0 Finale académique - Orléans-Tours - CGénial collège
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1. Coll ge Fernand L ger VIERZON 18 12 M Pi DANS TOUS SES ETATS Coll ge Rollinat ARGENTON SUR CREUSE 36 13 LES EXTRACTEURS EN HERBE Coll ge Michel Chasles EPERNON 28 14 DU BOULIER A L ORDINATEUR Coll ge La Bruy re TOURS 37 15 JARDIN SCIENCES ET CUISINE Coll ge Jean Monnet LA LOUPE 28 anane an enere 16 L ENERGIE UN ENJEU MAJEUR DE DEVELOPPEMENT DURABLE Coll ge La Loge des Bois DEINCIBIECHESC D asciende Eo de 17 MISE EN VALEUR DE L ARBORETUM du parc du Ch teau d Azay le Rideau Coll ge Honor de Pie VA A CINE RE L D PA QE EE Jaa aan ape nana naa Ega Sa E a aa NDANG AE I BEN SAKAWAN ETI EN ANA EN SN NGENANI a NA Saba aa bagean 18 L ATELIER ENERGIE coll ge Pierre Auguste Renoir FERRIERES EN GATINAIS 45 19 LES TECHNIQUES D INVESTIGATION CRIMINELLE coll ge Pierre Auguste Renoir FERRIERES Is EG WB REC M ec MM 20 LES APIS MELLIFERA coll ge Jacques Decour SAINT PIERRE DES CORPS 37 21 Sciences l Ecole ie D ducat r X En acad eune 6 Fratersit karosaa e er Vieussocia rl amp ans To www sciencesalecole org 2 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Auteurs BONNET Cl ment Enseignants i COUVERTIER Marie M GOURIO DELETANG Victor math matigues El v2. Pour chaque instrument de calcul nous avons l impression de 3 me amp E Wen nous transformer en savant ou en historien la recherche de x D ques mS vasti uo HAM 5409 A 1 amusant puisque nous devons essayer de d couvrir des v quelques renseignements et du mode d emploi c est tr s techniques j 4 rares LES INSTRUMENTS DE CALCUL lal Mi A jdidilisisisiele aet Luo rn TRA H WANA AR Wa KANAKA TEES Ld 15 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Auteurs Classe de 4 repr sent e par Enseignants Axel METAYER M DALAIGRE Technologie Doriane FILLON M LAVILLE Alexia MAINIER JARDIN SCIENCES ET CUISINE Coll ge Jean Monnet LA LOUPE 28 L ACST est une option qui existe depuis plusieurs ann es dans le coll ge Cet atelier est plus particuli rement orient vers la promotion des sciences et des techniques en rapport avec l ducation au d veloppement durable Apr s la r alisation d une mare p dagogique la construction d un cohabitat la mise en place d une serre l quipe p dagogique a d cid de poursuivre et enrichir ce projet sur de nouvelles th matiques Le jardin les sciences et la cuisine Plusieurs th mes ont t abord s e De la pomme au cidre lt Du cidre au Calvados gt e La Conception orientation e
3. et l alternateur fabrication en cours 19 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge le 04 avril 2012 Campus du CNRS d Orl ans Caenal Auteurs Enseignants Nell CHATEALAIN Mme TANGUY KERZIL SVT Alan KINIUK M ROUBINET physiques chimie Florian PISSIS L atelier scientifique 4eme du coll ge de Ferrieres LES TECHNIQUES D INVESTIGATION CRIMINELLE coll ge Pierre Auguste Renoir FERRIERES EN GATINAIS 45 Dans cet atelier nous avons tudi quelques unes des m thodes utilis es par les techniciens de la police scientifique comme le pr l vement des empreintes ou l analyse des groupes sanguins Notre objectif tait d tre capables de r soudre des enqu tes Nous avons pu constater que ces techniques regroupaient plusieurs disciplines notamment la biologie et la physique chimie Notre atelier s int gre dans le parcours des m tiers et des formations puisque cette occasion nous avons pu rencontrer des gendarmes de la brigade de Ferrieres et au mois de mai nous assisterons une conf rence de Jean Yves Merour la chimie au secours de la police au lyc e Durzy de Villemandeur Extraction d ADN Pr l vement d empreintes 20 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 CaENdl Auteurs AOUAD Samir KHALDI MACHHOUR Enseignants BENDOUMA Ili s Wahiba M BOUTET Histoire G ographie BOUMED
