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POLITIQUE EN FAVEUR DE LA JEUNESSE

1. PLF 2013 149 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du programme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement d engagement de paiement d engagement de paiement 224 Transmission des savoirs et 355 807 087 312 323 617 281 023 022 300 028 022 293 634 293 307 693 865 d mocratisation de la culture 01 Soutien aux tablissements 263 864 272 221 124 319 208 454 818 226 519 818 218 162 658 232 222 500 d enseignement sup rieur et insertion professionnelle 02 Soutien la d mocratisation et 30 810 440 30 333 965 30 720 000 31 870 000 75 471 635 75 471 365 l ducation artistique et culturelle libell modifi 04 Actions en faveur de l acc s la 61 132 375 60 865 333 41 848 204 41 638 204 culture ancien 131 Cr ation 160 143 496 160 143 496 162 193 513 162 193 513 162 191 231 162 191 231 01 Soutien la cr ation la 153 819 940 153 819 940 155 188 189 155 188 189 154 921 267 154 921 267 production et la diffusion du spectacle vivant 02 Soutien la cr ation la 6 323 556 6 323 556 7 005 324 7 005 324 7 269 964 7 269 964 production et la diffusion des arts plastiques 175 Patrimoines 81 510 747 65 892 123 71 076 422 83 837 932 69 562 741 73 637 748 334 Livre et industries c
2. Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Nombre de licences y compris COM Million 17 4 17 5 18 0 17 7 17 9 18 3 Taux de licences au plan national hors 26 8 27 1 27 4 27 4 27 6 27 8 COM Taux de licences des jeunes de moins de 37 7 37 6 37 9 37 9 38 38 2 20 ans hors COM Taux de licences f minines hors COM 18 9 19 4 19 5 19 7 19 9 20 3 Taux de licences en ZUS hors COM 11 1 12 1 10 6 12 2 12 6 13 0 Le champ g ographique est la France m tropolitaine et les d partements d outre mer hors collectivit s d outre mer COM l exception du sous indicateur nombre de licences qui inclut les COM Les chiffres indiqu s regroupent les licences stricto sensu et les autres titres de participation d livr s le plus souvent pour une pratique sportive occasionnelle Les donn es d finitives sont disponibles au mois de septembre de l ann e n 1 Le nombre de licences est obtenu partir d un recensement annuel effectu aupr s des f d rations sportives par la mission des tudes de l observation et des statistiques MEOS service statistique minist riel jeunesse et sports qui contr le la coh rence interne et l volution des donn es transmises par les f d rations Cet indicateur rend compte de la pratique sportive licenci e dans un club sportif affili une f d ration fran aise sportive agr e mais il ne pe
3. PLF 2013 129 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 4 Part des docteurs form s dans les 47 49 2 60 60 52 57 coles employ s par une entreprise ou un tablissement industriel dans les 2 ans qui suivent le doctorat Ces indicateurs sont calcul s sur la base de r ponses obtenues aux enqu tes premier emploi des coles en ann e n qui sont men es par les associations des anciens l ves aupr s des dipl m s des ann es n 1 et n 2 Pour l indicateur 5 2 1 l enqu te est r alis e en moyenne 6 mois apr s l obtention du dipl me Pour l indicateur 5 2 2 l enqu te est r alis e en moyenne 18 mois apr s l obtention du dipl me Mode de calcul Taux d insertion des dipl m s nombre d ing nieurs dipl m s au cours de l ann e n 1 indicateur 5 2 1 et de l ann e n 2 indicateur 5 2 2 ayant trouv un emploi la date de l enqu te premier emploi de l ann e n rapport au nombre d ing nieurs dipl m s issus de la m me promotion et ayant un emploi ou en cherchant un Part des docteurs form s dans les coles et employ s par une entreprise ou un tablissement industriel nombre de docteurs form s par les coles des mines l Institut Mines T l com et Sup lec au cours de l ann e n 1 indicateur 5 2 3 ou
4. Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 Taux d acc s au baccalaur at des s o 66 4 s o 67 5 68 7 70 enfants de familles appartenant aux PCS d favoris es total Pour information au baccalaur at g n ral 19 1 20 4 21 S 0 s 0 s 0 Pour information au baccalaur at s o 16 8 s o S O s o s o technologique Pour information au baccalaur at s 0 29 2 s 0 s o s 0 s 0 professionnel 2 Proportion d enfants de familles 11 4 11 6 13 12 12 5 13 appartenant aux PCS d favoris es parmi les l ves de CPGE Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE PLF 2013 1 Source MEN DEPP Champ enseignements public priv France m tropolitaine DOM Mode de calcul Cet indicateur est destin v rifier dans une optique de d mocratisation de l enseignement secondaire la progression du niveau de formation des jeunes des milieux les moins favoris s Il pr sente donc la proportion de bacheliers g n raux technologiques et professionnels dans une g n ration de personnes qui pr senteraient chaque ge les taux de candidature et de r ussite observ s l ann e consid r e Ce nombre est obtenu en calculant pour chaque ge et pour la cat gorie socioprofessionnelle consid r e le rapport du nombre de laur ats la population totale de cet ge et de cette cat gorie
5. 120109 Exon ration du salaire des apprentis 275 290 305 Imp t sur le revenu Objectif D velopper l apprentissage B n ficiaires 2011 nombre non d termin m nages M thode de chiffrage Reconstitution de base taxable partir de donn es autres que fiscales Fiabilit Bonne Cr ation 1977 Derni re modification 2005 Fin d incidence budg taire d pense fiscale non born e Fin du fait g n rateur d pense fiscale non born e CGI 81 bis 120110 Exon ration des indemnit s de stage en entreprise vers es aux l ves et tudiants 35 35 35 Imp t sur le revenu Objectif Augmenter les stages en entreprises B n ficiaires 2011 nombre non d termin m nages M thode de chiffrage Reconstitution de base taxable partir de donn es autres que fiscales Fiabilit Ordre de grandeur Cr ation 1958 Derni re modification 1958 Fin d incidence budg taire d pense fiscale non born e Fin du fait g n rateur d pense fiscale non born e CGI DA DB5F1131 120132 Exon ration d imp t sur le revenu sur option des salaires per us par les jeunes au titre d une 210 210 210 activit exerc e pendant leurs tudes secondaires ou sup rieures ou leurs cong s scolaires ou universitaires Imp t sur le revenu Objectif Aider les tudiants qui travaillent D velopper les boulots d t des lyc ens et tudiants B n ficiaires 2011 nombre non d termin m nages
6. d cembre 2008 b n ficie de moyens sp cifiques ouverts par la loi pour le d veloppement conomique des outre mer LODEOM Ce fonds est aliment par les contributions des entreprises install es outre mer qui b n ficient des exon rations d imp t sur les soci t s au titre du dispositif de la zone franche globale d activit s En 2011 un deuxi me appel projets a t lanc avec une 48 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE enveloppe de 2 millions d euros non imput e sur l action 04 du programme 123 Cette enveloppe a permis de financer 15 exp rimentations en mati re de pr vention sant d illettrisme et d insertion professionnelle par la valorisation des ressources locales Les projets concernent les 5 DOM la Nouvelle Cal donie et la Polyn sie fran aise En 2012 une enveloppe de 2 millions d euros devrait permettre de s lectionner des projets en faveur des jeunes de moins de 25 ans sur les th matiques de la mixit de la lutte contre les discriminations et de l acc s l emploi durable des jeunes ultramarins de moins de 25 ans En outre s agissant de l action n 04 le minist re des outre mer se mobilise pour permettre la jeunesse ultra marine d avoir acc s la culture et la sant Ainsi il finance l agence de sant ARS de Wallis et Futuna des associations luttant contre les drogues et la toxicomanie Le minist re des outre mer participe gale
7. tat et les d partements g re d une part le service national d accueil t l phonique de l enfance en danger SNATED et d autre part l observatoire national de l enfance en danger ONED et participe ce titre la mise en uvre de l action 3 Protection des enfants et des familles sur le volet de la protection des enfants Le SNATED cr par la loi du 10 juillet 1989 est charg de recevoir les appels d enfants en danger ou susceptibles de l tre et de toute personne confront e des situations d enfants en danger et de transmettre les informations les concernant aux d partements L observatoire national de l enfance en danger ONED cr par la loi du 2 janvier 2004 est quant lui charg de trois missions le recueil et l analyse des donn es d origines diverses concernant l enfance en danger la connaissance et l analyse des ph nom nes de mise en danger des enfants le recensement et la valorisation des pratiques de pr vention et de prise en charge de l enfance en danger La contribution de l tat ce GIP s l ve en 2013 2 38 M Par ailleurs les cr dits de cette action visent prot ger les enfants priv s de famille trouver une famille aux pupilles de l tat et garantir que les adoptions notamment celles d enfants l tranger soient faites dans l int r t des enfants des familles adoptantes et accompagn es par des organismes habilit s cet effet Le d veloppement des d mar
8. 19 ans mineurs l ves du primaire 6 5 4 3 6 et 5 4 et 3 coll giens lyc ens tout public scolaris Pour 2010 et 2011 les items retenus sont les suivants coll giens l ves du primaire mineurs Pour les sous indicateurs 1 3 1 et 1 3 2 le ratio rapporte les cr dits consacr s aux publics vis s handicap s ou jeune filles et femmes par rapport au montant total de la part territoriale traditionnelle soit 126 45 M en 2011 hors Wallis et Futuna Polyn sie Fran aise et Corse Pour les sous indicateurs 1 3 3 et 1 3 4 le ratio rapporte les cr dits consacr s la part territoriale au sens large y compris l enveloppe de l accompagnement ducatif soit 139 27 M en 2011 hors Wallis et Futuna Polyn sie Fran aise et Corse Les cr dits mobilis s pour les diff rents publics prioritaires en 2011 ont t les suivants 5 9 millions d euros pour les handicap s 6 7 millions d euros pour les jeunes filles et femmes pour des actions cibl es et non au titre du d veloppement g n ral de la pratique 37 8 millions d euros pour les publics socialement d favoris s ZUS et DSR 46 7 millions d euros pour les jeunes scolaris s Source des donn es Base de donn es ORASSAMIS du Centre National pour le D veloppement du Sport CNDS OBJECTIF n 11 Favoriser un acc s quitable la culture et encourager les pratiques artistiques et culturelles m Programme 224 Transmission des savoirs et d m
9. Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT TRANSMISSION DES SAVOIRS ET D MOCRATISATION DE LA CULTURE 224 Le programme 224 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture regroupe les politiques transversales de l tat dans le domaine culturel En effet le minist re de la culture et de la communication a pour mission fondamentale de favoriser l acc s des citoyens la culture en s attachant soutenir le r seau des tablissements d enseignement sup rieur culturel ESC d velopper l ducation artistique et culturelle aupr s des jeunes d ge scolaire et universitaire encourager les pratiques artistiques de l ensemble de la population et mener des politiques cibl es tant l gard de cat gories de publics sp cifiques que dans les zones d favoris es dont les habitants sont loign s de l offre culturelle pour des raisons g ographiques conomiques ou sociales Il soutient galement le d veloppement de la coop ration europ enne et internationale ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Le programme 224 concourt aux actions en faveur de la jeunesse travers la politique de l ESC et de l insertion des jeunes dipl m s le d veloppement de l ducation artistique et culturelle l cole et par les actions destin es des publics loign s de la culture Action n 1 Soutien aux tablissements d enseignement sup rieur et insertion profe
10. la scolarisation des l ves handicap s par un indicateur correspondant un taux de satisfaction mesurant l cart entre les besoins exprim s en ce domaine et les int grations scolaires effectu es un nouvel indicateur a t introduit au PAP 2012 le taux de couverture des notifications d affectation en classes d int gration scolaire CLIS des commissions des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH Il rapporte le nombre d l ves scolaris s en CLIS au nombre total de notifications d affectation en CLIS exprim en pourcentage 100 x nombre d l ves handicap s scolaris s en CLIS nombre de notifications d affectation en CLIS Les enqu tes en ligne DEPP DGESCO sur la scolarisation des l ves handicap s remplies par les enseignants r f rents de ces l ves ont t compl t es pour permettre de comptabiliser le nombre des notifications correspondantes n cessaire au calcul du taux de couverture partir de 2011 ann e scolaire 2011 2012 Le nombre de notifications d affectation en CLIS est donn pour information de mani re pouvoir interpr ter l volution du taux de couverture il est disponible en janvier n 1 pour l ann e scolaire n n 1 La proportion d l ves handicap s parmi les l ves des coles du 1 degr qu ils soient scolaris s temps plein ou temps partiel est donn e pour information et ne fait donc pas l objet d un ciblage Cet indicateur est construit comme
11. Les tarifs sociaux sont des tarifs pr f rentiels impos s par l tat dans le but de favoriser l acc s de certaines populations au transport ferroviaire Ces tarifs sont nombreux plus de 25 et s appuient sur des textes souvent anciens et de natures juridiques tr s diverses Ces tarifs concernent la fois des abonnements et des billets Les principaux tarifs sociaux portent au titre des abonnements sur les l ves tudiants apprentis et les trajets domicile travail au titre des billets sur les familles nombreuses et billets populaires de cong s annuels Parmi les tarifs sociaux mis en uvre la demande de l tat sur l ensemble du r seau hors Transilien l abonnement l ve apprenti repr sente 38 en voyageurs kilom tres 78 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE La part des tarifs sociaux dans le trafic total de la SNCF s est rod e notamment du fait de la multiplication des tarifs commerciaux propos s par l entreprise Le manque gagner pour la SNCF est compens par l tat au titre des circulations nationales et par les conseils r gionaux autorit s organisatrices de transport au titre des circulations r gionales selon un m canisme mis en place au moment du transfert de comp tences en 2002 La SNCF pratiquant du fait de sa politique commerciale des tarifs moyens inf rieurs ceux homologu s par l tat ce dernier ne lui verse titre de compensation qu
12. PLF 2013 71 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT MANI RE DONT LE PROGRAMME CONTRIBUE LA POLITIQUE TRANSVERSALE Les dispositifs de protection et de s curit de la jeunesse s articulent principalement autour de trois axes Accro tre la s curit des tablissements scolaires dans le cadre du dispositif de la sanctuarisation globale de l espace scolaire dispositif SAGES la gendarmerie effectue quotidiennement des services et des op rations destin s rassurer la communaut scolaire sur les axes de transport desservant les tablissements scolaires et leur proximit imm diate plan de s curisation des tablissements scolaires et de suivi de la d linquance des minist res de l int rieur et de l ducation nationale du 23 septembre 2009 A ce titre en troite liaison avec les chefs d tablissement via ses 4 100 r f rents s curit cole la gendarmerie a conduit 16 384 op rations en 2011 visant s curiser les abords des coll ges et lyc es Elle concourt en outre la r alisation des diagnostics de s curit Mener des actions de pr vention en milieu scolaire permettant de sensibiliser aux violences scolaires et aux dangers des drogues en m tropole comme outre mer Ainsi en 2011 la gendarmerie a d velopp les interventions visant sensibiliser les jeunes aux violences en milieu scolaire 268 459 l ves du secondaire et 64 624 l ves de primaire e
13. alternants d passant le quota de 4 02 Actions nationales de 1 298 588 1 159 472 5 000 000 5 000 000 5 000 000 5 000 000 communication et de promotion de l apprentissage 155 Conception gestion et 8 576 834 8 359 851 8 792 166 8 704 977 9 141 781 9 195 889 valuation des politiques de l emploi et du travail 02 Gestion des effectifs du 6 958 574 6 958 574 7 170 525 7 170 525 7 654 481 7 654 481 programme acc s et retour l emploi libell modifi 05 Soutien 521 890 432 207 438 330 440 501 438 330 440 501 06 tudes statistiques valuation et 1 096 370 969 070 1183311 1 093 951 1 048 970 1 100 907 recherche 109 Aide l acc s au logement 2 158 848 823 2 158 848 823 01 Aides personnelles 2 158 812914 2 158 812 914 02 Information relative au logement et 35 909 35 909 accompagnement des publics en difficult 147 Politique de la ville libell 150 900 000 155 700 000 152 900 000 161 900 000 140 360 000 142 660 000 modifi 01 Actions territorialis es et 127 200 000 127 200 000 129 200 000 129 200 000 117 470 000 117 470 000 Dispositifs sp cifiques de la politique de la ville 02 Revitalisation conomique et 23 700 000 23 700 000 23 700 000 23 700 000 22 890 000 22 890 000 emploi 04 R novation urbaine et 0 4 800 000 0 9 000 000 0 2 300 000 am lioration du cadre de vie 123 Conditions de vie outre mer 69 828 053 70 334 091 57 519 562 57 599 562 30 752 983 30 832 983 03 Continuit territoriale 27 885 438
14. avec le monde professionnel des liens troits dans de nombreux domaines Elles font largement appel des repr sentants d entreprises pour orienter l volution de l enseignement et de la recherche que ce soit dans les conseils d administration ou dans des instances plus sp cialis es conseils d orientation Le monde de l entreprise est aussi largement repr sent dans les associations d anciens l ves elles m mes tr s impliqu es dans le rayonnement de ces coles Ces liens favorisent l insertion des jeunes dipl m s l ad quation des formations acad miques aux besoins des entreprises et le d veloppement des coles Ces tablissements forment des ing nieurs et des cadres notamment pour l administration ing nieurs des mines ing nieurs de l industrie et des mines administrateurs et attach s statisticiens de l INSEE contr leurs des assurances poss dant des comp tences scientifiques techniques humaines et organisationnelles de haut niveau reconnues dans tous les secteurs d activit De tr s nombreux professionnels viennent enseigner dans les coles De plus la formation d ing nieurs fait largement appel aux stages en entreprise Ces coles offrent galement des formations conduisant au dipl me national de master des formations doctorales ainsi que des formations sp cialis es bac 6 conduisant la d livrance de mast res accr dit s par la Conf rence des grandes coles Les coles ont par ailleur
15. coles d ing nieurs et l cole du paysage misent sur l apprentissage soit au total dix tablissements Le nombre d apprentis a augment de 49 en 2011 ils repr sentent d sormais 5 2 des tudiants dans les cursus de r f rence La formation par apprentissage qui permet aux tudiants de b n ficier d une r mun ration peut inciter des jeunes aux ressources limit es s engager dans des tudes sup rieures longues Les coles de l enseignement sup rieur agricole se caract risent par des taux d insertion professionnelle lev s mesur s entre 6 et 18 mois apr s la fin du cursus de formation respectivement 75 6 et 89 6 Ces r sultats sont le fruit d un travail constant et reposant sur des actions concr tes visant d une part assurer l adaptation des formations aux enjeux et besoins des recruteurs et d autre part permettre aux tudiants d acqu rir une bonne connaissance des m tiers et r alit s professionnelles ainsi que de leurs pr f rences capacit s et potentiel Ainsi les dispositifs d accompagnement la construction du projet professionnel et personnel PPP des tudiants sont d velopp s dans les coles de l enseignement sup rieur agricole avec l laboration d outils communs notamment le portfolio PPP Il s agit d un outil regroupant les exp riences professionnelles et personnelles de l tudiant pour servir de support une d marche de r flexion sur son PPP et conser
16. est termin e au cours de l ann e N 2 Ainsi le r sultat 2011 porte sur les jeunes dont la prise en charge a cess en 2009 Mode de calcul L indicateur se calcule pour une population de r f rence sous la forme d un ratio dont le num rateur et le d nominateur sont d finis ci dessous Population de r f rence pour l ann e N tous les jeunes ayant b n fici d une prise en charge p nale pr sentencielle ou d finitive suivie par la DPJJ secteurs public et associatif qui s est termin e dans le courant de l ann e pr c dente N 2 alors qu ils taient g s de moins de 17 ans Num rateur nombre de mineurs appartenant la population de r f rence qui n ont ni r cidiv ni r it r ni fait l objet de nouvelles poursuites ou d une mesure alternative aux poursuites dans les 365 jours qui suivent la fin de la derni re prise en charge D nominateur effectif total de la population de r f rence Pour mesurer le recul ou le maintien dans la d linquance des mineurs pris en charge il ne suffit pas de calculer le taux de r cidive et de r it ration dans un d lai d un an En effet la dur e de la proc dure judiciaire entre la mise en cause et le jugement d finitif tant en moyenne sup rieure un an cela liminerait statistiquement la quasi totalit de la r cidive r it ration au sens l gal du terme Ce biais est plus important que celui li au fait que les poursuites judiciaires ne sont
17. et le nombre total de jeunes pris en charge par ces services et tablissements PLF 2013 139 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 16 2 Niveau d accompagnement ducatif des mineurs d tenus en quartier mineurs et en du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Nombre de demi journ es hebdomadaires demi journ e 2 5 NC 3 NC 3 4 d activit s socio ducatives suivies en quartier mineurs Nombre de mineurs d tenus Nombre de demi journ es d activit s socio demi journ e 4 5 NC 5 NC 5 6 ducatives suivies en Etablissement P nitentiaire pour Mineurs EPM Nombre de mineurs d tenus Les r sultats 2010 indiqu s sont des estimations fond es sur les plannings des activit s Le renseignement de cet indicateur sera rendu possible fin 2012 de fa on partielle par le d ploiement du nouveau logiciel Game 2010 intervenu au printemps 2012 Les premiers r sultats mesur s pourront conduire revoir les estimations et pr visions ant rieures et en cons quence la cible 2013 Il convient de noter que la globalit de l intervention ducative en d tention ne se limite pas aux activit s socio ducatives Les ducateurs de la PJJ assurent galement l laboration et la mise en uvre des projets de sortie pour chaque mineur les am nage
18. 13 2 des l ves du 1er degr et 20 9 des l ves du 2nd degr au sein de 7 887 tablissements sous contrat L enseignement priv sous contrat regroupe essentiellement des tablissements g r s par des associations r gies par la loi de 1901 environ 95 des tablissements sont catholiques Les autres sont soit confessionnels juifs protestants ou musulmans soit la ques soit des tablissements d enseignement des langues r gionales ou des tablissements d enseignement adapt Le Premier ministre a lanc le 5 juillet 2012 la concertation pour la refondation de l cole Il s agit pour les multiples acteurs concern s y compris les r seaux de l enseignement priv de r fl chir aux moyens d am liorer le syst me ducatif pour la r ussite et l panouissement des l ves L cole primaire constitue la priorit de cette refondation car elle transmet les savoirs les comp tences et les valeurs qui fondent la r ussite ult rieure de tous les l ves ainsi que leur capacit devenir des citoyens responsables Cette responsabilit suppose le rep rage pr coce l analyse et la r solution des premi res difficult s rencontr es Les l ves doivent y acqu rir les comp tences et connaissances indispensables pour une scolarit secondaire r ussie Cependant les r sultats des enqu tes tant nationales qu internationales posent depuis plusieurs ann es la question de la capacit de l cole relever ces d
19. 18 4 au 1 janvier 2012 du fait du vieillissement de la population li l augmentation de l esp rance de vie Parall lement la France se situe dans le peloton de t te des pays europ ens en termes de f condit en 2008 l indicateur conjoncturel de f condit a atteint le seuil symbolique de 2 enfants par femme bien sup rieur la moyenne europ enne 1 5 enfant par femme Pour accompagner les jeunes dans leur construction individuelle et collective et rem dier aux difficult s qu ils peuvent rencontrer l tat met en place un nombre important d actions et de dispositifs La politique transversale en faveur de la jeunesse a ainsi pour finalit de permettre aux enfants et aux jeunes d acc der l autonomie gr ce un parcours accompagn dans ses diff rentes tapes et composantes Elle rel ve de champs et de p rim tres minist riels multiples touchant tant l ducation qu l emploi au logement la sant la culture etc Les axes strat giques retenus constituent les lignes de conduite de l action gouvernementale en mati re de politique en faveur de la jeunesse Renforcer l animation interminist rielle des politiques publiques en faveur de la jeunesse Assurer tous les jeunes l acc s l ducation l orientation et la formation Favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse Participer au d veloppement personnel des jeunes Accompagner les jeunes vers l autonomie Pour chacu
20. Les communes peuvent assurer elles m mes le service ou le d l guer des soci t s de restauration priv es Depuis les premi res lois de d centralisation le d partement a la charge des coll ges A ce titre il en assure la construction la reconstruction l extension les grosses r parations l quipement et le fonctionnement l exception des d penses p dagogiques et de personnels la charge de l tat personnels enseignants pour l essentiel Depuis la loi LRL du 13 ao t 2004 le d partement assure en outre l accueil la restauration l h bergement ainsi que l entretien g n ral et technique l exception des missions d encadrement et de surveillance des l ves Il assure le recrutement et la gestion des personnels techniciens ouvriers et de service TOS exer ant leurs missions dans les coll ges Le d partement est propri taire des locaux dont il a assur la construction et la reconstruction L article 79 de la loi LRL a pr vu en sa faveur le transfert en pleine propri t des biens immobiliers des coll ges appartenant l tat titre gratuit Depuis les premi res lois de d centralisation entr es en vigueur en 1986 la r gion a la charge des lyc es A ce titre elle en assure la construction la reconstruction l extension les grosses r parations l quipement et le fonctionnement l exception des d penses p dagogiques et de personnels la charge de l tat personnels enseignants pour l ess
21. Les donn es d finitives ne sont disponibles qu l t de l ann e n 2 pour les sortants de l ann e n et ne sont donc communicables pour information et analyse qu au RAP n 2 Limites et biais connus 106 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE L chantillon de sortants ayant interrompu leurs tudes dans l enseignement sup rieur tant de faible dimension 600 en moyenne chaque trimestre les variations d une ann e l autre sont peu significatives Source des donn es MEN MESR SG Direction de l valuation de la prospective et de la performance DEPP Lanc la rentr e 2008 le plan pluriannuel pour la r ussite en licence fond sur le d veloppement de l orientation active sur le renforcement de l encadrement p dagogique sur la sp cialisation progressive dans les tudes avec la possibilit de r orientation sur la professionnalisation ainsi que sur l valuation de la qualit des enseignements vise une baisse significative du taux d chec dans le premier cycle de l enseignement sup rieur Il devrait contribuer r duire compter de 2009 l cart de deux points du dernier chiffre connu 2009 par rapport la cible 2012 Historique des valeurs de l indicateur unit 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Part des sortants de DUT BTS ou quivalent sans dipl me en m disponible pourcentage de l ensemble des i3 20 19 19 18
22. Les indicateurs 4 3 et 4 4 ont pour but d valuer l ampleur et l impact de l action mise en uvre pour favoriser la r ussite des l ves de l ducation prioritaire en mettant en vidence une comparaison syst matique avec les coll ges situ s hors de ce champ le programme ECLAIR coles coll ges et lyc es pour l ambition l innovation et la r ussite tendu en 2011 2012 325 EPLE a conduit une modification du p rim tre de ces indicateurs la cat gorisation ECLAIR se substituant dor navant celle de RAR r seau ambition r ussite utilis e pr c demment Ce programme qui concerne 2 180 coles et 339 tablissements la rentr e scolaire 2012 a vocation tre repens dans le cadre de la concertation sur la refondation de l cole de la R publique Instaur dans le cadre du plan de coh sion sociale et de la loi n 2005 32 du 18 janvier 2005 de programmation pour la coh sion sociale articles 128 132 le programme r ussite ducative est sp cifiquement d di aux enfants de 2 16 ans les plus fragilis s et leurs familles en ZUS ou scolaris s dans les tablissements de l ducation prioritaire Dans son principe le programme r ussite ducative permet de r aliser avec des interventions inscrites dans la dur e qui donnent une place pr pond rante aux parcours individuels un accompagnement des jeunes sur toutes les dimensions la sant la scolarit l ducation la culture
