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Thèse de doctorat

1. Le concept de TheBrain TheBrain01 fut invent en 1994 par Harlan Hugh un autodidacte en informatique alors g de 19 ans La soci t dont il est aujourd hui pr sident commercialise le produit en tant que plateforme de connaissance Ce pro duit est prot g par une vingtaine de brevets am ricains autrichiens italiens et euro p ens Le mod le de TheBrain est la fois simple et g n ral Il est bas sur trois no tions celle de contenu celle de pens e et celle de relation cf Figure 4 7 A chaque pens e 1l est possible d associer un contenu Les pens es sont associ es entre elles par des relations de paternit filiation o de saut Figure 4 7 R tro conception de TheBrain diagramme de classe UML 7 http www thebrain com 49 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION La contre partie de la simplicit du mod le intertextuel r side dans un certain nombre de limites La premi re concerne la gestion des contenus ceux ci sont g r s de mani re monolithique c est dire sans notion de fragment La seconde concerne les traitements appliqu s au r seau Ceux ci se bornent l affichage pour un n ud s lec tionn de ses voisins parents enfants fr res sauts En effet 1l serait difficile d obtenir des affichages plus synth tiques puisque aucun contr le de coh rence n est appliqu au r seau Il risquerait d y avoir par exemple des par
2. Par contre dans les genres subordonn s les uns aux autres rien n emp che que leurs diff rences soient les m mes car les genres plus lev s sont pr dicats des genres moins lev s de sorte que toutes les diff rences du pr dicat seront aussi des diff rences du sujet Aristote 300 Cat go ries 3 Ces trois principes sont interpr t s par Porphyre II IV s ap J C comme d finissant un arbre dans lequel chaque n ud un genre genus se divise en sous genres en fonction d une diff rence differentia Chacun de ces trois principes peut donc se lire de mani re appliqu e dans l arbre de Porphyre cf Figure 7 1 l Les hommes sont des animaux Les animaux sont sensibles Donc les hommes sont sensibles 2 Rationnel est une propri t d Homme qui ne subordonne pas V g tal Donc Rationnel n est pas une propri t de V g tal 3 L Homme est un animal rationnel un tre vivant sensible et rationnel une mati re anim e sensible et rationnelle une substance corporelle anim e sensible et rationnelle l Escuela interlatina de altos estudios en linguistica aplicada BenelEtCalabretto00 le Chapitre fran ais de l ISKO BenelEtA199 65 r dans son introduction aux Cat gories 72 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION corporel True S corporel False anim True LS anim False A sensible False S sensible T
3. dans le temps d une communaut Cet aspect sera d velopp dans le chapitre 12 comme perspective nos travaux t Ou pour tre plus pr cis d indices de situation puisque comme nous l avons vu une situation ne peut tre stock e dans un ordinateur 61 62 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Dans les chapitres suivants nous d taillerons trois types de traces particuliers les contenus documentaires les r seaux de description les parcours de lecture Chapitre 6 Contenus documentaires Most of the memex contents are purchased on mi crofilm ready for insertion Books of all sorts pic tures current periodicals newspapers are thus obtained and dropped into place Business corre spondence takes the same path And there is pro vision for direct entry On the top of the memex is a transparent platen On this are placed longhand notes photographs memoranda all sorts of things When one is in place the depression of a lever causes it to be photographed onto the next blank space in a section of the memex film dry photography being employed Vannevar Bush As we may think 6 Dans le chapitre pr c dent nous avons mis en place un mod le base de traces Dans ce chapitre ci nous d finirons un premier type de trace que nous appellerons contenu documentaire Le lecteur pourrait s tonner que l on consacre un chapitre un type de trace dont la gestion ser
4. insuffler aux calculateurs num riques une intelligence l image de celle des hommes et trop souvent des chercheurs qu elles entra nent dans de faux challenges scientifiques battre des joueurs de niveau plus lev reconna tre plus d images comprendre plus de phrases Borillo84 p 15 16 Le second est une remarque de Doug Lenat le chef du projet vampires are not real but in fictional settings they may be treated as real Nous dirions quant nous qu il existe des concepts comme vampire qui sans faire r f rence a des choses qui sont ont toutefois un certain pouvoir explicatif c Courant philosophique On peut faire remonter l approche ontologique Aristote Aristote 300 Par d finition il s agit d un discours raisonn sur l tre Dans une telle approche le langage est consid r comme reflet exact du r el condition que le philosophe aujourd hui on di rait le chercheur suive un certain nombre de r gles Tout d abord afin d amorcer le raisonnement avec des principes indubitables le philosophe doit traduire dans un langa ge artificiel le langage cat gorique la connaissance vidente du r el qui lui est donn e on serait tent de parler de r v lation Ensuite afin d avancer dans le raisonne ment le philosophe doit user de syllogismes valides Il est important de noter que l approche ontologique fait l objet d une auto fondation En e
5. EtrenneEtA191 Etienne R Auda Y Iacovella A Sp cificit des probl mes d analyse des donn es en arch ologie Application l analyse des n cropoles In Aplicaciones Informaticas en Arqueologia Teorias y sistemas Saint Germain en Laye 1991 Euzenat97 Euzenat J A Protocol for Building Consensual and Consistent Repositories en ligne Research report INRIA Rhones Alpes 1997 46 p Disponible sur Internet lt http www inria fr rrrt rr 3260 html gt consult le 30 09 03 Fargues90 Fargues J Remarks on the Interrelation between Artificial Intelligence Mathematical Logic and Humanities In nterpretations in the humanities Perspectives from Artificial Intelligence British Library Board 1990 Farouk196 Farouki N La foi et la raison Histoire d un malentendu Paris Flammarion 1996 321 p Feyerabend61 Feyerabend P K Une connaissance sans fondements Editions Dianoia 1999 127 p Note Edition originale en anglais publi e en 1961 Fourel96 Fourel F Int gration de la structure du document dans le processus de recherche d information In X Ve Congres INFORSID Bordeaux Juin 1996 Fourel98 Fourel F Mod lisation indexation et recherche de documents structur s These de doctorat en informatique Universite Grenoble 1 1998 Fowler92 Fowler R H Wilson B A Fowler W A L Information navigator An information system using associative networks for display and retrieval en ligne Uni
6. La pr sente th se se propose d explorer la question de l instrumentation infor matique de la consultation par les experts de ces corpus En fait le corpus se structurant de pair avec le savoir de l expert au fil de ses changements de probl matique et de point de vue 1l devient envisageable d assister un travail humain de construction de sens en offrant simplement un atelier de manipulation de corpus documentaires Dans la premi re partie de cette th se apr s avoir resitu historiquement et insti tutionnellement notre tude nous tenterons de dresser un tat de cette question de l assistance la consultation de corpus pour experts Nous verrons comment des consi d rations pist mologiques portant sur les Sciences en g n ral et les Sciences Humai nes en particulier nous permettent de nous orienter dans un catalogue qui autrement aurait t plethorique Fort de notre critique des travaux existants nous pr senterons dans une deuxie me partie un nouveau mod le appel Porphyre Nous verrons comment ce mod le r e Il F sr 4 7 e op ratoire est fond sur l id e qu une pratique interpretative laisse des traces traces qui pourront plus tard tre retrouv es et susciter le d bat entre experts Une troisi me partie d di e des tudes de cas en arch ologie nous permettra de mettre le doigt sur les difficult s rencontr es lors de l usage de notre mod le Pour y fai
7. X Ys et B a pour tiquette X et pour parent un descripteur ayant pour tiquette Y Dans ces cas l le syst me proposera une contrainte d quivalence entre A et B nous pourrons ici d velopper par exemple les travaux de MatthesEtA101 c Consensus et importation Dans le cas o les experts arriveront r gler le conflit d interpr tation qui les opposait 1l sera possible de publier le r sultat En pratique la fusion de leurs points de 134 CHAPITRE 12 PERSPECTIVES vue conform ment des r gles d finir pourra tre import e dans un point de vue propre la communaut Le syst me gardera la m moire de l auteur originel de chaque partie de sorte que la copie soit une citation et non un plagiat 2 Espace diachronique A la diff rence des autres espaces d di s la production l espace diachronique sera consacr leur observation Il s agira de visualiser l activit scientifique en mon trant les variations qui ont affect le domaine L analyse portera sur l volution du vo cabulaire de la communaut celle de leur emploi pour d crire le corpus documentaire et sur l influence r ciproque dans le temps des mod les de la communaut et de ceux de ses membres Si Porphyre permet d s aujourd hui de capter les informations historiques concernant les traces d interpr tation stock es 1l s agit d aller plus loin et de trouver des moyens de pr senter visuellem
8. chose du texte Dynamique interne et projection externe constituent ce que j appelle le travail du texte C est la t che de l herm neutique de reconstruire ce double travail du texte Ricoeur86 p 36 35 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 3 Un cadre interpr tatif pour le calcul Reste d finir la place du calcul c est dire de l informatique dans notre mo d le Le calcul appara t clairement comme faisant part du processus d explication Ce pendant des pr cisions s imposent En effet alors que l explication comme nous l avons vu porte sur des significations le calcul porte sur des symboles au sens math matique c est dire des objets de calcul sans aucune signification Ioannis Kanellos parle de forme d corr l e de tout contenu KanellosEtAl00 Bruno Bachimont de signe autoth tique tymologiquement qui porte soi m me c est dire qui ne repr sente rien sinon sa propre effectivit Bachimont99b L ou les choses se compli quent c est que les usagers des syst mes informatiques attribuent une signification aux symboles et m me plus puisqu ils sont selon l expression de Fran ois Rastier 41 condamn s au sens Bruno Bachimont consid re que le symbole autoth tique se voit surdetermine jusqu devenir orthoth tique tymologiquement qui porte exactement c est dire un enregistrement de la parole telle que l criture alphab
9. criture l expert arpente l espace documentaire afin d en faciliter l acc s ult rieur pour lui m me ou s il le souhaite pour sa communaut 6 Les contenus documentaires constituent notre premier type de trace Le mo d le permet de g rer des fragments des sources des notes dynamiques ainsi que des contextes de lecture plusieurs objets documentaires destin s tre lus conjointement En tant que r f rence commune d une communaute ces contenus documentaires consti tuent en quelque sorte l assise du mod le 7 Notre deuxi me type de trace est constitue par les r seaux de description Ils permettent chaque expert de superposer au corpus sa propre structure son propre point de vue Un m canisme de filtre obtenu par induction totalisante permet d aider l expert arpenter l espace documentaire conjointement travers plusieurs points de vue 8 Les parcours de lecture forment notre troisi me type de trace Il s agit de structures orthogonales aux r seaux de description permettant de d finir lors de la constitution du corpus ou lors de son exploration des s quences travers les objets do cumentaires Chaque objet documentaire peut ainsi devenir l embranchement de par cours appartenant a diff rents points de vue De plus chaque tape de lecture l objet documentaire est associ un contexte de lecture particulier 9 Le mod le tant d fini reste sa mise l
10. ensemble des tapes de lecture dans l ordre de leur premi re visite et en n gligeant les retours en arri re nous semble pr f rable du point de vue de la charge cognitive et de la charge computationnelle b Etape de lecture Ayant d fini pour les parcours de lecture ce que nous appelions un historique nous avons maintenant pr ciser ce que nous appellerons une fape de lecture On serait sans doute tent d assimiler une tape de lecture un objet documen taire source fragment note Cependant une telle d finition nous priverait du contexte documentaire de lecture l un des aspects les plus int ressants des r seaux de descrip tion Pour autant prendre comme tape le contexte documentaire de lecture serait as sez peu judicieux En effet si l on consid re les op rations d finies pour la navigation dans un r seau de description comme autant de syst mes ce contexte serait une sor tie mais jamais une entr e Dit autrement 1l serait possible de poursuivre une navigation dans les r seaux de description par une navigation dans les parcours de lectu re mais pas l inverse Tenant compte de l objection pr c dente on serait amen d finir une tape de lecture comme un corpus de documents Cependant rechercher une tape parmi les N tapes disponibles reviendrait effectuer N comparaisons d ensembles En outre ne consid rer que le corpus n glige le fait qu
11. hypoth tique et comme sortie une vraie r futation Premi rement on est en droit de se questionner sur la v rit de la m thode et donc de ses r futations ontologique logique pist mologique En fait ce point n a jamais t abord par Popper Il semble qu il ait pens que le modus tollens tait naturel vident Avec le recul on peut donc affirmer que sa m thode est enraci n e dans des croyances ontologiques Si l on souhaite suivre la m thode popperienne tout en tenant compte des math matiques modernes nous devons remplacer sa croyance dans la logique naturelle par le choix conventionnel de cette logique parmi d autres Deuxi mement le processus a besoin de deux entr es une hypoth se testa ble et un ph nom ne objectif mais rien ne nous dit dans la m thode comment les obtenir Elle laisse une place pour quelque chose d autre Concernant l hypoth se testable Popper crit que son invention par un tre humain concerne la psychologie et non l pist mologie puisque cette invention n inter f re pas avec sa m thode logique On lui sera reconnaissant de ne pas invoquer contrairement d autres philosophes d obscurs processus formels tels que l induction ou l abduction et de pr f rer garder une m thode purement logique tout en laissant de la place aux Sciences Humaines Concernant le ph nom ne objectif c est un ph nom n
12. preuve La premi re tude de cas remontant l an 2000 concernait un extrait de la Chronique des fouilles L exp rience visait enrichir les documents structur s par livraison ann e de fouille l aide d une structure g ographique g n rale r gion site de mani re obtenir en quelque sorte une topique des fouilles Les difficult s rencontr es nous incit mes par la suite 142 CONCLUSION g rer les structures originelles des corpus comme des points de vue parmi d autres Par ailleurs c est cette tude de cas qui nous montra l importance des s quences et nous mit ainsi sur la voie des parcours de lecture Enfin nous constatames la n cessit d outils d assistance la fusion de structures 10 Notre deuxi me tude de cas remontant 2001 portait sur la gestion avec Porphyre d un extrait des Collections de l Ecole fran aise d Ath nes en ligne CEFAEL Nous primes en compte les structures suivantes celles du maquettiste de la biblioth que de la phototh que planoth que de l quipe de fouille Les probl mes rencontr s porterent principalement sur le passage a l chelle Ceux ci nous oblig rent modifier des choix technologiques servlets ainsi que des choix d architecture com munications entre serveurs 11 Notre troisi me tude de cas men e en 2002 portait sur une lecture histo riographique de la publication d une fouille de n cropole No
13. teur qui jouera le r le d une association Ainsi le r seau de la Figure 11 8 mod lise t 1l le fait que deux squelettes sont t te b che association qui pourra tre r utilis e dans d autres descriptions 129 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION FT Vestige Type FT Squelette E un squelette E un squelette G Position E T te b che O Figure 11 8 Association non orient e T te b che g Mod liser des associations orient es Pour mod liser une lien d une association orient e 1l faut cr er un descripteur pour chaque r le faire une sp cialisation commune chaque r le et l objet jouant ce r le puis faire une sp cialisation commune ces derniers descripteurs Ainsi la figure 11 9 exprime t elle qu un sac contient un vase tout en pr cisant que les r les conte nu et contenant sont r utilisables on pourrait par exemple rechercher tous les objets contenus dans les vases FT Vestige Type Sac FT un sac Vase G Position i a ia FT Contenant E Contenu J Figure 11 9 Association orient e contient 130 CHAPITRE 11 LA NECROPOLE OCCIDENTALE DE MEGARA HYBLAEA h Utiliser des documents comme points de rep re Si les r seaux de description aident la compr hension des objets documentai res en retour les objets documentaires permettent d interpr ter les r seaux de descrip tion En effet
14. tion permet d atteindre l ensemble des corpus d crits c est souvent par une ennuyeuse s rie de d selections et de s lections de descripteurs Ne serait il pas utile d offrir des raccourcis entre corpus transversalement aux relations d inclusion C est pour r pondre cette attente que nous proposons les parcours de lecture En tant que frace nos parcours de lecture pourront tre d finis la fois par les auteurs et les lecteurs des contenus documentaires Dans le premier cas 1ls pourront repr senter par exemple la s quence des pages ou des illustrations Dans le deuxi me cas ils s apparenteront a un historique de lecture li une t che donn e Ils pourront dans les deux cas tre dit s stock s publi s et r utilis s ult rieurement Au cours de ce chapitre nous pr senterons tout d abord de mani re informelle nos choix de mod lisation ainsi que les raisons qui les ont dict es Dans un second temps nous en donnerons une sp cification alg brique Ensuite nous donnerons un aper u des possibilit s offertes par le mod le en d roulant un petit sc nario d utilisation Enfin nous montrerons en quoi notre mod le se distingue des travaux apparent s CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 1 Principe Nous d finirons un parcours de lecture comme un historique parmi des tapes de lecture permettant une navigation Pr cisons maitenant chacun de ces
15. unifier l acc s aux diff rentes bases de donn es du centre ainsi qu aux rapports et publications scientifiques Ce projet est en fait bas sur un mod le de document hyperm dia extr mement simplifi cf Figure 4 2 limite des liens unidirectionnels donc sans gestion de la coh rence par un serveur cen tral la transclusion d images enti res mais pas de fragments la transclusion de textes entiers par l interm diaire des cadres link composi tion Figure 4 2 R tro conception du World Wide Web diagramme de classe UML 42 CHAPITRE 4 INSTRUMENTATION DE L INTERTEXTUALIT ET DE L INTERSUBJECTIVIT Notons que c est justement cette simplicit qui a permis au Filet Mesh interne au CERN de passer l chelle d une Toile Mondiale Si le succ s commercial et l engouement immod r des internautes pour la Toile est indubitable au moins l heure o nous crivons 1l en est autrement de son usage savant Dans un manifeste en ligne Ted Nelson r vant toujours de machi nes pour les litt raires d crit la Toile comme une atteinte integrite de son inven tion The Web isn t hypertext The Xanadu project has endeavored to im plement a pure structure of links and facilitated re use of content in any amounts and ways allowing authors to concentrate on what mattered What we have instead is the
16. Ce que la communaut lui reprocha durement Pitrat84 mais qui ne faisait qu anticiper la d cision japonaise apr s l chec des ordinateurs de cinqui me g n ration 19 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Ainsi m me John F Sowa qui par ailleurs prend clairement un parti anti positiviste place ses ontologies informatiques dans la plus pure tradition de l ontologie philosophique Logic is pure form and ontology provides the content that is expressed in that form Sowa00 Ce quoi on pourrait facilement r torquer Comme le dit Blanche Un moule raisonnement n est pas un raison nement pas plus qu un moule g teaux ne peut tre mang comme des sert Borillo84 p 25 Les promoteurs du Web s mantique BernersLeeEtAI01 quant eux red couvrent toutes les propri t s du langage utopique r v par le courant ontologique un langage universel bas sur la logique Its unifying logical language will enable these concepts to be progressively linked into a universal web un langage monos mique et non contextuel information is given well defined meaning un langage r f rentiel the Semantic Web will break out of the virtual realm and extend into our physical world URIs can point to anything including physical entities enfin un langage artificiel compr hensible par ordinateur machines become much better able
17. Circuit r tro Circuit circu Circuit imp Tepidarium hypocauste grade laire rial Caldarium piscine hypocauste Laconicum Fludes Cours Salles de service Salam cum rium OU P eRe palestres Autres salles S aan espace te SERRES ro es baigneur tions darium laconi sudato Figure 12 1 Exemple de savoir de r f rence structure du lexique et structure du 105 document 103 Action Concert e Incitative rassemblant des arch ologues des architectes et des informaticiens de l EFA du LIRIS et de la Maison de l Orient et de la M diterran e 1 D apr s le dictionnaire m thodique de l architecture grecque et romaine GinouvesEtA198 15 Th Fournet d apr s D Krenker et I Nielsen 137 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Parall lement toujours pour le m me type d ensembles architecturaux le docto rant tablira un mod le s miotique associant la structure du document suivant son type l organisation spatiale des b timents cf Figure 12 1b En effet qu il s agisse de documents arch ologiques primaires photographies relev s topographiques croquis ou de documents d architecture finaux relev s pierre pierre plans masses l vations axonometries leur s miotique spatiale est omnipr sente Enfin le doctorant tudiera la contribution du document d architecture la dis
18. Ensuite la performance de l architecture base de servlets et d algorithmes maisons s est av r e insuffisante La nouvelle version base de scripts PHP int grant des com posants externes optimis s a permis un gain de performance consid rable Tribollet03 Le second probl me concernait le serveur de structure Le mode de distribution des donn es ne permettait de tirer aucun profit de la mise en parall le des calculs sur les diff rents serveurs Pour rem dier cela nous avons d fini les notions d objets docu mentaires et de facettes Aujourd hui deux r seaux de description ne d pendent l un de l autre que par l interm diaire des objets documentaires Au niveau de l architecture le client interroge directement les serveurs L int gration des donn es est rendue possible par le fait que les serveurs se r f rent aux m mes serveurs de correspondance Avec la nouvelle architecture si l on g re n facettes sur n serveurs diff rents la charge des ser veurs sera n fois moindre que sur un serveur unique Une autre optimisation est gale ment envisag e Elle consisterait a tirer partie du fait que la facette du maquettiste est arborescente Le filtre tant beaucoup moins complexe calculer avec de telles structu res il serait judicieux de d velopper un serveur sp cialis impl mentant le m me proto cole mais de mani re optimis e 121 Chapitre 11 La n cropole occidentale de M gara
19. Figure 7 10 Diagramme d tat notation UML d riv de l espace des descripteurs S1 nous reprenons le diagramme d tat pr c dent dans un corpus donn chaque descripteur peut tre dit impossible s il m ne du corpus actuel au corpus vide ex le descripteur c dans l tat B connu s il boucle sur le corpus actuel ex le descripteur a dans l tat B ainsi que le descripteur b dans l tat B possible dans les autres cas b Filtrer des r seaux de descripteurs Des trois tats du descripteur d finis pr c demment reste voir comment d fi nir un filtre pour le r seau De mani re informelle notre id e est la suivante parcourir le r seau en descendant r cursivement chaque descripteur connu et s arr ter aux des ER cripteurs possibles ou impossibles Soyons maintenant un peu plus pr cis 73 P 1 7 r r Voir en annexe pour l explication de la syntaxe utilis e dans les sp cifications alg briques 83 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION D finition getCorpus Descriptor DocumentObject Fonction permettant par r cursivit d obtenir l ensemble des objets documentaires d crits directement ou indirectement par un descripteur donn Note cet algorithme est d scendant car nous connaissons le descripteur et non l objet documentaire x getCorpus y x E Identifier x getDOT y x getCorpus z spe
20. INaLF CNRS Paris Rapporteur Jean Marie Pinon Professeur INSA de Lyon Directeur Andrea Iacovella Ing nieur de Recherche Ecole fran aise d Ath nes Co directeur Sylvie Calabretto Habilit e a Diriger les Recherches INSA de Lyon Co directrice
21. NOMBRE DE PAGES OCCUPATION MOYENNE DES NOMBRE DE CARACT RES PAGES PAR LES FIGURES 12 000 500 55 0 2 5 30 000 000 500 000 Tableau 9 1 Volum trie de la Chronique des fouilles 83 Les volumes indiqu s ici s appuient sur l inventaire r alis par nos soins en mai 1998 sur les 108 chro niques de fouilles disponibles savoir les 70 num ros de la Chronique des fouilles en Gr ce et en Orient Hell nique de 1920 1995 sachant qu il n en existe pas pour 1932 et 1946 et que sont regroup s respec tivement ceux de 1940 et 1941 1942 et 1943 1947 et 1948 et les 38 num ros de la Chronique des fouil les Chypre de 1959 1996 106 CHAPITRE 9 LA CHRONIQUE DES FOUILLES DU BCH b Chronique ou Topique des fouilles La Chronique est un corpus constitu de telle mani re que chaque passage soit compr hensible ind pendamment des autres chacun traitant en g n ral des d couvertes annuelles pour un site g ographique donn Cependant pour offrir une compr hension plus approfondie des liens entre ces passages sont assur s par une structure complexe Cette structure est avant tout temporelle comme le nom de Chronique l indique chaque livraison correspondant une ann e de fouilles Ensuite dans cha cune de ces livraisons une hi rarchie des titres particuli rement profonde au moins sur cinq niveaux permet de regrouper les passages essentiellement par rapport la g ogra phie
22. Sur un contexte de lecture Dans l approche intertextuelle qui est la n tre l objet documentaire ne peut se comprendre que dans un ensemble Nous appellerons cet ensemble un contexte de lecture Or 1l serait illusoire de penser que g rer un tel contexte se ram ne a mettre bout bout plusieurs objets documentaires Il s agit au contraire de trouver des m ta phores formelles et visuelles la s lection de sens qui s effectue selon Fran ois Ras 62 O tier entre deux textes lus en vis vis Au sens large cf chapitre 3 texte int gral photographie diagramme 68 CHAPITRE 6 CONTENUS DOCUMENTAIRES La requ te au serveur de correspondance ne porte donc plus sur un objet docu mentaire isol mais sur un contexte de lecture Les URL construites pour chaque objet peuvent alors tenir compte de ce contexte de lecture Dans la version 2003 du syst me Porphyre un premier traitement du contexte de lecture a t mis en place Il vise a mat rialiser dans une source la relation qu elle entre tient avec ses fragments quand ils sont lus en contexte Ceci est valable aussi bien pour des contenus textuels que graphiques cf Figure 6 4 L URL du document source avec encadrement des zones appartenant a ses fragments est alors de la forme cf Tribollet03 http contentserver porphyry org Image getSource file 23 1 10 amp coord 600 4 50 150 100 760 400 200 100 amp max 640
23. communica tion et en compression de donn es Cependant selon Bernard Miege en Sciences de la Communication l application de cette th orie d autres domaines m me couronn e d un certain succes serait l affaire d un terrible quiproquo Miege95 Tout d abord on reproche souvent la th orie de ne pas tenir compte de la composante s mantique du message Plus pr ci sement le concept d information peut s opposer parfois celui de signification puis que comme l a expliqu Umberto Eco Eco62 plus un message sera signifiant non ambigu redondant moins il sera porteur d information D autre part le mod le est 1 A xi r r r gt M me si paradoxalement on parle de recherche par le contenu en r f rence au texte int gral 13 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION celui d un canal de communication ni l metteur ni le r cepteur ne sont mod lis s Les seules ambiguit s consid r es sont celles dues au bruit pr sent sur le canal En fin le mod le requiert un ensemble fini de messages possibles donn a priori ce qui oblige en pratique appliquer le mod le des signaux simples voire simplistes suites de caract res de longueur limit e b Mod lisation des connaissances La seconde communaut est celle de la mod lisation des connaissances dont les technologies les plus connues sont les systemes de bases de donn es et d
24. crits Du fait que le troisi me des points de vue remette en cause la typologie utilis e dans les deux premiers nous ne pourrons plus consid rer qu il existe un mod le fixe du domaine mais plut t des mod les hypoth tiques et transitoires voluant de pair avec leurs instances La s paration des classes et des instances en deux espaces appara t par 75 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION cons quent inutile De mani re plus g n rale l aspect dynamique de la mod lisation emp chera un typage trop fort des primitives Les descriptions n tant plus norm es il sera impossible de conna tre a priori leur forme Les interactions homme machine ne devront donc pas suivre le modele question r ponse mais plut t celui de la navigation La recherche de documents se fera donc de mani re iterative et ira de pair avec une d couverte de la structure du corpus Dans une telle approche la description du document sera un sous graphe de la descrip 71 De tion du corpus En ce sens nous nous rapprocherons un peu des techniques qui visent agr ger des graphes disjoints afin de donner une vision d ensemble Chalendar97 PredigerEtWille99 BurrowEtEklund94 EklundEtCole02 Enfin le fait que les experts ne soient pas des professionnels de la mod lisation nous encourage a proposer un mod le dont l utilisation pour des descriptions simples sera assez intuitive et dans lequel il sera possible mo
25. d pist mologique Cela signifie que nous limi tons la mission de l ordinateur a ce qui est purement formel et laissons a la charge de l tre humain ce qui concerne la substance des choses C est parce que nous sommes convaincus que l intelligence sera toujours du c t de l humain et non de l automate qu il nous semble indispensable de mettre au c ur de la conception de nos syst mes l interactivit les conflits d interpr tation ainsi que l aspect dynamique et toujours 1n complet de la connaissance 30 Chapitre 3 Explication et compr hension en Sciences Humaines Deux dangers ne cessent de menacer le monde l ordre et le d sordre Paul Val ry Dans le pr c dent chapitre nous avons plac nos recherches dans une certaine conception de l informatique une informatique de l interaction et de la communica tion une informatique dont les mod les sont construits de mani re hypoth tique transi toire et pol mique Nous proposons ici d une part d tudier en quoi l utilisation d une informatique de ce type peut tre judicieuse en Sciences Humaines en particulier en arch ologie D autre part nous devons voir si les m thodes en Sciences Humaines ne pourraient pas nous orienter vers un type de mod les nous permettant d atteindre les objectifs fix s 1 Le cas de la formalisation en arch ologie Plusieurs dizaines d ann es apr s les grands projets de bases factuel
26. me SHRDLU capable de dialoguer avec un tre humain au sujet de cubes empil s les uns sur les autres En 1986 apr s avoir discut avec des ph 16 Il est repr sentatif de voir qu un colloque de recherche d information comme SIGIR la recherche d information interactive est souvent tenue l cart des conf rences pl ni res et rel gu e aux ate liers 14 CHAPITRE 1 PR LIMINAIRES M THODOLOGIQUES nom nologues 1l expliquait les faiblesses de sa premi re approche l oubli du contexte du cadre de r f rence du besoin de n gociation et des in vitables exceptions Des as pects que le courant philosophique l origine du domaine avait volontairement mis de c t Convaincu que l intelligence artificielle menait une impasse Terry Winograd travaille aujourd hui dans le domaine des interactions homme machine c Hypertexte La troisi me communaut consid rer est celle de l hypertexte ou hypermedia Chacun de nous a tendance l associer au World Wide Web c est dire une ver sion simplifi e invent e en 1989 90 par le CERN pour ses besoins propres Berner sLee89 La notion quant elle remonte aux ann es 1945 Bush45 Il s agissait l poque de construire une machine m canique permettant de feuilleter des micro films Le principe tait en effet le suivant associer un contenu documentaire interpr table uniquement par l
27. rames trois facettes pour d crire le corpus une premi re pour sa structure typographique en colonne une seconde pour sa structure par s pulture et une troisi me pour la typologie des vestiges trouv s dans ces s pultures Volontairement nous adoptames un mod le simple dans lequel la composition de descripteurs ne se fai sait qu au niveau du fragment intersection du d coupage par colonne et par s pulture et ou les adjectifs n taient pas pris en compte Nous pla ant dans la perspective d une mod lisation dynamique 1l semblait en effet naturel de commencer par des mod les naifs et de les affiner par la suite 2 Retour d exp rience a Premiers r sultats Le filtre de graphe appliqu notre r seau de description permit d observer un certain nombre de propri t s en r sonance avec les pr occupations d Andrea Iacovella Dans la Figure 11 1 par exemple 1l appara t que pour le corpus d crit les s pultures d enfants contiennent toutes des l cythes mais jamais en forme de c ur et qu aucune ne contient de masque f minin ou d aiguille L arch ologue aurait alors pu se demander si le mat riel de la s pulture est d termin par l age du d funt A l inverse l historiographe aurait pu se demander si dans le cas de cremations donc en l absence de squelette ce n est pas le mat riel qui permit au fouilleur de d terminer l age du d funt 124 CHAPITRE 11 LA N CROPO
28. risation de masse utilisant un scanner recto verso 90 chargeur A la sortie du scanner nous disposions de r pertoires contenant des images Peu Se y 91 r r haute d finition compress es sans pertes num rot es automatiquement En se basant ET r i 92 sur la description des volumes nous p mes automatiquement produire un rapport permettant de contr ler que le nombre de pages num ris es tait co h rent avec la description des volumes des archives sur diff rents supports o chaque image brute tait renomm e en fonction des m ta donn es du volume Les d pliants quant eux durent tre num ris s la main Xerox Digipath TIFF compression CCITT Group 4 600 points par pouce 2 Gr ce au Robot Transvision logiciel d velopp la MOM 118 CHAPITRE 10 CEFAEL COLLECTIONS DE L ECOLE FRANCAISE D ATHENES EN LIGNE des images pour la diffusion sur le Web une d finition inf rieure et compres F OA e o x s es avec pertes ainsi que des vignettes La diffusion sur la Toile Benel02b est rendue possible l aide de deux types de serveurs HTTP Le premier permet de stocker les fac simil s et de les redimension ner en fonction des besoins de l usager taille de son cran Tandis que le second g n re l hypertexte permettant de feuilleter ces fac similes Notons que contrairement ce que permettrait Porphyre cet hypertexte
29. thique la solution se trouve peut tre dans un nouveau type de vulgarisation qui Oterait ce mot son caract re p joratif autrement dit dans une meilleure interaction entre le d bat scientifique et le d bat civique On aurait pu croire que le probleme serait r gl par l avenement de la Soci t de l Information Au contraire sur la Toile le probl me est accentu par l explosion du nombre de pages personnelles reflet d un certain relativisme postmoderne pr nant que tout est vrai la confiscation des revues scientifiques par des monopoles ditoriaux impo sant peu peu des mod les conomiques rendant leur acc s inabordable pour l amateur clair CHAPITRE 1 PR LIMINAIRES M THODOLOGIQUES Ainsi le but scientifique du r seau vient la rencontre d un but plus politique celui de passer de la Societe de l information une nouvelle dynamique inventer la Soci t de la Connaissance 2 Une approche la fois interdisciplinaire et op ratoire La double nature scientifique thique de la probl matique n cessitait de tres ser ensemble deux fils celui de la Recherche et celui du Service c est dire de l action Ce n est donc nullement un hasard si cette dynamique a pu voir le jour sous la direction d Andrea Iacovella la fois chercheur en historiographie et responsable du Service Informatique de l Ecole fra