4. n Antonio Vagnozzi et al 1 Maurice Audejean A Clement Bonnet et al Exploitation des photos La courbe de magnitude obtenue pour l toile AE UMA la violette sur le site de l observatoire de Gen ve 6 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Auteurs Marc Pierre Maxime Vivien Lorenzo Cl ment El ves de 3 au coll ge Jean Renoir BOURGES CatENidql Enseignants M ROBIN physique M NICAND techno UN BALON SONDE libre Coll ge Jean Renoir BOURGES 18 ATTEINDRE LA HAUTE ATMOSPHERE 6 l ves de 3 du coll ge se sont r unis en club chaque semaine depuis la toussaint Leur objectif est de lancer un ballon sonde m t orologique r alis avec des moyens modestes et du mat riel original bas sur le monde du libre Ce ballon sonde sera gonfl l H lium et atteindra une altitude de 15 km gr ce l obtention des autorisations n cessaires merci l association Plan te Sciences La nacelle munie d un parachute sera emport e par un unique ballon qui explosera dans la haute atmosph re UNE CARTE MICROCONTROLEUR Lors de sa mont e la nacelle emportera les composants permettant les mesures de pression et de temp rature MADE QE INITALY e Qt x a LN E HAA y n LE DIGITAL PWM P amp mW 5 TI Cette carte de type Arduino est programm e par les l ves sur des stations sous Ubunt
5. CONCOURS COLLEGE au CNRS rl ans rss c eres ole gud 2 owa S m Een 4 t miam pour ec Gee ue et neeeteoeue chant S1 a Chow 2 AV UT OGV111 w1 CaeNdl Centre R gion IN EN Ay be j Centre fronti res a e amp a La E Programme de la finale acad mique du Concours C G nial colleges Mercredi 4 avril 2012 e Lieu de la finale CNRS d Orl ans 3 Avenue de la Recherche Scientifique 45100 Orl ans e Participants 19 projets dans toute l acad mie e Programme de la journ e 09h00 09h30 accueil des groupes et installation des projets 09h30 10h00 ouverture de la journ e et pr sentation de l organisation 10h00 13h00 pr sentation des projets aux 3 jurys 13h00 14h00 d jeuner 14h00 15h30 visite de laboratoires du CNRS d lib ration des jurys 16h arriv e de Mme le Recteur 15h45 16h00 r union pl ni re et proclamation des 3 projets finalistes 16h00 16h30 nouvelle pr sentation en pl ni re des 3 projets 16h15 17h00 proclamation des r sultats et remise des prix 17h00 D part des l ves e Partenaires CNRS D l gu r gional et scientifiques participation aux jurys et remise des prix Rotary Gouverneur et membres de diff rents clubs participation aux jurys et remise des prix Centre Sciences pr t de mat riel e Prix o Trois grands prix Rectorat CNRS et Rotary o Prix sp ciaux Sciences l cole et C G nial en fon
6. ET Math matiques du coll ge Rollinat d Argenton sur Creuse 36 M MONNIER EPS Mme MONNIER Musique M Pi DANS TOUS SES ETATS Coll ge Rollinat dARGENTON SUR CREUSE 36 Apr s avoir d couvert par eux m mes le nombre pi en math matiques les l ves ont cherch repr senter ce nombre ou en tout cas une partie de ce nombre l aide des notions travaill es dans les diff rentes mati res En arts plastiques r alisation d une frise avec de la peinture en groupe avec un travail autour de la performance En ducation physique et sportive travail sur la m morisation l imagination la souplesse tout cela autour de la danse contemporaine En fran ais r alisation d un texte En math matiques recherche travail sur les mesures les arrondis travail sur la conjecture situation d bat En musique enregistrement d une chanson lors d un travail sur la rythmique et la r p tition En technologie r alisation d un grand bi d abord sur Geogebra puis en vrai enfin presque 13 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Enseignants Caenral Me BOUNIFI Nadia Physique Mr MAUVOISIN SVT j Mr SEPTSAULT Technologie Mme CARRER Math matiques LES EXTRACTEURS EN HERBE Coll ge Michel Chasles EPERNON 28 Des v g taux pour une chimie verte Auteurs BOUNIFI Nadia Club Sciences du coll ge Michel Chasles Epe
7. IENNE LE CORRE H di M HAYE SVT Souraya MENCONI Prescillia COUTABLE Thibault QIAL Wassim GRIGNON Jade SOWARUTH Nicolas HAMMOU MAMMAR SUUN Killian Atika TIFAS Lina El ves de 6 B LES APIS MELLIFERA coll ge Jacques Decour SAINT PIERRE DES CORPS 37 Au coll ge Jacques Decour des l ves de 6 ont t piqu s de curiosit pour le monde des abeilles Chaque vendredi de 16h 17h ils partent la d couverte du monde fascinant des abeilles les Apis meillifera Beaucoup de probl mes ont t pos s au d but de l ann e Quelle est l anatomie des abeilles Comment s organise la soci t des abeilles Comment les abeilles communiquent elles Quelles sont les ressemblances et les diff rences avec la soci t humaine De quoi se nourrissent les abeilles Ils trouvent leurs solutions en suivant la d marche scientifique et en utilisant le mat riel scientifique mis leur disposition mais galement aupr s de notre partenaire l association Biodivercity On esp re accueillir la rentr e prochaine 2 ruchers afin d approfondir nos recherches et r colter notre miel En attendant les l ves ont imagin une soci t humaine durable qui permet de vivre en harmonie avec les abeilles et on r alis une maquette 21 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012
