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Le guide de concertation Déparis

1. Ventilation due Mu LS RE Sympt mes Etudes Ce Sans Humidification Humidification Humidification la vapeur base d eau 1 XXX XX XX 2 XX XX Maux de t te 4 x X X 4 XX XX 5 XX 6 XX XX 1 XXX XX XXX L thargie 2 xxx as 3 X X X XX 5 XX 1 X XX XXX Nez 2 XXX 3 X 1 X X XXX 2 XX XX Gorge 3 XX X XX 4 XXX 1 X XX 2 XX XX Yeux 3 X X X XX 4 XX X XX 5 XXX Oppression pulmonaire 1 2 X X 1 Probl mes 2 respiratoires 3 X X 4 XX XX XX 1 X Peau 2 X XX 3 XX X significatif 5 XX significatif 1 XXX significatif 0 1 Le radon et l amiante entrainent des maladies apr s de nombreuses ann es d exposition et ne sont donc pas consid r comme des facteurs de BRI ni a fortiori de SBS quand bien m me ils repr sentent un risque majeur Ils ne donnent pas lieu aux sympt mes atypiques caract risant le SBS et ne seront donc pas consid r s dans le pr sent ouvrage Une br ve discussion en est pr sent e la Fiche 6 3 Les facteurs personnels sociaux et organisationnels De nombreuses tudes ont recherch s il existait une simultan it entre les sympt mes de SBS et certains facteurs dits psychosociaux Certaines ont interpr t cette concomitance en termes de causalit Le poids de ces tudes varie tr s fortement en fonction du nombre
2. OIIO 12 L hygiene atmosph rique Risques chimiques solides liquides ou gaz et biologiques bact ries virus liquides corporels A discuter Les risques chimiques et biologiques e Inventaire des produits disponible et jour e Documentation sur les risques disponible La formation sur les proc dures et les risques Les proc dures respect es e Diutilisation claires et respect es m langes dosages e Encas d incident renversement claboussure L tiquetage r cipients ad quats et bien tiquet s Les stocks e Produits toxiques corrosifs inflammables biologiques stock s dans des espaces appropri s isol s et signalis s Les poussi res copeaux huiles vapeurs e Evacu s ventilation aspiration sans mise en suspension ou dispersion Les d chets chimiques et biologiques e Evacu s de mani re contr l e suivant une proc dure connue dans des r cipients poubelles ad quats La signalisation e Ad quate et respect e interdiction de fumer locaux risque Les protections collectives e Douches lavabos rince ceil sont bien situ s et en bon tat Les EPI gants masques lunettes v tements e Ad quats disponibles et utilis s Le personnel risque aggrav femmes femmes enceintes ou allaitantes jeunes travailleurs surveillance de la sant Les vaccinations en ordre L hygi ne e Personne ne mange sur le lieu
3. Une fois la situation redevenue acceptable diminuer la concentration en hypochlorite de soude d abord par 10 Si la situation reste stable envisager d espacer les chlorations En cas de contamination persistante envisager des modifications du syst me d humidification Entretien du st rilisateur U V Nettoyage des tubes et du filtre et contr les bact riologiques de l eau la sortie du tube U V r aliser une fois par mois quand la conductivit de l eau d concentration est satisfaisante e Pr voir si n cessaire une vanne de purge en aval du tube pour des pr l vements d eau Surveiller le nombre d heures de fonctionnement du tube e Contr les de l eau effectuer de mani re r guli re e Mesures physico chimique simples une fois par semaine au minimum Mesures de la conductivit lt 1500us et en fonction des r sultats appoint d une quantit d eau suffisante d concentration Rep rage des traces de corrosion des parois Surveillance de la formation de d p ts du pH entre 7 0 et 9 0 duret calcique Analyses microbiologiques simples et r guli res une fois par mois au minimum Bact ries totales 25 C lt a 50 000 ml Bact ries totales 37 C lt a 10 000 ml Ces valeurs sont fournies et utilis es par le laboratoire de mycologie de l ISP etne peuvent tre utilis es pour interpr ter les r sultats obtenus avec d autres protocoles d analyse et de pr l vem
4. Strategie SOBANE gt C S T gt DO 9 Q O a O hg amp Qa oO Q DO Le p D a N ht c O 5 CS 2 A D 0 o S E q D gt ep T O D S POSTALES GLOBALES EDIFICIO ENFERMO Jacques Malchaire Unit Hygi ne et Physiologie du travail Universit catholique de Louvain Belgique Octobre 2011 MSOBANE sps Introduction nnnnnnnsnssnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnNnnNEnNNEnNNNENnNNNnNnNNNnNENnNEnNNNNnNNNnNENnNNEnNNnNnnnnnnenNNnNnnNnnNnNnNnNnNnNeNnNEnNnmNnneNnnNnnnt 5 AVANT PrOPOSmnrrrrsrsrennnmenenennnnnenennnnennnnnnnnnnnennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnt 6 Strat gie g n rale de gestion des risques professionnels nent 7 k Principes de bases RNA nette nain nee 7 1 1 Primaut de la pr vention iinenn 7 1 2 Facteurs de risque etrisques is 7 1 3 Les comp tences disponibles sont COMPIEMMBMEAIS cn he not inerte teen 7 1 4 Le collectif de travail acteur principal de la pr vention ccccscsscssessssssssssssssessstsssssssssssssnsstsssssssssssssnsersersssssseesansaseseess 7 1 5 La nature des ProbI MES sasian tence coca acer NEEE EEE EE NEE aa 7 1 6 ESUMAUOM VS MESURES ER aeaa ose ein EEE ae E EENE ee en ne A EEO E aA EEA 7 1 7 PME enna a E E E E E ee rl 8 2 Strat gie SOBA NEUE DES ON des Ms GUC sseni i ae e nn ob 8 Le guide de concertation D paris g n ral ssss
5. cadres sup rieurs Pr sence dans le b timent un S50 ee gt 50 du temps Histoire personnelle ecz ma allergie rhinite asthme nulle ou l g re importante e Circonstances d apparition du SBS e Sympt mes nombre de personnes pr sentant des sympt mes 59 NSOBANE SBS Fiches d aide Nez Gorge Poitrine Peau T te G n ral Maladie e Facteurs associ s Noter le nombre de personnes mettant en cause les diff rents facteurs et r sumer les circonstances et causes invoqu es souvent moisissures parasites Manqued air T O CPoussieres O Odeurs y compris tabac T O Temp rature delai Humidit js cheresse ooo o o O Courant d air o O BE a Eclairage naturel artifciel o O Reflets cran T O Nature dutravail o T O Organisation du travail o O Relations autravail o O Autonomiedansletraval Responsabilit s J i Satisfaction au travail Do otes o De S S E E Inspection des lieux de travail relev des erreurs videntes Les mesurages de temp ratures d clairement de bruit ne sont pas n cessaires ce stade e Support croquis ou plan du b timent dimension r duite e Zones du b timent surveiller en particulier Locaux Installations Laboratoires Zones pour fumeurs Imprimeries Cafeteria Coins cuisine Sanitaires Archives Locaux de stockage des d
6. D Les conditions thermiques E Les conditions acoustiques e Le bruit de fond e Les bruits li s l activit l int rieur du local F Les conditions d clairage e L clairage naturel e L clairage artificiel g n ral e Les plans de travail e L clairage artificiel local G L ergonomie des postes de travail e L espace de travail e Le bureau ou plan de travail e Le si ge est stable de qualit en bon tat e Le mat riel informatique 34 MASOBANE SBS Niveau 2 Observation H Les facteurs sociaux et organisationnels e L autonomie individuelle e Les contraintes relationnelles Les contraintes organisationnelles e L int r t du travail Synth se e Quifait Quoi Quand par ordre de priorit ed e N cessit d un niveau 3 Analyse Objectifs Urgence 35 NSOBANE SBS Niveau 3 Analyse 1 Introduction e Objectifs Approfondir la recherche de mesures de pr vention am lioration Proc der aux mesurages n cessaires pour la recherche de ces solutions Estimer s il est n cessaire de demander l intervention d un expert et pour quels aspects ou problemes Expertise niveau 4 e Qui Les personnes de l entreprise avec l assistance d un pr venteur poss dant Les comp tences m thodologiques Les appareils de mesurages e Comment La fa on de mettre
7. Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 2 Les humidificateurs avec bac r colteur d eau Les horaires d utilisation de l humidificateur sont d finis A l arr tla nuit et le week end A l arr t pendant l t pour un nettoyage approfondi Un programme de contr le de l eau est tabli L entretien Le programme de nettoyage et d sinfection est tabli Les techniques etles produits sont sp cifi s Les syst mes UV de st rilisation Le programme de remplacement des tubes U V est tabli _Ilestrevu en fonction des probl mes rencontr s 2 2 3 Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs Les ventiloconvecteurs Ils sontbien localis s dans les locaux quelque distance des postes de travail gt 1 m Les batteries de chaud etde froid 38 NMSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Leur capacit est suffisante en fonction des besoins thermiques du b timent Des drains permettent l vacuation l gout des eaux de condensation Les ventilateurs Leur capacit est fonction des besoins thermiques du b timent Les jectoconvecteurs sont bien localis s par rapport aux activit s Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 4 Les bouches de pulsion et de reprises d air dans les locaux Fiches 7 et 9 Le d bit d air d
8. ll esttenu compte des densit s de personnes et d quipements dans le plan HVAC e Les plafonds faux plafonds murs et parois Les mat riaux et peintures ne sont pas toxiques Les causes de toute tache d humidit fuites d eau condensations sont recherch es et limin es L tat de l isolation thermique est p riodiquement surveill Les recouvrements retenant la poussi re tissus sont vit s Les peintures sont non toxiques et sans odeurs Toutmat riau susceptible de donner lieu des contaminations soit par contact soit par voie a rienne est limin A d faut il est encapsul cart recouvert pour supprimer tout contact Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e Les sols Les sols sonten dur carrelage vinyle bois Les sols en moquette sont vit s ou remplac s par des sols en dur Le programme de nettoyage est tabli fr quence technique et produits de nettoyage e Les fen tres L ouverture est permise ou non selon le type de syst me Les fen tres sont herm tiques Quand l ouverture est possible pour permettre la ventilation naturelle le type ouvrant tombant avec r glage de l angle d ouverture est pr f r Les fen tres sont quip es de stores De pr f rence stores voile ext rieurs e Ou int rieurs verticaux et orientables int rieurs Les appuis de fen tres ventuels sont rendus i
9. Fiches d aide Fiche 8 Filtres de poussi res et de gaz 1 Les objectifs Eliminer les poussi res en particulier les allerg nes et gaz pour am liorer la qualit de l air Prot ger les lieux de travail contre les salissures Prot ger les parties m caniques du syst me HVAC Cependant La filtration n est efficace au mieux que pour les poussi res et gaz en suspension dans l air Elle est donc inefficace contre les poussi res telles que pollen poussi res de maison d chets d acariens qui se d posent de pr f rence sur les plans etsurfaces de travail Ainsi la filtration est r put e tre peu efficace pour la pr vention des maladies allergiques et asthmatiques si les allerg nes ont p n tr le b timent Seul un syst me central avec filtration de tout le volume d air neuf peut s av rer efficace cet gard 2 Les filtres poussi res particules e Facteurs influen ant les performances du filtre La masse et les caract ristiques des particules diam tre forme caract ristique de perte de rendement en fonction de la charge du filtre La nature du filtre Le d bit d air trait par rapport aux caract ristiques du filtre pr vues par le fabricant L entretien e Facteurs influen ant les performances pour les occupants Le d bit trait par rapport au volume d air et aux volumes des locaux traiter Les courts circuits au niveau du filtre e Recommandations pour le choix de l effica
10. La zone est propre et bien ventil e Les probl mes de vermine sont g r s ad quatement Des poubelles adapt es aux types de d chets sont disponibles En nombre suffisant Aux bons endroits La politique d vacuation des d chets et de recyclage fr quence et moyens de collecte sont ad quats e Les r novations Fiche 13 Les travaux de r novation sont r alis s en dehors des heures d occupation du b timent Les sp cifications de confinement ventilation produits techniques ont t transmises la firme ext rieure Les zones en r novation sont confin es et ventil e conform ment aux sp cifications Les produits utilis s sont les moins toxiques et sont mis en uvre par des techniques peu polluantes conform ment aux sp cifications Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 L installation HVAC Fiche 10 2 2 1 L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauffage e Les prises d air ext rieur e Les pr filtres et filtres aux prises d air ext rieur Fiche 9 e Les batteries de chaud et de froid es sue ence Elles sont prot g es des intrusions rongeurs oiseaux Elles sont maintenues propres poussi res d bris d chets d oiseaux Elles sont d sinfect es apr s toute pollution microbiologique ENTREE D AIR FRAIS lls sont remplac s selon la programmation ou en cas de d chirure perte d ta
11. Les informations et la formation La charge motionnelle Les contraintes de temps Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les horaires et le programme de travail Le rythme de travail L autonomie du groupe Les interruptions dans le travail Les pauses Les relations de travail au sein du personnel et avec la hi rarchie Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les communications pendant le travail La r partition du travail L entraide entre travailleurs La concertation pour le travail La hi rarchie Les relations avec la hi rarchie Les suggestions et critiques des travailleurs Les valuations L environnement psychosocial Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les promotions Les discriminations L emploi Les salaires Le conseil d entreprise etle CPPT Les probl mes psychosociaux Les conditions de vie en entreprise 12 sos Le guide de concertation D paris 5 Le guide de concertation 1 Les locaux et zones de travail A discuter Les ateliers bureaux et zones de travail e Detaille moyenne et personne n est isol Les voies de circulation pour personnes et v hicules e Assez larges bien d limit es par des lignes e Non encombr es par des objets caisses palettes e Bonne visibilit Les acc s aux zones de travail e Faciles directs et de largeur suffisante gt 80 cm L encombrement rangement et ord
12. Revoir les proc dures de maintenance et d entretien dusyst me HVAC des locaux politique des d chets de nettoyage de r novation Etablir et maintenir un syst me de communication avec les occupants Coordonner le personnel de maintenance et d entretien missions respectives proc dures formations Revoir et contr ler les rapports avec les sous traitants e firme sp cialis e pour le syst me HVAC service de nettoyage service de gardiennage e contr le de la vermine Etudier tous les projets pouvant avoir une incidence sur la qualit de vie dans le b timent e modification du syst me HVAC e modifications architecturales r novation Organiser l inspection syst matique et r guli re du b timent G rer les donn es enregistr es temp ratures d bits R pondre aux plaintes et observations concernant la qualit de vie int rieure 63 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 5 Sources int rieures et ext rieures de pollution e Sources ext rieures Trafic dans les rues voisines gaz d chappement odeurs poussi res Parking et garages gaz d chappement odeurs Quaide chargement gaz d chappement odeurs V g tation animaux pollen poussi res microbes odeurs Stockage de d chets gouts poussi res microbes odeurs Constructions voisines gaz poussi res microbes B timents voisins gaz poussi res microbes Industries voisines gaz po
13. o Sivous tes membre du personnel il s agit pour vous et en leur nom de poser les probl mes de d crire les difficult s rencontr es par vous et vos coll gues et de rechercher comment la situation peut tre am lior e Qu en retirerez vous L entreprise l tablissement a choisi en connaissance de cause d utiliser le guide D paris comme outil de d pistage des risques La direction s est engag e prendre en consid ration les r sultats des discussions et les propositions d am lioration qui seront formul es C est donc l occasion de revoir l ensemble de la situation de travail et d am liorer progressivement ensemble les conditions de vie au travail L exp rience a montr que tout le monde s y retrouve qualit de la vie satisfactions personnelles et professionnelles travail plus agr able plus efficace meilleures relations de travail 10 sos Le guide de concertation D paris Voulez vous en savoir plus Vous trouverez sur le site www deparisnet be les principes de base de la strat gie SOBANE et du guide de concertation D paris ainsi que tous les outils pr par s pour mettre cette strat gie en pratique dans votre entreprise ou tablissement 4 Quels aspects seront abord s au cours de la discussion 1 Les locaux et zones de travail Qui peut faire quoi de concret et quand concernant e Les ateliers bureaux et zones de travail e Les voies de circulation e Les acc s aux zones de travail
14. 2 m pour les bouches de rejet d air Le d bit maximal par bouche de rejet 0 5 m3 s et la vitesse maximale de l air au droit de la bouche 5 m s Les choix des filtres air en fonction du temps de fonctionnement de la qualit de l air filtrer et de la qualit de l air ext rieur selon le tableau suivant Qualit de l air Qualit de l air neuf _ int rieur Air pur Poussi re Gaz ie et oe Excellente F9 F7 F9 F7 F9 F7 F9 F 6 F G F 9 Moyenne F8 F6 F8 F8 FG F8 F 6 F G F 9 M diocre F7 F6 F7 F7 F6 F7 F6 F7 Basse F6 G4 F6 F6 G4 F6 G4 F6 Le type de r cup ration de chaleur en fonction du niveau de pollution de l air repris Les possibilit s de recyclage et de r utilisation de l air repris en fonction du niveau de pollution de l air repris no Recyclage de Utilisation de Niveau de pollution de l air repris l air repris l air transf r Faible bureau couloir escalier classes OUI OUI Mod r magasins vestiaire NON OUI Elev WC laboratoire fumoirs NON NON Tr s lev Cuisine locaux d chets NON NON vers des locaux de moindre classe de qualit de l air WC garage Le niveau d tanch it du syst me et du b timent afin de r duire les pertes nerg tiques Les possibilit s de ventilation r gul e la demande Les possibilit s de faible consommation d nergi
15. Public F d ral Emploi Travail Concertation sociale de l tat belge Pour plus de d tails concernant ce document de la s rie strat gie SOBANE veuillez consulter le site WEB www deparisnet be MSOBANE sps Avant propos La r glementation europ enne et belge concernant les risques professionnels demande que chaque entreprise cherche viter ou tout le moins r duire l exposition des travailleurs tous ces facteurs de risque Les guides de D pistage le guide de concertation D paris d Observation et d Analyse de la strat gie SOBANE s inscrivent dans un contexte de pr vention plus que de r solution de probl mes Confront e un probl me des plaintes l entreprise doit r agir directement et sp cifiquement Cela est vrai dans le cas d un accident de travail analyse par l arbre des causes etrecherche des solutions court et moyen termes pour viter la r cidive C estle cas galement suite une maladie professionnelle recherche de la cause directe et des possibilit s de solutions courte et moyen termes Dans le cas d un SBS la proc dure pr conis e est d crite dans la fiche 3 intitul e Gestion d un probl me de SBS Cette fiche d crit successivement Commentse comporter au niveau de la Direction vis vis du personnel et de l ext rieur Les donn es de base du b timent recueillir Comment constitution le groupe de travail charg de la gestion du SBS Comment recueillir et analy
16. chets poubelles Chaufferie Stockage de peintures solvants produits de nettoyage produits chimiques pesticides Syst me de ventilation Surfaces textiles tapis plains tentures tissus muraux Surfaces horizontales tag res dessus des meubles Radiateurs Vieil et nouvel quipement Poubelles locales Humidificateurs locaux Ecrans d ordinateurs imprimantes photocopieuses Fen tres fuite d eau condensation Anomalies dans la ventilation Diffuseurs obstru s sales ou rouill s 60 NMSOBANE SBS Fiches d aide Courants d air Pressions diff rentielles importantes sur les portes Anomalies dans les espaces de travail Densit de personnes trop importante Encombrement important D sordre g n ral Obstacles la ventilation Odeurs Anomalies quant l entretien Propret g n rale des sols tag res dessus des armoires fen tres luminaires Taches d humidit s ch es ou non ou moisissures sur les parois les plafonds les sols la moquette Traces de fum e pr s d quipements lectriques Etatdes poubelles Propret des bouches de pulsion ventiloconvecteurs obstru s Anomalies par rapport l ext rieur proximit de route grand trafic industries constructions parkings Anomalies climatiques Temp ratures anormales trop lev es ou trop basses Exposition solaire sans st
17. e Les plantes vertes Les plantes vertes constituent un apport non n gligeable au bien tre dans l environnement de travail Aussi ne faut il envisager leur suppression que lorsque des pathologies de type allergique sont observ es Ne pas poser les plantes pr s de bouches de pulsion ou sur ou trop pr s des ventiloconvecteurs Assurer l entretien des plantes en renouvelant le terreau chaque ann e afin d viter les moisissures susceptibles de contaminer l air ambiant Eviter les plantes allergisantes et notamment le Ficus benjamina asthme rhinite conjonctivite urticaire e Les archives Les documents et particuli rement le papier archiv peuvent tre le si ge de contaminations microbiologiques diverses moisissures bact ries puces de papier Ramen s dans les bureaux ils deviennent une source de contaminations pouvant affecter la sant C est donc au niveau du lieu d archivage que des mesures sont prendre Humidit relative maintenir en dessous de 50 A ration du local et disposition des archives R aliser des contr les microbiologiques du local d archivage et des documents contamin s au cours du bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soupconn es e Les p gt probleme d humidit Rechercher tous les probl mes d humidit dans le b timent Infiltrations de toiture infiltrations au niveau des murs Humidit ascensionnelle dans le bas des fondations Condensation e
18. n rale apathie naus es vertiges 7 Maladie grippe fi vre infections e Plaintes relatives aux conditions de travail Ne noter que les plaintes mises spontan ment par la personne Pour chacun des items de la liste noter e sices plaintes sont occasionnelles parfois ou fr quentes souvent etsila personne les juge peu ou tr s graves Pr ciser galement les circonstances dans lesquelles elles apparaissent et les causes invoqu es par la personne Fr quence S v rit Circonstances Causes parfois souvent peu tr s Agents chimiques et biologiques moisissures parasites Manque d air Poussi res Se a ee a Temp rature de l air Humidit s cheresse Oo Courant d air Bruit Eclairage naturel artificiel Reflets crans Nature du travail Relations au travail Autonomie dans le travail f S PP Responsabilit s J f FP Satisfaction au travail T 0 S E Pes S S T S T Ef 3 Synth se des donn es POUR LE GROUPE e Donn es personnelles nombre de personnes dans chaque classe Sexe Hommes Femmes Age we lt 30 ans 30 40ans oo gt 40 ans Anciennet dans l entreprise lt 2ans lt l0ans gt 10 ans Anciennet dans la zone avec SBS lt 3 mois o lt lan uae gt lan Fumeurs ww NON we OUI Niveau hi rarchique ouvriers employ s cadres inf rieurs
19. ne pas permettre la vision des sources partir des postes de travail e Dans le cas contraire ils sont rehauss s plac s des grilles de d filement ou des crans opalins lls sont r partis dans le local de mani re a donner un clairage homog ne lls sont plac s parall lement aux fen tres Le programme de remplacement des lampes et luminaires apr s un certain nombre d heures de fonctionnement est tabli e Les plans de travail Les emplacements des postes de travail sont tudi s de mani re avoir les fen tres gauche pour les droitiers Pasa droite nia l arri re et surtout pas l avant Les surfaces sont mates et les coefficients de r flexion sont les plus proches possibles Les surfaces de travail sont de couleurs pastel ni trop sombres ou trop claires Les clairements sur le plan de travail et les surfaces frontales sont proches Les luminances des surfaces proches ne varient pas par un facteur sup rieur 3 Les surfaces brillantes sont plac es sur les c t s en dehors du champ visuel e Letravail sur cran La localisation des crans est tudi e par rapport aux fen tres et aux sources lumineuses Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 7 L ergonomie des postes de travail e L espace et l am nagement du bureau Le type de bureau individuel collectif paysager est choisi en fonction des exigences des act
20. s probl mes Il est de trouver ce qui peut tre fait concr tement court moyen et long termes pour que le travail soit plus efficace et plus agr able Au cours de la r union il sera possible pour certains points de d terminer ce qu il faut r organiser ou changer et comment concr tement le r organiser ou le changer Pour d autres aspects des tudes compl mentaires devront tre r alis es par la suite La Direction s engage tablir un plan d actions afin de donner suite au mieux ce qui sera discut Qu est il attendu de vous Par le pass des tudes des enqu tes ont d j t conduites et ou des demandes ont d j t formul es Toutes n ont peut tre pas t suivies d actions Au cours de la r union D paris on souhaite repartir de z ro faire table rase du pass ventuel et revoir de mani re organis e et syst matique TOUS les aspects de la vie au travail ll est attendu que vous veniez la r union avec un esprit confiant et constructif o Sivous tes membre de la direction et de la ligne hi rarchique il n est pas question ici de vous reprocher quoi que ce soit mais de voir ce que l on peut faire pour am liorer la vie compte tenu des autres contraintes de travail o Sivous tes un repr sentant d un membre d un service d entretien de m thodes d achat il est question de voir avec vous la fa on id ale d am liorer ces questions de vie compte tenu des contingences techniques
21. 31 2 8 Les facteurs sociaux et organisationnels Fiche 18 32 2 9 SALUE spe ant cr latent lcs Sill ltt 32 3 Rapport de l tude d Observation SOBANE N VeaU nent it 33 Niveau 3 Analys amp sncsssonsonansonsmonnenannononnamnnnnnnnmnnnmnmnmnnnnnn nna 36 1 Introduction ennemis 36 Bog PO OR at ee ne es done di nd do net 36 2 1 Lagestion du PAUMENt antenne tiens 36 2 2 LinSRAUOn AV ACER nn mener nn eee 38 2 2 1 L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauffage 38 22 2 Les humidificateurs avec bac r colteur d eau 38 MSOBANE sps 22 3 Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs 38 2 2 4 Les bouches de pulsion et de reprises d air dans les locaux Fiches 7 et 9 39 2 25 Le recyclage d air sainte tin RAR annee 39 2 26 LeS autres appareils ss nina nd eat nn 39 2 2 7 Le r gime de pression entre les locaux in 39 23 Les IOCAUX ans ennemi n tent nnnentn ennemi nent tite 39 2 4 Les conditons M NMIQU S EN e a e M MR Rene ME RMS 41 2 5 l eS conditons ACOUSTIQUES nantes aettvelaicuatiead aattilandadngunuaeane 42 2 6 k s conditons AE LA LE testament eee a asc ERNE aE EE EE 43 2 7 L ergonomie des post s de Travalll i isis viii essa aa dan Ea ia ie N EN 43 2 8 SL ES e A T EA E 44 3 Rapport de l tude d Analyse SOBANE VBA lu 44 Niveau 4 EXpe rts rssinesrarennmnenminneneianenennenenennianennmenenenenennenenntteninenenn
22. Certains sont connus pour produire des mycotoxines ou des aflatoxines susceptibles d entrainer des maux de t te des h morragies pulmonaires et des cancers Les Stachybotrys chartarum Aspergillus flavus Aspergillus versicolor sont les plus connus en raison de leur pr dominance et de leur capacit tre identifi Les algues pouvant diss miner des prot ines allergisantes pour certaines personnes sensibles Les acariens fortement allergisants qui s alimentent des cellules humaines qui s accumulent dans les tapis plains les si ges en tissus et ailleurs et qui prolif rent dans les environnements chauds et relativement humides Le pollen de divers arbres et plantes qui peut s accumuler dans le b timent si la ventilation et le filtrage sont inappropri s Les restes ou d chets d insectes tt rature met clairement en vidence un lien entre les sympt mes de SBS et la quantit de mati res textiles us tapis plains dans le b timent 2659 es Les germes sont propag s par l air mais galement par les objets et les personnes lls sont mis en suspension et dispers s par de mauvaises techniques de nettoyage aspirateurs d fectueux lls se d veloppent dans la poussi re les tissus les tapis plains particuli rement si elles sont humides du fait de Techniques de nettoyage inadapt es par voie humide Fuites dans la tuyauterie toits climatiseurs ou syst mes HVAC Condensation sur des surfaces froides du fait d
