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Information et formation des utilisateurs à l`interrogation de

1. les tudiants la B U de Caen ils re oivent en premi re ann e un initiation la recherche bibliographique et en prolcgement une introduction aux m thodes documentaires au niveau de la maitrise on approfondit la connaissance des outils de la recherche documentaire et sur les sujets pr cis de leur m moire on les guide vers l obtention des donn es bibliographiques en utilisant les bibliographies les index faisant la recherche des mots cl s afin d aboutir la recherche en ligne effectu e par la biblioth caire ou clavier Au niveau des chercheurs le probl me est d informer et de convaincre plusieurs moyens ont t emply s la d monstration qui n est pas sans risque les lettres d information et circulaires les plus efficaces tant la r union au niveau du laboratoire pour une petite formation et le contact personnel moyens qui demandent de la patience et du temps Ih La formation des utilisateurs finaux n tant pas encore tr s d finie bien qu elle soit la seule voix d avenir comment et dans quels domaines celle des utilisateurs interm diaires ou m diateurs s effectue 2 2 1 3 Domaine de la formation 32 2 1 3 1 Connaissance des bases de donn es La dur e des formations propos es par les propri taires de bases de donn es aux Etats Unis au cours des derri res ann es tait d une ou deux journ es avec deux niveau
2. PASCALINE version on line du b amp lletin signalfti que du C N R S CANCERNET base de l institut Gustave ROUSSY L interrogation est effectu e par les conservateurs et la question pr par e obligatoirement en pr sence du demandeur Ce service de la biblioth que est tr s sollicit notamment par les tudiants de fir d tudes et les chercheurs En a moyemfil re oit 600 700 questions an Tarif 200 F pour 20 minutes de liaison avec le centre 3 2 Formation l interrccation des bases de donn es en 3 2 1 Centre National de l Information Chimique Ce centre organise temporairement des stages de formation Le programme est le suivant Introduction la rechercke bibliographique en conversa tionnel 44 les applications de la documentation automatis e la chimie connaissance et utilisation de Chemical Abstracts g n ralit s sur le ford documentaire les facicules hebdomadaires les irdex exercices d applications utilisation des index et des facicules pour faire des recher ches parconcepts g n reux par compos s chimiques par auteurs ou par num ros de brevets Chemical Abstracts Search tude du fond documentaire et interrogation en conversationnel sur les principaux serveurs R S Loockheed S D C T l syst m 3 2 2 Biblioth que Interuniversitaire de Grenoble section scierces Pour Sabine BARRAL
3. probl me conomiques L acquisition et l utilisation d quipements eroniqies S tel le terminal entrainant des frais consid rables pour toutes les coles 11 s agit entre autres de l achat ou 1 location du materiel d interrogation les frais de r seau communsat les frais de r seaux de t l communication des donn es les frais d utilisation des fichiers Une solution aux probl mes p dagogiques serait l exp ri ence de nombreuses coles le montre que chacune labore sa propre base de donn es pour que l tudiant puisse interroger sans restriction de temps ou d argent TERMINOLOGIE Accessibilit conversationnelle La base ou banque de donn es est en acc s direct mode d criture ou de lecture de donn es se faisant au moyen d adresses qui rep rert leur emplacement l utilisateur peut dialoguer avec l ordinateur partir d un terminal Acc s s quentiel serial acc s Mode d criture ou de lecture de donn es effectu es en suivant un ordre pr tabli de rangement Affichage display Pr sentation des r sultats d un traitement sous une forme compr hensible pour l utilisateur notammert par leur inscription sur un cran ou sur une imprimante Aide la recherche Documentation aff rente une base de donn es Th saurus Lbxique manuel d utilisation Unit de mesure qui caract rise la capacit de transm
4. a P o FICHIER PRODUCTEUR D but Volume a gt am an opt e banisme de la r gion Ile ment transport de France t t i i i i t i i i i i LEDA d Agence spatiale Europ enne 1975 92 000 20 000 I d i i l i i i H i 1 I t i METEO GEO Meteorological Geo Abs i 1972 57 000 6 000 L I I i TRIS Transports Research Inf 1 1968 145 000 L Transports Serv i NASA Nat Aeronautics Sp Adm i 1962 1 063 000 60 000 I 1 Astronautique lt Aeronautique H l i i I 1 1 i I SAE Society for Automotive En 1965 13 000 1 000 5 Transports i i i I 1 gineers f i t I i i i i i I i URBAMET i Inst Am nagement et d ur 1 1976 21 000 7 000 x x Urbanismes Am nagement environne i I I t i I I 1 t l i I i 1 I I i t t cg FICHIER PRODUCTEUR PAPER CHEM Institute of Paper chemistry 1968 PIRA Research for Paper Indus 1975 tries RAPRA Rubber and Plasb cs R A 1972 G B TITUS Institut tectile de France 1968 WORLD TEXTILES Shirley Institute C B 1970 SURFACE COA Point Research Ass G B 1976 TING MOORE ANAR TES ER RMR RSS EE ZARENA ars ESC CRU SBS rara Ad d UV Vo
5. Utilisateurs interm diaires ou m diateurs biblioth caires documentalistes Sp cialistes de l information en g n ral Dars tous les articles de p riodiques analys s l interroga tion des bases de donn es bibliographiques n est pas effectu e par l utilisateur final Des enqu tes ont mortr qu aux 0 S A seulement 6 des chercheurs et enseignants utilisant le conversationnel pratiquent eux m mes l interrogation et en France la proportion est inf rieure ce chiffre 47 Au Canada une enqu te demandait chaque centre disposant d un termiral d ordonner trois m thodes d l gu e directe et conjointe d apr s leur fr quence d utilisation pour d une part pr parer et d autre part effectuer les recher ches en ligne Ces m thodes taient d finies de la fa on suivante le mode d l gu le m diateur de recherche pr pare et ou effectue la recherche seul pour l usager le mode direct l usager pr pare et ou effectue sa recherche seul sans assistant le mode conjoint l usager et le m diateur de recherche pr parent et ou effectuent la recherche ensemble Les r sultats ont montr que selon la pratique courante dans 48 3 l usager et le m diateur de recherche pr parent 1 us a et l abondance de l information assimiler La t che du biblioth caire consiste plut t d velcpper une m thodolcgie de recherche documentaire En ce qui
6. Comme dans toute formation les m thodes audio visuelles et la pratique viennent suppl eg la th orie 2 2 3 M thodes audio visuelles Elles ne sont pas fr quement utilis es dans ce domaine de la formation des utilisateurs m diateurs mais peuvent souvent coupl es avec l enregistrement de s quences d interro gation permettant ainsi une information multi m dia montages diapositives comm amp ntaires enregistr s et m me s quences d interrogation en conversationnel 55 61 Certes Ges m thodes sont moins interactives mais permettent d viter les pertes de temps dues aux syst mes d interroga tion et la reproduction de l outil p dagogique 11 2 2 4 Certaines universit s anglaises Pittsburg ainsi que la National Library of M decine N L M ateur pour les diff rentes informations et explications de commandes fournies en conversationnel 17 47 En France on s atelle ce qu un travail commun producteur utilisateur soit d velopp au niveau de la r alisation de programmes d enseignement assist par ordinateur Ces programmes de diff rents niveaux et pour diff rents bases et logiciels permettront un enseignemert adapt aux besoirs de chacun sans faire intervenir les co ts de connexion en ligne 11 45 2 2 5 Utilisation des syst mes d interrogation Cette m thode est tr s utilis e dans les coles de formation notamment celles des sciences
7. le des besoins et des ressources Paris O C D E 1973 p 145 ARCHIMBAUD J La formation des utilisateurs la biblioth que de m decine pharmacie et odontologie de l universit de Clermont Ferrand in documentaliste 1979 13 p 47 50 ASSOCIATIONS DES BIBLIOTHEQUES FRANCAIS Section des biblioth ques publiques le m tier du biblioth caire cours l mentaire de formation professionnelle Paris Promodis 1979 p 280 ATHERION P CHRISTIAN R W Librarians and on line sevices ln Khowledge Industry Publications 1977 p 89 100 1 BENCI G ROLLAND C Bases de donn es conception canonique pour une r alisation extensible Paris La D fense Editions C S M 1979 p 158 BEZSONOFF D L utilisation des actuels fichiers bibliogra ques des futures banques de donn es en biom decine In documentaliste voli8 n 3 mai juin 1981 p 110 113 BLASE M G Sampling two segments of a university based population for knowledge of a biom dical data base prior to use education In management of information systems 1978 n 7 BORGMAN C L Movice use training of P R I S T S pihsburgh information retrieval syst m 67 In information r volution A S I S 1975 p 149 150 10 BOSSEAU D L case study of the computer assisted serials syst m at the U C D S OP cit p 104 105 11 BURTON M D techniques ducating in sp cial Libraries 1975 n 5 6 p 252
8. 28 x aux caract ristiques de l utilisateur 42 46 Plusieurs actions ont t men es pour cette sensibilisation 2 1 1 1 D monstrations dans un laboratoire C est la seule m thode pour atteindre la quasi totalit des chercheurs d un laboratoire L ensemble de l information est disponible sur le lieu m me du travail 2 1 1 2 Congr s scientifiques C est le moment o il est possible de pr voir des expos s de distribuer des documents et d organiser des sessions gratuites d interrogation La demande des participants Ce type d action est efficace malgr certaines contraintes disponibilit des sp cialistes de l information pendant plusieurs jours temps de pr paration des questions tr s r duites afflux de tous les demandeurs en m me temps 2 1 1 3 Journ es d information Ce types de manifestation a t souvent organis par la D I C A avec la coop ration du centre de documentation scientifique et technique C D S T du C N R S dans les biblioth ques universitaires diff rentes p riodes de l organisation d un service de recherche documentaire automatis e D T C A pivision de la Coop ration et de l Automati sation 09 x Il convient de distinguer igi deux cat gories d utilisateurs Utilisateurs finaux Etudiants en maitrise ou troisi me cycle pr parart leur m moire ou th se Enseignants et chercheurs Industriels et commergants