23. Total 78 267 632 188 78 606 720 241 76 194730 829 76 161 875038 82536 482643 80 472 539 123 Modes de calcul et d valuation adopt s pour rendre compte de la contribution de chaque programme de l tat la politique en faveur de la jeunesse Programme 124 Conduite et soutien des politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative 2011 L action 06 du programme 124 reprend les cr dits de l action 3 de l ex programme 210 Sur le montant du titre 2 de l action 06 soit 179 024 480 AE CP le taux de 7 8 repr sente la part des d penses de personnel consacr es la gestion des politiques de jeunesse et de la vie associative soit un r sultat de 13 963 948 L action 09 du programme 124 reprend les cr dits de l action 2 de l ex programme 210 Les d penses directes dans le cadre de la LFI 2010 AE CP sont de 36 198 517 auxquels doivent s ajouter 9 874 061 AE CP Ceci r sulte du fait que a 6 du temps de travail des personnels techniques et p dagogiques r mun r s sur l action 08 du programme 124 gestion des politiques du sport rel vent d actions mises en uvre sur le programme jeunesse et vie associative b 7 du temps de travail des personnels r mun r s sur l action 09 du programme 124 gestion des politiques de la jeunesse et de la vie associative rel vent d actions mises en uvre sur le programme sport 2012 Compte
24. actualis es pour le coll ge le lyc e d enseignement g n ral et technologique et le lyc e professionnel au regard des r alisations de 2011 Les cibles 2015 s appuient sur les diff rentes actions engag es depuis 2009 s curisation des tablissements quipes mobiles de s curit acad miques sur celles engag es suite aux tats g n raux de la s curit l cole formation des personnels programme CLAIR et sur la cr ation d une mission nouvelle de pr vention et de s curit assur e par 500 assistants prioritairement affect s dans les tablissements les plus expos s la violence INDICATEUR 9 3 Nombre de contr les nombre d accueils d clar s Programme 163 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Lors des accueils avec h bergement 11 5 13 6 15 14 14 5 15 Lors des accueils sans h bergement 15 14 2 17 15 16 17 Pour les accueils avec h bergement seuls sont pris en compte les accueils d au moins 7 mineurs et pour une dur e de 4 nuits ou plus Indicateur de contexte rapport entre le nombre d injonctions prononc es et le nombre de contr les effectu s Unit 2010 2011 2012 2013 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Lors des accueils avec h bergement 8 8 7 Lors des accueils sans h bergement 8 5 6 5 Le sens de l volution de cet indicateu
25. c dente ex cution 2011 annexe 2 Sauf indication contraire les montants de cr dits figurant dans les tableaux du pr sent document sont exprim s en euros Les cr dits budg taires sont pr sent s selon l article 8 de la LOLF en autorisations d engagement AE et en cr dits de paiement CP L ensemble des documents budg taires ainsi qu un guide de lecture et un lexique sont disponibles sur le Forum de la performance http www performance publique budget gouv fr TABLE DES MATI RES LA POLITIQUE TRANSVERSALE Liste des programmes concourant la politique transversale Pr sentation de la politique transversale Pr sentation des programmes concourant la politique transversale Pr sentation des principales d penses fiscales concourant la politique transversale PR SENTATION STRAT GIQUE DE LA POLITIQUE TRANSVERSALE Renforcer l animation interminist rielle des politiques publiques en faveur de la jeunesse Assurer tous les jeunes l acc s l ducation l orientation et la formation Favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse Participer au d veloppement personnel des jeunes Accompagner les jeunes vers l autonomie ANNEXES Table de correspondance des objectifs du DPT et des objectifs des PAP valuation des cr dits consacr s la politique transversale Politique en faveur de la jeunesse estimations des cr dits hors tat 10 12 79 81 82 84 109 117 123 143 143 145
26. cette exp rimentation s l vent 35M pour la p riode 2010 2012 Il est noter que parall lement l offre d accueil de loisirs pour les jeunes la branche famille d veloppe aussi une offre diversifi e de d part en vacances destination des jeunes et des familles Cette offre est principalement financ e sur les fonds propres des Caf Les familles pr caires peuvent ainsi partir en vacances gr ce au dispositif Vacaf Il s agit d un dispositif de gestion mutualis entre Caf pour la r servation de s jours sociaux Des aides financi res individuelles AFI peuvent tre aussi adjointes par les Caf volontaires pour les enfants de familles les plus pr caires tickets loisir etc Les 6 17 ans sont concern s galement par les actions de soutien la fonction parentale m diation familiale r seaux d coute et d accompagnement des parents aide la scolarit lieux d accueil enfants parents ducation familiale et parentale Destin s en principe toutes les familles ces dispositifs sont souvent proches d une logique d action sociale L action accompagnement des familles dans leur r le de parents du programme d action prioritaire relatif aux familles vuln rables dont l objectif est de permettre aux parents d exercer pleinement leur r le et l ducation de leurs enfants regroupe en effet les actions en faveur des b n ficiaires de minimas sociaux pouvant tre engag es au titre des tutelles et curatelle
27. conseils r gionaux entreprises priv es RECHERCHE CULTURELLE ET CULTURE SCIENTIFIQUE 186 Le programme 186 Recherche culturelle et culture scientifique vise d une part promouvoir aupr s du plus large public et notamment de la jeunesse la culture scientifique et technique et d autre part soutenir des actions de recherche sp cifiques la culture en particulier celles concernant le patrimoine culturel national arch ologie histoire de l art ethnologie etc et celles concernant la cr ation en lien avec l enseignement sup rieur de la culture ESC architecture arts plastiques spectacle vivant etc Il s agit ainsi de conforter la position d excellence de la France dans l espace europ en et international Le minist re de la culture et de la communication est charg en coordination avec le minist re en charge de la recherche d assurer la diffusion au plus large public des connaissances scientifiques et techniques et des enjeux de soci t li s au d veloppement des sciences et techniques Cette action est conduite par Universcience l tablissement public issu de la fusion au 1 janvier 2010 du Palais de la d couverte et de la Cit des sciences et de l industrie EPPDCSI suite la d cision du Conseil de modernisation des politiques publiques du 12 d cembre 2007 A travers cet op rateur le programme a pour ambition de favoriser le rapprochement entre la recherche les sciences et la so
28. d abandonner le ciblage du sous indicateur relatif au baccalaur at g n ral ancien indicateur 2 9 au PAP 2012 La cible a t fix e en visant une r duction de 5 2 points en 2011 3 points en 2015 de l cart du taux d acc s au baccalaur at entre les jeunes appartenant aux PCS d favoris es d une part et l ensemble des l ves d autre part 2 Source MEN DEPP MESR SIES Champ Enseignement priv France m tropolitaine DOM Mode de calcul il s agit du rapport entre le nombre d enfants de familles appartenant aux PCS d favoris es en CPGE x 100 et le nombre total d l ves de CPGE classes pr paratoires aux grandes coles Explication des valeurs cibles la valeur 2011 relativement stable en comparaison des r sultats observ s les ann es ant rieures peut autoriser une pr vision 2013 et une cible 2015 volontaristes INDICATEUR 4 3 carts des pourcentages d l ves ma trisant en fin de troisi me les comp tences 1 et 3 du socle commun palier 3 entre ECLAIR et hors ducation prioritaire et entre R seaux de r ussite scolaire et hors Education prioritaire Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 Ecart ECLAIR hors EP en langue cart s 0 32 5 4 26 31 30 26 fran aise 2 Ecart ECLAIR hors EP pour les c
29. ducation routi res 207 2 Participer au d veloppement personnel des jeunes 10 Sport 219 1 11 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture 224 2 11 Cr ation 131 3 11 Patrimoines 175 2 Accompagner les jeunes vers l autonomie 12 Enseignement scolaire public du second degr 141 3 12 Enseignement technique agricole 143 1 13 Formations sup rieures et recherche universitaire 150 1 13 Enseignement sup rieur et recherche agricoles 142 1 13 Recherche et enseignement sup rieur en mati re conomique et industrielle 192 5 13 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture 224 1 144 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES N de l objectif Axe sous axe Code du N de l objectif du DPT Programme programme du PAP 14 Acc s et retour l emploi 102 1 14 Acc s et retour l emploi 102 3 14 Accompagnement des mutations conomiques et d veloppement de l emploi 103 4 14 Emploi outre mer 138 2 15 Accompagnement des mutations conomiques et d veloppement de l emploi 103 4 15 Contractualisation pour le d veloppement et la modernisation de l apprentissage 788 1 15 Incitations financi res en direction des entreprises respectant les quotas en 789 1 alternance 15 Incitations financi res en direction des entreprises respectant les quotas en 789 2 alternance 16 Protection judiciaire de la jeunesse 182 17 Jeunesse et vie associative 163 1 17 Vi
30. fici en 2011 d une aide personnelle au logement leur permettant ainsi de r duire dans le secteur locatif comme dans le secteur de l accession leurs d penses de logement loyers ou mensualit s d emprunt et charges Parmi ces 6 4 millions de m nages 460 000 b n ficiaires taient g s de moins de 25 ans et non tudiants et pr s de 726 000 taient tudiants soit un co t d environ 1 5 Md Ces aides qui sont tr s sensibles aux ressources des b n ficiaires figurent ainsi parmi les aides sociales les plus redistributives Leur bar me d gressif conduit une diminution de l aide quand les revenus augmentent sans pour autant induire un effet de seuil Par ailleurs leur ciblage social est tr s marqu en effet 76 des m nages locataires b n ficiaires ont des revenus inf rieurs au SMIC et 99 des revenus inf rieurs 2 fois le SMIC Il existe trois types d aides personnelles au logement l allocation de logement caract re familial ALF l allocation de logement caract re social ALS l aide personnalis e au logement APL Seules l ALS et APL rel vent d un financement au titre du programme Aide l acc s au logement VALF tant financ e par le fonds national des prestations familiales FNPF Depuis le 1 janvier 1993 l allocation de logement caract re social ALS est attribu e sous condition de ressources toute personne qui ne remplit pas les conditions fix
31. g s de 18 moins de 30 ans dans un cadre souple de recrutement une r mun ration une exp rience une formation des d bouch s professionnels tout en leur permettant de participer des missions de service public dans le domaine de la s curit En 2012 11 793 ETPT ont t demand s donn es PAP au titre des adjoints de s curit et cadets de la R publique Cet effort est poursuivi en 2013 La police a aussi le souci de favoriser tous les niveaux la promotion de l galit des chances notamment par le biais de l cole nationale sup rieure de la police ENSP tablissement public et op rateur sous tutelle du programme 176 A cet effet l ENSP bas e Saint Cyr au Mont d Or dans le Rh ne 69 met en uvre un partenariat avec l institut de pr paration l administration g n ral IPAG de Clermont Ferrand et accueille des jeunes dans une classe pr paratoire int gr e CPI L cole nationale sup rieure des officiers de police ENSOP accueille galement une CPI Ces classes pr paratoires int gr es commissaire et officier instaur es en 2005 forment de jeunes dipl m s issus de milieux d favoris s et permettent l acc s tous les corps de la police nationale En 2010 2011 14 jeunes sur 33 ont r ussi un concours actif de la police Depuis le d but du dispositif sur 205 jeunes 117 ont int gr la police nationale 12 commissaires 32 officiers 73 gardiens de la paix Pour la session 2011 2
32. interroger am liorer les relances et les taux de r ponse Ainsi dans le tableau de pr sentation des indicateurs pour une ann e donn e le taux d insertion n est renseign que pour le dipl me enqu t cette ann e l en 2012 les Baccalaur ats Professionnels en 2013 les BTSA en 2014 les CAPA Les valeurs partir de ces ann es correspondent une insertion 33 mois Suite la mise en place de la r novation de la voie professionnelle le BEPA r nov n a plus pour finalit premi re d tre un dipl me d insertion professionnelle De fait il ne rentre plus dans le champ des enqu tes d insertion Mode de calcul le mode de calcul valeurs prises en compte au num rateur et au d nominateur est harmonis avec celui de l insertion 7 mois l indicateur est le rapport des jeunes en emploi sur la population active Explication des pr visions La cible 2013 est revue pour les BTSA 96 au lieu de 97 1 initialement du fait de la r alisation 2010 Les cibles 2015 propos es sont en volution modeste voire en diminution compte tenu de l impact sur le march de l emploi des doubles g n rations de dipl m s de la r novation de la voie professionnelle 126 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE OBJECTIF n 13 Am liorer l insertion professionnelle des dipl m s de l enseignement sup rieur Programme 150 Formations sup rieures et recherche universita
33. l gard des l ves les plus d favoris s que ce soit en raison de leurs caract ristiques individuelles ou du contexte social et culturel dans lequel ils vivent Il traduit la volont du syst me ducatif de viser une plus grande quit en maintenant une attention particuli re ces publics leur formation et leur r ussite scolaire Il s agit d un axe fort de la politique ducative qui int resse donc tous les chelons de responsabilit PLF 2013 95 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Cette attention et les mesures qu elle suppose sont des l ments constitutifs des politiques publiques interminist rielles vis e plus large politiques de la ville de l int gration plan de coh sion sociale politique relative aux personnes handicap es Les partenaires du syst me ducatif des d partements minist riels aux parents d l ves en passant par les collectivit s locales et les nombreuses associations intervenant dans ces secteurs sont tr s vigilants quant la mise en uvre des engagements politiques pris en mati re d ducation d galit des chances et de mixit sociale L acc s au baccalaur at et la poursuite dans les classes pr paratoires aux grandes coles qui restent encore marqu s socialement ont vocation s ouvrir davantage aux jeunes issus des milieux d favoris s Les indicateurs 4 1 et 4 2 permettent une approche plus fine de ces volutions
34. les sports et qui contribue un d veloppement harmonieux depuis l cole maternelle et jusqu au terme de la scolarit obligatoire Ces interventions sont propos es et mises en uvre par une quipe pluridisciplinaire qui r unit sous la forme d un r seau coordonn des professionnels de diff rentes sp cialit s enseignement ducation animation sant culture sports et des intervenants du mouvement associatif Les parents sont syst matiquement associ s Cette am lioration est mesur e par l indicateur 4 5 en termes de r duction d cart entre tablissements en ZUS et tablissements hors ZUS La dynamique espoir banlieues a par ailleurs d velopp un dispositif de labellisation de places d internat dites d excellence car destin es des l ves pour beaucoup issus de quartiers de la politique de la ville et b n ficiant d un potentiel important S agissant de la scolarisation des l ves handicap s les indicateurs 4 7 4 9 appr cient en particulier la capacit de l institution r pondre favorablement aux besoins de scolarisation en classes pour l inclusion scolaire CLIS dans le premier degr et d unit s locales pour l inclusion scolaire ULIS dans le second degr au travers des taux de couverture des notifications d affectation en CLIS et en ULIS INDICATEUR 4 1 R ussite des l ves issus de familles appartenant aux PCS d favoris es Programme 141 du point de vue du citoyen
35. lyc e d enseignement g n ral et technologique et de LP lyc e professionnel qu ils soient scolaris s temps plein ou temps partiel sont donn es pour information et ne font donc pas l objet d un ciblage Ces indicateurs sont construits comme suit 100 x nombre d l ves handicap s adolescents handicap s scolaris s nombre total d l ves PLF 2013 101 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Explication des valeurs cibles La cible 2013 a t r vis e et la cible 2015 fix e dans un sens plus modeste au regard de la valeur de r alisation de 2011 valeur 2010 estim e par sondage INDICATEUR 4 9 Evolution de la scolarisation des l ves handicap s dans l enseignement primaire et secondaire Programme 139 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 1er degr Taux de couverture des s 0 90 4 s 0 91 92 94 notifications d affectation en CLIS 2 ter degr Pour information Nombre Nombre s o 2 812 s 0 s 0 s 0 s 0 de notifications d affectation en CLIS 3 1er degr Pour information Proportion 1 4 1 5 s 0 s 0 S O s 0 d l ves handicap s parmi les l ves de l cole primaire 4 2nd degr Taux de couverture des s 0 92 7 s 0 93 5 94 95 notifications d affectation en ULIS 5 2nd degr Pour information Nombr
36. mentaires tendues vers un m me objectif celui de la lutte contre l exclusion du march du travail des publics les plus loign s de l emploi La premi re vise l association d une formation caract re ducatif et citoyen n cessaire l acquisition d un r f rentiel de comportement favorable l inclusion sociale La formation professionnelle se veut aussi concr te que possible diff rente de celle que les jeunes ont connu en situation d chec dans le syst me ducatif 30 40 des jeunes sont volontairement recrut s en situation d illettrisme plus de 60 ne d tiennent aucun titre ni le brevet des coll ges Elle est renforc e par l accompagnement permanent des volontaires bas en partie sur l internat et sur un suivi individualis Dans ce cadre l objectif du SMA est de permettre une am lioration de l insertion des jeunes la fin de leur contrat Le minist re des outre mer a retenu un indicateur 14 6 mesurant l insertion des volontaires du SMA dans chacune des collectivit s d outre mer o ce dispositif est pr sent Le p rim tre du premier sous indicateur a volu en 2013 afin de tenir compte de la diff rence des situations entre les volontaires techniciens et les volontaires stagiaires Les premiers occupent au sein du SMA de fonctions d encadrement Leur engagement au SMA s apparente plus une premi re exp rience professionnelle qu une mesure d insertion Enfin un nouveau sous indicateur le taux de s
37. qui ont fait conna tre leur volont d aboutir PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le minist re de l int rieur secr tariat g n ral l immigration et l int gration participe aux n gociations et au suivi de ces accords en particulier pour d terminer les quotas de visas d livr s annuellement et de ressources exig es des jeunes trangers lorsqu ils entrent en France Les ambassades et les consulats de France concern s se font l cho du programme PVT sur leurs sites internet les consulats et consulats g n raux sont charg s de la d livrance des visas PVT vers la France 76 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE SOLIDARIT L GARD DES PAYS EN D VELOPPEMENT 209 Les actions financ es par les cr dits du programme 209 concernent plusieurs dispositifs destin s la jeunesse dans le domaine du volontariat Ces dispositifs sont les suivants le VSI volontariat de solidarit internationale Il ne constitue pas un programme sp cifique aux jeunes puisqu il est ouvert tous Toutefois nombre d entre eux sont concern s En effet 67 des volontaires appartiennent la tranche des 18 30 ans Le MAE apporte une aide financi re 23 associations dont les missions des volontaires sont gales ou sup rieures un an aide pour la couverture sociale la formation la gestion et l appui au retour Il appuie galement la pla
38. rience en mati re de recherche d autre part Ces principes ont t r affirm s au travers de l arr t du 1er ao t 2011 relatif la licence Action 02 Formation initiale et continue de niveau master Le cursus master assure la formation des cadres sup rieurs n cessaires au d veloppement social conomique scientifique et culturel du pays en leur dispensant la fois un enseignement scientifique de haut niveau et une sp cialisation professionnelle qui garantit leur employabilit Il se traduit par une offre de formation troitement li e aux mondes de la recherche et de l entreprise lisible et attractive au niveau national et international En particulier toute formation menant au dipl me national de master doit r pondre dans ses contenus et m thodes d enseignement un double objectif offrir aux tudiants un parcours menant une qualification et une insertion professionnelle de haut niveau pr parer ceux des tudiants qui s engageront dans les tudes doctorales une pratique de recherche exigeante Action 03 Formation initiale et continue de niveau doctorat La formation doctorale a pour objet de former des sp cialistes et des chercheurs de haut niveau en vue d irriguer le service public d enseignement sup rieur et de recherche les administrations et de plus en plus les entreprises Elle repose sur des coles doctorales accr dit es et qui s ins rent dans des p les de recherche et des r seaux d
39. sur une base juridique davantage contraignante Le nouveau cadre 2010 2018 fixe deux grands objectifs g n raux cr er davantage d opportunit s et veiller l galit dans l ducation et sur le march de l emploi promouvoir la citoyennet active l insertion sociale et la solidarit pour tous les jeunes PLF 2013 11 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Il adopte une approche double s appuyant la fois sur le d veloppement de politiques et d actions sp cifiques au domaine de la jeunesse et sur la prise en compte transversale de la jeunesse dans la mise en place de politiques sectorielles Il retient huit domaines d action prioritaires l ducation et la formation l emploi et l entreprenariat la sant et le bien tre la participation le volontariat l inclusion sociale les jeunes et le monde la cr ativit et la culture UNE PRIORIT NATIONALE Dans l objectif d assurer aux jeunes de meilleures conditions de vie au cours des cinq ans venir le Pr sident de la R publique a souhait que la jeunesse soit une des priorit s dans l action du Gouvernement Pour redresser le pays il s agit d accorder aux jeunes la place qui leur revient en leur permettant de se former d acc der un emploi en lien avec leur formation de se loger de se soigner et plus largement d acc der une r elle autonomie Cette priorit repose sur une large concertation associant t
40. toucher un public vari et renouvel dont la satisfaction et les attentes seront suivies et tudi es par un observatoire des publics PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche RECHERCHE ET ENSEIGNEMENT SUP RIEUR EN MATI RE CONOMIQUE ET INDUSTRIELLE 192 Le programme 192 vise accro tre la comp titivit de l industrie fran aise et donc l emploi par le d veloppement de la recherche de l innovation et des transferts de technologies La recherche industrielle a pour finalit l mergence de nouveaux produits ou services qui cr ent de la croissance et ont un impact sur notre environnement et nos conditions de vie Soutenir l innovation et le transfert de technologies permet de pr parer l avenir de notre conomie en aidant les entreprises anticiper et assimiler plus rapidement de nouveaux savoirs dans un monde en volution o la concurrence est mondiale Le d veloppement de la recherche technologique des entreprises constitue une des grandes priorit s de la strat gie europ enne Europe 2020 Le transfert la valorisation et la diffusion des r sultats de la recherche strat gique de la recherche et d veloppement R amp D et de l innovation doivent tre encourag s au moyen des outils pr sentant les effets de leviers les plus importants Acteurs et pilotage du programme Ce programme est plac sous la responsabilit du directeur g n ra
41. tre victimes les personnes vuln rables enfants et adultes dans leur milieu de vie ordinaire ou en tablissement social ou m dico social Il vise enfin garantir aux adultes vuln rables une protection juridique adapt e leurs besoins ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S La finalit de l action 1 Accompagnement des familles dans leur r le de parents est d aider les parents lever leurs enfants pour qu ils deviennent des adultes ayant les moyens les capacit s sociales et psychiques de s ins rer dans la soci t La famille joue un r le primordial cet gard elle est le premier ducateur de l enfant Mais elle est soumise des al as rupture du couple des difficult s des influences qui peuvent compromettre les conditions permettant aux deux parents d assumer leur responsabilit Cette action finance plusieurs types d intervention dont des mesures d appui la parentalit services de m diation familiale qui proposent aux couples un cadre pour la r solution de leurs conflits dans l int r t de l enfant r seaux d coute d appui et d accompagnement des parents REAAP qui permettent un soutien par les pairs des parents s interrogeant sur l ducation de leurs enfants A travers eux l tat soutient galement la mise en place de points info famille adoss s des sites internet d partementaux destin s informer et orienter les familles sur l ensemble des aides serv
42. un fruit pour la r cr gt avec accompagnement de la mise en place d exigences nutritionnelles par la formation des personnels des petites cantines programme mieux manger dans ma petite cantine et la formation des personnels des coll ges avec le programme plaisir la cantine Elles visent l am lioration des connaissances des jeunes avec la formation des BAFA et BAFD sur les jardins potagers p dagogiques le d veloppement de classes du go t pour les CE2 le module p dagogique bl farine pain de la DRIAAF du champ l assiette l intervention d agriculteurs d industriels et d artisans dans les classes pour favoriser la d couverte de ces m tiers et des produits de terroirs l laboration de guides d accueil des scolaires chez les professionnels des fili res agricoles et de la p che la subvention Epicurium mus e vivant des fruits et l gumes Avignon et pour une exposition au mus um du Havre la participation des l ves l inventaire du patrimoine gastronomique et l innovation agroalimentaire Des tudes sociologiques ont t financ es pour mieux comprendre le comportement alimentaire des enfants et des adolescents Une action est men e sur la faisabilit de l interconnexion des centres de ressources d mat rialis s et sur un inventaire de ces centres de ressources Programme 219 Sport Les cr dits mis en uvre sur l action 1 recouvrent les subventions aux f d rations sportives destin
43. une sorte de droit la confiance Favoriser l autonomie de tous les jeunes implique d agir sur tous les leviers leur permettant d assumer financi rement et intellectuellement leur propre existence Il s agit de favoriser leur ind pendance financi re et r sidentielle en m me temps que leur capacit prendre individuellement et collectivement les d cisions qui les concernent Ces l ments issus pour une large part d une orientation scolaire et professionnelle adapt e n cessitent un v ritable accompagnement D s lors les politiques publiques doivent tre construites pour renforcer les capacit s des jeunes tre les acteurs de leur vie Intervenant sur des champs tr s larges et s inscrivant dans un cadre europ en les politiques de jeunesse ont un caract re intrins quement interminist riel et partenarial UNE INSCRIPTION DANS LA POLITIQUE EUROP ENNE La politique europ enne de jeunesse de l Union europ enne a t adopt e par le Conseil des ministres charg s de la jeunesse en 2002 Le 27 novembre 2009 celui ci a renouvel le cadre europ en de coop ration en mati re de jeunesse pour la p riode 2010 2018 Le domaine de la jeunesse est exclu de toute forme d harmonisation des dispositions l gislatives et r glementaires des tats membres les textes du Conseil sont pour la plupart des r solutions le programme communautaire de soutien aux politiques de jeunesse et la mobilit des jeunes reposant
