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Revue de presse de mai 2015 :

1. Technologies d assistance cognitive de quoi parle t on Depuis quelques ann es nous assistons un d veloppement rapide des technologies pour la sant et l autonomie Une partie de ces produits et services technologiques a pour but principal de compenser soutenir ou stimuler le fonctionnement cognitif des utilisateurs Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 dans diff rents contextes Ces outils sont connus sous le nom de technologies d assistance cognitive TAC ou aides techniques cognitives rappellent Maribel Pino et ses coll gues du laboratoire LUSAGE l h pital Broca de Paris EA4468 Maladie d Alzheimer facteurs de risques soins et accompagnement des patients et des familles Universit Paris Descartes en collaboration avec le centre d expertise national en stimulation cognitive CEN STIMCO En France pourtant les TAC ne sont que tr s rarement int gr es dans la prise en charge de personnes g es atteintes de la maladie d Alzheimer ou maladies apparent es Le projet THACA vise dresser un tat de lieux sur l utilisation de ces technologies pour mieux r pondre aux besoins en mati re d information sur les technologies d assistance cognitive et identifier des pistes concr tes pour int grer ces technologies plus efficacement dans les dispositifs existants de prise en charge de la maladie d Alzheimer Dans ce travail la classification internationale du fonc
2. 5 points de PIB produit int rieur brut suppl mentaires ce qui est gigantesque La question des personnes g es est particuli rement probl matique car pour elles les charges sociales investies ne sont pas forc ment suivies de consommation comme cela pourrait tre le cas pour une personne active De par les modifications d mographiques de notre pays notre syst me de protection sociale sera bient t bout de souffle et il faudra penser d autres mani res de le financer Dans ce cadre la mont e en puissance de la silver conomie peut incontestablement appara tre comme une opportunit que notre pays va devoir saisir en misant sur une autre forme de croissance Celle ci peut en effet entra ner la cr ation de nombreux emplois mais galement permettre la promotion de nouvelles technologies qui vont enrichir notre pays Journal du domicile avril 2015 Silver conomie un progr s illusoire l heure des voitures sans conducteur des avions sans pilotes conna tra t on le suivi sans professionnel Le bonheur et la s curit sont ils superposables une technicit croissante s interroge Pierre Terrasson directeur de l Association d entraide multiple Mirambeau Charente Maritime En surfant sur l id e que la d pendance de personnes g es constitue un formidable gisement d emplois la silver conomie pourrait n tre que de la poudre aux yeux gt estime t il Qui va payer C
3. Plusieurs femmes t moignent de leur exp rience pour en inspirer d autres La campagne est anim e pour l association Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Alzheimer am ricaine par la journaliste Maria Shriver ni ce du pr sident Kennedy pouse de l acteur et ancien gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger et fille de l ancien ambassadeur des Etats Unis en France Robert Sargent Shriver 1915 2011 qui tait atteint de la maladie d Alzheimer En 2010 Maria Shriver avait r dig avec l Association Alzheimer am ricaine un rapport pour alerter l opinion publique sur la place des femmes dans la maladie d Alzheimer http mvbrain alz org www alz org shriverreport shriver html 16 avril 2015 Aujourd hui je suis arriv e aux limites de ce que je peux affronter et supporter J ai v cu tr s longtemps dans l espoir que les difficult s et la perte de m moire de Philippe maient pas pour origine la maladie d Alzheimer Les premiers sympt mes remontent 2006 Il avait quarante neuf ans Le diagnostic en revanche n a t donn qu en 2011 Quatre ans durant o j esp rais que ce ne soit pas la maladie gt t moigne son pouse Depuis 2011 j ai fait tout un cheminement psychologique j ai appris accepter ce qui tait in luctable Le d fi le plus grand pour moi et mes enfants c tait d apprendre vivre avec la maladie d un mari et d un p re l ann
4. Alzheimer L ouvrage r unit des travaux qui d crivent la structuration sociale de la maladie et des mani res diversifi es de la concevoir de la prendre en charge de la traiter et de vivre avec Mallon coord La maladie d Alzheimer exp riences et regards pluriels Retraite et soci t 2014 69 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retra ite Societe 69 pdf D cembre 2014 Ethnographie pour des soci t s vieillissantes Michael Fischer professeur d anthropologie de la science et de la technologie au Massachusetts Institute of Technology Boston Etats Unis s appuie sur un travail de terrain Singapour une soci t d immigration soumise des changements sociaux acc l r s qui d valuent les existences de ceux qui sont marqu s par l ge gt et sur des productions culturelles ethnographiques litt rature rituels religieux th tre occidental th tre d ombres asiatique histoires vid os d tudiants pour illustrer la prise en compte de la diversit culturelle dans les soci t s vieillissantes Les m taphores qu il met en avant rel vent de la peur au del de la raison l histoire monstrueuse le d mon de Chine ancienne Taowu si t tu qu il combat jusqu l puisement les fant mes hantu dans la culture malaise l inconscience face l indignit de la situation des personnes g es dans un contexte de prosp rit les ann es grasses
5. En ce sens il s agit d un passionnant voyage dans les souvenirs qui d finissent l identit d une personne IL est inutile nous explique Vicky Dubois de se focaliser sur ce qui est perdu Mieux vaut se concentrer sur ce qui est pr serv et sur tous les beaux moments dont les personnes profiteront encore en cherchant le bonheur et le r confort dans les petites choses de l existence IL s agit la mani re des alchimistes cherchant transmuter le plomb en or de cr er des moments de plaisir et qui ont du sens tant pour la personne g e elle m me que pour ses proches partir des m taux ordinaires que sont les instants du quotidien Plut t que de les infantiliser et de les marginaliser il est temps de consid rer les personnes atteintes de la maladie comme les adultes vuln rables qu elles sont devenues Tout au long de son livre Vicky Dubois offre un guide pratique de r appropriation de soi tre en relation avoir de l espoir et de l optimisme concernant le futur manifester un sentiment d identit donner un sens sa vie avoir un contr le sur sa vie Dubois V M moire ma petite m moire Alzheimer vu de l int rieur H villers Belgique Ker Editions 2015 232 p ISBN 978 2 87586 094 1 www kerditions eu librairie temoins du monde memoire ma petite memoire lprettyPhoto 1498 0 https books google fr books id Y24VCAAAQBAJ amp pe PT119 amp lpe PT119 amp dq mvythe alzhe imer
6. en France la recherche en sciences de la r habilitation ergoth rapie orthophonie psychomotricit et la recherche en sciences infirmi res occupent encore une place relativement mineure dans la recherche psychosociale g n ralement dirig e par des m decins et financ e dans le cadre de protocoles hospitaliers de recherche clinique De m me tant donn s les risques de maltraitance financi re occasionn s par les incapacit s administratives et conomiques de personnes malades on peut regretter que les professionnels du droit et de la gestion du patrimoine banquiers avocats juges notaires mandataires judiciaires la protection des majeurs ne soient pas davantage associ s Gzil F Le point sur la recherche en sciences humaines et sociales sur la maladie d Alzheimer Retraite et soci t 2014 69 159 173 D cembre 2014 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf Sciences humaines et maladie d Alzheimer les questions les moins tudi es La recherche en sciences humaines fournit la fois des l ments r flexifs et th oriques de compr hension et d analyse et des outils pour am liorer concr tement les pratiques et clairer les d cisions rappelle Fabrice Gzil docteur en philosophie et responsable du p le tudes et recherches de la Fondation M d ric Alzheimer Cela signifie que les acteurs de la recherche en sciences humaines sont
7. fondamentalement multidisciplinaire Les comit s de r daction et de lecture sont compos s volontairement de membres ayant diff rents types d expertise professionnels chercheurs et issus de plusieurs disciplines a minima la sociologie la psychologie l conomie les sciences m dicales la d mographie l anthropologie le droit la philosophie les sciences de l ducation et les sciences infirmi res Long vit et vieillissements mai 2015 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 La maladie d Alzheimer exp riences et regards pluriels de la CNAV La rh torique du fl au doit elle tre la seule structurer la parole et l action publiques lorsqu il est question de la maladie d Alzheimer Si cette maladie peut tre con ue comme une preuve les exp riences qui en sont faites varient fortement Les diff rents plans Alzheimer ont soutenu la recherche en sciences humaines et sociales et ont ainsi permis aux sociologues d apporter une vision plus nuanc e et plus complexe de la r alit que celle propos e par les repr sentations communes Isabelle Mallon ma tre de conf rences la Facult d anthropologie de sociologie et de sciences politiques l Universit Lumi re Lyon 2 et membre de l quipe MEPS Modes espaces et processus de socialisation du centre Max Weber UMR 5283 a coordonn un num ro de Retraite et soci t int gralement consacr la maladie d
8. la fois des chercheurs travaillant dans les disciplines acad miques traditionnellement reconnues comme relevant des sciences humaines et sociales psychologie sociologie conomie droit philosophie g ographie sciences du langage sciences politiques des chercheurs travaillant dans des disciplines telles que les sciences infirmi res les sciences de la r habilitation les sciences de l information et de la communication la g rontologie l ergonomie le travail social et des acteurs du soin et de l accompagnement qui r fl chissent leurs pratiques et l environnement plus large dans lequel ils se situent gt Depuis que la maladie d Alzheimer Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 fait l objet de politiques d action publique sp cifiques les valuations de la recherche en sciences humaines sont en g n ral peu am nes avec ce domaine de recherche jug de mani re r currente la fois indispensable et insuffisant gt Pour Fabrice Gzil les questions moins tudi es qui paraissent prioritaires concernent notamment la d finition de m thodes et de crit res de jugement pertinents pour valuer les interventions dites non m dicamenteuses les diff rences d accompagnement selon les sp cialit s m dicales g riatrie neurologie psychiatrie les d terminants socio conomiques de l volution vers la perte d autonomie l impact des d ficits sensoriels la q
9. tat et ancien secr taire g n ral des minist res sociaux au congr s du domicile organis par UNA Union nationale de l aide des soins et des services aux domiciles Selon lui cela impliquera des r formes qui permettront de ne plus placer le sanitaire au c ur de l offre mais de privil gier l accompagnement avec une structuration de l offre en fili res de nouveaux m tiers gestionnaire de cas et son conventionnement dans une logique de parcours Les services se sentent impuissants crit Annie de Vivie Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 d Agevillage sentiment l gitime quand vous travaillez perte avec des financeurs aux injonctions contradictoires plus de professionnalisation mais moins de financements Comment reprendre la main gt pour survivre et devenir acteur de sant s interrogent les professionnels de l aide et des soins qui aspirent tre fiers de leur travail de leur accompagnement de leur service domicile ou de leur tablissement Ils r clament des comp tences des formations un management professionnel soutenant et exigeant vers la bientraitance la qualit de vie gt Pour Annie de Vivie ce serai un investissement rentable d am liorer les conditions de travail pour limiter l puisement les accidents les maladies et le turn over renouvellement du personnel associ Mais quel acteur politique majeur va t il s emparer de l enjeu
10. D cembre 2014 D ficit cognitif l ger un mod le de pr vision des risques S appuyant sur une tude de cohorte portant sur mille quatre cents personnes en population g n rale suivies depuis 2004 les cliniques Mayo Etats Unis ont d velopp un score de risque permettant de rep rer les personnes susceptibles de d velopper un d ficit cognitif l ger Un quart des personnes test es ont un risque multipli par sept Ce type de mod le qui reste am liorer et qui n cessite une validation ind pendante pourrait tre utilis pour s lectionner les personnes avant de de leur faire passer des tests de diagnostic plus co teux ou plus invasifs ou tre inclus dans des essais cliniques Pankratz VS et al Predicting the risk of mild cognitive impairment in the Mayo Clinic Study of Aging Neurology 2015 84 14 1433 1442 7 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25788555 Solomon A et Soininen H Dementia Risk prediction models in dementia prevention Nat Rev Neurol 19 mai 2015 www nature com nrneurol journal vaop ncurrent full nrneurol 2015 81 html Rompre le silence l ignorance n est pas une faveur Le Dr William Klunk pr sident du conseil scientifique de l Association Alzheimer am ricaine et co directeur du centre de recherche Alzheimer de l Universit de Pittsburgh Pennsylvanie Etats Unis crit dans le Huffington Post un article intitul pour beaucoup de personnes atteintes de la maladie d Alzh
11. autorit m dicale et ceux qui ont toujours t du langage commun mais qui ont aujourd hui un sens diff rent de leur sens premier Certes d mence n est pas un terme pr cis mais attaque c r brale ou crise cardiaque non plus Ces termes sont toutefois compris par tous les non experts D mence est un slogan f d rateur pour nos campagnes porteur d identit et de fiert Trouble cognitif majeur est un terme qui ne prendra pas il est d ailleurs trop long pour tenir sur une banderole gt J Dementia Care mai juin 2015 Reconna tre l apathie pour mieux l tudier Un ditorial du Lancet Neurology intitul l apathie qui s en soucie rappelle qu en Gr ce en 301 avant J C le sto cisme recommandait de d velopper le contr le de soi pour surmonter les motions destructrices irrationnelles qui interf rent avec le raisonnement logique Apatheia de a pathos sans passion se r f rait l id al du calme sto que L apathie n est entr e dans la nomenclature m dicale qu en 1893 Un si cle plus tard en 1990 Robert Marin de l Universit de Pittsburgh d finissait l apathie comme un syndrome clinique caract ris par une r duction des comportements intentionnels en rapport avec un d faut de motivation Il notait cette poque l absence d int r t de la communaut m dicale pour l apathie Et aujourd hui L apathie est une caract ristique fr quente de
12. d une conscience qui se trouble plonge dans la confusion et se d sagr ge on est sensible d une part au r cit qui nous fait p n trer au plus profond de la condition humaine dans ce qui constitue l essence m me de la personne Montandon A Lumi re et ombres de la maladie d Alzheimer un t l film autrichien Retraite et soci t 2014 69 133 141 D cembre 2014 Th tre Tu te souviendras de moi de Fran ois Archambault La pi ce cr e par Fran ois Archambault prix Michel Tremblay se joue guichets ferm s pendant un mois au Th tre de la Licorne de Montr al et partira ensuite en tourn e dans quarante cinq salles du Qu bec et du Canada douard un professeur d histoire camp par Guy Nadon perd peu peu la m moire jusqu un point de non retour Un homme brillant bien en vue souvent invit par les m dias pour d cortiquer des ph nom nes de soci t L entourage d douard est impuissant et arrive difficilement veiller sur lui Alors que sa femme Madeleine Johanne Marie Tremblay est bout de souffle sa fille Isabelle Marie H l ne Thibault prise par son travail a peu de temps lui accorder J ai crit de fa on intuitive gt d clare l auteur ajoutant qu il avait une source d inspiration tout pr s de lui mon beau p re est atteint de la maladie d Alzheimer gt www journaldemontreal com 2015 04 17 la piece a succes est de retour 17 avril 2015 Fon
13. et la coercition interculturelle r p t e des enfants qui ne respectent plus leurs obligations filiales Le Roi Lear de Shakespeare tr s proche des m lodrames chinois o les parents discutent toujours de l attitude filiale ou non de leurs enfants Maria Zubair et Meriel Norris de l cole de sociologie et du centre de la d mence de l Universit de Nottingham Royaume Uni analysent les concepts repr sentations et v cu des minorit s culturelles dans le champ de la g rontologie sociale La recherche s oriente dans quatre directions une reconnaissance plus large des diff rents aspects de l avanc e en ge dans ces groupes culturels Les aspects protecteurs de l appartenance au groupe l h t rog n it des exp riences les in galit s sociales au fil de la vie Fischer MMJ Ethnography for aging societies dignity cultural genres and Singapore s imagined futures Am Ethnologist 2015 42 2 207 229 Mai 2015 http onlinelibrary wilev com doi 10 1111 amet 12126 epdf texte int gral Zubair M et Norris M Perspectives on ageing later life and ethnicity ageing research in ethnic minority contexts Ageing Society 2015 35 5 897 916 http journals cambridge org action displayFulltext tyvpe 1 amp fid 9638086 amp jid ASO amp volu meld 35 amp issueld 05 amp aid 9638081 amp newWindow Y Prise en compte des diversit s volution des formules de r pit Dans le cadre du 3 plan Alzheimer 2008 2012
14. la direction g n rale de l action sociale avait demand la Fondation M d ric Alzheimer de r aliser une typologie des diff rentes Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 formules de r pit propos es aux aidants de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer tay e par une revue de la litt rature fran aise et internationale Cette tude r actualis e en 2011 dressait un tat des lieux et analysait les tendances mergeant depuis l ann e 2000 dans le domaine de la recherche et dans les pratiques de terrain En 2014 la Fondation r alisait un dossier sur la fa on dont travers le monde on r fl chit et on uvre la prise en compte des diversit s et des cultures dans l accompagnement des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et de leurs aidants La titia Ngatcha Ribert sociologue et charg e d tudes senior au p le tudes et recherches et Alain B rard m decin de sant publique et directeur adjoint de la Fondation M d ric Alzheimer expliquent beaucoup d articles voquent la non utilisation ou l acc s tardif aux services de diagnostic de soins et d h bergement par les migrants g s atteints de la maladie d Alzheimer Si plusieurs hypoth ses sont avanc es les raisons de ce ph nom ne restent mal comprises Mais tant pour les personnes malades que pour les aidants on rel ve que les personnes impliqu es ne partagent pas n cessairement les m mes repr
15. que l hypertension et l hypercholest rol mie qui pr servent la sant du cerveau souligne Kenneth Langa de la division de m decine g n rale de l Universit du Michigan et du centre de recherche en management des pratiques des Anciens combattants am ricains Sur la base de ces observations les chercheurs proposent deux projections de pr valence future de la d mence au niveau mondial le premier sc nario prend en compte ce d clin Le second ajuste les taux de pr valence futur de la d mence en consid rant la croissance pr visible de l hypertension de l ob sit et du diab te Dans le premier sc nario le co t global de la d mence pourrait tre 40 inf rieur celui habituellement estim Dans le second sc nario l volution des facteurs de risque cardiovasculaires aurait un impact minime sur l volution des co ts de la d mence Le diab te et l ob sit pourraient en effet r duire l esp rance de vie et r duire la probabilit d atteindre l ge o le risque de d mence augmente Hurd MD et al Future Monetary Costs of Dementia in the United States under Alternative Dementia Prevalence Scenarios J Popul Ageing 2015 8 1 2 101 112 Mars 2015 www ncbi nlm nih gov pmc articles PMC4410878 pdf nihms 69199 pdf Langa KM Is the risk of Alzheimer s disease and dementia declining Alz Res Ther 2015 7 1 34 26 mars 2015 www ncbi nlm nih gov pmc articles PMC4374373 pdf 13195 2015 _Article_118 pd
16. rimentations ces astreintes permettent une pr sence d infirmi res sept jours sur sept de 20 heures 6 heures ce qui facilite grandement la mission des m decins Aujourd hui pourtant la grande majorit des EHPAD plus de 80 ne dispose d aucune infirmi re pr sente la nuit Le projet de loi d adaptation de la soci t au vieillissement en cours d examen pr voit la syst matisation de l acc s une infirmi re de nuit dans son chapitre consacr l am lioration de l accompagnement de la fin de vie Pour EHPA Presse parler d acc s plut t que de pr sence est bien s r volontaire la possibilit de mutualiser de tels postes tant franchement conseill e au regard du peu de moyens disponibles pour financer la mesure www ehpa fr 30 avril 2015 R seaux de sant g rontologiques Les personnes g es atteintes pour la plupart de pathologies chroniques ont une forte propension g n rer des situations complexes plurifactorielles rappelle H l ne Bas directrice de la FREGIF F d ration des r seaux g rontologiques d lle de France L interdisciplinarit facilite l analyse multidimensionnelle de la situation et la coordination facilite la mise en uvre des axes envisag s Les fonctions de coordination su parcours de sant sont consid r es comme tant les leviers pour fluidifier le parcours de soin de ces patients dits complexes gt Mais sur le terrain La diversit d
17. sentations de la maladie le m me rapport au corps ou les m mes fa ons d appr hender les relations familiales travers le monde de nombreuses initiatives souvent port es par les associations sont mises en place pour r pondre aux enjeux actuels de l interculturalit d velopper des comp tences culturelles chez les professionnels adapter les outils de diagnostic en tenant compte de des particularit s linguistiques lutter contre la stigmatisation informer sur la maladie dans diff rentes langues et faire voluer les structures afin qu elles soient culturellement adapt es aux usagers B rard A et Ngatcha Ribert L Evolution des formules de r pit et prise en compte des diversit s Long vit et vieillissement 2015 4 4 5 Ngatcha Ribert L Maladie d Alzheimer cultures diversit s identit s Dossier th matique n 2 Paris Fondation M d ric Alzheimer Mai 2014 63 p www fondation mederic alzheimer org content download 17966 79756 file DOSSIER 20THEMATIQUE 202 pdf texte int gral Kenigsberg PA et al Le r pit des r ponses pour les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladies apparent es et leurs aidants volutions de 2000 2011 Recherches familiales 2013 10 57 69 www cairn info revue recherches familiales 2013 1 page 57 htm janvier 2013 B rard A Gzil F Kenigsberg PA Ngatcha Ribert L et Villez M Le r pit des r ponses pour les personnes atteintes de la maladie
18. un cahier d activit s phonologie approche lexico s mantique et pragmatique langage spontan criture Il s agit du premier outil alliant intervention aupr s du patient et intervention aupr s du proche labor sp cifiquement pour tre propos au domicile du patient gt expliquent les chercheurs La prise en charge orthophonique se d roule deux fois par semaine pour la personne malade et une fois par semaine pour l aidant Face des difficult s de langage naissantes et volutives l orthophonie peut permettre d pauler le patient L orthophonie constituera une action de pr vention et d accompagnement du patient la d gradation lente de son langage explique Nathaly Joyeux orthophoniste Avignon Plut t que d essayer de restaurer le langage l identique on va proposer au patient des moyens de compensation avec des cahiers de langage ou des carnets de vocabulaire qu il va avoir disposition gt Gr ce ces cannes langagi res sur lesquelles il va pouvoir se reposer le patient va apprendre communiquer autrement avant que l aphasie n ait eu le temps de s immiscer dans son quotidien Dans la mesure o il a une prise en charge qui lui donne des moyens de s appuyer dessus c est beaucoup moins angoissant que de ne rien faire et de constater simplement la d gradation du langage gt souligne l orthophoniste Petit petit et mesure que son langage se d grade le patient pourra se
19. 2 9537 7520 4 32 p Avril 2015 www rose ciboulette fr albums php http blvnt canalblog com archives 2015 04 11 31874263 htmtl 11 avril 2015 www ouest france fr leontine ou lamitie racontee aux enfants 3360757 25 avril 2015 wwvw letelegramme fr cotes darmor lannion alzheimer une jolie bd pour en parler aux enfants 17 05 2015 10631422 php 17 mai 2015 M moire ma petite m moire Alzheimer vu de l int rieur de Vicky Dubois 1 Ma petite m moire toi et moi nous sommes un bin me la vie la mort M me si nous pleurons quelquefois nous nous soutenons l une l autre Tu m aides crire ces pages tu m envoies encore quelques flashs de temps en temps Parfois je me dis que je vais arr ter un peu d crire Puis comme a me d mange je reprends mon crayon Petite Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 m moire il faut oublier ce grand vide qui nous attend peut tre Nous ne pouvons pas nous d cevoir l une l autre Il n y a plus qu une chose faire poursuivre l criture de ce livre Vicky Dubois a appris son diagnostic de la maladie d Alzheimer en 2012 force d exercices de sorties et d activit s elle vit sa maladie sereinement Sous l impulsion de la logop de orthophoniste Anne Jacquemin des cliniques Saint Luc de Bruxelles Belgique qui l a longtemps suivie elle a r dig un journal autobiographique destin au d part sa famille dans l
20. Alzheimer FQSA annonce le lancement de son programme de formation professionnelle destin aux professionnels de la sant et des services sociaux uvrant aupr s des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et des maladies apparent es Le programme de formation professionnelle de la FQSA a t cr avec l aide d un andragogue sp cialiste de l ducation et de l apprentissage des adultes dans le but d assurer une intervention humaine et professionnelle aupr s des personnes touch es par ces maladies B n ficiant de l appui financier du programme Qu bec Ami des A n s QADA du secr tariat aux A n s cette formation est inspir e des recommandations du rapport Bergman de 2009 dans le cadre de la mise en place du plan Alzheimer qu b cois Le programme de formation professionnelle de la F d ration qu b coise des Soci t s Alzheimer a pour objectif de dissiper les mythes et les pr jug s associ s la maladie d Alzheimer et aux maladies apparent es d initier les participants la reconnaissance des signes pr curseurs de ces maladies et aux facteurs de risques mais aussi de mieux comprendre le diagnostic et les diff rents stades du d clin cognitif selon une approche centr e sur la personne Flexible le programme de formation se d cline en plusieurs modules de six trente heures en plus d une formation de quinze heures qui s adresse exclusivement aux gestionnaires de r sidences pour a n s www n
