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Cahier technique et méthodologique – Général

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1. 121 Section VIII Le travail QAA48 a QAA97 suite Question s ESS98 Sources QAA72 horaire de travail irr gulier ou Nouvelles questions a l exception de la question impr visible sur lexposition au bruit intense QAA80 qui QAA73 horaire de travail d nuit s inspire de la Deuxi me enqu te europ enne sur les conditions de travail de la Fondation QAA74 travail r p titif des mains et des bras europ enne pour l am lioration des conditions de vie et de travail en Irlande les questions QAA72 QAA75 r mun ration au rendement la QAA85 sont une adaptation des questions 15a commission ou la prime 15u du questionnaire de l Enqu te sur la sant le M decins au travail en France Derriennic et QAA77 fournir des efforts en utilisant des autres 1992 outils des machines ou de l quipement QAA78 vibrations provenant d outils a mains QAA79 vibrations provenant de grosses machines de v hicules ou du sol QAA80 bruit intense QAA81 poussi res de farine QAA82 poussi res de bois QAA83 fum es de soudage QAA84 solvants QAA85 pesticides QAA86a violence physique au travail au cours des Nouvelles questions inspir es de la question 27a a 27c de 12 derniers mois la Deuxi me enqu te europ enne sur les conditions de QAA86b htimidaton ur aval au cours des travail de la Fondation europ enne pour l am lioration des 12 derniers mois conditions de vie et de travail en Irlande
2. 45 12 1 Municipalit s loign es exclues de la population chantillonn e selon la r gion et le nombre de m nages priv s Enqu te sociale et de sant 1998 145 12 2 R partition des UPE selon le type Enqu te sociale et de sant 1998 147 12 3 Nombre total d UPE pour chaque territoire de r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 2 eni cE oe et CEL SA Re aR WT er nn RAR 148 12 4 R partition des m nages qu b cois selon la r gion sociosanitaire et l aire homog ne en milliers Enqu te sociale et de sant 1998 151 12 5 R partition des m nages priv s qu b cois selon la zone Enqu te sociale et de sant NGOS sn sr an tn A TAE ee dei ni date etai P E AOTEA T 152 12 6 R partition des m nages priv s de chaque zone selon l aire homog ne Enqu te sociale et d sant 1998 ssa Stair Bestel pans nee adie nt nn ps mate titane 154 12 7 Distribution de la population des logements selon le recensement de 1991 distribution de l chantillon des logements et rapport entre le nombre de logements chantillonn s et le nombre de logements dans la population selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et o ERTE OP CR RRO RAN ORR RR A I A Rete EE Ae OR ee On UTR nC re EE 156 12 8 R partition de l chantillon des UPE selon la r gion et l aire homog ne Enqu te sociale et a TEE 2 Ie eee AN Re eee aOR E MN RTOS CASEY TR a ERM Pe OO iar te nt 159 12 9 R partition de l chantillon des UPE selon les logements
3. 46 B Admissibilit du r pondant questionnaire QAA rempli par une personne de 15 ans ou plus section r serv e aux femmes remplie par un r pondant de sexe f minin C Validit des codes r ponse correspondant l un des choix sugg r s r ponse pertinente compte tenu des seuils minimum et maximum attendus surtout pour les questions r ponse ouverte ex Quel est votre poids respect des filtres c est dire question ou section omise compte tenu d une r ponse une question pr c dente D Congruence inter questionnaires ge et sexe concordant pour un m me num ro de dossier Quant aux validations de logique elles s int ressent plut t la coh rence entre les renseignements contenus dans le fichier provenant du m me questionnaire ou d un autre instrument Le tableau 6 1 pr sente la liste d taill e des validations de contenu effectu es par Sant Qu bec cause de leur simplicit ou de leur caract re r p titif la plupart des validations de base ne sont pas pr sent es 47 Tableau 6 1 Liste des validations de la banque de donn es de Enqu te sociale et de sant 1998 Validation de chaque instrument f Question RA N Instrument Section Description Validation Variable QRI Section Num ro d identification du dossier Unique d identification PRINC Variables de lien entre les individus du Validation selon l ge et le sexe
4. Le tableau 15 8 pr sente le nombre de m nages pour lesquels l indice de suffisance du revenu ne peut tre obtenu partir des donn es recueillies Initialement un nombre anormalement lev de m nages avaient d clar un revenu nul 329 m nages Or ces m nages n avaient pas les m mes caract ristiques que les m nages faibles revenus De plus il s agissait en grande majorit de m nages enqu t s la premi re vague de collecte Ainsi une analyse approfondie a permis de remplacer la majorit des revenus nuls en revenus manquants Tableau 15 8 Distribution de l ensemble des m nages et du sous ensemble des m nages non r pondants SUFREV selon le revenu d clar Enqu te sociale et de sant 1992 1993 et Enqu te sociale et de sant 1998 M nages pour lesquels Code Auden decane ESS92 93 ESS98 une valeur de SUFREV ne 4 vagues 4 vagues peut tre attribu e ESS98 Ensemble des m nages N 2 0 19 999 6 6 28 0 2 28 3 0 9 999 6 1 14 0 1 5 5 000 9 999 2 3 798 6 7 7 10 000 14999 6 8 1 125 9 4 9 Plus de 20 000 8 3 85 0 7 85 11 20 000 29 999 9 0 1911 15 9 13 Plus de 40 000 3 8 52 0 4 52 15 60 000 79 999 7 0 885 7 4 17 100 000 et plus 2 0 233 1 9 99 Refus 3 2 1 096 9 1 1 096 Total 100 0 11 986 100 0 1 642 1 Le nombre de m nages tait de 13 266 196 Ainsi une analyse approfondie a permis de remplacer la majorit des
5. Section VI L alcool QAA33 QAA43 suite Section VII Les drogues QAA44 a QAA47 Question s ESS98 Question s ESS98 Sources QAA39 plus grand nombre de ESS92 93 QAA26 consommations prises dans une Les donn es de cette question n ont pas t trait es m me occasion au cours des 12 en 1998 parce qu elles n apportaient pas plus derniers mois dinformation suppl mentaire a celle obtenue par la question QAA37 cing consommations ou plus QAA40 nombre de fois enivr au cours des ESS92 93 QAA27 12 derniers mois QAA41 nombre de consommations en ESS92 93 QAA29 moyenne par semaine Les r sultats de cette question n ont pas t pr sent s en 1998 cependant ils ont t utilis s pour valider les observations de la question QAA43 QAA42 consommation d alcool au cours des SQ87 QAA17 ESS92 93 QAA30 7 derniers jours QAA43 nombre de consommations d alcool SQ87 QAA17 ESS92 93 QAA31 pour chacun des 7 derniers jours ll est noter que le libell de l exemple de cette question a t l g rement modifi en 1998 pour faciliter la t che du r pondant mais n entrave pas la comparabilit des r sultats Sources QAA44 consommation de drogue sans prescription ou sans ordonnance au cours de la vie Consommation au cours des 12 derniers mois de QAA45a marijuana hachisch pot grass QAA45b amph tamines stimulants speed ecstasy QAA45c cocaine crack free bas
6. et ESS92 93 QRI83 En 1987 et 1992 1993 la question sur le lieu de consultation tait ouverte les cat gories de r ponses ont t ajout es en 1998 Par ailleurs l ajout de la cat gorie pharmacie rend difficile la comparaison avec les enqu tes ant rieures Section IV Consommation de m dicaments QRI33 QRI48 Meda_1 Medg_1 Question s ESS98 QRI33 analg siques Sources SQ87 QRI16a ESS92 93 QRI89 l expression pilules contre la douleur utilis e en 1987 a t remplac e par m dicaments contre la douleur en 1992 1993 et 1998 QRI34 tranquillisants s datifs ou somnif res SQ87 QRI16b ESS92 93 QRI90 QRI35 m dicaments pour le c ur ou la SQ87 QRI16c ESS92 93 QRI91 tension art rielle QRI36 antibiotiques SQ87 QRI16d ESS92 93 QRI92 QRI37 rem des ou m dicaments pour SQ87 QRI16e ESS92 93 QRI93 l estomac QRI38 laxatifs SQ87 QRI16f ESS92 93 QRI94 QRI39 rem des contre la toux ou le rhume SQ87 QRI16g ESS92 93 QRI95 QRI40 onguents pour la peau SQ87 QRI16h ESS92 93 QRI96 QRI41 vitamines ou min raux SQ87 QRI16i ESS92 93 QRI97 QRI42 suppl ments alimentaires SQ87 QRI16j ESS92 93 QRI98 87 Section IV Consommation de m dicaments QRI33 QRI48 Meda_1 Medg_ 1 suite Question s ESS98 Sources QRI43 stimulants SQ87 QRI16k ESS92 93 QRI99 QRI44 pilule cont
7. t pris en compte pour la pond ration 21 Ces logements sont principalement des logements multiples i e des logements d tect s lors de l entrevue plus d un logement pour une m me adresse Exceptionnellement il peut s agir aussi de logements nouvellement construits ou non rep r s lors de l num ration puisque dans ce cas les logements devaient tre ajout s a la liste d num ration et pouvaient de ce fait tre chantillonn s Tableau 13 2 Nombre de r pondants au QRI et au QAA selon l ge et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 Groupe d age et sexe Nombre de r pondanis QRI QAA 0 14 ans Homme 3175 0 14 ans Femme 3 084 15 24 ans Homme 2177 1 694 15 24 ans Femme 2191 1 893 25 44 ans Homme 4 603 3 882 25 44 ans Femme 4 839 4 395 45 64 ans Homme 3 628 3 066 45 64 ans Femme 3 675 3 295 65 ans et plus Homme 1311 1 097 65 ans et plus Femme 1 703 1 451 Total 30 386 20 773 13 2 Taux de r ponse global Le taux de r ponse global a un instrument de collecte est d fini comme le rapport du nombre d unit s r pondantes au nombre d unit s admissibles cet instrument de l enqu te Dans la pr sente enqu te comme toutes les unit s n ont pas la m me probabilit d tre choisies il est pr f rable de consid rer un taux de r ponse tabli sur la base des donn es pond r es par l inverse de cette probabilit Ce taux est ainsi comparable tout taux de r ponse p
8. tabli de tel sorte qu il y ait au moins 20 de la population r gionale ou pour le regroupement de r gions qui soit consid r e comme sinistr e Ce crit re nous vite de porter des conclusions uniquement sur un faible nombre d individus Le tableau 17 6 pr sente les points de coupure utilis s lors des analyses pour les r gions ou regroupements de r gions consid r s Ainsi pour l Estrie Laval et les Laurentides un m nage est jug sinistr si celui ci a manqu d lectricit pendant au moins 2 jours Pour Montr al et l Outaouais le m me point de coupure s applique c est dire 2 jours ou plus Dans le cas de la Mont r gie le point de coupure retenu est d avoir manqu d lectricit pendant au moins 4 jours Cependant tant donn que 63 de la population de cette r gion a subi une panne de plus d une semaine on a de plus effectu une deuxi me mod lisation pour cette r gion en utilisant comme autre d finition de l indice PANNE moins de 7 jours sans lectricit versus 7 jours ou plus sans 216 lectricit A l aide du mod le de r gression logistique des proc dures RLOGIST et MULTILOG de SUDAAN une premi re mod lisation a t faite au niveau r gional pour chaque groupement de r gions selon leur d finition respective de l indice PANNE En mod lisant l indice de sant uniquement en fonction de la variable PANNE on v rifie si la diff rence brute entre les individus sinistr s et ceux n
9. 77 permet pas d tablir la pr valence de l ins curit alimentaire au Qu bec essentiellement parce que la valeur de pr diction des l ments qui le composent n est pas connue dans la population qu b coise L indice offre cependant une premi re indication de certains l ments reli s au ph nom ne de l ins curit alimentaire au Qu bec Une derni re question QRI156 a t utilis e pour valuer le nombre de jours au cours du dernier mois pendant lesquels les membres du foyer ont manqu de nourriture ou d argent pour acheter de la nourriture Cette question a t tir e des Food Sufficiency Questions du NHANES III Family Questionnaire Briefel et Woteki 1992 Elle a t pos e uniquement aux personnes qui avaient r pondu positivement au moins une des trois questions pr c dentes de l indice d ins curit alimentaire Section XIV Renseignements sociod mographiques QRI157 QRI172 QRI173a QRI173e Pour mieux d crire l tat de sant et de bien tre en fonction des caract ristiques de la population une s rie de questions a t pos e au r pondant cl du m nage La section commence avec deux questions pos es pour tous les membres du m nage soit le lieu de naissance QRI157 et pour les personnes n es l ext rieur du Canada l ann e d immigration QRI158 Le lieu de naissance pr cise l origine nationale de l individu et permet de caract riser les immigrants au pays ind pend
10. Eur Resp J vol 7 n p 954 960 CAMIRAND J J AUBIN N AUDET R COURTEMANCHE C FOURNIER B BEAUVAIS R TREMBLAY et autres 2001 Enqu te qu b coise sur les limitations d activit 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec 516 p CAMIRAND J R MASSE C FRENETTE et M TOUSIGNANT 1993 Rapport de la mi enqu te analyse et demande de tableaux Groupe environnemental social Enqu te Sant Qu bec 1992 1993 document de travail CLARKSON M L PICA et H LACOMBE 2000 Spiritualit religion et sant une analyse exploratoire dans Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 29 CLERMONT M et Y LACOUTURE 2000 Orientation sexuelle et sant dans Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 10 COLES R R A 1984 Epidemiology of tinnitus 1 Prevalence Journal of Laryngology and Otology vol 98 suppl 9 p 7 15 COTE D E GAGNON C GILBERT N GUBERMAN F SAILLANT N THIVIERGE et M TREMBLAY 1998 Qui donnera les soins Les incidences du virage ambulatoire et des mesures d conomie sociale sur les femmes du Qu bec Condition f minine Gouvernement du Canada 134 p DANDURAND R B 1994 Divorce et nouvelle monoparentalit gt dans DUMONT F et autres Trait des probl mes sociaux Qu bec Institut qu b cois de recherche sur la culture p 519 54
11. blonde QAA161 que l on vive ou non avec cette personne Cette question a t cr e express ment pour les besoins de l enqu te 107 Trois nouvelles questions QAA163a a QAA163c galement ajout es a la demande du groupe ayant propos les questions sur l environnement de soutien visent tablir la pr sence de difficult s dans les relations avec le conjoint le chum ou la blonde Ces questions proviennent de l Enqu te nationale sur la population 1994 CSTRESS 5 CSTRESS 8 ENSP94 de Statistique Canada et font partie de l indice qui a t labor a partir des travaux de Wheaton Wheaton 1991 1994 Turner Wheaton et Lloyd 1995 Les questions s adressent aux personnes qui ont r pondu oui la question QAA161 et cherchent a savoir si le conjoint le chum ou la blonde de la personne ne la comprend pas QAA163a ne lui t moigne pas assez d affection QAA163b ou n est pas assez impliqu dans leur relation QAA163c Lintimit est galement une nouvelle dimension mesur e par l enqu te de 1998 La dimension retenue dans la pr sente enqu te est le sentiment de proximit dans le contexte des relations conjugales La mesure a t labor e par Statistique Canada dans le cadre de l Enqu te nationale sur la sant de la population Elle est construite a partir de deux questions diff rentes qui s adressent a des populations diff rentes La premi re question porte sur la difficult
12. du volume 2 le chapitre Milieu social du volume 1 comportant l information sur les rapports familiaux 108 d ordre g n ral La premi re question QAA171 sert s lectionner les individus ayant un ou plusieurs enfants biologiques ou adopt s g s de moins de 18 ans Cette question est tir e des enqu tes de 1992 1998 et de 1987 Toutefois la pr cision biologique s ou adopt s a t ajout en 1998 pour que tous les parents se sentent vis s et r pondent cette section La question QAA172 permet au parent d valuer la qualit des relations qu il entretient avec ses enfants mineurs Cette question provient galement des enqu tes ant rieures Toutefois en 1998 le libell de la question a t modifi et les cat gories de r ponse ont t chang es de sorte que le choix porte sur les probl mes de relations et non sur la satisfaction quant ses relations ce qui emp che toute comparaison avec les enqu tes pr c dentes La formulation de ces cat gories provient de Enqu te longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes 1994 1995 de Statistique Canada La m me section accorde ensuite une place importante aux ruptures d unions qui impliquent des enfants mineurs Deux nouvelles questions permettent de savoir si le parent habite avec l un ou plusieurs de ses enfants d ge mineur QAA173 et s il est divorc ou s par de l autre parent de l un de ces enfants QAA174 Ces questions
13. noter que l indice de soutien social utilis en 1987 n a pas t retenu en 1992 1993 en raison de sa faible fiabilit Bellerose et autres 1996 Deux nouvelles questions ajout es la demande du groupe ayant propos les questions sur la spiritualit portent sur l importance accord e la vie spirituelle QAA157 et sur la croyance en un effet positif des valeurs spirituelles sur l tat de sant physique ou mentale QAA158 La premi re question QAA157 s inspire de la question 11 d une tude montr alaise de L vy et autres 1995 La deuxi me question QAA158 a t cr e express ment pour les besoins de l enqu te Concernant la question sur le fait de vivre seul QAA159 les r sultats de celle ci n ont pas t utilis s puisqu on y retrouve des gens qui ne vivent pas seuls et qui r pondent oui cette question En cons quence le fait de vivre seul ou non a t tabli partir d un indice qui tient compte de la taille du m nage et du fait de vivre en couple ou non dans le m nage section d identification du QRI comme ce fut le cas pour l enqu te de 1992 1993 Le fait de se trouver heureux ou non de vivre seul est mesur l aide de la 106 question QAA160 cette question provient aussi de l enqu te de 1992 1993 Une nouvelle question ajout e la demande du groupe ayant propos les questions sur l environnement de soutien se rapporte au fait d avoir un conjoint un chum ou une
14. 17 2 1 M thodologie ee an ee I Bea TOA a M sil 202 AS alEO E E En a E AT ON nl tl uaheaas 204 122 3 CONClUSION LEE ee A a kt Sk Re M De A rs ee 207 17 3 Analyse r gionale SSSR ala sven alah nana 207 17 3 1 MEMO OOIOGIC sates cect ac nes ee ik tel te Ne Sa neat eit 207 179 2 RESURAIS ston Shi sc indd rhe tnt rm a a inital Adel A tee A 210 EERE oae EO AEE AA dels ete el Te neo hs cael 210 18 Essais concernant deux mesures de sant mentale 211 18 1 Effet de Pordre des questonsy LAURE Oe eStats ah Lae 211 18 1 1 Non r ponse Panel unten das 212 18 1 2 Proportion estim e de personnes appartenant au niveau lev de chaque mesure de sant mentale ooo eeececeesesceecseeeseseesseseeseneeseesees 213 18 1 3 Relations entre la mesure de sant mentale et d autres indicateurs CB AM Se ct nn RE Eee tenons Den an an ia 214 18 2 Concordance des mesures de sant mentale 215 18 2 1 M thodologie LS te os 215 18 2 2 R SUIAISSS ESS a OR cA ea eC eI NO Ti ee 216 18 37 SOICMIS NON hi a ie a ta ca as a Ti i de lies 218 Bibliographietng 352 neve Satie es Ashen ee ae eee es Ae ea ee aes 219 Liste des tableaux 4 1 Th mes retenus pour l Enqu te sociale et de sant 1998 25 5 1 Calendrier des conf rences de presse r gionales tenues lors du lancement de I Enqu te sociale et de sant sl 998 ALT eta tad ean the atria ate lo pet Se coe At nn 36 6 1 Liste des validations de la banque de donn es de Enqu te sociale et de sant 1998
15. QAA86c a t l objet de paroles ou de gestes a caract re sexuel non d sir s au travail au cours des 12 derniers mois 122 Section VIII Le travail QAA48 QAA97 suite Question s ESS98 Sources QAA87 posture habituelle au travail Nouvelles questions inspir es de la question 37 de l Enqu te sur l emploi 1991 de l INSEE en France QAA88 posture debout QAA89 posture assise Au cours des 12 derniers mois douleurs Nouvelles questions a l exception de la question importantes ressenties l une ou l autre des parties sur la croyance que la douleur soit reli e au travail du corps ayant d rang dans les activit s QAA94 qui a t cr e express ment pour les besoins de l enqu te ces questions s inspirent de QAA90a o celles du questionnaire nordique d velopp par des QAA90b Axenies chercheurs des pays scandinaves Kuorinka et P autres 1987 et de celles du Questionnaire sur les QAA90c bras sympt mes Kuorinka et Forcier 1995 QAA90d coudes QAA90e avant bras poignets ou mains QAA9Of haut du dos QAA90g bas du dos QAA90h hanches ou cuisses QAASQOi genoux QAA90j jambes mollets QAA90k chevilles ou pieds QAA91 douleur ayant le plus d rang QAA92 d lais depuis la premi re fois que la douleur a t remarqu e QAA93 dur e totale d absence du travail a cause de cette douleur au cours des 12 derniers mois QAA94 croyance que la douleur soit reli e Nouvelle ques
16. en 1987 se trouvent dans le QAA de 1998 Ce questionnaire compte en plus une autre s rie de vingt trois 23 questions servant au calcul de l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique MMDP23 2 Par ailleurs des mesures sp ciales ont t prises au moment de d finir le processus de collecte pour contr ler l effet ventuel d une s rie de questions sur les r ponses l autre s rie Ainsi la moiti des individus choisis pour l enqu te ont re u le QAA 1 c est dire celui o les questions de l IDPESQ14 pr c dent celles de l MMDP23 L autre moiti des gens s est vu remettre un QAA 2 pr sentant les questions dans l ordre inverse c est dire l MMDP23 suivi de l IDPESQ14 Au moment de la collecte de donn es l attribution de run ou l autre des types de questionnaires autoadministr s s est faite de fa on al atoire Cette fa on de faire permet notamment de tester l impact de l ordre d introduction des deux s ries de questions sur les estimations produites avec l une ou l autre des mesures de sant mentale Dans l Enqu te sociale et de sant 1998 on s int resse plus particuli rement la proportion de personnes dans la population se classant un niveau de d tresse psychologique jug lev Pour l IDPESQ14 cela se produit lorsque le score d un individu correspondant la somme des r ponses fournies aux 14 questions de l indice est sup rieur au 80 percentile
17. le secteur hospitalier les modifications de loffre de services se sont notamment traduites par une r duction du nombre et de la dur e des hospitalisations et par une place plus grande occup e par la chirurgie d un jour Les CLSC pour leur part ont vu leur client le s accroitre et offrent une gamme plus tendue de services Trahan et autres 1999 Dans un tel contexte et comme l ont observ C t et autres 1998 dans une r cente tude la participation de la famille et des proches la prestation des services est appel e a siintensifier au cours des prochaines ann es Trahan et autres 2001 Le recours a la chirurgie d un jour est mesur par la proportion de personnes dans la population qui au cours des 12 mois ayant pr c d l enqu te ont t a l h pital pour une op ration sans y avoir pass la nuit quelle que soit la raison QRI105 La question QRI106 permet de connaitre le nombre de fois que la personne a t trait e en chirurgie d un jour Le recours aux services posthospitaliers concerne la derni re chirurgie d un jour Il est trait a partir de deux indicateurs Le premier porte sur le type de services re us QRI111 QRI114 il est mesur partir du nombre de r pondants qui a la suite d une chirurgie d un jour ont re u domicile soit des traitements pansement injection prise de tension art rielle etc soit de l aide pour manger se d placer dans la maison faire le m nage
18. lectricit par m nage 2 Montr al Outaouais avec une moyenne de l ordre de 2 jours sans lectricit par m nage 3 Mont r gie avec une moyenne de 11 4 jours sans lectricit par m nage Tableau 17 5 Statistiques descriptives concernant les r gions sociosanitaires tude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 Nombre moyen de jours Nombre maximum de R gion sociosanitaire A T aille oe sans lectricit par m nage jours sans lectricit F chantillon jours jours Bas St Laurent 1535 0 001 1 Saguenay Lac St Jean 1 824 0 02 13 Qu bec 1277 0 01 3 Mauricie Bois Francs 1 452 0 69 26 Estrie 1 470 1 39 28 Montr al 2 968 2 41 30 Outaouais 1 822 1 74 25 Abitibi T miscamingue 1 602 0 004 2 C te Nord 1 800 0 01 9 Nord du Qu bec 1 417 0 02 14 Gasp sie les de la Madeleine 1 465 0 04 5 Chaudi re Appalaches 1 645 0 13 31 Laval 1611 1 39 28 Lanaudi re 1 604 0 18 30 Laurentides 1514 1 41 31 Mont r gie 3 061 11 40 88 Ces groupements tant tr s diff rents du point de vue du nombre moyen de jours sans lectricit il a t sugg r d utiliser un indice PANNE diff rent pour chaque groupement de r gions Comme auparavant cette variable est d finie dans chaque cas partir du nombre de jours de panne lectrique mais le crit re servant d finir le point de coupure entre les m nages sinistr s et ceux non sinistr s peut diff rer Il a t
19. 27 27 17 27 52 61 226 81 80 58 59 147 1 092 R2 R3 R1 C2 C3 C1 M2 M3 M1 R gion 14 7 3 11 103 66 13 14 15 24 12 10 26 78 18 37 115 36 42 51 163 266 70 160 Total 166 Tableau 12 9 R partition de l chantillon des logements selon la r gion et laire homog ne Enqu te sociale et de sant 1998 Aire homog ne ae M1 M2 M3 C1 C2 C3 A1 A2 A3 R1 R2 R3 Total 0 0 0 0 0 0 120 280 120 120 160 0 800 2 0 0 0 200 240 20 60 140 40 40 60 0 800 3 0 0 0 110 400 190 0 60 0 0 40 0 800 4 0 0 0 70 150 20 100 220 60 40 140 0 800 5 0 0 0 90 280 50 40 100 40 40 100 60 800 6 690 1030 540 0 0 0 0 0 0 0 0 0 2260 7 0 0 0 90 370 180 0 40 0 80 180 40 980 8 0 0 0 0 0 0 180 300 120 90 120 0 810 9 0 0 0 0 0 0 150 360 180 60 60 0 810 0 0 0 0 0 0 120 480 0 0 80 0 680 0 0 0 0 0 0 60 120 0 270 300 60 810 0 0 0 0 190 50 40 200 40 60 180 40 800 660 50 0 0 0 0 0 0 0 0 0 800 120 240 0 0 0 0 40 140 40 40 140 40 800 100 260 20 0 0 0 60 120 60 40 80 60 800 470 90 0 0 0 60 240 120 0 120 80 1780 Total 1600 2660 700 560 1630 510 1030 2800 820 880 1760 380 15 330 167 12 5 Tirage de l chantillon Le tirage de l chantillon se fait en plusieurs tapes tirage des UPE scission des UPE lorsque requis tirage des USE num ration des USE tirage des logements dans les USE Le tirage des UPE se fait en tenant compte de la stratification secondaire r
20. Dans le cas de ces deux r gions on doit alors supposer que la population exclue de l enqu te est semblable celle qui est couverte Tableau 12 1 Municipalit s loign es exclues de la population chantillonn e selon la r gion et le nombre de m nages priv s Enqu te sociale et de sant 1998 Nombre de m nages R gion Municipalit Le priv s Mauricie Centre du Qu bec Lac douard 65 Parent 150 C te Nord Blanc Sablon 365 Bonne Esp rance 240 C te Nord du Golfe St Laurent 830 lle d Anticosti 110 Schefferville 110 Nord du Qu bec Baie James sauf Beaucanton Val Paradis Villebois 370 Joutel Total 2 240 1 Source Recensement canadien de 1991 12 2 Base de sondage L Enqu te sociale et de sant 1998 repose sur une base de sondage hi rarchique trois degr s Elle est ar olaire aux deux premiers degr s c est dire que les unit s qu elle contient correspondent des aires g ographiques d finies partir des donn es du recensement de 1991 Le amp degr est form de la liste des logements situ s l int rieur des aires s lectionn es au 2 degr L utilisation d une base hi rarchique comprenant une base ar olaire a t rendue n cessaire principalement cause des limites des listes de population comme bases de sondage En effet la R gie de l assurance maladie du Qu bec RAMQ g re une liste compl te et centralis e de la population qu b coise soit le fichier d in
21. Engineering Los Angeles University of Southern California 50 p KARASEK R et T THEORELL 1990 Healthy work Stress productivity and the reconstruction of working life New York Basic Books 381 p KENDAL A C M OLSON et E A FRONGILLO JR 1995 Validation of the Radimer Cornell measures of hunger and food insecurity Journal of Nutrition vol 125 n 11 p 2793 2801 KESSLER R C R G FRANK M EDLUND S J KATZ E LIN et P LEAF 1997 Differences in the use of psychiatric outpatient services between the United States and Ontario New England Journal of Medicine vol 336 n 8 p 551 557 KUORINKA l B JONSSON A KILBOM H VINTERBERG et F BIERING SORENSON 1987 Standardised Nordic questionnaires for the analysis of musculoskeletal symptoms Applied Ergonomics vol 18 p 233 237 KUORINKA I et L FORCIER 1995 Les l sions attribuables au travail r p titif LATR ouvrage de r f rence sur les l sions musculo squelettiques li es au travail Sainte Foy Qu bec Edition MultiMondes 510 p LAPOINTE F R COURTEMANCHE Y LATULIPPE L PICA et N AUDET para tre tude parall le tude r alis e en m me temps que l Enqu te sociale et de sant 1998 pour valuer un mode de collecte alternatif au face face titre provisoire Qu bec Institut de la statistique du Qu bec LAROCQUE B C BRISSON ET C BLANCHETTE 1998 Coh rence interne validit factorielle
22. PAREN meme menage Validation de ces variables entre elles MERE PERE COUPL CONJO SITUA Situation de l organisation familiale Variable utilis e pour la validation du type de m nage cr partir des variables de lien Section 1 2 3et4 Nombre de journ es d incapacit au La r ponse a chaque question doit cours des 2 semaines ayant pr c d tre entre 0 et 14 l enqu te La question 4 doit tre le total des questions 1 2 et 3 Section Il 7 9 10 11 Limitations d activit R pondants ag s de 6 ans et plus 8 Limitations d activit R pondants ag s de moins de 6 ans Section Ill 17 Sp cialistes consult s V rifier les codes utilis s reclasser dans une des autres cat gories si ce n est pas un m decin sp cialiste 16e et 16f Distance et temps requis pour V rifier les valeurs extr mes 17e et 17f rencontrer le m decin V rifier la coh rence entre le temps requis et la distance parcourue 25 et 27 Pr cisions sur les professionnels V rifier les codes utilis s reclasser consult s dans une des autres cat gories au besoin 29 Autre professionnel consult Cette question est compl t e si le professionnel consult ne peut tre class dans aucune des 11 cat gories d j mentionn es Si le r pondant d clare deux professionnels qui peuvent tre class s dans la m me cat gorie et que celle ci se retrouve parmi les 13 d j mentionn es le premier professionnel est inscrit la cat gorie concern
23. Pour rester fid le aux v nements rapport s dans ce cahier qui constitue la m moire de l enqu te et vu que Sant Qu bec et le Bureau de la statistique du Qu bec dont la Direction de la m thodologie n ont t int gr s l ISQ qu en avril 1999 soit quatre ans apr s le d but des travaux sur l enqu te on s en tiendra ici d signer ces organismes par le nom qu ils avaient avant leur int gration 21 linformatisation du questionnaire sur le m nage effectu e par la firme INFO 01 le soutien a la firme de sondage pour la codification et la saisie la validation et le traitement des donn es incluant l application des normes statistiques la production des tableaux et des indices et leur suivi aupr s des chercheurs l laboration des fichiers de distribution et de la documentation aff rente ont t assur s par une agente de recherche responsable du traitement des donn es second e par une autre agente de recherche des techniciens en recherche et au besoin par un technicien en informatique La Direction de la m thodologie du BSQ a contribu chacune des tapes particuli rement aux activit s m thodologiques suivantes tude des questions et des instruments laboration et mise en uvre du plan de sondage pr paration de l num ration formation des coordonnatrices l num ration et validation de cette tape tablissement des proc dures de pond ration choix des m thodes statistiques pour
24. QRI79 cancer QRI74 rhume des foins SQ87 QRI45d QRI75 autres allergies SQ87 QRI45c QRI75a allergies aux aliments Nouvelles sous questions ajout es afin d avoir plus QRI75b allergies aux animaux de pr cision QRI75c autres allergies pr ciser QRI76 s rieux maux de dos ou de la SQ87 QRI45e colonne QRI76a maux du dos Nouvelles sous questions ajout es la demande du QRI76b maux du haut du dos groupe ayant propos les questions sur la sant au QRI76c maux du bas du dos travail QRI77 arthrite ou rhumatisme SQ87 QRI45f QRI77a usures des articulations ou d arthrose Nouvelle sous question ajout es la demande du groupe ayant propos les questions sur la sant au travail QRI78a autre probl me s rieux des os ou des SQ87 QRI45g articulations QRI78b autre probleme s rieux des muscles Nouvelles sous questions ajout es a la demande du ou des tendons groupe ayant propos les questions sur la sant au QRI78c tendinite bursite picondylite etc travail QRI78d compression ou pincement de nerf QRI78e probl me de douleur musculaire g n ralis e SQ87 QRI45h 90 Section VI Probl mes de sant QRI72 a QRI104 suite Question s ESS98 Sources QRI80 paralysie c r brale SQ87 QRI45i QRI81 diab te SQ87 QRI45j QRI82 emphyseme bronchite toux SQ87 QRI45k persistante ou asthme QRI82a emphys me Nouvelles sous questions ajout es afin d avoir pl
25. Qu bec 1992 La question sur l ge la premi re relation sexuelle avec p n tration QAA206 s inspire d une question employ e dans l tude de Leaune et Adrien 1998 Les questions QAA207 QAA219 portent sur le nombre de partenaires au cours des 12 mois ayant pr c d l enqu te le type de relation entretenue avec le s partenaire s l utilisation du condom lors de la derni re relation sexuelle ainsi que la fr quence d utilisation du condom au cours des 12 derniers mois Ces questions s inspirent elles aussi de celles utilis es dans l tude de Leaune et Adrien 1998 La derni re question sur le fait d avoir t trait pour une MTS QAA220 a t con ue pour les besoins de l enqu te Aucune pr cision quant au type de MTS en cause comme la gonorrh e la chlamydia ou les condylomes n a t demand e Cette question est r pondue seulement par des personnes ayant d j eu des relations sexuelles avec p n tration Section XVII Renseignements sociod mographiques QAA221 QAA241 Les questions de cette section visent fournir de l information sur les principales caract ristiques de la population qu b coise La section commence avec les questions usuelles pos es en 1987 et en 1992 1993 sur le sexe QAA221 la date de naissance QAA222 et la langue maternelle QAA223 Elle se poursuit avec deux questions ajout es en 1992 1993 sur le lieu de naissance de la m re QAA224 et le lieu de naiss
26. Question s ESS98 QRI153 monotonie du r gime QRI154 restriction de l apport alimentaire QRI155 incapacit d offrir des repas quilibr s aux enfants du m nage par manque de ressources financi res pos e uniquement aux personnes des m nages ayant des enfants de moins de 18 ans Sources Ces nouvelles questions s inspirent du Questionnaire Radimer Cornell valid aux Etats Unis Radimer et autres 1992 Kendal et autres 1995 et dont l utilit pour estimer la pr valence au Qu bec a t valu e dans une tude exploratoire aupr s d un chantillon non al atoire Hamelin 1999 QRI156 nombre de jours au cours du dernier mois pendant lesquels les membres du foyer ont manqu de nourriture ou d argent pour acheter de la nourriture pos e uniquement aux personnes qui avaient r pondu positivement au moins une des trois questions pr c dentes Cette nouvelle question a t tir e des Food Sufficiency Questions du NHANES Ill Family Questionnaire Briefel et Woteki 1992 Section XIV Renseignements sociod mographiques QRI157 QRI172 QRI173a QRI173e 98 Question s ESS98 Sources QRI157 lieu de naissance SQ87 QRI48a ESS92 93 QRI144 Cette question est n cessaire au calcul de l indice d appartenance ethnoculturelle QRI158 ann e o la personne est venue SQ87 QRI48b ESS92 93 QRI145 s tablir au Canada QRI159 occupation habituelle au cours
27. accept s sous r serve ont fait l objet d un nouvel exercice de s lection visant clarifier les zones grises et r duire la liste deux cat gories de sujets les uns retenus les autres rejet s Ajoutons que les caract ristiques retenues pour d crire la population sont les suivantes Caract ristiques d mographiques et socioculturelles Structure par age et sexe 9 tat matrimonial de fait Appartenance ethnoculturelle Caract ristiques socio conomiques Scolarit relative Niveau de revenu Statut d activit Cat gorie professionnelle Perception de sa situation financi re Perception de la dur e de la pauvret Les th mes retenus parmi la centaine de sujets soumis sont class s dans le tableau 4 1 selon le mod le g n ral de l enqu te 26 Tableau 4 1 Th mes retenus pour I Enqu te sociale et de sant 1998 Niveau 1 Caract ristiques de l individu Habitudes de vie et comportements pr ventifs Usage du tabac Consommation d alcool Consommation de drogues et autres substances psychoactives Alimentation perceptions pratiques et ins curit alimentaire Activit physique Poids corporel Comportements sexuels et utilisation du condom Orientation sexuelle Divers comportements de sant des femmes tat de sant et de bien tre Perception de l tat de sant Probl mes de sant Probl mes auditifs et probl mes visuels A
28. autre raison pour changer de poids QAA143i autre moyen envisag pour se suicider et QAA18a a QAA18u fr quence de pratique de certaines activit s physiques Mentionnons que dans les deux premiers cas les non r pondants ont tendance a tre un peu plus g s que les r pondants Quant aux non r pondants de la question QAA18 ce sont galement des personnes un peu plus ag es elles sont par ailleurs moins scolaris es et ne travaillent pas en plus grande proportion que les r pondants 191 Deux autres questions du QAA ont t tudi es m me si le taux de non r ponse partielle qui leur est associ matteint pas le seuil de 10 Il s agit des questions QAA43 portant sur la consommation d alcool au cours des 7 derniers jours et de la question QAA49 sur le type de travail actuellement occup On soup onnait pour ces deux cas que la non r ponse partielle tait aussi associ e a un sch ma de r ponse Le tableau 15 4 pr sente la situation avant et apr s limputation d ductive Tableau 15 4 Effets de imputation sur le taux de non r ponse des questions QAA43 et QAA49 Enqu te sociale et de sant 1998 Question Nombre de r pondants Nouveau taux de non Taux initial de non potentiels r ponse r ponse QAA43 a g 7 414 2 1 2 4 5 1 9 1 QAA49 a b 8614 12 1 4 3 7 4 3 QAA49c 8614 3 3 8 5 15 1 3 Autres types de non r ponse partielle Pour les questions pr sentant des taux de non r ponse partiel
29. e a s intensifier au cours des prochaines ann es Trahan et autres 2001 Le recours a l hospitalisation est mesur par la proportion de personnes dans la population qui au cours des 12 mois ayant pr c d l enqu te ont pass au moins une nuit l h pital quelle que soit la raison QRI118 La question QRI119 permet de connaitre le nombre de fois que la personne a t hospitalis e Le recours aux services posthospitaliers concerne la derni re hospitalisation Il est trait a partir de deux indicateurs Le premier qui porte sur le type de services re us QRI126 QRI129 est mesur a partir du nombre de r pondants qui a la suite dune hospitalisation ont re u a domicile soit des traitements pansement injection prise de tension art rielle etc soit de l aide pour manger se d placer dans la maison faire le m nage etc tant entendu que les personnes ne recevaient pas ces traitements ou cette aide avant ces v nements Le second indicateur pr cise qui a donn les traitements ou a fourni l aide QRI127 QRI130 Il se divise en trois cat gories la famille ou les proches exclusivement habitant ou non avec la personne qui re oit cette aide les organismes ext rieurs CLSC organismes communautaires agences priv es et les aidants mixtes soit les proches et les organismes ext rieurs La perception des personnes ayant t hospitalis es est examin e selon deux dimensions l acc s et les serv
30. e en 1992 1993 a t modifi e le mot jeux a remplac le mot activit s en 1998 QRI9 est restreint dans ses activit s a la SQ87 QRI35a et QRI35b maison ou incapable de faire la ESS92 93 QRI14 et QRI15 plupart des travaux m nagers ces deux questions ont t combin es en 1998 QRI10 est restreint dans sa capacit de SQ87 QRI36a et QRI37a ces deux questions ont travailler ou de poursuivre ses tudes t combin es en 1992 1993 ESS92 93 QRI16 QRI11 est restreint dans d autres activit s SQ87 QRI38 comme les loisirs ou les ES92 93 QRI18 l expression cause de son d placements tat de sant a t ajout e en 1992 1993 QRI12 principal probl me de sant qui SQ87 QRI30a moins de 15 ans QRI39a 15 ans impose ces restrictions et plus ESS92 93 QRI19 QRI13 si probleme est le r sultat d un SQ87 QRI30b moins de 15 ans QRI39b 15 ans accident ou d une blessure et plus ESS92 93 QRI20 84 Section Il Limitation des activit s QRI7 a QRI15 suite Question s ESS98 Sources QRI13a genre de blessure SQ87 QRI30c moins de 15 ans QRI39c 15 ans et plus QRI14 autres probl mes de sant qui SQ87 QRI31a moins de 15 ans QRI40a 15 ans restreignent dans ses activit s et plus QRI14a principal probleme de sant parmi SQ87 QRI31b moins de 15 ans QRI40b 15 ans ces derniers et plus QRI15 si le probleme est le r sultat
31. e et le deuxi me la cat gorie Autre 48 Tableau 6 1 Liste des validations de la banque de donn es de Enqu te sociale et de sant 1998 suite Section IV 44 Pilule contraceptive R serv e aux femmes de 12 ans et plus 33 45 et Medi Type de m dicaments et section Si le r pondant a r pondu par Med20 d taill e laffirmative lune ou lautre des questions 33 45 le m dicament doit tre report dans la partie d taill e qui suit et vice versa Section V 59 Nombre d accidents avec blessures Le nombre d accidents doit tre ayant entra n des limitations d activit s diff rent de O si le r pondant a et ou une consultation chez un m decin r pondu OUI la question 49 ou 50 et doit tre manquant autrement Section IX Psat psait8 Section d taill e des probl mes de Tous les probl mes de sant sant mentionn s dans le questionnaire doivent tre rapport s cette section et vice versa Section XIV 158 Ann e d tablissement au Canada Doit tre post rieur l ann e de naissance 159 171 Occupation B emploi R serv es aux r pondants de 15 ans et plus 165 171 Emploi R serv s aux r pondants avec Q161 1 164 Nombre de jours semaines mois de Doit tre inf rieur ou gal a 1 an travail durant l ann e ayant pr c d l enqu te QAA Section 2 3et5 Variables de poids et taille Les valeurs extr mes taient examin es la pi ce Section V 22 ge d initiat
32. en 1998 de personnes de la classe de pond ration g vivant dans les m nages priv s et P g Pk k g La classe de pond ration g tient compte de la composition du m nage en terme de groupe d ge et de sexe Ainsi pour une m me r gion sociosanitaire et une m me structure de m nage en terme de groupe d ge et de sexe W g est le m me Ce dernier ajustement a fait en sorte qu en moyenne les poids des m nages et par le fait m me des individus ont t gonfl s de 8 qu on appelle taux de glissement II faut noter que la variabilit de ce taux peut provenir de la variabilit de la couverture ou de la variabilit des taux de r ponse pour les 65 ans et plus dont le taux de glissement est de 20 et 19 respectivement pour les hommes et les femmes tableau 14 2 Au global le taux de 8 est l g rement sup rieur celui obtenu l enqu te sur la population active pour 1995 pour le Qu bec 6 0 mais similaire au taux de glissement canadien 8 7 Dufour 1996 Tableau 14 2 Somme des poids avant l ajustement la population projection du nombre de personnes vivant dans les m nages priv s en 1998 et rapport entre la projection et la somme des poids avant l ajustement final selon le groupe d age et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 F Projection du nombre de Projection 1998 Groupe d age et sexe Somme are poids avant personnes vivant dans les somme des poids lajustement final aa a
33. etc tant entendu que les personnes ne recevaient pas de traitements ou cette aide avant ces v nements Le second indicateur pr cise qui a donn les traitements ou a fourni l aide QRI112 QRI115 il se divise en trois cat gories la famille ou les proches exclusivement habitant ou non avec la personne qui re oit cette aide les organismes ext rieurs CLSC organismes communautaires agences priv es et les aidants mixtes soit les proches et les organismes ext rieurs La perception des personnes ayant t trait es en chirurgie d un jour est examin e selon deux dimensions l acc s et les services re us La satisfaction quant a l acc s est mesur e par l acceptation du temps d attente entre le moment o la personne a t inform e de la n cessit d tre trait e en chirurgie d un jour et le moment o cet v nement s est produit QRI108 QRI109 La satisfaction l gard des services re us est mesur e par la perception qu ont les r pondants de l propos a la suite d un chirurgie d un jour de passer la premi re nuit leur domicile plut t qu l h pital et de la suffisance de l aide a domicile re ue apr s la chirurgie d un jour QRI110 QRI117 Il est noter que les questions QRI112a QRI112f et QRI115a a QRI115f s inspirent des questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 98 et de la question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s des peuples autochtones 1991 de Statistique Canada Toute
34. g n ral il s agit d estimations du nombre de personnes dans une population de r f rence touch es par un ph nom ne donn par exemple la consommation d alcool Pour de telles estimations un taux de non r ponse partielle non nul aussi minime soit il entra ne un biais quivalent dans l estimation produite En plus d utiliser des donn es pond r es comme pour les proportions et les moyennes les estimations de populations ont donc t produites en effectuant un ajustement pour la non r ponse partielle par groupe d ge et sexe deux variables connues pour tous les r pondants qui sont associ es au ph nom ne de non r ponse de m me qu aux caract ristiques sociosanitaires de la population 16 2 1 M thode d ajustement La m thode consistait premi rement estimer le nombre de personnes touch es par le ph nom ne par groupe d age et sexe avec le produit de la proportion estim e par groupe d ge et sexe par le nombre total de personnes de ce groupe d age dans la population vis e Par la suite on obtenait l estimation finale en sommant l ensemble des groupes d ge et sexe L hypoth se pos e ici est que pour des individus du m me groupe d ge et du m me sexe les non r pondants ont un comportement semblable celui de ceux qui ont r pondu Les groupes d ge utilis s correspondent en g n ral aux groupes suivants 0 14 ans 15 24 ans 25 44 ans 45 64 ans et 65 ans et plus Cependant pour certains c
35. gime d assurance priv S curit alimentaire Renseignements sociod mographiques Environnement physique air int rieur S lection pour l EQLA proprement parler cette derni re section ne fait pas partie du QRI Il s agit en fait de la premi re tape de l Enqu te qu b coise sur les limitations d activit qui consiste s lectionner les r pondants de l ESS98 qui pr sentent des limitations d activit Au total et sans la section XVI le questionnaire compte pr s de 230 questions lorsqu on ajoute les questions de la section d identification mais certaines parties ne s appliquent pas tous les membres du m nage L entrevue sur le m nage prend environ une heure Toutefois lorsque le r pondant d clare pr senter plusieurs probl mes de sant ou utiliser plusieurs m dicaments l entrevue peut se prolonger au del d une heure Le QRI s accompagne de trois instruments compl mentaires annexe 2 Cartes de r f rence Ces cartes de couleur bleue reli es par une spirale sont l usage de l intervieweur elles lui servent d aide m moire pour valuer certaines situations cas particuliers concernant le logement habituel identification des membres du m nage pour d terminer les codes de r sultats de l entrevue du QRI etc 30 Fiches Cards Lorsque les choix de r ponse sont nombreux ou que la question comporte plusieurs l ments des fiches cartonn es de couleur jaune aussi reli e
36. l ordinateur Le pr test visait les l ments suivants 34 v rifier le temps requis pour proc der a l entrevue assist e par ordinateur pour le QRI et les questionnaires de lEQLA d pister les derniers probl mes de logique dans l organisation des questionnaires tester la formulation des questions qui avaient t modifi es par rapport aux enqu tes de 1987 et de 1992 1993 ainsi que celle des nouvelles questions mesurer le temps de r ponse au QAA tester le fonctionnement des logiciels le QRI et les questionnaires de l EQLA tester la capacit des intervieweurs a utiliser l ordinateur et solutionner les probl mes tester le transfert des donn es et v rifier les processus administratifs gestion des dossiers etc partir d une liste de m nages de diff rentes compositions avec enfants avec personnes g es ou adultes seulement plus un chantillon de m nages recrut s par l Office des personnes handicap es du Qu bec OPHQ pour tester l EQLA la firme contractante a r alis 201 entrevues en fran ais et 50 entrevues en anglais dans des m nages priv s de l le de Montr al et de la banlieue nord entre le 15 septembre et le 10 octobre 1997 Apr s ces entrevues deux rencontres ont permis de revenir sur le pr test la premi re avec les intervieweurs pour faire le point sur le d roulement des entrevues la seconde avec les quipes informatiques de L ger et L ger et d
37. mes de tendinite bursite ou picondylite etc QRI78c probl mes de compression ou pincement de nerf etc QRI78d autre probl me s rieux de muscles des os ou des articulations etc QRI78e cancer QRI79 paralysie c r brale QRI80 diab te QRI81 emphys me bronchite chronique toux persistante ou asthme QRI82 d ficience mentale ou intellectuelle QRI83 d pression QRI84 pilepsie QRI85 hypertension QRI86 maladie du coeur QRI87 troubles urinaires ou maladie du rein QRI88 ulc res d estomac QRI89 autres troubles digestifs QRI90 goitre ou troubles de la thyro de QRI91 migraines ou maux de t te fr quents QRI92 incapacit ou handicap la suite de la perte d un membre QRI93 paralysie la suite d un accident QRI94 paralysie la suite d une attaque ou d une h morragie c r brale QRI95 p riodes de grande nervosit ou d irritabilit QRI96 p riodes de confusion ou de perte de m moire fr quentes et importantes QRI97 incapacit ou handicap dus l ob sit QRI98 p riodes de six mois ou plus avoir des visions entendre des voix ou penser que quelqu un l espionne QRI99 cataractes QRI100 maladies de la r tine QRI101 glaucome QRI102 tout autre probl me de sant chronique physique ou mentale QRI103 ou tout autre handicap La derni re question porte sur toute p riode de maladie ou encore des sympt mes ou des probl mes de sant cette fois ci au co
38. recalcul es avec les nouveaux seuils Contrairement l enqu te de 1992 1993 dans le cadre de laquelle on se limitait demander le poids corporel souhait QAA5 une question a t ajout e pour savoir si les gens d siraient ou non changer de poids QAA4 L ajout de cette derni re question emp che la comparaison de QAA5 avec les r sultats de 1987 et de 97 1992 1993 De la m me fa on une s rie de questions cherchant d terminer les raisons invoqu es pour changer de poids ont t introduites QAA6a QAA6f Le libell de la question Pourquoi d sirez vous changer de poids s inspire de la question 4 d une tude men e par le Gallop Poll 1984 Toutefois les cat gories de r ponse s inspirent des questions B1 C5 et C8 de l Enqu te Promotion de la sant Canada 1990 Sant et Bien tre social Canada 1993 Comme dans les enqu tes pr c dentes le d sir de changer de poids est estim partir du poids d sir et du poids actuel d clar par le r pondant Les femmes enceintes sont galement exclues du calcul Section Ill Les habitudes alimentaires QAA8 QAA11 Les questions qui font l objet de cette section portent sur la perception des habitudes alimentaires QAAB la fr quence de consommation des repas pr par s l ext rieur du foyer au cours des 7 jours ayant pr c d l enqu te QAA9a a QAA9c et la solitude au moment des repas QAA10 et QAA11 C est la premi re fois
39. sultat Le tableau 17 7 r sume ces conclusions Tableau 17 7 Seuil du test et mod les retenus pour expliquer les variations entre les sinistr s et les non sinistr s pour les indices d int r t au niveau r gional vague en 2 cat gories tude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 indlees R gions Seuil du test entre Variables sociod mographiques g sinistr s et non sinistr s retenues dans le mod le final CONSPROF Montr al Outaouais 0 09 L ge et le sexe IDPESQ14 0 13 L ge ALCOOL98 Montr al Outaouais 0 01 Le sexe la pr sence d un enfant lt 15 ans 2 cat g et l aire homog ne PERCEPT Estrie Laval jA 2 cat g Laurentides 0 08 L ge 17 3 3 Conclusion En r sum les nombreuses analyses effectu es au niveau r gional n ont pas permis de d tecter d impact important sur les donn es de I Enqu te sociale et de sant 1998 associ la temp te de pluie vergla ante Pour cette raison aucune correction sur les indices de sant dans les analyses r gionales n a t effectu e 218 18 Essais concernant deux mesures de sant mentale Dans le cadre de l Enqu te sociale et de sant 1998 deux mesures de sant mentale ont t incluses au questionnaire autoadministr QAA Ainsi une premi re s rie de quatorze 14 questions permettant d obtenir l indice de d tresse psychologique IDPESQ14 la mesure utilis e depuis la premi re enqu te sociale et de sant
40. titre de responsable et de r pondant pour son groupe Pas moins de 80 personnes ont t membres de l un ou l autre des vingt huit groupes form s pour l analyse des th mes particuliers de l Enqu te sociale et de sant 1998 Chaque groupe a d abord produit un plan d analyse document explicatif l annexe 6 Ce plan devait r sumer l tat des connaissances sur le th me pr senter les objectifs et hypoth ses de travail et d finir les variables indices et croisements n cessaires l analyse Cons quemment l adoption du mod le d analyse syst mique Sant Qu bec a aboli la r gle appliqu e aux deux enqu tes ant rieures demandant aux auteurs de ne traiter que des variables pr c dant leur propre th me dans le plan adopt pour le rapport et jamais de celles qui le suivaient Bien que limit s dans le nombre de croisements possibles les groupes d analyse avaient ainsi le choix de pr senter leurs r sultats en fonction des variables secondaires les plus pertinentes Le plan d analyse devait aider circonscrire les r sultats d un plus grand int r t tant pour les chercheurs que pour les planificateurs Il servait pr ciser et structurer l analyse et planifier l exploitation des donn es de 52 fa on produire rapidement et efficacement les r sultats tableaux et tests statistiques Sant Qu bec a produit tous les tableaux requis pour l analyse afin de garantir la qualit et la coh rence de l informa
41. v l de diff rence quant a la pr valence de ce probl me de sant entre les anglophones et les francophones 71 trois sous questions visant d terminer s il s agissait d allergies aux aliments QRI75a aux animaux QRI75b ou d autres allergies QRI75c ont t aussi ins r es De la m me fa on des sous questions ont t incluses la question QRI82 visant d terminer s il s agissait de emphys me QRI82a de la bronchite chronique QRI82b d une toux persistante QRI82c et de l asthme QRI82d L objet de ces nouvelles sous questions tait d tudier l association entre les d terminants environnementaux et les probl mes d allergies respiratoires l incidence de ces derniers tant en partie attribuable la pr sence de contaminants de lair int rieur Les r sultats de ces questions n ont pas t publi s dans le rapport de l ESS98 mais ont fait l objet d un article dans la Revue canadienne de sant publique L vesque et autres 2001 Pour mieux conna tre l ampleur des probl mes musculo squelettiques chez les travailleurs d autres questions et sous questions ont t ajout es la demande du groupe ayant propos les questions sur le travail et la sant Des sous questions ont t ajout es la question QRI76 afin de distinguer les maux du cou QRI76a les maux du haut du dos QRI76b et les maux du bas du dos QRI76c De la m me fa on une sous question la question sur l arthrit
42. volets suppl mentaires haussant le niveau de complexit de la t che des intervieweurs Pour en savoir plus sur l utilisation de l ordinateur pour les besoins de l enqu te se r f rer au module 2 du Manuel l intention des intervieweurs de l Enqu te g n rale de 1998 Audet et autres 1997 Suivent la liste et une br ve description des instruments de collecte et des instruments administratifs de l ESS98 l usage de l intervieweur et de l quipe de gestion de la collecte 4 6 1 Instruments de collecte les questionnaires Tous les instruments de collecte ont t produits en versions fran aise et anglaise Les questions reprises des enqu tes pr c dentes taient par d finition disponibles dans les deux langues Les nouvelles questions propos es par les groupes devaient aussi tre soumises en anglais Lorsque la version anglaise des questions n existait pas Sant Qu bec en collaboration avec un traducteur a apport un soin particulier a leur traduction Questionnaire rempli par l intervieweur QRI L entrevue sur le m nage se fait en face face l aide du QRI informatis Instrument principal de l enqu te dont l intervieweur se sert pour poser les questions et inscrire lui m me les r ponses le QRI est administr aupr s d un adulte suffisamment inform sur l tat de sant des autres membres du m nage pour r pondre leur place Le QRI d bute avec la section d identification Celle ci
43. 000 Type de famille Mod le 6 bi 9 Revenu personnel manquant pour m nages imputer Age Pseudo revenu m nage Mod le 7 Revenu inf rieur 19 999 Type de famille 17 Pseudo revenu type eae Type de famille Mod le 8 Revenu inf reur 19 999 es Occupation habituelle 11 Revenu personnel manquant pour m nages imputer ge Pseudo revenu m nage Mod le 9 Revenu sup rieur 20 000 Type de famille 55 Scolarit relative Revenu sup rieur 20 000 Type de famille Mod le 10 z os f 30 Revenu personnel manquant pour m nages imputer Occupation habituelle Pseudo revenu m nage Revenu inconnu 2h __ Type de famille Mod le 11 ie HA et m nages n cessitant imputation Occupation habituelle 563 p Scolarit relative Pseudo revenu m nage Revenu inconnu Type de tamille Mod le 12 Certains individus des m nages n cessitant limputation yP 353 i A 2 Occupation habituelle n ont pas r pondu a Q231 NS Scolarit relative Revenu inconnu Type det mil Mod le 13 Les individus des m nages n cessitant limputation n ont on ation habituelle 522 pas r pondu Q231 ou au QAA p Pour la cr ation des mod les les poids chantillonnaux ont t utilis s pour pond rer les donn es titre d exemple examinons le mod le 1 Les r pondants ce mod le correspondent ceux dont le revenu m nage varie entre 10 000 et 14 999 ou 15 000 et 19 999 Cet exemple illustre le cas d un m
44. 1990 Rapport technique Ottawa Minist re des Approvisionnements et Services Canada 360 p N de cat H39 263 2 1990F SANTE QUEBEC 1992 Enqu te qu b coise sur les facteurs de risque associ s au sida et aux autres MTS la population des 15 29 ans 1991 Minist re de la Sant et des Services sociaux Gouvernement du Qu bec SANT QUEBEC A EMOND et autres 1988 Et la sant a va Rapport de l enqu te Sant Qu bec 1987 tome 1 Qu bec Les Publications du Qu bec Minist re de la sant et des services sociaux 337 p SANT QUEBEC C DAVELUY L CHENARD M LEVASSEUR et A EMOND sous la direction de 1994 Et votre c ur a va Rapport de l enqu te qu b coise sur la sant cardiovasculaire 1990 Montr al Minist re de la Sant et des Services sociaux Gouvernement du Qu bec 159 p SANT QU BEC C BELLEROSE C LAVALL E L CH NARD et M LEVASSEUR sous la direction de 1995 Et la sant a va en 1992 1993 Rapport de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 vol 1 Montr al Minist re de la sant et des services sociaux 412 p 144 SANT QUEBEC L BERTRAND sous la direction de 1995 Les Qu b coises et les Qu b cois mangent ils mieux Rapport de l Enqu te qu b coise sur la nutrition 1990 Montr al Minist re de la Sant et des Services sociaux Gouvernement du Qu bec 317 p SHADBOLT B 1997 Some correlates of self rated health for Australian women American J
45. 1998c The structure of mental health higher order confirmatory factor analyses of psychological distress and well being measures Social Indicators Research vol 45 p 475 504 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX 1992 La politique de la sant et du bien tre Gouvernement du Qu bec 192 p NATIONAL INSTITUTE OF NUTRITION 1997 Tracking nutrition trends 1989 1997 An update on Canadians attitudes knowledge and reported actions Ottawa NIN 50 p NOLIN B D PRUD HOMME G GODIN D HAMEL et autres para tre Rapport de l Enqu te qu b coise sur l activit physique et la sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec Institut national de sant publique du Qu bec et Kino Qu bec OFFORD D R M H BOYLE D CAMPBELL P GOERING E LIN M WONG et Y A RACINE 1996 One year prevalence of psychiatric disorder in Ontarians 15 to 64 years of age Can J Psychiatry vol 41 n p 559 563 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE 1998 Obesity Preventing and managing the global epidemic Report of a WHO Consultation on Obesity Gen ve 1998 143 PAYETTE H R CYR et D K GRAY 1994 Evaluation de l efficacit d une questionnaire pou d pister le risque de malnutrition chez les personnes g es b n ficiaires des services d aide a domicile Rapport de recherche Centre de recherche en g rontologie et g riatrie Sherbrooke PREVILLE M et autres 1992 La
46. ESS98 a la particularit d tudier de nombreux nouveaux sujets et d approfondir des aspects trait s dans les enqu tes ant rieures Mentionnons par ailleurs que la collecte des donn es est cette fois ci assist e par ordinateur 1 3 Une enqu te r gionale Comme pour les enqu tes pr c dentes l chantillon de l ESS98 permet la repr sentativit des donn es principales sur le plan r gional et ce pour 16 r gions sociosanitaires la r gion Nord du Qu bec s tant ajout e depuis l ESS92 93 excluant toutefois les r gions crie et inuite 1 4 Une enqu te locomotive En 1998 l Enqu te sociale et de sant a servi d enqu te locomotive dans le sens qu une partie des r pondants des m nages qui en constituent l chantillon ont t questionn s pour l une ou l autre des trois enqu tes compl mentaires que sont l Enqu te qu b coise sur les limitations d activit s l Enqu te sur la r solution des conflits conjugaux et l Enqu te sur l activit physique et la sant ou encore pour deux courts questionnaires portant l un sur un indice synth tique de la sant SF 36 l autre sur les effets de la temp te de verglas sur les r sultats de l ESS98 C est pourquoi l enqu te de 1998 s est d abord appel e l Enqu te g n rale de 1998 puis lorsqu est venu le moment d en faire la promotion dans la population l Enqu te g n rale sur la sant et le bien tre de la population 1998 titre chapeautant ce train d enqu
47. P ERNST et N AUDET 2001 Enqu te sociale et de sant 1998 au Qu bec divers d terminants des maladies chroniques respiratoires Revue canadienne de sant publique vol 92 n 3 p 228 232 LEVY J A DUPRAS M PERREAULT M DORAIS et L R FRIGAULT 1995 Style de vie et comportements sexuels des hommes francophones de Montr al ayant des rapports sexuels avec d autres hommes rapport de recherche projet subventionn par le CQRS Universit du Qu bec Montr al D partement de sexologies Montr al 57 p MALADIES CHRONIQUES AU CANADA 1994 Recommandations de l atelier sur l usage et la consommation du tabac vol 15 p 120 125 MARCUS B H V C SELBY R S NIAURA et J S ROSSI 1992 Self efficacy and the stages of exercise behaviour change Research Quarterly for Exercise and Sport by the American Alliance for Health Physical Education Recreation and Dance vol 63 n 1 p 60 66 MASSE R et autres 1998a laboration et validation d outil de mesure de la sant mentale tome 1 tude ethnos mantique tome 2 tude de validation Direction de la sant publique de Montr al Centre MASSE R C POULIN C DASSA J LAMBERT S BELAIR et A BATTAGLINI 1998b Elaboration et validation d un outil de mesure de d tresse psychologique dans une population non clinique de Qu b cois francophones Revue canadienne de sant publique vol 89 n 3 p 183 189 MASSE R et autres
48. QRI82d Lorsque c est le cas on demande si des modifications ont t apport es parce que quelqu un du foyer souffre d asthme ou d allergie a t on enlev les tapis QRI191 augment la ventilation QRI192 r duit ou limin la consommation de tabac QRI193 s est on d fait des animaux domestiques QRI194 a t on utilis des m thodes de contr le des acariens ou des mites de poussi res QRI195 a t on fait d autres modifications QRI196 et si oui lesquelles QRI196a c L ajout de ce type de questions a t sugg r par le comit d orientation de l enqu te pour obtenir plus d information sur les mesures entreprises par les personnes asthmatiques ou allergiques quant a leur environnement physique et pour aider l interpr tation des r ponses sur les d terminants de l air int rieur dans ces m nages Les questions ont t formul es par le groupe responsable de cette section Questions administratives QRI197 QRI198 QRI198a QRIG4 et QRIG4a Le QRI se termine avec cinq questions administratives adress es l intervieweur qui devait y r pondre avant de poser les questions de s lection de l EQLA Le QRI s adressant a un seul et m me r pondant du m nage qui r pond non seulement pour lui m me mais pour les autres membres du m nage la premi re question tente de recueillir de l information sur l ampleur de la participation des membres du m nage aux questions pos es leur sujet QRI197 La deu
49. a 64 ans les hommes sont galement davantage repr sent s parmi les non r pondants tableau 13 5 La non r ponse globale a un instrument de collecte peut engendrer des biais dans les estimations Plusieurs techniques existent pour en minimiser l importance Dans I Enqu te sociale et de sant 1998 on a proc d un ajustement de la pond ration pour contrer l impact de la non r ponse totale Cette question est abord e en d tail dans la section suivante traitant du processus de pond ration 171 Tableau 13 5 Proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants au QRI ag s de 15 ans et plus selon le groupe d age et le sexe Enqu te sociale et de sant de 1998 Proportion pond r e de r pondants au QAA Hommes 81 0 Femmes 86 9 Sexes r unis 15 24 ans 81 0 25 44 ans 85 3 45 64 ans 84 8 65 ans et plus 82 7 14 PONDERATION Afin d inf rer les r sultats des r pondants la population vis e on doit d abord associer un poids a chaque individu r pondant un questionnaire donn Le poids correspond au nombre d individus vis s par l enqu te que l individu r pondant repr sente Dans l ESS98 des variables de pond ration diff rentes ont t calcul es pour les r pondants au QRI et ceux du QAA Dans chaque cas diff rents facteurs ont t utilis s pour effectuer le calcul des poids Ces facteurs sont la probabilit de s lection la r partition de la non r ponse et
