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Séminaire INTERNATIONAL

1. L utilisation des sables et argiles naturelles dans le traitement tertiaire des eaux us es trait es dans les p rim tres irrigu s de la r gion de Gab s Sud tunisien M Grira CRDA Gabes Av Abou el kacem Echchebbi Cit Mnara 6019 Gab s R sum Le traitement des eaux us es dans la STEP de Gab s se fait par boue activ e mais sans faire le traitement tertiaire les eaux trait es passent directement pour irriguer le p rim tre d Eddissa que le CRDA a install pour valoriser ces eaux Le p rim tre pr sente actuellement une accumulation excessive des mati res d cantables la surface du sol des parcelles en plus des polluants qui peuvent s infiltrer tout au long du profil Conscient de la gravit de la situation le CRDA de Gab s a essay de trouver des solutions efficaces pour minimiser les risques de pollution des sols Les exp riences faites convergent toutes vers le choix des mat riaux filtrants capables de r duirent au maximum la charge polluante des eaux us es trait es avec le minimum des co ts En r sultats on a tabli une combinaison de deux sables avec des argiles qui sont tous disponibles dans la r gion de Gab s et qui ont des effets compl mentaires pour r duire la charge chimique biologique et bact riologique de eaux us es trait es Irrigation Traitement eaux us es filtration R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 50 Optimisat
2. S Fars K Bousselhaj A Nejmeddine N Ouazzani A Laghmari et A Bouadili Laboratoire d analyses et d cotoxicologie d partement de biologie Facult des sciences Semlalia Marrakech Maroc Laboratoire de t l d tection g osciences et environnement Facult des sciences et techniqques B ni Mellal Maroc E mail sfars yahoo fr R sum Au Maroc globalement pr s de 93 du volume en eau mobilisable est destin l agriculture pour irriguer une superficie de l ordre de 1 2 millions d hectares dont 0 85 millions le sont de fa on p renne Cette superficie ne repr sente que 17 de surface agricole utile du pays qui est gale 7 5 millions d hectares L accroissement incessant de la population a rendu n cessaire l intensification de l agriculture irrigu e afin d atteindre une s curit alimentaire Cette situation de p nurie en eau a incit les agriculteurs du Maroc irriguer avec des eaux non conventionnelles telles que les eaux us es Ces eaux sont appr ci es en tant que ressource pr cieuse pour l irrigation mais aussi pour leur valeur fertilisante susceptible d am liorer le rendement des cultures L estimation du volume annuel des eaux us es rejet par l ensemble des milieux urbains au Maroc est de l ordre de 370 millions de m pour l ann e 1992 Il atteindra l horizon 2020 900 millions de m Les superficies irrigu es par ces eaux l tat brut son
3. on d termine l indice d instabilit structurale du sol IS L ensemble des mesures a fait l objet d une analyse de variance pour les facteurs contr l s au seuil de risque de 5 Les r sultats ont montr que l utilisation des eaux us es trait es en comparaison avec l eau de nappe a significativement diminu l indice d instabilit structurale du sol pour les couches superficielles la fin de la p riode de l essai malgr la texture relativement l g re sol sablo argileux x argilo sableux Irrigation eaux us es stabilit structurale analyse variance texture R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 40 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Impact de irrigation aux eaux us es trait es sur la qualit de l huile extraite des Olives N chira M Gharsallaoui A Rhouma et M Khlif Institut de l olivier BP 1087 3000 Sfax Email khlif mohsen iresa agrinet tn R sum La Tunisie est un pays o l eau se fait rare une bonne gestion des ressources en eau s impose d o la n cessit de recourir la r utilisation des eaux us es trait es en agriculture Dans ce cadre la gestion des eaux us es trait es de la station d puration de Sfax sud est confi e l Agro Combinat OTD Cette eau est chemin e vers la localit d El Hajeb sise sur la route
4. Cas de Pseudomonas aeruginosa et Escherichia coli 0 M M JERN EE A GOUN N eagle dy saa aA 38 L puvalisation une technique hydroponique pour le traitement et la valorisation durable des eaux us es WE Tra O UT AN e a nanos Aulaavasainatieleiiaidie 39 Etude de l impact des eaux us es trait es sur les caract ristiques physiques des sols 2 Chaaboun Fi Naha F Chenin et D NORM OUU Sis issns iirnennersinamenennentesavnenaneesammes shin 40 Impact de l irrigation aux eaux us es trait es sur la qualit de l huile extraite des Olives N chira Evaluation de la toxicit et de la charge en pathog nes dans les eaux us es urbaines avant et apr s traitement par des proc d s conventionnels et membranaires M Ellowze Saddoud A Dhouib et S SQVG8 vvcccsiscrcncnnssn ces neansscananinne das cacusetinsninasneaciaaunsnenteesnan 42 Mise au point et validation d une m thode de min ralisation des boues des stations d puration en vue de l analyse du mercure et de l arsenic PE Mg METS e Ur SERRE a TE TOnemn ype S 43 Nouvelle approche pour d terminer le volume du bulbe humidifi par un goutteur la surface du sol ME Hammomi C WE NAR Chis i 26 IR a aa 44 Utilisation des eaux us es trait es dans les zones arides Aspects socio conomiques FORE oi 6m 2 dt a ns men a M inthe hia ha dd s wna ca an data 45 La nutrition min rale chez l olivier Chemlali irrigu avec les eaux
5. Laghmari et A Bouadili 54 Use of Treated Wastewater for Irrigated Agriculture Proposals for a Comparative Study of Bolivia Ghana and Tunisia S K Agodzo FP Huibers F Chenini et P MaldonGd 0 5 icvcisxsavssrasavvessnannseseseusdatadaanid ser messiaaans 56 R utilisation des eaux us es riches en colorants A DOWIE M Boneh el A Barleti RO taraeni ie sk co stb a a venanatiee 57 Modifications des propri t s physiques de deux textures de sols sous l effet des boues r siduaires urbaines i Ben Semin B Honmene OF M OH nu desserte aAa a A oinaudesls 59 Evaluation conomique du traitement des eaux us es par puvalisation cas de la station de Oued Souhil Tunisie FL El amami D Natsoulis M Trod et D NAD IOUS o secen cosonsesncwerdnsatvanidonceiaanedsgdinnmsalcniinania tans se 60 R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 3 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF SESSION PLENIERE R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Epuration et optimisation de la r utilisation des eaux us es en Tunisie Apport de la coop ration D Xanthoulis et N Fonder Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgi
6. effort de vulgarisation et de sensibilisation la superficie des cultures pluviales au courant de l ann e agricole 2001 2002 tait de l ordre de 2225 ha soit environ 27 de la superficie totale des cultures pratiqu es dans ces p rim tres eaux us es La quantit d eau us e trait e et pomp e pour les p rim tres publics irrigu s au cours de la derni re d cade du 20 si cle a surtout vari en fonction de la pluviom trie annuelle C est ainsi que ces volumes ont atteint 21 229 millions de m3 pendant l ann e agricole 1993 1994 caract ris e pour la s cheresse et l importance des superficies r serv es au cotonnier ce qui repr sente environ 20 du volume d eau us e trait e durant cette ann e 7 146 millions de m3 pendant l ann e agricole 1995 1996 la plus arros e repr sentant ainsi 6 2 du volume d eau us e trait e R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 47 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF La tarification pr f rentielle des eaux us es trait es 20 millimes le m appliqu e partir du premier janvier 1998 a eu un impact positif pour les p rim tres de Zaouet Sousse et de Nabeul c est ainsi que la superficie moyenne des cultures irrigu es a augment de 34 a Nabeul par rapport a la p riode des quatre ann es qui ont pr c d l application de
7. Syst mes d irrigation eaux us es contamination bact rienne R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 18 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF La r utilisation des eaux us es trait es dans l agriculture Les r ponses des agriculteurs du p rim tre de Cebbala et Henchir Tobias M Hammami M Elloumi et S Selmi INRAT Rue H di Karray 2049 Ariana Email elloumi mohamed iresa agrinet tn R sum En Tunisie l offre en eau devient de plus en plus limit e face a une demande sans cesse croissante suite l intensification et la diversification des activit s conomiques et l augmentation de la population urbaine en particulier C est pour faire face cette conjoncture qu une attention particuli re a t accord e l conomie de l eau et l utilisation de ressources non conventionnelles dessalement de l eau eaux us es trait es etc C est dans le cadre de cette politique qu un ensemble de station de traitement des eaux us es a t mis en place de m me que l am nagement et l quipement de plusieurs p rim tres irrigu s l eau us e trait e Toutefois cette politique volontariste n a pas rencontr un cho favorable au niveau des agriculteurs et le potentiel mis en place n est utilis que dans des proportions assez faibles Notre t
8. boues pourrait tre l origine de risques sanitaires et environnementaux li s notamment la pr sence de m taux lourds des compos s organiques et des organismes pathog nes Ce travail a pour objectif de d terminer d une part la quantit minimale d chantillon repr sentative et d autre part de d terminer les caract ristiques physico chimiques et micro biologique des boues urbaines de la station d puration de Chotrana La caract risation a permis de constater que les boues pr sentent une potentialit non n gligeable de point de vue richesse en mati re organique et l ment fertilisants et ce en comparaison avec les autres amendements organiques Les concentrations en m taux lourds et en germes pathog nes sont inf rieures celles fix es par la r glementation internationale Toutefois les boues sont caract ris es par un pH trop acide n cessitent un chaulage avant leur utilisation Boues urbaines caract ristiques physico chimiques caract ristiques microbiologiques valorisation agricole R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 31 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Traitement ana robie des boues et valorisation du biogaz M Wauthelet Epuvaleau asbl Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux 2 Passage des D port s B 5030 Gembloux Belgique Email
9. d chets en suspension dans un premier temps et ensuite remise en circulation pour l arrosage urbain et l irrigation des plantations non destin es a alimentation humaine ou directement rejet s dans la mer avec un impact possible sur l environnement terrestre et marin Pour cela les chantillons d eaux des stations d purations concentr es par les cartouches C 18 Sont lues avec de m thanol suivi d hexane Nos r sultats sur les diff rentes lign es cellulaires bioluminescentes permettant de r v ler une activit oestrog nique alors que la pr sence de ligands des r cepteurs aux hormones st roides des androg nes AR des R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 52 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF glucocorticoides GR des min ralocorticoides MR des progestatifs PR n est pas significatives et n cessite d avantage d analyses Eaux us es x no strog ne bioluminescence station d puration mod le TEXTE A TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 53 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF R utilisation d une eau r siduaire brute et pur e en agriculture Disponibilit de l azote et trois m taux lourds Cu Cd et Cr
10. de Gab s Elle est utilis e pour l irrigation des cultures fourrag res orge sorgho luzerne avoine en intercalaire avec l olivier Les oliviers profitent de cet apport d eau nous avons voulu par le pr sent travail d terminer l impact de ces eaux us es trait es sur la qualit de l huile extraite des olives ramass es au sol dites N chira Les olives ont t ramass es diff rentes dates afin de suivre l volution de la qualit des huiles extraites en fonction de la dur e de leur s jour sur le sol Les r sultats obtenus montrent que le temps de s jour des olives ramass es a un effet n faste sur les caract ristiques physico chimiques des huiles extraites de ces olives On peut conclure que plus les olives restent en contact avec le sol plus la qualit de l huile extraite est d t rior e En effet l acidit est de plus en plus lev e ces huiles sont fortement oxyd es vu que leurs teneurs en compos s mineurs sont faibles Eaux us es trait es irrigation Qualit de l huile Acidit Oxydation TEXTE A TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 41 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Evaluation de la toxicit et de la charge en pathog nes dans les eaux us es urbaines avant et apr s traitement par des proc d s conventionnels et me
