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1. de pilotage et de test 1 Audry CAPOCHICHI Chef de projet technique 2 Racine GUENR use ne Chef de projet fonctionnel 3 Modou MAR nn ent Informatique 4 Soukeyna GUEYE aseseseeseesaeeeees Informatique 5 Moussa DIENG listen Utilisateur fonctionnel 6 Catho SOW cannes Utilisateur 7 Sikatin GNANSOUNOU Utilisateur fonctionnel 8 Moussa RAS ae Utilisateur 9 Fatoumata GUEYE esenee Utilisateur 10 Hadiza MOUSSA oseese Utilisateur fonctionnel 11 Emma SOGOBA sessessessrereeseeres Utilisateur 12 Mathias DIOMAYE Utilisateur fonctionnel Le Comit aura pour t ches entre autres de faire les tests valider les phases du projet suivant le chronogramme fourni par le prestataire participer aux r unions techniques de mise en uvre Mady KOANDA 108 Annexe 3 Questionnaires 1 Pour les auditeurs OBSERVATIONS DES AUDITEURS INTERNES CAHIER DE CHARGES POUR LA FOURNITURE ET OU LE DEVELOPPEMENT D UN LOGICIEL DE GESTION DES ENSEIGNEMENTS DU CESAG EN VERSION WEB Sikatin GNANSOUNOU Cheikh Tidiane MAR VALIDATIONS DU DOCUMENT FINAL 109 2 Pour les utilisateurs Nom ne te Date d r ception du document 4444 44 Pr nom s Direction scene dnte Date de retour apr s observations faites CAHIER DE CHARGES POUR LA FOURNITURE ET OU LE DEVELOPPEMENT DUN LOGICIEL DE GE
2. Je remercie mon ami personnel Ibrahima KANE qui a mis ma disposition un ordinateur portable pour que je finisse ce m moire dans de bonnes conditions Je remercie enfin mes tudiants du CESAG mes chers clients sans lesquels je ne serai pas ici pour faire ce travail J aimerais que tous mes amis se retrouvent dans ces remerciements ii Listes des tableaux et figures Liste des tableaux Tableau 1 Les tapes de la conception d un syst me d information sssseseesseeseesrerereerereses 55 Tableau 2 les flux d information entre la DEVE et les Instituts 75 Tableau 2 Les flux d informations entre la DEVE et la DFC 76 Tableau 3 Les flux d informations entre la DFC et les Instituts 76 Tableau 4 L admission au CESAG sur tude de dossier 78 Tableau 4 bis L admission au CESAG par voie de concours sessesseseoreseosoerseressrsrarrsresrsee 79 Tableau 5 Le processus d inscription 82 Liste des figures Figure n 1 Le management selon Kast et Rosenzweig 1970 6 4 Figure n 2 Entr es et sorties d un syst me d information de gestion dans un centre de LOPNA TO EEE A E E nt TA ee EA 15 Figure n 3 M thodes cart siennes d composition top down sssssesssssssssssssrersesesesseses 23 Figure n 4 M thodes cart siennes diagramme de flux 24 Figure n 5 M ta mod les de produit et proces
3. S C E A G Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion Institut Sup rieur de Management des Entreprises et autres Organisations Dipl me d Etudes Sup rieures Sp cialis es en Administration et Gestion des Entreprises et Organisations DESAG MBA M moire de fin de formation 4 Promotion Ann e acad mique 2005 2006 Th me a E a ua EE o EE s _ ER RE Rss DES ES ES eA e od Contribution la c Beevton d un syst me d information de gestion dans un tablissement de formation professionnelle cas de de la Scolarit du CESAG mii MT in R alis par Sous la direction de Racine GUENE Moussa Y AZI Professeur au CESAG Directeur de l ISCBF M0078DESAG0O9 bre 2008 TT Contribution la conception d un syst me d information de gestion dans un tablissement de formation professionnelle cas de la Scolarit du CESAG D dicaces Je d die ce m moire la plus belle et la plus gentille des mamans du Monde ma m re Nd ye Fatou KEBE e Ang lique SANON ma maman e mes enfants e tous les hommes pris de paix d amours sinc res et de justice Remerciements Je tiens remercier chaleureusement mon encadreur qui n a m nag aucun effort pour me permettre d avancer et de finir ce travail Mes remerciements vont l endroit de toute l quipe de la DEVE qui m a soutenu et assist pendant tout ce temps
4. VI 10 5 Les livrables Il s agit des documents que le fournisseur mettra la disposition du CESAG la r ception d finitive du logiciel Ce sont e le dossier d taill et complet d tude des besoinset une analyse compl mentaire e les plans de tests e le manuel d utilisation du logiciel VI 10 6 D veloppement des comp tences du personnel technique CESAG par la formation Le fournisseur devra s acquitter de e la formation des informaticiens la formation des utilisateurs Dans ce chapitre nous avons pr sent un cahier de charge qui n a pas besoin de trop de mod lisation Pour la plupart nous avons des modules qui sont plus ax s sur la consultation des informations pr alablement saisies dans les modules du chapitre pr c dent Ces modules relat s ici sont d une extr me importance pour la visibilit et la cr dibilit du CESAG envers ses clients Une bonne tenue de cette partie ne sera que b n fique 97 Chapitre VII Les recommandations Vu l importance de la mise en uvre d un SI int gr au CESAG nous sugg rons un certain nombre d actions pour r ussir cette t che bien Il s agit entre autres e dela mise en place d un comit de pilotage du projet de SI e de l laboration d un planning de recettage du logiciel entre le fournisseur et le comit dela formation des utilisateurs pour tester efficacement le produit final du SI e de l laboration d
5. liminer les causes des probl mes et viser un ajout de valeur pour l entreprise la suite de la conception du nouveau processus il s agit de prendre la d cision de faire un d veloppement sp cifique qui n cessitera une conception d un nouveau SI ou l acquisition d un progiciel qui lui demandera de sp cifier les besoins r diger un cahier des charges et lancer un appel d offres Dans le cadre de notre m moire et de la politique d externalisation de la fonction du d veloppement de logiciel nous avons opt pour l acquisition 62 HI 2 3 L acquisition de progiciel Figure n 15 La conception du nouveau syst me d information ou la s lection de progiciel Activit 1 Etude pr liminaire D cision Activit 2 Diagnostic de l existant D cision Activit 3 Conception du nouveau processus Pa D cision Activit 4A Activit 4B Conception du nouveau Acquisition de progiciel SI 4B 1 Etablissement de la liste des sp cifications 4B 2 Recherche des fournisseurs 4B 3 R daction du cahier des charges et appel d offres 4B 4 Evaluation des offres et s lection D cision Activit 5A R alisation technique Activit 5B Param trage du progiciel Activit 6 Mise en place exploitation et valuation Source S Rivard et J Talbot 2003 507 63 IIL 2 3 1 L tablissement de la liste des sp cifications Dans cette activit nous essaierons de recenser tous les s
6. op r es jusque l par les autres dans le monde en termes de syst mes d information dans l enseignement sup rieur et ou professionnel 13 Chapitre I Conception d un syst me d information Il n est pas possible de parler de conception de syst me d information sans pour autant comprendre les concepts du SI C est ainsi que nous allons explorer les d finitions et les th ories provenant de grands auteurs et chercheurs dans ce domaine 1 1 Le syst me d information dans un centre de formation pertinence et exigences Relever le d fi de l innovation est une pr occupation permanente dans les organismes de formation Quelle que soit la fili re ou le niveau il faut satisfaire des parties prenantes exigeantes tudiants enseignants parents partenaires en cr ant de la valeur Le contexte conomique impose au niveau du march une concurrence mondialis e des volutions techniques rapides qui sont autant de facteurs qui incitent innover Toutefois l innovation a un sens tr s large et au del de sa composante technologique elle concerne les proc d s de production l organisation du travail les modes de gestion des comp tences individuelles et collectives D ailleurs toute organisation dispose d un syst me d information d une forme ou d une autre Ce syst me peut tre manuel ou informatique Beaucoup de syst mes d information sont encore manuels clat s avec une mauvaise conservation
7. perte d argent s jour allong la d ception se fait de plus en plus sentir chez les tudiants l image du CESAG est entrain d en prendre un coup le manque de coordination des services impliqu s dans l inscription l absence d un syst me d information fiable et adapt qui permettrait de voir la situation g n rale de l tudiant au niveau de tous les services concern s les redondances des donn es sur l tudiant les prises en charges des tudiants mises par les bailleurs accusent un retard dans leur traitement la comptabilit re oit des paiements qui ne pr cisent pas leur b n ficiaire les jurys de lev es de r serve ne tiennent pas compte de l urgence des inscriptions les instituts ne transmettent pas les notes des tudiants la Scolarit au fur et mesure qu ils les obtiennent le retard dans la correction des copies des tudiants l absence d une facturation automatique des bailleurs avec des relances syst matiques pour le recouvrement dans les d lais stipul s dans les contrats Solutions possibles Ke La simplifier la proc dure d inscription en remettant la fiche d inscription l tudiant d s son admission au CESAG avec la possibilit de joindre toutes les pi ces justificatives de son paiement qu il d posera la Scolarit lors de son inscription cela permettrait de v rifier son niveau de paiement mais aussi sa situation p dagogique
8. puisqu il n existe pas Nous allons nous int resser sur comment le recrutement des tudiants est organis dans ces syst mes particuli rement au Canada Le rapport final 2004 d Educacentre Educacentre 2004 sur l tude de syst mes de gestion des dossiers des tudiants a montr qu au Canada les admissions et le suivi des tudiants sont g r s par le Service R gional d Admission au coll gial de Qu bec SRAQ qui est une corporation but non lucratif Cette structure traite plus de 22000 dossiers pour tous les programmes Le Service d Admission qui comprend 2 agents et une coordonnatrice en 18 jours ouvrables soit en moyenne 278 dossiers trait s par jour L organisation de la proc dure de traitement d une demande d admission repose essentiellement sur les services Web ou messagerie Il existe plusieurs services d admission au Canada qui partir du portail intranet offrent tous les services de gestion des tudiants Les tablissements de formation gagnent un temps dans le traitement des admissions des tudiants Le processus d admission est d crit dans le rapport final 2004 d Educacentre comme suit tape 1 demande d admission Toutes les demandes d admission sont envoy es au SRAQ Peu de demandes sont encore envoy es sur papier par courrier la plupart sont transmises via Internet Pour les cours d t les demandes d admission se font exclusivement sur Internet depuis tro
9. tudiant e facturer les inscrits et les bailleurs organismes encaisser les frais de formation parents ou tudiants e diter les re us e diter la facture e diter les situations de paiement des tudiants 82 Figure 17 Processus d inscription paiement esp ces ou ch ques Viser la fiche pour montrer sa r gutarit fnancisrs 50 Enregistrer je tal de Fiche d inscription vis s 83 Ces repr sentations nous montrent la lourdeur administrative autour de l inscription des tudiants La fiche d inscription est vis e suite la validation p dagogique de la Scolarit et celle financi re de la Comptabilit alors un syst me automatis r sumerait cette t che l tudiant remplit la fiche d inscription la Scolarit l tudiant passe la Comptabilit pour communiquer le montant payer la Comptabilit renseigne le syst me du montant payer par l tudiant l tudiant se pr sente la Caisse pour payer le montant d j saisi par la Comptabilit la Caisse encaisse le montant correspondant la Caisse met un re u num rot s quentiellement par le syst me la Scolarit dite la carte et le certificat de scolarit la DFC dite la facture de l tudiant Le syst me va liminer les va et vient de la fiche d inscription entre la Scolarit la Comptabilit et le DFC mais aussi les liasses de re u entre
10. ce qui ne facilite pas la mobilisation des donn es en temps r el en vue d une d cision de qualit En Afrique les centres de formation tentent aujourd hui de d velopper l innovation technologique adapt e aux imp ratifs et aux perspectives de l int gration africaine appr hend e sous l aspect d un nouveau march int rieur Avec le d veloppement des TIC les possibilit s sont nombreuses pour ceux qui aspirent de tels objectifs Un nombre croissant d institutions de formation largissent leur champ d activit s et leurs responsables sont de plus en plus conscients de la n cessit d am liorer leurs syst mes d information Une institution de formation professionnelle pourra d autant mieux g rer ses ressources que ses informations seront bonnes Parce que pour fonctionner de mani re efficace et efficiente elle doit disposer d informations de qualit Dans un environnement 14 concurrentiel l institution qui d tient de meilleures informations dispose d un net avantage L introduction d un Syst me d information de Gestion en milieu scolaire et universitaire constitue une innovation majeure en Afrique Un syst me d information de gestion est une s rie de proc dures et d actions effectu es pour saisir des donn es brutes les transformer en informations utilisables et transmettre cette information aux utilisateurs sous une forme adapt e leurs besoins Charles Waterfield et Nick Ramsing 1998 Il e
11. il est n cessaire de faire un tat des lieux c est dire faire un diagnostic du syst me existant et montrer en quoi le syst me futur peut tre b n fique au Centre Selon S Rivard et J Talbot les principaux objectifs du diagnostic de l existant sont de d finir les probl mes du processus existant et du SI qui le soutient ainsi que les causes de ces probl mes de d finir les objectifs que devraient atteindre un processus et un SI transform s et de sugg rer quelques l ments de solution qui permettraient d atteindre ces objectifs Le Centre a un SI qui vu de pr s peut donner l impression qu il existe plusieurs entit s ind pendantes et non interconnect es La plupart des processus de gestion paraissent tr s longs et lourds pour le client interne et ou externe Avant de poser un quelconque diagnostic nous avons explor quelques m thodes propos es a et l Les deux qui ont retenu notre attention e la d marche qui consiste faire la liste des anomalies du SI actuel voir leurs cons quences et d terminer leurs causes Cette d marche est emprunt e dans le texte de Michel Chokrom une m thode pour le diagnostic en syst mes d information qui la pr sente comme suit o Elaboration du r pertoire des anomalies o D terminations des cons quences pour l entreprise o D termination des causes o Valorisation o Etablissement du diagnostic e La m thode propos e par Rivard et Talbot
12. jour les syllabi des professeurs mettre jour les tarifs des professeurs pour leur paiement valider les margements des professeurs saisis travers leur espace espace professeur d compter les margements valid s des professeurs autoriser ou interdire l acc s d un professeur l espace professeur suivre les retards et absences des tudiants suivre l tat d ex cution des enseignements dans les Instituts valider les semestres des tudiants par les cr dits obtenus valider les cr dits des tudiants autoriser le passage en classe sup rieure valider la formation des tudiants pour l obtention du dipl me exploiter les fiches d valuation des enseignants lister les vacataires par ordre de qualit sur la base des r sultats des fiches d valuations des enseignants consulter les tableaux de bords p dagogiques par institut automatiser la gestion des divers plannings ou emploi du temps g rer l occupation des salles et du mat riel diter les emplois du temps consulter les divers plannings via Internet consulter le nombre d tudiants inscrits consulter et imprimer les trombinoscopes des tudiants cr er les diff rents groupes de travail des tudiants r partir les classes et les sp cialisations programmer les cours et leurs animateurs 89 informer les tudiants temps sur les v nements les concernant consulter la situation financi
13. mettre en place un syst me d information central ax sur l tudiant qui aura un num ro unique valable pour tous les services et programmes du CESAG ce qui donnerait la comptabilit la facturation et la Scolarit toutes les informations sur le m me client Cela permettrait aux services impliqu s dans les inscriptions la facturation et le recouvrement la programmation des salles et les instituts d am liorer la qualit de leurs relations avec les tudiants 10 Solution retenue La deuxi me solution ci dessus retient notre attention car elle semble plus globale et performante La mobilit de l tudiant et ses inscriptions aux diff rents programmes seront g r es automatiquement et sans difficult De ce fait la question principale que nous nous posons est la suivante quel syst me d information de gestion concevoir pour g rer efficacement la Scolarit Plus pr cis ment e quels sont les syst mes d informations de gestion des tudiants utilis s dans les tablissements de formation quelle d marche adopter pour concevoir un syst me d information e quelle est l efficacit du syst me d information actuel de la Scolarit du CESAG e quelles am liorations lui apporter pour le rendre plus efficace Objectif g n ral D velopper pour la gestion la Scolarit du CESAG un outil de gestion hautement perfectionn en collaboration troite avec tous les services instituts et direc
14. que notre tude porte sur le SI de la Sous Direction de la Scolarit et de la Vie Etudiante nous la pr sentons ici en montrant ses liens avec toutes les autres entit s du Centre La Sous Direction de la Scolarit et de la Vie Etudiante SDSVE g re les inscriptions et le suivi des dossiers des tudiants Elle s occupe du classement des dossiers de demande d admission des tudiants et de leurs inscriptions Ces derniers remplissent une fiche d inscription en support papier qui fournit toutes les informations n cessaires l inscription Toute recherche d informations sur un tudiant se fait par consultation de cette fiche En outre la SDSVE est charg e de la d livrance des cartes d tudiants ainsi que des certificats de scolarit Elle g re galement les notes des tudiants et dite divers tats relatifs aux valuations bulletins de notes tats r capitulatifs par session par promotion par tudiant etc La circulation d informations entre la DEVE et les diff rents instituts porte essentiellement sur des changes des documents et d informations 74 Tableau 2 les flux d information entre la DEVE et les Instituts Les flux d informations entre la DEVE et les Instituts DEVE aux Instituts Instituts la DEVE SDSVE e Copies des preuves pour corrections e Contenus des programmes e Liste des admis e Sujets d examens e Feuille d margement e Originaux des relev s de
15. t en cr e en 1981 Dakar par le gouvernement du S n gal Cette cole offrait une formation de management aux cadres africains En 1985 L ESGE fusionne avec le projet CESAG de la CEAO 68 Entr en activit en 1985 suite la reprise des activit s de l ancienne Ecole Sup rieure de Gestion des Entreprises ESGE de Dakar le CESAG s est rapidement impos comme la principale grande cole de formation en management en Afrique francophone au sud du Sahara Cr l origine pour servir l ensemble des pays de la sous r gion le CESAG s est progressivement ouvert l ensemble des pays du continent africain Comme cons quence de la signature le 11 janvier 1994 du trait portant cr ation de l Union Economique et Mon taire Ouest Africaine UEMOA la conf rence des Chefs d Etat de la Communaut Economique de l Afrique de l Ouest CEAO tenue Ouagadougou au Burkina Faso a retenu le principe de la dissolution de la communaut CEAO et de l ensemble de ses institutions sp cialis es dont le CESAG Dans le souci de pr server cet outil d int gration sous r gionale qu est le CESAG de renforcer les capacit s de gestion et de sauvegarder autant que possible les acquis de dix 10 ann es d activit s du centre la Banque Centrale des Etats de l Afrique de l Ouest BCEAO d cide avec l accord des autorit s L UEMOA notamment le Conseil des Ministres de reprendre les activit s et le
16. tudes Supp ment Inst Din au dipl me ag Bue Plan Inscripti a Dngtors nscription Licence Cr dit Programme d tudes de l tudiant a a Cer D Unit que ment cones Sem Programme d taill Lien existentie Sp cialisation G n ralisation source Abdelaziz Khadraoui 2005 6 L inscription de l tudiant l Universit de G n ve La demande d immatriculation d un tudiant l Universit de Gen ve et son inscription une facult et un dipl me doit tre adress e au Bureau des immatriculations et inscriptions Des taxes universitaires d un montant de 500 CHF par semestre doivent tre pay es par le bulletin de versement postal qui est adress chaque tudiant au d but 14 Abdelaziz Khadraoui Michel L onard Daphn Solomos et Slim Turki Ing nierie des syst mes d information pour l e gouvernement strat gie concepts et bases e TI la revue lectronique des technologies d information Premier Num ro 30 octobre 2005 http www revue eti netdocument php id 421 47 de chaque semestre d tude Les demandes d exon ration des taxes universitaires d encadrement pour situation financi re difficile doivent tre r dig es sur un formulaire retirer d s la rentr e acad mique au Bureau universitaire d information sociale Abdelaziz Khadraou i 2005 6 Ces r gles de gestions sont traduites par l ajout dans le mo
17. Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion CESAG a t cr dans le cadre de la Communaut des Etats de l Afrique de l Ouest CEAO dans le but de fournir des cadres de gestion de haut niveau aux entreprises et aux administrations de la sous r gion Le 27 octobre 1978 la conf rence des Chefs d Etat de la CEAO avait mandat le secr taire g n ral pour entreprendre les tudes et actions n cessaires en vue de cr er au S n gal ce qui devait initialement s appeler le Centre Africain d Etudes Sup rieures en Management CAESM Le projet rebaptis CESAG a alors t cr par l acte n 37 79 CE de la conf rence des Chefs d Etat de la CEAO Nouakchott Mauritanie le 20 octobre 1979 Le projet CESAG ne devait cependant v ritablement voir le jour que le 06 juillet 1983 apr s la signature d un protocole d accord entre la CEAO et la R publique du S n gal concernant les modalit s et conditions de transfert du patrimoine de l Ecole Sup rieure de Gestion des Entreprises ESGE au CESAG 2 Ja Communaut conomique de l Afrique de l Ouest a t cr e en Juin 1972 Bamako Mali Son but principal est de promouvoir la coop ration et l int gration avec pour objectif de cr er une union conomique e les pays de l Afrique de l Ouest Elle comprend la Mauritanie le S n gal le Mali la C te d ivoire la Haute Volta et le Niger 4 L Ecole Sup rieure de Gestion des Entreprises ESGE a
18. PARATION DU MAT RIEL PARTICIPANTS ENREGISTREMENT PARTICIPATIONS Source lan G MacDonald 1986 173 Le diagramme montre les d pendances entre processus les noms des flux d information qui servent les exprimer ainsi que des d pendances telles que les cardinalit s d ex cution les conditions et v nements par exemple r union du comit d clenche conf rence Ce qui am ne pr senter une m thode cart sienne SADT Structured Analysis and Design Technique qui illustre bien la d composition des processus et leurs interactions Le concept de base de SADT est celui d actigramme qui met l accent sur la description des actions et leurs connexions au moyen des donn es C est ainsi que la conception d un syst me d information suivant la d marche SADT consiste d composer l actigramme de plus haut niveau en passant par un nombre arbitraire de niveaux jusqu l obtention d actigrammes qui correspondent au niveau de d tail souhait SADT fournit des r gles de conduite du raffinement Par exemple SADT pr conise de 24 d composer un actigramme en au moins trois et au plus six actigrammes de niveau suivant C Rolland A Flory 1990 Selon Olivier Gerb 2003 on peut r sumer l approche cart sienne classique par la d composition d un probl me en sous probl mes et les m thodes fonctionnelles par la d composition d une fonction en sous fonctions jusqu at
19. SAA E amn rane Le syst me mis en place pour g rer les admissions conna t quand m me des limites car il est imp ratif pour les candidats l admission d avoir une adresse lectronique pour suivre tout le processus Ce qui risque de d courager ou liminer beaucoup de candidats Cette pratique de gestion des tudiants est sp cialement destin e aux coll ges dans le syst me canadien qui est diff rent de celui de l Europe Figure n 11 R sum d une demande d admission Cegep Sainte Foy tudiant Admission gt Demande d admission e AR 5 coumel Cr ation Mon Dossier Banque _ Caisse Dossie pr trait tape 4 Dossier trat et d cision tape 5 iSerice informatioue de na Source SRAQ 2004 6 11 2 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Europe Le processus de Bologne enclench en 1998 a vis entre autres de faire converger en 2010 les syst mes d enseignement sup rieur europ ens vers un cadre commun reposant sur les trois cycles inspir s de la pratique nord am ricaine Licence Mast re et Doctorat Cette r forme est consid r e comme un levier pour la construction d un espace europ en de l enseignement sup rieur et de la recherche Ce syst me LMD est con u comme un passage forc pour faire de l Europe l conomie de la connaissance
20. confectionner par le Z n m SPECIF Effectuer la recette d un syst me http dictionnaire phpmyvisites net definition recettage 10392 htm 98 fournisseur et le Comit de pilotage Il n est pas toujours vident de r ussir 100 ce pari mais il faut toujours essayer VII 3 La formation des futurs utilisateurs C est un point tr s important qu il ne faut pas n gliger car la formation sur les modules permettra de pr venir les bugs ou erreurs futures du syst me Les utilisateurs vont se familiariser tr s t t avec le syst me et le testeront volont VII 4 L laboration du la cartographie des processus L absence d une bonne compr hension par les op rationnels des proc dures en vigueur au CESAG porte un coup s rieux nos prestations Un SI ne peut tre performant que si les acteurs ont compris leurs r les Les lourdeurs ou la complexification des proc dures et l ignorance de celles ci peuvent tre combl es par une laboration de la cartographie des processus Les auditeurs internes en accord avec les informaticiens les experts en organisation doivent discuter pour la mod lisation et la repr sentation sch matis e de toutes les proc dures essayer de rendre leurs lectures et leurs compr hensions faciles Ceci facilitera consid rablement l int gration du SI global du Centre VII 5 La politique de conduite au changement Tout projet de nouveau SI conna t des r sistances car
21. continents sur l enseignement sup rieur avant de voir plus pr s en Afrique et plus particuli rement la zone UEMOA Une analyse documentaire sur l existant au niveau du CESAG nous a beaucoup aid pour parfaire notre compr hension des m thodes de gestion jusqu ici pratiqu es La compr hension du SI et les syst mes de gestion de la formation nous ont amen faire une bonne combinaison pour pr tendre un syst me d information de gestion d un tablissement de l enseignement sup rieur Tous ces outils seront utilis s bon escient dans la deuxi me partie qui consistera obtenir un SI fiable et performant 65 Partie 2 Application et Perspectives de d veloppement d un syst me d information de gestion la Scolarit du CESAG Il est imp ratif pour la mise en place d un syst me d information de respecter une certaine d marche C est celle ci qui nous am ne laborer un cahier des charges Le terme cahier des charges est un terme g n rique pour d signer un document qui fera office de contrat entre deux parties Dans le cadre d une vision syst me d information le cahier des charges est un document contractuel qui fait le lien entre les sp cifications d taill es du syst me d information et les quipes de d veloppeur Informaticien C est aussi un document qui va lier la Ma trise d ouvrage la Ma trise d oeuvre Dans le cadre de ce m moire nous n allons pas d
22. de formation renouvel s par la construction de l espace europ en de l enseignement sup rieur Il convient donc de cr er les conditions n cessaires l interop rabilit entre les outils de gestion de la scolarit de l ensemble des acteurs de l enseignement sup rieur C est l objet du projet de cadre de coh rence du SI de l enseignement sup rieur dans son volet portant sur le domaine scolarit et vie tudiante Il a t tabli sous l gide du comit de pilotage du SI de la recherche et de l enseignement sup rieur et permettra de poursuivre le d veloppement des changes de donn es entre les diff rents partenaires Il servira de base sur laquelle les tablissements conduiront l adaptation de leurs outils de gestion C est partir de tout ce processus qu est n l Agence de Mutualisation des Universit s et Etablissements AMUE qui a lanc un projet de syst me d information de gestion des tudiants et de la scolarit Apogee En Europe la gestion des tudiants se fait de plus en plus avec Apogee qui est un syst me d information automatis Ce projet l chelle europ enne a connu un engouement et une r putation positive dans les tablissements de formation professionnelle et universitaire 5 Apog e Application pour l organisation et la gestion des tudiants 49 Apog e permet de g rer l inscription administrative et p dagogique de chaque tudiant Elle est presque stand
23. dossier de candidature concours inscription avec un nouveau num ro chaque changement programme Le manque de coordination des diff rentes directions du CESAG est manifeste Le parcours de l tudiant pour obtenir un quitus une attestation de r ussite ou une facture est assimil celui du combattant C est le v ritable ventre mou du CESAG la coordination de l information et la prise de d cision en temps r el Cons quences les statistiques sur les inscriptions ne refl tent pas la r alit dans les salles de cours LS la difficult pour les instituts les directions et les services rattach s de faire un contr le exhaustif des effectifs des paiements et des pr visions l impossibilit pour la Scolarit de d livrer temps des documents administratifs les tudiants mauvais payeurs peuvent profiter de tous les avantages du CESAG sans tre inqui t s le retard de transmission des relev s de notes l tudiant peut lui faire perdre une opportunit d obtention de bourse ou d emploi l tudiant perd beaucoup de temps pour obtenir son quitus pour le d p t de son m moire et la validation de sa formation La La Causes La LC VU lt a e La l tudiant est oblig d appeler son bailleur pour lui faire part des d sagr ments auxquels il fait face par le non r glement de sa scolarit frustrations incommodit s
24. effectifs et de la complexit de la gestion des tudiants La Direction G n rale a mis en place une commission de SI qui a pour mission de faire une int gration du SI dans les activit s du CESAG C est ainsi que nous avons mis l id e qu une int gration du SI ne serait possible que si les besoins taient identifi s et s ri s par ordre de priorit L activit principale du Centre tant la formation nous avons proc d une approche par prototypage Nous avons d fini le prototypage dans le Chapitre I mais dans la pratique de quoi s agit il exactement L adage dit il ne faut pas r inventer la roue Ceci nous a guid dans notre travail Au lieu d imaginer et changer avec les utilisateurs sur un syst me futur auquel ils n ont aucune notion nous avons invit des soci t s de la place pour nous pr senter leurs produits sur le SI Ces s ances de d monstration ont permis beaucoup d utilisateurs de voir qu il tait possible d automatiser certaines t ches de leur d partement ou direction Des propositions et des observations ont t apport es par l assistance ce qui a permis d orienter notre vision vers un SI plus performant et r aliste en suscitant un int r t chez les futurs utilisateurs qui ont compris qu il tait prioritaire de mettre en place un SI sur les enseignements Au del de ces r unions nous avons visit les sites web des entreprises qui offraient des pr
25. en compte de leurs int r ts dans le fonctionnement d un syst me e La gouvernance est l association du pilotage c est dire s assurer que les d cisions d aujourd hui pr parent convenablement demain et du contr le c est dire mesurer l cart par rapport ce qui tait pr vu et l activit g r e aujourd hui Un syst me d information a besoin de mode de gouvernance car il ne peut pas tre exempt de r gles ou de d marches pour r ussir Il lui est donc indispensable car c est un outil de pilotage et d am lioration La gouvernance d un syst me d information a pour but entre autres d aider le top management dans l acceptation et l am lioration des prises de d cisions concernant le syst me d information Elle permet de mieux conna tre les processus cl s de l entreprise une meilleure vision des r les des diff rents acteurs du syst me et surtout d une d finition plus fine des responsabilit s Cette approche th orique permet de cerner la pertinence complexit et la globalit d un syst me d information Toutefois nous avons conscience que dans l introduction d une innovation technologique certes le rendement est important mais ce n est qu un des aspects de la d marche visant accro tre l efficacit Pour nous l innovation peut consister en l adaptation cr ative des techniques de gestion la r solution des probl mes sociaux Elle n a de sens que s
26. futurs utilisateurs 99 VII 4 L laboration du la cartographie des processus 99 VILS La politique de conduite au changement s snssseessseseesressssssresrorersrararonsesrosnerrsrsss 99 Conclusion de la deuxi me Part en ns rnite debian di 100 Baale EILEN RE E etre CN un 101 Bibliographie LES TEEN on nn Cum 103 ANNEXES ER SR A E SE TS A a Ees 106 Annexe 1 Organigramme du CESAG ui d iintieseneniensitaletetsnrrenreeirentieiess 107 Annexe 2 Comit de pilotage n sesssesnesnseseerersorssersssessneversennees EEEE aE T aSa 108 Annexe 3 QuestionnaiteSs ss iscsssisrississossrsisrissrestssurvsrerasasas e snan nn neo 109 Annexe 4 Liste des documents e neesessseseoronrovsrnseestsesoseonsosssrssorasessessseourersossrenseneestrserssrse 112 Annexe 35 Fiche d inscription iiion arees arinta einen seine ie ou 113 Table des mati res oiee aeran RS di Si ner nets ee men tas 114 115
27. la documentation et de questionnaires que cette activit sera men e Une bonne collecte de l information rend ais e la mod lisation des processus existants et futurs IIL 2 1 4 La mod lisation du processus La mod lisation d un processus consiste le d crire au moyen d outils graphiques afin de mieux comprendre son fonctionnement et d tre en m me de poser un diagnostic son sujet Cette activit est faite conjointement avec la collecte d information sur les composantes du processus et de fa on it rative 61 HI 2 1 5 La pose du diagnostic Cette t che consiste analyser l information sur le processus et le SI qui a pr alablement t recueillie puis synth tis e dans les mod les les matrices de responsabilit s et les fiches d identifications Pour r ussir cette t che aussi complexe que l on peut imaginer il nous faudra des outils comme les mod les de processus et de syst me les fiche de documentation du probl me et d identification des causes probables d un probl me Pour cela la technique analyse causale propos e par M Chokrom ou X Castellani nous aidera pour compl ter nos outils Ce qu il faudra noter un mauvais diagnostic peut conduire des d cisions catastrophiques qui pourraient faire chouer tout le projet IIL 2 2 La conception du nouveau processus Le diagnostic de l existant nous permet de continuer pour la conception d un nouveau processus qui consiste
28. les individus ont souvent peur du changement C est la raison pour laquelle nous recommandons vivement que la Direction G n rale s implique fortement pour conduire le changement Il s agira de convaincre les futurs utilisateurs que le projet de SI a pour objet de leur faciliter le travail et non le contraire que le nouveau syst me n entamera en rien leur pouvoir et leur utilit dans l entreprise Dans ce chapitre nous avons num r quelques recommandations qui pourront aider r ussir le syst me d information mettre en place Toutes ces propositions sont importantes et ne devront pas tre n glig es par tous les acteurs concern s 99 Conclusion de la deuxi me partie Nous avons pu r diger deux cahiers des charges qui ont servi l appel d offre d acquisition d un logiciel int gr de gestion de scolarit dans cette deuxi me partie de notre tude Ceci tant il a t int ressant de constater que les processus actuels du CESAG n ont pas facilit la mise en uvre d un SI car les utilisateurs finals n ont pas la m me compr hension des proc dures et que chaque partie campe sur ses positions Cependant il faut se rendre compte que la r daction d un cahier des charges demande la participation et l implication des futurs utilisateurs du syst me Il convient de retenir que ce sont eux qui proposent et qui donnent une me au futur syst me faute de quoi nous avons un syst m
29. orchestrer le travail de toute l organisation en surveillant l tat de sant de leur institution gr ce une s rie d indicateurs choisis avec soin et de prendre en connaissance de cause des d cisions critiques dans les domaines op rationnels et strat giques La conception et la gestion d un syst me d information sous sa forme informatique est d actualit en particulier en Afrique Mais il reste que cette conception en milieu scolaire et universitaire est une pr occupation ancienne au plan th orique que m thodologique Des auteurs comme Charles Waterfield et Nick Ramsing PEGUIRON Fr d rique et THIERY Odile Cap G mini Ernst et Young etc ont produit une riche connaissance th orique et des d marches m thodologiques sur le syst me d information de gestion appliqu e diverses institutions parmi lesquelles les centres de formation Toutefois jusqu ici peu de litt rature ou de pratiques professionnelles existent sur l application d un syst me d information de gestion dans un organisme de formation en Afrique Pour une meilleure compr hension d un syst me d information nous proposons une clarification des concepts fondamentaux 1 2 La clarification des concepts I2 1 Le syst me d information Un syst me d information est un syst me qui utilise du mat riel informatique des logiciels et des informaticiens pour effectuer les activit s de saisie de traitement de sortie de stockage m
30. pas gagn e d avance Le principal combat mener sera alors de gagner plus de part de march et fid liser la client le ce qui passe obligatoirement par une meilleure qualit de service une approche de la client le plus saine et le gain de temps dans les prestations offertes aux tudiants R seau Africain et Malgache pour l Excellence en Gestion des Entreprises Fondation Nationale pour l Enseignement de la Gestion des Entreprises Deux articles de Jeune Afrique sur l enseignement sup rieur en Afrique ont fait le classement des tablissements de formation en Afrique bien qu on ignore les crit res utilis s et le classement du CESAG n est pas du tout reluisant D o la n cessit de la mise en place d une veille technologique et communicationnelle qui passera forc ment par un syst me d information performant Formulation du probl me L tudiant prouve d s le premier contact avec le CESAG les lourdeurs administratives li es l inscription Il se pr sente dans plusieurs services Scolarit Comptabilit Direction Financi re et Comptable DFC charg e de la facturation pour obtenir la validation de son inscription La Scolarit est oblig e de se rapprocher des services de la DFC pour s assurer que le probl me financier est r gl En retour ces services demandent la Scolarit la situation p dagogique de l tudiant Actuellement l tudiant reprend tout le parcours nouveau
31. qui affecte les t ches du diagnostic comme suit o Planification du diagnostic o Analyse de l environnement o Collecte d information 59 o Mod lisation du processus o Pose du diagnostic o Pr paration et pr sentation du rapport Dans le cadre de ce m moire nous essayerons de prendre les meilleures approches de ces deux m thodes comme nous l avons pr conis en haut la r ing nierie des m thodes Pour tre plus pr cis nous adopterons le mod le Rivard et Talbot qui nous semble plus complet et mieux adapt notre contexte de travail Figure n 14 M thode Rivard et Talbot i itivie 1 Etude pr liminaire OOIE Si 3 D cision Activit 2 a Diagnostic d leristant S 24 Panicaton du Gognoste de l existant 22 Analyse du Vanvieenetent F 2 3 Collecte donka matan m 24 Mod lisation du procasaus 25 Posa du dingr cte c B Pr parati zartat 26 nest ot pr za fiat du rap eri O D cision Activt 3 2 Concoption du amp nouveau processis d afisires E 5 S O D cision 1 Actuis AB Ez Conception du Acquisition E nouveau asyslame de orogiclal 6 d information progi A Oo li Actyit SA a Acti SB R alisation i Param trage amp du progleiel D D ERA Actrui 5 Mise en place exploitation et valuation Source S Rivard et J Talbot 2003 119 60 HI 2 1 1 Planification du d