23. Les jectoconvecteurs sont propres non corrod s et en bon tat de fonctionnement Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 3 Les bouches de pulsion et de reprise d air dans les locaux Fiches 7 et 9 Les d bits d air puls s etrepris dans chaque local correspondent aux sp cifications Le d bit est r parti correctement entre les diff rentes bouches de pulsion et de reprise Aucune bouche de pulsion et de reprise n est obstru e par le mobilier ou un obstacle Aucun cran ou obstacle mobilier ne perturbe la circulation de l air dans le local telle que pr vue 28 MASOBANE SBS Niveau 2 Observation Les bouches sont propres et les causes de salissures corrosion et obstructions des bouches et autour des bouches sont recherch es et limin es Toutes les zones du local sont ventil es de mani re satisfaisante 2 2 4 Le recyclage d air La chambre de m lange est propre Les filtres sonten bon tat et remplac s syst matiquement en cas de perte de charge ou de d gradation 2 2 5 Les autres appareils Les chaudi res Les conditions de fonctionnement correspondent aux sp cifications Les br leurs joints fuites de CO et de gaz sont entretenus et remplac s selon le programme pr tabli e Il n existe aucune pr sence de fuites d eau de vapeur de fuel Les r cup rateurs de chaleur sont propres Que faire
24. autres senseurs sont en nombre suffisant et bien localis s e Dans les locaux et non les couloirs derri re une armoire A l abri du rayonnement solaire et de toute source de chaleur ou humidit Ils ne sont pas accessibles aux occupants e La politique de r glage est fix e En fonction de la saison et du climat ext rieur Au cours de la journ e et de la semaine de travail Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e La temp rature de l air Les sources internes de chaleur sont r duites au minimum et trait es Elles sontcapot es avec vacuation de la chaleur La puissance install e est minimale e Le personnel est bien r parti Les sources de chauffage convectif radiateurs sont plac es sous les fen tres et r parties de fa on homog ne Les consignes de temp ratures sont fix es pour avoir des variations inf rieures 2 C entre locaux Les temp ratures de toutes les surfaces sont proches de celle de l air Le syst me de chauffage donne peut de variations verticales des temp ratures Gradient maximal de temp rature de 2 C par m tre de hauteur Temp rature du sol id ale gt 21 C L isolation thermique du sol et du plafond est choisie en cons quence Le chauffage par panneaux rayonnants est vit Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e L humidit d
25. clairement sont suffisants en tous les points du local en fonction de la pr cision de la t che Le rendu des couleurs est satisfaisant en fonction des exigences de la t che e Les plans de travail Les postes de travail sont bien orient s par rapport aux fen tres fen tres la gauche du salari pour les droitiers L clairage du plan de travail est peu pr s le m me partout uniformit Aucune surface ou objetr fl chissants luminaire lampe verre m tal poli film plastique ne se trouve dans le champ de vision de la personne Les surfaces brillantes sont plac es sur les c t s en dehors du champ visuel e L clairage artificiel local Un clairage local n est utilis que si requis par la t che vision de d tails fins peu de contrastes Seules des lampes fluorescentes conomiques sont utilis es pas de lampes incandescentes ou halog nes Les occupants ne peuvent voir directement ou indirectement la source de lumi re La puissance de la lampe locale est choisie de mani re ne pas avoir dans le champ visuel des clairements variant par plus d un facteur 3 Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 7 Ergonomie des postes de travail Fiche 17 e L espace de travail L espace est suffisant autour du bureau et en g n ral dans la pi ce pour les mouvements et la circulation des personnes Les espaces de rangement
26. concentration s coule l gout L entretien Les nettoyages et d sinfections sont effectu s selon les sp cifications Les produits sont correctement utilis s technique et concentration Aucun biocide n est utilis Les syst mes UV de st rilisation Les filtres en amont sont nettoy s ou chang s une fois par mois Le bon fonctionnement des tubes U V est contr l selon le programme pr tabli Les tubes sontremplac s selon le programme ou d s que d fectueux Tout d p t de sels sur les tubes est nettoy et la conductivit de l eau est v rifi e Les siphons d vacuation sont en bon tat de fonctionnement Aucune eau ne stagne nulle part dans l installation e Les humidificateurs vapeur Les causes de toute condensation dans le r seau de distribution d air gaine sont recherch es et limin es Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 2 Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs Les ventiloconvecteurs e Rien n est d pos sur les ventiloconvecteurs e Aucune plante verte n est proximit Les batteries de chaud et de froid Elles sonten bon tat et propres boues algues rouille Elles sont p riodiquement d sinfect es Aucune eau ne stagne nulle part Les ventilateurs sont maintenus propres Les grilles sont propres non corrod es et sans obstructions
27. diff rents postes faciles et libres Les moyens de communication e Voix t l phones ordinateurs parlophones ad quats et agr ables Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects a tudier plus en d tails OQ 3 Les accidents de travail A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les v tements de travail et Equipements de protection individuelle EPI e Adapt s disponibles utilis s entretenus rang s e Produits dangereux masques lunettes gants e Machines lunettes projections gants e Travaux en hauteur casque hamais de s curit Les chutes de hauteur garde corps ancrages entretien des quipements de travail en hauteur levage de personnes Les chutes de plain pied tat du sol ordre propret Les chutes ou projections d objets e S curit des op rations rangement des outils et du mat riel Les risques m caniques e Heur entra nement crasement coupures piq res br lures dus a l absence ou la neutralisation de garants cache poulie l utilisation de seringues cutters sources de chaleur Les proc dures en cas d accident e Claires connues et appliqu es Les analyses des accidents du travail e Syst matiques compl tes utiles Les premiers soins locaux de secours boites de secours secouristes bien localis s et ad quats Aspects tu
28. en mettant au net La liste des points tudier plus en d tails avec les priorit s La liste de solutions envisag es avec indication de qui fait quoi et quand Les rubriques utilis es contenant les informations d taill es ressortant de la r union 11 Pr sentation des r sultats aux participants r vision ajouts 12 Finalisation de la synth se 13 Pr sentation la direction et aux organes de concertation 14 Poursuite de l tude pour les probl mes non r solus facteur par facteur au moyen des m thodes de niveau 2 Observation de la strat gie SOBANE Le texte suivant peut aider pr ciser le but de la r union Au cours de la r union nous allons passer en revue tous les aspects techniques d organisation et de relation qui font que le travail est plus ou moins facile efficace et agr able ES 9 sos Le guide de concertation D paris L objectif n est pas de savoir si c est facile ou agr able 20 50 ou 100 Il est de trouver ce qui peut tre fait concr tement tout de suite dans 3 mois et plus tard pour que ce soit plus efficace et plus agr able Il peut s agir de modifications techniques de nouvelles techniques de travail mais aussi de meilleures communications de r organisation des horaires de formations plus sp cifiques Pour certains points nous devrions arriver dire ce qu il faut changer et comment concr tement le changer Pour d autres des tudes compl mentaires d
29. es et peu g nantes Ils sontbien orient s les uns par rapport aux autres et par rapport aux fen tres Ils sont maintenus propres Les surfaces sont peu encombr es et les espaces de rangement ad quats Le mobilier est en bon tat de fonctionnement Les poubelles sont ad quates En nombre en forme en taille et en type permettant un tri s lectif Elles sont bien localis es Elles sont nettoy es et d sinfect es quand n cessaire La politique d vacuation est connue et respect e Aucun espace de travail ne pr sente d odeur de moisi de solvants de tabac e Les appareils polluants produits chimiques ou chaleur imprimantes photocopieuses ou autres machines 29 NMSOBANE SBS Niveau 2 Observation Ils sont localis s soitdans un local s par soitle plus l cart des postes de travail le plus pr s possible des bouches de reprise le plus loin possible des bouches de pulsion en cas de pollution Les plantes vertes Elles sont limit es en nombre Elles sont localis es l cart des bouches de pulsion et des sources de chaleur et pr s des bouches de reprise d air Elles sont r guli rement et syst matiquement entretenues eau remplacement du terreau L archivage Le local d archivage est bonne temp rature et faible humidit lest ventil et l abri de la vermine Les documents restent en bon tat Divers Les humidifica
30. et 37 C Taux d endotoxines o 78 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 12 Gestion du probl me de vermine e Nature Microbes et moisissures Cafards fourmis Rongeurs e Pr vention e Solut Politique de nettoyage Interdiction de mati re organique dans les espaces de travail fruits pain Inspection et blocage des zones de d veloppement Gestion des d chets Poubelles ferm es Containers l cart Evacuation rapide Zones maintenues propres Entretien des installations e R paration des fuites d eau Bouchage des fentes Placement de barri res physiques l entr e et au mouvement de la vermine Ecran dans les ouvertures e L utilisation p riodique g n rale de pesticides titre pr ventif n est pas recommand e et ne se justifie en rien siles m thodes pr ventives ont correctement t mises en uvre ions Placement de pi ges Utilisation judicieuse de pesticides Dans les zones affect es Avec traitement minimal des surfaces expos es aux occupants Par une firme sp cialis e Selon les proc dures d crites par le fabricant Apr s notification tr s explicite aux occupants Avec a ration locale apr s usage et avant l arriv e des occupants Sans contamination du syst me HVAC et du reste du b timent En ayant coup la ventilation dans l espace trait o 79 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 13 R novatio
31. et les conditions de travail au sens large 4 Le probl me s amplifie de plus en plus de personnes tablissent un tel lien entre leurs probl mes et les conditions qui sont les leurs Des plaintes sont formul es Toute r action de personnes jouissant d un pouvoir employeur autorit experts qui consiste minimiser a priori ou m priser le probl me conduit infantiliser le personnel concern et donner ce probleme une dimension plus grande encore 6 Bien qu un probl me de SBS puisse prendre des proportions d mesur es fuite du batiment sa dynamique est cependant diff rente de celle des maladies psychog nes de masse c a d en clair des hyst ries collectives Ces derni res se d clenchent en quelques heures voire minutes et sont tr s violentes avec des sympt mes tels que hyperventilation naus e syncopes qui ne se rencontrent jamais dans les cas de SBS Ils consistent en une r action affective imm diate alors que pour le SBS il s agit plut t d une r action de pr occupation a moyen ou plus long terme 54 MASOBANE SBS Fiches d aide On peut conclure de ce qui pr c de que les tudes pid miologiques du fait de leur rigueur scientifique ne pourront probablement jamais tablir de mani re p remptoire une association entre facteurs sociaux et organisationnels et SBS fortiori l tablissement d une relation de cause effet est utopique 5 La liaison sympt mes types de polluants
32. et parois se transmettent directement aux locaux voisins L isolement au bruit de masse s obtient par des socles antivibratoires en dessous des machines vibrantes des rev tements de sol r silients ou des sols flottants 86 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 16 L clairage L clairage notamment la position des crans par rapport aux sources naturelles et artificielles de lumi re est souvent incrimin dans les cas de Sick Building Syndrome Pour pr venir ces probl mes il est recommand de se r f rer au guide d Observation de la strat gie SOBANE d velopp pour la pr vention des risques li s l clairage La fiche ci apr s r sume bri vement les points les plus importants 1 Les unit s La quantit de lumi re tombant sur une surface est l clairement en lux tandis que la quantit de lumi re r fl chie par cette surface est la luminance en cd m 2 Types de lampes et de luminaires Dans les espaces de travail on privil gie les lampes fluorescence basse consommation dont la dur e de vie est de quelque 10000 heures l efficacit lumineuse tr s importante et le rendu des couleurs satisfaisant Les lampes incandescence et halog nes sont proscrire On privil gie les luminaires donnant une r partition moyenne de la lumi re vers le bas Plus la distribution lat rale est importante plus le risque d blouissement par vision directe est lev Au contraire si la r partition est faible l cl
33. fonction des probl mes rencontr s Les br leurs joints fuites de CO etde gaz sont entretenus par du personnel qualifi Les entr es d air de combustion sont suffisantes Le rejet des gaz de combustion se fait l cart de l aspiration d air frais Les r cup rateurs de chaleur sont ad quats Les changeurs r cup rateurs de chaleur ne permettent aucun court circuitage d air pollu ni transfert de polluants Les tours de refroidissement sont bien localis es par rapport aux prises d air et maintenues propres Le r gime de pression entre les locaux Si syst me HVAC le b timent est en l g re surpression par rapport l ext rieur de mani re viter les entr es d air parasites Le d bit d air neuf est sup rieur au d bit d air rejet par le syst me principal de HVAC Tout local avec nuisances archivage toilettes photocopieuses est en d pression par rapport aux autres Les locaux avec nuisances sont ventil s avec extraction totale Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 3 Les locaux e Lebatiment Le batiment et les locaux sonten bon tat Les locaux bureaux locaux techniques restaurant machines sont bien r partis dans le batiment en fonction de leur affectation 39 NSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Orientation Nord Sud Estou Ouest Surrue ou jardin e S paration des locaux avec nuisances
34. la sortie le soir le week end ou durant les vacances Ils sont donc ind niablement li s l occupation des locaux Les plaintes sont essentiellement d inconfort et sont en rapport avec des sympt mes qui ne repr sentent pas une menace pour la sant physiologique du moins a court terme Le pr sent document s int ressera essentiellement la pr vention des risques de SBS L Organisation mondiale de la sant OMS 2 d finit le SBS comme un exces de plaintes et de sympt mes survenant chez une partie des occupants de b timents non industriels et dont l origine r side dans le mauvais tat de certains l ments du b timent L OMS fixe 20 le nombre de personnes atteintes pour que l on puisse parler de SBS 2 Classification des sympt mes de SBS 5 Les sympt mes du SBS peuvent tre class s en 5 cat gories 1 Les sympt mes affectant les muqueuses et les voies respiratoires sup rieures e Irritation s cheresse des yeux du nez de la gorge Picotements des yeux larmoiements congestions nasales Toux ternuements saignements du nez Voix enrou e ou modifi e 2 Les sympt mes affectant le syst me respiratoire profond 50 MSOBANE SBS Fiches d aide Oppressions thoraciques respirations sifflantes asthme essoufflements 3 Les sympt mes affectant la peau S cheresse d mangeaisons ruptions 4 Les sympt mes affectant le syst me nerveux central Fatigue difficult s de concentration so
35. les b timents avec un syst me de climatisation avec ou sans I humidification par rapport aux b timents avec ventilation naturelle Le tableau ci apr s r sume clairement l accroissement des pr valences de divers sympt mes de SBS en relation avec ces syst mes de ventilation Mendell et Smith 34 y rapportent les risques relatifs de ces sympt mes par rapport la ventilation naturelle pour 4 syst mes de ventilation et de conditionnement d air Ce risque relatif est quelquefois Significativement plus lev dans des b timents avec ventilation forc e ou conditionnement d air et humidification la vapeur Il est nettement plus fr quemment significatif dans les syst mes avec conditionnement d air et humidification par rideau d eau De cette tude corrobor e par de multiples autres ult rieurement 28 35 37 39 5296 57 62 67 il faut conclure que le conditionnement d air peut tre la meilleure et la pire des choses et qu il est essentiel de veiller un fonctionnement optimal des installations La mauvaise qualit de l air dans les b timents en plus d tre une source d insatisfaction entrainerait une diminution de la productivit 6 52 NMSOBANE SBS Fiches d aide Signification statistique du risque relatif de certains sympt mes de SBS dans des b timents avec diff rentes configuration de ventilation par rapport aux b timents avec ventilation naturelle Modifi de Mendell et S mith 1990
36. llestle plus possible l cart des fen tres et avec ces fen tres gauche pour les droitiers Aucune source lumineuse ne se r fl chit sur l cran Tout probleme de r flexion diffuse sur l cran est limin L emplacement de l cran ou des sources est modifi en cons quence Le clavier la souris et les accessoires sont de qualit et utilis s dans de bonnes conditions L espace sur le plan de travail suffisant l avant du clavier pour pouvoir placer la main et le poignet sur le bureau Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 8 Les facteurs sociaux et organisationnels Fiche 18 e L autonomie individuelle Le travail ne s effectue pas souvent sous la pression du temps ou en fonction des ch ances et les normes de production sont faciles atteindre Le sujet a la possibilit de varier l allure de son travail Les t ches ne sont pas r p titives court terme e Les contraintes relationnelles Personne ne travaille de mani re isol e totalement ind pendamment des autres Chacun a suffisamment l occasion de bavarder quelques instants avec ses coll gues ll existe une concertation de travail r guli re o il est possible d aborder les probl mes du travail Le personnel a l occasion de s entraider lorsque cela s av re n cessaire La charge motionnelle est acceptable e Les contraintes organisationnelles L organ
37. m3 h par m Espaces Restaurant cafeteria Cuisines Bureaux Bureaux Zone d accueil Salle de conf rence Salon pour fumeurs Ascenseur Magasins Rez de chauss e sous sols Etages Salles de Hall spectacles Auditoire Salle de cours auditoire Biblioth que Alimentaire Espaces publics Education L tude r alis e par J aakkola et Miettinen 28 et la revue de la litt rature de Sepp nen etal 55 indiquent que la sant des occupants est en g n ral meilleure pour des taux de ventilation en dessous du 35 m3 h par personne et d autres am liorations de la sant peuvent tre observ es des taux de ventilation jusqu 70 m3 h par personne 3 Confinement des polluants Confiner physiquement les machines ou locaux e Portes closes fentes bouch es V rifier les espaces au dessus dss faux plafonds Installer une aspiration locale sp ciale pr s des sources ou dans les locaux polluants e Avec rejet direct l ext rieur sans recirculation Couper le syst me de ventilation g n rale dans les locaux concern s Atoutle moins couper les bouches de reprise d air e Pr voir des entr es d air de remplacement suffisantes pour les d bits extraire Maitriser strictement le r gime de pression avec les locaux voisins et donc les circulations d air Localiser les occupants pr s des bouches de pulsion en portant une attention particuli re aux courants d air sources de g ne 69 NMSOBANE SBS
38. peut tre de basses sons graves ou de hautes sons aigus fr quences Le niveau d une conversation voix basse 1 50 m estenviron 30 dB A Celui d un bureau tranquille dans quartier calme de 40 dB A Celui d une conversation normale de 60 dB A Celui d un restaurant bruyant de 70 dB A Le niveau partir duquel appara t long terme un risque de surdit professionnelle et partir duquel la l gislation impose des actions est de 80 dB A De tels niveaux ne sont rencontr s qu occasionnellement et pour de courtes dur es dans des bureaux o le risque n est donc pas de surdit professionnelle mais de g ne de perturbation de l attention et de la concentration de stress 2 Crit re de confort acoustique int rieur Le confort acoustique est envisager e Vis vis des bruits internes au local li s aux activit s L absorption acoustique dans le local de bureau par les parois le sol le mobilier devra tre telle que ces bruits ne se r verb renttrop dur e de r verb ration Teo entre 0 5 et 0 7 seconde e Vis vis des sources de bruit internes non li es aux activit s ex ventilation ou externes trafic voisins ascenseurs La norme NBN S01 401 sp cifie des limites de bruit de fond en fonction de l affectation du local et du type d environnement Quatre types d environnement sont envisag s R sidentiel plus de 500 m d une voie de circulation importante ll R sidentiel urbain moins
39. r alis e par des personnes de l entreprise connaissant parfaitement les situations de travail quand bien m me elles n ont pas de formation ou n ont qu une formation rudimentaire en ce qui concerne les probl mes de s curit de physiologie ou d ergonomie Ce sont donc les op rateurs eux m mes leur encadrement technique imm diat l employeur lui m me dans les PME un pr venteur interne avec les op rateurs dans les entreprises plus grandes Un groupe form de quelques op rateurs et de leur entourage professionnel avec un conseiller en pr vention la premi re fois va passer en revue les principaux aspects de sa situation de travail rechercher les actions imm diates d am lioration et de pr vention et identifier ce qu il faut tudier plus en d tails Une personne au sein de l entreprise le coordinateur est d sign e pour mener bien ce D pistage et coordonner la mise en uvre des solutions imm diates et la poursuite de l tude niveau 2 Observation pour les points approfondir Le guide de concertation D paris sert organiser la discussion du groupe Le guide et ses conditions d utilisation ont t pr sent s en d tail dans le premier num ro de la collection des brochures de la s rie strat gie SOBANE publi e par le SPF ETCS 2 Proc dure d utilisation 1 Information par la direction sur les objectifs poursuivis et engagement de celle ci de tenir compte des r sultats des r unions et des tudes Ac
40. rieur du local La propagation des bruits individuels t l phone voix activit ordinateurs imprimantes est limit e Quand n cessaire des crans acoustiques sont pr vus armoires panneaux de 1 5 m entre postes de travail L quipement restant aux postes de travail est peu bruyant sonneries de t l phone imprimantes e La r verb ration dans le local Tous les chos sont supprim s par traitement des surfaces parall les avec des mat riaux absorbants Les mat riaux du sol des parois et des plafonds sont tudi s pour une r verb ration optimale Des mat riaux absorbants sont ajout s ou retir s en cons quence Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 42 NMSOBANE 2 6 SBS Niveau 3 Analyse Les conditions d clairage e L clairement souhait Les clairements des surfaces et des postes de travail sont d termin s en fonction de l activit perception des d tails n cessaire L clairage naturel est suffisant a chaque poste de travail Les fen tres sont quip es de stores anti solaires e L c nae artificiel g n ral L clairage int rieur se fait uniquement au moyen de lampes ou tubes fluorescents Les lampes et tubes sont s lectionn s pour obtenir le rendu des couleurs exig par la t che Les luminaires sont de qualit optique optimale angle de dispersion r flecteurs lls sont plac s de mani re
41. sick building syndrome in an office environment Scand J Work Environ Health 16 363 371 Squinazi F 2002 La pollution de l air l int rieur des b timents allerg nes exclus Revue Francaise d Allergologie et d Immunologie Clinique 42 3 248 255 Stenberg B Wall S 1995 Why do women report sick building symptoms more often than men Soc Sci Med 40 4 491 502 Tecelescu D B Sauleau E A Massin N et al 1998 Sick building symptoms in office workers in north eastern France a pilot study Int Arch Occup Environ Health 71 353 6 Wargocki P Sundell J Bischof W Brundrett G Fanger P O Gyntelberg F Hanssen S O Harrison P Pickering A Sepp nen O Wouters P 2002 Ventilation and health in non industrial indoor environments report from a European multidisciplinary scientific consensus meeting EUROVEN Indoor Air 12 2 113 28 Wargocki P Wyon D P Sundell J Clausen G Fanger P O 2000 The effects of outdoor air supply rate in an office on perceived air quality sick building syndrome SBS symptoms and productivity Indoor Air 10 4 222 36 Wolkoff P and Kjaergaard S K 2007 The dichotomy of relative humidity on indoor air quality Envir Int 33 6 850 857 Wyon DP 2004 The effects of indoor air quality on performance and productivity Indoor Air 14 7 92 101 Zweers T Preller L Brunekreef B et al 1992 Health and indoor climate complaints of 7043 office workers in 61
42. solution qui r soudrait d finitivement le probleme Les probl mes de SBS ayant des causes multiples attendre les conclusions d ensemble pour pr senter les actions envisag es Des conclusions pr matur es et erron es font perdre toute cr dibilit et jettent la suspicion Si malgr toutes les actions techniques le probl me subsiste et ou un diagnostic de stress est port en assumer la responsabilit en recherchant les causes et en cherchant les liminer Garantir l anonymat lors du recueil des plaintes Ce recueil doit tre r alis par une seule personne de mani re minimiser les diff rences d interpr tation Le m decin du travail est g n ralement le mieux plac pour un tel recueil Sauf en cas de pathologie manifeste il y a int r t viter que les plaignants soient vus par le m decin en milieu clinique lors d un premier entretien de mani re viter les rumeurs d hospitalisation 10 Sauf en cas de probl me manifeste susceptible de compromettre la sant a court terme viter de fermer une zone de travail Une telle fermeture est interpr t e comme une reconnaissance d un probl me majeur de sant et est difficilement r versible quelles que soient les actions entreprises 11 Former le personnel valuer son environnement et y maintenir des conditions favorables tant en ce qui concerne les facteurs ambiants que les facteurs sociaux et organisationnels L attitude la plus g n ra
43. 3 Le tableau suivant rapporte les associations les plus fr quemment constat es entre certains sympt mes courants et certains polluants II s agit bien d associations fr quentes et non de liaisons automatiques Polluants Signes et sympt me Fum e de tabac Autres produits de combustion Polluants biologiques Compos s organiques volatils M taux lourds gt x lt Rhinite congestion nasale X X Saignement de nez Pharyngite toux Sifflement asthme aggrav Dyspn e Affection pulmonaire grave Irritation conjonctivale Mal de t te ou vertige L thargie fatigue malaise Naus e anorexie Affaiblissement cognitif changement de personnalit Rougeurs Fi vre frissons Tachycardie H morragie r tinienne Myalgie Perte d audition I lt xXl IX gt gt lt X lt 1 gt SK r gt lt gt lt X gt lt gt lt gt lt X 1 DK gt 7 gt lt gt lt gt lt gt lt X 1 gt lt gt K gt gt lt gt lt X 1 gt lt gt lt 1 gt lt gt lt X gt lt OK gt lt X 7 gt lt Cl gt lt gt lt 6 Lan cessit d une approche globale De ce qui pr c de il para t incontestable que le SBS r sulte de la conjonction de nombreux facteurs ambiants personnels sociaux et organisationnels Le dosage des diff rents facteurs
