Assistance technique pour un centre informatique de documentation
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1. ol 92 98 09 11 Present Utilization Fsh Farming Reasarch Gore uhe Protection alte 1e Existing Protection And Act Chap Sh vf 4 2 pru vf r Proposed Protection Sex Cero ares Tha e A im qood slaka of peso amd ie well loched afer but ha Gurr ou As are um Mem pt amd littered by rubbish With o litle but of Sensitive kreakment amd qardemimg aa site can be turned into Comments a major attraction 33 Architectural History T Fort was built un eio as part of rha mportant coast daCence e sion e Gnd Master ASE de Wigna coac t ivot 1622 Us keck i6 hod bis m ally said f have bam Vittorio Cassar but thare i mo absslute cartammty abeut this Us Cctifcakions were umproved Un 179 when the oct was remand Qx amp Rohan More umporlan t werks wee um ac aken m she early British e c d when tho old Semi arcula r katlery v Cem of Ha Vows tower was replaced ky stone Casumroked AUM positions housing Mac e uns wc fred v tough ed A Sausiactory B Bad C Poor es Wc dtttfo4 Compiled by Date ELE Macie Buhagiar lo4 V 197 Checked by im m Ir vi 1991 Maric P uha ar Legsi NEG arenak puenty deed boy tha Umuansity of Malta Basic Bibliography Al sem Hopper The octification of Malls hy Ha Order of Sk Tohn E dmburah 1979 to amp 2k passim 35 ANNEXE II PROPOSITION DE FICHE D ACQUISITION DE DONNEES 1 12. 4 3 4 4 26 PEINTURES SCULPTURES ARTS DECORATIFS ET OBJETS DE MUSEE Num ros Num ro de r f rence dans le d p t pouvant tre li la date d entr e Num ro de renvoi aux syst mes ant rieurs Num ro de renvoi d autres fichiers patrimoniaux par exemple pour les peintures in situ telles que la D collation de Saint Jean Baptiste par Le Caravage ou pour les peintures associ es d autres ouvrages comme la vue d e l Eglise conventuelle de Saint Jean par un anonyme du milieu du XVIIe si cle au Mus e des Beaux arts qui comporte un renvoi l Eglise conventuelle de Saint Jean de La Valette dans le fichier monument Situation Nom du b timent ou d p t par exemple Mus e des Beaux arts Ile Malte Ville ou village La Valette Route ou rue South street Num ro Identification du d p t Unit administrative au sein du d p t par exemple tableaux de maitres Nom de la collection par exemple legs du Comte Saverio Marchese Identification de l objet Classe par exemple peinture Type par exemple portrait Titre par exemple Le grand maitre Pinto Auteur c est dire artiste sculpteur etc en indiquant d abord le patronyme pour faciliter la recherche par exemple de Favray Antoine renvoi au fichier personnel R le de l auteur artiste On tablira une liste des termes accept s pour la classe le type l auteur et le r le afin de faciliter l extraction
3. 1 4 2 1 3 1 5 1 5 4 6 1 7 4 8 1 9 1 9 3 10 1 11 1 11 3 36 DIVISION DES SERVICES DE PLANIFICATION FICHE D ACQUISITION DE DONNEES S minaire piscopal Mdina 150 1 2 MONUMENTS MDA 005 1 3 252 Mus e des Beaux arts 161 Mus e arch ologique 2 2 Malte 4 1 Mdina 4 2 4 3 4 4 4 5 S minaire 1733 Pierre Belli Andrea 144 15 24 Place St Paul S minaire piscopal 24 6 1970 5 3 CA 6 2 Mus e 6 3 Religieux 72 7 3 9 2 Architecte 10 2 112 Antenne D partement de 11 4 l information 1976 Dessins conserv s au Mus e arch ologique 37 11 5 Archives sur les lieux 11 6 Mahoney Leonard A History of Maltese Architecture Zabbar 1988 Hughes Quentin The Building of Malta 1530 1795 Londres 1967 12 13 1 Remarquable palais baroque sur deux niveaux et fondations avec fa ade cinq baies dont la centrale est concave les angles du b timent tant arrondis Articul par des pilastres doriques et ioniques surimpos s fen tres du rez de chauss e et de l tage encadrem auriculer celles de l tage fronteau ouvert balcon central soutenu par des atlantes Plan profond avec cour int rieure 13 2 Traditionnellement attribu Barbara voir Lija Eglise paroissiale mais construit apr s sa mort Attribuable Andrea Belli qui avait tudi en Italie et connaissait bien les possibilit s de perspective du baroque tardif Le
4. ation de bases de donn es et l achat d quipement 8 Il importe de reconna tre qu il faut pr voir dans tout programme de mise en uvre le temps n cessaire pour permettre les in vitables modifications et affinements qu exige un syst me apr s sa mise en place Le syst me doit aussi assurer que l information entr e dans les fichiers puisse tre consult e et valid e avant d tre compl te afin de permettre des amendements ventuels et l introduction de renvois M me le plus modeste syst me d information peut tirer avantage de son passage par une s rie de stades distincts assurant que tous les int ress s sont tomb s d accord sur telle phase particuli re avant d aborder la suivante et que cet accord et l action future n cessaire sont d ment enregistr s L laboration d un projet doit pr voir au minimum la sp cification et la justification du besoin l indication des avantages op rationnels et financiers le maintien d une qualit d information de niveau commercial l estimation des besoins en mati re de financement de ressources humaines et de formation l analyse fonctionnelle lanalyse organique la construction de syst mes l preuves des syst mes l acceptation de l utilisateur a production d un manuel d utilisateur l information de l utilisateur la r alisation l examen post r alisation la sp cification des modifications et am liorations L ini
5. ensembles de b timents d int r t historique m sologique ou artistique Dans la Loi n X de 1988 sur les permis de construction dispositions temporaires la d finition du monument aux fins de d claration d une zone de pr servation ou de conservation suit les lignes directrices du Conseil de l Europe tablies par la Convention de Grenade de 1985 12 On pr pare actuellement l Universit des fiches de donn es analogues pour l inventaire des sites arch ologiques et une tude des sites marins distincte de l inventaire est en cours Les donn es recueillies seront utiles lorsqu on en arrivera inventorier les dits sites marins Il importe que ceux ci soient couverts par l inventaire car la loi relative aux objets anciens prot ge les d couvertes faites dans les fonds marins aussi bien que les terrestres La r vision r cente de la Convention europ enne sur le patrimoine arch ologique pourra en temps et lieu avoir pour les normes des r percussions dont il faudra tenir compte Les fiches d acquisition de donn es sur les monuments n ont pas t con ues pour l informatique On pourrait peut tre informatiser les d tails qu elles contiennent sous leur forme actuelle mais des changements de conception et un classement plus clair souhaitable dans tout syst me informatique aideraient beaucoup l entr e et l extraction et accroitraient par cons quent l utilit et l applicabilit de l information Une part de
