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Séminfor 1, premier séminaire informatique de l`ORSTOM

1. 1 PREMIER S MINAIRE INFORMATIQUE DE L ORSTOM BASES DE DONNEES ET SYSTEMES D INFORMATION QUELLES METHODES PARIS du qu 8 octobre 1987 La loi du 11 mars 1957 n autorisant aux termes des alin as 2 et 3 de l article 41 d une part que les copies ou reproductions strictement r serv es l usage priv du copiste et non destin es une utilisa tion collective et d autre part que les analyses et les courtes citations dans un but d exemple et d illus tration toute repr sentation ou reproduction int grale ou partielle faite sans le consentement de l auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite alin a 1 de l article 40 Cette repr sentation ou reproduction par quelque proc d que ce soit constituerait donc une contrefa con sanctionn e par les articles 425 et suivants du Code p nal ISSN 0767 2896 ORSTOM 1988 ISBN 2 7099 0931 6 1 PREMIER S MINAIRE INFORMATIQUE L ORSTOM BASES DE DONNEES ET SYSTEMES D INFORMATION QUELLES METHODES PARIS du 6 au 8 octobre 1987 Textes recueillis et pr sent s par Patrick S chet ditions de l ORSTOM INSTITUT FRAN AIS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE POUR LE D VELOPPEMENT EN COOP RATION Collection COLLOQUES et S MINAIRES PARIS 1988 AVANT PROPOS S minfor 1 premier s minaire informatique de PORSTOM t organis par la Commission Scientifique des Sciences de l Ing nieur et de la Comm
2. ns euoJeuoe1 1nq9q a eo Neuz N uo N 65569 NO 22 esse o seuoz jse uonoeJpp jueweBueug 2 e oe 319 Un controle est alors effectue pour v rifier que l enveloppe la nouvelle zone form e est bien l enveloppe externe et non l enveloppe interne dans le cas d une zone en forme de couronne donc poss dant une inclusion Ce contr le est effectu par re cherche d un point interne de la premi re zone consid r e puis v rification que ce point est bien interne la nouvelle zone recherche du nombre d intersection de la demi droite partir de ce point impair 2 3 D veloppements ult rieurs Cette application bien que d velopp e pour une exploitation de cartes p dologiques est d ores et d j utilisable pour tout trai tement th matique de documents de base d autres domaines Sciences de la Terre V g tation etc Elle reste ouverte d autres extensions dont le d veloppe ment est pr vu crotsement et assemblage de plusieurs cartes contigu s pour r alisation de documents de synth se tant sur le plan de la th matique de base que de th mes d riv s en utilisant les possibi lit s d j effectives de r duction d chelle remaniement et transfert des fichiers des divers docu ments saisis et cr s des syst mes de cartographie assist e par ordinateur pour gravure ext rieure de typ
3. MR 1j KNARA SUNRISE OM AU V ON a RE Ness a AL lt 5 CA LA F7 CX CERN VIVERE AWA O N as 338 L ach vement de la base de donn es 1970 1980 aura lieu fin 1987 Par la suite les travaux pourront s orienter selon trois direc tions 1 l explottation scientifique des donn es 2 l extension de la banque de donn es la totalit du Br sil 3 l alimentation en in formations nouvelles En l absence de moyens informatiques graphiques suffisants on n est pas en mesure de faire un travail s rieux d exploitation des donn es de SISECSO au Br sil Aucune solution locale court terme n tant envisageable il n y a pas d autre possibilit que de r aliser ce travail en France sur l un des syst mes du CNUSC ou du CIRCE Il est regrettable que EMBRAPA ne puisse mettre dis position les mat riels et progiciels indispensables en leur absence il est impossible de mener une recherche int ressante au moment o elle devient r alisable c est dire une fois acquises les sources statistiques Peut tre serait il utile qu un chercheur br silien int ress par SISECSO ait la possibilit de se former l analyse quantitative de l espace en France une fois rentr au Br sil il pourrait sans doute plus efficacement que moi convaincre ses interlocuteurs du bien fond de ces m thodes SISGEO est un projet couvrant la totalit du Br sil En r a lit part le module SISS
4. 108 Les donn es cod es concernent la num rotation des individus leur provenance leur plantation en collection et leur valuation Les donn es de l valuation actuellement saisies sont relatives l intensit des floraisons aux productions par date de r colte et aux caract ristiques des fruits et des grains fertilite technologie Il reste coder les descripteurs de la morphologie des caf iers et des caract res enzymatiques r v l s par lectrophor se Les donn es sont stock es dans deux types de fichiers les fichiers des individus sont constitu s uniquement de variables alpha num riques repr sentant les codes des g no types de leur origine et de leur mise en collection une ou deux po sitions Ils sont d coup s par esp ce L ensemble de ces fichiers forme un r pertoire permettant la gestion des collections les fichiers de l valuation contiennent d une part des variables alpha num riques pour le code des caf iers et leur posi tion en parcelle et d autre part les variables num riques de leur valuation Pour chaque type de donn es floraisons r coltes des fichiers diff rents sont cr s par parcelle esp ce et ann e La place m moire totale occup e est d environ 3 5 millions d octets dont la moiti pour les fichiers des individus Le logiciel N D M S r servant syst matiquement huit octets par variable il serait possible de diminuer des deux tiers la taille du r perto
5. GT GT op ration Get 50 CALL MASQUE GRILLES STATS OP appel de Masque pour afficher 1a grille 21 Cobol 01 GRILLE PIC X 5 VALUE DEMO 01 PIC XX 01 STAT PIC XX MOVE GT TO OP CALL MASQUE USING GRILLE STAT OP La fonction Read est la plus souvent utilis e et la plus sophis tiqu e elle autorise l op rateur saisir des valeurs dans un ou plusieurs champs variables La liste des noms des champs saisir doit tre communiqu e lors de l appel de Masque ainsi que l adresse d une zone qui contiendra au retour les valeurs saisies par l op rateur Un effort particulier a t fait pour optimiser les performances de cette fonction Chaque touche actionn e est contr l e en accord avec le type de donn es que peut recevoir la position o se trouve le curseur et toute valeur non conforme est refus e et provoque l mission d un signal d alarme Les positions qui correspondent des d limiteurs sont pass es automatiquement puisqu elles sont d j remplies Les touches de d placement du curseur vers la gauche ou vers la droite sont utilisables l int rieur d un champ ainsi que le mode insertion et la touche de suppression de caract res les caract res qui ventuellement d borderaient du champ en mode insertion disparaissent de l cran mais restent accessibles si d autres sont supprim s condition bien s r de res ter dans le m me champ La saisie d un champ est consid r e comme te
6. Le choix de la variable ou du calcul la position du curseur en inverse vid o est r alis par pression de la touche de fonction F6 la sortie par la touche lt F10 Le menu principal permet le choix des options transformation de variables op ration entre variables calculs sur une variable calculs entre variables 215 Transformation de variables Autorise les calculs suivants sur toutes les mesures saisies de variables ajout ajoute une constante soustraction soustrait une constante multiplie multiplie par une constante divise divise par une constante non nulle log calcule les logarithmes n p riens pour les valeurs positives exp calcule les exponentielles carre l ve au carr racine donne la racine carr e des valeurs positives ou nulles inverse donne l inverse des valeurs non nulles puissance l ve la puissance indiqu e Lorsqu une mesure est l tat demande ou non demande blanc le r sultat du calcul est non demande blanc La formule de calcul s inscrit en bas de l cran mesure des choix Par exemple choix Formule variable TEMP TEMP calcul ajout TEMP nbre ajouter 2273 TEMP 273 calcul multiplie TEMP 273 multiplicateur 40 TEMP 273 240 calcul inverse 1 TEMP 273 240 calcul exp EXP 1 TEMP 273 240 A chaque calcul sont mis jour les param tres chimiques de la variabl
7. Sonde bobine thermistance tenps r el 460 ou 750 m tres ACQUISITION D UN PROFIL X B T figure 2 Interface num risation du signal lectrique 175 Cette phase d acquisition produit au terme d une suite de traitements un lot de donn es grandeurs physiques stock es dans une m moire de masse cassette disquette etc C est l instant ou le syst me CROISIERES sera mis en oeuvre Comme pour tout syst me de bases de donn es ses objectifs sont repr senter un certain monde r el optimiser la fonction disponibilit des donn es dans un syst me informatique 1 REPRESENTER UN CERTAIN MONDE REEL 1 1 La structure conceptuelle 1 11 Les besoins des utilisateurs L ensemble des requ tes formul es par les utilisateurs peu vent se r sumer acc der un ou plusieurs param tres mesur s dans une zone g ographique et un intervalle de temps On remarque la simplicit de cette expression On distinguera le cas particulier o les intervalles de definition des crit res de s lection sont r duits un point Ainsi la station est d finie par lPensemble des param tres mesur s en un point et un instant donn es On note que la technique d acquisition est transparente dans l expression des besoins Cela assure que toute volution technologique ne remettra pas en cause la structure conceptuelle qui doit jouer le r le de constante de r f rence Enfin la nature des op rateurs math matiqu
8. cette m thode a t appliqu e depuis deux ans par l equipe franco br silienne du programme SISGEO pour la r alisation de logiciels dans des domaines aussi divers que climat sols v g tation docu ments cartographiques images de satellites etc 225 E TUDE DU CALENDRIER ET DEVIS PREVISIONNELS MATERIEL AVANT PROJET MATERIEL ETUDE DE ESTIMATION DE RESSOURCES ANALYSE VIABILITE LOGICIEL PROGRAMMATION CONFIGURATION STRUCTUREE ET TESTS DIAGRAMME DE FLUX DE DONNEES NECESSITES DE ET DICTIONNAIRE DONNEES L UTILISATEUR DEFINITION DES PROGRAMMES ET PLAN DE TESTS 7 SPECIFICATION Fig 1 Etapes du developpement d un logiciel vues par Tom de Marco 1978 226 1 5 La d finition et l emploi d une m thodologie r pond l objectif de rendre plus homogene donc plus efficace et rationnel le d veloppement des applications informatiques quel qu elles soient En ce qui concerne la seule partie de conception l adoption d un ensemble de m thodes normes et conventions r pond aux pr occupations suivantes permettre le dialogue entre l analyste et l utilisateur Le succes d une r alisation informatique est troitement li au degr d intervention de l utilisateur qui elle est destin e dans son d veloppement Par cons quent le souci majeur de la m thod
9. 1 1 amp 2 1 1033 142 ANNEXE R capitulation des Pt ridophytes de Guyane Familles Genres Esp ces Subsp Var Total Total R f 23 142 353 8 49 575 Syn 350 1016 2 73 1441 Total g n ral 2016 Le fichier floristique des Pt ridophytes de Guyane figure 1 contient 575 taxons de r f rences et 1441 taxons synonymes soit un total de 2016 taxons Un formulaire de terrain ne comportant que les noms de r f rence figure 2 extrait du fichier complet contient 23 familles 142 genres 353 esp ces 8 sous esp ces 49 vari t s soit 500 lignes dispos es sur 2 pages au lieu de 10 pages pour le formulaire complet Num rotation des taxons Les Pt ridophytes sont num rot es de 10000 12016 Dans la figure 1 ci apr s le premier num ro gauche est le num ro de code Le num ro droite entre parenth ses indique lorsqu il existe que le nom du taxon n est plus valide et donc qu il s agit d un synonyme Le num ro de code du taxon valide est indiqu entre parentheses Dans la figure 2 les taxons sont rang s par ordre alphab tique des genres et des esp ces 143 Figure 1 Extrait du formulaire floristique des Pt ridophytes de Guyane francaise contenant les taxons de r f rence et les 10005 10006 10007 10009 10008 10010 10011 10013 10012 10014 10015 10016 10017 10018 10019 10022 10020 10021 10023 10024 10025 10026 12027 10027 10028 10029 10030 10031 10032 10037 10034 1
10. 209 3 UN DOSSIER DE LABORATOIRE EST CONSTITUE PAR fichier aide 3 Un plan d exp riences 1 optimisation de m thodes tude de causes d erreurs etc 2 Un ensemble ou un seul d chantillons sur lesquels devront tre r alis s diff rentes mesures Dans ce cas saisissez dans l ordre les r f rences et caract ristiques des chantillons 2 les mesures effectuer sur chaque chantillon 3 L option 4 permet une premiere visualisation du travail effectuer sur le dossier L ensemble des informations travail effectuer caract ris tiques des chantillons des variables texte modes op ratoires etc est accessible avec l option Lecture sur dossiers du menu principal Elles constituent les premiers renseignements du cahier de laboratoire et permettent l utilisateur de commencer le travail analytique Au cours du travail il modifiera les informations num riques et alphanum riques correspondant au dossier pr paration chan tillons saisie r sultats observations sur les chantillons sur les variables observations g n rales etc Les observations g n rales seront not es sur le fichier nomdos bi numerobib Les observations concernant les chantillons et variables se ront corrig es ou ajout es avec le pr sent menu Les informations correspondant la pr paration des chantillons et mesures seront saisies avec l option Travail de laboratoire du menu principal Le log
11. Ce gestionnaire d crans destin PIBM PC est un produit commercialis depuis 1983 par Digital Research a la parti cularit d offrir en plus des deux parties classiques d dition et d utilisation de grilles d cran un programme d installation qui autorise le param trage des codes particuliers chaque moniteur taille de l cran positionnement du curseur attributs vid o etc L diteur est con u pour g n rer des crans num rot s les quels sont stock s dans un fichier appel Display File Plusieurs de ces biblioth ques peuvent tre cr es pour une application d termin e chacune pouvant compter jusqu 250 crans L diteur distingue la partie constante des crans champs litt raux de la partie variable class e en champs d entr e de saisie et champs de sortie affichage Alors que la partie constante de l cran ne peut recevoir aucun attribut vid o sur un moniteur monochrome surbrillance vid o invers e soulignement clignotement ni couleur sur un moniteur polychromatique les champs de saisie et d affichage re oivent un num ro de r f rence et l diteur permet de faire varier leurs attributs vid o resp couleurs pour en accroitre le contraste et la visibilit En fonction des caract ristiques du moniteur utilis au moment de l ex cution les attributs vid o ou les couleurs definies pour le champ seront activ s ce qui vite le risque de mauvaise lisibilit li un
12. Chaque unit cartographique identifiant est definie et diffe renci e par rapport aux autres par un ensemble de caracteres qui peuvent tre distingu s et pris en compte s par ment ils sont de nomm s attributs Chacun de ces attributs peut prendre un certain nombre de valeurs 306 EVE 7 Y 2 3 10 22 23 7 D 2 10 6 Ld 5 4 12 20 6 e qi a N 1 4 19 12 13 13 3 Arcs 5 Noeuds 9 Zones Fig 1 Constituantes de l information g ographique 307 Exemples d attributs profondeur texture drainage mat riau originel Exemples peu profond argileuse bon ar nac de valeurs moyen prof arg sabl moyen vertique profond sableuse m diocre isait ritique Cette information th matique d riv e obtenue par analyse th matique de la l gende est saisie Tableau 4 pour constituer un fichier valeurs attributs qui inventorie les diff rents crit res attributs pris en compte pour caract riser et distinguer les unit s cartographiques de base de fa on homog ne et exhaustive texture drainage profondeur etc et les diff rentes valeurs prises par ces crit res un fichier attributs identifiants qui stocke identifiant par identifiant la valeur prise par chaque attribut pr c demment d finis la suite de ces nouvelles op rations de saisie la totalit de l information th matique analys e divis e hi rarchis e class e identif
13. TITRE TITORM NOEDI TIFRAM TITANM TITORA TIFRAA TITANA CONGRES NUMCG NOMCG LOCG PAYSCG DACG DIPLOME DIPL UNIV DADIPL NODIPL aaaa mm ji OPERAT OPERAT NOBRA NOBRA COLLATION ILL __ BIBLIOGR _ CARTE _ 1 __ 1 1 TABL GRAPH _ PHOTO _ _ MATDAC _ DCO _ LED __ ED ___ DP _ VOLO PAGE San ame ma are ate oan a QU mr de PAGE COLL C __ NUMER __ ISSN DP fa NOTE DESCRIPTEURS ORSTOM CHA __ E ONE DES CDE GEO Loc sss M LISTES SYSTEMATIQUES Indiquer le nom du champ A A M o u a M Wa e T a ss DESCRIPTEURS BASES EXTERIEURES DAGRIS DIBIS OU QD D QU QU 297 Session 4 INFORMA TIONS GEOGRAPHI QUES 299 FORBAN UN LOGICIEL INFOGRAPHIQUE DE CAR TOGRAPHIE THEMATIQUE DEVELOPPE ET POR TABLE SUR MICROORDINATEUR COMP
14. cran couleur une unit de sauvegarde QUADRAM de 5 Mo une imprimante parallele un digitaliseur BENSON 6301 un traceur BENSON 1625 5 Son d veloppement a t effectu partir QUICKBASIC Basic compil FABS Gestion des fichiers GPR 200 T Gestion du traceur assembleur Gestion de la m moire Il tourne sous syst me d exploitation MSDOS 2 1 2 2 Description de FORBAN FORBAN se compose d une trentaine de modules adressables partir d un menu principal et correspondant chacune des tapes des diff rentes op rations r aliser pour obtenir le produit 2 21 Les sous programmes communs Un ensemble de sous programmes a t d velopp pour tre utilisable par tous les modules Ces sous programmes concernent entre autres les saisies d finition du type de la longueur du posi tionnement du format etc et retour de la r ponse et du code fonction ventuel l affichage de menus d aide qui peuvent tre deman d s tout moment de saisie Une page d cran est r serv e pour afficher le menu d aide correspondant l option en cours d utilisation la gestion de la couleur chaque type d affichage sai sie aide message erreur nom de rubrique etc correspond une repr sentation couleur et fond des caract res modifiables par l utilisateur Cet ensemble de sous programmes permet FORBAN d tre homogene au niveau de son utilisation et facilement mai
15. fichierbiblio record nomdossier ch8 numdossier char datarrivee ch8 datefin ch8 originegeo ch50 interlocut ch30 methodes ch50 operateurs ch20 substrat ch200 fichvar ch12 fichech ch12 end Dans ce fichier on va ranger les renseignements correspon dant chaque dossier lors d un projet d tudes sans qu il soit alors n cessaire de conna tre les r f rences des chantillons ni les ana lyses exactes effectuer On peut en outre avec l diteur Turbo ou un traitement de textes type Wordstar Option N ou Wsconvt B conversion des fichiers en ASCII saisir un texte qui sera toujours associ au dossier dans un fichier nomdossier bi numerobib Par d faut la date de d but datarivee sera automati quement celle de l ordinateur mettre jour la date du MS DOS Pour effacer un dossier on peut utiliser la derni re option de ce premier menu si aucune r f rence d chantillons n a t saisie Sinon utiliser l option Op rations sur fichiers de donn es du menu principal Avec la m me option il est possible de copier un dossier dans une autre bibliotheque chaque dossier est affect automatiquement un caractere alphanum rique numdossier qui servira avec numerobib d signer les fichiers ult rieurs qui lui correspondent chantillons variables mesures laboratoire en vitant les confusions Une biblioth que peut contenir au maximum 50 dossiers
16. la liste des fournisseurs le point financier sur le montant des factures des commandes recues le point financier sur les sommes engag es par les commandes en cours une saisie simplifi e des commandes dont les fac tures sont liquid es par la comptabilit et un point financier sur le montant de ces factures une recherche sur les commandes en cours par le titre de l ouvrage par l auteur par le num ro de commande par le fournisseur par le nom du demandeur une recherche sur les commandes re ues par le titre de l ouvrage ou par l auteur l envoi d une r clamation envers un fournisseur 282 La saisie d une nouvelle commande correspond au remplis sage d un bon de commande Les champs propos s sont les sui vants type de cr dits num ro de commande date de commande automatiquement la date du jour nom du demandeur titre et auteur de l ouvrage command collection ventuellement nom de l diteur lieu d dition date de parution nombre de volumes command s nombre d exemplaires command s prix pr vu coordonn es du fournisseur ce niveau de saisie seul le champ num ro de commande est obligatoire l op rateur peut y revenir en mode correction texto LW correspondant un des choix du menu On demande galement d entrer une date de livraison pr vi sible 1 ou 2 mois de la date du jour Le test de la date du jour
17. le d pouillement des fiches de jaugeages 3 3 Traitements Certains fichiers sont aussi aliment s par calcul automatique partir des donn es d autres fichiers les d bits instantan s sont obtenus par traduction automatique des cotes l aide des talon nages les d bits journaliers sont calcul s partir des d bits ins tantan s Tous ces traitements sont requis par l utilisateur tra vers des grilles d cran qui lui permettent de s lectionner les sta tions et les p riodes consid rer et r alis s imm diatement apres toujours en mode conversationnel pour informer l op rateur du de roulement du traitement Un compte rendu final est imprim qui relate les op rations effectu es et les ventuelles anomalies ren contr es 3 4 Sorties imprim es graphiques Pour toutes les informations g r es par le logiciel et pour les r sultats obtenus la suite de traitements classiques des proc dures d impression sont pr vues en g n ral sous plusieurs formes inventaires listings de travail listings destin s des publications D autre part l accent a t mis sur l importance des graphiques aussi bien pour contr ler la qualit des donn es saisies ou les com parer entre elles que pour des publications Comme pour tout le 129 reste les impressions et les graphiques sont requis utilisant des masques d cran Les graphiques sont visualis s par d faut sur l cran l chelle peut tre re
18. nome l interactivit des proc dures de saisie et correction devait tre augment e pour correspondre une utilisation diff rente saisie et correction r alis es au coup par coup par l hydrologue lui m me Beaucoup de programmes et de grilles d cran ont ainsi du tre profond ment modifi s pour s int grer cette nouvelle am biance vec le recul on se rend compte de l conomie qui aurait t r alis e si des 1981 le choix avait t fait de concevoir une ver sion du syst me compl te et autonome sur le Mini 6 et une version sur le CIRCE Il est regrettable que ce bon choix n ait pas t fait mais pouvait on pr voir l poque l essor que prendrait la micro informatique dans les ann es suivantes 5 22 Influence sur le choix des langages et des outils logiciels Lors de la d finition de la premi re version le choix du Cobol comme langage de programmation principal tait vident compte tenu de la bonne aptitude de ce langage la gestion de donn es partie du logiciel pr pond rante compar e la partie de calculs L homogen ite des compilateurs sur gros syst me permettant la communication entre divers langages certains programmes appe laient des routines crites en Fortran pour effectuer les calculs les plus complexes ou acc der une bibliotheque graphique Lors du changement d quipement provoqu par le transfert Montpellier deux alternatives se pr sentaient continuer en Co
19. ouvrir et initialiser la grille ClearMap mettre blanc les champs variables WriteMap visualiser la grille l cran InformerChamps valeurs des champs prot g s WriteVar criture effective de ces valeurs repeat boucle sur les champs saisir ReadVar lecture de la variable courante ValiderChamps critique du champ correspondant until Confirme WriteVar criture de tous les champs OpenMap ouvre le fichier cran qui lui est indiqu par l interm diaire d une variable globale contenant le nom de ce fichier La proc dure interne InformerChamps crite par le programmeur d applications est destin e transmettre certaines donn es du progiciel l utilisateur comme la date de session par exemple Celles ci seront effectivement montr es l cran la suite de l appel de WriteVar La prise en consid ration des informations fournies par l utilisateur final est r alis e l int rieur d une instruction r p ti tive ReadVar qui assure chaque appel l ncr mentation de l index pointeur de champ La proc dure interne ValiderChamps galement crite par l utilisateur doit fournir le traitement ade quat chaque variable ce pourra tre une instruction case utilisant l index pointeur de champ comme s lecteur Enfin il est naturel d incorporer comme derni re donn e saisir par l utilisateur un champ de confirmation dont le r sultat est exprim
20. transmission des donn es formatage des donnees suivant le dictionnaire des variables pr paration des donn es pour l entr e dans une base de donn es dBASE III ou autres et dans des logiciels statistiques de traitement de donn es SPSS SAS BMDP Statgraphics etc 37 5 4 Langage choisi Pascal Editeur Compilateur et Interpr teur Turbo Pascal Version 3 0 Borland Inc langage structur disponible sur les deux types de machine MS DOS et CP M ce qui permet une grande portabi lit du logiciel Taille globale du logiciel 125 K compil s 6 FONCTIONNALITES GENERALES DE L OUTIL ET SON UTILISATION Les fonctionnalit s g n rales de l outil permettent la collecte de donn es de toutes sortes dans des champs d applications tres vari s en am liorant sensiblement la qualit des donn es la rapi dit et le co t des op rations de collecte et de traitement de don n es quantitatives Apr s la g n ration d un questionnaire ou d un formulaire sur le PC gr ce un diteur interactif qui demande de definir toutes les caract ristiques des questions et sous questionnaires y compris les messages et contr les d sir s un pseudo code peut tre t l charg sur les machines de terrain Il permet au collecteur une saisie directe intelligente et contr l e sur le terrain m me qui produit des enregistrements cod s et propres Apr s retour par t l chargement de ces donn es et reformatage automatique
21. 11 permet actuellement de traiter uniquement des donn es num riques entieres valeurs com prises entre 32 768 et 4 32 767 Il se pr sente sous la forme de menus d roulants et comporte les modules essentiels son fonctionnement savoir 2 1 Description des unit s des variables et des contr les Cette phase pr liminaire consiste d crire la structuration de l enqu te un questionnaire peut tre compos d un ensemble de sous questionnaires d finissant chacun des unit s secondaires ter tiaires etc L unit principale est l unit statistique d enqu te dont peuvent d pendre plusieurs unit s de niveau 2 3 etc Il s agit de d finir les types d unit et leur niveau dans la hi rarchie de constituer les informations n cessaires pour d crire les variables qui leur sont affect es libell nom abr g valeurs possibles et d tablir des contr les crois s entre les variables bas s sur des tests logiques 2 2 Saisie mise jour contr le des donn es La saisie est effectu e de mani re interactive avec contr le et correction imm diate Elle se particularise par une structure hi rarchique qui offre par l m me deux avantages une saisie simple compte tenu de la complexit du questionnaire pouvant faire intervenir diff rents ni veaux d enqu te et l occupation du minimum de place dans les fi chiers d enregistrement Lors de la premi re saisie il suffit d appeler l unit d sir e en resp
22. CL appel de 1a fonction Clear Mask Dummy Dummy pour effacer l cran Grille DEMO Op GT appel de 1a fonction Get Mask Grille Dummy pour afficher l cran Nom DAT Valeur 12 08 87 Op WR appel de 1a fonction Write Mask Nom Valeur pour afficher un champ 79 Nom TEL Op RD appel de la fonction Read Mask Nom Valeur pour r cup rer un champ if Stat lt gt 00 then Erreur test du code de retour La fonction Get doit tre utilis e pour afficher l cran dans son tat initial Dans cet exemple on utilise la fonction Write pour afficher le contenu de la variable valeur dans le champ indique par De la m me fa on la fonction Read autorise l op rateur saisir le champ nom et transmet le r sultat au programme h te par le biais de la variable valeur A l issue de cette op ration la variable globale Stat qui constitue le code de retour des fonctions de Masque peut tre test e pour v rifier le r sultat de la fonction En particulier si une touche de fonction a t actionn e Masque retourne le code correspondant au programme h te dans cette variable ce qui permet de pr voir certaines actions cran d aide abandon de la saisie etc Tant pour la fonction Read que pour la fonction Write le logiciel permet de fournir plusieurs noms de champs concat n s dans le premier argument ce qui
23. Hieronymus Blechnum occidentale Linnaeus Blechnum serrulatum L C Richard Blechnum volubile Kaulfuss Bolbitis Schott Bolbitis nicotianifolia Swartz Alston 145 AUBLET LA BANQUE DE DONN ES DE L HERBIER DU CENTRE ORSTOM DE CAYENNE PREMIERS RE SULTATS M Hoff G Cremers C Feuillet amp J J De Granville Centre ORSTOM de Cayenne BP 165 97323 CAYENNE CEDEX Guyane Fran aise RESUME Lherbier du Centre ORSTOM de Cayenne est en cours d informatisation Une premi re exploitation portant sur le quart des chantillons qui y sont d pos s permet de mieux connaitre son contenu et de pr senter quelques r sultats portant sur la r partition des chantillons par esp ce par collecteur par pays et par station SUMMARY The Herbarium of the ORSTOM Center of Cayenne ts being computerized A first exploitation with a fourth part of the collections deposited in Cayenne allows a better knowledge of the contents of the herbarium and gives some results about the distribu of the specimens by spectes by collector by country and by lo cality 1 INTRODUCTION L herbier g n ral du Centre ORSTOM de Cayenne CAY comprend actuellement environ 50 000 chantillons r partis de la mani re suivante 40 000 chantillons de Phan rogames 2 000 chantillons de Pt ridophytes 1 500 chantillons de Bryophytes 500 chantillons de Lichens 5 000 chantillons de Champignons Le contenu de l herbier et
24. L gt tous les fichiers laboratoires COM CHN BAT gt fichiers programmes HLP gt fichiers d aide l utilisation du logiciel 2 3 N utiliser que les proc dures d effacement de ce menu Des proc dures d effacement concernant la biblioth que d installation sont pr vues dans MIDINST Ne pas effacer de fichiers sous MS DOS Securit le logiciel emp che d effacer une biblioth que contenant des dossiers Il faut effacer au pr alable tous les dossiers opt 3 4 5 Ces proc dures d effacement d une variable et d un chantilon sont galement int gr es dans GESTION DES INTITULES DE DOSSIER 6 La copie d un dossier dans une autre biblioth que est tres utile lorsque celui ci doit tre analys par plusieurs laboratoires ou plusieurs modules d un laboratoire dans un m me lieu On vite ainsi les r p titions de saisie de l en t te et des chantillons 219 7 Conversion ASCII des fichiers mesures et des r f rences d chantillons Caract res s parateurs LF Les fichiers sont r cup rables par STATGRAPHICS WORDSTAR MULTIPLAN etc Cette proc dure doit tre compl t e avec des options pour la conversion plus rapide de toutes les mesures d un dossier des identifiants de variables etc Nous devons aussi ajouter l importation de fichiers ASCII sous MIDAS dans le but d etablir une compatibilit totale de ce logiciel avec des tableurs perfor mants pour la s lection de donn es et avec les l
25. Si l on admet sans grande discussion le bien fond de telles r alisations des fins de gestion du territoire et dans une moindre mesure de planification on doit fermement contester leur utilit pour la recherche en g ographie humaine Il y a l une confusion des genres la recherche base du d veloppement devrait tre autre chose qu une activit de service informatique pour le seul profit de l Etat planificateur Ce diagnos tic a eu pour cons quence directe le choix d autres finalit s et d autres moyens pour la r alisation de SISECSO 2 PROBL MATIQUE ET M THODOLOGIE DYNA MIQUE REGIONALE DES CERRADOS Etudier d crire m me de maniere tres fouill e les transfor mations des cerrados ne constitue en aucun cas une probl matique de recherche en g ographie humaine Apr s avoir pris connaissance de la maigre litt rature sur le sujet et demand le point de vue de plusieurs chercheurs et am nageurs fran ais il a t possible de d finir un ensemble de questions m ritant d tre tudi es Les cerrados constituent un immense ensemble biog ogra phique s tendant sur deux millions de kilometres carr s pres d un quart du territoire br silien Sur le plan physionomique le cerrado typique est une savane compos e d une couverture herbac e de 50 70 centim tres de hauteur et d un tage sup rieur discontinu d l ments arbor s ou arbustifs Ce cerrado tipo donne l ensemble son unit et r
26. acqu 3 bits No l eu 5bits v OI T T T TL Eee Ann e 7 bits N acqu 1 Z ros l re marque de fin de label Z ros 2 me marque de fin de label DONNEES 2 60 octets T L TL TL T T Te donn e ale o EC l t n de voie donn e 844 bits Bits m 8 7 6 5 4 3 2 1 LSB Bit de plus bas niveau HSB Bit de plus haut niveau 94 Une cassette compl te de 1800 blocs est lue et d cod e en 25 mn environ sur un XT Dans les deux premiers blocs blocs en t te sont rassembles en clair les caract ristiques de l enregistrement nom de la station code d acquisition num ro de cassette cadence d chantillonnage nombre de voies amplifications des voies date de d but et de fin d enregistrement nombre de blocs donn es ainsi que 128 carac teres de commentaires Tout ces renseignements sont entr s au clavier au d marrage de la lecture dans une zone d acquisition prot g e Les blocs donn es sont constitu s d une chaine alpha num rique B de 8 octets de label horodateur et de 2x60 octets de donn es Valeur enti re sur deux octets les voies tant en s quence d1V1 d2V1 dnV1 d1V2 dnVv Les valeurs num riques i sont obtenues en Basic par la fonction CVI MID B Ki 2 en Fortran par ICHAR B Ki 256 ICHAR B Ki 1 avec 7 2i4 2 V 1 60 NV V est le num ro de la voie et NV le nombre de voies 4 TRAITEMENT DES FICHIERS DECODES Un menu d utilitaires
27. assurer la conversion la diffusion et la maintenance de ce logiciel Si le premier point est inh rent la dynamique du develop pement de l informatique le deuxi me doit tre r solu avant d envisager le d veloppement de tout logiciel d int r t g n ral La cr ation d une structure l ORSTOM capable d une part d valuer les projets soumis pour d cider de l opportunit de les d velopper et d autre part fournir une assistance technique 51 durant la phase de d veloppement ainsi que d en assurer par la suite la diffusion et le suivi est tr s souhaitable La puissance des micro ordinateurs et la diffusion des disques durs permettent maintenant l utilisation de puissants logiciels de traitement de donn es qui jusqu alors taient r serv s aux centres serveurs se r sout ainsi le probl me analyse des donn es n anmoins le probl me de l acquisition des donn es demeure Avant de d velopper un ou plusieurs logiciels de saisie il semble indispensable d entamer une r flexion approfondie sur les diff rents types de donn es qui peuvent se pr senter Nous pou vons d j en distinguer deux les donn es fournies par les instruments de mesure le probl me est l automatisation complete de la chaine celles recueillies par un observateur humain subdivi s es en deux groupes Jes enqu tes lourdes qui recueillent une grande masse de donn es dans un temps limit les panels les enqu te
28. aux fl ches de mouvement du curseur et aux touches de fonction Display Manager permet l impression de chaque grille d cran avec le dictionnaire associ des champs d entr e et sortie cette impression peut tre r orient e dans un fichier disque le logi ciel permettant la concat nation de celles ci dans l optique de faci liter la r alisation du manuel d utilisation pour l application en cours de mise au point Pour l utilisation des grilles d cran g n r es par l diteur on dispose d un certain nombre de fonctions Le programmeur d application doit alors en codifier les appels le code propre aux fonctions tant inclus dans la phase d dition de liens partir de la bibliotheque objet fournie par Display Manager Ces fonctions doi vent videmment tre d clar es comme externes ce qui oblige incorporer les d clarations correspondantes fournies dans le programme source Ce mode de fonctionnement interdit l utilisation de ce produit par les versions interpr t es ou compil es mais sans tape d dition de liens des langages De plus la codification par fonc tions et non par proc dures en emp che l utilisation en Cobol langage qui n accepte pas cette notion Display Manager est n anmoins utilisable en Basic CBasic C Digital Research Pascal Pascal MT 86 et PL1 PLI 86 Les fonctions de Display Manager retournent normalement une variable entiere code de retour dont la valeur est z ro si l
29. avec l image de l cran un tableau des caract ristiques de chaque champ variable contenu dans la grille Enfin le logiciel permet la conversion des crans g n r s par un diteur de texte quelconque moyennant une op ration dite de compilation et quelques restrictions concernant le format des fichiers d entr e L utilisation dans un programme h te des fichier grilles g n r s par cet diteur n cessite l incorporation de Masque comme module externe appel au moment de l edition de liens quand elle existe ou d clare ezternal La communication avec le module est r alis e par le biais des param tres effectifs au moment de l appel en nombre variable selon la fonction d sir e La gestion de ce type d interface variant d un langage l autre on se bornera d crire l utilisation de Masque dans un programme Turbo Pascal Sept fonctions au total sont autoris es le code de la fonction ex cuter est pass e au module l aide d une variable globale Op sous forme d une chaine de deux caracteres par exemple RD pour Read WR pour Write L appel de la proc dure Mask doit pr senter syst matiquement deux param tres pour satisfaire les exigences de coh rence ch res au langage Pascal Toutefois suivant la fonction appel e l un d eux et parfois les deux seront inutiles dummy La s quence d instructions pr sent es ci apres est typique de l utilisation de Masque dans un programme d application Op
30. cier la formation de la r gion prise dans son ensemble SISECSO sera aussi le produit de la re cherche en renfermant la plupart des informations n cessaires l analyse et la compr hension des processus Cette approche diff rente doit tre mise en perspective avec ce que certains ont pu appeler la r volution quantitative affectant la g ographie francaise depuis une quinzaine d ann es Il s agit d une profonde mutation qui ne peut tre r duite un recours au nombre plus fr quent qu auparavant En modifiant leur approche des ph nomenes en adoptant le modele d analyse syst mique en mettant l accent sur la n cessit de ne pas privil gier un niveau d analyse ou une chelle particuliers aux d pens des autres c est une autre mani re de penser et de pratiquer la g ographie qui fait son apparition La lecture de la revue L Espace G ographique donne une bonne id e des travaux produits par cette nouvelle g o graphie durant la d cennie 1970 1980 La diff rence la plus ais e appr cier rel ve de la pr sentation de tableaux num riques ou de graphiques comme on en avait peu vu jusqu alors issus principa lement des techniques d analyse statistique multivari e droites de r gression plans factoriels arbres de classification C est proba blement pour cette raison que la discipline scientifique g ographie a t affubl e de l pithete quantitative par ses d tracteurs te nants de la g ographie
31. d gager des l ments explicatifs d un 253 ph nomene observ partir des r sultats obtenus dans d autres travaux ou dans des disciplines voisines Gubry P amp Lemdja F 1985b L observation du pass permet en outre de formuler des hypoth ses quant l volution pr visible Ce probl me se pose plus d acuit encore dans les pays qui disposent d un nombre res treint de travaux chacun de ceux ci doit donc tre valoris au maximum En prolongement toute publication scientifique comporte lo giquement une bibliographie sp cialis e plus ou moins toff e L laboration pratique de celle ci est un investissement non n gli geable v rification et correction des r f rences compl tude mise en forme dactylographie etc toutes op rations qu une base de donn es a d j r alis es par avance ou qu elle peut effectuer dans les d lais les plus courts Enfin force est de relever le nombre consid rable de travaux scientifiques pourtant d ment financ s qui tombent rapidement dans l oubli La raison en est certes dans le faible int r t de certains d entre eux cependant jamais nul mais aussi dans l absence ou l insuffisance des structures et des dispositifs de valorisation Il en r sulte un gaspillage de ressources absolument hors de mise Une base de donn es bibliographiques a dons un r le minent jouer dans la diffusion et la valorisation des r sultats de la recherche ce qui est
32. d un champ S il y a plusieurs auteurs collectifs les noms de chacun d eux sont s par s d une virgule suivie d un espacement Les organismes administratifs des pays sont pr c d s du nom du pays libell en fran ais suivi de deux points entre espacements Il en est de m me des organismes des Nations Unies pr c d s par Nations Unies ou des organismes sous r gionauz UDEAC Ex ception est faite pour les organismes de recherche et les universit s mentionn s en tant que tels Le sigle est alors privil gi et pr cede le nom s par de ce dernier par un point Pour les structures peu connues au Cameroun le nom du lieu est ajout la fin apr s un point 268 Dans le cas des ouvrages anonymes comportant donc pas d auteur personne physique dont l auteur collectif AUC est diffi cile identifier on prend comme auteur collectif le titre de la revue dans le cas d une revue et le nom de l diteur commercial pour un ouvrage Ces noms sont suivis respectivernent apres un point de la mention REVUE ou de la mention EDITEUR Exemple CAMEROUN CAMEROUN SOUS DIRECTION DES ETUDES DE POPULATION UDEAC BUREAU TECHNIQUE REGIONAL DU PROJET DEMOGRAPHIQUE UDEAC TCHAD ed IPD INSTITUT PANAFRICAIN POUR LE DEVELOPPEMENT INSD INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRA PHIE OUAGADOUGOU AMTSBLATT FUR DAS SCHUTZGEBEIT KAMERUN REVUE FOYER D EDUCATION ET D UNION EDITEUR 4 ANNEE Ann e de parution Date d
33. dure et surtout l option AUTOSAVE ajoutent un confort certain ce travail assez ingrat 5 2 La lecture des bandes des recensements de IBGE Les donn es fournies sur bande magn tique par l IBGE sont enregistr es de deux mani res S il s agit de donn es r centes diffu s es l aide du progiciel local SIDRA on a affaire un format ca ract res Pour les informations plus anciennes de 1970 et 1975 l enregistrement r alis par des programmes PL 1 se pr sente en format binaire Les formats internes SAS ici 8 IB4 ou RB4 simplifient consid rablement l op ration de lecture des bandes sans avoir crire un programme ad hoc 5 3 La constitution des tableaux d finitifs La mise en forme et le stockage des tableaux d finitifs r sul tent de l ex cution de deux op rations La premi re a trait aux no menclatures qu il faut rendre compatibles d un recensement l autre Une tape DATA assure cette homog n isation de chaque tableau les diverses variables relatives une nomenclature tres d sagr g e ou des modalit s de tableaux crois s sont regroup es en une seule nomenclature commune tous les recensements La seconde op ration plus d licate revient agr ger les nou veaux municipios ceux qui sont apparus entre 1970 et 1980 de mani re exprimer les valeurs dans une maille administrative unique PROC MEANS realise cette op ration selon le principe sui vant PROC MEANS DATA ENTR
34. est un chapitre d un ouvrage collectif Les champs INAU INAUC et INTI contiennent par cons quent les caract ristiques de l ouvrage collectif In tir de Nom et pr noms de l diteur scientifique personne physique de l ouvrage collectif d o est extrait le titre suivi par ed ou dir Lorsqu il y a plusieurs diteurs scientifiques personnes phy siques comprenant collaborateur s traducteur s ou pr facier s seuls sont mis les diteurs principaux suivis chacun par ed Il n y a donc qu un seul qualificatif possible par personne celui ci tant ed diteur scientifique Le champ INAU est crit comme le champ AU 8 INAUC Editeur s scientifique s personne s morale s Nom de l diteur scientifique personne morale de l ouvrage collectif d ou est extrait le titre suivi par ed Le champ INAUC est crit comme le champ AUC 9 INTI Titre d un ouvrage collectif d ou est extrait le titre Ce champ est crit comme le champ TI mais n est jamais traduit comme cela se passe dans le champ TIT Il se termine par un point 10 CONG Congres Il s agit de toutes les r unions scientifiques congr s col loque r union s minaire symposium table ronde journ e de tra vail consultation r gionale voyage d tude stage atelier as sembl e etc ce champ est rempli la fois pour les simples com munications des colloques non dit es ult rieurement et pour les ouvrages publiant les actes des colloques
35. exemples page suivante Gr ce ces proc dures l acces le plus large et le plus rapide possible est offert une communaut d utilisateurs c est ainsi que les donn es interpr t es disponibles au CIRCE sont pr lev es une fois par mois depuis le centre de Noum a par le r seau TOMPAC pour tre stock es sur une disquette compatible afin de permettre un traitement ult rieur L utilisation de logiciels du commerce adapt s permettent de traiter les divers parametres la demande de l utilisateur sans qu une grande connaissance informatique soit n cessaire Pour faire face l augmentation pr vue du nombre de balises et diminuer les co ts de calcul l ensemble de la chaine de traite ment sera prochainement effectu l aide d un micro ordinateur type IBM AT le CIRCE restant le coeur de l archivage et de l interrogation ext rieure CONCLUSION partir de donn es caract ristiques et gr ce l utilisation de moyens t l matiques il est possible de suivre en temps quasi r el l volution d un difice volcanique Cela permet l ensemble de la communaut scientifique de disposer de messages clairs faciles obtenir partir d un simple poste de t l phone par l interm diaire du r seau commut ou d un r seau sp cialis Bull ARGOS Newsletter n 30 T l observation des volcans actifs enjeux difficult s perspectives juillet 1987 Remote moni toring of active volcanals challenge problems
36. iravers le r seau TRANSPAC est assur automatiquement deux fois par jour par un microordinateur du type HP 85 un change ment de format assure le compactage des fichiers qui sont stock s sur cassette Ces donn es sont ensuite envoy es automatiquement au CIRCE elles sont trait es Un ensemble de logiciels permet de trier ces donn es suivant l heure de r ception des messages d liminer les doubles et de constituer un fichier de donn es brutes par mois qui est consultable imm diatement Un traitement plus complet est effectu une fois par jour avant huit heures ce traite ment consiste liminer les erreurs de transmission calculer l heure d acquisition et la valeur du param tre physique partir des formules de conversion et des constantes d talonnage afin de cr er un fichier de donn es interpr t es par mois Ces op rations s effectuant toujours sous le contr le du micro ordinateur tout 56 moment chaque membre de la communaut scientifique peut acc der ces donn es le CIRCE pouvant tre appel par l ensemble des moyens t l matiques actuels console passive terminal per sonnel r seaux EARN et Minitel Un ensemble de logiciels acces sible des non informaticiens a t mis au point permettant chacun d obtenir sur un Minitel chaque matin sous forme de courbes la variation quotidienne ou mensuelle d un param tre ainsi que les valeurs num riques des param tres physiques interrog s
37. la fois dans le r pertoire et dans les fichiers de l valuation Il sera alors possible de s lectionner les caf iers d une esp ce provenant d une origine choisie et poss dant des caract ristiques pr cises de floraison r colte etc Pour cela il faudra constituer un syst me relationnel Les fichiers devront tre d coup s autrement car cer tains genotypes sont plant s plusieurs fois dans la m me parcelle Le r pertoire sera sans doute clat en un fichier des origines in dex sur le code des caf iers et un fichier des plantations index sur la position en collection Les fichiers de l valuation seront aussi index s sur la position en parcelle Les analyses statistiques des donn es seront toujours r alis es l aide du logiciel N D M S apres transformation des fichiers CONCLUSION Les objectifs fix s sont partiellement atteints Nous avons saisi la plupart des donn es accumul es depuis plus de dix ans Le r pertoire du mat riel v g tal vivant en collection est disponible et peut tre diffus sous forme de listing Cependant il est indispen sable d am liorer l acc s aux donn es et leur traitement L organisation g n rale de la base de donn es devra tre modifi e pour parvenir un syst me performant La saisie des informations continue De nouveaux fichiers sont l tude pour d crire les populations d origine coordonn es g ographiques description de la for t les hybr
38. ne micro ordinateur et le fulgurant d veloppement des t l communications font que cette fonction disponibilit des donn es peut tre assur e dans les meilleures conditions Les projets de grande taille mettront en oeuvre des so lutions centralis es au niveau calculateur et offriront des services leurs clients via les grands r seaux de t l communications L autre philosophie consiste dans le cas de projet plus modeste dupli quer le syst me de donn es sur les micro ordinateurs des clients C est dans le cadre de cette seconde solution que seront pr sent s les moyens retenus pour rendre accessible l information Un syst me de gestion de bases de donn es poss de en g n ral ses propres langages de description et de manipulation des donn es Dans le cadre du projet CROISIERES ces langages n existent pas C est la raison pour laquelle il est pr f rable d employer le terme de syst me de donn es Par contre tout un en vironnement logiciel est propos aux utilisateurs Nous distin guerons trois classes d outils qui s adressent des publics diff rents la biblioth que des routines d acces Seul l interface avec le langage Fortran 77 sera expos Cependant afin de s ouvrir un plus vaste public de programmeurs une biblioth que Quick Basic est disponible les utilitaires de manipulation de donn es Ces programmes interactifs sont utilis s pour introduire les donn es dans le systeme Ils permettent gal
39. ou plusieurs bibliotheque s d installation On pourra ainsi installer des groupes comme l ments majeurs des roches oligo l ments des plantes bases changeables sols soufre dans s diments humus bondy clas sique polysaccharides des sols etc La saisie des analyses effec tuer sur un dossier est alors tr s rapide puisqu elle consiste en un simple transfert de tous les descripteurs des variables choisies dans un ou plusieurs groupes d installation Des textes modes op ratoires peuvent tre associ s chaque groupe et consult s tout moment Avec chaque analyse sont automatiquement associ s deux fichiers de nombres r els un fichier mesures et un fichier labora toire Chaque fichier mesures se dimensionne automatiquement 206 la taille du fichier chantillon Chaque mesure peut avoir trois tats demande non demande ou r sultat r el Chaque fichier laboratoire de taille non limit e permettra la saisie et l archivage de donn es en sorties des appareils spectres chromatogrammes hauteurs de pics etc Les proc dures de lecture du dossier permettent chaque op rateur d avoir un tat complet du travail effectuer Peut alors commencer le travail lui m me de laboratoire Le logiciel permet ici encore un d coupage du travail tel qu il est effectu en s parant la pr paration des chantillons et les analyses la pr paration des chantillons permet la saisie des pes es interface RS23
40. parties sur trois niveaux ler niveau Parcelle 2 me niveau Elle n a t contrainte aucun dimensionnement bien que le nombre de variables soit relativement important plus de 300 va riables et environ 13 000 unit s confondues apres le deuxieme pas sage de l enqu te Elle a pu supprimer modifier les variables r ali ser un premier traitement de donn es avant de passer sur des logi ciels sp cifiques tels que l analyse multidimensionnelle pour une tude plus approfondie des ph nom nes urbains Ouagadougou 102 Structure des fichiers hi rarchis s principe d enregistrement Pour permettre la correction des unit s et la mise jour le fichier doit tre acces direct il faut alors choisir une longueur d enregistrement Plusieurs possibilit s s offrent choisir l unit ayant le plus de variables pour fixer la longueur de l enregistrement conduit une perte de place importante pour un micro ordinateur cr er un fichier par type d unit pr sente deux inconv nients le premier est une limitation du nombre d unit s par le nombre de fichiers pouvant tre ouverts simultan ment le deuxi me est une perte de temps en criture et en lecture car le temps de positionnement pour acc der un enregistrement secteur est de l ordre de cent fois le temps de lecture d un secteur La structure retenue est donc une structure s quentielle chaque enregistrement une longueur
41. quels que soient le num ro et le type des donn es r cup rer de la grille Un index est utilise et mis jour chaque appel de cette routine pour indiquer quelle variable est recue par le programme h te Lorsque c est n cessaire les commandes de mouvement du curseur ou d dition de champ s accompagnent automatiquement de la mise jour de cet index de sorte que la saisie est full screen 1 valeur courante de toutes les variables de la grille qu elles Soient prot g es ou accessibles l op rateur peut tre crite sur l cran par le biais d une commande sp cifique WriteVar sans qu il soit n cessaire d crire de nouveau toute la grille sur le moniteur Enfin la proc dure ClearVar remet toutes les variables internes du programme h te en relation avec le telador blanc ce qui permet de traiter facilement le cas fr quent des saisies r p t es sur la m me grille plusieurs articles d un m me fichier mode 74 Quelques options sont disponibles comme celle de donner ou non l cho l cran d un caract re taper au clavier ce qui permet le traitement ad quat des informations r serv es mot de passe par exemple ou encore de transformer syst matiquement en majus cules toutes les donn es saisies 4 3 Exemple d utilisation La s quence de commandes pr sent e ci dessous est typique de l utilisation de Telador dans un programme h te pour la saisie d informations OpenMap
42. r seau Le fichier caracteres est ensuite transmis et captur sur micro Un programme opere alors le transcodage inverse donnant ainsi un fichier binaire qu il reste mettre en conformit avec les nouvelles sp cifications de format Un utilitaire PATCHCRO est propos cet usage 2 12 Le catalogue et sa mise jour Le catalogue r pond une double pr occupation La premi re est de regrouper logiquement des fichiers CROISIERES en fonc tion de l tude r aliser La seconde est de permettre la d finition et la m morisation d une s lection L utilisateur cr e un catalogue avec l utilitaire CATAL puis d clare toujours gr ce ce m me programme la liste des fichiers prendre en compte Ce catalogue contient alors lensemble des donn es vitales la proc dure de s lection dates positions g o graphiques parametres etc Le module CATAL permet galement de supprimer des fichiers d un catalogue de v rifier si les fichiers d clar s sont toujours pr sents dans le r pertoire du disque enfin de marquer les stations qui satisfont aux d finitions des crit res d une s lection Le dernier ensemble de stations s lectionn es reste marqu tant qu une autre s lection n est pas d finie 184 2 2 Les interfaces Une bibliotheque de routines SPCRO LIB est la disposi tion des utilisateurs qui veulent d velopper leurs propres applica tions Parmi les points d entr e quatre sous programmes sont tout
43. riodiques em prunt s par le num ro d inventaire pour les ouvrages par la cote pour les p riodiques par l auteur ou le titre par le nom du demandeur le passage au programme de gestion des commandes pour lister par exemple les commandes en cours pour un ventuel lecteur demandeur chaque lecteur est attribu un code il n y a pas de carte de lecteur Le fichier des p riodiques courants est reli celui des p rio diques emprunt s pour viter une saisie fastidieuse du titre sou vent tres long de ces p riodiques La biblioth caire entre la date de retour pr vue en fonction de la cat gorie de lecteur tudiant stagiaire personnel ORSTOM Bondy ou ext rieur et de la longueur du pr t en g n ral quinze jours pour les pr ts court terme les plus fr quents mais il y a de des pr ts long terme et des ouvrages affect s une unit de re cherche donc tres long terme Ce programme peut tre adapt pour toutes les unit s sou cieuses de g rer l entr e et la sortie de leurs documents person nels la saisie des r f rences ne prend pas plus de deux minutes on peut retrouver rapidement qui a emprunt quoi soit avec l option recherche soit avec l option r clamations Il fonctionne sous Unix et sous DOS et il suffit de disposer du logiciel TEXTO 285 HORIZON BASE BIBLIOGRAPHIQUE ORSTOM PRE SENTATION Jean Paul Roux Fouillet informatique documentaire Unit cen
44. s au disque qui ralentissent consid rablement les traitements 2 25 Sous programmes sp cifiques Plusieurs traitements essentiels au fonctionnement de FOR BAN ont t d velopp s sp cifiquement En particulier Recherche de zones incluses Il s agit du traitement le plus long de FORBAN est utilis deux reprises avant le calcul de surfaces des zones sur carte de base et sur document th matique Il permet de d duire la surface des zones incluses pour les zones externes et de permettre un ha churage correct des zones au niveau des trac s Ce traitement est le plus long car il n cessite d effectuer le contr le d une zone sur l ensemble des autres zones REPERTOIRE cartes POINTS ARCS NOEUDS ZONES ARCS ZONES IDENTIFIANTS ZONES LIBELLES ZONES SURFACES ZONES POINTS ZONES INCLUSIONS IDENT SURFACES ATTRIBUTS VALEURS IDENT ATT VAL SURFACES ARCS POINTS INCLUS IONS CLASSES DESSIN Param tres CONTOUR Carte 315 code intitul chelle coordonn es arc points noeud n arc zone n arc zone ident zone libell coord n zone points surface coordonn es n zone incl principale n identifiant surface attribut valeur libell n ident att val n classe att val n classe n ident zone n zone points surface n zone n arc coordonn es n zone incl principale n zone n classe classe pl
45. un contient la fonction que l on demande Masque de r aliser l autre est un code de retour Ce dernier doit tre test au retour de Masque pour d tecter si une erreur s est produite lors de la r alisation de la fonction demand e et identifier cette erreur Parmi les erreurs possibles citons le cas le fichier grille n a pas pu tre acc d ou est non conforme et le cas le nom d un champ communiqu Masque ne correspond pas un champ de la grille Ces erreurs se produisent le plus souvent lors de la mise au point du programme mais le code de retour joue un autre r le tres important lorsque le programme est op rationnel comme nous le verrons dans la description de la fonction de saisie La description de chacune de ces fonctions est illustr e par un exemple en langage Basic et en langage Cobol bas sur la grille imprim e en figure 2 La fonction Get doit tre ex cut e avant toute op ration r aliser sur la grille elle charge la description de la grille partir du fichier grille et l affiche dans son tat initial Le nom du fichier grille doit tre fourni lors de l appel au module Masque Chaque position des champs variables est mat rialis e par un point les d limiteurs sont affich s ainsi que les valeurs initiales des champs initialis s Basic 10 GRILLES DEMO GRILLE nom du fichier grille 20 SPACES 2 code de l op ration 30 STATS SPACES 2 STAT code de retour 40 OPS
46. vV Eoexi2 o est l cart type de la moyenne y et oxi sont les carts types des moyennes xi produits rapports V ECVxi2 CVy est le coefficient de variation y et CVxi sont les coefficients de variation des xi La proc dure d affichage des r sultats sur fen tre d cran et de sauvegarde est analogue pr c demment Calculs et tests sur une variable Proc dure de fonctionnement par fen tre d cran analogue pr c demment Ici les calculs ne portent plus sur chacun des re sultats des variables mais concernent des param tres de leur distribution effectif nombre de mesures effectu es sur une variable somme somme des mesures effectu es sur une variable moyenne moyenne des mesures effectu es sur une variable m diane m diane des mesures effectu es sur une variable Ectype cart type des mesures effectu es sur une variable Max mesure maximum de la population Min mesure minimum de la population Outlier test de DIXON de recherche des valeurs aberrantes F erreur compare la variance de la distribution la va riance provenant du dosage s2 xbar CV 100 2 Une valeur de F non significative indique que les variations observ es ne sont pas interpr tables Xbar 0 test l hypoth se nulle de nullit de la moyenne test t xbar n s Tres utile pour les comparaisons par paires de s ries de r sultats faire la difference des deux variables et appliquer c
47. 1618 Bactris 1686 Bactris aubletiana Trail 1932 Bactris oligocarpa Barbosa Rodrigues 1541 Bauhinia 1683 Bauhinia guianensis Aublet 507 1684 161 FIGURE 10 Liste des chantillons Pherbier GRENAND 56 199 227 345 376 407 449 456 459 460 473 487 490 497 506 507 509 510 512 515 520 521 523 537 538 547 548 549 554 558 par num ro de r colte croissant extrait Canna indica Linnaeus Mendoncia hoffmannseggiana Nees Licania heteromorpha Bentham Callichiamys latifolia Richard K Schumann Pseuderanthemum sp Stizophyllum riparium Humboldt Bonpland amp K Combretum laxum N J Jacquin Justicia Hymenocallis tubiflora Salisbury Clusia grandiflora Splitgerber Vernonia remotiflora L C Richard Rollinia mucosa N J Jacquin Baillon Merremia macrocalyx Ruiz amp Pavon O Donell Tapirira guianensis Aublet Maripa scandens Aublet Bauhinia guianensis Aublet Caryocar glabrum Aublet Persoon Ouratea Odontadenia cururu Martius K Schumacher Oedematopus octandrus Poeppig amp Endlicher P Allamanda cathartica Linnaeus Martinella obovata Humboldt Bonpland amp Kunt Quararibea guianensis Aublet Vismia cayennensis N J Jacquin Persoon Peltogyne pubescens Bentham Hirtella glandulosa Sprengel Licania micrantha Miquel Odontadenia cururu Martius K Schumacher Guatteria discolor Schlegelia violacea Aublet Grisebach Observation Les num ros manquants correspondent soit aux
48. 87 10H38 70 23 18 11 87 14H37 70 23 18 11 87 18H37 70 23 18 11 87 22H38 70 23 19 11 87 2H39 23 19 11 87 0 23 19 11 87 10H41 23 19 11 87 14H62 23 19 11 87 18H43 23 19 11 87 22H44 23 20 11 87 2 45 23 20 11 87 6H47 23 20 11 87 10H 49 23 20 11 87 14H51 23 20 11 87 18H53 24 20 11 87 22H55 24 D D f D NF ND WU amp Liste Ges valeurs d une temp rature funerclle et de sol en decr s C obtenues chacue passage satellite entre le 17 et le 20 novembre 59 GLOSSAIRE CIRCE Centre inter r gional de calcul lectronique CNRS CLS Collecte et localisation de donn es satellitaires ARGOS CNET Centre National d tudes des t l communications CRG Centre de recherches g ophysiques Garchy CNRS DGT Direction g n rale des t l communications EARN R seau IBM OPT Office des postes et t l communications de Nouvelle Cal donie PIRPSEV Programme interdisciplinaire de recherche sur la pr vision et la surveillance des ruptions volcaniques TOMPAC Equivalent Transpac pour les territoires d outre mer TRANSPAC Transmission de donn es par paquet 61 INTERET CREATION ET UTILISATION DE GRILLES D ECRAN Patrick S chet Informatique UR 502 Cadres Spatiaux de l Ind pendance Alimentaire EMBRAPA Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecu ria SuperCenter Ven ncio 2 000 70333 Brasilia DF Br sil RESUME En mati re de langage
49. ACTIVE FEMININE CONDITION FEMININE DELINQUANCE SOUS POPULATION CONJONCTURE PERSPECTIVES THEME PRINCIPAL SECONDAIRE 62 23 6 34 57 30 22 6 9 21 16 54 37 28 45 10 32 24 30 72 26 4 35 23 2739 THEME 69 7 6 o7 h 15 10 34 16 19 46 12 38 16 1128 Observation il y a 11 chapitres et 99 sous chapitres ou descripteurs TOTAL 131 30 12 34 61 37 26 10 14 27 16 69 47 62 61 10 41 30 49 118 32 16 73 39 3858 265 ANNEXE 2 INSTRUCTIONS POUR LA SAISIE ET L INTERROGATION POPCAM version d octobre 1987 La base de donn es bibliographiques informatisee POPCAM comporte 31 champs qui sont les suivants NUM NUMERO DU DOCUMENT AU AUTEUR S AUC AUTEUR S COLLECTIF S ANNEE ANNEE DE PUBLICATION TI TITRE ORIGINEL TIT TITRE TRADUIT INAU EDITEUR S SCIENTIFIQUE S PERSONNE S PHYSIQUE S D UN OUVRAGE COLLECTIF D OU EST EXTRAIT LE TITRE INAUC EDITEUR S SCIENTIFIQUE S PERSONNE S MORALE S D UN OU VRAGE COLLECTIF D OU EST EXTRAIT LE TITRE INTIT TITRE D UN OUVRAGE COLLECTIF D OU EST EXTRAIT LE TITRE CONG CONGRES DIPL DIPLOME REVUE TITRE DE LA REVUE LED LIEU X D EDITION ED EDITEUR COMMERCIAL EDITEURS COMMERCIAUX VOLNO NUMERO DE VOLUME PAGES NOMBRE DE PAGES COLL COLLECTION NOUVREF NOUVELLE REFERENCE LAN LANGUE S DE L OUVRAGE CHAP CHAPITRE SCHAP SOUS CHAPITRE DES DESCRIPTEUR S CDES CANDIDAT S DESCRIPTEUR S PROV PROVINC
50. Ce champ contient le titre du congres le nom des organismes organisateurs entre parentheses le lieu du congres la date du congres entre parentheses la r f rence du document s il y a lieu Si la m me communication a t faite plusieurs congres ceux ci sont mentionn s avec pour s parateur l abr viation amp Le champ CONG se termine par un point 270 Exemple Colloque sur l Observation Permanente et l tat civil Li breville 13 17 d cembre 1974 Doc 62 SG BTR PD Quatri me colloque de d mographie africaine Ouagadougou 20 24 janvier 1975 Deuxi me stage de perfectionnement pour d mographes afri cains francophones IFORD MINCOOP UIESP Bordeaux 8 novembre 3 d cembre 1982 11 DIPL Dipl me Il s agit de tous les dipl mes universitaires theses m moires tudes de cas etc ce champ est rempli chaque fois que le titre correspond un dipl me qu il s agisse de la version de sou tenance ou de la publication imprim e ult rieure si le dipl me y est mentionn Si le dipl me n y est pas mentionn mais que l information est connue par ailleurs elle est indiqu e dans le champ CONTENU Le champ DIPL contient le titre du dipl me l universit cor respondante et entre parenth ses la date du dipl me si celle ci diff re de l ann e de publication Il se termine par un point Exemple M moire de mattrise de g ographie Universit de Paris VI Th se de doctorat de 3 me cycle
51. Condition de longueur de mot P riph rique cran ou imprimante Etat du dictionnaire 2 1S cran ou sortie d imprimante contenant le r sultat du processus d dition d tats volume d une page ou un cran 250 pages ou 500 crans par sollicitation D pend de la demande et du contenu actuel du dictionnaire p riodicit ventuelle champs attributs de la verbete voir 1 et message donnant les statistiques de l edition Sollicitation de lexique 2 2E elle est constitu e par une grille d cran qui pr cisera les crit res utilis s pour l dition du lexique 244 volume une grille d ecran par sollicitation p riodicit ventuelle champs diverses options pour l mission Forme complet ou simplifi P riph rique cran ou imprimante Classement lingua geral ou portugais Lexique 2 2S cran ou sortie d imprimante contenant le r sultat du processus d dition de lexiques volume d une page ou un cran 70 pages ou 200 crans par sollicitation D pend de la sollicitation et du contenu actuel du dictionnaire p riodicit ventuelle champs Statistiques de l dition et par verbete Mot ClasseMot ventuellement Sens ClasseSens ventuellement d definition des champs Il s agit de la premi re esquisse du dictionnaire de variables du syst me PCDICO construit partir des donn es identifi es dans le projet lo
52. D TUDE ET UNI TES D OBSERVATION Le Br sil est un pays de tradition statistique ancienne La philosophie positiviste d Auguste Comte encore si pr sente au jourd hui n est peut tre pas trang re cette demande de don n es num riques En 1808 un d nombrement montrait l existence de 4 millions d habitants mais il ne s agissait que d une estimation visant informer la m tropole portugaise de l tat de ses domaines en Am rique du Sud Ce n est qu en 1872 qu eut lieu le premier vrai recensement d mographique digne de ce nom en raison du contr le effectif de chacune des phases de sa realisation Suivirent en 1890 et 1900 deux autres recensements de la population puis en 1920 furent ajout s ceux de l agriculture et de l industrie 1940 marque un tournant de l appareil statistique br silien outre le re censement d mographique furent r alis s les recensements co nomique agricole industriel commercial des transports et des communications Cette immense t che avait t rendue possible par la fondation en 1934 de l Institut National de Statistique de venu en 1938 l Institut Br silien de G ographie et de Statistique IBGE Charg la fois des enqu tes et tudes statistiques g o graphiques et cartographiques l Institut a conserv son nom jusqu nos jours en tendant ses activit s au domaine de la plani fication En 1950 1960 et 1970 l IBGE r it ra ses op rations de 1940 en les affinant
53. DOS pr sente de nombreux avantages comme la gestion simple de l cran et des routines d erreur ou la pr sence de macro fonctions permettant de g n rer du code interpr table l int rieur du programme lui m me qui donnait la possibilit de d velopper facilement des microlangages pour certaines parties du logiciel Enfin la possibilit d utiliser sous l interpr teur Basic n importe quel moment les commandes du syst me autorisait la r alisation d un logiciel totalement ferm 3 LE LOGICIEL Il se d compose en trois grands modules et quelques programmes utilitaires Chaque module est un assemblage de petits programmes au maximum 250 lignes qui sont chaines les uns aux autres travers une s rie de menus Cela tait n cessaire car nous ne disposions apres le chargement de l interpr teur Basic de gu re plus de 30K pour les programmes et les donn es Les fichiers sont du type acc s direct Les donn es num riques sont enregistr es en binaire sur deux octets et les donn es alphab tiques en caracteres En r alit les donn es num riques et alphab tiques sont situ es sur deux fichiers parall les mais cela reste totalement transparent pour l utilisateur 3 1 Le module dictionnaire Le module dictionnaire est compos de quatre programmes le premier assure la cr ation du fichier dictionnaire et du fichier de donn es ainsi que leur protection contre toute des truction intempestive l
54. Goeldi C P 075 ORSTOM 66000 Bel m PA Br sil RESUME La r alisation d un logiciel de saisie de donn es semble une t che relativement simple quand l on possede quelques connaissances informatiques une exp rience de l organisation des donn es et que l on a identifi les besoins des utilisateurs Dans ces conditions en d passant le budget temps pr vu pour la phase de mise au point on parvient diffuser quelques chercheurs un produit qu ils utilisent avec satisfaction Mais l tape suivante la transformation du logiciel en un produit de niveau commercial est trop sem d emb ches pour qu un chercheur puisse la franchir seul sans le soutien de services comp tents pour aider la normalisa tion du produit en assurer la diffusion et la maintenance Nous participions la r alisation depuis quelques ann es de traitement d enqu tes l aide de logiciels implant s sur le centre de calcul d Orsay CIRCE La maitrise de l analyse statistique pro prement dite ne posait plus gu re de probl mes par contre l tape saisie et d puration des donn es ressemblait trop souvent un casse t te chinois Cette tape exigeait un travail long souvent r barbatif et peu cr atif Cette phase du travail avait souvent pour cons quence que l analyse de certaines enqu tes n tait que tres partielle et dans les cas extr mes le seul traitement r alis tait le chargement des donn es sur bande magn tique et l archi
