Côte d`Ivoire - unesdoc
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1. b o KORHOGO 9 BASSIN DU NIGER o o 0 Partie ivoirienne 999506 Echelle 1 2000 000 o PASE D UNE BRIGADE HYDROLOGIQUE Division des Ressources AU Eaux de Surface F1igue 92. tu des forages de puits contr le des points d eau et pompes formation de responsables villageois la Sous Direction de l Hydraulique urbaine alimentation des villes en eau potable tarification de l eau organisme de contr le de la SODECI la Sous Direction de l Assainissement et du Drainage traitement des eaux us es r seaux des eaux pluviales limination de d chets urbains et ordures m nag res protec tion des eaux La DE a le statut d administration g n rale et ne dispose pas de ressources propres elle n est pas autoris e vendre ses pro duits avec un profit commercial b Activit s de la SDH 14 La SDH g re environ 155 stations hydrom triques Figure 3 dont 52 sont quip es d instruments enregistreurs La SDH dispose gt galement des donn es de 25 stations t l transmission apparte nant l Onchocerciasis Control Project OCP de l OMS et au pro gramme HYDRONIGER de 1 0MM Ces derni res stations sont int gr es au r seau de la SDH laquelle fournit les courbes de tarage En particulier les informations en provenance des stations de l OCP sont transmises par un systeme ARGOS dont la station de r ception se trouve Odienn dans le nord ouest de la C te d Ivoire 15 Le D partement Exploitation de la SDH assume l ensemble de la routine op rationnelle l exploitation et un premier traitement Primaire des donn es collect es Le d partement est subdivis en quat
3. Treichville 66 En conclusion Les structures existantes sont pleinement op rationnelles et couvrent l ensemble du domaine des ressources en eau en C te d Ivoire c Un riche patrimoine de donn es 67 L ANAM la DE surtout da SDH et la DERT de l EECI poss dent ensemble un riche patrimoine en donn es pluviom triques climatologiques agrom t orologiques synoptiques hydrologiques et limnim triques Cette banque de donn es quoique non centrali s e est quasi compl te pour la p riode allant des ann es 50 nos jours D autres donn es comme les donn es climatologiques et pluviom triques sont disponibles pour des p riodes de r f rence couvrant jusqu 65 ans La SDH dispose partir de l ann e 1953 d un r seau limnim trique dense et poss de des connaissan ces excellentes sur la relation hauteur d bit gr ce au grand nombre de jaugeages effectu s 68 L ensemble de ces donn es constitue une richesse inouie qui permet la r alisation d un grand nombre d tudes scientifiques dans le domaine de l exploitation des ressources en eau La ma jeure partie des donn es du moins partir des ann es 50 est disponible sur support informatique La SDH vient de r ussir la conversion de sa banque de donn es originellement stock e sur le UANG 2200 vers des fichiers crits sous MS DOS Le cas de l ANAM disposant d un syst me BURROUGHS a certainement d j t examin de plus pres a Des bud
4. FNGIRE d terminerait des moyens d autonomie financi re 82 Cette conclusion rejoint pleinement la recommandation expri m e lors du VIIIe Congr s du Parti d mocratique de C te d Ivoire en 1985 voir ANONYME 1985 Document complet P 203 qui pr conise la cr ation d une Autorit nationale pour la coordi nation de l utilisation de l eau pour les divers besoins hydraulique humaine hydraulique agro pastorale hydro lectri cit e L absence d tudes Gestion int gr e des ressources en eau d un Bassin versant 83 En dehors des tudes d ailleurs d un bon niveau sur le climat la pluviom trie et l agrom t orologie r alis es par l ANAM il semble que fort peu d tudes sur les ressources en eau aient t faites 84 Faute de moyens budg taires et aussi en raison de t ches de routine lourdes il ne reste ni le temps ni l nergie pour mener des tudes de synth se Un exemple typique est constitu par la 29 SDH o le D partement Etudes et Publications doit lutter pour d bloquer les cr dits n cessaires l impression des annuaires hydrologiques de C te d Ivoire pour les ann es 1984 et suivantes 85 L av nement de la micro informatique devrait faciliter la gestion des donn es et encourager la coop ration des utilisateurs de donn es au sein du groupe ad hoc sugg r 86 La nouvelle structure PNGIRE devrait tre r gionalis e l chelle d un grand bassin versant Alor
5. Unesco Programme national de la gestion int gr e des ressour ces en eau d finir Programme hydrologique international de l Unesco Programme national de l hydraulique Programme des Nations Unies pour le d veloppement Soci t d am nagement urbain et rural Sous Direction de l hydrologie Syst me hydrologique op rationnel fins multiples Soci t de distribution d eau de C te d Ivoire Simulator for Water Resources in Rural Basins USDA Union des producteurs et distributeurs d lectricit en Afrique United States Department of Agriculture v PREFACE Le pr sent rapport couvre la mission que M Gaston Ren Demar e a effectu e en R publique de C te d Ivoire du 21 avril 1989 au 5 mai 1989 comme consultant de l Unesco La mission a t financ e au titre du Programme de Partici pation de l Unesco pour 1988 1989 Elle avait pour objet princi palement Apr s analyse et diagnostic en collaboration avec les responsables nationaux Minist res des Travaux Publics Direc tion de l Eau Minist re des Eaux et For ts Minist re de l Agri culture Minist re de la Sant Minist re de l Industrie etc d valuer l ensemble des activit s relatives la gestion des ressources en eau aussi bien au niveau des infrastructures de base stations hydrom triques t l stations que des moyens de traitement et d inter pr tation mod les math matiques et de stockage des donn es d va
6. VEN E NC VD yy PASE D UNE BRIGADE HYDROLOGIQUE Duos des Ressources en Eaux de Surface a Fig We 6 BASSIN DU BANDAMA Echeiie 1 2000 000 t i BOUNDIAL I O j L S gu kiel KORHOGO n s e 4 24 Rte Badikaha LE sd Farandougou RtebDabaka Bad arabadiassa be b ovo m BASE DUNE BRIGADE HYDROLOGIQUE a Va ou OE m m e at e D C H Division des Ressources gt Eaux de Surtace cM fige e f BASSIN de la COMOE o o MALI g7 SA et de la VOLTA NOIRE gt 7 EN partie ivoirienne Echelle 12500 0 2 i f o S o AUTE VOLTA doso S o 9 9 990 Se o bM o l o Na Vs o o o 1 g A A oo os A Q oo LY A Lo bA y i lt TN A N T hini E X Kafolo Bjronuoco V x E LA bssian N 1 Emse z l d E BONDOUKOU B ebeua X ED gt o B souaxe N E s puotemit e f La e D Ka e o a S N GHANA o o 4 Amassu o 4 S a Wes s A M ba 1 o l s l J fAbradinos t 0 A BASE SUNE BRIGADE E MW sronorosique GNE 4 j ABN i o T ABIDJAN de Surtace Division des Ressources en B C H ar 13 ua ce sap song a cn 2 m ABIDIAN Z BASSINS COTIERS Prise d os A cs BASE D UNE BRIGADE Gand B r y nA PEDRO I uvonouocique g 210614 MALI rd Pd 4 j