30. un instant donn l utilisateur concentre son Ensemble des objets documentaires affich s un instant donn par le client de Porphyre 95 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION attention sur un seul des objets documentaires pr sents l cran ce qui se traduit par une activation de la fen tre correspondante Les remarques pr c dentes nous conduisent d finir une tape dans un par cours de lecture comme un objet documentaire parmi un corpus Ainsi rechercher une tape revient comparer des localisations d objets documentaires entre elles Une fois l tape trouv e on peut r cup rer le corpus dans lequel l l ment documentaire doit tre consult Reste pr ciser comment le corpus sera d sign en intension par ce que l on a appel une s lection ou en extension par la liste des objets documentaires le compo sant Si la premi re est beaucoup plus concise elle pr sente un inconvenient majeur celui d avoir un r sultat dynamique Apr s modification du r seau de description le corpus obtenu pourrait m me ne plus contenir l l ment documentaire cherch Les corpus seront donc not s en extension c Navigation Dans le mod le ainsi d fini plusieurs parcours de lecture pourront se croiser en un m me objet documentaire Par cons quent le syst me devra indiquer pour l objet documentaire activ la liste de ses parcours pour les fac
31. 5 Traces et publication The owner of the memex let us say is interested in the origin and properties of the bow and arrow First he runs through an encyclopedia finds an interesting but sketchy article leaves it pro jected Next in a history he finds another perti nent item and ties the two together Thus he goes building a trail of many items Occasionally he in serts a comment of his own either linking it into the main trail or joining it by a side trail to a par ticular item When it becomes evident that the elastic properties of available materials had a great deal to do with the bow he branches off on a side trail which takes him through textbooks on elasticity and tables of physical constants He in serts a page of longhand analysis of his own Thus he builds a trail of his interest through the maze of materials available to him And his trails do not fade Several years later his talk with a friend turns to the queer ways in which a people resist innovations even of vital interest He has an example in the fact that the outraged Europeans still failed to adopt the Turkish bow In fact he has a trail on it It is an interesting trail pertinent to the discussion So he sets a re producer in action photographs the whole trail out and passes it to his friend for insertion in his own memex there to be linked into the more gen eral trail Vannevar Bush As we may think 7 1 Notion de trace a Princi
32. Aradippou g Larnaka Kition Augorou Sotira 8 Liopetri Xylophagou SITES MENTIONNES DANS LA CHRONIQUE 1993 Figure 6 4 Fonction d encadrement automatique dans un contexte de lecture compre nant des fragments et leur source Nous envisageons de mettre en place par la suite d autres traitements portant sur les contextes de lecture Quand un de ces derniers comporte des objets textuels 1l pour Nous nous inspirons ici de la visualisation dans Xanadu des liens de citation Nelson99 69 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION rait tre int ressant par exemple de distinguer graphiquement les termes propres un objet de ceux que l on retrouve dans plusieurs Dans le m me ordre d id e mais avec un aspect plus statistique l utilisation de l incontournable ff idf permettrait de faire ressortir les termes a la fois fr quents dans un objet documentaire et rares dans le contexte de lecture t fidf de l anglais term frequency inverse document frequency Variable statistique couramment utilis e en recherche d information pour extraire des termes pr sents dans le texte int gral d un document de telle sorte qu ils soient les plus discriminants possible par rapport au corpus 70 Chapitre 7 R seaux de description The real heart of the matter of selection however goes deeper than a lag in the adoption of mecha nisms by libraries or a lack of de
33. Colloque International Francophone sur l Ecrit et le Document CIFED 2000 Lyon 3 5 Juillet 2000 Lausanne PPUR p 271 280 BenelEtCalabretto00 B nel A Calabretto S Exploration de corpus de documents arch ologiques l aide de th ories alg briques In Escuela interlatina de altos 147 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION estudios en linguistica aplicada Segundo seminario Matematicas y tratamiento de corpus San Millan de la Cogolla La Rioja Espana 19 23 Septiembre 2000 Logrono Fundacion San Millan de la Cogolla 2002 p 343 350 Benel00 B nel A S mantique interpretative et construction des savoirs scientifiques In Table ronde Renouvellements m thodologiques dans les biblioth ques num riques et les publications scientifiques Ath nes Gr ce 18 19 novembre 2000 BenelEtAl0la B nel A Egyed Zsigmond E Pri Y Calabretto S Mille A Truth in the Digital Library From Ontological to Hermeneutical Systems en ligne In Proceedings of the fifth European Conference on Research and Advanced Technology for Digital Libraries ECDL 2001 Darmstadt September 4 9 2001 Lecture Notes in Computer Science 2163 Berlin Springer Verlag p 366 377 Disponible sur Internet lt http lisi insa lyon fr abenel informatique benel_egyed_ECDL_01 pdf gt consult le 30 09 03 BenelEtAl01b B nel A Calabretto S Iacovella A Porphyre un syst me pour les biblioth ques num
34. Hyblaea Dans les tudes de cas pr c dentes les r seaux de description ont t utilis s pour exprimer le point de vue des auteurs des diteurs ou des biblioth caires Pourquoi ne pas avoir trait le point de vue des lecteurs celui que nous avions pr sent comme le plus int ressant En fait une telle exp rimentation pouvait difficilement commencer avant que nos mod les th oriques et notre prototype n aient atteint une certaine maturi te Il fallut attendre cette ann e pour qu une quipe pilote d arch ologues cf Chapi tre 1 soit int gr e au projet et form e l usage de Porphyre Les premi res exp rimen tations pourront commencer l automne 2003 En attendant ces retours d exp rience nous avons souhait prouver notre prototype en nous mettant la place d un ar ch ologue Nous sommes conscients de la port e tr s relative d une telle exp rience Toutefois 1l nous semble que les d fauts du mod le qui pourraient appara tre dans notre usage de Porphyre devraient a fortiori causer des probl mes aux arch ologues et avoir ainsi valeur de r futation Cette tude de cas portera sur les recherches d Andrea Iacovella concernant la n cropole occidentale de M gara Hyblaea Sicile Dans une premi re partie nous es saierons de nous mettre dans la situation du chercheur en pr sentant ses objectifs et m thodes Dans une deuxi me partie nous verrons les probl mes rencontr s avec
35. L Analyse s miotique d une pol mique en arch ologie ou Y a t il plusieurs mod les de la raison de l homme de science en ligne Note de recherche Maison de l Orient M diterran en CNRS 2002 Disponible sur Internet lt http Awww mom fr theme8 Debat pdf gt consult le 09 10 03 Lepers95 Lepers J M Hypertexte et Infratexte In Hypertextes et hyperm dias R alisations outils et m thodes Techniques de Information Paris Herm s 1995 p 287 296 Lesk96 Lesk M Seven Ages of Information Retrieval en ligne Ottawa International Federation of Library Associations and Institutions Universal 162 BIBLIOGRAPHIE Dataflow and Telecommunications Core Programme March 1996 Disponible sur Internet lt http www ifla org VI 5 op udtop5 udtop5 htm gt consult le 09 10 03 Lethbridge94 Lethbridge T C Practical Techniques for Organizing and Measuring Knowledge en ligne Ph D thesis in Computer Science University of Ottawa 1994 Disponible sur Internet lt http Awww csi uottawa ca tcl thesis pdf gt consult le 09 10 03 Levy81 L vy P L intelligence collective Pour une anthropologie du cyberspace Paris La D couverte 1997 246 p Note dition originale publi e en 1981 LitvakKingEtGarciaMoll72 Litvak King J Garcia Moll R Set Theory Models an Approach to taxonomic and locational sic relationships In Models in Archaeology Methuen London 1972 LiuEtA 92 Liu Y H
36. PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION TacovellaEtA103 Iacovella A B nel A ef al Du partage de corpus documentaires structur s la confrontation de points de vue Dossier d identification d une quipe projet CNRS STIC Juillet 2003 IFLA96a Understanding the UNIMARC format en ligne IFLA Universal Bibliographic Control and International MARC Core Programme 1996 Disponible sur Internet lt http www ifla org V1 3 p1996 1 unimarc htm gt consult le 03 10 03 IFLA96b Multi level Description Encoding Options for UNIMARC en ligne IFLA Universal Bibliographic Control and International MARC Core Programme Disponible sur Internet lt http www ifla org V1 3 p1996 1 guid5 htm gt consult le 03 10 03 IFLA96c Guidelines for Using UNIMARC for Component Parts en ligne IFLA Universal Bibliographic Control and International MARC Core Programme Disponible sur Internet lt http www ifla org V1 3 p1996 1 guid1 htm gt consult le 09 10 03 lorioEtTurner99 Iorio P d Turner W A Nietzsche sur Internet L observation des collaborations m diatis es par ordinateur dans les sciences de rudition en ligne In J Link Pezet Les Collaborations M diatis es par Ordinateurs Solaris Dossier n 5 janvier 1999 Disponible sur Internet lt http biblio fr info unicaen fr bnum jelec Solaris d05 5turner html gt consult le 09 10 03 Iorio00 Iorio P d Ed Hypernietzsche Mod le d
37. Porphyre c Phototh que Planoth que L Ecole dispose d un fond de pres de 500 000 photographies et plans datant de la fin du XIX si cle nos jours Ce fond comprenant entre autres les figures publi es dans les collections on peut consid rer que la structure du fond est aussi structure de la collection Ainsi la Figure 10 4 montre t elle que notre page d exemple comprend deux figures correspondant aux photographies d archive R3879 007 et L9689 030 Chacune de ces photographies peut tre d crite par un certain nombre de m ta donn es telles que leur auteur Jean Charles Moretti et leur date de prise de vue 1991 116 CHAPITRE 10 CEFAEL COLLECTIONS DE L ECOLE FRANCAISE D ATHENES EN LIGNE de Point de vue de l archiviste Auteur tee Moretti J Ch S Dat Na eee lt gt Photographie R3879 007 E Photographie L9689 030 NE Fig 30a Bloc inscrit inv 17316 ch 1 20 Fig 32 Bloc inscrit inv 17316 face ant rieure Figure 10 4 Extrait de la facette de l archiviste R seau de description Porphyre d Equipe de fouille Les trois premi res structures tudi es sont loin d tre exhaustives En effet le corpus est appel tre structur par chacun de ses lecteurs Un exemple int ressant nous est donn par l quipe de fouille de Roland Etienne Cette quipe travaille actuel lement analyser la bibliographie concernant l
38. aspects a Historique Le premier choix que nous devons faire porte sur l historique Dans le domaine de l hyperm dia on distingue en g n ral trois mod les BieberEtWan94 le mod le de la pile utilis dans les clients Web pour le retour arri re le mod le chronologi que utilis dans les serveurs Web comme log et le mod le de la visite guid e Pour comprendre les diff rences entre les trois types d historique nous suivrons un exemple pas pas cf Figure 8 1 Figure 8 1 Exemple de navigation entre des tapes de lecture Diagramme d tat UML Supposons qu un utilisateur passe par les tapes de lecture A B C puis D Dans les trois mod les l historique sera A B C D Lorsque l utilisateur retournera l tape B le mod le de la pile indiquera A B le mod le chronologique A B C D B et le mod le de la visite guid e A B C D 7 En supposant que le client Web n ait pas de cache 94 CHAPITRE 8 PARCOURS DE LECTURE En retournant a l tape A l utilisateur changera le premier historique en A le second en A B C D B A et le troisi me en A B C D Enfin en se rendant a l tape E l utilisateur obtiendra pour historique A E dans le mod le de la pile A B C D B A E dans le mod le chronologique et A B C D E dans le mod le de la visite guid e Le mod le de la visite guid e en stockant l
39. au c ur des usages dans les biblioth ques tradition nelles Ensuite nous tudierons comment elles ont t mod lis es dans le cadre de sys t mes hyperm dia 1 Au c ur des usages Instrumenter un travail n est jamais une op ration neutre Comme le rappelle Bruno Bachimont Bachimont99a n importe quel outil du marteau au syst me infor matique d termine par sa structure des usages possibles ce qui n emp che pas des usages d viants La question de l ad quation de l outil au travail effectuer est donc d j sensible au niveau d une entreprise Elle devient flagrante dans le cas de la recher che publique pour laquelle il serait tout fait d plac de la part d une instance hi rar chique d imposer l utilisation d un outil Aussi certains pourraient tre surpris par notre choix d laborer un mod le du travail partir de textes m thodologiques cens s le guider plut t qu partir d un tra vail d anthropologie immersion dans une communaut observation et entretiens Cependant 1l faut constater que les tudes anthropologiques men es par d autres quipes corroborent tout fait l utilisation de l intertextualit et de l intersubjectivit Ainsi Kenton O Hara et son quipe OHaraEtA198 ont tudi les activit s do cumentaires effectu es par des doctorants durant une journ e de travail Ils d crivent le travail des usagers des biblioth ques
40. can be included as the theory of formal distinctions between the elements of a domain independently of their actual reality Guarino 1997 Quels peuvent tre les vertus de la normalisation si ce n est de permettre a diff rents syst mes informatiques de travailler ensemble Les tenants de cette approche normalisatrice le reconnaissent d ailleurs parfois eux m mes The Semantic Web is really data that is processable by machine says Berners Lee Frauenfelder01 Cette r vision la baisse des objectifs de l intelligence artificielle vers l interop rabilit appara t d ailleurs en filigrane par l inflation d int r t autour des for mats que sont XML format de s rialisation d un arbre cf Figure 2 3 et RDF format de s rialisation d un graphe cf Figure 2 4 Two important technologies for developing the Semantic Web are al ready in place eXtensible Markup Language XML and the Resource Description Framework RDF BernersLeeEtA101 Bruno Bachimont faisait d j remarquer Bachimont01 dans son intervention orale qu ontologie formelle tait un oxymoron c est a dire une expression alliant deux mots contradictoires 23 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION lt rdf Description rdf about A gt lt a rdf resource B gt lt b rdf resource B gt lt a rdf resource C gt lt rdf Description gt lt rdf Description rdf about B gt
41. coupe d finitivement les math matiques de la r alit La v rit en math matique n est donc plus ce qui est conforme au r el mais ce qui est infer d une axiomatique La verite n y est plus ontologique mais logique au sens de conventionnel En fait cette revolution a t pr par e par les geometries non Euclidiennes Leonhardt99b Euclide a fond la g om trie principalement sur cing postulats Mais parce que le cinqui me semblait diff rent des autres des l gions de mathematiciens ont essay de prouver qu il tait d ductible des quatre autres Aucun de ces mathemati ciens n avait le moindre doute concernant la v rit de ce postulat th or me N tait ce pas vrai ontologiquement La r alit n tait elle pas r gie par la g om trie d Euclide C est alors que Lobachevsky 1829 puis Riemann 1854 proposent chacun de rem placer le cinqui me postulat par un postulat contradictoire En faisant cela ils obtien nent deux geometries dites non euclidiennes coh rentes quoique contraires l viden CE On peut se demander si l approche logique est auto fond e ou si elle fond e on tologiquement Pour r pondre nous devons tudier l histoire du th or me d incompl tu de de Godel 1931 Dubucs96 Girard89 Par ce th or me Godel prouve que pour toute axiomatique aussi complexe ou plus complexe que l arithm tique des entiers soit le principe du tiers exclu soit celui de no
42. d indiquer une fois pour toute que la Chronique des fouilles se situe dans le Bulletin de Correspondance Hell nique on serait oblig de pr ciser pour chaque passage du corpus qu il se situe dans les deux Nous risquons donc d obtenir pour un corpus cons quent un r seau aussi verbeux que celui de Xanadu 4 ET a 6 Plusieurs dizaines de milliers 47 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION f Strates IA Le mod le Strates IA est issu de la th se de Yannick Pri Prie99 these pr pa ree au LISI sous la direction d Alain Mille et de Jean Marie Pinon et soutenue en 1999 Ce mod le cf Figure 4 6 est d di a l exploitation contextuelle d unit s audio visuelles fragments de flux audiovisuels Le vocabulaire de l annotation est d fini par des l ments d annotation abstraits reli s par des relations conceptuelles Chaque rela tion conceptuelle peut ventuellement tre d clar e comme instance d un type de rela tion L instance d un l ment d annotation abstrait dans une unit audiovisuelle est ap pel e l ment d annotation Entre deux l ments d annotation il est possible de d finir un lien orient nomm relation l mentaire ConceptualRela lion fro V 0 1 lt instance of contained inscripted in in instance of ElementaryRela tion Figure 4 6 R tro conception de Strates IA diagramme
43. d une th orie portant sur une partie de la discipline En effet structurer son corpus do cumentaire c est structurer son objet d tude sa discipline D s lors que des points de vue sont publi s au sens de rendus publics par des experts tous ceux qui le souhaitent peuvent les voir superpos s au corpus Toutefois si 79 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION nous avons choisi de laisser chaque expert exprimer son point de vue ce n est pas pour glorifier une subjectivit d brid e mais pour autoriser le d bat pour viser l intersubjectivit Il s agit donc de pouvoir comparer entre eux ces points de vue Le m canisme que nous avons offert aux utilisateurs est un filtre de graphes Il permet par induction totalisante de trouver des rapports entre descripteurs non dits au niveau des mod les mais apparaissant dans leurs usages Pour reprendre notre exemple de typologies de mosa ques le syst me nous indiquerait que lorsque tel auteur d crit les mosa ques comme blanche sur fond noir un autre les d crit toujours ou parfois ou jamais comme des mosa ques noires sur fond blanc Notons qu en filtrant les informations nous en r duisons la charge cognitive Nous tenons donc compte de l une des pr occupations centrale des syst mes interactifs de recherche d information Hearst99 En effet vu la taille importante que prendra le r seau de description au fu
44. d couverte la gestion et le partage de ces informations Apr s de tels constats on pourrait s tonner du fait que tr s peu de syst mes de biblioth ques num riques permettent les interactions sociales Tochtermann96 et l enrichissement par le lecteur GohEtLeggett00 RoscheisenEtAl95 NanardEtNa nard01 Cependant comme nous allons le voir ces th mes ont t en partie trait s par une autre communaut celle des Hyperm dia 40 CHAPITRE 4 INSTRUMENTATION DE L INTERTEXTUALIT ET DE L INTERSUBJECTIVIT 2 Panorama des syst mes hyperm dia Sans pr tendre l exhaustivit nous aimerions donner une vue aussi repr senta tive que possible de diff rents types de mod les hyperm dia La documentation des mod les sous jacents tant souvent insuffisante nous avons d effectuer une r tro conception partir des bribes de mod les donn s par les auteurs a partir d exemples d utilisation ainsi que de copies d cran a Xanadu Xanadu est juste titre appel the original hypertext project En effet 1l s agit du projet que poursuit depuis les ann es 1960 Ted Nelson alors licenci en phi losophie et ma tre en Sociologie inventeur des termes hypertexte et hyperm dia L id e originale consiste lire deux textes en parall le en exhibant les relations d analogie indiqu es par le lecteur ainsi que les relations de citation indiqu es par l aut
45. dans les arti cles de recherche des discussions plus philosophiques notre corpus comprendra gale ment des ouvrages de synth se et des articles de vulgarisation Dans l tude qui suit nous adopterons une grille de lecture inspir e de la s mio tique distinguant trois mondes le monde empirique le monde des id es et le monde du discours 1 Valeur ontologique a D finition Le mot ontologique est form sur deux racines grecques onta les choses qui existent logos le discours raisonn On dira qu un discours a une valeur ontologique cf Figure 2 1 lorsque ce lu1 c1 repr sente une id e qui elle m me repr sente le r el En termes kantiens on pour rait parler de raisonnement a posteriori c est dire post rieur l observation 1 Nos trois mondes s inspirent en effet des trois facettes du signe R f rent Signifi Signifiant Eco73 Consid rons le signe cheval Son r f rent est l ensemble des chevaux ayant exist existant et qui existe ront Son signifi est le concept de cheval Un concept peut exister en l absence de r f rent par exem ple le concept de licorne Son signifiant peut tre un dessin un mot crit ou encore prononc 18 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES Monde des Monde du discours Monde empirique Figure 2 1 Valeur ontologique du discours Par exemple le mot
46. de ce que pourrait tre une telle formation 3 Esquisse d un guide des bons usages a Mod liser une taxinomie La relation de sp cialisation entre le descripteur et B peut tre utilis e pour exprimer que A subsume B C est dire que A et B mod lisent des classes pour les quelles toute instance de B est aussi une instance de A et toute sous classe de B est une sous classe de A Par exemple cf Figure 11 2 la classe Coiffure subsume les clas ses Polos et Couronne r Coiffure C Polos C Couronne E Couronne v g tale C Couronne de lier E Couronne de lai Figure 11 2 Mod lisation d une taxinomie l aide des r seaux de description On peut si on le souhaite d finir une classe Bombylios corinthien par com position de Bombylios et de Vestige corinthien cependant cela complique la gestion du r seau cf Petit bombylios de la Figure 11 3 Il est donc conseill d effectuer cette composition au niveau des instances et non des classes 126 CHAPITRE 11 LA N CROPOLE OCCIDENTALE DE MEGARA HYBLAEA FT Vestige Vestige dat E Vestige protocorinthien Vestige corinthien E Vestige typ E Bombylios r Bombylios corinthien FT Petit bombylios E Petit bombylios corinthien E Tasse Figure 11 3 Taxinomie avec composition utiliser avec discernement b Mod liser des attributs et des valeurs d attribut Une autre mani re de mod
47. documentaire est une image source nous obtiendrons des URL du type http contentserver porphyry org Image getThumbnail file 231 4 pour sa vignette cf Figure 6 3a http contentserver porphyry org Image getSource file 231 4 amp max 640 pour la vue r duite 640 pixels de largeur maximum cf Figure 6 3b S il s agit d un fragment d image nous obtiendrons une URL du type http contentserver porphyry org Image getFragment file 231 4 amp coord 1000 1100 700 400 amp max 600 pour la vue obtenue par extraction de la zone ayant pour coin sup rieur gauche le point de coordonn e cart sienne 1000 1100 pour lar geur 700 et pour hauteur 400 La vue apr s extraction est r duite 640 pixels de largeur maximum cf Figure 6 3c Et souvent compress s sans pertes par exemple en TIFF fl Et compress es avec pertes par exemple en JPEG pour plus de fluidit sur le r seau 67 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Figure 6 3 A partir d un m me contenu documentaire a une vignette b une vue de la source c une vue d un fragment Ces URL et d autres permettant de g rer le texte integral font appel des scripts PHP du serveur de contenu de Porphyre Nous invitons le lecteur int ress par l impl mentation optimis e qui en a t faite de se reporter au m moire CNAM en cours de r daction de R gine Tribollet Tribollet03 b
48. donn es d finitions Primitive specialization _ SpecializableDescriptor x GeneralizableDescriptor Boolean Primitive ge DOI Identifier DocumentObject Fonction permettant d obtenir le document correspondant un identifiant donn 72 d Voir en annexe l explication de la syntaxe utilis e 78 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION Note le fait que ce soit une fonction et non une relation traduit une contrainte d int grit fonctionnelle sur les donn es D finition describes _ Descriptor x GeneralizableDescriptor Boolean Relation construite de sorte qu elle soit r flexive et qu elle constitue la fermeture transitive de la relation sp cialization describes x x describes x y specialization z y describes x z Note cet algorithme est ascendant ce qui constitue une optimisation pour un usage normal du r seau de description un descripteur ayant souvent des centaines d enfants et juste quelques parents Contrainte Acyclicit Aucun cycle ne doit exister dans le r seau de description L lt specialization x y describes y x Contrainte Enracinement Un descripteur ne doit pas appartenir plusieurs facettes L f E Facet fo E Facet fi fo describes f1 x describes f gt x 3 Arpenter l espace documentaire Chaque structure cr e par un expert est per ue comme la trace d un point de vue
49. du 121 volume de la revue BCH gt 231 amp 001 tif BCH_121_3_0 1 002 tif BCH_121_3 0 2 003 tif BCH 121303 BCH 121 3 1 1001 004 tif Figure 6 1 Exemple de correspondance pour un contenu documentaire entre une r f rence automatique et un nom significatif Notons que l obtention de cette nomenclature finale n a t possible qu au prix de l abandon d autres nomenclatures et donc au prix du changement automatique mais long du nom de tous les fac simil s num ris s Si l on refaisait aujourd hui la num ri sation 1l serait sans doute pr f rable de distinguer pour un fac simil sa r f rence auto matique de son nom De mani re plus g n rale pour manipuler un contenu 1l faudra lui donner un nom Contrairement la r f rence automatique ce nom r sultat d une interpr tation peut ventuellement tre modifi Nous nous trouvons donc en pr sence d un autre ni veau que nous appellerons une source Nous avons consid r jusqu maintenant les contenus documentaires comme des atomes des l ments amorphes sans structure Or par le seul fait de son inscrip tion sur un support l l ment documentaire esf structur Dit autrement l l ment do cumentaire par sa structure interne d finit un ensemble de parties virtuellement adres sables Par exemple une image dans sa repr sentation matricielle d finit virtuellement Au sens tymologi
50. du domaine et les graphes d indexation reprend celle exis tant dans les biblioth ques entre les autorit s et les fiches d indexation 74 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION c R futation Prenons un exemple en arch ologie Philippe Bruneau Bruneau76 en r action aux premi res banques de donn es arch ologiques faisait remarquer l impossibilit de d crire objectivement une photographie du type de la Figure 7 4 Etait on en pr sence de la repr sentation d une mosa que noire sur fond blanc ou blanche sur fond noir Plus grave encore l auteur nous faisait m me douter du bien fond d une telle typologie Figure 7 4 Mosa que noire sur fond blanc ou blanche sur fond noir Bruneau76 Dans un tel cas nous devrons disposer d un mod le permettant d exprimer qu un premier point de vue affirme qu il s agit d une mosa que noire sur blanc qu un second affirme l inverse et qu un troisi me propose une typologie toute autre Les deux premiers points de vue tant contradictoires notre mod le de connaissance devra tre beaucoup plus permissif que la normale Les structures seront non hi rarchiques graphes orient s acycliques n y aura pas de n gation donc pas de principe de tiers exclu ni de principe de non contradiction Les points de vue ne seront pas d pendants les uns des autres si ce n est par l interm diaire des corpus d
51. facette du maquettiste R seau de description Porphyre 115 Figure 10 3 Extrait de la facette du biblioth caire R seau de description Porphyre 116 Figure 10 4 Extrait de la facette de l archiviste R seau de description Porphyre 117 Figure 10 5 Extrait de la facette d une quipe de fouille R seau de description PODI FOR r D oR Eee ETE D I A ere eee 118 Figure 10 6 Lecture avec Porphyre 2001 d un extrait des Collections de l cole Fanc awed ANNES CID LION RSR A E A tn 120 Figure 11 1 Lecture active avec Porphyre 2002 d un extrait de la publication des fouilles de la n cropole de M gara Hyblaea ou cccccsssssseeessseeeeeeeeeeeeees 125 Figure 11 2 Mod lisation d une taxinomie l aide des r seaux de description 126 Figure 11 3 Taxinomie avec composition utiliser avec discernement eeeen 127 Figure 11 4 Mod lisation d attributs l aide des r seaux de description 127 Figure 11 5 M r onymie utilis e pour d crire une chronologie celle de G de Mortillet DORE 9 aad nee ct Ouen 128 Figure 11 6 Instanciation multiple ccccsssssssssssessssssssssssssssssesesssesseseessseeeeseeeeegs 129 Figure 11 7 Lien d association sont au m me NIVEAU 129 Figure 11 8 Association non orient e T te b che eeeeesessssesesssssssssssssseeeeens 130 Figure 11 9 Association orient e contient ss 130 Figure 12 1 Exemple de savoir de
52. gt consult le 09 10 03 Sowa01b Sowa J F Automating Ontology Development en ligne In JJCA Workshop on Knowledge Discovery August 6 2001 Disponible sur Internet lt http www jfsowa com pubs autotalk htm gt consult le 09 10 03 Stengers93 Stengers I L invention des sciences modernes Paris Flammarion 1995 211 p Note Edition originale en italien publi e en 1993 170 BIBLIOGRAPHIE Stiegler00 Stiegler B Annotation navigation dition lectronique Vers une g ographie de la connaissance en ligne Ec arts n 2 2000 Disponible sur Internet lt http www ecarts org order _doc asp id 84 gt consult le 09 10 03 TalonEtTrigano92 Talon B Trigano P La d finition un outil pour l acquisition de concepts nouveaux dans un lexique s mantique en ligne In Douzi mes journ es internationales sur les syst mes experts et leurs applications Avignon juin 1992 Disponible sur Internet lt http www hds utc fr ptrigano avi92 html gt consult le 09 10 03 TalonEtTrigano90 Talon B Trigano P Enrichissement du lexique Vers une acquisition humaine des entr es en ligne In ERGO IA 90 Biarritz Septembre 1990 Disponible sur Internet lt http www hds utc fr ptrigano talon90 html gt consult le 09 10 03 TanguyEtThlivitis96 Tanguy L Thlivitis T PASTEL Un protocole informatis d aide l interpr tation des textes In Informatique et Langue Naturelle Nante
53. idee 124 DECi de I e ana Dati eat en Dane 125 3 Esquisse d un guide des bons usages 126 a Mod liser Une TaXINOMI sn R Ont Etat 126 b Mod liser des attributs et des valeurs attribut cc ccccececeeeeeeeeeeeeeees 127 IMOde Ser une MErconyii Eene os ieena AE eset desta ei 127 d Mode liser GES instantiations RSR ER A 128 e Mod liser des liens d association non orient s 129 f Mod liser des associations non orient es 129 g Mod liser des associations orient es cceeeesessseeeeccccceeeeeeeeeeaaaeeeeeseeeees 130 h Utiliser des documents comme points de rep re 131 Chapitre 12 Pers pec HVE Sanata E T ete edit 133 V Espace imersUDjec Hi cisrenan RE e aerae Toone rE S eN 133 AEE ho E E E E E E E E E E EE 133 b Assistance la pose de contraintes inter points de vue ccccccee eee eeeeeee 134 Consensus ct TIMP OM AMON edie n i 134 ZNO SACS DAC I OMI UC Sn enr en T O E EENS 135 3 Application au temps arch ologique 135 d Presenta ON Se eee Rien e E 135 sx Di Ole de CMP ane eue 135 Travaux actul eta Ven rantena a a A 136 4 Application au document d architecture en arch ologie 137 AL MO senta NoN eassa titans aea toate tauieeacieseiseaansaeataueeatenieee 137 CONG LUIS TON pacts en Ra he na on dodo pute 141 178 TABLE DES MATIERES BiDHO STAR MA RSR a de de ie de Mens 145 PADIS CES MAT RESS
54. il existe deux types de collections a savoir la s quence et la grappe suivant que la collection est ordonn e ou pas Notons que le document atomique porte bien son nom puisqu il est impossible de r aliser une transclusion d une partie de cet objet Ceci est d autant plus regrettable que la d finition de liens par contre utilise des parties de documents appel es ancres http www hyperwave com 44 CHAPITRE 4 INSTRUMENTATION DE L INTERTEXTUALIT ET DE L INTERSUBJECTIVIT lt lt ordered gt gt Figure 4 3 R tro conception d Hyper G diagramme de classe UML d ATLAS ti Le systeme ATLAS ti est issu d un projet de recherche du d partement de psy chologie de l Universit Technique de Berlin 1989 1992 Depuis 1993 il est commer cialis par son auteur Thomas Muhr en tant qu atelier d analyse qualitative de docu ments Muhr97 Pass pratiquement inaper u dans notre discipline le mod le d ATLAS ti n en demeure pas moins int ressant cf Figure 4 4 Son l ment central est la citation fragment d fini par le lecteur sur un document primaire Chaque citation peut tre reli e d autres par l usage d hyperliens et d crite par des codes Ces codes communs plu sieurs citations peuvent tre reli s d autres par des liens typ s cause quivalence g n ralisation Un autre objet le m mo est un petit texte permettant de comment
55. lt http www atala org pz FTPapiers Bouaud ICCSW94 ps gz gt consult le 30 09 03 BrasEtA190 Bras M Coulon D Descl s J P Fuchs C Gayral F Jayez J Kayser D Nef F Reppert D Saint Dizier P Tollu c Toussaint Y Victorri B La s mantique des langues naturelles l ments d une approche comparative In Actes du PRC GDR IA Herm s 1990 p 369 410 Bruneau76 Bruneau Ph Quatre propos sur l arch ologie nouvelle en ligne In Bulletin de Correspondance Hell nique n 100 Ath nes Ecole fran aise d Ath nes 1976 p 103 130 Disponible sur Internet lt http cefael efa gr horde rayge detail php site_id 1 amp actioniID page amp series_id BCH amp volume_number 100 amp issue_number 1 amp startpos 105 gt consult le 30 09 03 Bruneau92 Bruneau Ph Le statut arch ologique de la trace In Revue d Arch ologie Moderne et d Arch ologie G n rale RAMAGE n 10 Paris Presses Universitaires de l Universit de Paris Sorbonne 1992 p 87 93 BuffereauEtPicouet02 Buffereau B Picouet P Des itin raires pour acc der a l information Un d fi pour la repr sentation de connaissances In Actes de la 150 BIBLIOGRAPHIE conference scientifique Documents virtuels personnalisables DVP 2002 Brest Juillet 2002 p 105 114 BurrowEtEklund94 Burrow A Eklund P W Visual structure representations and conceptual graphs en ligne In Proceedings of the fourth international workshop on P
56. men e par nos soins cessitait un nouveau type d outil informatique Cet outil fut ensuite prototype au cours de notre DEA puis de notre th se pour devenir le syst me Porphyre Ce que nous pr sentons dans ce chapitre concerne l exp rimentation men e a l automne 2000 de gestion de la Chronique des fouilles l aide de Porphyre exp rimentation qui fut suivie d une d monstration publique lors de la table ronde interdisciplinaire de novembre 2000 Ath nes Dans un premier temps nous proc derons une tude de l existant en analysant en particulier les caract ristiques structurelles du corpus et leur volution dans le temps Dans un deuxi me temps nous d taillerons l exp rimentation proprement dite Enfin dans un troisi me temps nous verrons quels furent les retours de l exp rience tant au niveau du prototype que de la mani re de traiter le cas de la chronique Certains l ments de ce chapitre ont t pr sent s lors de la table ronde S mantique et Arch ologie Benel00 et de la journ e d tude sur les biblioth ques num riques organis e par l Ecole fran aise d Ath nes la Maison de l Orient M diterran en et l Universit Lyon II Benel02b 80 Fouilles prospections trouvailles fortuites restaurations mus ologie publications de mat riel in dit l Etude inscrite au plan quadriennal 1996 1999 82 Ne s l Lors d un stage d l ve ing nieur en 4 ann e INSA CONSU