55. La validation d un champ fait l objet d une attention particu li re lors du montage du dictionnaire de variables Elle peut s exprimer par l ensemble des caract ristiques suivantes obligatoire s agit d un bool en qui signale si le champ correspondant doit tre pr sent imp rativement ou non validation sp ciale Elle s exprime sous la forme du code de l algorithme de validation de ce champ Par exemple pour une longitude le sous champ h misphere ne peut tre que Est ou Ouest coh rence Elle indique l existence d un algorithme que la valeur de ce champ doit respecter en combinaison avec un ou plusieurs autres champs Par exemple en chimie des sols les divers r sultats de l analyse granulom trique de la terre fine sable gros sier sable fin silte et argile doivent totaliser 100 pour un chan d termin Le code de l algorithme en question devra bien s r figurer pour chacun des champs qui y interviennent erreur Cette colonne est utilis e pour signaler le cas d un champ qui devra tre accept m me s il t consid r r ron par la critique Ce cas intervient fr quemment pour des don n es historiques climatologie par exemple lorsqu il n y a pas de possibilit de retrouver la valeur r elle l erreur tant alors tout au plus signal e digit de v rification On signale l existence d un digit de contr le pour le champ consid r Dans le sous chapitre algor
56. Mot 02 03 04 05 06 de 07 08 09 10 15 Ann e 2 chiffres Mois Jour Heure Minute la station Latitude en degr s minutes N gt 0 mot 61 Longitude en degr s minutes W gt O mot 62 Fond en m tres Nombre de niveaux Nombre de param tres mesur s 179 Param tres m t o Mot 11 Temp rature de l air sec dixi mes de degr Mot 12 Temp rature de l air humide Mot 13 Direction du vent dizaines de degr s Mot 14 Vitesse du vent noeuds Indicatif du bateau Mots 28 31 C est la seul cas o des mots contiennent des codes ASCII La cha ne est gauche huit caract res max compl t s blanc Mots r serv s Mots 16 21 PROFILER Mots 27 32 XBT Mots 33 60 libres Mots 63 68 METEO Informations compl mentaires sur les positions Mot 61 Centi mes de minute latitude pas de signe Mot 62 Centi mes de minute longitude 1 23 L adressage dans un fichier CROISIERES La m moire de masse est consid r e comme un ensemble de morceaux de 256 octets adressables directement On choisit d appeler secteur un tel morceau Lors de la premiere impl men tation du logiciel sur mini ordinateur Hewlett Packard cette no tion de secteur tait physique Bien qu il n y ait plus de raison ma t rielle on conserve la terminologie par souci de compatibilit avec la version pr c dente Une campagne est constitu e d une suite de secteurs num ro
57. SYSTEME INTEGRE DE COLLECTE PROGICIEL DE COLLECTE ET D ANALYSE DE DONN ES QUANTITATIVES SUR MICRO ORDINATEURS PORTABLES Benoit Ferry et Pierre Cantrelle D mographie UR 709 Population Sant ORSTOM ISD U R Population Sant 15 21 rue de l Ecole de M decine 75270 Paris Cedex 06 France RESUME Les objectifs Il s agit d un progiciel int gr utilisable par des non informaticiens pour mener des enqu tes et des collectes quantitatives depuis la conception jusqu aux tableaux de r sultats en s appuyant sur une machine centrale et des machines de terrain portables Vise les enqu tes par interviews y compris les plus com plexes mais peut s appliquer galement des saisies de donn es et de documents sur le terrain Il concerne plusieurs disciplines et divers secteurs d activit et s applique aux pays d velopp s comme aux pays en d veloppe ment Le cahier global des charges S appuyer sur du mat riel disponible si possible peu cher et peu sophistiqu faire l analyse de facon empirique partir des t ches des collecteurs et du concepteur plut t que de la th orie des ques tionnaires possibilit de g n ration d un questionnaire ou d un formulaire par un directeur d enqu te non informaticien collecte possible sur le terrain par un personnel peu qualifi qui manipule une machine d enqu te intelligente mais transparente Il doit disposer d un ensemble d outils qui lui per mette de f
58. a ensuite t modifi la suite de leurs remarques et l enqu te a commenc le m me jour en fin d apres midi L enqu te a port sur 309 questionnaires d chargement des donn es le soir du dernier jour et sortie des tableaux le lendemain 39 D autres applications sont actuellement cours d elaboration ou de n gociation en particulier avec l appui de l OMS et de P UNICEF d une part avec l appui de UNICEF et de la Coop ration Francaise pour la Guin e d autre part Diff rents projets SIDA s int ressent cette m thodologie L INSEE pour ses enqu tes de consommation aupr s des m nages Enfin plusieurs programmes de ORSTOM de diverses disciplines envisagent d utiliser ce progiciel pour leurs op rations de collecte 8 PRINCIPALES LECONS DES TRAVAUX EFFECTUES DOMAINES D APPLICATION 8 1 Principales lecons des travaux effectu s Faisabilit d enqu tes sur des machines de terrain et de l int gration des diff rentes phases des enqu tes autour de micro ordinateurs La formation les co ts les connexions entre machines ne constituent pas des handicaps importants N cessit pour l analyse de partir des t ches du concepteur et de l enqu teur Aller profond ment dans l analyse pour la correction des erreurs et incoh rences pour offrir l enqu teur un ensemble d outils puissants mais simples d acces L entr e dans une s rie de logiciels classiques dBASE III SPSS PC SAS ITEM STAT
59. alable utilise MIDINST pour saisir tous les descripteurs des analyses du laboratoire rang es dans des groupes Le m me programme permet tout moment de modifier ces descripteurs analytiques L option Variables install es permet de transf rer dans le dossier la variable choisie par le curseur avec tous ses descripteurs 212 chaque variable est associ un fichier mesures composant M numerobib numerodos soit un fichier de nombres r els dimensionne la taille du fichier chantillon Chaque mesure peut avoir trois tats D demand e 32767 N non demand e 32766 nombre r el chiffre de mesure Par d faut la saisie des variables toutes les mesures sont D L option Etat des mesures permet de s lectionner avec le cur seur les mesures de m me tat et d indiquer cet tat avec N ou D pour chaque chantillon sur un diteur plein cran chaque variable est galement associ un fichier utiliser pour le travail de laboratoire composant L numerobib numerodos soit un fichier de r els de longueur non limit e 4 TRAVAIL DE LABORATOIRE Fichier d aide 4 Permet de distinguer la pr paration des chantillons pes es et dilutions Option 1 de la saisie des mesures corrig es sur diteur plein cran pour chaque variable 2 avec correction par les facteurs r sultant de la pr pa ration des chantillons 3 les deux autres options sont d velopper sp cifique ment a
60. an partir de mod les num riques Les oc anographes physiciens de l ORSTOM ont jusqu pr sent surtout travaill s dans le domaine de l observation Ils ont mis en place un r seau de mesures par navires marchands qui est actuellement la pi ce ma tresse du dispositif d observation perma nent de l oc an tropical du programme international TOGA Ce programme pr voit un accroissement de l effort d observation de cette r gion pendant dix ans ainsi qu un d veloppement de la mo d lisation oc anique en vue d une am lioration de la pr vision cli matique des chelles de temps comprises entre le mois et l ann e Quelques uns tentent depuis peu de prospecter la voie de la mod lisation en utilisant des mod les num riques soit pour des tudes de processus soit pour une simulation p riodique la plus r aliste possible C est la voie que notre quipe a choisi L objectif de notre travail est de fournir partir des sorties d un modele une description d taill e mensuelle de l oc an Atlantique dans ses trois dimensions entre 20 N et 20 S Pour obtenir la description la plus r aliste possible nous pr voyons de contr ler les sorties mensuelles du mod le partir des observations r alis es pendant le mois coul cette assimilation de donn es doit viter les d rives dues soit des probl mes num riques soit aux approximations faites lors de l criture du modele Il faut noter que l assimilation des donn
61. application fournir une vote pour l utilisation de techniques de g nie logiciel l heure actuelle le g nie logiciel constitue avec l intelligence artificielle l un des domaines les plus effervescents de la recherche en informatique Son but est d apporter un soutien aux activit s de d veloppement de syst mes en automatisant un maximum des t ches aff rentes cette activit Un certain nombre de produits commerciaux sont d j disponibles dans ce domaine aide la conception aide la sp cification aide la programma tion tous ont pour base une m thodologie th orique existante analyse structur e et variantes projet structur et variantes etc 229 L adoption d une m thode est donc un pr alable indispensable l utilisation des techniques de g nie logiciel susceptibles d apporter un gain de productivit et de qualit significatifs lors de la mise au point des applications informatiques Bourgeois J 1984 D autres avantages secondaires devraient galement r sulter de l adoption d une m thode de conception certains sont vidents comme le fait de faciliter le dialogue entre les d veloppeurs en leur permettant une communication plus technique gr ce au langage commun qui est cr Malgr la grande diversit des th mes abor d s ORSTOM chacun pourra facilement profiter de l exp rience de ses collegues et faire b n ficier ceux ci de sa propre exp rience D autres avantages so
62. autorise un affichage efficace des champs de l cran d une part la saisie en mode pleine page d autre part Trois autres fonctions sont fournies Reset pour remettre la grille d cran dans son tat initial ou seulement un ou plusieurs champs variables sans avoir relire le fichier Display pour visualiser un message d information dans la vingt cinquieme ligne de l cran Output Color pour afficher une chaine de caract res partir d une position quelconque de l cran avec le choix des attri buts vid o et ou de la couleur Les trois logiciels pr sent s ci apr s sont des produits du commerce et comme tels fournissent des prestations plus com pl tes essentiellement dans la partie d dition Ils permettront normalement de cr er plus confortablement les crans ces der niers tant galement plus soign s La description succincte qui en est donn e ci apr s poursuit un objectif d analyse comparative bas e sur les fonctions d un gestionnaire g n rateur d crans l diteur en distinguant l edition des zones constantes le deos la d finition des champs et les caract ristiques disponibles et la gestion des grilles d une part la bibliotheque d utilisation sa forme sa syntaxe et ses ressources d autre part Les fonctions d dition de champ disponibles en temps d ex cution constituent un dernier crit re particuli rement important pour l utilisateur final 80 5 3 Display Manager
63. autres produits pr sent s dans cet article En effet la grille est vue comme un ensemble de lignes chacune d elles pouvant contenir un ou plusieurs champs de cette facon l diteur n offre et n utilise aucune commande plein cran Dans ces conditions plut t que sur la grille d cran propre ment dite c est sur une fen tre de definition de champ que l analyste travaille pour dessiner et d finir sa grille d cran Un champ peut tre constant ou variable Pour d finir une ligne d cran ou n apparait ni champ de saisie ni d affichage on choisit le type fixe et on ditera alors la ligne enti re l diteur ignore la notion de zone ou de bloc Pour d finir un champ variable on utilise la m me fen tre en fournissant explicitement la position d sir e ligne et colonne du premier caract re occuper par le champ La ligne en question est alors automatiquement visualis e dans la fen tre chaque champ variable est associ un nom de champ qui est utilis par le programme d application pour communiquer avec la grille cette notion de nom de champ est tres int ressante dans la mesure o elle favorise grandement la lisibilit du programme les fonctions de saisie et affichage devant invoquer explicitement le champ par son nom en plus d apporter une relative ind pendance entre le programme et la grile On regrettera toutefois que Masque ne r serve que trois positions cet effet Le logiciel ne comporte pas la not
64. aux d riv es par telles par un syst me d quations alg briques Avec ces quations en partant d un tat initial connu on calcule les tats successifs des diff rents param tres du milieu on nt gre le modele La discr tisation du milieu est choisie en fonction de ce que l on veut tudier puisque les ph nomenes ne peuvent tre r solus que si le temps de propagation entre deux points de grille est inf rieur au temps d int gration d ou un quilibre entre la dimension des mailles le temps d int gration et la gamme de ph nomenes tudi s Actuellement il n existe dans le monde que deux modeles tri dimensionnels aux quations primitives de l oc an un mis au point aux Etats Unis l autre en France par une quipe du Laboratoire d Oc anographie DYnamique et Climatique LODYC Le modele que nous utilisons est celui du LODYC mis au point par P Delecluse P Andrich M Chartier et M A Foujols La discr tisation a t faite suivant une grille en trois dimen sions 110 x 72 x 16 En chaque point de la grille on calcule quatre param tres principaux et il est n cessaire de disposer de trois pas de temps pour proc der l int gration d un nouveau pas de temps D o la n cessit de disposer chaque pas de temps de 1 5 million de variables cod es sur 8 octets soit environ 12 millions d octets rien que pour les variables principales Ces donn es doivent tre stock es en m moire si l ordinateur utilis en es
65. ayant chang de nature LOLODORF CIRCONSCRIPTION Cas d une unit administrative ayant chang de nom BAMOUN DEPARTEMENT NOUN DEPARTEMENT Cas d une unit administrative ayant clat puis chang de nom MARGUI WANDALA DEPARTEMENT MAYO TSANAGA DEPARTEMENT MAYO SAVA DEPARTEMENT Cas d une autre unit BAMBOUTOS MONTS BAMENDA ARCHIDIOCESE BAMILEKE PAYS BANYO LAMIDAT BORNOU EMPIRE BORNOU SULTANAT KUMBO DIOCESE MANDARA ROYAUME MBO PLAINE NKAM VALLEE TCHAD BASSIN WOURI ESTUAIRE WOURI REGION 279 26 ETH Ethnie s S crit en majuscules d apres la liste des ethnies Les noms sont s par s par une virgule sans espacement quand il y en a plusieurs Exemple BAMILEKE MOFOU GUEMJECK ZOULGO 27 CETH Candidat s ethnie s Il s agit des autres groupes de population ne figurant pas ou pas encore sur la liste des ethnies Lorsqu il s agit d un groupe identifie la nature du groupe est pr cis e la suite apr s un point sans espacement Ce champ s crit comme le champ ETH Exemple NDAKA BEKE MUKULEHE CLAN 28 DATE Date de cr ation du document dans la base La date est exprim e en six chiffres repr sentant dans l ordre l ann e le mois et le jour Il faut noter que la date peut tre ant rieure l ann e de pu blication Le cas se pr sente si un document a t entr dans la base sous une forme provisoire puis publi post rieurement La r f rence a ensuite t corrig e se
66. ayant trait aux sols et au climat c est au Centre de Recherche Agro Pastorale des Cerrados CPAC qu est revenu sa conception En effet la forte expansion de l agriculture des cerrados en fait un excellent objet de recherche cristallisant l essentiel des problemes scientifiques que peut pr senter un tel projet Malheureusement une fois pied d oeuvre on s est rapidement rendu compte que dans cette institution la socto conomie n tait qu un tiroir de plus un nouveau facteur optimi ser pour accroitre les rendements am liorer les conditions de la commercialisation mieux d finir la demande des consommateurs 324 potentiels On avait donc affaire une demande purement techno cratique pouvant se r sumer de la mani re suivante accumulons la plus grande masse d information dans tous les domaines ayant un rapport avec l activit agricole interrogeons la banque de don n es ainsi constitu e et produisons des caract risations plus ou moins fouill es en fonction de la demande sociale en fait la de mande de l tat planificateur puis effectuons des croisements synth tiques montrant sur quels l ments il faudrait agir pour at teindre un optimum donn Dans cette perspective l informatique n intervient que pour rendre plus efficiente plus syst matique l oeuvre de planification Sur un tel programme plusieurs points de vue peuvent tre adopt s Celui de l archiviste plus il y a de donn es
67. bol ou choisir un langage plus r pandu sur micro ordinateur comme le Basic ou le Pascal Mises part les qualit s intrins ques de chaque langage et ses performances sur un micro ordinateur un nouvel l ment est apparu comment adapter et ainsi viabiliser le plus vite possible un logiciel que l on pouvait qualifier de mort ne c est dire p rim par un changement d quipements d s sa phase de conclusion comme l est devenue la version Mini 6 CIRCE la fin 1984 133 Tableau 1 Principaux langages et outils utilis s par la version actuelle d Hydrom Micro Centre de ordinateur calcul gestionnaire de grilles d cran Masque ISPF langage de gestion Level II de donn es Cobol Cobol organisation de S quentiel VSAM fichiers Index KSDS langage pour les Quick applications graphiques Basic langage pour Quick certains calculs Basic Fortran transfert de fichiers Kermit IDEA3278 Nous allons expliquer certains des choix r sum s dans le tableau 1 Premier point important la disponibilite d un logiciel de grilles d cran En l absence d un tel outil ad quat utilisable en Level II Cobol il a t choisi d en d velopper un appel Masque qui fait l objet d une autre communication de ce s minaire concu e facon ressembler le plus possible dans sa syntaxe et surtout dans sa philosophie celui utilise pr c demment toujours dans le but d acc l rer l adaptation sur micro ordinateur Par son haut n
68. champ de saisie un repr sente le contenu d un champ num rique non prot g un repr sente le contenu d un champ alpha num rique prot g ou encore champ d affichage alphanum rique accessible seulement par le progiciel et un repr sente le contenu d un champ num rique prot g Tous les autres caract res rencontr s sur la grille sont consi d r s comme repr sentant des constantes lorsqu ils sont entour s de caract res sp ciaux ils sont entendus comme composant un masque d edition Le dialogue offert par Editor est particuli rement simple et adopte le standard introduit par le traitement de textes Wordstar pour tout ce qui concerne l dition proprement dite Dans le mode d dition une aide en ligne est disponible pour les d butants Les fichiers g n r s par l diteur contiennent en plus de l image de la grille d cran un dictionnaire recevant quelques informations sur les champs variables de l cran type position et masque d edition Un ensemble d options permet d administrer les fichier crans cr ation mise jour sauvegarde copie changement de nom et impression Cette derni re op ration g n re deux produits la grille d cran simple image sur papier de ce qui sera pr sent en temps d ex cution sur le moniteur la grile d cran compl te qui joint cette image le listing du dictionnaire des variables contenues sur celle ci Le programmeur dispose alors de la
69. choix unique Les ressources fournies par l diteur pour dessiner les crans suivent sensiblement le standard Wordstar mouvements du cur seur effacement etc Il n y a pas de commandes sur les blocs mais des commandes sp ciales d dition de champ pr fix es X CtrDU la position de ceux ci devant tre marqu e sur la grille d cran Pour d finir toutes les caract ristiques des champs variables Display Manager utilise le concept de Status Window associant chaque champ une fen tre de param tres qui doivent tre fix s par l analyste de sp cification En plus des attributs vid o et couleurs le choix d un format sp cifiant comment le contenu du champ doit tre pr sent dans l espace qui lui est r serv justification gauche ou droite position du point d cimal code mon taire etc est possible Dans le cas particulier des champs de saisie le choix d un type entre alphab tique alphanum rique avec ou sans caracteres sp ciaux avec ou sans cho avec ou sans conversion en majus cules entier ou r el est autoris L information donn e par l utilisateur en temps d ex cution est alors valid e caract re par caract re en fonction de ce type Le r sultat provoqu par la saisie 81 d un caract re interdit est galement contr lable par la status window de chaque champ beep fin de champ automatique ainsi que le traitement fin de champ ou caract re ill gal qui doit tre r serv
70. classique qui doit se pratiquer les pteds dans la boue Les pionniers de la g ographie quantitative fran aise ayant d montr l int r t et l efficacit de leur m thode et de leurs techniques d analyse toutes les branches de la discipline y font aujourd hui appel mais des degr s assez divers SISECSO est un exemple de p n tration de la g ographie quantitative dans un secteur jusqu alors pargne La m thodologie peut tre r sum e de la mani re suivante partir d informations statistiques pour ressenti relev es sur la totalit du territoire des cerrados des dates diff rentes permet tant d valuer les volutions et enregistr es dans une banque de donn es informatis e on cherche mettre en vidence les princi paux mouvements d int gration r gionale l aide de techniques math matiques et graphiques d analyse de l espace Cependant rien n interdit la v rification de certains r sultats en allant a poste riori sur le terrain mais s rement pas l inverse On pourrait ob jecter que les donn es statistiques br siliennes ne constitueraient pas une source d information fiable Il semble plus constructif d examiner s il n est pas possible de leur faire dire quelque chose Apr s tout n est ce pas une des formes de la pratique de la re cherche analyser en connaissance de cause des donn es partielles entach es d erreurs l aide de techniques appropri es 329 3 SOURCES STATISTIQUES AIRE
71. collecte croissant Le dernier chiffre droite indique le num ro du nom du pays de collecte Le code des num ros des pays se trouve sur la figure 14 G A Black associe son num ro de collecte les deux derniers chiffres de l ann e de collecte 54 17559 signifie que l chantillon a ete r colt en 1954 171 LE SYSTEME DE DONNEES CROISIERES Jean Jacques Lechauve Informatique Atelier Informatique de Brest Antenne ORSTOM aupres de IFREMER BP 337 29273 Brest C dex France RESUME Vouloir connaitre l oc an a conduit les chercheurs organiser des campagnes dans le but de mesurer le plus grand nombre de param tres cours du temps la technologie mise en oeuvre a volue et la masse d informations recueillies est devenue sans cesse plus importante L ordinateur est des lors l outil indis pensable l exploitation de cette information Si sa fonction calcul est l une des plus appr ci es la plus importante est sans conteste celle de gestion des donn es donn e est une information enre gistr e sur un support D velopper un syst me de donnees doit pondre au double objectif suivant repr senter un certain monde r el optimiser la fonction disponibilit des donn es La repr sentation d un certam monde r el Dans tout processus d analyse la premi re phase consiste d limiter le domaine d application de la r alisation Pour confirmer cet adage nous dirons que le syst me CROISIER
72. comme dans toutes les op rations il faut une m thode et rigueur dans la pr paration technique Avantages simplicit notamment en supprimant toute la chaine de gestion des documents am lioration de la qualit par le contr le direct la saisie et le fait de n avoir plus d tape de transcription interm diaire source d erreurs r duction des d lais par suppression du temps de sai sie des bordereaux de retour aux documents de base pour correc tion ventuelle apr s contr le raccourcissement des d lais pour obtenir des r sultats d j pendant l operation et imm diatement apres r duction des co ts co t de saisie des bordereaux d laboration d un programme de contr le de correction par retour aux documents de base moins de d placements de personnel etc l enqu teur est compl tement guid dans sa saisie il moins de questions se poser la mise au point des tabulations peut se faire des avant l op ration et tre test e et ex cut e des le retour des pre miers enregistrements cette d marche permet une approche int gr e de l ensemble d une op ration depuis la conception jusqu aux tabulations 8 3 Domaines d application et d bouch s Les domaines d application de ce projet sont vastes et concernent des champs d activit vari s Il s agit principalement de tous les probl mes de saisie sur le terrain qui variant fr quemment d objet sont d une complex
73. cran la ligne situ e au sommet dis paraissant Il en r sulte une perception s quentielle et partielle la plupart du temps non satisfaisante des informations chang es De plus les commandes d edition de champs dont on dispose pour recevoir des informations de la part de l utilisateur du syst me sont rudimentaires le plus souvent seule la touche backspace de retour arri re avec effacement est op rationnelle pour une ins truction read permettant la correction d une entr e erron e Pour am liorer ce syst me de communication on a d abord imagin un dialogue par le biais d crans pleins et plus r cemment de portions d cran fen tres en consid rant un cran comme un module capable de v hiculer les informations dans les deux sens de forme tout fait semblable un formulaire Les crans servent alors pr senter des informations un utilisateur lui poser des questions lui pr senter une suite d options fournir une grille de saisie etc Ceci constitue un moyen efficace de structurer le dialogue dans la mesure o l on projette chaque fen tre pour qu elle contienne des donn es appartenant un m me groupe exactement comme l on dessine un gabarit de rapport ou le lay out d un bordereau 64 type de dialogue structur est adopt par un grand nombre de progiciels de toute nature il est g n ralement facile r aliser avec les langages de prototypage ce qui est une des raiso
74. d indinaison et distance entre hachures Le principe est donc le suivant positionnement de plume sur le point suivant ou premier trac de ligne jusqu l intersection suivante L op ration est r p t e jusqu la derniere intersection trou v e Regroupement de zones Ce traitement sert supprimer les arcs communs aux zones de m me classe apres la constitution des classe Le principe est de partir d un des arcs d une zone consid r e et de se d placer d arcs en arcs en changeant de zone si la zone poss dant le m me arc est de m me classe L arr t du traitement s effectue lorsque l arc en cours correspond l arc de d but dont les zones communes sont de classes diff rentes Figure 3 1 Inters 3 Inters Le nombre d intersections est Impair La zone A est incluse dans la zone B O Intersection ection Zone 2 Intersections 7 ui ections Zone B 4 intersections Le nombre d intersections est Nul ou Pair La zone A n est pas incluse dans la zone B Fig 2 Principe de recherche des inclusions LTE 318 sJnojuoo sep uojlestueB5BJo J ep ediouli4 514 euoz ep ZoN Jns 849304991 ep eins 331334 3ddO13AN3 eddoje u3 suep snou uou O 9002 Seuoz jnojuo2 egAnoJ eddojeAu3 9 euoz ep oN 1ns 8491849841 ep 33 H3SNOO 3ddOT3AN3 egAnoJj eddoje ug suep esn ouj v euoz g y Seuoz jnojuO2 egAnoJj eddoje u3 v euoz ep
75. de docu mentation au programmeur et l utilisateur La possibilit de cr er un fichier texte contenant l image de cette dition est appr ciable pour permettre l incorporation de cette documentation dans le cahier du programme et dans le manuel de l utilisateur par l interm diaire de l utilisation d un traitement de texte Dans le deuxi me environnement les programmes doivent tre codifi s pour tablir une interaction avec les crans cr s qui se pr sentent d sormais sous forme de fichiers sur disque pour assurer le fonctionnement du progiciel Il faut alors disposer d une biblioth que de proc dures ou de fonctions capables d assurer par simple appel en temps d ex cution des t ches telles que la visualisation d un cran ou d une fen tre l exhibition d une information connue du syst me 69 A L ANALYSTE DE SPECIFICATION ELABORE LES ECRANS AVEC LE G N RATEUR D CRANS r Fichier ecrans Prax B LE PROGRAMMEUR D APPLICATION INCORPORE LES ECRANS ET EN AUTORISE L UTILISATION AVEC LE GESTIONNAIRE D CRANS Figure 2 L utilisation d un gestionnaire g n rateur d crans met en vidence deux tapes distinctes 70 l intention de l utilisateur r sultat d un calcul par exemple ou encore la mise disposition du progiciel d une donn e fournie par l op rateur L interaction entre le programme d application et les routines du gestionnaire d crans peut tre r alis e de diverses man
76. de donn es sans intervention d une fonction Il est important de noter dans le dic tionnaire pour chaque flux sa p riodicit et une estimation du volume qui intervient chaque ex cution de la fonction de facon fournir une orientation utile pour la sp cification et le projet phy sique La description du contenu du flux de donn es est r alis e en d taillant la liste des l ments de donn es qui composent ce flux chaque l ment de donn es tant lui m me d fini dans le diction naire de donn es sous la rubrique champs Tous les champs qui apparaissent dans les flux de donn es mais aussi dans l expression de la logique des fonctions doivent tre d crits toutefois les champs de contr le c est dire ceux qui sont seulement utilis s pour les n cessit s internes du syst me n y figurent pas Il est int ressant de pr voir un formulaire sp cifique pour recevoir les nombreuses caract ristiques de chaque champ de facon faciliter l elaboration du dictionnaire de variables Ces ca ract ristiques peuvent tre regroup es selon les cat gories sui vantes identification pseudonymes structure origine stockage domaine de valeurs taille et repr sentation codification valida tion L identification d un champ est constitu e par un symbole mn monique choisit suffisamment court pour ne pas compro mettre l utilisation de tel ou tel langage au moment de la pro grammation huit lettres pourrait tre u
77. de mise en oeuvre de l informatique il a fallu proc der une analyse des diverses possi bilit s L option progiciel cl s en mains a t choisie en raison de la bri vet des d lais n cessaires sa mise en oeuvre Le Statistical Analysis System SAS utilis depuis longtemps l EMBRAPA et correspondant bien la nature des donn es orga niser constitue l outil informatique de r alisation de SISECSO im plant sur un gros systeme IBM 2 ordinateurs IBM 4341 et acces sible en batch sous OS VS2 et en conversationnel sous VM CMS La place de SAS au cours des principales tapes de r alisa tion de SISECSO raison la grande vari t de fonctions propos es par SAS toutes les tapes de r alisation de SISECSO y ont fait appel des degr s divers 1 la constitution du tableau d identification des municipios 4 lecture des bandes de VIBGE 3 la constitution des tableaux finals 323 Seule la num risation de la carte des municipios des cerrados a n cessit la conception et la programmation d un petit ensemble de programmes g n rant un fichier fond de carte compatible avec SAS GRAPH Composition et avenir de SISECSO Au printemps 1987 SISECSO se compose de 3 bases de don n es informatis es implant es sur le centre informatique de l EMBRAPA et accessibles via le progiciel SAS A la fin de l ann e 1987 le CPAC disposera d une banque de donn es de pres de 3 000 variables relev es sur
78. des sp cifications d un logiciel aboutit une sorte de cahier des charges tres approximatif qui au gr des demandes peut se transformer rapidement en une carcasse inutile ou monstrueuse si l on ne veille s imposer de s v res li mitations La d finition des besoins doit n cessairement tre un processus it ratif auquel il faut donner une sortie voire un com promis car h las on peut tout programmer seule une tude tr s approfondie des performances du progiciel notamment aux conditions limites r v le ses bugs ses r actions innatendues parfois al atoires et surtout ses lenteurs C est le prix lev payer pour optimiser la vitesse de proc dures complexes sur des fichiers lourds souvent d ailleurs au moyen de solutions informatiques franchement atypiques Le logiciel POI est la disposition des utilisateurs potentiels il est fourni avec une documentation tr s complete soixante dix pages qui permet une prise en main imm diate 119 HYDROM UN LOGICIEL DE GESTION DES DON NEES D UN R SEAU D OBSERVATION HYDROM TRIQUE G rard Cochonneau Informatique Hydrologie UR 502 Cadres spatiaux de l Ind pendance Alimentaire EMBRAPA Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuaria SuperCenter Ven ncio 2 000 70333 Brasilia DF Bresil RESUME Utilis par le Laboratoire d Hydrologie de ORSTOM il t d velopp et par certains services hydrologiques de pays Africains HYDROM est un logi
79. destin e l administration de cet cran Le choix du label de cette proc dure est laiss crit re de l utilisateur ainsi que le nom du fichier qui la contiendra et qui devra tre inclus dans le programme d application Pour l utilisation des crans et fen tres g n r s par l editeur il est n cessaire d inclure certaines biblioth ques fournies par le lo giciel en fonction des ressources utilis es Videol usr doit toujours tre inclue Windiws1 usr correspond l affichage des fen tres Keyboard usr Datetime usr et Scrdrive usr sont n cessaires pour pouvoir g rer les champs d entr e sortie Screen Maker fournit une proc dure sp ciale EditFields pour traiter un cran globalement en ditant les champs d entr e en mode pleine page Pour une dition champ par champ on aura la s quence d instructions typique suivante 1 SCREEN COD fichier de code g n r InitVideo initialise l adresse cran TabScreen initialise les variables Screen 0 visualisation de l cran EditFields PutField var 1 pi p2 affiche le champ 1 GetField var 2 saisie du champ 2 L appel Screen 0 visualise l cran SCREEN dans la page 0 le logiciel permet l utilisation des quatre pages de m moire d cran disponibles sur la carte graphique en mode 80 colonnes proc dure DisplayPage d o la possibilit d un affichage instantan des 84 crans contenus dans des
80. difficile d valuer le gain de temps qui peut tre apport durant cette phase compte tenu de la diversit des applications possibles On peut n anmoins signaler qu il existe toujours une interface de communication entre le progiciel et son utilisateur par cons quent toutes les applications sont concern es Celle ci constitue parfois l essentiel du syst me par exemple lorsque le but poursuivi est de stocker des donn es dans ce dernier cas l effort de programmation pourra tre r duit substantiellement par l utilisation d un gestionnaire d crans de r duire la taille des programmes Fen tres et crans sont en effet trait s comme des fichiers externes aux programmes de sorte que la taille de ces derniers est r duite aussi bien en ce qui concerne le code source que le module objet Ces fichiers peuvent d ailleurs tre partag s par plusieurs programmes crans d aide par exemple ce qui constitue aussi un facteur de r duction de la 65 des programmes tout vitant des redondances De plus le traitement d un cran est normalement r alis avec quelques lignes de code appels de proc dures ou fonctions en remplacement de toute une succession d ordres de lecture et d criture de la m thode conventionnelle Enfin un gestionnaire d crans pourra parfai tement se charger de l essentiel de la validation des informations fournies par l utilisateur dispensant le programme applicatif d encombrantes r
81. difficilement compr hensible que l appui d une m me touche puisse avoir des effets diff rents lors de phases distinctes du traitement L utilisation du gestionnaire Figure 1 est une garantie de ce que l utilisateur peut attendre un comportement unique de toutes les ressources du progiciel en ce qui concerne la fonction des touches les facilit s d entr e de donn es la pr sentation des messages etc de favoriser la mamtenabilit Les ordres de lecture et criture ajout s aux routines de validation occupent une partie significative de beaucoup de programmes le fait que l ensemble puisse tre substitu par quelques appels de fonctions contribue faciliter tests et maintenance Par ailleurs la partie de code corres pondant au dialogue est mise en facteur ainsi la visualisation d une fen tre l cran s crit sous la forme d une commande unique Ceci am liore la lisibilit du programme et partant sa PROGICIEL FONCTION 1 Figure 1 Le gestionnaire decrons administre totalement la communication entre le progiciel et lutilisateur 67 maintenabilit La portabilit de l application augmente dans les m mes proportions d automatiser une partie de 1 documentation Tout logiciel de cr ation et utilisation d crans permet l impression de ceux ci g n ralement sous deux formes distinctes La premiere fournit l image de l cran tel qu il sera visualis au moment de l ex cution au m m
82. dispensent facilement cette distinction en autorisant la s lection des champs saisir et l ordre de saisie transf rer cette t che au programme d application ne parait pas p nalisant outre mesure La plupart de ces logiciels ne permettent pas l ouverture si multan e de plusieurs grilles exception faite de Screen Maker en premi re analyse ceci devrait constituer un obstacle pour l utilisation des fen tres ou du moins un facteur limitant fen tres relativement simples sans champ de saisie La syntaxe des fonctions des gestionnaires d cran est un su jet de pr occupation du moins pour les utilisateurs program meurs d application dans la mesure il ne semble pas en avoir t un pour les concepteurs L appel d une proc dure unique Masque et Telador 2 pourrait tre une solution mais lorsque beaucoup de fonctions sont propos es le probl me des param tres devient vite d licat et on confond rapidement ceux fournir de ceux obtenus Pour des raisons videntes de lisibilit les appels de proc dure sont pr f rables des appels de fonction Display Ma nager Dans ce domaine un effort certain t fait par Turbo Screen avec des vocables tout fait expressifs en francais certains le regretterons comme UTILISE AFFICHE DESCEND etc dommage que cet effort soit partiellement par l utilisation dans une chaine de caract res entre deux d limiteurs et l int rieur d une proc dure d
83. en cours l ORSTOM d note une tr s faible productivit globale il est bien s r difficile de la chiffrer et de se livrer des comparaisons eu gard la grande diversit des applications d velopp es On sait n anmoins que dans la plu part des cas un syst me requiert plusieurs ann es pour sa mise au point Par ailleurs au moment o qualit est devenu un mot d ordre pour toute activit conomique la qualit du logiciel doit retenir l attention des concepteurs et projettistes L am lioration de la productivit dans la mise au point de lo giciels le souci de la qualit et le besoin de mattriser la complexite sans cesse croissante des syst mes d velopper exigent que l ORSTOM se donne les moyens d acqu rir le m tier du d velop pement de logiciel Ce savoir faire se caract rise essentiellement par l adoption et l application de m thodes pour la r alisation de toutes les activit s n cessaires l elaboration de produit logiciels La figure 1 pr sente les diff rentes tapes du d veloppement d un logiciel selon la vision de Tom de Marco l un des fondateurs de l analyse structur e De Marco T 1978 Cet article a pour ob jectif de pr senter une m thodologie susceptible d tre appliqu e dans l tape de conception d un logiciel et les b n fices que l on peut esp rer tirer de son adoption Adapt e partir des concepts avanc s par l cole nord am ricaine Gane C et Sarson T 1979
84. entr e sortie standard de Turbo Pascal Le rep rage des champs variables par des noms Turbo Screen et Masque plut t que par des num ros est de nature am liorer substantiellement la lisibilit des programmes d application L espace occup en temps d ex cution par le gestionnaire d crans constitue un facteur tout fait relevant principalement lorsque l on ne dispose que d un seul segment pour le programme Cet espace croit bien entendu avec la panoplie de fonctionnalit s offertes par cette partie du logiciel et selon les versions varie entre 12 et 26K La solution du module r sident apport e par Turbo Screen constitue un l ment d cisif pour les utilisateurs de Turbo Pascal puisqu il laisse intact le segment de code Le probl me de l espace occup par les fichier crans n est normalement pas aussi crucial selon le produit et le nombre de variables contenues sur la grille la taille du fichier peut varier de 2 90 pr s de 10K seul Telador 2 qui ne stocke que l image de l cran produit des crans de taille fixe et minimale 2K Pour cette raison il offre une manipulation compl te de bibliotheque d crans Dis play Manager offre sensiblement la m me capacit avec le Display File et Turbo Screen permet d opter pour grilles isol es ou bi blioth que ce qui constitue une particularit int ressante En ce qui concerne les ressources en temps d ex cution les produits sp cifiques l I
85. es dans les modeles oc aniques est un probl me mal connu qui fait l objet de nombreuses recherches Une exp rience analogue la n tre fonctionne aux Etats Unis sur le Pacifique l aide d un modele different de m me une quipe britannique doit prendre en charge l oc an Indien 1 QU EST CE QU UN MODELE OCEANOGRAPHIQUE Pour construire un modele num rique de l oc an on part des quations de Navier Stockes qui pour un fluide en mouvement expriment la conservation de la quantit de mouvement de la masse et de la chaleur dans un rep re li la terre C est un en semble d quations aux d riv es partielles non lin aires sur un domaine de g om trie complexe qu il faut r soudre en tenant compte de conditions aux limites et d un tat initial donne On fait un certain nombre d hypotheses simplificatrices hypothese de Boussinescq incompressibilite hydrostatisme m lange vertical convectif toit rigide On pr cise les conditions aux limites fond plat fronti res ferm es non glissement la c te De toute facon 347 on ne sait pas r soudre de facon analytique le syst me obtenu d o le recours aux m thodes num riques pour trouver des solutions approchees On utilise la m thode des diff rences finies qui conduit transformer le milieu physique continu en un milieu discontinu repr sent par une grille d coupant l espace en portions l mentaires Ceci permet de remplacer le syst me
86. et les adaptant aux nouvelles caract ristiques conomiques et sociales du pays En 1975 les recensements co nomiques devinrent quinquennaux En 1980 eut lieu le dernier en date des recensements d mographiques en m me temps que les recensements conomiques dont les plus r cents datent de 1985 et ne sont pas encore disponibles R duire la production statistique de l IBGE la r alisation des recensements serait une grossi re erreur Comme tous les grands instituts du m me type dans le monde l IBGE tend deve nir l organe central de gestion et de restitution des donn es g n r es par le fonctionnement de l appareil administratif Cette volu tion prend en particulier la forme de la coordination des services statistiques existant dans chaque tat de la F d ration mais ga lement de la conservation de divers fichiers dans son grand centre informatique de Rio de Janeiro Par exemple IBGE publie depuis 1973 deux recueils relatifs aux productions municipales agricoles et l levage PMA et PMP r alis s partir du croisement d informations multiples en provenance des agriculteurs des conseillers agricoles et des coop ratives Ces donn es paraissant avec deux ans de retard sont consid r es par les sp cialistes de 330 l conomie agricole comme tant plus fiables que les recensements de l agriculture La part la plus importante des statistiques de l IBGE fait ap paraitre des tableaux au niveau d
87. fichiervariables record composant ch6 mesures ch12 descripteurunite ch6 descripteurprecision integer limitedetection real coefvariation real nbrepetition integer nbressaimoyen integer descripti ch80 descript2 ch200 descript3 integer descript4 real descript5 real exp array 1 6 of real end descripteurprecision nombre de d cimales pour l affichage des r sultats coefvariation 100 ecart type moyenne nbrepetition degr s de libert s de la mesure du coefficient de variation nbressaimoyen nombre r p titions mesures d une variable descript1 nom de la variable descript2 principe de la mesure descript4 prix de l analyse I ne peut y avoir dans un m me dossier deux variables portant le m me nom composant Les variables peuvent tre saisies directement 29 option touche ENTER pour le positionnement Pour qu une saisie soit effective il suffit d avoir donn une valeur au nom de variable composant Cette option sert galement la correction en introduisant le nom de variable corriger comme premier descripteur Pour corriger ce nom effacer la variable 39option et recommencer Les valeurs par d faut des champs num riques sont 32767 celles des alphanum riques un blanc depuis une biblioth que d installation cette proc dure est de loin la plus rapide et la plus fiable Il faut avoir au pr
88. fixe par exemple 126 va riables enti res sur deux octets et les unit s sont mises les unes la suite des autres Pour permettre la mise jour il faut pouvoir se d placer dans le fichier dans n importe quel sens vers l avant ou vers l arri re On est donc conduit introduire des pointeurs que l on va illustrer par un exemple Soit un fichier avec quatre type d unit s m nage individu tape champ avec la structure suivante Pour chaque unit on a un pointeur sur l unit pr c dente et sur l unit suivante et pour chaque unit non terminale autant de pointeurs qu il y a d unites directement d pendantes 103 V Au cas o un pointeur est sans objet sa valeur est z ro Chaque pointeur donne le d placement relatif sauf si l unit cor respondante est dans le fichier des ajouts auquel cas c est le nu m ro de l enregistrement pr c d d un signe n gatif qui est le pointeur Session 2 CONSTITUTION DES BASES DE DONNEES 107 LA BASE DE DONNEES DES RESSOURCES GENE TIQUES DES CAFEIERS AFRICAINS EN COLLECTION EN COTE D IVOIRE Fran ois Anthony Genetique UR 507 Centre ORSTOM de Montpellier B P 5 045 34032 Montpellier C dex France RESUME Le Centre des ressources g n tiques des caf iers afri cains constitu en C te d Ivoire ORSTOM et PI R C C Ins titut de Recherche du Caf et du Cacao est unique au monde par le nombre d esp ces repr sent es
89. fournissant cer taines facilit s l mentaires de manipulation de curseur et dition de champs d placement en avant et en arri re d un caract re d un mot ou d un champ insertion d un caract re exclusion d un caract re ou d un mot mise blanc d un champ etc Telador permet de r aliser six fonctions celles ci peuvent tre activ es par le programme h te au moyen de commandes sp cifiques qui se pr sentent sous la forme d appels de proc dures sans param tre la premi re Open Map ouvre et lit le fichier cran rendant ainsi disponibles tous les param tres des champs de saisie et affi chage une autre routine ClearMap pr pare le contenu des variables prot g es ou non qui vont recevoir des informations en changeant les caract res sp ciaux par des espaces la proc dure WriteMap r alise la visualisation effective de la grille sur l cran cette subroutine est normalement appel e apres les deux pr c dentes de sorte que la grille apparait avec les champs variables en blanc La r union de ces trois subroutines en une seule aurait am lior la lisibilit du programme on a pr f r les dissocier pour augmenter les performances dans certaines situations par exemple quand une lecture pr alable du fichier E est souhaitable la routine OpenMap pourra tre appel e seule la saisie des informations est r alis e par le biais de la pro c dure sans parametre ReadVar
90. gage Basic compil et en d veloppant des proc dures d acces aux fichiers s quentiels index s g r s en Cobol qui sont incompatibles avec les fichiers du m me type reconnus par le Basic 5 3 Tests en vraie grandeur Si la premi re version Mini 6 CIRCE ou la version CNUSC sont concues dans le cadre d une implantation unique du logiciel il n en est pas de m me de la version pour IBM PC susceptible d tre implant e loin du lieu de d veloppement et sur des mat riels diff rents compatibles mais jusqu quel point En plus du Labora toire d Hydrologie o les tests taient faits sur micro ordinateurs isol s ou connect s en r seau deux sections outre mer Adiopo doum et Madagascar ont accept d utiliser Hydrom des le prin temps 1986 dans une version incomplete Tous ces tests utilisant une grande vari t de donn es ont permis d liminer des erreurs parfois d pendantes des donn es utilis es et de mettre au point la technique employer pour diffu ser le logiciel notice d installation manuel de l utilisateur manuel de l op rateur CONCLUSIONS Dans ce chapitre nous allons num rer un certain nombre de conclusions issues de la mise au point d HYDROM Sans vouloir leur donner valeur de lois il faut cependant reconnaitre que le vo lume et la diversit des fonctions d velopp es les moyens utilis s les difficult s rencontr es font que ces conclusions reposent sur une exp rience assez complete Il
91. grille l op rateur ne pourra alors passer ce champ sans y introduire une valeur en accord avec le type de donn es qu il peut recevoir un attribut qui lors de l utilisation de la grille inter dira l op rateur de passer tant que le champ ne sera pas rempli totalement 17 une valeur initiale avec laquelle le champ sera rempli des l affichage de la grille cette valeur sera bien s r modifiable par l op rateur lors de la saisie un intervalle des valeurs que peut prendre le champ d fini par une valeur minimale et une valeur maximale ce para metre introduit un contr le suppl mentaire au niveau du module Masque contr le qui est ainsi conomis dans le programme d application Ces valeurs minimales et maximales ne sont autoris es que si la longueur totale du champ ne d passe pas cinq Malgr ce facteur limitant ces param tres sont int ressants pour des champs qui correspondent un num ro de mois une option etc Si le nombre et la taille des champs fixes ne sont limit s que par la taille de l cran 24 lignes de 80 colonnes un certain nombre de limites en relation avec les champs variables sont impos es par le logiciel C est ainsi que pour une m me grille le nombre de champs doit rester inf rieur 220 et le total des zones variables ne peut d passer 1200 positions soit 6296 de la surface totale de l cran Ces valeurs maximales ont t choisies suffisamment le v es pour ne pas repr s
92. il n tait pas viable de d velopper dans un langage volu toujours pour des rai sons de rapidit d ex cution D autre part certaines applications graphiques d Hydrom taient d velopp es en Basic et pour des raisons d homog n it il tait int ressant d y utiliser le m me logi ciel de grille d cran Une nouvelle version du module d utilisation des grilles a donc t crite en Assembleur Conditionnel qui repr sentait la seule alternative pour la fois augmenter l efficacit et permettre l interface avec divers langages de programmation Ce n est que plus r cemment que des versions du module Masque ont t d velopp es pour le Fortran 77 et le Turbo Pascal et qu un g n rateur d crans plus op rationnel a t mis au point pour en arriver un produit plus complet 26 6 POINTS FORTS ET PRINCIPAUX PROBLEMES RENCONTRES L h t rog n it des compilateurs disponibles pour micro ordinateur repr sente un obstacle important des lors qu un m me module crit en assembleur doit s interfacer avec diff rents lan gages En effet la communication entre un programme appelant et un module appel est r alis e de fa on particuli re dans chaque compilateur et varie parfois d une version l autre du m me com pilateur Force est de constater aussi que tr s souvent la docu mentation fournie ce sujet dans les manuels de r f rence se r sume un paragraphe d informations assez impr cises et pa
93. l aide de modeles L objectif de notre travail est de fournir partir des sorties d un modele num rique une description d taill e mensuelle de l Oc an Atlantique dans ses trois dimensions entre 209 et 209N Le modele utilis a t mis au point par une quipe du LODYC il simule l volution de l oc an d crit comme un fluide en mouvement sous l effet principalement du rayonnement solaire des changes de chaleurs li s aux changements d tat de l eau et des changes m caniques d s aux vents Les observations r alis es in situ se ront assimil es dans le modele pour en corriger les sorties Pour atteindre l objectif vis il faut maitriser le fonction nement du modele dans un environnement de super calculateur CRAY2 il faut maitriser le flot des donn es n cessaires l excitation du modele et enfin il faut d finir et realiser les produits terminaux les plus pertinents et les plus synth tiques C est cette exp rience d utilisation d un super calculateur que nous nous pro posons d exposer Dans ce genre d op ration l utilisation d un calculateur du type Crayl puis Cray2 partir d avril 1987 est indispensable car seul ce type de calculateur permet de traiter d normes quantit s d information travers un volume de calcul consid rable 344 Dans notre cas la grille du modele comporte 125 000 points auxquels sont attach s quatre param tres qu il faut conserver sur trois pas de temps le tout en flo
94. la croisi re au cours de laquelle la traver s e de la station a t ex cut e de situer la station sur la grille g ographique d acc der au fichier descriptif de station STATN QUATEUR INDIEN O NLLE CAL DONIE z T F QU TEUR PACIFIQUE GEOMER COUVERTURE G OGRAPHIQUE 61 193 z Oo r u u lt O x x 2 TE O 0 z 194 de savoir gr ce l tat d un pointeur s il y eu d autres travers es de cette station soit par la m me croisiere soit par une autre croisiere Ce dernier pointeur permet d acc der directement l adresse o est r pertori e la travers e suivante PROFIL contient la liste de tous les profils r pertori s Chaque enregistrement correspond un profil et contient les in formations permettant d identifier la croisiere et le profil et de si tuer ce dernier dans le temps et l espace grille STATN contient le descriptif de toutes les travers es de sta tion r pertori es Un enregistrement correspond une travers e de station Il contient les informations permettant d identifier la croi si re et la travers e ainsi que la situation dans le temps et l espace grille de cette derniere CROISR contient tous les renseignements scientifiques techni ques et administratifs de chaque croisiere incorpor e Ceux ci indiquent les noms de la croisi re du navire utilis du chef de mission et de la zone g ographique couverte le pointe
95. la sortie des premiers r sultats Une dur e de trois ou quatre ans entre les deux tait consid r e comme moyenne et les r sultats devenaient parfois obsoletes avant publication Souvent aussi les chercheurs attendaient leur retour en France pour traiter leur enqu te ce qui interdisait le plus souvent tout contr le posteriori des doutes de toutes sortes qui pouvaient surgir la vue de certains r sultats 45 1 LE PROJET partir de l analyse ci dessus et la demande de nos col legues d mographes ont t d termin es les fonctionnalit s de ce que devraient tre un logiciel informatique capable d am liorer la qualit des donn es en rapprochant l outil informatique du cher cheur sur le terrain de raccourcir cette tape r barbative entre enqu te et analyse et sous la condition que l investissement pure ment informatique de l utilisateur soit minimum 1 1 Fonctionnalit g n rale du logiciel La facilit d utilisation aucune connaissance pr alable en informatique ne devrait tre requise ce qui entrainera la r alisa tion d un logiciel ferm l utilisateur sera guid pas pas par une s rie de menus Une coupure de courant la ballade d un chat sur le clavier ne devrait se traduire que par la perte du dernier en registrement au maximum 1 2 La structure Il a t choisi une structure deux fichiers un fichier conte nant les descripteurs des variables le dictionnaire et un fichie
96. le premier tait totalement ignore le second ne faisait l objet que de discussions de d tail sur la v racit de telle ou telle valeur relev e dans un annuaire statistique et le troisi me tait r duit sa plus simple expression statistique descriptive et tabula tions En appliquant SISECSO les propos du sociologue Wright Mills on peut se demander si ses promoteurs n taient pas vic times de inhibition m thodologique c est dire d une confusion entre l objet et la m thode Le fait que le projet insiste plus sur l acquisition et l organisation informatique des donn es que sur l usage qui doit en tre fait dans le cas d une recherche pr cise montre bien se situe le probl me Si l on ajoute cela la position 325 dominante des informaticiens et la multiplication des modules sp cialis s segmentant le poids des divers interlocuteurs on aboutit une situation o le chercheur est litt ralement d poss d de son objet de recherche qui devient la mati re premi re d une quipe de techniciens naturellement plus enclins mettre l accent sur la m thode que sur l objet L puisement de ce processus se traduit par l existence d un produit informatique peu utile la recherche mais que peuvent s accaparer les technostructures pour leurs fins propres C est pourquoi il ne faut pas s tonner des encourage ments r it r s exprim s par les structures bureaucratiques de la recherche de EMBRAPA notamment
97. liste du num ro et de la des cription de chacune de ces variables Figure 3 72 Hicro Editor Copyright 1986 by Nelio Dosingues of 01 00100 IMAGE DE LA GRILLE D CRAN 1 2 3 4 5 6 7 01 02 INPA CNRS ORSTOM 03 04 PCDICO Syst me de gestion de dictionnaire 05 06 07 08 Chomp de saisie num rique 10 Date de session H H H1 15 Version 1 3 Ao8t 87 16 Responsabie scientifique Fran oise Grenand 17 R alisation G rard Cochonneau amp Patrick S chet Champ de saisie alphanum rique 22 R pondre pour continuer i 24 zz FI 4 Chgmp d affichage 1 4 0 0 0 0 0 0 0 8 1 2 3 4 5 6 7 Directory of Variables B DICTIONNAIRE DES VARIABLES Nusber Line Coiusn Length t Number Line Column Length t 1 t 10 43 6 mi 2 22 76 1 3 24 6 7 HL Figure L impression sous la forme cran dictionnaire est utile pour le programmeur 73 4 2 Telador Telador se charge de manipuler les fichier crans cr s par Editor C est une bibliotheque en code source Turbo Pascal book de proc dures inclure dans les programmes applicatifs Il autorise galement la saisie des informations en
98. lumiere les acquis et les faiblesses des r sultats disponibles et de proposer des orien tations futures Gubry P amp Lemdja F 1985a Elle peut in fluencer par l directement les instances charg es de l laboration de la politique scientifique aussi bien que l ensemble des pouvoirs publics dans la d finition de leurs priorit s Au niveau des structures de recherche la definition des ope rations de recherche doit devrait obligatoirement tenir compte de l ensemble des acquis du domaine consid r Il s agit la fois d viter les redondances et de faire progresser les connaissances par l int gration des r sultats d j obtenus auparavant Cela de mande un important travail pr alable de recherche bibliogra phique s tendant sur plusieurs mois et dans plusieurs pays Il est clair que le manque de moyens fait que ce travail tourne g n ra lement court La part qui en est effectu e entraine quant elle un gaspillage de ces moyens d j limit s dans la mesure ce travail est souvent recommenc d une op ration l autre sans que l on puisse toujours b n ficier des efforts d j accomplis Une base de donn es bibliographiques actualis e entour e d un minimum de publicit est susceptible de r pondre ces besoins de mani re quasi instantan e L analyse des r sultats d une enqu te effectuee dans le cadre d une op ration de recherche en sciences sociales demande la prise en compte des acquis pour
99. m thodologie bien d finie pour la conception du logiciel devra permettre l acquisition d une configuration mat rielle bas e sur des crit res rationnels et objectifs vitant ainsi toute pr cipitation pour l achat d un quipement situation que l on rencontre couram ment permettre de d finir clairement ce qu un logiciel fera Le principal objectif du projet logique est d identifier les fonctions et processus que le logiciel d velopper devra automatiser Il est alors facile de savoir ce que le logiciel fera et ce qu il ne fera pas et selon quelle logique cette derni re tant galement dans l tape de conception par l analyste 228 la d composition du logiciel en diverses fonctions ayant des objectifs distincts permet le d veloppement modulaire d un syst me tout en conservant la vision d ensemble fournie par le projet logique En effet la complexit des syst mes constitue sou vent un facteur qui emp che ou pour le moins freine leur r alisa tion la structuration en processus fr quemment ind pendants qui est r alis e au cours de l tape de conception permet d envisager une mise au point progressive fonction apres fonction pouvant conduire des versions successives de plus en plus labo r es et compl tes du logiciel fournir un argument pour suspendre toute modification pendant la r alisation Il est en effet souvent difficile de refuser une modification demand e par l utilisateur pendant la
100. maintenance ult rieure et standardise galement l interface avec les utilisateurs de ces 63 programmes Enfin un avantage et non des moindres est qu il g n re sa propre part de documentation 1 JUSTIFICATION L aspect conversationnel de la relation entre l homme et la machine est sans aucun doute l un des avantages pr pond rants que la micro informatique a apport par rapport l informatique traditionnelle Cet aspect est particulierement sensible la simpli cit syntaxique du dialogue avec l ordinateur et la bri vet du temps de r ponse de celui ci qualit s que l on ne rencontre pas toujours lors de l utilisation de ressources centrales partag es Ce dialogue s tablit par l interm diaire du clavier et de l ecran et se compose d une succession d informations tant t fournies par l ordinateur tant t par l op rateur En utilisant les ressources de base des langages de program mation un change de donn es en temps d ex cution pourra tre effectu une ligne apr s l autre par une s quence d ordres de lecture et d criture l cran dans la plupart des langages Read pour une information fournir par l op rateur Write pour une r ponse donn e par le syst me Le dialogue cr de cette facon est assez pr caire En effet lorsque l cran est plein l affichage d une nouvelle ligne provoque une d placement vers le haut scroll up de l ensemble des infor mations pr sentes sur l
101. mais ce sont principalement des planches im mersions fixes Figure 2 des coupes est ouest Figure 3 et nord sud Figure 4 en fonction de la profondeur pour les principaux pa ram tres savoir temp rature vecteur courant et composantes du courant 3 PREMIERS RESULTATS ET AVENIR Les premiers r sultats concernent le savoir faire acquis en matiere d utilisation de modeles oc aniques et d utilisation de sys t mes informatiques modernes et performants Nous avons choisi de mettre au point nos m thodes de travail sur une ann e de r f rence 1984 particulierement bien docu ment e en donn es oc anographiques du fait de nombreuses op rations la mer li es l exp rience franco am ricaine FOCAL SEQUAL Nous avons proc d une int gration du modele sur toute l ann e dans des conditions identiques celles utilis es lors d une int gration de l exp rience FOCAL P Delecluse excepte le vent que nous avons calcul partir des donn es d observations labor es par J Servain Ceci nous a donn des r sultats diff rents Figure 5 mais beaucoup plus proches de la r alit En particulier nous retrouvons les remont es d eaux froides l quateur en t qui avaient disparues dans l int gration FOCAL utilisant un produit vent labor partir des sorties du modele atmosph rique de Reading Ce r sultat montre le r le d terminant de la contrainte vent sur le r alisme des sorties du modele et le so
102. meilleure qualit des donn es Mais si l on consid re que ce projet tait le r investissement de plusieurs ann es d exp riences acquises par les auteurs c est un chec du point de vue de la valorisation de notre savoir faire Les causes sont principalement de deux ordres l arriv e sur le march et son h g monie rapide du standard IBM PC qui rendait notre logiciel incompatible avec une grande partie du nouveau parc ordinateur de l ORSTOM Si ce logiciel avait pu tre rendu compatible IBM PC par une conversion sous MS DOS travail non r alis par manque de temps de notre part mais aussi par manque de soutien son utilisation aurait t assur e pour des travaux en C te d Ivoire Indon sie Br sil et Mexique le manque d infrastructure l int rieur de ORSTOM pour maintenir et diffuser les logiciels Les deux auteurs avaient entrepris une recherche m thodologique finalis e il n entrait ni dans leur comp tence ni dans leur intention de se transformer en commerciaux pour vendre leur produit Nous nous tions adress s Unit de Valorisation de la DIVA pour examiner conjointement les suites qui pourraient tre donn es et de quelle mani re mais nos d marches n ont pas abouti Comme d autres engagements allaient bient t nous accaparer nous d cidions alors d arr ter l notre projet nous imaginions mal comment les deux auteurs de ce projet l un tant au Br sil l autre en C te d Ivoire pourraient
103. montre que le r le de l oc an est globalement quivalent celui de l atmosphere et qu il domine tr s nettement aux basses latitudes C est lui qui assure l vacuation de la chaleur en exces aux faibles latitudes vers les hautes latitudes L oc an avec sa capacit thermique tres importante et ses vitesses de d pla cement lentes joue le r le de m moire moyen terme des v ne ments climatiques C est cette caract ristique qui laisse augurer d un allongement de la pr vision du temps par une meilleure connaissance de l oc an et des m canismes qui le r gissent Toutefois dans le dispositif de pr vision du climat l oc an reste le point faible Ceci est en grande partie du la difficult d observations syst matiques sur toute l tendue maritime Les satellites doivent fournirent dans la prochaine d cennie un l ment de r ponse cette n cessit d observations synoptiques syst ma 345 6 x 1015 watts LATITUDE Fig 1 Flux m ridionaux d nergie transport s par la circulation de l atmosph re et celle des oc ans travers diff rents parall les de latitude croissante D apr s Carrissimo Oort et Von der Haar 1985 J P 0 15 346 tiques Parallelement cette voie il existe deux autres voies com pl mentaires l observation syst matique par l interm diaire des bateaux marchands qui contrairement aux satellites permettent l observation en profondeur et la simulation de l oc
104. n rale ou les changer d une tude une autre ou m me d une implantation une autre par l interm diaire de disquettes ou par transmission de fichiers dans le cas d un micro ordinateur reli au CNUSC 128 3 2 Saisie contr l e Tous les fichiers et les tables sont g r s par une fonction in teractive de saisie correction suppression l aide de grilles d cran Un maximum de contr les faisant parfois intervenir d autres fichiers identification des stations sont effectu s pour interdire l intrusion de donn es erron es dans les fichiers Cette fonction permet galement de consulter les informations du fichier L utilisation de touches de fonction programm es duplication de champs notamment est g n ralis e pour aider l op rateur dans ses t ches de saisie La signification des touches autoris es est do cument e en permanence sur l cran quand cela est possible ou peut d filer sur la derni re ligne de l cran la demande de l utilisateur Pour introduire des donn es dans certains fichiers il existe i plus de la saisie correction directe d autres fonctions plus com plexes la num risation des enregistrements graphiques de cotes sur une table digitaliser connect e par liaison s rie le transfert du contenu des cartouches de cotes par un lecteur de m moires EPROM connect par liaison s rie le transfert des cotes t l transmises de la station de r ception toujours par liaison s rie
105. ne faut pas perdre de vue galement que ces conclusions repr sentent seulement le point de vue de la personne qui a d velopp le logiciel 135 1 Equipe de d veloppement Il faudrait viter aussi souvent que possible de confier la r a lisation d un logiciel aussi volumineux une seule personne Outre le fait que plusieurs personnes ont videmment plus d id es qu une seule ce qui suscite une mulation b n fique une plus grande ra pidit de mise au point aurait permis de conclure plus t t les diffe rentes versions du logiciel et par cons quent de rendre son cycle de vie plus en rapport avec l evolution des quipements La r par tition des t ches entre les diff rents membres de l quipe est plus d licate planifier car elle depend beaucoup des capacit s et des aspirations de chacun et du fait que la phase g n ratrice de retards est la phase de programmation 2 Methodologie Sur ce point la premi re impression qui transparait de l exp rience expos e pr c demment semble indiquer qu il est tr s possible de r aliser un logiciel sans m thodologie En fait le d ve loppement a t partag en plusieurs phases une phase de conception r alis e avec les futurs utili sateurs une phase d analyse pour d finir les diff rentes fonc tions du logiciel et le contenu des fichiers une phase de d finition de programmes de program mation et de tests La n cessit du d coupage en plusieurs
106. outlook Centre de recherches volcanologiques du CNRS LGIT Grenoble CNET Lannion et PIRPSEV INSU Paris 57 Exemples de donn es graphiques quotidiennes ou mensuelles obtenues sur Minitel MATTHEW TEMPERATUKE FUMEROLLE 3 SEPTEMBRE 1987 MATTHEW TEMPERATURE A 30CM 33533382233 SEPTEMBRE 1987 SI NN q 4 a 4 a pa 04 sos 3355 9 X3 a I I 1 I 1 1 1 1 I I I I I I I I I I MATTHEM TEMPERATURE A 30CM MATTHEW COMPTEUR SISMIQUE NIVEAU 1 16 9 87 SEPTEMBRE 1987 Web ia e 4 pa Det 4 Dent 04 04 gt a 1 ET 1 35 35333 ba 12358 _ 01 I 1 15 58 C T I V VOLCAN MATTHEM PARAMETRES DISPONIBLES NUMERO DE MESSAGE TEMPERATURE SOUS ABRI PROFIL VERTICAL DE TEMPERATURE TENSION DE BATTERIE PRESSION ATMOSPHERIQUE HUMIDITE RELATIVE TEMPERATURE DE FUMEROLLES CAPTEUR 1 CAPTEUR 2 CAPTEUK 3 COMPTEURS D EVENEMENTS SISMIQUES NIVEAU NO DU PARAMETRE CHOISI VOULEZ VOUS LE TRACE DU MOIS 1 OU DE QUELGUES JOURS 2 obtenu sur MINITEL apr s envoi du mot de passe 1 ER JOUR DU MOIS DESIRE 1 31 9 17 DERNIER JOUR DU MOIS DESIRE 22 17 11 87 2H42 70 23 17 11 87 6H42 70 23 17 11 87 10H41 69 23 17 11 87 14H40 69 23 17 11 87 18H40 70 23 18 11 87 2839 70 23 18 11 87 6H38 70 23 18 11
107. pages diff rentes puisque cette op ration correspond un simple changement de l adresse de base du contr leur d cran La proc dure PutField affiche le contenu de la variable sans type var dans le champ indiqu par l entier qui constitue le deuxi me param tre de l appel Les deux param tres suivants sont des bool ens qui indiquent certaines caract ristiques qui varient suivant le type de champ centrage passage en majuscules signe d un champ num rique etc La proc dure GetField r cup re le contenu du champ d entr e indiqu comme second param tre de l appel dans une variable sans type var L appel des proc dures standards InitVideo et TabScreen est n cessaire pour initialiser les op rations et le tableau des variables de l cran Un certain nombre de fonctions compl mentaires sont dispo nibles pour la gestion des champs elles s expriment sous forme de proc dures contenues dans la biblioth que Scrdrive usr appelables par le programme h te De cette facon on peut imposer des limites minimale et maximale aux champs de saisie num riques SetLowerLimit et SetUpperLimit imposer un masque de saisie pour l entr e de chaines de caracteres SetMaskTo initialiser un champ de saisie avec une valeur d faut InitInputField manipuler les erreurs de saisie dans le programme d application UserErrorRoutine etc On remarquera que cette mani re de d finir les attributs des champs transfere le travail de valida