44. 4 conventioneers at a Philadelphia hotel legionnaires disease is worrying health officials again Occupational Health and Safety 65 9 67 69 Bluyssen P M Oliveira Fernandes E Groes L Clausen G Fanger P O Valbj rn O Bernhard C A Roulet C A 1996 European Indoor Air Quality Audit Project in 56 Office Buildings Indoor Air 6 4 221 238 Bourbeau J Brisson C Allaire S 1997 Prevalence of the sick building syndrome symptoms in office workers before and six months and three years after being exposed to a building with an improved ventilation system Occup Environ Med 54 1 49 53 Boxer P A 1990 Indoor air quality A psychosocial perspective Occup Med 32 5 425 428 Burge P S Hedge A Wilson S Bass J H Robertson A 1987 Sick Building Syndrome A study of 4373 office workers Ann Occup Hyg 31 A 493 504 Burge H A Hoyer M E 1990 Indoor air quality App Occup Environ Hyg 5 2 84 93 Cooley J D Wong W C J umper C A Straus D C 1998 Correlation between the prevalence of certain fungi and sick building syndrome Occup Environ Med 55 579 584 Fang L Wyon D P Clausen G Fanger P O 2004 Impact of indoor air temperature and humidity in an office on perceived air quality SBS symptoms and performance Indoor Air 14 7 74 81 Finnegan M J Pickering C A C Burge P S 1984 The sick building syndrome prevalence studies BMJ 289 1573 5 Fisk W J Mirer A G and
45. Gymnases 35 45 40 Biblioth ques et mus es 28 35 30 Lieux de Salles 30 35 33 r union Cin mas 30 35 33 Salles de cour 30 40 35 Magasins de d tail 35 50 40 upermarch s ue Salles des ordinateurs petites 40 50 45 Salles des ordinateurs grandes 40 60 50 Salles 25 35 30 Chambres coucher la nuit 20 35 30 H pitaux Chambres coucher le jour 25 40 30 Salles d op ration 30 48 40 Couloirs 35 45 40 Chambres d h tel la nuit 25 35 30 H tels Chambres d h tel le jour 30 40 35 Entr es et salles de r ception 35 45 40 Petits bureaux 30 40 35 Bureaux Salles de conf rence 30 40 35 Bureaux am nag s en parc 35 45 40 Caf t rias 35 50 40 Restaurants Restaurants 35 50 45 Cuisines 40 60 55 Salles de classe 30 40 35 Salles de professeur 30 40 35 Ecoles Couloirs 35350 40 Gymnases 35 45 40 Sport Stades couverts de sports 35 50 45 Bains de natation 40 50 45 Divers Toilettes et vestiaires 40 50 45 3 L isolement acoustique souhaitable entre locaux La norme NBN 501 401 stipule l isolement acoustique minimal et optimal entre deux locaux en fonction de leur aff 84 NMSOBANE ectation respective SBS Fiches d aide Locaux concern s Locaux peu ne ee See Locaux Salles de Locaux voisins Direction Cadre Escalier ascenseur II Immeuble voisin Il Locaux peu Direction peupl s Cadres IV Locaux peupl s I Salle de m canog
46. Med 51 683 688 Nordstr m K Norb ck D Akselsson R 1995 Influence of indoor air quality and personal factors on the sick building syndrome SBS in Swedish geriatric hospitals Occup Environ Med 52 170 176 Ohman P and Eberly L E 1998 Relating Sick Building Symptoms to Environmental Conditions and Worker Characteristics Indoor Air 8 3 172 179 Ooi P L and Goh K T 1997 Sick building syndrome an emerging stress related disorder International J ournal of Epidemiology 26 1243 1249 Ooi P L Goh K T Phoon M H Foo S C Yap H M 1998 Epidemiology of sick building syndrome and its associated risk factors in Singapore Occup Environ Med 55 188 193 Olesen B W Seppanen O Boerstra A 2006 Criteria for the indoor environment for energy performance of buildings a new european standard Facilities 24 11 12 445 457 O Mahony M Lakhani A Stephens A Wallace G Youngs E R and Harper D 1989 Legionnaires disease and the sick building syndrome Epidemiology and Infection 103 285 292 Perdrix A Parat S Liaudy S Ma tre A 2005 Syndrome Des B timents Malsains SBM Revue Fran aise des Laboratoires 373 67 72 Reinikainen L M Jaakkola J J Sepp nen O 1992 The effect of air humidification on symptoms and perception of indoor air quality in office workers a six period cross over trial Arch Environ Health 47 1 8 15 Reinikainen L M Aunela Tapola L Jaakkola J J 1997 Hum
47. Mendell M J 2009 Quantitative relationship of sick building syndrome symptoms with ventilation rates Indoor Air J ournal 19 2 159 65 Fuentes Leonarte V Ten as J M Ballester F 2009 Levels of pollutants in indoor air and respiratory health in preschool children A systematic review Pediatric Pulmonology 44 3 231 243 Gebbers J 0 and Gluck U 2003 Sick Building Syndrome Forum Med Suisse 5 109 113 Gomzi M Bobic J Radosevic Vidacek B Macan J Varnai V M Milkovic Kraus S Kanceljak Macan B 2007 Sick Building Syndrome Psychological Somatic and Environmental Determinants Arch Environ Occup Health 62 3 147 55 Hodgson A T Daisey J M and Grot R A 1991 Sources and Source Strengths of Volatile Organic Compounds in a New Office Building J Air Waste Manag Ass 41 11 1461 1468 Hodgson M Barch H and Wolkoff P 1994 Volatile organic compounds and indoor air J Allergy Clin Immunol 94 296 303 Hodgson M 2002 Indoor environmental exposures and symptoms Environ Health Perspect 110 4 663 7 Jaakkola J J K Tuomaala P Sepp nen O 1994 Textile wall materials and sick building syndrome Arch Envir Health 49 3 175 181 Jaakkola J K Miettinen P 1995 Ventilation rate in office buildings and sick building syndrome Occup Envir Med 52 709 714 Jaakkola J J K Miettinen P 1995 Type of ventilation system in office buildings and sick building syndrome Am J Ep
48. SBS Ce serait cependant une erreur de le faire syst matiquement et a priori parce que difficile et co teux pour tre repr sentatif et souvent inutile Certains mesurages de base de CO ou de formald hyde peuvent ventuellement fournir un instantan utile de l tat du b timent Apte etal 7 ont en effet montr la corr lation entre la concentration en CO2 et les sympt mes courants rencontr lors de SBS 1 La pollution par les gaz de combustion e Sources Chauffages locaux au gaz mazout bois Moteurs de voitures camions l essence ou au gasoil Emissions de Dioxyde de carbone CO Monoxyde de carbone CO Oxydes d azote en particulier NO2 Dioxyde de soufre SO Compos s organiques volatiles COV Poussi res respirables suies e Effets sur la sant e Actio CO rar faction de l oxyg ne somnolence maux de t te CO carboxyh moglobine Maux de t te faiblesse vertiges naus es confusion Inconscience et mort si intoxication aigu NO2 Irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses e Affections respiratoires si exposition r p t e et continue des faibles concentrations Emphys me et maladies respiratoires si concentrations lev es S02 Irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses e Affections respiratoires oppressions pulmonaires fortes concentrations ns Sources de chaleur e Utiliser uniqueme
49. ail O 3 Les accidents de travail CHRIS 4 Les risques lectriques et d incendie CHRIS 5 Les commandes et signaux O 6 Le mat riel de travail les outils les machines CHRIS 7 Les positions de travail O 8 Les efforts et les manutentions CHRIS 9 L clairage CRIS 10 Le bruit 11 Les ambiances thermiques O 12 L hygi ne atmosph rique O 13 Les vibrations CHRIS 14 L autonomie et les responsabilit s individuelles O 15 Le contenu du travail QAO 16 Les contraintes de temps 0l 17 Les relations de travail au sein du personnel etavec la hi rarchie O 18 L environnement psychosocial CROIS 7 Inventaire des propositions d am lioration et des tudes compl mentaires Reportez ici les acti Ains r aliser ons concr tes susceptibles d tre prises directement indiqu es dans le cadran droit des 18 rubriques i que les aspects approfondir par une Observation d taill e indiqu s dans le cadre inf rieur des 18 rubriques N Qui Fait quoi et comment Co t Quand projet r alis 24 MASOBANE SBS Niveau 2 Observation Niveau 2 Observation 1 Introduction e Objectifs tudier la situation en g n ral etsur le terrain en ce qui concerne l installation de ventilation e les conditions de vie en g n ral facteurs physiques facteurs ergonomiques et aspects p
50. airement sur tout le local risque de ne pas tre uniforme 3 La qualit de l clairage Pour permettre des performances visuelles satisfaisantes et un confort visuel avec une sensation de bien tre les param tres suivants sont consid rer a Le niveau d clairement La diffusion et l uniformit de l clairage La contribution de la lumi re du jour L absence d blouissement La qualit de la lumi re son rendu des couleurs L entretien HAN S a Le niveau d clairement Le tableau r sume les recommandations de la norme ISO 8995 concernant les espaces de travail o sont susceptibles d appara tre des probl mes de SBS avec attention particuli re au travail avec ordinateur b La diffusion et l uniformit de l clairage On privil gie un clairage mixte distribuant la lumi re vers le bas 75 et quelque peu vers le haut 25 en indirect qui donne lieu aux contrastes et au relief optimal et rend le local plus accueillant Les luminaires doivent tre choisis et plac s de sorte qu id alement l clairementne varie pas par plus d un facteur 3 entre la t che et l environnement imm diat c La contribution de la lumi re du jour La lumi re du jour donne un contact avec le milieu ext rieur le temps les variations diurnes le soleil et assure un rendu des couleurs de r f rence Cependant existe un risque d blouissement et ou de reflets si les postes de travail et crans sont mal orient s ll est re
51. al Les plans de travail Le travail sur cran Ergonomie des postes de travail L espace et l am nagement du bureau Les plans de travail Le si ge Le mat riel informatique 46 NSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Synthese e Qui fait Quoi Quand par ordre de priorit e N cessit d un niveau 4 Expertise Objectifs Urgence 47 NSOBANE SBS Fiches d aide Le pr sent document n a pas pour but de d crire comment l Expertise doit tre conduite mais de pr ciser Cli ce en quoi elle doit consister ce que l on doit en exiger e Objectifs Par une analyse plus fine mieux caract riser certains probl mes dans des cas particuli rement difficiles ou revoir certains aspects de l installation technique e Qui Les personnes de l entreprise et le pr venteur avec l aide suppl mentaire d un expert poss dant les moyens de mesurage et d interpr tation n cessaires en rapport avec le probl me rencontr la comp tence technique pour la recherche de solutions particuli res e Comment Suite l Analyse et la demande des personnes de l entreprise et du pr venteur l expert est amen suivant le cas utiliser des techniques sp ciales dontil a la comp tence et la responsabilit e Rapport Aucun document de travail n est pr sent L expert appropriera les informations au cas rencontr Le rapport d Expertise doit cependant comprendre la justi
52. ans chaque local est sp cifi en fonction de son affectation et de l orientation des locaux Les dimensions des bouches sont suffisantes vitesses de sortie lt 1m s La localisation des bouches de pulsion et la r partition des d bits tiennent compte de l implantation des sources de chaleur Le type de diffuseurs est choisi pour une r partition optimale et des vitesses acceptables Les bouches de reprises sont bien localis es par rapport aux bouches de pulsion l oppos des bouches de pulsion par rapport au personnel Bien localis es par rapport aux sources de pollution Pas de court circuit entr e sortie par un cran ou obstacle mobilier Aucun cran ou obstacle mobilier ne perturbe la circulation de l air telle que pr vue Les crans ventuels permettent la circulation de l air en dessous et au dessus Toutes les zones des locaux sont ventil es Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 5 Le recyclage d air Le taux de reprise d air est fonction des sources de pollution dans les locaux L air de locaux avec des nuisances particuli res archivage n est jamais recycl Le d bit d air neuf reste le d bit sp cifi quelles que soient les conditions t hiver Les autres appareils Les sp cifications de fonctionnement des chaudi res sont tablies Le programme d entretien est tabli llestrevu en
53. bien install s Les proc dures existent en cas d urgence de panne Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e Le r gime d utilisation du syst me HVAC Le syst me de r gulation est bien con u Les points de consigne d bit temp rature humidit sont correctement sp cifi s Le r gime horaire de fonctionnement du syst me est correctement sp cifi en tenant compte des heures d occupation du local et des conditions climatiques ext rieures Le syst me d marre plusieurs heures avant l arriv e des occupants Il nes arr te pas avant leur d part Les renouvellements d air des b timents sont programm s en fonction de leur utilisation e La politique d entretien des locaux Le programme d entretien des locaux est tabli e La nature et la fr quence des entretiens sont fonction des activit s effectu es Les techniques et produits de nettoyage utiliser sont choisis pour n occasionner aucune pollution e Les fiches de toxicit des produits sont disponibles et jour Ils ne sont pas toxiques ou allergisants ni pour le personnel de nettoyage ni pour les occupants Les techniques de nettoyage aspiration lavage cirage sont appropri es aux locaux et activit s Les techniques de nettoyage ne laissent aucun r sidu liquide eau ou a rosols ou solide poussi res L appareillage aspirateurs machines est de qualit
54. buildings in the Netherlands Indoor Air 2 127 36 95
55. caces Cette strat gie s appuie sur quelques principes de base fondamentaux 1 1 Primaut de la pr vention L accent doit tre mis non pas sur la protection et la surveillance de la sant mais sur la pr vention des risques et l am lioration de toutes les composantes physiques et sociales de la situation de travail 1 2 Facteurs de risque et risques Un facteur de risque est un aspect de la situation de travail susceptible d avoir un effet sur la s curit la sant le bien tre de la personne Le risque qui en r sulte va d pendre du degr d exposition ce facteur de risque et des conditions dans lesquelles se passent cette exposition C est donc la probabilit de d velopper un effet d une certaine gravit G compte tenu de l exposition E au facteur de risque des conditions C dans lesquelles se fait cette exposition et de la formation et motivation F la s curit sant et bien tre de la personne expos e On peut r sumer ceci par R E C G F La r duction du risque doit se faire de mani re coh rente sur ces diff rents aspects Sur E par l organisation du travail r duction la source SurC parles protections collectives SurG par les protections individuelles SurF par la formation Le guide de concertation D paris pr sent dans cette brochure cherche agir la fois sur ces 4 composantes 13 Les comp tences disponibles sont compl mentaires Les comp tences en sant et s curit
56. charge motionnelle pas trop lourde e Erreurs dramatiques environnement h pitaux Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails 16 Les contraintes de temps A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les horaires et le programme de travail Connus suffisamment l avance e Permettent d organiser sa journ e de travail comme on le souhaite e Flexibles dans des marges d termin es Le rythme de travail pas excessif e Le travail en retard peut tre r sorb rapidement L autonomie du groupe il s organise lui m me concernant e Les horaires et les cong s e La r partition du travail les pauses les rotations e La r cup ration des retards de production e Les heures suppl mentaires e Les creux et pics de travail ch mage partiel e Le travail suppl mentaire ou en derni re minute Les interruptions dans le travail peu dimpr vus Les pauses e Fr quentes et courtes e Organis es en fonction de la lourdeur du travail de la p nibilit des postures du caract re r p titif de la fatigue mentale Aspects tudier plus en d tails 21 sos Le guide de concertation D paris 17 Les relations de travail au sein du personnel et avec la hi rarchie A discuter Les communications pendant le travail e Toujours pos
57. chniques quant son objectivit Du personnel quant son objectivit et sa confidentialit Qui saura faire la synth se des donn es et participer activement au groupe de travail g rant le probl me de SBS 2 Liste des informations recueillir PAR PERSONNE e Caract ristiques personnelles Genre Age Anciennet dans l entreprise Anciennet dans la zone avec SBS Localisation de l emplacement principal de travail sur le plan du b timent Fumeur Non Oui Niveau hi rarchique Ouvrier Employ Cadre Inf rieur Sup rieur Pr sence dans le b timent lt 50 gt 50 Histoire personnelle d ecz ma allergie rhinite ou asthme nulle l g re importante Circonstances d apparition du SBS e Sympt mes Ne noter que les sympt mes occasionnels parfois et fr quents souvent dont la personne se plaint spontan ment et pr ciser si la g ne qu elle prouve est peu ou tr s s v re 58 BRSOBANE SBS Fiches d aide Sympt mes Fr quence S v rit parfois souvent peu tr s Yeux d mangeaisons irritations br lures larmoiements Nez sec irrit bouch qui coule qui saigne ternuements Gorge s che enrou e irrit e toux fe nn Poitrine oppression respiration courte siffante 7 Peau s cheresse rougeur d mangeaisons ruptions T te maux de t te lourdeur difficult de concentration probl mes de m moire G n ral somnolence fatigue g
58. cit Rendement Circonstances et remarques Chauffage local conditionneur d air en fa ade 20 C Quelque peu efficace pour la pr vention du rhume des foins C Pas tr s efficace pour les particules de la fum e de tabac Pr filtre dans les syst mes HVAC C Efficace pour poussi res et pollen en suspension C R duit les salissures et taches C Pas tr s efficace pour les particules de la fum e de tabac Idem que 40 avec meilleure protection C Efficace pour tous les pollens en suspension C Efficace pour les poussi res de combustion en suspension trafic C Partiellement efficace pour les particules dans les fum es de tabac G n ralement utilis dans les h pitaux et espaces contr l s C Tr s efficace pour la majorit des poussi res C Assez efficace pour les particules dans les fum es de tabac C Excellente efficacit pour les particules dans les fum es de tabac Pas de filtre ou filtres de type EU1 EU4 A proscrire pour des bureaux Filtres de type EU5 F40 50 EU6 F65 Les EU7 80 85 d efficacit sont les plus utilis s EU7 F85 pour les bureaux EU8 9 F 95 Filtres de type EU10 EU14 Ha oo efficacit pour salles sp ciales 3 Les performances des filtres chimiques e Facteurs influen ant les performances du filtre Les caract ristiques du filtre et en particulier la caract ristique efficacit charge La na
59. command d viter les ouvertures lumineuses en plafond et d orienter les postes de travail parall lement aux fen tres et jamais vers ou dos aux fen tres d L absence d blouissement Afin d viter la vision directe d une source ou d une surface tr s lumineuse blouissement direct on peut La supprimer si elle n est pas indispensable 87 MSOBANE SBS Fiches d aide La sortir du champ visuel en changeant l emplacement de la source ou la position de travail La remonter de sorte qu elle se trouve plus de 45 de l horizontale par rapport au sujet La dissimuler derri re un cache opaque lui m me peint en blanc et non en noir La placer derri re un cache tr s diffusant de mani re en diminuer la luminance Modifier la position de travail Afin d viter les reflets d une source ou surface lumineuse sur le plan de travail blouissement indirect on peut Supprimer la source ou surface lumineuse responsable de reflets si elle n est pas indispensable Modifier ces sources ou surfaces pour diminuer leur luminance Supprimer la surface r fl chissante surface de table mate chemises en plastique mates pas de surface en verre Modifier la position de travail ou de l cran de mani re viter la r flexion g nante On parle d blouissement relatif quand dans le champ visuel diff rentes zones ont des luminances trop diff rentes On peut y rem dier en Modifiant les sources lumineuses e
60. concernant la maintenance technique et l entretien sanitaire Liste des personnes responsables description des r les formation e Donn es sur le batiment Affectation initiale pour laquelle le syst me HVAC fut pr vu Plans architecturaux division et affectations des espaces Affectations actuelles Plans architecturaux actuels et volution dans le temps Transformations r novations du b timent nature dates Zones particuli rement risque Zones surpression et d pression Densit d occupation des diff rents locaux C Constitution du groupe de travail charg de la gestion du SBS Le groupe de travail doit comprendre Le charg de la gestion du SBS Le responsable technique du b timent Le pr venteur de s curit et hygi ne et le m decin du travail Le responsable du d partement Les repr sentants du personnel Comit de pr vention et de protection Le personnel technique charg du b timent firme ext rieure D Recueil et analyse des plaintes sympt mes de SBS 1 Introduction e Objectifs Recueillir les plaintes sympt mes principaux du personnel Resituer ces plaintes sympt mes et avis dans le contexte de travail Recueillir les avis du personnel sur les causes possibles ou les l ments qu il estime devoir tre modifi s e Parqui Par une personne qui a la confiance de toutes les parties De l employeur et des responsables te
61. cord du Comit de pr vention et de protection au travail D finition d un petit groupe de postes formant un ensemble une situation de travail D signation d un coordinateur par la direction avec l accord des agents Pr paration du coordinateur Il adapte ventuellement l outil la situation de travail en modifiant des termes en liminant certains aspects non concern s en transformant d autres ou encore en ajoutant des aspects suppl mentaires 6 Constitution d un groupe de travail avec des agents cl s de la situation de travail concern e d sign s par leurs coll gues et leurs repr sentants et de personnels d encadrement technique choisis par la direction Il comprend au moins un homme et une femme en cas de groupe mixte 7 R union du groupe de r flexion dans un local calme pr s des postes de travail Explication claire par le coordinateur du but de la r union et de la proc dure 9 Discussion sur chaque rubrique en se concentrant sur les aspects repris sous cette rubrique et en s attardant non pas porter un score mais ce qui peut tre fait pour am liorer la situation par qui et quand Ace pour quoi il faut demander l assistance d un pr venteur d terminer rapidement le co t des mesures d am lioration propos es et leur impact ventuel sur la qualit du produit et sur la productivit pas 0 peu moyen ou lev 10 Apr s la r union synth se par le coordinateur
62. d inconfort ou de distractions e L emplacement des postes de travail e Les moyens de communication e Les machines ou installations bruyantes e Les trous orifices 11 L hygi ne atmosph rique Qui peut faire quoi de concret et quand concernant e Les risques chimiques et biologiques La formation e Les proc dures e L tiquetage e Les stocks e Les poussi res copeaux huiles vapeurs e Les d chets chimiques et biologiques e La signalisation e Les protections collectives e Les EPI e Le personnel a risque aggrav e Les vaccinations L hygi ne e Le renouvellement de l air e Les fumeurs 12 Les ambiances thermiques Qui peut faire quoi de concret et quand concernant e La temp rature e L humidit e Pas de courants d air e Les sources de froid chaleur ou humidit e Les v tements de travail e Les v tements de protection e Les boissons 13 Les vibrations Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les engins de transport e Les machines vibrantes Les outils m ches disques La formation 14 L autonomie et les responsabilit s individuelles Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les ordres et attentes Le degr d initiative L autonomie La libert de contact Le niveau d attention Les d cisions Les responsabilit s Les erreurs Le contenu du travail Qui peut faire quoi de concret et quand concernant L int r t du travail Les comp tences
63. de 500 m d une voie de circulation importante lll Quartier commercial ou industries l g res IV Centre de ville industries lourdes proximit d une autoroute ou a roport Valeurs limites du niveau de bruit de fond dB A norme NBN S01 401 Environnement a a Bureaux Direction Cadre Ordinaire Dactylographie Salles Ordinateur Conf rence R union Restaurants Laboratoires Magasins Usines ateliers e Vis vis de bruits brefs tels que bruits de pas claquement de portes On souhaite que ces bruits ne d passent pas le bruit de fond mergence de plus de 3 5 dB A Remarque dans certains locaux le traitement acoustique est tel que le bruit de fond est tr s faible et les bruits brefs mergent On est alors amen cr er un bruit de fond artificiel destin masquer ces bruits 83 MSOBANE SBS Fiches d aide La norme EN 13779 consacr e aux exigences de performances pour les syst mes de ventilation et de climatisation dans les b timents non r sidentiels donne galement des niveaux sonores recommand s en fonction de l affectation du local Gamme Niveau moyen Types Fonctions dB A dB A Salles de classe 30 40 35 Salles de professeur 30 40 35 Ecoles coles maternelles et cr ches 30 45 40 Couloirs 35 50 40
64. de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 3 Les locaux e Les plafonds parois etsols Fiche 11 Les moisissures ou taches d humidit s ch es ou non fuites d eau condensations sur les sols et en particulier le tapis plain les plafonds et faux plafonds sous les fen tres dans les coins sont rep r es et trait es directement Toutes les surfaces panneaux d grad s sont r nov es directement Les peintures sont fra ches Les sols sonten bon tat et bien entretenus Sans odeurs de solvants ni pollution microbiologique Sans humidit ni r sidu des produits de nettoyage Sans vermine cafards fourmis acariens puces de papier Les probl mes ventuels sont trait s directement e Les fen tres Les fen tres sont herm tiques Les joints sont remplac s en fonction de la v tust Elles sont quip es de stores maintenus en bon tat et propres Elles sontr guli rement nettoy es en fonction de leur encrassement Les appuis de fen tres ventuels sont inaccessibles aux oiseaux et sont maintenus propres Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e Les postes et surfaces de travail Les densit s de personnes et d quipements correspondent aux sp cifications Ils sontbien r partis dans les locaux Les voies de passage sont bien organis
65. de en se concentrant sur ce qui peut tre fait concr tement pour am liorer la situation par qui et quand e ce pour quoi il faudra demander l assistance d un pr venteur au niveau d Analyse Apr s la r union pr paration de la synth se des r sultats par le coordinateur en mettant au net les tableaux utilis s contenant les informations d taill es ressortant de la r union la liste de solutions envisag es avec des propositions sur qui fait quoi et quand e laliste des points tudier plus en d tails un niveau 3 Analyse avec les priorit s Pr sentation des r sultats aux participants la direction et au comit de pr vention et de protection au travail pour r vision ajouts et d cisions Poursuite de l tude pour les probl mes non r solus au moyen du guide d Analyse niveau 3 A d faut de pouvoir organiser une telle r union de 7 ou 8 personnes le coordinateur conduit l Observation seul ou avec une ou deux personnes sur le lieu m me de travail Cette solution non id ale reste utile puisqu elle fait progresser la pr vention et pr pare le recours ventuel un pr venteur externe 2 Proc dure 2 1 La gestion du b timent Fiche 3 e La gestion du b timent et des installations Le responsable g n ral de la gestion du b timent est connu Les responsables techniques de l installation de HVAC chauffage et ou ventilation et ou conditionnement d air sont connus Les b timents sont inspec