50. accident s QRI62a principal probl me de sant SQ87 QRI23n QRI63 circonstances de l accident de la route QRI64 circonstances de l accident de travail QRI65 circonstances de l accident l cole QRI66 circonstances de l accident l int rieur de la maison QRI67 circonstances de l accident dans un lieu de loisir ou de sport QRI68 circonstances de l accident dans un lieu public Les nouvelles questions QRI63 QRI70 sont bas es sur deux questions qui proviennent de la question HLT Q41 de l ENSP94 95 et de la question INJ Q6 de l ELNE94 89 Section VI Probl mes de sant QRI72 a QRI104 suite Question s ESS98 Sources QRI69 circonstances de l accident l ext rieur de la maison Les nouvelles questions QRI63 QRI70 sont bas es sur deux questions qui proviennent de la question HLT Q41 de l ENSP94 95 et de la question INJ Q6 S agit il QRI73a d une maladie de la peau QRI73b_ d allergies cutan es QRI70 circonstances de l accident dans un autre endroit de l ELNE94 QRI71 l activit en cause pour les accidents survenus Nouvelle question propos e par la R gie de la bicyclette ou lors de la pratique d une activit r cr ative ou S curit dans les sports du Qu bec sportive QRI72 an mie SQ87 QRI45a QRI73 maladie de la peau ou allergies cutan es SQ87 QRI45b Nouvelles sous questions ajout es afin d avoir plus de pr cision
51. affichaient un poids de plus de deux fois et demi sup rieur la moyenne des poids de leur strate respective Ces cinq USE avaient galement connu les plus fortes croissances en terme de logements priv s entre 1991 et 1998 En outre quatre de ces m me cing USE pr sentaient des poids se classant parmi les plus grands poids dans l ensemble de l enqu te Pour chacune de ces cinq USE une analyse plus approfondie a t effectu e afin de v rifier si l explosion d mographique s observait galement autour de USE chantillonn e ou si elle n tait survenue que dans cette USE Dans le premier cas diminuer le poids d une USE ayant connu une explosion n est pas appropri car cela correspond un ph nom ne g n ralis En effet la s lection d une UPE ou USE voisine aurait galement pr sent un accroissement important du nombre de logements Il est alors raisonnable de croire que les nouveaux m nages install s apr s le recensement de 1991 ont des caract ristiques similaires aux nouveaux arrivants des UPE ou USE voisines Ainsi r duire le poids de telles USE pourrait entra ner un biais dans l estimation des statistiques Dans le second cas par contre le ph nom ne est plut t localis et est associ USE m me On est alors tent de ramener le poids d une telle USE une valeur plus raisonnable Apr s analyse il a t d cid de borner le poids associ la probabilit de s lection des logements provenan
52. ans et plus vivant en couple seulement Co1 depuis combien temps vit elle en couple Pour les femmes de 18 ans et plus ne vivant pas en couple seulement Co2 si au cours des 12 derniers mois elle a v cu en couple durant une p riode minimale de deux mois SITUA type de situation qui correspond le mieux l organisation du m nage Question s ESS98 Sources PAREN le fait d tre un parent ou un enfant Nouvelle question ajout e pour faciliter la reconnaissance des m nages non familiaux et familiaux MERE le lien m re enfant SQ87 F118 ESS92 93 F123 PERE le lien p re enfant SQ87 F118 ESS92 93 F123 CODEP code de parent code informatique Nouvelle question informatique pour g rer seulement lentrevue COUPL vit ou non en couple Nouvelle question ajout e pour faciliter la reconnaissance des m nages non familiaux et familiaux CONJO identification du conjoint Nouvelle question ajout e pour faciliter la reconnaissance des m nages non familiaux et familiaux CODEC code de couple code informatique seulement Nouvelles questions ajout es la demande du groupe de travail sur l Enqu te sur la r solution des conflits conjugaux Riou et autres para tre pour tablir la base de sondage de cette enqu te ESS92 93 Fl29 Il est noter qu en 1998 la premi re cat gorie de r ponse a t modifi e pour la rendre plus pr cise personne seule a t remplac e par personn
53. au cours des 7 derniers jours QAA42 et le nombre de consommations pour chacun des 7 derniers jours QAA43 Ces trois questions proviennent de l ESS92 98 Toutefois la question QAA43 a t l g rement modifi e mais on estime que cette modification n entrave pas la comparabilit des r sultats Par ailleurs les r sultats de la question sur le nombre de consommations en moyenne par semaine QAA41 n ont pas t pr sent s en 1998 cependant ils ont t utilis s pour valider les observations de la question QAA43 Plusieurs questions utilis es en 1992 1993 n ont pas t reprises en 1998 la demande du groupe ayant propos les questions sur l alcool la question QAA28 de l ESS92 93 sur l ge auquel le r pondant a commenc boire parce qu elle n tait pas assez pr cise sur le contexte de consommation les questions QAA32 QAA35 de l ESS92 93 composantes de l indice CAGE des analyses secondaires faites par Bisson et autres 1999 ayant d montr que le CAGE ne pr sentait pas en 1992 1993 des qualit s psychom triques satisfaisantes et enfin les questions QAA36 QAA46 de l ESS92 93 sur la d pendance l alcool car leur pertinence a t remise en question tant cause de la question filtre QAA35 qui liminait un grand nombre de buveurs que de la d finition des probl mes eux m mes 101 Section VII Les drogues QAA44 a QAA47 A quelques exceptions pr s les questions sur la consommation de drogues
54. ayant rapport des manifestations depuis six mois ou plus et qui doivent de ce fait r pondre aux questions sur les cons quences de ces manifestations Ainsi comme en 1992 1993 l intensit de la d tresse psychologique est mesur e l aide d une s rie de questions cherchant d terminer si les manifestations li es l tat d pressif ont nui la vie familiale ou sentimentale QAA113 ou la capacit de travailler ou de poursuivre des tudes QAA114 ou si elles ont restreint les activit s sociales QAA115 Ces questions s adressent aux personnes qui rapportent la question QAA112 avoir ressenti ces manifestations depuis six mois ou plus De ce fait elles ne sont pas comparables avec les r sultats de l enqu te pr c dente Une derni re question permettant de savoir si la personne a consult quelqu un ce sujet QAA116 provient galement de l enqu te de 1992 1993 Il est noter que les questions sur le moment de la consultation et le type de professionnel consult QAA86 et QAA87 de l ESS92 93 ont t retir es en 1998 la demande du groupe ayant propos les questions sur la sant mentale L MMDP23 QAA117 QAA139 est un nouvel outil de mesure Il a t labor partir d une liste de manifestations physiques cognitives comportementales et motives qui furent rapport es travers des r cits d pisodes de d tresse v cus Mass et autres 1998a La p riode de r f rence porte sur le d
55. chantillonn s et le nombre de logements dans la population selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 1998 R gion sociosanitaire Bee la p de Rapport 1 Bas Saint Laurent 2 8 5 2 1 08 2 Saguenay Lac Saint Jean 3 7 5 2 0 82 3 Qu bec 9 3 5 2 0 33 4 Mauricie Centre du Qu bec 6 7 5 2 0 45 5 Estrie 3 9 5 2 0 78 6 Monir al Centre 28 9 14 7 0 30 7 Outaouais 4 0 6 4 0 93 8 Abitibi T miscamingue 2 1 5 3 1 49 9 C te Nord 1 2 5 3 2 50 10 Nord du Qu bec 0 2 4 4 10 78 11 Gasp sie les de la Madeleine 1 4 5 3 2 26 12 Chaudi re Appalaches 4 9 5 2 0 62 13 Laval 4 3 5 2 0 70 14 Lanaudi re 4 4 5 2 0 68 15 Laurentides 5 4 5 2 0 57 16 Mont r gie 16 6 11 6 0 41 Total 100 0 100 0 0 58 1 Puisque les distributions ont t arrondies le total n est pas gal la somme des parties Source Recensement canadien de 1991 R partition de l chantillon selon les degr s d chantillonnage L chantillon des logements est s lectionn en trois tapes le tirage des UPE par strate secondaire puis celui de PUSE par UPE et finalement le tirage des logements par USE Comme le nombre d USE s lectionn es par UPE est fix 1 il reste tablir le nombre d UPE chantillonn es par strate et le nombre de logements chantillonn s par USE Une fois d termin le nombre de logements chantillonn s par USE le nombre d UPE chantillonn es par strate est obtenu par le quotient du nomb
56. cisions pour les statistiques qu b coises et de permettre les comparaisons avec les enqu tes de 1987 et de 1992 93 a n cessit d augmenter l chantillon national de 1 200 logements Cet chantillon suppl mentaire a t attribu aux deux r gions les plus populeuses soit Montr al Centre avec un chantillon de 1000 logements suppl mentaires et la Mont r gie avec 200 logements suppl mentaires L ajout de ces logements produit une diminution de l ordre de 32 de la variance des statistiques qu b coises Cette estimation suppose des proportions gales dans chaque r gion Avec l ajout de ces 1 200 logements la taille de l chantillon atteint 14 000 Dans la r gion Nord du Qu bec l chantillon de logements a t diminu En effet un chantillon de 800 logements avec une concentration d environ 30 logements par UPE impliquait une num ration compl te de cette r gion La taille a donc t fix e 680 logements pour cette r gion Malgr cette diminution cet chantillon devait permettre quand m me d obtenir des pr cisions semblables celles des autres r gions a cause du taux d chantillonnage tr s lev des UPE dans le Nord du Qu bec Ainsi l chantillon provincial descend 13 880 logements galement trois r gions Montr al Centre Outaouais et Mont r gie ont achet des chantillons suppl mentaires Ces achats leur ont permis d augmenter la pr cision pour une zone pour laire homog ne vuln
57. couple avec un homme pendant au moins deux mois CO2 Ces questions ont t ajout es afin d tablir la base de sondage de l enqu te mentionn e La section d identification se termine avec une question sur le type de situation qui correspond le mieux l organisation actuelle du m nage SITUA Cette question avait t ajout e en 1992 1993 pour mieux identifier les nouveaux types de familles Elle permet aussi de valider la construction de la typologie des familles Il est a noter qu en 1998 la premi re cat gorie de r ponse a t modifi e pour la rendre plus pr cise personne seule a t remplac e par personne vit seule dans le m nage Une autre cat gorie soit colocataires a t ajout e en 1998 Il est noter que quelques questions d ordre administratif pos es lors des enqu tes ant rieures dans la section d identification ont t transf r es la fin du QRI Ces questions tentent de recueillir de l information sur l ampleur de la participation des membres du m nage Pour plus d information veuillez consulter la section Questions administratives la fin du QRI du pr sent cahier technique et m thodologique Section I Incapacit au cours des deux derni res semaines QRI1 QRI6 Cette section explore la restriction temporaire ou permanente des activit s pour des raisons de sant au cours des deux semaines ayant pr c d l entrevue Les questions QRI1 QRI6 portent su
58. d un SQ87 QRI31c moins de 15 ans QRI40c 15 ans accident ou d une blessure et plus QRI15a si oui pr ciser la blessure SQ87 QRI31d moins de 15 ans QRI40d 15 ans et plus Section Ill Recours aux services de sant ou aux services sociaux QRI16 a QRI32 Question s ESS98 Sources QRI16 m decin g n raliste SQ87 QRI 14a ESS92 93 QRI29 QRI16a_ lieu de la derni re consultation Bas e sur deux questions SQ87 QRII5b ESS92 93 QRI83 En 1987 et 1992 1993 la question sur le lieu de consultation tait ouverte les cat gories de r ponse ont t ajout es en 1998 Par ailleurs l ajout de la cat gorie pharmacie rend difficile la comparaison avec les enqu tes ant rieures QRI16b consultation avec ou sans rendez vous Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur le recours aux services QRI16c temps coul entre la prise de Nouvelle question ajout e la demande du groupe rendez vous et la consultation ayant propos les questions sur le recours aux services QRI16d acceptabilit du temps d attente Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur le recours aux services QRI16e distance parcourue aller seulement ESS92 93 QRI31 la formulation utilis e en 1992 1993 a t l g rement modifi e afin de mieux pr ciser la question en 1998 QRI16f temps pour s y rendre aller Nouvelle question ajout e la deman
59. d une personne en m tres les femmes enceintes sont exclues du calcul Les seuils retenus ici pour les cat gories de poids sont tir s de trois sources l OMS 1998 le rapport d un groupe d experts des normes pond rales Sant et Bien tre social Canada 1988 et Payette et autres 1994 sch ma 11 1 Sch ma 11 1 Seuils retenus pour l indice de masse corporelle IMC selon l ge population de 15 ans et plus Enqu te sociale et de sant 1998 15 19 ans 20 64 ans 65 80 ans 81 ans et plus Poids insuffisant lt 19 lt 20 lt 24 lt 24 Poids acceptable 9 19 lt 25 9 20 lt 27 9 24 lt 27 24 lt 29 Poids sant 9 9 20 lt 25 9 9 D but d exc s de poids 9 25 lt 27 Exc s de poids 9 25 9 27 9 27 29 Embonpoint 9 27 lt 30 Ob sit 80 lt 35 Ob sit s v re 9 35 Source Payette et autres 1994 Sant et Bien tre social Canada 1988 OMS 1998 L utilisation dans l enqu te de 1998 de l indice de masse corporelle comme indicateur principal tel que cela a t fait lors des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 permet de suivre l volution du poids corporel de la population en fonction de l ge et du sexe Toutefois les seuils de 1998 sont l g rement diff rents de ceux utilis s dans les enqu tes pr c dentes Pour pouvoir comparer les r sultats et valuer les tendances entre les trois enqu tes les donn es de 1987 et de 1992 1993 ont t
60. d finir un indice PANNE prenant la valeur 1 sinistr si le logement o r sidait un m nage r pondant l Enqu te sociale et de sant 1998 avait subi une panne d lectricit de deux jours ou plus lors de la temp te et la valeur 2 non sinistr s il n y avait pas eu panne d lectricit ou si celle ci avait dur moins de deux jours On a ensuite tabli une liste des variables les plus susceptibles d tre influenc es par la temp te de verglas voir l annexe 11 Le sens attendu de l effet du verglas sur ces indices de sant a t pr sent dans un document de travail produit par Jacynthe Loiselle en date du 30 octobre 1998 Dans un but exploratoire ces indices de sant ont t crois s avec l indice PANNE sous forme de tableaux pond r s bivari s afin de s lectionner les variables pr sentant des diff rences entre les personnes sinistr es et les personnes non sinistr es Les donn es de seulement deux vagues de collecte tant disponibles ce moment un seuil de 5 a t utilis dans les tests effectu s pour tenir compte de ce fait partir d un test du 210 khi deux neuf indices ont t s lectionn s la consommation de tranquillisants question 34 du QRI la consultation d un professionnel de la sant CONSPROF la consultation d un professionnel autre qu un m decin AUTPROF le nombre de probl mes de sant NBRE_PS le soutien social SSOCS la d tresse psychologique IDPESQ14 la
61. de d tresse psychologique seuil de signification observ 0 02 Quant la proportion de personnes ne r pondant aucune des questions de l indice elle est significativement plus importante pour le QAA 2 o les questions de l IDPESQ14 suivent celles de l MMDP23 Les r sultats pour l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique diff rent de ceux obtenus pour l IDPESQ14 En effet pour l MMDP23 il n y a pas de diff rence significative des taux de non r ponse partielle pour chaque type de questionnaire mais le taux global de 6 1 peut tre plus pr occupant que ceux obtenus pour lIDPESQ14 d autant plus qu on trouve une plus grande proportion de non r pondants partiels chez les femmes et chez les personnes de 65 ans et plus Quant la proportion de personnes n ayant r pondu aucune question composant l chelle elle est essentiellement la m me quel que soit le type de questionnaire 18 1 2 Proportion estim e de personnes appartenant au niveau lev de chaque mesure de sant mentale Comme pour la comparaison des taux de non r ponse partielle des tests statistiques ont t effectu s pour comparer les proportions de Qu b cois de 15 ans et plus appartenant au niveau lev de chaque mesure de sant mentale selon le type de questionnaire autoadministr utilis Les effets confondants ventuels de l ge et du sexe ont encore ici t contr l s au moyen de mod les de r gression logistique mu
62. de la conception de l enqu te a la publication des r sultats tapes qui se sont chelonn es sur un cycle de plus de cing ans 1 Pr sentation de I Enqu te sociale et de sant 1998 1 1 Importance et utilit des enqu tes g n rales L enqu te est assur ment l instrument de collecte de donn es le plus simple dont on dispose pour la mesure de la sant de la population OMS Comme on l a mentionn en introduction l enqu te g n rale contribue la connaissance et la surveillance de l tat de sant et de bien tre d une population Elle constitue un outil compl mentaire aux grands fichiers de l tat R gie de l assurance maladie du Qu bec RAMQ Med cho registre de la population sur les d c s etc toutefois ces fichiers ne renseignent que sur les pisodes de contact avec le syst me ou encore sur les services dispens s l unit d observation tant le service plut t que l individu lui m me alors qu on poss de peu ou pas d information sur les maladies trait es par le patient lui m me gu rissant spontan ment ou non d pist es Lalonde 1974 De plus et bien qu importantes a des fins de gestion les sources traditionnelles sont d usage limit quand on se pr occupe de conna tre l tat de sant de l ensemble de la population Moyen par excellence pour pallier les lacunes identifi es l gard des sources traditionnelles les enqu tes g n rales permettent d interroger
63. donn e Il s agit en fait du num rateur de la proportion adjacente pr sent e dans le tableau Par exemple le tableau 4 1 du rapport r v le qu environ 87 2 des personnes ag es de 15 a 24 ans sont des buveurs actuels et donc que la population qu b coise vivant en m nages priv s compte pr s de 848 000 buveurs actuels de 15 24 ans La plupart des chapitres comportent de telles estimations seulement pour les variables principales qui y sont tudi es galement lorsqu un chapitre traite plus sp cifiquement d une sous population les tailles selon l ge et le sexe correspondant celle ci on t calcul es Comme la m thode de calcul des populations estim es contrairement aux estimations de proportions et de moyennes comporte un ajustement pour la non r ponse partielle il ny a pas de correspondance parfaite entre la proportion et la population estim e qui lui est associ e D ailleurs les mises en garde concernant les biais potentiels caus s par la non r ponse partielle sur une proportion ne s appliquent pas n cessairement l estimation de la population correspondante Notons finalement que la m thode utilis e en 1992 1998 pour produire des estimations de population ne tenait pas compte de la non r ponse partielle et ces estimations taient donc biais es la baisse Ceci fait en sorte qu on ne peut pas comparer les populations estim es en 1998 avec celles de 1992 1993 16 3 Pr cision des estimations Dans
64. effectu s pour all ger le fardeau des r pondants et pour r duire la redondance Ainsi la question QRI9 r sulte de la fusion de deux questions distinctes sur la restriction d exercer ses activit s la maison et l incapacit faire la plupart des travaux m nagers quotidiens lors des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 De plus les questions sur le confinement domicile la r duction de mobilit la dur e de l incapacit l incapacit de poursuivre des tudes ou de travailler le besoin d aide pour les soins personnels et pour les activit s instrumentales de m me que celles sur les sources d aide re ue n ont pas t reprises QRI10 QRI11 QRI13 QRI17 et QRI21 QRI28 de 1992 1993 l EQLA examinant de pr s toutes ces notions on n a donc pu reconstruire l indice d autonomie fonctionnelle tel qu il lavait t pour les enqu tes pr c dentes Wilkins et autres 1995 D ailleurs l esp rance de vie en sant telle que calcul e en 1987 et en 1992 1933 ne pourrait plus tre d termin e en raison des questions enlev es Pour des indices similaires mais non identiques voir les r sultats de l EQLA 1998 Camirand et autres 2001 Section Ill Recours aux services de sant ou aux services sociaux QRI16 QRI32 La pr sente section concerne le recours aux services des professionnels de la sant et des services sociaux au cours des deux semaines ayant pr c d l entrevue et s inscrit dans le prolongement des enqu
65. en 1 092 USE La r partition de l chantillon des UPE par r gion et aire homog ne est donn e au tableau 12 8 alors que celle des logements appara t au tableau 12 9 UPE autorepr sentatives M me en s lectionnant 40 logements par USE plut t que 30 le taux d chantillonnage des UPE dans les strates principales de la r gion Nord du Qu bec demeure tr s lev 75 pour le A1 et A2 50 pour le R2 Or ces strates principales sont peu populeuses ce qui implique que certaines UPE avaient une probabilit de s lection tr s pr s de 1 voire m me gale 1 car on s lectionne avec une probabilit proportionnelle la taille Ainsi sept UPE ont t automatiquement s lectionn es on les appelle les UPE autorepr sentatives R partition de l chantillon selon les strates secondaires Pour proc der la stratification secondaire telle que d crite pr c demment le nombre d UPE s lectionn es par strate principale devait tre connu La stratification secondaire supposait une r partition de l chantillon des UPE l int rieur des strates principales proportionnelles au nombre de m nages priv s Conform ment la formation des strates secondaires l chantillon de 1 092 UPE est r parti en groupes de deux ou trois UPE par strate secondaire 164 R partition chronologique de l chantillon La collecte a t effectu e en quatre vagues distinctes de trois mois et elle couvre ainsi une ann e complete
66. en 1992 1993 pour que le format corresponde au mod le de l Enqu te nationale sur l alcool et les autres drogues de Sant et Bien tre social Canada 1990 et de Statistique Canada 1988 Les modifications apport es en 1998 pour simplifier le format emp chent une comparaison directe avec les r sultats de l enqu te de 1992 1993 Section VIII Le travail QAA48 a QAA97 120 Question s ESS98 Sources QAA48 emploi r mun r actuel Nouvelle question adapt e de la question QRI166 de PEQSCV90 QAA49a travaille son compte Nouvelles questions cr es pour les besoins de l enqu te QAA49b travaille pour un seul employeur QAA49c travaille pour plus d un employeur Nouvelles questions cr es pour les besoins de l enqu te QAA50 taille de l entreprise ou de Nouvelle question inspir e de la question 260 de organisation l Enqu te sur la population active remaniement du questionnaire 1997 de Statistique Canada QAA51 statut de permanence Nouvelle question cr e pour les besoins de l enqu te QAA52 syndicalisation Nouvelle question cr e pour les besoins de l enqu te QAA53 travail exige d apprendre des choses EQSCV90 QRI174 nouvelles ESS92 93 QAA196 QAA54 travail exige un niveau lev de EQSCV90 QRI175 qualifications ESS92 93 QAA197 Section VIII Le travail QAA48 QAA97 suite Question s ESS98 Sources QAA55 faire preuve de cr
67. es aux caract ristiques de sant sugg rent le recours a des analyses contr lant pour les effets confondants ventuels de l ge et du sexe Les r gressions logistiques faites cette tape de l analyse de concordance des mesures cat goriques comportent donc une variable pour l identification du groupe d fini par le croisement des deux mesures de sant mentale l ge et le sexe En particulier des contrastes ont t construits pour comparer les groupes 2 et 3 et les tests qui leur correspondent sont pr sent s au tableau 18 5 Tableau 18 5 R gressions logistiques des diff rentes caract ristiques de sant en fonction de l ge du sexe et du Groupe seuils de signification observ s des contrastes entre les groupes 2 et 3 Enqu te sociale et de sant 1998 Seuil de signification observ Caract ristique de sant q Groupes 2 versus 3 Sant per ue 0 7789 Sant mentale per ue 0 0000 Id ations suicidaires 0 0001 Tentatives de suicide 0 3918 Usage de tranquillisants 0 1768 Usage de stimulants 0 0084 Troubles mentaux 0 0000 225 Troubles du sommeil 0 1133 En gros donc les groupes 2 et 3 soit les personnes identifi es uniquement par l MMDP23 ou celles identifi es uniquement par l IDPESQ14 comme appartenant a la cat gorie lev e de la mesure se distinguent sur le plan de la sant mentale per ue de la pr sence d id ations suicidaires de l usage de stimulants et des troubles mentaux e
68. et validit discriminante de la traduction fran aise des chelles de demande psychologique et de latitude d cisionnelle du Job Content Questionnaire de Karasek Revue d pid miologie et de sant publique vol 96 p 371 381 LEAUNE V et A ADRIEN 1998 Les Qu b cois face au sida attitudes envers les personnes vivant avec le VIH et gestion des risques Direction de la sant publique R gie r gionale de la sant et des services sociaux de Montr al Centre ISBN 2 89494 176 5 LESAGE A et autres 1994 Une proc dure d valuation des besoins d intervention en sant mentale une tude de faisabilit de fiabilit et de validit men e sur un chantillon repr sentatif de la population adulte de l est de Montr al Centre de recherche Fernand S guin Montr al 59 p LEVASSEUR M 1987 Sources et justifications des questions utilis es dans l enqu te Sant Qu bec Cahier technique 87 03 Sant Qu bec Minist re de la Sant et des Services sociaux Gouvernement du Qu bec Qu bec 46 p 142 LEVASSEUR M 2000 Perception de l tat de sant dans l Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec p 259 LEVESQUE B D GAUVIN R McGREGOR et autres 1997 Radon in residences influences of geological and housing characteristics Health Physics vol 72 n 6 p 907 914 LEVESQUE B P LAJOIE M RHAINDS T KOSATSKY A M GRENIER
69. ger et L ger inc d une part et les r gies r gionales d autre part Les agents de communication des R gies pr paraient les conf rences de presse et mettaient les communiqu s Les conf rences se faisaient sous l gide d un repr sentant officiel de la r gie r gionale le directeur g n ral de la r gie ou le directeur de la sant publique qu accompagnaient le directeur de Sant Qu bec Daniel Tremblay et le directeur du projet chez L ger et L ger Denis Fagnan manifestant par l un appui important l enqu te Encore l la temp te de verglas a eu des r percussions tant sur le nombre de conf rences de presse que sur leur calendrier tableau 5 1 Tableau 5 1 Calendrier des conf rences de presse r gionales tenues lors du lancement de I Enqu te sociale et de sant 1998 R gion Date et lieu Nord du Qu bec 19 janvier Chibougamau Lanaudi re 21 janvier Charlemagne et Joliette Bas Saint Laurent 27 janvier Rimouski Gasp sie les de la Madeleine 28 janvier Gasp Abitibi T miscamingue 80 janvier Rouyn Noranda Estrie 10 f vrier Sherbrooke Mauricie Centre du Qu bec 17 f vrier Trois Rivi res et Drummondville Mont r gie 14 avril Longueuil Outaouais 12 mai Hull 1 Conf rence de presse tenue sans la participation des repr sentants de Sant Qu bec et du Groupe L ger et L ger inc mais pr par e en collaboration Malgr l absence de conf rences de pr
70. l objet d un article dans la Revue canadienne de sant publique L vesque et autres 2001 La premi re question sur la pr sence de sifflements dans la poitrine un moment quelconque dans les 12 derniers mois QRI133 s inspire de la question 1 du questionnaire autoadministr de I tude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 et d une question du tableau 5 d un article de Evans et autres 1987 Les trois questions suivantes s adressent aux personnes ayant r pondu oui a la question QRI133 Elles visent d finir la fr quence des sympt mes respiratoires QRI134 ainsi que leur sp cificit QRI135 et leur gravit QRI136 La question 1 du questionnaire autoadministr de l tude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 et les questions 10 et 10a du questionnaire autoadministr de I tude de la sant respiratoire chez les jeunes de Montr al ont servi de sources la question QRI134 Ernest et autres 1995 La question 1 2 de l tude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 a donn lieu la question QRI135 La question 1 1 de cette derni re tude ainsi que la question 11 de l tude de la sant respiratoire chez les jeunes de Montr al Ernest et autres 1995 ont donn lieu a la question QRI136 Section XI Vision et audition QRI137 QRI140 Les questions sur la vision s int resse a la vision de pr s QRI137 et a la vision de loin QRI138 Elles s adressent aux p
71. l activit physique et la sant 1998 Nolin et autres para tre enqu te t l phonique d une quinzaine de minutes portant sp cifiquement sur le sujet comme ce fut le cas lors de l ESS92 98 Section V Le tabac QAA20 QAA32 La grande majorit des questions de cette section proviennent des enqu tes ant rieures Les questions sur l usage de la cigarette QAA20 l usage de la cigarette tous les jours QAA21 l ge l initiation la cigarette QAA22 le nombre de cigarettes fum es par jour QAA23 et la description des anciens fumeurs QAA25 sont tir es des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 La question sur l usage de cigarettes bout filtre QAA24 provient de l enqu te de 1992 1993 Les questions sur l ge d initiation la cigarette chez les anciens fumeurs QAA26 sur l ge de cessation de fumer la cigarette chez les anciens fumeurs r guliers QAA27 sur le nombre de cigarettes fum es chez les anciens fumeurs QAA28 sur l usage de la pipe QAA30 du cigare QAA31 et de tabac a priser ou chiquer QAA32 proviennent de l enqu te de 1987 Le libell des questions QAA30 QAA32 ainsi que leurs cat gories de r ponse ont t l g rement modifi s en 1998 mais on estime que ces changements n emp chent pas la comparaison entre les deux enqu tes La question sur la fr quence d exposition la FTE selon les lieux d exposition a t cr e express ment pour les besoins de l tude QAA29 Elle
72. l ajustement de la distribution des r pondants celle de la population vis e Il est noter qu toutes ces tapes de pond ration tant pour le QRI que pour le QAA une attention particuli re a t accord e aux poids extr mes des ajustements ont donc t faits pour ramener le plus possible les valeurs jug es aberrantes ou extr mes l int rieur des limites raisonnables 14 1 Poids associ s la probabilit de s lection Comme l enqu te sociale et de sant de 1998 utilise un chantillon probabiliste elle permet d associer a chaque unit de la population logement la probabilit qu elle soit choisie dans l chantillon Dans le but de g n raliser ou d inf rer les r sultats de l chantillon la population on utilise l inverse de cette probabilit de s lection comme pond ration initiale Pp Cette premi re tape de pond ration permet de tenir compte ad quatement de la non proportionnalit de l chantillon de l enqu te par rapport a la distribution de la population Donc P k PS k ou PS k Probabilit de s lection du logement k de PUSE j de UPE i de la strate secondaire h PS ih x PS j ih x PS k jih 172 173 On peut donc pr senter le poids initial sous la forme ou PS ih 1 DR PS ih PS jlih PS kl jih repr sente la probabilit de s lection de UPE i de la strate secondaire h Cette probabilit de s lection est proportionnelle la taille de
73. l analyse formation des chercheurs et v rification des r sultats litigieux Pour I tape de la collecte qui requ rait le recours une maison de sondage le contrat a t octroy au Groupe L ger et L ger inc devenu depuis le Groupe L ger Marketing la suite d un appel d offres auquel avaient r pondu trois firmes de sondage La soumission retenue est celle qui pr sentait le meilleur rapport qualit prix selon un jury qui en a fait la recommandation au comit d administration alors en place Sant Qu bec tant donn les exigences stipul es au contrat quant un contr le de qualit tr s strict Sant Qu bec s est associ chacune des t ches confi es au Groupe L ger et L ger inc Par exemple Recrutement du personnel de coordination du terrain Pr paration de la majorit des instruments de formation a la collecte et recrutement de la personne charg e de donner la formation aux coordonnatrices celle ci ayant t elle m me coordonnatrice de terrain a Montr al et charg e de formation pour les nouveaux intervieweurs durant l ESS92 93 D termination des codes de non admissibilit et de non r ponse des questionnaires Codification et validation de base des donn es recueillies Tout au long de la r alisation du contrat la firme et Sant Qu bec ont eu des contacts tr s troits presque quotidiens et ont pu r agir promptement aux situations rencontr es Un comit form de repr
74. la majorit des enqu tes statistiques les estimations produites sont entach es d erreurs dites d chantillonnage c est dire celles dues au fait que l on n enqu te qu une partie de la population vis e La complexit du plan de sondage utilis pour produire l chantillon de l Enqu te sociale et de sant 1998 influence grandement la pr cision des r sultats une mesure de la pr cision de chaque estimation est donc n cessaire linf rence c est dire pour proc der l analyse et l interpr tation des r sultats avec circonspection Le recours un plan stratifi deux degr s d chantillonnage a un impact sur la pr cision des estimations La r partition non proportionnelle de l chantillon et la concentration des unit s d chantillonnage en unit s primaires et en m nages m nent une pr cision moindre que celle qu on aurait eu avec un chantillon al atoire simple de m me taille Ce dernier type de plan n aurait pas pu tre s rieusement envisag compte tenu notamment des objectifs particuliers li s l obtention de statistiques r gionales et infrar gionales et des co ts de collecte qu aurait engendr s cette fa on de faire L effet de plan nous renseigne sur cette perte de pr cision associ e une estimation attribuable au plan de sondage de Enqu te sociale et de sant 1998 Il se d finit comme le quotient de la variance calcul e avec le plan de sondage complexe de l enqu te par l
75. la non r ponse est al atoire dans une m me classe d imputation 15 3 4 Transformation des variables pour le mod le logistique Plusieurs variables reli es au revenu ont t s lectionn es certaines d entre elles sont associ es aux individus et d autres aux m nages tant donn que la variable imputer est une variable m nage il est n cessaire de transformer les variables individus en variable m nage Diff rentes approches ont t utilis es pour accomplir cette t che telle que d crite au tableau 15 11 Par exemple on a utilis la variable QAA231 qui est le revenu personnel provenant du questionnaire autoadministr Cette variable qui n a pas t utilis e pour l imputation lors de l enqu te de 1992 1993 est fortement reli e au revenu du m nage Deux constructions ont t tudi es pour convertir QAA231 en variable m nage 198 le maximum du revenu des individus du m nage tant donn que le revenu individuel est cat gorique le maximum est calcul l aide de la borne maximale de la cat gorie du revenu individuel variable Q231 la somme du point milieu de l intervalle de la cat gorie du revenu des individus variable Q231 d un m me m nage La seconde construction a t privil gi e car la variable r sultante est plus fortement li e au revenu brut du m nage provenant du QRI En cons quence la nouvelle variable m nage cr e repr sente le pseudo revenu du m nage construit
76. la r gion l annexe 4 titre de coordonnatrices de terrain elles taient responsables des intervieweurs et devaient assurer la bonne marche de l enqu te sur le territoire qu elles couvraient Leur premi re fonction a consist mettre leur quipe en place recrutement et s lection des intervieweurs Apr s avoir re u leur propre formation avec les autres coordonnatrices Montr al elles ont form les membres de leur quipe cette fois ci dans les r gions En plus d assumer la supervision et la formation continue leur principale responsabilit a port sur le soutien et le suivi de leur quipe car l informatisation du QRI les a soulag es des t ches fastidieuses de v rification 35 La firme et les coordonnatrices ont recrut les intervieweurs a partir d exigences de Sant Qu bec avoir de l exp rience tre disponibles et autant que possible provenir des r gions qu ils auraient couvrir Ayant g r la collecte des donn es de l ESS92 98 la firme disposait donc d j d une liste des personnes qui avaient agi comme intervieweurs lors de l enqu te pr c dente Au besoin les coordonnatrices ont fait appel aux organismes d emploi des localit s Une partie des intervieweurs a t rencontr e par Sant Qu bec lors des sessions de formation Au total 170 intervieweurs ont t recrut s en cours d enqu te Lors de la premi re vague 115 intervieweurs taient sur le terrain tandis qu la der
77. la r gression logistique une mod lisation de l indice de sant a galement t refaite en utilisant la variable vague en deux cat gories Le mod le final conduit un seuil observ pour la variable PANNE de 0 043 Ces deux r sultats indiquent que la proportion de personnes sinistr es ayant consult un professionnel de la sant est relativement plus grande que celle observ e chez les non sinistr s et ce lorsqu on contr le l effet confondant de certaines caract ristiques sociod mographiques Par contre cet cart ne se concentre pas uniquement la premi re vague 213 L estimation du rapport de pr valences ajust indique que pour des personnes ayant des caract ristiques sociod mographiques semblables la proportion de personnes ayant consult un professionnel est 1 08 fois plus lev e chez les sinistr s que la proportion correspondante parmi les non sinistr s Puisqu on estime qu environ 35 des Qu b cois ont t sinistr s la proportion de personnes ayant consult un professionnel de la sant produite avec les donn es de l enqu te de 1998 correspond une surestimation de 0 7 par rapport ce qu on aurait eu s il n y avait pas eu de temp te de verglas Sans cette temp te donc on peut penser que la proportion qui nous int resse ici aurait t d environ 24 5 plut t que 25 2 NBRE_PS nombre de probleme de sant En utilisant la variable NBRE_PS et la vague en deux cat gories com
78. la section 1 3 du manuel d instructions pour l num ration 5 Collecte des donn es La collecte des donn es s est d roul e en quatre vagues distinctes tal es sur une ann e compl te du 5 janvier jusqu au 15 d cembre 1998 pour tenir compte des variations saisonni res des variables tudi es dans l enqu te Le calendrier initial de l enqu te a t modifi de fa on diviser chaque vague en deux p riodes de 4 6 semaines inclure une tape de r cup ration et r aliser l num ration des logements au moment le plus pr s possible du d but de la collecte une fois les v rifications des r sultats de l num ration termin es et l chantillon tir calendrier l annexe 4 Les UPE et les logements chantillonn s ont t r partis galement dans chaque vague Sant Qu bec avait exig par contrat l atteinte de taux de r ponse lev s et pr vu des mesures pr cises pour y arriver un nombre minimal de visites aux adresses s lectionn es avant l abandon du m nage un incitatif financier de 15 remis l informateur cl du m nage des p nalit s mon taires la firme de sondage etc tant donn la lourdeur de la collecte de l EQLA men e partir des r pondants de l ESS98 et r alis e en m me temps que celle ci d o son impact sur l ensemble du processus les activit s associ es cette 8 UPE unit primaire d chantillonnage voir Base de sondage la partie IIl Aspect
79. la superficie habit e Les trois premiers crit res ont servi obtenir l ensemble des regroupements possibles et les deux derniers ont permis de choisir l int rieur de cet ensemble Ces crit res visaient galement mieux contr ler la t che lors de l num ration tout en assurant une certaine dispersion g ographique de l chantillon Les 9 169 UPE ainsi form es se r partissent en deux grands types celles qui comptent un seul secteur de d nombrement et celles correspondant un regroupement de secteurs de d nombrement La distribution des UPE selon leur type est pr sent e au tableau 12 2 Tableau 12 2 R partition des UPE selon le type Enqu te sociale et de sant 1998 Type Nombre d UPE 1 SD 8 706 94 95 Regroupement de 2 SD 435 4 74 Regroupement de 3 SD 27 0 30 Regroupement de 4 SD 1 0 01 Total 9 169 100 00 Le nombre de m nages priv s contenus dans chaque UPE varie de 60 a 625 avec une moyenne de 286 m nages priv s Le nombre d UPE par r gion sociosanitaire varie quant lui de 24 dans le Nord du Qu bec a 2 799 pour Montr al Centre Ces variations proviennent principalement des variations de population Le tableau 12 3 pr cise le nombre total d UPE sur le territoire de chaque r gion sociosanitaire 153 Tableau 12 3 Nombre total d UPE pour chaque territoire de r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 1998 R gion sociosanitaire Nombre d UPE 1 Bas Saint Lauren
80. le libell de celle ci a t modifi e avec l ajout de l nonc ou tes vous d j m nopaus e ce qui emp che toute comparaison Section XIV Le service Info Sant CLSC QAA194 QAA198 Le service Info Sant CLSC abord pour la premi re fois dans une enqu te g n rale de Sant Qu bec vise mesurer la notori t de ce service t l phonique et d crire son utilisation par la population qu b coise Ce service permet a l ensemble de la population de communiquer avec des infirmi res 24 heures sur 24 7 jours sur 7 pour obtenir de l information et des conseils au sujet de toute question reli e la sant et au bien tre Dunnigan 2000 La premi re question demande au r pondant s il sait s il existe un service t l phonique hfo Sant dans sa r gion QAA194 Cette question s inspire de celle d un sondage r alis au cours de l valuation provinciale des services Info Sant CLSC SOM 1998a 1998b Toutefois dans ce sondage elle faisait suite une autre question plus g n rale et dont les r sultats ont t largement rapport s mais qui ne faisait pas r f rence la r gion du r pondant Les deux questions suivantes permettent de conna tre la proportion de gens qui ont d j utilis le service au moins une fois au cours de leur vie QAA195 et la fr quence d utilisation au cours des 12 derniers mois QAA196 Des questions semblables mais non identiques se retrouvaient dan
81. le type d assurance priv e QRI142 QRI144 Les services couverts par les r gimes d assurance priv s sont examin s l aide des questions QRI145 QRI150 Les derni res questions soit QRI151 et QRI152 portant sur la couverture des frais de sant par le r gime d assurance public semblent cependant avoir pos probl me dans les analyses Selon la question QRI151 Quelqu un du foyer est il inscrit au programme d assurance m dicaments du Qu bec Si oui Qui 35 des Qu b cois seraient inscrits un tel programme Parmi les personnes de 65 ans et plus dont la presque totalit devrait tre couverte par ce programme seulement 69 le seraient selon l enqu te Par ailleurs la question QRI152 Quelqu un du foyer est il couvert par un autre programme d aide sociale tel que la s curit du revenu c est dire le bien tre ou l aide sociale ou la pension de la s curit de la vieillesse qui paie en partie ou en totalit les soins de sant tels les examens de la vue les soins dentaires Si oui Qui 14 des Qu b cois b n ficieraient d une telle couverture Ce pourcentage est de 56 pour les personnes de 65 ans et plus Or ce dernier pourcentage aurait d s approcher de 100 puisque les personnes de ce groupe d ge re oivent toutes la pension de la s curit de vieillesse ce qui les rend admissibles de facto certains programmes publics tels ceux mentionn s dans la question QRI152 Cette situ
82. les poids moyenne 1 consiste diviser la statistique habituelle du test par le minimum des effets de plan des deux variables en pr sence dans un tableau crois de fr quences Puis si un test plus exact s av rait n cessaire la correction de Satterthwaite pour le test du khi deux tait faite l aide du logiciel SUDAAN sp cialis dans le traitement de donn es d enqu tes Parmi les corrections au test du khi deux disponibles dans le logiciel SUDAAN cette correction a t retenue puisqu elle permet un meilleur contr le de l erreur de type du test Skinner et autres 1989 Les tests d galit de deux proportions taient d abord effectu s partir de deux intervalles de confiance un pour chaque param tre d int r t La r gle de d cision s articulait alors autour de l absence de chevauchement entre ces intervalles Cette approche a l avantage d tre simple r aliser avec un logiciel comme SAS cependant elle conduit souvent un test trop conservateur C est pourquoi lorsque des diff rences pouvaient sembler importantes sans avoir t d clar es significatives par cette m thode on tablissait la comparaison en effectuant directement avec SUDAAN un test sur la diff rence des proportions a l tude Pour la comparaison des caract ristiques de la population en 1987 ou en 1992 1993 celles de 1998 la d marche utilis e consistait essentiellement construire des intervalles de comparaison pour les d
83. novembre 1997 celle de la vague 2 du 1 au 7 d cembre 1997 heureuse d cision tant donn les difficult s survenues lors de la temp te de verglas Lors de l num ration les intervieweurs avaient en main le sch ma de PUPE couvrir sur lequel les coordonnatrices avaient pr alablement trac le chemin et le sens du parcours Les intervieweurs dressaient la liste des logements priv s sur une feuille pr identifi e du num ro de UPE en inscrivant l adresse lorsque celle ci n tait pas visible on donnait une description du logement Les listes d num ration taient d abord v rifi es par la coordonnatrice au fur et mesure puis achemin es au BSQ qui en faisait la contre v rification Les erreurs ou les num rations douteuses taient corrig es sur le terrain puis les listes retourn es au BSQ La firme avait mis au point un syst me de valorisation de la qualit des listes d num ration de sorte que d une vague l autre les erreurs se sont faites plus rares Au moment de l num ration les intervieweurs n avaient pas s assurer que les logements num r s abritaient des personnes vis es par l enqu te Les seules habitations qui ne devaient pas tre num r es taient les logements collectifs et les commerces 5 5 Lancement de l enqu te et campagne d information Le lancement officiel a eu lieu le 7 janvier 1998 en pr sence de Mme Christine Colin sous ministre la Direction g n ra
84. par l intervieweur de l Etude europ enne la pi ce utilis e le plus pendant la sur la sant respiratoire Burney et autres 1994 journ e Le QRI186 s inspire de la question 41 de la version QRI187 pr sence d un tapis mur a mur ou fran aise et le QRI187 de la question 40 de la dont la superficie est importante dans version anglaise la chambre a coucher QRI188 poss de un ou des chats Les QRI188 et 188a s inspirent des questions 48 48 1 de la version francaise et des questions 42 QRI88a laisse rentrer le les chat s dans la 49 4 et 42 2 de la version anglaise chambre a coucher QRI189 poss de un ou des chiens Les QRI189 et QRI189a s inspirent des questions 49 49 1 de la version fran aise et des questions QRI189a laisse rentrer le les chien s dans la 43 43 1 et 43 2 de la version anglaise chambre coucher QRI190 poss de d autres animaux poil ou Les QRI190 et QRI190a s inspirent des questions des oiseaux l int rieur du domicile 50 et 51 de la version fran aise et des questions 44 QRI190a laisse rentrer l autre s animal aux et 45 de la version anglaise ou oiseau x dans la chambre a coucher L une ou l autre des modifications suivantes la suggestion du comit de l orientation de apport es l int rieur du domicile parce que quelqu un du foyer souffre d asthme ou d allergie QRI191 a enlev les tapis QRI192 a augment la ventilation QRI193 a r duit ou limin la consommation d
85. partir des revenus individuels elle a t cat goris e selon les m mes cat gories utilis es par le revenu du m nage provenant du QRI Le pseudo revenu sera une des variables utilis es pour cr er un mod le qui expliquera le mieux la variable r ponse qui est le revenu brut du m nage Tableau 15 11 Description de certaines variables reli es au revenu Enqu te sociale et de sant 1998 Type de Modification apport e pour obtenir une variable variable m nage AGE Age des r pondants QRI Individu Cat gorisation suivie du maximum de l ge des individus du m nage Variable s lectionn e Description FAMILLE Type de famille Indice M nage Recat gorisation Q234 Perception de la situation Individu Meilleure valeur du m nage conomique QAA Q231 Revenu personnel QAA Individu Somme du point milieux de l intervalle de la cat gorie du revenu des individus d un m me m nage la variable r sultante se nomme pseudo revenu SCOLRL98 Scolarit relative QAA Individu Valeur la plus lev e du m nage STATUT Occupation habituelle Individu Priorit la plus lev e du m nage selon la 2 derni res semaines Indice priorit assign e STATACT2 Occupation habituelle Individu Priorit la plus lev e du m nage selon la 12 derniers mois Indice priorit assign e 15 3 5 R sultats obtenus Nous avons cr 13 mod les diff rents d imputation selon le type de r ponses du revenu m na
86. personnes De cette fa on la variable Pim prend une valeur moyenne de 1 et sa somme sur l ensemble des r pondants au QRI est de 30 386 Ce poids est utilis lorsque lunit d analyse au QRI est l individu 185 Lorsque l unit est plut t le m nage la variable de pond ration qui ram ne le total des poids P au nombre de m nages r pondants se calcule comme suit 11986 Pin K Pik ae Ip k o 11 986 repr sente le nombre total de m nages r pondants au QRI et la somme au nombre estim de m nages priv s en 1998 c est dire 2 963 478 De cette fa on la variable P prend une valeur moyenne de 1 et sa somme sur l ensemble des m nages r pondants au QRI est de 11 986 Au QAA 20 773 P m m Pam m Pp m o 20 773 est le nombre de r pondants au QAA et la somme de P est gale au nombre estim de personnes de 15 ans et plus vivant dans les m nages priv s soit 5824 783 personnes De cette fa on la variable Pom prend une valeur moyenne de 1 et sa somme sur l ensemble des r pondants au QAA est de 20 773 Ces trois variables de pond ration ne changent pas le poids relatif des r pondants elles en changent seulement l ordre de grandeur Peu importe que les poids moyenne 1 Pim Pam OU Pam ou les poids populationnels P ou Pa soient utilis s ils n influent en rien les estimations de proportion ou de moyenne Par contre pour les estimations de totaux on se doit d utiliser les po
87. poids trop grands apr s l ajustement pour la non r ponse au QRI et d ajuster de fa on indue pour des taux de r ponse variant al atoirement Si le taux de r ponse associ a une USE tait d au moins 50 la classe de pond ration tait form e de PUSE proprement dit En g n ral les classes de pond rations correspondaient aux USE Au total 40 USE ont t regroup es pour former 20 classes de pond ration et ainsi obtenir 1 072 classes 22 Vingt classes de pond ration ont t form es avec deux USE Parmi ces vingt classes six d entre elles ont t constitu es de deux USE de p riodes de collecte diff rentes afin d obtenir dans ces cas des classes avec des caract ristiques socio conomiques et d mographiques homog nes 177 Ainsi le taux de r ponse pond r pour une classe de pond ration not e c correspond a Po k R k k c ee Po k A k k c o 1 si le logement k de l USE j de l UPE i de la strate h est r pondant R k 7 90 si le logement k n est pas r pondant Ak 31 si le logement k de l USE jde l UPE i de la strate h est admissible 90 si le logement k n est pas admissible Le logement k de PUSE j de l UPE i de la strate h de la classe de pond ration c se voit donc attribuer un poids P gal a P k po c Les taux de r ponse pond r s sont pr sent s respectivement par r gion sociosanitaire et par p riode de collecte au tableau 14 1 178 Tableau 1
88. ponse partielle au QAA apr s trois vagues Enqu te sociale et de sant 1998 186 Description des cat gories de l indice de suffisance du revenu Enqu te sociale et de sa nt 1998 555 coset ha RTE ONE tase let am ahi SE ames bio ables nee 187 Distribution de l ensemble des m nages et du sous ensemble des m nages non r pondants SUFREV selon le revenu d clar Enqu te sociale et de sant 1998 188 Distribution des m nages pour lesquels une valeur SUFREV ne peut tre attribu e selon le type de non r ponse Enqu te sociale et de sant 1998 189 Distribution des m nages selon qu une valeur de SUFREV peut ou non tre attribu e Enqu te sociale et de sant 1992 1993 et Enqu te sociale et de sant 1998 189 15 11 15 12 15 13 16 1 16 2 17 1 17 2 17 3 17 4 17 5 17 6 17 7 18 1 18 2 18 3 18 4 18 5 Description de certaines variables reli es au revenu Enqu te sociale et de sant 1998 191 Mod les utilis s pour l imputation de l indice de suffisance du revenue Enqu te sociale et de sante TO LR re en nt Sn 192 Distribution des m nages selon le revenu avant et apr s l imputation Enqu te sociale et OC SAMO AOC Es nn RAT ee ES AE Te ne nl 193 Effets de plan pour le QRI et le QAA Enqu te sociale et de sant 1998 197 Effets de plan r gionaux pour le QRI et le QAA Enqu te sociale et de sant 1998 198 Taux de r ponse pond r au QRI
89. pr c dentes le tron on de route les reliant Havre St Pierre ayant t compl t Le tableau 12 1 indique les municipalit s ayant t mises de c t avec le nombre de m nages priv s correspondant Elles repr sentent 0 11 de la population vis e 17 Bien que le recensement canadien inclut les r sidents non permanents dans la population qu b coise ceux ci ne sont pas vis s par l ESS98 En 1991 ils repr sentaient environ 0 3 de la population qu b coise 150 Les secteurs de d nombrement sont les unit s de base de toutes les unit s g ostatistiques du recensement Comme les secteurs de d nombrement en milieu urbain ont une densit de population sup rieure a ceux en milieu rural une distinction est faite a ce niveau Ainsi les secteurs de d nombrement en milieu rural avec au plus 20 m nages priv s ne sont pas retenus En milieu urbain ne sont pas conserv s les secteurs de d nombrement avec 10 m nages et moins Au total les secteurs mis de c t comptent pour 0 03 de la population vis e Toujours selon les donn es de recensement de 1991 la population chantillonn e couvre environ 99 8 de la population vis e par l enqu te de 1998 La couverture est excellente partout au Qu bec s tablissant au moins 99 pour chaque r gion sauf pour la te Nord et le Nord du Qu bec respectivement 94 2 et 93 5 La couverture de la C te Nord est toutefois meilleure que celle de l enqu te de 1992 1993
90. premi re question QAA46 est bas e sur deux questions de 1992 1993 c est aussi le cas pour la deuxi me QAA47 Ces modifications emp chent une comparaison directe avec les r sultats de l enqu te 1992 1993 Plusieurs questions utilis es en 1992 1993 n ont pas t reprises en 1998 cause de la faible pr valence des r ponses et du peu d utilisation des r sultats qui en a t fait Ces questions portaient sur la fr quence d utilisation des produits au cours des 12 derniers mois QAA49 QAA51 QAA53 QAA57 QAA59 QAA61 QAA63 et QAA65 sur la consommation de certaines drogues comme celles base d opium autre que l h ro ne QAA56 les barbituriques les s datifs etc QQAA60 et sur l existence et la nature de probl mes de sant li s l utilisation de l une ou l autre des drogues ou m dicaments identifi s QAA66 et QAAG7 Section VIII Le travail QAA48 QAA97 Cette section constitue un ajout par rapport aux enqu tes ant rieures Les questions de cette section permettent d examiner plusieurs nouveaux aspects du travail soit certaines caract ristiques g n rales des travailleurs QAA49a QAA49c et QAA50 QAA52 diverses conditions de travail QAA71 QAA86 les probl mes musculo squelettiques des travailleurs QAA90 a QAA95 et les postures de travail QAA87 QAA89 De plus comme en 1992 1993 on mesure l autonomie d cisionnelle au travail QAA53 QAA61 ainsi que pour la premi re fois la
91. r pondant V rifier la concordance On donne la priorit au QAA QRI Section d identification QAA 221 sexe NOTE Sexe du r pondant V rifier la concordance On donne la priorit au QAA Les v rifications effectu es pour s assurer de la coh rence entre les r ponses d un m me instrument ou entre les instruments ont permis de d celer certains cas qui n ont pu tre corrig s faute d information permettant de donner priorit l une des r ponses En cons quence certaines incoh rences subsistent dans les r ponses donn es aux questions suivantes CRI Questions sur les accidents avec blessures Comparaison du nombre de lieux d accidents d clar s QRI51 QRI58 au nombre d accidents d clar s QRI59 QAA Questions sur la consommation d alcool Croisements de QAA39 avec QAA37 et QAA38 Croisements de QAA43 avec QAA37 QAA38 et QAA39 Croisements de QAA40 et QAA41 Croisements de QAA42 et QAA43 50 Questions sur le temps coul depuis le divorce ou la s paration de l autre parent de l un de ses enfants de moins de 18 ans QAA174 et nombre d ann es a QAA175 QRI vs QAA Composition du m nage Section d identification du QRI QAA159 et QAA161 Section d dentification du QRI QAA171 QAA173 QAA181 et QAA182 6 3 2 Processus de correction des erreurs Sant Qu bec a examin la pi ce toutes les erreurs d tect es par les programmes de validation conjoi
92. rable ou encore pour l ensemble de la r gion Un total de 1 420 logements a t ainsi ajout par ces achats r gionaux Finalement un ajustement mineur dans l chantillon de logements de trois r gions Abitibi T miscamingue C te Nord Gasp sie lles de la Madeleine a t effectu afin que le nombre d UPE s lectionner soit un nombre entier Ainsi 10 logements ont t ajout s pour chacune des trois r gions soit un total de 30 19 L effet de plan est le quotient de la variance estim e en tenant compte du plan de sondage par la variance obtenue partir d un plan de sondage al atoire simple de m me taille 20 Un chantillon de 800 logements avec une concentration de 30 logements par UPE ne donne pas un nombre entier d UPE s lectionner 161 logements additionnels 162 L chantillon total comprend donc 15 330 logements et n est pas r parti proportionnellement selon les r gions et les aires homog nes Par exemple 0 30 des logements montr alais sont chantillonn s alors que ce taux atteint 10 78 pour le Nord du Qu bec La distribution de l chantillon ne repr sente pas directement la distribution de la population vis e et toute inf rence a cette derni re doit tenir compte de l chantillonnage tableau 12 7 Tableau 12 7 Distribution de la population des logements selon le recensement de 1991 distribution de l chantillon des logements et rapport entre le nombre de logements
93. re question porte sur la consultation d un professionnel de la sant pour ces bruits QAA202 et a t cr e express ment pour les besoins de l enqu te 111 Section XVI La sexualit QAA203 a QAA220 L enqu te de 1998 a innov en incluant des questions sur la sexualit QAA203 QAA220 Ces questions examinent certains aspects des comportements sexuels tels que l ge a la premi re relation le nombre et le type de partenaires l utilisation du condom et le fait d avoir t trait pour une maladie transmise sexuellement MTS tels que pr sent s dans le chapitre 9 Adrien et autres 2000 du rapport de l ESS98 De plus une question sur l orientation sexuelle ajout e la demande du groupe ayant propos les questions sur ce th me a fait l objet d analyses entre les personnes h t rosexuelles homosexuelles et bisexuelles dans le chapitre 10 Clermont et Lacouture 2000 La premi re question sur le fait d avoir d j eu ou non des relations sexuelles QAA203 sert d introduction la section Si la r ponse est oui la personne poursuit en r pondant a deux questions l une sur l orientation sexuelle QAA204 l autre sur le fait d avoir d j eu des relations sexuelles avec p n tration QAA205 Les questions QAA204 et QAA205 s inspirent de celles d j utilis es dans l Enqu te qu b coise sur les facteurs de risque associ s au sida et aux autres MTS la population des 15 29 ans 1991 Sant
94. reclass es parmi les cat gories existantes si la fr quence de la r ponse tait suffisamment grande une nouvelle cat gorie s ajoutait la liste Ces reclassements ou ces modifications aux listes de r ponses se faisaient conjointement avec Sant Qu bec qui au besoin consultait les chercheurs responsables de l analyse de ces r ponses Cette m me proc dure a t suivie pour les questions ouvertes du QAA Puisque le logiciel du QRI ne permettait pas de revenir aux questions des sections pr c dentes les touches F5 et F6 ont t abondamment utilis es par les intervieweurs pour ajouter de l information suppl mentaire fournie en cours d entrevue par les r pondants ainsi que leurs propres commentaires Ces notes ont servi clarifier ou corriger l information enregistr e dans le QRI La codification des probl mes de sant a pos des difficult s particuli res le logiciel emp chant l archiviste m dicale d avoir acc s l ensemble des probl mes de sant et toute l information donn e par les r pondants pour un m me probl me De plus la section IX du QRI Questions sur les probl mes de sant d clar s tait cod e s par ment du reste du questionnaire et souvent par un codeur diff rent ce qui a amen des incoh rences entre cette section et celles o les probl mes avaient t d clar s pour information 45 compl mentaire voir la partie Ill section 3 8 Les directives aux codeurs n t
95. rendus comparables quant leurs caract ristiques sociod mographiques La mod lisation a t faite l aide des proc dures RLOGIST pour les indices de sant dichotomiques et MULTILOG pour les indices plusieurs modalit s de SUDAAN un logiciel construit pour tenir compte de la complexit du plan de sondage de l enqu te Pour une variable k modalit s la proc dure MULTILOG effectue k 1 r gressions logistiques en utilisant la m me modalit comme modalit de r f rence La comparaison des groupes sinistr s et non sinistr s est bas e sur un test global utilisant une pond ration sp ciale pour tenir compte du plan de sondage complexe et de la non r ponse au questionnaire sur le verglas Le choix du seuil critique utilis pour les tests 0 01 a t fait de fa on viter la d tection de diff rences minimes qui ne sont pas n cessairement dues au verglas Une attention particuli re a cependant t port e aux indices de sant ayant un seuil observ pr s de 0 05 ou inf rieur 0 05 dans le but d tudier le comportement de ces indices lorsqu on consid re certaines variables socio d mographiques dans le mod le Par ailleurs la quantification d une diff rence significative entre les proportions de personnes sinistr es et de personnes non sinistr es pour une variable ou un indice de sant donn peut se faire en utilisant les rapports de cotes associ s l indice PANNE et ajust s pour les variables sociod
96. revenus nuls en revenus manquants Notons que parmi les 1 642 m nages pour lesquels une valeur de l indice de suffisance du revenu ne peut tre attribu e 87 6 de ceux ci n ont pas fourni de revenu alors que 12 4 ont r pondu de fa on impr cise par exemple plus de 40 000 Ces pourcentages sont fort diff rents de ceux obtenus l enqu te de 1992 1993 o 19 8 n avaient pas fourni de revenu et 80 2 avaient r pondu de fa on impr cise On note par ailleurs une baisse marqu e du pourcentage de m nages pour lesquels une valeur de l indice de suffisance du revenu ne peut tre attribu e l enqu te de 1998 par rapport celle de 1992 1993 ce pourcentage est pass de 29 9 13 7 Cette am lioration est possiblement due l informatisation du questionnaire Ces r sultats sont r sum s aux tableaux 15 9 et 15 10 Tableau 15 9 Distribution des m nages pour lesquels une valeur de SUFREV ne peut tre attribu e selon le type de non r ponse Enqu te sociale et de sant 1998 et Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Type de non r ponse Revenu impr cis Aucun revenu fourni Total Tableau 15 10 Distribution des m nages selon qu une valeur de SUFREV peut ou non tre attribu e Enqu te sociale et de sant 1998 et Enqu te sociale et de sant 1992 1993 ESS98 ESS92 93 N N M nages pour lesquels une valeur de SUFREV ne peut tre attribu e 29 9 M nages pour lesquels u
97. se sont ajout es lors de la transformation du fichier provenant du logiciel de saisie en un fichier de donn es facilement exploitable ind pendamment du syst me ou de l appareil informatique la fin de chaque vague de collecte la firme de sondage remettait un fichier de donn es Sant Qu bec qui pouvait alors effectuer une v rification du fichier et am liorer le processus de validation pour l tape suivante cette fin Sant Qu bec a d velopp ses propres programmes informatiques de validation cr s sp cialement pour l enqu te Ces programmes permettaient de v rifier entre autres les validations d j appliqu es par la firme 6 3 1 Description des types de validation ll existe diff rents types de validation pour assurer la qualit des donn es d une enqu te Les validations de base visent les aspects fondamentaux d une collecte de donn es d enqu te codes valides respect des filtres etc alors que les validations de logique requi rent un examen plus attentif du contenu des questionnaires Par validations de base on entend par exemple celles portant sur les l ments suivants A Donn es administratives codes de non r ponse pr sents et valides pour les m nages ou les individus non r pondants nombre ad quat de questionnaires remplis consid rant le nombre d individus dans le m nage date de l entrevue conforme la vague de collecte num ro de dossier unique pour chaque r pondant
