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Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) du

1. 46 6 2 Impacts sociaux n gatifs potentiels L utilisation du mercure dans ces quipements mettra en jeu la sant des populations proche de ces diff rentes stations ou ils seront stockes Ainsi les effets peuvent varier du ralentissement de la croissance l inf condit en passant par un comportement anormal pouvant compromettre la survie Les groupes cibles des effets du mercure qui se retrouve dans les quipements sont entre autre les travailleurs et les occupations humaines ou populations proches 6 2 1 Impacts sur les travailleurs Le mercure pose une multitude de risques pour la sant humaine aussi bien sous sa forme l mentaire que sous ses formes plus toxiques comme le m thylmercure Les impacts sur les travailleurs incluent e Effets n gatifs sur la sante par l exposition aux substances chimiques et toxiques travers l inhalation les aliments l eau de boisson et par contact Cela r sultera de o N gligence dans la planification des conditions de travail o Le manque ou l absence de sensibilisation des travailleurs sur les risques encourus en ayant contact avec les produits hautement toxiques comme le mercure par exemple Le refus de porter des v tements de s curit Incapacit de lire et de comprendre le manuel d utilisateur accompagnants les engins ou quipements o La mauvaise gestion des d chets et mauvaise pratique de stockage e Des troubles neurologiques et comportementaux peuven
2. raser sur le dessus du petit pinceau et balayez doucement la zone touch e pour ramasser les petites perles difficiles voir Vous pouvez galement utiliser du ruban adh sif pour ramasser tous les petits fragments de verre restants Placez le pinceau ou le ruban adh sif dans un sac fermeture zip et s curis Assurez vous d tiqueter le sac comme dirig par votre service de sant ou d incendie local Facultatif il est facultatif d utiliser du soufre en poudre disponible dans le commerce pour absorber les perles qui sont trop petites pour voir Le soufre a deux effets 1 il rend le mercure plus facile de voir puisqu il peut y avoir un changement de couleur du jaune au brun et 2 il se lie au mercure de fa on pouvoir tre facilement retir et supprime la vapeur de mercure manquant O obtenir de soufre commercialis Il peut tre fourni sous forme de vapeur dans les kits absorbant le mercure en cas de d versement de mercure qui peut tre achet du laboratoire l approvisionnement en produits chimiques et mati res dangereuses r ponse fabricants d approvisionnement Remarque Le soufre en poudre peut tacher les tissus d une couleur sombre Lors de l utilisation du soufre en poudre ne pas respirer dans la poudre car il peut tre mod r ment toxique En outre les utilisateurs doivent lire et comprendre l information de produit avant utilisation Contactez votre service de sant local l autorit de d chets munic
3. R PUBLIQUED HA TI MINIST RE DE L AGRICULTURE DES RESSOURCES NATURELLES ET DU DEVELOPMENT RURAL MARNDR Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES du Projet de Renforcement des Services Hydrom t orologiques Pr par par Jeanne Jocelaine BONNET Ing Agr Cellule Environnementale CE Unit d Etudes et Programmation UEP du MARNDR Mars 2015 Table des Mati res LE 11161 LU 1 OP ER RneRP E R ER R RR 3 1 1 Pr sentation de projet de renforcement des services hydro m t orologie 4 1 2 Int r t et objectif du projet de renforcement des services hydrom t orologie sseeeeseereeseeee 4 1 3 Cadre insututionn l du projet ss ne fine halte E E ed nel EREE ESES 6 1 4 Importance et objectif du cadre de gestion environnementale et sociale CGES seeseeceesees 13 2 Cadre l gal du CGESsiss anim einen ent need cesse 14 2 2 Les procedures nationales de gestion et d elimination des d chets dangereux en Ha ti 15 3 Politique de sauvegarde de la banque mondiale BM messes rosooesooesoosssosssosnsoonsoonscone 15 4 Approche m thodologique essesesossossescsossossescsocsossesossoscesesossossssesocsossesossososscsossossssesocsossssossossssesoe 17 4 1 Revue bibliographies iene aronet eeir ae EEEE A E EE AEE AE ERRE 17 4 2 Type de stations existantes en Ha ti 17 4 3 Entr tiens et visit de terrain sssss freiner mn fin ren nt ent sel en der 19 4 4 A
4. S assurer de des donn es activit s d aturelles la collecte et de hydrom t orologiques et maintenance l acheminement formation de personnel des instruments sur les proc dures contenant du mercure dans les CDP lieux de e Emission de stockage d cid UEP CE en m o par le partenariat Composante 1 Renforcement En cas Gouvernement avec la de la capacit du GdH d utilisation s assurer Coordination 39 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures de Responsabilit mitigation collecter stocker traiter et de g n ratrice que les mat riaux du projet fournir des donn es pour d intervention en hydrom t orologiques et l alimentation cas de climatiques appropri es a des oi p d versement tels utilisateurs finaux sur le long eM i que les trousses terme d versement de mercure et l quipement de protection individuelle sont accessibles en tout temps et qu ils sont 3 D veloppement d une utilis s lorsque plateforme informatique Lutte c est appropri UEP CE en pour stocker et partager contre le partenariat les donn es du r seau changement avec la national et formation de climatique Calcul des Coordination personnel en la gestion et missions de CO2 du projet Composante 1 Renforcement de la capacit du GdH collecter stocker traiter et fournir des donn es hydrom t orologiques et utilisation de la plateforme 4 Appui l t
5. apparition de troubles du d veloppement neurologique Des troubles cognitifs l ger retard mental peuvent tre observ s chez les enfants 6 2 3 Impacts lies l acquisition de terre et acc s aux ressources naturelles D boisement expropriation dynamitage remblayage Risques d infiltration des contaminants et r sidus vers les eaux souterraines R duction de l espace habitable cultivable ou r cr atif Bouleversement dans les habitudes de vie 7 Sant Canada 2004 2007 PNUE 2002 8 IBIDEM IBIDEM 10 PNUE 2002 CIRC 1993 48 6 3 Directives d att nuation Les thermom tres contenant du mercure ne devront pas tre incin r s puisque le mercure qui s y trouve ne sera pas d truit Les d chets solides de chantier seront g r s par la firme de construction et ou de r habilitation sous la supervision de l UEP CE et les d chets de maintenances y compris les thermom tres us s seront g r s par l UEP CE Les d chets susceptibles de contenir du mercure comme les thermom tres en stade d op rationnalisation seront transmis dans les DPC ou ils seront sujets un entreposage contr l de longue dur e La formation des travailleurs de chantier seront sur la responsabilit de la firme de construction et ou de r habilitation celle des employ s des r seaux se fera par l UEP CE Les autres d chets ne contenant pas de mercure mais tout aussi dangereux comme des batteries us es seront d truits dans
6. ANNEXE 2 Photographies des visites de terrain 63 64 65
7. chets g n r s dans les stations Ils seront collect s sur les sites et mis dans des emballages tanches pour tre acheminer r guli rement dans les Centres D partementaux Polyvalents CDP qui seront construits dans le cadre du Programme de Protection Sanitaire et d Innocuit des Aliments PSIA du MARNDR pour l limination du mat riel dangereux Les autres d chets qualifi s de non dangereux seront limin sur place 50 Cartographie des stations hydromet en Haiti Limnim tre automatique limni pluvio auto Limnim tre manuel Pluviom tre automatique station compl te Pluviom tre manuel 7 Plan d action e Cadre de mise uvre des mesures du CGES La mise en uvre du CGES se fait en suivant ces tapes 1 Le firme qui charg e de la mise uvre des activit s de r habilitation installation d quipement hydromet est aussi responsable d une tude environnementale qui inclura les mesures de protection de l environnement ou de compensation pour d gradation ou r installation involontaire caus es par le projet Les mesures identifi es doivent tre inclues dans le bordereau des prix et le devis du dossier d appel d offres et feront partis des activit s r aliser par l entrepreneur qui ex cutera le projet L tude environnementale doit tre valid e par l quipe environnementale de l UEP du MARNDR 2 L ex cution des mesures environnementales et sociales est de la r
8. curis s Sur le plan de l hydrom t orologie il dispose de 24 stations m t orologiques automatiques avec transmission GSM mais il souhaite les transf rer au SNRE qui n a pas la capacit actuellement de les reprendre et d assumer les co ts qui leurs sont associ s Il assure les traitements la demande suivant les besoins des utilisateurs Le CNIGS dispose de sp cialistes dans diff rents domaines hors hydrom t orologie en mesure de comprendre la demande des clients et de travailler sur les produits livrer en cr ant de la valeur ajout e La diffusion des informations est contr l e d pend de la demande des clients sp cifiques et de l origine des donn es propri taire Le CNIGS est consid r comme l entit la mieux structur e et la plus efficace en mati re de collecte traitement stockage et diffusion de donn es sur le territoire Il a su tisser une s rie de partenariats avec ses diff rents clients tant publics que priv s Malgr des pertes majeures sur le plan humain et mat riel lors du s isme de 2010 le CNIGS n a pas cess sa mission et a su reconstruire son quipe Concernant les services d hydrom t orologie le CNIGS ne souhaite pas conserver un r le de producteur de donn es brutes collecte mais conforter son r le de fournisseur de service valeur ajout e dans le cadre de la future structure d hydrom t orologie 1 3 1 5 Structures rattach es au Minist re de l Environnement
9. g ologique ou des sols sujette l rosion aux glissements de terrain ou l affaissement Oui Non A base d une inspection visuelle et des informations disponibles y a t il des zones hauts risques de salinit du sol Oui Non A base d une inspection visuelle estimer la vuln rabilit de la zone face aux d sastres naturels 6 Paysage esth tique Y a t il possibilit que le chantier affecte d favorablement l attirance esth tique du paysage local Oui Non Si OUI expliquez eee 7 Site historique arch ologique ou culturel A base des sources disponibles concertation avec les autorit s locales connaissances locales et ou observations est ce que le chantier pourrait alt rer l h ritage historique arch ologique ou culturel des sites ou exige une excavation proche m me Oui Non Si OUI expliquez 8 Situation fonci re Est ce que le site propos se trouve sur terrain publique Oui Non Est ce qu il y a des personnes qui logent sur le terrain Oui Non Est ce qu il y a des personnes qui ont un titre de propri t pour le site propos Oui Non 9 Perte de cultures arbres fruitiers et infrastructures de m nages Est ce que le chantier causera des pertes permanentes ou temporaires de culture
10. lacs rivi res zones saisonni rement inond es Oui Non A quelle distance se trouvent les terres humides les plus proches lacs rivi res zones saisonni rement inond es Des habitats des esp ces en danger et pour lesquelles la protection est exig e par la loi et ou des accords internationaux Oui Non Autres d crire Oui Non 3 L cologie des rivi res et des lacs Y a t il une probabilit que suite la construction et autre op ration du chantier la rivi re et l cologie du lac soient d favorablement affect es L attention devrait tre focalis e la qualit et la quantit de l eau la nature la productivit et l utilisation des habitats aquatiques et les variations de ces derni res au cours du temps Oui Non 60 4 Zones prot g es Est ce que la zone du chantier ou des l ments du chantier se trouve au sein ou est elle adjacente des zones prot g es d termin es par le gouvernement parc national r serve nationale site d h ritage mondial etc Si le chantier est en dehors de mais tout pr s des zones prot g es semble t il affecter d favorablement l cologie de la zone prot g e ex Interf rence avec les voies de migration des mammif res ou des oiseaux Oui Non 5 G ologie et sols Sur base d une inspection visuelle ou des informations disponibles y a t il des zones possible instabilit
11. rents acteurs gouvernement central autorit s locales soci t civile et population en g n ral Il n y a pas de doute que le secteur agricole est largement d pendant du climat notamment en ce qui a trait la temp rature et la pluviom trie Tenant compte du changement climatique l agriculture ha tienne connait de plus en plus un niveau de vuln rabilit lev par rapport audit ph nom ne qui influe directement sur la performance technique du secteur en faisant baisser les rendements des principales cultures et ceux de la production animale Et de ce fait cette situation impacte directement sur la s curit alimentaire du pays Ainsi le projet de Renforcement des Services Hydrom t orologiques en Ha ti financ travers le Don des Fonds d Investissement Climatique Programme Pilote pour la R silience Climatique se propose d accroitre la r silience climatique d Ha ti la productivit et apporter des b n fices la soci t dans son ensemble Le pr sent document de cadre de gestion sociale et environnementale CGES est labor pour appuyer les activit s du projet qui sera mise en uvre au niveau du Minist re de l Agriculture des Ressources naturelles et du d veloppement rural MARNDR en vue de la d finition et la prise en compte des mesures de surveillances environnementales Ces derni res contribueront entre autre contr ler et surveiller 1 la mise en place des quipements Chantier ii de