8. bine La construction de la lampe part donc d une id e tr s simple on enferme un aimant dans un tube de PVC puis en entoure le tube de fil de cuivre pour faire une bobi ne Quand on le secoue l aimant fait des aller retour ce qui cr e un courant Comme l aimant change de sens dans la bobine le courant obtenu est alternatif change de sens ce qui ne pose aucun probl me pour allumer une ampoule reli e au fil Voici les obstacles que nous avons rencontr s le ler fil de cuivre tait mal choisi il a t remplac par un fil plus fin le fil se d roulait 1 a fallu le scotcher r guli rement le courant obtenu tant finalement assez faible la lampe a t remplac e par une DEL montrer que la DEL s allume si possible Finalement ce projet ayant donn des r sultats trop d cevants il a t abandonn Les bobines r alis es serviront au Projet Eolienne L EOLIENNE Dans un premier temps nous avons recherch un rotor efficace et facile construire avec les moyens du coll ge Nous avons choisi un rotor horizontal quip de 3 pales Apr s de nombreux obstacles nous sommes parvenus r aliser un rotor quilibr La conversion nergie m canique nergie lectrique sera assur e par un moteur pas pas utilis comme alternateur et r cup r dans une imprimante Actuellement notre tude consiste installer l ensemble dans une nacelle et r aliser la transmission du mouvement entre le rotor
9. ction des projets pr sent s o Chaque l ve recevra plusieurs petits cadeaux CNRS et Rotary Organisation e Rotary o VAUSSION Alain e CNRS o ROYER Florence o JEUFFRAULT Linda e Education nationale o KHAIRALLAH Michel o VALLEE Jean Marc Nous remercions particuli rement e les l ves de madame MOREAU Marielle du lyc e Paul Gauguin e monsieur Dimitri KORNBLUM e monsieur Mathieu LIGNEAU Sdences l xole minist re A 7 EE 4 JA rx nn acad E FA Drl ans T0 www sciencesalecole org 1 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenr al ZTU R gion VAN amp g lt ym Centre Sommaire LE SOLEIL Colete B eqgaerel AVODNE 31 Jasana adan aba ne bab is dMeu anth Da aga pai aka budi DAVE akan aana 3 LOIRE source de vie Coll ge B pon BLOIS DE ss KIE DANA AKERAT EN THAN GA 4 T ES RIEN SUR TERRE Coll se St Exup ry BOURGES LOS 5 ETOILES VARIABLES Coll ge Becquerel AVOINE 37 ire 6 UN BALON SONDE lt libre gt Coll ge Jean Renoir BOURGES 18 J ASTRONOMIE ET MESURE DU TEMPS Tempus Fugit Coll ge de BRACIEUX 41 8 SUCRE ROUX SUCRE BLANC QUI L EMPORTE Coll ge Joseph Crocheton ONZAIN 41 9 LA BIODIVERSITE AU COLLEGE Coll ge les Provinces BLOIS 41 10 UNE VIE PIGMENTEE Coll ge Voltaire SAINT FLORENT sur CHER 18 11 LE PEUPIER NOIR un exemple de biodiversit
10. de filtration permet de limiter ces augmentations gr ce aux micro organismes que contient la masse filtrante Cette activit nous a permis aussi de nmm nitrate retrouver les tapes du cycle de l azote 4 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenal Auteurs Enseignants Atelier Scientifique M BERNARD Physique Chimie Coll ge St Exup ry BOURGES M DARRIEUX Physique Chimie M BEZARD Math matiques M CAILLEAU SVT M GAUDRY SVT T ES RIEN SUR TERRE Coll ge St Exup ry BOURGES 18 Uu aa LA Chaque groupe avait alors pour mission de 1 Ty m fabriquer une ou plusieurs maquettes vs Tm p dagogiques permettant ainsi l assimilation de connaissances relatives au th me tudi Notre partenaire M DURAND secr taire de la Soci t Astronomique Populaire du Centre est intervenu plusieurs reprises pour apporter ses connaissances nous proposer des id es de maquettes et suivre l avancement de nos r alisations LES MAQUETTES REALISEES Apr s 20 semaines de travail les diff rents groupes ont fabriqu les maquettes suivantes e Une maquette anim e montrant la r volution de 3 plan tes du syst me solaire autour du Soleil e Une maquette des phases de la Lune avec webcam e 5 constellations form es d toiles phosphorescentes e Deux maquettes anim es de volcans de deux types e Deux jardini
