étude - Anil
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1. S31NYSIY SLLYS mau DiYS1Y1431 4081 318399 7730127 37803MAT 0 37 13 19309901 ENII ENS NOINIAO 1 0135 NON INVIIYHQOS S39VN3N 531 EVd 53111 SIN3IM3NNO38I 530 324370383 100 i 1984 1988 et 1992 les choix des m nages souhaitant d m nager Source INSEE Premi re septembre 1994 Souhaits des m nages en mati re de mobilit En 1984 1988 1992 Proportion de m nages Souhaitant changer de logement 210 210 193 Contraints de quiller leur logement 24 2 3 23 Ensemble des mobiles potentiels 234 233 218 Parmi les mobiles potentiels proportion des m nages envisageant d tre Propri taires 484 490 434 Locataires 423 415 47 7 i En maison individuelle 539 519 50 1 i En appartement 362 363 393 i Source Enqu tes logement Insee 2 Un point sur la recherche en mati re de choix de la localisation Logement mobilit et populations urbaines Cahiers du Programme Interdisciplinaire de Recherche sur la ville PIR Ville sous la direction de C Bonvalet CNRS Editions Paris 1994 extraits pp 59 66 Strat gies r sidentielles et localisation En fait les trajectoires r sidentielles des m nages sont diverses de mul tiples facteurs interviennent d forment la vision lin aire du lt parcours loge ent gt pour intr2. TABLEAU 613A NENAGES PERMANENTS HOBILES SELON LE MOTIF DE BEMENAGEMENT 1 PAR CATEGORIE SOCIOPAOFESSIONNELLE DE LA PERSONNE DE REFERENCE ENSEMBLE EN RAISONS RAISONS RAISONS RAISONS MOBILITE 7 CATEGORIE SOCIOPROFESSIOMNELLE PROFES PERSON LIEES AU LIEES RESIDEN AUTRES ENSEMBLE 108 NELLES LOGEMENT L ENVI TIELE HELLES FORCEE AGRICULTEURS onan TANTS 187 12 5 56 8 2 10 0 100 0 ARTISANS CONMERI 14 6 42 50 3 4 48 149 100 CHEFS 0 TPR0FESSr0s LIBERALES 15 8 12 4 48 8 3 5 45 15 0 100 0 CADRES SUPERIEURS 23 2 1 6 5 8 31 28 7 6 100 0 PROFESSIONS 15 2 13 4 64 6 35 31 91 100 0 EMPL 126 21 6 50 8 45 20 85 100 0 QUALIFIES 7 7 114 67 9 3 7 43 1 100 0 OUALIFIES 10 7 1 5 594 49 5 4 7 1 100 0 RETRAITES 20 1 24 1 28 2 60 53 163 100 0 AUTRES Pens SANS ACTIVITE PROFESSIONNELLE 51 281 38 9 7 3 75 13 1 100 0 ENSEMBLE 14 4 16 4 50 9 4 2 4 0 10 0 100 0 1 SONT PRIS COMPTE QUE LES BENAGES AYANT OEHENAGE UNE SEULE FOIS DURANT LA PERIODE INSEE enqu te logement 1988 NON MIGRANTS EN RAISONS BAISONS RAISONS RAISONS HOBILITE CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE PROFES PERSON LIEES AU RESIDEN ENSENBLE 510 HELIES LOGEMENT L EMVI TIELE HELLES ROMMEENT FORCEE AGRICULTEURS EXPLOITANTS 18 4 10 1 58 7 141 100 0 ARTISANS CO MMERCANTS 19
3. PROPRIETAIRE Ann c d installation Mensualit APL AL Habitat D Individuel D Collectif Nombre de pi ces 11 En zone 5 centre bourg 6 des pavillons des maisons individuelles 7 pleine campagne LOGEMENT ET LOCALISATION RECHERCHES Habitat Individuel Collectif Montant du loyer hors charges A Nombre de pi ces 1 Dans quel d partement cherchez vous 11 Avez vous une pr f rence pour une localisation particuli re Une commune Onon gt Laquellk Un secteur particulier gt Lequel le cas ch ant indiquer le quartier Situation et environnement recherch s En zone urbaine En zone rurale 1 centre ville 6 centre bourg 2 quartier de grands collectifs 6 tages et plus 7 des pavillons des maisons individuelles 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 8 pleine campagne 4 des pavillons des maisons individuelles 9 indiff rent 5 indiff rent Quel temps de trajet maximum accepteriez vous pour vous rendre votre lieu de travail ce n est pas un crit re essentiel pour vous 10 20 mn 30 mn Quels sont vos crit res de choix de votre futur lieu d habitation trois r ponses au plus 1 desserte par les transports commun 6 voisinage 2 acc s aux commerces et services 7 co t des logements ou des terrains 3 quipement scolaire
4. la suite de cette enqu te pourront tre r alis s en liaison avec ceux de l enqu te Proches ct Parents dans la mesure o les deux enqu tes ont en commun une probl matique li e aux trajectoires r siden tielles et g ographiques aux repr sentations aux mod les et au syst me de re production et de transmission familial d attitudes envers le logement la ville et l environnement 3 Hi rarchie sociale et hi rarchie spatiale du territoire Repr sentation socio conomique du territoire typologie des quartiers et des communes selon la profession et l activit conomique de leurs habitants Nicole Tabard INSEE avril 1993 extraits des r sultats d ensemble pp 3 23 R sum L extr me vari t caract rise premi re vue l ensemble des communes et des quartiers des grandes communes lorsqu on les compare sous l angle de l activit de leurs habitants leur profession l activit conomique des entreprises qui les emploient le ch mage Le territoire m tropolitain peut tre subdivis en quelque 7000 unit s g ographiques ayant entre 3000 et 12000 habitants desquelles il ressort 33 types socio conomiques distincts formes spatiales vari es en apparence mais solidement et durablement articul es Le territoire est l expression pr gnante de la hi rarchie sociale des fonctions mutuelles des agents des sp cialisations pro ductives En simplifiant l extr me ces 33 type
5. ANIL ASSOCIATION NATIONALE POUR L INFORMATION SUR LE LOGEMENT CONSULTATION 1995 O les fran ais veulent ils habiter MODE D EMPLOI ANIL Mars 1995 ANIL 2 boulevard Saint Martin 75010 T l 42 02 05 50 T l copie 42 41 15 10 Contenu du dossier L PRESENTATION II ENQUETE AUPRES DES CONSULTANTS OBSERVATIONS DES CONSEILLERS IV CONSULTATION DES PARTENAIRES V A PROPOS DU CHOIX DE LA LOCALISATION QUELQUES REFERENCES ANIL 07 03 1995 2 1 PRESENTATION La consultation a cette ann e pour objet l tude de la fa on dont les candidats au logement locataires ou acc dants choisissent la localisation de leur domicile Comment les fran ais choisissent ils le lieu ils vont habiter Ceci nous am ne tudier plus particuli rement 1 La zone g ographique de recherche d un nouveau logement Quelle est son tendue Selon quels crit res est elle d termin e services famille travail etc Le choix se porte t il sur un type de zone particulier urbain rural pavillonnaire 2 Les arbitrages qui gouvernent le choix de la localisation d finitive Quels sont les termes de l arbitrage entre localisation statut d occupation effort financier type d habitat d lais de r alisation du projet Quelle est la hi rarchie entre ces diff rents crit res S agissant de la m thode de m me qu en 1994 il
6. Synth se des observations des conseillers 3 Juillet 1995 R sultats complets de l enqu te nationale Renvoi aux ADIL des premiers traitements locaux et de leurs fichiers de donn es 4 Septembre octobre 1995 tables rondes locales D bats organis s dans les ADIL partir des r sultats de l enqu te et des contributions des partenaires 5 D cembre 1995 table ronde nationale ANIL 08 03 1995 4 Les lt ADIL test gt L objectif est de disposer dans quelques d partements d une tude locale approfondie Ceci suppose principalement la constitution d un chantillon local significatif pour l enqu te aupr s des consultants et la participation l quipe de conseillers charg e de l tude qualitative Il est souhaitable que dans ce groupe d ADIL soient repr sent es aussi bien des d partements tr s urbanis s que des d partements mixtes et des d partements tr s ruraux Nous invitons les ADIL int ress es se manifester d s que possible L ANIL apportera son app i si n cessaire ANIL 08 03 1995 5 II L ENQUETE AUPRES DES CONSULTANTS 1 Population tudi e Deux cat gories de m nages se pr tent plus particuli rement cette tude les m nages qui recherchent une nouvelle r sidence principale en locatif ou propri t les m nages locataires ou propri taires qui ont emm nag r cemment Ceux que les ADIL peuvent le plus fr quemment interroger sont
7. VOTRE DEMENAGEMENT Pour quelles raisons avez vous d m nag D 1 Des raisons professionnelles 4 Vous souhaitiez changer d environnement 2 Dos raisons familiales O 5 Opportunit financi re ou immobili re O 3 Vous souhaitiez changer de logement 6 Vous ticz contraint de d m nager Quelle est la raison principale 1 1 Pouvez vous pr ciser I I n A T _ Y _ _ LE CHOIX DE LA LOCALISATION Quel temps de trajet maximum acceptiez vous pour vous rendre votre lieu de travail ce n tait pas un crit re essentiel pour vous 10 20 mn 30 mn D 1 O plus Quels taient vos principaux crit res pour le choix de votre lieu d habitation trois au plus 1 desserte par les transports en commun 6 voisinage 2 acc s aux commerces et services 7 co t des logements ou des terrains 3 quipement scolaire ou universitaire 8 fiscalit locale D 4 un quartier agr able des verts 9 qualit architecturale et urbaine de l environnement 5 proximit de votre famille Parmi ceux ci quel tait le crit re principal Pour trouver votre logement avez vous d habiter aillcurs que vous ne le souhaitiez non e louer alors que vous souhaitiez acqu rir un logement non e payer plus cher que vous ne l envisagiez non prendre un logement ou un terrain pl
8. avec ses lieux attractifs ses n uds autour desquels se construit l existence individuelle le logis la maison les lieux de travail et de loisirs C est l espace concret du quotidien gt Fr mont 3 Chevalier Cette notion enrichit la caract risation spatiale des individus dans la mesure o elle s efforce de ne pas rattacher l individu un lieu unique mais un ensemble de lieux fr quent s un moment donn de son existence Un des objec tifs principaux de l enqu te sera de d crire l espace de vie individuel au moyen d un nombre r duit de caract res quantitatifs et de l analyser comme fonction des variables d mographiques et socio conomiques 2 Analyser la morphologie du territoire Un apport nouveau de cette enqu te est l analyse des pratiques spatiales par la collecte au moyen d une carte IGN des d placements pratiqu s pied au tour du logement Ainsi une premi re tape dans l analyse de l espace de vie est de d crire et d analyser la morphologie du territoire pratiqu pied autour du lo gement de l enqu l Celle ci peut tre d termin e de mani re simple obser vant si l individu a indiqu des trajets dans toutes les directions ou plus particuli rement l int rieur de certaines portions d espace puis si certaines directions pr sentent des trajets plus tendus que d autres Chaque territoire sera alors asso ci une forme g om trique et une typologie de ces formes circulaires l