66. de personnes interrog es et ou du nombre de situations ou b timents tudi s du type de personnes population g n rale employ s femmes membres du personnel d h pitaux g riatriques du type de donn es r colt es et des questionnaires utilis s Les tudes diff rent galement par ce qu elles appellent facteurs psychosociaux Ces termes recouvrent manifestement deux types de donn es des facteurs personnels tels que ge sexe tat civil niveau d ducation tabagie forme physique ob sit allergie au nickel m re qui fume des facteurs sociaux et organisationnels tels que degr d insatisfaction au travail manque de collaboration au travail stress au travail 53 MASOBANE SBS Fiches d aide a Facteurs personnels 244 Chaque tude repr sentant un cas particulier les r sultats se contredisent immanquablement Ainsi s il est toujours pr f rable d tre non fumeur non ob se et en forme physiquement il n est pas tabli que cela serait corr l avec une moindre pr valence de sympt mes de SBS Il en estde m me de l ge Quant au genre la pr valence de sympt mes et plaintes semble plus lev e chez les femmes 12 vs 4 dans un groupe de 4943 employ s en Su de Le questionnaire restait cependant relativement sommaire concernant les facteurs sociaux et organisationnels qui sont plus peut tre responsables de cette diff rence b Facteurs sociaux et organisationnels Les tudes
67. de travail e Pas de champignons ou moisissures Le renouvellement de l air suffisant e L airestfrais agr able respirer sans odeurs Les fumeurs zone fumeurs bien localis e et ventil e Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails D 19 sos Le guide de concertation D paris 13 Les vibrations A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les engins de transport chariots l vateurs e Ad quats pour le travail r aliser e Le sol les voies de circulation les pneus les suspensions les si ges sont en bon tat Les machines vibrantes disqueuses ponceuses foreuses e Ad quates pour le travail r aliser e Pas trop lourdes et sans vibrations e En bon tat et r guli rement entretenues Les outils m ches disques ad quats et en bon tat La formation e Engins v hicules machines et outils vibrants bien utilis s e Bonnes positions de travail forces travail 1 ou 2 mains Aspects tudier plus en d tails 14 L autonomie et les responsabilit s individuelles A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les ordres et attentes pas de contradictions Le degr d initiative e Chacun peut adapter son mode de travail sans perturber le travail de l quipe L autonomie e C
68. dier plus en d tails OIOI 14 sos Le guide de concertation D paris 4 Les risques lectriques et d incendie A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les risques lectriques L installation lectrique g n rale e Diff rentiels fusibles mise la terre signalisation protection Le mat riel fils c bles rallonges prises de terre L quipement connexions boutons d arr t d urgence mises la terre entretien isolation batteries Le risque incendie et explosions Les mati res inflammables ou explosives e Quantit stockage ventilation approvisionnement Les sources e Flamme nue sources de chaleur ou d tincelles lectricit statique signalisation Les moyens de lutte e D tection et extinction automatique extincteurs d vidoirs bornes diincendie signalisation Le compartimentage des locaux escaliers e Gaines techniques portes coupe feu tat encombrement rebouchage des ouvertures c bles canalisations L quipe d intervention interne form e disponible Les consignes en cas d incendie e Plans d vacuation alerte alarme voies et issues de secours points de rendez vous tests d vacuation La signalisation e Zones de stockage moyens de lutte issues et clairage de secours plans par tage Aspects tud
69. dure 2 1 La gestion du b timent e Gestion du b timent et des installations Le responsable g n ral de la gestion du b timent est d sign Ila re u une formation ad quate Ses missions etresponsabilit s sont d finies dans un document Les responsables techniques de l installation de HVAC chauffage et ou ventilation et ou conditionnement d air sont d sign s Ils ontrecu une formation ad quate Leurs missions et responsabilit s sont bien d finies dans un document Le programme d inspection des b timents est tabli Le programme estrevu en fonction des probl mes rencontr s Les documents de contr le sont tablis Ils sontarchiv s 36 NMSOBANE SBS Niveau 3 Analyse e La politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC Un programme est tabli pour les contr les maintenances et entretiens pr ventifs pour e les prises d air ext rieur e les filtres air les batteries de chaud et froid les humidificateurs les courroies et ventilateurs les gaines de distribution les bouches de pulsion et de reprise Les fiches d entretien existent pour ces diff rents composants avec les proc dures et les rapports Elles sontrevues p riodiquement en fonction des probl mes rencontr s Les maintenances et entretiens sont programm s en dehors des heures d occupation Les documents sontarchiv s Les capteurs de contr le des pressions niveaux temp ratures sont
70. e Une discussion d taill e des exigences de conception et de dimensionnement des syst mes de ventilation peut tre trouv e sur le site du Centre Scientifique et Technique de la Construction http www cstc be homepage index cfm cat ublications amp sub infofiches amp paq 42 amp art 2 73 NMSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 10 La pollution microbiologique Cette fiche reprend notamment les textes pr par s par le Docteur N Nolard et Mr C Chasseur de l Institut Scientifique de Sant Publique Louis Pasteur ISP pour le manuel Sick Building Syndrome analyse et pr vention dont le pr sent document est l volution 1 Les sources de pollution microbiologique La li tiss e Caus Les virus et bact ries dont la concentration dans l air est fonction de l humidit relative Le Legionella responsable de la maladie du l gionnaire associ aux douches aux tours de refroidissement aux humidificateurs aux eaux stagnant pr s d une prise d air frais Les champignons levures moisissures trouv s dans tout le b timent mais le plus souvent un probleme dans les zones humides o ils se d veloppent rapidement et qui d gagent des odeurs causent des d gradations et dispersent des spores irritants et allergisants 26 32 Le type etle nombre de champignons d pend des surfaces int rieures de la saison des conditions atmosph riques de la zone g ographique de l environnement du b timent e
71. e Skov et al Facteurs Irritation des Sympt mes muqueuses gen raux ge du b timent ann es 0 57 Protection solaire des fen tres oui non 0 57 0 63 Type de ventilation forc e vs autre 0 47 Surface du local m 0 54 0 76 Volume du local m3 0 55 Nombre d occupants 0 55 0 82 Vitesse de l air m s 0 54 0 76 Concentration en particules gt 10 um 0 49 Bact ries port es dans l air 0 51 Poussi res sur le sol 0 52 Poussi res organiques sur le sol 0 50 0 64 Niveau sonore 0 55 Temps de r verb ration s 0 69 0 64 Facteur textile m2 de textiles m2 0 64 0 50 Facteur d tag re m m 0 63 0 67 Rev tement de sol plancher nu moquette 0 67 96 NMSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 3 Gestion d un probl me de SBS A Recommandations g n rales 7 1 2 D signer une personne charg e de la gestion du cas de Sick Building Syndrome Quels que soient les plaintes et les sympt mes les accepter avec calme et professionnalisme leur montrer de l int r t et la reconnaissance de leur sinc rit T moigner ainsi au personnel qu il est compris respect et pris au s rieux Accorder de l importance aussi bien aux facteurs sociaux et organisationnels qu aux facteurs ambiants Veiller ce que personne de l encadrement ou des consultants n apporte de mani re pr matur e et non fond e cr dit certaines hypoth ses de cau
72. e l air Les sources internes d humidit sont r duites au minimum et trait es Elles sont capot es avec vacuation de l humidit Les causes des condensations sont recherch es et limin es 41 NSOBANE SBS Niveau 3 Analyse e Lerayonnement thermique Les sources de rayonnement thermique sont r duites au minimum et trait es Elles sonttrait es par isolation placement d crans En particulier le rayonnement solaire ou froid par les fen tres en hiver est r duit par des stores e La vitesse de l air La circulation de l air l int rieur du b timent est tudi e de mani re emp cher toute vitesse de courant d air sup rieure 0 5 m s La vitesse de l air est homogene entre postes de travail et entre locaux Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 5 Les conditions acoustiques e Les niveaux de bruit de fond Les niveaux de bruit de fond sont fix s en fonction de l affectation de chaque local e Les bruits ext rieurs L isolement acoustique des portes et fen tres est suffisant pour peine entendre le bruit du trafic e Toutes les fentes ou interstices sont colmat es au moyen d un mat riau lourd Les fen tres sont quip es de vitrage double Les portes vers l ext rieur sont quip es d un syst me de fermeture automatique Fen tres et portes sont quip es de joints en caoutchouc herm tiques Toutson pur vent
73. e luminaires nine 87 SL DU CL cists nce so titititi esiet iiae baat Gia ea Seba Gus Ges ia i e a ace ue a i 87 Fiche 17 Le travail Sur ordinateur 89 1 Les postes de travail cece cee ene cee ee eee cee iieeeneenenn 89 2 LE DE eee neem rane arate re teeter A mare arnt rere carn E A reeset teen 89 3 Le personnelk assises antenne NET An tebe das ec On Gs ecu cap ne 89 aaa ol E er ner E E E tr te meer 89 Fiche 18 Les facteurs sociaux et organisationnels nn 90 Fiche 19 Mesurages de base et d expertise 91 D POUTQUOL MESURE RE ee ao ta hd at dant dt OO Di 91 2 MES sapin maniaco ions iiinnNnOnin nina 91 Bi QUE MESUMBT isasscccssistusoseassvisauosinansuvedavstatvtsaeavisviuasinausoveduossennvudnund sieasdaayavelaaviuauseangndyisanonayaobeiuanisavasintaasiedsavtadeavinanecien 91 We CCOMMENER E E A donnee CON None CON ON Oo CON Oued 91 Fiche 20 R F TENCES ici nsnnnndinenen annendrnadnnnmnmondenudirennindineu 93 MSOBANE sps La strat gie SOBANE est une strat gie de pr vention des risques quatre niveaux D pistage Screening Observation Analyse Expertise La s rie de publications STRATEGIE SOBANE Gestion des risques professionnels a pour objectif de faire conna tre cette strat gie de pr vention et de montrer comment l appliquer de mani re g n rale aux diff rentes situations de travail Le guide de concertation D paris est l outil g n ral de D pistage et a t publi en 2003 et revu en 2007 Les guide
74. e part des ass chements d sagr ables des muqueuses yeux voies respiratoires et des probl mes d lectricit statique et d autre part des condensations locales et des d veloppements microbiens La pr valence des sympt mes de SBS serait plus faible si les temp ratures et humidit sont plus basses 36425051 Wolkoff et Kjaergaard 5 recommandent une HR de 40 pour minimiser les irritations des yeux et voies respiratoires sup rieures Le rayonnement thermique d principalement au soleil et aux sources lumineuses mais ventuellement des sources de chaleur Les lampes incandescence sont proscrire en faveur des lampes fluorescentes basse consommation Les fen tres doivent tre quip es de stores antisolaires La temp rature de surface du sol doit tre comprise entre 19 et 26 C et la diff rence de temp rature entre 0 1 m et 1 1 m du sol doit tre inf rieure 3 C La vitesse de l air La vitesse de l air doit rester inf rieure 0 5 m s et id alement tre de l ordre de 0 15 m s pour viter les sensations d sagr ables de courant d air L activit et donc la d pense nerg tique des occupants M Watts que l on peut classer selon le tableau suivant en ce qui concerne des activit s du secteur tertiaire repos assis repos debout travail de secr tariat l ger travail assis manuel l ger taper sur un clavier dessiner coudre marche occasionnelle lente travail soutenu des mains et de
75. e pollution ventuelle Bouches de rejet de l air trait vers les occupants sans cr er de courants d air inacceptables Entr es et sorties libres de tout obstacle Pas de court circuit entre entr es et sorties 6 La v rification p riodique des filtres V rifier l tat une fois par mois d chirures humidit dans le caisson taches sur la face propre V rifier une fois par an apr s la pose des nouveaux filtres l tanch it des cadres de fixation Remplacer au minimum une fois par an les filtres de type EU7 utilis s g n ralement dans les bureaux V rifier la propret des bouches de prise d air pr sence d oiseaux et de leurs d jections V rifier la qualit de l environnement ext rieur imm diat proximit d une tour de refroidissement prise d air au niveau du trafic routier dans un parking R aliser des contr les microbiologiques une fois par an ou en cas de pathologies associ es soup onn es 71 MSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 9 La norme europ enne EN 13779 Ventilation dans les b timents non r sidentiels Exigences de performances pour les syst mes de ventilation et de climatisation 57 La norme s applique la conception et l utilisation des syst mes de ventilation et de conditionnement d air pour les b timents non r sidentiels sujets occupation humaine l exception des applications telles que les processus industriels Elle donne l intention des concepteur
76. ecouvrir par un mat riau non toxique et tanche Nettoyage imm diat des locaux et des installations Maintien d une ventilation forc e le plus longtemps possible avant la r utilisation du b timent Surveillance des travaux de mani re viter toute interf rence avec la ventilation En cas de modifications architecturales partitions tude de la distribution de l air et des r gimes de pression 80 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 14 Les conditions climatiques Les conditions climatiques sont souvent incrimin es dans les cas de Sick Building Syndrome Pour pr venir ces probl mes il est recommand de se r f rer au guide d Observation de la strat gie SOBANE d velopp pour la pr vention des risques li s aux ambiances climatiques La fiche ci apr s r sume bri vement les points les plus importants 1 Les six param tres de base Les limites de temp rature d finies par la r glementation belge concernent la protection de la sant et non les conditions de confort Elles n ont donc que tr s peu de pertinence en ce qui concerne les bureaux Le confort thermique c est dire l absence de sensations d sagr ables de froid de chaud ou de courants d air d pend non seulement de la temp rature de l air mais de la combinaison de 6 facteurs a b e La temp rature de l air L humidit relative de l air HR L humidit relative doit tre comprise entre 30 et 60 afin d viter d un
77. ement la sant la s curit et le bien tre sont identifi s Des solutions sont recherch es pour l ensemble de la situation de travail Les niveaux suivants Observation Analyse Expertise ne sont men s que si le niveau pr c dent n a pas abouti solutionner le probl me de mani re totalement satisfaisante La n cessit du passage aux autres niveaux d pend donc de la complexit de la situation de travail Les moyens mis en uvre pour la recherche de solutions sont peu co teux aux 2 premiers niveaux Ils sont plus co teux aux niveaux sup rieurs mais utilis s bon escient et appropri s la situation rencontr e La strat gie permet donc d tre plus efficace plus rapidement et de mani re moins co teuse La strat gie permet galement de situer les diff rents intervenants les personnes des entreprises pour mener les niveaux de D pistage et d Observation le recours une aide g n ralement externe le conseiller en pr vention pour l Analyse et ventuellement un sp cialiste pour l Expertise sos Le guide de concertation D paris Le guide de concertation D paris g n ral 1 Le niveau 1 D pistage le guide de concertation D paris Il s agit ici d identifier les probl mes et de rem dier simplement aux erreurs flagrantes telles que trous dans le sol r cipients contenant un solvant et laiss s l abandon cran tourn vers une fen tre relations de travail d sorganis es Cette identification est
78. emnnenneeniannnneinntneitetee 48 Fiches d aide du guide SOBANE Sick Building Syndrome nn 49 Fiche 1 Le syndrome des b timents malades Sick Building Syndrome SBS 50 Ls Breihistongue et CenmiNONS nn ee en 50 2 Classification des sympt mes de SBS 25 50 3 Importance du OO EME sc ns enumenemnnemeennamnemmeanmemanenemenemnde 51 Fiche 2 Les facteurs associ s au SBS armements 52 1 Relations cause effet OU associations 52 2 Lesfacteurs ambiante 10203160 nn davitucssiaidoca ised vcasons davni una javadoniases AA 52 3 Les facteurs personnels sociaux et organisationnels 53 a Facteurs personnels 224044 p sccssscsscetsevtecidavnivaniscsivadecatevaluavincsdieaseandovviucedussnsvadvessesedeesieaidiaasnsnlosadseebiabiavaveenieiedocetias 54 b Facteurs S ciaux LorganisationnelS 2 aan einen ennui cadena 54 4 SBS ou hysterie collective 53 cs 22m a Men inuataiiaialsadalinuuisialnwalatabaialalata Nets 54 5 La liaison sympt mes types de polluants 9 siccsixinssessccstoaninsdeasansadssncesatimincadcnsananieaneaiedansandslaetsasdenieiadesnnianaaneecniias 55 Be La n cessit d une approche gl bal ssanssissinsiuis esaia a a nn nn I AE 55 Fiche 3 Gestion d un probl me de SBS sssscmnemmenmmmenemmanmmmrnNonmaEomRamumumN iNm 57 A Recommandations g n rales 812 nee 57 B Recueil des donn es de base du b timent 57 C Constitution du groupe de travail charg de la gestion du SBS ssssssssrsssssssnrunnnn
79. en uvre le guide d Analyse se trouve expliqu e en d tail dans le document de pr sentation de la strat gie SOBANE Strat gie SOBANE et Guide de D pistage D paris Seules les directives principales de la d marche a adopter par le pr venteur sont rappel es ci dessous 1 R vision des r sultats du D pistage et de l Observation de la situation de travail avec le coordinateur qui a men les tudes a ces deux premiers niveaux enrevoyantles diff rentes solutions envisag es et en y apportant sa comp tence pour les confirmer ou non en d terminant les aspects qui n cessitent une Analyse particuli re compl mentaire 2 Analyse proprement dite de la situation de travail sous ces points particuliers et en particulier en collaboration avec les personnes du groupe de travail en tudiant plus en profondeur ces aspects particuliers en r alisant ventuellement des mesurages toujours dans une optique de pr vention en aidant l entreprise mettre en uvre les solutions pr conis es 3 Points discuter Les m mes qu au niveau 2 Observation en se concentrant cette fois e non plus sur le respect ou non des sp cifications des proc dures et sur l tat de fonctionnement du syst me mais sur l tablissement de ces sp cifications ou proc dures et sur le fonctionnement de ce syst me 4 Synth se Bilan des actions pr vention am lioration N cessit d une Expertise niveau 4 objectifs et urgence 2 Proc
80. ent cette position id ale Le travail assis ou assis debout e De pr f rence e Si ges de qualit stables et confortables e Appui des avant bras sur le plan de travail ou sur des accoudoirs r glables en hauteur e Pas de g ne pour les jambes sous le plan de travail Si en position debout e Pas de g ne dans les mouvements e Appui confortable possible des cuisses et ou des bras sur des surfaces bonne hauteur Les aides e Escabeaux disponibles pour le travail en hauteur e Stables solides faciles utiliser en s curit chutes Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails 8 Les efforts et les manutentions A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les gestes et efforts e Pas brusques ni importants e Sans d placements rapides ou r p t s Les efforts des mains e Mod r s pas de torsion des poignets e Jamais de coups avec le talon de la main Les charges e L g res et quilibr es liquides taille des sacs e Confortables saisir bonnes poign es pas de bords coupants pas glissants pas trop chaud ou trop froid e bonne hauteur saisie et d pose hauteur de la ceinture e Pas de torsion ou inclinaison du tronc e Port es seulement sur de courtes distances Les aides m caniques ad quates e Palans chariots pousser plut t qu tirer pour les charge
81. ents Thermoactinomyc tes suivant les esp ces Analyses microbiologiques approfondies un bilan annuel est conseill ou en cas de pathologies signal es Ce bilan doit tre int gr un examen approfondi de l ensemble de l installation et du b timent tout entier L examen de l humidificateur comprend des analyses d eau et de surfaces e Les organismes suivants et leurs toxines sont recherch s de mani re approfondie Bact ries totales et sp cifiques Thermoactinomycetes Fonge totale et sp cifique Endotoxines Protozoaires et microfaune Les ventilateurs d extraction et de pulsion Nettoyer le caisson de pulsion et d extraction Par aspirations dans le cas de couches d isolants l int rieur Au moyen d eau sous pression avec d tergent si les parois sont m talliques Nettoyer les pales des ventilateurs A l eau chaude savonneuse au moins une fois par an e Siles pales des ventilateurs sont corrod es les remettre en tat ou les remplacer V rifier que le brise gouttelettes est efficace e Par l absence d eau ou de d p ts blancs de sels dans le caisson de pulsion R aliser des contr les microbiologiques une fois par an ou en cas de pathologies associ es soup onn es Les gaines Surveiller les points susceptibles de provoquer de la condensation l int rieur des gaines Am nager des points de contr le particuli rement aux endroits o sont plac s des sile
82. erceptible Les condensations sont recherch es et limin es et les surfaces souill es sont remises neuf directement Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 5 Les conditions acoustiques Fiche 15 Le bruit de fond La cause de toute variation du bruit de fond est recherch e et trait e directement Bruit d au ventilateur transmis par les gaines d air Joints d fectueux portes fen tres Bouches d air d fectueuses Machines d fectueuses dans l installation HVAC Equipements de travail d fectueux luminaires Les bruits li s l activit l int rieur du local Les niveaux de bruits individuels ne perturbent pas les activit s des autres 30 MASOBANE SBS Niveau 2 Observation T l phones Voix Activit s ordinateurs imprimantes Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 6 Les conditions d clairage Fiche 16 e L clairage naturel Chaque personne peut profiter de l clairage naturel Les fen tres sont propres Les stores antisolaires persiennes rideaux sont en bon tat e L clairage artificiel g n ral Les lampes et luminaires sont en parfait tat et sont propres Ils sontremplac s selon le programme pr tabli Ils sontremplac s imm diatement en cas de panne ou de d faut papillotement Les niveaux d
83. es Anon 1984 Indoor air quality research EURO Reports and Studies 103 Copenhagen WHO Regional Office for Europe Anon 1990 Indoor environment health aspects of air quality thermal environment light and noise W H O pp 127 Anon 1996 Indoor Air Pollution An Introduction for Health Professionals Diane Books Publishing Company Anon 2005 Norme ISO 7730 Ambiances thermiques mod r es D termination des indices PMV et PPD et sp cifications des conditions de confort thermique Organisation Internationale de normalisation Gen ve Anon 2007 EN 13779 Ventilation dans les b timents non r sidentiels Exigences de performances pour les syst mes de ventilation et de climatisation Comit Europ en de Normalisation Bruxelles Alexander R W Fedoruk M J 1986 Epidemic psychogenic illness in a telephone operators building Occup Med 28 1 42 45 Apte MG Fisk WJ Daisey J M 2000 Associations between indoor CO2 concentrations and sick building Syndrome symptoms in U S office buildings an analysis of the 1994 1996 BASE study data Indoor Air 10 4 246 57 Baker D 1989 Social and organisational factors in office building associated illness In Cone J E Hodgson MJ eds Problem buildings building associated illness and the sick building syndrome Occupational Medicine State of the Art Reviews 4 4 607 624 Blair C H 1996 Legionella makes a comeback Twenty years after killing 3
84. es de chauffage levage man ge tour de refroidissement rejets d air vici du b timent ou d autres b timents v g tation importante activit s agricoles stockage de d chets Elles sont prot g es des intrusions rongeurs oiseaux Leurs dimensions permettent les d bits des sp cifications e Les rejets d air Ils sontbien localis s par rapport aux prises d air frais et aux entr es d air de ventilation naturelle A l oppos du b timent et en aval des vents dominants A l cart des prises d air des voisins e Les filtres Fiche 8 Les types des filtres sont ad quats Pr filte EU1 EU4 Filtres EU5 EU9 dans le cas de bureaux ordinaires EU10 EU14 haute efficacit salles sp ciales salles ordinateurs Le programme de remplacement des filtres est d fini La technique de remplacement est d finie afin d viter toute pollution des b timents e Les batteries de chaud et de froid Leur capacit est suffisante en fonction des besoins thermiques du b timent Des drains permettent l vacuation l gout des eaux de condensation e Le ventilateur et le caisson de pulsion Le point de fonctionnement correspond aux sp cifications mesurage des pressions e Les conduits de distribution d air Les causes de salissure corrosion fuites d air sont recherch es et limin es Le recouvrement int rieur antibruit d t rior est remplac Des acc s de contr le sont pr vus
85. es installations C Les locaux e La maintenance et d entretien du syst me HVAC e Les plafonds parois fen tres et sols e Le r gime d utilisation du syst me HVAC e Les postes et surfaces de travail e L entretien des locaux et les d chets e Les appareils polluants imprimantes e Les r novations photocopieuses ou autres machines B L installation HVAC e_Les plantes vertes e Le programme de v rification L archivage _ e L installation avec ventilation forc e par pulsion et D Les conditions thermiques et acoustiques chauffage F Les conditions d clairage Les prises d air ext rieur e L clairage naturel Les pr filtres et filtres aux prises d air e L clairage artificiel g n ral ext rieur e Les plans de travail Les batteries de chaud et de froid e L clairage artificiel local Le ventilateur et les conduits de G L ergonomie des postes de travail distribution d air e L espace de travail _Les humidificateurs e Le bureau ou plan de travail e Les ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs e Le si ge est stable de qualit en bon tat e Les bouches de pulsion et de reprise d air e Le mat riel informatique e _Lerecyclage d air 6 R union du groupe de r flexion et explication claire par le coordinateur du but de la r union et de la proc dure 25 NMSOBANE g 10 SBS Niveau 2 Observation Discussion sur chaque rubrique du gui
86. et clairs e Connus et approuv s par tous Surbase des valuations et en fonction des performances Les discriminations aucune e Nien fonction de l ge du sexe ou des origines e Ni l engagement ni pour les promotions L emploi e Stable e Confiance en l int grit et l avenir de l entreprise e Les probl mes de remplacement des absents int rimaires sont bien trait s Les salaires e Correspondent aux comp tences et au travail r alis Le conseil d entreprise et le CPPT satisfaisants Les probl mes psychosociaux e _Insatisfaction stress harc lement probl mes personnels e Les structures et proc dures d accueil existent et sont utilis es e Des informations sont donn es e Des actions pr ventives sont men es Les conditions de vie en entreprise e Pemettent un d veloppement personnel et professionnel e Sont compatibles avec une vie priv e satisfaisante famille e Tous les travailleurs sont globalement satisfaits Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails OIIO 23 sos Le guide de concertation D paris 6 Bilan Reportez ici les appr ciations g n rales des rubriques en coloriant la case en vert g en jaune ou en rouge g Situation de travail 1 Les locaux etzones de travail QAO 2 L organisation du trav