32. s ou ceux en souffrance e consulter les paiements sur leurs d comptes enregistr s par le syst me e consulter les dossiers scolaires des tudiants e poster des observations sur leurs tudiants e poster des cours des exercices des devoirs et des corrections pour les tudiants 93 participer aux fora des enseignants participer aux fora des instituts en tant que mod rateurs dans des th mes d finis consulter le trombinoscope des tudiants par programme consulter les valuations faites sur eux par leurs tudiants poster leurs CV pour les demandeurs de vacations Tous ces modules seront accessibles via Internet par le module Communication qui permettra entre autres de g rer les notifications de g rer les publications des suggestions et r clamations de g rer les discussions de l ensemble des acteurs du syst me directions instituts professeurs et tudiants pour les aspects discussions et communication de publier des informations destin es au public sur les programmes du CESAG de publier les rapports d activit les contributions du CESAG au renforcement des capacit s de pr senter les diff rentes structures du CESAG de montrer les moyens logistiques et p dagogiques mis la disposition des apprenants du CESAG Enfin nous arrivons aux modules qui sont imp ratifs et tr s importants pour la r ussite d un syst me d information VI 7 La S curit
33. tablissements priv s universitaires peut constituer un moyen de participation efficace du secteur priv au financement du co t de la formation AMOUSSOUGA 2004 Des tudes r centes ont montr que l enseignement sup rieur contribue bel et bien au rattrapage technologique et l augmentation de la productivit du travail en Afrique Ce qui est un atout consid rable dans la r alisation des Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD et du progr s Ces r flexions montrent combien les tablissements de formation professionnelle jouent un r le dans l Enseignement Sup rieur Ils sont la r ponse aux d perditions des jeunes bacheliers le fort taux d abandon et le sureffectif des amphith tres Selon la Banque mondiale 1994 les Etats peuvent encourager le d veloppement de l Enseignement Sup rieur priv comme compl ment aux tablissements publics pour faire face au co t de l expansion des effectifs dans les tablissements sup rieurs accro tre la diversit des programmes de formation et largir la participation sociale de l enseignement sup rieur Ces tablissements sont aujourd hui tr s impliqu s dans le tissu conomique et social car en prenant en charge une partie de l enseignement sup rieur L Enseignement Sup rieur joue un r le d terminant dans le d veloppement conomique travers la construction et le Conseil Africain et Malgache pour l Enseignement Sup rie
34. ve Elle pourra tre modifi e par le C gep Enfin les dossiers d admission sont tous transmis au C gep sur un Cd rom Ils comprennent toutes les pi ces du dossier tape 4 traitement du dossier par le C gep Pour prendre sa d cision le C gep tudie le dossier de l tudiant demande ventuellement de faire passer des tests et applique une pond ration avant d indiquer sa d cision dans le dossier Pour les programmes tr s demand s un prorata est appliqu c est dire que le choix des candidats est fait au prorata des cat gories secondaire coll giale adulte tape 5 Renvoi des dossiers au SRAQ Une fois que les demandes d admission ont t trait es par le C gep elles sont retourn es au SRAQ avec les changements les commentaires et la d cision du C gep Le SRAQ int gre ces changements et envoie ensuite un fichier au service informatique du coll ge pour qu il le mette sur leur syst me SIGEP tape 6 communication des d cisions aux tudiants La d cision relative l admission est indiqu e dans Mon Dossier site Intranet du SRAQ Et en plus les r ponses positives sont envoy es par le C gep par courrier accompagn es d un guide d inscription Les r ponses n gatives sont envoy es par le SRAQ par courriel avec une invitation aller sur le site Mon Dossier pour tudier le motif du refus et ventuellement faire une demande au deuxi me tour 44 M tame e SE pB pa
35. 1 Working Conference CRIS 94 North Holland Amsterdam pp 169 194 Kronlof K 1993 Method Integration Concepts and Case studies Wiley series in software based systems John Wiley amp Sons Ltd 103 Kumar K et Welke R J 1992 Methodology engineering a proposal for situation specific methodology construction dans Cotterman W W et Senn J A Eds Challenges and Strategies for Research in Systems Development John Wiley amp Sons Ltd pp 257 269 Kumar K et Welke R J 1992 Methodology engineering a proposal for situation specific methodology construction dans Cotterman W W et Senn J A Eds Challenges and Strategies for Research in Systems Development John Wiley amp Sons Ltd pp 257 269 MUMFORD E Effective Requirements Analysis and Systems Design the ETHICS Method Basingstoke Macmillan 1995 Nightingale P 2000 The Product Process Organisation Relationship in Complex Development Projects Research Policy vol 29 p 913 930 Parkinson 1996 60 Minute Software Strategies for Accelerating the Information Systems Delivery Process John Wiley amp Sons New York 1996 Perron L La r utilisation de cas une probl matique commune l intelligence artificielle et Pergonomie cognitive mais des points de vue diff rents Ing nierie des connaissances volutions r centes et nouveaux d fis Edition Eyrolles 2000 p 501 513 Prakash N 1997 T
36. Ce module permettra de faire la gestion des utilisateurs la gestion des autorisations d acc s la gestion des utilisateurs habilit s exploiter le syst me la gestion des profils d utilisateurs la gestion des habilitations des profils d utilisateurs 94 e la gestion des mots de passe e l archivage p riodique des donn es VI 8 L espace Support Online Dans ce module il est pr vu e la gestion des tests e la gestion des bugs e la gestion de l aide en ligne VI 9 La Liste des tats Le logiciel permettra entre autres d diter les tats suivants e liste des tudiants par institut par Programme par promotion par pays financ s par organisation e liste des enseignants par institut par type par domaine de comp tence e liste des organisations par type par pays e planning par salle par p riode par semaine par institut par programme e listes d margement des tudiants des professeurs et par cours e tat des inscriptions par cours par semestre par an e tat des absences et des retards aux cours e fiche d valuation des enseignants e relev s de notes des tudiants e fiches d inscription au programme e tat des confirmations d inscription e lettre de confirmation d inscription e tat des reports d inscription e lettre d admission e lettre de report d admission e lettre de rejet de candidature attestation d
37. Cette communication poss de un langage dont les mots sont les donn es P Machelot 2002 Au fait le syst me d information peut se r sumer autour de ces trois l ments les hommes avec des moyens techniques produisent de l information dans l organisation Ce qui montre un certain parall lisme entre le management qui selon Kast et Rosenzweig 1970 page 6 repose sur quatre l ments de base vers des objectifs par des hommes avec des techniques au sein d une organisation Le syst me d information semble reposer sur au moins les trois les hommes ressources humaines les techniques ressources mat rielles et logicielles au sein d une organisation Ce qui nous am ne dire que le syst me d information n est pas une question de machines informatiques ou syst me informatique r serv aux informaticiens mais une fonction de gestion autour de trois l ments interd pendants Hommes Organisation e Technologie 12 2 Les approches de la conception d un syst me d information La conception est en quelque sorte une anticipation ou une cr ation par l imagination du comportement futur d un syst me Il convient d explorer les moyens de faire une bonne conception de syst me d information Phillipe DUMAS et Gilles CHARBONNIER 1990 auteurs du livre la m thode OSSAD Tome 1 distinguent 5 approches de conception que nous essaierons d tudier dans ce m moire 18 e
38. STION DES ENSEIGNEMENTS DU CESAG EN VERSION WEB Forme Sp cifications du syst me prise en compte des pr occupations de votre direction ou institut veuillez les num rer SVP Aspects techniques Observations globales Aspects juridiques 110 3 Questionnaire compl mentaire pour les comptables et les auditeurs Comptabilit et caisse Auditeurs internes Veuillez nous d crire le processus Que pr voit la proc dure propos des des encaissements encaissements des frais de scolarit des tudiants Est ce que tous les encaissements effectu s la caisse sont enregistr s Est ce que tous les encaissements effectu s la la Comptabilit Si oui quel est caisse sont enregistr s la Comptabilit Si le proc d oui quel est le proc d Le passage du client payeur la Comptabilit pour le re u pr num rot avant de passer la ER EE SP EE TE egea Le passage du client payeur la Comptabilit caisse est il n cessaire Justifiez pour le re u pr num rot avant de passer la votre r ponse caisse est il n cessaire Justifiez votre r ponse 111 Annexe 4 Liste des documents Liste des documents tudi s et analys s Le guide de l tudiant version janvier 2007 Le contenu des programmes du CESAG Le manuel de proc dures sur les inscriptio
39. aa can DR de A me Sommaire Introd ct s RSR SR a en ne Dee ne ed 2 Partie 1 Cadre th orique et m thodologie St A nt ie 12 Introd cti ts snn ne E a a EEEN 13 Chapitre I Conception d un syst me d IMOrINAHOT Sn en anne a a 14 Chapitre II Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst me d information de gestion en milieu scolaire et universitaire s s seesseersserssrrrnerrrsnrerorteroortsesraneranoranonrnssstsrrena 41 Chapitre IH M thodologie de l tude team tuntiidiinte 55 Partie 2 Application et Perspectives de d veloppement d un syst me d information de gestiona Gi En de OS TN ER RE 66 Chapitre IV Pr sentation du CES AGE ue AR Nestes 68 Chapitre V Cahier des charges pour la conception et l implantation d un portail intranet pour la gestion des tudiants 0 E EEE E E EE AE T E 77 Chapitre VI Cahier des charges pour la conception et l implantation d un portail extranet E E EEE T E T E 91 Chapitre VII L s rcomHandations atouts ciemsmenmnbaneeednn den 98 Conclusi n nona renne a r AEA A Ea AA E AAEE 101 Bibli graphie ssaa imoni EE EAE E R E A EA A 103 ANNEKE ER D AE 106 Table des mati res sn nt a en te PTE CE Re 114 Introduction Le contexte actuel marqu par les turbulences de toute part les crises financi res automobiles et autres nous oblige revoir de plus pr s notre mani re de g rer Ceci passe n cessairement par une meilleure ma trise de notre environne
40. ard du fait que chaque tablissement peut l adapter son syst me d information Ce syst me est am liorer car il ne prend pas encore en compte tous les aspects de la gestion p dagogique des tudiants tels que la gestion des emplois du temps la gestion des enseignants AMUE 2003 L Universit de Marne La Vall e France a mis en ligne un site Web de gestion des dossiers des candidats http candidatures univ mlv fr Les candidatures sont d pos es via l Internet et sont tudi es Le candidat a la possibilit partir du login qui lui est communiqu par mail de suivre jusqu l acceptation ou refus de son dossier Cette m thode de recrutement a permis l Universit d largir son champ de recrutement et de traiter le maximum de dossiers un temps r duit Toujours en France l Universit Charlemagne utilise un logiciel de gestion des tudiants appel e charlemagne qui est d velopp sous le nom KONOSYS Syst me d Information Education Ici toute la gestion de l universit est prise en compte Les tudiants sont g r s par un module appel Scolarit qui se d cline en ces points e Concours et Admission Gestion des cursus Gestion des plannings e Gestion des notes e Gestion des jurys e E learning e Gestion des tudiants e Parents Bailleurs Employeurs L int r t de e charlemagne est qu il prend en compte les diff rents instituts de formation et les
41. arqu le d but du 2 industrielle o la seule pr occupation tait de produire le maximum Depuis le monde a volu pour embrasser la soci t de l information c est l av nement des technologies de l information et de la communication TIC Les TIC ont modifi et am lior le fonctionnement des organisations qui elles m mes sont confront es de grandes mutations e la d mat rialisation de l activit on vend et on manipule beaucoup plus de services ou de savoirs que de production physique Selon BESSON 1997 12 la logique informationnelle prend d sormais le pas sur la logique manufacturi re e la globalisation des march s la concurrence est plan taire et la comp tition est rude C est ce que les grandes entreprises du monde ont compris pour faire des TIC le levier de leurs syst mes d information r pondant aux crit res en vigueur En Afrique les Etats sont l tape de la demande de fonds et d appui pour la r duction de la fracture num rique Les entreprises face la r alit du commerce mondial o la comp titivit est de mise tous les niveaux sont entrain de d finir des strat gies ad hoc pour ne pas rater le train La conception de nouveaux syst mes d information adapt e au contexte africain est n cessaire dans la perspective d une mondialisation r ussie Certes les entreprises africaines posent souvent le probl me de moyens pour se doter d une technol
42. ation des Concepts aimes ntm dinenenaenadte 16 Chapitre IT Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst me d information de gestion en milieu scolaire et universitaire 2 ice ner senten tartines 41 II 1 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Am rique du Nord s s sss snse sialene 41 II 2 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Europe TER E II 3 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Afrique 51 Chapitre II M thodologie de P tid rhin onnninnaneens ton Hthsneies 55 II 1 Les principales tapes de notre travail ssenessssssssesssessesseresroresesrerssesresssosinrsersrse 55 II 2 Le processus de conception Qun SL an ne mine eee 57 121 Diagn stic d Slexista itrecsieni ireo nantes 59 IIL 2 2 La conception du nouveau processus eseerreesesersrsresrsrsrnernrsreesse re 62 1123 L acquisition de progiciels inner dutennainetee anne 63 I 3 Comment est faite la collecte des donn es 64 Conclusion de la premi re DATE nantais 65 Partie 2 Application et Perspectives de d veloppement d un syst me d information de gestion la Scolarit du CESAG ha iintens amenant sn lienere 66 Chapitre IV Pr sentation du CESAG
43. ations de blocage Dans cette approche l inconv nient est qu elle demande beaucoup plus de moyens mat riels et humains L 2 1 3 L exp rimentation pilote La proposition d une solution partielle pour l valuer sur le terrain et ou la modifier ensuite pour la g n raliser est appel e exp rimentation pilote Elle permet de valider loutil dans son environnement r el pour r pondre aux besoins et aux adaptations des choix fonctionnels Il est fortement recommand de r aliser une exp rience pilote la suite d une conception par sp culation 1 2 1 4 La simulation L approche par simulation est inspir e la fois par celle de la sp culation et du prototypage Elle permet de tester des id es nouvelles et affiner l analyse Le syst me est mis en place et on l tudie en cr ant un environnement artificiel pour le tester Cette approche n cessite une infrastructure en personnel mat riel et logiciel 1 2 1 5 La r utilisation Cette approche est le fait de d velopper un syst me d information en partant de briques ou syst me d j disponibles Elle pouse parfaitement la conception orient e objet avec les nouvelles m thodes de conception Elle marque une rupture importante dans le mode de conception car les m thodes actuelles ne la prennent pas syst matiquement en compte Cette approche est assimil e une r volution dans la conception de syst me d information on parle de plus en plus approch
44. auditeurs Figure 20 Processus de paiement automatis Journal de Editer un re u caisse montant s quentiel Le module de la finance comptabilit mettre en place sera consacr e aux encaissements des frais des tudiants la facturation des tudiants ou bailleurs e aux r glements des paiements des professeurs sur la base de leurs margements valid s et d compt s e la mise jour des frais de scolarit des tudiants cas des r ductions par exemple e au suivi et contr le de toute transaction financi re effectu e tra abilit e aux diff rentes relances aux cr anciers e l dition des tats de paiements des tudiants l dition des tats de recouvrement l interfa age avec la comptabilit SAARI SAGE V 4 La p dagogie Dans cette partie que nous aurons la gestion des programmes des cours et des salles de classe Le module mettre en place devra permettre de 88 param trer le contenu des programmes ouverts par le CESAG et les cours dispens s chaque niveau les frais relatifs aux programmes les sp cialisations des programmes le capital horaire de chaque programme param trer les semestres par programme syst me LMD d finir des pr requis de cours pour les contr les d inscription mettre jour la liste des professeurs par domaine de comp tence mettre jour les cours enseign s par les professeurs mettre
45. ces types de programme les institutions de formation cherchent faire reconna tre leurs dipl mes par la communaut scientifique internationale CAMES RAMEGE FNEGE etc Le Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion fait partie de ces coles de formation et de ce fait n chappe pas toutes les caract ristiques cit es ci dessus Contexte sp cifique Le CESAG est une institution de formation de haut niveau dans le domaine de la gestion Il a entre autres activit s la formation la consultation et la recherche il reste vident que ce sont les tudiants qui sont sa principale ressource L organisation du CESAG est d clin e en quatre instituts consid r s comme des p les de comp tences pour mieux encadrer les tudiants et de deux directions d appui l une charg e des tudes et de la vie tudiante et l autre des finances et de la comptabilit Le CESAG a une forte exp rience dans le domaine de la formation au niveau du troisi me cycle Ses programmes de formation taient destin s aux titulaires de la Ma trise ou tout dipl me quivalent avec au moins deux ans d exp rience professionnelle Sur ce plan sa place de leader n tait pas contest e dans l UEMOA Aujourd hui le CESAG s est lanc dans le syst me LMD o il devra opter pour une politique de p n tration de march Il est vident que la demande en termes de formation est importante mais la conqu te du march n est
46. d un syst me d information de gestion de conf rences internationales L analyse et la conception sont bas es sur une technique de raffinements successifs utilisant le principe d abstraction le processus organisation de la conf rence est comme un tout repr sent par la bo te de m me nom pour tre un niveau d abstraction plus fine il est per u comme trois processus compl mentaires On peut consid rer que les m thodes cart siennes mettent l accent sur la mod lisation des processus fond e sur une technique d analyse qui consiste clater une fonction globalement per ue en processus sp cifiques 7 Martin J 1986 Information Engineering An improved automatable Methodoly for the Design of Data sharing Systems in Olle 1986 23 La d composition cherche galement mettre en vidence les interrelations entre processus au moyen de flux de donn es de produits de signaux et autres moyens La figure n 4 en est une illustration Figure n 4 M thodes cart siennes diagramme de flux R CEPTION DES PAPIERS CONCEPTION DE LA CONF RENCE COMMUNICATIONS RE UES CONF RENCE LECTURES DES GRGANISATION D TAILL E PAPIERS APPEL AUX COMMUNICATIONS IMPLICATION COMMUNICATIONS ACCEPT ES CONFERENCE MISE EN PLACE DU COMIT ORGANISATION DES CESSIONS PROGRAMMATION DES CESSIONS CONFIRMATION DES CESSIONS PR
47. d finies sur ce mod le Rolland 1988 Elles ont largement contribu une meilleure compr hension du m tier de concepteur N emp che elles sont aujourd hui critiqu es par le fait qu elles sont inadapt es dans de nombreux contextes Les r sultats qu elles produisent ne donnent pas toujours satisfaction Elles sont bas es sur une hypoth se que le d veloppement d un syst me d information se fait partir de rien tout est refaire ou concevoir Elles proposent une d marche unique le plus souvent s quentielle et peu it rative ce qui ne leur permet pas de supporter des adaptations dans diff rents types de situation L volution dans le temps des m thodes de conception de syst me d informations a vu na tre deux grands types de m thodes cart siennes et syst miques 1 2 2 1 Les m thodes cart siennes Dans les ann es 1960 les m thodes de conception de syst mes d informations taient bas es sur les concepts et techniques de d composition hi rarchique des processus et de flux de donn es ou flux d information ce sont celles de la premi re g n ration appel es m thodes cart siennes C Rolland 1990 Ces m thodes dites cart siennes associent au paradigme cart sien une approche fonctionnelle car elles pr conisent d analyser et de concevoir le syst me d information en se centrant sur ses fonctions Elles le per oivent comme un syst me de traitement de l information qui r pond a