108. par rapport cette date de livraison permet de v rifier s il y a lieu d envoyer une r clamation un fournisseur Au fur et mesure du traitement de la commande d autres champs sont remplis acc s par le choix correction d une commande accus de r ception et d lai de livraison pr vu indi cations envoy es par le fournisseur date de r ception de l ouvrage commande date de transmission au p le documentaire pour l indexation date de r ception et num ro de la facture date de passation au service comptabilit quand tous les champs sont remplis transfert de la commande dans le fichier des commandes recues suivant les cas copie automatique dans le fichier des commandes annul es ou dans celui des ouvrages puis s pour ne pas encombrer inutilement le fichier On peut lister les commandes en cours par type de cr dits ou par nom de fournisseur Cette application fonctionne BONDY 283 2 GESTION DES PRETS Le menu propose l enregistrement d un nouveau lecteur le pr t d un ouvrage le renouvellement du pr t d un ouvrage le retour d un ouvrage le pr t d un p riodique le renouvellement du pr t d un p riodique le retour d un p riodique 1 v rification de la date de retour des ouvrages et des p riodiques emprunt s pour lancer d ventuelles r clamations au pres des lecteurs en retard une recherche sur les ouvrages et les p
109. particuli rement charg s de aux donn es Ces modules constituent l interface d entr e sortie du syst me CROISIERES Cet interface a t d velopp e en FORTRAN 77 et tout r cemment en QwickBASIC Cela offre un plus large public de programmeurs la possibilit de d velopper des outils personnalis s Decrivons suc cinctement ces quelques routines LECPA routine de lecture des cinq types d articles d finis pr c demment Ces types correspondent au cinq options d entr e du sous programme 1 En t te croisiere 2 En t te station 3 Valeur d un parametre d une station 4 Liste des stations d une campagne 5 Liste des param tres d une station ECRPA routine de recopie des valeurs d un param tre d une station EFFPA routine de positionnement des flags 1 Protection d une campagne en criture 2 Elimination d une station d une campagne 3 Elimination d un parametre d une station ECRSTA routine de mise jour de l en t te station Les mots vitaux au fonctionnement des proc dures d adressage ne peuvent pas tre modifies Remarque Dans un syst me d exploitation qui supporte la multiprogrammation le probl me du partage des fichiers doit tre aborde Dans la version mini ordinateur le systeme de gestion de fichiers du calculateur h te permettait d ouvrir les structures de donn es avec des protections Le syst me MS DOS dans sa forme actuelle est mono t che et par cons quent aucune disposi
110. pr ciser son environnement sur le plan op rationnel et s il existe un processus d interface d j pr vu les fonctions sont class es conform ment leur nu m ro d identification sur les DFD En plus du num ro d identification et de la sentence qui d finit la fonction sur le dia gramme le dictionnaire de donn es devra contenir pour chaque fonction une description succincte et une sp cification aussi pr cise que possible de la logique interne du processus Celle ci 234 pourra tre exprim e sous la forme de langage structur tables ou arbres de d cision Pour viter une description logique tr s im portante dans le cas des fonctions les plus complexes on pourra faire r f rence des algorithmes pour lesquels un sous chapitre sp cial est ouvert dans le projet logique Enfin on conviendra de placer syst matiquement comme premiere clause de la description fonctionnelle la n cessit ventuelle d ex cuter ant rieurement une autre fonction de fa on traduire l existence d une s quence lo gique entre deux processus les flux de donn es s agit de structures de donn es poss dant une origine et une destination Dans la mesure un flux entre ou sort par rapport une fonction on lui attribue le code de la fonction suivit de lettre E ou S En effet il ne peut y avoir de flux de donn es entre deux entit s externes entre deux d p ts de donn es ou entre une entit externe et un d p t
111. pr nom sont suivis s il y a lieu d une ou des mentions suivantes 267 coll collaborateur avec la collaboration de avec la participation de avec l assistance de ed diteur scientifique dir directeur scientifique sous la direction trad traducteur traduit par pr f pr facier si celui ci est indiqu en t te de l ouvrage sinon il peut tre signal dans le champ contenu Si certains auteurs ne sont pas connus ou si les auteurs sont plus de dix la mention et al remplace leur nom apres le dernier auteur connu Exemple SAINT VIL MARONTATE Janet MAITRA A LOOKY Silv re GIL Ben jamin coll TABI ABODO Alphonse LOGINOVA Valentina P COLOMBEL V ronique de HAGEN G nther T von NKOUNGOUROU Abel dir LEBEUF Jean Paul pr f NASAH et al 8 AUC Auteur s collectif s Nom de l auteur collectif Il s agit de l auteur personne morale d un organisme Le champ AUC n est remplir que si aucun auteur personne physique n est port sur la premiere page de l ouvrage Si l auteur personne physique est mentionn dans le corps de l ouvrage les champs AU et AUC tous deux Dans ce cas la mention ed suit le nom de l auteur ou de chaque auteur collectif Le nom est crit en majuscules Les virgules figurant ven tuellement dans un intitul sont supprim es et remplac es par un tiret accol car la virgule est un s parateur d article l interieur
112. quateur 28 ouest 353 Fig 4 Exemple de sortie du mod le Coupe nord sud de temp rature la longitude 30 ouest 354 20 10 20 70 60 50 40 30 20 10 0 10 20 55 45 XYS05R40 T NIV 1z S M FIz O SOPOT z 2 7686 Fig 5 Comparaison des sorties du mod le avec des vents diff rents au ler ao t 1984 a Exp rience FOCAL avec vent SEQUAL FOCAL 2b b Motre exp rience avec vent Servain corrig de la stabilit de l air Remarque isolignes tous les 1 sur a isolignes tous les 0 5 sur b 355 S minfor 1 Premier S minaire Informatique de PORSTOM Paris 06 08 10 87 LISTE DES PARTICIPANTS Nom amp Pr nom Sp cialit U R Lieu d affectation ALBOUY Yves G ophysique 105 Bondy ANTHONY Frangois G n tique 507 Montpellier BENIZRI Claude Informatique BEAUDOU Alain P dologie 203 Bondy BOURRET Philippe D G Paris BRUNET JAILLY Economie Bamako CANTRELLE Pierre Epid mio 709 Paris ISD CHAMPAUD Jacques G ographie 406 Marseille CHEVILLOTTE Herv Informatique LIA Bondy COCHONNEAU G rard Info Hydro 502 Brasilia Br sil CORRE Daniel Informatique Brest DANDOY G rard G ographie 502 Montpellier DEJARDIN Jean Biom trie 507 Bondy DERUELLE Cartographie Bondy FERRY Benoit D mographie 709 Paris ISD FAURE Paul P dologie 104 Bondy GIRARD Georges Hydrologie 604 Fontainebleau GUBRY Patrick D mographie 801 Paris GUISCAFRE Hydrologie L H Montpellier HAMELIN Philippe D
113. qui les animent INTEL 80286 par exemple conjugu e au bon rendement des m moires de masse donnent toute garantie de succ s la mise en place de CROISIERES sur de telles configura tions L avantage imm diat tant donn e la popularit de ces ma t riels est la possibilit pour tout demandeur de traiter dans son bureau le lot de donn es qui l interesse Ce systeme s adresse un public vari d utilisateurs Pour les initi s la programmation BASIC ou FORTRAN une bibliotheque d outils est propos e Pour ceux qui ne pratiquent pas cette technique un ensemble de programmes permet d exploiter les 182 donn es du syst me Ces modules ont t r diges la demande de chercheurs et leur nombre actuel fait que la majeure partie des questions pos es relativement cette classe de donn es se trouvent r solues Enfin des utilitaires sont la disposition de ceux qui veu lent cr er de nouveaux fichiers 2 1 Cr ation et mise jour du syst me de fichiers Le syst me CROISIERES est un ensemble de fichiers au format CROISIERES auquel s ajoute ventuellement un ou plu sieurs catalogues La mise en place de cet ensemble est tr s simple r aliser Les fichiers sont cr s dans un r pertoire notion DOS soit par les outils propos s dans le logiciel soit par simple recopie de disquettes issues d un centre serveur Atelier Informatique de Brest par exemple Un catalogue est cr puis mis jour en y consi
114. ra tion de connaissances La production de logiciels est ainsi une activit qui doit se d velopper consid rablement dans les ann es qui viennent l Institut compte tenu de l tendue des disciplines couvertes et de leur sp cificit d une part des conditions particulieres d inter vention et de r alisation de ces activit s d autre part Au fur et mesure que l outil informatique se g n ralise et atteint progressivement tous nos secteurs d activit les logiciels laborer deviennent de plus en plus importants non seulement parce que l on attaque naturellement des t ches automatiser de plus en plus complexes mais aussi parce que les utilisateurs po tentiels mieux inform s deviennent de plus en plus exigeants sur la fiabilit et la convivialit des produits qui leur sont destin s En se restreignant des activit s purement scientifiques on peut classer grosso modo les logiciels d velopper en deux grands p les les produits destin s la capitalisation d information ge n ration de bases de donn es sans privil gier une application par ticuli re de facon n en compromettre aucune et ceux dont la fi nalit est l exploitation des donn es dans l optique d interpr tation de l information correspondante priori la premi re cat gorie re quiert normalement des services plus professionnels que la se conde eu gard essentiellement son caract re plus g n ral L introduction de l inf
115. refaisant toutes les mises jour m moris es depuis la date de la sauvegarde 3 7 Documentation La documentation diffus e se divise en plusieurs fascicules qui visent int resser des personnes diff rentes une pr sentation du logiciel qui sera prochainement remplac e par une plaquette plus c un manuel de l utilisateur qui fait la liaison entre Phydrom trie proprement dite et le logiciel illustr par des exemples il est indispensable pour pr parer la mise en oeuvre des diff rentes fonctions un manuel de l op rateur qui fournit notamment toutes les informations utiles lors de la mise en oeuvre du logiciel sur les terminaux et les micro ordinateurs messages d erreurs pos sibles dispositions prendre etc 130 un manuel d aide au d veloppement d applications particuli res il contient sous forme d exemples comment s crits en quatre langages Basic Cobol Fortran et Turbo Pascal des routines d acc s aux fichiers de donn es extraits d Hydrom par l interm diaire des proc dures utilitaires ce manuel est destine aux utilisateurs d sireux de d velopper leurs propres applications en utilisant les donn es g r es par Hydrom et sans risque d alt rer les fichiers originaux 4 DIFFUSION DU LOGICIEL La version d Hydrom pour micro ordinateurs est diffus e de plusieurs mani res La plus classique consiste fournir le logiciel et sa documentation aux hydrologues de ORSTOM qui en font la dem
116. rience et la culture informatique accumul es par les hydrologues lors de l utilisation du syst me ant rieur et le fait que la personne charg e de l analyse et de la r alisation poss dait d j une exp rience dans le domaine des banques de donnees hydrolo giques ont grandement facilit le dialogue toujours difficile entre les utilisateurs finaux et l analyste 5 2 Influence de l quipement informatique Le type de la configuration destin e recevoir le logiciel op rationnel a eu une influence pr pond rante sur la mise au point du logiciel au niveau de la definition du syst me mais aussi au niveau des outils utilis s pour le r aliser 5 21 Influence sur la d finition Le syst me dans sa version Mini 6 CIRCE tait organis de la facon suivante gestion des donn es sur le CIRCE saisie des donn es et interrogation sur le Mini 6 transfert vers le CIRCE des donn es saisies pour mises jour et sollicitations r aliser en traitements par lots saisie et corrections programm es dans un esprit d atelier de saisie c est dire saisie de tout un lot de donn es par un op rateur non habilit corriger des donn es douteuses puis 132 retour l utilisateur qui pr pare un lot de corrections qui seront ensuite effectu es par l op rateur Tous ces points ont du tre r examin s l arriv e des micro ordinateurs pour lesquels le syst me devait exister en version compl te et auto
117. ros et on fait ensuite imprimer le formulaire correspondant 5 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 5 1 La fabrication d un tel formulaire est pr sent e dans 1 BRISSE et GRANDJOUAN G 1979 Utilisation de l ordinateur pour la constitution d un code floristique Exemple des Bryophytes de France Actes du 7 me Colloque Informatique et Biosphere Flore v g tation et informatique 71 85 2 BADRE F BRISSE H DENELLE N FLORENCE J GRANDJOUAN G HOFF M et DE RUFFRAY P 1985 Propo sition pour un code floristique de l Europe 1 Principes constitu tion et utilisation partir d un exemple les Pt ridophytes d Europe TT pages I D T ORSTOM n265 PARIS 5 2 Exemples d utilisation de tels formulaires 3 BRISSE H 1982 Un ezemple d utilisation d une banque de donn es phytosociologiques Colloque sur les M thodes ma 141 th matiques appliqu es la g ographie Journ es des 7 8 octobre 1982 Fac des Lettres et Sciences Humaines Besancon 4 HOFF M amp BRISSE H 1985 Mise en place d une base de donn es de Botanique tropicale 1 Informatisation des chantillons d herbier 48 p LD T ORSTOM n265 PARIS 5 3 Liste des formulaires constitu s selon la m me m tho dologie Formulaire floristique de Polyn sie Fran aise J FLORENCE Formulaire floristique du Vanuatu P CABALION Formulaire floristique de Wallis et Futuna M HOFF Formulaire floristique du Togo J
118. s efforce de rapprocher au maximum l exploitation de la collecte sur le terrain C est ainsi que se sont d velopp s les logiciels de saisie contr l e Il s agit de saisie de donn es et de contr le apr s le terrain Cette phase de chiffrage saisie contr les divers et d pouille ment peut s av rer tr s longue voire pour certaines enqu tes d courager tout projet d analyse des donn es collect es autre qu une analyse sommaire Certaines enqu tes ne d passent m me 32 pas le stade de liasse de questionnaires sans exploitation Dans le cas contraire ce sont au mieux plusieurs mois plus g n ralement plusieurs ann es qui s coulent entre la collecte et la r daction des r sultats L apparition de micro ordinateurs portables et de faible consommation permet d envisager une volution rapide des m thodes de collecte et de traitement d enqu te Les op rations interm diaires codification saisie contr le souvent difficiles mettre en oeuvre et coordonner pourraient en effet tre envisag es dans un syst me int gr qui combin es la collecte sur le terrain m me permettrait d accroitre consid rable ment et la rapidit du processus d enqu te et la qualit des donn es Il ne s agirait plus de collecter les donn es sur un question naire papier mais sur un micro ordinateur de terrain portable La qualit de la collecte peut tre sensiblement am lior e en incluant des contr les de coh rence d
119. sa richesse ont d j t pr sent s Cremers 1984 et 1985 L herbier des Phan rogames regroupe 31 000 chantillons d termin s au niveau de l esp ce et concernant 3 800 taxons ainsi que 9 000 autres chantillons qui ne sont d termin s qu au niveau du genre ou de la famille 12 500 chantillons ont t enregistr s dans la banque de donn es soit le 1 4 de l herbier g n ral Un premier traitement informatique a t effectu sur un premier lot de 10 071 chantil 146 lons de Phan rogames afin de mieux connaitre la r partition des chantillons par esp ce par collecteur par pays et par station et de tester les programmes de gestion en grandeur nature 2 METHODE D ETUDE Le but de l informatisation d un herbier est triple D une part cela doit permettre une meilleure connaissance de l herbier afin d en faciliter la gestion classement et rangement des chantillons gestion des pr ts et des changes D autre part cela doit faciliter le travail de d termination des chantilons par les botanistes tra vaillant dans l herbier car ils ont leur disposition la liste de la to talit des esp ces et des sp cimens existant dans l herbier Enfin cela permet d obtenir des r sultats scientifiques tels que les listes d chantillons par station ou par esp ce afin de r diger des flores ou des florules et de pr parer les missions sur le terrain des bota nistes des cologistes ou des phytochimistes Le
120. sieurs sens attribu s au m me mot 3 4 Commentaires Pour completer le projet logique du logiciel PCDICO il suffit d tablir une tactique de r alisation chapitre 5 et de faire une es ite 6 de la configuration minimale pour op rer le syst me cha pitre 6 Bien que particulierement simple cet exemple appelle quelques remarques on remarquera que le projet logique est volontaire ment maintenu un niveau conceptuel tres g n ral en vitant de repr senter des d tails susceptibles de figer certains choix phy siques Par exemple on pourra constater que l on n a pas pr cis de quelle facon la table des classes grammaticales doit tre mani pul e une gestion complete pouvant faire l objet d une fonction importante ou encore on n a pris aucune d cision sur la s curit des fichiers fonction de copie r cup ration qui pourra donc tre int gr e ou non au progiciel d velopp lorsque l on d finit deux entit s externes ayant des pr rogatives diff rentes comme c est le cas entre le linguiste et l utilisateur on sous entend qu un contr le d acces devra tre im pl ment sous une forme ou une autre la description de la logique des fonctions n est faite que lorsqu elle est r ellement n cessaire Il e t t peu rationnel par exemple de d crire le d tail du processus de mise jour du fi 247 chier dictionnaire m me niveau logique dans la mesure o le responsable de l impl me
121. sortie rapide des r sultats et de v rifier ainsi la coh rence aussi bien interne qu externe des donn es Si la coh rence interne ne demande g n ralement qu un retour au questionnaire pour tre valid e la coh rence externe mise en vidence par des tabulations simples ou crois es demande 48 bien souvent un retour sur le terrain pour tre d cid e d ou l importance d une disponibilit rapide des r sultats Le programme de contr le de coh rence est pr vu pour tester la coh rence des r ponses deux ou plusieurs variables Pour for muler les quations tester l op rateur a sa disposition un micro langage qui contient comme alphabet soit des constantes num riques soit les variables num riques d crites dans le diction naire des lo ogiaues ET OU et des op rateurs de relation lt lt gt Cela est compl t par le choix laiss d truire la sous population d finie par l quation ou son compl ment Deux modes de fonctionnement sont propos s soit interactif L op rateur rentre l quation et obtient le r sultat de suite l cran soit en temps diff r L op rateur rentre une s rie d quations et lance l ex cution pratique lorsque les fichiers sont importants L utilisation de ce programme permet l extraction de sous populations Le programme de tris plat est tout simple il suffit de four nir comme param tre l intervalle des variables que l o
122. sous forme de bool en Confirme pour valider d fini tivement les informations fournies par l op rateur A l issue de la saisie un nouvel appel WriteVar exhibe l ensemble des valeurs des variables telles qu elles ont t enregistr es par le progiciel 75 5 AUTRES GESTIONNAIRES D ECRAN L utilisation de ce premier outil par l quipe franco br silienne du programme SISGEO lors de la mise au point de deux applications diff rentes confirm tous les b n fices que l on pouvait en tirer et qui ont t mis en vidence au d but de cet article L assimilation de cette technique par les programmeurs peut tre consid r e comme satisfaisante bien que dans la plupart des cas ceux ci tardent percevoir tout le potentiel d un tel outil L adoption d un gestionnaire d crans plus complet et plus sophis tiqu a donc t d cid e Celle ci coincide avec l exclusion des micro ordinateurs de 8 bits sous CP M comme configuration minimale d op ration des modules locaux d velopp s dans le cadre du projet Une tude rapide des progiciels disponibles susceptibles d assurer la cr ation l administration et l utilisation des crans et fen tres dans l environnement PC DOS a donc t men e ses r sultats sont pr sent s ci apr s 5 1 Telador version 2 0 Dans un premier temps on a cherch mettre au point une nouvelle version de Telador essentiellement dans l optique d liminer les inconv nients majeurs
123. tapes est donc natu relle et n a pas t mieux mise en vidence clatement de la troi si me phase identifi e dans notre cas particulier cause du fait qu une seule personne travaillait sur le logiciel Le plus grave est en r alit que cette m thodologie naturelle n ait pas produit une do cumentation correcte qui faciliterait aujourd hui la maintenance du logiciel ou les d veloppements ult rieurs L encore la constitution d une quipe de d veloppement aurait certainement catalys la r alisation de cette documentation en la rendant n cessaire la bonne compr hension du syst me par ses diff rents membres 3 Convivialit La qualit de l interface avec l utilisateur apparait comme un l ment important du succ s d un logiciel que ce soit la facilit d utilisation la pr sentation ou la documentation en ligne ou sur papier Cette caract ristique a t consid rablement renforc e par l usage des micro ordinateurs et des logiciels du commerce ce qui fait que les utilisateurs sont de plus en plus exigeants Sur ce point l effort qui a t r alis dans HYDROM a t payant et a contribu la mise en valeur du logiciel 136 4 Modularit Dans le cas d un syst me de grande envergure dont on sait que la mise au point compl te sera longue il est important d identifier des modules plus ou moins ind pendants sous sys temes de les r aliser compl tement et de les diffuser m me de fa c
124. touches sp ciales dans le contexte de saisie SORTIE le changement des couleurs en temps d ex cution la gestion de menus classiques ou d roulants en tant qu crans sp ciaux En temps d ex cution l utilisateur final dispose pour la saisie des ressources d dition standard ventuellement modifi es par la fonction SORTIE Home End gt lt Deb lt Ins gt Esc et CR ont une action conforme l expectative En outre si le mode pleine page a t d fini l utilisateur pourra se d placer son gr l aide des quatre touches fl ch es et de la touche Tab Enfin Turbo Screen fournit trois ressources compl mentaires int ressantes un mode test type Trace On Off qui permet d afficher sur la 25 me ligne chaque fonction demand e au module r sident dans le but de faciliter la d puration du programme a possibilit de fusionner deux crans celle ci peut tre utilis e pour introduire des caract res de grand format cor respondants des polices fournies par le progiciel la possibilit d effectuer un traitement parallele affi chage de l heure par exemple pendant la saisie des champs moyennant l utilisation d une variable sp ciale de compte rendu CR qui rend la main au programme h te tant que la fonction de saisie n a pas t valid e 88 CONCLUSION L examen de plusieurs produits diff rents pour la g n ration et l utilisation de grilles d crans sur micro
125. un lexique production d un tat sim plifie du type mot sens ou sens mot c d finition des flux de donn es Verbetes 1 E ce sont les donn es qui alt reront le dic tionnaire Elles sont organis es en verbetes volume il existe pres de 2200 verbetes pour le pequeno dicionario de lingua geral p riodicit ventuelle 243 champs attributs de verbete Mot vocable de la Lingua Geral ClasseMot classe grammaticale du mot Sens en portugais signification du mot ClasseSens classe grammaticale du sens Exemple exemple d utilisation du mot Etymologie texte sur l origine du mot Compte rendu 1 S il s agit d un message sur une grille d cran qui confirme l action effectivement r alis e sur le dictionnaire pour une transaction d termin e volume une grille d cran par verbete alt r e ins r e ou exclue p riodicit ventuelle champs donn es de la verbete voir 1 E et message explicatif Sollicitation de dictionnaire 2 1E elle est constitu e par une grile d cran qui pr cisera les criteres utilis s pour l edition du dictionnaire forme support s lection volume une grille d cran par sollicitation p riodicit ventuelle champs diverses options pour l mission Forme complet ou simplifi Critere champ compos Condition de pr fixe Condition de suffixe Condition de classe grammaticale Condition de mot
126. un point crucial aussi bien pour le chercheur que pour l organisme de recherche car il l gitime leur existence et condi tionne par l leur fonctionnement Dans un domaine proche de la recherche une telle base rend des services pour l enseignement la fois aux enseignants pour la mise jour de leurs connaissances et la pr paration de leurs cours et aux tudiants pour la pr paration de leurs theses Mais l int r t d une base de donn es bibliographiques d passe de loin les domaines de la recherche et de l enseignement Les divers secteurs de la planification et les minist res techniques s occupant de population sont directement concern s et sont ame n s utiliser la base tant pour les besoins d tudes ponctuelles que pour la planification long terme On peut citer cet gard le Plan notamment en l occurrence l Unit de Planification de la Popula tion la Sante l Education Nationale les Affaires Sociales la Condition F minine l Urbanisme etc Un certain nombre d utilisateurs du secteur priv sont par ailleurs susceptibles de faire appel la base Il s agit des bureaux d tudes bien s r auxquels on peut assimiler la plupart des mis sions des organismes internationaux mais aussi un certain nombre d entreprises priv es qui utilisent des donn es d mographiques ou socio d mographiques pour leurs tudes de marche La plupart de ces utilisateurs recherchent des donn es num riques brutes mais 25
127. vocation d enregistrer la totalit des docu ments de nature diverse traitant d un th me g n ral par exemple l environnement ou d un espace tel qu une ville ou une r gion Un cas particulier est celui des syst mes d information g ographique dans lesquels sont rassembl es la fois des cartes des enqu tes de terrain des s ries statistiques des mesures de t l d tection etc De telles r alisations devant r pondre non seulement aux besoins des chercheurs mais aussi ceux des administrateurs et m me des citoyens requi rent des moyens humains et mat riels consid rables ainsi qu une politique long terme en effet l ensemble ne peut tre vraiment op rationnel c est dire apte proposer un large ventail d applications qu apres de longues tapes de mise au point du progiciel gouvernant le stockage et la restitution de l information mais aussi l enregistrement des documents de base proprement parler La seconde option diam tralement oppos e celle qui pr c de met l accent sur la capacit de l ordinateur r aliser un trai tement plus rapide de donn es plus volumineuses rassembl es 1970 100 aca km Nobres Chapada dos Guimar es rasil ndia Paranatinga 1980 Z rzn6rj CEE 333 dans le cadre sp cifique d une probl matique de recherche La fonction d archivage est dans ce cas r duite au minimum c est dire l laboration d un
128. 0033 10035 10036 10038 10040 10041 10039 10042 10043 12488 synonymes Asplenium Linnaeus Asplenium abscissum Willdenow Asplenium angustum wartz 10009 Asplenium angustum Swartz var appunianum Baker 10009 Asplenium anisophyllum Auct non Kunze 10025 Asplenium anisophyllum Kunze 10025 Asplenium anisophyllum Kunze var sanguinolentum Kunze Hieronymus 10025 Asplenium auriculatum Swartz 10057 Asplenium auritum Swartz Asplenium camptosorum Mettenius 10065 Asplenium cientarium Swartz 10019 Asplenium crenulatum C Presl 10070 Asplenium cristatum Lamarck Asplenium cuneatum Lamarck Asplenium cuneatum Lamarck 10022 var obtusum Klotzsch 10022 Asplenium dimidiatum auct non Swartz 10077 Asplenium dissectum Gmelin 10015 Asplenium feei Kunze ex Fee Asplenium firmum Kunze 10006 Asplenium formosum Willdenow Asplenium haplophyllum Domin Asplenium hostmannii Hieronymus Asplenium imrayanum Hooker Domin 10069 Asplenium insigne Liebmann 10065 Asplenium integerrimum Sprengel 10037 Asplenium juglandifolium Lamarck 10037 Asplenium juglandifolium Lamarck forma brevisorum Domin 10037 var eucalyptifolium Domin 10037 var integerrimum Sprengel Domin 10037 var subcrenulatum Domin 10037 Asplenium kapplerianum Kunze 10037 Asplenium laetum Schkuhr 10006 Asplenium laetum Swartz Asplenium laetum auct non Swartz 10028 Asplenium loriforme Hooker 10009 Asplenium lunulatum Swartz 10041 A
129. 2 chantillons 2 taxons sont repr sent s 3 v 2 T 4 1 1 taxon est repr sent 5 y 1 6 1 T 10 u 1 P 11 1 n x 31 R partition des chantillons en fonction de leur pays d origine 1 Guyane 76 chantillons Surinam 5 Bolivie 3 a Br sil 2 Guyana 1 Observation Le chiffre pr c dant le nom du pays est le num ro de code du pays utilis dans la figure 18 165 FIGURE 15 Liste des collecteurs de Commelinaceae de l Herbier de Cayenne Black G A Vincent C amp Coimet Daage F Ducatillon C amp G ly A Foresta Hubert de Granville J J de B Granville J J de B C Granville J J de T Hall Francis Jacquemin Henri Merlier Henri Raynal Rocques Aline Marie Granville J J de Allorge L Cremers G rts Sastre C amp Sastre F Sastre C Sastre F amp Moretti C Sauvain Michel Hassler Emil Lescure Jean Paul Grenand Pierre Pr vost M F amp Grenand P Feuillet Christian Patrice Oldeman R A A T Oldeman R A A B Sastre Claude Henri L on Pr vost Marie Frangoise Cremers Georges Alexis Granville Jean Jacques de O UU hb N N N N FF FE o F nn m Observation Les collecteurs sont rang s par nombre d chantillons collect s croissant Granville J J ne B C signifie qu il s agit des sp cimens r
130. 2 unidirectionnelle METTLER et des dilu tions ou concentrations associ es chaque chantillon ces chiffres tant alors transformables en facteurs multiplicatifs la partie travail de laboratoire permet alors l op rateur de saisir soit des mesures d finitives soit d apporter une correction interactive par les facteurs ses mesures lors de leur saisie au clavier Elle doit permettre avec des d veloppements sp cifique chaque appareil interfacage traitement du signal calculs d talonnages etc de r duire les donn es collect es dans chaque fichier laboratoire en donn es d finitives dans les fichiers mesures correspondants ou dans le texte cahier de laboratoire s il s agit de r sultats qualitatifs Une proc dure de conversion des fichiers mesures en ASCII permet l utilisation en aval de logiciels statistiques tels que STATGRAPHICS de tableurs et traitements de textes Une proc dure d exploration d une bibliotheque permettra au responsable d avoir la demande l tat d avancement d un dossier de l analyse d un chantillon d une analyse particuli re dans les dossiers d un client etc Le logiciel correspond une red finition du logiciel SPCLAS M Pansu ORSTOM 1983 crite en Basic HP Il est crit en Turbo PASCAL sur systeme MS DOS compatible IBM PC AT Son utilisation est possible en r seau rejet si pr sence d un autre utili sateur ou individuellement avec disque dur ou double lecteur de disquett
131. 4 la base leur fournit dans ce cas les adresses o ces donn es peu vent se trouver Enfin il est question depuis un certain temps de mettre sur pieds une bibliographie nationale du Cameroun dans le cadre d une politique de recherche documentaire d acquisition d ouvrages et de mise en valeur du patrimoine national Toute base bibliographique sp cialis e peut don tre d un grand secours dans ce domaine 3 HISTORIQUE DU SYSTEME POPCAM trouve son origine dans un fichier manuel indivi duel de chercheur tabli progressivement entre 1972 et 1979 Ce fi chier a t transcrit sur des fiches perforations marginales au format standard 12 5 x 7 5 cm approvisionn de 1980 1983 Les perforations n ont cependant jamais t mises en oeuvre devant la mont e de la micro informatique partir de 1983 diff rents facteurs se sont conjugu s au sein des structures camerounaises de recherche au Centre de Re cherches Economiques et D mographiques acquisition d un micro ordinateur IBM 23 mise disposition d un ing nieur en informatique possibilit s de financements compl mentaires via le Futures Group un organisme am ricain dans le cadre de la mise en place d une Unit de Planification de la Population UPP au Minist re du Plan Yaound Cette coop ration a donn deux r sultats concrets l informatisation de POPCAM au sein du CRED sur micro ordina teur IBM 23 avec un logiciel mai
132. 4 Tabulation Ce module permet de composer des tableaux de contingence ou de fr quence partir d une ou de plusieurs variables Il permet de recoder ou de reclasser une variable de lui affecter un intitule d en s lectionner ses modalit s de ventiler un nombre quelconque de variables avec le choix de faire intervenir le total ou le rebut de pond rer la population et enfin de travailler sur un type de popu lation pr cis s lectionn par des filtres Cependant les types d unit s de m me niveau sont ind pen dants entre eux Par cons quent les informations d une unit peu vent tre corr l es soit entre elles soit avec les informations des unit s sup rieures dont elles sont d pendantes Mais rappelons que nous sommes toujours m me de synth tiser l information de deux types d unit s de m me niveau au type d unit sup rieure commune D autres modules existent comme lister ou trier des donn es suivant des variables pr d finies r cup rer des fichiers endom mag s et acc der des fichiers s quentiels En effet concernant ce dernier point il est pr ciser que la structure hi rarchique des fi chiers impose un enregistrement acces direct La sortie s quentielle en caracteres peut s effectuer sous la forme de tableau rectangulaire ou hi rarchique Ce module a toute son importance puisqu il permet de passer sur des logiciels statis tiques sp cifiques cet effet un passage vers STATITCF est act
133. 7 de taxon Figure 18 collecteur 151 LISTE DES FICURES Liste des 53 premi res familles d j enregistr es de donn es Liste des esp ces pr sentes dans l Herbier de R partition des chantillons par niveau de Taxons les plus repr sent s dans l herbier Liste des collecteurs de l Herbier de Cayenne Repartition des chantillons par pays de collecte Repartition des chantillons dans quatre localites Composition de l herbier Grenand Liste des chantillons Grenand par nom de taxon Liste des chantillons Grenand par num ro de Composition de l herbier de la Montagne de Kaw Liste des collecteurs de la Montagne de Kaw Liste des chantillons de la Montagne de Kaw par Composition de l herbier des Commelinaceae Liste des collecteurs de Commelinaceae Liste des noms de taxon de Commelinaceae Liste des chantillons de Commelinaceae par nom Liste des chantillons de Commelinaceae par FIGURE 1 Liste des 53 premi res familles d j enregistr es dans la Banque de Donn es Acanthaceae Agavaceae Aizoaceae Alismataceae Amaranthaceae Amaryllidaceae Anacardiaceae Annonaceae Apocynaceae Aquifoliaceae Araceae Araliaceae Arecaceae Aristolochiaceae Asclepiadaceae Asteraceae Balanophoraceae Basellaceae Begoniaceae Bignoniaceae Bixaceae Bombacaceae Boraginaceae Brassicaceae Bromeliaceae Burmanniaceae Burseraceae Butomaceae Cabombaceae Cactaceae Caesalpiniaceae Cannaceae Capparaceae Caprifoliaceae Caricaceae Ca
134. 7 qui seront volontairement r duites deux fichiers d environ 33000 valeurs brutes et interpr t es Les deux fichiers sont en per manence accessibes au CIRCE par l ensemble des moyens t l matiques actuels 4 CHEMINEMENT DES DONN ES Les quinze param tres num ris s mis par la balise ARGOS toutes les deux minutes et demi sont recueilis par un des deux satellites TIROS de facon h liosynchrone toutes les deux trois heures Apres l mission des donn es vers une des trois stations terrestres de r ception les messages deviennent accessibles par les diff rents utilisateurs aupr s d un des deux centres de distribution Centres CLS de Toulouse et Washington Les donn es acquises sur Matthew et actualis es toutes les quatre heures portent sur la mesure des temp ratures de fume rolles de temp ratures de sol le long d un profil vertical et de comptage de d passements de seuils par un signal sismologique elles sont galement compl t es par des mesures de m t orologie Le centre ORSTOM de Noum a assure une surveillance quo tidienne par interrogation du centre de Toulouse via le r seau TOMPAC TRANSPAC TOM mis en place en juillet 1986 par la DGT et l OPT de N C La centralisation le traitement et l archivage des informa tions pour la constitution d une base de donn es accessible dans le plus court d lai sont assur s par le CRG de Garchy l acquisition des donn es aupr s du centre serveur ARGOS de Toulouse
135. 856 municipios Mais ces donn es rela tives la d cennie 1970 1980 devront tre compl t es au fur et mesure de la sortie des nouveaux recensements 1 UN SYSTEME D INFORMATION G OGRAPHIQUE POUR QUOI FAIRE SISECSO est un programme de coop ration initi il y a plu sieurs ann es visant la mise au point d un syst me d information sur l environnement La finalit de ce projet apparait parfois comme tant la r alisation d un syst me d informations g ogra phiques vocation agricole La pr tention de SISGEO est donc de couvrir 1 fois l ensemble des questions relatives l environnement de l activit agricole ainsi que la totalit du terri toire br silien La division du travail est con ue de la mani re sui vante d une part six modules th matiques traitent du climat de la v g tation des sols de l hydrologie des donn es phyto sani taires et de l information socio conomique d autre part deux modules m thodologiques sont vou s l un la cartographie auto matique l autre la t l d tection Avec sept d partements ser vices ou centres de recherche de EMBRAPA 56 chercheurs ing nieurs ou techniciens br siliens et quatre de l ORSTOM SISGEO s inscrit naturellement dans le cadre de l Unit de Recherche 502 de l ORSTOM Cadres spatiaux de l ind pendance alimentaire Le module relatif aux donn es conomiques et sociales SI SECSO a t entrepris bien apres ceux
136. AS Marc Pansu Chimie Laboratoire Mati res organiques Centre ORSTOM de Bondy 70 74 route d Aulnay 93140 Bondy France RESUME L information correspondant aux analyses physico chimiques est tr s diverse pure 1 Elle commence la d finition d une exp rience ou la collecte de renseignements qualitatifs cor respondant un dossier analytique se poursuit par le choix de mesures associ es des protocoles analytiques avec ventuellement des mises au point m thodologiques La partie laboratoire com prend la pr paration d chantillons pr alablement des mesures des donn es brutes sont collect es la sortie des appareillages Il faut alors r duire ces donn es en r sultats d finitifs qualitatifs ou quantitatifs et contr ler ces r sultats Le logiciel MIDAS Mixage de l Information concernant les Donn es Analytiques et Spectographiques tente de r pondre l ensemble des probl mes de saisie et de gestion de cette informa tion physico chimique tant dans la d finition du travail que dans sa mise au point sa r alisation et son contr le INTRODUCTION La diversit de l information analytique engendre une pano plie des besoins informatiques d un laboratoire d analyses assez tendue gestion du laboratoire traitement de signaux gestion des r sultats analytiques traitement des donn es chimiom trie textes etc Le chimiste moderne devient donc un grand consommateur de logiciels tels que trai
137. ATIBLE PC Paul Faure et Claude Benizri P dologie et Informatique UR 104 G odynamique de la Surface Centre ORSTOM de Bondy 70 74 Route d Aulnay 93140 Bondy France RESUME l inventaire et l tude de la r partition spatiale des sols de leurs caract ristiques et des facteurs du milieu qui condi tionnent leur diff renciation constituent une des activit s majeures des p dologues Parall lement l tablissement de cartes p dolo giques sensu stricto il apparait de plus en plus n cessaire pour vi sualiser les diff rentes constituantes de l information contenue sur un document cartographique de base d tablir des documents cartographiques th matiques d riv s L Infographie domaine de l informatique appliqu la cartographie permet de dresser ce type de document th matique L atelier Expression Graphique de PUR 104 G odynamique de la Surface D partement A s est dot d un quipement bas sur un micro ordinateur un digitaliseur et un traceur et a d velopp pour ce type d quipement une application compl te et compa tible FORBAN OBJECTIFS ayant conduit au d veloppement de FORBAN La r alisation de documents th matiques met en oeuvre trois principales tapes pour saisir et traiter l information de base en extraire et restituer l information th matique partielle demand e L information de base se pr sente sous forme d une carte et d une l gende qui portent respectivement une informat
138. BM PC utilisent normalement les touches fl ch es seul Editor Telador op rationnel sur micro 8 bits conserve le standard Wordstar On notera de plus que Display Ma nager Turbo Screen et Masque permettent le param trage des touches sp ciales du clavier de en d finissant leur action en saisie abandon validation champ suivant champ pr c dent etc Cette caract ristique permet d augmenter la convivialit des applications mises au point L utilisation d un m me g n rateur gestionnaire de grilles d crans avec plusieurs langages de programmation diff rents n est le privilege que de Masque et Display Manager le premier cou vrant pratiquement toute la gamme des langages les plus utilis s l heure actuelle sur les PC compatibles Cet aspect pourra consti tuer un facteur d cisif de choix dans certaines situations o plus d un langage est utilis dans une m me application parfois seule ment pour des raisons historiques REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Digital Research Display Manager productivity tool user s guide for the IBM Personal Computer Disk Operating System Pa cific Grove USA july 1983 PC SOFT Informatique Manuel de r f rence Turbo Screen pour les ordinateurs personnels IBM et compatibles Montpellier f vrier 1987 P Phillipot Manuel utilisateur Screen Maker Logiciel et Me dias Paris janvier 1987 G Cochonneau Manuel d utilisation de Masque N Domingues MicroEditor
139. E S DU CAMEROUN LIEUX AUTRES LIEUX GEOGRAPHIQUES ETH ETHNIE S CETH CANDIDAT S ETHNIE S DATE DATE DE CREATION DU DOCUMENT DANS LA BASE PR PRODUCTEUR S DU DOCUMENT DANS LA BASE SITU SITUATION PHYSIQUE DE L OUVRAGE CONTENU CONTENU Ne sont remplis que les champs concern s par la r f rence en question document Texto et pour lesquels l information est connue Dans le cas contraire le champ est laiss vide 266 Au moment de la saisie les articles saisir dans un champ donn doivent tre confront s la liste des articles d j intro duits si celle ci existe pour des raisons d homog n it totale de l criture et pour permettre l interrogation ult rieure 1 CHAMP NUM Num ro du document Le document au sens du logiciel Texto correspond l enregistrement la fiche bibliographique ou encore la r f rence Chaque document de POPCAM est num rot automatiquement l aide d un num ro de quatre chiffres par pas de un exemple 0101 0102 0103 etc 2 CHAMP AU Auteur s Nom s et pr nom s de l auteur personne physique Le nom est crit en majuscules Tous les tirets qui font ventuellement partie d un nom ou qui s parent deux noms sont supprim s et remplac s par un espacement des fins d homog n it et pour faciliter la consultation Le pr nom est crit en criture riche majuscules et minus cules la suite du nom et entre parentheses Les tirets ven
140. EE SUM NOPRINT VAR V01 V99 OUTPUT OUT SORTIE SUM SO1 S99 BY CODAGREG Dans le tableau ENTREE figurent les observations d origine correspondant une maille municipale diff rente pour chaque re censement le tableau SORTIE contient les observations agr g es selon une maille municipale unique ou chaque observation est re p r e par le code CODAGREG variable suppl mentaire du tableau des codes pr sent plus haut 336 5 4 Num risation de la carte des municipios des cerrados Une banque de donn es base g ographique doit tre en me sure de restituer l information sous forme de cartes La carence quasi totale de EMBRAPA en informatique graphique n a pas permis de r aliser des cartes th matiques Cependant le CPAC disposait d un micro ordinateur CANON AS 100 et d une table digitaliser japonaise MUTOH au grand format AO Lorsqu on a voulu num riser le fond de carte cela n a pas t possible imm diatement ce mat riel tait inutilisable faute d un progiciel adapt Il donc semble utile de concevoir et de programmer en langage BASIC le plus facilement utilisable sur CANON AS 100 un petit ensemble de programmes pour saisir le fond de carte Realis avec l aide de Violette Cabos ing nieur cartographe au CNRS ce travail a donn lieu l laboration d un manuel pra tique de num risation publi en France par le GIP RECLUS dans sa version PC DOS La figure 3 pr sente le r sultat de cette num r
141. EES 11 MASQUE UN G N RATEUR GESTIONNAIRE D CRANS UTILISABLE PAR DIVERS LANGAGES DE PROGRAMMATION G rard Cochonneau Informatique Hydrologie UR 502 Cadres Spatiaux de l Ind pendance Alimentaire EMBRAPA Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecu ria SuperCenter Ven ncio 2 000 70333 Brasilia DF Br sil RESUME Le caract re interactif des mat riels informatiques disponibles depuis d j de nombreuses ann es a conduit tout natu rellement d velopper des programmes qui communiquent avec l op rateur soit sous forme de questions r ponses qui se succ dent sur l cran soit l aide de grilles d cran Cette seconde technique beaucoup plus performante et attrayante pour l utilisateur apparait vite indispensable pour la consultation ou la manipulation de donn es m me peu volumineuses En contrepartie et compte tenu des ressources limit es offertes dans ce domaine par les langages de programmation elle est assez difficile mettre en oeuvre sans l utilisation d un outil sp cifique Cette note pr sente un outil op rationnel sur micro ordina teur compatible IBM PC qui permet d une part de d finir ou modifier des grilles d cran d autre part d utiliser ces grilles d cran l int rieur de programmes pour saisir ou contr ler des donn es Concu pour r pondre aux besoins identifi s lors d une exp rience pr c dente sur mini ordinateur ce gestionnaire d cran a d abord t d velop
142. ES a t deve lopp dans le but d offrir aux utilisateurs finals les produits de premi re n cessit pour tudier les donn es de type profil vertical On appelle profil vertical l ensemble des valeurs d un pa ram tre temp rature par exemple mesur es depuis la surface de la mer jusqu une profondeur d termin e en un point pr cis de l oc an et un instant donn Un dialogue fructueux avec les utilisateurs permit de definir pr cis ment les besoins Ainsi la structure conceptuelle de l information fut clairement d finie Les points suivants seront abord s d finition des informations du syst me et des relations propri t s qualitatives et quantitatives des informations les besoins des utilisateurs 172 La phase suivante fut celle les soucis d impl mentation dans un systeme informatique furent pris en compte Dans un projet de grande taille il est important de scinder cette phase en deux parties la structure d acc s et la structure physique La simpli cit du projet ne n cessitant pas cette subdivision les deux struc tures seront expos es globalement C est ce niveau que furent choisies les m thodes de codage de l information a facon de g rer la m moire secondaire la r gle du jeu pour les droits d acces concurrence entre plusieurs demandeurs simultan s et probl mes de mise jour la m thode d acces La disponibilit des donn es L ampleur du ph nom
143. F BRUNEL Formulaire floristique du Gabon J FLORENCE Formulaire floristique de Guyane fran aise Pterido phytes Monocotyl dones et Dicotyl dones G CREMERS et al 5 4 Principales r f rences concernant les Pt ridophytes des Guyanes utilis es pour constituer le formulaire 5 ALSTON JERMY A C amp RANKIN J M 1981 The genus Selaginella in tropical South America Bull Mus natn Hist Bot 9 4 233 330 6 HENNIPMAN E 1977 A monograph of the fem genus Bolbitis Lomariopsidaceae Leiden Univ Press 87 fig 1 331 7 KRAMER K U 1957 A revision of the genus Lindsaea in the New World with notes on allied genera Acta Bot N erl Vol 6 97 290 8 KRAMER K U 1978 The Pteridophytes of Suriname Utrecht Flora of Surianme 3 1 198 9 KUHN M 1884 Isoetaceae Marsiliaceae Salviniaceae in Martius Flora brasiliensis Vol 1 Tom 2 645 660 10 LEMEE A 1955 Flore de la Guyane francaise 1 Ed P Lechevalier Paris 11 MARTIUS C 1840 1884 Flora brasiliensis 12 POSTHUMUS O 1928 The ferns of Suriname In Flora of Suriname 1 196 13 STOLZE 1974 tazonomxc revision of the genus Cnemidaria Cyatheaceae Fieldiana Bot Vol 37 1 98 14 TRYON R M amp A F 1982 Ferns and allied plants with special reference to tropical America Springer Verlag New York 1 857 15 VARESCHI V 1968 Helechos In Flora de Venezuela
144. GRAPHICS etc ne pose pas de problemes particuliers Il s av re que cette approche permet un gain substan tiel pour la qualit des donn es la rapidit et le co t Il sera facile d envisager une machine interm diaire d di e la supervision sur le terrain Dans les domaines qui sont les n tres notre quipe est consid r e comme pionni re tant en France qu aux Etats Unis et par divers organismes internationaux Portabilit ais e sur diff rents types de machines 8 2 Avantages et contraintes de la saisie informatis e Contraintes Un certain nombre de contraintes apparaissent priori il s agit d une approche nouvelle et comme toute nou veaut elle engendre l inqui tude l appr hension vient aussi du fait qu elle apparait comme tres imbriqu e dans des pr occupations informatiques 40 bien que le prix global d une op ration soit r duit par cette approche l impression existe que l on doit investir beaucoup en quipement Le chapitre quipement augmente certes mais d autres chapitres se trouvent quant eux r duits tres sensible ment il faut avoir mis au point et test toute la conception et les contr les avant de d marrer en vraie grandeur sur le terrain Mais cette contrainte n est pas sp cifique cette approche infor matis e en effet si les op rations classiques taient bien con ues la pr paration devrait inclure ces m mes contraintes pour les mener bien
145. LET C GRANVILLE J J de et HOFF M 1986c Liste informatis e des localit s de Guyane Banque de Donn es AUBLET Herbier du Centre ORSTOM de Cayenne FORESTA de 1981 Premier temps de la r g n ration naturelle apr s exploitation papeti re en for t tropicale humade ARBOCEL Guyane fran aise Th se de Doctorat de 3 me cycle Ecologie g n rale et Appliqu e U S T L Montpellier 32 figs 23 Tabl H T 114 p GRANVILLE J J de 1986 Le projet de r serve biologique domaniale de In Le littoral guyanas Fragihit de l environnement Nature Guyanaise Cayenne 1986 161 178 HOFF M amp BRISSE H 1985 Mise en place d une base de donn es en botanique tropicale 1 Informatisation des chantillons d herbier Information Documentation Technique ORSTOM Paris 65 1 48 HOFF M amp BRISSE H 1986 Constitution d une banque de donn es en Botanique tropicale La saisie des chantillons d herbier S minaire des producteurs de banques de donn es biologiques factuelles Nice 27 28 f v 1986 RIERA B 1983 Chablis et cicatrisation en for t guyanaise Th se de Doctorat de 3 me cycle Universit Paul Sabatier Toulouse 163 p Figure 1 dans la banque Figure 2 Cayenne Figure 3 d termination Figure 4 Figure 5 Figure 6 Figure 7 Figure 8 Figure 9 Figure 10 collecte Figure 11 Figure 12 Figure 13 nom de taxon Figure 14 Figure 15 Figure 16 Figure 1
146. LOPPEMENTS Sur la machine centrale un logiciel de pr paration de questionnaire le GENERATEUR un logiciel de TRANSMISSION DES DONNEES de formatage et de PREPARATION AU TRAITEMENT Sur la machine de terrain un logiciel de passation de questionnaire l INTERPRETEUR 5 1 Le g n rateur Introduction aux concepts Question nom de variable type de variable conditions d entr e dans la question conditions d valuation Sous questionnaire SQ nom conditions d entr e conditions de nouvelle administration retour Il est sur la machine centrale Compatible PC Fonctionnalit s du g n rateur g n ration interactive de questionnaires d finition des groupes de questions des questions et du dictionnaire des variables selon un Langage de Description de Questionnaire LDQ R alisation sur la machine Edition par interface cran des caract ristiques du question naire puis compilation et production d un code chargeable sur la machine de terrain Il contient deux parties l diteur et le compilateur a Editeur il permet la saisie lin aire d un sous questionnaire louverture d un sous questionnaire la saisie des champs LEQ et la g n ration d une liste de commandes record pour chaque sous questionnaire a saisie d une question est pr c d e par la definition d un SQ chaque question appartient un seul SQ 36 la d finition des champs LDQ selon le format Ques tio
147. Le syst me a t test ou fonctionne actuellement sur des mat riels tr s vari s IBM XT CORDATA PPC400 IEEE XTX Turbo Thomson Micromega Bull Micral 40 etc avec des disques dures de 10 70 MO 258 POPCAM a vocation a tre approvisionn dans chacune de ses implantations L esprit qui a pr sid sa conception r pond as sez bien mais pas totalement aux besoins de la plupart des or ganismes cit s On ne saurait donc exclure que chaque utilisateur l adapte encore plus sas besoins sp cifiques dans un but es sentiellement pratique Cela peut m me tre consid r comme souhaitable dans ces conditions les mises jour r ciproques in terviendraient r guli rement travers un r seau POPCAM constitu par les diff rents utilisateurs sans pour autant que cha cun d eux soit oblig de conserver la totalit des r f rences saisies par les autres Le champ PR est alors destin rep rer l origine d un document figurant dans la base Il est clair qu un effort constant de mise jour doit tre fourni si l on veut conserver au systeme une fiabilit lev e Aucune source d information ne doit tre n glig e les publications directes dont les travaux des centres de recherche au Cameroun et l ext rieur les revues bibliographiques sp cialis es les ouvrages bibliographiques dont les r pertoires de travaux et de theses les travaux universitaires r alis s chaque ann e au Ca
148. M Brest 1979 J J LECHAUVE Le syst me de gestion des donn es CROISIERES Vol I Document technique n 38 Antenne ORSTOM de Brest 1987 189 GEOMER BASE DE DONNEES DE GEOPHYSIQUE MARINE Francois Miss gue Geophysique UR 106 Centre ORSTOM de Noum a BP A5 Noum a Cedex Nouvelle Cal donie RESUME GEOMER est une base de donn es de g ophysique marine La mise en oeuvre a t motiv e par la masse de donn es de plus en plus importante devenue tres difficile manipuler Le seul imp ratif tait d avoir un acc s direct aux donn es par croi si re par profil ou par fen tre g ographique L ossature choisie est une grille g ographique sur laquelle un module de base se positionne La donn e de base est un point de mesure Il est li un module par sa position dans l espace et une croisi re par son temps Des r seaux de pointeurs interactifs per mettent d identifier le module r cepteur et de positionner les points de mesure sur les fichiers Quel que soit le mode d extraction choisi l op ration est une recherche spatiale s lectivit variable La base est implant e sur HP1000 et dispose de 30 MO de m moire de masse L utilisation en E S du format international d change MGD77 rend GEOMER compatible avec toutes les grandes bases actuelles Le codage binaire permis de r duire au minimum le volume de m moire de masse En d veloppement tous les logiciels seront traduits en Fortran 77 MicroSo
149. NNEE LAN CHAP SCHAP DES ATE contr le sur index des dix neuf champs suivants re group s pour la circonstance en dix sept index AU INAU AUC INAUC ANNEE REVUE LED ED LAN CHAP SCHAP DES CDES PROV LIEUX ETH CETH DATE SITU contr le sur liste des quatre champs suivants CONG DIPL COLL NOUVREF Ces champs peuvent contenir la virgule s parateur d article et ne sauraient donc tre valablement muer s s associ s un index 257 deuxi me correction sur listing Correction finale par groupe de 500 r f rences Ces contr les sont recommencer r guli rement pour les nouvelles r f rences introduites POPCAM fonctionne actuellement avec dix neuf champs in vers s dans seize index diff rents La version micro du logiciel Texto version 3 8 de juillet 1986 n autorise pas pour des raisons de capacit que ces dix neuf champs puissent tre tous interrog s en mode inverse c est dire soient automatiquement interrog s via les index plut t qu en mode s quentiel beaucoup plus long Cela s est cependant av r impossible pour douze d entre eux parmi lesquels onze sont mis jour automatiquement apr s ajout ou correction Cf tableau ci apr s En outre l index IDES regrou pant les descripteurs et les candidats descripteurs qui est le plus utilis a t implicit ce qui veut dire que le nom du champ n a pas besoin d tre rappel lors de l
150. NUPTIALITE FAMILLE DROIT DU MARIAGE 15 3 18 DROIT COUTUMIER DU MARIAGE 18 3 21 NUPTIALITE 37 16 53 NUPTIALITE SPECIFIQUE 44 11 55 FAMILLE 27 28 55 NATALITE FECONDITE FACTEURS SOCIAUX DE LA FECONDITE 40 23 63 FACTEURS BIOLOGIQUES DE LA FECONDITE 32 10 42 FECONDITE 25 14 39 PLANIFICATION FAMILIALE 13 4 17 MORBIDITE MORTALITE STATISTIQUES SANITAIRES 13 13 SANTE 51 11 62 MEDECINE TRADITIONNELLE 23 4 27 NUTRITION 11 29 40 MALADIE INFECTIEUSE 20 15 35 MALADIE PARASITAIRE 88 5 93 MORBIDITE 35 15 50 MORTALITE 18 20 38 MORTALITE INFANTILE 84 24 108 MIGRATION URBANISATION MIGRATION INTERNE 83 31 114 EXODE RURAL 52 37 89 URBANISATION 33 40 73 URBANISATION DLA 77 25 102 URBANISATION YDE 74 35 109 URBANISATION AUTRE 96 24 120 MIGRATION EXTERNE 36 5 41 DEPLACEMENT TEMPORAIRE 17 2 19 STATISTIQUES DU TOURISME 5 5 PLANIFICATION POLITIQUES PLANIFICATION 28 21 49 POLITIQUES DE POPULATION 31 62 93 DROIT DU TRAVAIL 30 10 40 PROTECTION SOCIALE 30 5 35 FORMATION 10 2 12 RECHERCHE 23 11 34 CHAP SOCIO ECONOMIE CONJONCTURES PERSPECTIVES TOTAL 264 ANNEXE 1 suite SCHAP et DES DEVELOPPEMENT ECONOMIE POPULATION ECOLOGIE HUMAINE STATISTIQUES SCOLAIRES SYSTEME SCOLAIRE SCOLARISATION R NDEMENT SCOLAIRE EDUCATION FEMININE FORMATION SPECIALE FORMATION EMPLOI STATISTIQUES DU TRAVAIL POPULATION ACTIVE EMPLOI SECTORIEL POPULATION ACTIVE AGRICOLE AGRO INDUSTRIE RECENSEMENT INDUSTRIEL SECTEUR INFORMEL CONDITIONS DE TRAVAIL POPULATION
151. OLOS tous les autres ne couvrent qu une partie seulement du territoire br silien SISECSO n chappe pas la regle En effet chaque module est pris en charge par un centre de l EMBRAPA ce qui explique que SISECSO n ait trait qu aux seuls cerrados Il est donc indispensable d entreprendre un travail du m me type ailleurs au Br sil il n y a que l embarras du choix Mais il serait vain de vouloir faire strictement la m me chose et retomber ainsi dans un empirisme abstrait st rile Il y a certaine ment d autres questions qui se posent ailleurs pouvant tre abor d es avec la m me m thodologie quantitative la fin de l ann e 1987 le CPAC disposera d une banque de donn es compos e d un peu plus de 3 000 variables relev es sur 856 municipios La forme sous laquelle ces donn es auront t sto ck es en ordinateur leur garantira la plus grande facilite d acces Mais ces donn es relatives la d cennie 1970 1980 devront tre compl t es au fur et mesure de la sortie de nouveaux recense ments 339 ANNEXE TRAVAUX DE PHILIPPE WANIEZ EN RAPPORT AVEC SISECSO 1 Les donn es et le territotre ouvrages techniques Initiation au traitement informatique des donn es spatialis es Paris ORSTOM coll IDT 119 p Initiation la num risation pour la cartographie th matique Montpellier GIP RECLUS 54 p Initiation l analyse en surfaces de tendances A paraitre 36 p 2 Communications Du sy
152. ORSTOM au Vanuatu 293 HORIZON Base bibliographique ORSTOM 1 88 NUM DA aa mm jj INV NES INV2 __ ARS MIC M NBEX1 NBEX2 COTEL 2 NIVBIB MAS TYPBIB forme physique du document B Monographie J Article p riod C Norme R Rapport officiel G Carte Atlas Notice INDBIB type de document et lements du contenu BASES EXT K Congr s Z Bibliographie I IBISCUS L Glossaire Encyc Synth bibliogr A AGRIS Q R pertoire Ann Y Cartes AS ASFA N Tableaux num O Rapport d activit U Th se dipl me V Multigr Non conv E R sum s LAN Q c Coe E ISBN LANR DE Ee TEMP gue NIV STV DIFF 1 Pas d acc s possible VERSION Pa Pr 2 Consultation l ORSTOM CONFID 01 4 Diffusion payante aupr s de l ORSTOM BULLI 1 5 Diffusion payante sous formes mic ou photocop 6 Pr t possible T e A L AUTEUR AUM 1 2 3 4 15 AFM 10RSTOM 2Institut Fran ais de Recherche Scientifique pour le D veloppe ment en Coop ration 3 4 15 AUA AMA 1 2 3 4 15 __ 1 2 4 15 AFA 10RSTOM 2Institut Fran ais de Recherche Scientifique pour le D veloppe ment en Coop ration 3 A 1ORSTOM 2Institut Fran ais de Recherche Scientifique pour le D veloppe ment en Coop ration 3 4 5 S ATL i
153. PORSTOM Masque est un logiciel de g n ration et de gestion de grilles d cran qui r pond ces besoins l heure actuelle il est op rationnel pour les langages de programmation suivants Basic Compil de MicroSoft Quick Basic de MicroSoft Level II Cobol de MicroFocus Fortran 77 de MicroSoft TurboPascal de Borland 1 DESCRIPTION GENERALE Une grille d cran se pr sente l utilisateur comme un par tage de l cran en zones constantes dont le contenu est pr d fini et en Zones variables r serv es l entr e de donn es qui sont alors r cup r es par le programme d application qui utilise la grille d cran Cette id e de r cup ration des donn es est d ailleurs sou vent artificielle dans la mesure g n ralement l application ne lit pas les donn es dans la zone variable mais les m morise au fur et mesure de leur digitation et se sert parall lement de la zone variable pour informer l utilisateur de ce qu il a digit Une grille est donc comparable un formulaire comme on en rencontre dans la vie courante d claration d imp ts fiche de renseignements etc A ce propos lorsqu un systeme utilise des grilles d cran pour saisir des formulaires pr alablement remplis il est tr s important de concevoir des grilles qui ressemblent le plus possible aux formulaires afin de faciliter les op rations de saisie et de minimiser les risques de confusion ou d oubli d informations On e
154. Parall lement la m me m thodologie est utilis e dans le domaine g n tique par d autres quipes pour des applications sen siblement diff rentes L exp rience purement ORSTOM acquise avec PCDICO est en cours de renouvellement avec un syst me tr s particulier et plus complexe destin rendre op rationnelle sur PC compatible une m thode de synth se et critique de don n es mise au point par un chercheur de l Institut La g n ralisation progressive de cette m thode ou de toute autre proposition susceptible d aboutir la r alisation de modeles logiques pour les progiciels sp cifiquement d velopp s pourrait constituer un guide pr cieux pour ce genre d activit s pour l instant plut t artisanales Dans cette optique un cours destin aux d veloppeurs pourrait tre pr par et un guide r dig et pro pos comme recommandation de documentation de syst mes 248 D ores et d j il existe plusieurs produit logiciels disponibles pour assister les professionnels dans la r alisation des travaux af f rents cette phase du d veloppement d un progiciel ceux ci donnent une nouvelle dimension cette tape principalement en permettant l int gration de ses r sultats pour la sp cification et la codification On peut raisonnablement en attendre des gains spec taculaires de productivit et qualite REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES AFNOR Recommandation de Plan Qualit Logiciel Fasci cule de documentat
155. RIPTION GENERALE DU LOGICIEL MIDAS Fichier d aide 1 MIDAS Mixage de l Information concernant les Donn es Analytiques et Spectrographiques les chantillons sont regroup s en dossiers correspon dant un m me type d tude Chaque dossier peut contenir un seul ou un nombre non limite d chantillons Les descripteurs du dossier ainsi qu un texte associ peuvent tre saisis des la d cision d un projet d tudes lorsqu on ne connait encore ni les chantillons qui seront analys s ni les dosages qui seront choisis Chaque dos sier est rang dans une ou plusieurs bibliotheque s propre au laboratoire Chaque biblioth que MIDAS est automatiquement r pertori e dans une directory Les autres informations concernant le dossier sont alors saisies au fur et mesure de leur connaissance Descriptifs des chantillons variables mesurer tat des mesures pr para tion des chantillons saisie des r sultats et observations dans un cahier de laboratoire Les descripteurs des variables sont optimis s des variables physico chimiques identifiant descriptions analytiques unit limite de d tection pr cision valeurs permettant le calcul des intervalles de variation prix Une originalit de MIDAS consiste en sa personnalisation pour chaque laboratoire le programme MIDINST permet de ran ger les variables d terminables par ce laboratoire par groupes de une un nombre non limit de variables dans une
156. S Tabl 3 Information de base Traitements 80 ATTRIBUTS VALEURS ATTRIBUTS VALEURS ADENTIF ANT Mise Jour Uste Mise jour Liste GESTION INFORMATION THEMATIQUE DERIVEE REQUETE GLASSES CONSTITUTION REORGANISATION RECHERCHE cAtCULS CLASSES INCLUSIONS SURFACES Mise Uste Constitution Liste jour Classe Nouvelles Inclusions 1 Zones Zones Nouvelles Identifiants Zones Surface Nouvelles Zones Classes Surface x Tabi 4 information th matique d riv e Saisie et traitement Listes Correspondance Nouvelles Zones Anciennes Zones Classes 60 310 Exemple Attributs Valeurs Classe 1 Texture Argileuse argilo sableuse Profondeur Profond Drainage Bon Classe 2 Texture Sableuse Profondeur Peu prof moy prof Drainage Moyen m diocre Le r capitulatif de la requ te peut alors tre list sous une forme synth tique il repr sente la nouvelle l gende et tous ses l ments constitutifs 1 22 La constitution des classes C est partir de ce niveau que FORBAN effectue les op ra tions les plus importantes tris et regroupements qui en justifient tout son d veloppement il prend en compte classe par classe les attributs et valeurs s lectionn s au cours de la requ te il d termine et regroupe les identifiants concern s par les classes il d termine les zones correspondant aux id
157. SUME L auteur a mis sur pieds une base de donn es bibliographiques sur les tudes de population au sens large in cluant outre la d mographie stricto sensu un grand nombre de r f rences se r clamant d autres disciplines des sciences sociales m dicales et juridiques Cette base compte en juin 1987 pr s de 2 700 r f rences toutes sur le Cameroun Elle fonctionne ou fonctionnera prochainement dans six implantations au Cameroun et deux en France L auteur souhaite confronter cette exp rience avec des exp riences similaires tant pour optimiser le syst me mis en place que pour envisager son volution 1 PRESENTATION GENERALE DU SYSTEME POPCAM est une base de donn es bibliographiques informa tis e sur les tudes de population au Cameroun Elle est actuelle ment en cours d implantation sur des micro ordinateurs compa tibles IBM PC avec le logiciel Texto dans six organismes situ s au Cameroun et en France Cette base consacr e exclusivement au Cameroun a vocation pour regrouper toutes les r f rences biblio graphiques du domaine de la d mographie En outre un certain nombre de disciplines compl mentaires la d mographie figurent dans POPCAM telles que l histoire la g ographie l anthropologie la sociologie la linguistique l eco nomie le droit la psychologie et la m decine Les ref rences concernant ces derni res disciplines sont s lectives et cela d autant plus que l on s carte du th me centr
158. URE INFORMATION D UN DOSSIER Fichier d aide 5 1 Lecture d un dossier En t te information de la bibliotheque Variables 6 colonnes par cran avec indication du nombre total d crans et du num ro d cran actuel Echantillons 17 lignes par page avec gestion des pages analogue celle des crans ENTER Ecrans suivants puis pages suivantes Affichage des donn es D mesure en attente Blanc mesure non demand e Valeurs num riques avec nombre de d cimales cor respondant descripteurprecision de fichiervariables Avec indication LD si valeur inf rieure limitedetection de fichiervariables 2 Descriptifs chantillons Lecture par page des descripteurs descript de fichierechantillon 3 Signification des variables Lecture par page des noms descripti de fichiervariables 4 Descriptifs Lecture par pages des principes des m thodes de mesure des variables descript2 de fichiervariables 5 Relation biblioth que d installation et modes op ratoires trouve le groupe d installation ventuel de chaque variable du dossier Permet de lire les descriptifs des groupes d installation nom date mise au point principe etc les modes op ratoires associ s ces groupes accom pagn s du nom du fichier pour leur saisie correction 214 6 Intervalles de confiance des mesures d un dossier indication de l intervalle entourant les valeurs num riques list es en 1 selon le nivea
159. a cote du niveau d eau lors de la mesure Ces mesures appel es jaugeages doivent tre r alis es en diff rentes saisons pour obtenir des couples cotes d bits bien r partis sur la plage de variation du niveau du cours d eau et de facon r guliere pour accompagner l instabilite de la relation hauteur d bit qui peut varier au cours du temps la suite notamment de modifications du lit de la rivi re Chaque modification importante impose de d finir une nouvelle courbe d talonnage Une fois la station de mesure install e son exploitation clas sique comprend donc une collecte continue des mesures de la cote des niveaux d eau par un observateur ou un syst me enregistreur des campagnes de jaugeages et des tourn es d inspection et d entretien de p riodicit variable La partie sup rieure de la figure 2 montre de facon sch matis e les differentes tapes de cette exploitation et les informations produites par chacune d elles 2 2 Description des informations de base Nous allons classer ces informations en six cat gories en fonction de leur nature et du support sur lequel elles se pr sentent avant traitement Nous distinguons ainsi les informations signal tiques connues d s l installation de la station situation quipement les divers inci dents constat s et les travaux effectu s lors des tourn es d inspection ces donn es sont collect es en format libre sous forme de rapports de tourn es voire m me relat
160. a formulation des interrogations Bien entendu si le besoin d un autre champ interroger en mode inverse se fait sentir un autre document de param tre Texto pre nant en compte le champ en question peut tre activ tout mo ment 5 IMPLANTATIONS ET MISE A JOUR POPCAM est actuellement implant dans trois sites diff rents CRED Yaounde ORSTOM Bondy et Centre sur la Po pulation et le d veloppement CEPED en cours de constitution Paris Quatre autres structures sont imm diatement int ress es l Unit de Planification de la Population UPP au Ministere du Plan Yaound l Institut de Formation et de Recherche d mo graphiques IFORD la Sous Direction des Statistiques D mogra phiques et l OCEAC L implantation du syst me doit enfin tre en visag e au CEDID Paris et dans divers organismes Yaound le Minist re de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche Scienti fique l Institut des Sciences Humaines l Universit le Minist re de la Condition F minine la Mission ORSTOM etc Le principal obstacle une telle diffusion est le co t du logiciel alors que des logiciels fonctions analogues sont diffus s gratuitement La maintenance voire l acquisition du mat riel est le second probl me r soudre L ambitieux projet d informatisation de la do cumentation dans les instituts de recherche au Cameroun va contribuer la solution de ces probl mes partir de 1988
161. acc s une par une aux stations d une campagne par ticuliere Dans ce cas le programme est beaucoup plus interactif Certains programmes ne proposent que l acces de type 1 ou celui de type 2 par contre d autres modules laissent le choix l op rateur Faisons un rapide tour d horizon des produits Edition Analyse d une campagne diverses options Edition d une campagne E etc Visualisation Ecran Plotter Visualisation et validation des profils X Trac s divers de profils gt X Relation R Px Py X x Relation R Px grad Py x x Relation R Px Pyi Py2 X x x Cartographie d une campagne etc Calculs dynamiques Valeurs int gr es contenu thermiques Calcul des gradients D termination d isovaleurs Etude du courant g ostrophique Etude de la lin arit de certaines relations etc 186 Gestion de donn es Transcodages divers pour change Extraction et cr ation de fichiers pour diverses analyses statistiques interface avec le logiciel MAGIK M thode d Application de 1 G ostatistique et de l Interpolateur du Krigeage etc CONCLUSION L impl mentation dans un environnement PC du systeme de donn es qui vient d tre d crit se poursuit l Atelier Informatique de Brest La part restante du travail consiste adapter les programmes d exploitation de la version pr c dente Ce travail est particulierement int ressant du fait de l effort de standardisation e