44. ves des coles maternelles et l mentaires pendant le temps scolaire a t institu par la loi du 20 ao t 2008 L l ve b n ficie gratuitement d un service d accueil lorsque les enseignements ne peuvent lui tre d livr s en raison de l absence impr visible de son professeur et de l impossibilit de le remplacer Il en est de m me en cas de gr ve L tat assure cet accueil si le nombre pr visionnel de gr vistes d une cole est inf rieur 25 Les communes assurent le service d accueil si le taux pr visionnel de gr vistes est sup rieur ou gal 25 des enseignants des coles publiques maternelles et l mentaires Elles b n ficient en contrepartie d une compensation financi re de l tat et organisent ce service de fa on tr s souple Le choix des personnels des locaux d une association ventuelle avec d autres communes lui est donn En mati re de formation professionnelle et d apprentissage Les r gions sont responsables des politiques r gionales d apprentissage et de formation professionnelle pour les jeunes et les adultes La loi du 13 ao t 2004 r affirme le principe de la pleine responsabilit de la r gion pour d finir et mettre en uvre la politique r gionale de formation professionnelle des jeunes et des adultes la recherche d un emploi ou d une nouvelle PLF 2013 157 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT orientation professionnelle Elle modifie les dispositions l
45. vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Total A 10 4 9 5 8 5 8 5 8 6 a dont ayant un an de retard 10 1 9 2 8 8 n d n d b dont ayant 2 ans de retard ou plus 0 3 0 3 0 2 0 2 n d n d Source MEN DEPP Champ Enseignement priv sous contrat France m tropolitaine DOM Mode de calcul Cet indicateur appr cie globalement la fluidit des parcours scolaires en l mentaire Les donn es sont extraites des bases l ves tablissements BEE qui alimentent les bases l ves acad miques BEA Num rateur l ves venant d une cole priv e entrant en 6 hors SEGPA dans les tablissements publics et priv s dont l ge est sup rieur l ge normal D nominateur l ves venant d une cole priv e entrant en 6 hors SEGPA dans les tablissements publics et priv s Explication des valeurs cibles la pr vision 2013 volontariste et r aliste de 8 d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard d coule de la r forme de 2008 qui vise diviser par deux ce pourcentage entre 2008 et 2013 La cible 2015 de 6 s inscrit dans la continuit de cet objectif Les mesures prises d s la rentr e de septembre 2012 cf supra indicateur 1 2 vont permettre de renforcer les dispositifs d aide aux l ves en difficult et contribuer la baisse de la proportion d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard 88 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTA
46. 1 Formation continue 6 0 5 6 0 Services annexes de l enseignement 676 49 725 4 2 Jeunesse 2 579 51 630 3 6 Total 1 2 2551 486 3 037 17 4 Budget total 13 027 4 391 17418 100 Communes de 30 000 habitants et plus en 2010 en millions d euros Fonctionnement Investissement Total Part dans le budget total de la collectivit Enseignement formation 1 3 649 930 4 578 12 2 Services communs 593 87 680 1 8 Enseignement du premier degr 1 909 680 2 589 6 9 Enseignement du deuxi me degr 21 21 41 0 1 Enseignement sup rieur 83 73 156 0 4 Formation continue 9 4 13 0 Services annexes de l enseignement 1 002 61 1 063 2 8 Jeunesse 2 1077 111 1 188 3 2 Total 1 2 4 726 1 041 5 766 15 4 Budget total 27 478 10 000 37 478 100 160 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Groupements de communes en 2010 en millions d euros Fonctionnement Investissement Total Part dans le budget total de la collectivit Enseignement formation 1 219 98 317 1 3 Services communs 11 1 12 0 Enseignement du premier degr 9 29 38 0 2 Enseignement du deuxi me degr 5 21 26 0 1 Enseignement sup rieur 40 68 107 0 4 Formation continue 4 5 9 0 Services annexes de l enseignement 145 8 153 0 6 Jeunesse 2 32 6 39 0 2 Total 1 2 251 104 356 1 5 Budget total 18 358 6 965 25 323 100 N B La somme des montants des sous fonctions ne correspond pas n ce
47. 141 Enseignement scolaire public du second degr m Programme 143 Enseignement technique agricole Si la scolarit secondaire a pour objectif de donner tous les l ves les moyens d acc der la culture et au savoir et de faciliter leur insertion professionnelle elle doit aussi permettre aux jeunes soit de poursuivre leur formation soit de s ins rer directement dans la vie active L obtention d un dipl me professionnel de niveau V ou IV atteste l acquisition d une qualification professionnelle L objectif majeur de la r novation de la voie professionnelle de participer l l vation du niveau de qualification des jeunes et de les pr munir d une sortie sans dipl me s est notamment concr tis depuis la rentr e 2009 par l instauration du baccalaur at professionnel en 3 ans l issue de la classe de 3 me Gage d un plus large acc s au niveau IV de formation ce nouveau parcours se trouve s curis par l offre d un dipl me interm diaire au cours de la 2 ann e de formation de baccalaur at professionnel Cette volution permet galement une meilleure poursuite d tudes aux titulaires d un dipl me de niveau V CAP ces derniers pouvant opter soit pour une insertion directe dans l emploi soit pour une poursuite d tudes en baccalaur at professionnel Les indicateurs 12 1 et 12 2 portent sur l valuation de l influence du niveau du dipl me sur l insertion professionnelle des jeunes Cet objectif porte gal
48. 153 LA POLITIQUE TRANSVERSALE Politique en fav LISTE DES PROGRAMMES CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE la jeunesse Num ro et intitul du programme Responsable Mission cf page 163 Jeunesse et vie associative Yann DY VRE Sport jeunesse et vie associative 12 Directeur de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie associative 124 Conduite et soutien des politiques Fran ois CARAYON Solidarit insertion et galit des chances 14 sanitaires sociales du sport de la Directeur des Affaires Financi res jeunesse et de la vie associative Informatiques Immobili res et des Services DAFIIS 140 Enseignement scolaire public du Jean Michel BLANQUER Enseignement scolaire 15 premier degr Directeur g n ral de l enseignement scolaire 141 Enseignement scolaire public du Jean Michel BLANQUER Enseignement scolaire 17 second degr Directeur g n ral de l enseignement scolaire 139 Enseignement priv du premier et Fr d ric GUIN Enseignement scolaire 19 du second degr s Directeur des affaires financi res 230 Vie de l l ve Jean Michel BLANQUER Enseignement scolaire 21 Directeur g n ral de l enseignement scolaire 214 Soutien de la politique de Jean MARIMBERT Enseignement scolaire 22 l ducation nationale Secr taire g n ral 150 Formations sup rieures et Simone BONNAFOUS Recherche et enseignement sup rieur 23 recherche universitaire Di
49. 18 18 18 gt 18 dans la fr quentation payante des lieux subventionn s Arts plastiques Fr quentation totale des Nombre 2 564 323 2 208 893 2 350 000 2 500 000 2 700 000 gt 2 700 000 lieux subventionn s Arts Plastiques Part du public scolaire 13 18 15 15 15 gt 15 dans la fr quentation totale des lieux subventionn s Pour le spectacle vivant le nombre de centres dramatiques tant pass de 39 38 depuis le 1er janvier 2011 les donn es des saisons pr c dentes ont t retrait es afin d obtenir un p rim tre identique de comparaison Les r sultats 2010 ont galement t actualis s avec les donn es mises jour des sc nes nationales Pour le secteur des arts plastiques les valeurs r alis es 2011 ont t actualis es depuis la publication du RAP 2011 la suite de la finalisation des rapports d activit des FRAC PLF 2013 121 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Sources des donn es pour le spectacle vivant enqu tes aupr s des centres dramatiques des sc nes nationales et des th tres lyriques nationaux en r gion tableaux de bord de l Op ra national de Paris des th tres nationaux de l Etablissement public du parc et de la grande halle de la Villette de la Cit de la musique de la salle Pleyel et du Centre national de la danse Pour les arts plastiques rapports d activit s des fonds r gionaux d art contemporain FRAC de
50. 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d appels d croch s par le SNATED 55 5 57 4 61 58 60 62 pour 100 appels re us 16 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d appels trait s par un coutant du 5 7 5 6 6 5 6 5 6 6 SNATED pour 100 appels d croch s par le pr accueil Taux d appels transmis aux conseils 32 1 35 8 34 34 35 35 5 g n raux pour 100 appels trait s Taux d appels transmis aux conseils 79 82 82 80 80 80 g n raux ayant donn lieu une d cision de protection de l enfance pour 100 appels transmis Le quatri me sous indicateur vise mesurer en niveau et en qualit la r ponse aux appels t l phoniques transmis par le SNATED aux conseils g n raux et ayant donn lieu une d cision de protection de l enfance A cet gard il vise appr cier la qualit de l coute t l phonique des appels trait s sachant qu un coutant doit distinguer les appels qui n cessitent une valuation par les travailleurs sociaux et ventuellement une mesure de protection de l enfance Apr s r ception d un compte rendu d appel t l phonique CRAT les conseils g n raux doivent accuser r ception et indiquer les mesures administr
51. 2013 27 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT avec plus de 56 d l ves en internat l accompagnement ducatif aide aux devoirs pratiques artistiques culturelles et sportives par les quipes de vie scolaire ainsi que des enseignants avec des d charges de service d di es est un facteur important d insertion et de r ussite scolaires afin d am liorer l insertion scolaire des jeunes de nombreuses actions sont mises en place dans les tablissements pour lutter contre les conduites addictives ou les discriminations s ances de sensibilisation r alisation d outils p dagogiques projets culturels etc Une enqu te de satisfaction est men e chaque ann e aupr s des l ves et tudiants afin d valuer les am liorations apporter sur six domaines accueil information formation vie dans l tablissement accompagnement du projet suivi administratif et financier Le taux de satisfaction exprim s l ve pr s de 80 En mati re d insertion professionnelle l enseignement technique agricole est caract ris par des taux lev s allant de 68 7 pour les certificats d aptitude professionnelle agricole CAPA 93 5 pour les BTSA enqu tes effectu es 33 mois apr s la sortie du syst me ducatif malgr un recrutement dans des cat gories socioprofessionnelles peu favoris es o l origine agricole est devenue largement minoritaire 15 Ces r sultats sont le fai
52. 28 926 735 25 335 800 25 415 800 25 335 800 25 415 800 04 Sanitaire social culture jeunesse 41 942 615 41 407 356 32 183 762 32 183 762 5 417 183 5 417 183 et sports 138 Emploi outre mer 250 534 268 220 991 158 224 184 822 248 904 822 236 389 618 225 777 618 02 Aide l insertion et la 250 534 268 220 991 158 224 184 822 248 904 822 236 389 618 225 777 618 qualification professionnelle 204 Pr vention s curit sanitaire et 1 402 685 1 632 685 1 349 866 1 349 866 1 090 000 1 840 000 offre de soins 12 Acc s la sant et ducation la 670 000 630 000 720 000 720 000 650 000 850 000 sant 13 Pr vention des risques infectieux 28 285 28 285 19 866 19 866 20 000 20 000 et des risques li s aux soins 14 Pr vention des maladies 550 000 820 000 390 000 390 000 200 000 750 000 chroniques et qualit de vie des malades 15 Pr vention des risques li s 154 400 154 400 220 000 220 000 220 000 220 000 l environnement au travail et l alimentation 206 S curit et qualit sanitaires de 515 327 533 911 848 215 697 215 439 900 439 900 l alimentation 08 Qualit de l alimentation et offre 515 327 533 911 848 215 697 215 439 900 439 900 alimentaire 219 Sport 8 990 335 9 071 335 11 116 500 11 116 500 8 865 335 8 865 335 01 Promotion du sport pour le plus 3 160 335 3 160 335 3 140 335 3 140 335 3 140 335 3 140 335 grand nombre 04 Promotion des m tiers du sport 5 830 000 5911 000 7 976 165 7 976 165 5 725 000 5 725 000
53. 4 cr dits pour l insertion sociale et professionnelle l adaptation p dagogique PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME ducation nationale Conseils r gionaux Organisations professionnelles des secteurs agricole horticole agroalimentaire et forestier Association pour l emploi des cadres ing nieurs et techniciens de l agriculture et de l agroalimentaire APECITA Office national d information sur les enseignements et les professions ONISEP ENSEIGNEMENT SUP RIEUR ET RECHERCHE AGRICOLES 142 L enseignement sup rieur long agronomique v t rinaire et du paysage est constitu d un r seau de 19 tablissements 12 tablissements publics et 7 tablissements priv s sous contrat avec l tat r partis en quatre grandes familles coles d ing nieurs coles v t rinaires cole du paysage et cole de formation d enseignants Ils assurent la formation de plus de 13 000 tudiants en cursus de r f rence appel s exercer dans les domaines agronomique forestier agro industriel agroalimentaire de l environnement de l am nagement rural et de la conception paysag re 28 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Les coles forment galement les cadres sup rieurs techniques du minist re ainsi que les professeurs de l enseignement technique agricole public Leur activit de recherche est reconnue aux niveaux national europ en et internation
54. 4 44 4 42 4 Travailleurs handicap s 54 1 56 6 55 55 53 Source des donn es Fichier historique pour le suivi de la convention tripartite Fichier national des Ass dic pour des restitutions particuli res Mode de calcul Le calcul s op re par cohorte mensuelle d entrants au ch mage nouvellement inscrits i e dont la date d annulation de la demande d emploi pr c dente remonte plus de 122 jours en cat gorie ABC Num rateur nombre de demandeurs d emploi entr s dans le courant du mois M et n ayant pas eu de sortie d une dur e sup rieure 122 jours dans les 12 mois qui ont suivi l inscription D nominateur nombre de demandeurs d emploi nouvellement inscrits dans le mois M Limites et biais connus de l indicateur tr s bonne fiabilit des donn es relatives l inscription et l indemnisation Qualit moindre des donn es relatives aux demandeurs d emploi non indemnis s Des travaux compl mentaires sont conduits dans le cadre du comit technique tripartite afin d am liorer la qualit de l indicateur Explication des valeurs cibles Les valeurs cibles sont fix es 2014 pour l ensemble des indicateurs relatifs l op rateur P le emploi en coh rence avec les objectifs inscrits dans la convention tripartite 2012 2014 En l absence d historique disponible sur le sous indicateur relatif aux travailleurs handicap s la cible est fix e l g rement en dessous du r alis 2011 INDICATEUR 14 2 Taux d inse
55. Bourgogne Limousin Les donn es relatives au nombre d enfants scolaris s dans les diff rentes r gions sont issues des informations fournies aux DRAC par le minist re en charge de ducation INDICATEUR 11 4 Effort de d veloppement de l ducation artistique et culturelle dans les territoires prioritaires Programme 224 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des cr dits d ducation artistique et coefficient 1 6 1 32 2 1 35 1 4 1 5 culturelle dirig s vers les territoires prioritaires par rapport la proportion d l ves scolaris s dans ces territoires Mode de calcul L indicateur consiste en un ratio R Q1 Q2 Q1 N1 N2 Montant moyen par enfant des cr dits d EAC affect s aux territoires prioritaires N1 Montant des cr dits de l action 224 2 engag s sur des territoires prioritaires d penses d intervention titre 6 fonctionnement N2 Nombre d enfants scolaris s jusqu en fin de 2 me cycle du secondaire dans les territoires prioritaires Q2 N3 N4 Montant moyen par enfant des cr dits d EAC affect s l ensemble du territoire N3 Montant total des cr dits de l action 224 2 d penses d intervention titre 6 fonctionnement N4 Nombre total d enfants scolaris s jusqu en fin de 2 me cycle du secondaire Interpr tation Cet indicateur calcul
56. Enfin depuis l automne 2010 la DPJJ s est engag e dans le dispositif du service civique en proposant l accueil de 200 volontaires pour des missions d une dur e de six mois renouvelable une fois soit l quivalent de 2 400 mois de service civique Ce calibrage avait t retenu afin d accompagner la mise en uvre de la circulaire du 25 f vrier 2009 relative l action ducative structur e par les activit s de jour La DPJJ assure sur tout le territoire la mise en uvre de ces d cisions judiciaires dans 1 500 structures de placement et de milieu ouvert 300 structures d tat 1 200 structures associatives habilit es et contr l es ayant le caract re de services sociaux et m dicosociaux Chaque ann e plus de 170 000 mineurs sont ainsi pris en charge dont pr s de 92 000 mineurs d linquants La DPJJ emploie environ 8 600 quivalents temps plein E T P Les postes propos s se situent exclusivement dans les tablissements du secteur public de la DPJJ et en particulier dans les services de milieu ouvert et les tablissements de placement Le volontaire du service civique aide et participe avec l quipe ducative au d veloppement des activit s propos es dans le cadre du dispositif accueil accompagnement et ou du module des acquisitions Cela suppose d avoir une certaine sensibilit pour les situations de mineurs tout autant difficiles que fragiles et une app tence pour l organisation des activit s d finies lors de la
57. Il ne s agit pas uniquement de la formation de futurs spectateurs ou amateurs d art mais de la formation des enfants et des jeunes dans son acception la plus large pendant comme en dehors du temps scolaire Les actions d ducation artistique et culturelle soutenues par le minist re b n ficient un nombre croissant de jeunes d passant ainsi l objectif d termin et la cible fix e Ces r sultats satisfaisants sont notamment dus l mergence de pratiques et d actions nouvelles telles que les projets f d rateurs Cela permet de compenser du moins en partie la relative perte de vitesse de certains dispositifs traditionnels tels que par exemple les classes projet artistique et culturel classes PAC ou les classes culturelles Ces projets f d rateurs peuvent prendre la forme de r sidences d artistes assortis de projets communs avec les tudiants de jumelages de conventions locales d ducation artistique CLEA de contrats ducatifs locaux etc L indicateur relatif la part des jeunes b n ficiant d actions d EAC a donc t modifi en cons quence pour se concentrer d sormais sur les projets f d rateurs r sidences conventions avec les collectivit s territoriales jumelages etc les actions d ducation l image et les dispositifs partenariaux tels que les classes options Si le nombre de b n ficiaires des actions d EAC a significativement augment et ce depuis plusieurs ann es on constate en revanc
58. L enqu te d insertion a t mise en place en 2008 et renouvel e annuellement depuis lors en collaboration avec l ensemble des directions g n rales et des EP concern s L enqu te pour les r sultats 2011 a donc port sur les dipl m s 2008 Pour le taux d insertion pour chaque type de dipl me une liste d emplois consid r s par les professionnels comme tant en rapport avec la formation re ue a t dress e Les personnes ne rentrant pas dans ces crit res sont consid r es comme n ayant pas un emploi en rapport avec la formation re ue et ne sont donc pas comptabilis es dans le num rateur Les types de r ponse la question de l emploi se r partissent de la fa on suivante emploi en rapport avec la formation re ue emploi sans rapport avec la formation re ue en recherche d emploi autres au foyer en formation en cr ation d entreprise etc Le taux d insertion pr sent ici calcule donc au num rateur le nombre de dipl m s N 3 ayant un emploi en rapport avec la formation re ue au d nominateur le nombre de dipl m s N 3 ayant un emploi en rapport ou non avec la formation re ue le nombre de dipl m s N 3 en recherche d emploi Sont donc laiss s hors du d nominateur les dipl m s N 3 n tant pas en recherche d emploi 1 ligne r sultats pour les dipl m s des coles nationales sup rieures d architecture de l INP et de l cole du Louvre 2 ligne r sultats pour les dipl m s
59. M en AE et CP il fait l objet d un transfert sur le programme 204 Pr vention sanitaire et offres de soins du minist re charg de la sant compter de 2013 dans la logique d une plus grande coh rence entre le portage budg taire et l exercice de la tutelle technique et op rationnelle des tablissements de soins L volution des cr dits du programme 138 est uniquement le fait de la mont e en puissance du SMA 6000 Programme 204 Pr vention s curit sanitaire et offre de soins Pour l action 13 il s agit de la subvention de la DGS au CHU de Nice pour la mise en place et la coordination du projet E Bug site sur les antibiotiques pour les jeunes et les enseignants En outre il convient de mentionner l institut national de pr vention et d ducation pour la sant INPES comme partenaire participant la mise en uvre de ce DPT En effet ind pendamment des montants cit s une fraction de la subvention pour charges de service public allou e cet op rateur en 2012 30 ME intervient en direction de la jeunesse sans qu il soit toutefois possible de l estimer Programme 206 S curit et qualit sanitaire de l alimentation Les moyens indiqu s correspondent aux seules d penses hors personnel Les actions men es visent promouvoir les bonnes habitudes alimentaires dans le cadre scolaire ou p riscolaire avec la distribution de fruits dans les coles coll ges lyc es CLAE programme europ en
60. Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d acc s au dipl me de CAP des 68 2 67 7 s o 68 68 5 69 l ves de premi re ann e de CAP par la voie scolaire Taux d acc s au dipl me de CAP des 60 n d s o 62 62 5 63 l ves de 1 re ann e de CAP par apprentissage Taux d acc s au baccalaur at n d 63 2 43 64 64 5 65 professionnel des l ves de seconde professionnelle par la voie scolaire Taux d acc s au baccalaur at n d n d s o 56 56 5 57 professionnel des l ves de seconde professionnelle par apprentissage Taux d acc s au BTS des l ves de n d 70 7 s o 71 71 5 72 premi re ann e de BTS par la voie scolaire Taux d acc s au BTS des l ves de 64 1 n d s 0 65 66 68 premi re ann e de BTS par apprentissage Source MEN DEPP Champ enseignements public priv France m tropolitaine DOM Mode de calcul Le second cycle professionnel ayant t r nov la rentr e 2009 la pr paration du baccalaur at est devenue la principale orientation la fin de troisi me vers la voie professionnelle tandis que les BEP ont disparu Le terme de seconde professionnelle a chang de signification et d signe maintenant la premi re ann e du baccalaur at professionnel en trois ans et non plus la premi re ann e du BEP Ce contexte de transition a emp ch le calcul du taux d acc s de seconde professionnelle au baccalaur at professionnel pour 2010 En outre en ce qui
61. R gionaux Strat giques d galit entre les Femmes et les Hommes PRSEFH Les cr dits du programme ont un effet levier d autant plus puissant qu ils permettent d engager une dynamique d action pour l galit r elle des acteurs et des financements non seulement nationaux mais aussi europ ens r gionaux d partementaux et locaux Au del des services de l tat le minist re des droits des femmes coordonne la r alisation d actions d finies avec les acteurs conomiques associatifs et territoriaux Un renouvellement des m thodes d intervention du minist re est engag pour renforcer la contractualisation avec le secteur associatif pour mieux piloter et organiser le travail des services nationaux et locaux avec les acteurs associatifs d velopper une v ritable culture de l exp rimentation et de l valuation pour d une part dynamiser le partenariat avec les minist res les collectivit s territoriales et les autres acteurs publics et priv s et d autre part accro tre l efficacit globale de la r ponse publique en mati re d galit femmes hommes d autre part d accro tre l efficacit globale de la r ponse publique en mati re d galit femmes hommes Au 1 janvier 2013 un fonds budg taire sera constitu au sein du programme 137 pour mettre en uvre des programmes de soutien et d exp rimentations et fonder les bases de nouvelles pratiques au service de l galit professionnelle et de la protection
62. am liorer les capacit s d accueil et les conditions d h bergement des personnes sans abri ou risquant de l tre ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Un changement de maquette du programme 177 intervient partir de 2013 avec notamment le transfert du dispositif Point d Accueil coute Jeunes PAEJ vers le programme 106 Actions en faveur des familles vuln rables Toutefois il convient de souligner que l ensemble des actions du programme 177 b n ficie aux jeunes en difficult proportion de leur importance parmi les populations en grande difficult et sans domicile Notamment les jeunes sont particuli rement nombreux dans les structures d h bergement d urgence et d insertion Ainsi le dernier tableau de bord des CHRS portant sur l ann e 2005 montre que 23 des publics h berg s dans les tablissements enqu t s taient g s de 18 25 ans et que 19 taient mineurs Plus globalement en 2013 le programme 177 poursuivra les efforts entam s depuis 2010 pour moderniser le secteur de l Accueil de l H bergement et de l Insertion AHI dans le but d offrir aux personnes sans abri ou mal log es un acc s plus direct au logement ou d faut un h bergement de qualit PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Secteur associatif Caisse nationale des allocations familiale CNAF Conseils g n raux Communes HANDICAP ET D PENDANCE 157 L objectif global du
63. appliqu progressivement dans les classes de Terminale ann e scolaire 2007 2008 de Premi re ann e scolaire 2008 2009 et de Seconde ann e scolaire 2009 2010 Pour les ann es scolaires 2011 2012 des pays du rythme nord et 2011 du rythme sud sur 114 000 l ves fran ais scolaris s dans les 485 tablissements du r seau de l A FE 24 700 l ves de maternelle primaire coll ge et lyc e b n ficiaient d une bourse d un co t moyen d environ 3 600 Si l volution moyenne constat e ces derni res ann es tait une hausse de 5 du nombre de b n ficiaires et de 8 du co t moyen on note une acc l ration en 2012 8 du nombre de b n ficiaires et 9 du co t moyen constat s pour la rentr e 2012 2013 7 860 lyc ens ont b n fici de la prise en charge des frais de scolarit par la collectivit nationale nombre en hausse de 6 3 par rapport l ann e pr c dente p rim tre d application constant Cette prise en charge s est effectu e dans la limite du plafond instaur par le d cret du 9 mai 2011 Ainsi le montant moyen d une PEC a baiss de 15 passant de 4 500 3 900 Par cons quent le taux moyen de couverture des frais de scolarit r els par la PEC s levait 76 pour l ann e scolaire 2011 2012 PLF 2013 75 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT A noter que la prise en charge est supprim e compter de la rentr
64. approfondir la r flexion sur les dispositifs passerelles entre les publics scolaires et les publics en famille telle l op ration Viens avec nous au Centre Pompidou dont l valuation a montr qu un quart des 700 familles venues sont des primo visiteurs lesquels sont pour moiti employ s ou ouvriers Afin d encourager la visite en famille un projet d dition d un mode d emploi de la visite des lieux patrimoniaux un Kit Familles qui pourrait tre r alis en partenariat avec la Caisse nationale des allocations familiales est l tude Au titre de ses objectifs de performance le programme Patrimoines est notamment valu sur l accroissement de l acc s du public au patrimoine national via un indicateur de fr quentation dont deux des trois sous indicateurs concernent le jeune public le minist re s engage d une part maintenir un niveau significatif la part de fr quentation des moins de 18 ans dans la fr quentation totale des lieux culturels et d autre part augmenter la fr quentation des 18 25 ans r sidant dans l Union europ enne dans les collections permanentes des institutions patrimoniales et architecturales gr ce aux nouvelles mesures de gratuit en faveur de ce public Particuli rement soucieux de la bonne d clinaison op rationnelle de ces probl matiques le programme Patrimoines les inscrit syst matiquement dans les contrats de performance qu il signe avec ses op rateurs P
65. caire implique de changer plus souvent de logement ou de ne l occuper qu une partie donn e de l ann e le besoin de logement temporaire est difficilement combl par le march du logement Dans leur vie quotidienne familiale sociale les enfants et les jeunes peuvent tre expos s des risques que les pouvoirs publics s efforcent de pr venir par des actions cibl es Ainsi l tat travaille avec ses partenaires des collectivit s territoriales et des associations assurer un environnement ducatif favorable l apprentissage et l panouissement offrir aux enfants et aux jeunes adultes des loisirs s rs et de qualit pr venir les risques de maltraitance assurer une prise en charge rapide et faire baisser le nombre particuli rement lev de jeunes tu s sur la route OBJECTIFS CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE OBJECTIF n 7 Promouvoir la sant au cours du parcours scolaire Programme 230 Vie de l l ve m Programme 231 Vie tudiante Programme 206 S curit et qualit sanitaires de l alimentation Dans le domaine du suivi de sant l cole n est pas seule agir mais elle est la seule institution qui conna t et touche chaque g n ration dans sa quasi totalit C est pourquoi son r le est particuli rement important en la mati re L objectif est de contribuer mettre en place les conditions d une bonne entr e dans la scolarit et d velopper une ducation aux comportements