12. s d s le d but du cycle du projet e Des mesures d am lioration soient d finies et int gr es e Des moyens mis en place pour limiter att nuer ou compenser les effets pervers Le tableau suivant pr sente les directives de la BM qui sont applicables au projet Tableau 1 Politiques de sauvegarde de la BM applicables au projet 16 Directives Contenu Implication OP 4 01 Evaluation L OP 4 01 est d clench e si un projet va probablement conna tre environnementale des risques et des impacts environnementaux potentiels n gatifs dans sa zone d influence L OP 4 01 classifie les projets comme suit Cat gorie A impact n gatif majeur certain Cat gorie B impact n gatif potentiel Cat gorie C impact n gatif non significatif Ce projet est consid r cat gorie B En cons quence la Banque exigera qu une tude d Impact Environnemental et Social EIE soit soumise pour tout projet ou activit susceptible d alt rer l environnement L EIE permettra de savoir si le projet est respectueux de l environnement et que les risques sociaux sont prise en compte ce qui facilite une prise de d cision de la part de la Banque Mondiale L EIE value les risques environnementaux et sociaux et les impacts potentiels d un projet dans sa zone d influence examines des projets alternatifs identifie les moyens pour am liorer le projet choisi La soumission des EIE la Banque mondiale est de la respons
13. DPC et les m dias pour les bulletins m t os 3 Alix ROUMAGNAC et Emmanuel POUSSE Expertise institutionnelle des services hydro m t o d Ha ti f vrier 2 1 3 1 2 Le Service National des Ressources en Eau SNRE Le Service National des Ressources en Eau SNRE est un service de la Direction de l Infrastructure Agricole DIA du Minist re de l Agriculture des Ressources Naturelles et du D veloppement Rural MARNDR La DIA est responsable de la conception de la coordination d tude et du contr le des infrastructures agricoles pour l irrigation le drainage l hydraulique agricole et l approvisionnement en eau des zones agricoles l int rieur des p rim tres 1rrigu s Elle est responsable du programme du d veloppement et de la gestion des syst mes d irrigation publics et est galement charg e de la construction des barrages et des digues Le SNRE a t cr le 20 d cembre 1980 et comprenait 5 sections 1 Centre National pour la m t orologie CNM 2 La section de M t orologie Agricole et de Climatologie SMC pour l agro m t orologie et la climatologie 3 La section d Hydrologie et de S dimentologie SHS qui s occupe de la collecte des donn es sur les eaux de surface et tait dot e d un laboratoire d analyse des eaux 4 La section d Hydrog ologie et de G ophysique SHG qui s occupe de l inventaire de l tude et du contr le des eaux souterraines 5 La section de Fo
14. Minamata au Japon nombreux Etats sensibilises se sont pench s vers des mesures pr ventives de lutte contre le mercure Travaillant ensemble sur les moyens de r duire et m me d liminer l utilisation du mercure dans tous les domaines ils ont adopt s des conventions internationales qui traitent directement ou indirectement du mercure comme la convention de Minamata sur le mercure qui a t le premier accord mondial contre le mercure la convention de Bale la convention de Rotterdam Le Canada les Etats Unis et l Union Europ enne ont lanc la lutte travers de nombreux moyens Dans la convention de Minamata nombreux produits sont mentionn s terme d limination d ici 2020 Ils sont e Les batteries sauf les piles bouton utilis s dans les dispositifs m dicaux implantables e Les commutateurs et relais e Certaines lampes fluorescentes compactes e Des lampes fluorescentes cathode froide et lampes fluorescentes lectrode ext rieure e Savons et produits cosm tiques claircissant contenant du mercure e Certains appareils m dicaux tels que les thermom tres et tensiom tres les sphygmomanom tres e Le mercure utilis dans les mines d or petite chelle travers l orpaillage et dans les centrales de charbon e Les instruments de mesure non lectroniques non introduits dans des quipements de grande taille et non utilis s pour des mesures de pr cision comme le barom tre et l hygrom tre e Les pe
15. Rapport pr liminaire 2011 Page 2 Tonny Joseph Planting Now Second Edition Revitalizing Agriculture for Reconstruction and Development in Haiti Oxfam Briefing Paper No 162 October 2012 Alix ROUMAGNAC et Emmanuel POUSSE Expertise institutionnelle des services hydro m t o d Ha ti Abdoulaye harou m t orologue canada Degrace Jeanno l m t orologue France Serge pieyns hydrologue France D veloppement des services M t orologiques et hydrologiques en Ha ti Propositions d actions pour le moyen terme Gen ve mai 2010 53 e Herv Bredif Chercheur l Universit Paris 1 Panth on Sorbonne https e cours univ paris1 fr modules uved risques naturels 312 html 54 Annexes Annex 1 Analyse des impacts n gatifs des diff rentes phases de mise en uvre du projet Source plan East Tenessee gestion du mercure Effets potentiels du mercure sur la sant I Exposition de courte dur e Inhalation Les vapeurs de mercure sont tr s toxiques par voie d inhalation Le mercure provoque de graves dommages des voies respiratoires Les sympt mes comprennent des maux de gorge toux douleur oppression thoracique difficult s respiratoires maux de t te faiblesse musculaire des modifications h patiques la fi vre et une pneumonie La plupart des vapeurs de mercure inhal es sont retenues dans les poumons et passent rapidement dans la circulation sanguine Ingestion Le mercure peut pr
16. de mesures param tres principaux mesur s niveau d eau dans les rivi res hauteur pluviom trique temp rature et autres 18 e 53 stations d alertes sir nes pour alerter la population environnante en cas de danger d inondation imminentes e 2 syst mes de serveurs E vigilance l un h berg en Ha ti la Digicel Op rateur de T l phonie et Internet et l autre en France dans un Datacenter avec contrat de maintenance Les stations de mesures qui couvrent environ la moiti des bassins versants d Ha ti sont de deux types munis g n ralement de capteur sp cifiques On y rencontre des capteurs de niveau de type radar Vega qui sont plac s au niveau des ponts particuli rement sur les parapets Ils mesurent en principe le tirant d air entre la t te du radar et l eau ou le fond du lit par envoi d ondes hyperfr quences Le deuxi me type est un regroupement mixte munis de Capteur impulsion Va sala Elles mesurent la hauteur de pluie grosseur et de la densit des gouttes la temp rature la direction du vent et autres param tres agro climatiques Chaque station de mesures est associ un boitier avec panneau solaire 7 w int gr sur face sud permettant de loger e Un tube avec carte m re et modems GPRS et Iridium e Un tube pour l alimentation lectrique e Une batterie 18 A h stationnaire A noter dans certains cas les deux types de station sont coupl s en un m me site proximit des ri
17. des mesures de mitigations sera connu apr s l tude d impact environnemental qui permettra d identifier les impacts environnementaux et sociaux et par la suite les mesures de mitigation Activit Co t Suivi de la mise en uvre du cadre de gestion environnementale US 21 000 et sociale consultant pour appuyer l UEP visites de terrain per diem carburant US 10 000 Une strat gie de communication et de sensibilisation sera d velopp e par le MARNDR pour vulgariser les m thodes et am liorer les comportements Elle sera mise en uvre par les sp cialistes environnementaux de la CE de l UEP avec pour objectifs 9 Fournir des informations pertinentes aux communaut s du projet par les canaux de communication appropri es Faciliter un change significatif d information deux sens entre et avec les groupes diff rents de parties prenantes tout le long de la mise en uvre du projet Construire une base de confiance entre les acteurs principaux du projet et les communaut s et promouvoir la collaboration parmi toutes les parties prenantes Faciliter des relations de collaboration entre les agences de d veloppement Renforcer la bonne gouvernance et la compr hension entre les parties prenantes Bibliographie Webographie Comit Interminist riel d Am nagement du Territoire CIAT La gestion int gr e des bassins versant Etat des lieux du r seau des mesures hydrom t orologiques
18. du Minist re des Transports Publics L OFNAC se doit de respecter des normes internationales notamment en termes de fournitures d information m t orologiques aux compagnies a riennes desservant Ha ti Sur ce plan l OFNAC s est trouv dans une situation de d ficience totale des services du MARNDR en charge de cette fonction Les services attendus d un service m t o sont tr s cibl s i les pr visions m t orologiques actualis e heure par heure METAR ii les Traffic Aerodrome Forecast TAF lors des p riodes de mauvais temps iii les donn es ROPMET et iv l interaction avec les pilotes sur les observations int grer que ces derniers peuvent communiquer Vu la faiblesse du CNM et ses obligations l OFNAC a d cid de soutenir le CNM L OFNAC a recrut du personnel pr visionnistes et observateurs mis disposition du CNM ainsi qu un local L OFNAC consid re que des am liorations importantes pourraient tre faites en terme de services au niveau du CNM i am liorer et fiabiliser les quipements 11 couvrir au minimum l ensemble des a roports d Ha ti ii disposer d une situation m t o plus exhaustive sur l ensemble du ciel d Ha ti Pour POFNAC les priorit s sont une rationalisation des structures l existantes la situation institutionnelle floue du CNM n est pas tenable et l am lioration de la qualit des services et des quipements L OFNAC consid re la possibilit de cr er
19. et du sous secteur des fonctions assurer et de l analyse des d ficits institutionnels Un plan de r forme sur 5 ans a t d fini et prend en compte Les chantiers de refondation institutionnelle devant aboutir disposer d une capacit minimum solide de gestion administrative de gestion comptable et financi re de gestion des ressources humaines de passation des march s et de programmation ainsi que de pilotage de ce processus de r forme Un chantier de d concentration visant renforcer les Directions D partementales de l Agriculture DDA et leurs Bureaux Agricoles Communaux BAC afin qu ils soient en mesure de d livrer des services aux producteurs et d ex cuter les programmes d concentr s du minist re con us dans une logique partenariale avec les autres acteurs du secteur sur chaque d partement Des chantiers sous sectoriels permettant de prendre en compte les volutions n cessaires des d marches en mati re d appui aux fili res d am nagement de protection sanitaire et d innovation en regroupant les fonctions de recherche vulgarisation et formation Ce plan de r forme est graduel Il tient compte de l extr me faiblesse du MARNDR et du besoin de mettre l accent sur le renforcement de ses ressources humaines Un dispositif de pilotage est mis en place afin d adapter les interventions et leur rythme de trouver les r ponses aux blocages in luctables qui se poseront et de mobiliser
20. et s accumule dans son cerveau et d autres tissus Elle peut aussi se transmettre au nourrisson par l allaitement L exposition au mercure est particuli rement nuisible la croissance des nourrissons et des jeunes enfants que leur syst me nerveux en plein d veloppement rend particuli rement vuln rables Il est tabli que l intensit de la contamination au mercure d termine la gravit de ses r percussions sur la sant Mais des d couvertes en pid miologie datant de la derni re d cennie laissent entendre que ses effets toxiques se d clarent des concentrations bien plus faibles qu on ne le croyait auparavant D autres effets potentiels du mercure sur la sant l tude incluent le lien entre l ingestion de m thylmercure contenu dans le poisson et l incidence accrue des maladies cardiovasculaires Le Centre international de recherche sur le cancer CIRC a galement d couvert que le m thylmercure est un canc rog ne potentiel pour l homme La cognition la m moire l attention le langage la motricit fine et la vision dans l espace peuvent tre affect s chez des enfants ayant t expos s au mercure avant la naissance Les f tus sont particuli rement sensibles aux incidences du mercure sur le d veloppement L exposition in utero est susceptible d avoir des effets pr judiciables sur le cerveau et le syst me nerveux en d veloppement de l enfant Le principal effet sanitaire du mercure est l
21. la CNSA a d constituer progressivement depuis 2000 son propre r seau de pluviom tres r partis sur tout le territoire 150 en fonction des 11 zones de vie et des zones agro cologiques Elle s appuie sur un r seau d observateurs g n ralement des producteurs ou membres d ONG locales La CNSA veille aussi un retour de l information vers eux La CNSA re oit aussi les images satellitaires elle croise les donn es avec ses relev s pluviom triques et avec d autres facteurs d gage les pr visions de production Elle a des protocoles avec le CNIGS pour l tablissement de cartes La CNSA dispose d une base de donn es de plus de 30 ans de relev s pluviom triques Pour affiner ses pr visions et la connaissance de la situation elle souhaiterait disposer en plus des donn es pluviom triques de donn es sur le vent et l ensoleillement l hygrom trie Mais cela suppose d installer des stations plus comp tes Avec l appui du Programme des Nations Unies pour le D veloppement PNUD dix 10 stations agro m t orologiques seront install s dans le sud dans le cadre d un projet sur l adaptation des cultures au changement climatique La CNSA consid re que en principe la collecte de donn es m t o ne rentrerait pas dans ses fonctions Elle le fait par d faut Elle attendrait d un service m t o fiable des donn es par d cade sur les diff rents facteurs agro m t orologiques Pour la CNSA cette f
