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Procès-verbal de la 9 e réunion tenue à Québec les 8, 9 et 10

1. 606 Formation ee TEE 606 OSer eN IFANCAIS Eege 606 Subvention de la CPMT ee aden 606 SG VUE EI e Ee 607 ENVIFONNEMENEL sienne en aider nn elite 607 e Enjeux de la conf rence de Copenhague 607 e D claration des jeunes sur l environnement 4 0 0 5 607 Catastrophe de Bhopal 25 ans plus 607 La r union d bute 10 heures 602 R union du conseil conf d ral des 8 9 et 10 d cembre 2008 La liste des pr sences est en Annexe page 609 1 Mot de la pr sidente Annexe page 617 La pr sidente Claudette Carbonneau s adresse aux d l gu es du conseil conf d ral 2 Accr ditation des d l gu es Mona Edma propose appuy e par Louise Jett d accr diter les personnes suivantes Nelson Isabel Bas Saint Laurent Jean Pierre Jean Fran ois Marceau C te Nord Mireille Labb Gasp sie les de la Madeleine Julie Lachapelle Laurentides Patrice Benoit Yves Leclerc Ren Rochon David Santos Caroline Tremblay Montr al m tropolitain Vincent Grenier Sophie Rousseau Qu bec Chaudi re Appalaches L o No l Fortin Laval Perron Saguenay Lac St Jean Chantal Lamoureux Mont r gie Jacques Robert Commerce Benoit Fortin Jacques Vary Construction Claire Tremblay Enseignantes et enseignants M lanie All
2. cancers tasse 697 Secteurs DOS Sistema nets EE 698 Bourse du carbone et achats de cr dit sur le march international 699 Initiatives qui permettraient d atteindre la cible privil gi e 699 La place des travailleuses et des travailleurs et celle de leur organisation 699 Les cibles et les programmes canadiens pour le protocole de Kyoto 700 O s situe le QUEDEC Riets eise states A Mint nt Ee 700 Que faut il attendre de la Conf rence de Copenhague 702 693 Le protocole de Kyoto Historique Le protocole de Kyoto sign au Japon en 1997 est un trait international en vertu duquel 38 pays d velopp s se sont engag s r duire leurs missions de gaz effet de serre GES de 6 sous le niveau de 1990 de 2008 2012 Au moment de sa signature seuls les pays d velopp s taient soumis aux objec tifs de r duction Les pays mergents et ceux en d veloppement n avaient pas d engagement quantifi de r duction pour ne pas nuire leur d veloppement et parce que les pays industrialis s sont responsables en grande partie des missions de gaz effet de serre Ce protocole porte sur la r duction de six gaz effet de serre dont le dioxyde de carbone CO Certains de ces gaz ont une dur e de vie de 50 000 ans r f Plusieurs autres gaz existent mais seuls ces six gaz sont
3. leur initiative en reprenant la d claration finale qu ils ont formul e l issu de ce rassemblement Il faut vraiment que l action syndicale soit une course relais entre les g n rations Conflits en cours Sur le front des luttes soulignons l entente de principe intervenue entre les membres du Syndicat des employ s de magasin et de bureaux de la SAQ et la soci t d tat Ils ont accept dans une proportion de 72 la recommandation des m diatrices au dossier Ajout de 430 postes r guliers affichage de 160 postes vacants respect de l anciennet et des ann es de service pour tous les employ s r guliers comme temps partiel reconnaissance du service continu aux fins de vacances et des majorations de salaire allant de 19 31 aux fins de l quit interne en sus des augmentations de salaire de 2 par ann e sont parmi les gains obtenus Je leur dis bravo Les n gociations au journal La Presse avec les syndicats de la r daction de l informatique des bureaux et de la distribution se sont conclues avec de forts pourcentages d acceptation qu il faut interpr ter l aulne de deux r alit s d abord le tr s fort attachement des salari es leur m tier et leur produit ensuite comme un vote de confiance leurs comit s de n gociation qui devant la crise des m dias ont su faire reculer les demandes colossales de l employeur et maintenir l essentiel des conditions de travail Soulignons l int g
4. 601 Conseil conf d ral de la CSN Mandat 2008 2011 Proc s verbal de la 9 r union CSN tenue Qu bec les 8 9 et 10 d cembre 2009 SR 10 11 12 13 14 15 16 Table des mati res Mot de la pr sidente 602 Accr ditation des d l gu es 602 Adoption Reen ELE 602 Adoption des proc s verbaux sn 602 e R union des 22 23 septembre 2009 602 9 R union des 10 et 11 novembre 2009 602 Finances publiques SUN nt nil ae 602 9115116222222727 E a e EES 603 e Etats financiers au 31 ao t 2009 603 9 Rapport du comit de surveillance ss 603 lections au Comit d orientation 603 EI e Rea ge E 603 Partenariats public priv ane on 603 Coop ration internationale 603 e Nomination des copr sidents pour Alliance syndicats TN Le ne 604 Questions de privil ge et conflits en cours us 604 e Questions de privil ge nine near ue 604 gt Coalition pour le respect de la confidentialit dans le r seau de la sant et des services sociaux 604 gt tats g n raux sur l avenir des universit s qu b coises 605 X Alternatives io ne Mn Ee 605 SECHS 01610 S A EE 605 gt Syndicat des employ es des centres d h bergement de la r gion des Laurentides R sidence Le Bois 605 gt Syndicat des travailleurs des Editions du
5. l aube de 2012 La poursuite de ce plan l accentuation de certaines mesures num r es plus t t dont celles concernant le transport 40 des missions des GES et le transfert des syst mes de chauffage au mazout vers une nergie propre ou moins polluante 702 l adoption de nouvelles politiques notamment celle concernant la gestion des mati res r siduelles et le plan d action qui l accompagnera constituent des assises solides pour atteindre la cible vis e Que faut il attendre de la Conf rence de Copenhague A quelques jours de la conf rence la suite de l annonce des intentions am ricaines et chinoises le secr taire g n ral de l ONU a exprim son opti misme en parlant de succ s en vue et se dit persuad que les n gociations vont permettre d adopter une d claration forte Malheureusement il semble que les cueils restent importants pour satisfaire les attentes de tous ceux qui esp rent que les recommandations du GIEC se traduisent par un accord d finissant la cible de r duction pour 2020 Les enjeux politiques sont nombreux en voici un bref portrait Les disparit s entre les pays du Nord et du Sud sont la base du ralentissement des n go ciations Depuis le d veloppement de l industrialisation les missions de gaz effet de serre GES viennent du Nord alors les pays du Sud r clament un v ritable engagement des pays du Nord avec des cibles contraignantes L quit commande que les pays
6. Finalement il ne faut jamais perdre de vue que cet exercice autour des finances publiques doit tre plus qu une op ration comptable Ce doit tre l occasion de r habiliter la fiscalit et de bien faire comprendre sa finalit premi re qui est de financer des services qui doivent tre publics ducation sant culture d ve loppement conomique environnement etc Nous devons tenter de poser les jalons d une philosophie fiscale la hauteur de ce qu on attend de l tat en phase avec nos principes d quit et de solidarit mais aussi en fonction des enjeux et des d fis contemporains Pensons plus particuli rement l environnement aux in galit s de revenu qui se sont creus es au cours des trente derni res ann es ou encore la surconsommation qui men un fort endettement des m nages Certaines initiatives de regroupement de groupes progressistes et d organi sations syndicales commencent se d finir Celles ci sont selon nous toutefois trop parcellaires pour constituer un r el rapport de force face au gouvernement Dans les prochaines semaines l ensemble des grandes organisations syndicales et les grands groupes nationaux de la soci t civile seront approch s pour chercher convenir d une d claration commune maximisant ainsi nos chances de pouvoir exercer une r elle influence sur ces importants choix de soci t Si nous voulons nous donner un minimum de chances d infl chir l
7. est la ministre responsable de l ducation qui approuve ces mesures Au Qu bec toute entreprise de 50 employ es ou plus doit s inscrire pour d buter un processus de francisation Apr s avoir rempli un questionnaire d taill sur l usage du fran ais embauche crits administratifs logiciels utilis s etc l entreprise pourra obtenir un certificat de francisation si elle r pond aux obliga tions fix es par la Charte Dans le cas contraire elle doit laborer un programme de francisation le faire approuver et l appliquer Une fois ses travaux compl t s l en treprise recevra son certificat de francisation et devra soumettre p riodiquement un nouveau rapport l OQLF afin de l assurer de la permanence de la francisation Les entreprises de 100 employ es ou plus doivent respecter les m mes obligations que celles qui pr c dent Afin de faciliter leur travail tout en s assurant de la collaboration du personnel la Charte les oblige cr er un comit de francisation dont la moiti des membres au moins 3 est nomm e par la partie syndicale Le comit de francisation devient le maitre d oeuvre du programme de francisation et chacun de ses membres doit signer les rapports fournis Ce comit doit tenir une rencontre tous les six mois La r alit La r partition des entreprises selon les tapes de francisation est la suivante NOMBRE ET POURCENTAGE D ENTREPRISES SELON L
8. gion des Laurentides R sidence Le Bois La pr sidente Claudette Carbonneau invite Johanne Lafond pr sidente du Syndicat des employ es des centres d h bergement de la r gion des Laurentides R sidence Le Bois en gr ve depuis le mercredi 14 octobre 2009 pr senter la situation qui pr vaut actuellement 606 R union du conseil conf d ral des 8 9 et 10 d cembre 2008 gt Syndicat des travailleurs des ditions du R veil Chantale Larouche pr sidente de la FNC et Dominique Savard pr sidente du Syndicat des travailleurs des Editions du R veil pr sente la situation qui pr vaut depuis le lock out du 4 mars 2009 Normand Boivin propose appuy par Ren e Levasseur que le conseil conf d ral de la CSN appuie la lutte des travailleuses et des travailleurs de la R sidence Le 80156 Syndicat des employ es des centres d h bergement de la r gion des Laurentides et du Syndicat des travailleurs des ditions du R veil et invite tous les syndicats affili s les appuyer ADOPT 11 Formation politique La pr sidente Claudette Carbonneau pr sente les invit es qui s adresseront aux membres du conseil conf d ral sur les tarifs d lectricit soit messieurs Dany Lemieux et Patrick D ry 12 Oser en fran ais Annexe F page 669 Claudette Carbonneau pr sidente Michel Forget adjoint au comit ex cutif et Michel Tr panier conseiller la recherche au Service des relations du tra vail pr
9. sentent le texte Oser en fran ais qui traite particuli rement le jugement de la Cour supr me et la Charte de la langue fran aise quelques rep res au sujet de la situation du fran ais de la langue de travail et de la francisation des entreprises ainsi que les travaux de la CSN sur la francisation des entreprises David Santos propose appuy par Fernande L vesque de recevoir 18 pr sentation sur Oser en fran ais ADOPTE KACKEN Accr ditation de d l gu es Guy Laurion propose appuy par Pierre Bibeau d accr diter ric Jobin Aldo Miguel Paolinelli Construction Odette Lefran ois Enseignantes et enseignants Line Beaulieu Sant et services sociaux Carmen C t Abitibi T miscamingue Nord du Qu bec Audrey Lefebvre Sauv Montr al m tropolitain ADOPT k k k k k k k k k k k 13 Subvention de la CPMT Denise Boucher vice pr sidente informe les d l gu es du conseil conf d ral sur la subvention re ue de la Commission des partenaires du march du travail CPMT et qui servira la r alisation d un projet de formation aupr s des membres et des salari es de la CSN afin d accro tre le d veloppement et la reconnaissance des comp tences de la main d uvre des membres des syndicats du secteur priv R union du conseil conf d ral des 8 9 10 d cembre 2008 607 Alain Lampron propose appuy par Jean Lortie que le conseil conf d ral re oive la pr sentation sur
10. soit port e ce que les comit s sectoriels et r gionaux qui ont fait l objet d une proposition adopt e lors du dernier congr s de la CSN de mai 2008 aient pour mandat d analyser les impacts sur l emploi des changements climatiques des mesures d adaptation ces changements ainsi que des actions visant r duire les missions de gaz effet de serre et de proposer des strat gies afin de mettre en uvre une transition juste vers une r alit o dominent les emplois verts et d cents Ces espaces de dialogue social doivent grouper sur le plan sectoriel des travailleuses et des travailleurs les organisations qui les repr sentent des repr sentants gouvernementaux des employeurs des sp cialistes et des groupes environnementaux Sur un plan r gional ces comit s doivent aussi inclure d autres groupes de d fense de la soci t civile Dans la construction de ce monde fond sur le d veloppement durable nous jeunes travailleuses et travailleurs demandons qu une attention particuli re soit port e ce que les gouvernements s assurent qu l int rieur des plans de lutte aux change ments climatiques ils se donnent les moyens de v rifier que les principaux acteurs conomiques r duisent v ritablement leur empreinte cologique Nous leur demandons d agir particuli rement sur la r duction du gaspillage sur le d veloppement du transport en commun sur la gestion des mati res r siduelles
11. Qu bec Chaudi re Appalaches p 51 3 663 794 1 793 643 1 781 343 Coeur du Qu bec 51 2 167 622 1 062 281 1 058 579 Estrie p 52 1 136 070 556 014 564 376 Montr al m tropolitain 52 5 612 263 2 743 418 2 754 151 Laurentides p 53 1 250 071 612 012 562 832 Lanaudi re p 53 1204 071 588 990 567 553 Mont r gie p 54 3 459 345 1 695 689 1 610 232 Outaouais p 54 1 203 432 589 970 572 629 Abitibi T miscamingue Ungava p 55 1 636 211 605 172 764 710 C te Nord p 55 1 405 311 688 712 676 691 29 819 109 14 597 684 5 14 236 500 24 654 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES ADMINISTRATION EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois ADMINISTRATION 1 comptable 1 coordination 5 conseill res et conseillers syndicaux 16 employ es de bureau 1 pr pos e la maintenance 9 pr pos es aux immeubles 1 stagiaire Finances informatique p 56 7932735 3 525 330 2552173 Immeuble de Montr al p 57 198 054 67 585 1 188 173 Immeuble de Qu bec p 58 220 446 103 212 77 447 8 351 235 3 696 127 1 441 447 D penses administratives Amortissement du mobilier 501 210 250 614 137631 V rification des tats financiers 180 000 90 000 90 000 Assurances diverses 190 000 95 004 71016 Int r ts sur emprunts court terme 500 000 250 002 155 095 Aide aux syndicats provinciaux 1 300 000 649 998 933 589 2 671 210 1 335 6
12. Qu bec le 26 ao t 1977 4950 27 2 8 76 Clause de sauvegarde d admissibilit partir de 1993 Total partiel 5 Autorisations particuli res 81 Difficult s graves d apprentissage de l l ve 2 031 1 1 1 1 5 Difficult s graves d apprentissage du fr re ou de la soeur 1366 0 8 0 8 85 S jour temporaire au Qu bec de l l ve 8978 5 0 5 0 851 Raisons graves familiales ou humanitaires pour l l ve 286 0 2 0 2 97 D rogation pour les r serves indiennes d rogation largie en 1993 507 03 03 Loi 58 Amnistie sanctionn e en avril 1986 0 0 0 0 0 1986 46 Total partiel Total Pourcentages calcul s en faisant abstraction de l alin a 73 4 Source OFFICE QU B COIS DE LA LANGUE FRANCAISE La langue de l enseignement indicateurs pour l ducation pr scolaire l enseignement primaire et secondaire le coll gial et l universit fascicule 4 indicateur 4 9 La Commission Larose Dans son rapport final 2001 la Commission des tats g n raux sur la situation et l avenir de la langue fran aise au Qu bec constatait que les coles priv es non subventionn es taient utilis es afin de contourner les obligations de la Charte de la langue fran aise Elles permettaient certains parents d acheter leurs enfants l acc s l cole anglaise subventionn e Il suffisait de passer quelque temps dans une cole anglaise non subventionn e pour ensuite d montrer que la majeure partie de l ducation re
13. convenue lors du colloque sur l environnement qui s est tenu Qu bec les 19 20 novembre dernier Jacques Forgues propose appuy par Mona Edma d ent riner la D claration des jeunes sur l environnement ADOPTE 16 Catastrophe de Bhopal 25 ans plus tard La pr sidente Claudette Carbonneau invite Louis Roy vice pr sident et Sylvie Joly conseill re l information au CCSPP pr senter aux d l gu es du conseil conf d ral le court film sur la situation Bhopal qu ils sont invit s regarder Louis Roy propose appuy par Mona Edma 608 R union du conseil conf d ral des 8 9 et 10 d cembre 2008 Que la CSN et ses organisations affili es appuient la campagne de lettres d Amnistie internationale demandant au gouvernement indien de mettre fin 25 ans d injustice envers la population de Bhopal et exigeant de la compagnie Dow Chemical qu elle d contamine le site de l usine Bhopal Que la CSN invite ses organisations affili es et leurs syndicats soutenir financi rement les organisations citoyennes de Bhopal qui offrent des services aux survivants de la catastrophe de 1984 et aux enfants qui naissent avec des s quelles dues la pollution engendr e par l usine de produits chimiques d Union Carbide achet e depuis par Dow Chemical ADOPT Fin de la r union 11 h 50 Claudette Carbonneau Lise Poulin Pr sidente Secr taire g n rale 609 amp Conseil conf d ral
14. de d cembre 2009 Pr sence des d l gu es aux s ances Annexe A CSN S ances CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX 12345 Boucher Denise wi wl vi Carbonneau Claudette vi wl vi wl wi Patry Pierre wl wl wi wi vi Poulin Lise wl wl Wl vi wi Roy Louis wi wl wi vi wi Valois Roger wl wl wl wi CONSEIL CENTRAL C TE NORD CSN 12345 Jean Jean Pierre vi wi vi vi vi Marceau Fran ois vi wi vi vi wi Tremblay Guillaume wi vi wl vi vi CONSEIL CENTRAL DE LA GASPESIE ET DES ILES DE LA MADELEINE S 12345 Beaudin Denis wi wi wl wl wi Chiasson Anatole w vi wi II wi Labb Mireille wi wl vi wl y CONSEIL CENTRAL DE L OUTAOUAIS 12345 Brodeur Julie wl vi wl wl wi Ferland Sylvie wi vi vi vi vi Quijada Michel wi vi IT wi vi CONSEIL CENTRAL DE LANAUDIERE 123 4 5 Chauss C line Corriveau Marc wi vi Longpr Alain vi vi Tessier Daniel MwA CONSEIL CENTRAL DES LAURENTIDES 610 12345 Bastien Sylvain vw vi wi wi C r ric dvd Chartrand Johanne wl wi wi wi vi Jett Louise vi wl wi wi wi Lachapelle Julie wi wi wi wl vi wl wl wl wi wi Paquette Marc CONSEIL CENTRAL DU MONTREAL METROPOLITAIN Achard Flavie Benoit Patrice Bibeau Pierre Bourgault Jean Pierre Cantave Louis Carlo Ch teauneuf Ga tan Courtemanche Laurier Courtemanche Lisa Daigneault Dominique De S v
15. dispose de ces deux cas Dans le premier cas Nguyen et autres les intim s sont des citoyens canadiens qui n ont re u aucun enseignement primaire en langue anglaise au Canada Puisqu ils ne se qualifiaient pas en vertu de la Charte canadienne ils ont inscrit leur enfant dans une cole anglaise priv e non subventionn e Ils demandent maintenant que l on tienne compte de cette exp rience pour rendre leur enfant admissible l ensei gnement en anglais Dans le second cas Bindra en plus d avoir suivi le m me cheminement que dans l affaire Nguyen les parents demandent la Cour de reconna tre le temps o l un de leurs enfants a b n fici d une autorisation particuli re aux fins de l admissibilit de leur deuxi me enfant l ducation en langue anglaise La Cour reconna t qu il est l gitime de vouloir d fendre la langue fran aise et qu on ne peut contourner celle ci en utilisant un subterfuge pour avoir acc s l cole anglaise Cependant le Qu bec doit utiliser des moyens qui correspondent une atteinte minimale aux droits reconnus l article 23 de la Charte canadienne afin d atteindre ses objectifs Il ne peut pas refuser syst matiquement de reconna tre le temps d tudes dans un tablissement priv non subventionn puisque dans certains cas il pourrait s agir d un parcours scolaire authentique qui g n re alors des droits en vertu de la Charte canadienne Ces dispositions de la l