66. cibles sont actualis es partir des constatations des ann es 2010 et 2011 elles tiennent compte des r formes engag es notamment dans les domaines de l orientation et de l accompagnement social des tudiants La g n ralisation de l orientation active la sp cialisation progressive des tudes et la mise en uvre de passerelles diff rentes tapes des cursus ne peuvent que favoriser la r ussite des tudiants les plus fragiles dont une partie est issue de milieux modestes peu familiaris s avec le monde de l enseignement sup rieur PLF 2013 103 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 5 2 Evolution de la repr sentation des origines socio professionnelles des tudiants selon le niveau de formation Programme 231 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Equivalent L Ouvriers employ s 28 7 28 4 30 30 30 31 5 Equivalent M Ouvriers employ s 20 5 20 4 20 8 20 8 21 22 Equivalent D Ouvriers employ s 15 6 16 3 16 16 5 16 6 18 Le calcul s effectue sur la France enti re incluant les collectivit s d outre mer Les r sultats de l ann e n sont ceux de l ann e universitaire dont 2 trimestres sur 3 correspondent l ann e n L indicateur est construit partir de donn es administratives recueillies via le syst me d inf
67. coll ges 85 1 85 4 des l ves scolaris s hors ZUS c PLF 2013 99 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e cart a b points 0 2 nd 0 1 0 1 0 1 0 cart b c points 11 0 10 8 7 7 7 5 Sources des donn es r ussite au brevet des coll ges DEPP minist re de l ducation nationale Synth se des donn es SG CIV observatoire national des zones urbaines sensibles Champ r ussite au brevet des coll ges l ves des tablissements publics uniquement Explications sur la construction de l indicateur r ussite au brevet des coll ges la formule de calcul est le rapport entre le nombre d l ves dipl m s et le nombre d l ves pr sents l examen datation ann e 2011 pour ann e scolaire 2010 2011 ERE quipe de r ussite ducative L objectif de l indicateur est de r duire significativement les carts existants d une part entre les tablissements les plus en difficult des ZUS sur lesquels interviennent des quipes de r ussite ducative et les autres tablissements des ZUS cart a b d autre part entre les tablissements des ZUS et les tablissements hors ZUS cart b c Commentaire L volution de l indicateur est
68. concerne l apprentissage les r alisations de l ann e N ne sont connues qu au 4 me trimestre de l ann e N 1 4 trimestre 2012 pour les taux d acc s 2011 Explication des valeurs cibles Taux d acc s un CAP En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 a t actualis e pour tenir compte du l ger recul not entre 2010 et 2011 Le ciblage l horizon 2015 a t op r sur la base d un rythme de progression raisonnable Le taux d acc s par apprentissage a t cibl en faisant l hypoth se d une poursuite de la r duction du diff rentiel avec la voie scolaire telle qu observ e entre 2008 et 2010 2008 10 6 points 2009 9 6 points 2010 8 2 points PLF 2013 93 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Taux d acc s un baccalaur at professionnel En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 fix e avec prudence lors de la mise en place de la r forme de la voie professionnelle 43 a t r ajust e la hausse un niveau plus conforme aux observations r alis es depuis 64 Les cibles reposent par ailleurs sur les hypoth ses suivantes reconduction pour les ann es 2012 2014 des taux de redoublement constat s la rentr e 2011 pour les classes de seconde premi re et terminale professionnelles augmentation de 0 6 point pour les ann es 2012 2014 du taux de passage de la seconde professionnelle la premi
69. contribue la formation progressive de leur personnalit et cr e les conditions d un climat propice l enseignement Dans les coles elle est prise en charge par la direction et les ma tres en quipes Dans les coll ges et les lyc es l ensemble des personnels 22 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE doit porter une politique ducative autour de l ducation la citoyennet Elle se construit dans un cadre o l exigence de respect est partag e par tous les l ves et par les membres de la communaut ducative respect des l ves et de tous les personnels respect des lois et respect du r glement int rieur de l tablissement ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action n 01 Vie scolaire et ducation la responsabilit Action N 02 Sant scolaire Action n 03 Accompagnement des l ves handicap s Action n 04 Action sociale Action n 05 Internats d excellence et tablissements la charge de l tat Action n 06 Actions ducatives compl mentaires aux enseignements PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME tablissements publics locaux d enseignement EPLE SOUTIEN DE LA POLITIQUE DE L DUCATION NATIONALE 214 Le programme 214 Soutien de la politique de l ducation nationale regroupe les moyens concourant de mani re transversale la mise en uvre des programmes de la mission Enseignement
70. culturel sportif social ou socio ducatif Les d penses destin es mettre la disposition des l ves les installations sportives n cessaires l enseignement de l ducation physique et sportive constituent des d penses obligatoires pour les collectivit s territoriales Les quipements n cessaires la pratique de l ducation physique et sportive doivent tre pr vus lors de la cr ation d tablissements publics locaux d enseignement Dans le domaine des enseignements artistiques du spectacle vivant la loi LRL clarifie les responsabilit s exerc es en mati re d enseignement artistique initial par chaque niveau de collectivit s territoriales Les communes et leurs groupements conservent les comp tences qu elles exercent en mati re d enseignement initial en vue d une pratique amateur Cet enseignement dispens par des tablissements d enseignement de la musique de la danse et de l art dramatique notamment par les coles municipales de musique consiste offrir un enseignement de base visant assurer l veil l initiation puis l acquisition des savoirs fondamentaux n cessaires une pratique artistique autonome Il participe galement l ducation artistique des enfants en ge scolaire en partenariat avec les tablissements scolaires et les structures d accueil des enfants en dehors du temps scolaire Les d partements d finissent l organisation du r seau des enseignements artistiques et les modalit s de l
71. d engagement de paiement d engagement de paiement 04 tablissements d enseignement 94 211 618 94 211 618 89 405 852 89 405 852 84 485 852 84 485 852 priv s 231 Vie tudiante 2 164 685 555 2 170 024 904 2 171 203 845 2 168 623 845 2 312 208 125 2 324 936 625 01 Aides directes 1 790 079 374 1 790 079 374 1 747 115 954 1 747 115 954 1 895 386 172 1 895 386 172 02 Aides indirectes 228 441 159 233 780 508 279 218615 276 638 615 265 417 117 278 145617 03 Sant des tudiants et activit s 55 358 014 55 358 014 61 670 168 61 670 168 62 291 181 62 291 181 associatives culturelles et sportives 04 Pilotage et animation du 90 807 008 90 807 008 83 199 108 83 199 108 89 113 655 89 113 655 programme 143 Enseignement technique 1 249 658 640 1 202 931 396 1 229 215 677 1 216 472 012 1 236 048 062 1 236 048 062 agricole 01 Mise en oeuvre de l enseignement 648 543 217 649 417 368 658 684 004 658 684 004 674 617 405 674 617 405 dans les tablissements publics 02 Mise en oeuvre des 593 930 688 546 314 630 563 390 053 550 646 388 554 124 507 554 124 507 enseignements dans les tablissements priv s 04 volution des comp tences et 3 012 474 3 031 600 2 844 312 2 844 312 2731 150 2 731 150 dynamique territoriale 05 Moyens communs 4 172 261 4 167 798 4 297 308 4 297 308 4 575 000 4 575 000 l enseignement technique agricole public et priv 142 Enseignement sup rieur et 244 560 369 246 991 126 252 775 408 254 297 408 343 937 636 256 977 636 recherche ag
72. de performance pluriannuel visant mettre en place ses missions prioritaires d observation de valorisation et de centre de ressources en s appuyant sur un conseil scientifique nouvellement cr L INJEP est appel devenir un v ritable observatoire de la jeunesse Protection des jeunes les s jours de vacances et les accueils de loisirs constituent un enjeu et un outil essentiels dans le parcours vers l autonomie des plus jeunes en leur offrant souvent les premi res exp riences de vie en dehors du cadre familial tout en favorisant la mixit sociale Ce secteur qui recouvre des enjeux conomiques et sociaux forts rassemble environ 1 100 000 enfants encadr s par 110 000 animateurs qui b n ficient chaque ann e d un s jour avec h bergement d une dur e de plus de cinq nuits Les accueils sans h bergement centres de loisirs de proximit concernent chaque ann e quelques 3 500 000 enfants et environ 310 000 animateurs Il appartient l tat de veiller ce que les organisateurs assurent la s curit physique et morale et la protection des mineurs accueillis collectivement hors du domicile parental l occasion des vacances scolaires des cong s professionnels et des loisirs Le ministre charg de la jeunesse a comp tence pour laborer la r glementation applicable en ce domaine et veiller son respect 14 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Soutien aux proj
73. des Mines l Institut T l com ex Groupe des coles des T l communications SUPELEC et l ENSCI cole nationale sup rieure de cr ation industrielle La qualit de la r ponse aux besoins des entreprises s value ici par le taux de placement des l ves dipl m s ainsi que par la part des doctorants employ s dans des entreprises qui sont r v lateurs de la qualit des relations avec les acteurs conomiques locaux nationaux ou internationaux et du niveau de confiance que ces acteurs accordent aux formations mises en place Dans le domaine culturel l objectif d am liorer l insertion professionnelle des dipl m s se traduit notamment par la poursuite de l int gration des dipl mes des m tiers de la culture dans le syst me d enseignement sup rieur et de recherche tant fran ais qu europ en par le renforcement de la vocation professionnelle de ces formations ainsi que par le soutien et le suivi de l insertion professionnelle et enfin par l am lioration constante des conditions de la vie tudiante Les tablissements d enseignement sup rieur plac s sous la tutelle ou le contr le du minist re de la culture forment plus de 35 000 tudiants dans les domaines de l architecture et du patrimoine des arts plastiques du spectacle vivant et du cin ma L action men e pour l insertion professionnelle des dipl m s de l enseignement sup rieur des m tiers de la culture s est appuy e sur les efforts en faveur de l int gration d
74. des d penses de RSA la charge de l tat Le programme 304 verse une dotation d quilibre au FNSA qui dispose par ailleurs d une ressource affect e taxe additionnelle aux pr l vements sociaux Ainsi il n y pas proprement parler de d pense directe du programme 304 pour les diff rentes composantes du RSA En 2013 un montant de 27 M est d di au financement du RSA jeunes actifs GALIT ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES LIBELL MODIFI 137 La cr ation en mai 2012 du premier Gouvernement paritaire de l histoire de la R publique et d un minist re des droits des femmes engage une nouvelle tape dans la mise en uvre de la politique de l galit entre les femmes et les hommes L galit entres les femmes et les hommes acquise en droit doit se concr tiser dans les faits et se manifester dans la vie quotidienne des fran ais et des fran aises Ces enjeux sont essentiels la fois en termes d acquis d mocratiques de coh sion sociale et de performance conomique pour construire une soci t fond e sur l galit donnant aux femmes comme aux hommes les moyens de relever les d fis auxquels la France est confront e La politique de l galit entre les femmes et les hommes s inscrit dans le cadre d une une strat gie plus vaste qui s appuie sur de nombreux engagements internationale et communautaire Convention des Nations Unies sur l limination de toutes les formes de discrimination l ga
75. dispositifs de mobilit sortante sont imput s sur l action 4 Les cr dits relatifs l enseignement fran ais l tranger sont imput s sur l action 5 PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME L enseignement fran ais l tranger est mis en uvre par l Agence pour l enseignement fran ais l tranger op rateur de l tat sous tutelle du MAE et son r seau d tablissements l tranger Enfin le partenaire du MAE en mati re de mobilit sortante est le coll ge d Europe Bruges et son antenne polonaise qui accueille les tudiants fran ais b n ficiaires de ce dispositif INFRASTRUCTURES ET SERVICES DE TRANSPORTS 203 La politique nationale des transports dont la premi re finalit est de r pondre aux besoins de mobilit de notre conomie et de nos concitoyens participe la transition nerg tique et environnementale de la France En cela elle doit contribuer dans un cadre r solument intermodal r pondre aux enjeux de pr servation de l environnement et du cadre de vie des Fran ais ainsi que d am lioration de la comp titivit de l conomie fran aise pour laquelle les infrastructures de transport constituent un atout important Le programme 203 Infrastructures et services de transport IST regroupe l ensemble des moyens de l tat concourant cette politique Celle ci repose sur une strat gie fond e sur les axes principaux suivants optimiser le syst me de
76. du 29 avril 2011 Par une meilleure adaptation de l offre de formation aux besoins des secteurs professionnels et gr ce notamment ce dispositif d accueil des jeunes peu ou pas qualifi s dans des cursus de formation le pr sent programme contribue offrir aux jeunes de r elles perspectives d insertion professionnelle dans un secteur dynamique et motivant Par ailleurs l ge moyen des jeunes accueillis d montre que ce programme est souvent v cu comme une deuxi me chance d acqu rir une qualification apr s un parcours difficile ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits de ces dispositifs sont imput s sur les actions 1 Promotion du sport pour le plus grand nombre 4 Promotion des m tiers du sport PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le directeur des sports responsable du programme sous l autorit de la ministre charg e des sports pr pare et met en uvre la politique minist rielle relative aux activit s physiques et sportives et la pratique des sports Il dispose cet effet des moyens de la direction des sports et exerce sa mission en concertation et en collaboration troite avec les autres directions ou services de l administration centrale Il s appuie sur les r seaux des services d concentr s directions r gionales de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale et des tablissements institut coles nationales et centres de ressources d exp
77. e partir d un niveau d j lev 90 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 3 2 Proportion d l ves ma trisant en fin de 3 me les comp tences du socle commun du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e comp tence 1 ma trise de la langue 86 7 3 3 88 9 2 9 87 90 91 93 fran aise comp tence 2 pratique d une langue 96 5 n d 98 5 56 58 60 vivante trang re comp tence 3 math matiques et culture 78 9 3 8 n d 82 5 80 81 83 scientifique comp tence 4 Brevet informatique et 99 98 5 99 4 99 5 99 5 99 5 internet coll ge comp tence 5 culture humaniste 77 4 5 n d 78 58 59 61 comp tence 6 comp tences sociales et 88 2 3 n d 90 90 91 94 civiques comp tence 7 autonomie et initiative du 84 9 3 4 n d 86 86 87 90 socle commun Source MEN DEPP Champ enseignements public priv sauf pour les comp tences 2 et 4 portant sur le priv uniquement France m tropolitaine DOM Mode de calcul Dans un souci de fiabilisation de l indicateur le mode de calcul de ses sous indicateurs a connu en 2011 un d but d volution rendant impossible la comparaison entre 2010 et 2011 cf explications ci dessous Valeurs 2010 Comp tences 1 3 5 6 et 7
78. e de STS n ont pas poursuivi en 2 me ann e contre 17 des bacheliers technologiques et 13 des bacheliers g n raux Note d information Enseignement sup rieur amp Recherche MESR DGESIP DGRI SIES n 12 04 Les bacheliers professionnels dans l enseignement sup rieur Paris DEPP DVE 2012 ISSN 2108 4033 Pour l apprentissage le ciblage du sous indicateur a t effectu en tablant sur une r duction de la diff rence avec la voie scolaire dans un contexte de d veloppement de l apprentissage de niveau IIl INDICATEUR 3 7 Proportion de jeunes g s de 18 24 ans ne poss dant ni CAP ni BEP ni dipl me plus lev et qui ne poursuivent ni tudes ni formation Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 France 125 11 9 S O 11 7 11 4 10 8 2 Union europ enne 14 1 13 5 n d n d n d n d 3 Finlande 10 3 9 8 n d n d n d n d 4 Su de 9 7 6 6 n d n d n d n d 5 Royaume Uni 14 9 15 n d n d n d n d 6 Allemagne 11 9 11 5 n d n d n d n d 7 Italie 18 8 18 2 n d n d n d n d 8 Espagne 28 4 26 5 n d n d n d n d 9 Pays Bas 10 1 9 1 n d n d n d n d 10 Irlande 10 5 10 6 n d n d n d n d Ce nouvel indicateur a t cr au PAP 2012 afin de rendre compte des sorties pr coces dont la r duction constitue une priorit cf action
79. enne vise mesurer la capacit des lyc ens agir au nom des autres Il mesure aussi la mobilisation des tablissements scolaires pour prendre en compte cette dimension de la vie scolaire L objectif consistant sensibiliser chaque classe d ge par une journ e d fense et citoyennet JDC de qualit est mesur au moyen de l indicateurs 17 2 Taux de satisfaction de l usager de la JDC Il permet de mesurer la satisfaction imm diate de l usager ainsi que l impact de la JDC sur l image de la d fense et des arm es aupr s des jeunes Cet indicateur appr cie le niveau de la prestation fournie par la DSN et les arm es et value l appr ciation port e par les jeunes sur l image de la d fense et des arm es au terme de la journ e Cette valuation est r alis e gr ce un questionnaire d sormais informatis questionnaire MOPATE MOdernisation du PAssage des TEsts Instaur par la loi du 10 mars 2010 le service civique a deux objectifs offrir toute personne volontaire l opportunit de s engager pour une p riode de six mois un an au service de l int r t g n ral au sein notamment d associations et de collectivit s et renforcer la coh sion nationale et la mixit sociale L organisme d accueil assure au jeune accueilli un tutorat une r flexion sur son projet d avenir et une formation civique et citoyenne L indicateur 17 3 permet de mesurer l effectivit du d veloppement du service civique L indicate
80. et l instrument de l galit d acc s l enseignement sup rieur Ce dipl me devient par ailleurs plus visible et plus lisible au sein de l architecture LMD et pour le monde du travail tant notamment d fini par des objectifs tablis dans des r f rentiels de comp tences ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action 01 Formation initiale et continue du baccalaur at la licence initiales ou continues les formations du cycle licence sont confront es plusieurs enjeux d cisifs assurer la r ussite du plus grand nombre tre en coh rence avec les besoins de la nation et des diff rents secteurs socioprofessionnels favoriser la formation tout au long de la vie Le premier cycle de l enseignement sup rieur compte plus de 1 200 000 tudiants dont pr s de 900 000 dans les universit s IUT inclus Accueillant un public h t rog ne issus des baccalaur ats g n raux technologiques ou professionnels les cursus relevant du cycle licence doivent contribuer de fa on d cisive l objectif de porter 50 d une classe d ge un dipl me de l enseignement sup rieur Ils ont une double vocation assurer une formation professionnelle r pondant un besoin de recrutement un niveau de technicien sup rieur ou d encadrement interm diaire d une part permettre une poursuite d tudes en cycle master pour les tudiants qui s orientent vers des fonctions d encadrement sup rieur ou exigeant une exp
81. finis dans la charte commune aux volontariats internationaux d change et de solidarit VIES sign e en octobre 2009 sous l gide du Premier ministre par une quarantaine d associations de solidarit internationale DIPLOMATIE CULTURELLE ET D INFLUENCE 185 Les actions en direction de la jeunesse et financ es par les cr dits du programme 185 sont diverses la mobilit sortante des jeunes Fran ais admis au Coll ge d Europe de Bruges et dans son antenne polonaise de Natolin Le soutien cette mobilit se traduit par une subvention de 20 000 accord e au Coll ge d Europe et la mise en uvre d un dispositif de bourses sp cifiques labellis es sous l appellation Bourses Lavoisier En 2011 376 740 ont t allou s ce programme de bourses et 367 356 sont pr vus pour 2012 l enseignement fran ais l tranger des jeunes Fran ais r sidant l tranger mis en uvre par l Agence pour l enseignement fran ais l tranger et son r seau d tablissements l tranger En 2012 le r seau de l A FE comprenant les 234 tablissements EGD et conventionn s scolarise 181 470 l ves dont 48 6 Les cr dits mis en uvre ce titre dans le cadre de la politique en faveur de la jeunesse s l vent 204 2 M en 2012 PLF 2013 77 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits finan ant les
82. fis En effet une proportion toujours trop lev e d l ves ne ma trise pas la langue fran aise ni les principaux l ments de math matiques et de culture scientifique indispensables la compr hension et l assimilation des mati res dispens es au coll ge Par ailleurs les l ves en chec tant souvent ceux issus des couches les plus modestes de la population l cole semble reproduire les in galit s quand son r le est au contraire de les r duire dans une exigence de justice et d quit 20 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L ambition premi re du syst me ducatif demeure d assurer la ma trise par l ensemble des l ves des comp tences et connaissances du socle commun r affirm comme le cadre de r f rence de la scolarit obligatoire partir duquel sont organis s tous les enseignements L apprentissage et l acquisition des savoirs fondamentaux constituent par cons quent l objectif prioritaire de l cole l mentaire Le livret personnel de comp tences outil utile d valuation en continu des progr s des l ves sera simplifi et fera l objet des volutions n cessaires sa plus grande pertinence Plus globalement le socle commun devrait lui m me tre repens afin que les programmes enseign s l cole primaire soient plus troitement li s ceux tudi s au coll ge Si les valuations nationales de CE1 et CM2 mises en place depuis 2009 o
83. gislatives relatives au plan r gional de d veloppement des formations professionnelles PRDF en affirmant la comp tence de la r gion pour arr ter ce plan apr s concertation avec les autres institutions concern es et s assurer de sa mise en uvre La r gion est ce titre charg e d organiser les actions de formation qualifiante des demandeurs d emplois non indemnis s L apprentissage constitue une comp tence de droit commun des r gions depuis la loi du 7 janvier 1983 Cette comp tence a t renforc e notamment en 2002 par la loi du 27 f vrier 2002 relative la d mocratie de proximit qui a transf r aux r gions la comp tence de versement des primes aux employeurs d apprentis Les r gions exercent leurs comp tences en mati re d apprentissage autour de trois grandes missions organisation financement et contr le Les r gions sont charg es d organiser par voie de conventionnement le fonctionnement des centres de formation des apprentis CFA r gionaux et des sections d apprentissage elles en programment le d veloppement travers le plan r gional de d veloppement des formations professionnelles PRDF et participent leur financement en versant une subvention d quilibre aux CFA Le contr le technique et financier de ces structures est assur par les r gions l tat se chargeant du contr le p dagogique Par ailleurs l article L 311 1 du code du travail issu de la loi de programmation pour la coh
84. humaniste partir des valuations CEDRE cycle d valuations disciplinaires r alis es sur chantillons On notera pour les comp tences 1 et 3 que le changement de p rim tre du champ public priv jusqu en 2010 public seulement partir de 2011 et de m thodes tests standardis s en 2011 attestations des enseignants en 2009 et 2010 interdit toute comparaison entre les valeurs 2010 et 2011 Explication des valeurs cibles Pour les comp tences 1 et 3 dont les valeurs de r alisation 2011 r sultent d une valuation par tests standardis s les hypoth ses de progression s appuient sur les mesures prises en faveur de l cole primaire d s la rentr e 2012 moyens en personnels suppl mentaires cr ation de 1 000 emplois de professeurs des coles cibl s notamment sur l accompagnement des l ves en difficult et sur la recherche d une approche territoriale quilibr e Par ailleurs il a t demand que les cours pr paratoires CP soient confi s uniquement des enseignants dot s d une exp rience d enseignement Pour la comp tence 2 la pr vision actualis e pour 2012 s appuie sur les r sultats de l valuation CEDRE cycle des valuations disciplinaires r alis es sur chantillon pour les langues r alis e par la DEPP en 2010 Les valeurs cibles prennent en compte le d veloppement d un travail en commun entre les quipes enseignantes des premier et second degr s avant la rentr e en 6e sur le
85. influenc e par l extension progressive du champ g ographique couvert par les quipes de r ussite ducative Au sein des ZUS les quartiers les plus en difficult ont t prioritairement cibl s au d but du programme Des probl mes de g or f rencement des tablissements en ZUS n ont pas permis pour 2011 d isoler les taux de r ussite au brevet des coll ges des l ves scolaris s en ZUS et sur lesquels intervient une ERE INDICATEUR 4 6 Efficience de l allocation de moyens consacr s la r ussite ducative et aux internats d excellence Programme 147 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d individualisation des parcours de 46 51 60 60 66 70 r ussite ducative Proportion des places d internat n d 32 50 27 50 50 d excellence occup es par des enfants originaires des quartiers prioritaires Source des donn es ACS Mode de calcul Premier sous indicateur nombre d enfants et d adolescents inscrits dans le dispositif de r ussite ducative b n ficiant d un accompagnement individualis aupr s d une quipe de soutien pluridisciplinaire en mesure d intervenir sur une conception et un accompagnement sur mesure rapport au nombre total d enfants et d adolescents inscrits dans les parcours de r ussite ducative Deuxi me sous indicateur nombre de places d
86. jeunesse et sports PLF 2013 15 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Le choix a t fait de pr ciser ici les moyens supports des structures intervenant exclusivement dans le pilotage et la mise en uvre des politiques en faveur de la jeunesse Par cons quent ne sont pas retrac s ici les moyens de la direction g n rale de la coh sion sociale dont la sous direction de l enfance et de la famille intervient dans un champ de comp tence plus large De m me les moyens consacr s aux r seaux territoriaux du secr tariat g n ral du Comit interminist riel la ville d l gu s du pr fet dans les quartiers d l gu s territoriaux de l ACS sont cit s ici pour m moire La part contributive de ces structures la seule politique en faveur de la jeunesse n est pas quantifiable ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action 09 gestion des politiques de la jeunesse et de la vie associative d penses de personnels du programme jeunesse et vie associative Action 06 soutien des politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative d penses de personnel ENSEIGNEMENT SCOLAIRE PUBLIC DU PREMIER DEGR 140 L cole primaire est la priorit de la refondation de l cole C est l cole primaire qui transmet les premiers l ments d une culture commune faite des savoirs fondamentaux des valeurs et des comp tences indispensables
87. la consolidation des comptes rendus annuels pr vus par l article R 121 43 du code du service national et l Agence des services et des paiements des donn es relatives la r alisation des missions La proportion des missions r alis es en 2010 70 ne peut tre compar e celle des ann es suivantes La mise en uvre du dispositif uniquement sur les six derniers mois de l ann e 2010 n a pas permis un mode de calcul comparable celui des ann es suivantes INDICATEUR 17 4 Part des jeunes engag s dans le service civique et peu ou pas dipl m s Programme 163 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Proportion de jeunes de niveau VI ou V 24 23 30 26 28 30 parmi les jeunes qui commencent une mission de service civique Mode de calcul nombre de missions d marrant l ann e n r alis es par des jeunes ne d tenant aucun dipl me niveau VI ou un dipl me de niveau V de la classification internationale nombre de missions d marrant l ann e n Les cibles sont calcul es en fonction du nombre de jeunes sortants du secondaire ayant atteint un niveau de formation V ou VI source MEN DEPP Source des donn es les donn es sont issues des fichiers transmis par l ASP l ASC sur la base des notifications d clarations sur l honneur adress es par des organismes d accueil ANNEXES Politique en fa