7. recommand e par l EECI en 1974 qui fournit la plus grande partie de la production N anmoins des centrales thermiques ont t mises en marche notamment dans la zone industrielle du port d Abidjan mais elles doivent avoir suscit une certaine d ception lorsqu on a constat que les fora ges p troliers ne r pondaient pas aux esp rances Bussang et Le blanc p 30 34 L nergie lectrique d origine hydraulique est produite par les barrages de Kossou et Taabo construits en cascade Bassin du Bandama de Bayo Bassin de Sassandra et d Ayame Bassin de la Bia 35 L EECI ressent comme primordial a le manque et ou le retard des donn es hydrologiques hydrom triques et climatologiques b l laboration de mod les de gestion de r servoirs fins mul tiples pas de pr vision adapt s aux r alit s de la C te d Ivoire c l absence de l gislation et de proc dures administratives concernant la gestion des barrages 36 L EECI a besoin pour la gestion optimale de ses barrages de donn es en temps r el Elle ne peut se satisfaire d obtenir les donn es de la SDH et de l ANAM apr s des semaines voire des mois d attente En outre une nouvelle saisie est requise les fichiers sont ensuite g r s sur PC l aide du logiciel HYDATA de l Institute of Hydrology de Wallingford Royaume Uni 37 L EECI se pose comme objectif la gestion en temps r el d un certain nombre de stations automatiques plac es
8. 9 10 11 et 12 octobre 1985 Document complet Frater nit HEBDO Editions Maison du Congr s Abidjan ANONYME 1985 L Institut Royal M t orologique au Service de Tous Ce que la M t orologie apporte la Collectivit Documen tation M t orologique Bruxelles IRM 71 p ANONYME 1986 Compte rendu de la Conf rence sur l Assistance de l Agrom t orologie et de la Climatologie l Agriculture Bouak 16 et 17 octobre 1986 244 p ANONYME 1986 89 GO6 3 01 micro Syst me de gestion d une base de donn es hydrologiques sur micro ordinateur Manuel d Appren tissage Fascicules I V Centre national de r f rence du SHOFM pour la Belgique ANONYME 1987 H76 2 04 micro Calcul du d bit partir des re lations analytiques hauteur d bit Manuel d utilisation Centre national de r f rence du SHOFM pour la Belgique 53 p ANONYME 1987 H76 3 02 micro Ajustement analytique des rela tions hauteur d bit Manuel d utilisation Centre National de R f rence du SHOFM pour la Belgique Fascicule I et fascicule II 208 p ANONYME s d Coop ration Franco Br silienne en Amazonie In stallation d un r seau de Transmission par satellite des hauteurs d eau de l Amazone et de ses affluents ORSTOM Paris et Ministe rio das Minas e Energia Brasilia AYIBOTELE N B with contributions from L J MOSTERTMAN and VU MANIAK 1988 Evaluation of the Unesco sponsored post graduate courses in hydrology and water ressources
9. Gestion des Ressources en Eau En cette mati re ses partenaires sont principalement la SDH l ANAM la SODECI la SODESUCRE ainsi que d autres a Statut de la SODECI 42 La soci t de distribution d eau de C te d Ivoire SODECI S est constitu e en 1960 partir de sa maison m re la Soci t d Am nagement urbain et rural SAUR avec comme mission l exploitation et l alimentation en eau potable de la ville d Abidjan La SODECI est une soci t priv e dont le capital est 54 ivoirien Etat 3 et dont 46 appartient la SAUR Elle est cot e la bourse d Abidjan 43 Le Programme national de l Hydraulique PNH a d cid en 1973 que la SODECI assurerait dor navant la gestion et l exploitation de toutes les installations d eau en C te d Ivoire Le Fonds national de l Hydraulique FNH est charg de la gestion finan ci re du Programme C est le FNH qui contracte les emprunts recueille la part des recettes revenant l Etat et assure le service de la dette 44 Le Minist re des Travaux Publics et des Transports est l organisme de tutelle et c est la DE qui contr le la SODECI b Activit s de la SODECI 45 La SODECI repr sente en 1989 plus de 220 000 abonn s desservis dans 260 villes et villages on estime qu elle dessert 45 de la population ivoirienne La consommation moyenne est es tim e environ 50 l personne jour ce qui n est somme toute 11 qu une consommation faible Sa production to
10. SC 88 WS 33 47 Pp XVI Annexes BUSSANG F et LEBLANC G 1986 en C te d Ivoire Guides visa Hachette guides bleus 157 p 27 COULIBALY A 1983 Variations et utilisations agroclimatologi ques de la r gion de Ferkessedougou Minist re des Travaux Pu blics et des Transports A N A M 63 p j COULIBALY A 1980 Etude agroclimatologique de la culture du riz Iguape Catteto dans la r gion de Gagnoa A N A M Service de la M t orologie Nationale 18 p 2 Annexes DOUMBIA A 1989 Analyse exhaustive de la disponibilit de l eau en C te d Ivoire Minist re des Travaux Publics et des Transports Direction de l Eau Sous Direction de l Hydrologie 11 p KONAN KOUAME P 1989 Analyse de l usage de l eau en C te d Ivoire Minist re des Travaux Publics et des Transports Direc tion de l Eau Sous Direction de l Hydrologie 6 p NIEUWENHUYSEN P and PROVOST F 1987 Elaboration of princi ples and guidelines for the establishment of national information centres and systems and their linking with regional and inter national systems Unesco IHP III Project 17 1 Preliminary Report April 1987 13 p OMM 1988 Composition de l OMM WMO OMM No 5 TCHAGBA L s d Analyse des Institutions Responsables des Eaux en C te d Ivoire Minist re des Travaux Publics et des Trans ports Direction de l Eau Sous Direction de l Hydrologie UPDEA 1984 Hydrologie hydraulicit et climatologie Tentative d explication de
11. avec Ll ANAM et 1 EECI elle est aussi un partenaire priviligi de l IIRSDA plusieurs de ses dirigeants ont effectu des tudes universitaires ou des stages prolong s en France f Autres sous directions de la direction de l eau 27 Les autres sous directions ne collectent ni donn es relatives la s dimentation la qualit de l eau et la temp rature de l eau ni donn es pi zom triques 28 Il existe n anmoins la Sous Direction de l Hydraulique vil lageoise une banque de donn es informatis e contenant des infor mations sur l ensemble des points d eau en C te d Ivoire 29 La Sous Direction de l Hydraulique Urbaine compte actuelle ment 370 localit s branch es desservant 8Q 90 de l effectif urbain On estime qu un abonn la distribution d eau repr sente environ 1C consommateurs La Sous Division de l Hydraulique vil lageoise emploie 40 personnes dont 2 3 d ing nieurs et 1 3 d agents administratifs et de techniciens Ses besoins en person nel se verraient accrus par la cr ation envisag e d une unit de contr le dans chacune de ses neuf r gions on estime que 40 per sonnes suppl mentaires r parties selon le m me rapport seraient n cessaires Le Sous Directeur souhaite que son personnel re oive une formation permanente par l organisation l tranger de sta ges de six mois raison de deux agents par ann e a Statut juridique 30 L EECI fut cr e en 1952 avec l assistance