162. acces permanent tout en d chargeant les Services de Cartographie tra ditionnels de la r alisation de ces cartes th matiques L exploitation de FORBAN ne n cessite qu un mat riel in formatique de large diffusion et fait donc preuve d une grande compatibilit D velopp dans le cadre de ORSTOM par les au teurs il met en oeuvre un ensemble d utilitaires courants et de logi ciels sp cifiquement d velopp s pour son application FORBAN constitue donc un outil de cartographie assist par ordinateur complet et performant Il se caract rise enfin par une remarquable simplicit d utilisation du fait de la particuli re clart de ses commandes 321 SISECSO OU L INFORMATIQUE AU SERVICE D UNE RECHERCHE EN HUMAINE LA DY NAMIQUE SPATIALE DES CERRADOS AU BR SIL Philippe WANIEZ G ographie UR 502 Cadres spatiaux de l Ind pendance Alimentaire avec la collaboration de Jozeneida PIMENTA de AGUIAR technicienne EMBRAPA CPAC Planaltina D F Br sil et de Violette CABOS cartographe ing nieur au CNRS Montpellier France RESUME Un syst me d information g ographique pour quoi faire SISECSO est le module socio conomique d un ensemble plus vaste nomm SISGEO r alis conjointement par l ORSTOM et l Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuaria EMBRAPA et visant la mise au point d un syst me d information sur l environnement Il s agit de capitahiser toutes les infor
163. achemin es par une ligne sp cialis e vers la M t orologie Nationale Paris qui les dispose en fichier sur le Cray notre usage Elles proviennent ga lement des observations r alis es bord des navires marchands et diffus es en temps r el sur le Syst me Mondial de Transmissions SMT elles doivent tre s lectionn s organis es apr s leur capture sur le SMT Ces op rations sont encore dans leur phase exp ri mentale Une fois disponible le vent doit tre contr l et mis la maille du modele avant d tre utilis Les l ments des flux thermiques sont calcul s partir de s ries climatologiques et ne posent pas de probl me informatique Ils posent par contre des probl mes physiques majeurs car de pr ci sion insuffisante Les donn es oc aniques sont pour l instant uniquement des profils thermiques verticaux entre la surface et 700m Elles sont obtenues par les bateaux marchands le long des lignes de naviga tion et transmises par radio vers le SMT ou par balise rgos vers le Centre Argos de Toulouse Nous les r cup rerons par TRANSPAC aupr s du Centre de donn es de sub surface TOGA de Brest qui a la charge de regrouper et de valider ce type de donn es et devrait pouvoir nous les d livrer chaque mois dans des d lais tres courts 350 2 4 Produits Ce sont essentiellement des dessins sur film labor s direc tement en sortie du Cray partir du logiciel NCAR Les produits restent pr ciser
164. age se composant d un volume ce champ contient le nombre de pages du volume suivi par l abr viation p apr s un espacement S il y a plusieurs volumes les paginations de chacun d eux crites comme ci dessus sont s par es par des virgules suivies d un espacement Dans ce cas si l on connait la pagination de cer tains volumes seulement la mention x remplace le nombre de pages pour les volumes celui ci est inconnu Le champ PAGES peut contenir une ou plusieurs des men tions suivantes multig multigraphi es dactyl dactylogra phi es manus manuscrites annexes cartes h t hors texte pagination multiple non pagin etc voir les exemples de pr sentation 273 En de pagination multiple si chacune des paginations est connue les paginations sont s par es par le signe entre deux es pacements Les paginations inconnues sont remplac es par la mention x Si toutes les paginations sont inconnues la mention pagination multiple figure seule Si la pagination multiple concerne le m me crit par exemple lorsque la pr face ou la post face sont num rot es part l abr viation p apparait une seule fois la fin En revanche s il s agit d crits diff rents rassembl s dans le m me volume l abr viation p est r p t e pour chacun d eux Dans tous les cas la nature de la num rotation chiffres arabes ou romains est conserv e Dans le cas d un volume pagination multiple la
165. aire la passation du questionnaire et d obtenir sur le ierrain m me des donn es contr l es et propres pour traitement sans d lais portabilit des logiciels sur diff rents types de machine criture de fa on modulaire en vue d am liorations et de fonctionnalit s compl mentaires 30 autonomie de longue dur e pour les enqu teurs sur le terrain sup rieure huit jours sans d chargement possibilit de collecter des informations dans des milieux s v res capacit technique des machines se connecter ven tuellement par t l phone avec un site central Fonctionnalit s g n rales de l outil Elles permettent la collecte de donn es de toutes sortes dans des champs d applications tr s vari s en am liorant sensiblement la qualit des donn es la rapidit et le co t des op rations de col lecte et de traitement de donn es quantitatives Apr s la g n ration d un questionnaire ou d un formulaire sur le PC gr ce un diteur interactif qui demande de d finir toutes les caract ristiques des questions et sous questionnaires y compris les messages et contr les d sir s un pseudo code peut tre t l charg sur les machines de terrain Il permet au collecteur une saisie directe intelligente et contr l e sur le terrain m me qui produit des enregistrements cod s et propres Apr s retour par t l chargement de ces donn es et reformatage automatique les traitements statistiques peuv
166. ait d additionner les chiffres de 1980 Par contre lorsqu un nouveau municipio tait constitu avec des parties de plusieurs autres comme c est souvent le cas dans le Mato Grosso il a fallu modifier la maille de 1970 pour former un municipio th orique comparable avec la r union de ceux ayant donn une portion au nouveau Par exemple dans l tat du Mato Grosso les municipios Nobres et Chapada do Guimaraes ont vu leur superficie se r duire comme une peau de chagrin entre 1970 et 1980 quatre nouveaux municipios ont t cr s leurs d pens Paranatinga Nova Braziandia Sinop et Colider Sinop chevauchant d ailleurs le territoire des deux municipios originaux Pour comparer les donn es de 1970 et de 1980 un municipio th o rique rassemble les deux de 1970 et les six de 1980 fig 2 De 885 municipios en 1980 la banque de donn es n en connait donc que 856 strictement identiques en 1970 et 1980 Bien entendu le m me travail devra tre r alis pour rendre semblables les mailles de 1980 et 1985 ou 1970 et 1985 4 ADOPTER UN MODELE D INFORMATISATION Pr alablement au choix d un mod le de mise en oeuvre de l informatique il a fallu proc der une analyse des diverses possi bilit s R sultat trois options diff rant sur le plan des d lais n cessaires la programmation du niveau technique requis et du mode d utilisation des donn es La premi re option connue sous le nom de syst me d information a pour
167. al de la base POPCAM comporte plus de 2 750 r f rences en octobre 1987 Elles sont partiellement comment es et r parties en onze chapitres et 99 sous chapitres ou themes Cf annexe 1 252 2 OBJECTIFS D UNE BASE DE DONNEES BI BLIOGRAPHIQUES SPECIALISEES L id e d une base de donn es bibliographiques sp cialis e s est progressivement impos e travers l observation des condi tions objectives de travail du chercheur dans les structures de re cherche Une solide base bibliographique est avant tout un outil in dispensable cette recherche que ce soit pour le chercheur lui m me ou pour les structures initiant et abritant les op rations de recherche et cela cinq niveaux l laboration de la politique scientifique la d finition des op rations de recherche l analyse des r sultats les publications scientifiques et la valorisation des r sultats La politique scientifique d un pays donn doit pouvoir tenir compte la fois des besoins et des priorit s exprim s par les pou voirs publics et les partenaires sociaux des lacunes clairement identifi es au niveau national dans les connaissances relatives un domaine donn des courants scientifiques internationaux et des possibilit s de mise en oeuvre et de financement Une base de don n es bibliographiques est m me de r pondre la seconde de ces exigences en permettant une recherche bibliom trique sur l ensemble des travaux pass s afin de mettre en
168. alitatives des informations Ce sont les propri t s qui sont vraies quelles que soient les valeurs affect es aux donnees une station contient toujours un param tre qui d finit une relation d ordre sur l ensemble des valeurs des autres para m tres C est la pression ou l immersion dans la plupart des cas le nombre de param tres est diff rent d une station l autre le nombre de niveaux varie d une station l autre etc 1 14 Les propri t s quantitatives des informations On trouve essentiellement des contraintes de cardinalit une campagne est constitu e d au plus 164 stations une station est compos e d au moins deux param tres une station contient au plus 30 profils un profil est une suite de 1 024 valeurs au plus si la valeur d un param tre un niveau donn n est pas connue une valeur sp ciale devra lui tre affect e afin que tous les profils d une station poss dent le m me nombre de composantes etc 1 2 La structure d acc s et la structure physique Dans le syst me CROISIERES cinq types d article sont for mellement d finis 1 l en t te CROISIERES campagne 4 la liste des stations d une campagne 2 en t te station 5 laliste des parametres d une station 3 un param tre d une station Cette notion d article est ind pendante de la fa on dont l information est cod e physiquement Elle permet uniquement de distinguer les group
169. ande et qui ont acc s un mat riel compatible En compl ment le ou les hydrologues concern s profitent parfois de leur pas sage Montpellier pour se familiariser avec l utilisation du logiciel au cours d un stage pratique d une ou deux journ es Dans le cas de services hydrologiques nationaux la politique du Laboratoire d Hydrologie est de c der gratuitement l utilisation du logiciel et les fichiers de donn es d j collect es aux stations qui rel vent maintenant de ces services En contrepartie un accord est pass afin que chaque ann e les fichiers de donn es nouvelles soient communiqu s l ORSTOM et alimentent la banque de don n es g n rale Ceci se fait souvent dans le cadre d un accord plus vaste qui englobe d autres activit s comme ce fut le cas pour la convention avec la R publique du B nin qui comprenait la remise en tat du r seau d observation ou pour le projet Onchocercose de l OMS Enfin un troisi me cas plus rare consiste c der les pro grammes sources une entit ext rieure ORSTOM en vue d une adaptation du logiciel un cas particulier Cette cession est gratuite moyennant l assurance que les adaptations r aliser soient mineures et ne remettent pas en cause les standards d finis formats de fichiers notamment que la nouvelle version ainsi produite ne soit pas utili s e des fins commerciales que l ORSTOM soit cit aussi souvent que n cessaire comme a
170. aphe se fait entre deux dates jour heure minute donn es Les valeurs d chelle en amplitude sont indiqu es et les heures rondes marqu es sur l axe des temps La d finition en am plitude axe des Y est de 900 points pour 180 mm sur papier en 240 Suivant le pas choisi pour le trac la restitution du signal peut se faire sur plusieurs m tres de papier en continu Ce module permet videmment le trac aussi bien du signal brut que des diff rences ou du signal filtr Ce module compile permet une sortie tr s rapide du graphe Les fonctions utilis es pour la programmation de la t te d imprimante espacement de ligne programmation des aiguilles de la t te sont communes de nombreuses imprimantes matri cielles 8x8 aiguilles Nous avons test ce module avec plusieurs types d imprimante Oki 182 et 293 Citizen 120D Epson sans probl mes CONCLUSION Notre logiciel permet de lire imm diatement au camp de base les cassettes recueillies aux stations de mesure et de faire les pre miers traitements de signal graphe diff rence filtrage On peut ainsi modifier en fonction des r sultats obtenus l implantation des stations de mesure suivantes ou revenir sur une station en cas d anomalie On vite ainsi toute perte de temps en optimisant au mieux la gestion des points de mesure Il permet de remplacer sur le terrain du mat riel sp cial cher et encombrant de lecture de cassettes baie de lecture IFELEC par un
171. aque grille cran avec ou sans le dictionnaire une impression particuli re de type hard copy refl te les effets sp ciaux attributs vid o L utilisation des grilles d cran g n r es par ce progiciel est assur e par le module r sident Affturbo com qui intercepte les ordres pass s par le programme Cette communication est r alis e partir des fonctions classiques d affichage Write et de lecture au clavier ReadLn identifi es par des caract res sp ciaux d limiteurs de d but et fin de commande Le nom de la fonction ex cuter d une part les param tres de cette fonction d autre part sont alors donn s sous forme d une chaine de caract res Certaines de ces fonctions retournent une va leur ou compte rendu CR nulle quand tout s est bien passe et qui peut tre test e par le programme h te Turbo Screen autorise le traitement des fen tres et crans selon deux modes distincts le mode champ champ et le mode pleine page Dans le premier mode le programme h te g re lui m me le parcours de champ champ en effectuant n importe quel traitement apr s la validation de chaque champ d codification et affichage d un libell partir d une table ouverture d une fen tre etc En mode pleine page c est le module r sident qui g re seul les d placements de champ champ et le programme h te ne re prend la main qu apres validation de la totalit de la fen tre Cette derniere solution est moin
172. arallelement l tablissement de cartes p dologiques sensu stricto il apparait de plus en plus n cessaire pour visualiser les diff rentes constituantes de l information contenue sur un do cument cartographique de base d tablir des documents cartogra phiques th matiques d riv s L Infographie domaine de l informatique appliqu la cartographie permet de dresser ce type de document th matique Le Laboratoire Expression Graphique de PUR 104 G ody namique de la Surface D partement de l ORSTOM s est dot d un quipement bas sur un micro ordinateur un digitaliseur et un traceur et a d velopp une application complete et compatible le logiciel FORBAN 302 1 OBJECTIFS DU DEVELOPPEMENT ET DE L UTILISATION DE FORBAN Tout document cartographique fait apparaitre l information qu il retranscrit sous deux aspects compl mentaires et indisso ciables une information de nature th matique cest le contenu sols de la r gion couverte dont l inventaire apparait au ni veau de la l gende sous forme hi rarchis e la plus compl te pos sible d unites cartographiques une information de nature g ographique c est la loca lisation sur la carte proprement dite des unit s identifiables et dif f renciables de ce contenu sols qui se traduit par un zonage de la r gion couverte La totalite de l information p dologique caract ris e et structur e est donc port e sur les deux documents qui constitu
173. atiale tableaux rectangulaires ou les lignes figurent des unit s spatiales et les colonnes des attributs g ographiques mesur s sur ces unit s les points cl sont les sui vants 1 acilit de gestion des matrices de s lection d association et de codification des attributs ou des unit s 2 grande vari t de traitements statistiques univari s ou multivari s descriptifs ou inf rentiels 3 repr sentation graphique des r sultats sous la forme de cartes en deux dimensions cartes ponctuelles ou choroplethes ou trois blocs diagrammes 4 interactivit langage tablissant le dialogue entre le systeme et le chercheur convivialit facilite du dialogue ouverture et portabilit compl tant cette liste non limita tive Il n y a que tr s peu de produits sur le march r pondant la totalit de ces sp cifications Les avantages du Statistical Analysis System ont t d crits SAS un outil la hauteur des besoms des g ographes dans l ouvrage de G Dandoy intitul Infographie ORSTOM Aux arguments g n raux pr sent s dans ce texte il faut en ajouter un plus particulier SISECSO le volume relativement im portant d informations a fait pr f rer le Centre de Calcul de l EMBRAPA CCE de Brasilia une solution b tie autour d un mi cro ordinateur Dot de deux ordinateurs IBM 4341 l un destin au temps partag sous VM CMS l autre au batch sous OS VS2 le CCE propose SAS ses utilisateurs qui l
174. ation dans un programme de saisie sur une table digitaliser Le clavier d sactiv tait remplac par un menu dessin sur la table et la grille ne servait qu visualiser les donn es saisies et informer l op rateur Mais pour accompagner la saisie faite sur le menu chaque position des zones variables devait elle m me tre isol e et repr sent e par un champ afin qu chaque saisie de coordonn es dans la zone de menu soit affich le caract re corres pondant ou r alis e la fonction demand e effacement d un carac tere retour en arriere etc La possibilite offerte par le logiciel de d finir des champs variables contigus tait galement indispensable Il n est pas courant de r aliser PORSTOM ce genre de tra vail dans la mesure o l on n a pas vocation de d velopper des outils informatiques d int r t g n ral mais plut t des applications Comme on a pu le voir la partie g n rateur d crans a depuis le d but t d favoris e par rapport au module d utilisation des griles qui est le plus important pour l utilisateur final de l application De m me le manque de documentation du logiciel laiss e de c t jusqu au dernier moment en a r duit l emploi mises part quelques utilisations marginales seules deux applica tions Hydrom et Pluviom en font usage Il s agit toutefois d applications de grande envergure Hydrom notamment utilise 62 masques d cran dont 13 menus 29 S I C
175. avec disque dur a t d cid e et cette occasion une nouvelle version du sera mise au point et comportera des ressources compl tes dition de champ pour l inclusion et la mise jour une structure et une organisation de fichier plus appropri es ressources de tri plus performantes Le syst me correspondant devra tre programm Brasilia et pr t pour la mi mai 1987 3 2 Diagrammes de flux de donn es Les diagrammes de flux de donn es qui ont t tablis sont particuli rement simples Au niveau 0 diagramme de contexte de la figure 3a deux fonctions sont repr sent es l une de mise jour du dictionnaire accessible par le linguiste l autre des consultations accessibles par les utilisateurs 241 Fig 3a Diagramme de contexte de PCDICO METTRE VERBETES LINGUISTE COMPTE RENDU A JOUR DICTIONNAIRE SOLLICITATIONS CONSULTER UTILISATEUR Fig 3b D tail de la fonction 2 2 CONSULTER LE DICTIONNAIRE EMETTRE LE DICTIONNAIRE DICTIONNAIRE EMETTRE UN LEXIQUE UTLISATEUR 242 ce niveau deux entit s externes un d p t de donn es le dictionnaire et quatre flux de donn es sont mis en vidence Pour faire apparaitre deux types diff rents de sortie tat du diction naire pr paration l dition et lexiques la fonction Consulter a b dat e et l
176. batier Daniel Ren Louis 192 Sastre Claude Henri L on 378 Sauvain Michel 169 Service Forestier Guyane Fran aise 417 Observation Les pr noms des collecteurs ne sont crits en totalit que lorsqu ils sont seuls Le B de Granville J J de B et Oldemann R A A B indique qu il s agit des chantillons r colt s par Burgot Ils ont leur propre num rotation De m me les chantillons Oldeman R A A T correspondent aux sp cimens r colt s et num rot s par Tiburce Au total 138 collecteurs ou groupes de collecteurs ont particip la constitution de l herbier de Cayenne FIGURE 6 R partition des chantillons par pays de 158 collecte Pays Nombre d chantillons Guyane fran aise 9 570 Surinam 211 Guyana 55 Total Flora of the Guianas 9 836 Br sil 101 Bolivie 58 Equateur 39 Martinique 14 Paraguay 10 Mexique 8 Guadeloupe 5 V n zuela 3 P rou 2 Jama que 1 Total hors Guyane fran aise 507 Total hors Flora of the Guianas 241 Observation 9596 des chantillons proviennent de Guyane et 98 de l ensemble des trois Guyanes domaine de la Flora of the Guianas FIGURE 7 R partition des chantillons pour les quatre localit s choisies comme exemple Herbier de la R gion de Sa l 1 250 chantillons Herbier de la Piste de Saint Elie 944 id Herbier de la Station de l Arataye 450 Herbier de la Montagne de Kaw 181 Total pour les quatre localit s 2 852 id 159 FIGURE 8 Comp
177. bsp ovato oblongum Palisot de Beauvois Morton Sastre Claude Henri L on 1743 Buforrestia candolleana C B Clarke Cremers Georges Alexis 7663 8307 8603 Feuillet Christian Patrice 867 Granville J J de Allorge 7365 Granville Jean Jacques de 3658 3903 5524 6883 Oldeman R A A T 786 Pr vost Marie Frangoise 1818 Callisia repens Linnaeus Cremers Georges Alexis 7791 Pr vost Marie Frangoise 1327 Commelina sp Cremers Georges Alexis 8668 Feuillet Christian Patrice 1383 Pr vost Marie Frangoise 1590 Sauvain Michel 267 Commelina benghalensis Linnaeus Cremers Georges Alexis 8421 Lescure Jean Paul 704 Raynal Rocques Aline Marie 19928 Sastre C amp Sastre F 30 Observation Les chantillons sont rang s par ordre alphab tique des genres et esp ces par ordre alphab tique des collecteurs et par num ro de r colte croissant Cette liste se situe habituellement la suite de la description des esp ces dans les Flores 168 FIGURE 18 Liste des taxons de Commelinaceae de PHerbier de Cayenne par collecteur Black G A Vincent C amp C Commelinopsis glabrata D R Hunt Cremers Georges Alexis Commelinopsis glabrata D R Hunt Floscopa peruviana C B Clarke Dichorisandra hexandra Aublet Standley Buforrestia candolleana C B Clarke Callisia repens Linnaeus Commelina erecta Linnaeus Commelinaceae sp Buforrestia candolleana C B Clarke Commelina benghalensis Linnaeus Buforrestia
178. c marque la limite entre deux zones il leur est commun Une op ration pr liminaire de num rotation de ces l DOCUMENT CARTOGRAPHIQUE DE BASE GESTION GESTION INFORMATION INFORMATION DE BASE THEMATIQUE DERIVEE Information Information Information G ographique th matique de base th matique d riv e CARTE LEGENDE NOTICE Arcs Noeuds Zones identifiants Libell s Attributs Valeurs Tab 1 Organisation g n rale de FORBAN RESTITUTION CARTE THEMATIQUE P di Contours L gende Zones Classes PONTS ARCS ARCS NOEUDS GESTION INFORMATION DE BASE 1 S I S A ZONES ARCS ZONES ARCS V rification Bouclage Zones E S ZONES IDENTIFIANTS di j 5i E ZONES IDENTIFIANTS Tab 2 Information de base Saisie ZONES LIBELLES Mise jour Liste ZONES LISELLE LIBELLES COORDONNEES COORDONNEES 305 ments arcs noeuds zones est effectu e sur le document de base pour rep rage au fur et mesure de leur saisie Figure 1 Le principe de la saisie initiale sous FORBAN consiste ensuite relever point par point les coordonn es de chaque arc et de ses noeuds l aide de la table num riser Ces donn es num riques sont transcrites et stock es en plusieurs fichiers r f ren ant les points les arcs et les noeuds Une seconde saisie est effectu e au clavier de l ordinateur Pes recense le num ro de chaqu
179. candolleana C B Clarke Commelina sp Ducatillon C amp G ly A Commelina erecta Linnaeus Feuillet Christian Patrice Dichorisandra hexandra Aublet Standley Buforrestia candolleana C B Clarke Commelina sp Commelinaceae sp Foresta Hubert de Dichorisandra hexandra Aublet Standley Granville J J de B Dichorisandra hexandra Aublet Standley Granville J J de B C Dichorisandra hexandra Aublet Standley Granville J J de T Dichorisandra hexandra Aublet Standley Granville J J de Allorge Buforrestia candolleana C B Clarke Dichorisandra hexandra Aublet Standley Granville Jean Jacques de Dichorisandra hexandra Aublet Standley Commelinopsis glabrata D H Hunt Dichorisandra hexandra Aublet Standley Commelinopsis rufipes Seubert D R Hunt Commelina erecta Linnaeus 17559 6176 6715 6968 7663 7791 8012 8306 8307 8421 8603 8668 61 542 867 2945 494 5202 48 1077 7365 7460 294 1034 2084 2193 2299 2537 3180 54 e RB RB HB BH HB F F F amp P 169 FIGURE 18 suite Buforrestia candolleana C B Clarke 3658 1 3903 1 Dichorisandra hexandra Aublet Standley 4347 1 4637 1 Floscopa peruviana C B Clarke 4713 1 Buforrestia candolleana C B Clarke 5524 1 Commelinaceae sp 6713 1 Buforrestia candolleana C B Clarke 6883 1 Observation Les taxons sont rang s par ordre alphab tique des collecteurs et par num ro de
180. caract ristiques suivantes devraient y figurer type de CPU taille de m moire vive utilis e n cessit ventuelle d un coprocesseur arithm tique nombre de drives type de carte vid o type d impression sur 80 ou 132 colonnes n cessit de p riph rique sp cifique comme traceur de courbes ou table digitali ser capacit de stockage minimale disquette ou disque dur sys teme d exploitation version minimale et autres logiciels n ces saires l utilisation de ce produit De la m me facon une estimation des ressources humaines temps d op ration mensuel par exemple et des ressources finan ci res requises pour le fonctionnement normal du syst me devrait tre fournie dans ce chapitre Le septi me chapitre glossaire a pour but de d finir claire ment chacun des termes utilis s et qui n apparaissent dans aucun des l ments d crits dans le dictionnaire de donn es Il se compose normalement d une partie th matique termes introduits par le sp cialiste et d une partie informatique termes employ s par l analyste La connaissance des expressions et des concepts conte nus dans le glossaire enrichit la propre compr hension du systeme La derni re partie est destin e recevoir la signature des per sonnes responsables pour l approbation du projet logique Il est en effet indispensable que ce document soit approuv par les deux parties et que chacun soit conscient de ce que la mise en route des tapes su
181. certainement la plus longue Nous estimons la phase d finition du projet aux seuls quinze jours de d cembre pendant lesquels nous avons d fini les fonctionnalit s du projet et un mois l criture des programmes L impasse faite sur l analyse organique a eu un impact direct sur une criture embrouill e des programmes qui sont parfois d une maintenance difficile Il manque aussi une documentation des programmes par contre le manuel de l utilisateur a t r dig Nous nous sommes aper us alors que le co t de d veloppe ment d un tel logiciel est tr s lev l estimation minimum est de 200 000 francs main d oeuvre mat riel locaux ce co t aurait certainement doubl pour mettre le produit une norme commer ciale heureusement qu il n existait pas de produit semblable disponible sur le marche 5 LES APPLICATIONS L enqu te mortalit pr natale en Guadeloupe enqu te conjointe ORSTOM DASS Guadeloupe et INSERM a t la pre mi re application de ce logiciel La demande avait t formul e par J P Guengant UR 709 qui souhaitait pouvoir exploiter cette enqu te sur place afin d en contr ler les r sultats au fur et mesure de sa r alisation L enqu te avait pour originalit s sa dur e dans le temps deux ans sa longueur et la complexit du questionnaire 343 variables L utilisation du logiciel s est faite sans probl me par des per sonnes sans aucune formation informatique Une secr ta
182. ches bien men es qui aboutissent des m thodologies fiables ou aussi des m thodologies d velop p es parallelement certaines recherches d un int r t g n ral peu vent tre valoris es travers la r alisation d un produit informatique Cette transmission travers de l informatique du savoir faire du chercheur quivaut peut tre avec un sens plus large la r alisation du syst me expert d crit par Pascal Renaud Cf ORSTOM Actualit s n917 Un syst me expert l intention des d cideurs et des sp cialistes charg s de l application mais aussi l intention des chercheurs d autres sp cialit s confront s des problemes sp cifiques Encore faut i bien faire la distinction entre expert et chercheur le premier se caract rise par un diagnostic rapide gr ce au savoir faire accumul tandis que le second recherche l accumulation de nouvelles connaissances travers l analyse d un ph nom ne recherche Ce sont deux m tiers differents m me si le chercheur joue le r le d expert de temps autre Cela permettrait peut tre de clarifier les d bats sur la recherche pluridisciplinaire car bien des projets dits pluridiscipli naires ne sont bien souvent que des projets monodisciplinaires qui n cessitent l intervention de consultants ou d experts de divers autres champs de connaissance L emploi de tels syst mes ne doit en aucun cas tuer la cr ati vit du chercheur et il faut rappeler que l in
183. ciel qui permet la saisie la gestion et l exploitation classique des donn es issues d un r seau d observation hydrom trique A l origine l information g rer se compose de bordereaux de hauteurs d eau remplis par des observateurs quotidiennement ou plusieurs fois par jour d enregistrements graphiques de hauteurs d eau pro venant de limnigraphes d enregistrements sur m moire EPROM provenant galement de limnigraphes de rapport de tourn es d inspection ou d installation de stations d observation de r sultats de campagnes de mesures de vitesses En raison de cette diversit diff rentes techniques saisie manuelle digitalisation lecture de cartouches de m moire d pouillement de campagnes de mesure sont utilis es pour intro duire ces donn es de base dans les fichiers correspondants identi fication historique des stations hauteurs d eau jaugeages Le logiciel permet galement la gestion des fichiers des don n es labor es ou calcul es partir des donn es de base etalon nages d bits instantan s d bits journaliers Une place importante est r serv e l dition de ces informa tions sous forme de tableaux ou de graphiques utilis s pour contr ler la qualit des donn es ou pour des publications an nuaires notamment Enfin HYDROM possede des utilitaires pour int grer des fichiers de donn es hydrom triques d j saisies dans un autre contexte extraire des donn es so
184. colt s par Chantal de Granville et Burgot Granville J J de T signifie qu il s agit des chantillons r colt s par Tiburce Ils ont leur propre num rotation ind pendante de celle de de Granville J J Un collecteur de Cayenne sur cinq chantillonn des Commelinaceae 166 FIGURE 16 Liste des taxons de Commelinaceae de l Herbier de Cayenne et nombre d chantillons par taxon Aneilema paraguayensis C B Clarke 1 Aneilema umbrosum Vahl Kunth subsp ovato oblongum Palisot de Beauvois Morton Commelina obliqua Vahl Dichorisandra Dichorisandra aubletiana Roemer amp Schultes Floscopa glabrata Hassler var hirsuta C B Clarke Gibasis geniculata N J Jacquin Rohweder Callisia repens Linnaeus Commelinopsis rufipes Seubert D R Hunt Floscopa peruviana C B Clarke Commelina B Commelina benghalensis Linnaeus Commelinopsis glabrata D R Hunt Commelinaceae Buforrestia candolleana C B Clarke Commelina erecta Linnaeus Dichorisandra hexandra Aublet Standley uU hb Q Q N P gt gt Q P gt gt Observation Les noms de taxon sont rang s par nombre d chantillons croissant La moiti des esp ces de Commelinaceae ne sont repr sent es que par un seul chantillon 167 FIGURE 17 Liste des chantillons de Commelinaceae de l Herbier de Cayenne par nom de taxon extrait Commelinaceae Aneilema paraguayensis C B Clarke Hassler Emil 11347 Aneilema umbrosum Vahl Kunth su
185. critique ou d une pr cision Ce champ peut contenir notamment le nom d un auteur connu mais qui ne figure pas sur le document On peut aussi si gnaler ici le caractere de dipl me universitaire d un travail donne si cette pr cision ne figure pas sur l ouvrage en question Si l auteur du contenu est aussi l auteur de l ouvrage tout le champ est crit entre guillemets cas des r sum s d auteur dans le cas contraire les initiales de l auteur du contenu figurent la fin du champ entre guillemets voir liste des auteurs des contenus Le champ CONTENU est r dige normalement en criture riche avec majuscules minuscules espacements et ponctuation Il se termine donc par un point Exemple Contient un paragraphe sur la composition ethnique et la constitution territoriale pp 13 14 P G 281 LOGICIELS D APPLICATION LA GESTION DE LA BI BLIOTHEQUE Christiane Humbel informatique documentaire Unite centrale de Documentation Centre ORSTOM de Bondy 70 74 route d Aulnay 93140 Bondy France RESUME Pr sentation de deux logiciels programm s avec le lo giciel LOGOTEL de l environnement TEXTO gestion des com mandes d ouvrages et gestion des pr ts 1 GESTION DES COMMANDES D OUVRAGES Le menu propose la saisie d une nouvelle commande la liste des commandes en cours une correction ou une saisie de nouveaux champs sur une commande en cours laliste des commandes recues
186. ct rise son contenu Tables Etalonnages herbier Unit s cartographiques etc On vitera les termes inutiles comme Fichier de Cadastre Tables du syst me Pour ne pas compliquer le diagramme de flux de donn es avec des lignes qui se croisent la m me entit externe ou le m me d p t de donn es peuvent tre dessin s plus d une fois sur le m me diagramme les deux ou plus symboles par entit externe sont identifi s par une ligne inclin e dans le coin inf rieur droit du carr tandis que les deux ou plus symboles par d p t de donnees recoi vent une ligne verticale additionnelle gauche 233 Lors de l laboration d un diagramme de flux de donnees ini tial l analyste doit se pr occuper de montrer le cadre g n ral du systeme il est donc indispensable de renvoyer la description de certains d tails conditions d erreur ou d exception par exemple un niveau inf rieur De cette facon chacune des fonctions illustr es sur le DFD de niveau 0 encore appel diagramme de contexte peut tre explos e sur un diagramme de flux de donn es de niveau inf rieur niveau 1 plus d taill figure 2b Si n cessaire chaque processus d tect la suite de la d composition d une fonction peut tre de nouveau subdivis pour pr senter un niveau sup rieur de d tails Cette d composition n est toutefois g n ralement pas indispensable il existe un certain nombre de regles tant pour l laboration
187. d finie et l utilisateur peut profiter d effets de zoom en s lectionnant une partie du graphique l aide d un curseur mobile pour la repr senter plus grande chelle tout moment au cours de ces manipulations le graphique affiche sur l ecran peut tre ob tenu par une simple touche de fonction sur imprimante ou sur table tra ante 8 5 Utilitaires Nous avons d j vu leur importance pour changer les don n es entre diff rentes configurations qui utilisent le logiciel Hy drom Il convient d y ajouter la possibilit qu ils offrent de recevoir et fournir des donn es dans un format s quentiel en clair permet tant ainsi d envisager d une part de g rer avec le logiciel des don n es d j saisies dans un autre format d autre part de fournir un utilisateur sur support magn tique des donn es extraites de la banque Hydrom dans un format facilement lisible D autres fonc tions d extraction plus sp cifiques produisent des fichiers qui peu vent alimenter les modeles pluies d bits d velopp s par l UR 504 et un logiciel d ajustement des lois statistiques 3 6 Fichier Journal Chaque op ration r alis e est dat e et consign e dans un fi chier qui peut tre imprim la fin de chaque session puis d truit Une bonne gestion du document imprim peut permettre de contr ler les alt rations faites dans les fichiers et notamment de reconstituer un fichier en r cup rant une sauvegarde ant rieure et en
188. d histoire Universit de Yaound M moire de licence en droit Universit de Yaound M moire de fin d tudes IFORD Yaound Th se de doctorat d tat de g ographie Universit de Bordeaux III 1980 12 REVUE Titre de la revue Concerne les articles de revue et les revues bibliographiques cit es en tant que telles Le titre de la revue est retranscrit comme sur la revue Les majuscules sont privil gi es en cas de doute Les virgules figurant ventuellement l int rieur du titre de la revue sont supprim es pour viter la cr ation d un article artificiel l int rieur du champ Pour les bulletins internes des organismes le titre de la re vue est suivi par le nom ou le sigle de l organisme apr s un point sans espacement Si la revue comporte un sous titre celui ci est d veloppe apres le titre de la revue la suite d un point sans espacement Le champ REVUE peut contenir une traduction du titre de la revue apres un si la revue elle m me comporte cette traduction 271 Exemple Revue Science et Technique s r Sci Hum Population Bulletin de liaison des Sciences Humaines ORSTOM Africa Journal of the International Institute for African Languages and Cultures Revue Science et Technique Science and Technology Review 13 LED FES d dition Nom de la ville de l edition dans la langue originelle du pays ou en francais si le nom figure en fran ais sur l ouvrage Nom du pays de l dition
189. de la fen tre station par station est n cessaire Pour chaque station entrant dans le cadre de la fen tre les op rations suivantes sont ex cut es identification de la station et lecture de DGNDX l adresse NREC Si INDX 0 station vierge et passage la station suivante Si INDX est diff rent de 0 il y a au moins une travers e lecture de DGLST l adresse INDX et extraction de la travers e Si PSTS O0 il n y pas d autre travers e passage la station suivante Si 198 xov c med coz Oo lt x uv EXTRACTION SEQUENCES 2 amp 3 200 PSTS est diff rent de 0 il y encore au moins une travers e acc s la travers e suivante l adresse PSTS et extraction de cette tra vers e r p tition de cette s quence jusqu ce que toutes les tra vers es r pertori es aient t identifi es et extraites finalement passage la station suivante n est pas possible d arr ter la r p tition de cette derniere s quence tant que toutes les travers es n ont pas t identifi es et extraites Lorsque la liste de toutes les travers es est tablie celle ci est tri e et les travers es sont class es par ordre chronologique des identificateurs de travers e Le premier terme de l identificateur de travers e permet d identifier le fichier MESxxx dans lequel sont stock s les points de mesure extraire Le second terme de l identificateur d
190. de conception et sp cification encore appel es respective ment analyse fonctionnelle et analyse organique est indispensable d autant plus que la plupart des erreurs qui conduisent un dis fonctionnement du logiciel sont commises lors de ces tapes L adoption d une m thodologie rigoureuse pour la conception d applications informatiques quelles qu elles soient constitue un moyen efficace pour am liorer la qualite finale de celles ci en agis sant essentiellement sur la communication plusieurs niveaux au niveau du dialogue entre le concepteur analyste qui doit pr senter un modele logique de l application qu il ne connait g n ralement pas et qui lui est d crite par le commandi taire utilisateur normalement peu soucieux de cette mod lisation conceptuelle 222 au niveau du dialogue entre Panalyste et le s pro grammeur s en fournissant une sp cification pr cise de tous les objets qui seront manipules dans l tape suivante de programma tion ce qui se traduira par une diminution du nombre d erreurs de cette phase au niveau du dialogue entre analystes qui peuvent s appuyer sur un langage commun pour d battre des aspects de re pr sentation sp cifiques l application La m thode d analyse structur e de syst mes introduite par Chris Gane et Trish Sarson en 1977 fournit un ensemble de tech niques de repr sentation graphique pour construire un modele lo gique du syst me Le sch ma est d
191. de la gestion et pour entrer totalement dans le cadre du sch ma directeur informatique connexion ETHERNET quipement informatique mi lourd du CDS de Mont pellier en 1988 avec connexion ETHERNET acquisition d un quipement multiposte au CEDID des 1988 291 Poursuite des d veloppements informatiques n cessaires pour alimenter les bases ext rieures IBISCUS CIRAD AGRIS URBA MET pour permettre un meilleur confort et un contr le de la sai sie programme de saisie assist e et pour automatiser la gestion adaptation des logiciels de gestion des pr ts des commandes et du bulletinage r alis s en 1987 Mise en place progressive d acc s en ligne Horizon en 1988 depuis la rue La Fayette et Montpellier via TRANSPAC et le r seau ORSTOM en 1989 en tudiant la possibilit d un portage sur serveur externe Poursuite d une politique active en mati re de coop ration op rations de reconstitution de fonds documentaires de formation et de mise disposition de structures int gr es de recherche docu mentaire au Tchad Madagascar et en Guin e Konakry en 1988 et 1989 en plus de la poursuite des op rations Cameroun et Ins titut du Sahel Insertion d HORIZON dans le r seau francophone de com munication et d change d IST qui tente de se mettre en place ac tuellement cf Sommet des chefs d Etat francophones en septembre 1987 de faisabilit d un CD ROM ORSTOM 1989 per metta
192. de station Des r seaux de pointeurs interactifs permettent lors de l incor poration de situer tout point de mesure dans l espace grille et de les retrouver lors des recherches pour extraction 3 1 Les fichiers L organisation de GEOMER s articule autour de six fichiers principaux INFOG DGNDX DGIST PROFIL STATN CROISR contenant les mises jour des pointeurs les r seaux de pointeurs les informations scientifiques techniques et administratives des croisi res incorpor es et les descriptifs des travers es de station et des profils Les donn es quip es de leurs diff rents pointeurs sont stock es dans des fichiers MESxxx Chaque croisi re a son propre fichier MESxxx INFOG est un compteur contenant la mise jour des pointeurs DGNDX est la grille g ographique Chaque enregistrement form d un champ correspond un des 30 301 1 4 de degr carr L adresse de l enregistrement est calcul e partir de la posi tion g ographique du sommet Sud Ouest du 1 4 de degr carr ou station L tat du champ indique si la station a t ou non travers e par une croisi re quelconque Si la station a t travers e il donne l adresse laquelle la premiere travers e r alis e est r pertori e dans le fichier DGLST DGLST contient par ordre chronologique de r alisation toutes les travers es de station Un enregistrement correspond une travers e il contient toutes les informations permettant d identifier
193. des DFD que pour en traiter les explosions successives 2 3 Le dictionnaire de donn es mesure que l on augmente les d tails de l analyse fonc tionnelle qui a pour r sultat les DFD on est amen pr ciser la logique des fonctions les d tails des flux de donn es le contenu des d p ts de donn es etc Le dictionnaire des donn es constitue la structure ad quate pour recevoir les d tails descriptifs des l ments des diagrammes de flux de donn es Il est important d observer que pendant toute cette phase on continue se mainte nir au niveau logique en vitant de dessiner un format de borde reau d esquisser un gabarit de rapport d diter un lay out de fi chier Le dictionnaire des donn es du systeme peut tre labor d s que les DFD sont consid r s comme satisfaisants l tape corres pondante est appel e analyse des donn es et consiste reprendre chaque diagramme et d crire successivement tous les symboles rencontr s dans la repr sentation graphique On est alors conduit d finir avec pr cision les entit s externes y a normalement peu d entites externes pour un logiciel donne en g n ral on pourra se satisfaire de la liste de leur noms tels qu ils apparaissent sur les DFD et de la description correspondante normalement donn e par l utilisateur class e par ordre alphab tique Dans le cas ou une entit externe repr sente un autre syst me il pourra tre n ces saire de
194. destin e am liorer la gestion et le traitement documentaire des travaux ORSTOM valoriser l ext rieur les publications des chercheurs ORSTOM diffuser plus largement les r sultats des programmes de recherche permettre ORSTOM de r pondre dans de meil leures conditions des demandes de reconstitution de fonds do cumentaires et d ing nierie documentaire actions de coop ration ins rer ORSTOM dans un r seau francophone de communication et d change d IST 287 HORIZON s est constitu e depuis septembre 1986 autour d un quipement central Bondy mais elle associe dans un r seau les Centres de documentation sp cialis s em de Bondy Forma tions Superficielles Montpellier Sciences de la Terre Sante Hy drologie et le CEDID Sciences conomiques et Sociales Les prin cipaux centres et missions ORSTOM contribuent son alimenta tion HORIZON d veloppe les logiciels n cessaires pour l alimentation des bases bibliographiques des partenaires de l ORSTOM CIRAD IBISCUS et des bases internationales sp cia lis es AGRIS Elle participe des actions de coop ration en mati re d ing nierie documentaire informatisation des documentations du MESRES camerounais et de ses instituts de recherche notamment En 1989 l objectif est d avoir informatis l ensemble des pu blications ORSTOM depuis 1947 des acc s en ligne seront alors ouverts et l acc s aux documents sera assur pa
195. devenu op rationnel sous sa nouvelle forme compatibilit IBM PC et logiciel Texto en avril 1987 avec l aide de ORSTOM et du Groupe de D mographie du D veloppe ment GDD 4 DESCRIPTION DE POPCAM La base POPCAM comporte 31 champs qui sont d taill s en annexe Un effort particulier a t fait pour homog n iser la saisie celle ci tant appel e se faire l avenir dans des organismes dif f rents Cf instructions en annexe 2 Cela veut dire que les divers cas possibles ont t analys s au maximum Il n est toutefois pas exclu que des pr cisions suppl mentaires soient ajout es ult rieu rement en tant que de besoin L attention doit tre attir e sur deux champs sp ci fiques le champ NOUVREF et le champ SITU 256 Le champ NOUVREF est destin r pertorier des republi cations de la m me r f rence sous d autres formes par exemple un m me article publie dans deux revues differentes Dans ce cas les descripteurs th matiques g ographiques etc restent exacte ment les m mes et il n y a pas lieu de cr er un nouveau document dans la base comme il serait de r gle dans une biblioth que pos s dant effectivement les diff rents ouvrages r f renc s POPCAM est en effet une base de recherche documentaire destin e fonc tionner dans divers organismes ne poss dant pas n cessairement eux m mes les ouvrages originaux r pertori s dans la base POP CAM cherche couvrir le plus exha
196. donn es re oit un nom et une description lesquels doivent tre choisis de facon tre suggestifs pour l utilisateur 231 ENTITE FLUX DE DONNEES y EXTERNE FONCTION DEPOT DONNEES Fig 2a Les diagrammes de flux de donn es sont construits avec seulement quatre types de symboles za DIAGRAMME DE FLUX DE DONNEES GLOBAL DIAGRAMME DE FLUX DE DONNEES DETAILLE fonction n Fig 2b Chaque fonction du diagramme de flux de donn es global peut explos e en un nouveau DFD 232 l entit externe est normalement une cat gorie de per sonnes qui se communiquent avec le systeme on utilise alors un terme g n rique Hydrologue P dologue par exemple Il peut aussi s agir d un autre syst me qui recoit ou fournit des in formations au logiciel en cours d analyse le flux de donn es doit tre identifie de forme globale par une description qui caract rise le mieux possible son contenu Par exemple Sollicitation de calculs D tails de jaugeages Don n es d identification Caract ristiques de transaction etc En regle g n rale un m me flux de donn es peut intervenir plusieurs fois sur les DFD par exemple l entr e d une fonction Mettre jour et la sortie de cette m me fonction en ayant le d p t de donn es comme destination On conviendra alors de ne faire figurer qu une seule fois sa d finition de mani re viter le risque de r p tition dans la phase ul
197. e la supervision sur le terrain dans les domaines qui sont les n tres notre quipe est consid r e comme pionni re tant en France qu aux Etats Unis et par divers organismes internationaux Le progiciel S I C t d velopp au sein de Population Sant de ORSTOM en collaboration avec diff rents intervenants priv s Sa valorisation est en cours actuellement aupres d une soci t priv e qui va en assurer le d veloppement la maintenance et la commercialisation AVANT PROPOS Le progiciel S I C t d velopp au sein de l Unit de Recherche Population Sant de l ORSTOM en collaboration avec diff rents intervenants individuels et priv s Il a eu le soutien de la DIVA de l ORSTOM et a b n fici de cr dits incitatifs L Agence pour l Informatique ADI a galement apport son appui Sa valorisation est en cours actuellement aupr s d une soci t priv e qui en assurera le d veloppement la maintenance et la commercialisation 1 PRESENTATION GENERALE DU PROBLEME Les enqu tes quantitatives se d composent en quatre phases la conception la collecte d information sur le terrain l exploitation et l analyse De mani re g n rale la collecte se fait sur questionnaire papier Apr s les op rations de chiffrage et de saisie v rification l exploitation et les contr les de coh rence se faisaient sur gros ordinateurs et plus r cemment en partie sur micro ordinateur A l heure actuelle on
198. e Masque une grile est un ensemble d informations lues dans un fichier et qui sont n cessaires et suffi santes pour d crire les zones constantes et surtout les champs variables de la grille 2 DESCRIPTION DES GRILLES D ECRAN Un champ constant est bien entendu le plus simple il est parfaitement d fini par son contenu et ses coordonn es sur l cran exprim es en num ro de ligne num ro de colonne peut repr senter un titre des informations destin es l utilisateur mais plus g n ralement il indique la signification d un champ variable auquel il est associe Un champ variable est caract ris par plusieurs param tres obligatoires ou optionnels et identifi par un nom de un trois caract res qui est utilis par le programme d application pour communiquer avec la grille L utilisation d un nom pour identifier le champ pr sente plusieurs avantages Tout d abord cela clarifie les relations entre le programme d application et la grille si l on prend soin de nommer les champs en rapport avec leur signification D autre part l ajout ou la suppression d un champ sur la grille se traduit de mani re relativement souple pour le programme d application il suffit d y ajouter ou d y supprimer le traitement du champ en question sans intervenir sur les autres champs il en est de m me dans le cas d un changement de position du champ sur la grille Ce ne serait pas le cas si les champs taient simplement identifi s par un
199. e choisie soit y le vecteur transform par f du vecteur x y f x Les lois de propagation des erreurs donnent ey y cart type de la moyenne x cart type de la moyenne x Le coefficient de variation CVx devient CVy ABS x CVx dy dx Des calculs analogues mettent jour limite de d tection et pr cision Les r sultats du calcul correspondant la formule du bas de l cran sont affich s apr s la sortie par lt F10 gt sur une nouvelle fe n tre d cran d filement continu en comparaison avec les valeurs initiales de la variable 216 Apr s une nouvelle pression sur lt F10 le programme de mande le symbole ventuel de la variable transform e pour le stockage dans le dossier des r sultats associ s aux nouveaux para m tres chimiques La formule correspondante devient le nom de la variable transform e En l absence de symbole touche ENTER ou lt F10 gt la variable transform e n est pas m moris e En aucun cas la variable source n est d truite pour cela on se reporte la proc dure nor male d effacement de variable Pour une correction ventuelle des descripteurs on se reporte galement la proc dure de correction d une variable Attention des changements ult rieurs de la variable source ne mettent pas jour les calculs Effacer la variable r sultat et recommencer la proc dure est tr s rapide Op rations entre variables Ces op rations l me
200. e de fonction La fonction Reset permet au programme d application de remettre dans leur tat initial un ou plusieurs champs variables de la grille nous entendons toujours par tat initial la mat rialisation de chaque position par un point ou l affichage de la valeur initiale Cette fonction peut par exemple tre d clench e la demande de l op rateur avec une touche de fonction pour effacer le contenu d un champ La liste des noms des champs r initialiser doit tre fournie avant l appel du module Masque sauf dans le cas particu lier o l on souhaite remettre la grille enti re dans son tat initial Le r sultat est alors apparemment identique ce que r alise la fonction Get mais en r alit aucun acc s n est fait au fichier grille puisque la description de la grille est d j pr sente dans la m moire Basic 200 OP RS RS op ration Reset 210 CALL MASQUE C DATE STAT OP appel de Masque pour r initialiser le champ D Cobol MOVE RS TO OP CALL MASQUE USING C DATE STAT OP L criture directe dans un champ par le programme d application se fait gr ce la fonction Write La liste des noms des champs que l on d sire remplir ainsi qu une zone qui contient les valeurs afficher doivent tre communiqu es au module Masque lorsqu il est appel Cette op ration peut tre d clench e la 23 demande de l op rateur pour r p ter dans un champ la valeur sai sie pr c d
201. e deuxi me enregistre travers une saisie contr l e les descripteurs de chaque variable Ces descripteurs de variables sont au nombre de huit le nom le nom abr g le type la lon gueur la valeur minimale la valeur maximale le nombre de valeurs d exclusions valeurs en dehors des bornes extr mes qui servent rep rer par exemple pour les ges les gens dont on ne connait pas l ge mais dont on sait s ils sont adultes ou enfants et enfin la valeur de la sans r ponse le troisi me permettra la visualisation l impression et ventuellement la correction des donn s enregistr es avec le deuxi me programme 47 le quatri me assurera l aide de donn es enregistr es avec le deuxi me programme la g n ration des param tres du masque de saisie Il calculera en fonction du nombre d individus pr vus en saisie la taille r server sur la disquette et effectuera cette r servation En cas de fichier d passant la taille d une dis quette il fera les r servations n cessaires une proc dure est pr vue au niveau de la saisie pour pouvoir augmenter la capacit disponible 3 2 Le module saisie Trois programmes composent le module de saisie des donn es le programme de saisie qui assure l affichage de la grille l cran la gestion du curseur le contr le de la longueur de la variable et si celle ci se situe bien entre les bornes d finies ou correspond une valeur d exception La touche ret
202. e donn es Le diagramme de flux de donn es DFD est une maquette du syst me d velopper il doit donc repr senter en plus des don n es concern es lux ou flots et des transformations qui leur sont appliqu es fonctions et processus les personnes qui sont l origine ou qui sont destin es ces informations ce sont les en tit s externes Bien entendu lors de l analyse on est amen iden tifier des tapes entre les processus pour lesquelles il est n cessaire de d finir le stockage de certains l ments de donn es le terme d p t de donn es est utilis pour repr senter le concept logique de lieu de stockage Par cons quent au total quatre symboles sont n cessaires pour construire le modele logique du syst me figure 2a Un carre dont les deux c t s en haut et gauche sont repr sent s par des traits pais symbolise une entit externe Les flux de donn es sont repr sent s au moyen d une fl che de pr f rence horizontale ou verticale dont la pointe indique la direction du flux Les fonctions figurent sous la forme d un rectangle debout avec les coins arron dis elles sont identifi es par un num ro situ dans la partie sup rieure du rectangle Enfin le d p t de donn es est symbolis par une paire de lignes paralleles horizontales reli es une seule des extr mit s et est identifi par un D majuscule suivi d un num ro de s quence Chaque symbole sur le diagramme de flux de
203. e et simple ou d une nou velle publication du m me texte chez un autre diteur le champ NOUVREF ne contient que les l ments qui ont chang par rap port l dition ant rieure cela peut cependant conduire une nouvelle r daction compl te de la r f rence qui est alors pr sent e sous une forme classique voir exemples 275 Ce champ peut donc contenir en plus le nom de l auteur per sonne physique si celui ci ne figure pas dans la r f rence ant rieure Ce nom est plac en t te s il est indiqu en t te de l ouvrage et entre parenth ses apres l ventuel nouveau titre s il n est indiqu que dans le corps de l ouvrage Il commence In si la nouvelle r f rence est un chapitre d un ouvrage collectif Il se termine par la mention r sum ou version condens e si le nouvel ouvrage est r sum par rapport au pr c dent et par la mention version d velopp e si le nouvel ouvrage comporte des d veloppements par rapport au pr c dent Le champ NOUVREF ne saurait influencer un des champs pr c dents Ceux ci concernent en effet tous la m me r f rence ant rieure celle figurant dans NOUVREF Par exemple le champ CONG n est pas rempli nouveau post rieurement si NOUVREF concerne un s minaire Le champ NOUVREF peut en revanche in fluencer trois des champs suivants LAN PR et SITU S il y a plusieurs nouvelles r f rences celles ci sont s par es par l abr viation amp
204. e interac tive Il peut tre compl t et interfac avec des logiciels statistiques qui r alisent des op rations du type r gression analyse de donn es multidimensionnelles etc Dans ce cas la structure hi rarchique doit tre abandonn e au profit d une structure rectangulaire qui entraine la r partition des informations des niveaux sup rieurs pour chaque unit des niveaux inf rieurs 1 OBJECTIFS RECHERCHES Concevoir un gestionnaire le moins limit possible dans le nombre d enregistrements des variables des individus et dans les possibilit s de composer la tabulation Saisir les informations aussi complexes soient elles dans lorganisation du questionnaire qui se pr sente parfois sous la forme de diff rents niveaux d enqu te Il s agit d enregistrer les donn es sans redondance des unit s sup rieures et pour un nombre quelconque de niveaux principe d une structure hi rarchi s e Etre attentif aux d tails qui facilitent ou permettent d ex cuter des op rations qui font parfois d faut sur les auires lo giciels de m me profil 98 Enfin concevoir un logiciel pour micro ordinateur afin de pouvoir saisir et traiter imm diatement l information localement suivant les exigences pr cit es aspect non n gligeable pour les tudes portant sur les pays en d veloppement 2 PRESENTATION DU GESTIONNAIRE Ce gestionnaire concu par J Vaugelade est crit en Basic pour micro ordinateur compatible IBM
205. e la possibilit de visualiser l image cran sur deux moniteurs connect s simultan ment ce qui permet de s assurer de la lisibilit sur les deux types d cran Les champs sont rep r s par leur position sur la grille et se voient attribuer un nom de champ qui sera utilis par les com mandes de saisie et affichage dans les programmes applicatifs La d finition des caract ristiques d un champ se fait dans une fen tre analogue la Status Window de Display Manager avec sensible ment les m mes ressources validation automatique ou non champ obligatoire saisie invisible transformation en majuscules divers types de validation et cadrages couleurs etc Dans le cas de champs num riques entier ou r el valeurs minimale et maximale peuvent tre stipul es la valeur entr e tant automatiquement contr l e en fin de saisie La coh rence d un champ de type date nombre de jours du mois etc est ga lement test e 86 Enfin ce progiciel fournit deux notions particuli res tableau de champs et message associ un champ de saisie Le tableau de champs est tr s utile dans certaines situations de capitalisation d information quand il simplifiera grandement la codification Par ailleurs un message peut tre associ chaque champ il s affiche automatiquement en 25 me ligne lors de la saisie et s efface des validation avec restauration du contenu ant rieur de la ligne Turbo Screen permet l impression de ch
206. e pratiquent depuis de nombreuses ann es malheureusement limit s aux produits BASE FSP et ETS SAS apparait ainsi comme un langage commun un grand nombre de chercheurs de EMBRAPA pouvant exploiter eux m mes des bases de donn es SAS en toute ind pendance vis vis des informaticiens 5 PLACE DE SAS DANS LES PRINCIPALES TAPES DE SISECSO En raison de la grande vari t des fonctions propos es par SAS toutes les tapes de r alisation de SISECSO y ont fait appel des degr s divers 5 1 La constitution du tableau d identification des munici pios L dentification des unit s d observation est un pr alable toute constitution de banque de donnees A l aide de PROC FSE DIT ce tableau est saisi en plein cran de la maniere suivante 1 le nom du municipio sur 40 caract res 2 son code sur la carte de rep rage compos de l identifiant de l Etat de la F d ration sur deux lettres suivi du num ro d ordre sur sept chiffres 335 3 ses codes num riques figurant dans les fichiers de l IBGE en 1980 et 1970 4 d autres formations compl mentaires comme les coordonn es g ographiques du siege et la population en 1980 FSEDIT est tres bien adapt ce travail n cessitant un temps de saisie assez long et de nombreuses corrections successives en particulier de l orthographe des noms des municipios Les nou veaut s apport es par la version 5 notamment l initialisation du tableau l appel de la proc
207. e publication Si la date pr cise n est pas connue la date approch e est sui vie de ca circa La date est suivie de depuis pour les titres de revues biblio graphiques mentionn es en tant que telles dans la base qui conti nuent para tre S il s agit d une p riode les deux dates extr mes sont s pa r es par un tiret Exemple 1974 1971ca 1975depuis 1971 1978 5 TI Titre originel Le titre est retranscrit comme sur l ouvrage Le champ TI peut contenir une traduction du titre apres un si l ouvrage lui m me porte galement le titre traduit Quand plusieurs volumes constituent manifestement une unit ils peuvent tre r f renc s dans le m me document Le champ TI contient alors le titre de chacun des volumes Le champ TI se termine par un point Exemple Peoples of the Central Cameroons Dictionnaire des villages de la Manyu Village Dictionnary of Manyu Division Banyang Settlements Part I Pre European Settlements Part II Change of Settlements and Latter developments L tat civil Douala Die Bana 269 6 TIT Titre traduit Il s agit de la traduction du titre en fran ais pour les langues autres que l anglais Ce champ n est donc pas rempli si le titre est en francais ou en anglais les deux langues officielles du Cameroun Le champ TIT se termine par un point 7 INAU Editeur s scientifique s personne s physique s Ce champ est rempli si la r f rence correspondante au titre
208. e statistique de donn es d enqu tes 3 OBJECTIFS Il s agit d un progiciel int gre utilisable par des non informa ticiens pour mener des enqu tes et des collectes quantitatives depuis la conception jusqu aux tableaux de r sultats en s appuyant sur une machine centrale et des machines de terrain portables Il concerne plusieurs disciplines et divers secteurs d activite tels que d mographie sant enqu tes budget consommation agri coles ou tudes de march et s applique aux pays d veloppes comme aux pays en d veloppement Il vise les enqu tes par interviews y compris les plus com plexes mais peut s appliquer galement des saisies de donnees et de documents sur le terrain Ce systeme supporte l ensemble des op rations n cessaires une enqu te de la collecte sur le terrain r alis travers des micro ordinateurs appel s par la suite machines de terrain MT portables jusqu la gestion des donn es et leur traitement r alis sur un ordinateur plus important appel par la suite machine centrale MC 34 Le projet s appuie sur des machines d j existantes et vise d velopper les logiciels qui permettront d int grer les diff rentes t ches li es la collecte g n ration de questionnaires machine recueil sur le terrain directement sur les machines incluant l assistance la passation et des contr les de coh rence en temps r els utilitaire de transfert sur machine centrale gestion d
209. e test sur la variable r sultat ou la comparaison d une s rie de r sultats une valeur talon faire la difference entre la s rie etla constante puis test sur la variable r sultat Calculs entre variables Ces calculs seront d velopp s en liaison avec la partie plans d exp riences de gestion des dossiers tude de causes d erreurs et analyses de variances optimisation num rique r gressions mul tiples Ce logiciel ne vise pas remplacer les logiciels statistiques mais doit faciliter la r alisation des principaux calculs et tests fr quemment n cessaires au laboratoire 218 7 EXPLORATION D UNE BIBLIOTHEQUE fichier d aide7 Cette proc dure n est pas encore install e Elle le sera en pre nant au mieux en compte les besoins des utilisateurs tat d une analyse dans la biblioth que d un chantillon des dossiers d un demandeur etc Son installation est d ailleurs tr s facile connais sant la structure des fichiers fournie dans les autres menus d aide 8 OPERATION SUR FICHIERS DE DONNEES Fichier d aide 8 1 Repertoire d un disque fournit les fichiers en version for mat e quatre colonnes selon le crit re de s lection LAB gt toutes les bibliotheques de travail INS gt toutes les bibliotheques d installation BI gt tous les fichiers textes chimiques E gt tous les fichiers chantillons V gt tous les fichiers variables M gt tous les fichiers mesures
210. e titre que les lay out de formulaires et les gabarits d tats elle pourra faire partie de la documentation des entr es sorties du progiciel soumis approbation du commandi taire avant de d buter la programmation La seconde comporte en plus toutes les informations n cessaires sur le format et la position de chaque champ contenu dans l cran en question elle sera pr cieuse pour le programmeur charg de la mise au point du programme qui l utilise d am liorer le dessin des crans Lorsque l on ne dis pose pas de cet outil on doit dessiner les crans sur un gabarit de facon d terminer la position ligne et colonne de chaque infor mation et codifier les ordres de lecture et criture correspondants L diteur fournit avec le gestionnaire permet de dessiner les crans interactivement le plus souvent sous la forme selon laquelle ils apparaitront en temps d ex cution sans avoir se soucier des positions des divers champs Les produits les plus sophistiqu s permettent d am liorer la convivialit du progiciel en tirant le meilleur parti des ressources offertes par les moniteurs utilisation des attributs vid os monochromatiques surbrillance vid o invers e clignotement des caract res sp ciaux et semi graphiques de l IBM PC cadres par exemple ou des couleurs Des efforts de programmation importants seraient n cessaires ou des couleurs Des efforts de programmation importants seraient n cessaires pour att
211. e zone et celui de ses arcs enve oppe A l issue de ces deux op rations de saisie la totalit de l information g ographique figurant sur le document cartogra phique d origine est enregistr e Toutes ces donn es peuvent tre list es pour contr le 1 12 Saisie de l information th matique de base Cette information se pr sente sur la l gende sous forme de la liste des unit s cartographiques et sur la carte sous forme du contenu de chaque zone du d coupage Chaque contenu de chaque zone est identifi une des unit s cartographiques de la l gende d o le terme d identifiant attribu ces unit s y a autant d identifiants que d unit s cartographiques de la l gende et chaque zone a son contenu caract ris sur le plan th matique par un seul de ces identifiants Le principe de la saisie sous FORBAN de cette information consiste constituer au clavier un fichier identifiants zones qui tablit la correspondance de chaque zone avec le num ro d identifiant qui caract rise son contenu th matique de base Un libell chaine de caract res peut tre galement saisi pour chaque zone et positionn l aide du digitaliseur en vue de restitution sur traceur Des restitutions graphiques des contours du document de base peuvent ce stade tre d j obtenues sur cran ou sur traceur pour v rifier la conformit des saisies avec le document d origine 1 18 Analyse et saisie de l information th matique d riv e
212. ec l quipe d informaticiens de SISGEO favorables la premi re possibilit Acheter les droits d utilisation d un progiciel c est s assurer de mani re contractuelle un certain nombre d avantages Par exemple on est s r que les programmes ont t test s par des professionnels c est dire que la probabilit de l occurrence d une erreur ou d un incident est tr s r duite En second lieu la docu mentation livr e avec le syst me est souvent abondante parfois di dactique et lorsqu elle ne l est pas parfois relay e par des ou vrages en librairie C est ensuite la facult d changer ses exp riences avec d autres utilisateurs et de progresser ainsi dans la maitrise de cet outil Enfin et toujours dans le m me ordre d id e il est quelquefois possible de recourir aux services d une assistance technique qui peut la fois d panner les usagers et r pertorier leurs critiques Ces avantages vidents ne dispensent pas pour au tant de l elaboration d un cahier des charges pour le choix d finitif du produit ou plus exactement de l expos des points cl ceux qui conduiront une discrimination imm diate de l offre du marche Bien entendu cet examen est directement d pendant du type d information traiter elle m me fonction de la probl matique du chercheur les donn es constituant un mat riel adapt une re cherche et non l inverse Par exemple si on consid re le cas des 334 matrices d information sp
213. ectant l ordre de la hi rarchie les variables concern es s affichent alors Avec le programme de mise jour il est possible de se d pla cer dans le fichier afin d effectuer des corrections sur les variables de supprimer ou d ajouter des variables ou des unit s Ceci permet par cons quent d enregistrer plusieurs passages d enqu te en ajoutant soit des variables soit des unit s statistiques d enqu tes Cette saisie est simultan ment accompagn e d un pr traitement permettant de contr ler la qualite de l information en d celant les erreurs de codification ou de saisie Un premier 99 contr le nous assure que chaque r ponse est possible car elle appartient une cat gorie de codes pr cis s Cf description des variables le deuxi me contr le dit crois permet de v rifier la pertinence de la valeur de la variable Cf description des contr les 2 3 Cr ation des variables partir des variables existantes il est souvent n cessaire de cr er par synth se d autres variables plus adapt es aux objectifs de l tude Par cette fonction il est possible de synth tiser les infor mations d un niveau inf rieur ou d utiliser les informations des ni veaux sup rieurs on peut de plus faire intervenir dans le calcul les unit s pr c dentes appartenant au m me type d unite de la va riable concern e Il est galement pr vu de cr er une variable pour une sous population constitu e l aide de filtres 2
214. ectives Les ann es 1987 et 1988 seront celles du traitement du r trospectif 25 000 r f rences de l adoption d un rythme de croisi re pour le cou rant de la mise en place de produits documentaires nou veaux bulletin bibliographique diffusion sur profil etc de d veloppements informatiques logiciel de cr ation du bulletin bibliographique logiciel de gestion de biblioth que lo giciels de reformatage pour le chargement des r f rences ORSTOM au CIRAD et AGRIS et dans IBISCUS etc d un r quipement mat riel du centre renforcement des capacit s informatiques et connexion au r seau ORSTOM Ethernet 1989 devrait tre l ann e du chargement de la base sur un serveur afin de la rendre accessible nos partenaires scientifiques ainsi qu aux centres et missions en fonction des r seaux interna tionaux Avec HORIZON PORSTOM se trouve enfin m me d engager des op rations de coop ration dans le domaine docu mentaire l exemple du Cameroun 1 OBJECTIFS DE LA BASE HORIZON PRODUITS AT TENDUS 1 1 Justification objectifs La base HORIZON est une base de donn es des r f rences bibliographiques des travaux des chercheurs ORSTOM ou associ s ORSTOM dans le cadre d un programme de recherche Ses objectifs sont d finis dans le cadre du Sch ma directeur informatique documentaire lui m me partie int grante du sch ma directeur informatique ORSTOM Elle est