98. semaine QRI168 le caract re saisonnier du travail QRI169 et l existence d un deuxi me emploi QRI170 Comme en 1992 1998 le nombre d heures travaill es dans cet autre emploi est demand QRI171 Une nouvelle question sur la municipalit dans laquelle l entreprise est situ e QRI167 s est ajout e la demande du groupe d experts sur le travail et la sant afin de distinguer le lieu de r sidence et le lieu de travail ces derniers pouvant appartenir des municipalit s diff rentes Cette question n a pas t analys e dans le cadre du rapport de l ESS98 Difficiles obtenir cause des r ticences des r pondants les renseignements sur le revenu n en demeurent pas moins importants cause de leur lien avec la sant et le bien tre La question sur le revenu global brut du m nage provenant de toutes sources QRI172 a t utilis e lors des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 Cette question est n cessaire au calcul de l indice sur la suffisance du revenu Pour des renseignements suppl mentaires quant la construction de cet indice veuillez consulter les pages 82 83 du rapport de l ESS98 et le volume 2 du pr sent cahier indice SUFREV98 Mentionnons que cet indice diff re de celui de 78 1987 mais qu il est constitu partir des m mes seuils de revenu que celui de 1992 1993 Les comparaisons de cet indice entre 1992 1993 et 1998 demeurent toutefois hasardeuses D une part les seuils n ont pas t ajus
99. sentants du Groupe L ger et L ger inc de la firme INFO 01 et de Sant Qu bec s est r uni a une fr quence mensuelle a partir du mois d aodt 1997 puis aux deux semaines durant les trois premiers mois de l enqu te Par la suite des r unions taient convoqu es au besoin par l une ou l autre des parties La plupart des d cisions relatives a la collecte ont ainsi t prises ou approuv es par Sant Qu bec 4 Conception et pr paration de I Enqu te sociale et de sant 1998 Lors des enqu tes g n rales pr c dentes un comit d orientation assumait les t ches relatives l orientation et la m thodologie de l enqu te C tait avant que Sant Qu bec mette sur pied un comit scientifique charg express ment d tudier les aspects m thodologiques des enqu tes L quipe de coordination de l ESS98 a donc t second e non seulement par le comit d orientation de l enqu te mais aussi par le comit scientifique de Sant Qu bec Voir le mandat de ces comit s l annexe 1 et le document de synth se pr par l intention du comit d administration de Sant Qu bec qui a ent rin les r sultats des travaux pr paratoires Sant Qu bec 1995 Par ailleurs l ensemble du protocole et des instruments ont t soumis 22 au comit d thique de Sant Qu bec 4 1 Comit d orientation Assumant le r le de comit conseil le comit d orientation mis en place par Sant Qu bec a chapeau
100. servent identifier un sous ensemble de parents s par s de l autre parent de leurs enfants mineurs auquel cinq questions sont pos es Ainsi des nouvelles questions ont t cr es pour d terminer le temps coul depuis la s paration QAA175 et pour examiner les relations avec l ex conjoint QAA177 QAA179 Quant la question sur le mode de garde QAA176 elle provient de l ESS92 93 mais les choix de r ponses ont t modifi s de sorte que les diff rentes modalit s de garde concordent avec celles du R glement sur la fixation des pensions alimentaires pour enfants Qu bec 1997 Une autre question provenant de l ESS92 93 porte sur la satisfaction l gard de l implication financi re de l ex conjoint QAA180 Enfin deux questions demandant une valuation du climat d entente avec lex conjoint lune au moment de la s paration QAA177 l autre au moment de l enqu te QAA179 s inspirent des travaux de recherche centr s sur les d sunions Dandurand 1994 La question QAA178 in dite tablit l existence de contact avec l ex conjoint Trois questions cr es express ment pour les besoins de l enqu te portent sur la perception de la qualit des relations du parent avec son ou ses keaux enfants dans la mesure o il les l ve QAA181 QAA182 et QAA183 ll est noter que les questions QAA181 et QAA182 de l ESS92 93 qui visaient d terminer la pr sence d enfants hors m nage n ont pas t rep
101. sont utilis s pour l valuation des programmes sociaux et de sant pour pr parer de nouvelles strat gies de d pistage et de pr vention et pour pr voir l allocation des ressources en cons quence L Enqu te sociale et de sant 1998 rev t donc une importance et une utilit particuli res puisqu il s agit de la troisi me d une s rie d enqu tes g n rales sur l tat de sant et de bien tre de la population qu b coise En utilisant les donn es des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 comme points de comparaison dans le temps l enqu te de 1998 permet de suivre des ph nom nes mesur s cinq ans et m me 10 ans auparavant selon le cas 1 2 1987 1992 1993 1998 L Enqu te sociale et de sant 1998 ESS98 s inscrit dans le prolongement de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 ESS92 93 Sant Qu bec 1995 et de l enqu te Sant Qu bec 1987 SQ87 Sant Qu bec 1988 celle ci se situant dans la continuit de l enqu te Sant Canada de 1978 tant dans ses objectifs que dans sa m thodologie Emond 1988 C est donc dire que l ESS98 reprend son compte une grande partie des sujets tudi s dans ces enqu tes g n rales ainsi que leur approche m thodologique Elle en touche a peu pr s tous les themes y compris les probl mes de sant chroniques qui n avaient pas t examin s lors de l ESS92 93 la pr valence et la distribution de ces ph nom nes variant peu en cing ans L
102. sur les listes d num ration manuscrites Les coordonn es des logements attribu s chaque intervieweur taient aussi enregistr es dans leur ordinateur L intervieweur se rendait l adresse indiqu e se pr sentait en montrant sa carte d identit et remettait la lettre d information sur l enqu te Pour l entrevue sur le m nage QRI il demandait une personne adulte habitant le logement connaissant bien les autres membres du m nage c est le r pondant du m nage ou r pondant principal et capable de parler le fran ais ou l anglais de r pondre des questions sur leur tat de sant sur leur consommation de soins et de m dicaments et sur leurs caract ristiques sociod mographiques L intervieweur devait d abord s assurer que le r pondant du m nage tait g d au moins 18 ans Ceci fait il pouvait commencer l entrevue l aide de l ordinateur portable Apr s avoir s lectionn ce m nage l cran parmi la liste des m nages de son UPE l intervieweur posait les questions de la section d identification du m nage Voir le module 4 du manuel de l intervieweur pour la fa on de proc der Une fois la section d identification du m nage termin e et avant de poursuivre le QRI une courte pause permettait d identifier avec le r pondant principal qui parmi les membres du m nage g s de 15 ans et plus tait actuellement pr sent la maison et qui aurait besoin de l aide de l intervieweur pour re
103. taill des diverses postures de travail Ces questions s inspirent de celles utilis es dans l Enqu te sur l emploi 1991 de l INSEE en France Les questions concernant les douleurs musculo squelettiques ressenties l une ou l autre des parties du corps au cours des 12 mois ayant pr c d l enqu te QAA90 QAAYS et celles ressenties au cours des 7 103 derniers jours QAA96 a QAA97 ayant pr c d l enqu te ont t labor es partir du questionnaire nordique d velopp par des chercheurs des pays scandinaves pour mesurer la pr valence des probl mes musculo squelettiques Kuorinka et autres 1987 et du Questionnaire sur les sympt mes de Kuorinka et Forcier 1995 Toutefois la question sur la croyance d un lien entre la douleur rapport e par le r pondant et son travail QAA94 a t cr e express ment pour les besoins de l enqu te Section IX Divers probl mes personnels QAA98 QAA140 Cette section reprend l indice de d tresse psychologique mesur e l aide d une grille d riv e du Psychiatric Symptom Index d velopp et valid par llfeld 1976 et 1978 et utilis lors des enqu tes de 1987 version 29 questions et de 1992 1993 version 14 questions En effet l enqu te de 1987 avait utilis la grille originale contenant 29 questions mais les travaux r alis s a la suite de l enqu te de 1987 par des chercheurs qu b cois Pr ville et autres 1992 ont permis de r duire le nombre de
104. tes de 1987 et de 1992 1993 Les questions permettent de dresser l ventail des professionnels consult s et d explorer les modalit s d acc s et le niveau d accessibilit aux services des m decins g n ralistes et sp cialistes Elles fournissent des donn es relatives au lieu et au motif du probl me l origine de la derni re consultation d un professionnel Une premi re s rie de questions a trait la consultation des m decins la consultation d un m decin g n raliste QRI16 ou d un m decin sp cialiste QRI17 au cours des deux derni res semaines le lieu de la derni re consultation avec ce m decin QRI16a QRI17a le fait d avoir obtenu cette consultation avec ou sans rendez vous QRI16b QRI17b le temps coul entre la prise de rendez vous et la consultation avec ce m decin QRI16c QRI17c appr ciation du temps d attente QRI16d QRI17d la distance parcourue pour rencontrer ce m decin aller seulement QRI16e QRI17e et le temps pris pour s y rendre aller seulement QRI16f QRI17f La deuxi me s rie de questions porte sur les professionnels autres que des m decins consult s au cours des deux derni res semaines dentiste QRI18 infirmier re QRI19 pharmacien ne QRI20 optom triste ou opticien ne QRI21 physioth rapeute ou ergoth rapeute QRI22 chiropraticien QRI23 acupuncteur trice QRI24 autre praticien ne de m decine non traditionnelle ou de m decine douce naturop
105. verglas proportion pond r e de r pondants au verglas QAA parmi les r pondants du QRI verglas g s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r e au verglas QAA selon la r gion sociosanitaire Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 202 Seuils de signification observ s pour les neuf variables d analyse lorsqu on tient compte des variables sociod mographiques vague en 4 cat gories Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 204 Seuils de signification observ s pour les quatre variables critiques apr s dichotomie de la variable vague vague en 2 cat gories lorsqu on tient compte des variables sociod mo graphiques Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 205 Estimations des rapports de pr valence ajust s et mod les retenus pour expliquer les diff rences enter les sinistr s et les non sinistr s pour les indices ayant r v l une diff rence significative vague en 2 cat gories tude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 ire 205 Statistiques descriptives concernant les r gions sociosanitaires tude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 208 Points de coupure utilis s pour chaque groupement de r gions et seuil du test entre les sinistr s et les non sinistr s au niveau r gional Etude de l impact de la temp te de v
106. vol 91 suppl 6 p 658 748 FOURNIER L 2001 Enqu te aupr s de la client le des ressources pour personnes itin rantes des r gions de Montr al Centre et de Qu bec 1998 1999 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec FOURNIER M A et J PICHE 2000 Recours aux services des professionnels de la sant et des services sociaux dans Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 19 p 388 GALLOP POLL LTD 1984 A study of the behaviour and attitudes of Canadians with respect to weight consciousness and weight control May HAGAN L D MORIN et R LEPINE 1998 Evaluation provinciale des services Info Sant CLSC Perception des utilisateurs Facult des sciences infirmi res Centre de recherche sur les services communautaires Universit Laval Qu bec 163 p HAMELIN A M 1999 L Ins curit alimentaire des m nages dans la r gion de Qu bec une premi re exploration Th se de doctorat Qu bec Universit Laval 254 p 141 ILFELD F W 1976 Further validation of a psychiatric symptom index in a normal population Psychological Reports vol 39 n 2 p 1215 1228 ILFELD F W 1978 Psychological status of community residents along major demographic dimensions Archives of General Psychiatry vol 35 n 4 p 716 724 KARASEK R 1985 Job Content Questionnaire and User s Guide Department of Industrial and System
107. 0 6 Rural 344 418 13 1 Total 2 622 640 100 0 1 Selon le recensement canadien de 1991 Des indicateurs socio conomiques diff rents de ceux retenus pour les enqu tes de 1987 et de 1992 1993 ont t utilis s pour d couper les zones en aires tel qu indiqu au sch ma 12 1 Ces indicateurs sont standardis s selon l ge et le sexe lorsque cela s av re possible et ne concernent que la population des 15 ans et plus 158 Sch ma 12 1 l ments statistiques la base du d coupage par aire homog ne Enqu te sociale et de sant 1998 Indicateurs socio conomiques Statut d activit Secteur de d nombrement et municipalit Scolarit Langue parl e la maison Statut d activit Secteur de d nombrement et municipalit Scolarit Mode d occupation du m nage Zone Unit s g ographiques de base M tropole Capitales r gionales Agglom rations et villes Statut d activit Secteur de d nombrement et municipalit Scolarit Mode d occupation du m nage Rural 9 Statut d activit Municipalit Scolarit Source Pampalon et autres 1998 La d termination de ces indicateurs socio conomiques s est d roul e en quelques tapes Une premi re analyse a port sur les individus en utilisant les donn es de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Un ensemble d indicateurs socio conomiques tir de cette enqu te a t retenu Le but recherch tait d identifier parmi cet e
108. 14 QAA15 et QAA16 ont t command es et pay es par Kino Qu bec programme du Secr tariat au loisir et au sport du MSSS Quant aux sources des questions QAA12 a QAA15 et QAA17 QAA18 elles proviennent de l enqu te de 1992 1993 et la question QAA19 de l enqu te de 1987 ce qui permet la comparaison entre les enqu tes Il est noter que l illustration qui accompagnait la question sur l activit physique au travail QAA19 en 1987 n a pas t reprise en 1998 on estime que ce retrait n emp che pas la comparaison entre les deux enqu tes Pour les questions QAA17 et QAA18 popularit de chacune des activit s les r sultats ne peuvent tre compar s avec ceux de l ESS92 93 car la formulation de ces deux questions a d tre modifi e afin de recueillir plus d information sur les types d activit s physiques et la fr quence de pratique de chacune au cours des 12 derniers mois S inspirant d une question de Marcus et autres 1992 la question QAA16 stades de comportement constitue un ajout par rapport aux enqu tes ant rieures Les r sultats de cette question QAA16 et de celles qui portent sur l attitude envers la pratique de l activit physique QAA14 et la perception du contr le QAA15 n ont pas t pr sent s dans le rapport de l ESS98 Ils seront ventuellement abord s dans des articles scientifiques Soulignons qu un sous chantillon de r pondants de l ESS98 ont r pondu l Enqu te qu b coise sur
109. 1996 Au Qu bec ce m me indicateur a t utilis sur l le de Montr al en 1992 lors d une enqu te sur la sant mentale visant d terminer les besoins de services en sant mentale dans la population g n rale L sage et autres 1994 C est la premi re fois que cet indicateur est employ dans le cadre d une enqu te de Sant Qu bec L ajout dune deuxi me s rie de questions sur la d tresse psychologique tait susceptible d agir sur les r sultats Un test soit un split ballot a donc t effectu avec les questions de cette section pour valuer l impact de l ordre d introduction des deux indices de d tresse psychologique consid r s dans l enqu te soit lIDPESQ14 et l MMDP23 Plus pr cis ment deux versions du QAA ont t utilis es lors de l ESS98 soit le QAA 1 et le QAA 2 Au moment de l entrevue a domicile ces questionnaires ont t distribu s de fa on al atoire aux r pondants de 15 ans et plus Dans le QAA 1 les questions de l indice IDPESQ14 num rot es QAA98 QAA111 comme indiqu es ci haut pr c dent celles de l MMDP23 qui portent les num ros QAA117 QAA139 Dans le QAA 2 les questions qui composent l MMDP23 sont les QAA98 QAA120 et elles pr c dent celles de l indice IDPESQ14 qui sont alors les questions QAA122 QAA135 Les questions sur la dur e des manifestations de d tresse leurs cons quences sur la vie et le fait d avoir consult quelqu un a propos de ces manifestat
110. 4 DAVELUY C L PICA N AUDET R COURTEMANCHE F LAPOINTE et autres 2000 Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec DAVIS A C 1983 Hearing disorders in the population First phase finding of the MRC National Study of Hearing dans LUTMAN M E et M P HAGGARD d Hearing Science and Hearing Disorders London Academic Press p 35 62 DAVIS A C 1989 The prevalence of hearing impairment and reported hearing disability among adults in Great Britain International Journal of Epidemiology vol 18 n 4 p 911 917 DERRIENNIC F A TOURANCHET et S VOLKOFF 1992 Enqu te E S T E V un instrument d tude des relations entre age sant et travail Archives des maladies professionnelles vol 53 n 2 p 79 89 DUNNIGAN L 2000 Recours au service t l phonique Info Sant CLSC dans Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 21 ERNST P K DEMISSSIE L JOSEPH U LOCHER et M R BECKLAKE 1995 Socioeconomic status and indicators of asthma in children Am J Respir Crit Care Med vol 152 n 2 p 570 575 EVANS R 3RD D MULLALLY R W WILSON P J GERGEN H M ROSENBERG J S GRAUMAN F M CHEVARLEY et M FEINLEIB 1987 National trends in the morbidity and mortality of asthma in the U S Prevalence hospitalization and death from asthma over two decades 1965 1984 Chest
111. 4 1 Taux de r ponse pond r au QRI selon la r gion sociosanitaire et la p riode de collecte Enqu te sociale et de sant 1998 R gion sociosanitaire Taux de r ponse pond r 1 Bas Saint Laurent 87 0 2 Saguenay Lac Saint Jean 95 2 3 Qu bec 79 6 4 Mauricie Centre du Qu bec 88 8 5 Estrie 87 2 6 Montr al Centre 77 5 7 Outaouais 85 6 8 Abitibi T miscamingue 94 0 9 C te Nord 93 5 10 Nord du Qu bec 91 0 11 _ Gasp sie les de la Madeleine 86 4 12 Chaudi re Appalaches 86 2 13 Laval 83 0 14 Lanaudi re 82 8 15 Laurentides 87 7 16 Mont r gie 76 1 P riode de collecte Janvier mars 1998 78 6 Avril juin 1998 81 2 Juillet septembre 1998 84 7 Octobre d cembre 1998 84 2 Ensemble du Qu bec 82 1 143 Poids associ s a la distribution de la population vis e au QRI Un dernier ajustement a t op r sur la pond ration du QRI afin que la distribution pond r e des r pondants soit conforme a la distribution de la population vis e selon certaines caract ristiques sociod mographiques ou conomiques Dans notre cas nous avons retenu la r gion sociosanitaire l ge et le sexe Plusieurs raisons ont motiv la s lection de ces variables D une part le choix de la r gion nous a t dict naturellement car nous d sirions des estimations r gionales D autre part ajuster selon l ge et le sexe allait de soi car ces variables sont souvent corr l es avec les mesures de sant et les fa
112. 5 178 du QRI l effet de plan pour toutes les r gions vaut 6 6 Le coefficient de variation CV permet de mesurer la pr cision relative d une estimation On lobtient en divisant l erreur type de l estimation par l estimation elle m me Parce qu elles sont suffisamment pr cises les estimations dont le CV est inf rieur ou gal 15 sont pr sent es sans commentaire celles dont le CV se situe entre 15 et 25 sont marqu es d un ast risque pour montrer que leur pr cision est passable et qu elles doivent tre interpr t es avec prudence Les estimations dont le CV est sup rieur 25 sont marqu es d un double ast risque pour en signaler la faible pr cision et doivent tre utilis es avec circonspection elles ne sont fournies qu titre indicatif Les coefficients de variation n ont pas t calcul s dans le pr sent rapport pour les donn es des enqu tes ant rieures 1987 ou 1992 1993 mais si l on consid re des estimations correspondantes ils devraient tre du m me ordre de grandeur que ceux de 1998 tant donn que les tailles d chantillon et les plans de sondage sont quivalents pour les trois enqu tes 206 Par ailleurs on peut aussi avoir une id e de la qualit d une estimation en examinant l tendue de l intervalle de confiance lui correspondant Des intervalles de confiance approximatifs ont pu tre construits pour les donn es de I Enqu te sociale et de sant 1998 en utilisant le
113. 7 maison De plus on a not parmi les r pondants la pr sence d une relation entre le revenu et les variables sociod mographiques num r es pr c demment En cons quence une m thode pour compenser les donn es manquantes semble n cessaire Une approche fr quemment utilis e dans de telle situation est imputation De fa on g n rale l imputation tend r duire le biais dans les estimations mais elle entra ne souvent une augmentation de la variance Lorsque le taux de non r ponse partielle est relativement faible inf rieur 5 il n est pas n cessairement judicieux d imputer car le gain obtenu dans la diminution de biais n est pas assez important par rapport l augmentation possible de la variance Cox et Cohen 1985 Ainsi tant donn que le revenu du m nage est une variable importante que la non r ponse de SUFREV est relativement lev e 13 7 que les m nages non r pondants sont diff rents des m nages r pondants selon des variables sociod mographiques et que le revenu est reli ces m mes variables la d cision d imputer une valeur de revenu semble appropri e Le revenu imput servira par la suite calculer une valeur pour l indice de suffisance du revenu 15 3 3 M thode d imputation La m thode choisie qui est similaire a celle utilis e lors de l enqu te de 1992 1993 est l imputation par la r gression Cette approche utilise certaines donn es provenant des r pondants pou
114. 79 999 6 7 9 8 7 1 Total 100 0 100 0 100 0 15 3 6 Impact de imputation sur SUFREV L utilisation de l information fournie a priori par les non r pondants permet de minimiser le biais introduit par les non r pondants sur les estimations de proportion L estimation de variance pour sa part na pas t calcul e apr s limputation ainsi celle ci est calcul e uniquement partir des r pondants Cette approche conservatrice a pour effet de produire une variance sup rieure celle qu on aurait obtenue en incluant les individus pour lesquels SUFREV a t imput En r alit nous croyons que la variance serait inf rieure en incluant les valeurs de SUFREV imput es car une information partielle assez pr cise tait disponible pour un certain nombre de m nages imputer 201 16 M thodes d analyse l instar des autres enqu tes de la DSQ la pr sente enqu te a sollicit la participation de nombreux professionnels et chercheurs du r seau de la sant et des services sociaux et des universit s Des groupes d analyse compos s en g n ral de 2 5 personnes choisies pour leur expertise et leur int r t pour un sujet trait dans l enqu te ont t mis sur pied Ils ont particip la conception des questionnaires propos le plan d analyse des donn es portant sur leur th me et formul des demandes de tableaux Ces derniers ont t produits par la DSQ et analys s subs quemment par les groupes Ce mode d
115. 8 15 Non r ponse partielle La non r ponse partielle est un probl me de taille dans les enqu tes L ampleur de ce ph nom ne est mesur e par le taux de non r ponse partielle d fini comme le rapport entre le nombre de non r pondants a une question donn e et le nombre de personnes qui devaient y r pondre La non r ponse partielle peut entra ner des biais dans les estimations si les non r pondants pr sentent des caract ristiques diff rentes de celles des r pondants Par ailleurs plus la non r ponse partielle est importante plus le risque de biais est grand Pour l Enqu te sociale et de sant 1998 l Institut de la statistique du Qu bec ISQ a proc d en trois temps pour tudier la non r ponse partielle Tout d abord on a calcul les taux de non r ponse partielle pour chacune des questions du questionnaire rempli par l interviewer QRI et du questionnaire autoadministr QAA Puis pour analyse du questionnaire autoadministr pour lequel il y a en g n ral plus de non r ponse partielle on a construit un indice de synth se de la r ponse afin de brosser un portrait global de la non r ponse partielle l ensemble des questions du QAA Quant au QRI mise a part la variable du revenu servant construire lindice de suffisance de revenu du m nage aucun cas probl matique n a t relev Cela s explique probablement par la pr sence des intervieweurs et par l utilisation d un questionnaire informatis Ains
116. 87 QAA56 ESS92 93 QAA81 importance QAA112 depuis combien de temps la Question filtre propos e par le groupe ayant personne a ressenti ces propos les questions sur la sant mentale pour manifestations distinguer les manifestations de dur e de six mois ou plus QAA113 si ces manifestations ont nui a la vie ESS92 93 QAA82 familiale au cours des 6 derniers mois QAA114 si ces manifestations ont nui a leur ESS92 93 QAA83 capacit de travailler ou de poursuivre des tudes au cours des 6 derniers mois 125 Section IX Divers probl mes personnels QAA98 a QAA140 suite Sources ESS92 93 QAA84 ESS92 93 QAA85 Question s ESS98 QAA115 si ces manifestations les ont restreint dans leurs activit s sociales au cours des 6 derniers mois QAA116 a consult quelqu un au sujet de ces manifestations Au cours du dernier mois la fr quence a laquelle l individu QAA117 a eu l impression d avoir gach sa vie QAA118 a manqu de confiance en soi QAA119 a eu de la difficult a faire face a ses probl mes QAA120 s est d valoris s est diminu QAA121 a eu impression que personne ne laimait QAA122 a eu tendance s isoler se couper du monde QAA123 a eu le sentiment d tre inutile QAA124 a t arrogant et m me b te avec le monde QAA125 a t facilement irritable a r agi plut t mal avec col re aux commentaires qu on lui a faits QAA126 a t
117. 9 207 68 2 623 1 Les cellules ne sont pas vides mais elles comprennent moins de 500 m nages 2 La somme des l ments ne concorde pas n cessairement avec les totaux cause des arrondissements Source Recensement canadien de 1991 157 b Aires homogenes Avec les donn es de l enqu te Sant Qu bec 1987 et de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Pampalon et autres 1990 1995 ont montr l existence d aires non contigu s qui divisent le territoire qu b cois avec une certaine homog n it par rapport aux indicateurs de sant Le d coupage du Qu bec en aires homog nes diff re de celui obtenu selon les r gions sociosanitaires Comme la pr sente enqu te reprend en majorit les indicateurs des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 ce d coupage permet de r partir l chantillon r gional selon des strates homog nes et assure ainsi une bonne stratification Les aires homog nes associ es aux enqu tes de 1987 et de 1992 1993 sont d finies selon deux crit res la zone et un indicateur socio conomique Les zones d coupent le Qu bec en quatre territoires la m tropole M soit la r gion m tropolitaine de recensement de Montr al les capitales r gionales C soit les r gions m tropolitaines de recensement de Qu bec de Chicoutimi Jonqui re de Hull de Sherbrooke et de Trois Rivi res les autres agglom rations et villes A le rural R L indicateur socio conomique divise ensuite chaque zone e
118. 98 QAA16 stades d adoption du comportement QAA17 popularit des activit s au cours des 12 derniers mois QAA18 popularit des activit s au cours des 12 derniers mois QAA19 activit physique de travail ESS92 93 QAA142 A noter que la comparaison avec les r sultats de l enqu te 1998 ne peut tre pr sent e car la formulation de cette question a d tre modifi e afin de recueillir plus d information sur quelques composantes suppl mentaires i e les types d activit s physiques et la fr quence de chacune SQ87 QAA130 noter que l illustration qui a accompagn la question en 1987 a t enlev e en 1998 ce qu on estime ne pas emp cher la comparaison entre les deux enqu tes Section V Le tabac QAA20 QAA32 Question s ESS98 Sources QAA20 usage de la cigarette SQ87 QAA5a ESS92 93 QAA15 noter que la question utilis e en 1987 a t l g rement modifi e en 1992 1993 C est cette derni re version qui a t utilis e en 1998 QAA21 usage de la cigarette tous les jours SQ87 QAA6 ESS92 93 QAA16 QAA22 ge d initiation la cigarette SQ87 QAA7 ESS92 93 QAA17 QAA23 nombre de cigarettes fum es par jour SQ87 QAA8 ESS92 93 QAA18 117 Section V Le tabac QAA20 QAA32 suite Section VI L alcool QAA33 QAA43 Question s ESS98 Sources QAA24 usage des cigarettes a bout filtre ESS92 93 QAA19 QAA25 descriptio
119. 98 pour valuer un mode de collecte alternatif au face face Lapointe et autres para tre r alis e en 1998 aupr s de 5000 m nages ind pendants de l chantillon de l ESS98 et dans laquelle le QRI se fait au t l phone Par ailleurs la question sur le nombre de pi ces PIECE et sur le nombre de personnes dans le m nage permet d obtenir la densit r sidentielle dont le lien avec la sant physique et mentale a t maintes fois soulev 10 En 1987 et en 1992 1993 cette section constituait un instrument en soi la fiche d identification Fl Ensuite comme en 1987 et en 1992 1993 l intervieweur demande au r pondant de fournir de l information sur toutes les personnes de son m nage et de pr ciser les liens qui les unissent On demande donc pour chaque personne du m nage le pr nom PRENO le nom de famille NOM le sexe SEXE et la date de naissance JO MO ANNE Une derni re question v rifie le calcul de l ge AGVER A celle ci s ajoute une question sur l tat matrimonial actuel STATU qui lors des enqu tes pr c dentes a t pos e dans le questionnaire autoadministr Une autre question demande s il y a une autre personne dans le m nage AUTRE cette question permet de v rifier que personne n a t oubli Une nouvelle question visant identifier les sans abri temporairement h berg s dans le m nage et qui n ont pas de domicile fixe ailleurs DEPAN a t ajout e la demande du gro
120. De cette fa on les statistiques produites avec l enqu te tiennent compte des variations saisonni res Puisque l on d sirait une estimation globale pour l ann e on a enqu t des chantillons distincts chaque vague De fa on pratique l chantillon complet d UPE a t s lectionn et par la suite r parti selon les quatre vagues Vu le petit nombre d UPE s lectionn es pour certaines strates principales il a t impossible de s assurer que l chantillon d UPE par strate principale soit r parti parfaitement selon les quatre vagues On s est plut t assur que l chantillon total par r gion et celui par aire soient r partis le plus uniform ment par vague De plus les UPE proches g ographiquement ont t associ es des vagues distinctes pour permettre la firme de collecte d engager des intervieweurs pour une plus longue p riode et ainsi diminuer le nombre d intervieweurs Manuellement et partir de cartes g ographiques les vagues ont t associ es al atoirement aux UPE chantillonn es tout en respectant les contraintes mentionn es On a donc chaque vague un chantillon de 3 830 logements sauf pour la vague 2 avec 3 840 logements La r partition selon les r gions et les aires est similaire d une vague l autre 165 R partition de l chantillon des UPE selon la r gion et l aire homog ne Enqu te sociale et de sant 1998 Tableau 12 8 Aire homogene Total 40 63 75 52
121. ENQUETE SOCIALE ET DE SANTE 1998 Cahier technique et m thodologique ET VOLUME 1 DOCUMENTATION G N RALE Institut de la statistique du Qu bec ENQUETE SOCIALE ET DE SANTE 1998 Cahier technique et m thodologique ET VOLUME 1 DOCUMENTATION G N RALE Carole Daveluy Lucille Pica Nathalie Audet Robert Courtemanche France Lapointe Luc C t Jimmy Beaulne Institut de la statistique du Qu bec L Enqu te sociale et de sant 1998 a t subventionn e par le minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS et les R gies r gionales de la sant et des services sociaux RSSS Cette publication a t r alis e et produite par l Institut de la statistique du Qu bec Pour tout renseignement concernant le contenu de cette publication Direction Sant Qu bec Institut de la statistique du Qu bec 1200 avenue McGill College bureau 1620 Montr al Qu bec H3B 4J8 T l phone 514 873 4749 T l copieur 514 864 9919 ou T l phone 1 877 677 2087 aucuns frais d appel au Canada et aux Etats Unis Site WEB http Avww stat gouv qc ca Citation sugg r e DAVELUY C L PICA N AUDET R COURTEMANCHE F LAPOINTE L C T et J BAULNE 2001 Enqu te sociale et de sant 1998 Cahier technique et m thodologique documentation g n rale volume 1 Montr al Institut de la statistique du Qu bec 220 133 p D p t l gal Biblioth que nationale du Canada Bibliot
122. Enqu te sociale et de sant 1998 PRESENT IE 160 13 1 R partition des logements selon les r sultats de la collecte Enqu te sociale et de sant 1998 162 13 2 13 3 13 4 13 5 14 1 14 2 14 3 14 4 14 5 15 1 15 2 15 3 15 4 15 5 15 6 15 7 15 8 15 9 15 10 Nombre de r pondants au QRI et au QAA selon l ge et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 163 Taux de r ponse pond r au QRI proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants du QRI ag s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r au QAA selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 1998 164 Taux de r ponse pond r au QRI proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants du QRI g s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r au QAA selon la p riode de collecte Enqu te sociale et de sant 1998 164 Proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants au QRI g s de 15 ans et plus selon le groupe d ge et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 165 Taux de r ponse pond r au QRI selon la r gion sociosanitaire et la p riode de collecte Enqu te sociale et de sant 1998 171 Somme des poids avant l ajustement la population projection du nombre de personnes vivant dans les m nages priv s en 1998 et rapport entre la projection et la somme des poids avant l ajustement final selon le groupe d ge et le sexe Enqu te sociale
123. Le premier terme d pend uniquement de la strate La seule cause de variabilit des probabilit s de s lection des UPE et par le fait m me des USE l int rieur d une strate est attribuable au deuxi me terme Ainsi si le nombre de m nages recens s dans les UPE tait gal au nombre de logements num r s la probabilit de s lection serait la m me pour toutes les UPE l int rieur d une strate secondaire donn e De plus comme une seule USE est s lectionn e au deuxi me degr le plan de sondage de la pr sente enqu te quivaut un plan de sondage deux degr s en terme de probabilit de s lection de premier ordre Par ailleurs l chantillon n est pas r parti de fa on proportionnelle par rapport la r partition de la population des m nages selon les r gions sociosanitaires et les aires homog nes Ainsi les unit s appartenant des r gions sous repr sent es comme Monitr al Centre ou Qu bec ont des poids initiaux plus lev s que celles provenant de r gions sur repr sent es par exemple Nord du Qu bec ou Gasp sie les de la Madeleine La non proportionnalit de l chantillon dans les strates et le fait que les probabilit s de s lection des logements appartenant une m me strate diff rent passablement dans le cas de certaines strates contribuent tous deux g n rer une grande variabilit des poids Le dernier facteur s explique principalement par des carts entre les donn es ayant s
124. NDIALE DE LA SANTE 1977 Manuel de classification internationale des maladies traumatismes et causes de d c s vol 1 9 r vision Gen ve 783 p RIOU D A S CANTIN et M RINFRET RAYNOR avec la collaboration de P CARIGNAN et M MESSIER a paraitre La violence envers les femmes dans les couples qu b cois 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec SANTE QUEBEC 1995 Document de synth se des travaux des comit s d orientation et scientifique en vue de l Enqu te g n rale de 1997 1998 novembre 32 p et 8 annexes SANT QUEBEC A MOND et autres 1988 Et la sant a va Rapport de l enqu te Sant Qu bec 1987 tome 1 Qu bec Les Publications du Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux 337 p SANTE QUEBEC C BELLEROSE C LAVALLEE C CHENARD L et LEVASSEUR M sous la direction de 1995 Et la sant a va en 1992 1993 Rapport de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 vol 1 Montr al minist re de la Sant et des Services sociaux 412 p STATISTIQUE CANADA 1980 Classification type des industries 1980 4 dition Division des normes Ottawa STATISTIQUE CANADA 1981 Classification type des professions 1980 Division des normes Ottawa STATISTIQUE CANADA 1995 Enqu te nationale sur la sant de la population Ottawa gouvernement du Canada TRUDEL G COURTEMANCHE R TARTE F 1992 Validation codification saisie et pond ration des donn es de l en
125. PE avec leurs caract ristiques constitue la base de sondage Elle couvre l ensemble de la population chantillonn e Les principales caract ristiques inscrites la base de sondage sont la localisation g ographique et le nombre de m nages priv s Les donn es socio conomiques du recensement utiles aux tapes subs quentes de l laboration du plan de sondage apparaissent galement dans la base de sondage L information servant former les UPE provient du dernier recensement canadien dont les donn es taient disponibles lors de la pr paration de l enqu te soit celui de 1991 Les unit s la base des UPE correspondent aux plus petites unit s g ographiques et statistiques du recensement Pour les r gions m tropolitaines de recensement l information statistique est connue jusqu au niveau du c t d ilot 8 l ar te d un p t de maison Pour les autres territoires le recensement les d coupe en secteurs de d nombrement SD Ces derni res unit s couvrent en g n ral quelques p t s de maison en milieu urbain ou une partie d une municipalit en milieu rural Les donn es g ographiques et statistiques ont t obtenues de Statistique Canada Formation des unit s primaires d chantillonnage Les UPE ont t form es d un secteur de d nombrement ou d un regroupement de secteurs de d nombrement Contrairement l enqu te de 1992 1993 il ny a pas d UPE qui ont t form es partir des c t s dilots Le n
126. PUPE i PS j ih correspond la probabilit de s lection de USE j tant donn qu elle se trouve dans UPE i PS k de la strate secondaire h Cette probabilit de s lection est proportionnelle la taille de PUSE j jh repr sente la probabilit de s lection du logement k tant donn qu il se trouve dans USE j de UPE i de la strate secondaire h Cette probabilit est gale pour tous les logements k l int rieur d une USE j donn e Alors n h m i PGi en M h o n h est le nombre d UPE chantillonn es dans la strate secondaire h m i est le nombre de m nages recens s en 1991 dans UPE i M h est le nombre de m nages recens s en 1991 dans l ensemble des UPE de la strate secondaire h m i i h De plus ou 2n j mQ PS jlih 9 mi 91 si l UPE i de la strate h n est pas scinder si l UPE i de la strate h est scinder n j est le nombre d USE chantillonn es dans une UPE Ce nombre est gal 1 174 m j est le nombre de m nages recens s en 1991 dans l USE j Et 1 h PS k1 jin LD L j ou I h est le nombre de logements chantillonn s dans l USE j Ce nombre est de 10 20 30 ou 40 et d pend uniquement de la strate L j est le nombre de logements num r s dans l USE j On peut r crire la probabilit de s lection du logement k de PUSE j de UPE i de la strate secondaire h de la facon suivante n h 1 h m j M h L j PS k
127. Q14 et ALCOOL98 pour lesquels les variables sociod mographiques ne suffisent pas expliquer les diff rences observ es entre sinistr s et non sinistr s Pour faciliter les analyses et l interpr tation des r sultats nous avons effectu des regroupements de modalit s pour certaines variables tant donn que la temp te de verglas a eu lieu en janvier l hypoth se selon laquelle l effet s il en existe un sur les mesures de sant ne soit pr sent qu la premi re vague a d abord t v rifi e pour les quatre indices identifi s plus t t Pour ce faire une nouvelle variable de vague a t construite comportant deux niveaux le premier correspond la vague 1 l autre au regroupement des vagues 2 3 et 4 Un test a ensuite t fait concernant la pr sence d un effet significatif d interaction entre la panne et la nouvelle mesure de vague 212 Par ailleurs la mesure du nombre de probl mes de sant tudi e a cette tape est red finie en regroupant la modalit un seul probl me de sant avec la modalit deux probl mes de sant ou plus pour donner plus de puissance notre test Les r sultats pour les quatre variables ayant un seuil observ pour le test sur le param tre de PANNE pr s du seuil critique sont r sum s aux tableaux 17 3 et 17 4 Tableau 17 3 Seuils de signification observ s pour les quatre variables critiques apr s dichotomie de la variable vague vague en 2 cat gories lorsq
128. QRI21 optom triste opticien ne SQ87 QRI14g ESS92 93 QRI52 QRI22 physioth rapeute ergoth rapeute SQ87 QRI14h ESS92 93 QRI56 QRI23 chiropraticien ne SQ87 QRI14i QRI24 acupuncteur trice SQ87 QRI14j QRI25 autre praticien ne de m decine non ESS92 93 QRI61 traditionnelle les exemples de chiropraticien ne et d acupuncteur trice ont t enlev s de la question en 1998 QRI26 psychologue SQ87 QRI14k ESS92 93 QRI66 QRI27 travailleur euse social e SQ87 QRI141 ESS92 93 QRI70 la formulation utilis e en 1987 a t l g rement modifi en 1992 1993 toutefois la question de 1998 reste identique celle de 1992 1993 86 Section Ill Recours aux services de sant ou aux services sociaux QRI16 QRI32 suite Question s ESS98 Sources QRI28 di t tiste di t ticien ne ESS92 93 QRI74 QRI29 toute autre personne qui applique SQ87 QRI14m ESS92 93 QRI78 des traitement ou qui donne des la formulation utilis e en 1987 a t l g rement conseils modifi en 1992 1993 toutefois la question de 1998 reste identique a celle de 1992 1993 QRI30 derni re personne consult e SQ87 QRI15a ESS92 93 QRI82 QRI31 principal probl me l origine de cette SQ87 QRI15c ESS92 93 QRI84 consultation les cat gories de r ponse ajout es en 1992 1993 ont t enlev es en 1998 QRI32 lieu de la derni re consultation Bas e sur deux questions ouvertes SQ87 QRI15b
129. X Divers probl mes personnels sant mentale Section X j Le suicide Section XI Votre vie en g n ral vie sociale spiritualit pratique religieuse Section XII La famille 7 Le Manuel l intention des intervieweurs de l Enqu te g n rale de 1998 comprend au module 5 tous les d tails sur le contenu et l administration du QAA 31 Section XIII La sant des femmes Section XIV Le service Info Sant CLSC Section XV L audition Section XVI La sexualit incluant une question sur l orientation sexuelle Section XVII Renseignements sociod mographiques Deux questions compl tent ces sections l une sur la satisfaction des services de sant dans la r gion habit e par le r pondant l autre pour obtenir son num ro d assurance maladie Aucun consentement n a t demand au r pondant pour le contacter nouveau en vue d autres tudes comme ce fut le cas lors de l ESS92 93 4 6 2 Instruments administratifs annexe 3 Carte d identit Une carte avec photo permet d identifier l intervieweur et certifie que celui ci travaille pour Sant Qu bec et le Groupe L ger et L ger inc La carte doit tre montr e dans chacun des m nages Lettre d engagement de confidentialit Il s agit d une lettre sign e par lintervieweur par laquelle il s engage ne divulguer aucune information de quelque nature que ce soit concernant le m nage Cette lettre est pr sent e l interlocuteur comm
130. a Mont r gie sinistr s d une semaine ou plus Notons que les carts observ s au niveau r gional vont dans le m me sens que ceux observ s au niveau provincial la suite de ces r sultats les variables socio d mographiques d crites la section m thodologie de l analyse provinciale ont t incluses dans les mod les pour tenter d expliquer les diff rences observ es entre sinistr s et non sinistr s Ainsi pour les r gions de Montr al et de l Outaouais le seuil du test comparant les sinistr s et les non sinistr s passe de 0 049 0 09 On ne peut alors conclure une relation entre le verglas et la consultation d un professionnel de la sant En ce qui concerne l indice de d tresse psychologique en Mont r gie et la perception de la sant du groupement de r gions Estrie Laval Laurentides aucune diff rence significative n est observ e chez les sinistr s d une semaine ou plus lorsqu on tient compte de l ge des individus Les seuils du test passent respectivement de 0 079 0 13 et de 0 03 0 08 Pour ce qui est de la consommation d alcool dans les r gions de Montr al et de l Outaouais le m me ph nom ne qu au niveau provincial se produit c est dire que les sinistr s ont consomm moins d alcool que les non sinistr s et ce de fa on constante au cours de l ann e M me si le test est significatif seuil 0 01 aucune interpr tation quantitative n est formul e tant donn l ambigu t du r
131. a d claration de troubles du sommeil probl mes de sant QRI En plus pour chaque groupe les proportions de gens selon l ge 4 groupes et le sexe ont t examin es ces caract ristiques individuelles tant en g n ral associ es la sant Par ailleurs des v rifications ont aussi t faites pour s assurer que le type de QAA n interf rait pas dans les analyses qu il n avait pas d effet interactif sur les liens entre les caract ristiques de sant et le groupe 1 2 3 ou 4 Aucune interaction n a t d tect e 18 2 2 R sultats Concordance entre les indices continus La corr lation simple entre les deux mesures de sant mentales utilis es dans l enqu te de 1998 s l ve a environ 81 Concordance entre les indices cat goriques Avec la premi re tape de l examen des indices sous leur forme cat gorique on remarque que les personnes appartenant a la cat gorie lev e des deux mesures de sant mentale se ressemblent C est qu en fait avec lIDPESQ14 ou avec l MMDP23 on d tecte essentiellement des associations significatives avec les m mes variables sociod mographiques socio conomiques ou autres variables de sant Par exemple il existe une association significative entre l indice de d tresse psychologique et l ge le sexe la perception de la situation conomique la satisfaction par rapport la vie sociale le niveau de soutien social ou la perception de la sant pour ne ment
132. a variance calcul e avec un plan al atoire simple comptant le m me nombre de personnes Il peut tre calcul pour chacune des estimations produites mais tant donn le tr s grand nombre d estimations produites dans la pr sente enqu te des effets de plan moyens ont t calcul s pour quelques cat gories de variables homog nes par rapport la variance Au GR pour les estimations portant sur les personnes quatre cat gories de variables ont t form es et les quatre effets de plan moyens correspondant ont t produits L effet de plan moyen principal associ la cat gorie de variables regroupant la majorit des ph nom nes tudi s s l ve 2 1 Ceci signifie que les quelque 30 386 r pondants au QRI permettent d tablir des estimations ayant une pr cision quivalente celle qu un chantillon al atoire simple de 14 470 personnes aurait fournies Au QAA trois cat gories de variables 204 ont t construites et trois effets de plan moyens ont t calcul s Pour la majorit des caract ristiques tudi es un effet de plan moyen de 2 0 est obtenu Par ailleurs des effets de plan sp cifiques ont aussi t calcul s pour les estimations utilisant les m dicaments les m nages ou les probl mes de sant comme unit s d analyse Le tableau 16 1 pr sente les effets de plan servant aux analyses provinciales obtenus pour des groupes de caract ristiques homog nes quant leur variance Ces effets de plan
133. admissibles et r pondants au QRI 20 773 ont rempli le QAA l instar du QRI l inverse du taux de r ponse est utilis comme ajustement la non r ponse au QAA dans le but de minimiser les biais que peuvent induire les non r pondants sur les estimations Ainsi le taux de r ponse sp cifique pond r au QAA se d finit comme le rapport entre le nombre pond r de r pondants au QAA et le nombre pond r de personnes admissibles au QAA Ces taux de r ponses sont pond r s par le poids final au QRI pour les individus admissibles au QAA et calcul s par classe de pond ration Donc le taux de r ponse sp cifique T pour une classe de pond ration f se calcule comme suit P m R m m f P m Am m f iea o 1 si l individu m du m nage k de l USE jde l UPE i de la strate h est r pondant au 9 Rm QAA 30 si l individu m n est pas r pondant au QAA 1 si l individu m r pondant au QRI du m nage k de l USE jde l UPE i de la strate ha 9 A m 15 ans et plus 30 si l individu m r pondant au QRI a moins de 15 ans Comme les r pondants du QAA sont un sous ensemble des r pondants du QRI l ensemble des variables qui peuvent tre prises en compte pour former les classes de pond ration est tr s riche En plus des variables ayant servi a la construction des classes de pond ration au QRI toutes les variables ou indices du QRI peuvent tre mis profit En effet ces variables ou indices sont connue
134. agressif pour tout et pour rien QAA127 a perdu patience QAA128 a t en conflit avec son entourage QAA129 s est senti triste QAA130 s est senti d prim ou down QAA131 s est senti pr occup anxieux QAA132 s est senti mal dans sa peau QAA133 s est senti stress sous pression QAA134 a manqu d initiative en g n ral a t moins fonceur Nouvelles questions composantes de l indice EMMDP23 sur la d tresse psychologique d velopp par Mass et autres 1998a 1998b 1998c 126 Section IX Divers probl mes personnels QAA98 a QAA140 suite Section X Le suicide QAA141 a QAA145 Question s ESS98 Question s ESS98 Sources QAA135 s est senti d sint ress par les Nouvelles questions composantes de l indice choses qui habituellement EMMDP23 sur la d tresse psychologique d velopp lint ressent par Mass et autres 1998a 1998b 1998c QAA136 n avait plus le go t de faire quoi que ce soit QAA137 a eu envie de tout l cher de tout abandonner QAA138 a eu tendance tre moins r ceptif aux id es ou aux opinions des autres QAA139 a eu des difficult s se concentrer sur quoi que ce soit QAA140 perception de la sant mentale Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur la sant mentale Elle s inspire d une mesure semblable qui a t d velopp e et utilis e lors de la National Comorbidity Study Kessler et aut
135. aient pas assez pr cises et manquaient d uniformit La codification du QAA tait faite en cours d enqu te par des codeurs de la firme Autant pour le QRI que pour le QAA les cas probl mes taient soumis aux responsables de la firme et de Sant Qu bec et des appels t l phoniques aux r pondants des m nages taient faits si n cessaire Les QAA taient ensuite achemin s au fur et mesure l quipe de saisie Celle ci proc dait a la double saisie des donn es un deuxi me enregistrement des r ponses codes par une personne diff rente 6 3 Validation des donn es Le fichier de donn es de l ESS98 contient un nombre important d enregistrements et de variables La qualit du contenu de ce fichier est assur e par un processus de contr le de la qualit tous les niveaux de l enqu te ainsi qu une validation compl te des donn es obtenues tant donn l informatisation du QRI lors de l enqu te de 1998 bon nombre de validations ont t int gr es au logiciel d s sa conception Par ailleurs des validations suppl mentaires ont aussi t effectu es par la firme de sondage Le Groupe L ger et L ger inc a en effet proc d plusieurs validations avant m me de rassembler les r sultats sur fichier informatique destin Sant Qu bec Celles ci ont t faites principalement lors de l entrevue de la saisie de la codification et du rappel t l phonique Quelques v rifications suppl mentaires
136. aire autoadministr QAA iii iii cine 97 Section Votre sant en g n ral QAA ui 97 Section II Votre poids QAA2 QAAT ii iiiieeeeeeeneeeeeeeeeneneeeneneeeeeeeeenne 97 Section III Les habitudes alimentaires QAA8 QAA11 issus 98 Section IV Activit physique QAA12 QAA19 ooo ccccescescsceseeecreesverseseeverseueateneets 98 Section V Le tabac QAA20 QG En nr ee coded ls ta ee ne GE se 99 Section VI L alcool QAA33 QAA43 iii cerrererreeeeeeeeeeeennne 100 Section VII Les drogues QAA44 QAA47 iii 101 Section VIII Le travail QAA48 QAAQ7 ooo icccccccceccssececseesesecsseeessseeeeesessseueeseeas 101 Section IX Divers probl mes personnels QAA98 QAA1 4 lnn 103 Section X Le suicide QAA141 QAA145 unes 104 Section XI Votre vie en g n ral QAA146 QAA170 un 105 Section XII La famille QAA171 QAAT83 rss 106 Section XIII La sant des femmes QAA184 QAA193 l enn 107 Section XIV Le service Info Sant CLSC QAA194 QAA198 108 Section XV L audition QAA199 QAA202 nine 108 Section XVI La sexualit QAA203 QAA220 inserer 109 Section XVII Renseignements sociod mographiques QAA221 QAA241 aa 109 BibliGgraphi srssteninen rental O Reel ER CR ne gran ne let berne tu 135 Partie Ill Aspects statistiques RILO o LUTE 11e Me caf intel mtn steel Ark A i See tn ie hati Ra E ne ut our 143 12 PTGS IN Cs a sO aie Las le Fan Ma es Mace tall TO hk ee Ra olla A 8 143 12 1 D finition des popu
137. aires l exception des 0 14 ans qui n taient pas vis s par le QAA On s est donc assur comme au QRI que la distribution pond r e des r pondants au QAA soit identique la distribution de la population vis e des 15 ans et plus Contrairement au QRI la dimension m nage n intervient pas dans l ajustement des poids QAA vu le caract re individuel du questionnaire Les individus d un m me m nage n ont donc pas n cessairement un poids final identique Le poids final au QAA associ chaque individu m du m nage k de l USE j de PUPE i de la strate h de la classe de pond ration c au QRI et f au QAA ajustement pour la non r ponse et de la classe de pond ration g au QRI et s au QAA ajustement la population est ainsi d fini w s P P m P m ou W s est le nombre projet en 1998 de personnes de la classe s vivant dans les m nages priv s et P is P m m s 184 Puisque l on a utilis les poids associ s la distribution de la population vis e au QRI comme base c est a dire les poids Pp d finis la section 3 3 cette tape a peu d effet mais on s assure tout de m me d obtenir des effectifs semblables tableau 14 4 Tableau 14 4 Somme des poids avant l ajustement la population des 15 ans et plus projection du nombre de personnes de 15 ans et plus vivant dans les m nages priv s en 1998 et rapport entre la projection et la somme des poids avant l ajustement
138. aison de 2 ou 3 UPE par strate l int rieur de chaque strate secondaire les UPE ont t tir es syst matiquement avec probabilit proportionnelle au nombre de logements en 1991 afin que les UPE plus populeuses aient plus de chances d tre choisies et que les logements dans une strate secondaire aient la m me chance d tre s lectionn s 1 hoy 092 UPE ont ainsi t tir es Parmi les UPE tir es certaines taient divisibles d autres non Dans ce dernier cas PUPE int grale tait s lectionn e comme USE Pour les UPE scind es une seule des deux USE divisant PUPE tait tir e de fa on syst matique proportionnellement au nombre de m nages priv s en 1991 Toutefois une exception s applique pour les UPE de la r gion 16 et de laire homog ne vuln rable de la zone m tropole M1 Comme il a t mentionn auparavant les strates secondaires ont t form es apr s la scission des UPE Ces USE ont t consid r es comme des UPE Ainsi lors du tirage des USE il est parfois arriv que lon ait chantillonn les deux USE provenant d une m me UPE L num ration a permis de dresser la liste des logements priv s des USE chantillonn es Pour l ensemble des 1 092 USE 318 212 logements ont t num r s dont une USE avec 1 353 logements num r s pauvre intervieweur Cette op ration a permis de s lectionner le troisi me degr d chantillonnage les logements et de mettre jour les donn es du
139. aisons invoqu es SQ87 F121 ESS92 93 F126 QAA G4 identification des personnes ayant SQ87 F122 ESS92 93 F127 refus le QAA QAA G4a si c est le cas les raisons invoqu es ESS92 93 F128 102 11 Questionnaire autoadministr QAA Section I Votre sant en g n ral QAA1 Dans cette section la perception ou l auto valuation de l tat de sant de l individu est mesur par le biais d une seule question ou indicateur QAA1 Cet indicateur est consid r comme fiable et valide en raison de sa corr lation avec d autres indicateurs repr sentant des dimensions sp cifiques de la sant tablies par de nombreuses tudes Sant Qu bec 1988 Shadbolt 1997 Levasseur 2000 La formulation de la question est la m me que celle des enqu tes ant rieures de 1987 et de 1992 1993 Section Il Votre poids QAA2 QAA7 Les questions de cette section portent sur la grandeur QAA2 le poids QAA3 de m me que sur le d sir de changer de poids QAA4 le poids souhait QAAS5 et les raisons invoqu es pour changer de poids QAA6 Une derni re question QAA7 porte sur l essai de perdre du poids pr sentement cependant les r sultats de cette question n ont pas encore t trait s Comme en 1987 et en 1992 1993 les questions sur la grandeur et le poids permettent de calculer l indice de masse corporelle Cet indice est d riv du rapport entre le poids en kilogrammes et le carr de la taille
140. aiss es ouvertes QRI181 au printemps QRI182 l t QRI183 l automne QRI184 l hiver 100 Sources Nouvelles questions qui s inspirent du questionnaire administr par l intervieweur de l Etude europ enne sur la sant respiratoire Burney et autres 1994 Le QRI174 s inspire de la question 33 de la version fran aise du questionnaire administr par lintervieweur et de la question 32 de la version anglaise de ce questionnaire Les QRI175 a QRI179 s inspirent des questions 38 et 37 des versions frangaise et anglaise respectivement de ce m me questionnaire Nouvelles questions qui autoadministr 222 s inspirent dun questionnaire de l tude d exposition au radon dans les r sidences de la province de Qu bec L vesque et autres 1997 Le QRI180 s inspire de la question 16 du questionnaire autoadministr et les QRI181 a QRI184 de la question 15 de ce questionnaire Section XV Environnement physique air int rieur QRI174 QRI196 suite Question s ESS98 Sources QRI185 nombre de personnes qui fument a Nouvelle question qui s inspire des l int rieur de la maison tous les jours Recommandations de latelier sur l usage et la ou presque consommation de tabac tir de Maladies chroniques au Canada 1994 QRI186 pr sence d un tapis mur mur ou Nouvelles questions qui s inspirent du questionnaire dont la superficie est importante dans administr
141. alides et des sauts de questions au questionnaire informatis effectu e par la firme INFO 01 partir des indications de Sant Qu bec a aussi facilit la v rification des questionnaires Rappelons toutefois que les probl mes relatifs la gestion informatique du QRI et des transferts de m nages entre intervieweurs n ont pas facilit le suivi des dossiers compl t s ni celui de leur contenu non plus que la supervision du travail des intervieweurs de nombreux ajustements ont d tre effectu s dans la p riode de rodage des premi res semaines de la collecte et m me plus tard dans le processus La constitution des fichiers ne s est pas non plus d roul e sans probl mes Pour plus de d tails sur les op rations men es par la firme voir le rapport du Groupe L ger et L ger inc Fagnan et autres 1999 6 1 V rification et contr le de la qualit Lors de la r ception des donn es transmises par modem la premi re op ration de la firme consistait v rifier l adresse du m nage o s tait d roul e l entrevue et s assurer que celle ci correspondait bien a celle du num ro de dossier de la liste des logements Si ce n tait pas le cas entrevue tait annul e et l intervieweur devait reprendre l entrevue la bonne adresse La v rification de logique c est dire la v rification de la concordance entre certaines r ponses pour l ensemble des instruments d un m me m nage portait sur les l ments suivants
142. alit annexe 7 le personnel de la collecte et du traitement des donn es et l quipe de direction du Groupe L ger et L ger inc quipes des directions Sant Qu bec et de la m thodologie affect es l enqu te membres des groupes d analyse la fin de l ex cution des travaux pr vus au contrat le Groupe L ger et L ger inc a remis Sant Qu bec tous les QAA complets ou incomplets Une lettre de la firme fait foi de la destruction de tous les documents informatiques reli s l enqu te g n rale de 1998 annexe 7 Le seul document officiel faisant tat des travaux est le rapport administratif et technique produit par la firme et remis Sant Qu bec Fagnan et autres 1999 Une fois re us a Sant Qu bec les QAA ont t class s et d pos s chez Archivex jusqu en janvier 2002 date pr vue pour les d truire Les fichiers nominatifs sont conserv s dans un r pertoire de donn es confidentielles encrypt es et d acc s limit La diffusion des donn es est une tape cruciale galement soumise des r gles strictes Ainsi la banque de donn es de l ESS98 existe en deux versions Pour les besoins de contr le de la divulgation des microdonn es un fichier d nominalis et masqu de fa on minimale a t produit pour une distribution limit e aux fins de l analyse et de la recherche externe fichier FARE DesGroseillers et autres 2001 Ce fichier est distribu des personnes ou des organism
143. amment de leur langue maternelle Cette question est n cessaire au calcul de l indice d appartenance ethnoculturelle Pour des renseignements suppl mentaires quant la construction de ce dernier indice veuillez consulter les pages 79 80 du rapport de l ESS98 et le volume 2 du pr sent cahier technique et m thodologique indice GROUPTH2 Une deuxi me s rie de questions porte sur les membres du m nage g s de 15 ans et plus et ceci afin de pr ciser leur activit principale les caract ristiques de leur emploi et leur exclusion du march du travail s il y a lieu Comme en 1992 1993 la premi re question porte sur l occupation habituelle au cours des 12 derniers mois QRI159 et comme en 1987 et en 1992 1993 la deuxi me porte sur l occupation habituelle au cours des 2 derni res semaines QRI160 D autres questions galement utilis es en 1987 et en 1992 1993 visent d finir si la personne a un emploi actuellement QRI161 et depuis quand QRI162 et sinon depuis quand la personne est sans emploi QRI163 Une autre question provenant de l ESS92 93 s adresse aux personnes sans emploi depuis moins de 12 mois et vise conna tre la dur e du travail au cours des 12 derniers mois QRI64 Pour les personnes occupant actuellement un emploi une s rie de questions d j pos e en 1987 et en 1992 1993 portent sur la description du genre de travail QRI165 et du type d entreprise QRI166 le nombre d heures travaill es par
144. ance du p re QAA225 Les questions sur la langue maternelle QAA223 le lieu de naissance de la m re QAA224 et celui du p re QAA225 incluant celle sur le lieu de naissance du r pondant QRI157 sont des composantes de l indice d appartenance ethnoculturelle tabli lors de l enqu te de 1992 1993 Cet indice permet de classer la population en trois groupes ethnoculturels distincts le groupe majoritaire le groupe minoritaire de deuxi me et de troisi me g n ration et le groupe minoritaire de premi re g n ration Le principal avantage de cet indice est de permettre la distinction entre les immigrants de premi re g n ration et ceux de deuxi me g n ration ou plus 112 Il est noter que la QAA176 de l ESS92 93 sur la langue parl e le plus souvent a la maison n a pas t reprise en 1998 a cause du peu d utilisation des r sultats qui en a t fait La question ouverte sur l origine ethnique per ue QAA179 de l ESS92 93 n a pas t reprise en 1998 parce qu elle n tait pas assez pr cise laissant trop de place l interpr tation de la part des r pondants Effectivement l indice d appartenance ethnoculturelle mentionn ci dessus r pond mieux aux besoins de l enqu te sur ce sujet La scolarit relative est tablie partir des questions QAA226 plus haut niveau de scolarit compl t et QAA227 le fait d avoir obtenu ou non un dipl me d tudes secondaires L indice tient aussi c
145. ant a laide dune r gression logistique le mod le final indique une diff rence significative entre la proportion de personnes sinistr es ayant consomm 14 consommations et plus dans la derni re semaine ayant pr c d l enqu te et la proportion chez les non sinistr s avec un seuil observ de 0 007 Etonnamment la diff rence observ e ne va pas dans le sens attendu c est dire qu on observe que les personnes sinistr es ont t proportionnellement moins nombreuses prendre 14 consommations et plus que les personnes non sinistr es Notons galement que ce r sultat ne se concentre pas la premi re vague mais plut t sur toute l ann e L estimation du rapport de pr valences ajust est donc difficilement interpr table Ce r sultat inattendu am ne a se questionner sur l impact r el du verglas sur cet indice Peut tre les deux groupes pr sentent ils des caract ristiques diff rentes li es la consommation d alcool et dont on n a pas ou ne pouvait pas tenir compte dans le mod le 17 2 3 Conclusion En r sum les r sultats pr sent s ne sugg rent pas la correction des donn es de l Enqu te sociale et de sant 1998 car les quelques diff rences observ es sur un petit nombre d indices de sant sont plut t faibles constantes dans le temps et ne se concentrent pas la premi re vague comme on aurait pu le croire 17 3 Analyse r gionale 17 3 1 M thodologie La m thodologie utilis e dans l analyse