6. l information pr sentant un int r t pourrait tre tir e des d tails descriptifs consign s sur les fiches par ceux qui seront charg s d introduire l information dans la base de donn es mais ce n est pas recommander de fa on g n rale car une telle op ration exige des connaissances et des jugements architecturaux importants que l on n attend pas normalement d un informaticien Il est pr f rable de structurer la fiche de mani re que l expert en architecture sur le terrain et dans la magn toth que puisse la remplir et apr s validation par un ma tre architecte la transmettre l informaticien sous une forme permettant l introduction imm diate dans un syst me Toute l information si elle est bien structur e tiendrait facilement sur les deux faces d une fiche de donn es laissant peut tre un espace pour une photographie Si l on envisage de conserver l actuel syst me d enregistrement avec modifications propres faciliter l extraction des fiches clairement manuscrites introduites dans une base de donn es par un informaticien professionnel suffiront Il conviendrait cependant de consid rer l emploi ventuel du balayage des donn es et de la reconnaissance optique des caract res Les fiches pourraient tre analys es aux fins d entr e imm diate dans le syst me et en ce cas il serait souhaitable que l information y f t dactylographi e afin d tre lisible et qu on n utilis t qu une face de la fiche afin que la
7. s au sein d un syst me de donn es sur le patrimoine La liste des rubriques propos es doit tre examin e par les experts comp tents de concert avec les directions de la planification de l arch ologie et des mus es On s attache ici davantage au contenu ventuel d une base de donn es plut t qu sa forme car aucune recherche n a t faite sur le syst me actuellement en usage dans le secteur public maltais ni sur les difficult s et le co t de l adoption de nouveaux syst mes Les domaines num r s pourraient tre trait s dans la plupart des syst mes cependant pour la mise en uvre de ces propositions on suppose une structure relationnelle bien qu il soit recommand d prouver cette hypoth se par une nouvelle analyse Les bases de donn es relationnelles comportent des structures d enregistrement permettant de conserver dans plusieurs fichiers l information contenue dans un m me enregistrement Les principaux fichiers correspondent aux entit s qui ont t d finies objet sujet personne lieu Des fichiers s par s et reli s au sein d un syst me relationnel permettent l utilisateur de poser des questions s adressant deux fichiers ou plus De tels syst mes permettent galement de r p ter des zones ou groupes de zones afin de traiter des l ments ou variables multiples ce qui accroit grandement la souplesse du syst me Il est fortement recommand qu un analyste fonctionnel soit consult avant la cr
8. s dans la construction doivent tre num r s 9 Personnes ou v nements en cause 9 1 Nom s des personnes et institutions par exemple Carapecchia Cette mention doit renvoyer au fichier personnel 9 2 R le d une ou des personne s par exemple l architecte Si l on mentionne personnes et r les on pourra d finir les rapports entre un individu et un b timent et extraire une information sur l ensemble des architectes par exemple les noms de tous les architectes connus pour avoir travaill La Valette au d but du 18e si cle Voir galement fichier personnel infra 9 3 Ev nements corr latifs permettant un renvoi par exemple au D partement de l information ou aux fichiers arch ologiques pour les fouilles connexes 10 10 1 10 2 ii 19 Etat physique Monuments d molis en ruines ou restaur s Etat g n ral Tel qu il apparait actuellement sur les fiches de donn es cet aspect est plut t impr cis car il parle la fois de l humidit et de parties de la structure il serait peut tre pr f rable de le placer dans une zone s par e DONNEES SUPPLEMENTAIRES L information suivante en plus des donn es centrales est galement souhaitable Maite 11 11 1 11 2 11 3 11 4 11 5 11 6 12 13 13 1 Documentation corr lative R f rences photographiques num ro s de films num ro s de n gatifs Photographies conserv es ailleurs par exemple
9. b timent a t peu modifi 13 3 En bon tat de conservation et bien entretenu Les l zardes de la fagade ne sont pas r centes 14 JB Mars 1992 Sales agents for publications of the Council of Europe Agents de vente des publications du Conseil de l Europe AUSTRALIA AUSTRALIE Hunter Publications 58A Gipps Street AUS 3066 COLLINGWOOD Victoria AUSTRIA AUTRICHE Gerold und Co Graben 31 A 1011 VIENNA 1 BELGIUM BELGIQUE La Librairie europ enne SA 244 rue de la Loi B 1040 BRUSSELS CANADA Renouf Publishing Company Limited 1294 Algoma Road CDN OTTAWA ONT K1B 3W8 CYPRUS CHYPRE MAM The House of the Cyprus Book PO Box 1722 CY NICOSIA DENMARK DANEMARK Munksgaard Book and Subscription Service PO Box 2148 DK 1016 COPENHAGEN K FINLAND FINLANDE Akateeminen Kirjakauppa Keskuskatu 1 PO Box 218 SF 00381 HELSINKI GERMANY ALLEMAGNE Verlag Dr Hans Heger Herderstrafie 56 Postfach 20 13 63 D 5300 BONN GREECE GR CE Librairie Kauffmann Mavrokordatou 9 GR ATHENS 106 78 ICELAND ISLANDE B kab d M ls og menningar Laugavegi 18 IS REYKJAVIK 101 IRELAND IRLANDE Government Stationery Office Publications Section Bishop Street IRL DUBLIN 8 ITALY ITALIE Libreria Commissionaria Sansoni Via Duca di Calabria 1 1 Casella Postale 552 1 50125 FLORENCE LUXEMBOURG Librairie Bourbon Imprimerie Saint Paul 11 rue Bourbon L 1249 LUXEMBOURG MALAYSIA MALAISIE Library Build
