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1. gt L engagement d un coordinateur MILD La passation du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogue demande un bon planning et une coordination Les villes et communes qui veulent faire l utilisation du Moniteur doivent pour cela engager un coordinateur MILD qui soit responsable de la passation globale du Moniteur La question qui doit tre pos e est de savoir qui peut tre pris en ligne de compte pour occuper cette fonction Une condition importante pour le coordinateur MILD est qu il ou elle doit d tenir un r seau existant au sein des secteurs qui participent la passation du Moniteur Nous indiquions d j que l usage du Moniteur doit tre fait dans tous les secteurs Un coordinateur MILD qui ne d tient pas un r seau actuel au sein de ces secteurs serait alors galement incapable de rendre clair l usage du moniteur pour tous les secteurs C est pourquoi on doit penser avant tout pour le mandat de coordinateur MILD au coordinateur local en mati re de drogues Les villes et les communes qui n ont pas encore mis en place une politique en mati re de drogues int gr e peuvent faire appel pour le mandat de coordinateur MILD au fonctionnaire de pr vention pour autant que la ville ou la commune soit dans le cadre d un Contrat de s curit et de soci t ou un fonctionnaire comp tent dans ces mati res quand ce n est pas le cas Aussi cette personne doit r pondre la condition que celle ci
2. Cons quences du ph nom ne de drogues Le troisi me th me qui tait d j pr sent dans la recherche METAN savoir le Secteur de assistance est directement largi pour la premi re version du questionnaire En effet dans la recherche METAN la seconde partie du Moniteur comporte 4 modules C est pourquoi nous avons d cid de les inclure dans le questionnaire et ainsi lui conf rer ce caract re multidisciplinaire et int gr Donc dans cette perspective le Th me III Actions envers le ph nom ne de drogues a t divis en une partie Pr vention une concernant le Secteur de l assistance une troisi me sur la Justice police et enfin une derni re concernant la Concertation et la collaboration Pour chaque partie ont t abord es la question des nouvelles actions mises en place et la satisfaction g n rale concernant toutes les actions Pour la seconde version du questionnaire la d nomination des produits a t modifi e De toutes parts la remarque a t faite que les noms utilis s pour les produits n taient pas tr s accessibles C est pourquoi la substance s datifs hypnotiques anxiolytiques a t tranform e en M dicaments et d autres noms tels que Opiac s ont t conserv s mais suivis et exemplifi s par une num ration Ensuite le nombre de th mes pr sents dans la seconde version du questionnaire est ramen de quatre
3. Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 34 traitement de l ensemble de ces probl matiques dans les deux villes s lectionn es nous permet de tester l outil dans toutes ses composantes Le Moniteur pourra ensuite tre appliqu dans toutes villes m me celles pr sentant seulement un ou plusieurs modules Ces deux l ments sont pr sents dans les villes de Li ge et Charleroi D autres l ments compl mentaires nous ont guid s dans le choix des deux villes Li ge et Charleroi En effet Li ge et Charleroi sont toutes deux des villes de grande taille au sein desquelles de nombreux services se sont mis en place en ce qui concerne la probl matique de la toxicomanie Cet l ment nous permet de pouvoir compter sur la grande diversit des acteurs de terrain Concernant le choix de la ville de Li ge d pendant directement du volet toxicomanie du Contrat de S curit et de Pr vention de la Ville de Li ge nous pouvons mentionner quatre institutions la Coordination des Actions en Toxicomanie CAT l Observatoire li geois de pr vention et de concertation sur les drogues la centre START MASS Service Transdisciplinaire d Aide et de R duction des risques li s la Toxicomanie Maison d Accueil Socio Sanitaire et le Service d Orientation et de Relais en Toxicomanie SORT Afin de lutter contre la toxicomanie mais aussi contre l exclusion ou la pauvret les structures d velopp es au sein
4. Veranderingen in het sociale politieke en economische leven hebben invloed op de ontwikkelingspatronen en trends in het druggebruik De snelheid kenmerkend voor deze methode waarmee een RSA kan worden uitgevoerd teneinde zicht te houden op vlug wijzigende omstandigheden blijft evenwel afhankelijk van de snelheid waarmee bij bepaalde instanties informatie vergaard kan worden Andere kenmerken van de RSA betreffen onder meer de inductieve benadering waardoor de methodiek zich kan ontwikkelen naar aanleiding van de bevindingen zoals deze worden vastgesteld de flexibele aanpak waarbij de methodiek zich kan aanpassen aan de setting waarin het uitgevoerd wordt en het gebruik van verschillende onderzoekstechnieken om gegevens te verzamelen 2 United Nations Office for Drug Control and Crime Prevention UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1999 1 23 ErrcH C RHODES T HOPE V STIMSON G V en RENTON A The role of rapid assessments methods in drug use epidemiology In United Nations Office on Drugs and Crime Bulletin on Narcotics The science of drug abuse epidemiology New York United Nations 2002 Volume LIV Nos 1 and 2 61 en 66 7 United Nations Office for Drug Control and Crime Prevention UNODCCP o c 23 STIMSON G V FITCH C en RHODES T eds The Rapid Assessment and Response Guide on Injecting Drug Use IDU RAR Geneva World Health Organization
5. De Sleutel Au niveau flamand il y a deux syst mes d enregistrement disponibles qui peuvent donner plus d information propos des activit s au sein du premier module et principalement en ce qui concerne le secteur du bien tre g n ral le VLASTROV registratie un syst me d enregistrement li au Travail de rue effectu en Flandre et le TELLUS registratie du Point d appui du Secteur du Bien tre G n ral Steunpunt Algemeen Welzijnswerk SAW Au niveau flamand un syst me d enregistrement peut tre trouv en rapport avec la pr vention en mati re de drogues le Ginger registratie de l Association concernant l Alcoo l et les autres Probl mes de Drogues Vereniging voor Alcohol en andere Drugproblemen Quatre syst mes d enregistrement au niveau flamand ont un rapport avec le secteur de l aide le Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM le DARTS de l association flamande des centres de traitement et de soins en assu tudes Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslaafdenzorg VVBV ARCADE des Centres de Soins en Sant Mentale Centra voor Geestelijke Gezondheidzorg CGGZ et les rapports annuels de De Sleutel b 3 Syst mes d enregistrement au niveau wallon Bruxelles Capitale Communaut germanophone Au niveau wallon Bruxelles Capitale Communaut germanophone quatre syst mes d enregistrement sont s lectionn s comme compl ment possible de l information r c
6. trois Cela signifie concr tement que les th mes initialement s par s entre Consommation de drogues et commerce d une part et Profil des consommateurs de drogues d autre part ont t assembl s sous un m me th me Consommation de drogues et profil des consommateurs de drogues Le nombre initialement tr s large de questions pour ces deux th mes 32 questions au total a t limit 15 questions Bien que cette r duction de moiti du nombre de questions pourrait faire croire qu une large part des domaines abord s pr c demment sont pass s la trappe cette crainte ne peut tre que partiellement fond e En effet si toutes les questions concernant les diff rents domaines de la vie n ont plus t reprises comme des questions sp cifiques ces mati res sont toutefois encore bien pr sentes aux questions 14 et 15 dans lesquelles sont sond es les volutions per ues concernant le Profil des consommateurs de drogues Plus loin des questions concernant le prix des diff rents produits et la qualit des diff rents produits ne sont plus conserv es dans le sens o l quipe de recherche consid rait que les volutions pour ces domaines ne peuvent tre saisies uniquement au sein d un contexte local ci VANDERPLASSCHEN W MOSTIEN B CLAEYS P RAES V en VAN BOUCHAUTE J Conceptnota Organisatiemodel Zorgcircuit Middelenmisbruik Gent Orthopedagogische reeks 2001 nr 12 p 38
7. EN VANDER LAENEN F Nuisances li es aux drogues dans le contexte local de huit communes flamandes et wallonnes Bruxelles Politique Scientifique F d rale 2004 pp 110 120 245 KHLEUVEN DEPARTEMENT SOCIALE SCHOOL HEVERLEE Gegevensverzameling welzijn en gezondheid in Vlaams Brabant Eindrapport Leuven Provincie Vlaams Brabant Directie Welzijn en Huisvesting Dienst Welzijn en Gezondheid 2005 29 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 167 b 1 Syst mes d enregistrement au niveau national Quatre syst mes d enregistrement produisent des donn es qui sont r colt es jusqu pr sent au niveau national les donn es psychiatriques minimales de la module bien tre g n ral et sant les Sfatistiques polici res de criminalit les Statistiques annuelles du Parquet G n ral et le Moniteur de S curit de la module s curit b 2 les syst mes d enregistrement au niveau flamand Au niveau flamand sept syst mes d enregistrement ont t s lectionn s pour le Moniteur VLASTROV registratie TELLUS du CAW Ginger du VAD le Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM DARTS de l association flamande des centres de traitement et de soins en assu tudes Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslaafdenzorg VVBV ARCADE des Centres de Soins en Sant Mentale Centra voor Geestelijke Gezondheidzorg CGGZ et les Rapports annuels de
8. Een andere respondent gaf blijk van interesse maar heeft uiteindelijk nooit een ingevulde vragenlijst teruggestuurd Een andere gecontacteerde stakeholder heeft naast een eigen exemplaar ook een vragenlijst laten invullen door een collega Concreet houdt dit in dat in totaal vijfentwintig potenti le respondenten werden opgetekend voor de eerste afname waarvan in totaal negentien ingevulde vragenlijsten werden ontvangen Voor de Stad Gent werden in totaal vijfentwintig potenti le stakeholders gecontacteerd Hierna volgt de verdeling per module 1 module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 11 2 module preventie 5 3 module drug hulpverlening 4 4 module veiligheid 5 Het feit dat in de eerste module veel meer respondenten zitten valt te verklaren door de eenvoudige reden dat in Gent deze module veel uitgebreider is dan de andere modules welke tevens veel specifieker gericht zijn op het thema De verdeling per module per individuele gemeente kan in iedere gemeente anders zijn dit vanwege de specifieke organisatie binnen een gemeente stad MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 76 4 1 1 3 Resultaten A Stakeholders Van de vijfentwintig gecontacteerde potenti le stakeholders kregen we in totaal negentien ingevulde vragenlijsten terug Verdeeld volgens module krijgen we dan volgende verdeling van ingevulde vragenlijsten 1 module
9. Les r pondants ont t bien moins nombreux que ce qui avait t envisag seuls 11 questionnaires compl t s ont t r ceptionn s Ces r pondants font partie de l ensemble des modules coordinateur d un centre de d pistage des maladies sexuellement transmissibles un pharmacien un professionnel de la justice un coordinateur d un centre d h bergement un repr sentant des commer ants de la ville de Charleroi un membre du pool Stup fiants de la police locale des professionnels travaillant dans le cadre des contrats de s curit et de pr vention La r partition entre les diff rents modules est la suivante Module 1 Bien tre g n ral et sant 1 Module 2 Pr vention 3 Module 3 Assistance 4 Module 4 S curit 3 3 1 1 4 Evaluation Comme cela a d j t explicit dans la description du processus de passation tel qu il s est d roul Charleroi les difficult s ont t nombreuses Une large partie des membres de la Coordination Drogue Elargie qui faisaient partie du c ur des personnes interrog es lors de cette premi re passation ont refus de r pondre au questionnaire pour des raisons d crites ci dessus De ce fait le nombre de questionnaires compl t s a t peu important l analyse de ces questionnaires nous avons toutefois pu rer certaines conclusions quant la qualit de l outil et ce en vue de son am lioration pour la seconde pass
10. aide dans la r gion de Charleroi participant l enqu te Enqu te pid miologique elle permet de conna tre la population des usagers de drogues en contact avec des services de la r gion de Charleroi Seuls les usagers de drogues illicites sont enregistr s Les r sultats sont transf r s dans le cadre du partenariat Multivilles du Conseil de l Europe et envoy s galement Eurotox B Concr tement Il s agit d un enregistrement de donn es dont on observe l volution Cet enregistrement est p riodique l enregistrement recommence z ro au d but de chaque p riode et permanent les p riodes s encha nent sans discontinuit La p riode actuellement adopt e est l ann e civile La m thodologie utilis e ici est l enqu te quantitative L instrument est le questionnaire standardis avec items ferm s L ensemble des services participant l enqu te sont le C C D le C A T D le C S M Diapason de m decins g n ralistes le S I C U P de Vincent Van Gogh Transition Trempoline Se sont ajout s partir de 1999 les services suivants Unisson Alter Ego Carolo Rue Cet ensemble bien qu il soit limit est assez diff renci Cependant il est essentiellement constitu de services sp cialis s en mati re de toxicomanie La population enregistr e est compos e d usagers r pondant aux crit res suivants usage de produits psychotropes illic
11. ajouter syst matiquement la liste tablie la modalit autre Cette possibilit de r ponse permet de v rifier apr s coup si l ventail propos s est r v l suffisamment repr sentatif Si le pourcentage des r ponses autre est lev on peut conclure que les possibilit s de r ponse taient insuffisamment chantillonn es Les modalit s d abstention ont t tablies pour la seconde version du questionnaire En ce qui concerne les cat gories autre elles ont t syst matiquement incluses dans les listes d items propos s Pour celles ci il est galement demand aux r pondants de pr ciser la nature de cet autre MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 39 1 5 LIBELLE DES QUESTIONS Certaines r gles pr cises doivent tre respect es pour la construction d un questionnaire et de ses questions En effet le libell des questions peut avoir de fortes r percussions sur le contenu des r ponses apport es selon le poids motionnel qui est conf r aux mots contenus dans la question Une question est pos e pour obtenir une information d un type particulier sur les faits sur les opinions et doit alors tre formul e de telle fa on obtenir une r ponse contenant cette information Les questions doivent tre r dig es dans un vocabulaire simple et qu elle puisse tre comprise de la m me fa on pa
12. collaboration concertation Dans le cas o l interview a lieu dans une ville ou une commune o il est d j question d une politique int gr e en mati re de drogues les conditions d crites se retrouvent normalement dans les trois modules Si ce n est pas le cas nous pouvons dire que la conversation a une fonction de signal d alerte il est n cessaire de revoir les conditions utilis es Dans le cas o l interview a lieu dans une ville ou une commune o il n a pas encore t question d une politique int gr e en mati re de drogues les modules propos s peuvent alors tre une source d inspiration pour cerner les conditions n cessaires pour un d veloppement satisfaisant d une politique int gr e en mati re de drogues 1 3 D cision Avec le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues il est possible d affiner une image toute fragmentaire du ph nom ne de drogues tant en largeur par Penregistrement de nouvelles informations issues des personnes ressources qu en profondeur par l analyse des donn es des syst mes d enregistrement au niveau local Une telle image plus large et plus pointue en ce qui concerne le ph nom ne de drogues rend alors possible une professionnalisation plus approfondie de la politique int gr e et locale en mati re de drogues Avec l aide du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues on porte une attention aux dispos
13. il structure l interrogation mais ne dirige pas le discours Ce guide d entretien a pour objectif d obtenir un discours librement form par l interview 203 tout en r pondant aux questions de la recherche La grille d entretien a t construite sur base de celle qui avait montr son efficacit et sa pertinence dans le cadre de la recherche METAN Elle se base sur trois concepts proches mais distincts la coordination la concertation et la collaboration Ces trois termes peuvent tre d finis de la mani re suivante La concertation en mati re de toxicomanie concerne les diff rents partenaires issus de tous les secteurs concern s par la probl matique des drogues afin de faire le point sur la situation d terminer les besoins et renforts n cessaires pour lavenir Cette concertation se base sur l change d id es et de r flexions sur la situation v cue par les partenaires Les responsables des secteurs qui sont li s aux mati res de drogues par cette concertation envisagent et mettent en place des pistes de collaboration Une collaboration entre diff rents partenaires se met en place en vue d une action commune d une situation concr te Elle est la construction d un axe de travail commun entre partenaires aux contextes professionnels diff rents par exemple entre la justice et le secteur de l aide en mati re d assu tudes La coordination elle est l assemblage de l ensemb
14. l int gralit du probl me et 3 la port e du probl me Concernant le niveau de comp tence une r ponse doit tre trouv e la question le probl me doit il tre r solu au niveau local ou au niveau supra local Si le probl me doit tre r solu MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 172 au niveau supra local par exemple un l ment de l organisation pour l aide en mati re de drogues le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues donne un signal d alerte l autorit comp tente S1 le probl me se situe au niveau local la question pos e a un rapport avec l int gralit du probl me Cela pose t il un probl me sp cifique au secteur ou d passant le secteur Si la solution du probl me se trouve dans un secteur sp cifique le Moniteur envoie un signal d alerte au secteur en question Dans le cas o le probl me d passe le niveau sectoriel une troisi me question doit tre pos e qui concerne la port e du probl me Cela pose t il un probl me structurel ou un probl me ad hoc Quand il s agit d un probl me structurel une approche sous forme d une mesure politique doit tre pr vue pour autant que celle ci soit pr sente au niveau local Sinon une solution sera trouver dans l organe de coordination S il s agit par contre d un probl me ad hoc une approche sous forme d un projet
15. 0 0 44 4 1 8 35 3 3 Poly consommation 0 0 28 8 0 0 41 7 0 0 2 9 10 1 50 7 2 5 31 0 nn Leman 60 19 0 00 40 0 00 11 1 00 5 5 00 21 3 2 volutions dans le profil 53 6 0 0 75 0 0 0 66 6 0 0 66 6 0 0 65 4 0 0 1 Cons quences pour la sant 0 0 19 0 0 0 66 6 0 0 55 5 0 0 44 4 0 0 42 6 publique II 2 Nuisances l ordre public 3 1 20 6 7 5 46 6 2 9 22 8 5 9 33 5 4 8 30 9 3 Nuisances criminelles 12 2 22 3 10 2 46 8 1 3 26 5 2 0 54 2 25 7 37 4 1 Actions pr vention 9 3 0 2 20 0 6 6 25 0 19 4 50 0 5 6 26 1 7 9 2 Actions aide etassistance 22 8 1 0 40 0 13 3 37 5 4 2 18 7 3 5 29 7 5 5 IV 3 Actions Police et Justice 17 1 11 4 36 0 2 7 40 0 26 6 40 0 6 7 33 3 11 8 4 Actions EE 17 1 6 7 36 0 2 7 33 3 0 0 40 0 6 7 31 6 10 7 collaboration Total gt 11 3 14 3 19 8 28 3 17 2 15 9 19 4 25 0 18 4 21 3 G n ralit s la lecture du tableau ci dessus on constate que l ajout de la modalit de r ponse sans avis entra ne une diminution moyenne du taux de non r ponses pour l ensemble du questionnaire d environ 10 De ce constat nous ne pouvons conclure que la perception moyenne a augment si nous additionnons la moyenne des r ponses sans avis nous a
16. Avec ces donn es il est alors possible de mieux visualiser cet aspect du ph nom ne de drogues et sur base de ces donn es d anticiper la politique locale A l inverse le raisonnement se pr sente aussi il n existe pas un seul syst me d enregistrement en Belgique qui comprenne des donn es concernant les actions locales en mati res de pr vention En regard du fait qu un des sous th mes du questionnaire interroge les perceptions propos des actions locales en mati re de pr vention on peut dire ici aussi qu une lacune est combl e et que la politique a sa disposition cette information 1 2 L valuation par volet du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Le moniteur est compos de trois parties dans lesquelles tant des donn es quantitatives que qualitatives sont r colt es Dans la premi re partie des donn es qualitatives sont r colt es propos du ph nom ne de drogues au moyen de la consultation des personnes ressources Ici sont abord es les informations propos des aspects du ph nom ne qui ne sont pas reprises dans les syst mes d enregistrement et d autre part sont interrog es les impressions subjectives propos des tendances et des volutions Par cette consultation est fait l usage aussi souvent que possible de questions ferm es pour r colter l information Les informations du second volet les donn es quantitatives sont reli es aux premi res et qui sur bas
17. B Opmerkelijke resultaten 77 4 1 1 4 Evaluatie 78 A Stakeholders 78 B Opmerkelijke resultaten 78 4 1 2 OOSTENDE 79 4 1 2 1 Procedure 79 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 4 1 2 2 Respondenten 4 1 2 3 Resultaten 80 A Stakeholders 80 B Opmerkelijke resultaten 80 4 1 2 4 Evaluatie 81 A Stakeholders 81 B Opmerkelijke resultaten 81 4 2 TWEEDE AFNAME 82 4 2 1 GENT 82 4 2 1 1 Procedure 82 4 2 1 2 Respondenten 82 4 2 1 3 Resultaten 82 A Stakeholders 82 B Opmerkelijke resultaten 83 4 2 1 4 Evaluatie 84 A Stakeholders 84 B Opmerkelijke resultaten 85 4 2 2 OOSTENDE 86 4 2 2 1 Procedure 86 4 2 2 2 Respondenten 86 4 2 2 3 Resultaten 86 A Stakeholders 86 B Opmerkelijke resultaten 86 4 2 2 4 Evaluatie 88 A Stakeholders 88 B Opmerkelijke resultaten 88 Chapitre 5 Les consommateurs de drogues 89 Chapitre 6 Manuel d utilisation 90 Hoofdstuk 7 Mogelijkheden voor de analyse van de resultaten 92 Deel 3 Fenomeenindicatoren 94 Hoofdstuk 1 Methodologie 94 Hoofdstuk 2 De verschillende registratiesystemen 9 2 1 NATIONAAL NIVEAU 9 2 1 1 1 MODULE ALGEMEEN WELZIJNSWERK amp GEZONDHEIDSWERK_ 96 2 1 1 1 Minimale Psychiatrische Gegevens 96 A Algemeen 96 B Concreet 97 C Minimale Toxicomanie Gegevens 98 2
18. Cette strat gie multidisciplinaire est galement consid r comme plan d action europ en voir EU Action Plan on Drugs l La remarque concernant ces produits a t formul e par l ensemble des membres du comit d accompagnement qui ont donn suite aux sollicitations des chercheurs oe GRUTER P VAN DE MHEEN D Coca nehandel in Nederland Impressies van deelnemers aan drugdistributienetwerken Rotterdam IVO 2005 p 84 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 45 Outre ce passage de 4 th mes 3 th mes la structuration du questionnaire a galement t modifi e La fa on dont les questions se suivent a bien entendu une importance Il s agissait donc d viter les effets possibles de la structure sur les r ponses Bien que de tels effets interviennent moins dans le cadre des enqu tes par crit les r pondants ayant la possibilit de lire toutes les questions avant d y r pondre il s agissait toutefois de r fl chir une construction la plus logique pour le questionnaire C est pourquoi deux th mes de ce questionnaire ont t intervertis De cette fa on le ph nom ne de drogues est tout d abord enti rement pass en revue avant d aborder les actions prises l gard du ph nom ne de drogues Pour cette seconde version du questionnaire la possibilit de r ponse Sans avis ou Pas d id e a t
19. Pour la seconde version du questionnaire les questions portant sur les volutions sont ramen es aux trois cat gories de r ponses initiales a augment est rest stable a diminu La possibilit de r ponse Sans avis est abandonn e cause de l effet pr c demment explicit Les deux autres modalit s de r ponse nouveau pas consomm sont trait es dans d autres questions Plus loin le Barom tre a galement servi de mod le pour le score inscrit par le r pondant lui m me de sa connaissance ou de sa familiarit avec les th mes abord s Un score similaire tait aussi demand aux r pondants du Barom tre l indice de confiance tait lui demand pour chaque question Parce qu il a t d cid que tous les r pondants recevaient le m me questionnaire il est n cessaire que les r pondants puisse s valuer eux m mes afin qu ils puissent directement indiquer la valeur qu ils accordent leur r ponse donn e Vu que le projet MILD a un lien avec les nuisances li es aux drogues la recherche Drogues et nuisances constitue galement une autre source d information importante Dans la premi re version du questionnaire le Th me IV Cons quences du ph nom ne de drogues comporte une partie sur les Cons quences pour la communaut Cette partie du questionnaire aborde les Perceptions des nuisances li es aux drogues de la question 52 la questio
20. abandonn e pour la majorit des questions Les raisons qui expliquent cette d cision sont qu il est l gitime pour un questionnaire qui est soumis des r pondants s lectionn s en fonction de leur expertise de les obliger prendre une certaine position En effet l effet du filtre Sans avis s l ve environ 20 pourcent Un effet de cette ampleur est consid rable Quand ce filtre est offert on peut alors s attendre garder encore moins de r pondants qui donneront une r ponse substantielle toutes les questions Il faut toutefois remarqu que le filtre Sans avis est conserv pour les questions concernant les diff rentes actions envers le ph nom ne de drogues En effet le fait d avoir conserv le Sans avis pour cette partie s explique par le fait que les r pondants interrog s n ont pas toujours une connaissance des autres domaines non directement li s leur propre profession Enfin il doit tre galement encore remarqu que pour la seconde version du questionnaire une attention particuli re a t accord e l uniformit entre le questionnaire flamand et francophone La premi re version du questionnaire avait t justement critiqu e sur ce point Pour viter des erreurs similaires l assistance d un traducteur professionnel a t sollicit e Le Barom tre toxicomanie instrument d velopp par l Universit de Li ge a galement constitu une au
21. amp alcohol 5 methadon amp medicatie 6 amfetamines amp benzo s 7 hero ne amp cannabis 8 cannabis amp XTC 9 stimulantia speed amp XTC 10 hero ne amp coca ne amp cannabis 11 methadon amp alcohol en 12 cannabis amp methadon Bij vraag 11 werd gepeild naar de nationaliteit van respectievelijk recreatieve en problematische gebruikers De stakeholders werd gevraagd een leeftijdscategorie aan te duiden Op deze vraag gaven respectievelijk zeven en acht respondenten geen gevolg aan deze vraag Maar liefst elf respondenten op dertig meer dan 1 3 laten vraag 17 in verband met criminele overlast dealen onbeantwoord Van de negentien respondenten die deze vraag wel invulden waren de antwoorden wel meer gelijklopend dan dat bijvoorbeeld in Gent het geval was Ook het onderdeel verwervingscriminaliteit in vraag 18 wordt gekenmerkt door MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 80 een hoge non respons Van de in totaal dertig ingevulde vragenlijsten lieten dertien stakeholders de vraag open wat betreft de meest voorkomende vormen en plaatsen Hetzelfde geldt voor de vraag naar de evolutie van verwervingscriminaliteit waar eveneens dertien stakeholders niets aanduidden Bij vraag 22 naar een eventueel andere aanpak van de preventieve acties in de stad geven zes respondenten geen antwoord In totaal geven dertien respondenten geen verdere ve
22. avaient pas non plus t contact s pour cette premi re phase de passation En rapport avec le secteur de l assistance Module 3 l ensemble des services gravitant autour de la consommation de drogues situ s sur la ville de Charleroi ont t contact s tout comme le centre d accueil de crise le service d urgence sociale les centres d accueil de jour et de nuit Enfin en ce qui concerne les acteurs dans le cadre de la s curit et des nuisances dans le cadre de la justice les acteurs au sein du Palais de Justice s occupant plus particuli rement MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 64 des probl matiques li es la toxicomanie ont t contact s La maison de Justice de Charleroi a t contact e et deux personnes qui s occupent plus particuli rement au sein de celle ci de consommateurs de drogues ont re u galement le questionnaire Concernant la probl matique des nuisances il a t d cid de toucher galement les repr sentants des quartiers de la ville de Charleroi ainsi que les repr sentants des commer ants Des contacts avec l administration communale de Charleroi et des recherches via Internet ont permis de pointer quelques personnes ressources notamment le repr sentant des commer ants de Charleroi Centre ainsi que les services de l ASBL Charleroi Centre ville 10 3 1 1 3 R sultats R ponses obtenues
23. cadre pour tablir des contacts et de recevoir rapidement l information En prenant en consid ration la mise en place p riodique de cet entretien il est plus int ressant d insister dans la conversation sur les volutions et les changements intervenus dans la ville ou la commune concernant les trois notions clefs coordination concertation et collaboration L interview est par contre incontournable pour les villes et les communes pour lesquelles il n est pas encore question d une politique int gr e locale en mati re de drogues les th mes pr sents dans le guide d entretien peuvent alors donner forme une politique int grale et structurelle en mati re de drogues supposer qu une passation du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues ait t r alis e dans la ville ou commune concern e l interview peut dans ce cadre tre organis e ou bien si des probl mes avaient t signal s lors de la passation pr c dente savoir ce que les r unions pr vues au niveau de la politique locale ont provoqu en se d tachant alors de la grille d entretien sans rester fig dans les trois notions clefs coordination concertation collaboration MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 169 Pour rendre utile pour les passations futures du Moniteur les informations qui apparaissent de cette consultation p riodique
24. cessaires Ils doivent tre faciliter un passage du Moniteur gt MILD A partir du niveau supra local il s agit de pr voir une indemnit financi re afin de veiller ce que le Moniteur soit appliqu correctement Il semble que le VSP prennent la responsabilit pour une coordination financi re de MILD Les villes et communes qui veulent faire l utilisation du Moniteur doivent pour cela engager un coordinateur MILD qui soit responsable de la passation globale du Moniteur Une condition importante pour le coordinateur MILD est qu il ou elle dispose d un r seau existant au sein des secteurs qui participent la passation du Moniteur de telle sorte que l usage et l utilit du Moniteur soit claire pour tous les r pondants Il est n cessaire de d signer par secteur participant un responsable Ce responsable sectoriel clarifiera apr s une concertation initiale avec le coordinateur MILD les objectifs et la plus value de la consultation des personnes ressources aux membres de son secteur afin de s assurer les moyens mis la disposition du Moniteur ainsi que l implication du secteur Ce responsable aussi dispose d un r seau existant dans le secteur concernant Le coordinateur MILD doit en concertation avec les autorit s locales et les responsables sectoriels tablir un planning territoire concern et temps imparti pour la passation du Moniteur Apr s le d roulement de la consultation des personnes
25. du moniteur doivent tre remplies est donn e Ce volet d finit la personne qui les donn es du Moniteur sont destin es finalit publique o et qui s adresser pour r colter l information sources d information comment l information peut tre obtenue quelles techniques solliciter quel objectif est poursuivi et enfin ce que repr sente la finalit de la r colte de ces informations Dans le volet inf rieur des figures ci dessus trois colonnes sources d information m thodologie objectif seront concr tis es plus en avant dans le rapport Ici au sein des piliers de la politique int gr e men e sont indiqu s o les donn es qualitatives et quantitatives peuvent tre r colt es Les piliers de la politique int gr e se r partissent en quatre modules 1 bien tre g n ral et politique de sant 2 politique de pr vention 3 secteur de l aide et 4 s curit 1 3 5 OBJECTIF DU RAPPORT FINAL Ce rapport final d crit la r alisation et les phases de passations du Moniteur dans deux villes flamandes et wallonnes Outre l valuation de ces phases de passation il est important que l valuation de l outil s effectue Pour cette valuation il n est pas seulement important d valuer l instrument en lui m me mais galement le processus par lequel s est effectu la passation de l instrument La combinaison de ces deux moments d valuation doit nous mener une conclusion
26. ensuite permis de dresser une liste des personnes cl s interroger dans le cadre de la recherche MILD A la suite de cela des contacts t l phoniques personnalis s ont t pris avec chaque personne de cette liste avant l envoi du questionnaire Les r ticences de la Coordination drogue concernant la recherche MILD taient d j perceptibles au premier rendez vous Ces r actions portaient avant tout sur l aspect des nuisances li es aux drogues D apr s les propos du Coordinateur Drogues les nuisances ne seraient pas li es aux drogues directement mais au ph nom ne de la pr carit et aux contextes sociaux En termes de nuisances li es aux drogues nous allions galement selon lui tre confront s aux fantasmes des r pondants par rapport aux consommateurs de drogues En effet les d lits et perturbations au bien tre collectif sont comme il l a d j t soulign souvent attribu s aux consommateurs de drogues par la population non consommatrice alors que dans la r alit les faits ne l attestent pas syst matiquement Voici un extrait de l ouvrage Drogues et nuisances clairant sur ce point Tu vois toi tu es avec ceux du fond du panier Dedans y a d abord l ouvrier puis en dessous le ch meur et encore un peu en dessous le minimex Et le toxicomane lui il est vraiment dans le fond du fond tu vois ce que je veux dire D Donc outre la peur irrationnelle que les citoyens non consom
27. matique de drogues ill gales Recherche concernant l op rationnalisation du concept dans un contexte l gal Gent Academia Press 2005 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S en TUTELEERS P Drugs en Overlast Studie van het fenomeen de beheersing en de effecten van druggerelateerde overlast en dit vanuit verschillende invalshoeken Gent Academia Press 2004 DE RUVYER B PELC I CASSELMAN J GEENENS K NICAISE P FROM L VANDER LAENEN F MEUWISSEN K en VAN DICK A Drugbeleid in cijfers Een studie naar betrokken actoren overheidsuitgaven en bereikte doelgroepen Gent Academia Press 2004 500 p DILLMAN D Mail and Internet surveys The Tailored Design Method New York John Wiley amp Sons 2000 EMCDDA Annual report on the state of the drugs problem in the European Union and Norway 2002 EUROPEES WAARNEMINGSCENTRUM VOOR DRUGS EN DRUGSVERSLAVING Recreatief druggebruik een belangrijke uitdaging voor de EU Drugs in beeld Lissabon 2002 Evidence based gezondheidspromotie praktijk beleid en onderzoek Symposium VIG 8 oktober 2004 URL http www vig be content pdf VIG_symp04_abstracts pdf 9 p GEZONDHEIDSBELEID DRUGS Driejaarlijks rapport 2001 2002 2003 FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu Dienst Psychosociale gezondheidszorg 2004 GRUTER P VAN DE MHEEN D Coca nehandel in Nederland Impressies van deelnem
28. n raux concernant le passation du Moniteur 1 la division des services concern es et r pondants dans les quatre modules du Moniteur et 2 la r sistance contre la notion mesurage du nuisance chez principalement des r pondants wallons 1 Le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues sonde des donn es chez des personnes ressources et rassemble l information des diff rents syst mes d enregistrement dans quatre modules Bien tre g n ral et sant Pr vention Secteur de l aide et S curit Pour faire possible un passage du Moniteur les services et les r pondants li s doivent tre partag entre ces quatre modules Pour la majorit de ces services c tait vident pour quelques autres services ce n tait pas si facile Ici nous d crions un exemple qui se passait avant la passation du Moniteur dans les villes pilotes concernant la division des personnes ressources dans les modules La question que nous nous posions tait o est ce que nous mettrons le coordinateur de drogues locale Il tait certain qu il ne devait pas tre mis dans les modules secteur de l aide et bien tre g n ral amp sant Les membres dans le module s curit travaillent touts chez la police et justice ou une service semblable Le module que nous restait tait celle du pr vention finalement c tait possible de justifier le choix pour mettre le coordinateur de drogues dans ce module parce que la pr
29. questionnaire Les cognitions conditionnent les jugements Il est opportun avant de poser une question de ce type de cerner l tat de connaissances pr alables du r pondant Dans le cas du questionnaire de la recherche MILD les donn es de fait apparaissent exclusivement sur la page de garde Les questions pr sentes portent exclusivement sur le domaine professionnel les indications concernent la fonction exerc e du r pondant ainsi que le nombre d ann es d exp rience qu il a prest ce poste Le th me II concernant les Cons quences du ph nom ne de la drogue oscille entre le recueil de faits et le recueil de jugements subjectifs ce qui lui donne sa richesse mais galement son ambivalence 7 D finition valuations directes mises propos de l un ou l autre objet probl matique 7 D finition dispositions plus ou moins profond ment ancr es l gard d objets probl matiques consistants et relativement permanents MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 37 Le th me II du questionnaire MILD portant sur les Actions concernant le ph nom ne de la drogue contient davantage des questions de cognitions En effet il est souvent primordial de cerner les connaissances de la personne avant de lui poser les questions portant plus pr cis ment sur le sujet La structuration du th me III respecte cette marche suivre la connai
30. re de Drogues 123 villes et communes les documents politiques pour faciliter l interview sont tr s limit s ou n existent pas L information donn e par cette interview est tout ce qui est disponible A c t de cette information le guide d entretien a un autre objectif on peut utiliser ce guide pour base des th mes donn s mettre en marche une politique en mati re de drogues int gral et structurel En ce qui concerne les entretiens r alis s en Wallonie Li ge et Charleroi il est vrai que des documents tels que des rapports d activit s ont apport une information quasiment identique en ce qui concerne le fonctionnement du r seau et plus largement concernant les indicateurs structurels Ce fut d ailleurs le cas suite l entretien r alis Charleroi o les documents remis par l quipe reprenaient la fois l historique des d marches et les axes de travail De plus organiser un entretien avec le Coordinateur du Plan Drogue de la ville peut s av rer tre lourd pour cette personne qui collabore d j par ailleurs au processus de recherche pour la passation du questionnaire par exemple Pourtant m me si l apport d informations semble limit cet entretien permet de cerner les volutions tr s r centes qui ne sont peut tre pas encore couch es sur papier Cet entretien permet galement de prendre connaissance d l ments parfois plus informels qui peuvent influencer le fonctionneme
31. s van een mespuntje fantasie Een model voor lokaak drugbeleid gericht op beheersbaarheid van ongewenste neveneffecten van druggebruik onder prohibitie Rotterdam IVO Faculteit der geneeskunde en gezondheidswetenschappen Erasmus Universiteit Rotterdam 1993 77 HENNEN C LEMAITRE A BORN H SCHLITZ C N 0 c 69 85 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 134 2 2 Procesevaluatie per luik van de Monitor a Stakeholderbevraging De bevraging van de sleutelrespondenten is het belangrijkste onderdeel van de Monitor Deze bevraging gebeurt bij personen die te maken hebben met het drugsfenomeen in lokaal opzicht De perceptie van deze personen de zgn stakeholders is een belangrijke indicator voor trends en veranderingen op vlak van het drugsfenomeen binnen de lokale context De resultaten die tijdens de proefafname in de pilootsteden naar voor kwamen geven aan dat nieuwe trends kunnen worden waargenomen door de perceptie van de stakeholders waardoor zij zeker als knipperlicht kan werken ten aanzien van opkomende trends binnen het drugfenomeen Toch is de evaluatie van deze percepties niet vanzelfsprekend de sleutelfiguren of stakeholders die de vragenlijsten invulden zijn afkomstig uit vier verschillende modules van sectoren die verband houden met het drugfenomeen De vragenlijst zelf peilt naar verschillende aspecten van het drugfenomeen waar respondenten uit be
32. samenwerking van alle actoren noodzaakt is het belangrijk om de monitor zo breed mogelijk te houden met aandacht voor elk facet van de problematiek De monitor moet hierbij vanuit twee invalshoeken bekeken worden druggebruik en de brede maatschappelijke gevolgen ervan en druggerelateerde overlast binnen het breder kader van de overlastproblematiek Een dergelijke brede monitor past in een verbrede invulling van de harm reduction gedachte Hierbij wordt niet uitgegaan van de vooral in de westerse ge ndustrialiseerde landen nog steeds predominante focus op het teweeg brengen van veranderingen in individueel risicogedrag maar wel van visie op harm reduction die vertrekt vanuit de bredere risico omgeving In plaats van een individuele gedragsgerichte benadering wordt gekozen voor een ecologische benadering die noodzaakt te kijken naar niet gezondheidsgeori nteerde factoren of interventies Hierbij moet opgemerkt worden dat wat betreft de monitoring van druggebruik en evoluties daarvan al vaak is aangetoond dat dit een moeilijke opgave is Druggebruik is doorgaans immers een illegale en sociaal gestigmatiseerde gedragsvorm I5 SNIPPE J HOOGEVEEN C en BIELEMAN B Monitor drugsproblematiek justitie Definitiestudie en ontwikkeltraject Groningen Intraval 2000 1 2 16 HARTNOLL R HENDRIKS V M en MORRIVAL M The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 4 17 DECONINCK
33. t communiqu s et par cons quent les r ponses obtenues ont t moins nombreuses que nous aurions pu l imaginer Les personnes qui ont r pondu et renvoy leur questionnaire sont au nombre de 12 La r partition entre les diff rents modules est la suivante Module 1 Bien tre g n ral et sant 3 Module 2 Pr vention 3 Module 3 Assistance 5 Module 4 S curit 1 3 2 2 4 Evaluation Parmi les personnes qui ont r pondu au questionnaire beaucoup de pr cisions sont apport es par les questions ouvertes qui jalonnent le questionnaire et visent compl ter l information recueillie gr ce aux questions ferm es Les r pondants ont pris le temps de pr ciser leurs pens es en ajoutant par crit des commentaires personnels Par contre le th me 4 portant sur les Actions l gard du ph nom ne de drogues n est que tr s rarement compl t MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 72 Hoofdstuk 4 Afname van de vragenlijsten in de pilootsteden in Vlaanderen 4 1 EERSTE AFNAME 4 1 1 GENT 4 1 1 1 Procedure Alvorens de vragenlijst effectief af te nemen en daarmee de stakeholderbevraging op te starten in de twee pilootsteden werd de vragenlijst uitgetest er werd met andere woorden een pretest van de vragenlijst georganiseerd Bij het uittesten van een vragenlijst kan het onderscheid worden gemaakt tussen het p
34. vention est une des finalit s plus importantes du groupe de coordination de drogues local Pour viter des malentendus quand des villes et communes lui m me pr voient une passation MILD nous avons d velopp une liste pas limit o tout les services possibles o il y a des r pondants possibles pour la passation du questionnaire des personnes clefs sont ramass s par module MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 158 2 Une deuxi me constatation importante tait la r sistance que nous avons prouv e apr s la premi re passation dans principalement les villes pilotes wallons Cette r sistance tait bas e sur le mesurage du concept nuisance Selon les r pondants ce n tait pas possible de d finir de la nuisance et comme a ce n tait pas possible de mesurer C est pour cela qu ils ne comprenaient pas l utile de participer avec un moniteur qui a le but de dresser la carte des formes de la nuisance par une sonde de perception Par cette r sistance les questions concernant les formes de nuisance ont t raffin et la cat gorie de r pondre sans avis a t ajout e toutes les questions ferm es Quand m me nous pouvons indiquer via quelques recherches tranges que le mesurage des formes de nuisance de drogues peut donner une plus value la vue int grale sur le ph nom ne de drogues local Ces recherches sont touts
35. zijn er nog drie respondenten die geen reden noteerden voor de potenti le andere aanpak Van de acht MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 77 respondenten die hierover geen uitspraak deden zijn er zeven die ook geen reden noteerden voor het feit dat zei geen uitspraak deden hierover Er zijn dus zeven respondenten die op de hele vraag niets hebben ingevuld Gelijkaardig aan vraag 30 werd bij vraag 34 gevraagd naar een eventueel andere aanpak van het overleg en samenwerking Op deze vraag zijn zeven respondenten niet verder ingegaan Van de twaalf respondenten die wel of niet voor een andere aanpak kozen gaven vier respondenten geen verdere verklaring hiervoor Van de zeven respondenten die geen ja of nee aankruisten was er n respondent die hiervoor een verklaring opgaf 4 1 1 4 Evaluatie Stakeholders Van heel wat gecontacteerde sleutelfiguren ontvingen we een ingevulde vragenlijst Zes respondenten vulden na de contactopname geen vragenlijst in De vragenlijst van de leden van de Stuurgroep werd opgehaald bij het begin van een Stuurgroep Drugs De feedback die op dit moment naar voor kwam was dat het invullen van perceptievragen niet evident is Dit heeft voornamelijk te zien met het feit dat de stakeholders niet gewoon zijn om dergelijke zaken aan te brengen veeleer wordt hen gevraagd om kennisvragen te beantwoorden en ze enkel uitspraken doen
36. BUCQUOYE A VERPOEST K Road map for vulnerability studies in VANDER BEKEN T ed Organised Crime and Vulnerability of Sectors The European Transport and Music Sector Antwerpen Apeldoorn 2005 p 30 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 92 Het overnemen van deze methode uit studies die gericht zijn op een kwetsbaarheidsmeting mag niet worden gelijk gesteld aan het overnemen van de expliciete doelstelling van deze studies Binnen de Monitor is het immers niet aan de orde om na te gaan of een stad gemeente kwetsbaar is voor het drugfenomeen want dit zou die stad of gemeente misschien in een te negatief daglicht kunnen plaatsen Veeleer moeten de labels in het kader van dit onderzoek gezien worden als een waakzaamheidindicatie of anders gezegd een red alert scan Op basis van de labelling techniek kunnen de volgende waakzaamheidindicaties worden toegewezen Toenemende waakzaamheid A X 5 4 3 2 1 0 Heel hoge Hoge Lage Heel lage waakzaamheid waakzaam waakzaam waakzaamheid heid heid Er wordt geopteerd om de mogelijkheid achterwege te laten om een neutrale score toe te kennen omdat het om waakzaamheid gaat Er kan namelijk geen sprake zijn van een neutrale waakzaamheid we spreken van hoge of lage waakzaamheid De vier labels of waakzaamheidscores die kunnen worden toegekend en hoe deze best worden ge n
37. Charleroi En effet suite la r ception et la lecture du questionnaire certains membres de la Coordination Drogue Elargie de Charleroi ont mis de nombreuses r serves quant la pertinence de la recherche l id ologie qu elle v hicule ainsi que les principes m thodologiques lacunaires Suite ces r actions individuelles une r union de la Coordination Drogue Elargie a port notamment sur la recherche MILD et les difficult s qu elle suscitait pour plusieurs membres A la suite de cette r union la Coordination drogue a contact l quipe de recherche de l Universit de Li ge pour l informer des r ticences des intervenants sera envoy e aux promoteurs de la recherche 128 Une autorisation a t requise au niveau des services de police pour la passation du questionnaire Une copie de l outil a d tre pr alablement envoy e au responsable du r pondant L autorisation accord e l int ress a r pondu au questionnaire end ans les deux semaines requises 12 M thode d crite dans ce rapport p 48 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 63 En r ponse l quipe de recherche MILD au grand complet s est rendue Charleroi afin de pr senter la recherche Le Professeur De Ruyver y a pr cis que les nuisances ne constituaient pas l l ment central dans le questionnaire Il a galement repr cis que le M
38. Drogues a t pass deux fois dans le courant de la p riode de recherche Lors de ces deux passations une attention particuli re a t port e au premier volet du Moniteur concernant la consultation des personnes ressources Pour ce faire un questionnaire a t d velopp dans les premiers instants de la recherche Celui ci apr s la premi re passation a t corrig et adapt sur base des remarques issues de la premi re passation La base m thodologique du Moniteur est la m thode du Rapid Situation Assessment RSA C est une m thode de recherche au sein de laquelle les diff rentes m thodes et techniques quantitatives et qualitatives sont combin es pour r colter des donn es Cela vaut tant pour les donn es primaires obtenues gr ce la r alisation d entretiens de focus groups avec des personnes ressources ou des consommateurs de drogues que pour les donn es secondaires issues de syst mes d enregistrement disponibles et statistiques Le RSA est op rationnalis pour avoir une vue d ensemble du terrain de l ampleur et des tendances d un probl me social et de sant dans le cas d un abus de drogues et par ailleurs une perspective des reponses qui sont formul es par rapport ces probl mes par les structures et services existants 7 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S EN TUTELEERS P Drugs en Overlast Studie van het fenomeen de beheers
39. GENT Dienst Lokale Preventie en Veiligheid Jaarrapport Preventieraad 2002 Luik 4 Aanpak van het drugsprobleem Co rdinatie Drugs Gent 2003 7 STAD OOSTENDE Veiligheids en Preventiecontract van de stad Oostende MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 33 Ensuite 1l est important qu au sein des villes pilotes les quatre modules politique en mati re de sant et bien tre g n ral politique de pr vention politique d aide et d assistance et s curit qui sont trait s dans le moniteur puissent tre tous abord s lors de la passation du moniteur Cela implique une fois le moniteur d velopp enti rement qu il puisse tre appliqu dans toutes les villes et dans n importe quelles conditions le but tant fix et la garantie doit tre qu au sein des villes pilotes tous les volets puissent tre v rifi s et donc tre pr sents Pour les deux villes s lectionn es c est le cas A Gand dans le Stuurgroep les institutions et services suivants sont repr sent s service d accueil ambulatoire et r sidentiel en mati re de drogues le travail de rue le coordinateur Provinciaal Overleg Platform voor de Geestelijke Gezondheidszorg les services g n raux en mati re de bien tre les services de la ville dans le cadre du Contrat de s curit et de pr vention l administration communale la police locale le coordinateur du consortation
40. Int gr e Locale en mati re de Drogues 149 Partie 5 Conclusions Introduction L objectif de la recherche tel qu il est pr sent dans ce rapport tait la finalisation la passation concr te dans les villes pilotes et le d veloppement d un outil applicable d une mani re g n rale pour l ensemble des villes et communes belges du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Cette recherche s est construite sur la pr c dente recherche r alis e sous la direction des professeurs De Ruyver Ponsaers et Decorte autour du ph nom ne de nuisances li es aux drogues De cette recherche ressort une lacune en ce qui concerne la d tection des nuisances dans leur ensemble et des nuisances li es aux drogues en particulier Suite ces constatations dans un second temps a t mise en place la recherche Metan pour d velopper un instrument de mesure afin de pallier ces manquements le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues L objectif d un tel moniteur est de recueillir les signaux par lesquels les politiques locales peuvent orienter une politique ou peuvent d velopper un projet afin de limiter les nuisances soci tales du ph nom ne de drogues Pour la recherche deux villes pilotes flamandes Gand et Ostende et deux wallonnes Charleroi et Li ge ont t s lectionn es Au sein de ces villes pilotes le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de
41. Locale en mati re de Drogues 9 Hoofdstuk 1 Situering van het onderzoek Druggerelateerde overlast is een complex fenomeen dat de kwaliteit van het leven in buurten en wijken aantast Verstoringen van de maatschappelijke orde door druggerelateerde overlast is een problematiek die sterk leeft in onze samenleving en die aldus heel wat politieke connotaties draagt Het is dan ook niet verwonderlijk dat er vanuit de overheid heel wat initiatieven zijn ontstaan gericht tegen druggerelateerde overlast Zo was druggerelateerde overlast n van de prioriteiten van in het Federaal Detentie en Veiligheidsplan van de voormalige Minister van Justitie het is n van de actiepunten in de Federale drugnota en het is een discriminerend kernbegrip in de strafrechtelijke reactie tegen druggebruik 1 1 NAAR EEN MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID Dit onderzoek is het derde deel van het ge ntegreerd project Meta analyse van de impact van lokale projecten drugoverlast Het onderzoek bouwt verder op in eerder onderzoek van de onderzoeksgroepen onder leiding van de professoren DE RUYVER PONSAERS en DECORTE rond het fenomeen drugoverlast In het tweede deel van het ge ntegreerd project Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten 6 kwamen een aantal vaststellingen naar voor die hebben geleid tot het ontwikkelen van de Monitor Ten eerste blijkt dat het belang dat lokale actoren toekennen in theorie en prakt
42. MILD peut avoir une id e propos des raisons sous jacentes du choix de la modalit sans avis 3 sur le fait que les r sultats de la consultation soient discut s il est n cessaire que le coordinateur MILD insiste sur les r sultats qui forment une plus value claire au sein du contexte local De cette mani re l utilit de la consultation pourra tre plus vidente aux personnes ressources A propos de ces focus groups un rapport est r dig par le coordinateur MILD ce rapport reprend les r sultats finaux de la consultation des personnes ressources dans les diff rents secteurs gt La r flexion finale entre le coordinateur MILD et les responsables sectoriels Apr s que le focus group ait t organis suit la phase la plus importante dans le travail d information la r flexion finale entre le coordinateur MILD et les repr sentants sectoriels Dans cette concertation finale le rapport des focus groups est parcouru et discut r ciproquement Durant ce moment de r flexion il est fait usage du dossier avec les indicateurs de ph nom ne et le dossier contenant les indicateurs structurels De cette mani re toutes les donn es peuvent tre contextualis es et on peut parler clairement de ce que sont les probl mes ce moment pr cis et comment la politique locale doit tre par cons quent adapt e Cette adaptation de la politique pourra tre structur e en trois l ments 1 le niveau de comp tence 2
43. Vooral in Nederland richt men zich steeds meer op het terugdringen van druggerelateerde overlast De toename van dit fenomeen werd onder meer geweten aan het niet adequaat bereiken van specifieke groepen druggebruikers begeleid door een algemene afname van de tolerantie Een aantal Nederlandse onderzoeken speelden een belangrijke rol in de conceptualisering van het begrip drugs overlast en waren ondermeer een inspiratiebron voor deze Monitor Snippe en Bieleman van Intraval onderscheidden voor het monitoren van drug overlast drie overlastvormen op basis van hun objectiveerbaarheid criminele overlast openbare orde overlast en audiovisuele overlast Ze legden de nadruk op het feit dat overlast en de gevolgen ervan twee verschillende dimensies zijn van hetzelfde probleem Het Instituut voor Verslavingsonderzoek IVO publiceerde een onderzoeksrapport dat tot stand kwam op basis van observatie gesprekken met bezoekers van drugsruimten interviews met de beheerder andere betrokkenen en eerdere studies Het operationaliseren van het begrip druggerelateerde overlast was geen expliciete doelstelling maar de auteurs bespraken wel de rol van continue communicatie bij de beheersing van bepaalde gevolgen van drug overlast Zij relativeerden het ongebreidelde geloof in de kracht van continue communicatie Er zullen altijd buurtbewoners zijn die zich blijven storen aan afwijkend gedrag er zullen altijd druggebruikers zijn met wie ge
44. al vermeldden vereist de afname van de Monitor een adequate planning De MILD co rdinator moet daarom in samenspraak met de lokale overheid en de sectorverantwoordelijken deze planning opstellen In deze planning is het in de eerste plaats noodzakelijk een duidelijk gebied af te bakenen waarbinnen de Monitor moet worden afgenomen Daarnaast is het essentieel een tijdsinterval vast te leggen voor de afname van de verschillende luiken van de Monitor Refererend naar de methodologie van de Monitor Rapid Situation Assessment is het aangewezen om de stakeholderbevraging elke zes maanden af te nemen Zoals we al te kennen gaven in een van de aanbevelingen kan de verzameling van de gegevens uit de informatiesystemen het best continu gebeuren Telkens als er nieuwe gegevens binnen een registratiesysteem beschikbaar zijn moeten ze worden opgevraagd ook dit is een taak voor de MILD co rdinator Ten slotte dient de verzameling van de structurele indicatoren aan de hand van een interview met de drugco rdinator of een gelijkaardige sleutelfiguur jaarlijks te gebeuren omdat het drugbeleid en de taken van de drugco rdinator jaarlijks onderhandeld worden in het kader van de Veiligheids en Preventiecontracten gt Het inrichten van focusgroepen In de procesevaluatie van de stakeholderbevraging konden we reeds concluderen dat 1 de subthema s die bevraagd werden door open vragen een veel hogere non respons kenden dan de gesloten vragen 2 door de
45. alle mogelijke diensten waarin mogelijke respondenten werkzaam zijn voor de afname van de stakeholderbevraging samengebracht zijn per module 2 Een tweede belangrijke bevinding is de weerstand die werd ondervonden na de eerste afname in de vooral Waalse pilootsteden Deze weerstand was vooral gebaseerd op het meten van het concept overlast Volgens de respondenten kon overlast niet worden gedefinieerd en dus ook niet gemeten worden Daarom zagen zij geen nut in het deelnemen aan een monitor die als doel heeft overlastvormen door een perceptiebevraging in kaart te brengen Door deze weerstand werden uiteindelijk de vragen rond de overlastvormen verfijnd en werd de antwoordcategorie geen mening toegevoegd aan alle gesloten vragen MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 133 Toch kunnen we via enkele onderzoeken uit het buitenland aantonen dat het meten van drugsgerelateerde overlastvormen een meerwaarde kan geven aan het integrale zicht op het lokale drugfenomeen Deze onderzoeken werden al vernoemd in het kader van de studie van Decorte De Ruyver en Ponsaers rond drugsoverlast Blom amp Kahn stelden in 1998 vast dat het onderwerp drug overlast in verschillende conventies strategie n en actieplannen van de VN en EU niet of op een onrechtstreekse manier werd behandeld Zij wezen er in deze context op dat drug overlast een typisch lokaal fenomeen is
46. appropri pour examiner les probl mes de mesures Pour la premi re passation du questionnaire Ostende en ce qui concerne le premier module secteur du bien tre g n ral et sant 17 questionnaires ont t remplis Concr tement cela quivaut 10 travailleurs sociaux 2 r pondants du secteur des soins un m decin un infirmier en chef un infirmier psychiatrique et un psychologue clinicien du d partement de psychiatrie de l h pital g n ral et un pharmacien 241 HENNEN C LEMAITRE A BORN H SCHLITZ C N o c 69 85 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 160 En ce qui concerne le module de la pr vention le questionnaire est rempli par le fonctionnaire de pr vention un travailleur de pr vention l valuateur interne le coordinateur en mati re de drogues le coordinateur en termes de Sorties et f tes nocturnes et des Echevins comp tents Pour le module concernant le secteur de l aide en mati re de drogues le directeur et un membre du personnel du centre d accueil m dico social ainsi qu un expert ont rempli le questionnaire Enfin le questionnaire a t rempli pour le module de la s curit par le responsable du service de la recherche locale le Substitut du Procureur du Roi le coordinateur des Peines Alternatives et un assistant de justice Cela donne la r partition suivante pour les questionnaires rem
47. aux r pondants d inscrire le lieu l endroit o cette forme apparaissait dans la ville Il leur tait enfin demand d valuer la perception qu ils avaient de l volution de cette forme de nuisance Par ailleurs en ce qui concerne les nuisances d ordre public li es aux drogues il tait galement demand que les r pondants indiquent qui selon eux pouvait tre consid r comme responsable des nuisances Sur base des donn es r colt es lors de la premi re passation du questionnaire compl t es avec les donn es et conclusions de la recherche Drogues et nuisances deux listes non exhaustives ont t construites concernant d une part les Nuisances d ordre public li es aux drogues et d autre part les Nuisances criminelles li es aux drogues Le caract re non exhaustif de ces deux listes appara t galement clairement dans la forme qu elles prennent En effet deux cases sont chaque fois laiss es libres pour que les r pondants puissent compl ter la liste en y notant les nuisances auxquelles ils sont confront s et qui ne figurent pas sur la liste Lors de la premi re passation du questionnaire les questions en rapport avec les nuisances publiques li es aux drogues ont t bien accueillies La question concernant les diff rentes formes de nuisances publiques li es aux drogues ont t remplies par la majorit des r pondants surtout dans la partie n erlandophone du pays