9. charge I I Age du chef de m nage 1__1 Conjoint actif LOGEMENT ACTUEL LOCATAIRE OU OCCUPANT TITRE GRATUIT Ann e d installation Loyer hors charges APL AL Habitat D individuel D Collectif Nombre de pi ces Situation et environnement du logement actuel En zone urbaine 1 centre ville 2 quartier de grands collectifs 6 tages et plus O 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 4 des pavillons des maisons individuelles Profession du chef de m nage L agriculteur 2 artisan commer ant chef d entreprise 3 cadre ou profession intellectuelle sup rieure 4 profession interm diaire 5 employ 6 ouvrier 7 retrait 8 tudiant 9 autre sans activit professionnelle 0000000 PROPRIETAIRE Ann e d installation Mensualit APL AL Habitat Individuel Collectif Nombre de pi ces II En zone rurale 5 centre bourg 6 des pavillons des maisons individuciles 7 pleine campagne LOGEMENT RECHERCHE Nature de l op ration Montant de l apport personnel I 1 neufen secteur diffus 2 neufen secteur group Pr t Montant Mensualit 3 ancien sans travaux 4 ancien avec travaux 5 travaux 6 ind termin Habitat Individuel Collectif Nombre de pi ces principales Montant du projet 5 0 I dont travaux ventuels I Projct
10. les relations sociales impliqu es autour de ces lieux A cet espace social lt s ajoutent les valeurs psychologiques qui sont proje t s sur l espace et per ues gt c est l espace v cu Une s rie d entretiens permettra d ap profondir les liens entre espace de vie espace v cu et repr sentations d l envi ronnement selon diff rents crit res ge PCS type d environnement statut d oc cupation type d habitat L espace de vie d un individu un moment donn est le produit d un en semble de facteurs instantan s mais aussi de caract ristiques personrtelles d un h ritage de son pass de sa trajectoire familiale et de celle de son conjoint de l implantation de son r seau famillat ou amical ou encore professionnel s agira d tudier en quol chacun de ces facteurs influence la construction et donc l tat de l espace de vie et dans quetle mesure l individu reproduit ou non les mod les qui lui ont t enseign s dans son enfance 4 Trajectoires r sidentielles et projets D une mani re g n rale pour pouvoir interpr ter cet espace de vie autour du lieu de r sidence il est indispensable de conna tre le sentiment de l enqu t vis vis de sa localit de conna tre son lieu de rattachement personnel l endroit o il se sent chez lul d o i se sent originaire Ce sentiment d appartenance est li aux trajectoires r sidentielles et au d sir de changement Des donn es biogra phiques permettront d tabl
11. quartier etc ou un type d environnement centre ville quartier bruyant campagne lotissement trop loin du centre etc ANIL 07 03 1995 il Fiche 1 CONSULTATION FINANCIERE ADIL 1__1 Origine du consultant D partement code INSEE commune 101 I nom de la commune I Statut actuel du consultant 1 locataire du secteur priv 2 locataire HLM 3 propri taire bailleur 4 propri taire occupant 5 occupant titre gratuit 6 travailleurs sociaux 7 professionnels de l immobilier 8 collcctivit s locales Date 1__1__1951 Conscil 0 1 diagnostic J 2 plan Projet r sidentiel 1 maintien du statut actuel 2 accession la propri t 3 am lioration de P habitat 4 locatif priv 5 locatif HLM 6 investissement locatif 7 r sidence secondaire Mis part le souhait devenir propri taire pour quelles raisons souhaitez vous d m nager 1 Des raisons professionnelles 2 Des raisons familiales 3 Vous souhaitez changer de logement 4 Vous souhaitez changer d environnement 5 Opportunit financi re ou immobili re 6 Vous tes contraint de d m nager Quelle est la raison principale Pouvez vous pr ciser t I Composition du m nage Revenu mensuel net du m nage 1 c libataire veuf divorc 2 m nage 3 couple mari 4 concubins onom Nombre d enfants
12. rences territoriales appara t d autant plus Int ressante qu il existe une autre enqu te tr s compl mentaire l enqu te Espace de vie et environne ment gt dans laquelle l individu est situ par rapport son lt espace de vie Le lien entre espace de vie et r seau familial pourra alors prendre tout son sens 6 L enqu te sur La population l espace de vie et l environnement Depuis quelques ann es la protection de l environnement est devenue l objet d un d bat politique et m diatique On assiste une prise de conscience de plus en plus marqu e l chelle de la plan te des probl mes li s l environ nement catastrophes cologiques d gradation progressive du milieu naturel C est pourquoi le minist re de l Environnement a sollicit diff rents instituts de recherche pour r aliser une enqu te nationale sur les repr sentations populaires en mati re d environnement L INED a propos de r pondre cette demande en introduisant une notion individuelle plus pr cise que cetle d environnement notion d espace de vie Cette notion permet de d crire les repr sentations indivi duelles en prenant pour caract re de diff renciation le cadre de vie individuel des populatlons et d examiner si la perception de l environnement collectif et plan taire diff re selon l espace de vie individuel En 1992 l INED a donc effectu une enqu te lt Population Espace de vie et Environnement so
13. 1 possible Montant de l aide APL ou 3 retard 0 2 modifi Taux d effort apr s APL AL 11 4 d conseill LOCALISATION SOUHAITEE Dans quel d partement cherchez vous Avez vous une pr f rence pour une localisation particuli re Une commune Onon gt Laquelle I le cas ch ant indiquer le quartier Un secteur particulier non gt Lequel I Situation et environnement recherch s En zone urbaine I En zone rurale 1 centre ville 6 centre bourg 2 quartier de grands collcctifs 6 tages et plus 7 dcs pavillons des maisons individuelles 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 8 pleine campagne 4 des pavillons des maisons individuelles 9 indiff rent 5 indiff rent Quel temps de trajet maximum accepteriez vous pour vous rendre votre lieu de travail n est pas un crit re essentiel pour vous 10mn D 20 mn 30 mn F heure O plus Quels sont vos crit res de choix de votre futur lieu d habitation trois r ponses au plus 0 1 desserte par les transports en commun 6 voisinage 2 acc s aux commerces et services 7 co t des logements ou des terrains 3 quipement scolaire ou universitaire fiscalit locale 4 un quartier agr able des espaces verts 9 qualit architecturale et urbaine du secteur 5 proximit de votre famille Parmi ceux ci quel est
14. 13 0 549 18 51 100 0 CHEFS D ENTREPRISE PROFESSIONS LIBERALES 112 129 505 37 47 100 0 CADRES SUPERTEURS 10 0 1 5 64 3 40 35 100 0 PROFESSIONS INTERMEDIAIRES 27 122 624 41 361 100 0 ERPLOYES 81 20 0 56 7 5 9 22 100 0 OUVRIERS QUALIFIES 44 10 8 71 3 38 4 6 100 0 OUVRIERS QUALIFIES 7 4 120 629 51 58 100 0 RETRAITES 15 4 17 4 343 70 64 100 0 AUTRES PERS SANS ACTIVITE PROFESSIONNELLE 48 246 42 3 80 82 100 G ENSEMBLE 3 14 4 57 4 4 7 4 5 100 0 TABLEAU 613C MENAGES PERMANENTS MOBILES SELON LE MOTIF DE DEMENAGEMENT 1 PAR CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE DE LA PERSONNE DE REFERENCE HIGRANTS EN RAISONS RAISONS RAISONS RAISONS CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE PROFES PERSON LIEES AU LIEES AUTRES ENSERBLE SION NELLES LOGEMENT L EMVI 045 NELLES RONNEHENT FORCEE AGRICULTEURS TANTS 28 9 28 7 42 4 lt 100 0 ARTISANS CDMMER 37 9 24 5 10 0 2 7 100 0 CHEFS D LIBERALES 75 8 2 125 k 148 100 0 CAORES SUPI 72 9 1 9 47 106 100 0 EANEDIAIRES 62 3 215 54 24 07 100 0 APLOYES 49 0 341 21 08 14 1 100 0 OUVRIERS QUALIFIES 60 5 20 0 11 9 0 9 5 6 7 100 0 OUVRIERS NOM QUALIFIES 61 0 19 9 60 24 W 110 100 0 RETRAITES 390 50 8 36 21 921 37 100 0 AUTRES PERS sus ACTIVITE PROFESSIONNELLE 8 2 67 3 245 100 0 ENSEMILE 53 0 30 7 55 4 0 8 LE 4 100 0 1 NE SONT PRIS QUE LES AYANT DEMENAGE UNE SEULE FOIS DURANT
15. LA PERIODE JHSEE enqu te logemont 1988 9861 JIST vu massa ez s rg zs 7959038 ALIALION SKVS 5839 17 5 6 24 EZ i 0 5 va ge Se Sanaa 54015534041 zor La 5 6 132 lt Es 0 EXT 5 sZ ASTERINA 4389 1 10 s 9 8 2 57 60 SUNAINA LA 30 34405434 VY 30 3713440553 0840130 918003182 NOTIS SIYNIM 571 53112 SIN3DGANO2NI 530 3200394 ELL MIIL 89961 3689091 3351 ra 04 WIORIN 9141 Tasse s 4 02 Y39031 1NVIIVHNOS 1 19 INYLIVHNOS SR1NYSI3nSNI SIUL 23 Fa ss sn SA INVLIVAROS 84 95 LXYLTYHNOS 1XYLIYWNOS 1748 ze se 54 ANYLIYHNOS M397H3M30 INVLIVENOS SILNNSIVASLLNS Ew 3745593 9 SYd 3H
16. a priori les candidats l accession lors des consultations financi res les m nages emm nag s r cemment lors de consultations juridiques Pour s assurer d un nombre suffisant de r ponses notamment dans les d partements ruraux moindre mobilit peuvent tre d finis comme emm nag s r cents les m nages install s dans leur logement depuis 4 ans au plus Il s agira l du noyau dur de l enqu te nationale Toutefois les ADIL qui re oivent de nombreuses visites de m nages la recherche d un logement locatif pourront galement dans la mesure de leurs possibilit s r aliser une enqu te aupr s de ce type de consultants 2 Contenu de l enqu te Les questions pos es aux consultants concernent les caract ristiques du m nage enqu t les motifs du d m nagement le logement initial 1 logement d arriv e gt c est dire selon les cas le logement actuel ou souhait les termes du choix de la localisation Les trois cat gories de m nages tudi es ne pouvant tre interrog es exactement en les m mes termes trois fiches d enqu te ont t tablies ANIL 07 03 1995 5 Fiche 1 m nages candidats Pacquisition d un logement Cette fiche est compl t e lors des consultations financi res d une part pour les locataires ou occupants titre gratuit candidats l accession d autre part pour les propri taires occupants qui souhaitent