10. des calendriers et objectifs d finis 15 5 FICHIERS DE BASE DE DONNEES La liste suivante de rubriques pour les zones de la base de donn es envisag e a un caract re plus illustratif que prescriptif Il faut appr cier ces rubriques la lumi re la fois de l analyse op rationnelle et de l analyse fonctionnelle Cette derni re aidera ventiler les zones propos es en leurs entit s logiques par exemple situation v nement et reconnaitre les l ments des divers ensembles d information monuments sites objets communs plusieurs d entre eux par exemple nom situation tat etc On verra que nombre de zones d information sont communes plusieurs fichiers de sorte qu on peut r aliser d importantes conomies d espace dans l enregistrement de l information L analyse indiquera galement les liens d j immanents entre les diverses zones d information et ceux qu il faut construire pour r pondre aux besoins op rationnels et ceux des utilisateurs On peut consid rer les parties distinctes d un syst me de donn es sur le patrimoine simplement comme trois composants li s entre eux renfermant des l ments partag s et se r f rant les uns aux autres PERSONNES et INSTITUTION 16 6 PROJET DE FICHIER MONUMENTS i DONNEES CENTRALES 0 Nom simplifi du monument l Num ros 1 1 Num ros des sites et b timents Num ro d identification unique pour sites et b timents permettant l enreg
11. par le D partement de l information on indiquera s il s agit de photos terrestres ou a riennes et l on pr cisera la date car le sujet et la date sont les principaux auxiliaires de la recherche Photogramm trie num ros de r f rence situation Existence de dessins m tr s mentions historiques Renvoi des sources documentaires par exemple archives de la Biblioth que nationale relatives aux chevaliers de St Jean ou proc s verbaux judiciaires ant rieurs 1900 et conserv s Mdina Information bibliographique La ou les principale s source s pour les monuments doivent tre num r es le patronyme de l auteur pr c dant ses initiales afin de faciliter l extraction alphab tique par exemple Ellul Michael Fort St Elme Malte La Valette 1988 Ce doit tre l une zone r p titive permettant des entr es multiples dans la base de donn es Propri t du monument Description libre Description 13 2 13 3 iii 20 Histoire architecturale Observations Nom du r dacteur et date Nom du v rificateur et date DONNEES DE GESTION A l exception ventuelle des points 5 4 10 2 12 et 13 3 toutes les zones d information pr cit es peuvent tre consid r es comme propres tre communiqu es au public Si un syst me informatis tait mis la disposition du public ces zones ne devraient tre accessibles qu aux lecteurs poss dant un mot de passe appropri Les autres
12. relativement restreint constitue un patrimoine national de grande valeur non seulement pour Malte mais pour la culture europ enne et universelle Plan structural 1990 par 15 4 5 La dimension europ enne a t mise en exergue en 1989 au cours du s minaire tenu en commun par le minist re de l Education et le Conseil de l Europe sur la route du baroque Malte dont les travaux ont t publi s sous le titre Le baroque maltais dit par G MANGION Les Routes du Conseil sont con ues pour mieux faire prendre conscience des caract ristiques nationales et r gionales et mettre en lumi re les l ments communs qui contribuent forger une v ritable identit europ enne Une appr ciation du patrimoine national est n cessaire pour cet accroissement de la sensibilit non seulement aux fins de tourisme culturel et d ducation mais aussi dans le domaine de la limitation des am nagements La compr hension du r le que le patrimoine devrait jouer dans la planification cr ative est essentielle Les nouveaux am nagements doivent toujours tenir compte de ceux qui existent afin d assurer le mariage harmonieux du vieux et du neuf Ce n est pas ici le lieu de plaider pour un type d am nagement de pr f rence d autres mais simplement de souligner l importance d un inventaire jour des b timents et sites historiques permettant un acc s rapide l information en tant qu outil de planification et de service la disposition d
13. ts ou monuments et d activit s par exemple construction d cision de planification 7 Adresses des donateurs vendeurs etc de peintures ou objets 8 Nom s du des catalogueur s date d entr e 4 5 30 FICHIER INSTITUTIONS Nom de l institution accompagn d un bref historique par exemple des Chevaliers de Saint Jean de Malte Date Epoque de l existence de l institution R les de l institution r le ou r les jou s par celle ci par exemple ordre monastique Historique de l institution r sum Correspondances renvoyer aux monuments ou d p ts d autres fichiers patrimoniaux par exemple fichier monuments pour les Auberges des chevalier fichier tableaux pour les portraits des grands ma tres fichier activit s par exemple construction d cision de planification et fichier personnel 31 ANNEXE I FICHE ACTUELLE D ACQUISITION DE DONNEES 32 Site Description Address 16 i GLATIENZA Fort St Lucian amd latar Description Massively built Coastal Lart w huch Commands tha emtrance to Marsaxlokk Bay Square robust im shape tt rises abeve awida dick am appears to have had a Aanb amd pedtoullis Ws skenaly batter ed base rises te a bold torus moulding u wich are Con trudred re Cour corner towers Lekueun w eh the sloma Curtaim walls cut back amd rise to the Same NAM Om the Seaward sida are t Urna qum positrons built um tha mid IQ Camur y
14. 4 5 4 6 4 7 4 8 4 9 4 10 4 11 4 12 4 13 4 14 4 15 4 16 4 17 21 Pays d origine Date d ex cution la premi re date ou la date absolue indiquant le moment exact si celui ci est connu la derni re date marque la limite d une fourchette Le portrait de Pinto peut tre dat de 1741 et un symbole Epoque On peut indiquer une poque historique sans qu aucune pr cision ne Soit possible C est le cas par exemple de la sculpture dite La dame endormie de l poque Safieni Date descriptive on ajoute des l ments d incertitude ou d autres indications par exemple peut tre 18e si cle ou 1761 r vis 1771 72 Note descriptive On peut la r partir en des zones distinctes pour faciliter l extraction mais pour remplacer cette dispersion des possibilit s on propose une cat gorie description libre compl tant la description de classe mentionn e sous 4 1 Celle ci peut couvrir les mat riaux le style l ornementation pour les meubles la technique les moyens la dimension et le support indiquer si l ouvrage est sign et dat peintures et dessins encore mat riaux et techniques pour la sculpture mentionner les inscriptions mat riaux utilisation etc pour les objets de mus e La zone peut aussi tre utilis e pour r sumer ce qu on connait de l objet expliquer ou commenter l information trouv e ailleurs dans le dossier comme les anciennes attributions ou des ident