48. beleid ondersteunt 1 3 BASIS EN METHODOLOGIE VAN DE MONITOR 1 3 1 DE KEUZE VOOR EEN MONITOR De keuze voor het opmaken van dit instrument berust op de hierboven vermelde vaststellingen Bij de uitwerking worden onder andere de Nederlandse Nationale Drugmonitor de onderzoeken naar de monitoring van alcohol en drugs door het Instituut voor Onderzoek naar Leefwijzen en Verslaving VO en het Trimbosinstituut en de Luikse barom tre toxicomanie als inspiratiebron gebruikt Monitoring kan omschreven worden als het systematisch en periodiek volgen van ontwikkelingen ten behoeve van het beleid Bij monitoring zijn de centrale elementen de beschrijving van een fenomeen het in kaart brengen van de situatie op een bepaald terrein en Ibid 313 315 19 PONSAERS P DE RUYVER B LEMAITRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F o c 8 13 l Zie infra 1 1 Naar een Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid p 9 1 De Nederlandse Nationale Drugmonitor werd in 1999 opgericht en streeft naar verbetering en harmonisatie van monitoring activiteiten in Nederland De monitor wordt gebruikt voor de synthese van gegevens en rapportage aan nationale overheden en aan internationale en nationale instanties In de NDM staan het verzamelen en integreren van cijfers centraal Jaarlijks wordt een jaarbericht van deze monitor gepubliceerd Zie Nationale Drugmonitor jaarbericht 2003 bureau NDM Utrecht d
49. cifiques Pour les villes et les communes o le Moniteur de S curit est appliqu un lien peut tre fait avec le contexte local Pour les autres villes et communes une comparaison est seulement possible avec la commune ou la ville d une taille correspondante Au niveau flamand il existe trois syst mes d enregistrement qui sont attribu s au niveau local TELLUS Ginger et le Vlaamse Registratie Middelengebruik Au niveau wallon le probl me est ici inverse Sentinelles Charleroi Addibru Bruxelles en ASL Cantons de l Est ont une incidence tout fait locale 239 GOETHALS J PONSAERS P BEYENS K PAUWELS L en DEVROE E Criminografisch onderzoek in Belgi In BEYENS K GOETHALS J PONSAERS P en VERVAEKE G Eds Criminologie in actie Brussel Politeia 2002 138 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 156 Pour les communes qui sont situ es dans le contexte local c est un avantage incontestable mais pour les autres villes et communes c est plut t un inconv nient Elles peuvent alors prendre les donn es du syst me Eurotox qui ne sont elles pas li es au contexte local En ce qui concerne les constatations autour des syst mes d enregistrement une premi re recommandation importante peut tre formul e Il est n cessaire qu terme les diff rents syst mes d enregistrement statistiques crimine
50. corrig e par la Coordination des Actions en Toxicomanie pour corriger des noms de personnes de contact des adresses ou des num ros de t l phone erron s Suite aux r ticences de la Coordination des Actions en Toxicomanie concernant l identification telle que propos e par cette recherche des comit s de repr sentants de citoyens et leur l gitimit ces derniers n ont pas fait partie de l ensemble des personnes interroger Le courrier envoy souvent adress la direction ou la personne coordinatrice du service reprenait une s rie d information qui permettait de cerner la recherche son contexte commanditaire universit s promotrices les objectifs poursuivis par le Moniteur MILD et les raisons pour lesquelles l intervenant recevait le questionnaire consid r comme intervenant de terrain touch de pr s ou de loin de par votre activit professionnelle par le ph nom ne de la drogue chaque courrier tait jointe une enveloppe affranchie et adress e l quipe de recherche en vue du renvoi du questionnaire apr s l avoir compl t Durant les deux semaines de passation chaque acteur de terrain qui avait re u le courrier a t contact par l quipe de recherche afin de savoir si le questionnaire avait t bien re u si les indications qui y figuraient pour y r pondre taient suffisamment claires et si le d lai de passation avait bien t compris Ce contact t l phonique tai
51. d j cit dans le cadre de l tude de Decorte De Ruyver et Ponsaers concernant de la nuisance de drogues Blom amp Kahn ont constat en 1998 que le sujet nuisance de drogues n a pas t trait ou dans une mani re indirecte dans diff rentes conventions strat gies et plans d action de PONU et UE Dans ce contexte ils posaient que la nuisance de drogues est un ph nom ne local Surtout aux Pays Bas on dirige de plus en plus sur la diminution de la nuisance de drogues L augmentation de ce ph nom ne tait due entre autres au fait qu on n atteint pas assez des groupes de consommateurs de drogues sp cifiques ensemble avec une diminution g n rale de la tol rance Certaines recherches hollandaises jouaient un r le important dans la conceptualisation de la notion nuisance de drogues et taient une source d inspiration pour le Moniteur Snippe et Bieleman d ntraval distinguaient trois formes de nuisance sur base de la possibilit d objectiver ses formes les nuisances criminelle les nuisance l ordre public et les nuisances audiovisuel Ils accentuaient le fait que la nuisance et les cons quences sont deux dimensions diff rentes d un probl me identique Le Instituut voor Verslavingsonderzoek IVO publiait un rapport qui s est r alis sur base des observations des entretiens avec des visiteurs des espaces de consommation des entretiens avec le directeur autres personnes con
52. de jaarverslagen van De Sleutel In het jaarverslag 2003 worden voor het eerst alle cli ntgegevens opgenomen dit in het kader van de Vereniging Vlaamse Behandelingscentra Verslavingszorg VVBV zie infra Onderscheid wordt nu gemaakt tussen de ambulante dagcentra de residenti le behandelingsprogramma s het residentieel crisiscentrum allen onderdeel van de werking binnen het kader van de RIZIV conventie de groep cli nten met Gerechtelijke Alternatieve Maatregelen de groep cli nten in het kader van het Europees Sociaal Fonds en de cli nten in de voorzieningen voor Bijzondere Jeugdzorg De epidemiologische gegevens worden per centrum intern verwerkt en kunnen worden opgevraagd Het is wel zo dat deze gegevens niet zijn verwerkt door de Dienst Wetenschappelijk Onderzoek zoals voorgesteld hierboven 2 3 NIVEAU WALLON BRUXELLES CAPITALE COMMUNAUTE GERMANOPHONE 2 3 1 3 MODULE SECTEUR DE L ASSISTANCE EN MATIERE DE DROGUES Pour rappel l Observatoire Europ en des Drogues et des Toxicomanies OEDT a t cr en 1993 avec pour objectif de tracer une image pr cise et fiable de l tendue du ph nom ne de la drogue L OEDT a mis en place un r seau qui couvre l ensemble de l Union Europ enne appel REITOX Le BIRN Belgian Information REITOX Network R seau Belge d Information REITOX cr en 1995 relie le Point Focal national avec les Sous Points Focaux locaux Le Point Focal participe avec les S
53. des clients gantois et le coordinateur en mati re de drogues de la ville A c t du Stuurgroep il y a galement Gand la open vergadering drugbeleid au sein de laquelle diff rents secteurs prennent part la pr vention en mati re de drogues l aide et l assistance en mati re de drogues la police la justice le C P A S le travail de rue l aide et l assistance non cat goris e l administration communale le travail de quartiers le secteur de la jeunesse le travail avec les migrants l enseignement Pam nagement du territoire le secteur des soins m decins traitants et pharmaciens et les coordinateurs provinciaux A Ostende il est galement question d une approche multidisciplinaire Le Stuurgroep se compose des instances suivantes l administration communale le Centrum Geestelijke Gezondheidszorg Noord West Vlaanderen le Centrum Algemeen Welzijnswerk Middenkust le OCMW la Police Locale la justice le MSOC le Centrum Geestelijke Gezondheidszorg Prisma le secteur de l enseignement les m decins le travail de rue le fonctionnaire de pr vention le coordinateur de la politique de sortir l valuateur interne le responsable communication et le coordinateur en mati re de drogues Un l ment compl mentaire qui peut tre gliss comme motivation choisir ces deux villes est leur taille Gand et Ostende sont deux villes centrales avec leur caract re propre Cet l ment permet qu une une
54. desquelles il est construit Leurs nombreux remarques et commentaires ainsi que ainsi que le travail d analyse des r ponses obtenues ont permis de construire un questionnaire plus simple tant dans la forme que dans le fond 2 2 1 REMARQUES G N RALES D une mani re g n rale le questionnaire dans la mesure du possible a acquis une plus grande fluidit et une plus grande clart De plus les modalit s d abstention qui avaient t gomm es pour la premi re version du questionnaire ont t r tablies pour la seconde version du questionnaire Les th mes pour la version pr c dente du questionnaire taient agenc s de la mani re suivante Th me I Consommation de drogues et profil des consommateurs de drogues Th me II Cons quences du ph nom ne de la drogue Th me III Actions concernant le ph nom ne de la drogue Pour la version d finitive du questionnaire le premier th me a t scind pour une plus grande clart et une structuration plus coh rente Th me I Consommation de drogues Th me II Profil des consommateurs de drogues Th me III Cons quences du ph nom ne de drogues Th mes IV Actions l gard du ph nom ne de drogues C est cette structuration selon les quatre th mes que nous utiliserons ici pour faire part des transformations du questionnaire Nous avons regroup toutes les modifications dans cette partie du rapport Pour plus de clart nous avons distingu celles
55. dezelfde vorm beschikbaar contactpersoon welke persoon kan worden gecontacteerd i v m de gegevens overzicht gegevens overzicht van de bestaande gegevens Uiteindelijk werden op basis van beschikbaarheid en relevantie voor de bevraagde thema s in de stakeholderbevraging 15 registratiesystemen geselecteerd om een goede contextualisering van het eerste luik van de Monitor mogelijk te maken We geven hierna kort een algemene beschrijving van elk systeem met de concrete gegevens die ze verzamelen zonder daarbij in detail te treden over de inhoudelijke terugkoppeling naar de stakeholderbevraging wat we al hebben gedaan voor de inhoudelijke evaluatie van de fenomeenindicatoren b 1 Registratiesystemen op nationaal niveau Vier registratiesystemen bundelen gegevens die tot op nationaal niveau worden verzameld de Minimale Psychiatrische Gegevens MPG uit de module algemeen welzijnswerk en gezondheidswerk de Politionele criminaliteitsstatistieken de Jaarstatistieken van het Parket Generaal en de Veiligheidsmonitor alle drie uit de module veiligheid b 2 Registratiesystemen op Vlaams niveau Op Vlaams niveau zijn zeven registratiesystemen geselecteerd voor de Monitor de VLASTROV registratie TELLUS van het CAW Ginger van het VAD de Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM DARTS van de Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslaafdenzorg VVBV ARCADE van de Centra voor Geestelijke Gezondheidzorg CGGZ en de Jaarrapporte
56. drogue Bruxelles 2003 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 24 Dans les cas o la pr vention des nuisances publiques est davantage centrale les nuisances li es la toxicomanie sont int grer dans une perspective plus large de lutte contre les nuisances en g n ral Cependant si les projets d velopp s ne partent pas directement de la question des nuisances il demeure que gr ce au travail des acteurs de terrain il est permis de supposer la r alit d un impact sur la probl matique des nuisances Ainsi les programmes d change de seringues partant d une pr occupation avant tout situer dans le registre de la sant publique ont n en point douter un retentissement sur la question des nuisances L attention secondaire accord e la lutte contre les nuisances publiques li es la drogue a pour cons quence que les valuations en la mati re sont denr e rare Etant donn la place que re oit la lutte contre les nuisances dans le contexte g n ral il semble malais d en isoler les ventuels effets ou bienfaits et a fortiori de les valuer En deuxi me lieu ressort l absence dans la pratique d tude d impact ou d valuation de r sultat en ce qui concerne la probl matique des nuisances caus es par les drogues La cons quence en est l impossibilit de toute tentative effectu e en vue de d gager d hypot
57. du Moniteur consiste en la r colte et le relev d indicateurs chiffr s disponibles sur le ph nom ne des drogues dans la ville ou la commune concern e par la mise en application du Moniteur MILD Certains indicateurs chiffr s comme vous le verrez plus loin ont d j t tablis mais en ce qui concerne les indicateurs chiffr s plus locaux ils devront faire l objet d un examen et d une recherche par l quipe mettant en place le Moniteur Ces indicateurs donnent un aper u des volutions et changements dans la nature et l ampleur du ph nom ne de la toxicomanie gr ce des chiffres extraits de bases statistiques La d marche est donc ici de partir de donn es chiffr es disponibles Le troisi me volet du Moniteur concerne les indicateurs structurels pour la politique locale Comme le nom l indique ceux ci englobent les conditions n cessaires l tablissement d une politique int gr e en mati re de drogues Ces l ments sont r colt s par la tenue d un entretien qualitatif avec une personne membre du r seau potentiel de professionnels Comme le rappel de ces diff rents volets le montre le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues a pour vocation une fois sa construction achev e d tre mis la disposition d utilisateurs En effet cet outil sera mis disposition des autorit s locales des villes et communes du Royaume qui auraient besoin d un clairage particulier su
58. du ph nom ne des nuisances associ es aux drogues de son contr le et de ses effets partir de diff rents angles d approche 233 278 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S TUTELEERS P Reeks Actuele Problemen met de betrekking tot de Sociale Cohesie Onderzoeksprogramma ter ondersteuning van de federale beleidsnota drugs Academia press 2003 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 89 Chapitre 6 Manuel d utilisation Pour rappel le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogue se compose de trois parties distinctes dont les informations recueillies par chacun des canaux s alimentent et s enrichissent mutuellement par leur compl mentarit La premi re partie du Moniteur concerne la collecte de donn es qualitatives propos des nuisances li es aux drogues Il est pr vu que cette collecte se fasse de mani re syst matique au moyen de questionnaires pr tablis compl t s par les professionnels et personnes ressources qui sont concern s par le ph nom ne de la drogue L objectif de cette d marche est d obtenir une vision p riodique donc r currente des tendances pouvant tre observ es dans l volution du ph nom ne des nuisances caus es par les drogues Nous nous int ressons ici aux sentiments subjectifs que les r pondants ont l gard de la probl matique La deuxi me partie
59. g n rale dans laquelle seront formul es entre autres des recommandations pour l impl mentation et l usage ult rieur du Moniteur Dans cette optique le d veloppement du manuel est galement tout au long de ce rapport une donn e importante Le d veloppement du manuel est troitement li au processus d valuation et sert de base pour chaque ville ou commune qui utilisera le Moniteur K COLPAERT en T DE CLERQ Implementing the Treatment Demand Indicator in Belgium Registration of drug users in treatment Brussels Scientific Institute of Public Health 2003 IPH EPI Reports Nr 2003 018 27 48 1 p PONSAERS B DE RUYVER A LEMAITRE C MACQUET T PIETERS W VAEREWYCK B FINCOEUR et F VANDER LAENEN Nuisances li es la drogue dans le contexte local de huit communes wallonnes et flamandes Bruxelles Politique scientifique f d rale 2004 20 27 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 32 Chapitre 2 Passation du Moniteur choix des villes et communes pilotes Dans le cadre de cette pr sente recherche l objectif est de cr er un moniteur et de tester cet outil au sein de villes et communes s lectionn es Puisque la passation d un moniteur et analyse des donn es r colt es lors de la passation sont des t ches intenses il n tait pas faisable de proc der cet exercice par communaut dans plus de deux villes et communes C
60. gr e est caract ris e par une orientation evidence based Dans le contexte d une politique evidence based deux piliers de base sont pr sent s la politique est bas e sur des faits prouv s et sur la repr sentation des choix politiques r alis s Une politique int gr e qui est li e une r alit locale et tient s impliquer dans la situation locale a besoin d une vision claire des choses Travailler sur une politique en mati re de drogues exige qu on ait une image claire de l ampleur et des volutions du ph nom ne de drogues dans tous ses aspects Un instrument de mesure qui a comme objectif la cr ation de cette image globale n tait pas disponible et pour pallier ce manquement le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues a t d velopp En effet les donn es actuelles concernant le ph nom ne de drogues sont surtout quantitatives travers lesquelles un certain nombre d aspects nous pensons ici aux impressions subjectives propos entre autres des tendances et des volutions sont absents En outre l information autour du ph nom ne reste fragment e et n est d un point de vue politique pas rassembl e en un tout 232 SAMPSON R J en RAUDENBUSH S Systematic Social Observation of Public Spaces A New Look at Disorder in Urban Neighborhoods American Journal of Sociology 1999 603 651 233 Evidence based gezondheidspromotie praktijk bele
61. h bergement de nuit pour hommes et pour femmes ont t contact s tout comme les centres d aides pour les jeunes et les familles Les centres et groupes de Self Help tels que les Alcooliques Anonymes et les Narcotiques Anonymes ont aussi re u le questionnaire Enfin en ce qui concerne les acteurs dans le cadre de la s curit et des nuisances Module 4 dans le cadre de la justice les acteurs au sein du Palais de Justice s occupant plus particuli rement des probl matiques li es la toxicomanie ont t contact s La maison de Justice de Charleroi a t contact e et deux personnes qui s occupent plus particuli rement au sein de celle ci de consommateurs de drogues ont re u galement le questionnaire MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 67 Concernant la probl matique des nuisances comme lors de la premi re passation les repr sentants des quartiers de la ville de Charleroi ainsi que les repr sentants des commer ants et les services de l ASBL Charleroi Centre ville ont t contact s Nous avons galement envoy le questionnaire certaines fonctionnaires de la ville notamment au niveau du d partement des services conomiques Par la multiplication des envois 23 questionnaires ont en d finitive t r colt s 3 2 1 3 R sultats R ponses obtenues Les r pondants sont pour certains identiques ceux qui avaient com
62. illicites dans tous les secteurs de vie famille cole lieu de travail loisirs municipalit Par ailleurs l ASL est active pour la pr vention des assu tudes suivantes Les drogues licites alcool tabac m dicaments Les drogues illicites cannabis opiac s drogues chimiques Les autres d pendances non li es une substance particuli re d pendance au travail et au jeu Ses actions concentrent galement un large ensemble d acteurs les associations de parents les groupements d adultes les institutrices instituteurs maternel le s les instituteurs et institutrices du primaire les enseignants des coles secondaires les centres PMS le secteur de lemploi et de la formation les fonctionnaires communaux les centres de soins d assistance B Concr tement L ASL a dans la partie germanophone de la Belgique r colt pour l ann e 2002 des donn es sur la consommation de drogues ill gales sur la consommation d alcool et sur les demandes de soins Ces donn es sont n cessaires la r daction d un rapport r gional national et europ en dans le cadre du REODT et du REITOX Les constatations valables pour la r gion ne peuvent pas tre extrapol es pour l ensemble des autres communaut s de la Belgique En effet la partie germanophone du pays ne dispose pas d infrastructures de soins pour personnes toxicomanes comme en disposent les autres r gions du pays Si des th rapies ambu
63. indications se rapportant au sujet trait telles que les tenants et aboutissants du traitement de l objet de recherche les raisons de faire appel ce r pondant pr cis ment La lettre d introduction reprend galement certaines indications techniques notamment sur la mani re de remplir le questionnaire Elle est aussi ponctu e d une formule de remerciement 1 9 TEMPORALITE POUR CERNER LES FAITS Puisque les questions qui sont pr sentes dans ce questionnaire portent sur l estimation des faits 1l est indispensable de d cider de la dur e de la p riode sur laquelle porte le questionnaire Une p riode de courte dur e un jour une semaine r duit au minimum les erreurs dues la m moire Toutefois beaucoup d activit s sont r gl es par un rythme qui n est pas quotidien mais hebdomadaire mensuel ou m me annuel Pour le cas du questionnaire MILD nous avons d cid au d part d une temporalit un semestre Si celle ci a t d cid e d une mani re arbitraire en d but de recherche cette ch ance est revue en fonction du contact avec le terrain et est malgr les risques d erreurs de m moire consid r e comme trop courte pour cerner les modifications qui peuvent survenir au sein du terrain Cette p riode de r f rence est donc laiss e au libre choix du futur utilisateur de l outil 78 Les tapes de la transformation du questionnaire sont d crites de pp 28 45 de ce rapport MILD Monitor I
64. kortdurende therapeutische programma s alle Crisisinterventiecentra alle dagcentra alle Medisch Sociale Opvangcentra MSOC en 21 van de 35 straathoekwerkprojecten 60 Daarmee is het bereik tegenover het registratiejaar 1998 nog vergroot In 1999 werden 15 436 personen geregistreerd 71 6 van de cli nten zijn mannen en 28 4 zijn vrouwen De gemiddelde leeftijd van de cli nten is 34 jaar De meeste cli nten zijn Belgen 89 9 De laatst be indigde opleidingsvorm is voor de meeste cli nten 54 3 secundair onderwijs 39 8 van de cli nten in alle werkvormen is arbeider 20 3 is niet beroepsactief De voornaamste bron van inkomsten van de cli nten met middelengerelateerde problemen zijn inkomsten uit een vervangingsinkomen werkloosheidsuitkering leefloon ziekte of invaliditeitsinkomen en pensioen 42 5 De MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 105 meeste cli nten zijn ongehuwd 53 1 maar wonen toch in n of ander gezinsverband bij de ouders of familie of een eigen gezin De helft van de personen die door de instellingen worden geregistreerd zijn nieuwe cli nten B Concreet Sinds het verschijnen van het Jaarrapport Vlaamse Registratie Middelengebruik 1999 is er tot op vandaag nog geen nieuw rapport verschenen De registratie werd uiteraard verder gezet er zijn echter nog geen bewerkingen mee gebeurd Deze rapporten zijn te bestellen via De va
65. kruisten nee aan met betrekking tot de vraag over een eventueel andere aanpak Op de vraag naar een eventueel andere aanpak van de hulpverlening vraag 39 antwoordden bijna alle respondenten zestien van de achttien Toch gaven tien respondenten hiervoor geen verklaring Het ging hierbij om de twee respondenten die de vraag openlieten en om alle respondenten die nee als antwoordkeuze hadden aangeduid Vier respondenten lieten vraag 43 over een andere aanpak van de politionele justiti le acties blanco Negen respondenten gaven geen verklaring voor hun antwoordkeuze Het betrof drie respondenten die niet hadden geantwoord en zes respondenten die nee hadden aangekruist Op vraag 47 in verband met een eventueel andere aanpak van het overleg en samenwerking ten slotte gaven vier stakeholders geen antwoord Elf sleutelfiguren gaven geen verklaring voor hun antwoord daarbij waren drie stakeholders die niet hadden geantwoord en acht respondenten die nee hadden aangekruist MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 87 4 2 2 4 Evaluatie Stakeholders Net zoals in Gent lag de respons op de tweede vragenlijst een pak lager Waar de eerste keer 30 vragenlijsten ingevuld werden waren er nu slechts 18 ingevulde vragenlijsten In de module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk was net zoals in Gent de daling het meest uitgesproken De belangrijkste rede
66. naar een mogelijke andere aanpak in een bepaalde sector of tussen de verschillende sectoren Geen enkel registratiesysteem kan dergelijke feedback op lokaal niveau aanleveren b Fenomeenindicatoren In het tweede deel van de Monitor worden statistische gegevens en cijfers uit registraties verzameld De fenomeenindicatoren zijn een contextualisering van het eerste deel van de Monitor en kunnen een beeld geven van de evoluties en veranderingen in de aard en de omvang van het drugfenomeen De fenomeenindicatoren worden ingedeeld in vier modules algemeen welzijns en gezondheidsbeleid preventief beleid hulpverlening en veiligheid In MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 129 elk van deze modules worden de cijfers afkomstig uit de registratie en statistische gegevens die binnen de module aanwezig zijn opgenomen Omdat de meerwaarde van dit tweede luik van de Monitor ligt in de contextualisering van de gegevens afkomstig uit het eerste luik van de Monitor is het van belang om te weten in welke mate er voor de bevraagde thema s ook gegevens terug te vinden zijn in bestaande registratiesystemen Dit wordt duidelijk in het schema hieronder Tabel Relevante informatie voor de verschillende subthema s van de stakeholderbevraging per registratiesysteem Thema gt
67. over een Riziv conventie Voor het registratiejaar 2003 gaat het om 11 partners die al of niet meerdere behandelingsmodaliteiten aanbieden met verschillende vestigingsplaatsen In de cijfergegevens wordt enkel die behandelingsmodaliteiten opgenomen met een Riziv conventie bieden 175 THIENPONT J VAN ZUIJLEN M Cijfergegevens 2000 2001 2002 Gent VVBV 2003 p 4 176 Deze elf partners zijn MSOC Oostende MSOC Limburg MSOC Gent MSOC Antwerpen De Kiem De Sleutel De Spiegel Adic Katarsis en Kompas 177 THIENPONT J VAN ZUIJLEN M Cijfergegevens 2003 Gent VVBV 2004 p 3 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 106 Ten behoeve van het registratiesysteem registreren de centra een aantal cli ntgegevens bij elke aanmelding opname en uitstroom De belangrijkste beperking van deze registratie is het feit dat een unieke code gerelateerd aan cli nten ontbreekt Hierdoor worden bepaalde cli nten en hun middelengebruik dubbel geregistreerd wanneer zij op meerdere centra beroep doen in hetzelfde jaar Cli nten die in eenzelfde centrum verschillende malen een behandeling hebben gestart worden wel slechts nmaal opgenomen namelijk de eerste behandelingsepisode B Concreet In de rapporten van de VVBV worden de cijfergegevens van alle registrerende partners opgenomen Hiertoe worden tabellen weergegeven waarbij een onderscheid wordt gemaak
68. pas werd ge mplementeerd zijn is er nog geen jaarverslag beschikbaar die deze gegevens presenteert Het is wel zo dat mits uitdrukkelijke toestemming de gegevens lokaal kunnen worden opgevraagd wat mogelijk is doordat per straathoekproject door elke straathoekwerker apart wordt geregistreerd 2 2 1 2 Centra Algemeen Welzijnswerk TELLUS registratie A Algemeen In 2001 startte het Steunpunt Algemeen Welzijnswerk SAW de ontwikkeling van een cli ntregistratiesysteem voor en in nauw overleg met de autonome Centra Algemeen Welzijnswerk CAW s Pas later kreeg dit registratiesysteem een naam Tellus In 2002 werd het systeem getest en werd voor het eerst geregistreerd met Tellus Vanaf 2003 gebruiken alle CAW s dit registratiesysteem en sinds 2004 is het systeem na vervolmaking volledig operationeel Hierdoor verkeert het SAW in de mogelijkheid om vanaf 2005 jaarlijks een monitor algemeen welzijnswerk op te maken Dit Tellus systeem is de opvolger van het registratiesysteem binnen het GeWis het overkoepelend informaticasysteem van de Vlaamse overheid waarin er plaats was voor een module voor gegevens van het algemeen welzijnswerk Dit systeem werd opgestart in 1997 en heeft gediend voor de registratie van 1998 tot 2001 Dit systeem werd echter ervaren als weinig gebruiksvriendelijk Daarom werd ervoor geopteerd om vanuit het Steunpunt zelf een registratiesysteem te ontwikkelen en dit werd het Tellus registratiesysteem He
69. passage intempestif et d concentr par des l ments ext rieurs l entretien L enqu teur doit galement pr ciser le temps que dure approximativement l entretien afin que la plage horaire n cessaire soit lib r e et que l interview ne soit pas press par le temps En ce qui concerne l interviewer il doit tre patient bienveillant parfois intelligemment critique non autoritaire Son attitude ne doit pas tre jugeante et l interviewer n est pas l pour donner son avis et changer son point de vue avec l interlocuteur mais pour le laisser parler et l aider dans son expression L interviewer devrait intervenir pour aider l interview parler soulager ses inqui tudes encourager un compte rendu fid le et pr cis de ses pens es et sentiments aiguiller le discours sur les points oubli s ou n glig s voquer si cela est n cessaire l mergence de l implicite L entretien r alis peut tre enregistr en vue de son analyse Dans ce cas l interviewer doit avant tout demander l autorisation de l interview sur ce point L enregistrement permet l interviewer de pouvoir r couter l entretien pour bien en saisir le d roulement mais galement les nuances Il vite ainsi l interviewer d avoir noter sans rel che durant l entretien les propos de l interlocuteur et ainsi d tre plus attentif au d roulement de l entretien et ainsi mieux pr parer les
70. pr vention secteur de la sant et enfin la s curit Dans la quatri me partie de ce rapport la m thodologie et l utilisation des indicateurs structurels sont prises en consid ration Ces derniers sont r partis en trois modules coordination concertation et collaboration La cinqui me et derni re partie reprend les conclusions g n rales de ce rapport final MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 23 Chapitre 1 Contexte de la recherche Les nuisances li es aux drogues repr sentent un ph nom ne complexe qui affecte la qualit de vie du voisinage et des quartiers Des d rangements l ordre public travers les nuisances li es aux drogues sont une probl matique qui est v cue fortement dans notre soci t et qui comporte par l m me un ensemble de connotations politiques Il n est pas non plus surprenant dans cette perspective que les autorit s lancent des initiatives contre les nuisances li es aux drogues Ainsi la nuisance li e aux drogues est une des priorit s reprises dans le plan f d ral de s curit et de d tention du pr c dent Ministre de la Justice C est un des points d action de la Note politique f d rale ainsi qu une notion cl discriminant dans l action p nale en mati re de drogues 1 1 VERS UN MONITEUR DE POLITIQUE INTEGREE LOCALE EN MATIERE DE DROGUES Cette recherche est la troisi me partie du pro
71. qui comportaient les caract ristiques requises Nous avons ensuite compl t le r seau que le Coordinateur Drogues nous avait communiqu par la liste des intervenants tablie dans la recherche METAN En ce qui concerne les professionnels du secteur du Bien tre g n ral et la sant Module 1 les directeurs des tablissements hospitaliers psychiatriques et les d partements psychiatriques des h pitaux g n raux ont t contact s tout comme les coordinateurs des centre d accueil et centres d coute du consommateur de drogues et de ses proches Les centres de sant mentale ont galement fait partie des premiers contacts comme des pharmaciens et m decins traitants proche de la Coordination Drogue Elargie Le centre de d pistage de maladies sexuellement transmissibles a galement t impliqu Pour le secteur de la pr vention Module 2 le coordinateur du travail de rue a re u le questionnaire La directrice du Relais social de Charleroi a galement t sollicit e pour r pondre au questionnaire MILD surtout en ce qui concerne le module 3 portant sur la pr vention et la lutte contre la grande pr carit Par contre les centres PMS dans les coles secondaires et les cellules de pr vention dans les coles primaires n ont pas t abord s pour la premi re passation du questionnaire Les fonctionnaires de l Administration les responsables des antennes CPAS de Charleroi ainsi que le m diateur communal n
72. qui portaient que le texte d introduction 2 2 2 le th me I 2 2 3 le th me III 2 2 4 et le th me IV 2 2 5 2 2 2 TEXTE D INTRODUCTION Dans ce texte de pr sentation nous avons notamment modifi la case concernant la p riode de r f rence Elle est laiss e incompl t e pour donner une plus grande libert aux communes et villes qui utiliseront l avenir l outil I Voir Annexe Bijlage 4 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 49 Le questionnaire scrute les informations subjectives et la perception du ph nom ne de la consommation de drogues gt Le but n est pas de consulter des donn es chiffr es ou des informations dans les bases de donn es pour remplir le questionnaire gt Vous remplissez le questionnaire de mani re intuitive en vous basant sur votre exp rience du ph nom ne des drogues vos connaissances et constatations r sultant de vos contacts avec les consommateurs de drogues et ou des informations que vous avez pu r colter sur le terrain lors de concertations Les questions concernent le ph nom ne des drogues dans votre ville gt Il s agit de la ville que vous avez inscrite dans les donn es d identification la premi re page Le questionnaire porte sur le ph nom ne des drogues durant la p riode d termin e compl ter Dans le questionnaire nous avons galement pris le parti de remplacer tout
73. relances et nuances du discours Cette ventualit est surtout mise en uvre dans le cadre d entretiens vis e plus exploratoire ou quand une analyse du discours de type analyse structurale doit tre r alis e par la suite Dans le cas qui nous occupe si l enregistrement facilite le travail de l interviewer au moment de l entretien il n est pourtant pas n cessaire 1 5 TRAITEMENT DES INFORMATIONS RECUEILLIES L entretien r alis peut tre enregistr en vue de son analyse Dans ce cas une retranscription peut tre r alis e pour obtenir le maximum d informations possibles Une m thode de l analyse th matique est principalement indiqu e pour l analyse d un seul entretien comme celui qui est r alis avec le Coordinateur en mati re de Drogues L analyse th matique tente de mettre en vidence les repr sentations sociales ou les jugements des locuteurs partir des l ments constitutifs du discours Elle peut tre d application au sein d un seul discours Cette analyse peut alors porter sur la fr quence de l apparition de certaines caract ristiques l hypoth se tant que plus une chose est fr quemment cit e plus elle a d importance pour le locuteur Elle peut encore porter sur les jugements formul s par le locuteur leur fr quence leur direction leur intensit Il s agit de passer en revue les th mes abord s par chaque sujet pour en faire la synth se 204 Thid 67 205 Thid MIL
74. ressources un focus group est organis pour lequel le coordinateur MILD joue le r le de m diateur des d bats Les responsables sectoriels et toutes les personnes ressources participent ce focus group Lors de ce focus group les participants discuteront des r sultats issus de la consultation des personnes ressources pour les diff rents secteurs cette mani re la le plus value du Moniteur peut tre plus clair pour les personnes ressources Pour am liorer les possibilit s d utilisation des diff rents syst mes d enregistrement statistiques criminelles polici res statistiques annuelles du Parquet G n ral EUROTOX au niveau de la politique locale il devrait au moins tre possible terme d affiner les donn es chiffr es au niveau local Le relev des indicateurs de ph nom ne pourrait tre r alis de mani re continue Ces donn es sont r pertori es dans un dossier qui contient au moment de la passation du questionnaire aux personnes ressources l information la plus r cente issue des syst mes d enregistrement L information relative aux indicateurs structurels est r colt e via la r alisation d une interview avec le coordinateur local en mati re de drogues ou avec une personne clef occupant une fonction semblable Cette information est galement tenue jour dans un dossier de telle sorte que les volutions concernant le niveau structurel sont clairement visibles et identifi es Monitor Integ
75. riode d termin e Cet outil trouve essentiellement sa validit par la r currence de sa passation C est par la comparaison entre les diff rentes passations que les tendances sont perceptibles et que les changements de politique concernant le ph nom ne peuvent tre consid r s MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 36 Chapitre 1 M thodologie pour la construction du questionnaire La m thodologie appliqu e pour la construction et la passation du questionnaire est hybride dans le sens o si l outil cr est avant tout un questionnaire compos principalement de questions ferm es le nombre de r pondants qui constituent l chantillon form par les professionnels et acteurs cl s impliqu s de pr s ou de loin dans la probl matique de la drogue dans une ville ou une commune donn e n a pas pour caract ristique comme il en est le cas pour une enqu te quantitative ou un sondage d opinions d tre repr sentatif d une population donn e Comme les personnes interrog es sont les intervenants concern s par la probl matique de la drogue elles sont donc choisies de la m me fa on que pour une recherche qualitative par entretien individuel ou entretien de groupe et en somme le nombre de personnes concern es par la passation du questionnaire n est que d une trentaine par ville ou commune En d finitive le traitement de ces r ponses
76. sous la forme de feux de d tresse Ce moniteur part d une triple approche de la question des nuisances publiques Dans une premi re phase l objectif est d avoir un tat des lieux quant au probl me de la gravit des nuisances Il importe donc de rassembler des donn es relatives au ph nom ne tant qualitatives que quantitatives Il est donc indispensable de partir d une approche int gr e avec une attention pour toutes les facettes du ph nom ne des nuisances Cette premi re phase doit fournir les ingr dients n cessaires la phase suivante savoir l approche des nuisances en mati re de drogues dans le cadre plus global des nuisances en g n ral Dans la deuxi me phase l approche devra tre faite concr tement Enfin dans un troisi me temps il importera de voir si la politique doit tre adapt e Le moniteur pourra nouveau servir examiner dans quelle mesure la politique men e agit sur la r alit Le moniteur synth tise par cons quent la collecte d informations destin es aux d cideurs 1 3 BASE ET METHODOLOGIE DU MONITEUR 1 3 1 LE CHOIX D UN MONITEUR La d cision de construire un tel instrument se fonde sur les constats tir s des entretiens r alis s pendant la recherche Les sources d inspiration qui ont servi l laboration du moniteur sont le Nederlandse Nationale Drugmonitor NDM J les tudes de monitoring de l alcoo l et des drogues r alis es par l I
77. te bestellen jaar rapporten worden aangeduid met een x De gegevens die eventueel mits toestemming kunnen worden opgevraagd bij de bevoegde instantie of dienst worden aangeduid met een MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 130 Tabel Beschikbaarheidsniveau per registratiesysteem Beschikbaarheidsniveau gt Nationaal Gemeenschap Gewest Provinciaal Arrondissementeel Lokaal Minimale Psychiatrische x x Gegevens 4 Politonele Nationaal Criminaliteitsstatistieken X X X ntveau Jaarstatistieken Parket Generaal X Veiligheidsmonitor X X X X VLASTROV x TELLUS X Ginger X X Vlaams Vlaamse Registratie niveau Middelengebruik X DARTS xX X i ARCADE x De Sleutel X x Sentinelles X Waals niveau Addibru X BXL DG Eurotox X ASL X Via deze twee schema s is het mogelijk goed te ontsluiten welke informatie in de registratiesystemen terug te vinden is en tot op welk niveau Toch zijn een aantal beperkingen te formuleren met betrekking tot enkele registratiesystemen De Politionele Criminaliteitsstatistieken en de Jaarstatistieken van het Parket Generaal zijn op geen enkele manier te verfijnen tot op de specifieke lokale context Zij zijn trouwens meer de weerspiegeling van het opsporingsbeleid van de politie en het vervolgingsbeleid van justitie dan van de rea
78. toevoeging van de antwoordkeuze geen mening de non respons wel daalde maar dat daardoor ook de perceptie per thema daalde en 3 dat een aantal stakeholders voor de tweede bevraging afhaakten omdat de dienst instelling waar zij tewerkgesteld zijn het werken met druggebruikers of druggebruik niet als kerntaak heeft en daardoor het nut van de monitor als evaluatie instrument niet inzagen Daarom is het van belang dat na de bevraging van de stakeholders een focusgroep wordt ingericht waarbij alle stakeholders van alle sectoren aanwezig zijn Op deze focusgroep zijn naast de betrokken stakeholders uiteraard ook de sectorverantwoordelijken en de MILD co rdinator aanwezig die tevens als moderator van de focusgroep optreedt De focusgroep is in eerste instantie een feedbackmoment zowel voor de stakeholders als voor de MILD co rdinator Doordat alle sectoren aanwezig zijn wordt de integraliteit van het drugbeleid zeker benadrukt De MILD co rdinator bespreekt de resultaten die de bevraging voor de verschillende sectoren heeft opgeleverd met aandacht voor 1 de antwoorden op de open vragen aangezien de open vragen als beperking hebben dat ze een hogere non respons kennen Door deze vragen in groep te bespreken kan nog relevante informatie over deze sub thema s worden verzameld 2 het bespreken van die vragen en sub thema s waar frequent de antwoordkeuze geen mening werd gegeven Zo kan de MILD co rdinator een zicht krijgen op het w
79. uitgebalanceerd kan worden op maat van de specifieke lokale situatie en noden Een lokaal ge ntegreerd beleid wordt gekarakteriseerd door een evidence based ori ntatie In de context van beleid duidt evidence based op de aanwezigheid van twee basispijlers beleid is gebaseerd op aangetoonde feiten en de verantwoording van gemaakte beleidskeuzes Een ge ntegreerd beleid dat ingebed is in een lokale realiteit en wenst in te spelen op de lokale situatie heeft nood aan een duidelijk zicht op zaken Vertaald naar een drugbeleid betekent dit dat men een duidelijk beeld heeft van de omvang en evoluties van het drugfenomeen in al zijn aspecten Een meetinstrument dat dit globale beeld als finaliteit heeft was niet voor handen en om daaraan tegemoet te komen werd de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid ontwikkeld De bestaande gegevens van het drugfenomeen zijn vooral kwantitatief van aard waardoor een aantal aspecten subjectieve indrukken over trends en evoluties verloren gaan Daarnaast blijft de informatie over het fenomeen gefragmenteerd en wordt op beleidsmatig vlak niet bijeen gebracht De Monitor heeft dan ook tot doel om in eerste instantie de bestaande gegevens aan te vullen met informatie rond perceptie en daarnaast ook de mogelijkheid te bieden om het gefragmenteerde beeld omtrent het drugfenomeen samen te brengen De Monitor laat dus een duidelijk beeld op de lokale drugproblematiek toe en biedt op die manier de noodzakelijke achtergr
80. van Belgi van 15 jaar of ouder Een belangrijke pragmatische reden om de Veiligheidsmonitor af te nemen en tevens in deze lijst van fenomeenindicatoren op te nemen is dat de Monitor vergelijkbare informatie oplevert vergelijkingen in tijd tussen verschillende type gemeenten en tussen verschillende niveaus worden mogelijk Resultaten op gemeentelijk niveau krijgen een grotere waarde en betekenis wanneer ze kunnen worden vergeleken met deze van naburige gemeenten gemeenten met dezelfde karakteristieken typegemeenten en het federaal of een ander supralokaal gemiddelde 19 http www just fgov be statistique_parquets start n home html 170 GOETHALS J PONSAERS P BEYENS K PAUWELS L EN DEVROE E Criminografisch onderzoek in Belgi In BEYENS K GOETHALS J PONSAERS P EN VERVAEKE G Eds Criminologie in actie Brussel Politeia 2002 173 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 100 B Concreet De gegevens die in de Veiligheidsmonitor voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid van belang zijn zijn deze met betrekking tot overlast verbonden aan druggebruik De gegevens zijn gegroepeerd in de tabellenrapporten van de Veiligheidsmonitor en zijn terug te vinden op de website van de Belgische Federale Politie Enerzijds is er een rapport op federaal niveau die de resultaten weergeeft voor het hele land en anderzijds is er een vergelijking
81. van een minder zicht op de situatie dan bij de eerste afname In het verlengde van deze algemene bevindingen van de tweede bevraging van de sleutelfiguren kan een belangrijke aanbeveling worden gedaan Om de informatie die verborgen blijft door het niet antwoorden op open vragen en het veelvuldige gebruik van de antwoordkeuze geen mening moeten de resultaten van de bevraging besproken worden in een focusgroep Op deze manier kan de MILD co rdinator veel meer extra informatie verzamelen door de stakeholders met elkaar in interactie te laten treden Op die manier kan het zicht op onderbelichte subthema s verfijnd worden Thema I Voor alle drie de subthema s I 1 Druggebruik 1 2 Niet problematisch druggebruik en 1 3 Poly druggebruik is er meer dan bij de eerste afname sprake van een lagere perceptie bij de respondenten in alle modules Toch is de perceptie zeker hoog genoeg bij de stakeholders voor de module drug hulpverlening waarbij wordt verondersteld dat zij de beste perceptie hebben over deze subthema s Thema I Voor subthema I 1 Socio demografische kenmerken is er zeker sprake van een goede perceptie De perceptie was dan ook het hoogst in de module veiligheid die het best geplaatst is om hierover een goede perceptie te hebben Enkel de respondenten uit de module preventie hebben een iets mindere perceptie wat bij de eerste afname niet het geval was dit heeft mogelijks te maken met de gedwongen a
82. verzameld via een interview met de lokale drugco rdinator of gelijkaardige sleutelfiguur Ook deze informatie wordt bijgehouden in een dossier zodat de evoluties op het structurele niveau duidelijk zichtbaar zijn gt Op het eindoverleg tussen de MILD co rdinator en de sectorverantwoordelijken wordt het verslag van de focusgroep overlopen en onderling besproken samen met de dossiers die de fenomeenindicatoren en de structurele indicatoren bevatten Zo kunnen alle gegevens gecontextualiseerd worden en kan duidelijk besproken worden wat nu precies mogelijke problemen zijn en hoe het lokale beleid hierop kan reageren gt Op basis van het eindoverleg tussen de sectorverantwoordelijken en de MILD co rdinator maakt de MILD co rdinator een eindverslag MILD op waarin de volledige resultaten en gesignaleerde problemen staan beschreven Om ervoor te zorgen dat aan de gesignaleerde problemen ook daadwerkelijk acties worden gekoppeld wordt het eindverslag door de MILD co rdinator besproken met de lokale overheid en alle stakeholders gt Een nationale toepassing van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid in alle steden en gemeenten met een Veiligheids en Preventiecontract is aangewezen omdat de afname van de Monitor een stimulans is voor een lokale communicatie en samenwerking wat essenti le voorwaarden zijn wil men komen tot een integraal en multidisciplinair drugbeleid MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique
83. vier deze registratiesystemen zijn gelinkt aan de module hulpverlening In het kader van het verzamelen van de fenomeenindicatoren voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid kan bij het overlopen van de verschillende registratiesystemen een belangrijke vaststelling gedaan worden niet alle systemen registreren op een systematische wijze of leveren op hetzelfde ogenblik een verslag af met een gegevensoverzicht In het verlengde van deze vaststelling kan een belangrijke aanbeveling gedaan worden om de afname van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid te optimaliseren Om de informatie uit de registratiesystemen op een snelle en vlotte manier terug te kunnen koppelen naar de bevraagde gegevens uit de stakeholderbevraging dient de verzameling van de fenomeenindicatoren continu te gebeuren Deze gegevens moeten dan worden gebundeld in een dossier die dan op het moment van de afname van de stakeholderbevraging de meest recente informatie uit de registratiesystemen bevat c Structurele indicatoren De structurele indicatoren die worden bevraagd via een interview met de drugco rdinator of een gelijkaardige sleutelfiguur werd slechts bij de eerste afname afgenomen De reden hiervoor is dat het drugbeleid en de taken van de drugco rdinator jaarlijks onderhandeld en vastgelegd worden in het kader van de Veiligheids en Preventiecontracten en daarom een zesmaandelijkse bevraging niet zinvol is Om het afnemen van het interview in het kader va
84. worden deze rapporten voor intern gebruik gehanteerd ze dienen als basis dienen voor de bespreking binnen de sector Het voornaamst forum voor deze besprekingen is de Werkgroep Registratie Binnen dit overleg worden de nodige afspraken gemaakt rond de verdere selectie en analyse van de gegevens Dit mondt uit in het opstellen van een CAW Jaarboek waar naast de naakte cijfers ook interpretaties worden aangeboden De ruwe data van de registratie bevat volgende variabelen __ Aanmeldingsregistratie _ Onthaalregistratie identificatievariabelen o a nummer CAW nummer deelwerking eerste contact variabelen o a manier van contactname verwijzer cli ntgegevens geslacht leeftijd etnisch culturele minderheid onthaalproblematiek en geboden hulp o a type aanmeldingsvraag probleem hulpverleningskenmerken o a datum afsluiting aantal contacten Begeleidingsregistratie datum start begeleiding cli ntgegevens o a burgerlijke staat gezinssituatie inkomen gegevens hulpverlening hulpverlenernummer en aantal contacten vastgestelde problematiek geboden hulp manier van afsluiten berekende variabelen aantal overnachtingen of duur hulpverlening Concreet voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid kan het van belang zijn om te kijken naar die gegevens omtrent de vastgestelde problematiek Daarbinnen bestaat de mogelijkheid om verslavingsproblemen te reg
85. www health fgov be vesalius devnew FR prof thema sanment Fdrugbeleid politique 20de 20drogue activiteitenverslagen Rapports RapportTrisannuel 202004 20R E9sum E9 20FR pdf CELLULE RECHERCHE ET CONCERTATION Engqu te Sentinelles Analyse descriptive de l volution des donn es de 1995 2001 Ville de Charleroi Contrat de Pr vention et de S curit Octobre 2002 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 177 COLLECTIF The Treatment Demand Indicator TDI Standard Protocol 2 0 14 03 2000 http www suchtundaids bag admin ch imperia md content forschung act info 10 pdf COLPAERT K en DE CLERCQ T Implementing the Treatment Demand Indicator in Belgium Registration of drug users in treatment Brussels Scientific Instititute of Public Health 2003 Convention Service de Criminologie Contrat de S curit et de Soci t de la ville de Li ge Rapport d activit pour la p riode de 1 juin au 15 d cembre 2000 DE JONG W en BOUCHIER T Van onderzoek naar interventies Rapid Assessment and Response in het locale drugbeleid Kwalon 14 2000 jrg 5 nr 2 24 29 DOUTRELEPONT D M thodologie de l enqu te Notes de cours Universit de Li ge 2004 2005 DECORTE T KAMINSKI D Muys M SLINGENEYER T Problematisch gebruik van illegale drugs Onderzoek naar de operationalisering van het concept in een wettelijke context L usage probl
86. 0 9 sans avis avec un taux de perception de 64 3 pour la seconde passation Ceci est peut tre l effet de la transformation des questions dans ce th me Pour l autre sous th me concernant les formes de nuisances II 3 Nuisances criminelles l affinement des questions n a pas donn un taux de perception plus haut Le taux de perception est rest pour l ensemble des modules bas Pour recueillir ces perceptions ce th me doit tre trait en d tail pendant le focus group pour atteindre et affiner l image sur cette th matique Th me IV En ce qui concerne le th me IV nous pouvons formuler les m mes remarques que pour la premi re passation c t des limites des questions ouvertes dans cette partie les r pondants ne trouvent pas non plus facile de juger le travail et la gestion de leurs coll gues et des autres institutions Les pourcentages ne se trouvent pas plus hauts parce qu il est encore plus simple de ne pas exprimer de perceptions aux questions ferm es notamment en cochant la case sans avis b Les indicateurs chiffr s Tel que nous en avons parl dans l valuation de contenu la r colte des indicateurs de ph nom nes a dans les diff rents syst mes d enregistrement comme objectif de contextualiser les donn es demand es aux personnes ressources C est n cessaire afin de former une meilleure image des volutions et tendances au sein des diff rents aspects du ph nom ne
87. 05 doc VAN LAER M CRUTS A VERDURMEN J MEIJER R PANHUIS P VAN OOYEN M Nationale Drugmonitor Jaarbericht 2003 Utrecht Trimbos Instituut 2003 VANDER BEKEN T CUYVERS L DE RUVYER B DEFRUYTIER M HANSENS J Kwetsbaarheid voor georganiseerde criminaliteit Een gevalstudie van de diamantsector Gent Academia Press 2004 VANDER BEKEN T CUYVERS L DE RUVYER B HANSENS J BLACK C Het meten van de kwetsbaarheid van de legale economische sectoren voor de georganiseerde misdaad Academia Press Gent 2003 VANDERPLASSCHEN W COLPAERT K LIEVENS K BROEKAERT E De Oost Vlaamse drughulpverlening in cijfers kenmerken zorggebruik en uitstroom van personen in behandeling Gent Orthopedagogische reeks 2003 VANDERPLASSCHEN W MOSTIEN B CLAEYS P RAES V en VAN BOUCHAUTE J Conceptnota Organisatiemodel Zorgcircuit Middelenmisbruik Gent Orthopedagogische reeks 2001 VAST SECRETARIAAT VOOR HET PREVENTIEBELEID Handleiding bij het evaluatierooster van de Veiligheids en Preventiecontracten en van de Drugplannen Brussel 2003 X Gegevensverzameling welzijn en gezondheid in Vlaams Brabant Leuven KHLeuven Departement Sociale School Heverlee 2005 X Guide to drug abuse epidemiology Gen ve World Health Organization 2000 X Using Key Informants Interviews URL http www aces uiuc edu PPA pdf files Informant1 PDF _XS 2 KENNISNETWERK SOCIAAL BELEID Een
88. 1 2 4 MODULE VEILIGHEID 99 2 1 2 1 Politionele criminaliteitsstatistieken 99 A Algemeen 99 B Concreet 99 2 1 2 2 Jaarstatistieken van het Openbaar Ministerie 99 A Algemeen 99 B Concreet 100 2 1 2 3 De Veiligheidsmonitor 100 A Algemeen 100 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues B Concreet 101 2 2 VLAAMS NIVEAU 101 2 2 1 1 MODULE ALGEMEEN WELZIJNSWERK amp GEZONDHEIDSWERK 101 2 2 1 1 Registratie door Vlaams Straathoekwerk Overleg VLASTROV _101 A Algemeen 101 B Concreet 102 2 2 1 2 Centra Algemeen Welzijnswerk TELLUS registratie 102 A Algemeen 102 B Concreet 103 2 2 2 2 MODULE PREVENTIE 104 2 2 2 1 Ginger registratie VAD 104 A Algemeen 104 B Concreet 104 2 2 3 3 MODULE HULPVERLENING 105 2 2 3 1 Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM 105 A Algemeen 105 B Concreet 106 2 2 3 2 Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslaafdenzorg VVBV 106 A Algemeen 106 B Concreet 107 2 2 3 3 ARCADE voorheen MedAR 107 A Algemeen 107 B Concreet 108 2 2 3 4 De Sleutel 108 A Algemeen 108 B Concreet 109 2 3 NIVEAU WALLON BRUXELLES CAPITALE COMMUNAUTE GERMANOPHONE 109 2 3 1 3 MODULE ASSISTANCE 109 2 3 1 1 L enqu te Sentinelles Charleroi 109 A G n ralit s 110 B Concr tement 110 2 3 1 2 Eurot
89. 19 januari 2001 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 8 Het eindrapport van het onderzoek hieronder voorgesteld omvat vijf grote delen In dit eerste inleidende gedeelte wordt het onderzoek in zijn context geplaatst en de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid gesitueerd als geheel Ook wordt de keuze van de pilootsteden besproken Ten slotte schetsen we de uiteindelijke bedoeling van dit eindrapport In het tweede deel bespreken we de bevraging van de sleutelrespondenten De methodologie voor de vragenlijst en de analyse ervan worden uiteengezet alsook de samenstelling en wijzigingen van de vragenlijst Verder wordt aandacht besteed aan de procedure en procesevaluatie van de vragenlijstafname in de vier pilootsteden Ten slotte geven we het waarom en het gebruik aan van een handleiding voor deze vragenlijst Het derde gedeelte handelt over de methodologie en het gebruik van de fenomeenindicatoren Deze indicatoren zijn opgedeeld in vier modules algemeen welzijns en gezondheidsbeleid preventief beleid hulpverlening en veiligheid In het vierde deel komt de methodologie en het gebruik van de structurele indicatoren aan bod Ook deze zijn opgedeeld in drie modules co rdinatie overleg en samenwerking Het vijfde en laatste deel reflecteert de algemene conclusies van het eindrapport MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e
90. 1997 Vers une mesure de la criminalit pr sentation et application de quelques outils Contrat de S curit Ville de Li ge 69 85 XS 2 Kennisnetwerk Sociaal Beleid Een sociale monitor d weg naar integraal sociaal beleid Verslag van de expertmeeting van XS 2 op 16 december 2002 URL http www x s2 nl docs verslag_ sociale monitor expertmeeting _16_dec_2002 pdf 28 september 2004 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 26 description du ph nom ne faire un tour d horizon d une situation sur un territoire d termin x js su 0 Pe AN et la signalisation des volutions soci t ales Il comprend une s rie de crit res la collecte d informations doit tre p riodique et syst matique information recueillie doit tre aussi r cente que possible les codes utilis s par item sont les m mes information r colt e est pertinente d un point de vue politique le moniteur a une valeur talon Pour le pr sent moniteur un large ventail de sources disponibles peut tre utilis en vue de 5 f 2 SI collecter de l information Il est possible de ranger ces sources en cinq grandes cat gories la litt rature existante et la documentation les donn es statistiques g n rales les informations disponibles aupr s des institutions ou services les informations diffus es par des groupes loc
91. 3 non r ponses concernant la Criminalit acquisitive Pour les r pondants de Gand N 19 8 personnes ressources n ont r pondu aucun des deux th mes MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 57 2 2 4 2 Formulation des questions Sur base de ces deux listes de nuisances publiques et criminelles nous avons galement transform le contenu des questions Pour chacune de ces formes de nuisances nous avons pris l option de questionner les r pondants sur leur fr quence d apparition de chacune de ces formes de nuisances L chelle utilis e est la suivante tr s souvent souvent parfois rarement jamais Les r pondants ont alors la t che de cocher la fr quence d apparition de chaque nuisance dont ils ont fait l exp rience Concernant chaque substance pour laquelle le r pondant a coch une autre fr quence d apparition que jamais deux questions de pr cision sont alors pos es L une porte sur le moment de la journ e durant lequel chaque nuisance est per ue principalement et l autre concernant le moment de la semaine auquel les m mes nuisances sont per ues Pour les moments de la journ e l chelle utilis e est la suivante une seule r ponse possible chaque fois En matin e Dans la pause midi Durant l apr s midi En soir e Durant la nuit Ind finiment toute la journ e Pour l
92. 4 module veiligheid 2 1 B Opmerkelijke resultaten Bij de vragen 1 tot en met 5 werd veelal gepeild naar de algemene frequentie van gebruik van de lijst met opgesomde middelen alsook naar de vraag of het gebruik bij bepaalde groepen problematisch en niet problematisch was gestegen gedaald of gelijk gebleven Bij al deze vragen was de antwoordmogelijkheid geen mening toegevoegd Bij deze vragen werd van deze mogelijkheid weinig gebruik gemaakt gemiddeld twee keer per middel het ging hierbij meestal om stakeholders die overal geen mening hadden ingevuld Toch was er bij n bepaald middel vluchtige snuifmiddelen een iets hogere frequentie te bemerken bij de antwoordmogelijkheid geen mening vijf van de dertien respondenten Bij vraag 7 werd gepeild naar de perceptie van de evolutie van het gebruik per druggebruiker en dit voor de groepen niet problematische en problematische gebruikers Naast gestegen gedaald en gelijk gebleven kon geopteerd worden voor de keuze geen mening Zes stakeholders hadden geen mening voor de groep niet problematisch en vijf respondenten hadden geen mening voor de groep problematisch Vraag 9 en 10 vroegen of respectievelijk de evolutie van het aantal poly druggebruikers en het gebruik per poly druggebruiker gestegen gedaald of gelijk gebleven waren Voor alle mogelijke combinaties poly druggebruik werd toch gemiddeld respectievelijk vijf en zes keer ge
93. ALGEMENE PROCESEVALUATIE VAN DE MONITOR 133 2 2 PROCESEVALUATIE PER LUIK VAN DE MONITOR 135 2 2 a Stakeholderbevraging 135 2 2 b Fenomeenindicatoren 140 1 Registratiesystemen op nationaal niveau 141 2 Registratiesystemen op Vlaams niveau 141 3 Registratiesystemen op Waals niveau Brussels Hoofdstedelijk Gewest Duitstalige Gemeenschap 142 2 2 c Structurele indicatoren 142 2 3 BESLUIT 143 3 RANDVOORWAARDEN VOOR DE MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID 144 4 ALGEMEEN BESLUIT 148 Partie 5 Conclusions 150 INTRODUCTION 150 1 EVALUATION DU MONITEUR EN TERMES DE CONTENU 151 1 1 L VALUATION G N RALE DU MONITEUR DE POLITIQUE INT GR E LOCALE EN MATI RE DE DROGUES 151 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 6 1 2 L VALUATION PAR VOLET DU MONITEUR DE POLITIQUE INT GR E LOCALE EN MATI RE DE DROGUES 152 1 2 a La consultation des personnes ressources 152 1 2 b Les indicateurs chiffr s 154 1 2 c Les indicateurs structurels 157 1 3 DECISION 157 2 EVALUATION DU PROCESSUS DU MONITEUR 158 2 1 EVALUATION DU PROCESSUS GENERAL DU MONITEUR 158 2 2 EVALUATION DU PROCESSUS PAR VOLET DU MONITEUR 160 2 2 a La consultation des personnes ressources 160 2 2 b Les indicateurs chiffr s 166 1 Syst mes d enregistrement au niveau local 168 2 les syst mes d enregistrement au niveau flamand 168 3 les syst mes d enr
94. AVAL 2000 1 2 ST R HARTNOLL V M HENDRIKS M MORRIVAL The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 4 5 M DECONINCK M Locale druggerelateerde overlast In NEUFORGE S ed 2002 La ville carrefour d une politique de pr vention des toxicomanies Drogues et nuisances publiques une r lation complexe Bruxelles Editions Luc Pire p 98 T DECORTE B DE RUYVER P PONSAERS M BODEIN A C LACROIX S LAUWERS P TUTTELEERS Drogues et nuisances Etude du ph nom ne des nuisances associ es aux drogues de son contr le et de ses effets partir de diff rents angles d approche Politique scientifique f d rale Gand Academia Press 2004 pp 287 et 293 3 T RHODES The risk environment a framework for understanding and reducing drug related harm International Journal of Drug Policy 2002 85 94 R SIMON M DONMALL R HARTNOLL A KOKKEVI A W OUWEHAND M STAUFFACHER J VICENTE The EMCDDA Pompidou Group Treatment Demand Indicator Protocol A European Core Item Set for Treatment Monitoring and Reporting European Addiction Research 1999 Vol 5 n 4 197 S SAXENA M C DONOGHOE Chapter 1 Introduction in X Guide to drug abuse epidemiology Gen ve World Health Organization 2000 12 13 K COLPAERT T DE CLERCQ Implementing the Treatment Demand Indicator in Belgium Registration of drug users in treatment Brussels Scientific Instititu