9. Electr cit Electronique Energie nucl aire ZIZEmUILIZEIIIZEEZAXIELAIZZILIZII AZmI ZIZXZI N 84 L E UL Vb FICHIER PRODUCTEUR D but Volume R f An Acc s Th Bie DOMAINES GEO ARCHIVE Geosystens 1969 100 000 L x Geosciences American geological Inst 1961 50 000 L S x G ologie g ochimie p trolos gieeg ophysique GEODE E R G M 1968 T PASCAL lt GEODE CNRS B R G M 1973 T I BIOLOGIE BIOSIS Bio Sciences Inform Serv 1969 2 750 000 240 000 x Biochimie Sciences de 1a vie Index de Bbsis BIOCODES 1969 73 IRL LIFB SCIENCES Information Rewiev 250 000 120 000 Sciences de la vie Ecologie Microbiologie Biochimie 6 FICHIER AGRICOLA CAB CRIS FOODS ADLIBRA FSTA PEST DOC IALINE AGRIS AGREP PRODUCTEUR US Nat Agric Library Commonwealth Agri Bureaux USDA K and M Publications USA Interna Food Inform Ser G B Derwent Publications G B CDIUPA F F A 0 int CCE Forest Products Res Cter USA 1947 1970 1 340 000 144 000 1972 988 000 130 000 I L 1974 33 000 20 000 L 1974 39 000 20 000 L 1969 179 000 160 000 5 1968 8 000 S 1970 120 000 13 000 T 1975 470 000 150 000 I 20 400 Sp 12 000 S Th Bie DOMAINBS Agriculture Agriculture biologie Recherche en cours en Agricul ture Industries alimentaires Alimentation et Industries Agro
10. L interaction homme machine provoque chez certains utilisateurs des r action diverses inflvant sur l efficacit de la recherche effet de surpression effet de vitrine etc Tout changement engendre une r sistance il faut la transformer en coop ration pour qu une innovation quelconque se r pande il faut en assurer la pr paration psychologique Analysant les relations de l homme et de la machine le Dr Robert KATTER 18 d couvre plusieurs relations sp cifiques des usagers de terminaux Un sentiment de relative dashonsnisetf n l obsession d une surveillance invisible peep hole effect et le complexe du poisson dans son bocal fishbowl autrement dit l ordinateur brusque le rythme de travail humain et le d personnalise Il constate au passage que peu de syst meS on line sont congus pour les biblioth ques ce qui accentue le risque d chec En tout cas bien que les conclusions du Dr KATTER portent surtout sur les lecteurs elles restent valables pour un personnel initi de fagoninsuffisante Certes FAYOLLET d 28 c l bre au contraire les effets b n fiques du dialogue avec le termiral sur les utilisateurs en fait peut tre ces derniers taient ils plus r ceptifs aux nouveaut s parce que mieux inform s les deux positions ne sont pas obligatoiremert antinomiques mais il faut demeurer prudent et se garder de sous estimer ce genre d obstacle
11. descripteur figurent les r f rences ou les num ros de tous les documents index s par ce descripteur En recherche documentaire un fichier invers est la base de toute interrogation en ligne Information El ment de connaissance sugceptible d tre repr sent l aide de convewartion pour tre conserv trait ou communiqu Interactif Interface Logiciel Qualifie les materiels les programmes ou les conditions d exploitation qui permettent des actions r ciproques en mode dialogu avec des utilisateurs ou en temps r el avec des appareils H Fonction entre deux materiels oulcgiciels leur permettent d changer des informations par l adoption de r gles com munes ph siques ou logique solfware M moire Ensemble des programmes proc d s r gles et ventuel lement de la documentation relatifs au fonctionnement d un ensemble de traitement de donn es Orgare qui permet l enregistrement la con er ation et la restitution de donn es Mus Mise jour d une base Op ration qui consiste r alimenter la base avec les documents les plus r cents Modem acoustique Dispositif utilis pour communiquer des donn es par l interm diaire d un combin t l phonique ordinaire Il est reli au mat riel informatique et comporte un support sur lequel vient s encastrer le micro et l couteur du combin Mot cl Mot exprimant une id e significative
12. la souq exploitation des biblioth ques des tablissements superieurs des pays d Afrique noire d expression frangaise Villeurbanne EMSB 1978 m moire EMSB 1978 n 19 Formation l interrogation des bases de donn es biom dicales et chimiques documentaliste vol 18 n 2 mars avril 1981 p 73 74 Formation des utilisateurs de l information dans l enseignement superieur In Bull info BNIST n 2 1977 p 6 Former les tudiants utiliser l information objectifs et perspectives In documentaliste vol 17 n 96 nov dec 1980 p 227 FROISSART DURAND La biblioth que l heure de l informatique In Bull info A B F n 86 ler trimestre 1975 p 7 I4 GERMEZ MONIQUE L irr sistible prolif ration des bases de donn es et des serveurs Lyon 26 juin 1980 In documentaliste vol 17 n 6 nov dec 1980 p 224 225 JEROME S La formation des utilisateurs l exemple de l unit de documentation de l institut de chimie de Li ge In cahiers de 1 documentation vol 30 n 4 1976 p 175 187 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 70 KAUFFMANN R Pourquoi l information technique n apportr t elle pas toujours ce que l utilisateur en attend In Information et Documentation n 2 1976 p 29 37 KEEMAN S The design of traning courses for the users of and specialists in network inforamation services ra
13. u 222222 _ SE 2 22 2 2 ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DES BIBLIOTHEQUES INFORMATION ET FORMATION DES UTILISATEURS A L INTERROGATION DES BASES DE DONNEES MEMOIRE PRESENTE PAR ALIOUNE THIOUNE SOUS LA DIRECTION DE Mme MADELEINE WAGNER CONSERVATEUR RESPONSABLE DE LA BIBLIOTHEQUE A L ENSB VILLEURBANNE 1982 1982 G5 18e PROMOTION 9 ND S NN N N D IS ND D D 9 e N D PRO DN PH 4 Ch Q IS Ww UO w 9 LA N ra e LA TABLE DES MATIERES page Information des utilisateurs 94 99 9 94 9 8 9 9 9 9 9 9 4 8 6 994 949 94 9 899 649 496499 5 Qu est ce qu une base de donn es 7 Les modalit s d acc s aux bases de donn es 9 Les producteurs des bases dedonn es 10 Les Centres serveurs fran ais 11 Les r seaux 999 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 99 9 999 4 9899 94999 000000060060 14 Comment utiliser les bases de donn es 17 Formation des utilisateurs 9 4 9 99 9 4 9 9 9 4 4 9 99495599 499949 69 89 4496494959 26 Principe de laformati n KENNEN EN d AN e secus 27 Sensibilisation 00609 00090909092990909090909092090992920999099 2000909099992990 27 Qu
14. 255 12 CALIXTE Jacqueline Formation l utilisation de l information Marseille Luminy ESCAE 1981 13 CHAUVEINC M Le Congr s de la Rochelle Formation et information des utilisateurs introduction 19 21 mai 1979 In Bull info A B F n 105 1979 46 trimestre p 193 14 CHEVALIER Bernard Comment acceder aux bases de donn es In Documentaliste vol 17 n 6 nov dec 1980 p 225 15 COWAN G G Un r seau de dommunication informatis acc s sur l usager BAADUQ 3 In Documentaliste 1978 n 15 p 3 9 16 CRAMPES J Aides l interrogation d un dictionnaire de donn es In Revue frangaise d automatique informatique recherche op rationnelle vol 14 n 1 jan 1980 p 87 95 17 CRANE M B PILACHOWKI D M Introducing on line bibliographic service to its users the online pr sentaion In online 1978 vo12 n 4 p 20 29 18 CUADRA Carlos C On line syst ms promises and pit falls In ASIS journal 1971 n 2 p 107 114 19 20 21 22 23 24 25 26 27 68 DAUMAS Comment pr parer les lecteurs mieux utiliser les biblioth ques La formation des utilisateurs In Bull Bim France vol 19 n 4 1974 p 214 228 DAVID Un nouveau r le des centres sp cialis s favoriser l acc s conversationneli l information communication la r union C N
15. Ainsi devrait on au niveau de la sensibilisation des utilisateurs finaux pr senter cette nouvelle technologie pour les biblioth ques comme un ensemble de services compl mentaire r pondant un besoin 46 importance des sources documentaires correspondant des services secondaires non disponibles la biblioth qve peu connues ou n ayant pas d quivalent imprim rapidit de la recherche 46 modification imm diate du sujet de la recherche en fonction des r ponses 46 possibilit s de recherches complexes nombre important d l ments et de termes de recherche acc s au r sum 44 diff rentes formes des r sultats impression imm diate ou diff r e choix des l merts d information fournis 42 co t peu lev suivant la nature de la question par rapport une recherche automatis e non conversationnelle 1 dur e d une recherche manuelle 26 acc s au document correspondart aux autres services de la biblioth que ou une commande au terminal 53 probl mesd ordre technico social Certains utilisateurs consid rent que dans 1 construction d un nouveau syst me technico social certaines des parties prenantes ont d abord l initiative et ne peuvent viter de concevoir le syst me en fonction de leurs inter ts propres Encore faut il que la place soit progressivement faitf aux inter ts l gitimes parmi lesquels ceux des u
16. Principe de La formation Devant l irresistible prolif ration des bases de donn es bibliographiques et centres serveurs le probl me de savoir si la formation des utilisateurs en conversationnel est n cessaire ne se pose plus Seulement il convient d une part de d terminer les th mes de la formation c est dire les caract ristiques de la recherche en conversationnel auxquelles l utilisateur doit tre sensibilis d autre part de pr ciser les diff rentes cat gories d utilisateurs afin d organiser des formations sp cifiques adapt es aux besoins de chaque cat gorie 2 1 1 Sensibilisation Avant ou apr s installation du terminal le premier niveau de la sensibilisation est la n cessit de faire connaitre un nouveau service aux utilisateurs potentiels tudiants enseignants chercheurs qui pour 1 plupart n ont aucune raison priori d imaginer que ce service existe la biblioth que 5 Aux Etats Unis des enqu tes ont montr que les initiatives prises pour faire connaitre un service de recherche en conversationnel sont plus nombreuses dans les tablissements d enseignement que dans les entreprises 68 les r sultats sont les m mes que dans les autres pays du fait que dans les entreprises les divers services du centre de documentation sont d j connus et le conversationnel apparait comme un nouvel outil int gr La sensibilisation n est efficace que si elle est adapt e
17. R S DICA Paris 1977 DESCHATELETS Gilles H Enqu te sur les services de t l reference au Canada Documentaliste vol 18 n 6 nov dec 1981 p 207 213 DICA syst mes de pr t automatis s dans les biblioth ques Strasbourg 14 octobre 1976 DUBOIS J E La politique de l information et de la documenta tion au minist re des universit s actes du 8 congr s national frangais sur l information et la documentation Paris 15 16 mars 1979 DUMMING J Formation et information des utilisateurs situation actuelle au sein des communaut s europeennes et perspectives In Rev de 1 AUPELF vol 16 n 2 p 207 221 DUPONT Quelques reflexions sur l information et 1 formation des utilisateurs In Bull info A B F n 105 1979 p 237 238 ELCHESEN D R Cost effectiveness comparaison of manuel and online retrospective bibliographic searching In ASIS journal mars 1978 p 56 66 EVANS A J Formation des utilisateurs l information scientifique et technique guide de l UMISIST pour les enseignants Paris U N E S O 1977 28 29 30 31 32 33 34 35 36 69 FAYOLLAT J On line serials control syst ms part 3 op cit p 81 FERGUSON D Marketing online services in the university In online rev vol 1 n 3 juil 1977 p 15 28 FOKOUG M La formation des utilisations une solution