12. de l Electricit de France EDF Elle assure la production le transport et la distribution d lectricit sur l ensemble du territoire national Ivoirien L EECI est une Soci t d Economie mixte donc gestion Priv e mais avec des capitaux de l Etat 92 3 L EECI est g r e par un Conseil d Administration comprenant 9 repr sentants de l Etat Elle est plac e sous la double tutelle du Minist re de l Industrie et du Plan et du Minist re de l Economie et des Fi nances L EECI a un Pr sident Directeur g n ral un Conseil d Administration et une Direction g n rale 31 L EECI comporte quatre directions op rationnelles et six di rections fonctionnelles La Direction des Etudes et Recherches technologiques DERT est directement concern e par le probl me de la gestion int gr e des ressources en eau 32 Onze centres permettent l EECI de couvrir l ensemble du territoire avec un total de 375 000 abonn s dont environ 200 000 dans la grande banlieue d Abidjan L horizon de 1990 pr voit 170 villes et 830 villages lectrifi s soit en termes de population le raccordement de 60 des Ivoiriens au r seau de distribution C est particuli rement l lectrification rurale qui pose probl me puisque c est la partie la moins rentable et la plus ch re tant donn que l EECI pratique le m me prix sur l ensemble du territoire ivoirien b Relation de l EECI avec les ressources en eau 33 C est l option hydraulique
13. en amont des bar rages pour la mesure des param tres climatiques limnim triques et hydrologiques L information serait ensuite t l transmise par le syst me ARGOS ou par METEOSAT 38 L estimation de l vaporation des grands plans d eau n cessitant soit des mesures directes ou la mesure de nombreux param tres climatiques est un facteur essentiel dans le bilan d eau des r servoirs 39 Il appara t que le barrage de Kossou second par celui de Taabo ne livre pas les Megauatts escompt s Quelles en sont les raisons Il se peut que les s ries chronologiques ayant servi son dimensionnement n taient pas suffisamment longues En plus elles n incluaient aucune information quant aux incidences cata strophiques de la s cheresse sah lienne qui persiste depuis pres que deux d cennies 40 Un document volumineux de l UPDEA 1984 pr sent la Conf rence de Lom 1984 met l accent sur la descente des isohy tes annuels L excellent travail de Monsieur A Coulibaly 1983 de l ANAM montre clairement un d ficit significatif de la moyenne d cennale 1971 1980 par rapport la p riode 1941 1980 la sta tion de Ferkessedougou 10 c Besoins en mati re de gestion des ressources en eau 41 Les besoins de 1 EECI cit s plus hauts sont pressants et pr cis L EECI est la recherche des structures de moyens d auto financement ainsi que d une l gislation capable de r soudre ses besoins au niveau de la
14. galement un besoin urgent de formation l tranger La Division entretient une collaboration excellente avec la SDH dont elle obtient les donn es de d bits 57 L IIRSDA a succ d l ORSTOM ivoiris en 1984 bien que son fonctionnement soit toujours pris en charge par la France C est un centre de recherche scientifique on ne s y occupe pas de la gestion des r seaux de mesures Au sein de l Institut internatio nal travaillent des chercheurs scientifiques ivoiriens et tran gers 58 Depuis 1987 un programme de recherche scientifique est en voie de r alisation il porte sur la mod lisation math matique pas de temps mensuel ou d cadaire de la relation pluie d bit de bassins versants ivoiriens Le but est de d velopper des mod les de gestion des apports d eau m t oriques et des ressources en eau l chelle d un bassin versant Une tude compar e de la perfor mance de plusieurs mod les est en cours elle concerne des bas sins situ s dans les diff rentes zones climatiques de C te d Ivoire 59 A noter que l ORSTOM intervient avec l OMS dans un projet le programme OCP localis Odienn dans le nord du pays pour la t l transmission de donn es par syst me ARGOS et la mise en place d un gros logiciel pour la pr vision des d bits 60 Le CNI PHI est pr sid par Son Excellence le Ministre des Eaux et For ts Son secr taire dynamique est Monsieur Eustache Ouayoro Directeur adjoint des Se
15. national ivoirien pour le programme hydrologique international de l Unesco Commission nationale de l environnement Centre national de r f rence du SHOFM Runoff USDA Chemicals and Erosion from Agricultural Mana gement Systems Centre de recherches oc anographiques Direction de l eau Minist re des travaux publics et des transports Direction des tudes et recherches technologiques de l EECI Division des ressources en la SDH de la DE eau de surface maintenant Electricit de France Energie lectrique de C te d Ivoire Etablissement public caract re administratif Etablissement public int r t commercial Fonds national de l hydraulique Fonds national de la gestion int gr e des ressources en eau d finir Institut des Savanes et d tudes Institut de documentation de recherches maritimes Minist re de la d fense Institut d cologie tropicale Institut international de recherche scientifique pour le d veloppement d Adiopodoum Satellite m t orologique op rationnel europ en MS DOS OCP OMM OMS ORSTOM PCM PGI PNGIRE PHI PNH PNUD SAUR SDH SHOFM SODECI SURRB UPDEA USDA Civ Microsoft Disk Operating System Onchocerciasis Control Project Organisation m t orologique mondiale Organisation mondiale de la sant Institut fran ais de recherche scientifique pour le d veloppement en coop ration Programme climatologique mondial General information programme
16. orologistes de classe I 3 m t orologistes de classe II ou techniciens sup rieurs et 65 agents de ma trise Pour satisfaire aux exigences d un programme d activit s normal son besoin en personnel se chiffre comme suit 13 ing nieurs 23 techniciens sup rieurs ainsi que des agents de ma trise 8 L ANAM fonctionne comme un EPIC donc avec int r t commercial Cet EPIC est financ raison de 20 par l Etat et raison de 80 par des moyens propres provenant essentiellement de ressour ces a ronautiques taxes de la mise en location de b timents et de la vente des produits En tant qu EPIC l ANAM est soumise deux contr les budg taires ind pendants ce fait peut retarder consid rablement la mise disponibilit des moyens 9 Ainsi l ANAM est largement tributaire du PNUD pour ce qui con cerne les quipements la formation et les consultants on estime que quelque 75 de son budget manent de sources ext rieures 10 Le projet PNUD IVC 82 006 a r cemment renforc l agrom t oro logie au sein de l ANAM C est un domaine primordial pour la C te d Ivoire pays vocation essentiellement agricole Plusieurs publications de bon niveau scientifique t moignent d ailleurs de l activit de la section agrom t orologie Une publication trai te en particulier des incidences de la s cheresse sah lienne dans le nord du pays et compare la pluviom trie de la d cennie 1971 1980 celle des d cennies ant