95. Actions en Toxicomanie Le contexte de la recherche MILD tant dans sa construction en trois volets qu au niveau de son histoire est bien connue par la Coordination des Actions en Toxicomanie de Li ge dans le sens o sa coordinatrice fait partie depuis le d but du processus de recherche du comit d accompagnement Toutefois malgr les pr cautions prises en supprimant la premi re passation du questionnaire en vue de son am lioration l accueil fait au questionnaire par la Coordination des Actions en Toxicomanie de Li ge a t identique celui que nous avions v cu Charleroi En effet la recherche MILD et le questionnaire m me remani pose de nombreuses questions d ad quation entre l objectif vis et les informations qui seront recueillies par ce questionnaire notamment concernant le volet des nuisances li es aux drogues Les r ticences par rapport au questionnaire se situent galement tant au niveau du contenu qu au niveau de la d marche de recherche qui n a pas t envisag e avec l autorit locale De plus de nombreuses critiques tiennent au caract re ambivalent du questionnaire D autre part pour l quipe de la Coordination des Actions en Toxicomanie de Li ge deux types de personnes qui n ont pas la m me expertise dans le cadre du ph nom ne de la drogue d une part des professionnels avec une expertise pr cise et scientifique dans le domaine et d autre part des citoyens qui eux v
96. D Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 120 En r sum l analyse de contenu peut tre appliqu e dans diverses situations pour examiner des logiques de fonctionnement d organisations gr ce aux documents qu elles produisent en vue d analyser des strat gies des enjeux d un conflit des r actions latentes une d cision de l impact d une mesure etc MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 121 Chapitre 2 Entretiens r alis s Pour l ensemble de ces entretiens il s est av r que la grille d entretien tait fonctionnelle et structurellement applicable La m me grille d entretien a donc t appliqu e pour l ensemble des entretiens r alis s dans les quatre villes pilotes 2 1 CHARLEROI L entretien a eu lieu entre la premi re et la seconde passation Il s est d roul dans le bureau de la Coordination Drogues de Charleroi pendant une heure environ Le Coordinateur Drogues et la responsable de la Cellule Recherche et Concertation taient pr sents et ont pris part la discussion Cet entretien n a pas t enregistr l enqu teur a pris des notes durant l expos des deux personnes interview es Si l entretien a bien s r port sur les points qui sont abord s dans la grille d entretien il a galement permis de retracer l historique de la Coordinat
97. D Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 159 Malgr beaucoup d tudes concernant la conceptualisation et mesurage de nuisance de drogues il n y a pas encore une d finition sp cifique de nuisance de drogues Quand m me nous devons sur base des tudes d j faites essayer d attraper une vue aux formes de nuisance de drogues qui sont le plus facile objectiver Le questionnaire du Moniteur est bas sur le Moniteur de drogues National des Pays Bas les recherches concernant le mesurage de l alcool et des drogues de l Instituut voor Onderzoek naar Leefwijzen en Verslaving IVO et le Trimbosinstituut et le barom tre toxicomanie de Li ge qui a indiqu que dresser la carte des nuisance de drogues peut attribuer le domination de la probl matique de drogues int grale 2 2 Evaluation du processus par volet du moniteur a Consultation des personnes ressources La consultation des personnes clefs est en rapport avec les informations qui sont demand es la partie la plus importante du Moniteur C est la raison pour laquelle cette consultation a lieu aupr s des personnes qui d une mani re ou d une autre ont affaire avec le ph nom ne de drogues d un point de vue local Les perceptions de ces personnes nomm es les personnes ressources est un indicateur important pour les tendances et les changements du c t du ph no
98. De heer Pol GERITS FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu De heer Ivo HOOGHE FOD Binnenlandse Zaken Vast Secretariaat Preventiebeleid VSPP De heer Patrick JANSSEN Commissaris van de Lokale Recherche Antwerpen afdeling Prioriteiten De heer Guido JOSSELS Wetenschappelijk Instituut Volksgezondheid De heer Jo LOCQUET POD Maatschappelijke Integratie Cel Grootstedenbeleid Madame Sophie NEUFORGE Contrat de s curit Coordination des actions en Toxicomanie Monsieur Jean Claude OVART Contrat de s curit drogues et nuisance publique Mevrouw Diane REYNDERS FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid De heer Jo VAN ASSCHE CDO Ugent Mevrouw Dike VAN DE MHEEN Instituut voor Onderzoek naar Leefwijzen en Verslaving Rotterdam NL Mevrouw Ellen VAN DEN BOGAERDE Federale Politie Veiligheidsmonitor Madame Isabelle VAN DEN STEEN Federale Politie Veiligheidsmonitor De heer Alexander VAN LIEMPT FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid De heer Mario VAN POPPEL Strategisch analist Stad Antwerpen Integrale Veiligheid Strategische Cel Databank Sociale Planning Madame Sophie VERCHEVAL Contrat de s curit Coordination des actions en Toxicomanie Madame Denise WALCKIERS Institut Scientifique de Sant Publique Voorheen Federale Dienst voor Wetenschappelijke Technische en Culturele Zaken DWTC Beleidsnota van de Federale Regering in verband met de drugproblematiek
99. Drugmonitor cr qui tend une am lioration et l harmonisation des activit s de surveillance aux Pays Bas Le Moniteur est utilis pour la synth se des donn es et le reporting aux autorit s nationales et aux instances internationales Dans ce Moniteur la r colte l int gration des chiffres sont mises en place de mani re centralis e o BLANKEN P VOLLEMANS L VERVEEN J HENDRIKS V en ADRIAANS N Perron Nul en de bezoekers die er kwamen Het Rotterdams Drug Monitoring Systeem 1994 Rotterdam IVO 1995 IVO Reeks 7 p 11 36 ge SPIJKERMAN R BIESMA S MEIJER G VAN DER POEL A VAN DEN EIJNDEN R en BIELEMAN B Vier jaar Verantwoord Schoon Evaluatie van Verantwoord Schoon programma voor aanpak van drugsoverlast in Rotterdamse deelgemeenten Rotterdam IVO INTRAVAI 2002 p 83 Ee SNIPPE J HOOGEVEEN C en BIELEMAN B Monitor drugsproblematiek justitie Definitiestudie en ontwikkelingstraject Groningen INTRAVAL 2000 60 p 1 Ibid 13 en 21 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 48 2 2 QUESTIONNAIRE EN VUE DE LA SECONDE PASSATION Les intervenants professionnels et r pondants qui ont t impliqu s dans la recherche MILD suite la premi re passation du questionnaire ont t nombreux r agir sur les diff rents aspects du questionnaire tant du point de vue de sa philosophie qu propos des notions autour
100. ERS S EN TUTELEERS P Drugs en Overlast Studie van het fenomeen de beheersing en de effecten van druggerelateerde overlast en dit vanuit verschillende invalshoeken Gent Academia Press 2004 335 p PONSAERS P DE RUYVER B LEMA TRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten Brussel POD Wetenschapsbeleid 2004 143 p Het volledige onderzoeksrapport kan geraadpleegd worden op de website van het Federaal Wetenschapsbeleid URL www belspo be belspo fedra prog asp l nl amp COD DR 7 Beleidsnota van de Federale Regering in verband met de drugproblematiek Brussel 19 januari 2001 35 VAST SECRETARIAAT VOOR HET PREVENTIEBELEID Handleiding bij het evaluatierooster van de Veiligheids en Preventiecontracten en van de Drugplannen Brussel 2003 22 23 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 10 problemen inzake onveiligheid en onzekerheid wordt via deze in de praktijk centraal gestelde doelstellingen niet verengd tot het voorkomen van druggerelateerde overlast Druggerelateerde maatschappelijke overlast als doelstelling neemt hierbij een secundaire plaats in Daar waar binnen overlastprojecten het beheersen of voorkomen van overlast een centrale plaats krijgt wordt druggerelateerde overlast bekeken vanuit een breder perspectief en maakt het deel uit van een
101. FEDERAAL WETENSCHAPSBELEID M PROGRAMMATORISCHE FEDERALE OVERHEIDSDIENST WETENSCHAPSBELEID SERVICE PUBLIC DE PROGRAMMATION POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE MILD MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID MONITEUR DE POLITIQUE INTEGREE LOCALE EN MATIERE DE DROGUE EINDRAPPORT RAPPORT FINAL Co rdinator Coordinateur Prof Dr B De Ruyver UGent IRCP Promotoren Promoteurs Prof Dr P Ponsaers UGent SVA Prof Dr A Lema tre ULg Prof Dr C Maquet ULg Onderzoekers Chercheurs A Bucquoye UGent T Surmont UGent C Simays ULg Universiteit Gent Faculteit Rechtsgeleerdheid Vakgroep Strafrecht en Criminologie Institute for International Research on Criminal Policy IRCP Onderzoeksgroep Sociale Veiligheidsanalyse SVA Universit de Li ge Facult de Droit Service de Criminologie Institut des sciences humaines et sociales Sociologie du contr le social UNIVERSITEIT Tables des mati res Deel 1 Inleiding 8 Hoofdstuk 1 Situering van het onderzoek 10 1 1 NAAR EEN MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID 10 1 2 DOEL EN ACHTERGROND VAN DE MONITOR 12 1 3 BASIS EN METHODOLOGIE VAN DE MONITOR 12 1 3 1 DE KEUZE VOOR EEN MONITOR 12 1 3 2 METHODOLOGIE 14 1 3 3 SCHEMATISCH OVERZICHT VAN DE MONITOR 16 1 3 4 SCHEMATISCH OVERZICHT NADER TOEGELICHT 17 1 3 5 UITEINDELIJKE BEDOELING VAN DIT EINDRAPPORT 18 Hoofdstuk 2 Afname van de Monitor keuze van de pi
102. I HI III IV Subthema D2 112 13 11211 2131121314 Minimale Psychiatrische Gegevens xX X xX X xX X X Nationaal Politonele Criminaliteitsstatistieken xX niveau Jaarstatistieken Parket Generaal x Veiligheidsmonitor X xX VLASTROV X X X X X X X X TELLUS XX X X X X X Ginger X Vlaams niveau VRM XXIX X X X DARTS XX X X X XXIX ARCADE XIXIXIX X X X De Sleutel XI XIXIX X X Sentinelles xX X xX X X X Waals niveau 3 BXL Addibru BXL XX X X X X Duitstalige Eurotox xlix xxix x x x gemeenschap ASL DG XIXIXIX X X Legende Thema I 1 Druggebruik 2 Niet problematisch gebruik 3 Poly druggebruik Thema I 1 Socio demografische kenmerken 2 Evoluties in het profiel Thema MI 1 Gevolgen voor de volksgezondheid 2 Openbare orde overlast 3 Criminele overlast Thema IV 1 Preventieve acties 2 Hulpverlenende acties 3 Criminele overlast 4 Samenwerkings en overlegacties Verder heeft de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid ook als opzet om een evidence based drugbeleid mogelijk te maken op lokaal niveau Daarom is het belangrijk om te kunnen nagaan welke bestaande registratiesystemen data kunnen aanleveren die onmiddellijk te interpreteren zijn in de lokale context Hiervoor vindt men in het schema op de volgende pagina een overzicht waarbij per registratiesysteem wordt aangegeven op welk niveau nationaal gemeenschap gewest provinciaal lokaal de gegevens voor handen zijn De gegevens die rechtstreeks raadpleegbaar zijn op websites of via
103. Les intervenants professionnels et r pondants qui ont t impliqu s dans la recherche MILD suite la premi re passation du questionnaire ont t nombreux r agir sur les diff rents aspects du questionnaire tant du point de vue de sa philosophie du questionnaire qu propos des notions autour desquelles il est construit Leurs nombreux commentaires ainsi que ainsi que le travail d analyse des r ponses obtenues ont permis de construire un questionnaire plus simple tant dans la forme que dans le fond La seconde passation a donc eu lieu au mois de novembre 2005 dans les quatres villes pilotes de la recherche Les tapes de la passation comme les personnes impliquer sont rest es majoritairement identiques de la premi re la seconde passation Elles vont tre d crites dans les points suivants 3 2 1 CHARLEROI 3 2 1 1 Proc dure La pr paration de la seconde passation s est d roul e diff remment que celle qui avait pr valu pour la premi re passation En effet si pour la premi re passation l quipe de recherche s est limit e impliquer dans le processus les professionnels qui taient li s la Coordination Drogue Elargie et qui avaient t r pertori s par le Coordinateur Drogues la seconde passation a concern davantage de personnes En effet face aux difficult s qui avaient t rencontr es lors de la premi re passation et dans le souci de tester malgr tout l outil en vue d
104. M Locale druggerelateerde overlast In NEUFORGE S ed La ville carrefour d une politique de pr vention des toxicomanies Drogues et nuisances publiques une r lation complexe Brussel Edition Luc Pire 2002 98 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S TUTELEERS P o c 287 en 293 8 RHODES T The risk environment a framework for understanding and reducing drug related harm International Journal of Drug Policy 2002 85 94 1 SIMON R DONMALL M HARTNOLL R KOKKEVI A OUWEHAND A W STAUFFACHER M en VICENTE J The EMCDDA Pompidou Group Treatment Demand Indicator Protocol A European Core Item Set for Treatment Monitoring and Reporting European Addiction Research 1999 Vol 5 n 4 197 SAXENA S en DONOGHOE M C Chapter 1 Introduction in X Guide to drug abuse epidemiology Gen ve World Health Organization 2000 12 13 COLPAERT K en DE CLERCQ T Implementing the Treatment Demand Indicator MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 13 HARTNOLL e a schetsen in hun publicatie voor de Wereld Gezondheidsorganisatie een conceptueel kader voor de indicatoren en de verschillende informatiebronnen die kunnen gebruikt worden om zicht te krijgen op druggebruik en druggerelateerde problemen fig 1 Hoewel dit conceptueel kader een nuttig vertrekpunt biedt voor de
105. M thodologie et d Epist mologie des Sciences Sociales avec la Katholieke Universiteit Leuven 2001 BLANCHET A GOTMAN A L enqu te et ses m thodes l entretien Editions Nathan Paris 1992 BLANKEN P en ADRIAANS N F P Echo s van een mespuntje fantasie Een model voor lokaak drugbeleid gericht op beheersbaarheid van ongewenste neveneffecten van druggebruik onder prohibitie Rotterdam IVO Faculteit der geneeskunde en gezondheidswetenschappen Erasmus Universiteit Rotterdam 1993 BLANKEN P VOLLEMANS L VERVEEN J HENDRIKS V en ADRIAANS N Perron Nul en de bezoekers die er kwamen Het Rotterdams Drug Monitoring Systeem 1994 Rotterdam IVO 1995 BLOM T en KAHN A The Netherlands In DORN N Ed Regulating European Drug Problems Administrative measures and civil law in the control of drug trafficking nuisance and use Den Haag Kluwer Law International 1998 _BUCQUOYE A VERPOEST K DEFRUYTIER M VANDER BEKEN T EUROPEAN ROAD TRANSPORT OF GOODS IN VANDER BEKEN T ED Organised Crime and Vulnerability of Sectors The European Transport and Music Sector Antwerpen Apeldoorn 2005 CELLULE POLITIQUE DE SANTE EN MATIERE DE DROGUES Rapport trisannuel 2001 2002 2003 R sum SPF Sant Publique S curit de la Cha ne alimentaire et Environnement Direction g n rale Organisation des Etablissements de Soins Service des Soins de sant psychosociaux Octobre 2004 URL http
106. N D How to conduct your own survey New York John Wiley amp Sons 1994 p 35 37 DILLMAN D Mail and Internet surveys The Tailored Design Method New York John Wiley amp Sons 2000 646 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 74 informant analysis waarbij de key informant techniek kan gedefinieerd worden als het verzamelen van informatie van een persoon die in de positie zit om informatie te verstrekken over een gemeenschap als geheel of over aspecten van die gemeenschap waarin de onderzoeker specifiek ge nteresseerd is De onderzoeker kan op verschillende manieren informatie verkrijgen van een key informant Dit kan gebeuren aan de hand van informele gesprekken maar ook meer formele technieken zoals diepte interviews gestandaardiseerde vragenlijsten of groepsinterviews O De selectie van key informants of in casu stakeholders gebeurt niet op toevallige basis De methode is dan ook niet vrij van kritieken Een van deze kritieken is dat key informants niet het gehele beeld kennen en er daarom steeds vertekening mogelijk is Om dit te verkomen moet er diversiteit zijn in de keuze van de informanten Dit kan ondermeer inhouden dat er minderheidsgroepen worden betrokken in de bevraging Door de diversiteit aan key informants wordt een eenzijdige visie over een fenomeen vermeden De respondenten die voor deze stakeholderbevraging in aanmerking kwamen worde
107. N GEZONDSHEIDSBELEID module 1 PREVENTIEF BELEID module 2 MONITOR Structurele context van het drugbeleid HULPVERLENING module 3 Randvoor waarden integraal beleid VEILIGHEID module 4 Straathoekwerk Stedelijke dienst O C M W drugpreventie Geestelijke Politie STAKEHOLDER PO NGNE Artsen Provinciale en gezondheidszorg Parket Stedelijk regionale Justitiehuis ombudspersoon preventiewerkers Drughulpverlening Advocaten Administratie V A D O C M W NIS APS FENOMEEN Registratie Registratie Politie INDICATOREN SAGE Ginger registratie DO i i Parke Es Huisvesting Registratie Veiligheids Vlastrov registratie ruimte en milieu Stadsmonitor leerlingbevraging VAD STRUCTURELE INDICATOREN R PONSAERS P DE RUYVER B LEMAITRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B EN VANDER LAENEN F o c 15 drughulpverlening monitor Bevraging naar de lokale situatie mbt co rdinatie overleg en samenwerking over de verschillende pijlers heen MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 16 1 3 4 SCHEMATISCH OVERZICHT NADER TOEGELICHT De monitor bestaat uit drie delen een stakeholderbevraging de fenomeenindicatoren en de structurele indicatoren Een eers
108. N VUE DE LA SECONDE PASSATION 49 2 2 1 REMARQUES GENERALES 49 2 2 2 TEXTE D INTRODUCTION 49 2 2 3 THEME I CONSOMMATION DE DROGUES ET PROFIL DES CONSOMMATEURS DE DROGUES 50 2 2 4 THEME III CONSEQUENCES DU PHENOMENE DE DROGUES 54 2 2 4 1 Le ph nom ne des nuisances li es aux drogues 55 2 2 4 2 Formulation des questions 58 2 2 5 THEME IV ACTIONS CONCERNANT LE PHENOMENE DE DROGUES 60 Chapitre 3 Passations du questionnaire dans les villes pilotes wallonnes_61 3 1 PREMIERE PASSATION 61 3 1 1 CHARLEROI 62 3 1 1 1 Proc dure 62 3 1 1 2 Les r pondants au questionnaire 64 3 1 1 3 R sultats R ponses obtenues 65 3 1 1 4 Evaluation 65 3 1 2 LIEGE 66 3 2 SECONDE PASSATION 66 3 2 1 CHARLEROI 66 3 2 1 1 Proc dure 66 3 2 1 2 Les r pondants au questionnaire 67 3 2 1 3 R sultats R ponses obtenues 68 3 2 1 4 Evaluation 68 3 2 2 LIEGE 69 3 2 2 1 Proc dure 69 A Contacts avec la Coordination des Actions en Toxicomanie _69 B Contact avec le manager des nuisances publiques 70 C Processus de passation proprement dit 70 3 2 2 2 Les r pondants au questionnaire 71 3 2 2 3 R sultats R ponses obtenues 72 3 2 2 4 Evaluation 72 Hoofdstuk 4 Afname van de vragenlijsten in de pilootsteden in Vlaanderen 73 4 1 EERSTE AFNAME 73 4 1 1 GENT 13 4 1 1 1 Procedure 73 4 1 1 2 Respondenten 76 4 1 1 3 Resultaten 77 A Stakeholders 77
109. Preventie Antwerpen De heer Cis DE WAELE Co rdinator VLASTROV De heer Arne DORMAELS FOD Binnenlandse Zaken Directie Publieke Veiligheid De heer Pascal GARLEMENT Police f d rale Direction g n rale de la police judiciaire De heer Pol GERITS FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu De heer Ivo HOOGHE FOD Binnenlandse Zaken Vast Secretariaat Preventiebeleid VSPP De heer Patrick JANSSEN Commissaris van de Lokale Recherche Antwerpen afdeling Prioriteiten De heer Guido JOSSELS Wetenschappelijk Instituut Volksgezondheid De heer Jo LOCQUET POD Maatschappelijke Integratie Cel Grootstedenbeleid Madame Sophie NEUFORGE Contrat de s curit Coordination Toxicomane Monsieur Jean Claude OVART Contrat de s curit drogues et nuisance publique Mevrouw Diane REYNDERS FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid De heer Jo VAN ASSCHE CDO Ugent Mevrouw Dike VAN DE MHEEN Instituut voor Onderzoek naar Leefwijzen en Verslaving Nederlands Mevrouw Ellen VAN DEN BOGAERDE Federale Politie Veiligheidsmonitor Madame Isabelle VAN DEN STEEN Federale Politie Veiligheidsmonitor De heer Alexander VAN LIEMPT FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid De heer Mario VAN POPPEL Strategisch analist Stad Antwerpen Integrale Veiligheid Strategische Cel Databank Sociale Planning Madame Sophie VERCHEVAL Contrat de s curit Coordination Toxicomane Madame Denise WALCKIERS Institut Sc
110. REPORTS Nr 2000 018 MARSHALL M N The key informant technique Family Practise 1996 13 1 92 97 MARTINEAU H GOMART E Politiques et exp rimentations sur les drogues aux Pays Bas rapport de synth se Observatoire fran ais des drogues et des toxicomanies 2000 Nationale Drugmonitor jaarbericht 2003 bureau NDM Utrecht 2003 NEUFORGE S ED La ville carrefour d une politique de pr vention des toxicomanies Drogues et nuisances publiques une r lation complexe Brussel Edition Luc Pire 2002 PELC IL CASSELMAN J BERGERET I CORTEN P MEUWISSEN K en NICAISE P Substitutiebehandeling in Belgi Ontwikkelen van een model ter evaluatie van de verschillende types van voorzieningen en van de pati nten Samenvatting van eindverslag le fase POD Wetenschapsbeleid 2003 PELC I FROM L NICAISE P Evaluation des maisons de d accueil socio sanitaire pour usagers de drogues rapport de synth se local Mons Charleroi Bruxelles SSTC 2001 http www belspo be belspo fedra proj asp l fr amp COD TO DD 04 PONSAERS P DE RUYVER B LEMA TRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten Brussel POD Wetenschapsbeleid 2004 RAES V LOMBAERT G Jaarverslag 2003EFOM focus op de zorgprocessen Gent De Sleutel 2004 RHODES T The risk environment a framework for understanding and r
111. Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1999 1 58 C FITCH T RHODES V HOPE G V STIMSON and A RENTON The role of rapid assessments methods in drug use epidemiology United Nations Office on Drugs and Crime Bulletin on Narcotics The science of drug abuse epidemiology New York United Nations 2002 Volume LIV Nos 1 and 2 61 en 66 5 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1999 II IV 6 G V STIMSON C FITCH and T RHODES eds 1998 The Rapid Assessment and Response Guide on Injecting Drug Use IDU RAR Geneva World Health Organization Substance Abuse Department 7 W DE JONG T BOUCHIER Van onderzoek naar interventies Rapid Assessment and Response in het locale drugbeleid Kwalon 14 2000 jrg 5 nr 2 24 29 T RHODES C FITCH G V STIMSON M S KUMAR Rapid assessment in the drug field International Journal of Drug Policy 11 2000 1 11 l T RHODES G V STIMSON C FITCH A BALL and A RENTON Rapid assessment injecting drug use and public health The Lancet vol 354 issue 9172 London Elsevier Ltd 1999 66 62 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1999 1 en 3 5 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati
112. SAERS P en VERVAEKE G Eds o c 138 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 131 Uit de vaststellingen rond de registratiesystemen kan een eerste belangrijke aanbeveling geformuleerd worden Het is noodzakelijk dat op termijn bij de verschillende registratiesystemen Politionele criminaliteitsstatistieken Jaarverslagen van het Parket Generaal TELLUS Ginger Vlaamse Registratie Middelengebruik en Eurotox minimaal de mogelijkheid bestaat om de cijfergegevens tot op lokaal niveau te verfijnen Dit komt het zicht op de het drugsfenomeen in de lokale context alleen maar ten goede c Structurele indicatoren Dit derde en laatste deel van de Monitor geeft een zicht op het lokale beleidsniveau De structurele indicatoren bevragen de noodzakelijke randvoorwaarden voor een ge ntegreerd lokaal drugbeleid In dit deel van de Monitor zijn drie modules te onderscheiden de module co rdinatie de module overleg en de module samenwerking Deze gegevens worden verzameld aan de hand van een interview met de drug preventie co rdinator of een gelijkwaardige sleutelfiguur Voor dit interview is in de handleiding een leidraad voorzien die gevolgd moet worden om de nodige informatie uit het gesprek te halen In het interview wordt bijvoorbeeld gevraagd wat volgens de ge nterviewde persoon noodzakelijke voorwaarden zijn voor een ge ntegreerd lokaal drugbe
113. Substance Abuse Department 1998 7 DE JONG W en BOUCHIER T Van onderzoek naar interventies Rapid Assessment and Response in het locale drugbeleid Kwalon 14 2000 jrg 5 nr 2 24 29 RHODES T FITCH C STIMSON G V en KUMAR M S Rapid assessment in the drug field International Journal of Drug Policy 11 2000 1 11 RHODES T STIMSON G V FITCH C BALL A en RENTON A Rapid assessment injecting drug use and public health The Lancet vol 354 issue 9172 London Elsevier Ltd 1999 66 United Nations Office for Drug Control and Crime Prevention UNODCCP o c MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 15 1 3 3 SCHEMATISCH OVERZICHT VAN DE MONITOR METHODIEK Hoe INFORMATIEBRON Met wie wat DOELPUBLIEK voor wie MONITOR STAKEHOLDER BEVRAGING Stakeholders Vragenlijst Beheerders van registratie systemen FENOMEEN INDICATOREN Cijferanalyse BELEID DOELSTELLING Wat Kwalitatieve bevraging naar de subjectieve indrukken Verzamelen van kwantitatieve gegevens FINALITEIT Waarom Verzamelen van informatie over niet geregistreerde gegevens Zicht krijgen op evoluties en trends Drugco rdinator of gelijkwaardige sleutelfiguur STRUCTUREEL Interview PIJLERS INTERGRAAL BELEID ALGEMEEN WELZIJNS E
114. Suite l analyse des donn es r colt es lors de la premi re passation du questionnaire les 5 P RS Liz tk 120 formes de nuisances publiques li es aux drogues suivantes ont t cit es LE Voornamelijk het Onderzoeksluik Bevolking uit DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S TUTELEERS P o c 145 184 1 Pour illustrer ce point pour les r pondants d Ostende N 30 seulement une seule personne n a pas r pondu cette question pour les r pondants Gand N 19 quatre r pondants ont laiss vierge l espace consacr la r ponse cette question 120 Ces formes cit es sont celles qui sont apparues plus d une fois dans les r ponses des r pondants En d autres termes au moins deux r pondants ont inscrit cette forme de nuisance MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 55 Ivresse sur la voie publique Marcher en rue sous l influence de drogues Consommation en public Racolage des jeunes Seringues _ D chets aiguilles _ Urine vomis Vagabondage Faire la manche Comportement g nant cris jurons barrer la route Echauffour es Squat d immeubles Sans abris Comportements de recherche de drogues dans les lieux de sortie aborder les gens Grands v nements ventuellement avec des incidents li s aux drogues Nuisances sonores tapage nocturn
115. UPS POPULATION SURVEYS Not Drug Users general population GENERAL POPULATION school children conscripts INDIRECT MARKET INDICATORS police seizures Domestic Suppl rpa street price purity prescription date traffick arrests customs seizures International Traffick d intelligence reports fig 1 Cadre conceptuel d indicateurs HARTNOLL HENDRIKS ET MORRIVAL 1 3 2 METHODOLOGIE La m thodologie sur laquelle nous nous sommes bas s pour construire le Moniteur est la m thode du Rapid Situation Assessment RSA Cette derni re r unit un ensemble de m thodes et techniques tant qualitatives que quantitatives d velopp es en vue de recueillir des SR HARTNOLL V M HENDRIKS M MORRIVAL The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 23 R HARTNOLL V M HENDRIKS M MORRIVAL The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 28 donn es Il s agit de donn es primaires obtenues l aide d entretiens individuels ou de groupe r alis s avec des personnes cl s ou des consommateurs de drogues mais aussi de donn es secondaires statistiques Cette m thode se r v le tre particuli rement efficace l heure de r colter dans un temps r duit un maximum de donn es utilisables pour le Mon
116. a consommation de drogues nous avons pass en revue une s rie de questions fondamentales pr alables la construction d entretien telle que la diff rence des termes coordination collaboration et concertation mais galement de la fa on dont peuvent tre fix s des crit res de fonctionnement d un r seau Cet entretien portait donc avant tout sur la forme de la grille d entretien et sur les objectifs de l entretien en lien avec les autres volets du Moniteur MILD MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 122 2 3 GAND L interview Gand a eu lieu si pr matur parce que le coordinateur en mati re de drogues tait absent partir d avril pour six mois L interview a eu lieu la service de S curit et Pr vention de la ville de Gand o le coordinateur en mati re de drogues travaille L interview a t enregistr e enti rement pour rendre le traitement plus facile A c t de cet enregistrement l enqu teur a pris des notes L interview a eu une dur e de 45 minutes Dans ce p riode toutes les questions pr vues ont t pos es et l interview a eu assez de temps pour placer l information donn dans le contexte juste Pendant l interview le coordinateur en mati re de drogues a r f r certains documents Ces documents ont t donn s l enqu teur la fin de l interview 2 4 OSTENDE L intervi
117. a seconde l chelle utilis e est la suivante une seule r ponse possible chaque fois Durant la semaine Durant le weekend Pas de distinction entre la semaine ou le weekend En d finitive de nombreuses notions floues et polys miques qui taient pr sentes dans le premier questionnaire ont t supprim es dans cette nouvelle version En effet les notions de trafics et de criminalit acquisitive ont t supprim es pour laisser la place une exemplification concr te de ces concepts dans la liste des nuisances criminelles li es aux drogues De m me la notion de responsabilit des consommateurs de drogues selon la substance principalement consomm e a t supprim e De la version du questionnaire pour la premi re passation celle utilis e pour la seconde passation les questions ouvertes ont disparu pour laisser la place aux listes de nuisances publiques et criminelles qui viennent d tre comment es Nous avons toutefois ajout une question ouverte pour la partie concernant les Perturbations de la qualit de vie nuisances publiques li es aux drogues et celle concernant les perturbations de la qualit de vie Nuisances criminelles li es aux drogues Y a t il d autres choses qui peuvent tre mentionn es en rapport avec les formes de nuisances publiques criminelles ia Cette question vise en somme permettre au r pondant de s exprimer sur le sujet vaste des nuisances publiq
118. aal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 90 Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues pourra galement aider les professionnels et personnes ressources qui vont tre amen s r pondre au questionnaire MILD En somme le guide d utilisation va rendre nous l esp rons la mise en uvre du Moniteur MILD simple accessible et didactique pour chaque instance qui prendrait la d cision via le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues de donner un clairage particulier sur le ph nom ne de drogues et sur ses cons quences sociales pour un territoire particulier MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 91 Hoofdstuk 7 Mogelijkheden tot analyse van de vragenlijsten Het analyseren van de vragenlijsten kan het best op een elektronische manier gebeuren Voor een vragenlijst met open en gesloten vragen is het perfect mogelijk om de lijsten te analyseren via het softwareprogramma Excel Uiteraard kan voor de gesloten vragen ook een ander dataverwerkingsprogramma worden gebruikt zoals SPSS De wijze van verwerken is uiteraard vrij te kiezen Voor de praktische werkwijze bij het verwerken naar de gegevens verwijzen we naar de handleiding van de Monitor in bijlage Daarnaast moet er ook gedacht worden aan de eigenlijke presentatie van de gegevens De gegevens verzameld aan de hand van de vr
119. aarom van de geen mening keuze en kan dus ook hier meer informatie worden verzameld 3 doordat de resultaten van de bevraging worden besproken is het noodzakelijk dat de MILD co rdinator de nadruk legt op die resultaten die een duidelijke MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 145 meerwaarde geven voor de lokale context Op die manier kan het nut van de bevraging beter tot zijn recht komen bij de sleutelfiguren Naar aanleiding van deze focusgroep wordt een verslag opgesteld door de MILD co rdinator Dit verslag geldt als uiteindelijk resultaat van de stakeholderbevraging in de verschillende sectoren gt Het eindoverleg tussen de MILD co rdinator en de sectorverantwoordelijken Nadat de intersectori le focusgroep werd georganiseerd volgt de belangrijkste fase in de informatieverwerking het eindoverleg tussen de MILD co rdinator en de sectorverantwoordelijken Op dit eindoverleg wordt het verslag van de focusgroepen overlopen en onderling besproken Op dit eindoverleg wordt ook gebruik gemaakt van het dossier met de fenomeenindicatoren en het dossier met de structurele indicatoren Zo kunnen alle gegevens gecontextualiseerd worden en kan duidelijk besproken worden wat nu juist de problemen zijn en hoe het lokale beleid hierop moet worden bijgestuurd Het bijsturen van het beleid zal dan afhangen van drie elementen 1 het bevoegdheidsniveau 2 de integralite
120. agenlijst kunnen relatief gemakkelijk worden verwerkt zeker gezien het ruim aantal gesloten vragen die de vragenlijst zijn opgenomen Normaal gezien wordt na het verwerken van de gegevens een rapport opgesteld waarin de analyses en vaststellingen worden besproken Zonder afbreuk te doen aan de waarde van een dergelijk rapport willen we er hier toch even op wijzen dat in het kader van een gemakkelijk hanteerbaar instrument zoals de monitor is bedoeld er kan gekeken worden naar andere presentatievormen Hierbij kan gedacht worden aan een scan waarbij op een eenvoudige manier de resultaten worden gepresenteerd en waarbij in een oogopslag al heel wat duidelijk is omtrent de stand van zaken rond het drugfenomeen Een dergelijke tool komt tegemoet aan het aanschouwelijkheidprincipe wat op zijn beurt een belangrijke functie heeft in het vertrouwd geraken met een nieuw instrument en het overtuigd worden van het nut van een dergelijk instrument Voor het uitwerken van deze scan kan inspiratie gezocht worden in eerdere studies gevoerd aan de universiteit Gent waar weliswaar vanuit een geheel andere context het opstellen en hanteren van een dergelijk scan aan de orde was Concreet gaat het hierbij over de studies over de kwetsbaarheidanalyses van legale sectoren Bij deze studies wordt een bepaalde economische sector opgedeeld in indicatoren waarbij voor elke indicator wordt nagegaan of ze al of niet een hoge kwetsbaarheid vertonen De onderzo
121. aisons de jeunes et maisons de quartier En rapport avec le secteur de l Assistance Module 3 l ensemble des services gravitant autour de la consommation de drogues centres d change de seringues centres de cure et post cure centre d insertion ont t contact s le centre d accueil de crise le service d urgence sociale les centres d accueil de jour et de nuit l ensemble des centres 131 Cette liste est disponible en annexe 1 bijlage 1 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 71 d h bergement de nuit pour hommes et pour femmes tout comme les centres d aides pour les jeunes et les familles Enfin en ce qui concerne les acteurs dans le cadre de la S curit et des nuisances Module 4 dans le cadre de la justice le Chef de Corps de la Police Locale et le personnel au sein de la Police Locale s occupant plus particuli rement de la division Stup fiants ont re u le questionnaire 3 2 2 3 R sultats R ponses obtenues Malgr les transformations du questionnaire en vue de la seconde passation les intervenants de terrain de Li ge ont t nombreux consid rer le questionnaire malgr les pr cisions apport es quant au fait qu il fait partie d un ensemble plus large de capteurs de donn es comme peu maniable et parfois id ologiquement ambivalent De ce fait plusieurs refus d y r pondre ont
122. al Drugbeleid werd uitgevoerd in de respectievelijke stad of gemeente kan tijdens het interview getoetst worden of de problemen die bij de vorige afname gesignaleerd werden op het lokale beleidsniveau de voorziene veranderingen hebben teweeg gebracht zonder te blijven hangen in de drie kernbegrippen co rdinatie overleg en samenwerking Een vraag die nog moet worden gesteld is wat gedaan moet worden als het mandaat van MILD co rdinator wordt uitgevoerd door de lokale drugco rdinator Het is niet echt logisch dat de drugco rdinator in het kader van de MILD afname zichzelf zou interviewen Wanneer dit probleem zich voordoet heeft de MILD co rdinator verschillende opties hij kan een ambtenaar bevoegd voor preventie interviewen hij kan een lid van de lokale Stuurgroep Drugs interviewen zolang de persoon betrokken is bij de uitvoering van het ge ntegreerd lokaal drugbeleid kan deze gekozen worden voor het interview Om de informatie die uit deze periodieke bevraging naar voor komt nuttig te maken voor toekomstige afnames van de Monitor en ook voor de bundeling van de eindresultaten van de Monitor waarin het gesprek wordt afgenomen kan een niet onbelangrijke aanbeveling gedaan worden De informatie die wordt gehaald uit het interview met de lokale drugco rdinator of gelijkaardige sleutelfiguur moet bijgehouden worden in een dossier waardoor de evoluties op het structurele niveau duidelijk zichtbaar zijn De informatie in dit dossier moet
123. alement abord es l aide d une liste Les deals et la criminalit acquisitive ont t int gr es dans la liste Pour la construction de cette liste l quipe de recherche s est inspir e de l ouvrage Drogues et nuisances pr c demment cit mais galement avec les modifications et les compl ments n cessaires apport s la liste initiale Formes de nuisances criminelles t Dealer dans la rue et dans d autres lieux publics Dealer dans les endroits o l on sort et aux f tes dans les caf s et les dancings Dealer des adresses non publiques adresses priv es 4 Immeubles utilis s pour le trafic Vol d objets dans des v hicules vandalisme sur des v hicules Vol de v hicules Cambriolage de maisons autres b timents 6 7 8 Vandalisme gcraffitis sur des maisons priv es 9 Hold up Vol avec violence 10 Des bagarres dans la rue 1 Vol l talage 12 Steaming Racket 13 Autre nuisance pr ciser 14 Autre nuisance pr ciser 121 Ces probl mes se sont manifest s pas un taux de r ponse extr mement bas en comparaison avec les r ponses apport es au th me des nuisances publiques li es aux drogues Pour illustrer ce point pour les r pondants d Ostende N 30 nous avons r colt 11 non r ponses en ce qui concerne les deals et 1
124. algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 10 2 module preventie 2 3 module drug hulpverlening 4 4 module veiligheid 3 B Opmerkelijke resultaten In deze paragraaf bespreken we voornamelijk de vragen waarop een hogere non respons gekomen is dan bij andere vragen Verder wordt ook een vraag aangehaald waarbij naast de bestaande antwoordmogelijkheden veel andere opties door de respondenten werden aangegeven Bij vraag 7b waar gevraagd wordt naar andere dan de zeven opgesomde vormen betreffende poly druggebruik zijn er zeven van de negentien respondenten die nog in totaal negen aanvullende combinaties weergeven 1 medicatie amp alcohol 2 XTC amp stimulantia 3 XTC amp cannabis 4 hero ne amp alcohol 5 stimulantia amp medicatie 6 stimulantia amp cannabis 7 stimulantia amp medicatie 8 alcohol amp XTC 9 alcohol amp paddo s Vraag 14a 14b en 15 peilen respectievelijk naar de evolutie inzake HIV besmettingen hepatitisbesmettingen en sterfgevallen bij druggebruikers In de vragenlijst kon worden aangegeven of deze waren gestegen gedaald of gelijk gebleven Voor de eerste twee vormen geven vijf respondenten geen antwoord Bij vraag 15 handelend over de sterfgevallen was de non respons nog iets meer uitgesproken Zeven respondenten doen hierover geen uitspraak In vraag 17 wordt gevraagd naar de meest voorkomende vormen van criminele overlast dealen alsook naar de plaatsen waard dit vaak v
125. als vraag 19 was vraag 24 een aanvulling en dit op de vragen rond openbare overlast Veertien van de achttien respondenten lieten deze vraag blanco Bij vraag 25 gaf 1 3 van de respondenten 6 geen gevolg aan het invullen van vormen van openbare overlast op de stadskaart Toch vulden bijna alle respondenten die wel gevolg gaven aan deze vraag de vormen in op de kaart zelf acht van de twaalf respondenten Net zoals bij de vragen 20 tot en met 23 rond openbare overlast werd op de vragen 26 tot en met 29 betreffende criminele overlast heel frequent geen mening aangeduid wederom afhankelijk van de vorm en dit mogelijks nog meer dan bij de vormen van openbare overlast dit gebeurde tussen de vijf en dertien keer op een totaal van achttien stakeholders die de vragenlijst invulden Ook op de aanvullende vraag rond criminele overlast vraag 30 werd bijna niet geantwoord Dit gebeurde door slechts n respondent Zeven respondenten vulden geen vormen van criminele overlast in op het stadsplan bij vraag 31 Acht van de elf respondenten die dit wel deden gaven de vormen aan op het stadsplan zelf Tenslotte waren bij de vragen 35 39 43 en 47 over de eventueel andere aanpak ook weer wat problemen qua respons Vraag 35 betreffende de preventieve acties werd door alle respondenten beantwoord Toch motiveerden tien respondenten hun antwoord niet waarvan er n vermelde geen zicht te hebben op de materie Alle respondenten die geen verklaring gaven
126. articiperend uittesten en het blind uittesten Bij het participerend uittesten zijn de respondenten op de hoogte van het feit dat het om een pretest gaat waar bij het blind uittesten deze informatie niet wordt meegedeeld aan de respondenten Beide vormen van uittesten zijn van belang omdat ze verschillende doeleinden kunnen realiseren Zo kan het participerend uittesten gehanteerd worden om na te gaan of bij elke vraag de termen en de vraag begrepen zijn Daarbij kunnen ook ondervonden moeilijkheden worden aangekaart en kunnen de suggesties die door de respondenten worden aangereikt gebruikt worden bij een herwerking van de vragenlijst Het blind uittesten biedt dan weer de mogelijkheid om na te gaan of de vragenlijst vlot en adequaat kan worden ingevuld door de onderzoekspopulatie Voor de pretest van de MILD vragenlijst werden vijf personen gecontacteerd Deze vijf personen werden geselecteerd zodat ook bij de pretest een evenredige verdeling is terug te vinden tussen de verschillende modules De respondenten voor het uittesten van de vragenlijst waren 1 interne evaluator 1 preventieambtenaar 1 co rdinator ambulante drughulpverlening 1 onderzoeksrechter en 1 hulpverlener Bij de test van de vragenlijst werd de participerende methode gehanteerd gezien alle testrespondenten vooraf op de hoogte waren dat het om een pretest van de vragenlijst ging Bij twee van de vijf respondenten was de pretest ook beperkt tot het louter inhoudeli
127. at betreft de detectie van overlast in het algemeen en drugoverlast in het bijzonder Vanuit deze vaststellingen werd in een tweede onderzoek het Metan onderzoek geopteerd om een instrumentarium te ontwikkelen om aan deze tekortkoming tegemoet te komen de zogenaamde Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid De bedoeling van een dergelijke monitor is signalen te ontvangen waarmee de lokale overheid een beleid kan bijsturen of een project kan ontwikkelen om op die manier de maatschappelijke overlast van het drugfenomeen te beperken De methodologische basis voor de Monitor is de methodiek van Rapid Situation Assessment RSA Dit is een onderzoeksmethode waarbij verschillende kwantitatieve en kwalitatieve methoden en technieken worden gecombineerd om gegevens te verzamelen Het gaat zowel om primaire gegevens verkregen d m v interviews focusgroepen met sleutelfiguren of met druggebruikers als om secundaire gegevens afkomstig uit bestaande registraties en statistieken De RSA wordt toegepast om zicht te krijgen op de aard de omvang en de trends van een sociaal of gezondheidsprobleem in casu het drugmisbruik en daarnaast ook op de antwoorden die op deze problemen vanuit bestaande structuren en diensten zijn geformuleerd De basis voor het belangrijkste luik van de Monitor de stakeholderbevraging of de bevraging van sleutelfiguren uit het werkveld is het verzamelen van informatie op lokaal niveau die niet in de registratiesyst
128. atiesystemen Een dergelijke secundaire analyse is geen specifiek regime van analytische procedures of een statistische techniek Het duidt enkel op een set van onderzoeksactiviteiten waarbij gegevens die door anderen worden verzameld geanalyseerd worden in functie van een de eigen probleemstelling De registratiesystemen die gebruikt zullen worden voor het aanleveren van informatie in het kader van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid werden aangegeven in het voorgaand METAN onderzoek Het gebruik van secundaire data met betrekking tot sociaal wetenschappelijk onderzoek heeft enkele methodologische voordelen Als de gegevens betrouwbaar en accuraat zijn bieden ze de mogelijkheid tot replicatie Secundaire data bieden de mogelijkheid tot triangulatie wat de validiteit van de primaire onderzoeksbevindingen kan verhogen In het geval van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid gaat het echter niet om het bekomen van een grotere validiteit de gegevens uit de registratiesystemen dienen als aanvulling van de gegevens uit de vragenlijst In deze optiek kan ook aangehaald worden dat de combinatie van de gegevens uit de vragenlijst met deze uit de secundaire analyse de onderzochte populatie verhoogt Er zijn uiteraard nog meer voordelen aan te halen van het gebruik van secundaire data we behouden ons het recht om enkel de meest relevante voor dit onderzoek weer te geven Het belangrijkste nadeel dat wordt aangegeven voor het anal
129. ation quelques mois plus tard Si le th me 3 portant sur les Actions concernant le ph nom ne de la drogue semble tre compris tant dans sa structuration que dans les th mes abord s il en est tout fait autrement concernant le th me 2 concernant les nuisances li es aux drogues En effet le terme de Criminalit acquisitive la notion de lieu et celle de responsabilit des nuisances li es aux drogues sont flous et quivoques Plus de la moiti des r pondants se sont par exemple abstenus de r pondre aux questions portant sur la Criminalit acquisitive Par ailleurs 130 La mission de l ASBL Charleroi Centre ville est la dynamisation du centre ville dans toutes ses fonctions de centralit ainsi que la gestion la promotion l animation du centre ville bas e sur un partenariat actif entre les diff rents acteurs du centre ville http www charleroicentreville com code fr pg asp namePage qui amp namePage_2 pres 03 08 05 14h30 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 65 l ensemble du th me 2 tant principalement compos de questions ouvertes les r ponses sont souvent peu comparables entre elles 3 1 2 LIEGE Comme il a t pr cis ci dessus dans ce rapport la premi re passation du questionnaire qui aurait d se tenir Li ge dans le courant du mois de mai 2005 n a pas eu lieu 3 2 SECONDE PASSATION
130. ations et partenariats L association met galement disposition des acteurs de terrain des logiciels de r colte des donn es Une des t ches principales est la coordination des actions en impliquant tous les partenaires actifs dans les diff rents domaines aide sociale m dicale police justice pr vention r duction des risques Le CTB ODB est galement responsable de l organisation du syst me d enregistrement Addibru qui enregistre des donn es concernant les usagers de drogues Bruxelles et leur consommation L objectif est d obtenir un aper u des probl mes de sant li s la consommation de drogues Apr s avoir t centralis e au sein de CTB OTB ces donn es sont transf r es Eurotox Elles sont galement utilis es dans le cadre du partenariat Multivilles du Conseil de l Europe B Concr tement Les donn es sont r colt es l aide d un protocole de collecte largement semblable celui construit par le groupe Pompidou et l Observatoire Europ en des Drogues et des Toxicomanies OEDT Cet outil Addibru est utilis par environ 15 centres dont la majorit de ceux ci sont des centres sp cialis s Chaque institution dispose du logiciel et encode elle m me les donn es Le programme g n re alors des tableaux de r sultats Ces r sultats portent sur le nombre d admission en structure de soins par an le profil des patients sur base de l ge du sexe de la nationalit de la si
131. aux ou par des individus les informations donn es par les consommateurs eux m mes Puisque les nuisances caus es par les drogues constituent un probl me qui n cessite une approche int gr e et donc la collaboration de tous les acteurs il importe que le moniteur prenne en compte chacun des aspects de la probl matique Le moniteur doit ici tre envisag partir de deux angles d approche l usage de drogues et les cons quences sociales qui en d coulent et les nuisances li es aux drogues int gr es dans un cadre plus g n ral de nuisances au sens large Un tel moniteur est envisager dans une perspective largie de r duction des risques Il convient ici sp cialement dans les pays industrialis s de ne pas se focaliser sur une perspective individuelle il importe plut t d avoir une vision en termes de r duction des risques qui part d une notion largie d entourage risque Au lieu d une approche individuelle bas e sur le comportement il convient donc de pr f rer une approche cologique Soulignons ici la difficult maintes fois d montr e de monitorer l usage de drogues et les volutions qui se manifestent dans ce champ Le plus souvent la consommation de drogues est en effet un comportement ill gal et stigmatis socialement 50 J SNIPPE C HOOGEVEEN B BIELEMAN Monitor drugsproblematiek justitie Definitiestudie en ontwikkeltraject Groningen INTR
132. bespreken dit omdat vooral de gesloten vragen te kampen hadden met hetzelfde probleem m n de hogere non response door de toevoeging van de antwoordkeuze geen mening Ondanks het feit dat deze tendens kon verwacht worden zoals reeds aangegeven op p X B Construction et modification du questionnaire 1 Vragenlijst met het oog op de eerste afname werd deze antwoordmogelijkheid toch toegevoegd aan de vragenlijst voor de tweede afname Het gevolg hiervan is dat op heel wat gesloten vragen een niet gering aantal stakeholders deze keuze aankruiste Dit was zoals we hierboven bij de resultaten konden zien uitdrukkelijk het geval voor vraag 7 9 10 17 18 26 en 27 Het is zelfs zo dat er bepaalde stakeholders waren die volledige vragen met bevraging naar verschillende vormen met deze antwoordkeuze invulden Er kan in de toekomst over nagedacht worden of het nog wenselijk is de optie geen mening als mogelijke antwoordkeuze toe te voegen bij de gesloten vragen voor de vragenlijst Zoals we eerder al aangaven 1s het zeker geoorloofd om aan respondenten die geselecteerd zijn op basis van hun expertise een vragenlijst voor te leggen waarbij hen gedwongen wordt een bepaald standpunt in te nemen 19 Verder bespreken we enkel nog de moeilijkheden wat betreft de open vragen in de tweede vragenlijst Vraag 16 peilt naar de perceptie van nieuw opgedoken groepen bij niet problematische en problematische gebruikers Deze werd door tal va
133. besproken naargelang de module waarin zij gesitueerd zijn en dit op nationaal Vlaams en Waals niveau MODULE POTENTI LE BRONNEN WELZIJN gt Registratie straathoekwerk in Vlaanderen VLASTROV gt Registratie Centra Algemeen Welzijnswerk TELLUS GEZONDHEID gt MPG Minimale Psychiatrische Gegevens ALGEMEEN WELZIJN EN GEZONDHEID gt Ginger registratie VAD PREVENTIE PRIMAIRE REGISTRATIESYSTEMEN gt ASL Arbeitsgemeinschaft f r Suchtvorbeugung und Lebensw ltigung Sentinelle Addibru De Sleutel Eurotox ARCADE vroeger MEDAR DARTS OVERKOEPELENDE REGISTRATIESYSTEMEN VRM Eurotox HULPVERLENING Vv vvxyvYvv Politionele criminaliteitsstatistieken Jaarstatistieken van het Openbaar Ministerie De Veiligheidsmonitor VEILIGH EID Vv vv Vv Vv 2 1 NATIONAAL NIVEAU 2 1 1 1 MODULE ALGEMEEN WELZIJNSWERK amp GEZONDHEIDSWERK 2 1 1 1 Minimale Psychiatrische Gegevens A Algemeen De Minimale Psychiatrische Gegevens hierna afgekort tot MPG staan in voor de inzameling van informatie in de psychiatrische verzorgingstehuizen De registratie van de MPG helpt de psychiatrische verzorgingstehuizen om hun instelling beter te leren kennen en stelt de overheid in staat om een op feiten gebaseerd beleid uit te werken dat afgestemd is op de MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 96 situatie De MPG is een verplichte registrat
134. calement t modifi e En effet la modification importante transversale dans cette partie du questionnaire est le changement apport dans l valuation de 1 En ce qui concerne les substances nous avons r colt des remarques tant sur l utilisation de cette liste des substances comme structure de nombreuses questions que sur les substances qui y figurent Tout d abord bon nombre de questions sont construites avec pour base la liste des substances ce qui donne au questionnaire selon certains r pondants un caract re r barbatif D autre part dans cette liste figure la r f rence la m thadone Les professionnels rencontr s travaillant dans les structures de soins ont mis des critiques concernant sa place dans la liste des substances consomm es En effet d apr s ceux ci la m thadone n est jamais contrairement aux autres substances consomm e pour elle m me mais plut t faute de mieux elle entre en ligne de compte dans le circuit de traitement et sa consommation est destin e combattre les effets des autres substances Dans ce cadre certains professionnels consid rent que la m thadone n a pas sa place dans cette liste puisque ses fonctions et son usage ne sont pas identiques ceux des autres substances L quipe de recherche a pourtant d cid de maintenir la m thadone dans la liste des substances consomm es parce qu elle fait partie du paysage de la consommation de drogue et que la nouvelle fa on
135. cateurs structurels taient enfoncer des portes ouvertes pour les deux villes pilotes flamandes En effet pendant les deux interviews les coordinateurs en mati re de drogues ou le fonctionnaire de pr vention ont dit qu on a d j des documents politiques sur l information interrog s Les documents taient donn s l enqu teur la fin des interviews La question que nous devons nous poser est ou une interview semblable est strictement n cessaire Pour des villes qui ont d j tablis une politique int gr en mati re de drogues comme Gand et Ostende plusieurs questions dans l interview peuvent tre r pondus avec certains documents politiques La plus value de ces interviews on peut d finir qu cette mani re on peut faciliter l acc s ces documents politiques et qu on a aussi une personne de contacte pour poser des questions assortis L interview base de la guide d entretien est certainement n cessaire pour des villes et communes ou on n a pas d j tabli une politique int gr en mati re de drogues Dans ces 206 L interview avec le coordinateur en mati re de drogues gantois Filip DE SAGER a eu lieu mercredi 23 mars 2005 207 L interview avec la coordinatrice en mati re de drogues Ostendaise Lies BRUTIN et le fonctionnaire de pr vention Dominique CROO a t pris jeudi 9 juin 2005 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati
136. celle ci dans la liste l endroit o cette nuisance est le plus r guli rement per ue par vous au maximum un endroit possible par nuisance Attroupement de consommateurs dans des endroits publics Consommateurs qui se disputent ou crient dans la rue Etre interpell ou touch d une mani re g nante par des consommateurs Des seringues abandonn es par des consommateurs dans des endroits publics Autres d chets dans des endroits publics Se voir proposer des drogues dans la rue Nuisances dues au tourisme en rapport avec la drogue Consommer publiquement des drogues dans la rue Se promener dans la rue sous l empire de la drogue en tat d bri t Nuisances sonores proximit des immeubles et ou b timents o la drogue est vendue Consommateurs qui circulent pr s des coles ou dans un certain quartier Autre nuisance pr ciser Autre nuisance pr ciser 0 A OA B WN gt MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 59 2 2 5 THEME IV ACTIONS CONCERNANT LE PHENOMENE DE DROGUES Les questions en ce qui concerne ce th me ont t conserv es et aucune modification n a t apport e En d autres mots dans la seconde passation les diff rentes actions sont de nouveau abord es concernant la pr vention le secteur de l assistance la police
137. cern es et des tudes anciens L op rationnalisation de la notion nuisance de drogues n tait pas un but explicit mais les auteurs discutaient le r le de la communication continu chez la domination de certaines cons quences de la nuisance de drogues Ils relativisaient la croyance effr n dans la force de la communication continu Jl y a toujours des habitant que restent se soucier de la conduite diff rente et il y a toujours des consommateurs de drogues qui ne sont pas accessibles pour faire des accords concernant les places o ils ne doivent pas consommer et il y a toujours des dealers qui violent les accords faits 2 236 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S et TUTELEERS P o c 52 61 237 BLOM T et KAHN A The Netherlands In DORN N Ed Regulating European Drug Problems Administrative measures and civil law in the control of drug trafficking nuisance and use Den Haag Kluwer Law International 1998 203 225 238 SNIPPE J et BIELEMAN B Buurten over last Monitoren van drugsoverlast in de SVO gemeenten 1993 1998 Groningen Intraval 1999 2 Ibid 240 BLANKEN P et ADRIAANS N F P Echo s van een mespuntje fantasie Een model voor lokaak drugbeleid gericht op beheersbaarheid van ongewenste neveneffecten van druggebruik onder prohibitie Rotterdam IVO Faculteit der geneeskunde en gezondheidswetenschappen Erasmus Universiteit Rotterdam 1993 MIL
138. cli nt worden gegevens geregistreerd zoals leeftijd geslacht nationaliteit inkomen origine burgerlijke staat socio economische status Meer specifiek wordt een begin en einddatum ingegeven van de geboden hulp en de hoedanigheid van de geboden hulp Het onderdeel dat belangrijk is met betrekking tot de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid is het onderdeel levensdomeinen Onder deze groep valt ondermeer de subgroep volksgezondheid verslaving Deze groep vormt de meest omvangrijke subgroep van de sectie levensdomeinen en laat de straathoekwerker toe het volgende te registreren met betrekking tot deze specifieke problematiek De periode van contact 171 www poldoc be dsb htm MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 101 De geboden hulp Aangegeven door cli nt of door de straathoekwerker Al dan niet ingaan op de hulpvraag Eventuele samenwerking met een gespecialiseerde dienst MSOC ambulante drughulpverlening huisarts PAAZ Al dan niet ooit injecterend gebruik Mate van hygi ne Voeding Lichamelijke klachten B Concreet De gegevens van de VLASTROV registratie worden zoals reeds gesteld per individuele straathoekwerker geregistreerd De gegevens worden regionaal verzameld per ankerpunt In het jaarverslag van VLASTROV worden deze gegevens gebundeld voor heel Vlaanderen Aangezien de nieuwe registratiemethode nog maar
139. complexe des propos de chacun Les m thodes les plus importantes de la recherche qualitative sont la discussion de groupe l interview individuelle l interview d expert 1 2 L ENTRETIEN QUALITATIF DANS LE CADRE DE LA RECHERCHE D INDICATEURS STRUCTURELS La technique de l entretien vient ici en compl ment de deux autres techniques de r colte de donn es le questionnaire et le relev d indicateurs chiffr s Cet entretien compl mentaire permet alors de donner un clairage sur les donn es d j existantes et d j produites Nous mettons donc ici en place l interview d expert Cet entretien vise r colter de l information pr cise sur une situation circonscrite Il n y a pas lieu ici de multiplier les entretiens de professionnels avec pour objectif de comparer les propos pour amener une mont e en g n ralit et faire surgir une typologie Ici une seule personne est concern e par un entretien qualitatif le coordinateur ou la personne assimil e Ses propos ne seront pas compar s avec d autres mais permettent eux seuls de donner un clairage particulier sur la structuration de la coordination sur un territoire donn et de cerner comment fonctionne le r seau en place S1 les propos du Coordinateur en mati re de Drogues ne sont pas compar s avec ceux d autres personnes ils seront de par la nature r currente de l outil lus la lumi re des entretiens pr c demment r alis s En effet le Mon
140. conclusions en rapport avec le processus d valuation du Moniteur Pour l valuation de contenu du Moniteur on s est attard sur la plus value de instrument de mesure A cela une attention sp cifique est port e aux objectifs du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues et ce tant pour le moniteur dans son ensemble que pour les diff rentes parties Le processus d valuation s attache plus particuli rement la faisabilit de la passation du moniteur Par cette valuation une attention particuli re a t aussi donn e aux forces et limites du Moniteur Dans la troisi me partie de ces conclusions des conditions secondaires n cessaires seront formul es Par ailleurs conclusions et recommandations l gard des d cideurs seront formul es tout au long du document 1 EVALUATION DU MONITEUR EN TERMES DE CONTENU 1 1 L valuation g n rale du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Quand nous pensons et discutons de politique en mati re de drogues il vient directement Pesprit l importance d une politique int gr e en mati re de drogues Une telle politique se met en place de mani re optimale au niveau local A ce niveau il est toujours possible de r agir rapidement sur une r alit soci tale mouvante De plus une r action ce niveau peut tre pens e sp cifiquement en fonction de la situation locale et de ses besoins Une politique locale int
141. ctorverantwoordelijken en de MILD co rdinator waarop alle gegevens van de drie luiken werden samengebracht en besproken moet een eindverslag MILD worden opgemaakt door de MILD co rdinator In dit verslag staan de volledige resultaten beschreven zoals ze werden besproken op de focusgroep en op het eindoverleg Aan de hand van de gesignaleerde problemen kunnen enkele beleidsaanbevelingen gedaan worden De MILD co rdinator licht het eindverslag toe aan de lokale overheid en aan alle stakeholders bij voorkeur tijdens een bestaand co rdinatie overleg De toelichting van het eindverslag moet ervoor zorgen dat het nut van de Monitor sterk naar voor komt en dat indien noodzakelijk concrete acties aan de resultaten van de Monitor kunnen worden gekoppeld MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 146 Schema bijsturen van het beleid na gesignaleerde problemen door de MILD afname Lokaal y lt Specifiek Sector overstijgend Structureel e MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 147 4 ALGEMEEN BESLUIT Ten slotte bundelen we de belangrijkste aanbevelingen en randvoorwaarden Deze moeten ervoor zorgen dat de afname van de Monitor zo goed mogelijk kan verlopen gt MILD Het is noodzakelijk dat vanuit het bovenlokale niveau een financi le vergoeding wordt voorzien om erv
142. d aborder la consommation permettra malgr l usage sp cifique qui en est fait d observer les changements de consommation qui y sont li s MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 50 la consommation pour la liste des substances indiqu es Au pr alable le r pondant avait pour t che difficile de hi rarchiser les substances en les classant par ordre de consommation de la substance la plus r guli rement consomm e la moins fr quemment consomm e Substances Consommation a Alcool 1 A titre d exemple b M dicaments ex barbituriques en benzodiaz pines 9 A titre d exemple c M thadone 4 A titre d exemple colles d Stimulants ex 5 amph tamines et speed SCA titre d exemple e XTC 3 A titre d exemple f Coca ne ex crack 5 A titre d exemple g Cannabis 2 A titre d exemple h Hallucinog nes 3 ex LSD et champignons TUA utred exemple 1 Opiac s ex h ro ne 6 A titre d exempl opium morphine 3 WE 8 gt POPP d exemple Nous avons pour cette version actualis e du questionnaire construit une chelle de consommation pour chaque substance Cette chelle se r partit selon les propositions suivantes tr s peu consomm e peu consomm e consommation moyenne fortement consomm e tr s fortement consomm e Cette gra