57. n autorise la navigation que dans une facette la fois CEFAEL est h berg au CINES et profite donc de la puissance des machines du centre de son r seau tr s haut d bit n ud r gional RENATER et surtout de son qui pe disponible 24h 24 7 7 Pour conclure cette section notons que la cha ne de production ainsi d crite permit d atteindre avec deux personnes affect es la description et la num risation des ouvrages une productivit de 40 000 pages par mois Iacovella 2002 3 Exp rimentation dans Porphyre Notre exp rimentation eut lieu au cours de l t 2001 au moment o seul un pe tit corpus de test avait t num ris et tait disponible dans l intranet de EFA La des cription du corpus fut export e de la base de donn es vers Porphyre Pour ce faire nous d mes d finir un format d change pour les r seaux de description l aide d une DTD r aliser une petite moulinette pour g n rer le fichier correspondant la base de donn es du corpus ainsi qu ajouter Porphyre un module d import pour ce type de fichiers Notons tout de m me que le nombre de CD ROMs n cessaires l archivage du corpus est de l ordre de 250 JPEG niveaux de gris 150 points par pouce Utilisant le syst me Transvision d velopp par la MOM Serveur web Apache agr ment de scripts d velopp s en PHP et d une base de donn e Sybase
58. objets documentaires ce qui optimise d ailleurs la plupart des traitements Ensuite pour introduire dans Porphyre la notion de s quence nous avons mis en place les parcours de lecture cf Chapitre 8 Enfin au sujet de la fusion semi automatique de structures nous disposons d j d un certain nombre de pistes cf Chapitre 12 En ce qui concerne l organisation du corpus il sera souhaitable lors de la nume risation effective de la chronique de prendre pour objets documentaires des textes 110 CHAPITRE 9 LA CHRONIQUE DES FOUILLES DU BCH courts des photographies des plans et de les organiser l aide des structures suivantes cf Figure 9 4 un parcours de lecture mod lisant la s quence de ces objets documentaires un r seau de description mod lisant leur description bibliographique Revue livraison page et reprenant ainsi indirectement la dimension temporelle ann e de fouille enfin un deuxi me r seau obtenu par fusion des structures spatiales de chaque livraison zx Bulletin de Correspondance Hell 1920 12000 p 40 p 40 p 41 p 41 p 41 p 92 p 92 p 929 p 049 he 0 1 2 DU Ville Forum haute romain Philip Thessalonique Salo pes nique i Ma Mac doine orien 4 Mac doine cen ron e tale trale Pe yThrace orien Pe thrace moderne E Mac do ans Thrace __ occidentale an j ale ine tique tique Thrace an Gr ce mod tique erne Orien
59. ont t fort peu utilis s comme support des interactions homme machines 81 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Descripteurs v O O O QO Tableau 7 1 Exemple de correspondance entre des documents et des descripteurs VRAI A B C D a A B D b B C A C aETb B bETc D cETa A a ET b ETc D Tableau 7 2 Correspondance entre les requ tes et les corpus de documents calcul e partir de l exemple du tableau 7 1 Claudio Carpineto et Giovanni Romano CarpinetoEtRomano94 les ont utilis s en enlevant du graphe d inclusion des corpus les corpus inaccessibles obtenant ainsi un diagramme statique de g n ralisation sp cialisation des classes de document cf Figu re 7 9 A Figure 7 9 Diagramme de classe notation UML d riv de l espace des documents 82 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION Dans notre approche nous fusionnons dans le graphe des requ tes celles qui d crivent le m me corpus Nous obtenons ainsi un diagramme d tat cf Figure 7 10 dans lequel les tats correspondent des corpus et les transitions des requ tes l mentaires Ces requ tes un seul descripteur sur des corpus interm diaires peuvent tre vus com me l ajout d un descripteur la requ te globale il s agit d une mani re d affiner la requ te en anglais query refining A B C D f 9
60. ou toute autre combinaison des deux dimen sions pourrait ainsi tre calcul e la demande Chronique des fouilles E Fouilles de 1950 4 Fouilles de 1951 O DOOOD YUUL LD L Argos _ Sparte _ Cnossos _ Malia F P loponn se F9 crete Topique des fouilles Figure 9 2 R seau de description pr sentant deux facettes pour un m me corpus 2 Exp rimentation Notre exp rimentation men e en automne 2000 portait sur les quelques chroni ques disponibles en texte int gral Nous basant alors sur la typologie courante distin guant dans le document num rique ses structures physique logique et s mantique Na nardEtA196 nous avions consid r que la structure par page devait tre omise puisque en tant que structure physi que elle tait calculable en fonction de la structure logique que la structure actuelle en livraisons et en sections constituerait la structure lo gique et qu elle serait utilis e pour le stockage du document en XML Les chroniques post rieures 1994 sont en effet archiv es au format Micro oft Word par le service des publications Cependant il s agit uniquement des brouillons envoy s au maquettiste c est a dire avant insertion des figures mise en page et corrections diverses 108 CHAPITRE 9 LA CHRONIQUE DES FOUILLES DU BCH enfin que la structure g ographique et temporelle constituerait la structure s mantique La figure 9 3 corres
61. pallidissimo con quattro foglie an nodata ad elica bruno cupo con contorno giallo au reo idem col ventre rosso sanguigno diviso in spicchi a graffiture Idem di ferro fuso sic Bom bylios Furtw 109 corintio con disegno bruno di uccello a testa umana con dettagli grafiti 2 Pie cola lekythos a cm 12 dipinta in nero con fogliette lanceolate unite da archetti sulle spalle rosse Or cioletto piriforme con fascie bruna e due forellini al l orlo del collo Alabastron di cattivo bucchero a ver nice nera Anforetta Furtw 115 dipinta a nero de bole Piccola kylix a sagoma arcaica Furtw 227 les de la n cropole de M gara Hyblaea b Et au del Ek Sep XVI Sarcofago monolito da nord sud metri 1 50 lu X 0 65 larg X 0 50 prof con droxegeZeror Gli avanzi di un cadarere di fanciullo combusto sono na soosti sotto la massa dei seguenti oggetti tra i quali non figurano quelli frantumati n 17 tazzine di ma niera protoc d imitazione di varia grandezza a comin ciare da un maximum di cm 12 d X 8 a questa era quasi grezza con cattive fasciature brune ad un minimum diam 44 X 24 la decorazione normale di fascie rosse paronazze e nere con triglifi e zigzag al colle Piccola lekythos cor arcaica simile Furtw 126 guasta Altra simile Furtw 174 a em 22 con re LED XY Ss ue LAK 9S sidui di scadente vernice nera Aryballos cor con quattro foglie annodate ad elica P
62. position charity html gt consult le 30 09 03 CharletEtA199 Charlet J Daigne M Leroux V Ing nierie des patrimoines informationnels de l tablissement de sant In Document num rique volume 3 n 3 4 d cembre 1999 p 81 99 CharletEtA196 Charlet J Bachimont B Bouaud J Zweigenbaum P Ontologie et r utilisabilit exp rience et discussion In N Aussenac Gilles P Laublet C Reynaud Ed Acquisition et ing nierie des connaissances Cepadue s Editions 1996 p 69 87 Chiaramella99 Chiaramella Y Approches et mod les en recherche d informations In XVIT congr s INFORSID La Garde France 2 4 juin 1999 Chiaramella97 Chiaramella Y Browsing and querying two complementary approaches for multimedia information retrieval In Hypertext Information Retrieval Multimedia HIM 97 Dortmund September 29 October 2 1997 Chomsky68 Chomsky N Le langage et la pens e Paris Payot 1969 145 p Note Edition originale en anglais publi e en 1968 152 BIBLIOGRAPHIE Chouraqui72 Chouraqui E Le syst me d exploitation automatique de l inventaire g n ral des monuments et richesses artistiques de France Formalisation du langage d analyse In Banques de donn es arch ologiques Marseille 12 14 juin 1972 Cleveland91 Cleveland G Electronic Document Delivery Converging Standards and Technologies en ligne UDT Series on Data Communication Technologies and Standards for Librar
63. pr c dente ne l est plus Apr s s lection par l utilisateur d archa que le syst me passe l tape 4 S vestige de type B a mobilier vase vase pal ochr tien _ vase archa que bijou S dat _ pal ochr tien st _ archa que 88 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION tape 4 Le corpus s lectionn traite de vestige de type vase mobilier dat de l poque archa que Ce corpus ne contient qu un seul document Celui ci est affi ch de type E E mobilier E e vase mz A dat __ B archa que S vase archa que H d Sc nario d indexation de documents Dans ce sc nario nous allons indexer un nouveau document traitant de vase classique Tout d abord l utilisateur doit trouver pour le nouveau document un corpus qui lui corresponde mais pas ses sous corpus Comme le document traite de mobilier et de vase l utilisateur peut suivre les tapes 1 et 2 de la section pr c dente Nous nous retrouvons alors l tape 3 89 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION tape 3 Aucun des sous corpus propos s vase pal ochr tien vase ar cha que pal ochr tien et archa que ne correspond au document indexer L utilisateur cr e donc un nouveau descripteur vase classique comme sp cialisation de vase le syst me passe al
64. qu y a t il de mieux pour savoir ce qu est qu un bombylios que de voir les documents textuels et graphiques qui ont t d crits par ce descripteur On peut tendre cette pratique en ajoutant des documents pr vus sp cifiquement pour illustrer les descripteurs d finitions textuelles figures repr sentant des exemples typiques cartes g ographiques frises chronologiques introduction table des mati res table des figures etc Places dans le r seau de sorte qu ils d pendent directement du ou des descripteur s a illustrer ils seront affich s par le filtre comme autant de points de rep res qui aideront le lecteur s orienter 131 Chapitre 12 Perspectives En fournissant des outils pour la lecture l criture et la publication de corpus nous avons souhait que des pairs clairement identifi s puissent donner un avis critique sur les documents Le syst me Porphyre comprend aujourd hui deux couches au sens informatique la premi re permettant de g rer les corpus documentaires la seconde les points de vue Il est donc devenu un espace de d bat dans lequel chacun peut superposer au corpus sa propre lecture D s lors 1l serait souhaitable d envisager la cr ation de deux couches suppl mentaires une pour l intersubjectivit et l autre pour la diachronie Apr s avoir pr cis ce que nous entendons par espace intersubjectif et espace diachronique nous pr senterons deux c
65. r f rence structure du lexique et structure du OCT A a nn a Seon E A E AETR 137 Figure 12 2 Exemple d annotation d un document d architecture par un expert 138 183 Annexes 185 Annexe Syntaxe utilis e pour les sp cifications alg briques Pour les sp cifications alg briques d velopp es dans cette th se nous utilisons les formes de Skolem cf Prolog les op rations sur les ensembles intersection union diff rence d finition en extension d finition en intension les fonctions les formules ayant pour but L contradiction formelle afin d exprimer des contraintes v rifier lors de la modification des donn es NOTES L ensenble Boolean et la valeur NULL sont pr d finis Comme en Prolog le caract re de soulignement _ d signe une variable muette Dans une m me formule chacune de ses occurrences pourra prendre des valeurs diff rentes Si E est un ensemble on consid re que Z E Par exemple ep en F eCa Afin de s approcher de la syntaxe orient e objet la plupart des fonctions sont not es comme op rateurs post fix s et ont un nom commen ant par un point EXEMPLES grandParent x z lt parent x y A parent y Z Se lit Si x est parent de y et que y est parent de z alors x est grandParent de Z L lt parent x y A parent y x Se lit On ne peut avoir la fois x parent de y et y parent de x x getChi
66. riques In Magazine du d partement informatique de l INSA Dossier Documentique D cembre 2001 p 12 14 Benel02a B nel A Ontologies d ontologie In S minaire annuel de l Institut des Sciences du Document Num rique Table ronde sur le Web s mantique Eveux 22 24 mai 2002 Benel02b B nel A Quels outils documentaires pour les Sciences humaines Pr sentation du syst me Porphyre In Journ es d tudes sur les Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques num riques Lyon 29 30 mai 2002 Benel02c B nel A Intertextualit et intersubjectivit dans le syst me Porphyre Instrumentation du travail des experts In Assises nationales du GDR F3 Groupe de travail Documents Multim dia Nancy 4 6 d cembre 2002 BenelEtA 02 B nel A Calabretto S Iacovella A Pinon J M Porphyry 2001 Semantics for scholarly publications retrieval en ligne In Proceedings of the thirteenth International Symposium on Methodologies for Intelligent Systems 148 BIBLIOGRAPHIE ISMIS 2002 Lyon June 26 29 2002 Lecture Notes in Artificial Intelligence 2366 Berlin Springer Verlag p 351 361 Disponible sur Internet lt http lisi insa lyon fr abenel informatique benel_ISMIS_02 pdf gt consult le 30 09 03 Benel03 B nel A Lecture interpr tation et constitution de corpus en Sciences Humaines Aspects pist mologiques et computati
67. sera int gr au syst me Porphyre pour tre utilis dans le cadre de biblioth ques num riques r elles 102 Au sens de physique ou chimique 136 CHAPITRE 12 PERSPECTIVES 4 Application au document d architecture en arch ologie a Pr sentation Le sujet de th se de Florent Ruard Dumaine d but de la th se pr vu pour la ren tr e universitaire 2003 porte sur les rapports entre s miotique graphique s mantique lexicale et interpr tation Cette th matique autour de la question de la construction du sens sera tudi e dans le cadre du document d architecture en arch ologie Notons que cette th se sera aussi une th se alliant informatique et arch ologie mais cette fois ci avec une dominante arch ologique Le doctorant sera int gr une quipe interdiscipli naire L architecture antique tant relativement norm e le doctorant pourra tudier pour un type d ensembles architecturaux par exemple les thermes les r gles de com position en usage afin de dresser une sorte de grammaire architecturale cf Figu re 12 1a En particulier il fera le point sur les outils lexicologiques qui constituent un savoir de r f rence partag par une m me communaut de sp cialistes dictionnaires et th saurus Thermes Vestibule banc Vestiaire tag re niche casier R Frigidarium piscine margelle escalier
68. sites Web http www ndweb org recit temple 43 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Pour ce qui est de l intersubjectivit on remarquera que si chacun peut cr er une ressource subjective avec transclusion ou r f rence des ressources existantes 1l n y aura aucun moyen avec les outils standards de remonter de la source son commentai re ce qui limite de beaucoup les possibilit s d interactions sociales c Hyper G Hyper G fut con u l universit technologique de Graz Autriche par une qui pe dirig e par Hermann Maurer Le syst me fit l objet de plusieurs doctorats en scien ces techniques en particulier celui de Frank Kappe en 1991 portant sur le serveur Kappe91 et celui de Keith Andrews en 1996 sur le client graphique appel Harmo ny Andrews96 Aujourd hui le syst me est devenu un produit commercial de gestion de connaissance appel HyperWave Maurer96 Hyper G se distingue de la Toile en g rant cf Figure 4 3 des liens bidirection nels dont la coh rence est maintenue absence d erreur 404 ainsi que par des primi tives hypermedia de plus haut niveau appelees collection Une collection permet de contenir plusieurs documents documents atomiques ou autres collections Un m me document pouvant appartenir plusieurs collections il est possible de repr senter une structure non hi rarchique Pr cisons galement qu
69. solution interdisciplinaire au verrou de la discipline informatique voqu plus haut Cette orientation interdisciplinaire s est affirm e en particulier dans 5 P l organisation d une table ronde sur le theme S mantique et Arch ologie rassem Journ es d tudes des 29 30 mai 2002 organis es Lyon par l Ecole fran aise d Ath nes la Maison de Orient M diterran en et l Universit Lyon 2 avec le soutien de la Sous Direction des Biblioth ques Minist re de l Education Nationale gt Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques num riques exp riment s a partir de la num risation des publications de l Ecole fran aise d Ath nes Manuel publi dans le cadre des journ e d tudes Biblioth ques Num riques Lyon 29 30 mai 2002 http cefael efa gr gt S mantique et Arch ologie Aspects exp rimentaux Renouvellements m thodologiques dans les bi blioth ques num riques et les publications scientifiques Table ronde interdisciplinaire Ath nes 18 19 novembre 2000 8 CHAPITRE 1 PR LIMINAIRES M THODOLOGIQUES blant des intervenants issus de l Arch ologie de l Historiographie de la S miotique des Sciences Cognitives et de l Informatique La dynamique entam e par cette table ronde s est poursuivie par la cr ation d un r seau interdisciplinaire EFA LISI MOM GRACO se
70. syst mes en effet l usager serait contraint d inserer ses donn es dans un mod le fixe et consensuel sch ma de la base ontologie Or dans les domaines d expertise chacun apporte son mod le personnel vis vis d un corpus documentaire de r f rence De plus la confrontation des points de vue stimule une volution constante des mod les N d une dynamique interdisciplinaire Arch ologie Informatique le projet Porphyre se propose d instrumenter ce travail d expertise Il est fond sur l id e qu une telle pratique laisse des traces s lections de fragments documents ajout s au cor pus organisation de la bibliographie notes de lecture etc condition que ces traces soient capt es leur auteur peut d sormais les utiliser pour acc der au corpus ainsi que les partager avec d autres experts En somme puisque le corpus se structure de pair avec le savoir de l expert au fil de ses changements de probl matique et de point de vue nous proposons un atelier de manipulation de corpus documentaires afin d assister un travail humain de construction de sens Mots cl s Biblioth que num rique Assistance l interpr tation Collaboration Annotation Hypermedia Abstract In Humanities as in Medicine Engineering Law Physics neither database systems nor expert systems succeeded in supplanting documents In fact the expert cannot insert her data in a fixed and consensual model database mode
71. totale ou partielle de ses traces et documents personnels pour les publier Le responsable de la communaut peut alors choisir de les publier ou non ventuellement en y apportant des modifications consenties par l auteur La figure du repr sentant de la communaut permet de gagner en g n ralit Il incombe ensuite chaque communaut de d cider quelle organisation elle mettra der ri re anarchie consensus majorit comit de lecture ou dictature Dans un souci d ouverture du syst me la soumission d un ensemble de traces se fait en dehors du syst me par l interm diaire d un courriel par exemple Les traces sont export es par leur auteur dans un fichier XML le fichier est transmis au repr sentant de la communaut qui les importe ensuite dans une zone brouillon ou il peut les modifier Le repr sentant peut enfin publier au sens propre les traces c est dire les transf rer dans la zone publique de la communaut 3 Histoire d une trace Nous venons de voir de mani re informelle les processus qui affectaient dans le temps un ensemble donn de trace Notre but serait maintenant de capter l historique de ces transformations 59 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Pour ce faire nous devons tout d abord conserver l ensemble des symboles Seu les les relations contextuelles pourront tre modifi es Elles le seront par les actions _ 53 suivantes cr ation supp
72. tude Le carnet de fouille l article la monographie Ainsi un article de 1877 malgr les r volutions th oriques et de m thodologiques qu a pu conna tre la discipline depuis reste t il un substitut incontournable des vestiges qu il d crit A l heure o des fondations am ricaines mettent en place d immenses bibliothe ques num riques comme JSTOR portant sur la r trospective des revues en Sciences Humaines le Minist re de la Recherche a souhait encourager les exp rimentations technologiques permettant terme au niveau fran ais ou europ en des alternatives publiques C est ainsi qu en d cembre 2001 le projet de mise en ligne des collections de l Ecole a re u le soutien financier du Plan de num risation des publications en SHS Aujourd hui le portail CEFAEL permet travers de multiples structures hyperm dia de feuilleter gratuitement sur la Toile l int gralit des pages du corpus sous forme de fac simil s La nature du projet n cessitait une valorisation imm diate du corpus l aide de technologies prouv es Cependant comme nous allons le voir dans ce chapitre il a t possible d exp rimenter la gestion avec Porphyre d une partie de ce corpus Dans une premi re partie nous tudierons qu elles sont les diff rentes structures hyperm dia dont a besoin le lecteur Dans une deuxi me partie nous pr senterons la cha ne de num risa Des parties de ce
73. tudes de CAS rennes 103 Chapitre 9 La Chronique des fouilles du BCH ccccccccccccccccsssssstsssesssseseeeeeeeeeeeees 105 Ede de acy ici SR eR aD em arene ere TTS TER emt Ten eT we EMT eereh anna 106 ds Presentation AU COPDUS a tacos E cael cent 106 b Chronique ou Topique des fouilles oo ceeeseeccccceeesseeeseeeeeees 107 PAR BD OISE LEO ES DES LAC eee ee een me ee E ees ree E ee ene ere 108 SAR CLOUT A Exper CNCE Mn une Min unie 110 d Limites rencontres seoid i a aae aaRS 110 D SOIULIONS PODOS E S oean a et a nn 110 Chapitre 10 CEFAEL Collections de l Ecole fran aise d Ath nes en ligne 113 1 Etude des D SOINS an anal nn Ne nn Ain 114 Ve Magu BIO LS R aaersaswagateoa sa a eaae ae aaetaneeasneuee 115 De DIDL OHE GUS ES GedesacaderconisbasassesghdesneeSubasacsduacs ete ete nee becs 115 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION c Phototh que Plano theque ET RS ee M da he es 116 QUIPE CS TOURS nes tomes one ion 117 2 Nu umerisation t Valorisation iseia AR A Rat ARE Ne ent 118 3 Experimentation dans Porphyre ccccccccsssssssssseseeeececeeeeeeeeeeeeeeeesesseeeeeeees 119 A Retour d CX PC PICNC C en eines ten tee debe oies ee 120 Chapitre 11 La n cropole occidentale de Megara Hyblaea cc eeeeeeeeeeeeeees 123 1 Fouiller un rapport de fouille 2 8 nes hentai 123 2 Retour U EXD TIENCE ERD a ee EE T TTE oe 124 Premiers resultats assessment
74. un hypertexte savant sur Internet pour la recherche en sciences humaines Questions philosophiques probl mes juridiques outils informatiques Paris PUF 2000 216 p Jacob02 Jacob C La lecture assist e par ordinateur en ligne Note de recherche CNRS Centre Louis Guernet 2002 Disponible sur Internet lt http dyonisos ehess fr centres GDR Textes 20en 20ligne Lecture 20savante 20 20Texte pdf gt consult le 09 10 03 Jockey99 Jockey Ph L arch ologie Paris Belin 1999 399 p JohnsonEtCochrane95 Johnson E H Cochrane P A A hypertextual interface for a searcher s thesaurus en ligne in DL 95 Second Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries Austin Texas June 11 13 1995 160 BIBLIOGRAPHIE Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu DL95 papers johncoch johncoch html gt consult le 09 10 03 KahanEtAl01 Kahan J Koivunen M R Prud Hommeaux E Swick R R Annotea An open RDF infrastructure for shared web annotations en ligne In Proceedings of the tenth international conference on World Wide Web ACM Press 2001 Disponible sur Internet lt http Awww10 org cdrom papers 488 gt consult le 09 10 03 KanellosEtAl00 Kanellos 1 Thlivitis T Leger A Indexation et recherche d information imag e par le contenu cat gories de textes et categories d images dans le projet SemIndex In Actes du troisi me Colloque International sur le Document Electronique
75. universitaires comme allant bien au del de la tra ditionnelle recherche d information bibliographique En effet devraient tre consid r es comme formant un tout CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION la lecture VP annotation la r daction de fiches de lecture la reproduction par photocopie la consultation d une bibliographie la relecture l criture de nouveaux documents articles m moires bibliographies De m me Jacques Virbel et son quipe la suite d une collaboration avec les grands lecteurs de la Biblioth que Nationale de France ont mis en vidence huit verbes d action li s la lecture active de documents MazhoudEtA195 Veron97 Hi rarchiser attribuer un niveau d importance Architecturer typer des fragments Contextualiser borner le sens Reformuler Commenter critique id e associ e Documenter ajouter un fragment pour en comprendre une autre Corr ler relier deux fragments Programmer projeter une action traduire relire analyser Enfin dans le centre de documentation d une entreprise Andreas Paepcke Paepcke96 a interview des ing nieurs sur leurs besoins et pratiques informationnel les Il en ressort que m me si la recherche d information est centrale celle ci est corr l e avec trois actions n cessitant la communication entre des tres humains savoir la
76. vacuous victory of typesetters over authors and the most trivial form of hypertext that could have been imagined Instead today s nightmarish new world is controlled by webmasters tekkies unlikely to understand the niceties of text issues Nelson02 Dans une perspective un peu plus constructive Michael Bieber et ses coll gues BieberEtA 97 crivent que la Toile est aux hypermedia ce que l assembleur est aux langages de programmation c est dire seulement la seconde g n ration Dit autrement la Toile n offre que des fonctionnalit s de bas niveau difficilement utili sables pour des projets ambitieux Par contre l ensemble de ces fonctionnalit s est suf fisant pour en construire de plus haut niveau cf des projets comme HyperNietzsche lorioEtTurner99 Iorio00 ou NDWeb Cette id e n tait sans doute pas absente du projet originel de Tim Berners Lee puisque celui ci d s le d part avait con u les pages Web comme pouvant tre calcul es dynamiquement Concernant l intertextualit on pourra regretter l usage que le mod le ne per mette de repr senter la transclusion de plusieurs textes que par un arbre binaire dont les n uds seraient des cadres et les feuilles seraient les pages Ces cadres s averent finalement difficilement utilisables sans m me parler de leur repr sentation graphique dans les navigateurs qui en a fait le cauchemar des cr ateurs de
77. 10 Diagramme d tat notation UML d riv de l espace des descripteurs 83 Figure 7 11 Mise jour des filtres dans les facettes typologie espace et temps apr s changement de s lection dans la facette typologie diagramme de seguen e UMP a id detente tient a 86 Figure 7 12 Requ tes envoy es au serveur lors de la mise jour des filtres cf Pisur DER ee dente ne nt me AA 87 Fioure 7 13 Exemple de reseau de description sosmarin eese tnt 87 Figure 8 1 Exemple de navigation entre des tapes de lecture Diagramme d tat UMLI seresa dalek sant oaed catcene ainsi adnan ena lsluntaumainaats 94 Figure 8 2 Parcours de lecture diagramme de classe UML 97 Pioure s 3 gt Exemple d parcours d lecture him uno 100 Tableau 9 1 Volum trie de la Chronique des fouilles 106 Figure 9 1 La Topique des fouilles virtuellement pr sente dans la Chronique 107 182 LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX Figure 9 2 R seau de description pr sentant deux facettes pour un m me corpus 108 Figure 9 3 Lecture avec Porphyre 2000 d un extrait de la Chronique des fouilles 109 Figure 9 4 Prise en compte du retour d exp rience nouvelle structuration de la Chronique des fouilles l aide de Porphyre ccccccccccceceeeeeeeeeeaeaeeeeeeeeeeees 111 Figure 10 1 Une page tudier sous diff rents points de vue ccccccccceeeeeeeeeeees 114 Figure 10 2 Extrait de la
78. 2 peuvent tre des documents fragments sources ou notes Elles peuvent galement tre des corpus de documents des descriptions semi formelles de ces corpus a l aide de graphes acycli ques de descripteurs ou encore des tapes de lecture Les descriptions sont mises en contexte entre elles suivant les relations de g n ralisation sp cialisation qui existent entre leurs graphes respectifs Les tapes de lecture pour leur part sont mises en contexte par les relations de s quence indiqu es dans des parcours de lecture Corpus de documents C tape de lecture Figure 5 2 Types de traces et liens contextuels b Architecture Pour la gestion des documents et des corpus nous utilisons un serveur de conte nu cf Figure 5 3 Celui ci stocke et diffuse les documents sources images ou textes Il se distingue d un serveur Web normal en permettant galement d extraire des frag ments des documents sources de surligner tous les fragments associ s un docu ment source ou encore dans le cas ou les documents sont des images d obtenir des 55 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION zooms ou des vignettes Les documents sources sont plac s gr ce un serveur FTP en mode passif pour passer travers les pare feux Structure Host rae fo ET Client Workstation x Content Host Figure 5 3 Architecture multi tiers du syst me Porphyre pour un acc s na
79. 2001 p 282 289 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 379437 379683 gt consult le 09 10 03 Nelson97 Nelson T H Embedded Markup Considered Harmful en ligne In XML Principles Tools and Techniques World Wide Web Journal 2 4 Fall 1997 Disponible sur Internet lt http www xml com pub a w3j s3 nelson html gt consult le 09 10 03 Nelson99 Nelson T H Xanalogical Structure Needed Now More Than Ever en ligne In ACM Computing Surveys Volume 31 Issue 4 1999 ACM Press 1999 Article 33 Disponible sur Internet lt http www cs brown edu memex ACM_HypertextTestbed papers 60 html gt consult le 09 10 03 Nelson02 Nelson T H don t buy in en ligne 2002 Disponible sur Internet lt http ted hyperland com buyin txt gt consult le 02 12 02 Neumann58 Neumann J von L ordinateur et le cerveau Paris Flammarion 1996 129 p Note Edition originale en anglais publi e de mani re posthume en 1958 Nicolescu96 Nicolescu B La Transdisciplinarit Manifeste Monaco Editions du Rocher 1996 Extrait disponible sur Internet lt http perso club internet fr nicol ciret vision htm gt consult le 09 10 03 165 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION NigayEtVernier98 Nigay L Vernier F Navigational interaction techniques in the search results space In CHI 9 Workshop Innovation and Evaluation in Information Exploration Interfaces Los Ang
80. 6 Contenus documentaires ccccccccccessseseeecccceeecaaeseeeecccceeeeeaaeeeeeeeceeeeeaas 63 Chapitre R seaux de descriptio ER MR ns Rte 71 Chapitre 8 Parcours TEL I CHIT coccinea ne ennuis net 93 3e partie tudes de CAS nn nn dinde 103 Chapitre 9 La Chronique des fouilles du BCH cccccccccccccccccccssssssssseesseseseeeeeeeeeees 105 Chapitre 10 CEFAEL Collections de l Ecole fran aise d Ath nes en ligne 113 Chapitre 11 La n cropole occidentale de M gara Hyblaea ee eeecccceeeeecceeeeees 123 Capit 12 Crs eC 1 Cs 2 ann nn ee Benne dense ete eo lon nc 133 iA BAS 1 ON asic nent e e 141 BiBHOS ADS und dent es eine 145 PADIS TES Man ORES a Pasa Re ne D M nak neta ie eas 175 D D AO CS soca eeiesidacey tint a RE r E gui SO aac thenictrea ninainasa chemo ore 185 Annexe A Syntaxe utilis e pour les sp cifications alg briques I Annexe B Historique du prototype cccccccccccccccceeeeeeeaeeeeeeesssseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaaas Il Annexe C Pourquoi diffuser Porphyre sous Licence GPL 7 V Annexe D Manuel d utilisation du client Porphyre u VII FOLIO ND MINES RATES nn tien nn X vil Vill Et vive les ornithorynques 1X Remerciements Aux institutions qui ont apport leur soutien au projet Le Minist re d l gu de la Recherche et de l Enseignement Sup rieur Le Programme Soci t de l Information du CNRS Le R seau T
81. CIDE 2000 Lyon 4 6 juillet 2000 Paris Europia Productions p 171 183 KanellosEtAl03 Kanellos 1 Thlivitis T Leger A Indexation et recherche d information interpr tativement tol rante Une proposition de s mantique textuelle pour les corpus d images A para tre dans es Supplements au Bulletin de Correspondance Hell nique Kappe91 Kappe F Aspects of Modern Multi Media Information System en ligne Technical Sciences Doctor dissertation Graz University of Technology 1991 Disponible sur Internet lt ftp ftp iicm tu graz ac at pub papers report308 pdf gt consult le 09 10 03 Kasdorf98 Kasdorf B SGML and PDF why we need both In Journal of Electronic Publishing en ligne June 1998 Volume 3 Issue 4 Disponible sur Internet lt http www press umich edu jep 03 04 kasdorf html gt consult le 09 10 03 KheirbeckEtChiaramella95 Kheirbek A Chiaramella Y Integrating hypermedia and information retrieval with conceptual graphs formalism In Proceedings of HIM 95 Hypertext Information Retrieval Multimedia 1995 p 47 60 KohonenEtKaski00 Kohonen T Kaski S Self organization of a massive document collection In JEEE Transactions on Neural Networks Special Issue on Neural Networks for Data Mining and Knowledge Discovery Volume 11 Issue 3 2000 p 574 585 161 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Komninidis95 Komninidis M Les archives de l EFA et la gestion lectron
82. D finition de type de document XML 119 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION L exploitation dans Porphyre de ce corpus de test fit l objet d une d monstration cf Figure 10 6 aux Journ es Biblioth ques Num riques de mai 2002 Par ailleurs en important un grand nombre de fois les m mes volumes nous p mes tester la mont e en charge des serveurs f 4Porphyre 2001 Chercheur logique p 501 525 p 526 550 a j p 551 575 tome 2 BCH 101 1977 PREFACE BCH 102 1978 L arch ologie est la model Le prouvent la fr quentation touristique des champs de fouille la diffusion de revues de vulgarisation mises en vente partout l int r t port par le grand public au personnage de l arch ologue Sans m me voquer cette visiteuse de D los qui nous voyant descendre la Rue du th tre criait d enthou siasme son mari des arch ologues comme on signale un vol inopin de canards sauvages ou ce d put yachtman qui voulait toute force que notre activit d lienne f t une mani re de sacerdoce il est int ressant de noter que l arch ologue a re u une existence litt raire chez Agatha Christie les arch ologues de La mort dans les nuages MM Dupont p re et fils sont trop passionn s par une discussion sur des Structure logique Philippe Bruneau Quatre propos sur l arch ologie Sj Pr face es QUATRE PROPOS SUR L ARCH OLOGIE NOUVELLE Princi
83. Dans le premier parcours chaque paragraphe est lu en contexte avec les figures qui y sont r f renc es Dans le second c est l inverse Dans le troisi me chaque passa ge r f renc est lu en contexte avec ceux qui s y r f rent 99 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 12 121 Paragraphes 12 100 12 121a 12 1 9 12 2 12 3 12 100a 12 121b r Bi By 2 By Bm T saa i _ E 3 3 12 100a 12 121a Figures 12 0 12 100 12 121 1 12 124 aie l 30 13 Bibliographie 30 15 13 130 30 1 30 13 Figure 8 3 Exemple de parcours de lecture Supposons que le lecteur choisisse de parcourir l ouvrage n 12 il se positionne sur le premier objet documentaire 12 1 Il apprend qu il existe deux parcours docu mentaires qui y passent un premier nomm paragraphes et un second figures Il choisit paragraphe et passe l tape suivante A la lecture du nouveau paragraphe 12 2 et de son successeur 12 3 dans le parcours le lecteur constate que l ouvrage est susceptible de l int resser Il d cide de feuilleter les figures de l ouvrage Pour ce faire 1l revient l origine du parcours pa ragraphes et choisit le parcours figures En se rendant l tape suivante le lecteur d couvre la figure 12 100a puis 12 121a toutes deux accompagn es de leur paragraphe explicatif Int ress par la figur
84. ITRE 1 PR LIMINAIRES M THODOLOGIQUES Parce que la question de la consultation des documents concerne diff rentes communaut s au sein de la discipline informatique 1l devient n cessaire avant d aller plus loin de voir comment ce verrou se d cline d une communaut l autre a Recherche d informations La premi re communaut celle de la recherche d information a t popula ris e par les moteurs de recherche sur la Toile Altavista Google Ses techniques consistent en g n ral indexer les documents l aide des mots du texte qui les discri minent le plus du corpus Notons que d un point de vue philosophique il n est nullement question ici de contenu seules tant consid r es les propri t s statistiques de la forme distribution des mots des liens hypertextes etc Cette approche s explique par l histoire du concept d information dans la disci pline informatique En 1948 lorsque Claude E Shannon ing nieur chez Bell tablit sa th orie de l information Shannon48 il quantifia l information en fonction de la nouveaut d un message par rapport aux messages re us c est dire comme ce qui est statistiquement improbable Son but tait d obtenir un mod le permettant d augmenter le rendement de la transmission travers un r seau de communication Son travail d ailleurs a eu et continue d avoir des applications spectaculaires en t l