48. d le figure 16 des attributs taxe universitaire demande exon ration dans la classe Inscription et sont valid es au niveau de la transaction inscrire l tudiant Le d lai pour l envoi de la demande d immatriculation est le premier juin avec exception pour certaines facult s Cette r gle est traduite par l ajout d un attribut d lai inscription dans la classe Inscription Dipl me et par un attribut d lai immatriculation dans la classe Inscription Les candidats qui souhaitent s immatriculer l Universit de Gen ve doivent poss der un certificat suisse de maturit ou un titre tranger jug quivalent Il existe des conditions particuli res pour les candidats pourvus de certains titres trangers non francophones ou d pourvus de titres secondaires voir la liste dans le document Ces r gles de gestion doivent tre valid es au niveau de la transaction inscrire l tudiant Au sein de l Universit il existe des enseignements cours obligatoires qui sont ceux portant sur des mati res dont les candidats doivent imp rativement pr senter l examen pour obtenir la licence ou le master les enseignements option portent sur des mati res qui ne font pas partie du programme obligatoire et qui peuvent tre ventuellement choisis dans d autres facult s Ces enseignements d pendent des plans d tudes de chaque facult c Le suivi du dossier de l tudiant Toujours dans
49. depuis la maternelle en passant par le secondaire et le primaire Ce qui est une v ritable r volution qui permettra une prise de d cision ais e et sure sur le recrutement de l tudiant Le seul probl me est le fait que ce syst me appel SISE syst me d information sur le suivi de l tudiant ne concerne que les tudiants qui se trouvent en France b L inscription Un tudiant qui change d tablissement peut s inscrire automatiquement si son dossier est accept Son nouvel tablissement peut disposer de son dossier informatis de son 1 ERAMUS est plus qu un programme de mobilit tudiante et professorale il propose aussi l laboration de programmes d tudes conjoints des programmes intensifs internationaux des r seaux th matiques des cours de langue etc 46 tablissement pr c dent Les donn es ne seront ensuite conserv es que pour les besoins statistiques et de pilotage Les tudiants comme les parents ont acc s aux donn es ce qui constitue un outil de dialogue performant avec les quipes p dagogiques Nous pouvons r sumer l inscription vue par les accords de Bologne par la figure 2 m me si dans le m me syst me il existe des universit s qui n ont pas les m mes r gles de gestion de celle ci cas de l Universit de Gen ve Figure n 12 Carte de concepts construite partir des accords de Bologne Mu MNT rstiuion T Dpi S Bite Programme d
50. des r clamations ou des suggestions e poster des commentaires sur leurs professeurs e imprimer toutes les consultations au besoin au format PDF ou HTML e participer aux fora par programme par institut et pour le Centre e t l charger les cours les devoirs et leurs corrections 9 VI 2 Les anciens tudiants Les anciens tudiants pourront se connecter au module des anciens pour consulter l annuaire des anciens mettre jour leur profil participer aux fora des anciens poster des suggestions ou recommandations au CESAG parrainer des tudiants en cours de formation participer la vie tudiante du Centre faire des propositions d offre ou de demande d emploi VI 3 Les parents Les parents des tudiants dans le module qui leur est d di devront tre en mesure de consulter les relev s de notes de leurs enfants inscrits au CESAG consulter leur assiduit aux cours consulter leurs diff rents paiements recevoir les diff rentes relances de paiement consulter les emplois du temps imprimer au format PDF au besoin les r sultats de leurs enfants imprimer les diff rents re us de paiement participer au forum des parents VI 4 Les bailleurs Le module des bailleurs des tudiants offrira les possibilit s de consulter les relev s de notes des tudiants inscrits au CESAG consulter leurs diff rents paiements recevoir les diff rentes factures des tudia
51. dossier de candidature e scanner les documents du dossier e alerter le jury pour tudier le dossier e envoyer le dossier au jury de s lection e notifier au candidat le statut de sa demande pour tude 78 Tableau 4 bis L admission au CESAG par voie de concours Admission sur concours iil 1 Candidat Classique Via Internet e retirer le dossier de candidature e t l charger le formulaire de e payer les frais de dossier candidature e d poser le dossier de candidature au e remplir le formulaire de candidature Centre d examen avec les pi ces e payer les frais de dossier dans son requises dipl me tat civil photo centre d examen e envoyer au CESAG les pi ces justificatives en plus des copies des dipl mes 2 SDSVE Via Internet saisir le dossier de candidature scanner les documents du dossier envoyer le dossier au jury de pr s lection pour tude diter les listes et les convocations aux examens des pr s lectionn s par centre d examen saisir les notes des examens e d admission pour d lib ration diter les PV de d lib ration des r sultats du concours e publier les r sultats diter les tats des notes pour le jury valider le formulaire de candidature alerter le jury de s lection pour tudier le dossier notifier au candidat le statut de sa demande envoyer au candidat la convocation aux exam
52. e consultation et de recherche du Centre La DEVE assure la gestion de la scolarit du centre informatique du suivi des programmes des ressources documentaires et des archives Elle comprend quatre 04 Sous Directions e La Sous direction de la scolarit et de la vie tudiante SDS VE e La Sous direction de l informatique SDD e La Sous direction de la documentation SDD e La Sous direction des programmes et de l appui p dagogique SDPAP La DFC s occupe de la gestion financi re et comptable Elle comporte trois 03 Sous Directions e Sous direction de la Comptabilit SDC e Sous direction du Budget SDB e Sous direction du Contr le de Gestion SDCG e Les instituts Le CESAG regroupe actuellement quatre 04 instituts e Institut Sup rieur de Management des Entreprises et des autres Organisations ISMEO e Institut Sup rieur de Comptabilit de Banque et Finance ISCBF e Institut Sup rieur de Management de la Sant ISMS e Institut des Langues et de l Ing nierie de la Formation ILIF Ces diff rents instituts d veloppent des programmes de premier et de deuxi me cycle Chaque institut est dirig par un Directeur qui en assure l administration et le suivi des programmes de formation e Le Projet autonome Le programme Master en Banque et Finance fonctionne sous forme de projet rattach la Direction G n rale et est dirig par un Chef de projet 73 Etant donn
53. e l entreprise L 2 4 3 La gouvernance d un syst me d information La gouvernance d un syst me d information est le r sum de tout ce que nous avons cit ci dessus La gouvernance du syst me d information ne couvre pas l ensemble des questions li es au management et la place du syst me d information au sein d une organisation Une d marche de gouvernance devrait s accompagner de r flexions et de plans d action concernant e alignement strat gique du syst me d information e ola valeur ajout e du syst me d information e l urbanisation du syst me d information Cigref 2004 Ceci tant nous pouvons d finir que la gouvernance est l association du pilotage c est dire s assurer que les d cisions d aujourd hui pr parent convenablement demain et du contr le c est dire mesurer l cart par rapport ce qui tait pr vu Gouverner c est pr voir Dans le cadre de ce m moire l approche utilisateur ou parties prenantes est tr s 2 importante d o les d finitions suivantes vont retenir notre attention P Une d finition large et descriptive de la gouvernance est de consid rer qu elle d crit comment un syst me est dirig et contr l 12 Conf rence ADELI Sisqual 8 novembre 2005 39 e Une vision plus prescriptive consid re la gouvernance comme les moyens par lesquels les parties prenantes peuvent s assurer de la prise
54. e la cartographie des processus dela politique de conduite au changement VII 1 Le Comit de pilotage du Projet de SI Comme tout projet la mise sur pied d un comit de pilotage est n cessaire pour suivre contr ler et valider les phases du d veloppement du SI Ce comit est compos d utilisateurs fonctionnels le Sous Directeur de la Scolarit et de la Vie Etudiante le Chef de D partement des Langues le Sous Directeur de la Comptabilit un Chef de D partement de Licence et le Responsable de la Logistique et d utilisateurs techniques le Sous Directeur de l Informatique et un informaticien Il a pour mission de v rifier si tous les points stipul s dans le cahier des charges sont respect s par le fournisseur Il est le trait d union entre les futurs utilisateurs et les fournisseurs et doit s assurer que tous les modules ont t test s et valid s Un rapport d tape est fait r guli rement afin de permettre la Direction G n rale au Contr le de Gestion de conna tre l tat d avancement du projet VII 2 L laboration du planning de recettage Le cahier des charges a d coup le projet en modules ceci pour faciliter la r ception progressive du SI Le fournisseur a la possibilit de faire le d veloppement par module ce qui donne la possibilit au comit de r ceptionner et de tester un module avant de passer un autre Pour ce faire il est n cessaire de s entendre sur un planning
55. e mort n 100 Conclusion Cette tude avait pour but d apporter une contribution la conception d un SI au niveau de la Scolarit du CESAG pour am liorer la qualit des services offerts la client le tudiants professeurs parents et bailleurs Nous avons pass en revue tous les processus li s la formation en utilisant des outils de diagnostic pour une meilleure d cision savoir si le syst me d information futur allait profiter au CESAG ou non Il est av r que ce syst me aidera beaucoup et nous pr servera de malversations p dagogiques ou financi res car c est une sorte de cit virtuelle o tout le monde a un r le bien d fini et contr lable tout moment Certes nous avons rencontr quelques difficult s dans la collecte des donn es Il s agit surtout des probl mes de compr hension de la part des futurs utilisateurs du syst me Ils sont nombreux croire qu un nouveau syst me ne pouvait pas r ussir au CESAG car tous les projets dans ce sens sont mort n s Ce scepticisme tait partag par nos interlocuteurs Nous avons mis contribution notre pouvoir de n gociation et le tact pour arriver convaincre les plus r ticents Nous avons commenc par envoyer des courriels puis faire suivre par des relances pour obtenir des s ances de travail qui parfois n ont pas donn satisfaction Par contre la pose du diagnostic n a pas t difficile dans la mesure o le CESAG c
56. e orient e composant ou objet Comme dit l adage il ne faut pas r inventer la roue Toutes les cinq approches que nous venons d tudier ont des avantages comme des inconv nients L approche qui para t la plus coh rente et la plus stable est le prototypage car il pr sente moins de risque de se tromper sur le futur syst me 20 concevoir Mais pour le cas de notre tude l approche de la r utilisation est celle qui prend plus en compte les pr occupations du syst me concevoir Elle est plus actuelle et colle le mieux aux exigences dans la nouvelle d finition des m thodes de conception En fait ce sont ces m thodes de conception qui soutiennent les approches de conception Il existe plusieurs m thodes de conception de syst me d information mais nous en retiendrons quelques unes que nous tudierons avant de choisir celle qui nous para t la plus pertinente et la plus ad quate l approche de la r utilisation 1 2 3 Les diff rentes m thodes de conception d un syst me d information Le terme m thode vient du grec methodos qui signifie moyen d investigation Harmsen 1997 d termine ce que sont ces moyens d investigation une collection de proc dures de techniques de descriptions de produit et d outils pour le support effectif efficace et consistant du processus d ing nierie d un SI D autres d finitions de la notion de m thode ont t propos es dans Kronlo
57. e r ussite e PV jury de validation certificat de scolarit 95 e fiche de retrait de dipl me e tat des dipl m s e liste des anciens tudiants par option liste d admission e graphiques divers r partition par sexe par nationalit ou par ge e statistiques diverses nombre d inscrits nombre de confirmations e PV de d lib ration des concours e Edition des badges des tudiants et des s minaristes VI 10 Les caract ristiques techniques du syst me mettre en place VL 10 1 Configuration technique La configuration technique retenue pour ce projet est l architecture Web VI 10 2 Contraintes de fonctionnement Le serveur devra fonctionner en permanence afin de permettre tout moment une interrogation de la base Le logiciel sera dot d un dispositif de s curit permettant d attribuer des droits d acc s aux utilisateurs selon leur profil VI 10 3 Outils de d veloppement Les outils de d veloppement recommand s sont les open source VI 10 4 Evolutions pr voir Afin d assurer une volution future du syst me il sera n cessaire de prendre en compte un certain nombre de dispositions pr visionnelles savoir e la possibilit d int grer la Comptabilit du Centre e l volution vers un syst me int gr de l ensemble des activit s du Centre e des pr cisions sur l environnement de d veloppement du logiciel 96
58. ens 79 Figure 16 Processus de candidature au concours d entr e au CESAG de dossier de F candidature Dossier de candidature Saisir les donn es du dossie Envoyer le dossier pour tude Notification du rejet 7 Publieries r sultats de dossier lt Enregistrer le Dossier de candidature Etudier le dossier perati Demander la publication des r sultats 80 RS PAE D IREA AEEA ag Aie E AERA Aaa e aE ERARE E E A pei i N aer Aa S e g Sp T on Ce processus n cessitera un module de gestion des candidatures qui permettra Pinscription en ligne des nouveaux candidats l enregistrement en ligne de nouvelles demandes de candidatures avec possibilit de scanner et de joindre des documents administratifs notamment les photocopies de dipl mes des attestations ete le suivi par le candidat de l tat de son dossier de pr inscription Online courriel sms la possibilit pour les centres d examen de saisir les dossiers de candidature la possibilit pour les centres de valider encaisser le paiement des frais de dossier la consultation en ligne de tous les candidats inscrits dans les centres d examen la possibilit d imprimer en format PDF l offre d admission en cas d acceptation du dossier ou la lettre d information pour les rejets l dition des listes des candidats pr s lectionn s aux concours l dition des proc s ve
59. erie figure 6 qui organise les approches d ing nierie des m thodes selon le degr de flexibilit de la m thode au regard de la situation rencontr e Les approches sont plac es sur une chelle de flexibilit variant d une flexibilit faible une flexibilit lev e Figure n 6 Spectre des approches d ing nierie des m thodes Faible Elev e Source Colette Rolland 2005 4 Ce qu il faut retenir est que l ing nierie des m thodes comporte des tapes la r ing nierie des m thodes existantes sous forme modulaire et l ing nierie des m thodes situationnelles par composition La r ing nierie des m thodes est la red finition des m thodes existantes sous forme de modules r utilisables tandis que l ing nierie des m thodes situationnelles par composition propose des techniques de construction et d adaptation de m thodes constitu es de ces composants r utilisables 32 Figure n 7 Le cycle d ing nierie des m thodes Description initiale de R ing niere des m thodes Description modulaire de m thode Construction de nouvelles m thodes par composition Source Colette Rolland 2005 5 C est ainsi que dans le cadre de ce m moire nous optons pour l ing nierie des m thodes en nous appuyant sur les quatre principes cit s ci avant qui est notre avis la plus compl te et la plus volutive 1 2 5 Les facteurs de succ
60. este un point de d saccord entre les comptables et les auditeurs internes Dans le cadre de ce travail nous avons entendu les deux parties pour comprendre Il n est pas n cessaire que l tudiant passe la Comptabilit pour prendre le re u avant d aller la Caisse La proposition de la SDC n est pas de supprimer cette t che mais de la transf rer aux centres op rationnels tels que la Scolarit les instituts et autres Les auditeurs consid rent que pour des raisons de s curit il est n cessaire qu il y ait un dispositif en amont de la Caisse plac si possible sous le contr le de la Comptabilit afin de s assurer de l exhaustivit des encaissements Dans les deux cas il est constat que le processus de paiement est accept dans sa forme mais son application la formule qui doit faire quoi pose probl me Alors le syst me d information automatis est un outil qui doit permettre de voir tr s clairement la s paration des t ches mais aussi la garantie de la s curit dans les processus Le syst me r duirait la t che de la Comptabilit en ne saisissant que le montant annonc par le client dans sa session et la caisse a le montant d j saisi par la Comptabilit De ce fait le syst me assure l int grit des donn es sans que la Comptabilit puisse modifier ou annuler 87 sans l avis de la DFC ou que la Caisse annule une op ration sans tra abilit et validation des
61. f 1993 Smolander et al 1991 Seligmann Wijers et Sol 1989 Prakash 1997 Brinkkemper 1996 La plupart convergent vers l id e qu une m thode apporte les concepts pour d crire le produit et les r gles de conduite m thodologique pour fa onner un produit de qualit avec une efficacit raisonnable Cette acception est synth tis e par Booch 1991 qui d finit une m thode comme un processus rigoureux permettant de g n rer un ensemble de mod les qui d crit divers aspects d un logiciel en cours de construction en utilisant une certaine notation bien d finie En d autres termes une m thode traite les deux aspects de l ing nierie le produit et le processus et comporte deux l ments un ou plusieurs mod les de produit et un ou plusieurs mod les de processus Quant la m thode de conception de syst me d information elle est d finie par Gwladys Guzelian 2005 comme un ensemble comportant des mod les et des langages une d marche et des outils logiciels 21 e Les mod les et langages les concepts et les r gles qui sont utilis s pour permettre de d crire le syst me d information diff rents niveaux d abstraction conceptuel architecture physique e La d marche le processus op ratoire pour conduire le travail de conception Les outils logiciels les facilit s pour la mise en uvre des mod les des langages et de la d marche Toutes les m thodes ont t
62. formant dans l entreprise qui est un outil de gestion tr s efficace Cet outil tient une place la fois int ressante et importante pour tout type d organisation en particulier les tablissements de formation professionnelle Ces tablissements sont de plus en plus g r s comme de v ritables entreprises avec tous les aspects du management comme l avait prescrit FAYOL Pr voir Organiser Diriger Contr ler Les universit s et tablissements publics sont d bord s perturb s par les gr ves et les probl mes de gestion La demande en formation est de plus en plus importante les Etats ne peuvent plus y faire face Nous assistons alors la cr ation et l ouverture de nouveaux tablissements priv s d enseignement sup rieur EPES Les tablissements de formation professionnelle et universitaire priv s ont vu le jour la suite de la crise de l enseignement sup rieur Ils sont confront s en particulier aux probl mes suivants e le d veloppement du ch mage des dipl m s la baisse de la recherche e la faible croissance de la demande globale de main d uvre hautement qualifi e e _l absence de construction n goci e des dipl mes avec le secteur priv gt le sureffectif dans les amphith tres Pour y faire face les pays de l espace CAMES ont r agi en mettant en place des politiques novatrices en stimulant le financement priv On pense que l mergence de ces
63. gique pr cis rend la pratique de la m thode difficile ma triser La comp tence m thodologique ne peut s acqu rir que par l exp rimentation intensive 8 C Rolland A Flory 1990 La conception des syst mes d information tat de l art et nouvelles perspectives 25 e L volution de la coh rence de la compl tude et de la qualit d une solution est difficile Ces griefs ont t confirm s par Olivier Gerb 2003 qui consid re que les m thodes cart siennes dites de la premi re g n ration ont les points faibles suivants e effort sur les fonctions au d triment des donn es e r gles de d composition non explicites difficile de faire de la r utilisation Evidemment les m thodes cart siennes sont souvent appliqu es des syst mes de taille moyenne car ayant peu d interactions homme machine et que les fonctionnalit s du syst me soient relativement claires l avance C FLOYD 1990 Cette critique n implique pas que les m thodes fond es sur la d composition descendante soient inutiles mais qu elles doivent tre adapt es et transform es Ce qui nous am ne aux m thodes syst miques 1 2 2 2 Les m thodes syst miques Les m thodes de conception de syst mes d information de la seconde g n ration sont enti rement centr es sur la mod lisation des donn es Au paradigme syst mique il faut lui associer une approche conceptuelle Les approches syst miques ont