22. les incin rateurs grande capacit r serv s aux d chets dangereux qui seront construits dans les centres polyvalents d partementaux pour liminer les d chets dangereux issus des activit s d epidemiosurveillance des produits phytosanitaires et les pesticides p rim s 64 Crit res de s lection des sites de construction Les sites de construction doivent tre s lectionn s selon des crit res qui vitent des impacts n gatifs durables sur l environnement l h ritage culturel ou les livelihoods des personnes affect es Un formulaire de s lection est en annexe Aucune r installation involontaire des personnes ou expropriation pour cause d utilit publique comme d finie par la Politique Op rationnelle de la Banque Mondiale 4 12 n est permis Dans les cas o il n est pas possible de trouver des terrains prives et non occupes des ententes volontaires entre l initiateur de projet et les propri taires puissent tre conclues autant que ces ententes n emp chent pas la viabilit des r sidences de personnes et en tant qu il n y pas n cessit de d placement physique des personnes 6 5 Mesures de mitigation 6 5 1 Mesures de mitigation pour les chantiers de construction La r habilitation et ou l am nagement des stations se feront dans le respect du code national des b timents disponible sur http uclbp gouv ht download cicps 2014 cnbh fusion pdf Durant la phase des travaux les fir
23. pont reliant les localit s de Carrefour Marassa et Fleuriot L objectif de ces installations est de mesurer la hauteur d eau sur la rivi re en p riode de crue en vue de faire vacuer les populations avoisinantes Ces quipements collectent des donn es l aide d un radar qui les transforme en signaux qui seront interpr t s au niveau du r seau Voir la photo ci dessous 4 4 Analyse des caract ristiques de l quipement Une connaissance de l quipement qui sera utilis et de ses sp cificit s techniques permettra de a Choisir en cons quence les sites de mise en place des stations ou quipement afin d assurer une efficacit optimal b Evaluer les missions de mercure afin d orienter son plan de mitigation et de gestion c Comparer les missions de ces quipements aux normes ou aux quantit s maximales acceptables etc Cependant jusqu cette version du CGES les quipements qui seront utilis s restaient encore inconnus et de ce fait les mesures de mitigation seront sujettes certaines mises jour 5 Al as li s la fonctionnalit du nouveau SHM Risques sociaux et environnementaux li s au mercure 5 1 Les risques socio conomiques Le mercure est un l ment chimique pr sent partout dans la nature On le trouve dans l eau Pair et le sol Il est utilis dans plusieurs domaines aci rie cimenterie pharmacologie etc vu qu il a de tr s grandes et int ressantes propri t s physico chi
24. son propre service m t orologique pour fiabiliser et s curiser les donn es dont il a besoin mais le choix a t d attendre les volutions institutionnelles en cours l OFNAC tant conscient que les questions m t orologiques sont aussi un ensemble avec une pluralit d acteurs et que la m t o est une affaire nationale et non d un acteur Dans le cas d une nouvelle entit efficiente sur le plan m t orologique que l OFNAC est pr t cofinancer l OFNAC pense n anmoins mettre en place en son sein une cellule m t o pour des applications plus sp cifiques propres ses besoins laquelle travaillerait sur la base des donn es fournies par la nouvelle entit 1 3 1 7 La Coordination Nationale de la S curit Alimentaire CNSA La CNSA est un tablissement autonome cr en 1996 sous la tutelle du MARNDR dont le Conseil d Administration regroupe plusieurs minist res concern s par cette mission de s curit alimentaire La CNSA est d concentr e et dispose de dix 10 observatoires d partementaux un par d partement Elle travaille en lien troit avec les producteurs leurs associations et les ONG pr sentes sur le terrain et fournit des informations r guli res sur la situation des productions les perspectives les cours et la pluviom trie La CNSA vend aussi ses services en termes d tudes de donn es trait es des ONG bureaux projets et organismes priv s Face la d ficience des services du MARNDR
25. MDE Le MDE a t cr en 1994 et doit s appuyer sur le d cret du 26 Janvier 2006 portant sur la gestion de l environnement et de r gulation de la conduite des citoyens et citoyennes pour un d veloppement durable Il dispose de deux structures impliqu es sur les questions d hydrom t orologie la Direction des Ressources en Eaux DRE et l Observatoire National de la Vuln rabilit ONEV L ONEV n est pour le moment qu un simple service du MDE Selon le d cret du 26 Janvier 2006 les fonctions d hydrom t orologie devaient tre transf r es au MDE Au sem du MDE la DRE aurait une fonction de gestion des ressources en eau et des bassins versants Ce r le devrait tre plus orient sur les politiques les normes et la strat gie Elle a aussi un r le de collecte et traitement des donn es La DRE a h rit du seul cadre en charge des questions climatiques L ONEV a un r le de gestion de l information environnementale Il est en charge de g rer toutes les bases de donn es du MDE Ces deux entit s n ont pas encore affirm leur positionnement en d livrant des services aux autres acteurs du secteur sous revue n anmoins les intentions existent Le MDE est un minist re disposant de peu de ressources et dont une clarification des fonctions est faire avec le MARNDR sur tout ce qui est gestion des bassins versants gestion des ressources naturelles et gestion des ressources en eau La capacit d action de la DRE e
26. NRE CE des sites Gouvernement concern s et de mise en place de nouvelles stations Travailleurs e Risques Protection des e Port des quipements de L entreprise de d accident Travailleurs protection construction r habilitation pendant le chantier e Port des quipements de Risques li s protection la mise en place des quipements Risques lies e Arrosage du site port des quipements de protection pour les 34 Autre Impacts Etape de mise en uvre du projet Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit Etape de r am nagement des sites concern s et de mise en place de nouvelles stations aux probl mes respiratoires dus la poussi re travailleurs et contr le de la vitesse et de la fr quence de la circulation des v hicules Tableau 4 Analyse des impacts n gatifs en stade d op rationnalisation Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Mesures mitigation Enjeux de Responsabilit Composante 1 Renforcement de la capacit du GdH collecter stocker traiter et fournir des donn es hydrom t orologiques et climatiques appropri es a des utilisateurs finaux sur le long terme i Am lioration de la coordination institutionnelle et du partage des donn es 1 Int gration de stations hydrom t orologiques existantes en un r seau central national de donn es hydr
27. Palimentation le les liminer dans des plancton par lieux d cid s par le respiration ou Gouvernement travers la surface du corps Eaux de o Risque de Protection des e Former le personnel la UEP CE en collaboration surface et eaux souterraines Pollution des eaux rivi res et mer par les d chets solides et les ressources en eau manipulation l entreposage et au confinement des d chets chimiques et des mati res dangereuses e Utiliser de la machinerie et avec la coordination du projet 30 Autre Impacts Etape de mise en uvre du projet Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit Etape de r am nagement des sites concern s et de mise en place de nouvelles stations Eaux de surface et eaux souterraines d versements involontaires des d chets chimiques Risque de d t rioration de la qualit de l eau de la rivi re due au Transport de s diments et d chets de chantier Protection des ressources en eau des quipements en bon tat Collecte R utilisation Elimination des d chets solides selon les normes de sauvegarde environnementale des s diments et d chets de chantiers Collecte R utilisation ou Elimination selon les normes de sauvegarde environnementale des s diments et d chets de chantiers Collecte R utilisation ou Elimination selon les normes de sauvegarde enviro
28. a r habilitation de stations quipements hydromet A ce titre il sert de guide l laboration d tudes d Impacts Environnementaux et Sociaux EIES sp cifiques du projet dont le trac pr cis emplacement de nouvelles stations et les caract ristiques environnementales et sociales restent encore inconnus En outre le CGES d finit le cadre de suivi et de surveillance ainsi que les dispositions institutionnelles prendre durant la mise en uvre du programme et la r alisation des activit s pour att nuer les impacts environnementaux et sociaux d favorables les supprimer ou les r duire des niveaux acceptables 14 2 Cadre l gal du CGES De nombreux texte de lois relatifs la protection de l environnement ont t revus par le Parlement ha tien Rares sont ceux qui traitent de la gestion des d chets dangereux en Ha ti Il s agit de Il D cret du 3 Mars 1981 r gissant la gestion et l limination des d chets L arr t Pr sidentiel du 21 Ao t 1983 d limitant la zone d intervention du Service M tropolitain de Collecte des R sidus Solides Projet de loi sur les p rim tres de protection des sources et des points d eau 1989 Projet de loi sur le Conseil National de l eau et de l assainissement D cret Cadre sur la Gestion de l environnement 2006 convient aussi de citer plusieurs autres accords internationaux r cents de grande importance sign s par la Gouvernement Ha tien mais
29. abilit du Gouvernement Ha tien Celui ci exigera de la firme charg e de mener les activit s de r habilitation installation d quipements hydromet de r aliser ces EIE cette tache devra figurer dans les termes de r f rences de la firme en question 4 12 R installation Involontaire La politique de r installation involontaire des personnes de la Banque Mondiale inclut galement la r installation physique et la r installation conomique et vise viter ou minimiser la r installation involontaire et la perturbation y relative y compris l acc s restreint aux aires prot g es Offrir des proc dures transparentes et justes de compensation pour l acquisition involontaire de terre Assister les personnes affect es dans leurs efforts pour am liorer leurs conditions de vie ou pour au moins les restaurer 17 Directives Contenu Implication au niveau pr d placement Les activit s financ es par le Projet se concentrent principalement sur la r habilitation d infrastructures existantes et auront des impacts mineurs en termes de d placements temporaires ou permanents de populations Dans le cas o la construction de nouvelles stations serait n cessaire cette construction ne puisse pas r sulter en r installation involontaire c d elle doit avoir lieu sur un terrain public qui n est pas occup par des personnes En cas exceptionnel il puisse tre permis de constr
30. ablissement et Compensation Carbone 40 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures mitigation de Responsabilit climatiques appropri es a des utilisateurs finaux sur le long terme Composante 1 Renforcement de la capacit du GdH collecter stocker traiter et fournir des donn es hydrom t orologiques et climatiques appropri es a des utilisateurs finaux sur le long terme fonctionnement d un comit de pilotage interinstitutionnel sur les services hydrom t orologiques et climatiques 5 Dans une moindre mesure r paration d quipement n cessaire pour collecter des donn es hydrom t orologiques et climatiques essentielles ii Renforcement institutionnel renforcement des capacit s et d veloppement de partenariats 41 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures mitigation de Responsabilit 1 valuation des capacit s actuelles des services hydromet 2 D veloppement d une vision de 10 ans comprenant une strat gie et un plan de d veloppement financier et de ressources humaines bas sur une valuation des comp tences 3 D veloppement de partenariats ex Programmes de formation et d change entre des institutions Ha tiennes et trang res pour appuyer le d veloppement de capacit s nationales en gestion de d
31. aine vers le sol par les eaux de pluie et pollue les v g taux la faune le sol la nappe phr atique et du coup l eau disponible pour la population ainsi que pour la faune terrestre et aquatique Un tel niveau de propagation avec un m tal lourd comme le mercure qui a la capacit de s accumuler dans les tissus vivants et augmenter progressivement en montant la chaine alimentaire devrait tre une alerte mondiale Air Le mercure chapp peut parcourir des centaines de kilom tres Dans l atmosph re il est totalement lessive entrain par les eaux de pluie vers les lacs et rivi res vers le sol et la v g tation Eau Dans l eau il est capable de s adsorber sur les mati res en suspension et sur les s diments Ainsi partir d une concentration de 8mg l il commence inhiber le m tabolisme des micro organismes d o atteinte la fonction de ces derniers dans l puration des eaux us es Il r duit alors le potentiel d auto puration des eaux L eau tant pollu e l cosyst me aquatique est alors perturb et cela a pour cons quences la modification de la nature de la faune aquatique Sol Le mercure tend souvent s accumuler dans les sols humiques La concentration du mercure dans un sol diminue avec la profondeur Plus un sol est riche en mati re organique plus il favorise l adsorption du mercure de ce fait l accumulation du mercure se fait plus forte concentration dans les horizons sup rieu