18. System Development 1972 cs Corporation 2 3 5 D Funk Scott indexes entreprises technologie produits 1 1972 t U i Abi Inform gestion d mn 1971 Management Contents 1974 3 D 5 Predicast US Statistics Nee 188 lockeed 5 1957 H Predicast International statistics 3 4 3 88 249560
19. alimentaires Engrais Pesticides Industries agro alimentaires Agriaiture Agroalimentaire Recherches en agriculture agro alimentaire Forets s s s a s s O8 FICHIER FA EANIC UACULTURE VALINE TIC IV IROLINE iV IRONMENTALBY OLLUTION Ee CSSS IAEA PRODUCTEUR Assoc fr tudes des eaux Fr FAO Intg Oceanogr Com Unesco Data Courrier USA Nat Oceanic and Atmos A USA Nater Research Centre GB US Environ Protection Agency Environ Inform Center USA Environ Studies Inst USA Data Courrier D but 1970 1978 1964 1970 1974 1966 1971 1973 1970 a Volume Ber 40 500 4 500 52 700 20 000 119 000 10 000 5 000 x 1 200 22 850 4 000 90 000 7 000 79 000 10 000 158 000 15 000 70 000 6 000 SE EE EE E LII EEN sa BSA So EE NES EI zz rz cz a ERC D Weg EIER EANA CA M EI ESS E EE SUED Th T x L x 5 L L L x L x L L L I L S Ein Bie DOMAINES Pollution des eaux Sciences aquatiques oc ano graphie mers et oc ans Culture d organismes marins Eau aux us es Pollution de l air Environnement interdisci plinaire Environnement cologie Pollution environnement EH ER EE EE EE EME ITIN ESC Si TRANSPORTS DOMA INES
20. ces coles celle de DAKAR E B A D tant probablement 18 plus avanc e Les occasions de recevoir une information dans le domaine des techniques modernes de traitement de l information sont extr mement rares en Afrique faute de moyens humains et materiels Combien ont elles leur disposition un terminal Certes on ne doit pas se contenter de dire que comme rares sont les biblioth ques et centres de documentation de leurs pays qui disposent d un terminal il est inutile d assurer une telle formation Il est g n ralement ressenti que si l Afrique ne se voit pas fournir rapidement d occasions dans le domaine de la Science de l information ou si les coles de biblioth caires existantes n ont pas inclus leurs programmes des cours appropri s de science de l information et de documentation les pays africains souffriront dans les ann es avenir d un manque cruel de sp cialistes qualifi s de l information Il s agit donc de pr venir les besoins futurs des pays et former les tudiants aux techniques de pointe Pour les programmes de formation celle offerte par l cole des sciences d information E S I de Rabat est peut tre la seule actuellement qui fournit une documentation D 59 moderne et qui dispense des cours les techniques nouvelles de l information Nous sperons avec l ouverture d un second cycle 1 EBAD de DAKAR voir naitre des programmes similaires plus s
21. ces exactes sciences juridiques et conomiques scien ees biom dicales et sciences humaires et ainsi ils interrogent dans leur domaine respectif Etant tudiant nous nous trouvons en mauvaise posture pour faire une valuation de cette formation n anmoins nous pouvons affirmer sans nuance que les tudiants ont montr une grande mctivation dans cet enseignement Al issue de cet enseignement nous connaissons comment tablir le dial gue avec la machine commert corriger des erreurs de frappe comment sauver vn fichier Nous ne nous sentons pas experts d une base ou plusieurs mais nous sommes conscients que l efficacit d une recherche d perd beaucoup de la pr paration de la questi et de la connaissance de 1 base Nous pouvons d plorer l insuffisance de termiraux et aussi le fait que tous les tudiants ne puissent pas b n ficier de ce cours Aurons nous se servir d un tel outil de recherche documentaire quand nous rentrerons dans la vie professio nnelle pour l ensemble des tudiants associ s trangers la r ponse est pas imm diatement mais dans un proche avenir 54 pour les associ s frangais pas de r ponse car l id al serait que les affectations en sortie d cole scient connues avant le d but de cet enseignement pour leur permettre de choisir des options adapt es leurs futures situations professionnelles La pr ocupation de toute cole de
22. contenue dans le document Appel aussi descripteur ou concept Pertinence Serveur Session Silence Qualit d une information r pondant exactement une question pos e Organisme exploitant un syst me informatique permettant un demandeur la consultation et l utilisation directes d une ou plusieurs banques de donn es Temps pendant lequel se d roule l interrogation d un syst me partir du moment ou l on se connecte Dans une recherche documentaire la quantit de r f rences pertinentes non sorties Temps r el fi Ye Mae 57210 Terminal Th saurus 65 Mode de traitement qui permet l admission des donn es un instant quelconque et l obtention imm diatemerrt des r sultats Appareil permettant l acc s distance un syst me informatique Vocabulaire contr l et dynamique de termes ayant entre eux des relations s mantiques et g n riques Temps partag Mode d utilisation de l ordinateur dans lequel celui ci affecte son temps de travail par tranches plusieurs utilisateurs Troncature Op ration consistant couper un mot droite gauche afin d obtenir la sortie de tous les termes comportant la m me racine 66 BIBLIOGRAPHIE 1 AKEROYD J On line information services in U K Academic libraries In On line Review vol 3 n 2 juin 1979 p 195 204 ANDERLA G L information en 1985 une tude pr visionnel
23. des th mes abord s dans cette tudes n est envisag s il y un domaire l informa tion volue tr s rapidement c est bien celui des sciences et de la technologie Par souci de clart nous avons d velcpp certaines parties mais aussi de peur de plonger ceux qui en savent plus dans trop de d tails nous avors t succints mais pour les uns comme pour les autres nous pensons avoir constitu un ensemble coh rent d indicateurs utilisables pour une connai Ssance de base Le lecteur corstatera certairement que la rigueur rous fait d faut en mati re de tKerminolcgie c est pourquoi ens fin d tude nous avors joint une liste de termes qui ont t utilis s dans ce m moire conform ment 18 normalisation pour l enrichissemert du vocabulaire de l informatique Les premi res remarques qu il convient de souligner vont l intention de l utilisateur final Nous constatons que la recherche documentaire automati s e n est pas incluse dans le procramme de bibliographie des tudiants ce qui constitue une grande lacune car c est A lui qu il appartiendra dans l avenir d fre res porsable de son interrcgation mais cela est d au fait que ce nouveau syst me d acc s l information et en ta e gestion L utilisateur final est le principal b n ficigre des r seaux Converse orne cependant il peut souffrir de l excellence du syst me D sormais il peut recevoir en totalit les r
24. f rences des publications disponibles dans sen domaire mais sans contr le de qualit D autre part les syst mes d information er corversatior nel d bouchdnt sur ure grarde demande de documents primaires de Elus er plus difficileren accessibles est ce que face au piorl me de demarde de reproduction de documents primaires les diteurs ne vont pas imposer une action plus vive pour une r glementation du copyright Si les documents primaires deviennent trop difficiles ac qu rir ou reproduire alors ure partie des b r fices des syst mes conversationnels disparaitra et leur utilisation en souffrira Si ce bel cutil de recherche documentaire trouve un acch il tr s favorable dans les biblioth ques nous re devons pas perdre de vue pour l avenir son utilisation coordonn e avec l arriv e de banques de donn es textuelles en effet les diteurs pourrons tre int ress s et devenir pourquoi pas producteus d s lcrs revus ertrercis dans une EN re ou le r le des biblioth ques sera autre Un enseignement bas sur la pratique de l interrogation pr sente des avantages certains mais soul ve un certain nombre de probl mes diff rents selon que l cole appartient un pays en voie de d veloppement ou un pays industrialis Il existe en Afrique neuf coles de biblioth caires Ce n est que roce E que des cours de science documentaires ont fait leur apparition dans certaines de
25. il faut disticuer trois types d utili sateurs li s au but de la recherche les chercheurs qui veulent s assurer qu un travail similaire celui qu ils entreprennent n a pas d j ete effectu les tudiants th sards qui ont d j fait 1 biblio graphie de leur sujet et qui d sirent compl ter pour eux 15 20 r f rences suffisent les tudiants qui d sirent l tude bibliographique d un sujet 50 200 r f rences En g n ral pour chaque discipline trois grandes bases sont interrog es Tarifs 2e par minute de liaison avec le certre 15 E pour les utilisateurs et auteurs chercheurs du secteur public 20 Fpour le secteur priv par r f rence en diff r 1 F Le temps moyen de liaison pour une recherche est de l ordre de 10 mn 3 3 Formation l interrogation des bases juridiques coromigues politigues et sociales L implation des termiraux dans les biblioth ques universi taires fran aises potr la recherche documentaire automati en sciences sociales est r centes car elle date de 1978 Cette recherche en sciences sociales montrent certaines caract ristiques dues au fait que contrairemert l information scientifique et m dicale l information bibliographique en sciences sociales ne se p rimept pas rapidement et une recherche pour tre valable doit porter sur de longues p riodes d autre part l impr cision particu
26. r pertoire national de l industrie en S 3 France 8 pidel t liaisons financi res des soci t s Dafsa Reso n e fran aises 2 i 1 annuaire des entrepri es fran aises t employant de 10 salari s Talesyaten s questel D 2 2 ensemble de 20 banques constitu es de Cronos Eurostat s ries sur la socio cononie de 16 1 CISI CEE BS E GE ee t T Viele 17000 s ries financi res CISI 1948 3 s ries conomiques pour les pays de l OCDE Principaux indicateurs conomiques OCDE CISI 1960 ee 99 00 00 eg 99 00 00 ee s ries dans les diff rentes branches de l industrie pour les pays de l OCDE Indicateurs d activit s indus triellea CISI se 99 06 ne og se se 55 498 BASES Ef BANQUES ETRANGERES t I 3 KEE d 0 Nous des fichiers Mati res Servours date d entr e du fichier 2 2 8 8 5 3 march s mondiaux importations d ve 4 3 Economic abstracts international loppement conomique du tiers monde lockeed 1974 3 conomie mondiale d nergie etc 3 3 3 lockeed 5 t 3 z Data star E 5 lodustr x US w CE 5 Promt e iodustrie aux USA ct dans la CEE SDC