146. apport de l Enqu te Sant Qu bec aupr s des Inuits du Nunavik 1992 Tome III Montr al Sant Qu bec Minist re de la Sant et des Services sociaux KASS G V 1980 An exploratory technique for investigating large quantities of categorical data Applied Statistics vol 29 p 119 127 KORN E L et GRAUBARD B I Confidence Intervals for Proportions with Small Expected Number of Positive Counts Estimated from Survey Data Survey Methodology vol 24 no 2 p 193 201 Statistics Canada ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE 1977 Manuel de classification internationale des maladies traumatismes et causes de d c s vol 1 r vision Gen ve 783 p PAMPALON R D GAUTHIER G RAYMOND et D BEAUDRY 1990 La sant la carte Qu bec Les publications du Qu bec Gouvernement du Qu bec PAMPALON R G RAYMOND L CAOUETTE et L COTE 1998 R vision du mod le des aires homog nes utilis dans les enqu tes g n rales de Sant Qu bec Qu bec Minist re de la Sant et des Services sociaux Gouvernement du Qu bec 35 p PAMPALON R L LOSLIER G RAYMOND et P PROVENCHER 1995 Variations g ographiques de la sant Rapport de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 volume 3 Montr al Sant Qu bec SKINNER C J HOLT D et SMITH T M F 1989 Analysis of Complex Surveys John Wiley amp Sons New York STATISTIQUE CANADA 1992 Dictionnaire du recensement canadien de 1991 O
147. aque type de questionnaire tableau 18 1 Tableau 18 1 Taux pond r s de non r ponse partielle et proportion estim e de personnes n ayant fourni aucune r ponse selon la mesure de sant mentale et le type de questionnaire Enqu te sociale et de sant 1998 Indice de d tresse psychologique chelle de mesure des manifestations de IDPESQ14 d tresse psychologique EMMDP23 Type de questionnaire Proportion de Proportion de Taux de non r ponse personnes ne Taux de non r ponse personnes ne partielle donnant aucune partielle donnant aucune r ponse r ponse QAA 1 4 1 1 9 5 8 3 3 QAA2 3 4 6 4 3 4 Global 2 7 6 1 3 3 220 Pour chacune des deux mesures de sant mentale des tests statistiques ont t r alis s afin de v rifier s il y avait ou non une diff rence significative entre les taux de non r ponse partielle et entre les proportions de personnes ne fournissant aucune r ponse a la mesure et ce pour chaque type de questionnaire Par ailleurs les tests ont aussi t r alis s en contr lant l effet confondant possible de l ge et du sexe Des mod les de r gression logistique multiple ont t produits a cette fin Pour l indice de d tresse psychologique IDPESQ14 il y a en proportion l g rement plus de non r ponse partielle lorsque les questions de l indice sont plac es apr s la s rie de questions servant a la construction de l chelle de mesure des manifestations
148. aquelle l ESS98 avait t attribu e Une premi re lecture permettait de v rifier si le chapitre tait pr t a tre achemin des lecteurs externes ou s il devait d abord tre compl t par les auteurs ce qui dans ce dernier cas leur tait expliqu l aide des commentaires crits du comit de r vision et de l quipe de la DMES accompagn s de la grille de lecture utilis e par le comit de r vision annexe 6 une version corrig e du chapitre tait alors attendue relue et envoy e en lecture externe Une fois les commentaires des lecteurs externes re us ceux ci taient envoy s au responsable du chapitre accompagn s de ceux du comit de r vision et de l quipe de la DMES si a n avait d j t fait La version suivante tait revue par le comit de r vision et au besoin de nouvelles corrections taient demand es Les personnes recrut es titre de lecteurs externes deux de pr f rence par chapitre avaient t identifi s comme sp cialistes d un th me particulier parmi les professionnels et chercheurs du r seau de la sant et des services sociaux du milieu universitaire et de groupes de recherche Elles avaient t pr alablement sollicit es par t l phone Une lettre pr sentant le r le attendu des lecteurs externes et les crit res de r vision accompagnait l envoi du chapitre dont on avait retir le nom des auteurs annexe 6 Parall lement ce processus des v r
149. ard Mass et Daniel Tremblay directeur de Sant Qu bec ainsi qu avec Carole Daveluy coordonnateure de 54 l enqu te et les auteurs de quelques chapitres Les r sultats de chacun des chapitres ont t pr sent s le lendemain 7 novembre au Colloque de l Institut de la statistique du Qu bec organis dans le cadre des Journ es annuelles de sant publique 2000 Soulignons que le rapport et ses annexes sont disponibles sur le site de ISQ Gouvernement du Qu bec site de l Institut de la statistique du Qu bec Des monographies et des cahiers de recherche seront galement publi s Un premier cahier de recherche d crit l utilisation de mesures de synth se pour estimer l ampleur et la variation des carts de l tat de sant en fonction des groupes socio conomiques entre 1987 et 1998 Ferland para tre La DSQ a galement facilit et coordonn la production des rapports r gionaux par des chercheurs des R gies r gionales Ces derniers avaient aussi particip une session de formation donn e en collaboration avec la DMES Une version d nomalis e et l g rement masqu e de la banque de donn es est accessible aux chercheurs pour des fins d analyse et de recherche par le biais d un contrat individuel ou encore par entente entre un organisme public et lISQ Ce fichier est galement disponible au Centre d acc s aux donn es de recherche de l Institut de la statistique du Qu bec CADRISQ 9 Confi
150. artir de l enqu te The U S quality of employment surveys Soulignons qu une question utilis e en 1992 1993 portant sur la possibilit de d cider de la quantit de travail faire QAA201 a t retranch e en 1998 car elle servait des fins de validation seulement Bellerose et autres 1996 La demande psychologique au travail concept tudi dans l EQSCV90 mais pr sent dans l enqu te g n rale pour la premi re fois fait r f rence la quantit de travail aux exigences mentales et aux contraintes de temps Elle est aussi mesur e par neuf questions QAA62 a QAA70 provenant galement du JCQ Les qualit s psychom triques de cette version du questionnaire ont t d montr es dans des chantillons repr sentatifs de travailleuses et de travailleurs am ricains Karasek et Theorell 1990 et de travailleuses et de travailleurs qu b cois Brisson et autres 1998 Larocque et autres 1998 Comme dans les publications portant sur la validit des indices d autonomie d cisionnelle et de demande psychologique au travail Brisson et autres 1998 Larocque et autres 1998 les r pondants ont t classifi s selon les scores m dians observ s dans l EQSCV90 Les questions sur les conditions de travail portent sur la fr quence des situations de tension v cues avec le public dans le cadre du travail QAA71 sur l organisation du travail QAA72 QAA73 et QAA75 et sur les risques ou contraintes auxquels le travailleur p
151. ary issues and prospects for the future New York Plenum WILKINS R M ROCHON et P LAFONTAINE 1995 Autonomie fonctionnelle et esp rance de vie en sant dans SANTE QUEBEC C BELLEROSE C LAVALLEE L CHENARD et M LEVASSEUR sous la direction de Et la sant a va en 1992 1993 Rapport de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 vol 1 Montr al Minist re de la sant et des services sociaux p 279 311 WILSON D S XIBIN P READ et autres 1992 Hearing loss an underestimated public health problem Australian Journal of Public Health vol 16 n 3 p 282 286 145 PARTIE Il Aspects techniques ROBERT COURTEMANCHE Luc COTE FRANCE LAPOINTE JIMMY BAULNE AVEC LA COLLABORATION DE ANNIE PARENT POUR LES SECTIONS 15 1 ET 15 2 ET DE LYNE DES GROSEILLERS POUR LA SECTION 15 3 DIRECTION DE LA METHODOLOGIE ET DES ENQUETES SPECIALES Introduction Dans le cadre de I Enqu te sociale et de sant 1998 la Direction de la m thodologie et des enqu tes sp ciales DMES a t le partenaire de la Direction Sant Qu bec pour toutes les questions reli es a la m thodologie d enqu te Elle a t particuli rement responsable de l laboration et de la mise en uvre du plan de sondage de l analyse de la non r ponse de laboration des proc dures de pond ration et du choix des m thodes statistiques d analyse En raison de cette expertise la DMES a collabor aux travaux du comit s
152. at gories de r ponse ont t combin es QAA155 personnes d montrant de l affection ESS92 93 QAA114 dans son entourage QAA156 nombre de personnes d montrant de ESS92 93 QAA115 l affection QAA157 importance de la vie spirituelle Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur la spiritualit Elle s inspire de la question 11 d une tude montr alaise L vy et autres 1995 QAA158 croyance en un effet positif des Nouvelle question ajout e la demande du groupe valeurs spirituelles sur l tat de sant ayant propos les questions sur la spiritualit Elle a physique ou mentale t cr e express ment pour les besoins de l enqu te QAA159 vit seul e ESS92 93 QAA104 Il est noter que pour les fins d analyse les r sultats de cette question sur le fait de vivre seul n ont pas t utilis s puisqu on y retrouve des gens qui ne vivent pas seul et qui ont r pondu oui cette question Pour savoir si la personne vit seule il a fallu se fier aux informations rapport es dans la section d identification du QRI QAA160 heureux se de vivre seul e ESS92 93 QAA105 QAA161 a un conjoint e un chum ou une Nouvelle question ajout e la demande du groupe blonde ayant propos les questions sur l environnement de soutien QAA162 difficult de trouver quelqu un avec Nouvelle question ajout e a la demande du groupe qui on est compatible ou av
153. athe ost opathe hom opathe sage femme etc QRI25 psychologue QRI26 travailleur euse social e ou toute autre personne offrant des services similaires QRI27 di t tiste ou di t ticien ne QRI28 et toute autre personne qui applique des traitements ou qui donne des conseils QRI29 La derni re s rie de questions porte sur le dernier professionnel consult que cette personne soit ou non un m decin QRI30 le principal probl me l origine de cette consultation QRI31 et le lieu de cette derni re consultation avec ce professionnel QRI32 La formulation des questions portant sur le fait d avoir consult ou non un professionnel de la sant ou des services sociaux est g n ralement la m me que celle des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 Cependant des 68 diff rences sont a noter en ce qui concerne les types de professionnels Comme dans l enqu te de 1987 le chiropraticien et l acupuncteur sont consid r s s par ment alors qu ils faisaient partie des praticiens non traditionnels dans l enqu te de 1992 1993 Le physioth rapeute et l ergoth rapeute sont galement consid r s s par ment dans la pr sente enqu te alors qu ils ne constituaient qu une seule cat gorie dans les deux enqu tes pr c dentes La di t tiste class e parmi les autres professionnels lors de l enqu te de 1987 est un type de professionnel distinct en 1992 1993 et en 1998 Ces modifications ne touchent pas le tau
154. ation laisse croire que les estimations pour les autres groupes d ge ne sont pas non plus valables Pour ces raisons les donn es sur la couverture des frais de sant par le r gime d assurance public n ont pas t pr sent es dans le rapport de l ESS98 Section XIII S curit alimentaire QRI153 QRI156 Cette section contient quatre nouvelles questions pos es au r pondant cl du m nage par l intervieweur Les premi res trois questions visent valuer certains l ments reli s l ins curit alimentaire soit la monotonie du r gime QRI153 la restriction de l apport alimentaire QRI154 et l incapacit d offrir des repas quilibr s aux enfants du m nage par manque de ressources financi res QRI155 cette derni re question tant pos e uniquement aux personnes des m nages ayant des enfants de moins de 18 ans Ces questions s inspirent du Questionnaire Radimer Cornell valid aux tats Unis Radimer et autres 1992 Kendal et autres 1995 et dont l utilit pour estimer la pr valence au Qu bec avait d j t valu e dans une tude exploratoire aupr s d un chantillon non al atoire Hamelin 1999 Un indice regroupant les r ponses affirmatives souvent vrai et parfois vrai l une ou l autre des trois questions a t aussi utilis Toute personne r pondant positivement a l une ou l autre des trois questions tait consid r e en situation d ins curit alimentaire L indice d velopp ne
155. ativit dans le EQSCV90 QRI176 travail ESS92 93 QAA198 QAA56 travail consiste refaire toujours les EQSCV90 QRI177 m mes choses ESS92 93 QAA199 QAA57 libert de d cider comment faire EQSCV90 QRI178 dans le travail ESS92 93 QAA200 QAA58 travail permet de prendre des EQSCV90 QRI180 d cisions de fa on automne ESS92 93 QAA202 QAA59 opportunit de faire plusieurs choses EQSCV90 QRI181 diff rentes au travail ESS92 93 QAA203 QAA60 influence sur la fa on dont les EQSCV90 QRI182 choses se passent au travail ESS92 93 QAA204 QAA61 possibilit de d velopper les habilet s EQSCV90 QRI183 personnelles au travail ESS92 93 QAA205 QAA62 travail exige d aller tr s vite EQSCV90 QRI184 QAA63 pas de demande de faire une EQSCV90 QRI186 quantit excessive de travail QAA64 suffisamment de temps pour faire le EQSCV90 QRI187 travail QAA65 ne re oit pas de demandes EQSCV90 QRI188 contradictoires QAA66 travail oblige a se concentrer EQSCV90 QRI189 intens ment pendant de longues p riodes QAA67 tache souvent interrompue avant de EQSCV90 QRI190 l avoir termin e QAA68 travail est tr s mouvement EQSCV90 QRI191 QAA69 souvent ralenti dans le travail EQSCV90 QRI192 QAA70 travail exige de travailler tr s fort EQSCV90 QRI85 QAA71 travail en contact direct avec le public Nouvelle question adapt e des questions 23 et 50 de l Enqu te sur l emploi 1991 de l INSEE en France
156. au questionnaire sur le verglas pour les m nages admissibles selon la r gion sociosanitaire ainsi que le taux de r ponse au QAA parmi les r pondants au questionnaire sur le verglas galement selon la r gion sociosanitaire sont pr sent s dans le tableau 17 1 17 1 2 Pond ration Une pond ration sp ciale a t effectu e pour tenir compte de la non r ponse au questionnaire sur le verglas Ainsi deux nouvelles variables de poids ont t cr es une portant sur le sous domaine des r pondants au QRI et au verglas et l autre portant sur le sous domaine des r pondants au verglas et au QAA La m thodologie et les classes de pond ration utilis es pour la pond ration QRI verglas et erglas QAA sont essentiellement les m mes que celles d crites la section 14 2 La diff rence porte uniquement sur le domaine des r pondants Pour le poids QRl verglas l ajustement pour la non r ponse porte sur le sous domaine des m nages qui ont r pondu au QRI et au questionnaire sur le verglas alors que pour le poids verglas QAA l ajustement porte sur le sous domaine des individus qui ont r pondu au questionnaire sur le verglas et galement au QAA Par ailleurs chacune des deux variables de pond ration a galement t ajust e de fa on ce que la distribution pond r e des r pondants de leur sous domaine respectif soit identique la distribution de la population vis e Les classes de posistratification utilis es sont les m mes q
157. avec l H pital Rivi re des Prairies en 1992 aupr s de 2 401 familles et de 1 440 enseignants L Enqu te Sant Qu bec aupr s des Inuit du Nunavik r alis e en 1992 aupr s de 400 familles L Enqu te sociale et de sant 1992 1993 r alis e aupr s de 35 000 personnes L Enqu te sur l activit physique de loisir au Qu bec r alis e en 1993 aupr s de 1 967 personnes L Etude longitudinale du d veloppement des enfants du Qu bec ELDEQ 1998 2002 tude en cours r alis e aupr s de 2 100 enfants L Enqu te sociale et de sant 1998 r alis e aupr s de 30 000 personnes L Enqu te qu b coise sur les limitations d activit 1998 r alis e aupr s de 4 015 personnes L ast risque identifie les enqu tes g n rales L Enqu te sur la violence envers les femmes dans les couples qu b cois r alis e en 1998 aupr s de 2 000 femmes L Enqu te sur l activit physique de loisir et la sant au Qu bec r alis e en 1998 aupr s de 2 154 personnes L Enqu te qu b coise sur le tabagisme chez les l ves du secondaire r alis e en 1998 aupr s de 4 200 l ves de la 1 la 5 secondaire et r p t e en 2000 L tude Sant Qu bec aupr s des communaut s culturelles r alis e en 1998 1999 aupr s de 4 116 immigrants r cents dans 1 157 m nages appartenant diverses communaut s culturelles L Enqu te sociale et de sant aupr s des enfants et des adole
158. bjectifs du MSSS ou des r gies r gionales indicateur utilis pour le suivi des objectifs de la Politique de la sant et du bien tre indicateur sociosanitaire de l Institut canadien d information sur la sant strat gie nationale de sant publique 25 sinon existence d une mesure acceptable co t raisonnable de la collecte de l information sujet dont certaines dimensions n ont pas t ad quatement tudi es comportements ou conditions sur lesquels il est possible d intervenir Une liste de th mes possibles a d abord t dress e selon les sources suivantes les enqu tes g n rales et sp ciales r alis es par Sant Qu bec depuis 1987 la Politique de la sant et du bien tre et la Strat gie nationale de sant publique du MSSS les indicateurs sociosanitaires de l Institut canadien d information sur la sant et l Enqu te nationale sur la sant de la population auxquels se sont ajout es des demandes sp ciales provenant de l ext rieur La premi re t che du comit d orientation a consist classer partir des dix crit res retenus les sujets de la liste de th mes en trois cat gories 1 Th mes accept s d embl e 2 Th mes accept s sous r serve et 3 Th mes rejet s La liste a t class e individuellement par chacun des membres La moyenne des cotes a t tablie afin de produire une liste compl te des th mes class s par cat gorie Les th mes qui avaient t
159. blocs en 1998 de QAA192 consommation d hormones pour une sorte que le premier bloc porte uniquement sur la autre raison consommation d hormones pour pr venir ou traiter les sympt mes li s la transition m nopausique le deuxi me sur la consommation d hormones pour d autres raisons QAA193 traverse pr sentement la m nopause SQ87 QAA114 ou est d ja m nopaus e L nonc ou tes vous d j m nopaus e a t ajout au libell de la question a la demande du groupe ayant propos les questions sur la sant des femmes ce qui emp che toute comparaison Section XIV Le service Info Sant CLSC QAA194 QAA198 Question s ESS98 Sources QAA194 connaissance de l existence d Info Sant CLSC dans sa r gion Nouvelle question qui s inspire de celle d un sondage r alis au cours de l valuation provinciale des services Info Sant CLSC SOM 1998a et 1998b Toutefois dans ce sondage elle faisait suite une autre question plus g n rale dont les r sultats ont t largement rapport s mais qui ne faisait pas explicitement r f rence la r gion du r pondant 133 Section XIV Le service Info Sant CLSC QAA194 a QAA198 suite Sources Nouvelles questions des questions semblables mais non identiques se retrouvaient dans le sondage r alis au cours de l valuation provinciale des services Info Sant CLSC SOM 1998a et 1998b tandis que la
160. cat gories de r ponse ont t chang es de sorte que les choix portent sur les probl mes de relations ce qui emp che toute comparaison avec les enqu tes pr c dentes et non plus sur la satisfaction quant ces relations La formulation des cat gories de r ponses provient de l Enqu te longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes 1994 1995 de Statistique Canada QAA173 s il elle habite avec l un ou plusieurs Nouvelles questions ajout es a la demande du de ces enfants de moins de 18 ans groupe ayant propos les questions sur la famille QAA174 divorc ou s par de l autre parent de l un de leurs enfants de moins de 18 ans QAA175 depuis combien de temps la personne est divorc e ou s par e de l autre parent QAA176 modalit de garde des enfants de ESS92 93 QAA183 noter que les choix de moins de 18 ans r ponses ont t modifi s de sorte que les diff rentes modalit s de garde concordent avec celles du R glement sur la fixation des pensions alimentaires pour enfants Qu bec 1997 QAA177 climat entourant la s paration Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur la famille Elle s inspire de travaux de recherche centr s sur les d sunions Dandurand 1994 QAA178 contacts avec l autre parent Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur la famille QAA179 climat actuel avec l autre parent Nouvelle question aj
161. ccidents avec blessures Sant mentale manifestations de d tresse psychologique Id es suicidaires et parasuicides incapacit et limitations d activit Recours aux services sociaux et de sant Recours aux services des professionnels de la sant et des services sociaux Recours l hospitalisation a la chirurgie d un jour et aux services posthospitaliers Recours au service t l phonique Info Sant CLSC Consommation de m dicaments Vaccination contre la grippe Famille et m nage Famille et sant Niveau 2 Milieu de vie imm diat Niveau 3 R seau d appartenance Milieu social Environnement de soutien Milieu de travail Travail et sant Environnement psychosocial du travail Niveau 4 Conditions sociales Couverture des frais de sant par un r gime d assurance priv Niveau 5 Normes valeurs et id ologies dominantes Spiritualit religion et sant une analyse exploratoire 27 4 5 Choix des questions Le choix final des questions et des diverses chelles de mesure de l ESS98 a t fait par le comit d orientation sur la recommandation des groupes de travail form s pour chacun des th mes En effet au comit d orientation sont venus se greffer pour la pr paration des instruments de collecte des groupes de travail compos s de un six sp cialistes du sujet provenant du milieu de la sant et des services sociaux et
162. ces nonc s 14 Les questions sur les cons quences des manifestations li es l tat d pressif utilis es lors de l ESS92 93 sont galement reprises Elles sont toutefois pr c d es d une nouvelle question qui tente de mesurer la dur e des manifestations Par ailleurs l enqu te de 1998 a t l occasion d affiner l appr ciation de la sant mentale les questions composant l chelle de mesure des manifestations de la d tresse psychologique EMMDP23 Mass et autres 1998a ont t ajout es l ESS98 ainsi qu une question sur la perception de la sant mentale Les questions QAA98 a QAA111 de l indice de d tresse psychologique d Ilfeld ou IDPESQ14 font r f rence a la semaine pr c dant l enqu te et portent sur la fr quence de quatre syndromes principaux la d pression QAA98 QAA99 QAA101 et QAA107 l anxi t QAA102 QAA105 et QAA108 l agressivit QAA103 QAA108 QAA110 et QAA111 et les probl mes cognitifs QAA100 et QAA106 Il est important de rappeler que les questions de cet indice n ont pas t con ues pour distinguer l ensemble des psychopathologies Il s agit plut t d une mesure identifier des sympt mes et non des diagnostics pr cis S adressant uniquement aux personnes ayant rapport au moins une des manifestations l indice IDPESQ14 la nouvelle question sur la dur e des manifestations de d tresse psychologique QAA112 a t introduite pour identifier les personnes
163. cientifique a la formation des coordonnateures r gionales sp cialement pour le volet num ration et aux sessions de formation des groupes d analyse ainsi que celle sur les proc dures de confidentialit des microdonn es Elle a aussi t mise a contribution pour tous les aspects statistiques du traitement des donn es et pour la r vision des l ments statistiques du rapport g n ral de l enqu te Cette 3 partie du cahier technique et m thodologique de l ESS98 regroupe donc l information de nature statistique d velopp e tout au long du processus d enqu te On y retrouve d abord des pr cisions sur le plan de sondage et sur les r sultats de collecte tudi s sous langle de la non r ponse globale L inf rence des r sultats de l chantillon la population vis e requ rant l utilisation de proc dures de pond ration un chapitre est ensuite consacr la description d taill e de celles ci L examen de la non r ponse partielle est aussi un pr alable au traitement des donn es pour d tecter la pr sence potentielle de biais pouvant avoir un impact sur les estimations ce sujet fait aussi l objet d un chapitre Une attention particuli re a t accord e au probl me soulev par le taux lev de non r ponse pour l indice sur le niveau de revenu Le chapitre suivant porte sur les m thodes d analyse et renseigne sur la production des estimations le calcul de la pr cision qui leur est associ e et les m t
164. cr er des strates secondaires n ayant pas d impact sur la probabilit de s lection d une UPE Ainsi les 86 parties d UPE i e les 43 UPE 160 scind es en deux sont devenues 86 nouvelles UPE Au total on a form 526 strates secondaires dont sept pour chacune des UPE autorepr sentatives dans un but de faciliter et de minimiser l estimation de la variance Les UPE autorepr sentatives seront discut es plus loin 12 4 Taille et r partition de l chantillon La taille totale de l chantillon et sa r partition par strate principale correspondent aux diff rents objectifs de l enqu te L objectif d obtenir des statistiques r gionales fiables et surtout comparables entre les r gions a d termin l ampleur de l chantillon La variation r gionale des principaux indicateurs de sant tant peu importante statistiquement un chantillon minimum de 800 logements a t valu n cessaire pour que des diff rences entre les r gions puissent tre d tect es Par ailleurs cet chantillon nous assure une marge d erreur de 2 5 pour une proportion de l ordre de 20 associ e a un intervalle de confiance de 95 pour des statistiques sur l ensemble de la r gion en supposant un taux de r ponse au questionnaire rempli par l interviewer de 85 et un effet de plan conservateur de 2 L chantillon minimum de logements pour l ensemble des 16 r gions est alors de 12 800 logements L objectif d atteindre de tr s bonnes pr
165. cteurs d ajustement variaient d un sous groupe d ge ou de sexe un autre Les donn es utilis es pour cet ajustement proviennent du recensement canadien de 1996 et portent sur la population totale et sur la population de personnes vivant dans les m nages priv s selon la r gion l ge et 23 La population totale inclut les personnes vivant en logements collectifs 24 Le Nord du Qu bec est la seule r gion du Qu bec o la r gion sociosanitaire et la r gion administrative ne concordent pas cette derni re incluant les r gions crie et inuite Or les donn es du recensement utilise le concept de r gion administrative Comme le nombre de Cris et d Inuits correspond une proportion importante de la population totale vivant dans la r gion administrative du Nord du Qu bec nous avons plut t utilis les donn es de recensement par municipalit Chibougamau Chapais Matagami Lebel sur 179 le sexe partir des donn es sur la population totale une projection a t faite pour l ann e 1998 qui tient compte notamment du sous d nombrement au recensement Cette projection a t effectu e par la Direction des statistiques sociales et d mographiques de FISQ On peut alors estimer Was le nombre de personnes vivant dans les m nages priv s en 1998 selon la r gion sociosanitaire r le groupe d age quinquennal a et le sexe s 9 No 96 ras Was 3 N prr 96 ras Nprcog ras o N ppp og est la popula
166. ctu e 23 pour le comit d orientation et le comit scientifique par May Clarkson et Lucille Pica 1995 Ce mod le d analyse est bas sur une approche ouverte dynamique et multidimensionnelle Il comprend cing paliers ou 24 cercles int grant l ancien mod le caract ristiques de l individu milieu de vie imm diat et r seau d appartenance tout en y ajoutant des dimensions peu touch es auparavant conditions sociales et environnement physique normes valeurs et id ologies dominantes L utilisation de ce nouveau mod le conceptuel conjugu la lev e de l obligation d analyser les variables d j pr sent es dans les chapitres pr c dents a effectivement permis plus de libert dans l analyse Toutefois l espace allou chacun des chapitres a contraint les auteurs pr senter l analyse en fonction des principales caract ristiques d mographiques et socio conomiques et d un minimum de variables secondaires Ce mod le prendrait tout son sens dans le cadre d analyses plus pouss es sur les indicateurs de l ESS98 telles que celles qui pourraient tre labor es dans des monographies Utilit du mod le Pour le choix des th mes particuli rement pour l identification de sujets d enqu te non couverts ou peu couverts par les enqu tes de sant Pour s assurer que toutes les dimensions des probl matiques l tude sont prises en consid ration lors de la s lection des questions Pour la r
167. d tresse psychologique d termination de la fiabilit et de la validit de la mesure utilis e dans l enqu te Sant Qu bec enqu te Sant Qu bec 1987 Les cahiers de recherche n 7 Minist re de la Sant et des Services Sociaux 54 p QU BEC PROVINCE 1997 Gazette officielle du Qu bec 16 avril Partie 2 Lois et r glements n 15 p 2117 2129 RADIMER K L C M OLSON J C GREENE C CAMPBELL et J P HABICHT 1992 Understanding hunger and developing indicators to assess it in women and children Journal of Nutrition Education vol 24 n 15 p 36S 45S RIOU A et autres para tre Enqu te sur la r solution de conflits conjugaux Qu bec Institut de la statistique du Qu bec SANT ET BIEN TRE SOCIAL CANADA 1988 Niveaux de poids associ s la sant lignes directrices canadiennes Rapport du groupe d experts des normes pond rales Ottawa 135 p SANT ET BIEN TRE SOCIAL CANADA 1990 Enqu te nationale sur l alcool et les autres drogues Points saillants Ottawa Minist re des Approvisionnements et Services Canada 360 p SANT ET BIEN TRE SOCIAL CANADA ROOTMAN l R WARREN T STEPHENS et L PETERS d 1988 Rapport technique Enqu te Promotion Sant Canada Ottawa Minister of Supply and Services 249 p N de cat H39 119 1988F SANTE ET BIEN ETRE SOCIAL CANADA STEPHENS T et G D FOWLER sous la direction de 1993 Enqu te Promotion de la sant Canada
168. daction des plans d analyse qui peuvent tre bauch s lors de la proposition des questions Rappelons par ailleurs qu une enqu te transversale comme celle ci c est dire une enqu te qui pr sente un portrait d une situation un moment pr cis permet de d celer des liens entre des variables ainsi que des diff rences entre des sous groupes de la population ou avec des enqu tes similaires pass es Toutefois elle ne permet pas d tablir de lien de causalit entre les caract ristiques tudi es 4 4 Choix des th mes Le choix des th mes retenus pour l ESS98 a t fait par le comit d orientation sur la base des crit res suivants puis ent rin par le comit d administration de Sant Qu bec Pertinence pour une enqu te g n rale sur la sant et les problemes sociaux ampleur et gravit du probl me pour les individus la population ou le syst me de sant et de services sociaux conformit aux buts de l enqu te continuit par rapport aux enqu tes pr c dentes int r t pour le monitoring variation suffisante en 5 ans mesure int ressante ou prometteuse en 1987 ou en 1992 1993 possibilit de recalculer des indices int ressants de 1987 et de 1992 1993 pr valence assez lev e ph nom ne pas trop marginal cause des petits nombres ou de la difficult de la mesure information non disponible partir d une autre source existence d une mesure permettant de suivre les o
169. de du groupe ayant seulement propos les questions sur le recours aux services QRI17 m decin sp cialiste SQ87 QRI 14b ESS92 93 QRI34 85 Section III Recours aux services de sant ou aux services sociaux QRI16 a QRI32 suite Question s ESS98 Sources QRI17a lieu de la derni re consultation Bas e sur deux questions ouvertes SQ87 QRI15b et ESS92 93 QRI83 En 1987 et 1992 1993 la question sur le lieu de consultation tait ouverte les cat gories de r ponses ont t ajout es en 1998 Par ailleurs l ajout de la cat gorie pharmacie rend difficile la comparaison avec les enqu tes ant rieures QRI17b consultation avec ou sans rendez Nouvelles questions ajout es a la demande du vous groupe ayant propos les questions sur le recours QRI17c temps coul entre la prise de aux Services rendez vous et la consultation QRI17d acceptabilit du temps d attente QRI17e distance parcourue aller seulement ESS92 93 QRI36 la formulation utilis e en 1992 1993 a t l g rement modifi e afin de mieux pr ciser la question en 1998 QRI17f temps pour s y rendre aller Nouvelle question ajout e a la demande du groupe seulement ayant propos les questions sur le recours aux services QRI18 dentiste SQ87 QRI 14c ESS92 93 QRI39 QRI19 infirmier re SQ87 QRI 14e ESS92 93 QRI44 QRI20 pharmacien ne SQ87 QRI14f ESS92 93 QRI48
170. de la distribution pond r e des scores de 1987 Pour l MMDP23 les analyses pr sent es ici utilisent le 80 percentile de la distribution pond r e des scores des individus ayant re u le QAA 2 en 1998 comme borne au dela de laquelle on consid re le niveau de d tresse comme tant lev Il est noter que ces analyses diff rent quelque peu de celles qui se trouvent au chapitre 16 du rapport d enqu te En effet le point de coupure ayant servi dans cette derni re publication est aussi un 80 percentile mais il s agit de celui de la distribution pond r e des scores de tous les individus r pondants au QAA en 1998 quel que soit le type de questionnaire qu ils ont re u QAA 1 ou QAA 2 Parmi les questions l tude dans le cadre de ces essais on s est d abord int ress a v rifier la sensibilit de IDPESQ14 et de l MMDP23 l ordre dans lequel les questions ont t administr es Cette question est trait e la section 18 1 Par ailleurs on d sire aussi savoir si ces deux mesures concordent c est dire si elles permettent d valuer des aspects semblables de la sant mentale La section 18 2 r sume la m thodologie utilis e pour v rifier la concordance entre les deux mesures de sant mentale et les r sultats des analyses effectu es Finalement la section 18 3 pr sente la conclusion des essais effectu s 18 1 Effet de l ordre des questions L ordre dans lequel les questions sont pos es peut av
171. de professionnel consult PSd_1 20 Les probl mes d clar s peuvent tre soit des maladies soit des affections de courte ou de longue dur e soit simplement des sympt mes Les questions sur la fr quence de consultation au cours des quatre derniers mois et sur les types de professionnels consult s PSe_1 20 PSf_1 20 PSg_1 20 PSh_1 20 et PSi 1 20 ont t propos es par le groupe de travail sur le recours aux services des professionnels de la sant et des services sociaux pour compl ter le portrait sur l utilisation des services 12 Des lacunes dans la programmation du QRI ont emp ch le transfert de tous les probl mes de sant identifi s avant cette section 74 L ensemble de ces questions s inspire largement de l enqu te de 1987 mais aucune comparaison n a encore t effectu e Section X Sympt mes respiratoires QRI133 a QRI136 Cette section constitue un ajout par rapport aux QRI des enqu tes pr c dentes Les questions sur la pr sence de sifflements ou de sibilances dans la poitrine au cours des 12 derniers mois QRI133 QRI136 ont t propos es par le groupe de travail sur lair ambiant et l environnement physique pour documenter la pr valence des sympt mes respiratoires et des pathologies associ es que constituent l asthme les allergies la bronchite chronique et emphys me Les r sultats de ces questions n ont pas t publi s dans le rapport de l ESS98 mais ont fait
172. de trouver quelqu un avec qui on est compatible ou avec qui on s entend bien QAA162 Cette question a t adapt e de la question CSTRESS 8 de l ENSP94 et s adresse aux personnes ayant r pondu non la QAA161 La deuxi me question r f re aux personnes qui ont r pondu que leur conjoint chum ou blonde ne les comprend pas QAA163a et s adresse aux personnes ayant r pondu oui la QAA161 Les v nements traumatisants v cus durant l enfance ou l adolescence c est dire avant l ge de 18 ans sont valu s au moyen de nouvelles questions QAA164 QAA170 Ces questions pos es uniquement aux personnes de 18 ans et plus ont t ajout es la demande du groupe sur l environnement de soutien Elles proviennent de l ENSP94 de Statistique Canada TRAUM Q1 TRAUM Q7 et font partie de l indice qui a t labor partir des travaux de Wheaton Les v nements traumatisants comprennent entre autres le divorce des parents une longue hospitalisation le ch mage prolong des parents la consommation fr quente d alcool ou l usage fr quent de drogue par un parent Il est noter que certaines questions utilis es en 1992 1993 dans la section VII Votre vie en g n ral n ont t reprises en 1998 la question sur le fait d tre en famille monoparentale QAA108 car des informations plus pr cises sont disponibles partir de la section d identification du QRI et la question sur la sati
173. demande psychologique au travail QAA62 QAA70 Une question filtre QAA48 permet d abord de savoir si la personne occupe pr sentement un emploi r mun r temps plein ou temps partiel salari ou son compte y compris si la personne est actuellement en vacances en cong de maladie incluant les accidents de travail en gr ve ou en lock out Cette question s inspire d une question utilis e dans l Enqu te qu b coise sur la sant cardiovasculaire 1990 EQSCV Sant Qu bec 1994 102 Quant aux caract ristiques g n rales des travailleurs les questions retenues portent sur le type d emploi QAA49a a QAA49c la taille de l entreprise dans laquelle uvre le travailleur QAA50 le statut de permanence QAA51 et le statut de syndicalisation QAA52 Les questions QAA49 QAA51 et QAA52 ont t con ues pour les besoins de l enqu te La question QAA50 s inspire d une question de l Enqu te sur la population active 1997 de Statistique Canada L autonomie d cisionnelle au travail d j examin e dans l EQSCV90 et l ESS92 93 porte d abord sur la capacit d utiliser ses qualifications et d en d velopper de nouvelles et ensuite sur la possibilit de choisir comment faire son travail et de participer aux d cisions qui s y rattachent Karasek et Theorell 1990 Elle est mesur e par neuf questions QAA53 QAA61 provenant du Job Content Questionnaire JCQ Karasek 1985 qui a t d velopp p
174. dentialit des donn es et des r sultats Les enqu tes sociales et de sant touchent des sujets tr s personnels En vertu de sa loi lISQ est tenu de prot ger la confidentialit des renseignements fournis par les r pondants La cr dibilit de l Institut de la statistique du Qu bec et de ses enqu tes repose d ailleurs en bonne partie sur le respect de la confidentialit des donn es Certains renseignements permettant d identifier les personnes interrog es nom adresse et num ro de t l phone sont requis pour faciliter la gestion de l enqu te De plus pour obtenir du r pondant cl de l information sur chaque membre du m nage on lui demande de se r f rer aux pr noms de ces personnes Pierre Lise ou Vladislav plut t qu des num ros personne 1 personne 2 ou personne 3 ainsi on simplifie l entrevue et on r duit le risque d introduire des erreurs Ces renseignements servent aussi au contr le t l phonique de la qualit de la collecte des donn es pour v rifier que les r pondants sont bien les personnes cibl es et que l entrevue a bel et bien eu lieu ou pour un compl ment d information Quant au num ro d assurance maladie il est demand pour un suivi ventuel l enqu te Durant la collecte des donn es les renseignements recueillis au QRI circulaient par modem entre le domicile de lintervieweur et le serveur central de L ger et L ger Les QAA remis aux intervieweurs sous enveloppe scell e par
175. des ESS92 93 variable RACTP de la Section 12 derniers mois 15 ans et plus d identification Il est noter que les cat gories de r ponse ont t modifi es en 1998 afin d avoir plus de pr cision mais la question demeure comparable a celle de 1992 1993 QRI160 occupation habituelle au cours des 2 SQ87 variable 142 de la Section d identification derni res semaines 15 ans et plus ESS92 93 variable RAC2 de la Section d identification Il est noter que les cat gories de r ponse ont t modifi es en 1998 afin d avoir plus de pr cision mais la question demeure comparable celles de 1987 et de 1992 1993 QRI161 emploi actuel SQ87 QRI51a ESS92 93 QRI146 QRI162 depuis combien de temps la SQ87 QRI51b ESS92 93 QRI147 personne occupe son travail Section XIV Renseignements sociod mographiques QRI157 a QRI172 QRI173a QRI173e suite Question s ESS98 Sources QRI163 depuis combien de temps la personne est sans SQ87 QRI51c ESS92 93 QRI148 emploi QRI164 pendant combien de temps la ESS92 93 QRI149 personne a travaill au cours des 12 derniers mois QRI165 description du genre de travail que la SQ87 QRI52b ESS92 93 QRI150 Le libell de personne fait cette question a t l g rement modifi en 1998 afin de fournir plus d exemples de travail toutefois la question demeure comparable a celles de 1987 et de 1992 1993 QRI166 description du genre d entrepris
176. des milieux universitaires dont la premi re t che a consist recommander les questions sur les th mes s lectionn s La formation de chacun des groupes de travail s tait effectu e autour d une premi re personne sollicit e comme responsable de l quipe et laquelle on avait demand de composer son quipe partir de collaborateurs provenant de pr f rence de milieux vari s Plusieurs de ces personnes avaient d j particip l analyse des donn es des enqu tes pr c dentes leur exp rience permettait ainsi d assurer la continuit d une enqu te l autre de mieux valuer les questionnaires ant rieurs et de les enrichir Se sont joints aux anciens de nouveaux membres qui n en taient pas moins des sp cialistes du th me Chaque groupe avait pour mandat pr cis de soumettre une version de la partie de questionnaire qui lui tait attribu e en respectant les balises impos es par Sant Qu bec savoir Les questions valid es sont pr f rablement maintenues d une enqu te de Sant Qu bec a l autre afin de permettre la comparaison et de suivre l volution des diff rents indicateurs lorsque les questions doivent tre maintenues ou remplac es ou encore que des ajouts sont n cessaires le choix de questions valid es par d autres tudes ou d autres enqu tes d envergure et de qualit comparables doit tre privil gi La source de chaque question propos e doit tre d termin e et sa
177. deuxi me question faisait aussi partie de l enqu te aupr s de la client le Hagan et autres 1998 Question s ESS98 QAA195 a d ja obtenu un conseil ou une information en appelant a Info Sant QAA196 fr quence de utilisation de ce service au cours des 12 derniers mois QAA197 a pu parler ou non l infirmi re lors du dernier appel QAA198 d marches entreprises si n a pu parler a l infirmi re lors du dernier appel Nouvelles questions qui s inspirent de celles pos es lors de l enqu te aupr s de la client le Hagan et autres 1998 Section XV L audition QAA199 QAA202 Section XVI La sexualit QAA203 a QAA220 Question s ESS98 Question s ESS98 Sources QAA199 entend des bruits bourdonnements Nouvelles questions qui s inspirent des enqu tes tintements ou sifflements dans les rapport es par Davis 1983 et 1989 Coles 1984 oreilles ou dans la t te pendant des et par Axelsson et Ringdahl 1989 p riodes d au moins 5 minutes QAA200 fr quence des bruits acouph nes QAA201 d rangement li aux bruits acouph nes QAA202 a d j consult un professionnel de Nouvelle question cr e express ment pour les la sant pour ces bruits besoins de l enqu te Sources QAA203 a d j eu des relations sexuelles QAA204 orientation sexuelle QAA205 a d ja eu une relation sexuelle avec p n tration 134 Nouvelle question cr e ex
178. directement les individus sur leur tat de sant et de bien tre sur leurs comportements et conditions de vie sur les risques auxquels ils sont expos s et sur la pr sence de probl mes sociaux au sein des m nages que les gens soient bien portants ou non qu ils utilisent ou non les services sociaux et de sant Toutefois qui dit surveillance dit observations r p t es mener une enqu te g n rale intervalles r guliers permet de suivre l volution des indicateurs de sant et de bien tre et contribue au r ajustement des objectifs vis s par les programmes et services sociaux et de sant Ainsi l enqu te Sant Qu bec 1987 a t une source pr cieuse d information pour l laboration de la Politique de la sant et du bien tre parue en 1992 Minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS 1992 On peut penser que leur tour les r sultats de I Enqu te sociale et de sant 1998 serviront la mise jour de cette politique dont la deuxi me version est pr vue pour 2002 Les donn es d enqu tes g n rales sont des denr es rares taill es sur mesure pour r pondre aux questions des d cideurs des planificateurs et des chercheurs mais g n rant des co ts importants elles sont recueillies une fr quence de cinq ans et ne sont donc pas mises jour sur une base continue mais seulement des moments pr cis dans le temps Que ce soit au niveau provincial ou r gional les r sultats des enqu tes
179. e SQ87 QRI52c ESS92 93 QRI151 Le libell de d activit conomique ou de service cette question a t l g rement modifi en 1998 dans lequel la personne travaille afin de fournir plus d exemples d entreprise etc Toutefois la question demeure comparable celles de 1987 et de 1992 1998 QRI167 municipalit de l entreprise Nouvelle question propos e par le groupe ayant propos les questions sur le travail et la sant elle a t ajout e afin de distinguer le lieu de r sidence et le lieu de travail QRI168 nombre d heures travaill es par SQ87 QRI52d ESS92 93 QRI152 semaine QRI169 travail saisonnier SQ87 QRI52e ESS92 93 QRI153 QRI170 si la personne a un autre travail SQ87 QRI52f ESS92 93 QRI154 QRI171 nombre d heures travaill es dans cet ESS92 93 QRI155 Le libell de cette question a autre travail t l g rement modifi en 1998 afin d tre plus pr cise Toutefois la question demeure comparable celle de 1992 1993 QRI172 revenu global brut du m nage SQ87 QRI54 ESS92 93 QRI161 La question de provenant de toutes sources 1992 1993 diff re de celui de 1987 la formulation a t modifi e entre les deux enqu tes afin d am liorer le taux de r ponse mais demeure la m me entre 1992 1993 et 1998 Cette question est n cessaire au calcul de lindice de niveau de revenu L indice mest toutefois pas comparable entre les trois enqu tes pour les raisons suivantes les seui
180. e QAA45d h roine smack morphine QAA45e LSD acide mescaline ESS92 93 QAA47 SQ87 QAA27a QAA27i ESS92 93 QAA48 QAA59 La question utilis e en 1987 a t revue en 1992 1993 pour que le format corresponde au mod le de l Enqu te nationale sur l alcool et les autres drogues de Sant et Bien tre social Canada 1990 et de Statistique Canada 1988 D autres modifications ont t apport es en 1998 pour simplifier le format ce qui emp che une comparaison directe avec les r sultats des deux enqu tes ant rieures 119 Section VII Les drogues QAA44 QAA47 suite Question s ESS98 Sources QAA46 tranquillisants ou somnif res pris sans prescription ou sans ordonnance au cours des 12 derniers mois sans prescription ou sans ordonnance au cours 12 derniers mois QAA47 autre s drogue s ou m dicament s pris Cette question s inspire des questions QAA62 et QAA63 de l ESS92 98 La question utilis e en 1987 a t revue en 1992 1993 pour que le format corresponde au mod le de l Enqu te nationale sur l alcool et les autres drogues de Sant et Bien tre social Canada 1990 et de Statistique Canada 1988 Les modifications apport es en 1998 pour simplifier le format emp chent une comparaison directe avec les r sultats de l enqu te de 1992 1993 Cette question s inspire des questions QAA64 et QAA65 de l ESS92 98 La question utilis e en 1987 a t revue
181. e m nages priv s en 1998 avant l ajustement 0 14 ans Homme 681 100 688 840 1 01 0 14 ans Femme 658 040 659 190 1 00 15 24 ans Homme 479 640 497 590 1 04 15 24 ans Femme 480 590 475 880 0 99 25 44 ans Homme 1 020 130 1 174 650 1 15 25 44 ans Femme 1 067 340 1 149 080 1 08 45 64 ans Homme 754 030 841 940 1 12 45 64 ans Femme 803 430 868 670 1 08 65 ans et plus Homme 289 280 847 590 1 20 65 ans et plus Femme 395 530 469 390 1 19 Total 6 629 120 7 172 810 1 08 1 Les nombres ont t arrondis 2 cause des arrondissements le total n est pas gal la somme des parties 14 4 Poids associ s la r partition de la non r ponse au QAA la section 13 nous avons d fini le taux de r ponse global comme tant le rapport du nombre pond r 181 d unit s r pondantes au nombre pond r d unit s admissibles l enqu te Au QRI ce taux s l ve a 82 1 Pour ce qui est du QAA le taux de r ponse global tient compte du fait que les questionnaires sont administr s en cascade et correspond au produit du taux de r ponse au QRI et de celui sp cifique au QAA sachant que le QRI a t r pondu Le taux de r ponse ainsi calcul s tablit 69 Toutefois nous traiterons dans cette section du taux de r ponse sp cifique Toutes les personnes ayant r pondu au QRI et g es d au moins 15 ans sont admissibles au QAA Evidemment certaines personnes n ont pas r pondu au QAA En effet des 24 129 individus
182. e ayant propos les questions sur le poids QAA5 poids d sir SQ87 QAA71 ESS92 93 QAA4 2 Les raisons invoqu es pour changer de poids Nouvelles questions ajout es a la demande du groupe ayant propos les questions sur le poids Le libell qui introduit la question elle m me LORS poU GG En MENU sani Pourquoi d sirez vous changer de poids QAA6b pour traiter son probleme uray 3 9 P s inspire de la question 4 d une tude men e par le ee e E M Gallop Poll 1984 Les cat gories de r ponse QAA6c pour traiter son probl me de g inspirent des questions Bt C5 et C8 de l Enqu te cholest rol Promotion de la sant Canada 1990 Sant et QAA6d pour traiter son probleme de diab te Bien tre social Canada 1993 QAA6e pour am liorer son apparence QAA6f pour une autre raison pr cisez QAA7 essaie de perdre du poids Nouvelle question ajout e a la demande du groupe pr sentement ayant propos les questions sur le poids Elle s inspire de la question l 3 de l Enqu te Promotion de la sant Canada 1990 Sant et Bien tre social Canada 1993 Cependant les r sultats de cette question n ont pas encore t trait s QAA8 perception des habitudes EQN90 QAA11 Des comparaisons avec cette alimentaires derni re enqu te ont t faites cependant elles portent uniquement sur les r pondants de 18 a 74 ans tel qu on l a recueilli en 1990 115 Section Ill Les habitude
183. e vit seule dans le m nage Une autre cat gorie soit colocataires a t ajout e en 1998 Cette question permet de valider la construction de la typologie des familles Section I Incapacit au cours des deux derni res semaines QRI1 QRI6 Question s ESS98 Sources QRI1 alitement QRita nombre de jours SQ87 QRI10a ESS92 93 QRI1 SQ87 QRI10b ESS92 93 QRI2 83 Section Incapacit au cours des deux derni res semaines QRI1 QRI6 suite Question s ESS98 Sources QRI2 incapable d exercer l activit SQ87 QRI11a ESS92 93 QRI3 principale tenir maison travailler ou aller a l cole QRi2a nombre de jours SQ87 QRI11b ESS92 93 QRI4 QRI3 diminution des activit s habituelles SQ87 QRI12a ESS92 92 QRI5 QRI3a nombre de jours SQ87 QRI12b ESS92 93 QRI6 QRI4 nombre de jours total SQ87 QRI13a ESS92 93 QRI7 QRI5 principal probleme de sant a SQ87 QRI13b ESS92 93 QRI8 l origine de l incapacit QRI6 si probl me est d un accident SQ87 QRI13c QRI6a genre de blessure SQ87 QRI13d Section Il Limitation des activit s QRI7 a QRI15 Question s ESS98 Sources QRI7 est restreint dans le genre ou la SQ87 QRI34a ESS92 93 QRI12a quantit d activit s 6 ans et plus QRI8 est restreint dans le genre ou la SQ87 QRI25a ESS92 93 QRI12b la formulation quantit de jeux moins de 6 ans utilis
184. e d couper efficacement chaque zone en trois aires Pour la pr sente enqu te les m thodes de classification automatique n ont pas donn les r sultats souhait s La variable de synth se a t fragment e en quintiles de fa on ce que les aires vuln rables et peu vuln rables puissent repr senter environ 20 du nombre de m nages de leur zone Les r sultats sont pr sent s au tableau 12 6 Des d tails suppl mentaires sont fournis dans Pampalon et autres 1998 159 Tableau 12 6 R partition des m nages priv s de chaque zone selon l aire homog ne Enqu te sociale et de sant 1998 Aire homog ne Nombre de m nages M1 246 910 20 0 M2 741 580 60 0 M3 247 130 20 0 C1 100 997 20 0 C2 301 535 59 9 C3 101 340 20 1 Al 107 735 20 0 A2 323 330 60 0 A3 107 665 20 0 R1 69 057 20 0 R2 206 936 60 1 R3 68 425 19 9 1 Selon le recensement canadien de 1991 Stratification secondaire La stratification secondaire consiste partitionner les strates principales pour que lon chantillonne deux ou trois UPE par strate Elle vise ainsi faciliter le calcul des probabilit s de s lection des UPE qui permettent de tenir compte du fait que les UPE sont s lectionn es sans remise avec probabilit proportionnelle au nombre de m nages De plus cette stratification assure une bonne r partition de l chantillon selon la taille des UPE En effet les strates secondaires ont t construites sur la base du nombre de m nag
185. e du Qu bec ISQ a maintenant son cr dit une vingtaine d enqu tes qui contribuent la connaissance et la surveillance de l tat de sant et de bien tre des Qu b cois Ces enqu tes sont de deux types les enqu tes g n rales et les enqu tes compl mentaires Les enqu tes g n rales donnent un portrait de l tat de sant et de bien tre de l ensemble de la population du Qu bec et de chaque r gion sociosanitaire Les autres enqu tes dites enqu tes compl mentaires tudient des sujets particuliers ou des populations sp cifiques Les enqu tes r alis es a ce jour ou en cours de r alisation sont les suivantes L enqu te Sant Qu bec 1987 r alis e aupr s de 32 000 personnes L Enqu te qu b coise sur la sant cardiovasculaire r alis e en 1990 aupr s de 2 354 personnes L Enqu te qu b coise sur la nutrition r alis e en 1990 aupr s de 2 118 personnes L Enqu te qu b coise sur les facteurs de risque associ s au sida et aux autres MTS chez les jeunes de 15 29 ans r alis e en 1991 aupr s de 3 000 jeunes L Enqu te sur la consommation d alcool et de drogues chez les jeunes Qu b cois de 15 29 ans r alis e en 1991 aupr s de 3 000 jeunes L Enqu te Sant Qu bec aupr s des Cris de la Baie James r alis e en 1991 aupr s de 2 000 personnes L Enqu te qu b coise sur la sant mentale des enfants et des adolescents de 6 14 ans r alis e
186. e fonctionnement a un impact important sur le choix des m thodes d analyse envisag es et deux approches ont t adopt es Ainsi une premi re approche approximative permettant la production grande chelle d estimations et de tests avec le logiciel d analyse statistique SAS a d abord t utilis e La seconde approche envisag e lorsque l approche approximative ne permettait pas de conclure utilisait plut t un logiciel statistique sp cialis dans le traitement de donn es provenant d un plan de sondage complexe SUDAAN Cette section pr sente les m thodes privil gi es selon les deux approches Il est noter que les utilisateurs de la banque de donn es produites partir des donn es de l Enqu te sociale et de sant 1998 ne peuvent avoir recours pour leurs analyses qu la m thode approximative En effet m me un utilisateur poss dant un logiciel permettant l analyse de donn es d enqu tes comme SUDAAN ne pourrait pas l utiliser puisque cela requiert la connaissance de toutes les variables d finissant le plan de sondage Or du point de vue de la confidentialit des microdonn es ces variables sont fortement identificatrices et ont par cons quent t supprim es de la banque de donn es La connaissance de ces informations aurait grandement augment le risque de divulgation de donn es confidentielles ce qui va l encontre de la loi de l Institut de la statistique du Qu bec Cette loi nous oblige en effet
187. e gage du respect de la plus stricte confidentialit Registre quotidien des visites Ce formulaire permet de consigner les dates heures et codes de r sultats de toutes les visites effectu es ainsi que des commentaires explicatifs utiles au suivi de cette visite Il s agit d un formulaire papier dont le contenu est transpos quotidiennement l ordinateur pour transmission par modem au serveur du Groupe L ger et L ger inc Lettre au m nage Une premi re lettre sign e par le directeur de Sant Qu bec et le pr sident directeur g n ral du Groupe L ger e L ger inc informe le m nage sur le but de l enqu te et l encourage y participer On y trouve de l information sur l objet de l Enqu te g n rale de 1998 sur les organismes responsables de sa r alisation sur l importance d y collaborer sur la confidentialit des renseignements recueillis En cours d enqu te l quipe de gestion du terrain du Groupe L ger et L ger inc a jug bon d ajouter une deuxi me lettre dont le ton moins officiel permettait de dire les choses plus simplement de mentionner le nom de lintervieweur et d aborder la question de la prime de participation de 15 Dans les cas d acc s difficile grandes conciergeries n cessitant un code d acc s la lettre a t exp di e aux occupants par la poste S il n y a personne domicile lors de la premi re visite la lettre est d pos e dans la bo te aux lettres tiquettes pr imprim es
188. e la firme INFO 01 pour discuter des probl mes informatiques et apporter rapidement des solutions On trouvera dans le rapport final du Groupe L ger et L ger inc une section consacr e au pr test Fagnan et autres 1999 Ces entrevues de pr test n ont pas t retenues dans l chantillon final ni comptabilis es dans le calcul du taux de r ponse de l enqu te 5 2 Recrutement et embauche des coordonnatrices de terrain et des intervieweurs Consid r es comme la cl de vo te de l enqu te sur le terrain les coordonnatrices r gionales devaient poss der les qualit s suivantes maturit bonne capacit d organisation d encadrement et d animation sens aigu du contact humain et des responsabilit s grande minutie exp rience ant rieure dans le domaine des enqu tes Pour quelques unes qui avaient jou le m me r le avec comp tence lors de l enqu te de 1992 1993 on n a pas jug n cessaire de proc der des entrevues Sant Qu bec a particip aux entrevues de s lection pour celles dont c tait la premi re exp rience Au d part 12 coordonnatrices avaient t recrut es pour couvrir l ensemble des r gions quelques unes assumant la supervision de deux r gions et la r gion de Montr al Centre partag e entre deux personnes Apr s le d part de l une des coordonnatrices de Montr al en d but d enqu te cette r gion n a t supervis e que par une seule personne liste des coordonnatrices de terrain selon
189. e ou le rhumatisme QRI77 permet de d terminer s il s agissait d usure des articulations ou d arthrose QRI77a Dans le m me but des questions ont t ajout es pour compl ter l ventail des probl mes musculo squelettiques un autre probl me s rieux des muscles ou des tendons QRI78b et si oui s agissait il de tendinite de bursite d picondylite par exemple un tennis elbow d entorse de foulure ou d autres traumatismes des muscles des tendons ou des ligaments QRI78c de compression ou pincement de nerf par exemple le syndrome du canal carpien le d fil thoracique ou la radiculopathie QRI78d ou d un autre probl me s rieux des muscles des os ou des articulations par exemple un probl me de douleur musculaire g n ralis e tel que fibromyalgie ou dgo dystrophie QRI78e Les r sultats de ces questions font l objet du chapitre 26 Travail et sant du rapport de l ESS98 Pour mieux tenir compte des probl mes de sant chronique en mergence dans la population des sous questions ont t ajout es Par exemple pour le cancer QRI79 une sous question vise a d terminer s il s agit du m lanome cutan QRI79a et sinon de quel autre type de cancer il s agit QRI79b De la m me facon pour les p riodes de confusion ou de perte de m moire fr quentes et importantes on tente de pr ciser s il s agit de la maladie d Alzheimer QRI97a ou d un autre probl me QRI97b On cherche aus
190. e paragraphe qui pr c de la question a t r vis par le comit d thique de sorte qu il est plus explicite et encadrant quant l utilisation ventuelle de cette information Aucun consentement n a t demand au r pondant pour le contacter nouveau en vue d autres tudes comme ce fut le cas lors de l ESS92 93 Les deux derni res questions ont t ajout es afin d avoir plus de pr cision sur le temps requis pour remplir le questionnaire QAA240 et sur la date ou il a t rempli QAA241 Soulignons que la s rie de questions de l ESS92 93 portant sur les aidants naturels na pas t reprise En 1998 le sujet a t partiellement touch dans le QRI traitements et aide re us domicile la suite d une chirurgie d un jour QRI111 QRI117 et traitements et aide re us domicile la suite d une hospitalisation QRI126 QRI132 Ces questions visaient mieux documenter les r centes transformations dans les services m dicaux au Qu bec 114 SOURCES ET JUSTIFICATIONS DES QUESTIONS DU QAA SOMMAIRE Section Votre sant en g n ral QAA1 Question s ESS98 Sources QAA1 perception de l tat de sant SQ87 QAA1 ESS92 93 QAA1 Section Il Votre poids QAA2 QAA7 Question s ESS98 Sources QAA2 taille grandeur SQ87 QAA70 ESS92 93 QAA5 QAA3 poids SQ87 QAA69 ESS92 93 QAA4 1 QAA4 d sir de changer de poids Nouvelle question ajout e a la demande du group
191. e qu elle tait tablie en 1992 1993 a t modifi e en 1998 On demande plut t si la personne a t conduite ou si elle s est pr sent e l urgence la suite de sa tentative de suicide QAA145 cette modification emp che toute comparaison avec les donn es de l ESS92 95 Il est noter que la question sur le type de professionnel consult QAA96 de l enqu te de 1992 1992 a t retir e du questionnaire en 1998 car elle n tait plus pertinente Section XI Votre vie en g n ral QAA146 a QAA170 Dans cette section plusieurs facettes de la vie en g n ral en rapport avec l environnement de soutien sont tudi es le soutien social la situation de vie les difficult s dans les relations avec le conjoint l intimit et les v nements traumatisants v cus durant l enfance ou l adolescence Une derni re facette tudi e porte sur la spiritualit Les th mes sur les difficult s dans les relations avec le conjoint l intimit les v nements traumatisants et la spiritualit sont nouveaux par rapport l enqu te de 1992 1993 Les questions sur le soutien social font partie d un indice qui a t labor par Sant Qu bec pour l enqu te de 1992 1993 Camirand et autres 1993 Les questions de l indice portent sur la notion de participation ou d int gration sociale QAA146 et QAA147 la satisfaction quant aux rapports sociaux QAA148 QAA150 et la taille du r seau de soutien QAA151 QAA156 Il est
192. e r ponse ar aes oe e ea AT aie a sense 182 15 1 3 Autres types de non r ponse partielle 184 15 2 Indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA lne 185 15 3 Imputation de l indice de suffisance de revenu 187 1523 li IPTOPI MATIQUES UE TE te ee ah salt a cect cial ae ghee cca conte alae ut 187 15 3 2 Justification de limputation ooo cccccescescescesceeceeseeeceeeeeseseeseeenenees 189 15 3 3 M thode CNOA ac fa rt aac i nn nat Sade 190 15 3 4 Transformation des variables pour le mod le logistique 190 15 3 5 R sultats OBIS LS nee ne OS a A a Le 191 15 3 6 Impact de l imputation sur SUFREV LL 193 16 M thodes d analysen ria Re ur ES A chine hind Art tithe ah Et 194 16 1 Estimations de proportions ou de moyennes 195 16 2 Estimations de DOPOAUONSS ct atch ciate nea crate eu ct tit a es us 195 16 2 1 M thode d ajustement iii 195 10 22 CL su un RP es A et re 196 16 3 Pr cision des CC IMAlIOMET SSSR a Sn eats hh hase tisha No x 196 16 4 Tests statistiques 7 0 es at ha ea aA ic etna a a nes 199 17 tude de l impact de la temp te de verglas de l hiver 1998 sur les donn es de l ESS98 200 17 1 l ments m thodologiques csccsccssessessessessecscesccessessesecsetsecsecsessecsessneseseteaee 201 17 1 1 Taille de l chantillon et taux de r ponse 201 12 1e PONS Ra er Rte REN ne dt 201 17 2 Analyse provinciale SR Silesia aka ha Ne ER nd uen 202
193. e tabac QRI194 s est d fait des animaux domestiques QRI195 a utilis des m thodes de contr le des acariens ou des mites de poussi re l enqu te nouvelles questions propos es par le groupe de travail sur lair ambiant et l environnement physique 101 Section XV Environnement physique air int rieur QRI174 QRI196 suite Question s ESS98 QRI196 autres modifications QRI196a si oui lesquelles a QRI196c N B Sources Les r sultats sur les divers d terminants potentiels dans l environnement physique et leur relation avec les sympt mes respiratoires n ont pas t pr sent s dans le rapport sur l ESS98 mais ont fait l objet d un article dans la Revue canadienne de sant publique L vesque et autres 2001 Questions administratives QRI197 QRI198 QRI198a QRIG4 et QRIG4a Question s ESS98 QAA197 ampleur de la participation des autres membres du foyer de 15 ans et plus Sources SQ87 F119 ESS92 93 F124 Le libell de la question a t modifi en 1998 expression Indiquer pour chacune des personnes si elle a particip entrevue a t remplac e par Indiquer pour chacune des personnes de 15 ans et plus du foyer si elle a fourni des r ponses pour elle m me la majorit des questions QAA198 absence de r ponses pour l un ou SQ87 F120 ESS92 93 F125 l autre membre du m nage QAA198a si c est le cas les r
194. ec qui on ayant propos les questions sur l environnement de s entend bien soutien Elle est adapt e de la question CSTRESS 8 de l Enqu te nationale sur la sant de la population 1994 de Statistique Canada et fait partie de l indice d intimit 129 QAA163a conjoint e chum ou blonde ne le a comprend pas Nouvelles questions ajout es a la demande du groupe ayant propos les questions sur renvironnement de soutien Elles proviennent de celles CSTRESS 5 CSTRESS7 de l Enqu te nationale sur la sant de la population 1994 de Statistique Canada et font partie de l indice de difficult dans les relations avec le conjoint e d velopp par Statistique Canada partir des travaux de Wheaton Wheaton 1991 1994 Turner Wheaton et Lloyd 1995 La question QAA163a fait aussi partie de l indice d intimit Section XI Votre vie en g n ral QAA146 QAA170 suite Question s ESS98 Sources QAA163b conjoint e chum ou blonde ne lui t moigne pas assez d affection QAA163c conjoint e chum ou blonde nest pas assez impliqu e dans leur relation Les questions 164 170 portent sur les v nements traumatisants v cus l enfance ou l adolescence c est dire avant l ge de 18 ans et ne s adressent qu aux r pondants de 18 ans et plus QAA164 s jour de deux semaines ou plus a l h pital QAA165 divorce des parents QAA166 pere ou m