16. inclus au protocole de Kyoto et accentuent le ph nom ne de l effet de serre naturel P nalit s et sanctions Jusqu pr sent la premi re partie du protocole de Kyoto 2008 2012 n a pu r soudre la question de la mise en application des sanctions en cas de violation de ces obligations Le protocole doit tre amend si l on veut que des p nalit s soient juridiquement obligatoires Toutefois le protocole de Kyoto pr voit des sanctions pour le non respect de ses obligations de r duction 1 Pour chaque tonne qui n a pas t r duite il doit y avoir compensation au cours de la deuxi me p riode 2012 2020 La tonne r duire passe 1 3 tonne 2 Le groupe d ex cution suspend la participation de cet tat au march international des droits d mission 3 Le groupe d ex cution exige l laboration d un plan d action afin de corri ger la situation M canismes de flexibilit du protocole de Kyoto Les mesures d ploy es dans les plans d action de chaque pays doivent conduire l essentiel des objectifs de r duction des missions de gaz effet de serre mais pour faciliter la r alisation des engagements pris par les pays d velopp s le protocole pr voit le recours certains m canismes qui permettent un pays qui les utilise d atteindre ses objectifs nationaux Voici les m canismes mis en place dans le protocole e Le m canisme de permis n gociable il s agit d un syst me d
17. l environnement cessent d tre vus comme deux notions irr conciliables mais qu ils deviennent un levier pour orienter notre d veloppement conomique et social Il est temps de d ployer une vision d avenir o les emplois cr s soient d sormais des emplois verts et d cents qui contribuent r duire les impacts de nos activit s conomiques sur les cosyst mes Les travailleuses et les travailleurs doivent parti ciper ce changement et ainsi permettre la transformation des milieux de travail dans le cadre d une transition juste Nous croyons que la prise en charge par les travailleuses et les travailleurs des probl mes environnementaux 1165 leur milieu de travail est une occasion d agir sur les missions de gaz effet de serre la r duction du bruit de la poussi re de la 705 contamination des ressources de la consommation d eau et d nergie sur le gaspillage des mati res premi res et la gestion des mati res r siduelles Elle est une occasion de s informer de se former et de proposer de nouvelles fa ons de faire Cette prise en charge des enjeux environnementaux est une occasion sans pareil de renouveler l action syndicale en m me temps que l activit conomique Nous interpellons les entreprises les institutions et les gouvernements Le d velop pement durable est une construction collective o ils occupent un r le cl Au del de leurs obligations l gales les entreprises et l
18. la langue de travail e la restriction de l acc s l cole anglaise publique ou priv e aux seuls enfants dont l un des parents a recu son enseignement primaire en anglais au Qu bec cette restriction ne s applique pas si l on fr quente une cole priv e non subventionn e par le gouvernement du Qu bec e que seule la version francaise des lois est officielle Cette Charte dont l objectif est la sauvegarde de la culture francophone au Qu bec et la promotion de la langue fran aise comme langue commune n a cess d tre attaqu e depuis son entr e en vigueur minant ainsi cet outil essentiel notre coh sion sociale D s 1979 la Cour supr me du Canada commen ait son travail d amputation en annulant de la l gislation et de la justice certaines dispositions relatives la langue de la l gislation et de la justice Qu il s agisse 2 Statistique Canada d finit le francophone comme une personne de langue maternelle fran aise L anglophone est une personne de langue maternelle anglaise alors que l allophone est une personne de langue maternelle autre que francaise ou anglaise 3 http www tlfq ulaval ca axl francophonie HISTfrQC_s4_Modernisation htm Rapport Parent Rapport de la Commission royale d enqu te sur l enseignement dans la province de Qu bec Deuxi me partie suite 1965 p 65 5 http www tlfq ulaval ca axl francophonie HISTfrQC_s4_Modernisation htm 675 de
19. la langue de la l gislation et de la justice seule la version fran aise des lois est officielle pour laquelle la Cour supr me a rendu inop rants les articles 7 13 parce qu ils taient contraires l article 133 de la Loi constitutionnelle de 1867 ce qui ramena le bilinguisme aux textes de loi Arr t Blaikie 13 d c 1979 1979 2 5 1016 compl t par 1981 1R C S 312 de l usage exclusif du fran ais dans l affichage public et la publicit commerciale langue d affichage public commercial pour lequel la Cour supr me a conclu que l interdiction de toute autre langue que le fran ais dans l affichage public et la publicit commerciale va l encontre de la libert d expression Arr t Ford Val rie Ford c P G du Qu bec 1988 2 R C S 712 de la langue d enseignement qui en 1984 s est fait opposer l article 23 de la Charte canadienne des droits et libert s ce qui a forc l introduction de la clause Canada Jugement sur la langue d enseignement P G du Qu bec Quebec Protestant School Boards 1984 2 R C S 66 Dans son jugement de 1984 la Cour supr me a d cid que la Charte devait respecter l article 23 de la Charte canadienne L acc s l cole anglaise subventionn e est donc devenu accessible pour l enfant dont le parent est citoyen canadien et a re u l enseignement primaire en anglais au Canada l enfant ayant re u l enseignement primaire ou secondaire e
20. mais dont le d veloppement sera frein par le manque de flexibilit des contrats et par la recherche de profits du secteur priv D autant qu on parle maintenant de projets en PPP d guis s puisque c est le gouvernement qui emprunte Une chose est s re nous r p terons au ministre des Finances notre objection aux projets en PPP lors des consultations pr budg taires auxquelles nous sommes convi s d s vendredi de cette semaine Pour la CSN le plan de retour l quilibre budg taire du gouvernement ne tient pas la route Abaisser le niveau de croissance des d penses de 4 6 3 2 c est n en pas douter entrer dans une re de compressions s v res des programmes et des services publics La sant et l ducation repr sentent 70 du budget du Qu bec Le seul maintien du niveau des services dispens s par ces deux minist res co te respectivement ann e apr s 621 ann e 6 de plus pour ce qui est de la sant et 3 5 pour l ducation Nul besoin d tre math maticien pour comprendre qu une compression de 900 millions par ann e pr s de 4 milliards sur 4 ans va non seulement toucher notre capacit de continuer dispenser ces services n vralgiques mais va toutes fins utiles laminer les autres missions de l tat environnement travail agriculture culture d veloppement conomique d veloppement r gional famille et j en passe C est inadmissible que de vouloir nous imposer d s le 1 avril pr
21. qui ont contribu a l accumulation acc l r e et ph nom nale de CO les pays en d veloppement assument 80 des cons quences des GES mais ne sont responsables que de 30 des missions commencent par donner l exemple en r duisant les missions polluantes Les pays industrialis s veulent que les pays mergents s engagent avec des cibles contraignantes les pays en d veloppement taient responsables en 2003 2004 de 73 de la croissance des missions L ouverture de la Chine conforme au principe responsabilit commune mais diff renci e ainsi que celle des Etats Unis qui accepteraient de se lier des objectifs de r duction exprim s en chiffres absolus semblent tre un pas important mais insuffisant ce stade ci La Chine et les Etats Unis sont les principaux metteurs de GES toutefois la Chine est encore consid r e comme un pays mergent D ailleurs les chercheurs s entendent et mentionnent que les changements climatiques ont d ja des impacts sur les pays en voie de d veloppement comme les inondations la fonte des glaciers les incendies forestiers l rosion c ti re acc l r e les ondes de temp te l invasion d insectes nuisibles etc Autre constat les pays insulaires vivent et craignent la mont e des eaux et la d localisation de leur population Cet impact est d j r el Leur voix est malheureusement peu entendue en raison de leur manque de ressources Si plusieurs se question
22. s tendre s il y a lieu au del de l ann e budg taire 2013 2014 A S assurer que chacun s acquitte de sa contribution l tat entre autres e Que le gouvernement du Qu bec rende effectives les mesures les plus contraignantes pour contrer l vitement et l vasion fiscale particuli rement les grandes corporations que le gouvernement am liore l encadrement des compagnies mini res tel que le recommande le v rificateur g n rale du Qu bec notamment en ce qui a trait aux redevances devant tre vers es au Fonds consolid du Qu bec et la restauration des sites tout en tenant compte de la n cessit d appuyer le d veloppement r gional Que le gouvernement du Qu bec r clame du gouvernement f d ral une augmentation de transferts f d raux les 800 millions qui lui sont dus pour l enseignement sup rieur le r tablissement des paiements de transferts pour les soins de sant rappelons que la Commission Romanow en avril 2005 valuait que ceux ci devaient repr senter 25 des co ts des soins de sant Que le gouvernement du Qu bec adopte des mesures visant stabiliser le co t des m dicaments en lien avec les positions d j adopt es par la CSN e Qu une prochaine r union du conseil conf d ral on fasse le d bat sur la question des redevances sur l eau B Mesures fiscales Que le gouvernement du Qu bec augmente les revenus g n r s par l imp t sur le reven
23. ue au Qu bec l avait t en anglais La Commission crivait L volution des inscriptions montre bien qu il s agit d un d tour pour arriver au r seau scolaire public de langue anglaise 50 des l ves quittent l cole priv e non subventionn e apr s une ann e de scolarit primaire 84 apr s la deuxi me ann e et 94 la fin de la troisi me ann e Entre 1993 1994 et 2001 2002 le nombre d l ves inscrits l cole anglaise priv e non subventionn e a presque doubl passant de 2 365 3 852 La loi 104 En 2002 c est l unanimit que l Assembl e nationale a adopt la loi 104 Cette loi touchait l Office de la langue fran aise la francisation des entreprises et la langue 8 Le fran ais une langue pour tout le monde Commission des tats g n raux sur la situation et l avenir de la langue fran aise au Qu bec 2001 285 pages 70 677 de travail Elle corrigeait galement le probl me des coles priv es non subventionn es en pr voyant que Il n est toutefois pas tenu compte de l enseignement en anglais re u au Qu bec dans un tablissement d enseignement priv non agr aux fins de subventions par l enfant pour qui la demande est faite ou par l un de ses fr res et s urs Il en est de m me de l enseignement en anglais re u au Qu bec dans un tel tablissement apr s le 1 octobre 2002 par le p re ou la m re de l enfant Il n est pas tenu compte non plus de
24. un front commun pour que le fran ais devienne la seule langue d usage au Qu bec et pour faire chec tout projet de bilinguisation du Qu bec Cet engagement est encore pertinent aujourd hui La d fense du fait fran ais la d fense de la Charte de la langue fran aise de m me que son application dans les milieux de travail nous commandent d agir dans les entreprises o nous sommes pr sents En ce sens les syndicats ont un r le d terminant jouer C est pourquoi nous pensons qu il nous faut Oser en francais 689 YS Conf d ration CSN des syndicats nationaux La CSN la Conf rence internationale de Copenhague Conseil conf d ral Qu bec 3 et 4 d cembre 2009 Annexe G Table des mati res Le protocole eege eene Ee fen 693 Historique RE 693 P nalit s et sanctions au non respect des GES 693 M canismes de flexibilit du protocole de Kyoto 693 La ratification du 1 694 Conf rence internationale de Copenhague 695 La Conf d ration syndicale internationale 695 R duire significativement les gaz effet de serre 696 Assurer une transition respectueuse du travail d cent 696 Interpeller ee E EE CN 696 M moire de la CSN sur les cibles de r duction des missions de gaz effet de serre l horizon de 2020 697 La cible d
25. vert une fiscalit qui permet aux Qu b coises et aux Qu b cois de compter sur toute une gamme de programmes et services garantissant l galit des chances une meilleure r partition de la richesse un d veloppement durable et un avenir pour notre plan te J appelle enfin le gouvernement Charest faire preuve de vision identifier des politiques publiques susceptibles d am liorer le sort des 43 de Qu b coises et de Qu b cois qui gagnent moins de 19 000 par an et qui n ont pas les moyens de payer des imp ts Permettre cette population de mieux tirer son pingle du jeu et de mieux assurer entre autres par un niveau accru d ducation son autonomie financi re est un projet autrement plus mobili sateur que celui du moins d tat moins de dettes et plus d exclusion que nous propose maintenant le gouvernement Le Qu bec que nous voulons c est un Qu bec audacieux un Qu bec qui a de la voilure un Qu bec qui vise l inclusion une prosp rit fond e sur l galit des chances et le d veloppement durable un Qu bec qui est soucieux d offrir tous ses citoyens les moyens de faire face aux d fis du XXI si cle Monsieur Charest ce dont on a besoin ce n est pas d un gouvernement de comptables c est d un gouvernement qui a de la vision un gouverne ment de b tisseurs Cour supr me et loi 104 Autre sujet sensible la question de la langue d enseignement qui est revenue nous hanter avec le juge
26. vie r gionale 29 819 109 14 597 684 14236 500 Administration 11 022 445 5 031 745 2 828 778 Appui aux luttes 42 040 000 21 019 986 17 945 864 Appui la n gociation 24 602 655 12 242 547 10 246 924 Appui nos revendications 4 356 000 2 178 000 1 122 768 207 857 807 103 195 263 90 405 641 EXC DENT DES REVENUS SUR LES D PENSES 170 598 4 038 961 14 402 927 641 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BILAN CUMULATIF AU 31 AO T 2009 ACTIF ACTIF COURT TERME Encaisse D p ts terme 1 64 3 50 Placement dans Fonds B tirente Int r ts courus recevoir D biteurs Per capita recevoir estim Arr rages de per capita recevoir estim des encaissements court terme Frais imputables la prochaine p riode ARR RAGES DE PER CAPITA RECEVOIR DEPOT DE SOLIDARIT p 39 note 2 PARTS DE PLACEMENT p 30 note 3 ACTIF AU TITRE DES PRESTATIONS CONSTITU ES DU R GIME DE RETRAITE p 18 note 12 IMMOBILISATIONS 16 note 6 PASSIF PASSIF COURT TERME Cr diteurs et charges payer Tranche de la dette long terme ch ant au cours de la prochaine ann e DETTE LONG TERME PASSIF AU TITRE DES PRESTATIONS CONSTITU ES DU R GIME D AVANTAGES COMPL MENTAIRES DE RETRAITE p 18 note 12 ACTIF NET Affect la r serve de prestations accumul es Investi en immobilisations Non affect d ficitaire 29 f vrier 2008 5679171 48 250 000 2 228 188 1 180 0
27. 0 546 997 5 Exc dent insuffisance des d penses sur les revenus 796 261 17 151 569 16 355 308 Acquisition d immobilisations 351 021 351 021 Produit de la cession d immobilisations 128 394 128 394 Remboursement de la dette long terme 1 952 381 1 952 381 Virement la r serve de prestations accumul es 3 000 000 3 000 000 Solde la fin 33 000 000 10 418 249 31 533 675 74 951 924 6 643 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT TATS FINANCIERS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 644 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT R SULTATS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois REVENUS Per capita 136 184 880 65024529 67 799 469 Int r ts et divers 300 000 149 994 489 823 136 484 880 65 174 523 68 289 292 D PENSES Direction p 20 38 581 080 19 751 440 19 513 688 Syndicalisation p 21 21 655 684 10 709 492 7 640 490 Relations du travail p 22 26 648 762 13 073 091 12 713 270 Communications p 23 9 132072 4591 278 4 157 359 Appui aux mobilisations et la vie r gionale p 24 29 819 109 14 597 684 14 236 500 Administration p 25 11 022 445 5 031 745 2 828 778 136 859 152 67 754 730 61 090 085 EXCEDENT INSUFFISANCE DES REVENUS SUR LES D PENSES 574 272 2 580 207 7 199 207 645 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT B
28. 03 700 D PENSES DE FONCTIONNEMENT Recherche 450 000 225 000 28 524 Appui la n gociation 450 000 225 000 171 395 Formation 300 000 149 994 198 207 Sant s curit 2 000 000 1 000 008 866 508 Condition f minine 125 000 62 496 14 056 Analyses d entreprises 600 000 300 006 330 880 3 925 000 1 962 504 1 609 570 26 648 762 13 073091 12 713 270 99 652 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES COMMUNICATIONS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois COMMUNICATIONS 1 direction 1 coordination 11 conseill res et conseillers syndicaux 5 employ es de bureau 2 employ es l imprimerie Information documentation p 47 8914336 4505316 4075069 imprimerie exp dition p 48 217 736 85 962 82 290 9132072 4591278 4 157 359 5 93 653 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES APPUI AUX MOBILISATIONS ET LA VIE R GIONALE EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois APPUI AUX MOBILISATIONS ET LA VIE R GIONALE 47 5 conseill res et conseillers syndicaux 16 55 employ es de bureau Mobilisations p 49 2951289 1445231 1311901 Gasp sie lles de la Madeleine 49 1 060 221 516 182 510 541 Bas Saint Laurent p 50 1 288 519 631 039 675 848 Saguenay Lac Saint Jean p 50 1 776 890 869 331 805 114
29. 11 Nouvelle Angleterre 10 tats Unis 4 Le Qu bec se retrouve donc avec l objectif le plus ambitieux en Am rique du Nord objectif qui se calque sur celui de l Union europ enne Lors de la conf rence qu il a prononc e au Conseil des relations internationales de Montr al CORIM le premier ministre a indiqu que pour r aliser cet objectif le gouvernement intensifiera le d veloppement du transport collectif et intermodal qu il r duira la place de l automobile au profit du transport collectif la personne invit e pr senter le mot d ouverture a d ailleurs indiqu monsieur Charest que modifier la position de son gouvernement dans le dossier de l changeur Turcot serait un signe concret d montrant la volont de son gouvernement d atteindre la cible et que la Loi sur l am nagement et l urbanisme sera modifi e pour mieux contrer l talement urbain favorisera galement l lectrification du transport des personnes on pr voit l utilisation d un million de v hicules lectriques hybrides d ici 10 ans Les syst mes de chauffage au mazout seront graduellement limin s les politiques d conomie d nergie et de substitution des carburants polluants seront accen tu es et l utilisation du bois dans la construction sera stimul e ainsi que la valorisation nerg tique de la biomasse Le premier ministre a galement souli gn son intention d acheter des cr dits d missions dans les pay
30. 11 novembre 2009 5 Finances publiques suivi 6 Finances e Etats financiers au 31 ao t 2009 e Rapport du comit de surveillance lections au comit d orientation 8 Partenariats public priv Le mercredi 9 d cembre 2009 9h 9 Coop ration internationale e Projet CSI sur le renforcement des organisations syndicales e Projet Afrique e Nomination des co pr sidents pour Alliance syndicats et tiers monde 11h30 10 Conflits en cours et questions de privil ge 14h 11 Formation politique tarifs d lectricit 12 Oser en fran ais Le jeudi 10 d cembre 2009 13 Subvention de la CPMT pour la formation 14 Secteur public 15 Environnement e Enjeux de la conf rence de Copenhague e D claration des jeunes sur l environnement 16 Catastrophe de Bhopal 25 ans plus tard 629 Annexe D conf d ration CSN des syndicats nationaux Finances publiques Suivi des priorit s Conseil conf d ral Qu bec 8 9 et 10 d cembre 2009 631 En mars dernier devant l ampleur de la crise conomique qui s vissait laquelle avait t occasionn e par une crise financi re due des comportements d brid s de certains agents conomiques la CSN produisait un document intitul Pour sortir de la crise plus solidaires Ce document pr sent au conseil conf d ral contenait une analyse cherchant comprendre les origines de cette crise Selon la CSN celle ci r v lait de profonds d s quilibres dont
