afrosai-e - La Cour de Comptes
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1. l le sous groupe a effectu plusieurs changements concernant son modus operandi afin d adopter l approche la plus efficace et la plus rentable pour permettre aux membres de se soutenir les uns les autres travers leur secr tariat pour augmenter leurs capacit s afin de r ussir leur mandat L lan des programmes de soutien actuels de l AFROSAI E est un indicateur de l engagement au d veloppement durable de la r gion pour la fonction de l audit La standardisation progressive des approches et 05 proc dures de l audit dans les divers bureaux d audit nationaux facilite la formation et le d veloppement suppl mentaires en augmentant par exemple le nombre d auditeurs qui peuvent assister en tant que formateurs ou en aidant avec le travail de d veloppement La mise en r seau entre les auditeurs des pays membres est galement en hausse suite l harmonisation de la fonction d audit Les membres de l AFROSAI E soutiennent sans r serve une coop ration plus rapproch e qui est apparue durant les trois derni res ann es avec les sous groupes fran ais et arabes en Afrique travers l influence unificatrice d une organisation internationale vivifiante l AFROSAI A cet gard l AFROSAI E accueille cette position adopt e par l AFROSAI selon laquelle les diff rents sous groupes linguistiques tout en partageant et en apprenant les uns des autres continueront tous prendre la responsabilit d aborder la formation et le2. d veloppement des besoins de leurs respectives SAI membres LOGIQUE D INTERVENTION 06 07 Les objectifs de l AFROSAI E sont rest s inchang s depuis qu ils ont t adopt s par le Commissaire aux Comptes en avril 2005 c est dire OBJECTIF 1 l AFROSAI E coop re avec et aide ses SAI membres d velopper et mettre en oeuvre des strat gies institutionnelles de renforcement OBJECTIF 2 l AFROSAI E coop re avec et aide ses SAI membres acqu rir la capacit voulue pour remplir ses mandats OBJECTIF 3 l AFROSAI E s efforce continuellement d accro tre ses capacit s fournir des services de valeur ajout e pour les SAI dans la r gion Pour aider r aliser ces objectifs un cadre r gional de renforcement des capacit s a t labor en 2005 Celui ci identifie neuf domaines dans lesquels les SAI doivent se concentrer afin de faire face leurs besoins pour un d veloppement strat gique et professionnel Ce cadre a t compl t par un mod le de renforcement des capacit s qui contient un m canisme d auto valuation pour classer la SAI sur une chelle de 1 5 sur la voie de la pr paration globale pour r ussir son mandat Le Commissaire aux Comptes de la r gion a entrepris en mars 2006 de r ussir atteindre le niveau trois de ce mod le jusqu la fin de l ann e 2009 Bien que cette entreprise semble avoir t un peu optimiste elle sert n anmoins de bonne indication concernant la d term
3. Les membres de l AFROSAI E contribuent 70 des cotisations annuelles d adh sion vers les d penses de fonctionnement du secr tariat de l AFROSAI E en Afrique du Sud L initiative de d veloppement IDI INTOSAI a initialement fourni un soutien technique et financier pour la formation de formateurs mais durant la p riode de r vision ce soutien a t tendu afin d y inclure d autres activit s telles que la r vision des besoins institutionnels l organisation strat gique et op rationnelle la gestion de qualit la d tection des fraudes lors de l audit et le d veloppement d un mod le de fichiers d audits et de conseils sur les performances des rapports pour les SAI Depuis 2005 les r unions officielles du conseil d administration ont eu lieu en Tanzanie en Angola au Mexique et au Botswana L AFROSAI E se compose actuellement de vingt et une Institutions Sup rieures d Audit anglophones et portugaises en Afrique Le conseil d administration se compose de chefs de toutes les Institutions Sup rieures d Audit qui sont les membres de l AFROSAI E Chaque membre du conseil est affect un des quatre sous comit s qui ont t mis en place pour examiner et faire des recommandations au conseil concernant les sujets relatifs au renforcement des capacit s aux ressources humaines aux finances et l audit les r unions des comit s d organisation et techniques de l AFROSAI E ont eu lieu annuellement depuis 2005 En m