215. effectue au fur et mesure les contr les n cessaires pour v rifier que la description est conforme aux r gles expos es plus haut Enfin tout moment l utilisateur peut afficher sur l cran l tat de la grille en cours de definition et la sauver dans un fichier grille avec possibilit d en changer le nom ou le r pertoire 3 3 Imprimer une grille La figure 2 montre un exemple de listing produit par cette fonction Le logiciel lit la grille imprimer dans un fichier grille et produit une impression en deux parties la grille telle qu elle sera affich e plac e entre deux gabarits de num ros de colonnes et un tableau donnant les caract ristiques des champs variables Pour chacun des champs variables sont consign s dans ce tableau le nom du champ sa position sa description ses attributs M champ obligatoire T champ remplir compl tement 1 champ avec valeur initiale ses valeurs initiales minimales et maximales Ce listing peut tre archiv ou utilis pour contr ler la d fini tion ou comme point de d part pour d finir une autre grille mais il est aussi indispensable lors de la d finition du programme qui va utiliser la grille 3 4 Tester une grille L utilisateur peut profiter de cette fonction pour simuler un emploi r el de la grille qu il a d fini et sauvegard Cela lui permet avant m me d crire son programme d application de v rifier la fonctionnalit de la grile et la bonne d finition d
216. egistrement portant PSTS 0 soit trouv autrement dit jusqu ce que toutes les travers es r pertori es aient t identifi es Lorsque l on a trouv la derniere travers e de la station r pertori e on attribue PSTS la valeur PLST la travers e est r pertori e l adresse PLST avec PSTS 0 PLST est incr ment et il y a passage au point suivant Quand le point de mesure suivant a t acquis son apparte nance la m me station est contr l e Si ce contr le est positif le point se voit attribuer les m mes identificateurs que le point pr c dent et il ne sera alors particularis que par son temps au sein d une m me travers e Si le contr le est n gatif toutes les op ra tions pr c dentes sont nouveau ex cut es Extraction Figure 4 La phase la plus importante de l extraction est la recherche de toutes les travers es de station r a lis es au cours d une croisi re ou d un profil ou dans une fen tre g ographique Dans le cas d une croisi re ou d un profil la liste des traver s es est r alis e par simple consultation des fichiers CROISR PROFIL et STATN Dans le cas d une fen tre g ographique il s agit de rechercher toutes les travers es de station quelles que soient les croi sieres au cours desquelles elles ont t ex cut es Autrement dit il faut acc der toutes les donn es existantes entrant dans le cadre de la fen tre sans aucune omission possible Pour cela un balayage
217. eindre un tel objectif sans l utilisation de l diteur d crans de viabiliser la s paration des t ches d analyse et de programmation Lors de la mise au point d un progiciel le dessin des crans peut tre enti rement r alis par l analyste de sp cifi cation ind pendamment de la codification des programmes et de leur logique interne aura certainement pour effet d am liorer le standard et le niveau de convivialit de l application En outre la validation des donn es saisies peut galement tre prise en charge au moins partiellement par le gestionnaire d crans Dans ces conditions l utilisation d un tel produit s accompagne d un trans fert substantiel d activit s de la phase de programmation vers la phase de sp cification ce qui est hautement b n fique d optimiser les temps de r ponse Dans la mesure l on utilise un produit sp cifiquement concu pour la manipulation des fen tres et crans on peut esp rer que les op rations corres pondantes seront r alis es avec un niveau d efficacite qu il serait 68 difficile d atteindre dans les conditions normales de d veloppement d application langage de haut niveau en particulier 3 DESCRIPTION GENERALE Pour la description g n rale des ressources d un gestionnaire d crans on est amen d finir trois contextes diff rents li s au cycle de vie du syst me mis au point la sp cification la program mation et l ex cution Dan
218. ement de mettre en conformite les versions pr c dentes des fichiers les programmes d exploitation Quelques modules se ront pr sent s le but de l expos tant de pr senter seul le 173 syst me de donn es Le sch ma g n ral de chacun de ces programmes sera expos sans entrer dans le d tail de la fonction math matique ou graphique appliqu e sur l ensemble de donn es s lectionn es En conclusion l instant o ces lignes sont crites le syst me de donn es avec les deux premiers niveaux de l environnement logiciel existe Le d veloppement de ce produit se poursuit l Atelier Informatique de Brest et une version d finitive sera sans doute disponible vers la fin de l ann e Ce syst me toujours op rationnel dans sa premi re version sur mini calculateur semble avoir fait ses preuves L int r t du travail actuel r side dans le fait que le produit va devenir totalement ind pendant du calculateur h te Pour des besoins plus intenses un portage sur une station de travail pourra tre r alis tr s simplement et dans des temps records Tant au sein du laboratoire qu bord d un navire oc anogra phique l int r t de ce syst me de donnees est d offrir imm diate ment et convivialement tous les services de base dont le chercheur a besoin dans l accomplissement de sa mission INTRODUCTION Vouloir d crire l oc an n cessite la mise en oeuvre de moyens technologiques plus ou moins importants Les techn
219. emment mais aussi pour lui communiquer des informa tions Son utilisation la plus fr quente correspond l affichage de donn es d j saisies en vue de les corriger Basic 300 AF D nom des champs aff 310 VALEURS O M25 12 1900 affectation date afficher 320 OP WR WR op ration Write 330 CALL MASQUE NOM VALEURS STATS OP appel de Masque pour afficher l affectation et la date Cobol 01 NOM PIC X 6 VALUE AF D 01 VALEUR 02 FILLER X 03 VALUE O M 02 FILLER PIC X 10 VALUE 25 12 1900 MOVE WR TO OP CALL MASQUE USING NOM VALEUR STAT OP La fonction Clear efface tout simplement l cran elle ne n cessite aucun param tre particulier Basic 400 CL CL op ration Clear 410 CALL MASQUE STATS OP appel de Masque pour effacer l cran Cobol MOVE CL TO OP CALL MASQUE USING STAT OP La fonction Display affiche un message sur la vingt cinqui me ligne de l cran provoque l mission d un signal d alarme et attend que l op rateur appuie sur une touche avant d effacer le message et de retourner au programme appelant Le message peut tre un message d erreur ou d information et doit tre communiqu Masque lors de l appel 24 Basc 500 MSG1 Valeur erron e message termin par 510 DP DP op ration Display 520 CALL MASQUE MSG1S STAT OP appel de Masque pour afficher le message en ba
220. ent tre entrepris sur PC ou site plus important Le progiciel S I C est crit en TURBO PASCAL et fonctionne sur micro ordinateurs PC et compatibles pour la machine centrale et sur HUSKY ou EPSON ou portable MS DOS compatible PC pour la machine de terrain Ce progiciel est accompagn d une documentation technique et d un syst me de protection Il sera commercialis par une soci t priv e La maintenance la formation et l assistance technique seront assur es par cette soci t Il a t d ores et d j exp riment dans plusieurs enqu tes en vraie grandeur Principales lecons des travaux effectu s faisabilit d enqu tes sur des machines de terrain et de l int gration des diff rentes phases des enqu tes autour de micro ordinateurs la formation les co ts les connexions entre machines ne constituent pas des handicaps importants n cessit pour l analyse de partir des t ches du concepteur et de l enqu teur aller profond ment dans l analyse pour la correction des erreurs et incoh rences pour offrir l enqu teur un ensemble d outils puissants mais simples d acces 31 l entr e dans une s rie de logiciels classiques dBASE III SPSS PC SAS ITEM STATGRAPHICS etc ne pose pas de problemes particuliers il s av re que cette approche permet un gain substan tiel pour la qualit des donn es la rapidit et le co t il sera facile d envisager une machine interm diaire d di
221. ent la carte p dologique de base la l gende qui regroupe les unit s cartographiques et fait tat des caract ristiques de leur contenu sols permet d en ex traire une information th matique riche et objective la carte proprement dite qui fait apparaitre par ses contours le d coupage des zones cartographiques correspondant aux unit s de la l gende contient la totalit du d coupage th ma tique Ces deux l ments compl mentaires et indissociables dans leur r alisation et leur exploitation constituent le support de l information p dologique de base et la source partir de laquelle seront extraites certaines des composantes qui figureront sur les cartes th matiques d riv es Nous allons passer en revue les diff rentes tapes de des documents th matiques l aide de FORBAN Ta bleau 1 1 1 Saisie de l information cartographique de base Le traitement d une information g ographiquement localis e n cessite de saisir la totalit de ses deux composantes g ogra phique carte et th matique l gende On dispose pour ce faire de l ordinateur et d une table num riser Tableau 2 1 11 Saisie de l information g ographique Cette information se pr sente sur le document cartogra phique sous forme de zones que d limitent des contours Le contour de chaque zone est constitu d un ou plusieurs arcs deli mit s par les points de rencontre des diff rents arcs les noeuds Le plus souvent un ar
222. ent limit es Des solutions originales y ont port remede utili sation d un Basic et d un compilateur plus performants QUICK BASIC utilisation de segments m moires limitation du volume des donn es r duction du nombre d acces aux fichiers D autres am liorations pourront tre apport es par acqui sition d une unit centrale de type AT pour laquelle FORBAN est d ores et d j compatible par acquisition d une unit de traitement forte capacit 30 Mo par installation de cartes m moires sup pl mentaires Il en va de m me en ce qui concerne le d roulement des op rations saisie et traitement qui ne peuvent actuellement pas tre effectu es simultan ment Elles le pourraient ais ment en pr sence de deux postes de travail l actuel XT d di aux fonctions de saisie et un AT plus performant d di aux fonctions de traite ment et du fait du caract re modulaire de FORBAN En condusion le systeme FORBAN constitue un outil de cartographie th matique assist e par ordinateur complet et per formant Il se caract rise enfin par une remarquable simplicit d utilisation du fait du type de mat riel tr s r pandu sur lequel il tourne et de la particuli re clart de ses commandes INTRODUCTION L inventaire et l tude de la r partition spatiale des sols de leurs caract ristiques et des facteurs du milieu qui conditionnent leur diff renciation constituent une des activit s majeures des dologues P
223. ent re pr sent restitution ou non des contours sont s lectionnables au clavier Ces param tres sont totalement modulables et adaptables la demande en fonction de la nature de la complexit du docu ment cr et des choix du demandeur ils peuvent tre contr l s par listage et modifi s pour chaque restitution PREPARATIONS CONTOUR PARAMETRES PERIMETRE DESSIN Mise jour RESTITUTION CARTOGRAPHIQUE TRACES DOCUMENT DOCUMENT 0009000090000000040000006000000004000000000000 0000000600000400000000000000900009 H PERIMETRE PERIMETRE ZONES CONTOURS ZONES DOCUMENT concern es ZONES concern es ECRAN par un REQUETE par une COMPLET IDENTIFIANT CLASSE a e 066090060000000000000000000090009000 000000000090 9090250900000 009090090000000000000 PERIMETRE PERIMETRE ZONES ZONES DOCUMENT ARCS concern es concern es LIBELLES par un par une comper TRACEUR IDENTIFIANT CLASSE LEGENDE LEGENDE LEGENDE 9090900090000000909 0690900000000000600000000000000000009000000000000000006000000000000000900000000000000000 0 Tabl 5 Traitements de restitution cartographique TTE 313 2 CONDITIONS PHYSIQUES D EXPLOITATION DE FORBAN 2 1 Description du mat riel et des logiciels FORBAN est actuellement utilis sur l quipement suivant un micro ordinateur IBM PC XT poss dant 640 Ko RAM un disque dur de 10 Mo une carte graphique CGA et un
224. enter une contrainte tr s s v re 3 LE GENERATEUR D ECRANS Ecrit en Turbo Pascal le g n rateur de griles d cran se pr sente comme un module ex cutable capable de r aliser cinq fonctions que nous allons d crire dans ce chapitre Il utilise lui m me le module Masque pour communiquer avec l utilisateur Il est indispensable lors du d veloppement de l application pour d finir les grilles mais il est inutile de le fournir l utilisateur final 3 1 Visualiser une grille Il s agit tout simplement de faire apparaitre sur l cran une grille d j enregistr e dans un fichier grille Cette pr sentation de la grille est identique ce qu elle sera lors de son utilisation dans un programme d application 3 2 Manipuler une grille C est la fonction la plus importante offerte par le g n rateur puisqu elle permet de d finir et corriger de maniere interactive des grilles d cran avant de les conserver dans des fichier grilles Pour d crire chaque champ variable l utilisateur doit remplir une grille d cran avec tous les parametres obligatoires et ventuellement des parametres optionnels Pour d crire les champs constants deux mani res peuvent tre employ es proc der comme pour les champs variables ou d finir le masque directement en pla ant le 18 contenu des zones constantes leur position voulue sur un cran vierge Les m mes facilit s sont disponibles pour corriger ou sup primer un champ Le logiciel
225. entifiants r pondant aux crit res demand s pour chaque classe l issue de cette op ration une nouvelle information th matique restructur e est ainsi d gag e tandis que pour chaque classe un sous ensemble de zones et de leurs identifiants est re group et peut tre list la demande montrant le r sultat de la requ te 1 23 La r organisation des contours C est par cette op ration que FORBAN cr e la composante g ographique du nouveau document th matique Il r organise les contours de la nouvelle image par maintien ou suppression d arcs du document de base en regroupant ou en maintenant dissoci es les zones adjacentes selon qu elles appartiennent ou non une m me casse donn e Il cr e enfin la relation nouvelles zones classes l issue de cette op ration on dispose en m moire stockable sur support magn tique d un nouvel ensemble d informations qui constitue l image th matique son information g ographique nou velles zones et son information th matique nouvelles unit s car tographiques les classes qui sont les donn es de base pour l etablissement de la carte th matique et de sa l gende 311 1 24 Traitements compl mentaires D autres ensembles d op rations sont incorpor s diverses tapes de saisie et de traitement th matique recherches des zones incluses au niveau du document de base puis des documents th matiques d riv s calculs de surfaces des differentes zon
226. entre parenth ses si la ville est inconnue Le nom de la ville est suivi du nom du pays entre parentheses si elle est peu connue et des initiales de l tat pour les Etats Unis lorsque la pr cision apparait utile S il y a plusieurs lieux d dition les noms sont s par s d une virgule suivie d un espacement Le champ LED n est pas rempli pour les congr s et les di pl mes port s dans les champs CONG et DIPL s il n y a pas eu d dition ult rieure cas des simples communications des col loques et des exemplaires de soutenance des theses Le lieu est alors d j mentionn dans les champs CONG et DIPL Exemple Yaound Meudon France Princeton N J London Paris 14 ED Editeur commercial diteurs commerciaux Nom originel de l editeur Le champ ED n est pas rempli pour les congr s et les di pl mes port s dans les champs CONG et DIPL s il n y a pas eu d dition ult rieure Il n est pas rempli non plus pour les articles de revue nom de revue port dans le champ REVUE ni si l auteur collectif lui m me porte dans le champ AUC ou INAUC est l editeur commercial Cependant s il y a plusieurs auteurs collectifs et si l un seul d entre eux est diteur commercial ce dernier est n anmoins indiqu pour viter toute confusion Si l editeur commercial est un organisme universellement connu par son sigle celui ci figure seul Si l organisme est peu connu le d veloppe du sigle suit ce dernier apr s un p
227. enus etc logiciels de gestion gestion des pr ts la biblio th que gestion des commandes ces deux logiciels font l objet d une pr sentation s par e logiciel de bulletinage logiciels de reformatage vers le CIRAD puis AGRIS et IBISCUS logiciel d dition du bulletin bibliographique 4 PERSPECTIVES 1988 1989 Traitement du r trospectif ORSTOM 24000 references gr ce un financement FAC 2MF traitement informatique et compl ment de traitement documentaire d ici fin 1989 microfi chage des m mes documents avec un d lai plus long Dans cette perspective trois march s devront tre lanc s fin 1987 et d but 1988 le premier sous traitera le compl ment de traitement do cumentaire et la saisie fin 1987 le deuxi me permettra le r quipement de l atelier de micrographie passage la partition 24x et modernisation fin 1987 le troisieme fera appel un faconnier pour une partie du microfichage Extension du r seau de nouveaux centres ou missions Ouagadougou et Yaound en 1988 deux autres centres ou mis sions en 1989 ce qui implique la fourniture du logiciel l aide lacquisition du mat riel une formation et une mission d implantation Programme d quipement informatique acquisition d une nouvelle unit centrale Bondy en 1988 pour renforcer la premiere notamment afin de d velopper dans de bonnes conditions les applications bureautiques li es l informatisation
228. er un r pertoire du mat riel v g tal dispo nible permettre la gestion des caf iers plant s en relation avec leur origine g ographique standardiser les descripteurs utilis s dans les tudes g n tiques et agronomiques faciliter l acc s et l exploitation des donn es de l valuation Apr s avoir expliqu le codage des informations stock es nous pr senterons l organisation g n rale de la base de donn es en d gageant les applications pratiques Enfin nous exposerons les probl mes rencontr s et les perspectives pour am liorer les per formances du syst me 110 1 LE CODAGE DES DONNEES Les donn es cod es concernent la num rotation des g no types leur origine g ographique leur plantation en collection et di vers r sultats de leur valuation 1 1 La num rotation des g notypes Chaque g notype est rep r par son niveau de ploidie format 1 caractere un identificateur de l esp ce format 4 un num ro d ordre defini par identificateur d espece format 4 Par exemple l individu 4 0001 1253 est un caf ier t traploide 4 de l espece C arabica 0001 num rot 1253 Pour les caf iers sauvages le niveau de ploidie et l identificateur d esp ce sont li s tous les Coffea connus sont di ploides l exception de C arabica qui est t traploide N anmoins ce codage l avantage de conserver l identificateur d esp ce et le num ro d ordre des g notypes a
229. es Il comporte six types de fichiers pour le stockage des don n es fichier directory fichier biblioth que fichier chantillons fichier variables fichiers mesures fichiers laboratoires fichiers textes La d claration de types au d but de programmes Turbo PASCAL permet ais ment de changer la longueur d un champ ou d ajouter un champ un fichier pour g rer des informations suppl mentaires 207 Les fichiers textes servent trois usages aide ponctuelle l utilisation du logiciel et des d ve loppements noms et structure des fichiers de donn es fournis aide l analyse chimique par consultation de modes op ratoires analytiques associ s aux groupes de la bibliotheque d installation textes associ s chaque dossier cahier de laboratoire et correspondance Le logiciel facilite la r alisation des principaux calculs de labo ratoire choix des calculs par fen tres d cran associ s aux contr les des donn es et mises au point m thodologiques Les programmes comportent un fichier de commande com ins r dans un fichier bat ainsi que cinq fichiers compiles chn A l ex cution le chargement d un fichier chn est instantan et les donn es communes restent en m moire d un programme l autre Les choix de travail de transferts de variables etc sont r ali s s par menus en version couleur si disponible Les seules touches actives du clavier sont alors les fl ches pour la s lection et le
230. es l mentaires d information auxquels on sire acc der Les articles de type 4 et 5 bien qu tant des sous articles seront trait s comme des articles part enti re L ensemble des informations apr s codage devient un en semble de nombres entiers qui seront stock s sous forme de mots de 16 bits 178 1 21 Description de l en t te CROISIERES Date d but de la campagne Mot 01 Mot 02 Mot 03 Date de fin Mot 04 Mot 05 Mot 06 Positions limites des stations Mot Mot Mot Mot 07 08 09 10 Ann e deux derniers chiffres Mois Jour la campagne Ann e Mois Jour Latitude minimum en degr s minutes N gt O maximum Longitude minimum en degr s minutes W gt O maximum Informations n cessaires l adressage Mot Mot Mot Mot 11 12 13 14 Plus grand num ro de station Nombre de stations dans le fichier Nombre de param tres diff rents pr sents dans la campagne limit 42 Nombre de secteurs dans le fichier Liste des param tres mesur s Mots 15 56 codes des param tres Tous ne sont pas obligatoirement pr sents dans chaque station Les codes utilis s sont ceux de la banque hydro du BNDO Banque Nationale des Donn es Oc anologiques IFREMER 1 22 Descriptif de l en t te station Mot 01 Num ro de la station Date de la station Mot Mot Mot Mot Mot Position Mot Mot Mot Mot
231. es tats de la Federation les agr gats nationaux n ont de sens que s ils sont examin s la lu mi re des disparit s territoriales Heureusement pour tout ce qui concerne les donn es de base d mographie et tudes conomiques notamment l IBGE utilise comme unit territoriale le munici pto c est l unit politico administrative la plus petite la moins h t rogene bien que tres disparate dans les tats les moins peu pl s celle qui permet d asseoir une recherche g ographique En l absence de travaux pr liminaires CPAC c est ces donn es de base disponibles au niveau municipal qu on s est atta ch en premier lieu La d limitation pr cise de l aire d extension des cerrados est difficile et a t l origine de nombreuses controverses D un c t on trouve ceux qui r duisent les cerrados leurs formes les plus typiques excluant les marges et les enclaves ayant d autres compo sitions biog ographiques A l oppos on peut penser qu une d li mitation large favorisera ult rieurement le choix d un p rim tre plus sp cifique bas non plus sur les seules caract ristiques phy siques homogenes mais aussi sur l appartenance une r gion g o graphique Cette seconde option paraissant plus op ratoire pour la recherche envisag e et correspondant aux choix du CPAC il a suffi de calquer les limites des cerrados d finies par EMBRAPA sur une carte municipale du Br sil l echelle du 1 2 500 000 ob
232. es identifiants et classes sur tous les documents base et th matiques avec cumul et pourcentages d termination du p rim tre du document de base par recherche et mise en m moire des arcs fronti re listes exhaustives ou partielles de la totalit des don n es saisies et des divers r sultats de traitement 1 3 Restitution des documents Une visualisation de divers documents sur cran ou sur tra ceur est r alisable dans leur totalit ou en partie fenestrage au cours des diff rentes tapes de l utilisation de FORBAN Ta bleau 5 restitution du document de base apr s saisie contours sur cran contours et libell s sur traceur restitution sur cran et sur traceur du p rim tre et des zones de la carte de base correspondant tel ou tel identifiant restitution sur cran et sur traceur des contours des nou velles zones des documents th matiques avec possibilit de figurer un libell par zone restitution sur cran et sur traceur du p rim tre et des nou velles zones de la carte th matique correspondant telle ou telle classe restitution sur cran et sur traceur des documents th ma tiques complets et de leur l gende La restitution l aide du traceur sur papier est effectu e apr s saisie de diff rents param tres de dessin Echelle de res titution fenestrage choix des couleurs des contours remplissage hachures inclinaison espacement attach chaque l m
233. es ann es par les botanistes ORSTOM ou les botanistes de passage en Guyane Le code floristique des Pt ridophytes de Guyane est une pre miere liste de ces taxons En l absence d une source bibliographique unique et compl te ce code a rassembl en tout premier lieu les taxons cit s dans l ouvrage du Professeur K U Kramer de Z rich 8 sur le Surinam depuis de nombreuses ann es il a bien voulu nous d terminer un certain nombre de sp cimens qu il trouve ici nos sinc res remerciements L inventaire bibliographique 5 15 s est aussi fait principa lement l aide des ouvrages de Flora Brasiliensis de Martius 9 amp 11 de Posthumus 12 de Lemee 10 de Vareschi 15 138 cependant la nomenclature reste bas e sur la Flore du Surinam Kramer 7 amp 8 seules les S laginelles sont revues partir du travail d Alston Jermy et Rankin 5 Un certain nombre de taxons du Surinam et ventuellement du Guyana ont t rajout s afin de rendre ce code plus g n ral et de pr parer le code floristique des Pt ridophytes des Guyanes Au total 1775 taxons ont t introduits repr sentant 353 esp ces L adjonction de nouvelles esp ces corrections diverses syno nymies etc ayant t pr vue des le d part il est possible de pr senter p riodiquement des formulaires de plus en plus complets A chaque tape une version sur bande magn tique est disponible pour les utilisateurs La m thode de constituti
234. es champs variables type de donn es valeurs initiale minimale maximale longueur de champ La saisie se fait dans l ordre dans lequel ont t d finis les champs cet ordre est en g n ral diff rent de celui que l utilisateur s imposera dans son programme d application Les valeurs saisies ne sont bien entendu pas conserv es 3 5 Compiler une grille Bien que redondante avec la fonction de manipulation de grilles cette fonction a quand m me t d velopp e Elle trans forme une description de grille saisie dans un autre diteur de texte en fichier grille compatible avec le logiciel Masque Un utilisateur occasionnel peut ainsi viter d apprendre se servir de la fonction de manipulation et d finir sa grille l aide d un diteur de texte qui lui est plus familier Le fichier ainsi saisi que nous conviendrons de nommer fichier source doit cependant respecter un format strict d crit dans la notice d utilisation un enregistrement pour chaque 19 ORSTOM Masque D finition de 1 grille DEMO GRC Page 1 Satin sels ti q u ty A OL PL LT PES 2 18 ORSTOM LOGICIEL MASQUE Non A uas ulis vu FEQ E N e je Pr nom Affectation MET MET O M T l phone 8 Ann e Aide aux touches de fonction Mois MAE Salaire mensuel brut zsa F1 retour en arri re Salaire mensuel net e FF F5 duplication d un charp F3 r ini
235. es chapitres 3 et 4 ont t amplement discut s dans les par ties pr c dentes de cet article 82 2 et 82 3 Le cinquieme chapitre tactique de r alisation a pour but de fournir un calendrier pr vi sionnel pour la mise en place effective du logiciel l laboration d un diagramme de structure du syst me mettant en vidence les principales fonctions ind pendantes sous systemes sera utile pour la compr hension de la d composition en tapes distinctes Le second sous chapitre sur les restrictions doit pr senter toutes les limitations susceptibles de freiner voire emp cher l laboration du logiciel ou encore en restreindre l utilisation Par exemple ce pourra tre une indisponibilit de personnel l absence de mat riel ad quat des restrictions administratives ou d acc s aux informa tions etc Le dernier sous chapitre doit aborder le mode d impl mentation en sp cifiant essentiellement si la r alisation doit tre modulaire quelles sont les fonctions prioritaires quel est le calendrier pr visionnel Le sixi me chapitre estimation de ressources poursuit l objectif de d terminer des la phase de conception la demande de ressources n cessaires la mise en oeuvre du systeme Il contient donc un certain nombre d l ments de nature fixer la configura tion minimale et la configuration recommand e pour le produit en question Dans le cas d un logiciel destine tre ex cut sur un mi cro ordinateur les
236. es d cran et un sous programme d acces ces crans le gestionnaire d crans L editeur de grilles d cran est un programme qui produit et manipule des fichiers normalises qui contiennent l image et la defi nition des grilles qui seront utilis es par les programmes appli catifs Durant une session d dition on a toutes les facilit s d un 62 traitement de textes pour dessiner la grille sur l cran telle qu elle est souhait e par le d veloppeur Chaque caract re de la grille est soit une constante soit une variable non connue au moment du dessin de l cran et que l on repr sente par un caract re sp cial On distingue dans ce dernier groupe les champs accessibles par l utilisateur options donn es capt es des champs prot g s non accessibles Ces derniers peuvent tre labor s partir d informations disponibles ou simplement obtenus par l interm diaire d une grille pr c dente Ils sont restitu s du syst me l utilisateur par l interm diaire de la grille d cran date de session par exemple Un ensemble d options de l diteur fournit les fonctions n cessaires la manipulation de ces fichiers En particulier l dition des grilles est permise sous deux formes diff rentes sous forme de grille d cran simple image de ce qui sera pr sent sur le moniteur utilis e pour le dialogue avec le commanditaire du travail et dans la documentation du syst me sous forme de grille d cran acco
237. es don n es et traitements Ce progiciel doit d border le domaine strict des enqu tes par interviews pour int grer galement d autres types de saisie Enfin il doit d boucher sur une valorisation commerciale 4 LE CAHIER GLOBAL DES CHARGES S appuyer sur du mat riel disponible si possible peu cher et peu sophistiqu faire l analyse de facon empirique partir des t ches des collecteurs et du concepteur plut t que de la th orie des ques tionnaires possibilit de g n ration d un questionnaire ou d un formulaire par un responsable d enqu te non informaticien collecte possible sur le terrain par un personnel peu qualifi qui manipule une machine d enqu te intelligente mais transparente Il doit disposer d un ensemble d outils qui lui per mette de faire la passation du questionnaire et d obtenir sur le terrain m me des donn es contr l es et propres pour traitement sans d lais portabilit des logiciels sur diff rents types de machine criture de facon modulaire en vue d am liorations et de fonctionnalit s compl mentaires autonomie de longue dur e pour les enqu teurs sur le terrain sup rieure huit jours sans d chargement possibilit de collecter des informations dans des milieux s v res capacit technique des machines se connecter ven tuellement par t l phone ou d autres moyens avec un site central 35 5 P ARCHITECTURE DU LOGICIEL ET LES DEVE
238. es flux de donn es correspondants pr cis s figure 3b 3 3 Dictionnaire des donn es Le dictionnaire des donn es peut alors tre labor a d finition des entit s externes Linguiste expert de la langue responsable pour la constitution l administration et la maintenance du dictionnaire Utilisateur toute personne int ress e par la consultation et l utilisation du dictionnaire y compris l diteur et le propre lin guiste b definition des fonctions 1 Mettre jour processus responsable pour la saisie l actualisation et la correction des donn es du dictionnaire Celui ci devra prendre en consid ration le probl me de l accentuation c est dire manipuler les caract res accentu s et le c repr sent s par convention sous la forme de deux caract res cons cutifs par exemple e de facon conserver un ordre lexicographique plus naturel que l ordre ASCII c juste apres le c en particulier 2 Consulter le Dictionnaire plusieurs types de consul tation du dictionnaire seront autoris es liste complete liste sp ciale pour l edition diste s lective des mots du dictionnaire lexiques Le r sultat pourra tre transmis sur cran ou sur papier 2 1 Emettre le dictionnaire production d une liste des verbetes compl tes comme document pr paratoire l dition La s lection des verbetes selon divers crit res est autoris e pour permettre des recherches sp cifiques 2 2 Emettre
239. es le terrain sur ce micro ordinateur Ainsi la collecte la saisie et les contr les se trouvent int gr s des le terrain En organisant les machines de terrain autour d une machine centrale les op rations d enqu te consistent alors en col lecte contr l e transfert et tabulation analyse et non plus en col lecte codification saisie contr le et tabulation analyse Notre probl me tant de travailler en milieu s v re avec du personnel non qualifi et souvent peu conscient de la fragilite d un mat riel informatique les travaux men s ici privil gient des machines de conception plus simples mais particuli rement r sis tantes et de grande capacit de m moire interne Le principe est alors de d centraliser au maximum 1 saisie sur ces petites machines et les rapprocher du lieu de cr ation des documents parfois sur le terrain m me Cette approche n a d int r t que si ces machines sont reli es de temps en temps un site central qui peut tre un ordinateur de type PC pour le d chargement des machines le contr le global du travail effectue la gestion des donn es et les traitements statis tiques Dans plusieurs autres domaines que la saisie de donn es statistiques la d marche de d centralisation vers le terrain a t men e et a conduit aux m mes strat gies mat rielles et organisa tionnelles On peut citer en particulier dans le domaine medical l aide au diagnostic S effectuant au d but sur de gros s
240. es ou graphiques appliqu s aux donnees n implique pas la formulation de contraintes quant l organisation des donn es 1 12 Les informations et les relations L examen du probl me fait apparaitre les notions suivantes campagne station param tre intervalle de temps et zone g ographique On peut formaliser les objets et les liens qui les unissent par un sch ma figure 3 Un rectangle en trait plein repr sente un groupe r p titif dont les composantes sont les l ments situ s l extr mit des lignes droites descendantes Une valeur terminale soulign e repr sente un index c est dire que pour chaque valeur de cet l ment il n existe qu une et une seule occurrence du groupe r p titif 176 Catalogue campagne campagne n station n param tre parametre Les notions d intervalle de temps et de zone g ographique sont introduites lors de l emploi des proc dures d acces aux don n es Ces r f rences au temps et l espace sont le r sultat de cal culs et de tests et par cons quent n interviennent pas encore ce stade de l analyse Le catalogue assure dans l organisation des don n es CROISIERES un double r le celui de r pertoire logique des fichiers dits CROISIERES et celui de support d une s lection spatio temporelle Le contenu du rectangle en tiret sur la figure pr c dente est l image exacte d un fichier CROISIERES 177 1 13 Les propri t s qu
241. es par les hydro logues dans leur rapport d activit mensuel comme ce fut le cas une certaine poque les fiches de jaugeages qui n cessitent d tre d pouil lees avant de produire les informations utiles l hydrologue titre d exemple dans le cas des jaugeages au moulinet les donn es collect es coordonn es des points de mesure dans la section de la rivi re nombre de tours effectu s par l h lice pendant un temps d termin sont ensuite int gr es sur toute la surface pour donner le d bit total la vitesse moyenne la section mouill e les bordereaux mensuels de cotes remplis par un observateur une ou plusieurs fois par jour heures fixes les 125 S JI4SFUFUpP E 39 segsIieuguos lt z ya 3n0mevyo SINIVANNY xnvy310vi MYAYWI 30 59411617 329V44 SNOLLIG3 SNOILVLNSNOI 2 35 117 2 313202 2 3300 30 Non Si1N3W31lIV81 SNOLLO3UNOO SHSIVS sowy Wid 3 SIONI uns 3n0m4vu5 4n31vAw3S800 SIINO 30v30nvr NO4YTYVISNLO NOISSINSNYM 1N3H384 039 3 61N3M3u16103uN3 xnv3u 30408 30 SiwOd v 30 3424 532004 53102 1530 3nNi1N02 NOVIS v 20 Nouv TWIEN Shut e 126 bordereaux de debits plus rares obtenus une usine hydro lectrique par exemple les enregistrements graphiques continus de cotes co
242. est mis dans un premier article et le nouveau nom dans un autre article de mani re que cette unit puisse tre s lectionn e avec le nouveau nom De m me en cas d catement d une unit administrative les nouveaux noms sont mis dans autant de nouveaux articles Pour les localit s inf rieures la sous pr fecture ou au chef lieu de district et pour les unit s rurales inf rieures l arrondissement ou au district on pr cise dans un deuxieme ar ticle l arrondissement ou le district concern Pour les quartiers des villes on pr cise le nom de la ville 278 Tous les espacements sont supprim s l int rieur du champ LIEUX pour permettre une s lection correcte et remplac s par des tirets sauf toutefois quand il y a des chiffres Exemple Cas d une ville ou de toute localit ayant au moins des fonctions de chef lieu de district DOUALA YAOUNDE MAROUA LOLODORF REY BOUBA MOUTOUROCUA Cas d un village ou de toute localit inf rieure un chef lieu de district ZALOM I AKONOLINGA ARRONDISSEMENT Cas du quartier d une ville NEW BELL QUARTIER DOUALA BRIQUETERIE QUARTIER YAOUNDE Cas d une unit administrative au moins gale au district FARO ET DEO DEPARTEMENT BOUMBA NGOKO DEPARTEMENT JAKIRI ARRONDISSEMENT MOUTOUROUA DISTRICT Cas d une unit administrative inf rieure au district OUPAY MASSIF KOZA ARRONDISSEMENT TCHERE CANTON MERI ARRONDISSEMENT Cas d une unit administrative
243. et plac es dans l ordre chronologique Ce champ se termine par un point Exemple 2 me dition 1983 240 p multig 1982 198 p L tat civil en R publique Unie du Cameroun Situation en octobre 1979 par D SIEYOJO Yaound Sous Direction des Etudes de Population 1980ca 16 p multig r sum In Rapport du s minaire national sur la population l emploi la formation et le d veloppement Yaound 23 26 novembre 1977 Gen ve OIT 1978ca 116 p mutig pp 60 91 version condens e amp Cah ORSTOM S r Sci Hum Paris vol XVIII n 1 1981 82 pp 107 147 In Le Nord du Cameroun Des hommes une r gion Paris ORSTOM 1984 551 p 3 cartes h t pp 201 301 Collection M moires n 102 Revue Science et Technique Science and Technology Review Yaound vol 1 n 1 pp 45 55 Echanges d veloppement et hi rarchies dans le Bamenda pr colonial Cameroun Stuttgart Franz Steiner Verlag Wiesbaden 1985 XIV 323 p Studien zur Kulturkunde Band 76 19 LAN Langue s de l ouvrage Il s agit des langues utilis es dans le texte de la r f rence ori ginelle ou de celle figurant dans NOUVREF l exclusion des r sum s Les codes suivants norme ISO R 639 sont utilis es 276 FR fran ais RU russe EN anglais PT portugais DE allemand NL hollandais IT italien ES 1 Se r f rer la norme si la langue n est pas sur cette liste tout ou partie du texte figure dans des la
244. eur Mais dans le cas du d veloppement d un programme en Turbo Pascal par exemple ou le test et l dition d un programme se r alisent simultan ment les derni res modifications du programme source auraient t perdues On pouvait aussi imaginer d imposer des touches de fonction dans le module Masque pour r aliser des fonc tions classiques telles que le retour au champ pr c dent la r ini tialisation du champ etc et s affranchir ainsi du code de retour utilis dans la fonction Read pour informer le programme appelant de la touche de fonction qui a t actionn e Mais ceci aurait entrain la perte de toute la souplesse qui permet l utilisateur de 27 choisir ses propres touches de fonction et de d finir l op ration associ e La combinaison des fonctions Write et Reset du module Masque permet une sorte de param trage de la grille en fonction des informations qui y sont saisies C est ainsi que des zones variables peuvent tre d finies dans la grille blanchies des l affichage initial et utilisees ensuite par couples intitul de champ champ lui m me pour saisir des informations en rapport avec la valeur donn e par l op rateur un autre champ Si Pon se r f re aux grilles d cran habituelles on peut penser que la possibilit de d finir 220 champs variables est exag r e Cependant cette facilit est parfois int ressante comme ce fut le cas dans une application peu ordinaire du module Masque son utilis
245. familles non encore enregistr es soit des unicatum d pos s dans l Herbier Wayapi de Cayenne soit des chantillons d poses dans d autres herbiers 162 FIGURE 11 Composition de Pherbier de la Montagne de Kaw 181 chantillons 113 taxons diff rents R partition des chantillons en fonction du niveau de d termination 9 chantillons d termin s au niveau de la famille 21 au niveau du genre 81 au niveau de l esp ce 2 un niveau infrasp cifique R partition des taxons en fonction du nombre d chantillons 76 taxons sont repr sent s par 1 chantillon 24 Y 2 chantillons 7 n s 3 I 2 4 4 5 FIGURE 12 Liste des collecteurs de la Montagne de Kaw et nombre d chantillons Blanc Patrick 1 Oldeman Roelof Arend Albert 2 Jacquemin Henri 3 Pr vost Marie Fran oise 3 Skog L E amp Feuillet C 3 Billiet F amp Jadin B 4 Leeuwenberg Anthonius Josephus Maria 5 Petrov Ivan 8 Oldeman R A A B 13 Feuillet Christian Patrice 24 Cremers Georges Alexis 38 Granville Jean Jacques de 70 Observation Les collecteurs sont rang s par nombre d chantillons collect s croissant Sur les 138 collecteurs de l Herbier de Cayenne seul 12 d entre eux ont r alis des r coltes sur la Montagne de Kaw 163 FIGURE 13 Liste des chantillons d herbier de la Montagne de Kaw par nom de taxon extrait Acanthaceae Anisacanthus secund
246. ffichage d une grille pr d finie r cup ration de l information saisie par l op rateur dans un champ ou un groupe de champs variables criture dans un champ ou un groupe de champs variables r initialisation de la grille ou d un groupe de champs variables mission d un message d erreur fourni par le programme utilisateur Lors de la saisie l op rateur peut au lieu de remplir un champ actionner une touche de fonction ce qui sera communiqu au programme principal travers un code de retour et pourra tre utilis dans le programme principal pour d clencher certaines op rations particuli res ruptures de s quence r p tition du contenu d un champ etc INTRODUCTION Le caract re interactif des mat riels informatiques dispo nibles depuis d j de nombreuses ann es a conduit tout naturel lement d velopper des programmes qui communiquent avec l op rateur soit sous forme de questions r ponses qui se succ dent sur l cran soit l aide de grilles d cran Cette seconde technique beaucoup plus performante et attrayante pour l utilisateur final apparait vite indispensable pour la consultation ou la manipulation de donn es m me peu volumineuses En contrepartie et compte tenu des ressources limit es offertes dans ce domaine par les lan 13 gages de programmation elle est assez difficile mettre en sans l utilisation d un outil sp cifique Mis au point et utilis
247. fichier enregistr sur un support magn tique ou les programmes de traitement le plus souvent statis tiques viendront lire les donn es Ce proc d a montr ses avan tages mais aussi ses limites les r sultats sortent plus vite mais les donn es ayant permis de les obtenir souvent collect es au prix d un grand effort sont d laiss s par la suite et deviennent inacces sibles la communaut scientifique faute du minimum de gestion requis l analyse secondaire est impossible Enfin une troisi me option s impose depuis quelques ann es celle des bases de donn es alliant la rapidit des r alisations la rigueur de gestion Des progiciels cl s en main permettent d enregistrer facilement une information rassembl e dans le cadre d un probl me particulier tout en facilitant sa pr paration pour l analyse certains d entre eux int grent en un seul ensemble les fonctions d archivage et d analyse Ainsi est il possible d obtenir dans un d lai raisonnable de l ordre de 18 mois deux ans des r sultats de recherche et cela tout en pr servant l avenir En effet rien ne s oppose la r cup ration des donn es par un syst me d information plus ambitieux avec un avantage substantiel on connait mieux leur signification et leur domaine de validit Dans le cadre institutionnel de SISECSO cette derni re option pr sentait de nombreux avantages sur les autres et a t finalement adopt e provoquant une rupture av
248. fichiers ce qui s acquiert d exp rience en suivant quelques r gles de conduite tr s simples et ne doit au demeurant pas faire naitre d excessives angoisses puisque les structures peuvent tre modifi es tout moment Le programme permet alors un tr s grand choix dans le mode d entr e des donn es de consultation de correction etc la forme des sorties qui peuvent tre directes sur diverses imprimantes ou sur cran ou bien indirectes sur des traitements de texte et des tableurs puisque le programme cr e des fichiers ASCII s parateur 117 3 LA LANGUE DE POI Les moulineltes Basic sont certes des outils pratiquement ir remplacables pour transcoder des s quences de caract res changer des formats de fichiers transf rer des donnees etc mais le Basic interpr t n est pas bien structur d criture malcommode et surtout comme d ailleurs les langages compil s tel Pascal il rend les programmes et les fichiers troitement interd pendants Les g n rateurs d applications Multigen Magic Yes You Can ou Dialogue II qui r alisent le logiciel des lors qu on leur a pr cis la structure clavier cran permettent d obtenir assez rapi dement des applications qui tournent Mais r pondre aux ques tions pos es par ces g n rateurs est aussi difficile qu une pro grammation classique et la longueur du logiciel final rend son ex cution extr mement lente Il m a donc paru pr f rable de recour
249. fondies mais limit es dans le temps 2 MOYENS D INVESTIGATIONS La t l observation des volcans actifs par l utilisation des t l transmissions spatiales ARGOS pour l acquisition r guli re de donn es ou l utilisation des techniques de t l d tection pour des tudes de thermographie ou g omorphologie sont des moyens d approfondissement et d largissement des investigations n ces saires en volcanologie Les techniques spatiales sont g n ralement associ es de gros moyens informatiques et t l matiques qui facilitent le traite ment et la distribution de l information recueillie aupr s des pays dont les volcans sont sous surveillance et de la communaut scien tifique concern e Deux modeles d unit d acquisition de terrain associ s au systeme ARGOS ont t d velopp s en France ces dernieres ann es L exp rience acquise par le CNET et le PIRPSEV sur le volcan laboratoire Etna a t transpos e et adapt e au volcan Matthew Pacifique Sud de type explosif et aux ruptions espac es 3 MATTHEW Un avenant l accord cadre ORSTOM CNRS permis d officialiser la collaboration entre le CNET l ORSTOM et le PIRPSEV pour la mise en place d un observatoire permanent sur 55 un volcan actif de l extr mit m ridionale de l arc insulaire des Nouvelles H brides L installation effectu e pendant le mois de septembre 1986 aura permis de r cup rer pr s de 50000 donn es au ler octobre 198
250. formatique est l outil et que jamais une enqu te ou un recueil de donn es ne peut tre consid r mauvais parce que non traitable par tel ou tel logiciel informatique ce serait au contraire la preuve de l inad quation ou de la faiblesse de ce logiciel 53 TELEOBSERVATION INFORMATISEE DES VOLCANS ACTIFS Marc Henrotte Michel Lardy et Jeanne Tabbagh G ophysique CRG GARCHY et UR 106 NOUMEA avec la collaboration de Christian ARCHAMBAULT Claude PAMBRUN Ing nieurs CNET et CNRS et Jean Philippe EISSEN Patrick MAILLET Michel MONZIER P trographes RESUME L ORSTOM dans le cadre du Programme Interdisci plinaire de Recherche sur la Pr vision et la Surveillance des Erup tions Volcaniques PIRPSEV assure une surveillance ininterrom pue du volcan Matthew S O Pacifique depuis octobre 1986 en utilisant un quipement automatique qui transfert un ensemble de quinze param tres g ophysiques et m t orologiques via le syst me satellitaire ARGOS au centre de distribution de donnees de Tou louse Ces donn es sont accessibles au centre de calcul du CIRCE Orsay apr s une remise en forme par le Centre de Recherches G ophysiques Le Centre de Noum a loign d environ 500 km du volcan r cup re les donn es par l interm diaire du r seau TOMPAC IRANSPAC l aide d un micro ordinateur PC compatible et d un modem connect sur le r seau t l phonique commute Les donn es d un passage satel
251. ft 3 31 afin d assurer une bonne portabilit et de permettre une implantation sur compatible IBM PC AT avec possibilit de mise en r seau local type Omninet et de branche ment futur au r seau TOMPAC Un logiciel de cr ation est l etude Il permettra une cr ation de base de donn es la carte La grille g ographique le type de donn es et les structures internes des fichiers devront tre definis par l utilisateur 190 1 OBJECTIFS La base de donn es GEOMER a t mise en oeuvre afin d archiver de conserver et de faciliter l acc s l importante masse de donn es r colt es pendant plus de dix ans par l quipe de g ologie g ophysique ORSTOM de Noum a Une premiere analyse a permis d tablir un cahier des charges en fonction d une part des besoins formules et d autre part des imp ratifs techniques Les imp ratifs techniques taient implantation sur le HP 1000 du centre allocation de 30 MO de m moire de masse masse des donn es stocker environ 1 000 000 de points de mesure une compatibilit des formats E S permettant des changes de donn es avec les bases ext rieures existantes Les besoins formul s par les futurs utilisateurs se r sumaient un acc s direct aux donn es selon trois options par fen tre g ographique par croisi re par profil La structuration et l organisation interne tant laiss es au choix du concepteur 2 DONNEES Les donn es inco
252. gique Pour chaque variable on indique la structure afin d identifier les champs ompa un intervalle de validation un masque d dition et l origine sous la forme d une nomenclature de flux remplacer par un num ro d cran ou de formulaire au cours de l tape de sp cification Le tableau 1 pr sente le diction naire de variables construit pour cette version du logiciel e algorithmes A01 Si Prefixel est non blanc et Prefixe2 est blanc alors Prefixe2 Prefixel A02 Si Suffixel est non blanc et Suffixe2 est blanc alors Suffixe2 Suffixel f depot de donnees La structure logique de l information stock e et manipul e par le syst me PCDICO est repr sent e sous la forme d un dia gramme de relations entre entit s chapitre 2 245 Tableau 1 La phase de conception produit une premi re bauche du dictionnaire de variables Stru Inter Ori Coh SYMBOLE DESCRIPTION cture valle Masque gine rence Mot Wot de la lingua geral 1 01 36 1 E ClasseMot Classe grammaticale du mot 2 01 Y01 x 1 E Sens Signification du mot port 3 01 X 36 1 ClasseSens Classe grammaticale du sens 4 01 TOL x l E Exemple Texte exemple d util du mot 5 01 1 E Ligne Ex Ligne du texte exemple 5 02 X 78 Etymolo Texte etymologie du mot 6 01 1 Ligne Et Ligne du texte etymologie 6 02 X 78 Critere Critere de s lection d dition 7 01 2 1 D but de s lection le mot 7 02 X 36 Mot2 Fin de
253. gnant l existence des fichiers voulus Plusieurs catalogues peu vent cohabiter en se partageant les fichiers d un m me r pertoire La figure 4 repr sente sch matiquement cette situation Un r pertoire DOS Fi Fichier CROISIERES Ck Catalogue figure 4 183 On remarque l existence de deux catalogues Le premier in dex par la lettre contient les fichiers 1 2 3 7 8 9 et le second in dex par B repere les fichiers 3 4 5 6 7 8 Chacun de ces catalogues a t d fini par l utilisateur en fonction de ses besoins 2 11 Cr ation d un fichier CROISIERES Deux possibilit s se pr sentent La premiere consiste mettre le lot de donn es initiales un format reconnu par les outils du lo giciel puis d ex cuter dans l ordre les programmes de cr ation de fichiers Cette solution n cessite un minimum de programmation qui se justifie par la grande vari t des sources de donn es La se conde possibilit consiste mettre jour les fichiers au format CROISIERES reconnu la version pr c dente du logiciel Les fichiers traiter peuvent tre dans ce cas sur bande magn tique en archives D crivons succinctement ce cas de figure dans le cadre de l Antenne de Brest L ordinateur serveur accessible par r seau au standard X25 est un BULL DPST7 Un utilitaire GFTDPS permet de lire les fichiers CROISIERES sur bande d archives et de les transcoder sur disque un format compatible avec les exigences du
254. hamp de saisie constituant de cette facon un guide pour l utilisateur la fonction UpdF devra alors tre utilis e la place de GetF pour r cup rer le contenu du champ m me si l utilisateur n a entr aucun nouveau caract re Par ailleurs Display Manager fournit quelques ressources sophistiqu es pour modifier les attributs d un champ ou tester les capacit s du moniteur en temps d ex cution 5 4 Screen Maker Ce produit commercialis depuis janvier 1987 dans sa version 1 3 par Logiciel et M dias est un diteur d crans qui g nere une proc dure d affichage en code source be Pascal auquel est as soci un ensemble de librairies compl mentaires autonomes ga lement en code source facilitant l utilisation des crans et fen tres Screen Maker s accompagne d un diteur qui permet de cr er ou modifier un cran ou une fen tre la mani re d un diteur de texte standard mais en proposant des fonctions suppl mentaires de d finition des champs d entr e sortie ou de g n ration et ges tion de fen tres Les commandes de cet diteur font un plein emploi des ressources du clavier fl ches touches de fonction etc pour produire les mouvements du curseur l effacement le cen trage les commandes sur les blocs le passage en mode insertion etc Un mode sp cial de modification de bloc permet de traiter globalement des parties d cran appel es blocs permettant de co pier deplacer d effacer un b
255. helle C est aussi un produit de la recherche car elle renferme l essentiel des informations n cessaires la com pr hension du processus d mergence r gionale Cette approche doit tre mise en perspective avec ce que cer tains ont pu appeler la r volution quantitative affectant la g o graphie francaise depuis une quinzaine d ann es Sources statistiques aire d tude et unit s d observations L Institut Br silien de G ographie et de Statistique IBGE est l organe central de gestion et de restitution des donn es g n r es par le fonctionnement de l appareil administratif L IBGE assure galement la r alisation p riodique de recensements Ainsi l IBGE conserve les fichiers et les diffuse aupr s des entreprises qui en font la demande Dans le cadre de SISECSO toutes les donn es censitaires de 1970 1980 ont t acquises agriculture industrie services et d mographie Elles ont t com pl t es par les donn es relatives aux productions de l agriculture et de l elevage La d finition pr cise de l aire d tude s est appuy e sur les travaux ant rieurs du Centre de Recherches Agro pastorales des cerrados CPAC C est un ensemble de 885 municipios unit poli tico administrative de base formant une maille extr mement vo lutive caract ristique dont d coulent quelques probl mes d licats pour l organisation des donn es Adopter un mod le d informatisation Pr alablement au choix d un mod le
256. hier avec quatre types d unit s Menage Individu Etape Champ avec la structure suivante Chaque unit est caract ris e par un certain nombre de va riables et d pend imp rativement d une unit sup rieure qui l identifie Les unit s secondaires sont enregistr es autant de fois 101 qu il est n cessaire pour le questionnaire en respectant l ordre de la hi rarchie Cette d marche permet par cons quent de focaliser progressivement les informations caract ristiques du menage vers l unit tape Cette m thode de saisie pr sente l avantage de traiter une cat gorie d enqu te qui sera plus riche que les enqu tes res treintes un seul type d unit qui synth tisent et donc perdent l information des sous unit s Ce gestionnaire offre un dimensionnement des fichiers en fonction des besoins de l utilisateur la seule limite relative reste la m moire disponible de l ordinateur savoir 64 Koctets pour le programme et les donn es Une grande souplesse d utilisation est apport e par de nom breux outils de manipulation qui facilitent le traitement des don n es dont on augmente les possibilit s tude sur une sous population sans revenir au tableau des donn es existence de rebut maniement des variables et de leurs modalit s etc 4 APPLICATION M Piron a utilis et test ce gestionnaire de donn es num riques pour une enqu te socio urbaine passages r p t s compre nant neuf types d unit s r
257. i sation qui prend la forme d un fond de carte directement utilisable par SAS GRAPH sur les donn es de base 6 CONCLUSION COMPOSITION ET AVENIR DE SI SECSO Au printemps 1987 SISECSO se compose de trois bases de donn es informatis es implant es sur le centre informatique de l EMBRAPA La base de donn es agricoles comprend plus d une centaine de variables pour chacun des recensements de 1970 1975 et 1980 Ces variables sont strictement comparables et couvrent les do maines suivants propri t de la terre utilisation du sol produc tion agricole et levage taille des exploitations Les productions de l agriculture et de l levage sont stock es dans une base de donn es sp cifiques Pour quelques 55 cultures on dispose pour chaque ann e de 1977 1984 de la quantit pro duite de la surface r colt e et de la valeur de la production pour l levage on connait la quantit et la valeur d une quinzaine de productions La base de donn es d mographiques plus r duite environ 80 variables comprend les donn es des recensements de 1970 et 1980 Comme pr c demment ces variables sont directement com parables Il s agit la fois de donn es strictement d mographiques comme le nombre d habitants les migrations ou la structure fami liale mais aussi d informations sur le logement permettant de se faire une id e la fois sur les habitants et sur leurs conditions de vie 337 SZ REA LO TOSS ARE
258. iant par identifiant et zone par zone est stock e et peut tre list e Elle est disponible pour tout traitement tris calculs de sur faces recherche des inclusions Tableau 3 1 2 Traitements infographiques et documents th matiques d riv s Le logiciel FORBAN permet de traiter et de croiser la totalit de l information stock e au cours des tapes pr c dentes infor mation g ographique information th matique de base et infor mation th matique d riv e Il peut en extraire la demande un ou plusieurs des l ments constitutifs pour en restituer une zmage sous forme d un nouveau document cartographique nouvelles composantes g ographique nouvelle carte et th matique nou velle l gende Cette op ration se d roule en trois tapes Ta bleau 4 1 21 La requ te Au cours de cette tape on s lectionne au clavier le ou les at tributs qui constituent le th me souhait et les diff rentes valeurs de subdivision pour former les classes nouvelles unit s cartogra phiques de la nouvelle l gende Cette l gende peut comporter deux ou plusieurs classes faisant chacune intervenir un ou plusieurs at tributs prenant chacun une ou plusieurs valeurs GESTION INFORMATION DE BASE TRAITEMENTS TRI RECHERCHE CALCULS DES DES FICHIERS INCLUSIONS SURFACES Liste POINTS ZONES Inclusions IDENTIFIANTS Base LISTE LISTE ZONES ZONES SURFACES SURFACES puri 7 En LIBELLES i IDENTIFIANTS COORDONNEES ZONE
259. ic ou Fortran restreignant automatiquement le public atteint aux programmeurs dans ces langages Dans les meil leurs cas c est dire limit s une poign e de logiciels produits l Institut un manuel d utilisation est r dig posteriori sans autre r gle pr tablie que l analogie avec les exemples de manuels qui accompagnent les progiciels du commerce Il convient de noter que cet effort louable au demeurant reste incomplet dans la mesure o ce manuel ne sera d aucun secours pour une ventuelle mainte nance volution post rieure De la m thode d analyse fonction nelle r sulte un ensemble de documents r unis dans le projet lo gique qui constitue la base de la documentation du syst me son 227 grand avantage est d tre produit un moment ou il peut servir de r f rence et de point de d part pour les phases suivantes figure 1 permettre le dialogue entre l analyste et le program meur En l absence de tout document de sp cification fonctionnelle ou organique l analyste est condamn devenir la fois le projet tiste et le programmeur ce qui l oblige assumer l integralit du d veloppement du syst me Cette situation s est beaucoup r p t e par le pass de telle sorte que bon nombre d analystes sont deve nus esclaves de leur produit analyste d un seul syst me faute d avoir su partager les diverses t ches Avec la complexit crois sante des applications d velopper dans la plupa
260. iciel peut donc remplacer compl tement le cahier de la boratoire ainsi que le dossier correspondant aux protocoles analytiques 9 Gestionnaire des chantillons fichier d aide 8 2 Un fichier chantillon est reli a un dossier d une biblioth que par son nom soit nomdossier E numerobib numerodos 210 Sa structure est la suivante fichierechantillon record echantillon ch10 facteurl real facteur2 real descript ch80 cordi real cord2 real cord3 real end Les touches de fonction indiqu es vous permettent F2 saisie ajoute en fin de fichier une r f rence de 10 car maxi echantillon met facteur1 et facteur2 1 met un blanc dans descript initialise 1 cord2 et cord3 32767 lt F32 correction permet de modifier la r f rence echantillon la position du curseur CF42 effacement efface l enregistrement du curseur de fichierechantillon et efface toutes les mesures correspondantes s il y en a lt 5 insertion non install e CF62 description saisie ou correction du texte descript de 80 caracteres associ l chantillon du curseur Curseur seules les fl ches haut et bas sont actives ainsi que les deux fl ches habituelles de changement de page 4 Gestion des variables fichier d aide 3 3 Un fichier variable est associ un dossier d une biblioth que par son nom nomdossier V numerobib numerodos 211 Sa structure est la suivante
261. idations r alis es en station nombre de fleurs f cond es taux de nouaison et de fructification les caract res enzymatiques r v l s par lectropho r se les caract res morphologiques l architecture et la croissance des caf iers Enfin il est utile de rappeler que la base de donnees consti tu e pour les caf iers sauvages est applicable aux hybrides des deux premi res g n rations Seules les variables de l origine sont modi fi es Le s lectionneur peut ainsi traiter ensemble les donn es des hybrides et de leurs parents 115 GESTION MICROINFORMATIQUE SIMPLIFIEE DES FICHIERS D INVENTAIRES ET LEURS ASSOCIES Philippe Bourret Ichtyologie UR 305 Antenne ORSTOM Mus um d Histoire Naturelle Paris 1 LES PETITS RIENS Les taxinomistes zoog ographes et cologistes fondent l essentiel de leur travail sur des fichiers d inventaires document s dont la taille est tr s variable suivant qu ils sont personnels ou col lectifs circonstanciels ou permanents S ils veulent simplement ar chiver des informations les mettre jour et les consulter de temps en temps le bac fiches reste pour la plupart de ces fichiers Pexp dient le moins co teux et le plus rapide Mais d s que l utilisateur envisage des traitements plus labor s tris statistiques tableaux ordonn s etc constituer un fichier informatique m me restreint devient terme un gain de temps malgr toute la rigueur et le formalisme qui fo
262. ien Paris ORSTOM S rie Hy drologie vol XVII 3 4 ROCHE M 1968 Traitement automatique des donn es hy drom triques et des donn es pluviom triques au Service Hydrolo gique de l ORSTOM Paris ORSTOM S rie Hydrologie vol V 3 VAUCHEL Ph 1985 HYDROM pour Goupil 3 Manuel d utilisation 137 CODE FLORISTIQUE DES PTERIDOPHYTES DE GUYANE FRANCAISE Cremers 1 Feuillet C 1 Granville J J de 1 Hoff M 1 amp Brisse H 2 1 Centre ORSTOM de Cayenne BP 165 97323 CAYENNE Cedex Guyane ana 2 Laboratoire de Morphologie exp rimentale Institut de Botanique 28 rue Goethe 67083 STRASBOURG Cedex France RESUME Pr sentation d une liste num rot e et hi rarchis e des Pt ridophytes de Guyane fran aise Ce code floristique a pour objectif de constituer une banque de donn es informatis es sur les foug res l Herbier du Centre ORSTOM de Cayenne CAY ABSTRACT numered and hierarchic list of the Pteridophytes of French Guiana This floristic code has as objective to esta blish a data bank of ferns at the Herbarium of the ORSTOM Center in Cayenne CAY AVERTISSEMENT L herbier du Centre ORSTOM de Cayenne CAY contient actuellement plus de 3 000 chantillons de Pt ridophytes repr sentant environ 300 esp ces il a paru utile d tablir un inventaire des esp ces de Guyane fran aise l aide de la bibliographie et des chantillons r colt s au cours de ces 15 derni r
263. ieres selon le langage et le produit utilis Dans le cas d une version compil e d un langage disposant de ressources d appels de fonction et proc dure d une part passant par une phase d dition de liens d autre part le plus efficace sera de disposer des modules objets relocables sous forme d une biblioth que compl mentaire concat ner avec la librairie standard du langage Les routines du gestionnaire d crans seront alors automatiquement inclues dans le programme d application Si l on ne passe pas par une phase d dition de liens Turbo Pascal par exemple on pr ferera un produit compos d un programme ex cutable charg avant l ex cution dans un segment de m moire distinct du segment de code et du segment de donn es syst me d exploitation MS DOS De cette facon on aura les 64K du segment de code enti rement disponible pour le programme applicatif Une autre solution moins efficace consiste incorporer les sous programmes du gestionnaire dans le programme source puis compiler l ensemble l inconv nient majeur de cette derniere solution est l augmentation de la taille du programme objet qui integre alors toutes les routines il y a n anmoins la possibilit d utiliser le m canisme de recouvrement Le dernier environnement est celui de l utilisation effective de l application d velopp e quand l op rateur ex cute les programmes qui composent le progiciel et par le biais de ceux ci manipule implicitement
264. ilisateur tous les autres types de fichiers constitu s uniquement des donn es propres une tude une station une rivi re un bassin une ann e d un groupe de stations etc Prenons pour exemple l organisation que nous conseillons un service hydrologique quip d un micro ordinateur un r pertoire RO ou se trouve le logiciel un r pertoire R1 des fichiers d int r t commun un r pertoire R2 ou se trouvent les autres fichiers de la banque des donn es hydrom triques compl tes du r seau plac sous la responsabilit du service un r pertoire R3 qui contient les donn es collect es pour l ann e en cours Le r pertoire R2 n est donc pratiquement acc d qu en consultation alors que les mises jour les critiques et les correc tions des donn es r centes se font dans les fichiers du r pertoire R3 peu volumineux donc plus ais s manipuler et sauvegarder apres chaque alt ration importante A la fin de l ann e quand toutes les donn es sont en place elles sont int gr es la banque complete Sur le centre de calcul la terminologie est diff rente mais l organisation reste la m me Des l entr e dans le logiciel l utilisateur doit indiquer l tude sur laquelle il va travailler ce qui suffira identifier le repertoire se trouvent les fichiers qu il va utiliser et dispose ensuite des fonctions offertes dans le menu des utilitaires pour extraire des donn es de la banque g
265. in qu il faudra porter au choix de cette information Nous avons maintenant entrepris nos exp riences de pseudo assimilation lors de r initialisations p riodiques du modele partir d un tat ant rieur du modele corrig objectivement l aide des observations r alis es pendant la p riode d int gration Nous pen sons tirer les conclusions des ces exp riences vers la mi 1988 et entreprendre les premiers essais en temps r el fin 1988 afin d appr cier exactement les conditions de mise en place d un pro duit op rationnel 351 20 10 4 t 0 D 10 20 55 45 35 25 1S 5 65 5 M XYSOSR40 20 nw Dm HUNE DE nee n nt s ines a ny oi 44 Li 1 pre 44 NIV dames P siasa AA tin wau EES ptt AW WA YAN IIN idr ee ILE 4447 20 S 1 5 15 55 45 35 25 65 o soog MAXIMUM vECTER S M XYS05R40 5M en xemple sortie du mod le Temp rature et courant Fig 2 octobre 1984 Fig 3 200 352 50 100 250 300 350 400 0 1 PROFONDEUR 503505 02 12 84 U 28 3 4 5 5 7 8 9 10 11 Exemple de sortie du mod le Evolution en fonction du temps de la composante zonale du courant sur l
266. inateur personnel Dans l avenir le r seau Ethernet Sun du LODYC sera reli directement celui du CCVR et de l au Cray 2 d ou l conomie du passage au CIRCE Le syst me d exploitation du Cray est UNICOS succ dan d UNIX en traitement par lots Sur le CIRCE nous utilisons le sous syst me TSO du syst me VMS XA Le langage de program 349 mation est FORTRAN 77 hors dessin le modele comprend 4600 lignes de FORTRAN Les bibliotheques utilis es sont celle de vec torisation d UNICOS et celle de trac NCAR Les sorties du mo dele sont visualis es sur cran papier Versatec et film de 35mm pour archivage et reproduction en temps d cal Quelques chiffres relatifs l ex cution des travaux sur le Cray une int gration du modele sur un mois demande environ 20 minutes de CPU et 21 Megabytes de m moire centrale Pour mener bien nos exp riences avant de passer la phase op ra tionnelle nous pr voyons plus de 100 heures CPU 2 3 Donn es Les donn es n cessaires au fonctionnement du modele sont d une part les contraintes exerc es par l atmosphere l interface avec l oc an vent et flux thermiques d autre part les observations oc aniques dont l assimilation dans le modele permet de rattraper les carts ventuels la r alit Les donn es vent ont dans la phase pr liminaire deux ori gines Elles proviennent du modele de pr vision climatique moyen terme de Reading Angleterre elles sont
267. inition de nouveaux algo rithmes Le nouveau syst me ainsi d fini nomme Hydrom a t d velopp et utilis partiellement jusqu sa presque conclusion la fin de 1984 quand le Laboratoire d Hydrologie s est transf r Montpellier Plusieurs faits concomitants ont alors conduit r examiner les orientations prises pr c demment Tout d abord le changement d quipements informatiques disponibles si Pacc s un centre de calcul CNUSC restait possible et s am liorait puisque r alis travers des terminaux interactifs et non plus en batch le Mini 6 tait remplac par des micro ordinateurs IBM PC qui allaient ensuite tre connect s en r seau D autre part la mise disposition des sections Outre Mer de micro ordinateurs permettait d envisager une saisie et une exploitation locales des donn es hydrom triques collect es d centralisation souhait e aussi bien 122 par le Laboratoire surcharg de donn es saisir que par les hydro logues expatri s soucieux d tudier leurs donn es le plus rapide ment possible et in situ Enfin le transfert de plus en plus fr quent depuis les ann es 1970 de la responsabilit de l exploitation des r seaux d observation des sections ORSTOM aux services hydrolo giques nationaux prouvait comme le point pr c dent la n cessit d un outil de gestion d centralisable Une version d Hydrom pour Goupil II sous syst me d exploitation Flex 9 a t d velopp e
268. ion Les donn es saisies de l valuation sont relatives l intensit des floraisons aux poids de cerises fraiches r colt es et aux carac t ristiques des fruits et des grains Les champs des floraisons et des r coltes ont pour nom la date de la notation Les descripteurs des fruits et des grains sont le poids de 100 grains 1296 d humidite le rendement en caf marchand le taux de remplissage des loges des fruits deux loges potentielles par fruit le taux de grains caracolis un grain par fruit le taux de loges vides la teneur en caf ine les diff rentes cat gories de cerises la longueur du p doncule des fruits les dimensions longueur largeur paisseur Les quatre premiers descripteurs sont obtenus chaque ann e sur tous les arbres fructiferes dont la r colte est pes e individuel lement La teneur en caf ine est d termin e une fois pour chaque g notype Les autres descripteurs sont utilis s selon les besoins de l valuation et leur liste n est pas close 2 L ORGANISATION GENERALE La base de donn es est form e par deux types de fichiers r pondant des contraintes et des objectifs diff rents les fichiers des individus et les fichiers de l valuation 2 1 Les fichiers des individus Les fichiers des individus sont constitu s uniquement par des variables alpha num riques repr sentant les codes des g notypes de leur origine et de leur plantation en collect