31. 18 1 387 331 11 022 445 5 031 745 2828778 25 655 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE DEFENSE PROFESSIONNELLE TATS FINANCIERS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 26 656 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE DEFENSE PROFESSIONNELLE R SULTATS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois REVENUS Per capita 62 090 310 29 588007 30 636 233 Int r ts et divers 1 300 000 649 998 1 726 069 63 390 310 30 238 095 32 362 322 D PENSES APPUI AUX LUTTES Prestations de gr ves 67 71 24 024 000 12 011 994 5 809 506 Prestations de suspensions et de cong diements pour activit s syndicales 1 716 000 658 006 141 100 D penses de cong diements 1 200 000 599 994 62 509 Frais juridiques p 67 71 3 500 000 1740996 1404865 D penses de fonctionnement p 67 71 8 300 000 4 150 008 6 055 103 Allocations aux syndicats pour d penses de gr ves p 67 71 800 000 399 996 329 321 D penses de fermetures et de maintien des emplois 72 2 500 000 1 249 992 1 143 458 42 040 000 21 019 986 17 945 864 APPUI LA N GOCIATION P r quations p 32 13 152 632 6 576 318 6 576 164 N gociations regroup es et locales p 33 11 450 023 5 666 229 3 670 760 24 602 655 12 242 547 10 246 924 APPUI NOS REVENDICATIONS p 34 4 356 000 2 178 000 1 122 768 99986555 ____35440533 __ 29315556 EXCEDENT INSUFFISANCE DES RE
32. 19 Exc dent des revenus sur les d penses 7 717 669 4 156 954 SOLDE A LA FIN 15 257919 19414873 666 Rapport du comit de surveillance Bureau conf d ral 3 et 4 d cembre 2009 667 Le comit de surveillance a proc d l examen des tats financiers de la CSN pour la p riode du 1 mars 2008 au 31 ao t 2009 soit la premi re moiti du pr sent exercice La r union s est tenue au 1601 avenue De Lorimier Montr al du 4 au 6 novembre 2009 Pour l aider dans ses travaux le comit a rencontr M Pierre Patry tr sorier Mme Danielle Lallemand comptable Mme Lise Brassard contr leuse ainsi que Mme Joanne Lavigne responsable du fonds de d fense professionnelle Ces changes ont t appr ci s et ont apport des pr cisions nos questions De plus nous avons eu acc s tous les documents n cessaires notre travail de v rification Budget cumulatif Pour ce qui est des trois fonds les revenus cumul s d passent la pr vision de pr s de 5 7 millions de dollars Cet cart favorable s explique en parti par le fait que le taux moyen r el est de 20 87 par rapport celui pr vu au budget de 20 40 pour les dix huit premiers mois De plus le nombre de cotisants moyen est galement sup rieur de 2 745 cotisants On note des d penses inf rieures pour l ensemble du budget de pr s de 13 millions de dollars Budget de fonctionnement Au budget de fonctionnement on remarque qu la sy
33. 20 202 Formation continue 57 668 28 836 7 229 S jour et d placement 850 000 424 998 346 117 Loyer 814 804 407 394 416 337 T l phone 225 000 112 500 91 154 Informatique 520 000 260 010 258 271 D penses de bureau 300 000 149 994 66 422 11 030 684 5 396 990 5 216 868 D PENSES DE FONCTIONNEMENT Organisation p 62 5 500 000 2 750 004 882 967 Audition avant accr ditation p 62 125 000 62 496 8 033 N gociation p 62 800 000 399 996 284 774 Consolidation p 62 1 800 006 649 998 654 046 Frais juridiques p 62 2 000 000 1 000 006 352 455 Retour f d rations sur cotisation des nouveaux syndicats affili s 400 000 199 998 81 230 Autres d penses 500 000 250 002 160 117 10 625 000 5 312 502 2 423 622 21655684 10 709 492 7 640 490 21 651 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES RELATIONS DU TRAVAIL EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois RELATIONS DU TRAVAIL Salaires 1 coordination 38 conseill res et conseillers syndicaux 12 employ es de bureau 12217664 5928828 6018238 Avantages sociaux 5 264 021 2 560 707 2 471573 Formation continue 122 177 61 092 43 672 S jour et d placement 1 400 000 700 002 690 247 Loyer 1 854 900 927 450 936 505 T l phone 225 000 112 500 141 089 Informatique 1 080 000 540 000 542 655 Documentation 135 000 67 500 47 003 D penses de bureau 425 000 212 508 212 718 22 723 762 11 110 567 11 1
34. 25 16 Bulletin statistique sur l immigration permanente au Qu bec Direction de la recherche et de l analyse prospective minist re de l Immigration et des Communaut s culturelles mars 2009 2 681 La langue de travail On ne peut parler de langue commune sans parler de langue de travail Une langue perd de sa vitalit et est condamn e long terme dispara tre lorsqu elle n est plus utile pour gagner sa vie C est pourquoi la Charte de la langue fran aise pr voit des mesures relatives la langue de travail et la francisation des entreprises Il est possible de conna tre le nombre de personnes actives selon leur langue maternelle Nombre de personnes actives dans la population de 15 ans ou plus selon la langue maternelle Ensemble du Qu bec RMR de Montr al et le de Montr al 1991 1996 et 2001 Ensemble du Qu bec Fran ais 4409510 4583 560 476725 2892400 2892250 3 061370 Anglais 478250 465 020 444310 Tierces 491 575 551 765 599 960 306 750 316 505 357 855 Anglais et francais 29220 36410 36855 17215 20 185 21095 Autres multiples 24680 36715 34500 RMR de Montr al Fran ais 1679 430 1779005 1852 105 1144165 1167 155 1255 155 349 630 334975 321 540 228 065 209 745 440 950 493 735 534 925 277 040 283 745 16895 21575 21265 10180 12310 22085 32755 31390 14365 19600 Anglais Tierces 320 645 Anglais et francais 12370 Autres multiples le de Mont
35. 33 000 000 NON AFFECT D FICITAIRE SOLDE AU D BUT 13 488 583 6 798 151 Exc dent des revenus sur les d penses 20 286 734 3 046 766 6 798 151 9 844917 Virement la r serve de prestations accumul es 3 000 000 SOLDE LA FIN 6 798 151 6844917 659 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE DEFENSE PROFESSIONNELLE D PENSES APPUI LA N GOCIATION EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois P R QUATIONS P R QUATION F D RALE F d ration de la construction 1515003 5 F d ration du commerce 3 763 138 F d ration de la m tallurgie 180 361 F d ration des travailleurs du papier et de la for t 383 883 F d ration nationale des communications 457 632 12 600 000 6 300 000 6 300 017 P R QUATION R GIONALE C te Nord 54 153 Gasp sie les de la Madeleine 57 729 Outaouais 21519 Lanaudi re 17 387 Laurentides 11 858 Abitibi T miscamingue Ungava 54 975 Bas Saint Laurent 21 756 Saguenay Lac St Jean 11 343 Estrie 18 215 C ur du Qu bec 7 212 552 632 276 318 276 147 13 152 632 6576318 6576 164 39 660 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE D FENSE PROFESSIONNELLE DEPENSES APPUI LA NEGOCIATION EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AOUT 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois N GOCIATIONS REGROUP ES ET LOCALES Secteur priv regroup es Publicit pr ventive 200 000 100 008 124666 R un
36. 40 723 432 646 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT EVOLUTION DE L ACTIF NET EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 2005 2008 investi en Non affect Total immobilisations d ficitaire Solde au d but 7808535 13 065 250 5 256 715 Exc dent insuffisance des revenus sur les d penses 2 382 309 16 131 951 13 749 642 Acquisition d immobilisations 852 690 852 690 Produit de la cession d immobilisations 9 151 9 151 Remboursement de la dette long terme 4 722 118 4 722 118 3 183 348 10 566 294 13 749 642 Solde la fin 10991883 2 498 956 8492927 2008 2011 Investi en Non affect Total immobilisations d ficitaire Solde au d but 10 991 883 2 498 956 8492927 Exc dent insuffisance des revenus sur les d penses 796 261 9 947 849 9 151 588 Acquisition d immobilisations 351 021 251021 Produit de la cession d immobilisations 128 394 128 394 s Remboursement de la dette long terme 1 952 361 1 952 351 573 634 7 772 841 7 199 207 Solde la fin 10418249 5 273 685 5 15 692 134 647 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX ETATS FINANCIERS CUMULATIFS BUDGET DE FONCTIONNEMENT FONDS DE D FENSE PROFESSIONNELLE FONDS DE SOUTIEN EXTRAORDINAIRE EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AO T 2009 648 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT NOTES COMPLEMENTAIRES AU 31 AO T 2009 649 CONF D RATION DES SYN
37. 98 1 670 216 10 239 071 26 392 99111 70 123 047 27 962 755 000 3 500 000 3 157 700 __10991883 _ 88555612 7 595 134 571 440 8 166 574 1 380 941 18 459 100 __28006615 30 000 000 10 991 883 19 557 114 __60 548997 88 555 612 31 ao t 2009 5852761 59 450 000 2 325 766 1 125 151 1 357 672 11 493 520 40 680 618 413 82 264 163 53 931 755 000 4 000 000 3 157 700 _ 10418249 100 649 043 5 6 906 940 6 906 940 18 790 179 _ 25697119 33 000 000 10 418 249 815886754 74 951 924 100 649 043 5 642 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX VOLUTION DE L ACTIF NET CUMULATIF EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 2005 2008 Affect la r serve Non de prestations Investi en affect accumul es immobilisations d ficitaire Total Solde au d but 30 000 000 7808535 19013 583 18794952 Exc dent insuffisance des d penses sur les revenus 2 382 309 44 136 354 41 754 045 Acquisition d immobilisations 852 690 852 690 Produit de la cession d immobilisations 9 151 9 151 Remboursement de la dette long terme 4722 118 4 722 118 Virement la r serve de prestations accumul es Solde la fin 30 000 000 10 991 883 19 557 114 60 548 997 2008 2011 Affect la r serve Non de prestations Investi en affect accumul es immobilisations d ficitaire Total Solde au d but 30 000 000 10 991 883 5 19 557 114 5 6
38. DICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES DIRECTION EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AOUT 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois DIRECTION Comit ex cutif et personnel d appui p 41 9 824 942 5 4 782 114 4860 342 5 Contr leuse 42 519 293 250 757 233 788 Administration du FDP p 42 586 863 236 942 218 343 Ressources humaines p 43 8 855 319 4361 648 4 429 593 Juridique p 44 5 676 252 2 707 379 3 126 602 UCCO SACC CSN p 45 6 686 411 3 296 530 3 098 682 Bureau conf d ral 250 000 125 010 56 354 Conseil conf d rai 1 700 000 649 996 684 321 Congres 1 900 000 1 900 000 1 691 529 Comit s et groupes de travail p 46 1 280 000 640 062 428 202 Fondation pour l aide aux travailleuses et travailleurs accident s 150 000 75 006 75 000 F te du 8 mars 150 000 75 006 104 660 F te du ter mai 150 000 75 006 100 083 Fiert gaie 12 000 5 994 Solidarit internationale Affiliation internationale 330 000 165 006 162 176 Activit s de solidarit 410 000 204 984 244 013 38581080 19751440 19 513 688 20 650 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX BUDGET DE FONCTIONNEMENT D PENSES SYNDICALISATION EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois SYNDICALISATION Salaires 1 coordination 17 personnes conseill res syndicales 7 personnes employ es de bureau 5766775 2798765 2811186 Avantages sociaux 2 496 437 1214 493 1 2
39. E L ESTRIE 12345 Hamel Edith wi vi vi wi vi Lacharit Jean wv wl vw T treault Michel CRUE wi vi 612 CONSEIL CENTRAL DE LA MONTEREGIE 12345 Desforges Claudine vi vi vi wi wi Herbeuval Annette vi vi vi vi Inkel Carole wl wl vi wl wi Lamoureux Chantal wl wl wi L vesque Fernande wi Mallette Richard wl wl vi Wi wi Morand Robert vi vi vi Poirier Pierrette wl wl wi vi vi Sylvestre Carole Wi wl wi vi wi CONSEIL CENTRAL DU COEUR DU QUEBEC 12 3 4 5 Lavergne Paul wi wl wl wi Levasseur Ren e wi vi wl vi Paquin Doris wl wi wi wi FEDERATION DE LA CSN CONSTRUCTION 12 3 4 5 Brassard Pierre 11 wi wi wi Fortin Beno t vi wl Wi wi wi Jobin ric wi Paolinelli Aldo Miguel wi wi wi Vary Jacques vi wi wi vi vi FEDERATION DU COMMERCE 12 3 4 5 Bergeron Cyr David C wi wi wi Bourbonnais Gabriel H Wl wl wi wl wi David Diane wi wl wl wi A Fournier Serge IMC Lagac Johnny wi wll IT wi Lortie Jean vi wl vi wi 613 FEDERATION DU COMMERCE 12345 Ouellet Ren wl wl wl vi wi Par Michel vi vi vi wi Renaud Jean Fran ois NI wl wi wl wi Robert Jacques NW wl wl wi Tessier Guylaine Wl wi wi wl FEDERATION NATIONALE DES ENSEIGNANTES ET ENSEIGNANTS DU QUEBEC A ee 123 4 5 _ Blais Marie vi
40. E SOUTIEN EXTRAORDINAIRE RESULTATS EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AOUT 2009 REVENUS Per capita Int r ts EXCEDENT DES REVENUS SUR LES D PENSES 36 Budget 2008 2011 7012019 800 000 7 812 019 Budget 18 mois 3343688 399 996 3 743 654 R el 18 mois 3 467 152 659 802 4 156 954 5 664 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE SOUTIEN EXTRAORDINAIRE BILAN 31 AOUT 2009 ACTIF ACTIF COURT TERME Encaisse D p ts terme 0 20 3 14 Placement dans Fonds B tirente int r ts courus recevoir Per capita recevoir estim Arr rages de per capita recevoir estim des encaissements a court terme note 3 Solde a recevoir du budget de fonctionnement ARRERAGES DE PER CAPITA A RECEVOIR note 3 DEPOT DE SOLIDARITE note 2 PASSIF PASSIF A COURT TERME Solde d au budget de fonctionnement ACTIF NET 413726 11 250 000 2 228 188 258 569 349 186 965 1 240 14 501 874 1 045 755 000 15257919 15 257919 5 15 257619 31 ao t 2009 330 067 15 450 000 2 325 766 163 554 388 664 965 18 659 336 2 449 755 000 19416785 1912 19 414873 5 19416785 665 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE SOUTIEN EXTRAORDINAIRE EVOLUTION DE L ACTIF NET EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AO T 2009 29 f vrier 2008 31 ao t 2009 36 mois 18 mois SOLDE AU D BUT 7 540250 15 2579
41. ES TAPES DE CERTIFICATION Ensemble du Qu bec de 1999 2000 2008 2009 1999 2000 923 199 472 102 3243 699 4638 2000 2001 912 190 421 8 8 3462 72 2 4795 2001 2002 1011 206 394 80 3497 714 4902 2002 2003 1033 203 351 6 9 3702 72 8 5086 2003 2004 774 149 474 91 3957 76 0 5205 2004 2005 510 97 545 103 4216 800 527 2005 2006 592 109 520 9 6 4320 79 5 5432 2006 2007 599 10 6 490 87 4551 807 5640 2007 2008 619 10 6 455 78 477 816 5845 2008 2009 462 79 439 75 4971 847 5872 Le 31 mars de l exercice Il s agit des entreprises GE et PME inscrites l Office renseignements g n raux re us dont le programme de francisation n a pas encore t approuv ou qui sont en attente d un certificat de francisation sans programme Ce nombre incluait au 31 mars 2009 935 entreprises certifi es de moins de 50 personnes 21 Les entreprises de l Administration ne sont pas couvertes par le chapitre V de la Charte 22 Rapport annuel de gestion 2008 2009 Office qu b cois de la langue fran aise 2009 46 685 Ce portrait appara t relativement positif si l on tient compte des nombreux changements relatifs la composition et la propri t des entreprises Malheu reusement lors de la rencontre que nous avons tenue en mars dernier avec des militantes et des militants provenant de syndicats locaux les r sultats sont apparus tr s diff rents e l usage du fran ais n est pas g n ralis da
42. ILAN AU 31 AO T 2009 ACTIF ACTIF COURT TERME Encaisse D p ts terme 0 52 2 88 int r ts courus recevoir D biteurs p 15 note 3 Per capita recevoir estim Arr rages de per capita recevoir estim des encaissements court terme p 16 note 5 Frais imputables la prochaine p riode p 16 note 4 ARR RAGES DE PER CAPITA RECEVOIR p 16 note 5 ACTIF AU TITRE DES PRESTATIONS CONSTITU ES DU R GIME DE RETRAITE p 18 note 12 IMMOBILISATIONS p 16 note 6 PASSIF PASSIF COURT TERME Cr diteurs et charges payer p 17 note 8 Tranche de la dette long terme ch ant au cours de la prochaine ann e DETTE LONG TERME PASSIF AU TITRE DES PRESTATIONS CONSTITU ES DU R GIME D AVANTAGES COMPL MENTAIRES DE RETRAITE p 18 note 12 ACTIF NET D FICITAIRE Investi en immobilisations Non affect VENTUALIT S ET ENGAGEMENTS p 18 notes 10 et 11 28 f vrier 2008 2603 728 9 000 000 248 475 2 274 809 6777 157 15 182 824 087 21 743 438 18 555 3 157 700 10 991 883 35911576 7 007 168 571 440 7 578 608 1 380 941 18 459 100 27 418 649 10 991 883 2 496 956 8 492 927 35 911 576 31 ao t 2009 3 674 429 5 12 000 000 136 854 3 006 360 7 676 247 28 553 592 589 27 115 032 32 451 3 157 700 10 415 249 40 723 432 6 241 119 6 241 119 18 790 178 25 031 298 10 418 249 5 273 885 15 692 134
43. Labrie Louise Wi wi wi Wi Lacasse Dany wl wi wl Lacasse H l ne Wi wi wi wl w Latreille Sonia wi wi wi Laurion Guy wi wi Lavoie H l ne wl wi wi wl vi Leblanc Bruno Wl wi Wi jw wi L vesque Francine Wl wi wi wl wi L vesque Yves vi wi wl vi Marcotte Jos e O UU wi wi M thot Joanie wl wl wi wi O Dwyer Phyllis wl wi wi wl wi Paradis Denyse Pearson Luc wi wi wi Provencher Johane vi Quirion Louise wi wl wl wl wi Ranger Francine LI vi wi wi wi Ross Marie France vi vi vi vi vi Th or t Sylvie wi wl wi wi wi Thibeault Louise wl wl wi wl wi 615 FEDERATION DES EMPLOYEES ET EMPLOYES DE SERVICES PUBLICS 12 3 4 5 Arguin Nathalie Beaulieu Danielle dd Iw IL Christofferson Dugr Linda wl wl wl wi C t Marjolaine L LI wl wi Demers Claude wl wl wl wl wi Doganieri Manon wl vi vi Dufresne Ysabelle wl wi wi Fecteau Alexandre wl wl wl wi wi Forgues Jacques wi wl wi vi wi Godin Yvon Wl wi Goyette Richard Wi wl wl wl wi Gratton St phanie wi wi Lajoie Andr Wl vw wl wl wi Marcoux Denis wl wl wi wi St Georges Pierre wl vi wi vi wi Thiffault Alain wi wi wi FEDERATION NATIONALE DES COMMUNICATIONS plaie 1 2 3 4 5 Boivin Normand ww wi wi Duguay Gilles CR RUES Larouche Chantale vi vw WI Roger Pie
44. VENUS SUR LES D PENSES 7 608 345 5 202 438 3 046 766 27 657 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE DEFENSE PROFESSIONNELLE BILAN AU 31 AO T 2009 29 f vrier 2008 31 ao t 2009 ACTIF ACTIF COURT TERME Encaisse 2661717 1848245 D p ts terme 0 52 3 50 28 000 000 32 000 000 int r ts courus recevoir 673 054 824 443 Per capita recevoir estim 3 112 728 3 428 609 Arr rages de per capita recevoir estim des encaissements court terme note 2 10 245 11362 Frais report s et d p ts sur causes judiciaires 25 824 25 824 34 483 568 38 138 483 ARRERAGES DE PER CAPITA RECEVOIR note 2 8 382 19 031 PARTS DE PLACEMENT note 3 3 500 000 4 000 000 37 991950 42 157 514 PASSIF PASSIF COURT TERME Cr diteurs et charges payer note 4 1193 799 2312597 1 193 799 2312597 ACTIF NET Affect la r serve de prestations accumul es note 5 30 000 000 33 000 000 Non affect d ficitaire 6 798 151 6 844 917 36 798 151 39 844917 37 991 950 42 157 514 E gt 658 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE DEFENSE PROFESSIONNELLE EVOLUTION DE L ACTIF NET EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 AFFECT LA R SERVE DE PRESTATIONS ACCUMUL ES 29 f vrier 2008 31 ao t 2009 SOLDE AU D BUT 30 000 000 30 000 000 Virement provenant de l actif net non affect du fonds de d fense professionnelle 3 000 000 SOLDE LA FIN 30 000 000
45. a CSN nous engageons dans nos milieux de travail additionner les gestes concrets et interpeller nos employeurs pour transformer les pratiques actuelles de production de biens et services et ainsi favoriser une consommation responsable Nous nous engageons aussi multiplier les lieux d action d o pourra merger un monde d conomie plut t que de gaspillage Un monde de solidarit aux multiples visages Un monde qui privil gie le respect des droits humains et des droits fonda mentaux du travail Un monde dont l empreinte cologique sera modeste car l co nomie sera au service de la soci t et non l inverse Dans la construction de ce monde fond sur le d veloppement durable nous jeunes travailleuses et travailleurs demandons qu une attention particuli re soit port e ce que les gouvernements f d ral et provincial respectent les recommandations du Groupe intergouvernemental d experts sur le climat GIEC et se donnent ainsi des cibles ambitieuses de r duction de gaz effet de serre Nous les invitons n gocier de bonne foi Copenhague et dans les autres rencontres internationa les visant l adoption de protocoles mondiaux sur les changements climatiques Les gouvernements doivent se donner les moyens d atteindre v ritablement leurs cibles 707 Dans la construction de ce monde fond sur le d veloppement durable nous jeunes travailleuses et travailleurs demandons qu une attention particuli re