17. acqu rir une nouvelle r sidence principale Fiche 2 m nages emm nag s r cents depuis 4 ans au plus qu ils soient locataires ou propri taires Cette fiche est compl t e l occasion de consultations juridiques Fiche 3 m nages la recherche d un logement locatif Cette fiche est galement compl t e l occasion des consultations juridiques dans les ADIL qui souhaitent proc der cette enqu te compl mentaire Vous trouverez ci apr s une description d taill e de chacune de ces fiches 3 D roulement de l enqu te L enqu te se d roule pendant trois mois de d but mars d but juin 1995 Il est bien s r souhaitable que toutes les ADIL y participent Le tableau joint montre que contribution minimale par ADIL pour obtenir un chantillon national suffisant 3500 fiches n 1 et 3500 fiches n 2 est assez modique Celle ci est fix e au prorata du nombre de m nages du d partement Toutefois les ADIL qui souhaitent proc der un traitement local significatif ont tout int r t recueillir un plus grand nombre de fiches Les fiches d enqu tes sont retourn es au fur et mesure une ou deux fois par mois selon la quantit qui en assurera la saisie Les fichiers informatiques correspondants vous seront retourn s l issue de l enqu te en format EXCEL 4 0 si vous souhaitez r aliser un traitement local complet En tout tat de cause un premier traitement local sur papier
18. le crit re principal N 11 Pour trouver votre logement tes vous dispos habiter ailleurs que vous nc l envisagiez oui non rechercher un logement cn locatif non payer plus cher oui D non acheter un logement ou un terrain plus petit D oui non habiter en collectif plut t qu en individuel 7 D oui non acheter un logement ancicn plut t que neuf D non diff rer votre projet vous voudriez pas habiter nom de lieu ou type d environnement FICHE 2 RECENTS Fiche remplie lors des consultations juridiques pour les locataires ou propri taires occupants qui ont emm nag depuis 4 ans au plus soit depuis le d but de Pann e 1991 Elle est compl t e en plus des fiches de consultation juridique habituelles Chaque ADIL conserve ses fiches juridiques et n envoie P ANIL que cette fiche d enqu te Remarques Cette fiche est une version simplifi e de la pr c dente elle comporte cinq s ries de questions sur les caract ristiques du m nage le logement actuel le logement pr c dent les raisons du d m nagement et le choix de la localisation Quelques pr cisions toutefois Revenu mensuel net du m nage une r partition par tranches est propos e cette information tant plus d licate recueillir qu au fil d une consultation financi re Le cas ch ant cette question pe
19. localisation Logement mobilit et populations urbaines Cahiers du Programme Interdisciplinaire de Recherche sur la ville PIR Ville sous la direction de C Bonvalet CNRS Editions Paris 1994 extraits pp 59 66 Hi rarchie sociale et hi rarchie spatiale du territoire Repr sentation socio conomique du territoire typologie des quartiers et des communes selon la profession et l activit conomique de leurs habitants gt Nicole Tabard INSEE avril 1993 r sum Un exemple de d coupage du territoire pour l analyse du march local de l habitat Le d coupage en bassins d habitat et la typologie des communes utilis s par l Observatoire R gional de l Habitat et de P Am nagement du Nord Pas de Calais Source Enjeux et perspectives de l habitat en r gion Nord Pas de Calais octobre 1993 ANIL 07 03 1995 19 1 La localisation et l environnement dans PEnqu te Nationale Logement ENL 1988 les raisons du d m nagement pour les m nages mobiles les inconv nients cit s par les m nages selon qu ils souhaitent ou non changer de logement donn es encore indisponibles pour PENL 1992 TABLEAU 612 MENAGES PERMANENTS MOBILES SELON LE MOTIF DE DEMENAGEMENT 1 PAR AGE DE LA PERSONNE DE ENSEMBLE RAISONS RAISONS RAISONS RAISONS HOBILITE DE LA PERSONNE PADFES P
20. r alit et ne peut s appli quer toutes les agglom rations Les travaux du s minaire lt Strat gies r sidentielles gt ont le m rite de constituer une tape dans la recherche sur les questions du logement et de la lo calisation Une tape et c est important de le rappeler ici franchie par une quipe de chercheurs compos e de d mographes de g ographes de sociologues et d conomistes La r flexion sur les logiques r sidentielles des m nages s est poursuivie dans le cadre de l atelier SRAI o la question de l quilibre propri t location est apparue fondamentale parce qu elle suppose aussi bien dans l esprit des pouvoirs publics des m nages que des chercheurs l existence implicite d une hi rarchie r sidentielle qui irait de l habitat insalubre en passant par l habitat social et priv pour aboutir l accession la propri t En effet dans un grand nombre de re cherches la propri t appara t comme le sommet de l chelle r sidentielle l aboutissement de tout lt cursus logement gt r pondant ainsi un d sir d ascen sion sociale la propri t tant devenue une norme lt o les propri taires sont des heu reux et les locataires sont inscrits dans un espace sinon n gatif du moins qualifi de purgatoire en attente de propri t gt C Bonvalet A Gotman d 1993 IV Vers de nouvelles perspectives A L HEURE ACTUELLE UNE NOUVELLE TAPE semble merg
21. tes contraint 4 d m nager Quelle est la raison principale N 131 Pouvez vous pr ciser V Recherche d un logement plus grand CARACTERISTIQUES DU MENAGE Conjoint actif gt Il s agit bien de savoir si le conjoint est actuellement en activit ce qui correspondra pas forc ment la d finition du conjoint actif au sens PAP ou PAS LE LOGEMENT ACTUEL importe d indiquer le montant du loyer hors charges celles ci n incluant pas toujours les m mes frais il serait ensuite hasardeux de comparer des montants de loyers charges 07 03 1995 9 Situation et environnement du logement actuel gt En zone urbaine les consultants qui n habitent en centre ville pr cisent s ils se trouvent dans un quartier de grands immeubles collectifs grands ensembles notamment dans un quartier de petits immeubles collectifs ou mixte petits collectifs pavillons dans un quartier de maisons individuelles En zone rurale pleine campagne correspond aux hameaux et maisons isol es LE LOGEMENT RECHERCHE Les questions sur la composition de l apport personnel ont t supprim es pour all ger le questionnaire elles feront l objet d une enqu te ult rieure Nature de Pop ration le cas ind termin est ajout P ventail de r ponses habituelles p ur les consultants dont le choix n est pas encore fix l issue de l entretien LA LOCALISA
22. uni quement sur la propri t du logement importe d tre propri taire notamment pour chapper aux HLM dont l image reste tr s d valorisante 3 La troisi me cat gorie de m nages comprend ceux qui n ont ni le choix de la localisation ni le choix du statut d occupation On les trouve dans tes HLM de la p riph rie dans les logements inconfortables du pare ancien Se classent galement lans cette cat gorie les m nages dont l implantation est li e des r seaux migra Ge et professionnels exempie des personnels de service trangers 4 Le dernier groupe comprend les personnes b n ficiant d une rente de si tuation que ce soit le logement h rit ou acquis gr ce un h ritage l HLM bien si tu ie logement de fonction ou encore le logement loyer faible M me si le quar tier ne correspond pas tout fait leurs d sirs l avantage d un tel logement les fait rester quitte acqu rir une r sidence secondaire ou un logement de rapport Mais cette typologie n est pas statique elle volue dans ie temps car beau coup pour faire correspondre l image qu ils ont de leur position dans la soci t ont d accepter un moment de leur cycle de vie une localisation ou un statut qui ne les satisfaisait que partiellement dans le but d ajuster ult rieurement leur posi tion sociale et leur position r sidentielle Cette typologie est critiquable dans la mesure o comme toutes les typologies elle simplifie la
23. ERSON LIEES AU LIEES A BESIDEN AUTRES ENSEMBLE DE REFERENCE SION NELLES LOGEMENT L ENVI TIELLE CAS KELLES ROUNEMENT FORCEE i MOINS 30 ANS 16 9 108 618 32 07 6 7 100 0 30 39 ANS 1 8 14 9 598 33 29 7 3 100 0 DE 40 49 AMS gt 52 42 524 40 42 84 00 DE 50 59 AKS 44 204 378 5 2 92 130 109 0 DE 60 69 ANS 23 9 21 1 29 5 5 2 42 16 2 100 0 70 ANS PLUS 68 285 30 7 8 6 6 5 180 100 0 ENSEMBLE 15 4 56 9 4 2 4 0 19 6 100 0 KTGRANTS EN 8415085 RAISONS RAISONS RAISONS AGE DE PERSONNE PROFES PERSON LIEES AU LIEES RESIDEN AUTRES ENSEMBLE DE REFERENCE SION NELLES LOGEMENT 1 TIELLE CAS i KELLES RORNEHENT FOBCEE HOINS DE 30 ANS 98 104 69 4 35 88 62 102 0 i DE 30 39 ANS 6 8 13 8 65 3 37 32 6 6 100 0 DE 40 49 ANS 81 139 589 1 54 82 100 LE 50 59 ANS 10 2 17 7 42 7 5 8 10 4 132 100 0 2 DE 60 69 ANS 17 8 16 1 35 9 5 7 51 19 4 100 0 70 ANS ET PLUS 54 201 3551 103 23 24 ENSEMBLE 8 3 14 4 57 4 4 7 4 5 10 0 100 0 MIGRANTS EN 2 RAISONS ROBILITE LA PERSONNE LIFES RESIDEN AUTRES ENSEHBLE DE REFERENCE TIELLE CAS FOBCEE 30 ANS 06 i 39 AMS 05 128 49 ANS 89 ARS 1 5 11 4 69 ANS 28 24 ET PLUS 25 63 0 8 42 i 11 NE SONT PRIS EN QUE LES MENAGES AYANT WNE SEULE FOIS DURANT LA PERIODE INSEE anqu te logosent 1988
24. TION SOUHAITEE Dans quel d partement cherchez vous le cas ch ant plusieurs r ponses possibles en Tle de France notamment lt Avez vous une pr f rence pour une localisation particuli re gt l objectif est ici de savoir si la zone de recherche du nouveau logement est plus ou moins tendue et d termin e et si possible quelle est elle gt S il s agit d une commune la zone est d j consid r e comme bien circonscrite gt S il s agit d une zone plus tendue ou plus floue on parlera simplement de secteur particulier Celui ci peut tre par exemple l ouest de l agglom ration les environs de telle commune la ville nouvelle gt etc gt Si le consultant n a ni commune ni secteur particulier en vue les deux cases non sont coch es Le traitement national l mentaire ne portera que sur l alternative commune secteur particulier pas de pr f rence d termin e solution par d faut La question ouverte quel secteur ou commune est destin e au traitement local la r ponse peut tre d taill e volont vous pouvez notamment pr ciser le quartier recherch pour les grandes communes ANIL 07 03 1995 19 Exemple 1 Dans quel d partement cherchez vous IZ51et93 Avez vous une pr f rence pour une localisation particuli re Une commune 7 Onon Ooi gt Laquelle PARIS 11 me ou 12 me Sinon un secteur particuli