4. RAPPORT DU PR SIDENT DE L ORGANISATION AFRICAINE DES INSTITUTIONS SUP RIEURES D AUDIT ANGLOPHONE AFROSAIE LA 11 ASSEMBL E G N RALE DE L AFROSAI PR SENT PAR M JUNIAS ETUNA KANDJERKE COMMISSAIRE AUX COMPTES DE LA NAMIBIE PRETORIA AFRIQUE DU SUD 14 OCTOBRE 2008 kkkkkkkkk CONTEXTE 01 02 03 04 L objectif de ce rapport est d apporter au lecteur un r sum des activit s de AFROSAI E durant la p riode allant de la 10 me la 11 me assembl e g n rale de l AFROSAI Des informations compl mentaires concernant les activit s de l AFROSAIE se trouvent dans les programmes sociaux sur trois ans adopt s par le conseil des gouverneurs de l AFROSAI E ainsi que les plans de travail annuels et les rapports tablis par le secr tariat concernant les informations g n rales des membres et des intervenants ext rieurs Ceci comprend un rapport annuel s par qui fournit un r sum transversal de la situation dans les diverses institutions sup rieures d audit de la r gion qui sont les b n ficiaires des services en cours fournis par l AFROSAI E avec un soutien inestimable des donateurs court et moyen termes Les SAI anglophones ont t impliqu es dans le processus de renforcement des capacit s depuis 1998 lorsque les premi res mesures ont t prises par les quipes des projets pour d velopper les instruments de conseils pour les audits et les mat riaux de formation Depuis ce moment
5. entiment g n ral semble tre que ce sujet peut est abord d une meilleure fa on un niveau macro par l AFROSAI plut t que par les diff rents sous groupes linguistiques i Un atelier sur lassurance de la qualit a t d velopp et pr sent dans la r gion en 2006 Un manuel concernant la gestion de qualit a t labor en 2007 Le manuel a t approuv par le comit technique et lanc lors de la mise jour technique au mois de novembre 2007 A partir de 2008 les examens de qualit seront effectu s dans les SAI membres sur une base rotative sur une p riode de trois ans ou sur demande j Le cours AFROSAI E comportant trois modules sur l audit de performance a eu lieu en 2005 et 2006 Il a t suivi par deux audits parall les effectu s simultan ment par un certain nombre de SAI en 2006 Durant l ann e 2007 un mod le du manuel d utilisateur de l audit de performance a t tabli et test dans une SAI Le manuel a t approuv par le comit technique et lanc lors de la mise jour technique du mois de novembre 2007 Les examens de l assurance de qualit de l audit de performance ont ensuite t effectu s dans deux SAI de la r gion L audit de performance et la responsabilit ont t d battus par le Commissaire aux Comptes du Botswana au mois de mars 2008 Des conseils pour l audit du temps d attente ont t d velopp s en 2008 et le cours sur l audit de performance comprenant 3 m
6. ination du Commissaire aux Comptes pour am liorer collectivement le niveau de la performance de l audit de la r gion 08 09 le premier objectif de l AFROSAI E cible la capacit de la SAI fonctionner efficacement en tant qu institution alors que le deuxi me objectif se focalise sur le d veloppement technique et la main d uvre Le troisi me objectif recherche placer l AFROSAI E comme une organisation plausible dans la r gion et sur le continent de telle sorte qu elle pourra promouvoir efficacement les int r ts de tous ses membres Au mois de mars 2006 le conseil d administration a identifi les six imp ratifs strat giques suivants auxquels les SAI membres avec l aide de leur secr tariat s int resseraient durant la p riode de trois ans allant de 2007 2009 afin d entra ner des am liorations significatives dans leurs environnements de travail et ainsi galement dans la performance de leur travail 1 Obtenir un niveau d ind pendance aussi important que possible dans les circonstances actuelles 2 Am liorer l infrastructure de l information technologique et optimiser son utilisation 3 Appliquer les meilleures pratiques de la gestion des ressources humaines 4 Exercer un contr le de qualit concernant les services d audit rendus en ciblant les probl mes techniques et institutionnels 5 Promouvoir l audit de performance dans la r gion pour que des audits de performance significatifs puissen
7. lis pour les frais professionnels est pass de 34 du total des d penses en 2005 43 en 2007 Le pourcentage des frais professionnels appliqu s au progr s technique et au progr s institutionnel durant la m me p riode est pass de 47 56 Ces chiffres indiquent un investissement croissant dans la recherche et le d veloppement technique et une approche plus conomique pour la prestation de formation Durant l ann e 2006 le concept d utilisation de l option de r cup ration des co ts pour financer les activit s de soutien de l AFROSAI E a t introduit dans une SAI de la r gion Durant l ann e 2007 les projets de d veloppement de coop ration avec cinq SAI membres ont t g r s sur une base de r cup ration des co ts Ces projets ont continu en 2008 et il y a actuellement six projets en cours Un accord sur trois ans avec la banque mondiale pour soutenir quatre projets importants dans la r gion a t activ en 2008 Celui ci comprend L encouragement de l utilisation de la technologie d information dans les rapports d audit La professionnalisation de l audit du secteur public L audit d un gouvernement local L audit des syst mes de gestion financi re Le Commissaire aux Comptes a tenu une table ronde concernant l ind pendance des SAI au Botswana au mois de mars 2008 Une petite quipe de projet a par la suite effectu des recherches suppl mentaires sur le sujet et le s