21. Centre m dical Alzheimer de l Universit libre d Amsterdam Pays Bas ont men une tude ethnographique dans deux tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes afin de conna tre l exp rience de ces personnes face aux technologies de surveillance syst mes de localisation et vid o surveillance Deux th mes mergent le d sir de se confronter de nouveaux espaces ce qui implique de pouvoir d ambuler de se perdre d avoir un lieu o se retirer la r sistance les r sidents se sentant stigmatis s en manque d accompagnement et n aimant pas tre observ s Leur conclusion Les technologies ne peuvent contribuer l autonomie que si elles sont mises en place dans une approche centr e sur la personne et donc avec son consentement Nursing Ethics mai 2015 L objectif final conclut l association fran aise des ergoth rapeutes est de permettre l usager de d couvrir la technologie d assistance cognitive adapt e au maintien de son autonomie et de lui donner les moyens de faire un choix clair gt www sftag fr avril 2015 op cit Le secret de la r ussite de la silver economy ne serait il pas contenu comme pour tous les aspects de la maladie d Alzheimer dans un simple adjectif en anglais bien s r human Jacques Fr montier Journaliste b n vole Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Recherche sur la maladie Diagnostic et d tecti
22. Hebrew Home de Riverdale USA propose ses r sidents aux premiers stades de la maladie une solution pour viter que le r veil soit un moment de peur et d agitation et conduise un refus de soins www huffingtonpost fr 20 avril 2015 Mais la mutation la plus d terminante consisterait toujours associer les personnes malades et leurs aidants au choix de la technologie sa mise en service son fonctionnement Les ateliers de cr ativit crit Le Professeur Robert Moulias prouvent que m me les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer sont capables d apprentissage Les exp riences associatives montrent qu un apprentissage de l informatique est possible m me en maison de retraite Ne nous dissimulons pas cependant les difficult s qu il s agisse de compensation du handicap de t l m decine de t l surveillance voire de domotique les technologies nouvelles ont des indications en priver les a n s est une maltraitance des contre indications des non indications par exemple promouvoir la t l alarme ou la g olocalisation pour tous est un pur abus Elles ne peuvent jamais avoir pour but de remplacer l accompagnement humain ni l acc s la vie sociale IL doit se cr er une d ontologie des m tiers et une thique des pratiques de la g ronto technologie www sftag fr 17 avril 2015 op cit Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Des chercheurs du
23. article 3051134 www nvtimes com 2015 04 23 health iowa man found not quilty of sexually abusine wife with alzheimers html 22 avril 2015 www washingtonpost com news morning mix wp 2015 04 23 former iowa legislator henry rayhons 78 found not auilty of sexually abusing wife with alzheimers 23 avril 2015 www nytimes com 2015 04 28 health an intimacy that outlasted dementia html 27 avril 2015 Relations sexuelles la capacit de refuser ou non 2 Pour Ron Belgau qui enseigne l thique m dicale l Universit de St Louis Missouri Etats Unis la nature du consentement est double le consentement impliqu dans la d cision de se marier ou l tat d esprit au moment de l intimit sexuelle La question de savoir si Mme Rayhons tait capable de comprendre la situation et faire des choix est laiss e aux experts m dicaux Mais le choix plus large entre ces deux conceptions du consentement n est en aucun cas une question m dicale La jurisprudence et la loi devront clarifier la d finition l gale du consentement du conjoint dans le cas o celui ci est atteint de d mence et les maisons de retraite d finir une politique d tablissement qui limite ou autorise les opportunit s d intimit conjugale gt La question doit aussi tre pos e au Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 niveau individuel avec la progression de la maladie ajoute Ron Belgau la personne malade souha te t elle
24. d aide l investissement diff rentes mesures prises en anticipation de la future loi d adaptation de la soci t au vieillissement De plus 25 65 millions seront allou s aux d partements pour financer l APA allocation personnalis e d autonomie APA 5 millions aux fonds d partementaux de compensation et 2 9 millions la r habilitation des foyers logements Ces d penses sont rendues possibles par la contribution additionnelle de solidarit pour l autonomie CASA 2015 qui sera int gralement vers e la CNSA Actualit s sociales hebdomadaires 16 avril 2015 6 800 dollars 6 000 euros c est le co t moyen par patient d une prise en charge en soins palliatifs hospice care pour le syst me de protection sociale am ricain Medicare pour les personnes g es selon une tude men e par Pedro Gozalo de l cole de sant publique de l Universit Brown de Providence Ces r sultats vont l encontre de l id e commun ment admise que les soins palliatifs seraient moins chers que les soins habituels parce que les m decins n utiliseraient pas d actes m dicaux co teux pour prolonger la Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 vie Pour les chercheurs le co t suppl mentaire est probablement li aux soins palliatifs pour les r sidents de maison de retraite dont le d c s n est pas aussi proche que ce qui avait t anticip initialement Ces patients peuvent pas
25. d Alzheimer ou de maladies apparent es et leurs aidants Rapport d tude n 1 Septembre 2011 182 p Paris Fondation M d ric Alzheimer www fondation mederic alzheimer org content download 12441 52125 file FMA 20Rapport 20r C3 A9pit 2020 11 pdf texte int gral La France face la prise en charge de la maladie d Alzheimer de l Observatoire Cap Retraite Pour l Observatoire Cap Retraite tous les EHPAD tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes sont susceptibles d accueillir des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer au stade mod r Seulement 16 6 d entre eux sont toutefois quip s d un p le d activit s et de soins adapt s PASA Il faudrait cr er 6 386 PASA sur l ensemble de la France pour quiper tous les EHPAD et proposer un accompagnement adapt chaque personne atteinte de la maladie d Alzheimer 8 de l ensemble des places en maison de retraite sont sp cifiquement d di es aux personnes g es atteintes de la maladie d Alzheimer au stade s v re Les progr s fournis dans le domaine restent intensifier pour prendre en charge les 175 000 r sidents estim s ce taux devrait tre de 31 Pour l Observatoire Cap Retraite plus de 130 000 places seraient cr er ou adapter en EHPAD pour prendre en charge l ensemble de la population estim e des Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 personnes atteintes de la maladie d Al
26. de ses l ves chinoises Xingi Huang tudiante l Institut d administration des affaires de Poitiers qui a d couvert le tango il y a un an et demi Carolina Udovico avait particip au documentaire La m lodie d Alzheimer d Anne Bramard Blagny et Julia Blagny sur l utilisation th rapeutique de la musique aupr s de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer www centrepresse fr 4 mai 2015 La M lodie d Alzheimer Concerto 06 Carolina Udoviko 31 juillet 2014 www voutube com watch v lUU79QROS5rk vid o Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Approches culturelles la maison de th chinoise 1 Mme Y nonag naire et pr sentant les premiers signes d une d mence recommen ait parler de plus en plus le chinois cantonais sa langue maternelle Elle vivait seule Londres Ses petits enfants habitaient en dehors de la capitale et taient tr s inquiets pour elle mais taient incapables de communiquer correctement la plupart d entre eux ne parlant que l anglais Un service de soutien des pairs a aid les petits enfants obtenir du soutien et de la formation aupr s de la Soci t Alzheimer et le centre chinois local a mis en place un b n volat d amiti aupr s de Mme Y Les diff rents acteurs aident pr sent Mme Y trouver une place en maison de retraite avec d autres r sidents parlant chinois gt Entre 500 000 et 600 000 personnes d origine chinoise vivent au
27. des pertes li es la d mence Lindauer A et al The Meanings African American Caregivers Ascribe to Dementia Related Changes The Paradox of Hanging on to Loss Gerontologist 6 avril 2015 http gerontologist oxfordjournals org content early 2015 04 08 geront gnvO23 abstra ct Marathon Accompagner titre de proche aidant une personne atteinte de la maladie d Alzheimer se r v le un engagement long terme qui exige des r serves d nergie physique et mentale semblables celles d un marathonien Mais contrairement aux athl tes les proches aidants le deviennent souvent du jour au lendemain sans pr paration Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 L puisement les guette gt d clare Sylvie Charbonneau de la Soci t Alzheimer de Lanaudi re Qu bec La g n ration des personnes de soixante dix ans et plus regroupe des gens qui exprimaient peu leurs motions qui ne demandent pas d aide qui se d brouillent seuls ajoute t elle La maison ayant t le domaine de la femme pour les gens de cette g n ration la conjointe atteinte d Alzheimer serait souvent r ticente voir une ressource trang re entrer dans la maison Pourtant les hommes sont tr s minoritaires dans les groupes change et les formations pour les aidants naturels offerts par la Soci t Alzheimer Lanaudi re un point tel qu on r fl chit offrir ventuellement des sessions pour des groupes exclusivem
28. effet protecteur sur l entr e en tablissement et la mortalit Soto M et al Living Alone with Alzheimer s Disease and the Risk of Adverse Outcomes Results from the Plan de Soin et d Aide dans la maladie d Alzheimer Study http onlinelibrary wiley com doi 10 1111 jgs 13347 abstract Vivre seul avec une d mence perdre pied peu peu dans une existence fragment e Rune Svanstr m et Annelie Sundler de l cole des sciences de la vie l Universit de Sk vde Su de ont rendu visite trente deux fois six personnes atteintes de d mence vivant seules domicile Qu observent elles La personne seule atteinte de d mence vit une existence vague avec l impression qu elle ne peut pas survivre seule L activit de la personne s arr te et les mouvements du corps ralentissent La vie quotidienne devient plus difficile g rer et la fa on naturelle de se relier au monde et aux autres se perd graduellement Puis le sentiment de solitude et l oubli obscurcissent le sens de la vie Pour les auteurs il est important de mieux comprendre la vie int rieure et les besoins des personnes atteintes de d mence pour mieux organiser l aide et les soins Svanstr m R et Sundler AJ Gradually losing one s foothold A fragmented existence when living alone with dementia Dementia London 2015 14 2 145 163 Mars 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 24339094 Refus de soins rejet des autres Une tude coordonn e pa
29. en danger de la personne etc L autre probl me qui freine la d tection pr coce est le d ni des familles Il est tr s difficile pour les proches d entrevoir que le parent concern a une maladie de type Alzheimer souvent assimil e dans l inconscient collectif la folie Ces repr sentations retardent l information s miologique description des signes destination du m decin Les proches minimisent les troubles et n en parlent que tardivement alors que la maladie est d j bien install e AFP www lemonde fr www vivapresse fr https fr news vahoo com 5 mai 2015 www agevillage com 11 mai 2015 Observatoire Cap Retraite La France face la prise en charge de la maladie d Alzheimer 5 mai 2015 www capretraite fr observatoire alzheimer etude pdf mai 2015 texte int gral Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 La place complexe de la m decine g n rale dans le diagnostic Le sociologue Guillaume Fernandez l ethnologue Marine Guyomar du laboratoire d tudes et de recherche en sociologie EA3149 de l Universit de Bretagne occidentale Lorient et les g riatres Armelle Gentric et Marion Andro de l unit de recherche en thique professionnalisme et sant de l Universit de Brest EPS EA4686 s int ressent la place des m decins g n ralistes dans le processus de diagnostic de la maladie d Alzheimer et des troubles apparent s Trois articulations entre pratici
30. et al Experience of anaesthesia nurses of perioperative communication in hip fracture patients with dementia Scand J Caring Sci 13 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25867040 Permanence des soins en EHPAD la nuit L Ordre des m decins constate que dans la majorit des d partements la prise en charge des r sidents est effectivement assur e par les m decins de garde mais de mani re in gale La g n ralisation de l arr t des gardes de nuit profonde de minuit 8h combin e au nombre r duit de m decins mobiles rend la prise en soins en EHPAD tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes de plus en plus d licate souligne EHPA Presse Dans certains d partements le transport en ambulance vers les urgences est la seule solution restante Les territoires mettent donc en uvre des projets alternatifs pour pallier ces manques des exp rimentations en t l m decine notamment Indre et Loire Orne Mais la solution qui a la faveur de l Ordre des m decins c est la pr sence d infirmiers la nuit dans les EHPAD Cette pr sence est d j assur e dans certains territoires Essonne H rault Maine et Loire parfois l aide d astreintes mutualis es entre tablissements mises en place en concertation par les agences r gionales de sant ARS et leurs partenaires C est le cas en Auvergne dans les Pays de la Loire ou encore en Champagne Ardenne Souvent l tat d exp
31. fran aise l international Les principales conclusions soulignent l int r t et la prise en compte des enjeux de la Silver conomie au niveau mondial N anmoins il apparait des disparit s g ographiques sur la mise en pratique de plans d actions nationaux Le Br sil peine anticiper la transition d mographique de sa population De son c t la Chine prend les devants l aide de nouvelles politiques publiques d di es aux personnes g es en mati re de soins domicile ou en r sidence Le Japon de son c t qui compte la population la plus vieille du monde pousse au recrutement d une main d uvre trang re sp cialis e dans le soin aux seniors d pendants La Newsletter de la Silver conomie 19 mai 2015 Direction g n rale du Tr sor Les march s de la silver conomie Analyse comparative dans 8 pays Avril 2015 www silvereco fr wp content uploads 2015 05 2015 04 Benchmark Silver economie pdf texte int gral Technop nie 1 La Soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontologie SFTAG publie les textes scientifiques de ses quatri mes journ es annuelles tenues Paris les 24 et 25 novembre 2014 et dont le th me tait Sciences morale et technologie dans la Silver Economie Pour Robert Moulias de la commission Age droits libert s de la F d ration 3977 contre la maltraitance professeur honoraire l Universit Pierre et Marie Curie Paris 6
32. g riatrie du centre hospitalier Annecy Genevois en collaboration avec Vincent Rialle directeur de l unit fonctionnelle Alzheimer technologie et m thodes d interventions sanitaires et sociales gt du CHU de Grenoble ATMISS ont valu l ergonomie mat rielle d une tablette tactile du commerce dans ses fonctions g n rales et dans la fonction calendrier pour voir si elle est adapt e aux besoins et aptitudes des personnes g es Une tude pr liminaire aupr s de treize octog naires pr sentant ou non des troubles cognitifs l gers montre des difficult s importantes pour trouver le bouton marche arr t et pour allumer et teindre la tablette seulement 23 de r ussite ind pendante S il n y a pas de difficult s pour trouver et entrer dans l application calendrier trouver et s lectionner une date ce n est pas le cas pour en sortir et revenir la page d accueil ou pour noter et modifier un rendez vous La navigation sur Internet n a pas t test e Si 50 des participants se d clarent conquis par la tablette apr s utilisation ils sont 90 toujours pr f rer le calendrier papier en fin de test Les personnes atteintes de d ficit cognitif l ger rencontrent plus de difficult s que les autres dans le maniement de la tablette Leur besoin en formation et en accompagnement semble donc accru Chauzal N et al Utilisabilit de la tablette tactile chez les seniors pr sentant ou non des troubles cogn
33. la personne concern e et d avancer avec lui tout au long du processus L ergoth rapeute invite les professionnels de sant sortir d une pens e sanitaire de r solution de probl mes pour aller vers une pens e davantage ax e sur la compr hension des relations sociales Chaffangeon J Pr coniser et accompagner la mise en place des technologies d assistance cognitive Plus qu un besoin une n cessit Pour qui Par qui Pour quoi Comment In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 22 25 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Retrouver un objet perdu Giovanni Carletti et ses coll gues du centre d expertise national en stimulation cognitive CEN STIMCO en collaboration avec l quipe d Anne Sophie Rigaud du groupe hospitalier Broca de Paris EA4468 Universit Paris Descartes cherchent concevoir une technologie capable d aider les personnes souffrant de troubles cognitifs retrouver des objets perdus dans leur lieu de vie projet TROUVE Les chercheurs ont d abord construit un questionnaire adapt ces personnes puis men une analyse comparative des besoins des personnes vivant avec des troubles
34. ou lui tenir compagnie est autant de temps qui n est pas consacr aux autres proches aux activit s de loisir et surtout au travail ce qui occasionne des arbitrages Un aidant sur six rapporte avoir proc d des am nagements de sa situation professionnelle Davin B et Paraponaris A Malade d aider Les r percussions de l aide apport e par les proches aux malades Alzheimer Retraite et soci t 2014 69 143 158 D cembre 2014 wwvw statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Mettre en capacit d agir Les sociologues Blanche Le Bihan et Alis Sopadzhiyan du centre de recherches sur l action politique en Europe CRAPE UMR 6051 Rennes et Isabelle Mallon du centre Max Weber de l Universit Lyon 2 comparent deux dispositifs de r pit les accueils de jour qui lib rent les proches de l accompagnement en prenant en charge les personnes malades durant une demi journ e ou une journ e et les plateformes de r pit qui accompagnent proches et malades de mani re personnalis e en leur proposant des activit s communes ou s par es adapt es leur situation de vie Si Les deux dispositifs constituent la fois des relais et des soutiens dans l accompagnement des personnes malades l accueil de jour se situe plus nettement du c t du relais tandis que les plateformes de r pit uvrent plus
35. peur et d agitation et conduise un refus de soins Cette id e a t inspir e du film d Adam Sandler Amour et amn sie 2004 Charlotte Dell directrice explique Les proches des personnes malades qui ont accept de participer ce programme doivent enregistrer une vid o dans laquelle ils disent bonjour fournissent quelques anecdotes intimes et rappellent aux pensionnaires que le personnel les aidera s habiller et se pr parer Il est difficile de savoir avec certitude s ils reconnaissent leurs proches qui t moignent dans les vid os et comprennent vraiment ce qu ils disent Mais ils reconnaissent quelqu un qui compte pour eux et qu ils aiment gt assure Charlotte Dell Tamara Rusoff Hoen qui ne peut pas rendre visite sa m re tous les jours assure que cette nouvelle habitude a des effets b n fiques sur elle aussi je suis l avec ma m re je l aime je lui souhaite de vivre une belle journ e et je l aide se sentir mieux parce que je ne peux pas faire grand chose de plus www huffinetonpost fr 2015 04 20 aider alzheimer video proches enregistrees diffusees tous les matins_n_7098720 html 20 avril 2015 www huffingtonpost com 17 avril 2015 Projets tudiants Le prototype de lecteur audio ReMind port en collier par la personne atteinte de la maladie d Alzheimer peut tre actionn distance par ses proches depuis leur t l phone mobile Ceux ci peuvent t l charger distance des mo
36. place des familles en tablissement prix en partenariat Si Le r le des aidants familiaux est souvent per u comme essentiel dans le contexte du domicile la place des proches n est pas toujours consid r e avec la m me importance en tablissement d h bergement Pourtant l implication des familles aux c t s de leur parent et dans la vie de la structure est une des garanties d un accompagnement de qualit C est en partant de ce constat et afin de valoriser les pratiques et actions innovantes r alis es par les professionnels que la Fondation M d ric Alzheimer et l Association France Alzheimer et maladies apparent es ont d cid de lancer un appel prix aupr s des tablissements d h bergement engag s dans l accompagnement quotidien des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou d une maladie apparent e et de leurs familles Cet appel prix r compensera deux actions existantes qui visent pr server et restaurer les liens familiaux et impliquer les aidants familiaux au sein de l tablissement pour une meilleure collaboration avec les professionnels La dotation globale pour cette op ration est de 10 000 euros financ e parts gales par la Fondation M d ric Alzheimer et l Association France Alzheimer et maladies apparent es www fondation mederic alzheimer org share icons crystal 16x16 mimetypes pdf pne wwvw francealzheimer org sites default files PLAQUETTEX20APPEL 20A 20PRIX 20FMA FA pd
37. qu un apprentissage de l usage de l informatique est possible m me en maison de retraite Moulias R La technop nie apparition d un nouveau handicap In Bauchet JK et Rialle V coord In 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 17 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 licht pdf texte int gral Technop nie 2 Pour le Pr Moulias un autre obstacle qui doit tre lev est l usage inappropri de ces technologies Cet obstacle est li l impr paration des professionnels proposer leur utilisation par les personnes ayant plusieurs handicaps Qu il s agisse de compensation du handicap de t l m decine de t l surveillance voire de domotique les technologies Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 nouvelles ont des indications en priver les a n s est une maltraitance des contre indications des non indications par exemple promouvoir la t l alarme ou la g olocalisation pour tous est un pur abus Enfin comme toute th rapeutique ou toute aide les technologies nouvelles peuvent avoir des cons quences ind sirables qui peuvent peser dans leurs indications Faute d tudes ces effets sont pass s sous silence Ces technologies ne
38. que ses enfants ou ses m decins interf rent avec sa relation maritale Comment voit elle le consentement Au niveau individuel la vision qu a le couple de sa relation est elle compatible avec l volution des normes l gales et des politiques m dicales Nous ne saurons jamais comment Donna Rayhons aujourd hui d c d e aurait voulu que son mari ses filles et ses m decins traitent cette situation Mais autant que j en sache il n y a pas de preuve qu elle aurait voulu voir son mari accus d agression sexuelle gt www nvytimes com roomfordebate 2015 04 22 can people with dementia have a sex life 22 avril 2015 Vuln rabilit financi re la tribu protectrice Dans la rubrique Finances personnelles du New York Times Tara Siegel Bernard voque la capacit des personnes atteintes de troubles cognitifs g rer leur argent capacit financi re Si on peut d tecter suffisamment t t le d ficit mergent de la capacit financi re on peut rentrer dans le processus de fa on pr coce pour prot ger la personne d une d cision inappropri e ou d une escroquerie explique Daniel Marson neuropsychologue et directeur du centre Alzheimer de l Universit de l Alabama Birmingham et sp cialiste des tests de capacit financi re Pr venir ces situations est souvent difficile pour les enfants ou les conseillers financiers Les signes sont subtils les personnes malades peuvent avoir des difficult s i
39. ro sp cial hors s rie partir de l analyse des volutions constat es sur une p riode de dix ans cette publication met en perspective l impact soci tal toujours plus grand de la maladie et l mergence de nouveaux acteurs Ce num ro hors s rie est t l chargeable gratuitement sur le site de la Fondation wwvw fondation mederic alzheimer org Nos Travaux La Revue de presse Numero Hors serie La Fondation M d ric Alzheimer est habilit e recevoir des dons et des legs Vous pouvez soutenir nos actions et favoriser le bien tre et l autonomie des personnes malades en faisant un don Fondation M d ric Alzheimer 30 rue de Prony 75017 Paris www fondation mederic alzheimer org La Fondation Aidez nous Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015
40. se sont appuy s sur une revue de la litt rature et vingt cinq entretiens avec des personnes de l Asie du Sud sous continent indien Bangladesh Bhoutan Inde Maldives N pal Pakistan Sri Lanka Afghanistan Birmanie Tibet chinois Pour David Challis le recueil d informations sp cifiques la culture des personnes pourrait permettre une meilleure formation des services de sant et leur fournir un outil pertinent pour intervenir aupr s des populations qu ils desservent Giebel CM et al Adaptation of the Barts Explanatory Model Inventory to dementia understanding in South Asian ethnic minorities Aging Ment Health 15 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25876138 valuer la capacit conduire L quipe de Wiebo Brouwer professeur m rite en m decine de la circulation routi re et neuropsychologie l Universit de Groningue Pays Bas propose une revue de la litt rature sur les effets de la d mence sur la capacit conduire Les risques d accident sont diff rents selon les formes de d mence Par exemple les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer pourraient avoir des difficult s de type strat gique trouver une route celles atteintes de d mence fronto temporale feraient davantage d erreurs tactiques en raison d un d ficit de perception des risques et celles ayant une d mence associ e des troubles moteurs auraient des probl mes op rationnels Mais on manque d tudes de bon