269. ion IBM PC a t d velopp e en profitant des programmes de 1 ver sion Mini 6 CIRCE et que la version CNUSC a t une adaptation de la version IBM PC Les fl ches doubles sch matisent la compa tibilit des donn es g r es par les diff rentes versions 2 DESCRIPTION DES DONN ES 2 1 G n ralit s sur l hydrom trie La finalit principale d un r seau d observation hydrom trique est de connaitre de maniere continue le d bit des cours d eau Pour cela l hydrologue choisit certains endroits qu il juge 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 HYDROM GOUPIL 3 HYDROM MINI 6 CIRCE VERSION CARTES PERFOREES HYDROM POUR IBM PC HYDROM CNUSC Figure 1 Chronologie des differentes versions du logiclel EZT 124 int ressants par leur situation pour y installer une station de me sure qui contr le les coulements d un bassin versant Comme il n est pas envisageable de mesurer directement les d bits m thodes co teuses et peu adapt es aux conditions naturelles on est conduit mesurer continuellement les cotes du niveau d eau l aide de capteurs batterie d chelles capteur de pression flot teur etc et les traduire en d bits gr ce une courbe d talonnage de la station qui fournit la relation entre la cote et le d bit Cette relation est tablie exp rimentalement la suite de mesures de vitesse en g n ral qui permettent de conna tre le de bit correspondant l
270. ion Ils sont d coup s par niveau de ploidie et par identificateur d esp ce Puis ils sont tri s sur le num ro d ordre des cafeiers L ensemble de ces fichiers forme un r pertoire du mat riel v g tal plant avec mention de la provenance g ographique 112 Ces fichiers sont cr s au fur et mesure de la plantation en collection de nouveaux g notypes Ils sont mis jour au moins une fois par an Au total ils occupent plus d un million et demi d octets Le logiciel utilis disposant de fonctions limit es les princi pales applications pratiques se r sument recenser les g notypes par esp ce pays et population trouver les positions en collection des caf iers d une origine donn e tablir la liste des caf iers morts remplacer chaque ann e reconstituer les familles pour des analyses de trans mission de caract res rechercher les g notypes qui taient adultes au mo ment de leur collecte pour tudier l influence des pressions de s lection dans les populations naturelles 2 2 Les fichiers de l valuation Les fichiers de l valuation contiennent d une part les va riables alpha num riques du code des caf iers et de leur position en parcelle et d autre part les variables num riques des donn es de l valuation Pour chaque type de donn es floraisons r coltes des fichiers diff rents sont cr s par station par parcelle par es p ce et par ann e L ann e repr sente u
271. ion 1 La collecte des donn es G rard Cochonneau MASQUE un g n rateur gestionnaire d crans utilisable par divers langages de programmation 11 Beno t Ferry amp Pierre Cantrelle S I C Syst me int gr de collecte progiciel de collecte et d analyse de donn es quantitatives sur micro ordinateurs portables 29 Agn s Guillaume et Philippe Hamelin Discussion sur la r ali sation et l application d un logiciel de traitement d enqu tes 43 Marc Henrotte Michel Lardy et Jeanne Tabbagh Tele observation informatis e des volcans actifs 53 Patrick S chet Int r t cr ation et utilisation des grilles d cran 61 Jacques Vassal Lecture et traitement in situ sur micro ordinateur de cassettes de donn es num riques de terrain 91 Jacques Vaugelade et Marie Piron Pr sentation d un ges tionnaire de donn es num riques hi rarchis es destin au d pouil lement d enqu tes 97 Session 2 La constitution de bases de donn es Francois Anthony La base de donn es des ressources g n tiques des caf iers africains en collection en C te d Ivoire 107 Philippe Bourret Gestion microinformatique simplifi e des fichiers d inventaire et leurs associ s POI 115 G rard Cochonneau HYDROM un logiciel de gestion des donn es d un r seau d observation hydrom trique 119 G Cremers C Feuillet J J de Granville M Hoff amp H Brisse Code floristique des pt ridophytes de Guyane fran aise 137 M Hoff G Cre
272. ion Technique Infor matique et elle incite les centres et missions adh rer au r seau HORIZON aide l acquisition des logiciels et mat riels aide la mise en oeuvre notamment par des formations assistance t l phonique Enfin elle d veloppe une politique active de coop ration l PORSTOM est organis en mission et chez nos partenaires scientifiques des pays du sud trois centres de documentation sp cialis s le CDS de Bondy Superficielles CDS de Montpellier Sciences de la Plante Hydrologie Sante Nutrition le CEDID de la rue La Fayette Sciences Economiques et Sociales Chaque CDS assure toutes les fonctions d un centre de documentation dans ses disci plines alimente et interroge la base participe la mise jour des outils documentaires les centres et missions outre mer qui adherent au r seau liste en annexe Une charte en cours de r daction definit les relations avec le centre fourniture dans un format commun des notices des documents dit s localement disquettes r ception des fichiers des documents ORSTOM dit s centralement il faut alors rajouter la cote locale 2 2 Les r gles Le fonctionnement du r seau repose sur une s rie de r gles et formats communs format de saisie bordereau ORSTOM pr sent en annexe format d interrogation simplifi vocabulaires communs disponibles dans la plupart des disciplines instruments de travail communs manue
273. ion de la Normalisation Fran aise Z 67 130 1987 BOURGEOIS Jacques Ateliers de g nie logiciel tat de l art et perspectives In Revue du Logiciel 1 1984 Agence de l Informatique Paris DE MARCO Tom Structured Analysis and System Specifi cation Yourdon Inc New York 1978 EMBRAPA Manual de normas e procedimentos para o de senvolvimento de sistemas de informa o EMBRAPA DIN Brasi lia 1985 Diffusion restreinte GANE Chris Rapid System Development using structured analysis and relational technology IBPI Instituto Brasileiro de Pesquisa em Informatica Rio de Janeiro 1987 GANE Chris amp SARSON Trish Structured Systems Analy sis tools and techniques Prentice Hall Inc Englewood Cliffs New Jersey 1979 256p MARTIN James Desenvolvimento de aplicacoes sem pro gramadores In Cadernos de informatica 4 1981 Compucenter Sao Paulo WARNIER Jean Dominique LCS Logica de constru o de sistemas Datamec Editora Campus Ltda Rio de Janeiro 1985 191p YOURDON Edward amp CONSTANTINE Larry Structured Design Yourdon Press New York 1978 249 Session 3 BASES DE DONNEES DOCU MENTAIRES 251 BASE DE DONN ES BIBLIOGRAPHIQUES INFORMATIS E SUR LES TUDES DE POPULATION AU CAMEROUN VOLUTION ET PERSPECTIVES Patrick Gubry D mographie CEPED Centre Francais sur la Population et le D veloppement 15 rue de l Ecole de M decine 75006 Paris RE
274. ion de type g ographique contours et zones cartographiques et une infor mation de type th matique globale contenu des unit s cartogra phiques Le produit attendu se pr sente sous forme de documents cartographiques et l gendes visualisables sur cran vid o et sur pa pier FORBAN a t d veloppe pour effectuer de mani re simple coh rente et en s quences les traitements n cessaires 300 La fonction de saisie de l information g ographique fait intervenir une digitalisation point par point sur table digita liser et sa mise en m moire sous forme hi rarchis e d arcs et de zones L information th matique globale est saisie au clavier et re li e l information g ographique La fonction de traitement a pour objectif de restructu rer les deux ensembles d information et d en extraire la demande les l ments constitutifs des cartes th matiques les contours des nouvelles zones cartographiques et leurs contenus th matiques Parallelement ces traitements permettent la restitution des docu ments de base et divers calculs en particulier celui de diff rentes surfaces La fonction de visualisation tant sur cran que sur traceur permet de d finir de facon vari e la demande tous les parametres de la restitution chelle figur s habillage CONDITIONS physiques d exploitation de l application FORBAN est actuellement utilis sur l quipement suivant micro ordinateur IBM PC XT 640 Ko RAM di
275. ion de type de champ num rique alphanum rique etc ceci parce que les langages ne repr sentent pas tous les types de la m me facon Astucieusement le type de champ est construit caractere par caractere chaque position d un champ ayant elle m me son propre type choisi parmi pour alphab tique X pour alphanum rique D pour num rique S pour signe et E pour ASCII etendu tous caracteres imprimables Cette ressource autorise la d finition de champs mixtes partie num rique et partie alphab tique par exemple L diteur permet galement d associer un certain nombre d attributs chaque champ masque d edition champ obligatoire ou non champ remplir totalement valeurs initiale maximale et minimale ces dernieres valables quels que soient les types des caracteres qui composent le champ Il est int ressant de noter ici que Masque ne fait pas de diff rence entre champ de saisie et 78 champ d affichage cette distinction ne pr sente en fait un int r t qu en mode de saisie pleine page quand les champs d affichage doivent tre prot g s d une saisie intempestive L diteur permet bien entendu de visualiser la grille cran telle qu elle se pr sente l utilisateur final en temps d ex cution et m me de la tester en simulant une utilisation r elle de la grille pour v rifier l ad quation correcte des attributs qui ont t d finis pour les champs variables L impression de l cran est possible et fournit
276. iques d acquisition utilis es profitent r guli rement des progr s r alis s notamment en lectronique et en informatique Les cons quences imm diates sont une meilleure qualit de l information un plus grand volume de donn es Le syst me CROISIERES se propose de prendre en charge une classe particuliere de donn es les profils verticaux On appelle profil vertical l ensemble des valeurs d un param tre temp rature par exemple mesur es depuis la surface jusqu une profondeur donn e en un point de l oc an et un instant d termin Afin de bien introduire cette classe de donn es il semble bon de pr senter succinctement deux syst mes d acquisition Le premier figure 1 est le type classique de station bord d un navire oc anographique Le second figure 2 beaucoup moins co teux peut tre install sur des unit s diverses et plus particuli rement sur les navires mar chands pour r aliser la surveillance de l oc an le long des lignes de navigation Cette derni re technologie est exploit e intensivement depuis 1979 dans le programme SURTROPAC SURveillance TRansOc anique du PACifique 174 SYSTEMES D ACQUISITION Unit de pont la sonde mE s ljsison HP 1B d clencheur bouteille bouteilles temps diff r eter bathysonde 02 temps r el re conductivit pression 02 Oxya ne ACOUISITION BATHYSONDE ET BOUTEILLES figure 1
277. ir un logiciel parame trable qui gere compl tement les donn es sur les disques et com porte un langage proc dural assez complet OI est un programme d environ 380Koctets suivant ses ac cessoires crit en dBASE II version 2 4 et disponible sous CP M et MS DOS version 3 0 en cours une version dBASE III compil e par Nantucket alias Clipper pour accroitre sa vitesse et d livrer des versions run time Les limites des fichiers sont les suivantes nombre de champs 32 en entr e simultan e 23 seu lement taille maximale d une fiche 1 000 caracteres nombre th orique de fiches 65 536 champs num riques entiers de 0 999 Son menu initial ci dessous donne un aper u des principales op rations qu il r alise la meilleure ad quation sur les fichiers d esp ces et leurs associ s mais en fait aussi avec une grande effi cacit sur une gamme tr s large de fichiers SORTIE et sauvegarde Nouvelles ENTREES dans le fichier RECHERCHES et CORRECTIONS INDEXATIONS du fichier ADDITION de taxons sup rieurs LISTES SOUS FICHIERS FICHIERS TEXTES INDEX GENERAL Consultation mise jour FICHIER de SYNONYMES CHANGEMENT de fichier de travail AJOUT d un fichier au fichier de travail 118 Qu il me soit permis de tirer de cette exp rience de pro grammation et de la co direction d un projet de gestionnaire de donn es bibliographiques au moins deux observations la d finition initiale
278. ire de la DASS qui n avait encore jamais pratiqu l informatique a assur la saisie et la correction des donn es Un des m decins enqu teurs a pr sent des tableaux de r sultats de l ann e 1984 lors d un s minaire en f vrier 1985 Tl faut souligner que ce m decin utilisait pour la premiere fois l informatique Une version disque dur du logiciel f t r alis e fin 1984 pour le traitement d une enqu te pluridisciplinaire au Nord Togo Une panne de disque dur seulement r solue Paris f t le probl me le plus important affront par cette quipe Cette enqu te se d composait en sept fichiers qui repr sen taient environ un total de quatre millions d octets saisir Les cher cheurs ont appr ci la facilit du micro langage pour les demandes 50 de contr le de coh rence mais ont regrett sa lenteur d ex cution sur gros fichiers Par ailleurs ils ont fait d velopper des compl ments par des informaticiens locaux Ces modules compl mentaires ont bien fonctionn ce qui pourrait signifier que notre programmation n tait pas aussi illisible que nous le croyions Au Togo il a t nouveau utilis pour une enqu te pid miologique en C te d Ivoire pour la saisie des registres de dis pensaire et aussi pour d autres saisies en Guadeloupe 6 LE BILAN D un point de vue strictement comptable nous pouvons dire que le projet a t au moins amorti par les utilisateurs en terme de gain de temps et d une
279. ire si le programme de cr ation de fichier tenait compte du format des champs Tous les fichiers sont tri s sur le code des caf iers et exploit s s quentiellement Les probl mes rencontr s proviennent du mat riel et du logi ciel Il est vident que la capacit m moire des disquettes est insuf fisante Pour le moment les fichiers sont r partis sur 28 disquettes Seul l emploi d un disque dur vitera les nombreuses manipulations de disquettes Le logiciel N D M S n a pas t concu dans le cadre d une base de donn es Il ne permet d exploiter qu un seul fichier la fois et les fonctions sont donc limit es C est pourquoi il est n cessaire d utiliser un autre logiciel de gestion plus performant et de transformer ensuite les fichiers pour acc der la bibliotheque de programmes statistiques N D M S qui est bien adapt e aux be soins des biologistes Les principales perspectives r sident dans l emploi d un autre micro ordinateur Compaq 286 avec un disque dur 20 M octets Montpellier Les donn es seront prochainement transf r es pour utiliser le logiciel dBASE III Tous les fichiers pourront alors tre index s sur le code des caf iers Cela permettra de constituer un systeme offrant de meilleures conditions d exploitation 109 INTRODUCTION Le Centre des Ressources G n tiques des caf iers africains progressivement mis en place en C te d Ivoire par ORSTOM et PLR C C Institut de Recherche du Cafe e
280. ite suffisante pour justifier un logiciel de g n ration simple de ques tionnaires et aider leur passation sur le terrain 41 D mographie Enqu tes quantitatives Statistique Suivi d individus Fichiers de population Economie Collecte d informations en tous lieux Epid miologie p ex centres d tat civil dispensaires Sant publique Entr e de mesures cliniques Collecte d informations par des agents Sant ou collectivit s locales par ex Etudes de march Etudes de consommation et relev de prix ou de productions Enqu tes d opinion Formulaires administratifs sur le terrain et toutes saisies sur le terrain L int r t de ce syst me ne se limite pas au domaine des enqu tes d mographiques ou pid miologiques des applications sont possibles pour tout ce qui concerne les collectes de donn es par un agent que ce soit dans un cadre administratif ou d investigation formulaires divers tudes de march sondage collecte de mesures diverses 9 L ETAT DU PROJET ET SA VALORISATION 9 1 R capitulation des travaux effectu s Analyse du probl me bas e sur un savoir faire en mati re d enqu te et de d veloppement de programmes informa tiques Recherche et tests de mat riels Financement et appuis Elaboration de l architecture et des modules Developpement du g n rateur en Turbo Pascal Editeur et Compilateur Elaboration d un langage de description de questionnaires LDQ D velo
281. ites informatiques on peut voir pr sent de petites machines de terrain dans les mains d agent de sant en milieu tropical aidant au diagnostic des malades sur le terrain m me Ce sont entre autres les exp riences avec des HUSKY et des BLAISE faites par le Centre Mondial Informatique et M decins Sans Fronti res 33 Pour des relev s de mesures sur le terrain et en instrumenta tion dans des milieux difficiles la m me d marche a t men e collecte sur de petits micros tous terrains et connexion des ordi nateurs plus gros 2 LE SAVOIR FAIRE SOUS JACENT De facon sommaire le savoir faire pr sent au d part pourrait se r sumer ainsi connaissance du terrain et connaissances infor matiques Ceci s appuyant sur une quipe pluridisciplinaire Deux comp tences majeures taient requises conception supervision des enqu tes et une bonne connaissance du travail du collecteur enqu teur sur le terrain Dans les diff rentes phases des op rations les savoir faire suivants taient rassembles conception r alisation d enqu tes dans les PED en d mographie pid miologie nutrition sociologie et conomie et autres disciplines connexes traitement et analyse de sources diverses telles que tats civils tudes de production budget temps comptes cono miques r alisation de syst mes param trables de saisie infor matis e sur micro ordinateur D veloppement de logiciels de tabu lation et d analys
282. ithmes sont regroup es toutes les formules de calculs math matiques g n ralement utilis es pour obtenir un l ment de donn e en fonction d un ou plusieurs autres ainsi que les expressions en langage structur et autres tables de d cision utilis es dans le syst me Chaque algorithme re coit un code A suivi d un num ro de s quence deux chiffres une d finition et la description math matique de sa logique Pour chaque algorithme il est essentiel de traiter tous les cas d exception avec l utilisateur rencontr s lorsque l un ou l autre des arguments est inconnu par exemple 237 Les d p ts de donn es enfin constituent galement des structures de donn es ces structures sont cette fois statiques alors que les flux de donn es taient des structures dynamiques Le contenu d un d p t de donn es sera donc d crit en fournissant la relation des noms de champs qui composent cette structure On pr cisera de plus le code et le nom du d p t de donn es ainsi qu une description succincte de son utilit ce stade de la conception on pourra faire une observation sur la cl primaire voire sur l organisation physique toutefois la cl peut ne pas tre unique dans la mesure o aucune normalisation n a encore t faite Pour terminer il convient de faire trois remarques impor tantes au sujet du dictionnaire de donn es en premier lieu en suivant scrupuleusement les regles dict es pour son laborati
283. ivantes de sp cification et impl mentation signifie en 240 termes de b n fices apport s par l automatisation mais aussi d efforts de ressources impliqu es de d lais attendre etc C est donc une sorte de contrat pour la mise au point du logiciel que l utilisateur signe avec l analyste responsable de la conception au nom de la totalit de l quipe de d veloppement 3 EXEMPLE D APPLICATION Pour illustrer la facon d utiliser la m thode de conception qui a t pr sent e dans cet article on s appuiera sur la production r cente d un logiciel d administration de dictionnaire PCDICO 3 1 Enonc L nonc du probl me peut tre extrait d un rapport de mis sion effectu e en mars 1987 Manaus de Frangoise Gre nand linguiste responsable scientifique du projet Il s agit de la manipulation sur micro ordinateur d un dictionnaire de plus de deux mille mots Un premier syst me rudi mentaire avait t r alis avec le concours d un programmeur br si lien sur micro ordinateur CP M de telle sorte que le fichier a t enti rement saisi Toutefois les ressources d administration de don n es tris mise jour dition de champs sont pr caires et ne per mettent pas de r aliser de mani re satisfaisante les corrections n cessaires d autant plus que le fichier 1 2 M gaoctets doit tre r parti sur 06 disquettes La migration de cette application sur PC compatible
284. iveau de d finition int grant la plupart des extensions apport es la norme Ansi 74 notamment la gestion des fichiers s quentiels index s le Level II Cobol satisfaisait deux conditions importantes de compatibilit compatibilit avec la version ant rieure permettant une adaptation sans traduction dans un autre langage des pro grammes d j crits compatibilit avec la version d velopper sur le centre de calcul Il a donc t choisi pour toute la partie de gestion des don n es 134 Cette derni re caract ristique de compatibilit a t un fac teur favorable primordial lors de la mise au point de la version d Hydrom sur le CNUSC Les programmes crits en Level II Cobol sont en effet pratiquement directement compilables sur le centre de calcul la seule adaptation n cessaire tant de substituer Masque par un autre logiciel de grilles d cran en l occurrence ISPF Le passage des fichiers s quentiel index s sur micro aux fi chiers VSAM sur le CNUSC fut de plus totalement transparent l organisation s quentielle index e tant partie int grante de la syntaxe du Cobol Par contre la totale inad quation du Cobol pour calculer ou pour les applications graphiques interactives envisag es sur micro ordinateur ajout e la non communicabilit entre les divers lan gages de programmation disponibles pour la famille IBM PC a pos de r els probl mes Ceux ci ont t r solus en utilisant le lan
285. l lect s selon une p riodicit variable journali re hebdomadaire mensuelle selon le r gime du cours d eau la pr cision de l information souhait e ou l accessibilit de la station les cotes enregistr es sur cartouches de m moire EPROM par les limnigraphes quip s de centrale CHLOE les cotes t l transmises par les stations quip es de balises ARGOS et recues en temps r el via une station de r ception 3 DESCRIPTION DU SYSTEME Le but n tant pas d entrer ici dans une description d taill e du logiciel qui num rerait toutes les fonctions disponibles nous allons dans ce chapitre donner un apercu de l organisation des donn es des services disponibles class s en quatre cat gories sai sie contr l e traitements sorties utilitaires et de la documenta tion Le logiciel est d crit plus en d tail par ailleurs notamment dans la note qui est diffus e titre de pr sentation 3 1 Organisation des donn es Les donn es d crites ci dessus sont organis es en sept fichiers principaux voir partie centrale de la figure 2 identification des stations jaugeages talonnages dossiers de stations cotes instantan es d bits instantan s d bits journaliers Chacun de ces fichiers fait l objet d un sous syst me du logi ciel accessible l utilisateur partir d un menu principal Un huiti me sous syst me rassemble des proc dures utilitaires d extraction d change de donn e
286. l objet d une publication de Granville 1986 L inventaire des esp ces v g tales r colt es sur cette montagne proche de Cayenne y est donn en appendice Cette liste a t tablie partir des carnets de r colte de de Granville Oldeman Cremers Feuillet Pr vost etc Une comparaison avec la liste tablie partir de l herbier montre d une part que quinze des 149 chantillons r colt s par Oldeman se trouvent l tat d unicata Paris P et d autre part que 17 chantillons sur 181 soit pres de 10 ont t r colt s par des personnes ext rieures l herbier du Centre ORSTOM de Cayenne et qui n ont pas laiss leur carnet de r coltes La figure 12 fournit la liste des 12 collecteurs ayant r colt des plantes sur la Montagne de Kaw Les collecteurs sont rang s en fonction du nombre croissant d chantillons r coltes La figure 13 montre la liste des chantillons collect s num ro de collecte et nom du collecteur par ordre alphab tique des familles genres et esp ces 3 4 L herbier des Commelinaceae Les Commelinaceae de Guyane forment une petite famille comportant 16 esp ces environ r parties en une dizaine de genres La figure 15 donne la liste des vingt cinq collecteurs de Commelinaceae rang s en fonction du nombre croissant d chantillons La figure 16 montre la liste des taxons de Commelinaceae et le nombre d chantillons par taxon La figure 17 pr sente la liste des chantillon
287. l La souplesse apport e en contrepartie par l indusion de proc dures en code source modifiables par le pro pom n est normalement pas relevant d autant plus que toute modification sera extr mement pr judiciable la mainte nance ult rieure des programmes L editeur d crans disponible avec Turbo Screen est particulie rement complet et offre l essentiel des fonctionnalit s que l on peut attendre d un diteur moderne aide en ligne gestion des carac t res semi graphiques trac de cadres coloriage de zones para m trage des touches de fonction manipulation de fichiers et chan gement de drive ou de r pertoire etc Il est possible tout mo ment de faire appel au syst me d exploitation et de revenir l diteur sans incidence sur le travail en cours Il offre la particula rit de sauvegarder crans ou fen tres sous la forme de fichiers ou sous la forme de biblioth ques fichiers s quentiels d o une ges tion plus rudimentaire mais simplifi e La partie constante des crans est trait e sous la forme de zones et il n y a pas de distinction priori entre les champs de sai sie et ceux d affichage La notion de zone permet une manipulation commode avec les instructions disponibles de definition d place ment recopie effacement coloriage trac de cadre ces zones peuvent de plus tre sauvegard es isol ment fen tres Pour la g n ration d crans portables couleur monochrome l editeur offr
288. l d interrogation et de saisie plan de classement Les bibliographies personnelles des chercheurs peuvent tre saisies sous TEXTO cependant le co t du logiciel 7500 F et le caractere relativement complexe des formats de saisie constituent des freins Actuellement HORIZON travaille sur un format de saisie tr s simplifi et souhaite pouvoir fournir le logiciel prix avantageux mais ceci est un probl me de budget 2 3 Microth que Enfin une microth que est associ e HORIZON pour per mettre l acc s aux documents 289 3 MATERIELS ET LOGICIELS 3 1 Logiciel Le logiciel est TEXTO choisi en raison de sa portabilit quasi universelle dans une version identique il permet une grande souplesse dans l volution d une application et dans l adaptation des structures complexes comme celles de ORSTOM Il a t adopt par beaucoup de nos partenaires CIRAD INRA INSERM Minist re de la Coop ration etc TEXTO se pr sente comme une boite outils l application est crire notamment en utilisant le langage de programmation associ LOGOTEL Il est particuli rement performant pour les applications documentaires de taille moyenne ce qui est le cas de l ORSTOM Ses deux grosses qualit s ses capacit s de tri et son format variable qui conomise la place disque ces deux qualit s le diff rencient de dBASE Ses d fauts pas de calcul sauf l addition une certaine lourdeur la saisie mais la der
289. l importance des effectifs et la diversit des origines Plus de 7500 g notypes sauvages apparte nant une quinzaine d especes de Coffea ont t collect s dans en viron 250 populations naturelles r parties dans huit pays d Afrique Les collections sont install es dans deux stations de recherche pr sentant des conditions cologiques diff rentes Les programmes de recherche bas s sur ce mat riel v g tal sont effectu s l aide de descripteurs nombreux et vari s L informatisation des donn es a commenc la fin des an n es 70 par la definition d un syst me de num rotation des g no types applicables aux caf iers sauvages et leurs hybrides des deux premi res g n rations En 1985 les deux stations de conservation ont t quip es de micro ordinateurs Goupil 3PC fonctionnant sous MS DOS Le support physique des donn es est form par des disquettes 5 360 Koctets Les logiciels utilis s pour la gestion et les analyses statistiques ont t d velopp s par Noirot D jardin Mullon et Savy N D M S en Sbasic Publication ORSTOM paraitre La base de donn es con ue a pour objectifs de permettre la gestion des caf iers plant s en relation avec leur origine g ographique constituer un r pertoire du mat riel v g tal dispo nible standardiser les descripteurs utilis s dans les tudes g n tiques et agronomiques faciliter l acc s et l exploitation des donn es de l valuation
290. la m me facon en temps de projet physique on pourra indiquer le code mn monique du fichier correspondant Comme un m me champ peut figurer dans plusieurs flux et tre contenu dans plus d un d p t de donn es il est indispensable de pr voir plusieurs occurrences tant pour l origine que pour le stockage Le domaine des valeurs possibles est implicitement d fini par le type du champ num rique ou alphanum rique Un ntervalle de valeurs peut normalement tre donn pour les champs num riques le fait de pr ciser les valeurs minimale et maximale d une variable en permettra une v rification plus rigoureuse Dans cer tains cas il est n cessaire de pr ciser une valeur ou un tat par d faut Bien entendu l unit de mesure doit galement tre not e en temps de projet logique en accord avec les pr f rences de l utilisateur dans le cas o le logiciel pr voit la conversion d unit s de mesure pour une variable d termin e on utilisera deux champs differents 236 La taille d un champ dont on connait d j le type sera sim plement repr sent e sans faire r f rence au mat riel par un masque d dition Dans le cas ou le champ possede plusieurs occurrences ta bleau on en notera le nombre pendant la phase de conception La codification d un champ sera repr sent e simplement dans le dictionnaire de variables par le num ro d identification de la table utilis e pour d codifier le champ en question
291. les traitements statistiques peuvent tre entrepris sur PC ou site plus important 7 LES EXPERIMENTATIONS EFFECTUEES L ensemble d une telle approche a t exp riment e tous les niveaux pour sa mise au point et en assurer sa validit Plusieurs groupes d exp rimentation mise au point ont t effectues En bureau pour se familiariser avec les sp cificites des machines et en valuer les possibilites pour examiner mettre au point et exp rimenter les adaptations envisager au niveau du clavier d velopper diff rents programmes de saisie et les essayer avec du personnel exp rimenter et mettre au point la formation labo rer pour faire ex cuter les t ches par du personnel non qualifi mettre au point et exp rimenter les routines de d but et de fin de session de transfert des donn es 38 A Dakar Saisie de registres d tat civil Il a paru int ressant d exp rimenter ces premieres approches par des op rations de saisie en situation Plusieurs s ries d exp rimentations ont t men es dans les centres d tat civil de Dakar en collaboration avec la Direction de la Statistique du S n gal mairie du ler arrondissement Centre principal d tat civil H pital de Fann Le but tait de mettre en oeuvre l ensemble de la d marche et d en valuer les possibilit s et les limites A Dakar En enqu te simple sur le terrain L exp rimentation a eu lieu avec le personnel enq
292. les fen tres et crans cr s par le gestionnaire 4 DESCRIPTION DE EDITOR TELADOR Le syst me d administration d crans mis au point par l quipe franco br silienne du programme SISGEO entre dans la cat gorie des produits dont la description font l objet de cette note Il est utilisable en Turbo Pascal pour les syst mes d exploitation CP M 80 et MS DOS Rudimentaire il convient bien pour servir d exemple et illustrer dans le d tail ces propos Comme son nom l indique il se compose de deux l ments distincts un diteur pour dessiner les crans telas en portugais et une bibliotheque d acces appel e telador 71 4 1 Editor L diteur est un programme qui permet la cr ation et la maintenance de fichiers standardis s contenant l image et la d fi nition des crans qui seront utilis s dans l application en cours de mise au point Pendant une session d dition on dispose de toutes les faci lit s pour dessiner la grille d cran sur le moniteur la d finition des champs qui seront consid r s comme variables c est dire non connus lorsque l on construit la grille mais seulement d termines en temps d ex cution du programme applicatif est faite gr ce aux caract res sp ciaux plac s sur la grille elle m me Les conventions suivantes sont adopt es un repr sente le contenu d un champ alpha num rique non prot g c est dire accessible par l utilisateur En pratique il s agira donc d un
293. lev allonge le temps d installation de l application et tend confondre l utilisateur final certaines op rations comme la visualisation d un cran ou l affichage des champs sont relativement lentes Le fait qu elles soient crites en langage de haut niveau est une des raisons de cette lenteur De plus comme on a cherch liminer au maxi mum les param tres des proc dures l appel WriteVar crit sys t matiquement tous les champs sur l cran ce qui est extr mement peu performant Telador 2 simplifie le plus possible l interface avec le programme h te une proc dure unique est utilis e et est appel e avec trois param tres nom de l cran num ro de la variable consid rer et nom de zone de transfert L affichage d une variable est ainsi r alis en fournissant le champ visualiser dans la zone de transfert si la grille n est pas pr sente l cran elle est automati quement visualis e Le r sultat d une saisie est galement obtenu dans cette m me zone Pour r duire encombrement du fichier cran on a exploit le fait que la grille contient en elle m me toutes les caract ris tiques des champs format position longueur et masque sont fournis par les caract res sp ciaux utilis s Telador 2 utilise donc des fichiers de taille fixe 2K et construit le dictionnaire de variables chaque fois qu il est n cessaire Le probl me de la multiplication des fichiers caus par le
294. lite sont pr lev es chaque jour afin d assurer une surveillance r guli re de l difice volcanique Le volcanisme t moigne de la dynamique de notre planete il en est une des manifestations les plus spectaculaires que l activit volcanique soit associ e la cr ation dorsale ou la destruction arcs insulaires marges actives de cro te oc anique ou encore qu elle se manifeste sous forme de points chauds intraplaque l tude de ces ph nomenes reste essentielle pour la compr hension de la vie de la terre 54 1 SURVEILLANCE PERMANENTE DES VOLCANS Les mesures faites par des groupes de sp cialistes de diverses disciplines autour d observatoires permanents dispos s sur quelques volcans n cessitent des moyens importants qu il parait difficile de mettre syst matiquement en oeuvre sur les quelques 500 edifices actifs la surface de la terre tant le d ploiement de tels observatoires est co teux Ces op rations qui restent essen tielles pour une meilleure compr hension des m canismes volca niques et des ph nom nes associ s la dynamique de notre plan te peuvent tre compl t es par des observatoires plus simples Les techniques spatiales permettent d assurer des mesures automatiques et permanentes pour un ensemble de parametres significatifs en regard des difices concern s Un suivi dans le temps de l volution des volcans peut ainsi contribuer au pilotage d op rations lourdes et appro
295. loc en modifier et en contr ler la taille etc Le bloc sert galement de cible aux commandes appel es de boites et lignes destin es tracer des cadres et des lignes de s paration dans un bloc Couleurs et attributs vid o sont galement g r s de facon tres complete Le mode dessin est une caract ris tique int ressante de l diteur fourni par Screen Maker il permet 83 de tracer une figure de forme quelconque situplemcut en agiss sur les touches de direction du curseur La definition des champs d entr e sorties est r alis e durant la phase d edition de l cran ils sont rep r s par des caract res sp ciaux diff rents pour les champs de saisie et d affichage plac s dans les positions d sir es sur l cran Le type de champ sp cifi par une lettre situ e apr s le dernier caract re du champ caracte riser est choisi entre s pour string 1 pour entier r pour r el t pour heure et d pour date Ces deux derniers champs s ils existent pro voqueront l affichage de l heure et de la date syst me aux endroits indiqu s Les attributs vid o et la couleur des champs peuvent tre de finis ind pendamment champ par champ par contre certaines autres caract ristiques champ obligatoire ou non cho ou non devront tre g r es par le programme h te Screen Maker associe l impression de l cran et du diction naire de variables l op ration qui consiste g n rer la procedure en code source
296. lon la forme d finitive mais la date de cr ation du document ne change pas Exemple 831007 pour le 7 octobre 1983 29 PR Producteur s du document dans la base Le producteur est le responsable de l entr e d un document dans la base Il est repr sent par un num ro voir liste I peut y avoir plusieurs producteurs un pour la r f rence principale et d autres pour les nouvelles r f rences du champ NOUVREF En revanche des corrections orthographiques ou de simples ajouts dans une r f rence existante n entrainent pas l ajout d un producteur suppl mentaire Quand il y a plusieurs producteurs les divers chiffres sont s par s par une virgule sans espacement Exemple 1 1 2 30 SITU Situation physique de l ouvrage H s agit du lieu l ouvrage peut tre physiquement consult voir liste 280 Ce champ est rempli en fonction de l une quelconque des r f rences correspondant soit aux champs AU COLL soit au champ NOUVREF ou de l un quelconque des volumes si plusieurs vo lumes sont r f renc s dans le m me document Cela veut dire qu un organisme est mentionn dans le champ SITU s il possede une des r f rences ou un des volumes cit s S ecrit en majuscules Si un ouvrage a t rep r dans plu sieurs lieux ceux ci sont s par s par une virgule sans espacement Exemple IFORD ISH ORSTOM 31 CONTENU Contenu Il s agit d un r sum de l ouvrage d un commentaire d une analyse
297. lons provenant du Surinam et du Guyana ceci en raison de la r daction de Flora of the Guianas Par change des chantillons des autres pays d Am rique latine ont galement t int gr s l herbier de Cayenne Le figure 6 montre la r partition des sp cimens selon les 13 pays de provenance R partition des chantillons par station de collecte Le quart de l herbier provient des quatre stations syst matiquement pr lev es L herbier de la Piste de Saint Elie repr sente 1096 de l herbier de Guyane Ceci est d principalement aux inventaires cologiques qui y sont effectu s L herbier de la r gion de Sa l avec pres de 1396 des sp cimens regroupe plusieurs localit s sur une superficie nettement sup rieur celle de la Piste de Saint Elie Figure 7 3 2 L herbier GRENAND Une exploitation d taill e de l herbier Grenand Ethnobota niste ORSTOM d pos au Centre ORSTOM de Cayenne a t effectu e Pour l instant seuls les chantillons Grenand ont t trait s l exclusion des sp cimens Grenand amp Pr vost 16 et Pr vost amp Grenand 62 La figure 8 donne la composition de cet herbier La figure 9 pr sente la liste des num ros de collecte dans l ordre alphab tique des noms de taxons La figure 10 montre la r partition des taxons dans l ordre croissant des num ros de r colte 3 3 L herbier de la Montagne de Kaw Les observations floristiques de la Montagne de Kaw ont fait r cemment
298. lorence 5 12 juin 1985 Revue Science et Technique s rie Sciences Hu maines Science and Technology Review Social Sciences Series Yaound vol HI n9 3 4 pp 93 99 POPCAM R partition des index par champs possibilit d interrogation et diverses caract ristiques 261 POPCAM R partition des index par champs possibilit d interrogation et diverses caract ristiques index champ s interrogation mise jour longueur nombre d articles dur e appro en mode invers diff r e maximum des introduits ximative de automatique articles Septembre 1987 r alisation 4 77 MHz IAU AU 35 1911 60 mn IAUC AUC INAUC 46 214 90 mn IANNEE ANNEE 4 112 12 mn IREVUE REVUE 46 282 35 mn ILED LED 20 159 20 mn IED ED 46 363 33 mn ILAN LAN 2 7 10 mn 24 11 12 mn ISCHAP SCHAP 36 99 30 mn IDES DES CDES 36 295 70 mn IPROV PROV 2 11 10 mn ILIEUX LIEUX 30 403 25 mn IETH ETH 12 94 16 mn ICETH CETH 12 19 10 mn IDATE DATE 6 293 14 mn ISITU SITU 8 10 12 mn N B la longueur des articles prises en compte par un index est au maximum de 47 caract res La longueur figurant ici est celle des index d interrogation Pour les corrections une longueur plus grande a t utilis e pour les champs de longueur fixe Pour les index qui ne sont pas en correction automatique le nombre d articles introduits correspond ceux qui figurent dans les derniers i
299. manual do usuario Domingues N amp S chet P Ferramentas para implementa c o de aplicac es tela cheia 91 LECTURE ET TRAITEMENT IN SITU SUR MICRO ORDINATEUR DE CASSETTES DE DONNEES NUME RIQUES DE TERRAIN Jacques Vassal G ophysique UR 105 Milieu Physique et Environnement Climatique Centre ORSTOM BP 1386 Dakar S n gal RESUME Afin de pouvoir traiter imm diatement sur le terrain des donn es g ophysiques enregistr es sur cassettes standards sous forme num rique nous avons d velopp un logiciel de lecture et de traitement de ces cassettes sur micro ordinateur une br ve description du format d acquisition des donn es on pr sente les diff rentes fonctions du logiciel lecture et d codage de la cassette traitement sur les fichiers et restitution du signal analogique sur imprimante INTRODUCTION Lors de campagnes d enregistrement d un signal naturel en G ophysique variations g omagn tiques courants t lluriques ondes sismiques il est important de pouvoir traiter sur place au moindre co t les donn es recueillies et en particulier de visualiser le signal enregistr afin de d tecter imm diatement toute anomalie de fonctionnement et de suivre l volution temporelle du signal Nous avons adapt et am lior sur micro compatible IBM PC un programme de lecture de cassette du laboratoire de Mosnier CNRS sur HP 1000 en y ajoutant un module de restitution du signal a
300. mat riel informatique standard bon marche 96 D autre part les disquettes obtenues peuvent tre trait es completement des le retour au laboratoire avant m me la fin de la campagne de mesure Les fichiers sont en effet directement utili sables par nos programmes Fortran d analyse et de mod lisation eux aussi adapt s sur micro On mesure les progres obtenus par cette technique quand on sait qu il nous fallait deux ans pour obtenir les m mes r sultats du temps de l enregistrement analogique n cessitant une num risation en France et encore quatre six mois avec le d pouillement des cassettes sur HP 85 et les probl mes de compatibilit des fichiers au format IBM que ce syst me amenait 97 PRESENTATION D UN GESTIONNAIRE DE DONNEES NUMERIQUES HIERARCHISEES DESTINE AU DE POUILLEMENT D ENQUETES Jacques Vaugelade amp Marie Piron D mographie et Statistique UR 702 Centre ORSTOM de Ouagadougou B P 182 Ouagadougou Burkina Faso RESUME Le d pouillement d enqu tes est la suite d op rations qui conduit du questionnaire au tableau de fr quence appel aussi tableau statistique crois ou de contingence Cette suite d op rations comprend des modules obligatoires description des variables description des contr les saisie et correction calcul des nouvelles variables et tabulation Le questionnaire pr sent ici offre la particularit de traiter des questionnaires hi rarchis s et de permettre une saisi
301. mations existantes relatives aux conditions de d veloppement de l agriculture br silienne conditions physiques mais aussi hu maines Initialement le projet SISECSO apparaissait plus comme une r ponse une demande de type technocratique qu un pro gramme de recherche centr sur une probl matique Rien de bon ni d interessant n aurait pu sortir d une telle approche faisant l impasse sur 1 la d finition pr cise d un probl me scena due et l nonc de quelques hypotheses y afferent 2 laboration d un cor pus statistique en parfaite ad quation avec les concepts qu il est cens repr senter 3 l imm diate mobilisation de la totalit de l arsenal des techniques d analyse Ce diagnostic a eu pour cons quences le choix d autres fina lit s et d autres moyens que ceux pr vus initialement Probl matique et m thodologie la dynamique r gionale des cerrados Les cerrados sont compos s de la partie p riph rique de plu sieurs r gions br siliennes tr s diverses couvrant une grande va ri t de niveaux de d veloppement Le g ographe est directement conduit observer et comprendre le processus de formation de ce qui n est pas une vraie r gion g ographique mais qui pourrait le devenir 322 La base de donn es r alis e dans le cadre de SISECSO constitue la fois le moyen et un produit de la recherche C est le moyen car il est pr f rable d asseoir l essentiel du travail de re cherche sur la petite c
302. meilleur c est cela servira peut tre un jour et tant mieux si l informatique per met de s y retrouver plus facilement Celui du technocrate avec une telle masse de donn es je vais pouvoir truffer mes rapports de tableaux de chiffres judicieusement choisis pour venir l appui de mes conceptions Celui du technicien agricole enfin je vais pou voir d finir avec pr cision o je peux planter mes carottes Celui du responsable scientifique l avenir c est l informatique d ailleurs voyez la recherche s informatise toute allure Celui du chercheur agronome ou sociologue classique tout cela ne remplacera jamais ma solide exp rience de terrain ce qu il faut c est sentir les liai sons et les illustrer par quelques donn es bien choisies Curieuse ment le g ographe concevant sa discipline comme l analyse des structures de l espace sera peut tre le plus d cu par ce genre de r alisation En effet pour conduire quelques d couvertes int res santes la m thodologie quantitative requiert au moins trois condi tions pr alables 1 la d finition pr cise d un probleme scientifique et l enonc de quelques hypotheses y aff rent 2 la constitution d un corpus statistique en parfaite ad quation avec les concepts qu il est cens repr senter 3 l imm diate mobilisation de la tota lit de l arsenal des techniques d analyse Dans le cas du pro gramme SISECSO aucun de ces trois points n tait pleinement re pr sent
303. mention multig dactyl ou manus est plac e une seule fois la fin En re vanche lorsqu il y a plusieurs volumes la mention correspondante est r p t e pour chaque volume s il y a lieu Pour un chapitre issu d un ouvrage collectif le champ PAGES comprend le nombre de pages de l ouvrage collectif suivi de la pa gination du chapitre apr s une virgule suivie d un espacement cette pagination est constitu e des num ros des pages extr mes du chapitre s par s par un tiret et plac s apres l abr viation pp suivie d une espacement Dans un article de revue le champ PAGES est constitu des num ros des pages extr mes de l article dans la revue s par s par un tiret et plac s apres l abr viation pp suivie d un espacement Dans le cas d un article une seule page le num ro de la page suit l abr viation p suivie d un espacement La champ PAGES se termine par un point Exemple Cas d un ouvrage un volume pagination simple 128 p 103 p manus 57 p multig 26 p dactyl 25 p annexes 36 p 1 carte h t non pagin Cas d un ouvrage pagination multiple concernant le m me crit V 42 p Cas d un ouvrage pagination multiple concernant des crits diff rents 31 p 31 p 65 95 p nmultig Cas d un ouvrage plusieurs volumes 50 p 219 p x p 151 p 51 p multig 155 p multig 57 p multig 274 Cas d un chapitre issu d un ouvrage collectif 447 p pp 203 224 Cas d un a
304. meroun dans les disciplines contenues dans la base les centres de documentation largissement de la prospection et mise jour les bases de donn es bibliographiques ext rieures les petits s minaires sp cialis s dont les communica tions restent souvent du domaine de la litt rature tn formelle les autres services producteurs clairement identifi s Enfin les contacts personnels directs ne doivent pas tre sous estim s En particulier un contact direct avec la cinquantaine de d mographes travailant actuellement sur le Cameroun peut permettre d approvisionner continuellement la base de maniere tres directe et donc de faire connaitre les travaux de ces derniers 6 PERSPECTIVES Au niveau de la base elle m me l objectif est dans l immediat de rendre le syst me plus convivial en faisant apparaitre une s rie de menus tant pour les ajouts que pour la correction et l interrogation Deux possibilites existent cet effet dans Texto les documents de dialogue et le module Logotel Les premiers ont d j t test s 259 Cependant m me en l absence de ces crans d aide un simple compl ment aux instructions peut permettre quiconque de mettre en oeuvre instantan ment les fonctions essentielles que sont les divers types de corrections la saisie de nouvelles r f rences et les interrogations simples Le manuel d instructions doit donc tre compl t la fois par un mode d emplot plu
305. mers C Feullet et J J de Granville AUBLET la banque de donn es de l herbier du centre ORSTOM de Cayenne premiers r sultats 145 Jean Jacques Lechauve Le syst me de donn es CROISIERES 171 Fran ois Miss que GEOMER une base de donn es de g o physique marine 189 Marc Pansu La gestion des donn es de laboratoires d analyses physico chimiques exemple d application MIDAS 203 Patrick S chet M thode d analyse structur e pour la mise au point de logiciels 221 Session 3 Bases de donn es documentaires Patrick Gubry POPCAM base de donn es bibliographiques informatis e sur les tudes de population au Cameroun volution et perspectives 251 Chrishane Humbel Logiciels d application la gestion de la biblioth que gestion des commandes d ouvrages et gestion des pr ts 281 Jean Paul Rouz Fowllet HORIZON base bibliographique ORSTOM pr sentation 285 Session 4 Informations g ographiques Paul Faure et Claude Benizri FORBAN un logiciel infogra phique de cartographie th matique d velopp et portable sur micro ordinateur compatible PC 299 Philippe Waniez SISECSO ou l informatique au service d une recherche en g ographie humaine la dynamique spatiale des cerrados au Br sil 321 Session 5 Mod lisation Alain Morli re Exp rience d utilisation d un super calcula teur pour la mise au point d un modele oc anographique op rationnel 343 Session 1 COLLECTE DES DONN
306. mographie 205 Bel m Br sil HENROTTE Marc CNRS Garchy HOFF Michel Botanique 201 Cayenne LALOE Francis Statistique Paris Orsay LANGLOIS Economie 203 Paris LAPOUILLE Andr G ophysique 106 Brest LARDY Michel G ophysique Noum a LEBOZEC Jean Fran ois Informatique SIG Paris LECHAUVE Jean Jacques Informatique COB Brest LEGELEY Annick G ophysique Bondy LORTIC Bernard T l d tection 403 Bondy 356 LISTE DES PARTICIPANTS suite MARTIN Jean Yves MICHAUX Monique MORETTI Christian MORLIERE Alain MORO Barth l my MULLON Christian PANSU Marc PERROT Marie H l ne PICHON Gaston PIRON Marie PONCET Yveline RAMBAUD Dominique ROUX Maurice ROUX FOUILLET Jean Paul SCHWARTZ Andr SECHET Patrick TABBAGH Jeanne TREUIL Jean Pierre VAUGELADE Jacques VERNEUIL Marie Paule WANIEZ Philippe ZENERINO Claude Informatique Botanique Oc anographie Informatique Statistique Chimie Documentation Biomath Statistique G ographie Physi Chimie Statistique Documentation Valorisation Informatique Informatique D mographie Cartographie G ographie Informatique 707 101 U F LIA HOR 704 403 203 CSs7 57 HOR 502 SIG 702 502 LIA Paris Montpellier Paris Paris LODYC Paris Bondy Bondy Paris Bondy Ouagadougou Bondy Bondy Montpellier CNRS Bondy Paris Brasilia Br sil CNRS Garchy Paris Ouagadougou Bondy Brasilia Br sil Bondy
307. mpagn e d un dic tionnaire des variables correspondantes num ro position sur l cran et format d dition de chaque champ variable utilis par le programmeur pour la codification Le gestionnaire de grilles d cran est une subroutine appel e par les programmes applicatifs et sert d interface avec les crans Il fournit essentiellement trois fonctions affichage d une grille d cran ce qui suppose l ouverture et la lecture d un fichier correspondant ou la recherche dans une biblioth que d crans et la visualisation proprement dite criture d une valeur dans le champ variable corres pondant prot g ou non destin informer l utilisateur du systeme r cup ration de l information fournie par l op rateur partir de la grille d cran et mise disposition du programme h te L utilisateur dispose pour la saisie de toutes les capacit s d dition plein cran Trois types de champs sont d finis num rique fixe num rique flottant et alphanum rique Le transfert des informations saisies avec le programme h te se fait chaque champ obtenu ce qui apporte un maximum de souplesse pour la validation qui doit tre codifiee dans le programme principal L adoption d un outil de ce type est de nature optimiser la mise au point des syst mes applicatifs qui font intervenir de la sai sie de donn es sur crans format s Il favorise en outre la normali sation des programmes produits donc la
308. mple 789 chantillons r partis entre 34 familles ne sont d termin s qu au niveau de la famille ce qui montre le chemin qui reste parcourir pour une bonne connaissance de la flore guyanaise La figure 4 indique les especes comportant plus de 50 chan tillons dans l herbier les genres pour lesquels plus de 50 chantil lons de l herbier sont ind termin s au niveau de l espece et les fa milles pour lesquelles plus de 50 chantillons ne sont d termin s ni au niveau du genre ni celui de l esp ce R partition des chantillons par collecteur Les 10 071 pre miers chantillons ont t r coltes par 138 collecteurs ou groupes de collecteurs La figure 5 pr sente la liste des collecteurs ayant r 148 colt plus de 100 chantillons Dix neuf collecteurs ont rassembl s eux seuls pres de 8296 des sp cimens de l herbier Afin de permettre plus de souplesse dans la gestion des noms de collecteurs les collecteurs multiples sont not s ind pendam ment des noms simples Par exemple Grenand amp Pr vost Pr vost amp Grenand sont consid r s s par ment de Pr vost seul ou Grenand seul Par la suite les chantillons des deux collecteurs Grenand Grenand amp Pr vost d un c t Pr vost Pr vost amp Grenand de l autre c t sont regroup s R partition des chantillons par pays Bien que centr sur la Guyane Fran aise l herbier du Centre ORSTOM s est enrichi surtout r cemment d chantil
309. mple et claire pour ser vir de v hicule de communication entre toutes les parties int ress es par la realisation d un systeme Le diagramme correspon dant peut alors tre consid r comme un modele logique du sys teme d velopper De cette facon le probleme principal absence de langage commun entre l analyste et l utilisateur est r solu sans que l analyste ait besoin de tout connaitre de la sp cialit dont rel ve le logiciel il n aura poser des questions que sur les informations qui 230 doivent tre manipul es et qui sont repr sent es sur le dia gramme et sans que l utilisateur n ait plus apprendre de l informatique que les quelques symboles utilis s dans cette repr sentation graphique Une autre particularit de ces diagrammes est qu ils per mettent une approche descendante top down du systeme en au torisant une d composition successive de chaque fonction mise en vidence dans une premi re repr sentation pour fournir un nou veau diagramme de niveau plus d taill Une fois les diagrammes labor s les entr e sorties de don n es qu ils mettent en oeuvre sont d crites et d taill es de mani re construire le dictionnaire de donn es Celui ci constitue le second produit essentiel de l tape de conception il s agit d une structure ad quate pour recevoir tout le d tail descriptif des donn es et de la logique des fonctions qui les transforment 2 2 Les diagrammes de flux d
310. mploie galement le terme masque d cran au lieu de grille lensemble des champs constants pouvant tre vu comme un masque coll sur l cran la partie dynamique de l cran se r dui sant alors aux champs variables les trous du masque Nous ne traiterons pas s par ment les menus qui seront consid r s comme un cas particulier de grille avec un seul champ variable le numero de l option choisir et autant de champs constants que d options offertes Des menus plus professionnels peuvent tre labor s en d finissant un champ variable devant chaque option et en d pla cant une fleche d un champ l autre pour faire son choix Le logiciel Masque se compose de deux parties distinctes et ind pendantes Figure 1 un g n rateur de grilles d cran qui permet de definir des grilles de les modifier de les imprimer de les tester 14 GRILLE DEFINIE TESTEE GRILLE T E UTILISEE PROGRAMME D APPLICATION GENERATEUR DE GRILLES D ECRAN MASQUE GRILLE IMPRIVEE Figure 1 15 un module appel Masque qui int gr dans un programme d application permet d utiliser ces grilles Pour le g n rateur de griles et pour le programme d application une grille est avant tout un fichier que nous con viendrons d appeler dans toute la suite fichier grille Ce fichier est ind pendant du langage de programmation dans lequel sera crit le programme qui l utilisera Pour le modul
311. n R sultats de la saisie g n ration d un record pour chaque questionnaire et cr ation d un dictionnaire des variables la fin du sous questionnaire une op ration appel e du menu principal provoque le retour au niveau plus un et ainsi per met la continuation du sous questionnaire du niveau sup rieur la fin du sous questionnaire dominant qui correspond la fin du questionnaire Actions v rification des enregistrements et ventuellement retour la saisie fonctionnalit s suppl mentaires l dition d tat du questionnaire sous forme d un dictionnaire ou de l architecture et la visualisation de l arborescence du questionnaire EDITEUR cr e plusieurs fichiers dont trois seront ex ploit s par le compilateur b Compilateur Il traite les fichiers g n r s par l diteur en vue de la g n ration d un fichier param tres pour la machine de terrain 5 2 L interpr teur Il est install sur la machine de terrain machines sous CP M ou MS DOS Logiciel d velopp Ce logiciel est charg dans le machine de terrain avec le fichier param tres correspondant au questionnaire pr alablement saisi L interpr teur fonctionne selon le fichier param tres Fonctionnalit s de l interpr teur ex cute pas pas les instructions du LDQ administre les questions en tenant compte des filtres stocke les questionnaires en fichier 5 3 Le logiciel de pr paration au traitement Fonctionnalit s
312. n es et des requ tes l aide de grilles de saisie aussi bien sur micro ordinateur que sur gros systeme la d cision de d velopper un gestionnaire d cran MASQUE et certains outils de manipulation de r pertoires limplantation du logiciel inachev en trois lieux differents dont une configuration en r seau de micro ordinateurs afin de le tester en vraie grandeur avant sa diffusion plus g n rale 1 HISTORIQUE OBJECTIFS En 1967 le Bureau Central Hydrologique de ORSTOM bas Paris a d cid d informatiser la gestion des donn es issues des r seaux d observation hydrom trique exploit s par les sections hy drologiques Outre Mer Deux raisons ont motiv cette d cision le grand volume de donn es d j collect es par les r seaux de plus en plus denses install s dans pratiquement tous les pays d Afrique francophone depuis 1950 121 le b n fice qui pourrait tre tir de cette gestion in formatique pour exploiter ces donn es par calcul automatique Une fois definis les formats dans lesquels seraient conserv es les donn es le BCH s est dot d un atelier de saisie quip d une table digitaliser et de perforatrices de cartes support choisi pour stocker l information Parallelement en l absence de personnel spe cialis les hydrologues affect s ou de passage au BCH ont t for m s au langage Fortran choisi pour d velopper les programmes de gestion et d exploitation sur les ordinateu
313. n cycle annuel de repro duction Ainsi les donn es de fructification sont enregistr es avec la m me ann e que celles des floraisons correspondantes Les fichiers disponibles des floraisons des r coltes et des ca ract ristiques des fruits et des grains occupent environ deux mil lions d octets 3 PROBLEMES ET PERSPECTIVES Les probl mes rencontr s proviennent du mat riel et du logi ciel Il est vident que la capacit m moire des disquettes est insuf fisante Pour le moment les fichiers sont r partis sur 28 disquettes Seul l emploi d un disque dur vitera les nombreuses manipulations de disquettes pendant les travaux de gestion Le logiciel utilis n a pas t con u dans le cadre d une base de donn es Les fichiers sont exploit s s quentiellement et s pare ment Les fonctions sont donc limit es Par ailleurs le logiciel r serve syst matiquement 8 octets par variable Avec un programme de cr ation de fichier tenant compte du format des variables il sera possible de diminuer des deux tiers la taille du r pertoire Les meilleures perspectives d am lioration r sident dans l emploi d un autre micro ordinateur Compaq 286 avec un disque dur 20 M octets Montpellier Les fichiers seront prochainement 113 transform s pour tre exploit s avec un logiciel de gestion plus performant et plus r pandu tel que dBASE III L ouverture simul tan e de plusieurs fichiers permettra d effectuer des op rations
314. n d sire traiter Le programme de tabulations crois es permet de traiter simultan ment une deux ou trois variables Il existe une possibilit de filtrer les individus statistiques La construction des filtres l aide du m me micro langage que pour les contr les de coh rence Il est aussi possible de red finir le minimum le maximum et les valeurs d exception de chacune des variables dans ce cas les valeurs apparaissant en dehors des nouvelles limites rejetteront l individu dans la cat gorie rebut qui ne sera pas prise en compte lors du calcul des statistiques Enfin un petit programme permet de transformer les fichiers de donn es en binaire et acc s direct en fichiers s quentiels EBCDIC en vue de leur transfert et ou de leur utilisation avec d autres progiciels de traitements statistiques En plus des utilitaires de sauvegarde et de formatage de dis quettes il a t r alis au Togo par l quipe Levy Pilon d autres programmes en particulier un de recodage qui faisait d faut 4 LA REALISATION Le projet tait peu ambitieux au d part la dur e pr vue pour sa r alisation tait de deux mois Il est vrai que fin janvier une premi re version du logiciel tait mise en test le module traitement 49 comportant alors qu un programme Mais au minimum deux mois et demi ont t n cessaires pour les tests et la mise au point Nous avions sous estim la dur e de la phase test et mise au point qui est
315. n maximum Le choix de ce symbole en temps de conception et son appartenance au dic tionnaire de variables est une garantie vidente d homog n it post rieure 235 La description aussi pr cise que possible est normalement obtenue aupr s de l utilisateur ainsi que le nom d usage courant optionnel destin conserver comme pseudonyme la d signation usuelle traditionnelle dans la discipline par exemple TX et TM pour les temp ratures maximales et minimales sont des symboles consacr s par les climatologistes La structure d un champ est destin e maintenir dans le dic tionnaire de variables une information sur les champs compos s et la relation entre les divers l ments d une m me structure Elle pourra tre repr sent e par un ensemble comme XX Y XX re pr sente le num ro de s quence d un champ compos dans un groupe flux ou d p t et Y le num ro de s quence d un sous champ dans ce champ Par exemple DATE 01 JOUR 01 1 MOIS 01 2 ANNEE 01 3 L origine d un champ peut tre sp cifi e ce stade du deve loppement par le code du flux de donn es ou de l algorithme qui lui donne naissance Toutefois dans la phase post rieure de sp ci fication il sera plus int ressant d indiquer le code du formulaire ou de l cran pour les champs qui proviennent d un flux de don n es Le stockage est not partir du code d identification du d p t de donn es qui contient ce champ de
316. nalogique Les logiciels graphiques que nous avions ne permettant pas le trac en continu d une s rie temporelle longue sur plusieurs m tres de papier nous avons cr e ce module de trac mam directement une imprimante graphique matri cielle La configuration minimale pour l utilisation de ce logiciel est un micro PC avec 256 ko et une imprimante matricielle 92 1 ACQUISITIONS Les chaines d acquisition sont constitu es de deux capteurs magn tiques H nord et D est et de deux lignes t lluriques de 500m chacune orient es NS et EW Le signal naturel ainsi recueilli est chantillonn et stock sous forme num rique sur cassettes au dio standards 60mn La capacit d une cassette complete est de 108 000 donn es 1800 blocs dont le num ro de voie et la valeur num rique sont cod s sur deux octets et group s en blocs de 128 octets constitu s de huit octets de label horodateur caract ris tiques de la station et de 2 60 octets de donn es L intervalle de temps en seconde entre deux blocs successifs d pend du nombre de voies utilis es V et de la cadence de scrutation dT 60 C V Suivant le nombre de voies scrut es et cadence d chantillonnage l autonomie d une cassette varie de 6 heures 75 jours Les donn es sont cod es sur 12 bits soit 4096 digits pleine chelle Chaque bloc est format en binaire comme pr sent sur la figure 1 2 DEPOUILLEMENT DE LA CASSETTE La chaine de d pouilleme
317. ndex r alis s et non pas dans la base elle m me la date indiqu e 262 ANNEXE 1 REPARTITION DES REFERENCES PAR DESCRIPTEUR SELON QU IL S AGIT DU THEME PRINCIPAL OU D UN THEME SECONDAIRE Septembre 1987 CHAP SCHAP et DES THEME THEME TOTAL PRINCIPAL SECONDAIRE BIBLIOGRAPHIE OUVRAGE BIBLIOGRAPHIQUE 68 8 76 REVUE BIBLIOGRAPHIQUE 6 6 METHODOLOGIE RECENSEMENT ADMINISTRATIF 3 2 5 METHODOLOGIE RECENSEMENT 23 8 31 ETAT CIVIL 18 5 23 METHODOLOGIE ENQUETE 16 6 22 METHODOLOGIE EPR 21 9 30 METHODOLOGIE AUTRE 9 7 16 ANTHROPONYMIE 11 11 STATISTIQUES GEOGRAPHIE STATISTIQUES 39 27 66 DICTIONNAIRE DES VILLAGES 37 37 REPERTOIRE 2 7 TOPONYMIE 1 7 ATLAS ENCYCLOPEDIE 1 8 ATLAS REGIONAL 10 10 STRUCTURES AGRAIRES 10 10 GENERALITES ETUDE REGIONALE 46 4 50 ORGANISATION INTERNATIONALE 16 16 ETUDE REGIONALE 19 1 20 ETUDE REGIONALE EN 77 13 90 ETUDE REGIONALE NO 17 19 36 ETUDE REGIONALE AD 19 7 26 ETUDE REGIONALE ES 19 8 27 ETUDE REGIONALE CE 46 4 50 ETUDE REGIONALE SU 12 9 21 ETUDE REGIONALE LT 22 9 31 ETUDE REGIONALE OU 39 9 48 ETUDE REGIONALE NW 17 18 ETUDE REGIONALE SW 11 11 PEUPLEMENT 10 4 14 PEUPLEMENT EN 27 12 39 PEUPLEMENT NO 13 5 18 PEUPLEMENT AD 17 7 24 PEUPLEMENT ES 3 2 5 PEUPLEMENT CE 21 3 24 PEUPLEMENT SU 5 9 14 PEUPLEMENT LT 4 3 7 PEUPLEMENT OU 19 3 22 PEUPLEMENT NW 14 2 16 PEUPLEMENT SW 2 2 4 ETAT DE LA POPULATION 4 5 9 263 ANNEXE 1 suite CHAP SCHAP et DES THEME THEME TOTAL PRINCIPAL SECONDAIRE
318. ndis pensable de continuer dans cette voie La premi re application adapter sur les micro ordinateurs IBM PC tant crite en Cobol nous avons cherch un gestionnaire d cran adapt nos besoins cette date d but 1985 de tels logiciels taient moins nombreux qu aujourd hui et les deux qui furent test s Display Manager et Forms II n taient pas satisfaisants l un n tant pas utilisable par le langage Cobol l autre tant par trop rudimentaire La d cision a donc t prise de d velopper un outil qui soit assez ressemblant par ses possibilit s et son interface avec celui utilis pr c demment ceci afin de faciliter l adaptation des programmes d j op rationnels Ecrite en Level II Cobol comme les programmes de lapplication adapter la premi re version se composait d un module d utilisation des grilles et d une partie de manipulation des grilles des plus rudimentaire utilisation d un diteur classique pour saisir les grilles et transformation du fichier saisi dans un format reconnu par le module d utilisation Ce prototype a t uti lis pendant plus d un an et la premi re version du logiciel Hydrom diffus e au printemps 1986 des fins de test l utilisait encore Il devenait des lors indispensable d am liorer les perfor mances notamment au niveau de la rapidit d affichage et d introduire des fonctionnalit s telles que le cadrage des valeurs num riques le mode insertion la suppression qu
319. ner de nom breuses applications de ce dictionnaire rapports totaux ou par tiels complets ou r sum s selon diverses classifications v rifica tions de coh rence et int grit g n ration automatique de books ou includes etc On notera cependant que l essentiel de la valeur d un dictionnaire de variables provient de ce qu il constitue un p t central d information sur le syst me pour l analyste le projet tiste et les programmeurs qui y travaillent Ce dernier l ment doit 238 pris consid ration lors du choix ventuel d un logiciel d administration de dictionnaire en particulier en ce qui concerne la configuration le supportant ressource distribu e ou non 2 4 Le reste du projet logique Pour compl ter la documentation de l tape de conception un certain nombre d l ments doivent tre pr cis s et font l objet d autant de chapitres du projet logique correspondant En prenant exemple sur la m thodologie adopt e par la division de d velop pement de syst mes de EMBRAPA et appliqu e par l quipe de SISGEO le projet logique pourrait avoir le sommaire suivant 1 Introduction 2 Modele d entit s relations 3 Diagrammes de flux de donn es 4 Dictionnaire de donn es 5 Tactique de r alisation 6 Estimation de ressources T Glossaire 8 Signatures Le premier chapitre introduction a pour objet de d crire suc cinctement le contexte g n ral de l application es
320. ngues diff rentes celles ci sont mentionn es par les codes s par es d une virgule sans espa cement Exemple FR FR EN 20 CHAP Chapitre En majuscules voir liste Un seul chapitre par document Exemple METHODOLOGIE 21 SCHAP Sous chapitre En majuscules voir liste commune avec les descripteurs Un seul sous chapitre par document Exemple ETAT CIVIL 22 DES Descripteur s Idem que pour les sous chapitres mais le champ DES peut contenir plusieurs descripteurs dans ce dernier cas ils sont s pa par une virgule sans espacement Le premier des descripteurs est toujours identique au sous chapitre Exemple ETAT CIVIL MORTALITE METHODOLOGIE RECENSEMENT FECONDITE 23 CDES Candidat s descripteur s Il s agit de descripteurs potentiels ne figurant pas encore sur la liste des descripteurs On peut donc ajouter n importe quel can didat descripteur nouveau qui parait ad quat si celui ci ne figure pas d j sur la liste Il faut consulter cette derniere pour mettre en priorit un terme d j retenu et pour conserver rigoureusement la m me orthographe S crit en majuscules S il y a plusieurs candidats descripteurs ceux ci sont s par s par une virgule sans espacement Exemple MORTINATALITE AGE MST SIDA 277 24 PROV Province s du Cameroun Il s agit des provinces concern es par le document Les abr viations suivantes sont utilis es AD pour Adamaoua NW pour Nord Ouest CE po
321. ni re version 4 1 pr sente une vraie saisie pleine page Outre TEXTO LOGOTEL HORIZON utilise TEXLOAD logi ciel de t l chargement et de reformatage sous TEXTO des fichiers captur s depuis les serveurs DIALOG QUESTEL et ESA joint la carte KORTEX TEXLOAD est un instrument de travail tres int ressant il permet en outre de reformater sous TEXTO les fichiers en format MICROQUESTEL par exemple les disquettes PASCAL DST du CNRS Une application bureautique tourne enfin Bondy sous MULTITEXT elle permet notamment de sortir des bulletins bi bliographiques 3 2 Mat riels Les mat riels pr conis s au sein du r seau HORIZON sont des micros DOS compatibles PC Au niveau central on rentre dans le cadre du sch ma directeur informatique ORSTOM Les mat riels utilis s actuellement sont les suivants Bondy un MICROMEGA 32 SX 70T avec 2 Mo de m moire centrale 70 Mo de disque syst me d exploitation MI MOS 2 1 une version 7 d UNIX 11 postes connect s dont 2 mi cros DOS Micral 30 logiciel de transfert de fichier et d mulation MULTIWORKS PCWORKS dans les CDS et centres des micros divers actuelle ment TEXTO est implant l ORSTOM sur des IBM AT et XT sur Micral 30 sur Olivetti M24 Cordata etc 290 3 3 D veloppements Plusieurs logiciels ont t d velopp s ou sont en cours de de veloppement logiciels li s la gestion de l application ORSTOM fusion de fichiers m