11. e Campus du CNRS d Orl ans Coenal Auteurs Enseignants BERGEAULT Yoann 6 3 M PETIT Physique chimie BERNIER Talia 6 1 M Ledoux Technologie BRAY L o 6 3 M Juhel Lettres classiques CHOQUET Justine 5 3 GILLIOT Maxime 6 4 MOULUSSON Yoann 5 1 SALTON Thomas 672 SINTIER Benoit 672 TAVEAU Albane 5 3 ASTRONOMIE ET MESURE DU TEMPS Tempus Fugit Coll ge de BRACIEUX 41 Dans le cadre du club astronomie de notre coll ge les l ves ont pu constater qu astronomie et temps sont intimement li s 1l est possible en utilisant les ph nom nes c lestes de mesurer des dur es EPA RSR A rotation de la Terre observ e sur un fil d toiles circumpolaire par exemple Mais qu en est 1l des petites mesures de temps telles que l heure la minute ou la seconde C est cette t che que ces jeunes astronomes se 6 sont attel s comment mesurer de petits intervalles de temps Ainsi comme nos Anc tres ils ont d concevoir et tester divers appareils pour mesurer des dur es plus ou moins longues Laiss s totalement libres dans leurs d marches ils ont pu apr s avoir mis des hypoth ses exp rimenter observer conclure etc afin d obtenir des appareils efficaces Au terme de cette premi re tape divers petits appareils et un cadran solaire quatorial ont t r alis s par les l ves avec l aide des enseignants de physique chimie de technologie et d
12. e latin ENSIS vont d sormais utiliser des photographies dont ils sont en partie les Jauteurs pr sentant les phases de la Lune pour comprendre et reproduire l aide d une maquette utilisant des moteurs et des A engrenages les aspects r guliers de ce premier garde temps universel Ils poursuivront ainsi leurs recherches et exp rimentations m lant tour l tour la pratique la r flexion math matique l observation ou l mission et la soumission de nouvelles hypoth ses astronomiques et scientifiques Ils d couvriront galement les liens ancestraux mythologiques ou culturels que l Homme a entretenu et entretient encore avec son satellite naturel 8 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenal Auteurs Enseignants BAUDRY Cailine M de Quillacq SVT CAILLEAU Lucie M Paignon SVT SASSIER Eve M de Quillacq SVT 4 5 Coll ge Joseph Crocheton Onzain 41 Pr sentation du projet SUCRE ROUX SUCRE BLANC QUI L EMPORTE Coll ge Joseph Crocheton ONZAIN 41 Le coll ge Joseph Crocheton jardine depuis le d but de l ann e scolaire L id e tait donc de cultiver de la canne sucre et des betteraves sucri res puis d essayer de fabriquer du sucre L emplacement du jardin R alisation Il n a pas t possible de faire nos manipulations sur notre propre canne sucre ou nos propres betteraves puisque le jardin en est ses ba
13. ement le peuplier noir des bords du Cher En troite collaboration avec le lyc e de Saint Amand Montrond nous avons d cid de participer au projet et avons commenc nos recherches Lors d une sortie M ry sur Cher nous avons pris des mesures d arbres localis s par GPS et not nos Observations sur un carnet de terrain Un croquis ainsi que de nombreuses photos ont galement t prises Les donn es r colt es nous permettront de cr er des fichiers kmz sur google earth qui enrichiront alors les travaux de l INRA sur la biodiversit du peuplier noir taille des feuilles circonf rence du tronc emplacement La sortie ayant eu lieu en hiver nous avons galement pr lev des rameaux plac s ensuite dans un seau d eau afin de pouvoir r colter des feuilles Les feuilles serviront l extraction de certains g nes des peupliers noirs pour tudier la diversit des alleles Nous mettre dans la position de chercheurs est une belle aventure pour nous Nous avons pu travailler s rieusement tout en nous amusant Des prises de mesure sur notre peuplier Notre professeur d Arts Plastiques nous enseigne l art du croquis 12 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Auteurs Enseignants s CoE N al HUET Cl ment M BLONDET EPS RULLAUD Cl mentine M GUILLOREAU Techno SEVEN Morgane M MANTEL Arts plastiques et toute la classe de 6F Mme MIN