87. et la taille de l cran 15 17 19 21 sont adapt s t che Le clavier la souris et les accessoires sont de qualit Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 8 Synthese e Dressez le bilan des mesures de pr vention et d am lioration envisag es Reprenez les mesures envisag es au cours de l Analyse Pr cisez qui fait quoi et quand par ordre de priorit partir des r ponses aux questions Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e D terminez la n cessit d une Expertise niveau 4 D terminez sur quoi doit porter cette Expertise D terminez quelle en est l urgence 3 Rapport de l tude d Analyse SOBANE niveau 3 Canevas de collecte des informations adapter la situation rencontr e Entreprise Situation de travail Coordinateur Personnes ayant particip l tude Date A La gestion du b timent Remarques Qui fait quoi quand e Gestion du b timent et des installations e La politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC e Le r gime d utilisation du syst me HVAC e La politique d entretien des locaux e La politique de gestion des d chets e La politique de r novation 44 NMSOBANE 88 Niveau 3 Analyse B L installation HVAC L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauf
88. etien des locaux La fr quence de nettoyage est satisfaisante du sol des fen tres des luminaires des surfaces de travail des tag res Les techniques de nettoyage aspiration lavage cirage sont celles autoris es Elles sont satisfaisantes pour les occupants Le nettoyage est bien r alis du sol des surface de travail des tag res 26 NMSOBANE SBS Niveau 2 Observation Sans soulever la poussi re Les loques disques de nettoyage sont pr alablement d sinfect s De pr f rence en dehors des heures de travail Les techniques de nettoyage ne laissent aucun r sidu liquide eau ou a rosols ou solide poussi res Poudre de nettoyage des tapis plains Les produits de nettoyage utilis s sont ceux autoris s etne sont ni irritants ni toxiques Ces produits sont correctement stock s L eau employ e pour le nettoyage des locaux n est pas pollu e Les aspirateurs sont en bon tat de fonctionnement Le personnel entretient bien son propre mat riel e Les d chets Les d chets p rissables cuisine caf sont vacu s journellement Les d chets non p rissables papier sont vacu s suffisamment r guli rement en fonction du volume Les d chets toxiques cartouches solvants sont recueillis de mani re s lective et vacu s selon les exigences de la l gislation Les containers centraux sont ad quats Ils sonttenus ferm s et l abri des rongeurs
89. evront tre r alis es La Direction s engage tablir un plan d actions dans le but de donner suite au mieux ce qui sera discut 3 Invitation Vous tes invit participer une r union D paris De quoi s agit il Qu est il attendu de vous Qu en retirerez vous De quoi s agit il La r glementation exige qu une analyse des risques soit r alis e pour toutes les situations de travail et qu un plan d action soit tabli pour progressivement atteindre et maintenir le meilleur tat de bien tre pour tous les partenaires de ces situations de travail employ s personnel direction Il est possible un conseiller en pr vention de r gler tout seul par exemple des probl mes d incendie Il ne lui est pas possible tout seul d assurer les conditions de VOTRE bien tre VOTRE bien tre ne peut tre assur qu avec VOUS Une r union D paris D pistage participatif des risques est une r union de quelques personnes de la situation de travail personnel direction services techniques au cours de laquelle tous les aspects de la vie au travail sont pass s en revue Un guide de concertation a t pr par pour guider cette discussion de sorte qu elle couvre tous les aspects techniques organisationnels et relationnels qui font que la vie quotidienne dans votre situation de travail est plus ou moins facile efficace et agr able L objectif n est pas de constater ni de quantifier les imperfections difficult
90. facilit pour se parler une distance de 1 m tre e Les EPI bouchons casque disponibles et utilis s quand n cessaire Dans les bureaux Pas d inconfort ou de distractions trafic t l phones conditionnement d air photocopieuses conversations L emplacement des postes de travail e Le plus l cart possible des sources de bruit Les moyens de communication e Tiennent compte du bruit ambiant Les machines ou installations bruyantes e Bien entretenues capot es Les trous orifices e Dans les parois entre les locaux les fentes en dessous des portes Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails OIIO 18 sos Le guide de concertation D paris 11 Les ambiances thermiques A discuter La temp rature e Nitrop chaud ou froid pas de variations importantes L humidit ni trop sec ou humide Pas de courants d air parles fen tres et portes Les sources de froid chaleur ou humidit e Elimin es eau vapeur machines soleil Les v tements de travail e Confortables bleu de travail tablier de labo Les v tements de protection e Si n cessaires isolants imperm ables anti rayonnement e De qualit adapt s et confortables Les boissons disponibles s il fait trop chaud ou trop froid Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails
91. fage Les prises d air ext rieur Les rejets d air Les filtres Les batteries de chaud et de froid Le ventilateur et le caisson de pulsion Les conduits de distribution d air Les humidificateurs avec bac r colteur d eau Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs Les bouches de pulsion et de reprises d air dans les locaux Le recyclage d air Les autres appareils Le r gime de pression entre les locaux Les locaux Le b timent Les plafonds faux plafonds murs et parois Les sols Les fen tres Les postes et surfaces de travail Les appareils polluants imprimantes photocopieuses ou autres machines Les plantes vertes L archivage Divers 45 NMSOBANE 88 Niveau 3 Analyse D Les conditions thermiques Les points de consigne de temp ratures humidit vitesse La politique de r glage des temp ratures La temp rature de l air L humidit de l air Le rayonnement thermique La vitesse de l air Les conditions acoustiques Les niveaux de bruit de fond Les bruits ext rieurs Les bruits int rieurs non li s l activit Les bruits li s l activit l int rieur du local La r verb ration dans le local Les conditions d clairage L clairement souhait L clairage artificiel g n r
92. fication des techniques utilis es les mesures de pr vention am lioration pr conis es La synth se doit tre tablie nouveau par les personnes de l entreprise avec l assistance des pr venteurs et des experts 48 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiches d aide du guide SOBANE Sick Building Syndrome Fiche 1 Le syndrome des b timents malades Sick Building Syndrome SBS Fiche 2 Les causes de SBS Fiche 3 Gestion d un probleme de SBS Fiche 4 Le responsable de la gestion du b timent Fiche 5 Sources int rieures et ext rieures de pollution Fiche 6 La pollution chimique Fiche 7 Maitrise de la ventilation Fiche 8 Filtres de poussi res et de gaz Fiche 9 La pollution microbiologique Fiche 10 Les tapis plains Fiche 11 Gestion du probl me de vermine Fiche 12 R novation du b timent ou constructions voisines Fiche 13 Les conditions climatiques Fiche 14 Le confort acoustique Fiche 15 L clairage Fiche 16 Le travail sur ordinateur Fiche 17 Les facteurs sociaux et organisationnels Fiche 18 Appareillage de mesurage de base et d expertise Fiche 19 R f rences 49 MSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 1 Le syndrome des b timents malades Sick Building Syndrome SBS 1 Bref historique et d finitions Au cours des ann es 1960 s est d velopp progressivement un int r t particulier pour la qualit des espaces d habitation et de travail La tendance fut d labore
93. filtres de r tention des poussi res et bien entretenus Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e La a politique de gestion des d chets Fiche 12 Un programme est tabli concernant l vacuation des d chets tri s e Les d chets p rissables cuisine caf Les d chets non p rissables papier Les d chets toxiques cartouches solvants Les containers centraux sont ad quats Ils sonttenus ferm s et l abri des rongeurs Dans une zone sp ciale avec ventilation Un programme de gestion de la vermine est tabli e La politique de r novation Fiche 13 Les travaux de r novation sont r alis s e Pardes firmes sp cialis es La programmation tient compte de l occupation des b timents Des r gles sont d finies concernant Le confinement et la ventilation locale des locaux en r novation Les produits utiliser non toxiques ou allergisants 37 MNSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Les techniques peu polluantes a utiliser Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 2 L installation HVAC 2 2 1 L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauffage e Les prises d air ext rieur Les prises d air ext rieur sont situ es dans des zones non pollu es En hauteur l cart des sources de pollution rue grand trafic parkings garage chemin
94. fort Certains encore attribueront plus vite cet inconfort ou cette maladie a leurs conditions de travail ll est essentiel que ceux qui sont en charge de r soudre ou d viter les probl mes de SBS partent du principe que les sources du stress sont non pas CHEZ les travailleurs mais bien DANS les conditions de travail Si ce principe est explicitement adopt il sera plus ais de focaliser l tude sur les facteurs de stress plut t que sur les r actions individuelles de rechercher les facteurs associ s plut t que de vouloir apprendre au personnel a faire face Comme le souligne de Baker 8 il est donc significatif de parler de facteurs sociaux et organisationnels plut t que de facteurs psychosociaux 4 SBS ou hyst rie collective 5 Face un probl me de SBS et faute d l ments objectifs susceptibles de justifier les plaintes l hypoth se spontan ment adopt e tant par les directions que par les experts techniques est celle d une r action irrationnelle et exag r e du personnel des probl mes mineurs voire d une invention pure et simple de ces probl mes La dynamique d un probl me de SBS suit environ le sch ma suivant 1 Certaines des causes possibles de stress professionnel ci dessus existent 2 Un l ment d clenchant se produit l apparition d odeurs une maladie soudaine une co ncidence telle que deux fausses couches en m me temps 3 Quelqu un formule l hypoth se d un lien entre des probl mes de sant
95. ge Le cahier de maintenance microbiologique permet de suivre les diff rentes tapes d entretiens sp cifiques et d en valuer l efficacit sur le plan microbiologique La proc dure de d sinfection de l eau d humidification ainsi qu un planning des contr les microbiologiques et physico chimiques de l eau r aliser sont entre autres propos s Ce cahier de maintenance est divis en 3 parties 1 L quipement de l installation de l entretien actuel et futur Les points sensibles sont mis en vidence et le planning des op rations et des contr les microbiologiques de base est d fini 2 Les analyses d eau d humidification effectuer r guli rement lorsque l installation est quip e d un humidificateur avec bac r colteur d eau 3 Les op rations maintenance r parations arr t du groupe de pulsion La date et le nom de l op rateur y sont galement consign s PLANNING DE MAINTENANCE MICROBIOLOGIQUE Formulaire ISP Mycologie 961 L quipement Type de filtres Remplacement des filtres pr vu les Nettoyage caissons ventilateurs et batteries pr vu les Nettoyage gaines principales pr vu les Nettoyage bouches pulsion pr vu les Nettoyage jectoconvecteurs pr vu les Autre L eau Type humidificateur Pr sence adoucisseur St rilisateur UV Type de d sinfectant s utilis s D sinfection en continu ou par doses quantit s de produits et fr quence Mesure de la conductivit de l eau pr v
96. gorge mal de t te fatigue grave Localiser les photocopieurs utilis s intensivement dans des locaux ventil s non occup s en permanence 68 MSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 7 La ventilation 1 Priorit Il s agit de la seconde m thode de pr vention am lioration apr s la ma trise des sources La pr valence des sympt mes li s diminue court et long termes dans les b timents o la ventilation est am lior e 116364 2 vendatan par dilution Augmenter la quantit totale d air en circulation 1927 e Par action sur les ventilateurs clapets de r glages e Ceci peut requ rir une modification de la capacit de l installation et donc de l quipement Augmenter la proportion d air neuf r duction du recyclage e Ceci peut requ rir une modification de la capacit de l installation et donc de l quipement Am liorer la r partition de l air entre les diff rents locaux e Ceci requiert une tude s rieuse des r gimes de pression et des circulations d air dans le b timent de mani re garder les d pressions locaux polluants et surpressions locaux sensibles e Ceci peut modifier le r gime des pressions vis vis de l ext rieur et entrainer l entr e d air non trait Ceci peut galement d placer le probl me si l augmentation de la ventilation dans un local entra ne une r duction dans un autre local Recommandations des d bits d air neuf ASHRAE Standard 62 1989 m3 h par personne
97. hacun peut quitter son poste et prendre une courte pause toilettes boissons sans perturber le travail La libert de contact e Chacun prend lui m me les contacts qu il juge n cessaires avec les services p riph riques entretien achats qualit ou ext rieurs Le niveau d attention moyen en fonction e De la gravit des actions prendre e Du caract re impr visible des v nements Les d cisions e Le nombre de choix est limit e Les informations sont disponibles e Elles ne sont pas trop difficiles prendre e La vitesse de r action n cessaire est normale Les responsabilit s e Chacun connaitles siennes et les appr cie i trop lourdes ni trop l g res Les erreurs e Chacun corrige lui m me ses erreurs ventuelles Aspects tudier plus en d tails 20 iso Le guide de concertation D paris 15 Le contenu du travail A discuter L int r t du travail int ressant et diversifi e T ches pr paratoires contr le qualit retouche entretien Les comp tences e Le travail de chacun correspond sa fonction et ses comp tences professionnelles e Il permet d utiliser et de d velopper ces comp tences Les informations et la formation e De tous jeunes int rimaires plus anciens Sp cifques au travail de chacun e Surles proc dures les risques et la pr vention e A l embauche et de fa on p riodique La
98. id 141 755 765 93 NMSOBANE SBS Fiches d aide 29 Jones W 1990 Le syndrome des difices herm tiques M decine et Travail 145 32 39 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 Kubo T Mizoue T Ide R Tokui N Fujino Y Minh P Shirane K Matsumoto T and Yoshimura T 2006 Display Terminal Work and Sick Building Syndrome The Role of Psychosocial Distress in the Relationship J Occup Health 48 2 107 112 Lund J Rice C 1992 Indoor air quality investigation experience with a questionnaire survey instrument App Occup Environ Hyg 7 10 682 688 McGrath J J Wong W C Cooley J D Straus D C 1999 Continually Measured Fungal Profiles in Sick Building Syndrome Current Microbiology 38 1 33 36 Marmot A F Eley J Stafford M Stansfeld S A Warwick E Marmot M G 2006 Building health an epidemiological study of sick building syndrome in the Whitehall II study Occup Environ Med 63 4 283 9 Mendell M J and Smith A H 1990 Consistent Pattern of Elevated Symptoms in Air conditioned Office Buildings A Reanalysis of Epidemiologic Studies Am Public Health 80 1193 1199 Mendell M J Fisk W Deddens J A Seavey W G Smith A H Smith D F Hodgson A T Daisey M and Goldman L R 1996 Elevated Symptom Prevalence Associated with Ventilation Type in Office Buildings Ep
99. idemiology 7 583 589 Mendell M J Fisk W J Petersen M R Hines C Dong M Faulkner D Deddens J A Ruder A M Sullivan D Boeniger M F 2002 Indoor particles and symptoms among office workers results from a double blind crossover study Epidemiology 13 296 304 Mendell M Lei Gomez Q Mirer A G Sepp nen O Brunner G 2008 Risk factors in heating ventilating and air conditioning systems for occupant symptoms in US office buildings the US EPA BASE study Indoor Air 18 4 301 16 Niemel R Sepp nen O Korhonen P Reijula K 2006 Prevalence of building related symptoms as an indicator of health and productivity Am J Ind Med 49 10 819 825 Niven R M Fletcher A M Pickering C A C Faragher E B Potter I N Booth W B Jones T J Potter P D R 2000 Building sickness syndrome in healthy and unhealthy buildings an epidemiological and environmental assessment with cluster analysis Occup Environ Med 57 627 34 Norb ck D Michel 1 Widstr m J 1990 Indoor air quality and personal factors related to the sick building syndrome Scand J Work Environ Health 16 121 128 Norb ck D 2009 An Update on Sick Building Syndrome Current Opinion in Allergy and Clinical Immunology 9 1 55 59 Nordstr m K Norb ck D Akselsson R 1994 Effect of air humidification on the sick building syndrome and perceived indoor air quality in hospitals a four month longitudinal study Occup Environ
100. identifier des mesures d am lioration plus sophistiqu es Ce document s adresse non seulement aux conseillers en pr vention que sont les m decins du travail responsables de s curit ergonomes conseillers en pr vention en charge des probl mes psychosociaux mais aussi aux chefs d entreprise responsables de la mise en uvre de la pr vention et aux travailleurs qui vivent cette pr vention Avant d utiliser les guides d Observation et d Analyse d crits dans cette brochure l utilisateur est invit lire la brochure principale de la s rie intitul e Strat gie SOBANE et Guide de D pistage D paris qui d crit en d tail la philosophie g n rale de la strat gie SOBANE les principes de base et la proc dure de mise en uvre en entreprise Le premier chapitre de la brochure pr sente un r sum de ces principes et proc dures MSOBANE sps Strat gie g n rale de gestion des risques professionnels 1 Principes de base La loi sur le bien tre au travail requiert que l employeur assure la s curit et la sant des travailleurs dans tous les aspects li s au travail en mettant en uvre les principes g n raux de la pr vention 1 Eviter les risques 2 Evaluer les risques qui ne peuvent pas tre vit s 3 Combattre les risques la source 4 Adapter le travail l homme La strat gie SOBANE qui est utilis e dans le pr sent document cherche rendre ces exigences plus r alisables et plus effi
101. idification and perceived indoor air quality in the office environment Occup Environ Med 54 322 327 Rios J L Boechat L Gioda A dos Santos CY de Aquino Neto FR Lapa e Silva JR 2009 Symptoms prevalence among office workers of a sealed versus a non sealed building associations to indoor air quality Environ Int 35 8 1136 41 Salvaggio J E 1994 Psychological aspects of environmental illness multiple chemical sensitivity and building related illness J Allergy Clin Immunol 94 2 part 2 366 370 Sepp nen OA Fisk WJ Mendell MJ 1999 Association of ventilation rates and CO2 concentrations with health and other responses in commercial and institutional buildings Indoor Air 9 4 226 52 94 NMSOBANE 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 SBS Fiches d aide Sepp nen O A Fisk WJ Mendell MJ 2002 Ventilation Rates and Health ASHRAE J ournal 44 8 56 58 Sepp nen O A Fisk WJ 2002 Association of ventilation system type with SBS symptoms in office workers Indoor Air 12 2 98 112 Sepp nen O A Fisk WJ 2004 Summary of human responses to ventilation Indoor Air 14 7 102 18 Skov P Valbjorn O Pedersen B V 1989 Influence of personal characteristics job related factors and psychosocial factors on the sick building syndrome Scand J Work Environ Health 15 286 295 Skov P Valbjorn O Pedersen B V 1990 Influence of indoor climate on the
102. ier plus en d tails 5 Les commandes et signaux A discuter Qui peut faire quoi de concret et quand Les ordres de travail bordereaux listes clairs Les signaux crans lampes et les commandes e Boutons manettes p dales en bon tat Leur localisation e Pr s eten face du travailleur ni trop haut ni trop bas e Bien dispos s sur le tableau de commande nombre et couleurs des boutons lampes e Syst mes d arr ts d urgence boutons cables pr sents et facilement accessibles Leurs caract ristiques e Respect des st r otypes aiguille mobile de gauche droite vert marche rouge arr t sens de la commande e Niveau sonore ou intensit lumineuse ad quate e La taille forme et dimensions boutons voyants La force e Pas de force excessive de pression du doigt ou du pied Aspects tudier plus en d tails 15 sos Le guide de concertation D paris 6 Le mat riel de travail les outils les machines A discuter Le mat riel outils et machines e Marteaux pinces machines fixes portatives de levage e Clairement r pertori s inventaire Ad quats pour chaque op ration e Isol s dans une zone de s curit machines dangereuses L entretien e En bon tat e Entretien r gulier v rification approfondie annuelle e Mis l cart en cas de probl mes cordons ab m s fissures d chi
103. ion Leurs caract ristiques La force Le mat riel de travail les outils les machines Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Le mat riel outils et machines Ad quats L entretien Les dimensions et formes Adapt s au travailleur et s curis s La formation des travailleurs Les positions de travail Qui peut faire quoi de concret et quand concernant La r p tition des m mes gestes Les positions de travail Les hauteurs de travail Le travail assis ou assis debout Si en position debout Les aides Les efforts et les manutentions Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les gestes et efforts Les efforts des mains Les charges L g res et quilibr es Confortables saisir A bonne hauteur Pas de torsion ou inclinaison du tronc Port es seulement sur de courtes distances Les aides m caniques La formation La fatigue en fin de journ e L clairage Qui peut faire quoi de concret et quand concernant L clairage dans les locaux et du travail lui m me La lumi re du jour et la vue l ext rieur Pas d ombres sur le travail Pas de reflet ni blouissement L uniformit de l clairage Les luminaires Le travail sur cran d ordinateur iso Le guide de concertation D paris 10 Le bruit Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Dans les ateliers La facilit pour se parler Les EPI e Dans les bureaux Pas
104. ion SOBANE niveau 2 Canevas de collecte des informations adapter la situation rencontr e Entreprise Situation de travail Coordinateur Personnes ayant particip l tude Date A La gestion du b timent Remarques Qui fait quoi quand La gestion du b timent et des installations La politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC Le r gime d utilisation du syst me HVAC L entretien des locaux Les d chets Les r novations L installation HVAC Le programme de v rification L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauffage Les prises d air ext rieur Les pr filtres et filtres aux prises d air ext rieur Les batteries de chaud et de froid Le ventilateur et le caisson de pulsion Les conduits de distribution d air Les humidificateurs avec bac r colteur d eau Les humidificateurs a vapeur Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs Les bouches de pulsion et de reprise d air dans les locaux 33 MSOBANE SBS Niveau 2 Observation e Le recyclage d air e Les autres appareils C Les locaux e Les plafonds parois et sols e Les fen tres e Les postes et surfaces de travail e Les appareils polluants imprimantes photocopieuses ou autres machines e Les plantes vertes e L archivage e Divers
105. ions non optimales Rechercher comment am liorer cette situation 90 MASOBANE SBS Fiches d aide 4 Fiche 19 Mesurages de base et d expertise Pourquoi mesurer Afin de comparer diff rentes zones du b timent pour confirmer la nature du probl me Afin d valuer les missions les concentrations les niveaux locaux dans le but de d terminer quantitativement les d bits d air les diff rences de temp rature les pressions requises pour am liorer la situation Afin de suivre en routine certains indicateurs et en particulier la concentration en CO2 indicatrice du taux de renouvellement d air frais Les mesurages ne sont en g n ral pas n cessaires pour r soudre les probl mes mais plut t pour surveiller le syst me et d tecter les anomalies avant qu elles ne deviennent des probl mes Des mesurages de base peuvent tre r alis s pour faciliter l authentification et la compr hension des probl mes mais les mesurages sp cialis s ne seront qu occasionnels et d ment justifi s O mesurer Aux postes de travail sans interf rence de et avec les occupants Autour des sources particuli res de pollution de chaleur de bruit Que mesurer Les conditions moyennes et les conditions les plus d favorables Les missions maximales Dans les conditions m t orologiques extr mes Ades moments choisis al atoirement pendant ces conditions Comment e Systeme de HVAC Mesurage de ba
106. isation du travail et ou les proc dures de travail ne posent pas des probl mes Les relations de travail avec les autres d partements sont bonnes ll arrive fr quemment que le support des autres d partements soit insuffisant Les machines l quipement les logiciels ne pr sentent pas de probl mes de fonctionnement e L int r t du travail Les t ches sont vari es Le travail n est pas trop morcel dans le d partement et chacun apporte sa contribution au produit Chacun re oit assez d informations sur le r sultat de leur travail Chacun a la possibilit de choisir sa m thode de travail dans le cadre de r gles g n rales Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 9 Synth se e Dressez le bilan des mesures de pr vention et d am lioration envisag es Reprenez les mesures envisag es au cours de l Observation Pr cisez qui fait quoi et quand par ordre de priorit partir des r ponses aux questions Que faire de concret pour am liorer directement la situation 32 NMSOBANE Que faut il tudier plus en d tails SBS Niveau 2 Observation e D terminez si une Analyse niveau 3 plus approfondie est n cessaire en tenant compte de l efficacit des mesures de pr vention am lioration envisag es D terminez sur quoi doit porter cette Analyse D terminez quelle en est l urgence 3 Rapport de l tude d Observat
107. isolation thermique insuffisante ou endommag e D shumidificateurs et humidificateurs mal entretenus Cuisines et toilettes mal ventil es o 2 Entretien microbiologique de l installation a Les humidificateurs 7 e Nettoyage des bacs r colteurs d eau Mise sec des bacs r colteurs au moins une fois par an afin de d caper les parois de tous les r sidus organiques Les surfaces de ruissellement fils Amazone nid d abeille doivent tre examin es et si n cessaire trait es ou remplac es D sinfection de l humidificateur par chloration conseill e une fois par semaine une fois par quinzaine ou une fois par mois en fonction des r sultats des analyses microbiologiques Sont d conseill s les d sinfectants ajout s l eau pendant le fonctionnement de l humidification Op rations de chloration apr s forte contamination Traitement de choc Couper la pulsion et verser de l hypochlorite de soude 47 50 14 raison de 1 51 pour 100 1501 d eau Faire fonctionner l humidificateur et U V pendant 30 minutes Vidanger et remplir avec de l eau fra che et faire fonctionner nouveau pendant 5 min Vidanger et recommencer la derni re op ration de rin age 1 2 fois Ce traitement de choc est r aliser plusieurs semaines cons cutives une fois par semaine Des contr les microbiologiques sp cifiques de l eau sont r alis s au moins tous les 15 jours 74 MSOBANE SBS Fiches d aide
108. ivit s concentration discussion archivage La surface et l espace par personne sont suffisants Les espaces de rangement sont d termin s en fonction des besoins de classement des dossiers documents Les armoires tiroirs tag res dossiers sont choisis pour tre fonctionnels Chaque occupant jouit de suffisamment d intimit Quand n cessaire des panneaux de s paration de 150 cm de haut sontutilis s pour isoler certaines zones e Les he de travail Les dimensions et les formes des plans de travail sont fix es en fonction de l activit Les surfaces sont choisies mates de couleur claire sans r fections Les hauteurs sont adapt es la taille et la t che des personnes en position assise Le bord avant est arrondi lls sont confortables pour les jambes Iln ya aucun obstacle table classeur ou objet Unrepose pied est disponible Les cables sontrang s dans une goutti re e Le si ge 43 MNSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Les dimensions et les caract ristiques du si ge r pondent aux exigences normatives en particulier concernant les r glages de la hauteur de l assise et du dossier l inclinaison de l assise et du dossier la profondeur de l assise et du dossier l cartementet la hauteur des accoudoirs les bords arrondis e Le mat riel informatique Tous les l ments cran clavier souris r pondent aux normes de qualit Le type cathodique ou plat