27. telle sorte qu elles soient ind pendantes des programmes qui les utilisent une approche commune et control e est utilis e pour ajouter de nouvelles donn es et modifier ou retrouver des donn es existantes dans la base Nous retrouvons les m mes caract ristiques dans 1 d finition de Charles J LEWIS une base de donn es informatique est un ensemble de fichiers informatiques sur lequel sont bas es toutes les activit s d une organisation et dans lequel est plac eune grande confiance sur la disponibilit et l exactitu de 65 Certains auteurs d veloppent d abord une typologie de l infor mation dont le coeur est l information documentaire qu elle soit primaire secondaire et tertiaire Une deuxi me typolo gie celle des l ments documentaires am ne le lecteur repenser les notion de dossiers documents et notices bibliographiques C ps deux typologies permettent d en tablir une troisi me qui se veut une structure coh rente pour l ensemble des banques d information Ce n est qu apr s ceci on pr cise le concept de base de donn es 58 une donn eg apparait comme un l ment simple et rudimentaire qui isol ne peut repr senter que tr s ou point de v ritable information pour d velopper l information les donn es ont besoin d un minimum de transformation et d organisation 9 Cela fait d ja quelques ann es que le march fabuleux des donn es autoris es exi
28. 1 pertinence du d lai du Ce programme avec ses deux objectifs connaissance et savoir faire permet de r gler le conflit entre les exigences d une formatio aussi compl te que possible et celles de l utilisation que l on peut en faire Approche bibliographique Le sujet propos int ressant en premier lieu les biblio th caires et documentalistes nous nous sommes orient s directement vers la presse professionnelle qui existe tous les niveaux revues nationales bulletin des biblioth ques de France bulletin de l association des biblioth caires frangais etc revues sp cialis es documentalistes m diath ques publiques revues internationales revues de E S C pour 1 science de l information la biblioth conomie et l archiviste I F L A journal nouvelle de La F I D ainsi que de tr s nombreuses revues am ricaines et anglaises comme indiqu es dans la bibliographie Nous tenons pr ciser que la bibliographie dans ce domaine est bien fournie et de nombreuxxarticles sont en anglais Certes il en existe en allemand russe et polonais mais les barri res linguistiques nous ont emp ch s de prendre connaissance des articles Certains articles ne traitent pas de la formation des utilisateurs l interrogation des bases de donn es ont t signal s dans la bibliographie car nous pensons que leurs r flexions sur l
29. 966 374 000 30 000 I L 1961 60 O00 ELE 1968 70 600 7 000 LiL 1967 47 800 5 000 Li T EI KR Ee NS CR ER Diag EE HM Ge CEDE E See E Ei gen ten SENE gan Th Ia DOMAINES Ingenierie Technologie g nie civileSciences appli qu es Technologie et recherche sur les fluides Technologie m canique proe duction management M canique Ingenieri M tallurgie Fone derie M tallurgie m tal Technology m tallurgie m tau non ferreux Liants hydrauli ques Aluminium sauf mines Soudure Pe pm PLANGE Stee es Eee Etgen Dips ten 25 DRE Sige Stee SUUM LL FICHIER PRODUCTEUR APILIT American Petroleum Inst 1964 APIPAT American Petroleum Inst 1964 ENERGYLINE Environ Information Cter 1971 USA P E News American Petroleum Inst 1975 TULSA University of Tulsa USA 1965 SAFETY Cambridge Scientific Abs 1957 tracts Francis cono CNRS CDHS F 1972 mie de l ner gie INIS IAEA Int 1975 238 000 110 000 58 000 100 000 250 000 75 000 15 000 200 000 300 000 pem m S 18 000 8 000 S 5 000 I L S x 126 000 S 18 000 S x 15 000 S T x 20 000 I T x x 70 000 I X x xa i DOMAINES Carburant transports Petrole brevets Energie P trole nergie technico econ P trole gaz geophysique S curit Energie conomie
30. angage normalis e en Sab langage naturel Exercices de formulation et travaux pratiques 3 1 1 2 Pour les fichiers sp cialis s de la N L M les s minaires de formation pr sentent succ s Sivement TOXLINE toxicolcgie pharmacolcgie CANCERLIT cancerolcgie HISTLINE Histoire de la m decine de ses Instatutions des maladies et des m dicaments Le programme de chacun de ses fichiers se d roule de la fa on suivante Inscription du fonds documertaire caract ristiques d interrogation exercices de formation et traitement de recherche du terminal 3 1 2 Section m cecire de la B U de Lyon I Grange Blanche La biblioth que dispose d un terminal depuis Avril 1977 Pour Madame Catherine LEFRANCOIS conservateur les crit res de selection avant d interroger base de donn es sont les suivants sa couverture scientifique nature et nombre des documents date de cr ation de la base sa philoscphie d indexation la facilit d acc s aux documents primaires 5 43 Avant d interroger un serveur les possibilit s offertes par les logiciels le co t le d lai de fourriture des r f rences en differ l assistance technique Les principales bases interrog es la B U sont MEDLINE base conversationnel de l index medicus de 1 N L M EXCHPTA MEDICA base accessible en conversationnel depuis Aout 1978 Amsterdam
31. biblioth conomie ne devrait elle pas tre non seule ment d int grer rapidement les changements de l environnemert social culturel ducatif technique mais aussi de pr parer des professionnels suffisament critiques et novat eurs pour pr voir et m me cr er de rouveaux sevices pour aller au devant de nouveaux besoins Suzanne bertrand gastaldy 1980 Les probl mes rencontr s au niveau de l interf gation des bases de donn es ne sont pas sp cifiques une cole ils sont communs l ensemble des coles de formation et sont d crdre linguistiques politiques et coromiques 4 3 Probl mes linguistiques Les r sultats d une enqu te en d cembre 1979 ont mortr que 10 coles sur 18 membres de l association Internation ale des coles des sciences de l Information font de l enseignement sur des bases r elles et 2 ont des projets avanc s 7 coles travaillent sur le syst me I R S de l A S E syst me RECON de la A S A 3 sur Loockheed i Alain Jacquesson cole biblioth caire Gen ve 1980 55 1 sur Medline 1 sur Frangis et Bipa 2 projets sur SPIDEL et ou T l syst mes En r alit la quasi totalit des coles utilisaient des syst mes am ricains m mes s ils sont situ s en Europe comme I R S pour leur enseignement Nous pouvons noter cependant la version en fran ais du langage d interrogation ORBIT de S D C Le
32. collectifs de p riodiques ou d ouvrages qui outre le signalement des collections existantes indiquent leur tat et leur localisation L accroissement consid rable de la masse documentaire a amen ces derni res ann es les biblioth caires envisager l utilisation des techniques modernes de l informatique pour r soudre le probl me de stockages des informations Ainsi ont t labor es des banques et bases de donn es Le d veloppement des r seaux de t l informatique permet d sormais tout organisme documentaire quip d un terminal d interroger directement n importe quelle base quelle que soit sa localisation Cette interrogation peut S effectuer en conversationnel en diff r 50 Actuellement plus d une centaine de bases et de banques de donn es sont accessibles en conversationnel par les biblio th ques fran ais Les r seaux TRANSPA en France et Euronet pour la communaut conomique europ enne ont permis d tendre les possibilit d int errogation 57 1 1 Qu est ce qu une base de donn es 7 La d finition La plus l mentaire une base de donn es est une collection de donn es op rationnelles li es par des relations JAMES MARTIN 65 d finit une base de donn es comme une collection de donn es en relation mutuelle ustock es ensemble sans redondance nuisible ou inutile pour tre utilis es dans de multiplesapplications les donn es sont enregistr es de
33. de l information canadiennes et fran aiseS et dans la majorit des cas sous forme de travaux dirig s et pratiques L A I E S I Association Internationale des Ecoles des Sciences de l Information qui regroupe la quasi totalit des tablissements qui dars divers pays r gions du morde utilisent la langue frangaise pour La formation des documenta listes et autres professionnels du transfert de l information constate que plusieurs de ces oles cnt constitu des mini bases de donn es but p dagogique int rrog es au moyen de logiciels appropri s notamment TEXTO les autres interrogent des bases r elles les plus utilis es jusqu pr sent sont celles que rendent disponibles les grands serveurs am ricains LOOCKHEED et SDC ainsi que l Agence Spatiale Europenne cause de leur commodit et des facilit s d acc s qu elles consentent pour des utilisations p dagogiques 49 Pr cisons que cette recherche en ligne est particuli rement d velopp e par les l ves de certaines coles E M S B et l cole sup rieure des ing nieurs de Caen qui la pratiqu ent eux m mes au cours de leurs derri res ann es d tudes partant ensuite dans leur domaine ils auront peut tre utiliser imm diatement ces moyens Cette m thode est aussi utilis e formation l int rieur d une biblioth que universitaire par une personne d j form e formation interbiblioth que univer
34. el TEXTO SI Apprentissage avec MISTRAL 4 52 Probl mes IingulstiqueS 54 Probl mes pelitico conomique 55 Conclusion 59494949 9 9 9 9 9 9 9 6 4 6 6 9 9 4 99 999 9 99 9 9 9 999 96999 9 4 8999 99 999999 56 Terminologie 61 Bibliographie 99 99060060236006800042690606606 0 09065006025320600600 06 0009096006000609299690 9 66 Annexes 9894999 99 6 99 9999 998 949 8949 90949 9659494999 9545 9594999854 949 9999996999 74 SCH INTRODUCTION Ih me et orientation du travail Nous avons choisi pour sujet de m moire l information et formation des utilisateurs l interrogation des bases de donn es parce que nous avons constat que les derni res ann es ont permis de prendre conscience du r le jou par l information dans Le developpement scientifique techni que et conomique Elles ont fait apparaitre aussi la dimension consid rable du volume d information traiter Chaque ann e 2 millions d articles nouveaux sont publi s dans 60 OOO revues scientifiques s ajoutent au stock de 30 OOO millions d articles 12 La recherche individuelle de l information avec sonf empirisme et ses al as ne peut suffire seule l utili sation permet de tirer parti de l information disponib