41. semblerait adapt e Actualit s sociales hebdomadaires 13 mai 2015 Nouvelles t tes 2 Christian Zyntynski a t lu pr sident de la F d ration nationale des associations de l aide familiale populaire Conf d ration syndicale des familles FNAAFP CSF Le Journal du domicile avril 2015 Presse internationale Japon Allemagne vieillissement de la population Jamais le Japon n a compt aussi peu d enfants Selon la derni re enqu te du minist re des Affaires int rieures le ratio d enfants g s de moins de quatorze ans par rapport la population globale est tomb 12 7 plus bas niveau depuis plus de quarante ans En Allemagne o le vieillissement de la population augmente il repr sente 13 4 de la population totale Les Echos 5 mai 2015 Village Alzheimer l original n erlandais B atrice Godwin doctorante en travail social l Universit de Bath Royaume Uni a visit le village Alzheimer De Hogeweyk Weesp Pays Bas Elle se dit impressionn e et touch e par la compassion de l quipe soignante envers les r sidents qui engendre une s r nit confiante Quel est le mod le conomique de l tablissement Les co ts de construction se sont lev s 19 3 millions d euros L tat n erlandais en a financ 17 8 millions le reste tant apport par des sponsors et des campagnes de lev e de fonds locales Les co ts de l aide et des soins sont les m mes que pou
42. servir des outils de communication propos s par l orthophoniste Si cette prise en charge est la seule option propos e aux patients atteints d aphasie progressive primaire elle est moins syst matique dans le cadre de la maladie d Alzheimer alors que les difficult s d expression sont r elles Les m decins ne pensent pas syst matiquement proposer une prise en charge orthophonique d anticipation gt prises en charge par l assurance maladie au titre de l ALD affection de longue dur e maladie d Alzheimer et autres d mences d plore Nathaly Joyeux http portail umons ac be FR universite facultes fpse serviceseetr sc_co Documents P rxC3XA9sentation mallette pdf www rtbf be 4 mai 2015 www topsante com 8 mai 2015 Jardins th rapeutiques Th r se Rivasseau Jonveaux neurologue au service de soins de suite et r adaptation l h pital St Julien et au centre m moire de ressources et de recherche CMRR de Lorraine au CHU de Nancy est invit e de l Universit de Li ge o elle donne une s rie de six conf rences dans le cadre de la chaire Francqui 2015 Sa premi re le on tait intitul e homo hortus l homme jardin D s qu il s est s dentaris l homme s est entour de jardins cela correspond un besoin profond de nature Peut tre parce que nous savons Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 au plus profond de nous m mes jusque dans nos g nes que nous a
43. vicky dubois amp source bl amp ots Th1x jg _7q5u6NHS1Rjbj2A4rqWhzZVx JM amp hl en amp sa X amp ei aQo5Vd_ FDdfdas332ZAE amp ved 0CCIQGAEWAA V onepase amp q mythe 20a zheimer 20vicky 20dubois amp f false extraits Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Ouvrages scientifiques et professionnels Les services la personne quelle application du droit d Alison Dahan Alison Dahan docteur en droit et juriste en droit social propose une revue des probl matiques rencontr es et des r gles juridiques applicables aux employeurs personnes morales ou particuliers employeurs en mati re de droit social L ouvrage s int resse galement aux travailleurs salari s dans les services la personne en emploi prestataire mandataire ou direct L auteur tudie les relations de travail de la naissance du contrat sa rupture en int grant les sp cificit s du droit de la protection sociale www agevillagepro com 14 avril 2015 Dahan A Les services la personne quelle application du droit Paris L Harmattan 1 avril 2015 514 p ISBN 978 2 343 05944 0 www editions harmattan fr index asp navie catalogue amp obj livre amp no 46300 Le droit des usagers dans les tablissements et services sociaux et m dico sociaux de Jean Marc Lhuillier Si l am lioration des politiques sociales et de la vie dans les tablissements et services sociaux et m dico sociaux d pend de la place nouvelle accord e aux usager
44. Alzheimer vivant domicile L enqu te nationale sur les d penses m dicales de 2004 2007 montre cependant que cette utilisation de ces m dicaments hors des indications autoris es n a eu qu un impact minimal Les antipsychotiques ont t substitu s en partie par des m dicaments sp cifiques de la maladie d Alzheimer et par des benzodiaz pines hypnotiques Singh RR et Nayak R Impact of FDA Black Box Warning on Psychotropic Drug Use in Noninstitutionalized Elderly Patients Diagnosed With Dementia A Retrospective Study J Pharm Pract 27 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25917167 Recherche sur la maladie Th rapeutiques approches psychosociales Vivre seul avec la maladie d Alzheimer les effets ind sirables sur la sant L tude fran aise PLASA Plan de soin et d aide dans la maladie d Alzheimer coordonn e par l quipe du Pr Bruno Vellas au G rontop le de Toulouse INSERM UMR1027 a suivi pendant deux ans onze cents personnes atteintes de la maladie d Alzheimer vivant domicile L inclusion 30 8 des personnes vivaient seules Si vivre seul n augmente pas le risque de mortalit ou la perte de poids chez les personnes au stade l ger mod r de la maladie d Alzheimer le risque d hospitalisation est augment de 33 et le risque Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 d entr e en tablissement multipli par 2 5 Une bonne condition physique a un
45. K et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 18 21 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Technologies d aide la personne des solutions inadapt es aux besoins Un nombre cons quent de projets sont lanc s mis en place et financ s pour arriver un nombre de mises sur le march extr mement r duit Il y aurait donc une marge Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 d efficacit gagner entre le lancement d un projet et la cr ation d une solution utile expliquent Lionel Ben Ahmed et Nicolas Vuillerme du laboratoire AGIM Age imagerie mod lisation de l Universit Joseph Fourier de Grenoble Entre l utilisateur final et la solution que l on cherche lui proposer il existe bien souvent un cart combler La mise en place difficile d un business model mod le d affaires n est pas trang re ce ph nom ne Le d veloppement de strat gies de d veloppement centr es sur l utilisateur co design est une des pistes explor es pour r duire cet cart Dans le cadre du programme AAL Ambient Assisted Living technologies d assistance pour la vie quotidienne 318 71 millions d euros de fon
46. Observatoire national de la fin de vie ONFV un r sident de maison de retraite sur quatre d c de dans l ann e et 87 de ces d c s sont pr vus Puisque ces d c s sont pr vus pourquoi ne pas les organiser s interroge Jean Marie Gomas m decin l h pital Sainte P rine Assistance publique H pitaux de Paris et coordinateur du centre d tude et de formation sur l accompagnement des malades CEFAMA D abord parce qu il y a des freins par rapport aux soins palliatifs du fait d une angoisse de mort qui touche tout le monde des r sidents leurs familles en passant par les soignants gt Une d marche palliative en EHPAD tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes repose sur cinq fondements savoir accompagner par les soins palliatifs de base soutenir les familles savoir coordonner le m decin traitant et l quipe soignante d cider organiser tracer les limitations ou arr ts du traitement mieux discerner les situations ultimes justifiant le passage en unit de soins palliatifs USP ou l hospitalisation Pour y parvenir souligne le Dr Gomas des soubassements sont n cessaires des exigences thiques un socle id ologique et l gal des moyens humains r els et des comp tences propres relationnelles et th rapeutiques gt Selon lui mettre en place une d marche palliative respectueuse de la personne g e apporte aussi des gratifications de plusieurs ordres soci
47. Revue de presse He FELINE Reconnue d utilit publique LEDILIT ACTE AIDER ANTICIPER ET VIVRE AVEC LA MALADIE L nationale amp internationale Revue de presse de mai 2015 Articles re us du 18 avril au 22 mai 2015 Sommaire num ro 1 16 Human Recherche sur la maladie Diagnostic et d tection Recherche sur la maladie D terminants de la maladie Recherche sur la maladie Pr vention Recherche sur la maladie Th rapeutiques approches biom dicales Recherche sur la maladie Th rapeutiques approches psychosociales Technologies Acteurs Les Personnes malades Acteurs Les Aidants Les Familles Acteurs Les Professionnels Rep res Politiques Rep res Initiatives Repr sentations de la maladie M dias grand public Repr sentations de la maladie Art et culture Ouvrages scientifiques et professionnels Faits et chiffres Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Human Cela ne peut se dire qu en anglais silver economy Voil bien la meilleure preuve que c est aujourd hui le concept ne pas manquer la formule de r ve pour tenter de d gager les nu es qui obscurcissent encore notre avenir Sauf que la r alit ne suit pas toujours au rythme esp r les projections des experts Un nombre cons quent de projets sont lanc s mis en place et financ s pour arriver un nombre de mises sur le march extr mement r dui
48. Royaume Uni dont 50 dans l agglom ration londonienne Issus de vagues d immigration successives marins et marchands des ports anglais au 19 si cle migrants d anciennes colonies britanniques dans les ann es 1950 1960 Hong Kong Malaisie Singapour r fugi s vietnamiens des ann es 1970 et 1980 migrants de Chine continentale depuis les ann es 1990 ces personnes forment l un des groupes socio culturels les plus h t rog nes et dispers s avec des r seaux de soutien essentiellement centr s sur la famille expliquent David Truswell des services publics de sant locaux et ses coll gues du centre national chinois pour une vie en bonne sant Chinese National Healthy Living Centre dans le quartier de Soho Truswell D et al The Reminiscence Tea House J Dementia Care 23 3 12 14 Ma i juin 2015 Approches culturelles la maison de th chinoise 2 Il est faux de supposer que les immigrants chinois arrivent avec un sentiment culturel enracin de pi t filiale envers la famille et les anciens avec un accompagnement de la d mence r d par des d cennies d exp rience interg n rationnelle Ce n est pas le cas l histoire chinoise de la d mence est celle d une maladie raill e shunned disease peu reconnue dans leur culture pr cisent les professionnels Les r seaux de soutien que l on trouve dans d autres groupes travers les glises Les temples les synagogues les mosqu es et les gur
49. ai 2015 288 p ISBN 978 2 8109 0362 7 www presses ehesp fr Les m tiers en 2022 de France Strat gie Pour le groupe expert Prospective des m tiers et qualification r uni par France Strat gie et la direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES l ensemble des professions de soins et d aide aux personnes fragiles devrait b n ficier d une forte dynamique de l emploi l exception des m decins dont l volution d pend du numerus clausus et pour lesquels tous les d parts en fin de carri re ne seraient pas remplac s l horizon 2022 avec la destruction d un peu plus de 20 000 postes en dix ans Aides domicile aides soignants et infirmiers figureraient ainsi parmi les m tiers qui gagneraient le plus d emplois l horizon 2022 avec de l ordre de 350 000 cr ations nettes en dix ans Le m tier d aide domicile serait m me celui qui cr erait le plus de postes dans les dix ann es venir aussi bien en taux de croissance qu en nombre pr s de 160 000 postes cr s d ici 2022 soit une hausse de 2 6 en moyenne chaque ann e Sur France Info Alain Boccard vice pr sident d l gu de la F d ration fran aise des services Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 la personne et de proximit FEDESAP et directeur op rationnel chez Ax o Services insiste le m tier d aide domicile est un vrai m tier www fedesap org pu
50. ale solidarit dans l quipe th rapeutique prendre la bonne d cision par rapport aux sympt mes familiale apporter s r nit et Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 apaisement aux familles psychologique r fl chir sur soi m me et spirituelle se questionner sur le sens de la vie www agevillagepro com 12 mai 2015 La d mence une maladie terminale Marcel Arcand professeur au d partement de m decine familiale l Universit Sherbrooke de Qu bec sugg re une approche symptomatique de la d mence au stade avanc en limitant les interventions techniques et en favorisant les mesures de confort low tech high touch approach soins de la bouche valuation r guli re de la douleur avec un outil appropri nutrition de confort attention port e la dignit r valuations fr quentes toucher et musique par les membres de la famille et les professionnels qui connaissent le mieux les personnes malades Les m decins devraient consid rer la d mence au stade avanc comme une maladie terminale pour laquelle on peut trouver un continuum de soins allant d une approche palliative avec des mesures acceptables pour prolonger la vie jusqu une approche consistant traiter les seuls sympt mes L application des principes de soins palliatifs devrait guider la communication sur les objectifs de soins et l ducation des familles est d une importance capitale pour viter des
51. aponais est limit e deux ans lors de la premi re d livrance et trois ans lors des renouvellements Le permis de conduire japonais expire la date d anniversaire du titulaire IL y avait fin 2013 au Japon plus de 4 2 millions de personnes g es de plus de soixante quinze ans d tentrices du permis de conduire La m me ann e 11 9 des accidents de la route taient provoqu s par des personnes g es de plus de soixante quinze ans un tiers de ces accidents tant directement imputables des troubles de la m moire ou des pertes de r flexes Tr s r cemment un homme g de plus de quatre vingts ans a t fauch et tu par un poids lourd alors qu il circulait contresens sur une autoroute pr s de Tokyo Pour r duire le nombre de ces accidents de la route un projet de loi en cours d adoption vise durcir les conditions de maintien du permis de conduire Si la loi est adopt e les personnes g es de plus de soixante quinze ans sollicitant le renouvellement de leur permis de conduire seront tenues de fournir un certificat m dical attestant qu elles ne sont pas atteintes de d mence En l absence d un tel certificat la personne se verra refuser soit provisoirement soit d finitivement le renouvellement de son permis de conduire Actuellement seules sont contraintes passer une visite m dicale les personnes qui ont commis au cours de l ann e coul e des infractions telles que le non respect des pa
52. ation des descriptions et des termes particuliers sont utilis s pour cr er une belle histoire et attirer l attention du lecteur Les mots peuvent sensibiliser l existence de la d mence cr er un sentiment d urgence pour d velopper la recherche et les traitements et accro tre les financements Cependant les personnes atteintes de d mence font une distinction entre d une part des choix de langage extr mes et sensationnalistes et d autre part un langage pr cis par rapport l information qu il cherche partager Les personnes atteintes de d mence vous exhortent r fl chir au choix des mots lorsque vous voquez ce que vivre avec une d mence signifie Tous les termes vocateurs doivent tre choisis avec l objectif et la consid ration prudente du message qui sera r ellement re u et l impact qu il pourrait avoir sur les personnes malades elles m mes Ce travail sur le langage partie du programme DEEP Dementia Engagement and Empowerment Project a t soutenu par Innovations in Dementia Comic Relief la Fondation Joseph Rowntree la Mental Health Foundation L Alliance Dementia Action a demand ses adh rents d utiliser le guide pour revoir tous leurs supports de communication http dementiavoices orge uk wp content uploads 2015 03 DEEP Guide Language pdf www dementiaaction org uk dementiawords 19 mai 2015 J Dementia Care mai juin 2015 Personnes malades faites vous entendre P
53. blications actualites 520 france info interviews d alain boccar vice president deleqgue de la fedesap 30 avril 2015 France Strat gie DARES Les m tiers en 2022 Rapport du groupe Prospective des m tiers et qualifications Avril 2015 www strategie gouv fr sites strategie gouv fr files atoms files fs rapport_metiers_en_ 2022_27042015_final pdf texte int gral Perte de m moire ou maladie d Alzheimer de Michel Dib La crainte de la maladie est telle que la moindre d faillance de m moire s me le doute Ainsi les oublis passagers les troubles de l humeur et les difficult s s organiser constituent ils des motifs de consultation fr quents en m decine g n rale et en neurologie explique Michel Dib neurologue au groupe hospitalier Piti Salp tri re Assistance publique H pitaux de Paris dans un ouvrage destin au grand public Pourtant la plupart de ces fragilit s cognitives n ont aucun lien avec une atteinte neurod g n rative Elles surviennent souvent avec l ge l exposition accrue au stress et ou lors d pisodes d pressifs Autant de modifications ressenties qui font l objet d une consultation mn sique dont la nature est souvent b nigne gt crit il Dib M Perte de m moire ou maladie d Alzheimer Paris Tr daniel Janvier 2015 180 p ISBN 978 2 8431 9343 9 www editions tredaniel com perte de memoire ou maladie dalzheimer p 6268 html G rontologie et soci t nouveau d pa
54. ces de voiturage et la diminution des tarifs voire la gratuit des transports publics En 2011 le centre national de g riatrie et de g rontologie Aichi alertait Les pouvoirs publics sur les besoins futurs des personnes g es retrait es de la conduite driving retirees notamment celles atteintes de d mence une analyse portant sur plus de mille politiques municipales montrait que les mesures de soutien la mobilit pour les personnes g es ayant arr t de conduire taient insuffisamment d velopp es les villes pr f rant mettre en uvre des mesures pour les Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 personnes g es en bonne sant des routes plus longues et peu de conducteurs g s par kilom tre Yomiuri Shinbun 16 f vrier 2015 Veille et traduction fran aise de Kyoko Siegel www consulfrance kyoto org 24 avril 2015 Arai A et al Implementation of municipal mobility support services for older people who have stopped driving in Japan Public Health 2011 125 11 799 805 www ncbi nlm nih gov pubmed 22019359 Novembre 2011 Directives anticip es un engagement qui reste difficile En Australie une enqu te de l association Respecting Patient Choices Respect du choix des patients men e aupr s de cent vingt directeurs de services domicile et cent soixante dix huit gestionnaires de cas montre que seuls 34 des services disposent de politiques ou de proc dures pour mettre en u
55. cognitifs et des besoins de leurs proches afin de conna tre la fr quence des objets perdus les strat gies de compensation activ es les causes des pertes identifi es par les participants la recherche Ces donn es permettent de construire des processus de guidage dans le cadre d une interaction homme machine Dans un deuxi me temps un travail de groupe avec diff rents acteurs concern s par les pertes d objets a permis d obtenir des donn es permettant la construction d un prototype fonctionnel tester dans des conditions de vie quotidienne Carletti G et al Un objet perdu Ah le voil Causes strat gies et besoins de deux populations vivant sans et avec troubles cognitifs In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 34 37 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Programme psycho ducatif pour les aidants sur Internet quelle ergonomie Victoria Cristancho Lacroix et Anne Sophie Rigaud du groupe hospitalier Broca de Paris EA4468 Maladie d Alzheimer facteurs de risques soins et accompagnement des patients et des familles Universit Paris Descartes
56. ction m decin coordonnateur infirmier coordinateur faisait partie de l valuation l issue de la visite une restitution aux quipes a t r alis e avec la pr sentation des points positifs et des points am liorer Dix huit sur trente cinq unit s Alzheimer d clar es dans l Yonne sont labellis es ce jour Une remise officielle du label a t organis e dans la pr fecture d partementale afin de valoriser les quipes et la d marche d am lioration continue de la qualit de l accompagnement des personnes malades Alzheimer et leurs proches gt L ARS souhaite d ployer la d marche sur les autres d partements de la r gion www agevillagepro com 12 mai 2015 Fondation M d ric Alzheimer Mutualit fran aise partenariat Etienne Caniard pr sident de la Mutualit Fran aise et Bruno Angl s d Auriac pr sident de la Fondation M d ric Alzheimer ont officialis le 6 mai 2015 la poursuite de leur collaboration suite la signature d un nouvel accord entre les deux acteurs le 18 d cembre 2014 Depuis 2009 la Fondation M d ric Alzheimer et la Mutualit Fran aise ont entrepris d unir leurs forces et leurs comp tences afin d am liorer la prise en charge de la maladie d Alzheimer en France au b n fice des malades et de leurs proches a indiqu Bruno Angl s d Auriac Cette collaboration a d but en 2009 avec la signature d un accord cadre renouvel en 2012 Les objectifs sont de s
57. dation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Litt rature La Za mer de Virginie Esia Au d but elle croit que c est une amie autrichienne qui rend visite sa grand m re et qui l emp che d aller dormir chez elle La Za mer est venue La Za mer encore elle Depuis que Mamie l a rencontr e il n y en a que pour elle Maman en parle tout le temps la maison Elle ne l aime vraiment pas Moi je suis contente que Mamie ait une nouvelle copine mais je ne veux pas qu elle m oublie Je me demande vraiment quoi elle ressemble Mais petit petit elle comprend que sa grand m re ne sera plus jamais la m me Virginie Esia est une jeune institutrice qui s applique chaque jour enchanter le quotidien de ses l ves Quand elle sort de l cole elle laisse cartable et cahiers pour couper coller imaginer r ver et dessiner des histoires Apr s une cole d art o elle a appris toutes les techniques d art plastique elle puise son inspiration au gr de ses nombreux voyages aux quatre coins du monde gt Elle voque dans cet ouvrage avec beaucoup de tendresse et de douceur la maladie d Alzheimer qui depuis quelque temps touche sa grand m re Les illustrations en ombres chinoises sur fonds color s sont l gantes et gracieuses Comme des parfums d enfance Un petit bijou pour changer avec ses enfants Esia V La Za mer F vrier 2015 Fontaine ditions ThoT 40
58. de l accompagnement s interroge t elle wwvw agevillagepro com 14 avril 2014 Petites retraites le recours au viager pour compl ter ses revenus En moins de dix ans le nombre de ventes en viager a quasiment tripl annonce M lanie Taravant sur Europe 1 Parmi les vendeurs depuis trois ans on compte de plus en plus de jeunes seniors Vendre son appartement ou sa maison en continuant vivre dedans jusqu sa mort est pour eux un moyen d arrondir les fins de mois Axelle a ainsi vendu son studio avant ses soixante dix ans pour toucher une petite rente 573 euros par mois J ai tr s peu de retraite gt explique t elle car j ai beaucoup travaill pour rien en b n volat Je touche 277 euros de retraite par mois ce n est pas suffisant Du c t des acheteurs il faut avoir le go t du jeu lorsque l on ach te des sexag naires ajoute la journaliste Selon H l ne Lera itre g rante de France Viager les personnes qui n ont pas pr par leur retraite se retrouvent un changement de vie qui peut tre parfois brutal et cela peut tre aussi un couperet ajoute t elle www europel fr societe vendre en viager le plan b des jeunes seniors 2432231 20 avril 2015 Services polyvalents d aide et de soins domicile Avec la relance des services polyvalents d aide et de soins domicile SPASAD dans le cadre du projet de loi d adaptation de la soci t au vieillissement le secteur du do
59. dentifier les risques dans une d cision d investissement en s int ressant surtout aux b n fices r aliser une s rie de t ches financi res telles que payer ses factures prend davantage de temps Les t ches de calcul dans la vie quotidienne telles que calculer un pourboire ou faire un calcul en deux tapes deviennent plus laborieuses et sujettes erreurs Les concepts financiers tels que les frais m dicaux fiscalement d ductibles ou le solde minimum requis sur un compte d pargne peuvent aussi devenir plus difficiles appr hender Naturellement c est une modification importante du comportement qui doit tre rep r e ces indicateurs ne seront videmment d aucune utilit chez une personne n ayant jamais g r ses finances personnelles Selon Daniel Marson la capacit financi re valu e par les tests d cline lentement avec l ge partir de la cinquantaine Mais elle est compens e en partie par l exp rience et la sagesse l intelligence cristallis e gt qui permettent de r soudre de nouveaux probl mes l intelligence fluide gt Pour David La bson professeur d conomie l Universit Harvard Boston Etats Unis l intelligence cristallis e atteint un plateau apr s l ge de soixante dix ans Ce plateau accompagn d un d clin de l intelligence fluide expliquerait pourquoi les consommateurs g s font davantage d erreurs financi res que les plus jeunes Jean Luc Bour
60. directement au soutien des proches Si les accueils de jour r duisent la charge mentale de l aide et permettent aux proches d chapper un moment la maladie les plateformes produisent diff rentes formes de mise en capacit d agir empowerment notamment chez les proches les plus d bord s par la maladie et ses cons quences C est cette encapacitation des aidants qui soutient leurs activit s et leurs relations de prise en soin care dans la dur e Le Bihan B et al Entre relais et soutien les exp riences diff renci es du r pit des aidants face aux d mences Retraite et soci t 2014 69 77 89 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf D cembre 2014 Pr server ce qui importe La libert d action au sens des possibilit s concr tes d agir fait partie du pouvoir effectif dont dispose un individu pour exercer ses choix de vie La notion de capabilit forg e par l conomiste indien Amartya Sen prix Nobel 1998 d signe les diff rentes fa ons d tre et de faire qu une personne peut non seulement effectivement r aliser mais auxquels elle attache de la valeur Elle permet d exprimer les d savantages qui singularisent les situations de vie de certaines personnes par rapport d autres et de concevoir les contraintes et obligations qui p sent sur chacune Des conomistes des sociologues et un anthropologue r unis autour de Martine B