322. nombre important d crans associ s une application ne pouvait tre contourn qu en regroupant ceux ci dans des biblioth ques Telador 2 tire profit de ce que ses crans sont de longueur fixe pour administrer efficacement des biblioth ques d crans constitu es par des fichiers s quentiels index s offrant toutes les facilit s de ges tion cr ation de biblioth que inventaire acc s modification inclusion et exclusion de grilles d cran Telador 2 offre naturellement une meilleure performance que la premiere version ne serait ce que parce qu il utilise l allocation dynamique De plus l affichage isol d un champ est autoris ce qui limine le probl me pr sent par la proc dure WriteVar Enfin on a pas voulu pour cette seconde version se pr occuper de la portabi lit vers le micro de 8 bits ce qui a permis d utiliser la visualisation par adressage direct en m moire r alis e par appel au syst me d exploitation DOS 77 5 2 Masque Il s agit d un g n rateur gestionnaire de grilles d cran congu et mis au point par G rard Cochonneau de l ORSTOM Le module d utilisation des crans tant crit en assembleur 8088 il est utili sable dans plusieurs environnements de programmation Basic compil Fortran 77 Cobol et Turbo Pascal ce qui en constitue la caract ristique la plus int ressante L editeur de grilles d cran fourni avec Masque s appuie sur un proc d un peu diff rent de celle des
323. ns pour lesquelles beaucoup de syst mes sont mis au point avec ces derniers Parmi les applications qui tirent le plus grand b n fice de cette mani re de travailler on peut distinguer tous les syst mes destin s la capitalisation d information qui utilisent les crans pour la saisie des donn es en particulier les syst mes destin s au d pouillement et traitement des enqu tes Bien entendu la r ali sation du dialogue syst me utilisateur par le biais de fen tres peut tre introduit pour les consultations structur es la mise jour d informations l aide en ligne etc jusqu aux simples crans de menus de telle facon qu une application simple sur micro ordinateur pourra devoir administrer plusieurs fen tres allant souvent jusqu quelques dizaines 2 AVANTAGES Il est bien s r tout fait possible de mettre au point de forme ind pendante dans chaque programme d application les ressources de visualisation et r cup ration d information par le biais de fen tres Toutefois l utilisation d un module sp cifique d administration de ces crans apporte un certain nombre de b n fices et permet de satisfaire plusieurs objectifs dans le contexte de d veloppement de progiciels Telle m thode permet en effet d acc l rer la mise au point Une fois que le program meur domine cet outil toutes les fonctions d entr e sortie par cran des programmes sont facilement et rapidement codifi es est tr s
324. nt la mise disposition des centres des missions et de nos partenaires de l ensemble de la base HORIZON avec mise jour annuelle sur micro ordinateur 292 ANNEXE 1 LISTE DES FICHIERS DISPONIBLES A BONDY ET AU CEDID Le fichier central HORIZON 600 ref Le fichier CEDID rue La Fayette 2600 ref F Le fichier Cameroun 2600 ref Le fichier POPCAM 2400 ref Le fichier Noum a 500 ref Le fichier Dakar 400 r f Le fichier Hydro Montpellier 400 ref Le fichier Oc ano Brest doc ORSTOM Nossi 500 ref ANNEXE 2 LISTE DES IMPLANTATIONS TEXTO AU SEIN DE L ORSTOM Le r seau HORIZON comprend actuellement outre les CDES de Bondy et Montpellier et le CEDID les implantations suivantes qui ont toutes cr es au moins des fichiers de gestion documentaire locale sous TEXTO mais nous manquons d informations sur Cayenne et Lom ATOB T l d tection Bondy UR 104 P dologie Bondy D partement D rue La Fayette Antenne aupr s du Mus um d Histoire Naturelle de Paris Antenne ORSTOM aupres de l IFREMER Brest Atelier d Hydrologie Montpellier Centre ORSTOM de Tunis Centre ORSTOM de Noum a Centre ORSTOM de Dakar Centre ORSTOM de Lom Centre ORSTOM de Cayenne UR 202 d Adiopodoum CEPED Paris pr visions 1988 Mission ORSTOM Yaound Centre ORSTOM de Ouagadougou Mission ORSTOM Fort de France Mission
325. nt plus subtils comme celui d autoriser un suivi de l tat d avancement du projet alors que traditionnelle ment il est toujours tres difficile de savoir ou en est la mise au point d une application ni m me d avoir une pr vision raisonnable de la conclusion d une tape d termin e En se limitant la seule phase de conception on retiendra utilement tout l int r t que l on peut tirer de l elaboration d un projet logique qui s applique d finir exactement ce que le sys teme fera en faisant totale abstraction de toutes pr occupations li es l impl mentation physique restrictions de mat riel organi sation physique de l information conditions d acces etc et sans compromettre les options qui pourront tre prises ult rieurement en accord avec l environnement mat riel choisi ou disponible 2 METHODE D ANALYSE STRUCTUREE 2 1 La philosophie La m thode de conception de syst mes qui est r sum e dans cet article est adapt e de la version due Chris Gane et Trish Sar son qui a t publi e en 1979 dans l ouvrage Structured System Analysis tools and techniques Celle ci fait elle m me partie d une cole de m thodologies semblables Yourdon E amp Constantine L L 1979 De Marco T 1978 Warnier D J 1985 etc L id e essentielle est de permettre la repr sentation gra phique des fonctions d un logiciel et des donn es sur lesquelles ces fonctions agissent de facon suffisamment si
326. nt se compose d un lecteur de cas sette Memodyne reli un compatible IBM PC XT AT par une interface RS 232 et d une imprimante matricielle Le logiciel est crit en basic 2 01 sous forme modulaire cer tains modules appel s par SHELL tant compil s compilateur Basic 5 35 pour am liorer la vitesse d ex cution Le lancement se fait partir d un fichier batch en tapant sous DOS MTKT Il se pr sente sous forme de menus et de sous menus et est conversationnel Un module de documentation donne toutes les indications pour la mise en oeuvre de la lecture de la cassette Les principales options du programme sont les suivantes 3 LECTURE DE LA CASSETTE Lecture et d codage de la cassette le programme lit la cassette vitesse rapide avec transfert 9600 bauds recherche les marques de fin de label d code les labels v rifie la chronologie des blocs d code les num ros de voies et les donn es associ es v rifie la s quence des voies corrige par interpolation d ventuels manques d octets dus des trous magn tiques des poussi res sur la cas sette ou des anomalies de transferts et stocke les donn es d co d es sur un fichier acc s direct constitu de blocs de 128 octets 93 LABEL 8 octets e CE Jour Heures 5bits mn 2 bits Jour 8bits DO RES 5 INDE 2 bits P riode 3 bits Nb voies a NK ME TR DERI mn 4 bits sec 4 bits ves pL M p pus N
327. ntaires sont les plus courantes au labo ratoire En particulier pour les bilans analytiques ou sommes des r sultats de plu sieurs variables comparer avec une constante ou une autre variable l tude des rapports de deux variables carbone azote silice alumine etc les comparaisons de m thodes par paires tude de la distribution des diff rences de deux variables les moyennes de plusieurs m thodes La calculatrice vectorielle fonctionne avec un syst me deux fen tres d cran analogue ci dessus choix d une variable puis de l op ration d une autre variable etc La formule s inscrit de m me en bas de l cran Les calculs suivants sont disponibles somme ajoute les r sultats d une nouvelle variable aux r sultats courants Le r sultat est blanc si celui d un des deux op randes n est pas une mesure tat D ou ND diff rence idem en retranchant les r sultats de la nouvelle variable produit idem en multipliant par les r sultats de la nouvelle variable rapport idem en divisant par les r sultats de la nou velle variable somme def idem somme mais le r sultat est la me sure existante si l un des deux chiffres n est pas une mesure moyenne def idem avec les moyennes des seules mesures effectu es 217 La mise jour des parametres chimiques est r alis e selon les lois de propagation des erreurs al atoires sommes diff rences
328. ntation sait parfaitement de quoi il s agit faut n anmoins temp rer cette observation dans la me sure cette logique n apparait qu cet endroit l utilisateur pou vant y trouver une utilit Ce logiciel t programm durant le mois de mai 1987 et une premi re version implant e d but juin Quelques modifications de d tail ont ensuite t r alis es de sorte que c est une version 1 3 qui finalement t exploit e en vraie grandeur partir du mois d pour pr parer la publication du dictionnaire de Tmgua ge ral Le d veloppement d une nouvelle version incluant en parti culier la d finition et la gestion compl te d un alphabet sur l cran comme sur l imprimante est envisag e dans un futur proche CONCLUSION La m thode qui a t d crite est utilis e au sein du D par tement d Informatique de EMBRAPA depuis la fin 1984 Initia lement elle a t employ e pour la r alisation de syst mes admi nistratifs comptabilit patrimoine etc Son application des syst mes de soutien la recherche et donc de caract re scientifique est une innovation due l quipe EMBRAPA ORSTOM du programme SISGEO Apr s les quatre premiers projets logiques climat v g tation documents cartogra phiques et images de satellites d j conclus trois autres sont en cours de r alisation avec la m me philosophie sols donn es socio conomiques et donn es phytosanitaires
329. ntenable 314 2 22 Gestion des fichiers FORBAN utilise FABS Il s agit d un utilitaire de gestion d index de fichier pouvant g rer plusieurs centaines de milliers de cl s m thode dite en arbre B L application n cessite 21 fichiers de donn es par carte Tableau 6 de type al atoire ou acces direct auxquels sont associ s 16 fichiers index poss dant plusieurs cl s 3 fichiers annexes destin s d autres sites informa tiques structure s quentielle et de type ASCII 1 fichier r pertoire recensant l ensemble des cartes existantes 8 fichiers utilitaires 2 23 Gestion des p riph riques L utilisation des p riph riques Digitaliseur et Traceur est faite d une mani re minimum dans un souci d utilisation sur d autres types de mat riel sur digitaliseur r ception des donn es sans mission particuli re la gestion de la sortie communication tant la charge du BASIC sur traceur appel aux fonctions suivantes positionnement trac de lignes changement de plumes trac de chaines de caract res modification de la taille des caract res 2 24 Gestion de la m moire L utilisation de FORBAN n cessitant une m moire centrale de moins de 192 Ko pour le syst me il a donc t possible de r server 448 Ko de m moire organis e en 7 segments de 64 Ko Cette m moire est utilis e pour stocker et manipuler un certain nombre de donn es en ligne vitant ainsi les acc
330. ntes d termination des stations consulter identification de toutes les travers es de ces stations positionnement des travers es dans l espace grille laboration d une liste des travers es s lectionn es tri et mise en ordre chronologique de croisi re et de travers e recherche de tous les pointeurs permettant un acc s direct aux donn es extraire des diff rents fichiers MESxxx positionnement des points de mesure dans l espace grille extraction des donn es transfert sur bande magn tique 3 3 Positionnement des donn es dans l espace grille De toutes les op rations et phases d op ration cit es seules celles concernant le positionnement dans l espace grille soit des travers es de station soit des points de mesure sont d un int r t particulier et mettent en valeur l ossature de la base sous la forme d une grille g ographique et les relations interactives de deux r seaux de pointeurs Incorporation Figure 3 La position d un point de mesure dans l espace g ographique permet de situer celui ci sur la grille GEOMER et sur une station d termin e Quand la station support est d termin e on connait le nu m ro de l enregistrement de DGNDX elle est r pertori e autrement dit on la situe sur l espace grille et les s quences sui vantes sont ex cut es lecture de DGNDX si le pointeur INDX 0 la station est vierge et n a jamais t travers e par une cr
331. ntrepris en mati re de programmation Fortran 77 pour le lan gage et GKS pour l interface graphique Un premier volume a t r dig voir r f rences bibliographiques et deux autres sont en pr paration Le volume pr sentera l utilisation des catalogues et une partie des programmes d exploitation Enfin un troisi me vo lume sera consacr aux outils graphiques du logiciel Ce produit CROJSIERES est d j utilis depuis presque une dizaine d ann es et est appel servir encore les oc anographes de lORSTOM Cette nouvelle version s est enrichie gr ce aux re marques formul es par ses nombreux utilisateurs C est dans ce contexte de dialogue permanent avec les quipes de recherche que l Informatique ORSTOM doit trouver ses sources d inspiration que cela conduise d velopper par nos propres forces des produits ou exploiter les logiciels du marche 187 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CABANES Banques de donn es Institut d Informatique d Entreprise Cours CNAM 1976 J R DONGUY Le climat d pend aussi de l oc an ORSTOM Actualit s n216 Mars 1987 MORLIERE J CITEAU J NOEL Hecuei de notes tech niques et de programmes labor s sur une chaine d acquisition de donn es R publique de COTE D IVOIRE CRO Archives scienti fiques vol 2 n93 Ao0t 1977 A MORLIERE Proposition d quipement en mati re d hydrologie l ORSTOM 1979 J J LECHAUVE Le logiciel CROISIERES Document tech nique Antenne ORSTO
332. num ro d ordre li leur position sur l cran par exemple La description du champ variable d termine en fait le type de donn es qu il acceptera lors de la saisie Notons que cette descrip tion n est pas globale mais qu chaque position du champ est associ un type de donn es ce qui permet de m langer l int rieur d un m me champ des types diff rents tout en b n fi cant d un contr le maximum lors de la saisie Prenons par exemple le cas d un champ de huit positions dont les quatre premi res doivent tre des lettres et les quatre derni res des chiffres une description globale obligerait d finir un champ alphanum rique et contr ler la valeur saisie dans le programme 16 d application alors qu une description position par position permet au module Masque d effectuer un contr le imm diat et d interdire l entr e d une lettre dans la partie num rique et inver sement Les types de donn es possibles sont les suivants A type alphab tique majuscules ou minuscules non accentu es X type alphanum rique chiffres de 0 9 majuscules minuscules accentu es ou D type num rique chiffres 0 9 E type ASCII tendu n importe quel caract re dont le code est sup rieur ou gal 31 dans la table ASCIT Tout autre caractere utilis dans la d finition du champ sera consid r comme un d limiteur et affich automatiquement sur l cran mais comme
333. ogiciels r seaux de gestion relationnelle de bases de donn es 10base dBASE 221 METHODE D ANALYSE STRUCTUREE POUR LA MISE AU POINT DE LOGICIELS Patrick S chet Informatique UR 502 Cadres Spatiaux de l Ind pendance Alimentaire EMBRAPA Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuaria SuperCenter Ven ncio 2 000 70333 Bras lia DF Br sil RESUME l volution actuelle des micro ordinateurs de plus en plus puissants et de moins en moins chers conduit une diffusion sans cesse croissante de l informatique qui envahit rapidement tous les secteurs de l activit humaine L ORSTOM n chappe nul lement ce ph nom ne bien au contraire de telle sorte que l on y voit se d velopper des logiciels dans les domaines scientifiques les plus vari s Au fur et mesure que l informatique tend son champ d application elle s attaque n cessairement des t ches de plus en plus complexes Les r alisations artisanales actuelles fait d quipes restreintes traditionnellement des chercheurs isol s dont l activit se situe essentiellement au niveau de la phase de programmation devront progressivement faire la place des d veloppements de syst mes plus sophistiqu s mieux int gr s susceptibles de satis faire des exigences de fiabilit disponibilit et p rennit Etant entendu que les d cisions majeures sont prises dans les tapes initiales un transfert des efforts de r alisation vers les phases
334. oint sans es pacement Toute virgule figurant ventuellement l int rieur de l intitul d un editeur commercial est remplac e par un tiret accol au mot suivant pour viter la cr ation d un article artificiel l int rieur du champ 272 Si l auteur lui m me est l diteur commercial la mention chez l auteur ou chez les auteurs est port e S il y a plusieurs diteurs commerciaux les noms de chacun d eux sont s par s d une virgule suivie d un espacement Exemple PUF UDEAC Oxford University Press CIDEP Centre d Information de Documentation et d Etude du Plan 15 VOLNO Num ro de volume Il s agit du num ro de volume et du num ro d ordre l int rieur du volume Ce champ concerne les revues et les ouvrages plusieurs volumes Ce champ est crit selon les m mes caracteres et selon les m mes conventions que sur l ouvrage originel Dans le cas plusieurs volumes sont r f renc s dans le m me document dans la base le titre de chaque volume figure dans le champ TI et le champ VOLNO n est pas rempli si les in formations correspondantes figurent aussi dans le champ TI Dans le cas contraire les r f rences de chacun des volumes sont relev es dans le champ VOLNO s par es d un point virgule Exemple vol 1 n 2 vol 34 3 n 5 tome I tome 1 n 21 22 4 vol LXII article n 175 LXII article n 196 16 PAGES Nombre de pages Ce champ reproduit la pagination de l ouvrage Pour un ouvr
335. oisi re la nouvelle travers e est identifi e l aide du pointeur de croisi re et de num ro chronologique de travers es de station au cours du d roulement de la croisi re Ce dernier est automatique ment incr ment chaque changement de station 1 travers e est situ e dans l espace grille en attribuant INDX la valeur de PIST le pointeur de liste des travers es la travers e est r pertori e sur DGIST l adresse PLST apres assignation du pointeur de station suivante PSTS la valeur z ro la travers e tant pour l instant unique 196 gt lt O cz 5 co n 2 197 si INDX est diff rent de 0 la station a d j t traver s e par une croisi re et la valeur de INDX indique l adresse de DGLST laquelle est r pertori e la premi re travers e Les s quences suivantes sont alors r alis es identification de la nouvelle travers e et lecture de DGIST l adresse INDX Si PSTS O il n y a eu qu une seule travers e la valeur de PLST est assign e PSTS la travers e est r pertori e l adresse PLST avec mise z ro du nouveau PSTS PLST est incr ment et il y passage au point suivant Si PSTS est diff rent de z ro il y a une autre travers e de r pertori e l adresse PSTS DGLST est lu l adresse PSTS Si le nouveau PSTS lu est diff rent de z ro la lecture continue comme pr c demment jusqu ce que l enr
336. ologie de conception doit tre de favoriser la compr hension qu a un uti lisateur des sp cifications fonctionnelles tablies par l analyste Elle doit en effet fournir un cadre apte d finir clairement et enregistrer les n cessit s informatiques de l utilisateur On peut observer que dans la situation actuelle ORSTOM l acc s l informatique est r serv des chercheurs qui ont consenti un effort particulier dans ce domaine de ce fait nombre de syst mes importants ne peuvent tre mis au point faute d une connaissance technique suffisante des chercheurs int ress s Dans la mesure l on dispose de quelques professionnels maitrisant les techniques de d veloppe ment de logiciel l adoption d une m thodologie pour la sp cifica tion fonctionnelle devra aider les scientifiques inih s l informatique acc der aux logiciels sp cifiques dont ils ont besoin en jouant le r le de responsable scientifique de l application mettre au point permettre la documentation de l application durant le d veloppement Traditionnellement la documentation de syst mes constitue le cauchemar de nos d veloppeurs de telle sorte que l absence d une documentation ad quate reste l obstacle majeur la valorisation des logiciels produits ORSTOM La plupart du temps elle est totalement inexistante ou ce qui n est gu re mieux elle se r sume l insertion de quelques commentaires dans des programmes Bas
337. on on garantit que tous les l ments n cessaires la r alisation du syst me sont d crits et en un seul en droit La logique est trouv e dans la partie des fonctions les en tr e sorties dans la partie sur les flux de donn es les caract ris tiques des donn es dans la partie des champs et les n cessit s de stockage dans la partie sur les d p ts de donn es Le projettiste va donc pouvoir y rencontrer toutes les sp cifications dont il a besoin pour dessiner les fichiers cr er les crans laborer les gabarits des tats etc qui constituent les t ches du projet physique on a pris le plus grand soin dans toute l analyse des donn es de ne jamais aborder le moindre aspect de la r alisation concr te de mani re ne pas trop induire une solution physique particuli re Par cons quent le projettiste reste enti rement libre de ses choix quant l organisation des fichiers la structuration des t ches les supports pour les entr e sorties etc De plus la partie projet logique reste totalement ind pendante de la version impl ment e qui en sera faite dans un environnement mat riel d ter min la partie dictionnaire de variables proprement dite peut tre automatis e compte tenu du nombre lev de variables que certains syst mes peuvent atteindre cent variables est un nombre tres fr quent cinq cents n est pas si rare et surtout de l int er t que l on peut en tirer En effet on peut imagi
338. on a le choix entre deux pos sibilit s pour la mise au point d une application sur micro ordinateur adopter un progiciel sp cifique de gestion de donn es ou utiliser un langage de programmation La premi re option est tr s s duisante surtout parce qu elle permet de disposer imm diatement de diverses ressources comme la saisie format e la g n ration d tats les menus d aide etc Toutefois on finit toujours par se heurter telle ou telle restriction inh rente la m thode d acces la structure des donn es aux possibilit s de calculs math matiques la capacit de g n ration de graphiques l utilisation de tables de codification d codification etc D un autre c t en utilisant un langage de programmation on souffre de l absence de ressources satisfaisantes pour l entr e des informations Cette note pr sente la r alisation d un diteur et gestionnaire de grilles d cran qui favorise le dialogue entre l utilisateur et le syst me en facilitant la saisie des donn es Les versions les plus r centes op rationnelles sur micro ordinateurs CP M 80 et MS DOS ont t d velopp es en langage Pascal par l quipe franco br silienne du programme SISGEO les commandes de manipulation du curseur dition de texte et saisie sont conformes au standard introduit par le progiciel de traitement de texte Wordstar Cet outil est constitu de deux l ments distincts un diteur pour dessiner les grill
339. on du code 1 et 2 permet tout moment de le faire voluer au fur et mesure des nouvelles publications puis de constituer une base de donn es bo taniques pour la Guyane partir du formulaire il est possible de coder les chantillons d herbier des Pt ridophytes de Cayenne CAY de tracer l aire de r partition des esp ces et d en pr ciser l habitat 1 INTERET D UN FICHIER INFORMATIQUE DE LA FLORE Le botaniste note habituellement ses r coltes sur un carnet Il doit ensuite r examiner ses observations pour les v rifier et les rendre comparables au prix d un important travail de report et de correction avant de pouvoir en faire la synth se Or aujourd hui l informatique permet d une part de r duire ces t ches r p titives et d autre part d am liorer les synth ses en faisant porter des com paraisons syst matiques sur des ensembles d observations plus vastes qu avec des proc d s manuels L informatique implique cependant comme investissement pr alable la constitution du fichier des taxons tudi s Ceci est rendu possible en floristique par l existence de catalogues ou de Flores de r f rence comportant d j la plupart des taxons tu dier m me si des adaptations de nomenclature et des compl ments s av rent souhaitables 2 CONTENU DU CODE FLORISTIQUE Pour avoir acc s un code de ce type le botaniste en utilise une image mat rialis e par un formulaire Par commodit les taxons y son
340. on intervalle de d finition peut n ces siter deux profils pour son stockage en m moire de masse Dans ce cas le mode de codage du param tre est qualifi de grande pr cision 181 Table des parametres bits 0 7 code param tre bits 8 10 code chelle bit 1 4 code pr cision k me param tre 1 NP 30 pz L Limites des NP param tres de la station D 2 k adresse Adr_p du profil contenant la partie basse Pb des valeurs du param tre DS Adr_p 1000 DM Adr_p DS 1000 Supposons que le k me param tre soit cod sur deux profils L interface d entr e sortie va alors rechercher au del de la limite NP de NP 1 30 un mot D 1 j contenant le m me code para m tre Une fois trouv l interface acc de au second profil avec l adresse D 2 j Ce second vecteur contient la partie haute Ph des valeurs du param tre La valeur d finitive du param tre est calcu l e de la mani re suivante Ph 10000 Pb entier sur 32 bits Cette derni re valeur est alors divis e par la puissance de 10 d finie par la valeur du code chelle 2 LA DISPONIBILITE DES DONNEES Le second objectif auquel doit r pondre une base de donn es est d optimiser la fonction disponibilit des donn es dans un sys t me informatique Les choix faits pour le syst me CROISIERES ont t influenc s par l extraordinaire souplesse d emploi des micro ordinateurs compatibles PC La puissance des microproces seurs
341. on restreinte Cette mise disposition d une version incomplete outre qu elle rend credible l quipe de d veloppement peut aussi tre enrichissante si les remarques justifi es de l utilisateur sont prises en compte dans les d veloppements ult rieurs 5 Choix des outils logiciels Le choix des outils utilis s pour le d veloppement peut avoir une grande influence sur la dur e de la mise au point ou m me la dur e de vie du syst me Ceci est encore renforc quand plusieurs versions du logiciel sont pr vues sur des mat riels differents Avant de d finir les programmes et parfois m me avant de r aliser l analyse si l utilisation d outils logiciels est envisag e lors de cette tape il est indispensable d etudier les outils disponibles langages gestionnaires de fichiers logiciels de grilles Mach et d imaginer les avantages qu ils pourront apporter Plusieurs facteurs sont consid rer les performances lors de l utilisation finale mais aussi la portabilit les avantages apport s lors du d veloppement l utilisation r pandue ou non de ces outils ORSTOM ou dans la structure d accueil REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES BOYER COCHONNEAU G DIEULIN C et ROU CHE N 1986 Manuel de l op rateur COCHONNEAU GJ 1986 HYDROM Manuel de l utilisateur COCHONNEAU G 1985 HYDROM Pr sentation JACCON G et SECHET P 1980 Base de donn es hydro climatologiques du nord est br sil
342. onn es sa convenance soit pour analyser un point particulier soit pour pr parer les trai tements statistiques ult rieurs Dans la pratique deux types de formulaires sont constitu s La figure 1 pr sente le premier type Celui ci concerne tous les taxons de r f rence et tous les synonymes Ceux ci se rep rent dans le formulaire par un nombre situ gauche du nom entre paren theses qui indique le num ro du nom de r f rence Le second type ne comporte que les taxons de r f rence Il est moins volumineux et se pr te mieux la notation des observations de terrain Dans la figure 2 les taxons sont rang s par ordre alphab tique des genres 4 APPLICATIONS DU CODE FLORISTIQUE Ce formulaire est utile principalement pour constituer des bases de donn es en botanique 3 et 4 et pour des recherches flo ristiques phytosociologiques ou cologiques il a aussi un int r t p dagogique par sa pr sentation condens e et hi rarchis e des noms depuis les familles jusqu aux taxons infrasp cifiques Pour une tude ou une application concernant une partie d termin e de la flore il est possible de constituer un formulaire partiel plus ma niable ne comprenant que les taxons tudier par exemple ceux qui se rencontrent dans un type de formation comme les for ts ou ceux qui se trouvent dans une r gion Pour cela on coche sur un formulaire complet tous les taxons retenus puis on enregistre sim plement leurs num
343. onne l adresse du fichier STATN ou pourra tre lu d une part le pointeur d acces au pre mier point de mesure extraire et d autre part le nombre de points de mesure r pertori s au cours de la travers e Quand tous les points de mesure d une travers e de station sont extraits et r pertori s dans le fichier RESULT on passe la travers e suivante jusqu puisement de la liste 4 UTILISATION Comme pour toutes les bases de donn es l acces en criture est prot g et l administrateur de la base ou des op rateurs agr s sont les seuls pouvoir r aliser les op rations d incorporation Les op rations d extraction telles qu elles viennent d tre d crites sont totalement transparentes pour l utilisateur Celui ci n a qu suivre une proc dure simple et limit e la saisie des informa tions d finissant l extraction r aliser Le transfert des donn es extraites sur bande magn tique est ensuite r alis soit en format interne soit en format MGD77 si le demandeur est ext rieur Les demandes d extraction provenant de l ext rieur sont r a lis es par un op rateur agr Tous les changes de donn es se font sous le format interna tional d change de donn es de g ophysique marine MGD77 mis au point par le National Geophysical and Solar terrestrial Data Center Boulder Colorado d pendant de la National Oceanic and Atmospheric Administration de l U S Dpt of Commerce Deux phases de d veloppemen
344. ons en vue d dition im prim e transformation de syst mes de projection en vue de comparaison et superposition de divers documents cartographiques tablis sous ces diff rents syst mes recalage sur fond topogra phique apr s changement d chelle etc Ces d veloppements permettront d ouvrir aux produits de FORBAN des d bouch s sur des syst mes et utilisateurs ext rieurs 3 CARACTERISTIQUES D EXPLOITATION DE FOR BAN L application a t d velopp e du fait du mat riel disponible sur un micro ordinateur de type XT sous syst me d exploitation MS DOS et langage BASIC qui ont entrain leurs contraintes sp cifiques capacit m moire taille des fichiers et vitesse de traite ment limit es Des solutions originales y ont port remede utili sation d un Basic et d un compilateur plus performants Quick Basic utilisation de segments m moires limitation du volume des donn es r duction du nombre d acc s aux fichiers 320 D autres am liorations pourront tre apport es L acquisition d une unit centrale de type AT pour laquelle FORBAN est d ores et d j compatible diminuera les temps de traitement dans un rapport allant de 3 5 L adjonction d une unit externe de traite ment et de stockage forte capacit modules de 30 Mo permettra l archivage de la carte de base et d un nombre de documents th matiques d riv s plus important La mise en place de cartes m moire suppl mentaire
345. op ration s est bien pass e une valeur n gative dans le cas contraire La s quence d instructions ci dessous est typique de l utilisation de ces fonctions dans un programme d application crit en Pascal var Retour integer Saisie string 80 Retour OpnDis ECRANS DIS ouvrir display file Retour DispD l montrer l cran n 1 Retour PosF 3 choisir le champ 3 Retour PutF Titre affichage du champ Retour NxtF 2 positionner Saisie GetF r cup rer l entr e 82 L appel la fonction InitDM dont le r le est de fixer les caract ristiques du moniteur utilis l ex cution doit tre fait avant toute utilisation des autres fonctions Une bibliotheque doit ensuite tre ouverte et un cran particulier charg il n est pas possible d avoir plus d un cran actif la fois ce qui est un facteur limitant pour l utilisation de fen tres dans une application L affichage d un texte dans un champ est assur par la fonction PutF tandis que le contenu d un champ de saisie est r cu p r et valid par l interm diaire de la fonction GetF toutes deux agissant sur le champ courant Le positionnement absolu est ob tenu par PosF le positionnement relatif par NxtF dont l argument permet plusieurs variations champ suivant champ pr c dent d entr e ou de sortie dernier ou premier champ Une valeur d faut peut tre donn e par PutF pour un c
346. ordinateurs PC compatibles et dans des environnements de programmation g n ralement utilis s sur ce type de mat riel met en vidence un certain nombre de caract ristiques int ressantes Celles ci sont plus ou moins d velopp es selon les produits et pourraient devenir des crit res de choix entre ces logiciels Parmi les caract ristiques qui concernent l diteur propre ment dit on appr ciera particulierement la possibilit de cr ation de fen tres les produits qui offrent la notion de zone et cadres comme Turbo Screen et Screen Maker y sont bien pr par s L dition de la grille telle qu elle se pr sente l utilisateur final est une ressource minimale que tous les produits offrent La r alisation d crans tr s soign s et d apparence profes sionnelle exige la maitrise compl te des attributs vid o et de la couleur Display Manager et surtout Turbo Screen et Screen Ma ker Dans cet ordre d id es Display Manager est le seul produit permettant un param trage complet des ressources des moniteurs utilis s en temps d ex cution et partant autorise une visualisation optimale Les options disponibles l impression de la grille d cran avec ou sans le dictionnaire des champs variables constituent un outil pr cieux pour la r alisation de la documentation du syst me applicatif mis au point La d finition des champs l aide d une fen tre sp cifique Masque Turbo Screen et Display Manager est sans doute la
347. ormatique pour une activit d termin e l ORSTOM depend normalement de l initiative d un chercheur et en cons quence du niveau de connaissances que celui ci acquiert sur les techniques de traitement de donn es disponibles et appli cables dans le domaine th matique qui l int resse Cette phase constitue donc une premiere tape dont l acquis principal est de montrer la voie en mettant en vidence les donn es susceptibles de 224 faire l objet d un traitement informatis et les fonctions qui peu vent tre automatis es Elle se caract rise par une faible producti vit due des t tonnements et une volution progressive du logi ciel produit de toutes facons tr s personnalis il est notoire qu un logiciel r alis dans ces conditions survit rarement au d part de celui qui l a concu Cette volution s explique simplement par le fait qu une fois satisfaits les besoins fondamentaux des utilisateurs leurs imagi nations travaillent et d finissent de nouvelles n cessit s Cette phase peut donc tre assimil e une tape d laboration de pro totypes successifs pour laquelle l utilisation de langages de qua tri me g n ration est ad quate car plus efficace plus dynamique et partant mieux appropri e que le passage par une sp cification formelle qui conduit des syst mes beaucoup plus longs mettre au point L examen de quelques exp riences de d veloppement de lo giciels d j conclues ou encore
348. osition de Pherbier GRENAND 312 chantillons 242 taxons diff rents R partition des chantillons en fonction du niveau de d termination 5 chantillons d termin s au niveau de la famille 27 au niveau du genre 204 5 au niveau 1 6 s xi un niveau infrasp cifique R partition des taxons en fonction du nombre d chantillons 185 taxons sont repr sent s par 1 chantillon 45 s 2 chantillons 11 u u 3 1 4 160 FIGURE 9 Liste des chantillons de Pherbier GRENAND pr sent s dans l ordre alphab tique des noms de taxon extrait Acanthaceae 1621 Adenocalymna inundatum Martius ex de Candolle var surinamense Bureau amp K Schumann 1455 Allamanda cathartica Linnaeus 520 659 1590 Alternanthera dentata Moench Scheygrond 2144 Ambelania acida Aublet 750 Anartia meyeri G Don Miers 1923 Anaxagorea dolichocarpa Sprague amp Sandwith 620 Anaxagorea phaeocarpa Martius 743 Anemopaegma paraense Bureau amp K Schumann 597 Annona 1681 1771 1937 Annona ambotay Aublet 601 Annona haematanthera Miquel 1400 Annona montana Macfadyen 1594 Annona paludosa Aublet 1806 Anthurium digitatum N J Jacquin G Don 622 Araceae 778 Aristolochia dubia Hoehne 565 Arrabidaea candicans L C Richard de Candol 1241 1831 Arrabidaea patellifera Schlechter Sandwith 671 Asclepiadaceae 2117 Asclepias curassavica Linnaeus 1880 Asteraceae 1540 Ayapana triplinervis Vahl Kahn amp Robinson
349. our chariot cor respond au code sans r ponse quand une valeur a t d finie lors de la cr ation du dictionnaire dans le cas o aucune valeur n a t indiqu e l op rateur doit entrer obligatoirement une valeur Cela est pratique dans le cas une partie des r ponses est facultative il est tr s conseill alors de mettre une valeur obligatoire en en t te de chaque nouveau paragraphe un programme permettant l impression des enregis trements s lectionn s par les valeurs d une borne inf rieure et d une borne sup rieure soit l cran soit sur l imprimante un programme de correction v rification des donn es qui permet soit de visualiser s quentiellement chaque enregistre ment en avant ou en arri re soit de se d placer al atoirement en fournissant un num ro d enregistrement Les valeurs entr es lors de la correction sont bien entendu v rifi es de la m me facon que lors de la saisie En r alit ce programme est bien plus performant que le programme de saisie Ce module pourrait tre simplifi en fusionnant le programme saisie et le programme correction en un seul fichier ce qui serait relativement simple et il suffirait de quelques ajouts mineurs au programme de correction pour qu il puisse aussi assu rer la saisie 3 3 Le module traitement Comme il a t dit par ailleurs la vocation de ce module n tait pas le traitement scientifique des donn es mais plut t un ensemble permettant la
350. outines de validation et manipulation d erreurs L avantage de r duction de la taile des programmes est parti culierement significatif lorsque la m moire interne est limit e dans tous les cas le travail de programmation est r duit non seu lement parce qu il y a moins de code mais aussi parce que celui ci est mieux structur et plus simple de promouvoir l ind pendance entre le dialogue et les programmes Toute modification de la communication entre le progiciel et son utilisateur se traduira par une mise jour de l cran correspondant sans n cessairement avoir recours une modification de programme Alors que dans un environnement traditionnel il est n cessaire de rechercher et modifier plusieurs ordres de lecture et d criture dans un programme au moins si l on utilise un gestionnaire d crans il suffira d diter l cran modifier pour r aliser les changements voulus de normaliser les programmes La communication entre les programmes et le moniteur utilise un unique interm diaire le gestionnaire d crans Celui ci tant le m me pour tous les programmes m me d velopp s par des personnes diff rentes dans le cadre d un m me syst me applicatif il s ensuit que les tests et la maintenance s en trouvent grandement facilit s de standardiser l interface avec l utilisateur Ce dernier en communiquant avec le progiciel utilise normalement plusieurs programmes sans forc ment le savoir Il lui est alors
351. p en langage volu Cobol Les r sultats satisfaisants obtenus lors de l utilisation de cette premi re version pour le d veloppement du logiciel Hydrom ont conduit la mise au point d une seconde version crite en Assembleur Conditionnel donc plus performante et utilisable par differents langages de programmation Cobol Basic compil Quick Basic Fortran 77 L diteur permet de d finir consulter imprimer les grilles d cran tout moment lors de la definition la grille peut tre montr e l cran dans son tat partiel On y distingue des champs constants et des champs variables 12 Le contenu des champs constants est fix lors de la d finition et chaque champ variable est caract ris par des attributs obliga toires son nom qui suffira pour l identifier dans la grille sa position sur l cran sa longueur le type de donn es qu il accepte alphanum rique num rique sign ou non sign alphab tique etc et un certain nombre d attributs optionnels pour indiquer que le champ est obligatoire lors de la saisie que ce champ devra tre totalement rempli une valeur initiale qui sera affich e automatiquement lors de l initialisation des valeurs extr mes qui ne peuvent tre d pass es lors de la saisie l int rieur d un programme l utilisation des grilles se fait par l appel d un module capable d effectuer la demande cinq fonctions principales a
352. partir du milieu de l ann e 1984 par Ph Vauchel Elle n a pas t menee son terme faute de temps et a perdu de son int r t des l arriv e de l IBM PC Dans sa version incompl te elle a cependant rendu des services aux sec tions quip es de Goupil IIT en attendant la disponibilit de ver sion IBM PC Diffuse en 1986 dans sa version actuelle Hydrom a t d ve lopp au Laboratoire d Hydrologie de Montpellier pour r pondre deux objectifs le gestion et l exploitation de la banque compl te des donn es hydrometriques collect es par ORSTOM depuis l origine des r seaux d observation a gestion et l exploitation d centralis es d une partie de ces donn es observ es r cemment sur place ou extraites de la banque compl te Il existe donc une version du logiciel op rationnelle sur un gros centre de calcul CNUSC et une version op rationnelle sur les micro ordinateurs de la famille IBM PC chacune d elles int grant des proc dures d change de donn es avec l autre Ces deux ver sions sont parfaitement compatibles en d pit des mat riels et des outils diff rents utilis s et leur partie commune est vue par l utilisateur de facon identique m mes menus m mes grilles de saisie m mes sorties imprimantes La figure 1 montre la succession dans le temps des versions successives sans distinguer la p riode de d veloppement de la p riode d utilisation Les fl ches simples montrent que la vers
353. phie Au niveau des organismes de recherche comme l ORSTOM de tr s nombreux chercheurs poss dent leur propre fichier biblio graphique sp cialis qui offre des services tr s pratiques L informatisation de ces fichiers et leur mise disposition de l ext rieur permettrait de rentabiliser les efforts d ploy s et de va loriser l ensemble de l organisme notamment les services de do cumentation appel s offrir des postes de consultation 260 BIBLIOGRAPHIE GUBRY Patrick 1984 Bibliographie g n rale des tudes de population au Cameroun arr t e au 31 mars 1984 General Bi bliography of Population Studies in Cameroon As at 31st March 1984 Yaound Minist re de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche Scientifique 382 p Travaux et Documents de l Institut des Sciences Humaines collection Etudes Bibliographiques et Recherches Biblioth conomie n 8 GUBRY Patrick LEMDJA Francine 1985 a Cent ans d tudes de population au Cameroun 1884 1984 In Utilisation des statistiques d mographiques au Cameroun Actes d un s minaire tenu du 16 au 19 juillet 1984 Yaound Yaound Minist re du Plan et de l Am nagement du territoire 381 p pp 57 82 GUBRY Patrick LEMDJA Francine 1985 b POPCAM base de donn es bibliographiques sur les tudes de population au Cameroun Communication au Congres g n ral de l Union Inter nationale pour l Etude Scientifique de la Population F
354. ppement en Turbo Pascal d un interpr teur pour la machine de terrain Int gration de l ensemble des programmes en vue d un prototype Exp rimentation validation par des enqu tes de terrain Recherche de partenaires priv s en vue de sa valorisation 42 Etude des d veloppements ult rieurs envisageables principalement selon la demande selon les champs d application et les types d enqu tes selon les types de machine de terrain utilis es autres technologies t l phone minitel satellite intelligence artificielle syst mes experts 9 2 Valorisation Cette recherche se valorisera principalement par l association avec le secteur priv pour la commercialisation d un produit de la recherche publique Le progiciel SIC est consid r comme pionnier dans la m thodologie des enqu tes Autour du progiciel lui m me d autres activit s valorisantes seront men es telles que la formation l assistance technique et les applications dans les domaines sant d mographie pid miologie et enqu tes diverses principalement avec les pays d veloppement Enfin ce sont de nouvelles strat gies et m thodologies de collecte qui pourront tre d velopp es partir du SIC 43 DISCUSSION SUR LA REALISATION L APPLICATION D UN LOGICIEL DE TRAITEMENT D ENQUETES Agn s Guillaume et Philippe Hamelin UR 205 Dynamique des Populations et Culture Enjeux et Maitrise de l Espace Museu Emilio
355. qui avaient t d tect s lors de l utilisation de la premiere version Ces inconv nients sont les suivants la syntaxe adopt e pour les fonctions utilisant les crans avait t choisie pour apporter un maximum de souplesse en contrepartie les programmes s en trouvent parfois un peu alourdis une affectation et trois appels de proc dure pour montrer un cran par exemple la taile des crans est relativement importante compte tenu de la pr sence du dictionnaire associ la grille La taille minimale est de 2K 25 lignes x 80 colonnes elle croit avec le nombre et 1 eu des variables contenues dans la grille pou vant atteindre 4K cela est surtout g nant dans l environnement PC DOS quand l espace disponible sur une unit de volume stan dard une disquette est de 360K le nombre des fichiers cr s devient relativement important dans la mesure chaque grille d cran constitue un fichier Bien que le nombre des crans cr s varie surtout avec le confort que l on pr tend fournir l utilisateur les deux applica tions qui ont t mises au point peuvent servir d exemple la premi re utilisant dix crans 6 000 lignes de code source la seconde pres de soixante 45 000 lignes de code source On remar quera que ce probleme est cette fois plus sensible dans 76 l environnement CP M quand le nombre maximal de fichiers par volume est nettement plus limit 64 De plus un nombre de fichiers
356. r alisation du logiciel m me si celle ci remet en question certains des choix d j r alis s Une fois le projet logique adopt on peut renvoyer toute modification structurelle une version post rieure du systeme standardiser la conception des logiciels et en favoriser la valorisation Dans la mesure l on adopte une m thodologie et o l on s astreint produire un document ob issant des r gles pr tablies on permet une d personnalisation des syst mes la bor s et une normalisation favorable la valorisation des produits mis au point Dans cette optique un manuel de normes et regles pourrait tre labor de maniere foumtr une m thodologie pour la documentation des logiciels indispensable leur institutionnali sation produire des syst mes motns d pendants d une r alisa physique Cet aspect constitue certainement un des l ments les plus positifs apport par l adoption d une m thode de concep tion sp cifique Pour accompagner la dynamique actuelle de l informatique la plupart des applications d velopp es ont eu su bir un certain nombre de migrations de mani re s adapter de nouvelles configurations mat rielles Dans ces conditions le projet logique tabli l issue de la phase de conception est conserv dans la mesure ou il ne fait aucune r f rence une configuration mat rielle d termin e il peut ainsi tre regard comme le document fondamental de l
357. r contenant les donn es proprement dites Cette structure est celle des grands progiciels statistiques OSIRIS SPSS SAS mis en oeuvre au CIRCE Les chercheurs en sciences humaines traitant leurs donn es majoritairement sur ce centre de calcul ne devraient pas de ce fait se sentir d pays s Une r flexion avait t men e sur la structure hi rarchique des fichiers conomie de place en m moire de masse mais cette solution a t abandonn e parce que les difficult s affronter n taient pas la mesure des r sultats esp r s Il faut de toutes facons revenir une structure rectangulaire pour les analyses le choix pour les donn es tres hi rarchis es a t de les clater en plusieurs fichiers 2 LE MATERIEL Le choix du micro ordinateur Goupil 3 muni du syst me d exploitation Flex 9 tait vident cette poque d cembre 1983 puisque c tait l unique mat riel dont nous disposions c tait aussi le micro ordinateur retenu pour la diffusion ORSTOM Ce micro ordinateur tait quip d un double lecteur de dis quettes 8 d une capacit de un million d octets Le choix de 46 Pinterpr teur SBasic allait de soi cette poque L autre choix pos sible d un d veloppement en assembleur 6809 malgr la simplicit de cet assembleur aurait eu pour cons quence une multiplication r dhibitoire du temps de d veloppement Le SBasic par rapport au GWBasic pr sent sur les machines MS
358. r le recours un dune de microfiches dont la r alisation complete prendra plus de 2 ans 1 2 Produits attendus Bulletin bibliographique ORSTOM extrait de la base dont le num ro 00 est sorti en ao t 1987 L ann e 1988 sera celle de la sortie du num ro 1 Diffusion s lective de l information travers la fourniture de produits documentaires sur profil bulletins biblio graphiques et fichiers informatis s pour les centres et missions d une part pour nos partenaires du Sud d autre part comme cela s est fait pour le Cameroun il s agit en quelque sorte de mettre au catalogue ORSTOM des produits int gr s de recherche docu mentaire Acc s la base depuis les centres et missions ORS TOM en fonction de l tat des r seaux internationaux de trans mission de donn es Alimentation des bases internationales et fran aises sp cialis es 2 ORGANISATION GENERALE 2 1 Un r seau documentaire HORIZON se pr sente comme un r seau documentaire au sens organisationnel du terme au sein de ORSTOM Ce r seau comprend trois niveaux le centre de la base sis Bondy l unit HORIZON assure l administration g n rale de la base le contr le des en 288 tr es sorties la coordination des travaux documentaires li s la base vocabulaires etc les d veloppements informatiques l harmonisation des mat riels et des formats Elle fournit les qui pements mi lourds en liaison avec la Miss
359. rc ment accompagnent cette op ration Bien souvent l utilisateur ORSTOM n a acces aux Centres de calcul et m me aux minis que pour des gros fichiers et des traite ments sp ciaux dont il n a pas la maitrise Et seul devant son micro pas tr s sophistiqu le bilan de l eristant en recensait d j 250 il y en maintenant au moins plus du double il balance entre trois solutions acheter un logiciel tout fast mats les logiciels grand public sont soit trop simplistes pour satisfaire ses besoins particu liers soit trop g n raux pour viter que son application ne se perde dans les m andres d une adaptation complexe faire programmer un logiciel sur mesure mais les in formaticiens maison sont peu nombreux et le recours une SSII ext rieure trop cher De toutes facons cette solution est laborieuse et m me parfois d cevante faute d un dialogue de niveau crire son propre logiciel et l il recule devant l investissement Apprendre un langage ne demande gu re plus qu un peu de pers v rance et beaucoup ont suivi avec succes des cours de Basic mais programmer transformer des id es en ins 116 tructions ex cutables est autrement plus difficile et exigeant mieux vaut en prendre l exacte conscience avant de s y engager 2 POURQUOI POI Pour traiter toutes sortes de fichiers de taille moyenne de puis les catalogues de types d environ 200 fiches jusqu la check list des poissons de No
360. rfois erron es qu il est indispensable de v rifier soigneusement Certains compilateurs Fortran 77 Basic produisent un module objet qui n cessite une dition de liens alors que d autres Level II Cobol Turbo Pascal produisent directement un module ex cutable Le module assembleur appel doit tre adapt chaque cas La ver sion pour le Turbo Pascal est la plus complexe car les adresses des variables internes au module doivent tre recalcul es en temps d ex cution Bien que les param tres qui sont communiqu s entre le programme appelant et le module aient t d finis le plus univer sellement possible comme des chaines de caract res il a fallu tenir compte de la facon particuliere dont est structur ce type de variables en Basic longueur adresse du contenu et en Turbo Pascal longueur contenu Les fonctions d affichages offertes par le syst me op rationnel DOS se r v lant assez peu efficaces l dition sur l cran se fait en crivant directement dans la m moire du moins si l on travaille en mode texte On arrive ainsi une vitesse d affichage assez specta culaire L utilisation du module Masque en mode graphique est galement possible mais l affichage sur l cran reste alors tribu taire de la lenteur des fonctions du DOS L absence d un code de retour a t envisag e dans le cas d une erreur d tect e dans la routine Masque on aurait pu se contenter de retourner au DOS apres avoir signal l err
361. rmidable m moire centrale 2000 Mega ou 2 Giga octets dans sa capacit de vectorisation qui per met des gains de temps tres importants sur toutes les op rations entre vecteurs dans notre cas le traitement vectoris d un pas de temps n cessite 3 04 secondes non vectoris il en demande 80 94 dans ses quatre processeurs paralleles qui permettent soit le trai tement de quatre t ches en m me temps soit le d coupage des programmes en quatre morceaux ex cut s parall lement ce qui peut diviser les temps de s jour en machine par un facteur trois le code que nous utilisons n est pas encore parall lis La vectori sation et la parallelisation surtout posent quelques probl mes de programmation qui ne sont pas simplifi s par le fait que le num ro de s rie du Cray fran ais est le 6 c est dire les quelques bugs d busquer Pour utiliser le Cray 1 puis le Cray 2 depuis avril 87 il faut transiter par une station frontale o sont stock s dit s les programmes et les fichiers de donn es et sont r cup r s les sor ties graphiques La station frontale utilis e est le Centre Inter Regional de Calcul Electronique CIRCE situ Orsay et dote de deux calculateurs IBM 3090 200 et NAS 9080 Le CIRCE est attaqu depuis le LODYC Paris travers une grappe de termi naux IBM un concentrateur et une ligne sp cialis e La station CIRCE est galement utilis e travers le r seau TRANSPAC partir de micro ord
362. rmin e si l op rateur vient d informer la derni re position du champ ou si la touche Retour Chariot a t actionn e et que l tat du champ satisfait les conditions impos es par les attributs de champ obliga toire ou remplir compl tement Dans le cas d un champ num rique le logiciel effectue un cadrage automatique droite et complete le champ avec des z ros non significatifs mais en tenant compte du signe et du point d cimal Par contre un champ alpha b tique ou alpha num rique est cadr gauche Le code de retour joue un r le important dans cette fonction de saisie car si l op rateur actionne une des 47 touches de fonction autoris es F1 F40 Esc etc une valeur est renvoy e dans ce code de retour qui doit tre test dans le programme appelant pour faire r aliser une op ration particuliere telle que l appel d un cran d aide le passage un autre champ la duplication d une valeur ant rieure dans un champ la sortie du programme etc 22 Base 100 C DATE D C DATE nom du champ saisir 110 V DATE SPACES 10 V DATE pour recevoir la date saisie 120 OP RD RD op ration Read 130 CALL MASQUE C DATES V DATES STATS 0P appel de Masque pour saisir le champ D 140 IF STAT lt gt 00 THEN traiter touche de fonction Cobol 01 C DATE PIC XX VALUE D 01 V DATE PIC X 10 MOVE RD TO OP CALL MASQUE USING C DATE V DATE STAT OP IF STAT NOT ZERO THEN traiter touch
363. ropurpureum R E Schultes amp Maguire Anthurium belium Schott Anthurium clavigerum Poeppig Anthurium digitatum N J Jacquin G Don Anthurium gracile Rudge Lindley Anthurium hookeri Kunth MU HM PF H H HN w A Anthurium jenmanii Engler Anthurium pentaphyllum Aublet G Don Anthurium polyrrhizum C Koch amp Augustin Anthurium raimundii Mayo 1 pa Noo Anthurium rubrinervium Kunth 19 Anthurium scandens Aublet Engler 3 Anthurium sinuatum Bentham ex Schott 3 Anthurium thrinax Madison 1 Anthurium trinerve Miquel 28 Aphelandra rubra Nees 1 Observation Le nombre moyen d chantillons par esp ce est compris entre 6 et 7 314 esp ces ne sont repr sent es que par un chantillon 139 esp ces par deux chantillons 155 FIGURE 3 R partition des chantillons par niveau de d termination Nombre d chantillons d termin s Nombre de noms au niveau de 1 famille 789 34 du genre 1 235 153 de l esp ce 7 760 1 249 de la sous esp ce 88 17 de 1a vari t 190 34 de la forme 1 1 ind termin s 8 Total 10 071 1 488 Observation 2096 de l Herbier de Cayenne est ind termin au niveau sp cifique ou infra sp cifique 156 FIGURE 4 Taxons les plus repr sent s dans l herbier 4A Liste des esp ces ayant plus de 50 chantillons Anaxagorea dolichocarpa Sprague amp Sandwith 52 Cydista aequinoctialis Linnaeus Miers 53 Goupia glabra Aublet 54 Tapirira guianensis Aublet 55 Sauvagesia erec
364. rpor es GEOMER sont des donn es de g ophysique marine Elles sont situ es dans le temps et dans l espace La donn e de base est le point de mesure qui comporte 11 champs GEOMER met actuellement la disposition des utilisa teurs environ 350 000 mesures de bathym trie 200 000 mesures de gravim trie et 350 000 mesures de magn tisme La cadence actuelle d incorporation de croisi res anciennes qui doivent tre enti rement retrait es et des croisi res nouvelles incorpor es au fur et mesure de leur r alisation permet d valuer la masse de donn es qui sera stock e fin 1988 environ 1 200 000 mesures de bathym trie 1 200 000 mesures de magn tisme et en viron 500 000 mesures de gravim trie 191 3 CONCEPTION ET FONCTIONNEMENT La situation des points de mesure dans le temps et l espace tant les deux seuls crit res d identification possible le mode d in corporation retenu devait respecter la chronologie et la posi tion spatiale des donn es La structure de base de GEOMER est une grille g ogra phique qui a t volontairement limit e la zone de travail des utilisateurs actuels Ses limites sont 109N et 4098 en latitude et 909E et 1209W en longitude Figure 1 Cette grille est d coup e en modules appel s stations selon un pas de 1 2 degr Une station correspond une couverture g o graphique de 1 4 de degr carr 2 Le tron on de croisi re entrant dans une station est appel travers e
365. rs install es CIRCE centre de calcul du CNRS Au cours des ann es suivantes un certain nombre de pro grammes ont t mis au point pour constituer sinon un logiciel de banque de donn es du moins un ensemble coh rent permettant le contr le et l exploitation des donn es saisies partir du milieu des ann es 1970 les donn es ont t conserv es sur des bandes magn tiques la carte perfor e restant le support primaire utilis pour la saisie Cette am lioration s est faite sans modification des formats de donn es en introduisant de nou veaux programmes de gestion de mise jour et d extraction des donn es crits pour la plupart en langage Cobol Les moyens d acc s au centre de calcul ont eux aussi suivi l volution technolo gique passant du triporteur un terminal lourd avec lecteur de cartes imprimante et lecteurs de bandes magn tiques Ce n est qu en 1981 que l installation d un mini ordinateur au centre ORSTOM de Bondy a permis d envisager une modernisation de la saisie des donn es et de l acc s au centre de Calcul et par cons quent la banque de donn es Plut t qu une simple adapta tion de l existant et compte tenu de l exp rience acquise pendant les dix ans d exploitation du systeme ant rieur une refonte com pl te a t d cid e entrainant la cr ation de nouveaux fichiers de donn es jusqu alors non informatis es la modification du contenu des fichiers d j g r s et parfois la d f
366. rt des cas on ne peut plus concevoir qu un logiciel soit d velopp par une seule per sonne de telle facon qu une m thode rigoureuse est indispensable pour transmettre l tape de conception quelles fonctions seront automatis es l tape de sp cification comment le seront elles retarder au maximum la phase de programmation Tant que durent les premi res phases de d veloppement d un logi ciel analyse fonctionnelle et analyse organique l impact d une modification du projet est moins sensible dans la mesure au cune ligne de code n a encore t crite Les changes entre l analyste et l utilisateur pendant la phase de conception puis entre ce dernier et le projettiste durant la phase de sp cification per mettent d examiner profondeur les choix faits par les pro fessionnels de l informatique dans le but de satisfaire aux exigences du systeme L ventualit d avoir une transformation importante r aliser dans les phases post rieures du d veloppement en est donc d autant moins probable Dans cette optique il est recommandable de ne pas commencer la phase de sp cification tant que le projet logique n a pas t d ment approuv par toutes les personnes concern es Avec cette m thode le nombre d erreurs fondamen tales de programmation tend diminuer sensiblement ce qui compense normalement le temps pass aux sp cifications d une fa on tout fait semblable le fait de suivre une
367. rticle de revue pp 13 43 Cas de deux articles de revue r f renc s dans le m me document pp 99 103 pp 115 119 Cas d un article une seule page p 43 17 COLL Collection Il s agit de la collection dans laquelle l ouvrage est paru chez l diteur commercial Ce champ est crit entre parentheses Il contient aussi le nom de la sous collection s il y a lieu apr s un point virgule et le num ro d ordre dans la collection ou la sous collection apres une virgule Il contient enfin les r f rences cod es des documents des or ganisations internationales sauf si les renseignements correspon dants figurent d j dans le champ CONG et les num ros des contrats de recherche s ils figurent sur la page de titre Le champ COLL se termine par un point Exemple Travaux et Documents de l Institut des Sciences Humaines Collection Etudes Bibliographiques et Recherche en Biblioth conomie n 8 Changing African Family Project Monograph Series n 4 Collection Architectures traditionnelles ILO OIT TAP CAMEROUN R 10 M moires Africaines Contract n AID OTR 5412 C 00 1205 00 18 NOUVREF Nouvelle r f rence Concerne une republication sous une autre forme d une pu blication pr c dente Le champ NOUVREF n est pas rempli si la publication se pr sente sous une forme manifestement provisoire l ancienne r f rence est alors limin e et remplac e par la nouvelle Qu il s agisse d une r dition pur
368. ryocaraceae Caryophyllaceae Casuarinaceae Cecropiaceae Celastraceae Characeae Charophytes Chenopodiaceae Chrysobalanaceae Clusiaceae Combretaceae Commelinaceae Connaraceae Convolvulaceae Crassulaceae Cucurbitaceae Cyclanthaceae Mendonciaceae Ochnaceae Observation Ainsi que l on peut s en rendre compte les chantillons ont t enregistr s dans l ordre alphab tique des familles sauf pour les Mendonciaceae qui font partie pour certains auteurs des Acanthaceae et les Ochnaceae qui ont t saisies apres le passage du sp cialiste Cayenne 153 FIGURE 2 Liste des esp ces pr sentes dans P Herbier de Cayenne rang es par ordre alphab tique et nombre d chantillons par esp ce extrait Acanthospermum australe Loefling O Kuntze Acmella ciliata Humboldt Bonpland amp Kunth Cassini Adansonia digitata Linnaeus Adenocalymna impressum Rusby Sandwith Adenocalymna inundatum Martius ex de Candolle Adenocalymna prancei Gentry Aechmea aquilega Salisbury Grisebach 10 oH PH H Aechmea bromeliifolia Rudge Baker 4 Aechmea egleriana L B Smith 1 Aechmea lateralis L B Smith 1 Aechmea lingulata Linnaeus Baker 2 Aechmea melinonii Hooker 5 Aechmea mertensii Meyer Schultes 11 Aechmea politii L B Smith 1 Aechmea setigera Martius 1 Ageratum conyzoides Linnaeus 15 Aldina sp 1 Allamanda cathartica Linnaeus 26 Alternanthera dentata Moench Scheygrond 3 Alternanthera flavo grisea Urban Urban 2 Alternan
369. s passages r p t s les obser vatoires etc soit toutes les structures qui recueillent des informa tions tal es dans le temps et dont le volume moyen journalier est raisonnable En g n ral la disponibilit de l information d j recueillie peut tre d un grand b n fice Si dans le premier cas le recours des services sp cialis s semble la meilleure solution pour des rai sons d efficacit dur e de saisie personnel temporaire qualifie l introduction du micro ordinateur dans le second cas devrait d passer le simple stade du convertisseur pour fournir suivi de planning fiche enqu teur bordereaux du prochain passage etc Le futur est peut tre le micro ordinateur portable qui substituera questionnaire et cahier de notes Une r flexion doit s engager sur cette perspective qui bousculera beaucoup de concepts en mati re d acquisition de donn es CONCLUSION L ORSTOM n a ni la vocation ni les moyens de d velopper une recherche en informatique mais doit rechercher la meilleure utilisation possible de cet outil et nous croyons qu l avenir deux grandes voies qu il ne faut imp rativement pas confondre se dessinent le service chercheur L ordinateur comme bonne tout faire du chercheur le chercheur s informatise pour gagner du temps lors des t ches de routine traitement de texte gestion de biblio graphie consultation de bases de donn es calculs etc 52 la valorisation Des recher
370. s chantillons ont t enregistr s partir des sources sui vantes l herbier proprement dit 10 071 chantillons des publications taxonomiques r visions flores 550 chantillons des publications non taxonomiques cologique ethno botanique etc 300 chantillons de Foresta 1981 et Riera 1983 des listes de plantes r colt es lors des missions 700 chantillons pour la mission Smithsonian ORSTOM Museum du Galbao en 1986 Ces listes ont t informatis es par le Smithsonian des carnets de r colte des collecteurs du Centre ORSTOM 1 100 chantillons de l inventaire des serres du jardin botanique et de l Arboretum 700 chantillons Une certaine redondance entre les informations de ces diff rentes sources permet certaines v rifications et mises jour La m thode proprement dite consiste saisir dans un pre mier temps partir des tiquettes des sp cimens de l herbier les informations suivantes Hoff et Brisse 1985 le num ro de l chantillon et son qualificatif ventuel A B bis ter GY etc le nom du collecteur le nom de l esp ce ou le nom du niveau taxonomique jusqu auquel l chantillon a pu tre d termin famille genre es pece etc le nom du pays dans lequel a t effectue la r colte le nom de la station 147 Afin de faciliter la gestion et de r duire la taille des fichiers le nom des collecteurs des stations et de
371. s Ces sous syst mes ne sont pas d gale importance certaines des fonctions qu ils offrent atteignent elles m mes la taille d un sous syst me les d pouillements des enregistrements de cotes graphiques ou sur m moire EPROM sont parmi celles l Deux fichiers suppl mentaires que nous qualifierons de se condaires sont ventuellement n cessaires en fonction des qui pements utilis s il s agit des fichiers des caract ristiques des h lices utilis es pour jauger et des caract ristiques de l appareillage utilis pour enregistrer les cotes 127 Tous ces fichiers sont organis s de facon s quentielle indexee Les donn es qu ils contiennent sont pour la plupart cod es en binaire et rassembl es en enregistrements logiques de longueur fixe ou variable selon la nature des donn es L organisation physique a t pens e de mani re rendre aussi souple que possible l utilisation du syst me sur des configu rations aussi diff rentes qu un micro ordinateur isol ou un r seau de micro ordinateurs utilis s par un service d centralis ou encore le centre de calcul CNUSC Montpellier Pour chaque implantation syst me les fichiers num r s ci dessus sont divis s en deux asses les fichiers communs l implantation identification des stations h lices appareillage des limnigraphes ils contiennent des informations qui int ressent tous les utilisateurs de la banque les fichiers propres un ut
372. s lection sur le mot 7 03 X 36 Prefixel Debut de s lection de prefixe 7 04 X 10 A01 Prefixe2 Fin de s lection de prefixe 7 05 X 10 A01 Suffixel Debut de s lection de suffixe 7 06 X 10 A02 Suffixe2 Fin de s lection de suffixe 7 07 X 10 02 Classe Classe grammat s lectionn e 7 08 TOL x TailleMot Taille choisie pour le mot 7 09 01 36 99 FormeEtat Forme de la sortie diction 8 01 C S 2 Destinat P riph rique de sortie 9 01 E I x 2 Ordre de classement de sortie 10 01 L P x 2 dans le cas o le mot se pr sente avec des accents le nombre de caract res utilisables est ramen 36 moins le nombre d accents TO1 d signe la table des classes grammaticales pr sent e ci apr s elle peut varier d une langue l autre code signification ADVERBIO CONJUNCAO SUBST DEP SUFIXO PART GRAM ADJETIVO NUMERAL PRONOME PREPOSICAO SUBST VERBO lt n z g Z G Q O gt 246 DICTIONNAIRE V MOT V VERBETE On appelle Dictionnaire l ensemble des relations connues entre tous les vocables d crits de la lingua geral appel s mot et les significations correspondantes en portugais appel es sens On convient de d signer sous le nom de verbete le registre d un sens pour un mot d termin le dictionnaire peut alors tre consid r indiff remment comme une collection de verbetes ou une collec tion de mots regroupant toutes les verbetes qui ne sont que plu
373. s touches de fonction indiqu es Les donn es devant tre entr es au clavier sont associ es des gestions de curseur plein cran et des proc dures de correction effacement 2 GESTION DES INTITULES DE BIBLIOTHEQUE fi chier d aide 2 Cette partie permet de ranger les dossiers analytiques dans une ou plusieurs biblioth ques correspondant au laboratoire Il faut donc au pr alable cr er sa biblioth que de travail 1 en lui donnant un nom de 8 caract res maximum Cette bibliotheque est alors imm diatement r pertori e dans un fichier nomm DIRECTOR BIB de structure fichierdirectory record classement integer ficbibliotheque ch8 end A chaque nom de biblioth que ficbibliotheque est affect un num ro entier de classement Lors du fonctionnement ult rieur du logiciel le num ro de classement sera automatiquement transform en caract re alpha num rique avec la proc dure existantbib ficblibliotheque ch8 numerobib char exist boolean du fichier existbib pas 208 Le nombre de bibliotheques est limit 36 Au del il faut changer de r pertoire Pour une utilisation rationnelle du logiciel il n est conseill de cr er une nouvelle biblioth que que lorsqu on aura rempli de dossiers la pr c dente Pour effacer une biblioth que utiliser la proc dure Op rations sur fichiers du menu principal chaque biblioth que correspond un fichier ficbibliotheque lab de structure
374. s d taill et par les listes r gulierement mises jour des articles d j entr s dans les champs principaux caractere ouvert AU INAU AUC INAUC CDES LIEUX ETH de maniere conserver l homog n it POPCAM peut donner lieu trois types de publications l avenir des ouvrages bibliographiques actualis s reprenant tout ou partie de la base des intervalles plus ou moins longs une note d information pour changer les exp riences entre utilisa teurs un bulletin bibliographique pour diffuser les nouvelles r f rences Le syst me pourrait tre perfectionn en recourant la t l matique vid otex interactif La mise en route du r seau Campac au cameroun reli notamment Transpac rend la chose en visageable m me au niveau international L quipement actuel des diverses structures int ress es ne permet cependant pas sa r alisa tion imm diate Sur un plan g n ral ce type de base pourrait tre tendu d autres pays avec les m mes disciplines scientifiques Sa multi plication permettrait alors d effectuer des recherches th matiques transversales plus approfondies qu avec les bases transnationales existantes Enfin d autres disciplines pourraient tre int ress es par cette approche Au Cameroun certaines d entre elles poss dant d j un fond important ne n cessiteraient qu un investissement marginal faible pour leur informatisation telle la linguistique ou la g ogra