109. lement adopt e lorsque confront un SBS et la seule d fendable est donc de ne pas rechercher tout prix la ou les causes mais d identifier toutes les d viations de la situation rencontr e par rapport optimum et de tenter d y rem dier ll est bien s r n cessaire de documenter les plaintes leur nature leur importance leur localisation leurs circonstances de survenue afin de cerner le probl me et d orienter les rem des C est cependant une erreur assez commune que de pousser l analyse trop finement de distinguer entre hommes et femmes entre matin et apr s midi entre mercredi 11h et vendredi a 9h Comme le conseille Ooi etal une approche biopsychosociale au probleme est n cessaire comprenant le traitement des sympt mes l am lioration de l environnement une bonne conception ergonomique et la gestion du stress B Recueil des donn es de base du b timent e Description du syst me de chauffage ventilation et conditionnement d air HVAC Plans m caniques et architecturaux Sp cifications plan de circulation et d bits d air Manuel d utilisation Manuel de maintenance technique Manuel d entretien 57 MASOBANE SBS Fiches d aide Evolution dans le temps du syst me e Donn es d entretien et de maintenance technique du syst me HVAC Rapport de r ception d finitive tat par rapport aux sp cifications Programme d entretien et de maintenance Donn es enregistr es
110. lit s individuelles 20 15 e contenu GU travail assassinat ne ne een annee ee a nn 21 16 Les contraintes de temps sms attenante enr nn nn ane 21 17 Les relations de travail au sein du personnel et avec la hi rarchie c ccsscsscseseesesssssessessssssssrsstsssssesnsssersssssssssasenseseess 22 18 L environnement PSychosS cia lisses attenante ee An EEA Eee en RE ee ER 23 6s Bilai RAR RS node de oi ee et en de 24 7 Inventaire des propositions d am lioration et des tudes compl mentaires r aliser 24 Niveau 2 Observation sssrenerenmeeerennnninnenennnnnnnennensninnennnnntnnetttennannsniirnts 25 k MOINTOAUELIONES Rem Mo E touce note nono or en en non 25 I D eean E A ER 26 2 1 La g stion du b timent Fiche 3 sa snnnansha ainnaabanannnanninnntahahnnuanamannanamn 26 2 2 installation AVAG Fiche AO RAR ARR ie at nan ont nde acumen 27 2 2 1 L installation avec ventilation forc e par pulsion et chauffage 27 2 2 2 Les installations avec ventiloconvecteurs ou jectoconvecteurs 28 2 2 3 Les bouches de pulsion et de reprise d air dans les locaux Fiches 7 et 9 28 ZLA OT CNCIAQE IP han tata nat tone ina id io onde oi in dit one 29 2 25 Les autr s appareils Ra Ra aa ant ir 29 23 LAS IOCAUX smart nadia anne dinde 29 24 Les conditions climatiques Fiche 14 30 25 Les conditions acoustiques Fiche 15 30 2 6 Les conditions d clairage Fiche 16 31 2 1 Ergonomie des postes de travail Fiche 17
111. lt L encombrement e Les espaces de rangement e L entretien technique et m nager e Les d chets e Les sols e Les locaux sociaux e Les issues de secours 2 L organisation du travail Qui peut faire quoi de concret et quand concernant e L organisation du travail e Les circonstances de travail L approvisionnement des postes e L ind pendance avec les postes voisins e Les interactions et communications e Les moyens de communication 3 Les accidents de travail Qui peut faire quoi de concret et quand concernant e Les v tements de travail et Equipements de protection individuelle EP1 e Les chutes de hauteur e Les chutes de plain pied e Les chutes ou projections d objets e Les risques m caniques e Les proc dures en cas d accident e Les analyses des accidents du travail e Les premiers soins 4 Les risques lectriques et d incendie Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les risques lectriques e L installation lectrique g n rale e Le mat riel e L quipement Le risque incendie et explosions e Les mati res inflammables ou explosives e Les sources e Les moyens de lutte e Le compartimentage des locaux escaliers e L quipe d intervention inteme e Les consignes en cas d incendie e La signalisation 11 Les commandes et signaux Qui peut faire quoi de concret et quand concernant Les ordres de travail Les signaux etles commandes Leur localisat
112. mique il est recommand que Le PPD soitinf rieur 10 Ce qui correspond un PMV compris entre 0 5 et 0 5 Diff rents programmes informatiques sont disponibles pour calculer facilement ces indices a partir des 6 param tres de base Le tableau suivant donne les gammes de temp ratures assurant le confort thermiques dans les conditions suivantes Absence de sources particuli res de rayonnement Vitesse d air faible lt 0 15 m s Humidit de l air normale 40 Activit s dentaire 100 w l g re 170 W Habillement d t 0 7 clo et d hiver 0 9 clo Habillement Gamme de temp ratures S dentaire Et 24 5 27 5 L g re Et 18 23 S dentaire Hiver 23 5 26 5 L g re Hiver 16 22 Etant donn que l on observe une d gradation plus importante des performances pour des climats plus chauds que plus froids il est recommand de garder la temp rature proche de la valeur minimale de la gamme de confort 82 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 15 Les conditions acoustiques Le bruit est souvent incrimin dans les cas de Sick Building Syndrome Pour pr venir ces probl mes il est recommand de se r f rer au guide d Observation de la strat gie SOBANE d velopp pour la pr vention des risques li s l exposition au bruit La fiche ci apr s r sume bri vement les points les plus importants 1 Les unit s et ordres de grandeur Le bruit tel qu il est entendu se mesure en dB A Il
113. mnolence Maux de t te Etourdissements vertiges naus es 5 Les sympt mes de g ne ext rieure e Odeurs d plaisantes modification du go t La classification propos e par l OMS est quelque peu plus simple 1 Sympt mes g n raux Fatigue t te lourde mal de t te Naus es vertiges Difficult s de concentration 2 Sympt mes affectant les muqueuses D mangeaisons sensations de br lure irritation des yeux e Nez irrit bouch ou qui coule e Gorge s che etrauque toux 3 Sympt mes affectant la peau Peau du visage s che ou rouge D mangeaisons sensations de br lure ou de pression sur le visage 3 Importance du probleme Burge et Hoyer 4 ont tudi les sympt mes de SBS chez 4329 employ s dans 42 b timents administratifs au Royaume Uni Ces b timents ordinaires furent choisis au hasard et n taient pas connus comme posant des probl mes de SBS Il fut demand aux employ s s ils avaient souffert au cours des 12 derniers mois d un ou plusieurs des sympt mes suivants s cheresse des yeux picotements des yeux ou larmoiement nez bouch nez qui coule gorge s che l thargie ou fatigue mal de t te sympt mes grippaux avec douleurs des membres et ou fi vre difficult s respiratoires sensations d oppression thoracique L tude montra entre autres que 80 des employ s pr sentaient au moins un sympt me et qu en moyenne 3 sympt mes taient rapport s Les sympt mes les plus f
114. n du b timent ou constructions voisines 1 Constructions voisines e Op rations polluantes Excavation poussi res micro organismes bruit D molition poussi res micro organismes bruit Asphaltage gaz poussi res Construction poussi res gaz bruit e Actions Fermer les fen tres portes ouvertures quelconques R duire couper r organiser les prises d air ext rieur Surveillance particuli re de l tat du syst me HVAC filtres batteries Nettoyage particulier des espaces de travail 2 B timent lui m me e Op rations polluantes R novation tapis plains sols plafonds partitions meubles Peinture D molition Travaux divers installation de c bles e Actions Confiner les espaces Pardes crans contre les poussi res et le bruit En coupant la ventilation g n rale ou au moins les reprises d air Pr voir les op rations en dehors des heures d occupation Faire effectuer les travaux par une firme sp cialis e comp tente en mati re de pollution int rieure Utiliser des produits peu toxiques peintures Utiliser des techniques de mise en uvre peu polluantes Pr voir une ventilation locale sp ciale pendant et apr s les travaux Demander les informations au fabricant concernant la vitesse de d gazage Si d gazage rapide le favoriser par des temp ratures lev es et une ventilation forc e importante Si d gazage lent le ralentir r
115. n tr s inf rieure 800 ppm le taux de renouvellement d air frais para t acceptable 54 e Concentration sup rieure 800 ppm probl me de ventilation susceptible d tre d Un d bit d air frais insuffisant Un syst me mal programm dans le temps Des entr es de gaz de combustion Une production de CO par certaines machines ou le tabagisme e Conditions climatiques Mesurage de base 91 MSOBANE SBS Fiches d aide e Thermohygrographe pour l enregistrement de la temp rature et de l humidit long terme 1 jour 1 semaine Thermo hygrom tre pour des mesurages ponctuels de temp rature et d humidit Mesurage d expertise An mom tre thermique pour le mesurage des vitesses d air aux postes de travail Thermom tre globe noir pour l valuation du rayonnement thermique e Bruit Mesurage de base aucun recommand Mesurage d expertise Sonom tre int grateur pour l tude de l volution du niveau sonore dans le temps Analyseur de fr quences par bandes d octave pour l identification de bruits particuliers e Eclairage Mesurage de base aucun recommand Mesurage d expertise Luxm tre et ou luminancem tre pour le mesurage des clairements 92 NMSOBANE 10 11 12 13 14 e Burge P S 2004 Sick Building Syndrome Occup Environ Med 61 185 190 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 SBS Fiches d aide Fiche 20 R f renc
116. naccessibles aux oiseaux Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e Les re et surfaces de travail Les densit s maximales de personnes sont fix es La r partition des postes dans les locaux est tudi e les uns par rapport aux autres et en fonction des fen tres de l installation HVAC des besoins de circulation voies de passage Le programme de nettoyage est tabli fr quence technique et produits de nettoyage Le mobilier est choisi en nombre et en taille en fonction des besoins La politique d vacuation des d chets est d finie Les poubelles sont ad quates en nombre en forme en taille et en type permettant un tri s lectif e Les appareils polluants imprimantes photocopieuses ou autres machines Les machines sources de pollution chimique sonore calorifique ou autres sont inventori es et document es donn es du fabricant Elles sont remplac es au plus t t par des machines moins polluantes Elles sont id alement localis es dans des locaux s par s et sp cifiques quip s d une aspiration locale avec rejet direct vers l ext rieur A d faut elles sont localis es le plus l cart des postes de travail le plus pr s possible des bouches de reprise et le plus loin possible des bouches de pulsion e Les plantes vertes Les plantes sont limit es en nombre et choisies pour tre non toxiques et ou allergisante
117. nch it encrassement lls sonten bon tat Le remplacement n occasionne pas de pollution du b timent ESPACE DE TRAVAIL es Ventilo convecteu Batterie de chauffe ou de refroidissement 7 Brise gouttelettes Clapets de r glage Elles sont maintenues propres et p riodiquement d sinfect es Aucune eau ne stagne nulle part dans l installation 27 NMSOBANE SBS Niveau 2 Observation e Le ventilateur et le caisson de pulsion lls sont propres Le caisson n est pas corrod ou d grad e Les conduits de distribution d air ll n y a aucune accumulation de poussi res ou d bris salissure corrosion fuite d air ll n y a aucune pr sence de fibres dans l air indiquant un recouvrement int rieur antibruit d t rior Les clapets de r glages sont propres non corrod s et en bon tat de fonctionnement Toutes les d gradations sont imm diatement signal es et solutionn es Aucun biocide n est utilis qui puisse se retrouver dans l air e Les humidificateurs avec bac r colteur d eau Les horaires d utilisation de I humidificateur suivent le programme pr tabli Ils sonta l arr t la nuit et le week end Le bac est mis sec pendant les p riodes d arr t prolong La d concentration e La conductivit de l eau est v rifi e r guli rement et une fiche de contr le existe L installation est arr t e et nettoy e en profondeur en cas de d p ts blancs de sels sur les parois L eau de d
118. ncieux R aliser des contr les microbiologiques une fois par an ou en cas de pathologies associ es soup onn es Les unit s terminales Ouvrir et nettoyer au moins une fois par an les bouches de pulsion ou d extraction et ventiloconvecteurs R aliser des contr les microbiologiques une fois par an ou en cas de pathologies associ es soup onn es Contr les microbiologiques bilan annuel Contr ler visuellement une fois par an ou en cas de pathologies associ es soupconn es l ensemble de l installation de traitement d air ainsi que l espace de travail du b timent R aliser des analyses microbiologiques de l air des surfaces de poussi res et de l eau d humidification Entretien microbiologique de l espace de travail La qualit microbiologique de l espace de travail peut tre affect e par 75 MSOBANE SBS Fiches d aide Des contaminations provenant de l installation de traitement d air e L environnement ext rieur pollen moisissures Des facteurs inh rents cet espace lui m me e Le mobilier Maitriser l empoussi rement par des nettoyages fr quents et r guliers minimum une fois par semaine e R duire la surcharge du mobilier avec des dossiers afin de faciliter ce nettoyage Entretenir les fauteuils avec rev tement en tissus comme la moquette c d minimum une fois par semaine R aliser des contr les microbiologiques une fois par an ou en cas de pathologies associ es soup onn es
119. nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnna 58 D Recueil et analyse des plaintes sympt mes de SBS nes 58 Te INTOAUCTION tn ten RP AA PR ER AR A RU 58 2 Liste des informations recueillir PAR PERSONNE 58 Bo Synthese des donn es POUR LE GROUPES iE a 59 E Inspection des lieux de travail relev des erreurs videntes 60 F Analyse des r sultats issrmontenmmonmmonuontmamanNmmasSsmmIsSsaimassrmmmosu n 61 Fiche 4 Le responsable de la gestion du b timent 63 Fiche 5 Sources int rieures et ext rieures de pollution 64 Fiche 6 La pollution chimique ss 65 1 La pollution par les gaz de combustion 65 2 ka pollution due AU TADAC na tii anieidiniinAnistannidanialadinad aniannadaniaten 66 3 La pollution par les compos s organiques volatiles dont le formald hyde 2324 66 4 La pollution par les produits d entretien cic a0anddidonan Gandhian auadddaaiiad miiaduddadandudainalGmien 66 S TE pollution Parle PIONEER dada had dote oo icon 67 6 sla pollution par l TAQOnE RAR ER han id dit ie at ia nie 67 Te Ea pollution par Fasbeste amiant 4234244h4hanihAa nina naihafainnnniininiaibataaihanibanna 67 8 Autes pollants Lan Ra A AA dd nee 68 Fiche 7 La Ventilation ssssisissrnninsinennnnniniicinennnennsininennnninainennmntnininsninnrnenrenenrennntnninsicnnnadies 69 1 RP TOR a a eae eee een ace eae 69 2 Ventilation par GiUtiOn ccecesesssessssessscsssssssrsessssssssesssssssscsssesscsssesess
120. nsesiansaseosesacadsastsicusansnasuiassegtadzasnedesstuisusiaranraningrastadsesesicatanineusarassieiesrageeansii 78 De TOXICE teienei iiien iiti ii Et UE EE E E EEEN N 78 Zs Recommandations ea nn e a e e ne a a ee a a N 78 Fiche 12 Gestion du probl me de vermine ssssssssssssssssssunnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnananannnnnnn nananana 79 Fiche 13 R novation du b timent ou constructions VOISINES mn 80 La Constructions VOISINE Sisse nan nn menant ten nent eea ENK aa BENE SAE Ea 80 2 Batiment lU MEME ssena i a a e E a a a a aN E 80 Fiche 14 Les conditions climatiques 81 ls Lessixparam tres TRIO adaa ententes nn 81 2 Les indices de confort thermique PMV PPDA nn 82 Fiche 15 Les conditions acoustiques nent 83 1 Les unit s et ordres de grandeur nn 83 2 Crit re de confort acoustique int rieur ii 83 3 L isolement acoustique souhaitable entre locaux 84 4 Les mat riaux acoustiques absorbans a ENEEK E E 85 5 Les mat riaux acoustiques isolants tentent 85 6 Les mat riaux SCOUS RIES resilient psonorosenisonesngnandognienin or n anaE Ea ATENE EEEE 85 7 L am lioration de l isolement acoustique 85 Fiche 26 CL OCUe ed GG cicscssniacnsinestasanecensnssinsitedeseacinieavastecncsasbsrartaceeiansaricenstasiniianetiesesnasirdersettoaisinsindenratisursrednionaiinennacanienredieitia 87 Te MOS IUMILES dinaon e E EA EA E E eke E EE E E E ined 87 2 Types de lampes et d
121. nt resse au pourquoi des choses et comment les modifier pour am liorer globalement la situation 7 MSOBANE ps Les mesurages sont chers longs difficiles et souvent peu repr sentatifs Ils seront donc r alis s bon escient plus tard lorsque les solutions simples ont t mises en uvre La pr f rence est donn e la pr vention sur l valuation des risques 1 7 PME Les m thodes d velopp es dans les grandes entreprises ne sont pas applicables dans les PME alors que l inverse est vrai Les m thodes sont donc d velopper en prenant en compte les capacit s et moyens des PME o travaillent plus de 60 de la population de salari s 2 Strat gie SOBANE de gestion des risques La strat gie SOBANE est constitu e de quatre niveaux progressifs D pistage Observation Analyse et Expertise Il s agit bien d une strat gie en ce sens qu elle fait intervenir des outils des m thodes des moyens de plus en plus sp cialis s au fur et mesure des besoins A chaque niveau des solutions d am lioration des conditions de travail sont recherch es et le recours au niveau suivant n est n cessaire que si malgr les am liorations apport es la situation reste inacceptable Le niveau de D pistage est r alis quelle que soit la nature de l l ment plainte accident qui d clenche l int r t pour la situation de travail Ce probl me est ainsi remis dans son contexte et d autres aspects conditionnant gal
122. nt des syst mes avec vacuation vers l ext rieur e Choisir ad quatement le type la taille et le mod le certifi et conforme Utiliser uniquement des foyers sans joints en asbeste e Inspecter annuellement le syst me de chauffage central de la chaudi re et de la chemin e et r parer imm diatement les parties endommag es fissures e Prendre des pr cautions sp ciales lors de l utilisation de chauffage combustion dans des locaux non ventil s C1 Combustible ad quat et r glage correct des br leurs C1 Air de remplacement par l ouverture d une porte vers d autres locaux et d une fen tre Imposer l arr t du moteur de tous les v hicules fournisseurs en cas de stationnement aux alentours et a fortiori l int rieur du b timent garage Dans le cas de parking pr s des habitations interdire l arr t en marche arri re l chappement vers les fen tres Mettre tous les locaux cuisines chaufferies garages contenant de telles sources en d pression par rapport au reste du b timent Y assurer une ventilation abondante Sans recyclage Sans contamination du syst me HVAC principal 65 MSOBANE SBS Fiches d aide 2 La pollution due au tabac e Effets sur la sant Pour les fumeurs perturbation g n ralis e de la sant emphys me bronchite chronique probl mes cardiovasculaires cancer des poumons Pour les non fumeurs tabagisme passif e Irritation des voies respiratoi
123. nvironnement thermique 7 4 Qualit de l air int rieur 7 5 Humidit de l air int rieur 7 6 Environnement acoustique Annexe Lignes directrices pour une bonne pratique Annexe B Aspects conomiques Annexe C Conception et l utilisation de syst mes avec une faible consommation d nergie Annexe D Calcul de l efficacit nerg tique des ventilateurs et des caissons de traitement d air Annexe E Efficacit de ventilation et de diffusion de l air La norme d finit une classification 4 niveaux de la qualit de l air int rieur sur base de la concentration en CO et sp cifie pour chacun les d bits d air neuf n cessaires 72 NMSOBANE SBS Fiches d aide Niveau de CO ppm D bit d air neuf par personne m h pers Qualit de l air dans les locaux Zone non fumeurs Zone fumeurs Gamme moyenne Gamme moyenne Gamme moyenne Excellente lt 400 350 gt 54 72 gt 108 144 Moyenne 400 600 500 36 54 45 72 108 90 M diocre 600 1000 800 22 36 29 43 72 58 Basse gt 1000 1200 lt 22 18 lt 43 36 L annexe est la partie la plus importante de la norme Elle aborde les aspects suivants Les prises d air et des vents Leur emplacement Leur dimensionnement Les distances respecter par rapport au sol et aux sources de pollution ext rieures pour les prises d air Les distances par rapport aux immeubles voisins 8 m et des prises d air frais
124. obabilit de trouver une relation avec la s cheresse de l air est plus importante dans un pays froid que dans un pays chaud D autre part ainsi que soulign par J ones 2 on ne conna t pas en g n ral la cause r elle du SBS et l on se contente de constater qu en prenant certaines mesures le SBS s estompe ce qui ne d montre pas que ces mesures en sont n cessairement responsables Nous parlerons donc d associations de simultan it s de concomitances entre sympt mes et facteurs de la situation de travail plut t que d effets et de causes Les facteurs associ s au SBS sont multiples 49 et peuvent tre class s en 2 grandes cat gories 2 Les facteurs ambiants 1203160 La pollution chimique qui peut tre li e la pollution ext rieure aux mat riaux utilis s dans le b timent aux activit s l int rieur l installation de chauffage et ou de conditionnement d air Fiche 6 La pollution microbiologique avec les m mes origines possibles Fiche 10 Les facteurs climatiques la temp rature de l air son humidit les courants d air le rayonnement thermique Les facteurs environnementaux l clairage le bruit le rayonnement lectromagn tique l lectricit statique Ces diff rents facteurs seront discut s dans des fiches ci apr s La plupart des tudes indiquent une augmentation significative de la pr valence des sympt mes de SBS dans les b timents avec ventilation m canique et surtout dans
125. olante qu elle est lourde c est dire e constitu e d un mat riau lourd b ton plein gt briques pleines gt pl tre gt bois briques creuses et paisse Une paroi constitu e de deux couches les plus d solidaris es possibles paroi double permet d obtenir un isolement aussi ou plus importants qu une paroi simple en b ton exemple deux plaques de pl tre espac es de 10cm L effetest susceptible d tre ruin si les deux plaques sont solidaris es par des supports rigides ponts acoustiques 6 Les mat riaux acoustiques r silients Ces mat riaux sont destin s bloquer la transmission des vibrations Il s agit par ordre d efficacit de plus en plus importante du feutre du li ge du caoutchouc de ressorts de coussins d air Ils sont pr sent s sous forme de blocs silent blocs de tapis ou de tapis sous un bloc de b ton dalle flottante Le mat riau doit tre lastiques etne pas tre cras Ces mat riaux r silients bloquent de nouveau mieux les vibrations rapides de hautes fr quences que lentes de basses fr quences qu ils amplifient dans une certaine gamme de fr quences 7 L am lioration de l isolement acoustique llestindispensable de supprimer ou de r duire au minimum les trous les fentes dus aux passages des canalisations en particulier des gaines de conditionnement d air aux bo tes lectriques aux fentes autour des portes et fen tres aux espaces derri re les chambranles de por
126. ores Courants d air Anomalies d clairage Lampes d fectueuses Eclairements trop faibles ou trop intenses Lumi re de mauvaise qualit Reflets sur les objets ou les crans Anomalies de bruits bruits intenses anormaux sons purs ronflements ou r verb ration importante F Analyse des r sultats Discussion des donn es de base du batiment Les documents plans manuels existentils Sont ils jour volution du syst me Sontils utilis s Maintenance technique etentretien sanitaire e Personnel d finition des t ches formation L influence des modifications dans le b timent a t elle t prise en compte D bit d air total e R partition des d bits e Circulation de l air Analyse des r sultats de l enqu te de plaintes et sympt mes Circonstances temporelles Suggestions Sympt mes apparaissent ou F h de chauffage et ou ventilation et ou conditionnement empirent d s l arriv e dans le Revoir les missions de gaz qui pourraient s tre accumul es durant les b timent p riodes de non occupation E oo ene eal AOU ee Revoir les d bits d air susceptibles d tre insuffisants la journ e e Sympt mes intermittents e Rechercher le lien avec des ph nom nes ext rieurs climat e Sympt mes n apparaissent Rechercher une cause imm diate telle que remplacement de filtre fuite qu une fois d eau panne Apparition r cente des e Revoi
127. peintures et produits de recouvrement Certains carrelages Certaines tuiles et ardoises Freins de v hicules 67 MASOBANE SBS Fiches d aide e Effets sur la sant Asbestose cicatrices pulmonaires Cancer des poumons et m soth liome e Actions Faire appel a un professionnel pour liminer ou ma triser l amiante selon les proc dures l gales et de bonnes pratiques Ne jamais travailler en aucune fa on des mat riaux contenant de l asbeste couper usiner Interdire toute op ration sur les freins de v hicules dans les locaux non pr vus cet effet Comme dit pr c demment les probl mes d asbeste ne sont pas des probl mes de SBS quand bien m me ils repr sentent un risque majeur Des informations compl mentaires ce sujet peuvent tre trouv es aupr s de diff rents organismes dont le Centre Scientifique et Technique de la Construction Rue Violette 21 23 1000 Bruxelles 8 Autres polluants e Les fibres de verre Provenant de mat riaux d isolation thermique ou d absorption acoustique d t rior s les grosses fibres entrainent des d mangeaisons et irritations de la peau Les plus petites pourraient entrainer des affections pulmonaires et le cancer e L ozone Produit partir de l oxyg ne par le rayonnement ultraviolet ou par certains appareils lectrique ou lectronique tels que des photocopieurs et des d poussi reurs lectrostatiques irritant aux muqueuses yeux nez et
128. peut varier fortement d un cas l autre mais tous les facteurs sont toujours plus ou moins pr sents C estune erreur de gestion de la part des responsables que de nier l existence et la contribution de certains facteurs C est galement une erreur de gestion de la part de leur part de se focaliser sur un seul facteur la recherche d une solution La solution d un probl me de SBS et la pr vention du SBS passe immanquablement par des actions sur chacun de ses facteurs Le tableau suivant illustre parfaitement cette multi association Skov et al 5 y rapportent les r sultats d une tude de corr lation entre le fait de pr senter des sympt mes g n raux ou particuliers irritation des muqueuses avec diff rentes caract ristiques des b timents L tude portait sur 2369 occupants de 14 b timents Les sympt mes seraient moins fr quents dans les b timents plus anciens et plus fr quents dans les locaux plus grands plus occup s plus sourds et o il y a plus de tissus et de surfaces susceptibles d accumuler les poussi res facteur d tag re lls augmenteraient galement aux vitesses de courant d air plus lev es Ne consid rer qu un seul facteur serait clairement une erreur et il s agit bien de reconsid rer l ensemble des conditions de vie dans le b timent 95 MASOBANE SBS Fiches d aide Coefficients de corr lation entre diff rentes caract ristiques du b timent et la pr valence de sympt mes Modifi d