61. don expert comptable sp cialis en planification financi re Santa Barbara Californie demande ses clients de r unir ce qu il appelle une tribu protectrice une poign e de personnes d sireuses d entrer dans le processus de d cision financi re et de proposer leur soutien pour prot ger la personne malade si Le besoin s en faisait sentir Les actes de maltraitance financi re sont souvent commis par un proche ou un professionnel en qui la personne malade a confiance Il faut une tribu pour faire contrepoids et garantir un contr le www nvytimes com 2015 04 25 your monev as cognitivity slips financial skills are often the first to go html 24 avril 2015 Marson DC et al Clinical interview assessment of financial capacity in older adults with mild cognitive impairment and Alzheimer s disease J Am Geriatr Soc 2009 57 5 806 814 www ncbi nlm nih gov pubmed 19453308 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Japon les retrait s de la conduite 1 Une tude du centre national japonais de g riatrie et de g rontologie men e sur un chantillon de dix mille personnes g es montre que 15 des femmes et 61 des hommes atteints de d ficit cognitif mod r score MMSE lt 20 continuent conduire leur voiture Shimada et al Ces personnes doivent elles continuer conduire s interroge la soci t japonaise Un article du Yomiuri Shinbun rappelle que la validit du permis de conduire j
62. ds europ ens ont t d pens s depuis 2008 pour trois cent un projets hors frais engag s par les tats et agences nationales de sant En 2013 le programme tait parvenu cinq solutions commercialis es ou en voie de commercialisation www aal europe eu attachment_id 2599 Nous retrouvons ici une inad quation entre la solution et les besoins de la personne Ce qui peut nous inviter penser soit qu un temps de maturation est n cessaire pour chaque technologie soit que les solutions d velopp es ne prennent pas suffisamment en compte les besoins des utilisateurs et se concentrent davantage la mise au point d une solution afin de recevoir les financements alors m me que l tude sur Les besoins de la population cible n est pas commenc e Ben Ahmed L et Vuillerme N Les technologies d aide la personne du projet la mise sur le march quelle place pour l usager In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 17 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Technologies de surveillance qu en pensent les personnes malades Aux Pays Bas Alistair Niemeijer et ses coll gues du centre m dical Alzheimer de l Univer
63. dwaras temples sikhs sont moins r pandus Les centres socio culturels sont relativement rares et les personnes doivent souvent se d placer loin de chez elles pour s y rendre Les populations issues des diff rentes vagues d immigration ont des origines sociales des comp tences professionnelles des niveaux d tudes ou de langue et des aspirations sociales tr s diff rentes De plus la stigmatisation associ e la d mence se double d une m fiance fr quente l gard des services de sant cons quence des politiques coercitives de leurs pays d origine certains migrants ont fui des r gimes utilisant les services de sant mentale comme un moyen de supprimer la dissension politique gt Pour faciliter les changes d information une maison de th pour la r miniscence a t mise en place pour les personnes malades et leurs aidants sur le mod le des Caf s Alzheimer L approche psycho ducative int gre les croyances chinoises traditionnelles et un vocabulaire familier pour aider les personnes mieux comprendre le d ficit cognitif et encourager l acceptation de la maladie Pour faire tomber les obstacles linguistiques les pr sentations sur la d mence et le fonctionnement du cerveau sont donn es par des conf renciers chinois en mandarin et en cantonais et des activit s et des jeux bien connus des Chinois sont propos es Truswell D et al The Reminiscence Tea House J Dementia Care 23 3 12 14 Mai
64. e des proches est ce qui a le plus choqu le r alisateur qui explique Les r sidents sentent qu ils ont une famille C est compliqu certes mais on ne doit pas les abandonner Pour Annie de Vivie il ne faut pas avoir peur d eux Le film nous lance un message Passez la porte laissez vous surprendre C est le monde ext rieur qui nous enferme dans leurs pens es analyse une r sidente Le film t moigne ainsi des efforts des professionnels pour valoriser les r sidents Les rendre visibles aux yeux de tous wwvw agevillage com www cinergie productions fr 5 mai 2015 T l vision Die Ausl schung d Agnes Pluch et Nikolaus Leytner 1 Alain Montandon professeur m rite de litt rature g n rale et compar e l Universit Blaise Pascal de Clermont Ferrand pr sente un film r alis en 2013 pour la t l vision de langue allemande racontant l entr e dans la maladie d Alzheimer d un professeur d histoire de l art Ernst qui s duit une de ses auditrices Judith Le film s attache dans le milieu culturel dans lequel il s enracine souligner la trag die de l effondrement du capital culturel de la m moire La richesse des images et des symboles permet au cin ma de commenter avec humilit et profondeur le drame de la progression de la maladie tout en assurant par l amour qui entoure le sujet une grande humanit gt Interpr t par Klaus Maria Brandauer alors g de soixante neuf a
65. e des d penses mais affectent la d pense des familles Chiatti C et al The economic impact of moderate stage Alzheimer s disease in Italy evidence from the UP TECH randomized trial Int Psychogeriatr 15 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25874654 30 000 c est le nombre de Libanais qui seraient atteints de la maladie d Alzheimer ce qui repr sente 40 des personnes g es de plus de quatre vingts ans L Hebdo Magazine 17 avril 2015 1 166 c est le nombre d tablissements d h bergement pour personnes g es g r s par les vingt plus grands groupes et r seaux priv s non lucratifs qui accueillent majoritairement des publics aux revenus peu lev s Les cinq plus grands op rateurs repr sentent 60 de la capacit d h bergement G roscopie pour les d cideurs en g rontologie avril 2015 100 millions d euros c est le montant du plan d aide l investissement pour les tablissements m dico sociaux pour 2015 financ par les r serves de la Caisse nationale de solidarit pour l autonomie CNSA Ce budget est en r duction de 21 par rapport l ann e pr c dente 63 millions sont destin s au secteur des personnes g es Actualit s sociales hebdomadaires 16 avril 2015 22 82 milliards d euros c est le budget 2015 de la Caisse nationale de solidarit pour l autonomie CNSA en hausse de 0 66 151 millions d euros Ces cr dits suppl mentaires financeront en plus du plan
66. e des pratiques et un accompagnement des Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 projets des institutions qui le souhaitent Une plateforme Internet www agisante gard org comprenant notamment des outils p dagogiques d ducation la sant a t mise en ligne Enfin un colloque annuel est organis afin d informer les professionnels sur les probl matiques m dicales des personnes g es immigr es wwvw agevillagepro com www agisante gard org article php laref 37 23 avril 2015 Ambassadeurs de la d mence En Ecosse les ambassadeurs de la d mence sont des professionnels des services sociaux et de l ducation qui se sont port s volontaires pour d velopper leurs comp tences en travaillant avec des personnes atteintes de d mence dans le cadre d un programme de promotion de l excellence Ils sont aujourd hui sept cents diffuser les meilleures pratiques et apporter leur soutien et leurs connaissances leurs coll gues www alzscot org 13 mars 2015 Rep res Politiques Presse nationale Agences r gionales de la sant nouveaux p rim tres g ographiques partir du 1 janvier 2016 la France ne comptera plus que treize r gions m tropolitaines au lieu des vingt deux actuelles Pour tenir compte des regroupements g ographiques le Conseil des ministres a d sign les sept directeurs g n raux pr figurateurs des futures agences r gionales de sant ARS qu
67. e les familles cherchant une place en maison de retraite pour un proche g en perte d autonomie C est dans les d partements urbains du Nord des Bouches du Rh ne et de Paris que les personnes atteintes d Alzheimer seraient le mieux diagnostiqu es et prises en charge avec plus de 30 de la population estim e des personnes malades prises en charge au titre d une affection de longue dur e maladie d Alzheimer et autres d mences gt ALD15 par le r gime g n ral de l assurance maladie En revanche dans les zones rurales de la Creuse des Deux S vres ou du Gers moins de 16 des personnes malades seraient diagnostiqu es Pour le Dr Hugues Bensa d g riatre et m decin coordonnateur de r sidences Les Marines et Rabelais Asni res sur Seine Hauts de Seine il faut comprendre dans un premier temps que pour bien des familles il est consid r comme normal que le vieillissement s accompagne de troubles cognitifs d autant que ceux ci apparaissent le plus souvent de fa on progressive Mais la maladie d Alzheimer est une pathologie bien r elle ind pendante du vieillissement m me si ce dernier est un facteur de risque Les proches s habituent aux troubles cognitifs d butants et ne commencent se poser la question de la maladie que lorsque des troubles plus g nants apparaissent tels que des troubles du comportement agitation agressivit fugues sorties nocturnes d sinhibition perturbation du voisinage mise
68. eimer l ignorance n est pas une faveur ignorance is not bliss en tant que professionnels de sant rompre le silence autour de la maladie d Alzheimer doit commencer par nous Je suis suffisamment vieux pour me rappeler le temps o les m decins avaient peur de prononcer le mot cancer C est simplement lorsque nous avons surmont notre peur et notre r ticence que la stigmatisation li e au cancer a recul que la sensibilisation a progress que le Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 financement de la recherche a augment et que des traitements et une pr vention effective ont t d couverts Nous devons surmonter cette peur de nouveau Nous devons reconna tre que notre silence en dit plus sur notre propre sentiment d impuissance que sur la capacit de nos patients faire face la maladie Les tudes montrent que peu de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer deviennent d prim es ou ont des troubles chroniques de l humeur en raison du seul diagnostic Au contraire pour beaucoup la clart peut m me tre une d livrance www huffinetonpost com william e klunk md phd for most people with alzheimers ignorance is not bliss_b_7064752 html 15 avril 2015 D mence un terme inexprimable Dans les pays anglo saxons le terme dementia reste largement employ La version la plus r cente du manuel de diagnostic DSM 5 Diagnostic Statistical Manual la r f rence de nomencla
69. ement une quipe pluridisciplinaire met en place un programme de soins individualis comportant des approches non m dicamenteuses activit physique entrainement cognitif revalidation cognitive r miniscence psychoth rapie de soutien musicoth rapie art th rapie dont le b n fice se refl te habituellement dans la r duction des troubles gt La pr paration de la sortie vers le retour domicile ou parfois l entr e en tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes EHPAD permet un transfert de comp tence vers d autres soignants et des familles La qualit de l approche soignante a rapidement d montr le b n fice de ces structures pour la personne malade et son entourage tout en offrant beaucoup de Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 satisfaction aux soignants motiv s crit Denise Strubel g riatre et neurologue au centre Serre Cavalier de N mes et membre du groupe de travail de la soci t fran aise de g riatrie et g rontologie SFGG sur Les unit s cognitivo comportementales 2015 113 37 42 Mai juin 2015 www em consulte com article 973678 article les specificites du soin en unite cognitivo compor Activation comportementale Un essai clinique contr l et randomis men par Alma Au du d partement des sciences sociales appliqu es de l Universit polytechnique de Hong Kong Chine en collaboration avec Dolores Gallagher Thompson du d
70. en g rontologie Cr e en 2009 la fonction d assistant de soins en g rontologie ASG consiste aider dans leur vie quotidienne des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer Sous la responsabilit de l infirmier l assistant de soins en g rontologie assure la stimulation sociale et cognitive de leurs capacit s restantes Il travaille au sein d une quipe pluridisciplinaire dans les services de soins infirmiers domicile SSIAD les quipes sp cialis es Alzheimer domicile ESAD les unit s sp cialis es UHR unit s d h bergement renforc es et PASA p le d activit s et de soins adapt s des tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes EHPAD et les unit s de soins de longue dur e USLD ainsi que dans les unit s cognitivo comportementales UCC des services de soins de suite et de r adaptation SSR Fin 2012 2 450 assistants de soins en g rontologie taient form s et en exercice Pour suivre la formation la fonction d assistant de soins en g rontologie il faut tre aide soignant ou aide m dico psychologique et en situation d exercice effectif aupr s de personnes souffrant d Alzheimer ou de pathologies apparent es D une dur e de 140 heures la formation doit tre suivie en totalit sans possibilit d all gement y compris pour les professionnels disposant d j d une partie des comp tences vis es Elle est organis e en p riodes discontinues sur une ampli
71. encontrer leurs usagers Ces technologies doivent rester utiles et r pondre un vrai besoin vendre ou conseiller ne suffit pas Pour l Association fran aise des ergoth rapeutes ANFE c est la pr conisation qui devient un outil pertinent pour favoriser le maintien de l ergonomie fonctionnelle De quoi parle t on La pr conisation est un avis sp cialis effectu sans but commercial en vue d aider la d cision ou au ou au choix d une solution de compensation en ad quation avec les besoins de la personne et son milieu favorisant et optimisant l autonomie la valeur d usage le confort et la s curit IL ne peut tre d livr qu apr s analyse de la demande valuation des capacit s et besoins de la personne et des professionnels en situation r elle Marous O M thodologie de prescriptions d aides techniques domicile Doc domicile 2015 38 29 30 Juin juillet 2015 Chaffangeon J Pr coniser et accompagner la mise en place des technologies d assistance cognitive Plus qu un besoin une n cessit Pour qui Par qui Pour quoi Comment In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 22 25 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014
72. endre leur voix Quatre guides ont t produits destination des personnes atteintes de d mence voyager avec une d mence am liorer la communication utiliser un enregistreur raconter nos histoires Onze guides ont t produits l intention des organisations et des municipalit s les l ments de langage la r daction d informations la cr ation de sites Internet pour les personnes malades le recueil de l assentiment des personnes malades pour les documents crits le choix d un espace d accueil convivial le recueil de lavis des personnes malades la participation des conf rences et des v nements la pr sentation d une conf rence la liste des r alisateurs de films travaillant avec des personnes malades gt la participation au processus de s lection et de recrutement de Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 28 62 personnel travaillant au contact des personnes atteintes de d mence gt des conseils aux employeurs de personnes aux premiers stades de la maladie Toujours au Royaume Uni Norrms McNamara g de cinquante sept ans et atteint de d mence corps de Lewy a collabor la r daction d un livret d information de vingt pages pour d crire les huit sympt mes qui lui semblent les plus importants des changements dans la m moire des difficult s parler des difficult s dans
73. ens et familles sont observ es Dans la premi re les actions convergent entre patient ou famille et m decins g n ralistes d une part et entre sp cialistes et g n ralistes d autre part ce qui permet des prises en charge compl mentaires des difficult s cognitives D autres situations apparaissent davantage marqu es par la distorsion des attentes et des pratiques certains m decins g n ralistes se font ainsi critiques de la n cessit de l tablissement d un diagnostic comme de l efficacit des m dicaments Pour les uns cette position est en lien avec une distance et un sentiment de rel gation par rapport aux sp cialistes et la m decine hospitali re en charge des d mences L acc s au diagnostic est alors tr s fortement d pendant des capacit s de la personne malade ou de sa famille faire entendre sa demande de diagnostic Pour les autres elle rel ve davantage de la faible implication des familles dans la recherche diagnostique et l accompagnement du patient ou de l absence de traitements ou de dispositifs sociaux de prise en charge Cette recherche a b n fici d un financement de la Fondation Plan Alzheimer Fernandez G et al Entre contextes socio familiaux et enjeux professionnels Le r le des m decins g n ralistes dans le diagnostic de la maladie d Alzheimer Retraite et soci t 2014 69 39 57 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf
74. ent masculins www letraitdunion com 23 avril 2015 Prise de d cision par un tiers Kathryn Lord et ses coll gues de la division de psychiatrie de l University College de Londres Royaume Uni proposent une revue syst matique des obstacles et des facteurs facilitant la prise de d cision par un tiers de la famille des personnes atteintes de d mence Les aidants trouvent particuli rement stressantes la prise de d cision concernant le futur lieu de vie l acc s aux services et les traitements de fin de vie Recevoir une information pour prendre des d cisions sur un sujet qui n a pas encore t envisag peut accro tre les sentiments de conflit Les aides la prise de d cision doivent tre soigneusement cibl es conseillent ils Lord K et al systematic review of barriers and facilitators to and interventions for proxy decision making by family carers of people with dementia Int Psychogeriatr 14 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25870004 Un quilibre entre les besoins Catherine Quinn et ses coll gues de l cole de psychologie de l Universit de Bangor Pays de Galles ont interview douze aidants familiaux de personnes atteintes de d mence Ceux ci d crivent une lutte constante pour trouver l quilibre entre leurs propres besoins et ceux de leur proche Des dilemmes mergent entre le d sir de pr server la relation avec leur proche et la reconnaissance que cette relation volue Quin
75. equel elle raconte ses r flexions quotidiennes la mani re dont elle vit son Alzheimer Parfois un flash qu elle saisit au vol et consigne soigneusement Elle nous emm ne alors sur ses pas au Za re avec son mari ou pendant sa jeunesse comme infirmi re chez les pr matur s ou encore adolescente dans le cin ma de ses parents Dubois V M moire ma petite m moire Alzheimer vu de l int rieur H villers Belgique Ker Editions 2015 232 p ISBN 978 2 87586 094 1 www kerditions eu librairie temoins du monde memoire ma petite memoire lprettyPhoto 1498 0 https books oogle fr books id Y24VCAAA pasir PT119 amp l PT119 amp d mythe alzhe JM amp hl en amp sa X amp ei aQo5Vd_ FDdfdas332ZAE amp ved OCCI 6AEwAA v onepage amp q mythe 20a lzheimer 20vicky 20dubois amp f false extraits M moire ma petite m moire Alzheimer vu de l int rieur de Vicky Dubois 2 Dans la postface Martial van der Linden animateur du blog du Mythe Alzheimer crit Vicky Dubois contribue avec sensibilit sinc rit et humour redresser cette vision n gative et stigmatisante En s affranchissant d une conception strictement d ficitaire de cette maladie elle montre comment elle parvient en d pit de ses difficult s cognitives vivre une vie pleine joyeuse affectivement et socialement riche Ce t moignage est aussi l histoire d une vie telle que reconstruite par celle qu elle appelle sa petite m moire
76. er Philippe Cela demande toute une organisation qui a in vitablement des r percussions sur mon activit professionnelle Au jour d aujourd hui je ne peux absolument pas me permettre d arr ter de travailler pour m occuper exclusivement de mon mari J ai des auxiliaires de vie fort heureusement qui viennent prendre le relais et puis il y a les enfants qui prennent leur p re tour de r le C est terrible que de devoir priver Le malade de libert la libert de circuler la libert de vouloir gt Association Espoir Alzheimer et handicap neurologique 6 mai 2015 www reness fr pdf DP_ESPOIR_ALZHEIMER_OUVERTURE_CESSON pdf Stigmatisation sans fronti res En chinois alors que lao nian est une expression neutre d crivant les personnes g es lao nian chi dai est p jorative le caract re chi signifiant idiot gt et dai obtus C est l quivalent de l ancienne expression fran aise d mence s nile En octobre 2012 le minist re de la Sant de la R publique populaire a d clar que le nom canonique de la d mence devait tre d sormais maladie d Alzheimer gt le mot de d mence tant discriminatoire Au Royaume Uni un projet de grande ampleur dans les quartiers Centre et Nord Ouest de Londres port par le centre national chinois pour une vie en bonne sant Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 et les services publics locaux de sant a forg le terme tui zhi z
77. er dans les EHPAD tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes le groupe Korian a mod lis le cadre ludique dans six de ses tablissements en partenariat avec le centre de recherche clinique vieillissement cerveau fragilit de Lyon tude LUDIM C dric Gueyraud et Anthony Batsavanis neuropsychologue dans cette quipe de recherche expliquent le concept du cadre ludique trouve son origine dans l utilisation du jeu en ludoth que et s est enrichi de r flexions issues des m diations th rapeutiques et des courants d ducation nouvelle pour tre propos dans des tablissements g riatriques L analyse des supports de jeu repose sur des crit res pr cis permettant d tablir une r elle correspondance avec chaque personne atteinte de la maladie d Alzheimer Mais la diff rence des habitudes souvent prises lors des ateliers jeux en maison de retraite le concept du cadre ludique s lectionne plusieurs types de jeux en m me temps Le cadre ludique cherche avant tout diminuer l aide apport e par les professionnels pour permettre aux r sidents une participation autonome Pour ce faire les jeux sont r partis dans une salle selon des principes d am nagement les regroupant par type de comp tences sensorielles motrices symboliques Mis en valeur les objets ludiques se pr sentent comme une invitation jouer pour les r sidents et se substituent en partie la directivit du personne
78. es dispositifs de coordination ne facilite pas les parcours Des plateformes de coordination mergent rassemblant les diff rents dispositifs Le r seau travaille surtout dans l urgence m dicale sorties d hospitalisation le vendredi Le CLIC peut g rer le volet social demandes d APA allocation personnalis e d autonomie et le gestionnaire de cas l entr e en tablissement d h bergement Les collaborations se multiplient plus de la moiti des vingt et un r seaux de sant d Ile de France ont mutualis leur expertise avec un CLIC centre local d information et de coordination ou une MAIA maison pour l autonomie et l int gration des malades Alzheimer dans la terminologie du plan Alzheimer 2008 2012 Un r seau coop re en moyenne avec trois cent soixante et un professionnels de sant Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 quarante quatre professionnels du social CLIC centres communaux d action sociale quipe APA vingt cinq du m dico social tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes MAIA accueils de jour G roscopie pour les d cideurs en g rontologie avril 2015 Soignants sp cialis s de premi re ligne dynamique de professionnalisation Lucie Lechevalier Hurard est doctorante en sociologie l Universit Paris 13 IRIS Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux Elle questionne la dynamique de professionnalisati
79. ette nouvelle source de richesse en Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 19 62 est elle une La question se pose tant et si bien que son financement constitue une charge bien plus qu une ressource gt Selon lui si certains besoins sont l gitimes on v hicule en arri re plan l id e que les n cessaires surveillance et s curit des usagers d pendants pourraient tre assur es par de la t l transmission ou de la t l surveillance La richesse de la rencontre la cr ativit l anticipation la solidarit sont des notions absentes de la cybers curit IL appartient donc aux professionnels d affirmer qu en aucun cas ne se substituera la relation l automatisation d une r ponse binaire de type danger non danger La premi re souffrance de la d pendance demeure l isolement de la personne d pendante et de l entourage et la r ponse du tout s curitaire ne semble tre qu une pi tre solution bien r ductrice gt Pour Pierre Terrasson vouloir faire de la silver conomie une fili re part enti re est au mieux un leurre et au pire un non sens tant industriel qu humain Les probl mes ne sont pas l et les r ponses principales devraient passer par la valorisation et la qualification des personnels d accompagnement voire par un v ritable d cloisonnement des fili res des fonctions et des financements des m tiers de l aide et du soin La na vet de croire que l e
80. eurosciences et cognition de l Universit Claude Bernard Lyon 1 pr sente dans la Lettre du Groupement Alzheimer presbyacousie sant GRAPsant la quatri me et derni re partie d une s rie sur les besoins de la personne presbyacousique Pour une personne g e l apprentissage de la lecture labiale s av re difficile mais pas impossible condition de modifier la mani re dont l orthophoniste con oit son travail L enseignement de la lecture labiale est souvent r alis sans aucun son mis par la voix Ceci a pour cons quence d une part que nous sommes dans des conditions qui ne correspondent pas au presbyacousique qui a encore une capacit auditive restante m me voix chuchot e et d autre part que la personne qui lui propose une phrase en lecture labiale dans ce cas ce sera le plus souvent l aidant a tendance adopter une articulation artificielle et exag r e Pour S verine Leusie la d marche utile adopter doit tenir compte de la complexit de l environnement sonore le presbyacousique a besoin de comprendre ses interlocuteurs aussi bien dans le calme que dans le bruit Il faut donc prendre en compte les distorsions qui persistent malgr les aides auditives et l environnement auquel le presbyacousique doit s adapter Ainsi pour mieux r pondre aux besoins du presbyacousique pour qui la principale difficult est de ne pas comprendre certains mots ou certaines syllabes tendances phon m