14. es de 3 LE SOLEIL Coll ge Becquerel AVOINE 37 En partenariat avec M Audejean astronome l observatoire de Chinon nous avons tudi le Soleil Nous avons cherch r pondre plusieurs questions l activit du Soleil est elle constante le nombre de taches solaires est 1l toujours le m me ces taches se d placent elles toutes la m me vitesse la surface du Soleil quelle est la taille de ces taches Faute de beau temps pour faire nos relev s nous avons travaill partir d un satellite SOHO qui photographie le Soleil tous les jours Gr ce cette recherche nous avons pu constater que l activit du Soleil et donc le nombre de taches est tr s variable Le plus nous avons montr gr ce aux observations et des calculs adapt s que le Soleil a un mouvement de rotation diff rentiel plus une tache est loign e de l quateur moins sa vitesse est importante De plus certaines taches sont normes plusieurs fois la taille de la Terre Nombre de Wolf 100 90 80 70 60 50 Colonne J 40 Nombre de Wolf 30 20 10 0 01 01 11 01 04 11 01 06 11 01 08 11 01 10 11 01 12 11 01 12 10 01 03 11 01 05 11 01 07 11 01 09 11 01 11 11 01 01 12 Mois Un relev de taches solaires Le nombre de Wolf qui traduit l activit du Soleil 3 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Canal Auteurs Bahyaoui Achra
15. f 4 Caill re Aur lien Enseignants Castagn Paul M Jourdren Lo c SVT Gueye Cheikhna M Perdereau S bastien Lacassagne Gauthier Sc Physiques Nasri Fouzy Porlier Victor Prunier Jonathan Zouadi Abderahman Atelier scientifique Loire source de vie LOIRE source de vie Coll ge B gon BLOIS 41 La Loire qui traverse la ville de Blois abrite de nombreux tres vivants aquatiques L eau constitue un milieu de vie particulier pour ces tres vivants et sa qualit influence leurs conditions de vie La mesure des principaux facteurs de qualit de cette eau au mois d octobre nous a appris que la Loire contient une eau douce au pH l g rement basique et nous y avons d tect la pr sence de nitrates et de nitrites Recherchant conserver des poissons de la Loire dans un aquarium nous avons test et suivi les caract ristiques de l eau pour leur apporter les meilleures conditions de survie Nous avons vite constat Des perches dans l aquarium exp rimental que les produits azot s sont les substances qui varient le plus Nous avons donc recherch quelles sont les causes de ces variations et comment maintenir une qualit d eau qui permette la survie de nos LE CYCLE DEITEDOUE poissons Les r sultats de nos mesures nous ont montr que la pr sence des poissons est responsable de l augmentation des quantit s d P LT nitrite de produits azot s dans l eau La mise en place d un syst me
16. ie Hygrom trie 4 me option EDD 2 Solutions a conomie d nergies au coll ge PA E Campagnes d informations logos conomie d lectricit d me option EDD R glage du chauffage agent D lamping agent Nouvelles normes de construction 4 me option EDD b nergies renouvelables dans le fonctionnement du coll ge vers un co coll ge clairage des abris v los partir de panneaux solaires photovolta ques 4 me option EDD construction de fours solaires 3 me c les m tiers li s la ferme solaire de Crucey 3 me option DP3 La station m t orologique du coll ge Maquette des abris v los 17 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 CaeEmnidl Auteurs Enseignants Jordan BADILLER M DAVID Fr d ric SVT Raphael PANDA Mlle PERRIOT St phanie PC Valentin DUPREY M JORAND Nicolas Technologie Corentin DESOEUVRE Parcours scientifique 4 me MISE EN VALEUR DE LARBORETUM du parc du Ch teau d Azay le Rideau Coll ge Honor de Balzac AZAY LE RIDEAU 37 Le parc du ch teau d Azay le Rideau est dot d un arboretum riche d esp ces centenaires et rares Aucune signal tique aux visiteurs n indique en revanche de quels arbres il s agit Dans le cadre d un partenariat avec les mus es nationaux de France les l ves de l option Sciences ont r fl chi la facon dont on pourrait d mocrat