15. Council of Europe Conseil de l Europe x PUBDGIVO039 Tega N Al Assistance technique pour un centre informatique de documentation sur le patrimoine Malte K Xe orre e Corker Patrimoine architectural n 23 Assistance technique pour un centre informatique de documentation sur le patrimoine Malte Rapport tabli par l expert nomm par le Conseil de l Europe Malte novembre 1991 Patrimoine architectural n 23 Les ditions du Conseil de l Europe 1992 Edition anglaise Technical assistance for a computerised heritage documentation centre in Malta ISBN 92 871 2139 7 Strasbourg Conseil de l Europe Service de l dition et de la documentation ISBN 92 871 2138 9 Conseil de l Europe 1992 Imprim dans les ateliers du Conseil de l Europe TABLE DES MATIERES Pr face Principales recommandations 1 Un centre informatique de documentation sur le patrimoine pour Malte 2 Le patrimoine architectural 3 Inventaire pour la protection du patrimoine culturel maltais 4 Enregistrement des monuments 5 Fichiers de base de donn es 6 Projet de fichier Monuments i ii iii donn es centrales donn es suppl mentaires donn es de gestion T Projets de fichiers patrimoniaux connexes i ii iii iv v Annexe I Annexe I sites arch ologiques sites marins peintures sculptures arts d coratifs et objets de mus e fichier personnel fichier instit
16. Elms Lane GB LONDON SW8 5DR UNITED STATES and CANADA TATS UNIS et CANADA Manhattan Publishing Company 1 Croton Point Avenue PO Box 650 CROTON NY 10520 STRASBOURG Librairie intemationale Kl ber 1 rue des Francs Bourgeois F 67000 STRASBOURG Librairie des Facult s 2 12 rue de Rome F 67000 STRASBOURG L pr sent rapport a t tabli apr s une mission effectu e Malte en novembre 1991 la demande des autorit s maltaises L tude des aspects parti culiers li s l tablissement d un centre informati que de documentation sur le patrimoine architec tural a t confi e par le Comit du patrimoine culturel du Conseil de l Europe l expert John Bold de la Royal Commission on Historical Monuments d Angleterre Cette tude a r v l pour Malte l opportunit de cr er une base de donn es unifi e sur le patrimoine couvrant non seulement les b timents et sites mais aussi les biens mobiliers peintures sculptures et pi ces de mus e Les int r ts des autorit s charg es de la conservation de ces ressources culturelles sont presque inextricablement li s ou apparaissent cer tainement tels aux profanes ce qui rend la cr ation d une base de donn es int gr e particuli rement utile aux fins de gestion et d information Les ditions du Conseil de l Europe ISBN 92 871 2138 9 125 880
17. Un b timent peut appartenir plusieurs cat gories Pour assurer la coh rence terminologique il est souhaitable d tablir un glossaire d finissant par exemple tous les types associ s au militaire 7 Date 7 1 Premi re date ou date absolue par exemple 1740 7 2 Derniere date par exemple 1760 7 3 Date s ult rieure s C est un aspect complexe Pour faciliter l extraction toutes les dates doivent tre exprim es sous forme num rique en tant que date unique ou que fourchette de dates Un b timent rig au milieu du 18e si cle peut tre cit par diff rents auteurs comme milieu 18e vers 1740 ou 1745 52 La d cision prendre doit rendre compte de cette incertitude Une fourchette de 1740 60 assurerait l extraction Si l on d couvre dans cet exemple que le b timent a certainement t rig en 1740 on n aura besoin que de la zone 7 1 Pour les b timents construits en des phases multiples on recommande d autres zones pour distinguer les dates ult rieures des initiales 7 3 On peut se rappeler que si les dates ult rieures se rapportent divers mat riaux fonctions ou personnes qu il importe de citer il pourra tre souhaitable d introduire une formule distincte li e aux autres par un num ro commun voir 1 1 Selon l exemple d j donn les baraquements difi s en deux phases au fort St Elme pourraient ainsi devenir 200 02 1 et 200 0272 8 Mat riaux 8 1 Les principaux mat riaux utilis
18. aux publics en association avec l Universit de Malte on a tabli jusqu ici environ un millier de fiches d acquisition de donn es couvrant trois agglom rations Elles sont remplies par des tudiants en architecture et par des agents du d partement de planification qui accomplissent ce travail temps partiel selon que leurs autres t ches le permettent Comme on estime qu il faudra autour de 50 000 fiches il est vident que cette premi re identification exigera au rythme actuel une longue p riode C est l une source de difficult pour un inventaire qui devrait respecter l actualit de l information La fiche d acquisition de donn es de l Inventaire de protection pr par e en 1990 par Mario Buhagiar de l Universit de Malte et expliqu e dans son Manuel l usage des assistants de recherche a t r vis e ult rieurement et apparait dans sa forme actuelle l annexe I Elle consiste en deux parties l avers et au revers d une carte La face 1 comprend lieu description date type et protection et un espace pour une photographie et des observations On trouve la face 2 l histoire architecturale une bibliographie la propri t et d autres photographies Les cartes sont destin es l identification et la description des b timents plut t que des sites dont les limites sont moins susceptibles de d finition pr cise Le terme de monument peut s appliquer la fois des b timents isol s et des groupes ou