81. ewswire ca www alzheimer ca fr federationquebecoise 28 avril 2015 Migrations et interculturalit le d partement et la formation des professionnels Comment r fl chir aux probl matiques de sant avec les publics vieillissants issus de l immigration Le projet Agir en interculturalit port par le comit d partemental d ducation pour la sant du Gard Codes 30 avec le soutien du Fonds europ en d int gration a pour but principal de contribuer insuffler une dynamique territoriale de r flexion professionnelle autour de la prise en charge des migrants originaires de pays hors Union Europ enne et en particulier de la population des personnes vieillissantes Un tat des besoins des professionnels du d partement financ par l Agence r gionale de sant ARS Languedoc Roussillon a t r alis IL montre la forte demande en termes de formation d accompagnement des pratiques professionnelles li es l interculturalit et d espaces d changes d exp riences Une action de formation d analyse des pratiques et de r flexion collective destin e aux professionnels de la sant du social du m dico social du logement accompagn et du maintien domicile dans le Gard a t mise en place pour am liorer la prise en charge m dico sociale des personnes g es immigr es Une quinzaine de journ es de formation ont ainsi r uni pr s de deux cents professionnels en 2013 L association propose une analys
82. f texte int gral Complications l h pital Une tude r trospective de cohorte coordonn e par Diane Gibson de la Facult de sant de l Universit de Canberra Australie portant sur la population g e de plus de cinquante ans hospitalis e en 2006 2007 montre que les personnes atteintes de d mence ont un risque 2 5 fois plus lev que les autres d avoir des complications li es au s jour hospitalier infections urinaires escarres pneumonie et confusion Ces quatre complications potentiellement vitables sont l origine de 25 de la prolongation des s jours hospitaliers La dur e moyenne de s jour est allong e de 3 6 jours en moyenne avec un co t de 16 000 dollars australiens 11 538 euros par pisode 22 des surco ts li s aux complications sont associ s aux personnes atteintes de d mence alors que celles ci ne repr sentent que 10 4 des personnes hospitalis es Bail K et al The cost of hospital acquired complications for older people with and without dementia a retrospective cohort study BMC Health Serv Res 2015 15 91 8 mars 2015 www ncbi nlm nih gov pmc articles PMC4376999 pdf 12913_2015 Article _743 pdf texte int gral Pollution atmosph rique et risque de d mence Les tudes sur les risques environnementaux et la maladie d Alzheimer sont rares Une tude chinoise men e par Yun Chun Wu de l institut d pid miologie et de m decine pr ventive de l Universit nationa
83. f 21 avril 2015 Repr sentations de la maladie M dias grand public Paroles de personnes malades et de leurs aidants Dites ne dites pas les recommandations des personnes malades aux journalistes Vingt personnes malades r unies Liverpool Royaume Uni ont discut des l ments de langage concernant la d mence utilis s dans les m dias et mis des recommandations pour les journalistes et les professionnels de la communication Les personnes vivant avec une d mence pr f rent des mots et des descriptions pr cises quilibr es et respectueuses r sument ils Certains mots doivent se fl trir et mourir des mots r vulsants quand on les entend ou quand on les lit des mots qui v hiculent le message Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 48 62 que la vie avec une d mence n est pas digne d tre v cue que les personnes sont impuissantes et n apportent aucune contribution la soci t des mots qui sont n gativement attach s la personne plut t qu la maladie des mots qui cr ent des st r otypes Les mots viter sont une personne souffrant de d mence d ment d mence s nile fardeau victime fl au pid mie ennemi de l humanit mort vivant Les termes alternatifs sont personne atteinte de d mence personne vivant bien avec une d mence gt Les personnes malades alertent les journalistes et les professionnels de la communic
84. heng une combinaison d id ogrammes signifiant la diminution ou le d clin tui la capacit penser ou se souvenir des choses zhi et le syndrome ou la maladie zheng Cette expression a t reprise dans tous les documents de formation ou d information en chinois de la Soci t Alzheimer Truswell D et al The Reminiscence Tea House J Dementia Care 23 3 12 14 Ma i juin 2015 Veille presse en chinois et traduction fran aise de Jiang An Yunting L Ministry of Health Alzheimer s Disease to Replace Dementia Xinhua 11 octobre 2012 www womenofchina cn womenofchina html1 news newsmakers 14 5589 1 htm Repr sentations de la maladie Art et culture Cin ma Un autre pr sent de Hakob Melkonian Le r alisateur d origine arm nienne Hakob Melkonian a pos sa cam ra durant plus d une ann e l EHPAD tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes des Cinq sens de Limoges Sans pathos sans ang lisme le film nous montre comment leur m moire s tiole petit petit Mais aussi comment la relation la communication reste possible r elle trange diff rente mais pr sente jusqu au bout On sent que le plaisir guide la vie quotidienne dans les unit s de vie de cet EHPAD crit Annie de Vivie d Agevillage avec des professionnels qui soutiennent accompagnent et attestent de cette vie bien pr sente jusqu au bout Un ma tre mot l entraide Et le sourire L absenc
85. i auront pour p rim tre les sept nouvelles r gions cr es par la loi du 16 janvier 2015 V ronique Wallon directrice de LARS Rh ne Alpes depuis avril 2014 dirigera l agence regroupant Auvergne et Rh ne Alpes Christophe Lannelongue directeur de lL ARS Bourgogne depuis d cembre 2012 dirigera l agence regroupant Bourgogne et Franche Comt Claude d Harcourt directeur de PARS Lorraine depuis janvier 2013 dirigera l agence regroupant l Alsace la Champagne Ardenne et la Lorraine Michel Laforcade directeur de l ARS Aquitaine depuis ao t 2012 dirigera l agence regroupant l Aquitaine le Limousin et le Poitou Charentes Monique Cavalier directrice de l ARS Midi Pyr n es depuis d cembre 2012 dirigera l agence qui regroupera Languedoc Roussillon et Midi Pyr n es Monique Ricomes directrice de L ARS Basse Normandie depuis mai 2014 dirigera l agence regroupant Basse Normandie et Haute Normandie Jean Yves Grall directeur de PARS Nord Pas de Calais depuis octobre 2013 galement pr sident du coll ge des directeurs g n raux d ARS depuis octobre 2014 dirigera l agence regroupant Nord Pas de Calais et Picardie Agence f d rale d information mutualiste 30 avril 2015 Injonctions contradictoires Le domicile devrait s imposer dans les politiques de sant comme l acteur de premi re ligne pour l accompagnement le prendre soin et donc les financements a affirm Denis Piveteau conseiller d
86. ieu de culte le fronton pour les jeux de balle basques et le terrain de p tanque Le projet attend encore l aval de l tat d but juin 2015 pour une ouverture esp r e en 2017 Le choix du site reste pr ciser www lepoint fr http france3 regions francetvinfo fr http immobilier lefigaro fr www ladepeche fr 30 avril 2015 AFP www 20min ch 1 mai 2015 www francesoir fr 3 mai 2015 TSA Quotidien 6 mai 2015 Nouvelles t tes 1 D put et pr sident du Conseil d partemental de Charente Maritime Dominique Bussereau UMP a t lu pr sident de l Assembl e des d partements de France avec 68 des voix Sa priorit est le financement des allocations individuelles de solidarit dont l allocation personnalis e d autonomie dont le financement repose selon lui sur un mod le bout de souffle qui ne garantit plus la p rennit de ces politiques d partementales Le s nateur et pr sident du Conseil d partemental des Ardennes UMP Benoit Hur a pr cis que le groupe majoritaire de la droite du centre et des ind pendants ne conteste pas la Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 baisse des dotations mais le d ficit de compensation pour des allocations vers es pour le compte de l tat dans son d partement les allocations vers es aux personnes g es ne sont compens es par l tat qu hauteur de 27 a t il d clar Une compensation hauteur de 75 lui
87. interventions lourdes et non souhait es gt Arcand M End of life issues in advanced dementia Part 1 goals of care decision making process and family education Can Fam Physician 2015 61 4 330 334 Avril 2015 www cfp ca content 61 4 330 long texte int gral Arcand M End of life issues in advanced dementia Part 1 goals of care decision making process and family education Can Fam Physician 2015 61 4 330 334 Avril 2015 www cfp ca content 61 4 337 long texte int gral Acteurs Les Aidants Les Familles Malades d aider Quelles sont les cons quences ressenties de l aide apport e par les aidants de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer Dans une tude aupr s de cinq cents aidants enqu te Handicap sant aidants informels les conomistes B reng re Davin prix de th se 2008 de la Fondation M d ric Alzheimer et Alain Paraponaris de l Universit Aix Marseille et de l Observatoire r gional de la sant Provence Alpes C te d Azur montrent que les aidants de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer sont de fa on g n rale plus affect s que les aidants d autres personnes malades par l aide qu ils apportent aider les am ne faire davantage de sacrifices dans leur vie Plus de 40 d clarent ne pas avoir assez de temps pour eux ou un tiers que cela affecte leur propre sant Le temps pass aupr s de la personne pour l aider dans les activit s du quotidien la surveiller
88. ipation aux animations Mais le jeu peut tre un outil au service de la d prise ajoute Laurence Hardy si les personnes g es perdent prise sur certaines choses ou relations elles peuvent conserver des registres d activit et des contacts qui leur tiennent vraiment c ur De passives elles peuvent rester actives en mobilisant des r les sociaux certes retravaill s au fil de la vie mais ne disparaissant pas totalement avec la vuln rabilit De plus le jeu est une mani re de prendre de la distance l gard des d terminations qui dans la vie sociale fixent l individu sa place et le situent dans le monde qui l entoure Le jeu peut favoriser l inscription dans la vie collective par une appropriation des r les qu il peut proposer IL mobilise le corps active des motions qui vont de la joie la tristesse parfois Il peut tre un activateur de plaisirs et de lien social Ce qui est central c est qu il fasse sens et qu il permette de r veiller des plaisirs et des souvenirs C est aussi un moyen de montrer qu il est possible d acqu rir de nouvelles Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 pratiques jusqu de nouvelles comp tences Le r le de l animateur en g rontologie est donc la fois d encourager sans forcer de mettre en app tit sans infantiliser Hardy L Jeu et d prise Doc animation 2015 50 19 20 Mars avril 2015 Sciences humaines et socia
89. iques aig es la lecture labiale devrait toujours tre travaill e en pr sentant le son d form per u par le presbyacousique Cela pr sente un int r t majeur pour la personne g e qui n a besoin que d un compl ment d information et non de toute l information Il suffit donc de lui parler naturellement voix chuchot e ou tr s basse pour que l exercice ne soit plus la Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 prouesse qu on lui proposait Se priver de la lecture labiale serait une faute et notre sens le r ducateur devrait toujours veiller ne pas amener le patient s adapter pour rien un exercice inutile mais plut t profiter de chaque occasion pour lui permettre de retrouver une situation de normo entendant gt Leusie S Les besoins du presbyacousique 4 partie La lettre du GRAPsant 2015 65 Mai 2015 www grapsante org lettres GRAP lettre_65 Mai _2015 pdf R ducation orthophonique impliquer l aidant Le neuropsychologue Laurent Lefebvre et l orthophoniste Catherine S e de la Facult de psychologie et des sciences de l ducation de l Universit de Mons Belgique proposent un nouvel outil de prise en charge orthophonique Logaatome pour stimuler les domaines langagiers pr serv s chez la personne malade et d velopper les comp tences de communication de l aidant Une mallette comprend un manuel d utilisation des fiches des photos un CD audio
90. istr s ce qui permet de suivre l volution des performances cognitives Afin de pouvoir d velopper compl tement ce projet l association nnovation Alzheimer a lanc une campagne de financement participatif crowdfunding sur le site Indiegogo Les fonds permettront de mettre gratuitement en ligne un nouveau jeu chaque mois pendant douze mois et de r aliser des tests r guliers pour s assurer de leur bon fonctionnement L objectif fix 325 000 euros est encore loin d tre atteint en un mois 1043 euros avaient t recueillis aupr s de dix huit contributeurs www silvereco fr memo une plateforme francaise de serious our faire travailler sa memoire 3145183 21 avril 2015 www indiegogo com projects memo memory and motivation 23 avril 2015 Une vid o des proches pour d marrer la journ e Bonjour petit soleil tu es debout de bien bonne heure gt chante tous les jours Tamara Rusoff Hoen sa m re Irving quatre vingt quatorze ans et atteinte de d mence dont toutes les journ es commencent de la m me fa on elle regarde sur un ordinateur portable une vid o de cinq minutes de sa fille o celle ci partage de beaux souvenirs de leur vie pass e et lui souhaite une bonne journ e Ce programme pilote men la maison de retraite Hebrew Home de Riverdale New York Etats Unis propose ses r sidents aux premiers stades de la maladie d Alzheimer une solution pour viter que le r veil soit un moment de
91. it un investissement de 23 millions d euros et un budget de fonctionnement annuel de 10 millions financ s par la s curit sociale le d partement et les r sidents avec un prix de journ e d environ 60 euros selon l ARS Il faut aussi pr server le lien troit entre l architecture du lieu la prise en charge des r sidents et leur histoire personnelle et culturelle Chaque quartier regrouperait trente r sidents avec des unit s d habitation g r es au quotidien par une assistante de soins en g rontologie ASG qualifi e qui deviendrait une fois la porte franchie la ma tresse de maison gt Le personnel comprendrait quatre vingt personnes d di es aux soins cinq la surveillance nocturne assist es d un syst me vid o trois psychologues deux m decins deux Kin sith rapeutes deux ergoth rapeutes deux infirmiers et seize animateurs l accompagnement des r sidents Henri Emmanuelli estime que la place des b n voles et des familles est essentielle comme garantie de vie collective dynamique IL fait aussi valoir les vertus th rapeutiques d animations vari es musique voyage promenade activit physique th tre poterie Le lieu doit tre bien ancr dans la culture locale il y aura donc le cercle des travailleurs pour jouer au loto l auberge pour h berger la famille l picerie o acheter les produits du cru la ferme et son potager le march hebdomadaire la salle des f tes le l
92. itifs l gers In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 73 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Stimulation cognitive plateforme Internet L association Innovation Alzheimer bas e l Institut Claude Pompidou Nice r alise des ateliers m moire pour la ville de Nice depuis trois ans Elle a lanc une plateforme Internet de stimulation cognitive MeMo Memory and Motivation destin e aux personnes Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles cognitifs ou des seniors soucieux d entretenir leurs fonctions cognitives depuis leur domicile Cette plateforme est le fruit du travail d une quipe multidisciplinaire ayant men plusieurs projets de recherche en serious games jeux s rieux th rapeutiques destination des patients atteints de la maladie d Alzheimer Elle a t con ue en collaboration avec des m decins et en se basant sur les retours des actions de terrain de l association qui organise des ateliers m moire Plusieurs jeux sont d j propos s avec diff rents niveaux de difficult IL suffit de se connecter pour jouer Les r sultats sont enreg
93. juin 2015 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Sant scolaire La maladie d Alzheimer a t au centre d une journ e de sensibilisation organis e par le club Sant et environnement du lyc e qualifiant Sidi Mohamed Ben Abdellah Essaouira Maroc initi e en collaboration avec l association locale Espoir Maroc Alzheimer cette rencontre a permis aux jeunes l ves de mieux comprendre la maladie travers des expos s et des projections portant sur l historique la d finition et les sympt mes ainsi que sur la pr vention et la cohabitation avec les personnes malades Au programme figuraient galement des animations artistiques chansons po mes danses et sketches cr s et interpr t s par des lyc ens Taoufik Ahalli du club Sant et environnement a soulign que cette manifestation qui co ncide avec la Journ e nationale de la sant scolaire et s inscrit dans les initiatives d animation et d enrichissement de la vie scolaire et dans l ouverture des clubs scolaires sur leur entourage a pour but de rapprocher les jeunes de cette maladie les sensibiliser sa gravit et la mani re de vivre avec les personnes malades Mohamed Oukheraz pr sident de l association locale Espoir Maroc Alzheimer a mis l accent sur l importance de la promotion de la conscience sanitaire parmi les jeunes et de la sensibilisation la gravit de la maladie d Alzheimer www libe ma 2 mai 2015 R le et
94. l Quelle efficacit Les premiers r sultats montrent que le cadre ludique am liore le score des troubles du comportement per us par l quipe soignante la qualit de vie dans le domaine des interactions sociales le bien tre instantan des r sidents Gueyraud C Qu est ce que le jeu Doc animation 2015 50 10 11 Mars avril 2015 Gueyraud C et Bathsavanis A Ludim le jeu comme th rapie non m dicamenteuse Doc animation 2015 50 12 13 Mars avril 2015 Hardy L Jeu et d prise Doc animation 2015 50 19 20 Mars avril 2015 Jouer une inscription dans la vie collective L anthropologue Laurence Hardy observe que les tudes sur les pratiques de loisirs des personnes g es de plus de soixante cinq ans ne r v lent pas une forte app tence aux jeux Ce qu elles montrent pourtant c est que cette activit baisse tr s faiblement avec l avanc e en ge Ce sont les activit s domestiques qui sont valoris es et celles en lien avec le jardinage La fragilit oblige alors parfois y renoncer Ce qui est important c est que la personne ne soit pas exclusivement dans le renoncement il faut qu elle puisse avoir la possibilit de faire des choix afin d tre actrice de sa vie Si on vieillit comme on a v cu demain les personnes g es participeront davantage au monde des loisirs L effet de g n ration est tr s fort encore aujourd hui c est un l ment d explication de la faible partic
95. la conscience de l espace spatial awareness la r p tition dans la conversation des difficult s prendre des d cisions la confusion des mouvements p nibles se lever et regarder fixement Norrms McNamara signe expert par exp rience et champion de la sensibilisation la d mence gt http dementiavoices org uk resources deep guides 19 mai 2015 J Dementia Care mai juin 2015 S r nit Les sociologues Aline Chamahian ma tre de conf rences en sociologie et Vincent Caradec du centre de recherche Individus preuves soci t s Ceries EA3589 l Universit Lille 3 op rent une double rupture par rapport nos mani res habituelles d appr hender la maladie d Alzheimer En pla ant l exp rience de la maladie d Alzheimer telle qu elle est v cue et racont e par des personnes situ es des stades l gers mod r s de la maladie au c ur de leur analyse ils rompent avec les repr sentations d incomp tence voire d inexistence sociale des personnes atteintes d Alzheimer Cette perspective les am ne ensuite nuancer fortement d une part le poids de la maladie dans la vie quotidienne des personnes interrog es d autre part son caract re dramatique dans ces premi res phases de la pathologie En effet c t des r cits sombres ou ambivalents sur l exp rience de la maladie une partie des personnes malades mettent en exergue une certaine s r nit et une relativisati
96. le d veloppement de l informatique et de l Internet les multiples applications de l lectronique transforment rapidement la vie quotidienne de la soci t et de chacun Celui qui n y a pas acc s voit progressivement alt rer son acc s la vie sociale et ses activit s de la vie quotidienne On pourrait appeler technop nie gt de technique qui concerne l application d une science et de p nie manque la d ficience de celui qui n a pas acc s ces nouvelles technologies Cette d ficience a pour origine principale l absence de formation l utilisation de ces techniques durant la vie scolaire puis professionnelle Ce sont donc principalement les populations g es ou tr s g es et un moindre degr les populations de faible niveau ducatif qui sont les plus atteintes Pour le Pr Moulias l ge chronologique n est pas une cause par lui m me Ceux qui ont utilis ces technologies dans leur vie professionnelle en conservent ou d veloppent l usage Beaucoup en ont d marr l usage avec leur retraite La plasticit c r brale existe tout ge La r ducation des octog naires atteints de d g n rescence maculaire li e l ge implique la cr ation de nouveaux circuits c r braux Les ateliers de cr ativit prouvent que m me les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer sont capables d apprentissage pendant longtemps Les exp riences associatives Old Up montrent
97. le de Ta wan portant sur neuf cents personnes montre qu une exposition lev e aux microparticules plus de 49 microgrammes m tre cube de particules de diam tre inf rieur 10 microns ou l ozone plus de 21 parties par million Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 9 62 est associ e un risque de survenue de maladie d Alzheimer ou de d mence vasculaire multipli par un facteur 4 Aux Etats Unis une tude multicentrique coordonn e par Mary Mittleman du centre m dical Beth Israel Deaconess de Boston h pital universitaire de Harvard aupr s de neuf cents personnes g es en moyenne de soixante huit ans montre qu une exposition quotidienne 11 microgrammes de particules fines lt 2 5 microns par m tre cube d air est associ e des micro accidents vasculaires c r braux observables en imagerie dans 14 des cas Une augmentation de 2 microgrammes m tre cube est associ e un risque d AVC silencieux accru de 37 Ces micro l sions c r brales ne sont pas suffisamment s v res pour qu il y ait des sympt mes observables Mais cette tude a des limites l association entre la pollution atmosph rique et le risque de micro l sions c r brales n est plus significative chez les personnes atteintes de diab te Globalement cette tude montre certaines preuves d une association entre une mesure de pollution de l air et des accidents vasculaires silencieux mais ses r
98. les sant publique prix de th se 2015 de la Fondation M d ric Alzheimer La Fondation M d ric Alzheimer soucieuse de soutenir les jeunes chercheurs en sciences humaines et sociales ou en sant publique qui ont choisi de consacrer leur th se de doctorat la maladie d Alzheimer et aux handicaps cognitifs li s au vieillissement lance un appel candidatures pour son Prix de th se 2015 Ce Prix d un montant de dix mille euros r compensera une th se de doctorat en sciences humaines et sociales anthropologie d mographie droit conomie philosophie psychologie sciences de l ducation sciences du langage sciences politiques sociologie ou en sant publique soutenue entre le 15 septembre 2013 et le 31 mai 2015 et portant sur les enjeux de soci t induits par la maladie d Alzheimer et les maladies apparent es ou sur l am lioration de la qualit de vie des personnes malades et de leurs aidants familiaux b n voles et professionnels La date limite de retour des dossiers est fix e au 15 juin 2015 wwvw fondation mederic alzheimer org Nos Actions Soutien a la recherche Prix de these 2015 www risc cnrs fr detail_lesechos php lD 27956 5 mai 2015 Recherche et maladie d Alzheimer les professions les moins repr sent es Pour Fabrice Gzil docteur en philosophie et responsable du p le tudes et recherches de la Fondation M d ric Alzheimer contrairement ce que l on observe dans d autres pays
99. light pdf texte int gral Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Technologies d assistance cognitive quel acc s 2 La pr conisation des technologies d assistance cognitive aupr s de personnes atteintes d une maladie d Alzheimer ou apparent e reste une pratique r cente encore inexplor e Bien que la fili re industrielle de la Silver conomie se structure progressivement l acc s aux technologies d assistance cognitive reste difficile Il manque un maillage d acteurs susceptibles de faire l interface entre toutes ces technologies et les usagers L objectif final est de permettre l usager de d couvrir la technologie d assistance cognitive adapt e au maintien de son autonomie et de lui donner les moyens de faire un choix clair Pour r pondre cet objectif Les pr conisations doivent tenir compte de nombreux param tres Deux enqu tes aupr s des ergoth rapeutes des quipes sp cialis es Alzheimer montrent que le processus de pr conisation et de mise en place d une technologie d assistance cognitive est davantage sous l influence de l autonomie d cisionnelle collective que sous celle de l autonomie d cisionnelle individuelle et que dans une minorit de cas l autonomie d cisionnelle collective se fait m me au d triment de l autonomie fonctionnelle gt Pour Julie Chaffangeon il est n cessaire d valuer l implication de l entourage dans l accompagnement de