195. elle 15 1 2 Sch mas de r ponse Pour certaines questions probl matiques pr sentant plusieurs nonc s on a pu noter la pr sence d un sch ma de r ponse Cela se produit lorsque la personne a r pondu au moins un des nonc s de la question qu elle a r pondu au moins un nonc de la question par l affirmative et que la personne n a jamais utilis les choix de r ponse correspondant la n gative Dans un tel cas on ne peut pas supposer que la non r ponse partielle est al atoire C est le cas des questions QAA6a QAA6Gf portant sur les raisons du d sir de changement de poids des questions QAA17a QAA17v et QAA18a QAA18u s int ressant la fr quence de pratique de certaines activit s physiques des questions QAA97a QAA97K qui mesurent le lien avec le travail de certaines douleurs ressenties au cours des 7 derniers jours aux diff rentes parties du corps et aussi des questions sur le moyen envisag pour se suicider QAA143a QAA143i 190 Une analyse particuli re de ces questions a d abord permis d tablir la proportion de non r ponse partielle qui tait attribuable un sch ma de r ponse Le tableau 15 2 pr sente cette information Tableau 15 2 Nombre et proportions de non r pondants des questions du QAA dus la pr sence d un sch ma de r ponse Enqu te sociale et de sant 1998 Question Nombre de r pondants Fraction due au sch ma r pondants d au sch ma potentiels la q
196. ement final minimise les ajustements c est dire que le rapport soit pr s de 1 afin de ne pas cr er une trop grande variabilit dans les poids ce qui entra nerait une perte dans la pr cision des statistiques produites La variable ge tait le seul facteur qui permettait d exercer un certain contr le sur la variabilit des poids Au d part huit groupes d age ont t consid r s 0 14 15 24 25 34 35 44 45 54 55 64 65 69 70 ans et plus Si le rapport tel que d crit ci dessus tait inf rieur 0 4 ou sup rieur 2 5 pour certains m nages d un groupe d ge donn on proc dait la fusion de ce groupe d ge avec un groupe d ge adjacent Ainsi pour les r gions sociosanitaires de Qu bec de la C te Nord et de Lanaudi re les groupes d ge 65 69 ans et 70 ans et plus ont t fusionn s Pour les r gions du Bas Saint Laurent et de la Gasp sie les de la Madeleine on a regroup les 25 34 ans et les 35 44 ans Enfin pour le Nord du Qu bec le groupe d ge 45 54 ans a t combin avec celui des 55 64 ans Qu villon Baie James 180 Ainsi le poids final au QRI associ tous les individus du m nage k de USE j de UPE i de la strate h de la classe de pond ration c ajustement pour la non r ponse et de la classe de pond ration g ajustement la distribution de la population vis e prend la forme suivante W g P g Pi k Pi k o W g est le nombre projet
197. en poids moyenne un c est dire que la somme de ces poids correspond au nombre de r pondants par r gion La section 14 6 fournit plus de d tails ce sujet Le seuil des tests a t fix 0 01 Chaque fois qu une variable tait consid r e comme celle ayant le pouvoir explicatif le plus lev et que le test s av rait significatif on s assurait toujours que les poids soient peu pr s moyenne un avant d en inclure une autre Si tel n tait pas le cas on apportait une fois de plus une l g re transformation aux poids afin que ceux ci soient moyenne un Cette situation peut survenir dans le cas o une modalit ou fusion de modalit s d une variable regrouperait un nombre important de r pondants avec un poids lev ou faible Dans ce cas la somme des poids n est plus moyenne un ce qui peut affecter le r sultat des tests du khi deux effectu s Au total 90 classes de pond ration ont t form es On retrouve d ailleurs l annexe 8 le r sultat de la mod lisation pour chaque r gion Ainsi l individu m du m nage k de PUSE j de l UPE i de la strate h inclus dans la strate de pond ration c du QRI et f du QAA ajustement pour la non r ponse et dans la classe de pond ration g ajustement la population au QRI a un poids P correspondant a Pp m f P m Quelques variables ont souvent servi pour la construction des classes de pond ration dans les r gions tre
198. en d tail la section IX du QRI Questions sur les probl mes de sant d clar s L unit d analyse est donc un probl me de sant et non un individu Ainsi un individu aux prises avec des probl mes de sant se retrouvera dans le fichier d analyse autant de fois qu il a de probl mes identifi s Tous les probl mes de sant relev s dans le QRI n ont pas t analys s pour la comparaison avec les donn es de l enqu te Sant Qu bec 1987 les questions QRI104 QRI107 et QRI120 constituant des ajouts en 1998 ont t mises de c t de plus les examens pr vention d pistage diagnostic etc et les motifs de recours aux services comme la vaccination soit les codes CIM 9 V000 V999 OMS 1977 n ont pas t cod s comme probl mes de sant et ont donc t exclus de l analyse Une pond ration s est av r e n cessaire car la section IX n a pas t remplie pour tous les probl mes d clar s taux de r ponse pond r de 80 Le poids final au QRI c est dire Pip a t ajust afin de tenir compte de cette non r ponse Un taux de r ponse pond r a t obtenu par classe de pond ration La construction de ces classes s est faite de fa on similaire a ce qui a t discut auparavant Le poids final P4 rattach chaque probleme de sant r pondant est donc le poids Pp multipli par l inverse du taux de r ponse pond r par classe de pond ration 149 Pond rations pr sentes da
199. ence d utilisation du condom au cours des 12 derniers mois avec ce dernier partenaire occasionnel QAA220 a t trait pour une MTS QAA217 s inspire de la question 4 5 QAA218 s inspire de la question 5 2a QAA219 s inspire de la question 5 6 Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur la sexualit Section XVII Renseignements sociod mographiques QAA221 QAA241 136 Question s ESS98 Sources QAA221 sexe SQ87 QAA137a ESS92 93 QAA173 QAA222 date de naissance SQ87 QAA137b ESS92 93 QAA174 QAA223 premi re langue apprise et que la SQ87 adapt e du QRI49 personne parle encore ESS92 93 QAA175 Cette question fait partie de l indice d appartenance ethnoculturel QAA224 lieu de naissance de la m re ESS92 93 QAA177 Cette question fait partie de l indice d appartenance ethnoculturel QAA225 lieu de naissance du p re ESS92 93 QAA178 Cette question fait partie de l indice d appartenance ethnoculturel QAA226 plus haut niveau de scolarit SQ87 QAA144 compl t ESS92 93 QAA184 Il est noter que plusieurs cat gories de r ponse ont t scind es en 1998 de sorte qu il y a 22 possibilit s de r ponse au lieu de 16 comme en 1987 ou en 1992 1993 QAA227 le fait d avoir obtenu ou non un Nouvelle question ajout e la demande du groupe dipl me d tudes secondaires ayant propos les questions sur les caract ristiques de la populatio
200. ent surviennent les blessures chez les jeunes enfants ou les personnes g es S agit il surtout d accidents de v hicule moteur ou de bicyclette de pratiques d activit s r cr atives ou sportives de chutes d agressions de br lures ou d empoisonnements accidentels de blessures caus es par un instrument ou un objet coupant ou perforant de heurts contre des objets vari s ou d autres choses Pour les accidents survenus a bicyclette ou au cours de la pratique d une activit r cr ative ou sportive la QRI71 permet de sp cifier lors de quelle s activit s l accident s est produit Les questions QRI49 a QRI62 proviennent presque int gralement de l enqu te de 1992 1993 cependant certaines d entre elles proviennent de l enqu te de 1987 QRI49 QRI51 QRI60 QRI62 QRI62a Les questions sur les circonstances de l accident QRI63 a QRI70 ont t ajout es a la fin de la section pour conserver intacte la s quence initiale des questions et favoriser la comparabilit des r sultats avec ceux de 1992 1993 Ces questions proviennent de la question HLT Q41 de l Enqu te nationale sur la sant de la population ENSP et de la question INJ Q6 de l Enqu te longitudinale nationale aupr s des enfants ELNE question INJ Q6 La question QRI71 a t propos e par la R gie de la s curit dans les sports du Qu bec et ce pour mieux conna tre les principales activit s sportives a l origine des blessures Rappelons que l e
201. ents a Homers questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 93 et de la Si oui QRI126 qui a fourni ces traitements question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s QRI127a personne vivant dans le m nage des peuples autochtones Toutefois ge ae formulations diff rentes rendent toute comparaison QRI127a1 personne apparent e vivant dans le impossible m nage QRI127b personne apparent e ne vivant pas dans le m nage QRI127c ami e ou voisin e QRI127d quelqu un du CLSC QRI127e personne embauch e titre priv QRI127f quelqu un d autre QRI128 a d bours de l argent pour ces services QRI129 a re u de l aide a domicile Si oui QRI129 qui a fourni cette aide QRI130a personne vivant dans le m nage QRI130a1 personne apparent e vivant dans le m nage QRI130b personne apparent e ne vivant pas dans le m nage QRI130c ami e ou voisin e QRI130d quelqu un du C L S C QRI130e personne embauch e titre priv QRI130f quelqu un d autre QRI131 a d bours de l argent pour ces services QRI132 suffisance de cette aide 94 Section IX Questions sur les probl mes de sant d clar s PS PSa1 20 a PSi1 20 Question s ESS98 Sources PSa_1 depuis quand la personne a ce probl me SQ87 QRI SQ 1a des modifications ont t apport es aux cat gories de r ponse en 1998 par le comit de travail sur le QRI apr s examen des r sultats du pr test PSb_1 pr
202. ere involontairement sans emploi pour une longue dur e QAA167 v nement dont la pens e a effray pendant des ann es QAA168 d part de la maison parce qu avait fait quelque chose de mal QAA169 probl mes familiaux dus la consommation d alcool ou de drogue du p re ou de la m re QAA170 mauvais traitement physique par une Section XII La famille QAA171 QAA183 Nouvelles questions ajout es a la demande du groupe ayant propos les questions sur renvironnement de soutien Elles s inspirent des questions TRAUM Q1 TRAUM Q7 de l Enqu te nationale sur la sant de la population 1994 de Statistique Canada et font partie de l indice d v nements traumatisant v cus durant l enfance ou l adolescence d velopp par Statistique Canada partir des travaux de Wheaton Wheaton 1991 1994 Turner Wheaton et Lloyd 1995 proche Question s ESS98 Sources 130 QAA171 a un ou des enfants biologique s ou SQ87 QAA88a adopt s g s de moins de 18 ans ESS92 93 QAA102 noter que le libell de la question a t modifi e en 1998 pour que tous les parents biologiques ou adoptifs r pondent cette question 131 Section XII La famille QAA171 a QAA183 suite Question s ESS98 Sources QAA172 qualit des relations avec leurs SQ87 QAA88b propres enfants ESS92 93 QAA103 noter qu en 1998 le libell de la question a t modifi et les
203. erglas sur les donn es de l ESS98 iii 209 Seuils du test et mod les retenus pour expliquer les variations entre les sinistr s et les non sinistr s pour les indices d int r t au niveau r gional vague en 2 cat gories Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 210 Taux pond r de non r ponse partielle et proportion estim e de personnes n ayant fourni aucune r ponse selon la mesure de sant mentale et le type de questionnaire Enqu te Sobale ete sant Obama A nn de PS 212 Proportion estim e de personnes appartenant la cat gorie lev e de mesure de sant mentale selon le type de mesure et de questionnaire Enqu te sociale et de sant 1998 213 Seuil de signification observ du test correspondant au terme d interaction entre le type de questionnaire et la mesure de sant mentale selon la variable d pendante de sant consid r e Enqu te sociale et de sant 1998 214 Croisement de l indice de d tresse psychologique avec l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique Enqu te sociale et de sant 1998 217 R gressions logistiques des diff rentes caract ristiques de sant en fonction de l ge du sexe et du Groupe seuils de signification observ s des contrastes entre les groupes 2 et 3 Enqu te sociale et de sant 1998 inner erereeernereseen 217 Liste des sch mas 11 1 12 1 Seuils retenus pour l indice de masse corpo
204. ernier mois L outil r pond a deux crit res majeurs a il est fond sur des manifestations d un mal tre ou d une 104 d tresse globale ressentie par une population non clinique b il se veut sensible au contexte socioculturel du Qu bec contemporain puisque les manifestations rapport es sont tir es d entrevues en profondeur effectu es aupr s de la population qu b coise Cet indice repose sur 23 nonc s mesurant les dimensions autod valuation 7 nonc s irritabilit anxi t 5 nonc s anxi t d pression 5 nonc s et d sengagement social 6 nonc s Des analyses factorielles confirmatives ont montr la structuration du construit de d tresse autour de ces quatre facteurs Mass et autres 1998b et ont galement permis de confirmer que ces quatre dimensions traduisent bien un concept latent de d tresse Mass et autres 1998c Soulignons que l MMDP23 est actuellement utilis e dans une dizaine de recherches pid miologiques et ou valuatives au Qu bec Des analyses plus pouss es de concordance entre les deux outils de mesure seront men es et feront ventuellement l objet d une publication de l ISQ La question sur la perception que les individus ont de leur sant mentale QAA140 a t d velopp e et utilis e lors de la National Comorbidity Study men e aux Etats Unis et de l enqu te de sant mentale ontarienne men e au d but des ann es 90 Kessler et autres 1997 Offord et autres
205. ersonnes en age de pouvoir lire soit la population de 6 ans et plus Cependant cause d une erreur de programmation informatique du QRI l information porte seulement sur les personnes de 7 ans et plus Ces deux questions s inspirent des questions QAA75c et QAA75d de l enqu te de 1987 mais la formulation et la m thodologie diff rentes en 1998 emp chent la comparaison des r sultats Ce th me n tait pas abord dans ESS92 93 Quant aux questions sur l audition la premi re porte sur la capacit d entendre et de comprendre la voix dans le silence sans proth se auditive s il y a lieu QRI139 Cette question englobe quelques unes des nombreuses capacit s li es l audition Elle a t retenue parce qu elle avait t utilis e dans de vastes enqu tes en Grande Bretagne et en Australie Davis 1983 et 1989 Wilson et autres 1992 La deuxi me question QRI140 permet de savoir si la personne a d j consult un professionnel de la sant pour sa difficult d entendre Cette derni re question permet de confirmer le probl me d audition Bien que des donn es sur l audition aient t recueillies lors de l enqu te de 1987 elles ne sont en rien comparables celles obtenues en 1998 puisqu elles visaient savoir si les personnes qui portaient un appareil auditif avaient de la difficult entendre une conversation normale De plus ces questions taient pos es dans le questionnaire autoadministr et de ce fait r pond
206. ervi pour la base de sondage provenant du recensement canadien de 1991 et l num ration des logements effectu e au moment de l enqu te cette diff rence est principalement due l explosion d mographique de certains territoires Afin de diminuer la variabilit des poids caus s par les diff rences observ es dans les probabilit s de s lection une transformation consistant r duire la valeur de certains poids extr mes a t effectu e Le but de cette op ration est de diminuer la variance de l estimateur videmment en r duisant la valeur de certains poids on introduit un biais Il s agit donc de faire un compromis entre la diminution de la variance de l estimateur et l augmentation de son biais Contrairement l enqu te de 1992 1993 nous n avons pas mis en place une proc dure syst matique de 175 r duction des poids extr mes Comme tous les logements d une m me USE ont un m me poids associ la probabilit de s lection l analyse a plut t port sur les USE Nous avons alors examin les USE qui affichaient les plus grands poids associ s la probabilit de s lection parmi l ensemble des 1 092 USE chantillonn es plus particuli rement en portant notre attention sur les USE dont le poids tait tr s sup rieur la moyenne des poids de leur strate principale ainsi que sur les USE ayant connu de grandes explosions d mographiques Parmi les 1 092 USE chantillonn es nous avons remarqu que cing USE
207. es activit s associ es ces tapes sont pr sent es soit dans les sections suivantes de la partie soit dans la partie IIl pour la m thodologie statistique de l enqu te 3 2 R le de Sant Qu bec de la Direction de la m thodologie du Bureau de la statistique du Qu bec BSQ et des partenaires En collaboration avec la Direction de la m thodologie du BSQ Sant Qu bec a assum la coordination des op rations de fa on a ce qu elles se d roulent selon les normes de qualit les plus lev es Pour chacune des tapes sauf pour la collecte on a fait appel a la collaboration des experts du r seau de la sant et des services sociaux et a ceux des milieux universitaires En troite collaboration avec le directeur de Sant Qu bec qui avait lui m me dirig l enqu te g n rale de 1992 1993 l enqu te a t g r e par une coordonnateure de projet et une agente de recherche qui agissait aussi comme assistante a la coordination Le mandat de coordination de l enqu te consistait pr parer chacune des tapes en produisant la documentation n cessaire au processus d enqu te encadrer et mobiliser les nombreuses ressources professionnelles ayant accept de collaborer ce processus et assurer les communications tant crites que verbales chacune des tapes deux agents de recherche se sont ajout s pour l tape ultime de la r vision des chapitres et de la pr paration du rapport La supervision de 2
208. es deux derni res semaines QRI1 QRI6 62 Section II Limitation des activit s QRI7 QRI15 iii 63 Section II Recours aux services de sant ou aux services sociaux QRI16 QRI32 64 Section IV Consommation de m dicaments QRI33 QRI48 Meda_1 Medg_1 65 Section V Accidents avec blessures QRI49 QRI71 ooo cece ceeeseeeceesseeeeeenneeeeees 66 Section VI Probl mes de sant QRI72 QRIV04 ooo cccecececececececeeeeeeecessererererereees 67 Section VII Chirurgies d un jour QRI105 QRI1 17 68 Section VIII Hospitalisations QRI118 QRI132 ooo eeccccceesssseeecsseeeeeseneeeeeeenanes 69 Section IX Questions sur les probl mes de sant d clar s PS PSa1 20 PSi1 20 sc NT lunliel eolteutnsna seh nie exten Siren ARS 70 Section X Sympt mes respiratoires QRI133 QRI136 u 71 Section XI Vision et audition QRI137 QRI140 ooo cc ceecceeceseeeeeeeseeeeesnseeeeess 71 Section XII Couverture des frais de sant par un r gime d assurance priv ORNATA ORNSS ER A A dar dia ee 72 Section XIII S curit alimentaire QRI153 QRI156 72 Section XIV Renseignements sociod mographiques QRI157 QRI172 QRI173a Q ORITZZ E SE SE SU ee aE Se RoE EO re te OR 73 Section XV Environnement physique air int rieur QRI174 QRI196 l n 74 Questions administratives QRI197 QRI198a QRIG4 et QRIG4A 75 11 Questionn
209. es priv s par UPE selon le recensement de 1991 et la r partition des UPE d une strate principale entre les strates secondaires est faite de fa on proportionnelle UPE ordonn es selon leur taille En d autres mots l int rieur d une strate principale les UPE de tr s petite taille se retrouvent dans une m me strate secondaire celles de petite taille sont mises ensembles dans une m me strate secondaire celles de taille moyenne sont regroup es dans une m me strate etc De fa on technique toutes les strates principales avec plus de quatre UPE s lectionner sont d coup es en strates secondaires Le nombre de strates secondaires est gal la partie enti re du nombre d UPE s lectionner dans la strate principale divis e par deux Par la suite les UPE sont tri es selon le nombre de m nages sauf pour les UPE scinder qui sont regroup es avec des UPE de taille deux fois moindre car l USE qui sera s lectionn e correspondra environ la moiti de l UPE Les bornes pour former les strates secondaires sont obtenues de telle sorte que la stratification secondaire ait peu ou pas d effet sur la probabilit de s lection d une UPE Cependant dans l aire homog ne vuln rable de la zone m tropole M1 de la r gion 16 il a fallu scinder en deux 43 UPE avant m me de former des strates secondaires A cause du fort taux d chantillonnage au premier degr et du nombre important d unit s tirer on ne parvenait pas
210. es publics d ment identifi s ayant pr cis par crit l utilisation qu ils projettent de faire de ces donn es Ces utilisateurs signent un contrat ou une entente et s engagent ne pas distribuer la banque de donn es et respecter les mesures de s curit exig es Le fichier maitre disponible dans les locaux du CADRISQ est d usage limit il ne peut qu tre consult sur place et n est accessible qu des utilisateurs d ment autoris s 57 Bibliographie AUDET N 1996 Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Cahier technique et m thodologique volume 2 Montr al Sant Qu bec 270 p AUDET N et M LEMIEUX 2001 Enqu te sociale et de sant 1998 Cahier technique et m thodologique d finition des principaux indices et regroupements volume 2 Montr al Institut de la statistique du Qu bec 215 p AUDET N J CAMIRAND S DAVELUY L PICA J THEROUX et P TESSIER 1997 Enqu te g n rale de 1998 Manuel de r f rence l intention des intervieweur e s Montr al Sant Qu bec version r vis e de d cembre BAULNE J 1999 Document de travail concernant l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l Enqu te sociale et de sant 1998 Direction de la m thodologie et des enqu tes sp ciales Qu bec Institut de la statistique du Qu bec 22 octobre 13 p BELLEROSE C 1992 Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Manuel de r f rence l intention des inter
211. espondant ces territoires L utilisation des aires a permis de bien r partir l chantillon r gional a R gions sociosanitaires Les seize r gions sociosanitaires comprises dans la population vis e sont d finies selon les limites existant au moment du recensement canadien de 1991 Le nombre de m nages priv s par r gion est pr sent au tableau 12 4 On peut remarquer la tr s grande variabilit du nombre de m nages d une r gion une autre de 6 000 757 000 Pour obtenir une taille d chantillon minimum dans les r gions peu populeuses il devient incontournable de stratifier selon les r gions 156 Tableau 12 4 R partition des m nages qu b cois selon la r gion sociosanitaire et laire homog ne en milliers Enqu te sociale et de sant 1998 Aire homog ne R gion M1 M2 M3 C1 C2 C3 A1 A2 A3 R1 R2 R3 Total 1 0 0 0 0 0 11 26 12 11 13 2 74 2 0 0 0 25 30 3 8 19 3 6 5 1 98 3 0 0 0 35 121 57 1 14 0 4 9 2 243 4 0 0 0 17 33 4 21 49 16 3 30 4 177 5 0 0 0 12 37 6 3 15 4 2 14 8 103 6 162 392 204 0 0 0 0 0 0 0 0 0 757 7 0 0 0 12 49 24 1 4 1 4 10 2 105 8 0 0 0 0 0 0 11 21 9 6 7 0 54 9 0 0 0 0 0 0 6 15 8 2 2 0 32 10 0 0 0 0 0 0 1 4 0 0 0 6 11 0 0 0 0 0 0 3 5 0 12 14 2 36 12 0 0 0 1 32 7 6 33 9 30 5 129 13 13 93 7 0 0 0 0 0 0 0 0 114 14 17 37 0 0 0 0 5 20 6 22 6 118 15 18 47 3 0 0 0 9 22 10 4 16 12 140 16 37 173 33 0 0 0 21 76 34 1 36 24 436 Total 247 742 247 101 302 101 108 323 108 6
212. esse certaines r gions ont couvert l v nement De l avis des intervieweurs la couverture m diatique par la presse locale a facilit leur travail Parall lement a cette campagne de lancement une affiche cr e par Mme Louise M th de Toise Design a t produite par la Direction des communications du MSSS et distribu e par l entremise des agents de communication des r gies r gionales En 1992 1993 quelques r gies r gionales avaient tenu a ce qu une lettre de remerciement soit remise en leur nom aux m nages qui avaient particip l enqu te ce ne fut pas le cas en 1998 mais on pourrait penser a donner plus de place aux r gies lors de la collecte des donn es pour que les m nages puissent identifier 38 leur r gie Il faudrait aussi trouver de nouveaux moyens pour promouvoir l enqu te dans les r gions o il est plus difficile pour les intervieweurs d atteindre les taux de r ponse exig s Montr al particuli rement 39 5 6 D roulement de la collecte des donn es Cette section porte sur la s quence des op rations effectu es pour recueillir les donn es a partir du 5 janvier 1998 et ce tant pour TESS que pour l EQLA tant donn l imbrication des processus de ces deux enqu tes au domicile des r pondants comme on l a mentionn plus haut Une fois les listes d num ration des logements valid es le BSQ identifiait al atoirement les m nages de l chantillon de la vague en les pointant
213. estion a t modifi entre les trois enqu tes des pr cisions a cet effet sont indiqu es De plus comme l tape d analyse des r sultats tait termin e au moment de la pr paration de ce cahier il a t possible d ajouter le cas ch ant des commentaires sur les probl mes pos s par certaines questions 10 Questionnaire rempli par l intervieweur QRI Section d identification SI L entrevue en face face d bute avec la section d identification Men e aupr s d un adulte suffisamment inform sur les autres membres du m nage pour r pondre leur place elle permet l intervieweur d tablir la liste des membres du m nage qui r side dans le foyer et de pr ciser leurs caract ristiques sociod mographiques Apr s l enregistrement du num ro d intervieweur et du num ro de dossier la section d identification aborde les questions sur la langue de l entrevue LANG l adresse du m nage incluant le num ro de r gion MENU le num ro de t l phone TEL le nombre de num ros de t l phone dans le foyer NBTEL le type de construction du logement MULTI et CONST et le nombre de pi ces PIECE A l exception de la question sur le nombre de num ros de t l phone dans le foyer NBTEL ces questions ont t pos es en 1987 et en 1992 1993 La question NBTEL a t ajout e pour les besoins particuliers de I Etude parall le tude r alis e en m me temps que l Enqu te sociale et de sant 19
214. estionnaire autoadministr Dans ce groupe de personnes de 15 ans et plus 20 773 ont fourni des r ponses au QAA Les distributions des r pondants obtenues au QRI et au QAA en fonction de l ge et du sexe se trouvent au tableau 13 2 Tableau 13 1 R partition des logements selon les r sultats de la collecte Enqu te sociale et de sant 1998 R sultats observ s R sultats R sultat de la collecte pond r s Logements non admissibles Logement vacant Logement saisonnier Logement occup par des personnes ne devant pas r pondre Logement inscrit par erreur en num ration Logement d moli Logement non r sidentiel Logement en construction Sous total Logements contenant un m nage admissible M nage r pondant 82 1 Refus du m nage 12 3 Pas de r ponse 2 1 impossibilit d interview cause de d c s maladie ou autres 0 9 M nage temporairement absent 0 8 Aucune personne du m nage ne parle le fran ais ou l anglais 0 7 M nage en rendez vous 0 6 M nage n ayant pas pu compl ter le questionnaire 0 4 Incomplet avec refus de continuer 0 1 Intervieweur avec un probl me de langue 0 0 Incomplet avec retour 0 0 Sous total 100 0 Total 100 0 1 Ces m nages ont t consid r s non admissibles du point de vue administratif pour le processus de collecte Cependant au plan statistique lorsqu on veut inf rer la population vis e ces m nages devraient tre consid r s comme admissibles et de fait ils ont
215. et d autres indicateurs de sant taient pr serv es quel que soit le type de questionnaire administr Pour r pondre a cette question plusieurs mod les de r gression logistique multiple ont t ajust s Chacun pr sentait la m me forme c est dire que la variable d pendante y tait une variable de sant connue pour tre li e chaque mesure de sant mentale consid r e IDPESQ14 ou MMDP23 les variables explicatives comptaient l ge le sexe la mesure de sant mentale le type de questionnaire et l interaction entre ces deux derni res variables Cette interaction constitue en fait le terme d int r t puisque si elle est significative on doit conclure que la relation entre la variable de sant et la mesure de sant mentale n est pas la m me d un type de questionnaire l autre Des tudes ant rieures ont montr qu il existe plusieurs relations connues entre des variables de sant et les mesures de sant mentale l tude IDPESQ14 et MMDP23 Quelques unes de ces variables ont t s lectionn es pour les tests Il s agit de la sant per ue la sant mentale per ue la consultation pour un probl me de sant mentale la pr sence d id ations suicidaires au cours d une ann e la pr sence de tentatives de suicide la consommation de tranquillisants et la consommation de stimulants Les seuils de signification observ s associ s au terme d interaction dans chaque mod le sont pr sent
216. et de Same 1998 nas en ee desc hia da a Lu ann Tl tee de ve nues 173 Taux de r ponse pond r sp cifique au QAAI selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 1998 176 Somme des poids avant l ajustement la population des 15 ans et plus projection du nombre de personnes de 15 ans et plus vivant dans les m nages priv s en 1998 et rapport entre la projection et la somme des poids avant l ajustement final selon le groupe d ge et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 177 Correspondance entre le nom des poids de ce document et le nom des poids pr sents dans les fichiers de microdonn es Enqu te sociale et de sant 1998 180 Questions du QAA ayant un taux de non r ponse sup rieur 10 Enqu te sociale et de sant TIS an trade tbe at nr ee co ae an an a Metall du Panto ac ewadls 182 Nombre et proportions de non r pondants a des questions du QAA dus la pr sence d un sch ma de r ponse Enqu te sociale et de sant 1998 183 Effets de l imputation sur les taux de non r ponse des questions du QAA Enqu te sociale et de sant 1998 Effets de l imputation sur le taux de non r ponse des questions QAA43 et AAA49 Enqu te s caleet de SAME 1 OOS aint ds ARR Et ne den Pt ue 184 Questions composant l indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA Enqu te sSocia leetde samt DOG LA lun see den son edad 186 R partition des r pondants selon l indice de synth se de la non r
217. et du taux de non r ponse partielle l g rement sup rieurs lorsque les quatorze questions de l indice suivent celles composant l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique M me pour ce type de questionnaire le taux de non r ponse partielle demeure cependant en de de 5 Le test r alis montre par ailleurs que les deux mesures de sant mentale utilis e lors de l Enqu te sociale et de sant 1998 soit l IDPESQ14 et l MMDP23 ne concordent pas parfaitement Les personnes identifi es comme appartenant au niveau lev de la mesure par l indice ou par l chelle mais pas par les deux instruments la fois diff rent significativement quant d autres indicateurs de sant associ s la sant mentale On ne peut donc affirmer que les deux mesures sont quivalentes Toutefois les tests du khi deux effectu s pour chacun des tableaux croisant une des mesures de sant mentale lIDPESQ14 ou l MMDP23 avec d autres variables caract ristiques individuelles variables socio conomiques ou variables de sant r v lent que les deux mesures permettent essentiellement d identifier les m mes sous populations risque de d tresse psychologique En effet on d tecte dans les deux cas les m mes associations En cons quence il a t d cid d utiliser l indice de d tresse psychologique IDPESQ14 dans le rapport de l enqu te L objectif de comparabilit de la pr sente enqu te avec cel
218. et sa sous question QRI48 et QRI48a ont t propos es par le Comit de concertation en maladies infectieuses La vaccination contre la grippe fait l objet du chapitre 23 du rapport sur l ESS98 Section V Accidents avec blessures QRI49 QRI71 Cette section s int resse aux personnes victimes d accident au cours des douze mois ayant pr c d l enqu te L ESS98 ne traite pas seulement des accidents ayant entra n des blessures assez graves pour limiter les activit s normales QRI49 comme ce fut le cas en 1987 elle inclut galement les accidents qui ont entra n une consultation m dicale QRI50 qu il y ait eu ou non limitation des activit s comme en 1992 1993 L ESS98 traite aussi des accidents avec blessures selon le lieu la route QRI51 le travail QRI52 l cole QRI53 la maison l int rieur QRI54 un lieu de loisir ou de sport QRI55 un lieu public QRI56 la maison l ext rieur QRI57 ou tout autre endroit QRI58 Les questions suivantes traitent du nombre d accidents au cours des 12 derniers mois QRI59 de la principale blessure QRI60 du temps coul depuis le dernier accident QRI61 des autres probl mes de sant physique ou mentaux caus s par le les accident s QRI62 et si oui du principal probl me de sant QRI62a La pr sente enqu te permet de mesurer pour la premi re fois l importance des accidents avec blessures selon les circonstances QRI63 a QRI70 Par exemple comm
219. eut tre expos dans le cadre de son travail QAA74 et QAA76 QAA85 Les trois derni res questions portent sur la fr quence de la violence physique de l intimidation et des paroles ou gestes caract re sexuel non d sir s survenus au travail au cours des 12 derniers mois QAA86a QAA86c Quant aux sources des questions le QAA71 provient du questionnaire compl mentaire sur les conditions de travail de l Enqu te sur l emploi 1991 de l Institut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE en France l exception de la question sur l exposition au bruit intense QAA80 qui s inspire de la Deuxi me enqu te europ enne sur les conditions de travail 1995 de la Fondation europ enne pour l am lioration des conditions de vie et de travail en Irlande les questions QAA72 QAA85 sont une adaptation de celles du questionnaire de l Enqu te sur la sant le travail et la vieillissement 1990 de l organisme M decins au travail en France Derriennic et autres 1992 Les questions QAA86a QAA86c s inspirent de celles du questionnaire de la Deuxi me enqu te europ enne sur les conditions de travail 1995 Les questions QAA87 QAA89 concernent les postures de travail La question QAA87 value la posture de travail g n rale assise ou debout au cours d une journ e de travail r guli re Les questions QAA88 et QAA839 qui valuent diff rents niveaux de contraintes des postures debout ou assise donnent un portrait plus d
220. eux proportions tudi es la covariance entre les estimations tant alors nulle 207 17 tude de l impact de la temp te de verglas de l hiver 1998 sur les donn es de l ESS98 La temp te de pluie vergla ante qui s est abattue sur le Qu bec du 5 au 9 janvier 1998 a eu et aura des cons quences sur la vie de la population qu b coise et sur leur sant Les indices de sant tels que mesur s dans l Enqu te sociale et de sant 1998 peuvent vraisemblablement avoir t affect es par les cons quences de la temp te de verglas de janvier 1998 Or l ESS98 s inscrit en continuit des deux enqu tes pr c dentes enqu te Sant Qu bec 1987 et Enqu te sociale et de sant 1992 1993 tant par son contenu que par sa m thodologie dans le but d assurer une comparabilit des donn es et de fournir un portrait volutif de la sant des Qu b cois Ce principe directeur risquait donc d tre compromis si aucun moyen n tait pris pour mesurer l impact de la crise du verglas sur les donn es de 1998 Une enqu te compl mentaire t l phonique aupr s des informateurs cl s des m nages priv s interview s dans le cadre de l ESS98 a donc t effectu e Ce projet a t men par Jacinthe Loiselle de la Direction Sant Qu bec de Institut de la statistique du Qu bec accompagn e de Serge Chevalier Claire Durand et Robert Courtemanche membres du comit scientifique permanent de la Direction Sant Qu bec et de Carmen Beller
221. final selon le groupe d age et le sexe Enqu te sociale et de sant 1998 Projection du nombre de Somme des poids avant personnes de 15 ans et plus Projection 1998 Groupe d age et sexe se ss somme des poids ajustement final vivant dans les m nages avant l ajustement priv s en 1998 15 24 ans Homme 480 750 497 590 1 04 15 24 ans Femme 485 330 475 880 0 98 25 44 ans Homme 1 166 650 1 174 650 1 01 25 44 ans Femme 1 176 280 1 149 080 0 98 45 64 ans Homme 838 970 841 940 1 00 45 64 ans Femme 872 480 868 670 1 00 65 ans et plus Homme 845 970 347 590 1 00 65 ans et plus Femme 458 350 469 390 1 02 Total 5 824 780 5 824 780 1 00 1 Les nombres ont t arrondis 2 cause des arrondissements le total peut ne pas tre gal la somme des parties 14 6 Pond rations ramen es la taille de l chantillon Des pond rations dont la somme des poids concordent avec le nombre de r pondants pour un sous ensemble donn ont galement t utilis es dans l analyse de cette enqu te Ces poids ont principalement servi lors de l utilisation du test du khi deux Au QRI cette variable de pond ration qui ram ne le total des poids P au nombre de r pondants du QRI est obtenue de la fa on suivante 30 386 P im m Pim m Pp m o 30 386 est le nombre total de r pondants au QRI et la somme de P est gale au nombre estim de personnes vivant dans les m nages priv s en 1998 soit 7 172 812
222. fois les formulations diff rentes rendent toute comparaison impossible Les autres questions de cette section ont t cr es express ment pour l ESS98 Section VIII Hospitalisations QRI118 a QRI132 La pr sente section aborde trois autres aspects de l utilisation des services le recours a l hospitalisation le recours aux services a domicile la suite de l hospitalisation et la perception des personnes utilisatrices de ces services Bien que le recours l hospitalisation ait t abord en 1987 il nest pas possible d en comparer les r sultats avec ceux de l ESS98 dont la plupart des questions sur le sujet sont nouvelles ou formul es diff remment Ce th me n a pas t tudi en 1992 1993 Les nouvelles questions ont t ajout es afin de mieux documenter les r centes transformations dans les services m dicaux Comme d j mentionn dans la section pr c dente Dans le secteur hospitalier les modifications de l offre de services se sont notamment traduites par une r duction du nombre et de la dur e des hospitalisations et par une place plus grande occup e par la chirurgie d un jour Les CLSC pour leur 73 part ont vu leur client le s accroitre et offrent une gamme plus tendue de services Trahan et autres 1999 Dans un tel contexte et comme lont observ C t et autres 1998 dans une r cente tude la participation de la famille et des proches la prestation des services est appel
223. ge revenu impr cis ou revenu inconnu et la disponibilit du revenu personnel des membres du m nage provenant du QAA transform en pseudo revenu m nage En effet dans tous les cas sauf pour le revenu inconnu les mod les d imputation variaient selon que le revenu personnel transform en pseudo revenu m nage soit disponible ou non Les mod les sont pr sent s au tableau 15 12 29 Priorit assign e 1 emploi 2 retraite 3 autres 4 tudiant 5 tenait maison 30 Priorit assign e 1 emploi 2 retraite 3 sans emploi 4 tudiant 5 tenait maison 199 Tableau 15 12 Mod les utilis s pour l imputation de l indice de suffisance du revenu Enqu te sociale et de sant 1998 Facteurs principaux et Nombre de Mod le Mod le pour le revenu termes d interaction m nages imputer Pseudo revenu m nage Mod le 1 Revenu entre 10 000 19 999 Type de famille 14 Pseudo revenu type S Type de famille Mod le 2 a ean m nages imputer Occupation habituelle P q P 9 P Type occupation Pseudo revenu m nage Mod le 3 Revenu entre 20 000 39 999 Type de famille 15 Pseudo revenu type Revenu entre 20 000 39 999 Type de famille Mod le 4 2 Jo A 6 Revenu personnel manquant pour m nages imputer Occupation habituelle Pseudo revenu m nage Mod le 5 Revenu sup rieur 40 000 Type de famille 43 Scolarit relative Revenu sup rieur 40
224. h que nationale du Qu bec Quatri me trimestre 2001 ISBN 2 550 38461 X Gouvernement du Qu bec Toute reproduction est interdite sans l autorisation expresse de l Institut de la statistique du Qu bec Novembre 2001 Introduction g n rale Partie I Dimensions relatives au contenu et la gestion de l enqu te Introduction 1 Table des mati res Pr sentation de I Enqu te sociale et de sant 1998 1 1 Importance et utilit des enqu tes g n rales 1 2 1987 1992 1993 1998 1 3 Une CRQUCTESFOCIGMANG 6 3 55 iad hata ctvislostbh dE dd ls 1 4 Une enqu te locomotive Es 2 der cei oe eee ee AA St ea nnnn But et objectifs de l Enqu te sociale et de sant 1998 D roulement de l Enqu te sociale et de sant 1998 Balt P SOE lENAU leS E Lu un a al 3 2 R le de Sant Qu bec de la Direction de la m thodologie du Bureau de la statistique du Qu bec BSQ et des partenaires Conception et pr paration de I Enqu te sociale et de sant 1998 4 1 Comit d orientation 4 2 Comit scientifique 4 3 Mod le conceptuel 4 4 Choix deS MEMES naiiai nt ae ose E segs 4 5 Choix des questions 4 6 Jats 18 i gl tc ae emai te Rita E E AA E AET en E A 4 6 1 Instruments de collecte les questionnaires 4 6 2 Instruments administratifs nn RS tnt Lena 4 6 3 Instruments propres l num ration Collecte des donn es 5 1 ECE satiate Ma parent ert elie tata tt bcd Nai tt 5 2 Recrutement et embauche des coo
225. hapitres o les groupes d age servant aux analyses diff rent ce sont les groupes analys s qui ont t utilis s dans les ajustements Par exemple pour le chapitre sur le comportement sexuel les groupes d age ayant servi pour les ajustements sont les suivants 15 19 20 29 30 39 40 49 50 59 et 60 ans et plus Pour certains th mes trait s dans l Enqu te sociale et de sant 1998 seul un sous groupe de l ensemble de la population tait tudi Par exemple lorsqu on estime la proportion de travailleurs ayant un statut permanent la sous population tudi e est celles des travailleurs Dans un tel cas l estimation de population comportait une tape suppl mentaire Ainsi pour estimer le nombre de travailleurs ayant un statut permanent la premi re tape consistait estimer le nombre de travailleurs par groupe d age et sexe pour ainsi tenir compte de la non r ponse la question sur le travail Finalement le nombre de travailleurs statut permanent tait estim tel que d crit au premier paragraphe en rempla ant les nombres de personnes vis es par les nombres de travailleurs Cette derni re tape traite donc plus sp cifiquement de la non r ponse la question sur la permanence de l emploi 203 16 2 2 R sultats Les populations estim es Pe 000 int gr es dans le rapport correspondent en g n ral au nombre estim de personnes dans la population ou sous population ayant une caract ristique sociosanitaire
226. hodes ayant servi la construction des tests statistiques Note des auteurs comme chaque tape de cette enqu te est semblable celle effectu e en 1992 1993 le pr sent texte reprend en bonne partie le cahier technique et m thodologique de l enqu te sociale et de sant de 1992 1993 Bellerose et autres 1996 12 Plan de sondage 12 1 D finition des populations Population vis e L Enqu te sociale et de sant vise tous les m nages priv s du Qu bec l exception de ceux des r gions crie et inuite ainsi que des r serves indiennes Par m nage priv le recensement canadien entend une personne ou un groupe de personnes autres que des r sidents trangers occupant un logement priv et n ayant pas de domicile habituel ailleurs au Canada Les individus vivant dans un m nage collectif ne sont pas vis s par l enqu te Selon le recensement de 1991 ils repr sentaient environ 1 8 de la population du Qu bec Ces m nages collectifs se caract risaient par une plus forte proportion de personnes g es de 65 ans et plus 16 Lors des travaux sur le plan de sondage seules les donn es du recensement de 1991 taient alors disponibles Les r gions crie et inuite ont t couvertes par des enqu tes particuli res Daveluy et autres 1994 Jett 1994 tant donn leur culture sp cifique l loignement et l immensit de leur territoire la couverture de ces r gions n cessitait l emploi de leur langue e
227. i aucun indice de synth se n a d tre construit pour le QRI on a cependant proc d l imputation de l indice de suffisance de revenu fr quemment utilis comme variable concomitante dans les analyses des caract ristiques de sant La section 15 1 r sume d abord les principaux r sultats de l examen d taill des donn es du QAA Puis l indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA est pr sent la section 15 2 Finalement la section 15 3 aborde la question de la m thodologie utilis e pour l imputation de l indice de suffisance de revenu Par ailleurs pour les populations estim es la question de la non r ponse partielle est discut e dans la section 16 portant sur les m thodes d analyse 15 1 Analyse de la non r ponse partielle au QAA Dans un premier temps on a valu la non r ponse pour chaque question Au moment de r aliser cette tape on a consid r le nombre de personnes r pondantes aux trois premi res vagues de la collecte soit 15 313 personnes de 15 ans et plus le QAA ne s adressant pas aux individus de moins de 15 ans Il s agit donc ici d analyse portant sur des donn es non finales et les taux pr sent s sont non pond r s Pour la suite l tude a principalement port sur les questions ou groupes de questions ayant un taux de non r ponse partielle sup rieur 10 jug es comme potentiellement probl matiques Cela a notamment permis de d tecter des probl mes dans le trai
228. ices re us La satisfaction quant l acc s est mesur e par l acceptation du temps d attente entre le moment o la personne a t inform e de la n cessit d tre hospitalis e et le moment o cet v nement s est produit QRI123 QRI124 La satisfaction l gard des services re us est mesur e par la perception qu ont les r pondants de la suffisance du temps pass l h pital et de l aide domicile re ue apr s l hospitalisation QRI125 QRI132 noter que les questions QRI118 et QRI119 s inspirent de la question SQ 1G de l enqu te SQ87 Toutefois la formulation diff rente rend toute comparaison impossible Les questions QRI127a a QRI127f et QRI130a a QRI130f s inspirent des questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 93 et de la question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s des peuples autochtones encore une fois les formulations diff rentes emp chent la comparaison des r sultats Les autres questions de cette section ont t cr es express ment pour l ESS98 Section IX Questions sur les problemes de sant d clar s PS PSa1 a 20 a PSi1 a 20 Les probl mes de sant identifi s dans les sections pr c dentes du QRI sont repris dans cette section Pour chacun on pose une s rie de questions afin de savoir depuis quand la personne a ce probleme PSa_1 a 20 si le probl me a t confirm par un m decin PSb_1 20 si la personne a consult quelqu un pour le probl me PSc_1 20 et le type
229. ices sociaux EMOND A 1987 Mode d utilisation des instruments de l enqu te Sant Qu bec Cahier technique 87 04 Qu bec Sant Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux EMOND A et M CLARKSON 1988 Le processus de gestion de l enqu te Cahier technique 87 05 Qu bec Sant Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux FAGNAN D sous la direction de G FILION M ROY J P LATOUR et J B SIMARD 1999 Enqu te sociale et de sant Sant Qu bec Rapport m thodologique et des op rations vol 1 Montr al Le Groupe L ger et L ger inc juin 186 p GOUVERNEMENT DU CANADA SANTE CANADA Site de la Base de donn es sur les produits pharmaceutiques En ligne http www hc sc gc ca hpb drugs dpd index html GOUVERNEMENT DU QUEBEC INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC Site de l Institut en ligne http Awww stat gouv qc ca GUYON L et M LEVASSEUR 1992 Les variables cat gorisation indicateurs et indices de Sant Qu bec Cahier technique 87 08 Qu bec Sant Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux LALONDE M 1974 Nouvelle perspective de la sant des Canadiens Sant et Bien tre social Canada Ottawa LAPOINTE F et R COURTEMANCHE 1997 num ration des logements d une unit primaire d chantillonnage de l Enqu te g n rale de 1998 instructions aux coordonnateurs Qu bec Bureau de la statistique du Qu bec Direction de la m thod
230. ids P ou Pop 14 7 Pond ration r gionale Le plan de sondage de l ESS98 permet galement l analyse r gionale L estimation de totaux pour une r gion donn e est obtenue en utilisant les poids populationnels d j d finis soit P pour le QRI et Pa pour le QAA La pond ration ramen e la taille de l chantillon r gional poids moyenne 1 a t tablie de la m me fa on que celle pour le QRI et le QAA d crite la section pr c dente Ainsi pour le poids moyenne 1 au QRI pour une r gion donn e N r gion Pp m m r gion Pim r gion m Pp m OU Nr gion NOMbre total de r pondants au QRI pour la r gion donn e La pond ration moyenne 1 pour le QAA pour une r gion donn e s obtient de fa on similaire 26 Comme les membres au sein d un m nage ont un poids identique un seul poids par m nage est n cessaire Le nombre estim de m nages priv s est la somme du poids P1p pour l ensemble des 11 986 m nages 186 La pond ration moyenne 1 r gionale ne s utilise que pour l analyse d une seule r gion a la fois Comme rimportance relative des r gions n est pas conserv e dans ce type de pond ration on ne peut pas alors utiliser la pond ration r gionale moyenne 1 pour analyser deux ou plusieurs r gions en m me temps 14 8 Pond ration pour la section IX du QRI Tout au long du QRI les probl mes de sant des r pondants ont t identifi s puis examin s plus
231. ier partenaire r gulier avec lequel la personne vivait QAA214 QAA215 a eu plus d un partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois dont l un de ces partenaires tait un partenaire r gulier avec lequel la personne ne vivait pas utilisation du condom lors de la derni re relation sexuelle avec le dernier partenaire r gulier avec lequel la personne ne vivait pas QAA216 fr quence d utilisation du condom au cours des 12 derniers mois avec ce dernier partenaire r gulier avec lequel la personne ne vivait pas Nouvelles questions qui s inspirent de celles employ es dans l tude de Leaune et Adrien 1998 QAA206 s inspire de la question 4 2 QAA207 s inspire de la question 4 4 QAA208 s inspirent des questions 4 5 4 6 4 7 et 4 8 QAA209 s inspire de la question 5 2a QAA210 s inspire de la question 5 6 QAA211 s inspire de la question 4 5 QAA212 s inspire de la question 5 2a QAA213 s inspire de la question 5 6 QAA214 s inspire de la question 4 5 QAA215 s inspire de la question 5 2a QAA216 s inspire de la question 5 6 135 Section XVI La sexualit QAA203 a QAA220 suite Sources Question s ESS98 QAA217 a eu plus d un partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois dont l un de ces partenaires tait un partenaire occasionnel QAA218 utilisation du condom lors de la derni re relation sexuelle avec le dernier partenaire occasionnel QAA219 fr qu
232. ifications taient effectu es par l quipe de traitement des donn es de la DSQ utilisation correcte des indices correction des estimations apparaissant dans les tableaux v rification des tests significatifs etc et par l quipe de la DMES r sultats constituant des cas litigieux et demandant des v rifications n cessitant l utilisation de logiciels sp cialis s comme SUDAAN etc A la fin du processus la version r vis e du chapitre tait retourn e aux auteurs pour approbation Ceci fait le texte approuv tait soumis a une r viseure linguistique Le produit final a t dit par la DSQ et imprim avec la collaboration de la Direction des normes et de l information sous forme d un rapport g n ral en un seul volume 8 Publications des r sultats et diffusion des donn es Le rapport intitul Enqu te sociale et de sant 1998 est paru dans la collection la sant et le bien tre des publications de lISQ Les r sultats de l enqu te ont t rendus publics le 6 novembre 2000 par M Yvon Fortin directeur g n ral de l Institut de la statistique du Qu bec M Richard Mass sous ministre adjoint a la direction g n rale de la sant publique du MSSS et Mme Kathleen Weil pr sidente de la Conf rence des r gies r gionales de la sant et des services sociaux La conf rence de presse a t tr s largement couverte dans les m dias et suivie de nombreuses entrevues particuli rement avec MM Rich
233. ion la cigarette Doit tre inf rieur ou gal l ge actuel 26 ge d initiation la cigarette Doit tre inf rieur ou gal l ge actuel 27 ge o on a cess de fumer Doit tre inf rieur ou gal l ge actuel Section VI 35 Age auquel le r pondant a cess de Doit tre inf rieur ou gal a l ge boire actuel 49 Tableau 6 1 Liste des validations de la banque de donn es de Enqu te sociale et de sant 1998 suite 37 et 38 36 et 41 Cinq ou huit consommations ou plus en une seule occasion Fr quence et nombre de consommations par semaine Priorit Q38 Si la quantit fournie a Q37 est inf rieure Q38 on donne la valeur de Q38 Q37 Priorit Q36 Corriger la question 41 lorsque c est possible de le faire selon les fr quences la question 36 Section VII 47 Section XVI 206 Autres drogues Age de la premi re relation sexuelle Si la drogue mentionn e est parmi les choix de r ponse des questions 45a a 45e ou 46 la r ponse est reclass e au bon endroit sauf s il s agit d une deuxi me mention Certaines r ponses ont t limin es il y a eu mauvaise interpr tation de la question Doit tre inf rieur ou gal l ge actuel Section XVII 226 Plus haut niveau de scolarit V rifier selon l ge Validations inter instruments QRI Section d identification QAA 222 date de naissance Age du
234. ion QRI13 si le probl me est le r sultat d un accident ou d une blessure et la question QRI13a la nature de cette blessure Ces trois derni res questions permettent de savoir 1 s il y a d autres probl mes de sant qui restreignent la personne dans ses activit s QRI14 2 si oui quel est le principal probl me l origine de cet autre probl me de sant QRI14a et 3 si le probl me est le r sultat d un accident ou d une blessure et la nature de cette blessure QRI15 et QRI15a Les questions retenues dans cette section figuraient aussi dans les enqu tes de 1987 et de 1992 1993 sauf les questions QRI13a QRI14a QRI15 et QRI15a qui provenaient uniquement de l enqu te de 1987 et qui ont t rajout es en 1998 pour les besoins de comparaison des mesures de pr valence des probl mes de sant Il est noter qu en 1998 les questions QRI8 et QRI9 ont t l g rement modifi es la question QRI8 visant des enfants de moins de six ans un mot a t chang dans le libell de la question pour avoir plus de pr cision le mot jeux a remplac le mot activit s en 1998 67 La r alisation de l Enqu te qu b coise sur les limitations d activit 1998 EQLA Camirand et autres 2001 aupr s d un chantillon des r pondants de l Enqu te sociale et de sant 1998 ESS98 Daveluy et autres 2000 a eu des r percussions sur les questions de cette section Des modifications et des retraits ont t
235. ionner que celles l Il en est de m me pour l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique Et dans les deux cas ces associations vont dans le m me sens 85 Le lecteur peut consulter le chapitre 16 du rapport d enqu te pour plus de d tails 224 Le tableau 18 4 pr sente les proportions estim es de la population appartenant a chacun des quatre groupes d finis plus t t Tableau 18 4 Croisement de l indice de d tresse psychologique avec l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique Enqu te sociale et de sant 1998 IDPESQ14 par rapport au total EMMDP23 par rapport a la ligne par rapport a la colonne Niveau faible Niveau lev Niveau faible Groupe 1 74 28 Groupe 2 5 66 92 91 7 09 91 35 30 31 Niveau lev Groupe 3 7 03 Groupe 4 13 03 35 06 64 94 8 65 69 69 On peut noter une proportion d environ 87 d individus class s de la m me mani re par les deux mesures de sant mentale Groupe 1 plus Groupe 4 Les Groupes 2 et 3 comptent ainsi a peu pr s 13 de la population Avant d examiner plus a fond les caract ristiques de sant des individus de ces diff rentes sous populations deux caract ristiques individuelles ont t examin es Des tests ayant permis de d tecter des associations notables entre l ge et le sexe d une part et le Groupe d autre part et le fait que ces deux caract ristiques individuelles sont en g n ral tr s associ
236. ions et les moyennes qui sont produites partir des donn es de l Enqu te sociale et de sant 1998 utilisent les pond rations Cette fa on de faire est celle qui convient pour proc der l inf rence la population Les donn es pond r es sont en effet celles qui permettent notamment de tenir compte du caract re non proportionnel de la r partition de l chantillon dans les strates et des ajustements effectu s pour minimiser l impact de la non r ponse section 13 du pr sent document 202 Ainsi les estimations correspondant des caract ristiques recueillies au questionnaire rempli par l interviewer utilisent les poids au QRI Celles qui concernent des th mes du questionnaire autoadministr sont b ties laide des poids au QAA Il arrive aussi que des estimations soient produites en utilisant la fois des informations tir es du QRI et du QAA Pour produire de telles estimations les poids du QAA sont ceux qui doivent tre utilis s Finalement quelques analyses portent plus sp cifiquement sur les probl mes de sant c est dire que l unit d analyse est un probl me de sant En ce cas les pond rations sp cialement con ues cette fin sont celles qui conviennent 16 2 Estimations de populations Bien que la majorit des estimations produites dans le rapport soient des proportions ou des moyennes on y pr sente galement des estimations de tailles de populations en milliers Pe 000 dans les tableaux En
237. ions r alis es l aide d instruments dits administratifs Le recours l ordinateur sert l ensemble de ces fonctions 3 Les th mes incapacit et limitations d activit et hfo Sant CLSC ont t respectivement sous la responsabilit d un seul chercheur 28 L ordinateur un monstre inoffensif L enqu te de 1998 a t l occasion d exp rimenter un nouveau mode de collecte des donn es sur le m nage le QRI ayant t informatis et rendu accessible sur ordinateur portable pour chacun des intervieweurs L ordinateur est ainsi devenu l instrument principal de la collecte des donn es de l ESS98 et de l EQLA mais galement un outil de gestion du processus de l enqu te ainsi il servait planifier le travail de l intervieweur enregistrer les donn es d enqu te et communiquer avec l quipe de gestion lintervieweur y retrouvait sa liste de logements s lectionn s et toute l information recueillie tait transmise quotidiennement au serveur central du Groupe L ger et L ger inc Montr al Malgr certains incidents de parcours li s la nouveaut de l outil pour la plupart des intervieweurs et la difficult d adapter fid lement le questionnaire papier sa version lectronique la collecte assist e par ordinateur ainsi que l informatisation de certains processus de gestion ont permis de diminuer les manipulations et les erreurs d autant plus que lESS98 comportait plusieurs
238. ions sont num rot es QAA112 QAA116 dans le QAA 1 et QAA136 QAA140 dans le QAA 2 De la m me fa on la question sur la perception de la sant mentale est num rot e QAA140 dans le QAA 1 et QAA121 dans le QAA 2 Mentionnons finalement que lors de la construction de la banque de donn es les questions des deux versions de questionnaires ont t renomm es en utilisant la num rotation du QAA 1 et un indicateur de la version de questionnaire a t construit Section X Le suicide QAA141 a QAA145 Cette section reprend la majorit des questions de l enqu te de 1992 1993 permettant d tablir la pr sence d id es suicidaires QAA141 et de tentatives de suicides ou parasuicides QAA144 Le terme parasuicide est utilis ici pour d signer tous les comportements suicidaires non fatals Cette section permet de mieux pr ciser le ph nom ne des id es suicidaires par le biais des questions visant d terminer si la personne a pr vu un moyen pour le faire QAA142 et le cas ch ant les moyens envisag s QAA143a a QAA143i Afin de mieux saisir la gravit du parasuicide une derni re question permet d tablir si la personne rapportant une tentative de suicide a t conduite ou s est pr sent e d elle m me l urgence d un h pital la suite de son geste QAA145 13 Pour des d tails sur les r sultats du test effectu voir la section 18 105 Pour estimer les pr valences des id es suicidaires et des te
239. is es plus sp cifiquement lors de la pr paration de l enqu te Encadrement de la m thodologie de l enqu te tablir les balises pour le plan d chantillonnage population cible base de sondage m thode d chantillonnage d terminer les m thodes de collecte estimer le fardeau des r pondants en valuant la proportion d individus susceptibles d tre questionn s pour une ou plus d une enqu te compl mentaire choisir les modalit s de pr test s assurer de la validit des r sultats la suite de la temp te de verglas en recommandant la tenue d une tude aupr s des r pondants cl s tude des propositions de questions validit ordonnancement des questions recommandation de r aliser parall lement a l ESS98 une tude sur un mode de collecte alternatif au face face dite tude parall le Lapointe et autres para tre 4 3 Mod le conceptuel Contrairement aux enqu tes pr c dentes qui utilisaient le mod le D terminants tat de sant Cons quences jug trop lin aire par les membres des groupes d analyse de l ESS92 93 l enqu te actuelle a t l occasion d explorer un nouveau cadre conceptuel permettant davantage d interactions entre les probl matiques l tude Le Mod le syst mique pour l analyse de la sant et du bien tre ent rin par le comit d administration de Sant Qu bec est le r sultat de la revue de la documentation sur le sujet effe
240. ites ce niveau Le tableau 16 2 pr sente les effets de plan pour chaque questionnaire et quelques variables en fonction de la r gion sociosanitaire Dans tous les cas les calculs de pr cision n cessaires l tablissement des effets de plan ont t faits avec le logiciel SUDAAN sp cialement con u pour l analyse statistique de donn es d enqu tes complexes La m thode de lin arisation de Taylor sert alors faire l estimation de la variance et l estimateur de Yates Grundy Sen Yates et Grundy Sen 1953 a t utilis 205 Tableau 16 2 Effets de plan r gionaux pour le QRI et le QAA Enqu te sociale et de sant 1998 QRI QAA Sections 12 13 et questions 175 DURPAUV 178 SECALIM coe R gion sociosanitaire ie Questions 41 ee E 157 158 194 229 23 G n ral 48 75b et c COUVSDEN 8 REPASEXA MATCONJ2 i REPASEXT RELACT VSPIRIT SSPIRIT ISSAV ISUTIL Bas du fleuve 1 5 1 8 4 4 1 5 1 8 Saguenay Lac St Jean 1 4 1 8 4 4 1 3 1 8 Qu bec 1 4 1 8 4 4 1 4 1 8 Mauricie Bois Francs 1 7 1 8 Estrie 1 4 1 8 Montr al 1 5 1 8 Outaouais 1 7 2 1 Abitibi T miscamingue 1 6 1 8 C te Nord 1 3 1 8 Nord du Qu bec 1 1 1 4 Gasp sie les de la Madeleine 1 7 2 0 Chaudi re Appalaches 1 2 1 8 Laval 1 5 1 8 Lanaudi re 1 5 1 8 Laurentides 1 5 1 8 Mont r gie 1 8 1 8 Remarques Pour les r gions 6 7 13 et 16 l effet de plan pour l indice GROUPTH2 vaut 3 9 Pour les questions 17
241. l intervieweur ne savait pas qui serait appel pour d autres aspects de l enqu te il lui fallait donc la fin de la visite dans le m nage informer le r pondant principal et les autres membres du m nage pr sents et demander au r pondant principal d informer les personnes absentes qu ils taient susceptibles de recevoir un appel t l phonique pour r pondre un autre questionnaire reli l enqu te ou encore pour qu on v rifie la qualit de son travail On lui avait donn la consigne de ne pas pr ciser le sujet de cet autre questionnaire activit physique et indice synth tique sur la sant ce travail tant laiss aux intervieweurs du central t l phonique Par ailleurs un questionnaire t l phonique additionnel pos tous les r pondants principaux des m nages est venu s ajouter pour tenter de mesurer les effets de la temp te de verglas sur les r sultats de l ESS98 ces entrevues ont t r alis es de f vrier d cembre 1998 Des modalit s d administration particuli res guidaient les entrevues t l phoniques des enqu tes compl mentaires Le lecteur int ress en savoir davantage pourra consulter le chapitre sur les m thodes des rapports de ces enqu tes Enqu te qu b coise sur les limitations d activit EQLA Camirand et autres para tre Enqu te sur la r solution des conflits conjugaux Riou et autres para tre Enqu te sur l activit physique et la sant Nolin et autres pa
242. l enqu te Sant Qu bec 1987 Sant Qu bec 1988 et l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Sant Qu bec 1995 Les questions QRI6 et QRI6a sont analogues celles utilis es en 1987 Section Il Limitation des activit s QRI7 QRI15 Les questions de cette section portent sur les limitations que peut imposer l tat de sant sur le plan des activit s habituelles dans les diff rents secteurs de la vie Il s agit donc davantage ici de restriction permanente des activit s Deux questions permettent d tablir la pr sence d une limitation d activit cause d une maladie chronique physique ou mentale ou d un probl me de sant La premi re question vise les individus de 6 ans et plus QRI7 tandis que la deuxi me vise les enfants de moins de 6 ans QRI8 Pour la population de 6 ans et plus d autres questions visent d terminer si cause de son tat de sant la personne est restreinte dans ses activit s la maison ou incapable de faire ses travaux m nagers quotidiens QRI9 si elle est restreinte dans sa capacit de travailler en dehors du foyer ou de poursuivre ses tudes QRI10 ou si elle est restreinte dans ses autres activit s loisirs d placements entre la maison et le lieu de travail ou l cole QRI11 Ensuite et cette fois ci pour l ensemble des individus de tout ge la question QRI12 permet de savoir quel est le principal probl me de sant l origine de la limitation la quest