11. entre dans le cadre de la strat gie de mobilisation et de d veloppement des ressources en eau du pays Elle pr sente de multiples avantages Comme ressource potentielle son usage prot ge les milieux r cepteurs et att nue l impact de la s cheresse L analyse de l exploitation des EUT aux cours des cinq derni res campagnes d irrigation a permis d en valuer les diff rents aspects d am nagement d exploitation de mise en valeur de respect des normes De gros efforts d investissements d encouragement et d am lioration des conditions d utilisation des EUT sont consentis par l Etat Il en r sulte en somme les conditions climatiques aidant une nette tendance vers augmentation de l usage agricole Ainsi la superficie irrigable est pass e de 6100 a 7300 ha de 1998 a l an 2002 respectivement soit une augmentation de 20 en 4 ans apr s une p riode de stagnation de 8 ans durant laquelle le cadre l gislatif s est consid rablement structur La consommation unitaire a augment progressivement de 1996 l an 2002 de 900 plus de 2600 m3 ha an respectivement soit une consommation suppl mentaire de 190 sans augmentation des risques sanitaires Eaux us es trait es P rim tres irrigu s Evaluation R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 49 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF
12. est faite a partir des eaux us es trait es ces techniques sont susceptibles de jouer un r le dans la protection sanitaire et environnementale car elles permettent de limiter le contact de ces eaux contamin es avec les humains et avec les diff rentes composantes de l environnement agricole Des essais d irrigation ont t entrepris au cours des trois derni res ann es sur la station de recherche de l INRGREF a Nabeul Leur objectif consistait a valuer la qualit bact riologique de diff rents produits agricoles irrigu s partir des eaux us es trait es selon diff rentes techniques goutte goutte micro aspersion et irrigations la raie L utilisation d un syst me de goutte goutte pour l irrigation de la pomme de terre a permis d obtenir avec les effluents secondaires des tubercules pr sentant sensiblement la m me qualit bact riologique que les tubercules produits sur la parcelle t moin irrigu e par les eaux de puits selon le m me syst me Sur la culture de persil l utilisation d un syst me de goutteurs enterr s a permis d am liorer la qualit du produit par rapport celle obtenu avec des irrigations par goutteurs non enterr s ou par micro aspersion Ainsi le goutte goutte semble constituer le meilleur syst me qui permet d optimiser la gestion des eaux d irrigation tout en limitant les effets n gatifs dus la qualit des eaux us es charg es en sel et en micro organismes
13. et des objectifs vis s Elles font recours aux halog nes chlore brome aux peroxydes d hydrog ne aux rayonnements UV solaires et a l infiltration percolation et l ozone D autres proc d s font encore l objet d tude comme la photocatalyse et la photosensibilisation Dans le cadre de ce travail nous avons utilis la porphyrine cationique l osine le rouge neutre le bleu de m thyl ne et la chlorophylle pour tudier l effet de la photosensibilisation sur les formes de r sistance des parasites Pour ceci nous avons utilis des souches d ufs d Ascaris et de Taenia selon diff rents protocoles exp rimentaux Nous avons utilis une lampe halog ne OSRAM 1000 W efficacit lumineuse 301m W comme source de photons La distance entre la lampe et la suspension des ufs de parasites traiter est variable Elle oscille entre 8 et 35 cm La suspension est compos e d eau distill e contamin e artificiellement par des ufs de parasites frais pr lev s des selles d animaux ou de chiens contamin s et d eau us es pr lev es la station d puration de la Charguia La concentration du photosensibilisant varie de 10 30uM L Le temps d exposition la lumi re se prolonge jusqu 6 heures Le flux lumineux utilis est compris entre 235 5 et 870 W m Les r sultats exp rimentaux montrent que d une mani re g n rale les oeufs d ascaris sont les plus photo alt r s ma
14. et la g n ralisation des projets int gr s d puration et de r utilisation grandeur nature et l chelle national avec la mise en place des mesures d accompagnement garantissant la p rennisation du fonctionnement des installations et la viabilisation des projet Eaux us es traitement recyclage des eaux us es Maroc valorisation agronomique R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 12 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Efficience et bilan de l azote apport par l engrais et par les eaux us es trait es M N Khelil S Rejeb J P Destain M Frankinet D Xanthoulis et B Henchi Facult des Sciences de Tunis Tunis INRGREF BP 10 Rue H di Karray 2080 Ariana Centre de Recherche Agronomiques Belgique Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email saloua rejeb iresa agrinet tn R sum Etant donn e l aridit du climat et la raret des ressources hydriques la r utilisation des eaux us es trait es rev te une importance consid rable en Tunisie et fait partie int grante de la strat gie nationale de la gestion de l eau L irrigation reste le secteur le plus appropri L utilisation agricole de ces eaux conna t actuellement un grand essor Toutefois elle reste sujette plusieurs contraintes agronomiques environne
15. irrigu e avec l eau d pollu e trait e par le filtre Par contre il y a une diff rence nette pour la plante irrigu e par l eau pollu e L analyse du profil lectrophoretique des prot ines totales pour les trois cas montre une diff rence au niveau des bandes proth tiques R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 57 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF En d finitif nos r sultats montrent que le filtre synth tis chimiquement d pollue en liminant le colorant AY99 pour rendre cette eau compatible pour une utilisation en irrigation Eaux us es irrigation valorisation agronomique Colorant colorant yellow acid 99 filtration TEXTE TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 58 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Modifications des propri t s physiques de deux textures de sols sous l effet des boues r siduaires urbaines I Ben Jemia B Houm ne et M Gueddari Institut National de Recherche en G nie Rural Eaux et Foret BP 10 Ariana Facult des Sciences de Tunis Campus Universitaire 1060Tunis R sum Les quantit s des boues r siduaires produites en Tunisie jusqu en 1999 sont totalement utilis es pour l amendem
16. municipaux par les eaux us es trait es est la pratique la plus r pandue Le but de notre travail est de chercher une technique simple et efficace pour r duire la pollution des eaux r siduaires des industries textiles riches en colorants et la rendre un niveau compatible pour une meilleure utilisation Nous nous proposons d tudier un colorant acide tr s utilis dans les industries textiles qui est le colorant Yellow Acid99 ou AY99 Pour cela nous avons produit par synth se chimique un filtre base d un polym re naturelle la cellulose Ce filtre s est av r efficace pour traiter une eau charg e en colorant AY99 une concentration de 50 mg l concentration maximale du colorant la sortie du bain de teinture et permet de d barrasser cette eau de ce contaminant Pour tester l impact de l eau trait e apr s passage par le filtre nous avons suivi le d veloppement de la plante de f ve vicia faba L pendant un mois tout en irriguant par l eau trait e 25ml 72h et en comparant les r sultats trouv s avec la plante irrigu e l eau pollu e 50mg ml et avec un t moin pour lequel nous avons utilis l eau de robinet Pour pouvoir comparer l effet sur la croissance de la plante de ces trois traitements on s tait bas sur le suivi des modifications morphologiques et biochimiques Comme r sultats nous n avons pas trouv de diff rence entre la plante irrigu e avec l eau de robinet et celle
17. potentials and restrictions of wastewater use under different conditions of overall water scarcity social acceptance and governmental policies in the selected countries in order to stimulate discussions on a new conceptual approach of design and management Wastewater water reuse irrigation wastewater reuse strategy R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 56 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF R utilisation des eaux us es riches en colorants A Souguir M Baoueb et A Bartegi Laboratoire de Biochimie et Environnement 02 UR 09 01 Inst Sup rieur de Biotechnologie Monastir Tunisie E mail amani_sou yahoo fr R sum La raret de l eau en Tunisie qu elle soit structurelle principalement pour les ressources souterraines ou conjoncturelle en ann e s che est le principal mobile pour la recherche ou la production de toute ressource alternative pour rem dier ce manque Ce qui justifie tout investissement suppl mentaire pour obtenir une eau de bonne qualit et sa mise la disposition un diff rent secteur conomique selon sa qualit et son usage potentiel Dans le domaine agricole les usages de pr dilection sont l irrigation des cultures et la recharge des nappes par les eaux us es trait es EUT Dans les autres secteurs conomiques l irrigation des terrains de golf et des jardins
18. rationnelle et ma tris e des eaux us es pur es particuli rement pour l irrigation Marrakech Ouarzazate Agadir et Ben Slimane Les diff rentes exp rimentations men es ont t r alis es sur des syst mes d puration extensifs qui s adaptent le mieux notre contexte socio conomique et ont montr que la qualit des effluents pur s tait conforme aux Directives de OMS en mati re de r utilisation des fins d irrigation et que les produits obtenus taient g n ralement de bonne qualit Des campagnes de sensibilisation des usagers de l eau r utilis es ont galement accompagn les projets pilotes de r utilisation des eaux R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 11 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Sur le plan institutionnel et l gislatif les plus importantes actions entreprises sont l adoption depuis 1995 de la loi sur l eau et l laboration en 2002 des normes relatives a la r utilisation des eaux us es pur es Toutefois les contraintes qui se posent sont surtout le manque d un sch ma organisationnel et de gestion clair l insuffisance dans le respect des textes l gislatifs et dans la coordination entre les diff rents intervenants dans le domaine et les faiblesses des capacit s financi res des communes Les perspectives les plus importantes restent la r alisation
19. us es trait es S Bedbabis B Ben Romina et M BouKRNT IS issssserssanerenesnnesemesmuncenmentiiastauestentaitesinne 46 L utilisation des eaux us es trait es dans les p rim tres publics irrigu s en Tunisie R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 2 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF WE REPOS D Laide Manat aa bian eee 47 Evaluation de l exploitation des p rim tres irrigu s partir des eaux us es trait es BE da GR E A DE SI TR EI TE Te 49 L utilisation des sables et argiles naturelles dans le traitement tertiaire des eaux us es trait es dans les p rim tres irrigu s de la r gion de Gab s Sud tunisien PS a ouesegtes E Fah E E E E E N A E AEO E 63 cana marae teeta omega E 50 Seasonal storage of reclaimed wastewater in Tunisia a mean of upgrading microbiological quality M Trad D Xanthoulis et N Gardin Etude in vitro de l activit biologique de x no oestrog nes l aide de mod les cellulaires bioluminescents des eaux us es des stations d puration tunisiennes Mnif Wissem Guerfali Ibtissem Pillon Arnaud Gomez Elena Balaguer Patrick et Bartegi Aghleb 32 R utilisation d une eau r siduaire brute et pur e en agriculture Disponibilit de l azote et trois m taux lourds Cu Cd et Cr S Fars K Bousselhaj A Nejmeddine N Ouazzani A
20. wauthelet m fsagx ac be R sum Dans de nombreuses stations d puration les bassins de d cantation ana robies ou les lagunes profondes produisent d abondantes quantit s de biogaz m thane gaz carbonique et sulfure d hydrog ne qui s chappent dans l atmosph re contribuant ainsi aux missions de gaz a effet de serre Les productions de biogaz atteignent 15 25 m par 1000 habitants et par jour S il n est pas utilis le biogaz est malodorant et polluant Mais il est tr s riche en nergie gt 7 kWh m et peut tre exploit pour produire diff rentes formes d nergie lectricit chaleur pompage tout en liminant les odeurs et la pollution de l air Le traitement ana robie des boues peut s effectuer soit dans de simples bassins ou lagunes de d cantation de plus de trois m tres de profondeur soit dans des digesteurs sp cialement con us Les bassins et lagunes seront am nag s en digesteurs avec collecte du biogaz dans des gazom tres b ches Les boues dig r es seront cur es annuellement Dans la plupart des pays industrialis s les boues sont extraites des d canteurs et trait es dans des digesteurs s par s Plus de 1000 installations de ce type sont fonctionnelles dans le monde Dans les pays en d veloppement et m diterran ens la technologie du biogaz la biom thanisation est tr s peu connue des Institutions et des acteurs priv s g rants bureaux d tudes personnel a