19. balayage p t se faire automatiquement sans qu on e t retourner chaque fiche Il faudrait examiner plus avant que nous ne pouvons le faire ici les possibilit s de balayage de l information mais vu le nombre relativement restreint de monuments en cause on recommande un examen des co ts et des possibilit s pratiques Dans le cadre du programme du Comit du patrimoine culturel du Conseil de l Europe on a formul des propositions de normes europ ennes de classement des monuments qu on voquera ici sous l expression donn es centrales et l on recommande que l inventaire maltais soit remani pour r pondre ce dispositif tout en respectant les besoins particuliers des utilisateurs Malte Ces zones de donn es centrales comprennent les num ros de r f rence la situation la protection la date le type les mat riaux les personnes et institutions comp tentes Cette information est disponible sur les fiches de donn es en usage Malte de sorte qu il ne serait pas n cessaire de proc der de nouvelles enqu tes sur les lieux Il faudrait cependant un classement plus pr cis afin de faciliter l extraction Nous donnons ci apr s sous le titre FICHIER MONUMENTS une liste annot e des zones propos es On trouvera l annexe II un avant projet de fiche r vis e d acquisition de donn es Il faut souligner qu elle est exemplaire et non normative et doit encore tre 13 analys e avant application ventuelle la lumie
20. cessaire et dans un d lai raisonnable il faut une quipe professionnelle temps plein d au moins six personnes expertes en histoire architecturale Vu la dimension des iles et la densit des b timents on peut compter qu une quipe de cinq personnes de terrain et d un chef pourrait s acquitter de la t che minimale d acquisition des donn es en l espace d environ cinq ans Il faudrait adjoindre ce personnel de terrain quelques employ s de bureau et des informaticiens Pour parler en termes britanniques il serait souhaitable que les candidats ce travail d enqu te fussent honorablement dipl m s en histoire de l art et de l architecture ou en un domaine quivalent ou eussent une exp rience confirm e dans le domaine en cause Le principal investissement dans une oeuvre de catalogage comme celle qui nous occupe int resse le personnel expert Il serait inutile de d penser de l argent pour des syst mes informatiques si les donn es de base n taient de la plus haute qualit possible compte tenu des contraintes de temps et d acc s aux biens Il est videmment souhaitable d obtenir une information aussi juste que possible en particulier lorsque celle ci doit servir la protection l gale Un personnel bien form pourrait proc der un enregistrement analytique plus d taill pour des b timents qui seraient exemplaires de types de construction tr s r pandus On pourrait les r aliser sur une base de projet th matique avec
21. conservation de ces ressources culturelles sont presque inextricablement li s ou apparaissent certainement tels aux profanes ce qui rend la cr ation d une base de donn es int gr e particuli rement utile aux fins de gestion et d information Il est donc propos de poursuivre l examen du besoin d un syst me de donn es sur le patrimoine N anmoins avant d aller plus loin il faut consid rer une analyse d taill e des exigences op rationnelles tenant compte des avantages de la planification de la gestion du patrimoine de l information du public et du touriste ainsi que de la recherche universitaire Un tel syst me parait r alisable en partie parce que les ressources culturelles sont limit es mais aussi parce que dans tous les domaines le d veloppement des inventaires informatis s en est ses d buts Dans le cadre du syst me g n ral on pourrait cr er des fiches de donn es s par es se r f rant les unes aux autres en vue d un usage facile Le pr sent document s attache surtout aux monuments car on travaille d j l tude sur les b timents historiques et les changements actuels faciliteront l enregistrement des donn es l avenir mais on fournit galement des projets de listes de rubriques pour les fichiers connexes sites arch ologiques et marins pi ces de mus e peintures et sculptures in situ et en mus e avec fichiers coordonn s pour les personnes et institutions Tous ces l ments peuvent tre reli
22. e tous ceux qui en ont besoin 10 Le d faut d information appropri e a t fort justement not dans le Plan structural de Malte rapport technique n 51 publi en octobre 1990 Il y a un manque d information et d analyse sur les caract ristiques spatiales et physiques du tissu urbain des centres historiques et des paysages ruraux On ne dispose ni de carte convenable ni d tudes architecturales permettant une analyse des types d habitations et des immeubles urbains dans diff rents centres n cessaire pour l tablissement d un programme de r novation par 6 La formulation de propositions en vue d tudes d taill es ou th matiques d borderait le cadre du pr sent document qui se situe au niveau plus sommaire de l information sur des b timents particuliers On peut cependant sugg rer que des recherches architecturales plus d taill es relatives des monuments soigneusement choisis ou des tudes th matiques de groupes de monuments pourraient apporter une meilleure compr hension et fournir ainsi une base plus solide que celle dont on para t disposer aujourd hui pour l valuation en particulier de constructions modestes par exemple habitations des villes ou villages b timents de ferme 11 3 INVENTAIRE POUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE CULTUREL MALTAIS La Division des services de planification en collaboration avec d autres organismes a tabli un inventaire national de protection des b timent