8. odules a t modifi Les auditeurs de performance s lectionn s ont alors t form s pour pr senter les cours La pr sentation des cours remani s a d but au mois de septembre 2008 Un programme en deux parties sur la gestion de l audit de performance a galement t propos en 2008 et celui ci sera suivi par un atelier d analyse de donn es pour les auditeurs de performance perfectionn s en 2009 k Une bauche de la strat gie de communication pour les SAI a t d velopp e et test e dans une SAI en 2006 et accept e par le conseil d administration au mois de mars 2007 Des didacticiels pour un atelier de communication ainsi qu un bon guide pratique sur le sujet ont t labor s en 2007 Cependant la mise en oeuvre de l atelier pour les SAI a t suspendue en attendant la d signation des directeurs de communication du secr tariat CONCLUSION 16 Comme la dynamique des initiatives de l AFROSAI E de la r gion continuent de s accro tre les attentes qui sont en cours de cr ation ont besoin de r ponses Les probl mes principaux tels que la direction la gestion des ressources humaines la strat gie de communication et le soutien du comit des comptes publics qui ont un effet profond sur l efficacit globale de la SAI restent en veilleuse pour l instant pendant que les projets actuels suivent leurs cours Dans la r gion de la SADC les commissaires aux comptes ont soutenu l organisation du d veloppemen
9. oyenne 65 des activit s organis es pour les ann es 2005 2006 et 2007 ont t effectu es 19 ont t report es principalement pour cause de contraintes de capacit s alors que 16 taient des projets en cours Le synopsis suivant propose une indication de la nature et de l tendue des principales activit s de l AFROSAI E a Le nombre d v nements qui a eu lieu sous les auspices de l AFROSAI E est pass de 27 en 2005 71 en 2008 ces v nements comprennent les r unions de gestion formelle les ateliers de d veloppement les interventions de formation r gionales ainsi que les r unions de coop ration et les visites de soutien aux SAI membres La dur e moyenne des 62 v nements qui a eu lieu en 2007 est de 4 3 jours par v nements b Ilya eu une augmentation marqu e du nombre de visites de soutien sur le site et de formations internes fournies aux SAI passant de 9 en 2005 25 en 2008 Ceci est conforme l orientation strat gique donn e par le conseil d administration qui exige une approche impliqu e plus pratique pour soutenir les SAI En 2008 les v nements pr vus prendront environ 358 jours ouvrables au total en utilisant 162 personnes dont 37 sont des femmes Environ 44 des besoins des personnes ressources sont fournis comme tant des contributions en nature par les SAI membres 32 par le secr tariat de l AFROSAI E et 24 par les partenaires institutionnels de l Europe Le montant uti
10. t tre r alis s 6 Am liorer la communication et les relations avec les intervenants afin de promouvoir la conscience de la fonction de la SAI et de son impact sur la soci t Divers facteurs principaux de r ussite ont galement t identifi s sous chaque imp ratif strat gique pour r ussir la fin de la p riode de trois ans 10 Le statut d ex cutif accord par le secr tariat en ce qui concerne les statuts de l AFROSAI E l oblige fonctionner de mani re dynamique dans l int r t g n ral de l organisation Ceci inclut l exploitation des nouvelles possibilit s et si n cessaire le fait de d terminer nouveau des priorit s dans les domaines strat giques cibl s d termin par le conseil d administration Cette capacit de man uvrer permet au secr tariat de saisir les occasions d s qu elles arrivent et d obtenir les meilleurs avantages individuels ou collectifs pour les SAI membres tout en am liorant la viabilit de l organisation dans son ensemble en introduisant des id es et des initiatives innovantes comme le pr voit le cadre du renforcement des capacit s institutionnelles ACTIVIT S 11 12 13 14 15 Depuis plus de dix ans maintenant les activit s de l AFROSAI E ont t rendues possibles par le soutien des donateurs re u par les gouvernements de Su de et de Hollande L aide technique et de gestion est fournie simultan ment par les bureaux d audit de ces deux pays
11. t communautaire de l Afrique du Sud pour les comit s des comptes publics SADCOPAC Certaines des r solutions de la SADCOPAC sont le fait que leurs livres seront v rifi s par le commissaire aux comptes de la SADC et cela a t mis en oeuvre pour l exercice fiscal de 2007 2008 et l autre r solution est le fait que les d clarations de Lima et du Mexique sur l ind pendance des SAI seront mises en uvre par les pays membres et le rapport sur le progr s fait la r union annuelle g n rale de la SADCOSAI au Zambie en 2009 L AFROSAI E se f licite du soutien du comit des comptes publics
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