17. iser et valoriser ce patrimoine botanique Plusieurs pistes ont t voqu es comme la mise en place d une signal tique mais les mat riaux on reux ainsi que la r alisation n cessitant une technique dont nous ne disposions pas nous ont orient vers la conception d un livret de visite destin aux enfants et aux adultes et disponible gratuitement pour les visiteurs du ch teau L objectif est que les l ves con oivent l int gralit du livret lt scientifico Iudique gt en plusieurs langues Un test de l efficience et de la bonne conception du livret p dagogique est pr vu avec d autres l ves du coll ge qui n auront pas t impliqu dans le projet 18 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 CaeEmnidl eurs Enseignants Verner SCHELLMANNS SCIENANS David COULON M PERON Technologie Simon LAISSAC M PLOTTO Sciences physiques L ATELIER ENERGIE coll ge Pierre Auguste Renoir FERRIERES EN GATINAIS 45 Il est n de l envie qu avaient deux professeurs M P ron technologie et M Plotton sciences physiques de montrer leurs l ves que les deux disciplines fonctionnent ensemble et surtout que leurs comp tences peuvent tre mises en commun pour r aliser des objets concrets Le th me de l nergie a t choisi tout naturellement puisqu il est au programme des deux disciplines en plus d tre un sujet d actualit San
18. lbutiements Toutefois apr s bien des p rip ties les betteraves sont arriv es de Clermont Ferrand en janvier et nous avons r ussi nous lancer dans notre production de sucre Betteraves sucri res Apr s bien des tapes des betteraves beaucoup de jus sucr et alors que nous retournions jardiner un peu d sesp r s par notre fabrication de sucre tr s tr s bas rendement les cristaux ont daign se former Sucre roux Sucre blanc d couvrir prochainement Q Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Enseignants Auteurs M Sall S V T C cile Adenot Antonin Bouzy Nicolas Calligaro M Arnault Sciences Physiques Fran ois Chatelard Hugo Cymberkewitch M Lambert Sciences Physiques Romain Derr Lucas Dupin Josselin Girault R mi Pellerin Coll ge les Provinces BLOIS LA BIODIVERSITE AU COLLEGE College les Provinces BLOIS 41 En SVT la principale activit consiste en la construction d un muret de pierre s che en forme de spirale et d une hauteur variant de 1 2 m au niveau du sol destin r aliser un massif de plantes nectariferes install es selon leur besoins en eau du romarin en haut la menthe en bas Dans l eau de la mare plusieurs esp ces v g tales ont t introduites comme un pied de n nuphar des lentilles d eau de la v ronique aquatique et du lycope d Europe Autour de la mare le
19. ques autour de la couleur des pigments des colorants et leur histoire travers les si cles La seconde phase du projet et la plus importante d un point de vue horaire a consist en la pr paration de pigments colorants et laques La troisi me phase du projet encore non amorc e concernera l utilisation de pigments colorants et laques pr par s en peinture et en teinture Deux techniques de peintures seront abord es sous un angle scientifiques la tempera et la peinture l huile Egalement deux techniques de teintures seront vues la teinture en cuve et la teinture par mordan age Enfin la derni re phase du projet consistera en la r alisation d une production artistique bi dimensionnelle partir des pr parations faites tout au long de l ann e Photo 1 Pr paration de la laque de cochenilles Photo 2 Calcination de l ocre jaune tape de broyage 111 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 CaEN ql Auteurs Ben Ghanem Rim Enseignants Pichoff Laura Mme Lecarpentier St phanie Quignodon Marcelline Mlle Davy Marion 3 mes du coll ge Fernand L ger Vierzon LE PEUPIER NOIR un exemple de biodiversit Coll ge Fernand L ger VIERZON 18 Nous sommes sensibilis s depuis le d but du coll ge la biodiversit et sa pr servation Un travail de recherche nous a alert sur les dangers pesant sur un arbre rencontr dans notre environn
20. res pour voir l effet de la Lune e Une maquette voquant les dangers auxquels est soumise la Terre 5 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Auteurs FAVRAU Cl mence FONTAINE Ma lys Enseignants LOISEAU Alexandre M GOURIO MORHANGE Baptiste math matiques El ves de 3 au coll ge Becquerel Avoine ETOILES VARIABLES Coll ge Becquerel AVOINE 37 En partenariat avec M Audejean astronome l observatoire de Chinon nous avons tudi les toiles variables des toiles dont la luminosit n est pas constante Nous avons cherch obtenir des courbes de magnitude pour tudier ces variations Pour cela nous avons pass plusieurs nuits l observatoire afin de prendre de tr s nombreuses photos que nous avons ensuite trait es avec un logiciel nomm IRIS Gr ce cette recherche nous avons pu constater que ces toiles n avaient pas toutes les m mes variations Nous avons ensuite envoy nos r sultats l observatoire de Gen ve qui recueille les donn es d astronomes du monde entier et notre travail a t publi Ainsi nous avons pu apporter notre contribution une recherche mondiale AE UMa 0 99 E 2009 01 25 95536 M 2144 08 09 T20 085888894 0 000000025 f 4 121 0 50 0 45 i 040 IHRER H trirti i2 o o cC es gt e eo gt h c0 0 Silvano Casulli