17. rieures COULIBALY 1983 e Relation avec les ressources en eau 11 En ce qui concerne les ressources en eau l ANAM exploite le r seau pluviom trique et est ainsi d positaire des donn es La cr ation r cente d une section M hydrom t orologie peut tre com prise comme une certaine diversification des activit s de l Agen ce vers des domaines propres l hydrom t orologie 12 L ANAM et la Sous Division d hydrologie SDH rel vent toutes deux du Minist re des Travaux Publics et des Transports Leurs activit s sont compl mentaires et expliquent l existence de deux banques de donn es dans le domaine des ressources en eau l une climatologique et pluviom trique g r e par l ANAM l autre limni m trique et hydrom trique g r e par la SDH Ces deux institutions se r v lent tre ainsi des partenaires id aux La Direction de l eau a Composition 13 La Direction de l Eau DE au sein du Minist re des Travaux Publics et des Transports est responsable en mati re d approvi sionnement en eau et depuis 1984 d assainissement La Direction de l Eau comprend quatre sous directions la Sous Direction de l Hydrologie SDH anciennement la Divi sion des Ressources en Eau de Surface DRES r seau national d observation et de mesures hydrom triques valuation des ressources en eau et tudes y relatives la Sous Direction de l Hydraulique villageoise alimentation de la population rurale en eau potable
18. sur l eau le consultant recom mande l adoption du logiciel MICRO ISIS 95 Le consultant notant le manque de coordination entre les institutions concern es par les ressources en eau et l absence d une gestion int gr e des ressources en eau recommande que soit envisag le lancement d un Programme national de la Gestion in t gr e des ressources en Eau PNGIRE ainsi que la cr ation d un Fonds national de la Gestion int gr e des Ressources en Eau FNGIRE qui assurerait une autonomie financi re 22 96 Pour la gestion int gr e des ressources en eau l chelle d un bassin le consultant recommande l laboration de mod les simples r ellement adapt s aux r alit s de la C te d Ivoire Les modeles SURRB et CREAMS con us par le USDA pour la gestion des ressources en eau dans des bassins ruraux sont la fois faciles manipuler et bien document s ils pourraient constituer une bonne premi re approche aux probl mes rencontr s en C te d Ivoi re 97 Vu les n cessit s d ducation formelle et de formation dans le domaine de l Hydrologie et des Ressources en Eau telles qu exprim es par les responsables nationaux ivoiriens le consul tant recommande que devraient tre organis s des stages de formation dur e 3 6 mois des stages de suivi dur e limit e sur des sujets tr s pr cis des bourses d tude pour les programmes d tudes post uni versitaires comme par exemple les Progra
19. AGROMEOTEO iINFORMATIOU NTKE LE Figure 2 Le reseau de l ANAM et ses trois BANGOLO 0 OLUEKOUE 0 OULEPLE i ub eoo 0 SUIOLO Oone TAI SUD NoM ONE gt gt SUD 50 55 64 Pluvio metri qual ENTRE NORD TOUKQUG BE U 0 issia Qar OT E 691 Tego KANAKONO MAMNINIAN SOU O I MBQNOUE i panto a e e SANALA KOUTO OUANSOLD SAMATIOUR A A os e KASSERE N MAQNANI Demas oro dc pe RA e A CTIEME 9 BONDIALI _ SINEMATUL e SiKOLO RALE P sinaNA SEGUELON AA BONA c e KOMBOL 80U60USSO SIRASSO NAMELEDOUOOU nong RE SERVE O 0 KE DI X QUIESE ONDOFIDOUJ BA DHODOUS OU TAFIRE d Z DIOULATE n MORONOO rage OTORTIA mama e FOUMGOLU AK PiN Ju1ouBA BOROTOU e BORON e 0 KAN e BONIERE DOUGCU SE a cis LAOUDI BA e OROFLA O AWAHIKRO o SUINTESUELA TENINGOLE DIN AOUOI OUANINON anxonB O KATIOLA o o SANDEGU e SEGUEL A MARABACIA SSA SATAMAS e IPILOU e aor no GROUMANIA eTANDA 6 NARE 0 e e ou oaao PANE o BOUAKE i BIANKOUMA RN o e PRIXRO e COONNE WROUHO SEOUM SEMEN SAKASSOU MBAHIAKRO 9 NAFANA KON Pi o TROUKRO FACOBLY VAVOUA Ravan e operez ZUENOULAS KOUASSIKRO e QUELLE e edi AGOUKRO o 9 ouiBLI e DANANE TIE B SSOU 6ADOUAN sanua INFRA 0 OURAGAHO YAKASSE A m 9 ne we
20. CECM AozoPe s LAMTO GAGNOA cequ Le SOU BRIMBO 4 VALE ANOU Lise Laxota QVO e T ASSALE A YAOU o AZAGU SoUBRE eu vo woouv amens OvAPOKOI M ME Sumar o 9AZAGUE FAC e e BAXANDA KOSSIOUAN ALEPE Asomso e TEREAGUA OBABAN LAME 0BINGERVILL E e MAPIDOU OABOUe BRE DE POSTES lt rr ts CEA Cl mese us ende M regions o panoa AO X BLE KF port B a8 10 an EU 5 10 E CH L eet Figure 3 Stations hydrometriques de la SDH w e LEGENDE a Sostow vue Siemens Urtrositriqee Srono Hrcromdiriques apais Aw Lemograg e STATionS HYCADAETRIQUES DE COTE D IVOIRE ANNEE 1033 D visea e e Ena de Lm 0 P enait An eoe Liaile 00 secteu res M a n e mun ERU mam Figure Y BASSIN DU SASSANDRA SN hoewe Je N Ns J N Echelle 1 2000 000 Dioulati dougou r sassandra _bagb ialadougol C golodougou E Ta Badala e N Pi bly Pd ivo _ BASE D UNE BRIGADE HYDROLOGIQUE SAN PEDRO nn das Rois en E DESSINE PAR REL NS ov os ux de Surface DL REI N DY oos Favre 7 5 BASSIN DU CAVALLY Echelle 1 2000 000 p y fanion De wj lt gt e N e mn e i Nek mie Y OM lc N SAN PEDRO _
21. Dimanche 23 04 89 Lundi 24 04 89 Mardi 25 04 89 Mercredi 26 04 89 Jeudi 27 04 89 Vendredi 28 04 89 Samedi 29 04 89 Dimanche 30 04 89 Lundi 01 05 89 Mardi 02 05 89 Mercredi 03 05 89 Jeudi 04 05 89 Vendredi 05 05 89 24 ANNEXE N 1 RENCONTRE SUIVI Arriv e transfert M l H tel Ibis Plateau H tel Ibis Plateau Ouayoro E 9 h ANAM M Ouayoro E 15 h Direction de l Eau 9 h EECI M Sakho M 9 h SODECI Mr Talbot M M Djouka et Ouayoro E 15 h Pisciculture et Eaux Continentales Direction P che M Ouayoro E le Colonel Djedje 9 h ORSTOM M Sakho M Pause F ri 9 h Visite de Courtoisie M M Djouka et Ministre des Eaux et For ts Ouayoro E Ministre des Travaux Publics Ministre de l Industrie et du Plan 16 h Document de Synth se M M Djouka et Ouayoro E Ascension F ri Fin de Mission D part M Ouayoro E 25 ANNEXE N 2 M BRANCART RENE YVON S Directeur Etudes et Recherches Techno logiques de 1 EECI M BROU KOUAME IIRSDA CISSOKO AHMED S Repr sentant Permanent de la C te d Ivoire aupr s de l OMM ANAM S Directeur de la M t orologie M COULIBALY ABDOULAYE ANAM Chef du Service M t orologie Appliqu e DE SUTTER ALAIN IIRSDA DOSSO BRAHIMA SDERT EECI Le Colonel DJEDJE BA Directeur Direction P che Pisciculture et Eaux Continentales Minist re des Eaux et For ts M DJOUKA ANZENI Directeur de la Direction de l Eau Minist re des Travaux Public
22. I se pr sente comme une so ci t dynamique et performante disposant d un taux lev de per sonnel ivoirien et travaillant dans des structures bien d fi nies Elle peut tre consid r e comme une belle r ussite et comme exemplaire pour la C te d Ivoire et m me pour l Afrique de l Ouest La Direction de la P che de la Pisciculture et des Eaux WA A A A A A A A a a a a a a e e a e e e a e e e e a e A a e e A e A e A A e A e A e a a e a A E e continentales 50 La Direction de la P che de la Pisciculture et Eaux conti nentales rel ve de la tutelle du Minist re des Eaux et For ts Ce Minist re a pour t che principale en mati re d environnement la 12 lutte contre le d boisement et contre les feux de brousse prob l me du risque de d sertification progressive sous les effets cumul s de la s cheresse sah lienne persistante et du d boisement acc l r 51 La Direction de la P che de la Pisciculture et des Eaux continentales a galement comme mission la gestion des eaux au niveau de la p che et de l aquaculture Elle m ne cette gestion dans le cadre g n ral de la protection de l environnement ivoi rien 52 Les grandes surfaces d eau provoqu es par les barrages de l ordre de 300 000 ha de surface sont devenues des r servoirs de prot ines alimentaires Elles fournissent la population jusque l des agriculteurs un apport nerg tique consid rable et finan cier incontestabl