32. aire au d veloppement d applications hydrom t orologiques pour les utilisateurs 4 Formations et ateliers et appui technique aux utilisateurs pendant une dur e d termin e 44 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures mitigation de Responsabilit 5 Projets de recherche pour promouvoir l investissement en donn es hydrom t orologiques et climatiques et en leur application pour le d veloppement de politiques et pour des projets sectoriels 6 R unions et ateliers rassemblant producteurs et utilisateurs publics et priv s 7 D veloppement de propositions pour int grer le changement climatique dans les politiques et programmes de d veloppement 45 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures de Responsabilit mitigation Composante 3 Appui 1 Recrutement d un Ignorance de la Fournir des UEP CE l ex cution et au suivi et valuation du projet et appui la coordination de la SPRC coordinateur de projet et de consultants pour appuyer l ex cution du projet 2 Recrutement de sp cialistes pour le fonctionnement des services hydrom t orologiques dangerosit li e la manipulation et la gestion des quipements renseignements sur le respect des proc dures de gestion et ou d limination des d chets
33. autions suppl mentaires lorsque vous nettoyez le mercure Voici quelques conseils pour vous aider le faire A rer la pi ce zone int rieur en ouvrant les fen tres par exemple les laisser ouvertes pendant au moins 15 minutes loigner les personnes de l endroit du deversement Porter des gants en caoutchouc ou en plastique et mettre de vieux v tements avant de nettoyer les perles de mercure et de verre bris Ramasser les morceaux de verre soigneusement et les mettre dans un sac ou un r cipient en plastique Recueillir les perles de mercure d vers es en utilisant un morceau de carton ou une bande de ruban adh sif vous pouvez aussi utiliser une bouteille en plastique vide les aspirer comme une bouteille de liquide vaisselle vide Les perles de mercure refl tent la lumi re Vous pouvez utiliser une torche pour chercher des perles qui sont difficiles rep rer Mettre le morceau de carton ou la bouteille et les gouttes de mercure dans le sac en plastique Essuyez les avec un chiffon humide puis mettre le tissu dans le m me sac et le sceller Quitter la zone pour a rer pendant au moins 24 heures apr s le nettoyage du d versement avant d y revenir Les d versements de mercure sur des surfaces absorbantes comme les tapis et tissus d ameublement peuvent tre difficiles nettoyer Dans ces cas il est conseill d entrer en contact avec l EPA car ils peuvent avoir besoin d tre enlev s et limin s d une mani r
34. besoins des utilisateurs et d veloppement de services d di s aux secteurs prioritaires protection civile s curit alimentaire infrastructures sant sous la forme d interfaces d di es aliment es par une plateforme de donn e centrale US 1 400 000 Composante 3 Appui la mise en uvre du projet suivi et valuation US 600 000 Ceci inclut l appui aux activit s de coordination suivi valuation passation de march gestion financi re sauvegardes et communication 13 Cadre institutionnel du projet Actuellement le secteur de l hydrom t orologie est domin par deux acteurs institutionnels principaux le Centre National de M t orologie CNM et le Service National des Ressources en Eau SNRE Ces deux institutions sont sous la tutelle du Minist re de l Agriculture des Ressources Naturelles et du D veloppement Rural MARNDR Au niveau national le MARNDR et le D partement de la Protection Civile du Minist re de l Int rieur et des Collectivit s territoriales administrent conjointement un syst me d alerte via le Programme National d Alerte Pr coce PNAP Ha ti est membre de l Organisation M t orologique Mondiale OMM et de l Organisation de l Aviation Civile Internationale OACT Cette qualit de membre oblige Ha ti proc der l observation syst matique d un nombre de param tres m t orologiques hydrologiques et climatiques et permet en contrepartie aux structures nationales
35. de b n ficier d appuis de la part de centres d expertises tels que la NOAA M t o France etc 1 3 1 Les acteurs institutions impliqu es dans la Gestion des Syst mes Hydrom t orologiques en Ha ti R le et champ d intervention Plusieurs acteurs interviennent dans l effort visant renforcer la capacit de surveillance et de diffusion dans ce secteur 1 3 1 1 Le Centre Nationale de M t orologie CNM Sur le plan institutionnel le CNM est issu du Service National des Ressources en Eau SNRE cr en 1980 au sein du MARNDR dont il a t d tach en 2001 par une circulaire interne Depuis cette date il fonctionne comme une entit rattach e la Direction G n rale du Minist re de l Agriculture des Ressources Naturelles et du D veloppement Rural MARNDR Le CNM est en charge du suivi des donn es m t orologiques et des pr visions Dans la pratique il d pend enti rement de l OFNAC qui tient ce service bout de bras l h berge et met du personnel disposition La capacit du CNM se limite des relev s sur 3 a roports avec trois stations m t orologiques synoptiques fonctionnelles Port au Prince Cap Ha tien J r mie Les pr visions sont faites partir des informations transmises par m t o France Le CNM communique POFNAC en temps r el les donn es de ces stations et d livre les bulletins m t o pour le grand public Les principaux clients du CNM sont l OFNAC la
36. des r cipients appropri s et les liminer Qualit de l air dans des lieux de Air Risque de stockage d cid s par le MARNDR SNRE CE contamination ou Gouvernement Etape de de pollution de I air r am nagement par le mercure des sites Risque de Protection des e Collecter les d chets MARNDR SNRE CE concern s et de Les contamination des oiseaux contenant du mercure mise en place de animaux oiseaux piscivores piscivores avec des r cipients nouvelles stations appropri s et les liminer dans des lieux d enfouissement technique Les Afflux Protection de la e Utilisation de la main L entreprise de Populations d ouvriers de Population d uvre locale construction r habilitation manouvriers et autres inconnus dans la zone la recherche d opportunit s li es au projet entrainant des cas de 33 Autre Impacts Etape de mise en Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit uvre du projet criminalit s et de e Rechercher la violence participation des lus Les Protection de la locaux des Responsables Populations Population des Organisations de Base et autres leaders locaux dans le processus de recrutement e Collecter les d chets js Risques contenant du mercure d exposition des avec des r cipients populations une appropri s et les liminer Etape de pollution par le dans des lieux de r am nagement mercure stockage d cid par le MARNDR S
37. dont les instruments de ratification n ont pas encore t d pos s Ce sont entre autres La Convention pour la Protection de la couche d ozone et les diff rents amendements et protocoles additionnels cette convention sign e en 1998 La Convention sur les Polluants Organiques Persistants POP sign e en 2001 Le Protocole de Cartagena sur la pr vention des risques biotechnologiques relatifs la Convention sur la Diversit Biologique 29 janvier 2000 La Convention de Rotterdam sur la proc dure du consentement pr alable applicable certains produits chimiques et pesticides dangereux qui font l objet du commerce international 10 sept 1998 non sign e La Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques 1994 La Convention sur les Polluants Organiques Persistants POP sign e en 2001 Sur le plan de la gestion des risques sociaux les directives ou instances suivantes appliquent La l gislation fonci re nationale Le D cret du 22 septembre 1964 Moniteur du jeudi 24 septembre 1964 divise en ses Articles 1 et 2 le Domaine National en Domaine Public et Domaine Priv de l Etat Le Domaine Public est inali nable et imprescriptible Il consiste dans toutes les choses qui sans appartenir personne sont par une jouissance en commun affect es au Service de la Soci t en g n ral La mani re de jouir du Domaine Priv est soumise des lois sp ciales et aux r glements particu
38. e particuli re Instructions de nettoyage d taill es sur les d versements de mercure 1 2 Mettez des gants de caoutchouc nitrile ou latex S il y a des morceaux de verre ou des objets pointus les ramasser avec soin Placez tous les objets bris s sur une serviette en papier Pliez la serviette de papier absorbant et placer dans un sac fermeture zip Fixez le sac et l tiqueter comme dirig par votre service de sant ou d incendie local Localiser perles de mercure visibles Utiliser une raclette ou un carton pour recueillir des gouttes de mercure Utilisez lents mouvements de balayage afin d viter que le mercure devienne incontr lable Prenez une lampe de poche maintenez le un angle faible pr s 2 56 du sol dans une pi ce sombre et chercher des perles scintillantes suppl mentaires de mercure qui peut tre coll la surface ou dans de petites zones fissur es de la surface Remarque le mercure peut migrer a des distances surprenantes sur des surfaces dures et plates alors assurez vous d inspecter toute la pi ce lors de votre recherche Utilisez la pipette pour recueillir les perles de mercure Lentement et soigneusement presser le mercure sur une serviette en papier humide Placer la serviette de papier dans un sac fermeture zip et s curiser Assurez vous d tiqueter le sac comme dirig par votre service de sant ou d incendie local Apr s avoir supprim plus grandes perles mettre de la cr me
39. es cultiv es et les arbres situ s en dehors de la zone d emprise et des bandes de circulation et viter de s approcher trop pr s des habitations Les firmes tiendront compte des pr occupations des exploitants agricoles lors des trac s des voies d acc s au chantier et aux carri res de fa on minimiser les risques de d gradation de terres agricoles Le trac des d viations sera fait par la firme sous la supervision du comit local de gestion L UEP CE se chargera de veiller au respect normes environnementaux pendant toute la p riode des constructions ou d am nagement Les firmes seront encourag es organiser des campagnes de sensibilisation afin de pr venir d ventuels conflits li s aux travaux l exploitation des carri res et des ressources naturelles de la localit et au d veloppement induit Cette activit doit soutenir la mise en uvre du projet toutes pendant tout la p riode des construction r habilitation 6 5 2 Mesure de gestion et d limination des d chets provenant des stations ou quipement Le mercure est un l ment qui ne peut tre d truit Il est important de s assurer que les produits contenant du mercure sont limin s de fa on appropri e afin d viter que le mercure affecte n gativement la sant humaine et l environnement Par cons quent il est important de s assurer que les instruments Thermom tre contenant du mercure ne soient pas limin s avec les autres d
40. es donn es les thermo et partenariat hydrom t orologiques et barom tre sont avec la climatiques appropri es a des gard s dans un Coordination utilisateurs finaux sur le long omaron du projet ne tu et 2 D veloppement de i Haa De se ne prot g s de mani re proc dures standard N gligence Protection ad quate contre les UEP CE Ce DOS pour la a pes i a bris et l alt ration gestion des stations et een Naturelles _ Consulter r guli rement les hydrom t orologiques et personnes formation de personnel sur les proc dures responsables de l entretien et du remplacement de produits contenant du mercure dans l quipement afin d assurer la 38 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures de Responsabilit mitigation gestion du Composante 1 Renforcement mat riel chang de la capacit du GdH et la fiabilit des collecter stocker traiter et J _ PHOBISRES n donn es UEP CE fournir des donn es P la a eii Sources hydrom t orologiques et eo Fe Naturelles Faire des climatiques appropri es a des REOVERARE des exigences sur la utilisateurs finaux sur le long activit s de gestion des ne maintenance d chets contenant du mercure 2 D veloppement de o Probl mes proc dures standard li s la gestion Protection UEP CE d exploitation pour la des d chets des gestion des stations et provenant des ds
41. esponsabilit de l entreprise qui r alise les travaux 51 3 La firme doit avoir dans son quipe un sp cialiste environnemental qui s assurera que les clauses environnementales et sociales sont effectivement r alis es Chaque rapport de supervision doit inclure un chapitre concernant le suivi des mesures environnementales et sociales La CE de l UEP du MARNDR est charg e de faire le suivi de la mise en uvre du CGES Elle s assurera de la mise en place d un dispositif op rationnel de suivi valuation du Plan de gestion en vue de mesurer entre autres le niveau de concentration du Mercure dans l eau les sols les aliments etc dans le cas d une ventuelle contamination Elle tudiera aussi l impact de cette derni re sur la sant humaine et les cosyst mes et d veloppera des outils permettant de mieux suivre l volution de la situation e D finition et suivi des Indicateurs par la CE MARNDR e Les mesures de mitigation et contr le mesures pour la collecte des d chets et l limination Gestion des d chets L Entrepreneur est responsable de la r cup ration de l entreposage et de la disposition des mati res r siduelles et d chets g n r s dans le cadre du contrat qui lui est allou L Entrepreneur disposera des d chets dans les installations pr vues cette fin proximit du chantier Elles seront vid es p riodiquement et si la r utilisation des d chets g n r s n est pas po