23. eproduction Liste des reproductions disponibles y compris n gatifs de photographies qu on peut obtenir par l interm diaire du d p t ou d archives photographiques commerciales Note Nom s du des catalogueur s Date d entr e Probl mes en suspens 29 iv FICHIER PERSONNEL Il peut recevoir les noms de toute personne associ e au monument ou l objet par exemple architecte artiste auteur donateur 1 Nom de la personne par exemple de Favray Antoine Cette zone doit se r p ter pour permettre les variantes d pellation l une d elles tant cependant pr f r e 2 Nom d exposition Le nom de la personne dans l ordre naturel qui peut tre utile si l on envisage la production de catalogues par ordinateur exemple Antoine de Favray 3 R le par exemple artiste 4 Dates par exemple 1706 1798 5 Biographie Br ve biographie en texte suivi par exemple N Bagnolet pr s Paris peut tre associ l atelier de Jean Fran ois de Troy A pass six ans Rome avant de se rendre Malte en 1744 peut tre l invitation du Cavaliere Giuseppe Isidoro Marchese Eut un grand succ s dans son association troite avec les chevaliers de Saint Jean peignant plusieurs portraits de dignitaires de l Ordre Passa plusieurs ann es dans l Empire ottoman avant de revenir Malte o il mourut 6 Correspondances Renvoyer aux fichiers patrimoniaux corr l s pour indication de la situation de tableaux dans les d p
24. ifications diff rentes des sujets On peut aussi citer d autres noms de personnes associ es l objet avec renvoi au fichier personnel Ev nement associ Date de l v nement Ce sont des points particuli rement importants Malte car les fichiers du D partement de l information sont catalogu s par sujets v nements et dates Provenance On notera la succession de propri t avec les dates connues Mode d acquisition par exemple legs achat transfert Date d acquisition Indication de la source Nom du donateur du vendeur etc renvoi au fichier personnel Prix pay Bibliographie publications catalogues d exposition par exemple Buhagiar Mario The Iconography of the Maltese Islands 1400 1900 Painting La Valette 1987 5 1 5 2 5 3 5 4 5 5 5 6 5 7 5 8 28 Documentation interne non destin e au public Tout en texte suivi sauf besoin diff rent Situation Outre la situation permanente indication du mouvement des tableaux par exemple pour une exposition ou pour une restauration Historique des pr ts Registre des expositions etc Etat Besoin ventuel de restauration ou de soins particuliers Sources Les sources d information utilis es mais non cit es dans la bibliographie Mention d origine Indication type ou mention exig e par l institution en cas de pr t d un objet Restrictions Noter toute restriction l acc s l objet ou sa circulation R
25. ing University of Malaya PO Box 1127 Jalan Pantai Baru 59700 KUALA LUMPUR NETHERLANDS PAYS BAS InOr publikaties PO Box 202 NL 7480 AE HAAKSBERGEN SDU Staatsdrukkerij Uitgeverij Christoffel Plantijnstraat 2 Postbus 20014 NL 2500 EA DEN HAAG NEW ZEALAND NOUVELLE Z LANDE GP Publications Ltd 33 The Esplanade PO Box 33 900 Petone NZ WELLINGTON NORWAY NORV GE Akademika A S Universitetsbokhandel PO Box 84 Blindern N 0314 OSLO PAKISTAN Tayyab MS Commercial Services PO Box 16006 A 2 3 Usman Ghani Road Manzoor Colony PAK KARACHI 44 PORTUGAL Livraria Portugal Rua do Carmo 70 P 1200 LISBON SPAIN ESPAGNE Mundi Prensa Libros SA Castell 37 E 28001 MADRID Librer a Internacional Aedos Consejo de Ciento 391 E 08009 BARCELONA Llibreria de la Generalitat Rambla dels Estudis 118 E 08002 BARCELONA Llibreria de la Generalitat de Catalunya Gran Via Jaume I 38 E 17001 GIRONA SWEDEN SU DE Aktiebolaget CE Fritzes Regeringsgatan 12 Box 163 56 10327 STOCKHOLM SWITZERLAND SUISSE Buchhandlung Heinimann amp Co Kirchgasse 17 CH 8001 ZURICH Librairie Payot 30 rue des C tes de Montbenon CP 3212 CH 1002 LAUSANNE TAIWAN HONG KONG SINGAPORE SINGAPOUR Mappamundi Taiwan 7 Fl 258 Nanking E Rd Sec 3 Taipei TAIWAN ROC TURKEY TURQUIE Librairie Haset Kitapevi AS 469 Istikl l Caddesi Beyoglu TR ISTANBUL UNITED KINGDOM ROYAUME UNI HMSO Agency Section 51 Nine
26. istreur de distinguer entre un b timent individuel et un groupe de b timents dans un complexe ou un secteur On pourrait ainsi extraire les b timents d un groupe historiquement important soit individuellement soit comme l ment d un groupement plus large Dans le cas de la chapelle Ste Anne par exemple qui fait partie du Fort St Elme il serait souhaitable de pouvoir interroger le syst me soit pour la chapelle soit pour le fort Ainsi le fort pourrait tre le site n 200 la chapelle le no 1 et ainsi de suite pour les autres b timents importance faisant partie du fort par ex Fort 200 Chapelle 200 01 Baraquements 200 02 etc 1 2 On a besoin d un num ro aux fins de correspondance avec des syst mes ant rieurs Ce num ro combine le nom de la ville ou du village avec le num ro d e chaque monument par exemple MAK 001 1 3 Types de num ro protection situation autres Cette caract risation aide l extraction 1 4 Num ro ou r f rence de protection On pourra en avoir besoin l avenir selon 1 e mode d administration du syst me de protection 2 Information g ographique 2 1 Num ros de fiches cartographiques selon listes actuelles pour les diverses zones Ils doivent pouvoir tre r p t s afin de s appliquer des l ments lin aires tels que les fortifications 2 2 Renvoi au syst me d information g ographique en cours d laboration 3 Situation 3 1 Ile Ville ou village District ou com
27. l ments d information non publics qu il serait souhaitable de trouver dans un syst me informatis bien qu ils n apparaissent pas sur l actuelle fiche d acquisition des donn es seraient les suivants 15 15 1 15 2 15 3 15 4 15 5 15 6 15 7 15 8 15 9 15 10 Historique de la planification Affectation du monument Appr ciation du risque Num ro s de r f rence et date s de la des demande s D molition ou modification envisag e D cision sur la proposition Subvention demand e accord e Conditions de la subvention Observations Situation de la documentation de planification et num ros de r f rence par exemple fichiers sur les anciennes demandes num ro du microfilm des plans Int r ts d autres minist res ou offices par exemple D partement de l information pour les v nements corr latifs 1 1 1 2 1 3 2 1 2 2 3 1 dl 5 2 5 3 21 PROJETS DE FICHIERS PATRIMONIAUX CONNEXES SITES ARCHEOLOGIQUES Nom simplifi du monument exemple tombeau de Xemxija 5 Num ros Num ro du site Num ro lin aire pour les sites enregistr s comme objets lin aires Num ros de renvoi d autres fichiers patrimoniaux contenant une documentation corr lative Information g ographique Num ros de fiches cartographiques Renvoi au syst me d information g ographique en cours d laboration Situation Ile Ville ou village Nom du monument On peut le r