23. Rapport de mission R serv l usage int rieur RP 1988 1989 X 3 2 Ne pas diffuser D veloppement des connaissances scientifiques et techniques en vue de l valuation de la planification et de la gestion des ressources en eau COTE D IVOIRE Evaluation des activit s relatives la gestion des ressources en eau en C te d Ivoire par Gaston DEMAREE Les id es et les opinions exprim es sont celles de l auteur et ne refl tent pas n cessairement les vues de l Unesco Le pr sent rapport reproduit le texte m me de l auteur ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION LA SCIENCE ET LA CULTURE Unesco Paris 1989 N de s rie FMR SC HYD 89 122 Les appellations employ es dans cette publication et la pr sentation des donn es qui y figurent n impliquent de la part de l Unesco aucune prise de position quant au statut juridique des pays territoires villes ou zones ou de leurs autorit s ni quant leurs fronti res ou limites Rapport de mission RP 1988 1989 X 3 2 FMR SC HYD 89 122 Demaree Paris le 29 septembre 1989 Ci TABLE DES MATIERES Liste des abr viations Pr face I DEROULEMENT DE LA MISSION A Les institutions visit es Le Service m t orologique national La Direction de l Eau L nergie lectrique de C te d Ivoire EECI La Soci t de distribution d eau de C te d Ivoire SODECI La Direction de la P che de la Pisciculture et des Eaux continentales L Insti
24. a quasi absence de banques de donn es sur la qualit de l eau et sur les nappes souterraines ainsi que de syst mes d information g n rale 74 Le consultant a remarqu la quasi absence de donn es sur la qualit de l eau et de donn es sur les aquif res ainsi que de syst mes d information g n rale general information systems for water related users 75 Un noyau de donn es informatis es est d j en place la di rection de l Hydraulique villageoise Dans un deuxi me temps le groupe ad hoc d utilisateurs s il tait cr pourrait s tendre aux utilisateurs de donn es sur la qualit de l eau et de donn es pi zom triques 76 Un contrat portant sur le contr le de la qualit de l eau diff rents niveaux de captage et sur les analyses qualitatives pour une p riode de trois ann es vient d tre sign Il serait utile de d boucher maintenant sur une banque de donn es des eaux souterraines 77 Pourraient ventuellement se joindre au moment venu la Di vision de l Hydraulique villageoise la SODECI les Eaux et For ts ainsi que d autres d positaires de banques de donn es utiles la gestion int gr e des ressources en eau comme par exemple le CRO 1 IDREM Le ralliement devrait se faire sur des propositions d tudes concr tes d Le manque de coordination au niveau de la gestion int gr e des ressources en eau 78 La C te d Ivoire a cr un grand nombre d institutions qui
25. e Il s agit d une diversification int ressante au plan de la production des prot ines animales 53 La Direction intervient au niveau de la cr ation d emplois la formation des p cheurs et l apprentissage de la gestion de leurs propres entreprises La strat gieutilis e est le centre de formation y travaillent comme personnel de base 230 personnes qui assurent l encadrement et la vulgarisation 54 La Division entretient des contacts avec la recherche scien tifique men e l Universit d Abidjan l Institut des Savanes IDESA le Centre de Recherches oc anographiques CRO et l In stitut d Ecologie tropicale IET 55 La Division souhaite d velopper des mod les simples de p che et d exploitation de l environnement aquatique l chelle d un bassin versant La production actuelle est de 30 10 tonnes pour la p che et 3 10 4 10 tonnes pour la pisciculture Le poten tiel pourrait facilement doubler Le Minist re voudrait aussi mener une politique active au plan de l am nagement int gral des bassins versants rosion d forestation reboisement 56 Pour bien s acquitter de sa mission la Division estime que son besoin en personnel s l ve 10 ing nieurs des Eaux et For ts et 50 techniciens sp cialis s en p che et pisciculture Le nombre d agents d encadrement devrait tre port 1600 pour bien couvrir le territoire de C te d Ivoire divis en 12 zones et 24 secteurs Il existe
26. essaires frais de papier frais d im pression ainsi qu une imprimerie ayant t trouv s 23 Il est vident que la micro informatisation prochaine de la SDH aidera beaucoup le D partement des Etudes se consacrer des tudes proprement dites Il pourrait par exemple r aliser des tudes approfondies sur l valuation des ressources en eau au niveau des grands bassins versants tudes faisant partie int grante de la mission dudit D partement 24 Une information physico g ographique topographie g ologie g omorphologie p dologie et am nagement des espaces existe en C te d Ivoire mais elle n est peut tre pas adapt e aux probl mes de la gestion des ressources en eau l chelle des grands bassins Il faudrait imp rativement s assurer que cette informa tion correspond vraiment la situation actuelle vu que des modi fications importantes ont pu survenir li es soit l am nagement des espaces d forestation reboisements construction de barra ges et de routes urbanisation incessante ou la persis tance de la s cheresse qui affecte le nord du pays e Relations ext rieures de la SDH 25 Son Sous Directeur Monsieur Mamadou Sakho est membre de la Commission d Hydrologie CHy de 1l OMM Le chef de D partement d Exploitation Monsieur Laurent Tchagba coordonne d sormais les activit s du Centre national ivoirien de r f rence du SHOFM 26 La SDH entretient de bons rapports
27. gets de fonctionnement serr s ou insuffisants 69 Suite la crise conomique mondiale qui est ressentie tres fortement au plan national ivoirien en raison de la baisse sen sible des prix des produits d exportation cacao caf fruits les budgets de fonctionnement des administrations sont deve nus serr s ou insuffisants Plusieurs directions ne peuvent rem plir leur mission que gr ce une aide substantielle apport e par le PNUD ou la Banque Mondiale Les cas de l ANAM 1982 avec son projet de valorisation du secteur agrom t orologique et de la SDH 1988 qui r alisera prochainement le renforcement de ses activit s hydrologiques Projet IVC 87 009 peuvent tre cit s comme exemples de cette situation 16 70 Quelles sont les r actions possibles Il appartient aux directions concern es de prouver que leur patrimoine de donn es collect es dans le pass au prix d un grand effort et moyennant un co t non n gligeable peut d s pr sent rapporter indirectement de l argent Il faudrait faire proc der une tude co t b n fice conjoin tement par un conomiste national ou international et par la direction concern e Une telle tude indiquerait les sec teurs dans lesquels le pays pourrait r aliser des r ductions de d penses par le simple fait de disposer d une riche ban que de donn es L exemple de la pr vision m t orologique dans les secteurs de l agriculture des incidences cl