46. adienne concernant les cibles de r duction d montre un portrait modeste et d risoire d actions concr tes et d pendantes de celles que prendra le gouvernement am ricain ce qui fait dire plusieurs intervenants que le gouvernement canadien n a malheureusement pas de plan permettant une r duction significative des missions de GES Par contre le Qu bec l Ontario et la Colombie Britannique se sont donn des objectifs de r duction plus ambitieux ce qui forcera peut tre le gouvernement modifier sa position initiale Dans le cas contraire le maintien de la position canadienne permettra aux autres provinces d augmenter leurs missions de GES 11 5 O se situe le Qu bec deux semaines de la Conf rence de Copenhague le gouvernement du Qu bec annon ait sa cible de r duction de gaz effet de serre GES d au moins 20 sous le niveau de celle mise en 1990 d ici 2020 et que cette cible pourrait tre plus lev e selon le r sultat des n gociations internationales et des efforts qui pourraient tre consentis par les autres partenaires conomiques du Qu bec 2 Journal Le Devoir 1 d cembre 2009 701 La cible fix e par le gouvernement du Qu bec est inf rieure celle pr conis e par le groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat le GIEC mais sup rieure tous les engagements connus de ses partenaires nord am ricains Canada 3 Ontario 15 Colombie Britannique
47. ainsi que sur le renforcement des cosyst mes Dans la construction de ce monde fond sur le d veloppement durable nous jeunes travailleuses et travailleurs demandons qu une attention particuli re soit port e ce que nous puissions obtenir une loi sur le droit et le devoir d alerte comme celle r clam e par la CSN pour le secteur alimentaire cet effet nous revendiquons une loi qui prot ge les travailleuses et les travailleurs qui d noncent une situation socialement inacceptable ou dangereuse pour la sant de la population et des cosyst mes Nous jeunes travailleuses et travailleurs syndiqu s r unis autour du th me L implication syndicale en environnement pour un d veloppement durable les 19 et 20 novembre 2009 Qu bec nous engageons au sortir de ce rassemblement pro mouvoir cette d claration dans nos syndicats dans les instances de la CSN des f d rations des conseils centraux dans nos milieux de travail ainsi que sur la place publique 2009 12 04
48. an ais a augment de 114 820 mais leur repr sentativit a baiss sous la barre des 80 Il faut remonter 1931 pour constater un aussi faible taux En effet en 2006 la repr sentation des Qu b cois ayant le fran ais comme langue maternelle a diminu de 2 4 par rapport 1991 passant de 82 79 6 Pour ceux ayant l anglais comme langue maternelle elle diminuait de 1 Quant ceux de langues tierces elle augmentait de 3 4 passant 12 2 de la population Sur l le de Montr al les personnes ayant comme langue maternelle le fran ais ne sont plus majoritaires 49 8 en 2006 comparativement 55 9 en 1991 6 1 Celles ayant l anglais comme langue maternelle ont diminu de 1 8 17 6 Celles de langues tierces ont augment de 7 9 passant de 24 7 32 6 pour la m me p riode elles repr sentent le tiers de la population montr alaise 12 Le portrait linguistique en volution Recensement de 2006 97 555 XIF Statistique Canada d cembre 2007 680 Selon Statistique Canada les allophones immigrants et non immigrants du Qu bec utilisent plus souvent le fran ais la maison En 1996 ils taient 17 alors que de 2001 2006 ils sont pass s de 20 24 Pour la premi re fois les transferts linguistiques des allophones vers le fran ais d passent ceux favorisant l anglais Dans la division de recensement de Montr al la population allophone parle plus fr quemm
49. ard M tallurgie St phanie Baby Valois Boudreault Robin Cot Sonia Latreille Bruno Leblanc Joanie M thot Johanne Provencher Louise Quirion Ren Joseph Marie France Ross Sylvie Th or t Sant et services sociaux Manon Doganieri Services publics ADOPTE 3 Adoption de l ordre du jour Annexe C page 627 Jacques Forgues propose appuy par Jean Pierre Tremblay d adopter l ordre du jour tel que pr sent ADOPTE 4 Adoption des proc s verbaux e R union des 22 et 23 septembre 2009 Marc Corriveau propose appuy par Paul Lavergne d adopter le proc s verbal des r unions du conseil conf d ral des 22 et 23 septembre 2009 ADOPTE e R union des 10 et 11 novembre 2009 Julie Brodeur propose appuy e par Michel Tremblay d adopter le proc s verbal des r unions du conseil conf d ral des 10 et 11 novembre 2009 ADOPTE 5 Finances publiques suivi Annexe D page 629 Claudette Carbonneau pr sidente Pierre Patry tr sorier et Louis De Garie adjoint au comit ex cutif pr sentent le texte Finances publiques suivi des priorit s et informent les d l gu es sur la campagne en cours R union du conseil conf d ral des 8 9 10 d cembre 2008 603 Jean Lacharit propose appuy par Pierre Bibeau d adopter le texte Finances publiques suivi des priorit s ADOPTE 6 Finances Annexe E page 637 e tats financiers 31 ao t 2009 Le tr sorier Pierre Patry pr sent
50. au d triment des choix collectifs du Qu bec De la m me fa on j interpelle le gouvernement pour qu il mette en place une charte de la la cit afin de baliser une fois pour toutes la question des accommodements raisonnables dans les institutions publiques une autre question chaude qui est revenue nous hanter cet automne Copenhague Nul doute que la Conf rence de Copenhague qui s ouvre cette semaine rev t une importance cruciale pour l avenir de l humanit Le r chauffement climatique menace la biodiversit l avenir du Grand Nord comme celui de l Himalaya de nombre d insulaires et de nombre de pays africains qui figurent pourtant parmi les plus mal pris L ONU rappelons le valuait plus de 20 millions le nombre d cor fugi s travers le monde et pr voit qu ils seront 200 millions en 2050 si rien de substantiel n est fait La communaut internationale n esp rait plus voir les tats Unis s engager sur des cibles pr cises avant la Conf rence de Copenhague Le pr sident Obama qui participera finalement la Conf rence a annonc que les tats Unis sont pr ts r duire leurs missions de gaz effet de serre de 17 par rapport 2005 d ici 2020 Pour la premi re fois les tats Unis acceptent d avoir une contrainte chiffr e Bien que tr s modeste il s agit d un pas en avant de la part de l tat qui avait ce jour le plus contribu aux gaz effet de serre et qui n avait jamais voulu ratif
51. bon march Nous sommes persuad s que les conomies faibles en missions de carbone et moins d pendantes des hydrocarbures seront mieux positionn es pour faire face aux augmentations du co t de ces ressources et au march Dans le secteur des transports 40 des GES plusieurs mesures et orientations ont t propos es telles que diminuer le parc automobile en orientant la mobilit des personnes autour du transport en commun et du transport actif favoriser l arrimage du transport collectif et du transport actif de m me que le partage de la route entre cyclistes et autres utilisateurs exploiter le potentiel de d veloppement du transport collectif lectrifi pour le transport urbain et inter urbain diminuer significativement le transport des marchandises par camion et le limiter aux courtes distances accentuer le transport ferroviaire et le transport naval d ployer des mesures fiscales incitatives orientant la mobilit des personnes vers le transport collectif Nous avons galement indiqu que pour diminuer l utilisation de l automobile pour d velopper les circuits courts de distribution et une alimentation de proximit nous devons revoir nos mod les d am nagement du territoire augmenter la densit du tissu urbain prot ger les terres fertiles et rompre avec le mod le d talement urbain qui caract rise plusieurs d veloppements Sur le plan industriel nous avons reconnu les efforts faits par le secteur
52. ccommodements raisonnables en mati re linguistique et des obligations associ es l utilisation des nouvelles tech nologies e Congr s des conseils centraux Nous avons d j convenu de participer au congr s du Conseil central du Montr al m tropolitain afin d y faire une pr sentation sur la francisation des entreprises et des personnes immigrantes Nous souhaitons r p ter cette initiative avec plusieurs autres conseils centraux e Francisation des immigrants Un guide syndical est en pr paration pour orienter les syndicats au sujet des nombreux programmes disponibles et pour les soutenir dans leur d marche de francisation L enseignement coll gial Un autre d bat a cours dans certains milieux soucieux de la pr servation et de la promotion du fran ais comme langue commune soit d tendre l enseignement coll gial la port e de la loi 101 La CSN s est prononc e sur le sujet entre autres lors de la Commission des tats g n raux sur la situation et l avenir de la langue fran aise au Qu bec D autre part la connaissance de l anglais qui est la langue de communication la plus employ e dans le monde entre les personnes de langues diff rentes et la principale langue utilis e dans les changes internationaux doit tre tendue et favoris e Dans le contexte de l int gration conomique des Am riques la connaissance d autres langues dont l espagnol doit aussi tre vue comme de plus en plus n ces
53. de l aluminium pour diminuer de fa on appr ciable ses missions nous avons invit le gouvernement poursuivre les efforts avec les autres sous secteurs afin d atteindre les objectifs initiaux de r duction pour 2012 De plus tant donn que 59 des missions du secteur industriel proviennent de la combustion 41 proviennent des proc d s fixes nous avons recommand de d ployer des mesures afin de favoriser la conversion des industries vers l lectricit Compte tenu de l augmentation de 41 des missions de GES pour les b timents commerciaux et industriels nous avons sugg r qu un effort particulier vienne des b timents institutionnels et que l objectif de r duction soit similaire celui consenti par les r ductions de GES pour les b timents r sidentiels Ces augmentations d missions tant attribuables la demande croissante d nergie pour le chauffage de nouveaux b timents nous encourageons le transfert des syst mes au mazout vers l lectricit et l implantation de syst me haute efficacit nerg tique favorisant la baisse de consommation d nergie Enfin nous encourageons le gouvernement se doter d une v ritable politique de construction cologique et apporter les modifications n cessaires au Code du b timent 699 Bourse du carbone et achats de cr dit sur le march international En adoptant le projet de loi n 42 le gouvernement a mis en place un syst me de plafonnement
54. diale ce qui pourrait d noter chez eux une faible identification au Qu bec et un doute que de participer au Qu bec fran ais soit un atout au plan professionnel social culturel et conomique Selon la deuxi me hypoth se ces tudiants cherchent une plus grande maitrise de l anglais comme le font beaucoup d tudiants de langue maternelle fran aise parce qu ils estiment qu ils auront alors un meilleur curriculum vitae du fait d tre bilingues ou polyglottes Ils valuent donc qu ils pourront ainsi avoir ici m me au Qu bec acc s aux meilleurs emplois et aux emplois les mieux r mun r s obtenir plus de chances de succ s professionnels et une qualit de vie sup rieure Comme soci t il faut r pondre la deuxi me hypoth se et faire en sorte que les tudiants qui le veulent puissent sortir du c gep en fran ais avec une formation g n rale en anglais crit et parl qui leur permet d en avoir une ma trise acceptable et avec une formation d appoint adapt e la technique tudi e ou la profession Compte tenu de la reprise du d bat et de notre intention d y tre associ il nous apparait important d amorcer des travaux et de parfaire notre r flexion en fonction des r alit s d aujourd hui Au d but de 2010 un comit de travail sera mis sur pied et les f d rations concern es seront invit es y participer 688 Conclusion y 40 ans la CSN s engageait avec d autres organisations dans
55. e V ronique Dion Jean Marie Edma Mona Ferland Madeleine Lagac Francis Leclerc Yves Ledoux Richard Lefebvre Sauv Audrey Perron Manon Picotte Donald Rochon Ren Santos David St Pierre Youan Thomas Paul Tremblay Caroline N gt 5 EEN w R SIL lt lt TRK amp K KR K WW lt lt lt lt J O O E S L j lt lt Is d 611 CONSEIL CENTRAL D ABITIBI T MISCAMINGUE NORD DU QUEBEC 12 3 4 5 C t Carmen agay Paquin Michel AAM Rheault Donald CONSEIL CENTRAL QUEBEC CHAUDIERE APPALACHES 12 3 4 5 Allard Claude wi wi vi vi wi Bellemare Luc wl wl wi vi wi Castro milia vw wi vi wi vi Clavet Pierre Iw Fortin Yves wl wi vi wi vi Gauvin Richard Wi wl wl wl Gingras Ann wi wi vi vu Grenier Vincent wi wl wi wl vi Rousseau Sophie wl wi wl Wl wi Thibault R al Wl wl wi wl wi CONSEIL CENTRAL DU BAS ST LAURENT 12 3 4 5 Fillion Daniel vi wl wi wl vi Isabel Nelson wi wl vi vi Legendre Nancy vi vi wv RE CONSEIL CENTRAL DU SAGUENAY LAC SAINT JEAN 1 2 3 4 5 Blackburn Syivie vi vi wi wi vi Cottenoir Engelbert 1 wi wi Fortin L o No l wl vi wi wi vi Gingras Guy Perron Laval vi vi wi wi CONSEIL CENTRAL D
56. e climat Gen ve 1979 Convention de Vienne sur la protection de la couche d ozone 1985 Cr ation du Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC 1988 Publication du premier rapport du GIEC 1990 Deuxi me Conf rence mondiale sur le climat d cembre 1990 Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques Rio de Janeiro 1992 Deuxi me rapport du GIEC 1995 Troisi me Conf rence des parties CdP3 Le protocole de Kyoto Kyoto 1997 Quatri me Conf rence des parties Buenos Aires novembre 1998 Troisi me rapport du GIEC 2001 Sixi me Conf rence des parties La Haye novembre 2000 Sixi me Conf rence des parties bis Bonn juillet 2001 Septi me Conf rence des parties Marrakech octobre 2001 Huiti me Conf rence des parties New Delhi 2002 Neuvi me Conf rence des parties Milan 2003 Dixi me Conf rence de parties Buenos Aires 695 Entr e en vigueur du protocole de Kyoto f vrier 2005 Onzi me Conf rence des parties et premi re r union des parties au protocole de Kyoto Montr al du 28 novembre au 9 d cembre 2005 Quatri me rapport du GIEC 2007 Treizi me Conf rence des parties et troisi me r union des parties au protocole de Kyoto Bali 2007 Quatorzi me Conf rence des parties et quatri me r union des parties au protocole de Kyoto Poznan 2008 Deuxi me sommet des chefs des tats f d r s et des r gi
57. e de la Sant ont maintenu que le gouvernement ne pouvait pas reculer Pire on apprenait que le gouvernement avait accept de revoir le financement du centre de recherche du CHUM Le gouvernement a accept de payer 45 des co ts du projet durant la construction afin de diminuer les emprunts du secteur priv Cela fait augmenter la facture de 8 millions Le risque du projet est maintenant assum en bonne partie par le public Et on va de l avant avec un PPP qui n en est plus Seul signal un tant soit peu encourageant apr s avoir affirm qu il n tait pas question pour le gouvernement de reculer la ministre Monique Gagnon Tremblay a finalement mis de l eau dans son vin en indiquant qu elle n tait pas insensible au rapport du v rificateur et ou elle avait demand un tat de situation du dossier Une fois que cette ultime v rification sera faite insiste t elle le gouvernement prendra ses responsabilit s Devant le concert de voix qui s unissent m decins infirmi res ing nieurs architectes entrepreneurs en construction professionnels techniciens patients pharmaciens syndicats travailleuses et travailleurs Jean Charest doit revenir au mode traditionnel pour viter de lancer le Qu bec dans une aventure qui risque de co ter tr s cher et d tre tout simplement catastrophique Les Qu b cois ne m ritent pas de devenir de simples locataires d h pitaux qui devraient tre le fleuron de la m decine de pointe
58. e les tats financiers au 31 ao t 2009 Michel Tremblay propose appuy par Pierre Roger d adopter les tats financiers au 31 ao t2009 ADOPTE e Rapport du comit de surveillance Chantal C t et Guy Normandin pr sentent leur rapport Sylvie Blackburn propose appuy e par Alexandre Fecteau d adopter le rapport du comit de surveillance ADOPTE 7 Elections au comit d orientation Claudette Carbonneau pr sidente et Lise Poulin secr taire g n rale agissent respectivement comme pr sidente et secr taire d lections e Comit d orientation Michel Tremblay propose Caroline Tremblay qui accepte Elle est donc lue membre du comit d orientation 8 Partenariats public priv Louis Roy vice pr sident informe les d l gu es sur les l ments contenus dans le rapport du v rificateur g n ral du Qu bec Jean Trudelle propose appuy par Paul Thomas que le conseil conf d ral re oive la pr sentation sur les partenariats public priv ADOPTE 9 Coop ration internationale Claudette Carbonneau pr sidente invite monsieur Maurice Bossuat respon sable du d partement international de la CFDT et Jacques L tourneau adjoint au comit ex cutif pr senter le travail du r seau syndical de coop ration au d veloppement de la CSI Jacques L tourneau pr sente galement le futur programme de coop ration sur l Afrique Lise Poulin secr taire g n rale informent les d l gu es sur Alliance sy
59. e permis d missions bourse du carbone Les autres gaz sont les suivants le m thane CH l oxyde nitreux N 0 les hydrocarbures fluor s les hydrocarbures fluor s enti rement halog n s PFC et l hexafluorure de soufre SF 694 e Le m canisme de d veloppement propre il s agit d un syst me o les pays d velopp s qui investissent dans des projets qui ont un impact sur la r duction des missions de GES dans les pays en d veloppement pourront recevoir des cr dits d missions e La mise en uvre conjointe MOC il s agit d un autre m canisme de financement mais qui vise le stockage de carbone ou la r duction d missions de GES il permet aux pays d velopp s d investir dans des pays en conomie de transition de l Europe centrale et de l Europe de l Est principalement Ce syst me g n re galement des cr dits d mis sions La ratification du protocole Au 18 novembre 2005 c est 182 pays sur les 192 ind pendants qui avaient ratifi le protocole En 2009 le seul pays qui a sign mais qui ne l a pas ratifi ce sont les tats Unis le s nat ayant refus de le faire en 1997 Pour que le protocole de Kyoto entre en vigueur il fallait qu au moins 55 pays ratifient le trait et que les pays signataires mettent au total au moins 55 des GES mis en 1990 Liste des rendez vous internationaux de la lutte aux changements climatiques Conf rence mondiale sur l
60. e vide de sa pr d cesseure et qui dit souhaiter un r glement n goci M me si l accouchement s annonce difficile nous serons pied d uvre pour sauver la m re et le b b Je rappelle que ces n gociations s inscrivent l aulne de la p rennit et de la qualit des services publics lesquels sont indissociables de conditions d centes pour celles et ceux qui les dispensent J aimerais souligner en terminant toute notre solidarit envers les travailleurs de la construction qui entameront le renouvellement de leur convention collective d s les premi res semaines de 2010 Il s agit de l autre grande n gociation coordonn e qui se d roulera au Qu bec et que nous suivrons de tr s pr s Sur ce joyeuses f tes Bon conseil conf d ral Vive la CSN TE 627 Annexe C d en H H lt Da S i VE a A gt RAA Ki lt li C b s Ka a W Conseil conf d ral C E W Centre des congr s de Qu bec 8 9 10 d cembre 2009 Horaire des s ances Horaire des pauses sant 8 d cembre 10h 12h30 14h 17h 30 15 h 45 16h 9 d cembre 9h 12h30 14h 17h 30 10h15 10h30 15h45 16h 10 d cembre 9h 12h30 14h 17h 30 10h30 10h45 15h45 16h Ordre du jour Le mardi 8 d cembre 2009 10h 1 Mot de la pr sidente 2 Accr ditation des d l gu es 3 Adoption de l ordre du jour 4 Adoption du proc s verbal des r unions des 22 et 23 septembre et des 10 et