88. la jeunesse DPT ANNEXES Selon l Observatoire de l enfance en France environ quatre millions d enfants et de jeunes sont accueillis chaque ann e dans ces centres 80 de la fr quentation concernent les vacances scolaires se partageant galit entre celles d t et les petites vacances Les 20 restants se situent durant le temps post et p ri scolaire La branche famille a d velopp plusieurs aides Sac ados ville vie vacances VVV cibl s vers les adolescents en difficult Ces projets r pondent aux objectifs d autonomisation de ces jeunes d une part en les associant l laboration des actions les concernant et d identification d autre part d un public ne se d pla ant pas forc ment vers les structures d aides Chaque ann e le financement de ces actions repr sente en moyenne plus de 42 M De plus par lettre circulaire n 2010 103 en date du 2 juin 2010 la CNAF a lanc une exp rimentation nationale adolescents destin e financer et soutenir des projets r pondant aux attentes et l initiative des jeunes g s de 11 17 ans Ces projets labor s par et avec les adolescents dans les domaines des loisirs des vacances ou de l engagement citoyen r pondent aux objectifs d autonomisation et d int gration sociale Les premi res remont es de bilan effectu es par la CNAF montrent que les lieux o se d veloppent ces structures sont des quartiers tr s pr caires Les cr dits allou s
89. locales participent au fonctionnement personnels de service et mat riel des classes sous contrat Les familles versent ventuellement une contribution pour le fonctionnement et l quipement des b timents scolaires et administratifs affect s aux classes sous contrat Les associations assurent la construction les r parations et l quipement des locaux dont elles sont propri taires VIE DE L L VE 230 Lieu d acquisition de savoirs l cole constitue aussi un espace de socialisation et de transmission de valeurs d apprentissage de la responsabilit et de la citoyennet Ces diff rentes dimensions font partie int grante de la politique ducative dont l objectif principal est de contribuer la r ussite de tous les l ves en veillant offrir tous les m mes chances de r ussite L cole doit tre au service de la promotion de tous et de l panouissement de chacun L objectif fix par le Pr sident de la R publique d une refondation r publicaine de l cole et d une refondation de la R publique par l cole conf re tous une responsabilit mais aussi un devoir d action Ce programme et les objectifs qui y sont associ s s attachent d crire l ensemble des actions et moyens qui contribuent en compl ment des enseignements la r ussite scolaire des l ves ainsi que les dispositifs mis en uvre pour assurer les conditions de scolarisation les plus satisfaisantes notamment ceux qui rencontrent de
90. mesure ducative La r cidive est constitu e lorsqu une personne physique d j condamn e d finitivement pour un crime ou un d lit commet dans un d lai fix par la loi un crime ou un d lit identique ou assimil La r cidive des contraventions de 5 me classe est galement possible lorsque le r glement ou la loi le pr voient express ment articles 132 10 et suivants du code p nal En revanche la r it ration s entend d une personne qui alors qu elle n est pas condamn e d finitivement pour une pr c dente infraction en commet une nouvelle La continuit dans le suivi ducatif des jeunes englobe parfois des temps d incarc ration A cette fin des ducateurs assurent une pr sence quotidienne dans tous les quartiers mineurs QM et les six tablissements p nitentiaires pour mineurs EPM L indicateur 16 2 doit permettre de mesurer la qualit de l intervention ducative aupr s de l ensemble des mineurs incarc r s dans les tablissements pour mineurs EPM et les quartiers pour mineurs QM INDICATEUR 16 1 Taux d inscription des mineurs pris en charge dans un dispositif d insertion ou de formation Programme 182 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Nombre de mineurs inscrits dans un 82 84 86 86 90 95 dispositif d insertion ou de formation nombre total de mineurs pris e
91. n 2 indicateur 5 2 4 occupant un emploi dans une entreprise ou un tablissement industriel la date de l enqu te de l ann e n rapport au nombre de docteurs issus de la m me promotion et dont la situation est connue Limites et biais connus Les taux de r ponse aux diff rentes enqu tes emploi sont variables selon les coles et diminuent progressivement avec la dur e coul e depuis l obtention du dipl me Pour le taux d insertion un an le taux de r ponse global est de 70 mais il tombe 45 pour le taux d insertion deux ans Le taux de r ponse des docteurs est galement de 70 pour l indicateur 5 2 3 mais seulement de 55 pour l indicateur 5 2 4 Par ailleurs il faut souligner que la date de collecte des informations varie d une cole l autre ce qui peut influencer le taux d insertion mesur le mode de mesure restant cependant le m me d une ann e sur l autre Source des donn es informations fournies par les coles INDICATEUR 13 4 Taux d insertion professionnelle des dipl m s de l enseignement sup rieur Culture Programme 224 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Architecture et patrimoine 85 2 83 64 Arts Plastiques 66 2 70 73 Spectacle vivant et cin ma 90 3 92 18 tablissements d ESC global 82 6 82 30 gt 80 80 80 80
92. possible de le d cliner selon le type de coll ge d o l absence de valeur pour 2010 Des am liorations m thodologiques ont t entreprises par la DEPP direction de l valuation de la prospective et de la performance en 2011 cf commentaires techniques de l indicateur de r f rence 1 4 mais ne permettent de calculer que le sous indicateur relatif la comp tence 1 Comp tence 1 langue fran aise preuve standardis e bas e sur des seuils de niveau de ma trise des comp tences du socle fix s l automne 2011 par un groupe d experts Les valeurs obtenues sont assorties d intervalle de confiance calcul s au seuil de risque de 5 dont il faut tenir compte pour interpr ter d ventuelles volutions remarque qui vaut aussi pour les carts pr sent s Comp tence 3 principaux l ments de math matiques culture scientifique et technologique la fiabilisation entreprise en 2011 se poursuivra en 2012 pour la comp tence 3 test standardis en cours de construction pour le RAP 2012 Notons qu compter du PAP 2012 la cat gorie ECLAIR coles coll ges et lyc es pour l ambition l innovation et la r ussite se substitue la cat gorie RAR r seau ambition r ussite Sur 254 coll ges RAR 246 deviennent ECLAIR Il s y ajoute 79 nouveaux tablissements soit 325 tablissements ECLAIR Cette rupture de s rie devra tre prise en compte pour la comparaison des donn es ant rieures et post rieu
93. pour ce faire depuis de nombreuses ann es les minist res de l ducation nationale et de la d fense Un protocole d accord sp cifique l enseignement sup rieur a t sign le 20 avril 2012 Dans ce cadre le minist re de la d fense apporte son soutien financier en faveur des projets p dagogiques portant aussi bien sur la m moire des conflits contemporains sur le patrimoine militaire que sur la politique de d fense Ainsi en 2011 plus de 300 classes repr sentant 17 000 l ves ont pu b n ficier de ce dispositif L objectif est de favoriser la r flexion des l ves sur les questions de m moire mais plus largement l apprentissage des valeurs li es la citoyennet telles que le respect et la tol rance Une attention toute particuli re est port e aux l ves situ s dans des tablissements class s en zone d ducation prioritaire qui sont convi s aux c r monies et se voient proposer des stages au sein du minist re Le minist re de la d fense poursuit les m mes objectifs en direction des jeunes qui ont quitt le syst me scolaire C est dans ce cadre qu un partenariat a t sign en 2010 avec l tablissement public d insertion de la d fense EPIDe Il se concr tise notamment par la constitution au sein de ces centres de salles de lecture avec des ouvrages co dit s par le minist re ou soutenus par lui et par l association de jeunes des centres EPIDe des c r monies comm moratives PARTENAIRES PARTICIP
94. programme Programme 129 Coordination du travail gouvernemental La MILDT a consacr en 2011 11 176 182 euros de cr dits pour la mise en uvre au plan local des actions du plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies 81 de ces cr dits ont t consacr s en 2011 la pr vention Elle estime 75 la part consacr e la politique en faveur de la jeunesse actions de pr vention en direction du public scolaire essentiellement Les montants affich s en LFI 2012 et en PLF 2013 tiennent compte de la baisse des cr dits consacr s aux chefs de projets MILDT Programme 167 Liens entre la nation et son arm e Les moyens consacr s l action 1 du programme 167 comprennent les cr dits ex cut s ou pr vus du T2 et HT2 pour la JDC et son fonctionnement Ils excluent la partie archives et recensement Ces co ts ne comprennent pas le co t du soutien apport par le programme 178 Pr paration et emploi des forces L cart entre les AE et les CP en 2012 s explique par le renouvellement du march de secourisme Les montants sp cifiquement d pens s pour la jeunesse en action 2 la subvention vers e l ONAC pour l organisation d actions p dagogiques dont le concours national de la r sistance et de la d portation correspondent l implication de la direction de la m moire du patrimoine et des archives DMPA et des actions de politique m morielle pour lesquelles la jeunesse constitue un
95. programme Handicap et d pendance pilot par la direction g n rale de la coh sion sociale est de permettre aux personnes en situation de handicap et aux personnes g es en perte d autonomie de choisir librement leur mode de vie en leur facilitant l acc s au droit commun et en leur offrant des dispositifs adapt s leurs besoins valu s de fa on individualis e Cette politique r pond aux principes affirm s par la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es et repose sur deux piliers r pondant aux deux facteurs caract risant le handicap accessibilit pour tous par la mise en uvre d une accessibilit g n ralis e aux dispositifs de droit commun en faisant en sorte que l ensemble des politiques publiques sectorielles int grent la dimension du handicap dans leurs pr occupations sant ducation emploi quipement am nagement transports culture droit compensation pris en charge par la solidarit nationale Une place centrale est donn e au projet de vie de la personne handicap e et l valuation de ses besoins qui conditionnent les r ponses individualis es qui lui sont apport es D ores et d j des mesures ont ainsi t prises pour am liorer la scolarisation des enfants handicap s d s la rentr e de septembre 2012 ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Deux actions participent
96. r gles de conduite et la sanction des infractions au code de la route La finalit de ce programme est de lutter contre l ins curit routi re et de r duire ainsi le nombre de personnes tu es et bless es sur les routes de France partir des orientations fix es par le comit interminist riel de la s curit routi re CISR les actions men es par le programme s appuient sur trois composantes le conducteur la route et le v hicule Le programme 207 est ainsi un outil privil gi la disposition des pouvoirs publics pour mener bien une politique de p dagogie destination de tous les usagers de la route Les enjeux de ce programme sont multiples enjeu humain li la souffrance engendr e par la perte ou le handicap d un proche enjeu social li la disparition des forces vives de la soci t notamment les jeunes dans des accidents de la route enjeu conomique la charge financi re de l ins curit routi re tant estim e en 2011 23 milliards d euros CONTRIBUTION DU PROGRAMME A LA POLITIQUE EN FAVEUR DE LA JEUNESSE Bien qu ayant profit des bons r sultats de ces derni res ann es au m me titre que les autres tranches d ge les jeunes demeurent une population particuli rement expos e l ins curit routi re les accidents de la route tant la premi re cause de mortalit dans cette tranche d ge Le programme S curit et ducation routi res s inscrit dans les deux axes
97. rateur figure le nombre d entreprises de plus de 250 salari s atteignant le seuil de 4 au d nominateur le nombre total d entreprises de plus de 250 salari s ce nombre tait de 5 800 environ au 1 janvier 2009 Explication des valeurs cibles valeur cible en coh rence avec l objectif de d veloppement du nombre d alternants dans les grandes entreprises seuil port de 3 4 OBJECTIF n 16 Favoriser l insertion des jeunes faisant l objet d une mesure judiciaire m Programme 182 Protection judiciaire de la jeunesse Cet objectif r pond l obligation pour la direction de la protection judiciaire de la jeunesse DPJJ de d velopper et de diversifier les r ponses en mutualisant tous les moyens utiles dans leur diversit et leur sp cificit secteur public secteur associatif dispositifs partenariaux pour favoriser la construction de parcours adapt s pour les mineurs d linquants y compris pendant l incarc ration s agit d organiser la compl mentarit et la coh rence des prestations des diff rents services et tablissements ainsi que leur r activit afin d assurer la coh rence d un parcours centr sur l insertion tout en vitant le fractionnement des prises en charge 138 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE L int gration sociale par l insertion scolaire et professionnelle des mineurs est une des missions de la PJJ La circulaire d orientation
98. responsables tout au long du parcours scolaire L indicateur 7 1 mesure le taux de r alisation des bilans de sant de la 6 me ann e Ce bilan effectu par les m decins et les personnels infirmiers de l ducation nationale permet en effet de rep rer pr cocement les troubles de la sant et en particulier les troubles des apprentissages susceptibles d entraver le d roulement d une bonne 110 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE scolarit Les familles sont aussit t inform es des constatations m dicales dont il est n cessaire qu elles aient connaissance pour la pr servation de la sant de leurs enfants La r alisation de ces bilans de sant de la 6 me ann e tant particuli rement n cessaire pour les l ves des coles du programme ECLAIR un sous indicateur particulier permet d en mesurer la progression cible d une couverture totale Concernant la sant au sortir de la scolarit secondaire l objectif est d assurer un meilleur suivi sanitaire de la population tudiante de garantir l acc s aux soins pour tous les tudiants en renfor ant le partenariat avec les mutuelles tudiantes les diff rents acteurs de la sant et les associations tudiantes et de r pondre aux urgences m dicales L accroissement d mographique de la population tudiante et sa diversification sociale ont fait merger des difficult s sociales financi res mat rielles mais aus
99. s o S O e Titulaires d un BTS cart 15 6 16 3 S O s o S O S O Source MEN DEPP num rateur et INSEE d nominateur Champ Num rateur tablissements du 2nd degr public et priv en France m tropolitaine DOM D nominateur France m tropolitaine Mode de calcul L indicateur est le r sultat de l cart entre les deux ratios suivants 1 Effectif des sortants selon le dipl me des ann es terminales de formation des lyc es en emploi aid ou non 7 mois apr s leur sortie du lyc e rapport l ensemble des sortants des ann es terminales de formation des lyc es hors poursuite d tudes et apprentissage 2 Nombre de personnes g es de 25 49 ans occupant un emploi rapport au nombre total de personnes de ce groupe d ges emploi d fini selon les normes du Bureau international du travail PLF 2013 125 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT La r alisation de l ann e n porte sur des l ves sortis en juin n 2 et juin n 1 observ s en f vrier n 1 et f vrier n Leur taux d emploi est compar celui des enqu tes Emploi du 1er trimestre des ann es n 1 et n Explication des valeurs cibles la cible th orique est z ro vers une galit des taux d emploi entre entrants sur le march du travail et population des 25 49 ans la r alit s av re tr s d pendante de la situation conomique En l absence de ma trise des leviers relatifs la sit
100. signature de son engagement La nature des activit s s articulait alors autour de la conduite d activit s p dagogiques en arts plastiques le soutien scolaire l informatique l aide la construction du projet d insertion professionnelle les activit s sportives dans le cadre soit du dispositif accueil accompagnement et ou du module des acquisitions A l issue de cette premi re ann e d engagement dans le dispositif du service civique l agr ment a t renouvel en tenant compte d une valuation plus fine des besoins et des difficult s rencontr es jusque l Ainsi au titre de l ann e 2012 l agr ment recentre les missions des volontaires sur la seule conduite d activit s d insertion dans le cadre du dispositif accueil accompagnement dans les services et tablissements de la DPJJ Il porte sur 150 missions soit 900 mois de service civique S CURIT ET DUCATION ROUTI RES 207 Le programme 207 S curit et ducation routi res retrace l action et les moyens mis en uvre par le minist re de l int rieur en mati re de s curit routi re pour l observation et l analyse des causes de l ins curit routi re la communication nationale les actions locales et l ducation routi re Ce programme intervient en compl ment des actions men es principalement par les programmes 176 Police nationale 152 Gendarmerie nationale et 751 Radars ax es plus particuli rement sur le respect des
101. sion sociale du 18 janvier 2005 dispose que les collectivit s territoriales et leurs groupements concourent au service public de l emploi Depuis 1982 des missions locales et permanences d accueil et d information PAIO destin es l insertion sociale et professionnelle des jeunes peuvent tre mises en place par les collectivit s territoriales avec l tat sous forme d associations ou de groupements d int r t public GIP Instances multipartenariales ces structures 486 missions locales et PAIO recevant plus d un million de jeunes par an sont majoritairement port es par des communes et groupements de communes et pr sid es par des lus locaux elles constituent le r seau d accueil des jeunes et sont financ es par l tat et l ensemble des collectivit s territoriales notamment les r gions qui assument avec l tat un r le de pilotage de ce r seau dans le cadre des PRDF Ces structures sont notamment mobilis es pour la mise en uvre du contrat CIVIS contrat d insertion dans la vie sociale destin l insertion professionnelle des jeunes les plus en difficult En mati re d action sociale D j en charge de la gestion de l ensemble des prestations d aide sociale depuis la premi re d centralisation le d partement est depuis 2004 le chef de file dans le domaine de l action sociale et m dico sociale Il est responsable de l aide sociale l enfance et du fonds d aide aux jeunes en difficult F
102. sormais interrog s 1 Insertion 7 mois Source des donn es l enqu te a t mise en place en 2009 Elle est r alis e chaque ann e sur un chantillon repr sentatif d tablissements d enseignement agricole Les personnes interrog es sont sorties l ann e n 1 des formations par voie scolaire apprentissage exclu Elles sont interrog es sur leur situation au regard de l emploi au 1er f vrier de l ann e n L enqu te b n ficie d un avis d opportunit du Conseil national de l information statistique CNIS Mode de calcul sont prises en compte les r ponses des personnes dipl m es l ann e n 1 d une formation professionnelle BTSA Bac Pro BTA brevet professionnel BP CAPA Les r ponses font l objet d un redressement statistique pour assurer la repr sentativit de l chantillon L indicateur est le rapport des personnes en situation d emploi en emploi ou en stage de formation professionnelle dans le cadre d un emploi sur la population active personnes en emploi en recherche d emploi ou en stage de formation dans le cadre d une recherche d emploi Ne sont pas pris en compte les poursuites d tude par voie scolaire ou apprentissage les stages dans le cadre d une formation par voie scolaire les situations de non recherche d emploi Explications des pr visions les cibles doivent tre r actualis es pour l insertion 7 mois des baccalaur ats professionnels et des CAPA En effet l arriv e en juin
103. suit 100 x nombre d l ves handicap s enfants handicap s scolaris s nombre total d l ves Explication des valeurs cibles la pr vision 2012 et la cible 2013 du taux de couverture des notifications d affectation en CLIS ont t r vis es partir de la valeur de r alisation de 2011 La mobilisation de moyens suppl mentaires d s la rentr e 2012 pour la scolarisation des l ves handicap s notamment la cr ation de 1 500 nouveaux emplois d auxiliaires de vie scolaire devrait permettre de voir voluer la hausse le taux de couverture des notifications d affectation en CLIS valeur 2010 estim e par sondages INDICATEUR 4 8 volution de la scolarisation des l ves handicap s du second degr Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de couverture des notifications 90 92 92 5 92 5 93 95 d affectation en ULIS Pour information Nombre de notifications Nombre s o 20 855 s 0 s o s 0 s 0 d affectation en ULIS Pour information Proportion d l ves 2 1 2 1 s 0 s 0 s 0 s 0 handicap s parmi les l ves de coll ge Pour information Proportion d l ves 0 4 0 4 s o s o s o S O handicap s parmi les l ves de LEGT Pour information Proportion d l ves 1 3 1 5 s 0 s 0 s 0 s 0 handicap s parmi les l ves de LP Source MEN DE
104. sur l action ducative dans le cadre p nal du 2 f vrier 2010 pr cise que l action d ducation repose sur des temps de prise en charge individuelle et des temps d action de m diations collectives Quelle que soit la mesure judiciaire l activit de jour structure l ensemble des prises en charges ducatives Pour les mineurs ne pouvant b n ficier d embl e des dispositifs de droit commun la circulaire d orientation du 25 f vrier 2009 relative l action ducative structur e par les activit s de jour pr voit la construction d un parcours personnalis pour chaque mineur partir d un emploi du temps structur L organisation d activit s de jour a pour objectif le maintien ou la r inscription des mineurs sous mandat judiciaire dans les dispositifs de droit commun en mati re de formation et d insertion professionnelle L indicateur 16 1 travers le taux d inscription dans un dispositif qu il soit de droit commun relevant de l ducation nationale ou de la formation professionnelle ou plus sp cialis pour les mineurs qui ne pourraient y acc der dans l imm diat permet de mesurer si cet objectif est atteint L efficacit finale de l intervention ducative au p nal consiste faire diminuer la d linquance en pr venant la r it ration et la r cidive L axe de performance retenu est la non r it ration la non r cidive et l absence de nouvelles poursuites dans un d lai fix un an apr s la fin de la derni re
105. tant qu agent de police judiciaire adjoint soit dans des entit s de soutien en tant que sp cialiste restauration collective m canicien A l exception de ces sp cialistes les GAV sont recrut s sans condition de dipl me apr s r ussite de tests destin s valuer leur capacit occuper un emploi d agent de police judiciaire adjoint Ils b n ficient par la suite en interne d une pr paration sp cifique au concours pour devenir sous officiers de gendarmerie 55 des sous officiers recrut s sont d anciens GAV ainsi que d un dispositif individualis afin de suivre leur formation Les AGIV b n ficient d une aide la pr paration du concours externe d officier de gendarmerie En 2011 une convention a t sign e avec le conseil national des missions locales afin de susciter des candidatures suppl mentaires aux postes de GAV et de promouvoir ainsi l accompagnement des jeunes vers l emploi orientation et insertion des jeunes de 16 25 ans Tout au long de leur engagement les volontaires b n ficient de la cha ne de reconversion 62 personnels constitu e par le bureau reconversion et les centres d orientation et de reconversion r gionaux de la gendarmerie Ces structures effectuent un suivi personnalis qui permet pour chaque volontaire de construire un projet professionnel ou d avoir acc s des emplois particuliers tout en valorisant l exp rience acquise au sein de la gendarmerie Ce suivi concerne galemen
106. te g n ration CEREQ unit insertion dont insertion dont insertion des dont insertion dont insertion dont de des occupant des occupant jeunes dipl m s occupant des jeunes occupant des occupant mesure jeunes un jeunes un titulaires de un dipl m s un jeunes un dipl m s emploi dipl m s emploi Licence emploi titulaires de emploi dipl m s emploi titulaires stable titulaires stable Professionnelle stable Master stable titulaires stable de BTS de DUT de Doctorat R sultats 90 74 92 83 91 77 2009 R sultats 91 73 92 81 91 74 91 2010 R sultats 90 9 2011 El ments de contexte Insertion professionnelle et poursuite d tudes de dipl m s en poursuite d tudes 2009 2010 Dipl m s DUT 83 82 Dipl m s Licence Professionnelle 27 26 Dipl m s Master 40 39 INDICATEUR 13 2 Taux d insertion des dipl m s Programme 142 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d insertion des dipl m s dans les 18 89 4 89 6 90 90 0 90 5 91 0 mois suivant l obtention du dipl me Taux d insertion des dipl m s dans les 12 73 3 75 6 74 74 0 74 5 75 6 mois suivant l obtention du dipl me les v t rinaires sortis en 2009 n ont pas t interrog s pas de v t rinaires dipl m s en 2010 Sources des don
107. tenu de la r organisation de l administration territoriale de l tat REATE une nouvelle enqu te sur l activit des personnels a t r alis e au premier semestre 2011 par le Secr tariat g n ral des minist res charg s des affaires sociales aupr s des services d concentr s La ventilation des cr dits en CAC PLF 2012 au sein des actions des programmes a t effectu e partir de la r partition des effectifs telle qu issue de cette enqu te Parall lement dans un souci de meilleure information des r imputations entre l action 6 soutien des politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative et l action 9 personnels du programme jeunesse et vie associative ont t effectu s Le taux de d versement des cr dits T2 de l action 6 du programme 124 d un montant total de 150 823 682 est de 17 97 Programmes 139 140 141 214 230 mission Enseignement scolaire Ce tableau reprend l int gralit des cr dits des 5 programmes de la mission Enseignement scolaire sous la responsabilit du ministre de l ducation nationale l exception des cr dits de l action 9 du programme 141 d di e la formation des adultes et donc exclue du champ de la politique transversale en faveur de la jeunesse Programme 150 Formations sup rieures et recherche universitaire Le passage aux responsabilit s et comp tences largies des universit s en application de la loi LRU 20
108. tr s sensibles la qualit des donn es d mographiques Or ces donn es diffus es par l Insee font souvent l objet de r visions int grant de nouvelles informations La diffusion des premiers r sultats du Recensement permanent de la population RPP a ainsi provoqu des changements importants dans les estimations d mographiques Jusqu pr sent les donn es utilis es taient fond es sur le recensement de 1999 l tat civil et une estimation des flux migratoires Les donn es maintenant disponibles pour les valeurs 2009 2010 et 2011 sont principalement cal es sur le RPP et sont le plus souvent sup rieures aux pr c dentes estimations les flux migratoires semblent avoir t sous estim s par le pass Explication des valeurs cibles le choix a t fait par souci de coh rence avec l indicateur 1 1 de cibler uniquement le taux d acc s global au baccalaur at et inversement d abandonner le ciblage du sous indicateur relatif au baccalaur at g n ral ancien indicateur 1 2 au PAP 2012 La cible a t fix e en visant une r duction de 5 2 points en 2011 3 points en 2015 de l cart du taux d acc s au baccalaur at entre les jeunes appartenant aux PCS d favoris es d une part et l ensemble des l ves d autre part 2 Source MEN DEPP MESR SIES Champ enseignements public France m tropolitaine DOM Mode de calcul il s agit du rapport entre le nombre d enfants de familles appartenant aux PCS d favo
109. transmettre son tour aux g n rations futures Le champ du patrimoine concern par le programme comprend les monuments historiques les espaces prot g s l arch ologie les mus es et les archives mais aussi l architecture l ethnologie la langue fran aise et les langues de France L enjeu est non seulement de d velopper au b n fice des g n rations actuelles une gestion dynamique des biens culturels mat riels et immat riels constitutifs de la m moire collective mais aussi d en assurer la transmission aux g n rations futures et par ailleurs d inscrire cette d marche dans une perspective d ducation citoyenne 60 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Le minist re de la culture et de la communication a pour ambition de rendre accessibles au plus grand nombre les uvres capitales de l humanit et de la France Pour ce faire il souhaite d velopper et diversifier la fr quentation des institutions et des sites patrimoniaux tout en veillant au respect de l quilibre entre ouverture au plus grand nombre et n cessit de pr server les patrimoines Concernant les jeunes publics la socialisation passe tout d abord par la famille et presque en m me temps par l cole Pour autant leurs modes op ratoires peuvent diverger et ne pas toujours proc der des m mes contenus l ducation artistique et culturelle se situe dans cette