243. l enqu te de 1992 1993 Il est noter que les donn es sur le revenu personnel total QAA231 et celles sur la comparaison de sa situation financi re avec celle de ses parents son ge QAA237 n ont pas t pr sent es comme telles dans le rapport de l ESS98 Concernant le patrimoine du m nage QAA232 et QAA233 ces deux questions ont t utilis es dans la construction de l indice de patrimoine accumul dans le m nage en 1992 1993 variable PATRACC Toutefois l indice a t rejet en 1998 parce que la question relative au statut r sidentiel propri taire ou locataire QAA232 ne permet pas de s parer les propri taires des locataires ce qui invalide les r sultats De plus deux autres questions de 1992 1993 n ont pas t reprises la demande d un groupe de travail sur les in galit s socio conomiques de sant soit celle sur la principale occupation du p re QAA194 113 et celle sur le plus haut niveau de scolarit de ce dernier QAA195 La derni re question de contenu du QAA porte sur la satisfaction du r pondant envers les services de sant offerts dans sa r gion QAA238 Ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur le recours aux services sociaux et de sant cette question n a toutefois pas encore fait l objet d une analyse Vient ensuite une question demandant au r pondant son num ro d assurance maladie du Qu bec QAA239 tir e de l enqu te de 1992 1993 Cette fois ci l
244. l observ de ce test est de 0 64 Comme pour les deux indices de sant pr c dents on a ensuite effectu une mod lisation de l indice IDPESQ14 le seuil observ du param tre de PANNE pour le mod le final est de 0 041 Ces deux r sultats indiquent que la proportion de personnes sinistr es appartenant la cat gorie lev e de l indice de d tresse psychologique est relativement plus lev e que la proportion chez les personnes non sinistr es On estime ici que l augmentation de la proportion de personnes appartenant la cat gorie lev e de l indice de d tresse psychologique est de l ordre de 11 en faveur des personnes ayant t sinistr es pour des personnes ayant des caract ristiques socio d mographiques semblables tant donn qu on estime que 35 des Qu b cois ont t sinistr s cette augmentation de 11 correspond une surestimation de 0 8 au niveau provincial On en d duit que l estimation de la proportion de Qu b cois appartenant la cat gorie lev e l indice de d tresse psychologique aurait t d environ 19 3 au lieu de 20 1 214 ALCOOL98 consommation d alcool Lorsqu on utilise l indice ALCOOL98 en deux cat gories moins de 14 consommations et 14 consommations et plus et la vague en deux cat gories on obtient un seuil de 0 47 pour le test concernant l effet d interaction entre le fait d tre sinistr s et la vague Tout comme pr c demment on mod lise ensuite l indice de s
245. la pr sence d un syst me d air conditionn QRI180 s inspire d un questionnaire autoadministr de l Etude d exposition au radon dans les r sidences de la province de Qu bec L vesque et autres 1997 Les quatre questions suivantes portent sur la ventilation naturelle au domicile c est a dire la fr quence a laquelle fen tres et ou portes ext rieures de la maison sont laiss es ouvertes au printemps QRI180 l t QRI181 l automne QRI183 et l hiver QRI184 Ces derni res questions s inspirent galement de l tude d exposition au radon dans les r sidences de la province de Qu bec L vesque et autres 1997 L exposition la fum e de tabac la maison mesur e par le nombre de personnes qui fument l int rieur du domicile tous les jours ou presque QRI185 est aussi examin e Cette question s inspire des Recommandations de l atelier sur usage et la consommation de tabac Maladies chroniques au Canada 1994 Les cinq questions suivantes portent sur la pr sence de tapis QRI186 et QRI187 et d animaux 79 QRI188 QRI190 a l int rieur du domicile et l int rieur des chambres coucher elles s inspirent galement de l tude europ enne sur la sant respiratoire Burney et autres 1994 La derni re s rie de questions est pos e seulement si l entrevue sur le m nage a permis d identifier quelqu un du foyer qui souffre d allergie QRI73b QRI74b QRI75b QRI75c ou d asthme
246. lations 143 12227 BAS Te SON Se A etc et ge aed Ne eu 145 Ee E LLO i a Soke tot aa NU A Ne AN Et ot OA Rh Ar 150 12 4 Taille et r partition de l chantillon 155 12 5 Tirage de T chantilOns 2e id RS tnt denis 161 13 R sultats de la collecte et taux de r ponse global 162 13 1 R sultats de la Collette cc toch che eit ie Ae ad erin te eh ie ie es Nee 162 13 2 Taux de r ponse DIODES ea nce ter CRE RER sir 163 14 R nd ration SEE A ee A mame tte e Me taht a a e 165 14 1 Poids associ s la probabilit de s lection 165 14 2 Poids associ s la r partition de la non r ponse au QRI 169 14 3 Poids associ s la distribution de la population vis e au QRI 171 14 4 Poids associ s la r partition de la non r ponse au QAA lne 174 14 5 Poids associ s la distribution de la population vis e au QAA ln 176 14 6 Pond rations ramen s la taille de l chantillon 177 14 7 Pond ration TEGIGNAlGs Re ne tte me A Set ee eh ar ek 178 14 8 Pond ration pour la section IX du QRI LL 179 14 9 Pond rations pr sentes dans les fichiers de microdonn es 179 15 Non r ponse partielles nina nee SAR RE ioueninsanteantenwnd 181 15 1 Analyse de la non r ponse partielle au QAA LL 181 15 1 1 Cas probl matique ooo o oo ce ccccceccccccccceceececcecececececeececscceeceeeesecsetirsseeeeereees 181 18 12 Sch mas d
247. le obtenue dans le cadre d un emploi ou d une activit professionnelle QRI143 police d assurance individuelle ou familiale obtenue directement d un courtier ou d une compagnie d assurance QRI144 autre type d assurances QRI145 soins hospitaliers tels que frais pour une chambre priv e ou semi priv e couverts en totalit ou en partie m dicaments prescrits par un m decin ou un dentiste couverts en totalit ou en partie soins dentaires couverts en totalit ou en partie examens de la vue couverts en totalit ou en partie lunettes et verres de contact couverts en totalit ou en partie services fournis par certains professionnels de la sant autres que des m decins en totalit ou en partie inscrit au Programme d assurance m dicaments du Qu bec QRI152 couverture par un autre programme d aide gouvernemental qui paie en partie ou en totalit les soins QRI146 QRI147 QRI148 QRI149 QRI150 QRI151 de sant tels les examens de la vue les soins dentaires Ces nouvelles sous questions ont t ajout es afin d obtenir un meilleur portrait de la couverture des frais de sant par des r gimes d assurance priv e de la couverture par le r gime obligatoire d assurance m dicaments mis en place par le gouvernement du Qu bec en janvier 1997 et de la couverture par des programmes d aide gouvernementale 97 Section XIII S curit alimentaire QRI153 QRI156
248. le de la Sant publique du MSSS de M Daniel Tremblay directeur de Sant Qu bec de Mme Jocelyne Sauv pr sidente du Conseil des directeurs de la sant publique des R gies r gionales de la sant et des services sociaux ainsi que de M Denis Fagnan repr sentant du Groupe L ger et L ger inc Peu 37 de journalistes se sont pr sent s a la conf rence de presse depuis la veille le Qu bec connaissait la pire temp te de verglas de son histoire et presque tous les journalistes taient affect s a la couverture de ses effets dramatiques En cons quence la couverture m diatique du lancement de l enqu te s est av r e fort mince Il avait aussi t convenu avec la Direction des communications du MSSS les responsables des communications des R gies r gionales et la firme de sondage qu en plus d un lancement officiel de l enqu te au si ge social de Sant Qu bec Montr al pour la presse nationale il fallait tenir des conf rences de presse dans les r gions et au besoin en tenir plus d une par r gion lorsque les distances ou d autres raisons le justifiaient L objectif de cette campagne d information tait de faire conna tre l enqu te pour inciter les gens accepter de recevoir l intervieweur leur domicile et de r pondre a ses questions Mme Janne Lavalli re alors agente de communication du MSSS avait t charg e d organiser ces conf rences et servait de lien entre Sant Qu bec et le Groupe L
249. le sup rieurs a 10 qui ne correspondent pas a des sch mas de r ponse on a compar les caract ristiques personnelles des non r pondants a celles des r pondants Une fois ces informations connues les biais potentiels sur les estimations produites peuvent tre valu s en supposant que les non r pondants ayant des caract ristiques donn es auraient fourni des r ponses quivalentes celles donn es par les r pondants poss dant les m mes caract ristiques personnelles Entre autres caract ristiques tudi es on a consid r ici le sexe le fait d avoir ou non un emploi r mun r la cat gorie de revenu personnel total l ge en quatre cat gories et la scolarit Les diff rences existant entre les r pondants et les non r pondants sont pr sent s par section du questionnaire Section V Le tabac QAA29a QAA29b QAA29c Le taux de non r ponse des nonc s de la question QAA29 sur l exposition la fum e de cigarette des autres varie entre 10 et 14 15 313 r pondants potentiels De 10 12 des non r pondants sont galement non r pondants la question QAA20 sur l usage de la cigarette comparativement un peu moins de 1 chez les r pondants En majorit 62 69 lorsque les personnes ne r pondent pas un des nonc s de la question QAA29 QAA29a QAA29b QAA29c elles ne r pondent pas aux deux autres nonc s de cette question Le fait de fumer QAA20 ou non n a pas d influence
250. lecte ont n cessit des communications constantes avec l quipe du Bureau de la statistique ainsi qu avec le personnel de la firme de sondage et de la firme responsable de l informatisation du QRI INFO 01 Les changes directs avec les coordonnatrices de terrain ont eu lieu surtout en d but de collecte Au besoin des m mos leur ont t envoy s pour apporter des clarifications ou des corrections a certaines consignes concernant les instruments et le d roulement de la collecte le courrier lectronique n tait pas encore d usage courant en d but de collecte Pour leurs probl mes d utilisation de l ordinateur les coordonnatrices et les intervieweurs avaient re u la consigne de s adresser au technicien en informatique de la maison de sondage 5 1 Pr test Les instruments de collecte de l enqu te taient d j en grande partie pr test s et en principe valid s puisqu ils reprenaient des questions des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 ou d autres enqu tes de m me type Toutefois l informatisation du QRI d une part et d autre part la plus grande complexit de la t che de lintervieweur et le fardeau imparti aux r pondants a cause de l ajout d enqu tes compl mentaires plus particuli rement de l EQLA devaient faire l objet d une r p tition g n rale avant de lancer l op ration sur le terrain Le pr test a t pr c d d une formation de 4 jours visant familiariser l intervieweur aux instruments et
251. lection Toutefois si les r sultats du questionnaire de s lection indiquaient qu un questionnaire de suivi tait n cessaire l intervieweur ne poursuivait l entrevue de l EQLA qu une fois le QAA du r pondant rempli et remis sous enveloppe scell e Note Lorsqu une personne avait t s lectionn e pour le suivi de l QLA mais qu elle refusait cat goriquement et d finitivement de remplir le QAA l intervieweur tait autoris lui demander de r pondre au questionnaire de suivi C tait le seul cas o Sant Qu bec acceptait qu une entrevue de suivi de PEQLA soit men e avec un r pondant qui n aurait pas rempli et remis son QAA l enqu te accordant la priorit aux questionnaires de ESS le QRI obligatoire et pr requis absolu la poursuite de la collecte des donn es puis le QAA Dans les cas o l intervieweur n avait pas termin le travail dans ce m nage faute de temps cause de la fatigue des r pondants ou du fait qu une personne alors absente pr sentait des caract ristiques n cessitant une entrevue en face face pour l EQLA ou qu elle n cessitait de l aide pour remplir le QAA il prenait rendez vous pour le lendemain ou pour les jours prochains en s assurant que les QAA qui n avaient pas t remplis le seraient lors de sa prochaine visite Dans le cas o la personne n avait pas t s lectionn e pour le suivi de l EQLA mais o son QAA m avait pu tre rempli lors de la premi re visi
252. lectionn s par USE pour les r gions de l Abitibi T miscamingue de la C te Nord et de la Gasp sie les de la Madeleine a t fix 30 cause de leur taux lev d chantillonnage d UPE ce qui a permis de r duire le nombre d UPE chantillonn es et par le fait m me les co ts d num ration et de collecte Par ailleurs un certain ajustement a t effectu pour la r gion Nord du Qu bec En effet si on d sirait enqu ter 800 logements et chantillonner 30 logements par USE on se serait retrouv num rer l ensemble des m nages priv s de la r gion On devait soit diminuer le nombre de logements enqu ter pour cette r gion soit augmenter le nombre de logements par USE ou combiner ces deux choix Cette derni re solution a t retenue En fixant 40 le nombre de logements enqu ter par USE et en fixant la taille de l chantillon 680 logements on s est trouv s lectionner tout de m me 17 UPE parmi les 24 dans la population Malgr l augmentation 30 et 40 logements tir s par USE pour quatre r gions on pouvait esp rer obtenir un effet provenant du plan de sondage similaire celui des autres r gions consid rant le fait que les UPE sont chantillonn es sans remise et que le taux d chantillonnage des UPE est lev dans ces r gions La taille totale de l chantillon des logements comprenant les derniers r am nagements est de 15 330 et est r partie en 1 092 UPE et ainsi
253. lement un niveau primaire et celles n ayant jamais termin leur secondaire comparativement 24 chez les r pondants Le tiers des non r pondants 33 la question QAA94 taient galement non r pondants la question QAA93 comparativement 0 2 chez les r pondants Concernant la scolarit 32 des non r pondants ont un niveau d ducation secondaire compl t ou moins comparativement 24 chez les r pondants Section XIII Le service Info sant CLSC QAA198 La question QAA198 sur la connaissance de l existence de ce service dans la r gion pour sa part pr sente un taux de non r ponse de pr s de 10 avec seulement 246 r pondants potentiels Par contre cette question n est peut tre pas consid rer tant donn qu elle poss de une taille peu lev e de r pondants Les non r pondants sont en majorit des personnes ayant un faible niveau de scolarit 76 comparativement aux r pondants 44 Section XVI La sexualit QAA211 QAA214 Les questions QAA211 et QAA214 sur le fait de vivre ou non avec un partenaire sexuel r gulier ont un taux de non r ponse de pr s de 10 avec 1 180 r pondants potentiels La tr s grande majorit plus de 85 des cas des non r pondants l une de ces questions QAA211 ou QAA214 n ont pas r pondu non plus l autre question En englobant les deux questions 80 des non r pondants ont une scolarit d au plus un niveau secondaire compl t com
254. les chiropraticiens amp les acupuncteurs ne sont plus inclus dans la cat gorie autres praticiens de m decine non traditionnelle Par ailleurs jusqu trois types de professionnels peuvent tre mentionn s dans cette derni re cat gorie L ESS98 ne reprend pas les mesures de 1992 1993 reli es a certains co ts associ s directs et indirects la derni re consultation d une cat gorie de professionnel puisque les questions relatives aux honoraires et aux heures de travail avaient pos des probl mes de validit QRI30 QRI33 QRI35 QRI38 QRI40 QRI43 QRI45 QRI47 QRI49 QRI51 QRI53 QRI55 QRI57 QRI60 QRI62 QRI65 QRI67 QRI69 QRI71 QRI73 QRI75 a QRI77 et QRI79 QRI81 de 1992 1993 Bellerose et autres 1996 Par ailleurs les questions de 1992 1993 sur l acc s aux m dicaments prescrits par un m decin ou un dentiste QRI86 et sur l achat de lunettes de proth ses ou de toute autre fourniture m dicale QRI87 n ont pas t reprises en 1998 Ces concepts ont t mesur s en 1998 a l aide d une s rie de nouvelles questions que l on retrouve a la section XVII Couverture des frais de sant par un r gime d assurance priv du QRI Section IV Consommation de m dicaments QRI33 QRI48 Meda_1 a Medg_ 1 Cette partie du questionnaire du m nage porte sur les m dicaments prescrits ou non prescrits consomm s au cours des deux jours ayant pr c d l entrevue soit hier ou a
255. les de 1987 et de 1992 1993 sugg rait aussi un tel choix Une tude approfondie traitant plus sp cifiquement des aspects m thodologiques associ s a chacune de mesures test es ici devrait tre effectu e ult rieurement et fera ventuellement l objet d une publication 226 227 Bibliographie BELLEROSE C C LAVALLEE et D TREMBLAY sous la direction de 1996 Cahier technique et m thodologique Enqu te sociale et de sant 1992 1993 volume 1 Montr al Sant Qu bec BERNIER N et P LAVALLEE 1994 La macro SAS CALJACK Ottawa Division des m thodes d enqu tes sociales Statistique Canada 9 p COX B G et COHEN S B 1985 Methodological Issues for Health Care Surveys Marcel Dekker Inc New York DAVELUY C C LAVALLEE M CLARKSON et E ROBINSON sous la direction de 1994 Et la sant des Cris a va Rapport de l Enqu te Sant Qu bec aupr s des Cris de la Baie James 1991 Montr al Sant Qu bec Minist re de la Sant et des Services sociaux DAVELUY C L PICA N AUDET R COURTEMANCHE F LAPOINTE et autres 2000 Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec DUFOUR J 1996 Qualit des donn es l enqu te sur la population active Ottawa Direction de la m thodologie Division des m thodes d enqu tes m nages Statistique Canada document interne JETTE M sous la direction de 1995 Et la sant des Inuits a va R
256. les r pondants taient achemin s par voie postale au bureau central de la firme o ils taient pris en charge d s leur r ception l aide des feuilles d exp dition on s assurait d abord que les envois taient complets puis les questionnaires taient remis l quipe de codification La saisie se faisait au central t l phonique sur des ordinateurs r serv s au projet Sant Qu bec branch s sur un serveur consacr l enqu te Une fois le travail termin les QAA taient conserv s dans un local ferm sous cl De plus toutes les mesures taient prises pour que les questionnaires ne soient accessibles qu aux personnes autoris es Les renseignements nominatifs ont t saisis sur des fichiers s par s du fichier des donn es et conserv s comme les questionnaires dans des endroits s rs Rappelons qu en 1993 des professionnels de la Commission d acc s l information CAI avaient rencontr la direction de Sant Qu bec et du Groupe L ger et L ger inc alors responsable de la collecte pour l ESS92 93 Les repr sentants de la CAI avaient aussi fait 55 une visite des lieux o se d roulaient les activit s de traitement des donn es et s taient d clar s satisfaits des mesures de s curit informationnelle et des r gles de confidentialit galement appliqu es lors de la pr sente enqu te 56 Les personnes ayant travaill au projet de l ESS98 ont d signer une lettre d entente de confidenti
257. lessures pour lesquelles la personne a consult un m decin SQ87 QRI23f ESS92 93 QRI132 en 1992 1993 le libell de la question a t modifi afin d avoir plus de pr cision ce qui emp che la comparaison avec l enqu te de 1987 C est la version de 1992 1993 qui a t utilis e en 1998 ESS92 93 QRI133 88 Section V Accidents avec blessures QRI49 a QRI71 suite Question s ESS98 Sources QRI51 QRI52 accident de la route accident de travail SQ87 QRI23g ESS92 93 QRI134 SQ87 QRI23g ESS92 93 QRI135 QRI53 QRI54 accident l cole accident la maison int rieur ESS92 93 QRI136 ESS92 93 QRI137 QRI55 QRI56 accident dans un lieu de loisir ou de sport accident dans un lieu public ESS92 93 QRI138 ESS92 93 QRI139 QRI57 QRI58 accident a la maison ext rieur accident dans un autre endroit pr ciser ESS92 93 QRI140 ESS92 93 QRI141 QRI59 mois nombre d accidents au cours des 12 derniers SQ87 QRI23i en 1987 cette question a t pos e pour les accidents ailleurs que sur la route ou au travail ESS92 93 QRI142 Section VI Probl mes de sant QRI72 QRI104 Question s ESS98 Sources QRI60 principale blessure SQ87 QRI23j QRI61 quand a eu lieu le dernier accident ESS92 93 QRI143 QRI62 d autres probl mes de sant caus s SQ87 QRI23m par le les
258. lexes calcul des effets de plan pond ration des donn es selon l ge le sexe et la r gion Lors de la formation les groupes taient habilit s effectuer et interpr ter un certain nombre de tests statistiques cet effet un outil informatique a t 9 Cette tape ainsi que les suivantes se sont d roul es apr s l int gration de Sant Qu bec et du Bureau de la statistique du Qu bec dans l Institut de la statistique du Qu bec le 1 avril 1999 Pour coller l histoire de l enqu te nous utilisons donc dor navant dans le pr sent cahier la nouvelle d signation de ces organismes soit la Direction Sant Qu bec DSQ et la Direction de la m thodologie et des enqu tes sp ciales DMES 53 d velopp par la DMES pour faciliter le travail d estimation des intervalles de confiance et des coefficients de variation Toutes les statistiques taient obtenues avec des donn es pond r es et tenaient compte du plan de sondage et de la non r ponse globale La partie III de ce document traite du sujet plus en d tail 7 4 R daction et r vision des chapitres Le 1 chapitre a t re u a la DSQ en juillet 1999 le dernier est rentr en mars 2000 Chacun de ces textes passaient par un processus it ratif tabli par l quipe de coordination de l enqu te avec le comit de r vision compos de membres du comit d orientation du comit scientifique et de nouvelles recrues et avec l quipe de la DMES l
259. lonnage USE de taille peu pr s gale id alement une seule des deux USE est chantillonn e Si l un de ces quatre crit res fait d faut PUPE n est pas scind e Dans ce cas PUSE correspond exactement PUPE La formation des USE a t r alis e l aide du logiciel cartographique MAPINFO Les USE ainsi form es se r partissent en trois grands types celles qui comptent un seul secteur de d nombrement celles correspondant un regroupement de secteurs de d nombrement et finalement celles qu on obtient de la scission d une UPE Ce dernier type se retrouve seulement dans les r gions m tropolitaines de recensement Unit tertiaire d chantillonnage Les logements l int rieur de chaque USE s lectionn e ont t num r s Cette op ration de terrain nomm e num ration est d crite la premi re partie du pr sent document L ensemble des listes ainsi obtenues forment le troisi me degr de la base de sondage Ces listes constituent le seul moyen permettant de tirer un chantillon probabiliste a partir d une base ar olaire Plus de d tails sur le nombre d UPE d USE chantillonn es et le nombre de logements num r s dans chacune des USE sont pr sent s la section sur la taille et la r partition de l chantillon Validation de num ration Comme il a t mentionn plus haut une liste de logements priv s a t dress e pour chacune des USE s lectionn es au deuxi me degr T
260. ls n ont pas t ajust s pour tenir compte de l inflation quoique faible observ e depuis 1993 1993 et la r partition de la non r ponse diff re entre les deux enqu tes 99 Section XIV Renseignements sociod mographiques QRI157 a QRI172 QRI173a QRI173e suite Question s ESS98 Sources QRI173a p riodes durant lesquelles le foyer a eu le service t l phonique au cours des 12 derniers mois QRI173b nombre de mois que le foyer a eu le service t l phonique p riodes durant lesquelles le foyer n a pas eu de service t l phonique p riodes durant lesquelles le foyer n a pas eu de service t l phonique aux X num ros de t l phone en m me temps dur e totale des service t l phonique QRI173c QRI173d QRI173e interruptions de Questions pos es pour les besoins particuliers de tude parall le tude r alis e en m me temps que l Enqu te sociale et de sant 1998 pour valuer un mode de collecte alternatif au face face Lapointe et autres para tre Section XV Environnement physique air int rieur QRI174 QRI196 Question s ESS98 QRI174 dur e du temps v cu au domicile actuel QRI175 radiateurs a l eau chaude QRI176 circulation d air chaud QRI177 radiateurs lectriques QRI178 po le a bois un foyer QRI179 autres m thodes QRI180 syst me d air conditionn Fr quence o fen tres et ou portes ext rieures sont l
261. lternatif au face face Lapointe et autres para tre r alis e en 1998 aupr s de 5000 m nages ind pendants de l chantillon de l ESS98 dont le QRI se fait au t l phone MULTI nombre de logements pour les SQ87 FI6 ESS92 93 F111 logements multiples PIECE nombre de pi ces dans le logement SQ87 FI8 ESS92 93 F113 CONST type de construction SQ87 FI7 ESS92 93 Fl12 PRENO pr nom de chaque individu du m nage NOM nom de chaque individu du m nage SQ87 SQ87 Fl13 ESS92 93 F118 Fl13 ESS92 93 F118 SEXE sexe de chaque individu du m nage JO MO ANNE date de naissance de chaque individu du m nage SQ87 SQ87 Fl16 ESS92 93 Fl21 Fl14 ESS92 93 F119 AGVER v rification du calcul de l ge STATU tat matrimonial l gal de chaque individu du SQ87 SQ87 QAA138a ESS92 93 QAA180 Fl15 ESS92 93 F120 m nage AUTRE autre personne du m nage Nouvelle question informatique pour g rer l entrevue DEPAN individu temporairement h berg Nouvelle question ajout e la demande du groupe dans le m nage n ayant pas de de recherche ayant effectu une enqu te sur les domicile fixe ailleurs itin rants des r gions de Montr al Centre et de Qu bec en 1998 1999 Fournier 2001 PRINC lien principal entre les individus du SQ87 Fl17 ESS92 93 Fl22 m nage 81 82 Section d identification SI suite Pour les femmes de 18
262. ltiple tableau 18 2 Tableau 18 2 Proportion estim e de personnes appartenant la cat gorie lev e de la mesure de sant mentale selon le type de mesure et de questionnaire Enqu te sociale et de sant 1998 Proportion appartenant la cat gorie lev e de la mesure de sant mentale Indice de d tresse psychologique IDPESQ14 20 8 19 4 Les tests r v lent que l effet de l ordre de pr sentation des questions sur l indice de d tresse psychologique est petit et non significatif au seuil de 5 et ce m me lorsqu on contr le pour l ge et le sexe l aide d un mod le de r gression logistique Type de questionnaire chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique EMMDP23 221 Par ailleurs fait plus pr occupant il en est tout autrement pour l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique L cart entre les deux types de questionnaires est tr s significatif seuil de signification observ 0 0001 La proportion de personnes appartenant au niveau lev de l chelle est plus grande lorsque les questions la composant sont pr sent es en premier avant celles qui servent a la d termination de l indice de d tresse psychologique Il semble en effet que les gens utilisent alors moins souvent la r ponse jamais aux 23 questions de l chelle 18 1 3 Relations entre la mesure de sant mentale et d autres indicateurs de sant utilis e
263. lyse l analyse proprement dite les activit s de formation et le processus d changes continuels entre Sant Qu bec le Bureau de la statistique du Qu bec et les groupes d analyse calendrier de l analyse et de la r daction des chapitres l annexe 6 L objectif final de l analyse des donn es tait la production d un rapport g n ral descriptif pr sentant les fr quences ou les pr valences des indicateurs et des croisements bivari s des variables Chaque chapitre du rapport a t con u et r dig par un groupe d analyse encadr par Sant Qu bec et par la Direction de la m thodologie du BSQ 7 1 laboration des plans d analyse La pr paration l analyse s est faite avant et pendant la collecte Constitu s au d part pour proposer les questions et les chelles de mesure de l enqu te les groupes de travail d j en place compos s d experts de tout le r seau et du minist re de la Sant et des Services sociaux des milieux universitaires et d autres organismes ont accept de collaborer aux tapes suivantes de l enqu tes soit l analyse des r sultats et la r daction des chapitres Ce choix allait de soi ces collaborateurs ayant d j une connaissance du th me de m me que des possibilit s et des limites de l analyse Certains groupes de travail ont t subdivis s pour avoir autant de groupes d analyse qu il y aurait de chapitres r diger dans le rapport un membre de chacun des groupes agissait
264. me d fini plus haut nous avons refait le test concernant l effet d interaction entre le fait d tre sinistr s ou non et la vague le seuil observ de ce test est de 0 68 Toujours en utilisant NBRE_PS et vague en deux cat gories une mod lisation de l indice de sant a t refaite Le mod le final indique une diff rence significative entre la proportion de personnes sinistr es ayant d clar au moins un probl me de sant et la proportion chez les personnes non sinistr es avec un seuil observ de 0 001 De la m me fa on que pour la consultation d un professionnel la diff rence observ e entre les personnes sinistr es et les personnes non sinistr es persiste durant toute l ann e Le rapport de pr valences estim ici est d environ 1 10 L augmentation de 10 de la proportion de personnes ayant eu au moins un probl me de sant chez les sinistr s correspond une surestimation de 1 9 pour l estimation provinciale puisque environ 35 des Qu b cois ont t sinistr s Donc on estime que S il n y avait pas eu de pluie vergla ante environ 64 3 des Qu b cois seraient de ceux ayant eu au moins un probl me de sant Avec les donn es actuelles on value plut t cette proportion 66 2 IDPESQ14 indice de d tresse psychologique La m me proc dure a servi l analyse de l indice de d tresse psychologique On teste d abord l effet d interaction en utilisant la variable vague en deux cat gories le seui
265. me toutes les unit s n ont pas toutes le m me poids on utilise plut t le taux de r ponse pond r qui est le rapport entre le nombre pond r d unit s r pondantes et le nombre pond r d unit s admissibles Au QRI l unit est le logement Ce taux de r ponse pond r est calcul par classe de pond ration Une classe de pond ration est un regroupement d unit s pr sentant des caract ristiques similaires Ces caract ristiques sont des variables qui semblent avoir le plus d impact sur la r ponse elles doivent galement tre connues autant pour les unit s r pondantes que des unit s non r pondantes On fait alors l hypoth se que les unit s r pondantes et les unit s non r pondantes sont semblables l int rieur de chaque classe Au QRI le niveau d information connu le plus fin USE est de nature g ographique La constitution de classes de pond ration a t effectu e suivant certains crit res Dans le cas d une USE avec un taux de r ponse de moins de 50 la classe de pond ration tait form e du regroupement de cette USE avec une autre USE de la m me r gion et aire homog ne dont la collecte s est d roul e durant la m me p riode et pour laquelle des caract ristiques socio conomiques et d mographiques taient similaires En outre on s assurait que le taux de r ponse pond r de la classe de pond ration ainsi constitu e soit d au moins 50 Cette fa on de proc der nous vitait d avoir des
266. mographiques mises dans le mod le Or un rapport de cotes ajust pour le mod le s interpr te comme un rapport de pr valences lorsqu on tudie un ph nom ne rare proportion lt 10 ce qui n est pas le cas pour les variables et indices tudi s ici Dans notre cas le rapport de cotes ajust constitue plut t une borne sup rieure du rapport de pr valences puisqu il comporte un biais positif Des estimations plus justes du rapport de pr valences ont donc t calcul es dans chaque cas en valuant ce biais et en le soustrayant du rapport de cotes ajust obtenu du mod le 31 Les aires homog nes d coupent le Qu bec en quatre zones la m tropole r gion m tropolitaine de Montr al les capitales r gionales comme les RMR de Qu bec de Chicoutimi les autres agglom rations et villes et le rural Chacune de ces zones est ensuite divis e en trois aires homog nes selon un indicateur socio conomique vuln rable interm diaire et peu vuln rable Douze aires homog nes sont ainsi form es 211 Finalement l impact de la temp te de verglas sur les estimations provinciales de I Enqu te sociale et de sant 1998 a t valu en tenant compte a la fois de la proportion de Qu b cois consid r s sinistr s et de l estimation du rapport de pr valences ajust entre les sinistr s et les non sinistr s 17 2 2 R sultats Le point de d part consiste tester l hypoth se d interaction entre le fait d tre
267. mplir le questionnaire crit le QAA en fran ais ou en anglais L intervieweur demandait galement si ces personnes seraient capables de r pondre un questionnaire lu par un intervieweur pour les besoins des questionnaires de s lection et de suivi de l EQLA Si quelqu un d autre que le r pondant principal tait pr sent et capable de remplir le QAA sans aide lintervieweur remettait cette personne un QAA en lui donnant les explications requises pour qu elle puisse le remplir pendant la poursuite de l entrevue avec le r pondant du m nage pour le QRI Si quelqu un d autre que le r pondant principal tait pr sent mais avait besoin d aide pour remplir le QAA lintervieweur tait dispos aider cette personne apr s l entrevue pour le QRI pendant que le r pondant du m nage remplirait son propre QAA Pour les personnes absentes mais capables de r pondre au QAA l intervieweur remettait le nombre d exemplaires n cessaires au r pondant du m nage qui devait se charger de les transmettre L entrevue du QRI se poursuivait avec le r pondant principal jusqu la fin de la section sur l environnement physique section XV Apparaissait alors l cran le pr nom des personnes pour qui le r pondant principal devait r pondre aux questions de s lection pour l EQLA section XVI le r pondant du m nage pour lui m me et pour les enfants de moins de 15 ans et exceptionnellement pour des personnes de 15 an
268. n QAA228 principale religion de l enfance SQ87 QAA142 ll est noter que la cat gorie de Islamique a t ajout e en 1998 r ponse Section XVII Renseignements sociod mogra Question s ESS98 phiques QAA221 QAA241 suite Sources d pargne r er certificats de d p t actions QAA229 appartenance religieuse actuelle Nouvelle question qui a t adapt e d une question utilis e lors du recensement canadien de 1991 QAA230 fr quentation d une glise ou d un SQ87 QAA143 leu de culte au cours des 12 jl est noter que le libell de la question a t derniers mois l g rement modifi en 1998 l expression Au cours de l ann e pass e a t remplac e par Au cours des 12 derniers mois QAA231 revenu personnel total de l ann e SQ87 QAA145 derni re avant d ductions d imp ts ESS92 93 QAA185 QAA232 statut r sidentiel propri taire ESS92 93 QAA186 statut r sidentiel locataire ou chambreur QAA233 revenu des placements obligations ESS92 93 QAA189 revenu des placements locataires ce qui invalide les r sultats N B ces deux questions ont t utilis es dans la construction de l indice de patrimoine accumul dans le m nage en 1992 1993 variable PATRACC Toutefois l indice a t rejet en 1998 cause du fait que la question relative au statut r sidentiel propri taire ou locataire QAA232 ne permet pas de s pa
269. n des anciens fumeurs SQ87 QAA10 ESS92 93 QAA20 QAA26 age d initiation a la cigarette chez les SQ87 QAA11 anciens fumeurs r guliers QAA27 age de cessation de fumer la SQ87 QAA12 cigarette chez les anciens fumeurs r guliers QAA28 nombre de cigarettes fum es chez SQ87 QAA13 les anciens fumeurs QAA29 exposition passive la fum e de la Nouvelle question ajout e la demande du groupe cigarette ayant propos les questions sur le tabac Elle s inspire des questions C2Q18 C2Q19 C2Q22 et C3Q29 de lEnqu te en quatre cycles sur le tabagisme au Canada 1994 de Sant Canada QAA30 usage de la pipe SQ87 QAA5b QAA5c et QAA5d Il est noter que le libell des questions ainsi que ARS usage du Cigare leurs cat gories de r ponse ont t l g rement QAA32 usage de tabac priser ou chiquer Modifies en 1998 mais on estime que ces changements n emp chent pas la comparaison entre les deux enqu tes Question s ESS98 Sources QAA33 consommation d alcool a vie SQ87 QAA14 ESS92 93 QAA21 QAA34 consommation d alcool au cours des SQ87 QAA15 ESS92 93 QAA22 12 derniers mois QAA35 age de cessation de boire de SQ87 QAA26 ESS92 93 QAA23 l alcool QAA36 fr quence de consommation d alcool SQ87 QAA16 ESS92 93 QAA24 au cours des 12 derniers mois QAA37 cinq consommations ou plus dans ESS92 93 QAA25 une m me occasion au cours des 12 derniers mois nombre de fois 118
270. n trois aires vuln rable not e 1 interm diaire not e 2 et peu vuln rable not e 3 Douze aires sont ainsi form es Pampalon et autres 1998 ont r vis le mod le des aires homog nes avec la pr sente enqu te Des changements sont survenus dans la d finition m me des unit s qui sont regrouper en aires unit s g ographiques de base Le choix de variables socio conomiques pouvant servir former les aires tait plus consid rable De plus de nouvelles m thodes statistiques ont t utilis es Par ailleurs les donn es sur les variables socio conomiques de m me que la d finition des zones de la m tropole et des capitales r gionales proviennent du recensement de 1991 La d finition de la zone agglom rations et villes a l g rement chang depuis la derni re enqu te et correspond toutes les agglom rations de recensement selon le recensement de 1991 de m me que toutes les municipalit s dont plus de la moiti des secteurs de d nombrement sont urbains d apr s Statistique Canada Les autres territoires ne se retrouvant pas dans les zones d crites ci dessus forme la zone rurale L importance relative des zones en termes de m nages est donn e au tableau 12 5 Tableau 12 5 R partition des m nages priv s qu b cois selon la zone Enqu te sociale et de sant 1998 Zone Nombre de m nages M tropole 1 235 620 47 1 Capitales r gionales 503 872 19 2 Agglom rations et villes 538 730 2
271. nait aussi une autre r gion L le de Montr al n cessite d tre coordonn e par deux personnes primes de motivation pour les num rations sans erreurs et pour l obtention des questionnaires QAA et primes pour la qualit du travail des intervieweurs et des coordonnatrices r gionales rencontres trimestrielles avec les coordonnatrices pour les motiver et leur indiquer les corrections a apporter formation sp ciale pour la collecte dans les milieux urbains 43 identification des intervieweurs les plus aptes a r cup rer les refus prise de notes par les intervieweurs sur les caract ristiques susceptibles d aider la personne charg e de r cup rer les entrevues p riodes de r cup ration a la fin de chaque vague blitz de r cup ration des QAA lors de la derni re vague de collecte et en janvier 1999 pour les deux r gions de Montr al de m me que pour les r gions de Qu bec du Bas Saint Laurent et de la Gasp sie 6 Traitement des donn es L informatisation du QRI a eu pour effet de simplifier l tape de la v rification de la codification et de la saisie et d en raccourcir la dur e en 1993 les r ponses aux questions ferm es du QRI devaient tre cod es manuellement dans la marge des questionnaires papier travail qui fut pargn l quipe des codeurs de l ESS98 les r ponses ces questions tant automatiquement enregistr es au moment de l entrevue L int gration des codes v
272. ne religion QAA229 cette derni re question a t jug e plus int ressante mettre en relation avec diverses autres variables dans le cadre d une analyse transversale car elle donne un portrait de la situation au moment de l enqu te Clarkson et autres 2000 Pour documenter la fr quentation d une glise ou d un lieu de culte QAA230 on a repris la question pos e lors de l enqu te de 1987 Il est noter que le libell de cette question a t l g rement modifi en 1998 l expression Au cours de l ann e pass e a t remplac e par Au cours des 12 derniers mois ce qui n emp che pas la comparaison entre les deux enqu tes Afin de mieux conna tre les in galit s socio conomiques dans la population qu b coise et d effectuer des analyses en relation avec la sant une s rie de questions a t pos e sur les th mes suivants revenu personnel total QAA231 patrimoine du m nage relatif au statut r sidentiel propri taire ou locataire QAA232 et aux revenus de placement QAA233 perception dur e et volution de sa situation financi re QAA234 QAA236 et comparaison de sa situation avec celle de ses parents son ge QAA237 Pour cette derni re question il faut tenir compte d un effet de cohorte dans l analyse des r sultats l exception de la question sur le revenu personnel QAA231 qui a t utilis e dans les deux enqu tes ant rieures les autres questions proviennent de
273. ne valeur de SUFREV peut tre attribu e 70 1 Total 100 0 15 3 2 Justification de l imputation Si les r ponses reli es la sant et aux variables socio conomiques taient distribu es de fa on similaire entre les r pondants et les non r pondants il ne serait pas n cessaire de se soucier des valeurs manquantes de SUFREV En l occurrence les donn es disponibles de SUFREV pourraient tre analys es directement pour obtenir des estimations fiables Cependant dans le cas contraire les estimations obtenues bas es sur les r pondants seulement ne seraient pas repr sentatives de la population l tude les estimations seraient biais es l aide d analyses bivari es on a compar les profils des r pondants et des non r pondants en fonction de variables sociod mographiques g n ralement reli es au revenu Il s est av r que le profil des m nages non r pondants est diff rent de celui des m nages r pondants Parmi les m nages non r pondants on retrouve surtout des m nages poss dant les caract ristiques suivantes m nage comprenant au moins une personne g e couple sans enfant ou famille monoparentale m nage ne comptant aucune personne en emploi mais comportant au moins une personne la retraite ou m nage comptant uniquement des personnes qui tenaient 28 Les non r pondants sont consid r s comme les m nages pour lesquels aucune valeur de l indice de suffisance du revenu est attribu e 19
274. ni re on en comptait une centaine Au fil des mois les d parts n taient pas remplac s de fa on syst matique certains intervieweurs ayant demand que leur t che soit augment e 5 3 Formation des coordonnatrices et des intervieweurs Les sessions de formation ont t donn es en collaboration par Sant Qu bec le Groupe L ger et L ger inc et le Bureau de la statistique du Qu bec Les sessions offertes aux coordonnatrices avaient comme but de les familiariser aux modalit s de l enqu te plan d chantillonnage num ration instruments et aux t ches qu elles auraient accomplir De fa on plus particuli re les coordonnatrices se pr paraient pendant cette formation assumer la formation des intervieweurs pr paration l num ration et aux entrevues et leur travail de coordination Les intervieweurs ont t form s par les coordonnatrices dans chacune des r gions en pr sence de responsables de la firme et de Sant Qu bec En effet au moins une des personnes responsables la firme et Sant Qu bec ont assist au moins une journ e de formation dans chacune des r gions Comportant deux volets distincts la formation des coordonnatrices et des intervieweurs s est donn e en deux temps 5 3 1 Formation en vue de l num ration D une dur e de trois jours autant pour les coordonnatrices de terrain session donn e Montr al les 14 15 et 16 octobre 1997 que pour les intervieweurs sessi
275. nqu te de 1987 d finissait de fa on plus restreinte les accidents avec blessures de sorte que les r sultats de 1987 ne peuvent tre compar s ceux de 1998 70 Section VI Probl mes de sant QRI72 a QRI104 Dans le but de favoriser la comparaison avec l enqu te de 1987 les questions relatives aux probl mes de sant sont quelques exceptions pr s demeur es les m mes Il est noter que les probl mes de sant n avaient pas fait l objet d une tude et d une analyse d taill es depuis l enqu te de 1987 Rappelons que la m thode employ e pour analyser les donn es est calqu e sur celle de l enqu te Sant Canada 1978 consistant r unir pour chaque personne les probl mes d clar s six sections du QRI dont la section VI qui porte sp cifiquement sur le sujet Ainsi les questions de cette section dressent l ventail des probl mes de sant de longue dur e ressentis ou per us par la population qu b coise et visent tablir la pr valence des affections chroniques suivantes La question principale se lit comme suit Y a t il quelqu un dans le foyer qui pr sente les probl mes suivants an mie QRI72 maladie de la peau ou allergies cutan es QRI73 rhume des foins QRI74 autres allergies QRI75 s rieux maux de dos ou de la colonne QRI76 arthrite ou rhumatisme QRI77 autres probl mes s rieux des articulations QRI78a autres probl mes s rieux des muscles ou des tendons QRI78b probl
276. nqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 9 ANGLIN L 1995 The Ontario experience of alcohol and tobacco New focus on accessibility violence and mandatory treatment A report of the Ontario Alcohol and Other Drug Opinion Survey OADOS ARF Research Document Series no 122 Toronto Addiction Research Foundation AXELSSON A et A RINGDAHL 1989 Tinnitus A study of its prevalence and characteristics British Journal of Audiology vol 23 p 53 62 BELLEROSE C C LAVALLEE et D TREMBLAY sous la direction de 1996 Cahier technique et m thodologique Enqu te sociale et de sant 1992 1993 volume 1 Montr al Sant Qu bec 134 p et annexes BISSON J L NADEAU et A DEMERS 1999 The validity of the CAGE scale to screen for heavy drinking and drinking problems in a general population survey Addiction Vol 94 n 5 p 715 722 BRIEFEL R R et C E WOTEKI 1992 Development of food sufficiency questions for the Third National Health and Nutrition Examination Survey Journal of Nutrition Education vol 24 n 1S p 24S 28S BRISSON C et autres 1998 Reliability and construct validity of the psychological demand and decision latitude scales of the Karasek Job Content Questionnaire Work amp Stress vol 12 n 4 p 322 336 BURNEY P G C LUCZYNSKA S CHINN et D JARVIS 1994 The European Community Respiratory Health Survey
277. ns les fichiers de microdonn es Les chercheurs ont acc s aux fichiers de microdonn es de l ESS98 Toutefois les poids au QRI ont subi une perturbation afin de pr server l anonymat des r pondants Par contre les poids au QAA sont demeur s intacts Ainsi les estimations proportion moyenne ou totaux utilisant les poids QRI et produites l aide du fichier de microdonn es peuvent l occasion produire de l g res incoh rences avec les estimations pr sent es dans le rapport Enqu te sociale et de sant 1998 diffus par l Institut de la statistique du Qu bec en novembre 2000 L annexe 9 fournit de plus amples d tails 27 La 9 r vision de la Classification internationale des maladies CIM 9 a permis de coder chaque probl me de sant d clar 187 Le tableau 14 5 pr sente la correspondance entre le nom des poids discut s dans ce document et le nom des poids pr sents dans les fichiers de microdonn es Tableau 14 5 Correspondance entre le nom des poids de ce document et le nom des poids pr sents dans les fichiers de microdonn es Enqu te sociale et de sant 1998 Type de pond ration Nom de la pond ration l Document Microdonn es Poids QRI populationnel Pip CPOIDS1P Poids QRI moyenne 1 Pim CPIDS1M1 Poids QRI r gional moyenne 1 Pim r gion CPIM1R Poids QAA populationnel Pop POIDS2P Poids QAA a moyenne 1 Pom POIDS2M1 Poids QAA r gional moyenne 1 Pom r gion P2M1R 18
278. nsemble d indicateurs ceux les plus associ s aux indicateurs de sant suivants perception de la sant et limitation des activit s Pour ce faire un mod le de r gression logistique a t construit s par ment pour chaque indicateur de sant Les analyses se sont faits s par ment pour chaque zone tant donn que des aires homog nes sp cifiques chaque zone taient recherch es Parall lement et toujours pour chaque zone une analyse en composantes principales a t effectu e sur le m me ensemble d indicateurs socio conomiques mais avec les donn es du recensement de 1991 en consid rant comme unit d analyse les unit s g ographiques de base L analyse en composantes principales a permis de confirmer les r sultats obtenus avec les mod les de r gression logistique Par la suite une autre analyse en composantes principales a t r alis e cette fois ci en ne tenant compte que des indicateurs socio conomiques retenues comme meilleurs pr dicteurs de l tat de sant Cette nouvelle analyse a permis de cr er par zone une variable de synth se qui est une combinaison lin aire de ceux ci Par exemple pour la zone m tropole la variable de synth se est une combinaison lin aire du statut d activit de la scolarit et de la langue parl e la maison Lors de l enqu te de 1992 1993 une m thode de classification automatique cluster celle de Ward avait permis de d terminer des bornes afin d
279. ntation sur le terrain Compte tenu de la longueur et de la complexit de la p riode de formation la firme avait pr vu la formation d un nombre d intervieweurs suffisant pour assurer le roulement advenant des abandons maladie etc au cours de l ann e de collecte Toutefois il a fallu donner des formations suppl mentaires en cours d ann e huit sessions de 5 jours se sont donn es Montr al par une m me coordonnatrice de terrain en l occurrence celle de Montr al Dans ces cas on exigeait que les candidats soient d j familiers avec l ordinateur 5 4 num ration des logements Pr alablement chacune des quatre p riodes de collecte la liste des adresses de tous les logements priv s qui se trouvaient l int rieur des unit s primaires d chantillonnage UPE s lectionn es par le BSQ devait tre tablie par les intervieweurs l aide de cartes ou de sch mas qui en d finissaient les limites Lapointe et Courtemanche 1997 Ce travail de recensement devait s effectuer sur le terrain quelques semaines avant chaque vague afin de laisser assez de temps pour v rifier et valider l num ration pour reprendre l num ration lorsque celle ci ne correspondait pas au standard de qualit attendu et pour s lectionner les m nages de l chantillon Pour viter de proc der l num ration en plein hiver les deux premi res num rations ont t devanc es celle de la vague 1 s est tenue du 21 octobre au 7
280. ntatives de suicides seules les questions portant sur la p riode de r f rence de 12 mois utilis es dans lESS92 93 ont t reprises Ainsi les questions sur les id es et les tentatives de suicide au cours de la vie QAA88 et QAA92 de 1992 1993 n ont pas t reprises en 1998 puisque comme l a montr l enqu te de 1992 1993 les pr valences de ces ph nom nes ont tr s peu vari en cing ans Par ailleurs l information concernant la derni re ann e appara t plus pertinente des fins de connaissance de ces ph nom nes sur le plan de la sant publique et de la compr hension psychosociale puisqu elle fait r f rence des v nements r cents Les donn es de l enqu te de 1987 rendent galement possible la comparaison des pr valences pour les 12 derniers mois Le libell de la question qui permet de savoir si les personnes ayant eu des id es suicidaires ont pr vu un moyen pour poser leur geste suicidaire QAA142 a t modifi quelque peu par rapport celui de 1992 1993 par l ajout du terme s rieusement La question portant sur les moyens envisag s QAA143a a 143i a t reprise comme en 1992 1993 Toutefois le libell de la question a t l g rement simplifi et un nonc a t ajout la liste des moyens possibles drogues ou alcool La question portant sur la consultation d un professionnel de la sant ou d une autre personne qui donne des conseils la suite de la tentative de suicide tell
281. ntement avec les collaborateurs de la firme de sondage Voici les tapes de correction qui ont t suivies A Chercher l origine du probleme Cette recherche exigeait un retour au questionnaire pour v rifier si l erreur r sidait dans la r ponse comme telle ou s il s agissait d une erreur de codification ou de saisie B Apporter la correction n cessaire au besoin Si le probl me provenait de la codification ou de la saisie la correction tait faite automatiquement selon l information indiqu e au questionnaire Si la r ponse donn e au questionnaire constituait le probl me il fallait d abord s assurer qu il y avait bien eu erreur l aide d autres renseignements disponibles dans la banque Si un doute persistait mais qu il tait impossible d affirmer que la r ponse tait erron e aucun changement ne devait tre fait l information restant alors telle que donn e par le la r pondant e S il tait possible d affirmer que la r ponse tait erron e ex valeurs de poids corporel impossibles mais qu aucune autre question ne pouvait sugg rer la r ponse exacte une valeur inconnue tait alors accord e Sant Qu bec tait responsable de toute d cision portant sur des situations ambigu s La firme s tait engag e faire toutes les corrections indiqu es par Sant Qu bec et fournir imm diatement un fichier corrig pour v rification des corrections par Sant Qu bec C Mise jou
282. num ro de dossier m nage num ro d individu langue num ro d intervieweur date du dernier r sultat nombre de personnes de 15 ans et plus nombre de QAA attendus susceptibles d tre re us pr nom date de naissance ge sexe tat matrimonial scolarit revenu pr sence d enfants dans le m nage emploi Ces v rifications se faisaient sur les dossiers complets ceux pour lesquels tous les QAA attendus avaient t effectivement re us ceci excluant les cas de refus d finitif de langue autre que le fran ais ou l anglais d absence prolong e ou d incapacit Lorsque des donn es pr sentaient des ambiguit s l intervieweur la coordonnatrice ou m me le m nage taient contact s En plus de ces contacts avec le terrain pour corriger ou compl ter une information la firme effectuait un contr le de la qualit du travail des intervieweurs en v rifiant 10 de leurs entrevues de QRI Cette t che tait effectu e chaque vague par deux intervieweurs d exp rience du central t l phonique laide d un questionnaire comprenant une vingtaine de questions d termin es par Sant Qu bec questionnaire semblable celui utilis en 1992 1993 et incluant des questions permettant de v rifier aussi la section de s lection de l QLA annexe 5 Ce contr le du travail de terrain visait v rifier la coh rence entre les r ponses 44 enregistr es lors de l entrevue a domicile et celle de l entrevue de contr le e
283. obl me confirm par un m decin Nouvelle question ajout e la demande du groupe ayant propos les questions sur l air ambiant et l environnement section XV PSc_1 quand remonte la derni re SQ87 QRI SQ 1b consultation PSd 1 type de professionnel consult SQ87 QRI SQ 1c PSe 1 nombre de fois au cours des 4 SQ87 QRI SQ 1d en 1998 l expression a t derniers mois o la personne l a il elle consult ce professionnel cette personne consult a t ajout e afin d tre plus pr cis PSe 1 nombre de fois au cours des 4 SQ87 QRI SQ 1d en 1998 l expression a t derniers mois o la personne l a il elle consult ce professionnel cette personne consult a t ajout e afin d tre plus pr cis PSf_ 1 si la personne a consult quelqu un Nouvelle question bas e sur la question QRI SQ 1d d autre pour son probl me au cours des 4 derniers mois de l enqu te SQ87 PSg1_1 types de professionnels consult s PSg2 1 PSg3_1 SQ87 QRI SQ 1c PSh_ 1 plus de trois professionnels mentionn s PSi1_1 pour chaque professionnel consult nombre de fois au cours des 4 derniers mois Nouvelle question ajout e afin d avoir plus de pr cision sur nombre de professionnels consult SQ87 QRI SQ 1d en 1998 l expression a t il elle consult ce professionnel cette personne a t ajout e afin d tre plus pr cis Section X Sympt mes respirat
284. od le dichotomique deux cat gories de revenu Les variables retenues pour ce mod le sont le pseudo revenu du m nage ainsi que le type de famille Un des groupes d imputation est repr sent par les familles biparentales dont le pseudo revenu du m nage se situe entre 10 000 et 14 999 A partir des m nages pour lesquels on a une r ponse pr cise on estime avec le mod le que le revenu du m nage se distribue de la fa on suivante 200 Revenu entre 10 000 et 14 999 0 68 Revenu entre 15 000 et 19 999 0 32 Les non r pondants pr sentant les m mes caract ristiques sont donc imput s de fa on al atoire selon la distribution des r pondants d une m me classe d imputation obtenue par le mod le c est dire 68 des non r pondants pr sentant les caract ristiques num r es se verront attribuer un revenu entre 10 000 et 14 999 Les 32 qui restent seront imput s d un revenu entre 15 000 et 19 999 Les r sultats de limputation sont pr sent s au tableau 15 13 Tableau 15 13 Distribution des m nages selon le revenu avant et apr s l imputation Enqu te sociale et de sant 1998 Avant Apr s Revenu R pondants Non r pondants imput s Global lt 10000 9 6 8 0 9 4 10 000 14 999 11 2 10 1 11 0 15 000 19 999 7 3 7 8 7 4 20 000 29 999 18 8 17 7 18 6 30 000 39 999 16 2 13 7 15 8 40 000 59 999 22 2 23 0 22 3 60 000 79 999 8 0 9 9 8 2 gt
285. oir des impacts plusieurs niveaux Ainsi il peut notamment avoir un effet sur la non r ponse partielle associ e a l une ou l autre des mesures de sant mentale Il se peut aussi que l estimation simple de la proportion de personnes appartenant au niveau lev de la mesure change en fonction de l ordre de pr sentation des questions Finalement l ordre des questions pourrait avoir un impact sur les relations qui existent entre chaque mesure et d autres indicateurs de sant Ces trois aspects de l effet potentiel de l ordre des questions ont t tudi s pour I IDPESQ14 et pour l EMMDP23 32 Le lecteur est invit consulter le chapitre 16 du rapport de l Enqu te sociale et de sant 1998 pour des d tails concernant la construction de ces deux mesures 33 Voir la partie du cahier technique pour des d tails sur les questionnaires QAA 1 et QAA 2 219 18 1 1 Non r ponse partielle En g n ral on d finit le taux de non r ponse partielle une question par la proportion de non r pondants a une question parmi ceux qui devaient y r pondre Pour un indice construit a partir des r ponses a plusieurs questions cette d finition est quelque peu modifi e On consid re en effet que l indice de d tresse psychologique IDPESQ14 ne peut pas tre calcul si plus de trois questions qui servent a sa construction sont manquantes Ainsi le taux de non r ponse partielle pour lIDPESQ14 se calcule en divisant le nombre de
286. oires QRI133 a QRI136 Question s ESS98 Sources QRI133 sifflements dans la poitrine au cours des 12 derniers mois Nouvelle question inspir e de la Q1 du questionnaire administr par intervieweur de l Etude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 et d une question du tableau 5 du NHANES Evans et autres 1987 95 Section X Sympt mes respiratoires QRI133 QRI136 suite Question s ESS98 Sources QRI134 sifflements dans la poitrine presque tous les jours ou toutes les nuits au cours des 12 derniers mois QRI135 sifflements lorsque la personne n tait pas enrhum e Nouvelle question inspir e de la Q1 du questionnaire administr par intervieweur de l tude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 et des questions 10 et 10a du questionnaire autoadministr de l tude de la sant respiratoire chez les jeunes de Montr al Ernest et autres 1995 Nouvelle question inspir e de la Q1 2 du questionnaire administr par intervieweur de tude europ enne sur la sant Burney et autres 1994 QRI136 crise de sifflements dans la poitrine qui a essouffl la personne m me l g rement Nouvelle question inspir e de la Q1 1 du questionnaire administr par intervieweur de I Etude Europ enne sur la sant Burney et autres 1994 et de la Q11 du questionnaire autoadministr de Etude de la sant respiratoire chez les jeunes de Montr al Ernes
287. oisir et au sport du MSSS QAA14 attitude face la pratique r guli re ESS92 93 QAA138 d activit s physiques au cours de la Cette question a t command e et pay e par prochaine ann e Kino Qu bec programme du Secr tariat au loisir et au sport du MSSS noter que l analyse de la question sera effectu e dans des publications scientifiques ult rieures QAA15 perception du contr le facilit ou ESS92 93 QAA140 difficult de la pratique r guli re Cette question a t command e et pay e par d activit s physiques au cours de la Kino Qu bec programme du Secr tariat au loisir et prochaine ann e au sport du MSSS noter que l analyse de la question sera effectu e dans des publications scientifiques ult rieures Section IV Activit physique QAA12 a QAA19 suite Sources Nouvelle question command e et pay e par Kino Qu bec programme du Secr tariat au loisir et au sport du MSSS Elle est adapt e d une question de Marcus et autres 1992 A noter que l analyse de cette question sera effectu e dans des publications scientifiques ult rieures ESS92 93 QAA141 A noter que la comparaison avec les r sultats de l enqu te 1998 ne peut tre pr sent e car la formulation de cette question a d tre modifi e afin de recueillir plus d information sur quelques composantes suppl mentaires i e les types d activit s physiques et la fr quence de chacune Question s ESS
288. oix ou penser que quelqu un l espionne SQ87 QRI45aa SQ87 QRI45bb QRI100 cataractes Nouvelles questions ajout es afin d avoir plus QRI101 maladies de la r tine d information sur les probl mes de sant QRI102 glaucome chroniques en mergence QRI103 tout autre probl me de sant SQ87 QRI46a chronique QRI103a probleme de sant pr ciser SQ87 QRI46b QRI104 p riode de maladie ou encore des Nouvelle question ajout e a la demande du groupe sympt mes ou des probl mes de sant au cours des 4 derniers mois ayant propos les questions sur le recours aux services sociaux et de sant Cette question na pas encore fait l objet d une analyse Section VII Chirurgies d un jour QRI105 a QRI117 Question s ESS98 QRI105 chirurgie d un jour au cours des 12 derniers mois QRI106 nombre de fois QRI107 principal probleme l origine de la derni re chirurgie d un jour QRI108 d lai d attente QRI109 acceptabilit du temps d attente QRI110 suffisance de ne pas avoir pass au moins une nuit l h pital QRI111 a re u des traitements a domicile Si oui a QRI111 qui a fourni ces traitements QRI112a personne vivant dans le m nage QRI112a1 personne apparent e vivant dans le m nage QRI112b personne apparent e ne vivant pas dans le m nage QRI112c ami e ou voisin e 92 Sources Nouvelles questions ajout es afin de mieux documenter le
289. ologie 67 p LAPOINTE F R COURTEMANCHE et L COTE 1999 Enqu te sociale et de sant de 1998 Aspects statistiques document de r f rence pour les groupes d analyse f et 2 juin 1999 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec Direction de la m thodologie 54 p LAPOINTE F R COURTEMANCHE Y LATULIPPE L PICA et N AUDET para tre tude parall le tude r alis e en m me temps que l Enqu te sociale et de sant 1998 pour valuer un mode de collecte alternatif au face face titre provisoire Qu bec Institut de la statistique du Qu bec LEVASSEUR M 1987 Sources et justifications des questions utilis es dans l enqu te Sant Qu bec Cahier technique 87 03 Qu bec Sant Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux MINIST RE DE LA SANT ET DU BIEN TRE SOCIAL 1981 La sant des Canadiens rapport de l enqu te Sant Canada Ottawa MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX 1992 La politique de la sant et du bien tre Qu bec gouvernement du Qu bec MINISTERE DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX 1997 Priorit s nationales de sant publique 1997 2002 Qu bec Les Publications du Qu bec NOLIN B D PRUD HOMME G GODIN D HAMEL et coll para tre Enqu te qu b coise sur l activit physique et la sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec Institut national de sant publique du Qu bec et Kino Qu bec 60 ORGANISATION MO
290. ombre de m nages priv s appartenant un m me secteur de d nombrement varie entre z ro et 595 selon le recensement canadien de 1991 Pour homog n iser la taille des UPE des SD ont t regroup s de fa on obtenir un minimum de 60 m nages priv s par UPE situ e dans une r gion m tropolitaine de recensement RMR et un minimum de 80 m nages priv s par UPE localis e ailleurs au Qu bec Ces nombres minimaux sont un compromis entre l importance de la t che effectuer lors de l num ration des logements pour former le troisi me degr de la base et l effet positif d une certaine dispersion g ographique de l chantillon sur la qualit du plan de sondage Les UPE correspondent dans 95 des cas des SD uniques et les autres UPE sont des regroupements de SD Pour ces 5 restant les crit res de regroupements de SD sont les suivants les SD appartiennent la m me r gion sociosanitaire 18 Cette terminologie provient du recensement canadien Pour une d finition compl te voir le dictionnaire du recensement canadien de 1991 152 le nombre total de m nages priv s du regroupement envisag doit tre gal ou sup rieur 60 pour des SD provenant d une RMR et gal ou sup rieur a 80 pour des SD situ s ailleurs au Qu bec les SD regroup s sont contigus le nombre total de m nages priv s du regroupement est proche du nombre moyen de m nages par UPE dans la r gion le regroupement minimise