375. s d herbier rang s dans l ordre alphab tique des taxons La figure 18 pr sente la liste des taxons de Commelinaceae rang s dans l ordre alphab tique des collecteurs Le chiffre figurant en D colonne indique le code du pays de collecte voir plus haut 4 CONCLUSION Cette note indique les r sultats les plus fr quemment souhait s que l on peut obtenir par de simples programmes de gestion appliqu s un herbier informatis Ces r sultats ont t obtenus partir de dBASE II implant sur un micro ordinateur IBM PC compatible Les fichiers complets de cette exploitation peuvent tre obtenus sur disquettes Les auteurs remercient M Henry BRISSE qui a bien voulu relire le texte et pr senter des suggestions et am liorations 150 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES CREMERS G 1984 L Herbier du Centre ORSTOM de Cayenne CAY 25 ans Taxon 33 3 428 432 CREMERS G 1985 Esp ces nouvelles de Guyane Fran aise richesse de l herbier de Cayenne CAY Studies on the flora of the Guianas 11 Proc C 88 1 15 37 CREMERS G FEUILLET C GRANVILLE J J de et HOFF M 1986a Liste informatis e des plantes de Guyane Phan rogames et Pt ridophytes Banque de Donn es AUBLET erbier du Centre ORSTOM de Cayenne CREMERS G FEUILLET C GRANVILLE J J de et HOFF M 1986b Liste informatis e des collecteurs de Guyane Banque de Donn es AUBLET Herbier du Centre ORSTOM de Cayenne CREMERS G FEUIL
376. s de l cran Cobol 77 MSG1 PIC X 15 VALUE Valeur erron e MOVE DP TO OP CALL MASQUE USING MSG1 STAT OP La fonction Output Color permet l affichage d une informa tion partir d une position quelconque de l cran et en b n ficiant du choix des attributs d affichage La position sur l cran les attri buts d affichage vid o invers e clignotement couleur ainsi que la chaine de caract res afficher doivent tre communiqu s Masque lors de l appel Basic 600 MSG2 Calculs en cours message termin par 610 CUR 2015 ligne 20 colonne 15 620 COULS 000705 07 invers e 05 clignotement 630 OPS OC OC op ration Output Color 640 CALL MASQUE MSG2 CURS COULS STATS OP appel de Masque pour afficher le message Cobol 77 MSG2 PIC X 17 VALUE Calculs en cours 77 CUR PIC X 4 VALUE 2015 77 COUL PIC X 6 VALUE 000705 MOVE OC TO OP CALL MASQUE USING MSG2 CUR COUL STAT OP Notons que ces trois dernieres fonctions peuvent tre utilis es ind pendamment de l utilisation ou non d une grille d cran 25 5 HISTORIQUE L id e ou plut t la n cessit de d velopper ce logiciel de grilles d cran est apparue la suite du changement de mat riel informatique caus par le transfert du Laboratoire d Hydrologie L utilisation d un tel outil sur le Mini 6 entre 1981 et 1984 ayant montr tout l avantage que l on pouvait en tirer il s av rait i
377. s le premier environnement l analyste utilise le produit pour dessiner les crans et fen tres qui interviendront dans le syst me applicatif projet Le gestionnaire est alors per u comme un diteur d crans qui devra donc poss der des outils semblables un diteur de textes tels que saisie de texte mouvements du cur seur commandes de bloc effacement etc On pourrait la limite se satisfaire d un diteur de textes standard Wordstar Word Wordperfect Sprint etc pour r aliser les crans Cette solution apporterait toutefois quelques limitations dans la mesure o il faut cr er une information qui ne peut pas tre facilement v hicul e par le seul cran comme les noms de champs leurs types leurs contenus par d faut les valeurs initiales minimales et maximales des champs num riques etc Bien entendu l instar des diteurs de texte l diteur d crans devra permettre de sauvegarder le r sultat du travail sur disque Figure 2 de le r cup rer ult rieurement pour l alt rer si n cessaire de l exclure de copier un cran pour en cr er un nou veau etc L utilisation d une biblioth que de fen tres et d crans pourra constituer une ressource int ressante certains syst mes d exploitation imposant une limite au nombre de fichiers contenus dans un volume ou dans une partition Enfin l diteur devra permettre l impression des crans sous les deux formes qui ont d j t voqu es pour servir
378. s permettra le transfert en m moire centrale des fichiers en cours de traitement en vitant completement les ac c s au disque et en acc l rant ainsi consid rablement les temps de traitement Il en va de m me en ce qui concerne le d roulement des op rations saisies traitements et restitutions qui ne peuvent actuel lement pas tre effectu es simultan ment Elles le pourront tre ai s ment en pr sence de deux postes de travail l actuel XT dedie aux fonctions de saisie et un AT plus performant d di aux diff rents traitements et restitutions Le caract re enti rement modu laire de FORBAN permet la s paration de ces diverses t ches CONCLUSION La mise au point de syst mes de traitement d information g ographiquement localis e tel le logiciel FORBAN constitue un grand progres dans l laboration de documents cartographiques th matiques en particulier en matiere de P dologie ce type de carte est tr s fr quemment demand en compl ment de la carte p dologique de base Ce proc d infographique permet le traite ment complet et automatique de l information saisie tant sur le plan g ographique trac de contours que th matique extraction croisement regroupement combinaison superposition de themes Il procure ainsi un gain de temps et une flexibilit consid rables qui permettent de r pondre au cas par cas la demande des utilisa teurs le document de base tant introduit en m moire d
379. s souple mais r duit consid rablement le code source n cessaire elle est bien adapt e au cas de saisie de fiches enti res Le mode pleine page dispose d un jeu de fonctions sp ciales qui permettent la s lection des champs saisir et l ordre dans le quel ils doivent tre saisis La s quence de commandes ci apr s qui r alise la visualisa tion d un cran l affichage d un champ TVA la saisie d une va riable Prix et son passage au programme principal est typique de l utilisation d crans dans ce progiciel en mode champ par champ 87 const fin chr 01 Write deb UTILISE ECRAN1 AID fin montrer 1 Write deb AFFICHE TVA 18 60 fin affichage Write deb SAISIE Prix fin saisie ReadLn Prix r cup ration Alors que le d limiteur de fin est une constante celui de d but est une fonction qui permet d adresser la recherche de la rou tine de Turbo Screen ex cuter dans le segment de m moire contenant le module r sident Affturbo com Un grand nombre d options sont disponibles comme le scrolling de l ecran fonctions MONTE et DESCEND l affichage de messages fonctions MESSAGE et ERREUR l utilisation de la biblioth que d crans fonctions BIBLI et MEMO la gestion des fen tres en recouvrement fonctions OUVRE FERME et FUSIONNE le stockage et la r cup ration de l cran en cours fonctions SAUVE et RETOUR la d finition de l action des
380. s taxons sont cod s lors de la saisie partir de formulaires de codage pr tablis Hoff et Brisse 1986 Cremers et al 1986 a b et c Sur le plan de l chantillonnage g ographique et titre d exemple quatre stations ont t syst matiquement not es Il s agit de la Piste de Saint Elie de la station de l Arataye de Sa l et de sa r gion et de la Montagne de Kaw Elles ont t choisies en raison de l importance des tudes qui y sont actuellement en cours L exploitation pr sent e porte sur les 10 071 chantillons d j cit s r partis entre 53 familles de Phan rogames Figure 1 en annexe 3 RESULTATS Nous allons d abord pr senter quelques r sultats concernant 1 l ensemble de l herbier 2 un exemple de gestion de l herbier d un collecteur l herbier de Grenand 3 d une station la Montagne de Kaw 4 et d une famille les Commelinaceae Seuls de courts extraits des fichiers obtenus sont publi s ici La totalit des donn es est disponible sur support informatique ou sous forme de liste imprim e 3 1 G n ralit s sur l Herbier de Cayenne R partition des chantillons par nom de taxon Le premier r sultat obtenu concerne la liste des esp ces pr sentes dans l herbier La figure 2 montre cette liste ainsi que le nombre d chantillons par esp ce La figure 3 d taille la r partition des chantillons en fonction de leur niveau de d termination On remarque sur ce tableau que par exe
381. sentiellement en termes de pr sentation de ce qui motive son d veloppement Les sous chapitres suivants constituent cette introduction historique br ve narration des faits qui ont conduit la conception du sys teme objectifs en termes g n raux du syst me et justifica tifs b n fices attendus de sa mise au point Le chapitre suivant modeles d entit s relations est constitu d un diagramme sch matisant ce modele et de la liste alphab tique des entit s nom description et identification du d p t de donn es correspondant Ce chapitre est normalement r dig la fin de la phase de conception car il repose sur la normalisation des d p ts de donn es qui interviennent dans le logiciel jusqu la troisi me forme normale La premi re forme normale correspond l limination des groupes r p t s dans une structure de donn es d termin e La deuxieme correspond au regroupement de tous les champs qui d pendent d une m me cl tandis que la troisieme forme normale suppose l limination des d pendances fonctionnelles entre champs distincts de la cl primaire ce qui revient isoler les tables de conversion qui expriment ces d pendances Le modele d entit s relations constitue une vision logique qui se traduit dans le projet physique par le lay out de la base de don n es Toutefois ce dernier incorpore d j certaines restrictions im pos es par l environnement de et software 239 L
382. so lution la plus ad quate pour permettre de stipuler toutes les ca ract ristiques des champs de saisie et affichage Celles ci sont im portantes dans la mesure o lorsque les valeurs possibles des champs sont totalement sp cifi es la validation est prise en compte par le gestionnaire d crans ce qui d charge d autant la codification du programme principal Il est donc int ressant d avoir la possibilit de pr ciser un maximum de param tres tels que format de champ champ obli gatoire ou non valeurs d faut minimale et maximale etc Un traitement effectuer sur un champ cadrage transformation au tomatique en majuscule saisie invisible peut galement tre d fini de facon conomiser du code dans le programme d application pour ce type de ressource Turbo Screen est le plus complet suivi de pr s par Display Manager et Masque En ce qui concerne l utilisation des crans la notion de mode de saisie pleine page ou champ par champ est importante elle est pourtant peu comment e par tous ces progiciels Seul Turbo Screen met en oeuvre explicitement ces deux modes d entr e en 89 fournissant une proc dure sp cifique Ecran pour le mode pleine page ce propos la distinction entre champ de saisie et champ d affichage plac e au premier plan par plusieurs produits Edi tor Telador Display Manager et Screen Maker n apparait guere importante qu en mode de saisie pleine page Turbo Screen et Masque
383. son appel PROCAM Gubry amp Lemdja 1985b et la publication d un ouvrage bibliogra phique correspondant au contenu d velopp de la base avec 2 472 r f rences en 1984 Gubry P 1984 Cet aboutissement a t conditionn par la constatation que POPCAM apporte quelque chose de fondamentalement nouveau dans son domaine par rapport ce qui existe d j par ailleurs savoir les ouvrages bibliographiques sur le Cameroun et les bases de donn es sp cialis es ext rieures en l occurrence am ricaines Les premiers sont trop g n raux ce qui implique notamment la mise l cart d une grande partie de la litt rature grise ou infor melle et difficiles actualiser les secondes sont beaucoup trop in compl tes pour r pondre aux besoins nationaux moins de 200 f rences sur le Cameroun cette poque POPCAM constitue ainsi la premi re base de donn es bibliographiques informatis e fonc tionnant au Cameroun Malheureusement l implantation r alis e est devenue tres rapidement caduque devant la standardisation croissante en micro 255 informatique autour du standard IBM PC au niveau mondial certes mais encore plus au Cameroun Par ailleurs le logiciel PROCAM con u dans les d lais les plus courts pour les besoins de la cause compte tenu des moyens disponibles avait des possibilit s limit es Dans ces conditions il a paru indispensable de transf rer le syst me sur micro ordinate
384. splenium marinum Linnaeus 144 Figure 2 Extrait du formulaire floristique des Pt rido phytes de Guyane francaise contenant uniquement les 10005 10006 10009 10013 10015 10019 10022 10025 12027 10027 10028 10037 10041 12488 10048 10049 12029 12038 12037 10057 10065 10066 10067 10068 10069 10070 10075 10077 11525 11526 10084 10086 10087 10091 10094 12055 10095 10096 10100 10534 10542 taxons de r f rence Asplenium Linnaeus Asplenium abscissum Willdenow Asplenium angustum Swartz Asplenium anisophyllum Kunze Asplenium auritum Swartz Asplenium cristatum Lamarck Asplenium cuneatum Lamarck Asplenium feei Kunze ex Fee Asplenium formosum Willdenow Asplenium haplophyllum Domin Asplenium hostmannii Hieronymus Asplenium juglandifolium Lamarck Asplenium laetum Swartz Asplenium marinum Linnaeus Asplenium pedicularifolium Saint Hilaire Asplenium perkinsii Jenman Asplenium pteropus Kaulfuss var alleopteron Kunze ex Klotzsch Lellinger Asplenium radicans Linnaeus Asplenium salicifolium Linnaeus Asplenium serra Langsdorf amp Fischer var imrayanum Hooker var remotum Kunze var serra var woodwardioides Gardner Domin Asplenium serratum Linnaeus Asplenium sulcatum Lamarck Asplenium zamiifolium Willdenow Azolla Lamarck Azolla caroliniana Willdenow Blechnum Linnaeus Blechnum asplenioides Swartz Blechnum brasiliense Desvaux Blechnum gracile Kaulfuss Blechnum lanceola Swartz Blechnum lineatum Swartz
385. sque dur 10 Mo unit de sauvegarde QUADRAM de 5 Mo imprimante parallele carte graphique et cran couleurs CGA digitaliseur BENSON 6301 traceur BENSON 1625 5 Son d veloppement a t effectu partir de QUICKBASIC Basic compil assembleur Gestion de la m moire FABS Gestion des fichiers GPR 200 T Gestion du traceur syst me d exploitation MS DOS 2 1 FORBAN fait intervenir une trentaine de modules adres sables l aide d un menu accessible tout utilisateur qui corres pondent chacune des tapes des diff rentes op rations r aliser pour obtenir le produit Il ne pr sente pas de limitation de taille dans la perspective de saisie et de traitement de documents carto graphiques courants jusqu 5000 zones et 15000 arcs sans li mitation du nombre de points Cette application reste ouverte d autres extensions qui sont envisag es dans l avenir croisement et assemblage de plusieurs cartes transfert de fichiers de base pour gravure ext rieure de typons en vue d ditions imprim es transformation de syst mes de projection 301 CARACT RISTIQUES d exploitation de FORBAN L application a t d velopp e du fait du mat riel disponible sur un micro ordinateur de type XT sous syst me d exploitation MS DOS et langage BASIC qui ont entrain leurs contraintes sp cifiques capacit m moire taille des fichiers et vitesse de traite m
386. ss par ordre alphab tique des genres est galement disponible sur disquettes Des genres figurent dans la liste auxquels ne semblent cor respondre aucune esp ce Ce fait peut s expliquer par deux rai sons soit le genre est effectivement pr sent en Guyane mais aucune esp ce n a t cit e soit le genre existe dans telle ou telle r gion de l Am rique du Sud et sa pr sence est probable dans les Guyanes 3 EMPLOI DU CODE Un formulaire est consacr pour enregistrer chaque groupe d observations floristiques que ce soit sur le terrain dans l herbier ou partir de listes d j publi es En entourant d un trait le nom de chaque taxon observ celui ci reste lisible Il est pr ferable de relier les formulaires en fascicules afin de permettre la notation et le codage d une s rie d observations Un formulaire une fois rem pli est un document facile relire et archiver et il est utilisable directement comme un bordereau pour l enregistrement informa tique Ainsi seuls les num ros de code des taxons sont enregistr s les uns la suite des autres Dans l ordinateur des programme de gestion associent les donn es cod es aux noms latins qui leur cor respondent afin de les imprimer en clair lors des contr les et r capitulations sous forme de listes de comptages ou mieux encore de cartons g ographiques localisant toutes les r coltes plante par 140 plante Le floriste peut ainsi mobiliser les d
387. st me du technocrate celui du g ographe VIIIeme s minaire d conomie et de sociologie rurales Montpellier CIRAD MESRU 14 18 Septembre 1987 Comment monter une base de donn es g ographiques avec SAS Contribution la r union annuelle des utilisateurs du syst me SAS Chantilly 21 22 Octobre 1987 3 Articles Approche d un grand espace la maille municipale des cerrados br siliens Montpellier GIP RECLUS Mappemonde n23 1987 pp 38 41 Base de donn es pour la recherche g ographique la dynamique spatiale agricoles des cerrados au Br sil Paris ORSTOM Cahiers de Sciences Humaines paraitre 341 Session 5 MODELISATION 343 EXPERIENCE D UTILISATION D UN SUPER CALCULATEUR POUR LA MISE EN PLACE D UN MODELE OCEANIQUE OPERATIONNEL Alain Morli re Oc anographie Physique UR 101 Universit Pierre et Marie Curie LODYC Tour 14 4 place Jussieu 75252 Paris C dex 5 France RESUME Les oc ans tropicaux jouant un r le majeur dans les changes nerg tiques qui conditionnent l volution du climat de notre plan te il est apparu indispensable de pouvoir suivre en temps quasi r el leur volution de facon am liorer la pr vision climatique Pour cela deux techniques compl mentaires sont utili s es l une ancienne est bas e sur l observation syst matique par navires marchands elle se modernise avec l usage des satellites l autre plus r cente repose sur la simulation num rique
388. sulte sur le plan cologique de la conjonction de sols acides et d un climat deux saisons l une s che l autre humide ces conditions sont r unies sur un peu plus des deux tiers du territoire Ailleurs des variantes g n r es par des facteurs limitants comme la qualit des sols ou les conditions hy drologiques sont l origine des formations plus ouvertes telles que les campo cerrado campo sujo campo limpo ou plus ferm es comme le cerrad o sur peu pres un quart de la superficie L aire d extension des cerrados est une bande de largeur variable d orientation NE SW couvrant la majeure partie des tats du 326 Goias Mato Grosso Mato Grosso do Sul Minas Gerais et une partie importante du Maranh o Piaui Bahia Cette rapide des cription de l homog n it biog ographique relative n aurait pas d int r t si elle n avait pas t l origine de la transformation de ce grand espace en un enjeu consid rable pour l Etat br silien le contr le et l int gration nationale de Interior Limit s leur partie la plus massive les cerrados appartien nent plusieurs grandes r gions d finies par l Instituto Brasileiro de Geografia e Estatistica IBGE Figure 1 la fois au Nordeste au Sudeste et au Cento Oeste Cette observation conduit directe ment se poser la question de l int r t autre que technocratique de r aliser une banque de donn es socio conomiques propos d un espace che
389. sur les fichiers d cod s permet les pre miers traitements suivants correction des deux blocs d en t te lecture et listage des labels des blocs lecture et listage des donn es correction de quelques donn es retrait d une tendance de la forme aT b en cas de d rive d une voie sur une voie et entre deux valeurs choisies filtrage math matique passe bande d un fichier avec cr ation d un fichier de donn es filtr es de m me structure que le fichier source On utilise pour ce filtrage l algorithme de r cursion de Shanks hodogramme de deux voies 5 DIFFERENCE DE DEUX FICHIERS Ce module lit les deux fichiers dont on veut faire la diff rence v rifie leur compatibilit leur synchronisme et cr e un nouveau fi chier de m me structure que les fichiers sources constitu des dif ferences valeur par valeur 95 Afin de faciliter le tri et la recherche des diff rents fichiers leurs noms sont constitu s du nom de la station et d une extension donnant le type de fichier dec dif et fil pour les fichiers bruts diff rences et filtr s 6 GRAPHE DES VOIES Ce module permet de tracer simultan ment en continu les diff rentes voies sur imprimante Les traces sont automatiquement centr es et les parametres d impression valeurs d chelles en am plitude et en temps modifiables par l utilisateur Une option per met en cas de dynamique importante le rattrapage automatique des voies Le gr
390. t rieure d analyse de donnees Cf 2 3 la fonction re oit une description r sum e qui se pr sente sous la forme d une sentence imp rative verbe l infinitif objet Par exemple Calculer les d bits journaliers Mettre jour les caract ristiques Emettre bulletin mensuel G n rer vecteur r gional On vitera les verbes comme traiter ou r viser qui mon trent une connaissance encore insuffisante de la fonction en ques tion ce qui laisse supposer qu une nouvelle d composition est n cessaire Par ailleurs ordonner classer ou trier doivent gale ment tre vit s car ils repr sentent des fonctions sans valeur lo gique simple r organisation physique d un fichier qui n a d objet qu apr s un choix de s quence ou d organisation La m me r flexion s applique pour les processus de simples copies et r cup rations de s curit back up restore Certaines des fonctions mises en vidence sur le diagramme peuvent tre d crites comme manuelles lorsque le processus exerc type Pr parer les donn es Extraire se est mal d fini et partant non passible d une auto matisation du moins dans l tat actuel des connaissances que l on en a On pr f rera toutefois remplacer ce type de fonction si pos sible par une entit externe type Coordinateur de transcription Pr parateur de cartes digitaliser etc le d p t de donnus est identifi simplement par le nom qui cara
391. t s s quentiellement partir de 1 Au sens du systeme d exploitation de l ordinateur h te ce sera un fichier ac c s al atoire par bloc de 256 octets Le syst me de gestion de fichiers de la machine se charge de la gestion physique de la me moire de masse Un fichier CROISIERES contient la fois les donn es phy siques et toutes les informations n cessaires leur adressage La technique de navigation dans un fichier utilise essentiellement des tables 180 Descriptif des diff rents secteurs Secteurs 1 3 A en t te campagne 56 valeurs B table des stations 2 x 164 1 56 384 T7 lt gt rene ras Ben Mir ss gt mots Mots particuliers A 12 nombre de stations dans la campagne B B li 2i num ro de la station adresse secteur de la station Secteur station C identification de la station 68 valeurs D table des param tres 2 x 30 valeurs 1 68 128 LL u U L u acl eoa Ci sa PS ais ue Deui gt Mots particuliers C 10 nombre de niveaux dans la station NI C 15 nombre de parametres NP D 1 k code du k param tre D adresse du k me param tre DS DM Secteur s parametre E valeurs du profil NI valeurs sn fronti res de secteur sl 52 53 j lt uE suis gt L D placement de mot r f 51 DM d but du k_ me profil D placement de secteur r f sect station DS Cas particulier Un param tre suivant s
392. t capable ou alors il faut passer par un stockage externe et une gestion complexe et penalisante d entr es sorties L ex cution repr sente un grand nombre de donn es traiter travers un volume tr s important de calculs seuls les nouveaux super calculateurs sont capables d absorber de tels travaux avec des d lais d ex cution raisonnables En effet les calculs qui per mettent de passer d un pas de temps l autre s talent sur plu sieurs milliers de lignes de FORTRAN Pour traiter un mois de si mulation du modele il faut int grer le modele sur plus de 1000 pas de temps 348 2 CONDITIONS DE REALISATION DE L EXPERIENCE 2 1 Personnel L exp rience a d but en f vrier 1987 Le personnel ayant travaill sur le projet en 1987 comprend J Merle 10 S Arnault 10 et A Morliere 8096 L apport d un informaticien n a pu tre obtenu mais a t en partie compens par un ing nieur vacataire pendant 3 mois en fin d ann e et par un effort de forma tion des participants 2 2 Mat riels et logiciels L autorisation de travail sur le Cray passe par la soumission tous les six mois de projets aupres du Conseil Scientifique du Centre de Calcul Vectoriel pour la Recherche CCVR qui doit donner son accord et fixer le quota d heures allou es au projet Le calculateur Cray pour la recherche est situ Palaiseau dans les locaux de l Ecole Polytechnique La puissance de ce calcu lateur r side la fois dans sa fo
393. t conduit observer et com prendre le processus de formation de ce qui n est pas encore vrai ment une r gion mais qui pourrait le devenir L inscription dans l espace g ographique des effets des forces d int gration en pr sence est une probl matique de recherche dont les r sultats peu vent apporter des informations utiles au d veloppement des cerra dos Une probl matique sans m thodologie c est poser une s rie de questions sans se donner la possibilit de leur apporter une r ponse La banque de donn es SISECSO constitue la fois le moyen et le produit de la recherche C est le moyen car il apparait pr f rable d asseoir l essentiel du travail de recherche sur la petite 327 RORAIMA AMAPA 3 2 4 i r r P LA T i AMAZONAS PAR MARANH O CEAR RIO GRANDE 247204 d 141 2 PARA PA D P PAS ali PERNAMBUCOT Se 2 rain TA ACRE C 2e 4 T a MN 8 1 SERGIPE 1 AYO GROSSO GOIAS BAHIA 4 je l P p en Tr MINAS D GERAIS ESPiRITO hrs 7 SANTO 3 Cerrados 1 s o PAULO NL shio DE p Y SIAN IRO F PAPANA N 7 ard T lt S CATA INA RIO GRANDE DO SUL 500 328 chelle c est a dire d abord sur la totalit des deux millions de ki lom tres carr s Ce n est pas une pratique habituelle PORSTOM mais c est la meilleure facon d appr
394. t du Cacao est unique au monde par le nombre d esp ces repr sent es l importance des effectifs et la diversit des origines Plus de 7500 g notypes sau vages appartenant une quinzaine d esp ces de Coffea ont t collect s dans environ 250 populations naturelles r parties dans huit pays d Afrique Les collections vivantes sont install es dans deux stations de recherche pr sentant des conditions cologiques diff rentes au Mont Tonkoui 1100 m pr s de Man pour les caf iers d altitude et Divo pour les caf iers de basse altitude La diversit morpho physiologique de ces caf iers spontan s et leur valeur agronomique sont tudi es l aide de descripteurs nom breux et vari s dont certains utilis s pendant plusieurs ann es sont communs la plupart des esp ces L informatisation des donn es a commenc la fin des an n es 70 par la d finition d un syst me de num rotation des ca f iers Depuis 1985 les deux stations de conservation des res sources g n tiques sont quip es de micro ordinateurs Goupil 3PC fonctionnant sous MS DOS Le support physique des donn es est constitu par des disquettes 5 1 4 pouces d une capacit m moire de 360 K octets Le logiciel de gestion utilis appartient la biblio th que de programmes de calculs statistiques d velopp s en Sbasic par Noirot D jardin Mullon et Savy Publication ORSTOM paraitre La base de donn es a pour objectifs de constitu
395. t rang s au sein de chacune des grandes divisions de la syst matique dans lordre alphab tique des familles genres es p ces et taxons infrasp cifiques L ordre alphab tique est adopt 139 pour faciliter la recherche d un nom mais il est limit au cadre de la famille afin de laisser ensemble les genres qui se ressemblent L ordinateur affecte des num ros s quentiels aux noms des taxons et les imprime leur gauche Dans le formulaire les noms sont tronqu s 60 caract res lorsqu ils exc dent cette longueur mais bien entendu dans le fichier comme dans les listes r capitulatives les noms sont crits en entier et comprennent les noms d auteurs Des tableaux de correspondance entre genres familles et grandes divisions de la syst matique permettent de retrouver la place des genres dans le formulaire Ce code a t constitu partir de deux fichiers Un premier fichier associe les genres de r f rence aux familles selon la classifi cation de Tryon 14 Un second fichier associe les esp ces et les taxons infrasp cifiques aux genres de r f rence Si l on d sire un code des Pt ridophytes de Guyane ordonn selon une autre classi fication des familles ou uniquement class par ordre alphab tique des genres il suffit de modifier le premier fichier familles genres selon la classification souhait e ou de la supprimer avant le trai tement informatique Ainsi un code floristique des Pt ridophytes de Guyane cla
396. t sont actuellement l tude 201 Phase 1 Dans un premier temps les logiciels gestionnaires de GEOMER vont tre traduits en FTN77 MicroSoft version 3 31 afin de leur assu rer une portabilit aussi grande que possible Un logiciel de cr ation de base de donn es la carte est en cours d tude Celui ci va permettre un ventuel acqu reur de ce type de base de donn es spatio temporelle de structurer sa propre base en fonction de la couverture g ographique souhait e de ses besoins et du type de donn es g rer L implantation d une telle base de donn es pourrait alors se faire sur des micro systemes du type compatible IBM PC AT dispo sant d une m moire de masse de 30 40 MO de 512 KO de me moire vive et d un syst me de sauvegarde du type steamer Phase 2 L implantation sur un mini syst me du type station Sun ou Apollo permettrait d une part des acc s en E S par r seau type Ethernet et d autre par des changes de donn es avec les grandes bases internationales par connection un r seau interna tional de t l communications Certains types de donn es comme celles de g ophysique ma rine n cessiteraient alors la mise au point d un syst me de protec tion quip d une mise jour p riodique interdisant l acc s aux donn es frapp es de confidentialit un interrogateur ext rieur non autoris 203 LA GESTION DES DONNEES DES LABORATOIRES D ANALYSES PHYSICO CHIMIQUES EXEMPLE D APPLICATION MID
397. ta Linnaeus 58 Dicorynia guianensis Amshoff 62 Cordia nodosa Lamarck 64 Bonafousia undulata Vahl de Candolle 78 Guatteria chrysopetala Steudel Miquel 80 Tetragastris altissima Aublet Martius 83 Quararibea turbinata Poiret 86 AB Liste des genres ayant plus de 50 chantillons ind termin s au niveau de l esp ce Cordia 52 Guatteria 58 Ouratea 64 Clusia 69 Duguetia 86 AC Liste des familles ayant plus de 50 chantillons ind termin s au niveau du genre Acanthaceae 51 Asteraceae 54 Burseraceae 108 Annonaceae 166 Observation Les Annonaceae et les Burseraceae sont des familles bien repr sent es dans la v g tation guyanaise La d termination des sp cimens est actuellement difficile 157 FIGURE 5 Liste des collecteurs de PHerbier de Cayenne ayant r colt plus de 100 chantillons et nombre d chantillons par collecteur Bena Paul 103 Billiet F amp Jadin B 160 Boom B M amp Mori S A 326 Cremers Georges Alexis 653 Feuillet Christian Patrice 404 Foresta Hubert de 199 Granville J J de B 318 Granville J J de Berg C C Jansen Jacob amp van Setten 157 Granville Jean Jacques de 1237 Grenand Pierre 312 Jacquemin Henri 350 Lescure Jean Paul 250 Moretti Christian 126 Mori S A amp Boom B M 102 Oldeman R A A B 796 Oldeman R A A T 194 1 Roelof Arend Albert 568 Pr vost Marie Fran oise 466 Ri ra Bernard Joseph Jean Louis 325 Sa
398. tements de textes gestionnaires de bases de donn es tableurs calculs statistiques programmes sp cialis s de chimiom trie Il n existe pourtant pas dans les produits de grande diffusion de logiciel prenant vraiment en compte tant la sp cificit de la me sure physico chimique que celle du travail de laboratoire Cette constatation nous a conduit la d finition du logiciel MIDAS base Figure 1 LA CIRCULATION DES DONNEES DANS UN LABORATOIRE D ANALYSES GESTION MESURES MESURES PARTICULIERES PRECISIONS DETECTIONS LIMITES TRAVAIL A EFFECTUER PREPARATION ECHANTILLONS DONNEES QUANTITATIVES REDUITES DONNEES PRETRAITEES APPAREILS DE MESURES DONNEES DESCRIPTIFS MODES SESSIHRES QUALITATIVES DES DOSSIERS OPERATOIRES CAHIER DE RESULTATS RAPPORT OBSERVATIONS LABORATOIRE DES DOSSIERS D ACTIVITE SYNTHESE INTERVALLES CONFIANCE ORRESPONDANCE ET FACTURATION MODES OPERAT TRANSFERT ASCII Y MISES AU POINT PRECISION METHODOLOGIE INTERPRETATION OPTIMISATION voc 205 de donn es pour les informations physico chimiques Figure 1 sur laquelle peuvent se greffer en amont des applications concernant les plans d exp riences le traitement du signal les calculs d talonnages et en aval des programmes statistiques et d aide l interpr tation 1 DESC
399. tenue l IBGE apres bien des p rip ties la plupart des travaux faits par les Br siliens se limitent le plus souvent aux tats ou groupes d tats formant des r gions demander une carte une chelle unique couvrant la fois les grands espaces du Mato Grosso et ceux plus dens ment peupl s du Minas Gerais apparaissait un peu extravagant mais cette carte existait au service des atlas de l IBGE perdu dans la p riph rie nord de Rio de Janeiro Contrairement au maillage ancien et peu volutif de la France le Br sil n ayant pas encore achev son processus de contr le ter ritorial la maille municipale des cerrados volue assez rapide ment Sur les 885 municipios r f renc s dans le recensement de 1980 plus de 400 n existaient pas en 1950 de 1970 1980 plus d une quarantaine de municipios ont t cr s Il n est pas possible d ignorer ces transformations car elles faussent les ventuelles comparaisons entre les recensements de 1970 et 1980 De plus les municipios concern s sont pr cis ment ceux o l expansion d mo graphique a eu pour cons quence la reconnaissance d une commu naut se traduisant par la cr ation d une municipalit C est la rai son pour laquelle il a fallu recalculer les valeurs donn es par le re censement de 1980 dans le cadre de la maille municipale de 1970 331 Lorsque les nouveaux taient de simples partitions d un seul muni cipio ancien la solution tait simple il suffis
400. thera paronychoides Saint Hilaire 5 Alternanthera sessilis Linnaeus R Brown 1 Amaranthus spinosus Linnaeus 1 Ambelania acida Aublet 43 Ambrosia artem siifolia Linnaeus 1 Anacardium occidentale Linnaeus 7 Anacardium spruceanum Bentham 2 Ananas annassoides Baker L B Smith 4 Ananas nanus L B Smith 3 Anartia meyeri G Don Miers 19 Anaxagorea acuminata Dunal Saint Hilaire Anaxagorea brevipedicellata Timmerman Anaxagorea dolichocarpa Sprague amp Sandwith 52 Anaxagorea phaeocarpa Martius o Anaxagorea prinoides Dunal Saint Hilaire Aneilema paraguayensis C B Clarke Anemopaegma chrysoleucum Humboldt Bonpland amp Kunth Anemopaegma granvillei A Gentry Anemopaegma ionanthum A Gentry Anemopaegma longidens de Candolle Anemopaegma paraense Bureau amp K Schumann 11 P pP HH HB 154 FIGURE 2 suite Anemopaegma parkeri Sprague Anisacanthus secundus Leonard Aniseia cernua Moricand F Aniseia martinicensis N J Jacquin Choisy Annona ambotay Aublet 1 gt Annona crassiflora Martius Annona densicoma Martius Annona foetida Martius Annona glabra Linnaeus Annona haematanthera Miquel Annona hypoglauca Martius Annona montana Macfadyen odo Q NU HP Annona muricata Linnaeus f Annona paludosa Aublet 1 m Annona sericea Dunal Annona squamosa Linnaeus Annona tenuiflora Martius Anredera leptostachys Anthodiscus trifoliatus G F W Meyer Anthurium affine Schott Anthurium at
401. tialisaion Validation OUI NON SF1 fin de saisie NUI ANCUS E EN XS EI Pot EET ECT ORSTOM Masque D finition de la grille DEMO GRC Page 2 NO Non Lig Col Description Attributs Val Ini Val Min Val Max i 1 NOM 05 12 x 30 02M 2 PRE 06 12 X 30 M 3 D 05 61 DD DD DDDD T 4 IND 06 61 DDD T 5 M 08 16 XXX M T I 9 6 TEL 09 16 DDS DD DD DD T T A 12 11 DDDD 8 M 13 11 DD M T 01 12 9 SB 14 25 5 5 10 SN 15 25 SD S DD M t 11 VAL 17 15 Fig 2 exemple d impression de grille 20 zone constante ou variable contient tous les param tres n ces saires la d finition du champ Des que le fichier source a t compil avec succes un fichier grille est cr et toutes les fonctions du g n rateur d cran peuvent tre appliqu es 4 LE MODULE MASQUE Comme nous l avons r sum plus haut ce module est d di l utilisation d une grille d j d finie dans un programme d application Le programme le voit comme un module externe subroutine ou proc dure selon le langage et communique avec lui par des param tres en nombre variable selon la fonction demand e qui est elle m me un des param tres Masque r alise sept fonc tions et dans tous les cas au moins deux param tres sont n ces saires l
402. tion correspondant la phase de programmation il ne sera d ailleurs pas n cessairement plus simple que s il avait t codifi directement avec les instructions de base du langage alors que quand ces m mes caract ristiques peu vent tre d finies au moment de l dition des crans le travail cor respondant est r alis en temps de sp cification ce qui parait plus ad quat La biblioth que Datetime usr fournit les routines n cessaires la mise jour des champs correspondants partir de la date et de l heure du systeme 5 5 Turbo Screen Il s agit d un progiciel distribu par la soci t PC Soft la ver sion 1 2 est dat e de f vrier 1987 Egalement destin la g n ra tion d ecrans et fen tres et leur utilisation dans un programme d application cod en Turbo Pascal ce produit se distingue du c dent par le fait que la biblioth que contenant les proc dures de gestion des crans constitue un module r sident unique Affturbo com qui doit tre charg en m moire pr alablement l ex cution 85 Cette solution offre un avantage d terminant sur la pr c dente dans la mesure o le segment de code r serv au pro gramme est entierement disponible alors que dans le cas de l indusion des routines en code source cet espace 64K se trouve sensiblement r duit de 12K environ pour Telador jusqu 26K pour Screen Maker en utilisant toutes les options disponibles dans ce dernier logicie
403. tion n est prendre cet gard 2 3 Les programmes 2 3 1 Les utilitaires Les programmes de cr ation de fichiers vitent l utilisateur courant d approfondir la structure CROISIERES et lui assurent la garantie d obtenir des fichiers conformes aux sp cifications Un minimum de programmation reste cependant la charge de l utilisateur pour mettre ses donn es au format d entr e reconnu par les utilitaires Les formats propos s par l IFREMER banque hydro et par le SHOM format ECHANGE pour les bathythermo graphes sont galement support s par le logiciel Un utilitaire PATCHCRO permet la mise en conformit des fichiers g n r s 185 sous la version pr c dente Ce programme offre quelques services suppl mentaires Enfin deux outils au caractere particulierement inquisiteur permettent aux initi s de fouiller et modifier les parties les plus intimes des fichiers CROISIERES 2 32 Les programmes d exploitation Ce paragraphe s loigne du sujet de l article proprement dit mais il est important d y consacrer quelques lignes En effet pour l utilisateur final le LOGICIEL CROISIERES c est avant tout cet ensemble de programmes Chacun d eux remplit une fonction de calcul de visualisation d dition ou de gestion de donn es Un programme acc de aux donn es de deux manieres diff rentes 1 acc s un catalogue une s lection a t pr alable ment d finie par l emploi de CATAL option s lection 2
404. tiques en offrant un environnement plus appro pri et mieux int gr avec les autres phases L utilisation d une m thode unique pour la conception for melle de syst mes informatiques l Institut est aussi de nature modifier profond ment l approche de l outil informatique par les scientifiques comme le d montre les premi res exp riences qui ont t tent es Elle devra offrir une alternative au mode de prototypage qui s est g n ralis jusqu maintenant favoris par la carence chro nique d informaticiens et aider la mise au point de logiciels sp cialis s dont l utilisation syst matique et rationnelle par 223 l ensemble du personnel scientifique est indispensable pour garan tir le d veloppement de notre recherche scientifique INTRODUCTION L essor spectaculaire de l informatique principalement depuis l apparition des microprocesseurs il n y a gu re plus de dix ans a eu pour cons quence une diversification consid rable de son champ d application de telle sorte que le logiciel est devenu un constituant d un nombre de plus en plus important de produits industriels et ou de services Un institut de recherche comme l ORSTOM est somme toute une entreprise comme une autre dont la finalit est de produire des connaissances et de l information en g n ral comme telle elle investit des moyens relativement importants dans des op rations de logiciels qui accompagnent ses actions scientifiques de g n
405. trale de Documentation Centre ORSTOM de Bondy 70 74 route d Aulnay 93140 Bondy France RESUME La cr ation de la base bibliographique ORSTOM pond plusieurs objectifs am liorer et multiplier les services documentaires ren dus aux chercheurs ORSTOM valoriser et diffuser les travaux des chercheurs ORS permettre un acc s d centralis aux fonds ORSTOM notamment pour les centres et missions La base HORIZON se d finit comme une base de r f rences de l ensemble des publications des auteurs ORSTOM Organisation g n rale Lanc e le ler septembre 1986 l op ration HORIZON a d marr autour d un sch ma propos l ensemble des structures ORSTOM un logiciel unique TEXTO soci t CHEMDATA choisi en raison de sa portabilit PC UNIX etc un bordereau d analyse documentaire unique des mat riels compatibles PC DOS pour les centres et missions des instruments de travail commun manuels voca bulaires etc Le tout s articulant autour d un centre l Unit de Documen tation de Bondy quip e en 1986 d une unit centrale MICRO MEGA 32 SXT ALCATEL sous UNIX apte fusionner les fi chiers saisis sur place et dans les centres et missions Actuellement il y a seize implantations de TEXTO l ORSTOM dont les principaux centres Bondy Montpellier La Fayette Brest Noum a Dakar etc Plusieurs milliers de r f rences ont t saisies 286 Persp
406. ttant double pr cision soit 12 millions d octets en m moire ou une gestion d entr es sorties tr s p nalisante Les calculs qui permettent de passer d un pas de temps l autre s talent sur plus de 4 000 lignes de Fortran Pour traiter un mois de simulation il faut int grer le modele sur plus de 1 000 pas de temps Le Cray2 avec ses 2 000 gigaoctets de m moire centrale sa capacit de vectorisation ses quatre processeurs pa ralleles permet moyennant quelques efforts de programmation d obtenir des temps de calcul tout fait raisonnables En dehors de la partie proprement calcul le reste est plus classique puisqu il s agit d organiser de valider des flots de don n es en entr e notamment les donn es de vent issues du modele atmosph rique du Centre Europ en de Reading en sortie les produits graphiques sont labor s travers le logiciel NCAR INTRODUCTION Depuis une dizaine d ann es l oc anographie volue dans le sillage de la m t orologie et s est de ce fait consid rablement transform e avec le d veloppement de l int r t port la clima tologie et la pr vision du temps Ceci est du en grande partie aux r sultats qui ont montr le r le tr s important jou par l oc an dans la redistribution de l nergie thermique la surface de la plan te La distribution des flux m ridionaux d nergie transport e par la circulation de l atmosph re et des oc ans travers les pa ralleles Figure 1
407. tuels sont supprim s et remplac s par un espacement Si le pr nom entier n est pas connu l initiale ou les initiales est mentionn e seule suivie d un point et entre parentheses Tous les titres honorifiques ou autres sont supprim s Les particules sont report es s il y a lieu apr s le pr nom l int rieur des parenth ses en minuscules ou plac es en majuscules avant le nom selon les regles internationales Pour maintenir l homog n it et contrairement aux usages en cours dans telle ou telle partie du Cameroun l ordre suivant est adopt pour chaque document dans la transcription des noms et des pr noms nom nom du p re s il y a lieu ou surnom pr nom s Les noms et pr noms retranscrits sont ceux figurant sur l ouvrage Ainsi deux noms diff rents peuvent parfois correspondre la m me personne si celle ci a volontairement modifi son nom En revanche si le m me auteur a plusieurs ouvrages avec des ren seignements moins complets concernant le nom ou le pr nom sur l un d entre eux ceux ci sont compl t s le plus possible et homog n is s S il y a plusieurs auteurs les noms et pr noms de chacun d eux sont s par s d une virgule suivie d un espacement Si l auteur personne physique n est pas connu seul le champ AUC auteur collectif est rempli Si l auteur personne physique n est connu qu en dehors de toute mention dans l ouvrage on ne le signale que dans le champ contenu Le nom et le
408. u teur de PORSTOM au S n gal dans la grande banlieue de Dakar Guedjawaye Des interviews ont t men s dans des concessions d une part partir d un questionnaire papier et d autre part avec les HUSKY des fins de comparaisons En C te d Ivoire dans la collecte de s rum Un petit questionnaire tait pos aux patients qu il fallait rapprocher posteriori des diagnostics sur les s rums pr lev s Une reconstitution crite des questionnaires partir des questionnaires machine avait galement t demand e apres l op ration aux fin d archivage et constitution de fiches m dicales Dans trois enqu tes en vraie grandeur dans la R gion Parisienne L une pour la CRAMIF en liaison avec le CRESIF pour va luer aupres de visiteurs l impact d une exposition d ducation pour la sant La seconde pour le service de M decine du Travail de la Soci t G n rale en liaison galement avecle CRESIF pour valuer partir d un chantillon par quotas l impact d une campagne sur les maladies cardio vasculaires Cette enqu te avait la particularit d tre men e pour moiti sur papier et pour moiti sur micro ordinateurs de terrain La derni re la Cit des Sciences et de l Industrie de La Villette aupres des usagers de la m diatheque Pour cette op ra tion un questionnaire d une quarantaine de questions a t g n r un matin la formation des enqu trices a eu lieu en d but d apres midi le questionnaire
409. u de probabilit a 2 choisi et rappel dans l en t te Avec les informations de fichiervariables si elles ont t saisies le logiciel calcule valeur de t de Student pour la probabilit indiqu e et nbrerepetition 1 degr s de libert pour chaque valeur mesur e S coeffvariation x mesure 100 Int s x t v nbressaimoyen 7 Facturation d un dossier pour chaque variable si descript4 de fichiervariables a t saisi affichage par page de la variable et des prix corres pondant au nombre total de mesures demand es et au nombre de mesures effectu es affichage en fin de page du co t total du dossier et du co t des analyses effectu es 8 Texte associ au dossier lecture par page du texte en mode fichier ASCII correspondant aux remarques du cahier de labora toire et aux correspondances M me en l absence de texte le logi ciel donne Le nom du fichier utiliser pour sa saisie 6 CALCULS DE LABORATOIRE fichier d aide 6 Une calculatrice vectorielle sur les variables chimiques L op rateur construit sa formule de calcul au moyen de deux fen tres d cran celle de gauche visualise la liste des symboles des variables du dossier celle de droite la liste des calculs disponibles Les fl ches permettent le d placement alternativement dans l une ou l autre des fen tres Elles autorisent les choix sur un nombre non limit de variables par d filement continu dans une fen tre de quinze symboles
410. uellement en cours de r alisation 100 3 EVALUATION 3 1 Propositions d am lioration Etendre au traitement de donn es non enti res et non nu m riques Elargir les contr les crois s lors de la saisie des contr les portant sur plusieurs variables calqu s en plus des tests logiques sur le principe de cr ation des variables Perfectionner l ergonomie et notamment au niveau de l homog n it dans les diff rents programmes Optimiser la vitesse d ex cution des diff rents modules et du stockage des donn es R aliser une version compil e Am liorer la pr sentation des tableaux crois s Et pourquoi pas tudier les possibilit s d une manipulation directe sur le tableau des donn es par le d placement du curseur 3 2 Points forts L originalit de ce gestionnaire est de pouvoir traiter des fi chiers hi rarchis s un nombre quelconque de niveaux Lorsque les fichiers sont limit s deux niveaux il est toujours possible de les ramener un niveau unique en pr voyant le nombre maximal d occurrences du deuxi me niveau Cela n est plus possible au del de deux niveaux Nous attirons donc l attention sur le principe d une saisie hi rarchique qui consiste d gager du questionnaire de base plusieurs sous questionnaires correspondant chacun un type d information recueillie et pouvant par cons quent tre consid r s comme des sous unit s statistiques Si nous envisageons un fic
411. ume distance angle n arc sens de rotation Tab 6 Liste dea fichiers UTILISATION FICHIERS DE BASE FICHIERS APRES TRAITEHENT DE BASE FICHIERS INFORMATION THEMATIQUE DERIVEE FICHIERS REORGANISES BASE DU DOCUMENT THEMAT I QUE FICHIERS DE RESTITUTION 316 Le principe consiste d terminer un point interne la zone et de compter le nombre d intersection entre la demi droite partant de ce point et la zone suppos e externe Si le nombre d intersections est nul ou pair la zone n est pas incluse inverse ment s il est impair la zone est incluse Figure 2 Calculs de surface Ils permettent de d terminer la surface de chaque zone la surface totale de la carte la surface totale par identifiant ou par classe les diff rents pourcentages Une unit terrain est choisie en fonction de l chelle de base m2 jusqu 1 10 000 ha de 1 10 000 1 100 000 km2 au dessus de 1 100 000 Le calcul s effectue de la mani re suivante izN SOMME X i Y i 1 X 1 1 Y i 1 2 i 1 o N est le nombre de points de la zone X i et Y i sont les coordonn es du i me point de la zone Hachurage de zones FORBAN utilise ce traitement sur l ensemble des trac s Le principe est proche de celui des recherches d inclusions recherche des intersections par rapport une droite Cette droite est d ter min e en fonction des param tres de dessin d finis par l utilisateur angle
412. un champ constant il ne sera pas accessible l utilisateur lors de la saisie Les caracteres et sont des d li miteurs particuliers utiles pour s parer les parties enti res et d ci males des champs en virgule fixe Une facilit suppl mentaire semblable ce qui existe dans la clause Picture du Cobol est offerte pour r p ter le m me type de donn es ou le m me d limiteur sur des positions cons cutives La description du champ pris comme exemple plus haut peut s crire indiff remment AAAADDDD ou A 4 D 4 La combinaison de ces types de donn es et des d limiteurs permet ainsi de d finir des champs simples num riques alphab tiques ou des champs compos s dates t l phones num rique sign avec ou sans point d cimal etc Le dernier parametre obligatoire pour d finir pleinement un champ variable est la position laquelle il commence sur l cran exprim e comme pour les champs constants par un num ro de ligne et un num ro de colonne Remarquons que la longueur du champ n est pas un para m tre n cessaire puisqu elle est implicitement d finie par la description position par position du type de donn es Toutefois un champ ne peut avoir une longueur totale sup rieure 80 et doit se trouver enti rement sur la m me ligne Pour compl ter la description d un champ variable des parametres optionnels sont disponibles un attribut qui rend le champ obligatoire lors de l utilisation de la
413. unication et la Mission Technique Informatique Cette r union s est d roul e dans l amphith tre du si ge de l ORSTOM rue La Fayette Paris du 06 au 08 octobre 1987 et a rassembl plus d une cinquantaine de participants d veloppeurs et utilisateurs de l informatique dans les disciplines les plus diverses de l Institut Dans son discours introductif Monsieur Philippe Tenneson Directeur G n ral a soultgn sa satisfaction pour la r alisation de cette r union et bri vement voqu l importance que rev t actuellement l outil informatique dans k r alisation des missions de l ORSTOM Vingt et une communications organis es en cinq sessions ont t pr sent es voir sommaire une large place a t faite aux d bats co pr sid s par MM Jean D jardin pr sident de la Commission Scientifique 07 et Pascal Renaud chef de la Mission Technique Informatique des l ments les plus marquants de chaque expos La discussion tait favoris e par la pr paration pr alable de questions qui ont t pos es l auteur l issue de son intervention Un certain nombre de recommandations ont t d battues et adopt es comme conclusion de ce s minaire En particulier a t sugg r de renouveler cette exp rience d s l automne 1988 en organisant un S minfor 2 Montpellier sur un sujet plus centr et en l ouvrant ventuellement des communications ext rieures l ORSTOM SOMMAIRE Sess
414. ur Centre OU pour Ouest EN pour Extr me Nord SU pour Sud LT pour Littoral SW pour Sud Ouest ES pour Est NO pour Nord CA pour Cameroun ensemble du pays ou province non d termin e Les abr viations sont s par es par une virgule sans espace ment quand il y en a plusieurs L abr viation CA ne peut figurer en m me temps qu une des provinces cependant si certains lieux sp cifiques apparaissent ceux ci sont mentionn s dans le champ LIEUX Exemple LT EN NO AD CE SU 25 LIEUX Autres lieux g ographiques Il s agit de tous les autres lieux g ographiques du Cameroun en dehors des provinces concern s par le document Les noms de lieux trangers au Cameroun ne sont pas relev s S crit en majuscules S il y a plusieurs noms de lieux ceux ci sont s par s par une virgule sans espacement Les noms sont crits la fran aise pour la partie francophone du pays et l anglatse pour la partie anglophone Pour les villes et les villages le nom figure seul Pour les autres lieux la nature du lieu est pr cis e la suite apr s un point sans espacement La nature du lieu est crite en fran ais quand le terme appropri existe et en anglais dans le cas contraire C est la d nomination originelle des unit s administratives C est dire leur d nomination au moment de la publication qui est relev e m me si cette d nomination a change Si le nom de l unite elle m me a change l ancien nom
415. ur IBM PC ou compatible avec un lo giciel du march Un transfert automatique des donn es n a fina lement pas t possible pour des raisons de compatibilit tant au niveau du transfert lui m me qu au niveau du passage sur logiciel courant dBASE Plus pr cis ment un tel transfert aurait occa sionn pour un r sultat gal un co t de loin sup rieur une nouvelle saisie compl te de la base En effet une nouvelle saisie permettait d optimiser des le d part la constitution et le fonction nement du syst me en fonction de l exp rience acquise et des pos sibilit s accrues offertes par le logiciel C est donc cette solution qui a t retenue Dans le choix du logiciel plusieurs solutions ont t exami n es chacune pr sentant des avantages et des inconv nients L exigence imp rative tait pour le logiciel de poss der une version micro compatible avec IBM PC afin de permettre une diffusion aussi large et d centralis e que possible Dans ce cadre on a pris en compte les performances intrins ques la communicabtht la simplicit d utilisation et le prix C est finalement le logiciel Texto qui a t retenu la fois pour les performances sp cifiques qu il offre dans le domaine de la documentation et pour assurer la com patibilit avec les syst mes en place ou en cours d implantation MESRES au Cameroun MINCOOP avec la base IBISCUS ORS TOM avec la base HORIZON et CIRAD en France POPCAM est ainsi
416. ur de croi si re la situation dans le temps et dans l espace grille de la croi si re la liste descriptive des moyens mis en oeuvre et la liste des bases gravim triques sur lesquelles la croisi re est cal e 3 2 Organisation et principe de fonctionnement Incorporation L incorporation d une croisi re se r alise selon les phases suivantes allocations des pointeurs de croisi re de station de profil et de travers e de station cr ation du fichier MESxxx activation des r seaux de pointeurs identification du premier point de mesure positionnement du point sur l espace grille recherche de la station support identification de la travers e de station positionnement et notation de la travers e allocation des pointeurs de croisi re et de station au point trait mise jour des pointeurs dans INFOG mise jour des fichiers STATN PROFIL DGNDX et DGLST incorporation du point au fichier MESxxx traitement du point de mesure suivant Quand tous les points de mesure sont trait s et incorpor s mise jour du fichier CROISR 195 Extraction Lorsqu une op ration d extraction est lanc e le mode d extraction est laiss au choix de l utilisateur Quel que soit le mode choisi fen tre g ographique croisi re ou profil l op ration finale est la m me et seuls la s lectivit et le temps de recherche varient Une extraction se d roule selon les phases suiva
417. us Leonard Cremers Georges Alexis 5734 6912 Oldeman R A A B 2390 Justicia sp Cremers Georges Alexis 5759 Ruellia rubra Aublet Granville Jean Jacques de 2907 Annonaceae Annonaceae sp Feuillet Christian Patrice 2112 2248 Granville Jean Jacques de 6661 Duguetia sp Granville Jean Jacques de 6687 6704 Froesiodendron surinamense R E Fries R E Fries Cremers Georges Alexis 6913 Guatteria chrysopetala Steudel Miquel Cremers Georges Alexis 4238 Oldeman R A A B 650 Rollinia exsucca Dunal A de Candolle Granville Jean Jacques de 2992 Unonopsis stipitata Diels Oldeman R A A B 634 Xylopia sp Leeuwenberg Anthonius Josephu 11821 Apocynaceae Apocynaceae sp Feuillet Christian Patrice 176 2838 2855 Anartia meyeri G Don Miers Granville Jean Jacques de 2942 Observation Les chantillons sont rang s par ordre alphab tique des familles genres et esp ces Les collecteurs sont rang es par ordre alphab tique et par num ro de collecte croissant 164 FIGURE 14 Composition de Pherbier des Commelinaceae 87 chantillons 17 taxons diff rents R partition des chantillons en fonction du niveau de d termination 6 chantillons d termin s la famille 5 au genre 74 1 2 au niveau infrasp cifique R partition des taxons en fonction du nombre d chantillons 7 taxons sont repr sent s par 1 chantillons 1 taxon est repr sent
418. us forme de fichiers en 120 format ASCII pr parer fichier utilisable par d autres logiciels statistiques modeles math matiques pluies debits Deux versions parfaitement compatibles sont op rationnelles les donn es pouvant transiter de l une l autre une version pour micro ordinateur IBM XT ou com patibles qui permet une exploitation complete et d centralis e des donn es d un bassin d un fleuve d un service ou d une section outre mer une version moins riche implant e sur gros syst me d et utilis e pour g rer la banque complete du Laboratoire d Hydrologie Ind pendamment du volume du logiciel 60 fonctions acces sibles par 13 menus de la vari t des p riph riques connect s table digitaliser table tracante lecteur de m moire EPROM il convient de signaler un certain nombre de points d cisifs lors du d veloppement la d finition du logiciel par enqu te aupres des futurs utili sateurs les contraintes impos es par le mat riel une premiere ver sion d velopp e sur la configuration Mini 6 CIRCE de Bondy a t remise en question par le transfert du Laboratoire d Hydrologie et son quipement en micro informatique les avantages et les inconv nients du langage principal Cobol choisi par continuit avec la premiere version la n cessit d utiliser un autre langage Basic pour les graphiques l acc s aux fonctions du logiciel par des menus et la saisie des don
419. ustivement possible un domaine scientifique donn et r pond par l essentiellement au premier des objectifs d une recherche documentaire qui est l identification des ouvrages Il s agit l de l originalit de POPCAM par rapport la plupart des autres bases de ce type qui r pertorient g n ralement de mani re exclusive les ouvrages en possession de l organisme qui les met en oeuvre Cela facilite l accessibilit des ouvrages mais s exerce au d triment de l exhaustivit de la base Avec POPCAM l acces effectif aux ouvrages se fait dans une tape ult rieure par l interm diaire du champ SITU qui a pour vocation de donner la liste des centres de documentation poss dant l ouvrage en question situ s tant au Cameroun qu l ext rieur quand ceux ci sont connus Un effort important a t port la qualit et l homogeneit des donn es contenues dans POPCAM C est ainsi que la saisie initiale a donn lieu six types de contr les diff rents soit un nombre de contr les pour chaque champ allant de trois cinq correction la saisie avec la proc dure d ajout avec v rification Chaque document est relu puis corrig s il y a lieu avant son entr e dans la base premi re correction sur listing Correction concomit tante toutes les 200 r f rences contr le d exhaustivit Pr sence exhaustive des do cuments et compl tude des sept champs qui doivent tre obliga remplis A
420. utelle montraient que leurs troupes faisaient preuve de modernisme Nous tions dans la situation paradoxale o l introduction d un puissant outil technologique aboutissait l apprauvissement des r sultats Cet tat de fait se v rifiait surtout dans les sciences ou la m thodologie ne poss dait pas d outils math matiques ou statistiques d velopp s L arriv e en force des micro ordinateurs au d but des ann es 80 allait permettre cette d mystification de l ordinateur travers d mocratisation La r alisation d un logiciel de saisie contr le et traitement l mentaire des donn es nous apparaissait comme une facon de valoriser ce rapprochement de l ordinateur et du chercheur Nous nous sommes cantonn s la r alisation de traitements statistiques l mentaires car si la saisie et la v rification de don n es ne sont que l automatisation de t ches r p titives ne deman dant pas de connaissances th oriques le fait de savoir positionner cinq param tres pour lancer une analyse de correspondances ne garantit en rien la maitrise des pr suppos s th oriques qui seuls permettent une interpr tation scientifique correcte des tableaux et des graphiques fournis par l ordinateur Sans cette connaissance pr alable de la statistique l interpr tation est un acte de divination dans le marc de caf La deuxi me grande pr occupation tait le temps le temps tr s long entre la passation de l enqu te sur le terrain et
421. uteur du logiciel Deux op rations de ce type sont en voie de r alisation ou de n gociation La premiere avec le Ministere Fran ais de l Environnement pour la partie du logiciel relative aux d pouille ment des enregistrements graphiques et la gestion des cotes ins tantan es des modifications tant n cessaires pour adapter le 131 logiciel la num rotation des stations d observation en vigueur en France La seconde avec l EMBRAPA Entreprise Br silienne de Recherche Agro Pastorale l adaptation principale consistant dans ce cas une traduction du logiciel en portugais 5 QUELQUES L MENTS IMPORTANTS AU COURS DU DEVELOPPEMENT 5 1 Conception du syst me Une premi re consultation a t faite fin 1981 aupr s de tous les hydrologues ORSTOM affect s ou de passage en France afin de recueillir en vrac toutes les suggestions sur le contenu des fichiers et les fonctions que devrait tre capable de r aliser le logiciel Ce document a servi de base l laboration par l analyste d une pre mi re proposition discut e et affin e lors d une r union g n rale Le d veloppement a alors commenc et s est poursuivi pendant une p riode d environ un an au terme de laquelle une nouvelle consul tation a eu lieu afin de pr senter les r sultats obtenus examiner quelques points particuliers et surtout parvenir un consensus sur certains probl mes mis en vidence par les d veloppements d j r alis s L exp
422. uvelle Cal donie qui en comporte plus de 1600 en passant par la gestion des membres de la Soci t Fran aise d Ichtyologie les bibliographies de th ses ou d articles etc j ai crit en 1986 le programme POI et par l voulu atteindre deux objectifs viter aux utilisateurs d apprendre un langage ou un logiciel de gestion de fichiers Ce qui signifie permettre tous les membres d une quipe travailant sur les m mes fichiers de les cr er les consulter les mettre jour les corriger les diter les transf rer etc sans risquer d intempestives et parfois fatales mo difications de structure ou de contenu am liorer les performances du progiciel par une adaptation troite aux besoins sp cifiques par exemple d roule ment de menus et d explications libell s dans un vocabulaire fami lier pas de codages malgr leurs ind niables avantages pour l informaticien lin arit des op rations les plus courantes transpa rence des op rations complexes par une programmation optimi s e pour la rapidit d ex cution et par une s curit accrue par exemple validation des entr es gestion conservatrice compl te et transparente des index sauvegardes automatiques Dans ce syst me les utilisateurs d terminent eux m mes l architecture de l ensemble des fichiers mis en relation par exemple fichier d esp ces associ s un fichier de synonymes et un fichier bibliographique et la structure de chacun de ces
423. vage de celles ci Ce ph nom ne tait aggrav du fait que certains chercheurs croyant en la magie du mot ordinateur avaient un peu perdu de vue les probl mes de la qualit des donn es et des supports sur lesquels elles taient recueillies L ordinateur tait la boite noire l on jetait un paquet de cartes l entr e pour r cup rer un rapport la sortie nous avions enfin trouv notre pierre philosophale Ce myst re s entretenait d autant plus facilement qu avec l apparition de la statistique descriptive multivari e analyse des 44 correspondances analyses factorielles etc une confusion s est vite faite entre la capacit de ces outils analyser des donn es h t rog nes qualitatives quantitatives ordinales etc et analy ser n importe quoi M me si le r sultat la sortie de la machine n tait pas pro bant l appel au joker recodage lissage g n rateur de donn es manquantes permettait toujours au bout d un certain nombre de passages dans la machine d obtenir un r sultat mais quel r sultat Il faut dire que ce syst me arrangeait tout le monde le cher cheur qui il vitait une remise en cause de son travail de recueil de toutes facons les r sultats seraient bien plus valoris s par la m thodologie employ e que par leur valeur intrins que l interm diaire informaticien statisticien voyait grandir son prestige et devenait un homme indispensable et les institutions de t
424. vauchant les principales divisions r gionales du Br sil C est pr cis ment partir de cette remarque qu est n e la probl matique de recherche les cerrados sont compos s de la partie p riph rique de plusieurs r gions br siliennes tr s diverses couvrant une grande vari t de niveaux de d veloppement Quy a t il de commun entre d une part la frange sud du Goias ou du Mato Grosso do Sul jouxtant l Etat Paulo phare de l conomie br silienne et d autre part les zones d pressives du Piaui ou de l ouest de Bahia Rien si ce n est d appartenir une m me r gion biog ographique les cerrados Cette caract ristique est si forte que nombreux sont ceux qui au niveau des grands or ganismes d am nagement de l Etat n h sitent pas parler de la R gion de Cerrados S agit il d un simple abus de langage ou bien comme c est peut tre le cas de la volont d clar e d riger les cer rados en t moin avanc d une rupture avec le sous d veloppement un peu comme l avait d j fait le Pr sident Juscelino Kubitschek en installant la nouvelle capitale Brasilia au coeur des cerrados Si cette hypoth se s av rait exacte les cerrados seraient une sorte de creuset ou mieux un laboratoire vivant ou l on pourrait obser ver des transformations rapides r sultant des jeux d influences convergentes et se r percutant sur tous les aspects de la vie cono mique et sociale Le g ographe est directemen
425. vec chaque appareil de mesures Les mesures chromatogrammes r sultats calcul s etc seront saisies de maniere s quentielle dans chacun des fichiers correspondant chaque variable nomm s Nomvar L numerobib numerodos Des programmes devront alors tre employ s pour r duire les donn es dans les fichiers Nomvar M numerobib numerodos contenant les r sultats d finitifs quantitatifs et ou dans le fichier nomvar BI numerobib pour les observations qualitatives Pr paration des chantillons fichier d aide 4 1 saisies pes es et dilutions d chantillons Op rations arithm tiques simples sur ces facteurs pour les transformer en facteurs de correction des mesures Par d faut les facteurs sont unitaires saisie manuelle Editeur analogue saisies manuelles mesures 213 interfacages Balance METTLER AE sortie de donn e RS232 ref 011 M me diteur que pr c demment avec d placement l chantillon choisi par ENTER Presser la barre lt ESPACE gt ou une autre touche pour mise en attente de pes e La balance n envoie alors la pes e que lorsqu elle est stable Apres cet envoi le curseur passe l chantillon suivant Si l ordinateur n est pas connect la touche lt ESPACE gt ne bloque le logiciel que pendant 10 secondes sur Goupil G40 Interfaces avec autres balances ou diluteur Modifier la proc dure Balance pas selon le format de sortie des donn es 5 LECT
426. velopp par raffinements suc cessifs depuis la vision globale de l application jusqu la repr sentation des fonctions l mentaires L outil principal de mod lisation est le diagramme de flux de donn es qui fournit une vision graphique des relations entre les divers composants de l application permettant alors l analyste l utilisateur et au programmeur de percevoir les diverses parties du syst me partir d une m me structure modulaire L analyse fonctionnelle labor e dans la premi re tape de cette m thodologie conduit naturellement une participation ac tive de l utilisateur lors de la d finition des flux de donn es pr lude la construction du dictionnaire de variables A l issue de cette phase un document le projet logique est produit et va constituer la base de travail de l tape suivante de specification L approbation par l utilisateur de ce document fige la ver sion du syst me mettre au point l ad quation du produit d pend directement de la bonne compr hension du projet logique par l utilisateur d ou l importance de cette participation Il est vident que l adoption d une telle m thodologie est un pr alable indispensable l utilisation de techniques nouvelles rele vant du g nie logiciel Celles ci sont susceptibles d augmenter sub stantiellement la productivit de la phase de programmation gou lot d tranglement traditionnel pour la mise au point des ap plications informa
427. yant subi une duplication chromosomique Les couples isog niques di ploide t traploide sont ainsi facilement distingu s Ce syst me de num rotation est utilisable pour les hybrides des deux premi res g n rations L identificateur d esp ce devient alors un identificateur de la combinaison hybride form partir des deux identificateurs parentaux Dans le cadre de cette commu nication nous nous limiterons au fonctionnement de la base de donn es des caf iers sauvages 1 2 L origine g ographique L origine des caf iers est expliqu e par le pays de collecte format 2 la population dans le pays format 3 la nature du mat riel pr lev graine plantule ou axe v g tatif format 1 et ventuellement le code de l arbre m re 1 3 La plantation en collection La plantation en collection est d crite par la station de recherche format 1 la parcelle dans la station format 2 la position dans la parcelle num ro de ligne format 3 et rang sur la ligne format 2 l ann e de plantation format 2 la nature du mat riel plant plant issu de semis bouture ou greffe format 1 111 ventuellement la duplication en collection dans la m me station ou dans une autre station La plupart des g notypes sont plant s deux fois dans la m me station l exception des descendances issues de graines ca feiers apparent s 1 4 Les donn es de l valuat

Séminfor 1, premier séminaire informatique de l`ORSTOM

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