21. 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF zones rurales et dans les petites et moyennes communes fait que le probl me de m taux lourds se pose avec moins d acuit que les grands centres urbains En ce qui concerne les conditions d utilisation des boues quelques conseils pratiques sont propos s Il tait toutefois difficile de donner des recettes standards ce propos cause de la variabilit de la composition des boues assez bien illustr e par une vari t d exemples et de la n cessit d adapter les doses et les m thodes d application des boues leur nature et aux types de sols A ce niveau la pr sente communication fournit des l ments m thodologiques qui guident l valuation de la valeur fertilisante des boues et le suivi et la surveillance de leurs impacts Manuel boues r siduaires valorisation agronomique bonnes pratiques agricoles Proche orient R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 30 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Caract risation physico chimique et microbiologique des boues urbaines en vue d une valorisation agricole Cas de la station de Chotrana A Rhouma K Gargouri S Nefzi et H Bousnina Institut de l olivier BP 1087 3000 Sfax INAT 43 Av Charles Niicole Tunis Email rhoumaali meloo com R sum L apport des
22. EF SESSION DE POSTERS R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 35 S minaire International INRGREF Approche int gr e pour l am lioration de l utilisation des eaux us es trait es en agriculture irrigu e dans le Cap Bon F Huibers F Chenini et H Jelassi Wageningen University Wageningen the Netherlands INRGREF BP 10 2080 Ariana Tunisie Email chenini faycel iresa agrinet tn R sum Dans la r gion du Cap Bon l utilisation des eaux us es trait es en agriculture irrigu e ne cesse d occuper une place indispensable pour le d veloppement conomique r gional En effet la station d puration SE4 mise en service en 1979 pour le traitement boue activ e des eaux domestiques et touristiques et avec un nombre d quivalent habitants de 81400 assure l alimentation des p rim tres irrigu s d Oued Souhil et Dar Chaabane Messaadi et la recharge artificielle de la nappe Le traitement la gestion distribution et l utilisation de cette ressource en eau qui est devenue de plus en plus indispensable pour le d veloppement de l agriculture irrigu e dans la r gion forme un syst me fonctionnel multidisciplinaire int gr Afin de comprendre son fonctionnement et de proposer des am liorations dans le but d intensifier les volumes utilis s en agriculture irrigu e une enq
23. Gembloux Belgique INAT 43 Av charles Nicole 1002 Tunis Email chenini faycel iresa agrinet tn R sum L utilisation des syst mes d conomie d eau comme l irrigation localis e est actuellement une des solutions de sauvegarde des ressources en eau devenues de plus en plus rares Cette technique utilis e avec les eaux us es trait es n cessite une ma trise des diff rents syst mes de filtration et de pilotage La durabilit dans le temps de ces installations d pendra essentiellement de l efficacit des syst mes de filtration De m me pour leurs efficiences la conduite et le pilotage de l irrigation restent les facteurs limitants Ces facteurs sont aussi essentiels pour la pr servation de l environnement en vitant toute infiltration et percolation en profondeur L tude de la durabilit et des performances techniques et hydrauliques des distributeurs d irrigation localis e au laboratoire et aux champs ainsi que l tude de l efficience des diff rentes techniques d irrigation localis e avec les eaux us es trait es par comparaison l utilisation de l eau de nappe a t r alis e Le protocole consiste suivre la variabilit dans le temps des coefficients d uniformit des diff rentes techniques d irrigation install es sur plusieurs parcelles Le pilotage et le contr le des pertes d eau en profondeur ont t r alis s par la m thode tensiom trique et TDR Time Domain Reflectometry Les r
24. Ing nieurs de Sfax Route de Soukra BP w 3038 Sfax CRDA de Gab s Rue Aboulkacem El Chebi 6000 Gab s T aboratoire HYDROSCIENCES Universit Montpellier I France Email rachid boukchina ira rnrt tn R sum Le proc d de traitement des eaux us es par filtration non satur e a t appliqu pour am liorer la qualit d un effluent secondaire destin l irrigation Les essais ont t effectu s l chelle colonne puis l chelle d un bassin exp rimental am nag chez un agriculteur p rim tre irrigu de DISSA Gab s utilisant les eaux us es en irrigation Pour une charge hydraulique de 27 cm appliqu e en b ch e unique une fois tout les deux jours l abattement moyen des diff rents param tres de qualit suivis indique les bonnes performances du proc d tudi dans l limination de la pollution r siduelle Les r sultats obtenus durant les trois premiers mois de fonctionnement du pilote r v lent de taux de r duction de la DCO DBOs NTK N NH respectivement de 65 98 72 et 68 La qualit bact riologique du filtrat recueilli a t remarquable l abattement moyen des coliformes f caux enregistr a t de 2 8 unit s logarithmiques La qualit bact riologique et parasitologique du filtrat a t aussi remarquable indiqu par l absence des salmonelles la sortie du bassin exp rimental Eaux us es puration filtre sable effluent secondaire R utilisati
25. ait es et des sous produits de l puration 43 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Nouvelle approche pour d terminer le volume du bulbe humidifi par un goutteur a la surface du sol M Hammami et M Maalej Ecole Sup rieure d Agriculture de Mateur 7030 Tunisie INRST BP 95 route touristique de Soliman 2050 H Lif Tunisie Email mohamed maalej inrst rnrt in R sum Dans ce travail une nouvelle approche pour d terminer le volume du bulbe humidifi V t par un goutteur plac la surface du sol est pr sent e L approche a t d velopp e moyennant l hypoth se d un coulement piston de GREEN et AMPT 1911 expression de HAMMAMI et MAALEJ 1999 permettant de pr dire la profondeur maximale Z t du bulbe partir de son rayon R t mesur la surface du sol L hypoth se d un bulbe de forme semi elliptique sym trie axial et dont les diagonales sont respectivement confondues avec la surface et l axe de sym trie Connaissant l humidit initiale 0 dans le sol la conductivit hydraulique Ke et la teneur en eau Or au niveau du front d humidification cette approche permet de calculer le volume du bulbe V t humidifi par un goutteur partir de mesures du rayon de la tache mouill e la surface du sol Pour tester la fiabilit de l approche les valeurs de V t pr dites ont t compar es c
26. al coliform number reached 3 log units within 3 days under summer climatic conditions Bacterial indicators die off slowed down with increasing reservoir depth and the correlation between coliform decay rate constant K and retention time t was found as Ky 9476 6 x t ZAS Storage of secondary effluent in basin for 7 months did not lead to an increase of water salinity nor a regrowth of bacterial indicators Seasonal storage is therefore a useful tool for regulation environmental pollution control as well as an efficient polishing treatment Bacteria removal storage wastewater recycling Faecal coliform modelling R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 51 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Etude in vitro de l activit biologique de x no oestrog nes l aide de mod les cellulaires bioluminescents des eaux us es des stations d puration tunisiennes Mnif Wissem Guerfali Ibtissem Pillon Arnaud Gomez Elena Balaguer Patrick et Bartegi Aghleb Labo Biochimie et Environnement 02 UR 09 01 Inst Sup de Biotechnologie Monastir Tunisie INSERM Montpellier France UMR 5569 HydroSciences DSESP Facult de Pharmacie Montpellier France E mail W_mnif yahoo fr R sum La pr sence dans l environnement de polluants effets modulateurs endocriniens provoque chez les animaux des p
27. al et cela pour le sorgho 31 vs 49 Pourtant l exportation de N s av re sensiblement quivalente de m me que le coefficient apparent d utilisation de N On peut donc suspecter que l azote apport par l eau us e et fractionn en doses mod r es tout au long du stade v g tatif est plus expos l immobilisation ou la r organisation qu un apport ponctuel sous forme d engrais Une substitution de pool N non marqu lib r N marqu r organis par la microflore du sol serait donc responsable d un coefficient r el d utilisation plus bas de l azote de l eau Eaux us es trait es efficience bilan azote 15 engrais R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 14 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Optimisation de la fertilisation azot e de cultures l gumi res sous irrigation avec des eaux us es D Xanthoulis et N Fonder Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email xanthoulis d fsagx ac be R sum Les exp rimentations men es durant quatre ann es sur trois cultures cons cutives avaient pour objectifs d optimiser la fertilisation azot e lors d irrigation avec des eaux us es d une part et d autre part de d terminer l impact de l irrigation sur la structure du sol Ces deux essais ont t men s conjointement sur un m m
28. ance des parasites des eaux us es par diff rents proc d s exp rimentaux A MEN eeN SOON cee a na ese 26 R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 1 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF SESSION 3 VALORISATION DES SOUS PRODUITS Traitement et valorisation des boues r siduaires issues des stations d puration Etat de l art et tentatives d adaptation aux pays de Proche Orient Caract risation physico chimique et microbiologique des boues urbaines en vue d une valorisation agricole Cas de la station de Chotrana A Rhouma a Corrour S Nefi et H Do i oreak e 31 Caract risation physico chimique et microbiologique des boues Traitement ana robie des boues et valorisation du biogaz PT A ea a ciao EA E TE E A A N A A A E E AA AA AN E N 32 Wastewater recycling of olive mills in Mediterranean countries Demonstration and sustainable reuse of residuals P Herald A Nesk kis D XONMNOUS iissiscssscicessanrainretensadsrcavnantiaddindaniacitanidnsantnain same 34 SESSION DE POSTERS Approche int gr e pour l am lioration de l utilisation des eaux us es trait es en agriculture irrigu e dans le Cap Bon P Hubers FoC henni et H Jelas aiaa aTa 36 Etude de l efficacit de la photo d sinfection des eaux us es par diff rents photosensibilisants
29. arides pour prot ger ses ressources naturelles Autrement dit il est question de bien mener une politique de protection de ces ressources Le d veloppement du secteur touristique est entre autres un exemple typique pour la concr tisation de cette politique Depuis quelques ann es dans le sud tunisien l accent est mis non seulement sur l extension des circuits touristiques en reliant le tourisme baln aire aux tourismes montagneux et saharien mais aussi sur la modernisation de l infrastructure touristique h tels plages transports relais centres de loisirs etc Toutefois pour qu elle soit comp titive l chelle internationale cette industrie doit diversifier ses produits Ce poster se propose d exposer un cas particulier pour montrer qu entre les nouvelles exigences internationales et les contraintes de gestion des ressources en eau qui se font de plus en plus rares et co teuses au vu des besoins importants en eau mobilis e pour de nouvelles activit s l utilisation de l eau us e trait e s av re une solution convenable pour contourner ce genre de probl mes Comment l le de Djerba les terrains de golf sont irrigu s par les eaux us es trait es Comment la valorisation de ces eaux assure malgr les contraintes du milieu aride la durabilit des activit s conomiques d un secteur touristique cens all ger la charge continuellement lourde dans le domaine agricole D veloppeme
30. ation sont significativement plus importants que sous irrigation L irrigation permet une meilleure solubilisation de l azote ce qui facilite son exploitation par la culture en place et r duit les r sidus dans le sol apr s r colte Le second essai a test l influence de la couverture du sol de l irrigation et du type d eau utilis pour irrigation sur les rendements et la stabilit structurale du sol L ann e 2000 particuli rement pluvieuse et l enracinement profond des c r ales n ont pas n cessit d irrigation L irrigation a syst matiquement donn des rendements plus importants que la non irrigation pour toutes les cultures l gumi res Le fait que le sol soit couvert par la culture ou laiss nu l irrigation ainsi que le type d eau d irrigation n ont eu aucune influence sur la stabilit structurale du sol au terme des cinq cultures Irrigation l gumes eaux us es pollution nitrique rendement agronomique R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 16 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Optimisation de l irrigation localis e avec les eaux us es trait es F Chenini Y P nadille D Xanthoulis et K Zayani INRGREF BP 10 Rue H di Karray 2080 Ariana Tunisie Cemagref BP 31 Le Tholonet 13612 Aix en provence France FUSAGx 2 all e des d port s 5030