291. omicile QRI174 QRI196 a t ajout e la demande du groupe de travail sur lair ambiant et l environnement physique dans le but d tudier l association entre certains d terminants environnementaux et les probl mes d asthme et de rhinite allergique dans la population qu b coise Comme d j mentionn dans la Section X Sympt mes respiratoires les questions de la pr sente section servent documenter la pr sence de divers d terminants potentiels dans l environnement physique du domicile et leur relation avec les sympt mes respiratoires substances allerg nes associ es la pr sence d animaux ou d acariens ou encore contaminants irritants provenant de l utilisation de syst me de chauffage ou de la fum e de la cigarette Cependant les r sultats sur les d terminants n ont pas t pr sent s dans le rapport sur l ESS98 mais ont fait l objet d un article dans la Revue canadienne de sant publique L vesque et autres 2001 La premi re question de la section porte sur le temps v cu au domicile actuel QRI174 suivi de cing questions sur le syst me de chauffage au domicile radiateurs l eau chaude QRI175 circulation d air chaud QRI176 radiateurs lectriques QRI177 po le bois ou foyer QRI178 et autres m thodes QRI179 Ces questions s inspirent d un questionnaire administr par intervieweur de l Etude europ enne sur la sant respiratoire Burney et autres 1994 La question qui porte sur
292. ompte du sexe et de l ge des r pondants La question sur le plus haut niveau de scolarit compl t QAA226 utilis e en 1987 et en 1992 1993 a t modifi e en 1998 Plusieurs cat gories de r ponse ont t scind es en 1998 de sorte qu il y a 22 possibilit s de r ponse au lieu de 16 comme dans les enqu tes pr c dentes La question sur le fait d avoir obtenu ou non un dipl me d tudes secondaires constitue un ajout l enqu te de 1998 on a en effet consid r que les r pondants ayant termin le 5 secondaire avec un dipl me pr sentent un niveau sup rieur de scolarit comparativement ceux qui n ont pas un tel dipl me Ensuite trois questions examinent diff rents aspects de la religion La premi re question portant sur la principale religion de l enfance QAA228 provient de l enqu te de 1987 laquelle la cat gorie de r ponse Islamique a t ajout e en 1998 pour tenir compte des changements d mographiques dans la population qu b coise La question sur l appartenance religieuse actuelle QAA229 constitue un ajout en 1998 Elle a t adapt e d une question utilis e lors du recensement canadien de 1991 La question sur la principale religion de l enfance QAA228 n a pas t trait e dans le chapitre 29 Spiritualit religion et sant une analyse exploratoire du rapport de l ESS98 parce que les r sultats sont relativement comparables ceux de la question sur l appartenance actuelle u
293. on donn e en r gion dans la p riode du 19 au 29 octobre 1997 la formation l num ration incluait dans les deux cas un exercice pratique d num ration C est le BSQ qui a jou le plus grand r le dans cette tape de formation en plus d avoir pr par le guide de formation l num ration Lapointe et Courtemanche 1997 La premi re num ration a eu lieu imm diatement apr s la formation en r gion avant la formation l enqu te proprement dite 5 3 2 Formation pr paratoire l enqu te La formation la collecte comme telle a dur 11 jours et 2 soirs pour les coordonnatrices de terrain Montr al du 10 au 21 novembre 1997 et 9 jours et 1 soir pour les intervieweurs en r gion du 8 au 17 d cembre 1997 Le programme de formation a t labor par Sant Qu bec en collaboration avec la firme et le BSQ Le manuel de formation a t pr par par Sant Qu bec La formation a t donn e par Mme Johanne Th roux qui avait t coordonnatrice de terrain Montr al et responsable des sessions de formation aux nouvelles recrues lors de l ESS92 93 Les m thodes de formation ont t vari es enseignement magistral travaux d quipe 36 simulation et jeux de r les travaux pratiques individuels ou de groupe corrig s sur place diff rents quiz crits jeux questionnaires pour v rifier l acquisition des connaissances relatives a l ordinateur animation exp rime
294. on sinistr s est significative Le tableau 17 6 pr sente les indices analys s ainsi que le seuil du test sur le param tre de PANNE Tableau 17 6 Points de coupure utilis s pour chaque groupement de r gions et seuil du test entre les sinistr s et les non sinistr s au niveau r gional Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 Points de coupure Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 2 jours 2 jours 4 jours Seuil observ ae CONSPROF Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 0 38 0 049 0 88 Mont r gie 0 63 NBRE_PS 2 cat gories Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 0 15 0 82 0 50 Mont r gie 0 27 IDPESQ14 Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 0 25 0 16 0 73 2 0 079 ALCOOL98 en 2 cat gories Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 0 90 0 009 0 58 Mont r gie 0 56 PERCEPT en 2 cat gories Estrie Laval Laurentides Montr al Outaouais Mont r gie 0 03 0 20 0 95 Mont r gie 0 68 217 17 3 2 R sultats Quatre indices de sant pr sentent au niveau r gional des seuils observ s pr s de 0 05 ou inf rieur a 0 05 Il s agit de CONSPROF et ALCOOL98 pour les r gions de Montr al et de l Outaouais de PERCEPT pour les r gions de l Estrie de Laval et des Laurentides et finalement de IDPESQ14 pour la r gion de l
295. ond r au QRI de r pondants au QAA pond r au QAA Bas Saint Laurent 87 0 86 3 75 1 Saguenay Lac Saint Jean 95 2 93 4 88 9 Qu bec 79 6 84 7 67 4 Mauricie Centre du Qu bec 88 8 85 2 75 7 Estrie 87 2 92 8 80 9 Montr al Centre 77 5 77 0 59 7 Outaouais 85 6 85 8 73 4 Abitibi T miscamingue 94 0 92 7 87 1 C te Nord 93 5 89 1 83 3 Nord du Qu bec 91 0 88 4 80 4 Gasp sie les de la Madeleine 86 4 79 1 68 3 Chaudi res Appalaches 86 2 89 4 77 1 Laval 83 0 79 8 66 2 Lanaudi re 82 8 86 4 71 5 Laurentides 87 7 85 9 75 3 Mont r gie 76 1 85 6 65 1 Ensemble du Qu bec 82 1 84 0 69 0 Tableau 13 4 Taux de r ponse pond r au QRI proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants du QRI ag s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r au QAA selon la p riode de collecte Enqu te sociale et de sant de 1998 Taux de r ponse Proportion de Taux de r ponse P riode de collecte pond r au QRI r pondants au QAA pond r au QAA Janvier mars 1998 78 6 87 6 68 9 Avril juin 1998 81 2 83 6 67 9 Juillet septembre 1998 84 7 82 8 70 1 Octobre d cembre 1998 84 2 81 8 68 9 ll existe par ailleurs d autres sources de variabilit de la proportion pond r e de r pondants par rapport au personnes admissibles au QAA L ge et le sexe en sont deux les personnes de 15 24 ans et celles de 65 ans et plus r pondent en moins grande proportion que les individus de 25
296. ond r d une enqu te sur la m me population ind pendamment de la r partition de l chantillon Au QRI le taux de r ponse global s l ve donc a 82 1 tableau 13 3 Ce taux varie selon la r gion sociosanitaire et la p riode de collecte tableaux 13 4 et 13 5 On enregistre notamment des taux de r ponse au QRI plus faibles pour les r gions de Mont r gie et de Montr al Centre Pour le questionnaire autoadministr le taux de r ponse global tient compte du fait que les questionnaires sont administr s en cascade Il correspond au produit du taux de r ponse au QRI soit 82 1 et de celui sp cifique au QAA sachant que le QRI a t r pondu Le taux de r ponse ainsi calcul s tablit 69 tableau 13 3 Comme pour le QRI le taux de r ponse global au QAA diff re selon la r gion sociosanitaire les taux de r ponse tant plus faibles notamment dans les r gions de Montr al Centre de Mont r gie de Laval et de Gasp sie les de la Madeleine De m me la proportion pond r e de r pondants parmi ceux admissibles au QAA varie selon la p riode de collecte tableau 13 5 170 Tableau 13 3 Taux de r ponse pond r au QRI proportion pond r e de r pondants au QAA parmi les r pondants du QRI ag s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r au QAA selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant de 1998 Taux de r ponse Proportion pond r e Taux de r ponse R gion sociosanitaire p
297. onduit ou s est pr sent e ESS92 93 QAA95 Il est noter que la question de 1992 1993 portant sur la consultation d un professionnel de la sant ou d une autre personne qui donne des conseils a t modifi e en 1998 On demande plut t si la personne a t conduite ou si elle s est pr sent e l urgence ce qui emp che toute comparaison avec les donn es de l ESS92 93 Section XI Votre vie en g n ral QAA146 QAA170 128 Question s ESS98 Sources QAA146 fr quence des rencontres avec la SQ87 QAA84 parent les ami e s ou des ESS92 93 QAA97 connaissances au cours des 12 derniers mois QAA147 la fa on dont la personne a pass SQ87 QAA85 son temps libre au cours des deux ESS92 93 QAA98 derniers mois QAA148 satisfaction quant a la vie sociale SQ87 QAA86 ESS92 93 QAA99 QAA149 pr sence d amis SQ87 QAA87a ESS92 93 QAA100 QAA150 satisfaction dans les rapports avec SQ87 QAA87b les ami e s ESS92 93 QAA101 QAA151 pr sence de confidents dans son SQ87 QAA90 entourage ESS92 93 QAA110 QAA152 nombre de confidents ESS92 93 QAA111 QAA153 pr sence de personnes pouvant aider SQ87 QAA91 au besoin dans son entourage ESS92 93 QAA112 Section XI Votre vie en g n ral QAA146 a QAA170 suite Question s ESS98 Sources QAA154 nombre de personnes pouvant aider ESS92 93 QAA113 au besoin ll est noter qu en 1998 des c
298. onner les logements Les USE r num rer taient s lectionn es au hasard et une liste tait dress e par un autre num rateur La validation consistait confronter les deux listes pour en dresser une consolid e ou finale 12 3 Stratification La stratification consiste partitionner la population Chaque partie est appel e strate Chacune correspond un regroupement d UPE de la base de sondage L chantillon est ensuite s lectionn ind pendamment d une strate l autre Dans l Enqu te sociale et de sant 1998 la stratification s est op r e en deux tapes La stratification principale vise rencontrer des objectifs li s la pr cision des statistiques pour chaque r gion sociosanitaire et certaines aires vuln rables d crites dans cette section Les strates principales sont ensuite partitionn es en strates secondaires dans le but de s assurer d une meilleure r partition de l chantillon de la strate principale selon la taille de l UPE et de simplifier l estimation de la variance des statistiques produites dans l enqu te Stratification principale Comme il a t mentionn la stratification principale vise obtenir une pr cision acceptable pour des territoires donn s Les strates principales sont donc d crites par le croisement des r gions sociosanitaires et des aires homog nes Une taille d chantillon a t fix e par r gion afin d obtenir une bonne pr cision pour les statistiques corr
299. ont t utilis s lors de l analyse des donn es de l enqu te notamment pour la construction d intervalles de confiance approximatifs et pour un ajustement simple aux tests du Ki deux produits avec le logiciel statistique SAS Cet ajustement est rendu possible en divisant les poids moyenne 1 des donn es par l effet de plan et en utilisant une option permettant une analyse pond r e d un tableau de fr quences deux variables A moins de proc der de tels ajustements ce logiciel tout comme la majorit des logiciels d analyse statistique ne tient pas compte du plan de sondage complexe au moment de r aliser les calculs de pr cision et de statistiques de tests Tableau 16 1 Effets de plan pour le QRI et le QAA Enqu te sociale et de sant 1998 Effets de plan au QRI G n ral 2 1 Sections 12 13 et 15 sauf questions 175 178 SECALIM CAUS COUVMED COUVPRI COUVSDEN COUVSH COUVVUE TYPEREG la question 157 SUFREV et SITUA 5 8 Questions 175 a 178 8 8 Questions 41 48 et 75 MATCONJ2 VACCIN VACREC 3 3 M dicaments 4 2 M nages familles 1 6 Probl mes de sant 2 8 Effets de plan au QAA G n ral 2 0 questions 223 225 228 et 229 GROUPTH2 LANGMAT 4 8 questions 9 a b c 157 159 161 171 174 194 195 et 232 238 REPASEXA REPASEXT 26 VSPIRIT SSPIRIT RELENFA ISSAV ISUTIL DURPAUV Des effets de plan r gionaux ont galement t calcul s et utilis s pour les analyses fa
300. ose de la R gie r gionale de la sant et des services sociaux de la Mont r gie Le questionnaire de cette enqu te compl mentaire a permis de construire un indice servant tiqueter les m nages ayant t sinistr s la section 17 1 on pr sente quelques l ments de la m thodologie de l enqu te la taille de l chantillon le taux de r ponse et la pond ration De plus on retrouve le questionnaire l annexe 10 Plusieurs familles qu b coises peuvent avoir t affect es par les cons quences de cette temp te La presse a fait tat de nombreux probl mes de sant hypothermie intoxication alimentaire ou au monoxyde de carbone chutes et fractures Outre les probl mes physiques il faut mentionner les sympt mes anxieux l augmentation possible de la consommation de m dicament de tabac ou d alcool Les r sultats de l analyse faite sur certaines variables de sant susceptibles d avoir t influenc es par la temp te de verglas de 1998 sont r sum s aux sections 17 2 et 17 3 L objectif principal de cette enqu te compl mentaire consistait v rifier si le verglas a eu un impact sur les donn es de ESS98 et si c tait le cas corriger les estimations pour minimiser cet impact Il s agissait de mesurer si les sinistr s pr sentaient ou non un profil sanitaire identique celui des personnes qui n avaient pas t sinistr es ce profil contenant des variables qui selon toute vraisemblance risquaient le pl
301. ou non le r pondant cl du m nage au QRI la consommation de m dicaments la p riode de collecte l ge le sexe le lieu de naissance pour Montr al Centre Laval et l Outaouais taient des indicateurs habituellement associ s la propension de r pondre au QAA Le taux de r ponse sp cifique au QAA est illustr par r gion sociosanitaire au tableau 14 3 25 Il s agit d un adulte suffisamment inform sur l tat de sant des autres membres du m nage pour r pondre leur place 183 Tableau 14 3 Taux de r ponse pond r sp cifique au QAA selon la r gion sociosanitaire Enqu te sociale et de sant 1998 R gion sociosanitaire Taux de r ponse sp cifique pond r 1 Bas Saint Laurent 86 3 2 Saguenay Lac Saint Jean 93 4 3 Qu bec 84 7 4 Mauricie Centre du Qu bec 85 2 5 Estrie 92 8 6 Montr al Centre 77 0 7 Outaouais 85 8 8 Abitibi T miscamingue 92 7 9 C te Nord 89 1 10 Nord du Qu bec 88 4 11 Gasp sie les de la Madeleine 79 1 12 Chaudi res Appalaches 89 4 13 Laval 79 8 14 Lanaudi re 86 4 15 Laurentides 85 9 16 Mont r gie 85 6 Ensemble du Qu bec 84 0 145 Poids associ s la distribution de la population vis e au QAA l instar du QRI la pond ration du QAA a t ajust e selon la r gion l ge et le sexe Les m mes groupes d ge utilis s pour le QRI ont t conserv s ce qui inclut le regroupement de quelques groupes d ge pour certaines r gions sociosanit
302. ournal of Public Health vol 87 n 6 p 951 956 SOM INC 1998a Etude de notori t et de l utilisation du service Info Sant CLSC Qu bec 44 p SOM INC 1998b Etude de notori t et de l utilisation du service Info Sant CLSC Tableaux d taill s Qu bec calculs effectu s l aide des tableaux Q5 et Q15 STATISTIQUE CANADA 1988 Enqu te nationale sur la consommation d alcool et de drogues ENCAD 02 questionnaire Ottawa Statistique Canada 14 p TRAHAN L P BEGIN M DEMERS et P LAFONTAINE 1999 Evolution des changements dans l offre et l utilisation des services hospitaliers et des services ambulatoires Ensemble du Qu bec Minist re de la Sant et des Services Sociaux Gouvernement du Qu bec 119 p TRAHAN L P BEGIN et J PICHE 2001 Recours l hospitalisation a la chirurgie d un jour et aux services posthospitaliers dans Enqu te sociale et de sant 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec chapitre 20 p 409 TURNER R J B WHEATON et D S LLOYD 1995 The epidemiology of social stress American Sociological Revue vol 60 p 104 125 WHEATON B 1991 The specification fo chronic stress model and measurement Paper presented at an annual meeting of the Society for the study of social problems August Cincinnati Ohio WHEATON B 1994 Sampling the stress universe dans AVISON W R et I H GOTLIB d Stress and mental health contempor
303. out e la demande du groupe ayant propos les questions sur la famille Elle s inspire de travaux de recherche centr s sur les d sunions Dandurand 1994 QAA180 satisfaction l gard de l implication ESS92 93 QAA109 1 financi re de l autre parent QAA181 l ve un ou des enfants de moins de Nouvelles questions ajout es la demande du 18 ans qui ne sont pas les leurs groupe ayant propos les questions sur la famille QAA182 sil s agit des enfants de leur conjoint e actuel le QAA183 qualit ces relations avec les keaux enfants 132 Section XIII La sant des femmes QAA184 QAA193 Question s ESS98 Sources QAA184 enceinte actuellement SQ87 QAA112 ESS92 93 QAA7 QAA185 temps coul depuis le dernier test SQ87 QAA105 ESS92 93 QAA8 amp de Pap QAA186 temps coul depuis le dernier SQ87 QAA108 ESS92 93 QAA9 examen clinique des seins QAA187 fr quence de lauto examen des SQ87 QAA109 ESS92 93 QAA10 seins QAA188 a d ja eu une mammographie SQ87 QAA110a ESS92 93 QAA11 QAA189 temps coul depuis la derni re SQ87 QAA110b ESS92 93 QAA12 mammographie QAA190 consommation de pilules SQ87 QAA111a ESS92 93 QAA13 contraceptives QAA191 consommation d hormones pour SQ87 QAA111b ESS92 93 QAA14 pr venir ou traiter les sympt mes li s est noter que la question employ e en 1987 et la m nopause 1992 1993 a t s par e en deux
304. outefois avant de proc der au tirage de logements des v rifications ont t effectu es afin de s assurer le mieux possible de la pr sence de tous les logements priv s situ s dans PUSE chantillonn e de m me que de l exactitude et de la clart des informations inscrites sur les listes d num ration adresse num ro civique num ro d appartement nom de rue ou description du logement Au niveau des USE hors RMR la validation des listes se r sumait peu de choses En fait elle consistait a comparer le nombre de logements num r s dans USE avec le nombre de logements recens s en 1991 et suivre le trajet parcouru par l num rateur Ceci nous permettait de v rifier si des rues faisant partie de USE s lectionn e avaient t oubli s si l num rateur avait inscrit des logements hors USE ou si des logements avaient t num r s plus d une fois 155 Une validation de meilleure qualit a pu tre effectu e pour les listes provenant des USE s lectionn es dans une RMR En effet pour chaque c t d ilot nous connaissions le nombre de logements priv s recens s en 1991 ainsi que le premier et dernier num ro civique associ s au c t d ilot Il tait alors plus facile de v rifier si des logements avaient t oubli s galement 10 des USE s lectionn es ont t num r es une seconde fois Cette op ration visait s assurer d avoir la meilleure base de sondage possible pour chantill
305. ouvant tre trait s comme des variables continues scores une corr lation simple entre ces variables a d abord t estim e Et quelques v rifications ont t faites en consid rant s par ment les donn es des gens ayant re u l un ou l autre des types de questionnaires autoadministr s Chaque mesure a aussi t examin e dans sa forme cat gorique Les associations simples entre chacune de ces mesures et plusieurs autres variables ont t tudi es au moyen des tests d ind pendance du kii deux Cette tape de l analyse devait permettre de v rifier si les deux mesures de sant mentale consid r es dans l Enqu te sociale et de sant 1998 identifiaient les m mes sous populations risque Ensuite puisque les variables cat goriques appartenance ou non la cat gorie lev e de la mesure sont davantage utilis es dans l enqu te que leurs formes continues une analyse de la concordance des deux indices cat goriques a t effectu e Ainsi le tableau de fr quences 2 2 correspondant au croisement des deux mesures dichotomiques a t tudi Quatre 4 groupes ont ainsi t d finis Groupe 1 La sous population des personnes dont le niveau de d tresse psychologique est jug faible par les deux mesures de sant mentale 0 0 Groupe 2 La sous population des personnes identifi es seulement par l MMDP23 comme appartenant au niveau lev de l chelle de d tresse 0 1 Groupe 3 La sous pop
306. par 61 des r pondants 15 2 Indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA L valuation g n rale de la non r ponse partielle partir d un indice de synth se a t faite pour le questionnaire autoadministr de l Enqu te sociale et de sant 1998 Pour ce faire un groupe de questions jug es importantes pour les analyses subs quentes et qui permettent d avoir une vue d ensemble du questionnaire entier sont choisies Les questions utilis es ici sont au nombre de quinze tableau 15 5 193 Tableau 15 5 Questions composant l indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA Enqu te sociale et de sant 1998 QAA1 diriez vous que votre sant est en g n ral QAA8 diriez vous que vos habitudes alimentaires sont QAA12 Combien de fois avez vous pratiqu des activit s physiques QAA20 Pr sentement fumez vous la cigarette QAA33 Avez vous d j consomm de la bi re du vin QAA44 Savoir s il vous est arriv de prendre de la drogue QAA48 Occupez vous pr sentement un emploi r mun r QAA140 diriez vous que votre sant mentale est en g n ral QAA141 vous est il d j arriv de penser S RIEUSEMENT vous suicider QAA146 Combien de fois avez vous particip a des rencontres QAA171 Avez vous un ou des enfants QAA203 Avez vous d ja eu des relations sexuelles QAA223 Quelle est la premi re langue que vous avez apprise QAA226 Di
307. perception de l tat de sant PERCEPT l activit physique FRAPLG1 et la consommation d alcool ALCOOL98 en 2 cat gories 0 13 consommations et 14 consommations et plus On a ensuite v rifi si les effets perduraient dans le temps ou si d autres variables exog nes pouvaient expliquer les ventuelles differences observ es Pour chacun des neuf indices de sant retenus un mod le de r gression logistique a t ajust aux donn es la variable d pendante tant l indice de sant et les variables explicatives l indice PANNE la vague de collecte l interaction entre PANNE et la vague la scolarit la pr sence dans le m nage d au moins un enfant de moins de quinze ans l aire homog ne l ge et le sexe L introduction d une interaction entre la vague de collecte et la variable PANNE dans le mod le visait tudier si l effet du verglas persistait d une vague l autre alors que la pr sence des variables socio d mographiques servait v rifier si l cart observ entre sinistr s et non sinistr s n tait attribuable qu la diff rence entre leurs caract ristiques sociod mographiques Ces derni res variables ont donc t introduites pour contr ler d ventuels effets confondants des caract ristiques sociod mographiques et permettent donc de r pondre la question suivante s il y a un cart significatif entre les sinistr s et les non sinistr s cet cart persiste t il une fois les deux groupes
308. personnes ayant fourni des r ponses moins de onze questions par le nombre total de personnes qui devaient r pondre aux quatorze questions L chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique MMDP23 comporte pour sa part vingt trois questions portant sur quatre dimensions de la d tresse psychologique raison de 5 6 ou 7 questions par dimension mesur e Le calcul de l chelle est jug valide si chacune de ces quatre dimensions est bien d finie Pour une dimension donn e cela se produit lorsqu au plus une question est manquante Par cons quent le taux de non r ponse partielle se d finit ici comme le rapport du nombre de personnes qui ont laiss plus d une question sans r ponse dans l une ou l autre des quatre dimensions parmi celles qui devaient r pondre aux vingt trois questions Lorsque tous les r pondants une enqu te n ont pas des poids gaux comme c est le cas dans Enqu te sociale et de sant 1998 il est pr f rable de consid rer un taux pond r de non r ponse partielle plut t qu un taux brut Les deux taux ci haut mentionn s ont donc t calcul s a partir de donn es pond r es En plus du taux de non r ponse partielle proprement parler on a aussi examin ici les cas o aucune r ponse n avait t fournie par le r pondant Les proportions pond r es de personnes n ayant r pondu a aucune question composant chacune des mesures de sant sont donc compar es pour ch
309. pertinence justifi e En l absence de questions valid es d j disponibles Sant Qu bec a tout de m me accept d utiliser des questions originales sugg r es par les groupes lorsque les besoins particuliers du th me ou le mod le conceptuel le justifiaient Par exemple des questions visant a explorer les valeurs spirituelles ont t ajout es a l enqu te apr s qu on les ait soumises au comit scientifique pour estimer leur validit et l impact de ces ajouts sur les instruments la lumi re de rencontres et d changes verbaux ou crits avec les groupes et des conclusions des travaux du comit scientifique le comit d orientation a retenu une version finale des questionnaires pour le pr test Le choix des questions s est fait sur la base de consid rations m thodologiques et de pr occupations pratiques comme la longueur du questionnaire et la dur e de l entrevue Le pr test a galement permis d apporter des am liorations pour l laboration des instruments d finitifs 4 6 Instruments Enqu ter sur la sant requiert des instruments de collecte les questionnaires proprement parler qui servent recueillir l information sur l tat de sant et ses d terminants et diff rents outils de travail dont l intervieweur a besoin pour mener sa t che bien Par ailleurs r aliser une enqu te de cette envergure avec succ s implique une gestion serr e des ressources et le contr le suivi des donn es op rat
310. pour le QAA Des tiquettes autocollantes sur lesquelles les num ros de dossier des logements ont t pr imprim s sont 32 fournies a l intervieweur Elles sont appos es au fur et mesure des visites sur la page couverture des QAA remis pour chacun des membres du m nage Enveloppes accompagnant le QAA Le QAA constituant un questionnaire personnel et confidentiel il est accompagn d une enveloppe dans laquelle le r pondant le glisse lui m me apr s lavoir rempli Une fois scell e l enveloppe est remise a l intervieweur Livret de re us primes de participation et enveloppes pour le cachet du m nage Une fois la collecte termin e dans un m nage QRI QAA questionnaires de s lection et ou de suivi pour l EQLA une prime de participation de 15 est remise au r pondant principal qui doit alors signer un re u Codes des r sultats d entrevue pour le QRI Voir cartes de r f rence 4 6 3 Instruments propres num ration Sch ma de I UPE Il s agit du plan de PUPE soit le secteur g ographique couvrir pour l num ration et ses limites Pour l ESS98 quatre types de cartes ont t utilis es La section 4 du manuel d instructions pour l num ration fournit des d tails ce sujet Liste des logements de l UPE annexe 3 Il s agit du formulaire sur lequel l intervieweur inscrit toutes les adresses des m nages priv s d une UPE lors de l num ration Pour plus de d tails voir
311. press ment pour l tude elle a t ajout e la demande du Comit scientifique de la Direction Sant Qu bec pour introduire la section Nouvelles questions qui s inspirent respectivement des questions QRI23 et QRI26 de l Enqu te qu b coise sur les facteurs de risque associ s au sida et aux autres MTS la population des 15 29 ans Sant Qu bec 1992 La question sur l orientation sexuelle a t ajout e la demande du groupe ayant propos les questions sur ce th me Section XVI La sexualit QAA203 a QAA220 suite Question s ESS98 Sources QAA206 QAA207 age la premi re relation sexuelle avec p n tration nombre de partenaires sexuels au cours des 12 derniers mois QAA208 QAA209 type de relation entretenue avec ce partenaire chez les personnes ayant eu un seul partenaire sexuel utilisation du condom avec ce partenaire chez les personnes ayant eu un seul partenaire sexuel QAA210 QAA211 fr quence de l utilisation du condom au cours des 12 derniers mois avec ce partenaire a eu plus d un partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois dont l un de ces partenaires tait un partenaire r gulier avec lequel la personne vivait QAA212 QAA213 utilisation du condom lors de la derni re relation sexuelle avec le dernier partenaire r gulier avec lequel la personne vivait fr quence d utilisation du condom au cours des 12 derniers mois avec ce dern
312. prot ger toutes les informations recueillies dans le cadre d une enqu te Dans le rapport de l Enqu te sociale et de sant 1998 les analyses pr sent es sont essentiellement descriptives cette orientation permet en effet de rendre les r sultats accessibles le plus rapidement possible aux planificateurs d cideurs et chercheurs Pour cette raison les estimations produites dans le rapport ne sont pas standardis es selon le sexe et l ge comme c est parfois le cas pour des publications portant sur la sant Cependant lors des comparaisons de r sultats avec ceux de l enqu te de Sant Qu bec 1987 ou de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 des sous groupes du m me ge et du m me sexe sont compar s ce qui permet un certain contr le le cas ch ant de l effet confondant de ces variables La majorit des mesures consid r es dans l enqu te tant cat goriques le type d analyses effectu es s apparente surtout celui de tableaux de fr quences et au traitement statistique de proportions La section 16 1 renferme des d tails concernant la production d estimations simples Puis le calcul de la pr cision associ e ces estimation est abord la section 16 2 Finalement les m thodes ayant servi la construction des tests du khi deux et des tests de comparaisons de proportions sont pr sent es la section 16 3 16 1 Estimations de proportions ou de moyennes Toutes les estimations simples comme les proport
313. qu te Sant Qu bec Cahier technique 87 07 Sant Qu bec minist re de la Sant et des Services sociaux gouvernement du Qu bec Qu bec 61 62 Partie Il Sources et justifications des questions LUCILLE PICA AVEC LA COLLABORATION DE CAROLE DAVELUY ET NATHALIE AUDET DIRECTION SANTE QUEBEC Introduction g n rale Cette deuxi me partie du cahier technique a comme objectif d indiquer pour chacune des questions de l enqu te leur source c est dire l enqu te m re dont elles sont tir es le cas ch ant et leur justification c est dire leur contribution en regard du sujet trait Les questions sont pr sent es par instrument de collecte questionnaire rempli par l intervieweur et questionnaire autoadministr A la fin de chaque instrument de collecte un tableau sommaire des questions et leurs sources sont pr sent s par section du questionnaire Comme l Enqu te sociale et de sant 1998 ESS98 se situe dans le prolongement de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 ESS92 93 et de l enqu te Sant Qu bec 1987 SQ87 plusieurs questions sont reprises directement de ces deux enqu tes dans ce cas la source de la question sera toujours identifi e comme tant l enqu te de 1992 1993 ou l enqu te de 1987 Le lecteur aurait alors avantage a consulter les cahiers techniques de 1992 1993 Bellerose et autres 1996 et de 1987 Levasseur 1987 Si le traitement d un th me ou de l nonc d une qu
314. que ces th mes sont abord s dans une enqu te g n rale de Sant Qu bec La question sur la perception des habitudes alimentaires QAA8 a servi l laboration de l indice d auto valuation de la qualit des habitudes alimentaires Introduit dans l Enqu te Promotion Sant Canada de 1985 Sant et Bien tre social Canada 1988 l indice faisait partie de l Enqu te qu b coise sur la nutrition 1990 EQN90 Sant Qu bec 1995 Il a aussi t utilis dans les enqu tes de l Institut national de la nutrition effectu es en 1989 1994 et 1997 NIN 1997 offrant ainsi une comparabilit canadienne pour cette question La fr quence de consommation des repas pr par s l ext rieur du foyer au cours des 7 derniers jours a t valu e partir de trois questions fr quence de la consommation des repas congel s QAA9a des repas livr s la maison QAA9b et des repas au restaurant la caf t ria ou au casse cro te QAA9c Ces questions faisaient aussi l objet d analyses lors de lEQN90 La p riode de r f rence de 7 jours a toutefois t pr f r e celle de 2 jours utilis e en 1990 afin de r partir la consommation des repas pr par s l ext rieur sur l ensemble de la semaine Cela permet d viter les biais li s aux achats de fin de semaine Un indice regroupant les r sultats de ces trois questions a permis de caract riser les divers groupes de la population en fonction de la fr quence de consommation de
315. r gionale est essentiellement la m me que pour l analyse portant sur l ensemble du Qu bec Cependant le groupe de travail a convenu que les analyses seraient restreintes aux indices ayant pr sent des diff rences notables pour les analyses provinciales consultation d un professionnel nombre de probl mes de sant d tresse psychologique et consommation d alcool Toutefois une attention particuli re a aussi t donn e aux indices d finissant l activit physique et la perception de la sant mais mentionnons d ores et d j que rien de concluant n a t observ concernant l activit physique Le tableau 17 5 pr sente quelques statistiques descriptives concernant les r gions L examen de ces donn es sugg re d abord que m me si toutes les r gions sociosanitaires du Qu bec pr sente un nombre de jours sans lectricit non nul plusieurs d entre elles ont en fait t tr s peu touch es par le verglas L impact sur les estimations a donc dans beaucoup de cas t jug n gligeable Ainsi pour les analyses subs quentes l tude n a t approfondie que pour les r gions pr sentant un nombre de jours moyen de panne d lectricit par m nage sup rieur un jour 215 D ailleurs le nombre moyen de jours sans lectricit par m nage sugg re le regroupement de certaines r gions Trois groupements ont t constitu s et analys s 1 Estrie Laval Laurentides avec une moyenne d environ 1 4 jour sans
316. r cr er un mod le qui expliquera le mieux la variable r ponse qui est le revenu Ce mod le sera ensuite utilis pour pr dire les donn es manquantes Cette technique requiert que les variables du mod le soient disponibles pour les non r pondants et les r pondants et qu elles soient li es la variable r ponse Un mod le logistique sera choisi car la variable imputer le revenu est cat gorique Cette approche a t privil gi e pour plusieurs raisons plusieurs variables reli es au revenu sont disponibles elle permet de s lectionner en utilisant un crit re d optimalit les variables expliquant le mieux le revenu et elle a l avantage une fois limputation effectu e de rendre identique l int rieur d un m me groupe d imputation la distribution des non r pondants et celle des r pondants obtenue partir du mod le De fa on plus sp cifique avant de proc der l imputation des non r pondants un mod le est construit partir des r pondants Les variables incluses dans le mod le forment les classes d imputation On estime les param tres du mod le et on obtient par la suite pour chaque classe d imputation une distribution du revenu On r partit alors les non r pondants de fa on al atoire et proportionnelle l int rieur des classes d imputation correspondantes noter que d terminer la distribution partir des r pondants et attribuer cette r partition aux non r pondants suppose que
317. r du fichier Une fois les erreurs d cel es Sant Qu bec dressait une liste des validations ajouter ou changer dans les programmes de validation ou lors des proc dures de la firme de sondage si la collecte n tait pas termin e pour viter une r p tition des m mes types d erreurs Durant tout le processus de l enqu te aucune modification n a t faite sur le fichier de Sant Qu bec pour viter qu il puisse exister diff rentes versions du fichier de donn es Peu importait la nature de la correction le 51 fichier tait toujours retourn a la firme de sondage il n y avait donc qu une seule version corrig e mise a jour et en circulation la fin de l enqu te une validation compl te de l ensemble des donn es a t r p t e et le fichier a t corrig aussi longtemps que les programmes de validation ont d cel des erreurs D Raffinement de la validation lors de l analyse Certaines erreurs peuvent chapper la validation et tre plut t d cel es l tape de l analyse des donn es Quand tel a t le cas Sant Qu bec s est assur d apporter les changements n cessaires tous les indices ou variables touch s par ces corrections videmment la banque de donn es subissait alors de l g res modifications 7 Analyse des r sultats L analyse des r sultats de l enqu te a t r alis e en plusieurs tapes parall les ou cons cutives soit la pr paration de l ana
318. r la pr sence d incapacit et sa dur e en distinguant trois niveaux de gravit lourde mod r e ou l g re de m me que sur la nature du probl me de sant l origine de l incapacit 66 L incapacit est consid r e lourde si la personne est oblig e de garder le lit toute la journ e ou presque y compris les nuits pass es l hdpital Lincapacit est mod r e si la personne est incapable d aller travailler de tenir maison ou de se rendre l cole sans compter les journ es d alitement L incapacit l g re comprend toute autre journ e o la personne a d mod rer ses activit s Ainsi les journ es d incapacit sont compt es sous forme de journ es d alitement QRI1 QRI1a d incapacit par rapport une activit principale QRI2 QRI2a et de journ es de restriction des activit s habituelles QRI3 QRI3a Le nombre total de journ es d incapacit est la somme de ces journ es d incapacit lourde mod r e et l g re QRI4 Le nombre total de journ es d incapacit ne peut donc d passer 14 jours Le probl me de sant l origine de l incapacit QRI5 peut tre soit une affection aigu soit une maladie chronique Deux autres questions permettent de distinguer si le probl me est d un accident QRI6 et si oui le genre de blessure que l accident a entra n QRI6a Les questions QRI1 QRI5 figuraient aussi dans les deux pr c dentes enqu tes g n rales
319. ra tre Pour l Etude de l impact de la temp te de verglas sur les r sultats de l ESS98 voir Baulne 1999 ainsi que la section sur le sujet du pr sent cahier Rappelons que le contrat liant Sant Qu bec et la maison de sondage exigeait pour le QRI et le QAA un taux de r ponse minimum de 85 pour l ensemble du Qu bec de 75 pour chaque r gion et de 50 pour chaque UPE Ces taux de r ponse attendus devaient tre atteints globalement et non par vague Afin d assurer un taux de r ponse lev les intervieweurs devaient faire un minimum de six visites aux logements chantillonn s a des heures diff rentes de la journ e y compris le soir et des jours diff rents y compris la fin de semaine avant d abandonner un m nage Sant Qu bec a pris connaissance des registres de visites et des descriptions compl tes des intervieweurs sur le QRI afin de v rifier conjointement avec le BSQ la justesse des codes de non admissibilit ou de non r ponse attribu s aux m nages non r pondants Afin d atteindre les taux de r ponse exig s la firme a d velopp diverses strat gies dont Embauche de deux coordonnatrices pour couvrir l le de Montr al l une pour l est l autre pour l ouest Par contre la suite du d part de l une d entre elles en d but de collecte l autre s est vue confier rensemble de la r gion ce qui ne s est pas av r une bonne d cision d autant plus que cette personne coordon
320. raceptive femmes de SQ87 QRI16m ESS92 93 QRI100 12 ans et plus QRI45 tout autre m dicament SQ87 QRI16l ESS92 93 QRI101 Meda_1 20 pr ciser nom du m dicament SQ87 QRI17d ESS92 93 QRI105 Medb_1 20 m dicament obtenu sur l avis d un SQ87 QRI17a ESS92 93 QRI102 m decin Medc_1 20 prise de m dicament de fa on Nouvelle question inspir e de la question QRI103 de r guli re PESS92 93 Medd_1 20 depuis combien temps prend t il elle ESS92 93 QRI104 a cette fr quence Mede_1 20 prise de m dicament a l occasion Nouvelle question inspir e de la question QRI103 de l ESS92 93 Medf_1 20 principal probl me de sant pour SQ87 QRI17c ESS92 93 QRI106 lequel la personne a pris le m dicament Medg_1 20 prise d un autre m dicament du Nouvelle question m me type QRI46 rem des contre l asthme 12 derniers Nouvelles questions ajout es a la demande du mois groupe ayant propos les questions sur lair QRI47 rem des contre le rhume des foins 12 derniers ambiant et l environnement physique mois QRI48 vaccin contre la grippe Nouvelles questions propos es par le Comit de concertation en maladies infectieuses QRI48a a re u le vaccin sur la recommandation du m decin Section V Accidents avec blessures QRI49 QRI71 Question s ESS98 Sources QRI49 accidents ayant caus des blessures et ayant entra n des limitations d activit QRI50 accidents ayant caus des b
321. rdonnatrices de terrain et des intervieweurs 5 3 Formation des coordonnatrices et des intervieweurs 5 3 1 Formation en vue de num ration 5 3 2 Formation pr paratoire l enqu te 5 4 num ration des logements 5 5 Lancement de l enqu te et campagne d information 5 6 D roulement de la collecte des donn es Traitement des donn es SL AR tn Se Le ct Ee pe elt te 6 1 V rification et contr le de la qualit 6 2 Codification et saisie des donn es 6 3 Validation des donn es os 5 ole a RU et ta 6 3 1 Description des types de validation 6 3 2 Processus de correction des erreurs Analyse d s r sultats en Na US ieaie a S aaeeea denea 7 1 laboration des plans d analyse 7 2 Formation l analyse 7 3 PMEIY SS STARS HQUE n siii i nn a a llth sacked hat Re Masta 7 4 R daction et r vision des chapitres 15 17 17 17 18 18 18 18 19 19 8 Publication des r sultas et diffusion des donn es 52 9 Confidentialit des donn es et des r sultats 52 BIDIOGPAPING ss sets eee E bebe ane M oes sade bed bates leh dd on Paden ede aed earatind 55 Partie Il Sources et justifications des questions 59 INTOUCNO M O N AIRES AS Rd RE Saat tes De on T AAE A secrete Bia 61 10 Questionnaire rempli par l intervieweur QRI ooo ceccececceseesececssseeeecesseeeesecsneeeesnnneeeess 61 Section d identification ES de has st tn ete tp A Po nn dors Ar ke 61 Section Incapacit au cours d
322. re de logements total chantillonn dans la strate par le nombre de logements s lectionn s par USE Dans les cas o ce quotient n tait pas un nombre entier un ajustement mineur a t produit sur la taille de l chantillon de la strate 163 Pour d terminer le nombre de logements chantillonn s par USE on doit prendre en consid ration qu une augmentation de ce nombre entra ne une diminution des co ts de la collecte et une diminution de la pr cision des statistiques Par ailleurs on doit aussi tenir compte de la t che de l intervieweur puisqu un seul intervieweur travaille dans chaque USE Lors de l enqu te de 1992 1993 le nombre de logements par UPE tait de 10 pour les UPE form es partir des c t s d ilots UPE situ es dans une RMR et de 20 ou 30 pour celles form es partir de secteurs de d nombrement Ces derni res UPE comprennent plus de m nages que celles form es partir de c t s d ilots et s tendent sur un plus vaste territoire l num ration des logements d une UPE y est ainsi plus dispendieuse En concentrant l chantillon on a diminu les co ts de collecte Puisque l effet sur la variance des statistiques provenant de la concentration des logements dans une UPE n tait pas trop lev e en 1992 1993 les m mes nombres de logements chantillonner par UPE soit 10 20 ou 30 ont t repris pour la pr sente enqu te l instar de l enqu te de 1992 1993 le nombre de logements s
323. recensement canadien de 1991 pour ces USE Le tirage des logements fait suite l num ration Les logements sont choisis syst matiquement avec un pas fractionnaire a partir de ces listes Contrairement d autres enqu tes le pas d chantillonnage d pend du nombre de logements num r s Le fait d avoir une taille d chantillon fixe permet une meilleure valuation des co ts de terrain Notons que le pas consiste diviser le nombre de logements num r s par la taille d chantillon soit 10 20 30 ou 40 selon l USE R sum L chantillon de logements provient d un plan de sondage stratifi trois degr s De plus il n est pas r parti de fa on proportionnelle la taille des strates On doit alors en tenir compte dans la pond ration et l estimation de la variance 168 13 R SULTATS DE LA COLLECTE ET TAUX DE R PONSE GLOBAL 13 1 R sultats de la collecte Comme dans toute enqu te les unit s chantillonn es n ont pas toutes r pondu aux diff rents questionnaires Ainsi des 15 409 logements chantillonn s 15 330 logements chantillonn s au d part auxquels s ajoutent 79 logements suppl mentaires des r ponses ont t obtenues au questionnaire rempli par l intervieweur pour 11 986 m nages g n rant un total de 30 386 individus Le tableau 13 1 nous pr sente la r partition des r sultats de la collecte Parmi les 30 386 personnes r pertori es 24 129 taient admissibles au qu
324. relle IMC selon l ge population de 15 ans et plus Enqu te sociale et de sant 1998 97 l ments statistiques la base du d coupage par aire homog ne Enqu te sociale et de Sant OJE nie er te Aer re Le oe aN A EN e Mi 153 Liste des annexes k NON RA OMN oe 4 O Mandat des comit s consultatifs de l enqu te g n rale de 1998 Instruments compl mentaires au QRI Instruments administratifs pour la collecte et l num ration Calendrier de la collecte des donn es et liste des coordonnatrices de terrain selon la r gion Questionnaire de v rification et de contr le de la qualit des entrevues sur le m nage QRI Documents relatifs l analyse des donn es et la r daction des chapitres Documents relatifs la confidentialit des donn es et des r sultats Mod lisation de la non r ponse au QAA pour chaque r gion sociosanitaire Contr le statistique de la divulgation des microdonn es de l Enqu te sociale et de sant 1998 Questionnaire de l tude d impact de la temp te de verglas de l hiver 1998 sur les donn es de l ESS98 Liste des indices de sant susceptibles d avoir t influenc s par la temp te de verglas de 1998 Introduction g n rale Mis en place en 1985 pour r aliser une premi re enqu te g n rale de sant aupr s de la population qu b coise Sant Qu bec organisme devenu depuis le 1 avril 1999 la Direction Sant Qu bec de l Institut de la statistiqu
325. rer les propri taires des sant offerts dans sa r gion QAA234 perception de sa situation ESS92 93 QAA190 conomique par rapport aux gens de son age QAA235 depuis combien de temps la ESS92 93 QAA191 personne se per oit dans cette situation QAA236 croyance que sa situation financi re ESS92 93 QAA192 va s am liorer QAA237 comparaison de sa situation ESS92 93 QAA193 financi re avec celle de ses parents ason age QAA238 satisfaction envers les services de Nouvelle question ajout e a la demande du groupe ayant propos les questions sur le recours aux services sociaux et de sant cette question n a pas encore fait l objet d une analyse 137 QAA239 num ro Qu bec d assurance maladie du ESS92 93 QAA206 Le paragraphe qui pr c de la question a t r vis en 1998 par le comit d thique de sorte qu il est plus explicite et encadrant quant l utilisation ventuelle de cette information 138 Section XVII Renseignements sociod mographiques QAA221 a QAA241 suite Question s ESS98 Sources QAA240 temps requis pour remplir le QAA QAA241 date Nouvelle question ajout e afin de pr ciser la dur e moyenne du QAA Nouvelle question ajout e afin de pr ciser la date ou le questionnaire a t rempli 139 Bibliographie ADRIEN A L LEAUNE et D AUGER 2000 Comportements sexuels et utilisation du condom dans E
326. res 1997 Offord et autres 1996 Au Qu bec cette question a t utilis e sur l le de Montr al en 1992 lors d une enqu te sur la sant mentale visant d terminer les besoins de services en sant mentale dans la population g n rale Lesage et autres 1994 Sources QAA141 a d ja pens s rieusement a se suicider au cours des 12 derniers mois QAA142 a pr vu un moyen pour le faire SQ87 QAA60 ESS92 93 QAA89 ESS92 93 QAA90 Le mot s rieusement a t ajout dans le libell de la question en 1998 Moyen s pr vu s QAA143a m dicaments QAA143b drogues ou alcool QAA143c se couper les veines QAA143d pendaison QAA143e gaz d chappement d un v hicule moteur ESS92 93 QAA91 Le libell de la question a t l g rement simplifi en 1998 de plus un nonc a t ajout la liste des moyens possibles drogues ou alcool 127 Section X Le suicide QAA141 a QAA145 suite Question s ESS98 Sources l urgence apr s cette tentative de suicide QAA143f saut ESS92 93 QAA91 A Le libell de la question a t l g rement simplifi GAAT arm e eu en 1998 de plus un nonc a t ajout la liste QAA144h v hicule moteur des moyens possibles drogues ou alcool QAA144i autre moyen pr ciser QAA144 a fait une tentative de suicide au SQ87 QAA62 ESS92 93 QAA93 cours des 12 derniers mois QAA145 a t c
327. rises en 1998 Elles semblent l occasion avoir t mal interpr t es et posent des probl mes de validit Bellerose et autres 1996 Section XIII La sant des femmes QAA184 QAA193 l exception de trois questions qui ont t modifi es quelque peu toutes les questions de cette section sont reprises des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 La premi re question QAA184 demande aux femmes de 15 ans et plus si elles sont enceintes Elle est utilis e comme crit re d exclusion dans la composition de l indice de masse corporelle et du d sir de maigrir Le d pistage du cancer du col ut rin est mesur par le moment du dernier pr l vement vaginal en vue d un test de Pap QAA185 Ensuite trois pratiques du cancer du sein sont consid r es le d lai depuis le dernier examen clinique des seins QAA186 la fr quence de lauto examen des seins QAA187 et le d lai depuis la 109 derni re mammographie QAA188 et QAA189 110 Une question renseigne sur la consommation d anovulants QAA190 Deux questions sur la consommation d hormones pour pr venir ou traiter les sympt mes li s la m nopause QAA191 et ou pour d autres raisons QAA192 remplacent unique question pos e ce sujet lors des deux enqu tes pr c dentes Une derni re question permet d identifier les femmes qui sont en transition m nopausique ou qui se disent d j m nopaus e QAA193 Cette question provient de l enqu te de 1987 mais
328. rofessions et des entreprises des sp cialistes ont t recrut s pour coder les m dicaments pharmacienne et les probl mes de sant archiviste m dicale La codification de ces questions requ raient l emploi de livres de codes sp cialis s la classification type des professions Statistique Canada 1981 la classification type des industries Statistique Canada 1980 la Base de donn es sur les produits pharmaceutiques Gouvernement du Canada site de la BDPP et la classification internationale des maladies 9 r vision traumatismes et causes de d c s OMS 1977 Les autres questions ouvertes ont d tre cod es sans qu on puisse faire appel des listes provenant de classifications reconnues Toutefois pour certaines de ces questions Sant Qu bec a tabli une liste de codes et les libell s correspondants qu on a int gr s au logiciel pour faciliter le travail de lintervieweur ex professionnels de la sant Si ces choix ne convenaient pas l intervieweur il pouvait en tout temps inscrire une r ponse dans la cat gorie autres de cette m me liste Dans ce cas et pour les autres questions ouvertes sans liste de codes pr tablie une fen tre s ouvrait l cran dans laquelle l intervieweur devait inscrire une r ponse en mots pr cis et concis Toutes les r ponses inscrites dans ces fen tres taient examin es la pi ce par le responsable de la codification de la firme de sondage Charles Maranda et
329. s alimentaires QAA8 a QAA11 Question s ESS98 Sources QAA9a repas achet s congel s au cours des 7 derniers jours QAA9b repas livr s la maison ou emporter chez soi au cours des 7 derniers jours QAA9c repas au restaurant a la caf t ria ou au casse cro te excluant les repas apport s de la maison au cours des 7 derniers jours Ces trois questions proviennent de la question QAA19 de EQN90 Toutefois en 1990 la p riode de r f rence portait sur 2 jours ce qui ne permet pas de comparaison directe avec les r sultats de 1998 QAA10 solitude au moment des repas mange avec son conjointe ou d autres personnes de 15 ans et plus QAA11 solitude au moment des repas mange avec des enfants de moins de 15 ans Ces deux questions s inspirent de la question QAA37 de lEQN90 Un indice bas sur des questions permet des comparer les r sultats de 1998 avec celles de 1990 cependant elles portent uniquement sur les r pondants de 18 a 74 ans tel qu on l a recueilli en 1990 Section IV Activit physique QAA12 QAA19 116 Question s ESS98 Sources QAA12 pratique de lactivit physique au ESS92 93 QAA136 cours des 3 derniers mois QAA13 intention de pratiquer r guli rement ESS92 93 QAA137 des activites physiques au cours de Cette question a t command e et pay e par la prochaine ann e Kino Qu bec programme du Secr tariat au l
330. s au tableau 18 3 Tableau 18 3 Seuil de signification observ du test correspondant au terme d interaction entre le type de questionnaire et la mesure de sant mentale selon la variable d pendante de sant consid r e Enqu te sociale et de sant 1998 Seuil de signification observ Variable d pendante de sant IDPESQ14 type de MMDP23 type de questionnaire questionnaire Sant per ue 0 0598 0 0087 Sant mentale per ue 0 3081 0 0234 Consultation pour un probl me de sant mentale 0 6960 0 1872 Pr sence d id ations suicidaires 0 8442 0 5634 Pr sence de tentatives de suicide 0 8404 0 8599 Usage de tranquillisants 0 5597 0 4433 Usage de stimulants 0 9288 0 3644 34 Le lecteur est invit consulter le rapport de l enqu te et la partie 2 du cahier pour des d tails sur ces variables 222 L examen des tests produits sugg re que les relations entre lIDPESQ14 et plusieurs variables de sant sont pr serv es m me lorsque l ordre d introduction des questions portant sur la sant mentale diff re ll semble cependant que l MMDP23 soit un peu plus sensible l ordre des questionnaires La relation entre cette mesure de sant mentale et la sant percue diff re significativement selon le type de questionnaire administr On note une tendance semblable pour la sant mentale per ue 18 2 Concordance des mesures de sant mentale 18 2 1 M thodologie Les deux mesures de sant mentale p
331. s autant des r pondants au QAA que des non r pondants au QAA Lors de l enqu te de 1992 1993 les m mes variables avaient servi constituer les classes de pond ration pour chaque r gion Avec la pr sente enqu te les classes de pond ration ont t form es l aide d une m thode de mod lisation par segmentation de la probabilit de r pondre Pour ce faire la macro TREEDISK de SAS utilisant l algorithme CHAID Chi Square Automatic Detection d tection automatique d interactions 182 du khi deux mis au point par Kass 1980 a t retenue pour la formation des classes de pond ration Un mod le a alors t construit pour chaque r gion les variables expliquant le mieux la propension r pondre pouvant tre diff rentes d une r gion a une autre On a retenu les variables ayant le plus d impact sur la reponse au QAA tout en tant corr l es avec les indices mesur s au QAA Chaque classe a t form e de fa on ce que le taux de r ponse pond r soit d au moins 50 et qu il y ait un minimum de 40 individus admissibles ceci dans le but d viter un trop grand talement des poids de m me que des taux de r ponse instables ce qui pourrait se traduire par une augmentation de la variance En outre une l g re transformation a t apport e aux poids P afin que la macro TREEDISK de SAS puisse tenir compte du nombre r el d individus admissibles Pour chaque r gion les poids ont t convertis
332. s effets de plan Pour les proportions quelques dispositions particuli res ont aussi t prises pour le choix de la m thode de construction d un intervalle de confiance Lorsque le nombre de r pondants tait suffisamment grand compte tenu de la valeur de la proportion estim e l intervalle de confiance tait construit en utilisant approximation normale de la loi de estimateur de la proportion l tude Pour certains ph nom nes peu fr quents cependant on a eu recours a une modification pour le plan de sondage complexe d une m thode reposant plut t sur une approximation binomiale Korn et Graubard 1998 16 4 Tests statistiques Dans Enqu te sociale et de sant 1998 le traitement des mesures cat goriques a d abord t fait l aide d un test du khi deux Dans le cas d un test significatif on pouvait au besoin proc der a un test de comparaison de proportions Dans tous les cas un ajustement au test usuel a t effectu pour tenir compte de la complexit du plan de sondage Pour le test du khi deux les hypoth ses sous jacentes la validit de ce test ne tiennent pas pour les donn es de la pr sente qui n ont pas t recueillies l aide d un chantillon al atoire simple On ne peut en effet supposer ici que les donn es sont ind pendamment et identiquement distribu es Deux approches ont servi la production d un test ajust La premi re r alis e avec SAS partir des donn es pond r es par
333. s et plus incapables de r pondre elles m mes 40 Une fois la section de s lection de l EQLA r pondue une question permettait d enregistrer le pr nom des membres du m nage qui auraient de la difficult r pondre une entrevue au t l phone Le questionnaire de suivi de l QLA pouvait aussi se faire au t l phone partir d une quipe d intervieweurs du central t l phonique de Montr al Enfin l cran pr sentait le portrait de la situation de la collecte dans ce m nage pr nom et ge des membres du m nage QAA remis refus s ou remplir et s il y avait lieu mode d entrevue recommand pour l EQLA face face ou t l phonique selon les caract ristiques des r pondants Le r pondant du m nage tait alors pri de remplir son QAA Pendant ce temps l intervieweur poursuivait le travail avec les autres personnes pr sentes dans le m nage sur lesquelles il avait recueilli de l information plus t t soit en aidant les personnes requ rant de l aide pour remplir leur QAA soit en posant les questions de s lection de l EQLA aux personnes de 15 ans et plus capables d y r pondre elles m mes Lorsque le choix se pr sentait l intervieweur voyait en premier les personnes dont la condition n cessitait une entrevue face face entrevues pour l EQLA qui n auraient pu tre men es au t l phone dans ce cas le r pondant n avait pas remplir son QAA avant de r pondre aux questions de s
334. s inspire des questions C2Q18 C2Q19 C2Q22 et C3Q29 de l Enqu te en quatre cycles sur le tabagisme au Canada 1994 de Sant Canada La question comporte trois l ments l exposition la fum e de tabac dans l environnement la maison dans le lieu d activit principale et dans tout autre lieu public Toutefois la sous question portant sur l exposition la FTE dans le lieu d activit principale n a pas t r pondue correctement ce qui en invalide les r sultats Pour cette raison seulement l exposition la FTE la maison et celle dans les lieux publics tels ar nas clubs restaurants magasins etc ont t consid r es dans le rapport de l ESS98 100 Section VI L alcool QAA33 a QAA43 Cette partie du questionnaire reprend des questions de 1992 1993 et de 1987 Une seule nouvelle question a t ajout e La premi re s rie de questions permet d identifier le tyoe de buveurs et la frequence de consommation a vie QAA33 et au cours des 12 derniers mois QAA34 et QAA36 Le type de buveurs QAA33 et QAA34 permet de classer les individus de 15 ans et plus en abstinents jamais bu anciens buveurs ou buveurs actuels La question QAA36 permet de d terminer si la frequence de consommation au cours des 12 derniers mois a t r guli re ou occasionnelle L ge auquel un ancien buveur a cess de boire est mesur par le QAA35 Ces quatre questions proviennent de 1987 et de 1992 1993 La deuxi me s rie de ques
335. s le sondage mentionn plus haut tandis que la deuxi me question faisait aussi partie de l enqu te aupr s de la client le Hagan et autres 1998 La question QAA197 permet d identifier les gens qui n ont pas pu parler l infirmi re la derni re fois qu ils ont tent de rejoindre le service Une derni re question a pour but de d crire les d marches que ces personnes ont d effectuer aupr s d une autre ressource pour obtenir l aide soit par t l phone ou en se d pla ant faute d avoir pu parler l infirmi re QAA198 Ces deux questions s inspirent de celles pos es lors de l enqu te aupr s de la client le mais plut t que de pr senter une situation hypoth tique Si Info Sant n avait pas exist diriez vous que elles se rapportent cette fois un v nement r el Section XV L audition QAA199 QAA202 Les questions de cette section portent sur l acouph ne Elles constituent un ajout par rapport aux enqu tes ant rieures Une premi re question porte sur la pr sence d acouph nes d finis comme des bruits dans les oreilles ou la t te bourdonnements tintements ou sifflements pendant des p riodes d au moins 5 minutes QAA199 Deux autres questions portent sur la fr quence de ces acouph nes QAA200 et sur le d rangement qu ils provoquent QAA201 Ces questions s inspirent des enqu tes rapport es par Davis 1983 1989 Coles 1984 et par Axelsson et Ringdahl 1989 Une derni
336. s par une spirale et identifi es de fa on alphab tique sont pr sent es au r pondant pour lui faciliter la t che en version recto fran ais et verso anglais Le questionnaire indique l intervieweur les moments o ces fiches sont requises Calendrier de r f rence Plusieurs questions du QRI demandent au r pondant de se r f rer a des p riodes de temps particuli res par exemple Au cours des 2 derni res semaines Dans ces cas on lui demande de tenir compte des deux semaines compl tes avant l entrevue soit du dimanche au samedi inclusivement Pour aider le r pondant a bien se situer dans le temps l intervieweur lui pr sente un calendrier qui couvre la p riode allant de septembre 1997 d cembre 1998 et lui pr cise les dates appropri es D autres exemples sont donn s au module 4 du manuel de l intervieweur voir Conventions Questionnaire autoadministr QAA Le Questionnaire sur les habitudes de vie et la sant est destin aux personnes de 15 ans et plus des foyers s lectionn s Il s agit d un instrument papier que la personne remplit seule en 35 40 minutes Le QAA compte 241 questions r parties entre les 17 sections suivantes Section Votre sant en g n ral Section II Le poids Section III Les habitudes alimentaires Section IV L activit physique Section V Le tabac Section VI L alcool Section VII Les drogues Section VIII Le travail Section I
337. s r centes transformations dans les services m dicaux A noter que les questions QRI112a a QRI112f et QRI115a a QRI115f s inspirent des questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 93 et de la question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s des peuples autochtones Toutefois les formulations diff rentes rendent toute comparaison impossible Section VII Chirurgies d un jour QRI105 a QRI117 suite Question s ESS98 Sources QRI112d quelqu un du CLSC QRI112e personne embauch e titre priv QRI112f quelqu un d autre QRI113 a d bours de largent pour ces services QRI114 a re u de l aide a domicile Si oui QRI114 qui a fourni cette aide QRI115a personne vivant dans le m nage QRI115a1 personne apparent e vivant de le m nage QRI115b personne apparent e ne vivant pas dans le m nage QRI115c ami e ou voisin e QRI115d quelqu un du CLSC QRI115e personne embauch e titre priv QRI115f quelqu un d autre QRI116 d bours de largent pour ces services QRI117 suffisance de cette aide Nouvelles questions ajout es afin de mieux documenter les r centes transformations dans les services m dicaux A noter que les questions QRI112a a QRI112f et QRI115a a QRI115f s inspirent des questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 93 et de la question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s des peuples autochtones Toutefois les formulations diff rentes rendent toute comparaison impos
338. s repas pr par s l ext rieur du foyer en quatre cat gories Il est noter que la p riode de r f rence de 7 jours utilis e en 1998 ne permet pas de comparaison directe avec les donn es de 1990 Deux questions traitent la solitude au moment du repas la premi re demande si la personne mange habituellement avec le la conjoint e ou avec d autres personnes de 15 ans et plus QAA10 et la deuxi me si la personne mange habituellement avec des enfants de moins de 15 ans QAA11 Ces questions proviennent aussi de l EQN90 Un indice bas sur ces deux questions a permis de classifier les individus selon qu ils prennent habituellement leurs repas domicile seul ou avec d autres Section IV Activit physique QAA12 QAA19 Le th me de l activit physique a t examin a l aide de huit questions Elles portent sur la fr quence de la pratique de l activit physique de loisir au cours des 3 derniers mois QAA12 sur certains d terminants de la participation aux activit s physiques soit l intention de pratiquer r guli rement QAA13 l attitude face la pratique r guli re QAA14 et la perception du contr le de la pratique r guli re QAA15 sur les stades 98 d adoption du comportement QAA16 ainsi que sur la popularit des activit s au cours des 12 derniers mois 99 QAA17 et QAA18 Une derni re question aborde l activit physique au travail QAA19 Il est noter que les questions QAA13 QAA
339. s statistiques de l enqu te 33 enqu te compl mentaire sont mentionn es pour mieux rendre compte du travail effectu par les intervieweurs lors de la collecte dans les m nages Toutefois il faudra consulter le cahier technique et m thodologique propre l EQLA pour plus de d tails Camirand et autres para tre Succinctement le d roulement logistique de la collecte proprement dite implique les tapes suivantes dont certaines s effectuent parall lement la r alisation d un pr test le recrutement et l embauche des coordonnatrices de terrain et des intervieweurs la formation des coordonnatrices et des intervieweurs l num ration des logements de l UPE n cessaire pour la s lection al atoire des logements la tenue d une campagne d information pour le lancement la collecte des donn es comme telle rencontre entre un intervieweur et un r pondant principal du m nage pour effectuer l entrevue sur le m nage le QRI remise aux personnes de 15 ans et plus des QAA et leur r cup ration et administration du questionnaire de s lection de l E QLA suivi le cas ch ant du questionnaire g n ral de l EQLA la v rification et le contr le de la qualit des donn es la codification la saisie informatique et la constitution des fichiers Il est noter que l informatisation du QRI a r duit le temps n cessaire pour la codification et la saisie informatique Les op rations de la col