42. hases de mise en uvre du projet 25 Tableau 4 Analyse des impacts n gatifs en stade d op rationnalisation sssssesesseseeeeeeseeeeeee 34 1 Introduction Tenant compte de l importance des donn es hydrom t orologiques la quantification des flux hydrologiques que ce soit au niveau r gional national ou local constitue un pr alable l estimation des ressources en eau et est essentiel tout projet de gestion de celles ci Ainsi dans la recherche des alternatives de d veloppement durable il est n cessaire que soient mis en uvre des syst mes op rationnels dits r seaux hydrom t orologiques capables de mesurer toutes les donn es n cessaires pour caract riser la r partition dans le temps et dans l espace des composants du cycle hydrologique tels que pr cipitations coulements de surface niveaux des nappes phr atiques De telles donn es se sont av r es essentielles surtout lorsqu elle s int gre dans la gestion des bassins versants dans l tablissement des calendriers ou plans culturaux etc En Ha ti la collecte des donn es est de plus en plus d sorganis e Le document du plan national de gestion des risques et d sastre manant du Minist re de l Int rieur et des Collectivit s Territoriales stipule que Le d fi en terme d organisation nationale est de pouvoir tablir partir d un diagnostic correct un syst me participatif avec un quilibre des responsabilit s entre les diff
43. ipaux ou de votre service d incendie local pour une limination appropri e conform ment aux lois locales tatiques et f d rales Qu est ce qu on ne doit pas faire Lors du nettoyage d un d versement de mercure 57 e ne mettez pas le sac scell dans votre bac de m nage le mercure est class comme d chet dangereux e ne touchez pas le mercure avec vos mains nues e ne pas utiliser un aspirateur e essayez de ne pas cr er de la poussi re s il y a de la poussi re viter de la respirer e ne mettez pas le mercure dans l vier ou le drain e ne pas balayer du mercure avec une brosse ou un balai e ne pas laver les v tements avec du mercure dans la machine laver les jeter dans un sac scell 3 Que faire si le mercure se r pand sur la personne Les sympt mes de l empoisonnement au mercure Bien que le mercure soit toxique il ne provoque g n ralement des probl mes que si vous en aspirez de grandes quantit s Tr s peu de mercure est absorb par votre corps si vous avalez une petite quantit de mercure liquide ou obtenez sur votre peau pendant une courte p riode Ceci est consid r presque non toxique et vous n aurez probablement aucun sympt me Toutefois si vous respirez dans la vapeur de mercure ou de globules il peut tre absorb dans la circulation sanguine et provoquer des sympt mes tels que e une toux e _essoufflement e douleurs la poitrine une oppression thoracique ou une
44. les ressources n cessaires La r organisation du MARNDR est un passage oblig dans cette r forme afin de rationaliser l organisation actuelle de reb tir un cadre organique et des profils de postes adapt s l volution des fonctions et des modes d intervention Un projet de loi organique est en cours de finalisation et pourra int grer les choix en mati re de r organisation des services d hydrom t orologie 13 1 4 Importance et objectif du cadre de gestion environnementale et sociale CGES La mise en uvre de ce projet laisse entrevoir une contamination significative de l air de l eau et du sol par le mercure qui se trouve dans les quipements En cons quence les mesures de surveillance environnementale doivent tre clairement d finis et prises en compte Les impacts n gatifs potentiels sur l environnement et sur la sante ne seront de nature ni temporaire ni de port e g ographique limit e le mercure peut tre transform par des bact ries en m thyle mercure qui va s accumuler biologiquement atteindre une concentration plus forte que dans l environnement dans les poissons et les crustac s En outre dans le cadre de sa composante 1 Renforcement de la capacit du Gouvernement collecter valider archiver analyser les donn es et d veloppement des outils de gestion des donn es le projet aura financer la construction et ou la r habilitation d infrastructures en vue de l optimisation d
45. liers de police Les changements de destination susceptibles de transformer des parties du Domaine Public doivent tre autoris s par une loi L expropriation pour cause d utilit publique peut avoir lieu moyennant le paiement ou la consignation ordonn e par justice aux ordres de qui de droit d une juste et pr alable indemnit fix e dire d expert 15 Le Code du Travail Le Code du Travail de Mars 1984 objet d une r vision en 2003 a rendu la l gislation de la R publique conforme aux normes tablies par le Bureau international du Travail OIT La conformit aux directives de l OIT tait une condition pr alable la certification en vertu de l Initiative du Bassin des Cara bes CBI dict par le Congr s des Etats Unis en 1983 Ce document recouvre une grande part du dispositif de gestion sociale du pr sent CGES Le Minist re de la Sant publique et de la Population MSPP travers la Direction d Hygi ne Publique DHP qui s occupe des aspects normatifs de la qualit sanitaire de la vie dont le contr le de la qualit de l eau de boisson et des industries alimentaires de l hygi ne des march s des places publiques et des cimeti res de l laboration et du suivi de l application des normes et standards d hygi ne du milieu pourrait tre amen intervenir au besoin dans la mise en uvre des PGES Le Minist re des Affaires Sociales et du Travail MAST constitue la principale institution du pa
46. mes informeront et sensibiliseront leur personnel sur la s curit et l hygi ne au travail Elles devront veiller pr server la sant des travailleurs en 49 prenant des mesures appropri es contre certaines maladies notamment 1 les maladies respiratoires dues au volume important de poussi re et de gaz mis lors des travaux ii le chol ra iii les gastro ent rites les maladies diarrh iques et les maladies dues aux changements de zone et d habitudes sociales li s au d placement des travailleurs et la qualit de l eau et des aliments consomm s L int gralit des d chets solides et liquides g n r s par les chantiers y compris emballages d chets alimentaires etc devront tre collect s et vacu s vers une d charge ad quate et ou dans des poubelles S1 les constructions g n rent des huiles de vidange elles seront soigneusement recueillies dans des r cipients tanches d pos es dans les lieux o elles ne menaceront pas l environnement et ne devront en aucun cas tre d vers es dans les foss s lat raux ni au bord des routes dans les plans d eau Si les travaux ne sont pas r alis s en saison de pluie il va falloir viter des missions de poussi re trop importantes Les engins et v hicules de chantier devront le plus possible utiliser les pistes existantes pour acc der au chantier et viter de couper travers les terres avoisinantes Ils devront absolument respecter les parcell
47. mination Lorsque le mercure est renvers L entreprise de Dans la plupart des cas la contamination de l eau des sur le sol il doit tre d terr et construction r ha au mercure est proche de la surface Une sols retir et plac dans un conteneur bilitation UEP enqu te devra tre men e pour pour mat riaux dangereux pour CE sp cialiste de d terminer la quantit de mercure viter une nouvelle l environnement d vers et si la surface et ou les eaux contamination Les d versements souterraines ont t touch es Pour les de mercure dans l eau est peu sols contamin s une excavation 50 probable tant donn que le projet au del de la profondeur de la fera en sorte que l quipement contamination doit veiller P hydrom tallurgique ne soit pas limination du contaminant Les sols install sur l eau contamin s peuvent tre plac s dans DOT tambours approuv e de 55 gallons ou autres r cipients appropri s pour l limination hors site un tablissement autoris traiter et ou liminer les d chets Retrait Le mercure Le projet fournira des r cipients L entreprise de e Le mercure est un d chet Installation n est pas herm tiques pour l limination du construction r ha dangereux de limin de mercure Les travailleurs seront bilitation UEP e Le mercure ne peut pas tre jet l quipement mani re form s pour mettre le CE sp cialiste de dans les gouts sanitaires fosse ad q
48. miques telles que sa capacit tre liquide temp rature ambiante sa densit lev e sa capacit de former des alliages avec d autres m taux Cependant son accumulation dans la nature n est pas sans cons quence sur l environnement et sur tout ce qui s y trouve Sa toxicit vient du fait qu il est non seulement persistant et toxique a faibles concentrations dans l environnement mais aussi qu il franchit de grandes distances 21 Selon OMS le mercure fait partie des dix 10 produits chimiques tr s pr occupants pour la sante publique Inhal ou ing r il demeure tr s nocif pour la sant humaine Il peut tre pr sent sous sa forme l mentaire inorganique mais aussi sous des formes plus toxiques tels que le m thylmercure organique Le mercure l mentaire ne se d compose pas dans la nature mais s vapore assez facilement Le m thylmercure a la capacit de s accumuler dans les organismes vivants y rester et s y amplifier dans la chaine alimentaire Le m thylmercure est la forme laquelle l humain est le plus expos vu qu il est rencontr dans les poissons et les fruits de mer Selon une tude r alis e au Canada la Direction g n rale de la sante des Premi res nations et des Inuits de Sante Canada a tablie certaines recommandations sur les concentrations de mercure dans le sang et les cheveux Le seuil acceptable de concentration dans le sang serait une valeur inf rieure 20ug L
49. n moins de mercure rejet Rice et Hammit 2005 Ces impacts n gatifs du mercure sur la sant humaine seraient aussi la cause d une diminution consid rable de ressources humaines disponibles car affectant le cerveau il a la capacit de r duire le quotient intellectuel des personnes intoxiqu es Ainsi l introduction d un syst me hydrom t orologique base de mercure en Ha ti serait avec le temps la cause d un d clin du nombre de la population active utile l avancement de la soci t ha tienne l infertilit occasionn e entrainerait le d clin du pourcentage de la population jeune D o une diminution encore plus aigu de l conomie ha tienne Par ailleurs il serait essentiel de savoir le niveau d mission ou de rejet du mercure des diff rents appareils choisis pour aider la protection de l environnement par l hydrom t orologie aussi la quantit de mercure susceptible d tre mise dans l atmosph re suivant le type de traitement de surveillance et de suivi 22 5 2 Les risques environnementaux Vu le niveau de toxicit du mercure il pourrait avoir de nombreux impacts sur l environnement ha tien comme il l est dans d autres pays du monde Il circule dans l air l eau et le sol et contamine le milieu ambiant Echapp lors des combustions dans des industries puis inhal il est la cause de probl mes pulmonaire nerveux r naux et tant d autres Dans Pair il peut tre entr
50. nalyse des caract ristiques de l quipement 20 5 Al as li s la fonctionnalit du nouveau SHM Risques sociaux et environnementaux li s au LADA L E SENSATION PRE SEE EEE RER PE RE EE 20 5 1 Les risques S0C10 COnOMIQUES sn rss milan ent nn ie a i i ain 20 52 Les risques environnementaux finies is Rime AUS AS MES at N 22 5 3 Le SHM au regard des instruments internationaux 22 6 Impacts environnementaux et sociaux potentiels du projet et mesures d att nuation 24 6 1 Impacts environnementaux hein a rene stream e aa itra iaasa 24 6 2 Impacts sociaux n gatifs potentiels ss 46 6 3 Directives d att nuation st M en e e e e e en e a et net es 48 6 4 Crit res de s lection des sites de construction 48 6 5 Mes res de mUSsaton ss restituer ins Mn in ro a aR a TE o etera 48 GARE ETE ETEN A T E T E RE ER 50 8 Arrangement institutionnel budget Plan de suivi Conclusion e soeseosossossoesocssesoosseeoossessossee 52 9 Bibliographie Webographie sesooesesooesessossossoesosssesocesesoossessossoseossocsoesoossessossessossocssesocsssssoseessossoe 52 I E T S E EA E T E EE E E EE EESE EAT 54 Liste des Tableaux Tableau 1 Politiques de sauvegarde de la BM applicables au projet 16 Tableau 2 Les stations et les effets environnementaux recens s 19 Tableau 3 Analyse des impacts n gatifs des diff rentes p
51. nnementale des d chets toxiques Construction utilisation de latrines temporaires selon les normes de sauvegarde environnementale ou utilisation de latrines L entreprise de construction r habilitation 31 Autre Impacts Etape de mise en uvre du projet Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit Etape de r am nagement des sites concern s et de mise en place de nouvelles stations Eaux de surface et eaux souterraines Risque de contamination et ou de perturbation des cosyst mes aquatiques du au ruissellement des d chets toxiques r sidus de ciment r sidus m talliques huiles et fluides des quipements peintures etc Risques de contamination des r serves d eau par les mati res f cales des travailleurs Protection des ressources en eau mobiles travailleurs pour les Air Risque d augmentation de poussi re due la circulation des v hicules et des travaux Qualit de l air e Arrosage du site port des quipements protection pour de les travailleurs et contr le de la vitesse et de fr quence de la la L entreprise de construction r habilitation 32 Autre Impacts Etape de mise en Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit uvre du projet circulation des v hicules e Collecter les d chets contenant du mercure avec