85. LE OCCIDENTALE DE MEGARA HYBLAEA amp Porphyre 2002 Chercheur demo mobilier statuette boite Kylix amphore vase lecythe cuoriforme bombylios lekane oenochoe olpe aryballe parpill e alabastre assiette tasse stamnos masque f minin aiquille pyramide en terre cuite olla skyphos Figure 11 1 Lecture active avec Porphyre 2002 d un extrait de la publication des fouil Sep IV Piccolo sarcofago monolito pieno di terra perch in parte scop rchiato e pur tuttavia intatto Contenera gli avanzi cremati di un fanciullo e tanto internamente come esternamente ad esso era stata pro fusa una vera massa un centinaio cirea di vasetti in parte frammentati cos distribuiti Esternamente una quarantina di tazzoline bian sate skyphoi Furtw 98 di proporzioni prevalente mente piccole diam mm 49 alt 23 sino ad alt mm 62 con diam 80 Almeno 5 aryballoi corintii Una olpe piccola gr Una piccola oenochoe a pessima ver nice Una zuppierina con coperchio gr l kane Furtw 121 frammenti di due altre zuppierine in creta pal lida a fascie bruno smorte Prammenti Internamente massa di piccolo vasellame conte nente ossa di piccoli animali dente di pecora farono determinati n 16 skyphoi o tazzine di maniera pro tocorinzia diam em 4 X 24 alt sino 8 4 d X 54 alt di creta pallida con triglifi attorno il collo eccezio nali zig zag e fascie brune o rosse e carmine sul ventre Aryballos
86. LTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 1 Etude de l existant a Pr sentation du corpus La chronique fait son apparition dans le bulletin de 1920 Appel e Chronique des fouilles dans l Orient hell nique elle a alors pour port e g ographique l ensemble de la Gr ce antique En 1936 elle adopte son titre actuel de Chronique des fouilles en Gr ce et se cantonne depuis aux fronti res actuelles de la Gr ce En 1959 parall le ment la chronique en Gr ce appara t la Chronique des fouilles Chypre puis en 2000 la Chronique des fouilles dans le Bosphore cimm rien Couvrant indiff rem ment l origine les fouilles de l cole et les autres la chronique se scinde en 1940 en deux rubriques traitant respectivement des unes et des autres Enfin partir de 1970 les travaux de l cole n apparaissent plus dans la chronique que sous forme de r f ren ces une section autonome du bulletin cr e pour l occasion Par son histoire et son volume d informations la Chronique des fouilles repr sente un outil pratiquement unique pour les chercheurs quatre vingt ans d activit ar ch ologique en Gr ce et trente ans Chypre De plus malgr cette quasi exhaustivit le volume du corpus cf Tableau 9 1 est suffisamment limit pour envisager sa num risa tion int grale textes re saisis figures num ris es d apr s originaux dans des d lais et des budgets raisonnables
87. N d ordre 03 ISAL 0068 Ann e 2003 Th se Consultation assist e par ordinateur de la documentation en Sciences Humaines Consid rations pist mologiques solutions op ratoires et applications l arch ologie Pr sent e devant L Institut National des Sciences Appliqu es de Lyon Pour obtenir Le grade de docteur cole doctorale Informatique et Information pour la Soci t Sp cialit Documents Multim dia Images et Syst mes d Information Communicants Par Aur lien B nel Ing nieur Soutenue Le 12 d cembre 2003 Devant le jury interdisciplinaire suivant Roland Etienne Professeur Universit Paris I Pr sident Jocelyne Nanard Professeur Universit Montpellier II Rapporteur Fran ois Rastier Directeur de Recherche INaLF CNRS Paris Rapporteur Jean Marie Pinon Professeur INSA de Lyon Directeur Andrea Iacovella Ing nieur de Recherche Ecole fran aise d Ath nes Co directeur Sylvie Calabretto Habilit e Diriger les Recherches INSA de Lyon Co directrice Th se pr par e l cole fran aise d Ath nes EFA et au Laboratoire d InfoRmatique en Images et Syst mes d information LIRIS R sum Dans les Sciences Humaines comme dans bon nombre de domaines d expertise M decine Ing nierie Droit Physique le document constitue le principal outil de travail et ce jour ni les bases de donn es ni les syst mes experts n ont r ussi le sup l A planter Dans ces
88. Pham H N Dubuisson B Reconnaissance de la structure logique d un document scientifique In CNED 92 Colloque National sur l crit et le Document Nancy juillet 1992 Liu00 Liu K Semiotics in Information Systems Engineering Cambridge University Press 2000 218 p Martin96 Martin P Exploitation de graphes conceptuels et de documents structures et hypertextes pour l acquisition de connaissances et la recherche d informations en ligne Th se en informatique Universit de Nice Sophia Antipolis 1996 Disponible sur Internet lt ftp ftp inria fr INRIA publication Theses TU 0431 gt consult le 09 10 03 MatthesEtAl01 Matthes F Nieder e C Steffens U C Merge A Tool for Policy Based Merging of Resource Classifications en ligne In Proceedings of the fifth European Conference on Research and Advanced Technology for Digital Libraries ECDL 2001 Darmstadt September 4 9 2001 Lecture Notes in Computer Science 2163 Berlin Springer Verlag p 352 365 Disponible sur Internet lt http Awww springerlink com openurl asp genre article amp issn 0302 9743 amp volume 2163 amp spage 352 gt consult le 09 10 03 Maurer96 Maurer H Ed HyperWave The Next Generation Web Solution en ligne Addison Wesley 1996 635 p Disponible sur Internet lt http www iicm edu hwbook gt consulte le 09 10 03 163 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION MazhoudEtAI9S Mazhoud O Pascual E V
89. Semen e EAR E A a R 175 ANNEO E N E a E E 185 Annexe A Syntaxe utilis e pour les sp cifications alg briques I Annexe B7 Histongue d Prototype siririn RE E A E Il PO Bp yO pic tens A and een cn ind ent ie ren Il PORN re 2000 cei scat en E cd bee on Il PG io Eye 200 sg se aca sta rg ae tare seed Cae Raat coe tara Il PO Bi iy CS ZOO ces nanas nes Il PO gare ciate igs sa a sane ind A do decade war akan Il Annexe C Pourquoi diffuser Porphyre sous Licence GPL 7 V Annexe D Manuel d utilisation du client Porphyre VII FOOD VSAM MG RS us eorss X 179 Liste des figures et tableaux Figure 2 1 Valeur ontologique du discours suisse aies ait ani sis 19 Figure 2 2 Valeur lopigue CU ISCOURS 2 a US RS ns AS es a 22 Figure 2 3 Extrait d un exemple de s rialisation d arbre en XML 24 Figure 2 4 Extrait d un exemple de s rialisation de graphe en RDF eee 24 Figure 2 5 Valeur pist mologique du discours UV 26 Figure 3 1 L interpr tation d apr s Dilthey comme compr hension pure disjointe de l explication diagramme d activit UML 20 ccc cccccccecsesssesssseseeeeeeeeeeeeeees 34 Figure 3 2 L interpr tation d apr s Paul Ric ur comme compr hension et explication mises en relation par le texte diagramme d activit UML eee 35 Figure 3 3 L explication par le calcul d apr s Fran ois Rastier le passage oblig de la signification au symbole et inversement
90. TEL fut d velopp e dans le cadre de la these de Ludovic Tan guy Tanguy97a th se encadr e par Ioannis Kanellos et soutenue en 1997 a l ENST de Bretagne Ce Programme d Aide l Analyse S mantique de TExtes m me Litt raires s appuie sur un mod le informatique Prie95 TanguyEtThlivitis96 de la s mantique 46 CHAPITRE 4 INSTRUMENTATION DE L INTERTEXTUALIT ET DE L INTERSUBJECTIVIT interpr tative de Fran ois Rastier cf Figure 4 5 L interpr te humain peut indiquer dans le texte analyser un certain nombre de s m mes Les tax mes permettent de re grouper en classes plusieurs de ces s m mes chaque s meme ne pouvant appartenir qu un seul tax me Les sp c mes pour leur part permettent d opposer deux deux les s m mes Enfin les s mes permettent de qualifier sp c mes et tax mes ainsi que d entrer en relation d aff rence avec les s m mes qualified by qualified by LES LES Figure 4 5 R tro conception de PASTEL diagramme de classe UML De par son origine ce mod le intertextuel est particuli rement appropri l analyse d un texte Par contre tel quel il est difficilement utilisable pour mod liser les diff rentes structures d un corpus en consid rant que toutes sont s mantiques En effet le choix d une s mantique purement diff rentielle nous emp che de d finir des relations g n rales entre s mes Par exemple au lieu
91. a BenelEtA102 Ainsi nos pairs en acceptant nos articles ont pu nous signifier notre appartenance a la discipline informatique b Instrumentalisation et reification des disciplines Dans une premi re version de ce chapitre nous avions analyse les buts poursui vis par l EFA ses flux d information avec l ext rieur son organisation interne etc En somme nous avions appliqu naivement les m thodes d analyse de syst mes d information On nous a reproch raison de r ifier par l la discipline arch ologique En effet dans le cas qui nous occupe une v ritable posture interdisciplinaire n cessite d instrumenter l arch ologie sans pour autant l instrumentaliser La relation entre STIC et SHS que nous tentons de promouvoir dans cette th se est la suivante les SHS proposant des grilles de lecture aux th ories des STIC les STIC proposant des instruments aux pratiques en SHS Dans tous les cas 1l est n cessaire d une part que soit r ciproque l application de m thodes d une discipline l autre et d autre part que cette application soit mati re un questionnement th orique des disciplines c Imp rialisme d une discipline Au cours de la constitution du r seau la collaboration avec certaines disciplines fut tellement difficile que le responsable du r seau dut prendre la difficile d cision d y mettre fin Avec le recul l impossibilit de travailler avec ces discip
92. adoxes existence d un cycle dans les relations parents enfants TheBrain dans sa version entreprise permet l criture collaborative d un r seau Cependant l espace partag est ici un espace de consensus et non de d bat Nous sommes donc loin d une instrumentation de l intersubjectivit 3 Bilan provisoire Suite l tude th orique r alis e dans les chapitres pr c dents nous avons vu dans celui ci que les enqu tes effectu es dans les biblioth ques traditionnelles corrobo raient la n cessit de l intertextualit et de l intersubjectivit Nous nous sommes alors int ress l instrumentation de ces deux notions dans sept syst mes hypermedias issus du monde acad mique ou de celui de l industrie qui nous ont sembl repr sentatifs Il en ressort que m me si l intertextualit est un fondement de l hyperm dia les mod les propos s sont rarement utilisables pour le cas qui nous occupe Plus encore la question de l intersubjectivit reste encore largement explorer ne serait ce que dans sa forme la plus simple l expression en un m me lieu de plusieurs points de vue Dans de telles circonstances l instrumentation que nous cherchons de l intertextualit et de l intersubjectivit passe par la d finition d un nouveau mod le hyperm dia C est ce que nous t cherons de faire dans notre deuxi me partie 50 g me partie Mod le propos Chapitre
93. ait a priori plus du domaine de l ing nierie que de celui de la recher che Cependant comme ces contenus documentaires serviront de support aux types de traces que nous verrons par la suite et qu aucun outil du commerce a notre connaissan eee CSS ce n assure l int gralit des fonctions propos es 11 ne nous semble pas superflu d en faire une pr sentation d taill e gt Le syst me Transvision d j cit bien que proche de ce que l on souhaite n assure qu une partie des fonctionnalit s recherch es TVMLOO CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 1 Notions a Contenu documentaire Qu est ce qu un document la question est loin d tre na ve Prenons l exemple d une collection scientifique en ligne par exemple une revue Le document se situe t il au niveau du paragraphe et de l illustration Du fac simil de la page Du tome Du volume De la collection compl te Nous nous abstiendrons ici de faire du document une d finition m me semi formelle Sera document ce qu un individu consid rera comme document Par cons quent comme primitive de notre syst me nous ne prendrons pas le document mais tout simplement la granule choisie pour le stockage et nous l appellerons un contenu documentaire Pour tre archive un contenu documentaire doit tre aussi stable que possible Par cons quent chaque nouvelle v
94. appel e aussi indexation par fa cettes mais les plus ambitieuses sont sans doute celles bases sur les graphes concep tuels de John F Sowa MechkourEtAl95 Martin96 Genest00 Dans ces derni res chaque document est d crit par un graphe distinct comprenant des objets ventuelle ment g n riques et des liens entre ces objets cf Figure 7 2 Ces objets et ces liens sont des instances d un mod le du domaine cf Figure 7 3 lle Thasos Figure 7 2 Indexation l aide des graphes conceptuels d une monographie traitant des timbres amphoriques thasiens Thasos le Vestige aK Trouv Vestige Lieu Sur Vestige Vestige le Timbre Amphore Figure 7 3 Mod le du domaine n cessaire l indexation de la figure pr c dente concepts relations et instances Malheureusement malgr leur puissance d expression ces alternatives sont comme nous allons le voir assez peu adapt es au cas qui nous occupe celui d une mo d lisation dynamique effectu e par les usagers de la biblioth que 8 Notons que la m me critique a t faite pour l organisation des objets documentaires dans un docu ment en r action la supr matie du format XML dans ce domaine Voir par exemple RenearEtA196 et Nelson97 ou encore le mod le propos par notre groupe de r flexion au sein de l ISDN pour les docu ments a structure multiple Notons que cette s paration entre le mod le
95. ar cons quent un syst me documentaire adapt aux chercheurs ne de vrait pas tre bas sur des m ta donn es fixes mais tre le support d une activit exploratoire de structuration Par quels m canismes obtiendra t on que l accord initial engageant une population de chercheurs limit e dans l espace et le temps s tende ensuite de fa on quasi statutaire Gardin84 32 CHAPITRE 3 EXPLICATION ET COMPREHENSION EN SCIENCES HUMAINES 2 L indispensable compr hension Afin de dresser un aper u de l pist mologie des Sciences Humaines 1l nous est n cessaire de pr ciser tout d abord ce que l on entend par Sciences Humaines L u vre de Wilhelm Dilthey fin XIX s d but XX s est en ce sens tr s clairante Ri coeur86 Elle propose en effet un crit re de d marcation entre les Sciences de la Nature et les Sciences Humaines qu il appelle Sciences de l Esprit Pour lui ce crit re repose sur la dialectique entre explication et comprehension L explication serait le mode de construction des Sciences de la Nature tandis que la compr hension serait celle des Sciences de l Esprit L explication concerne le comment la compr hension le pourquoi Alors que le premier est l tude d un objet ind pendamment de l observateur objectivit la seconde est l tude d un sujet une personne par un autre sujet subjectivit L Explica tion n cessite une mise dista
96. arch ologie Aussi Ren Ginouv s et Anne Marie Guimier Sorbets GinouvesEtGuimierSorbets78 crivaient que plut t que d esp rer en un hypoth tique consensus assurant objectivite des donn es mieux valait viser l intersubjectivit De m me pour Patrick Desfarges et Bruno Helly DesfargesEtHelly91 Les objets n ont pas d attributs par eux m mes mais par leurs sources principe mis en pratique avec le syst me FRANTIQ dans le quel sont enregistr s des discours d auteurs sur des artefacts et non des donn es 1m personnelles En effet a la diff rence des bases de donn es le document dat authentifi et soumis un comit ditorial est en ad quation totale avec une science moderne de type constructiviste c est dire o la scientificit repose sur la r futabilit d hypoth ses par l exp rience Popper35 et ou par les pairs Kuhn62 Si les documents semblent adapt s la pratique scientifique il en est autrement des syst mes documentaires courants Concus pour des biblioth ques grand public la plupart reposent sur une indexation effectu e par des tiers selon une structure statique ontologie th saurus liste d autorit Or structurer le corpus de documents et par l le domaine la place du chercheur c est nier son expertise En effet c est la mission m me du chercheur de trouver une structure son objet d tude et de tester la validit de cette structure P
97. asser d une dynamique interdisciplinaire une dyna mique transdisciplinaire En effet notre point de d part consistait transf rer des m thodes d une disci pline a une autre dans une logique a la fois d application et de questionnement des dis ciplines de l informatique l arch ologie et en retour de l pist mologie et de la lin guistique l informatique Aujourd hui avec la constitution d une quipe regroupant des chercheurs en ar ch ologie en historiographie en architecture et en informatique le but poursuivi est que chacun partir de sa discipline s interroge sur la question de la cr ation du sens th me qui traverse et d passe toutes les disciplines 144 Bibliographie AccaryEtAI03 Accary T Benel A Calabretto S Mod lisation de connaissances temporelles en Arch ologie en ligne In Actes des Journ es francophones d Extraction et de Gestion des Connaissances EGC 2003 Revue des Sciences et Technologies de l Information RSTI 2003 Vol 17 Num ro sp cial Paris Lavoisier Hermes Sciences 2003 p 503 508 Disponible sur Internet lt http lisi insa lyon fr taccary publications Time_EGC03 pdf gt consult le 26 09 03 Accary02 Accary T Instrumenter le travail des arch ologues la mod lisation du temps en ligne DEA en Informatique Universite Lyon 1 2002 Disponible sur Internet lt http lisi insa lyon fr taccary publications dea_memoire
98. attachant les Sciences Humaines la tradition herm neutique il appara t indispensable de replacer les textes dans leur contexte linguistique et leur situation extralinguistique De ceci d rivent deux notions clefs instrumenter celle de l intertextualit et celle de l intersubjectivit La premi re indique que deux textes lus en parall le sont d avantage porteurs de sens que lus s par ment comme s ils s lectionnaient du sens l un dans l autre La seconde repose sur l id e que le sens peut na tre des conflits d interpr tation entre lecteurs 4 Si ces deux notions ressortent clairement des enqu tes portant sur les usages dans les biblioth ques traditionnelles peu de biblioth ques num riques en tiennent 107 Herm neutique adj Relatif l interpr tation des textes CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION compte aujourd hui Le domaine des hyperm dias quant lui a plac l intertextualit au c ur de son approche mais on est loin de l intersubjectivit En effet 11 est souvent fort difficile d exprimer des points de vue diff rents sur un m me objet documentaire 5 Le mod le hyperm dia que nous introduisons appel Porphyre consiste capter le geste du lecteur Chaque manipulation du corpus annotation mise en corr la tion commentaire est alors consid r e comme un trace d interpr tation archiver Par cette strat gie de lecture
99. b en ligne Rapport de stage EFA 1997 Disponible sur Internet lt http www efa gr Informatique Montocchio1997 pdf gt consult le 09 10 03 Mounin68 Mounin G Clefs pour la linguistique Paris Seghers 1968 172 p Mounin72 Mounin G La s mantique Seconde dition Paris Payot 1997 268 p Note Edition originale publi e en 1972 revue et corrig e en 1997 Mugnier93 Mugnier M L On Generalization Specialization for Conceptual Graphs Research report LIRMM 1993 MugnierEtChein96 Mugnier M L Chein M Repr senter des connaissances et raisonner avec des graphes In R Z A vol 10 n 1 1996 p 7 56 164 BIBLIOGRAPHIE Muhr97 Muhr T Atlas ti Short User s Manual en ligne Berlin Scientific Software Development 1997 Disponible sur Internet lt http www atlasti de manshort pdf gt consult le 09 10 03 NanardEtA196 Nanard M Nanard J Chauche J Massotte A M Joubert A Betaille H La m taphore du g n raliste Acquisition et utilisation de connaissances macroscopiques sur une base de documents techniques In N Aussenac Gilles P Laublet C Reynaud Ed Acquisition et ing nierie des connaissances Cepadu s Editions 1996 NanardEtNanard01 Nanard M Nanard J Cumulating and sharing end users knowledge to improve video indexing in a video digital library en ligne In Proceedings of the first ACM IEEE CS Joint Conference on Digital Libraries JCDL 01 ACM Press
100. bounding browsable retrieval spaces an application to Galois lattices In RIAO 94 conference proceedings Intelligent Multimedia Information Retrieval Systems and Management 1994 p 533 547 151 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION CavnarEtGillies94 Cavnar W B Gillies A M Data Retrieval and the Realities of Document Conversion en ligne In Digital Libraries 94 Proceedings of the First Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries College Station Texas June 19 21 1994 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu csdl DL94 position cavnar html gt consult le 30 09 03 Chabbat97 Chabbat B Mod lisation multiparadigme de textes r glementaires en ligne Th se de doctorat en informatique INSA de Lyon 1997 Disponible sur Internet lt http csidoc insa lyon fr these 1997 chabbat gt consult le 30 09 03 Chalendar97 Chalendar G de Abstractions de sch mas partir de situations agr g es en ligne DEA de sciences cognitives Universit s Paris Sud XI 1997 Disponible sur Internet lt http Awww limsi fr Individu gael MemoireDEA gt consult le 30 09 03 Charity94 Charity M N Multiple Standards No problem en ligne In Digital Libraries 94 Proceedings of the First Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries College Station Texas June 19 21 1994 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu csdl DL94
101. ces Humaines dans les ann es 1960 et 1970 En effet ce mouvement tendance claire ment explicative va s av rer d une f condit remarquable en anthropologie psychana lyse critique litt raire tude de la grammaire etc r futant l omission de la dimension explicative dans l pist mologie des Sciences Humaines A l inverse la tentation de r duire les Sciences Humaines la seule explication s est av r e l exp rience comme d sastreuse Compr hension 17 lt lt comment gt gt Explication Aucune des actions repr sent es ici compr hension explication n est effectu e de mani re automatique Elles n cessitent Sens toutes un sujet pensant Ei Figure 3 1 L interpr tation d apr s Dilthey comme compr hension pure disjointe de l explication diagramme d activit UML 34 CHAPITRE 3 EXPLICATION ET COMPREHENSION EN SCIENCES HUMAINES La th se centrale de Paul Ric ur dans son deuxi me essai d herm neutique R1 coeur86 est de rassembler sous la m thode herm neutique les dimensions de la com pr hension et de l explication de consid rer l interpr tation non plus comme la seule compr hension mais comme la dialectique m me de la compr hension et de l explica tion En effet la distanciation n cessite l appartenance pr alable des sujets et l in verse il n existe pas de compr hension de soi sans m d
102. chapitre ont fait l objet d une conf rence lors de la journ e d tude sur les biblioth ques num riques Benel02b 7 http www jstor org 8 http cefael efa gr CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION tion et de diffusion mise en uvre dans le projet CEFAEL Ensuite dans une troisi me partie nous exposerons le protocole exp rimental proprement dit Enfin dans une qua tri me partie nous verrons les probl mes rencontr s et les solutions propos es 1 Etude des besoins Afin de d finir les diff rentes structures hyperm dia n cessaires a l interpr tation des collections de l Ecole nous allons tenter d identifier les points de vue de diff rents acteurs intervenant sur une m me page du corpus cf Figure 10 1 TRAVAUX DE L COLE FRAN AISE EN GR CE EN 1991 BCH 116 ag l TEE YA eit RER X l 2 r Fig 30 Bloc inscrit inv 17316 Fig 31 Bloc inscrit inv 17316 ch 1 20 ch 1 20 D Laroche Fig 32 Bloc inscrit inv 17316 face ant rieure Figure 10 1 Une page tudier sous diff rents points de vue 114 CHAPITRE 10 CEFAEL COLLECTIONS DE L ECOLE FRANCAISE D ATHENES EN LIGNE a Maquettiste La premi re structuration du corpus est donn e par le maquettiste il s agit de la pagination Chaque page est ainsi d sign e sans ambigu t par le triplet Collec tion Volume Folio Cette nomenclature arborescente pe
103. cialization x y z E y getCorpus x SpecializableDescriptor D finition getCorpus Descriptor DocumentObject G n ralisation de la fonction homonyme a une s lection de plusieurs descripteurs L intersection des corpus signifie qu tre d crit par une s lection de descripteurs revient tre d crit la fois par chacun d eux do d getCorpus do getCorpus N d getCorpus Axiome State KNOWN POSSIBLE IMPOSSIBLE D finition _ getState _ Descriptor x DocumentObject State Fonction attribuant un tat connu possible impossible un descripteur pour un corpus C donne Plus pr cis ment on dira que le descripteur est connu si le corpus du descripteur contient C et que C est non vide Il sera impossible si le corpus du descripteur a une intersection vide avec C Il sera possible dans les autres cas x getState C KNOWN CE a C Cx getCorpus x getState C IMPOSSIBLE C N x getCorpus 84 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION x getState C POSSIBLE x getState C IMPOSSIBLE n x getState C KNOWN OPTIMISATION On ne calculera getCorpus qu une fois et on proc dera par limination en parcourant C de conserve avec getCorpus pour y trouver un contre exemple a KNOWN un l ment de C qui n est pas dans getCorpus et IMPOSSIBLE un l ment de C qui est dans getCorpus D finition _ getFilter _ Descriptor x DocumentObject Descr
104. cipline arch ologique Il dressera un tat des pratiques d exploitation et d interpr tation de ces documents par les experts en particulier leurs modes de lecture et d annotation cf Figure 12 2 Le r sultat ultime consistera proposer des m thodes semi automatiques int grer dans Porphyre permettant de d tecter les incoh rences entre le savoir de r f rence et celui de l expert Foye Chaudi _ Vidan Salle de serv _ Citer ice Destric ne Lanai aio aUsuloir darium gerv f Tepida Sie rium RGlation Frigida BILAKS ther N i 5s Pen vesti mae bule Piscine Figure 12 2 Exemple d annotation d un document d architecture par un expert Du point de vue informatique l enjeu principal porte sur la gestion conjointe modification comparaison navigation interrogation de deux types de mod les for mels r seaux s mantiques et profils 2D tudi s habituellement par deux communaut s 138 CHAPITRE 12 PERSPECTIVES distinctes L enjeu sera d autant plus fort que le mod le de r f rence sera dynamique et hypoth tique Du point de vue des Sciences Humaines ce travail de th se permettra de pr ciser les liens existant entre s miotique graphique et s mantique lexicale Il permettra gale ment d explorer la question du rapport au document dans les disciplines historiques Enfin 1l posera la question du statut pist mologique de l espace arch olog
105. de classe UML Si le mod le Strates A constitue un r seau intertextuel tr s r ussi l expression de l intersubjectivit sera par contre plus probl matique Comme l quipe de Strates IA et la n tre l avons expliqu dans un article commun BenelEtAlO0la le rapport de l individu la connaissance diff re totalement dans nos domaines d application respec tifs En effet Strates IA tant destin des documentalistes il est naturel de s parer les autorit s l ments d annotation abstrait des indexations elles m mes l ments d annotation Dans notre perspective par contre l expert est amen a modifier les deux de conserve En d autres mots il n est pas question qu il suive e mod le du domaine mais plut t qu il propose son mod le 48 CHAPITRE 4 INSTRUMENTATION DE L INTERTEXTUALIT ET DE L INTERSUBJECTIVIT Notons que l extension de Strates IA r alis e par El d Egyed Zsigmond dans le cadre de sa th se prend en compte les notions d finies informellement dans la th se de Yannick Pri de dimension d analyse et de sch ma de description Ces deux notions peuvent tre utilis es pour d finir diff rents canons d indexation Si ceci est un premier pas vers la notion de point de vue 1l s agit tout de m me de points de vue norm s par une communaut et devant tre appliqu s par les individus Il ne s agit donc pas pro prement parler d intersubjectivite g TheBrain
106. des sites dont ils traitent donnant une impression de zoom d un niveau l au tre Il est int ressant de remarquer que cette deuxi me structure est en partie inva riante Ainsi il est envisageable partir du corpus de la Chronique des fouilles d obtenir automatiquement un nouveau corpus que l on pourrait nommer Topique des fouil les cf Figure 9 1 Ce traitement viendrait d ailleurs g n raliser une pratique existan te consistant rassembler les tir s part concernant un site ings Chronique des fouilles gt Topique des fouilles ES Fouilles de 1950 ES ESD crete SA Cr te Malia 0 Malia i ro Fouilles de 1950 O Cnossos D Fouilles de 1951 LI P loponn se Cnossos ro Sparte Fa Fouilles de 1950 ER Argos D Fouilles de 1951 ES Fouilles de 1951 Re P loponn se Ni Cr te p Sparte ro Malia Fouilles de 1950 Fe Cnossos D Fouilles de 1951 i P loponn se 0 Argos O Sparte Fouilles de 1950 D Argos D Fouilles de 1951 Figure 9 1 La Topique des fouilles virtuellement pr sente dans la Chronique 4 En Grec Chronos signifie le temps En Grec Topos signifie le lieu 107 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Afin de mod liser cette structuration multiple du corpus il faudrait d corr ler la dimension spatiale et temporelle en deux facettes cf Figure 9 2 La re composition en chronique topique
107. description et ses optimisations setSelection setSelection getCorpus getCorpus CE computes the inters ction of corpora getCorpus computes the inters ction of corpora update Filter update Filter Figure 7 11 Mise a jour des filtres dans les facettes typologie espace et temps apr s changement de s lection dans la facette typologie diagramme de s quence UML setSelection StructureServer update Filter getFilter 86 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION Figure 7 12 Requ tes envoy es au serveur lors de la mise jour des filtres cf Figu re pr c dente c Sc nario de recherche de documents Dans cette section nous suivrons pas pas un sc nario d interactions homme machine mobilis es lors d une recherche de document Les sch mas pr senteront le r seau de description de la Figure 7 13 tel que filtr par le syst me Porphyre au cours d une navigation architectural L gende D D Tout objet documentaire d crit par le descripteur D l est aussi par D pigraphique Identifiant de l objet documentaire i de type mobilier eae bijou lt lt date pal ochr tien classique ar Chaque vase archa que Figure 7 13 Exemple de r seau de description tape 1 Le corpus global traite de vestige typ Les corpus plus sp cialis s traitent de vestige dat de vestige de type pigraphiq
108. diagramme d activit UML 37 Figure 4 1 R tro conception de Xanadu diagramme de classe UML 41 Figure 4 2 R tro conception du World Wide Web diagramme de classe UML 42 Figure 4 3 R tro conception d Hyper G diagramme de classe UML 45 Figure 4 4 R tro conception d ATLAS ti diagramme de classe UML 068 46 Figure 4 5 R tro conception de PASTEL diagramme de classe UML 47 Figure 4 6 R tro conception de Strates A diagramme de classe UML 48 Figure 4 7 R tro conception de TheBrain diagramme de classe UML 49 Pouro SL NOTONS ARS din 55 Figure 5 2 Types de traces et liens Contextuels s2 tnt RR 55 Figure 5 3 Architecture multi tiers du syst me Porphyre pour un acc s natif diagramme de d ploiement WML icra annie EE a ee 56 Figure 5 4 Architecture multi tiers du systeme Porphyre pour un acces par le Web dissramme d d ploiement UM ins Rinics 57 Figure 5 5 La publication comme moteur de l interpr tation eeeeeeeeeeeeereeeeerrrererreen 59 Figure 5 6 Cycle de vie d un contexte diagramme d tat UML 60 Figure 6 1 Exemple de correspondance pour un contenu documentaire entre une r f rence automatique et un nom significatif 65 Figure 6 2 Contenus documentaires diagramme de classe UML 66 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Figure 6 3 A partir d
109. e 12 121a il s lectionne le paragraphe 12 121 pour le lire Il apprend alors qu un autre parcours nomm bibliographie passe par ce pa ragraphe Int ress par les commentaires 30 13 et 30 15 qui sont faits du 12 121 il continue le parcours Un autre ouvrage n 13 tr s pertinent y est r f renc et commen t Intrigu par la bibliographie de l ouvrage n 30 le lecteur d cide de lire ce dernier in extenso et va donc l origine du parcours de lecture 100 CHAPITRE 8 PARCOURS DE LECTURE Notons qu en feuilletant ainsi le corpus notre lecteur a trac un nouveau par cours S 1l le souhaite il pourra lui donner un nom et le conserver pour un usage ult rieur 4 Originalit du mod le Nombreux furent les syst mes hyperm dia proposer une implementation de la notion de parcours introduite par Vannever Bush Bush45 une s quence d objets do cumentaires cr e par le lecteur nomm e sauvegard e et publi e Certains conscients du danger de d sorientation que repr sentait une lecture objet documentaire par objet documentaire propos rent comme tape de lecture non pas un objet documentaire isol mais un ensemble de documents TriggEtWeiser86 Trigg88 Maurer96 Cependant leurs parcours ne pouvaient se croiser que s ils utili A r CL 79 ARE salent explicitement la m me reference pour d signer cet ensemble Au contraire la notion de parcours de lecture nou
110. e texto net Inedits Rastier_Terme html gt consult le 09 10 03 Rastier95b Rastier F Communication ou transmission en ligne In C sure n 6 1995 p 151 195 Disponible sur Internet lt http www revue texto net Inedits Rastier_ Transmission html gt consult le 09 10 03 Rastier98 Rastier F Sens et signification In Prot e printemps 1996 p 7 18 Rastier03 Rastier F De la s mantique l interpr tation des objets culturels A para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Correspondance Hell nique RenearEtA196 Renear A Mylonas E Durand D Refining our Notion of What Text Really Is The Problem of Overlapping Hierarchies en ligne In Journal of 168 BIBLIOGRAPHIE Research in Humanities Computing Oxford Oxford University Press 1996 Disponible sur Internet lt http www stg brown edu resources stg monographs ohco htmI gt consult le 09 10 03 Ricoeur69 Ricoeur P Le conflit des interpretations Essais d herm neutique Paris Seuil 1969 501 p Ricoeur86 Ric ur P Du texte l action Essais d herm neutique II Paris Seuil 1986 452 p Rijsbergen86 Rijsbergen C J van A new theoretical framework for information retrieval en ligne In Proceedings of 1986 ACM Conference on Research and Development in Information Retrieval 1986 p 194 200 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 253168 253208 gt consult le 09 10 03 Roche00 Roche C Corporate
111. e N D tection d incoh rences dans des sp cifications formelles Application la mod lisation spatiale et temporelle en arch ologie A para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Correspondance Hell nique Grezsiak02 Grezsiak I Repr sentation du Temps et de l Espace dans les biblioth ques Synthese bibliographique de DESS ENSSIB 2002 Gruber93 Gruber T R A translation approach to portable ontology specifications en ligne In Knowledge Acquisition Volume 5 Issue 2 1993 p 199 220 Disponible sur Internet lt ftp ftp ksl stanford edu pub KSL_Reports KSL 92 71 ps gt consult le 30 09 03 Guarino97 Guarino N Some organizing principles for a unified top level ontology en ligne In Proceedings of AAAI 1997 Spring Symposium on Ontological Engineering AAAI Press 1997 Disponible sur Internet lt http www ladseb pd cnr it infor Ontology Papers TopLevel pdf gt consult le 30 09 03 Guarino99 Guarino N Masolo C Vetere G OntoSeek Content Based Access to the Web en ligne In ZEEE Intelligent Systems 14 3 1999 p 70 80 Disponible sur Internet lt http www ladseb pd cnr it infor Ontology Papers OntoSeek pdf gt consult le 30 09 03 Guimier91 Guimier Sorbets A M Jockey P Syst mes d informations sur les sculptures de Delos In Aplicaciones Informaticas en Arqueologia Teorias y sistemas Saint Germain en Laye 1991 Guinaldo95 Guinaldo O Etude d un syst me de gestion de graph
112. e concurrentielle et veille brevet Julien Gossa nouvelle architecture client serveur Baptiste Meurant nouvelle architecture client serveur Michel Nux gestion d quipe communaut open source R gine Tribollet contenus documentaires PHP Il Annexe C Pourquoi diffuser Porphyre sous Licence GPL Annexe D Manuel d utilisation du client Porphyre VII IX FOLIO ADMINISTRATIF TH SE SOUTENUE DEVANT L INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES APPLIQUEES NOM B nel DATE DE SOUTENANCE 12 d cembre 2003 PR NOM Aur lien TITRE Consultation assist e par ordinateur de la documentation en Sciences Humaines Consid rations pist mologiques solutions op ratoires et applications l arch ologie NATURE Doctorat NUM RO D ORDRE 03 ISAL 0068 ECOLE DOCTORALE Informatique et Information pour la Soci t SP CIALIT Documents Multim dia Images et Syst mes d Information Communicants COTE B LU TYON T50 210 19 CLASSE R SUM Dans les Sciences Humaines comme dans bon nombre de domaines d expertise M decine Ing nierie Droit Physi que le document constitue le principal outil de travail et ce jour ni les bases de donn es ni les syst mes ex perts n ont r ussi le supplanter Dans ces syst mes en effet l usager serait contraint d ins rer ses donn es dans un mod le fixe et consensuel sch ma de la base ontologie Or dans les domaines d expertise chacun apporte son mod le