129. pid miologiques rapportent une concomitance entre les sympt mes de SBS et des facteurs tels que la surcharge de travail l insatisfaction avec les sup rieurs hi rarchiques ou les coll gues 5 le faible impact possible sur ses conditions de travail 4 soit globalement ce que l on appelle le stress au travail 423 Les composantes reconnues du stress professionnel sont les suivantes L environnement physique chimique et biologique La t che la nature le rythme la charge les possibilit s d autonomie et de modifications les d lais La structure du travail les horaires les heures suppl mentaires L organisation du travail le partage des responsabilit s les rivalit s les relations la reconnaissance du travail r alis le respect en tant qu tre humain L ins curit d emploi les perspectives d avenir les probl mes personnels Ce stress professionnel peut avoir des effets dans les trois domaines Physiologiques r actions de stress hypertension ulc res infarctus Psychologiques insatisfaction anxi t d pression burn out Comportementaux moindre productivit absent isme abus d alcool et de m dicaments Ces effets varient en fonction de caract ristiques personnelles et sociales type de personnalit ressources personnelles pour r agir auto estime tat motionnel entourage familial Certains interpr teront plus rapidement leurs sensations comme maladie ou incon
130. pparition de ces pneumonies Cet pisode ayant frapp les esprits de nombreuses tudes pid miologiques furent entreprises Elles r v l rent que le nombre de situations probl me avait t et tait tr s important et que dans d autres lieux des pisodes semblables s taient produits Les termes Sick Building Syndrome SBS et Building Related Illness BRI sont apparus Ils seront traduits en fran ais par Syndrome des b timents malades et Maladies li es aux b timents 1521 De quoi s agit il exactement e Les maladies li es aux b timents BRI 4 Pour les maladies li es aux b timents il s agit ici de sympt mes bien sp cifiques de pathologies pr cises et diagnosticables infections asthmes pneumonies intoxications provoqu s par des contaminants transport s par l air du b timent qui n apparaissent que progressivement et demandent un temps beaucoup plus long pour dispara tre La sant court terme est ici menac e Ainsi 5 10 des l gionelloses seraient mortelles pour des personnes ayant des d ficiences immunitaires e Le Sick Building Syndrome SBS 1513 Le SBS se caract rise par un ou plusieurs sympt mes non sp cifiques touchant la peau les muqueuses le syst me respiratoire et ou le syst me nerveux central et qui ne s accompagne d aucune l sion Ces sympt mes apparaissent rapidement d s l entr e dans le b timent et s estompent et en g n ral disparaissent d s
131. pt es la vision la distance de l cran Former le personnel en ce qui concerne la disposition le r glage et le nettoyage de l cran La t che Surveiller les caract ristiques des logiciels utilis s choix de proc dures touches fonctions densit de l affichage temps de r ponse possibilit s d autocorrections indication ou localisation des erreurs Surveiller la dur e de travail sur ordinateur et la fr quence et dur e des pauses 30 89 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 18 Les facteurs sociaux et organisationnels Les facteurs sociaux et organisationnels sont souvent dans la plupart des cas associ s l apparition et au d veloppement de Sick Building Syndrome L tude de Ooi et Goh 45 portant sur 2160 sujets dans 67 b timents de bureaux met en vidence une augmentation de la pr valence de sympt mes de SBS chez les salari s rapportant des niveaux lev s de stress physique et mental Niemel et al 38 revoient 23 tudes et sugg rent un lien entre les sympt mes de SBS et la productivit les performances et l absent isme Marmot et al 33 arrivent la conclusion que l environnement physique des immeubles de bureaux semble tre moins important que les facteurs sociaux et organisationnels pour expliquer le SBS Pour pr venir ces probl mes il est recommand de se r f rer au guide d Observation de la strat gie SOBANE d velopp pour la pr vention des risques li s ces facteurs p
132. r quents taient l thargie ou fatigue 57 nez bouch 47 gorge s che 46 maux de t te 43 Les fourchettes des valuations de la pr valence sont tr s larges et indiquent combien l importance du probl me est m connue m me dans le cas des maladies li es aux b timents plus identifiables et plus document es Dans le cas du SBS la situation est peu connue et il est difficile de sensibiliser les directions des entreprises au co t que cela repr sente e Le co t du traitement des b timents et donc de la pr vention est relativement facile valuer frais d tudes am liorations techniques frais d entretien et de surveillance e Par contre le co t de l absence de pr vention reste discutable productivit r duite absent isme accru indemnisation des victimes frais d assurances soins de sant support s par la collectivit d pr ciation de la valeur du b timent 51 MASOBANE SBS Fiches d aide Fiche 2 Les facteurs associ s au SBS 1 Relations cause effet ou associations Les tudes concernant le SBS ont in vitablement concern certains b timents particuliers dans un certain environnement Il n est donc pas surprenant que les associations trouv es ne concernent que le ou les cas particuliers tudi s et que les r sultats des diff rentes tudes ne concordent pas toujours Ainsi le SBS ne peut tre associ la pr sence de moquette que dans les b timents qui en sont quip s et la pr
133. r des recommandations qui ne tenaient gu re compte des aspects nerg tiques Les attitudes chang rent radicalement d s 1973 suite l augmentation consid rable du prix des produits p troliers Des campagnes de sensibilisation aux conomies d nergie par une meilleure isolation et une tanch it accrue des b timents furent lanc es et les valeurs recommand es en termes de temp ratures d air de d bits d air neuf de niveaux d clairement furent revues consid rablement la baisse Les b timents furent rendus herm tiques et devinrent de plus en plus d pendants de la ventilation m canique pour en assurer le chauffage le refroidissement le confort int rieur Cette p riode des ann es 70 coincide avec celle o les plaintes relatives la qualit de l environnement int rieur se sont d velopp es L pisode de la convention de la l gion am ricaine Philadelphie en 1976 est certainement celui qui a r v l le probl me aupr s du public Alors que se tenait cette convention 182 ou 221 selon les sources personnes s journant dans et autour de l h tel pr sent rent des sympt mes de pneumonie et 29 ou 34 en moururent Les analyses ont montr que la cause en tait une bact rie qui se d veloppe dans les bacs d eau des installations de conditionnement d air Elle fut appel e Legionella et la maladie re ut le nom de l gionellose ou maladie des l gionnaires ces derniers n tant en fait en rien li s l a
134. r les v nements r cents r novation red coration modification sympt mes d quipement fuites d eau nouveaux meubles ou tapis plains e Sympt mes ne disparaissent que Probl me li d autres facteurs que le b timent tres lentement vacances e Revoir les aspects sociaux et organisationnels 61 MSOBANE SBS Fiches d aide Nature des sympt mes Revoir le fonctionnement du syst me HVAC Revoir les temp ratures humidit Revoir les courants d air ou zones d air stagnant Revoir les gains pertes de chaleur par rayonnement Suspecter la pr sence de produits irritants ou allergiques Revoir la pollution microbiologique Inconfort thermique Irritation congestion des muqueuses et voies respiratoires sup rieures Revoir la pr sence d allerg nes pollen e Revoir les sources de gaz irritants formald hyde solvant Oppression essoufflement e Revoir la pollution microbiologique respiration sifflante e Revoir la pollution chimique Maux de t te somnolence e Revoir la pollution chimique apathie naus es vertiges Revoir la ventilation g n rale 2 Revoir les aspects de bruit d clairage ur vane Revoir les aspects ergonomiques des postes de travail Revoir les facteurs de stress PREUR des r sultats de la visite du b timent Op ration du syst me HVAC programmation fonctionnement plaintes Analyse des Densit d occupation Machines partic
135. raphie 4 Les mat riaux acoustiques absorbants Les mat riaux sont destin s r duire la r verb ration du bruit l int rieur d un local Ils sont caract ris s par leur coefficient d absorption a qui varie en fonction de la fr quence du bruit Les mat riaux absorbants poreux typiques sont la laine de verre la laine de roche les mousses plastiques le bois expans Ils sont caract ris s par une absorption forte hautes fr quences mais nettement plus faible a basses fr quences de sorte qu il est plus facile de r duire les bruits aigus que les bruits graves L absorption basses fr quences peut tre augment e en utilisant des panneaux poreux semi rigides plac s 20 40 cm de la paroi arri re c est le cas en g n ral de faux plafonds acoustiques Remarque le li ge n est pas un tr s bon mat riau absorbant Il sera utilis principalement sous les machines pour liminer la transmission des vibrations au sol mat riau r silient 5 Les mat riaux acoustiques isolants Un mat riau isolant acoustique emp che le bruit de passer d un local l autre L isolement entre deux locaux est l att nuation du bruit d un local l autre Il est fonction des mat riaux de la paroi commune dans une certaine mesure des mat riaux des parois lat rales de l homog n it des surfaces pr sence de portes fentes trous l ments faibles Une paroi simple est d autant plus is
136. rdinateur Le travail sur ordinateur est souvent incrimin dans les cas de Sick Building Syndrome Pour pr venir ces probl mes il est recommand de se r f rer au guide d Observation de la strat gie SOBANE d velopp pour la pr vention des risques li s au travail sur cran La fiche ci apr s r sume bri vement les points les plus importants 1 Les postes de travail Le bureau e Choisir les dimensions en fonction de la t che et des accessoires de travail e Surveiller les bords arrondis les couleurs pastel mates les possibilit s de r glage en hauteur Surveiller les espaces sous le bureau pour les jambes et les accessoires appuie bras et appuie pieds L implantation du plan de travail Surveiller la position par rapport aux fen tres le plus possible l cart avec les fen tres gauche droitier e Surveiller la position par rapport aux luminaires la verticale ou entre deux rang es Le si ge Surveiller le dossier r glable en hauteur largeur inclinaison l assise ajustable en hauteur en inclinaison son bord avant arrondi les accoudoirs position et distances le pied 5 branches L cran e Surveiller l astigmatisme la focalisation la lin arit la stabilit de l image la s curit e Choisir la dimension la r solution les couleurs et contrastes en fonction de la t che Surveiller les possibilit s de r glage en hauteur position frontale inclinaison orien
137. re satisfaisants Les espaces de rangement Suffisants classeurs armoires et facilement accessibles L entretien technique et m nager e Locaux bien et r guli rement entretenus agr ables Les d chets e Tri s et vacu s correctement Containeurs ad quats et en nombre suffisant Les sols En bon tat de niveau solides non glissants Les locaux sociaux e Douches toilettes vestiaires r fectoire e Detaille suffisante confortables et bien quip s Les issues de secours e Libres bien visibles e Signal es parles pictogrammes ad quats Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails OIIO 13 sos Le guide de concertation D paris 2 L organisation du travail A discuter L organisation du travail e Claire et satisfaisante e Permet de travailler en s curit e Planification satisfaisante dans le temps et dans l espace e Proc dures de travail claires et connues Les circonstances de travail e Le lieu les outils le mat riel les stocks les impr vus les demandes ext rieures le temps e Pemettent d appliquer les proc dures de travail normales et de faire un travail de qualit L approvisionnement des postes e Stocks tampons ni trop grands ni trop petits L ind pendance avec les postes voisins e Nitrop ni trop peu Les interactions et communications au cours du travail entre travailleurs des
138. res sup rieures et des muqueuses Irritation respiratoire toux respiration sifflante Probl mes cardio vasculaires Cancer des poumons e Actions Interdire de fumer a l int rieur en particulier en pr sence d enfants Sinon pr voir des locaux sp ciaux avec ventilation particuli re et sans recirculation de l air 3 La pollution par les compos s organiques volatiles dont le formald hyde 34 e Sources Chauffage par combustion non ventil Mat riaux de construction panneaux de bois comprim produits base de r sines ur e formol panneaux de d coration mousses d isolation utilis s dans les parois et dans le mobilier Tapis plains tissus produits de nettoyage Colles etadh sifs Peintures vernis et produits de recouvrement Diminution des missions avec l ge du produit Augmentation des missions des produits neufs si la temp rature l humidit et la ventilation sont importantes Photocopieuses et machines diverses Les d sodorisants d int rieur spray bougies vaporisateurs diffuseurs Le personnel d sodorisants personnels parfums d gagement des v tements e Effets sur la sant Irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses Probl mes respiratoires aggravation chez les sujets asthmatiques Allergie chez certains sujets Cancer chez l animal et cancer potentiel chez l homme e Actions Le formald hyde tan
139. rures usure g n rale e Nettoy s et rang s selon les besoins en des endroits facilement accessibles autour des postes de travail Les dimensions et formes e Faciles saisir en s curit e Faciles utiliser sans fatigue des mains ou des bras e Manches droits ou courb s trop longs ou trop courts trop gros ou trop fins trop rugueux ou trop lisses Adapt s au travailleur et s curis s e Pas d l ments qui peuvent blesser e Pas trop lourds pas de vibrations e Adapt s aux gauchers La formation des travailleurs e A l utilisation s re et efficiente du mat riel et des machines Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails 16 sos Le guide de concertation D paris 7 Les positions de travail A discuter La r p tition des m mes gestes pas en continu Les positions de travail confortables e Le dos droit pas de flexions ou torsions e La t te droite pas de flexions extensions rotations e Les paules relach es pas hauss es e Les bras pr s du corps pas cart s ou lev s e Les mains en position normale non fl chies e Les deux pieds sur le sol ou un repose pied e Pas de travaux genoux ou accroupi e Sinon genouill res coussins en mousse disponibles e Pas de positions d favorables r p t es ou prolong es Les hauteurs de travail tables bureaux tag res machines outils permett
140. s Elles font l objet d un programme d entretien Que faire de concret pour am liorer directement la situation 40 NSOBANE SBS Niveau 3 Analyse Que faut il tudier plus en d tails e L archivage Un local d archivage est pr vu avec une ventilation ad quate et un contr le de la temp rature et de l humidit e Divers Les humidificateurs internes avec r servoir d eau sont limin s au profit d une technique d humidification plus saine Les coins cuisine caf sont bien localis s et ad quatement ventil s e lls sonten d pression par rapport aux locaux voisins Aucune remont e d air des parkings souterrains ventuels via notamment les gaines techniques n est possible Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 4 Les conditions thermiques e Les points de consigne de temp ratures humidit vitesse sont fix s En fonction de la tenue vestimentaire moyenne du personnel Isolement de 0 9 clo en hiver et 0 6 clo en t En fonction de l activit moyenne du personnel S dentaire l g re moyenne lourde Compte tenu d humidit relative de l air entre 40 et 60 Compte tenu d une vitesse de l air inf rieure 0 25 m s au niveau des occupants De mani re avoir un indice vote moyen pr dit PMV dans l intervalle 0 5 0 5 et un Pourcentage Pr dit d Insatisfaits PPD inf rieur 10 Les thermostats et
141. s des propri taires et des utilisateurs des lignes directrices concernant les syst mes de ventilation de conditionnement d air et de climatisation afin d assurer un environnement int rieur confortable et sain en toutes saisons moyennant des co ts d installation et de fonctionnement raisonnables Ces lignes directrices concernant la conception s appliquent principalement aux syst mes de ventilation m canique d air et la partie m canique des syst mes de ventilation hybride Le contenu de la norme 76 pages est le suivant 1 Domaine d application 2 R f rences normatives 3 Termes et d finitions 4 Symboles et unit s 5 Accord sur les crit res de conception 5 1 G n ralit s 5 2 Principes 5 3 Caract ristiques g n rales du b timent 5 4 Donn es relatives la structure 5 5 Description g om trique 5 6 Utilisation des pi ces 5 7 Exigences pour les pi ces 5 8 Exigences relatives aux syst mes 5 9 Sp cifications g n rales pour le syst me de commande et de suivi 5 10 Sp cifications g n rales pour la maintenance et la s curit de fonctionnement 5 11 Phases du projet Du lancement l exploitation 6 Classification 6 1 Sp cification des types d air 6 2 Classification de l air 6 3 T ches du syst me et types de syst mes de base 6 4 Conditions de pression dans la pi ce 6 5 Puissance sp cifique du ventilateur 6 6 R cup ration de la chaleur 7 Environnement int rieur 7 1 G n ralit s 7 2 Zone d occupation 7 3 E
142. s bras clouage vissage moyen manutention occasionnelle d objets moyennement lourds marche plus rapide 3 5 5 5 km h travail intense des bras et du tronc marche rapide 5 5 7 km h travail tr s intense et rapide marche tr s rapide course gt 7km h lourd tr s lourd 81 MASOBANE SBS Fiches d aide f L isolement thermique du v tement exprim en clo et dont les valeurs les plus courantes sont Complet veston cravate 1 clo Tenue d hiver sans veston 0 9 clo Chemise longue cravate 0 8 clo Chemise courte sans cravate pantalon l ger 0 6 clo Tenu short T shirt 0 5 clo 2 Les indices de confort thermique PMV PPD Les combinaisons des 6 param tres susceptibles de donner des situations de travail confortables peuvent tre d termin es grace aux indices PMV et PPD d finis par la norme ISO 7730 2 L indice PMV Predicted Mean Vote pr dit en fonction des 6 param tres la valeur moyenne des votes d un grand groupe de personnes sur l chelle de sensation thermique 7 points suivante 43 tr s chaud 2 chaud 1 l g rement chaud 0 nichaud ni froid 1 l g rement froid 2 froid 3 tr s froid L indice PPD Predicted Percentage of Dissatisfied pr dit en fonction des 6 param tres le pourcentage de personnes dites insatisfaites car trouvant l ambiance thermique trop chaude ou trop froide sensations 3 2 2 3 Pour obtenir une situation de confort ther
143. s d Observation d Analyse et d E xpertise ont t d velopp s et publi s en ce qui concerne les 15 domaines de risque suivants 1 Locaux sociaux 9 Bruit 2 Machines etoutils main 10 Ambiances thermiques de travail 3 S curit accidents chutes glissades 11 Produits chimiques dangereux 4 Risques lectriques 12 Agents biologiques 5 Risques d incendie ou d explosion 13 Vibrations de l ensemble du corps 6 Travail avec cran 14 Vibrations mains bras 7 Troubles musculosquelettiques TMS 15 Aspects psychosociaux 8 Eclairage Cette brochure constitue le 16 e guide qui pr sente la strat gie SOBANE de pr vention appliqu e la pr vention du Sick Building Syndrome Elle fait suite au guide de concertation D paris qui constitue le premier niveau D pistage de la strat gie SOBANE et pr sente les guides utiliser aux trois autres niveaux Observation Analyse et Expertise Ces guides cherchent optimaliser le temps et les efforts de l entreprise pour rendre la situation de travail acceptable quelle que soit la complexit du probl me rencontr Elles favorisent le d veloppement d un plan dynamique de gestion des risques et d une culture de concertation dans l entreprise Cette publication est la r vision de la brochure Sick Building Syndrome Analyse et Pr vention publi e en 1999 Gr ce au soutien financier de l Institut National de Recherche sur les Conditions de Travail actuellement DIRACT du Service
144. s lourdes ou instables e Courroies tapis roulant pour les transports fr quents e De qualit bien situ es et faciles et rapides utiliser La formation formation la manutention adapt e au poste La fatigue en fin de journ e acceptable Aspects tudier plus en d tails 17 sos Le guide de concertation D paris 9 L clairage A discuter L clairage dans les locaux et du travail lui m me e Nitrop nitrop peu suffisant pour voir les d tails du travail mais pas trop important La lumi re du jour et la vue l ext rieur satisfaisant Pas d ombres sur le travail Pas de reflet ni blouissement e Surles tables les surfaces m talliques ou en verre les feuilles de plastique les fen tres les crans e En particulier parle soleil fen tres avec des rideaux stores ou pare soleil e Pas de vue directe des sources de lumi re L uniformit de l clairage e Des zones de travail et de passage escaliers Les luminaires e Propres nettoy s r guli rement e Lampes ou tubes d fectueux remplac s rapidement Le travail sur cran d ordinateur e Le travailleur n est ni face ni dos une fen tre ou une source importante de lumi re Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails OOI 10 Le bruit A discuter Dans les ateliers La
145. salit s Limiter le nombre d intervenants ext rieurs et rechercher la personne au sein de l entreprise qui a une bonne connaissance g n rale de la probl matique du SBS et qui pourra orchestrer l investigation et solliciter l intervention d experts si et seulement si c est n cessaire et pour des aspects particuliers Plus le nombre d experts est grand plus le risque de r colter des avis divergents augmente D autre part cette inflation est per ue par le personnel comme la preuve de l ampleur du probl me et contribue donc son amplification Maximaliser la participation du personnel dans l investigation En informer et impliquer directement le Comit de Pr vention et de Protection et ou les repr sentants des travailleurs Informer clairement compl tement et imm diatement le personnel des r sultats des investigations des actions qui sont envisag es des tapes qui sont parcourues Lutter ainsi efficacement contre le d veloppement de rumeurs qui pourrissent le probl me Il est conseill de constituer un groupe de travail dirig par le coordinateur d fini au point 4 et regroupant des membres du personnel concern de la direction et de la gestion du b timent Faire de m me avec les m dias si ces derniers sont inform s Neutraliser le risque d informations erron es de source s re en donnant une information claire et directe D signer une seule personne pour ces contacts Ne pas se pr cipiter vers LA
146. se Manom tre pour le mesurage des pressions diff rentielles entre locaux ou dans l installation technique pH m tre etconductim tre pour l valuation de caract ristiques de l eau afin de pr venir les risques de corrosion et de corriger rapidement une d concentration d fectueuse Mesurage d expertise e Tubes de Pitot pour le mesurage des d bits dans les gaines e Hotte Venturi pour le mesurage des d bits aux bouches de pulsion et de reprise e Pollution atmosph rique Mesurage de base G n rateur de fum e tubes fumig nes pour l tude des circulations d air entre et dans les locaux e Tubes d tecteurs de la concentration de CO2 avec pompe a main ad quats pour les concentrations escompt es pour v rifier si l apport d air neuf est suffisant Loupe ou microscope pour l examen des poussi res afin de mettre en vidence l existence de particules anormales telles que fibres d chets organiques Mesurage d expertise e Tubes d tecteurs sp ciaux appropri s aux concentrations escompt es ou mat riel sp cialis pour le mesurage des concentrations en CO NOx formald hyde afin de d terminer la qualit de l air e Recours un laboratoire sp cialis pour l chantilonnage de l air sur filtre micropore pesage tude granulom trique et recherche des composants e Recours un laboratoire sp cialis pour l valuation de la pollution microbiologique Interpr tation des mesurages de CO e Concentratio
147. ser les plaintes etsympt mes de SBS au pr s du personnel Comment conduire l inspection des lieux de travail la recherche des erreurs videntes Commentsynth tiser les r sultats Dans les trois cas accident maladie professionnelle ou SBS la cause ponctuelle de l accident de la maladie du malaise aura t identifi e et une solution ponctuelle aura probablement t trouv e Reste cependant que le probl me quel qu il soit mais surtout s il est r current a des racines indirectes et que les solutions ponctuelles risquent de ne pas l avoir r solu la base et de mani re d finitive Une fois pass l moi de l accident de la maladie ou du SBS le probl me doit tre replac dans son contexte g n ral et la situation de vie au travail doit tre revue de mani re plus large gr ce aux guides de la strat gie SOBANE L exp rience montre que les entreprises sont plus dispos es revoir ces contextes g n raux et se servir des guides SOBANE suite un pisode n gatif d accident de maladie ou dans le pr sent cas de SBS Ce n est videment pas un pr requis et le guide d crit ci apr s peut tre utilis de mani re proactive en anticipation de tout probl me Les guides d Observation et d Analyse d crits ci dessous concernent bien la pr vention du syndrome des b timents malades Sick Building Syndrome SBS plut t que des Maladies li es au b timent La distinction entre ces deux types de probl mes e
148. sibles tant sur le travail que sur d autres sujets e L organisation du travail et des espaces permet de se voir La r partition du travail quitable au sein du groupe e Chacun conna t exactement son travail et son r le L entraide entre travailleurs pour des probl mes de travail La concertation pour le travail r guli re e Entre le personnel les services et la hi rarchie e Pour d finir planifier et se r partir le travail e Pour solutionner les probl mes La hi rarchie connue appr ci e et respect e Les relations avec la hi rarchie e Bonne entente confiance collaboration et bon climat social e Pas de relations tendues ou conflits d int r t e Support en cas de difficult s de travail ou personnelle e D l gations Les suggestions et critiques des travailleurs e Encourag es entendues et suffisamment prises en compte e Les probl mes sont signal s Les valuations e Chacun sait comment son travail est valu e Quand etcommentil est contr l e Ilen conna t les crit res et les cons quences e Chacun est inform des r sultats de son valuation e Le travail de chacun est suffisamment appr ci Qui peut faire quoi de concret et quand Aspects tudier plus en d tails 22 sos Le guide de concertation D paris 18 L environnement psychosocial A discuter Les promotions possibles e Selon des crit res objectifs
149. sont peut tre croissantes du salari l expert en passant par la ligne hi rarchique les conseillers en pr vention internes les m decins du travail les conseillers externes Cependant en m me temps la connaissance de ce qui se passe r ellement dans la situation de travail diminue ll est donc n cessaire de combiner ces 2 savoirs compl mentaires de mani re coh rente en fonction des besoins 14 Le collectif de travail acteur principal de la pr vention Dans la mesure o le but est le maintien et l am lioration du bien tre du collectif de travail aucune action pertinente ne peut tre entreprise sans la connaissance de la situation de travail que seul ce collectif d tient Le collectif de travail est alors l acteur principal et non pas seulement l objet de la pr vention 15 La nature des probl mes Le salari vit sa situation de travail non comme un ensemble de faits distincts et ind pendants mais comme un tout le bruit influence les relations l organisation technique entre postes influence les risques musculosquelettiques le partage des responsabilit s influence le contenu du travail Une action coh rente sur la situation de travail n cessite donc une approche syst mique globale de cette situation remettant tout probl me quel qu il soit dans son contexte 1 6 Estimation vs mesurages L valuation des risques s int resse prioritairement la quantification alors que la pr vention demande que l on s i