25. actuelle L enqu te permet la fois d approfondir la connaissance de ja famille tendue di mension et composition de la parent extension dans l espace physique et social et sa capacit de transmission h ritabilit des conduites r sidentielles profes sionnelles ainsi que d explorer le r seau des affinit s et d tudier avec pr cision les usages sociaux du r seau familial et amical L une des grandes originalit s de cette enqu te consiste situer chaque in dividu interrog la fois dans sa parent le et dans le groupe plus restreint de ses proches compos s de membres choisis de la famille et d amis Elle fournit des donn es pr cises sur toutes les aides re ues dans le domaine du logement par la famille et les amis sur les statuts d occupation les lieux de r sidence des proches et de la parent Le SRAI se propose de compl ter cette approche quantitative par une campagne d entretiens approfondis centr s plus sp cifiquement sur la probl matique des positions r sidentielles statut localisation type d habitat s agira en particulier de voir dans quelle mesure les proches contribuent d finir le champ des souha tables et des possibles de l individu en mati re de r sidence et plus largement de r f rences territoriales et inversement comment la position r sidentielle se trouve constitu e en enjeu dans une famille Cette orlentation de l enqu te Proche et Parents vers l espace familial et ies r f
26. ale Pouvez vous pr ciser 4 Vous souhaitez changer d environnement 5 Opportunit financi re ou immobili re 6 Vous tes contraint de d m nager Composition du m nage c libataire veuf divorc 2 jeune m nage 3 couple mari 4 concubins Profession da chef m nage agriculteur artisan commer ant chef d entreprise cadre ou profession intellectuctle sup rieure profession interm diaire employ ouvrier retrait tudiant autre sans activit professionnelle LS LOGEMENT ACTUEL LOCATAIRE OU OCCUPANT A TITRE GRATUIT Ann e d installation Loyer hors charges APL AL Habitat O Individuel a Collectif Nombre de pi ces Situation et environnement du logement actuel En zone urbaine 1 centre ville 2 quartier de grands collectifs 6 tages et plus 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 4 des pavillons des maisons individuelles Nombre d enfants charge l Age du chef de m nage 1 t Conjoint actif O non Revenu mensucl net du m nage 1 moinsde 5000 F 2 de 5000 moins de 7 500 F 3 de 7500 moins de 10 000 F 4 de 10 000 moins dc 12 500 F 5 de 12 500 moins de 15 000 F 6 de 15 000 moins de 20 000 F 7 de 20 000 moins de 25 000 F 8 de 25 000 moins dc 30 000 F 9 30 000 F et plus
27. des ciff rents milieux il leur est apparu n cessaire de prendre en compte une unit observation largie savoir le groupe familial et les flux Inter et intrag n ra tionnels positifs ou n gatifs circulent entre les membres de la parent le L objectif de cet atelier tait d tudier dans un prem ier temps les corr la tions intrafamiliales des pratiques r sidentielles et leurs op rateurs Les auteurs ont donc cherch identifier la fois les indicateurs et les m canismes de la production des statuts r sidentiels aides donations h ritages recommanda tions ou flux patrimoniaux lieux de r f rence effets de transmission mat rielle et identitaire dans les choix et opportunit s qui s offrent chaque g n ration Toutefols l analyse des r sultats des enqu tes INED GERM des monographies ne doivent pas induire une vision d terministe des pratiques du fogement o les individus se contenteraient de reproduire la position r sidentielle de leurs pa rents L introduction de fa notion de strat gie est essentielle dans la mesure o elle laisse une part de choix aux individus et ouvre l horizon des possibles La fa mille constitue ou a constitu un univers r sidentiel auquel l individu selon les circonstances et les opportunit s pourra se r f rer ou qu au contraire il pourra ignorer voire re eter L s choix effectu s par les m nages apparaissent alors comme le produit complexe de la rencont
28. emande les politiques locales de l habitat 2 Agences d urbanisme directions r gionales et d partementales de l quipement observatoires de l habitat etc Les th mes sont a priori les m mes que pour le groupe pr c dent La contribution de ces organismes documents d tudes puis entretiens ventuels peut tre surtout sollicit e pour les deux premiers Th me 1 le march local de l habitat On recherchera notamment quels sont les d coupages et les typologies utilis es pour l tude du march local Celles ci pourront tre en effet employ es pour le traitement de l enqu te aupr s des consultants Vous trouverez ci joint l exemple de la typologie tablie par l Observatoire R gional de l Habitat de la r gion Nord Pas de Calais ANIL 07 03 1995 17 Th me 2 la demande et les choix de localisation des m nages la demande dans le secteur social pour les crit res de choix Pimpact ventuel des r gles d urbanisme et des projets d am nagement Th me 3 la prise en compte de la demande les politiques locales de habitat 3 Organismes HLM Th me 2 la demande et des choix de localisation des m nages l analyse de la demande dans le secteur social Pour ces questions certains organismes HLM peuvent disposer de donn es consistantes se renseigner sur l exploitation qui est faite des fichiers de demandes le bilan social des organismes les enqu t
29. er non gt Ecquel 1 I Exemple 2 Dans quel d partement cherchez vous 1591 Avez vous une pr f rence pour une localisation particuli re Une commune non gt Laquelle 1 Sinon un secteur particulier 7 Onon gt Lequel 71 Lille Villeneuve d Ascq 1 Quel temps de trajet maximum accepteriez vous pour vous rendre votre de travail moins que le consultant ne consid re que ce n est pas un crit re essentiel pour lui indiquer le temps maximum tol r quelque soit le mode de transport utilis lt Quels sont vos principaux crit res pour le choix de votre futur lieu d habitation gt les conseillers ne d taillent pas d embl e les diverses solutions ils cochent celles ci selon les r ponses donn es spontan ment pas les consultants Vous retiendrez trois r ponses au plus puis pr ciserez s il y a lieu quel est le crit re principal Crit re n 9 qualit architecturale et urbaine du secteur quartiers ou villages historiques qualit du patrimoine x lt Pour trouver un logement qui vous convicnne tes vous dispos gt cette question pour objet de cerner les termes de l arbitrage entre localisation statut montant et taille du projet importe de proposer au consultant toutes ces alternatives L vous ne voudriez pas habiter en r ponse cette question ouverte peut tre indiqu un nom de lieu ville
30. er dans la recherche sur le logement et la ville Elle ne constitue pas une rupture par rapport aux travaux pr c dents mais plut t un approfondissement qui int gre l environne ment de l habitat ct les r seaux familiaux ou amicaux qui s y cr ent La majorit des travaux cit s dans la premi re et la deuxi me partie s int ressent aux personnes tra vers le logement c est souvent le chef de m nage qui est pris en compte ou travers la migration tudi e comme un ph nom ne individuel A partir des ann es 80 l indi vidu cesse d tre appr hend un instant donn partir de caract ristiques simples comme le revenu la classe sociale le statut d occupalion et le lieu de r sidence Les travaux r cents ou venir mettent au contraire l accent sur les processus sur l exis tence de r seaux ou encore sur la notion d espace de vie Pour comprendre la position r sidentielle des individus statut d occupation localisation type d habitat il appa d sormais impossible de ne pas faire r f rence aux trajectoires familiales aux questions interg n rationnelles et aux repr sentations des lieux v hicul es par l indi vidu lui m me ou par ses proches Ces recherches s inscrivent dans les perspectives ouvertes au cours de ces derni res ann es par l analyse longitudinale LE LOGEMENT ET LA LOCALISATION AU REGARD DES TRAJECTOIRES FAMILIALES Cette approche n est pas r ellement neuve Dans les grandes enqu tes sur
31. es ventuelles sur la mobilit interne les pr f rences et la satisfaction des locataires les tudes sur le peuplement du parc etc Des contacts sont en cours avec de mettre au point les termes d une collaboration plus troite avec les organismes HLM dans le cadre de cette consultation 4 Lotisseurs promoteurs et constructeurs agents immobiliers ou notaires Th me 1 le march local de l habitat Th me 2 la demande et des choix de localisation des m nages Th me 3 la prise en compte de la demande 5 Caisses d Allocations Familiales Th me 2 du moins pour la demande et des choix de localisation des m nages modestes Dans quelle mesure ces m nages se r servent ils quand m me une marge de manoeuvre en mati re de localisation Marquent ils malgr les contraintes qui p sent sur eux des pr f rences en mati re de localisation Lesquelles 08 03 1995 18 V A PROPOS DU CHOIX DE LA LOCALISATION QUELQUES REFERENCES 1 La localisation et l environnement dans l Enqu te Nationale Logement 1988 les raisons du d m nagement pour les m nages mobiles les inconv nients cit s par les m nages selon qu ils souhaitent o non changer de logement donn es encore indisponibles pour 1992 ENL 1984 1988 et 1992 les choix des m nages souhaitant d m nager statut et type d occupation Un point sur la recherche en mati re de choix de la