64. he donn e de l tudier et d adapter en cons quence sa propre entreprise ou organisation L universit de classe mondiale est am ricaine d inspiration aussi il est compr hensible que ce soit les universit s am ricaines qui figurent en t te des palmar s mondiaux Les autres universit s se comparent donc aux leaders Harvard Standford CalTech ou M IT Elles s inspirent de leurs id es de leurs pratiques et de leurs exp riences d o une certaine uniformisation de la philosophie et de la structure des programmes universitaires Jean Bernatchez 2005 3 Certes ce syst me est consid r performant mais pose un certain nombre de probl mes au niveau des pays ou Etats qui l ont adopt Dans l espace nord am ricain l enseignement sup rieur s est graduellement d velopp sur la base d affinit s nombreuses telles que la proximit g ographique et culturelle des Universit s du Canada des Etats Unis et du Mexique les structures et les traditions d enseignement et de recherche comparables Ceci n a pas emp ch de constater qu au sein de ces pays qu il existe autant de syst mes d enseignement sup rieur que d entit s f d r es Une philosophie commune et une mobilit importante l int rieur d un m me pays auraient favoris une naturelle uniformisation de ces 41 syst mes Selon le journal The Economist du 10 septembre 2005 le syst me am ricain est le meilleur du monde
65. herchait mettre en place un SI car presqu inexistant Nous avons pu d celer les probl mes et leurs causes pour proposer des solutions auxquelles la Direction G n rale a adh r Les m thodes que nous avons utilis es dans le cadre de m moire ont t tr s simples et faciles comprendre Ce qui a permis d aboutir une grande adh sion des agents du CESAG au projet L outil de gestion qui sortira de ce projet sera tr s b n fique et la valeur ajout e se fera sentir d s son d ploiement Certes il ne faut pas oublier que construire un syst me int gr se fait 101 tape par tape Les enseignements sont maintenant int gr s au syst me d information il faut voir les autres activit s et les int grer Pour cela il est imp ratif de donner une politique claire la Commission du syst me d information du CESAG et lui imposer des r sultats selon un calendrier bien labor Il convient galement de mettre tous les acteurs li s cette activit devant leurs responsabilit s pour mettre la disposition de la Commission les informations n cessaires et temps pour son fonctionnement normal Enfin nous retenons qu un syst me d information n est jamais parfait il est toujours perfectible 102 Bibliographie Avison D E et Fitzgerald G Information Systems Development Methodologies Techniques and Tools Maidenhead Berkshire McGraw Hill Publishing Company 1995 Baldwin C K Cla
66. i Source Cigref 1998 29 Ce sch ma nous permet de comprendre que la direction de l informatique est un acteur principal du syst me d information l un ne peut pas aller sans l autre Il peut arriver que l utilisateur exprime ses besoins et propose les moyens qu il juge convenables pour les satisfaire La ma trise d uvre est la seule habilit e faire des choix techniques Elle doit viter que des d cisions techniques non justifi es ne soient prises par les utilisateurs Comme l a si bien dit Michel VOLLE expos introductif 37 2006 la ma trise d ouvrage pour tout ce qui est fonctionnel la ma trise d uvre pour toutes les dispositions techniques En fait le pilotage d un syst me d information est li d autres concepts que nous allons expliciter par la suite l alignement strat gique et la gouvernance 1 2 4 2 L alignement strat gique du syst me d information L alignement strat gique du syst me d information avec les m tiers et les fonctions supports implique d avoir une vision du mod le et avant de b n ficier en amont d une r flexion sur les mod les de gouvernance Cigref 2006 L alignement strat gique est une d marche visant faire co ncider la strat gie syst me d information sur la ou les strat gies m tiers de l entreprise Cette d marche a pour finalit de renforcer la valeur d usage du syst me d information et de fa
67. i elle contribue la valorisation sociale des usagers la durabilit des services et la justice dans la vie administrative de l institution La viabilit d un syst me d information de gestion d pend de son explicitation pour des tiers et par cons quent de la possibilit de la communiquer facilement La complexit de la technologie et le mode de sa diffusion d termineront l adh sion des acteurs ce syst me 40 Chapitre Il Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst me d information de gestion en milieu scolaire et universitaire Les tablissements de formation ont mis en place plusieurs outils pour mieux g rer leurs tudiants Les syst mes d information utilis s sont tr s vari s et n ont pas la m me efficacit dans la gestion des tudiants Nous allons tudier quelques exp riences v cues par des tablissements de formation Il 1 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Am rique du Nord Le syst me ducatif nord am ricain a une particularit d tre sous l impulsion de la mondialisation n olib rale et la pratique g n ralis e du benchmarking Le benchmarking d velopp au d but des ann es 1980 par la soci t commerciale Xerox consiste trouver au niveau mondial les entreprises ou les organisations qui r alisent de la mani re la plus performante une t c
68. iagnostic du SI existant Il s agit ici de la mise en place et de la formation de l quipe charg e de faire le diagnostic en d finissant les r les de chacun du choix des m thodes outils et techniques et enfin de l laboration d un ch ancier IIL 2 1 2 L analyse de l environnement Cette t che est d autant plus importante qu il faut bien conna tre l organisation avant de poser un diagnostic L entreprise a des processus et des syst mes d information qui les soutiennent qui eux influenc s par plusieurs facteurs tant internes qu externes Parmi ces facteurs nous pouvons noter les lois auxquelles l entreprise est soumise l attitude de ses membres par rapport au changement que pourrait apporter un nouveau syst me La bonne connaissance de l environnement interne aidera beaucoup la conception de nouveaux syst mes I11 2 1 3 La collecte d information La collecte de l information portera sur les processus et les syst mes d information qui les soustendent car il devient difficile ce moment de les dissocier dans le cadre du travail que nous voulons mener ce niveau nous nous focaliserons sur les dimensions essentielles du processus et du SI composantes performances et probl mes Il est n cessaire de cerner ces trois dimensions pour mener bien la collecte d information dans le cas du diagnostic Il est vident que c est par le biais des entrevues de l observation de l analyse de
69. illeur facturer __ Adresse Fax L 77 Email _ Personnes contacter en cas d urgence CJEmployeur Adresse E t l C Famille ou tuteur dans votre pays d origine Adresse t l B C Famille ou tuteur Dakar Adresse t l Date d inscription _ Signature de l tudiant pen none D re nn Visa de la SDSVE Visa de la Comptabilit Visa du DFC pour les virements ou paiements en esp ces pour les prises en charge 113 8 Veuillez vous pr senter la caisse 126 muni e de la liasse de re u d livr e par la Comptabilit si vous devez effectuer un paiement Hz D GHRAD Ll g ai1ej09S LJ 1ed ISIA SUOI 3199 IIAL 1U3SSId SNOA ZIMA Z gen nm aaea eaan anen eeaeee Table des mati res DTL A Ur nn tt oc nan ue els i Remerciemenis nersum aeei a aaien e a Se ne R e E AAAS made PESE A DEn Virai a ii Listes des tableaux et figures aa 3 Sommaire LEER E AE E T eesi aol Introd ctio n sde Con ee nine nd ee 2 Contexte P H ME sea nn aa E Ces Re EHe s 3 Contexte sp cifique Ancre daera eire ser e a aa ame 8 Formulation du probl me Sun nnneaumimianani ane vaenets 9 Partie 1 Cadre th orique et m thodologies 12 Introduction TN I ANR bind ess 13 Chapitre I Conception d un syst me d information 14 I 1 Le syst me d information dans un centre de formation pertinence et exigences 14 I 2 La clarific
70. inscriptions sont centralis es au niveau de la Scolarit Le syst me d information Konosys Education est constitu de 33 modules 50 11 3 Analyse des pratiques d laboration et de gestion de syst mes d information de gestion en milieu scolaire et universitaire en Afrique Nous assistons aujourd hui la construction d un espace mondial de l enseignement sup rieur qui est inspir par le Processus de Bologne L Afrique et l Asie ne pouvaient plus tre en reste il faut r agir C est ainsi qu un projet de construction d un espace d enseignement sup rieur africain a vu le jour avec l av nement du NEPAD qui malheureusement est aujourd hui sans me ni tat Une autre tentative est amorc e par le truchement de beaucoup d organisations multi lat rales UNESCO UEMOA AUF E CAMES CODESRIA etc Mais l tat d avancement des travaux de toutes ces organisations nous pousse nous poser certaines questions qu attend l Afrique pour d cider quel syst me d enseignement adopter car nos chercheurs et d cideurs sont toujours h sitants L article L enseignement sup rieur africain l aune du processus de Bologne appel contribution 31 10 2007 Journal of Higher Education in Africa en est une illustration parfaite 18 Nouveau partenariat sur le D veloppement de l Afrique 17 Organisation des Nations Unies pour l Education la science et la Cult
71. ire de celui ci un atout pour l entreprise Pour ce faire une conception nouvelle du syst me d information doit tre adopt e d passant le cadre strict de l informatique L alignement de la strat gie de l entreprise et de la strat gie du syst me d information repose sur deux conditions pr alables e compr hension et int gration de la strat gie de l entreprise par la fonction syst me d information dans son ensemble e prise en compte des contraintes et des opportunit s de l informatique dans la strat gie de l entreprise Il faut consid rer ces deux conditions comme n cessaires Le syst me d information devient un l ment de la cha ne de valeur et un actif de l entreprise C est un domaine partag par tous et transversal l entreprise Une d marche d alignement strat gique comprend les tapes suivantes e instaurer un dialogue entre les acteurs e d finir et r viser sa strat gie syst me d information e nouer des alliances e am liorer la visibilit et la pr visibilit 38 e s lectionner les projets et g rer les priorit s Cette d marche est n cessairement it rative La d marche d alignement sera d autant plus efficace qu il y aura coordination des actions anticipation des besoins et transparence entre les acteurs L enjeu fondamental de l alignement strat gique est de faire du syst me d information un atout au service de la strat gie d
72. is ans C est un peu ce qui sert de projet pilote pour passer toutes les demandes d admission sur Internetl dans un futur proche Lorsqu ils font la demande d admission sur le formulaire les candidats trouvent leur num ro de paiement ainsi qu un num ro de client du SRAQ 42 PAME Serm So BE PETE RAEE ERER e EA Te OR D a DD tape 2 paiement de la demande d admission Avec le num ro de paiement ils peuvent payer leur demande d admission 30 ou 75 pour les tudiants trangers dans n importe quelle caisse populaire ou banque Le SRAQ re oit des caisses les fichiers informatis s les informant des paiements tape 3 traitement de la demande par le SRAQ A la r ception d une demande le SRAQ envoie un accus de r ception l l ve par courriel S il n a pas de courriel qui fonctionne il ne recevra rien Le SRAQ cr e galement un acc s personnalis sur son site Web pour chaque tudiant Ce service est appel Mon Dossier L l ve sait par les informations donn es sur le guide d admission que ce service existe et que son mot de passe correspond son num ro de paiement Les demandes d admission faites sur Internet sont imprim es afin de les int grer dans le dossier papier du C gep Les demandes faites sur formulaire papier ainsi que les pi ces jointes sont galement int gr es dans le dossier papier Les documents papier utiles uniquement pour l admission sont con
73. la Comptabilit et la Caisse Pour la gestion des inscriptions nous avons besoin d un module qui permettra l automatisation des inscriptions des tudiants l dition des certificats de scolarit cartes d tudiants etc 84 Figure 18 Processus d inscription automatis Processus d inscription automatis Fiche d inscription l P Editer las bien rompio f res F documents De r3 administratia Carte d tudiant V 3 La finance Comme nous venons de le voir l inscription d un tudiant fait toujours appel la Direction Financi re et Comptable charg e d encaisser de facturer et de recouvrer les frais de formation des tudiants Nous allons nous int resser des processus d encaissement des frais de dossier ou de scolarit de la facturation des tudiants et de paiements ou remboursements V 3 1 Le processus de paiement des frais de dossier de candidature Il comprend les tapes suivantes Le candidat se pr sente la comptabilit pour demander payer un dossier La comptabilit tablit un re u avec le montant correspondant 10 000 F La comptabilit garde un feuillet du re u Le candidat se pr sente la caisse muni du re u pr num rot La caisse encaisse le montant mentionn sur le re u 85 La caisse remet le premier volet du re u paiement au candidat La caisse enregistre l encaissement dans son bro
74. la plus comp titive et la plus dynamique du monde Ce qui doit passer par l accomplissement de six actions ci apr s 45 1 l adoption d un syst me de grades acad miques lisibles et comparables incluant un suppl ment au dipl me qui am liore la transparence et facilite la reconnaissance des qualifications 2 l instauration d un syst me fond sur deux cycles le premier utile au march du travail Licence de trois ans et le second int grant une dimension recherche Mast re de deux ans 3 la g n ralisation d un syst me de transfert de cr dits comme celui utilis dans le cadre d ERASMUS le European Credits Transfer System ECTS 4 une meilleure mobilit des tudiants des professeurs et des chercheurs 5 la coop ration en mati re d assurance qualit 6 la promotion et le d veloppement de la dimension europ enne de l enseignement sup rieur C est partir de ces actions num r es que le Minist re de l enseignement sup rieur de la France a labor un sch ma strat gique des syst mes d information et des t l communications S3IT 2008 Un vrai outil de travail pour le SI du syst me LMD a Le dossier de l tudiant La mise en uvre du syst me LMD fait du suivi du cursus de l tudiant le partage de son dossier social et la mesure de son insertion professionnelle une priorit Le dossier de l tudiant comporte toutes les informations le concernant
75. la sp culation e le prototypage e l exp rimentation pilote e ja simulation e la r utilisation L2 1 1 La sp culation La conception se fait sur la base de l interpr tation des besoins des utilisateurs pour pr dire des r sultats par le raisonnement pur ou induction et sans validation exp rimentale Cette m thode est souvent assimil e au papier crayon Cette approche a certes des avantages qui sont la facilit mettre en uvre e l utilisation courante le temps de conception r duit Ses inconv nients sont le manque de r alisme les discours discordants entre utilisateurs et concepteurs les sources de conflits inutiles 1 2 1 2 Le prototypage Il est souvent arriv que les expressions des besoins des utilisateurs soient tellement illusoires que les concepteurs eux m mes proposent le cahier des charges De plus en plus nous assistons des propositions de prototypes ou maquettes pour ainsi susciter les utilisateurs mieux cerner leurs besoins c est l approche par prototypage Il est d fini comme la conception d un syst me partir de l exp rimentation d une solution provisoire L approche par prototypage a pour avantages de e permettre de tester des id es nouvelles Philippe DUMAS Gilles CHARBONNEL La m thode OSSAD Tome 1 P 87 19 e affiner l analyse des besoins e impliquer les utilisateurs dans la conception e viter les situ
76. lace tout en justifiant notre choix par rapport l existant V 1 La candidature aux concours d entr e Le processus de la candidature pour entrer au CESAG comprend les tapes suivantes e Le candidat d pose un dossier de candidature la SDSVE e Le dossier est tudi par le jury de s lection e Le dossier est pr s lectionn ou rejet e La SDSVE publie la liste des candidats autoris s concourir e Les candidats pr s lectionn s subissent les examens Le jury de s lection proclame les r sultats La SDSVE publie les r sultats e La SDSVE notifie aux candidats leur admission Le tableau 4 et la figure 16 illustrent le processus d taill de candidature au concours d entr e au CESAG 77 Tableau 4 L admission au CESAG sur tude de dossier Admission sur tude de dossier 1 Candidat Classique Via Internet retirer le dossier de candidature e t l charger le formulaire de candidature e payer les frais de dossier e remplir le formulaire de candidature e d poser le dossier de candidature au e payer les frais de dossier dans son centre Centre d examen avec les pi ces d examen requises dipl me tat civil photo e envoyer par courrier postal ou rapide au CESAG les pi ces justificatives en plus des copies des dipl mes 2 SDSVE Classique Via Internet e valider le formulaire de candidature e saisir le
77. le S3IT 2008 le suivi du dossier tudiant dans les cursus LMD y compris les changes internationaux et les stages n cessite en premier lieu de permettre des changes entre l ensemble des intervenants du domaine de la scolarit et de la vie tudiante tablissements tablissements partenaires administration centrale etc Ces changes doivent permettre la visibilit de l offre de formation LMD des tablissements au niveau local national et international par exemple par la mise en place de portails aux diff rents niveaux le suivi des parcours de formation LMD y compris doctorants 48 la mobilit tudiante entre les tablissements d enseignement sup rieur fran ais et trangers par le suivi de cette mobilit et le transfert de cr dits europ ens une circulation de l information au sein du syst me d information de l tablissement pour faciliter le pilotage du domaine scolarit en relation avec les autres domaines un dialogue de gestion entre les tablissements et le minist re qui s appuie sur un syst me partag de suivi statistique des tudiants Les tablissements d enseignement sup rieur soumettent valuation p riodique nationale leur offre de formation Le renforcement des changes entre les syst mes d information g rant les proc dures d habilitation des cursus LMD et ceux assurant le suivi des tudiants constitue une premi re priorit pour l appr ciation des parcours
78. leurs racines dans la th orie des syst mes Le syst me d information est per u ici comme un art fact qui fournit une repr sentation des faits pr sents et pass s de la vie de l organisation c est dire des faits survenus dans son syst me op rant Il est une m moire collective des acteurs de l organisation qui se souvient de l embauche des employ s des commandes re ues du nombre d tudiants des courriers r pondus etc Le Syst me d information est un mod le dans le sens d image abstraite de la r alit organisationnelle qui apporte aux acteurs et d cideurs la connaissance dont ils ont besoin pour agir et d cider Il m morise sous forme de C Floyd 1986 A Comparative Evaluation of System development methods in Olle 1986 26 donn es l image des faits pertinents et amplifie ainsi les capacit s individuelles de m morisation des acteurs de l organisation C Rolland A Flory 1990 Pour ce qui est de l approche conceptuelle le processus de conception de Syst me d information est assimil un processus de mod lisation qui naturellement s est centr sur la mod lisation des donn es C est ainsi que Roman HUOT 2002 en retra ant l histoire des m thodes de conception de syst me d informations a consid r que les m thodes syst miques celles de la deuxi me g n ration ont vu le jour en 1980 Elles taient ax es sur la r solution d un probl me bien p