110. travers la majorit des disciplines enseign es l cole math matiques sciences histoire sciences humaines On notera galement la convention cadre sign e entre la R union des mus es nationaux RMN et l ducation nationale en novembre 2009 qui a pour objectif de d velopper et consolider les actions d ducation artistique et culturelle des Galeries nationales et des services comp tence nationale dont la RMN a la tutelle cette convention pr voit un soutien fort l accueil des publics scolaires ainsi que la cr ation de ressources p dagogiques en ligne de port e nationale la formation des personnels de l ducation nationale et des actions dans les acad mies poursuite de la convention entre l acad mie des Yvelines et les Galeries nationales RMN partenariat d excellence avec coll ges ou lyc es Ambition r ussite internats d excellence Plus globalement les services ducatifs des tablissements publics relevant de la direction g n rale des patrimoines DGP peuvent accueillir les l ves dans le cadre des dispositifs mis en place par les minist res charg s de l ducation nationale et de la culture depuis une vingtaine d ann es Les plus courants sont les classes patrimoine et les classes projet artistique et culturel PAC qui peuvent tre compl t s par des dispositifs sp cifiques comme les travaux personnels encadr s TPE les itin raires de d couverte IDD ou les projets pluridisciplinair
111. tre class s en une cat gorie bien circonscrite si on peut davantage parler des jeunesses plut t que de la jeunesse l autonomie constitue un objectif vers lequel tous tendent Au del de l ind pendance qui consiste r unir les conditions de vie permettant de voler de ses propres ailes l autonomie recouvre galement la capacit tre acteur de sa vie d finir son chemin seul et avec les autres et ainsi passer l ge adulte Le cheminement vers l emploi travers une formation adapt e et une insertion professionnelle accompagn e constitue un l ment capital de l acc s l autonomie il permet bien videmment l acc s aux revenus du travail au logement autonome mais galement la construction de l identit sociale en partie encore fortement li e l emploi et au statut professionnel L emploi des jeunes a constitu une question centrale de la grande conf rence sociale des 9 et 10 juillet 2012 La lutte contre la pr carit et notamment celle des jeunes sera un enjeu de la n gociation qui s ouvrira en septembre sur la s curisation de l emploi Le contrat de g n ration qui verra le jour d but 2013 apr s la n gociation des partenaires sociaux favorisera le d veloppement d embauches de jeunes en CDI Dans cet ensemble le projet de loi sur les emplois d avenir adopt en conseil des ministres le 29 ao t 2012 constitue une r ponse aux difficult s particuli res rencontr es par les
112. volontariat notamment celui des jeunes dans le cadre de l engagement de service civique Institu par la loi du 10 mars 2010 et mis en uvre par l agence du service civique ce dispositif permet tous ceux qui le souhaitent de s engager pour une dur e de 6 12 mois dans une mission d int r t g n ral dans le cadre d une association d un tablissement public ou d une collectivit II s adresse plus particuli rement aux jeunes de 16 25 ans qui peuvent ainsi b n ficier d un engagement citoyen d une chance de vivre de nouvelles exp riences et d une opportunit de se rendre utile En 2011 13 400 jeunes ont t concern s En 2012 ils devraient tre 20 000 et terme 100 000 d entre eux devraient b n ficier de ce dispositif financ par l tat et d velopp en lien troit avec les associations et les collectivit s territoriales permettre la mise en place d exp rimentations en vue d am liorer les conditions de vie des jeunes leur insertion sociale et professionnelle et leur int gration citoyenne Le fonds d exp rimentation pour la jeunesse a permis de soutenir et d valuer selon des modalit s pr cises des actions et d marches innovantes en faveur de l insertion sociale et professionnelle des jeunes dans l optique d une g n ralisation et de la mise en place de nouvelles politiques publiques leur gard Le fonds a fonctionn principalement sur le mode d appels projets portant sur des th matiq
113. 0 745 16 100 745 15 744 334 15 744 334 06 Politique des ressources 590 754 247 592 032 165 641 485 481 641 485 481 639 088 169 638 392 771 humaines 07 tablissements d appui de la 203 436 531 203 018 748 201 487 528 201 487 528 202 957 119 202 957 119 politique ducative 08 Logistique syst me d information 625 575 255 575 642 076 627 234 809 575 824 580 706 800 295 619 276 129 immobilier 09 Certification 175 390 687 175 388 805 190 501 739 190 501 739 191 549 753 191 549 753 10 Transports scolaires 7 591 156 7 602 326 3 822 845 3 822 845 3 822 845 3 822 845 150 Formations sup rieures et 5 435 168 141 5 437 308 047 5 449 069 847 5 449 069 847 5 579 627 761 5 579 627 761 recherche universitaire 01 Formation initiale et continue du 2730 327 711 2 732 480 183 2 692 605 257 2 692 605 257 2 776 220 567 2 776 220 567 baccalaur at la licence 02 Formation initiale et continue de 2 276 763 839 2 276 751 273 2 330 406 821 2 330 406 821 2 365 950 992 2 365 950 992 niveau master 03 Formation initiale et continue de 333 864 973 333 864 973 336 651 917 336 651 917 352 970 350 352 970 350 niveau doctorat PLF 2013 147 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du programme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement
114. 011 soit 33 pour les b n ficiaires de minima sociaux 29 pour les salari s et un peu plus de 8 pour les tudiants dont 5 pour les non boursiers et 3 pour les boursiers INDICATEUR 8 1 Taux d effort net moyen des m nages en locatif avec charges sur trois cat gories de m nages b n ficiaires de minima sociaux salari s et tudiants dont boursiers et non boursiers Programme 109 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e B n ficiaires de minima sociaux 21 5 21 4 21 4 22 1 22 1 22 1 PLF 2013 113 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Salari s 28 28 28 28 2 27 7 27 7 tudiants non boursiers 26 8 26 8 26 8 27 2 27 2 27 2 Etudiants boursiers 25 25 1 25 1 25 7 25 7 25 7 Source des donn es Minist re de l galit des territoires et du logement DGALN R alis avec le logiciel de calcul des aides partir des donn es disponibles Mode de calcul Le taux d effort th orique d termin comme le rapport entre le loyer major des charges et diminu de l aide et le revenu est calcul l aide de la formule suivante Taux d effort Loyer Charges Aide Revenus Les calculs
115. 012 12 jeunes ont int gr la CPI commissaire et 14 la CPI officier Le programme Police nationale participe galement dans le cadre de son action 03 s curit routi re l am lioration du respect des r gles du code de la route par des actions de communication et d information destination des usagers de la route et des futurs conducteurs scolaires Elle mobilise titre principal les effectifs de la s curit publique les unit s de compagnies r publicaines de s curit les services de la pr fecture de police et de la DRCPN par le r seau des coles nationales de police EPN et se traduit par des actions d information routi re aupr s des tablissements scolaires campagnes de pr vention sur les dangers de la route et de sensibilisation des usagers semaines de la s curit routi re une communication sp cifique aux permis pi ton et permis cycliste destin s aux l ves des coles primaires Enfin l action 02 s curit et paix publique comporte un aspect important de pr vention de la d linquance en direction des jeunes par la participation des policiers des centres de loisirs des jeunes CLJ de la police nationale dans le cadre des op rations ville vie vacances et la pr vention de la toxicomanie gr ce l action des policiers formateurs anti drogues Parall lement le dispositif de protection et d accompagnement des mineurs auteurs et victimes contribue aussi la po
116. 07 1199 du 10 ao t 2007 induit le transfert des d penses de personnels du titre 2 vers le titre 3 en fonction du nombre d tablissements acc dant chaque ann e l autonomie Ce transfert explique en grande partie les diff rences de montant des cr dits T2 et hors T2 d une ann e sur l autre dans les actions 1 3 pr sent es ci dessus Programme 231 Vie tudiante Prise en compte de tous les cr dits du programme 231 Programme 192 Recherche et enseignement sup rieur en mati re conomique et industrielle Les cr dits mentionn s correspondent aux bourses sociales vers es aux l ves des coles PLF 2013 151 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT Programme 109 Aide l acc s au logement Bien que les actions relevant du programme 109 concourent aider la jeunesse l acc s au logement elles n ont pas pour cible sp cifique la jeunesse c est la raison pour laquelle aucun cr dit n est identifi en LFI Ainsi s agissant de l action 1 l estimation des moyens consacr s en faveur de la jeunesse s effectue posteriori apr s remont e des donn es de la CNAF et de la CMSA Concernant l action 2 et plus pr cis ment les subventions aux associations uvrant en faveur de la jeunesse la r partition n est pas d termin e en loi de finances Programme 147 Politique de la ville Les cr dits de l action 1 correspondent aux dispositifs r ussite ducative Ville vie vacances et
117. 10 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e De 26 45 ans nd nd 66 66 69 Plus de 45 ans nd nd 66 66 69 Num rateur nombre de sortants de contrats de professionnalisation embauch s en CDI CDD de plus de 6 mois mission d int rim de plus de 6 mois ou en passe d tre embauch s dans le mois qui suit la sortie D nominateur nombre de sortants du dispositif en y incluant ruptures et checs l obtention de la qualification Cet indicateur concerne les contrats de professionnalisation dur e d termin e et les contrats de professionnalisation dur e ind termin e afin de mesurer galement si les salari s ayant conclu un contrat de professionnalisation dur e ind termin e sont effectivement rest s dans leur emploi l issue de l action de professionnalisation Sources des donn es Ce taux d insertion dans l emploi l issue d un contrat de professionnalisation est calcul ponctuellement et partiellement partir d une enqu te sp cifique de la DARES Afin d assurer la p rennisation de cet indicateur une enqu te sur l insertion 6 mois des sortants de contrat de professionnalisation a t r alis e partir de septembre 2011 en rep rant les sortants gr ce aux donn es du syst me d information Extrapro aliment par les OPCA organismes paritaires collecteurs agr s Cette enqu te s effectue par chantillon au
118. 11 se poursuivra en 2012 pour les comp tences 2 langue vivante 3 math matiques et culture scientifique et 5 culture humaniste et les valeurs de r alisation pour ces trois comp tences devraient tre disponibles au RAP 2012 Comp tence 4 B2i l indicateur reste calcul partir des remont es du B2i coll ge Explication des valeurs cibles pour la comp tence 1 application d un rythme de progression r aliste partir de la r alisation 2011 pour les comp tences 2 et 5 les cibles ont t fix es par extrapolation de niveaux de ma trise estim s partir des r sultats des valuations CEDRE cycle des valuations disciplinaires r alis es sur chantillon pratique d une langue vivante trang re en 2010 55 culture humaniste 57 pour la comp tence 3 qui sera mesur e en 2012 l aide de tests standardis s il a t tenu compte de l augmentation de 2 points constat e pour la comp tence 1 lors de l adoption des tests standardis s ainsi que des progr s attendus dans l accompagnement des l ves en difficult pour la comp tence 4 B2i maintien du niveau d j tr s lev pour les comp tences 6 et 7 renseignement l aide du LPC livret personnel de comp tences progression mod r e partir d un niveau d j lev PLF 2013 91 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 3 3 Taux d acc s au b
119. 13 est coh rent avec l objectif de 500 000 apprentis au 31 d cembre 2017 et avec les objectifs fix s dans la deuxi me g n ration de contrats d objectifs et de moyens sign s par l ensemble des r gions Par ailleurs l impact des nouveaux m canismes d incitations financi res sur les entreprises de plus de 250 salari s modification des taux de la CSA et cr ation d un bonus pour les entreprises vertueuses en mati re de recrutement d apprentis sur les effectifs d apprentis devrait tre pleinement visible et mesurable compter de 2013 PLF 2013 137 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 15 3 Taux moyen d alternants dans les entreprises de 250 salari s et plus Programme 789 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux moyen d alternants dans les 1 69 1 7 2 5 2 8 3 5 5 entreprises de 250 salari s et plus Source des donn es les donn es sont issues des d clarations annuelles de donn es sociales CNAV remplies par les employeurs qui doivent obligatoirement d clarer avant le 31 janvier de chaque ann e les traitements vers s au cours de l ann e pr c dente les effectifs employ s et une liste nominative des salari s en indiquant pour chacun leur statut et leurs r mun rations Mode de calcul Au num rateur figure le nombre annuel moye
120. 19 RAP 2012 sortants du sup rieur INDICATEUR 6 4 R ussite au DUT et BTS Programme 150 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de r ussite au BTS 78 2 79 8 77 4 77 4 81 81 dont BAC g n ral en BTS 87 3 88 4 87 3 87 3 ns ns dont BAC technologique en BTS 77 7 80 0 77 77 ns ns dont BAC professionnel en BTS 60 3 62 9 58 58 ns ns Part des inscrits ayant obtenu leur DUT en 77 7 nd 79 79 79 81 3 ans et moins dont BAC g n ral en DUT 81 6 nd 82 82 ns ns dont BAC technologique en DUT 67 1 nd 67 8 67 8 ns ns dont BAC professionnel en DUT 47 6 nd 46 5 46 5 ns ns Pour le BTS on rapporte le nombre de candidats admis l examen celui des candidats pr sent s c est dire ayant particip au moins une des preuves La r alisation de l ann e n concerne la r ussite la session de cette m me ann e Pour le DUT les primo inscrits en 1 ann e d IUT une ann e donn e sont suivis durant trois ann es universitaires cons cutives Ainsi la r alisation n constate le taux de primo inscrits de l ann e universitaire n 8 n 2 dipl m s en ann e n La valeur de l ann e n est disponible d s le RAP n pour les STS et au RAP n 1 pour les DUT En ce qui concerne la part des inscrits dans les formations professionnelles courtes parmi les bacheliers technologiques et professio
121. 2012 ISSN 2108 4033 Pour l apprentissage le ciblage du sous indicateur a t effectu en tablant sur une r duction du diff rentiel avec la voie scolaire dans un contexte de d veloppement de l apprentissage de niveau III INDICATEUR 8 6 Taux d acc s un CAP un baccalaur at professionnel ou un BTS des l ves et apprentis de 1 re ann e des cycles de formation correspondants Programme 139 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d acc s au dipl me de CAP des l ves de premi re ann e de CAP 1 Par la voie scolaire 68 2 67 7 68 68 5 69 2 Par apprentissage 60 n d 63 62 62 5 63 Taux d acc s au baccalaur at professionnel des l ves de seconde professionnelle 1 Par la voie scolaire n d 63 2 43 64 64 5 65 2 Par apprentissage n d n d 65 56 56 5 57 Taux d acc s au BTS des l ves de premi re ann e de BTS 1 Par la voie scolaire 70 7 71 71 5 72 2 Par apprentissage 64 1 n d 65 65 66 68 Source MEN DEPP Champ Enseignements public priv France m tropolitaine DOM Le second cycle professionnel ayant t r nov la rentr e 2009 la pr paration du baccalaur at est devenue la principale orientation la fin de troisi me vers la voie professionnelle tandis que les BEP ont disparu Le terme de seconde professionnel
122. 2012 sur le march de l emploi d une double g n ration de bacheliers professionnels des secteurs de la production de la transformation du commerce et de l am nagement ainsi que d un nombre fortement accru de dipl m s CAPA peut entra ner des difficult s temporaires et une baisse des r sultats du taux d insertion 7 mois Cette situation perdurera en juin 2014 pour les BTSA en raison d une augmentation des effectifs dans ces fili res avec l afflux des bacheliers professionnels dipl m s en 2012 dans les cycles BTSA en septembre 2012 et les baccalaur ats professionnels de la deuxi me vague de r novation secteur des services et de l activit hippique ce qui impactera les taux d insertion 7 mois de l ann e 2015 2 Insertion longue 33 mois Sources des donn es l enqu te est effectu e aupr s des dipl m s de l enseignement agricole par voie scolaire et par apprentissage Les personnes sont interrog es sur leur situation au regard de l emploi au 1er f vrier de l ann e n L enqu te b n ficie du label d int r t g n ral et de qualit statistique du CNIS Les modalit s d enqu te ont volu sur deux points partir de 2010 les jeunes sont interrog s 33 mois apr s la sortie et non plus 45 mois comme pr c demment ceci pour s harmoniser avec l enqu te CEREQ 3 ans et un seul dipl me est interrog chaque ann e et non plus deux comme pr c demment ceci pour r duire le nombre de personnes
123. 2015 dont 6 000 en 2013 D s la deuxi me ann e de licence et pendant trois ans ils b n ficieront d une aide financi re et effectueront un certain nombre d heures de mission r mun r es dans des coles et des tablissements du second degr En contrepartie les tudiants concern s s engageront se pr senter au terme de ces trois ann es un concours de recrutement d enseignants de l ducation nationale PLF 2013 85 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Au del de ces mesures le Gouvernement entend mobiliser les acteurs de l cole autour d une large concertation intitul e Refondons l cole Cette d marche engag e en juillet 2012 s appuiera sur un diagnostic partag de l tat du syst me ducatif Pour b tir une cole plus juste et plus efficace dans tous les territoires la concertation d battra de la priorit donner l enseignement primaire et aux premi res ann es d apprentissage de l am lioration des rythmes scolaires de la scolarit obligatoire et ses enjeux en particulier pour faire diminuer les sorties sans qualification et am liorer l orientation et de la mise en place d une formation initiale et continue de qualit pour les personnels enseignants et d ducation La concertation aura galement lieu dans les territoires pour mettre en lumi re les initiatives et les propositions les plus innovantes et les plus efficaces Sur la base des tr
124. 3 9 90 5 2 6 91 91 91 5 93 Source MEN DEPP Champ enseignement public priv jusqu en 2010 public seulement pour les comp tences 1 et 3 partir de 2011 France m tropolitaine DOM Mode de calcul comp tences et 3 comme d cid en 2010 la DEPP a entrepris une d marche de fiabilisation des indicateurs du socle commun en commen ant par les comp tences 1 et 3 Elle a labor des tests standardis s pour les comp tences 1 ma trise de la langue fran aise et 3 principaux l ments de math matiques et culture scientifique et technologique et d fini les seuils de niveau de ma trise des comp tences du socle avec un groupe d experts comp tences 2 4 5 6 et 7 les valeurs restent en 2011 calcul es partir d un protocole exp rimental sur la base des attestations de ma trise des comp tences du socle telles que d clar es par les enseignants des l ves dans le livret personnel de comp tences LPC d un chantillon repr sentatif de 277 coles vis es au d part 8 073 l ves les valeurs sont donc assorties d intervalles de confiance parfois tr s larges du fait de grandes diff rences observ es entre coles concernant les attestations et d un taux de non r ponse lev L interpr tation des ventuelles volutions devra en tenir compte Le travail de fiabilisation des indicateurs se poursuit en 2012 pour la comp tence 2 pratique d une langue vivante trang re et la comp tence 5 culture
125. 30 53 088 442 53 088 442 54 436 470 54 436 470 139 Enseignement priv du premier 7 035 166 532 7 834 265 081 7 080 804 077 7 080 804 077 7 081 478 495 7 081 478 495 et du second degr s 01 Enseignement pr l mentaire 390 581 457 390 581 457 442 476 299 442 476 299 442 309 684 442 309 684 02 Enseignement l mentaire 1 134 319 299 1 134 319 299 1 167 468 342 1 167 468 342 1 167 021 732 1 167 021 732 03 Enseignement en coll ge 1 879 661 536 1 879 661 536 1 871 925 246 1 871 925 246 1 871 217 369 1 871 217 369 04 Enseignement g n ral et 1 435 477 906 1 435 477 906 1 199 454 854 1 199 454 854 1 199 003 197 1 199 003 197 technologique en lyc e 05 Enseignement professionnel sous 645 545 826 645 545 826 758 789 508 758 789 508 758 503 784 758 503 784 statut scolaire 06 Enseignement post baccalaur at 136 029 981 136 029 981 258 966 347 258 966 347 258 868 833 258 868 833 en lyc e 07 Dispositifs sp cifiques de 141 931 130 941 131 130 149 705 488 149 705 488 149 649 116 149 649 116 scolarisation 08 Actions sociales en faveur des 64 647 640 64 883 424 66 595 448 66 595 448 66 535 517 66 535 517 l ves 09 Fonctionnement des 633 162 221 632 805 335 641 176711 641 176711 643 710 622 643 710 622 tablissements 10 Formation initiale et continue des 135 754 078 135 754 073 60 922 419 60 922 419 66 478 880 66 478 880 enseignants 11 Remplacement 164 105 805 164 105 805 167 211 371 167 211 371 167 148 407 167 148 407 12 Soutien 273 949 653 273
126. 30 633 4 083 686 411 4 083 686 411 4 183 588 285 4 183 588 285 statut scolaire 04 Apprentissage 6 357 228 6 357 228 7 795 018 7 795 018 7 936 800 7 936 800 05 Enseignement post baccalaur at 1 059 228 405 1 059 228 405 1 963 985 896 1 963 985 896 2 013 438 435 2 013 438 435 en lyc e 06 Besoins ducatifs particuliers 794 240 843 794 241 238 1 132 588 578 1 132 588 578 1 161 202 559 1 161 202 559 07 Aide l insertion professionnelle 40 678 708 40 676 747 52 848 168 52 848 168 54 046 415 54 046 415 08 Information et orientation 277 588 781 277 597 430 296 113 609 296 113 609 303 530 229 303 530 229 10 Formation des personnels 431 762 134 431 764 259 117 417 884 117 417 884 142 453 790 142 453 790 enseignants et d orientation 11 Remplacement 1 363 516 051 1 363 517 089 1 356 704 658 1 356 704 658 1 391 154 239 1 391 154 239 12 Pilotage administration et 3 223 711 402 3 223 736 420 3 079 051 900 3 079 051 900 3 157 999 013 3 157 999 013 encadrement p dagogique 146 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du programme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement d engagement de paiement d engagement de paiement 13 Personnels en situations diverses 115 476 530 115 476 5
127. 7 insertion professionnelle il fait aussi partie des crit res de r f rence chiffr s de la strat gie Europe 2020 Source des donn es MEN DEPP partir de l enqu te emploi en continu r alis e par l INSEE Mode de calcul proportion d individus parmi les jeunes g s de 18 24 ans qui n ont pas suivi de formation au cours des quatre semaines pr c dant l enqu te et ont quitt le syst me scolaire initial sans dipl me ou dipl m s uniquement du brevet des coll ges Explication des valeurs cibles pour contribuer l atteinte par l Union europ enne de la cible de 10 en 2020 la France s est fix un objectif de 9 5 cette m me ch ance La pr vision 2013 et la cible 2015 ont t fix es en coh rence avec ce chiffre tout en consid rant un rythme d volution r aliste au vu des r alisations des derni res ann es 12 6 en 2007 11 5 en 2008 12 2 en 2009 12 5 en 2010 11 9 en 2011 OBJECTIF n 4 Accro tre la r ussite scolaire des l ves issus de familles appartenant aux PCS d favoris es en zone difficile et des l ves besoins ducatifs particuliers Programme 140 Enseignement scolaire public du premier degr Programme 141 Enseignement scolaire public du second degr Es m Programme 139 Enseignement priv du premier et du second degr s Es Programme 147 Politique de la ville libell modifi Cet objectif renvoie la responsabilit de l cole
128. 969 309 296 112 044 296 112 044 291 031 354 291 031 354 230 Vie de l l ve 3 924 304 410 3 856 114 859 3 899 779 833 3 952 435 153 4 170 664 421 4 187 974 421 01 Vie scolaire et ducation la 2 240 260 619 2 244 995 051 2 191 997 575 2 191 997 575 2 295 862 144 2 295 862 144 responsabilit 02 Sant scolaire 475 034 405 475 038 845 443 140 333 443 140 333 454 573 013 454 573 013 03 Inclusion scolaire des l ves 299 010 090 299 168 790 473 591 557 473 591 557 578 890 788 578 890 788 handicap s libell modifi 04 Action sociale 700 371 305 700 340 717 708 121 269 708 121 269 727 815 648 727 815 648 05 Internats d excellence et 50 606 944 50 606 944 52 298 883 52 298 883 52 787 100 52 787 100 tablissements la charge de l tat 06 Actions ducatives 159 021 047 85 964 512 30 630 216 83 285 536 60 735 728 78 045 728 compl mentaires aux enseignements 214 Soutien de la politique de 2 140 656 673 2 093 572 722 2 145 229 290 2 093 819 061 2 238 521 105 2 150 301 541 l ducation nationale 01 Pilotage et mise en oeuvre des 390 702 400 390 560 115 361 081 265 361 081 265 372 625 445 372 625 445 politiques ducatives 02 valuation et contr le 88 099 905 89 057 729 73 770 214 73 770 214 75 988 219 75 988 219 03 Communication 16 002 259 16 122 898 13 825 434 13 825 434 13 917 300 13 917 300 04 Expertise juridique 24 656 027 24 650 542 15 919 230 15 919 230 16 027 626 16 027 626 05 Action internationale 18 448 206 19 497 318 16 10
129. 989 est charg de recevoir les appels d enfants victimes de mauvais traitements ou susceptibles de l tre et de toute personne confront e une situation de ce genre L objectif vise aider les enfants en danger ou en risque de danger trouver de l aide et conseiller et orienter les professionnels et toute personne confront e des situations de maltraitance afin d assurer une prise en charge des enfants victimes par la transmission des informations aux d partements Enfin dans leurs d placements quotidiens les jeunes qu ils soient conducteurs novices ou conducteurs de deux roues motoris s constituent une population particuli rement expos e l ins curit routi re depuis 10 ans leur part dans les accidents corporels ne cesse d augmenter La lutte contre l ins curit routi re demeure un enjeu majeur la fois en sensibilisant les usagers en renfor ant la s curit des usagers les plus vuln rables et en am liorant la formation des futurs conducteurs INDICATEUR 9 1 Taux d absent isme des l ves Programme 230 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e a au coll ge 3 2 3 2 2 4 3 2 8 2 5 b au lyc e d enseignement g n ral et 7 6 1 6 6 5 5 5 technologique c au lyc e professionnel 20 14 3 17 5 17 16 15 Source MEN DEPP Mode de calcul
130. AJ ainsi que de la pr vention m dico sociale pour l enfant et la famille Dans le domaine de la protection de l enfance les comp tences sont partag es entre le d partement via les services de l aide sociale l enfance et l autorit judiciaire dont d pendent les services de la protection judiciaire de la jeunesse Le service de l aide sociale l enfance ASE est plac sous l autorit du pr sident du Conseil g n ral Sa mission premi re est de venir en aide aux enfants et leur famille par des actions de pr vention individuelle ou collective de protection et de lutte contre la maltraitance L aide sociale l enfance exerce directement la tutelle en prenant en charge les mineurs qui lui sont confi s Elle travaille en troite collaboration avec les services ext rieurs de l tat et peut faire appel des organismes publics ou institutions priv es sp cialis es associations ainsi qu des personnes physiques Ses missions sont d finies par l article L 221 1 du code de l action sociale et des familles apporter un soutien mat riel ducatif et psychologique aux mineurs leur famille aux mineurs mancip s et aux majeurs g s de moins de 21 ans confront s des difficult s sociales susceptibles de compromettre gravement leur quilibre organiser dans les lieux o se manifestent des risques d inadaptation sociale des actions collectives visant pr venir la marginalisation et faciliter l
131. ANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME L office national des anciens combattants et victimes de guerre participe aux actions de m moire d velopp es en faveur des jeunes notamment par le biais de l organisation du concours national de la r sistance et de la d portation et par un concours intitul les petits artistes de la m moire destin aux classes du primaire PLF 2013 69 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT De nombreux partenaires participent la mise en uvre de la journ e d fense et citoyennet la signature du protocole D fense ducation Nationale le 31 janvier 2007 concr tise une action majeure de coop ration interminist rielle dont l enjeu est le repositionnement de l enseignement de d fense dans les programmes d instruction civique juridique et sociale des classes de 3 me et de 1 re ce qui constitue la premi re tape du parcours de citoyennet Un avenant au protocole a r cemment int gr la mise en place des plates formes de d crochage les tests de ma trise de la langue fran aise r alis s au cours de la JDC sont con us par le minist re de l ducation nationale et participent au d pistage des jeunes en difficult scolaire deux protocoles l un pass en juin 2011 avec la direction de l administration p nitentiaire et l autre avec la direction de la protection judiciaire de la jeunesse pr voient l organisation des JDC en milieu carc ral co
132. ARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les services participant la mise en uvre du programme sont en administration centrale la direction g n rale des patrimoines DGP en services d concentr s les directions r gionales des affaires culturelles DRAC et les services territoriaux de l architecture et du patrimoine STAP les op rateurs et services comp tence nationale SCN Centre des monuments nationaux CMN centres d archives R union des mus es nationaux RMN mus e du Louvre mus es nationaux hors et y compris SCN sur l ensemble du territoire LIVRE ET INDUSTRIES CULTURELLES 334 Cr en 2011 le programme 334 Livre et industries culturelles regroupe d sormais au sein de la mission M dias livre et industries culturelles les cr dits sp cifiquement allou s par l tat sa politique en faveur du livre et des industries culturelles qui pr c demment taient sur plusieurs programmes de la mission Culture programme 131 Cr ation programme 175 Patrimoines programme 224 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture 62 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L tat s attache ainsi favoriser le d veloppement de la lecture des plus jeunes sur l ensemble du territoire d une part par un soutien direct aux acteurs associatifs sp cifiquement engag s dans la promotion de l
133. CS assure la tutelle 15 8 M L action 6 Pilotage du programme vise assurer l accompagnement de l ensemble des actions de ce programme au travers du pilotage et de l animation d un grand nombre d op rateurs nationaux et locaux Dans ce cadre la mise en uvre des diff rentes actions du programme n cessite galement le d veloppement des outils d observations d valuation et d tudes que sont notamment au plan local les centres r gionaux d aide l enfance et l adolescence inadapt e CREAI PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Partenaires multiples op rateurs de l tat CNSA ANESM instituts nationaux maisons d partementales des personnes handicap es associations AIDE L ACC S AU LOGEMENT 109 Le programme Aide l acc s au logement finance les aides accord es directement ou indirectement aux personnes qui pour de multiples raisons rencontrent des difficult s pour acc der un logement d cent ou s y maintenir durablement Ce programme de solidarit concourt au financement des aides personnelles au logement qui ont pour finalit dans le secteur locatif comme dans le secteur de l accession de r duire les d penses de logement loyers ou mensualit s d emprunt et charges des m nages aux ressources modestes afin de les rendre supportable des aides accord es des associations qui jouent un r le important dans la mise en uvre du droit
134. Champ enseignement public France m tropolitaine A partir d une enqu te mensuelle aupr s d un chantillon repr sentatif des tablissements publics du second degr est calcul e la proportion d l ves ayant un nombre d absences non justifi es gal ou sup rieur quatre demi journ es au mois de janvier Le choix du mois de janvier pour mesurer l ampleur du ph nom ne et son volution r sulte de l absence de vacances scolaires et de sa repr sentativit de la majorit des mois de l ann e scolaire Les sous indicateurs sont calcul s de la m me fa on pour les coll ges les LEGT et les LP Pour les coll ges moyenne pond r e du nombre d l ves absents partir de quatre demi journ es non justifi es au cours du mois de janvier dans les coll ges de l chantillon ayant r pondu l enqu te rapport e aux effectifs de ces coll ges issus de l application SCOLARITE x 100 Il s agit de moyennes dont le niveau et l volution doivent tre interpr t s en tenant compte du fait que les tablissements sont tr s in galement touch s par l absent isme Explication des valeurs cibles Les pr visions pour 2012 ont t actualis es pour le coll ge au regard des r alisations de 2011 et pour le lyc e professionnel au regard des r alisations des ann es 2009 20 5 et 2010 20 en tenant compte du caract re exceptionnel et sans doute conjoncturel du taux d absent isme en janvier 2011 Les pr vi
135. DITS SONT IMPUT S L action 1 concerne les aides directes essentiellement les bourses sur crit res sociaux L acc s l enseignement sup rieur reste tr s d pendant de la situation sociale des familles Les repr sentations sur lavenir professionnel des enfants la distance avec les codes culturels qui pr valent ce niveau d tudes et les difficult s conomiques rencontr es sont autant de facteurs discriminants Les tudiants des cat gories sociales les plus favoris es continuent tre plus fortement repr sent s que les tudiants issus de familles plus modestes L action 2 concerne les aides indirectes essentiellement le logement et la restauration Tout tudiant peut ainsi b n ficier des repas prix modique propos s dans les restaurants universitaires Le logement tudiant s inscrit quant lui dans un objectif d accueil de qualit des tudiants L action 3 concerne la sant des tudiants et les activit s sportives et culturelles Les tudiants peuvent b n ficier outre des offres culturelles et sportives propos es par les tablissements et les associations tudiantes sur les campus des actions de pr vention et de promotion de la sant 26 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L action 4 correspond au pilotage et l animation du programme et aux moyens allou s au r seau des uvres universitaires et scolaires pour son fonctionnement et l exercice de
136. E FORFAITAIRE 787 Ce programme a pour but de compenser les disparit s de taxe d apprentissage per ue par les centres de formation d apprentis et section d apprentissage de chaque r gion et de compenser financi rement une partie des transferts de comp tences aux r gions en mati re d apprentissage Chaque ann e les ressources de la section de p r quation du Fonds national de d veloppement et de modernisation de l apprentissage FNDMA sont attribu es annuellement aux conseils r gionaux en novembre d cembre par un arr t du ministre charg de la formation professionnelle en fonction de deux crit res des effectifs r gionaux d apprentis en fin d ann e pr c dente fournis par le minist re de l ducation nationale de la taxe d apprentissage per ue par apprenti dans chaque r gion pendant l ann e pr c dente Les donn es relatives ce second crit re sont fournies par la direction de l valuation de la prospective et de la performance DEPP du minist re de l ducation nationale gr ce la r alisation annuelle de l enqu te dite n 8 Le montant de la p r quation s l ve 200 M environ depuis 6 ans ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S ACTION n 01 P r quation des disparit s de la taxe d apprentissage CONTRACTUALISATION POUR LE D VELOPPEMENT ET LA MODERNISATION DE L APPRENTISSAGE 788 Le d veloppement de l apprentissage est cofinanc par l tat et les r gion
137. F 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES La cr ation et l implantation des coles l mentaires et maternelles sont d cid es par le conseil municipal apr s avis du repr sentant de l tat dans le d partement La commune est propri taire des locaux et en assure notamment la construction l quipement et le fonctionnement l exception de la r mun ration du personnel enseignant comp tence tat Les d penses des coles ont un caract re obligatoire Dans les communes qui ont plusieurs coles le ressort de chacune est d termin par d lib ration du conseil municipal II s agit d une modification de la loi LRL cette comp tence appartenant auparavant au maire agissant au nom de l tat Toutefois il demeure de la comp tence du maire agissant au nom de l tat de dresser la liste de tous les enfants r sidant dans sa commune soumis l obligation scolaire ainsi que de d signer l cole que doit fr quenter l enfant L organisation de la restauration scolaire pour les coles maternelles et l mentaires est une facult qui rel ve de la commune Sa gestion est fr quemment assur e par la caisse des coles tablissement public communal obligatoirement cr par d lib ration du conseil municipal dans le but de faciliter la fr quentation de l cole par des aides aux l ves en fonction des ressources de leur famille article L212 10 CE Les modes d organisation varient selon la taille des communes
138. FOURCADE Solidarit insertion et galit des chances 39 vuln rables Directrice g n rale de la coh sion sociale 177 Pr vention de l exclusion et Sabine FOURCADE galit des territoires logement et ville 40 insertion des personnes Directrice g n rale de la coh sion sociale vuln rables 157 Handicap et d pendance Sabine FOURCADE Solidarit insertion et galit des chances 41 Directrice g n rale de la coh sion sociale 109 Aide l acc s au logement Jean Marc MICHEL galit des territoires logement et ville 42 Directeur g n ral de l am nagement du logement et de la nature 147 Politique de la ville Herv MASUREL galit des territoires logement et ville 45 Secr taire g n ral du comit interminist riel des villes 123 Conditions de vie outre mer Vincent BOUVIER Outre mer 47 D l gu g n ral l outre mer 138 Emploi outre mer Vincent BOUVIER Outre mer 48 D l gu g n ral l outre mer 204 Pr vention s curit sanitaire et Jean Yves GRALL Sant 50 offre de soins Directeur g n ral de la sant 206 S curit et qualit sanitaires de Patrick DEHAUMONT Agriculture alimentation for t et affaires 52 l alimentation Directeur g n ral de l alimentation rurales 219 Sport Thierry MOSIMANN Sport jeunesse et vie associative 53 Directeur des sports 224 Transmission des savoirs et Christopher MILES Culture 55 d mocratisation de la culture Secr taire g n ral adjoint du minist re de la cul
139. Le contrat d autonomie d ploy par les op rateurs priv s de placement pour accompagner les jeunes issus des quartiers prioritaires de la ville a fait l objet d un deuxi me march dans le courant de l ann e 2011 qui pr voit 7 000 entr es suppl mentaires dans le courant du second semestre 2011 et 8000 entr es en 2012 Ce march ne sera pas reconduit en 2013 En 2011 9 716 jeunes sont entr s en contrat d autonomie sur l ensemble des deux march s et 14 737 jeunes sont en cours de contrat Sont sortis sur la m me p riode 3 861 jeunes en emploi durable le taux d acc s ce type d emploi est de 26 Le taux de sortie positive emploi durable formation cr ation d entreprise est de 49 Les entr es en CIVIS entre 2010 et 2011 restent relativement stables pour les publics de bas niveau de qualification 0 6 point Face ce constat les pr visions nationales pilot es par la DGEFP resteront fix es sur 50 entre 2013 et 2015 pour les publics de bas niveaux de qualification Les entr es de jeunes r sidant en ZUS baissent au sein du r seau des missions locales 1 6 point L objectif est fix progressivement 20 pour les jeunes en ZUS Il permettra de couvrir le public qui n est plus suivi par les dispositifs politique de la ville et qui progressivement ne b n ficiera plus du contrat d autonomie Le contrat de professionnalisation favorise l acc s ou le retour l emploi durable des jeunes ou des adultes de
140. Le plan r ussite en licence participe au principe d galit des chances puisqu il s agit de faire du cursus licence un cursus de r ussite universitaire pour tous Le plan s organise autour de trois principes le d veloppement de l orientation active de la professionnalisation et le renforcement de l encadrement afin de mieux prendre en compte la diversit des tudiants L orientation active est une d marche globale de quatre s quences l information la pr inscription le conseil et l admission Une cinqui me s quence peut ventuellement y tre ajout e la r orientation Ainsi tout l ve de classe terminale qui envisage de poursuivre des tudes l universit doit pouvoir b n ficier de la part des tablissements d une aide l orientation Par ailleurs les actions mises en uvre pour favoriser louverture sociale des formations longues formations universitaires o de grandes coles mais surtout CPGE et grandes coles s appuient sur le tutorat pour favoriser l accompagnement des lyc ens issus de milieux modestes vers l enseignement sup rieur Ainsi la labellisation accord e dans le cadre des Cord es de la r ussite partenariats entre un ou plusieurs tablissements d enseignement sup rieur d une part des lyc es classes pr paratoires et des lyc es ou coll ges d autre part met l accent sur les actions de tutorat assur es par des tudiants sur la base du volontariat au b n fice de ly
141. M thode de chiffrage Reconstitution de base taxable partir de donn es d claratives fiscales Fiabilit Ordre de grandeur Cr ation 2004 Derni re modification 2007 Fin d incidence budg taire d pense fiscale non born e Fin du fait g n rateur d pense fiscale non born e CGI 81 36 210311 Cr dit d imp t en faveur de l apprentissage 460 500 500 Imp t sur le revenu et imp t sur les soci t s Objectif D velopper l apprentissage B n ficiaires 2011 185 000 entreprises M thode de chiffrage Reconstitution de base taxable partir de donn es d claratives fiscales Fiabilit Tr s bonne Cr ation 2005 Derni re modification 2006 Fin d incidence budg taire d pense fiscale non born e Fin du fait g n rateur d pense fiscale non born e CGI 244 quater G 199 ter F 220 H 223 O 1 h PR SENTATION STRAT GIQUE Politique en faveur de la jeunesse La jeunesse demeure plus que jamais un atout pour construire et renforcer une soci t fran aise tourn e vers l avenir Etre jeune implique de faire face des situations contrast es li es des probl mes tant conjoncturels que structurels En 2012 en France enti re l Insee estime 22 5 millions le nombre de jeunes g s de 3 30 ans sur un total de 65 35 millions d habitants soit une proportion de 34 4 La part des jeunes de 15 29 ans dans la population totale est pass e de 24 en 1975
142. Nouvelle Cal donie ou les Contrats de d veloppement locaux en Nouvelle Cal donie en Polyn sie fran aise et Wallis et Futuna le 123 2 actions concourent la politique transversale en faveur de la jeunesse L action 3 Continuit territoriale a pour vocation de faire b n ficier aux jeunes ultramarins disposant de faibles conditions de ressources d une aide au transport vers la m tropole qu elle soit utilis e pour de la formation professionnelle ou des tudes Sur cette action le p rim tre budg taire a t modifi par rapport l an dernier puisqu a t retranch le dispositif d aide la continuit territoriale qui s inscrivait plus dans une aide au transport vocation de loisirs En effet cette aide n tant pas uniquement destin e la jeunesse il apparaissait plus opportun de la supprimer Est galement int gr le Fonds d changes ducatifs culturels et sportifs FEBECS S agissant de l action 4 elle vise am liorer la coh sion sociale et favoriser l galit des chances outre mer Elle regroupe plusieurs interventions dans le domaine sanitaire et social d une part en mati re culturelle sportive et en faveur de la jeunesse d autre part L volution des cr dits entre 2012 et 2013 s explique par un transfert de cr dits En effet le financement de l agence de sant des les Wallis et Futuna tait support jusqu en 2012 par l action 4 du programme 123 Inscrit pour un montant de 26
143. PP DGESCO Champ enseignement public tablissements publics du second degr d pendant du MEN France m tropolitaine et DOM Mode de calcul Un nouvel indicateur a t introduit au PAP 2012 par parall lisme avec l indicateur correspondant cr dans le programme 140 la suite de la recommandation num ro 12 de l audit 122 du comit interminist riel d audit des programmes CIAP de privil gier la notion de taux de satisfaction de la demande Le taux de couverture des notifications d affectation en unit s localis es d int gration scolaire ULIS des commissions des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH rapporte le nombre d l ves scolaris s en ULIS au nombre total de notifications d affectation en ULIS exprim en pourcentage 100 x nombre d l ves handicap s scolaris s en ULIS nombre de notifications d affectation en CLIS Les enqu tes en ligne DEPP DGESCO sur la scolarisation des l ves handicap s remplies par les enseignants r f rents de ces l ves ont t compl t es pour permettre de comptabiliser le nombre des notifications correspondantes n cessaire au calcul du taux de couverture partir de 2011 ann e scolaire 2011 2012 Le nombre de notifications d affectation en ULIS la date de calcul du taux de couverture est donn pour information de mani re pouvoir interpr ter l volution de ce taux Les proportions d l ves handicap s parmi les l ves de coll ge de LEGT
144. PROGRAMME Attribu par le pr sident du conseil g n ral conjointement financ par les d partements et l tat le RSA implique l intervention de nombreux autres partenaires aux stades de l instruction de la demande services du d partement Caf MSA centres communaux ou intercommunaux d action sociale associations ou organismes but non lucratif agr s par le pr sident du conseil g n ral du paiement de la prestation Caf et MSA de l ventuel accompagnement social et professionnel des b n ficiaires par un r f rent unique dans le cadre de l orientation d cid e par le pr sident du conseil g n ral P le Emploi organismes de placement maisons de l emploi missions locales organismes gestionnaires d un plan local pluriannuel pour l insertion et l emploi autres organismes participant au service public de l emploi r seaux d appui la cr ation et au d veloppement des entreprises autorit s ou organismes comp tents en mati re d insertion sociale Il convient de noter que l occasion de l ouverture du RSA aux jeunes actifs le l gislateur a tenu ajouter les missions locales au nombre des organismes vers lesquels les b n ficiaires du RSA tenus l obligation de rechercher un emploi peuvent tre orient s par le pr sident du conseil g n ral PLF 2013 37 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Le fonds national des solidarit s actives FNSA traite
145. R PUBLIQUE FRAN AISE DOCUMENT DE POLITIQUE TRANSVERSALE PROJET DE LOI DE FINANCES POUR POLITIQUE EN FAVEUR DE LA JEUNESSE NOTE EXPLICATIVE Cette annexe au projet de loi de finances est pr vue par l article 128 de la loi n 2005 1720 du 30 d cembre 2005 de finances rectificative pour 2005 compl t par l article 169 de la loi n 2006 1771 du 30 d cembre 2006 de finances rectificative pour 2006 par l article 104 de la loi n 2007 1822 du 24 d cembre 2007 de finances pour 2008 par l article 183 de la loi n 2008 1425 du 27 d cembre de finances pour 2009 par l article 137 de la loi n 2009 1673 du 30 d cembre 2009 de finances pour 2010 par l article 7 de la loi n 2010 832 du 22 juillet 2010 de r glement des comptes et rapport de gestion pour 2009 par l article 159 de la loi n 2010 1657 du 29 d cembre 2010 de finances pour 2011 et par l article 160 de la loi n 2011 1977 du 28 d cembre 2011 de finances pour 2012 Sont institu s dix huit documents de politique transversale DPT relatifs aux politiques suivantes Action ext rieure de l tat Am nagement du territoire D fense et s curit nationale Inclusion sociale Justice des mineurs Lutte contre le changement climatique Outre mer Politique de l galit entre les femmes et les hommes Politique de lutte contre les drogues et les toxicomanies Politique du tourisme Politique en faveur de la jeunesse Politique fran aise de l immigration et
146. TION STRAT GIQUE OBJECTIF n 3 Conduire le maximum d l ves aux niveaux de comp tences attendues en fin de scolarit et l obtention des dipl mes correspondants Programme 141 Enseignement scolaire public du second degr Programme 139 Enseignement priv du premier et du second degr s Cet objectif traduit l ambition de la nation d lever le niveau de formation de l ensemble de la population Sa r alisation globale qui recouvre une multitude de modalit s de r ussite individuelle engage l ensemble des acteurs du second degr en requ rant de chacun d eux une efficacit optimale aussi cet objectif concerne t il aussi bien les coll ges les lyc es d enseignement g n ral et technologique les lyc es professionnels les centres de formation d apprentis du secteur public et les centres d information et d orientation L valuation de l atteinte de l objectif 3 s effectue donc au travers d un ensemble complet d indicateurs portant sur chacune des tapes pertinentes de la scolarit secondaire et s attachant plusieurs aspects significatifs du parcours des l ves ces indicateurs permettent d appr cier la contribution de chaque niveau d enseignement l objectif commun Les indicateurs 3 1 3 6 mettent en vidence l acc s diff rents niveaux de ma trise ou de certification Le taux d acc s au baccalaur at c est dire la proportion de bacheliers dans une g n ration demeure l
147. Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e a ensemble des l ves 72 70 9 82 74 76 80 b l ves des coles du programme n d 81 95 85 90 100 ECLAIR Source MEN DGESCO Mode de calcul Champ Enseignements public priv France m tropolitaine DOM Cet indicateur est tabli en rapportant le nombre d l ves ayant b n fici du bilan de sant obligatoire l effectif total des l ves dont l ge se situe entre 5 et 6 ans Le sous indicateur concernant les l ves des coles du programme ECLAIR sera calcul de la m me fa on par rapport aux l ves de cette tranche d ge dans ces coles Les donn es concernant le nombre d l ves qui ont b n fici de ce bilan de sant sont issues d enqu tes sp cifiques aupr s des acad mies L enqu te pour l ann e 2010 2011 a t compl t e pour disposer des donn es concernant les l ves des coles des r seaux ambition r ussite RAR qui int grent le programme ECLAIR la rentr e 2011 Les modalit s de passation du bilan de sant diff rent selon l organisation mise en place dans les acad mies PLF 2013 111 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Le taux de r alisation de 2011 ann e scolaire 2010 2011 est affect comme l ann e pr c dente par une gr ve administrative des m decins les donn es ne
148. a Nouvelle Z lande 2 juin 1999 l Australie 24 novembre 2003 la Cor e 20 octobre 2008 et l Argentine 18 f vrier 2011 Cette formule existe galement avec le Canada puisque les PVtistes constituent une des cat gories de b n ficiaires de l accord de 2003 entre la France et le Canada pour favoriser la mobilit des jeunes Ces accords bilat raux offrent la possibilit des jeunes ressortissants de chacun des deux tats concern s g s de 18 30 ans tudiants ou non de se rendre dans l autre tat pour une p riode maximale de 12 mois dans le but d y effectuer un s jour de d couverte touristique et culturelle en ayant la possibilit d y occuper une activit professionnelle salari e pour compl ter les moyens financiers dont ils disposent Le nombre maximum de visas susceptibles d tre d livr s chaque ann e de part et d autre est fix par change de notes diplomatiques entre les deux tats Devant le succ s grandissant rencontr par les accords vacances travail d j en vigueur pr s de 30 000 jeunes Fran ais ont obtenu un visa vacances travail en 2011 au titre de l un de ces accords la sous direction des conventions et de l entraide judiciaire de la DFAE a entrepris de proc der une extension du r seau des tats partenaires de la France dans ce domaine Des n gociations ont ainsi t engag es en 2011 en liaison avec le secr tariat g n ral l immigration en direction de Taiwan et de Hong Kong
149. a lecture aupr s de ces publics travers diff rentes th matiques d autre part en organisant o en participant des op rations d envergure nationale destination des jeunes lecteurs op ration Premi res pages organis e en partenariat avec la Caisse nationale des allocations familiales participation au Salon du livre et de la presse de jeunesse de Seine Saint Denis Montreuil ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits d intervention et de fonctionnement destin s favoriser la lecture des jeunes sont inscrits l action 1 Livre et lecture du programme 334 Livre et industries culturelles PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME S agissant du livre et de la lecture l op ration Premi res pages est conduite en partenariat avec la Caisse nationale des allocations familiales CNAF PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE 182 L ann e 2013 correspond la deuxi me ann e du projet strat gique national 2012 2014 PSN 3 Dans le cadre du PSN 2 2009 2011 la direction de la protection judiciaire de la jeunesse DPJJ a recentr l action des ses tablissements et services sur la prise en charge des mineurs ayant commis des actes de d linquance et sur l aide la d cision des magistrats L objectif central du PSN 3 est de consolider les acquis des exercices ant rieurs et de poursuivre l am lioration des m thodes et pratiques de l action d d
150. a prises Cr s en 1989 suite la mise en place du revenu minimum d insertion les fonds d aide aux jeunes FAJ favorisent l insertion sociale et professionnelle des 18 25 ans en leur apportant des secours temporaires sous la forme d aides financi res ou de prestations d accompagnement social Ce sont des aides ponctuelles et de faible montant r pondant un besoin pr cis Ce dispositif est devenu obligatoire en 1992 et a t laiss la gestion exclusive des conseils g n raux partir de 2005 Les aides financi res sont g n ralement attribu es sous la forme de subventions ou bien plus rarement de pr ts remboursables Parall lement certains d partements mettent en place des actions collectives qui prennent la forme de prestations d accompagnement dans le domaine de la recherche d emploi de logement etc Les fonds d aide aux jeunes apparaissent comme compl mentaires du revenu de solidarit active jeunes mesure qui a t inscrite l article 135 de la loi de finances pour l ann e 2010 Alors que le RSA s adresse davantage des personnes qui ont d j travaill les FAJ concernent des jeunes qui n ont jamais travaill ou tr s peu En mati re de loisirs et de pratiques culturelles et sportives Le maire est comp tent pour permettre l utilisation des locaux scolaires lorsqu ils sont inutilis s par exemple pour des garderies ou des centres de loisirs pour l organisation d activit s caract re
151. abilit s locales LRL concr tise cette nouvelle phase de la d centralisation en transf rant aux collectivit s locales les comp tences qu elles paraissent le mieux m me de prendre en charge Le principe de subsidiarit s incarne l en favorisant une meilleure identification des missions respectives des collectivit s et en mettant fin la cogestion de certaines politiques Un certain nombre de comp tences transf r es au long du processus de d centralisation touchent les jeunes dans l acception large de ce document de politique transversale 3 30 ans Les politiques en faveur de la jeunesse mises en place par les collectivit s territoriales se r partissent par grandes th matiques et sont de natures diverses relevant la fois de comp tences obligatoires et facultatives En mati re d ducation Les diff rents niveaux de collectivit s se r partissent la prise en charge des tablissements d enseignement Aux termes de l article L211 1 du code de l ducation CE l ducation est un service public national dont l organisation et le fonctionnement sont assur s par l tat sous r serve des comp tences attribu es par la loi aux collectivit s territoriales pour les associer au d veloppement de ce service public Les communes b n ficient d une exp rience tr s ancienne dans le domaine de l enseignement primaire puisqu elles ont la charge des coles publiques depuis la loi Goblet du 30 octobre 1886 156 PL
152. ablissement d insertion de la d fense se d roule dans un centre de l EPIDE Il concerne les mineurs g s de 16 18 ans auteurs principalement d une premi re infraction ou peu connus de la justice p nale L objectif assign au contrat de service en EPIDE est de soutenir l auteur d une infraction dans ses d marches d insertion socioprofessionnelle avant qu il ne s installe dans la d linquance Par ailleurs un accord cadre a t sign le 7 juin 2011 avec la direction du Service national et la direction de l Administration p nitentiaire Ce protocole a pour objectif de fixer le cadre d organisation des journ es d fense et citoyennet en milieu carc ral pour les jeunes recens s de 16 25 ans afin de leur permettre d tre en r gle avec les obligations du code du service national avant la fin de leur d tention et de pouvoir d buter imm diatement l ensemble des d marches leur permettant de se r inscrire dans un parcours de formation En outre les services territoriaux de la PJJ contribuent aux dispositifs partenariaux avec l ducation nationale pour lutter contre l chec et le d crochage scolaire tels que les cellules de veille ducative CVE les comit s d ducation la sant et la citoyennet CESC les programmes de r ussite ducative PRE Aussi la DPJJ est impliqu e dans la mise en uvre de la circulaire relative la lutte contre le d crochage scolaire du 9 f vrier 2011 concernant le rep