32. illes jeunes avec enfants en accession les centres d agglom ration concentrant les m nages de petite taille et le locatif priv Nous disposons pos de donn es plus fines concernant tes caract ristiques des diff rentes banlieues industrielles ou mixtes ou des conurbations industrielles peut cependant penser que ces secteurs sont la fois soumis leurs logiques traditionnelles d volution propre d sindustrialisation et restructuration ou destructuration et si leur localisation s y pr te comme les secteurs de Lens ou Douai aux ph nom nes qui affectent l ensemble de l axe Nord Sud de lo r gion Un autre point est p rennit dans l avenir de ce type de croissance face une baisse importante de l accession notamment sociale les moteurs physiques de la croissance urbaine risquent de se resserrer un peu et rendre plus cruciale ta question de reconqu te urbaine de l int rieur restructurations r novations Typologie d finition D finitlon du type Centres P les urbains P les secondalres P les ruraux Banlieues industrielles Banlieues mixtes Conurbatlons Industrleiles P r urbaln Poche rurale Banlieue r sidentielle Zones touristiques Communes pr sentant un caract re tr s marqu de centralit l chelle de la r gion Communes centres de bassins d habitats Importants Commune
33. imension sociale de l espace et des interactions entres les dimensions sociales d mographiques et ethniques La seconde part du principe qu il existe une confrontation entre et la demande en termes de sous march s au sein desquels les m nages trouvent se loger La position dans le syst me productif est un d terminant fondamental de la position dans l espace selon N Tabard Cette perspective a permis de mieux cemer les contraintes de l espace de la distance au travail ainsi que le r le de la mobilit dans la restructuration de l espace urbain et inversement celui de la re structuration urbaine sur les comportements des m nages La division de l espace comme ou traduction de l espace social mise en vidence par N et 1 Adelghi laisse sous entendre des strat gies r sidentielles visant faire corres pondre la position g ographique la position sociale Le r sultat de ces mouve ments et mouvements aboutit une recompositlon de l espace urbain Toutes les villes n occupent pas les m mes fonctions et on observe dans le syst me ur bain fran ais une certaine sp cialisation des villes Corbeil Essonnes par exemple est un lieu de passage un moment bien particulier du cycle de vie celui de la constitution de la famille et de la pr paration l accession la propri t Mais c est aussi pour quelques uns lt le terminus de trajets r sidentiels gt Les ville
34. in aires m me r duites ou inexistantes pourra tre esquiss e Chacune des formes de ces territoires de vie pourra tre interpr l e comme une appr hension particuli re de l espace en fonction de l ge du milieu social de l environnement urbain ou ru ral de la taille de l agglom ration et du type d habitat environnant immeubles ur bains environnement mixte pavillons grands ensembles 3 Construction de l espace de vie Une fois le territoire individuel reconstitu il sera d compos en deux par tles celle en moyenne proche du logement et celle plus loign e Les motifs de fr quentation ont t recueillis de mani re mieux cerner pourquol l individu se d place vers des lieux loign s de son logement et non vers certains lieux plus proches L attraction vers certaines zones ou au contraire la r pulsion ou le manque d int r t pour d autres pourront ainsi tre analys cs la lecture des ques tionnaires montre que tes motifs de r pulsion sont li s des crit res tels que diffi cult s d acc s pr sence d une usine d une population trang re endroit mal fr Qquent L usage de l espace de la ville des quartiers devrait appara tre et four nir une typologie des espaces de vie selon des caract ristiques individuelles A Fr mont distingue les trois termes espace dc vie espace social et es pace v cu L espace social comprend outre les licux lt
35. ir les trajectoires r sidentielles en fonction des diff rents types d habitat pavillon maison individuelle pavillon en lotissement ap partement et des localisations g ographiques ville banlieue bourg village Trois types de trajectoires r sidentielles seront retenues celles uniquement rurales celles uniquement urbaines et enfin celles qui pr sentent un caract re mixte Ces trajectoires pourront tre reli es la partie du questionnaire consacr e aux pro jets de d m nagement dans laquelle l enqu t indique les types de localisation o pourrait envisager de r sider et ceux o il ne souhaiterait pas r sider 5 Espace de vie Espace de vie urbain La notion d espace de vie telle qu elle est envisag e dans l enqu te devrait permettre de dire si le classement rural urbain habituellement adopt d finit des populations aux espaces de vie diff rents Un autre mode de classification pourrait tre propos qui serait non plus collectif mais individuel non plus fond sur un unique crit re de taille des populations regroup es mais sur l espace de vie des individus Par exemple que peut signifier habiter milieu rural si l espace de vie pratiqu par un individu est essentiellement urbain Des cat gories d espaces de vie plus pertinentes devraient tre d gag es espaces de vie essentiellement ru raux urbains ou mixtes ou encore sans sp cification particuli re Les entretiens non directifs pr vus
36. la position sociale des m nages Comme le souligne Brun lt s int resser des strat gies de localisation c est admettre que l attractivit n est pas un attribut conomique simple et univoque des espaces et des localisations mais un fait de repr sentation sociale Quatre groupes sont ainsi distingu s 1 La premi re cat gorie regroupe les m nages qui peuvent tenir une posi tion r sidentielle la fois du point de vue de la localisation dans l agglom ration et du statut de propri taire quitte parfois sacrifier leur espace en habitant dans un logement plus petit l essentiel dans ce cas tant la bonne localisation dans un quartier bien desservi 2 Les seconds correspondent ceux qui ne peuvent faire co ncider totale ment position sociale et position r sidentielle 115 vont donc op rer un choix ils ont tes moyens de se loger dans le quartier qu ils privil gient parce que ce dernier correspond leur position sociale et leur mode de vie mais ne pouvant acheter ils restent locataires m me s ils doivent sacrifier un peu d espace logement ils n ont pas le choix du quartier dont les prix aussi bien l achat qu la location sont inabordables et vont alors miser pour v loriser leur position r siden tiella sur le statut de propri taire et souvent sur l espace procur par la maison indi viduelle Pour les cat gories moins ais es la position sociale va donc reposer
37. les migrations A Girard G Pourcher D Courgeau voquent le r le des r seaux familiaux dans les processus migratoires L Roussel 1976 et C Gokalp 1978 montrent dans leurs travaux l tonnante proximit entre les diff rents membres de la famille Toutefois ces auteurs se sont arr t s la simple description d un fait d une r alit prouvant la survivance des liens familiaux dans la soci t urbaine Mais le r le de Ja famille dans la production de cette soci t urbaine dans la pro duction des villes des quartiers dans la constitution d un territoire de r f rence n avait jamais t analys en tant que tel En 1982 dans un article de Population M Gribaudi franchit un cap en analy sant les strat gies migratoires au sein des familles En effet le r le de la famille n est plus appr hend par l existence ou de liens entre le lieu de d part vi sites retour au pays r sidence secondaire et le lieu d arriv e existence de rents d j install s aide l insertion des nouveaux migrants M Gribaudi teste partir d une enqu te monographique sur un quartier de Turin l hypoth se sui vante les individus ne se mesurent des cat gories abstraites comme les classes sociales le revenu ni des m canismes objectifs comme une ascension une descente sociale Ils comparent en fait sans arr t leur trajectoire des images concr tes celles de leurs parents et de leurs proches Com
38. ls venus chercher dans tel ou tel secteur et comment cherchent ils l origine avaient ils d autres secteurs en vue auxquels ils ont d renoncer 7 Pourquoi Quels secteurs Les situer En d finitive il s agit notamment d tudier leur appr hension du march local de l offre disponible des diff rents lt micro march s gt 5 Les termes de l arbitrage entre les crit res essentiels de localisation taille effort financier et statut Quels sont leurs choix au cours de la consultation les termes des simulations successives sur quels crit res jouent ils et dans quel ordre de pr f rence Ce qu ils vont faire ensuite leurs intentions d lai et chances de r alisation du projet La m thode employ e Les conseillers proc dent quelques tudes de cas plus ou moins approfondies selon l entretien qu il aura pu avoir avec les m nages I constitue chaque fois un dossier qui comprend une copie de la fiche d enqu te ses observations sur les points indiqu s ci dessus et le cas ch ant les simulations successives qui ont t effectu es ventuellement une carte sur laquelle sont report es les zones ou axes de prospection du consultant les zones de rejet la localisation de son logement actuel Raisonnablement chaque conseiller peut r aliser une petite dizaine d tudes de cas d taill es fond es sur un entretien approfondi Pour les autres consultants il peut se conten
39. me l crit H Le Bras dans la pr face de l article lt D s lors tel dont l ascension est modeste devient l gal du roi dans sa famille ou son village et tel autre qui a franchi plusieurs barri res sociales n a pas mieux fait que son cousin ou son a eul dont on raconte encore la fortune gt partir de l analyse de 90 familles sur quatre g n rations entre 1850 et 1920 l auteur montre comment les trajectolres Interf rent les unes avec les autres comment fa prise en compte de la m moire familiale permet de d celer les diff rences d aspirations et de choix effectu s par l individu au cours de son existence En 1988 suite aux travaux du s minaire lt Strat gies r sidentielles un pe tit groupe de chercheurs 25 a d cid avec le soutien financier du Plan Construction et Architecture d approfondir cette approche Interg n rationnelle partir de la notion de statut r sidentiel Partant du constat que les l ments expli catifs classiquement utilis s dans l analyse de l accession la propri t et de la lo cation capacit de mobilisation instantan e du cr dit bancaire et structure de l offre ne permettent pas de comprendre les strat gies r sidentielles dans teur complexit ils ont recherch dans l histolre familiale les l ments de compr hen sion qui faisaient d faut Pour les strat gies r sidentielles des m nages