61. ent le fran ais la maison qu en 2001 En 2006 21 4 d entre eux parlaient le fran ais le plus souvent au foyer alors qu ils taient 20 1 en 2001 Sur l le de Montr al l utilisation du fran ais le plus souvent la maison a diminu entre 2001 56 4 et 2006 54 2 alors que son utilisation au travail est demeur e stable C est quotidien de plus de 270 000 travailleurs provenant de la grande r gion m tropolitaine qui influence cette situation En raison de l augmentation du nombre d immigrants on pourrait croire que la situation sera plus pr caire ce n est pas certain Selon les donn es du minist re de l Immigration et des Communaut s culturelles MICC pour l ann e 2008 la proportion de nouveaux arrivants connaissant le francais se situe 60 4 On a remarqu des variations la hausse du nombre d immigrants connaissant la fois le fran ais et l anglais ou connaissant l anglais seulement Connaissance linguistique 2008 Fran ais seulement Ni francais 23 4 ni anglais 20 9 Connaissant le fran ais 60 4 Anglais SEH Fran ais et seulement anglais 18 7 37 0 Le portrait linguistique en volution Recensement de 2006 Statistique Canada 97 555 p 23 Le portrait linguistique en volution Recensement de 2006 Statistique Canada 97 555 26 5 Le portrait linguistique en volution Recensement de 2006 Statistique Canada 97 555
62. erons certaines donn es concernant la situation linguistique la langue de travail et le processus de francisation des entreprises Enfin nous pr senterons les prochains rendez vous quant la promotion du fran ais dans les milieux de travail 1 Conseil conf d ral 22 octobre 1969 674 La d cision de la Cour supr me et la Charte de la langue fran aise Le contexte linguistique avant la loi 101 Avant l adoption de la loi 101 la situation socio conomique et culturelle des francophones tait fortement d savantag e par rapport celle des anglophones M me bilingue le francophone tait encore d favoris instruction gale il gagnait moins que tous les autres groupes linguistiques La Commission royale d enqu te sur le bilinguisme et le biculturalisme Commission Laurendeau Dunton la Commission royale d enqu te sur l enseignement dans la province de Qu bec ou la Commission d enqu te sur la situation de la langue fran aise et des droits linguistiques au Qu bec Commission Gendron ont toutes d montr cette subor dination conomique et la n cessit d une intervention l gislative pour corriger la situation La loi 101 En 1977 le gouvernement du Parti Qu b cois adopta la Charte de la langue fran aise loi 101 Celle ci pr voyait e l usage exclusif du fran ais dans l affichage public et la publicit commerciale e des obligations relatives 8 la francisation des entreprises et a
63. es gouvernements des politiques qui permettront d endiguer cette course folle vers de plus grands p rils cologiques Non seulement les tats doivent se responsabiliser en adoptant des objectifs clairs de r duction mais ils doivent aussi mettre en place des m canismes facilitant l utilisation des nergies propres Assurer une transition respectueuse du travail d cent La CSI croit que cette r duction significative des GES repr sente tout un d fi de transition directement li e au mode de vie et de production Le monde du travail est directement concern par cette question La CSI consid re que cette transition vers un autre mod le de d veloppement respectueux de l environ nement repr sente une opportunit certaine afin de revendiquer des emplois verts et d cents Des emplois verts seront en lien avec un mode de production qui n cessite moins de consommation d nergie et entra ne moins de pollution Pour la CSI un accord sur les changements climatiques doit tre accompagn d une entente sur la participation des syndicats dans les processus de transformations du travail Des investissements importants doivent tre envi sag s ainsi que la mise en place d un programme de formation garantissant aux travailleurs une capacit r elle d adaptation Interpeller nos gouvernements Le succ s ou non d une conf rence comme celle de Copenhague d pend direc tement de la capacit de la soci t civile influencer le
64. es institutions doivent se comporter de fa on responsable en int grant dans leurs relations et leurs op rations au quotidien le respect des droits humains des droits fondamentaux au travail de l environnement et des communaut s o elles s installent De son c t l tat doit exercer la pl nitude de ses responsabilit s et l gif rer pour favoriser une plus grande participation des travailleuses et des travailleurs dans leur milieu de travail Il doit permettre entre autres la mise en place de comit s d entreprise charg s d valuer les actions ou modifications susceptibles de mieux lutter contre les changements climatiques de r duire l empreinte cologique et de prot ger la sant des travailleuses et des travailleurs ainsi que de leur communaut 3 Un n cessaire changement des mentalit s Nous agissons d j dans nos milieux de travail pour changer les mentalit s et adopter des pratiques qui soient respectueuses des personnes et de l environ nement De nouvelles pratiques sont port es par des travailleuses et travailleurs de toutes les g n rations Par exemple e des syndicats jouent un r le actif pour obtenir dans leur milieu de travail la certification Ici on recycle e sur un plan r gional conjointement avec d autres organisations des pratiques communes d achats aux niveaux local et r gional sont mises en place e la r duction la source du papier par diff rents moyens comme l impressi
65. es positions gouvernementales dans le sens des orientations que nous soutenons il nous faut travailler a constituer les alliances les plus larges possibles de groupes progres sistes de la soci t qu b coise 634 ANNEXE Extrait du proc s verbal du texte Se donner les moyens de nos aspirations collectives 635 6 Propositions Dans le cadre du d bat en cours sur la n cessit d assurer un financement ad quat des services publics et des programmes de soutien Des mesures pour le Qu bec D entr e de jeu toute proposition visant l augmentation des revenus du gouver nement doit se faire dans le cadre d un pacte social par lequel sont r affirm es la n cessit des services publics et les mesures de protection sociale comme tant des facteurs d terminants de la redistribution de la richesse et une composante fondamentale de l galit des chances et d une plus grande justice sociale Ainsi nous rejetons les solutions qui reposeraient sur des compressions budg taires la privatisation de services publics ou toute augmentation de tarifs sur un panier de biens et services jug s essentiels Rappelons que les mesures pr conis es ne doivent pas nuire la sortie de crise de l conomie et doivent tre tal es sur une p riode de temps suffisante pour att nuer les impacts L instauration de ces mesures ne doit pas tre contrainte par le cadre temporel de la Loi sur l quilibre budg taire et doit donc
66. estions li es au partage de la richesse les finances publiques et la fiscalit Le second devait se pencher sur les conditions d une relance verte Le troisi me s articulait autour des alternatives au mod le de d veloppement dominant conomie sociale finance socialement responsable d veloppement durable etc Dans la foul e de cette crise tant Qu bec qu Ottawa les finances publiques montraient des d ficits budg taires situations que nous n avions pas connues depuis plusieurs ann es De plus au niveau du gouvernement qu b cois le plan annonc de retour l quilibre budg taire soulevait bon nombre d inqui tudes Pour la CSN il tait hors de question de se laisser enfermer par le gouvernement du Qu bec dans une trajectoire de sortie de crise qui ne laisserait comme 632 options que des mesures visant r duire davantage la taille de l tat comprimer les services publics et introduire des tarifications tous azimuts C est dans ce contexte que nous avons exig un large d bat public sur les choix d finissant la soci t que nous voulons et sur la fiscalit n cessaire l tablis sement d une base budg taire permettant la r alisation des aspirations de la population du Qu bec Par ailleurs l insistance des ministres du gouvernement du Qu bec mise sur l importance de limiter la croissance des d penses de programmes 3 2 ce qui nous l avons d j vu repr sente d impo
67. et d changes de droits d missions de carbone Le gouvernement pr tend qu il parviendra ainsi a atteindre ses objectifs de r duction dans les secteurs industriel et manufacturier Nous n avons pas d objections la mise en place d un tel syst me dans la mesure o cela se fait dans un march r glement comme cela semble se dessiner avec la bourse du carbone de Montr al le march r glement tant plus solide et plus stable Le recours l obtention de cr dits sur le march international par le m canisme de d veloppement propre m canisme conomique de la finance du carbone labor dans le cadre du protocole de Kyoto consiste porter au cr dit des pays d velopp s les efforts que des entreprises peuvent faire titre de coop ration internationale dans un pays en d veloppement Tout en tant d avis qu il faut prioriser la r duction de GES sur notre territoire nous croyons qu il peut tre utilis pour atteindre les objectifs de r duction de GES la condition que cela se fasse dans une perspective de d veloppement durable et en accord avec les communaut s locales et dans un march r glement Si des revenus sont obtenus par ce m canisme de d veloppement propre nous recommandons qu ils soient pris en charge par le gouvernement et r investis dans la soci t qu b coise dans un fonds d adaptation aux changements climatiques Initiatives qui permettraient d atteindre la cible privil gi e Nou
68. ier le protocole de Kyoto La position du Canada reste honteuse Elle semble toujours prisonni re du lobby albertain d exploitation des sables bitumineux Le Canada avait d abord souscrit aux objectifs de Kyoto pour faire un virage 180 degr s avec l arriv e des conservateurs Non seulement les cibles annonc es sont d risoires mais m me des organismes aussi prudents que l Institut CD Howe et la Table ronde nationale sur l environnement et l conomie ont affirm dans des rapports publics que le Canada ne peut pas arriver aux r sultats annonc s avec les moyens qu il met en avant Alors que plusieurs craignaient l chec de cette rencontre cruciale pour l apr s Kyoto la d cision de monsieur Obama de s y rendre a conduit la Chine et l Inde annoncer pour la premi re fois des objectifs chiffr s sur l intensit de leurs missions La pr sence des pr sidents am ricains et chinois a convaincu le premier ministre Stephen Harper de finalement se rendre Copenhague Nous souhaitons que sa pr sence ne soit pas que cosm tique et que les engagements du Canada qui semblent pour la premi re fois ouvrir la porte des cibles absolues annoncent un virage et des mesures vigoureuses L objectif de r duction de 20 des GES du gouvernement du Qu bec par rapport 1990 est beaucoup plus r jouissant Cela en fait un leader en Am rique du Nord Dans nos repr sen tations nous avions fix la barre plus haute en invitant le gou
69. iode de crise c est encore plus vrai Nous allons d fendre cette vision avec conviction C est pourquoi jaffirme que le premier enjeu de ce d bat c est de combattre avec fermet toute vell it de couper et de r tr cir le r le et la capacit d agir de l tat 622 Le gouvernement Charest s est priv de revenus importants depuis 2003 en baissant les imp ts Il a cr un d ficit structurel et nous avons toujours le m me panier de services C est devenu insoutenable J appelle le gouvernement Charest ne pas d tourner le d bat nos finances publiques doivent soutenir le Qu bec que nous voulons et non l inverse J appelle le gouvernement Charest ne pas s enfermer dans un exercice comptable o il suffit d quilibrer certaines colonnes de chiffres comme celles des tarifications de la taxe de vente et des compressions des d penses sans en regarder d autres comme celle de l imposition des revenus ou encore celle d investissements strat giques faire pour que l ensemble de la population du Qu bec puisse am liorer son niveau de bien tre tout en contribuant beaucoup plus activement la prosp rit du Qu bec La CSN a toujours t partante pour une refonte en profondeur de la fiscalit Une fiscalit plus progressive qui assure le financement des services et des programmes publics par une juste contribution des individus et des soci t s Une fiscalit qui permet le d veloppement d un Qu bec
70. ions de coordination 300 000 149 994 178 380 D penses de fonctionnement 750 000 374 994 348 127 Coordination n gociation dans les f d rations 500 000 250 002 143 869 Sessions de formation de militantes et de militants 100 000 50 004 29 347 Secteur public regroup es Ressources d appui 64 5 550 023 2 716 227 1 840 440 Publicit pr ventive 1 350 000 675 000 R union de coordination 100 000 50 004 D penses de fonctionnement 1 400 000 700 002 547 040 Session de formation de militantes et de militants 300 000 149 994 17 468 N gociations locales Publicit pr ventive p 67 71 300 000 149 994 83 893 Sessions de formation de militantes et de militants 600 000 300 006 357 530 11 450 023 5 666 229 5 3 670 760 33 661 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE D FENSE PROFESSIONNELLE D PENSES APPUI NOS REVENDICATIONS EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AOUT 2009 Dons de solidarit Campagnes conf d rales p 65 Campagnes sectorielles Campagnes r gionales 34 Budget 2008 2011 350 000 3 250 000 630 000 126 000 4 356 000 Budget 18 mois 174 996 1 625 004 315 000 63 000 2 178 000 R el 18 mois 168 083 813 413 111 536 29 434 1 122 765 662 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS DE SOUTIEN EXTRAORDINAIRE ETATS FINANCIERS EXERCICE DE 18 MOIS TERMINE LE 31 AO T 2009 35 663 CONFEDERATION DES SYNDICATS NATIONAUX FONDS D
71. is longtemps parfaitement au courant du sort des prisonniers et qu il n a rien fait pour changer la situation Une autre tuile sur la mission canadienne en Afghanistan qui confirme que doit cesser cette guerre d occupation men e par les forces de l OTAN Bhopal Nous nous rappellerons dans ce conseil du plus grave accident industriel de tous les temps Celui de Bhopal o il y a 25 ans dans la nuit du 2 au 3 d cembre 1984 un norme nuage de gaz toxique s est chapp de l usine d Union Carbide causant des milliers de morts et des probl mes toujours pr sents et impunis de sant publique de morbidit et de malformations cong nitales Une vid o r alis e sur une base personnelle par Sylvie Joly et Louis Roy nous sera pr sent e au cours de ce conseil Il s agit d un vibrant appel l action pour qu il n y ait plus jamais de Bhopal nulle part dans le monde 20 ans Polytechnique Autre triste anniversaire Il y a 20 ans le Qu bec tait terrass par l horreur de la tuerie l cole polytechnique Ces v nements nous ont marqu s profond ment Nous avions peine croire que ce geste insens et sexiste se passait ici au Qu bec En s parant les hommes et les femmes en deux groupes avant de faire feu sur les femmes Marc L pine s est attaqu tout le mouvement des femmes Cette analyse demeure malheureusement d actualit alors que nous devons encore nous mobiliser pour contrer les attaques des groupes antif
72. is nous avons particip des rencontres et tenu certaines activit s reli es la d fense de la langue e participation au Rendez vous des gens d affaires et des partenaires socio conomiques de Montr al et suivi du plan d action propos e participation au comit de gouvernance sur la francisation en entreprise e rencontre CSN sur la francisation des entreprises e rencontre avec l quipe du Conseil central du Montr al m tropolitain e participation au congr s de trois f d rations 686 Dans les prochains mois un certain nombre d activit s sont pr vues e Rencontre avec les quipes de travail Nous rencontrerons les quipes de travail de la F d ration de la m tallurgie et de la F d ration du commerce pour faire le point sur la situation linguistique et fournir les informations n cessaires pour une prise en charge par les syndicats Nous restons disponibles pour rencontrer d autres quipes de travail e Formation des militantes et des militants Lors de notre rencontre de mars dernier plusieurs repr sentants ont manifest le besoin d une formation sur la francisation des entreprises Nous pr parons une session exp rimentale qui sera offerte en janvier 2010 e Rencontre annuelle sur la francisation Le 17 mars prochain nous tiendrons nouveau une rencontre sur la francisa tion Nous discuterons notamment de la francisation des entreprises et des per sonnes issues de l immigration des a
73. is de plus qu il est difficile de s affirmer en tant que nation l int rieur du cadre l gislatif canadien qui nous ram ne continuellement l ordre La r action de la CSN La CSN comme plusieurs acteurs de la soci t qu b coise s est indign e de ce jugement qui sert uniquement des individus qui de surcro t ont les moyens de se payer des droits ou plut t des privil ges l encontre des choix collectifs de la soci t qu b coise Ce jugement nous ram ne le d chirant et houleux d bat du choix de la langue d enseignement que nous avions voulu fermer en adoptant la Charte de la langue fran aise Pire encore l paisseur du porte monnaie permettrait d sormais certains de fragiliser la p rennit du fait fran ais au Qu bec ce qui est totalement inacceptable Nous d non ons vivement cette d cision et r clamons de toute urgence que le gouvernement trouve une solution pour colmater la br che importante qu avait ouverte la Cour d appel en 2007 et que vient de confirmer la Cour supr me l encontre des droits collectifs Quelques rep res sur la situation linguistique En d cembre 2007 Statistique Canada publiait les r sultats du dernier recen sement Entre 2001 et 2006 le nombre de personnes ayant comme langue mater nelle l anglais et vivant au Qu bec a augment de 16 000 Il s agit d une premi re depuis 1976 Pendant la m me p riode le nombre de personnes ayant comme langue maternelle le fr
74. l enseignement en anglais re u en application d une autorisation particuli re accord e en vertu des articles 81 85 ou 85 1 Cette loi a eu un effet sur la fr quentation des coles anglaises subventionn es Apr s l adoption de la loi on per oit un renversement de tendance Comme l indique le tableau suivant l ann e 2003 a connu une faible augmentation du nombre total d l ves admissibles Ce nombre a commenc diminuer d s 2004 Nombre d l ves admissibles l enseignement en anglais Ensemble du Qu bec le de Montr al et reste du Qu bec 1992 2005 1992 115987 100 87 5 57 1993 116 607 100 63 547 w 1995 118 832 100 63 506 55326 y 1997 121 100 100 63 778 57 322 47 3 1998 122 524 100 64267 58 257 475 1999 123 895 100 64893 94 5900 478 2000 126191 100 EE 60230 477 2002 129 007 100 66897 62 110 481 2003 129 332 100 66590 62742 48 5 2005 127 574 100 493 l exception des l ves admis en vertu de l article 85 de la Charte de la langue fran aise s jour temporaire au Qu bec Source Minist re de l ducation du Loisir et du Sport Charte de la langue fran aise article 73 10 Rapport sur l volution de la situation linguistique au Qu bec 2002 2007 Office qu b cois de la langue fran aise 2008 p 82 678 La d cision La Cour supr me 8 entendu deux causes relatives la 101 104 La d cision du 22 octobre dernier
75. la gravit tait amplifi e par la conjonction d une s rie de crises financi re alimentaire nerg tique et environnementale Selon nous il s agissait d une crise globale D ailleurs nous estimions que cette crise prenait aussi racine dans les in galit s croissantes qui avaient vu jour depuis le d but des ann es 80 au moment de lessor du n olib ralisme Par ailleurs nous mettions de l avant un certain nombre de revendications pour faire face la crise Nous r clamions un plan d investissement social des mesures pour avoir un march du travail tourn vers l avenir d autres pour contribuer la relance et contrer la paralysie financi re une meilleure r glemen tation du secteur financier et enfin nous exigions que l on agisse pour un d veloppement soutenable Cette analyse fut pr sent e dans plusieurs instances de nos organisations affili es que ce soit lors des assembl es g n rales de conseils centraux ou encore au moment de certains congr s des f d rations Ne voulant pas se limiter uniquement l analyse la fin du mois d avril le bureau conf d ral adoptait un plan d action pour contrer les effets de cette crise infl chir les tendances qui ont contribu son d veloppement et adopter des mesures pour viter que l on retombe dans les m mes orni res le premier moment venu cette occasion trois chantiers de travail furent institu s Le premier devait traiter des qu