79. lit A cette fin le Centre met notamment en uvre les activit s de formation de consultation et de recherche IV 2 3 Activit s L activit du CESAG couvre par cons quent la formation la consultation et la recherche IV 2 3 1 Les formations La gamme de formations actuellement dispens e par le CESAG comprend des formations dipl mantes en cours du jour et du soir des formations qualifiantes enseignement des langues trang res des s minaires de perfectionnement 1V 2 3 2 La consultation La consultation a pour objectifs d accro tre la notori t du Centre dans le milieu professionnel contribuer son autofinancement et adapter de fa on permanente ses programmes et mat riels p dagogiques aux besoins des clients 1V 2 3 2 La recherche Elle est insignifiante du fait du nombre r duit de professeurs chercheurs et la charge de travail des enseignants permanents IV 3 Organisation La structure administrative du CESAG se pr sente comme suit une Direction G n rale deux 02 directions d appui quatre 04 instituts et un projet autonome 71 La Direction g n rale La Direction g n rale organise et dirige les activit s du Centre Elle assure ainsi la gestion courante du Centre dans le respect des statuts et r glements r gissant son activit Elle soumet l approbation du conseil d administration le programme et le rapport annuels d activit s La Direction G n rale met en uvre les rela
80. ment mais aussi de notre fa on de proc der Aujourd hui les technologies de l information et de la communication sont incontournables dans la r alisation et la construction de syst mes p rennes Toutes les organisations sont int ress es par cette nouvelle donne de l conomie qui coup s r est devenue un avantage concurrentiel L av nement de l Internet et ses applications a permis de grandes entreprises multinationales de se d velopper l chelle mondiale et de gagner des parts de march consid rables Ce succ s passe par une bonne ma trise du syst me d information La conception de syst mes d information fiables et performants rev t une importance capitale C est l objet de la pr sente tude r alis e dans le cadre de notre m moire de fin de formation Nous tenterons de contribuer la conception d un syst me d information de gestion de la scolarit au Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion qui est un tablissement public international Notre tude s articulera autour d une pr sentation dans une premi re partie d une revue de litt rature suivie d une m thodologie de collecte de donn es Elle sera cl tur e par une deuxi me partie ax e sur la pr sentation du CESAG et des cahiers des charges du syst me d information de gestion de la scolarit Contexte g n ral OM si cle C est l re de la soci t La r volution industrielle a m
81. monde Ce qui la limite pourrait tre dangereux pour l avenir de l enseignement sup rieur en Afrique car il n existe aucun organe de contr le et d harmonisation de ces r formes Ce sont de petits groupes d tablissements qui se forment ou s organisent en r seau mais jusqu au moment o l on parle rien est encore arr t de fa on consensuelle et d finitive C est la copie d un syst me et son adaptation pose des probl mes C est dans cette perspective que des EPES comme le groupe IAM ont essay de mettre en place un syst me d information lui permettant de g rer ses tudiants l aide d un logiciel d velopp au S n gal Netfirdaws www iam sn netfirdaws qui au d part s est inspir du syst me canadien C est une r volution de voir un tel produit d velopp en Afrique qui prend d j en compte la r forme LMD Les tudiants s inscrivent en ligne et m me leurs parents ou bailleurs ont acc s des espaces sur le site Web pour un suivi des enseignements En fait tous les syst mes ducatifs pr sent s jusqu ici convergent vers la construction d un espace mondial de l enseignement sup rieur Il devient ais de mettre en place un syst me d information ouvert et fiable Cependant il est n cessaire de tenir compte de certaines r alit s dans la d marche la gouvernance et le pilotage de ce syst me de gestion des tudiants qui peut diff rer d une zone une aut
82. morisation et de contr le et qui transforme les donn es en produits informatifs J O Brien 1995 16 Cette d finition de J O Brien est tr s int ressante car nous confortant dans la dualit donn e information la donn e est une mati re premi re ou brute pour l information Elle est aussi r ductrice car limitant le syst me d information l informatique ce qui est loin d tre le cas actuellement au sein des organisations Les d finitions suivantes nous difieront l dessus Le syst me d information repr sente l ensemble des l ments participant la gestion au stockage au traitement au transport et la diffusion de l information au sein d une organisation Il est la fois une composante technique et une logique d organisation Wikip dia 2001 Un syst me d information est l ensemble des moyens qui permettent de collecter m moriser traiter distribuer et utiliser les informations dont l tablissement a besoin dans un domaine d activit consid r Ren Pelfresne 2003 Cette d finition a t compl t e par Jean de GRAEVE et Jean POTIER 2001 le Syst me d Information est constitu par l ensemble des moyens et des proc dures permettant de collecter de m moriser de traiter de distribuer et de consulter les informations dont l entreprise a besoin pour ses diff rents domaines d activit s il se compose du Syst me d Information Op rationnel correspo
83. ndant au fonctionnement actuel de l entreprise et des volutions du Syst me d Information Op rationnel correspondant aux changements en cours ou pr vus A partir de ces deux contributions le syst me d information peut tre consid r comme une fonction de gestion dans l entreprise Il peut tre sollicit de fa on transversale dans toutes les divisions de l entreprise Le syst me d information est un ensemble structur de ressources humaines mat rielles et logicielles de donn es et de r seaux de communication qui recueille transforme et diffuse l information au sein d une organisation Le syst me d information utilise plusieurs ressources le mat riel machines et supports le logiciel programmes et proc dures le personnel informaticiens et 17 utilisateurs afin d accomplir des activit s d entr e de traitement de sortie de stockage et de contr le qui convertissent les donn es en produits informatifs D abord on rassemble les donn es et on les convertit en un format acceptable pour le traitement entr e Par la suite on manipule les donn es et on les convertit en information traitement on les emmagasine en vue d une utilisation ult rieure stockage ou on les communique l utilisateur final extraction selon des proc dures de traitement contr le O Brien 2001 Le syst me d information est le v hicule de la communication dans l entreprise
84. notes e Relev des notes pour visa PY des notes de m moire ou de rapport e Dossier des tudiants pour le jury de Relev de notes vis validation SDSPAP e Calendrier acad mique e Planning d allocation des salles e Emploi du temps e Fiche de suivi des retards et absences e Liste des volumes horaires des mati res e Fiche de suivi des r alisations des cours par programmes e Questionnaire d valuation des Liste des retards et absences enseignants e Niveaux d ex cution des enseignements e Cahier de texte e Informations pour la pr paration des e Pr paration des conseils de programmes conseils de programmes 75 Les changes entre la DEVE et la DFC se font en termes d informations cf tableau 2 Tableau 2 Les flux d informations entre la DEVE et la DFC Les flux d informations entre la DEVE et la DFC DEVE la DFC DFC la DEVE SDSVE e Liste des admis e Fiche d inscription de l tudiant vis e e Fiche d inscription de e Fiche de renseignements sur l tudiant pour visa l tudiant pour visa e Prise en charge de l tudiant pour visa Extrait de compte de l tudiant Les flux d informations entre la DFC et les Instituts sont illustr s dans le tableau 3 Tableau 3 Les flux d informations entre la DFC et les Instituts Les flux d informations entre la DFC et les Instituts Instituts la DFC e Contrats des enseignants DFC aux I
85. ns Le sch ma directeur du CESAG 2001 2003 112 amp Veuillez vous pr senter la Comptabilit 124 muni e du re u et retourner la Scolarit avec la fiche vis e par la Comptabilit 1 Veuillez bien remplir cette fiche la Scolarit 107 110 105 101 Annexe 3 Fiche d inscription Institut Promotion Programme Sp cialit C Licence _ Master DESS C Cours du jour C Cours du soir C Cours en alternance Enseignement distance NOM PRENOM S NE E LE I o je l Sexe OM QF jour mois ann e NATIONALITE EAE qe Dre SITUATION MATRIMONIALE C libataire Mari e 0 Divorc e Veuf ve ADRESSE PERSONNELLE DANS VOTRE PAYS D ORIGINE TELEPHONE DANS VOTRE PAYS D ORIGINE _ ADRESSE PERSONNELLE A DAKAR TELEPHONE A DAKAR EMAIL BAC s rie Dernier dipl me obtenu T Etablissement FORMATION DE BASE DOMINANTE Gestionnaire ClEnseignant ClM decin L uriste Cling nieur lSociologue lEconomiste Scientifique CCommunicateur Administrateur ClAutres pr ciser NOM ET ADRESSE DU DERNIER EMPLOYEUR SECTEUR D ACTIVITE Priv Para public ClPublic FONCTION OCCUPEE ANCIENNETE ANNEE D ADMISSION AU CESAG Votre formation est prise en charge par votre employeur joindre une lettre de prise en charge vous m me un tiers joindre une lettre de prise en charge Nom ou raison sociale du ba
86. nstituent une m thode c est dire des fragments de leurs m ta mod les Ces descriptions constituent les blocs de construction r utilisables qui permettent de d finir des m thodes de mani re modulaire Les m thodes ainsi construites sont elles m mes modulaires et peuvent tre modifi es et tendues facilement 1 2 3 2 La modularit Certains auteurs tels que Baldwin et Clark 1997 2000 ou Sanchez et Mahoney 1996 ont avanc l hypoth se que la modularisation des syst mes et de l organisation projet repr sente une m thode efficace qui permet de ma triser la complexit de l objet concevoir en la circonvenant des sous ensembles sous syst mes ou modules tout en simplifiant l architecture constitu e de modules bien d limit s il est ainsi possible de limiter les boucles de re conception Nightingale 2000 comme l explique Simon 1962 avec son c l bre paradoxe de Tempus et Hora L utilisation de modules standardis s permet m me de r aliser des conomies d chelle en autorisant leur r utilisation au sein de plusieurs syst mes A partir de ce principe la m thode peut tre vue comme une collection de composants r utilisables 31 1 2 3 3 La flexibilt Ce principe est au c ur de l ing nierie des m thodes car comme il est dit plus haut c est l adaptation de plusieurs m thodes C est ainsi que Harmsen Brinkkemper et Oei 1994 ont propos un spectre des m thodes d ing ni
87. nstituts Situations de paiement des enseignants e Demandes de paiement des enseignants e Situations de paiement des tudiants Tous ces documents sont labor s de fa on semi automatis e Le mode de fonctionnement actuel affiche des insuffisances notamment au niveau e de la recherche manuelle de l information qui est sur support papier e de la gestion des dossiers de candidature e de l laboration des tats de synth se e du suivi des anciens tudiants e de l outil pour la confection des cartes d tudiants e de l existence d un syst me global de l information e de la ma trise de l assiduit des tudiants e du suivi des paiements des tudiants ou s minaristes 76 Chapitre V Cahier des charges pour la conception et l implantation d un portail intranet pour la gestion des tudiants Le syst me mettre en place pour la gestion des tudiants sera soutenu par les processus d j en vigueur Car pour viter de changer compl tement le comportement des utilisateurs il est souhaitable pour une application de coller l organisation et non le contraire C est la raison pour laquelle nous allons pr senter successivement les diff rents processus pour mieux faire comprendre l organisation Ceci ne veut pas dire que nous n allons pas am liorer les pratiques quand il le faut Nous essayerons ici d tablir la liste des modules que nous souhaiterions mettre en p
88. nts recevoir les diff rentes relances de paiement consulter l assiduit des tudiants aux cours consulter les dur es de formation imprimer au format PDF au besoin les r sultats des tudiants 92 e imprimer les diff rentes factures d acquittement e consulter et imprimer les m moires de fin de formation des tudiants e participer au forum des bailleurs VI 5 Les employeurs A travers leur module les employeurs des tudiants pourront e consulter les r sultats finaux des tudiants inscrits au CESAG sur autorisation de l tudiant si l employeur n est pas le bailleur e consulter les emplois du temps e consulter les diff rentes activit s du CESAG e s inscrire aux s minaires de formation du CESAG e proposer des th mes de recherche pour les tudiants stagiaires e participer au forum des employeurs VI 6 Les professeurs Les professeurs pourront e mettre jour les syllabi de cours e saisir les notes des valuations des tudiants e enregistrer et suivre leurs margements la suite de chaque cours en sp cifiant la liste des absences et retards e consulter leur emploi du temps e demander le mat riel p dagogique dont ils ont besoin e consulter leurs horaires de cours enseign s pour un ventuel contr le des montants que le syst me leur a d compt s e consulter leurs d comptes avec possibilit de voir ceux qui sont sold s ceux partiellement sold
89. nu Yaound du 1 au 3 mars 2005 de se lancer dans la r forme LMD Cette r forme va compl tement bouleverser la gestion des tablissements de formation professionnelle et universitaire Une harmonisation des programmes est n cessaire car il s agit ici d un syst me de capitalisation de cr dits Le calendrier scolaire n est plus con u en termes d ann es mais en semestres Ce changement est une rupture totale avec le pass alors il faudra pour les tablissements un syst me d changes d exp riences sinon il serait tr s difficile d arriver une g n ralisation Lors du s minaire de Yaound AUDEOUD 2005 consid re que la r forme est une tape n cessaire pour la survie des universit s dans cette p riode d licate de mondialisation et de concurrence La sensibilisation permet une mobilisation entre les universit s la reconnaissance la prise en compte de ce que font les autres et l harmonisation pour faire les m mes choses Pour la pertinence de la r forme c est la mobilit des tudiants et des professeurs qui est brandie Elle est bien possible dans un m me pays si les tablissements respectent les r gles dict es par l Etat dipl me reconnu et homologu ou par le CAMES quivalence et reconnaissance Les universit s et institutions de formation sont oblig es d harmoniser leurs cours en respectant les cr dits n cessaires pour obtenir un grade La mobilit des tudiants entre les pay
90. oduits similaires dans le monde En faisant la synth se de nos d couvertes nous nous sommes rendu compte qu il tait n cessaire de lancer un appel d offres et nous nous sommes propos de faire un cahier des charges Nous avons pr par un projet de sp cifications des besoins que nous avons envoy tous les responsables d Institut ou de Direction Ce document nous est revenu avec leurs observations et amendements Les consultations et les interviews des utilisateurs ont permis de prendre en compte des besoins qui jusqu ici n taient pas encore voqu s au cours des r unions Ceci nous a amen 56 reconsid rer notre approche qui est maintenant plus orient e vers les op rationnels que vers les d cideurs Une r union de synth se et de validation a permis de finaliser le document qui servira de base l appel d offres lll 2 Le processus de conception d un SI Le processus de conception de nouveau produit ob it une certaine d marche valid e par le maximum de futurs acteurs et ou utilisateurs Plus d une quinzaine de m thodes ont t recens es par Avison et Fitzgerald D autres comme Merise propos es par P T Quang et C Chartier Kastler ou ETHICS nous ont parues un peu d pass es par rapport l volution des syst mes actuels C est ainsi que nous avons choisi le mod le propos par S Rivard et J Talbot qui notre avis est mieux adapt notre contexte Comme nous l a
91. ogie de pointe Il est n cessaire de comprendre que c est le syst me d information qui d finit les besoins en ressources n cessaires et suffisantes mais pas le contraire Le management est l art de conduire les hommes vers des objectifs avec des moyens humains et techniques Forrester 1990 consid re le management comme le processus de transformation de l information en action un processus qui est quivalent la prise d cision Selon Kast et Rosenzweig 1970 6 le management inclut la coordination des ressources en hommes et en mat riel pour atteindre un objectif C est ce qui nous am ne aux quatre l ments de base qui peuvent tre identifi s comme suit e objectifs e hommes e techniques organisation Figure n 1 Le management selon Kast et Rosenzweig 1970 6 Hommes Techniques Organisation Source nous m me partir de Kast et Rosenzweig 1970 6 Dans toute organisation tous les niveaux chaque manager a besoin d informations pour planifier organiser diriger et contr ler Son efficacit est troitement li e la quantit et la qualit des informations qu il re oit Il est donc n cessaire de comprendre le r le important que joue l information dans l organisation car elle permet tout agent qui en a besoin ou la d sire de mieux assumer sa fonction D o la n cessit de la mise en place d un syst me d information fiable et per
92. on de composants de domaine dans la conception des syst mes d information Th se de doctorat en informatique Universit de Paris I 1998 Simon H A 1962 The Architecture of Complexity Proceedings of the American Philosophical Society vol 106 pp 467 482 Smolander K Lyytinen K Tahvanainen V et Marttiin P 1991 MetaEdit A Flexible Graphical Environment for Methodology Modelling Proceedings of the 3rd International Conference in Advanced Information Systems Engineering CAISE 91 Trondheim Norv ge May Visser W Etudes en ergonomie cognitive sur la r utilisation en conception quelles le ons pour le raisonnement partir de cas Revue d intelligence artificielle vol 13 1999 p 129 154 Waterfield Charles Ramsing Nick 1986 Syst mes d information de gestion pour les institutions de microfinance Guide pratique X Castellani M thode g n rale d analyse des applications informatiques Paris Masson 1987 p 132 134 105 Annexes 106 EE et te D Re les LE en va te Annexe 1 Organigramme du CESAG ee mm DIRECTION GENERALE SECRETARIAT CERERAL Source CESAG 2008 107 Annexe 2 Comit de pilotage Le Directeur G n ral DG st Dakar le 24 mai 2007 NOTE DE SERVICE N Dans le cadre de la mise en oeuvre du logiciel de gestion des enseignements du CESAG les personnes dont les noms suivent sont nomm es membres du Comit
93. osants sont e la mise en uvre syst matique de l approche par r utilisation s la possibilit d adapter le processus de d veloppement plusieurs contextes e la coh rence dans la conduite du processus et de la recherche de solutions Une m thode de mod lisation doit permettre d obtenir un ensemble de sp cifications d un syst me r pondant aux sept qualit s ci dessus d apr s Phillipe Larvet 2001 e conforme au besoin r el de l utilisateur e lisible e validable volutive e coh rente e compl te e r alisable Et ceci par opposition aux sept p ch s capitaux de la sp cification textuelle d apr s Bertrand Meyer e texte inutile e partie du probl me non trait e e ambigu t dans les explications e contradiction entre diff rents l ments du texte e sursp cification trop de pr cision ou hors cadre d une solution possible e r f rence non d finie ou d finie plus tard e solution non validable Ce qu il faudra retenir selon Roman HUOT 2002 est que les m thodes servent d crire un syst me d information ou solution un besoin dans un langage ou notation plus ou moins abstrait mais paradoxalement compr hensible de toute personne et de part son haut niveau d abstraction applicables tout syst me 28 informatique Ces m thodes existent pour r soudre un probl me de syst me d informations et non un probl me de syst me informati
94. owards a formal definition of methods Requirements Engineering Journal Vol 2 1 Punter H T et Lemmen K 1996 The MEMA model Towards a new approach for Method Engineering Information and Software Technology Vol 38 4 pp 295 305 Quang P T et Chartier Kastler C Meise appliqu e Paris Eyrolles 1989 Reynaud C Tort F Diriger la r utilisation de composants l aide d ontologies Ing nierie des connaissances volutions r centes et nouveaux d fis Edition Eyrolles 2000 p 59 74 Rivard Suzanne et Talbot Jean Le d veloppement des syst mes d information 2001 Rolland Colette L ing nierie des m thodes une visite guid e e TI la revue lectronique des technologies d information Premier Num ro 25 octobre 2005 http www revue eti netdocument php id 726 Russo et al 1995 The Use and Adaptation of System Development Methodologies Proceeding of the International Resources Management Association IRMA Conference Atlanta 104 Sanchez R et J T Mahoney 1996 Modularity Flexibility and Knowledge Management in Product and Organization Design Strategic Management Journal vol 17 Winter Special Issue pp 63 76 Seligmann P S Wijers G M et Sol H G 1989 Analyzing the Structure of I S methodologies An Alternative Approach Proceeding of the lst Dutch Conference on Information Systems The Netherlands Semmak F R utilisati