40. mographique est rapide tant par immigration que par mouvement naturel n y pas de diff rence d ordre hi rarchique entre les deux derniers p les tous deux populaires Leur fronti re n est d ailleurs pas tanche en d pit d activit s productives tr s diff rentes agricole et industrielle Le p le agriculture artisanat repr sente 13 la population plus que la population agricole proprement dite qui repr sente environ 5 des actifs Selon que les actifs de l agriculture voisinent avec les artisans ou avec les ouvriers deux formes d espaces agricoles se distinguent Le premier voisinage caract rise la partie la plus rurale de ce p le situ e 40 en dehors des zones de peuplement industriel et urbain communes se d peuplant par migration et plus encore en raison d un fort d ficit des naissances par rapport aux d c s Le second voisinage correspond un espace moins 14 de population hors des ZPIU aux activit s industrielles sp cifiques travail du bois et industries agro alimentaires mais o certaines autres activit s industrielles ont un poids important le b timent les textiles Le p le ouvrier tr s Important 36 de la population n est pas moins h t rog ne l industrie s y oppose l agriculture La grande industrie op re des clivages l int rieur de ce p le en particulier la m tallur gie la chimie l lectronique les textiles mais avec un trait c
41. ns activit professionnelle 9 30 000 F et plus VOTRE LOGEMENT ACTUEL VOTRE LOGEMENT PRECEDENT D partement code INSEE commune T _ D partement 11 ou nom de la commune 1 Autre ville Non Ann e d installation Nom de la commune Statut du consultant Statut du consultant 1 locataire secteur priv 1 locataire secteur priv 2 locataire HLM 2 locataire 3 propri taire occupant 3 propri taire occupant 4 occupant titre gratuit 4 occupant titre gratuit Loyer ou mensualit hors charges 324 324 Loyer ou mensualit hors charges t APL AL APL AL 1 Habitat O Individuel Collectif Habitat D Individuel O Collectif Nombre de pi ces Nombre de pi ces Situation et environnement En zone urbaine 1 centre ville 2 quartier de grands collectifs 6 tages et plus n 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 4 des pavillons des maisons individuclics En zone rurale 5 centre bourg 6 des pavillons des maisons individuelles 7 pleine campagne Situation et environnement En zone urbaine 0 1 centre ville 2 quartier de grands collcctifs 6 tages et plus 3 quartier de petits collectifs 3 5 tages ou mixte 4 des pavillons des maisons individuelles En zone rurale 5 centre bourg D 6 des pavilions des maisons individucllcs 7 pleine campagne LES RAISONS
42. oduire une r alit plus complexe J Brun souligne au cours du s minaire lt Strat gies r sidentielles gt les diffi cult s th oriques du terme de strat gies de localisation faut admettre si l on parle de strat gie que lt les individus ont un imum libert d action et de lucidit dans leur pratique r sidentielle gt et repenser la notion de mobilit posant les migrants comme acteurs Mais la localisation n est pour ainsi dire jamais un but en soi et renvoie aussi un mode de vie L article de Fagnani illustre le lien entre mode de vie et localisation Les femmes actives des couches moyennes en r gion pari sienne privil gient bien un certain mode de vie en pr f rant rester Paris quitte restreindre la taille du togement et parfois leur descendance existe fait de nombreuses tudes fran aises et trang res qui essayent d expliquer la localisation des individus et son r le dans le choix d un logement C Rhein a fait le recensement des travaux dans ce domaine Certains auteurs ont mis l accent sur le r le du prix du logement par rapport aux revenus des m nages et sur les co ts des transports d autres sur les quipements collectifs d autres en fin sur celui de type de togernent et du statut d occupation C Rhein soullgne les li mites de ces approches trop r ductrices et indique deux directions de recherches plus pr metteuses La premi re tient compte de la d
43. oing 294 2 88 Dunkerque 3 12 295 Hozebrouck 295 2 87 Douai 300 2 87 Valenciennes 296 2 84 Cambrai 285 2 74 Maubeuge 301 2 89 Le Quesnoy 279 271 Avesnes 304 228 Fourmies 291 222 Aras 291 275 Saint Pol 2 84 259 Lens ti vin 296 287 B thune 2 85 273 Soint Omer 297 Aire sur la Lys 307 2 89 Calais 298 2 84 Boulogne 296 2 81 C te d Opale 21 846 2 85 27 327 291 2220 10119 104791 3172 1321853 13661 15 607 412 Source INSEE DES STRUCTURES URBAINES EN PLEINE EVOLUTION Pour chacun des bassins d habitat d fini une typologie des communes concern es en fonction de leur caract re dominant centre p le urbain p le secondaire p le rurat zone touristique banlieue r sidentielle mixte Industrielle p riurbain rurato touristique conurbation industrielle poche rurale II s agit icl de rappeler les principales volutions de ces types de communes entre 1975 et 1990 type d analyse fait l objet d un article dans les cahiers de 3 2 me trimestre 1990 et d un article para tre sur les r sultats du recensement de 1990 LES PRINCIPALES EVOLUTIONS Entre les trois derniers recensements 1975 1982 1990 Nord Pas de i Calais est marqu por i un d peuplement des villes centre d peuplement commenc dans les centres urbains les plus importants se produit galement dans les centres secondaire
44. ommun plus de 50 des actifs sont ouvriers Cet espace industriel tend se d peupler en d pit d un fort exc dent des naissances par rapport aux d c s qui ne compense pas une migration accentu e Le voisinage de populations agricoles caract rise un autre espace ouvrier rural mais en ZPIU croissant par immigration mais non du fait du mouvement naturel Bref un habitat p riph rique populaire en expansion mals moins rapide que le p riurbain des techni ciens 4 Un exemple de d coupage du territoire pour Panalyse du march local de l habitat Le d coupage en bassins d habitat et la typologie des communes utilis s par l Observatoire R gional de l Habitat et de P Am nagement du Nord Pas de Calais ORHA Source Enjeux et perspectives de l habitat en r gion Nord Pas de Calais ORHA octobre 1993 L HABITAT DU NORD PAS DE CALAIS AUJOURD HU Les soldes migratoires n gatifs de plusieurs bassins d habitat masquent outre une perte de population souvent qualifi e au profit d autres r gions un de la population l int rieur m me de la r gion Nord Pas de Calais essentiellement au b n fice de l agglom ration lilloise Mais compte tenu du caract re tr s urbain de la r gion ces migrations d finitives ne sont pas les seuis moyens d ajustement des populations aux march s du travail les migrations alternantes tudi es par la Direction R gionale de l Equipement sont en nette
45. ompl ter les r sultats de l enqu te aupr s des consultants par une approche plus qualitative Une formation ad quate sera assur e P ANIL D une fa on g n rale rappelons que objectif est d analyser la zone de prospection du nouveau logement les arbitrages qui gouvernent le choix de la localisation d finitive Plus pr cis ment il s agira ict d tudier les points suivants de fa on plus approfondie que ne le permettent les fiches d enqu te 1 L appr ciation port e sur la localisation et l environnement du logement initial 2 La pr paration du projet a t il t pr par de longue date et de quelle fa on comment le m nage a t il notamment constitu son apport aides familiales subventions revente autres quels sont les facteurs d clenchants du projet 3 O cherchent ils Ont ils une zone de pr dilection ou des axes de recherche particuliers Les rep rer le cas ch ant sur carte apr s l entretien Y a t il au contraire des secteurs o ils ne souhaitent pas aller des zones de rejet Les rep rer de m me ANIL 07 03 1995 14 4 Pourquoi Quelles sont les qualit s essentielles de la localisation recherch e les crit res de choix Essayer notamment de mieux cerner les crit res les plus subjectifs que le questionnaire ne permet pas de bien tudier image valorisation sociale et influence de la famille en particulier Comment en sont i
46. ou universitaire 8 fiscalit locale 4 un quartier agr able des espaces verts 9 qualit architecturale et urbaine du secteur 5 proximit de votre famille Parmi ceux ci quel est le crit re principal NI Pour trouver votre logement tes vous dispos habiter ailleurs que vous ne Penvisagiez non u acheter un logement si vous ne trouvez pas locatif non payer un loyer plus lev D oui non prendre un logement plus petit oui non habiter en collectif plut t qu en individuel non habiter un logement ancien plut t que neuf 7 D d non diff rer votre d m nagement oui non L o vous ne voudricz pas habiter de lieu ou type d environnement plus HI LES OBSERVATIONS DES CONSEILLERS Au terme de l enqu te en juin un bilan des observations des conseillers sur les choix de localisation pourra tre tabli dans chaque ADIL Ces remarques seront ensuite confront es au plan national au mois de juin prochain l occasion d une premi re pr sentation des r sultats de l enqu te consultants En outre nous vous proposons de constituer une quipe d une dizaine de conseillers issus de quelques ADIL volontaires Le r le de cette quipe sera simplement d observer avec une attention particuli re si possible partir d entretiens approfondis avec certains consultants L objectif est de c