35. erminal Le choix du terminal sera fonction des besoins de l utilisateur Le terminal peut M tre qu un t l type sorte de machine crire qui regoit les informations de l ordinateur et envoie les ordres de l op rateur en conservant la trace sur listing Un terminal simple est constitu outre le modem d un clavier et d un cran de visualisation 11 permet les d monstrations mais ne fournit aucune trace imprim e de la recherche effectu e Une imprimante connect e sur le terminal simple permet la recopie du texte visualis D InmILIDNIMPDI LUIN SCHEMA GENERAL ORDINATEUR CENTRAL ES ES BASE DE DONNEES RESEAU TRANSPAC 61 MATERIEL 0 INTERROGAT LE TERMINAL LE CLAVIER TOUCHES DE FONCTION CARACTERES DE CONTROLE CARACTERES GRAPHIQUES ALPHANUMERIQUES surt J BARRE D ESPACEMENT 21 22 1 3 1 2 Logiciels d interrogation Les l ments communs aux diff rents syst mes d interrogation sont les trois op rateurs logiques booleens OU ET SAUF qui relient les diff rents termes d une recherche Indicateurs de r le pr cisant le produit de d part et le produit final d une r action chimique par exemple Recherche en langage libre en pr cisant le champ d interro gation les distances et l ordre des termes Recherche sur un sous ensemble A priori non interrogeable Troncature d
36. es m thodes de formation l utilisation des biblioth ques ont t un apport 1 r flexion pour la recherche automatis e CHAPITRE I 9 Les biblioth ques tendent n tre plus seulement des r serves qui conservent et distribuent 165 ouvrages qu elles poss dent Elles tendent devenir des centres de travail par une utilisation m thodique de leurs fonds qui pargnera aux savants les recherches inutiles Julien CAIN 1937 La masse de la documentation crite en raison m me de son ampleur serait en effet inutilisable sans la mise en oeuvre de moyens appropri s pour orienter et guider l usager Dompter le livre en furie et plus encore le raz de mar e des p riodiques est ainsi devenu aujourd hui une existence fondamentale de la communication scientifique Permettre tout chercheur de connaitre puis d acceder toute infor mation n c ssaire ou utile A ses travaux et r cipro quement toute information publi e d atteindre effectivement et rapidement l ensemble de ses utilisateurs ventuels tel est sans doute l aspect le plus contempo rain et plus essentiel de la contribution que peuvent apporter les bibliotheques au d veloppement scientifique Henri COMTE 1977 MES BASES DE DONNEES A L UTILISATEUR A M UTILISATEURS SERVEURS RESEAUX 2 m CIO O P u sa L acc s aux r f rences traditionnellement r sidait dans la consultation de catalogues
37. es sciences de l information nous essayerons de montrer dans ces colonnes comment est dispens cet enseignement l Ecole Nationale Sup rieure des Biblioth ques 4 1 Cadre g n ral de cet enseignement Dans le programme du dipl me sup rieur de biblioth caire d fini par l arret du 9 D cembre 1977 il correspond une partie du paragraphe 5 2 applications l exploi tation et A la recherche documentaires Il intervient en fin d ann e lorsque tous les cours particuliers sur la bibliographie g n rale et sp cialis e sur le catalcgage et sur les c n ralit s de l informatique ont t donr s en effet ne peut pas imaginer autoriser une personne faire une recherche interective sans connais sance minimale de 1 bibliographie L automatisation y est vue comme un moyen moderre et efficace de traiter la masse des donn es qui submergent les biblioth ques comme le seul qui leur permettra sans doute de surmonter presque toutes les difficult s actuelles L objectif de cet enseignement est de former les utilisa teurs interm diaires des syst mes de documentation auto matis s Cet objectif est ceperdant limit vue le nom bre d heures qui lui est consacr mais il aboutit l initiation des tudiants ce mode de recherche documentaire leur faire connaitre l existence des bases de donn es accessible en conversationnel leur couverture leur str
38. estel 3 2 EE EE g tique nergies nouvelles Circ CNRS t 1972 3 K D D 8 3 D 3 2 travaux de sciences humaines Concerte 3 3 i nant la sant sous l angle conomique i 8 Reg humaines de la sant sociologique juridique psychologique 1977 3 d mographique historique etc s D D 8 D emploi travail formation qualifi d t 1 Emploi et formation cation professionnelle conditions de as 2 1974 3 3 travail D D 1 3 3 5 8 2 i informations sur l urbanisme l am 3 3 3 Urbamet nagement l environnement les transe T l syst me questel 1976 1 ports t 2 3 3 i 3 3 3 8 1 e 5 Resagri a vides J engle econontque T l syst ne questel 1974 s P el 8 3 t 1 t commerce distribution finances ges 3 3 D Merlin gestion tion des entreprises tudes de mar Spidel Service pour 2 1971 t t s ch gestion du personnel produits l information et la doe 1 P cumentation en ligne t 1 Bases et banques de donn es en conomie r M EES Eegen GQ 4 G Cam groupement de 1a 1 caisse des d p ts l au tomatisation pour le ma nagement Isis chambre de commerce et d in dustrie de Paris conomie gestion des entreprises droit T uam des fichiers Mati res Se
39. et les connaissances 10 s a scientifiques du monde entier sont votre port e 54 Cette r alit recouvre une technologie complexe et pose de nombreux probl meSpratiques Nous essayerons d analyser bri vement les intervenants possibles dans un tel r seau de documentation Il 1 charge de constituer des fichiers il est responsable de la s lection des articles int gr s dans La base de la qualit des analyses et pour une grande part des d lais d introduction des mises jour dans Le fichier C est donc une institution sp cifique une organisation publique ou une association professionnelle Il proc de la structuration la compilation la validation et la saisie des donn es Un producteur peut tre galement exploitant ou fournisseur c est dire il aura concevoir le logiciel et sonX am lioration future X3 y Chaque base ou banque de donn es est mise en m moire sur un ou plusieurs gros ordinateurs appel s serveur 1 2 2 Les principaux serveurs Nous essayerons uniquement dans ce paragraphe de rappeler quelques grands entres serveurs fran ais et trangers Des d tails plus approfondis sous forme de tableaux seront indiqu s en annexes pour certaines bases de donn es en Sciences exactes biom dicales et conomiques si 1 2 2 Les centres serveurs frangais Le centre serveur le plus connu est sans doute TELESYSTEME QUESTEL puisqu i
40. i ssion d une ligne Equivalent syst me binaire un bit second 62 Binaire binary Syst me de repr sentation en base 2 o l information est traduite par les chiffres O et 1 Bruit oise Dans une recherche documentaire quantit de r f rences non pertinentes Bureautique Champ field Ensemble des techniques et moyers tendart auto matiser les activit s de bureau et principalemert le et la communication de la parole de l crit et de l im age Ensemble d h ments de donn es signal tiques ou analytique d un document auteurs descripteurs langues ect Commutation de paquets Technique nouvelle de transmission de donn es consistants d couger un message en morceaux paquets de longueur standard et acheminer ces paquets ind pendamment les uns des autres le message tant recorstitu sous forme initiale la sortie Document primaire Donn e data Texte int gral qui df crit soit un article de p riodique un ouvrage un compte rendu de congr s Repr sentation d une formation sous une forme convention nelle destin e faciliter son traitement 63 Edition en diff r La question de l utilisateur est saisie sur support lisible par ordinateur Les r sultats sont transmis sur un listing qui est envoy par la poste l utilisa teur Fichier invers Fichier organis sur les desdipteurs derri re chaque
41. iguit l acc s est mis sur les caract ristiques de chaques r seau 2 2 M thodes et techniques Les probl mes g n raux de la formation dans ce domaine sont l ordre du jour mais les m thodes habituelles crit oral audio visuel sont utilis es et s y ajoutent des s ances pratiques c est dire des m thodes conventionnelles elles m mes 2 2 1 Informations orales S il y un domaine l volution des connaissances ou de la technologie est tr s rapide ce sont les sciences et principalement dans l utilisation de l nformatique Ainsi suivant les cat g ries d utilisateurs des s ances d expos s sur lagparition de nouvelles banques ou bases de donn es sont organis s par les producteurs lors des stages 55 2 2 2 Documents crits C est surtout dans ce domaine l effort de l action formative est 18 plus resenti 34 En effet chaque producteur ou exploitant de base de donn es avec logiciel commun ou non fournit un ensemble de documents essentiels sur le syst me et les bases plaquettes attractives qui contribueront l action sensibilisatrice des biblioth ques qui cherchent informer le maximun d tudiant et chercheurs Des cartes de commandes l mentaires Caract ristiques des diff rentes bases et guide rapide sur chaque base manuels d taill d utilisation des syst mes manuels d taill s sur chaque base exemples de recherche
42. ismes finangant des recher ches Subvention accord es Subventions aux recherches Biblioth que du Congr s Rapports financ s par le gouver nement am ricain Multidisciplinaire Multidisciplinaire Projets de recherche Articles traduits de revues d Europe et Acte C COND Chemical Abstracts Service 1969 x Chimie biochinie inginerie m decine lt memenetetere CA SEARCH 1967 4 362 000 400 000 L x h nique CHEMSEARCR 45 000 L x CHEMSIS 1972 76 L x a GiEMNAME 737 000sub L x Nomenclature chimique CHEMDEX 5 m BURECAS Chemical Abstracts Service 1974 430 000 430 000 T Chimie Biochimie CBAC CNIC 1965 490 000 50 000 T x Biochimie Biologie CB NOM 1965 490 000 T Chimie nomenclature CIN American CHemical Societ 1974 294 000 50 000 1 15 Chimie Eoonomie CLAIMS CHEM IFI Plenum data Co 50 70 265 000 1 x x Brevets chimiques USA CRDS DERWENT G B 1944 45 000 3 000 5 Chimie organique de synth se TSCA Int Iwent ENVIRONM Protect Ag USA 1979 43 300 L Substances chimiques utilis es CETT BAA ps ES ST 240 23 AS WEIT SSSA SSSA SSSR Rass SSSR SSS SR CR OTAGO SETS ASAT UU CE RE EZ UE CR ED ER ER AR CERE EU RU NN SZ FICHIER INSPEC SPIN ELECOMPS DOC INIS TELEDOC MERLIN GERIN ARDENNES EI ZEN L m L JAN PRODUCTEUR Inst of Electric Engineers American Inst of Physics Agence spatiale Europ e
43. l jou un r le pionnier gr ce au soutien de l administration des P T T c est un IRIS s grand atout c est de proposer la base Chemical Abstracts et Pascal du C N R S 4O Depuis juillet 1981 le langage d interrogation s est transform enrichi et a pris pour nom QUESTEL 12 45 Le centre serveur SPIDEL service pour l information et la documentation en ligne propose treize bases de donn es bibliographiques totalisdnt pr s d un million de r f rences PRINCIPES GENERAUX DOCUMENTS QU EST CE QU UN CENTRE SERVEUR ORIGINAUX BORDEREAUX FONDS AUTOMATISE ANALYSE SAISIE DE ORDINATEUR THESES INDEXATION DONNEES gt 3 as LILI PRODUCTEURS BASES DE DONNEES uod E Le centre serveur developp par le C I S I Compagnie Internationale de Science en Informatique essentiellement les entreprises qui cherchent des donn es conomiques provenant du 1 C D E et de 1 I N S E E ou des informations commerciales 4O La I S I propose galement des fichiers sp cialis s sur les brevets Transnove la p trochimie l nergie nucl aire ou le trafic routier Laliste des serveurs qui offrent des bases de donn es en conversationnel n est pas limitative il en existe bien d autre comme le G C M Groupement de la Caisse des d pots Automatisation pour le Management C T E R E Centre d Information Temps R el Eur