28. imatiques et de la s curit a rienne est bien parlant Il conviendrait qu un effort de pens e similaire soit fait pour d autres secteurs Une meilleure connaissance de la pluviom trie par exemple peut faire r aliser des conomies consid ra bles dans le dimensionnement d un grand barrage ou dans la conception et le dimensionnement des r seaux d gouts ou eaux pluviales Le calcul des variables climatiques pluviom triques ou hydrologiques r gionalis es viterait les frais de campagnes de mesure intensives souvent exig es l oc casion de grands projets En bref Le patrimoine des donn es climatologiques hydrologiques pluviom triques est actuellement suffi sant pour r aliser une gestion int gr e des ressources en eau en C te d Ivoire sauf en temps r el Une seconde tentative de sensibilisation des auto rit s responsables pour les budgets pourrait s op rer Par le truchement d une large campagne d informatisa tion par exemple par la diffusion d une brochure La M t orologie L Hydrologie Les Eaux et For ts au Service de Tous Une telle brochure accessible au grand public expliquerait les b n fices que la direction apporte la Nation Cette campagne pourrait pr luder une Journ e Portes ouvertes dont le succ s contribuerait largement l image de marque de la direction En m me temps la direc tion pourrait n gocier une mission la t l vision ivoi rienne pou
29. ion des autori t s et du grand public pourrait ensuite tre envisag e 21 90 Le consultant sugg re que l ANAM et la SDH toutes deux d po sitaires de banques de donn es compl mentaires et de surcro t plac es sous la tutelle du Minist re des Travaux Publics et des Transports se constituent en groupe ad hoc d utilisateurs de donn es pour r aliser conjointement des tudes sur le bilan hy drique l chelle des bassins versants 91 Ces Institutions devraient fournir des produits hydrom t oro logiques d riv s lame d au pr cipit e lame d eau coul e es timation des vapotranspirations potentielle et effective d une r gion vaporation des surfaces d eau des grands barrages va leurs r gionalis es produits qu elles pourraient vendre par la suite 92 L ANAM et la SDH ainsi que d autres institutions concern es devraient convenir d un standard de transfert de donn es en vue de r aliser des tudes pr cises et limit es 93 Le consultant pr conise la cr ation d une banque de donn es sur les eaux souterraines contenant des informations sur les forages hydrog ologie les caract ristiques des puits la qualit des eaux l inventaire des sources et des ressources exploitables Un embryon d une telle banque existe d j la Sous Direction de l Hydraulique villageoise 94 Dans le domaine des syst mes d information et de documenta tion scientifique et technique
30. l insuffisance des pr cipitations en Afrique et dans d autres r gions du monde en 1983 Union des Producteurs et Distributeurs d Electricit en Afrique Electricit de France International Congr s de Lom 4 8 Juin 1984 38 p r f UNESCO 1988 Proceedings of the Colloquium on Information Systems for Water Related Users Ed P Nieuuenhuysen Brussels 12 January 1988 IHP III Project 17 1 SC 88 US 82 74 p UNESCO UMO 1988 Water Resource Assessment Activities Handbook for National Evaluation 116 p UNESCO OMM 1981 Evaluation des Ressources en Eau Manuel pour une tude d valuation nationale Avant projet Ao t 1981 SC 81 45 122 148 p UNESCO 1988 Programme Hydrologique International PHI IV 1990 1995 Les Ressources en Eau au Service d un D veloppement durable 28 dans un Environnement volutif Conseil intergouvernemental huiti me Session Paris 21 25 juin 1988 54 p WILLIAMS J R NICKS A D and ARNOLD J G 1985 Simulator for Water Resources in Rural Basins Journal of Hydraulic Engineering Vol 111 No 6 970 986 Figure 1 Organigramme de l ANAM E UT UN SERVICE NM a METEOROLOGIQUE NATIONALE a Maintenance et Biblioth qu DIVISION METEOROLOGIE IDIVISION MEOTEOROLOGE I J APPLIQUEE AUX Publications K GENERALE et TRANSPOR RESSOURCES NATURELLES Y SE CTION SECTION SECTION SECTION SECTION SECTION SECTION PROTECTION MTO GENERALE MTO MARINE HV6ROMET ICLIMATOLOGIE
31. luer les moyens humains pour proposer un plan de formation du personnel de conception et d ex cution et de proposer des recommandations pertinentes permet tant d am liorer le syst me de gestion des ressources en eau I DEROULEMENT DE LA MISSION a Description g n rale Te Le service m t orologique national est assur par l Agence nationale des a rodromes et de la m t orologie ANAM D s sa cr ation en 1982 l ANAM a pris en charge la plupart des acti vit s men es jusqu alors par 1 ASECNA cette derni re continue toutefois g rer le volet m t orologie a ronautique interna tionale de la station d Abidjan 2 L ANAM rel ve du Minist re des Travaux Publics et des Trans ports elle est l antenne ivoirienne de l OMM Le Repr sentant permanent de la C te d Ivoire aupr s de l OMM est Monsieur A S Cissoko S Directeur de la M t orologie Dans ce cadre l ANAM est Membre de l Association r gionale I Afrique et plusieurs de ses collaborateurs oeuvrent dans les commissions techniques de l OMM La C te d Ivoire est partie constituante du Centre africain pour les applications de la m t orologie au d veloppement ACMAD install depuis peu Niamey Niger 3 L organigramme de l ANAM est pr sent la figure 1 On y dis tingue en dehors de la Division m t orologie g n rale et trans ports et des services g n raux la Division m t orologie appliqu e aux ressources naturelle
32. mmes post gradu s interuniversitaires en Hydrologie Bruxelles 98 Pour autant que les autorit s ivoiriennes envisagent de mettre en place une structure du type Agence de Bassin le con sultant recommande qu un haut responsable ivoirien fasse une visite d tude en France afin de se familiariser avec l organi sation et les moyens de financement de structures r gionalis es 99 Le consultant recommande fermement que soit intensifi le recours aux possibilit s de transfert de technologie offertes par le SHOFM de 1 0OMM Il recommande en particulier en mati re de gestion d une banque de donn es hydrom t orologiques la compo sante G06 3 01 du CNRS belge et sur laquelle sont bas s de nom breux logiciels d applications hydrologiques Le Centre de forma tion du CNRS pour la Belgique peut en outre recevoir des stagiaires 100 En marge de sa visite et dans le cadre d un renforcement et du d veloppement de la SDH le consultant a discut avec son Sous Directeur Monsieur M Sakho un projet de coop ration bila t rale concernant les composantes belges G06 3 01 du SHOFM y 23 compris l organisation d un s minaire en C te d Ivoire Si le projet venait se r aliser il serait souhaitable qu y soit as soci du personnel appartenant d autres directions directement concern es par des probl mes de gestion informatis e des donn es hydrom t orologiques DATE Vendredi 21 04 89 Samedi 22 04 89