113. e connais sances Dans le domaine documentaire sa m thode consiste r aliser des mod les for mels des besoins de l usager et du contenu des documents Un document est appari un besoin si l on peut d duire a partir du mod le du premier le mod le du second C est le cas par exemple de l approche bool enne utilis e d s les ann es 60 Salton68 dans les catalogues informatis s des biblioth ques Un document index par philosophe ET mortel sera appari la requ te philosophe O grec De m me dans des syst mes plus r cents un document index par un graphe mod lisant Le philosophe Socrate est mortel sera appari au graphe requ te mod lisant Un homme est mortel Cette approche participant au projet de l intelligence artificielle est calqu e sur la d monstration automatique de th or mes Elle consiste d montrer des buts en appliquant successivement des r gles de transformation des faits de base Aujourd hui les plus vives critiques de l approche viennent de la communaut elle m me Ainsi John F Sowa inventeur des c l bres graphes conceptuels d non ce t 1l l id ologie dominante de sa communaut comme tant devenu une nuisance obstructive Sowa0la Pour conforter son propos 1l nous pr sente le parcours de Ter ry Winograd Celui ci crivit en 1972 un livre intitul Comprendre le langage natu rel o 1l exposait le syst
114. e qui est exp rimenta lement reproductible ind pendamment du chercheur Combien de fois une exp rience doit elle tre r p t e Par combien de chercheurs L encore Popper n a rien crit ce sujet Par contre K hn cf Kuhn62 peut nous aider trouver une r ponse K hn donne de la Science une vue sociologique Les chercheurs appartiendraient des com munaut s bas es sur des principes tacites Ces principes appel s paradigmes ta blissent les m thodes utiliser et les types de sujets de recherche solubles Ainsi des 29 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION th ories bas es sur des paradigmes diff rents sont incommensurables elles ne peuvent tre compar es D une mani re k hnienne on pourrait affirmer qu un ph nom ne objectif est objectif pour une communaut donn e si et seulement si il a t reconnu tel par cette communaut Un ph nom ne objectif et son pouvoir r futant n est donc pas forc ment valide pour une autre communaut De m me 1l peut ne plus tre valide apr s un changement de paradigme dans la communaut ce que K hn appelle une r volution En d finitive l objectivit des exp riences et des r futations d pend d un processus social et en tant que tel est du ressort des Sciences Humaines 4 Conclusion Le lecteur aura compris que nous nous engageons clairement dans la troisi me voie celle que nous avons qualifi e
115. e sanctuaire de D los en fonction de la position spatiale de chacun des vestiges d crits La plupart de cette bibliographie tant contenue dans les collections de l Ecole on peut donc consid rer que l on est en pr sence d une nouvelle structure du corpus De la m me mani re notre page d exemple pourrait entrer dans une structure correspondant la g ographie du site de Delphes cf Figure 10 5 117 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION a Point de vue de l quipe du Pr Tartempion Meg Delphes Ve A l ouest du sanctuaire d Apollon Ma Heroon corinthien dit de Blum DT fi Sa Figure 10 5 Extrait de la facette d une quipe de fouille R seau de description Por phyre 2 Num risation et valorisation La num risation du corpus d marra en mai 2001 Lyon sur le site de la plate forme technologique du CNRS la Maison de l Orient et de la M diterran e MOM Les corpus complets disponibles en biblioth ques ne pouvant tre ravis aux lecteurs il fut n cessaire pour reconstituer les collections de faire venir des volumes d Ath nes EFA diteur de Limoges Bontemps imprimeur et de Paris De Boccard distribu teur Chaque volume fut pr alablement la num risation d crit dans une base de donn es nombre de pages foliot es nombre de planches etc et massicot Cette der os pote 89 sgo ni re op ration permit une num
116. e sur Internet lt http csidoc insa lyon fr these 1997 ubeda gt consult le 09 10 03 UML97 UML Notation Guide OMG 1997 UNICODE00 The Unicode Standard Version 3 0 en ligne The Unicode Consortium Addison Wesley 2000 Disponible sur Internet lt http www unicode org unicode uni2book u2 html gt consult le 09 10 03 172 BIBLIOGRAPHIE Vatre01 Vatr R Porphyre Mod lisation de parcours de lecture Rapport de stage 2001 VaudryEtA I02 Vaudry C Ranwez S Poulon A Crampes M Initiative mixte dans les DVP De la pertinence l adaptation In Actes de la conf rence scientifique Documents virtuels personnalisables DVP 2002 Brest Juillet 2002 p 141 154 VeerasamyNavathe95 Veerasamy A Navathe S Querying navigating and visualizing a digital library catalog en ligne In Second Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries Austin Texas June 11 13 1995 Disponible sur Internet lt http Awww csdl tamu edu DL95 papers veerasamy veerasamy html gt consult le 09 10 03 Veron97 Veron M Mod lisation de la composante annotative dans les documents lectroniques en ligne M moire de DEA RCFR INPT Toulouse Septembre 1998 Disponible sur Internet lt http www enseeiht fr fr recherche info Intellig PUBLICATIONS VERON dea_mv txt gt consult le 09 10 03 WangBaldonado97 Wang Baldonado M Q An Interactive Structure Mediated Approach to Exploring Info
117. ees 26 hg NG MAN ON ene a N een atest 26 b Des machines qui donnent penser cceeeescccccccecceeeseeeeccceeeeeaaaeseecceeeeeeaas 27 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION c Courant DANOSOPRIQU S LR re Ent de aa 28 AC ONCOS lO ssia oe red mont edientent 30 Chapitre 3 Explication et compr hension en Sciences Humaines 000000008 31 1 Le cas de la formalisation en arch ologie 31 2 L indispensable COMPI NENSIONLES En opel 33 Unecadie interpretatif pour le calc se RG st us 36 Chapitre 4 Instrumentation de l intertextualit et de l intersubjectivit 39 I PAU COCUE DOS Usioe RSR RU nn ur aids 39 2 Panorama des syst mes hypermedia cccccsesseesssseeseeceecceeeeeeeeeeeaaaasaseeesseeeeees 41 OUR a eee OO De D a ee 4 DWOG Wide WN C0 Rs RS RS AN AN ur 42 CA VDE erosa i a S ae ee 44 LATEA S E aaa a a in 45 SPAS TE Goana en a a N a nat 46 e 12 1 NS a Di 48 OA CE 5 12111 O se RES A A ee E A E 49 De D HAL PEON ISON viva ae tise Ga De inal chee aa ae oe ee ees 50 2 partie Mod le propos ccccscccsesececscsescscscsesesvevsvevevsvevavavavavsvevevavevevavevsvavavevaveveveee 51 Chapitre 5 Traces Ct PUD NC at ON Re Ra AR Lt Ni A 53 LAINOCON AE TAC Rte del 53 Os DA 6 1 I DL SE SO RE PR DS ede teed Gasca ae 53 TSAO O CURE D a del tm ee 55 2 Notions de publication de communaut et d dition 000 eeeeceeccceceeeeeeeee
118. ees 58 IAISUOMS Tune Tace nana te end tiene 59 Chapitre 6 Contenus documentaires ss 63 NONON S areca nat Re Sn nn ie nn 64 a Contenu documentale Se den re den An 64 BrOD Jet docume Mae erior n n esse ces cessent es 64 2e RE ASIA ED LS ctaciaieatentuacasiu nett aentemetamumeatentunncts 67 a Sur un objet documentaire 15016 67 Dy SUP UE COMLEX LEGO lecte ss SMS RS desdits 68 Chapitre 7 R seaux de CESCLIPUON ss res tentent sitnine riss Enesi aeee 71 176 TABLE DES MATIERES 1 D crire de mani re structur e des objets documentaires cccccceeeeeeeeeeees 12 a Des arbres qui cachent la biblioth que 72 BA ITS PINAL CS SR Cet teinte ee T3 Ge MIO nd lu il nd ner 75 2 Un mod l base de points de WUC ecoes5 Hs wedi canlencaei tease te 76 3 Atpenter l eSpace documentale nee 79 a Filtrer des descripreurs a platy Len een tone E 80 Ds Filtrerdes reseaux de CESCTIDICUES Tarraa NN AN SON GE 83 c Sc nario de recherche de documents 87 d Sc nario d indexation de documents ss 89 BAR a a nn oo 92 Chapitre S Parcours OG IS Ctl nania sess th hese cee seas ees 93 AA En E bo EAA EEA ES nt A rE AT E A ere eer En ner 94 dP SOng UE eer N E nce aan ae Reena 94 D E tape de ITeC aa a aa aa a OA 95 A AA PL VE LA I E E A E E E E ce eat EE T E A ET 96 2 SD D CLHCATOME nn a E A N 96 3 Scenarios Fenileter UNM OUVEA GS Leader EAA heure 99 A OMPHAS AU OCC N20 oir A E E A O nr nai eee 101 3 partie
119. eirce A conceptual graph workbench Maryland August 19 1994 p 4 10 Disponible sur Internet lt http citeseer nj nec com ellis94proceedings html gt consult le 30 09 03 Bush45 Bush V As we may think en ligne The Atlantic monthly 176 July 1945 p 101 108 Disponible sur Internet lt http www theatlantic com unbound flashbks computer bushf htm gt consult le 30 09 03 BusnelEtAl97 Busnel F Godfroy V Grolleau F Le temps une approche philosophique Paris Ellipses 1997 156 p Calabretto93 Calabretto S Contribution la validation des sp cifications alg briques et l tude des sp cifications alg briques avec contraintes Th se de doctorat en informatique INSA de Lyon 1993 Calabretto03 Calabretto S Mod les de repr sentation de la s mantique des documents A para tre dans les Supplements au Bulletin de Correspondance Hell nique CalvetEtAIOI Calvet M A Lemaitre M Leonhardt J L Vocabulaires multilingues Rapport de mission Maison de l Orient M diterran en CNRS 2001 Caplat02 Caplat G Mod lisation cognitive et r solution de probl mes Lausanne PPUR 2002 199 p Caplat03 Caplat G Connaissance s mantique mod le et formalisme A para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Correspondance Hell nique Caron92 Caron J Pr cis de psycholinguistique Presses Universitaires de France 1992 275 p CarpinetoEtRomano94 Carpineto C Romano G Dynamically
120. eles California April 18 23 1996 NuxEtBenel02 Nux M B nel A Quelle licence pour Porphyre Synth se Proposition Rapport interne EFA 2002 NuxEtAl02 Nux M Martin O Huynh R B nel A Porphyre 2002 Manuel d utilisation du client EFA 2002 OHaraEtAl98 O Hara K Smith F Newman W Sellen A Student readers use of library documents implications for library technologies en ligne In Conference Proceedings on Human Factors in Computing Systems CHI 98 New York ACM Press 1998 p 233 240 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 274644 274678 gt consult le 09 10 03 OrsiEtCavallari1892 Orsi P Cavallari F S Megara Hyblaea In Monumenti Antichi dei Linci I 1892 Colonnes 799 818 extrait OunisEtPasca98 Ounis I Pasca M RELIEF Combining Expressiveness and Rapidity into a Single System en ligne In Proceedings of the 21st Annual International ACM SIGIR Conference on Research and Development in Information Retrieval New York ACM Press 1998 p 266 274 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 290941 291007 gt consult le 09 10 03 Paepcke96 Paepcke A Digital libraries Searching is not enough What we learned on site en ligne D Lib Magazine May 1996 Disponible sur Internet lt http www dlib org dlib may96 stanford O5paepcke html gt consult le 09 10 03 PalowitchEtStewart95 Palowitch C Stewart D Automating the Structural Markup Proces
121. ement automatique pour la representation graphique de r seaux lexicaux en apprentissage des langues In Bulletin de Linguistique Appliqu e et G n rale BULAG Ann e 1996 1997 p 361 371 Shannon48 Shannon C E A Mathematical Theory of Communication en ligne In The Bell System Technical Journal July October 1948 Disponible sur Internet lt http cm bell labs com cm ms what shannonday shannon1948 pdf gt consult le 09 10 03 Sonnenwald98 Sonnenwald D H An evolving framework for collaborative information exploration en ligne In CHI 98 Workshop Innovation and Evaluation in Information Exploration Interfaces Los Angeles California April 18 23 1998 Disponible sur Internet lt http www fxpal com ConferencesWorkshops CHI98IE submissions long sonnenwald gt consult le 09 10 03 Sowa87 Sowa J F Semantic Networks In Shapiro S C Encyclopaedia of Artificial Intelligence Wiley New York 1992 Note Edition originale publi e en 1987 revue et corrig e en 1992 Sowa00 Sowa J F Knowledge Representation Logical Philosophical and Computational Foundations Pacific Grove Brooks Cole 2000 594p Sowa0la Sowa J F Signs Processes and Language Games Foundations for Ontology en ligne In Ninth International Conference on Conceptual Structures Broadening the Base Stanford University California July 30 August 3 2001 Disponible sur Internet lt http www jfsowa com pubs signproc htm
122. en 1979 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Amandry77 Amandry P Avant propos en ligne In Bulletin de Correspondance Hell nique n 101 Ath nes Ecole fran aise d Ath nes 1977 p 1 3 Disponible sur Internet lt http cefael horde rayge detail php site_id 1 amp actionID page amp series id BCH amp volume _number 101 amp issue_number 1 amp page_type 1 amp page_number 1 gt consult le 26 09 03 Andrews96 Andrews K Browsing building and beholding cyberspace New approaches to the navigation construction and visualisation of hypermedia on the Internet en ligne Technical Sciences Doctor dissertation Graz University of Technology 1996 Disponible sur Internet lt http www2 iicem edu keith phd gt consult le 26 09 03 Aristote 300 Aristote Organon I Cat gories IT De l interpr tation Trad J Tricot Paris Vrin 1959 153 p Aristotle 300 Aristotle Categories amp De Interpretatione Trad J L Ackrill Oxford Clarendon Press 1963 162 p Arsac84 Arsac J L informatique et le Sens In H L Dreyfus ntelligence Artificielle Mythes et limites Paris Flammarion 1984 Bachelard71 Bachelard G Epist mologie Textes choisis Paris PUF 1971 216 p Note Publication posthume d extraits d articles et d ouvrages Bachimont99a Bachimont B L intelligence artificielle comme criture dynamique de la raison graphique la raison computationnelle e
123. ent une quipe peut travailler sur plusieurs corpus la fois 2 Notions de publication de communaut et d dition Il ne suffit pas de stocker des traces encore faut il les partager La m taphore que nous choisirons est celle de la publication cf Figure 5 5 Cette mise en public est bas e sur une relation de confiance concr tis e par une communaut L adh sion d un expert une communaut n cessite l accord commun de l expert et du repr sentant de la communaut Membre de la communaut l expert peut lire les documents et les traces publi s par les autres membres Dans une biblioth que priv e 1l peut ajouter ses propres traces d interpr tation relatives ses propres documents ou aux documents de la communaut l Par exemple si l on demande l URL permettant d extraire un fragment d image avec re dimensionnement sur un serveur Transvision l URL construite tiendra compte de l ordre de re dimensionnement mais pas de celui d extraction de fragment Uniform Resource Name URN Identifiant permanent d une ressource sur Internet ind pendamment de sa localisation physique Ex urn hdl cnri dlib august95 urn doi 10 1000 1 urn 1ssn 1082 9873 58 CHAPITRE 5 TRACES ET PUBLICATION A Ublicat Figure 5 5 La publication comme moteur de l interpr tation S1 l expert le souhaite 11 peut soumettre au repr sentant de la communaut une exportation
124. ent et synth tiquement l volution des traces en contexte Notons que ceci repr sente un double defi dans le domaine des bases de donn es visuel les et celui des bases de donn es temporelles 3 Application au temps arch ologique a Pr sentation Le travail de these de Tiphaine Accary commenc l automne 2002 s inscrit dans la perspective intersubjective que nous avons pr sent e Les r gles permettant de d tecter des contradictions entre points de vue tant d pendantes d une discipline et d une m thode un champ d application a t choisi le temps arch ologique b Dr le de temps Pour comprendre l int r t que repr sente une telle orientation de recherche 1l est n cessaire d en dire un peu plus sur le temps arch ologique Celui ci est souvent pr sen MT Ce travail fait suite notre collaboration avec Nicolas Gorse Gorse03 135 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION te comme l une des trois dimensions principales de l arch ologie avec l espace et les types de vestiges Cependant l expression dimension n est aucunement prendre au sens math matique Autrement dit le temps est d pendant de l espace et des vestiges Comme le rappellent Patrick Desfarges et Bruno Helly DesfargesEtHelly91 contrairement une opinion bien ancr e dans l esprit des arch ologues le temps la chronologie n est pas une donn e mais un r sulta
125. entaires diagramme de classe UML Ce couple de valeur appel localisation d objet documentaire sera utilis comme r f rence par les autres types de trace On consid rera que deux traces font r f rence au m me objet documentaire si et seulement si leur localisation d objet documen taire est identique En effet une tude portant sur le balisage de textes volutifs m riterait sans doute une th se elle toute seule 66 CHAPITRE 6 CONTENUS DOCUMENTAIRES 2 Traitements a Sur un objet documentaire isol Pour obtenir une objet documentaire dont on conna t la localisation par exem ple 134 214 105 147 BCH_ 121 3 1 1001 il faut s adresser au serveur de corres pondance de la source 134 214 105 147 en lui fournissant le nom de la source BCH 121 3 1 1001 Celui ci nous renvoie un objet de la classe abstraite Docu mentObject instanci en fonction du type de serveur de contenu ici la version 2003 du serveur de contenu de Porphyre Cet objet comporte un certain nombre de m thodes permettant entre autres d obtenir PURL de visualisation en fonction d une largeur maximale donn e et celle de sa vignette La mention d une largeur maximale permet pour des contenus documentaires de E r r ay ed 60 e 2 x 7 type image archiv s a tr s haute d finition d obtenir des vues redimensionn es la 6l baisse en fonction des besoins Si notre objet
126. er un code une citation ou un document primaire M mos documents primaires et codes peuvent tre regroup es dans plusieurs familles Enfin le supercode se distingue du code par une d finition en intension en fonction d autres codes supercodes ou famil les des citations qu il d crit 4 nam E gt Merci Ioannis Kanellos de nous l avoir signal 45 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION acyclic refers to Referable 1 otation indicated by is contained in Line Ts instance of x hyperlink x i Ninstance of Family Member Figure 4 4 R tro conception d ATLAS ti diagramme de classe UML Le mod le intertextuel pr sent ici est le fruit d une excellente connaissance de la pratique des chercheurs en Sciences Humaines Il souffre cependant de quelques d fauts de conception notamment au niveau des g n ralisations Ceci rend impossible un certain nombre d actions qui sembleraient assez naturelles coder un document primai re commenter une famille ou un supercode regrouper en une famille des citations ou des supercodes et complexifie inutilement le mod le M me s il est possible de mod liser plusieurs points de vue en autant de familles on ne peut r ellement parler ici d intersubjectivit En effet la nature mo noposte de l application n est gu re propice au d bat e PASTEL L application PAS
127. ersion d un contenu documentaire fera l objet d un nouveau contenu documentaire De m me la clef de r f rence d un contenu documen taire ne pourra tre modifi e b Objet documentaire A l usage il appara t tr s vite que la seule notion de contenu documentaire n est pas suffisante Par exemple lors du projet de num risation des collections de EFA chaque tome une fois massicote a t place dans un chargeur pour tre num ris recto verso Ainsi chaque fac simil de page pouvait tre r f renc automatiquement par un couple d entiers le num ro d ordre du codex num ris et le rang de la page dans ce codex Pour r f rencer et feuilleter convenablement les fac simil s par la table des mati res des figures etc notre quipe a d proposer une nomenclature comprenant le nom Cette question fait d ailleurs l objet actuellement d une r daction collective au sein du R seau Th ma tique Pluridisciplinaire Documents et contenu cr ation indexation navigation CNRS lt http archivesic ccsd cnrs fr documents archives0 00 00 04 13 gt 64 CHAPITRE 6 CONTENUS DOCUMENTAIRES abr g de la collection le num ro de volume le num ro de tome le type de page pr liminaire foliot e finale planche et le folio Ainsi comme le montre l exemple de la figure 6 1 le 4 fac simil du 231 codex num ris correspondait en fait au 1001 folio du 3 tome
128. es conceptuels In Premiere journ e de l Ecole Doctorale Sciences pour l Ing nieur de l Universit Montpellier IT 31 octobre 1995 Hashim90 Hashim S H Exploring hypertext programming Writing knowledge representation and problem solving programs Windcrest Books Editions 1990 365 p Hearst99 Hearst M User interfaces and visualization en ligne In Baeza Yates B Ribeiro Neto Ed Modern Information Retrieval ACM Press and Addison Wesley 1999 p 257 324 Disponible sur Internet lt http www sims berkeley edu hearst irbook print chap10 pdf gt consulte le 30 09 03 158 BIBLIOGRAPHIE HelicO1 Helic D Aspects of Semantic Data Modeling in Hypermedia Systems en ligne Technical Sciences Doctor dissertation Graz University of Technology 2001 Disponible sur Internet lt http www iicm edu thesis dhelic pdf gt consult le 09 10 03 Helly02 Helly B Les exp rimentations sur l image num rique et les biblioth ques virtuelles la Maison de l Orient M diterran en In Journ es d tudes sur les Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques num riques Lyon 29 30 mai 2002 HernandezEtAl02 Hernandez A Ruard Dumaine F Desfarges P La robotisation au c ur d une cha ne de production In Journ es d tudes sur les Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques n
129. etNext Step DocumentObject U NULL La fonction de succession est l inverse de celle de prec dence Dans le cas ou il n existe aucune tape de f ayant d pour predecesseur on dira que le successeur de l tape do est NULL t do getNext d t d getPrevious do t do getNext NULL t _ getPrevious do Primitive getFacet Trail Facet Le fait qu il s agisse d une fonction traduit la contrainte d int grit fonctionnelle suivante un parcours de lecture appartient a une seule facette D finition getTrails Facet x DocumentObject Trail Pour une facette donn e permet d obtenir tous les parcours ayant une tape passant par un objet documentaire donne f getTrails d t t getFacet f t d getPrevious Primitive getCorpus Step DocumentObject Cette fonction permet d obtenir le corpus correspondant a une tape de lecture On peut alors appliquer le getFilter d fini dans les r seaux de description Ainsi les deux types de navigation peuvent s enchainer 3 Sc nario Feuilleter un ouvrage Dans l exemple de la figure 8 3 nous disposons de deux parcours de lecture pour feuilleter un ouvrage le n 12 le premier donnant l encha nement des paragra phes et le second celui des figures Un troisi me parcours de lecture correspond l encha nement des r f rences bibliographiques d un autre ouvrage le n 30 citant le premier
130. ette exp rimenta tion fut rendu possible par la signature d une convention entre l EFA et la Maison de 7 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION l Orient et de la M diterran e MOM Les r sultats de cette exp rimentation re urent le franc soutien du Minist re de la Recherche Ce dernier accorda alors sur le Fonds Na tional pour la Science le budget n cessaire pour passer en phase de production Par la suite furent tudi es les conditions de l h bergement de CEFAEL au Centre Informati que National de l Enseignement Sup rieur CINES A mi parcours du projet furent organis es des Journ es Biblioth ques Num riques afin d apporter la contribution de l quipe au d bat sur les biblioth ques nu m riques en France en particulier en termes de mise en place de mod les de production et de diffusion A cet effet un guide pratique fut distribu tous les participants Apr s ach vement de la num risation saisie des sommaires finalisation du mo d le des donn es et transfert sur les serveurs du CINES le portail CEFAEL fut inau gur le 9 avril 2003 b Recherches sur la gestion de la s mantique des collections scientifiques Le processus que nous venons de pr senter s est d roul de pair avec un travail de recherche sur le renouvellement des m thodes dans les disciplines historiques Plus particuli rement notre quipe s est attach e trouver une
131. ettes connect es Apr s s lection de l un de ces parcours tant donn qu un objet documentaire ne peut appara tre qu une fois dans un parcours de lecture le lecteur pourra choisir sans ambigu t l tape pr c dente l tape suivante ou l origine du parcours 2 Sp cification La Figure 8 2 nous permet de pr ciser notre mod le A l int rieur d une facette il sera possible de d finir des Parcours Un parcours correspondra la s quence de plusieurs objets documentaires Inversement un objet documentaire pourra appara tre dans plusieurs parcours Les objets documentaires r f renc s par les parcours pouvant 76 Cf Chapitre 6 96 CHAPITRE 8 PARCOURS DE LECTURE tre distants il n y aura aucune contrainte d int grit r f rentielle sur eux On appellera Etape le couple unissant un parcours et un objet documentaire Chaque tape correspondant a contexte de lecture elle comportera un corpus d objets documentaires pouvant eux aussi tre distants structure Database previous 0 1 mapping Database DocumentObject Figure 8 2 Parcours de lecture diagramme de classe UML Plus formellement nous aurons affaire aux ensembles suivants Facet Trail Step DocumentObject De m me que dans le chapitre pr c dent nous utiliserons des ps 7 78 ys sp cifications alg briques pour pr ciser le sch ma des donn es stocker primitives les contra
132. eur Notons que ces inclusions par r f rence appel es transclusions par op position des inclusions par copie permettent la citation tout en vitant le plagiat Nel son99 Destin au d part au texte le mod le a t r cemment tendu aux images Si on tentait de g n raliser l approche on pourrait dire qu un document est un ensemble or donn de fragments et de liens r utilisables cf Figure 4 1 lt lt ordered gt gt Figure 4 1 R tro conception de Xanadu diagramme de classe UML 41 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION On remarquera que le mod le ne propose des relations de composition que sur un seul niveau ce qui aura pour cons quence des r seaux intertextuels soit verbeux soit incomplets Notons que l expression d un point de vue subjectif est tout fait possible par la cr ation de nouveaux documents Cependant l instrumentation de l intersubjectivit se limite lors de l affichage de deux textes au soulignement de fragments corr l s fonc tionnalit fort int ressante mais s rement pas suffisante b World Wide Web Pr senter aujourd hui le World Wide Web comme un hypertexte est sans doute un truisme tant 1l est responsable de la d mocratisation de la notion Pourtant 1l est int ressant de s y arr ter un peu Tout commence par un projet interne au CERN projet men par Tim Berners Lee BernersLee89 ayant pour but d
133. ffet la m thode utilis e est elle m me consid r e comme videmment vraie ontologique Pour les disciples de cette approche il n y a aucun doute sur le bien fond ni du langage cat gorique comme apte a refl ter le reel ni sur le choix des syllo gismes valides ni sur la capacite du philosophe a connaitre le r el et a le traduire en langage cat gorique 21 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Cette approche a en fait travers le temps d Aristote IV s av J C au Positi visme Logique d but du X X s en passant par Descartes Laplace Comte et bien d au tres Bien loin de s affaiblir elle s est m me radicalis e En effet Aristote se gardait bien d appliquer sa m thode destin e a l tude de la Nature la physique d autres do maines comme la m taphysique ou la politique Au contraire le Positivisme Logique consid re que la m thode ontologique est le mod le unique de la raison humaine 2 Valeur logique a D finition Le mot logique est forme sur la racine grecque logos discours raisonn On dira qu un discours a une valeur logique cf Figure 2 2 lorsqu il n est que pur dis cours jeu de langage r criture conform ment a des r gles Valeur logique Monde des id es Monde du Monde discours empirique Figure 2 2 Valeur logique du discours En termes kantiens il s agit d un cas particulier de raisonnement a priori non seulement
134. h matique Pluridisciplinaire Document du CNRS Aux directions et aux personnels des structures qui ont h berg nos recherches l Ecole fran aise d Ath nes EFA et le Laboratoire LIRIS INSA de Lyon A Roland Etienne EFA Andrea Iacovella EFA Sylvie Calabretto LIRIS et Jean Marie Pinon LIRIS sans qui ces travaux n auraient jamais eu lieu A Jocelyne Nanard Fran ois Rastier qui m ont fait l honneur d accepter d tre membres de mon jury A tous les stagiaires ou doctorants ayant particip a la conception au d velop pement et a la diffusion de Porphyre Franck Eyraud Thomas Buisson Mehdi Lababidi Laurent Pinel Elodie Tasia Rodolphe Vatre Jocelyn Viallon Olivier Chadenat Olivier Martin Remi Huynh Michel Nux Tiphaine Accary Regine Tribollet Julien Gossa Baptiste Meurant Guillaume Deshors Caroline Djam bian et Florent Ruard Dumaine A ceux qui ont eu l extr me gentillesse de relire ma prose A tous ceux qui un moment ou un autre ont manifest de l int r t pour mes recherches Introduction Les Sciences Humaines font partie de ces domaines d expertise Recherche M decine Ing nierie Droit dans lesquelles le document constitue le principal outil de travail Cet outil ce jour ni les bases de donn es ni les syst mes experts n ont r ussi le supplanter Le corpus documentaire est en effet la r f rence ultime du dis cours de l expert
135. hamps d application celui du temps arch ologique et celui des documents d architecture en arch ologie 1 Espace intersubjectif a principe L espace intersubjectif permettra de d tecter des incoh rences par propagation de contraintes contraintes pos es par l expert l int rieur d un m me point de vue et entre points de vue diff rents Pr cisons que v rifier la coh rence des mod les produits par l ensemble de la discipline aurait d une part un co t algorithmique exorbitant et serait d autre part d une utilit tr s limit e Aussi nous pr f rons offrir chaque expert des espaces dans les quels ils pourront importer les parties de points de vue qu ils souhaitent confronter Parce que la couche intersubjective s appuiera sur les deux pr c dentes il sera possible a tout moment de connaitre pour une partie de point de vue sa situation d origine Qui l a cr modifi Quand Pour quelle communaut ainsi que son Condition d ailleurs pr sent e par R H Tibbo Tibbo93 comme n cessaire la recherche d information en Sciences Humaines 1 Nous d fendons actuellement un dossier d identification pour une quipe projet STIC sur ce th me CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION contexte d origine point de vue dans sa globalit et corpus documentaire sur lequel 1l s appule b Assistance la pose de contraintes inter points de v
136. historique cf Chapitre 5 Du moment que la d finition formelle des arcs est respect e l usager est libre d utiliser ces arcs pour mod liser cf Chapitre 11 des taxinomies des m r onymies des instanciations Parmi les descripteurs cf Figure 7 6 certains ne sont pas g n ralisables on les appelle des facettes Chacun correspond a un point de vue ind pendant D autres ne sont pas sp cialisables on les appelle des identifiants Chacun fait r f rence a un objet documentaire unique 77 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION structure Database escripto specialization we Specializable Descriptor izable Descriptor documentObjectLocator 1 mappingDatabase DocumentObject Figure 7 6 R seau de description diagramme de classe UML Plus formellement nous avons affaire aux ensembles suivants Descriptor SpecializableDescriptor GeneralizableDescriptor Identifier Facet DocumentObject Ces ensembles satisfont axiomatiquement les relations suivantes Descriptor SpecializableDescriptor U GeneralizableDescriptor Identifier C GeneralizableDescriptor Facet C SpecializableDescriptor l O n aie 72 Nous allons maintenant d finir par des sp cifications alg briques le sch ma des donn es stocker primitives les contraintes suppl mentaires que ces donn es doivent respecter contraintes les requ tes complexes qui seront effectu s sur ces
137. homme d signe une foule h t roclite d individus diff rents mais dont l appartenance doit tre vidente pour quiconque en rencontrerait un Aristote dit d ailleurs dans le dernier chapitre des Seconds Analytiques Leonhardt02 que lorsque l on rencontre Callias c est l homme en g n ral que nous atteignons par la 20 sensation et non Callias b Le mythe de l intelligence artificielle Que signifierait un statut ontologique des mod les informatiques Ni plus ni moins que l aboutissement du programme de l intelligence artificielle En effet l ordinateur en op rant sur le discours manipulerait directement des connaissances sur le monde r el Hubert Dreyfus Dreyfus72 fut l un des premiers identifier l intelligence arti ficielle comme tant un mythe entra nant la fin du financement de la plupart des pro jets am ricains et europ ens Aussi quand on sait la capacit remarquable d un mythe r sister l oubli on ne devrait pas s tonner outre mesure de le voir resurgir vingt ans apr s la crise dans certaines orientations de recherche 2 Un bon contre exemple de l imm diatet de la classification est donn par l ornithorynque ovipare mais allaitant ses petits cauchemar des taxinomistes qui en d sespoir de cause l ont contraint rentrer dans la classe des mammif res tout au moins dans la traduction fran aise de son livre le titre orignal tant un peu moins fort
138. homme une structure ou parcours g rable par une machine Si l approche a un succ s retentissant certains chercheurs remarquent n an moins que de nombreux lecteurs d hypertextes se trouvent d sorient s perdus dans l hyperespace En effet contrairement un texte 1l est souvent difficile de remettre en situation un hypertexte qu il s agisse de sa situation d criture Qui a crit quoi et quand ou de lecture O suis je D ou viens je O puis je aller En somme bien souvent l hypertexte serait moins qu un texte il serait un hypotexte Bachi mont99b d Quelle grille de lecture Dans les trois communaut s consid r es nous avons vu qu il existait des criti ques fondamentales portant non sur les techniques elles m mes mais plus sur le cadre 17 Le terme lui n apparait que vingt ans plus tard THEODOR H NELSON The Hypertext in Procee dings of the World Documentation Federation 1965 15 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION philosophique dans lequel elles sont mises en uvre Il serait donc vain de s en tenir des typologies purement informatiques On mesure alors en quoi les d bats men s au sein du r seau interdisciplinaire nous ont t indispensables N anmoins ces apports n apparaitront pas en tant que tel puisqu il nous tait impossible d appuyer notre argumentaire sur des changes verbaux Nous avons donc tent de
139. iation par des signes symboles 39 ou textes En r sum pour Paul Ricceur le texte est le trait d union entre les processus de r r r r compr hension et d explication l ensemble de ces deux processus tant r gi par les m thodes de I herm neutique cf Figure 3 2 Distanciation Compr hension D contextualisation Explication Recontextualisation lt lt comment gt gt Aucune des actions repr sent es ici compr hension explication n est effectu e de mani re automatique Elles n cessitent toutes un sujet pensant Figure 3 2 L interpr tation d apr s Paul Ric ur comme compr hension et explication mises en relation par le texte diagramme d activit UML Ce combat sur deux fronts contre une r duction de la compr hension l intropathie et une r duction de l explication une combinatoire abstraite m am ne d finir l interpr tation par cette dialectique m me de la compr hension et de l explication au niveau du sens immanent au texte Ricoeur86 p 37 38 quelle peut tre la t che premi re de l herm neutique Elle est selon moi de chercher dans le texte lui m me d une part la dynamique interne qui pr side la structuration de l uvre d autre part la puis sance de l uvre de se projeter hors d elle m me et d engendrer un monde qui serait v ritablement la
140. iccolo stamnos in Pour approfondir cette tude l arch ologue pourrait s int resser la r partition spatiale des tombes d enfants par rapport aux tombes d adultes cf Iacovella97 Il faut alors ajouter au corpus une carte de la n cropole cr er un fragment pour chaque emplacement de s pulture et associer ce fragment au descripteur correspondant la s pulture Toutes les donn es permettant d afficher la carte de r partition des tombes d enfants sont alors disponibles Mais nous nous retrouvons ici face une limite de la version 2002 de Porphyre qui ne permet pas d afficher sur un document source les em placements de plusieurs fragments Dans la version 2003 en cours de d veloppement la refonte du serveur de contenu ainsi que l introduction du serveur de correspondance cf Chapitre 6 permet de mani re l gante de d passer cette limitation 125 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Continuons nous mettre la place de l arch ologue Celui c1 pourrait par exemple se demander si la petite taille du materiel est elle aussi corr l e avec le jeune age du d funt Mais comment mod liser adjectif petit Nous sommes bien au del de la mod lisation naive que nous pr conisions au d but de ce chapitre Il para t donc n cessaire d offrir aux experts qui le souhaitent une formation avanc e sur la descrip tion de documents La section suivante est une esquisse