52. om t orologiques 2 D veloppement de e Risques li s la Protection des employ s Fournir aux La coordination 35 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures de Responsabilit mitigation proc dures standard manipulation employ s l quipement de du projet et d exploitation pour la des protection l UEP CE gestion des stations et quipements individuelle des donn es ad quat hydrom t orologiques et chaussures de formation de personnel s curit masque sur les proc dures protection auditive v tements de protection et Composante 1 Renforcement lunettes de de la capacit du GdH s curit et un collecter stocker traiter et 2 D veloppement de environnement de fournir des donn es proc dures standard e Risques li s protection travail s curitaire hydrom t orologiques et d exploitation pour la la des syst mes de climatiques appropri es a des gestion des stations et manipulation employ s ventilation utilisateurs finaux sur le long des donn es des installations terme hydrom t orologiques et quipements sanitaires etc La formation de personnel Mettre en coordination sur les proc dures application les du projet et actions courantes l UEP CE de pr vention incendie interdiction de fumer dans les zones risques 36 Etape d op rationnalisation Activit
53. onction d agro m t orologie est une fonction relevant de l tat et devrait tre assur e par le MARNDR Cela devrait tre une de ses fonctions de base Il est incompr hensible que cela ne soit pas assur et que les agents des Directions D partementales de l Agriculture DDA et des Bureaux Agricoles Communales BAC attendent une contrepartie pour assurer cette t che de relev s qu ils consid rent comme additionnelle 1 3 1 8 La Direction de la Protection Civile DPC La DPC est une direction technique du Minist re de l Int rieur et des Collectivit s Territoriales MICT Hors p riodes de crises pour exercer ses fonctions la DPC utilise aujourd hui uniquement le bulletin m t o g n ral pour Ha ti fourni par le CNM Pendant les urgences la DPC sollicite les services techniques du coordonnateur du PNAP pour obtenir des l ments d aide la d cision pour la gestion de crises partir des informations hydrom t orologiques du r seau PNAP La DPC n a pas d ploy des syst mes propres pour collecter de l information hydrom t orologique La DPC consid re que des am liorations importantes pourraient tre faites en terme de services au niveau du CNM et du SNRE i d veloppement d un mini cluster hydro m t o dont le r le serait d alimenter le Centre d Op ration d Urgence National COUN en information sp cifique ii apporter une information plus fine au niveau g ographique p renni
54. onn es hydrom t orologiques et climatiques et en r silience climatique 42 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures mitigation de Responsabilit 4 D veloppement d un programme d tudes sp cialis en r silience climatique pour des techniciens cadres et preneurs de d cision Etablissement de partenariats avec des organisations et r seaux r gionaux des fins de formation ou partage de donn es disponibles Composante 2 Evaluation des besoins en donn es pour des utilisateurs finaux s lectionn s et d veloppement de services d information pour appuyer la prise de d cisions dans le secteur agricole et de la protection civile 1 Identification des exigences hydrom t orologiques pour des secteurs s lectionn s y compris types de risque et de services d information n cessaires modalit s et chaines de communication pr f r es pour atteindre les utilisateurs 2 Ateliers avec des 43 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures mitigation de Responsabilit producteurs de donn es ex agences hydromet et des utilisateurs cibl s ex exploitants agricoles et protection civile pour r pondre aux n cessit s et assurer la durabilit 3 Services d appui conseil consultants logiciels et quipement informatique n cess
55. ons techniques et conditions de travail pour chacune des stations de collecte de donn es Une fois l valuation de base termin e la situation sera compar e un r seau optimal qui r pondrait aux besoins nationaux prioritaires en tenant compte de l entretien et du budget op rationnel La deuxi me tape consiste en la r paration remplacement et l entretien des quipements hydromet L valuation de base indiquera o la r paration ou le remplacement du mat riel est n cessaire afin de fournir des services optimaux pour les diff rents utilisateurs les utilisateurs prioritaires sont la protection civile la s curit alimentaire sant et infrastructure Le projet va r parer remplacer ou mettre niveau une cinquantaine de capteurs instruments et stations m t orologiques agro m t orologiques hydrologiques hydrog ologiques climatologiques et marines dans tout le pays L enveloppe totale d di e pour l quipement est de 500 000 US Les diff rentes options techniques seront identifi es par un consultant international qui aidera le Gouvernement dans le processus de prise de d cision Le budget du projet ne couvrira que la mise niveau calibrage int gration r paration et remplacement alors que les co ts de l entretien et d op ration seront soutenus par le Gouvernement Composante 2 Am liorer la compr hension des besoins en termes de services m t orologiques hydrologiques et climatiques adapt s aux
56. ou 6mg kg dans les cheveux il y a risque accru entre 20 et 100ug L sup rieure 100ug L c est risque Suivant ces m me recommandations la valeur guide provisoire pour les femmes enceintes et les femmes en ge de procr er serait de 8ug L Les dangers d une exposition au mercure s expriment clairement dans les r sultats de l tude r alis e sur la population de Japon Minamata ou celle ci a t intoxiqu e par les rejets d une usine p trochimique Chisso et officiellement constate en 1956 Ainsi il a t observ chez les personnes expos es des troubles neurologiques chez enfant et adulte des malformations des probl mes de c cit l inf condit etc Une tude plus r cente effectu e par le Conseil nordique des ministres indique que le co t de la diminution du QI en Europe caus e par la contamination au mercure est de l ordre de 13 000 CAN par kilogramme kg de mercure rejet dans l atmosph re CNM 2008 De m me une tude am ricaine estime que le co t annuel de la perte de QI engendr e par la contamination des enfants am ricains au m thylmercure anthropique se situe entre 0 7 et 13 9 milliards de dollars am ricains Trasande et al 2006 D autres tudes se sont pench es sur une plus large palette de r percussions sanitaires Ainsi une tude datant de 2005 estime que les retomb es de la d mercurisation sur la sant humaine varient annuellement entre 4000 et 110 000 US par kilogramme e
57. ovoquer des br lures de la teigne et du pharynx des douleurs abdominales des vomissements une ulc ration corrosive et une diarrh e sanglante La mort diff r e peut se produire d une insuffisance r nale Contact sur la peau ou les yeux Le mercure peut provoquer une irritation et des br lures la peau ou les yeux Les sympt mes incluent une rougeur une douleur et une vision floue Il peut provoquer des l sions oculaires et cutan es graves et ou permanente IL Exposition long terme Une exposition chronique par une voie quelconque peut produire une l sion du syst me nerveux central Elle peut causer des tremblements musculaires des changements de comportement et de la personnalit une perte de m moire un go t m tallique un d chaussement des dents des troubles digestifs des ruptions cutan es des l sions c r brales et des l sions r nales Le mercure peut provoquer des allergies de la peau et s accumuler dans le corps en particulier dans les graisses Le mercure peut traverser le placenta des femmes enceintes et peut endommager le f tus en affecter le d veloppement du cerveau du f tus et le d veloppement du syst me nerveux Aucune preuve que le mercure est canc rog ne a t d montr e ou av r e 55 Proc dures simples suivre pour les petits d versements de mercure 1 Quelques conseils pour nettoyer les petits d versements d un thermom tre Il est judicieux de prendre des pr c
58. puis les ann es 2000 l augmentation des pisodes de cyclones ainsi que la fr quence et l intensit des s cheresses localis es ont t observ s Les conditions m t o extr mes et variables ont altern entre saison s che g n ralement entre D cembre et Avril et exc s de pluie accompagn de fortes temp tes et ouragans g n ralement entre Aout et Novembre Le gouvernement ha tien est tr s pr occup par le changement climatique et ses impacts la s curit alimentaire Mais jusqu pr sent les politiques gouvernementales n ont pas fourni aux agriculteurs le soutien dont ils ont grand besoin Les plans de gestion des risques et d sastres pour les zones c ti res expos es aux ouragans ne sont que faiblement labor s Le gouvernement administre un syst me d alerte aux inondations mais n a pas encore produit de donn es de contingence ad quates ou pr cises et les m thodes actuelles de collecte de donn es et vulgarisation sont inad quates pour pouvoir renforcer la r silience agricole face au changement climatique C est sur la base de cette pr misse que Le projet de renforcement des services hydrom t orologiques du Programme Pilote pour la R silience Climatique PPRC financ sur Fonds d Investissement Climatique CIF entend renforcer la capacit institutionnelle du gouvernement d Ha ti fournir des services m t orologiques hydrologiques et climatologiques adapt s aux besoins des utilisateurs fina
59. rages SFP pour l ex cution de forages de reconnaissance des essais de pompage etc En 2003 la SFP est retir e du SNRE ce qui a pour effet apr s le retrait du CNM de priver le SNRE de sources de revenus le laissant avec seulement les 3 sections SMC SHS et SHG 1 3 1 3 Le Programme Nationale d Alerte Pr coce PNAP Le PNAP financ travers un don de la BID de 5 millions USD est rattach au MARNDR avec une cellule d ex cution de projet en place au sein du MARNDR mais en dehors du SNRE Le PNAP avait pour objectif de d velopper un syst me d alerte pr coce en appuyant les fonctions de connaissance des risques surveillance et alerte diffusion et communication capacit de r ponse Sur le plan technique le projet a t une r ussite le PNAP dispose en ce moment de 48 capteurs automatiques de hauteur d eau et de 18 stations automatiques de relev pluviom triques De plus 47 stations d alerte ont t install es quip es avec des sir nes connect es via internet et pouvant se d clencher automatiquement via un syst me de communication par satellite Les informations sont trait es par la cellule du projet et 4 cadres du SNRE puis remontent la Direction de la Protection Civile DPC qui g re l information et la capacit de r ponse t Abdoulaye harou m t orologue canada Degrace Jeanno l m t orologue France Serge pieyns hydrologue France D veloppement des services M t orologiques e
60. re plusieurs mesures en particulier pour la r duction des missions atmosph riques de mercure et pour l abandon de certains produits contenant du mercure Ainsi l analyse des impacts n gatifs des diff rentes phases de mise en uvre du projet sont r sume dans le tableau ci dessous 25 Tableau 1 Analyse des impacts n gatifs du mercure pendant les diff rentes phases de mise en uvre du projet Voyez Annexe 1 pour les proc dures Stade de Impact Mesures d att nuation Responsable Commentaire Source Universit East mise en Tenessee tat plan de gestion du uvre du de mercure projet Pr Travaux L ignorance des Former les travailleurs avant le UEP CE Les quipements qui comprennent travailleurs d but des travaux et discuter de sp cialiste de souvent du mercure sont les thermostats propos de l impact du mercure dans l environnement les piles et les ampoules fluorescentes l impact du l environnement sur la sant des mercure travailleurs et l importance de la conduit la s curit tout en travaillant avec contamination l quipement hydrom tallurgique par n gligence du mercure Pr Travaux Les travailleurs Fournir aux travailleurs des gants UEP CE Un conteneur structurellement sain doit sont risque en des lunettes etc pour comme sp cialiste de tre utilis pour le stockage meilleure raison de quipement personnel En outre l environnement pratique consi
61. rs Quand le pH est proche de la neutralit ou l g rement basique comme il est le cas pour la majorit des sols ha tiens le mercure devient plus mobile et s adsorbent sur les mat riels argileux les oxydes de Fer ou de Mangan se Ainsi son adsorption emp che sa volatilisation ou son absorption par les plantes Sa d gradation Le mercure est d grad par un processus dit de biom thylation gr ce des micro organismes ou r duit en Hg2 Particuli rement des pH lev s le processus de m thylation donne lieu du m thylmercure Le dim thylemercure forme que par voie chimique qui est la m thylation se d compose en mercure l mentaire lorsqu il est chapp dans l atmosph re A partir du mercure inorganique l mentaire les pluies pollu es par des ions mercuriques peuvent donner lieu la formation de monom thylmercure le monom thylmercure est couramment appel tout simplement m thylmercure un l ment chimique tr s toxique et int gr la chaine alimentaire 5 3 Le SHM au regard des instruments internationaux 23 Les services hydrom t orologiques de par leur r le sont tr s utiles la protection de l environnement et de la population En regard aux instruments internationaux les services hydrom t orologiques ne sont pas clairement mentionn s dans des r glementations internationales Cependant suite aux graves cons quences des rejets et de l mission du mercure dans l environnement de