95. p cifications tir es de la collecte d information avec les futurs utilisateurs Ce sera une liste non exhaustive mais qui prendra en compte le maximum de besoins exprim s et r alisables dans le cadre d un SI IIL 2 3 2 La recherche des fournisseurs potentiels Avec l approche de demander tous les utilisateurs de nous communiquer les noms des entreprises sp cialis es dans le d veloppement de SI les demandes de d mo et la consultation de sites web et des magazines nous trouvons un bon nombre de fournisseurs et faire un tri pour s lectionner III 2 3 3 La r daction du cahier des charges et l appel d offre Dans le cas de notre tude nous r digerons un cahier des charges et lancer l appel d offre aux fournisseurs que nous aurons s lectionn s Le cahier des charges est un document qui pr sente de fa on formelle les sp cifications dont devra tenir compte le progiciel l ch ancier et le budget respecter certains crit res de s lection etc Pour ce qui concerne l valuation des offres de service et la s lection nous ne le traiterons pas dans ce m moire car nous nous limiterons la r daction du cahier des charges I11 3 Comment est faite la collecte des donn es La collecte des donn es se fera pour mieux comprendre les processus et le syst me d information qui le soutient C est ainsi que nous proc derons des interviews avec les principaux acteurs et futurs utilisateurs directe
96. pas l aspect projet mais couvre l ensemble de la vie du syst me d information notamment en amont et en aval des projets Cela suppose de clarifier les r les des diff rents acteurs de cette fonction l int rieur m me de chaque m tier et au del d un projet pr cis et limit dans le temps clarifier enfin la r partition de la responsabilit de la gestion du syst me d information dans l entreprise notamment entre les directions m tiers et la direction informatique Dans quels domaines la direction informatique doit elle tre support pilote ou partenaire vis vis des m tiers Piloter c est reconna tre que la performance est atteinte travers ce que l on fait et la mani re dont on le fait Ce qui fait de la gestion des activit s la base du pilotage et de la recherche de la performance par l entreprise La gestion d un syst me d information d entreprise se structure autour de trois processus majeurs ind pendants de l organisation Figure n 8 Les composants du pilotage PILOTAGE DU SYSTEME Lu D INFORMATION PILOTAGE DES PROJETS PILOTAGE DU FONCTIONNEMENT Trois composants du pilotage Source Rapport Cigref 1998 13 Ces processus identifi s nous ram nent d finir les acteurs de la ma trise d ouvrage et de la ma trise d uvre car sans cette distinction le pilotage global du syst me d information est vou l chec 35 Dans l entrep
97. que Pourtant de nombreuses enqu tes ont montr que les m thodes ne sont jamais appliqu es comme elles le devraient et qu elles doivent s adapter aux conditions de leur usage Wijers 1990 Russo 1995 De plus toutes ces m thodes ont des limites car un nombre de projets informatiques a chou cause d un mauvais choix de m thodes de conception Celles ci ne sont pas souvent adapt es la r alit de l entreprise et de son syst me d information Une tude de Ernst amp Young effectu e sur une p riode de trois ans sur la pratique des m thodes dans des projets de d veloppement de SI a montr qu une large partie des 35 des efforts gaspill s dans les projets de SI est due l utilisation de m thodes standards de d veloppement Parkinson 1996 est all dans le m me sens Les m thodologies ont tendance traiter tous les projets comme si c tait les m mes alors qu en pratique chaque projet est diff rent Face toutes ces tergiversations et probl mes de choix suscit s par la recherche de la meilleure m thode et la complexit croissante des syst mes d information un nouveau concept a vu le jour l ing nierie des m thodes I 2 4 L ing nierie des m thodes de conception d un syst me d information Brinkkemper 1996 d finit l ing nierie des m thodes comme une discipline de conceptualisation de construction et d adaptation de m thodes de techniques et d ou
98. r cis par exemple m thodes pour la conception de proc dures conversationnelles d un syst me temps r el m thode de conception d une base de donn es etc Puis dans les ann es1980 l approche fut syst mique c est dire que d une part il y a mod lisation des donn es et d autre part mod lisation des traitements nous retrouvons ce type d approche avec les m thodes Merise Axial etc Dans le d but des ann es 1990 il y eut une prise de conscience sur l importance d avoir une m thode sp cifiquement objet et alors la question fut la suivante comment structurer un syst me sans centrer l analyse uniquement sur les donn es ou uniquement sur les traitements mais sur les deux partir de cette prise de conscience plus de cinquante m thodes objet sont apparues Booch OMT OOM OOSE etc mais aucune ne s est r ellement impos e UML Unified Modeling Language fut en fait cr principalement de la fusion des m thodes objet dominantes OMT Booch et OOSE Les nouvelles m thodes de conception se d finissent comme un ensemble de composants associ s un graphe de r utilisation Guzelian 2005 Les composants sont de deux types 1 Rolland A Flory 1990 La conception des syst mes d information tat de l art et nouvelles perspectives 27 e les composants produit e les composants processus Les avantages de ces nouvelles m thodes orient es comp
99. rbaux de d lib rations la publication des r sultats des d lib rations du jury du concours V 2 L inscription La gestion de l inscription est une activit qui para t tr s complexe au niveau du CESAG Cette perception de complexit est due souvent un probl me de communication et de coordination au niveau des acteurs impliqu s dans ce syst me Un module de gestion de l inscription apporterait une valeur ajout e dans le temps d attente des remises de documents dans la facturation des prestations et surtout dans l exhaustivit des statistiques dans les effectifs pr sents en classe Nous allons pr senter les processus d inscription pour une meilleure compr hension et une analyse optimale 81 Tableau 5 Le processus d inscription Inscription 1 Etudiant Actions Lieu e remplir la fiche d inscription e Scolarit e payer les frais de formation e Caisse e d poser une attestation de couverture m dicale e Scolarit 2 SDSVE v rifier la situation p dagogique de l tudiant e v rifier la situation financi re de l tudiant e valider l inscription e diter le certificat de scolarit e diter la carte de l tudiant e diter les listes d margement 3 DFC e a NEE A E Le DFC SDC v rifier la situation p dagogique de l tudiant v rifier la situation p dagogique de e r ceptionner les prises en charges l
100. re d un tablissement un autre Il faut concevoir un syst me d information en tenant compte des sp cificit s et des r gles de gestion de chaque tablissement D o l int r t d un cahier des charges qui portera la fois des aspects d ing nierie de projets d ing nierie sociale et de syst me d information de gestion 54 Chapitre III M thodologie de l tude Dans le cadre de ce m moire nous avons essay de suivre une d marche tendant collecter le maximum d informations tout en impliquant la quasi totalit des directions du Centre C est ainsi que nous avons labor un plan de travail que nous allons pr senter comme suit e Les principales tapes de notre travail e Le diagnostic du SI existant Le processus de conception d un ST La collecte des donn es 111 1 Les principales tapes de notre travail Tableau 1 Les tapes de la conception d un syst me d information Cr ation de la commission du SI Phase 2 Sp cifications des besoins Phase 3 Choix du SI mettre en uvre Phase 4 Faire l tat des produits disponibles sur le march sur place Les tapes de la conception d un syst me d information Phase 5 R diger un cahier des charges et lancer l appel d offres 55 Le besoin de la mise en place d un SI est devenu indispensable du fait de l augmentation des
101. re et acad mique des tudiants suivre les r sultats des tudiants 90 Chapitre VI Cahier des charges pour la conception et l implantation d un portail extranet Aujourd hui la gestion des tablissements ne peut plus se faire sans penser aux clients ext rieurs tudiants professeurs parents bailleurs ou employeurs C est ainsi que nous avons besoin d un outil de communication fort avec tous les acteurs de la formation au CESAG Il s agit de mettre en place des modules qui int greront tous les aspects et besoins relatifs aux tudiants aux anciens tudiants aux parents aux bailleurs aux employeurs mais aussi aux professeurs et la communication qui est un module transversal avant de terminer avec les caract ristiques fondamentales de base pour le fonctionnement du syst me VI 1 Les tudiants Les tudiants auront un module qui leur permettra de e consulter leur bulletin de notes e consulter les cr dits valid s ou non valid s e consulter l emploi du temps de la semaine avec les ventuels changements e consulter leur portefeuille de cours e consulter les syllabi de cours des professeurs e consulter les frais de formation pay s e consulter les frais de formation non pay s e consulter les relances de paiement mises par la DFC e consulter les observations de leur chef de D partement e consulter leur dossier d assiduit absences retards suspensions de cours e poster
102. rise on peut citer six principaux acteurs de la ma trise d ouvrage e le directeur g n ral et les directeurs m tiers e le directeur de projet m tier e utilisateur e le responsable du syst me d information du m tier e le chef de projet e le gestionnaire d applications Figure n 9 Les parties prenantes du syst me d information Source Cigref 1998 25 La ma trise d ouvrage joue un r le pr minent dans la ma trise du syst me d information et de la conduite au changement qui est induite par sa mise en valeur Elle est donneuse d ordre la ma trise d uvre Informatique qui est comme un prestataire 36 Les missions et les responsabilit s de ces six acteurs cl s de la ma trise d ouvrage ne peuvent tre d l gu es la ma trise d uvre m me s il existe des cas o activit s et comp tences se retrouvent tant t dans la ma trise d ouvrage tant t dans la ma trise d uvre ou dans les deux en m me temps La ma trise d uvre est en quelque sorte le support ou conseiller de la ma trise d ouvrage Elle est responsable de la construction de l exploitation et de l entretien du syst me informatique Les directions de l informatique jouent un r le d assistance de conseils et de veille technologique Figure n 10 La r partition des t ches METIERS DE L ENTREPRISE DIRECTION INFORMATIQUE Ma trise d ouvrage Ma trise d uvre
103. riuaomnatonmuncaaienednliseonee 68 IV A Mistong e eias reser iaeiae nise Aae EA ES EREA ASAAN ELENA ETNE i 68 IV 2 Missions et objectifs sesenseesssssersiseressreserseenvsnseeruentenssstsrensensese Pera 70 IV 3 Organisation nette EE N ERT 71 Chapitre V Cahier des charges pour la conception et implantation d un portail intranet pour la gestion des tudiants sn ui Aisne NN avr despesot ten 77 V 1 La candidature aux concours d entr e inutiles 77 V 2 L inscription s s s nsc dans era Te een NS mu en dre 81 Ne La finante lement SN NES 85 VA LCa p dago pienine iar cen ner E T e R TR res 88 Chapitre VI Cahier des charges pour la conception et implantation d un portail extranet P E E E E AAE RE E EE E A A VE t Les tudiants nisin a ne enr eE eaa Erina aie 91 VI 2 Les anciens tudiants n e e A E N T 92 VI 3 Les parents sisi und a a a use e 92 VI4 Les bailleurs s attire Ares nee EE N 92 VIS Les employeurs aese nn pie non da ns 93 114 NEO LES professe Seron Sue D Ste na tnt 93 VL7 La S curit 0 0 EE E EEE A ES A TE 94 VI 8 L espace Support ORARE nn ns mine ne ns ons 95 N La Listedes CMS nn nel en ea ti ane 95 VI 10 Les caract ristiques techniques du syst me mettre en place 96 Chapitre VII Les recommandations astro dense 98 VIRE Le Comit de pilotage du Projet de Slt nas ne nt ttes 98 VII 2 L laboration du planning de r cettage 5 irimuitnanteieniehihnne 98 VIL3 La formation des
104. rk K 2000 Design Rules vol 1 The Power of Modularity MIT press Cambridge Bernatchez Jean revue la Chronique des Am riques N 28 septembre 2005 p 3 Booch G 1991 Object Oriented Analysis and Design with Application Benjamin Cummings Brinkkemper S 1996 Method Engineering Engineering of Information Systems Development Methods and Tools Information and Software Technology Vol 38 4 pp 275 280 Brinkkemper S 1996 Method Engineering Engineering of Information Systems Development Methods and Tools Information and Software Technology Vol 38 4 pp 275 280 Coulange B R utilisation du logiciel Collection M thodes Informatiques et Pratique des Syst mes Paris Editions Masson 1996 Demourioux Maurice M Une m thodologie d aide la conception de syst mes d information fond e sur la r utilisation Th se de doctorat en informatique Universit de Paris Dauphine 1998 DUMAS Phillipe Charbonnel Gilles 1990 La m thode OSSAD pour ma triser les technologies de l information Tome 1 Gerb Olivier 2003 cours HEC Montr al Harmsen A F 1997 Situational Method Engineering Moret Ernst amp Young Harmsen A F Brinkkemper S et Oei H 1994 Situational Method Engineering for Information System Projects dans Olle T W and A A Verrijn Stuart Eds Methods and Associated Tools for the Information Systems Life Cycle Proceedings of the IFIP WG8
105. roger la r gle de division diviser pour r gner Le cahier des charges que nous allons pr senter est d coup en trois parties pour mieux r soudre un probl me il faut le d composer DESCARTES C est ainsi que nous ferons une introduction g n rale qui comportera la premi re partie de l laboration d un cahier des charges pour ne pas la r p ter dans chaque chapitre il s agit de la pr sentation du CESAG ensuite de l laboration des cahiers des charges pour la conception et l implantation d un portail intranet pour la gestion des tudiants pour la conception et l implantation d un portail extranet pour les tudiants les enseignants les parents les employeurs et les bailleurs Cette deuxi me partie se terminera par des recommandations pour le suivi du SIG du CESAG 67 Chapitre IV Pr sentation du CESAG Le Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion CESAG est un Etablissement Public International sp cialis dans la formation le conseil et la recherche en gestion Cr en 1985 le centre s est rapidement hiss au rang des meilleures coles de management en Afrique il constitue aujourd hui une v ritable alternative aux grandes coles de management du Nord Nous essaierons ici de pr senter son historique ses missions et objectifs ses activit s et enfin de son organisation tout en insistant sur la Sous Direction de la Scolarit et de la Vie Etudiante IV 1 Historique Le
106. s Les critiques qui sont le plus souvent adress es l encontre de ces tablissements sont le non respect du volume horaire exig e insuffisance de professeurs et enseignants de tr s haut niveau le manque de comp tence et d exp rience en mati re d administration universitaire de gestion de l information et de prise de d cision concert e la quasi inexistence de la recherche Par rapport tout cela les tablissements de formation professionnelle ont pr f r adopter une d marche manag riale pour tirer leur pingle du jeu C est ainsi qu ils ont compris que pour obtenir des r sultats probants il faut mettre en place un syst me d information qui soutient la gouvernance et la prise de d cision La phase 1 de l tude sur l enseignement sup rieur dans les pays de l UEMOA a soulign que les syst mes d information de gestion sont largement d ficients et ne permettent pas le pilotage des tablissements Ce qui conduit consid rer deux composantes comme prioritaires la g n ralisation du r gime Licence Master Doctorat LMD et l implantation du Syst me d information de gestion ST 3 Union Economique et Mon taire Ouest Africaine Rapport 2004 Ainsi apr s les universit s de l Am rique du Nord de l Am rique latine de la majorit des pays asiatiques et tout derni rement de l Europe l Afrique a d cid lors du s minaire sur la gouvernance universitaire te
107. s d un syst me d information La conception d un syst me d information ob it une certaine d marche qui n est pas fig e mais respecte une certaine logique C est une phase tr s importante dans la vie d une entreprise de mettre en place un syst me d information fiable et coh rent La conception de syst me d information ne peut se faire sans tenir compte d un certain nombre de concepts pour sa r ussite Il s agit entre autres du pilotage de l alignement strat gique du syst me d information mais surtout de la gouvernance 33 L 2 4 1 Le pilotage d un syst me d information La mise en uvre de syst me d information dans l entreprise s inscrivait principalement dans une logique d automatisation Ce qui faisait que tout le processus tait confi aux initi s informaticiens Aujourd hui la compr hension du syst me d information a volu au sein de l entreprise il est une fonction de gestion qui int resse les dirigeants les responsables op rationnels et les utilisateurs Ils ne peuvent plus tre en retrait ce qui les installe dans une probl matique de pilotage L ensemble des collaborateurs de l entreprise et au premier rang desquels les directeurs les responsables m tiers et les utilisateurs doivent se r approprier du syst me d information pour tre des agents actifs de la transformation de l entreprise et de la cr ation de valeur et non plus des acteurs pa
108. s de l UEMOA est d j tr s difficile car confront e aux m mes probl mes de la libre circulation des biens et services dans la zone Pour le Nord il sera encore plus difficile avec le probl me de visas d entr e Il est possible qu avec le concept d immigration choisie que les enseignants du Sud migrent au Nord ce qui aura comme cons quence un ratio chercheur tudiant plus faible La r forme donnera aux tablissements une nouvelle forme de gestion du dossier de l tudiant L inscription de l tudiant sera revue car ce dernier aura la possibilit de suivre plusieurs programmes changer d tablissements revenir pour terminer ou poursuivre une autre formation Les tudiants ne sont plus limit s en termes d ann es d tudes mais de cr dits de ce fait les lenteurs dans la programmation la planification et l organisation des cours et des examens vont faire l objet d une attention tr s particuli re Le probl me de l Afrique est assimil la mauvaise gestion du temps or la LMD c est la ma trise des emplois du temps le tutorat et le soutien de l tudiant durant son s jour L UEMOA pour aider et encourager les tablissements de formation a octroy des fonds des programmes de formation dans le cadre du programme de l excellence Cette labellisation est per ue par les coles de formation comme un plus dans le cadre de leur marketing et communication En plus de
109. s immobilisations du CESAG A cet effet deux protocoles d accord portant sur les conditions et les modalit s de cession du patrimoine du CESAG la BCEAO ont t sign s l un avec le Conseil des Ministres de la CEAO le 06 septembre 1995 l autre avec la R publique du S n gal le 16 novembre 1995 Depuis cette date le CESAG est devenu un tablissement public international sp cialis en mati re de formation de recherche et de consultation en gestion dot de la personnalit morale de l autonomie financi re et administrative et ayant son si ge Dakar dirig par un conseil d administration pr sid par le Gouverneur de la BCEAO Le Centre Africain d Etudes Sup rieures en Gestion est un tablissement public international sp cialis en mati re de formation de consultation et de recherche Il est dot de la personnalit morale et de l autonomie financi re et administrative 69 IV 2 Missions et objectifs IV 2 1 Missions La vocation premi re du Centre est de e Mettre la disposition des Etats membres de l UEMOA un centre d excellence destin accompagner le processus d int gration r gionale en Afrique de l Ouest en vue du renforcement des capacit s humaines et institutionnelles et de l am lioration des performances des entreprises et des organisations de la sous r gion e Former des cadres des entreprises priv es et publiques de l Administration et des organisations di
110. serv s jusqu ce que les d cisions soient termin es A l inverse les demandes envoy es sur des formulaires papier ainsi que les pi ces jointes sont scann es Une validation des donn es y est faite l aide d un logiciel de reconnaissance de caract res Les donn es des demandes scann es sont ensuite envoy es sur le m me syst me que les demandes faites sur Internet afin de regrouper les donn es Une fois la validation et la v rification des donn es effectu es un num ro de dossier est attribu Une des v rifications consiste envoyer un courriel chaque tudiant afin de recevoir une confirmation de son adresse courriel Si aucune confirmation n est re ue l adresse courriel ne sera pas transmise au C gep Les donn es relatives aux bulletins des l ves pour les r sultats du secondaire 5 et du secondaire 4 sont rapatri es directement de la BD du minist re de l ducation l aide du code 43 permanent ou elles sont envoy es par les commissions scolaires et saisies manuellement dans le cas de ceux qui taient en dehors du SRAQ On obtient ainsi des dossiers enti rement virtuels Et en parall le un dossier papier est galement cr et conserv par le C gep sa demande A partir du traitement du dossier qu il a fait le SRAQ propose une d cision d admission ou non de l l ve partir d une cote qui est calcul e Cette d cision est saisie dans le fichier de l l