100. micile voit enfin l issue de son combat pour une prise en charge globale des usagers m me si du texte de loi la mise en uvre le chemin promet d tre long crit Michel Paquet d Actualit s sociales hebdomadaires La FEHAP F d ration des tablissements hospitaliers et d aide la personne priv s non lucratifs la Croix Rouge fran aise et l Assembl e des d partements de France ADF trois organisations qui militent pour le d veloppement des SPASAD n ont cess de d noncer les obstacles rencontr s par les porteurs de projet Dans une note destin e alimenter la pr paration de la loi d adaptation de la soci t au vieillissement elles pointent la gestion duale entra n e par la suj tion des SSIAD services de soins infirmiers domicile et des SAAD services d accompagnement et d aide domicile deux r gimes d autorisation et de tarification distincts deux budgets et parfois deux conventions collectives diff rentes cela s ajoute la difficult de conduire des interventions coupl es entre ces deux entit s qui sont la raison d tre du SPASAD compte tenu de d lais de d clenchement du plan d aide tr s diff rents Si l intervention du SSIAD peut se faire sans d lai partir du constat de son besoin celle du SAAD on reuse pour la personne lui impose bien souvent d obtenir l accord de prise en charge De plus l absence de moyens sp cifiques d di s la coordina
101. n C et al Balancing needs The role of motivations meanings and relationship dynamics in the experience of informal caregivers of people with dementia Dementia London 2015 14 2 220 237 Mars 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 24339101 Acteurs Les Professionnels Troubles cognitifs et chirurgie orthop dique la communication p ri op ratoire Ferid Krupic et ses coll gues du service d orthop die l Universit de Gothenburg Su de ont interrog dix infirmiers anesth sistes la d mence est per ue comme l une des maladies les plus difficiles et les plus fluctuantes dont une personne peut tre atteinte IL faut donner du temps pour pouvoir communiquer de fa on claire et patiente tablir un pont mental mental bridgehead avec la personne malade en confirmant les perceptions ou le ressenti r duit la souffrance psychologique chez une majorit de patients Une approche globale et respectueuse est une obligation de chaque instant Apporter des objets personnels peut calmer certains patients qui demandent de la reconnaissance Une analg sie performante et des anxiolytiques sont obligatoires En r sum disent les infirmiers anesth sistes les probl mes p ri op ratoires peuvent tre Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 surmont s avec patience empathie et une connaissance profonde de la fa on dont les personnes atteintes de d mence r pondent avant d tre op r es Krupic F
102. ncore se cachent des m tiers haute valeur ajout e rel ve tout au plus d une d rive intellectuelle voire du mensonge pur et simple IL y a fort parier que cette bulle se d gonflera aussi vite que d autres ont disparu Esp rons que ce sera au profit de la prise en compte de r els besoins Actualit s sociales hebdomadaires 15 mai 2015 Silver conomie quel mod le conomique Pour Benjamin Zimmer directeur de Silver Valley ce n est pas la technologie qui va remplacer l humain mais elle va appuyer l humain gt Les entreprises du secteur s int ressent de plus en plus aux tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes EHPAD qui deviennent des postes d observation privil gi s pour mieux comprendre les usages et cultiver une innovation qui ne soit pas hors sol terme on pourrait m me imaginer que les grands groupes d EHPAD qu ils soient publics priv s ou associatifs participent la remont e des besoins et la s lection des technologies qui ont fait leurs preuves il faut que les centrales d achat travaillent plus troitement avec les EHPAD IL faut inventer au sein des groupes d EHPAD un nouveau m tier une personne sp cialis e dans la business intelligence veille industrielle qui soit capable la fois de relayer les besoins et d identifier les technologies gt Mais les exp rimentations ne doivent pas tre la charge des EHPAD L entrepre
103. ndes lus architectes et acteurs de sant pr parent un projet de bastide reconstitu e un village Alzheimer gt inspir de celui de De Hogeweyk Weesp Pays Bas rappelle Henri Emmanuelli r cemment r lu pr sident du d partement Une d l gation est all e observer le mod le n erlandais de ville dans la ville avec son supermarch son salon de coiffure son cin ma et son th tre Pour Michel Laforcade directeur de l Agence r gionale de sant ARS d Aquitaine il n y aura pas de blouses blanches gt dans ce futur lot ultra s curis o l impossibilit d identifier le personnel contribue inscrire les patients dans un paysage normalis de vie sociale Il se dit convaincu que ce mod le permet aussi d am liorer la qualit de vie tout en r duisant la consommation de m dicaments Le mod le De Hogeweyk permet d avoir une libert totale tout en pr servant la s curit des r sidents de fa on discr te gt note le directeur de l ARS Cette exp rience pionni re s appuierait aussi sur une r elle collaboration avec les b n voles un mode d organisation qui n est pas encore entr dans les habitudes en France La Bastide Alzheimer pr voit d accueillir cent cinquante deux personnes tr s g es tr s d pendantes et tr s d sorient es encadr es par cent cinquante professionnels qualifi s et autant de b n voles Le financement encore en discussion pr vo
104. ne hypertension install e au milieu de la vie risque multipli par 2 4 En revanche le risque de d ficit cognitif l ger est r duit chez les personnes participant des activit s artistiques risque r duit de 73 manuelles risque r duit de 44 et sociales risque r duit de 55 que ce soit au milieu ou la fin de la vie et l utilisation d un ordinateur la fin de la vie risque r duit de 55 Roberts RO et al Risk and protective factors for cognitive impairment in persons aged 85 years and older Neurology 8 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25854867 Comment promouvoir une meilleure nutrition domicile Taija Puranen et ses coll gues du d partement de m decine g n rale de l Universit d Helsinki ont men pendant un an un essai contr l et randomis aupr s de quarante personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et de leurs aidants pour tester l efficacit d une intervention de conseil en nutrition Les chercheurs identifient plusieurs l ments permettant de promouvoir une meilleure nutrition une attitude positive sur la nutrition fond e sur une approche centr e sur la personne un retour d exp rience l utilisation de Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 10 62 cahiers d alimentation et des conseils pratiques Des visites d un di t ticien domicile ont t appr ci es les participants ont eu le sentiment que quelqu un prenait soin d e
105. ne qualit sur les effets des diff rentes formes de d mence sur la capacit conduire Des entretiens structur s avec les personnes malades et leurs aidants sont cruciaux pour d tecter des difficult s de conduite L valuation neuropsychologique peut confirmer la pr sence de d ficits cognitifs dont l impact pourrait tre valu sur un simulateur de conduite pour observer les forces et les faiblesses du comportement du conducteur et le conseiller en termes de capacit conduire et d aides techniques Mais en l absence de tests fiables et valid s pour valuer la capacit conduire sur simulateur les tests accompagn s sur route co teux restent in vitables Piersma D et al Car drivers with dementia different complications due to different aetiologies Traffic Inj Prev 15 avril 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25874501 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Recherche sur la maladie D terminants de la maladie Le risque de d mence d cline t il Au moins neuf tudes pid miologiques r centes en population g n rale men es aux Etats Unis en Angleterre aux Pays Bas en Su de et au Danemark sugg rent un d clin du risque de d mence li l ge dans les pays d velopp s depuis vingt cinq ans Deux facteurs sont d terminants pour expliquer cette r duction du risque un niveau d ducation plus lev et le traitement g n ralis des facteurs de risque vasculaires tels
106. neur doit l int grer dans son mod le et c est lui de payer gt L EHPAD pourrait enfin jouer dans la silver conomie le r le d une plateforme de distribution Pour Olivier Gu rin chef du p le de g rontologie au CHU de Nice et vice pr sident de France Silver Eco objectif est de cr er un label qui garantisse la qualit de l usage de la technologie car la technologie n a aucun sens en soi Le Mensuel des maisons de retraite avril 2015 Silver conomie quel d veloppement possible l international La direction g n rale du Tr sor publie une tude sur les diff rents march s de la Silver conomie pour le compte de la direction g n rale des entreprises L tude a t r alis e avec l aide des conseillers des affaires sociales pr s des ambassades de huit pays Allemagne Br sil Chine Cor e du Sud Italie Japon Royaume Uni Turquie Elle a pour objectif de dresser un premier panorama repr sentatif des march s de la Silver conomie au niveau international Cette tude s inscrit dans le cadre du contrat de fili re de la Silver conomie sign en France en d cembre 2013 L axe 3 de ce dernier est en effet consacr exporter les produits et les technologies de la Silver conomie gt parmi les diff rentes actions propos es une analyse des march s locaux devait viser permettre de Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 mieux positionner l offre
107. nneaux ou des feux de signalisation et pour lesquelles existent des suspicions de troubles de la m moire ou de d mence En r alit cette obligation est tr s peu respect e Ainsi en 2013 sur les 34 716 personnes identifi es comme susceptibles d tre atteintes de d mence seules 524 ont pass cet examen m dical th oriquement obligatoire Shimada H et al Driving continuity in cognitively impaired older drivers Geriatr Gerontol Int 8 mai 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25953032 Yomiuri Shinbun 16 f vrier 2015 Veille et traduction fran aise de Kyoko Siegel www consulfrance kyoto org 24 avril 2015 Arai A et al Implementation of municipal mobility support services for older people who have stopped driving in Japan Public Health 2011 125 11 799 805 www ncbi nlm nih gov pubmed 22019359 Novembre 2011 Japon les retrait s de la conduite 2 Comment r duire ce facteur de danger pour ces personnes et pour les autres conducteurs Si ce projet de loi est adopt il sera galement obligatoire pour les personnes g es de plus de soixante quinze ans de passer des examens permettant de contr ler leurs capacit s cognitives apr s chaque infraction commise permettant de suspecter une alt ration de ces capacit s Mais priver des personnes de leur automobile alors que celle ci tait leur seul moyen de transport cr era des nouvelles difficult s en termes de mobilit Les solutions pourraient tre la cr ation de servi
108. ns et Martina Gedeck le film qui n a pas de version fran aise s intitule die Ausl schung c est dire l effacement l extinction Montandon A Lumi re et ombres de la maladie d Alzheimer un t l film autrichien Retraite et soci t 2014 69 133 141 D cembre 2014 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Die Ausl schung d Agnes Pluch et Nikolaus Leytner 2 Le film a t tourn au mus e d histoire de l art de la ville de Vienne Autriche et de ses environs L atmosph re est fort diff rente de celle du film Amour de Michael Haneke la narration glac e de Haneke tant assez loin de lamour plus fort que la mort signifi et replac dans le contexte de l art de la culture et de la litt rature allemandes Dans les cadres suspendus aux murs de la maison du professeur des silhouettes une technique particuli rement d velopp e en Allemagne entre 1770 et 1790 une image forte de la personne atteinte de la maladie d Alzheimer sont il ne resterait que le contour une forme qui se vide de sa substance int rieure et plonge dans sa nuit Le cin aste fait suivre imm diatement l image de la silhouette par celle d une radiographie du cerveau La vue d un rideau de dentelle rappelle au professeur un pisode de son enfance o il se r fugiait dans une pi ce pour regarder dehors travers des trous du rideau Quand le vent soufflait et que le rideau bougeait il avait alor
109. ns sont d j accueillis Deux tiers sont atteints de la maladie d Alzheimer et un tiers de l sions c r brales aux sympt mes proches L quipe compos e de professionnels du handicap compte quarante cinq personnes ce jour et comprendra terme trois infirmi res une infirmi re coordinatrice dix huit aides soignantes dix neuf aides m dico psychologiques une psychomotricienne temps plein un m decin coordonnateur un m decin psychiatre une assistante sociale un orthophoniste un ergoth rapeute un kin sith rapeute temps partiel L tablissement propose des activit s de loisirs sportives et culturelles des ateliers de la baln oth rapie de lart th rapie de la musicoth rapie Porteuse du projet avec l AEDE Association des tablissements du domaine Emmanuel Espoir Alzheimer a pr sent le projet au CROSMS comit r gional de l organisation sanitaire et m dico sociale qui a valid le projet Quel financement Le Conseil g n ral finance l h bergement et l accompagnement m dico social sur la base d un prix de journ e de 230 euros L Agence r gionale de la sant ARS verse une dotation soins mensuelle et la participation du r sident est calcul e d apr s le r glement de son d partement d origine et selon ses ressources un r sident peut donc payer de 500 euros plus de 3 000 euros par mois G roscopie pour les d cideurs en g rontologie avril 2015 Handirect mai juin 2015 ww
110. omme outil de soins en unit cognitivo comportementale Soins Gerontol 2014 108 38 40 Juillet ao t 2014 http cat inist fr 2aModele afficheN amp cpsidt 28596823 Guisset Martinez MJ Villez M et Coupry O Jardins des espaces de vie au service du bien tre des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et de leur entourage Paris Fondation M d ric Alzheimer Rapport d tude n 3 Janvier 2013 wwvw fondation mederic alzheimer org content download 15496 68745 file 2013 20Rapport 20JARDIN 20septem bre 202013 pdf texte int gral Le jeu une construction historique et culturelle C dric Gueyraud directeur du centre national de formation aux m tiers du jeu et du jouet Lyon FM2J a r alis avec le journaliste Xavier Czaja un dossier sur l int r t du jeu en institution dans la revue professionnelle Doc animation Qu est ce que le jeu Notre pens e est influenc e par les diff rentes repr sentations culturelles qui ont fait consensus au fil du temps En latin jocus signifie plaisanterie badinage Le grec utilisait le mot paida pour d signer une activit propre l enfance Cette tymologie enracine le concept de jeu dans l enfance et dans d un mouvement libre non r gl et d une certaine frivolit Pour l anthropologue Laurence Hardy responsable du centre de ressources Askoria de Rennes le jeu est universel transhistorique et transculturel Dans toutes les soci t s les enfants et les adul
111. on Irlande un acc s encore restreint l imagerie c r brale En Irlande une enqu te coordonn e par Jonathan McNulty du Trinity College de Dublin aupr s des g riatres g rontopsychiatres et neurologues montre que l acc s des sp cialistes aux examens d imagerie c r brale est tr s restreint entre 65 et 80 des tests ne leur sont pas accessibles Seuls 44 6 des sp cialistes savent qu il existe des protocoles sp cifiques pour l imagerie c r brale des personnes atteintes de d mence Ciblis AS et al Neuroimaging referral for dementia diagnosis The specialist s perspective in Ireland Alz Dement 2015 1 41 47 Mars 2015 http ac els cdn com S2352872915000159 1 s2 0 S2352872915000159 main pdf _tid 9cef7c7a ed80 11e4 89f7 00000aab0f c amp acdnat 1430209917_e17def01d95858833eec0f6770894f91 texte int gral Une personne sur deux non diagnostiqu e en France Une personne sur deux atteintes de la maladie d Alzheimer ne serait pas diagnostiqu e aujourd hui en France La lente progression des sympt mes de la maladie d Alzheimer conjugu e au d ni des familles retarde souvent l annonce du diagnostic Or plus la maladie est identifi e un stade avanc plus il s av re ardu voire impossible de retarder son volution Les malades se voient priv s d une prise en charge volutive et les familles d un accompagnement adapt souligne une tude de Cap Retraite une organisation qui conseill
112. on des troubles au regard d autres pathologies ou d autres preuves de la vieillesse Enfin ils insistent sur le poids des contextes sociaux dans le modelage des exp riences de la maladie le contexte familial tout comme le contexte d activit ou de retraite peuvent constituer aussi bien des cadres protecteurs de la vie avec la maladie que des facteurs aggravants des troubles Chamahian A et Caradec V Vivre avec la maladie d Alzheimer des exp riences en rupture avec les repr sentations usuelles de la maladie Retraite et soci t 2014 69 17 37 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retra ite Societe 69 pdf D cembre 2014 P rennit Dans un entretien avec la sociologue Isabelle Mallon publi dans Retraite et soci t Emmanuel Hirsch directeur de l Espace national de r flexion thique sur la maladie d Alzheimer EREMA durant le plan Alzheimer 2008 2012 estime que les travaux men s pendant quatre ans dans ce cadre repr sentent le socle sur lequel enraciner les d veloppements attendus par le plan Maladies neurod g n ratives IL lui appara t important de pr server une capacit de discernement de distinction dans nos approches elles ne doivent tre ni globales ni syst matiques On ne saurait ramener notre investissement une conception r ductrice de ce que serait Le champ des maladies dites neurologiques d g n ratives La personne doit tre rencon
113. on entra n e par le d veloppement au sein des institutions d h bergement pour personnes g es de secteurs sp cialis s dans l accompagnement des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer Elle a men une enqu te qualitative dans une UHR unit d h bergement renforc e de trente huit lits dont quatre d h bergement de courte dur e avec un personnel salari compos de trente quatre quivalents temps plein dont quatorze aides soignants et trois aides m dico psychologiques La professionnalisation du personnel de premi re ligne s op re par la diversification des t ches incluant davantage d animation la formalisation des interventions et la d limitation d un champ de comp tences autonome fond sur la proximit avec les personnes malades Cette dynamique de professionnalisation est cependant frein e par l organisation susceptible de resp cialiser les t ches accomplies par les professionnelles et par les logiques de recrutement et d valuation de la direction explicitement fond es sur la valorisation des comp tences naturelles des soignantes forg es hors du monde professionnel Lechevalier Hurard L Nouveaux dispositifs de professionnalisation pour les soignants de premi re ligne en milieu sp cialis Alzheimer Retraite et soci t 2014 69 99 120 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf D cembre 2014 Assistant de soins
114. once du diagnostic en 2011 j ai t effondr e saisie par des multiples crises de larmes L aidant familial ne peut pas porter la maladie de son proche mais il peut l accompagner vers un mieux tre gt Aujourd hui je suis arriv e aux limites de ce que je peux affronter et supporter C est un aveu difficile mais pas pour autant un chec La fatigue physique et l puisement moral l ont emport sur moi Je ne peux rien y faire Je dois reconna tre mes limites m me si celles ci me mettent en situation d chec Mais est ce vraiment un chec Peut tre pas C est peut tre juste la reconnaissance de mes limites physiques et psychologiques Je me suis rendue l vidence mon mari a besoin d un environnement mieux adapt l volution de sa maladie Je ne peux pas le lui offrir IL en va aussi de son bien tre physique et psychologique Heureusement que les enfants sont l pour pouvoir me soutenir ne serait ce pour sortir leur p re gt Comment cette aidante assume t elle ses difficult s au quotidien Mon mari ne peut se d placer qu en fauteuil roulant Ce qui est difficile accepter c est que mon mari est devenu prisonnier de son fauteuil dont il sort de moins en moins Le manque de mobilit physique ne fait qu amplifier les effets de la maladie Tous les probl mes li s au transport sont pesants aussi Je ne peux rien envisager sans me demander comment techniquement pouvoir transport
115. ont men une tude exploratoire descriptive impliquant quarante neuf participants douze professionnels de sant six aidants familiaux et trente et un seniors dans un processus it ratif de design centr sur l utilisateur pour le d veloppement d un programme principalement destin aux conjoints qui sont statistiquement les aidants les plus fr quents des personnes souffrant d une maladie d Alzheimer Diapason En raison des changements perceptivo sensoriels et cognitifs qui accompagnent le vieillissement normal et de leur faible exp rience de l utilisation d Internet les besoins des conjoints de plus de soixante cinq ans diff rent de ceux des aidants plus jeunes La conception centr e sur l utilisateur vise viter que les aidants les plus g s soient confront s un site inadapt leurs capacit s et leurs ressources Cristancho Lacroix V et Rigaud AS Diapason un programme pour les aidants informels de personnes atteintes de maladie d Alzheimer In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 34 37 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Tablettes tactiles quelle ergonomie Nathalie Chauzal et Matthieu Debray du p le de
116. oraire Les personnes malades s efforcent de vivre au jour le jour et s inqui tent de devenir peut tre un mort vivant Kristiansen PJ et al How do people in the early stage of Alzheimer s disease see their future Dementia London 4 mai 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25941047 Relations sexuelles la capacit de refuser ou non 1 Dans l lowa Etats Unis les rapports sexuels non consentis entre poux sont ill gaux depuis vingt cinq ans ainsi que les rapports sexuels avec une personne souffrant de retard ou d incapacit mentale gt Un jury a d clar un homme non coupable d abus sexuel sur sa femme atteinte de la maladie d Alzheimer IL tait accus d avoir eu des relations sexuelles avec elle dans un tablissement de soins alors que les membres du personnel lui avaient dit qu elle n tait pas en mesure de donner son consentement L accusation de crime felony aurait pu lui co ter dix ans de prison Compte tenu de la notori t de l accus Henry Rayhons soixante dix huit ans et ancien lu la Chambre des repr sentants l affaire a donn lieu une couverture m diatique nationale la question ne peut que gagner en importance avec le vieillissement des Am ricains savoir si et quand les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer sont capables d indiquer si elles d sirent des relations intimes intimacy gt r sume Pam Belluck du New York Times www dailymail co uk news
117. our conna tre le ressenti ou l opinion d une personne sur sa vie quotidienne sur ses liens avec ses proches aidants sur le regard port par la soci t sur la maladie mais aussi pour conna tre ses attentes et ses espoirs encore faut il lui poser la question Une logique loin d tre vidente quand on sait que les malades d Alzheimer sont souvent per us comme des personnes incapables de Dans ce contexte l association France Alzheimer souhaite prendre le contre pied de ce pr jug en donnant de fa on totalement in dite et avant gardiste la parole aux malades en d but de maladie dans une grande enqu te nationale men e jusqu au 18 juin 2015 avec l institut de sondage Opinion Way www senioractu com www sondagefrancealz com 20 avril 2015 2012 Vous n tes pas seuls Aux Etats Unis le mois de mai est celui des personnes g es La Fondation Alzheimer des Etats Unis AFA a lanc une campagne sur les m dias sociaux pour sensibiliser le grand public la maladie d Alzheimer et faire savoir aux familles ayant un proche malade qu elles ne sont pas seules sur leur chemin Alzheimer s Foundation of America 27 avril 2015 Histoires de femmes Dans le cadre de la campagne My Brain mon cerveau la soci t Alzheimer appelle un million de femmes utiliser leur cerveau pour an antir wipe out la maladie d Alzheimer l une des plus grandes menaces pour la sant des femmes
118. outenir les projets innovants diffuser les bonnes pratiques informer les adh rents et leur entourage sensibiliser le grand public cette pathologie et am liorer l accompagnement des personnes malades Avec ce nouvel accord les deux partenaires entendent poursuivre leur r flexion commune men e sur le terrain en lien avec les structures mutualistes afin de mieux appr hender les besoins des malades et leur proposer les services de proximit ad quats trop souvent l offre d finit les besoins regrette Etienne Caniard Or il faut associer troitement les personnes malades au travail men par les institutions et les industriels pour comprendre quels sont leurs besoins r els et leur proposer des solutions gt titre d exemple en permettant le maintien domicile les progr s effectu s dans l accompagnement des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ont galement cr de nouveaux besoins qui sont souvent des besoins d interface avec la soci t en particulier dans la gestion du quotidien gt indique Etienne Caniard Ce sont autant de nouvelles pistes de r flexion pour que les parents conjoints amis ou voisins redonnent toute leur place aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et les accompagnent dans leur parcours de sant Agence f d rale mutualiste 11 mai 2015 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Un village Alzheimer en France Dans les La
119. p ISBN 978 2 84921 322 3 http editionsthot com catalogue jeunesse la zaimer www agevillage com 20 avril 2015 L ontine de Roselyne S venou Qu r illustr par Bl nt Dans une boutique de bonbons L ontine une petite louve semble peu peu perdue dans son quotidien Elle oublie les choses les gens et parfois ne sait plus trop qui elle est Ses amis se rendent bien compte que peu peu elle perd la t te alors ils s interrogent on ferme les yeux ou on l aide Comment cette id e est elle n e J ai souhait parler de cette maladie parce que j ai t confront e personnellement cela gt explique Roselyne S venou Qu r ducatrice de jeunes enfants Paimpol qui a d trouver les mots justes pour parler de leur grand m re ses propres enfants ma fille de huit ans a t confront e la maladie d Alzheimer travers une personne de notre famille IL a fallu le lui expliquer avec de vrais mots sans lui faire peur Quand un jour en sortant de l tablissement sp cialis dans lequel vit sa m re Roselyne S venou Qu r entend une femme dire une enfant ne t inqui te pas ils sont un peu fous mais a va aller elle ne peut pas supporter cette id e L histoire tait n e une histoire qui interroge sur le v ritable sens de l amiti face aux al as de la vie S venou Qu r L Bl nt ill L ontine Paimpol Rose et Ciboulette distribution Coop Breizh ISBN 978