44. l sont les utilisateurs dua 13 FR E 28 Domaines de la formation 31 M thodes et techniques ege EEN CAE 33 Informations orales 33 Documents crits 33 M thodes audio visuelles Sos 34 Formation assist e par 34 Utilisation des syst mes d interrogation 35 Clubs d utilisateurs formation mutuelle 36 Applications certaines disciplines 40 Formation l interrogation des bases biom dicales 41 Formation Sciences exactes 43 Formation Sciences juridiques conomiques et sociales 45 Probl mes de la fonction 4 amp 6 Formation de l interrogation des bases de donn es dans les coles de formation 999 9 9 8 9 4 9 9 9 4 9 9 9 4 9 4 4 9 94 9 9 9 9 94 9999999908 49 Cadre g n ral de l enseignement 50 Processus p dagogique 4 51 Familiarisation avec le mat riel d interrogation 5 Utilisation du logici
45. le Ainsi l interrogation des bases de donn es nous essayerons de donner des d finitions pour une meilleure approche surtout en conversatimnel demande une formation des utilisateurs tant en ce qui con amp erne le contenu des bases que le maniement l interrogation on line Nous essayerons dans ce m moire de pr senter la situation en partant des bases de donn es jusqu l utilisateur final puis nous examinerons comment dispenser cette formation qui peut et doit en tre responsable Quels sont les outils et les techniques existants pour une promotion de cet enseignement et enfin quels sont les besoins des utilisateurs finals op a Nous nous sommes d lib rement limit la formation des utilisateurs finals dans le domaine des centres de documentation et biblioth ques l implantation de terminaux d ordinateur devient de plus en plus une necessit a Nous n avons pas eu beaucoup de mal toucher de la documentation sur ce sujet l ordre du jour Elle a t rep r e en majorit partir du d pouillement du bulletin signalitique du centre national de la recherche scientifique C N R S section 101 de 1976 1981 et par l interro gation du fichier BELETTE de l E ole natinale superieure des biblioth ques M thode d analyse L expansion continue du savoir scientifique est un processus la fois collectif et cumulatif Ainsi l information est elle deux fois utile au d veloppe
46. li remert fr quente des titres d ouvrages et articles re refl te pas la teneur des travaux et rend particuli rement n cessaire les r f ren ces analytiques Au niveau juridique et conomique l acc s en conversations nel de certaines banques et bases est r serv soit quelques organismes participants la cr ation des fichiers il se fait alors par le moyen d un r seau de transmission particulier ainsi les banques de donn es du C E D I J interrog es jusqu pr sent par quelques 46 institutions conseil d Etat cour de cassation assembl e nationales soit une client le d limit e tel le C R I D O N Centre de Recherches D Informations et de Documentation notariales travaillant exclusivement pour les notaires l acc s en conversationnel peut galement n avoir lieu que par l interm diaire de l organisme producteur c est le cas des banques juridiques JURIS DATA et de 1 base SPHINX cr e par l I S E E et interrog e exclusive ment par les observatoires conomiques r gionaux Dans le secteur des sciences sociales les bases interrog es dans les universit s fran aises sont principalement celle du centre de documentation sciences humaines du C R S et g n ralement aussi trois bases am ricaines psycolcgical abstracts ERIC sociological abstracts A la biblioth que irteruniversitaire de Bron chaque ann e des notes so
47. lume 120 000 48 000 110 000 120 000 84 700 31 000 R f An 12 000 10 000 12 000 18 000 10 000 7 000 SRI SSK Acc s Th Se Bie DOMAINES Papier Carton P te papier Papier Carton Emballage Caoutchouc plastiques Textile Textile peinture rev tement surface gedeelter 98 BREVETS INVENTIONS BASE BANQUE PRODUCTEUR DEBUT VOLUME R f An Acc s Th Bie DOMAINES CLAIMS US PAT Internat Transl Cter et CNRS 71 77 485 000 Ly Brevets am ricains CLAIMS US PAT Ab IFI PLenum Data company 1978 116 000 1 Brevets am ricains CLAIMS CLASS IFI Plenum Data Company 15 000 L WPI Derwent G B 1963 1 000 000 235 000 S Brevets international classifi cation INPI I Institut Nat Propri t In 1969 400 000 T x Brevets fran ais dustrielle F IMPADOC International Patent Docue 100 000 L x Nouveaux brevets sur 6 semaines ment Center 6 semai Technotec int Innovations disponibles Transinore Bric 1978 3 000 CISI Innovations disponibles ARTE EE EE E EE lt a DEE 022208 EE E E Ee E EE ENEE EE IS EN LIEU ET ER D C208 ELE QI 7222 E C2 CEEGIR we KT E WE Ft EE CIL DE REECH EE CR EE MSN CI EN ON C Ses BASES FRANCAISES D D 8 D des fichiers Mati res Serveurs t date d entr e du fichier 3 8 8 8 8 PARET Economia de l nergie politique ner T l syst mes qu
48. ment scientifique D une part elle conditionne l efficacit de la recherche nouvelle d autre part elle en valorise le r sultat en la mettant la disposit ion de l ensemble de la communaut scientifique Dans ce m moire nous d finirons donc les bases de donn es avant d aborder proprement dit la formation car nous pensons que toute d cision de formation quels qu en soient le caract re et la port e n cessite une phase pr alable d information phase au cours de laquelle nous distinguerons deux stades correspondant deux n cessit s fondamentales A premi re n cessit poser le probl me r soudre deuxi me n cessit disposer des donn es qui par un traitement appropri permettront de pr senter des solutions possibles au probl me pos La formation l utilisation de l information doit donc recouvrir un certain domaine de connaissance tout en concourant toujours l acquisition d un certain savoir faire Pour le programme de cette formation nous envisagerons deux parties en ce qui congerne la connaissance la connaissance des sources d information la connaissance de la pratique d acc s aux sources la connaissance des logiques internes propres aux diff rentes sources d information en ce qui congerne le savoir faire f z comment selectionner les sources comment choisir parmi les sources consult es en D fonction de l accessibilite de
49. nne E D F F int CNET F MERLIN GERIN F zz a ca m gs ats ICI LR ES EN e Za 1969 1975 1970 1972 1975 1972 1973 arxa ES Rer dAn Ka a Ap AN 1 404 000 120 000 5 114 000 2 000 Lis 5 000 i 200 000 20 000 I T 300 000 70 000 I 50 000 8 000 T Jan gz Z zs 242327424 22 nRa xs 44 Th Bie x x x x x x x DOMAINE Physique Electronique Informatique Automatique Physique astronomie astr physique Electronique Composants Electricit Electronique Energie nucl aire T l communications Electronique Electricit Electronique IOI EU ES Ss MMI CU EU TOR I2 I2 ES CAES SOUDE DUR TUE SOUS ER ES CIVILI aE FICHIER COMPENDEX B HR ISMEC BIIPAM METADEX Non Ferrous Mee tal Abs WURLD ALUMINIUM kbs WELDA SEARCH INTERCIM PRODUCTEUR Engineering Index USA British Hydro Res Ass G B Data Courrier CETIM Fr Pont Mousson Fr Am rican Society for Metals Metal society G B Non Ferrous Metal tech ter G B American society Metals Welding institute GB Z mmer rm ICI E UR n SS SS RE CEU ET aC CVSS SVs 23053 0 Volume R f Acc s 195 817 000 100 000 1 1 5 1974 76 38 000 36 000 1 1973 98 000 12 000 I L S 1975 45 000 8 000 Sp 1970 45 000 5 000 Sp 1
50. nt envoy es aux chercheurs enseignants dt tudi ants pour lew rappeler l exist amp nce des diff rents services de la biblioth que airsi que ta liste des conservateurs avec leur sp cialit et leur poste respectif Un syst me documentaire irterrog en ligne par quelqu un qui en connait mal la couverture et le langage donne g n ralement des r sultats assez lamentables et d courage les utilisateurs potentiels en raison de l effort d appren tissage faire A ce jour la formation est surtout bas e sur l effort individuel et solitaire de l utilisateur travers des maruels fournis par les syst mes et sur la pratique des recherches devant le termiral ce type de formation on peut faire un certain nombre de critiques Tout d abord les exploitants des bases de donn es manquent g n ralement d esprit critique vis vis des produits qu ils offrent et par cons quent omettent d en citer les d faillances et les poirts faibles Parfois aussi ils n ont qu une connaissance limit e des fich iers dont ils ne sont pas les producteurs et dont ils se contentent d assurer l exploitation et la diffusion A ces cycles de formation on peut galement reprocher certains d fauts d organisation En effet dans le but de r duire les co ts de formation les explcitants des syst mes acceptent un nombre trop lev X ce qui nuit n cessairement cette formation Enfin la dur e de formation propos e aussi bien
51. nterroger ces petits fichiers selon les principes classiques de la logique bool enne et faire des recherches en texte libre avec ou sans les op rateurs habituels de masque et de troncature Ensuite en dehors des heures de travaux pratiques un terminal est mis la disposition des tudiants qui le d sirent pour construire des fichiers plus importants en vue d un apprentissage plus approfondi Cette manipulation d un v ritable mod le r duit de syst me documertaire nous a permis par la suite de saisir mieux et plus vite la structure et fonctionnement des syst mes en grandeur r elle 4 2 3 Apprentissage du logiciel MISTRAL Apr s une rapide pr sentation des principales commandes et l explication d taill e d un exemple de recherche distribu sous forme de polycopie nous pr parons en s ance de travaux pratiques des recherches partir de questions propos es avant d effectuer l interrocation au terminal Les s ances ult rieures nous mettent en contact avec un panorama g n ral des grands syst mes existants de leurs logiciels d interrogation des r seaux permettant d y acc der et des fichiers servis Pr cisonscque uniquement les tudiants ayant choisi l option bases de donn es ont pu b n ficier de ces cours Par contre durant les derni res s ances de ce large cours les tudiants sont r partis en groupes corres pondant groupes de bibliographie sp cialis e scien