31. cette faveur la consommation moyenne en eau par ha quip a augment de 94 Zaoue t Sousse et de 110 dans l ensemble des p rim tres de SOUHIL MESSADI et BIR ROMANA durant la m me p riode Eaux us es irrigation puration p rim tres irrigu s publics R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 48 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Evaluation de l exploitation des p rim tres irrigu s partir des eaux us es trait es R Al Atiri N Gharbi et S Dkhil Direction G n rale du G nie Rural et de l Exploitation des Eaux Minist re de l Agriculture de l Environnement et des Ressources Hydrauliques R sum La raret de l eau et l augmentation des besoins justifient la recherche d une ressource alternative aux ressources en eaux conventionnelles C est ainsi que les eaux us es trait es sont de plus en plus utilis es pour diff rents usages et principalement dans le domaine agricole Le volume actuel des eaux us es trait es EUT est de 147 millions de m par an provenant de 63 stations d puration de PONAS Seulement 35 millions de m soit 20 du volume total des effluents trait s sont destin s l agriculture et sont mobilis s partir des stations de pompages pour irrigation le reste du volume est d vers dans le milieu naturel L utilisation des EUT
32. ctifs dans le domaine des eaux us es Et ceux qui connaissent la technologie ne disposent souvent pas des capacit s techniques et financi res pour monter et g rer un projet biogaz Aucune norme n est encore envisag e pour limiter les odeurs parfois tr s g nante pour le voisinage et la pollution caus e par les productions de gaz provenant des bassins ana robies des stations d puration De nombreuses tudes pour l implantation de nouvelles stations pr voient des bassins ana robies sans qu il soit pour autant pr vu une quelconque protection contre la pollution atmosph rique Le traitement ana robie des boues s av re tre une technique efficiente pour r duire les charges en polluants et les concentrations en germes pathog nes Et contrairement au traitement a robie il permet la fois de dig rer et de R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 32 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF stabiliser rapidement les boues tout en r duisant leur volume et de fournir d importantes quantit s d nergie Eaux us es biogaz valorisation traitement ana robie R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 33 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Wastewater recycling of olive mills in M
33. e el nun DGCD amp facult universitaire des SCIENCES agronomigues S minaire INTERNATIONAL R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration Optimisation Valorisation amp Durabilit R sum s Abstracts TUNIS 24 25 SEPTEMBRE 2003 S minaire International INRGREF SOMMAIRE SESSION PLENIERE Epuration et optimisation de la r utilisation des eaux us es en Tunisie Apport de la coop ration EoD RMU LD ed Oe A A La neste ied tase calc tk EAEE aden a Suen Sedna EE 5 Irrigation avec les eaux us es trait es manuel d utilisation COE legs M DLL PL SE Te T COMMUNICATIONS ORALES SESSION 1 OPTIMISATION ET DURABILITE DE LA REUTILISATION DES EAUX USEES R utilisation des eaux us es pur es en agriculture au Maroc Bilan de plusieurs ann es de recherche Mi E B N r REEE ENAA HT Efficience et bilan de l azote apport par l engrais et par les eaux us es trait es MN Khelil S Rejeb J P Destain M Frankinet D Xanthoulis et B Henchii ccccccccccccceccvesseseesees VE Optimisation de la fertilisation azot e de cultures l gumi res sous irrigation avec des eaux us es D aunou OLIN TORU OM nue dusteen dn ananas sand ane rent ten A dar te a init me At Mt taie 15 Optimisation de l irrigation localis e avec les eaux us es trait es F Chen VP nodille D Aonthoutis et K DONC isis vicsas i Ea 17 Contamination bac
34. e Oued Souhil Tunisie H El amami D Natsoulis M Trad et D Xanthoulis Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et For ts BP 10 Ariana 2080 Tunisie Matera Bruxelles Belgique Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email amami hacib iresa agrinet tn R sum La r utilisation des eaux us es trait es notamment en agriculture a t l une des caract ristiques de la politique hydraulique du pays depuis les ann es 60 dans le double objectif de prot ger l environnement et d att nuer la comp tition pour l usage de cette ressource entre les diff rents usagers D importants investissements ont t allou s pour la construction des stations d puration et des bassins de stockage et l am nagement de p rim tres irrigu s Toutefois les donn es disponibles font appara tre une utilisation encore faible du volume annuel trait e de l ordre de 30 seulement Plusieurs raisons sont avanc es pour expliquer cette situation mais il semble que la raison principale demeure la qualit non satisfaisante de l eau et la restriction impos e au niveau du choix des cultures pratiquer L une des solutions pr conis es pour inciter les agriculteurs une utilisation ad quate de cette ressource est le traitement plus pouss de ces eaux L puvalisation proc d biologique de traitement utilisant les plantes constitue l une de ces techniques C
35. e potentielle de compos s chimiques toxiques et de germes infectueux Les agents pathog nes essentiellement d origine ent rique se sont av r s r sistants et peuvent survivre durant des p riodes variables au niveau des plantes de l eau et du sol Feachem et al 1983 Boutin 1990 et Hassen et al 1992 Pour des raisons de sant publique et pour une irrigation des cultures mara ch res sans restrictions un traitement compl mentaire des eaux us es secondaires s av re n cessaire Une attention particuli re est pos e sur les techniques photocatalytiques exigeant la pr sence de mol cules photosensibilisatrices expos es l irradiation de la lumi re visible solaire ou artificielle Pour valuer les effets photod sinfectants du RB 2Na en tant que photosensibilisant sur Pseudomonas aeruginoas et Escherichia coli nous avons tudi exp rimentalement certains facteurs d optimisation de la photosensibilisation par le RB 2Na telle que l effet de concentration du pH du milieu r actionnel de la prolongation du temps d exposition la lumi re visible artificielle ou solaire et le temps d incubation en obscurit Les r sultats exp rimentaux montrent que le RB 2Na poss de un pouvoir photoinactivant non n gligeable vis vis de Pseudomonas aeruginoas et Escherichia coli et que son efficacit vis vis Pseudomonas aeruginoas pH neutre pH 7 donne les meilleurs taux de mortalit par rapport aux pH acide et alca
36. e site en collaboration avec plusieurs partenaires de recherche Le site exp rimental tait localis dans le p rim tre irrigu d velopp autour de l usine de production de l gumes surgel s Hesbaye Frost Les eaux utilis es pour le lavage le blanchiment et l pluchage des l gumes sont d vers es la sortie de l usine dans un bassin de stockage a r 110 000m3 dont la fonction est de temporiser la production de l usine avec les besoins en eau des cultures exploit es par les agriculteurs avoisinant et de tamponner le pH de ces eaux L a ration altern e vitant la s dimentation et donc un curage r gulier du bassin ainsi que la fermentation susceptibles de d gager des odeurs Lorsque les cultures l gumi res d velopp es dans le p rim tre manifestent un besoin en eau les eaux us es sont pomp es du bassin de stockage et envoy es sous pression dans le r seau de canalisations souterraines Les fermiers branchent alors les enrouleurs l un des 160 hydrants le plus proche du bord de leur champ et l irrigation par canon asperseur sprinkler peut d buter D pendant de la rotation effectu e par le fermier dont une partie du champ tait sous exp rimentation trois cultures l gumi res ont t test es haricots carottes et f ves Le premier essai a tudi l influence sur les rendements et les reliquats azot s dans le sol apr s culture de trois fertilisations azot e diff rentes par rapport un
37. e syst me de traitement a montr sa fiabilit dans plusieurs pays m diterran ens Toutefois les r sultats conomiques notamment en mati re du co t additionnel de traitement de l eau et de son impact sur le revenu du producteur et la valorisation de cette ressource restent limit es L objectif de ce travail est de d terminer pour la station exp rimentale de Oued Souhil Tunisie le co t du traitement tertiaire de l eau par cette technique et d optimiser la valorisation conomique de cette ressource Un mod le de programmation math matique a t construit pour une exploitation type afin de quantifier l effet du traitement compl mentaire tertiaire de l eau sur le revenu de l agriculteur l usage de la ressource et sa valorisation conomique Les r sultats obtenus montrent que dans les conditions de l exp rimentation le co t du traitement tertiaire de l eau a t de 0 327 DT par metre cube soit 2 fois environ le co t moyen du traitement secondaire du m tre cube d eau Traitement tertiaire puvalisation valuation conomique R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 60 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003
38. editerranean countries Demonstration and sustainable reuse of residuals D Herold A Neskakis et D Xanthoulis Aachen University of Applied Sciences Department of Mechanical Engineering Ginsterweg 1 D 52428 Jiilich GERMANY Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email herold nts umwelt fh aachen de Abstract Olive oil contributes about 60 in the total agricultural production of Crete Hellas and its production has been increased by 6 per year during the last decades due to increased productivity of existing olive orchards and expansion of the total area of olive plantations Therefore a considerable amount of olive mills wastewater OMW is produced in Crete 370 000 tn year in a short period of time November to March generating the problem of proper disposal with no harmful effects for the environment The objective of the WAWAROMED project was the treatment and reuse of olive mill wastewater OMW which in the Mediterranean region normally is stored in open basins and causes harmful ecological impact due to overflows during winter With the support of the European Communities Project Reference ICA3 CT 1999 00011 Olive Mills wastewater recycling reuse of residual Mediterranean countries R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 34 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGR
39. elles d termin es partir du bilan volumique lors d essai d infiltration dans un sol limino argileux successivement avec deux d bits diff rents 1 I h et 2 I h jet pour une m me dur e d infiltration gale 12 heures Les essais ont t men s au laboratoire dans un sol nu suppos homog ne et isotrope La comparaison des r sultats montre une nette concordance des valeurs obtenues par les deux m thodes En effet l cart entre les valeurs pr dites et celles d duites partir du bilan volumique est dans tous les cas de l ordre des erreurs de mesure La comparaison avec les donn es obtenues par la solution de HEALY et WARRICK 1988 refl te aussi un bon accord des r sultats Irrigation localis e humidit du sol front d humidification bulbe d humidit R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 44 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Utilisation des eaux us es trait es dans les zones arides Aspects socio conomiques Y Moumni Institut des R gions Arides de Mednine Route de Djorf Km 22 El Fj 4119 Mednine Email Moumni Youssef ira rnrt tn R sum En milieu aride l eau est une ressource rare et pr cieuse L exploitation des ressources en eau est un probl me complexe Ainsi il s impose aux pays comme la Tunisie de multiplier les solutions surtout dans les zones
40. ent des sols cultiv s Les tudes qui portent sur l incidence de ces apports sur les propri t s physiques des sols sont tr s peu nombreuses On s est alors propos de mener des essais en plein champ sur deux sols cultiv s et de textures diff rentes sablo limoneuse et limon argileuse Dans l objectif d tudier l effet de diff rentes doses des boues OT ha t moin 40T ha 80T ha et 120T ha sur les caract ristiques physiques de ces sols des mesures de la densit apparente par la m thode des cylindres de l humidit caract ristique au point de fl trissement et la capacit de r tention et de l indice de stabilit structurale par la m thode d H nin 1958 ont permis de d tecter des r arrangements structuraux notables L volution a t surtout d tect e dans le sol texture grossi re malgr la courte dur e de la p riode d tude 4mois Les am liorations de la densit apparente et de la r tention d eau la capacit au champ du sol sablo limoneux sont nettes et significatives sous l effet de diff rentes doses des boues apport es Sol propri t s physiques boues r siduaires texture R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 59 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Evaluation conomique du traitement des eaux us es par puvalisation cas de la station d