141. ici sur les r sultats positifs de l exp rimentation et des d monstrations qui suivirent mais chercherons plut t les probl mes rencontr s Tout d abord 1l est apparu assez vite que la redondance des structures posait un probl me cognitif N tait 1l pas contre intuitif que le descripteur Thrace d signe dans la structure XML les fouilles d une ann e et dans le r seau de description celles de toutes les ann es Une autre erreur avait t de m priser comme on le fait souvent dans le domaine de la documentique la notion de page Que faire alors des r feren ces bibliographiques depuis l int rieur et l ext rieur du corpus toutes de la forme BCH 1995 p 409 410 De plus en raison de la diff rence de sujets trait s par les diff rents passages nous avions abandonn toute notion de s quence Or les r f rences crois es ibid op cit ne peuvent tre interpr t es que si l on peut parcourir les passages pr c dents Enfin 1l s est av r extr mement prouvant de fusionner les struc tures g ographiques la main b Solutions propos es Les volutions du syst me Porphyre ont tent de tenir compte des limites ren contr es Tout d abord pour viter la redondance entre la structure des fichiers XML et celle des r seaux de description les fichiers XML ne sont plus d sormais stock s tels quels dans Porphyre mais convertis en r seau de description et
142. iences Humaines et Sociales STIC Sciences et Techniques de l Information et de la Communication 10 Assistance dans la gestion de ressources intertextuelles multiformes Production et int gration inte ractives de parcours interpretatifs ll Mod lisation op ratoire d un syst me d interrogation du document d architecture en arch ologie base d un langage visuel application aux corpus num ris s et la mod lisation des connaissances Du partage de corpus de documents structur s la confrontation de points de vue CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 3 Cartographie des cueils Si l on peut se r jouir aujourd hui du trajet parcouru par le r seau interdiscipli naire face cette question de la gestion de la s mantique des collections scientifiques 1l est cependant n cessaire de noter que tout cela ne s est pas fait sans mal L interdisciplinarite a ceci de particuli rement d licat qu y faire appel c est reconna tre qu aucune discipline ne poss de la r ponse a la question pos e IacovellaEtA103 Elle se distingue en ceci de la pluridisciplinarite Par exemple lorsque l arch ologue deman de au physicien de lui dater un vestige au radiocarbone il s agit de pluridisciplinarite Au contraire si les incoh rences de cette mesure am nent le physicien mettre en doute des hypoth ses tacites de sa discipline il s agit d un premier pas vers l
143. ies 1991 Disponible sur Internet lt http www ifla org VI 5 reports rep2 rep2 htm gt consult le 30 09 03 CoppinEtBrucker02 Coppin G Brucker F Les hyper ontologies In Actes de la conference scientifique Documents virtuels personnalisables DVP 2002 Brest Juillet 2002 p 171 182 Courbin82 Courbin P Qu est ce que l arch ologie Essai sur la nature de la recherche arch ologique Paris Payot 1982 238 p CoxEtGreenberg2000 Cox D Greenberg S Supporting collaborative interpretation in distributed groupware en ligne In Proceedings on the ACM CSCW 2000 Conference on Computer Supported Cooperative Work 2000 p 289 298 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 358916 359000 gt consult le 30 09 03 Daumas02 Daumas F Conservation et consultation de documents num riques au CINES In Journ es d tudes sur les Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques num riques Lyon 29 30 mai 2002 DavidEtAI9S David C Giroux L Bertrand Gastaldy S Lanteigne D Indexing as Problem Solving a Cognitive Approach to Consistency en ligne In ACSI 95 Annual Conference of the Canadian Association for Information Science Edmonton Alberta June 7 10 1995 Disponible sur Internet lt http www ualberta ca dept slis cais david htm gt consult le 30 09 03 Demoule72 Demoule J P Projet de bibliographie automatique en pr his
144. il est ant rieur toute observation mais encore dans ce cas pr cis au cune observation ne sera n cessaire Par exemple dans le cadre de r f rence de l arithm tique des entiers on peut r crire en le rempla ant par 2 sans se soucier de savoir de quoi il s agit Des applica p x A A r 24 tions de cette r gle peuvent m me tre contraires l exp rience ces applications se Par exemple dans le cas o l on m lange un litre d alcool et un litre d eau la proposition un litre de liquide plus un litre de liquide font deux litres de liquide est fausse 22 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES ront alors r fut es mais pour autant les r gles ne le seront pas Cette r gle de r criture purement formelle op re sur un discours d correl de tout contenu b L obsession de l interop rabilit Un statut purement logique des mod les informatique signifierait que seul im porte l aspect formel ind pendamment du contenu du rapport au monde Dit autre ment il s agirait de mod les qui puissent faire l objet d une normalisation Cette approche nous vaut au passage des expressions assez curieuses pour ceux qui prendraient ontologie dans son sens traditionnel comme Standard Upper Ontology Groupe de travail IEEE ou Formal Ontology The general perspective I have in mind is that of Formal Ontology which
145. in dans un dernier temps nous verrons comment il est possible d offrir des outils bas s sur no tre mod le permettant d arpenter l espace documentaire Des parties de ce chapitre ont fait l objet des conf rences suivantes l International Symposium on Methodologies for Intelligent Systems BenelEtA102 le Colloque International Francophone sur l Ecrit et le Document BenelEtA100b le Congr s INFORSID BenelEtA100a CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 1 D crire de mani re structur e des objets documentaires a Des arbres qui cachent la biblioth que L exergue de ce chapitre rappelle que l organisation traditionnelle des bibliothe ques est bas e sur l id e que chaque livre traiterait d un sujet unique sujet qui lui m me serait situ sans ambigu t possible dans une hi rarchie universelle L auteur Vannevar Bush d nonce ici le caract re artificiel et inutilisable de ce mod le arborescent instaur dans les biblioth ques par Dewey 1859 1952 Les racines du probl me remontent sans doute Aristote IV s av J C Celui ci nous d clare en effet dans les Cat gories Quand une chose est attribu e une autre comme son sujet tout ce qui est affirm du pr dicat devra tre aussi affirm du sujet S1 les genres sont diff rents et non subordonn s les uns aux autres leurs diff rences seront elles m mes autres sp cifiquement
146. interdisciplinarit En l absence d un manuel de l interdisciplinarit nous avons t contraints de naviguer vue entre les cueils Certains de ces cueils sont peut tre encore pr sents dans cette th se cependant nous avons tent chaque collision de les cartographier et de les viter par la suite En esp rant que ceci puisse b n ficier d autres projets interdisciplinaires nous allons maintenant tenter de dresser une liste de ces cueils a Cr ation d une nouvelle discipline Le premier danger qui p se sur l interdisciplinarit consiste en l affranchissement l gard des disciplines d origine en une fondation comme discipli ne scientifique autonome lacovellaEtAI03 En effet quand une discipline se forme par fusion de deux autres comme par exemple la biophysique a partir de la biologie et de la physique on serait en droit de se demander si un d bat entre deux disciplines ne serait pas plus stimulant pour la Science que la cr ation d un consensus local Conscient de ce danger nous avons resolument choisi durant notre these de ne pas cantonner nos publications aux seuls colloques interdisciplinaires BenelEtA199 BenelEtCalabretto00 Benel00 mais de soumettre galement des articles dans des col loques clairement identifi s comme appartenant a la discipline informatique BenelE 10 CHAPITRE 1 PR LIMINAIRES M THODOLOGIQUES tAl00a BenelEtAl00b BenelEtAlOl
147. interm diaire Paris Ecole Normale Sup rieure D partement de Sciences Sociales Novembre 1996 Disponible sur Internet lt http elias ens fr atelier articles Articlelnternetnov96 html gt consult le 29 09 03 BeimelEtA198 Beimel A Geller F Kushilevitz E The query complexity of finding local minima in the lattice en ligne In Proceedings of the eleventh annual ACM conference on Computational Learning Theory COLT 98 1998 p 294 302 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 279943 280000 gt consult le 29 09 03 Benel98 B nel A La Chronique des fouilles de la biblioth que l Internet en ligne Rapport de stage EFA 1998 Disponible sur Internet lt http www efa gr Informatique Benel1998 pdf gt consult le 29 09 03 BenelEtA199 B nel A Calabretto S Pinon J M Indexation s mantique de documents arch ologiques In Actes du deuxi me colloque du chapitre fran ais de l ISKO L indexation l heure d Internet Lyon 21 22 Octobre 1999 Editions ISKO France 2001 p 145 152 BenelEtA 00a B nel A Calabretto S Pinon J M Iacovella A Vers un outil documentaire unifi pour les chercheurs en arch ologie In Actes du XVIIIe congres INFORSID Lyon 16 19 Mai 2000 Editions INFORSID p 133 145 BenelEtAl00b B nel A Calabretto S Pinon J M Iacovella A Consultation de documents et s mantique Application des publications savantes In Actes du second
148. intes suppl mentaires que ces donn es doivent respecter contraintes les requ tes complexes qui seront effectu s sur ces donn es d finitions Primitive step _ _ Trail x DocumentObject Boolean 77 Gr ce l utilisation des localisations d objets documentaires cf Chapitre 6 78 a Voir en annexe l explication de la syntaxe utilis e 97 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Axiome On appellera Step l ensemble des couples t d pour laquelle la relation homonyme sera vraie Step 44 step t d Primitive getPrevious Step DocumentObject U NULL Le fait qu il s agisse d une fonction et non d une relation traduit la contrainte d int grit fonctionnelle suivante pour une tape donn e il existe au plus un DocumentObject pr c dent Contrainte Unicit du prochain Deux tapes d un m me parcours ne peuvent avoir le m me pr d cesseur L idi getPrevious do t d2 getPrevious do di d2 Contrainte Int grit r f rentielle dans le parcours Si une tape a un pr d cesseur celui ci est forc ment issu du m me parcours L fdi getPrevious do step t do D finition getHome Trail DocumentObject On appelle origine d un parcours l tape de ce parcours ayant pour pr d cesseur NULL t zetHome d lt t d getPrevious NULL 98 CHAPITRE 8 PARCOURS DE LECTURE D finition g
149. ion Machine recom putes Repeat until everybody is happy Sowa01b Pour s en assurer il suffit de consulter le catalogue pl thorique quoique incomplet des ontologies can didates a l universalit qu a dress Fritz Lehmann Lehmann94 33 Quelle valeur donner au fait que le pouvoir de P kin d finisse Taiwan comme une partie de la Chine 27 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Dit autrement 1l consid re les pol miques comme le moteur de la mod lisation et la machine comme un support dynamique pour un discours en perp tuelle r criture Notons que baser un syst me sur la pol mique est un v ritable defi informatique En effet la plupart des syst mes base de connaissances sont bas s sur la logique classique Cela signifie premi rement qu ils ne peuvent exprimer deux points de vue contradictoires principe de non contradiction Deuxi mement cela signifie qu ils consid rent un monde ferm dans lequel tout est connu vrai ou faux et ne laisse donc pas de place l ind cision principe du tiers exclu Nous ne pouvons ici qu aller dans le sens du Web S mantique troisi me moutu re qui a pris conscience du d fi et l accepte sereinement Semantic Web researchers in contrast accept that paradoxes and unan swerable questions are a price that must be paid to achieve versatility BernersLeeEtAl101 c Courant philosophique Au milieu du XX si c
150. iptor x State Fonction de filtrage descendant r cursivement dans les descripteurs connus et s arr tant aux descripteurs possibles et impossibles x getFilter C x IMPOSSIBLE x getState C IMPOSSIBLE x getFilter C x POSSIBLE x getState C POSSIBLE x getFilter C x KNOWN U z s specialization x y z s y getFilter C x getState C KNOWN D finition _ getDescriptionContext _ Facet x Descriptor Descriptor x State Obtention du contexte de description pour un ensemble de facettes et de s lections associ es On calcule d abord le corpus global par intersection des corpus de chaque facette Ensuite on applique a chaque facette le filtre correpondant au corpus global fo Jn getDescriptionContext So Sn fo getFilter C fn getFilter C C fo getCorpus So N f getCorpus S Optimisation L utilisateur ne pouvant modifier qu une s lection la fois il n est pas n cessaire de recalculer les corpus des autres facettes On conservera donc un cache 85 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION pour chaque facette Celui ci ne sera remis jour qu la suite d une modification de s lection Optimisation 2 Chaque facette pouvant se situer sur un serveur different les appels aux m thodes getFilter se feront de mani re parall le Les figures 7 11 et 7 12 illustrent l obtention du contexte de
151. ique sa voir Est ce une donn e ou une construction 106 Plan de Th Fournet 139 Conclusion En introduction nous proposions d explorer la question de l instrumentation in formatique de la consultation de corpus en Sciences Humaines Que pouvons nous en dire l issue des douze chapitres de cette th se 1 Face aux besoins de l Ecole fran aise d Ath nes en termes d acc s ses cor pus num ris s un certain nombre de r ponses existent dans les domaines de la Recher che d Information de la Mod lisation des Connaissances et de l Hypertexte Cependant pour chacune de ces approches subsistent des critiques fondamentales portant non sur les techniques elles m mes mais sur le cadre philosophique dans lequel elles sont utili s es 2 Sachant que notre projet s adresse des scientifiques dans quel cadre philo sophique devons nous nous placer Autrement dit quelle valeur de connaissance don ner aux mod les informatiques d un corpus scientifique Il appert que pour tre en ad quation avec l pist mologie contemporaine nous devons consid rer ces mod les comme la formalisation d un syst me d hypoth ses mati re d bat et volution 3 On est en droit de se demander ensuite si le fait que notre cadre d application soit celui des Sciences Humaines ne nous oblige pas a prendre en compte un certain nombre de particularit s pist mologiques En fait en r
152. ique est celle de Thomas R Gruber Gruber93 comme sp cification explicite d une conceptualisa tion Il est donc question de langage et de concept en d autres mots d une th orie de la connaissance Cependant suivant les auteurs voire chez un m me auteur le but des ontologies serait I l intelligence artificielle des machines comprennent des humains 2 l interop rabilit des machines comprennent des machines 3 de faire sens pour l usager des humains comprennent des humains via des ma chines Ce chapitre a fait l objet d une conf rence dans le cadre d une table ronde sur le Web s mantique organis e pour le s minaire annuel de l Institut Scientifique du Document Num rique Benel02a De plus certains l ments ont t pr sent s durant nos conf rences la table ronde S mantique et Arch ologie Benel00 la European Conference on Digital Libraries BenelEtA101a CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Or nous pensons que ces trois buts proviennent de trois th ories de la connais sance issues de courants non seulement diff rents mais surtout incompatibles Nous aimerions exhumer les postulats implicites voire inconscients qui d chi rent la communaut Dans ce but nous proposons une petite tude de textes tant don n que dans les sciences formelles on h site souvent faire appara tre
153. ique de documents DEA en informatique INSA de Lyon 1995 99 p Annexes Kuhn62 K hn T S La structure des r volutions scientifiques Paris Flammarion 1983 284 p Note dition originale en anglais publi e en 1962 revue et augment e en 1970 LabicheEtA 00 Labiche J Ogier J M Gardes J Connaissances actionnables et cycles de vie In Actes du troisi me Colloque International sur le Document lectronique CIDE 2000 Lyon 4 6 juillet 2000 Paris Europia Productions p 217 228 Larcher97 Larcher F Rapport d installation du SGBI et tude organisationnelle en ligne Rapport de stage EFA 1997 Disponible sur Internet lt http www efa gr Informatique Larcher1997 pdf gt consult le 09 10 03 Lehmann94 Lehmann F CCAT The current status of the conceptual catalogue Ontology group with proposals en ligne In Proceedings of the fourth international workshop on Peirce A Conceptual Graph Workbench 1994 Disponible sur Internet lt http Awww robotwisdom com ai fritz html gt consult le 09 10 03 Leonhardt99a Leonhardt J L Test de Turing Les ordinateurs peuvent ils penser Pol mique Note de recherche Maison de l Orient M diterran en CNRS 1999 Leonhardt99b Leonhardt J L Le champ philosophique est il limit ou La connaissance par revelation est elle redevable de la philosophie Note de recherche Maison de l Orient M diterran en CNRS 1999 Leonhardt02 Leonhardt J
154. ique issue des sciences historiques 5 2 Une approche la fois interdisciplinaire et op ratoire 7 a Mise en ligne des collections scientifiques de PEFA ce eeeeeeeesseeeeeeeeeeeees 7 b Recherches sur la gestion de la s mantique des collections scientifiques 8 Fe atLO CLAP MiG CES CCCI S nirna O oanscsaeueriaaegeeneteits 10 a Cr ation d une nouvelle discipline 10 b Instrumentalisation et r ification des disciplines ccccccccceeeeeeseeeeeeeeeeeeees 11 c Imp rialisme d une SCIDINE n nent reheerceestes 11 d DisSyimethie des x produits gt cles hae ead Ome nt tee 11 4 D finition de l objet interdisciplinaire 0 ccccsssseeeeeseseeeeeecceeeeeeeeeeeaaaaas 12 Recherche d informations ES RM e cet sadn a ice aattlcansatmectecodens 13 b Modelisation des CONNAISSANCES en ne 14 eam E D E A T E E P EE E E A E EE 15 d Ouelle onlle de lecuite neran aie aetna T 15 Chapitre 2 Statut des mod les informatiques Le cas des ontologies t7 l Valen ONO LO C1 GINS a a a N 18 de DENAI ON RE ies R E 18 b Le mythe de l intelligence artificielle vsssrinsrrosnnccaii aor 19 c Courant PRTIOSOPDHIQUE A ein lient tte iieitetene 21 De NAlQURIOS QUES RS ne D a ane 22 de LE EE AUOT desea tetshaceone eine aah dus cee ett aneaie 22 ba Ly Obsession de lIMt TOD rADIIT S ns din nn hentai sin 23 Cx Courant DMIOSOpDhiQUe nina ane nn a 24 3e Valeur epistemolo IGUS 3e ann
155. irbel J Representation et gestion d annotations In Hypertextes et hyperm dias R alisations outils et m thodes Techniques de l Information Paris Herm s 1995 p 127 138 McKinley97 McKinley T From Paper to Web en ligne Indianapolis Indiana Adobe Press 1997 Chapter 12 Advanced Searching Techniques Disponible sur Internet lt http imagebiz com ptweb_12 pdf gt consult le 09 10 03 MechkourEtA 95 Mechkour M Berrut C Chiaramella Y Using a Conceptual Graph Framework for Image Retrieval In The International Conference on Multi Media Modeling MMM 95 Nov 14 17 1995 p 127 142 Menzies99 Menzies T Cost benefits of ontologies en ligne In ACM Magazine on Intelligence New Visions of Al in Practice Volume 10 Issue 3 1999 p 26 32 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 318964 318969 gt consult le 09 10 03 Miege95 Mi ge B La pens e communicationnelle Grenoble PUG 1995 120 p MitraEtWiederhold00 Mitra P Wiederhold G Kersten M L A Graph Oriented Model for Articulation of Ontology Interdependencies en ligne In Proceedings of the seventh International Conference on Extending Database Technology EDBT 2000 LNCS 1777 Berlin Springer Verlag 2000 p 86 100 Disponible sur Internet lt http www springerlink com link asp id mdebqfhphhtk5111 gt consult le 09 10 03 Montocchio97 Montocchio M Comment acc der des bases de donn es par le We
156. ition menant du pilon au brouillon reprend la th orie k hnienne selon laquelle les acquis scientifiques donc les r futations peuvent tre remis en question par une r volution des paradigmes A ces transitions issues de la phi losophie des sciences nous en avons ajout deux Celle menant du brouillon au pilon rend compte de l avortement de certaines hypoth ses avant leur publication Celle me nant du pilon l tat final et donc la destruction r elle rend compte de la pratique des archivistes qui pour mieux conserver certaines choses doivent parfois en jeter d autres Pour que l historique soit complet nous devons maintenant conserver l ensemble des actions effectu es sur les relations contextuelles Ainsi chacune de ces Se 54 a relations sera associ un ensemble de situations d finies par trois questions Quoi nature de l action cr ation suppression archivage Quand date et heure de l action Qui nom et pr nom du chercheur ayant effectu l action Le mod le obtenu rend possible dans un premier temps certaines fonctionnalit s simples mais int ressantes comme la d finition de deux espaces un pour le scripteur et un pour le lecteur l obtention de l historique d une relation contextuelle la possibilit d annuler une suite erron e d op rations undo redo Cependant terme le but est de visualiser de mani re synth tique l activit
157. l ontology On the contrary she needs to build her own hypothetic model regarding a corpus of refer ence documents Moreover the confrontation of different points of view stimulates a constant evolution of models Born from an interdisciplinary dynamics Archaeology Computer Science the Porphyry Project proposes a hypermedia solution The main idea is that the human expertise leaves traces documents added to the corpus highlighted fragments orga nization of the bibliography reading notes etc Provided that these traces are col lected they can be used as a corpus structure for their author and her community By offering a workshop for handling documentary corpora we hope to assist humans in constructing the meaning Keywords Digital Libraries Interpretation Assistance Collaboration Annotation Hypermedia 11 Sommaire PAOOUE OMS SE SR ite E emer eee l D pane PAC de Pat T besisess dea vlgataselestetetaies 3 Chapitre 1 Pr liminaires m thodologiques cccccccccccecceeeeeeeaeeeseeesssseeeeeeeeeeeeeees 5 Chapitre 2 Statut des mod les informatiques Le cas des ontologies 17 Chapitre 3 Explication et compr hension en Sciences Humaines 31 Chapitre 4 Instrumentation de l intertextualit et de l intersubjectivit 00 nn 39 2 partie Mod le propos rennes 51 Chapitre os Traces Ee PUDGA NON ssri da sie ate 53 Chapitre
158. la fois s miotis s mis en contexte et mis en situation Autrement dit l instrumentation du travail des chercheurs en Sciences Humaines passent par la constitution dynamique d un corpus une sorte de dossier num rique Comme l ont analys Jean Charlet et son quipe pour le domaine m dical le dossier num rique permet par sa forme documentaire son aspect contextuel et la pluralit des auteurs et des lecteurs qui le manipulent de rendre compte d un domaine o les objets voire les sujets d tude sont complexes et o les mod les voluent Charle 37 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION tEtAI99 Quant nous nous focaliserons notre attention sur deux aspects de ce dossier num rique 38 l intersubjectivit le dossier tant le lieu des conflits d interpr tation entre experts l intertextualit la mise en contexte de fragments documentaires permettant de faire sens en exprimant entre autres les accords et les conflits d expertise Chapitre 4 Instrumentation de l intertextualit et de l intersubjectivit Dans le pr c dent chapitre nous avons vu comment les m thodes en Sciences Humaines recommandaient la constitution de corpus comme lieux d intersubjectivit et d intertextualit Nous allons maintenant nous interroger sur l instrumentation de ces deux notions l aide de syst mes informatiques Tout d abord nous verrons que ces notions sont
159. la pr c dente version de Porphyre et surtout la difficult de faire une description avanc e sans tre guid Dans une troisi me partie nous esquisserons par cons quent ce qui pourrait devenir terme un guide des bons usages 1 Fouiller un rapport de fouille A la crois e de l arch ologie de l historiographie et des sciences cognitives les travaux d Andrea Iacovella visent analyser le discours des arch ologues OrsiEt Cavallari1892 afin d en extraire de nouvelles conclusions arch ologiques En quelque sorte il s agit de refaire virtuellement une fouille effectu e au si cle dernier Historiographie Etude de l criture de l Histoire CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Apr s avoir d velopp dans sa th se une approche quantitative l aide de sta tistiques descriptives Andrea Iacovella souhaitait passer une approche plus qualitati ve Dans cette perspective Fran ois Dubois projet de fin d tudes INSA effectua une mod lisation cognitive d une vingtaine de descriptions de s pultures Dubois99 Ses mod les prenaient la forme de diagrammes d instance UML tiquet s avec les ter mes de Paolo Orsi traduits de l Italien en Fran ais Durant l t 2002 nous int gr mes dans Porphyre le rapport de fouille sous forme de fac simil s de pages et traduisimes les mod les UML en un r seau de description Nous consid
160. ld y parent x y Se lit La fonction getChild appliqu e a x renvoie l ensemble des y pour les quels parent x y est vraie Annexe B Historique du prototype Porphyre 1999 Aur lien B nel conception g n rale r seau de description noyau Franck Eyraud r seau de description visualisation Porphyre 2000 Aur lien B nel conception g n rale gestion d quipe r seau de description client Thomas Buisson r seau de description serveur amp base de donn es Mehdi Lababidi contenus documentaires Porphyre 2001 Aur lien B nel conception g n rale gestion d quipe client Thomas Buisson r seau de description calcul parall le Laurent Pinel contenus documentaires servlet Elodie Tasia r seau de description passerelle Web Rodolphe Vatre parcours de lecture base de donn es Jocelyn Viallon r seau de description amp contenus documentaires import Porphyre 2002 Aur lien B nel conception g n rale manuel d utilisation Olivier Chadenat contenus documentaires PHP R mi Huynh parcours de lecture manuel d utilisation Olivier Martin notes de lecture manuel d utilisation Michel Nux gestion d quipe licence open source manuel d utilisation Porphyre 2003 Tiphaine Accary manuel d installation site porphyry org Aur lien B nel conception g n rale Guillaume Deshors nouvelle architecture client serveur Caroline Djambian veill
161. le Popper Popper35 influenc par le Positivisme Logi que entreprend de fonder la Science de mani re objective c est dire sur les exp rien ces et la logique Cependant la diff rence des positivistes logiques 1l renonce d montrer des propositions universelles affirmatives lois partir de principes tir s de l exp rience En effet ce type de raisonnement appel induction amplifiante est reconnu comme un raisonnement fallacieux depuis les d buts de la logique Au contrai re il choisit la d duction et plus pr cis ment le modus tollens pour b tir sa m thode hypoth tico d ductive SI hypoth se testable est vraie ALORS ph nom ne objectif appara t Exemple d induction amplifiante Le cygne n 1 est blanc le cygne n 2 est blanc le cygne n N est blanc par cons quent tous les cygnes sont blancs A ne pas confondre avec l induction simple Le cygne n 1 est blanc le cygne n 2 est blanc le cygne n N est blanc par cons quent tous les cygnes du num ro 1 au num ro N sont blancs 35 Si p est vrai alors g est vrai or g est faux par cons quent p est faux 28 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES OR ph nom ne objectif n appara t pas PAR CONSEQUENT hypoth se testable est fausse D un point de vue syst mique la m thode hypoth tico d ductive peut tre mode lis e par un processus ayant comme entr e une v rit
162. le window hypertext environment en ligne In ECHT 94 Proceedings of the ACM European Conference on Hypermedia Technology New York ACM Press 1994 p 158 166 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 192757 192792 gt consult le 30 09 03 149 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION BieberEtA197 Bieber M Vitali F Ashman H Balasubramanian V Oinos Kukkonen H Fourth generation hypermedia some missing links for the World Wide Web en ligne In Int J Human Computer Studies 47 Academic Press Limited 1997 p 31 65 Disponible sur Internet lt http ijhcs open ac uk bieber bieber pdf gt consult le 30 09 03 BienzEtA196 Bienz T Cohn R Meehan J R Portable Document Format Reference Manual Version 1 2 Adobe Systems Incorporated 1996 Boley98 Boley H Declarative Operations on Nets en ligne revised version DFKI research report 1998 Disponible sur Internet lt http www dfki uni kl de boley drlhops ps gt consult le 30 09 03 Borillo84 Borillo M Informatique pour les Sciences de l Homme Limites de la formalisation du raisonnement Bruxelles Pierre Mardaga Editeur 1984 210 p BouaudEtA194 Bouaud J Bachimont B Charlet J Zweigenbaum P Acquisition and structuring of an ontology within conceptual graphs en ligne In Proceedings of ICCS 94 Workshop on Knowledge Acquisition using Conceptual Graph Theory 1994 p 1 25 Disponible sur Internet
163. les de sys t mes experts et autres banques de donn es le chercheur en arch ologie a toujours comme principaux outils les publications savantes L un des grands instigateurs de ces projets Jean Claude Gardin reconna t lui m me le peu d int r t que rencontr rent ses banques de donn es arch ologiques et interpr te ces checs comme tant dus la diffi cult de distinguer en arch ologie les faits des conclusions ou des interpr tations Gardin86 Pour aller plus loin on pourrait se demander si le paradigme computation nel qui a pourtant eu le succes qu on lui conna t dans les entreprises ne serait pas tel quel inapplicable un certain nombre de domaines La M decine le Droit les Sciences de l Homme et de la Soci t sont autant de domaines o la recherche en informatique a Ce chapitre a fait l objet d un article de recherche para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Corres pondance Hell nique Benel03 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION d s adapter au seul support de la connaissance reconnu valide par ses praticiens le document Sans m me requ rir l argument pist mologique de l inad quation de la formali sation aux Sciences de l Homme il est impossible comme le conc de Jean Claude Gar din de parler de bases de donn es arch ologiques sans s interroger sur la reconnais sance de ces donn es par l ensemble de la communaut des chercheurs en
164. lines s expliquerait peut tre par leur aspiration devenir des m ta disciplines des censeurs des autres disciplines En effet comme nous l voquions plus haut la condition sine qua non pour qu un chercheur s implique dans une d marche interdisciplinaire c est de reconna tre que quelque chose chappe sa discipline d Dissym trie des produits Aujourd hui lorsque l on parle du r seau interdisciplinaire la plupart de nos in terlocuteurs nous demandent si Porphyre fonctionne et si l on peut leur en faire une d monstration Il y a la un grave danger de rester rive aux seuls aspects op ratoires Ia 11 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION covellaEtAI03 Reste dans l ombre non seulement tout l aspect th orique des recher ches informatiques mais aussi ce qui est plus grave encore la part des Sciences Hu maines dans le projet Si la part de chacun dans le projet appara t aujourd hui de mani re aussi fauss e c est probablement que nous n avons pas t suffisamment attentifs respecter une cer taine sym trie des produits non seulement entre th orie et exp rimentation mais encore entre SHS et STIC Ainsi il pourrait tre int ressant qu l issue d un cycle de s minaires chaque intervenant crive quelques pages pr sentant son point de vue disci plinaire sur le d bat qui a eu lieu Ces synth ses accessibles par tous per
165. lisateurs humains Nous faisons 1c1 cho aux th ses d fendues par Jean Charlet Bruno Bachimont et leur quipe La t che conditionne la construction de l ontologie qui d s lors ne peut tre portable et encore moins universelle Cela plaide de plus en faveur d une vision non logique mais plut t constructiviste de la connaissance Comme toute connaissance les ontologies sont interpr t es par un expert humain en fonction de l id e qu il a de la t che attribu e au syste me CharletEtA196 C est d ailleurs ce qu affirment les initiateurs du Web S mantique apr s avoir soutenu les deux th ses contraires The computer doesn t truly understand any of this information but it can now manipulate the terms much more effectively in ways that are useful and meaningful to the human user BernersLeeEtA101 Alliant la th orie la pratique le projet du Web S mantique dispose m me d un sous projet appel Annotea consistant a faire cr er par des tiers des ontologies sous forme d annotations Et le projet de mentionner que ceci entra nera sans doute des biais entre autres politiques ainsi qu une notion de confiance mais que c est le prix a payer Dans le m me esprit John F Sowa propose de baser les ontologies sur ce qu il appelle le principe de Socrate Whenever two philosophers disagree draw a distinction Anyone may discover a conflict Anyone may suggest a distinct
166. liser l exemple pr c dent est de consid rer les rela tions de A vers B et de B vers C comme voulant dire B est un attribut de et peut prendre C pour valeur Ainsi cf Figure 11 4 Style est un attribut de Vestige et Protocorinthien est l une de ses valeurs possibles E Vestige Style E Protocorinthien E Corinthien E Forme E Bombylios G Tasse Figure 11 4 Mod lisation d attributs l aide des r seaux de description c Mod liser une m r onymie La relation de sp cialisation entre le descripteur A et B peut tre utilis e pour exprimer que l objet B est une partie de l objet A 127 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION On utilisera la m r onymie pour exprimer par exemple les relations entre les sections d un document ou bien les relations d inclusion entre zones spatiales ou m me entre intervalles temporels Notons que la polyhi rarchie est ici particuli rement utile et permettra par exemple d exprimer cf Figure 11 5 que l Age du Fer empi te sur les Temps pro tohistoriques et les Temps historiques intersection non vide Et que la P riode romaine appartient la fois l Age du Fer et aux Temps historiques FT Chronologie FT Temps protohistoriques E Age du Bronze E P riode tsiganienne E Age du Fer E P riode galatienne G Temps historiques P riode romaine FT P riode m ro
167. lt b rdf resource C gt lt rdf Description gt lt rdf Description rdf about C gt lt a rdf resource A gt lt rdf Description gt Figure 2 4 Extrait d un exemple de s rialisation de graphe en RDF Cependant comme nous allons le voir maintenant cette vision purement formel le des mod les informatiques ne doit nullement nous surprendre tant donn l histoire m me de la discipline et des liens qu elle entretient avec sa discipline m re les mathe matiques modernes c Courant philosophique Au XIX et au d but du XX l id al de la Science est donn par la Mathemati que telle qu elle serait si elle tait lib r e de l influence du math maticien une ma th matique m canique une math matique ex cutable par une machine Hilbert en refondant les math matiques sur des axiomes et des inf rences suit ce programme mais ses r sultats vont aller l encontre des attentes des positivistes En effet on cite souvent la phrase d Hilbert Il doit toujours tre possible de substituer table chaise et chope de bi re a point droite et plan dans un syst me 6 T usage du singulier a ici pour but de renforcer le projet d unification de la discipline projet qui va au contraire aboutir a un clatement 24 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES d axiomes g om triques Si on y regarde de plus pr s Hilbert dans cette citation