143. dation pour chaque substance facilite la r ponse de l acteur en lui permettant de r fl chir pour chaque produit et non en mettant chaque substance en rapport avec les autres Cette modification permet de r colter une information plus fine que dans le cadre d un classement d autant plus que dans le cadre d un classement l alcool n est que tr s rarement d tr n de sa premi re place de la substance la plus fr quemment consomm e CETTE SUBSTANCE EST moyenne tr s Non tr s peu peu Sans Substances j pel pe y ment fortement consomm e consomm e consomm e fi avis consomm e consomm e 1 Alcool x A titre d exemple 2 M dicament s par ex x bar bit uriques et A titre benzodiaz pines d exemple 3 M thadone x A titre d exemple 4 Stimulant s par ex x amph tamines et speed A titre d exemple 5 XTC x A titre d exemple 6 Coca ne par ex crack x aussi A titre d exemple TER Cannabis x A titre d exemple 8 Hallucinog nes par ex LSD et Nr 5 A titre d exemple champignons 9 Opiac s par ex h ro ne x opium morphine A titre d exem ple MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 51 10 Substances volatiles par se ex gaz hilarant poppers et A titre colles d exemple 11 Autres Pr cisez 12 Autres P
144. de drogues Cela est donc vident que les indicateurs de ph nom ne de la m me fa on que pour les membres des personnes ressources devaient tre choisis dans les quatre m mes modules que ceux d finis lors de la consultation des personnes ressources secteur du bien tre g n ral et sant pr vention secteur de l aide et l assistance et la s curit Les syst mes MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 166 d enregistrement qui ont finalement t s lectionn s sur base de la disponibilit et de la pertinence avaient d j t point s dans la pr c dente recherche METAN Jusqu pr sent les donn es des diff rents syst mes d enregistrement en rapport avec le ph nom ne de drogues n avaient encore jamais t rassembl es ni en dehors de la politique ni d un point de vue local Pour rendre cette manoeuvre possible l avenir pour les villes et communes les donn es issues des syst mes d enregistrement s lectionn es ont t r colt es et d crites pour cette recherche Cela a conduit la mise en place de fiches dans lesquelles une vue d ensemble est donn e par laquelle les syst mes d enregistrement existants sont rendus selon une ligne sch matique Ces fiches sont reprises dans le manuel d utilisation du Moniteur qui est repris en annexe Dans cette vue d ensemble sch matique les crit res suivants sont pris e
145. de la ville de Li ge apportent des r ponses globales et int gr es aux probl mes rencontr s sur le plan local Gr ce au Contrat de S curit et de Pr vention la Ville de Li ge a donc d velopp un ensemble d actions sp cifiques dans ces diff rents domaines Les objectifs mis en avant taient assurer la protection des citoyens am liorer la qualit de vie Li ge et enfin renforcer les chances d insertion sociale des personnes les plus d munies et marginalis es Il reste encore mentionner le r le sp cifique r cemment cr du manager des nuisances publiques Concernant le choix de la ville de Charleroi de nombreux l ments nous ont aiguill s dans ce choix Avant tout la ville de Charleroi a mis en place une politique int gr e en mati re de toxicomanie De plus elle a d velopp une r flexion riche sur la probl matique en question Par ailleurs le Fonctionnaire de Pr vention et de S curit pour la ville de Charleroi et membre du comit d accompagnement de la recherche pr c dente METAN a toujours montr son vif int r t pour la d marche et pour l laboration et l utilisation de l outil Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Dans les parties suivantes du rapport final nous d crirons la r alisation de chacune des trois grandes parties du Moniteur ainsi que l valuation de la passation de chacune La cr ation du manuel d utilisation est galement bri vem
146. den verwerkt met behulp van het statistische programma SPSS 2 2 3 3 MODULE HULPVERLENING 2 2 3 1 Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM A Algemeen Sinds de jaren tachtig levert de alcohol en drugsector inspanningen om tot een vergelijkbare registratie te komen In 1996 kreeg VAD van de Vlaamse overheid de opdracht om een uniform registratiesysteem te ontwikkelen Anderzijds werd door de Raad van Europa Pompidou groep en het Europees Drugsobservatorium een minimale variabelenset opgesteld om een uniforme registratie op Europees niveau te realiseren Deze variabelenset vomt voor VAD de basis tot de Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM Doelstellingen van de Vlaamse Registratie Middelengebruik zijn zicht krijgen op het aantal en de kenmerken van personen die een beroep doen op hulpverlening omwille van alcohol medicatie of illegaal druggebruik een informatiebasis vormen voor het gezondheidsbeleid inzake problematisch middelengebruik in de Vlaamse Gemeenschap Vlaanderen toelaten zich te situeren binnen een Belgische en Europese context participerende diensten een systematische gegevensverzameling bieden voor interne evaluatie van eigen resultaten en processen Aan de registratie van 1999 participeerden 12 van de 34 Psychiatrische Afdelingen van Algemene Ziekenhuizen 35 3 21 van de 40 Psychiatrische Ziekenhuizen 52 5 83 van de 84 Centra Geestelijke Gezondheidszorg CGG 98 8 alle Therapeutische Gemeenschappen en
147. der l ventail des r ponses possibles sur un th me donn tels que l ventail des nuisances publiques et criminelles per ues par les r pondants 1 4 MODALITES D ABSTENTION ET LA CATEGORIE AUTRE Les modalit s d abstention sont les suivantes Ne sait pas Sans avis Non r ponse Non concern Indiff rent Ces modalit s d abstention constituent le seul correctif disponible une question ferm e inad quate ou non pertinente Elles permettent d viter en partie l cueil du choix forc o certaines personnes se voient en quelque sorte extorquer un avis ou une prise de position En effet on reproche parfois aux questions ferm es en mati re d opinion de fabriquer les r ponses plut t que de les enregistrer soit que les personnes n aient jamais envisag la question pos e soit qu elles ne l aient jamais envisag e sous l angle qui leur est propos Dans les deux cas l enqu teur n enregistrerait qu une prise de position artificiellement provoqu e par la question elle m me Elle n aurait aucune consistance en dehors de la situation d enqu te L argument s att nue d s que l on ajoute un simple sans avis comme modalit de r ponse l gitime La difficult principale au niveau des listes d items est de couvrir correctement le domaine investigu c est dire de repr senter au mieux l ventail des choix en la mati re En tout tat de cause il est prudent d
148. die werden gedaan door respondenten maar onder andere ook aan het beleidsplan van de VAD zie VAD Beleidsplan 2002 2005 Brussel URL http www vad be docs beleidsplan 20VAD 202002 2005 doc MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 75 CBJ consulent leidend consulent Sociale dienst bij JRB consulent leidend consulent Drughulpverlening ambulant centrum dagcentrum Psycholoog begeleider M A crisisopvangcentrum co rdinator dokter psychiater KTP verpleegkundige therapeutische gemeenschap 4 module Politie korpschef veiligheid agent bij de Cel Drugs agent bij de Cel Jeugd Justitie onderzoeksrechter Substituut Procureur des Konings 4 1 1 2 Respondenten In eerste instantie werden de leden van de Stuurgroep Drugs van de stad Gent opgenomen als respondenten Hierbij werden vijftien personen als mogelijke respondenten benaderd Hiervan hebben uiteindelijk elf respondenten de vragenlijst ingevuld vier respondenten zijn niet ingegaan op de vraag tot medewerking waarvan een omwille van een langdurige afwezigheid Daarnaast werden ook eventuele stakeholders geselecteerd uit de deelnemerslijst van de Open Vergadering Drugbeleid van de stad Gent Hierbij werden negen personen gecontacteerd Bij de eerste contactopname gaf een van de personen onmiddellijk aan geen tijd te kunnen investeren in deze vragenlijst gezien de hoge case load
149. dinateur MILD peut r colter de nombreuses informations suppl mentaires en laissant les personnes ressources interagir De cette mani re le point de vue par rapport aux sous th mes pourra tre affin Th me I Pour les trois th mes I 1 La consommation de drogues I 2 La consommation non probl matique et 1 3 La polyconsommation il est plus question que lors de la premi re passation des perceptions plus basses pour les r pondants dans tous les modules Cependant les perceptions sont efficaces pour les personnes ressources pour le module secteur de l aide et de l assistance par lequel on suppose qu ils ont les meilleures perceptions par rapport ces sous th mes Th me II Pour le sous th me II 1 Caract ristiques sociod mographiques nous constatons une bonne perception Les perceptions sont galement les plus hautes dans le module s curit qui est le mieux plac pour avoir ici une bonne perception Les r pondants appartenant au module pr vention montrent eux une perception plus faible alors que ce n tait pas le cas lors de la premi re passation cela a peut tre un rapport avec le choix de r ponse forc lors de la premi re passation Les perceptions pour le sous th me II 2 Evolutions dans le profil sont pour l ensemble des modules tr s difficiles Le taux de non r ponses est extr mement lev et est avec certitude 28 HEINRICH H A Who perceives the collec
150. dispose d un r seau large au sein des diff rents secteurs gt L engagement de responsables sectoriels Pour assister le coordinateur MILD dans la passation du questionnaire en ce qui concerne la consultation des personnes ressources il est n cessaire de d signer par secteur participant un responsable Cette personne responsable doit apr s une concertation initiale avec le coordinateur MILD clarifier les objectifs et la plus value de la consultation des personnes ressources aux membres de son secteur Tel que l engagement du coordinateur MILD il est important que le responsable sectoriel b n ficie d une consid ration au sein du secteur de telle sorte que ses recommandations aux membres du secteur ne soient pas n glig es gt La mise en place d un planning Comme nous l avions d j signal pr alablement la passation du Moniteur exige un planning ad quat Le coordinateur MILD doit pour cela en parler avec la politique locale et les responsables sectoriels afin de mettre en place un planning Dans ce planning 1l est avant toute chose n cessaire de d limiter un territoire clair dans lequel le Moniteur doit prendre place En outre il est essentiel de fixer un intervalle de temps pour la passation des diff rents volets du Moniteur En se r f rant la m thodologie du Moniteur Rapid Situation Assessment il est pr vu de mettre en place la consultation des personnes ressources chaque six mois Tel que no
151. doit tre envisag e avec une d limitation claire en termes de temps et d espace gt Le rapport final Sur base des r flexions finales entre les responsables sectoriels et le coordinateur MILD moments durant lesquels toutes les donn es des trois volets ont t assembl es et discut es un rapport final MILD doit tre crit dans la continuit de ce qui a t dit durant le focus group et les r flexions finales A l aide des probl mes signal s quelques recommandations en termes de politique peuvent tre faites Le coordinateur MILD commente le rapport final la politique locale et toutes les personnes ressources de pr f rence durant une s ance de travail de la coordination existante Les commentaires par rapport au rapport final doivent aller dans le sens que l utilit du Moniteur est consolid e et que si n cessaire des actions concr tes peuvent tre envisag es la suite des r sultats issus du Moniteur MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 173 Sch ma redresser de la politique apr s la constatation des probl mes par le passation du Moniteur Supra local Sp cifique D passant le secteur y Structurel MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 174 4 CONCLUSIONS GENERALES Finalement nous rassemblons les recommandations n
152. donn es r colt es apr s la premi re passation MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 161 Th me I Pour les non r ponses dans le sous th me I 1 Consommation de drogues il est remarquer que les personnes ressources ont un taux de perception lev en ce qui concerne tous les modules le taux de non r ponse moyen pour ce th me s l ve 5 6 seulement dans le module secteur du bien tre g n ral et sant Le taux de non r ponses pour le sous th me 1 2 Profil des consommateurs de drogues est et ce pour les r pondants de tous les secteurs confondus sensiblement plus important Les personnes ressources issues du module de pr vention et de s curit ont eux le taux de perception le plus lev ce qui n est pas illogique dans la mesure o ce sont eux qui doivent intervenir de mani re pr ventive en ce qui concerne la consommation de drogues dans le domaine d limit Il est vident aussi qu ils ont la perception la plus forte propos des caract ristiques des consommateurs Th me II Le Sous th me II 1 Cons quences pour la sant publique a connu un taux de perception satisfaisant de la part des r pondants de tous les modules Le fait que dans le premier module se trouvait un certain nombre de r pondants qui n tait pas issu de services sp cifiquement li s la probl matique des drogues notamment celui du secteur
153. drogues Nous nous int ressons ici aux sentiments subjectifs que les r pondants ont l gard de la probl matique Pour la construction de ce questionnaire le protocole de recherche pr voyait deux phases de passation dans les quatre villes s lectionn es Cette double approche du terrain permettait dans une d marche de construction d observer de quelle mani re le questionnaire tait appr hend par les r pondants dans les diff rentes r gions du pays et de le modifier en vue d obtenir un outil facilement maniable et compr hensible pour son autonomie future Les deux passations r alis es quelques mois d intervalles taient avant tout des phases de tests en vue d tudier sa faisabilit et sa possibilit d application au sein du projet actuel Le temps s parant les deux passations a permis d valuer le processus de construction du questionnaire et de l am liorer en fonction des r ponses obtenues lors de la premi re passation Pour chaque ville s lectionn e dans cette partie nous aborderons pour chacune des passations les quatre points suivants la proc dure de passation les r pondants au questionnaire les r sultats et l valuation En ce qui concerne le point R sultats veuillez noter que les r sultats proprement dits qui d coulent de l analyse des r ponses obtenues ne trouveront pas leur place dans le cadre de ce rapport mais seront communiqu s aux villes pilotes qui ont particip au p
154. du bien tre g n ral explique le taux de non r ponses plus lev pour ce module Par ailleurs les r pondants appartenant au module S curit ont dans leur travail quotidien moins de contacts avec la probl matique autour de la sant publique Le sous th me II 2 Nuisances l ordre public et 1 3 Nuisances criminelles sont semble t il un terrain inconnu pour les personnes ressources issus des trois premiers modules En effet le taux de non r ponse pour ces deux th mes s l ve respectivement 63 3 et 62 5 Ce n est pas probl matique dans le sens o les personnes ressources qui sont bien plac es pour juger de ces formes notamment les personnes ressources appartenant au secteur de la s curit ont elles donn un taux de perception satisfaisant de ces deux th mes Th me III Tous les sous th mes de ce th me IIL 1 Actions en mati re de pr vention II 2 Actions en mati re d aide et d assistance II 3 Actions de la Police et de la Justice et II 4 Actions de collaboration et de concertation s int ressent la connaissance et la satisfaction des r pondants par rapport aux actions et aux modes d actions dans les diff rents modules Le fait que nous sommes face ici et l un taux plus lev de non r ponses dans ces sous th mes est rapprocher du fait que ce th me tait constitu principalement de questions ouvertes et donc r pondre par crit des questions en rapport avec l val
155. du territoire des assistants de justice de la Maison de Justice des membres de PASBL Charleroi Centre Ville des m decins en chef d h pitaux qui n ont que tr s peu de lien avec la probl matique de la drogue et certains assistants sociaux d antennes sociales de CPAS Il a t demand ces personnes de r pondre dans la mesure du possible aux parties du questionnaire qui les concernaient davantage et de laisser vides les modules moins centraux dans leur pratique de terrain ou d y noter la r ponse Sans avis Par contre en analysant les r ponses obtenues aux diff rentes questions d une mani re g n rale le questionnaire est rempli plus compl tement que lors de la premi re passation La r gle du questionnaire qui demandait aux r pondants de ne cocher qu une seule possibilit par question est galement mieux respect e par les personnes interrog es Par ailleurs la possibilit de r ponse Sans avis est r guli rement utilis e pour un th me en entier et non pour une r ponse isol e En effet un r pondant qui se sent davantage concern MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 68 par la probl matique de la consommation cochera par exemple la case Sans avis pour l ensemble d une rubrique pour laquelle il ressent moins d affinit s comme celle des nuisances publiques et criminelles par exemple 3 2 2 LIEGE Co
156. e des syst mes d enregistrement existants et les donn es statistiques donnent la contextualisation n cessaire la premi re s rie de donn es Enfin les donn es issues du second volet du Moniteur sont reli es au niveau de politique locale l aide des donn es structurelles propos de l implication de la politique en mati re de drogues Les informations de cette derni re partie sont r colt es l aide d une interview avec le coordinateur en mati re de drogues ou quand une telle fonction manque avec une personne clef de fonction similaire a La consultation des personnes ressources Une de cette premi re partie du moniteur r side en la r colte de donn es qualitatives concernant le ph nom ne de nuisances li es aux drogues Ces donn es sont r colt es de mani re syst matique par un questionnaire qui est soumis aux acteurs qui sont troitement en MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 152 relation avec le ph nom ne Ces personnes ressources ou acteurs cl s ont par leur travail par leur position ou par leurs exp riences personnelles une connaissance actuelle propos du ph nom ne de drogues L objectif de cette consultation est de recevoir une vue d ensemble p riodique des tendances et de l volution du ph nom ne de nuisances li es aux drogues La consultation des personnes ressources a lieu par la passation des ques
157. e ou bruit le matin Quand ces nuisances l ordre public cit es sont mises en commun avec les formes de nuisances qui ont t analys es dans le cadre du volet Population de la recherche Drogues et nuisances on peut observer une grande similitude C est pourquoi il a t d cid pour construire la liste des nuisances pour le questionnaire MILD de se baser galement sur la liste de la recherche Drogues et nuisances tant entendu que cette liste initiale a t actualis e et compl t e Cela donne comme r sultat la liste des nuisances l ordre public suivante Formes de nuisances Pordre public Attroupement de consommateurs en rue sur des places et dans des parcs 2 Consommateurs qui se disputent ou crient dans la rue Etre interpell ou touch d une mani re g nante par des consommateurs Des seringues abandonn es par des consommateurs dans des endroits publics Autres d chets en rue sur des places ou parcs laiss s par des consommateurs de drogues Se voir proposer des drogues dans la rue Nuisances dues au tourisme en rapport avec la drogues Consommer publiquement des drogues dans la rue Se promener dans la rue sous l emprise de la drogue en tat d bri t Nuisances sonores proximit des immeubles et ou b timents o la drogue est vendue Consommateurs qui circulent pr s des coles ou dans un certain quartier 12 Autre nuisa
158. e si des changements dans la succession des th mes abord s dans le questionnaire ou des changements de ton ou de niveau de vocabulaire interviennent brusquement ou sont trop fr quents Un questionnaire trop long peut galement provoquer l irritation ou le d sint r t tout comme la difficult de compr hension des termes et la pr sentation compliqu e du questionnaire Les 77 Un guide d utilisation a t r alis et accompagne le questionnaire et le Moniteur d une mani re g n rale MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 41 questions plusieurs entr es par exemple peuvent galement lasser le r pondant et rendre le questionnaire beaucoup trop complexe Dans notre cas et ce pour la premi re passation le questionnaire a r guli rement t consid r comme trop long Il semble galement que les passages d un th me l autre aient t galement consid r s comme trop brusques et trop fr quents Ces l ments ont t pris en consid ration pour la transformation du questionnaire en vue de sa seconde passation 1 8 LETTRE D INTRODUCTION Le questionnaire MILD est accompagn d une lettre d introduction ind pendante pr sentant l objet et l objectif g n ral de l enqu te ainsi que les noms des commanditaires et des organismes charg s de l enqu te Comme toute lettre d introduction celle ci comprend des
159. e son am lioration l quipe de recherche a multipli le nombre de personnes interroger pour la seconde passation La seconde passation s est d roul e dans le courant du mois de novembre 2005 dans le d lai imparti des deux semaines de passation pr vues par la m thode du Rapid Situation Assessment Un courrier a t envoy avant toute chose aux professionnels et intervenants qui avaient fait partie de la premi re vague en mai 2005 Une lettre leur rappelant le contexte de la recherche et faisant tat des modifications apport es au questionnaire a t jointe au questionnaire Les coordonn es de l quipe de recherche figuraient galement sur la lettre pour les questions et commentaires ventuels Un courrier a alors galement t envoy une s rie d organismes et institutions qui n avaient pas encore t contact s dans le cadre de la recherche MILD Ce courrier souvent adress la direction ou la personne coordinatrice du service reprenait une s rie d informations qui permettaient de cerner le contexte de la recherche commanditaire universit s MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 66 promotrices les objectifs poursuivis par le Moniteur MILD et les raisons pour lesquelles l intervenant recevait le questionnaire consid r comme intervenant de terrain touch de pr s ou de loin de par votre act
160. eau polici res national Statistiques annuelles du Parquet G n ral X X X X Moniteur de S curit xX X X VLASTROV x TELLUS Ginger Niveau Vlaamse Registratie flamand Middelengebruik DARTS ARCADE De Sleutel xX Sentinelles MIX xl Niveau wallon Addibru BXL CG Eurotox xX ASL X A l aide de ces deux sch mas il est possible de saisir d un seul coup d il quelles informations se retrouvent dans les syst mes d enregistrement et quel niveau Toutefois quelques limites sont formuler en rapport avec quelques syst mes d enregistrement Les Statistiques criminelles polici res et les Statistiques annuelles du Parquet G n ral ne permettent en aucune mani re d affiner l information au contexte local sp cifique En outre elles sont davantage le reflet de la politique de recherche de la Police et la politique de poursuite de la Justice que la r alit Ce sont pourtant les deux seuls syst mes d enregistrement c t de DARTS qui sonde la situation judiciaire qui peuvent donner une vue plus claire propos du sous th me actions polici res et judiciaires Encore pour le niveau national le Moniteur de S curit conna t galement quelques limites Avant tout le Moniteur de S curit sonde les nuisances li es aux drogues de mani re g n rale et non dans leurs formes sp
161. ecember 2003 19 13 HENNEN C LEMAITRE A BORN H SCHLITZ C N Vers une mesure de la criminalit pr sentation et application de quelques outils Contrat de S curit Ville de Li ge 1997 69 85 14 XS 2 Kennisnetwerk Sociaal Beleid Een sociale monitor d weg naar integraal sociaal beleid Verslag van de expertmeeting van XS 2 op 16 december 2002 URL http www x s2 nl docs verslag sociale monitor _expertmeeting 16 dec _2002 pdf 28 september 2004 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 12 de signalering van maatschappelijke ontwikkelingen Hierbij moet voldaan worden aan een aantal criteria de informatieverzameling is periodiek en systematisch de verzamelde informatie moet zoveel mogelijk actueel zijn de gebruikte kengetallen zijn steeds per item hetzelfde de verzamelde informatie is beleidsrelevant de monitor kent een ijkpunt Bij de monitoring van druggerelateerde problemen is er een breder waaier van bronnen beschikbaar die informatie kunnen opleveren Deze bronnen kunnen in vijf grote groepen ingedeeld worden f Meer bepaald bestaande literatuur en documentatie algemene statistische gegevens informatie beschikbaar bij instellingen en diensten informatie van lokale groepen of individuen informatie van druggebruikers zelf Aangezien druggerelateerde overlast een probleem is dat een integrale aanpak en dus
162. ede afname van de vragenlijst was er niet meer dezelfde voorbereiding nodig als voor de eerste afname De Stuurgroep Drugs werd niet meer rechtstreeks gecontacteerd iedere stakeholder stuurden we individueel een mail met een herinnering naar de vorige afname In diezelfde mail stelden we reeds een datum voor waarop de vragenlijsten persoonlijk zouden worden afgehaald Dit maakt immers persoonlijke feedback toegankelijker Net zoals bij de eerste afname werd een herinneringsmail gestuurd enkele dagen voordat de lijsten zouden worden opgehaald Het was tevens mogelijk voor de respondenten om de lijsten zelf per post terug te sturen of via e mail Het was namelijk zo dat niet iedere respondent zich kon vrij maken op de afgesproken dag waarop de lijsten werden afgehaald 4 2 1 2 Respondenten Net zoals bij de eerste afname werden dezelfde stakeholders gecontacteerd voor deelname aan het project 4 2 1 3 Resultaten Stakeholders Waar we bij de eerste afname nog 19 ingevulde vragenlijsten ontvingen op een totaal van 22 gecontacteerde stakeholders waren er dit nu slechts 13 Een overzicht volgens module geeft ons de volgende verdeling 148 Zie supra 4 1 1 1 9 Zie supra 4 1 1 2 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 82 1 module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 5 5 2 module preventie 3 1 3 module drug hulpverlening 3 1
163. educing drug related harm International Journal of Drug Policy 2002 85 94 RHODES T FITCH C STIMSON G V en KUMAR M S Rapid assessment in the drug field International Journal of Drug Policy 11 2000 1 11 RHODES T STIMSON G V FITCH C BALL A EN RENTON A Rapid assessment injecting drug use and public health The Lancet vol 354 issue 9172 London Elsevier Ltd 1999 66 RIEDEL M Research strategies for secondary data A perspective for Criminology and Criminal Justice Thousand Oaks Sage 2000 SALANT P DILLMAN D How to conduct your own survey New York John Wiley amp Sons 1994 SAMPSON R J en RAUDENBUSH S Systematic Social Observation of Public Spaces A New Look at Disorder in Urban Neighborhoods American Journal of Sociology 1999 603 651 SCHUMAN H PRESSER S Questions and Answers in Attitude Surveys Experiments on Question Form Wording and Context New York Academic Press 1981 p 116 122 SELLTIZ C ET AL Les m thodes de recherche en sciences sociales Ed HRW Montr al 1977 SIMON R DONMALL M HARTNOLL R KOKKEVI A OUWEHAND A W STAUFFACHER M en VICENTE J The EMCDDA Pompidou Group Treatment Demand Indicator Protocol A European Core Item Set for Treatment Monitoring and Reporting European Addiction Research 1999 Vol 5 n 4 197 SNIPPE J en BIELEMAN B Buurten over last Monitoren van drugsoverlast in de SVO geme
164. eeld Lissabon november december 2002 116 DECORTE T KAMINSKI D MUYS M SLINGENEYER T o c 105 106 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 52 Question 2 Quelle est votre perception de l volution de la consommation de drogues dans votre ville durant les 6 derniers mois Veuillez cocher la proposition qui correspond le mieux votre avis concernant l volution de la consommation de drogues dans votre ville durant les 6 derniers mois O La consommation de drogues a augment durant les 6 derniers mois O La consommation de drogues a diminu durant les 6 derniers mois O La consommation de drogues est rest e stable durant les 6 derniers mois En effet la r ponse cette question peut tre interpr t e de diff rentes fagons si nous r pondons qu en effet la consommation de drogues a augment durant les 6 derniers mois nous pouvons avoir eu l intention d exprimer que la consommation par consommateurs de drogues a augment suite une chute des prix sur le march par exemple ou que le nombre de consommateurs de drogues a augment Cette question pour cette nouvelle version du questionnaire a t d doubl e donne d s lors une information plus fine Voici titre d exemple les deux questions en page 4 du questionnaire Question 6 Quelle est votre perception de l volution du nombre de consommateurs de drogues dan
165. een dit rapport een belangrijk gegeven De ontwikkeling van de handleiding kwam tot stand samen met de procesevaluatie en dient als basis voor elke gemeente of stad die de Monitor zal implementeren MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 18 Hoofdstuk 2 Afname van de Monitor keuze van de pilootsteden en gemeenten Binnen het huidig onderzoek is het dus de bedoeling om een monitor te ontwikkelen en deze meteen ook toe te passen in de daartoe geselecteerde steden en gemeenten Omdat het afnemen van een monitor en de analyse van de gegevens afkomstig uit de afname een intensieve bezigheid is is het niet haalbaar om deze oefening per landsgedeelte in meer dan twee steden en gemeenten te maken Deze beperking werd opgenomen in het projectvoorstel en als dusdanig ook goedgekeurd en opgenomen in het onderzoekscontract 2 1 STEDEN EN GEMEENTEN IN VLAANDEREN Zoals hierboven aangehaald zal de monitor slechts in twee Vlaamse steden en gemeenten worden afgenomen De Nederlandstalige onderzoeksequipe had de luxe maar tevens de moeilijkheid om uit zes onderzoekslocaties met name Aalst Antwerpen Genk Gent Mechelen en Oostende van het vorige subproject twee sites te selecteren Deze selectie is erop gericht om de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid in al zijn aspecten te toetsen en waar nodig bij te sturen Bij de selectie van de twee sites werden tal van zaken in overwe
166. eerde activiteiten Deze activiteiten werden door 67 registrators samengebracht Sommige van deze registrators o a De Sleutel en PISAD brachten activiteiten aan van een heel netwerk waardoor het aantal preventieactoren groter is dan het aantal registrators In 2003 registreerden alle deelnemers met de Ginger 9 versie Daarin moeten vier schermen worden ingevuld de organisatie waarmee men de activiteit opzet de eventuele suborganisatie die binnen deze organisatie betrokken partij is de contactpersoon in deze MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 104 sub organisatie en een beschrijving van de activiteit aan de hand van het aanduiden van standaardcategorie n Deze standaardcategorie n zijn sector detailsector type doelgroep activiteit en detailactiviteit Bij deze versie van Ginger wordt niet langer gebruik gemaakt van een apart scherm voor interne activiteiten zodat de registrators de ingebouwde verwerkingsmogelijkheid ook kunnen gebruiken voor interne data Hoewel de mogelijkheid om het systeem te gebruiken voor interne preventieactiviteiten worden deze niet opgenomen in de registratie Enkel die activiteiten die als drugpreventie worden aanzien en die voor externen worden georganiseerd komen in aanmerking voor registratie Elke deelnemende registrator exporteerde de ingevoerde gegevens met betrekking tot preventieactiviteiten naar VAD waar de gegevens wer
167. egistrement au niveau wallon Bruxelles Capitale Communaut Germanophone 168 2 2 c Les indicateurs structurels 169 2 3 DECISIONS 170 3 CONDITIONS POUR LE MONITEUR DE POLITIQUE INT GR E LOCALE EN MATI RE DE DROGUES 170 4 CONCLUSIONS GENERALES 175 Bibliographie 177 Bijlagen Annexes ANNEXE 1 Manuel d utilisation ANNEXE 2 Questionnaire original ANNEXE 3 Questionnaire Premi re passation ANNEXE 4 Questionnaire Seconde passation BIJLAGE 1 Handleiding BIJLAGE 2 Oorspronkelijke vragenlijst BIJLAGE 3 Vragenlijst Eerste afname BIJLAGE 4 Vragenlijst Tweede afname De bijlagen kan u bekijken op http www ircp be nl publ_detail asp ref Publications amp id 549 Les annexes se trouvent http www ircp be nl publ_detail asp ref Publications amp id 549 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 7 Deel 1 Inleiding De huidige studie Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid met als opdrachtgever het Federaal Wetenschapsbeleid kadert binnen het Onderzoeksprogramma ter ondersteuning van de Beleidsnota van de Federale Regering in verband met de drugproblematiek De promotoren van het onderzoek uitgevoerd in Walloni en Vlaanderen zijn enerzijds Prof dr Paul PONSAERS Co rdinator Onderzoeksgroep Sociale Veiligheidsanalyse en Prof dr Brice DE RUYVER Directeur Institute for International Research
168. eid De Monitor bestaat uit drie delen waarin zowel kwantitatieve als kwalitatieve gegevens verzameld worden In het eerste deel worden kwalitatieve gegevens verzameld over het drugfenomeen door de bevraging van stakeholders Hierbij wordt gepeild naar informatie over niet geregistreerde aspecten van het fenomeen en worden subjectieve indrukken over trends en evoluties bevraagd Bij de bevraging wordt zoveel mogelijk gebruik gemaakt van gesloten vragen om informatie te verzamelen Aan de informatie uit het tweede luik worden kwantitatieve gegevens gekoppeld die op basis van bestaande registratie en statistische gegevens de noodzakelijke contextualisering geven voor de eerste reeks van gegevens Ten slotte worden de gegevens uit de twee eerste delen van de Monitor teruggekoppeld naar het lokale beleidsniveau aan de hand van de structurele gegevens over de inbedding van het drugbeleid De informatie van dit laatste deel wordt verzameld door een interview met de drug preventie co rdinator of als een dergelijke functie ontbreekt een gelijkwaardige sleutelfiguur a Stakeholderbevraging Dit eerste deel van de Monitor bestaat uit het verzamelen van kwalitatieve gegevens over het drugsoverlastfenomeen Deze gegevens worden systematisch verzameld via een vragenlijst die wordt voorgelegd aan actoren die nauw betrokken zijn bij het fenomeen Deze stakeholders of sleutelfiguren hebben via hun werk hun positie of vanuit persoonlijke ervaringen actu
169. eidszorg in de Vlaamse Gemeenschap starten dus over alle stoornissen met betrekking tot geestelijke gezondheid In samenwerking met de VAD werd in 1996 een addendum toegevoegd met variabelen die specifiek zijn voor middelengebruik De gegevens worden geanalyseerd en voorgesteld in jaarverslagen Dit systeem werd in 2003 vervangen door de Applicatie voor de Registratie van Cli ntengegevens voor de Administratie Gezondheidszorg en voor Data Export ARCADE toen de verantwoordelijkheid met betrekking tot de registratie van de Vlaamse Centra voor Geestelijke Gezondheidszorg werd getransfereerd van het samenwerkingsplatform naar de Minister van de Vlaamse Gemeenschap Ondertussen werd een nieuw programma Idefix ontwikkeld door het Centrum Geestelijke Gezondheidszorg Dit programma bevat meer elementen van een follow up systeem en ongeveer 20 van de centra gebruiken dit programma Idefix kan de overheid van dezelfde data voorzien dan ARCADE maar hier moeten nog concrete afspraken rond gemaakt worden B Concreet De geregistreerde parameters in het ARCADE systeem zijn de volgende _Socio demografische gegevens geslacht geboortejaar wettelijke burgerlijke staat werkelijke leefsituatie hoofdberoep onderwijsniveau onderwijsfase bronnen van inkomsten _ Aanmeldingsproblematiek Verwiyzing doorverwijzing Vroegere contacten met de geestelijke gezondheidszorg Huidige toestand behandeling einde therapie of op 31 12 van het registrati
170. ejaar _ Diagnose DSM IV met ICD 10 codes Hulpverleningsactiviteiten Vrije variabelen Vlaamse Registratie Middelengebruik zie infra Basisset variabelen registratie convenants kindermishandeling Aangezien de gegevens per individueel centrum worden opgenomen in de jaarverslagen van het centrum zelf is het eenvoudig om de gegevens op te vragen Voor Gent zijn dit zes centra die onder deze registratie vallen voor Oostende vier 2 2 3 4 De Sleutel A Algemeen De Sleutel behoort tot het geheel van initiatieven van de Broeders van Liefde In 1991 werden de mogelijkheden tot samenwerking besproken en De Sleutel werd in november van hetzelfde jaar overgenomen De missie van De Sleutel past in de missie van de sector Geestelijke MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 108 Gezondheidszorg van de Broeders van Liefde Meer nog n van de bijzondere doelgroepen waarvoor de Broeders van Liefde zich wilden engageren was de doelgroep drugverslaafden In De Sleutel worden cli ntgegevens op een gestandaardiseerde manier bijgehouden Deze gegevens verwerkt door de eigen Dienst Wetenschappelijk Onderzoek geven een overzicht van de cli nten hun leeftijd geslacht leefsituatie beroepsniveau scholingsgraad werksituatie evenals over de kenmerken van verslavingsproblematiek B Concreet Voor een algemene bespreking van het cijfermateriaal verwijzen we naar
171. eken worden gecombineerd om gegevens te verzamelen Het gaat zowel om primaire gegevens verkregen door middel van interviews focusgroepen met sleutelfiguren of met druggebruikers als om secundaire gegevens afkomstig uit bestaande in Belgium Registration of drug users in treatment Brussels Scientific Instititute of Public Health 2003 IPH EPI Reports Nr 2003 018 9 HARTNOLL R HENDRIKS V M en MORRIVAL M o c 1 Ibid 23 Ibid MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 14 registraties en statistieken Deze methode is zeer geschikt om op een snelle manier informatie te verzamelen die aan de basis van monitoring ligt De RSA wordt toegepast om zicht te krijgen op de aard de omvang en de trends van een sociaal of een gezondheidsprobleem zoals het drugmisbruik enerzijds en op de antwoorden die op deze problemen vanuit bestaande structuren en diensten worden geformuleerd anderzijds De RSA kan gesitueerd worden binnen een ruimere methodologie met name de Rapid Assessment and Response RAR De RAR is naast een methodiek om inzicht te verwerven in bepaalde problemen en de bestaande antwoorden erop zoals bij de RSA tevens een methodiek om zelf voorstellen uit te werken met betrekking tot de aanpak van de problemen Binnen de RSA methodiek wordt de sociale culturele historische en economische context als een belangrijk element beschouwd
172. eksresultaten van deze studies worden naast een uitgebreide beschrijving ondersteund door een samenvattend schema waarbij aan de hand van vier kleuren een onderscheid kan worden gemaakt in mate van kwetsbaarheid Een dergelijk analyse is interessant om een beleid bij te sturen en te optimaliseren De methode die in deze studies wordt gehanteerd voor het bepalen van de kwetsbaarheid ten aanzien van georganiseerd criminaliteit is een schaaltechniek Er wordt hierbij gebruik gemaakt van vier labels of kwetsbaarheidscores Er wordt geopteerd om geen gebruik te maken van een neutrale score 156 Zie Bijlage Annexe 1 157 Deze studies zijn onder meer BUCQUOYE A VERPOEST K DEFRUYTIER M VANDER BEKEN T European Road Transport of Goods in VANDER BEKEN T ed Organised Crime and Vulnerability of Sectors The European Transport and Music Sector Antwerpen Apeldoorn 2005 p 57 193 VANDER BEKEN T CUYVERS L DE RUVYER B DEFRUYTIER M HANSENS J Kwetsbaarheid voor georganiseerde criminaliteit Een gevalstudie van de diamantsector Gent Academia Press 2004 488p VANDER BEKEN T CUYVERS L DE RUVYER B HANSENS J BLACK C Het meten van de kwetsbaarheid van de legale economische sectoren voor de georganiseerde misdaad Academia Press Gent 2003 185p 158 Deze scores zijn heel hoge kwetsbaarheid hoge kwetsbaarheid lage kwetsbaarheid en heel lage kwetsbaarheid Zie ook VANDER BEKEN T DEFRUYTIER M
173. elangrijke schakel vormt tussen de politiestatistiek en de veroordelingsstatistiek De Jaarstatistiek van het Openbaar Ministerie bevat per burgerlijk jaar informatie over de opsporing en vervolging van strafzaken door de correctionele parketten De materie van het ten uitvoer leggen van straffen door de parketten komt niet aan bod de politie en jeugdparketten evenmin De zaken behandeld door het federaal parket zijn nog niet opgenomen in deze jaarstatistiek J NICAISE P PELC I 2001 Recherche relative l application du RPM aux probl matiques des usagers de drogues dans les tablissements hospitaliers Validation du module R sum Toxicomanies Minimum RTM Minist re des Affaires Sociales de la Sant Publique et de l Environnement Bruxelles 168 www fedpol be MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 99 Deze jaarstatistiek bevat gegevens op drie aggregatieniveaus nationaal per rechtsgebied en per gerechtelijk arrondissement De jaarstatistiek is volledig en uitsluitend opgebouwd aan de hand van data die in de REA gegevensbanken van de parketten aanwezig zijn B Concreet De gegevens in deze statistiek die van belang kunnen zijn voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid zijn deze van de hangende zaken De gegevens hierover zijn onderworpen aan wat men noemt een transversale analyse De transversale analyse of periodeanalyse verstrekt informat
174. ele kennis over het drugfenomeen De doelstelling van deze bevraging is een periodiek overzicht te krijgen van tendensen in de evolutie van drugoverlastfenomenen De bevraging van de stakeholders gebeurt via het afnemen van vragenlijsten De keuze van de vragen wordt bepaald door de mate waarin informatie met betrekking tot de evoluties in het fenomeen niet terug te vinden zijn in de bestaande registraties tot op lokaal niveau We geven enkele bevindingen aan uit de twee afnames van de stakeholderbevraging in Gent en Oostende waarbij een duidelijk en goed zicht merkbaar is op de sub thema s in de vragenlijst In thema I van de vragenlijst wordt gepeild naar 1 druggebruik in het algemeen 2 niet problematisch druggebruik en 3 poly druggebruik Uiteraard zijn hier wel gegevens over te vinden in de registratiesystemen maar er moet rekening mee worden gehouden dat deze gegevens bijna allemaal te vinden zijn in de registratiesystemen van de drug hulpverlening Ook al gaat het soms om laagdrempelige diensten toch bereikt de drug hulpverlening lang niet alle problematische druggebruikers A HSER Y POLINSKY M L MAGLIONE M en ANGLIN M D Matching clients needs with drug treatment services Journal of Substance Abuse Treatment 1999 16 4 299 305 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 128 In Oostende kwam uit de bevraging als duidelijk bee
175. elnamen aan de vragenlijst stuurden deze keer een mail dat zij niet niet meer wensten deel te nemen wegens te weinig zicht op de problematiek in het geheel Waar deze stakeholders bij de eerste vragenlijst toch enige perceptie hadden waren zij zes maanden later toch van mening dat deze perceptie te gering was om de vragenlijst in te vullen Het is vooral in de module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk waarin deze reden opgegeven werd vijf respondenten minder dan bij de eerste afname Andere redenen van niet deelname langdurig ziekteverlof niet meer werkzaam in de functie om als stakeholder te kunnen fungeren Ook was er een respondent waarvan niks werd vernomen ook na verschillende contactnames Bij de feedback die verkregen werd bij het ophalen van de vragenlijsten in Gent was er n suggestie die pertinent weerkeerde Enkele stakeholders gaven aan dat de thema s waarin de vragenlijst werd verdeeld beter door welbepaalde diensten konden worden ingevuld meestal MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 84 gaven zij politie als voorbeeld Deze stakeholders waren van mening dat dit als resultaat zou hebben dat de uitkomst van de vragenlijsten een duidelijker beeld zou scheppen B Opmerkelijke resultaten We kiezen ervoor om bij de evaluatie van de hekelpunten bij de beantwoording van de vragen hier niet alle desbetreffende vragen afzonderlijk te
176. ema III meet de perceptie van de stakeholders over 1 de gevolgen voor volksgezondheid 2 openbare orde overlast en 3 criminele overlast De meerwaarde in dit thema ligt zeker binnen de subthema s over de verschillende overlastvormen Doordat de sleutelfiguren uit Gent en Oostende veel voorkomende overlastvormen konden aanduiden op het stadsplannetje dat ge ntegreerd was in de vragenlijst vormt dit binnen de lokale context een absolute meerwaarde voor de Monitor bijvoorbeeld omdat zo gerichte overlastreducerende projecten kunnen worden opgezet Bij de registratiesystemen is het enkel de Veiligheidsmonitor die naar drugsgerelateerde overlast peilt waarbij het niet gaat over specifieke vormen maar over drugsgerelateerde overlast in het algemeen Ook is een terugkoppeling naar de specifieke lokale context bij dit registratiesysteem niet mogelijk tenzij er een bevraging van de Veiligheidsmonitor in de betrokken stad of gemeente heeft plaatsgevonden In thema IV ten slotte peilt de Monitor naar de perceptie van de stakeholders over de acties en werking van de lokale 1 preventieve acties 2 hulpverlenende acties 3 politionele justiti le acties en 4 samenwerkings en overlegacties De perceptie van deze verschillende acties en de mogelijke andere aanpak die de sleutelfiguren kunnen suggereren maakt een evaluatie mogelijk van de onderlinge samenwerking tussen de verschillende sectoren In Gent bijvoorbeeld doen heel wat stakeholders suggesties
177. emen terug te vinden is wat meteen ook het belangrijkste voordeel is van een perceptiebevraging Belangrijkste nadeel van het bevragen van percepties is dat geen volledig objectieve realiteiten kunnen worden waargenomen Voor het onderzoek werden twee Vlaamse pilootsteden Gent en Oostende en twee Waalse Charleroi en Luik pilootsteden geselecteerd Binnen deze pilootsteden werd in de loop van de onderzoeksperiode de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid met een tussenpauze van zes maanden twee maal afgenomen Bij deze afnames was er een bijzondere aandacht voor het eerste luik van de Monitor de stakeholderbevraging Hier bestond immers de noodzaak een vragenlijst te ontwikkelen Na een eerste afname werd de vragenlijst bijgestuurd en aangepast Deze conclusies zijn een neerslag van het proces en de inhoudelijke meting van deze vier 203 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S EN TUTELEERS P O C 210 PONSAERS P DE RUYVER B LEMAITRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F o c 211 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP o c 1 212 Ibid 213 SAMPSON R J en RAUDENBUSH S Systematic Social Observation of Public Spaces A New Look at Disorder in Urban Neighborhoods American Journal of Sociology 1999 603 651 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en ma
178. ement partiellement utilisable En effet cette information peut tre utilis e uniquement pour contr ler le questionnaire afin de v rifier s il est complet et sur sa faisabilit pour ajouter certains points ou pour la contextualisation de certaines questions ou th mes Par contre reprendre des questions adapt es bien s r au contexte belge n tait pas possible En effet il n existe nulle part dans la litt rature une copie d un questionnaire utilis S y trouvent uniquement et seulement les r sultats d battus Une partie importante du Nederlandse Nationale Drug Monitor est son volet sur la justice Bien que l tude apporte des informations int ressantes ces informations ne sont pas v ritablement utilisables pour la conception de ce questionnaire En effet ce volet a t construit essentiellement pour recueillir sch matiquement l information disponible des syst mes d enregistrement et non sur les perceptions Les informations peuvent ventuellement tre utilis es comme information de fond pour la seconde partie du moniteur le relev des indicateurs chiffr s auquel l enregistrement est li 104 BILLIET J WAEGE H Eds o c 233 105 DE RUYVER B BODEIN M Deel 2 Onderzoeksluik Sleutelfiguren in DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S en TUTELEERS P o c 63 144 10 Entre autres en 1999 le Nederlandse Nationale
179. en afspraken gemaakt kunnen worden over de plaatsen waar zij geen drugs tot zich zullen nemen er zullen altijd dealers zijn die zich niet aan de gemaakte afspraken willen houden eigen cursivering Ondanks veel onderzoek naar de conceptualisering en meting van drug overlast is er nog steeds geen specifieke definitie van drugoverlast Toch moeten we op basis van reeds gevoerd onderzoek proberen een zicht te krijgen op de meest objectiveerbare vormen van drug overlast De vragenlijst uit de Monitor is dan ook gebaseerd op onder andere de Nederlandse Nationale Drugmonitor de onderzoeken naar de monitoring van alcohol en drugs door het Instituut voor Onderzoek naar Leefwijzen en Verslaving IVO en het Trimbosinstituut en de Luikse barom tre toxicomanie die aangetoond hebben dat het in kaart brengen van drug overlast kan bijdragen tot het beheersen van de integrale drugsproblematiek 2 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S EN TUTELEERS P o c 52 61 218 BLOM T en KAHN A The Netherlands In DORN N Ed Regulating European Drug Problems Administrative measures and civil law in the control of drug trafficking nuisance and use Den Haag Kluwer Law International 1998 203 225 212 SNIPPE J en BIELEMAN B Buurten over last Monitoren van drugsoverlast in de SVO gemeenten 1993 1998 Groningen Intraval 1999 20 Ibid 21 BLANKEN P en ADRIAANS N F P Echo
180. en mening aangegeven door de stakeholders Vraag 16 peilt naar de nieuw opgedoken groepen van druggebruikers gedifferentieerd naar niet problematische en problematisch gebruik Maar liefst tien van de dertien respondenten vulden niets in bij de vraag of er nieuwe groepen niet problematische gebruikers gepercipieerd werden en zes respondenten lieten deze vraag voor problematische gebruikers open In vraag 17 en 18 werd net zoals in de eerste vragenlijst gepeild naar de evolutie van HIV besmettingen hepatitisbesmettingen en sterfgevallen bij druggebruikers Dit keer werd naast de bestaande mogelijkheden ook hier de optie geen mening toegevoegd Voor de HIV besmettingen gaven zeven van de dertien stakeholders geen mening voor de hepatitisbesmettingen waren dit zes stakeholders en voor de sterfgevallen vijf stakeholders Vraag 19 was nieuw ten aanzien van de eerste afname van de vragenlijst en werd ingelast ter aanvulling van de vragen 17 en 18 Deze vraag vroeg naar eventuele andere evoluties inzake volksgezondheid Slechts twee van de dertien sleutelfiguren beantwoordden deze vraag Ook vraag 24 was een aanvullende vraag deze keer op de vragen rond openbare overlast Net zoals bij vraag 19 werd de sleutelfiguren gevraagd of er nog andere zaken waren die hieromtrent konden worden genoteerd Hier gingen maar twee respondenten verder op in Onder vraag 25 werd in de vragenlijst een kaart van de stad gevoegd De respondenten werd gevraagd om de v
181. ennes moyens en appui la coordination ACTUALITE Durant ces 6 derniers mois y a t il des modifications dans cette coordination concernant fonctionnement comp tences Concertation pr sence d une concertation sectorielle pr sence d une concertation intersectorielle s agit il ici de formes de concertation structurelles ou had hoc importance de cette concertation pour la politique de drogues de la ville ACTUALITE Durant ces 6 derniers mois y a t il des modifications dans cette concertation Collaboration pr sence d accords de coop ration s agit il d accords de coop ration formel ou had hoc ACTUALITE Durant ces 6 derniers mois y a t il des collaborations dans cette concertation MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 119 1 4 SITUATION D ENTRETIEN Pour instaurer un cadre contractuel initial il est essentiel en d but d entretien que Penqu teur pr cise le cadre pr cis dans lequel l entretien se d roule Le contexte du Moniteur MILD tout comme les raisons pour lesquelles l interview a t contact pour participer la recherche doivent tre explicit s et bien compris par l interview Il est galement important de cadrer l entretien en termes de temps et d espace En effet il s agit de r aliser l entretien dans un endroit calme o l interview ne sera pas d rang par un
182. ent esquiss e pour chaque partie concern e Dans la partie qui suit nous esquisserons le processus de la premi re partie du Moniteur la consultation des personnes cl s Nous exposerons la m thodologie utilis e pour le questionnaire le d roulement des deux passations dans les villes pilotes et nous valuerons les r sultats les plus significatifs MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 35 Partie 2 Interviews des personnes ressources Les informations relatives l usage des drogues et aux probl mes que celui ci engendre n tant pas toujours accessibles par le biais de donn es chiffr es il importe de mettre l accent sur le contact avec les personnes ressources C est cette d marche qui est pr vue par la passation d un questionnaire portant sur les perceptions Ce questionnaire est destin aux acteurs qui sont troitement concern s par le ph nom ne des drogues De par leur fonction leur position ou leurs exp riences personnelles ces personnes cl s d tiennent des connaissances actuelles propos du ph nom ne de drogues L objectif de ce questionnaire est d obtenir une vue d ensemble p riodique des tendances au niveau de l volution du ph nom ne des drogues Il se base donc la fois sur des constats un moment pr cis dans le temps mais galement sur les volutions qui sont per ues par les r pondants toujours sur une p
183. enten 1993 1998 Groningen Intraval 1999 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 179 _SNIPPE J HOOGEVEEN C en BIELEMAN B Monitor drugsproblematiek justitie Definitiestudie en ontwikkelingstraject Groningen Intraval 2000 SPIJKERMAN R BIESMA S MEIJER G VAN DER POEL A VAN DEN EIJNDEN R en BIELEMAN B Vier jaar Verantwoord Schoon Evaluatie van Verantwoord Schoon programma voor aanpak van drugsoverlast in Rotterdamse deelgemeenten Rotterdam IVO Intraval 2002 STAD GENT DIENST LOKALE PREVENTIE EN VEILIGHEID Jaarrapport Preventieraad 2002 Luik 4 Aanpak van het drugsprobleem Co rdinatie Drugs Gent 2003 STAD OOSTENDE Veiligheids en Preventiecontract van de stad Oostende STIMSON G V FITCH C en RHODES T EDS The Rapid Assessment and Response Guide on Injecting Drug Use IDU RAR Geneva World Health Organization Substance Abuse Department 1998 THIENPONT J VAN ZUIJLEN M Cijfergegevens 2000 2001 2002 Gent VVBV 2003 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1999 UNITED NATIONS OFFICE ON DRUGS AND CRIME Bulletin on Narcotics The science of drug abuse epidemiology New York United Nations 2002 VAD Beleidsplan 2002 2005 Brussel URL http www vad be docs beleidsplan 20VAD 202002 20
184. ere subthema over overlastvormen I 3 Criminele overlast heeft de verfijning van de vragen niet gezorgd voor een hogere perceptiegraad De perceptie bleef over alle modules laag Om dit op te vangen moet tijdens de focusgroep dit subthema uitvoerig behandeld worden om uit te klaren hoe het beeld op deze materie kan worden verscherpt Thema IV Voor thema IV kunnen we dezelfde opmerking formuleren als voor de eerste afname naast de beperkingen van de open vragen in dit gedeelte vinden respondenten het niet eenvoudig om te oordelen over het werk en de aanpak van collega s en andere instituten De percentages liggen hier nog hoger doordat het nog eenvoudiger werd geen perceptie uit te drukken op de gesloten vragen door het aankruisen van geen mening b Fenomeenindicatoren We hebben al besproken in de inhoudelijke evaluatie dat het verzamelen van de fenomeenindicatoren in de verschillende registratiesystemen als doel heeft de gegevens uit de stakeholderbevraging te contextualiseren Dit is nodig om een beter zicht te krijgen op evoluties en trends binnen verschillende aspecten van het drugfenomeen De fenomeenindicatoren moesten net zoals de leden van de stakeholders worden gezocht in dezelfde vier modules als de respondenten van de stakeholderbevraging algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk preventie hulpverlening en veiligheid De registratiesystemen die uiteindelijk werden geselecteerd op basis van beschikbaarheid en releva
185. erlast 3 1 20 6 7 5 46 6 2 9 22 8 5 9 33 5 4 8 30 9 3 Criminele overlast 12 2 22 3 10 2 46 8 1 3 26 5 2 0 54 2 25 7 37 4 1 Preventieve acties 9 3 0 2 20 0 6 6 25 0 19 4 50 0 5 6 26 1 7 9 2 Hulpverlenende acties 22 8 1 0 40 0 13 3 37 5 4 2 18 7 3 5 29 7 5 5 IV f3 Politionele justiti le acties 17 1 11 4 36 0 2 7 40 0 26 6 40 0 6 7 33 3 11 8 4S ki A A 17 1 6 7 36 0 2 7 33 3 0 0 40 0 6 7 31 6 10 7 Totaal gt 11 3 14 3 19 8 28 3 17 2 15 9 19 4 25 0 18 4 21 3 Algemeen Uit bovenstaande tabel valt meteen op dat de toevoeging van de antwoordkeuze geen mening heeft gezorgd voor een gemiddelde daling van de non respons over de hele vragenlijst van iets meer dan 10 Daaruit kunnen we niet concluderen dat de gemiddelde perceptie is gestegen als we het gemiddelde van de non respons optellen bij het gemiddelde van de antwoordkeuze geen mening komen we aan een percentage van 39 7 Dit betekent dat op bijna 40 van de vragenlijst een onduidelijk zicht bestaat op bepaalde aspecten van het MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 138 drugfenomeen Toch moeten we hierbij een noodzakelijke nuance maken het feit dat de perceptie bij de eerste afname hoger lag 28 3 non respons tegenover 18 4 non respons en 21 3 geen mening samen 39 7 betekent niet dat
186. ers aan drugdistributienetwerken Rotterdam IVO 2005 HARTNOLL R HENDRIKS V M EN MORRIVAL M The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 HEINRICH H A Who perceives the collective past and how Are refusals on open ended questions substantial answers Quality amp Quantity 2005 559 579 HENNEN C LEMAITRE A BORN H SCHLITZ C N Vers une mesure de la criminalit pr sentation et application de quelques outils Contrat de S curit Ville de Li ge 1997 HSER Y POLINSKY M L MAGLIONE M en ANGLIN M D Matching clients needs with drug treatment services Journal of Substance Abuse Treatment 1999 16 4 299 305 JAMOULLE P Drogues de rue R cits et styles de vie Editions De Boeck Universit Paris Bruxelles 2000 JAMOULLE P Pr vention des conduites risque la question des toxicomanies Pr venir n 31 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 178 JAVEAU C L L enqu te par questionnaire Manuel l usage du praticien Ed de PU L B 3 dition Bruxelles 1985 KEYMEULEN R RAES V European Addiction Severity Index EuropASI Merelbeke De Sleutel niet gepubliceerde handleiding LEURQUIN P ISP Bis CCAD HARIGA F EUROTOX KOTTGEN S ASL LAUDENS F VAD VANDERVEKEN M CTB ODB Rapport National Belge Sur les drogues 2000 IPH EPI
187. ert s d expressions l interview et lui permet d exprimer les nuances dans son 20 BERTAUX D L approche biographique Sa validit m thodologique ses potentialit s Cahiers Internationaux de Sociologie LXIX 1980 pp 197 227 2 BLANCHET A GOTMAN A L enqu te et ses m thodes l entretien Editions Nathan Paris 1992 36 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 117 discours et la complexit des l ments en pr sence Dans le cadre de cet entretien qualitatif les th mes aborder sont d crits dans la grille d entretien Il n est pas n cessaire de tenir le d roulement des questions tel qu il est d sign dans la grille d entretien car l entretien permet une certaine libert la personne interview e et le laisse suivre le cours de ses pens es L interviewer doit alors veiller comme une check list si tous les th mes pr vus dans le guide d entretien ont t abord s 1 3 CONSTRUCTION DE LA GRILLE D ENTRETIEN La grille d entretien comprend l ensemble organis des th mes que l on souhaite explorer 0 Cette grille d entretien dans notre cas est une grille tr s structur e dans la mesure o cet entretien vient au moment o on dispose d j d informations pr cises sur le domaine tudi D autre part le guide d entretien m me s il est structur se distingue fonctionnellement du questionnaire par le fait qu
188. es Hierdoor was de gemiddelde non respons voor deze thema s respectievelijk 63 3 en 62 5 Dit is niet problematisch aangezien de leden van de module die uitstekend geplaatst zijn om te oordelen over deze vormen m n veiligheid wel een goede perceptie hebben over deze subthema s MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 136 Thema III Alle subthema s in dit thema II 1 Preventieve acties II 2 Hulpverlenende acties en II 3 Politionele justiti le acties en II 4 Samenwerkings en overlegacties peilen naar de kennis en tevredenheid over de aanpak binnen de verschillende modules Dat hier en daar een hogere graad van non respons terug te vinden is in deze subthema s heeft naast het feit dat er heel wat open vragen in dit thema zitten ook te maken met de bias van schriftelijke vragen met betrekking tot het evalueren van instanties en collega s zoals al werd aangegeven in het rapport Toch moet en we vermelden dat in het subthema II 4 Samenwerkings en overlegacties de non respons bij de respondenten uit de module preventie verwonderlijk hoog lag 38 9 zeker gezien de co rdinatiefunctie van de betrokken respondenten De tweede afname van de vragenlijst in Oostende vond zes maanden later plaats De vragenlijst onderging enkele wijzigingen in tegenstelling tot de eerste afname Zo werd het thema druggebruik in drie subthema s opgesplitst en werd ook het
189. es diff rentes rubriques pr sentes dans cette partie du questionnaire Celles ci ont t simplifi es et celle portant sur les nuisances li es aux drogues a t clarifi e La distinction entre nuisances publiques et nuisances criminelles est tablie de prime abord La rubrique portant sur les Cons quences pour la sant publique n a pas t modifi e Elle porte comme pour le questionnaire utilis lors la premi re passation sur l volution des cas de contamination par le virus HIV et sur l volution des cas d h patites parmi les consommateurs de drogues Une question est galement pos e sur la perception que le r pondant a de l volution du nombre de d c s li s la consommation de drogues Une question ouverte a t ajout e la suite de ces questions Y a t il d autres volutions frappantes survenues en rapport avec la sant publique dans votre ville durant la p riode d termin e 7 Elle permet au r pondant de s exprimer sur le sujet vaste de la sant publique et de compl ter les questions essentiellement ferm es qui cernent cette th matique Question 19 du questionnaire MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 54 2 2 4 1 Le ph nom ne des nuisances li es aux drogues Dans le questionnaire pr c dent les trois formes de nuisances ont t abord es au moyen de questions ouvertes Pour r pondre ces q