120. par les prescripteurs soignants en faveur des aides humaines qualifi es de plus thiques et respectueuses ibid Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Face ces freins peut tre conviendrait il tout simplement de donner un nouveau sens une nouvelle couleur ces technologies qui peuvent au premier abord para tre en effet si peu thiques ou respectueuses La premi re mutation consisterait sans doute introduire la part du jeu du ludique C est ainsi par exemple que l association nnovation Alzheimer bas e l Institut Claude Pompidou Nice a lanc une plate forme internet de stimulation cognitive partir de ses recherches sur les jeux s rieux serious games Plusieurs jeux sont d j propos s avec diff rents niveaux de difficult IL suffit de se connecter pour jouer Les r sultats sont enregistr s ce qui permet de suivre l volution des performances cognitives Mais l exp rience se heurte apparemment l indiff rence des diff rents acteurs la campagne de financement participatif peine d marrer www silvereco fr 21 avril 2015 C dric Gueyraud directeur du Centre national de formation aux m tiers du jeu d finit le jeu en collectivit comme un espace s curis d autonomie et de libert r pondant aux besoins comp tences et d sirs de l individu vers une finalit d panouissement personnel Le groupe de maisons de retraite Ko
121. partement de psychiatrie et sciences du comportement de l Universit de Stanford Californie Etats Unis a compar deux interventions d aide aux aidants par t l phone Pendant quatre semaines tous les participants ont b n fici d un programme psycho ducatif par t l phone puis pendant quatre mois de huit appels de suivi deux fois par semaine Les participants ont t ensuite r partis al atoirement en deux groupes Le groupe d intervention a b n fici de huit s ances bihebdomadaires d activation comportementale centr es sur la programmation d v nements agr ables et sur l am lioration de la communication Le groupe t moin quant lui a b n fici d une discussion g n rale sur les programmes psycho ducatifs Les chercheurs observent une r duction significative de la d pression des aidants dans le groupe d intervention Une formation l am lioration des comp tences des aidants peut tre faite de fa on efficace par t l phone avec l aide de retrait s form s et recrut s comme des para professionnels concluent les auteurs Au A et al Behavioral activation for dementia caregivers scheduling pleasant events and enhancing communications Clinical Interventions in Aging 2015 10 611 619 www ncbi nlm nih gov pmc articles PMC4381894 pdf cia 10 611 pdf texte int gral R ducation orthophonique apprendre livre sur les l vres S verine Leusie orthophoniste docteur en n
122. peuvent jamais avoir pour but de remplacer l accompagnement humain ni l acc s la vie sociale qui resteront toujours indispensables Leur objectif est au contraire de r tablir l ind pendance fonctionnelle l acc s la vie sociale et aux soins comp tents de la personne d ficiente Ces technologies prennent part la cr ation de bien tre et la bientraitance Le Pr Moulias alerte en g rontologie la sous utilisation ou le m susage de ces technologies est une cause majeure mais vitable d isolement social et d inactivit principales sources des pathologies dites li es l ge IL doit se cr er une d ontologie des m tiers et une thique des pratiques de la g ronto technologie IL est n cessaire et possible de r duire la technop nie par l ducation tout ge et par la formation des prescripteurs et des quipes Mais il faut aussi veiller attentivement ce que la soci t reste accessible aux citoyens technop niques sinon nous participerions au d veloppement rapide de ce nouveau handicap mesure des progr s techniques redoutable effet inverse du but recherch Moulias R La technop nie gt apparition d un nouveau handicap In Bauchet JK et Rialle V coord In 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes
123. pour la d mence Par rapport au co t de chaque maladie pour 10 livres de d penses en aide et en soins l investissement de recherche repr sente 1 08 livres pour le cancer 65 pence pour l insuffisance coronarienne 19 pence pour les AVC et 8 pence pour la d mence La distribution des financements a volu de fa on notable entre 2008 et 2012 la part allou e la recherche sur la d mence passant de 9 21 du financement total Pour les seuls fonds publics la part est pass e 33 Les co ts de sant attribuables la d mence sont estim s 1 4 milliards de livres Les co ts sociaux de la d mence 10 2 milliards de livres d passent ceux du cancer des AVC et de l insuffisance coronarienne r unies J Dementia Care mai juin 2015 Luengo Fernandez R et Gray JLA UK research spend in 2008 and 2012 comparing stroke cancer coronary heart disease and dementia BMJ Open 2015 5 e006648 6 f vrier 2015 http bmjopen bmj com content 5 4 e006648 full pdf html texte int gral Antipsychotiques et psychotropes les avertissements des autorit s ont peu d impact Aux Etats Unis la Food and Drug Administration autorit f d rale de r gulation des m dicaments et des aliments a impos en 2005 sur la notice des m dicaments un avertissement encadr de noir black box warning pour ne pas utiliser Les antipsychotiques atypiques ou des m dicaments psychotropes alternatifs chez les personnes ayant un diagnostic de maladie d
124. r Jenny van der Steen du centre m dical Alzheimer de l Universit libre d Amsterdam Pays Bas a suivi onze cents personnes atteintes de d mence vivant en maison de retraite Les deux facteurs les plus importants associ s au refus de soins et au rejet des autres sont le manque de compr hension et la d pression des personnes malades L am lioration de la communication entre r sidents et aidants professionnels ainsi peut tre que le traitement de la d pression pourraient pr venir ou am liorer ces comportements envers les autres Galindo Garre F et al Factors Related to Rejection of Care and Behaviors Directed towards Others Longitudinal Study in Nursing Home Residents with Dementia Dement Geriatr Cogn Disord Extra 2015 5 123 134 10 avril 2015 www karger com Article Pdf 369158 texte int gral Unit s cognitivo comportementales Les unit s cognitivo comportementales ont t cr es en soins de suite et de r adaptation SSR pour prendre en charge des personnes pr sentant des troubles du comportement dits productifs cris agitation agressivit d ambulation par opposition aux troubles du comportement survenant lors d un pisode aigu de confusion par exemple dans le cadre d une maladie d Alzheimer ou d une maladie apparent e Elles doivent r pondre des contraintes organisationnelles et architecturales et d velopper de multiples partenariats partir de l valuation de ces troubles du comport
125. r de l Universit Radboud de Nim gue Pays Bas et ses coll gues g riatres pharmaciens et toxicologues ont test la marijuana m dicale pour valuer son efficacit potentielle et sa s curit dans le traitement de ces troubles Une dose de 1 5 mg de t trahydrocannabinol trois fois par jour durant trois semaines n est pas plus efficace qu un placebo Mais comme aucun effet ind sirable n a t observ les chercheurs esp rent obtenir de meilleurs r sultats en augmentant la dose de principe actif dans un prochain essai www nlm nih gov medlineplus news fullstory_152520 html 13 mai 2015 Van den Elsen GA et al Tetrahydrocannabinol for neuropsychiatric symptoms in dementia randomized controlled trial Neurology 13 mai 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25972490 Ahmed A et al Cannabino ds in late onset Alzheimer s disease Clin Pharmacol Ther 18 mars 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25788394 Chine recherche sur le cerveau Avec son futur Brain Project China la Chine vient concurrencer les ambitieux projets am ricains et europ ens et marque sa volont de s inscrire en tant que leader dans la compr hension du cerveau souligne l Ambassade de France en Chine Concurrent de la Brain Initiative des Etats Unis et du Human Brain Project de l Europe tous les deux lanc s en 2013 le projet chinois Brain Project China devrait tre lanc fin 2015 et s organiser autour de trois axes l tude des m cani
126. r les plus modestes et sa notori t augmente avec l ge DREES Synth se des r sultats Barom tre d opinion 2014 Avril 2015 wwvw drees sante gouv fr IMG pdf barometre_drees_synthese_2015 pdf www agevillagepro com 20 avril 2015 20 6 c est la part de la population g e de soixante quinze ans et plus b n ficiaire de l APA allocation personnalis e d autonomie en d cembre 2013 selon l INSEE 12 1 domicile et 8 4 en tablissement www agevillagepro com 20 avril 2015 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 20 000 euros par an c est le co t soci tal estim de la maladie d Alzheimer en Italie dont 4 534 euros par an pour le secteur public Une tude men e par Carlos Chiatti de l Institut national de la recherche sur le vieillissement d Anc ne Italie en collaboration avec l Agence r gionale de la sant des Marches portant sur quatre cent trente huit personnes atteintes de maladie d Alzheimer au stade mod r vivant domicile et leurs aidants montre que l inducteur principal des co ts publics est l allocation nationale pour l accompagnement cash for care suivie par les prescriptions de m dicaments 1 402 euros par an Les d penses la charge des familles concernent la r mun ration de l aide professionnelle priv e La valeur de l aide informelle est estim e 13 590 euros par an Les facteurs socio conomiques n influencent pas la part publiqu
127. r une maison de retraite standard mais avec un meilleur rapport co t efficacit Le budget est quilibr avec des revenus provenant de la location du th tre pour des conf rences des formations et des spectacles ainsi que des droits de visite du site Les co ts sont maintenus un niveau bas par le faible effectif de personnel d encadrement et par la polyvalence des professionnels Godwin B Hogewey a home from home in the Netherlands J Dementia Care 2015 23 3 28 31 Initiatives Malades jeunes une solution d h bergement en France Les personnes g es de moins de soixante ans et atteintes de la maladie d Alzheimer rarement prises en charge par le secteur m dico social comme l a r v l une tude de la Fondation M d ric Alzheimer men e en Nord Pas de Calais et Rh ne Alpes gt n ont g n ralement que deux possibilit s rester domicile o leur entourage familial Cesson Seine et Marne un foyer d accueil m dicalis r sidence d di e aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer de moins de soixante ans a ouvert ses portes en f vrier 2015 avec les moyens du secteur du handicap Un b timent de 3 700 m propose quarante sept places dont quatre places d accueil temporaire et cinq places d accueil de jour Un mois apr s l ouverture une vingtaine de r sidents g s de trente huit Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 45 62 cinquante neuf a
128. rceaux de musique Con u par Migle Padegimalte et des tudiants l Institut de design d Ume Su de le syst me a t Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 distingu en 2014 par un prix du magazine de design industriel Core77 dans la cat gorie Impact social Eyezheimer est une application pour lunettes connect es con ues par des l ves de l cole de l innovation et de l expertise informatique Epitech Kremlin Bic tre destin e aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et leur entourage Lorsque la personne croise quelqu un qu elle sait conna tre mais dont elle ne se souvient plus du nom elle peut activer un programme de reconnaissance faciale qui s appuie sur une base de donn es param trable par les proches Des informations sur la personne rencontr e apparaissent alors au coin de l un des verres www core77designawards com 2014 recipients remind music memory a device alzheimers patients 24 avril 2015 www santemagazine fr 9 avril 2015 www acuite fr 22 avril 2014 www epitech eu blogs eyezheimer lunettes connectees Alzheimer innovation html 24 avril 2015 www dmdpost com 20 avril 2015 Combien les aidants sont ils pr ts payer pour des technologies Une tude men e par le Pr Richard Schulz du d partement de psychiatrie de l Universit de Pittsburgh Pennsylvanie Etats Unis aupr s d un chantillon national de cinq cents aidants de personne
129. rian a mod lis un cadre ludique dans six de ses tablissements IL s agit avant tout de diminuer l aide apport e par les professionnels pour permettre aux r sidents une participation autonome Les premiers r sultats paraissent encourageants Doc animation mars avril 2015 La dominante du jeu analyse l anthropologue Laurence Hardy son trait distinctif est la part de libert et de cr ativit qu il peut m nager IL incarne le moment de l action Celui par lequel on acc de pleinement la manifestation de soi en faisant advenir du nouveau Celui durant lequel on a le sentiment de devenir sujet IL peut tre un activateur de plaisir et de lien social un moyen de montrer qu il est possible d acqu rir de nouvelles pratiques jusqu de nouvelles comp tences ibid Une mutation tout aussi importante introduirait dans le processus technologique une part d affectif d motionnel Rien de moins mouvant qu un ordinateur une tablette ou un smartphone Et pourtant Bonjour petit soleil tu es debout de bien bonne heure chante tous les jours Tamara Rusoff Hoen sa m re Irving quatre vingt quatorze ans atteinte de la maladie d Alzheimer La vieille dame commence toutes ses journ es en regardant sur un ordinateur portable une vid o de cinq minutes de sa fille o celle ci voque de beaux souvenirs de leur vie pass e Ce programme pilote men la maison de retraite
130. rt La revue G rontologie et soci t cr e en 1972 et qui avait arr t sa parution en d cembre 2013 suite la dissolution de la Fondation nationale de g rontologie FNG red marre avec le soutien de la Caisse nationale d assurance vieillesse CNAV Le comit d orientation a lu deux nouveaux r dacteurs en chef Aline Chamahian ma tre de conf rences en sociologie l Universit de Lille 3 chercheuse au laboratoire CeRIES centre de recherche Individus preuves soci t s gt est co animatrice du r seau th matique Vieillesse vieillissement parcours de vie gt de l Association fran aise de sociologie Elle travaille galement avec la CNAV sur les th matiques du logement et de l habitat dans un contexte de vieillissement Dominique Somme professeur de g riatrie depuis 2012 la Facult de m decine de l Universit Rennes 1 est aussi membre associ du Centre de recherche sur l action politique en Europe CRAPE et chef de service de g riatrie de Rennes Il a particip au projet PRISMA France projet et recherches sur l int gration des services pour le maintien de l autonomie administrateur et membre du comit scientifique de la Soci t fran aise de g riatrie et g rontologie SFGG Les nouveaux r dacteurs en chef ont l ambition de faire retrouver la revue sa r putation de s rieux et d originalit dans l abord des questions relatives au vieillissement gt avec un caract re
131. s g es de dix huit soixante quatre ans aidants d une personne g e montre que 20 des aidants ne sont pas dispos s payer quoi que ce soit pour des technologies d assistance la cuisine ou aux soins de soi Chez ceux qui acceptent de payer quelque chose le montant moyen serait de 50 dollars 46 euros par mois pour les technologies de surveillance et 70 dollars 64 euros par mois pour les technologies de surveillance offrant aussi quelque assistance Les aidants jeunes les aidants de personnes atteintes de maladie d Alzheimer et les aidants ayant une attitude plus positive envers la technologie sont dispos s payer davantage La plupart des aidants pensent que le gouvernement ou des assurances priv es devraient les aider payer pour ces technologies Schulz R et al Caregivers Willingness to Pay for Technologies to Support Caregiving Gerontologist 9 avril 2015 http gerontologist oxfordjournals org content early 2015 04 08 geront gonv033 abstra ct Acteurs Les Personnes malades Des guides pratiques labor s par des personnes malades S appuyant notamment sur les travaux pionniers du Scottish Dementia Group le projet DEEP The Dementia Engagement and Empowerment Project vise promouvoir la participation engagement des personnes atteintes de d mence pour leur permettre d tre acteurs empowerment Vinget six groupes de personnes malades se sont d j constitu s au Royaume Uni pour faire ent
132. s ces droits correspondent autant d obligations pour les responsables qui doivent les conna tre parfaitement et surtout les faire vivre Cet ouvrage a pour objectif d aider les responsables d tablissement les usagers et tous les acteurs sociaux comprendre les enjeux de ces volutions et mettre en uvre les nouvelles normes juridiques crit Jean Marc Lhuillier docteur en droit public directeur de recherche et professeur l cole des hautes tudes en sant publique EHESP dans le d partement des sciences humaines sociales et des comportements de sant Repla ant ces droits fondamentaux et particuliers dans le cadre des politiques publiques comme le contr le l valuation Le droit d acc s un tablissement ou la lutte contre les mauvais traitements Jean Marc Lhuillier d taille et commente leur application par le contrat de s jour le conseil de vie sociale le r glement de fonctionnement le projet individuel Cette cinqui me dition prend en compte les nouveaut s l gislatives comme la loi sur la consommation et les d crets qui adaptent les droits aux sp cificit s de chaque public Elle int gre galement les volutions de la jurisprudence particuli rement novatrice et puissant aiguillon pour le l gislateur Lhuillier JM Le droit des usagers dans les tablissements et services sociaux et m dico sociaux Rennes Presses de l cole des hautes tudes en sant publique 5 dition 13 m
133. s entre zones urbaines et zones rurales souligne une tude du CLERSE centre lillois d tudes et de recherches sociologiques et conomiques pour douze organisations Direction s mai 2015 Devetter FX et al Acc s aux services d aide domicile in galit s territoriales et in galit s sociales Synth se Rapport command par ADESSADOMICILE ADMR AD PA La Croix Rouge fran aise FNAAFP CSF FNADEPA FNAQPA G n rations Mutualistes GIHP UNA UNCCAS UNIOPSS Mai 2015 www fnaafp org wp content uploads 2012 08 ANI 1 22 15 SynthXC3 A8se Rapport CLERSE pdf texte int gral Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Directeur de la publication Bruno Angl s d Auriac Directrice de la r daction Mich le Fr montier R dacteur en chef Paul Ariel Kenigsberg ditorial Jacques Fr montier Veille presse Mich le Fr montier Alain B rard Paul Ariel Kenigsberg Veille Japon Kyoko Ito Siegel Veille Chine Jiang An ISSN 2272 9402 Reproduction soumise accord pr alable de la Fondation M d ric Alzheimer Tous les num ros de la Revue de Presse Nationale et Internationale depuis ao t 2004 sont disponibles sur le site Internet de la Fondation M d ric Alzheimer http www fondation mederic alzheimer org Nos Travaux La Revue de l occasion de la parution du centi me num ro de la Revue de presse nationale t internationale la Fondation M d ric Alzheimer a publi un num
134. s maladies neurod g n ratives mais il est difficile de l tudier dans les essais cliniques en raison d obstacles pratiques et conceptuels donn es Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 insuffisantes absence de crit res de diagnostic bien tablis pr sence de facteurs de confusion notamment une d pression coexistante effets ind sirables des m dicaments absence d une chelle d valuation de r f rence Un groupe d experts internationaux men par Jeffrey Cummings directeur du centre pour la sant du cerveau la clinique Lou Ruvo de Cleveland Ohio Etats Unis propose des recommandations pour mieux caract riser l apathie dans les essais cliniques Krack P et al Apathy who cares Lancet Neurol 2015 14 5 465 Mai 2015 www thelancet com journals laneur article PIIS1474 4422 2815 2900031 9 fulltext rss ves Cummings J et al Apathy in Neurodegenerative Diseases Recommendations on the Design of Clinical Trials J Geriatr Psychiatry Neurol 24 mars 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25809634 Un outil de recueil de la perception culturelle sur la d mence L quipe de David Challis de l unit de recherche sur les services sociaux la personne de l Universit de Manchester Royaume Uni a d velopp un outil pour le recueil des perceptions de la d mence chez des personnes de diff rentes origines culturelles Barts Explanatory Model Inventory Dementia BEMI D Les chercheurs
135. s une autre vue il compare cela son propre tat cette appr hension divis e du monde tant t n en percevant qu un aspect tant t un autre mais dont la coh rence et l unit ont disparu Cette m taphore textile est plus amplement employ e quand il en vient dire que le mouvement du voile du rideau se faisant plus rapide il ne finirait par ne plus y avoir qu un rideau totalement opaque signe de la fin Une autre image r currente est celle de la m moire comme une biblioth que de la biblioth que comme un moi ext rieur li e une conception g ologique du temps par couches et strates successives qui se recouvrent Livre cach livre illisible livre perdu biblioth que vide ou bien rang e ou en d sordre sont autant d images pour signifier la transformation des tr sors de la m moire en un taudis La perte de son monde culturel la perte des mots le d sordre croissant de sa biblioth que sont autant de signes d une trag die de la culture qui finira comme dans une trag die classique par la mort Le t l phone mobile cadeau offert au petit fils propose des mouvements al atoires qu Ernst contemple avec un ravissement b at symbole m me d une conscience clat e en ses divers morceaux totalement livr e et ali n e des impulsions venant de l ext rieur balanc e dans une sorte d abandon d pourvu de sens Outre l int r t d essayer de p n trer dans la subjectivit
136. scientifiques s lectionn s 17 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Technologies pour l autonomie les pr jug s des personnels soignants Sandrine Pradier est ergoth rapeute dipl m e en g rontechnologie et d l gu e territoriale de l Association nationale fran aise des ergoth rapeutes ANFE Pour elle la rencontre entre les technologies pour l autonomie et leur public des personnes g es est loin d tre une situation tr s banale Les ergoth rapeutes du fait de leur formation technique et de sant autour du domicile informatique domotique architecture am nagement du domicile semblent tre le cha non manquant entre le sujet g et la Silver conomie Ils sont form s pour pr coniser le bon mat riel en tenant compte de l volution physique cognitive et psychologique du patient Leurs apports autant dans la conception des mat riels que dans la pr conisation au patient pourraient tre des atouts pr cieux pour la soci t dans l avenir N anmoins la veille technologique et le degr d expertise n cessaire une pr conisation de technologie sophistiqu e induisent des rejets de ces solutions par les prescripteurs soignants en faveur des aides humaines qualifi es de plus thiques et respectueuses Pradier S Les pr jug s des soignants face aux technologies pour l autonomie Souci thique ou m connaissance In Bauchet J
137. ser des mois voire des ann es en soins palliatifs Aux Etats Unis les r sidents de maison de retraite optent de plus en plus souvent pour des soins palliatifs de 28 en 2004 40 en 2009 Medline Plus 6 mai 2015 35 milliards d euros c est la d pense d action sociale des d partements en 2014 49 de leurs d penses totales et 58 de leurs d penses de fonctionnement selon une tude de l Assembl e des d partements de France ADF et La Banque Postale Collectivit s locales L allocation personnalis e d autonomie APA repr sente 24 des d penses des d partements Les d penses d intervention des d partements ont t multipli es par cinq en trente trois ans parall lement au d sengagement financier de l tat qui ne couvrait plus que 31 du reste charge des d partements en 2014 Assembl e des d partements de France La Banque Postale Collectivit s locales Regard financier sur les d partements 33 ans depuis les premi res lois de d centralisation Avril 2015 http etcp fr files Publicimpact 20150428_regard financier departements pdf 5 mai 2015 Actualit s sociales hebdomadaires 30 avril 2015 23 c est le taux de recours l APA allocation personnalis e d autonomie pour les m nages de plus de 65 ans en 2011 selon les enqu tes Budget des familles Ce taux tait de 17 6 en 2001 Les in galit s sociales d acc s aux services domicile apparaissent faibles tout comme celle
138. sit libre d Amsterdam ont men une tude ethnographique dans deux tablissements d h bergement pour personnes atteintes de d mence ou de handicap mental pour conna tre l exp rience de ces personnes en ce qui concerne les technologies de surveillance syst mes de localisation et vid o surveillance Deux th mes mergent se confronter de nouveaux espaces ce qui implique de d ambuler de se perdre de d clencher une alarme de pouvoir se retirer dans le nouvel espace r sister la technologie de surveillance les r sidents se sentant stigmatis s en manque d accompagnement et n aimant pas tre observ s Pour les chercheurs l exp rience des r sidents est ambivalente Cela est d en partie la diversit des syst mes de surveillance chaque solution apportant ses propres connotations et des r actions propres chaque individu Mais surtout au pr suppos d un utilisateur id al des technologies qui s av re tr s loign de l utilisateur r el qui est vuln rable par essence Les technologies de surveillance ne peuvent contribuer l autonomie des r sidents des maisons de retraite que si elles sont mises en place avec une approche centr e sur la personne Niemeijer AR et al The experiences of people with dementia and intellectual disabilities with surveillance technologies in residential care Nurs Ethics 2015 22 3 307 320 Mai 2015 http nej sagepub com content 22 3 307 abstract
139. smes des circuits neuronaux responsables des fonctions cognitives la cr ation d outils de diagnostic et de traitement pr coce des maladies mentales et neurod g n ratives le d veloppement de technologies intelligentes alliant cerveau et machine Le premier axe devrait exploiter des r sultats issus de la plateforme de recherche du projet Brainnetome lanc il y a une dizaine d ann es qui a analys un grand nombre de variables g n tiques prot iques cellulaires anatomiques et fonctionnelles pour caract riser des r seaux neuronaux impliqu s dans la cognition Le deuxi me axe reposerait sur la d tection de biomarqueurs potentiellement impliqu s dans Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 11 62 les maladies neurologiques en s appuyant sur la cr ation de banques g n tiques et histologiques Les technologies d crites par le troisi me axe pourraient tre d velopp es en troite relation avec l entreprise internet chinoise Baidu concurrente de l am ricain Google qui propose de lancer un programme national d intelligence artificielle nomm China Brain Ambassade de France en Chine 7 mai 2015 Royaume Uni financement de la recherche sur la d mence Le financement institutionnel total public et associatif de la recherche britannique sur le cancer l insuffisance coronarienne la d mence et les accidents vasculaires c r braux AVC atteignait 856 millions de livres sterling en 2012 dont 11