41. erturbations de la fonction sexuelle et de la reproduction L impact sur l homme n est certainement pas n gligeable via notre alimentation les particules de l air l eau ou les mat riaux qui nous entourent Ce probl me est exemplaire car il illustre parfaitement le fait que l analyse de l environnement n cessite que les laboratoires disposent non seulement de m thodes chromatographiques ou spectrom triques sophistiqu es mais aussi d outils d valuation des effets biologiques globaux comme la toxicit aigu la g notoxicit et les effets perturbateurs endocriniens Parmi ces perturbateurs les plus tudi s sont ceux capables de se lier au r cepteur des oestrog nes et ainsi d induire ou de moduler une r ponse m di e par celui ci Ces oestrog no mim tiques sont d origine diverse et pr sentent des structures chimiques diff rentes Ce sont des substances d origine naturelle d riv es de l estradiol estrone estriol pr sentes dans les plantes phyto oestrog nes ou les champignons myco oestrog ne ils peuvent tre galement des polluants environnementaux pesticides organochlor s d tergents tels que les alkylph nols PCBs phtalates ou des hormones de synth se ethynyl estradiol RU486 Dans notre travail on s int resse a l tude des rejets des activit s humaines qui sont souvent collect es et trait es par les stations d purations de plus en plus nombreuses en Tunisie Ces eaux sont d barrass es des
42. iculteurs l utilisation optimale de cette ressource en eau La vision de R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 36 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF l aval vers l amont permettra l optimisation des param tres de liaison et d interd pendance des diff rents l ments du syst me multidisciplinaire int gr traitement gestion distribution et agriculteur Dans cette r gion tudi e cette approche int gr e a pu mettre en relief les maillions faibles de la cha ne en question qui sont li s essentiellement aux aspects informationnels et techniques Eaux us es r utilisation irrigation analyse diagnostic approche int gr e R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 37 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Etude de l efficacit de la photo d sinfection des eaux us es par diff rents photosensibilisants Cas de Pseudomonas aeruginosa et Escherichia coli S Sabbahi M Jemli et Z alouini Institut National de Recherche en G nie Rural Eaux et For ts Rue H di Karray B P 10 Ariana Tunis Tunisie Email alouini zou iresa agrinet tn R sum Tout projet de r utilisation des eaux us es impose la prise en consid ration des risques sanitaires li s a la pr senc
43. igation La pr sence de substances toxiques dans les eaux us es brutes engendre des difficult s techniques au point de bloquer le fonctionnement du syst me de traitement En effet nous avons enregistr des toxicit s tr s lev es dans les eaux municipales qui persistent parfois apr s traitement L application du bior acteur membranaire contribue une r duction suppl mentaire de ces substances toxiques ceci est galement confirm par le test d irrigation par ces eaux sur les tomates Eau us e infiltration percolation traitement micro organismes pathog nes R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 42 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Mise au point et validation d une m thode de min ralisation des boues des stations d puration en vue de l analyse du mercure et de l arsenic S Cherif H Naouali et A Jrad INRST BP 95 route touristique de Soliman 2050 H Lif Tunisie CITET Bd de l environnement 1080 Tunis Email semia cherif inrst rnrt tn R sum Les boues d puration issues du traitement des eaux us es d origine urbaine ou industrielles contiennent de nombreuses mati res en suspension ou dissoutes En vue de leur rejet dans le milieu naturel ou leur utilisation des fins agricoles il convient de les analyser aussi bien pour les substances utiles qu elles c
44. ion valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Seasonal storage of reclaimed wastewater in Tunisia a mean of upgrading microbiological quality M Trad D Xanthoulis et N Gardin Laboratoire de microbiologie Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et For ts BP 10 Ariana 2080 Tunisie Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email rais monia iresa agrinet tn Abstract Wastewater production increased dramatically in Tunisia during the last years By the end of 2000 The volume of reclaimed water was 156 M m and It is expected to reach 269 M m in 2011 The use of reclaimed wastewater for agricultural purposes is gaining interest As irrigation is practiced 5 to 7 months per year there is a need to store wastewater produced in winter to be valuated during the dry season To assess the impact of seasonal storage on the main characteristics of wastewater trials were conducted in the coastal area of Nabeul situated in the North East of the country The experimental basins had 2 and 4 m depth and were respectively 75 and 275 m in capacity Bacterial removal was studied with regards to basin depth retention time climatic conditions and initial indicators content of the wastewater Results have shown that storage provide disinfections that allows to meet bacteriological standards for unrestricted reuse in agriculture Reduction in Faec
45. ion et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF L utilisation des eaux us es trait es dans les p rim tres publics irrigu s en Tunisie M Barbouche Unit de suivi et d valuation des P rim tres Irrigu s Minist re de l Agriculture de l Environnement et des Ressources Hydrauliques R sum La superficie des p rim tres publics irrigu s quip s et exploit s jusqu la fin de l ann e agricole 2001 2002 est de l ordre de 6700 ha Au cours de cette ann e les superficies des cultures irrigu es 5985 ha autoris es dans ces p rim tres sont ventil es comme suit 2844 ha de cultures fourrag res 47 5 dont 62 sont localis s dans le p rim tre irrigu de C bala Borj Touil 1408 ha d arbres fruitiers 23 5 se trouvant notmment dans les p rim tres de Soukra 392 ha d agrumes au Mornag 470 ha et a Nabeul 230 ha 1317 ha de c r ales 22 irrigu es dont 99 aux p rim tres de Borj Touil et Draa Tammar 416 ha de cultures industrielles 7 Millet et tabac Les pourcentages des superficies de ces cultures par rapport la superficie de chaque culture irrigu e dans tous les p rim tres publics et priv s exploit s au courant de l ann e 2001 2002 sont les suivants 2 pour les c r ales irrigu es 4 pour les fourrages irrigu es 13 3 pour les cultures industrielles 1 pour l arboriculture fruiti re Malgr l
46. ions d puration Etat de l art et tentatives d adaptation aux pays de Proche Orient B Soudi et M Bazza Institut Agronomique et V t rinaire Hassan II Rabat Maroc Conseiller Principal R gional en Ressources en Eau et Irrigation Bureau R gional de la FAO pour le Proche orient Email b soudi iav ac ma R sum La pr sente communication a pour objectif la mise au point sur les d veloppements r cents en mati re de technologies et de valorisation des boues r siduaires l valuation des avantages agronomiques et conomiques qui en r sultent et des impacts n gatifs ainsi que les mesures de leur mitigation Ces trois aspects sont trait s en mettant l accent sur les exp riences internationales et les possibilit s d adaptation des r sultats aux zones dont les conditions climatiques conomiques et sociales sont similaires celles de la r gion du Proche Orient Sud ouest de l Asie Moyen orient et Afrique du Nord Des propositions concernant l usage rationnel des boues ont t galement mises en tenant compte des sp cificit s agro p dologiques et environnementales de ces r gions Les avantages et inconv nients des fili res de traitements et d vacuation des boues ont t d velopp s Il a t conclu que pour le contexte de la r gion du proche orient les options de traitement de boues les plus justifi es sur les plans conomiques et cologiques sont le s chage prolong des boue
47. iversification of plantation and introduction of new cultures irrigated with tww in some experimental area with a program of demonstration to the farmers can motivate farmers to use tww Horticulture or ornamental plants are some examples for promoting wastewater use Wastewater water reuse irrigation farmer s acceptance R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 21 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF SESSION 2 CARACTERISATION ET TRAITEMENT DES EAUX USEES R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 22 S minaire International INRGREF Qualit bact riologique de quelques effluents urbains trait s et rejet dans l environnement I Boukef M Trad H Makni M Elbour et A Boudabbous Institut National des Sciences et Technologie de la Mer Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et Forets Ecole National d Ing nieurs de Sfax Facult des sciences de Tunis Imen boukef lycos com R sum La r utilisation des eaux us es trait es a des fins agricoles est en plein d veloppement dans tous les pays confront s a des probl mes de manque d eau En Tunisie elle a t introduite d s les ann es 60 et de nombreuses mesures sont actuellement p
48. lgr leur capacit de r sistances dans le milieu environnant Pour l obtention d une photo alt ration de 25 des ufs d ascaris la porhyrine se r v le la plus efficace suivi du rouge neutre et de R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 26 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF la chlorophylle Le bleu de m thyl ne et l osine sont inefficaces pour une concentration gale 10uM 1 En augmentant cette derni re 25uM et en prolongeant le temps d exposition la lumi re 6 heures on obtient un r sultat similaire avec l osine Dans les m mes conditions op ratoires et en fixant le bleu de m thyl ne avec une r sine le taux d alt ration des ufs d ascaris ne d passe pas 15 Les niveaux d alt ration atteignent des cassures par fissuration cassures partielles et cassures totales avec lib ration du zygote dans le milieu Irrigation eaux us es trait es d sinfection photosensibilisation R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 27 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 SESSION 3 VALORISATION DES SOUS PRODUITS Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Traitement et valorisation des boues r siduaires issues des stat
49. lin Il ressort par ailleurs que l effet photod sinfectant de treize photosensibilisants sur Pseudomonas aeruginoas et Escherichia coli montre que la porphyrine est la plus efficace Nous avons ainsi entrepris l tude de l effet photosensibilisant de trois photosensibilisants choisis parmi trois gammes savoir un photosensibilisant dont l efficacit est sup rieure 80 un second avec une efficacit class e entre 50 et 80 et un dernier avec une efficacit de 20 Le phototraitement des eaux us es secondaires par diff rentes concentrations en chlorophylle osine et rouge neutre permet d enregistrer diff rents taux d abattement des bact ries indicatrices de pollution f cale des eaux us es Eaux us es photo d sinfection photosensibilisation pseudomonas escherichia R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 38 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF L puvalisation une technique hydroponique pour le traitement et la valorisation durable des eaux us es M Trad et D Xanthoulis Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et For ts BP 10 Ariana 2080 Tunisie Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email rais monia iresa agrinet tn R sum Le co t lev des traitements limite le d veloppement de l puration des eaux us es en z
50. lleure efficience observ e tait pour le sorgho Dans les essais avec l isotope N alors qu il n y a que deux sources de N Not et Nengrais disponible pour la plante la contribution de l engrais est importante 48 71 et s accro t avec la dose Par contre la contribution du sol d cro t et se stabilise 35 pour des doses lev es de N Dans le cas R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 13 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF de l eau us e sans apport d engrais l azote de l eau entre en comp tition avec la fourniture par le sol dans ce cas la contribution de l eau est de 43 et celle du sol est de 57 ce qui appara t plus lev e que dans le cas d une eau non charg e en N Une fois l eau us e est compl ment e par l engrais min ral la contribution conjointe de l engrais et de l eau se rapproche de celle de l engrais seul dans le cas d une eau non charg e en azote En premi re approche on pourrait conclure que la nature de l azote apport Neau Nengrais N a que peu d influence sur son coefficient d utilisation Cependant la suite de l emploi de l isotope N il est apparu qu m me dose de N appliqu e le coefficient r el d utilisation de l azote pr sent dans l eau us e trait e est en g n ral plus faible que celui de l engrais min r