168. mettraient ainsi de donner une meilleure transparence de la dynamique interdisciplinaire qui se joue dans le r seau 4 Definition de l objet interdisciplinaire Ayant toutes ces pr cautions l esprit on pourrait nous reprocher d avoir pris comme objet d tude interdisciplinaire le verrou existant au sein des STIC concernant la gestion de la s mantique des collections scientifiques Cependant 1l est n cessaire de pr ciser que le seul fait de prendre un objet d une discipline et de le livrer l tude des autres disciplines change cet objet Lorsque nous disons par exemple que les logiques temporelles sont un th me de recherches interdisciplinaires associ au projet a ne signifie pas que par logiques temporelles on entend leur sens th orique rig en dogme de r f rence et qui donnerait un statut majeur au discours de l informaticien sur les autres disciplines L historien l arch ologue l historiographe sont associ s au projet comme experts du temps his torique et ce titre ils contribuent un approfondissement de cette cat gorie conceptuelle l int rieur des logiques temporelles lacovellaE tAl03 B Rapports articles scientifiques prototypes manuels etc A titre d illustration Porphyre avec la vingtaine de stagiaires qui ont particip son d veloppement repr sente 18 000 lignes de code source alors que cette th se en repr sente environ 4 000 12 CHAP
169. n aise d Ath nes EFA La premi re tape de cette dynamique consista valuer la faisabilit de la mise en ligne de la Chronique des fouilles publi e par EFA Dans cette perspective une collaboration fut entreprise entre l EFA et le D partement informatique de l INSA de Lyon sous la forme d un certain nombre de stages Komninidis95 Larcher97 Montoc chio97 Benel98 Il en ressortit que si les technologies taient relativement m res pour la mise en ligne de collections il subsistait en informatique un verrou concernant la gestion de leur s mantique Andrea Iacovella d cida avec le soutien de Roland Etienne alors directeur de l EFA d associer au projet de mise en ligne des collections un projet de recherche interdisciplinaire ayant pour but de faire tomber ce verrou a Mise en ligne des collections scientifiques de PEFA D abord consacr la seule Chronique des fouilles le projet de mise en ligne fut rapidement g n ralis au Bulletin de Correspondance Hell nique BCH puis a l ensemble des collections publi es par EFA depuis ses 150 ans d existence soit pr s de 250 000 pages en 570 volumes Les Collections de l cole fran aise en ligne CEFAEL constituent ainsi une biblioth que num rique la fois exhaustive et publi que En 2001 CEFAEL fit l objet d un prototypage complet portant sur la cha ne de num risation et la diffusion sur la Toile du BCH Le d roulement de c
170. n en interpr tant par exemple la faible fr quence des occurrences comme une certaine discr tion du dieu dans le panth on Notons que d s miotisation et re s miotisation ne sont jamais neutres Par exemple le fait de compter toutes les occurren ces de HERM rel ve du choix du chercheur de consid rer l emploi m tonymique de hermes buste quelconque surmontant un support quadrangulaire comme gale ment repr sentatif de l influence du dieu Ainsi le processus explicatif se d compose en un processus humain de d s miotisation permettant de transformer la signification en un symbole s miotiquement neutre puis d un processus automatique de calcul et enfin d un processus humain de re s miotisation afin de donner une signification au r sultat du calcul cf Figure 3 3 D s miotisation Ne Calcul S lt lt comment gt gt Les actions de d s miotisation et de re Re s miotisation s miotisation n cessitent un sujet pensant Seule l action de calcul peut tre effectu e de mani re automatique Figure 3 3 L explication par le calcul d apr s Fran ois Rastier le passage oblig de la signification au symbole et inversement diagramme d activit UML En r sum les processus de construction de sens sur un support informatique par un humaniste n cessitent des symboles qui soient a
171. n contradiction est viol Le plus surpre nant est que Hilbert a pass le reste de sa vie chercher une erreur dans la d monstra tion et que Godel lui m me a toujours pens que l incompl tude tait due aux syst mes complexes et pas a la logique naturelle c est a dire contenant les deux principes En fait m me s ils ont d fini les math matiques comme conventionnelles ils gardent tout deux une foi sans faille dans la nature ontologique de la logique On doit noter au 2 gt SA A x r r gt XN Le cinqui me postulat peut tre exprim par Par un point ext rieur une droite passe une et une seule parall le cette droite 28 Ainsi que Bolyai en 1832 29 ott Das TET Respectivement Par un point ext rieur une droite passent plusieurs parall les cette droite et Par un point ext rieur une droite ne passe aucune parall le cette droite D une proposition et de son contraire au moins l une est vraie les deux pouvant tre vraies 31 D une proposition et de son contraire au plus l une est vraie les deux pouvant tre fausses 25 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION contraire que d autres math maticiens la m me poque plaident pour l intuitionnisme c est dire une logique sans le principe de non contradiction En r sum le statut des math matiques a chang Les math matiques ne sont plus consid r es comme c
172. n ligne In Petitot J Ed Au nom du sens Paris Grasset 1999 p 290 319 Disponible sur Internet lt http www utc fr costech v1 docs intelligence_ artificielle pdf gt consult le 09 10 03 Bachimont99b Bachimont B De l hypertexte a l hypotexte les parcours de la m moire documentaire en ligne In Technologie Ideologies Pratiques TIP num ro sp cial M moires collectives 1999 Disponible sur Internet lt http www utc fr costech v1 docs texte_hypotexte pdf gt consult le 09 10 03 Bachimont01 Bachimont B Mod lisation linguistique et mod lisation logique des ontologies l apport de l ontologie formelle In Conf rence Ing nierie des Connaissances IC 2001 Grenoble 25 27 juin 2001 BaezaY atesEtRibeiroNeto99 Baeza Yates R Ribeiro Neto B Ed Modern Information Retrieval ACM Press and Addison Wesley 1999 513 p 146 BIBLIOGRAPHIE BanerjeeEtMittal94 Banerjee S Mittal V O On the Use of Linguistic Ontologies for Accessing and Indexing Distributed Digital Libraries en ligne In Digital Libraries 94 Proceedings of the First Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries College Station Texas June 19 21 1994 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu csdl DL94 paper banerjee html gt consult le 29 09 03 Beguin96 B guin D Les antiquisants face a l informatique et aux r seaux Internet et les chercheurs en ligne Rapport
173. namique du r seau interdisciplinaire et de replacer ainsi cette th se dans sa situation d criture Dans une premi re partie nous verrons comment le r seau doit son mergence une probl matique issue des sciences historiques Ensuite dans une deuxi me partie nous pr senterons l approche adopt e par le r seau une approche la fois interdiscipli naire et op ratoire Par la suite dans une troisi me partie nous dresserons une liste des difficult s rencontr es puis vit es par le r seau Enfin dans une derni re partie nous tenterons de d finir l objet d tude commun aux diff rentes disciplines repr sent es 1 Une probl matique issue des sciences historiques Le point de d part de ce r seau r side dans un questionnement th orique sur la cr ation du sens dans les Sciences Historiques En particulier Andrea Iacovella a eu l occasion a plusieurs reprises d identifier comme une impasse m thodologique le cou CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION rant de l arch ologie d fendant la d finition normative d une typologie des vestiges ou l utilisation de thesaurus pour l interrogation de banques de donn es la diff rence du sp cialiste des Sciences de l Information et de la Communication occup affecter des significations non ambivalentes et non ambigu s en regard des corpus documentaires l historien manipule un objet qui d borde de sens de t
174. nce distanciation A l inverse la compr hension pren dre avec requiert une appropriation actualisation La premi re manipule de la signi fication propri t de signes d contextualis s la diff rence de la seconde qui mani pule du sens propri t de signes en contexte et en situation cf Fran ois Rastier sur la dialectique Sens Signification Ducrot72 sur la dialectique Contexte Situation On entend par contexte d un signe tymologiquement parlant ce qui est tiss avec c est dire l ensemble des signes qui l entourent Un texte est ainsi pour reprendre son tymologie un tissu La situation quant elle tend la notion de contexte un tissu galement non linguistique temps lieu personne Pour un texte donn peuvent tre consid r es la fois les situations d criture et de lecture La 37 Par exemple dans le cadre de r f rence de la Physique classique masse et vitesse poss dent une signification fixe quels que soient leurs contextes d apparition 38 la signification est une propri t assign e aux signes le sens une propri t des textes la significa tion r sulte en effet d un processus de d contextualisation En revanche le sens suppose une contextua lisation maximale aussi bien par la langue le contexte c est tout le texte que par la situation qui se d fi nit par une histoire et une culture au del du hic et n
175. nterfacer d autres types de serveurs de contenu versions ant rieures de ee os 50 Porphyre serveur Transvision Serveurs Web classique Lorsqu un de ces types de lA A ban Opt 7 51 serveurs ne prend pas en charge une fonction donn e la requ te est alors simplifi e Uniform Resource Locator URL Adresse permettant de r f rencer toute ressource statique ou dy namique accessible sur Internet entre autres sur le Web Ex http porphyry porphyry org image getSource 1d BCH 120 1 492 amp maxWidth 800 Transvision Syst me de gestion de bases d images d velopp par l quipe images de la Maison de l Orient et de la M diterran en puis commercialis pendant quelques ann es par la soci t SGBI Entreprise SA TVMLOO Il s agit du syst me utilis pour la partie contenu du projet CEFAEL Benel02b 57 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION En tant distinct du serveur de contenu le serveur de correspondance permet d utiliser une adresse plus abstraite comparable aux URN utilisable pour la compa raison de deux r f rences provenant de deux serveurs de structure diff rents Il devient alors possible d associer un serveur de contenu plusieurs serveurs de structure tout comme un serveur de structure peut l tre plusieurs serveurs de contenu Ainsi plu sieurs quipes de recherche peuvent travailler sur un m me corpus et r ciproquem
176. ntexte c est dire d autres traces reli es elle Enfin on peut suivre quelqu un la trace mais aussi suivre les traces de quelqu un Dit autre ment 1l existe deux approches compl mentaires interpr ter les traces d un autre selon notre point de vue ou tenter par la pens e de se mettre sa place On retrouve 1c1 la notion de situation Si les symboles en contexte peuvent tre rentr s dans une machine il n en est pas de m me pour les situations Il est impensable de faire rentrer dans un ordinateur des personnes des lieux des cultures bref le monde Aussi nous consid rerons plut t des indices de situation c est dire des informations sur les diff rentes tapes de la vie d un symbole contextualis date et auteur de la cr ation d un contexte etc Ainsi notre approche th orique nous permet de proposer le patron de la Trace cf Figure 5 1 Pour un symbole donn moyennant une heuristique ex locale globale il est possible d obtenir un contexte pointant vers un certain nombre d autres symboles Ce contexte est associ des indices de situation Notons qu une tra ce peut tre le r sultat de l agr gation d autres traces l agr gation tant une mise en contexte particuli re 8 Au sens philosophique 54 CHAPITRE 5 TRACES ET PUBLICATION symbole Figure 5 1 Notion de trace Dans notre prototype appel Porphyre ces traces cf Figure 5
177. of part whole relations en ligne In Formal Ontology in the Information Technology Special Issue of the International Journal on Human Computer Studies vol 43 5 6 1995 Disponible sur Internet lt http dx doi org 10 1006 ijhc 1995 1079 gt consult le 30 09 03 GinouvesEtGuimierSorbets78 Ginouv s R Guimier Sorbets A M La constitution des donn es en arch ologie classique CNRS Editions 1978 161 p GinouvesEtA198 Ginouv s R et al Dictionnaire m thodique de l architecture grecque et romaine III Espaces architecturaux b timents et ensembles s v Thermes Ath nes Ecole fran aise d Ath nes Rome Ecole fran aise de Rome 1998 357 p 115 p de planches Girard89 Girard J Y Le champ du signe ou la faillite du r ductionnisme In Nagel JR Newman K Godel J Y Girard Le th or me de Godel Traduction fran aise et commentaires Paris Seuil 1989 Girard95 Girard J Y Intelligence artificielle et logique naturelle In J Y Girard A Turing La machine de Turing Traduction fran aise et commentaires Paris Seuil 1995 GohEtLeggett00 Goh D Leggett J Patron augmented digital libraries en ligne In Proceedings of the Fifth ACM Conference on Digital Libraries ACM Press 2000 p 153 163 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 336597 336656 gt consult le 30 09 03 157 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Gorse03 Gors
178. onformes la r alit Elles sont un jeu de langage Aujour d hui m me les r gles de la logique naturelle ne nous semblent plus naturelles et peuvent tre chang es afin d obtenir de nouvelles logiques 3 Valeur pist mologique a D finition Le mot pist mologique est form sur deux racines grecques episteme la connaissance logos le discours raisonn Nous dirons qu un discours a une valeur pist mologique cf Figure 2 5 lorsqu il na t d une id e ant rieure l observation En termes kantiens on parlerait de raisonnement a priori La v rit de cette connaissance pourra tre mise l preuve en projetant le discours sur le r el Monde des we id es Pa LA Valeur pist mologique Monde dt Monde discours empirique Figure 2 5 Valeur pist mologique du discours Par exemple Newton a eu l id e de d finir la masse notion a priori comme le rapport constant d une acc l ration avec une force Cette th orie d une tonnante effica cit a fini par tre mise mal par l exp rience lorsque les corps atteignent des vitesses proches de celle de la lumi re 26 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES b Des machines qui donnent penser Si les mod les informatiques ont un statut pist mologique cela signifie qu ils n ont de sens que par l usage et l interpr tation qu en feront leurs uti
179. onnels A para tre dans les Supplements au Bulletin de Correspondance Hell nique Bennett97 Bennett J C JISC NPO Studies on the preservation of electronic materials A framework of data types and formats and issues affecting the long term preservation of digital material en ligne British Library Research and Innovation Report 50 1997 Disponible sur Internet lt http www ukoln ac uk services papers bl isc npo50 bennet html gt consult le 30 09 03 Berleant00 Berleant D Models for reader interaction systems en ligne In Proceed ings of the Ninth ACM Conference on Information and Knowledge Management ACM Press 2000 p 127 133 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 354756 354810 gt consult le 30 09 03 BernersLee89 Berners Lee T Information Management A Proposal en ligne Internal report CERN 1989 Disponible sur Internet lt http www w3 org History 1989 proposal html gt consult le 30 09 03 BernersLeeEtAl01 Berners Lee T Hendler J Lassila O The Semantic Web en ligne In Scientific American May 2001 Disponible sur Internet lt http www sciam com article cfm articlelD 00048144 10D2 1C 70 84A9809EC588EF 21 gt consult le 30 09 03 BessiereEtA197 Bessi re C Euzenat J Jeansoulin R Ligozat G Schwer S Raisonnement spatial et temporel In Actes des journ es PRC GDR IA Herm s 1997 p 77 88 BieberEtWan94 Bieber M Wan J Backtracking in a multip
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181. ors l tape 4 E vestige mE de type ie a Ei mobilier a S vase vase pal ochr tien vase archa que fe4Fen tre de saisie x Saisissez un descripteur mi vase classique Etape 4 Le nouveau descripteur vase classique appara t comme n tant af fect aucun document C est alors que l utilisateur cr e l identificateur de document 6 comme sp cialisation de vase classique Le syst me passe l tape 5 gt Vestige S de type ER gi mobilier B vase vase pal ochr tien vase archa que bijou dat _ pal ochr tien l archa que 90 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION tape 5 Par cons quent le syst me montre que vase classique d crit un corpus et que dat ne d crit plus l ensemble des documents d crits par vase Afin de comprendre cette incoh rence potentielle l utilisateur s lectionne dat Le syste me passe l tape 6 gt Vestige S de type B E mobilier vase vase pal ochr tien vase archa que bijou dat _ pal ochr tien a archa que Etape 6 Il appara t que vase classique n est pas d clar comme dat et que classique n est affect aucun document L utilisateur met alors le mod le jour en reliant vase clas
182. outes parts Dans un index un catalo gue un titre d ouvrage ou dans un corps de texte le mot Auschwitz ne se laisse pas r sumer de l information crit en toutes lettres ou re pr sent par son quivalent binaire Auschwitz reste Auschwitz Dans le seul fait de prononcer un mot comme celui l il y a le risque d une bana lisation qui effraie l esprit le travail de l historien n est pas tant de pro duire des cat gories bien huil es mais d laborer un langage qui permet tra des mots comme Auschwitz de se maintenir en toute dignit dans une phrase et de contribuer par l donner tout son sens une communaut du dialogue IacovellaEtA103 Comme le montre la gravit de l exemple la question du n cessaire renouvelle ment des m thodes dans les sciences historiques est relay e par les grands d bats de soci t actuels Comment se fait il par exemple que les m thodes de Histoire n aient pu endiguer des d rives telles que celles du n gationnisme portant sur la Shoah M me s il est reconnu aujourd hui un cart entre M thode et V rit peut on pour autant dire n importe quoi du moment que l on adopte le discours de l rudit Puisque l activit scientifique quelle que soit la discipline est incapable de juger du caract re thique d une th orie n est 1l pas n cessaire de faire appel au politique au sens large Sans recourir forc ment des comit s d
183. p 339 352 PoulletEtA197 Poullet L Pinon J M Calabretto S Semantic Structuring of Documents In Proceedings of IEEE Conference on Data Management Systems BIWIT 97 Biarritz July 1997 p 118 124 PredigerEtWille99 Prediger S Wille R The Lattice of Concept Graphs of a Relationnaly sic Scaled Context en ligne In Seventh International Conference on Conceptual Structures LNCS 1640 Berlin Springer Verlag 1999 p 401 414 Disponible sur Internet lt http wwwbib mathematik tu darmstadt de Math Net Preprints Listen files 2033 ps gz gt consult le 09 10 03 Prie95 Pri Y Contribution une clarification des rapports entre S mantique Interpretative et Informatique en ligne DEA en Informatique Universit Rennes 1 1995 Disponible sur Internet lt http liris cnrs fr yprie dea html gt consult le 09 10 03 Prie99 Pri Y Mod lisation de documents audiovisuels en Strates Interconnect es par les annotations pour l exploitation contextuelle en ligne Th se de doctorat en Informatique INSA de Lyon 1999 Disponible sur Internet lt http liris cnrs fr yprie these html gt consult le 09 10 03 Rastier91 Rastier F S mantique et recherches cognitives Paris PUF 2001 272 p Note Edition originale publi e en 1991 Rastier95a Rastier F Le terme entre ontologie et linguistique en ligne In La banque des mots n 7 1995 p 35 65 Disponible sur Internet lt http Awww revu
184. pe Le sens d un document n est pas dans sa structure quelle qu elle soit mais dans les conditions de son utilisation et donc dans les conditions de sa lecture Autrement dit il est impossible de trouver e sens d un document mais plut t des sens Toute lecture est Ce chapitre fait l objet d un article de recherche para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Corres pondance Hell nique Benel03 Les notions de trace et de publication ont t par ailleurs introduites lors d une conf rence a la Euro pean Conference on Digital Libraries BenelEtA101a et dans un article de vulgarisation BenelEtAI101b CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION donc une r criture Un syst me ad quat devrait permettre de garder trace des parcours d interpr tation des lecteurs Vannevar Bush visionnaire de ce qui allait devenir l hyper texte d crivait d ailleurs en 1945 un mod le bas sur des traces ou pistes de pens e Bush45 Cette m taphore de la trace est particuli rement riche et m rite que l on s y attarde un peu Tout d abord une trace c est la forme qui demeure quand le contenu a disparu En effet comme nous l avons vu l ordinateur ne traite que de symboles d nu s de signi fication C est l utilisateur qu incombe la difficile t che de donner un contenu ce qui n est que formel Ensuite une trace est rarement seule elle fait partie d une piste On retrouve 1c1 la notion de co
185. personnel vis vis d un corpus documentaire de r f rence De plus la confrontation des points de vue sti mule une volution constante des mod les N d une dynamique interdisciplinaire Arch ologie Informatique le projet Porphyre se propose d instrumenter ce travail d expertise Il est fond sur l id e qu une telle pratique laisse des traces s lections de fragments do cuments ajout s au corpus organisation de la bibliographie notes de lecture etc A condition que ces traces soient capt es leur auteur peut d sormais les utiliser pour acc der au corpus ainsi que les partager avec d autres ex perts En somme puisque le corpus se structure de pair avec le savoir de l expert au fil de ses changements de pro bl matique et de point de vue nous proposons un atelier de manipulation de corpus documentaires afin d assister un travail humain de construction de sens MOTS CL S Biblioth que num rique Assistance l interpr tation Collaboration Annotation Hyperm dia LABORATOIRES DE RECHERCHE Ecole fran aise d Ath nes EFA Laboratoire d InfoRmatique en Images et Syst mes d information LIRIS DIRECTEURS DE TH SE Jean Marie Pinon Andr a Iacovella Sylvie Calabretto PR SIDENT DE JURY Roland Etienne COMPOSITION DU JURY Roland Etienne Professeur Universit Paris I Pr sident Jocelyne Nanard Professeur Universit Montpellier II Rapporteur Fran ois Rastier Directeur de Recherche
186. pes Sur le probleme des mode Arch ologie traditionnelle Postface Epist mologie et politique arch Pierre Amandry St phanie Boucher Denise Callipolitis Feytmans Jean Michel Carrie Paul Collaty Georges Daux Charles Delvoye c ramiques mill naires pour qu on songe solliciter leur t moignage sur le crime commis tout pr s d eux moins que ce d dain professionnel pour le pr sent tant feint ne constitue le meilleur des alibis B Vian pr sente l arch ologue de l Aulomne a P kin comme un maniaque qui casse des pots pour les ranger dans des boites de format standard La vari t de ces images traduit sa fa on l tat incertain et multiforme de l arch ologie On soutiendrait sans mal qu elle n est pas encore constitu e comme une sp cialit aux contours bien d finis mais n existe que parce que s y adonnent des gens dont la raison sociale est d tre arch ologues ce sont les m thodes diverses qu ils pratiquent et les vis es souvent non formul es que supposent ces m thodes qui donnent un contenu pist mologique la sp cialit dont ils se r clament Bref l arch ologue en est l aujourd hui o se trouvait par exemple la chimie au temps de Lavoisier alors que naissait la science moderne certains se satisfaisaient encore de la vieille th orie des quatre l ments Ainsi tandis que beaucoup continuent aujourd hui pratiquer et souvent avec de bons r sultats la m me arch ologie q
187. pond la d monstration effectu e lors de la table ronde S mantique et Arch ologie Ath nes novembre 2000 Elle montre que le prototype d alors permettait une double navigation travers les documents XML et les r seaux de description Elle pr sente galement le r seau de description obtenu par le mode op ratoire suivant p convertir automatiquement la structure XML en r seau de description Zi puis d coreller a la main les dimensions temporelles et spatiales enfin fusionner toujours a la main les structures spatiales de chaque livraison afin d obtenir une sorte de thesaurus g ographique contextualis par des r cits de fouille U f Porphyre 2000 Version pour le chercheur par site Mochlos Houilles gr co am ricaines Les fouilles ont t poursuivies en 1994 dans quatre secteurs 1 Sur l le BA 2 l arri re du village moderne 1 Sur I le I 3 Chalinomouri p village modern a 4 Dans le cimeti re MR III ere Mis 3 Chalinomouri ss EE EE 4 Dans le cimeti re MR Il nv Selection Status S Autres Grotte Figure 9 3 Lecture avec Porphyre 2000 d un extrait de la Chronique des fouilles 109 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION 3 Retour d exp rience a Limites rencontr es Pour nous inscrire dans le cadre de la m thode popp rienne nous ne nous appe santirons pas
188. que indivisible Nous reprenons ici la terminologie que nous avons d finie en nous inspirant entre autres de Xanadu au sein du groupe de r flexion de l ISDN sur les documents multi structur s 65 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION un tr s grand nombre de zones rectangulaires La m me image dans une repr sentation fr quentielle d finit virtuellement un ensemble de version de l image avec plus ou moins de d tails Lorsqu une partie virtuellement adressable sera utilis e par un tre humain nous en garderons trace et l appellerons un fragment Enfin la demande des utilisateurs nous avons t amen s d finir les notes de lecture comme des l ments dynamiques qui la diff rence des sources peuvent tre modifi es sans cr er de nouvelles versions Notons que le caract re dynamique de leur A 7 59 contenu nous emp che de d finir dessus des fragments Nous d finissons la notion d objet documentaire comme la g n ralisation des notions de source de fragment et de note cf Figure 6 2 Cet objet docu mentaire est caract ris par le couple form d un espace de nom le num ro IP de son serveur de correspondance et d un nom aussi significatif que possible dans l exemple de la Figure 6 1 BCH 121 3 1 1001 mappingDatabase DocumentQbject contentFile System DocumeniContent Figure 6 2 Contenus docum
189. ques num riques Lyon 29 30 mai 2002 Pinon90 Pinon J M Laurini R La documentation multim dia dans les organisations Paris Hermes 1990 61 p Pinon97 Pinon J M Calabretto S Poullet L Document semantic model An experiment with patient medical record In Proceedings of ICCC IFIP Conference on Electronic Publishing EP 97 ICCC Press 1997 Pitrat84 Pitrat J Quelques remarques sur Intelligence artificielle mythes et limites In H L Dreyfus Intelligence Artificielle Mythes et limites Traduction fran aise et commentaires Paris Flammarion 1984 Popper35 Popper K R La logique de la d couverte scientifique Paris Payot 1973 480 p Note Edition originale en allemand publi e en 1935 puis nouvelle dition en anglais publi e en 1959 et compl t e en 1960 1962 1965 et 1968 Popper72 Popper K R La connaissance objective Paris Flammarion 1991 578 p Note Edition originale en anglais publi e en 1972 PowellEtFrench98 Powell A L French J C Using multiple views of a document collection in information exploration In CHI 98 Workshop Innovation and Evaluation in Information Exploration Interfaces Los Angeles California April 18 23 1998 167 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Poullet97 Poullet L Formaliser la s mantique des documents Un mod le unificateur In Actes du congr s INFORSID Toulouse 10 13 Juin 1997 Editions INFORSID
190. r et mesure de son utilisation 1l est crucial de n en pr sen ter un moment donn qu une partie En fournissant ainsi un moyen l usager de s orienter efficacement nous esp rons l aider arpenter l espace documentaire a Filtrer des descripteurs plat Gerard Salton la fin des ann es soixante Salton68 a d fini un mod le pour la recherche d information bas sur la th orie des ensembles Ce mod le consid re un ensemble des documents et un ensemble des descripteurs Ainsi on peut tracer les graphes d inclusion de corpus cf Figure 7 7 et de conjonction de requ tes cf Figu re 7 8 80 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION A B C D A B D C D A A B C B C D AB AC AD B C B D CD L gende C C gt Co C C Figure 7 7 Structure en treillis de l espace des documents VRAI a i a b c a a D a b c b c a c a b C Legende b Ri gt R gt Ro2 d ET R Figure 7 8 Structure en treillis de l espace des descripteurs Il devient ensuite possible de d duire de la correspondance entre documents et descripteurs cf Tableau 7 1 la correspondance entre requ tes et corpus cf Tableau 7 2 De la on remarque que certains corpus ne peuvent tre obtenus par aucune requ te ex B C et que le m me corpus peut tre obtenu par diff rentes requ tes ex la requ te a ET b et la requ te b Ces r sultats tout aussi connus qu ils soient
191. re face des solutions de natures diverses mod le usage formation seront propo s es Enfin dans un dernier chapitre nous verrons comment notre quipe pr voit tra 1 Au sens d ex cutable par une machine vers de nouveaux projets et de nouvelles th ses de donner ces travaux des perspecti ves moyen et plus long terme 1 partie tat de l art Chapitre 1 Pr liminaires m thodologiques beginning is a very delicate time Frank Herbert Dune 1965 La th se que nous d fendons ici est celle d un informaticien qui a tent de se laisser d placer par d autres disciplines au sein du r seau interdisciplinaire constitu et anime par Andrea Iacovella depuis cinq ans Pour autant est il correct de dire qu il s agit d une th se interdisciplinaire Assurement non une telle expression serait un oxymoron En effet rien n est plus dis ciplinaire qu une th se Notre these ne peut donc qu tre profond ment marqu e par les m thodes et le discours de la discipline informatique Autrement dit si l on comparait le r seau interdisciplinaire un poly dre notre travail constituerait juste une facette parmi celles des arch ologues historiens architectes historiographes Ce travail prendra donc tout son sens une fois accompagn de ceux des autres acteurs du r seau En attendant 1l est toutefois possible dans ce chapitre pr liminaire de retracer la dy
192. ression archivage purge Ces actions feront passer les relations contextuelles par quatre tats cf Figu re 5 6 Brouillon pr sent dans l espace du scripteur mais pas encore dans celui du lecteur Publi pr sent dans les deux espaces Obsolete encore pr sent dans l espace du lecteur mais plus dans celui du scrip teur Au pilon absent des deux espaces lt lt description gt gt private true public true lt lt description gt gt private true public false archive delete create create delete lt lt description gt gt archive private false public true purge lt lt description gt gt 3 private false public false Figure 5 6 Cycle de vie d un contexte diagramme d tat UML Notons que ce cycle de vie est bas sur la th orie de la connaissance expos e dans le chapitre 2 Ainsi le parcours menant de l tat initial au pilon en passant par le gt Nous nous inspirons ici des serveurs de gestion de version Ex Concurrent Version Server Ms Visual Source Safe etc 60 CHAPITRE 5 TRACES ET PUBLICATION brouillon la publication et l obsolescence reprend la th orie popp rienne de l hypoth se sa construction par un chercheur puis sa publication par la communaut sa remise en question par un autre chercheur et la publication de cette remise en question r futation De m me la trans
193. retrouvant p riodiquement dans des s minaires de travail Les aspects m thodologiques du probl me ne firent pas oublier la n cessit d offrir des solutions op ratoires Aussi une convention entre l EFA et le LISI fut si gn e en 2000 pour la cr ation d un prototype informatique appel Porphyre De m me le volet recherche en informatique fut encourag par le lancement de notre th se sous la codirection d Andrea Iacovella pour l EFA et de Jean Marie Pinon assist de Sylvie Calabretto pour le LISI Les travaux du r seau interdisciplinaire furent grandement soutenus par le CNRS et le Minist re de la Recherche De 1999 2002 notre th se fit l objet d une allocation de recherche De plus les d partements SHS et STIC du CNRS dans le cadre du Programme Soci t de l Information nous accord rent en 2001 un finan cement pour un projet sur la mod lisation du temps dans les publications arch ologiques mises en ligne et en 2003 sur la s miotique spatiale du document d architecture en arch ologie Il y a peu le r seau a d pos au d partement STIC du CNRS une deman de pour constituer une quipe proj et LISI Laboratoire d Ing nierie des Syst mes d Information Lyon Aujourd hui int gr au LIRIS Labo ratoire d InfoRmatique en Images et Syst me d Information 7 GRACO Groupe de Recherche sur l Antiquit Classique et Orientale Toulouse 8 SHS Sc
194. rmation de la n cropole une approche cognitive Rapport de projet de fin d tudes EFA 1999 8 p Annexes Dubucs96 Dubucs J La logique depuis Russell In Blanche La logique et son histoire Seconde dition revue et compl t e Paris Armand Colin Masson 1996 Ducrot72 Ducrot O Schaeffer J M Nouveau dictionnaire encyclop dique des sciences du langage s v Situation de discours Paris Seuil 1995 p 764 775 Note dition originale en 1972 Eco62 Eco U L uvre ouverte Paris Seuil 1965 314 p Note dition originale en italien publi e en 1962 Eco73 Eco U Le Signe Bruxelles Labor 1988 277 p Note dition originale en italien publi e en 1973 154 BIBLIOGRAPHIE EgyedZsigmondEtAI 00 Egyed Zsigmond E Pri Y Mille A Pinon J M A graph based audio visual document annotation and browsing system In RIAO 2000 Conference Proceedings Content based multimedia information access CID CASIS p 1381 1389 EklundEtCole02 Eklund P Cole R Structured Ontology and Information Retrieval for Email Search and Discovery en ligne In Proceedings of the thirteenth International Symposium on Methodologies for Intelligent Systems ISMIS 2002 Lyon June 26 29 2002 Lecture Notes in Artificial Intelligence 2366 Berlin Springer Verlag p 75 84 Disponible sur Internet lt http link springer de link service series 0558 papers 2366 23660075 pdf gt consult le 30 09 03
195. rmation in a Heterogeneous Distributed Environment Ph D dissertation in Computer Science Stanford University 1997 WangBaldonadoEtWinograd97 Wang Baldonado M Q Winograd T SenseMaker An information exploration interface supporting the contextual evolution of a user s interests en ligne In Proceedings of the ACM Conference on Human Factors in Computing Systems CHI 97 Atlanta Georgia April 1997 p 11 18 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 258549 258563 gt consult le 09 10 03 WeibelEtA198 Weibel S Kunze J Lagoze C Wolf M Dublin Core Metadata for Resource Discovery en ligne The Internet Society RFC 2413 September 1998 Disponible sur Internet lt ftp ftp isi edu in notes rfc2413 txt gt consult le 09 10 03 173 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION WittenEtA194 Witten I H Moffat A Bell T C Managing Gigabytes Compressing and Indexing Documents and Images Second Edition San Francisco Morgan Kaufmann Publishing 1999 518 p Note First edition published in 1994 Wood02 Wood L The World in a Box Little fanfare greets the coming out of a pivotal AI project en ligne Scientific American January 2002 Disponible sur Internet lt http Awww sciam com print_version cfm articlelID 00063887 5C 1E 1C6D 84A9809EC588EF21 gt consult le 09 10 03 ZackladEtFontaine96 Zacklad M Fontaine D L acquisition des connaissances classificatoire
196. rmet ainsi de nommer la page choisie BCH 116 708 cf Figure 10 2 On peut utiliser des folios sp ciaux pour ceux habituellement en chiffre romain pages pr liminaires et pour les pages non folio t es pages finales d pliants planches Notons qu il n est pas indispensable d introduire le niveau du tome puisque la pagination est continue d un tome au suivant ied Point de vue du maquettiste Bulletin de Correspondance Hell nique J N 116 1992 oe p 708 Na Cee Figure 10 2 Extrait de la facette du maquettiste R seau de description Porphyre b Biblioth que Si la structure pr c dente suffit r f rencer l ensemble du corpus le chercheur a cependant besoin d autres structures pour y acc der L une de ces structures est celle qui appara t dans le catalogue de la biblioth que Cette structure identifie au sein des volu mes des l ments que l on appellera publications articles de recherche rapports chroniques Ces publications ont pour attribut une date et un ou plusieurs auteurs Notre page d exemple cf Figure 10 3 appartient un rapport sur les travaux de l Ecole Delphes dat de 1991 et cosign par les huit auteurs indiqu s 115 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION a Point de vue du biblioth caire S Auteur Petridis P D roche V Figure 10 3 Extrait de la facette du biblioth caire R seau de description
