en fournitures techniques et en fournitures de bureau semblent bien correspondre au niveau des d penses envisa g es au titre du programme ordinaire de 1950 Docu
320. v n riennes et autres maladies transmissibles la Division des Services des Maladies transmissibles 8 La structure du D partement des Services consultatifs a t revis e depuis lors conform ment aux recommanda tions du Comit permanent des Questions administratives et financi res et comprend trois divisions celle de l Am Horation de la Sant ayant t omise ANNEXE 13 75 1 pr voit coordonne et administre les activit s concernant la campagne contre les maladies trans missibles et notamment a examine et appr cie les programmes propos s par les Comit s r gionaux afin de veiller ce qu ils se pr tent une action internationale et soient r alisables du point de vue scientifique ce que les moyens n cessaires soient disponibles et ce qu il en r sulte des am liorations sociales et conomiques b assure la surveillance du point de vue tech nique des d monstrations des m thodes moder nes de prophylaxie et de traitement et de la for mation du personnel local participant ces d monstrations et c fournit des avis techniques directement ou par l interm diaire d experts conseils de la documentation et du mat riel m dical 2 collabore avec les autres Divisions de l Orga nisation l tablissement d un programme unifi en particulier avec la Division de l Epid miologie en ce qui concerne les tudes et recherches et aide l laboration de plans visant
321. veau pcer sonnel sera recrut 222 Le comit estime que tant donn les plans de construction actuellement l tude il ne serait gu re utile pour le moment d examiner cette question de mani re approfondie Fournitures 223 Les devis relatifs aux approvisionnements et l quipement d ordre m dical fournir sont pr par s par le personnel m dical et apparent des sections techniques les devis relatifs aux fourni tures de bureau et l quipement administratif sont pr par s par l Economat au D partement des Services administratifs et financiers Ce service est charg de mener bonne fin toutes op rations rela tives aux fournitures 224 De grands efforts ont t d ploy s pour essayer de passer les commandes un groupe de fournisseurs appartenant des r gions g ographi ques repr sentatives il n a pas t possible toute fois d aboutir jusqu pr sent un arrangement pratique de nature permettre tous les pays de participer la fourniture d approvisionnements et d quipement 225 Le comit reconna t que ce probl me qui est li la question d autoriser les Etats Membres verser une fraction de leurs contributions statu taires en monnaies autres que le dollar des Etats Unis ou le franc suisse n est pas sans pr senter quelque difficult Il estime toutefois qu il y aurait lieu de poursuivre les efforts entrepris pour aboutir un arrangement a
322. vue d y recevoir une formation n acqui rent pas les connaissances dont ils ont besoin pour r pondre aux conditions locales Les directeurs r gionaux ont donc t invit s prendre des dispositions chaque fois qu il sera en leur pouvoir de le faire en vue d une formation professionnelle locale avec des quipes de d monstrations dans des zones de d monstrations Au fur et mesure que les conseil lers r gionaux deviendront plus exp riment s le comit esp re que la tendance accorder les bourses dans les domaines prioritaires qui con viennent la r gion ira en se d veloppant L int r t qui s attache la formation g n rale en mati re de sant publique grandit nettement et cet int r t devrait tre stimul 59 Le comit consid re qu il y a peu d utilit envoyer des boursiers tudier l tranger s ils doivent rencontrer des difficult s pour comprendre la langue dans laquelle les cours leur seront donn s 60 Le comit a examin la question de l tablis sement de crit res d termin s dont pourrait s ins pirer l Organisation dans l laboration et la mise en uvre de son programme de bourses Le Conseil a d cid de laisser au Directeur g n ral le soin d ex cuter le programme comme il le juge souhaitable et de reprendre dans un an l examen de la question 14 Fournitures m dicales 5 5 61 Les pr visions relatives 1951 pr voient le maintien au niveau de 1950
323. xelles en 1924 et relatif aux facilit s donner aux marins du commerce pour le traitement des maladies v n riennes 7 proc de un examen continu des r sultats des programmes adopt s et tablit des rapports ce sujet en vue d une publication ventuelle 8 collabore avec l Organisation des Nations Unies les institutions sp cialis es les organisations et institutions non gouvernementales appropri es pour les questions qui dans les programmes auxquels participe l OMS concernent les maladies v n rien nes et g assure le secr tariat du Comit d experts des Maladies v n riennes et du Sous Comit de la S ro logie et des Techniques de Laboratoire Section des autres Maladies transmissibles En vue d aider les gouvernements combattre et la longue extirper les maladies transmis sibles telles que le chol ra la peste le typhus la fi vre jaune la variole et la dipht rie la Section des autres Maladies transmissibles 1 fournit par l interm diaire des Bureaux r gio naux des services consultatifs et de d monstrations aux gouvernements sur l organisation et l appli cation des programmes pour la lutte contre ces maladies transmissibles et sur les m thodes mo dernes de prophylaxie de traitement et de lutte en rattachant ces programmes aux programmes g n raux de sant publique des divers pays 2 tablit des projets et fournit des avis techniques par l interm diaire du perso

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