76. la subvention re ue de la CPMT pour la r alisation d un projet permettant d accro tre le d veloppement et la reconnaissance des comp tences de la main d uvre des membres des syndicats du secteur priv ADOPT 14 Secteur public Louis Roy vice pr sident informent les d l gu es du conseil conf d ral sur l volution de la situation dans le secteur public la suite du d p t des demandes du Front commun et de la r ponse re ue du gouvernement du Qu bec Caroline Tremblay propose appuy e par Yvon Godin de recevoir le rapport verbal sur la situation dans la n gociation du Front commun des secteurs public et parapublic ADOPTE 15 Environnement e Enjeux de la conf rence de Copenhague Annexe G page 689 Roger Valois vice pr sident Michel Forget adjoint au comit ex cutif et Isabelle M nard conseill re au Service des relations du travail pr sentent aux membres du conseil conf d ral les enjeux de la Conf rence de Copenhague Dominique Daigneault propose appuy e par Edith Hamel de recevoir la pr sentation sur les enjeux de la conf rence de Copenhague ADOPTE e D claration des jeunes sur l environnement Annexe H p 703 La secr taire g n rale Lise Poulin accompagn e des membres du comit national des jeunes Alexandre Roy Jean Thomas Courchesne Val rie Gau thier Michael Perron C t Audrey Lefebvre Sauv pr sentent la D claration des jeunes sur l environnement qui a t
77. ment de la Cour supr me qui invalide une partie de la loi 101 Ce jugement s attaque un des fondements de la Charte de la langue fran aise la langue d enseignement Nous sommes indign s Non seulement ce jugement a t il rendu inconstitutionnels les correctifs apport s par l Assembl e nationale pour fermer la porte des comportements qui ne respectent pas l esprit m me de la Charte mais il permet une minorit d individus d acheter pour leurs enfants et leurs descendants un droit qui n est reconnu qu aux seuls citoyens issus de la communaut d expression anglaise tablis au Canada C est exactement pour contrecarrer cette man uvre inadmissible que l Assembl e nationale avait vot unani mement faut il le rappeler pour la loi 104 Constatons une fois de plus qu il est difficile de s affirmer en tant que nation l int rieur du cadre l gislatif canadien qui nous ram ne continuellement un ordre o la p rennit de la culture francophone en Am rique du Nord 623 est la derni re des priorit s quand ce n est pas pr cis ment ce quoi le reste du Canada souhaite s attaquer sans trop avoir le dire Jinterpelle le gouvernement du Qu bec pour qu il agisse de fa on rapide ferme efficace et compl te Les coles passerelles ne doivent pas devenir des coles passoires par lesquelles de fa on quasi automatique vont s riger de nouveaux droits linguistiques individuels au nom de la Charte canadienne et
78. ministes que nous devons poursuivre la lutte pour le maintien du registre des armes feu dans son int gralit et soutenir des milliers de femmes victimes de violence conjugale Marie Andr e Chouinard du Devoir rappelait r cemment que moins de trois crimes sur dix commis dans un contexte conjugal sont port s la connaissance des policiers Il y a quelques ann es crivait elle les victimes prenaient leur courage deux mains pour appeler l aide apr s avoir subi en moyenne 35 actes de violence Aujourd hui elles franchissent ce cap d cisif apr s 17 agressions Dans une ville comme Montr al la violence conjugale et intrafamiliale se traduit chaque ann e par 15 500 appels de service au centre d urgence 911 Elle repr sente 30 des crimes contre la personne et 15 des homicides C est pourquoi il faut poursuivre nos actions de sensibilisation Le rassemblement des jeunes de la CSN 625 Autre v nement souligner il s agit du rassemblement des jeunes de la CSN qui s est tenu Qu bec les 19 et 20 novembre dernier Cent dix jeunes CSN enthousiastes et mobilis s qui ont chang pendant deux jours sur la question de l environnement Nous en avons appris beaucoup sur les nombreuses initiatives qui ont cours dans les milieux de travail dans la foul e du 62 Congr s de la CSN qui invitait passer l action Bravo cette belle rel ve qui se pointe nos portes Nous aurons l occasion de faire cho
79. mplois affich s Dans beaucoup de cas cette exigence est abusive et devrait tre contest e Une enqu te r cente de d montre que la situation est tr s pr occupante du c t de la petite entreprise Pourcentage des entreprises de 11 49 employ s selon les exigences linguistiques l embauche au cours de la derni re ann e par aire g ographique Reste de la RMR Total d entreprises Fran ais Tous les postes Certains postes Tous et certains postes Aucun poste Total Anglais Tous les postes 19 Certains postes Tous et certains postes Aucun poste 47 Total Eesen 100 128 100 55 Diff rence significative Toutes cat gories d emploi confondues 2 Certains postes parmi toutes les cat gories d emploi 5 Tous parmi certaines cat gories d emploi et certains parmi d autres 19 Source Secr tariat la politique linguistique 2 Les entreprises de 11 49 employ es Portrait de leur r alit linguistique Pierre Bouchard Office qu b cois de la langue fran aise 2008 p 30 684 La francisation des entreprises Pour favoriser l usage du fran ais au travail la Charte de la langue fran aise pr voit des obligations relatives a la francisation de l Administration et des entreprises L OQLF est g n ralement responsable de la francisation mais dans le cas de l ensei gnement sup rieur c
80. n etc Dans chacun de ces cas les possibilit s d accommodements linguistiques peuvent varier norm ment Dans le cas o l on a r pondu non la question 48 cela signifie qu une seule langue est utilis e Le tableau suivant illustre la fr quence d utilisation du fran ais et de l anglais Pourcentage des travailleurs selon la fr quence d utilisation du fran ais et selon la fr quence d utilisation de l anglais Ensemble du Qu bec hors de la r gion m tropolitaine de Montr al RMR de Montr al le de Montr al 2001 Uniquement Principalement galit avec l anglais galit avec une langue tierce galit avec l anglais et une langue tierce De fa on compl mentaire Aucunement Uniquement Principalement n galit avec le fran ais 32 3 23 20 68 91 25 117 15 5 7 5 37 64 8 galit avec une langue tierce 0 0 0 2 0 2 galit avec le fran ais et une langue tierce 0 0 0 5 06 De fa on compl mentaire 155 295 307 Aucunement 014 777 438 352 Source OFFICE QU B COIS DE LA LANGUE FRANCAISE Langue du travail indicateurs relatifs l volution de la population active et l utilisation des langues au travail en 2001 fascicule 2 indicateur 2 13 Ce tableau est assez troublant lorsqu on analyse les r sultats la lumi re des droits apparaissant dans la Charte de la lang
81. n anglais au Canada si son parent est canadien ses fr res et s urs ont galement acc s l cole anglaise subventionn e les enfants dont les parents ne sont pas citoyens canadiens mais dont l un d eux a tudi l cole primaire anglaise du Qu bec ceux et celles qui ont acquis des droits avant le 26 ao t 1977 Pour acqu rir ce droit il faut que la majeure partie de l enseignement ait t re u en anglais La Charte de la langue fran aise pr voit galement des autorisations particuli res qui permettent l acc s l cole anglaise subventionn e Le tableau suivant pr sente l admissibilit des l ves pour tout le Qu bec entre 1990 et 20027 Date d entr e en vigueur de la Charte de la langue francaise 7 Rapport sur l volution de la situation linguistique au Qu bec 2002 2007 Office qu b cois de la langue fran aise mars 2008 p 90 676 1990 2002 Admissibilit articles 73 et 76 73 1 tudes de des parents au Canada y compris l alin a 86 1 130755 72 4 73 0 73 2 Etudes au Canada l l ve le fr re ou la s ur compris les alin as 86 1 b et 86 1 24659 137 138 73 3 tudes au Qu bec d un parent non citoyen partir de 1993 3 156 17 1 8 5 73 4 Etudes de l enfant au Qu bec tudes commenc es avant le 26 ao t 1977 1374 0 8 73 5 Etudes de l un des parents hors du Qu bec r sidence au
82. ndicalisation les d penses sont inf rieures la pr vision de 3 millions de dollars l administration les d penses reli es l immeuble de Montr al seront comptabilis es en grande partie dans la deuxi me moiti de l exercice ce qui nous rapprochera des d penses pr vues initialement au budget Budget du fonds de d fense professionnelle Nous avons au moment d crire ce rapport 488 personnes qui b n ficient de prestations de gr ve La moyenne pour les dix huit derniers mois est de 587 prestataires Nous avons pu constater que le fonds de d fense professionnelle conna t un surplus de millions de dollars par rapport un d ficit anticip pour la p riode de 5 2 millions de dollars 668 Fonds de soutien extraordinaire Encore inutilis suite une conjoncture qui demeure favorable ce fonds atteint au 31 ao t 2009 un solde de 19 4 millions de dollars Recommandation Le comit recommande l adoption des tats financiers du budget de fonctionnement du fonds de d fense professionnelle et du fonds de soutien extraordinaire pour la p riode se terminant le 31 ao t 2009 Chantal C t Guy Normandin 669 Conf d ration CSN des syndicats nationaux Oser en fran ais Conseil conf d ral Qu bec 8 9 et 10 d cembre 2009 Annexe F 670 671 Table des mati res ig ele te Tee 673 La d cision de la Cour supr me et la Charte de la langue frangaise 674 Le contex
83. ndicats et tiers monde 604 R union du conseil conf d ral des 8 9 et 10 d cembre 2008 Claude Allard propose appuy par Marjolaine C t que le conseil conf d ral re oive la pr sentation sur projet de la Conf d ration syndicale internationale CSD sur le renforcement des organisations syndicales ainsi que sur la campagne sur Alliance syndicats et tiers monde ADOPT e Nomination des copr sidents pour Alliance syndicats et tiers monde Lise Poulin secr taire g n rale pr sente aux d l gu es du conseil conf d ral les noms des personnes sugg r es pour assumer la co pr sidence de la campagne d Alliance syndicats et tiers monde soit Michel Tremblay pr sident de la F d ration des professionn les et Ann Gingras pr sidente du Conseil central de Qu bec Chaudi re Appalaches Ginette Langlois propose appuy e par Denis Marcoux que le conseil conf d ral ent rine la nomination de Michel Tremblay et d Ann Gingras comme copr sidents pour la campagne d Alliance syndicats et tiers monde ADOPTE 10 Questions de privil ge et conflits en cours e Questions de privil ge gt Coalition pour le respect de la confidentialit dans le r seau de la sant et des services sociaux La pr sidente Claudette Carbonneau invite Laurier Goulet vice pr sident de la F d ration de la sant et des services sociaux 4 pr senter la question de privilege au nom de la Coalition pour la confidentialit dans la san
84. nent sur la port e de l entente qui sera sign e Copenhague tous les espoirs sont permis pour sensibiliser l humanit au probl me de GES et de pollution pour ouvrir la voie une n gociation perma nente et une sensibilisation plan taire 703 Annexe H D claration du Rassemblement des jeunes de la CSN 2009 On a mis quelqu un au monde on devrait peut tre l couter Un musicien parmi tant d autres Serge Fiori ous jeunes travailleuses et travailleurs syndiqu s r unis l occasion du Rassemblement des jeunes de la CSN autour du th me L implication syndicale en environnement pour un d veloppement durable les 19 et 20 novembre 2009 Qu bec soutenons que nous sommes pr occup s par les changements climatiques la pollution des eaux de l air et du sol la perte de la biodiversit la p nurie d eau la raret et l puisement des ressources naturelles et la crise alimentaire L action syndicale ne se limite pas qu a la stricte n gociation des conditions de travail et de r mun ration Les syndicats revendiquent l acc s un travail d cent de m me que 18 participation aux d cisions qui gouvernent l organisation soci tale surtout lorsqu elles ont un impact sur le travail la sant publique la r partition de la richesse et le milieu naturel essentiel au maintien de la vie Nous affirmons que la crise financi re conomique sociale environnementale et alimentaire que nous connaissons e
85. ns toutes les entreprises il a souvent d autres langues utilis es exemple manuel d utilisation crit en anglais certains employ es ne comprennent pas du tout le fran ais logiciel de r servation de chambre fonctionnant uniquement en anglais etc e plusieurs personnes apprenaient qu elles taient identifi es comme membres d un comit de francisation alors qu elles ne savaient pas qu un tel comit existait dans leur entreprise et qu elles en faisaient partie e rares sont les comit s de francisation qui se r unissent e les militantes et les militants ne sont peu pr s pas inform s sur les droits linguistiques et leur r le au comit de francisation e dans la majorit des cas ils n ont jamais eu de copie des documents fournis par leur employeur POQLF alors qu ils en taient signataires e plusieurs entreprises n apparaissent pas sur les listes fournies par Cette rencontre s est termin e sur une note positive les personnes taient satis faites des informations re ues et souhaitaient s impliquer davantage Plus de 200 000 personnes travaillant au Qu bec n ont pas les m mes droits que les autres Les institutions f d rales et les entreprises sous juridiction f d rale ne sont pas assujetties la Charte de la langue fran aise La CSN revendique que cette situation soit corrig e Les travaux de la CSN sur la francisation des entreprises Au cours des derniers mo
86. nt ainsi qu la ministre responsable madame Line Beauchamp les attentes de la Conf d ration sur ces sujets Nous avons insist sur la n cessaire participation des travailleuses et travailleurs et de leur organisation sur le plan sectoriel et sur le plan r gional aux discussions sur l impact des changements climatiques les mesures d velopper pour r duire les missions de gaz effet de serre les m canismes de transition et d adaptation mettre en place et le d veloppement d emplois verts et d cents Dans un premier temps nous avons soulign aux membres de la Commission que le dossier de l environnement toujours fait partie des pr occupations syndicales D abord dans les milieux de travail plus particuli rement dans le cadre de la sant et de la s curit du travail et puis rapidement en dehors des limites physiques des lieux de travail pour traiter des probl mes environ nementaux rencontr s dans les communaut s dans les r gions Nous avons soulign les r flexions les engagements et les travaux faits par les syndicats les f d rations et les conseils centraux concernant le dossier environnemental Enfin en ce qui a trait aux dossiers des changements climatiques nous avons indiqu les orientations des derniers congr s entre autres notre soutien aux diff rentes repr sentations visant forcer le gouvernement f d ral respecter les engagements pris dans le cadre de Kyoto et notre volont d t
87. ochain cette m decine de cheval d autant plus que pour la population en g n ral la fin de la crise ne se mesure pas l aulne des indices boursiers mais bien plut t en fonction de ce qui se passe dans l conomie r elle alors que le ch mage et le travail partag p sent encore tr s lourdement dans certains secteurs d activit Combattre ce train de compressions rarement gal dans les 40 derni res ann es sera le grand combat que nous m nerons et ce d s les consultations pr budg taires La CSN rejette les solutions qui reposeraient sur des compressions budg taires la privatisation des services publics les partenariats public priv et la sous traitance qui co te extr mement cher ou l instauration de tarifications pour des biens et services jug s essentiels par la population Le premier ministre Jean Charest qui avait annonc une grande consultation sur les finances publiques au d but de l automne accouche d une souris En lieu et place d un grand d bat public on nous sert une op ration de routine consultations sur Internet et rencontres pr budg taires alors que c est la d finition d un projet de soci t que nous avait convi s le ministre des Finances Quel genre de Qu bec veut on Cette question sit t pos e on nous enferme dans un ch ancier et dans un train de mesures qui conduisent l impasse Le gouvernement fait la sourde oreille et semble avoir d cid de tout Le carcan de 3 2 d a
88. oi 104 sont donc invalid es Les dossiers de chacun des plaignants sont retourn s au minist re afin d tre r valu s Finalement la Cour accorde un an au Qu bec pour trouver une fa on de v rifier individuellement s il s agit d un subterfuge ou non Dans le second cas la Cour supr me a consid r que la fr quentation d une cole anglaise subventionn e par un autre membre de la famille m me s il s agit d une autorisation particuli re g n re un droit pour celui qui en fait la demande en invoquant la Charte canadienne Les effets de la d cision Ce jugement a rendu inconstitutionnels les correctifs apport s par l Assembl e nationale pour fermer la porte des comportements d viants qui ne respectent en rien l esprit de la Charte de la langue fran aise Il permet ainsi une minorit d individus d acheter pour leurs enfants et leurs descendants un droit qui ne leur tait pas reconnu C est exactement pour contrecarrer cette man uvre inadmis sible que l Assembl e nationale avait vot unanimement faut il le rappeler la loi 104 La d cision permet galement aux autres membres d une m me famille de profiter de l autorisation sp ciale accord e un seul des enfants 11 Nguyen Qu bec ducation Loisir et Sport 2009 CSC 679 Les possibilit s de recours juridique risquent de se multiplier puisque chaque dossier devra maintenant tre analys individuellement Constatons une fo
89. on recto verso et l mission de bordereaux de paie par Internet est appliqu e e des politiques et des habitudes de covoiturage commencent s imposer e des comit s verts sont form s pour proposer de nouvelles fa ons de faire aux employ es et aux employeurs e des politiques vertes modifiant les pratiques de gaspillage sont adopt es 706 9 les ARV sont mis en place et hi rarchis s d abord la r duction de 18 consom mation la r utilisation des produits la r cup ration de mat riel leur recyclage puis leur valorisation Plusieurs actions et gestes ont t pos s mais beaucoup reste encore faire Changer les mentalit s ne se fait pas en un jour La prise en charge syndicale de la question environnementale par les travailleuses et les travailleurs peut faire une diff rence Nous jeunes travailleuses et travailleurs nous tournons vers la CSN ses conseils centraux et ses f d rations pour tre soutenus et outill s dans les actions syndicales poser localement Nous croyons que notre action aura des r percussions importantes sur ceux qui nous entourent dans la mesure o nous exercerons ensemble un leadership inspirant 4 Agissons vite Devant l ampleur des d s quilibres conomiques sociaux et cologiques que provo que la crise actuelle l chelle du globe nous n avons ni les moyens ni le temps de rester indiff rents Il faut agir vite Nous jeunes travailleuses et travailleurs de l
90. on doit tre rapide et nergique afin de convaincre la population que la banque de sang n est pas confi e a Dracula L ampleur et la multitude des r v lations ainsi que le caract re syst mique des man uvres douteuses impliquant l utilisation des fonds publics et une ing rence indue d int r ts corporatifs dans notre fonctionnement d mocratique am nent un l gitime besoin de faire la lumi re sur l ensemble de ces questions Il ne faut pas sous estimer la profondeur de la crise de confiance qui a cours actuellement l gard de l tat et des institutions publiques Une commission d enqu te publique serait utile pour bien documenter les pratiques douteuses et pour formuler des recommandations visant les emp cher dans la mesure o le mandat de cette commission serait soigneusement circonscrit Ce n est pas d une enqu te sur les relations de travail comme la Commission Cliche l poque dont nous avons besoin mais d une enqu te sur le processus d octroi des contrats et sur les liens qu entretiennent les entreprises transigeant avec les administrations publiques les politiciens et les partis politiques 620 Le r le que jouent aussi divers consultants qui agissent en p riph rie ou en dehors des activit s de construction comme par exemple les firmes d ing nieurs d avocats d informatique de communication ou d environnement doit aussi tre examin Si on ne pose pas le bon diagnostic on ne pourra