21. rnon Les laboratoires Expanscience notre partenaire nous a pr sent une partie de son travail lors de la soir e scientifique organis e par le coll ge Nous avons donc d cid de nous int resser leur travail et d tudier l extraction de v g taux La premi re tape fut donc d tudier de s lectionner planter et r colter des v g taux pr sents d j ou non dans notre tablissement Notre choix a t de planter de la lavande ainsi que des roses mais ces derni res ne pourront tre r colt qu au printemps alors afin de pourvoir tester les techniques d extraction nous avons r colt des plantes aromatiques d j pr sentes dans notre tablissement tels que le thym et la sauge Nous avons ensuite effectu une recherche pour identifier les diff rentes techniques d extraction que nous pouvions tester Nous avons choisi de commencer par la technique la plus lon e Jusqu pr sent nous avons test les techniques suivantes e enfleurage froid et chaud L infusion La d coction La mac ration La distillation sans et avec mac ration au pr alable Extraction par solvant Entrainement la vapeur Pendant que nos r alisions ces tests nous gardions des chantillons pour les soumettre des analyses plus pouss es avec l aide de notre partenaire Un probl me est survenu lors de notre d marche certains des chantillons obtenus ont donn naissance des moisissures et champignons avan
22. s l ves ont plant titre exp rimental divers v g taux des lieux humides comme l iris des marais les joncs les roseaux les massettes et les carex La haie s parant l espace mare de la cour de r cr ation a t compl t e par la plantation d une viorne lantane d un h tre et d un fusain 10 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 CaeEmnrdl Auteur ROY Emilie Enseignants 5 me Coll ge Voltaire Saint Florent sur Cher M ROY Physique Chimie M PINI Arts Plastiques UNE VIE PIGMENTEE Coll ge Voltaire SAINT FLORENT sur CHER 18 Depuis la nuit des temps la couleur impr gne plus ou moins fortement la vie quotidienne des hommes son histoire tant intimement li e celle de l humanit L int r t de cet atelier est d amener les l ves se questionner sur le th me de la couleur et de voir s tablir des ponts entre diverses disciplines telles que la chimie l histoire et les arts plastiques Quelles ont t les p riodes marquantes dans l histoire des mat riaux de la couleur Comment l homme utilise t il la nature pour obtenir des couleurs A partir de quand a t il commenc copier la nature puis tenter de faire mieux Autant de questions que les l ves sont amen s se poser et d velopper travers cet atelier Ce projet comporte quatre phases La premi re a consist faire des recherches informatiques et bibliographi
23. s bien savoir o nous allions nous avons pens proposer aux l ves les objectifs suivants 1 se documenter sur la production d nergie 2 r aliser un dispositif cr er de l nergie objectif suffisamment vaste pour que les l ves ne soient pas limit s dans leurs choix et qu ils trouvent facilement les moyens de les r aliser la transporter sur au moins 50cm alimenter faire fonctionner un appareil 3 expliquer dans un fascicule les tapes de la construction ainsi que la base historique et les applications actuelles LA CENTRALE HYDRAULIQUE La premi re id e tait de faire tourner une turbine gr ce un ballon de baudruche de f te foraine si on pr f re d abord plac sous l eau puis rel ch pour qu il remonte Comme le projet semblait tr s difficile r aliser voire inutilement compliqu nous l avons r orient pour quil ressemble plus un moulin eau Nous avons construit ce projet avec du mat riel de r cup ration un moteur de la d chetterie une bouteille d eau un rayon de v lo des cuill res de pique nique du surgrip de tennis un peu de mat riel de techno des plaques de plastique bleu pour la structure de la colle et du mat riel de bricolage de la mousse polyur thane et deux boulons LA LAMPE TORCHE Ce projet utilise le principe de l induction magn tique c est dire que le passage d un aimant dans une bobine fait apparaitre un courant lectrique dans le fil de la bo