47. progression entre 1982 et 1990 comme ie montrent les cartes ci contre Cette intensification des flux de migrations alternantes concerne essentiellement les changes entre les bassins de et Roubaix Tourcoing qui montre notamment une volution de ia m tropole vers une pius grande int gration urbaine les changes entre ie bassin de Lille ceux de Lens et de Douai L volution est cependant assez faible Ja confirmation des bassins d Arras et de Saint Omer comme p le d emploi pour les bassins urbains et ruraux voisins En revanche la crise qui affecte les bassins du Sud Est de la r gion entra ne une stagnation voire une baisse des flux migratoires ainsi le bassin de Maubeuge peu peu son r le de p le d emploi HABITAT TRAVAN PRINCIPAUX FLUX ENTRE LES BASSINS D HABITAT DE LA REGION NORD PAS DE CALAIS EN 1982 10093250 2504500 50004 10000 10002000 562000 a HABITAT IRAVAR PRINCIPAUX FLUX ENTRE LES BASSINS D HABITAT DE LA REGION NORD PAS DE CALAIS EN 1990 1002250 25903500 5004 10000 100052200 EH 5562000 EVOLUTION DU NOMBRE ET DE LA TAILLE DES MENAGE Bassin d habitat 1982 190 Evolution 82 90 25 des m noges 278 247 Rouboix Tourc
48. re de deux trajectoires familiales avec l effet d alliance d un itin raire professionnel et de contraintes conomiques 51 la prise en compte de Ja dimension Interg n rationnelle permet de mieux cerner les comportements r sidentiels des m nages r ciproquement l ana lyse de ces derniers resitu s dans la trame familiale r v le qui se Joue au sein des familles ph nom ne de transmission de reproduction ou au contraire de re jet de compromis galement au sein des couples ou l int rieur de la fratrle Alors que les r sultats de ces travaux ont donn lieu un ouvrage collectif chez l Harmattan les membres de l atelier ont d cid avec le soutien de l INED du minist re de l quipement et du PIR Villes de continuer leurs travaux de recherche en appliquant leur questionnement l enqu te Proche et Parents 26 L etoler SRAI est constitu d I Borlaux Wiame ICNRS Bonvalet INED Cuturelo CNRS Y Grafmeyer Universit Lyon I Gotman CNAS D Maison Universit Paris X Nantorre P A Rosenlal CNRS a L enqu te lt Proches et Parents gt Cette enqu te t r alis e en 1990 l INED sous la direction d H Le Bras C Bonvalet et D Maison aupr s de 946 individus Tout en reprenant partie la probl matique de l enqu te R scau familial de 1976 l objectif de cette recherche est de mieux cerner le r le de la familte et de la parent dans la soci t
49. roche s ap puyant sur la diversit des march du logement en fait sur l existence de micro march s a permis M Berger de mieux d gager les comportements des m nages l int rieur du p riurbain et de distinguer plusieurs parcs aux diff rentes fonc tions les parcs dont la fonction est essentiellement une fonction de passage le locatif individuel r cent le parc collectif en accession la propri t les parcs de rel gation pour une client le captive du locatif social et le parc pavillonnaire r cent en accession la propri t M Guillon s inscrit dans celte logique lorsqu elie tudie le logement des immigr s Ces derniers ont toujours occup les parcs dont les Fran ais ne voulaient plus il s agissait des meubl s en 1950 lorsque les Fran ais se sont dirig s vers les HLM des HLM en 1970 lorsque les Fran ais se sont tourn s vers la maison individuelie en accession la propri t Le champ des possibles pour les trangers serait beaucoup plus limit et leur strat gie varierait selon leur degr d int gration V de Rudder F Vourc h Au terme de ces travaux C Bonvalet propose une typologie rendant compte de trois facteurs d cisifs dans les strat gies des m nages le statut d oc lt upation la taille du logement et la localisation Cette typologie s appuie sur l hy poth se suivante la position r sidentielle semble tenir dans notre soci t une place tr s importante car elle tend refl ter
50. s partir de 1982 Mais mouvement de d peuplement s est ralenti entre 1982 et 1990 par rapport p riode 1975 1982 une acc l ration du d peuplement des banlieues industrielles d j fortement marqu entre 1975 et 1982 une stabilisation des banlieues mixtes et des conurbations Industrielles qui fait suite un d peuplement p riode 1975 1982 poursuite de la crolssance d mographique du p ri urbain tendu aux poches rurales subsistant en 1982 Les banlieues r sidentielles et les zones touristiques poursuivent galement leur croissance depuls 1982 Les volutions concernant les villes centre les banlieues r sidentielles et le p ri urbain sont conformes aux volutions constat es dans toutes la France entre 1982 et 1990 talement spatial de l urbanisatlon mais amortissement des volutions globales qui produisent la fois un ralentissement des ph nom nes de d peuplement et une ditutlon plus grande du p ri urbain dans l espace Compte tenu des sp cificit s d une partie importante du Nord Pas de Calais constitu d un tissu urbain presque continu et assez peu dense on assiste donc une indiff renciation de plus en plus grande Mais cette indiff renciation s accompagne d une sp cialisation des espaces les caract ristiques des m nages des diff rents types de communes tendent diverger l identit p ri urbaine tant souvent synonyme de fam
51. s moyennes selon N Commer on sont galement des licux de passage qui par le jeu des migrations sont devenues lieu de pr dilection des classes moyennes en tant incapables de retenir leurs lites Pour F de Connink lt le parcours social est d un parcours spatial gt le champ des possibles en mati re r sidentielle d pend de diff rentes variables co nomiques et spatiales Le poids de l image du lieu de r sidence appara t tr s im portant et correspond bien ce que dit O Beno t Guilbot lt la mobilit r sidentielle se donc le moyen d acc der non pas un logement plus confortable mais un quartier plus ac ceptable gt Ce processus expliquerait la pauvret des trajectoires r sidentielles des lt bourgeois de Neuilly renvoyant en fait la pauvret des trajectoires sociales D apr s M Pin on et M Pin on Charlot il n y pas de strat gie avoir lt la nais sance d un groupe social dominant implique d habiter d s l enfance les beaux quartiers et il n y plus ensuite de raisons de changer ni de milieu social ni le lieu de r sidence gt puisque le quar tier correspond parfaitement ses repr sentations sociales et la seule strat gie r sidentlelle qui pourrait exister serait le maintien tout prix dans ces quartiers La dimension purement spatial en termes de valorisation o non d un quartier ne suffit pas expliquer les diff rentes localisations Une app
52. s agit d associer toutes les ADIL dans un projet et leur permettre d avoir des niveaux d implication variables tous les partenaires des ADIL pour que la l gitimit des conclusions soit valid e par l ensemble du monde du logement e d organiser deux niveaux de restitution d partemental en apportant des pr cisions sur les sp cificit s locales et nationale La d marche propos e pour cette op ration permet donc de mobiliser tout la fois les informations recueillies aupr s des consultants les conseillers des ADIL et leurs partenaires ANIL 07 63 1995 3 Elle associe enqu te de trois mois effectu e aupr s des consultants qui ont emm nag r cemment ou recherchent un nouveau logement le recueil des observations des conseillers pour le th me tudi nous vous proposons notamment de mettre en place une petite quipe adhoc d une dizaine de conseillers afin de compl ter et enrichir les r sultats de l enqu te par une approche plus qualitative la consultation des partenaires des ADIL pour compl ter de m me l tude quantifi e par autant de dires d experts Le calendrier peut tre ainsi tabli 1 Mars d but juin 1995 Enqu te nationale aupr s des consultants D but de la consultation des professionnels et partenaires des ADIL 2 Juin 1995 Premiers r sultats nationaux de l enqu te lt consultants gt
53. s centres de petits bassins d habltat ou de bassins comportant des centres ou des p les urbains Communes centres de zones rurales Communes Industrlelles dens ment peupl es proximit imm diate de p les urbains Banlieues pr sentant une mixit d habltat et d activit proximit de p les urbains Communes de falble polds d mographique caract re mixte Industriel et Communes rurates situ es dans d influence d un p le urbain Communes rurales lsol es hors infiuence d un p le urbain Communes r sidentielles urbaines situ es proximit d un p le urbain Communes vocation touristique Importante marqu es particuller par de nombreuses r sldences secondalres EVOLUTION DES COMMUNES CLASSEES PAR TYPE Centres P td urboln Population Population Evolution 1982 1990 1982 90 P les urbalns P les secondaires P les ruraux Banlieues Industrielles Bonlleues mixtes Conurbations industrlelles Poche rurale Banileue r sidentielle Zones touristiques 35431
54. s s organisent en quatre grands groupes Inscription territoriale du haut de la hi rarchie sociale le p le tertiaire sup rleur haute technologie ne rassemble que 10 de la population mais 23 des chefs d entreprises professions lib rales et cadres se situe pour les trois quarts en Ile de France pour moiti Paris La grande entreprise y domine les chefs d entreprise sauf BTP les cadres des tats majors des grandes entreprises les professions lib rales non m dicales avocats experts sont les cat gories les plus discriminantes de ce p le o n est singu li re qu une branche d activit les services aux entreprises En seconde position dans la hi rarchie vient un ensemble important en poids le p le des classes moyennes tertiaires et techniques qui repr sente 41 de la population est h t rog ne les activit s tertiaires et la technologie g n rent des espaces diff rents Le groupe des classes moyennes tertiaires constitue l espace de l administration urbaine quartiers des grandes villes de province concentrant les fonctions de la ville envers les citoyens d alentour ducation sant travail social fonctions administratives des collectivit s locales le voisinage des classes moyennes de la production o domine l activit techno logique fait merger des espaces p riurbains voisins des plus grandes m tropoles La population est plus ais e jeune la croissance d