33. r pr senter sa mission b La dispersion des banques de donn es 71 L ANAM la SDH ainsi que dans un proche avenir aussi la DERT de l EECI Sont ou seront d positaires chacune d une partie des 72 Il est important de noter que les directions individuelle ment ne peuvent pas entamer avec succ s des tudes de gestion int gr e sur les ressources en eau Dans un premier temps ces directions devront se mettre d accord sur un standard de trans fert de donn es disquette 5 1 4 fichiers crits sous MS DOS formats pour la r alisation de telles tudes Il serait sou haitable que les directions concern es constituent un Data User Group c est dire un groupe ad hoc d utilisateurs imm diats d un sous ensemble de donn es 73 Au cours des diff rentes entrevues que le consultant a eues plusieurs directeurs ont soulign l importance de la gestion des ressources en eau l chelle de l unit hydrologique c est dire du bassin versant ou bassin hydrographique La C te d Ivoire ne compte qu un nombre relativement restreint de grandes entit s fluviales le bassin du Sassandra Figure 4 le bassin du Cavally Figure 5 le bassin du Bandama Figure 6 le bassin du Como Figure 7 et les bassins c tiers Figure 8 Les bassins de la Volta Noire Figure 7 et du Niger Figure 9 se trouvent en grande partie hors du territoire ivoirien et font d ailleurs partie d une gestion internationale HYDRONIGER et OCP c L
34. re secteurs g ographiques nord est ouest et sud chaque secteur comporte 2 ou 3 Brigades Une brigade est compos e de 4 5 personnes elle effectue environ deux visites par station par mois en fonction des conditions de terrain c est dire selon les saisons s ches ou pluvieuses 16 Le dernier annuaire hydrologique de C te d Ivoire actuelle ment disponible ann e 1983 reprend 1801 jaugeages effectu s 138 points de mesure soit en moyenne 13 jaugeages par point et par ann e ou encore une moyenne d environ un jaugeage par mois compte non tenu de la des saison s s che s C est un r sultat tr s remarquable 17 Mais comme cons quence d un budget de fonctionnement deve nant de plus en plus serr d une part et du vieillissement du mat riel d autre part parc automobile mat riel de jaugeage la SDH s est vue contrainte de r duire le nombre de visites de stations Cette diminution reste acceptable au niveau de la con naissance de la relation hauteur d bit mieux connue qu au d but des observations mais risque d entra ner la d motivation du per sonnel des brigades c Moyens informatiques de la SDH 18 La SDH dispose actuellement d un vieux syst me UANG 2200 tra vaillant avec des disquettes 8 La gestion de ses fichiers s av re difficile et les informaticiens ont d recourir des solutions sp ciales 19 Une liaison directe avec un micro ordinateur AMSTRAD 1512 quip d un lecte
35. rvices Techniques de la Ville d Abidjan 14 61 C est le CNI PHI qui a introduit aupr s de l Unesco Paris une demande de mise disposition d un consultant international pour l valuation des activit s relatives la gestion des res sources en eau en C te d Ivoire a Le personnel 62 Toutes les directions visit es par le consultant sont diri g es par des responsables comp tents hautement qualifi s titu laires de dipl mes universitaires souvent obtenus l tranger dynamiques et soucieux de servir leur pays b Les structures op rationnelles 63 Toutes les directions sont structur es suivant un organigramme adapt aux besoins de leur mission il contient des divisions et des d partements Plusieurs entit s sont subdivis es suivant des secteurs ou r gions implant s travers le pays et couvrant l enti ret du territoire national ivoirien 64 Le pays dispose pour les secteurs d activit s concern s d un r seau d observateurs permanents contr l s des intervalles fixes et ayant une liaison directe avec la maison mere Abidjan Tout le personnel est recrut suivant des r gles bien tablies Les membres du personnel sont pay s r guli rement x suivant des bar mes correspondant leur formation ou dipl me 65 Toutes les directions disposent de locaux ad quats et cli matis s certains situ s dans la Cit administrative d autres dans des immeubles au Plateau ou
36. s subdivis e en quatre secti ons Hydrom t orologie Climatologie Agrom t orologie et Infor matique b Activit s et personnel 4 L ANAM g re un r seau comportant 322 stations pluviom triques dont 166 institu es par l Agence elle m me 6 stations clima tologiques 31 stations agrom t orologiques et 13 stations synop tiques Abidjan non comprise il est r parti en trois zones nord centre sud Le r seau tel qu il tait en ao t 1988 et les zones sont repr sent s la figure 2 Alors qu Abidjan assume aujourd hui le contr le sur l ensemble du pays une d centralisa 2 tion en trois centres r gionaux savoir Abidjan zone sud Bouak zone centre et Korhogo zone nord est envisag e mais n a jusqu pr sent pu tre r alis e faute de moyens quipe ments informatiques radiocommunications personnel 5 L ANAM dite r guli rement un bulletin climatologique mensuel et un bulletin agrom t orologique d cadaire qui sont mis la disposition des utilisateurs dans des d lais relativement brefs 6 L ANAM souhaite pouvoir acqu rir le logiciel CLICOM du PCM de l OMM ce qui d boucherait sur un traitement de donn es beaucoup plus performant et uniforme Dans cette perspective un responsa ble a r cemment particip un s minaire CLICOM Bamako Mali 7 Le staff de l ANAM est constitu de 175 personnes parmi les quelles on d nombre 11 agents administratifs 5 m t
37. s et des Transports KOUADIO AMANI S Directeur de l Hydraulique Urbaine DE KOUAME ANDRE SDERT EECI LAPETITE JEAN MARC IIRSDA MASSON DANIEL Directeur de la Section de Coop ration Ambas X X X xX sade de Belgique Abidjan M MENIM MESSOU Directeur de Cabinet Minist re des Travaux Publics et des Transports Son Excellence OUMAR DIARRA Ministre de l Industrie et du Plan M OUAYORO EUSTACHE Secr taire du Comit National Ivoirien pour le Programme Hydrologique International de l Unesco Directeur G n ral Adjoint des Services Techniques de la Ville d Abidjan M SAKHO MAMADOU S Directeur de l Hydrologie DE Mme SARAMATOU KONE Chef D partement Etudes et Publications SDH M SEKA ANAM M SERI ZAHIRI PAUL S Directeur de l Hydraulique Villageoise M SERVAT ERIC IIRSDA M SOROHOUROU ANAM M TALBOT JEAN FRANCOIS Directeur G n ral Adjoint de la SODECI M TCHAGBA LAURENT Chef de D partement Exploitation SDH DE re 26 ANNEXE N 3 ANONYME 1979 Compte Rendu des Travaux des Sixi mes Journ es Na tionales de Climatologie Bouak 27 28 avril 1978 ASECNA Ser vice M t orologique 44 p ANONYME 1979 Le CLIMAT de la COTE d IVOIRE ASECNA Service M t orologique 74 p XII ANONYME s d Annuaire Hydrologique de C te d Ivoire 1983 Minist re des Travaux Publics Direction de l Eau ANONYME 1985 SODECI 1960 1985 32 P ANONYME 1985 VIIIe Congr s du Parti D mocratique de C te d Ivoire