28. mune 4 1 4 2 4 3 4 4 4 5 5 1 5 2 5 3 5 4 6 1 6 2 6 3 17 Adresse Localit ou secteur le cas ch ant dans les grandes villes Route ou rue Nom du monument Il peut tre r p t en t te de la fiche d entr e pour faciliter l indexage manuel et la r f rence Num ro du b timent dans la rue Groupe de num ros par exemple dans le cas d une rang e de b timents Il faudrait d terminer lesquelles de ces zones devraient tre doubl es pour permettre une extraction par les noms tant maltais qu anglais La rue par exemple pourrait tre South Street ou Triq nofs in nhar le nom pourrait tre Auberge de Provence ou Museum of Archaeology Protection Classe de protection 1 2 ou 3 Date d entr e sur la liste Autre protection le cas ch ant par exemple secteur prot g Protection recommand e Type de b timent Type initial du b timent par exemple fort Type actuel du b timent par exemple centre de recherche en pisciculture Cat gorie du b timent par exemple militaire La cat gorie doit se rapporter au type initial du b timent On pourrait employer le syst me de classement en usage quelques nouvelles subdivisions tant recommand es religieux militaire public sanitaire ducatif culturel domestique industriel agricole 18 Ces l ments peuvent d j tre cod s sur une formule et ne demander qu tre coch s
29. p ter sous forme simplifi e en t te de la fiche pour faciliter l indexage manuel et la r f rence Protection Classe de protection le cas ch ant Date de classement Protection recommand c Type de site par exemple tombeau Il est souhaitable d tablir un glossaire pour assurer la coh rence terminologique 7 1 7 2 T3 10 11 11 2 11 3 11 4 12 1 12 2 12 3 12 4 12 5 12 6 22 Date Epoque par exemple Mgarr Premi re date par exemple 3800 av JC Derni re date par exemple 3600 av JC Superficie en hectares Hauteur en m tres Etat D tail des fouilles Fouill par Auspices Ann es Financement Gestion et contraintes des fouilles particuli rement n cessaire pour les projets communs avec des universit s ou organismes non maltais Information d archives R f rences photographiques Photographies conserv es ailleurs Photogramm trie Existence de rapports et dessins de m trage Renvoi d autres sources documentaires Malte et l tranger Information bibliographique Sources principales par exemple Bonanno Antoine Malta An Archaeological ise La Valette 1987 13 3 13 4 13 5 14 14 1 14 2 14 3 15 15 2 16 23 D couvertes Type Epoque Situation par exemple Mus e arch ologique Num ro de renvoi au d p t Bibliographie Description libre Description Histoire arch ologiq
30. re des besoins la fois du travail de terrain et de la base de donn es Comme l information qu elle contient est la m me que celle des fiches de donn es en usage on n aurait pas besoin de retarder l actuel inventaire pour cr er une nouvelle fiche puisque l information sera par la suite transf rable un nouveau syst me sans enqu te suppl mentaire sur le terrain On recommande cependant de veiller par priorit la r vision de la fiche de donn es afin de ne pas accumuler un travail inutile pour l avenir La Division des services de planification a d j mis en train la cr ation d une fiche d information g ographique et l on devrait envisager la mise en place de syst mes d extraction de toute l information cartographique relative aux monuments et sites d tenue en base de donn es Ils permettraient la visualisation et l analyse de l information sur les monuments et sites dans un cadre spatial et non plus simplement comme des objets isol s et pourraient en particulier aider fournir l information n cessaire pour la planification structurale la gestion du patrimoine et les activit s touristiques qui gagneraient tous tre envisag s dans un cadre largi 14 4 ENREGISTREMENT DES MONUMENTS Bien que le nombre de monuments de Malte soit modeste en comparaison de celui d autres pays europ ens l actuel syst me ad hoc d enregistrement n est pas satisfaisant Pour r aliser une enqu te sur 50 000 monuments au niveau n
31. rs d actualit en 1991 92 Un num ro sp cial de l Architectural Review juillet 1969 c l brait le riche patrimoine de Malte tout en mettant en garde contre un surd veloppement risquant de la transformer en une autre zone g ch e par l exploitation Le probl me du surd veloppement accompagn d un d clin g n ral des activit s agricoles existe toujours et le pr sent rapport ne peut faire mieux que de r it rer la recommandation formul e dans le Plan structural de Malte en date de d cembre 1990 voulant qu on maintienne un contr le strict dans chacune des iles de l emplacement et du caract re de tout am nagement futur Le patrimoine b ti de Malte est exceptionnel et trop peu connu ce n est que depuis l ind pendance de 1964 que les principaux monuments sont devenus accessibles au Maltais moyen de sorte que le processus de compr hension et la sensibilisation du public pr ludes n cessaires la documentation en sont peu pr s leur d but Comme le note le Plan structural ce patrimoine va de plusieurs importants monuments n olithiques des restes des civilisations ph nicienne et romaine des rares exemples d architecture indig ne chr tienne et m di vale ancienne des grands complexes de la Renaissance et des ouvrages baroques cr s sous le r gime de l Ordre de Saint Jean aux exemples d architecture militaire et civile britannique du 19 si cle La concentration d un tel patrimoine dans un territoire
32. s et sites L inventaire r alis par agglom ration indique les noms et adresses des b timents et la date de construction Il ne repose pas sur une assise l gale forte mais on pr sume que les b timents de plus de 50 ans peuvent tre consid r s comme prot g s toute modification ou d molition exigeant un permis qui doit tre demand l Office des permis de la zone de planification lequel peut s en r f rer d autres offices comprenant des repr sentants du gouvernement Par exemple un Office de l esth tique contr le les modifications aux fa ades l Office de l ancien examine les demandes de construction proximit des forts l Office de contr le de la circulation examine les propositions mettant en cause le voisinage des grand routes En 1990 reconnaissant la n cessit d une plus large information aux fins de conservation on a entrepris un inventaire de protection d taill afin de classer la fois les b timents et les groupes de b timents de plus d une cinquantaine de centres historiques jug s particulierement vuln rables Un tel inventaire est fondamental si l on veut donner quelque autorit au projet de d signation de trois classes de b timents d int r t architectural ou historique justifiant d une protection On esp re qu une l gislation appropri e portant adoption du Plan structural par le parlement sera vot e en 1992 Sous l gide de la Division des services de planification du minist re des Trav