91. ons sur les changements climatiques Poznan 2008 1 Conf rence des Parties la Convention sur les changements climatiques organe subsidiaire de mise en uvre Organe supr me de la convention Sa mission est d assurer l application de la convention La Conf rence des Parties se r unit p riodiquement pour valuer les progr s de mise en uvre des d cisions ant rieures et pour pr parer les discussions venir 2 GIEC Regroupement d experts mondiaux sur la situation du climat Sa mission est de proc der un examen critique de la litt rature scientifique publi e et den d gager une synth se pour clairer les d cideurs Conf rence internationale de Copenhague Il s agit de la quinzi me Conf rence des Parties CdP15 de la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques CCNUCC qui r unira les dirigeants de 193 pays qui devront s entendre sur les efforts d ployer afin de r duire les GES moyen et long termes et de d velopper des mesures d adaptation aux changements climatiques Les discussions doivent aboutir la signature d un accord qui d finira les nouveaux objectifs de la communaut internationale pour l tablissement de posfKyoto La Conf d ration syndicale internationale Depuis sa fondation en 2006 la Conf d ration syndicale internationale CSI met en avant la question de l environnement Consciente que le mod le de d velop pement actuel rend la cr a
92. oursi re Fernand Lallemand Danielle Lamoureux Jos e Lanct t Lynda Lanthier Richard Lapierre Andr e Lapierre Gilles Laram e Marie Lise Larche Jean Pierre Lavoie Francine Lavoie Karine Leblanc Maryse Leblond Lucie Lecavalier Sylvie Leli vre Katia Lussier Marie Claire Lymburner Guy Mailhot Alain Mailloux Jean Martin Guy M nard Isabelle Morency Jacques Morin Eric Nolet Sylvain Ouellet Normand Ouellette L onide Papillon Patrice Paradis Jos e Paul Pierre Pepin Hall Maude Perron C t Michael Pr court Mario Provencher Gino Renaud Guy Ren H l ne Robitaille Yves Rodrigue Jacqueline Roy Alexandre Rozon Nadine Sarrazin Lise Savignac Dufour Patrice Steben Luc Sylvestre Claude Sylvestre Denis Tapp Joanne Tr panier Michel Turcotte Robin Vachon Sylvie Vigneault Carmelle 617 Annexe B Y Conf d ration CSN des syndicats nationaux Mot d ouverture de Claudette Carbonneau Pr sidente de la CSN Conseil conf d ral Qu bec 8 au 10 d cembre 2009 619 Minute de silence Je vous invite vous lever et garder une minute de silence la m moire des travailleuses et des travailleurs qui ont milit pour la cause syndicale et qui nous ont quitt s plus particuli rement Lionel Biron retrait de la CSN Mes camarades du comit ex cutif Chers d l gu es Chers militantes et militants Chers salari es Bonjour D entr e de jeu je veux saluer l arriv e d Aldo Mig
93. pas prescrire le bon rem de Il est inadmissible que des individus et des entreprises conspirent pour tirer avantage du bien commun Il y 8 urgence de nettoyer l ardoise et de redonner confiance aux citoyens quant l utilisation des deniers publics On n a jamais vu un premier ministre aussi obstin Jean Charest est demeur in branlable apr s les sorties des procureurs de la Couronne des policiers provinciaux et ceux de Montr al qui affirmaient qu une enqu te publique ne nuirait pas aux enqu tes polici res cours Devant le concert de voix quasi unanimes qui se sont unies pour r clamer que la lumi re soit faite le gouvernement Charest n a plus d arguments qui tiennent encore la route pour refuser cette demande S il veut rester cr dible aux yeux de la population il doit annoncer la tenue d une enqu te publique Nous accueillons positivement les mesures pr sent es par le gouvernement pour resserrer les r gles du jeu en mati re d octroi de contrats ou de financement des partis politiques mais ces mesures ne doivent pas nous d vier de l objectif d aller au fond des choses alors que certaines all gations parlent maintenant de favoritisme dans l attribution des places en garderies Quant au PPP dans les centres hospitaliers universitaires le style de gouvernance du premier mandat lib ral est galement de retour En d pit des critiques accablantes du v rificateur la pr sidente de Conseil du tr sor et le ministr
94. per au sein des universit s une gouvernance coll giale respectant pleinement l apport des personnels Marie Blais propose appuy e par Michel Tremblay d adopter la proposition l effet que la CSN consid re n cessaire une r flexion en profondeur sur l avenir des universit s qu b coises men e au premier chef par celles et ceux qui la fr quentent et qui y uvrent et appuie en cons quence l organisation par la Table des partenaires universitaires d tats g n raux sur cette question ADOPT gt Alternatives La pr sidente Claudette Carbonneau invite Michel Lambert directeur g n ral d Alternatives ainsi que Victor Carrenza du syndicat des employ es pr senter la question de privil ge Denis Marcoux propose appuy par Jean Lacharit Que le conseil conf d ral de la CSN supporte l ONG Alternatives dans sa bataille pour assurer un financement ad quat de ses activit s de coop ration internationale et de sensibilisation du public aux enjeux politiques de la solidarit internationale Que la CSN interpelle la ministre responsable de l Agence canadienne de d veloppement international ACDI pour qu elle garan tisse Alternatives les budgets n cessaires son bon fonctionnement Que la CSN d nonce aussi la coupe radicale impos e l ONG torontoise Kairos et invite la ministre r tablir son financement ADOPTE e Conflits en cours gt Syndicat des employ es des centres d h bergement de la r
95. r al Fran ais 817 160 773 510 787 695 526675 476955 509775 Anglais 261 930 248770 237750 170 550 155 235 152230 Tierces 360 120 307 385 428 925 222 465 223 350 252 530 Anglais et fran ais 10275 12485 12550 5 940 6810 Autres multiples 17735 26155 24 990 11370 15380 Langues maternelles fran aise et tierces anglaise et tierces ainsi que fran aise anglaise et tierces Source OFFICE QU B COIS DE LA LANGUE FRAN AISE Langue du travail indicateurs relatifs l volution de la population active et l utilisation des langues au travail en 2001 fascicule 2 indicateurs 2 1 et 2 2 Il est cependant beaucoup plus difficile de conna tre pr cis ment comment une langue est utilis e au travail puisque Statistique Canada a peu de questions relatives la langue de travail Les deux questions utilis es depuis 2001 sont les suivantes 48 Dans cet emploi quelle langue cette personne utilisait elle le plus souvent 48 b Cette personne utilisait elle r guli rement d autres langues dans cet emploi 17 Rapport sur l volution de la situation linguistique au Qu bec 2002 2007 Office qu b cois de la langue fran aise 2008 p 109 682 La notion de r guli rement n tant pas d finie la r ponse peut faire r f rence une autre langue utilis e quotidiennement de fa on p riodique ou dans le cadre d activit s pr cises par exemple rencontres avec la direction formatio
96. ration compl te de la quarantaine de salari es de Cyberpresse Une belle victoire contre la pr carit et les doubles statuts Les menaces le m pris les coups de force de l employeur laissent un go t amer qui n a rien voir avec les concessions qui ont d tre consenties travers un gel des salaires pour 3 ans et la perte de la semaine de 4 jours Bravo pour le travail syndical accompli Ces dossiers tr s d licats et explosifs furent men s de main de ma tre et assure maintenant la survie de l entreprise Les r glements intervenus La Presse Radio Canada chez Transcontinental d montrent l vidence que des ententes sont possibles m me dans un contexte de restructuration profonde du secteur de l information la condition bien s r que les parties concern es se pr tent de bonne foi un exercice de n gociation Il y aura bient t 11 semaines depuis que les travailleuses et les travailleurs du Journal de Montr al ont d pos leur employeur un nouveau cadre de discussion le premier tre d pos depuis le d but du lock out qui tend maintenant vers sa premi re ann e La r ponse de l employeur tarde toujours venir une table de n gociation L obligation de n gocier de bonne foi n est pas un accessoire c est la pierre d assise de notre r gime de n gociation et un droit fondamental reconnu par l Organisation internationale du travail OIT J invite Quebecor enclencher une vraie n gocia
97. re associ s tant au plan sectoriel que r gional aux discussions concernant les changements technologiques n cessaires pour contrer les missions de GES ainsi que leur impact sur l emploi et le travail et les mesures d adaptation et de transition La cible de r duction Nous n avons pas d fini de cible pr cise mais il nous semblait normal que le rythme politique suive le rythme scientifique Nous avons propos un intervalle se situant entre 25 et 40 pour 2020 par rapport aux missions de 1990 Si le gouvernement adoptait une cible de r duction de 25 cela se traduirait par une r duction suppl mentaire d environ 19 par rapport aux missions mises en 2012 puisque nous devrions atteindre les objectifs de r duction de 6 en 2012 D ailleurs le plan d action du Qu bec sur les changements climatiques et le guide de consultation font r f rence au dernier rapport du groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC et ses conclusions 698 Secteurs prioris s Trois secteurs d activit ont t prioris s soit ceux du transport de l industrie et du b timent r sidentiel commercial et institutionnel pour les raisons suivan tes D une part ces secteurs sont responsables de la majorit des missions de GES au Qu bec puisqu on utilise des combustibles fossiles dont le p trole comme source d nergie d autre part tous les analystes pr disent la fin de l poque du p trole
98. rre vi wi vi wl STT CSN _ 12345 Savignac Dufour Patrice Wl wi wi wi wi OR CSN 12 3 4 5 Patenaude Ginette lt K 616 Liste des salari es membres de comit s conf d raux et visiteurs visiteuses Archambault Alain Archambault Mario Asselin Jocelyne Baillargeon Bruno B gin Claude Belzile Gilles Benoit Marie France Bergeron Sara Bibaud Louis Bilodeau Guy Bilodeau Pierre Luc Binette Catherine Bittar Priscilla Boileau H l ne Bradley R jean Brassard Lise Brouillard Alain Bujold Yvan Carroll Judith Chamberland Lynn Chouinard Marie Claire Cot Chantal Cot St phane Courcy Peggy Courchesne Jean Thomas Courtemanche Jean Marc Cousineau Nicole Crevier Philippe Cyr Ginette De Garie Louis Deblois Daniel Del Vecchio H l ne Demers Martin Desaulniers France Deschambault Robert Desrosiers Jos e Dion Julie Douville Christian Drapeau Denis Duchesne Alain Duval Marcel Filteau Michelle Flibotte Liane Fontaine B gin Sophie Forget Michel Fortin R jean Gagnier Jean Claude Gallichand Manon Gareau Louise Gauthier Anne Gauthier Francoise Gauthier Pierre Gauthier Val rie Girard H l ne Girard Jean Yves Gobeil Yves Godmer Carole Guay Nathalie Guertin Mario Hachey Marie Claude Hamd Abdel Harpin Marlyne Houle Chlo Houle Louis Serge Jean Th r se Joly Caroline Joly Sylvie Joncas Nathalie Joyal Yannick L Ecuyer Francois Lachance Pierre Lachance Pierre G Lac
99. rtantes compressions budg taires La rapidit avec laquelle le gouvernement semblait vouloir effectuer sa consultation pr budg taire a incit le comit ex cutif de la CSN acc l rer nos r flexions sur les finances publiques qu b coises afin d imposer un contre discours celui du gouvernement Charest et de proposer d autre choix Voil pourquoi a t convo qu les 10 et 11 novembre derniers une r union extraordinaire du conseil conf d ral sur les finances publiques qu b coises cette occasion le conseil a clairement tabli que l augmentation des revenus du gouvernement doit se faire dans le cadre d un pacte social pour lequel serait r affirm e la n cessit des services publics et les mesures de protection sociale comme tant des facteurs d terminants de la redistribution de la richesse et une composante fondamentale de l galit des chances et d une plus grande justice sociale Toutefois nous avons rejet les solutions qui reposeraient sur des compressions budg taires la privatisation des services publics ou toute augmentation des tarifs sur un panier de biens et services jug s essentiels De plus nous avons stipul que les mesures que nous pr conisions ne devaient pas nuire la sortie de crise ce qui implique que le cadre temporel de retour l quilibre budg taire pr vu pour 2013 2014 devait tre d laiss par le gouvernement qu b cois Enfin nous avons adopt une s rie de proposi
100. s avons sugg r certaines initiatives qui s inscrivent dans les orientations d j adopt es par le mouvement pour assurer un d veloppement durable comme d associer le minist re du Travail aux travaux menant l laboration de politiques et de programmes visant la r duction des GES afin de mesurer les impacts sur l emploi d inclure aux appels d offres une grille pour inscrire les actions qui r duisent les GES et qui permettraient d amasser des cr dits de carbone monnayables sur les march s r glement s de soutenir et de valoriser les entreprises de recyclage dont les projets de r cup ration du bois et de mettre en place les conditions pour d velopper un march La place des travailleuses et des travailleurs et celle de leur organisation Les prochaines phases de r duction d missions de GES risquent d tre plus exigeantes et n cessiteront une implication de tous les acteurs de la soci t qu b coise Ils seront au rendez vous dans la mesure o ils sont associ s aux d marches entreprises que les consensus n cessaires se d gagent et qu ils per oivent une r elle volont d atteindre les objectifs fix s Nous avons affirm que nous tions dispos s jouer un r le actif dans l examen des enjeux propres chaque secteur d activit et chaque r gion en mati re de r duction de GES ainsi que leur impact sur l emploi sur le travail et sur les r gions 700 Les cibles et les programmes canadiens pour le pro
101. s en d velop pement au moyen de syst mes de plafonds et d changes pour atteindre son objectif S il atteint son objectif les missions de GES diminueraient de 11 8t CO par habitant comparativement 9 t CO pour la communaut europ enne Le premier ministre ne s est pas g n non plus pour critiquer ouvertement la position du gouvernement canadien et la faiblesse du plan f d ral Il craint que les exportations canadiennes subissent les effets de son inaction en cette mati re et se voient imposer des taxes vertes par d autres pays dont ceux de l Europe Les ouvertures faites par l Organisation mondiale du commerce concernant ces taxes sont tr s menacantes pour un Qu bec exportateur de richesses naturelles et de produits manufacturiers Le Qu bec at il les moyens de ses ambitions Plusieurs analystes pensent que oui la suite de l entr e en vigueur du protocole de Kyoto le gouvernement du Qu bec a adopt un certain nombre de politiques de programmes et de mesures qui constituent son Plan d action 2006 2012 La mise en application de ces politiques et mesures lui permet de dire qu en 2012 il aura atteint la cible de r duction pour laquelle le Canada s tait engag soit de r duire de 6 ses missions de gaz effet de serre par rapport l ann e de r f rence de 1990 Ce plan comprend 26 actions de r duction ou d vitement et devrait totaliser un potentiel de r duction des GES de 14 580 kt CO
102. s gouvernements nationaux On le sait la r ussite long terme de la r duction significative des GES implique une entente l chelle mondiale entre les acteurs La logique de la concurrence entre les Etats et les firmes multinationales n incite pas tellement les d cideurs publics mettre en place des politiques qui pourraient tre consid r es contraires aux changes mondiaux Cependant les pressions de plus en plus importantes pour un changement significatif d orientation risquent finalement d amener les gouvernements nationaux ratifier un accord qui sera peut tre jug insuffisant mais qui permettra n anmoins d ouvrir la porte des transformations significatives L action de la CSI et de ses organisations affili es est en ligne droite avec cet objectif 697 M moire de la CSN sur les cibles de r duction des missions de gaz effet de serre l horizon de 2020 Le projet de loi n 42 adopt en juin dernier a modifi la Loi sur la qualit de l environnement pour y introduire un certain nombre de dispositions dont la tenue d une consultation particuli re pr c dant la d termination des cibles Plusieurs groupes cologistes des repr sentants du monde des affaires municipal et syndical dont la CSN y ont particip Le guide de consultation et les sujets sur lesquels nous tions invit s donner un point de vue nous ont permis de pr senter la Commission des transports et de l environneme
103. saire et encourag e par le syst me d ducation 687 Depuis 1995 60 des allophones vont au c gep anglais et 40 au c gep fran ais tandis que des francophones aussi vont dans des c geps anglophones La CSN n estime pas pour autant qu il est n cessaire et opportun de rendre obligatoires les tudes coll giales en fran ais comme ce l est l cole primaire et secondaire pour favoriser l int gration la soci t qu b coise des enfants des communaut s immigrantes D une part la formation dispens e par le c gep est de niveau sup rieur les tudiantes et les tudiants sont des adultes au sens de la loi et la fr quentation du c gep n est pas obligatoire au Qu bec D autre part les tudiants qui immigrent ici alors qu ils sont d j du niveau c gep doivent outre par une formation sp cifique adapt e leurs besoins mentionn e plus haut tre int gr s la soci t par les m mes moyens que ceux utilis s pour les autres adultes qui ne sont pas aux tudes Le fait par ailleurs que 60 des allophones optent pour des tudes coll giales en anglais ne signifie cependant pas qu il y a une anglicisation automatique de ces tudiants qui ont fait leur primaire et secondaire en fran ais Deux hypoth ses peuvent alors tre formul es Selon la premi re hypoth se ces tudiants cherchent une plus grande maitrise de l anglais dans l espoir de faire leur vie en anglais en Am rique du Nord et dans l conomie mon
104. st la r sultante d un mod le de consommation de production et de partage de la richesse qui s av re cologiquement socialement et conomiquement insoutenable et que c est toute la population qui en paie et continuera d en payer le prix Toute tentative de sauver ce mod le empreint de la pens e n olib rale ne fera que repousser l ultime limite un moment o la situation sera encore plus grave plus incontr lable Nous avons craindre la fa on dont seraient partag es les ressources n cessaires la vie C est maintenant qu il faut mobiliser et orienter les nergies vers l mergence d un d veloppement dont l objectif premier est le bien tre des personnes ce qui exige un meilleur partage des ressources Le respect de l environnement devient une con dition et l conomie un moyen 704 1 Un mod le de d veloppement au bout du rouleau Le d veloppement conomique qui carbure une croissance infinie une polari sation et une financiarisation outrance de l conomie est d pass au bout du rouleau rempli de contradictions et de corruptions chroniques Dans sa course effr n e l accumulation et aux profits le mod le de d veloppement capitaliste a failli ses promesses Il pille l environnement et rase le bien tre des populations en les appauvrissant toujours plus R sultat les in galit s sociales et conomiques sont de plus en plus fortes et criantes Les ressources nat