51. ly on farmers acceptance to use tww for irrigation The sources of water for this area were tww from the treatment plant SE4 and ground water for some farmers who were mixing the two sources of water 100 farmers in 4 different sectors of the scheme were interviewed and their farms were visited for observation during the irrigation time An assessment of water quality was made in the beginning with manual measurement of pH Electro conductivity and turbidity at the same time with the interviews then after the interviews one farmer was chosen to do in his farm the assessment of the water quality each time he irrigate the analysis consisted on some physical and microbiological parameters Farmer s reluctance towards tww use still presents a problematic The interesting observation made during this research is the lack of information and knowledge of the farmers concerning wastewater From the interviews with farmers we found that 79 of farmers says that they are not informed about the water quality and 42 are not informed about how to use tww and most of them mention that they are only informed about the prevention which is consist in making special shoes and doing vaccination The key issue here is the emphasis on community information and education programs with demonstration areas for any wastewater use program to make clear both the advantages and disadvantages of wastewater use With further research and better strategies devised the d
52. mbranaires M Ellouze A Saddoud A Dhouib et S Sayadi Centre de Biotechnologie de Sfax Laboratoire des Bio proc d s BP K 3038 Sfax Tunisie Email sami sayadi cbs rnrt tn R sum Les eaux us es trait es pr sentent actuellement en Tunisie une alternative d approvisionnement en ressources hydriques Cependant un contr le et une haute qualit microbiologique et toxicologique de ces eaux sont fortement recommand s afin de pr venir tout probl me sanitaire Notre travail concerne l valuation de la qualit microbiologique toxicologique et physicochimique des eaux us es suite aux traitements par les technologies conventionnelles et nouvelles Nous avons enregistr dans les eaux us es municipales non trait es une importante charge en pathog nes de 4 3 10 2 5 10 UFC 100 ml pour les coliformes f caux de 1 8 10 2 5 10 NPP 1 pour les salmonelles et de 5 47 oeufs pour les helminthes Suite aux traitements par lagunage a r ou par boues activ es cette charge d passe encore les normes tunisiennes et celles requises par l OMS pour l irrigation de 1 2 10 8 10 UFC 100 ml pour les coliformes f caux de 0 1 a5 10 NPP pour les salmonelles et de 1 29 ufs 1 pour les helminthes L application de la digestion ana robie coupl e a l ultrafiltration permet d liminer tous les germes et d obtenir ainsi une eau microbiologiquement conforme aux normes d irr
53. mentales et sanitaires Parmi les plus rencontr es la gestion de la fertilisation azot e se pose d une mani re d licate d autant plus que ces eaux us es sont charg es en azote Il s agit tout d abord de g rer au mieux l apport d azote et de minimiser les risques ventuels d une charge r siduelle importante susceptible de migrer en profondeur et contaminer la nappe et les eaux de surface Pour r pondre ces pr occupations nous avons entrepris une exp rimentation en plein champ sur une succession de cultures irrigu es avec une eau de nappe et une eau us e trait e et recevant approximativement la m me dose totale d azote apport e A cot de ces essais des exp rimentations o l engrais azot et l azote de l eau ont t simultan ment marqu s avec l isotope N ont t effectu es Sans recourir au marquage isotopique on ne peut valuer l effet de l engrais sur les cultures dans le cas d une irrigation avec les eaux us es Face aux apports d azote par les eaux us es trait es les exportations sont faibles et la charge r siduelle est importante L efficience agronomique se situe globalement en moyenne 20 kg MS kgN et d croit avec la dose totale de N appliqu e En moyenne l azote total apport est apparemment utilis raison de 30 par l ensemble des cultures et d croit galement avec la dose totale de N Ces param tres s av rent tr s influenc s par l esp ce et la mei
54. naire International INRGREF En effet le rendement moyen est pass de 0 98 T ha pour l eau t moin a 2 09 pour l eau us e pur e et 2 13 pour l eau us e brute Les rendements cumul s montrent qu il y a une augmentation de 112 avec l eau pur e de 116 avec l eau brute En ce qui concerne la quantit d azote export e par la plante pour les deux types d eau test s et pour les 5 coupes r alis es la moyenne des coupes montre que l exportation du N est pass e de20 7 kg ha 50 kg ha pour l eau pur e et 51 6 kg ha pour l eau brute Pour les valeurs cumul es elles sont pass es de 103 kg ha 250 kg ha pour l eau pur e et 258 pour l eau brute Ces r sultats montrent que le traitement n a pas du tout diminu la valeur nutritive de l eau pur e L analyse m tallique de la partie a rienne de la plante montre que sa teneur en Cu Zn et Cd augmente par rapport au t moin aussi bien pour l eau us e brute ou pur e En effet les teneurs enregistr es respectivement pour ET EB et EE sont de 16 8 23 6 et 22 5 mg kg pour le Zn 7 64 9 97 et 9 93 mg kg pour le Cu et 0 24 0 31 et 0 27 mg kg pour le Cd Malgr l augmentation de la teneur m tallique quand on irrigue avec l eau us e brute ou pur e ces teneurs sont nettement inf rieures aux valeurs maximales consid r es comme normales Eaux us es r utilisation disponibilit de l azote Cu Cd Cr R utilisation de
55. nt du secteur touristique Contraintes de gestion des ressources en eau Eaux us es trait es irrigation TEXTE A TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 45 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF La nutrition min rale chez I olivier Chemlali irrigu avec les eaux us es trait es S Bedbabis B Ben Rouina et M Boukhris Facult des Sciences de Sfax Institut de l olivier BP 1087 3000 Sfax Email saida_bedbabis yahoo fr R sum L utilisation des eaux us es trait es pour l irrigation de I olivier dans le domaine d El Hajeb 15 Km au Sud de Sfax est pratiqu e depuis 1989 Dans la pr sente note nous nous sommes int ress a l tude de effet de ces eaux pur es sur la nutrition min rale de l olivier Ainsi quatre parcelles sont choisies deux irrigu es l eau us e trait e qui diff rent par l ge des arbres jeunes et vieux une l eau naturelle et la derni re est conduite en culture pluviale Pour ces parcelles le suivi des r serves min rales N P K Ca Mg Fe Cu Zn Mn Pb Cd CI dans le sol les feuilles et les brindilles est r alis Des exp rimentations et observations ont t faites la cadence mensuelle sur le mat riel v g tal et trimestrielle sur les chantillons de sol dans 80 premiers centim tres de profonde
56. ogique dans l adoption de l irrigation par les eaux us es trait es Ils ont permis de rep rer les diff rentes r actions des agriculteurs face l introduction de l irrigation par les eaux us es trait es dans leurs syst mes de production et de montrer la transformation progressive des syst mes de production avec une progression des cultures fourrag res notamment en r ponse aux p riodes de s cheresse Irrigation eaux us es trait es valorisation des eaux us es enqu te socio conomique comportement des agriculteurs R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 20 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Use of treated wastewater in irrigated agriculture in the north of Tunisia Nabeul A study of the farmer s acceptance and perception F Chenini H Jelassi et F Huibers INRGREF BP 10 2080 Ariana Tunisie Wageningen University Wageningen the Netherlands Email chenini faycel iresa agrinet tn Abstract In Tunisia increasing water needs and the danger of periodic drought leave the country vulnerable to water shortage Growing demand has already led to saline water into some groundwater sources Conservation treatment wastewater use in agriculture and desalinization are remedial and essential options to pursue A study was done in the Cap Bon region in the north of Tunisia focusing main
57. on des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 25 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Photo alt ration des formes de r sistance des parasites des eaux us es par diff rents proc d s exp rimentaux Z Alouini M Jemli et S Sabbahi INRGREF BP 10 Rue H di Karray 2080 Ariana Email alouini zou iresa agrinet tn R sum En Tunisie le probl me majeur li l irrigation avec les eaux us es trait es est d ordre sanitaire En effet les ufs et kystes de parasites de part leur nature constituant une pollution particulaire tributaire de l hydraulicit de l eau La perturbation de cette derni re peut engendrer leur entra nement vers la sortie de station puisque leur traitement ne r pond qu aux lois physiques de s dimentation Toutes ces consid rations conf rent l eau us e pur e un potentiel risque sanitaire d un point de vue parasitaire qui s ajoute au risque bact rien OMS 1989 C est la raison pour laquelle la l gislation tunisienne interdit l irrigation des cultures mara ch res cultures rentables par les eaux us es secondaires d o l int r t nouveau qui appara t pour les traitements de d sinfection permettant l limination des polluants risque sanitaire Actuellement plusieurs proc d s de d sinfections des eaux us es sont utilis s en fonction des conditions locales
58. ones rurale et dans les petites communaut s L Epuvalisation est une alternative simple et conomique permettant a la fois le traitement et la valorisation des eaux us es Il s agit d un nouveau proc d de traitement biologique bas sur le principe des cultures hydroponiques Il peut tre appliqu en tant que traitement principal aux effluents particuli rement contamin s tels que les lisiers et les margines comme il peut constituer un traitement d appoint destin r duire la charge polluante chimique et microbienne des effluents secondaires L objectif du travail entrepris sur la station exp rimentale de l INRGREF Nabeul consiste valuer les performances puratoires de ce proc d sous les conditions climatiques et environnementales du Nord est de la Tunisie Les rendements puratoires de cette technique mesur s dans le cas de diff rentes esp ces v g tales cultiv es en hydroponie dans les effluents de la station de traitement par boues activ es SE 4 varient de 20 30 pour la DCO et de 30 50 pour les indicateurs f caux Le taux d limination moyen de NH4 est de l ordre de 35 celui de NO3 est plus faible il est de l ordre de 18 alors que le phosphore total est limin raison de 42 en moyenne Sur la base des r sultats obtenus ce proc d peut pr senter un int r t en tant que mode de valorisation des effluents trait s par voie biologique avant leur rejet dans le milieu natu
59. ont donn des r sultats similaires seule une meilleure r duction de la contamination microbiologique est observ e pour le goutte goutte souterrain L irrigation compl mentaire par eaux us es pour la culture c r ali re au Maroc montre que dans le cas de la culture de bl dur les rendements sous irrigation par eaux us es pur es par infiltration percolation sont statistiquement meilleurs que sous irrigation par eau de puits Pour la culture de bl tendre les rendements sont li s la quantit d l ments fertilisants apport s plut t qu la nutrition hydrique L optimisation de la fertilisation azot e montre qu en Belgique sous irrigation par les eaux us es lorsque la dose azot e recommand e est d pass e un suppl ment minime de rendement est observ mais les reliquats azot s rest s dans le sol apr s culture sont intol rables d un point de vue environnemental Sous la dose optimale recommand e une meilleure utilisation de l azote par les plantes est constat e et la quantit de r sidus azot s apr s culture n engendre pas de pollution du sol Optimisation r utilisation des eaux us es trait es traitement valorisation irrigation R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 6 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Irrigation avec les eaux us es trait es manuel d
60. ontiennent que pour les mati res fortement toxiques qui pourraient contaminer l environnement et pr senter un risque pour les milieux naturels et la sant humaine Notre travail a consist mettre au point optimiser et valider une m thode de min ralisation des boues issues des stations d puration des eaux us es pour l analyse de deux m taux tr s toxiques savoir le mercure et l arsenic Le protocole consiste ajouter un chantillon de boue s ch e et tamis e de l acide nitrique Le tout est ensuite min ralis au four micro ondes Apr s ajout d eau l chantillon est analys pour l arsenic par Induction Coupl e un Plasma ICP et pour le mercure par Absorption Atomique AA Trois param tres qui pouvaient influencer la min ralisation ont t tudi s la temp rature de s chage de l chantillon le volume et la concentration d acide nitrique ajout s La m thode a ensuite t valid e sur une boue de concentration connue d finition des limites de r p titivit s fonctionnelles et les pertes valu es en absence de mati re organique Le protocole d fini est donc valable pour la min ralisation des boues en vue de l analyse de l arsenic et du mercure Il peut alors tre utilis des fins aussi bien d puration que de contr le Min ralisation des boues analyse du mercure analyse de l arsenic TEXTE A TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es tr