190. es les r f rences la p riode de 6 mois par la notion durant la p riode d termin e qui sera d finie sur la page de garde du questionnaire Dans la version francophone l appellation toxicomanie a t remplac e par Consommation de drogues afin de diminuer l impact motionnel des termes utilis s 2 2 3 TH ME I CONSOMMATION DE DROGUES ET PROFIL DES CONSOMMATEURS DE DROGUES Pour ce th me trois types de consommation de drogues ont t distingu s Voici le texte d introduction de cette partie qui figure dans le questionnaire Les questions de cette premi re partie portent sur la consommation de drogues dans votre ville dont nous voudrions construire une vue d ensemble C est pourquoi nous allons aborder la consommation d une mani re g n rale la consommation dans le cadre de l usage probl matique et de l usage non probl matique de drogues ainsi que la poly consommation Ce th me a depuis la premi re version du questionnaire t structur sur base d une liste de substances consomm es Cette derni re n a pas t radicalement t modifi e lors de la transformation du questionnaire en vue de sa version finale Seule une substance a t ajout e Substances volatiles par ex gaz hilarant poppers et colles et deux cat gories autre ont t ajout es S1 la liste n a que peu volu au fil des transformations la fa on dont la consommation des substances est abord e a radi
191. est dans cette optique qu a t prise la d cision de cr er un Moniteur de politique int gr e locale en mati re de drogues Une approche globale exige que l on puisse avoir le regard le plus large possible propos du ph nom ne L objectif de ce moniteur est de percevoir des signaux gr ce auxquels l autorit locale pourra adapter sa politique ou pourra d velopper un projet afin de limiter les nuisances sociales li es au ph nom ne de la drogue Le moniteur doit donc permettre d valuer la gravit des nuisances et l influence que peut avoir une politique sur la probl matique des nuisances FL DECORTE B DE RUYVER P PONSAERS M BODEIN A C LACROIX S LAUWERS P TUTTELEERS Drogues et nuisances Etude du ph nom ne des nuisances associ es aux drogues de son contr le et de ses effets partir de diff rents angles d approche Politique scientifique f d rale Gand Academia Press 2004 333 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 25 1 2 OBJECTIF ET ARRIERE PLAN DU MONITEUR Le Moniteur de politique int gr e locale en mati re de drogues est un instrument destin au cadre local A ce niveau le moniteur peut tre appliqu avec l intention d identifier des volutions d termin es quant au ph nom ne de la toxicomanie et de d tecter d ventuelles situations probl matiques en donnant un avertissement au pouvoir de d cision
192. et aussi pour l assemblage des r sultats finaux du Moniteur au sein desquels l entretien prend place une recommandation importante peut tre nonc e Les informations qui sont recueillies lors de l entretien avec le coordinateur en mati re de drogues ou fonction assimil e doivent tre assembl es dans un dossier dans lequel les volutions au niveau structurel seront clairement visibles Les informations dans ce dossier doivent tre utilis es pour finaliser les r sultats finaux de la passation du Moniteur 2 3 D cisions A travers le processus d valuation nous avons affirm que dans chacun des volets chaque difficult a t exp riment e pour arriver construire une vue satisfaisante des diff rents aspects du ph nom ne de drogues C est pourquoi une recommandation g n rale peut tre faite pour amener ces difficult s au minimum et de cette fa on pour faciliter la passation du Moniteur Dans la troisi me partie de ces conclusions des conditions seront nonc es pour le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Pour que la passation de cet instrument puisse se d rouler ais ment il est n cessaire que ces conditions soient suivies par les villes et communes qui pr voient la passation de MILD 3 CONDITIONS POUR LE MONITEUR DE POLITIQUE INT GR E LOCALE EN MATI RE DE DROGUES Pour que l impl mentation du Moniteur puisse se d rouler de la mani re la plus opti
193. et totaal aantal feiten op jaarbasis Zij worden tevens gerangschikt van meest geregistreerde naar minst geregistreerde feiten op jaarbasis De hoofdrubrieken die meer dan 5 uitmaken van het totaal aantal geregistreerde feiten worden nog eens onderverdeeld in subrubrieken Voor de rubriek verdovende middelen zijn deze subrubrieken 1 bezit van verdovende middelen 2 gebruik van verdovende middelen 3 in en uitvoer fabricatie en handel en 4 andere vormen van misdrijven Ook deze gegevens worden maand na maand weergegeven gevolgd door het aantal op jaarbasis B Concreet De gegevens zijn op de website van de Belgische Federale Politie te raadplegen en kunnen worden bekeken op nationaal niveau gewestelijk niveau provinciaal niveau en arrondissementeel niveau Voor de pilootsteden Gent en Oostende zou dit betekenen dat de gegevens kunnen worden bekeken binnen respectievelijk het arrondissement Gent en het arrondissement Brugge Voor Charleroi en Luik gaat het om de arrondissementen Charleroi en Luik 2 1 2 2 Jaarstatistieken van het Openbaar Ministerie A Algemeen In elk parket generaal werd op 1 oktober 1999 n statistisch analist aangeworven in het rechtsgebied van Brussel n voor elke taalrol die samenwerken aan een gemeenschappelijke opdracht en die door de analisten bij het College van procureurs generaal worden geco rdineerd De statistisch analisten cre ren elk jaar de nationale parketstatistiek die een b
194. ette restriction tait reprise dans la proposition de projet et repris et approuv galement dans le contrat de recherche 2 1 VILLES ET COMMUNES EN FLANDRE Tel qu il est explicit ci avant le moniteur sera appliqu dans au moins deux villes et communes flamandes L quipe de recherche n erlandophone avait le privil ge mais galement la difficult de s lectionner deux sites hors des six localit s de recherche Aalst Anvers Genk Gand Malines et Ostende du projet pr c dent Cette s lection a t tablie en fonction du fait qu il s agissait d appliquer le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues et qu il tait n cessaire d en aborder tous les aspects Pour la s lection des deux sites un certain nombre d l ments ont t pris en consid ration pas seulement en fonction des constatations et des exp riences de la recherche pr c dente Le choix s est finalement concr tis de retenir comme villes pilotes Gand et Ostende Le choix de ces deux villes est explicit ci dessous Une premi re condition n cessaire pour pouvoir appliquer le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de drogues dans une ville ou une commune est la pr sence d une bauche de politique coordonn e en mati re de drogues Une politique int gr e locale en mati re de drogues est notamment caract ris e par la pr sence d un coordinateur en mati re de drogues Pacc s un plan co
195. ew qui sonde aux indicateurs structurels a t prise dans la ville d Ostende apr s l interrogation des personnes clefs L interview a t pr vu avec la coordinatrice en mati re de drogues local mais attendu qu elle n tait pas encore en fonction assez longtemps quatre mois il semblait opportun pour elle pour donner l interview ensemble avec le fonctionnaire de pr vention Le fonctionnaire de pr vention est assez longtemps en fonction et elle a suivi le politique en mati res de drogues de pr s On a opt pour interviewer ces deux personnes pour qu ils puissent accorder leurs informations de sorte que l enqu teur puisse dig rer l information dans un entier int gr L interview a eu lieu la mairie o la coordinatrice en mati re de drogues et le fonctionnaire de pr vention travaillent Comme Gand l interview a t enregistr et des notes suppl mentaires ont t prises par l enqu teur L interview a eu une dur e d une heure et dix minutes Dans ce p riode toutes les questions pr vues ont t pos es Pour quelques questions les personnes interview es ont donn une explication courte parce que certains documents taient disponibles pour la ville d Ostende qui donnaient un sommaire sch matique et complet Ces documents ont t donn s l enqu teur la fin de l interview 2 5 CONCLUSION Les questions pos es dans le cadre du troisi me parti du Moniteur les indi
196. fen en een justitie assistent voor een tweede keer de vragenlijst in Dit geeft voor de tweede afname volgende verdeling van de ingevulde vragenlijsten 1 module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk 7 10 2 module preventie 5 1 3 module drug hulpverlening 3 4 module veiligheid 3 1 Wat opvalt is de hoge drop out in de module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk Dit komt doordat heel wat maatschappelijk werkers niet meer deelnamen aan deze tweede afname De belangrijkste redenen die zij opgaven waren 1 dat zij naar hun mening onvoldoende kennis hadden over het drugsfenomeen in zijn totaliteit de vragenlijst bevraagt 223 HEINRICH H A o c 561 562 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 137 nu eenmaal op een aantal vlakken sterk gespecialiseerde informatie en 2 omdat zij tewerkgesteld zijn in een dienst of organisatie die het werken met druggebruikers en of druggebruik niet als kerntaak hebben waardoor het nut van de Monitor niet echt duidelijk is voor de respondent Toch is het zo dat deze sleutelfiguren wel over interessante informatie kunnen beschikken over het drugfenomeen daarom is het nodig dat het nut van de Monitor bij hen en dus ook bij de betrokken diensten wordt verduidelijkt Aan de hand van deze vaststelling kunnen we een volgende aanbeveling doen Om de afname van de Monitor in goede ba
197. gbeleid waar volgend sectoren deel van uitmaken de drugpreventie de drughulpverlening de politie de justitie het O C M W het straathoekwerk de niet categoriale hulpverlening het stadsbestuur het buurtwerk het jeugdwerk het migrantenwerk het onderwijs het opbouwwerk de gezondheidszorg huisartsen apothekers en de provinciale co rdinatoren In Oostende is er eveneens sprake van een multidisciplinaire aanpak De stuurgroep bestaat immers uit het Stadsbestuur Centrum Geestelijke Gezondheidszorg Noord West Vlaanderen Centrum Algemeen Welzijnswerk Middenkust OCMW Lokale Politie justitie MSOC Centrum Geestelijke Gezondheidszorg Prisma onderwijs medici straathoekwerk preventieambtenaar de co rdinator uitgaansbeleid de interne evaluator de communicatieverantwoordelijke en de co rdinator drugbeleid Een bijkomend element dat naar voor kan worden geschoven ter motivatie van de twee geselecteerde steden is de grootte omvang van beiden Gent en Oostende zijn twee centrumsteden elk met hun eigen karakter Het feit dat het om centrumsteden gaat houdt in dat het overzicht over alle relevante diensten kan bewaard blijven Deze overzichtelijkheid is zeker van belang met het oog op de procesevaluatie die in dit project is opgenomen Hoewel beide steden onder de categorie centrumstad zijn ondergebracht is er toch een verschil tussen beide Gent als provinciehoofdstad en Oostende als kuststad Ten slotte kan worden gewezen op het fe
198. gebruikt worden voor het opmaken van de eindresultaten van de afname van de Monitor 2 3 Besluit Doorheen de procesevaluatie hebben we kunnen vaststellen dat in elk van de luiken enkele moeilijkheden werden ervaren om tot een goed zicht te komen op de verschillende aspecten van het drugfenomeen Daarom kan een algemene aanbeveling gedaan worden om deze moeilijkheden tot een minimum te herleiden en op die manier de afname van de Monitor te vergemakkelijken MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 143 In het derde deel van deze conclusies worden randvoorwaarden gesteld voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Om de afname van dit instrument vlot te laten verlopen is het noodzakelijk dat deze randvoorwaarden worden opgevolgd door de steden en gemeente die een MILD afname voorzien 3 RANDVOORWAARDEN VOOR DE MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID Om de afname van de Monitor zo optimaal mogelijk te laten verlopen moet aan een aantal randvoorwaarden worden voldaan Deze werden opgesteld op basis van de hiervoor beschreven inhoudelijke evaluatie en de procesevaluatie en ook de aanbevelingen die hierbij werden geformuleerd gt Bovenlokale financiering Het Belgische drugbeleid in zijn totaliteit dus ook op lokaal niveau kent een sterke versnippering aan bevoegde overheden Daarnaast zorgt het gebrek aan voldoende budgetten voor moeilijkheden bij de uitbreid
199. geen ge ntegreerd drugbeleid hebben opgezet kunnen voor het mandaat van de MILD co rdinator een beroep doen op de preventie ambtenaar voor zover de stad of gemeente een Veiligheids en Preventiecontract heeft of een bevoegde ambtenaar voor preventie indien dit niet het geval is Ook deze persoon moet aan de voorwaarde voldoen dat deze over een bestaand netwerk beschikt binnen de verschillende sectoren gt Het aanstellen van sectorverantwoordelijken 27 DE RUVYER B PELC I CASSELMAN J GEENENS K NICAISE P FROM L VANDER LAENEN F MEUWISSEN K en VAN DICK A Drugbeleid in cijfers Een studie naar betrokken actoren overheidsuitgaven en bereikte doelgroepen Gent Academia Press 2004 500 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 144 Om de MILD co rdinator bij te staan in de afname van de vragenlijst voor de stakeholderbevraging is het noodzakelijk om per deelnemende sector een verantwoordelijke aan te stellen Deze sectorverantwoordelijke moet na een initieel overleg met de MILD co rdinator de bedoeling en de meerwaarde van de stakeholderbevraging verduidelijken bij de leden van zijn sector Net zoals bij het aanstellen van een MILD co rdinator is het van belang dat de sectorverantwoordelijke aanzien geniet binnen zijn sector zodat zijn aanbevelingen door de sectorleden niet zomaar genegeerd worden gt Het opstellen van een planning Zoals we
200. geschonken aan de drugsproblematiek Bovendien heeft de Preventie en Veiligheidsambtenaar van Charleroi die ook lid was van het begeleidingscomit van het voorgaande METAN onderzoek altijd een levendige interesse getoond voor de samenwerking voor en het gebruik van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid In de volgende delen van het eindrapport beschrijven we de totstandkoming van elk van de drie grote delen van de Monitor alsook de evaluatie van de afname per deel Tevens wordt kort de handleiding voor het betreffende deel geschetst In het deel dat nu komt schetsen we het proces van het eerste deel van de Monitor de bevraging van de sleutelrespondenten Daarbij zetten we de gebruikte methodologie voor de vragenlijst uiteen het verloop van de twee afnames in de pilootsteden en evalueren we de opmerkelijkste resultaten MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 21 Partie 1 Introduction La pr sente recherche intitul e Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues commandit par la Politique Scientifique F d rale s inscrit dans le cadre du Programme de recherche l appui de la Note politique f d rale relative la probl matique de la drogue Les promoteurs de la recherche r alis e en Wallonie et en Flandre sont d une part le Professeur Paul PONSAERS Coordinateur du centre de recherche Analyse de la s curit soc
201. ging genomen niet in het minst de bevindingen en ervaringen uit het vorig onderzoek Uiteindelijk is de keuze gemaakt om Gent en Oostende als pilootsteden te weerhouden De keuze voor beide wordt hieronder toegelicht Een eerste noodzakelijke voorwaarde om de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid te kunnen afnemen in een stad of gemeente is het aanwezig zijn van een duidelijk begin van geco rdineerd drugbeleid Een lokaal geco rdineerd drugbeleid wordt voornamelijk gekenmerkt door de aanwezigheid van een drugco rdinator het voorhanden zijn van een stedelijke gemeentelijk drugbeleidsplan en de aanwezigheid van een forum waar de terugkoppeling naar het werkveld worden gemaakt In zowel Gent als Oostende is aan deze voorwaarden voldaan In beide steden is het drugbeleid een actie binnen de Veiligheids en Preventiecontract In Gent maakt de stedelijke drugco rdinatie deel uit van de Dienst Lokale Preventie en Veiligheid een stafdienst die rechtstreeks ressorteert onder het kabinet van de burgemeester Sinds december 1998 is er een Stuurgroep voor de drugco rdinatie die als doel heeft de basis te leggen voor een ge ntegreerd lokaal drugbeleid en het ontwikkelen van een drugbeleidsplan In Oostende is het drugbeleid ingebed in de preventiedienst en valt het drugbeleid onder de bevoegdheid van de eerste schepen Het drugbeleid wordt voorbereid door de Stuurgroep Drugbeleid die wordt voorgezeten door de drugco rdinator De Stuurgroep ondersteunt de
202. grille d entretien mais galement le choix de la personne la plus m me de r pondre aux questions reprises dans la grille d entretien Certaines indications sont galement donn es concernant la fa on de r colter les informations et la fa on dont peut tre mise en place l analyse des r sultats et leur port e 7 Dans une ville ou une commune o une Coordination en mati re de Drogues est mise en place ou plus largement un Contrat de S curit et de Pr vention est mis en uvre l initiative peut tre prise par les instances de d cision du contrat de s curit et de pr vention de la ville ou de la commune ou bien plus pr cis ment par la Coordination en mati re de Drogues de la ville ou de la commune impliqu e Dans les autres cas l initiative pourrait tre prise par les autorit s communales MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 125 Deel 5 Conclusies Inleiding De bedoeling van het onderzoek zoals voorgesteld in dit rapport was het verfijnen concreet toepassen in de pilootsteden en uitwerken naar een algemeen toepasbaar instrument voor alle Belgische steden en gemeenten van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Het onderzoek bouwde verder op in eerder onderzoek van de onderzoeksgroepen onder leiding van de professoren De Ruyver Ponsaers en Decorte rond het fenomeen drugsoverlast Uit dit onderzoek bleek een hiaat te bestaan w
203. gues s lectionn es Interroger des consommateurs de drogues tait pr vu dans le protocole de recherche Pourtant l quipe de recherche a prouv de nombreuses difficult s pour atteindre cet objectif et leurs d marches respectives tant en Flandre qu en Wallonie se sont av r es infructueuses En effet comme il l avait d j t soulign dans la recherche pr c dente intitul e METAN l usager de drogues peut tre lui m me un informateur clef de la situation locale Par son exp rience personnelle il est en effet susceptible d apporter de pr cieux renseignements sur le ph nom ne Alors que les Pays Bas int grent depuis quelques ann es les consommateurs dans les recherches sur la probl matique de la toxicomanie la tradition est moins ancr e dans le paysage belge o elle voit peine le jour Bien que les usagers fassent d sormais quelque peu entendre leurs revendications 4 ils restent encore souvent cart s de l laboration et de l valuation des politiques Nous nous sommes rendu compte que les consommateurs de drogues repr sentent une population difficile atteindre Pour ce faire nous aurions d construire une relation de confiance non seulement dans un premier temps avec les structures de soins et d aide qui sont en contact direct avec les consommateurs de drogues et ensuite cr er une relation de confiance stable avec les consommateurs de drogues pour pouvoir r aliser un entretien d u
204. h tiques facteurs de r ussite dans l approche du probl me Une r ponse possible ces deux constats pourrait voir le jour sous la forme d une option pour le d veloppement de projets au sein desquels les nuisances occuperaient une position centrale r elle Cette position est toutefois peu r aliste dans la mesure o elle serait tout fait contraire aux r sultats de la recherche men e par les professeurs DECORTE DE RUYVER et PONSAERS sur le ph nom ne des nuisances li es aux drogues Dans celle ci il est apparu que les nuisances li es aux drogues ne doivent pas tre isol es des autres formes de nuisances Il est donc indispensable de partir d une approche aussi large que possible des nuisances et dans ce cadre de pr voir un espace pour une politique en termes de nuisances publiques associ es aux drogues Lorsque pour l approche des nuisances en mati re de drogues il est fait usage du mod le tel que celui pr sent dans les conclusions de la recherche consacr e au ph nom ne des nuisances Prof DECORTE DE RUYVER PONSAERS il semble qu une lacune apparaisse dans l ex cution pratique du mod le Cette lacune concerne la d tection des nuisances en g n ral et des nuisances en mati re de drogue en particulier Il est en effet n cessaire d avoir une vue correcte du ph nom ne si l on veut pouvoir mettre en uvre une certaine politique La ma trise de tels instruments ne va cependant pas de soi C
205. harleroi L quipe de recherche a alors contact de mani re individuelle chaque personne reprise sur la liste en expliquant le contexte de la recherche les th matiques abord es par le questionnaire MILD le caract re provisoire de l outil et l esprit de collaboration que rev tait son laboration les remarques sur la construction de l outil taient les bienvenues et l quipe de recherche restait la disposition de chacun pour fournir davantage de renseignements et informations Il tait galement expliqu durant cette premi re conversation t l phonique que l enqu trice serait de passage Charleroi les deux premiers jours de la semaine suivant les deux semaines de passation pour r cup rer les questionnaires et si l interlocuteur le souhaitait prendre quelques minutes afin de discuter de l outil et de sa passation Les contacts t l phoniques ont tous t tr s cordiaux Des r ticences ont t cependant une nouvelle fois enregistr es concernant la th matique du questionnaire portant plus particuli rement sur les nuisances li es aux drogues L ensemble des personnes ressources contact es ont toutefois marqu leur accord pour r pondre au questionnaire et se sont engag es le compl ter dans le d lai de deux semaines que pr voit la m thode du Rapid Situation Assessment Suite ces contacts t l phoniques individualis s le questionnaire est envoy par la poste la fin de la semai
206. hogere graad van non respons Bij vraag 7b werd door de respondenten naast de zeven opgesomde combinaties van poly druggebruik nog negen andere combinaties aangereikt Het is wellicht zo dat poly 3 HEINRICH H A Who perceives the collective past and how Are refusals on open ended questions substantial answers Quality amp Quantity 2005 559 579 bid 561 145 Ibid 561 562 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 78 druggebruik een enorme waaier aan combinaties kan bevatten Het feit dat veel andere combinaties worden opgegeven dan reeds geopperd in de vragenlijst kan zeker stof tot nadenken vormen wat betreft evoluties inzake poly druggebruik in de stad Mochten meerdere respondenten dezelfde combinatie opgeven kan dit zeker gezien worden als bruikbare informatie Naast de mogelijke oorzaken van non respons bij open vragen zie hoger kan de hogere non respons op de vragen 14a 14b en 15 over de evoluties inzake HIV besmettingen hepatitisbesmettingen en sterfgevallen gerelateerd aan druggebruikers nog een andere verklaring hebben Deze drie vragen hebben in het bijzonder betrekking op thema s met betrekking tot volksgezondheid Gezien de verdeling van de stakeholders is het niet ondenkbaar dat sleutelfiguren uit bepaalde modules een lagere of zelfs geen perceptie hebben betreffende deze materie in vergelijking met andere respondenten Ook de lagere no
207. i 2005 en was gericht aan het Diensthoofd van de FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu Directoraat Generaal Organisatie Gezondheidsvoorzieningen Dienst Datamanagement MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 97 2 temporele opvolging opnames middelengebruik 1997 2003 in regionaal geselecteerde domiciliepati nten algemeen geslacht leeftijd detail drug 3 kruising domiciliepati nt en regioziekenhuis voor de opnames 2003 Naast deze tabellen werd ook een document gevoegd ter verduidelijking van de gegevens uit deze tabellen Dit is de zogenaamde operationalisering van de vraag waardoor het mogelijk wordt om de tabellen te begrijpen en de gegevens te analyseren Het aantal dat wordt vermeld in de tabellen staat voor het aantal medische opnames in de periode 1997 2003 Deze opnames kunnen eerste opnames zijn als heropnames gezien het MPG registratienummer omwille van privacyredenen verandert van eenzelfde pati nt bij heropname Hoewel in het aangebrachte document gegevens beschikbaar zijn over een periode van 7 jaar wordt enkel gewerkt met de gegevens van het meest recente jaar in casu 2003 De reden hiervoor is dat de monitor niet tot doel heeft tendensen of evoluties op te sporen in het verleden m a w voorafgaand aan de eerste meting maar wel de tendensen of evoluties in de toekomst m a w volgend op de eerste meting of de vergelij
208. iale et le Professeur Brice DE RUYVER Directeur de 1 Institute for International Research on Criminal Policy de l Universit de Gand UGent ainsi que le Professeur Andr LEMAITRE Service de Criminologie et le Professeur Claude MACQUET Institut de Sciences humaines et sociales de l Universit de Li ge ULg La recherche a d but en mars 2005 et s est termin e la fin du mois de f vrier 2006 Durant cette ann e les quipes de recherche ont pu compter sur le soutien et sur les commentaires d un comit d accompagnement qui est intervenu en tant qu organe de r flexion pour les chercheurs et a permis d changer propos des diff rentes visions sur de nombreux aspects de la recherche de formuler des recommandations et de corriger des l ments au besoin Le comit d accompagnement est compos de diff rents acteurs scientifiques politiques et du terrain Les membres sont les suivants Mevrouw Lieve VAN DAELE SPP Politique Scientifique Pr sident du comit d accompagnement Madame Sophie BLOCK SPF Int rieur Secr tariat permanent la politique de pr vention VSPP De heer Paul CLEYMAN Vaste Commissie Politie Antwerpen De heer Wim CRUYSBERGHS FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid Monsieur Yvano DE BIASIO Fonctionnaire de pr vention Contrat de S curit de la Ville de Charleroi Madame Isabelle DEMARET SPF Sant Publique Cellule drogues Mevrouw Rita DEMEY Beleidscel
209. id en onderzoek Symposium VIG 8 oktober 2004 URL http www vig be content pdf VIG_symp04_abstracts pdf 9 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 151 Le Moniteur a donc aussi pour but de compl ter dans un premier temps les donn es disponibles avec les informations concernant les perceptions et par ailleurs d offrir la possibilit de rassembler l image fragment e concernant le ph nom ne de drogues Le Moniteur permet en d autres mots d obtenir une image claire de la probl matique locale en mati re de drogues et offre de cette fa on le pr requis n cessaire pour mettre en place une politique en mati re de drogues int gr e et evidence based A titre d exemple prenons le sous th me cons quences pour la sant publique du questionnaire pour les personnes ressources Des passations dans les villes pilotes il a t mis en vidence que les personnes cl s n ont pas pr sent un taux de perception lev propos de cet aspect D autre part quatre syst mes enregistrent des donn es qui ont voir dans une certaine mesure avec des aspects de la sant publique et deux de ces quatre syst mes d enregistrement peuvent affiner l information un niveau local les perceptions lacunaires r colt es via la consultation des personnes ressources peuvent donc tre compens es par les syst mes d enregistrement existants
210. ie in alle Belgische psychiatrische ziekenhuizen PZ en psychiatrische afdelingen in algemene ziekenhuizen PAAZ sinds 1 juli 1996 en de initiatieven beschut wonen IBW en de psychiatrische verzorgingstehuizen PVT sinds 1 september 1998 52 Er wordt informatie verzameld op continue wijze wat betekent dat gegevens worden genoteerd bij de aanvang van een medisch psychiatrisch verblijf bij elke afzonderlijke periode van de behandeling en ter gelegenheid van het afsluiten van een de behandeling Twee keer per jaar worden deze gegevens verwerkt gefilterd en anoniem gemaakt alvorens voor verwerking doorgestuurd te worden naar de FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu De MPG bevatten onder andere de socio economische kenmerken van de pati nt de diagnose en problemen bij de opname de behandelingsgegevens en ten slotte de diagnose en overblijvende problemen bij ontslag B Concreet Gezien de MPG uit het nationaal verslag slechts van beperkte betekenis kunnen zijn voor het lokaal niveau werd nagegaan of vanuit de nationaal verzamelde gegevens de lokale linken niet opnieuw konden worden getraceerd Hiertoe werd beroep gedaan op de FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu Gezien de MPG registratie een hele waaier aan informatie kan aanbrengen was het noodzakelijk om een meer concrete vraag tot samenwerking te formuleren Concreet werden volgende gegevens gevraagd aantal en kenmer
211. ie over de gebeurtenissen in de loop van een bepaalde observatieperiode De onderzochte periode is een burgerlijk jaar Het gaat over een analyse van de stock de in en uitstroom van zaken tijdens het geanalyseerde burgerlijke jaar De stock bij het begin van het jaar wordt gevormd door het aantal hangende zaken op 1 januari van het jaar te weten zaken waarin het parket op die datum nog een beslissing moet nemen Bij deze gegevens kunnen resultaten opgevraagd worden gedifferentieerd volgens het type tenlastelegging E n van deze types omvat de categorie drugs en doping Deze gegevens zijn op te vragen via de website van de statistische analisten van het Parket Generaal De laatste jaarstatistiek die beschikbaar is is deze van 2004 2 1 2 3 De Veiligheidsmonitor A Algemeen De Veiligheidsmonitor is een slachtofferbevraging die wordt afgenomen in opdracht van de Minister van Binnenlandse Zaken De Veiligheidsmonitor die ondertussen reeds plaatsvond in 1997 1998 2000 2002 2004 en nu ook 2006 is een grootschalige telefonische bevolkingsenqu te rond de veiligheidsgevoelens van de burgers en het functioneren van de politiediensten Het doel ervan is om te beschikken over resultaten op federaal niveau en op het niveau van een aantal gemeenten en politiezones die onder meer gebruikt kunnen worden als standaardmeetinstrument voor de evaluatie van het veiligheids en politiebeleid De doelgroep van de Veiligheidsmonitor zijn alle inwoners
212. ientifique de Sant Publique Anciennement Services f d raux des affaires scientifiques techniques et culturelles SSTC Note politique f d rale relative la probl matique de la drogue 19 janvier 2001 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 22 Le rapport final de la recherche ci apr s se compose de cinq grandes parties Dans cette premi re partie introductive la recherche est plac e dans son contexte et le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues situ dans son ensemble Le choix des villes pilotes sera galement discut Enfin nous esquisserons l objectif attendu de ce rapport final Dans la seconde partie nous d battrons de la consultation des personnes ressources La m thodologie pour la construction du questionnaire et pour l analyse de ses r sultats ont t explicit s de m me que la conception et les modifications du questionnaire Plus en avant l attention a t port e la proc dure et l valuation du processus de passation du questionnaire dans les quatre villes pilotes Enfin nous donnerons un clairage sur les raisons de la cr ation du guide d utilisation et sur son utilisation La troisi me partie traite de la m thodologie et de l utilisation des indicateurs de ph nom ne Ces indicateurs sont r partis en quatre th mes bien tre g n ral et politique de sant politique de
213. ij vier vragen gepeild naar een eventueel andere aanpak van acties in bepaalde modules Bij vraag 35 aangaande de preventieve acties gaven zes van de dertien respondenten hieraan geen gevolg en ook zes respondenten gaven geen verklaring op waarvan er twee wel antwoord hadden gegeven op de initi le vraag naar een eventueel andere aanpak Bij de eventueel andere aanpak van de hulpverlening in vraag 39 vulden vijf sleutelfiguren geen keuze in ja of nee en vijf respondenten gaven geen verklaring waaronder twee respondenten die wel een keuze hadden gemaakt Vraag 43 vroeg naar een eventueel andere aanpak van de politionele justiti le acties Zes respondenten maakten hieromtrent geen keuze terwijl negen respondenten hun eventuele keuze niet verklaarden Van die negen hadden er vijf eerder geen keuze opgegeven Tenslotte maakten zeven respondenten geen keuze voor vraag 47 aangaande een eventueel andere aanpak van het overleg en samenwerking Nog eens zes respondenten gaf geen verklaring waaronder vier die eerder geen keuze maakten 4 2 1 4 Evaluatie Stakeholders Bij de eerste afname van de vragenlijst werden 22 potenti le stakeholders gecontacteerd waarvan er 19 de vragenlijst invulden Bij de tweede bevraging werden opnieuw dezelfde potenti le stakeholders gecontacteerd We ontvingen bij deze tweede afname slechts 13 ingevulde vragenlijsten De redenen hiervoor waren uiteenlopend Enkele stakeholders die de eerste keer wel de
214. ijk aan drugoverlast als doelstelling meestal beperkt is Drugoverlast is doorgaans slechts een secundaire doelstelling van projecten en wordt ingevuld in functie van andere doelstellingen Het is doorgaans onmogelijk om een project als specifiek drugoverlastproject te benoemen Het verminderen of voorkomen van druggerelateerde maatschappelijke overlast wordt in de meeste lokale drugprojecten als algemene doelstelling of als vertrekpunt voorop gesteld Dit heeft te maken met de ori ntering van het algemene doelstellingenkader door het federale niveau Door deze ori ntering krijgt het voorkomen van druggerelateerde maatschappelijke overlast binnen het doelstellingenkader van projecten in theorie vaak een plaats toebedeeld die het in de praktijk gezien niet krijgt Dit betekent echter niet dat het voorkomen van druggerelateerde maatschappelijke overlast in de praktijk geen aandacht krijgt Het zijn evenwel andere doelstellingen die de centrale plaats als algemene doelstelling bekleden preventie de re ntegratie van de doelgroep het terugdringen van de schadelijke gevolgen van het druggebruik voor de gezondheid en het welzijn van de druggebruikers en hun omgeving het voorzien van ambulante psychosociale begeleiding van gemarginaliseerde drugverslaafden via laagdrempelige begeleidings activiteiten het verminderen van de maatschappelijke kwetsbaarheid Het inwerken op 3 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUW
215. ikkelen van een beleidsinstrument dat binnen de eigen organisatie bruikbaar is voor het vastleggen van prioriteiten ontwikkelen van een evaluatie instrument uitwisselen van gegevens over methodieken en projecten Al wie in de drugpreventie actief is kan aan de Ginger registratie deelnemen Immers hoe meer professionelen registreren hoe betrouwbaarder de resultaten zijn van het monitoringsysteem Het Ginger registratienetwerk bestaat uit een vijfenzestig tal preventieactoren die kunnen worden ingedeeld in drie groepen lokale preventiewerkers die actief zijn in een gemeentelijk werkgebied meestal gesubsidieerd via veiligheidsfondsen van Binnenlandse Zaken regionale preventiewerkers die actief zijn in een ruimer werkgebied CGG preventiewerkers en provinciale preventieco rdinatoren Vlaamse preventiewerkers die de Vlaamse Gemeenschap als werkgebeid hebben VAD De Sleutel Leefsleutels De registratie van preventieactiviteiten gebeurt aan de hand van zes standaardcategorie n sector detailsector type doelgroep activiteit en detailactiviteit Deze activiteiten worden in de opbouw van Ginger gekoppeld aan een organisatie suborganisatie en contactpersoon Aan het einde van de registratieperiode worden de activiteitengegevens ge xporteerd naar de VAD Op basis van de verwerking van de ge xporteerde data schrijft de VAD elk jaar een monitoringrapport B Concreet Het Ginger Rapport 2003 handelt over 5 568 geregistr
216. informations sont impossibles d celer dans les syst mes d enregistrement existants d autant plus qu en ce qui concerne l usage non probl matique elles ne sont pas prises en compte dans les enregistrements du secteur de l aide Dans le th me II du questionnaire nous interrogeons sur 1 les caract ristiques sociod mographiques et 2 les volutions dans le profil des consommateurs de drogues Si la plupart des syst mes d enregistrement donne bien une interpr tation des caract ristiques sociod mographiques c est surtout celles des consommateurs probl matiques qui sont recens es Par la consultation des personnes ressources tant Gand qu Ostende nous avons r colt une vision claire de l ge de la r partition par sexe et la nationalit des consommateurs de drogues La plus value de ce questionnaire par rapport aux syst mes d enregistrement est qu il est galement possible de former une image claire des caract ristiques des consommateurs non probl matiques ce qui ne l est pas travers les donn es enregistr es par le secteur de l aide A propos de l volution du profil nous constatons moins d accords entre les personnes ressources voir infra 2 Processus d valuation Toutefois quelques r ponses r currentes peuvent remplir la fonction de signal d alerte pour la politique locale dans les deux villes il a t mentionn par quelques personnes ressources l existence de consomma
217. ing en de effecten van druggerelateerde overlast en dit vanuit verschillende invalshoeken Gent Academia Press 2004 335 p 2 PONSAERS P DE RUYVER B LEMA TRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F Nuisances li es aux drogues dans le contexte local de huit communes flamandes et wallonnes Bruxelles Politique Scientifique F d rale 2004 143 p 230 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1991 p 1 231 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessmetns and Responses Guidelines Vienna UNODCCP 1991 III IV MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 150 La base pour le volet le plus important du Moniteur la consultation des personnes ressources est d obtenir de l information concernant le niveau local qui ne se retrouve pas dans les syst mes d enregistrement c est galement l avantage le plus important de la consultation travers les perceptions Par contre l inconv nient le plus important du fait d interroger sur les perceptions est qu aucune r alit totalement objective ne peut tre tr a232 enregistr e Ee Nous d cidons dans ce rapport final de r unir les constats propos de valuation du contenu du Moniteur et des
218. ing van de respondenten zowel bij het afhalen van de vragenlijst als nadien met een e mail Anderen gt e mail met uitleg over het onderzoek onderzoeksfiche in bijlage en mededeling dat er de dag nadien telefonisch contact zal worden opgenomen gt telefonisch contact waarbij o korte uitleg over het onderzoek mondeling wordt herhaald o er gepeild wordt naar de bereidheid tot medewerking o een datum wordt vastgelegd voor het ophalen van de vragenlijst 2 weken gt e mail met daarin o verwijzing naar het eerder telefonisch contact en de bereidheid tot medewerking aan het onderzoek o vragenlijst in bijlage o bevestiging van de dag wanneer de vragenlijst door de onderzoeker persoonlijk zal worden opgehaald gt tweetal dagen voor het verstrijken van de periode een herinneringsmail met daarin o herinnering dat de vragenlijst zal worden opgehaald o vraag om contact op te nemen als dit voor de respondent niet haalbaar is gt persoonlijk afhalen van de vragenlijst bij elk van de respondenten gt bedanking van de respondenten zowel bij het afhalen van de vragenlijst als nadien met een e mail De vragenlijst die werd ontwikkeld namen we af bij stakeholders de zogenaamde sleutelfiguren of key informants De afname van de vragenlijst past dus binnen de key 138 De werkwijze die we hanteerden is in grote mate in overeenstemming met de methode die gehanteerd wordt bij postenqu tes zie hiervoor onder andere SALANT P DILLMA
219. ing van lokale realisaties Daarom is het noodzakelijk dat vanuit het bovenlokale niveau in een financi le vergoeding wordt voorzien die een kwaliteitsvolle toepassing van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid toelaat Daarvoor neemt idealiter het VSP de verantwoordelijkheid op voor de financi le co rdinatie van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Aan deze financi le tegemoetkoming kan het VSP duidelijke voorwaarden koppelen op het vlak van lokale veiligheidsdiagnostiek gt Het aanstellen van een MILD co rdinator Het afnemen van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid vraagt een goede planning en co rdinatie De steden en gemeenten die gebruik willen maken van de Monitor moeten daarom een MILD co rdinator aanstellen die instaat voor de integrale afname van de Monitor De vraag die zich dan stelt is wie in aanmerking komt om deze functie op zich te nemen Een belangrijke voorwaarde voor de MILD co rdinator is dat hij of zij beschikt over een bestaand netwerk binnen de sectoren die deelnemen aan de afname van de Monitor We gaven al aan dat het nut van de Monitor in alle sectoren moet onderkend worden Een MILD co rdinator die niet over een bestaand netwerk beschikt binnen deze sectoren kan dan ook onmogelijk over voldoende know how beschikken om dit nut bij de sectoren duidelijk te maken Daarom moet voor het mandaat van de MILD co rdinator in de eerste plaats gedacht worden aan de lokale drugco rdinator Steden en gemeenten die nog
220. ion Drogues et de la Cellule Recherche et Concertation Les diff rentes initiatives et tables rondes qui pr existaient la mise en place de la Coordination Drogue Elargie et qui perdurent toujours actuellement ont t num r es et d crites tout comme les projets en cours et les modifications statutaires futures En d finitive cet entretien tant le premier dans le cadre du Moniteur il s agissait de situer galement l historique de la Coordination Drogues et la mise en place des r seaux avant d entreprendre une discussion sur les modifications qui ont pu y survenir durant les derniers 6 mois Il a galement t remis l quipe de recherche les rapports d activit s de la Coordination Drogues r alis s et ceux de la Cellule Recherche et Concertation 2 2 LIEGE L entretien a avant tout port sur le processus de construction du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de drogues En effet nous avons surtout durant cette heure d entretien d construit en compagnie de la Coordinatrice des Actions en Toxicomanie de Li ge et deux de ses collaborateurs la grille d entretien et l int r t de cet entretien Dans la mesure o l entretien avec la Coordination en mati re de Drogues d une ville ou d une commune belge doit avant tout servir dans le cadre de ce Moniteur a faire le point sur l tat du r seau des intervenants impliqu s dans la probl matique de l
221. iques de Li ge avait pour objectif de pr senter la recherche MILD mais galement de faire le point sur une s rie de concepts li s aux nuisances publiques et criminelles li es aux drogues pr sentes au c ur du questionnaire En fonction depuis un peu plus d un an il d finit sa fonction par deux aspects le c t ax sur la communication et le c t plus r pressif Le r le de manager des nuisances publiques est galement celui de m diateur et d ensemblier de tous les acteurs de la ville dans l objectif de r duire le fractionnement des comp tences de la ville et dans le souci d une coordination entre les services communaux Cette rencontre a permis de faire le point sur la d finition d une nuisance publique qui est par essence subjective dans le sens o la nuisance n appara t que par la plainte l expression d un d sagr ment C Proc dure proprement dite La seconde passation s est d roul e dans le courant du mois de novembre 2005 dans le d lai imparti des deux semaines de passations pr vu par la m thode du Rapid Situation Assessment MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 70 Un courrier a t envoy l ensemble des organismes et institutions qui figurent dans la liste pr tablie par l quipe de recherche Si la liste a d abord t r alis e par l quipe de recherche elle a galement t relue et
222. istreren Hierbinnen kunnen volgende opdelingen worden gemaakt 7 Verslavinsprobleem niet gespecifieerd Alcohol Medicatie Nicotine Gokken Computer Drugs 172 Zo is er het CAW Jaarboek 2005 dat kan besteld worden via het Steunpunt Algemeen Welzijnswerk 13 KHLEUVEN DEPARTEMENT SOCIALE SCHOOL HEVERLEE Gegevensverzameling welzijn en gezondheid in Vlaams Brabant Eindrapport Leuven Provincie Vlaams Brabant Directie Welzijn en Huisvesting Dienst Welzijn en Gezondheid 2005 p 40 41 174 Informatie verkregen via de heer Van Menxel Steunpunt Algemeen Welzijnswerk MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 103 Opvang verslaafden Verslavingsprobleem andere 2 2 2 2 MODULE PREVENTIE 2 2 2 1 Ginger registratie VAD A Algemeen In 1996 kreeg de Vereniging voor Alcohol en andere Drugproblemen VAD de opdracht van de Vlaamse overheid een systeem te ontwikkelen waarbij op een systematische wijze drugpreventieactiviteiten in kaart kunnen worden gebracht Ginger is het registratiesysteem of monitoringsysteem waarbij deze preventieactiviteiten worden bijgehouden Aan het Ginger registratiesysteem zijn zes doelstellingen gekoppeld namelijk zicht krijgen op de gevoerde preventieactiviteiten in de verschillende sectoren detecteren van noden en hiaten doorzichtig maken van verschillende kanalen en actoren van preventie ontw
223. it dat uit het voorgaand onderzoek duidelijk is gebleken dat in beide steden een bereidheid aanwezig is om aan het huidig onderzoek mee te werken 2 2 STEDEN EN GEMEENTEN IN WALLONI Een noodzakelijke voorwaarde voor het afnemen van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid is het aanwezig zijn van een duidelijk begin van een geco rdineerd drugbeleid In dit opzicht is ook de aanwezigheid van een co rdinator essentieel om het lokale drugbeleid te kunnen evalueren Daarnaast is het belangrijk dat in de vier geselecteerde pilootsteden binnen de vier modules die de Monitor beoogt te meten algemeen welzijnswerk en gezondheidswerk preventie hulpverlening en veiligheid sleutelfiguren aanwezig zijn binnen de twee onderzoeksgebieden De aanpak van de problematiek in de twee geselecteerde steden laat ons toe om de afname van de verschillende componenten te testen De Monitor zou dan uiteindelijk kunnen toegepast worden in alle steden ook in die steden waar niet alle modules aanwezig zijn Deze twee elementen zijn aanwezig in Luik en Charleroi Er zijn nog andere bijkomende elementen die geleid hebben naar de keuze voor Luik en Charleroi als pilootstad Het is namelijk zo dat Luik en Charleroi allebei grote steden zijn waarbinnen verschillende diensten opgericht zijn die zich bezighouden met de drugsproblematiek Dit heeft er voor gezorgd dat we konden rekenen op een grote diversiteit aan actoren binnen het werkveld MILD Monitor Integraa
224. it van het probleem en 3 de draagwijdte van het probleem Op het bevoegdheidsniveau moet een antwoord worden gevonden op de vraag Moet het probleem op lokaal of op bovenlokaal niveau worden opgelost Indien het probleem op bovenlokaal niveau moet worden opgelost bijvoorbeeld een element van de organisatie van de hulpverlening zoals bijvoorbeeld te weinig laagdrempeligheid heeft de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid een signaalfunctie naar de bevoegde overheid toe Als het probleem zich op lokaal niveau voordoet moet een vraag gesteld worden over de integraliteit van het probleem Gaat het om een sectoroverstijgend of een sectorspecifiek probleem Als de oplossing voor het probleem zich binnen een specifieke sector voordoet heeft de Monitor een signaalfunctie naar de betrokken sector toe Indien het probleem sectoroverstijgend is moet een derde vraag gesteld worden die de draagwijdte van het probleem aankaart Gaat het om een structureel of om een ad hoc probleem Wanneer het om een structureel probleem gaat moet een beleidsmatige aanpak voorzien worden voor zover deze aanwezig is op lokaal niveau anders dient een oplossing gezocht te worden in het co rdinatie orgaan Gaat het om een ad hoc probleem dan moet een projectmatige aanpak beoogd worden met een duidelijke afbakening in tijd en ruimte Het schema op de volgende pagina vat het vorige samen gt Het eindverslag Op basis van het eindoverleg tussen de se
225. ites un contact tabli avec un service d aide dans le cadre d une rencontre au moins un contact suscit par l usage de produits ou une probl matique li e cet usage L instrument utilis est un questionnaire standardis d crivant le profil g n ral de l usager sexe ge lieu d habitation nationalit et origine mode de vie enfants scolarit ressources financi res ant c dents judiciaires le contact avec le r seau de soin ant c dents th rapeutiques demandes le comportement de consommation produits consomm s rythme de consommation ge de d but de consommation mode de consommation et prescription 84 Les Sentinelles sont les services et intervenants pr c demment cit s qui r coltent les donn es aupr s des usagers et d finissent les lignes ma tresses de l enqu te via leur participation au Comit d Accompagnement Scientifique 85 Service d Aide et de Pr vention en mati re de toxicomanie 36 Service d aide ambulatoire accueillant des toxicomanes interpell s par la Police 87 Service d aide ambulatoire offrant guidance et psychoth rapie prise en charge individuelle et familiale Maison d Accueil Socio Sanitaire service d aide ambulatoire pour toxicomanes offrant un suivi m dical et psychosocial Prise en charge ambulatoire et hospitali re de crise de maximum 72 H accessible 24H 24H Service d aide r sidentiel pour toxicomanes s jour co
226. iteur Le RSA peut tre utilis pour se faire une id e de la nature de l ampleur et des tendances d un probl me social ou de sant publique comme celui de la toxicomanie d une part et sur les r ponses qui peuvent tre apport es par les diff rents services ou structures existants d autre part i On peut situer le RSA dans une m thodologie plus large savoir le Rapid Assessment and Response RAR Le RAR est une technique permettant de prendre conscience de probl mes d termin s et des r ponses y apporter mais galement de proposer soi m me une issue ou une tentative de r ponse dans l approche de ces probl matiques La m thode RSA prend en compte le contexte social culturel historique et conomique Les modifications intervenant dans la vie conomique sociale et politique ont en effet une influence sur les tendances de l usage de drogues Cet outil dont les r sultats rapides sont souligner permettant d s lors de se rendre compte dans un temps minimal des diff rentes volutions reste cependant tributaire de la diligence avec laquelle les diff rentes instances parviennent rassembler les informations n cessaires D autres caract ristiques du RSA concernent entre autres son approche inductive et flexible et l utilisation de diff rents moyens de collecte de donn es 7 UNITED NATIONS OFFICE FOR DRUG CONTROL AND CRIME PREVENTION UNODCCP Drug Abuse Rapid Assessments and
227. iteur MILD acquiert sa pertinence par la r currence de sa passation Tout comme le questionnaire qui permet d obtenir une image de la situation un moment pr cis dans le temps l instar d une photographie de la situation le relev d indicateurs structurels par l interview du Coordinateur en mati re de Drogues est amen galement se reproduire intervalles r guliers afin de saisir les modifications survenues dans l agencement du r seau les modifications l gislatives ou institutionnelles qui influencent la coordination L entretien d expert est un entretien sur les pratiques Ce type d entretien est davantage descriptif que narratif Le sujet est interview sur ce qu il sait pour l avoir prouv et non sur ce qu il croit Il est consid r comme un informateur Ce type d entretien d expert permet une transmission des connaissances et du savoir faire en questionnant sur la description des t ches telles qu elles sont per ues et rationalis es de fa on habituelles par les op rateurs 1 L entretien pr vu dans ce volet du Moniteur MILD est un entretien directif structur par une grille d entretien L entretien qualitatif directif est utilis dans le cadre de ce volet dans la mesure o tout en gardant une structuration fixe travers les th mes ce qui permet une comparabilit des propos au fil des entretiens r alis s travers le temps il permet de laisser certaines lib
228. itions au niveau local et cela avec l implication de tous les partenaires MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 157 L application du moniteur un niveau local demande une collaboration et un dialogue entre les diff rents acteurs Le Moniteur pr voit aussi que les secteurs travaillent plus troitement les uns avec les autres pour arriver ensemble un plus grand contr le du ph nom ne de drogues Sur base de l valuation de contenu une seconde recommandation peut tre formul e Une application nationale du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues dans toutes les villes et communes est indiqu parce que l impl mentation du moniteur est un stimulant pour une communication locale et une collaboration ce qui sont des conditions essentielles si on veut arriver une politique en mati re de drogues int grale et multidisciplinaire 2 EVALUATION DU PROCESSUS DU MONITEUR Pour l valuation du processus du Moniteur nous clairons les possibilit s de l application du Moniteur et dans ce contexte les forces et les limitations Comme pour l valuation en termes de contenu nous discutons l valuation g n rale et ensuite l valuation du processus par volet du Moniteur 2 1 Evaluation du processus g n ral du Moniteur Pour l valuation du processus g n ral du Moniteur nous discutons deux constatations g
229. ivent potentiellement des nuisances ne peuvent tre interrog s avec le m me outil En d autres termes si les citoyens sont reconnus comme experts capables de rendre compte et d analyser le ph nom ne de la drogue autour d eux ils MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 69 n en formuleront que des repr sentations en fonction de leur v cu alors que les professionnels en contact direct avec la probl matique de la drogue et au courant des actions men es au niveau local ont une expertise bas e davantage sur leurs pratiques de terrain et donc davantage objectives que subjectives C est pourquoi un questionnaire sur les visions subjectives de ces derniers est inad quat En somme s il est n cessaire de cerner les repr sentations des citoyens sur le ph nom ne de la drogue celles ci doivent dans un second temps tre objectiv es et analys es par un croisement des visions avec les professionnels concern s afin de comprendre ces ressentis Interroger ces deux publics diff rents avec le m me outil est donc pour la Coordination des Actions en Toxicomanie tout fait inadapt En d autres termes de nombreuses interrogations et commentaires sur le processus de recherche ont t relev es Li ge et Charleroi soutenant souvent les m mes arguments et r serves Il est pr ciser que les collaborations de l quipe de recherche tant avec
230. ivit professionnelle par le ph nom ne de la drogue taient explicit s A chaque courrier tait jointe une enveloppe affranchie et adress e l quipe de recherche pour renvoyer le questionnaire une fois compl t Durant les deux semaines de passation chaque acteur de terrain qui avait re u le courrier a t contact par l quipe de recherche afin de savoir si le questionnaire avait t bien re u si les indications qui y figuraient pour y r pondre taient suffisamment claires et si le d lai de passation avait bien t compris Ce contact t l phonique tait aussi l occasion de prendre un contact direct avec le r pondant afin qu il puisse faire part des difficult s de compr hension et permettait aussi de mani re douce de rappeler les objectifs et de montrer l int r t de l quipe de recherche pour leur r ponse personnelle 3 2 1 2 Les r pondants au questionnaire En ce qui concerne les professionnels du secteur du Bien tre g n ral et la sant Module 1 tout comme pour la premi re passation les directeurs des tablissements hospitaliers psychiatriques et les d partements psychiatriques des h pitaux g n raux ont t ainsi que les coordinateurs des centre d accueil et centres d coute du consommateur de drogues et ses proches Les centres de sant mentale ont galement fait partie des premiers contacts comme des pharmaciens et m decins traitants proche de la Coordinati
231. jet M ta analyse de l impact des projets locaux en mati re de nuisances li es aux drogues La recherche a t construite sur une pr c dente recherche sous la direction des professeurs DE RUYVER PONSAERS et DECORTE autour du ph nom ne des nuisances li es aux drogues Dans la seconde partie du projet int gr Nuisances li es la drogue dans le contexte local de huit communes wallonnes et flamandes un certain nombre de constatations ont amen la cr ation du Moniteur Tout d abord il appara t que l int r t accord par les acteurs locaux d un point de vue th orique mais aussi pratique aux nuisances associ es aux drogues est plut t limit Les nuisances en mati re de drogues le plus souvent ne sont en effet qu un objectif secondaire et elles sont envisag es en fonction d autres objectifs Il est par cons quent impossible d identifier de mani re sp cifique un projet portant sur les nuisances La pr vention ou la diminution des nuisances sociales li es aux drogues est dans la plupart des projets locaux envisag e comme un objectif g n ral ou s int grant dans un cadre plus large Ceci n est par ailleurs pas sans renvoyer l orientation g n rale d finie au niveau f d ral A envisager cette derni re il ressort que la pr vention des nuisances re oit souvent une place dans les textes mais qu il en est tout diff rent en pratique Cela ne signifie pas pour autant que
232. jk bespreken van de vragenlijst en mogelijke problemen met vragen De drie andere respondenten hebben ook daadwerkelijk de vragenlijst ingevuld Na het uitvoeren van de pretest werden slechts minieme wijzigingen aangebracht aan de vragenlijst De reden hiervoor was dat de respondenten zich konden scharen achter de vragenlijst zoals die hen werd voorgelegd Ook het invullen van de vragenlijst verliep vlot en kon worden gerealiseerd binnen de voorziene tijd Na deze pretest van de vragenlijst kon van start worden gegaan met de effectieve afname van de vragenlijst of de effectieve uitvoering van de stakeholderbevraging De werkwijze die hierbij werd gehanteerd bij de afname van de stakeholderbevraging in de pilootsteden wordt 132 BILLIET J WAEGE H EDS o c 283 Ibid 134 Jbid 283 284 135 Deze twee respondenten waren de interne evaluator en de onderzoeksrechter 16 Vier van de vijf respondenten konden zich volledig vinden in de inhoud en opmaak van de vragenlijst E n respondent had heel wat reserves ten aanzien van de vragenlijst Deze reserves hadden echter weinig te maken met de voorliggende vragenlijst maar zaten dieper geworteld in een complete aversie ten aanzien van het huidig Belgisch beleid inzake drugs en druggebruikers Gezien dit onderzoek niet de intentie heeft om het Belgische beleid inzake drugs volledig te herori nteren werd er beslist om deze fundamentele opmerkingen met betrekking tot het beleid niet
233. justice et la collaboration concertation par le biais des Nouvelles actions la Satisfaction propos de l ensemble de ces actions et une Autre approche ventuelle MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 60 Chapitre 3 Passations du questionnaire aux villes pilotes wallonnes Une attention particuli re a t port e dans cette recherche au processus de construction du Moniteur MILD La premi re partie du Moniteur concerne la collecte de donn es qualitatives propos des nuisances li es la drogue Cette collecte se d roule de mani re syst matique au moyen d un questionnaire pr tabli qu il convient ensuite de faire remplir par un ensemble de personnes directement concern es par le ph nom ne Les informations relatives l usage des drogues et aux probl mes que celui ci engendre n tant pas imm diatement accessibles par le biais de donn es chiffr es il importait donc dans le cadre de la recherche MILD de mettre l accent sur le contact avec les personnes ressources Celles ci peuvent en effet de par leur profession leur position ou leur s exp rience s personnelle s apporter un clairage unique sur la question des drogues L objectif de cette d marche est d obtenir une vision p riodique donc r currente des tendances pouvant tre observ es dans l volution du ph nom ne des nuisances caus es par les
234. ken van personen gedomicilieerd in Gent en Oostende die in de MPG registratie zijn opgenomen en waarbij de diagnose verband houdt met alcohol medicatie of illegaal druggebruik aantal en kenmerken van pati nten uit instellingen in Gent en Oostende waarbij in de diagnose de link kan worden gemaakt naar alcohol medicatie of illegaal druggebruik 193 De vraag tot medewerking resulteerde in de aanlevering van een document bestaande uit 45 pagina s waarin tabellen werden gepresenteerd De aangebrachte tabellen kunnen in een drietal hoofdlijnen worden onderverdeeld 1 temporele opvolging opnames middelengebruik 1997 2003 in regionaal geselecteerde ziekenhuizen algemeen geslacht leeftijd detail drug FOD VOLKSGEZONDHEID VEILIGHEID VAN DE VOEDSELKETEN EN LEEFMILIEU DIRECTORAAT GENERAAL ORGANISATIEGEZONDHEIDSVOORZIENINGEN URL http www health fgov be vesalius devnew NL prof regsys m 8 EOD VOLKSGEZONDHEID VEILIGHEID VAN DE VOEDSELKETEN EN LEEFMILIEU Nationaal Verslag 2001 Minimale psychiatrische gegevens URL http www health fgov be vesalius devnew NL prof regsys mpg feedback rapnat2001 index htm p I De contactpersoon op de FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu is de heer Jean Pierre Gorissen De heer Gorissen staat in voor de verwerking en analyse van de gegevens afkomstig uit de Nederlandstalige instellingen 6 Deze vraag tot medewerking werd schriftelijk aangevraagd d d 12 me
235. kers hebben betrekking op 4 socio demografische kenmerken en 5 evoluties in het profiel 3l De vragen rond het thema gevolgen van het drugfenomeen hebben betrekking op 6 gevolgen voor volksgezondheid 7 openbare orde overlast en 8 criminele overlast De vragen rond het thema acties t a v het drugfenomeen hebben betrekking op 9 preventieve acties 10 hulpverlenende acties 11 politionele justiti le acties en 12 samenwerking en overlegacties 33 Beperkingen verwijzing naar stuk over afname bij druggebruikers deel 2 3 5 34 COLPAERT K en T DE CLERQ T o c 27 48 35 PONSAERS P DE RUYVER B LEMA TRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B en VANDER LAENEN F o c 20 27 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 17 Het derde deel van de monitor begeeft zich op het lokale beleidsniveau De structurele indicatoren hebben betrekking op de noodzakelijke randvoorwaarden voor een ge ntegreerd drugbeleid In dit deel van de monitor zijn een drietal modules te onderscheiden de module co rdinatie de module overleg en de module samenwerking Deze gegevens worden verzameld aan de hand van een interview met de drug preventie co rdinator of een gelijkwaardige sleutelfiguur In het bovenste luik van de figuur wordt een schets gegeven van de wijze waarop de drie delen van de monitor worden ingevuld Dit luik geeft aan v