24. t choix des vari t s et l implantation d un verger dans le coll ge e Lafin de la construction et l automatisation de la serre en accord avec les principes du bioclimatisme et du d veloppement durable gestion de temp rature gestion d humidit gestion d clairage gestion de la ventilation e Syst me d arrosage automatique et conomique R cup ration d eau de pluie en cours d installation e Bio compostage e R alisation de cultures biologiques Recherche sur les diff rentes techniques de l agriculture biologique e R colte et utilisation des cultures dans des exp rimentations e Conception r alisation et test de mat riels de cuissons cologiques four solaire cuiseur solaire Alexia Axel et Doriane pr senteront un diaporama sur les activit s men es sur le th me be la pomme au Calvados 161 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Auteurs Enseignants i ns M LAMBERT physique g me A M BOUILLY technologie 3 re option DP3 Mr PIRONNET SVT LENERGIE UN ENJEU MAJEUR DE DEVELOPPEMENT DURABLE Coll ge La Loge des Bois SENONCHES 28 1 La probl matique nerg tique Les nergies actuelles puisement des nergies fossiles 4 me option EDD Les nergies fossiles produisent du CO2 gt changements climatiques effet de serre 4 me option EDD Relev s m t orologiques Tmin Tmax Pluviom tr
25. t que nous n ayons eu le temps de les analyser Nous avons donc d cid de nous attarder sur ce probl me pour cela nous avons observ au microscope les moisissures et les champignons Pour comprendre ce ph nom ne et d terminer si nos chantillons sont contamin s nous avons d cid de faire une analyse bact riologique de ces derniers Pour cela nous allons effectuer une mise en culture telle qu elle est pratiqu e dans l industrie Cette partie n tait pas pr vue initialement Le projet doit se poursuivre par la mise en bact riologie des chantillons et en r alisant des extractions de rose et de lavande Une analyse plus approfondi des chantillons sera effectu avec notre partenaire ventuellement lors de la visite d entreprise 14 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge Campus du CNRS d Orl ans le 04 avril 2012 Caenral Auteurs BAZILLE Djemel 6 DOGAR Maxence 6 seig 5 DUBOIS Thibault 6 M BALLEREAU Math matiques Coll ge La Bruy re TOURS DU BOULIER A L ORDINATEUR Coll ge La Bruy re TOURS 37 ATEL ER Dans cet atelier scientifique nous essayons de savoir comment SCIENTIFIQUE le lundi ds 1480 ont volu les instruments de calcul au cours de l histoire Pour le moment nous nous sommes surtout int ress s quelques uns en particulier boulier machine m canique petits instruments de poche b tons de Neper r gle calcul petit singe savant
26. u ce qui leur permettra de se familiariser avec ce syst me d exploitation puissant et convivial Une micro cam ra embarqu e filmera galement le sol afin de pouvoir voler avec le ballon et d terminer sa hauteur 7 Finale acad mique Orl ans Tours CG nial coll ge le 04 avril 2012 La r cup ration de la nacelle permettra d analyser les mesures de pression et de temp rature et de mod liser leur variation en fonction de l altitude Une comparaison avec le mod le isotherme sera r alis e DES ESSAIS AVEC UN BALLON CAPTIF Afin de tester la chaine de mesures plusieurs lancers captifs ont t r alis s afin de v rifier la diminution de la pression avec l altitude DES COMPETENCES VARIEES Choix des mat riaux pour la nacelle r alisation des circuits lectriques programmation de la carte calculs de pouss e d Archim de diff rents domaines scientifiques et technologiques sont abord s POUR DES DEFIS A RELEVER Comment maintenir les circuits lectriques une temp rature acceptable alors que la temp rature ext rieure peut descendre a 50C L alimentation lectrique peut elle fournir du courant pendant les 3H de vol dans ces conditions difficiles Comment faire communiquer l air int rieur et l air ext rieur sans trop refroidir la nacelle Comment retrouver la nacelle Pr voir sa trajectoire R ponse en Mai lors du lancer de ce ballon sonde qui sera enfin libr
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