52. olides Pour l cole des sciences de l information de Rabat qui a la chance de disposer d un mat riel informatique permettant ses tudiants de s initier la pratique de l interrogation des bases de donn es elle se heurte selon Madame Oumniat BEKKARI des probl mes de toutes nature probl mes materiels L cole ne dispose pas d un terminal qui lui permettr it de r pondre A ses exigences car les travaux pratiques r alis s jusqu pr sent au Centre National de documentation ont t rendus difficiles du fait que le seul terminal existant est destin en priorit r pondre aux besoins propre de ce centre probl mes humains L installation ventuelle d un terminal propre 1 E S I ne r soudra qu en partie ces difficult s car le probl me majeur r side dans le marque d enseignants qualifi s sp ci alis s dans cette mati re Compte tenu de l absence d erseignants marocains sp cialis s l cole a fait appel chaque ann e des professeurs trangers missionnaires L appel aux trangers pr sente certaines difficult s dans 1 mesure non seulement la dur e de leur s jour est trop br ve mais aussi p riode non favorable car l arriv e de ces professeurs se situe la fin de l ann e universitaire alors que les tudiants sont peu receptifs du fait que c est l poque des examens Oumniat BEKKARI cole de science de l information Rabat Maroc 60
53. ope etc 1 2 2 2b Quelques grands serveurs internationaux Le plus gros serveur en nombre d heures d interrogation est celui de la National Library of M decine A lui seul il repr sente 50 du march am ricain 13 Q amp uweY On trouve ensuite celui de L M S Lockheed Missiles and Space Compagny qui propose le service Dialog qui est aussi le langage d interrogation utilis Un autre grand serveur am ricain S D C System develop pement Corporation On l appelle galement o R B I T du nom de son langage d interrogation S A I R S I S Information Retrieval Service le privil ge d tre le premier centre serveur europeen puique d s 1970 diff rents tats taient reli s en ligne avec l ordinateur 14 central de l agence spacial europeen E S A Europeen Space Agency qui offre l acc s aux fichiers de la N A S A 1 2 3 Les r seaux Entre l utilisateur de la base de donn es niveau terminal et le serveur une liaison est indispensable Cette liaison est assur e par un r seau dont le principe est le m me que celui des P T T 1 2 3 1 Le r seau frangais Transpac Il donne acc s des centres informatiques situ s dans n importe quel point de la France en utilisant la technologie de communication par paquets Cette technologie consiste d couper en trongons assez courts appel s paquets les s quence
54. par les exploitants que par les producteurs est souvent trop br ve n exc dant pas quatre jours Si actuellement les utilisateurs interm diaires rencontrent ert certains probl mes pour ce nouvel outil informatique c est parce qu ils n ont pas t pr par s la tache au niveau m me des coles de formation Avec l av nement de la recherche en conversationnel biblio th caires et documertalistes se scnt trouv s confront s au probl me de leur reconversion d un syst me maruel un syst me automatis d ils ont prouv un sentiment de crainte devant l arriv e de l informatique dans leur profes sion et dans de nombreux cas c est l instint consdvateur qui a pr valu rejetant toute tentative d innovation 48 Ainsi pour lutter contre ce type de r action et pour pallier 465 difficult s d une formation parcelleire et hybride que certaines coles ont commenc introduire la pratique de l interrogation des bases de donn es dans leurs programmes de formation Un tel enseignement constituerait de toute vidence le meilleur moyen pour permettre aux futurs professionnelscde l information de maitriser cette technique et d acquerir une v ritable m thode de travail 49 CHAPITRE IV PRATIQUES DE L INTERROGATION DES EASES DE DONNEES LANS LES ECOLES DE FORMATION L enseignement de 1 recberche bibliographique inter active est de nos jours introduit dars la quasi totalit des coles d
55. pport CCE nov 1977 KNAPP S D Instructing library patrons about online reference services Bookmark 1979 38 n 5 p 235 242 LEFEBURE Entoine Qui sont les serveurs In documentaliste vol 17 n 6 nov dec 1980 LEFRANCOIS Catherine Acc s aux bases de donn es biom dica les In Bulletin d information A B F n 105 4 trimestre 1979 p 238 239 LESTER R Why educate the library user In ASLIB proceeding vol 31 n 8 ao t 1979 Logiciels et syst mes documentaires tude r alis e par le CXP Paris ADBJ 1976 p 224 MALLEN M C Une m thode pour l tude des besoins des utilisateurs l enqu te par questionnaire In documentaliste vol 11 n 4 dec 1974 p 166 170 MARX Bernard formation ou d formation des utilisateurs de bases de donn es In Bull du Centre des Hautes Etudes Internationales d informa tique documentaire n 2 2e trimestre 1981 p 19 24 MARX Bernard User education and training in french university libraries IN Online information Meeting 1978 p 49 64 TL MARX Bernard Utilisation des bases de donn es en conversationnelle In Bull de la DICA 1977 2 m 5 39 75 MAUPERON Formation des utilisateurs en Grande Bretagne et R F In documentaliste vol 13 n 1 jan Fev 1976 p 13 19 MEYRIAT Jean L enseignement de l informatique documentaire Mon
56. roite et gauche des termes de recherche Un logiciel peut tre soit sp cifique une base soit commun plusieurs bases 62 66 1 3 2 M thodologie de recherche Pour r pondre une question l utilisateur doit choisir la base la plus adapt e sa recherche cela suppose une bonne connaissance de la fa on dont est organis e la base et dont owt t selectionn es et r dig es les informations qui s y trouvent le syst me d interrogation le plus performant a par rapport son type de question Une question bien pos e la bonne base est moiti r solue Cette m thodologie peut tre r sum ainsi 12 Premi re recherche partir de mots clefs vidents en utilisant les op rateurs logiques bool ens Visualisation et ou dition de quelques documents trouv s grace a ces mots clefs Choix de documents pertinents Etude et choix parmi les mots clefs de ces documents 23 PRINCIPES GENERAUX SYSTEME CONVERSATIONNEL QUESTION ETAPE DE RECHERCHE RESULTATS OU QUESTION PROCEDURE OU ETAPE DE RECHERCHE 1 AUTOMA TISA TION RESULTAT PROCEDURE OU ETAPE DE RECHERCHE 2 BIBLIOTHEQUE y RESULTAT 132 ORDINATEUR RECHERCHE LOGIQUE BOOLEENNE CENTRE DE DOCUMENTATION O BIBLIOTHEQUE RECHERCHE LOGIQUE BOOLEENNE BIBLIOTHEQUE SAUF BIBLIOTHEQUE NATIONALE 26 CHAPITRE II LA FORMATION DES UTILISATEURS 2 1
57. rveurs date d entr e du fichier e e 5 Spidel Service pour S G B Soci t g n rale de banque banques syst mes bancaires cr dit l information et la do 1974 2 multinationales etc 9 3 cumentation en ligne LA KEE eq ere 2 f Doge documentation automatis e Circ CNRS t 1980 en gestion des entreprises Ecodo 5 Economie g n rale 2 d but 1981 1975 98 a I ET OD 562 d in formation en temps r el pour l Europe grappe groupement consulaire d a nalyse des p riodiques et des pu blications conomiques conomie industrie distribution gestion fiscalit droit social 1979 90 00 op oe ve ep 00 66 H ee Sphinx Insee 1977 99 ce ep 99 ee 90 oo ee conomie g n rale i y mewn worse t 4 WO Assis WU DAT LATE LAVE Mati res date d entr e du fichier Noms des fichiers Serveurs CISI Compagnie inter Sic informations conjoncturelles s ries regroup es en 15 chapitres 1945 iA od frangaises agriculture euploi etc s Alice 2 comptabilit nationale CISI 3 i i Kompass France
58. s de donn es provenant d un terminal ou d un ordinateur LA communication par paquets offre en premier lieu l avantage de permettre une meilleure utilisation des circuits de transmission L acc s au r seau Transpac est possible Soit directement par liaisons sp cialis es Soit par l interm diaire du r seau t l phonique commut ou du r seau t lex La distance entre le terminal et le serveur n influe pas sur les co ts de communication Ceux ci sont seulement fonction du temps pass TRANSPAC EN 1978 et 1981 DIJON ANNECY A O ST ETIENNE CLERMONT FERRAND A BORDEAUX GRENOBLE VALENCE NICE O MONTPELLIER A TOULOUSE MARSEILLE PAU 1978 1981 e Commutateurs Autres points d acc s A pour terminaux asynchrones Rone EURONET RONET D E Ge ae B nombre de paquet ou volume d informations transmises 1 2 3 2 Le r seau EURONET DIANE Le r seau europeen diane d acc s direct l information Diane Information Acc s Network for Europe entr en sevice en 1980 repose sur quatre centres de base dits de communication Paris Londres Francfort et Rome qui forment les noeuds du syst me Il met 1a disposition des usagers des neufs pays de la communaut conomique europ enne plus de 40 serveurs europeens ind p ndants qui donnent acc s quelques bases de donn es dans le domaine de l information scientifiq
59. s langues de description des donn es langage d index ation Th saurus sont presque toutes en anglais m Il est vident que l apprentissage sur une base de donn es est d un co t important pour une cole Les grands serveurs am ricains Loockheed et 5 D C ont une politique comnerciale bien d finie par rapport aux coles de biblioth caires et documentalistes Ils offrent une trentaire de bases de donn es chacun des prix extr r duits pour les coles m me comparativement A ceux accord s par t l syst mes toute institution d ensei gnenent dien l inter t financier utiliser les serveurs am ricairs CONCLUSION Nous avons voulu au cours de cette tude cornaitre Quelles ont t les diff rentes tapes d organisation vers l accessibilit des bases de donn es Conmert a t perqu l int gration de ce nouvel cutil de recherche documentaire dans les biblioth ques et centres de documentation sur quels points pr cis ont port les programmes de formation Tant de questions non exhaustives sur lesquelles nous avons essay d apporter des l ments de r ponse Au terme de ce travail nous sommes bien conscients de n avoir pas puis notre sujet Nous n avons pas par exemple d taill le chapitre de La formation dans les coles de scien ces de l information mais ceci par marque de documents Aucun caract re d finitif
60. ser education in online retrieval systems in Online review vol 2 n 4 dec 1978 p367 374 WANGER J Impact of online retrieval services a survey of users 1974 1976 in systems developement corporation 1976 p 37 48 WILLIAMS M E Education and traning for on line use of data bases In J library automat 1977 10 n 320 334 PRODUCTEUR Xerox University Microfilms Data Courier CNRS Foundation Center HATIONAL FOUND Foundation Center FOUND GRANTS IND Foundation Center GRANTS Oryx Press LIBCON 3 M Library Systems NTIS U S Department of Commerce PASCAL Informascience F SCISEARCH Institute for Scientific Inf 5516 SMmithsonian Science Inf Exch WORLD TRANSINDEX Internat Transl Cter CNRS DEBUT VOLUME dis 1851 643 000 1973 715 000 1979 1 100 ann e 3 200 en cours 1975 20 000 1973 68 000 1 500 1968 2 000 000 1964 765 000 1973 3 600 000 1974 2 970000 1976 250 000 1978 UR CECI IN DEE ES e NL CIN EN EI R f An 656 000 160 000 10 000 170 000 60 000 450 000 400 000 100 000 25 000 acc s Th 1 5 I L T L L S S I L S I T Sp x Le 1 5 aj SS MR NE OR S 72 DOMAINES Th ses am ricaines et autres Meeting Congr s Americain Laboratoires du CNRS Organisme finan ant des rechere ches Organ