61. que Email xanthoulis d fsagx ac be R sum L puration et l optimisation de la r utilisation des eaux us es en Tunisie a b n fici d un apport international important notamment de la Belgique et de l Union Europ enne Le pr sent article pr sente les diff rents projets et pr sente plus particuli rement les objectifs et les r sultats du projet INCO intitul sustainability and optimisation of treatments and use of wastewater in agriculture in Mediterranean region Pour ce projet les deux axes de recherche sont le traitement des eaux us es pour l obtention d un effluent r utilisable pour une irrigation sans risque pour la sant humaine et l environnement et l affinement des techniques d irrigation compatibles avec des pratiques agricoles durables Trois syst mes ont t test s le traitement des eaux us es par wetland surface libre FWS le stockage de longue dur e LTS et l puvalisation Les techniques d irrigation tudi es via l impact de l utilisation d eaux us es sur les syst mes d irrigation ont d montr que les syst mes par goutteurs int gr s donnent les meilleurs rendements culturaux ainsi que la meilleure uniformit d irrigation Les effets de l irrigation par des eaux us es sur le complexe sol plante d montrent dans le cas d une culture de pomme de terre en Tunisie que quelque soit la technique d irrigation utilis e sous un m me programme de fertiga
62. r les coliformes thermotol rants 2 x 10 cfu 100 ml dans les effluents d El Jem et 7 7 x 10 cfu 100 ml dans les effluents de K laat Andalous Le rendement puratoire subit une variation saisonni re cette derni re est plus importante dans le cas des stations de traitement par lagunage par rapport au traitement par lit bact rien Eaux us es qualit bact riologique station d puration lagunage naturel lit bact riens lagunage a r R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 23 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Etude comparative des interrelations entre bact ries et microalgues au cours de l puration des eaux us es par lagunage naturel et Chenal Algal 4 Haut Rendement H Allaya M EL Bour H Ben Ouada et A EI Abed Lab De Biotechnologie Marine INSTM Monastir Lab De Microbiologie INSTM Salammb E mail hassen_allaya yahoo fr R sum En vue de suivre les associations entre microalgues et bact ries au cours de l puration des eaux us es nous avons tudi les interrelations entre ces microorganismes pour deux syst mes d puration des eaux us es le lagunage naturel et le chenal algal haut rendement CAHR Ainsi une campagne de suivi des param tres biologiques a t men e dans la station de lagunage naturel station d puration de Sidi Bou Ali d
63. ravail a pour objectif de mieux comprendre le comportement des agriculteurs et leur r action face aux projets d irrigation par les eaux us es trait es promus par les pouvoirs publics Notre choix a port sur le p rim tre de Cebbala Henchir Tobias qui est le p rim tre le plus important en surface environ 50 de la surface am nag e pour sa proximit d un grand centre urbain Tunis pour le caract re tr s diversifi de son agriculture et pour le r le que joue l introduction des eaux us es trait es dans cette dynamique Par ailleurs nous disposons pour ce p rim tre d une base de donn es pour les premi res ann es de mise en service de l irrigation Notre recherche s est bas e sur des enqu tes aupr s des agriculteurs des entretiens avec les responsables locaux et les op rateurs priv s L analyse de l information ainsi collect e a fait appel aux concepts de syst me de production syst me exploitation m nage qui permettent de prendre en consid ration les strat gies des producteurs et de replacer dans le fonctionnement du syst me l introduction de l eau us e comme source d irrigation R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 19 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Les premiers r sultats ont permis de mettre en relief l importance de l environnement conomique et agro col
64. rel Utilis es pour la production de plantes ornementales l Epuvalisation pourrait contribuer l embellissement de certains sites tout en am liorant la qualit des rejets Eaux us es Traitement valorisation puvalisation hydroponie TEXTE COMPLET A TELECHARGER PDF R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 39 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Etude de l impact des eaux us es trait es sur les caract ristiques physiques des sols Z Chaabouni H Nahdi F Chenini et D Xanthoulis Institut National de Recherche en G nie Rural Eaux et For ts Rue H di Karray B P 10 Ariana Tunis Tunisie INRAT Rue H di Karray 2049 Ariana Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux 2 Passage des D port s 5030 Gembloux Belgique Email zouhaier chaabouni iresa agrinet tn R sum un essai exp rimental a t men sur une p riode de 4 ans pour tudier l impact des eaux us es trait es sur une des caract ristiques physiques des sols savoir sa stabilit structurale en surface L essai est men la station exp rimentale de Nabeul sur une parcelle d oliviers plant sur un sol class comme sablo argileux argilo sableux et irrigu par deux qualit s d eau eau us e trait e et eau de nappe La m thode d analyse des chantillons de sol est celle de H nin
65. rises pour promouvoir cette pratique qui contribue a la fois au d veloppement du secteur agricole et a la protection du milieu naturel contre la pollution engendr e par les rejets La qualit bact riologique des eaux us es trait es EUT est une donn e importante dans l valuation de l impact sanitaire et environnemental aussi bien dans le cas d une r utilisation agricole que dans le cas d un rejet Le pr sent travail a pour objectif l tude de la qualit bact riologique des EUT de trois stations d puration Il s agit des stations de K laat Andalous Monastir et El Jem utilisant respectivement les proc d s de lagunage a r lit bact rien et lagunage naturel L tude a t men e sur les effluents bruts et trait s des trois stations et a comport un suivi de l abondance des indicateurs f caux des Salmonelles et des Pseudomonas Les r sultats obtenus montrent que le traitement par lit bact rien est moins efficace dans l limination de la pollution bact rienne que le lagunage L abattement des diff rents germes varie de 0 8 1 2 unit s logarithmiques U log pour la station de Monastir alors qu il est compris entre 2 et 3 U log pour les indicateurs f caux et les Pseudomonas dans le cas des deux autres stations Cependant les concentrations bact riennes r siduelles restent lev es dans les effluents trait s rejet s par les diff rentes stations tudi es Ces concentrations atteignent pou
66. s dans des lits de s chage et ou le compostage des boues ou leur co compostage avec d autres d chets biod gradables d chets verts d chets m nagers et d chets de agroalimentaires Une attention particuli re a t consacr e la probl matique des l ments traces m talliques qui repr sente la contrainte majeure limitant la valorisation des boues En effet si le s chage ou le compostage permettent d an antir les risques sanitaires li s aux pathog nes la contrainte relative aux l ments traces m talliques demeure pos e et n cessite d tre ma tris e Apr s examen exhaustif des normes en vigueur l chelle internationale des normes guides exprim es en terme de Teneurs Cumulatives Limites dans le sol ont t propos es Les principaux param tres de sol pris en compte en relation avec le risque de pollution m tallique et de transfert des l ments traces dans les cha nes trophiques sont le pH la Capacit d Echange cationique et la texture du sol Notons que les sols de la r gion de proche orient sont dans la majorit des cas de pH neutre franchement basique Ces conditions sont att nuantes des risques d accumulation des l ments traces dans les plantes cause de leur faible solubilit dans ces conditions de pH Aussi la faible activit industrielle en R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 29 Optimisation valorisation et durabilit Tunis
67. s eaux us es trait es et des sous produits de l puration 55 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Use of Treated Wastewater for Irrigated Agriculture Proposals for a Comparative Study of Bolivia Ghana and Tunisia S K Agodzo F P Huibers F Chenini et P Maldonado Kwame Nkrumah University of Science and Technology Kumasi Ghana Wageningen University Wageningen The Netherlands National Research Institute of Rural Engineering Water and Forestry Tunisia Water Center Cochabamba Bolivia Email Frans Huibers users tct wau nl Abstract This paper presents proposals for a comparative study of three countries Bolivia Ghana and Tunisia in the use of treated wastewater for irrigated agriculture The study proposal requires an inventory of urban water and sanitation and their institutional responsibility current use of wastewater treated untreated agricultural use of wastewater in urban and peri urban areas water quality and their short and long term environmental effects legislation on wastewater use the costs of wastewater and any country strategies for wastewater use for irrigated agriculture Initiated by the Irrigation and Water Engineering Group of Wageningen University and tied to an MSc programme requiring a student and a collaborator each from the participating countries the overall goal of the study is to document the
68. son territoire Les ressources hydriques utilisables sont estim es environ 30 Milliards de m3 Environ 13 Milliards de m3 d eau sont effectivement mobilis es et 93 de ces eaux servent pour l irrigation de 1 2 Millions d hectares des terrains agricoles Avec l augmentation croissante de la population et le d veloppement conomique le Maroc se trouve actuellement la limite du stress hydrique Ainsi la r utilisation des eaux us es pur es divers usages et particuli rement en irrigation est une pratique qui prend de plus en plus de l importance au Maroc Les volumes des eaux us es produits annuellement en milieu urbain sont estim s actuellement 500 Mm3 dont seulement 8 sont pur es De ce fait ces eaux us es peuvent tre consid r es comme une ressource hydrique pr cieuse dont la r utilisation pour l irrigation est tudi e comme un moyen d viter le gaspillage d une ressource qui se rar fie D autre part dans les r gions continentales qui en particulier souffrent le plus des d ficits hydriques les eaux us es sont r utilis es brute pour l irrigation d environ 7000 hectares des terres agricoles et repr sentent ainsi pour cette population une ressource hydrique p renne pour leur agriculture locale avec tous les risques sanitaires et environnementales qui peuvent en d couler Dans ce contexte plusieurs exp rimentations sont men es dans diff rentes r gions du Maroc pour promouvoir une r utilisation
69. sultats obtenus ont montr qu il y a une liaison troite entre l uniformit et le pilotage de l irrigation le syst me de filtration et les rendements agronomiques Ainsi le fonctionnement optimal et durable des installations avec les eaux us es trait es tout en vitant tout impact n gatif sur l environnement ne peut tre assur que par la ma trise de la totalit de ces param tres Optimisation performances irrigation localis e distributeurs syst me de filtration uniformit d arrosage tensiom trie TDR R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 17 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Contamination bact rienne r siduelle des cultures irrigu es par des effluents de qualit diff rentes et selon diff rents syst mes d irrigation M Trad F Chenini et D Xanthoulis Institut National de Recherches en G nie Rural Eaux et For ts BP 10 2080 Ariana Tunisie Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email rais monia iresa agrinet tn R sum Dans les pays affect s par la raret des ressources hydriques l optimisation de la gestion de l eau en agriculture constitue g n ralement une priorit L application des techniques d irrigation localis e est vivement encourag e car elle permet une importante conomie d eau Lorsque l irrigation