55. sera fourni chaque ADIL ANIL 08 03 1995 T M nages 1 171 122 3 144 981 37 Alpes Maritimes 419 837 108 28 Ardennes an 107 446 110994 29 ___ 24 Corse Sud Joj 44945 14 m C te d Or 189147 49 C tes d Armor _ 49 possibilit s x Haute Garonne Gironde Ille et Vilaine Indre Jura Landes Loir et Chor Loire Atlantique Lot Mayenne Meurthe et Moselle Morbihan Nord Oise de D me Hautes Pyr n es Bas Rhin Rh ne Haute Sa ne Sa ne et Loire Savoie Haute Savoie Paris Seine Maritime et Marne Deux S vres P 127 576 Somme 19561 _ 50 S BAS 1 327 146 84 Vaucluse 177940 46 186 38 38 143 464 Yonne 123 876 32 Essonne 379 272 98 590 9461 152 358 231 92 112 478 29 157 853 41 106 536 27 TOTAL 73 614 477 3500 ANIL 08 03 1995 FICHE 1 CONSULTATION FINANCIERE gt Fiche remplie lors des consultations financi res pour les locataires et occupants titre gratuit qui souhaitent acc der la propri t les propri taires occupants souhaitant acqu rir une nouvelle r sidence principale Cette fiche se sub
56. stitue pour ces m nages aux fiches financi res usuelles elle reprend en effet toutes les questions de la fiche nationale Chaque ADIL conserve une copie des fiches d enqu te pour le traitement statistique habituel de ses consultations et envoie l original qui en assurera la saisie Si vous ne retrouvez pas dans cette fiche d enqu te certaines questions suppl mentaires que vous posez vos consultants il vous suffit de lui adjoindre une feuille annexe que vous conserverez pour vos traitements statistiques annuels Remarques Origine du consultant le code INSEE commune est essentiel pour le traitement de l enqu te H sera utilis pour affecter les m nages par type de commune urbaine rurale et taille d agglom ration Deux solutions il peut tre rempli directement par le conseiller partir des tables fournies par l antenne locale de l INSEE les conseillers indiquent le seul nom de la commune et le recodage est effectu plus tard par PADIL l aide des m mes tables INSEE Mis part le souhait de devenir propri taire pour quelles raisons souhaitez vous d m nager Six grandes cat gories sont d abord propos es au choix du consultant raisons professionnelles familiales Pour le motif principal des pr cisions sont ensuite demand es Quelques pr cisions Choix n 1 lt Raisons professionnelles gt mobilit professionnelle perte d emploi d part en re
57. ter d un dossier plus sommaire ANIL 07 03 1995 15 IV LA CONSULTATION DES PARTENAIRES DES ADIL Bien entendu tous les partenaires et professionnels sont susceptibles d tre consult s et doivent tre associ s l op ration en est certains dont la contribution peut tre n anmoins plus fournie que d autres sur le th me de la localisation Ce sont a priori les services habitat ou logement des collectivit s locales d une certaine importance les lus les agences d urbanismes et Directions D partementales de l Equipement les organismes HLM leslotisseurs promoteurs et constructeurs les agents immobiliers ou les notaires en milieu rural et dans une moindre mesure les Caisses d Allocations Familiales Les partenaires et professionnels peuvent tre principalement interrog s sur trois th mes 1 th me le march local de Phabitat Faire le point des connaissances sur les diff rents secteurs d habitation ou lt segments gt du march local de habitat leur localisation leurs caract ristiques logements et m nages leur image et leur valorisation sociale les mouvements constat s entre ces secteurs tude des flux de population zones stables en croissance en d clin les termes l ajustement de l offre et de la demande les prix les tensions du march les sous march s ventuels 2 th me la demande et les choix des m nages en ma
58. ti re de localisation Nous retrouvons ici les termes de l enqu te aupr s des consultants s agit de m me de demander aux partenaires ce qu ils savent sur les zones de recherche pour les diff rents types de m nages les zones d attraction et les zones de rejet les crit res de choix des m nages l arbitrage entre localisation taille ou type et statut d occupation ANIL 07 03 1995 16 C est en particulier aupr s des partenaires que l on peut esp rer des renseignements sur les caract ristiques de la demande dans le secteur HLM 34 th me dans quelle mesure cette demande est elle prise en compte par les partenaires et professionnels Ce type de renseignement nous sera utile par la suite pour tayer des conclusions d ordre pratique Il s agit d tudier l id e que les partenaires et professionnels se font de la demande et des choix des m nages en mati re de localisation dans quelle mesure en tiennent ils compte Voyons plus pr cis ment sur quels points peuvent tre interrog s les diff rents partenaires 1 Services habitat ou logement des collectivit s locales lus Th me 1 le march local de l habitat Th me 2 la demande et des choix de localisation des m nages notamment la demande dans le secteur social pour les crit res de choix l impact ventuel des r gles d urbanisme et de la fiscalit locale Th me 3 la prise en compte de la d
59. traite ANIL 07 03 1995 8 Choix n 2 lt Raisons familiales d cohabitation juv nile mise en m nage divorce ou s paration naissance ou d part d enfants rapprochement familial d c s Choix n 3 Changer de logement logement de mauvaise qualit trop petit trop grand habiter en maison individuelle et non plus en collectif Choix n 4 Changer d environnement gt recherche d un autre quartier d une meilleure localisation Choix n 5 lt Opportunit fonci re ou immobili re possibilit de rachat du logement actuellement lou bonne occasion don d un terrain b tir Choix n 6 vous tes contraint de d m nager gt cong donn par le propri taire expulsion ou expropriation disparition du logement d molition d un logement insalubre etc Exemple un m nage locataire d un F3 qui souhaite acheter un appartement plus grand et se rapprocher par la m me occasion du lieu de travail de Pun des poux citera les raisons professionnelles 1 et le souhait de changer de logement 3 celui ci constituant pour eux la raison principale Mis part le souhait de devenir propri taire pour quelles raisons souhaitez vous d m nager 1 Des raisons professionnelles 4 Vous souhaitez changer d environnement 2 Des raisons familiales 5 Opportunit financi re ou immobili re 3 Vous souhaitez changer de logement 6 Vous
60. us la responsabilit de P Collomb P Arduin et F Gu rin Pace aupr s d un chantillon de 6 000 personnes 26 Un questionnaire original a t 28 Cette onqu ta en est sa phaso terminala d torrain ls saisie tant men e parall lemont los promiers r sultats sont pu la fin do 1993 con u de mani re pouvoir r pondre la demande du minist re de l Environ nement et cerner le lien troit entre les repr sentations populaires de l environ nement et l espace de vie des individus comprend donc deux parties la pre mi re essentiellement compos e de questions ferm es recuellle des donn es de fait sur toutes les composantes de l espace de vie La deuxi me partie du ques tionnaire est plus ax e sur la d finition du mot environnement et comporte davan tage de questions d opinion ou d attitude De nombreux objectifs sont vis s travers cette enqu te Nous ne d velop perons ici que les th mes les plus proches des recherches urbaines 1 D finir l espace de vie Les tudes d mographiques et en particulier les analyses migratoires ont ca act ris l individu par un crit re g ographique ponctuel son lieu de r sidence Cette notion qui a l avantage d tre facilement disponible s av re pourtant trop 1 strictive pour d crire les comportements migratoires des populations La notion d espace de vie a t propos e comme lt espace fr quent par chacun de nous
61. us petit oui non habiter collectif plut t qu en individuel non habiter un logement ancien plut t que neuf D D non retarder votre d m nagement oui non L o vous ne vouliez pas habiter nom de lieu ou type d environnement 3 lt RECHERCHE FN LOCATIF Cette enqu te concerne plus particuli rement les ADIL qui re oivent de nombreuses visites de consultants la recherche d un logement en locatif Cette fiche est compl t e en plus des fiches de consultation juridique habituelles Chaque ADIL conserve ses fiches juridiques et n envoie PANIL que cette fiche d enqu te Elle est construite sur le m me mod le que la fiche n 1 Consultation financi re et n appelle donc pas de commentaires particuliers ANIL 07 03 1995 13 Fiche 3 RECHERCHE EN LOCATIF ADIL _ i Origine du consultant D partement code INSEE commune 1 Statut actuel du consultant D 1 locataire du secteur priv 2 locataire HLM 3 propri taire bailleur 4 propri taire occupant 5 occupant titre gratuit ou nom de la commune 41 Statut souhait D 1 maintien du statut actuel D 2 locatif priv D 3 locatif HLM Pour quelles raisons souhaitez vous d m nager 1 Des raisons professionnelles 2 Des raisons familiales 3 Vous souhaitez changer de logement Quelle est la raison princip
62. ut tre pos e en dernier pour ne pas rebuter d embl e les personnes enqu t es La localisation du logement pr c dent pour le traitement national ne seront tudi s que les changements de ville lt Autre ville 7 gt et de d partement Pour le traitement local il parait toutefois int ressant de conna tre la commune d origine Vous indiquez alors au choix le code INSEE ou le nom de la commune Nb Les questions sur les conditions d acc s au logement locatif ont t supprim es pour all ger le questionnaire elle feront l objet d une enqu te ult rieure ANIL 07 03 1995 12 Fiche 2 EMMENAGES RECENTS 4 ans au plus Composition du m nage 1 c libataire veuf divorc 2 jeune m nage 3 couple mari 4 concubins Profession du chef de m nage ADIL I 1 Nombre d enfants charge II Age du chef de m nage 1__1 Conjoint actif oui non Revenu mensuel net du m nage o 1 agriculteur D l moins de 5000F o 2 artisan commer ant chef d entreprise D 2 4 5000 moins de 7 500 F 3 cadre ou profession intellectuelle sup rieure 0 3 4 7 500 moins de 10 000 F 4 profession interm diaire 4 10 000 moins de 12 500 F 5 employ 5 12 500 moins de 15 000 F 6 ouvrier 6 de 15 000 moins de 20 000 F 7 retrait 7 de20 000 moins de 25 000 F 8 tudiant 8 de 25 000 moins de 30 000 F 9 autre sa
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