62. s Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit Composante 1 Renforcement de la capacit du GdH collecter stocker traiter et fournir des donn es hydrom t orologiques et climatiques appropri es a des utilisateurs finaux sur le long terme 2 proc dures d exploitation pour la gestion des stations et des donn es hydrom t orologiques et formation de personnel D veloppement de standard sur les proc dures e Risques li s la manipulation des quipements Protection des employ s entreposage appropri produits inflammables etc Fournir des les quipements de lutte contre les incendies extincteurs etc et les mettre de fa on bien visible dans tous les endroits strat giques s assurer que les employ s sont au courant 1 de la pr sence de mercure dans les installations 2 des mesures appropri es de manutention et d limination s assurer UEP CE en partenariat avec la Coordination du projet UEP CE en partenariat avec la 37 Etape d op rationnalisation Activit s Impacts Enjeux Mesures de Responsabilit mitigation que le personnel a Coordination re u une ou des du projet formations sur l utilisation et la Composante 1 Renforcement manipulation de de la capacit du GdH ces quipements collecter stocker traiter et s assurer que UEP CE en fournir d
63. s arbres fruitiers et infrastructures des m nages comme des greniers des toilettes ext rieures et des cuisines etc Oui Non Si OUI expliquez eee 61 10 Emission de bruit durant la construction et les op rations Est ce que le niveau du bruit des op rations ne va pas d passer les limites des bruits acceptables Oui Non Si OUI expliquez 11 Les d chets solides ou liquides ou biom dicaux Est ce que le chantier ne va pas g n rer des d chets solides ou liquides Oui Non 12 Infrastructures collectives pr sentes dans l environnement dispensaire cole march s latrines services publics etc Les d crire en estimant les distances par rapport au site Parler de la situation sanitaire pr sence du chol ra grippe H1N1 autres institutions ONG pr sentes dans la zone Signalez s il y a lieu les organisations de base de la soci t civile OCB OSC et le nom de la personne responsable 13 Autres informations jug es pertinentes par exemple d autres projets en ex cution dans la communaut jours de march 14 Liste des Personnes Rencontr es Nom et Pr nom Localit Activit Fonction Num ro de Affect par la T l phone construction Oui Non Explication 62
64. s d p ts de mat riaux durant les travaux dans le plus bref d lai e Collecter les d chets contenant du mercure avec des r cipients appropri s et les liminer Perturbation dans des lieux de la couche d enfouissement superficielle ou de technique la couche arable d p t de mat riaux etc Etape de r am nagement Sol les d chets Conservation MARNDR SNRE CE des sites de construction des sols concern s et de mise en place de nouvelles stations V g tation Affectation Protection de la e Eviter entre autres autant UEP CE en collaboration du paysage biodiversit que possible les avec les responsables v g tale terrassements Excavations et ou initiateurs de projets et coupe d arbre e Collecter les d chets solides appropri s et les Protection de la liminer dans des lieux V g tation e Risque biodiversit d enfouissement MARNDR SNRE CE d absorption par les v g tale technique 29 Autre Impacts Etape de mise en Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit uvre du projet plantes du mercure e contenu chapp vers l atmosph re par les parties a riennes Etape de r am nagement des sites concern s et de Faune Risque de Protection de la e Collecter les d chets MARNDR SNRE CE mise en place de aquatique contamination des faune solide liquide avec des nouvelles stations poissons par aquatique r cipients appropri s et
65. s infos sur les diff rents v nements recenses dans les zones de mise en place des stations le contexte physique les occupations humaines Comit Interminist riel d Am nagement du Territoire CIAT La gestion int gr e des bassins versant Etat des lieux du r seau des mesures hydrom t orologiques Rapport pr liminaire 2011 Page 2 iii connaissance et sensibilisation par rapport aux risques lies a ces installations afin de pouvoir les r duire et d finir des mesures d att nuation 1 1 Pr sentation de projet de renforcement des services hydro m t orologie L conomie d Ha ti est bas e essentiellement sur l agriculture qui emploie 60 pour cent de la force du travail et contribue pour 25 pour cent du produit int rieur brut Climat et m t o temp rature sont des facteurs cl s dans la r silience et la productivit agricole En g n ral il est de plus en plus difficile d obtenir de bons rendements dans le secteur agricole en raison des conditions m t orologiques associ es la d gradation des sols les inondations la perte de sol cultivable en raison de la d forestation l rosion et la faible capacit de l agriculture de subsistance En outre Ha ti a une faible capacit d adaptation au changement climatique et ses cons quences Toutefois elle se situe dans la trajectoire des temp tes tropicales form es dans l oc an Atlantique et frappent les Cara bes chaque saison des pluies De
66. s m t orologiques extr mes exacerbent les impacts n gatifs associ s ces v nements Par contre deux 2 types d installations ont t visit s au niveau de la zone m tropolitaine il s agit d une station d alerte situ e sur le campus du MARNDR et deux stations de mesure sur la rivi re grise Voir annexe a La station d alerte Les quipements de la station d alerte du MARNDR sont aliment s par des panneaux solaires et des batteries Les cadres du SNRE donnait des pr cisions sur l utilisation et la Herv Bredif Chercheur l Universit Paris 1 Panth on Sorbonne https e cours univ paris1 fr modules uved risques naturels 312 html 20 consommation de l quipement Le fonctionnement de l quipement ne g n re pas pratiquement beaucoup de d chets solides puisque les panneaux ne sont pas facilement remplac s et les batteries n utilisent pas d accessoire eau acide Toutefois il n y a aucune pr vision quant l limination et ou la gestion des batteries et panneaux hors d usage Cette station est munie de hauts parleurs capables de retransmettre les sons Les sons mis sont fonction des signaux capt s partir du r seau internet dans les bureaux du D partement de la Protection Civil DPC du MICT Voir photos en annexe b Station de mesure Deux stations ont t visit es sur la rivi re grise l une sur le pont de la Croix des Missions et l autre sur le
67. sensation de br lure dans la poitrine e se sentir irritable et nerveux e secouant tremblement e crachats de sang e difficult s respiratoires Vos yeux peuvent tre douloureux si la vapeur de mercure y p n tre Vos paupi res peuvent galement contracter et devenir rouge et enfl e 4 Quand consulter un m decin Vous devriez contacter votre m decin pour obtenir des conseils si vous avez l un des sympt mes ci dessus 58 Lavez votre peau ou vos yeux en retirant les lentilles de contact en premier avec de l eau ti de pendant au moins 10 15 minutes s ils entrent en contact avec le mercure Changez de v tements et mettre tous les v tements souill s dans un sac scell 59 ANNEXE 2 FORMULAIRE DE COLLECTE DES DONNEES POUR SELECTION DES SITES DE CONSTRUCTION DEPARTEMENT SECTION COMMUNALE COMMUNE HABITATION NOM DE L ENQUETEUR COORDONN E GPS 1 Br ve description du site Veuillez donner des informations en rapport avec le site topographie type de sol superficie etc 2 L environnement naturel a D crire le sol la v g tation de l cosyst me adjacente la zone du chantier c Y a t il des zones environnementales sensibles ou des esp ces menac es sp cifier en bas qui pourraient d favorablement tre affect es par le sous projet Oui Non O des for ts naturelles intactes Oui Non des for ts riveraines Oui Non des terres humides
68. ser les capacit s nationales iii poursuivre les formations et sensibilisations aux risques hydro m t o au niveau d partemental Concernant les volutions venir la DPC consid re souhaitable d aller vers une structure autonome regroupant les fonctions hydro et m t o ayant un budget autonome Il sera important de clarifier le financement de cette structure y compris la vente de prestations de service des acteurs priv s La question de la contribution de la DPC au 12 financement de cette future structure est strictement li e l existence ou pas d un budget propre la DPC date la DPC ne dispose pas de budget Dans un contexte institutionnel fragment il convient de signaler les projets financ s par les bailleurs internationaux ont contribu cr er des syst mes de collecte stockage et traitement de donn es hydro m t o parall les et non coordonn s Cette absence de coordination g n re un dysfonctionnement g n ral une insuffisance de valeur ajout e dans les services et une non valorisation de ces services 1 3 1 9 La r forme du MARNDR Pour finaliser ce tour des acteurs du syst me il faut rappeler un l ment contextuel important la r forme du MARNDR auxquels sont aujourd hui rattach s le SNRE et le CNM Le MARNDR a entam un processus de r forme sur le long terme Au cours de l ann e 2013 un plan de r forme a t con u Cette conception est partie des orientations du secteur
69. ssible ils seront achemin s dans un d potoir d sign et conforme aux normes L Entrepreneur devra pr ciser les volumes de d chets produits par type de d chets et le mode de disposition ou d limination Les d chets dangereux seront r cup r s s par ment et trait s part selon les exigences contractuelles ainsi que conform ment aux lois et r glements en vigueur e Suivi sanitaire e R ponses aux urgences e Renforcement des capacit s e Destruction des stocks obsol tes e Contr le du transport des quipements et des accessoires e Gestion des d chets mercure des stations L Entrepreneur devra disposer d un plan d intervention et du mat riel d intervention n cessaire en cas de d versement accidentel de produits dangereux et de contaminants Son personnel devra conna tre ce plan et tre en mesure d intervenir en cas de d versement accidentel e Suivi de la mise en place des stations e Suivi du stockage des quipements e Proc dure d limination des d chets solides e Proc dure et fiche pour la s lection des sites de construction e Plan de consultation et communication 8 52 Arrangement institutionnel budget Plan de suivi Conclusion Budget Pour chaque activit de r habilitation ou installation d quipement Le co t de pr paration de l Evaluation Environnementale et du Plan de Gestion Environnementale est inclus dans le co t global d ex cution de l activit Le co t
70. ste utiliser la bo te l quipement de fournir un kit ad quat Banque d origine ou un conteneur Celui ci doit protection d limination du mercure pour avoir la date de d but d accumulation inappropri e collecter les thermom tres utilis s clairement marqu e et doit tre maintenue ferm Les flux de d chets doivent tre s par s Pr Travaux Les travailleurs Assurez vous que il y a un plan UEP CE Voir en annexe 1 la concernant la sont risque de en cas de d versement de mercure sp cialiste de marcha suivre en cas de d versement contact avec le en place afin que l entrepreneur l environnement de mercure sur un travailleur mercure au puisse suivre des proc dures en Minist re de cours d un cas de d versements a sur les l Environnement deversement travailleurs b sur le terrain Retrait Les 1 Former les travailleurs sur L entreprise de Installation thermom tres la manipulation du construction r ha de mercure due mercure et s assurer qu ils bilitation UEP l quipement une mauvaise savent quoi faire en cas de CE sp cialiste de 26 manipulation d versement l environnement peuvent 2 Utilisez des r cipients de tomber se stockage corrects briser et 3 Avoir un plan en place renverser le pour faire face aux mercure d versements de mercure Voir les d tails dans le texte 4 liminer mercure dans la zone d sign e pour les d chets dangereux Conta
71. sticides biocides et antiseptiques locaux L Organisation Mondiale de la Sant OMS publie des donn es sur les effets sanitaires des diff rentes formes de mercure des conseils pour identifier les populations risquant d tre expos es au mercure Elle fournit aussi des outils pour r duire l exposition cet l ment ainsi que des conseils pour remplacer les thermom tres et tensiom tres utiles pour les soins de sant Elle dirige des projets visant promouvoir la gestion et l limination rationnelles des d chets de soins de sant et a facilit la mise au point d un dispositif sans mercure valid et abordable pour mesurer la pression art rielle 24 6 Impacts environnementaux et sociaux potentiels du projet et mesures d att nuation Cette partie du document pr sente les impacts n gatifs et les risques li s aux diff rentes activit s qui seront mises en uvre dans le cadre du projet A chaque activit correspond un ensemble d impacts n gatifs classe par ordre d importance dans les mesures de mitigation 6 1 Impacts environnementaux De par sa capacit de s accumuler dans les organismes le mercure qui sera contenu dans les quipements pourra tre particuli rement n faste pour l environnement En effet les rejets dans l environnement sont tellement pr occupants qu en 2013 les gouvernements ont souscrit la Convention de Minamata sur le mercure Celle ci oblige les gouvernements Parties prend