70. t moin ne recevant pas d azote min ral compl mentaire et un apport ou non d eaux us es par irrigation Pour les trois cultures l gumi res de haricots carottes et f ves qui ont pu tre irrigu es les rendements ont toujours t statistiquement sup rieurs lorsqu il y avait un apport d eau compl mentaire par irrigation avec les eaux us es Les cultures de carottes et de f ves n ont pas donn des rendements significativement diff rents selon le facteur fumure Les reliquats azot s dans le sol apr s r colte ont respect la normes europ enne de SOKgN ha tant que la fertilisation recommand e n tait pas d pass e la fertilisation maximale test e outre passant les conseils de fumure raisonn e a syst matiquement laiss des reliquats en azote min ral dans le sol en quantit nuisible pour l environnement mais r cup rables par une culture R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 15 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF intercalaire de pi ge a nitrates CIPAN Quelque soit le niveau de fertilisation les reliquats azot s taient sup rieurs la norme pour la culture de f ves par un ph nom ne de min ralisation en surface dus aux conditions climatique et a la charge en azote min ral apport par les eaux us es utilis es pour l irrigation Les reliquats azot s en conditions de non irrig
71. t rienne r siduelle des cultures irrigu es par des effluents de qualit diff rentes et selon diff rents syst mes d irrigation M Trad F Chenini et D ROW os so sistas sxeuenicdvevesmssasaes sense ais se siun et be mien carats no 18 La r utilisation des eaux us es trait es dans l agriculture Les r ponses des agriculteurs du p rim tre de Cebbala et Henchir Tobias M Hammam M Hour Bh S NEM raisen aia 19 Use of treared wastewater in irrigated agriculture in the north of Tunisia Nabeul A study of the farmer s acceptance and perception FCheninr EL Jelasst et F PLOT CIS iyo cisco ses Sie chk nn ON Kis EEA ENE wav nadia aie Reece ns Ox 21 SESSION 2 CARACTERISATION ET TRAITEMENT DES EAUX USEES Qualit bact riologique de quelques effluents urbains trait s et rejet dans l environnement E Boukef M Trad H Makni M Elbouret Boudabbons ns csimenassaussstemsanensenetaasassss 23 Etude comparative des interrelations entre bact ries et microalgues au cours de l puration des eaux us es par lagunage naturel et Chenal Algal Haut Rendement HAtoye MEL Bour Ben Onada et EE Abed a inc ciccnas cxnnanieieads nette se mena ns pri es gui cn 24 Am lioration de la qualit d un effluent secondaire destin l irrigation par filtration sur sable R Boukchina H Makni S Abdeda em et F Brissaud eeseeeseseeeeeeeeseneeseeesse 25 Photo alt ration des formes de r sist
72. t estim es 7000 hectares soit uniquement 60 millions de m an d eau collect e et r utilis e Si la totalit des eaux us es tait pur e puis r utilis e en irrigation elle permettra d irriguer 50 000 hectares environ ce qui est loin d tre n gligeable L objectif de ce travail est d tudier l effet de l puration par une station boues activ es sur la qualit de l eau trait e Ainsi nous avons compar l effet de trois types d eau l eau us e brute EB l eau us e pur e EE et une eau de puit t moin ET sur le rendement en biomasse de la culture et la nutrition azot e de la plante d une part et sur le pr l vement de trois m taux lourds par la plante notamment le Zn Cu et Cd L exp rimentation a t conduite au champs sur le site de la station d puration de B ni Mellal sur des parcelles l mentaires de 1m de surface chacune Les parcelles ont t am nag es en bloc al atoire comportant un seul traitement le type d eau d irrigation avec trois r p titions La plante test utilis e est le ray grass cinq coupes un mois d intervalle ont t r alis es Les r sultats obtenus montrent qu il y a une augmentation importante de la biomasse quand on irrigue avec l eau us e brute ou pur e R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 54 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S mi
73. tion les eaux us es trait es apportent des rendements toujours sup rieurs ceux obtenus par irrigation l eau de nappe Au Maroc dans le cas de cultures d aubergine et de g ranium les eaux us es pur es par puvalisation ont une charge fertilisante telle qu un effet d pressif sur le nombre de fruits produits a t observ ainsi qu une moindre consommation hydrique de la culture Ces eaux et des eaux us es pur es par infiltration percolation sont class es d un point de vue microbiologique dans la classe A telle que d finie par POMS c est dire permettant une utilisation non restrictive pour l irrigation de cultures consomm es crues En Isra l sous une culture de ma s la teneur en nitrates s accumule dans le sol lorsqu il n y a pas d irrigation alors que inversement le sodium s accumule lorsqu il y a irrigation En Palestine la recherche de plantes adapt es l irrigation par des eaux us es a permis d identifier une vari t de pois qui ne subit pas de perte R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 5 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF et dont les param tres de biomasse rendement en grains et qualit de formation des grains sont am lior s lors d irrigation par des eaux us es Dans la plus part des cas l irrigation au goutte goutte en surface ou souterraine
74. u te a t r alis e et a touch plus de 13 100 sur 747 des agriculteurs utilisant les eaux us es trait es dans les p rim tres de Dar chaabane messaadi et Oued Souhil L tat des lieux et l analyse diagnostic montre que plus de 60 des agriculteurs de la r gion ont des superficies agricoles inf rieures 1ha avec plus de 80 d agrumes L alternance de l utilisation des eaux us es trait es et les eaux conventionnelles est pratiqu e par 40 des agriculteurs le reste dispose uniquement des eaux us es trait es Le tour d eau qui d passe parfois les 20 jours pendant le mois de pointe est une contrainte majeure ressentie par les agriculteurs La tarification semble ne pas changer le comportement des agriculteurs par contre la demande de plus d eau tait ressentie chez plus de 25 des agriculteurs Les aspects informationnels li s la qualit de l eau d irrigation utilis e l volution de l tat du sol ainsi que les apports en l ments fertilisants sont quasiment absents En effet 80 des agriculteurs n ont aucune information sur la qualit et plus de 50 rajoutent des l ments fertilisants quantitativement quivalents ceux utilis s avec des eaux conventionnelles L approche int gr e pour am liorer l utilisation des eaux us es trait es en agriculture irrigu e dans la r gion du Cap Bon est bas e sur l analyse de l tat des lieux et le degr de perception et d acceptation des agr
75. ur Quelques r sultats pr liminaires sont obtenus mais restent approfondir afin de d terminer l impact de ces eaux sur la croissance et la production de l olivier et sur la qualit de l huile extraite La caract risation de l tat initial des r serves min rales du sol montre des diff rences entre les parcelles irrigu es et celle non irrigu e et entre les deux qualit s d eau La teneur d azote volue entre 0 67 et 0 71 dans le sol irrigu aux eaux us es trait es Elle est gale 0 62 et 0 71 respectivement selon que la parcelle soit irrigu e l eau naturelle ou conduite en pluvial Les m mes tendances de r sultats sont observ es pour les autres l ments chimiques Ce m me constat est observ dans les organes v g taux feuilles et brindilles puisque les concentrations de la plupart des min raux diff rent selon le mode de conduite de la nature de l eau d irrigation Pour l azote ces teneurs se situent entre 2 06 et 2 52 dans les feuilles des arbres irrigu s aux eaux us es et seulement 2 04 dans celles des arbres recevant l eau naturelle Pour le mangan se ces teneurs se situent entre 0 008 et 0 44 mg l Pour le zinc ces teneurs se situent entre 0 003 et 1 09 mg l Irrigation de l olivier Eaux us es trait es Nutrition min rale Qualit de l huile irrigation R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 46 Optimisation valorisat
76. urant 6 mois entre d cembre 2001 et mai 2002 Aussi un suivi de chenal algal haut rendement a t men pendant 26 jours dans une maquette aliment e en eaux us es naturelles Les r sultats obtenus du suivi de la station d puration par lagunage naturel nous ont permis d identifier une dominance des micro algues Chlamydomonas pendant la p riode d tude Aussi nous avons retenu des taux printaniers importants en ces microalgues simultan ment des taux assez lev s en bact ries m sophylles et psychrophylles Les r sultats obtenus pour le cas du chenal algal haut rendement ont permis de constater l volution du syst me vers une r duction des taux en nitrobacters et en sulfato r ducteurs ainsi que la DCO les MES les nitrates et chlorures au profit d un d veloppement de microalgues Chlamydomonas et diatom es Eaux us es puration lagunage naturel chenal algal composition microbiologique R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 24 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF Am lioration de la qualit d un effluent secondaire destin l irrigation par filtration sur sable R Boukchina H Makni S Abdedaiem et F Brissaud Institut des R gions Arides Direction R gionale de Gabes 6051 Nahal Gabes Laboratoire Eau Energie Environnement Ecole Nationale d
77. ure aspects environnementaux associ s l utilisation des eaux us es mesures de contr le aspects socioculturels l gaux institutionnels et conomiques boues r siduaires Manuel eaux us es trait es traitement valorisation bonnes pratiques agricoles R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 8 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 COMMUNICATIONS ORALES SESSION 1 OPTIMISATION ET DURABILITE DE LA REUTILISATION DES EAUX USEES SESSION 2 CARACTERISATION ET TRAITEMENT DES EAUX USEES SESSION 3 VALORISATION DES SOUS PRODUITS roduits de l puration Tunis 24 25 Septembre 2003 SESSION 1 OPTIMISATION ET DURABILITE DE LA REUTILISATION DES EAUX USEES roduits de l puration Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF R utilisation des eaux us es pur es en agriculture au Maroc Bilan de plusieurs ann es de recherche J Bahij et B Soudi Direction Contr le Qualit des Eaux Office National de l Eau Potable Rabat Maroc Institut Agronomique et V t rinaire Hassan II Rbat Maroc Email onepdlq onep ma R sum Le Maroc pays a climat aride a semi aride se trouve vuln rable aux p riodes de s cheresse cycliques et prolong e et conna t une in gale r partition des ressources hydriques travers
78. uterraines et de surface sont parmi les inconv nients potentiels les plus importants de l utilisation d eau us e trait e Cependant du point de vue rigoureusement scientifique la planification rigoureuse et la gestion efficace des r gimes d irrigation ou de fertilisation peuvent r duire au minimum ces inconv nients un niveau dont les effets environnementaux sont insignifiants Pour cette raison il est important de fournir aux agriculteurs l information requise pour les aider am liorer la gestion de l eau us e trait e utilis e pour l irrigation et les d chets solides servant la fertilisation C est maintenant possible gr ce aux informations et l exp rience consid rable acquises au niveau r gional au travers de projets de r utilisation men s avec succ s Dans ce manuel une tentative est faite pour consolider la connaissance et l exp rience acquises sur la r utilisation dans les pays de la r gion fournir des conseils de bonnes pratiques agricoles dans une approche de gestion int gr e Les principaux chapitres traitent de s R utilisation des eaux us es trait es et des sous produits de l puration 7 Optimisation valorisation et durabilit Tunis 24 25 Septembre 2003 S minaire International INRGREF l valuation de la qualit de l eau us e trait e pour l irrigation l irrigation avec l eau us e trait e aspects sanitaires de la r utilisation des eaux us es en agricult
79. utilisation M Bazza et D Xanthoulis FAO RNE 11 El eslah el zerai Street Dokki P O Box 2223 Cairo Egypt Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux Belgique Email mohamed bazza fao org R sum La FAO a d ploy beaucoup d efforts sur le sujet de la r utilisation des eaux us es trait es et des sous produits en agriculture au cours des trente derni res ann es notamment travers l appui technique aux pays membres l organisation d un grand nombre de manifestations la mise en uvre de projets la formation la production de documentation etc La collaboration avec les pays membres et les autres organisations a permis de faire avancer le processus mais il reste encore beaucoup faire pour parvenir une ad quation entre la pratique et le potentiel offert par la technologie Dans le prolongement de ces efforts le bureau r gional pour le Proche orient de la FAO un premier article sur la mise jour du manuel d utilisation des eaux us es trait es sur la base des nouveaux d veloppements scientifiques et technologiques L utilisation de l eau us e trait e et des boues r siduaires au del de leurs effets positifs peuvent galement avoir des impacts d favorables sur la sant publique et l environnement en fonction principalement des caract ristiques de l eau pur e et des boues du degr d puration de la m thode et de l endroit d utilisation La pollution du sol des eaux so

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