61. sitaire formation du personnel d une biblioth que universitaire qui va commencer utiliser le conversationnel dans une U le person nel est d j form 47 La pratique intense de l interrogation est un facteur essen tieldans l efficacit de la recherche d o la necessit d un nombre limit d utilisateurs pour un terminal afin que chacun puisse pratiquer suffisamnent pour acqu rir et am liorer sans cesse sa comp tence 2 2 6 Club d utilisateurs formation mutuelle L volution rapide des syst mes d interrogation et l appari tion de nouvelles bases accessibles en conversationnel est l origire de 1 organisation de groupes d change et d expres sion Ce fait permettra en outre tous les membres de b n ficier de l exp rience de chacun Nous pouvons citer plusieurs clubs dont celui de la DOUA club d utilisateurs de bases de donn es en conversationnel de la r gion Rhone Alpes qui est un exemple d organisation informelle permettant l autofcrmation et l change d exp rien ce C est une des possibilit s avec laquelle il faudra compter pour assurer le suivi apr s la formation initiale et aussi surtout pour la mise jour des connaissances d j acquises l av nement de cette nouvelle technolcgie dans les biblioth ques de m me que la formation dispens e par les producteurs et les serveurs n ont pas t accept g sans difficult probl me d ordre psychologique
62. ste On distingue banques et bases de donn es D une fagon g n rale une banque de donn es est un ensemble d information fich es dans les ordinateurs pour aider la r solution de probl me gr ce l informatique les renseignements sont class s hi rarchis s index s et crois s pour permettre tou les regroupements et les ditions possibles Ces donn es brutes ou analys es sont ensuite diffus es au travers d un r seau qui les transporte du producteur l utilisateur De plus en plus ces r seaux sont en temps r el c est dire accessible par un terminal A distance systeme dit on line 58 50 Il est n cessaire de se rappeler les d finitions plus pr cises apparues dans le journal officiel du 17 janvier 1982 N 14 mc p 624 626 Banque de donn es ensemble de donn es relatif un domaine d fini des connaissances et organis pour tre offert aux con sultations d utilisateurs en anglais data bank 7 Base de donn es ensemble de donn es organis en vue de son utilisation par des programmes correspondant des applications distinctes et de mani re faciliter l volution ind pendante des donn es et des programmes en anglais data base 1 2 Les modalit s d acc s aux bases de donn es L image publicitaire traditionnellement reproduite dans les m dias magnifie la prouesse technique un t l phone un simple petit clavier sur votre bureau
63. tilisateurs sont toujours premiers 40 CHAPITRE II APPLICATIONS A CERTAINES DISCIPLINES edi s 3 1 Formation l interrogation des bases et banques de donr es biom dicales 3 1 1 Centres de documertation L institut national de la sant et de la recherche m dical I N S E R MM a la responsabilit du r seau MEDLINE fran ais Tout centre associ peut interroger directement par termi nal reli une ligne t l phonique les bases et banques de donn es de la National Library of M decine Bethesda aux Etats Unis 31 La formation pr alable n cessaire est dispens e par 1 I M A Information M dicale Automatis e centre de documertation de 1 I N S E R M qui organise p rio diquemert des s minaires de formation l interrogation de MEDLINE et des fichiers sp cialis s de la N L M 3 1 1 1 Les s minaires de formation l interrogation de MEDLINE donnent une initiation l interrogation de trois fichiers couvrant l ensemble du domaine biom dical MEDLINE CATLINE SERLINE Le programme de la formation est surtout centr sur la pr sentation g n rale du syst me et organisation du r seau Le logiciel ELHILL commandes et messages Le m dical sujet Heading MESH Thesaurus de Medline Idexation principes et caract ristiques g n rales 42 conduites d une bonne recherche bibliographique logique bool nne interrogation en l
64. treal 1 3 mai 1980 in d cumentaliste vol 17 n 6 nov dec 1980 MOGHAM D User training for on line information retrieval Systems In SOC Inform Sci 1975 26 n 3 p 184 188 MOUREAU M Les obstacles la mise en place et au forction nement des r seaux d information In Informatique et documentation 1978 n 2 p 3 14 NAVACELLE Marie Christine de Gestion automatis e du pr t Wassy In Bull des biblioth ques de France n 6 juin 1974 p 285 305 PALLIER D L acc s aux documents primaires dans 165 biblioth ques 3 Congr s national fran ais sur l information et la documentation Paris 15 16 mars 1979 ED ADBS AMRT GROUPEMENT DES UTILISATEURS Le point de vue des utilisateurs de bases et banques de donn es IN Documentaliste vol 17 n 6 nov dec 1980 p 216 222 PRATT G The developement of multimedia teaching aids for users of computer based information retrieval systems In program vol 11 n 1 jan 1977 p 10 15 56 57 58 59 60 61 62 63 64 959 4 RETOUR Didier BRANCIARD Anne DOGE et ECODOC deux nouvelles bases de donn es bibliographiques en gestion et conomie IN documentaliste vol 18 n 2 mars 1981 p 75 76 RICHTER Brigitte Pr cis de biblioth conomie acc s aux documents Paris M nchen New York K G SAUR 1980 RIOUX J L Banques d information banq
65. ucture leur utilisation leur performance et Les sevices qu ont peut en attendre 4 2 Processus p dagogique utilis Cet enseignement d bute avec des cours magistraux pour connaitre certaines fonctions de documertation d auto matisation et la terminolcgie li e aux techniques docu mertaires et A l informatique Les tapes principales suivies pour cet enseignement sont les suivantes 4 2 1 Familiarisation avec le mat riel d interrogation le terminal son fonctionnement l utilisation du temps partag Cette familiarisation avec l utilisation du termiral a t b n fique car elle nous a permis d acqu rir une certaire rapidit au clavier avant les exercices pratiques 4 2 2 Utilisation du logiciel documentaire TEXTO Des explications d taill es ont t re ues pour logiciel avant son utilisation Le logiciel TEXTO de la soci t CHEMDATA permet construire g rer interroger des fichiers documentaires en conversationnel Ce logiciel est d apprentissage simple et nous a permis de comprendre la structure d un syst me documentaire auto matis Les tudiants commengent par construire de petits fichiers constitu s de documents dont ils ont choisi 1 forme et les l merts de r f rences exemple r gistre de filiation de l ensemble des tudiants Ilpintroduisent eux m mes ces documents au terminal les modifient les corrigent Il peuvent ensuite i
66. ue technique sociale et conomique 54 1 2 3 3 Autres r seaux internationaux L acc s aux seveurs d Outre Atlantique est facilit par les r seaux internationaux Tymshare et Tymnet qui ont install des concentrateurs en France Le co t moyen est de 4 F 1 minute 40 1 3 Comment utiliser les bases de donn es Apr s les services documentaires automatis s tels que la diffusion selective de l information D S I et la recherche r trospective en differ les derni res ann es ont vu le d veloppement spectaculaire du conversationnel permettant l acc s un nombre sans cesse croissant de bases de donn es par diff rent syst mes d interrogation Les bases de donn es ne sont qu un moyen de trouver une information plus rapidement et d une plus grande fiabilit Il est donc indispensable d utiliser comme pour Les recherches manuelles une m thode strat gique de recherches Les nombreuses possibilit s d interrogation n cessitent de la part de l utilisateur non seulement la connaissance du mat riel d interrogation mais aussi certains choix afin de rendre sa recherche performante rapide et conomique choix des bases des logiciels et des r seaux La technique de l interrogation en conversationnel v ritable dialogue avec la m moire centrale de l ordinateur permet d obtenir les r ponses la question pos e 12 6 1 3 1 Le mat riel d interrogation 1 3 1 1 Le t
67. ues de donn es bases de donn es un essai de clarification des termes In documentation et biblioth ques juin 1981 RISOLI T Introduction in data base searching at the library In Bookmerk 1978 38 n 5 p 261 263 ROLLING Bernard Biblioth que municipale de Strasbourg automatisation du pt t 659 Bull des biblioth ques de France n 12 dec 1977 p 649 SOMERVILLE A M The reference interview incomputer searching In Online vol 1 n 4 oct 1977 p 14 23 TARDIEU H MANDI D conception d un syst me d information construction de la base de donn es Paris Editions d organisation 1979 p 192 TEDD L A Education trancing and marketing for online information retrieval systems In Online review vol 3 n 2 juin 1979 p 205 219 a THIRIET B La formation des utilisateurs la recherche en conversationnelle l exp rience d un centre de documentation en chimie In documentaliste vol 14 n 3 1977 p 8 12 65 66 67 68 69 27942 TOMAS J L Bases de donn es conception r alisation et implantation sur mini ordinateur Paris Masson 1981 p 159 m thode et programme TRUONG THANH XUAN Une analyse des logiciels de gestion documentaire et banque de donn es in documentaliste Vol 18 n 6 nov dec 1981 p 222 225 VICKERRY A Developement of multimedia teaching packages for u
68. x initiation et perfectionnement 47 En France depuis Mars 1980 les sessions de formations r alis es par l Agence Universitaire de l information Scientifique et technique A U D I S T puis par la Direction de l Information Scientifique et Technique D I S T pour les utilisateurs universitaires de bases de donn es et principalement pour le personnel des biblioth ques universitaires ont permis d augmenter l effir cacit de ces actions et en particulier par une cocp ration plus troite avec les producteurs 45 46 La limite de ce type de formation est l acc s d information sur la base elle m me et au contraire l insuffisance sur la strat gie d interrogation La formation la fois sur la base de donn es et le lcgiciel est plus profitable 1 42 2 1 3 2 Connaissances des logiciels d interrogation Ces formations ont surtout acc s au niveau de trois aspects principe de l interrogation commandes l mentaires connexion et d connexion et adaptation du logiciel 1 base Le contenu et la dur e des stages est fonction de cinq niveaux Initiation g n rale Initiation logiciel et base e us Initiation logiciel et perfectionnement base perfectionnement logiciel et initiation base perfectionnement logiciel et base La dur e varie suivant ces niveaux de deux cinq jours 45 46 2 1 3 2 Connaissance des r seaux Ce domaine ne posant pas d amb

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