197. rue S rationnel True A rationnel False IN ET Figure 7 1 L arbre de Porphyre Fresque du XVII s et diagramme de classe UML On comprend sans peine qu une organisation des connaissances d une telle es th tique et d une telle efficacit soit devenue le parangon de la pens e occidentale Ce pendant si cette m thode est tout fait valide pour parler de classes elle ne devrait en aucun cas tre utilis e pour des instances celles ci pouvant souvent tre plac es dans plusieurs classes contradictoires En effet on pense tout de suite au c l bre exemple de Nixon potentiellement pacifiste en tant que quaker et belliciste en tant que r publicain b Alternatives La m thode arborescente tant inutilisable pour classer des instances a fortiori elle l est galement pour des livres dont la description pourra contenir des classes des D tail d une fresque du monast re de Schussenried Allemagne Artiste Hermann 1757 Photogra phe J Garrett 2000 Disponible sur Internet lt http www library northwestern edu collections garrett gt 67 E Ou tout au moins des objets g n riques 73 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION instances et des liens entre instances Aussi depuis longtemps des alternatives au mo d le d indexation hi rarchique ont t propos es La plus connue en sciences de l information est celle de Ranganathan 1872 1972
198. s 1996 Tanguy97a Tanguy L Traitement automatique de la langue naturelle et Interpr tation Contribution l laboration d un mod le informatique de la S mantique Interpretative en ligne Th se de Doctorat en Informatique Universit Rennes 1 1997 Disponible sur Internet lt http www univ tlse2 fr erss textes pagespersos tanguy these gt consult le 09 10 03 Tanguy97b Tanguy L Computer aided Language Processing Using Interpretation to Redefine Man machine relations In International Cognitive Technology Conference 1997 TheBrain0O1 Personal Brain User Guide en ligne TheBrain Technologies Corporation 2001 99 p Disponible sur Internet lt http www thebrain com products personalbrain support Manual PB_User_Guide pdf gt consult le 09 10 03 Tibbo93 Tibbo R H Abstracting information retrieval and the humanities Chicago American Library Association 1993 TochtermannEtAlders96 Tochtermann K Alders T DogitaLS1 A Digital Library System Based on Hyper G en ligne In D Lib Magazine October 1996 171 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION Disponible sur Internet lt http www dlib org dlib october96 texas 10tochtermann html gt consult le 09 10 03 Tochtermann96 Tochtermann K A First Step Toward Communication in Virtual Libraries en ligne College Station Texas Texas A amp M University Center for the Study of Digital Libraries 1996 Disponible s
199. s in the Conversion of Print Documents to Electronic Texts en ligne In Second Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries Austin Texas June 11 13 1995 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu csdl DL95 papers palowitc palowitc html gt consult le 09 10 03 Paradis96 Paradis F Un modele d indexation pour les documents textuels structures These de doctorat en informatique Universite Grenoble 1 1996 Pedersen93 Pedersen G S A browser for bibliographic information retrieval based on an application of lattice theory en ligne In Proceedings of the Sixteenth 166 BIBLIOGRAPHIE Annual ACM Conference on Research and Development in Information Retrieval SIGIR 93 1993 p 270 279 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 160688 160737 gt consult le 09 10 03 PettengillEtArango Pettengill R Arango G Four lessons learned from managing World Wide Web digital libraries en ligne In DL 95 Second Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries Austin Texas June 11 13 1995 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu DL95 papers pettengill pettengill html gt consulte le 09 10 03 Philippe02 Philippe P Description de la cha ne de num risation de la Maison de Orient M diterran en Jean Pouilloux In Journ es d tudes sur les Mod les operatoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth
200. s pour les syst mes base de connaissances In N Aussenac Gilles P Laublet C Reynaud Ed Acquisition et ing nierie des connaissances Cepadues Editions 1996 p 187 206 Zaid99 Zaid N La publication arch ologique sur Internet Archaeologia janvier 1999 n 352 p 20 29 Zramdin192 Zramdini A Azokly A Ingold R Importance de l identification de la fonte dans la reconnaissance structurelle de documents In CNED 92 Colloque National sur l crit et le Document Nancy juillet 1992 ZweigenbaumEtA 9S Zweigenbaum P Bachimont B Bouaud J Charlet J Boisvieux J F Issues in the structuring and acquisition of an ontology for medical language understanding en ligne In Methods of Information in Medicine 34 1 2 1995 p 15 24 Disponible sur Internet lt http www test biomath jussieu fr pz FTPapiers Zweigenbaum MIM95 pdf gt consult le 09 10 03 ZweigenbaumEtAl97 Zweigenbaum P Bouaud J Bachimont B Charlet J S roussi B Boisvieux J F From text to knowledge a unifying document centered view of analyzed medical language en ligne In Fourth International Conference on Medical Concept Representation Jacksonville 1997 Disponible sur Internet lt http www test biomath jussieu fr pz F TPapiers Zweigenbaum ICMCR97 pdf gt consult le 09 10 03 174 Table des mati res AO OMS ed l I pane Paidel amuone A 3 Chapitre 1 Pr liminaires m thodologiques inace A 5 1 Une probl mat
201. s semblant fortement li e cel le du point de vue il nous semblait indispensable de permettre le croisement de par cours issus de deux points de vue diff rents donc ne d pendant l un de l autre que par l interm diaire du corpus Le mod le propos par nos soins permet d y parvenir tout en gardant une complexit algorithmique tr s raisonnable Cette r f rence est appel e suivant les mod les noeud table des mati res TriggEtWeiser86 dessus de table Trigg88 ou grappe Maurer96 101 au partie tudes de cas Chapitre 9 La Chronique des fouilles du BCH L cole francaise d Ath nes publie une douzaine de s ries de monographies ain si qu une revue le Bulletin de correspondance hell nique BCH Cette revue annuelle est consacr e des articles de synth se des informations sur les activit s de l cole et la publication du mat riel arch ologique Une de ses sections la Chronique des fouil les a pour mission particuli re de signaler aux lecteurs toutes les nouveaut s arch o gt 80 bd s rar r logiques sur lesquelles des informations fiables ont t obtenues au cours de l ann e L Ecole fran aise d Ath nes souhaitant une valorisation accrue de ce corpus as i 81 sez unique en son genre projeta en 1996 sa mise en ligne Lors d une tude de faisabi 82 en 1998 il apparut que la richesse de sa mise en forme n lit
202. sique classique Le syst me passe l tape 7 D vestige de type E B S mobilier vase vase archa que ne J bijou dat pal ochr tien archa que 9 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION tape 7 L utilisateur a termin d indexer le nouveau document et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles A vestige de type _ E mobilier E e vase vase pal ochr tien vase archa que J vase classique bijou dat 0 pal ochr tien E classique archa que 4 Bilan Nous avons tout d abord rappel que l organisation des biblioth ques comme celle des documents est en g n ral bas e sur un mod le arborescent probablement en raison de l influence de la philosophie d Aristote sur notre mani re de voir la connais sance De mani re sortir de ce sch ma trop simpliste nous avons tudi certaines al ternatives Cependant du fait qu elles s appuient toujours sur un mod le du domaine consid r comme fixe et ext rieur ces alternatives nous ont sembl telles quelles inap plicables notre approche celle d une mod lisation dynamique effectu e par les ex perts eux m mes et non par des tiers Nous avons ensuite propos un mod le appel r seau de description permet tant chaque expert de superposer au corpus sa propre struct
203. t Le temps arch ologique est donc construit partir d indices spatiaux stylistiques ou naturels en utilisant des heuristi ques plus ou moins fiables Cette construction a pour but selon Alain Gallay Gal lay86 de rechercher un ordre pour saisir l v nement et le changement A la suite de J P Demoule Demoule72 il faudra tenir compte du fait qu en arch ologie il n existe pas une chronologie unique mais des chronologies valables dans des r gions g ographi ques donn es avec parfois des correspondances possibles entre elles c Travaux actuels et a venir La doctorante en partant de la caract risation du temps arch ologique qu en font les th oriciens de la discipline tente actuellement d tablir un tat des principales coles m thodologiques en ce qui concerne la formalisation du temps arch ologi que Parall lement elle tudie en quoi les mod les temporels de l intelligence artificiel le par exemple celui de James F Allen Allen83 correspondent ou non aux sp cifici t s de l arch ologie Ses premiers r sultats Accary02 ont fait l objet d une publication AccaryEtA103 Son but est de mettre en uvre un assistant permettant entre autres de d tecter les cas ou une fouille vient contredire la chronologie de r ference En filigrane se pose la question de la r futabilit des theories en arch ologie enjeu majeur pour la discipline A des fins de validation cet assistant
204. t hell nique Figure 9 4 Prise en compte du retour d experience nouvelle structuration de la Chro nique des fouilles l aide de Porphyre En ce qui concerne les perspectives d j voqu es d assistance la fusion no tons que l exemple de la figure ci dessus est particuli rement repr sentatif de la com plexit de l op ration En effet nous avons d ici tenir compte de changements de nom Thessalonique Salonique de diff rences de granularit ville quartier et de change ments structurels encore plus radicaux la Thrace moderne correspondant la Thrace occidentale antique puisque la Thrace orientale antique est aujourd hui en Turquie On con oit ici ais ment pourquoi il serait vain de proposer pour cette t che une automatisa tion d passant le cadre d assistants interactifs 111 Chapitre 10 CEFAEL Collections de lEcole francaise d Ath nes en ligne Comme nous l avons vu dans le chapitre pr c dent l cole fran aise d Ath nes publie une douzaine de collections s ries de monographies et revue Depuis 1877 ce sont pr s de 570 volumes soit 250 000 pages qui ont t dit s par l Ecole Si un tel corpus repr sente un int r t ind niable pour l historien des sciences 1l n en est pas moins important pour l arch ologue En effet la fouille arch ologique pr sente la parti cularit de d truire les couches qu elle tudie Que reste t il alors de son objet d
205. tif dia gramme de d ploiement UML Pour la gestion des traces semi formelles nous faisons appel un serveur de structure cf Figure 5 3 Celui ci stocke ces traces dans une base de donn es et permet de les pr senter dans un contexte susceptible d int resser le lecteur Les traces peuvent tre consult es soit par un client web par le biais d un serveur passerelle cf Figure 5 4 soit par le client natif cf Figure 5 3 Ce dernier destin au lecteur expert lui permet d effectuer une lecture criture des traces suivant la m taphore de l annotation Nous nous pla ons ainsi dans la prolifique descendance des travaux de Jacques Virbel et Bernard Stiegler autour des Postes de Lecture Assist e par Ordina teur Stiegler00 56 CHAPITRE 5 TRACES ET PUBLICATION Structure Host 7 ES Mapping Host L Client Workstation en Content Host Figure 5 4 Architecture multi tiers du syst me Porphyre pour un acces par le Web diagramme de d ploiement UML Si nous n avons pas parl jusqu pr sent du serveur de correspondance c est d eae ns 49 que sa fonction est plus d licate a saisir il construit l URL permettant d obtenir un contenu Son but est donc d viter une redondance des donn es stocker la fois les param tres du contenu et l URL qui en d pend Le fait que le serveur de correspondance soit distinct du serveur de conte nu permet d i
206. tique XN Ioannis Kanellos en vient d finir deux processus humains a savoir la d s miotisation et la re s miotisation qui permettent de passer respectivement de la signi fication au symbole et du symbole la signification KanellosEtA 00 Prenons un exemple Consid rons un chercheur travaillant sur le dieu Herm s En cherchant dans un corpus de textes le nombre d occurrences de l expression r guli re HERM il d s miotise une signification en une suite de symboles informatiques les phrases r put es absurdes voire as mantiques peuvent toujours tre interpr t es on peut lire Finnegan s Wake m me dans les passages o aucun des mots ne figurent au dictionnaire C est la une all gorie du p ch originel ou du moins de la condition humaine nous sommes condamn s au sens Rastier91 p 212 213 D o son projet de consid rer l intelligence artificielle non plus comme une mod lisation au sens fort mais comme une criture dynamique interpr ter Bachimont99a Notons qu il s agit de l approche in verse de celle de Jean Claude Gardin qui pour viter les cueils suppos s de l interpr tation pr conisait d appliquer le formalisme des syst mes experts aux publications savantes en Sciences Humaines Gar din86 36 CHAPITRE 3 EXPLICATION ET COMPREHENSION EN SCIENCES HUMAINES Le syst me calcule une liste de r ponse Le chercheur effectuera ensuite une re s miotisatio
207. to process and understand the data that they merely display at present L exemple le plus c l bre est sans doute le projet Cyc Wood00 contenant au jourd hui un demi million de faits Ce projet a n cessit le travail de 25 informati ciens pendant 20 ans Ses co ts de d veloppement 50 M furent financ s par des mul tinationales ainsi que par la D fense Am ricaine DoD Nous retiendrons deux r sultats de ce projet Le premier est une d monstration r cente dans les locaux du Pentagone qui a r ussi associer par une suite de savantes inf rences anthrax avec Ben Laden En guise de commentaire nous citerons L une des premi res t ches est de discerner le statut th orique de ces ac tivit s intelligence artificielle et il n est pas s r que la seule fa on d y 3 URI Uniform Resource Identifier 20 CHAPITRE 2 STATUT DES MOD LES INFORMATIQUES LE CAS DES ONTOLOGIES parvenir ni la meilleure soit de parler de machines qui jouent aux checs qui reconnaissent des images qui comprennent des tex tes m me si cette phras ologie est encore abondamment employ e par les chercheurs eux m mes et si elle voque assez bien d un point de vue externe les fonctions que semblent remplir ces syst mes Le malheur c est que de telles formulations sont doublement trompeuses pour les profanes qu elles mystifient en accr ditant le mythe des machines pen santes
208. toire et protohistoire europ enne In Banques de donn es arch ologiques Marseille 12 14 juin 1972 DenhiereEtBaudet92 Denhi re D Baudet S Lecture comprehension de texte et science cognitive Paris PUF 1992 317 p 153 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION DenoueEtVignollet00 Denoue L Vignollet L An annotation tool for web browsers and its applications to information retrieval In RI4O 2000 Conference Proceedings Content based multimedia information access CID CASIS 2000 p 180 195 DerrienPeden90 Derrien P den D Analyse des structures de documents une approche objet These de doctorat Universite de Rennes 1 1990 DesfargesEtHelly91 Desfarges P Helly B L arch ologie syst me d information scientifique In Aplicaciones Informaticas en Arqueologia Teorias y sistemas Saint Germain en Laye 1991 Diykstra84 87 Dijkstra E W Science fiction and science reality in computing en ligne EWD952 1984 1987 Disponible sur Internet lt http www cs utexas edu users EWD ewd09xx EWD952 PDF gt consult le 30 09 03 Dreyfus72 Dreyfus L D Intelligence artificielle Mythes et limites Paris Flammarion 1984 443 p Note Edition originale en anglais publi e en 1972 revue et compl t e en 1979 Dubois91 Dubois D S mantique et cognition Cat gorie prototypes typicalite ditions du CNRS 1991 342 p Dubois99 Dubois F Arch ologie et mode de fo
209. trouver des articles ou des monographies y faisant cho Les prises de position des participants restant tr s avant gardistes dans la discipline arch o logique nous avons t contraints g n raliser notre tat de l art aux Sciences Hu maines voire m me pour certains aspects aux Sciences en g n ral En termes purement m thodologiques ceci revient juste prendre plus de risques tant donn que plus un discours scientifique pr tend l universalit et plus il sera facile r futer 16 Chapitre 2 ontologies Statut des mod les informatiques Le cas des LE LOGICIEN AU VIEUX MONSIEUR Voici donc un syllogisme exemplaire Le chat a quatre pattes Isidore et Fricot ont chacun quatre pattes Donc Isidore et Fricot sont chats LE VIEUX MONSIEUR AU LOGICIEN Mon chien aussi a quatre pattes LE LOGICIEN AU VIEUX MONSIEUR Alors c est un chat LE LOGICIEN AU VIEUX MONSIEUR Autre syllogisme tous les chats sont mortels So crate est mortel Donc Socrate est un chat LE VIEUX MONSIEUR Et il a quatre pattes C est vrai j ai un chat qui s appelle Socrate Ionesco Rhinoc ros Le discours des chercheurs en informatique au sujet des ontologies en parti culier dans le cadre du Web s mantique nous semble r v lateur d une certaine in d cision dans la communaut concernant le statut de leurs mod les L une des d finitions les plus accept es de l ontologie informat
210. u au d but de ce si cle d autres s engagent r solument dans des voies nouvelles et font parfois aux yeux des premiers figure d h r tiques Je ne doute pas qu A Dumont qui fut un initiateur en certaines mati res ne se f t int ress aux recherches qui dominent l arch ologie d aujourd hui c est donc sa m moire que ie d die ces quatre propos sur ce que sans faire par l r f rence la seule New Figure 10 6 Lecture avec Porphyre 2001 d un extrait des Collections de l cole fran aise d Ath nes en ligne 4 Retour d exp rience Le prototype d alors tait bas sur un serveur de contenu et un serveur de struc ture Le premier tait constitu de servlets appliquant des algorithmes maison a des images JPEG Le second tait con u de telle sorte que les r seaux de description puissent d pendre les uns des autres suivant un ordre partiel Par exemple tout descrip teur du r seau d une biblioth que pouvait tre g n ralis par un descripteur du r seau 120 CHAPITRE 10 CEFAEL COLLECTIONS DE L ECOLE FRANCAISE D ATHENES EN LIGNE d un chercheur condition que ce chercheur soit abonn la biblioth que Chaque serveur devenait alors le client de plusieurs autres Le premier probl me rencontr concernait le serveur de contenu D une part 1l tait regrettable de ne pouvoir g rer que des versions d grad es JPEG des fac simil s
211. ue La d tection d incoh rences entre points de vue n est possible que si on ajoute des relations galit subsomption s quence etc entre des descripteurs appartenant des points de vue diff rents Par exemple pour comparer deux structurations de corpus un expert pourra af firmer que le site arch ologique Shisma Eloundas est quivalent au site appel par un autre auteur Schisma partie de la r gion d Elounda car dans Eloundas le s est la marque d un g nitif grec Autre exemple l expert pourra faire une tude comparative des datations de diff rents sites en explicitant le fait que lorsqu un auteur parle de l poque MR III il s agit en fait d une subdivision de ce qu un deuxi me auteur appelle Minoen r cent S 1l est clair que de telles correspondances ne peuvent tre faites que par les ex perts eux m mes 1l faudrait toutefois les assister si l on veut comparer des mod les de taille importante Nous proposons de leur fournir une sorte de moteur de macros leur permettant de rechercher automatiquement certains patrons qu ils d finiront puis d ajouter une contrainte donn e si la correspondance est valid e par I expert Pour reprendre nos exemples l expert choisira de rechercher tous les couples de descripteurs 4 B descendants d un descripteur ayant pour tiquette R gion et pour lesquels A a une tiquette de la forme
212. ue ou de vestige de type mobilier mais pas de vestige de type architectural cette description ne correspond en effet aucun document du corpus consid r Apr s s lection par l utilisateur de mobilier le syst me passe l tape 2 vestige de type B pigraphique mobilier 5 dat tape 2 Le corpus s lectionn traite de vestige de type mobilier Cette des cription correspond exactement celle de l un des documents Celui ci est affich Des corpus plus sp cialis s traitent de bijou ou de vase Aucun ne traite de vestige 87 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION de type architectural ou pigraphique Apr s s lection par l utilisateur de vase le syst me passe l tape 3 S vestige S de type E mobilier B J vase J bijou dat tape 3 Le corpus s lectionn traite de vestige de type vase mobilier et de vestige dat On remarque que le fait qu il soit dat est inf r par l ordinateur car tous les documents du corpus traitant de vase traitent de vestige dat Les corpus plus sp cialis s traitent de vase pal ochr tien de vase archa que de pa l ochr tien ou d archa que Aucun ne traite de vestiges de type architectural pigraphique classique Le document qui tait possible l tape
213. um riques Lyon 29 30 mai 2002 HetzlerEtMiller98 Hetzler B Miller N Four critical elements for designing information exploration systems en ligne In CHI 98 Workshop Innovation and Evaluation in Information Exploration Interfaces Los Angeles California April 18 23 1998 Disponible sur Internet lt http www pnl gov infoviz sigchi98 gt consult le 09 10 03 lacovella97 Iacovella A Etudes des proximit s dans l espace fun raire Le cas de la n cropole occidentale de Megara Hyblaea Archeologia e Calcolatori 8 1997 p 67 102 lacovella02a Iacovella A Collections scientifiques et nouvelles technologies enjeux m thodes et tat des projets In Journ es d tudes sur les Mod les op ratoires de production et de diffusion des collections scientifiques dans les biblioth ques num riques Lyon 29 30 mai 2002 Iacovella02b Iacovella A Mod le op ratoire de navigation pour les experts Appropriation s mantique et d limitation de l espace documentaire In F Ghitalla Ed La navigation Num ro sp cial Les cahiers du Num rique vol 3 n 3 Paris Herm s 2002 lacovella03 Iacovella A Choix m thodologiques concernant la formalisation des contenus s mantiques dans la documentation num rique Perspectives scientifiques et exp rimentations dans les tudes arch ologiques A para tre dans les Suppl ments au Bulletin de Correspondance Hell nique 159 CONSULTATION ASSIST E
214. un m me contenu documentaire a une vignette b une vue de la Source UNE VU UN TAG MENT rentrent onde tennis enr lennteeres 68 Figure 6 4 Fonction d encadrement automatique dans un contexte de lecture comprenant des fragments et leur source 69 Figure 7 1 L arbre de Porphyre Fresque du XVII s et diagramme de classe Ne Si dde elite cc its 73 Figure 7 2 Indexation l aide des graphes conceptuels d une monographie traitant des timbresamphorig es thasiens ernieren ta n RS es te nn 74 Figure 7 3 Mod le du domaine n cessaire l indexation de la figure pr c dente CONCEPISTelallONS Cl IM Shan Cost crror a a a a ANET 74 Figure 7 4 Mosa que noire sur fond blanc ou blanche sur fond noir Bruneau76 75 Figure 7 5 Exemple de r seau de deSCrIPUOn nan dunes 71 Figure 7 6 R seau de description diagramme de classe UML 78 Figure 7 7 Structure en treillis de l espace des documents 81 Figure 7 8 Structure en treillis de l espace des descripteurs cceeeeeeesseeeeeeeeeeeeeees 81 Tableau 7 1 Exemple de correspondance entre des documents et des descripteurs 82 Tableau 7 2 Correspondance entre les requ tes et les corpus de documents calcul e partir de l exemple dutableau 71 nt ne dents nain 82 Figure 7 9 Diagramme de classe notation UML d riv de l espace des documents 82 Figure 7
215. unc de la pragmatique Rastier98 p 7 8 33 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION premi re par exemple comprend la culture et l histoire la fois de l auteur et de la so ci t auxquels le texte appartenait Afin d viter de plonger les Sciences Humaines dans une subjectivit d brid e Dilthey choisit de placer la compr hension dans la tradition m thodologique de l Her m neutique c est dire la science de l interpr tation En effet cette science destin e au d part l tude des textes sacr s avait pos la question des limites de l interpr tation et propos un certain nombre de r ponses tudier la situation dans laquelle un texte a t crit comparer un texte avec des textes contemporains ou ant rieurs avec d autres ver sions du m me texte avec des commentaires post rieurs multiplier les interpr tations et engager le d bat ou en dernier recours s en remettre la tradition d interpr tation l autorit ou au pr jug pour se forger une opinion provisoire En r sum avec Dil they apparaissait une pist mologie assez claire des Sciences de l Esprit pist mologie guid e par une herm neutique de la compr hension totalement disjointe du processus explicatif cf Figure 3 1 Ce mod le va tre remis en cause avec la naissance du structuralisme en linguis tique au d but du XX si cle et surtout son extension toutes les sp cialit s des Scien
216. ur Internet lt http www csdl tamu edu csdl pubs klaus TecRepKlaus html gt consult le 09 10 03 Tribollet03 Tribollet R Gestion hyperm dia de corpus documentaires h t rog nes M moire d ing nieur Conservatoire National des Arts et M tiers 2003 TriggEtWeiser86 Trigg R H Weiser M TEXTNET A network based approach to text handling en ligne In ACM Transactions on Office Information Systems Vol 4 No 1 January 1986 p 1 23 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 5401 5402 gt consult le 09 10 03 Trigg88 Trigg R H Guided tours and tabletops tools for communicating in a hypertext environment en ligne In CSCW 8S8 Proceedings of the ACM Conference on Computer Supported Cooperative Work New Y ork ACM Press 1988 p 216 226 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 62266 62283 gt consult le 09 10 03 Turing50 Turing A M Computing Machinery and Intelligence en ligne In Mind volume 59 number 236 1950 p 433 460 Disponible sur Internet lt http www loebner net Prizef TuringArticle html gt consult le 09 10 03 Turner84 Turner R Logiques pour l intelligence artificielle Masson 1984 TVML00 Interface web de TransVision Manuel de r f rence de TVML SGBI Entreprise SA 2000 Ubeda97 Ubeda T Contr le de la qualit spatiale des bases de donn es g ographiques en ligne Th se de doctorat en informatique INSA de Lyon 1997 Disponibl
217. ure son propre point de vue Une d finition a alors t donn e de mani re d abord informelle puis l aide de sp cifications alg briques Enfin nous avons vu de mani re formelle puis sur des scenarii comment on pouvait instrumenter l expert dans sa t che d arpentage de l espace documentaire gr ce aun m canisme de filtre 92 Chapitre 8 Parcours de lecture When the user is building a trail he names it in serts the name in his code book and taps it out on his keyboard Before him are the two items to be joined projected onto adjacent viewing positions Thereafter at any time when one of these items is in view the other can be instantly recalled Moreover when numerous items have been thus joined together to form a trail they can be reviewed in turn rapidly or slowly by deflecting a lever like that used for turning the pages of a book It is exactly as though the physical items had been gathered together from widely separated sources and bound together to form a new book It is more than this for any item can be joined into numerous trails Tapping a few keys projects the head of the trail A lever runs through it at will stopping at interesting items going off on side excursions Vannevar Bush As we may think 7 Comme nous l avons vu dans le chapitre pr c dent les r seaux de description permettent une navigation de corpus en sous corpus et inversement Si cette naviga
218. us consid r mes les struc tures suivantes la structure bibliographique du rapport en colonne la structure par s pulture et la typologie des vestiges tombes mobilier restes humains Cette exp ri mentation nous encouragea d une part revoir notre gestion des contextes de lecture pour afficher par exemple une carte de r partition du mat riel arch ologique et d autre part r diger un guide des bons usages l intention des experts souhaitant cr er des mod les complexes 12 Le mod le actuel de Porphyre laisse envisager un certain nombre d volutions Une premi re consisterait en la cr ation d un espace intersubjectif permet tant d expliciter les relations entre points de vue et de faire ressortir ainsi les zones d achoppement Une seconde correspondrait a la constitution d un espace diachronique offrant la possibilit de visualiser la dynamique des points de vue Ces deux aspects pourront plus particuli rement tre tudi s dans le cas de la manipulation par l arch ologue du document d architecture et du temps arch ologique Pour conclure nous pourrions dire que si cette th se ne pr tend pas avoir puis la probl matique initiale nous pensons que sa cl ture entame une nouvelle dynamique dans l histoire du projet Pour reprendre les d finitions de Basarab Nicolescu Nicoles 143 CONSULTATION ASSISTEE PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION cu96 nous serions en train de p
219. velopment of de vices for their use Our ineptitude in getting at the record is largely caused by the artificiality of sys tems of indexing When data of any sort are placed in storage they are filed alphabetically or nu merically and information is found when it is by tracing it down from subclass to subclass It can be in only one place unless duplicates are used one has to have rules as to which path will locate it and the rules are cumbersome Vannevar Bush As we may think 6 Dans le chapitre pr c dent nous avons d fini la notion d objet documentaire Dans ce chapitre ci nous verrons comment en d crivant de mani re structur e ces ob jets nous les mettrons en contexte les uns avec les autres Suivant la nature des objets documentaires le r sultat de cette mise en contexte pourra tre interpr t comme un document au sens traditionnel un corpus de documents ou encore comme un docu ment sur mesure Autrement dit nous ne ferons pas de diff rence formelle entre la description d une section parmi un document r daction celle d un document parmi une collection indexation ou encore celle d un fragment parmi un dossier bibliographique annotation Dans un premier temps nous tudierons comment la question de la description de documents de mani re structur e est ordinairement trait e Dans un deuxi me temps nous proposerons un mod le bas sur la notion de point de vue Enf
220. versity of Texas Pan American Technical report 1992 Disponible 155 CONSULTATION ASSIST E PAR ORDINATEUR DE LA DOCUMENTATION sur Internet lt http bahia cs panam edu info_vis inf_nav info_nav_tr_92 html gt consult le 30 09 03 Frauenfelder01 Frauenfelder M A Smarter Web en ligne Technology Review November 2001 Disponible sur Internet lt http www ontoprise de download A_Smarter_Web pdf gt consult le 30 09 03 FutrelleEtZhang94 Futrelle R P Zhang X Large scale Persistent Object Systems for Corpus Linguistics and Information Retrieval en ligne In Digital Libraries 94 Proceedings of the First Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries College Station Texas June 19 21 1994 Disponible sur Internet lt http www csdi tamu edu csdl DL94 paper futrelle html gt consult le 30 09 03 Gallay86 Gallay A L arch ologie demain Beltond 1986 GammaEtAl94 Gamma E Helm R Johnson R Vlissides J Design Patterns Elements of Reusable Object Oriented Software Boston Addison Wesley 1994 395 p Gardin84 Gardin J C Les bases de donn es dans les sciences de l antiquit l ajus tement n cessaire des fins aux moyens In Banques de donn es et sciences de l antiquit 1984 Gardin86 Gardin J C Syst mes experts et publications savantes The Fifth British Library Annual Research Lecture London The British Library 1986 16 p Gardin96a Gardin J C La r
221. vingienne Figure 11 5 M r onymie utilis e pour d crire une chronologie celle de G de Mortillet Jockey99 d Mod liser des instanciations La relation de A a B peut galement tre utilis e pour mod liser que l objet B est une instance de la classe Par exemple cf Figure 11 6 un petit bombylios corinthien en mauvais tat est une instance de la classe Bombylios Notons que la polyhi rarchie nous permet de pr ciser que cet objet est aussi une instance de Vestige corinthien 128 CHAPITRE 11 LA NECROPOLE OCCIDENTALE DE MEGARA HYBLAEA FT Vestige Vestige dat FT Vestige corinthien FT Vestige typ Bombylios E un petit bombylios corinthien en mauvais tat Figure 11 6 Instanciation multiple e Mod liser des liens d association non orient s Pour mod liser un lien d association au sens UML entre deux objets A et B nous utiliserons un descripteur C sp cialisation de A et de B Ainsi cf Figure 11 7 les objets un squelette et un vase sont ils reli s par le lien sont au m me niveau E Vestige E Squelette E un squelette FT Vase E un vase E sont au m me niveau Figure 11 7 Lien d association sont au m me niveau f Mod liser des associations non orient es On peut galement souhaiter typer un lien d association par exemple pour re chercher les liens de m me type Nous devons alors g n raliser le lien par un descrip
222. volution cognitive et l arch ologie In Archeologia e Calcolatori 7 1996 p 1221 1230 Gardin96b Gardin J C Formalisation et simulation des raisonnements In Une cole pour les sciences sociales Paris Cerf et EHESS 1996 p 185 208 GayteEtA197 Gayte O Libourel T Cheylan J P Lardon S Conception des syst mes d information sur l environnement Herm s 1997 GenestEtChein97 Genest D Chein M An Experiment in Document Retrieval Using Conceptual Graphs In Proceedings of the fifth International Conference on Conceptual Structures Seattle WA USA August 3 8 1997 LNAI 1257 Berlin Springer Verlag 1997 p 489 504 GenestEtSalvat98 Genest D Salvat E A Platform Allowing Typed Nested Graphs How CoGITo Became CoGITaNT In Proceedings of the sixth International 156 BIBLIOGRAPHIE Conference on Conceptual Structures Theory tools and applications ICCS 96 Montpellier France August 10 12 1998 LNAI 1453 Berlin Springer Verlag 1998 p 154 164 Genest99 Genest D Vers un syst me de recherche documentaire base sur les graphes conceptuels In Actes du XVIIe congr s INFORSID La Garde France 2 4 juin 1999 p 115 131 Genest00 Genest D Extension du mod le des graphes conceptuels pour la recherche d informations Th se de doctorat en Informatique Universit Montpellier II 2000 181 p GerstlEtPribbenow9S Gerstl P Pribbenow S Midwinters end games and body parts a classification
223. yennant une formation d tablir des descriptions plus pr cises Nous donnerons plus loin une esquisse du contenu d une telle formation cf Chapitre 11 2 Un mod le base de points de vue Notre mod le appel r seau de description se pr sente sous la forme d un gra phe orient acyclique cf Figure 7 5 Les n uds sont appel s des descripteurs et les arcs des sp cialisations Un arc orient entre les descripteurs et B se lit tout objet documentaire d crit par B l est aussi par 70 ee SE Que l informaticien qui n a jamais chang au cours d un processus de mod lisation une instance en classe ou une classe concr te en classe abstraite nous Jette la premi re pierre 1 vE AE A r r x r r 7l Contrairement aux travaux cit s pr c demment o chaque document tait d crit par un graphe distinct des autres 76 CHAPITRE 7 R SEAUX DE DESCRIPTION L gende Facette Es pescabteur ordinaire Identifiant Sp cialisation Corpus de mosaiques de Mme Dupond Corpus de mosaiques de M Dupont Blanches sur fond noir Couleur des motifs Noires sur fond blanc Figure 7 5 Exemple de r seau de description Il est important de mentionner que seul les noeuds et les arcs sont utiles pour le syst me Mais de sorte que les usagers puissent interpr ter le r seau nous associons a chaque n ud une tiquette et chaque arc son
224. zip gt consult le 26 09 03 Ackerman94 Ackerman M S Providing Social Interaction in the Digital Library en ligne In Digital Libraries 94 Proceedings of the First Annual Conference on the Theory and Practice of Digital Libraries College Station Texas June 19 21 1994 Disponible sur Internet lt http www csdl tamu edu csdl DL94 position ackerman html gt consult le 26 09 03 AitKaciEtA189 Ait Kaci H Boyer R S Lincoln P Nasr R Efficient Implementation of Lattice Operations en ligne In ACM Transactions on Programming Languages and Systems Vol 11 No 1 Jan 1989 p 115 146 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 59287 59293 gt consult le 26 09 03 Allen83 Allen J Maintaining knowledge about temporal intervals en ligne In Communications of the ACM 26 11 1983 p 832 843 Disponible sur Internet lt http doi acm org 10 1145 182 358434 gt consult le 26 09 03 Il nous a sembl plus pertinent d un point de vue de l histoire des sciences d indiquer dans la clef de citation l ann e de premi re dition plut t que celle de l dition consult e Dans la bibliographie l dition consult e est mentionn e dans le corps de la r f rence tandis que l dition originale est d crite en notes Exemple Dreyfus72 Dreyfus L D Intelligence artificielle Mythes et limites Paris Flammarion 1984 Note dition originale en anglais publi e en 1972 revue et compl t e

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