38. s la sous structure mettre en place serait en quelque sorte similaire aux Agences de Bassin fran aises ou la Water Authority du Royaume Uni mais demanderait tre sp cialement adapt e aux r alit s de la C te d Ivoire II RECOMMANDATIONS ET PROPOSITIONS 87 Une consid ration g n rale peut tre formul e concernant la Sensibilisation des autorit s ivoiriennes aux activit s de ses administrations On ne soulignera jamais assez que le pays d tient un patrimoine tr s riche en donn es hydro climatologiques Ces donn es ont pu tre collect es au prix d un grand effort de formation professionnelle et d organisation et moyennant un co t non n gligeable IL est important que cet effort soit poursuivi au risque de voir le capital investi se d t riorer progressive ment 88 Une bonne connaissance des v nements hydro climatiques est indispensable En effet contrairement des exp riences en labo ratoire des v nements hydro climatiques tels que la s cheresse dans le nord ou la surabondance de pr cipitations donnant lieu des inondations ne se produisent jamais deux fois dans les m mes Circonstances On ne fait pas rel che dans ce domaine 89 Le consultant sugg re aux directions concern es de faire pro c der une analyse co t b n fice afin de r v ler de fa on incontestable le b n fice que r alise le pays gr ce aux activit s desdites directions Une campagne de sensibilisat
39. tale se chiffre environ 100 000 000 m en 1985 La longueur totale du r seau est de 8861 km en 1989 46 L origine des eaux capt es par la SODECI est multiple eaux souterraines nappes de sables quaternaires Abidjan lentilles ou poches d eau l int rieur du pays et eaux de surface Il n y a pas de probl me particulier au niveau de la pollution Mon Sieur Talbot le Directeur g n ral adjoint de la SODECI s in qui te quand m me de ce que la construction du nouvel abattoir de la ville d Abidjan pourrait constituer une source polluante pour l aquife re Il existe un laboratoire chimique central Abidjan et un chimiste travaille dans chacune des huit directions r gio nales Les analyses de l eau se font toutes les semaines les examens bact riologiques se font l ext rieur 47 La SODECI est tr s informatis e au niveau de sa gestion admi nistrative et financi re abonn s tarification pompes Au contraire elle ne dispose pas de banque de donn es sur la qua lit des eaux 48 La SODECI repr sentait un potentiel humain de 1635 employ s ivoiris s 89 en 1985 dont en 1989 73 cadres ivoiris s 75 39 administratifs et 34 techniciens sup rieurs La SODECI s occupe elle m me de la formation permanente de son personnel dans tous les secteurs tant au niveau technique qu informatique Elle pr f re des stages l tranger adapt s l entreprise 49 maints points de vue la SODEC
40. toutes traitent d un aspect particulier de la gestion des res sources en eau Ces institutions de caract res institutionnels tr s divers fonctionnent d une maniere satisfaisante et remplis sent leur mission op rationnelle mais en rencontrant des diffi cult s budg taires La publication de Monsieur L Tchagba Chef de D partement Exploitation la SDH analyse d une fa on perti nente cette situation de labyrinthe en la mati re TCHAGBA s d 19 79 Le Programme national de l Hydraulique PNH a favoris le captage le traitement des eaux et de la sorte la distribution d eau potable pour satisfaire un besoin urgent de la Nation Le Fonds national de l Hydraulique FNH est un tablissement public caract re administratif EPA dot d une personnalit morale et de l autonomie financi re dont l objet est de concourir au finan cement du PNH 80 Le PNH a remport un succ s dont les r sultats ne cessent d am liorer le niveau de vie de l Ivoirien et de contribuer au d veloppement de la C te d Ivoire 81 Jusqu ici les aspects de la gestion int gr e des ressources en eau ont t n glig s Il conviendrait dans un effort simi laire celui du PNH et en le compl tant d un deuxi me volet de mettre sur pied une structure coordinatrice appel e par exemple Programme national de gestion int gr e des ressources en Eau PNGIRE Parall lement un Fonds national de Gestion int gr e des Ressources en Eau
41. tut international de Recherche scientifique pour le d veloppement d Adiopodoum IIRSDA Le Comit national ivoirien pour le Programme hydro logique international CNI PHI B Diagnostic Les points forts Les points faibles II RECOMMANDATIONS ET PROPOSITIONS ANNEXES N 1 Calendrier de la mission N 2 Liste des personnes rencontr es N 3 Documents consult s Page 14 15 20 24 25 26 FIGURES Figure Figure Figure Figure Figure Figure Figure Figure Figure 90 4 O NM X gt Cii L organigramme de l ANAM Les r seaux de l ANAM et la r partition des stations en trois zones Stations hydrom triques de C te d Ivoire Situa tion de l ann e 1983 Bassin Bassin Bassin Bassin du du du du Sassandra Cavally Bandama Como et de la Volta Noire Bassins c tiers Bassin du Niger ACMAD ARGOS ASECNA ANAM CLICOM CHy CNI PHI CNE CNRS CREAMS CRO DE DERT DRES EDF EECI EPA EPIC FNH FNGIRE IDESA IDREM IET IIRSDA METEOSAT iii Liste des Abr viations Centre africain pour les applications de la m t orolo gie au d veloppement Syst me de retransmission et de localisation des don n es satellitaires Agence pour la s curit de la navigation a rienne en Afrique et Madagascar Agence des a rodromes et de la m t orologie Application de l informatique la climatologie Commission d hydrologie OMM Comit
42. ur de disquettes 5 1 4 permet gr ce au logi ciel PC2200 la r cup ration des fichiers existant sur le syst me WANG 2200 Cette astuce permettra de transf rer l ensemble de la banque des donn es de la SHD vers le nouveau syst me ALTOS 386 3 terminaux 2 micros AT et des p riph riques qui devrait tre install prochainement De la sorte la banque des donn es sera utilisable sur du mat riel travaillant avec des fichiers crits sous MS DOS 20 La SDH pourra ensuite choisir un certain nombre de logiciels Traitement de texte utilities GUBASIC FORTRAN TURBO PASCAL syst me de gestion d une base de donn es General Information Systems et abandonner progressivement le syst me WANG 2200 et la programmation en BASIC 2 21 Il convient de rappeler ici que des logiciels sp cifiquement concus pour des applications hydrologiques sont disponibles par le canal du SHOFM de l OMM Entre autres la composante G06 3 01 6 qui est devenue tr s populaire et plusieurs s quences peuvent tre obtenues sous certaines conditions du Centre national de r f rence du SHOFM pour la Belgique d D partement des Etudes et Publications 22 Le D partement des Etudes et Publications s occupe essentiel lement de l dition de l annuaire hydrologique de C te d Ivoire Le tome le plus r cent se rapporte l ann e 1983 Plusieurs autres ann es sont pr tes pour l impression et paraitront pro chainement les cr dits n c
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