33. tiative appartient pour plusieurs de ces phases aux gestionnaires et utilisateurs locaux Il est essentiel d assurer que concepteurs et constructeurs des syst mes ne soient pas cong di s tant que les utilisateurs ne sont satisfaits du produit et lorsqu on a fait appel des consultants de l ext rieur que le contrat ne soit pas r sili jusqu ce que le personnel des organismes qui les ont retenus ne soit assez familiaris avec le fonctionnement du syst me pour tre en mesure de l affiner eux m mes sans poursuivre le recours une assistance ext rieure Il faut souligner qu il s agit d un long processus et que les raccourcis si tentants soient ils superficiellement ne font qu accumuler des probl mes pour l avenir 9 2 LE PATRIMOINE ARCHITECTURAL Le Conseil de l Europe a choisi Malte en 1967 comme milieu pilote pour l organisation d un inventaire sur fiches du patrimoine culturel Cette initiative a t abandonn e en 1972 apr s confection de seulement 1 031 cartes La faible dimension du pays qui comprend les les de Malte Gozo et Comino et sa richesse en b timents et sites historiques en font un terrain d preuve id al de tous nouveaux syst mes et il est donc particuli rement appropri de choisir aujourd hui encore le petit archipel pour une tude pilote faisant appel aux nouvelles technologies de la documentation Plusieurs des probl mes et des possibilit s qui ont inspir le choix de Malte en 1967 sont toujou
34. ue Observations Historique de la planification Affectation du sol Appr ciation du risque Nom du r dacteur et date ii 1 1 2 1 2 2 2 3 10 1 10 2 24 SITES MARINS Num ros Num ro du site Num ro lin aire Num ros de renvoi d autres fichiers patrimoniaux contenant une documentation connexe par exemple fichier des sites arch ologiques Information g ographique Num ros de fiche cartographique Num ros de carte Profondeur Nom du site Nom de l autorit c est dire l autorit locale ou portuaire charg e du site Type de site Epoque du site Etat du site v g tation etc D tail des fouilles selon le fichier des sites arch ologiques Menaces contre le site et servitudes Identit du vaisseau Nom du vaisseau Propulsion 10 3 10 4 10 5 10 6 10 7 10 8 10 9 10 10 10 11 10 12 10 13 10 14 10 15 10 16 11 11 3 11 4 11 5 11 6 11 7 12 13 25 Construction Fonction Classe Propri taire Sauveteur Tonnage Ces Margeur Tirant d eau Nombre de ponts Nombre de m ts Construction de la coque Constructeur Description autres d tails dans la zone de description libre Voyage Date de perte Venant de Allant Chargement Capitaine ou patron Armateur Acte de nationalit Observations Nom du r dacteur et date iii 1 1 1 2 1 3 2 1 2 2 3 1 3 2 4 1 4 2
35. une p riode de cinq ans avec l assistance d un secr tariat appropri et l heure venue d informaticiens Base de donn es sur le patrimoine Il est recommand que les autorit s maltaises examinent nouveau le co t et les avantages de l tablissement d une base de donn es unifi e sur le patrimoine de monuments de sites et d objets meubles Il faudra d signer un consultant qui aiderait les autorit s comp tentes d finir les conditions op rationnelles d une base de donn es unifi e On devrait tenir compte de l information acquise et des besoins des utilisateurs du syst me Lorsqu on aura d fini les conditions op rationnelles on demandera un analyste fonctionnel engag comme consultant de d finir les l ments techniques r pondant aux besoins op rationnels et aux attentes Ce sont des pr liminaires essentiels la conception et la construction d un syst me et ils doivent tenir compte des besoins des utilisateurs des normes d une information partag e et de ses modes de pr sentation 1 UN CENTRE INFORMATIQUE DE DOCUMENTATION SUR LE PATRIMOINE POUR MALTE L valuation du besoin d une base de donn es sur le patrimoine architectural a r v l que Malte pouvait offrir l occasion de cr er une base de donn es unifi e sur le patrimoine couvrant non seulement les b timents et sites mais aussi les objets meubles peintures sculptures et pi ces de mus e Les int r ts des autorit s charg es de la
36. utions Fiche actuelle d acquisition de donn es Proposition de fiche d acquisition de donn es 14 15 16 19 20 21 21 26 29 30 31 35 PREFACE Le pr sent rapport a t tabli la suite d une mission effectu e Malte en novembre 1991 Le Comit du patrimoine culturel du Conseil de l Europe avait confi M John BOLD expert de la Commission royale des monuments historiques d Angleterre le soin de d gager les diverses questions soulev es par l tablissement d un centre informatique de documentation sur le patrimoine architectural 6 PRINCIPALES RECOMMANDATIONS Elles se r partissent en deux groupes se rapportant d une part l action sur le terrain relative aux monuments et de l autre une base de donn es sur le patrimoine A Al A2 A3 B2 B3 Activit s de terrain relatives aux monuments I faut r examiner le d tail du programme d activit s de terrain relatives aux monuments afin d assurer que tous les renseignements n cessaires soient recueillis Il s agit d activit s prioritaires car le travail de terrain est en cours et la planification comporte de s rieux imp ratifs Pour mettre en uvre les activit s de terrain selon des modes permettant une informatisation directe il faut affiner l actuelle fiche d acquisition de donn es Il est recommand de retenir les services de six professionnels temps plein qui assumeront les activit s de terrain sur
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