236. king tussen de eerste en tweede meting In alle tabellen worden aantallen vermeld die vanuit twee invalshoeken worden aangebracht vanuit de instellingen enerzijds en vanuit de pati nten anderzijds Om de relevante gegevens te kunnen selecteren wordt gebruik gemaakt van de diagnose gebaseerd op de Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorder Fourth Edition kortweg DSM IV Op basis van de DSM IV codes is er een selectie van de volgende hoofddiagnoses bij opname alcohol alcoholmisbruik afhankelijkheid alcohol induced problemen ten gevolge van alcoholgebruik medicatie medicatiemisbruik afhankelijkheid drug drugmisbruik afhankelijkheid drug medicatie induced problemen ten gevolgen van drug medicatiegebruik overige diagnose alle andere hoofddiagnoses bij opname De hoofddiagnose drug wordt nog verder opgedeeld naar illegaal druggebruik waarbij een onderscheid kan worden gemaakt tussen opiaten coca ne cannabis amfetamines hallucinogenen snuifmiddelen poly middelengebruik en andere sus i 3 166 C Minimale Toxicomanie Gegevens De Minimale Toxicomanie Gegevens MTG vormen een ge ntegreerde module binnen de Minimale Psychiatrische Gegevens MPG en zijn aangepast aan de specificiteit van gehospitaliseerde druggebruikers Deze module werd uitgewerkt i s m experts werkzaam op het terrein en is opgesteld in overeenstemming met de Europese standaarden aangevuld met specifieke klini
237. l Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 20 Wat betreft de keuze voor Luik kunnen we afgaand op het luik drugs van het Veiligheids en Preventiecontract van Luik vier instituten vermelden Coordination des Actions en Toxicomanie CAT I Observatoire li geois de pr vention et de concertation sur les drogues het centrum START MASS Service Transdisciplinaire d Aide et de R duction des risques li s la Toxicomanie Maison d Accueil Socio Sanitaire en het Service d Orientation et de Relais en Toxicomanie SORT Om de drugsproblematiek te bestrijden maar ook tegen uitsluiting of armoede verschaffen de ontwikkelde structuren binnen Luik integrale en ge ntegreerde antwoorden op de problemen op lokaal niveau Dankzij het Veiligheids en Preventiecontract heeft Luik een waaier aan specifieke acties ontwikkeld op verschillende domeinen De vooropgestelde doelstellingen waren het verzekeren van de veiligheid voor de burgers het verbeteren van de levenskwaliteit in Luik en ten slotte het versterken van de kansen op sociale integratie van de meest kansarme en gemarginaliseerde groepen We vermelden ten slotte nog de recent gecre erde positie van openbare orde overlastmanager Wat de keuze van Charleroi betreft hebben verschillende elementen ons geleid naar deze keuze Ten eerste heeft Charleroi reeds een geco rdineerd drugbeleid ontwikkeld Daarbovenop heeft Charleroi reeds veel aandacht
238. l enqu te de terrain Paris La d couverte 1998 Beleidsnota van de Federale Regering in verband met de drugproblematiek 19 januari 2001 BERGERET I DE BACKER V FROM L JOOSTEN J NICAISE P PELC I Recherche relative l application du RPM aux probl matiques des usagers de drogues dans les tablissements hospitaliers Minist re des Affaires Sociales de la Sant Publique et de l Environnement Bruxelles 1999 BERGERET I FROM L JOOSTEN J NICAISE P PELC I Recherche relative l application du RPM aux probl matiques des usagers de drogues dans les tablissements hospitaliers Validation du module R sum Toxicomanies Minimum RTM Minist re des Affaires Sociales de la Sant Publique et de l Environnement Bruxelles 2001 BERTAUX D L approche biographique Sa validit m thodologique ses potentialit s Cahiers Internationaux de Sociologie LXIX 1980 pp 197 227 BEYENS K GOETHALS J PONSAERS P en VERVAEKE G EDS Criminologie in actie Brussel Politeia 2002 BILLIET J WAEGE H EDS Een samenleving onderzocht Methoden van sociaal wetenschappelijk onderzoek Antwerpen De Boeck 2003 BIQUET V BIREN P HOUGARDY L PEETERS C VERBEECK B Evaluation des Contrats de S curit et de Pr vention Manuel produit dans le cadre d une recherche pour le compte du Minist re de l Int rieur Universit de Li ge Service de Sociologie G n rale de
239. la Coordination des Actions en Toxicomanie de la ville de Li ge qu avec la Coordination Drogues de la ville de Charleroi ont t nombreuses dans le sens o les rencontres ont t nombreuses pour discuter du questionnaire et du moniteur MILD En d finitive il est noter que les critiques de l outil qu ont formul es les deux Coordinations wallonnes n ont pas t produites dans l objectif d chapper la d marche de la recherche MILD mais au contraire afin de prendre part active la d marche de cr ation et de construction de l outil La Coordination des Actions en Toxicomanie de la ville de Li ge tient d ailleurs pr ciser dans ce cadre que si elle ne tient pas valider l outil dans sa forme actuelle pour l ensemble des raisons qui viennent d tre explicit es elle ne remet en aucune mesure en question le processus de recherche car il est selon la Coordination des Actions en Toxicomanie essentiel de disposer d une information sur les repr sentations de la population du ph nom ne de drogues comme il est essentiel de pouvoir disposer de donn es chiffr es produites par les professionnels de terrain ainsi qu un recueil de leurs pratiques de m me que de r colter l avis des consommateurs de drogues Cependant ces diff rentes d marches ne peuvent tre r alis es sur base du m me questionnaire B Contact avec le manager des nuisances publiques La rencontre avec le manager des nuisances publ
240. la donne la r partition suivante des questionnaires remplis lors de la seconde passation le module secteur du bien tre g n ral et sant 7 10 2e module pr vention 5 1 3e module secteur de l aide en mati re de drogues 3 4e module s curit 3 1 Ce que nous pouvons remarquer est le marginal lev dans le module bien tre et sant Cela a pour cause qu un grand nombre de travailleurs sociaux n ont plus particip la seconde passation Les raisons les plus importantes que ces personnes ont donn es sont les suivantes 1 ces personnes clefs ne se sentaient pas suffisamment outill es pour donner leur avis concernant le ph nom ne de drogues dans sa totalit le questionnaire posant des questions pour un certain nombre de points sur des informations tr s sp cialis es et 2 ces personnes ressources sont employ es dans un service ou dans une organisation au sein desquels travailler avec des consommateurs de drogues et ou sur la consommation de drogues n est pas la t che essentielle et par l m me l utilit du Moniteur n est pas claire pour le r pondant Cependant c est peut tre gr ce celui ci que ces acteurs clefs peuvent disposer d informations int ressantes propos du ph nom ne de drogues C est pourquoi il est n cessaire que l utilit du Moniteur soit pr cis e leur gard mais galement pour les services en question Suite cette constatation nous pouvo
241. la probl matique des nuisances soit ignor e sur le terrain mais les objectifs principaux sont d autres ordres pr vention r int gration de groupes cibles diminution des cons quences dommageables de l usage de drogues pour la sant et le bien tre des consommateurs et de leur entourage accompagnement psychosocial pour les usagers les plus marginalis s r duction de la vuln rabilit soci tale Les nuisances engendr es par le ph nom ne des drogues ne semblent en d finitive occuper qu une place secondaire LT DECORTE B DE RUYVER P PONSAERS M BODEIN A C LACROIX S LAUWERS P TUTTELEERS Drugs en Overlast Studie van het fenomeen de beheersing en de effecten van druggerelateerde overlast en dit vanuit verschillende invalshoeken Gent Academia Press 2004 335 p 42 P PONSAERS B DE RUYVER A LEMA TRE C MACQUET T PIETERS W VAEREWYCK B FINCOEUR et F VANDER LAENEN Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten Brussel POD Wetenschapsbeleid 2004 143 p Het volledige onderzoeksrapport kan geraadpleegd worden op de website van het Federaal Wetenschapsbeleid URL www belspo be belspo fedra prog asp l nl amp COD DR 8 Note politique du gouvernement f d ral relative la probl matique de la drogue Bruxelles 19 janvier 2001 35 SECRETARIAT PERMANENT A LA POLITIQUE DE PREVENTION Mode d emploi de la grille d valuation des Contrats de s curit et de pr vention et des Plans
242. la sant publique 2 Nuisances publiques 3 Nuisances criminelles Th me IV 1 Actions pr ventives 2 Actions d aide et d assistance 3 Nuisances criminelles 4 Actions de concertation et de collaboration En outre le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues a pour objectif de rendre possible une politique en mati re de drogues evidence based au niveau local C est pourquoi il est important de pouvoir examiner quels syst mes d enregistrement existants peuvent fournir des donn es qui sont interpr ter imm diatement pour le contexte local A cet effet on trouve dans le sch ma suivant une vue d ensemble qui indique pour chaque syst me d enregistrement pour quel niveau national communal provincial local les donn es sont valables Les donn es qui sont directement consultables sur des sites Internet ou via la consultation des rapports annuels sont suivies d une x Les donn es qui peuvent ventuellement condition d en avoir l autorisation tre demand es aupr s des instances ou des services comp tents sont indiqu s par un MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 155 Niveau de disponibilit par syst me d enregistrement Par Niveau de disponibilit National Communal Provincial artondisdement Local Donn es psychiatriques minimales X X i Statistiques criminelles Niv
243. latoires sont possibles St Vith dans les centres psychosociaux et des s jours de courte dur e et si des d sintoxications sont entreprises par le service de psychiatrie de l h pital de la ville des th rapies qui exigent un plus long s jour doivent tre prises en charge dans des centres en dehors de la r gion linguistique Les donn es d mographiques faible population pas de centres de th rapie sp cialis s sp cifiques cette r gion du pays ont une influence sur le relev des indicateurs chiffr s effectu s dans cette r gion En effet la collecte de donn es ne se limitent pas aux centres qui sont directement en lien avec la probl matique des assu tudes mais sont galement r colt es aupr s d institutions qui ne sont pas directement orient es vers des probl mes de drogues mais qui ont dans leur client le ou leur patient le des consommateurs de drogues Le questionnaire a t construit avec le TDI Treatment Demand Indicator Standard Protocol On s y s int resse principalement la demande des personnes consommatrices de drogues de soutien ou d accompagnement En ce qui concerne les r sultats il ne s agit pas d une enqu te aupr s d un chantillon repr sentatif mais les donn es r colt es apportent toutefois des renseignements sur les comportements de consommation de drogues en R gion MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de D
244. ld naar voor dat alcohol medicatie en cannabis het meest gebruikt worden op lokaal vlak In Gent werd duidelijk dat alcohol zowel bij problematische als niet problematische gebruikers heel frequent wordt gebruikt Voor beide steden kon verder nog worden opgemerkt dat alcohol en cannabis in het kader van poly druggebruik heel vaak voorkomen Dergelijke informatie is onmogelijk uit de bestaande registratiesystemen te filteren zeker het niet problematisch gebruik op lokaal niveau In thema IT van de vragenlijst bevragen we 1 de socio demografische kenmerken en 2 de evoluties in het profiel van druggebruikers Hoewel de meeste registratiesystemen wel een invulling geven aan socio demografische kenmerken is dit vooral het geval voor problematische gebruikers Bij de stakeholderbevraging in zowel Gent als Oostende kregen we een duidelijk beeld van de leeftijd het geslacht en de nationaliteit van druggebruikers De meerwaarde tegenover de registratiesystemen is dat ook een duidelijk beeld wordt gevormd over de kenmerken van niet problematische gebruikers en dus niet door de hulpverlening geregistreerd Over de evoluties in het profiel bestond minder overeenstemming bij de stakeholders zie infra 2 Procesevaluatie Toch kunnen enkele weerkerende antwoorden een signaalfunctie zijn voor het lokale beleid in beide steden werd door sommige stakeholders melding gemaakt van steeds jongere gebruikers in het algemeen of specifiek voor bepaalde middelen Th
245. le des concertations et collaborations entre les secteurs Elle est r alis e par le Coordinateur en mati re de Drogues qui coordonne les actions prises en la mati re Elle a pour objectif est de faciliter la communication et de promouvoir une politique int gr e en mati re de toxicomanie en assurant la coordination de tous les secteurs concern s au niveau local comme la police la justice ma pr vention et la sant La coordination a donc pour objectif d harmoniser autant que faire se peut les diff rents projets locaux Elle est la cl de vo te d une approche locale et int gr e de la probl matique des drogues 1 3 1 TEXTE D INTRODUCTION Ces premiers mots d introduction permettent que l interview comprenne le contexte de la recherche et les raisons de son implication dans ce processus Cette introduction en plus de l informer sur les l ments essentiels du Moniteur lui permet de se sentir plus l aise en cernant le cadre dans lequel il est amen s exprimer 202 Thid 61 203 Thid 64 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 118 Certaines informations comme les th mes abord s le temps imparti sont galement importantes exprimer afin que l interview d gage une plage horaire suffisante pour que l entretien se fasse dans des conditions optimales Paroles d introduction briefing en rapport avec les th mes
246. leid Als de leidraad wordt gevolgd vraagt de interviewer in welke mate deze door de ge nterviewde persoon aangehaalde noodzakelijke voorwaarden binnen de drie modules co rdinatie overleg en samenwerking passen Indien het interview plaatsvindt in een stad of gemeente waar al sprake is van een ge ntegreerd drugbeleid moeten de beschreven voorwaarden normaliter binnen deze drie modules passen Indien dit niet het geval is kunnen we zeggen dat het gesprek een signaalfunctie heeft het is nodig de gehanteerde voorwaarden te herzien Indien het interview plaatsvindt in een stad of gemeente waar nog geen sprake is van een ge ntegreerd drugbeleid kunnen de aangereikte modules voor de noodzakelijke randvoorwaarden inspirerend werken voor een goede ontwikkeling van een ge ntegreerd lokaal drugbeleid 1 3 Besluit Via de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid wordt het mogelijk om het tot op heden fragmentarisch beeld op het drugfenomeen te verfijnen en dit zowel in de breedte door het opnemen van nieuwe informatie afkomstig van de sleutelfiguren als in de diepte door gegevens afkomstig uit registratiegegevens te analyseren op lokaal niveau Een dergelijk ruimer en scherper beeld rond het drugfenomeen biedt mogelijkheden voor de verdere professionalisering van een ge ntegreerd lokaal drugbeleid Met behulp van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid krijgen we op lokaal niveau zicht op zaken en dit met betrokkenheid van a
247. liteit Wel zijn het de enige twee registratiesystemen naast DARTS die de justiti le situatie bevraagt die een duidelijker beeld kunnen geven over het subthema Politionele justiti le acties uit de vragenlijst Nog op nationaal niveau kent de Veiligheidsmonitor ook enkele beperkingen Ten eerste peilt de Veiligheidsmonitor enkel naar algemene drugsoverlast en niet naar specifiekere vormen Voor de gemeenten en steden waar de Veiligheidsmonitor is afgenomen kan een terugschakeling gemaakt worden naar de lokale context Voor andere steden en gemeenten is enkel een vergelijking mogelijk met de gemeente of stad van een overeenstemmende grootte Op Vlaams niveau zijn er drie registratiesystemen die niet terug te voeren tot op het lokale niveau TELLUS Ginger en de Vlaamse Registratie Middelengebruik Op het niveau van Walloni Brussels Hoofdstedelijk Gewest Duitstalige gemeenschap is het probleem eerder omgekeerd van aard Sentinelles Charleroi Addibru Brussel en ASL Oostkantons zijn van zeer specifieke lokale aard Voor gemeenten die binnen deze lokale context liggen is dit een onmiskenbaar voordeel maar voor andere steden en gemeenten is dit zeker een minpunt Zij kunnen enkel nog gegevens puren uit het registratiesysteem Eurotox die niet terugschakelt naar de lokale context 216 GOETHALS J PONSAERS P BEYENS K PAUWELS L en DEVROE E Criminografisch onderzoek in Belgi In BEYENS K GOETHALS J PON
248. lle partners Het toepassen van de Monitor op lokaal niveau appelleert op samenwerking en dialoog tussen de verschillende actoren De Monitor zorgt er dan ook voor dat de sectoren dichter bij elkaar worden gebracht om samen te streven naar een goede beheersing van het drugfenomeen MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 132 Op basis van de inhoudelijke evaluatie kan een tweede aanbeveling gedaan worden Een nationale toepassing van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid in alle steden en gemeenten is aangewezen omdat de afname van de Monitor een stimulans is voor een lokale communicatie en samenwerking wat essenti le voorwaarden zijn willen we komen tot een integraal en multidisciplinair drugbeleid 2 PROCESEVALUATIE VAN DE MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID Voor de procesevaluatie van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid belichten we de mogelijkheden van de toepassing van de Monitor en in deze context de sterktes en beperkingen van de afname ervan Net zoals voor de inhoudelijke evaluatie bespreken we de algemene evaluatie en daarna de procesevaluatie van de drie luiken van de Monitor 2 1 Algemene procesevaluatie van de Monitor Voor de algemene procesevaluatie van de Monitor staan we stil bij twee algemene bevindingen rond de afname van de Monitor in zijn geheel 1 de verdeling van de betrokken diensten en respondenten in de vier grote modules van de Monit
249. lledig opgedeeld naar de verschillende centra De gegevens die werden ontvangen van De Sleutel verzamelen alle registraties van de verschillende behandelingsmodaliteiten van het centrum Dit heeft tot gevolg dat de gegevens voor de dagcentra hier niet worden opgenomen gezien dit zowel om gegevens uit Antwerpen Brugge Brussel Mechelen als Gent gaat Deze gegevens komen wel aanbod bij de bespreking van het registratiesysteem van De Sleutel 2 2 3 3 ARCADE voorheen MedAR A Algemeen Ibid 4 5 1 Ibid 30 180 Zie infra p 93 181 Gebaseerd op informatie uit CEL GEZONDHEIDSBELEID DRUGS Driejaarlijks rapport 2001 2002 2003 FOD Volksgezondheid Veiligheid van de Voedselketen en Leefmilieu Dienst Psychosociale gezondheidszorg 2004 69 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 107 In 1976 is een aantal Centra voor Geestelijke Gezondheidszorg in Vlaanderen begonnen met een registratie op vrijwillige basis MedAR De concrete organisatie van dat systeem werd verzorgd door de Vlaamse Vereniging voor Geestelijke Gezondheid VVGG Het algemene beheer van het systeem valt onder de verantwoordelijkheid van een samenwerkingsplatform tussen de Federatie van diensten voor Geestelijke Gezondheidszorg en het Verbond der Verzorgingsinstellingen Er wordt informatie verzameld over alle personen die een behandeling in een centrum voor geestelijke gezondh
250. lles polici res les rapports annuels du Parquet G n ral TELLUS Ginger Vlaamse Registratie Middelengebruik et Eurotox permettent que les donn es chiffr es puissent tre affin es au niveau local Ce serait une plus value pour la perspective du ph nom ne de drogues dans le contexte local c Les indicateurs structurels Ce troisi me et dernier volet du Moniteur donne un clairage sur le niveau de politique locale Les indicateurs structurels ont trait aux conditions n cessaires pour le fonctionnement d une politique int gr e en mati re de drogues Dans cette partie du moniteur trois modules sont distinguer le module coordination le module concertation et le module collaboration Ces donn es sont rassembl es l aide d une interview avec le coordinateur en mati re de drogues ou une personne clef occupant une fonction similaire Pour cette interview un guide d entretien est pr vu dans le manuel d utilisation qui doit tre suivi pour obtenir les informations utiles durant l entretien Dans l interview il est par exemple demand ce que selon la personne interview e sont pour elle les conditions n cessaires la mise en place d une politique int gr e locale en mati re de drogues Si le guide d entretien est suivi l interviewer demande dans quelle mesure ces conditions n cessaires cit es par la personne interview e sont li es aux trois modules coordination
251. lootsteden en gemeenten 19 2 1 STEDEN EN GEMEENTEN IN VLAANDEREN 19 2 2 STEDEN EN GEMEENTEN IN WALLONIE 20 Partie 1 Introduction 22 Chapitre 1 Contexte de la recherche 24 1 1 VERS UN MONITEUR DE POLITIQUE INTEGREE LOCALE EN MATIERE DE DROGUES 24 1 2 OBJECTIF ET ARRIERE PLAN DU MONITEUR 26 1 3 BASE ET METHODOLOGIE DU MONITEUR 26 1 3 1 LE CHOIX D UN MONITEUR 26 1 3 2 METHODOLOGIE 28 1 3 3 VUE D ENSEMBLE SCHEMATIQUE DU MONITEUR 30 1 3 4 VUE D ENSEMBLE SCHEMATIQUE COMMENTEE PLUS EN DETAIL 31 1 3 5 OBJECTIF DU RAPPORT FINAL 32 Chapitre 2 Passation du Moniteur choix des villes et communes pilotes_ 33 2 1 VILLES ET COMMUNES EN FLANDRE 33 2 2 VILLES ET COMMUNES EN WALLONIE 34 Partie 2 Interviews des personnes ressources 36 Chapitre 1 M thodologie pour la construction du questionnaire 37 1 1 TROIS CAT GORIES DE DONN ES 37 1 2 LES TYPES DE QUESTIONS 38 1 3 QUESTIONS FERM ES ET QUESTIONS OUVERTES 38 1 4 MODALIT S D ABSTENTION ET LA CAT GORIE AUTRE 39 1 5 LIBELL DES QUESTIONS 40 1 6 CONDITIONS DE PASSATION DU QUESTIONNAIRE 41 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 1 7 RAISONS DE LA D FIANCE DE R PONDRE UN QUESTIONNAIRE 41 1 8 LETTRE D INTRODUCTION 42 1 9 TEMPORALITE POUR CERNER LES FAITS 42 Chapitre 2 Conception et modifications du questionnaire 43 2 1 QUESTIONNAIRE EN VUE DE LA PREMIERE PASSATION 43 2 2 QUESTIONNAIRE E
252. m ne de drogues ou de la politique locale en mati re de drogues Les r sultats qui ont t r colt s lors des passations de test dans les villes pilotes indiquent que des tendances nouvelles peuvent tre observ es par le biais des perceptions des personnes ressources Dans cette optique la consultation des personnes ressources peut tout fait fonctionner comme signal d alerte en regard des tendances apparaissant en rapport avec le ph nom ne de drogues Toutefois l valuation de ces perceptions n est pas vidente les personnes clefs ou personnes ressources qui ont rempli les questionnaires sont issues des quatre modules des secteurs qui sont en lien avec le ph nom ne de drogues Le questionnaire vise lui sonder tous les aspects du ph nom ne de drogues pour lesquels les r pondants des diff rents secteurs n ont pas toujours une perception claire de l ensemble C est pourquoi il doit tre pes sur quels th mes une perception d cisive est con ue ou quand elle l est moins Parce que les r pondants des quatre modules dans les villes pilotes ont r pondu selon le m me mod le nous prenons les r sultats d une des villes comme exemple pour d crire le processus de consultation des personnes ressources Nous avons choisi de pr senter ici les r sultats d Ostende parce que le nombre de r ponses au questionnaire dans cette ville est le plus nombreux et le plus diversifi Ce sch ma de r ponse est donc le plus
253. male possible il s agit de suivre un certain nombre de conditions Celles ci sont r dig es sur base de l valuation de contenu d crite ci avant le processus d valuation et les recommandations qui ont t formul es ci dessus gt Financement supra local La politique belge en mati re de drogues dans sa totalit ainsi qu au niveau local conna t une profonde fragmentation dans ses autorit s comp tentes A c t de cela se ressent le manque de budgets suffisants en regard des difficult s relatives l largissement des r alisations locales C est pourquoi il est n cessaire qu au niveau supralocal soit pr vu une contribution financi re qui permette une application de qualit du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Pour cela le VSP se charge id alement de la responsabilit d une coordination financi re du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues A cette participation financi re le VSP peut coupler les conditions claires sur le c t du diagnostic local de s curit 246 DE RUVYER B PELC I CASSELMAN J GEENENS K NICAISE P FROM L VANDER LAENEN F MEUWISSEN K en VAN DICK A Drugbeleid in cijfers Een studie naar betrokken actoren overheidsuitgaven en bereikte doelgroepen Gent Academia Press 2004 500p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 170
254. mateurs entretiennent des consommateurs de substances psychotropes les consommateurs de drogues sont repr sent s comme occupant la derni re place de l chelle sociale les usagers de drogues permettent ainsi d autres de ne pas les occuper 1 De plus les nuisances comme il l a t constat encore dans l ouvrage drogues et nuisances sont r ciproques Elles ne sont pas seulement ressenties par les citoyens non consommateurs mais galement par le consommateur lui m me par rapport aux instances de contr le social ainsi que par rapport aux autres consommateurs de drogues Malgr ses r ticences aborder le th me des nuisances sous l clairage direct de la consommation de drogues comme cause unique le Coordinateur Drogues a accept de dresser avec l quipe de recherche la liste des personnes qui pourraient faire partie de la palette d intervenants de terrain et qui pourraient r pondre au questionnaire MILD 124 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S TUTELEERS P o c 262 13 Ibid 261 1 Jbid 262 7 Ce point sera abord plus en d tail dans la partie consacr e la d finition des notions utilis es dans le questionnaire MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 62 Cette liste reprenait en grande partie les personnes pr sentes aux r unions de la Coordination Drogue Elargie de C
255. merkelijk is dat de non respons bij deze vier vragen met name vraag 25 29 33 en 37 veel lager lag bijna alle respondenten gaven een indicatie van hun tevredenheid wat toch moet betekenen dat zij een bepaalde perceptiegraad hebben betreffende de materie Deze denkrichting verhoogt de mogelijkheid van het argument betreffende de beladenheid en negatieve aspecten van vraag 30 en 34 4 1 2 OOSTENDE 4 1 2 1 Procedure 4 1 2 2 Respondenten De eerste instap tot mogelijke respondenten werd bekomen via de leden van de Stuurgroep Drugs van de Stad Oostende Via deze weg werden zeventien potenti le stakeholders benaderd Van deze groep hebben twee respondenten geen ingevulde vragenlijst teruggestuurd ondanks initi le blijken van interesse en een respondent is bij een eerste contactopname niet ingegaan op de vraag tot medewerking omwille een zelfverklaard beperkt 146 zie supra 4 1 1 1 Gent MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 79 zicht op de situatie Een van de leden van de stuurgroep heeft naast het zelf invullen van de vragenlijst ook vijf medewerkers van de dienst de vragenlijst laten invullen In tweede instanties werden ook nog respondenten gezocht uit de verschillende werkgroepen inzake drugbeleid die aanwezig zijn in de Stad Oostende Op deze manier werden bijkomend elf mogelijke respondenten benaderd Van deze elf was er een respondent die het niet opp
256. mme nous l avons d j voqu ci dessus la premi re passation du questionnaire de la recherche MILD n a pas eu lieu comme cela a t r alis pour les autres villes pilotes Pour rappel les obstacles rencontr s Charleroi et les critiques formul es par certains des intervenants de terrain sur le processus de la recherche les th matiques abord es et la m thodologie utilis e pour la construction du questionnaire nous ont amen s suspendre la passation Li ge puisque nous pr sagions que les m mes difficult s et blocages seraient apparus Seule la seconde passation a donc t r alis e dans le courant du mois de novembre 2005 Nous avons toutefois auparavant tabli des contacts avec la Coordination des Actions en Toxicomanie de la Ville de Li ge et avec le Manager des Nuisances Publiques fonction cr e Li ge depuis plus d un an 3 2 2 1 Proc dure A Li ge les d marches entreprises ont t les suivantes contacts tant avec la Coordinatrice des Actions en Toxicomanie qu avec le manager des nuisances publiques afin de pr senter le projet de la recherche MILD et mettre en place la passation du questionnaire construction de la liste des personnes ressources et professionnels impliquer dans le processus de passation envoi et r ception des questionnaires et enfin r union de feed back avec la Coordinatrice des Actions en Toxicomanie de Li ge et son quipe A Contacts avec la Coordination des
257. mmunal de la ville de politique en mati re de drogues et la pr sence d un forum au sein duquel le feedback vers le terrain est r alis Tant Gand qu Ostende l ensemble de ces conditions sont rencontr es Dans chacune de ces deux villes la politique en mati re de drogues est une action incluse dans le Contrat de Pr vention et de S curit A Gand la coordination en mati re de drogues fait partie du Service Local de Pr vention et de S curit service directement attach au cabinet du bourgmestre Depuis d cembre 1998 un Stuurgroep pour la coordination en mati re de drogues qui a pour objectif de soumettre une politique int gr e locale en mati re de drogues et la cr ation du plan de politique en mati re de drogues A Ostende la politique en mati re de drogues est int gr e au service de pr vention et la politique en mati re de drogues est le pouvoir du premier chevin La politique en mati re de drogues est prise en charge par le Stuurgroep concernant la politique en mati re de drogues qui est pr sid par le coordinateur en mati re de drogues Le Stuurgroep soutient le d veloppement du plan de politique en mati re de drogues d Ostende LP PONSAERS B DE RUYVER A LEMAITRE C MACQUET T PIETERS W VAEREWYCK B FINCOEUR et F VANDER LAENEN Nuisances li es la drogue dans le contexte local de huit communes wallonnes et flamandes Bruxelles Politique scientifique f d rale 2004 143 p 7 STAD
258. monitor die in dit onderzoek uitgewerkt wordt is het nodig om dit kader verder uit te werken en te verbreden Het conceptueel kader zoals uitgewerkt door HARTNOLL e a is immers gericht op het verzamelen van epidemiologische gegevens over het drugfenomeen De Monitor Integraal Drugbeleid daarentegen vertrekt zoals hoger uiteengezet van twee invalshoeken waarvan het drugfenomeen er slechts een is Om deze reden zal het hieronder geschetste conceptueel kader doorheen de verdere uitwerking van de monitor verruimd worden wat betreft druggerelateerde overlast INDIRECT DEMAND INDICATORS gt treatment demand nas gens u deaths Hospitals emergencies Pars 2 arrests etc CASE FINDING STUDIES ETHNOGRAPHIC STUDIES Drug Users SURVEYS OF RISK GROUPS nn Lee POPULATION SURVEYS Not Drug Users general population GENERAL POPULATION school children conscripts INDIRECT MARKET INDICATORS police seizures Domestic Suppl Ppa street price purity prescription date traffick arrests customs seizures International Traffick intelligence reports fig 1 Conceptueel kader voor indicatoren HARTNOLL HENDRIKS EN MORRIVAL 1 3 2 METHODOLOGIE De methodologische basis voor de monitor is de methodiek van Rapid Situation Assessment RSA Dit is een onderzoeksmethode waarbij verschillende kwantitatieve en kwalitatieve methoden en techni
259. n consid ration Sources de donn es Description courte de la source des donn es Type de donn es quel domaine appartiennent les donn es r colt es Niveau La source de ces donn es se situe t elle au niveau national communal provincial ou local Fiabilit Ces donn es sont elles fiables Acc s Disponibilit O Comment les donn es sont elles disponibles et accessibles Historique du recueil Depuis combien de temps le syst me d enregistrement fonctionne t il Comparabilit Les donn es sont elles disponibles dans la m me forme au fil du temps Personne de contact Quelle personne peut tre contact e concernant ces donn es Aper u des donn es Aper u des donn es existantes Sur base de la disponibilit et de la pertinence en rapport avec les th mes s lectionn s pour la consultation des personnes ressources 15 syst mes d enregistrement ont t finalement s lectionn s pour permettre une contextualisation satisfaisante pour le premier volet du Moniteur Nous donnons ci apr s bri vement une description g n rale de chaque syst me avec les donn es concr tes qu ils r coltent sans pour autant entrer dans les d tails propos des liens avec la consultation des personnes ressources cela a d j t fait pour l valuation de contenu des indicateurs de ph nom nes PONSAERS P DE RUYVER B LEMAITRE A MACQUET C PIETERS T VAEREWYCK W FINCOEUR B
260. n response op de vragen 17 en 18 die handelen over dealen en verwervingscriminaliteit kan het gevolg zijn van de lagere perceptie bij bepaalde modules wat betreft criminele overlast Het feit dat een van de respondenten specifiek verwees naar de politie voor het beantwoorden van deze vragen kan dit vermoeden bevestigen Het is uiteraard zeer waarschijnlijk te noemen dat stakeholders uit de module veiligheid een hogere perceptiegraad zullen hebben op het gebied van criminele overlast dan de respondenten uit de drie andere modules De meest plausibele verklaring voor het feit dat een deel van de respondenten niet inging op de vragen 30 en 34 rond andere aanpak door politie justitie en van het overleg en samenwerking kan gezocht worden in het argument aangegeven in het inleidend gedeelte van deze paragraaf De beladenheid van de vragen en de vraag naar negatieve aspecten van bijvoorbeeld collega s in het vakgebied kunnen deze lagere antwoordfrequentie deels verklaren Verder kan nog gesuggereerd worden dat bepaalde respondenten misschien te weinig in contact komen met de bevraagde materie en dus een te lage perceptie hebben ten aanzien van situaties wat betreft deze materies Toch moeten we ook bij deze mogelijke verklaring een nuance inbouwen De vragen in de vragenlijst die handelen over een eventueel andere aanpak van bepaalde acties werden steeds voorafgegaan door een vraag naar de tevredenheid over de acties en aanpak binnen deze modules Op
261. n 55 Dans la seconde version du questionnaire le th me des Cons quences du ph nom ne de drogues est conserv Au sein de ce th me apparaissent deux formes diff rentes de nuisances les Nuisances publiques li es aux drogues question 18 et les Nuisances criminelles li es aux drogues question 19 Ces deux formes de nuisances sont d finies Convention Service de Criminologie Contrat de S curit et de Soci t de la ville de Li ge Rapport d activit pour la p riode de 1 juin au 15 d cembre 2000 100 Convention Service de Criminologie Contrat de S curit et de Soci t de la ville de Li ge Rapport d activit pour la p riode de 1 juin au 15 d cembre 2000 101 Convention Service de Criminologie Contrat de S curit et de Soci t de la ville de Li ge Rapport d activit pour la p riode de 1 juin au 15 d cembre 2000 102 T n a donc pas t choisi de travailler avec un questionnaire divis pour lequel le chercheur aurait d cid l avance quel questionnaire serait soumis au r pondant se basant sur l expertise professionnelle du r pondant Les possibilit s pour la scission du questionnaire pourraient tre trouv es dans la r partition en quatre modules bien tre g n ral et politique de sant politique de pr vention le secteur de l aide et enfin la s curit Cette r partition aurait pu donner par exemple un questionnaire pr venti
262. n avec 9 les actions en termes de pr vention 10 les actions en termes d aide et d assistance 11 les actions de la police et de la justice et 12 les actions de concertation et de collaboration Nous vous renvoyons pour ce point la partie portant sur la passation du questionnaire aupr s des consommateurs de drogues partie 2 3 5 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 31 peuvent fournir des donn es concernant les consommateurs de drogues au sein du secteur de l aide sociale Pour le module de la s curit des donn es peuvent tre trouv es dans les statistiques de criminalit de la Police les statistiques annuelles du Minist re public le Moniteur de s curit et les statistiques de l IBSR concernant la s curit routi re La troisi me partie du moniteur concerne la politique locale Les indicateurs structurels englobent les conditions n cessaires l tablissement d une politique int gr e en mati re de drogues Dans cette partie du moniteur les modules sont distingu s en trois blocs le module coordination le module concertation et le module collaboration Ces donn es sont r colt es l aide d une interview avec le Coordinateur Drogues ou une personne exer ant une fonction similaire Dans le volet sup rieur des figures ci dessus une bauche de la mani re dont les trois parties
263. n de Monitor makkelijker te maken werd in de handleiding van de Monitor een leidraad opgenomen die het mogelijk maakt de drie kernbegrippen voor een lokaal ge ntegreerd drugbeleid op een zinvolle manier te bevragen Uiteraard is het niet noodzakelijk de leidraad strikt te volgen als interessante elementen worden aangegeven in het interview is het nuttig hierop verder in te gaan Wel kan via de MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 142 leidraad een topic list worden opgesteld waardoor alle items uit de leidraad aan bod kunnen komen in het interview Het interview is open deuren intrappen in steden waar al sprake is van een gevorderd integraal drugbeleid Op de vragen rond de drie kernbegrippen kon snel een antwoord worden gegeven aan de hand van beschikbare beleidsdocumenten Het kan wel nuttig zijn om contacten te leggen en snel informatie op te vragen Met het oog op de periodieke afname van dit gesprek is het meer zinvol om de nadruk van het gesprek te leggen op de evoluties en veranderingen in de stad of gemeente rond de drie kernbegrippen co rdinatie overleg en samenwerking Het interview is een must voor steden en gemeenten waar nog geen sprake is van een integraal drugbeleid er is beperkte informatie aanwezig aangereikte thema s in de leidraad kunnen een integraal en structureel drugbeleid vorm geven Indien er reeds een afname van de Monitor Integraal Loka
264. n in onderstaand schema weergegeven De verdere invulling en aanvullingen op de vier modules zijn gebaseerd op ervaringen uit vorig onderzoek kennis van de sociale kaart en andere relevante informatiebronnen Module Instelling Dienst Persoon 1 module WELZIJN CAW hulpverlener co rdinator algemeen OCMW maatschappelijk assistent welzijnwerk CLB hulpverlener co rdinator amp gezondheidswerk RISO opbouwwerker buurtwerker VLASTROV SHW project straathoekwerker GEZONDHEID Algemeen Ziekenhuis directeur zorgco rdinator M A spoeddienst verpleegkundigen psychiater PAAZ dokter op spoedafdeling UPSIE EPSIE Psychiatrische Instelling directeur zorgco rdinator M A verpleegkundigen psychiater Huisartspraktijk huisarts Apotheek apotheker 2 module stads diensten binnen preventieambtenaar city coach preventie veiligheids amp preventiecontracten intern evaluator CLB Preventiewerker 3 module HULPVERLENING drug hulpverlening CGGZ hulpverlener co rdinator Justitiehuis justitieassistent directeur 139 Vrij naar X Using Key Informants Interviews URL http www aces uiuc edu PPA pdf files Informant1 PDE 3 p 14 X Using Key Informants Interviews URL http www aces uiuc edu PPA pdf files Informant 1 PDE p 1 141 MARSHALL M N The key informant technique Family Practise 1996 13 1 p 92 97 1 Bij andere relevante bronnen moet worden gedacht aan suggesties
265. n kunnen een beeld geven van de evoluties en veranderingen in de aard en de omvang van het drugfenomeen De fenomeenindicatoren worden ingedeeld in vier modules algemeen welzijns en gezondheidsbeleid preventief beleid hulpverlening en veiligheid In elk van deze module worden de cijfers afkomstig uit de registratie en statistische gegevens die binnen de module aanwezig zijn Voor de module algemeen welzijns en gezondheidsbeleid wordt hierbij ondermeer gedacht aan de VLASTROV registratie Minimale Psychiatrische Gegevens Voor de module preventief beleid kan men te rade gaan bij de Ginger registratie VAD Voor de module hulpverlening moet rekening worden gehouden met de registratie door ambulante hulpverlening registratie door residenti le hulpverlening registratie door crisisopvang en de registratie in de algemene gezondheidszorg In Belgi kunnen twaalf primaire en twee overkoepelende registratiesystemen die data opleveren over druggebruikers in de hulpverlening worden onderscheiden Voor de module veiligheid kunnen gegevens gevonden worden in de politionele criminaliteitsstatistieken de jaarstatistieken van het Openbaar Ministerie de Veiligheidsmonitor en de statistieken van het BIVV rond verkeersveiligheid De vragen rond het thema druggebruik hebben betrekking op 1 Druggebruik in het algemeen 2 niet problematisch druggebruik en 3 poly druggebruik De vragen rond het thema profiel van druggebrui
266. n stakeholders opengelaten Dit was nog meer het geval voor de groep niet problematische gebruikers Het is wellicht zo dat gezien de beroepskenmerken van de stakeholders zij mogelijks een lagere perceptie hebben ten aanzien van niet problematisch gebruik Het opzet van de vragen 19 24 en 30 was om stakeholders te kans te geven nog andere zaken toe te voegen aangaande volksgezondheid vormen van openbare overlast en vormen van criminele overlast Dit gebeurde telkens door slechts twee respondenten voor de eerste twee topics en door n respondent voor de criminele overlast Dit hoeft niets te betekenen deze vragen dienen dan ook voor het geven van eventuele aanvullingen die in de andere vragen niet bevraagd werden Meer dan de helft van de respondenten zeven van de dertien gaf geen gevolg aan het situeren op een stadsplan van de verschillende vormen van openbare overlast bij vraag 25 en van de verschillende vormen van criminele overlast bij vraag 31 Een respondent suggereerde dat dit een taak was voor de politie Nog eens drie respondenten vulden niets in op het plannetje zelf maar noteerden naast de verschillende vormen zelf enkele plaatsen Er zijn verschillende mogelijke oorzaken voor deze lagere respons De kans is niet onbestaande dat voor een stad als Gent het niet eenvoudig kan zijn om een beeld te hebben op de verschillende overlastvormen in de stad Een andere mogelijkheid is dat de kaart die afgebeeld werd te onduidelijk was om zaken op
267. n van De Sleutel Op het Vlaamse niveau zijn er twee registratiesystemen beschikbaar die meer informatie kunnen geven over de werkzaamheden binnen de eerste module en dan vooral binnen het 226 KHLEUVEN DEPARTEMENT SOCIALE SCHOOL HEVERLEE 0 c MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 141 algemeen welzijnswerk de VLASTROV registratie van het Vlaams Straathoekwerk en de TELLUS registratie van het Steunpunt Algemeen Welzijnswerk SAW Op het Vlaamse niveau is n registratiesysteem rond drugpreventie terug te vinden de Ginger registratie van de Vereniging voor Alcohol en andere Drugproblemen Dit registratiesysteem bundelt de gegevens van lokale regionale en Vlaamse preventiewerkers Er werden vier registratiesystemen op het Vlaamse niveau geselecteerd uit de drug hulpverlening de Vlaamse Registratie Middelengebruik VRM DARTS van de Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslavingszorg ARCADE van de Centra voor Geestelijke Gezondheidszorg en de Jaarverslagen van De Sleutel b 3 Registratiesystemen op Waals niveau Brussels Hoofdstedelijk Gewest Duitstalige gemeenschap Op het niveau van Walloni Brussels Hoofdstedelijk Gewest en de Duitstalige gemeenschap werden vier registratiesystemen geselecteerd als mogelijke aanvulling op de informatie uit de stakeholderbevraging Het gaat om de Enqu tes Sentinelles Eurotox Addibru en ASL Alle
268. name van de verschillende luiken van de Monitor Na de afname van de stakeholderbevraging wordt een focusgroep georganiseerd gemodereerd door de MILD co rdinator en samengesteld uit de sectorverantwoordelijke en alle sleutelfiguren Tijdens deze focusgroep bespreekt de MILD co rdinator de resultaten van de bevraging voor de verschillende sectoren met bijzondere nadruk op de resultaten die een duidelijke meerwaarde bieden voor het lokale niveau Op die manier kan het nut van de bevraging beter tot zijn recht komen bij de sleutelfiguren Om de bruikbaarheid van de verschillende registratiesystemen Politionele criminaliteitsstatistieken Jaarverslagen van het Parket Generaal TELLUS Ginger Vlaamse Registratie Middelengebruik en Eurotox voor het lokale niveau te vergroten zou op termijn minimaal de mogelijkheid moeten bestaan om de cijfergegevens tot op lokaal niveau te verfijnen Om de informatie uit de registratiesystemen op een snelle en vlotte manier terug te kunnen koppelen naar de resultaten uit de stakeholderbevraging dient de verzameling van de fenomeenindicatoren continu te gebeuren Deze gegevens Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 148 worden gebundeld in een dossier dat op het moment van de afname van de stakeholderbevraging de meest recente informatie uit de registratiesystemen bevat gt De informatie voor het luik over de structurele indicatoren wordt
269. nce pr ciser 11 13 Autre nuisance pr ciser MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 56 Lors de la premi re passation du questionnaire les questions sur les nuisances criminelles ont suscit beaucoup plus de probl mes De nombreux de r pondants ne font pas la distinction des nuisances criminelles d une part les deals et d autre part la criminalit acquisitive il y avait la confusion concernant la notion de criminalit acquisitive pour laquelle aucune r ponse n a t formul e pour cette question En outre la question concernant les diff rentes formes de deals est comprise de mani re totalement diverse par les r pondants Un certain nombre de r pondants parle plut t des types de deals par exemple les gros dealers et les petits dealers d autres d crivent les produits qui sont l objet des trafics Une analyse de donn es aussi divergentes n est pas vidente sans pour autant tre impossible Ces constatations durant l analyse ont fait monter les soup ons que les questions en ce qui concerne les nuisances criminelles n taient pas claires C est pourquoi elles ont t modifi es Ces modifications ont t apport es au questionnaire pour la seconde passation Les nuisances criminelles sont dor navant g
270. nce des villes pilotes wallonnes au fait d tre forc es de r pondre chaque question et ainsi de forcer l opinion et 2 la constatation qu aussi dans les villes flamandes un certain nombre de r pondants ne pouvaient pas toujours bien r pondre chaque question Lors de cette seconde passation 7 r pondants appartenant au module secteur du bien tre g n ral et sant ont r pondu au questionnaire l implication de deux assistants sociaux ce qui est 8 de moins par rapport la premi re passation deux r pondants appartenant au secteur des soins en sant mentale un infirmier psychiatrique et un psychologue clinique d un d partement psychiatrique de l H pital G n ral et un pharmacien Concernant le module de la pr vention le questionnaire a t rempli par le fonctionnaire de pr vention un travailleur de pr vention l valuateur interne le coordinateur en mati re de drogues et le coordinateur en termes de Sorties et f tes nocturnes Pour la seconde passation en ce qui concerne le module de secteur de l aide en mati re de drogues tout comme lors de la premi re passation le directeur un membre du personnel du centre d accueil m dico social et un expert ont rempli le questionnaire Enfin en ce qui concerne le module de la s curit le Substitut du Procureur du Roi le coordinateur des Peines Alternatives et un assistant de justice ont rempli le questionnaire pour la seconde fois Ce
271. ne heure sur une probl matique sensible De plus par l exp rience de l quipe dans ce domaine nous savons que les rendez vous sont souvent report s et annul s Toutefois nous n avons pas t en mesure d atteindre les consommateurs de drogues comme nous l aurions souhait par un manque de temps pour construire avant tout une relation de confiance solide avec les acteurs de terrain De plus la passation du questionnaire qui a lieu en auto passation pour les r pondants professionnels nous a pris du temps tant pour l envoi le soutien t l phonique et la r ception des questionnaires que le temps disponible pour mettre en place une seconde tape beaucoup plus sinueuse et d licate Cette d marche interroger les consommateurs de drogues sur leurs perceptions concernant la consommation les nuisances publiques et criminelles et les institutions impliqu es dans la probl matique ne peut s improviser et doit tre construite pas pas Une recherche devrait alors leur tre consacr e sp cifiquement 15 M JEAN FRANCOIS Existing informations sources In X Guide to drug abuse epidemiology Gen ve World Health Organization 2000 36 PONSAERS P DE RUYVER B PIETERS T VAEREWYCK W VANDER LAENEN F LEMA TRE A MACQUET C en FINCOEUR B o c 110 154 Ils ont d ailleurs pris part au processus de recherche en acceptant des interviews dans le cadre de la recherche Drogues et Nuisances Etude
272. ne pourra pas faire l objet d un traitement statistique mais les r ponses apport es par les r pondants pourront tre mises ensemble pour produire un savoir Elles serviront en quelque sorte de points de rep res de signaux qui pourront en tant r colt es et mises en commun tre le point de d part de discussions de r flexions et de d bats en vue d avanc es et de changements dans la prise de d cisions et dans les lignes directrices appliqu es la probl matique de la drogue dans une ville ou une commune 1 1 TROIS CAT GORIES DE DONN ES Les enqu tes par questionnaire visent d ordinaire recueillir trois cat gories de donn es La premi re cat gorie concerne les faits donn es factuelles Ces donn es tiennent au domaine personnel des individus composant l univers social tudi leur ge leur degr d instruction leurs revenu ainsi qu leur environnement priv ou professionnel Ces questions sont r guli rement toujours pr sentes dans un questionnaire pour cerner les donn es socio d mographiques du r pondant La seconde cat gorie de donn es englobe les jugements subjectifs sur des faits des v nements des id es tels que des opinions des attitudes par rapport l une ou l autre probl matique Les cognitions c est dire des indices de connaissance de divers objets tudi s par enqu te repr sentent la troisi me cat gorie de donn es qui peuvent tre r colt es par un
273. ne pr c dant les deux semaines pr vues pour la passation Durant les deux semaines o la passation tait pr vue dans le cadre du Rapid Situation Assessment une permanence t l phonique a t assur e par l quipe de recherche afin de r pondre aux diff rentes questions des r pondants Chaque personne durant ces deux semaines a t contact e afin de s assurer que le questionnaire tait bien arriv destination et qu il tait rempli par les r pondants A la suite de ces deux semaines l quipe de recherche a consacr deux jours la r colte des questionnaires sur place Charleroi dans les diff rents services qui avaient re u le questionnaire C est ce moment que les intervenants ont fait part des difficult s tant thiques que m thodologiques qu ils avaient rencontr es la lecture du questionnaire Tout d abord les personnes ressources confront es plus indirectement au ph nom ne de la consommation de drogues et ses usagers tels par exemple les repr sentants des quartiers de Charleroi les repr sentants des commer ants ou m me les assistants de justice au sein de la maison de justice de Charleroi se sont d clar s incapables de r pondre au questionnaire de par sa complexit et les termes techniques qu il comporte D autre part l quipe de recherche a t confront e une s rie de r actions de rejet de plusieurs membres du r seau de la Coordination Drogue Elargie de
274. nen te leiden en ervoor te zorgen dat de deelnamebereidheid bij de stakeholders hoog blijft moet een MILD co rdinator worden aangesteld door de stad of gemeente waar een afname van de Monitor gepland is Deze persoon moet iemand zijn met bestaande netwerken in de verschillende sectoren die het nut van de Monitor moet verduidelijken bij alle mogelijke sleutelrespondenten De volgende tabel geeft de verdeling van non respons en het geven van de antwoordkeuze geen mening op de verschillende subthema s per module op het totaal aantal respondenten binnen die module Tabel Totaal aantal non respons en geen mening van alle respondenten in een module in op alle antwoordmogelijkheden per subthema Tweede afname Oostende Non Module 1 Module 2 Module 3 Module 4 T l respons AWW amp GW Preventie Hulpverlening Veiligheid praa Thema Subthema Geen pu Nr Gm Nr Gm Nr Gm Nr Gm Nr Gm 1 Druggebruik 0 4 11 0 0 0 27 3 0 0 3 3 0 0 45 5 0 1 21 8 LR Per 0 6 31 5 6 6 45 9 0 0 19 4 0 0 44 4 1 8 35 3 3 Poly druggebruik 0 0 28 8 0 0 41 7 0 0 2 9 10 1 50 7 2 5 31 0 a a 0 0 19 0 0 0 40 0 0 0 11 1 0 0 5 5 0 0 21 3 2 Evoluties in het profiel 53 6 0 0 75 0 0 0 66 6 0 0 66 6 0 0 65 4 0 0 1 Gevolgen volksgezondheid 0 0 19 0 0 0 66 6 0 0 55 5 0 0 44 4 0 0 42 6 III 2 Openbare orde ov
275. nen voor het niet opnieuw deelnemen Ook in Oostende gaven heel wat respondenten uit de welzijnssector aan totaal geen zicht te hebben op de problematiek en wensten daarom niet meer deel te nemen Andere redenen niet meer in dezelfde functie pensioen ziekte verlof Ook deze keer waren er enkele stakeholders waar we niets meer van vernamen Bij de feedback tijdens het ophalen van de vragenlijsten was het opmerkelijk dat bepaalde stakeholders de notie perceptie met kennis verwarden In de handleiding voor de vragenlijst zal dan ook extra worden benadrukt dat gepeild wordt naar de perceptie van bepaalde fenomenen en niet naar de kennis ervan B Opmerkelijke resultaten In Gent bleek de toevoeging van de antwoordoptie geen mening bij de gesloten vragen geen goede keuze de graad van non response lag op de gesloten vragen meteen een pak hoger Deze verandering had op de stakeholders hetzelfde effect dat zelfs nog manifester aanwezig was in Oostende Heel wat sleutelfiguren kruisten bij de gesloten vragen geen mening aan en net zoals in Gent gebeurde dit door sommige stakeholders voor een volledige reeks antwoordkeuzes binnen een en dezelfde vraag De vragen die hieraan onderhevig waren zijn vraag 6 7 8 9 10 11 14 17 18 20 21 22 23 26 27 28 en 29 Ook nu bespreken we verder nog de problemen bij de open vragen Vraag 15 en 16 betreffende veranderingen en nieuwe opgedoken groepen in de populatie nie
276. nger registratie Vlastrov registratie ruimte en milieu Stadsmonitor leerlingbevraging VAD INDICATEURS Examen de la situation locale en mati re de coordination et de collaboration concernant STRUCTURELS les diff rents piliers de la politique int gr e 6 p PONSAERS B DE RUYVER A LEMA TRE C MACQUET T PIETERS W VAEREWYCK B FINCOEUR et F VANDER LAENEN Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten Brussel POD Wetenschapsbeleid 2004 15 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 30 1 3 4 VUE D ENSEMBLE SCHEMATIQUE COMMENTEE PLUS EN DETAIL Le Moniteur se compose de trois parties la consultation de personnes ressources la recherche des indicateurs de ph nom ne et celle des indicateurs structurels La premi re partie du Moniteur consiste en la r colte de donn es qualitatives concernant le ph nom ne de nuisances li es aux drogues Ces donn es sont r colt es syst matiquement par un questionnaire qui est soumis aux acteurs qui sont en lien troit avec le ph nom ne Ces personnes ressources ou personnes cl s ont de par leur profession leur position ou leur s exp rience s personnelle s une connaissance actuelle du ph nom ne de drogues L objectif de cette consultation est de recueillir une vue d ensemble p riodique des tendances dans l volution du ph nom ne de drogues La consultation des
277. nombre de caract ristiques par lesquelles on d finit les individus qui peuvent tre situ s sous la cat gorie de consommateurs r cr atifs La grande diff rence entre ces deux d finitions est que selon le EMCDDA une consommation r cr ative n est pas automatiquement synonyme d une consommation non probl matique comme la d finition du NDM le formule Ces d finitions diff rentes et les conclusions qui peuvent en tre tir es expliquent l option qui a t prise dans le questionnaire de ne plus parler de consommateurs usage r cr atif des drogues mais plut t de consommateurs usage non probl matique La question 2 concernant l volution de la consommation de drogues lors de la premi re passation a suscit de nombreuses r actions quant son caract re polys mique 13 DECORTE T KAMINSKI D MUYS M SLINGENEYER T Problematisch gebruik van illegale drugs Onderzoek naar de operationalisering van het concept in een wettelijke context L usage probl matique de drogues ill gales Recherche concernant l op rationnalisation du concept dans un contexte l gal Gent Academia Press 2005 p 101 114 VAN LAER M CRUTS A VERDURMEN J MEIJER R PANHUIS P VAN OOYEN M Nationale Drugmonitor Jaarbericht 2003 Utrecht Trimbos Instituut 2003 p 191 15 EUROPEES WAARNEMINGSCENTRUM VOOR DRUGS EN DRUGSVERSLAVING Recreatief druggebruik een belangrijke uitdaging voor de EU Drugs in b
278. ns ce cadre est galement mis en place un syst me d alerte pr coce en mati re de drogues de synth se Early Warning System EWS 2 3 1 3 Addibru Bruxelles Capitale A G n ralit s 194 y lt 8 gt Ligne d coute pr vention r duction des risques et traitement 195 Pr vention du sida r duction des risques formation liaison et recherches 196 ps Pr vention formations accompagnement MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 111 La Concertation Toxicomanies Bruxelles Overleg Druggebruik Brussel CTB ODB a d marr sur l initiative des deux ministres comp tents pour les questions de Sant Publique en R gion bruxelloise Cet organisme Sous Point Focal de la R gion de Bruxelles Capitale a t tabli comme une organisation bicommunautaire active dans la r gion de Bruxelles Capitale Le CTB ODB focalise avant tout son attention sur les aspects sanitaires et sociaux notamment la pr vention des toxicomanies Pour ce faire la CTB ODB a d velopp les missions suivantes la collecte de donn es la concertation entre les institutions la coordination d actions de pr vention et de prise en charge des usagers de drogues avis et le soutien d actions de r duction de la demande Elle rassemble donc pour la r gion de Bruxelles Capitale des donn es quantitatives et organisent des concert
279. ns formuler la recommandation suivante MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 163 Afin que la passation du Moniteur puisse se d rouler de la meilleure facon possible et pour veiller ce que la participation des personnes ressources soit lev e un coordinateur MILD doit tre d sign par la ville ou la commune o une passation du Moniteur est pr vue Cette personne doit tre quelqu un avec un r el r seau dans les diff rents secteurs dans la mesure o cette personne doit pr ciser l int r t et l utilit du Moniteur aupr s de l ensemble de personnes ressources potentielles Le tableau repris ci apr s donne la r partition des non r ponses et celle aux r ponses la modalit de r ponse sans avis sur les diff rents sous th mes par module et ce pour le total des r pondants au sein de ce module Tableau Total des non r ponses et des sans avis de tous les r pondants dans un module en sur toutes les possibilit s de r ponses par sous th mes Seconde passation Ostende Non Module 1 5 y Module 2 Module 3 Module 4 r ponses Sant et bien 5 s S se Total Th me Sous th me SAS AUTe tre Pr vention Aide S curit gt Nr SA Nr SA Nr SA Nr SA Nr SA 1 Consommation de drogues 0 4 11 0 0 0 27 3 0 0 3 3 0 0 45 5 0 1 21 8 I 2 Cons non probl matique 0 6 31 5 6 6 45 9 0 0 19 4
280. nsthoofd van de lokale recherche de Substituut Procureur des Konings de co rdinator Alternatieve Straffen en een justitie assistent Dit geeft samen volgende verdeling van de ingevulde vragenlijsten voor de eerste afname 1 module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 17 2 module preventie 6 3 module drug hulpverlening 3 4 module veiligheid 4 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 135 Met onderstaande tabel willen we een beeld schetsen van de non respons op de verschillende subthema s van de vragenlijst Het percentage dat wordt weergegeven is het totaal aantal onbeantwoorde vragen Het percentage geldt voor alle respondenten uit een bepaalde module samen Tabel Totaal aantal non respons van alle respondenten in een module in op alle antwoordmogelijkheden per subthema Eerste afname Oostende mem NE NEA NE ARE I 1 Druggebruik 9 9 0 0 0 0 0 0 5 6 2 Profiel druggebruikers 23 5 0 0 13 3 0 0 14 6 A a 26 5 11 1 5 5 20 8 20 5 H 2 Openbare orde overlast 68 6 83 3 55 5 16 6 63 3 3 Criminele overlast 65 4 83 3 55 5 16 6 62 5 1 Preventieve acties 17 6 38 9 0 0 25 0 21 5 1 2 Hulpverlenende acties 21 6 33 3 0 0 16 6 21 1 MI 3 Politionele justiti le acties 27 5 33 3 0 0 16 6 24 4 Kima D 23 5 38 9 0 0 8 3 229 Totaal gt 31 5 35 8 14 4 13 4 28 3 Hierna bespreken we pe
281. nstituut voor Onderzoek naar Leefwijze en Verslaving IVO organisme n erlandais et par le Trimbosinstituut et le barom tre toxicomanie li geois Le monitoring peut tre d fini comme l observation syst matique et p riodique des volutions et ce au profit de la politique Les principaux l ments du monitoring sont la 4 gt T DECORTE B DE RUYVER P PONSAERS M BODEIN A C LACROIX S LAUWERS P TUTTELEERS Drogues et nuisances Etude du ph nom ne des nuisances associ es aux drogues de son contr le et de ses effets partir de diff rents angles d approche Politique scientifique f d rale Gand Academia Press 2004 313 315 SP PONSAERS B DE RUYVER A LEMA TRE C MACQUET T PIETERS W VAEREWYCK B FINCOEUR et F VANDER LAENEN Drugoverlast in de lokale context van acht Vlaamse en Waalse gemeenten Brussel POD Wetenschapsbeleid 2004 8 13 4 NDM a t cr e en 1999 avec pour ambition l am lioration et l harmonisation des activit s de monitoring aux Pays Bas Le moniteur est utilis pour la synth se des donn es et leur rapport aux autorit s nationales et aux instances nationales et internationales Dans le NDM la collecte et l int gration des donn es chiffr es occupent une place centrale Chaque ann e le NDM sort une publication Voyez pour cela Nationale Drugmonitor ann e 2003 bureau NDM Utrecht d cembre 2003 19 48 C HENNEN A LEMAITRE H BORN C SCHLITZ
282. nt du r seau sans pour autant avoir t nonc s dans les documents crits L int r t de l entretien ne se limite donc pas semble t il en Wallonie cr er le contact entre l quipe de recherche et le service de coordination et avoir acc s aux documents reprenant les actions en cours mais permet d tablir une relation plus personnelle et spontan e avec la Coordination Drogue et disposer d informations tr s r centes MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 124 Chapitre 3 Manuel d utilisation 3 1 LE MANUEL D UTILISATION EN G N RAL Pour rappel le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues se compose de trois parties distinctes dont les informations recueillies par chacun des canaux s alimentent et s enrichissent mutuellement par leur compl mentarit La premi re partie du Moniteur concerne la collecte de donn es qualitatives propos des nuisances li es la drogue Il est pr vu que cette collecte se fasse de mani re syst matique au moyen de questionnaires pr tablis compl ter par les professionnels et personnes ressources qui sont concern s par le ph nom ne de la drogue La deuxi me partie du Moniteur consiste en la r colte et le relev d indicateurs chiffr s disponibles sur le ph nom ne de la drogue dans la ville ou la commune concern e par la mise en application du Moniteur MILD Ces indicateu
283. ntegraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 42 Chapitre 2 Conception et modifications du questionnaire 2 1 QUESTIONNAIRE EN VUE DE LA PREMIERE PASSATION Dans ce paragraphe un vue d ensemble chronologique est donn e de la fa on dont le questionnaire a t transform pour la premi re passation aupr s des acteurs cl s Pour ce faire les diff rentes sources d inspiration et leur contenu pertinent pour la recherche seront ici soulign s Sera explicit ce propos chaque passage l influence qu ont exerc ces sources sur le questionnaire En expliquant le d roulement de la conception du questionnaire nous nous r f rerons chaque fois la premi re et la seconde version du questionnaire La premi re version du questionnaire est celle qui a t transf r e l ensemble des membres du comit d accompagnement pour de la premi re r union Ce questionnaire est repris en annexe ce rapport 2 La seconde version du questionnaire est celle qui a t d velopp e tenant compte des remarques recueillies pour la premi re version Cette version est galement celle qui a t soumise aux r pondants pour la premi re passation Ce questionnaire est galement repris en annexe Le fait de joindre ce rapport final les deux versions du questionnaire offre la possibilit au lecteur de comprendre de mani re sch matique la premi re conception du que
284. ntie werden reeds aangegeven in het voorgaand METAN onderzoek Tot op heden werden gegevens van de verschillende registratiesystemen rond het drugfenomeen nog nooit samengebracht vanuit het beleid ook niet op lokaal vlak Om dit in 22 PONSAERS P DE RUYVER B PIETERS T VAEREWYCK W VANDER LAENEN F LEMAITRE A MACQUET C en FINCOEUR B o c 110 120 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 140 de toekomst voor steden en gemeenten makkelijker te maken werden de gegevens uit de geselecteerde registratiesystemen voor dit onderzoek samengebracht en beschreven Dit heeft geleid tot het opstellen van fiches waarin een overzicht wordt aangeleverd waarbij de bestaande registratiesystemen op een schematische wijze worden weergegeven Deze fiches zijn opgenomen in de handleiding voor de Monitor die opgenomen is in de bijlagen In dit schematisch overzicht zijn volgende criteria van belang gegevensbron korte beschrijving van de bron van gegevens soort gegevens over welke gegevens beschikt deze bron nu niveau beschikt de bron over deze gegevens op nationaal gemeenschap gewest provinciaal of lokaal niveau betrouwbaarheid zijn de gegevens betrouwbaar toegankelijkheid waar hoe zijn de gegevens beschikbaar en toegankelijk beschikbaarheid leeftijd historische hoe lang bestaat het registratiesysteem al Hoe lang beschikbaarheid zijn de gegevens in
285. ntwoordkeuze in de eerste afname 24 Ibid 559 579 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 139 Het percipi ren van subthema II 2 Evoluties in het profiel ligt bij alle modules zeer moeilijk De non respons ligt enorm hoog en is met zekerheid te wijten aan de vraagstelling in open vragen Bij dit subthema kan de bespreking van de vragen in focusgroep zeker een meerwaarde bieden Thema III In thema III vertoont de perceptie van het subthema II 1 Gevolgen voor de volksgezondheid een ander patroon dan bij de eerste afname In de eerste afname was de perceptie zeker hoog genoeg er was een gemiddelde non respons op dit subthema van 20 5 dus een perceptiegraad van 79 5 Door toevoeging van de antwoordkeuze geen mening is de perceptie heel wat lager geworden 42 6 geen mening wat de perceptiegraad verlaagt tot 57 4 voor dit subthema Dit bewijst nog maar eens dat het verplicht laten antwoorden van de sleutelfiguren niet noodzakelijk een scherper beeld reflecteert Voor het subthema II 2 Openbare orde overlast stellen we vast dat de algemene perceptie van de stakeholders beduidend hoger ligt dan in de eerste afname 63 3 non respons dus perceptiegraad 36 7 tegenover 4 8 non respons en 30 9 geen mening perceptiegraad 64 3 voor de tweede afname Dit is waarschijnlijk het effect van de verfijning van de vragen in dit thema Voor het and
286. o c 27 48 a VANDERPLASSCHEN W COLPAERT K LIEVENS K BROEKAERT E De Oost Vlaamse drughulpverlening in cijfers kenmerken zorggebruik en uitstroom van personen in behandeling Gent Orthopedagogische reeks 2003 nr 15 p 25 en bijlage 1 registratieformulieren 56 EMCDDA Annual report on the state of the drugs problem in the European Union and Norway Edition 2002 Chapter 3 Selected issues 37 L ASI est un questionnaire semi structur qui apporte de l information sur les diff rents aspects de la vie du consommateur de drogues Ces aspects sont ramen s sept domaines de la vie 3g KEYMEULEN R RAES V European Addiction Severity Index EuropASI Merelbeke De Sleutel niet gepubliceerde handleiding MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 44 Les domaines de la vie Habitation et Temps libre sont seulement de mani re indirecte repris dans le ASI mais peuvent tre consid r s galement comme des domaines de la vie sp cifiques Pour le questionnaire dans le cadre des Caract ristiques autour des diff rents domaines de la vie les domaines concernant l Alcool et les Drogues n ont pas t explicitement repris par le fait que ces sujets constituent le questionnaire en lui m me En outre le domaine de la vie Police et justice ne trouve pas sa place dans cette partie mais a t plac dans le Th me IV
287. odule 3 collaboration Existence d accords de coop ration Dans le cadre du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues il s agit de r aliser un entretien avec le Coordinateur Drogue Dans le processus de recherche nous avions choisi des villes pilotes au sein desquelles une Coordination en mati re de Drogues tait tablie afin de tester de la mani re la plus compl te possible l outil en cours de construction Pour l utilisation future de l outil MILD un coordinateur drogue n aura pas toujours t d sign dans la ville ou commune dans laquelle l outil sera appliqu Il s agira alors pour le coordinateur MILD de choisir une personne qui pourrait tre m me de r pondre l ensemble de la grille d entretien ou une partie de celle ci Dans ce cadre un des intervenants de terrain au c ur du r seau formel ou informel pourrait tre impliqu tout comme une personne repr sentant l autorit locale et qui serait conscientis e la probl matique 1 Intervenant qui prendra en charge l avenir initiative d appliquer l outil MILD sur un territoire donn MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 116 Chapitre 1 M thodologie 1 1 L ENTRETIEN QUALITATIF La recherche qualitative a pour objectif de saisir les particularit s et la diversit des opinions et attitudes en respectant le caract re
288. olt e lors de la consultation des personnes ressources Cela se fait par le biais des syst mes suivants les Enqu tes Sentinelles Eurotox Addibru et ASL Tous ces quatre syst mes d enregistrement sont en lien avec le module de l aide et de l assistance Dans le cadre de la r colte des indicateurs de ph nom ne pour le Moniteur de Politique Int gr e en mati re de Drogues une constatation importante peut tre faite par rapport au recours aux diff rents syst mes d enregistrement tous les syst mes n enregistrent pas de mani re syst matique ou ne livrent au m me moment un rapport avec cette r colte de donn es MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 168 Dans le prolongement de cette constatation une recommandation importante peut tre faite afin d optimaliser la passation du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Pour que les informations recueillies par les syst mes d enregistrement puissent tre reli es rapidement et ais ment aux donn es r colt es par la consultation des personnes ressources la r colte des indicateurs de ph nom ne pourraient avoir lieu de mani re continue Ces donn es doivent alors tre r unies dans un dossier qui contient de cette mani re au moment de la passation du questionnaire aupr s des personnes ressources l information la plus r cente des syst mes d enregist
289. on dans lequel n aurait t trait que cet aspect 193 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S en TUTELEERS P o c MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 47 clairement au sein du questionnaire afin de cette fa on d avoir une compr hension partag e L 104 des concepts par l ensemble des r pondants Les questions sondent pour ces deux formes de nuisances les notions suivantes les formes les responsables les lieux l volution de l apparition des nuisances Interroger sur ces quatre notions d coule des constatations du volet des personnes cl s de la recherche cit e ci avant Drogues et nuisances Au moment de l tablissement du Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues une attention particuli re est donn e aux best practises potentielles des pays limitrophes Un angle d incidence important est certainement l exp rience qui a d j t acquise chez nos voisins du nord Les syst mes de Monitoring n erlandais font galement usages des diff rents domaines de vie qui ont t d crits ci dessus Aussi l int r t pour les caract ristiques socio d mographiques est soulign dans ces diff rents moniteurs Bien que aux Pays bas beaucoup de litt rature puisse tre trouv e propos des syst mes de Monitoring toute cette information est seul
290. on Criminal Policy van de Universiteit Gent UGent en Prof dr Andr LEMA TRE Service de Criminologie en Prof dr Claude MACQUET D partement de sciences sociales van de Universiteit Luik ULg Het onderzoek startte in maart 2005 en werd afgerond eind februari 2006 Gedurende dit jaar hebben de onderzoeksequipes kunnen rekenen op de nodige ondersteuning en bijsturing van een begeleidingscomit dat optrad als reflectieorgaan voor de onderzoekers en het mogelijk maakte om bij bepaalde aspecten van het onderzoek verschillende visies uit te wisselen aanbevelingen te doen en zaken bij te sturen waar nodig Het comit was samengesteld uit verschillende actoren uit de wetenschap beleidsvoering en de praktijk De leden Mevrouw Lieve VAN DAELE POD Wetenschapsbeleid Voorzitter begeleidingscomit Madame Sophie BLOCK SPF Int rieur Secr taire Permanent Politique de Pr vention VSPP De heer Paul CLEYMAN Vaste Commissie Politie Antwerpen De heer Wim CRUYSBERGHS FOD Justitie Dienst Strafrechtelijk Beleid Monsieur Yvano DE BIASIO Fonctionnaire de pr vention Contrat de S curit de la Ville de Charleroi Madame Isabelle DEMARET SPF Sant Publique Cellule drogues Mevrouw Rita DEMEY Beleidscel Preventie Antwerpen De heer Cis DE WAELE Co rdinator VLASTROV De heer Arne DORMAELS Vereniging van Vlaamse Steden en Gemeenten VVSG De heer Pascal GARLEMENT Police F d rale Direction g n rale de la police judiciaire
291. on Drogues Le centre de d pistage de maladies sexuellement transmissibles une nouvelle fois t contact Pour la seconde passation les f d rations et associations de g n ralistes de m decins et de pharmaciens ont galement re u le questionnaire MILD de m me que les coordinateurs des diff rentes antennes sociales de CPAS de Charleroi Pour le secteur de la pr vention Module 2 lors de la premi re passation le coordinateur des travailleurs de rue dans le cadre des contrats de pr vention et de s curit a t contact de m me que le Relais Social de Charleroi Ce fut galement le cas pour la seconde passation du questionnaire Pour cette seconde passation du questionnaire les responsables des antennes CPAS de Charleroi ainsi que le m diateur communal ainsi que les centres PMS dans les coles secondaires et les cellules de pr vention dans les coles primaires ont t contact s Nous avons galement pris contact avec les Plannings Familiaux et les cellules d Infor Famille Charleroi En rapport avec le secteur de l assistance Module 3 les d marches effectu es pour la premi re passation sont rest es identiques pour la seconde passation du questionnaire l ensemble des services gravitant autour de la consommation de drogues situ s sur la ville de Charleroi ont t contact s le centre d accueil de crise le service d urgence sociale les centres d accueil de jour et de nuit Les centres d
292. ond voor het uitstippelen van een ge ntegreerd en evidence based drugbeleid Als voorbeeld halen we het subthema gevolgen voor volksgezondheid aan uit de stakeholderbevraging Er is geen enkel registratiesystemen in Belgi dat gegevens weergeeft over lokale preventieve acties Aangezien een van de subthema s in de vragenlijst de perceptie over de lokale preventieve acties bevraagt kan een hiaat worden opgevuld en het beleid aan de hand van deze informatie aangepast worden 214 Evidence based gezondheidspromotie praktijk beleid en onderzoek Symposium VIG 8 oktober 2004 URL http www vig be content pdf VIG_symp04_abstracts pdf 9 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 127 Omgekeerd gaat de redenering ook op uit de afnames bij de pilootsteden bleek dat de sleutelfiguren geen hoge perceptie hadden over het aspect volksgezondheid Toch registreren vier systemen gegevens die in meerdere of mindere mate te maken hebben met aspecten van volksgezondheid en kunnen twee van deze vier registratiesystemen de informatie verfijnen tot op lokaal niveau waardoor de beperkte perceptie in de stakeholderbevraging kan gecompenseerd worden door de bestaande registratiesystemen Met deze gegevens kan meer zicht gekregen worden op dit aspect van het drugfenomeen en kan het lokale beleid hierop anticiperen 1 2 De evaluatie per luik van de Monitor Integraal Lokaal Drugbel
293. oniteur tait en phase de construction et ne repr sentait pas au moment de la premi re passation un outil d finitif Enfin l quipe de recherche a tenu faire remarquer que le questionnaire n avait pour objectif d tre trait comme une analyse quantitative mais de permettre de l objectif de multiplier les capteurs d informations de les diversifier et terme d avoir une vue globale de la situation de la consommation de drogues et de ses cons quences Ces diff rentes pr cisions ont permis d claircir certains aspects du processus et de faire taire les critiques Les membres de la Coordination Drogue Elargie ont pour la plupart r pondu au questionnaire lors de sa seconde passation Pour conclure le r seau de Coordination Drogues est d j op rationnel dans la ville de Charleroi La Coordination Drogues voudrait aller plus loin et a pour projet de cr er un Observatoire de la Toxicomanie sur la ville de Charleroi Dans ce cadre la recherche MILD pourrait aider par le recueil de donn es effectu la cr ation de cet observatoire 3 1 1 2 Les r pondants au questionnaire La r currence de la passation du questionnaire doit s effectuer aupr s des m mes personnes ressources le long du cheminent de la r colte des donn es au fur et mesure des mesures ponctuelles du ph nom ne Le Coordinateur Drogues a donc mis sur pied avec l quipe de recherche une liste des personnes ressources
294. onn es nous avons d cid de ne pas nous en tenir au plus grand d nominateur commun parce que de cette fa on un certain nombre de substances n aurait pas t reprise mais de rassembler l inventaire le plus large possible De cette fa on les substances suivantes ont t reprises dans la liste utilis e alcool s datifs hypnotiques anxiolytiques m thadone amph tamines XTC cannabis coca ne hallucinog nes opiac s autres En ce qui concerne les diff rentes formes de polyconsommation le m me travail a t r alis sur base des donn es pid miologiques europ ennes Les diff rentes combinaisons possibles sont les suivantes h ro ne en m thadone h ro ne en m dicaments h ro ne en coca ne cannabis en stimulants cannabis en alcool coca ne en stimulants autres Pour le th me II Profil des consommateurs de drogues ont t reprises c t des caract ristiques socio d mographiques telles que l ge et le sexe des caract ristiques autour des diff rents domaines de la vie Ces domaines de la vie se retrouvent galement dans le Addicition Severity Index ou ASP Dans la version europ enne de l AST les domaines de la vie r pertori s sont les suivants Sant physique Travail formation et revenu Alcool Drogues Justice et police Famille relations sociales Plaintes psychiques motionnelles Ibid 84 COLPAERT K DE CLERCQ T
295. ontwikkeling van het Oostends Drugbeleidplan Vervolgens is het van belang dat binnen de pilootsteden de vier modules algemeen welzijns en gezondheidsbeleid preventief beleid hulpverlening en veiligheid die verwerkt zijn in de monitor allemaal kunnen betrokken worden bij de afname van de monitor Dit houdt in dat wanneer een volledig uitgewerkte monitor die in alle steden en onder alle condities kan worden toegepast het vooropgestelde doel is er de garantie moet zijn dat binnen de 36 yp Ibid 37 STAD GENT Dienst Lokale Preventie en Veiligheid Jaarrapport Preventieraad 2002 Luik 4 Aanpak van het drugsprobleem Co rdinatie Drugs Gent 2003 38 STAD OOSTENDE Veiligheids en Preventiecontract van de stad Oostende MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 19 pilootsteden alle luiken toetsbaar zijn en dus aanwezig zijn Voor beide geselecteerde steden is dit het geval In Gent zijn in de stuurgroep volgende instellingen en diensten vertegenwoordigd ambulante en residenti le drughulpverlening het straathoekwerk de co rdinator Provinciaal Overleg Platform voor de Geestelijke Gezondheidszorg het algemeen welzijnswerk de stedelijke diensten in het veiligheids en preventiecontract het stadsbestuur de lokale politie de co rdinator van het Gentse cli ntoverleg en de stedelijke drugco rdinator Naast de stuurgroep is er in Gent ook de open vergadering dru
296. oor te zorgen dat de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid meting na meting op een kwalitatieve manier wordt toegepast Het is aangewezen dat het VSP de verantwoordelijkheid opneemt voor de financi le co rdinatie van de MILD De steden en gemeenten die de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid willen toepassen moeten een MILD co rdinator aanstellen die instaat voor de integrale afname van de Monitor Een belangrijke voorwaarde voor de MILD co rdinator is dat hij of zij al beschikt over een netwerk binnen de sectoren die deelnemen aan de afname van de Monitor zodat de co rdinator het nut van de Monitor bij alle respondenten duidelijk kan maken Om de MILD co rdinator bij te staan in de afname van de vragenlijst voor de stakeholderbevraging is het noodzakelijk om per deelnemende sector een verantwoordelijke aan te stellen Deze sectorverantwoordelijke zal in samenspraak met de MILD co rdinator de bedoeling en de meerwaarde van de stakeholderbevraging verduidelijken bij de leden van zijn sector om de draagkracht en de betrokkenheid binnen de eigen sector te vergroten Deze sectorverantwoordelijke moet over een goed bestaand netwerk beschikken binnen zijn of haar sector De MILD co rdinator moet in samenspraak met de lokale overheid en de sectorverantwoordelijken een planning opstellen voor de afname van de Monitor inclusief de afbakening van het gebied waarbinnen de Monitor moet worden afgenomen en het vastleggen van de tijdsinterval voor de af
297. oor wie de gegevens van de monitor bedoeld zijn doelpubliek waar en bij wie de informatie kan worden vergaard informatiebron hoe de informatie kan worden bekomen welke technieken worden er gehanteerd welke doelstelling wordt nagestreefd en wat de uiteindelijke finaliteit van het verzamelen van deze informatie is In het onderste luik van de figuur worden drie kolommen informatiebron methodiek doelstelling verder geconcretiseerd Hierbij worden binnen de pijlers van een integraal gevoerd beleid aangegeven waar de kwalitatieve en kwantitatieve gegevens kunnen worden verzameld De pijlers van een integraal beleid zijn opgesplitst in vier modules 1 algemeen welzijns en gezondheidsbeleid 2 preventief beleid 3 hulpverlening en 4 veiligheid 1 3 5 UITEINDELIJKE BEDOELING VAN DIT EINDRAPPORT Dit eindrapport beschrijft de totstandkoming en de proefafname van de Monitor in twee Vlaamse en Waalse steden Naast het evalueren van de proefafname is het belangrijk dat in dit rapport wordt ge valueerd Bij deze evaluatie is het niet alleen van belang om het instrument op zich te evalueren maar ook het proces die gepaard gaat met de afname van het instrument De combinatie van deze twee evaluatiemomenten moeten uiteindelijk leiden tot een algemene conclusie waarin onder meer aanbevelingen worden gedaan voor het implementeren en verdere gebruik van de Monitor In deze optiek is tevens de ontwikkeling van de handleiding voor de Monitor doorh
298. oorkomt en ten slotte de evolutie van dit fenomeen Op deze vraag gaven acht van de negentien respondenten nergens een antwoord Van die acht respondenten gaf een respondent aan dat de vraag beter door politie zou worden ingevuld een andere gaf aan dat de vraag niet duidelijk was De antwoorden van de elf andere respondenten zijn niet onmiddellijk in een vast stramien onder te brengen Vraag 18 bevraagt dezelfde zaken als vraag 17 deze keer met betrekking tot criminele overlast verwervingscriminaliteit Acht respondenten lieten deze vraag onbeantwoord Opnieuw wordt door een van de respondenten gesuggereerd om de vraag voor de politie voor te behouden Een andere respondent is niet bekend met de term verwervingscriminaliteit In het tweede deel van de vraag dat peilt naar de buurten of plaatsen van deze overlast werden geen relevante antwoorden gegeven de stakeholders noteerden voornamelijk centrum of ganse stad De evolutie van de verwervingscriminaliteit wordt slechts door tien respondenten omschreven Van deze tien respondenten zijn er negen respondenten die de evolutie zien als gelijk gebleven en slechts n respondent stelt dat de verwervingscriminaliteit is gestegen Voor vraag 30 wordt gepeild naar de mening over een andere aanpak door politie justitie Er zijn acht respondenten die zich hierover niet uitspreken Van de respondenten die wel aangaven of ze wel of niet een andere aanpak beoogden elf respondenten
299. or en 2 de weerstand tegen het begrip overlastmeting bij de vooral Waalse respondenten 1 De Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid bevraagt gegevens bij de sleutelfiguren en bundelt informatie uit verschillende registratiesystemen in vier grote modules Algemeen Welzijnswerk amp Gezondheidswerk Preventie Hulpverlening en Veiligheid Om met een afname van de Monitor te kunnen starten moeten de diensten en de daaraan verbonden respondenten opgedeeld worden in deze vier modules Voor de meeste diensten en organisaties was dit vanzelfsprekend voor enkele andere diensten lag dit iets moeilijker We beschrijven hier een voorbeeld die zich voordeed voor de afname in de pilootsteden rond de indeling van de stakeholders in modules De vraag die we ons stelden is in welke module we de lokale drugco rdinator moesten plaatsen Zeker was dat deze niet in de modules hulpverlening en algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk kon opgedeeld worden De leden in de module veiligheid zijn allemaal werkzaam bij de politie en justitie of een aanverwante dienst De module die nog overbleef was die van preventie uiteindelijk kon het gerechtvaardigd worden om de drugco rdinator in deze module te plaatsen omdat preventie een van de belangrijkere doelen is van een lokale Stuurgroep Drugs Om misverstanden te vermijden wanneer steden en gemeenten zelf een MILD afname voorzien werd in de handleiding van de Monitor een niet limitatieve lijst uitgewerkt waarin
300. oren DECORTE DE RUYVER en PONSAERS naar het fenomeen drugoverlast Hieruit bleek dat drugoverlast als fenomeen niet te isoleren is van andere overlastvormen Het is dus nodig te vertrekken van een zo breed mogelijke aanpak van overlast en binnen deze context ruimte te voorzien voor een beleid naar drugoverlast Wanneer voor de aanpak van drugoverlast gebruik wordt gemaakt van het model zoals weergegeven in de conclusies van het onderzoek naar het fenomeen drugoverlast door de onderzoeksgroepen van de professoren DECORTE DE RUYVER en PONSAERS blijkt er een hiaat te zijn dat de praktische uitvoering van het model bemoeilijkt Dit hiaat betreft de detectie van overlast in het algemeen en drugoverlast in het bijzonder Het is immers noodzakelijk om een goed beeld op deze fenomenen te hebben wil men een degelijk beleid kunnen uitwerken Het nodige instrumentarium is hiervoor echter niet voor handen Om deze redenen werd ervoor gekozen om de Monitor Integraal lokaal Drugbeleid te ontwikkelen Een brede aanpak vereist dat men een zo breed mogelijk kijk heeft op het fenomeen De bedoeling van dergelijke monitor is om signalen te krijgen waarmee de lokale overheid een beleid kan bijsturen of een project kan ontwikkelen om op die manier de maatschappelijke overlast van het drugfenomeen te beperken De monitor 8 DECORTE T DE RUYVER B PONSAERS P BODEIN M LACROIX A C LAUWERS S en TUTELEERS P O C MILD Monitor Integraal Lokaal Dr
301. ormen van openbare overlast te situeren op de kaart Zeven respondenten gingen hier niet op in Een respondent gaf aan dat dit een taak was voor de politie en een respondent verklaarde geen zicht te hebben hierop Van de zes respondenten die hier wel op ingingen noteerden drie respondenten de verschillende vormen op de kaart Drie respondenten lieten de kaart blanco maar gaven naast de opgegeven vormen van overlast een plaats op waar deze vormen veel voorkomen MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 83 De twee gesloten vragen 26 en 27 bevroegen de frequentie van voorkomen en het tijdstip van voorkomen van criminele overlast Per vorm van criminele overlast werd gemiddeld voor beide vragen door zes respondenten geen mening aangekruist Vraag 30 is gelijkaardig aan vraag 19 en vraag 24 Deze vraag peilde naar andere zaken die konden vermeld worden betreffende criminele overlast Slechts n respondent noteerde een antwoord op deze vraag Ook bij vraag 31 werd een kaart in de vragenlijst gevoegd met dezelfde bedoeling als bij vraag 25 Hier werd echter gevraagd de vormen van criminele overlast te situeren Net zoals bij vraag 25 gingen hier zeven respondenten niet op in Van de zes respondenten die dit wel deden noteerden er twee de vormen op de kaart De andere vier stakeholders noteerden de plaatsen naast de desbetreffende vorm Net zoals in de eerste afname werd b
302. ortuun vond om mee te werken een respondent die onbereikbaar bleek en een respondent die de vragenlijst wel zou hebben ingevuld maar die nooit werd ontvangen Een van deze potenti le stakeholders heeft nog drie extra potenti le stakeholders aangebracht Samengevat kan worden gesteld dat zesendertig potenti le respondenten werden benaderd voor de eerste afname waarvan in totaal dertig ingevulde vragenlijsten werden ontvangen Hieronder volgt een verdeling van de gecontacteerde en ook aangebrachte respondenten per module 36 in totaal 1 module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 20 2 module preventie 6 3 module drug hulpverlening 3 4 module veiligheid 7 4 1 2 3 Resultaten Stakeholders Van de zesendertig gecontacteerde respondenten ontvingen we dertig ingevulde vragenlijsten Hieronder de verdeling van de ingevulde vragenlijsten per module 1 module algemeen welzijnwerk amp gezondheidswerk 17 2 module preventie 6 3 module drug hulpverlening 3 4 module veiligheid 4 B Opmerkelijke resultaten Tien respondenten gaven bij vraag 7b mogelijke andere combinaties inzake poly druggebruik aan In totaal werden twaalf aanvullende combinaties weergegeven Een van de respondenten merkte nog op dat poly druggebruik zich meestal niet beperkt tot twee middelen De aanvullende combinaties waren 1 hero ne en stimulantia 2 alcohol amp hero ne 3 alcohol amp medicatie 4 GHB
303. ous Points Focaux au d veloppement de m thodologies et assure la diss mination des informations la fois entre les partenaires belges entre ces derniers et l OEDT Ces organismes sont essentiels dans le cadre du relev des indicateurs chiffr s dans le sud du pays En effet les Sous Points Focaux pour la r gion du Bruxelles Capitale la Communaut fran aise et la Communaut germanophone constituent les principales sources d informations et de donn es chiffr es pour le territoire Avec l enqu te Sentinelles bas e Charleroi ils constituent les principaux organismes producteurs de donn es chiffr es 2 3 1 1 L enqu te Sentinelles Charleroi 182 RAES V LOMBAERT G Jaarverslag 2003EFQM focus op de zorgprocessen Gent De Sleutel 2004 103 183 De Dienst Wetenschappelijk Onderzoek van De Sleutel geeft informatie in het kader van intern en extern beleid ten aanzien van medewerkers die de cli ntenzorg binnen De Sleutel realiseren Zij voeren permanent lopende opdrachten uit en tevens beperkte opdrachten in de tijd MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 109 A G n ralit s L enqu te Sentinelles est op rationnelle Charleroi depuis 1995 Ce syst me d enregistrement recueille les donn es de diff rents centres Il se base sur un monitoring de la population d usagers de produits psychotropes en contact avec le r seau de services d
304. ox 111 A G n ralit s 111 B Concr tement 111 2 3 1 3 Addibru Bruxelles Capitale 111 A G n ralit s 111 B Concr tement 112 2 3 1 4 ASL 112 A G n ralit s 112 B Concr tement 113 Hoofdstuk 3 Handleiding 115 Partie 4 Indicateurs structurels 116 Chapitre 1 M thodologie 117 1 1 L ENTRETIEN QUALITATIF 117 1 2 L ENTRETIEN QUALITATIF DANS LE CADRE DE LA RECHERCHE D INDICATEURS STRUCTURELS 117 1 3 CONSTRUCTION DE LA GRILLE D ENTRETIEN 118 1 3 1 TEXTE D INTRODUCTION 118 1 3 2 DESCRIPTION PREALABLE 119 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 1 3 3 C UR DU GUIDE D ENTRETIEN 119 1 4 SITUATION D ENTRETIEN 120 1 5 TRAITEMENT DES INFORMATIONS RECUEILLIES 120 Chapitre 2 Entretiens r alis s 122 2 1 CHARLEROI 122 2 2 LIEGE 122 2 3 GAND 123 2 4 OSTENDE 123 2 5 CONCLUSION 123 Chapitre 3 Manuel d utilisation 125 3 1 LE MANUEL D UTILISATION EN G N RAL 125 3 2 LE MANUEL D UTILISATION POUR LES INDICATEURS STRUCTURELS 125 Deel 5 Conclusies 126 INLEIDING 126 1 INHOUDELIJKE EVALUATIE VAN DE MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID __ 127 1 1 DE ALGEMENE EVALUATIE VAN DE MONITOR 127 1 2 DE EVALUATIE PER LUIK VAN DE MONITOR 128 1 2 a Stakeholderbevraging 128 1 2 b Fenomeenindicatoren 129 1 2 c Structurele indicatoren 132 1 3 BESLUIT 132 2 PROCESEVALUATIE VAN DE MONITOR INTEGRAAL LOKAAL DRUGBELEID 133 2 1
305. paalde sectoren onmogelijk een hoge of zelfs geen perceptie over kunnen hebben Daarom moet goed afgewogen worden op welke thema s een goede perceptie bestaat en op welke minder Omdat het antwoordgedrag van de respondenten in de vier modules in de pilootsteden een zelfde patroon vertoonde nemen we de resultaten van n van de steden als voorbeeld om het proces van de stakeholderbevraging te beschrijven We kozen voor de resultaten van Oostende omdat het antwoordpatroon in deze stad het meest uitgesproken was en dus het beste kan dienen om de meetproblemen in kaart te brengen Voor de eerste afname van de vragenlijst in Oostende werden voor de eerste module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk zeventien vragenlijsten ingevuld In concreto ging het om tien maatschappelijk werkers twee respondenten uit de geestelijke gezondheidszorg een arts hoofdverpleegkundige een psychiatrisch verpleegkundige en een klinisch psycholoog uit de psychiatrische afdeling van het Algemeen Ziekenhuis en een apotheker Binnen de module preventie werd de vragenlijst ingevuld door de preventie ambtenaar een preventiewerker de interne evaluator de drugsco rdinator de co rdinator uitgaansbeleid en de bevoegde Schepen Voor de module drug hulverlening vulde de directeur en een personeelslid van het medisch sociaal opvangcentrum en een ervaringsdeskundige de vragenlijst in Ten slotte werd de lijst voor de module veiligheid ingevuld door het die
306. personnes ressources se d roule par la passation de questionnaires Le choix des questions est d termin dans la mesure o l information en rapport avec les volutions du ph nom ne ne peuvent tre trouv es par l information chiffr e issues des syst mes d enregistrement existants Pour rendre possible un traitement simple et rapide des questionnaires nous avons privil gi autant que possible les questions ferm es et nous avons limit le nombre de questions Les questions qui figurent dans le questionnaire sont reprises sous les quatre th mes suivants consommation de drogues profil des consommateurs de drogues cons quences du ph nom ne de drogues et actions envers le ph nom ne de drogues Des informations importantes suppl mentaires peuvent tre galement re ues de la consultation des consommateurs de drogues eux m mes Dans la seconde partie du moniteur ont t r colt es des donn es statistiques et des chiffres issus des syst mes d enregistrement Les indicateurs de ph nom nes constituent une contextualisation de la premi re partie du Moniteur et peuvent donner une id e des volutions et des changements profonds ainsi que l ampleur du ph nom ne de drogues Les indicateurs de ph nom ne sont r partis en quatre modules la politique de sant et de bien tre g n ral la politique de pr vention l aide sociale et la s curit Pour chacun de ces modules sont repris le
307. pl t le questionnaire lors de la premi re passation C est le cas notamment pour le centre de d pistage des maladies sexuellement transmissibles un pharmacien un professionnel de la justice un coordinateur d un centre d h bergement un repr sentant des commer ants de la ville de Charleroi un membre du pool Stup fiants de la police locale des professionnels travaillant dans le cadre des contrats de s curit et de pr vention Les nouveaux r pondants se r partissent galement dans les diff rents modules cibl s le service de m diation communale certains gestionnaires dans l ASBL Gestion Centre ville plusieurs coordinateurs de centres de cure post cure et de sant mentale des centres PMS d tablissements d enseignement secondaire des acteurs de centre d accueil pour consommateurs de drogues un chercheur la cellule Recherche et concertation Pour les 23 questionnaires r ceptionn s la r partition entre les diff rents modules est la suivante Module 1 Bien tre g n ral et sant 2 Module 2 Pr vention 7 Module 3 Assistance 6 Module 4 S curit 8 3 2 1 4 Evaluation Durant les deux semaines de passation l quipe de recherche a re u de nombreux coups de fils d intervenants de terrain qui taient quelque peu d contenanc s par le sujet de recherche et leur implication C est le cas notamment des intervenants communaux dans Pam nagement
308. plis lors de la premi re passation le module secteur du bien tre g n ral et sant 17 2e module pr vention 6 3e module secteur de l aide en mati re de drogues 3 4e module s curit 4 Avec le tableau ci dessous nous voulons dresser une image des non r ponses concernant les diff rents sous th mes du questionnaire Le pourcentage qui est donn est le nombre total de questions qui n ont pas eu de r ponse Le pourcentage concerne tous les r pondants pour chacun des modules Tableau Nombre total de non r ponses pour tous les r pondants par module en pour toutes les modalit s de r ponses par sous th mes Premi re passation Ostende 1 Consommation de drogues 9 9 0 0 0 0 0 0 5 6 I 2 Profil des consommateurs 23 5 0 0 13 3 0 0 14 6 R pour la sant 26 5 11 1 5 5 20 8 20 5 H 2 Nuisances l ordre public 68 6 83 3 55 5 16 6 63 3 3 Nuisances criminelles 65 4 83 3 55 5 16 6 62 5 1 Actions pr vention 17 6 38 9 0 0 25 0 21 1 2 Actions Aide et assistance 21 6 33 3 0 0 16 6 21 1 MI 3 Actions Justice Police 27 5 33 3 0 0 16 6 24 4 ue se et 23 3 5 3 8 9 0 0 8 3 22 2 Total gt 31 5 35 8 14 4 13 4 28 3 Nous allons ici passer en revue chaque th me en fonction des non r ponses par sous th me ainsi que par module Nous examinerons ensuite si malgr les non r ponses nous pouvons construire une vue d ensemble du ph nom ne par les
309. questionnaire nous avons v cu cette r ticence par rapport notamment la terminologie nuisances La relation tablie a priori entre la notion de nuisances et celle de responsabilit a t tr s mal ressentie par une majorit des personnes ressources auxquelles il a t demand de r pondre au questionnaire Par ailleurs d autres r pondants ont d clar que le questionnaire reposait sur des repr sentations pr tablies auxquels les r pondants n ont d autres choix que de se soumettre D autre part le vocabulaire utilis n est pas explicite ni univoque En effet de nombreuses notions sont comprises dans des sens divers par les intervenants ce qui posera de nombreux probl me pour l analyse et la pertinence de l information r colt e Ces remarques ont t analys es et dans la mesure du possible prises en compte par l quipe de recherche Elles ont d ailleurs permis la transformation du questionnaire et l laboration de sa version d finitive 76 Les tapes de la transformation du questionnaire sont d crites de p 28 p 45 de ce rapport MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 40 1 6 CONDITIONS DE PASSATION DU QUESTIONNAIRE Un questionnaire peut faire l objet d une passation en face face administration indirecte par entretien t l phonique ou en administration directe en auto passation Dans le ca
310. r cisez Dans le questionnaire pr c dent une distinction est r alis e entre la consommation r cr ative et la consommation probl matique de drogues Dans le questionnaire actuel une distinction est encore une fois tablie mais cette fois entre d une part la consommation probl matique de drogues et d autre part la consommation non probl matique de drogue Partant de la d finition de la Consommation probl matique de drogues qui est reprise dans la Note Politique F d rale sur la Drogue il nous a sembl plus clair de se placer dans la d finition plus large de la consommation non probl matique d autant plus qu il n existe dans la litt rature scientifique pas vraiment d unanimit propos de la correspondance entre les notions de Consommation r cr ative et Consommation non probl matique La d finition de consommation r cr ative de drogues n est pas toujours d finie de la m me fa on En effet dans le Nederlandse Drug Monitor l usage r cr atif est d crit comme une consommation d une substance g n ralement durant les temps libres par laquelle le consommateur profite du produit sans qu il soit question d une consommation probl matique Le EMCDDA d finit son tour la consommation r cr ative comme la consommation d une substance psycho active qui procure du plaisir l occasion des sorties Cette d finition est compl t e par un certain
311. r le ph nom ne de drogues sur son territoire La mise en place du Moniteur MILD ne peut s improviser Comme nous l avons compris tout au long du processus de recherche En effet le relev d indicateurs chiffr s tout comme la r alisation d un entretien dans le cadre de la recherche des indicateurs structurels que la passation du questionnaire sont des tapes comme en atteste la m thodologie utilis e qui doivent respecter certains principes Afin de faciliter et de guider la mise en place de cet outil dans le futur l quipe de recherche a r alis un guide d utilisation pour le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues Ce guide d utilisation accompagnera automatiquement le Moniteur MILD et permettra l intervenant qui prendra en charge la mise en place du processus de comprendre et d appliquer la marche suivre Le guide d utilisation qui accompagne le Moniteur de 15 Dans une ville ou une commune o une Coordination en mati re des Drogues est mise en place ou plus largement un Contrat de S curit et de Pr vention est mis en uvre l initiative peut tre prise par les instances de d cision du contrat de s curit et de pr vention de la ville ou de la commune ou bien plus pr cis ment par la Coordination en mati re des Drogues de la ville ou de la commune impliqu e Dans les autres cas l initiative pourrait tre prise par les autorit s communales MILD Monitor Integraal Lok
312. r thema de non respons per subthema en ook per module We bekijken of ondanks de non respons een goed zicht bestond op de bevraagde gegevens na de eerste afname Thema I Aan de non respons in Subthema I 1 Druggebruik is te zien dat de stakeholders uit alle modules hierover een hoge perceptie hebben de gemiddelde non respons voor dit thema bedraagt slechts 5 6 enkel in de module Algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk was sprake van non respons Subthema 1 2 Profiel druggebruikers wordt door de respondenten uit alle sectoren voldoende gepercipieerd De stakeholders uit de modules preventie en veiligheid hebben de hoogste perceptie wat niet onlogisch is omdat het deze modules zijn die preventief moeten optreden tegenover druggebruik in het afgebakende gebied Het spreekt dan ook voor zich dat zij het best zicht hebben op de kenmerken van de gebruikers Thema I Subthema II 1 Gevolgen voor volksgezondheid kent een goede perceptie bij de respondenten in alle modules Doordat in de eerste module heel wat respondenten zitten uit niet drugspecifieke diensten voornamelijk binnen het Algemeen welzijnswerk verklaart dit de iets hogere non respons voor die module Uiteraard zijn ook de respondenten uit de module veiligheid in hun dagelijks werk minder betrokken bij de problematiek rond volksgezondheid De subthema s I 2 Openbare orde overlast en 1 3 Criminele overlast zijn blijkbaar onbekend terrein voor de stakeholders uit de eerste drie modul
313. r tous les r pondants dans un souci de comparaison Utiliser dans les questions un certain nombre de concepts sp cifiques ou un vocabulaire technique peu compr hensible par les enqu t s est un risque d jouer dans la construction d un questionnaire On reproche aussi souvent un questionnaire de poser des questions qui n ont de sens que dans le cadre d une certaine id ologie L utilisation de pr suppos s implicites peut tre une m thode de manipulation volontaire ou involontaire Par ailleurs il faut viter qu une m me r ponse puisse tre donn e pour des raisons trop diff rentes mais galement que la question contienne deux id es diff rentes et donc que la r ponse puisse correspondre l avis du r pondant par rapport au premier terme de la question ou au second terme Enfin il faut tout prix viter les termes charg s d affectivit de jugements de valeur de connotations diverses qui modifient le sens de la question et donc des r ponses Il convient d viter certains mots qui provoquent des r actions de d fense parce qu ils sont charg s en raison de leur connotation n gative De toute fa on si certains biais peuvent tre limin s les connotations positives ou n gatives des termes employ s ne sont jamais enti rement cart es Il est plus important de prendre conscience des biais de les contr ler que d essayer de les liminer compl tement Lors de la premi re passation du
314. raal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 175 gt Au moment de la r flexion finale entre le coordinateur MILD et les responsables sectoriels le rapport du focus group est discut de m me que les dossiers qui reprennent les indicateurs de ph nom ne et les indicateurs structurels Ainsi toutes les donn es peuvent tre contextualis es et il est alors possible de discuter plus pr cis ment des probl mes ventuels et de la fa on dont la politique locale peut r agir en cons quence gt Sur base de ce moment de r flexion entre les responsables sectoriels et le coordinateur MILD le coordinateur MILD r dige un rapport final MILD dans lequel l enti ret des r sultats et les probl mes signal s sont d crits Le rapport final est discut par le coordinateur MILD avec les autorit s locales et toutes les personnes ressources gt Une application nationale du Moniteur dans toutes les villes et communes qui disposent d un Contrat de s curit et de soci t est indiqu dans le sens o la passation du Moniteur est un stimulant pour une communication et une collaboration locales ce qui est une condition n cessaire si l on veut atteindre une politique en mati re de drogues multidisciplinaire et int grale MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 176 Bibliographie __BEAUD S WEBER F Guide de
315. re de Drogues 29 1 3 3 VUE D ENSEMBLE SCHEMATIQUE DU MONITEUR ETAPES SOURCES D INFORMATION qui quoi METHODE OBJECTIF FINALITE Comment Quoi Pourquoi PUBLIC CIBLE pour qui INTERVIEWS DE Entretiens qualitatifs Collecte PERSONNES portant sur le sentiment d information Z lm Personnes clefs uestionnaire nl RESSOURCES ee Q subjectif des personnes donn es non az interrog es chiffr es aa Apercu des INDICATEURS aa Consultation de Analyse Collecte de donn es Re 3 Rire NE volutions et CHIFFRES gt bases de donn es chiffr e quantitatives O des tendances p En J O Coordinateur Mise en place INDICATEURS R ne As drogues ou Interviews Contexte structurel de la politique STRUCTURELS cs Rep ee ek fonction similaire int gr e PILIERS DE LA POLITIQUE INTEGREE BIEN ETRE GENERAL ET SANTE module 1 PR VENTION SECTEUR DE L AIDE S CURIT module 2 module 3 module 4 INTERVIEWS DE Travail de rue Service communal Police PERSONNES C P AS de pr vention Aide aux usagers Parquet RESSOURCES M decins Travailleurs de de drogues Maisons de Justice M diateur pr vention Avocats communal Eurotox Administration C P A S LN S Statistiques des services de INDICATEURS m diation CHIFFRES Registratie G G Z Police Statistiques Parquet existant dans le Moniteur de domaine s curit Logement Gi
316. rement c Indicateurs structurels Une interview avec le coordinateur en mati re de drogues ou fonction assimil e permet de rechercher les indicateurs structurels la politique locale mise en place Elle n a t r alis e que lors de la premi re passation et non pour la seconde La raison expliquant cela est que la politique en mati re de drogues et les t ches du coordinateur en mati re de drogues sont n goci es et fix es annuellement dans le cadre des Contrats de s curit et de soci t et par cons quent une interview semestrielle n a pas de sens Pour rendre possible la mise en place d une interview dans le cadre du Moniteur un guide d entretien disponible dans le manuel d utilisation du Moniteur permet de poser des questions de mani re sens e propos des trois notions clefs pour une politique en mati re de drogues locale et int gr e En effet il est n cessaire de suivre scrupuleusement la grille d entretien avec l aide de la grille d entretien tous les items essentiels sont tre abord s dans l entretien Mener cette interview c est comme enfoncer une porte ouverte dans les villes o il est d j question d une politique int gr e locale en mati re de drogues Aux questions portant sur les trois notions clefs il est rapidement possible de recueillir une r ponse l aide des documents li s la politique men e disponibles L interview peut tre par contre int ressante dans ce
317. remi re passation du questionnaire l analyse des r sultats obtenus a montr que la notion de lieux o se situent principalement les formes de nuisances tait comprise de fa on tr s diff rente selon les r pondants elles portaient tant sur des quartiers pr cis de la ville tels que rue x ou place y que sur des lieux g n riques tels que les abords des coles les espaces verts les lieux retir s etc Cette multiplicit de formes de r ponses tait un obstacle l analyse des r sultats et la comparaison des r ponses Pour permettre une plus grande homog n it dans la forme des r ponses apport es il a t d cid pour aborder cette notion d utiliser une carte de la ville sur laquelle porte l analyse Le r pondant a alors sa disposition deux cartes du centre de la ville sur lesquelles il a pour t che d inscrire o les diff rentes nuisances publiques et nuisances criminelles sont per ues Voici titre d exemple la question portant sur l endroit o les diff rentes nuisances publiques li es aux drogues r pertori es dans la liste Question 25 Gr ce au plan de la ville qui vous a t fourni avec le questionnaire pourriez vous pour chaque nuisance publique li e aux drogues r pertori e dans cette liste noter sur la carte quel endroit vous les percevez principalement Veuillez cocher sur la carte en indiquant le chiffre de la nuisance publique qui figure devant
318. respondenten gaven geen verdere verklaring voor hun eventuele keuze zeven respondenten die niets invulden zeven respondenten die wel een antwoord gaven 4 1 2 4 Evaluatie Stakeholders Van de zesendertig sleutelfiguren die de vragenlijst zouden invullen hebben er uiteindelijk dertig respondenten dit gedaan B Opmerkelijke resultaten Ook in Oostende ligt het antwoorden op de open vragen iets moeilijker Hierbij kan aan dezelfde redenen gedacht worden als voor Gent Het feit dat net zoals in Gent heel wat stakeholders nog andere mogelijkheden voor poly druggebruik aanreikten bij vraag 7b en dat er nog een respondent is die aangeeft dat het zelfs om meer dan twee middelen kan gaan bevestigt de denkwijze bij de evaluatie van Gent dat poly druggebruik enorm divers is en dat er een veelheid aan mogelijkheden zijn Het lijkt echter niet haalbaar om alle plausibele mogelijkheden in een vragenlijst op te nemen Een deel van de sleutelfiguren vindt het niet evident om voor vraag 11 een onderscheid te maken volgens nationaliteit bij de druggebruikers in hun stad Aangezien de respons in Gent bij deze vraag wel hoger lag is de non respons wellicht niet te wijten aan de formulering of wijze van bevragen van dit onderwerp 147 Zie supra 4 1 1 4 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 81 Ook in Oostende rijzen er problemen bij het antwoorden op vraag 17 en 18 in
319. riabelen die op heden gemeten worden voor de VRM zijn Betrokken centrum Opleiding Inkomsten Beroep Leefsituatie Geslacht Leeftijdsgroep Eerste gebruik product 1 product 2 product 3 Frequentie product 1 product 2 product 3 Toediening product 1 product 2 product 3 2 2 3 2 Vlaamse Vereniging van Behandelingscentra Verslaafdenzorg VVBV A Algemeen De Vlaamse Vereniging Behandelingscentra Verslaafdenzorg is een vzw die zich sinds 1988 engageert voor het systematisch verzamelen van gegevens over druggebruikers in de aangesloten centra Een aantal van deze centra namen het initiatief om een registratiesysteem uit te bouwen Aanvankelijk gebeurde de registratie van cli ntgegevens voornamelijk op manuele wijze en dit initiatief was bekend onder de naam VLIS DC Vlaams Informatiesysteem Drugvrije centra Vanaf 1998 wordt de registratie geautomatiseerd via het computerprogramma DARTS wat staat voor Drug Aid Registration System Met behulp van dit systeem is men in staat om een anonieme en gestandardiseerde output te leveren voor de VVBV registratie de registratie voor het Europees Drugobservatorium en voor de VAD Vlaamse Gemeenschap Daarnaast kunnen de centra die aan de registratie meewerken via zelf te bepalen tabellen vragen beantwoorden over het eigen beleid De centra die zijn aangesloten bij het VVBV en ook partner zijn in het registratiesysteem zijn allen centra die beschikken
320. rklaring voor hun eventuele antwoord op deze vraag waarbij drie respondenten specifiek aangeven geen mening hierover te hebben of te weinig zicht op preventie te hebben om hierover uitspraken te doen Ook naar aanleiding van vraag 26 waarbij een eventueel andere aanpak van de hulpverlening gesuggereerd wordt zijn er tien respondenten die hierover geen uitspraak doen Bij de verklaring die werd gevraagd bij een eventueel andere aanpak geven twaalf respondenten geen antwoord waarvan een respondent zelf geen mening aangeeft Van deze twaalf gaat het om acht stakeholders die ook geen uitspraak deden over deze vraag vier respondenten die zich hierover wel uitspraken gaven geen verdere verklaring hiervoor De mogelijkheid tot een eventueel andere aanpak door politie justitie bij vraag 30 werd eveneens gekenmerkt door een hoge graad van non respons Elf respondenten formuleerden hierover geen antwoord Bij de verklaringen voor hun keuze zijn er vijftien sleutelfiguren die hierover niets opgeschreven hebben het gaat om elf respondenten die geen keuze aangaven en vier respondenten die dit wel deden Van deze vier noteerden twee respondenten ofwel geen zicht op ofwel onvoldoende kennis van de diensten om daarover te oordelen Tenslotte kan ook bij vraag 34 waarbij naar een eventueel andere aanpak van het overleg en de samenwerking gepeild werd hetzelfde stramien worden aangehaald acht respondenten lieten deze vraag open veertien
321. rocessus En effet les r sultats obtenus ne peuvent par faire l objet d une publication dans la mesure o ils ont avant tout servi un processus de construction d un outil et que les r sultats obtenus ne peuvent dans le cadre d un outil provisoire tre valid s 3 1 PREMIERE PASSATION La premi re passation s est effectu e pour les villes pilotes dans le courant du mois de mai 2005 et la seconde dans le courant du mois de novembre 2005 Il est noter qu une seule passation a t r alis e Li ge En effet en Wallonie des probl mes li s tant la recherche qu la construction du questionnaire ont t enregistr s Charleroi ville dans laquelle l quipe de recherche avait commenc la passation du questionnaire Ces difficult s auraient in vitablement surgi Li ge Il a donc t d cid de 123 R HARTNOLL V M HENDRIKS M MORRIVAL o c 5 en 17 18 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 61 suspendre la passation du questionnaire Li ge r gler les difficult s rencontr es avant de relancer le processus de passation 3 1 1 CHARLEROI 3 1 1 1 Proc dure A Charleroi les d marches entreprises ont t les suivantes Un rendez vous a tout d abord t pris avec le Coordinateur Drogue de Charleroi afin de lui remettre le questionnaire et lui expliquer le contexte g n ral de la recherche Le Coordinateur a
322. rogues 113 germanophone Une tude a galement t r alis e en 2001 par l ASL aupr s des l ves des coles de la r gion en ce qui concerne la pr vention MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 114 Hoofdstuk 3 Handleiding Het uitwerken van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid heeft als finaliteit het aanleveren van een instrument dat door steden en gemeenten zelf kan worden gehanteerd en toegepast voor het door hen in kaart te brengen lokale drugfenomeen Zodoende is het voor de steden en gemeenten belangrijk niet alleen over het instrument an sich te beschikken maar ook over een handleiding of gebruiksaanwijzing De handleiding die in bijlage te vinden is moet de betrokken partijen in staat stellen op een effici nte manier over de gewenste fenomeenindicatoren te beschikken De handleiding voor de fenomeenindicatoren geeft een aantal roosters weer met voor elk i f Lo 198 registratiesysteem een overzicht met volgende indicatoren _Gegevensbron Soort gegevens Niveau Betrouwbaarheid Toegankelijkheid Beschikbaarheid Ontbrekende data Leeftijd Historische beschikbaarheid Contactpersoon Overzicht gegevens In het deel dat hierna volgt bespreken we het derde en ook laatste grote deel van de Monitor de structurele indicatoren Deze indicatoren moeten het nog beter mogelijk maken een zo goed mogelijke evaluatie te ho
323. rrivons un pourcentage de 39 7 Cela signifie qu environ 40 des r pondants donne une vision confuse par rapport certains aspects du ph nom ne de drogues Cependant nous devons formuler ici une nuance n cessaire le fait que le taux de perception lors de la premi re passation tait plus lev 28 3 de non r ponses contre 18 4 de non r ponse et 21 3 de sans avis ensemble 39 7 ne signifie pas n cessairement que nous produisons une vision plus fine propos des diff rents th mes Par le fait que la premi re passation la modalit de r ponse sans avis n tait pas pr vue les personnes ressources taient en quelque sorte oblig es de donner une r ponse Par les feedbacks r alis s avec les personnes ressources il ressort qu elles ont donn une r ponse certaines questions sans pour autant avoir l impression d mettre une perception satisfaisante l dessus Comme ces acteurs pouvaient lors de la seconde passation cocher la case sans avis nous pouvons affirmer avec certitude MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 164 qu au moment o une r ponse est donn e la perception est consid r e par la personne ressource qui la donne comme satisfaisante Une autre constatation importante est que malgr l ajout de la modalit de r ponses sans avis l ensemble des sous th mes connaissent un
324. rs donnent un aper u des volutions et changements dans la nature et l ampleur du ph nom ne de la toxicomanie gr ce des chiffres extraits de bases statistiques La d marche est donc ici de partir de donn es chiffr es disponibles Le troisi me volet du Moniteur concerne les indicateurs structurels pour la politique locale Comme le nom l indique ceux ci englobent les conditions n cessaires l tablissement d une politique int gr e en mati re de drogues Ces l ments sont r colt s par la tenue d un entretien qualitatif avec une personne membre du r seau potentiel de professionnels Ce guide d utilisation accompagnera automatiquement le Moniteur MILD et permettra Pintervenant qui prendra en charge la mise en place du processus de comprendre et d appliquer la marche suivre Le guide d utilisation qui accompagne le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues pourra galement aider les professionnels et personnes ressources qui vont tre amen s r pondre au questionnaire MILD 3 2 LE MANUEL D UTILISATION POUR LES INDICATEURS STRUCTURELS Dans la partie du guide d utilisation consacr e aux relev s d indicateurs structurels par la technique de l interview plusieurs points doivent de prime abord tre pr cis pour le futur Coordinateur MILD Dans ce manuel d utilisation sont abord s la fa on de mettre au point un entretien qualitatif la mani re d utiliser la
325. ruimere overlastproblematiek Drugoverlast is er nauwelijks van te onderscheiden Daarnaast zijn er drugprojecten die op geen enkele manier vertrekken vanuit een drug overlastdoelstelling maar waarbij door de actoren wel een effect op drugoverlast wordt verondersteld Zo werden de spuitenruilprogramma s expliciet opgestart vanuit een gezondheidsperspectief wat niet wegneemt dat ze eveneens indirect impact lijken te hebben op overlast bijvoorbeeld via het voorkomen van zwerfspuiten Het secundaire karakter of het ontbreken van drugoverlast als doelstelling heeft tot gevolg dat er doorgaans weinig aandacht besteed wordt aan evaluatie met betrekking tot deze doelstelling Door de plaats die drugoverlast krijgt binnen het doelstellingenkader is het moeilijk om het als aparte doelstelling te isoleren en als dusdanig te evalueren Ten tweede blijkt in de praktijk geen impact of effectevaluatie voorhanden te zijn wat betreft drugoverlast als doelstelling Deze tweede vaststelling heeft als gevolg dat het onmogelijk is om succesfactoren voor de aanpak van drugoverlast op projectniveau te isoleren Een mogelijke reactie op deze twee vaststellingen zou er uit kunnen bestaan te opteren voor het ontwikkelen van projecten waarbij drugoverlast als effectieve doelstelling centraal wordt gesteld Deze keuze is echter geen optie aangezien ze lijnrecht ingaat tegen de resultaten van het onderzoek van de onderzoeksgroepen onder leiding van de profess
326. s chiffres issus des syst mes d enregistrement et les donn es statistiques qui sont pr sentes au sein du module Pour le module Politique de sant et de bien tre g n ral il a t pens avant tout aux enregistrements VALSTROV aux donn es psychiatriques minimales Pour le module concernant la Politique de pr vention on peut consulter la Ginger registratie VAD En ce qui concerne le module de l aide sociale on doit tenir compte des syst mes d enregistrement de l aide ambulatoire des syst mes d enregistrement de l aide r sidentielle syst mes d enregistrement des centres de crise et des soins de sant g n raux En Belgique on distingue douze syst mes d enregistrement primaires et deux syst mes de coordination qui Les questions portant sur le th me de la consommation de drogues sont r parties comme suit 1 consommation de drogues en g n ral 2 consommation non probl matique et 3 poly consommation Les questions portant sur le th me profil des consommateurs de drogues se r partissent selon les th mes suivants 4 caract ristiques sociod mographiques et 5 volution des profils Les questions portant sur le th me cons quences du ph nom ne de drogues sont r parties comme suit 6 cons quences sur la sant publique 7 nuisances l ordre public et 8 nuisances criminelles 7 Les questions portant sur le th me actions envers le ph nom ne de drogues ont un lie
327. s de la passation en face face le questionnaire est rempli par l enqu teur au cours d un t te t te avec le sujet L entretien en face face constitue une relation interpersonnelle sp cifique se d roulant dans un cadre et une situation sociale donn e C est alors le cas d une passation o l enqu teur joue un r le actif l enqu teur note les r ponses que lui fournit le sujet La passation par entretien t l phonique ne peut se prolonger au del d un temps bien inf rieur la dur e acceptable pour un entretien en face face Le nombre de questions que l on peut poser est donc forc ment r duit Par ailleurs outre les probl mes que ce type de passation soul ve en ce qui concerne la disponibilit souvent tr s r duite des r pondants pour un entretien t l phonique il exige galement beaucoup de temps et de disponibilit de l quipe de recherche et peut s av rer en d finitive financi rement tr s co teux Un questionnaire peut galement tre soumis en administration directe et c est alors le sujet qui note lui m me ses r ponses sur le questionnaire Ce mode de passation est pratiqu lorsqu on est certain que les personnes interroger sont capables de s exprimer correctement l aide d un questionnaire et que le questionnaire suscite l int r t des enqu t s Il est dans ce cadre administr par correspondance les questionnaires sont remis aux sujets qui les compl tent eu
328. s lieten elf van de achttien stakeholders deze vraag onbeantwoord Acht respondenten lieten de vraag blanco voor de groep problematische gebruikers In vraag Dl zie supra 4 2 1 1 152 zie supra 4 2 1 2 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 86 16 werd gevraagd naar nieuwe opgedoken groepen binnen de problematische en niet problematische gebruikers Slechts vier respondenten vulden deze vraag in voor de niet problematische gebruikers en slechts vijf voor de groep problematische gebruikers Net zoals in Gent werd op de vragen 17 en 18 over de perceptie van de evolutie van HIV besmettingen hepatitisbesmettingen en sterfgevallen bij druggebruikers gretig gebruik gemaakt van de optie geen mening Dit gebeurde respectievelijk door acht stakeholders voor de HIV besmettingen wederom acht stakeholders voor de hepatitisbesmettingen en door zeven van de achttien stakeholders voor de sterfgevallen Zoals reeds aangegeven voor Gent betreft vraag 19 een aanvulling op evoluties inzake volksgezondheid Hierop antwoordden slechts drie respondenten De vragen 20 tot en met 23 peilden naar de perceptie van verschillende vormen van openbare overlast frequentie van voorkomen tijdstip van voorkomen moment in de week en het algemeen voorkomen Ook op al deze vragen werd tussen de vijf en tien keer afhankelijk van de bevraagde vorm van overlast geen mening aangegeven Net zo