140. sultats doivent tre confirm s dans d autres tudes Il n est pas non plus possible de conclure que la pollution atmosph rique soit la cause d une alt ration directe du cerveau temp rent les services nationaux de sant britanniques Wu YC et al Association between air pollutants and dementia risk in the elderly Alzheimers Demen mai 2015 www dadm alzdem com article S2352 8729 15 00045 7 pdf texte int gral www nhs uk news 2015 04April Pages Air pollution linked to shrunken brains and silent strokes aspx 24 avril 2015 Wilker EH et al Long term exposure to fine particulate matter residential proximity to major roads and measures of brain structure Stroke 2015 46 5 1161 1166 Mai 2015 www ncbi nlm nih gov pubmed 25908455 Recherche sur la maladie Pr vention D ficit cognitif l ger facteurs de protection Rosebud Roberts et ses coll gues des d partements d pid miologie neurologie psychiatrie et psychologie des cliniques Mayo Etats Unis ont suivi pendant quatre ans deux cents octog naires sans troubles cognitifs inclusion 47 ont d velopp un d ficit cognitif l ger pendant la dur e de l tude Les facteurs pr dictifs significatifs les plus importants de survenue de ce d ficit sont la pr sence d une mutation dans le g ne de pr disposition APOE 4 codant pour un transporteur du cholest rol risque multipli par 1 9 la pr sence d une d pression risque multipli par 1 8 u
141. t crivent deux chercheurs de l Universit Joseph Fourier de Grenoble Ce qui les invite penser que les solutions d velopp es ne prennent pas suffisamment en compte les besoins des utilisateurs www sftag fr 17 avril 2015 Quels sont donc les freins qui s opposent aujourd hui lessor promis de la silver economy Quels correctifs ou quels additifs permettraient sans doute de mieux tenir ces promesses Le responsable num ro un est sans doute la stigmatisation attach e la maladie il est tr s difficile pour les proches d entrevoir que le parent concern a une maladie de type Alzheimer souvent assimil e dans l inconscient collectif la folie www capretraite fr 5 mai 2015 www agevillage com 11 mai 2015 Mais accuse le pr sident du conseil scientifique de l association Alzheimer am ricaine l ignorance n est pas une faveur ignorance is not bliss Rompre le silence doit commencer par nous www huffingtonpost com 15 avril 2015 La fracture g n rationnelle devant l informatique et l ensemble des nouvelles technologies joue elle aussi un r le majeur Ce que les sp cialistes appellent la technop nie gt la racine p nie d origine grecque renvoyant au manque les populations g es ou tr s g es et un moindre degr les populations de faible niveau ducatif observe le Professeur Moulias g riatre en sont les plus atteintes
142. tenir des r ponses d experts sur les th matiques abord es L UNAF Union nationale des associations familiales investie au sein du CIAAF collectif inter associatif des aidants familiaux pour la promotion des droits des aidants salue cette initiative qui offre des outils pour mieux appr hender la maladie et ainsi faciliter la vie quotidienne de milliers de familles www francealzheimer org dossiers_ d_information informations et conseils C37 A0 port C3 A9e clic www voutube com watch v UINfeb5HJ k amp feature youtu be 23 avril 2015 www unaf fr spip php article18657 19 mai 2015 S accrocher la personne malade Quel est le sens que les aidants afro am ricains attribuent aux modifications qu ils observent chez leurs proches atteintes de la maladie d Alzheimer Allison Lindauer et ses coll gues du Centre Alzheimer de Portland Oregon Etats Unis ont interrog onze aidants Pour ceux ci les changements li s aux troubles cognitifs signifient qu il faut s accrocher hang on la personne malade aussi longtemps que possible Les aidants reconnaissent que leurs proches qu ils valorisent ont chang mais qu ils sont toujours l et m ritent respect et compassion Des valeurs familiales ancestrales fa onn es par l oppression historique semblent influencer ces significations Cela sugg re que ces aidants sont centr s sur la personnalit restante des personnes malades plut t que sur le deuil
143. tes ont aim jouer C est un moyen r cr atif qui permet d chapper au quotidien La dominante du jeu son trait distinctif est la part de libert et de cr ativit qu il peut m nager On comprend mieux d s lors pourquoi il passionne C est qu il repr sente par excellence ce moment de l activit libre l action faite pour elle m me et non pour autre chose Il incarne le moment de l action Celui par lequel on acc de pleinement la manifestation de soi en faisant advenir du nouveau Celui durant lequel on a le sentiment de devenir sujet ne serait ce que l espace d un instant et de faire qu il y ait quelque chose plut t que rien Pour C dric Gueyraud pour faire exister un jeu en collectivit il est important de bien en d finir les contours et les limites Ces l ments du cadre les r gles qu il contient au niveau implicite et formel doivent faire sens et tre ma trisables pour favoriser l autonomie du joueur auto nomos capacit de l individu appliquer lui m me les r gles donn es Nous pourrions alors d finir le jeu en collectivit comme un espace s curis d autonomie et de libert r pondant aux besoins comp tences et d sirs de l individu vers une finalit d panouissement personnel Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Partant du constat de la difficult proposer des animations adapt es aux r sidents atteints de la maladie d Alzheim
144. tion entre l aide et le soi peut mettre les structures en p ril financier Pour Murielle Jamot d l gu e nationale des fili res personnes g es et domicile de la Croix Rouge fran aise la principale crainte des Agences r gionales de la sant ARS r side dans les glissements de fonction qui pourraient Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 aboutir financer l aide la personne par le soin La quinzaine de p les aide et soins qu elle d veloppe dont trois seulement ont fait l objet d une reconnaissance en SPASAD disposent d un m me mod le d organisation Les services de soins et d aide partagent les m mes locaux selon un projet de service commun l id e est de s assurer avec pr cision de la r partition des t ches Actualit s sociales hebdomadaires 15 mai 2015 Labellisation des unit s Alzheimer Avec les Conseils g n raux bourguignons l association France Alzheimer et les CODERPA comit d partementaux des retrait s et personnes g es l Agence r gionale de la sant de Bourgogne ARS a cr un Label unit Alzheimer avec une grille d valuation reprenant les principaux l ments du cahier des charges architecture projet d accompagnement place des familles Seuls les tablissements volontaires ont t visit s pendant une journ e par un repr sentant de ces diff rentes organisations Un entretien avec la dire
145. tionnement du handicap et de la sant CIF de l Organisation mondiale de la sant 2001 est utilis e pour d crire les technologies d assistance cognitive en termes de fonction organique cibl e de domaines d activit ou de participation concern s et de type de produit ou syst me technique La norme ISO 9999 2007 permet d utiliser une terminologie uniforme dans le domaine des produits d assistance Pino M et al ITHACA Int gration des technologies d assistance cognitive dans la prise en charge de la maladie d Alzheimer et des maladies apparent es In Bauchet JK et Rialle V coord 4 mes Journ es annuelles de la soci t fran aise des technologies pour l autonomie et de g rontechnologie Science morale et technologie dans la Silver conomie 24 25 novembre 2014 Recueil des textes scientifiques s lectionn s 60 63 Avril 2015 www sftag fr wp content uploads 2015 04 ActesJASFTAG2014 light pdf texte int gral Technologies d assistance cognitive quel acc s 1 Pour Julie Chaffangeon ergoth rapeute sp cialis e en g rontechnologie l quipe sp cialis e Alzheimer ESA Sant Loire Vall e de l Authion Longue Jumelles Maine et Loire les produits et services ayant pour but d assister la personne dans son fonctionnement cognitif sont encore largement m connus des seniors souffrent de leur modernit et g n rent une v ritable fracture g n rationnelle au risque de ne pas r
146. tions Les auteurs clairent ces questions partir de leur exp rience de plus de vingt ans en soins palliatifs notamment en milieu rural Godefroy Hirsch est m decin responsable depuis 2001 de l quipe d appui d partementale de soins palliatifs du Loir et Cher et participe au R seau de soins palliatifs en r gion Centre Membre du comit de pilotage de l Observatoire national de la fin de vie il vient de rejoindre l quipe mergente de recherche ducation thique sant gt de l unit de formation et de recherche Fran ois Rabelais l Universit de Tours Marie Claude Dayd est infirmi re Elle exerce une activit lib rale en cabinet de groupe et fait partie de l quipe d appui du r seau Relience d di la prise en charge des soins palliatifs et des douleurs chroniques Elle enseigne dans le cadre du dipl me interuniversitaire d accompagnement et de soins palliatifs de Toulouse www agevillagepro com 18 mai 2015 Hirsch G et Dayd MC Soins palliatifs domicile Rep res pour la pratique Juin 2014 Brignais Le Coudrier 206 p ISBN 978 2 9193 7403 8 www edition lecoudrier fr Faits et chiffres 52 c est la part de Fran ais qui ne connaissent pas l APA allocation personnalis e d autonomie selon un sondage BVA r alis pour la DREES direction de la recherche des tudes de l valuation et des statistiques Elle est davantage connue par les m nages les plus ais s que pa
147. tr e reconnue respect e dans son histoire propre ses attentes et ses choix Y compris lorsqu elle exprime son souci de ne pas tre assimil e aux repr sentations par trop p joratives des maladies plus ou moins li es la d mence l incapacit de s affirmer dans la p rennit de son identit de son int grit voire de sa dignit C est l o la pr occupation thique rejoint Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 l attention politique et une forme de sollicitude publique Il nous faut contribuer chacun dans son champ de comp tence cette n cessaire p dagogie de la responsabilit partag e pour mieux servir Les personnes vuln rables dans la maladie gt Mallon I Entretien avec Emmanuel Hirsch L EREMA une approche pluraliste des maladies neurod g n ratives Retraite et soci t 2014 69 123 131 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retra ite Societe 69 pdf D cembre 2014 Peur de l avenir Per Kristiansen et ses coll gues du centre de recherche sur les soins l Universit arctique de Norv ge ont suivi pendant deux ans deux sexag naires atteints des premiers signes de la maladie d Alzheimer et leurs aidants pour mieux comprendre leurs r flexions La hantise dread de la perte d identit ou du soi constitue l l ment central de la peur de la maladie chez les personnes malades dans une vie d sormais temp
148. tude de douze mois maximum afin de permettre l alternance entre formation et exercice professionnel Elle s appuie galement et autant que possible sur l analyse des pratiques en valorisant l exp rience professionnelle La formation comprend cinq modules concourir l laboration et la mise en uvre du projet individualis dans le respect de la personne 35heures aider et soutenir les Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 personnes dans les actes de la vie quotidienne en tenant compte de leurs besoins et de leur degr d autonomie 21 heures mettre en place des activit s de stimulation sociale et cognitive en lien notamment avec les psychomotriciens ergoth rapeutes ou psychologues 28 heures comprendre et interpr ter les principaux param tres li s l tat de sant 28heures et r aliser des soins quotidiens en utilisant les techniques appropri es 28heures Les assistants de soins en g rontologie sont titulaires d une attestation de validation de leur formation Direction s mai 2015 http emploi directions fr Fondation M d ric Alzheimer Association France Alzheimer Aquino JP Lavallart B et Mollard J Assistant de soins en g rontologie le manuel officiel de la formation D cembre 2011 Paris Masson 288 p ISBN 978 2 2947 2213 4 www elsevier masson fr assistant de soins en gerontologie 9782294722134 html Andragogie La F d ration qu b coise des Soci t s
149. ture internationale des diagnostics n utilise plus ce terme lui pr f rant trouble neurocognitif majeur gt Sir Terry Pratchett romancier de science fiction britannique atteint de la maladie d Alzheimer avec atrophie corticale post rieure r cemment d c d disait si nous voulons tuer le d mon nous devons d abord prononcer son nom La peur ainsi qu un manque de connaissances donnent toujours une charge lourdement stigmatisante ce mot une stigmatisation enracin e dans les st r otypes du vieillissement et de la maladie mentale C est cette stigmatisation dans ses pires repr sentations qui d finit tout le discours sur la d mence gt r sume Tim Beanland responsable de la gestion des connaissances la Soci t Alzheimer britannique L histoire sugg re que la stigmatisation ne peut pas tre vaincue en reniant les mots Au lieu de cela nous devons tous reprendre le terme de d mence red finir nos hypoth ses et nos perceptions afin que les personnes vivant avec la maladie tablissent leurs priorit s et soient partie int grante d un programme d inclusion et de normalisation dans le respect et la promotion de leurs droits en tant qu individus et citoyens valoris s qui vivent avec une d mence Andrea Capstick responsable du master d tudes sur la d mence de l Universit de Bradford pense qu il faut faire une distinction entre des termes qui nous ont t impos s par l
150. ualit de vie et la sant des aidants informels Le territoire pertinent du point de vue conomique pour r pondre aux besoins des personnes les moyens de pr venir les diff rentes formes de maltraitance notamment financi re l gard des personnes en situation de handicap cognitif l innovation sociale devant accompagner la mise en place de dispositifs technologiques les solidarit s b n voles de voisinage et culturelles les diverses mani res d envisager le vieillissement la maladie d Alzheimer selon les cultures et les questions thiques et d ontologiques rencontr es au quotidien tant par les professionnels que par les proches aidants Gzil F Le point sur la recherche en sciences humaines et sociales sur la maladie d Alzheimer Retraite et soci t 2014 69 159 173 D cembre 2014 www statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf Technologies Silver conomie une opportunit Pour Jean Herv Lorenzi pr sident du Cercle des conomistes et responsable de la chaire Transitions d mographiques transitions conomiques de la Fondation du risque l avanc e en ge d une grande partie de la population dans les d cennies venir va engendrer des d penses nouvelles qui vont inexorablement peser dans le budget de l tat Les charges sociales li es au secteur de la sant et des retraites vont augmenter dans les dix vingt ans venir de 3
151. ungener directrice de recherche m rite au CNRS utilisent cette approche pour analyser une base d informations fond e sur des corpus diversifi s recueils d observation entretiens avec des patients ou des proches donn es quantitatives tir es de l enqu te Handicap Sant r cits et t moignages publi s de l exp rience de la maladie d Alzheimer Les chercheurs s int ressent non seulement la r alisation de certaines activit s soins d hygi ne et t ches domestiques mais surtout aux mani res de les r aliser Les deux capabilit s tudi es la libert dans les soins personnels et la participation aux activit s domestiques sont significativement plus faibles pour les personnes atteintes de d mence que pour celles qui ne sont pas malades Ces capabilit s varient selon les caract ristiques individuelles des personnes malades et notamment leur sexe et leur ge la pr sence d un entourage ou encore la proximit ou la disponibilit de services sociaux et m dicaux Les aidants cherchent alors dans leur accompagnement respecter les mani res de faire les habitudes les valeurs personnelles de leur proche telles qu elles se manifestaient avant la maladie lui prodiguant ainsi ce que les auteurs appellent des capabilit s par faveur Bungener M et al Vivre domicile avec la maladie d Alzheimer au regard des capabilit s par faveur Pr server ce qui importe Retraite et soci t 2014 69 59 75
152. ux Des r unions de groupe avec des aliments prot in s grignoter ont renforc le message nutritionnel en facilitant les discussions et la socialisation Les suppl ments nutritionnels oraux ont permis aux participants de retrouver de l nergie de les motiver faire de l exercice et de modifier leur r gime alimentaire Les id es fausses sur la nutrition notamment la croyance que manger fait prendre du poids constituent des freins la modification du r gime Les probl mes de sant et les limitations fonctionnelles g nent la gestion de la nourriture ainsi que certaines habitudes familiales inv t r es Puranen TM et al Tailored Nutritional Guidance for Home Dwelling AD Families The Feasibility of and Elements Promoting Positive Changes in Diet NuAD Trial J Nutr Health Aging 2015 19 4 454 459 www ncbi nlm nih gov pubmed 25809810 Recherche sur la maladie Th rapeutiques approches biom dicales Phytoth rapie Plusieurs tudes in vitro et in vivo ont montr que les cannabino des les composants actifs de la plante Cannabis sativa peuvent r duire le stress oxydatif la neuro inflammation et la formation de plaques amylo des et de neurofibrilles Des tudes en population g n rale ont montr que les cannabino des r duisent les troubles comportementaux associ s la d mence Dans un essai clinique portant sur cinquante personnes atteintes de d mence le Pr Marcel Olde Rikkert du centre m dical Alzheime
153. vons besoin d elle pour vivre Nancy une centaine d esp ces diff rentes ont t plant es pour offrir aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer un environnement stimulant Ce n est pas la taille du jardin qui compte explique t elle C est d abord la richesse du jardin qui doit offrir des couleurs des senteurs des textures vari es Le jardin doit stimuler tous les sens y compris l ou e Un peu de gazon et deux ou trois petites fleurs ce n est pas suffisant Certaines esp ces ravivent des souvenirs Nancy nous avons notamment plant un mirabellier un arbre fruitier bien connu dans toute la Lorraine L architecture du jardin est galement soign e viter les chemins en cul de sac m nager des itin raires fluides des zones de repos L espace doit videmment tre s curis mais s il y a une grille autant la couvrir d un v g tal pour viter la sensation de mise en cage d enfermement On imagine ais ment que pour les malades d Alzheimer d ambuler dans un joli jardin est meilleur pour la sant que de rester couch sur un lit entre quatre murs blancs annonce le journaliste belge Fran ois Louis sur la cha ne RTBF On commence mesurer des effets pr cis des jardins th rapeutiques sur l app tit la qualit du sommeil les troubles du comportement et l tat g n ral des patients explique la neurologue www rtbf be info regions 19 mai 2015 Berge D et al Un jardin c
154. vre les directives anticip es et que seuls 48 des gestionnaires de cas ont t form s ces directives Bien que 70 des gestionnaires de cas aient initi une discussion sur les directives anticip es dans les douze derniers mois et se sentent dans leur r le pour le faire 80 des discussions n ont pas abouti documenter les souhaits de la personne malade Au Royaume Uni une enqu te men e aupr s de mille huit cents personnes g es vivant domicile coordonn e par Simon Conroy de l Universit de Leicester montre que 17 d entre elles ont pr par des directives anticip es dont 4 comprennent une d cision anticip e d arr t de traitement Plusieurs facteurs favorisent la r daction d une directive anticip e avoir eu l opportunit de discuter de la question avec leur m decin g n raliste un ge lev une meilleure condition physique tre un homme Sellars M et al Current advance care planning practice in the Australian community an online survey of home care package case managers and service managers BMC Palliat Care 2015 14 1 15 23 avril 2015 www biomedcentral com content pdf 512904 015 0018 v pdf texte int gral Musa I et al A survey of older peoples attitudes towards advance care planning Age Ageing 2015 44 3 371 376 4 mars 2015 http ageing oxfordjournals org content 44 3 371 abstract Comment mettre en uvre la d marche palliative D apr s le dernier rapport de l
155. w senioractu com 20 mai 2015 Un groupe de soutien pour les maris de femmes atteintes de d mence La Fondation Alzheimer des Etats Unis a mis en place un groupe de soutien par t l phone d di aux conjoints de femmes atteintes de d mence Les participants apprennent communiquer proposer des activit s g rer le stress et s orienter dans le syst me d aide et de soins Alzheimer s Foundation of America 27 avril 2015 http archive constantcontact com fs153 1101917450872 archive 1120378589532 html Caf Alzheimer itin rant Les familles de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ne savent pas toujours quelles structures s adresser pour se renseigner sur les possibilit s d aides crit le Journal de Sa ne et Loire La plateforme de r pit pour les aidants propose un Caf Alzheimer itin rant anim par une psychologue la Chapelle de Guinchay dix participants ont pu changer avec une cadre de sant d une maison de retraite et la pr sidente de France Alzheimer 71 www lejsl com 21 mai 2015 Dansons dansons Les airs de tango veillent toujours des souvenirs agr ables ce qui permet de nouer le contact rappelle Carolina Udoviko install e Poitiers et qui anime trois coles de tango en France Elle est partie Shangha Chine pour transmettre son savoir faire dans l utilisation du tango dans l accompagnement de la maladie d Alzheimer Elle est accompagn e de l une
156. wwvw statistiques recherches cnav fr images publications retraite societe Retraite Societe 69 pdf D cembre 2014 Fondation M d ric Alzheimer Revue de presse de mai 2015 Carte d urgence de l aidant France Alzheimer propose d sormais dans l ensemble de ses associations d partementales la carte d urgence de l aidant celle ci permet aux services de secours de contacter la ou les personnes indiqu es sur la carte en cas de malaise o d hospitalisation en urgence de l aidant La demande de la carte d urgence de l aidant se fait aupr s de l association d partementale www capgeris com www aidautonomie fr 23 avril 2015 Guide France Alzheimer et maladies apparent es propose un guide d accompagnement en ligne destin aux aidants familiaux qui ont besoin d obtenir un premier niveau d information sur les sp cificit s de la maladie et les bonnes pratiques d accompagnement des vid os en 3D pour comprendre le fonctionnement du cerveau des t moignages d experts et de familles pour mieux conna tre la maladie et son volution des vid os d taillant les difficult s rencontr es par les personnes malades au quotidien et proposant aux aidants des r ponses adapt es des quiz de compr hension pour tester ses connaissances sur la maladie des fiches de connaissance imprimables et consultables tout moment un espace d changes pour partager entre aidants les bonnes pratiques et astuces et pour ob
157. www sftag fr 17 avril 2015 Une quipe de chercheurs du p le de g riatrie du centre hospitalier Annecy Genevois et du CHU de Grenoble a tudi l ergonomie d une tablette tactile vendue dans le commerce pour voir si elle tait adapt e aux besoins et aptitudes des personnes g es il est apparu des difficult s importantes pour trouver le bouton marche arr t 23 de r ussite et pour revenir la page accueil apr s recherche d une date ibid On ne s tonnera donc pas que les technologies d assistance cognitive qui ont pour but principal de compenser soutenir ou stimuler le fonctionnement cognitif ne soient en France que tr s rarement int gr es dans la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer Le projet THACA vise dresser un tat des lieux sur leur utilisation ibid Sandrine Pradier ergoth rapeute et dipl m e en g rontechnologie d nonce ce qu elle appelle les pr jug s des personnels soignants Les ergoth rapeutes crit elle du fait de leur formation technique et de sant autour du domicile semblent tre le cha non manquant entre le sujet g et la silver economy Ils sont form s pour pr coniser le bon mat riel en tenant compte de l volution physique cognitive et psychologique du patient N anmoins la veille technologique et le degr d expertise n cessaire une pr conisation de technologie sophistiqu e induisent des rejets de ces solutions
158. zheimer au stade s v re domicile plus de 25 000 places r parties entre les quipes sp cialis es Alzheimer les accueils de jour et l h bergement temporaire permettent de prendre en charge plus de 120 000 personnes g es soit pr s de 20 de la population estim e des personnes atteintes de maladie d Alzheimer au stade l ger mod r L Observatoire Cap Retraite estime 104 672 le nombre de places qui seraient cr er au niveau national pour soutenir l ensemble de ces personnes en multipliant le nombre de places d quipes sp cialis es Alzheimer domicile par 20 et le nombre de places en accueil de jour par 10 Observatoire Cap Retraite La France face la prise en charge de la maladie d Alzheimer 5 mai 2015 www capretraite fr observatoire alzheimer etude pdf mai 2015 texte int gral www bienpublic com 5 mai 2015 Soins palliatifs domicile Rep res pour la pratique de Godefroy Hirsch et Marie Claude Dayd Accompagner et soigner une personne atteinte d une maladie grave ou arrivant en fin de vie est source de nombreuses interrogations pour les soignants intervenant domicile Comment soulager au mieux la douleur Comment r duire les sympt mes d inconfort et aider la personne vivre ce temps de sa vie Comment soutenir les proches et pr venir leur puisement Quelle position adopter face une demande de mourir Sur quelles ressources s appuyer Comment faire face au poids de ces situa

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