150. sont suffisants pour le classement des dossiers documents Les armoires tiroirs tag res dossiers sont fonctionnels L ordre et la propret g n rale sont respect s La vue vers l ext rieur du b timent est possible Des possibilit s d intimit et de concentration existent Pas ou peu de sources de d rangement Possibilit s de ne pas tre vu par les autres tout le temps e Le bureau ou plan de travail Le bureau ou le plan de travail est suffisamment grand de qualit propre et en bon tat Surface mate de couleur claire pas de reflet Bord arrondi confortable pour l avant bras Adapt la taille et la t che des personnes en position assise lest confortable pour les jambes 31 MASOBANE SBS Niveau 2 Observation Les jambes et pieds peuvent se placer confortablement et bouger sans heurter quoi que ce soit table classeur ou objet Unrepose pied est disponible e Le si ge est stable de qualit en bon tat llestfacile d placer Ilestconfortable et ajustable en fonction des dimensions de l utilisateur Ilest facile r gler partir de la position assise normale e Le mat riel informatique L cran est de bonne taille pour la t che sans d faut scintillement d formation sans reflets et propre Ilestbien localis Il fait face la personne Le bord sup rieur est hauteur des yeux ll esta la bonne distance de lecture
151. ssrsesssesersusssessvevsesasesevsesaseseveesasesesevsesasesersesasesesees 69 3 Confinement des polluants EEE AEAEE E 69 Fiche 8 Filtres de poussi res et de gaz nnnnninmmmnntnnannnennanminreniennnnienrnaninnnen 70 Pe LES ODJECU S cingaenn eeuceladh elutes ested elaseaaeleathearh 70 2 Lesfiltres a poussi res particules sisusse e a a 70 3 Lesperf rmances des filtres ChIMIQUES sssini siise ae eaae a ae EA 70 4 Les facteurs consid rer lors du choix d un Ne eu in ne call dia ne 71 5e Les MUTE portables te mm una manon 71 6 La v rification p riodique des filtres 71 Fiche 9 La norme europ enne EN 13779 siccccsccscesssvivccscesssncssesivsvevcadwosscusdvesvcssccuesuesstsvsvecsnanvebsivivevccuvexecusdivsveseGeccuscslsnssirsreateteei 72 Fiche 10 La pollution microbiologique nn 74 1 Les sources de pollution microbiologique 74 2 Entretien microbiologique de l installation 74 MSOBANE ps a L shumidcateurs nan ahsmninnaannnstaandha nnnndhr mnnanenanantinnaannaennanantdanaen 74 b Les ventlateurs d extraction etde pulSiOnci anducd nadanaddnadadadhandinadaandndniaandndadimnadanaen 75 Ce LOS EL isieisiet icin di dnsacia nid ded aad a a EEE 75 d Les unit s terminales mener 75 e Contr les microbiologiques bilan annuel 15 3 Entretien microbiologique de l espace de travail 75 4 Exemple de cahier d Charges A A trie ner le ere N 17 Fiche 11 Les Tapis plains aissisaisssesssscisatsnsrsscascoacoucass
152. ssssssssssnssnnnnnnnnnonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnannnnnnnnnnnaa annn nn nananana ana 9 1 Le niveau 1 D pistage le guide de concertation DG paris eserin 9 2 Procedure d UtIISAtON saines EAEE EE E 9 Se AMVILAUON tet N ee M a da Dion 10 4 Quels aspects seront abord s au cours de la discussion 2 11 5 Le guide de concertation sise 13 1 Les locaux et zones de travail innsnininenennenenenenenenenenennnnnns 13 2 L organisation du travail mener 14 3 L s accidents de trayailssis si anasstannnnnannnahannunnehonannnonannnnnatanaennmbnenontonmnRntan 14 ASS risgues lectriqu s SACS tin en tevinnt aeolian menue eatiouatenatnantae 15 5 Les commandes ELSIGNAUXvissiciitiancddiahiwaksiaaledunndalaNadadsislashelsaunaiabaialanaianniada 15 6 Le mat riel de travail les outils les machines 16 Tokes positions de WaVallss stsiitdandintididhainhatinkatinlulatalialoiualiiialalainiaainbalnnaln innit 17 8 Les efforts et les manutentions en 17 A AE EL Geel an AEE Sete ue Gt eG lee Gee u 18 1 ee TR eit atest stents ties tenia teastasetenstictia tis tetiestiattens E tite tasitnttanatars 18 Tibes ambiances thermiques seisustest a ee ee E EA een ere nn nt ee ti nn 19 12 L hygi ne atmosph rique 8 triste 19 13 Les vibrations ssssssssischiscssscateahtetsiesuisnsdscaliansassdunatvcsdivadasdeassscellasiassdonsisiidinstntiacnssiel asianstiasussitisuasteaasisleaentonnnaail 20 14 L autonomi etles responsabi
153. st expos e dans la fiche 1 Ces maladies dont la plus connue la l gionellose sont essentiellement li es aux agents biologiques et la pr vention consiste faire en sorte que ces agents biologiques existent le moins possible nettoyage des bacs eau des humidificateurs des tapis plains limination ou contr le strict des plantes Par contre les l ments surveiller pour pr venir un probl me de SBS sont multiples et vont des facteurs physiques d ambiances aux aspects psychosociaux comme le d crit la fiche 2 C est en am liorant un peu ou plus l ensemble des facteurs de la situation de travail qu un probl me de SBS sera devanc Conform ment la strat gie SOBANE il est conseill l entreprise de consid rer en premier lieu le contexte g n ral de la situation de travail en utilisant le guide de D pistage participatif des risques D paris Ce guide permet de passer en revue l ensemble des risques li s aux aires de travail l organisation du poste aux autres facteurs d ambiance et aux aspects psychosociaux en cherchant optimiser de mani re coh rente les conditions de vie de travail Dans un second temps le pr sent document est utilis pour Observer en d tails tous les aspects de la vie dans le b timent en recherchant toutes les am liorations concr tes simples Dans un troisi me temps lorsque n cessaire le guide d Analyse peut tre utilis avec l assistance d un conseiller en pr vention comp tent pour
154. sychosociaux D terminer les mesures concr tes qui peuvent tre rapidement prises pour anticiper des probl mes de Sick Building Syndrome D terminer si une Analyse niveau 3 plus approfondie est n cessaire avec quelle urgence avec quels objectifs e Qui Les salari s et leur direction locale Les personnes de l entreprise encadrement bureau d tude pr venteurs internes connaissant parfaitement la situation de travail e Comment La proc dure g n rale de mise en uvre du guide d Observation est d crite en d tail dans le document de pr sentation de la strat gie SOBANE Strat gie SOBANE et Guide de D pistage D paris et rappel e dans la section pr c dente Les lignes principales sont adapt es ci dessous 1 D finition du petit groupe de locaux de travail formant une situation de travail 2 D signation d un coordinateur 3 Pr paration du coordinateur il adapte le guide d Observation la situation de travail etse forme son utilisation 4 Constitution d un groupe de travail de 7 ou 8 personnes avec des travailleurs cl s et du personnel d encadrement Ce groupe comprend au moins un homme etune femme en cas de poste mixte 5 Invitation des participants une r union de discussion avec la liste des aspects susceptibles d tre abord s A La gestion du b timent e Les autres appareils e La gestion du b timent et d
155. sychosociaux Ce guide d Observation de la strat gie SOBANE relatif aux aspects psychosociaux aborde en d tail les aspects suivants 1 L autonomie et les responsabilit s individuelles Le degr d initiative l autonomie La libert de contact Les responsabilit s Les erreurs 2 Le contenu du travail L ambiguit de r le Les conflits de r le La diversification et l int r t du travail Le niveau d attention Les d cisions Les comp tences La formation 3 Les contraintes de temps Les horaires et la dur e de travail Le rythme de travail Les retards et interruptions L autonomie du groupe Les pauses 4 Les relations de travail au sein du personnel et avec la hi rarchie Les relations entre travailleurs Les relations entre services internes Le type de leadership la hi rarchie Les relations avec la hi rarchie L entretien de fonctionnement L valuation professionnelle 5 L environnement psychosocial L emploi Les perspectives d avenir Les salaires Le harc lement et les discriminations La concertation sociale Leclimatsocial Selon la philosophie de la strat gie SOBANE et comme pour le guide de concertation D paris dont l tude d taill e du cas de SBS et des facteurs psychosociaux sont la suite le but n est pas d valuer la situation par un score quelconque mais de Regarder cette situation de travail sous chacun de ces aspects Prendre conscience de condit
156. t s selon le programme tabli Ce programme est satisfaisant e La politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC Les contr les maintenances et entretiens pr ventifs sont correctement effectu s pour e les prises d air ext rieur les filtres air les batteries de chaud et froid et les humidificateurs les courroies et ventilateurs les gaines de distribution les bouches de pulsion et de reprise L installation est v rifi e correctement selon le programme pr tabli Les maintenances et entretiens sont effectu s en dehors des heures d occupation Les documents de contr le sont complets et disponibles Les capteurs de contr le des pressions niveaux temp ratures fonctionnent correctement Les proc dures en cas d urgence de panne sont connues et suivies En cas de panne du syst me HVAC le b timent n est pas utilis e Le r gime d utilisation du syst me HVAC Le syst me de r gulation est en parfait tat de fonctionnement Les points de consigne correspondent aux sp cifications d bit temp rature humidit Le r gime horaire de fonctionnement du syst me est ad quat par rapport aux heures d occupation du local et aux conditions climatiques ext rieures L air du b timent est renouvel compl tement avant l arriv e des occupants en cas d utilisation discontinue Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e L entr
157. t les surfaces de mani re avoir des rapports de luminances inf rieurs 3 sur le plan de travail inf rieurs 10 etsi possible 3 dans tout le champ visuel _ Jouantsur l emplacement des sources lumineuses et sur les coefficients de r flexion des diff rentes surfaces e La qualit de la lumi re son rendu des couleurs Les lampes fluorescentes courantes donnent des rendus des couleurs en g n ral satisfaisants Ce point est surveiller lorsque les besoins particuliers doivent tre rencontr s industries textiles papeteries imprimeries Industries de peinture magasins bureaux de design ou de dessin Les couleurs des surfaces parois mobilier sol doivent tre choisies de mani re obtenir une r flexion importante de la lumi re et influencer favorablement l humeur et la satisfaction des occupants On privil giera les couleurs pastel claires f Entretien Le vieillissement et l accumulation de poussi res sur la lampe ou le luminaire peuvent r duire le flux lumineux et donc l clairement r sultant jusqu 50 Il est donc recommand de Nettoyer syst matiquement les lampes et luminaires une fr quence fonction du risque de salissure Eliminer imm diatement les lampes donnant lieu un papillotement perceptible Les remplacer syst matiquement apr s un certain nombre d heures ou d s que plus de 20 sont hors d usage 88 NMSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 17 Le travail sur o
158. t omnipr sent dans les mat riaux ce produit peut tre consid r comme l indicateur de la oe chimique par les agents chimiques organiques Acheter uniquement des produits a faible concentration en formald hyde panneaux de bois isolants Acheter des produits vieillis naturellement ou artificiellement d gaz s Assurer une ventilation particuli re des locaux contenant ces produits pendant 48 72 heures sans recyclage R duire ult rieurement les missions en contr lant les temp ratures et humidit s Interdire les stylos marqueurs base de COV D courager voire interdire l utilisation de produits d sodorisants d int rieur spray diffuseurs vaporateurs bougies qui entrainent une pollution chimique suppl mentaire parfois importante et diminuent la prise de conscience du probl me que l odeur r v le 4 La pollution par les produits d entretien e Sources Peintures vernis cires d capants chimiques solvants organiques Produits de nettoyage d tergents de d sinfection d graissants e Effets sur la sant Effets tr s variables de nuls tr s graves suivant le produit chimique sa toxicit sa concentration le moyen de contact respiration peau Effets imm diats irritation des yeux et des voies respiratoires maux de t te vertiges probl mes de vision Pour les solvants organiques effets neurotoxiques m moire fatigue et cancer benzene e Ac
159. t ponts thermiques e Le stockage des d chets Stocker les d chets organiques de pr f rence l ext rieur du b timent et jamais plus d une semaine Dans le cas contraire choisir un local bien ventil pour cet usage Nettoyer et d sinfecter une fois par semaine minimum de pr f rence apr s le passage des services de ramassage R aliser des contr les microbiologiques une fois par an minimum ou en cas de pathologies associ es soup onn es e Les humidificateurs individuels e Humidificateurs plac s sur les radiateurs d une installation de chauffage central Ou syst mes individuels avec r servoir d eau et air puls D sinfecter etrincer le r servoir d eau r guli rement minimum une fois par quinzaine Utiliser de l eau contenant peu de min raux Eviter que la zone autour de l humidificateur ne devienne humide Arr ter l humidificateur en cas de probl me respiratoire Les syst mes ultrasons plus co teux mais sans r servoir d eau n exigent que peu d entretien e Les or d air individuel Les appareils quip s d un filtre absolu peuvent am liorer la qualit de l air mais leur utilisation ne doit pas inciter la n gligence L ajout de charbon actif peut galement am liorer la qualit de l air pollu par la fum e de cigarette ou par certains produits organiques volatils produits entre autres par de nouveaux mat riaux 76 MASOBANE SBS Fiches d aide 4 Exemple de cahier de char
160. tation lat rale Le clavier e Choisir le type AZERTY QWERTY les dimensions l paisseur le type de touches la couleur e Surveiller l tat des touches mates la facilit de positionnement au gr de l utilisateur La souris e Choisir la dimension et la forme e Surveiller la surface d utilisation sur la table bras au repos pas d extension prolong e ou r p t e Le support papier e Surveiller les possibilit s de r glage position distance hauteur angulation perpendiculaire au regard Les supports des mains et bras e Pr voir des accoudoirs r glables en hauteur pas de support pour les poignets devant le clavier L clairage Surveiller l clairement 300 lux 500 lux si lecture de documents Surveiller les luminances Id alement luminance cran luminance clavier luminance environnement imm diat e Si pas possible pas de rapport de luminances sup rieurs 10 ou inf rieurs 0 1 Surveiller les r flexions diffuses sur l cran e Modifier l emplacement relatif de l cran par rapport aux luminaires Augmenter la luminance du fond de l cran Placer un filtre l avant de l cran de mani re emp cher ces r flexions diffuses Le personnel Organiser des pauses rotations ou changements d activit en cas de travail avec des postures d favorables prolong es ou r p t es ou une activit soutenue de frappe ou de travail la souris Fournir des lunettes unifocales ada
161. tes Ces fentes et trous doivent tre colmat s avec des mat riaux isolants b ton pl tre etnon des mat riaux absorbants 85 MASOBANE SBS Fiches d aide Les chassis le poids total et l herm ticit des vitrages doubles sont tels que les isolements acoustiques sont nettement meilleurs Un isolement important est obtenu par un survitrage c d deux ch ssis simples espac s de 10 15 cm pour constituer une paroi double Des vitrages acoustiques sp ciaux sont galement disponibles e Les portes ordinaires en nid d abeilles ne peuvent donner que des isolements faibles du fait de leur l g ret Leur isolement est de plus en g n ral d grad par Les fentes sur le pourtour placer des joints pleins obturant totalement le pourtour de la porte ferm e La fente sous la porte la r duire au minimum par un r glage pr cis de la verticalit de la porte ou par le placement de paumelles h licoidales permettant la porte de s appuyer sur le sol quand ferm e et de s en carter lors de l ouverture e Les gaines de ventilation donnent lieu une diminution importante de l isolement acoustique de la paroi travers e et la propagation du bruit venant du ventilateur Placer les gaines au dessus des faux plafonds Rendre les faux plafonds isolants par l utilisation de mat riaux lourds Couvrir l int rieur des gaines d un mat riau absorbant e Les bruits de pas les chocs les vibrations transmises au sol
162. teurs internes avec r servoir d eau sont limin s A d faut ils sontr guli rementnettoy s et d sinfect s Les coins cuisine caf sont bien ventil s et entretenus nettoyage d chets Aucune odeur de cuisine n est jamais perceptible La cause de toute odeur particuli re est directement recherch e et limin e Aucun d sodorisant d int rieur spray bougies diffuseurs n est utilis ll n y a aucune remont e d air des parkings souterrains ventuels via notamment les gaines techniques Que faire de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails 2 4 Les conditions climatiques Fiche 14 Les temp ratures correspondent aux sp cifications S ils existent les thermostats et les autres senseurs d humidit fonctionnent convenablement lls sontr gl s selon les sp cifications Les r glages ne peuvent pas tre modifi s par le personnel Les temp ratures sont relativement homog nes entre postes de travail et entre locaux Les temp ratures sont relativement homog nes verticalement Pas de sensation de froid aux pieds et de chaleur au visage Les temp ratures varient peu court terme au cours de la journ e L humidit relative correspond aux sp cifications et est entre 40 et 60 Aucun rayonnement thermique inconfortable chaud sources de chaleur ou froid fen tres n est perceptible Aucun courant d air n est p
163. tions 66 MSOBANE SBS Fiches d aide Respecter totalement les instructions mentionn es sur les tiquettes des produits utilis s Acheter des quantit s limit es des produits chimiques pas de stockage Etiqueter rigoureusement tous les produits toxiques Evacueren toute s curit les bo tes ou bouteilles remplies partiellement ou non de vieux produits chimiques collecte s lective des d chets Utiliser ces produits l ext rieur ou dans une zone bien ventil e Eviter l utilisation de produits contenant du chlorure de m thyl ne peintures en a rosol d capants chimiques ou si indispensable et possible les utiliser l ext rieur Eviter l utilisation de produits contenant du benzene Interdire de fumer Ventiler lors de l emploi de peintures et vernis 5 La pollution par le plomb e Sources Anciennes canalisations d eau Surfaces peintes au minium lorsque d grad es gratt es ou ponc es sans pr cautions particuli res e Effets sur la sant Risque d intoxication surtout par ingestion A hautes concentrations convulsions coma et mort A faibles concentrations effets sur le cerveau le syst me nerveux central les cellules sanguines et les reins Risque important pour le foetus et les jeunes enfants e Actions Recourir des sp cialistes pour la r novation des surfaces recouvertes de peintures a base de plomb Interdire l utilisation de pein
164. tions Eviter l usage autant que possible de tapis plains Sinon rechercher une moquette tr s serr e haut trafic mettant et retenant peu de poussi res Lors de l installation D rouler et a rer dans une zone bien ventil e avant l installation Suivre les instructions de pose du fabricant Utiliser des colles peu toxiques et d gazage rapide Installer en dehors des heures d utilisation et bien avant l arriv e des occupants Couper localement le syst me HVAC au moins pour la reprise d air A rer localement avec rejet ext rieur direct pendant 48 72 h Nettoyage Nettoyage la vapeur pas avec des poudres ou des produits chimiques S chage rapide Ventilation locale abondante durant le s chage Aspiration Au minimum une fois par semaine bureaux avec plus d insistance dans les lieux de passage et dans les lieux de rassemblements photocopieuse percolateur e Aspiration quotidienne dans des lieux particuliers r fectoire Aspirateur quip d un filtre haute efficacit sinon redispersion des poussi res Intervention imm diate en cas d accident et en particulier d humidification Contr les microbiologiques Une fois par an ou en cas de pathologies signal es Avec recherche dans la poussi re de tapis plains des germes suivants Moisissures m sophiles Moisissures x rophiles Moisissures tr s x rophiles Moisissures thermophiles Bact ries totales 25
165. ture du polluant par rapport aux caract ristiques du filtre La pr sence d autres gaz ou vapeurs humidit 70 MASOBANE SBS Fiches d aide Le d bit d air traiter par rapport aux caract ristiques du filtre pr vues par le fabricant La concentration du polluant L entretien e Facteurs influen antles performances pour les occupants Le d bit trait par rapport au volume d air et aux volumes des locaux traiter Les courts circuits au niveau du filtre 4 Les facteurs consid rer lors du choix d un filtre e Les sp cifications La concentration et les caract ristiques du polluant filtrer Le d bit d air traiter volume des locaux Les performances souhait es concentrations r siduelles e Les crit res de choix La s curit lectrique et m canique en particulier pour les unit s portables d utilisation locale Les proc dures d installation d utilisation de maintenance et d entretien Les contraintes de maintenance et d entretien fr quences produits Les frais fixes achat et r currents nergie maintenance entretien La pollution secondaire ozone toluene La capacit enlever les odeurs Le bruitsurajout 5 Les unit s portables D conseill es si un syst me HVAC existe e A utiliser dans des zones limit es pour des probl mes locaux et dans des situations occasionnelles Bouches d aspiration le plus pr s possible de la source d
166. tures base de plomb V rifier et r nover les installations de conduites d eau potable base de plomb 6 La pollution par le radon e Sources Rarement les mat riaux de construction Principalement l uranium pr sent dans le sol sur lequel le b timent est construit P n tration par e Les fissures dans les murs etles sols Au travers des mat riaux non tanches e Parles drains et les puisards d gouttage Parles sols en terre battue e Effets sur la sant Cancer des poumons Risque plus lev chez les fumeurs e Actions Sila r gion o est situ le b timent est connue comme ayant une concentration de radon importante dans le sol e V rifier les concentrations principalement dans les sous sols et rez de chauss e e Assurer une ventilation de ces espaces vers l ext rieur e V rifier les concentrations dans l eau de distribution et dans l eau locale puits Comme dit pr c demment les probl mes de pollution par le radon ne son pas des probl mes de SBS quand bien m me ils repr sentent un risque majeur Des informations compl mentaires ce sujet peuvent tre trouv es aupr s de diff rents organismes dont le Centre Scientifique et Technique de la Construction Rue Violette 21 23 1000 Bruxelles 7 La pollution par l asbeste amiante e Sources Mat riaux d isolation des tuyaux des chaudi res joints Isolation thermique et r sistance au feu Certaines
167. ue les Mesure de l appoint en eau pr vue les Date de remise en route de l humidification Date de l arr t de l humidification Nettoyages pr vus les D sinfection par chloration pr vue les D sinfection par autre s biocide s indiquer le s noms s pr vue le Nettoyage filtre UV pr vu les Autre Les op rations Contr les microbiologiques et physico chimiques de routine de l eau pr vus tous les Nombre d analyses sp cifiques de l eau pr vues au hasard pendant la saison de chauffe Contr le microbiologiques Annuel complet pr vu le 77 MASOBANE SBS Fiches d aide 1 2 Fiche 11 Les tapis plains Toxicit S il n existe pas de preuve d finitive d un lien entre les missions chimiques des tapis plains et les effets sur la sant il existe bien par contre un lien manifeste entre la pr sence de moquette et les plaintes sympt mes de SBS Ces plaintes sont attribu es e aux colles utilis es lors du placement aux produits d entretien la r tention de poussi res et au d veloppement de micro organismes Les tapis plains peuvent la fois tre le si ge de d veloppements de moisissures tr s sp cifiques et servir de support aux spores de moisissures de bact ries et autres particules provenant de l ext rieur Non ou mal entretenues elles peuvent se r v ler parfois tr s contamin e Recommanda
168. uel est limin e Les bruits int rieurs non li s l activit Le syst me de ventilation est peu bruyant e Toutes les parties tournantes ventilateurs pompes sont quilibr es dynamiquement Les gaines sols et surfaces m talliques sont d solidaris es des sources de vibration ventilateurs pompes Les gaines de pulsion sont garnies int rieurement d un mat riau absorbant Les gaines et conduites sont r alis es sans aucune ar te ou discontinuit s brusque e Les grilles de sortie des bouches de pulsion sont pr vues pour g n rer peu de bruit de turbulence Les bruits se propagent peu entre locaux voisins Toutes les fentes ou interstices apparents ou dissimul s chambranles de portes sont colmat es au moyen d un mat riau lourd L isolement acoustique des parois est suffisant Elimination des bruits particuliers Les portes sont quip es de joints en caoutchouc herm tiques e Les sources de bruits de masse bruits de pas chocs vibrations sont supprim es Les portes d ascenseurs sont quip es de joints antibruit et de m canismes de fermeture progressive Les sanitaires sont quip s de syst me silencieux d vacuation et de remplissage d eau Les endroits de passage intenses et escaliers sont recouverts de mat riaux r silients Que cake de concret pour am liorer directement la situation Que faut il tudier plus en d tails e Les bruits li s l activit l int
169. uli res Polluants particuliers Entretien des espaces de travail Stockage et vacuation des poubelles Nettoyage programmation nature Stockage et vacuation des produits chimiques cartouches d encre Traitementanti vermine Approfondir le cas ch ant les facteurs sociaux et organisationnels au moyen du guide d Observation d crit dans la brochure SOBANE consacr e aux facteurs psychosociaux 62 NMSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 4 Le responsable de la gestion du b timent e Comp tences requises Compr hension du fonctionnement du syst me de chauffage et ou ventilation et ou conditionnement d air syst me HVAC Capacit de lire des plans architecturaux et m caniques et de comprendre les donn es des fabricants Capacit de collaborer avec les occupants du b timent Autorit pour collecter les informations aupr s des occupants et des op rateurs du syst me sur les espaces de travail les quipements leur entretien nature programmation Compr hension des donn es de s curit et hygi ne Compr hension des mesurages des param tres de base e les d bits d air g n raux ventilateurs et locaux bouches de sortie e les pressions diff rentielles les param tres climatiques la concentration en CO SBS connaissance g n rale de la probl matique e Missions Dresser un tat de la situation du syst me HVAC et des locaux
170. ussi res e Installation HVAC Gaines gaz poussi res Installation de conditionnement humidificateurs microbes Filtres poussi res Chaudi re gaz R frig rant gaz e Equipement int rieur Mat riaux de construction gaz poussi res microbes Mat riaux de recouvrement moquette faux plafonds peintures gaz poussi res microbes Mobilier compos s organiques volatiles poussi res Appareils tels que photocopieuses imprimantes gaz poussi res e Entretien R novation peinture gaz poussi res microbes Nettoyage aspirateurs produits gaz poussi res microbes D sinfection pesticides Poubelles gaz poussi res microbes e Activit s humaines Tabagie gaz poussi res Op rations de cuisson gaz poussi res Odeurs corporelles Cosm tiques Activit g n rale d placement papier gaz poussi res Archives poussi res microbes e Accidents Incendie gaz poussi res Fuites d eau microbes 64 NMSOBANE SBS Fiches d aide Fiche 6 La pollution chimique La pollution chimique de faible niveau peut tre responsable de sympt mes asp cifiques diffus et vari s qui rentrent dans le cadre du SBS plus fortes concentrations elle sera responsable de sympt mes et maladies sp cifiques qui seront consid rer comme B L analyse RI des contaminants de l air pourrait sembler tre une approche logique d un probl me de

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