72. t tre observ s apr s exposition aux diff rents compos s de mercure par inhalation ingestion ou contact dermique Les sympt mes sont notamment les suivants tremblements insomnies pertes de m moire effets neuromusculaires maux de t te et dysfonctionnements moteurs et cognitifs e Les sels de mercure inorganique sont corrosifs pour la peau les yeux et le tractus gastro intestinal et peuvent tre toxiques pour les reins en cas d ingestion e L inhalation de vapeurs de mercure peut avoir des effets nocifs sur les syst mes nerveux digestif immunitaire sur les poumons et les reins e Les r percussions sur les reins peuvent varier de l augmentation du taux de prot ines dans l urine jusqu l insuffisance r nale 6 Sant Canada 2004 PNUE 2002 2008b 47 6 2 2 Impacts sur la population Les impacts sur les populations expos es se r sument comme suite Les populations seraient expos es par l inhalation de vapeurs de mercure qui peuvent tre absorb es par les tissus pulmonaires Ces vapeurs des neurotoxines largement tudi es ont la facult de p n trer facilement la barri re h mato enc phalique Les troubles neurologiques et comportementaux qui r sultent de cette contamination comprennent des tremblements l insomnie des pertes de m moire des alt rations neuromusculaires et des c phal es Chez les femmes enceintes cette neurotoxine traverse le placenta p n tre dans le corps du f tus
73. t de PONEV malgr la qualit des personnes de ces structures et leur volont est ce jour tr s faible faute de moyens Ces deux services semblent anim s de beaucoup d intention A noter que la DRE devrait se concentrer sur les fonctions cl d une direction nationale qui sont celles de pilotage de son secteur de d finition du cadre l gislatif et r glementaire de veiller son application Il parait peu probable que PONEV se transforme un jour en une entit autonome Par contre en interne au MDE sa fonction de gestionnaire des bases de donn es environnementale est bien d finie et n cessaire Il reste que le d cret de 2006 sur la gestion environnementale qui dans son article 60 pr voit le transfert des fonctions d hydrom t orologie du MARNDR au MDE lequel n est pas actuellement appliqu introduit de la confusion sur le plan institutionnel dont p tissent tous les acteurs concern s Le protocole d entente sign entre les deux minist res en 2013 et le travail actuel avec la commission interminist rielle sur cette question sont un moyen de repositionner les r les de ces deux acteurs Au del de l hydrom t orologie il serait du r le de l OMRH en charge de la r forme de l tat d animer un travail approfondi pour trancher le partage des comp tences entre ces deux minist res 10 Les usagers 1 3 1 6 L Office National de l Aviation Civile OFNAC L OFNAC est un organisme autonome sous tutelle
74. t hydrologiques en Ha ti Propositions d actions pour le moyen terme Gen ve mai 2010 Sur le plan technique le projet a des acquis le syst me mis en place est consid r comme performant et fonctionnel bien que des probl mes de maintenance rendent certaines stations inop rantes par manque d entretien Par contre sur le plan institutionnel et en ce qui concerne la durabilit il n en est pas de m me En ce qui concerne le MARNDR notamment le Service National de Ressources en Eau m me si son personnel a particip dans des formations et le Programme a fourni des quipements d appui il n a jamais eu une appropriation et une vraie participation dans le suivi hydrologique pour l mission temps des alertes L arrangement institutionnel pour le pilotage politique et technique du PNAP n a pas fonctionn 1 3 1 4 Centre National de l Information G o Spatiale CNIGS Le CNIGS est un tablissement public cr par d cret du 27 mars 2006 sous tutelle du Minist re de la Planification et de la Coop ration Externe MPCE Il assure les mandats et patrimoines de deux ex entit s l Unit de T l d tection et de Syst mes d Information G ographique UTSIG et le Service de G od sie et de Cartographique SGC Sa mission principale est de produire et diffuser l information g ographique actualis e et fiable sur tout le territoire national Il est tr s bien quip du point de vue mat riel et dispose de serveurs s
75. tations et s est entretenue avec le SNRE pour la visite de terrain en d cembre 2014 and avec le Minist re de l Environnement MDE la semaine du 9 mars 2015 pour discuter des mesures de gestion des d chets dangereux notamment le mercure D s que l on connaitra les sites de stations r habiliter ou mettre en place le Cellule Environnementale du MARNDR proc dera des consultations avec les populations potentiellement affect es par le Projet Visite de terrain Avec l appui du SNRE l UEP CE a pu visiter certaines stations au niveau de la zone m tropolitaine en date du 23 d cembre 2014 Toutefois les mesures d att nuation devraient tenir compte de mani re sp cifique des diff rents sites ou stations hydrom t orologiques au niveau des communes cibl es par le PNAP de leur contexte physique des occupations humaines et des v nements qui sont recens s la ou les stations seront soient renforc es soient mise en place par le projet puisque tous les risques ne seraient pas les m mes et ne se g reraient pas de la m me mani re Ainsi les mesures de mitigation devraient prendre en compte chaque site d accueil afin de diminuer la vuln rabilit des quipements et installation et surtout des populations avoisinantes Cela requi re une connaissance pr cise et objective Selon Herv Bredif le faible niveau de pr paration et le manque de mesures clairement d finis comme l ments de r ponse face aux v nement
76. u r seau hydrologique et m t orologique r paration et remplacement des quipements qui ne manqueront pas d avoir des impacts sur les diff rents compartiments de l environnement et sur la soci t tant la phase de construction qu celle du fonctionnement Ainsi la n cessit d un cadre de gestion environnementale et sociale d coule logiquement de ces constats et analyses L objectif du CGES est d viter et ou minimiser dans un premier temps les effets potentiels n gatifs et les risques sur la sant humaine animale et environnementale pouvant d couler des activit s notamment de mise en place des stations de collecte des donn es de maintenance et d limination des accessoires qui seraient des contaminants dangereux et pr voir des mesures d att nuation Il s agit en fin de compte pour le Gouvernement ha tien de s assurer du respect scrupuleux de la politique environnementale nationale et celles de sauvegardes des diff rents partenaires financiers impliqu s dans le projet notamment la Banque mondiale Plus pr cis ment le CGES permet d orienter les activit s du projet de mani re ce que les questions environnementales et sociales soient prises en compte et g r es dans toutes les activit s mises en uvre Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES est con u galement comme tant un m canisme de tri pour les impacts environnementaux et sociaux des activit s lies a la construction et ou l
77. uate thermom tre dans le r cipient o l environnement septique enfouis de mani re ils seront scell s et achemin s technique ou jet s la poubelle 27 pour stockage avec d autres mat riaux dangereux Cette facilit lieu de stockage sera d sign e par le Gouvernement ordinaire Les d chets de mercure doivent tre correctement tiquet s et entrepos s dans un r cipient herm tique Les d chets de mercure doivent tre s par s des autres flux de d chets lorsqu ils sont stock s Tableau 2 Analyse des autres impacts n gatifs pendant les diff rentes phases de mise en uvre du projet Autre Impacts Etape de mise en Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit uvre du projet Etape de Sol e Risque Conservation e R utilisation ou L entreprise de r am nagement d rosion des sols limination des remblais construction r habilitation des sites potentielle des dans le plus bref d lai concern s et de remblais possible mise en place de nouvelles stations e Conduire les travaux g n rant l accumulation des s diments en p riode s che e Mettre en place des structures m caniques temporaires de conservation des sols Erosion e R utilisation ou limination 28 Autre Impacts Etape de mise en Impacts Enjeux Mesures de mitigation Responsabilit uvre du projet potentielle des sols de
78. uire de petits quipements sur des terrains ou structures prives pourvu qu il est claire que le propri taire dudit terrain ou structure donne vende ou loue son terrain ou structure volontairement Dans ces cas exceptionnels la compagnie doit donner preuve de la transaction volontaire et d un processus suivi claire et transparente L expropriation pour cause d utilit publique ne sera pas utilis e dans le cadre de ce projet 4 Approche m thodologique Afin de pouvoir orienter les activit s du projet de mani re ce que les questions environnementales et sociales soient prises en compte et g r es dans toutes les activit s mises en uvre ce cadre qui permettra d identifier les risques associ s aux diff rentes interventions du projet et d finir les proc dures et les mesures d att nuation et de gestion qui devront tre mises en uvre en cours d ex cution du projet a suivi tout un processus 4 1 Revue bibliographique La documentation relative au syst me d hydrom t orologie en Ha ti est disponible au niveau du SNRE Des documents sur l tat des lieux du syst me et autres nous ont permis de comprendre le fonctionnement du syst me ses forces et ses faiblesse 4 2 Type de stations existantes en Ha ti Le syst me d Alerte pr coce mis en place travers le Programme du PNAP et PRESAP est une conception moderne bien adapt e au contexte ha tien Il comprend e 71 stations
79. ux dans les secteurs de la protection civile et de l agriculture 12 Int r t et objectif du projet de renforcement des services hydrom t orologie L objectif de ce projet d US 5 million est de renforcer la capacit institutionnelle du gouvernement d Ha ti fournir des services m t orologiques hydrologiques et climatologiques adapt s aux besoins des utilisateurs finaux dans les secteurs de la protection civile et de l agriculture Le projet inclut trois composantes Tonny Joseph Planting Now Second Edition Revitalizing Agriculture for Reconstruction and Development in Haiti Oxfam Briefing Paper No 162 October 2012 Composante 1 Appuyer la r forme institutionnelle des services hydrom t orologiques et renforcer la capacit du gouvernement collecter valider archiver analyser les donn es d un syst me de r seaux d observation unique accessibles travers une plateforme personnalis e pour les utilisateurs US 3 000 000 Ceci inclut une optimisation du r seau hydrologique et m t orologique r paration et remplacement des quipements La premi re tape n cessaire dans le processus d int gration des r seaux hydromet est le d veloppement d une cartographie g o r f renc es et exhaustive des stations pi zom triques agro m t orologiques m t orologiques climatologiques et marines existantes dans le pays Cette valuation ligne de base pr cisera l emplacement les sp cificati
80. vi res question de commodit et de position g ographique favorable Les stations d Alerte au nombre de 53 sont des unit s identiques plac es proximit des populations et con ues pour lancer en ad quation avec l hydrom trie Le dispositif est constitu de e Une sir ne puissante 130 db 7A de consommation e Une alimentation de 2 panneaux solaires coupl s de 50W cr te et de 2 Batteries de 12V 65Ah e Une batterie de service 6V 7Ah en secours pour la transmission des donn es techniques Vers e vigilance e Une armoire pour la carte m re lectronique de grande taille et les modems GPRS et Iridium e Une lampe aliment e par la station de 18 22h chaque jour Les serveurs e vigilance sont des unit s informatiques de stockage et d metteur d informations aux utilisateurs Ils re oivent les donn es hydrologiques et techniques des stations de mesures et d alerte et bancarisent ces donn es base de donn es de 4 Go E vigilance offre aussi des fonctionnalit s n cessaires pour la gestion des r seaux de mesures et d alerte et pour l annonce et la pr vision des crues en temps r el 19 4 3 Entretiens et visite de terrain Consultations et entretiens Etant donn que les sites de stations r habiliter ou mettre en place ne sont pas encore connus des consultations avec la population potentiellement affect e n ont pas encore eu lieu La Cellule Environnementale du MARNDR a pu visiter certaines s
81. ys responsable du respect des normes de protection sociale et de la mise en uvre d une politique sociale et du travail Il est important de noter qu une partie des missions du MAST a t couverte par le secteur non gouvernemental qui pourvoit actuellement la majorit des services de protection sociale Le D partement du Travail et du Bien tre Social a t cr par la Loi du 28 Ao t 1967 Les modalit s d application de la loi du 28 ao t 1967 ont t d termin es par le d cret 24 septembre 1979 2 1 Les Proc dures nationales de gestion et d limination des d chets dangereux en Ha ti Cette partie est laborer en fonction de la documentation disponible au MDE Recherche en cours 3 Politique de sauvegarde de la banque mondiale BM La Banque mondiale s attache d velopper un ensemble de m canismes d identification et de gestion des impacts n gatifs des d cisions de politiques programmes et de projets sur l environnement Il s agit de huit politiques de sauvegarde environnementale et sociale savoir OP 4 01 valuation environnementale OP 4 04 Habitats naturels OP 4 09 Lutte antiparasitaire OP 4 10 Populations autochtones OP 4 11 Patrimoine physique et culturel OP 4 12 R installation forc e ou R installation Involontaire des populations OP 4 36 For ts OP 4 37 S curit des barrages Les proc dures de la Banque insistent pour que e Les probl mes environnementaux soient identifi

Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES) du

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