105. t et les services sociaux Attendu le caract re nominatif et confidentiel des donn es recueillies Attendu que ces donn es sont transmises dans une banque commune la RAMQ Attendu le trop grand nombre d utilisateurs pouvant avoir acc s ces donn es sans le consentement explicite des personnes concern es Attendu la menace directe que repr sente la cueillette de donn es nominatives sur le respect et la protection de la vie priv e Laurier Goulet propose appuy par Sylvie Th or t que le conseil conf d ral de la CSN appuie sans r serve la lutte du Syndicat des travailleuses et travail leurs du Centre Dollard Cormier et de la Coalition pour le respect de la confidentialit dans le r seau de la sant et des services sociaux en signant la p tition produite cet effet et en demandant tous les syndicats de la faire signer massivement par leurs membres ADOPT R union du conseil conf d ral des 8 9 10 d cembre 2008 605 gt tats g n raux sur l avenir des universit s qu b coises La pr sidente Claudette Carbonneau invite Marie Blais de la FNEEQ et Michel Tremblay de la FP pr senter la question de privil ge Attendu que le sous financement chronique des universit s qu b coises mine sa capacit de jouer pleinement son r le dans le d veloppement du Qu bec Attendu l importance nouvelle de l enseignement sup rieur dans une soci t du savoir Attendu la n cessit de d velop
106. t de la confusion pour ne pas dire qu elle cr e un v ritable mirage En effet la r ponse gouvernementale ne garantit aucune augmentation de salaire pour un contrat de 5 ans Le fameux 7 dont il est question comprend tous les co ts de main d uvre correctifs d quit salariale pour la p riode 2001 2010 relativit salariale demandes sectorielles incidence p cuniaire ajout d effectifs co t d coulant des r gimes de retraite et autres avantages sociaux Et comme le dit si bien le d p t patronal cette liste n est pas limitative Belle fa on de ne pas parler de gel tout en vidant de sa substance le concept m me d augmentation de salaire On est tr s loin des tudes de l Institut de la statistique du Qu bec tude pourtant int gr e la loi qui r git la n gociation du secteur public En novembre 2009 115 constate un retard salarial de 8 7 du secteur public qu b cois par rapport aux salaires vers s dans le reste de l conomie qu b coise pour des emplois comparables M me en prenant en compte la r mu n ration globale l cart se chiffre 3 7 et il ne cesse de s largir d ann e en ann e De 1996 2009 le pouvoir d achat des salari es de l administration qu b coise s est d t rior de 3 2 tandis qu il s appr ciait de 9 2 dans le secteur priv Nous pouvons au moins nous r jouir du style tr s diff rent de Monique Gagnon Tremblay qui n arrive pas avec l ultimatum de la sacoch
107. tabilit de la soci t d Etat et de ses projets de d veloppement et la restauration des pouvoirs de r gulation des organismes publics la nationalisation du d veloppement et de l exploitation des nouvelles nergies olienne g othermique etc Qu a la r union du conseil conf d ral de d cembre 2009 il y ait une formation politique suivi d un d bat sur les tarifs d lectricit et ce sur nos propres bases D Mesures d di es l environnement En plus des mesures pr c dentes et dans une perspective de d veloppement durable que le gouvernement du Qu bec propose des cotaxes dont les revenus seraient d di s la mise en uvre de diverses mesures environnementales 637 Annexe E Finances e tats financiers au 31 ao t 2009 e Comit de surveillance 638 639 2 Conf d ration des syndicats nationaux tats financiers 31 ao t 2009 640 CONF D RATION DES SYNDICATS NATIONAUX R SULTATS CUMULATIFS EXERCICE DE 18 MOIS TERMIN LE 31 AO T 2009 Budget Budget R el 2008 2011 18 mois 18 mois REVENUS Per capita 205 287 209 97 956 314 101 902 654 int r ts et divers 2 400 000 1 199 988 2 905 714 207 687 209 99 156 302 104 808 568 D PENSES Direction 38 581 080 19 751 440 19 513 688 Syndicalisation 21 655 684 10 709 492 7 640 490 Relations du travail 26 648 762 13 073 091 12 713 270 Communications 9 132 072 4 591 278 4 157 359 Appui aux mobilisations et la
108. te linguistique avant la loi 101 674 Tee enee 674 La Commission e E 676 E V e OP 224442 a 2 676 ER EE 678 Les effets de lav CiSion 577 678 La r action dela CSN saines 679 Quelques rep res sur la situation linguistique 5599999965 679 La langue d travail ss usines nissan 681 La recherche Ee TE Ne eg 683 La francisation des entreprises 684 12 8 1111 09 EE 684 Les travaux de la Conf d ration sur la francisation des entreprises 685 CONCESSION ERNEST a nr N SP EE 688 672 673 Introduction Il y a 40 ans la CSN r clamait que le fran ais devienne la langue commune de toutes les Qu b coises et de tous les Qu b cois Depuis ce temps plusieurs luttes ont t men es pour la protection et la promotion de la langue fran aise Bien que des progr s majeurs aient t r alis s la d cision r cente de la Cour supr me du Canada a rappel la fragilit de nos droits linguistiques en r gime f d ral Le 22 octobre 2009 c est unanimement que les juges de la Cour supr me du Canada ont invalid certaines dispositions de la Charte de la langue fran aise en mati re d acc s l enseignement en langue anglaise Dans le texte qui suit nous commenterons cette d cision nous partag
109. tion de la richesse d pendante de la d t rioration de l environnement la CSI propose d agir globalement et invite l ensemble de ses organisations affili es int grer cette question dans leur programme syndical national Porteuse d un autre mod le de d veloppement la CSI participera la prochaine conf rence de l ONU qui aura lieu Copenhague en d cembre prochain C est plus de 400 d l gu es et responsables des questions environ nementales qui se r uniront pour proposer un changement de cap important dans l mission des gaz effet de serre GES en soumettant des propositions alternatives et durables au mod le actuel de d veloppement 696 R duire significativement les gaz effet de serre La CSI r clame une r duction significative des GES entre 25 et 40 d ici 2020 elle partage l objectif du groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC G20 qui souhaite r duire d ici 2050 les GES de 85 par rapport au niveau de 1990 Pour la Conf d ration syndicale internationale cette diminution des GES doit n cessairement s appuyer sur l utilisation de ressources nerg tiques alternatives qui permettront une r duction significative des nergies carbones comme le p trole et le charbon Confront e un mod le de d veloppement massif des pays mergents et 4 une consommation effr n e dans les pays du Nord la CSI comme plusieurs groupes environnementaux revendique aupr s d
110. tion lors de la s ance de conciliation convoqu e pour vendredi de cette semaine Apr s cinq mois de gr ve les salari es du Super de Chicoutimi ont repris le chemin du travail Lentente est similaire celle sign e une quinzaine de jours auparavant par les repr 626 sentants des huit syndicats CSN de Loblaws Maxi et Maxi et Cie du Saguenay Lac Saint Jean La nouvelle convention collective sera en vigueur jusqu au 31 d cembre 2014 J aimerais faire part de la solidarit du conseil conf d ral nos syndicats en conflit aux membres du Syndicat des travailleurs et des travailleuses des centres d h bergement de la r gion des Laurentides ceux du Journal de Montr al et du Syndicat des travailleurs des ditions du R veil tous deux en lock out aux membres du syndicat du Roi du Coq R ti Sherbrooke Je vous invite tre des plus g n reux en cette campagne des paniers de No l La solidarit la vraie se doit d tre agissante pour les travailleuses et les travailleurs en conflit et pour leur famille en cette p riode particuli rement sensible soit la p riode des f tes Puis il y a bien s r la n gociation des 475 000 travailleuses et travailleurs du secteur public qui a pris son envol le 30 octobre dernier avec le d p t des demandes du Front commun La r ponse du gouvernement est venue d s le 30 novembre Non seulement elle n est pas la hauteur des attentes l gitimes des membres mais elle introdui
111. tions contenant des mesures fiscales d autres d di es l environnement en s assurant d abord que chacun s acquitte de sa contribution l tat En ce qui a trait aux tarifs d lectricit la CSN exige pr alablement toute augmentation de tarif que se tienne un d bat public o l ensemble des dimensions pertinentes devraient tre valu es notamment l impact d une augmentation de tarif selon les cat gories d utilisa teurs la nationalisation des nouvelles nergies et l imputabilit d Hydro Qu bec voir annexe Nos travaux sur les finances publiques devront se poursuivre et dans ce cadre certaines questions m ritent des r flexions suppl mentaires afin que nos positions soient mieux tay es Par exemple nous avons adopt que le gouver nement du Qu bec adopte des mesures visant stabiliser le co t des 633 m dicaments propose des cotaxes dont les revenus seraient d di s la mise en uvre de diverses mesures environnementales et value l ensemble des contri butions des soci t s aux fonds d di s de sant et de formation On nous a galement demand de faire un d bat sur la question des redevances sur l eau Enfin nous devons r fl chir sur comment rendre la TVQ plus progressive Sur tous ces sujets minemment complexes nous avons entrepris des travaux et pensons pouvoir vous les pr senter lors des deux prochaines r unions du conseil conf d ral en mars et juin 2010
112. tocole de Kyoto Le Canada a ratifi le protocole de Kyoto mais cela n a pas emp ch le gouver nement Harper d affirmer d s 2006 que les objectifs de Kyoto taient irr alistes et inaccessibles Lors de la Conf rence de Nairobi il a m me souhait r viser le protocole Les repr sentants arriveront cette conf rence avec des positions attentistes et rien ne nous indique un changement important des positions canadiennes Le gouvernement du Canada cherche r duire les GES de 20 sur la base de missions mises en 2006 d ici 2020 ce qui quivaut 3 par rapport la cible convenue dans le cadre du protocole de Kyoto Ensuite il s engage les r duire de 60 70 d ici 2050 Pour atteindre ces objectifs il s est engag e viser que d ici 2020 90 de l lectricit du pays provienne de sour ces non polluantes exemple eau nucl aire charbon propre et vent e adopter une r glementation rigoureuse pour limiter les GES provenant du secteur de l automobile e poursuivre le dialogue sur l nergie propre avec le gouvernement am ricain e investir plus de 2 milliards de dollars par l entremise du Plan cono mique pour prot ger l environnement en misant sur la transformation technologique e jouer un r le actif et constructif lors des entretiens sur les changements climatiques qui pr c deront la Conf rence des Nations Unies qui auront lieu en d cembre L analyse de la position can
113. u des particuliers et des soci t s par une refonte fiscale ax e sur une meilleure progressivit de fa on ce que les rentr es fiscales provenant de ces 636 sources d passent celui qui existait avant les r ductions d imp t accord es depuis 2006 2007 en assurant une juste contribution des individus et des soci t s Que le gouvernement du Qu bec value l ensemble des contributions des soci t s aux fonds d di s de sant et de formation Que le gouvernement du Qu bec fasse des repr sentations aupr s des autres gouvernements pour l instauration d une taxe sur les transactions financi res sp culatives Que le gouvernement du Qu bec introduise une taxe de vente suppl mentaire sur les produits de luxe C Les tarifs lectricit Pr alablement toute augmentation des tarifs d lectricit la CSN exigera Qu un d bat public large se tienne sur cet enjeu sp cifique o l ensemble des dimensions pertinentes pourra tre valu notamment l impact d une augmentation de tarif selon les cat gories d utilisateurs sur la consommation et les conomies d nergie sur les exportations etc la n cessit d assurer un financement de la recherche et du d veloppement la hauteur des d fis que nous devons relever en mati re d nergies alternatives l autonomie nerg tique du Qu bec red finir le r le et la mission d Hydro Qu bec notamment quant une plus grande impu
114. ue fran aise e Sur l ile de Montr al 64 8 des travailleuses et des travailleurs doivent avoir une connaissance minimale de l anglais s ils esp rent travailler A l ext rieur de la r gion m tropolitaine 32 3 sont dans la m me situation e Sur l le de Montr al seulement 64 8 des travailleuses et des travailleurs utilisent surtout le fran ais 18 Rapport sur l volution de la situation linguistique au Qu bec 2002 2007 Office qu b cois de la langue fran aise 2008 p 121 683 Statistique Canada ayant publi les r sultats du recensement de 2006 quelques jours avant la parution des rapports de l Office qu b cois de la langue fran aise OQLF ces donn es plus r centes ne figurent pas dans les divers documents rendus publics En 2006 le pourcentage des personnes utilisant le francais ou l anglais au travail a peu volu M me sur l le de Montr al ces changements sont peu significatifs Pour s en convaincre il suffit de regarder le tableau suivant Pourcentage d utilisation du fran ais au travail Communaut urbaine de Montr al le de Montr al CE Le plus souvent 74 73 R guli rement 15 16 Total 89 89 La recherche d un emploi En analysant les statistiques on pourrait penser que tout va relativement bien En cherchant un emploi sur le site d Emploi Qu bec on constatera plut t que l exigence du bilinguisme est tr s fortement r pandue parmi les e
115. uel Paolinelli comme nouveau pr sident de la CSN Construction de m me que celle d Eric Jobin de Jacques Vary et de Benoit Fortin qui acc dent pour la premi re fois au comit ex cutif de la CSN Construction Je tiens les assurer de tout notre soutien F licitations tous les lus de la CSN Construction et bonne chance dans l exercice de votre mandat Sur la sc ne politique un rapport d vastateur du v rificateur g n ral du Qu bec a mis en vidence la gangr ne que nous pressentions exister au c ur de nos administrations publiques Des all gations de collusion de corruption et d autres malversations ont bien stir r guli rement fait les manchettes des m dias avec une acuit toute particuli re lors des derni res lections municipales Ces all gations touchaient le processus d octroi des contrats d organismes publics ou encore les pratiques hautement questionnables de financement des partis politiques Mais d apprendre qu au sein du minist re des Transports les r gles les plus l mentaires de contr le de l utilisation judicieuse des deniers publics ont t si outrageusement bafou es de r aliser que l Agence des PPP a d lib r ment tronqu les donn es et truqu les chiffres pour servir un dogme n olib ral de plus en plus d cri dans le monde tout cela a de quoi provoquer la col re en ces temps o on souhaite demander la contribution de tous aux probl mes des finances publiques L acti
116. ugmentation des d penses nous projette tout droit dans la trajectoire des coupes massives des ann es noires de l re du d ficit z ro Jean Charest se f licite de sa bonne gestion des deniers publics Le Qu bec dit il prendra seulement 4 ans pour revenir l quilibre budg taire alors ou ailleurs au f d ral ou dans d autres provinces cette op ration se fera sur 7 ans Il n y a vraiment pas de quoi pavoiser lorsqu on sait que plan est bas sur un taux de croissance des d penses qui ne tient pas la route et sur un ch ancier tout fait irr aliste Tout en reconnaissant que l quilibre budg taire constitue un objectif souhaitable nous r it rons que nous ne devons pas lever ce concept au rang de dogme surtout lorsque les circonstances invitent une plus grande prudence Le gouvernement f d ral et celui de l Ontario se sont donn un ch ancier de retour l quilibre sur une plus longue p riode C est ainsi que la CSN demandera au gouvernement de ne pas nuire la sortie de crise de l conomie et d taler l introduction des diverses mesures sur une p riode de temps suffisante pour relancer le Qu bec Le d bat sur les finances publiques est trop important pour se r sumer quilibrer des colonnes de chiffres La CSN s est toujours oppos e au d sengagement de l tat parce que a g n re moins de prosp rit plus de pauvret de disparit s d in galit s et d exclusion En p r
117. urelles s puisent graduellement Les pollutions se multiplient au point de nuire notre sant et de rendre l eau imbuvable Le r chauffement climatique global engendr par les activit s humaines et des pratiques nergivores notamment dans les industries et le transport menace aujourd hui la survie de l humanit 2 Le d veloppement durable un projet construire collectivement Nous jeunes travailleuses et travailleurs ne sommes pas des instruments au service de l conomie mais des acteurs conscients de nos responsabilit s face aux g n rations venir Des acteurs convaincus qu un v ritable d veloppement durable n est pas un turbocapitalisme devenu vert mais plut t un projet construire collectivement et nous avons cette capacit d y participer Nous croyons que la crise actuelle est une occasion unique de redonner du sens au d veloppement conomique et de pr ciser le r le des travailleuses et travailleurs syndiqu s ou non et des syndicats dans la mise en place de conditions qui privi l gient l quit sociale l efficacit conomique la pr servation de l environnement et la d mocratie participative Nous avons la connaissance et les savoir faire pour agir sur les enjeux d aujourd hui et de demain Les travailleuses et travailleurs ainsi que les syndicats ont leur mot dire et une place prendre au sein des entreprises et des institutions pour que l emploi et la protection de
118. vernement int grer les cibles du groupe intergouvernemental d experts sur le climat le GIEC qui sont de 25 40 selon les secteurs d activit d ici 2020 Parmi les moyens que nous pr conisons pour atteindre ces cibles notons la diminution de la d pendance au p trole le d veloppement du transport 624 collectif aliment l lectricit l tablissement d un r seau ferroviaire lectrifi pour les individus et les marchandises la limitation du transport des marchandises par camion aux courtes distances un am nagement du territoire avec des quartiers chelle humaine au c ur desquels on se d place en transport collectif des constructions plus cologiques et le recours la g othermie Nous comprenons que la position qu b coise peut tre revue la hausse ce qui est une bonne nouvelle J annonce qu une d l gation de la CSN va rejoindre Copenhague les autres d l gations de la CSI et d organismes non gouvernementaux II s agit l d un enjeu citoyen de premier ordre qui interpelle aussi l conomie de demain et l action syndicale dans les milieux de travail Nous y reviendrons d ailleurs au cours de ce conseil Afghanistan Le gouvernement de Stephen Harper continue de semer la controverse avec cette histoire de complicit dans le scandale des prisonniers afghans tortur s par l arm e et la police Les r v lations du diplomate Richard Colvin ont en effet confirm que le Canada tait depu
119. wl wi wi vi Lefran ois Odette Wi vi wl wl wi Senneville Caroline wi wi vi Thibodeau Micheline wl wl wi wl wi Tremblay Claire wi wi wl vi Trudelle Jean wl wl wi wi A FEDERATION DES PROFESSIONN LES 12 3 4 5 Duceppe Yvan wi wl wi wi wi Dufour Lucie wi vi wi Wi wi Langlois Ginette vi vi vi vi vi Tremblay Michel Wl wl wi FEDERATION DE LA METALLURGIE 12 3 5 Allard M lanie wi Enault Fran ois Gamelin Yvan Isabelle Denis Lampron Alain Laviolette Marc Tremblay Jean Pierre wi da 1 IR IQ D IS KI Ki ES K lt lt lt Ss gt lt lt lt WW SW 614 FEDERATION DES TRAVAILLEURS DU PAPIER ET DE LA FORET 12345 Fortin Michel Iw Normandin Guy Parent Sylvain 1111 Pimpar St phane Wl wl wl vi wi FEDERATION DE LA SANTE ET DES SERVICES SOCIAUX 12 3 4 5 Audy Claude wi wi Baby St phanie Wl wi wi Beaulieu Line wi wl wi wi wi Begley Jeff 11124 1 Bertrand Denis wi wi Bouchard Steve Wi wl wi Boudreault Valois Wl wl Wl wi Charette Daniel wl wi wi wi wi C t Robin wl wl wl wi wl Duguay Jacqueline wi Mi wi wi Elina Guinard vi Wl wi Goulet Laurier wi Iw wi wi Grad Jean Philippe Wi vi wi Joseph Ren wl vi vi wi Wi

Procès-verbal de la 9 e réunion tenue à Québec les 8, 9 et 10

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