340. scents du Qu bec volet sociosanitaire r alis e en 1999 aupr s de 3 665 jeunes de 9 ans 13 ans et 16 ans dans 182 coles L Enqu te sociale et de sant aupr s des enfants et des adolescents du Qu bec volet nutrition r alis e en 1999 aupr s de 1 938 jeunes de 6 16 ans dans 182 coles L Enqu te aupr s de la client le des ressources pour personnes itin rantes des r gions de Montr al et de Qu bec r alis e en 1999 aupr s de 757 personnes L Enqu te sur la violence familiale dans la vie des enfants du Qu bec r alis e en 1999 aupr s de 2 469 m res ou femmes responsables d au moins un enfant g entre 0 et 17 ans Pour mener bien ces projets Sant Qu bec puis l actuelle Direction Sant Qu bec travaillent de concert avec la Direction de la m thodologie et des enqu tes sp ciales et b n ficient de la pr cieuse collaboration du r seau de la sant et des services sociaux du Qu bec des universit s et de divers groupes de recherche qui participent r guli rement l une ou l autre phase des enqu tes Ce mode de fonctionnement permet de compter sur une expertise riche et vari e Le rapport de I Enqu te sociale et de sant 1998 a t publi en novembre 2000 Daveluy et autres 2000 des monographies portant sur des sujets ou des aspects particuliers de l enqu te seront galement publi es La banque de donn es et les documents aff rents sont disponibles a la DSQ e
341. scription des personnes assur es Cette liste utilis e comme base lors de l Enqu te qu b coise sur la sant cardiovasculaire 1990 a occasionn des difficult s lors de la collecte mauvaises adresses et a impliqu des taux de r ponse plus faibles que ceux attendus avec une autre base De plus il n existe pas d identification du m nage dans cette base qui soit conforme la d finition utilis e pour la pr sente enqu te L abandon du m nage comme unit d enqu te aurait rendu l enqu te de 1998 difficilement comparable avec 151 celles de 1987 et de 1992 1993 tant donn l envergure de l enqu te de 1998 et l importance de l objectif de comparabilit l utilisation du fichier de la RAMQ comme base de sondage a t abandonn e Par ailleurs il n a pas t possible d examiner la liste permanente des lecteurs g r e par le Directeur g n ral des lections Une base de sondage ar olaire permet par ailleurs une concentration de l chantillon des m nages Et m me si cette concentration diminue la pr cision des estimations elle facilite la collecte autant du point de vue financier qu organisationnel Sans la concentration de l chantillon les co ts des d placements tout particuli rement ceux qu on doit faire pour obtenir des taux de r ponse acceptables seraient exorbitants Au premier degr les unit s de la base ar olaire s appellent unit s primaires d chantillonnage UPE La liste compl te des U
342. sert tablir la liste des membres du m nage qui r sident dans le foyer et pr ciser leurs caract ristiques d ge de sexe et de lien de parent Dans les cas o aucun contact ne peut tre tabli avec le m nage seule l information sur les renseignements administratifs est enregistr e 4 la suite d un appel d offres lanc par Sant Qu bec 150 ordinateurs pentium portables de marque IBM ont t achet s pour couvrir les besoins de la collecte 5 L ordinateur comportait les questionnaires g r s en face face domicile soit le QRI ainsi que les questionnaires de s lection et de suivi de l EQLA 6 Le Manuel l intention des intervieweurs de l Enqu te g n rale de 1998 comprend au module 4 tous les d tails sur le contenu et l administration du QRI 29 Le questionnaire comprend 16 sections dont les th mes sont les suivants Section Section Il Section Ill Section IV Section V Section VI Section VII Section VIII Section IX Section X Section XI Section XII Section XIII Section XIV Section XV Section XVI Incapacit au cours des deux derni res semaines Limitation des activit s Recours aux services de sant ou aux services sociaux Consommation de m dicaments Accidents avec blessures Probl mes de sant Chirurgies d un jour Hospitalisations Questions sur les probl mes de sant d clar s Sympt mes respiratoires Vision et audition Couverture des frais de sant par un r
343. sfaction de la personne quant l implication de l autre parent aupr s de leur s enfant s QAA109 2 parce qu elle avait provoqu un taux de non r ponse partielle tr s lev e et ce particuli rement chez les hommes Bellerose et autres 1996 Par ailleurs la s rie de questions sur les v nements stressants r cents de lESS92 93 QAA120 QAA135 de la section VIII Les changements importants dans la vie a aussi t abandonn e ces questions ayant t rejet es l analyse a cause des inconsistances observ es dans les r sultats et des probl mes de validit pouvant tre li s la construction d un indice Bellerose et autres 1996 Section XII La famille QAA171 QAA183 Contrairement aux enqu tes pr c dentes les questions sur la famille QAA171 QAA183 ont t regroup es dans une seule et m me section du QAA Des questions ayant t modifi es d autres tant nouvelles la comparaison avec les r sultats des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 se limite certaines comparaisons 14 Contrairement aux autres questions du QAA pos es aux 15 ans et plus l ge de r f rence pour r pondre ces questions a t report 18 ans pour viter d tre tenus de signaler des cas d abus ou de n gligence dans le cadre de la Loi sur la protection de la jeunesse 15 Rappelons par ailleurs que les r sultats de l ESS92 98 sur le sujet avaient fait l objet du chapitre Sant et famille
344. si identifier les autres troubles digestifs QRI90 en demandant quel est le probl me QRI90a Enfin trois questions portant sur les maladies de l il cataractes QRI100 maladies de la r tine QRI101 et glaucome QRI102 ont t ajout es Une derni re question QRI104 ajout e en 1998 permet d estimer l existence de p riodes de maladie de sympt mes ou de probl mes de sant que lun ou l autre des membres du m nage aurait v cu au cours des 4 derniers mois ayant pr c d l enqu te et dont il n aurait pas encore t question dans l entrevue L objet de cette nouvelle question est d identifier des probl mes de sant aigus que la grille de questions ax e davantage sur les probl mes de longue dur e aurait chapp Propos e par le groupe charg des questions sur le recours aux services des professionnels de la sant et des services sociaux cette question n a pas encore fait l objet d une analyse Section VII Chirurgies d un jour QRI105 QRI117 La pr sente section aborde trois aspects de l utilisation des services le recours la chirurgie d un jour le recours aux services domicile la suite de la chirurgie d un jour et la perception des personnes utilisatrices de ces services Le recours la chirurgie d un jour est abord pour la premi re fois dans les enqu tes de Sant Qu bec ceci pour mieux documenter les r centes transformations dans les services m dicaux Dans 72
345. sible Section VIII Hospitalisations QRI118 QRI132 Question s ESS98 Sources QRI118 hospitalisation au cours des 12 derniers mois QRI119 nombre de fois Nouvelles questions qui s inspirent de la question SQ 1G de l enqu te SQ87 toutefois la formulation diff rente rend toute comparaison impossible QRI120 principal probl me l origine de la derni re hospitalisation QRI121 nombre de nuits pass es l h pital QRI122 raison principale de cette hospitalisation QRI123 d lai d attente Nouvelles questions ajout es afin de mieux documenter les transformations dans les services m dicaux A noter que les questions QRI127a a QRI127f et QRI130a a QRI130f s inspirent des questions QRI21 et QRI22 de l ESS92 93 et de la question Q32b formule 06 de l Enqu te aupr s des peuples autochtones Toutefois les formulations diff rentes rendent toute comparaison impossible 93 Section VIII Hospitalisations QRI118 QRI132 suite Question s ESS98 Sources QRI124 acceptabilit du temps d attente Nouvelles questions ajout es afin de mieux documenter les transformations dans les services QRI125 suffisance du temps pass l h pital m dicaux A noter que les questions QRI127a a QRI126 d domicil QRI127f et QRI130a a QRI130f s inspirent des a recu ces traitem
346. sinistr ou non et la vague de collecte dans un mod le visant expliquer une mesure de sant Aucun de ces tests n a permis de d tecter une interaction significative ce qui veut dire que l cart entre les sinistr s et les non sinistr s ne varie pas d une vague l autre Apr s avoir enlev l interaction avec la vague de collecte et mod lis par une r gression logistique les indices de sant en tenant compte des variables sociod mographiques on teste si le param tre de l indice PANNE est significatif Le tableau 17 2 pr sente les seuils observ s de ce test On remarque que pour les indices QRI34 AUTPROF SSOCS PERCEPT et FRAPLG1 on ne d tecte aucune diff rence significative entre les personnes sinistr es et non sinistr es lorsque les variables sociod mographiques sont consid r es dans le mod le Tableau 17 2 Seuils de signification observ s pour les neuf variables d analyse lorsqu on tient compte des variables sociod mographiques vague en 4 cat gories Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 Indi Seuil du test sur le param tre de PANNE dans le mod le ndices H sans interaction QRI34 0 23 CONSPROF 0 043 AUTPROF 0 40 NBRE_PS 3 cat gories 0 002 SSOCS 0 21 IDPESQ14 0 041 PERCEPT 0 25 FRAPLG1 0 90 ALCOOL98 2 cat gories 0 007 Des analyses suppl mentaires ont t faites sur les quatre indices de sant CONSPROF NBRE PS IDPES
347. sont les m mes qu en 1992 1993 et en 1987 Une question filtre QAA44 permet d abord de savoir si le r pondant a consomm ou non de la drogue sans prescription ou sans ordonnance au cours de sa vie cette question est identique celle utilis e en 1992 1993 Ensuite une question portant sur la consommation de drogues prises sans prescription ou sans ordonnance au cours des 12 derniers mois est pos e pour chacun des produits suivants marijuana hachisch pot gras QAA45a amph tamines stimulants speed ou ecstasy QAA45b coca ne crack ou free base QAA45c h roine smack ou morphine QAA45d et LSD acide ou mescaline QAA45e Ces questions s inspirent largement des questions de 1987 et de 1992 1993 En 1992 1993 la question principale utilis e en 1987 a t revue pour que le format corresponde au mod le de Enqu te nationale sur l alcool et les autres drogues de Sant et Bien tre social Canada 1990 et de Statistique Canada 1988 D autres modifications ont t apport es aux questions QAA45a a QAA45e en 1998 pour simplifier le format ce qui emp che une comparaison directe avec les r sultats des deux enqu tes ant rieures Deux derni res questions portent sur la consommation de tranquillisants ou de somnif res pris sans prescription ou sans ordonnance QAA46 et sur la consommation d autre s drogue s ou d autre s m dicament s galement pris sans prescription ou sans ordonnance QAA47 La
348. sur la non r ponse cette question De plus 70 des non r pondants sont des personnes qui ne travaillent pas comparativement 39 chez les r pondants Les non r pondants sont caract ris s aussi par un ge plus lev et une scolarit plus faible En effet 78 de ceux ci sont g s de 45 ans et plus comparativement 38 des r pondants Concernant la scolarit 73 des non r pondants n ont pas termin leur niveau secondaire comparativement 37 des r pondants 192 Section VI L alcool QAA35 La question QAA35 sur l ge auquel un ancien buveur a cess de boire pr sente un taux de non r ponse de 13 avec un nombre de r pondants potentiels de 870 Notons que 70 des non r pondants a la question sont des femmes comparativement a 41 des r pondants Donc les femmes ont moins r pondu a la question Q35 que les hommes Section VIII Le travail QAA91 QAA92 QAA93 QAA94 QAA95 et QAAY7 Les questions QAA91 QAA92 QAA93 QAA94 QAA95 et QAA97 pr sentent des taux de non r ponse sup rieurs a 10 voir tableau sur les taux de non r ponse Pour l ensemble de ces questions de 43 48 des non r pondants sont g s de 45 ans et plus comparativement environ 29 chez les r pondants La scolarit a galement un effet sur la non r ponse ces questions sauf pour la question QAA97 Ainsi 42 43 des non r pondants poss dent un faible niveau d ducation incluant les personnes avec seu
349. t s assurer que les entrevues s taient d roul es selon le protocole QRI bel et bien rempli avec le r pondant du m nage QAA remis a chaque personne de 15 ans et plus prime de participation remise Si la v rification r v lait des anomalies la firme v rifiait d autres entrevues de l intervieweur ces QRI choisis de fa on al atoire se sont ajout s lors des entrevues de v rification d autres QRI qui pr sentaient des probl mes de codification Les r ponses donn es lors de l entrevue dans le m nage et celles donn es lors de l entrevue t l phonique de contr le taient essentiellement les m mes les carts s expliquaient en g n ral par un changement de situation depuis lentrevue au domicile un oubli du r pondant ou encore une erreur d inscription de la part de l intervieweur Pour am liorer le travail des intervieweurs le relev de leurs propres erreurs leur tait achemin r guli rement ainsi que celui des erreurs les plus fr quentes de leurs coll gues Rappelons que les QAA n ont fait l objet d aucune v rification aupr s des r pondants l information contenue dans ces questionnaires tant confidentielle 6 2 Codification et saisie des donn es Puisque l informatisation du QRI n offrait que des codes valides chaque question seules les questions ouvertes n cessitaient d tre cod es En plus des codeurs de l quipe r guli re de la firme auxquels on avait confi la codification des p
350. t la plupart des tapes de l enqu te Provenant d organismes qui manifestent un int r t particulier pour l enqu te sociale et de sant les membres de ce comit ont t invit s titre personnel pour leur comp tence reconnue en planification en recherche ou en intervention Ils taient donc en bonne position pour d finir un contenu qui r pondrait aux besoins des milieux de la sant et des services sociaux Ces personnes ont conseill Sant Qu bec sur le choix des th mes l approche retenir pour la collecte la pertinence des questions l analyse des donn es et les publications L exercice du mandat du comit d orientation s est concr tis par les t ches suivantes Pr paration de l enqu te en tablir le mod le conceptuel identifier et documenter les th mes retenus tudier les questions propos es composer les questionnaires Encadrement de l analyse des donn es et de la r daction des r sultats d finir le cadre g n ral de l analyse d terminer les grandes lignes des plans d analyse tudier et approuver les plans d analyse de chaque groupe r viser les textes des groupes d analyse 4 2 Comit scientifique la suite de l valuation de Sant Qu bec par un comit d experts internationaux qui en avait fait la recommandation un comit scientifique avait t cr en 1995 L exercice du mandat du comit scientifique pour l ESS98 s est concr tis par les t ches suivantes r al
351. t de ces cinq USE 2 5 fois la moyenne de leur strate h respective Ainsi on obtient le poids ajust Py du logement k de USE j de PUPE i de la strate principale h comme suit 2 2 PK 9 Mn Po k T min 9P Xk Spies gt Ih gt ou T est un facteur d ajustement qui tient compte que des USE d une strate principale h ont un poids born c est dire PK T j h k j l FIPE 9 Py 9 O mineP QE 25 7 ET 3 nekj Ih 9 et I h nombre de logements chantillonn s dans la strate principale h Avec Po ainsi d fini on s assure que la somme des poids apr s ajustement des poids extr mes soit gale la somme des poids avant ajustement 176 Les cinq USE dont le poids initial a t born ont vu Po r duit entre 0 4 et 35 8 14 2 Poids associ s la r partition de la non r ponse au QRI Comme dans toutes les enqu tes les unit s chantillonn es n ont pas toutes r pondu au questionnaire L objectif de la pond ration pour la non r ponse est d en minimiser l effet qui souvent engendre des biais les unit s non r pondantes pouvant tre diff rentes des unit s r pondantes Le facteur de pond ration utilis pour tenter de diminuer l effet des distorsions est l inverse du taux de r ponse De fa on g n rale le taux de r ponse est d fini comme le rapport entre le nombre d unit s r pondantes et le nombre d unit s admissibles l enqu te De plus com
352. t s pour tenir compte de l inflation quoique faible observ e depuis 1992 1993 D autre part la r partition de la non r ponse refus et r ponses manquant de pr cision diff re entre les deux enqu tes Les questions sur le service t l phonique QRI173a QRI173e ont t pos es pour les besoins particuliers de l tude parall le tude r alis e en m me temps que l Enqu te sociale et de sant 1998 pour valuer un mode de collecte alternatif au face face Lapointe et autres para tre tude r alis e en 1998 aupr s de 5 000 m nages ind pendants de l chantillon de l ESS98 et dans lequel le QRI se fait au t l phone Lors de l ESS92 93 des questions sur le nombre d ann es d tudes termin es taient pos es au r pondant principal pour chacun des membres du m nage QRI156 QRI158 de 1992 1993 Ces questions ayant occasionn des probl mes de validit lorsque les r sultats ont t compar s ceux de la question sur la scolarit dans le QAA l ESS98 ne les a pas reprises Les questions sur la principale source de revenu du m nage et sa dur e QRI159 et QRI160 de 1992 1993 n ont pas t reprises non plus en 1998 la demande du groupe ayant propos les questions sur les caract ristiques sociod mographiques car les informations n ont pas t utilis es en 1992 1993 Section XV Environnement physique air int rieur QRI174 QRI196 Une s rie de questions sur l environnement physique du d
353. t 286 2 Saguenay Lac Saint Jean 312 3 Qu bec 829 4 Mauricie Centre du Qu bec 603 5 Estrie 373 6 Montr al Centre 2 799 7 Outaouais 376 8 Abitibi T miscamingue 200 9 C te Nord 112 10 Nord du Qu bec 24 11 Gasp sie les de la Madeleine 138 12 Chaudi re Appalaches 479 13 Laval 358 14 Lanaudi re 410 15 Laurentides 479 16 Mont r gie 1 391 Total 9 169 Formation des unit s secondaires d chantillonnage Lors de l enqu te pr c dente la notion d ilot un regroupement de c t s d ilots situ s dans un p t de maison a t largement utilis e dans la formation des UPE En effet pr s des deux tiers des UPE situ es dans une RMR impliquait cette notion Malheureusement le fichier des c t s d ilots du recensement de 1991 ne permet plus d identifier quel lot appartiennent les c t s d ilots contrairement celui du recensement de 1986 Quelques possibilit s s offraient nous La premi re option sugg rait d utiliser le secteur de d nombrement ou un regroupement de SD comme UPE m me dans les r gions m tropolitaines de recensement Toutefois les co ts et le temps consacr s l num ration augmentaient substantiellement Une seconde option envisageait de constituer les lots en appariant le fichier des c t s d ilots du recensement de 1991 avec celui du recensement de 1986 Toutefois cette option engendrait beaucoup de travail manuel car l appariement ne se faisait pas ais ment En o
354. t au Centre d acc s aux donn es de recherche de lISQ CADRISQ de m me que les instruments de collecte et les manuels de formation des intervieweurs Quant au pr sent cahier technique et m thodologique il constitue en quelque sorte la m moire de l enqu te tout autant qu un expos des moyens retenus pour faire de l ESS98 un produit de qualit Il est pr sent en deux volumes Le premier volume est compos de trois parties la premi re d crit la pr paration le d roulement et le processus de gestion de enqu te sous l angle op rationnel la deuxi me pr cise la source et la justification des questions retenues alors que la troisi me expose les dimensions statistiques propres l enqu te Le second volume porte sur la d finition des principaux indices et regroupements Audet et Lemieux 2001 1 Ant rieurement la cr ation de l ISQ cette direction faisait partie du Bureau de la statistique du Qu bec 14 PARTIE Dimensions relatives au contenu et a la gestion de l enqu te CaROLE DAVELUY AVEC LA COLLABORATION DE NATHALIE AUDET ET LUCILLE PICA DIRECTION SANTE QUEBEC Introduction Ce premier chapitre fournit de l information sur la nature et les objectifs de I Enqu te sociale et de sant 1998 On y trouve aussi des renseignements sur le d roulement de l enqu te et sur le r le des principaux partenaires impliqu s dans le projet Chacune des tapes de la r alisation y est d crite
355. t ce en contr lant l ge et le sexe Le groupe 2 compte en effet en proportion plus de personnes d clarant une mauvaise sant mentale per ue ayant eu des id ations suicidaires faisant usage de stimulants et d clarant des troubles mentaux que le groupe 3 18 3 Conclusion Les v rifications effectu es quant l impact ventuel de l ordre d introduction des questions dans le questionnaire autoadministr montrent une certaine sensibilit de l chelle de mesure des manifestations de d tresse psychologique MMDP23 En effet la proportion de personnes appartenant la cat gorie lev e de cette mesure est significativement diff rente d un type de questionnaire l autre Par ailleurs certaines relations entre l chelle de sant mentale et d autres indicateurs de sant changent lorsque les questions ne sont pas pos es dans le m me ordre Il semble aussi que les diff rences trouv es entre les deux types de questionnaire ne s expliquent pas par la non r ponse partielle En effet les taux de non r ponse partielle pour l MMDP23 de m me que la proportion de gens ne fournissant aucune r ponse aux 23 questions composant l chelle ne sont pas significativement diff rents d un type de questionnaire l autre L impact de l ordre des questions sur l indice de d tresse psychologique IDPESQ14 n est manifeste qu au niveau de la proportion de personnes ne fournissant aucune r ponse aux questions de l indice
356. t et autres 1995 Section XI Vision et audition QRI137 QRI140 Question s ESS98 QRI137 la personne voit assez bien les caract res ordinaires du journal sans lunettes ou verres de contacts Sources Cette question s inspire de la question QAA75c de l enqu te de 1987 QRI138 la personne voit assez bien pour reconna tre un e ami e de l autre c t de la rue sans lunettes ou sans verres de contacts Cette question s inspire de la question QAA75d de l enqu te de 1987 QRI139a la personne est capable d entendre et de comprendre ce qu une personne lui dit dans une pi ce silencieuse Si la personne lui parle a voix lev e Traduction libre d une question utilis e dans de vastes enqu tes en Grande Bretagne Davis 1983 et 1989 et en Australie Wilson et autres 1992 pour sa difficult entendre 96 QRI139b Si la personne lui parle voix normale QRI139c Si la personne lui parle voix basse QRI140 a consult un professionnel de la sant Nouvelle question ajout e afin de confirmer le probl me d audition Section XII Couverture des frais de sant QRI152 Question s ESS98 par un r gime d assurance priv QRI141 a Sources QRI141 couverture par une assurance priv e qui d fraie au moins en partie les d penses non assur es par l assurance maladie du Qu bec QRI88 ESS92 93 QRI142_ police d assurance individuelle ou familia
357. t un mode de collecte adapt leur situation Les r serves indiennes ne sont pas non plus retenues dans la population vis e cause des difficult s potentielles d acc s ces territoires En effet chaque chef de bande a le droit d autoriser ou non la pr sence d intervieweurs sur son territoire Il n tait pas possible d avoir seulement une partie de ces r serves dans l enqu te En outre dans ces territoires certains soins de premi re ligne sont sous la responsabilit du gouvernement f d ral De plus les enqu tes de 1987 et de 1992 1993 avaient d galement les exclure Ainsi selon le recensement canadien de 1991 les individus vivant dans un m nage priv situ dans une r serve indienne ou dans les r gions crie et inuite repr sentaient environ 0 4 de la population du Qu bec Par ailleurs la r gion sociosanitaire Nord du Qu bec constitue maintenant une r gion distincte dans la pr sente enqu te Ainsi les municipalit s de Chibougamau et de Chapais ne font plus partie de la r gion Saguenay Lac St Jean comme c tait le cas lors de l enqu te de 1992 1993 Il en est de m me pour les villes de Matagami et de Lebel sur Qu villon qui avaient t annex es la r gion de l Abitibi T miscamingue D sormais ces quatre localit s laquelle s ajoute la municipalit de la Baie James forment la r gion du Nord du Qu bec Au moment du choix d finitif de la population vis e la r gion Mauricie Centre d
358. te un rendez vous tait pris dans les 3 ou 5 jours suivants pour le recueillir Exceptionnellement ces QAA pouvaient tre retourn s par la poste au bureau du Groupe L ger et L ger inc En r sum on proc dait selon l ordre suivant Avec le r pondant du m nage 1 QRI 2 Questions de s lection pour PEQLA 3 QAA 4 Au besoin questionnaire de suivi de l EQLA peu importe que le r pondant du m nage 41 r ponde pour lui m me pour les enfants ou pour les personnes incapables de r pondre elles m mes Avec les autres personnes de 15 ans et plus pr sentes lors de l entrevue pour le QRI et capables r pondre pour elles m mes 1 QAA 2 Questions de s lection pour l EQLA 3 Au besoin questionnaire de suivi de l EQLA ou 1 Questions de s lection pour l EQLA 2 QAA 3 Au besoin questionnaire de suivi de l EQLA Avec les autres personnes de 15 ans et plus absentes du m nage lors de l entrevue pour le QRI et capables de r pondre pour elles m mes l EQLA A moins que leur condition n exige une entrevue en face face le volet EQLA s lection et suivi pouvait aussi tre r alis au central t l phonique 1 2 Ou 2 3 QAA Questions de s lection pour l EQLA Au besoin questionnaire de suivi de l EQLA Questions de s lection pour l EQLA QAA Au besoin questionnaire de suivi de l EQLA Le r le de l intervieweur de terrain se terminait une fois qu il avait r alis
359. te comme celle ci se r alise en six tapes sur un cycle de cinq ans chaque tape comportant des activit s qui se d roulent concurremment certains moments En bref ces tapes sont les suivantes 20 Conception et pr paration de l enqu te Comit d orientation comit scientifique mod le conceptuel m thodes d enqu te plan de sondage choix des th mes et des questions laboration des instruments Collecte et traitement des donn es Pr test recrutement des coordonnateures et intervieweurs formation num ration plan de communication r alisation des entrevues v rification et contr le de la qualit codification et saisie des donn es constitution des fichiers validation Analyse des donn es et production des r sultats Elaboration des plans d analyse formation pour les membres des groupes d analyse tude de la non r ponse pond ration application de proc dures statistiques production des tableaux analyse des donn es et interpr tation des r sultats Publication et diffusion des r sultats Faits saillants sous forme de bulletin rapport g n ral cahier technique et m thodologique de l enqu te banque de donn es livre des codes et guide de l usager monographies Promotion de l utilisation des donn es Colloques conf rences soutien m thodologique pour les chercheurs programme de subvention r ponse aux demandes de statistiques non disponibles dans le rapport L
360. tement de certaines questions 15 1 1 Cas probl matiques Le tableau 15 1 pr sente les questions qui ayant un taux de non r ponse sup rieur 10 sont retenues afin d tre analys es plus en profondeur Les lettres entre parenth ses r f rent aux nonc s d une question Par exemple QAA29 a c signifie qu on parle des questions QAA29a QAA29b et QAA29c 189 Tableau 15 1 Questions du QAA ayant un taux de non r ponse sup rieur 10 Enqu te sociale et de sant 1998 Questions eee ss Taux de non r ponse partielle QAA6 b d 7 286 20 3 22 1 QAA6f 7 286 37 5 QAA17 b v 15 313 10 7 a 13 1 QAA18 a u 15 313 10 5 12 1 QAA29 a c 15 313 10 4 13 6 QAA35 870 13 1 QAA91 7 046 11 3 QAA92 7 046 11 6 QAA93 7 046 11 6 QAA94 7 046 11 6 QAA95 a h 7 046 12 1 12 8 QAA97 a k 3 641 10 8 18 4 QAA143 a i 388 17 3 27 6 QAA198 246 10 6 QAA211 1 180 10 3 QAA214 1 180 10 8 Quelques autres questions doivent aussi tre mentionn es bien que le taux de non r ponse qui leur est associ n atteigne pas le seuil de 10 Il s agit des nonc s de la question QAA6 manquants au tableau soit les questions QAA6a et QAA6e dont les taux de non r ponse sont respectivement de 9 5 et 8 7 Pour sa part la question QAA17a poss de un taux de 6 5 On peut distinguer ici deux types de non r ponse partielle les sch mas de r ponse et les autres types de non r ponse parti
361. tence d un lien important entre la sant et le revenu est maintenant bien tabli L utilisation de l indice est privil gi e car on souhaite davantage obtenir une id e de la situation financi re du m nage que son revenu global La description des cat gories de l indice est pr sent e au tableau 15 7 Tableau 15 7 Description des cat gories de l indice de suffisance du revenu Enqu te sociale et de sant 1998 Tr s pauvre lt 10 000 ou sans revenu pour 1 4 personnes lt 15 000 ou sans revenu pour 5 personnes ou plus Pauvre 10 000 14 999 pour 1 ou 2 personnes 10 000 19 999 pour 3 ou 4 personnes 15 000 29 999 pour 5 personnes ou plus Moyen inf rieur 15 000 29 999 pour 1 ou 2 personnes 20 000 39 999 pour 3 ou 4 personnes 30 000 59 999 pour 5 personnes ou plus Moyen sup rieur 30 000 59 999 pour 1 ou 2 personnes 40 000 79 999 pour 3 ou 4 personnes 60 000 79 999 pour 5 personnes ou plus Sup rieur 60 000 ou plus pour 1 ou 2 personnes 80 000 ou plus pour 3 personnes ou plus 195 Cependant l indice de suffisance du revenu SUFREV ne peut tre calcul pour tous les m nages En effet certaines cat gories de r ponse du revenu du m nage sont impr cises et un bon nombre de valeurs sont tout simplement manquantes Notons que pour quelques cat gories de m nages il est possible d attribuer une valeur de SUFREV m me si seulement un revenu impr cis est disponible
362. tes 2 But et objectifs de l Enqu te sociale et de sant 1998 L Enqu te sociale et de sant 1998 a pour but de recueillir des renseignements pertinents sur la sant et le bien tre de la population qu b coise afin de permettre au MSSS aux r gies et leurs directions de sant publique aux autres composantes du r seau de la sant et des services sociaux ainsi qu d autres utilisateurs de mieux identifier les besoins et les secteurs prioritaires d intervention de mieux planifier 18 l allocation des ressources humaines financi res et physiques et de mieux valuer les programmes 19 L ESS98 poursuit les objectifs g n raux suivants fournir des renseignements utiles l valuation et au suivi de la Politique de la sant et du bien tre PSBE et des Priorit s nationales de sant publique 1997 2002 PNSP fournir aux d cideurs et aux chercheurs du minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS du r seau et d autres milieux une source d information sur la population qu b coise en ce qui concerne les habitudes de vie la sant physique et mentale les milieux et conditions de vie ainsi que la consommation de services suivre les tendances des indicateurs pr sents dans les enqu tes ant rieures analyser les variations des observations en fonction des caract ristiques d mographiques et socio conomiques assurer la repr sentativit des donn es r gionales et permet
363. tes nous le plus haut niveau de scolarit QAA234 Comment percevez vous votre situation conomique L indice est ensuite simplement construit en calculant la proportion de r pondants au QAA qui ont fourni des r ponses ces quinze questions l indice vaut alors 0 qui ont r pondu quatorze de ces questions l indice vaut alors 1 et ainsi de suite La proportion de r pondants pour lesquels l indice prend la valeur O est particuli rement int ressante Il est cependant noter que la valeur maximale qu elle peut atteindre correspond au taux de r ponse de la question la moins bien r pondue 95 1 La r partition des r pondants apr s trois vagues de collecte selon l indice de synth se est pr sent e au tableau 15 6 Tableau 15 6 R partition des r pondants selon l indice de synth se de la non r ponse partielle au QAA apr s trois vagues Enqu te sociale et de sant 1998 Nombre de questions s lectionn es Nombre de personnes de Pourcentage non r pondues l chantillon 0 12 087 78 9 1 2 052 13 4 2 532 3 5 3 232 1 5 4 132 0 9 5 86 0 5 6 72 0 5 7 53 0 3 8 44 0 3 9 11 0 1 10 10 0 1 11 2 0 0 Total 15 313 100 0 194 Parmi les 15 313 r pondants au QAA 78 9 ont r pondu l ensemble des 15 questions on peut donc conclure que le QAA a t bien r pondu en g n ral Cependant une analyse d taill e r v le que les 21 1 de gens pour lesquels au moins une r ponse est manq
364. tion Les plans d analyse ont t tudi s par l quipe de Sant Qu bec Le Bureau de la statistique et les membres du comit d orientation de l enqu te ont aussi t mis contribution pour assurer une coh sion a l ensemble Les responsables des diff rents groupes d analyse et l quipe de coordination de Sant Qu bec communiquaient r guli rement afin de pr ciser les demandes la mi enqu te donc avec la moiti de l chantillon des r pondants des tableaux pr liminaires ont t produits par Sant Qu bec partir des croisements demand s par les groupes ce qui a permis ces derniers de raffiner leur plan d analyse de le pr ciser d ajouter ou d enlever des tableaux pour la demande finale 7 2 Formation l analyse Pour assurer la qualit et uniformit de l analyse ainsi que des changes dynamiques trois sessions de formation ont t offertes en collaboration avec l quipe de la Direction de la m thodologie La premi re s adressait aux responsables des groupes d analyse Les deuxi me et troisi me sessions ont t suivies par l ensemble des membres La session avec les responsables s est tenue le 6 mai 1998 sous la forme d un atelier de travail pr paratoire l analyse des donn es de mi enqu te Elle a port sur la pr paration des plans d analyse et sur le contenu du rapport Sur le m me th me que la session r serv e aux responsables a suivi le 16 septembre 1998
365. tion cr e express ment pour les au travail besoins de l enqu te 123 Section VIII Le travail QAA48 QAAQ7 suite Question s ESS98 Sources Au cours des 12 derniers mois QAA95a a cess de travailler compl tement a cause de cette douleur QAA95b a cess de travailler temporairement cause de cette douleur QAA95c a chang d employeur cause de cette douleur QAA95d a chang d emploi dans la m me entreprise cause de cette douleur QAA95e a chang de t che ou de fa on de travailler dans l emploi r gulier QAA95f a modifi son poste de travail cause de cette douleur QAA95g a r duit les heures de travail a cause de cette douleur QAA95h a v cu d autres changements au travail cause de cette douleur QAA96 douleurs ressenties l une qu l autre des parties du corps au cours des 7 derniers jours Au cours des 7 derniers jours si les douleurs ressenties sont per ues comme tant reli es enti rement ou en partie au travail ou non QAA97a cou QAA97b paules QAA97c bras QAA97d coudes QAA97e avant bras poignets ou mains QAA97f haut du dos QAA97g bas du dos QAA97h hanches ou cuisses QAA97i genoux QAA97 jambes mollets QAA97k chevilles ou pieds Nouvelles questions qui s inspirent de celles du questionnaire nordique d velopp par des chercheurs des pays scandinaves Kuorinka et autres 1987 et de celles du Ques
366. tion de personnes vivant en m nages priv s selon le recensement de 1996 Nprtro est la population totale selon le recensement de 1996 A N prcog est la projection de la population totale en 1998 corrig e du sous d nombrement Cette fa on d estimer W Suppose que la proportion de personnes vivant dans les m nages priv s parmi la population totale est stable par groupe d ge et par sexe entre 1996 et 1998 Par ailleurs l ajustement a la distribution de la population vis e a t fait en s assurant que tous les individus d un m me m nage aient des poids identiques Cette fa on de faire correspond davantage la collecte des donn es du QRI pour lequel tous les membres d un m me m nage sont enqu t s par l interm diaire d un seul r pondant cl qui fournit les r ponses pour tous A cause du d sir d obtenir un poids unique par m nage l utilisation d un logiciel s est av r n cessaire pour valuer le poids final associ chaque m nage La macro SAS CALJACK de Statistique Canada Bernier et Lavall e 1994 permet d tablir la pond ration finale sous la contrainte de poids identiques pour tous les membres d un m me m nage tout en s assurant que le nombre projet de personnes vivant dans les m nages priv s en 1998 selon la r gion le groupe d ge et le sexe soit respect Nous nous sommes galement assur s que le rapport entre le poids ajust la population vis e et le poids avant cet ajust
367. tionnaire sur les sympt mes Kuorinka et Forcier 1995 124 Section IX Divers probl mes personnels QAA98 a QAA140 Question s ESS98 Sources Au cours de la derni re semaine la fr quence Questions composantes de l indice de d tresse laquelle l individu psychologique d llfeld ou IDPESQ14 QAA98 s est senti d sesp r en pensant SQ87 QAA34 ESS92 93 QAA68 l avenir QAA99 s est senti seul SQ87 QAA35 ESS92 93 QAA69 QAA100 a eu des blancs de m moire SQ87 QAA36 ESS92 93 QAA70 QAA101 s est senti d courag ou a eu les SQ87 QAA39 ESS92 93 QAA71 bleus QAA102 s est senti tendu ou sous pression SQ87 QAA40 ESS92 93 QAA72 QAA103 s est laiss emporter contre SQ87 QAA41 ESS92 93 QAA73 quelqu un ou quelque chose QAA104 s est senti ennuy ou peu int ress SQ87 QAA43 ESS92 93 QAA74 par les choses QAA105 a ressenti des peurs ou des craintes SQ87 QAA45 ESS92 93 QAA75 QAA106 a eu des difficult s se souvenir des SQ87 QAA46 ESS92 93 QAA76 choses QAA107 a pleur facilement ou s est senti sur SQ87 QAA48 ESS92 93 QAA77 le point de pleurer QAA108 s est sent agit ou nerveux SQ87 QAA52 ESS92 93 QAA78 int rieurement QAA109 s est senti n gatif envers les autres SQ87 QAA54 ESS92 93 QAA79 QAA110 s est senti facilement contrari ou SQ87 QAA55 ESS92 93 QAA80 irrit QAA111 s est f ch pour des choses sans SQ
368. tions mesure les pisodes de forte consommation au cours des 12 derniers mois une consommation d alcool gale ou sup rieure cinq consommations QAA37 ou huit consommations QAA38 le plus grand nombre de consommations prises dans une m me occasion QAA39 et le nombre de fois o la personne estime s tre enivr e QAA40 Les QAA37 QAA39 et QAA40 proviennent de l enqu te de 1992 1993 La question QAA38 huit consommations ou plus qui s inspire d une question de l Enqu te ontarienne sur l alcool et la drogue 1994 Anglin 1995 a t ajout e en 1998 mais les donn es recueillies n ont pas t trait es pour les raisons suivantes la pr valence du comportement fournit de trop petits effectifs pour permettre les analyses souhait es et les r sultats de cette question n apportaient pas d information suppl mentaire celle obtenue par la question QAA37 cinq consommations ou plus Il est noter que la question sur le plus grand nombre de consommations prises dans une m me occasion QAA39 na pas t trait e non plus en 1998 Les donn es de cette question n apportaient pas plus d information que celle obtenue par la question QAA37 cinq consommations ou plus D ailleurs la question QAA39 n a pas t analys e en 1992 1993 pour la m me raison La derni re s rie de questions permet de mesurer la consommation hebdomadaire soit le nombre de consommations en moyenne par semaine QAA41 la consommation d alcool
369. toutes les entrevues n cessaires avec le r pondant principal et les autres membres du m nage et lorsque les QAA lui avaient t remis Un montant de 15 tait remis au r pondant principal des m nages participants Cependant l enqu te n tait pas termin e puisqu une partie des r pondants taient appel s au t l phone pour r pondre soit aux questionnaires de l EQLA soit ceux des deux derniers volets de l enqu te la r solution des conflits conjugaux des femmes de 18 ans et plus uniquement et l activit physique des personnes des deux sexes de 15 ans et plus incluant un indice synth tique sur la sant Notons que pour la s curit des r pondantes pour viter que les intervieweurs fassent allusion une enqu te sur la violence conjugale de fa on inopportune on avait jug n cessaire d viter de leur parler de l Enqu te sur la r solution des conflits conjugaux lors des sessions de formation r gionales 42 Pour ce qui est de l EQLA on savait d j qui serait appel au t l phone puisque les coordonn es de ces personnes taient transmises par modem au serveur du Groupe L ger et L ger inc qui les mettait la disposition du central t l phonique information recueillie lors de l entrevue face face pour le QRI Ces personnes taient avis es qu un autre intervieweur du Groupe L ger et L ger inc les appellerait pour l entrevue sur les limitations d activit Par contre tant donn que
370. tre la comparabilit entre les r gions et avec l ensemble du Qu bec Elle r pond aux principes directeurs suivants L Enqu te sociale et de sant 1998 se d finit comme une reprise de l enqu te de 1987 au sens o la collecte de renseignements sur les problemes de sant en constitue une partie importante elle se situe galement en continuit avec l enqu te de 1992 1993 particuli rement en ce qui concerne les instruments qui y ont t d velopp s elle doit tre men e avec le souci de comparabilit des donn es tout en tenant compte des besoins actuels Les variables retenues doivent compl ter les donn es d ja disponibles par d autres sources Les r sultats de l ESS98 doivent tre comparables ceux d enqu tes analogues du Qu bec du Canada ou d ailleurs L enqu te doit tenir compte des buts et objectifs de l Enqu te nationale sur la sant de la population ENSP dont l chantillon qu b cois est constitu d un sous chantillon de celui de l Enqu te sociale et de sant 1992 1993 L enqu te doit tre conforme aux crit res de qualit scientifique les plus lev s L ESS98 a ses propres objectifs pour tenir compte des changements dans le r seau de la sant elle documente certains aspects du virage ambulatoire LESS98 est aussi l occasion d explorer plusieurs nouveaux th mes 3 D roulement de I Enqu te sociale et de sant 1998 3 1 tapes de l enqu te Une enqu
371. ttawa Statistique Canada YATES F et GRUNDY SEN P M 1953 Selection without Replacement from within Strata with Probability Proportional to Size Journal of the Royal Statistical Society S rie B vol 15 p 253 261 230
372. u on tient compte des variables sociod mographiques Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 F Seuil du test Seuil du test sur le param tre de PANNE dans le Indices i Le d interaction mod le final sans interaction CONSPROF 0 12 0 043 NBRE_PS 2 cat g 0 68 0 001 IDPESQ14 0 64 0 041 ALCOOL98 2 cat g 0 47 0 007 Tableau 17 4 Estimations des rapports de pr valences ajust s et mod les retenus pour expliquer les diff rences entre les sinistr s et les non sinistr s pour les indices ayant r v l une diff rence significative vague en 2 cat gories Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 Indices Estimation du rapport de pr valences Variables sociod mographiques retenues ajust entre sinistr s et non sinistr s dans le mod le CONSPROF L ge le sexe et la scolarit NBRE_PS 2 cat g 1 10 La vague ge le sexe la pr sence d un enfant lt 15 ans l aire homog ne et la scolarit IDPESQ14 L ge le sexe l aire homog ne et la scolarit ALCOOL98 2 cat g difficilement interpr table nn a presence dun NN CONSPROF consultation d un professionnel de la sant En utilisant la nouvelle d finition de la variable vague 2 cat gories nous avons refait le test d interaction entre le fait d tre sinistr ou non et la vague le nouveau seuil observ du test d interaction est de 0 12 Toujours en utilisant
373. u Qu bec n avait pas t subdivis e en deux r gions distinctes Elle a t consid r e comme telle Ainsi avec l ajout de la r gion Nord du Qu bec l enqu te sociale et de sant de 1998 couvre 16 r gions sociosanitaires En tout la population vis e par l Enqu te sociale et de sant 1998 repr sente 97 4 de l ensemble de la population qu b coise Population chantillonn e Certaines contraintes principalement associ es aux activit s de collecte et leurs co ts nous obligent faire quelques ajustements la population vis e Ainsi les territoires non organis s les localit s tr s loign es ou difficilement accessibles et les secteurs de d nombrement avec peu de m nages priv s ne sont pas conserv s pour l enqu te de 1998 Les territoires non organis s sont des r gions sans organisation municipale administr es directement par la municipalit r gionale de comt MRC Ils sont caract ris s par la faible densit de leur population et l tendue de leur territoire Ils repr sentent 0 03 de la population vis e Certaines localit s sont exclues a cause de leur loignement des autres villes ou parce qu elles sont difficilement accessibles La r gion du Nord du Qu bec et celle de la C te Nord sont davantage touch es par ce ph nom ne bien que pour la C te Nord les localit s d Aguanish de Baie Johan Beetz et de Natashquan ne sont plus exclues comme cela tait le cas pour les enqu tes
374. uante poss dent des caract ristiques particuli res En effet les non r pondants comptent une proportion plus grande de personnes peu scolaris es la variable utilis e tant la scolarit relative et g es de 65 ans et plus En outre parmi les personnes de 65 ans et plus celles ayant une scolarit plus faible sont toutes proportions gard es encore moins nombreuses r pondre que les autres du m me ge Les non r pondants sont aussi proportionnellement plus nombreux ne pas avoir un emploi et sont en proportion plus grande chez ceux qui sont n s l tranger Toutes les analyses de la non r ponse partielle au QAA ont permis de constater que les non r pondants sont en majorit des personnes plus g es et moins scolaris es En plus le sexe et le fait de travailler ou non caract risent les non r pondants certaines questions Les sections Aspects m thodologiques de chaque chapitre du rapport de l enqu te fournissent des informations d taill es sur la non r ponse partielle pour les questions et indices pour lesquels le taux de non r ponse est sup rieur 5 Le cas ch ant une valuation des biais possibles sur les estimations est en g n ral pr sent 15 3 Imputation de l indice de suffisance du revenu 15 3 1 Probl matique L indice de suffisance du revenu classe les m nages selon la taille et le revenu brut du m nage Cet indice est une composante fr quemment utilis e lors des analyses car l exis
375. ue celles d crites la section 14 5 209 Tableau 17 1 Taux de r ponse pond r au QRI verglas proportion pond r e de r pondants au verglas QAA parmi les r pondants du QRI verglas g s de 15 ans et plus et taux de r ponse pond r au verglas QAA selon la r gion sociosanitaire Etude de l impact de la temp te de verglas sur les donn es de l ESS98 Taux de r ponse Proportion pond r e Taux de r ponse R gion sociosanitaire pond r au de r pondants au pond r au QRI Verglas Verglas QAA Verglas QAA Bas Saint Laurent 91 7 86 9 79 7 Saguenay Lac Saint Jean 92 8 94 0 87 2 Qu bec 89 7 86 4 77 5 Mauricie Centre du Qu bec 89 5 86 0 77 0 Estrie 90 9 93 7 85 2 Montr al Centre 85 5 78 4 67 0 Outaouais 90 7 86 3 78 3 Abitibi T miscamingue 91 5 92 9 85 0 C te Nord 92 4 89 3 82 5 Nord du Qu bec 94 2 89 1 83 9 Gasp sie iles de la Madeleine 91 6 79 1 72 5 Chaudi res Appalaches 94 1 90 0 84 7 Laval 90 5 81 5 73 8 Lanaudi re 94 5 87 2 82 4 Laurentides 88 2 88 4 78 0 Mont r gie 89 8 86 4 77 6 Ensemble du Qu bec 89 3 85 1 76 0 17 2 Analyse provinciale 17 2 1 M thodologie Pour l analyse des r sultats de ce projet compl mentaire un groupe de travail a t form Il se composait de Jacynthe Loiselle Carmen Bellerose Serge Chevalier et Robert Courtemanche auxquels se sont ajout s Jimmy Baulne et Nathalie Audet de l Institut de la statistique du Qu bec Le groupe s est d abord entendu pour
376. ues par les personnes elles m mes Le th me n a voir section 14 8 75 pas t abord lors de l ESS92 98 76 Section XII Couverture des frais de sant par un r gime d assurance priv QRI141 a QRI152 La question principale de cette section permet de pr ciser quelles sont les personnes du m nage qui sont couvertes par une assurance priv e qui d fraie couvre paie au moins en partie les d penses non assur es par l assurance maladie du Qu bec QRI141 Cette question provient de l ESS92 93 Quoique le libell soit identique en 1998 le contenu r glementaire et l gal n est pas le m me pour les deux enqu tes cause de la mise en place en janvier 1997 d un r gime obligatoire d assurance m dicaments qui stipule que lorsque l un des deux conjoints d tient dans le cadre de son emploi ou par le biais d une association professionnelle une protection collective d assurance priv e dans le domaine de la sant cette assurance doit comprendre le volet m dicaments De plus l assureur doit obligatoirement offrir la couverture d assurance m dicaments a l autre conjoint aux enfants et aux autres personnes charge En l absence d un r gime collectif d assurance priv les individus doivent adh rer au programme public d assurance m dicaments Toutes les autres questions de cette section ont t con ues pour l ESS98 Une premi re s rie de questions permet de distinguer le taux de couverture selon
377. uestion QAA6 a f 1509 7 286 20 3 QAA17 a v 1486 15 313 9 6 QAA18 a u 610 15 313 4 0 QAA97 a k 624 3 641 17 1 QAA143 a i 388 19 9 Puisque pour ces situations l hypoth se d une non r ponse partielle al atoire ne pouvait tre faite on a proc d l imputation d ductive des r ponses manquantes Cette m thode consistait attribuer la r ponse correspondant la n gative non aucune fois etc aux nonc s laiss s sans r ponse Pour la majorit des questions pr sentant un sch ma de r ponse ceci a permis de r duire la non r ponse partielle un niveau tel qu on a pu supposer que l impact sur les estimations et les analyses est n gligeable Le tableau 15 3 pr sente le portrait de la non r ponse partielle apr s l imputation d ductive Tableau 15 3 Effets de l imputation sur les taux de non r ponse a des questions du QAA Enqu te sociale et de sant 1998 Question Nombre de r pondants Nouveau taux de non Taux initial de non potentiels r ponse r ponse QAA6 b d 7 286 2 8 2 7 20 3 22 1 QAAG6f 7 286 18 7 37 5 QAA17 b v 15 313 2 8 5 2 10 7 13 1 QAA18 a u 15313 7 7 8 3 10 5 12 1 QAA97 a K 3641 2 0 2 8 10 8 18 4 QAA143 a h 3 6 5 2 17 3 24 2 QAA143i 388 9 8 27 6 ll est noter qu apr s limputation trois questions sont demeur es avec un taux de non r ponse partielle probl matique les questions QAAGf
378. ulation des personnes identifi es uniquement par lIDPESQ14 comme appartenant au niveau lev de l indice de d tresse 1 0 Groupe 4 La sous population des personnes dont le niveau de d tresse psychologique est jug lev par les deux mesures de sant mentale 1 1 Une fois ces quatre groupes d finis on v rifie la concordance en obtenant d abord la proportion de la population appartenant chaque groupe Si les deux mesures cat goriques concordent bien la somme des proportions estim es dans les groupes 1 et 4 devraient tre tr s pr s de 100 En plus les caract ristiques de sant des gens appartenant aux sous populations d finies par les groupes 2 et 3 devraient tre comparables On peut aussi vouloir v rifier si les gens des groupes 2 et 3 ressemblent ou non ceux identifi s par l IDPESQ14 et l MMDP23 comme appartenant au niveau lev de la mesure de d tresse psychologique groupe 4 223 Les caract ristiques de sant consid r es pour faire ces v rifications doivent tre li es la sant mentale Celles qui ont servi ici aux analyses sont la sant per ue QAA 1 la sant mentale per ue QAA 140 la pr sence ou non d id ations suicidaires QAA 141 la pr sence ou non de tentatives de suicides QAA144 Pusage de tranquillisants s datifs ou somnif res QRI 34 l usage de stimulants QRI 43 la d claration de troubles mentaux probl mes de sant QRI l
379. une journ e pr paratoire a l analyse des donn es de mi enqu te qui portait sur l utilisation des donn es de la mi enqu te et sur le raffinement des plans d analyse journ e de marathon puisque chaque groupe y a pr sent son plan d analyse ainsi que les diff rents indicateurs cr s qui pouvaient tre utiles aux autres groupes Tous taient invit s utiliser des mesures synth tiques c est dire des indices qui regroupent plusieurs questions Enfin les 1 et 2 juin 1999 s est tenue une r union de travail pr paratoire l analyse statistique des donn es Lapointe et autres 1999 et a la r daction des chapitres Document sur le rapport final et guide d dition l annexe 6 Du temps tait r serv pour le travail en groupe sur les tableaux de fr quence r cemment envoy s aux membres La participation des membres des groupes d analyse ces sessions de formation visait galement ce que ces personnes s approprient les r sultats de l enqu te et deviennent la fois des personnes ressources pour d autres utilisateurs et des agents multiplicateurs pour l utilisation optimale des donn es 7 3 Analyse statistique L analyse des r sultats impliquait que ceux qui y travaillent disposent non seulement de donn es exactes et exemptes d erreurs de codes comme il a t mentionn pr c demment mais galement de donn es trait es statistiquement La DMES assurait les op rations statistiques plus comp
380. upe de recherche ayant effectu une enqu te sur les itin rants des r gions de Montr al Centre et de Qu bec en 1998 1999 Fournier 2001 Les r sultats de cette question n ont pas encore t analys s Pour tablir les liens qui unissent les personnes dans le m nage et tablir la typologie des familles m nages non familiaux et m nages familiaux une s rie de questions a t pos e au r pondant sur le lien principal entre les individus PRINC le fait d tre un parent ou un enfant PAREN le lien m re enfant MERE le lien p re enfant PERE le fait de vivre ou non en couple COUPL et l identification du conjoint de chaque personne en couple CONJO A l exception des nouvelles questions sur le fait d tre un parent ou un enfant PAREN le fait de vivre ou non en couple COUPL et l identification du conjoint CONJO ces questions ont t pos es dans les enqu tes ant rieures Les nouvelles questions se sont ajout es dans cette section pour faciliter la reconnaissance des m nages non familiaux et familiaux Par la suite deux nouvelles questions ajout es a la demande du groupe de travail sur l Enqu te sur la r solution des conflits conjugaux Riou et autres a para tre visent a d terminer pour toutes les femmes de 18 ans et plus vivant en couple actuellement depuis combien de temps elles vivent avec leur conjoint CO1 et pour celles ne vivant pas en couple si au cours des 12 derniers mois elles ont v cu en
381. urs des 4 derniers mois QRI104 Ces questions permettent galement de v rifier l volution de probl mes de sant physique cibl s par la Politique de la sant et du bien tre MSSS 1992 soit les maladies cardiovasculaires les maux de dos l arthrite ou le rhumatisme ainsi que les maladies de l appareil respiratoire En prenant comme base les regroupements de la CIM 9 et la fr quence observ e les probl mes codes d clar s ont t regroup s pour l analyse en 31 cat gories incluant une cat gorie autres qui regroupe les probl mes d clar s par de plus petites proportions de la population Pour les fins de comparaison les regroupements utilis s dans la pr sente enqu te ont t appliqu s aux donn es de l enqu te de 1987 Pour des raisons de pr cision une s rie de sous questions ont t ajout es en 1998 a certaines questions portant sur les allergies et les maladies respiratoires Par exemple a la question sur la maladie de peau ou allergies cutan es QRI73 deux sous questions visant d terminer s il s agissait de la maladie de la peau QRI73a ou des allergies cutan es QRI73b ont t ajout es A la question sur les autres allergies QRI75 11 Il est noter que dans la version anglaise du QRI informatis le terme paralysie c r brale a t dactylographi cerebral paralysis et non cerebral palsy comme il aurait fallu le faire Une analyse des donn es n a toutefois pas r
382. us QRI82b bronchite de pr cision QRI82c toux persistante QRI82d asthme QRI83 d ficience mentale ou intellectuelle SQ87 QRI45 QRI84 d pression SQ87 QRI45m QRI85 pilepsie SQ87 QRI45n QRI86 hypertension SQ87 QRI450 QRI87 maladie du coeur SQ87 QRI45p QRI88 troubles urinaires ou maladie du rein SQ87 QRI45q QRI89 ulc res d estomac SQ87 QRI45r QRI90 autres troubles digestifs SQ87 QRI45s QRI90a pr ciser le probleme Nouvelle sous question afin d avoir plus de pr cision sur les troubles digestifs en mergence QRI91 goitre ou troubles de la thyroide SQ87 QRI45t QRI92 migraines ou maux de t te fr quents SQ87 QRI45u QRI93 incapacit ou handicap la suite de SQ87 QRI45v la perte d un membre QRI94 paralysie la suite d un accident SQ87 QRI45w QRI95 paralysie la suite d une attaque ou SQ87 QRI45x d une h morragie c r brale QRI96 p riodes de grande nervosit ou SQ87 QRI45y d irritabilit QRI97 p riodes de confusion ou de perte de SQ87 QRI45z m moire fr quentes et importantes QRI97a maladie d Alzheimer Nouvelles sous questions ajout es afin d avoir plus QRI97b autre probl me pr ciser de pr cision sur les probl mes de sant chroniques en mergence 91 Section VI Probl mes de sant QRI72 a QRI104 suite Question s ESS98 Sources QRI98 incapacit ou handicap dus a Pob sit QRI99 p riodes de 6 mois ou plus a avoir des visions entendre des v
383. us d tre affect es par les situations que les sinistr s avaient subies Il fallait d terminer comment en th orie ces variables taient affect es la hausse ou la baisse En particulier il importait de r pondre aux questions suivantes est ce que la perturbation va dans le sens attendu Est ce que l effet du verglas a persist dans le temps ou se concentre t il plut t la premi re vague de la collecte des donn es Ces questions ont t tudi es au niveau provincial et au niveau r gional tant donn les objectifs de l Enqu te sociale et de sant 1998 En effet cette enqu te doit permettre on se le rappellera la production d estimations pour le Qu bec mais aussi pour chacune de ses r gions sociosanitaires 208 17 1 l ments m thodologiques 17 1 1 Taille de l chantillon et taux de r ponse L enqu te compl mentaire t l phonique reli e l impact de la temp te de verglas de 1998 s est faite aupr s des informateurs cl s des m nages priv s interview s dans le cadre de l ESS98 Ainsi 11 986 m nages r pondants du QRI taient admissibles l enqu te De ce nombre 10 923 m nages ont r pondu au questionnaire sur le verglas Les 10 923 m nages r pondants repr sentent un total de 28 067 individus dont 22 220 sont g s de 15 ans et plus De plus 19 936 personnes faisant partie d un m nage ayant r pondu au questionnaire sur le verglas ont galement r pondu au QAA Le taux de r ponse
384. utre plusieurs lots ne pouvaient tre construits totalement suite la construction de nouvelles art res survenues entre les deux recensements Une troisi me option utilisait les UPE de l enqu te sur la population active qui est r alis e mensuellement par Statistique Canada Plus d inconv nients que d avantages se d gageaient de cette option principalement cause de la d pendance de l ESS98 vis a vis rorganisme statistique f d ral Finalement une derni re option proposait d ajouter un degr additionnel d chantillonnage en scindant en deux une UPE populeuse situ e dans une RMR en chantillonnant une des deux parties de l UPE divis e et en proc dant l num ration de la partie s lectionn e seulement Cette solution a t retenue car elle permettait de diminuer les co ts et les temps d num ration dans les UPE o il y a un nombre important de logements sans avoir d impact n gatif sur la variance 154 Plus pr cis ment une UPE s lectionn e au premier degr fait l objet d une scission si elle est situ e dans une RMR elle est issue d un seul secteur de d nombrement elle contient au moins 350 logements priv s selon le recensement de 1991 chacune des deux parties de PUPE contient un minimum de 60 logements constitu e en c t s d ilots contigus Si ces quatre crit res sont respect s l UPE chantillonn e au premier degr est divis e en deux unit s secondaires d chantil
385. vant hier Les questions pr sentant des classes de m dicaments QRI33 a QRI45 ont t reprises des enqu tes de 1987 et de 1992 1993 tout comme quelques sous questions visant a identifier le m dicament pris Meda_1 a 20 a d terminer si celui ci avait t obtenu sur lavis d un m decin ou d un dentiste Medb_1 20 et pr ciser le probl me de sant pour lequel la personne l avait consomm Medf_1 20 Inspir es de questions semblables de l enqu te de 1992 1993 de nouvelles sous questions permettent de mieux rendre compte de la fr quence de consommation pris de fa on r guli re ou occasionnelle et de la dur e de l utilisation Medc_1 20 Mede 1 20 Une derni re sous question visant d terminer si un autre m dicament de la m me classe a t pris Medg_1 20 s inspire du manuel de formation des intervieweurs de 1992 1998 69 Trois questions ont t ajout es cette section pour documenter pour la premi re fois la consommation de rem des contre l asthme QRI46 le rhume des foins QRI47 et le recours au vaccin contre la grippe QRI48 QRI48a au cours des 12 mois ayant pr c d l enqu te Les questions QRI46 et QRI47 ont t ajout es la demande du groupe ayant propos les questions sur lair ambiant et l environnement physique section XV comme l ment permettant d aider confirmer les diagnostics mais n ont pas encore t analys es La question sur le recours au vaccin
386. viewers Montr al Sant Qu bec BELLEROSE C C LAVALLEE et D TREMBLAY sous la direction de 1995 Enqu te sociale et de sant 1992 1993 Cahier technique et m thodologique vol 1 Montr al Sant Qu bec 134 p plus annexes BUREAU DE LA STATISTIQUE DU QUEBEC 1997 num ration des logements d une unit primaire d chantillonnage de l Enqu te g n rale de 1998 Instructions aux coordonnateurs Direction de la m thodologie Qu bec octobre 67 p CAMIRAND J J AUBIN N AUDET R COURTEMANCHE C FOURNIER B BEAUVAIS R TREMBLAY et autres 2001 Enqu te qu b coise sur les limitations d activit 1998 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec 516 p CLARKSON M et L PICA 1995 Un mod le syst mique pour l analyse de la sant et du bien tre Montr al Sant Qu bec 18 p DAVELUY C L PICA N AUDET R COURTEMANCHE F LAPOINTE et autres 2000 Enqu te sociale et de sant 1998 2 dition Qu bec Institut de la statistique du Qu bec 642 p plus annexes DESGROSEILLERS L E GAGNON C THIBAULT en collaboration avec N AUDET et autres 2001 Contr le statistique de la divulgation des microdonn es de l enqu te sociale et de sant 98 Qu bec Institut de la statistique du Qu bec avril 15 p EMOND A 1988 L enqu te Sant Qu bec sa justification sa pertinence et son utilit Cahier technique 87 01 Qu bec Sant Qu bec minist re de la Sant et des Serv
387. x global de consultation mais rendent difficile la comparaison par type de professionnels autres que les m decins Par ailleurs en 1987 et en 1992 1993 la question sur le lieu de consultation tait ouverte en 1998 on a ajout des cat gories de r ponse De plus l ajout de la cat gorie pharmacie rend difficile la comparaison avec les donn es des deux enqu tes pr c dentes Les consultations en pharmacie taient incluses alors dans la cat gorie autre ou bureau priv Les questions sur les modalit s d acc s aux services des m decins g n ralistes et sp cialistes consultation avec ou sans rendez vous d lai pour obtenir un rendez vous et niveau d appr ciation du temps d attente par rapport ce d lai taient des renseignements absents des enqu tes pr c dentes Cr es express ment pour l ESS98 elles ont t ajout es afin de fournir aux planificateurs et aux d cideurs un clairage qui leur permettra de mieux orienter les prises de d cision visant r duire les probl mes d quit d acc s aux services sociaux et de sant et de s assurer que les ressources appropri es seront disponibles au cours des prochaines ann es de mani re r pondre aux besoins d une population croissante et vieillissante Fournier et Pich 2000 La pr sente enqu te permet aussi d identifier un plus grand nombre de types de professionnels les physioth rapeutes et les ergoth rapeutes ne sont plus regroup s et
388. xi me question porte sur l absence de r ponses pour lun ou l autre membre du m nage QRI198 et si c est le cas sur les raisons invoqu es QRI198a Les questions QRIG4 ET QRIG4a permettent d identifier les personnes ayant refus le QAA et les raisons de leur refus Ces questions taient incluses dans la section d identification lors des enqu tes pr c dentes Le libell de la question QRI197 a t reformul en 1998 L expression Indiquer pour chacune des personnes si elle a particip entrevue a t remplac e par Indiquer pour chacune des personnes de 15 ans et plus du foyer si elle a fourni des r ponses pour elle m me la majorit des questions 80 SOURCES ET JUSTIFICATIONS DES QUESTIONS DU QRI SOMMAIRE Section d identification SI Question s ESS98 Num ro d intervieweur Sources Q87 FI9 ESS92 93 FI6 Num ro de dossier Q87 Fl1 ESS92 93 F1 LANG langue de l entrevue SQ87 FI5 ESS92 93 F110 MENU adresse incluant le code r gion SQ87 Fl2 F13 ESS92 93 F12 FI3 TEL num ro de t l phone SQ87 F110 ESS92 93 FI4 NBTEL nombre de num ros de t l phone Nouvelle question ajout e pour les besoins dans le foyer incluant les num ros particuliers de l Etude parall le tude r alis e en d affaires les num ros des enfants et m me temps que l Enqu te sociale et de sant les num ros cellulaires 1998 pour valuer un mode de collecte a

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