111. ssifs Les transformations majeures des processus de l entreprise ou le d veloppement d une v ritable vision du r le actuel et futur de l information de la connaissance et de la communication dans l organisation ne doivent plus tre du principal ressort des sp cialistes de l information ou de l informatique Le top manager doit travailler avec leur aide et leur troite collaboration pour chercher r inventer les bases de l entreprise de demain Ce qui conf re la Direction de l informatique la ma trise d uvre et les managers la ma trise d ouvrage Cigref 1998 Il devient n cessaire de clarifier les champs de responsabilit des acteurs m tiers Cela r pond trois principales pr occupations e favoriser plus que par le pass l alignement des syst mes d information sur les strat gies m tiers afin d augmenter la valeur ajout e des ressources en place et des investissements informatiques Or les directions op rationnelles sont suffisamment proches de leurs segments d activit s pour percevoir la rentabilit de la ressource informatique l ins rer dans leurs strat gies et engager les ressources financi res correspondantes 1 A Cigref Club informatique des grandes entreprises fran aises 34 installer pour ce faire dans chaque m tier notamment les plus importants une fonction de gestion du syst me d information v ritablement p renne qui ne se limite
112. st bien plus qu un programme informatique et ne sert pas uniquement effectuer des calculs La gestion de l information a pour but essentiel et primordial de permettre diverses personnes de communiquer au sujet d v nements qui touchent au travail de leur organisation Un syst me complet d information de gestion regroupe tous les syst mes mis en uvre par une institution pour produire les informations qui guident la direction dans ses choix et ses actions Figure n 2 Entr es et sorties d un syst me d information de gestion dans un centre de formation Donn es entr es Syst me d information de Gestion gt Information sorties Source nous m me Une organisation peut disposer d un personnel comp tent et motiv mais si ce dernier ne poss de pas l information voulue il lui sera impossible de donner la pleine mesure de son savoir faire Un bon syst me d information dans un centre de formation peut r volutionner le travail du Personnel Administratif Technique et de Services PATS en lui permettant d assurer un meilleur suivi de son travail et de mieux servir ses clients tout en travaillant avec une client le de plus en plus nombreuse 15 faciliter aux Personnels Enseignant et de Recherche PER de mieux suivre les t ches dont ils sont charg s de mieux conseiller leur quipe et d identifier les aspects exigeant le plus d attention aider les cadres de direction Top Management
113. sus de la m thode de Coad et Yourdon 30 Figure n 6 Spectre des approches d ing nierie des m thodes nssnesesisoseseserneseeses1seserese 32 Figure n 7 Le cycle d ing nierie des m thodes s s eeeeeeeeeeeerereesereeerrrereererrerrierereresesesees 33 Figure n 8 Les composants du pilotage ss 35 Figure n 9 Les parties prenantes du syst me d information 36 Figure n 10 La r partition des t eh s rs it de ne a ete tute tentes 37 Figure n 11 R sum d une demande d admission Cegep Sainte Foy 45 Figure n 12 Carte de concepts construite partir des accords de Bologne eeeesesseeesse 47 Figure 13 Processus de conception et de d veloppement de syst me d information 58 Figure n 14 M thode Rivard et Talbot sens ensdnaan ennetiesntes 60 Figure n 15 La conception du nouveau syst me d information ou la s lection de progiciel63 Figure 16 Processus de candidature au concours d entr e au CESAG 80 Figure 17 Processus d inscription paiement esp ces ou ch ques 83 Figure 17 bis Processus d inscription paiement par prise en charge 83 Figure 18 Processus d inscription automatis 85 Figure 19 Processus de paiement des frais de scolarit ssssssssrseesssesrsessseseneenseesesrsrnesres 87 Figure 20 Processus de paiement automatis ss 88 jee Pape RE pret en at re eine A 7 AA Le a A A RE fae
114. t et processus de la m thode de Coad et Yourdon b M ta mod le de processus identifier identifier Identifier Identifier les objets et les les les les classes associations attributs services Attribut Service a M ta mod le de produit Source Coad P et Yourdon E 1991 134 L2 3 1 La r utilisation La r utilisation a fait d j l objet de recherches importantes dans le raisonnement partir de cas Visser 1999 Perron 2000 et dans le domaine du g nie logiciel o elle constitue aujourd hui un th me de recherche part enti re Coulange 1996 Reynaud 30 et al 2000 Coudert et al 2002 Des catalogues de composants logiciels sont aujourd hui disponibles sur internet Ce dernier type de r utilisation a t largi ensuite aux syst mes d information Maurice Demourioux 1998 Semmak 1998 La r utilisation en ing nierie des m thodes est d finie comme une approche de d veloppement selon laquelle il est possible de construire un syst me partir de composants existants produits l occasion de d veloppements ant rieurs L ing nierie des m thodes applique le principe de r utilisation pour construire de nouvelles m thodes d ing nierie des SI en assemblant diff rents composants de m thodes qui ont d j fait leurs preuves Les composants de m thode sont des descriptions r utilisables des parties des mod les de produit et des mod les de processus qui co
115. teindre un niveau facile coder Nous assistons aujourd hui une utilisation massive de m thodes bas es sur la d composition hi rarchique des processus m me si l exp rience a montr que ces m thodes sont surtout adapt es la description d un syst me existant Elles sont plus consid r es comme des instruments d analyse que de conception C Rolland A Flory 1990 ont r v l dans un article les lacunes des m thodes cart siennes e L absence de travaux th oriques susceptibles de fournir des fondements solides aux concepts et techniques de d composition descendante e L impression des d finitions qui rendent difficiles l utilisation de concepts tels que flux de donn es archive action L impossibilit de prendre en compte le temps la synchronisation et le parall lisme des processus Il semble que la synchronisation de processus soit impossible mod liser dans une d marche descendante e L incapacit traiter les cas particuliers et d exception toute l attention tant focalis e sur l analyse des flux et activit s typiques e L insuffisance de la mod lisation des donn es outre la solution de juxtaposition de techniques de donn es celles de la d composition des traitements largement pr conis e aujourd hui notamment dans les outils CASE Computer Assisted Software Engineering est loin d tre fondamentalement satisfaisante e L absence de guide m thodolo
116. tils pour le d veloppement des syst mes d information Il existe une floraison de litt rature sur la d finition de l ing nierie des m thodes qui le circonscrit la construction de nouvelles m thodes partir d autres d j existantes C est ainsi que Punter et Lemmen 1996 d finissent l ing nierie des m thodes comme une approche de construction de m thodes combinant diff rentes parties de m thodes pour d velopper une solution optimale au regard d un probl me pos Tandis que Kumar et Welke 1992 la consid re comme une proposition pour la conception et le d veloppement d une m ta m thodologie destin e la conception des m thodes de d veloppement des syst mes d information 29 Nous admettons que la d finition de Kumar et Welke 1992 est celle qui agr e notre accord car elle est plus proche de la r alit dans le cas de plusieurs d veloppements de syst me d information Savoir faire un bon dosage c est prendre le meilleur des bonnes pratiques et d en faire un bon produit L ing nierie des m thodes est bas e sur quatre principes e la m ta mod lisation e la r utilisation e la modularit e la flexibilit 1 2 3 a La m ta mod lisation La m ta mod lisation est consid r e comme le principe r gissant la description des m thodes Par exemple la m thode Coad et Yourdon sur la figure 5 est une illustration Figure n 5 M ta mod les de produi
117. tions de coop ration avec les institutions r gionales et internationales susceptibles de contribuer la r alisation des objectifs du CESAG Comme autre pr rogative la Direction G n rale proc de aux nominations du personnel mais soumet aussi au conseil d administration tous les projets de nature promouvoir la r alisation des objectifs du Centre renforcer l efficacit de son action et d velopper sa vocation internationale e Le Secr tariat G n ral Le Secr tariat G n ral coordonne les activit s des directions d appui et des instituts Il regroupe en son sein trois 03 services les Services g n raux le Service des Ressources humaines le Service de la Communication et de la Promotion e Les directions d appui Le CESAG comprend deux directions d appui e la Direction des Etudes et de la Vie Etudiante DEVE e la Direction Financi re et Comptable DFC La DEVE appuie les instituts en leur fournissant un environnement de travail leur permettant de se concentrer sur les activit s acad miques avec le maximum d efficacit Elle est entre autres charg e e d initier et de coordonner les processus de s lection et d admission des candidats aux diff rents programmes du CESAG concours et admission sur dossier de coordonner le suivi des enseignements 72 d acqu rir et d allouer les ressources mat rielles n cessaires l ensemble des activit s de formation d
118. tions du CESAG pour une gestion performante des tudiants Objectif sp cifique e laborer le cahier des charges pour la conception et l implantation d un site intranet avec des modules de gestion des tudiants e laborer le cahier des charges pour la conception et l implantation d un site extranet avec un espace tudiant professeur avec un module de gestion des cours Ce travail aura pour int r t au CESAG d avoir un moyen de contr ler de piloter les cours les professeurs qui les dispensent mais surtout g rer efficacement les tudiants tant sur le plan p dagogique que financier Pour nous cette tude est l occasion de revoir tous les processus d inscription et de gestion des tudiants et surtout de doter au CESAG un outil de gestion sans pareil 11 Partie 1 Cadre th orique et m thodologie Introduction Les syst mes d information ont fait l objet de plusieurs interpr tations dans des domaines diff rents d o l int r t pour nous de clarifier les concepts Il existe plusieurs d finitions sur les syst mes d information car dans chaque domaine de la gestion on y retrouve le SI On parle de syst me d information en GRH syst me d information comptable etc Dans le cadre de cette tude nous nous focaliserons sur le syst me d information en tant que tel une fonction de gestion Nous essaierons dans cette partie de faire une revue de la litt rature sur les pratiques
119. uillard La caisse transmet un feuillet du m me re u la comptabilit La comptabilit comptabilise l encaissement dans le journal de caisse V 3 2 Le processus de paiement des frais de scolarit Il comprend les tapes suivantes L tudiant se pr sente la comptabilit pour demander payer ses frais de scolarit La comptabilit tablit un re u avec le montant correspondant La comptabilit garde un feuillet du re u L tudiant se pr sente la caisse muni du re u pr num rot La caisse encaisse le montant mentionn sur le re u La caisse remet le premier volet du re u paiement l tudiant La caisse enregistre l encaissement dans son brouillard La caisse transmet un feuillet du m me re u la comptabilit La comptabilit comptabilise l encaissement dans le journal de caisse Sur la base de ces processus ci dessus il est loisible de constater que le paiement des frais suit le m me circuit Nous allons faire la repr sentation pour mieux comprendre le processus pour l analyser 86 Figure 19 Processus de paiement des frais de scolarit Processus de paiement des frais de scolarit au CESAG gt Journal de Re u pr num rot ticatreer be le fouliet de i il sans le faul re o E Brouillard de ni Remettre l originai caisse du re u pee rrantionn Nous allons nous attarder un peu sur le processus de paiement qui r
120. ur Bloom D Canning D et Chan K L Enseignement sup rieur et le d veloppement conomique en Afrique pr par pour la Banque Mondiale janvier 2006 http www wds worldbank org renforcement des capacit s humaines qui soutiennent la croissance conomique long terme des Nations AMOUSSOUGA 2005 Ce qui montre l importance de la d marche qualit dans l laboration de l offre de formation dans les EPES Cette offre de formation doit r pondre aux exigences des tudiants Ces derniers veulent une formation bien structur e et pointue L un de leurs soucis majeurs est la r ussite et tre imm diatement op rationnels Ce qui demande une meilleure gestion des tudiants et de leur cursus ainsi que des syst mes efficients et modernes de gestion de leurs d marches administratives dans leurs tablissements Le s rieux la rigueur et le savoir faire de l tablissement sont parmi les crit res m me s ils sont difficilement v rifiables et quantifiables pour assurer une formation de qualit La qualit de la formation est aujourd hui le v ritable probl me de l Enseignement Sup rieur o le rapport enseignant tudiant est tr s faible D une mani re g n rale le probl me d encadrement des tudiants se pose dans beaucoup d EPES Les tablissements de formation professionnelle comptent en grande partie sur les enseignants chercheurs des universit s et vacataires formateurs dans les m tiers enseign
121. ure 18 Agence Universitaire pour la Francophonie 1 Conseil pour le d veloppement de la recherche en sciences sociales en Afrique 51 Cet appel contribution est r cent par rapport aux multiples colloques organis s sur la question de l enseignement sup rieur en Afrique nous retiendrons l article crit par J CHARLIER et S CROCHE intitul Les universit s africaines francophones et l espace mondial de l enseignement sup rieur en construction 53 Il est clairement mentionn que L espace mondial de l enseignement sup rieur et de la recherche se met en place sans que plus aucune instance ne contr le ou ne pilote son installation Sur tous les continents une logique de comp tition s est impos e qui pousse les responsables institutionnels et politiques soutenir activement le mouvement d harmonisation de l enseignement sup rieur La dynamique para t ce point puissante que la r forme des syst mes d enseignement sup rieur a cess d tre une question politique pour devenir une question strictement technique Cette situation a pouss beaucoup d tablissements priv s d enseignement sup rieur EPES ayant compris les enjeux s engager dans des r formes pour tre compatibles avec ce qui se fait en Europe et dans le reste du
122. urs d institut directeurs d appui assistants de programme informaticiens enseignants et assistants de direction Nous allons galement soumettre un questionnaire toutes les personnes concern es directement par le futur syst me afin d acqu rir les d tails et les oublis Un examen de documents de fiches de manuels de proc dures sur les formations sera fait pour avoir une vision tr s claire sur les inputs et outputs des processus Enfin nous nous servirons de l exp rience de plus d une dizaine d ann es pour observer et tirer des conclusions sur tous les processus m tiers du Centre 64 Dans ce chapitre nous avons essay de pr senter notre d marche en nous appuyant sur des mod les propos s par des experts et crivains dans le domaine du syst me d information Nous avons utilis les outils tir s de ces mod les pour mieux poser le diagnostic et proposer notre contribution la recherche de solutions ad quates C est ainsi que nous nous sommes charg s du volet de la r daction des cahiers des charges Conclusion de la premi re partie La premi re partie de cette tude nous a permis d aborder les principaux concepts du SI et de sa mise en place Elle nous a donn tous les outils n cessaires appliquer sur le terrain pour r ussir une bonne conception de SI d information Nous avons explor le maximum d crits sur les syst mes d information mais surtout sur les pratiques des autres
123. ux r gles de proc dures de gestion pour produire des sorties Ce qui fait que l analyse et la conception du syst me d butent par l identification du syst me d information une fonction globale de gestion 22 La conception du syst me est alors assimil e l analyse de la fonction C Rolland A Flory 1990 Quant au paradigme cart sien qui est effectu selon la d marche top down de haut en bas qui part du g n ral va vers le particulier et met en uvre le principe de Descartes Cette d marche appel e aussi l entonnoir conduit l analyste d composer la bo te initiale la fonction de gestion en autant de bo tes qu il le faut pour parvenir des bo tes dont le contenu soit intelligible La fonction de gestion est clat e en un arbre de processus Figure n 3 M thodes cart siennes d composition top down ORGANISATION DE LA CONF RENCE INITIALISATION CREATION MISE EN ROUTE ORGANISATION DE LA DU COMITE DE LA FINANCI RE CONF RENCE TECHNIQUE CONF RENCE ressrssrsense eNbrace OERI ON RECHERCHE nRaGE ORGANISATION PREPARATION loRGANISATION E I comrenu susvesnonsl DESACTES cessions DES SALLES H TELI RE Source Information Engineering An improved automatable Methodoly for the Design of Data sharing Systems 1986 Cet exemple est extrait du cas d application de la m thode Information Engineering de Martin 1986 la conception
124. verses avec une vision r gionale et africaine e Etre une Institution post universitaire et compl mentaire des Institutions existantes e _Perfectionner et recycler les cadres en mati re de gestion e Etre un Centre Africain d information et de recherche appliqu e dans les domaines de la gestion ax sur les priorit s de la sous r gion e Fournir des services de consultation et de recherche en gestion aux entreprises priv es et publiques aux administrations et organisations diverses et des services de formation aux institutions de formation La personnalit morale de l autonomie financi re et administrative est le Conseil d Administration Il comprend au maximum 12 membres repr sentant respectivement e La Commission de PUEMOA e Le monde des affaires et les Chambres Consulaires de pays de PUEMOA e Les universit s ayant des comp tences prouv es dans le domaine de l enseignement sup rieur et ou de la recherche scientifique Les organisations internationales entretenant des relations avec le Centre Il est pr sid par le Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l Afrique de l Ouest Les membres du Conseil nomm s pour une p riode 3 ans sont d sign s par le Pr sident du Conseil d Administration qui met fin galement leurs fonctions 70 IV 2 2 Objectifs L objectif principal du Centre est d assurer pour ce faire la formation et le perfectionnement de dirigeants et cadres de haute qua
125. vons dit ci dessus nous prendrons le meilleur de chaque approche r ing nierie pour r aliser nos objectifs C est ainsi que nous nous int resserons sur le diagnostic de l existant la conception de nouveau processus la conception du nouveau SI et enfin sur l acquisition car l tude pr liminaire a t voqu dans la probl matique La r alisation technique le param trage et la mise en place seront laiss s aux mains des techniciens 57 Figure 13 Processus de conception et de d veloppement de syst me d information Activit 1 Etude pr liminaire D cision Activit 2 Diagnostic de Pexistant D cision Activit 3 Conception du nouveau processus D cision Activit 4A Activit 4B Conception du nouveau Acquisition de SI progiciel D cision Activit SA R alisation technique Activit 5B Param trage du progiciel Activit 6 Mise en place exploitation et valuation Source S Rivard et J Talbot 2003 57 58 I 2 1 Diagnostic du SI existant Toute organisation a besoin d un SI fiable et performant Le SI ne se limite pas seulement aux technologies il est une fonction de gestion comme la GRH l Audit ou la Comptabilit Ce qui fait qu il est tr s important pour une entreprise s rieuse de s assurer que le SI mettre en place lui apporte une certaine valeur ajout e et ne complexifie pas les processus existants Alors pour ce faire

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