329. s pourront tre exploitables en tant que faits Les chercheurs et les utilisateurs futurs de l outil devront donc rester attentifs ce point lors de l analyse des donn es et de ce fait ne jamais prendre les informations recueillies comme des faits objectifs ou des statistiques pr cises 1 3 QUESTIONS FERMEES ET QUESTIONS OUVERTES La question ferm e est une question pour laquelle les r ponses sont fix es l avance par la personne qui interroge les modalit s de r ponse sont pr d finies par cette personne Le r pondant doit obligatoirement choisir sa r ponse parmi l ventail de r ponses qui lui est pr sent La question est dite ferm e en ce sens qu elle impose la personne interrog e de choisir parmi les r ponses propos es La question ouverte est dite ouverte en ce sens qu elle autorise une multitude de r ponses possibles Si la formulation des questions est bonne on peut obtenir de bonnes informations sur n importe quel sujet Le contenu des r ponses est riche et vari Les questions ouvertes obtiennent des r ponses moins contraintes plus proches de l individu qui les formule En ce sens les r ponses ont une plus grande valeur expressive l individu utilisant ses propres mots Les questions ouvertes sont indispensables pour recueillir des renseignements sur des probl mes d licats sur des mati res sensibles o comptent les nuances d expression La question ouverte est un bon
330. s ressources propos des actions et le fonctionnement du local 1 les actions pr ventives 2 les actions en mati re d aide et d assistance 3 les actions de la Police et de la Justice et 4 les actions de collaboration et de concertation Les perceptions propos de ces diff rentes actions et des diff rentes fa ons possibles de g rer les probl mes que les personnes ressources peuvent sugg rer produisent une valuation possible de la collaboration interne entre les diff rents secteurs Gand par exemple beaucoup de personnes ressources font des suggestions propos d une autre gestion possible dans un certain secteur ou entre les diff rents secteurs Aucun syst me d enregistrement ne peut livrer un tel feedback au niveau local b Les indicateurs chiffr s Dans la seconde partie du Moniteur les donn es statistiques et les chiffres issus des syst mes d enregistrement sont r colt s Les indicateurs de ph nom ne permettent une contextualisation de la premi re partie du Moniteur et peuvent donner une image des volutions et des changements profonds ainsi que de l ampleur du ph nom ne de drogues Les indicateurs de ph nom ne sont scind s en quatre modules sant et bien tre g n ral politique de pr vention le secteur de l aide et enfin la s curit Dans chacun de ces modules les chiffres sont issus d enregistrements et de donn es statistiques qui sont repris dans le module Parce que la pl
331. s votre ville durant la p riode d termin e Veuillez cocher pour chacun des usages propos s la proposition qui correspond le mieux votre avis concernant l volution du nombre de consommateurs de drogues dans votre ville durant la p riode d termin e Le nombre de consommateurs est rest stable Type d usages augment diminu Dans le cadre d un usage non probl matique Dans le cadre d un usage probl matique Question 7 Quelle est votre perception de l volution de la consommation de drogues par consommateur selon l usage qui en est fait dans votre ville pour la p riode d termin e Veuillez cocher pour chacun des usages propos s la proposition qui correspond le mieux votre avis concernant l volution de la consommation par consommateur de drogues dans votre ville durant la p riode d termin e la consommation par consommateur est rest e stable a a 9 Type d usages augment diminu Dans le cadre d un usage non probl matique Dans le cadre d un usage probl matique MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 53 Dernier th me de cette partie du questionnaire la poly consommation de drogues n a pas t abord e de fa on totalement diff rente que dans la premi re version du que
332. sche gegevens Een handleiding werd voorzien Omwille van administratieve moeilijkheden eigen aan de MPG kent de MTG nog steeds geen toepassing tot op heden Deze is nochtans klaar om in gebruik genomen te worden 16 Deze alinea is gebaseerd op informatie uit PELC I CASSELMAN J BERGERET I CORTEN P MEUWISSEN K en NICAISE P Substitutiebehandeling in Belgi Ontwikkelen van een model ter evaluatie van de verschillende types van voorzieningen en van de pati nten Samenvatting van eindverslag 1e fase POD Wetenschapsbeleid november 2003 ULB en KUL 167 BERGERET I DE BACKER V FROM L JOOSTEN J NICAISE P PELC I 1999 Recherche relative l application du RPM aux probl matiques des usagers de drogues dans les tablissements hospitaliers Minist re des Affaires Sociales de la Sant Publique et de l Environnement Bruxelles Zie ook BERGERET I FROM L JOOSTEN MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 98 2 1 2 4 MODULE VEILIGHEID 2 1 2 1 Politionele criminaliteitsstatistieken A Algemeen De politionele criminaliteitsstatistieken zijn de neerslag van alle geregistreerde misdrijven door de Belgische politiediensten De misdrijven die worden weergegeven zijn onderverdeeld in hoofdrubrieken waaronder de rubriek verdovende middelen De gegevens worden gepresenteerd in tabellen met telkens het aantal geregistreerde feiten per maand en h
333. sociale monitor d weg naar integraal sociaal beleid Verslag van de expertmeeting van XS 2 op 16 december 2002 URL http www x s2 nl docs verslag sociale monitor expertmeeting 16 dec _2002 pdf 28 september 2004 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 180 Geraadpleegde websites http www aces uiuc edu http www belspo be http www charleroicentreville com http www desleutel be http www gent be http www health fgov be http www intraval nl http www infor drogues be http www just fgov be http www prospective jeunesse be http www modusvivendi be http www emcdda org http www iph fgov be reitox http www belsoc org assistant as alcool htm http www md ucl ac be entites esp reso resodoc intro htm http www oostende be http www polfed be http www stes apes med ulg ac be presentation htm http www straathoekwerk be http www trimbos nl http www vad be http www ulb ac be promes http www ulb ac be esp promes tech html http www cds irisnet be MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 181 This document was created with Win2PDF available at http www daneprairie com The unregistered version of Win2PDF is for evaluation or non commercial use only
334. srapport voorzien waarbij de resultaten worden weergegeven volgens type stad gemeente per provincie per gewest en per type politiezone Naast deze tabellen is er een lijst voorzien met alle Belgische gemeenten en steden met daarbij het type gemeente en politiezone waaronder zij vallen Wat betreft de twee Vlaamse pilootsteden valt Gent dan onder de gemeentetype grote stad en politiezonetype 1 en Oostende onder de gemeentetype regionale stad en politiezonetype 2 2 2 VLAAMS NIVEAU 2 2 1 1 MODULE ALGEMEEN WELZIJNSWERK EN GEZONDHEIDSWERK 2 2 1 1 Vlaams Straathoekwerk Overleg VLASTROV A Algemeen Het Vlaams Straathoekwerk Overleg verder VLASTROV genoemd is een onderdeel van het Steunpunt Algemeen Welzijnswerk SAW en de koepelorganisatie van het straathoekwerk in Vlaanderen De VLASTROV registratie is een registratiesysteem waar weinig over terug te vinden is Het is dan ook een registratiesysteem dat vooral intern wordt gebruikt Recent werd het systeem op punt gezet en ge nstalleerd in de verschillende ankerpunten van het VLASTROV Deze ankerpunten zijn VOS Oost en West Vlaanderen LISS Limburg en ASTROV Antwerpen De VLASTROV registratie is een cli ntgericht systeem waarbij elke individuele straathoekwerker via een computerprogramma uiteenlopende gegevens over interventies en hulp registreert De registratie zelf gebeurt aan de hand van vier grotere groepen contactfase werkrelatie contacten en levensdomeinen Per
335. ssance du r pondant concernant les nouvelles actions mises en place est d abord test e avant de poser les questions concernant d ventuelles d actions mettre en place 1 2 TYPES DE QUESTIONS On distingue habituellement les questions de fait les questions d opinion et les questions de connaissance La distinction entre questions de fait et questions d opinion n est pas toujours claire En particulier lorsqu il s agit de faits il est important de savoir pr alablement si on s int resse soit aux faits objectifs c est dire tels qu on pourrait les conna tre autrement que par ce qu on nous en dit soit la connaissance ou la repr sentation qu en ont les sujets interrog s Si ce qui nous int resse est une information objective question de fait il est essentiel de fournir au r pondant toutes les aides possibles pour que sa r ponse soit correcte rappel des l ments annexes des incertitudes possibles la r f rence certains documents Par contre quand il s agit de recueillir avant tout des repr sentations on recourra plut t certains recoupements pour s assurer que l objet de la question a t bien compris mais dans ce cas il n y a pas d aide pour la r ponse Les donn es r colt es par le questionnaire de la recherche MILD portent davantage sur les repr sentations des r pondants que sur les faits objectifs Nous ne pouvons donc pas dire que les donn es r colt e
336. stionnaire Une question a toutefois t ajout e concernant l importance de la poly consommation par rapport la consommation d une seule substance et ce pour l usage probl matique et non probl matique Question 11 A votre avis quelle est la place que repr sente le ph nom ne de la poly consommation par rapport la consommation d une seule substance dans votre ville durant la p riode d termin e Veuillez inscrire pour chacun des usages propos s le pourcentage qui correspond le mieux votre avis concernant la r partition entre la consommation d une seule substance et la poly consommation dans votre ville durant la p riode d termin e Consommation Pourcentage de Pourcentage de Pourcentage de Ensemble consommateurs selon la consommation d une la poly de la consommation envisag e seule substance consommation consommation Dans le cadre d un 1 usage non 100 probl matique Dans le cadre d un usage probl matique 2 2 4 TH ME III CONS QUENCES DU PH NOM NE DE DROGUES Ce th me a t modifi radicalement surtout concernant les nuisances publiques et criminelles li es aux drogues Voici les th mes abord s IL 1 Cons quences pour la sant publique II 2 Perturbations de la qualit de vie Nuisances li es aux drogues II 3 Perturbations de la qualit de vie Nuisances criminelles li es aux drogues Nous avons voulu clarifier l
337. stionnaire le travail de modification et le r sultat final La recherche METAN constitue une premi re source utilis e pour la conception du questionnaire Les diff rents th mes qui ont t propos s dans la recherche METAN ont t consid r s comme parties indispensables pour questionner les acteurs de terrain Les th mes qui ont t pingl s sont les suivants 1 Consommation et commerce 2 Profil du consommateur de drogues et 3 Secteur de l assistance En ce qui concerne le premier th me Consommation et commerce la suggestion a t faite de poser des questions qui ont un lien avec les aspects suivants volutions de la consommation de drogues visible volutions dans le commerce visible ou dans les deals de drogues volutions de la polyconsommation volutions de la consommation dans le cadre d un usage probl matique apparition de nouvelles drogues Pour explorer le th me du Profil du consommateur de drogues l int r t a t port aux notions suivantes volutions concernant l ge volutions concernant le sexe r partition par sexe 82 apparition de nouveaux groupes de consommateurs de drogues 7 Voir Annexe Bijlage 2 3 Voir Annexe Bijlage 3 3 PONSAERS P DE RUYVER B PIETERS T VAEREWYCK W VANDER LAENEN F LEMAITRE A MACQUET C en FINCOEUR B o c 109 2 Ibid 110 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Monite
338. suivants contexte de la recherche commanditaire de la recherche pr sentation des quipes de recherche objectif et m thode de travail dans le cadre de la recherche d roulement de l entretien th mes abord s temps imparti 1 3 2 DESCRIPTION PREALABLE Apr s avoir pris ces pr cautions d usage l entretien d bute par une question g n rale sur la fonction qu occupe l interview En effet l entretien comporte g n ralement une s quence descriptive en d but d entretien ce qui permet l interview de se centrer sur son discours En effet lui demander de d crire par exemple une journ e type de travail permet la plupart du temps avant de passer des questions plus pr cises d entrer dans l entretien 1 3 3 Identification de l interview nom et fonction position au sein du service et position du service dans un cadre plus large exp rience dans la fonction actuelle C UR DU GUIDE D ENTRETIEN Si les questions portent sur la situation au moment o l entretien est r alis chaque fois une question est pos e pour chaque concept sur les modifications ou volutions qui seraient survenues durant la p riode entre deux entretiens Coordination est il question de coordination et sous quelle forme comment la coordination est situ e dans le contexte local fonctionnement de la coordination comp tences de la coordination aper u des t ches quotidi
339. t tussen verschillende types centra de ambulante dag centra Medisch Sociale Opvangcentra de residenti le behandelingscentra en de residenti le crisisprogramma s Voor de verschillende types centra worden volgende variabelen beschreven de opnamegegevens aantal weerhouden gegevens en de doorverwijzende instanties de socio demografische gegevens geslachtsverdeling nationaliteit geboorteland gemiddelde leeftijd start behandeling burgerlijke staat verblijfplaats bij opname beroepsniveau inkomenssituatie leefsituatie en hoogste diploma productgegevens voornaamste product toedieningswijze voornaamst product tweede product derde product en ooit ge njecteerd en ten slotte ook de gegevens in verband met de justiti le situatie De intentie van het rapport is om de cijfers opgenomen in de tabellen beschrijvend weer te geven Vergelijkingen tussen de verschillende types centra gebeuren met de nodige voorzichtigheid Voor de verwerking van de gegevens bekomen via Darts en waarover het VVBV beschikt werd nagegaan in hoeverre het mogelijk was deze terug op te splitsen naar het initieel registrerende centrum zodat op die manier enkel die gegevens kunnen worden besproken die relevant zijn voor de twee Vlaamse pilootsteden Concreet betekent dat voor Oostende de registratiegegevens voor het MSOC Voor Gent zijn dat de cijfergegevens afkomstig van het MSOC De Kiem en De Sleutel De cijfergegevens verkregen via de VVBV zijn vo
340. t BORN en collaboration avec le fonctionnaire de pr vention de la Ville de Li ge Madame SCHLITZ 28 HENNEN C LEMAITRE A BORN H en SCHLITZ C o c 69 70 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 46 Dans la premi re version du questionnaire l id e de poser des questions sur les volutions est issue de ce Barom tre A c t des trois cat gories habituelles a diminu est rest stable a augment taient galement ajout es les possibilit s de r ponses nouveau pas consomm sans avis Ces possibilit s compl mentaires avaient pour objectif qu c t d avoir une simple visibilit d une augmentation une diminution ou un statu quo du ph nom ne qu on puisse galement se faire une id e en ce qui concerne les ph nom nes mergents ou simplement l absence du ph nom ne Par ailleurs le Barom tre a galement t une source d inspiration pour les questions du Th me IV Cons quences pour la sant publique Ces questions de la question 48 la question 51 issues du Barom tre toxicomanie ont inspir dans le questionnaire du Moniteur MILD respectivement les questions 14 15 et 16 De plus l inspiration pour les Cons quences pour la population a galement t cherch e dans le Barom tre C est ainsi que la question 57 du questionnaire MILD se base sur les questions de 24 30 du Barom tre
341. t aussi l occasion de prendre un contact direct avec le r pondant afin qu il puisse faire part des difficult s de compr hension et lever certains malentendus 3 2 2 2 Les r pondants au questionnaire Les personnes auxquelles le questionnaire a t envoy occupent les m mes fonctions que celles qui ont t contact es lors de la seconde passation du questionnaire Charleroi En ce qui concerne les professionnels du secteur du Bien tre g n ral et la sant Module 1 les directeurs des tablissements hospitaliers psychiatriques et les d partements psychiatriques des h pitaux g n raux ont t contact s ainsi que les coordinateurs des centre d accueil et centres d coute du consommateur de drogues et ses proches Les centres de sant mentale ont galement fait partie des contacts tout comme le centre de d pistage de maladies sexuellement transmissibles Les f d rations et associations de g n ralistes de m decins et de pharmaciens ont galement re u le questionnaire MILD de m me que les coordinateurs des diff rentes antennes sociales de CPAS de Charleroi Pour le secteur de la Pr vention Module 2 les organismes prenant en charge le travail de rue les centres PMS dans les coles secondaires et les cellules de pr vention dans les coles primaires ont t contact s Nous avons galement pris contact avec les Plannings Familiaux et les organismes de pr vention aupr s des jeunes au sein de m
342. t enfin de la diffuser aux autorit s locales r gionales et communautaires Au sein de la Communaut fran aise il s agit de mettre en place un syst me de Monitoring ad quat bas e notamment sur la collecte d informations et de donn es via les intervenants confront s la probl matique des assu tudes les centres de sant mentale L activit de recueil de donn es repose alors sur un partenariat large et diversifi avec les diff rents intervenants concern s par des situations d usages probl matiques de drogues incluant notamment les Centres Locaux de Promotion de la Sant et les chercheurs des universit s En somme Eurotox s occupe du traitement des donn es r colt s aupr s des intervenants ainsi que de la r daction d un rapport final ce qui permet de diffuser l information la plus compl te possible aux acteurs de terrain et de d velopper des recommandations destin es aux d cideurs politiques Les donn es diffus es par Eurotox sont de nature pid miologique L organisme r alise galement la r colte de donn es concernant les programmes de pr vention de r duction des risques et th rapeutiques destin s aux usagers de drogues en Communaut Fran aise Dans le cadre de son r le en tant que Sous Point Focal repr sentant la Communaut fran aise sa mission est de recueillir les donn es qualitatives et quantitatives relatives au ph nom ne des drogues et de les fournir au Point Focal belge Da
343. t problematische en problematische gebruikers kende net zoals in Gent voor vraag 16 enige problemen Ook in Oostende werden deze vragen vaak open gelaten en ook iets meer voor de groep niet problematische gebruikers Mogelijke verklaring hiervoor kan net zoals in Gent zijn dat gezien de takenpakketten binnen de verschillen beroepsfuncties van de stakeholders een adequate perceptie van de groep niet problematische gebruikers niet evident is Ook in Oostende bleek er voor de aanvullende vragen rond volksgezondheid openbare overlast en criminele overlast een zeer hoge non respons te zijn 19 24 en 30 Gezien de bedoeling van deze vragen kan dit zoals reeds geopperd geen probleem zijn Ondanks het feit dat de vormen van openbare overlast en criminele overlast respectievelijk door zes en zeven Oostendse stakeholders niet werden aangeduid op het stadsplannetje bij vraag 25 en 31 verliep het invullen van deze kaartjes beduidend beter dan in Gent De mogelijke verklaringen hiervoor kunnen zoals reeds gesuggereerd voor Gent zijn dat de geringere omvang van de Stad Oostende hier een rol speelt zodat de perceptie mogelijkerwijs gemakkelijker verloopt anderzijds kan vermeld worden dat gezien deze geringere omvang het ook eenvoudiger was om een gedetailleerde kaart van Oostende in de vragenlijst te integreren MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 88 Chapitre 5 Consommateurs de dro
344. t registratiesysteem Tellus is een cli ntregistratie Dit houdt in dat men de gegevens registreert bij het begin en het einde van een hulpverlening Gezien het registratiesysteem nog in zijn beginfase zit is er nog geen sprake van een opvolgings of dossierregistratie Er zal evenwel in de toekomst onderzocht worden of het haalbaar is om het systeem kan evolueren tot een dossiersysteem of cli ntvolgsysteem Momenteel worden de gegevens afkomstig uit dit Tellus registratiesysteem voornamelijk gebruikt om de werking van de verschillende CAW s te evalueren en bij te sturen Hiertoe is er binnen elk CAW een registratieverantwoordelijke Deze co rdineert de registratie binnen het CAW en is afgevaardigde van dit CAW in de Werkgroep Registratie van het Steunpunt MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 102 B Concreet Het registratiesysteem Tellus is het registratiesysteem van de 27 autonome CAW s die samen beschikken over 308 deelwerkingen en ongeveer 270 vestigingsplaatsen Met het registratiesysteem wordt in alle CAW gebruikt en toegepast en de gegevens hiervan stromen door naar het SAW Op basis daarvan maakt het SAW standaardrapporten op en momenteel zijn dit sectoroverzicht autonoom algemeen welzijnswerk rapport per werksoort en rapport per CAW en per deelwerking Binnen deze rapporten wordt telkens een onderscheid gemaakt tussen leeftijd en geslacht Voorlopig
345. taux tr s lev de non r ponse et un taux tr s bas de r ponses sans avis II 2 Evolutions dans le profil IV 1 Actions pr ventives IV 2 Actions en mati re de soins et d assistance IV 3 Actions de la Police et de la Justice en IV 4 Actions de concertation et de collaboration L explication ici r side dans le fait que ces sous th mes sont caract ris s par la r colte d informations l aide de questions ouvertes Dans une large part de la litt rature m thodologique il est aussi signal que les questions ouvertes sont beaucoup plus sujettes aux non r ponses que les questions ferm es A Paide de ces r sultats g n raux issus de la seconde passation nous pr sentons que la vision propos des diff rents aspects est troubl e par les non r ponses aux questions ouvertes et par les r ponses fr quentes la modalit de r ponse sans avis En d finitive nous ne pouvons pas conclure que nous r coltons une vision moins int ressante de la situation que lors de la premi re passation Dans le prolongement de ces r sultats g n raux de la seconde consultation des personnes ressources une importante recommandation peut tre formul e En ce qui concerne les informations qui restent cach es par les non r ponses aux questions ouvertes et par l usage fr quent de la modalit de r ponse sans avis les r sultats doivent tre discut s dans un focus group De cette mani re le coor
346. te deel van de monitor bestaat uit het verzamelen van kwalitatieve gegevens omtrent het drugoverlastfenomeen Deze gegevens worden systematisch verzameld via een vragenlijst die wordt voorgelegd aan actoren die nauw betrokken zijn bij het fenomeen Deze stakeholders of sleutelfiguren hebben via hun werk hun positie of vanuit persoonlijke ervaringen actuele kennis over het drugfenomeen De doelstelling van deze bevraging is een periodiek overzicht te krijgen van tendensen in de evolutie van drugoverlastfenomenen De bevraging van de stakeholders gebeurt via het afnemen van vragenlijsten De keuze van de vragen wordt bepaald door de mate waarin informatie met betrekking tot de evoluties in het fenomeen niet terug te vinden zijn in de bestaande registraties Om een snelle en eenvoudige verwerking van de vragenlijsten mogelijk te maken wordt zoveel mogelijk met gesloten vragen gewerkt en wordt het aantal vragen beperkt De vragen die in de vragenlijst zullen worden opgenomen zullen onder te brengen zijn onder volgende vier thema s druggebruik profiel van druggebruikers gevolgen van het drugfenomeen en acties t a v het drugfenomeen Belangrijke aanvullende informatie kan worden verkregen door de bevraging van de druggebruikers zelf In het tweede deel van de monitor worden statistische gegevens en cijfers uit registraties verzameld De fenomeenindicatoren zijn een contextualisering van het eerste deel van de monitor e
347. te noteren Het is in die optiek het vermelden waard dat het niet evident is een volledig gedetailleerde kaart van een grootstad als Gent te implementeren in een vragenlijst 150 SCHUMAN H PRESSER S o c 116 122 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 85 Net zoals bij de eerste afname van de vragenlijst was er een grote non respons wat betreft de vragen die vroegen naar een eventueel andere aanpak van de preventieve acties hulpverlening politionele justiti le acties en samenwerking amp overleg met name vraag 35 39 43 en 47 Mogelijke verklaringen hiervoor haalden we reeds aan bij de eerste afname 4 2 2 OOSTENDE 4 2 2 1 Procedure 4 2 2 2 Respondenten 4 2 2 3 Resultaten A Stakeholders Bij de eerste afname werden 25 mogelijke stakeholders gecontacteerd Uiteindelijk werden er meer vragenlijsten ingevuld dan er oorspronkelijk respondenten werden gecontacteerd Bij de tweede afname was dit niet het geval we ontvingen uiteindelijk 18 ingevulde vragenlijsten Dit verandert ook de verdeling per module van ingevulde vragenlijsten na de tweede afname 1 module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk 7 10 2 module preventie 5 1 3 module drug hulpverlening 3 4 module veiligheid 3 1 B Opmerkelijke resultaten Net zoals in Gent werd bij de vragen 1 tot en met 5 heel vaak de optie geen mening aangekruist
348. te of Public Health 2003 IPH EPI Reports Nr 2003 018 9 R HARTNOLL V M HENDRIKS M MORRIVAL The assessment of drug problems Copenhagen WHO Regional Office for Europe 1998 1 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 27 Dans une publication pour l Organisation Mondiale de la Sant HARTNOLL a labor un sch ma int grant une s rie d indicateurs et de sources d informations pouvant tre utilis s afin de se faire une repr sentation de l usage de drogues et des probl mes associ s cette consommation fig 1 Bien que ce sch ma offre un point de d part utile pour le moniteur dont il est question ici il est essentiel de pouvoir l approfondir et l largir Le sch ma d velopp par HARTNOLL est en effet orient sp cifiquement vers la collecte de donn es pid miologiques propos du ph nom ne de la toxicomanie Le Moniteur de politique int gr e locale en mati re de drogues trouve en revanche son origine dans un double fondement cf supra le ph nom ne des drogues n tant qu un seul aspect C est pour cette raison que le sch ma qui figure ci dessous doit tre largi lorsqu il s agit d envisager la question des nuisances publiques engendr es par la toxicomanie INDIRECT DEMAND INDICATORS treatment demand deaths emergencies arrests etc CASE FINDING STUDIES ETHNOGRAPHIC STUDIES SURVEYS OF RISK GRO
349. te vertalen naar de vragenlijst 137 De tijdsindicatie die werd vooropgesteld en die ook werd opgenomen in de inleiding van de vragenlijst is een half uur MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 73 in de volgende paragraaf beschreven Voor de werkwijze kan een onderscheid gemaakt worden tussen twee groepen de respondenten die vanuit de Stuurgroep Drugs werden gerekruteerd enerzijds en de respondenten die we individueel benaderden anderzijds Via de Stuurgroep Drugs gt contact met de lokale drugco rdinator en mededeling dat de stad pilootstad is gt afspraak vastleggen om langs te komen in de Stuurgroep Drugs gt voorstelling toelichting van het onderzoek in de Stuurgroep Drugs gt e mail naar de leden van de Stuurgroep met daarin o verwijzing naar de beslissing van de Stuurgroep om mee te werken aan het onderzoek o overzichtsfiche van het onderzoek en vragenlijst in bijlage o mededeling van een voorziene periode van twee weken om de vragenlijst in te vullen o mededeling van de dag wanneer de vragenlijst persoonlijk door de onderzoeker zal worden opgehaald gt tweetal dagen voor het verstrijken van de periode een herinneringsmail met daarin o herinnering dat de vragenlijst zal worden opgehaald o _ vraag om contact op te nemen wanneer dit voor de respondent niet haalbaar is gt persoonlijk afhalen van de vragenlijst bij elk van de respondenten bedank
350. terpreteerd wordt hierna toegelicht INDICATOR Negatief Neutraal Positief effect effect effect Heel hoge Heel lage waakzaamheid waakzaamheid Stimulerend effect inhiberend effect Lage waakzaamheid het fenomeen wordt op dit punt door de stakeholders ervaren als weinig alarmerend een eventueel actiepunt Heel lage waakzaamheid het fenomeen wordt op dit punt als totaal niet alarmerend geen actiepunt MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 93 Deel 3 Fenomeenindicatoren Het tweede deel van de monitor heeft tot doel het verzamelen van fenomeenindicatoren Deze gegevens vormen als het ware de contextualisering van de in het eerste luik verkregen informatie De fenomeenindicatoren kunnen een beeld geven op evoluties en veranderingen in de aard en omvang van het drugfenomeen aan de hand van cijfers uit registratie en statistische gegevens Zij vormen een eerste aanvulling op de zonet besproken stakeholderbevraging Hoofdstuk 1 Methodologie In dit deel van de monitor is het niet de bedoeling om zelf statistische informatie te produceren er wordt met andere woorden geen nieuw registratiesysteem ontwikkeld Wel is het de bedoeling om aan de hand van de bestaande registratiesystemen informatie te genereren die meer zicht geeft op een specifieke lokale context Het gaat hierbij om een secundaire analyse van de gegevens afkomstig uit de verschillende registr
351. test de compr hension de certaines notions concepts D une mani re g n rale les r ponses aux questions ouvertes peuvent fournir un cadre de r f rence pour comprendre des r ponses d autres questions Leur utilisation s impose lorsqu on ne peut pr voir les r ponses possibles Elles constituent pr cis ment un excellent moyen pour sonder l ventail des r ponses possibles sur un th me donn Les questions ouvertes peuvent MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 38 tre aptes d tecter travers les r ponses fournies les opinions ambivalentes et peu structur es Le questionnaire comporte principalement dans sa derni re version des questions ferm es pour l ensemble des th mes abord s Quelques questions ouvertes subsistent dans la version d finitive du questionnaire notamment quand il s agit de compl ter les questions ferm es Elles viennent donc la suite des questions ferm es et largissent la probl matique si le r pondant le d sire en laissant un espace son expression Elles ont d autre part t utilis es concernant les ph nom nes mergents telle que l apparition de nouveaux groupes de consommateurs par exemple Les questions ouvertes taient beaucoup plus nombreuses dans la version pr c dente du questionnaire Les r ponses ces questions lors de cette premi re passation ont pr cis ment permis de son
352. teurs de plus en plus jeunes ou l apparition de certains produits Le th me III mesure les perceptions des personnes ressources propos 1 des cons quences pour la sant publique 2 des nuisances l ordre public et 3 des nuisances criminelles La plus value pour ce th me r side bien s r dans le fait qu on aborde au sein de ce sous th me les diff rentes formes de nuisances Par le fait que les personnes ressources de Gand et di HSER Y POLINSKY M L MAGLIONE M and ANGLIN M D Matching clients needs with drug treatment services Journal of Substance Abuse Treatment 1999 16 4 299 305 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 153 d Ostende ont pu indiquer beaucoup de formes de nuisances courantes sur le plan de la ville qui tait joint au questionnaire ceci forme pour le contexte local une plus value vidente en faveur du Moniteur Le seul syst me d enregistrement qui sonde les nuisances li es aux drogues est le Moniteur de S curit par lequel les nuisances ne sont pas abord es dans leurs formes sp cifiques mais dans leur ensemble Il existe galement un lien avec le contexte local qui n est pas possible par les syst mes d enregistrement moins que la passation du Moniteur de S curit ait lieu dans une ville ou une commune sp cifique Dans le th me IV enfin le Moniteur aborde les perceptions des personne
353. thema profiel van druggebruikers opgesplitst in meer specifieke subthema s deze opsplitsing was louter stilistisch van aard Ook werden de vragen rond de overlastvormen verfijnd omdat daar de non respons het hoogst was Verder werd ook de antwoordkeuze geen mening aan alle vragen toegevoegd De redenen daarvoor waren 1 de weerstand in de Waalse pilootsteden omdat zij verplicht werden elke vraag te beantwoorden en 2 de vaststelling dat ook uit de Vlaamse steden een aantal respondenten niet steeds goed konden antwoorden op elke vraag Bij deze tweede afname vulden nog zeven respondenten uit de module algemeen welzijnswerk en gezondheidswerk de vragenlijst in het ging om nog twee maatschappelijk werkers dit zijn er acht minder dan de vorige afname twee respondenten uit de geestelijke gezondheidszorg een psychiatrisch verpleegkundige en een klinisch psycholoog uit de psychiatrische afdeling van het Algemeen Ziekenhuis en een apotheker Uit de module preventie werd de vragenlijst ingevuld door de preventie ambtenaar een preventiewerker de interne evaluator de drugsco rdinator en de co rdinator uitgaansbeleid Voor de tweede afname vulden voor de module drug hulpverlening net zoals voor de eerste afname de directeur en een personeelslid van het medisch sociaal opvangcentrum en een ervaringsdeskundige de vragenlijst in Ten slotte vulden voor de module veiligheid de Substituut Procureur des Konings de co rdinator Alternatieve Straf
354. ti re de Drogues 126 steden Omdat het proces voor deze steden sterk gelijklopend was bespreken we dit proces aan de hand van die stad waar de resultaten het duidelijkst naar voor kwamen We besluiten dit eindrapport door de vaststellingen te bundelen in conclusies rond de inhoudelijk evaluatie van de Monitor en conclusies in verband met de procesevaluatie van de Monitor Bij de inhoudelijke evaluatie van de Monitor staan we stil bij de meerwaarde van het meetinstrument Daarbij gaat specifieke aandacht naar de doelstellingen van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid en dit zowel voor de Monitor in het algemeen als voor de verschillende onderdelen De procesevaluatie biedt de kans om de mogelijkheden voor het toepassen van de Monitor te belichten Bij deze evaluatie besteden we dan ook aandacht aan de sterktes en beperkingen van de Monitor In het derde deel van deze conclusies worden noodzakelijke randvoorwaarden geformuleerd Verder worden doorheen de conclusies beleidsaanbevelingen geformuleerd 1 INHOUDELIJKE EVALUATIE VAN DE MONITOR 1 1 De algemene evaluatie van de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Wanneer wordt gesproken en nagedacht over drugbeleid dan wordt telkens de noodzaak voor een ge ntegreerd karakter benadrukt Een dergelijk beleid wordt best uitgebouwd op lokaal niveau Op dit niveau is het mogelijk om snel te reageren op een snel veranderende maatschappelijke realiteit Vooral omdat een reactie op dit niveau
355. tionnaires Le choix des questions est d termin par le fait que les informations en rapport avec les volutions du ph nom ne n ont pu tre trouv es dans les syst mes d enregistrement existants au niveau local Nous donnons quelques r sultats des deux passations du questionnaire aupr s des personnes ressources Gand et Ostende par lesquels nous avons pu r colter une vision claire propos des sous th mes du questionnaire Le th me I du questionnaire sonde 1 la consommation en g n ral 2 la consommation non probl matique et 3 la poly consommation Naturellement il y a bien des donn es qui se retrouvent dans les syst mes d enregistrement mais on doit tenir compte du fait que ces donn es sont presque toutes trouver dans les syst mes d enregistrement concernant le secteur de l aide en mati re de drogues Il faut noter ici que le secteur de l aide n atteint toutefois pas tous les consommateurs de drogues probl matiques A Ostende la consultation des personnes ressources montre de mani re claire que l alcool les m dicaments et le cannabis sont les plus utilis s d un point de vue local A Gand il est clair que l alcool tant pour les consommateurs probl matiques que les consommateurs non probl matiques est consomm tr s fr quemment Pour ces deux villes il est galement remarqu que l alcool et le cannabis apparaissent tr s souvent dans le cadre de la poly consommation De telles
356. tive past and how Are refusals on open ended questions substantial answers Quality amp Quantity 2005 559 579 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 165 attribuer la consultation l aide de questions ouvertes Dans ce sous th me une discussion propos des questions en focus group peut apporter une plus value Th me III Dans le th me II les perceptions ont t exprim es par rapport au sous th me II 1 Cons quences pour la sant publique selon un autre sch ma que lors de la premi re passation Dans la premi re passation les perceptions r colt es sont nombreuses on ne rencontrait qu un taux de non r ponse de 20 5 pour ce sous th me donc un taux de perception de 79 5 Avec l ajout de la modalit de r ponse sans avis les perceptions n ont t exprim es que dans une proportion bien plus basse 42 6 de sans avis ce qui diminue le taux de perception 57 4 pour ce sous th me Cela prouve une fois de plus que forcer les personnes ressources r pondre ne donne pas n cessairement une image plus significative Pour le sous th me IIL2 Nuisances l ordre public nous constatons que le nombre de perceptions g n rales des personnes ressources sont significativement plus lev es que lors de la premi re passation 63 3 de non r ponses le taux de perception de 36 7 contre 4 8 de non r ponses et 3
357. tre source int ressante pour l laboration du questionnaire L objectif du Barom tre est d obtenir une visibilit des volutions du ph nom ne de drogues dans la ville de Li ge L outil principal du Barom tre est un questionnaire qui est soumis aux personnes cl s li geoises Les questions de ce questionnaire sont r parties en cinq th mes 1 Les produits et leurs volutions 2 Les modes de consommation 3 La r int gration sociale des consommateurs de drogues 4 Les facteurs d ins curit en lien avec la toxicomanie et 5 La localisation des ph nom nes en rapport avec la toxicomanie Les effets de structure possibles sont le Backfire information des questions pr c dentes qui am ne des distorsions dans les r ponses et le Carryover la tendance de donner une r ponse une question qui serait en accord avec celle donn e une autre question 24 BILLIET J WAEGE H EDS Een samenleving onderzocht Methoden van sociaal wetenschappelijk onderzoek Antwerpen De Boeck 2003 p 260 SCHUMAN H PRESSER S Questions and Answers in Attitude Surveys Experiments on Question Form Wording and Context New York Academic Press 1981 p 116 122 BILLIET J WAEGE H EDS o c 268 La conception de l instrument a eu lieu suite un accord qui a t conclu entre la Ville et l Universit de Li ge Ce barom tre a t d velopp sous la direction des professeurs LEMAITRE e
358. tuation familiale mais galement en ce qui concerne les habitudes de consommation les produits En somme les informations r colt es sont quasiment identiques celles r pertori es dans le TDI Treatment Demand Indicator Standar Protocol Si outil est directement utilis par les institutions afin d orienter selon les r sultats leurs actions au sein du centre elles sont galement transf r es au CTB ODB en vue de leur centralisation et de construire une perspective locale 2 3 1 4 ASL Arbeitsgemeinschaft f r Suchtvorbeugung und Lebensw ltigung Communaut germanophone A G n ralit s MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 112 La Communaut germanophone subsidie aussi Arbeitgemeinshaft f r Suchtvorbeugung und Lebensbew ltigung ASL pour la coordination des activit s de pr vention qui agit galement comme Sous Point Focal local Le Sous Point Focal PASL est responsable de la coordination des enregistrements des donn es statistiques incluant l enregistrement des demandes de traitement En effet dans diff rentes institutions l ASL a mis en place un syst me d enregistrement sp cifique pour les consommateurs de drogues en traitement L objectif de cette association consiste galement pr venir les dangers des assu tudes et encourager des mani res de ma trise de vie et de qualit de la vie saine sans drogues licites ou
359. uation des instances et des coll gues peut comporter un biais tel qu il a d j t indiqu dans le rapport Toutefois il doit tre signal que dans le sous th me II 4 Actions de collaboration et de concertation le taux de non r ponse des r pondants appartenant au module de la pr vention tait tonnamment haut 38 9 s rement d la fonction de coordination des r pondants en question 22 HEINRICH H A Who perceives the collective past and how Are refusals on open ended questions substantial answers Quality amp Quantity 2005 561 562 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 162 La seconde passation du questionnaire Ostende a eu lieu six mois plus tard Le questionnaire a subi entre temps certaines modifications par rapport la premi re passation En effet le th me consommation de drogues a t scind en trois sous th mes et le th me profil des consommateurs de drogues a t galement scind en davantage de th mes plus sp cifiques cette s paration tait davantage stylistique qu autre chose Les questions autour des formes de nuisances ont t galement affin es parce que le taux de non r ponses lors de la premi re passation tait le plus lev De plus la modalit de r ponse sans avis a t ajout e toutes les questions les raisons expliquant cet ajout sont les suivantes 1 la r sista
360. uden van de lokale situatie 197 Zie Bijlage Annexe 1 18 De structuur van deze roosters zijn opgesteld naar analogie van een eindrapport van KHLeuven X Gegevensverzameling welzijn en gezondheid in Vlaams Brabant Leuven KHLeuven Departement Sociale School Heverlee 2005 146 p MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 115 Partie 4 Indicateurs structurels Le troisi me volet du Moniteur concerne les indicateurs structurels pour la politique locale Comme le nom l indique ceux ci englobent les conditions n cessaires l tablissement d une politique int gr e en mati re de drogues Nous donnons ici un aper u rapide de ces diff rents l ments constituant une politique int gr e Ces l ments ont pu tre r unis d apr s les entretiens r alis s avec l ensemble des personnes interrog es au cours de la recherche METAN Module 1 coordination Existence d un Coordinateur Drogue Existence d un coordinateur en mati re de pr vention de la toxicomanie Existence de structures de coordination Moyens en soutien de la coordination personnel initiatives Module 2 concertation Existence d une concertation sectorielle dans les secteurs de l aide sociale de la pr vention et de la s curit Existence d une concertation intersectorielle Existence de structures de concertation Existence de formes ad hoc de concertation M
361. ues et criminelles de compl ter les questions essentiellement ferm es qui cernent cette th matique Les r ponses ces questions peuvent ventuellement largir l angle d approche par lequel le questionnaire aborde les nuisances li es aux drogues La r f rence une notion de lieu o les diff rentes nuisances sont selon le r pondant principalement per ues dans la ville tait d j pr sente dans la version pr c dente du questionnaire 122 Question 24 en ce qui concerne les nuisances publiques et question 30 concernant les nuisances criminelles dans le questionnaire MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 58 Question 16 Nous voudrions avoir une vue d ensemble des nuisances l ordre public li es la drogue dans votre ville Pour les questions concernant les nuisances publiques li es aux drogues veuillez tenir compte de la d finition expos e ci dessus c Quels sont les quartiers et ou lieux dans lesquels ces formes de nuisances l ordre public se situent dans votre ville durant les 6 derniers mois Veuillez noter pour chaque forme de nuisance dans quel quartier ou lieu cette forme de nuisance est apparue dans votre ville durant les 6 derniers mois QUARTIER LIEU FORME DE NUISANCE 1 Cette notion est toujours abord e dans cette nouvelle version du questionnaire mais de mani re diff rente En effet lors de la p
362. uestions ouvertes beaucoup d effort tait attendu des r pondants De plus le traitement de ces questions n est pas toujours vraiment vident Pour mieux atteindre le v ritable objectif poursuivi par le questionnaire et le Moniteur dans son ensemble notamment d tre un instrument facile et pratique il a donc t d cid d adapter les questions concernant les nuisances Ces modifications sont ici bri vement explicit es de la mani re la plus concr te possible Le ph nom ne des nuisances li es aux drogues est abord dans le Th me I du questionnaire pr cis ment au point Cons quences du ph nom ne de drogues Dans ce second th me trois cons quences diff rentes sont distingu s IL 1 Cons quences pour la sant publique 1L 2 Nuisances d ordre public li es aux drogues et IL 3 Nuisances criminelles li es aux drogues Pour le ph nom ne des nuisances li es aux drogues les questions sont r parties par mati re sous les titres I 2 et II 3 Concr tement dans la version pr c dente ces th mes taient abord s la question 16 Nuisances d ordre public li es aux drogues la question 17 Commerce Deals comme nuisance criminelle et la question 18 Criminalit acquisitive comme nuisance criminelle Par ces questions il tait demand chaque fois aux r pondants de noter au maximum trois formes de ces nuisances Il tait galement demand
363. ugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 11 moet dus toelaten de ernst van overlast te detecteren en het beleid dat invloed heeft op drugoverlast te monitoren 1 2 DOEL EN ACHTERGROND VAN DE MONITOR De Monitor Integraal Drugbeleid situeert zich op het lokaal beleidsniveau De bedoeling van de monitor is om bepaalde evoluties in het drugfenomeen bloot te leggen en bij het detecteren van problematische situaties een waarschuwing te geven naar het beleid in de vorm van knipperlichten Deze monitor past in een drieledige benadering van drugoverlast In een eerste fase van deze benadering is het doel zicht op zaken te krijgen op de ernst van drugoverlast In deze fase is het dus noodzakelijk om zowel kwantitatieve als kwalitatieve gegevens over het fenomeen te verzamelen Hierbij is het noodzakelijk om steeds te vertrekken vanuit een integrale benadering met aandacht voor alle facetten van het overlastfenomeen Deze eerste fase moet de voedingsbodem leveren voor de volgende fase namelijk de aanpak van drugoverlast binnen het breder kader van overlast In de tweede fase zal de aanpak concreet gemaakt moeten worden In de derde fase ten slotte moet nagegaan worden of bijsturing van het beleid noodzakelijk is Hierbij kan opnieuw gebruik gemaakt worden van de monitor om te kijken in hoeverre het fenomeen door het beleid be nvloed werd De monitor vormt de rode draad wat betreft de informatieverzameling die het
364. ur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 43 En ce qui concerne le troisi me et dernier th me le Secteur de l assistance d autres questions pourraient tre prises en consid ration telles que celles ci volutions du nombre de consommateurs de drogues qui ne sont pas en contact avec le secteur de l assistance en mati re de drogues L 83 volutions de l offre du secteur de l assistance en mati re de drogues Dans la premi re version du questionnaire nous retrouvons effectivement ces th mes La structure du questionnaire est telle qu elle avait t construite autour de ces trois th mes dans la recherche METAN Dans le Th me I Consommation de drogues et commerce sont abord es les volutions de la consommation visible de drogues de la question 1 la question 4 les volutions du commerce visible ou des deals de drogues de la question 5 la question 10 les volutions de la polyconsommation de drogues de la question 11 la question 14 ainsi que les volutions des diff rents types de consommation de la question 15 la question 18 Pour aborder ces questions nous avons travaill avec une r partition par substances Cette liste de substances a t tir e des diff rentes r partitions reprises dans les syst mes d enregistrements belges Dans la mesure o ces diff rentes r partitions sont couramment utilis es dans l enregistrement des d
365. urt 1 mois Communaut th rapeutique pour toxicomanes s jour long max 24 mois Centre ambulatoire psycho m dico social pour usagers de drogues Cellule d orientation th rapeutique et d accompagnement pour personnes toxicomanes justiciables MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 110 2 3 1 2 Eurotox A G n ralit s L ASBL Eurotox est le Sous Point Focal de la Communaut fran aise depuis septembre 2000 et subsidi e par la Communaut fran aise en tant qu Unit Permanente d observation du ph nom ne de l usage des drogues en Communaut fran aise Cette ASBL a t fond e en 1990 et regroupe trois associations actives dans diff rents domaines en lien avec l usage de drogues Infor Drogues Modus Vivendi et Prospective Jeunesse L objectif d Eurotox est la r alisation d tudes et de recherches sur les usages des drogues et observation de ce ph nom ne en Communaut Fran aise Ses activit s se r partissent selon trois p les les observations relatives la Communaut fran aise celles inscrites dans le cadre du BIRN Belgian Information REITOX Network R seau Belge d Information REITOX et les activit s men es de sa propre initiative B Concr tement Eurotox a pour t che de r colter l information de la traiter de la restituer aux diff rents intervenants de terrain e
366. us l avions d j soulign dans une des recommandations la r colte des donn es appartenant aux syst mes d information pourrait id alement avoir lieu de mani re continue Chaque fois que de nouvelles donn es sont disponibles au niveau d un syst me d enregistrement celles ci doivent tre demand es c est galement une des t ches du coordinateur MILD Enfin nous pouvons ajouter que la r colte des indicateurs structurels l aide d une interview avec le coordinateur en mati re de drogues ou une personne occupant une fonction assimil e pourrait avoir lieu chaque ann e Cela parce que la politique en mati re de drogues et les t ches du coordinateur en mati re de drogues sont n goci es annuellement dans le cadre des Contrats de s curit et de soci t MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 171 gt L organisation de focus groups Dans le processus d valuation de la consultation nous pouvions d j conclure que 1 les sous th mes qui ont t abord s par les questions ouvertes ont connu un taux de non r ponse plus lev que pour les questions ferm es 2 avec l ajout de la modalit de r ponse sans avis le taux de non r ponses a diminu mais par cela le taux de perception par th me diminue galement et 3 qu un certain nombre de personnes ressources ont laiss tomber la seconde passation parce que dans le ser
367. us value de ce deuxi me volet du Moniteur r side dans la contextualisation des donn es issues du pr c dent volet du Moniteur il est important de savoir dans quelle mesure les th mes sond s se retrouvent aussi dans les donn es chiffr es des syst mes d enregistrement existants Cela est explicit dans le sch ma ci dessous MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 154 Tableau information pertinente pour les diff rents sous th mes de la consultation des personnes ressources par syst mes d enregistrement Th me I HI III IV Sous th me gt 11213 1 12 1 12 3 1112 13 4 Donn es psychiatriques minimales X IX IX IX IX IX xX alen Statistiques criminelles polici res X Statistiques annuelles du Parquet G n ral X Moniteur de S curit xX X VLASTROV X XIX IX IX X X X TELLUS X IX IX IX IX X X Ginger X Niveau flamand VRM X IX IX IX IX X DARTS XXIX X X X X X ARCADE XXIX X X X X De Sleutel X IX IX IX X X Sentinelles X IX IX IX X X Niveau wallon Addibru BXL XXIX X X X BXL CG Eurotox x x x x x x x X ASL CG X IX X XIX X L gende Th me I 1 Consommation de drogues 2 Consommation non probl matique 3 Polyconsommation Th me II 1 Caract ristiques sociod mographiques 2 Evolutions du profil Th me IMI 1 Cons quences pour
368. verband met dealen en verwervingscriminaliteit Net zoals in Gent is slechts een klein deel van de stakeholders afkomstig uit de module veiligheid vragen over criminele overlast zijn dus heel specifiek te noemen en dus een probleem waar de perceptie wellicht vooral bij politie en justitie ligt Het probleem dat zich voordeed in Gent met betrekking tot vraag 22 26 30 en 34 inzake de eventuele andere aanpak van acties binnen de modules doet zich hier nog manifester voor waardoor de aangereikte mogelijke redenen hiervoor op p X nog meer draagkracht krijgen beladenheid en bevraging van negatieve aspecten Klein verschil met Gent is dat bij de tevredenheid over de verschillende acties in Gent minder non respons was dan in Oostende Toch lag ook in Oostende de non respons op de vragen naar tevredenheid lager dan de vragen over de eventueel andere aanpak Verder kunnen we nog meegeven dat de vragen die peilden naar de evolutie van HIV besmettingen hepatitisbesmettingen en sterfgevallen vraag 14 en 15 bij druggebruikers in tegenstelling tot in Gent wel relatief vlot beantwoord werden De meest waarschijnlijke verklaring hiervoor is dat Oostende meer stakeholders telt in de module algemeen welzijnswerk amp gezondheidswerk dan in Gent waarbij we er van kunnen uitgaan dat respondenten uit deze module een hogere perceptie hebben dan andere stakeholders wat deze materie betreft 4 2 TWEEDE AFNAME 4 2 1 GENT 4 2 1 1 Procedure Voor de twe
369. vice l institution dans lequel il est engag le travail avec les consommateurs de drogues ou concernant la consommation de drogues n est pas un point central ou encore que l utilit du Moniteur comme instrument d valuation n est pas saisie Pour ces raisons il est int ressant qu apr s la consultation des personnes ressources un focus group soit organis pour lequel toutes les personnes ressources de tous les secteurs soient pr sentes Pour ce focus group outre les personnes ressources en question les responsables sectoriels et le coordinateur MILD seront galement pr sents Le coordinateur MILD pourra galement prendre dans ce cadre la place de mod rateur du focus group Par le fait que tous les secteurs seront pr sents on insiste tout fait sur l int gralit de la politique Le coordinateur MILD discute des r sultats qui ont t relev s lors de la consultation pour les diff rents secteurs avec une attention pour les points suivants 1 les r ponses aux questions ouvertes dans le sens o les questions ouvertes ont pour limite qu elles connaissent un taux de non r ponse plus lev En discutant autour de ces questions dans le groupe des informations pertinentes peuvent encore tre r colt es propos des sous th mes 2 la discussion de ces questions et des sous th mes pour lesquels la modalit de r ponses sans avis a t donn e r guli rement De cette mani re le coordinateur
370. vue d ensemble de tous les services significatifs peut tre r alis e Cette perspective est importante dans la mesure o le processus d valuation est inclus dans ce projet Dans la mesure o les deux villes sont reprises dans la cat gorie de ville centrale il existe toutefois une diff rence entre les deux Gand comme chef lieu de province et Ostende comme ville c ti re Enfin il est important d insister sur le fait que lors de la recherche pr c dente il semblait clair qu un int r t dans les deux villes pour le processus de recherche tait perceptible pour participer la recherche actuelle 2 2 VILLES ET COMMUNES EN WALLONIE Une condition n cessaire pour le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues est la pr sence dans chacune des villes choisies d une politique coordonn e relative la probl matique de la drogue Dans ce cadre il est essentiel de pouvoir compter sur la pr sence d un coordinateur afin de prendre en consid ration la politique de la drogue Ensuite il est important qu au sein des villes pilotes choisies les quatre modules qui sont vis s par le Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues le bien tre g n ral et la politique de la sant la politique pr ventive l assistance et la s curit soient chacun pris en charge par les acteurs cl s des deux terrains de recherche s lectionn s Le MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid
371. wanneer de mogelijkheid vluchtige snuifmiddelen werd bevraagd gemiddeld tien van de achttien stakeholders maakten gebruik van deze antwoordmogelijkheid Bij het situeren van de perceptie inzake de evolutie van het aantal druggebruikers gedifferentieerd volgens niet problematisch en problematisch bij vraag 6 gaven voor beide groepen de stakeholders zeven keer de optie geen mening aan Ook bij de perceptie naar de evolutie van het gebruik per gebruiker verdeeld over de twee grote groepen bij vraag 7 gaven de stakeholders respectievelijk negen keer voor niet problematisch en acht keer voor problematisch de mogelijkheid geen mening op De vragen 8 tot en met 11 peilen naar de perceptie over poly druggebruik de frequentie van gebruik van bepaalde combinaties aantal gebruikers per combinatie gebruik per poly druggebruiker en verhouding poly druggebruikers op alle gebruikers Bij al deze vragen werd per opgegeven combinatie tussen de vijf en negen keer geen mening aangekruist ook voor het benoemen van de verhouding werd dit zeven keer gedaan Het benoemen van de verhoudingen van nationaliteit bij de problematische en niet problematische gebruikers in vraag 14 bleek minder eenvoudig er werd acht keer geen mening ingevuld Vraag 15 handelt over waargenomen veranderingen binnen de reeds gekende groepen problematische en niet problematische druggebruikers Voor de groep niet problematische gebruiker
372. wanneer deze ook kunnen gestaafd worden aan de hand van cijfergegevens of andere objectieve vaststellingen Als antwoord hierop heeft de onderzoeker benadrukt dat de stakeholderbevraging slechts een deel van de monitor is naast de fenomeenindicatoren en structurele indicatoren Bij het inzamelen van de andere vragenlijsten gaven een aantal respondenten aan dat ze niet steeds even goed op de hoogte waren van bepaalde aspecten Ze voelden zich dan ook niet geroepen om uitspraken te doen over bepaalde materies en daarom vragen niet hadden ingevuld B Opmerkelijke resultaten Wat opvalt bij de analyse van de vragen is dat de open vragen in de vragenlijst onderhevig zijn aan een hogere graad van non respons In veel methodologische werken is dan ook terug te vinden dat ondervragingsvorm met open vragen meer onderhevig is aan non respons dan dat het geval is bij gesloten vragen Het is uiteraard zo dat een bepaalde graad van non respons bij open vragen niet noodzakelijk zonder nut is Het kan zaken en tendensen blootleggen in de opinies van de respondenten Het niet invullen van bepaalde open vragen in een vragenlijst kan naast een gebrek aan perceptie bijvoorbeeld het gevolg zijn van mindere interesse in het onderwerp maar ook door de beladenheid van bepaalde topics kunnen dergelijke vragen onbeantwoord blijven Het is zelfs zo dat bevraging naar evoluties in negatieve tendensen bij organen en instituten van publiek belang kunnen neigen naar een
373. we daarom ook een beter zicht hebben op de verschillende thema s Doordat in de eerste afname geen antwoordkeuze geen mening was voorzien werden de sleutelfiguren als het ware verplicht een antwoord te geven Uit feedback bij de sleutelfiguren bleek dat zij op bepaalde vragen wel een antwoord gaven maar toch vonden dat zij hierover geen goede perceptie hadden Doordat zij in de tweede afname wel geen mening konden opgeven kunnen we met zekerheid stellen dat waar wel een antwoord werd gegeven een goede perceptie bestond bij de sleutelfiguren Een andere belangrijke vaststelling is dat ondanks de toevoeging van de antwoordkeuze geen mening toch enkele subthema s een heel hoge graad van non respons kennen en een zeer lage graad van geen mening antwoorden I 2 Evoluties in het profiel IV 1 Preventieve acties IV 2 Hulpverlenende acties IV 3 Politionele Justiti le acties en IV 4 Samenwerkings en overlegacties Dit komt doordat deze subthema s gekenmerkt werden door het bevragen van informatie via open vragen In veel methodologische literatuur is terug te vinden dat open vragen veel meer onderhevig zijn aan non respons dan gesloten vragen Na deze algemene bevindingen bij de tweede afname kunnen we stellen dat het zicht op de verschillende aspecten verstoord wordt door het niet antwoorden op open vragen en door het veelvuldig antwoorden met de antwoordkeuze geen mening Toch kunnen we niet spreken
374. x m mes Pour que cette d marche porte ses fruits 1l est indispensable que le questionnaire crit soit presque caricaturalement explicite dans ses consignes puisque Penqu teur n est pas pr sent pour fournir des indications sur la mani re de r pondre ou sur le sens des mots Dans le cadre de l enqu te MILD nous avons opt pour une passation en auto passation Lors de la premi re passation du questionnaire nous nous sommes rendu compte qu outre ses imperfections m thodologiques le questionnaire n tait pas explicite concernant de nombreuses notions Nous avons pris alors le parti de simplifier le questionnaire plut t que de modifier le mode de passation d auto administration la passation en face face ou par entretien t l phonique En effet le questionnaire fait partie d un Moniteur outil qui doit tre utilisable et effectivement utilis par les acteurs de terrain d une ville ou commune sans l aide ni les explications de l enqu teur 1 7 RAISONS DE LA DEFIANCE DE REPONDRE A UN QUESTIONNAIRE Certaines personnes adoptent l gard du questionnaire une attitude de d fense se rattachant la crainte de s engager Des personnes interrog es plusieurs fois peuvent aussi exprimer une certaine lassitude Certains refus peuvent galement tre bas s sur des raisons id ologiques manipulation de l opinion Enfin un r pondant peut galement refuser de continuer r pondre au questionnair
375. yseren van secundaire analyse is dat de opgevraagde data niet volledig in overeenstemming zijn met de data die wordt gezocht of met de eigen primaire data waardoor vergelijkingen moeilijker worden 159 PONSAERS P DE RUYVER B PIETERS T VAEREWYCK W VANDER LAENEN F LEMAITRE A MACQUET C en FINCOEUR B o c 110 120 10 LIEVENS J Werken met secundaire kwantitatieve data In BILLIET J WAEGE H Eds o c 346 348 16l RIEDEL M Research strategies for secondary data A perspective for Criminology and Criminal Justice Thousand Oaks Sage 2000 7 8 MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 94 Voor de Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid hoeft dit nadeel niet zozeer in rekening te worden gebracht de fenomeenindicatoren die worden aangewend moeten zoals reeds gesteld zorgen voor de contextualisering van het eerste luik cf de stakeholderbevraging Het is niet de bedoeling een vergelijking te maken van de gegevens uit de bevraging en deze die worden bekomen uit de verschillende registratiesystemen Deze laatste gegevens dienen als aanvulling om trends en evoluties in bepaalde fenomenen nog beter te kunnen duiden MILD Monitor Integraal Lokaal Drugbeleid Moniteur de Politique Int gr e Locale en mati re de Drogues 95 Hoofdstuk 2 De verschillende registratiesystemen Om het overzicht te bewaren worden de verschillende registratiesystemen
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