153. accalaur at Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Total 65 1 71 6 72 75 72 73 Bac g n ral 34 5 36 3 E s 0 s o s o Bac technologique 16 3 16 2 s o S O s o Bac professionnel 14 3 19 1 s 0 s o s o Taux d acc s au baccalaur at des filles 70 1 76 6 s o S O s o Taux d acc s au baccalaur at des gar ons 60 4 66 8 s 0 s 0 s 0 Source MEN DEPP Champ enseignements public priv France m tropolitaine DOM Mode de calcul il s agit de la proportion de bacheliers dans une g n ration fictive calcul e partir des donn es d mographiques de l ann e consid r e Ce nombre est obtenu en calculant pour chaque ge le rapport entre le nombre de laur ats au baccalaur at la session n la population totale de cet ge tablie pour l ann e n et en faisant la somme de ces taux par ge Il s agit donc du taux d acc s d une g n ration fictive et non du taux d acc s d une g n ration r elle qui ne peut tre calcul qu apr s de nombreuses ann es La population par ge est issue des estimations publi es chaque ann e par l Insee Les deux derni res ann es sont soumises r vision ainsi en 2012 le taux d acc s de la session 2009 sera d finitif mais les taux des sessions 2010 et 2011 seront encore provisoires Portant sur une classe d ge ce taux re
154. acr s au d veloppement de l apprentissage travers les contrats d objectifs et de moyens pour le d veloppement de l apprentissage doivent permettre d accro tre significativement les effectifs d apprentis d ici 2015 Cet accroissement des effectifs sera d autant plus fort que le conseil r gional interviendra en cofinancement dans le cadre des COM parit avec l tat Ce cofinancement doit dans la mesure du possible correspondre un effort suppl mentaire du conseil r gional Les indicateurs 15 3 et 15 4 du programme 789 s inscrivent dans un objectif g n ral de d veloppement de l alternance qui est de porter le nombre d alternants apprentis contrats de professionnalisation autres cat gories d compt es de 600 000 aujourd hui 800 000 en 2015 La majorit des embauches d apprentis se faisant aujourd hui dans les petites et moyennes entreprises en 2009 les entreprises de moins de 50 salari s concentraient 78 des embauches d apprentis le pr c dent Gouvernement a choisi de faire porter l effort sur les entreprises de plus de 250 salari s qui repr sentaient en 2010 41 de l emploi dans le secteur priv L indicateur 15 3 permet de mesurer le taux d alternants des entreprises de plus de 250 salari s taux port de 3 4 par la loi n 2011 900 de finances rectificative du 29 juillet 2011 L indicateur 15 4 permet de mesurer la part des entreprises de plus de 250 salari s atteignant le quota de 4 d a
155. acteurs de la journ e Par son caract re universel la JDC rappelle chaque jeune Fran ais ses devoirs et responsabilit s dans la soci t et le pr pare devenir un citoyen acteur Cette journ e est l occasion d aborder les diff rentes obligations ou formes de solidarit don du sang par exemple et les diff rentes menaces pesant sur notre collectivit Ce moment d unit constitue pour l ensemble d une classe d ge une nouvelle affirmation d appartenance la collectivit nationale La JDC contribue galement l information professionnelle des jeunes Fran aises et Fran ais par la pr sentation des m tiers de la D fense et des diff rentes formes de volontariats tant militaires que civils En outre ils sont soumis des tests de ma trise de la langue fran aise labor s et exploit s par le minist re de l ducation nationale En 2011 9 1 des jeunes m tropolitains et 36 2 des jeunes ultramarins ont ainsi t identifi s en difficult de lecture Pour ceux qui sont scolaris s et dont les r sultats seraient insuffisants le partenariat avec l ducation nationale permet la mise en uvre d un suivi sp cifique au sein des tablissements scolaires dont ils rel vent Les jeunes sortis du syst me scolaire sont re us en entretien individuel 21 324 jeunes concern s en 2011 par les personnels de la direction du service national DSN afin d tre orient s avec leur accord vers les missions locales ou vers
156. al Ils entretiennent des partenariats avec les universit s qui se traduisent notamment par la co accr ditation dans plusieurs coles doctorales et avec des organismes de recherche tablissements publics scientifiques et techniques EPST ou caract re industriel et commercial EPIC avec lesquels ils ont constitu des unit s mixtes de recherche UMR Les tablissements sont membres de 7 p les de comp tences regroupant sur une m me zone g ographique les organismes de formation de recherche et de d veloppement en sciences et technologies du vivant et en environnement Des r formes structurantes des formations sont conduites par le minist re charg de l agriculture avec l inscription de l enseignement sup rieur court BTS agricole dans le syst me LMD licence master doctorat la modernisation de la formation v t rinaire adapt e aux nouveaux m tiers et aux enjeux de s curit sanitaire de d veloppement rural et de comp titivit europ enne la r novation des tudes de paysagiste en vue de conf rer au dipl me le grade de master Par ailleurs la direction g n rale de l enseignement et de la recherche a identifi les points d am lioration de la voie des concours passerelles entre l enseignement technique et l enseignement sup rieur La r novation des concours d acc s aux coles d ing nieurs et v t rinaires a t engag e afin de privil gier une s lection sur des comp te
157. al depuis la rentr e 2008 puis tendu l ensemble du primaire en 2009 a t g n ralis en 2010 tous les coll ges et lyc es Une valuation a t men e en 2011 Les plans d actions se poursuivront en 2013 Des r gles nutritionnelles ont par ailleurs t rendues obligatoires en restauration collective scolaire par le d cret et l arr t du 30 septembre 2011 Une entr e en vigueur en deux temps de ces textes a t pr vue le lendemain de leur publication pour les services de restauration scolaire servant plus de 80 couverts par jour en moyenne sur l ann e et compter du 1er septembre 2012 pour les autres services de restauration scolaire Des contr les seront coupl s aux inspections sanitaires Les modalit s de contr le ont fait l objet d une phase pilote en vue d un test et d un ajustement des outils d inspection et de formation des inspecteurs En 2013 15 des inspections sanitaires r alis es en restauration scolaire comprendront un volet nutritionnel Ces contr les ne concerneront dans un premier temps que les services de restauration scolaire servant plus de 80 couverts par jour en moyenne sur l ann e Les DROM ne seront pas ce stade concern s PLF 2013 53 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Les trois autres axes sont les suivants Am liorer l offre alimentaire qu il s agisse de l impact environnemental du syst me de production de la s lection v g tal
158. al et technologique LEGT lyc es professionnels LP tablissements r gionaux d enseignement adapt EREA ENSEIGNEMENT PRIV DU PREMIER ET DU SECOND DEGR S 139 Les dispositions normatives qui r gissent les rapports entre l tat et les tablissements priv s d enseignement pr cisent que dans les classes sous contrat l enseignement est dispens selon les r gles et programmes de l enseignement public et que l orientation scolaire et professionnelle des l ves est assur e suivant des principes compatibles avec les objectifs retenus pour l enseignement public Aussi le programme Enseignement priv du premier et du second degr s fixe comme objectif comme pour les programmes correspondants de l enseignement public de donner chaque l ve les connaissances et les comp tences suffisantes l issue de l cole primaire lui permettant de poursuivre sa scolarit dans de bonnes conditions au coll ge et d acqu rir le socle commun de comp tences et de connaissances au terme de sa scolarit obligatoire Il a galement pour objectif de permettre chaque l ve l issue du second cycle dans la scolarit dans le second degr d obtenir une qualification imm diate ou de ma triser le niveau n cessaire sa r ussite dans un cursus de l enseignement sup rieur Environ 16 6 des l ves sont scolaris s dans l enseignement priv sous contrat soit un peu plus de 2 millions d l ves
159. alisation R alisation Rapport entre le taux de licences des jeunes de moins de 20 indice 1 43 1 41 1 39 ans et le taux de licences au plan national Rapport entre le taux de licences au plan national et le taux indice 1 43 1 42 1 40 de licences f minines Rapport entre le taux de licences au plan national et le taux indice 2 34 2 41 2 24 de licences en ZUS donn e r vis e Le tableau ci dessus indique pour 2011 que le taux de licences des jeunes de moins de 20 ans est 1 39 fois plus lev que le taux de licences au plan national 37 6 27 1 gt 1 39 que le taux de licences au plan national est 1 40 fois plus lev que le taux de licences f minines 27 1 19 4 gt 1 40 que le taux de licences au plan national est 2 24 fois plus lev que le taux de licences en ZUS 27 1 12 1 gt 2 24 Les pr visions et valeurs cible du PAP 2013 se basent sur une progression r guli re du nombre de licences au niveau national des taux de licences f minines en ZUS et des jeunes de moins de 20 ans Sources des donn es Mission des tudes de l Observation et des Statistiques MEOS PLF 2013 119 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 10 2 Proportion des cr dits de la part territoriale du CNDS affect e aux publics prioritaires du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr
160. ans le sch ma LMD de l attractivit et de la qualit des quelque 100 tablissements d enseignement sup rieur relevant du minist re PLF 2013 127 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT L int gration dans le LMD a connu une volution significative ces deux derni res ann es tous les dipl mes Bac 5 sont dor navant reconnus au grade de master hormis les dipl mes de la F mis et de l Ina SUP qui le seront au cours de l ann e 2012 L entr e des tablissements du r seau Culture dans les p les de recherche et d enseignement sup rieur PRES et leur participation aux programmes d investissements d avenir LABEX IDEX ont par ailleurs permis de consolider les partenariats scientifiques et p dagogiques entre les tablissements concern s INDICATEUR 13 1 Insertion professionnelle des jeunes dipl m s Programme 150 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e titulaire de BTS nd 90 9 nd nd nd titulaire de DUT 91 nd nd 90 92 titulaire de Licence professionnelle 92 nd nd 92 93 titulaire de Master 91 nd nd 91 92 dont sur emploi permanent 74 nd nd 76 77 titulaire du doctorat 91 sans objet sans objet sans objet ns ns dont sur emploi permanent sans objet ns ns Le taux d insertion est d fini comme
161. ant recours aux nouvelles technologies de la communication Dans ce cadre on peut citer la r alisation de sites Internet d di s comme l Histoire par l image et la collection des C l brations nationales la contribution au portail www histoiredesarts culture fr le d veloppement de la num risation des instruments de recherche distance et des outils d aide la visite t l chargeables sur internet ou encore l utilisation des r seaux sociaux comme moyen de m diation une politique tarifaire et des mesures cibl es d acc s gratuit contribuant aux objectifs d gal acc s de tous la culture et de d veloppement de l ducation artistique notamment par le biais de la mesure de gratuit en faveur des 18 25 ans de l Union europ enne qui est en vigueur depuis le 4 avril 2009 et par la mesure de gratuit d acc s en faveur des enseignants en activit via le Pass Education un encouragement aux d veloppements d actions ducatives et culturelles en collaboration avec l ducation nationale A titre d exemple les programmes de sensibilisation des scolaires l architecture et l urbanisme dans le cadre de l histoire des arts font partie de cette politique En effet la d couverte de l architecture du patrimoine architectural et du cadre de vie est adapt e au dispositif de l enseignement de l histoire des arts qui privil gie la transversalit et l approche pluridisciplinaire car elle peut tre abord e
162. application des mesures de la loi portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires renforcement et clarification de l interdiction de vente aux mineurs interdiction des ventes et offres de types open bars r glementation des happy hours et encadrement de la publicit sur le m dia internet Tabac le tabac est la premi re cause de la mortalit vitable et premi re cause de cancer L enjeu est donc de lutter contre la consommation de tabac mais galement de r duire l attractivit des produits du tabac pour les plus jeunes notamment avec l interdiction des cigarettes bonbons ou encore l largissement de l interdiction de vente de tabac aux mineurs de 16 18 ans dans le cadre de la loi portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires Autres pratiques risques Ce versant sanitaire de la lutte contre la toxicomanie comprend la fois la pr vention la prise en charge et la r duction des risques chez les usagers de drogues Le plan gouvernemental 2008 2011 renforce notamment la pr vention en r habilitant les parents dans le r le d ducateurs Le nouveau plan est en cours d laboration Concernant les jeunes en particulier un r seau de 250 consultations sp cialis es dites consultations jeunes consommateurs CJC permet d informer et d orienter les jeunes consommateurs de drogues licites et illicites ainsi que leurs parents ou leurs pro
163. art s o n d 17 25 24 22 principaux l ments de math matiques culture scientifique et technologique 3 Ecart RRS hors EP en langue cart s 0 13 6 7 1 7 13 11 9 fran aise 4 Ecart RRS hors EP pour les principaux cart s o n d 4 11 10 8 l ments de math matiques culture scientifique et technologique 5 Pour information pourcentage d l ves s 0 46 7 s o s 0 s o s o ma trisant la langue fran aise en ECLAIR 6 Pour information pourcentage d l ves s 0 n d s o s o s o s o ma trisant les principaux l ments de math matiques culture scientifique et technologique en ECLAIR 7 Pour information pourcentage d l ves s 0 65 1 s o s 0 s o s o ma trisant la langue fran aise en RRS R seaux de r ussite scolaire 8 Pour information pourcentage d l ves s 0 s o s 0 s o s o s o ma trisant les principaux l ments de math matiques culture scientifique et technologique en RRS Source MEN DEPP Champ enseignement public France m tropolitaine DOM Mode de calcul 98 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE PLF 2013 Cet indicateur tait tabli auparavant partir d un protocole exp rimental sur la base des attestations de ma trise des comp tences du socle telles que d clar es par les enseignants des l ves d un chantillon repr sentatif d environ 270 coll ges Or en raison du taux lev de r ponses incompl tes il n tait pas
164. ateur unit r alis r alis r alis r alis r alis r alis r alis de mesure 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Taux de r ussite en M2 76 3 75 8 77 0 77 2 76 5 77 8 disponible au RAP 2012 INDICATEUR 6 7 R ussite en D Programme 150 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des doctorats obtenus en moins de 40 35 3 37 2 35 5 35 5 39 42 mois Part des doctorats obtenus en moins de 52 68 7 70 71 71 12 75 mois Part des doctorats obtenus en moins de 72 88 2 87 9 88 90 mois Les donn es sont issues d une enqu te sur les coles doctorales Celles ci r partissent les docteurs ayant soutenu l ann e n dans 4 modalit s d crivant la dur e de r alisation de la th se moins de 40 mois 40 moins de 52 mois de 52 moins de 72 mois plus de 72 mois Le 3 sous indicateur est nouveau au PAP 2013 Les pourcentages indiqu s reprennent en cumul chacun des paliers Les valeurs de r alisation sont disponibles en juillet de l ann e n 1 pour les docteurs de l ann e civile n Limites et biais connus La mesure propose une vision partielle de la r ussite en D puisqu elle ne porte que sur les th ses soutenues et donc sur les doctorants ayant abouti sur le parcours en D L indicateur ne permet pas de statuer sur la r ussite globale de l en
165. ateur value l appr ciation port e par les jeunes sur l image de la d fense et des arm es au terme de la journ e questionnaire MOPATE Au vu des r sultats obtenus en 2011 et 2012 la DSN se fixe des objectifs ambitieux pour les ann es 2013 et 2015 escomptant des retomb es positives des contenus modernis s de la Journ e D fense et Citoyennet et des efforts effectu s pour am liorer l accueil du public Ce taux peut tre calcul pour chaque site pour une p riode donn e Source des donn es extraction issue de l enregistrement des r ponses des jeunes Fran aises et Fran ais aux questionnaires de satisfaction directement sur le syst me informatique via MOPATE au terme de la JDC Donn es agr g es dans la base de donn es de la DSN Explications sur la construction de l indicateur rapport entre le nombre de jeunes dont la perception de l image de la d fense et des arm es a volu en bien l issue de la journ e et le nombre de r ponses la question impact exprim en pourcentage Le num rateur ne prend en compte que les r ponses D accord ou Plut t d accord la question La JDC m a donn une meilleure image de la d fense et des arm es Le d nominateur prend en compte le nombre de r ponses enregistr es dans MOPATE pour cette question INDICATEUR 17 3 Proportion des missions de service civique r alis es par rapport aux missions agr es Programme 163 du point
166. ations financ es est arr t e au 30 septembre compte tenu du d lai de traitement desdits rapports Sous indicateur 4 1 2 nombre de rapports finaux mis en ligne au 31 d cembre de l ann e n nombre de rapports attendus entre le 1er octobre de l ann e n 1 et le 30 septembre de l ann e n Source des donn es Fonds d exp rimentation pour la jeunesse 84 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE ASSURER A TOUS LES JEUNES L ACCES A L EDUCATION A L ORIENTATION ET LA FORMATION L acc s l ducation gratuite et obligatoire figure dans la d claration des droits de l enfant adopt e par les Nations unies le 20 novembre 1959 Tous les enfants et jeunes r sidant en France b n ficient d un cursus scolaire qui peut commencer d s 3 ans et les conduire vers des tudes sup rieures En France le syst me ducatif est fond sur les principes nonc s dans diff rents textes de loi depuis plus d un si cle La loi d orientation sur l ducation du 10 juillet 1989 les a r affirm s l ducation y est d finie comme la premi re priorit nationale Le droit l ducation est garanti chacun le syst me ducatif est centr sur les besoins des l ves il contribue l galit des chances Il leur permet de d velopper leur personnalit d lever leur niveau de formation initiale et de s ins rer dans la vie sociale et professionnelle Il favorise l gali
167. atives et judiciaires mises en uvre avant r ception du CRAT et apr s sa r ception On peut donc ainsi mesurer la qualit de l accueil t l phonique et sa pertinence dans le dispositif de protection de l enfance L objectif est de stabiliser ce sous indicateur autour d un taux de 80 certaines transmissions au conseil g n ral visant une simple information sans n cessairement d boucher sur une d cision de protection de l enfance Source des donn es DGCS GIPED Enqu te annuelle sur chantillon repr sentatif Le pourcentage est calcul au 31 d cembre de l ann e de r f rence INDICATEUR 9 5 Taux de conducteurs novices impliqu s dans un accident corporel Programme 207 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux des conducteurs ayant leur permis 10 7 10 7 10 2 lt 10 2 lt 10 lt 9 4 depuis moins d un an impliqu s dans un accident corporel Taux des conducteurs ayant leur permis 19 2 18 9 18 2 lt 18 2 lt 17 8 lt 17 depuis moins de deux ans impliqu s dans un accident corporel Taux des conducteurs ayant leur permis 26 2 25 6 24 8 lt 24 8 lt 24 5 lt 23 7 depuis moins de trois ans impliqu s dans un accident corporel Le calcul a t effectu sur l ensemble des conducteurs de voitures de tourisme impliqu s dans un accident corporel en France DOM inclus en con
168. au financement de dispositifs destin s intervenir dans les territoires d laiss s zones rurales enclav es et quartiers d favoris s notamment dans le cadre des politiques ducatives locales mises en place avec les collectivit s territoriales Le soutien financier apport par le minist re ces projets orient s vers la mixit sociale vise cr er au travers de l appui souvent symbolique de l tat une dynamique qualitative en vue de conforter la participation des collectivit s territoriales principaux financeurs La r forme des rythmes ducatifs sera partir de 2013 l occasion de repenser l articulation entre les temps et les activit s scolaires et extrascolaires en particulier pour les enfants issus des milieux populaires changes internationaux des jeunes le minist re encourage principalement les changes interculturels et la mobilit des jeunes en s appuyant sur l Office franco allemand pour la jeunesse OFAJ et l Office franco qu b cois pour la jeunesse OFQJ et participe la conf rence des ministres de la jeunesse et des sports des pays ayant le fran ais en partage CONFEJES qui soutient la formation d experts et favorise l insertion conomique des jeunes des pays du Sud Institut national de la jeunesse et de l ducation populaire INJEP Conform ment au d cret du 26 janvier 2010 relatif ses missions et son organisation l INJEP b n ficie du soutien de l tat dans le cadre d un contrat
169. au logement en facilitant l acc s des m nages l information au droit et la gouvernance dans le domaine du logement de la garantie des risques locatifs GRL pour les locataires qui sont la charge de l tat dans ce dispositif Ces aides sont destin es tous les m nages quelle que soit la tranche d ge laquelle ceux ci appartiennent Certaines mesures n anmoins sont sp cifiquement applicables aux jeunes afin de tenir compte de la situation dans laquelle ils se trouvent tudiants boursiers et non boursiers Outre les concours financiers qu il apporte l tat s assure de l efficacit de ses actions via notamment la r glementation sur les aides personnelles au logement conditions d octroi bar mes et plus g n ralement dans les domaines de l acc s au logement Il veille galement la coh rence de ses actions et leur articulation avec celles des collectivit s locales et des autres acteurs du secteur Le programme 109 dont le pilotage est assur par le directeur g n ral de l am nagement du logement et de la nature DGALN participe la politique interminist rielle en faveur de la jeunesse travers l action n 01 qui repr sente 99 6 des cr dits et l action n 02 PLF 2013 43 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action n 01 Aides personnelles Plus de 6 4 millions de m nages ont b n
170. aux enfants des conditions d accueil favorables leur panouissement Depuis les ann es 1990 elle a adapt sa politique en prenant en compte les temps libres des enfants et des adolescents tout au long de l ann e Ces actions compl tent les actions conduites par les pouvoirs publics et les collectivit s territoriales Elles r pondent trois enjeux fondamentaux pr venir pr cocement les difficult s par une offre de qualit en mati re de loisirs et d accompagnement la scolarit dans la mesure o les temps de loisirs sont essentiels pour l panouissement des jeunes et leur insertion dans la soci t en les aidant exp rimenter l acc s l autonomie apprendre respecter l autre et leur environnement participer la pr servation du lien social et de la coh sion sociale par une offre quilibr e de services accessibles tous sur les diff rents territoires afin de lutter contre l isolement de certaines familles de favoriser la construction des liens sociaux et ainsi de participer un mieux vivre ensemble privil gier une offre respectant la coh rence ducative autour de l enfant et la continuit de son parcours ducatif Les 6 17 ans sont le public cible des contrats temps libres qui s int grent d sormais dans les contrats enfance et jeunesse pour le d veloppement de l accueil destin aux enfants et aux jeunes jusqu 17 ans r volus Les contrats temps libr
171. avaux issus de cette concertation le Gouvernement proposera au Parlement avant la fin de l ann e un projet de loi et un ensemble de mesures associ es pour refonder l cole de la R publique Le Gouvernement a par ailleurs lanc en juillet 2012 les Assises de l enseignement sup rieur et de la recherche pour ouvrir le d bat sur la place essentielle de l enseignement sup rieur et de la recherche L un des trois th mes de consultation porte sur la r ussite de tous les tudiants L attention portera notamment sur la r ussite en premier cycle l orientation et l insertion professionnelle l innovation p dagogique et la formation des enseignants Elles permettront de faire merger des propositions qui se traduiront d but 2013 par des mesures l gislatives mais aussi r glementaires et contractuelles OBJECTIFS CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE OBJECTIF n 2 Conduire tous les l ves la ma trise des comp tences de base exigibles au terme de la scolarit primaire Programme 140 Enseignement scolaire public du premier degr m Programme 139 Enseignement priv du premier et du second degr s Le socle commun de connaissances et de comp tences inscrit dans la loi n 2005 380 du 23 avril 2005 est le cadre de r f rence de la scolarit obligatoire Chaque l ve doit parvenir sa ma trise au terme de sa scolarit L indicateur 2 1 en partie commun l enseignement public et l enseignemen
172. axes prioritaires de l action sociale des CAF Les orientations en direction de ce public ont d gag une ligne d intervention portant prioritairement sur l acc s au logement et l accompagnement socio ducatif r alis par les foyers de jeunes travailleurs mais les moyens affect s restent modestes Ce poids financier est cependant minor du fait de l absence de donn es sur la part consacr e aux jeunes adultes dans les politiques temps libre animation de la vie sociale centres sociaux fonds solidarit logement ainsi que dans les dispositifs destin s aux parents Les quatre axes identifiables de l action sociale des CAF en direction des jeunes adultes sont les interventions en faveur du logement les prestations extra l gales accord es aux familles et aux jeunes les aides au financement des formations brevet d aptitude aux fonctions d animateur BAFA et brevet d aptitude aux fonctions de directeur BAFD et les actions d accompagnement social PLF 2013 155 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT D penses d action sociale des caisses d allocations familiales en direction des enfants de 6 17 ans r volus et des jeunes adultes en millions d euros 2010 1 ACTIONS EN DIRECTION DES ENFANTS G S DE 6 17 ANS R VOLUS 917 2 Loisirs dont 892 4 Accueil de loisirs jeunes ex CLSH int gre les nouvelles actions 407 3 accueil jeunes Autres loisirs
173. baccalaur at vient d atteindre en 2012 un nouveau record historique avec 77 5 de bacheliers dans une g n ration Cette nouvelle progression doit beaucoup la forte hausse du taux d acc s au baccalaur at professionnel elle m me li e l augmentation importante entre 2010 et 2011 du nombre de candidats dans la voie professionnelle cons quence de l ach vement de la r forme de cette voie Le maintien du cap fix aux lyc es d enseignement g n ral et technologique r cemment r form s mieux accompagner les l ves mieux pr parer l enseignement sup rieur permettre une fluidit des parcours est un point d appui essentiel pour b tir une cole plus juste Parall lement l inclusion scolaire des l ves en situation de handicap doit maintenant s am liorer qualitativement Au del des indispensables moyens humains qu appelle ce d fi une attention toute particuli re sera port e la formation des enseignants et des auxiliaires de vie scolaire ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Toutes les actions du programme sont concern es Action n 01 Enseignement pr l mentaire Action n 02 Enseignement l mentaire Action n 03 Enseignement en coll ge Action n 04 Enseignement g n ral et technologique en lyc e Action n 05 Enseignement professionnel sous statut scolaire Action n 06 Enseignement post baccalaur at en lyc e Action n 07 Dispositifs sp cifiques de scolarisation A
174. bal de formation et par un niveau d activit parmi les plus faibles au sein des d mocraties d velopp es Parall lement 150 000 jeunes sortent chaque ann e du syst me scolaire sans qualification La crise conomique et financi re a par ailleurs rendu plus aigues les difficult s que rencontrent les jeunes dans la soci t fran aise Cette tranche d ge conna t une pr carisation caract ris e par un taux de pauvret lev 22 5 des jeunes vivent en dessous du seuil de pauvret contre 13 5 dans l ensemble de la population Les conditions de son acc s l emploi se sont d grad es sur une longue p riode freinant l acc s des jeunes l autonomie et contrariant par l m me leurs perspectives d avenir Dans le m me temps les jeunes constituent une ressource pour la soci t fran aise qu il importe de soutenir et de prendre en compte leur implication au sein d associations consacr es aux questions de soci t la d fense de groupes sociaux ou des int r ts collectifs a t multipli e par trois depuis 1999 En 2011 pr s de 15 000 jeunes se sont engag s en service civique Dans ce cadre les aspirations et les revendications des jeunes concernent en priorit l acc s un emploi stable offrant un revenu issu de l activit des conditions de vie au moins aussi favorables que celles des g n rations pr c dentes mais aussi une reconnaissance de leur valeur de leurs capacit s et de leur place de citoyens
175. bjectif tant d atteindre plus de 90 000 pr ts en 2012 Depuis 2009 l tat prend galement en charge le cautionnement du pr t Permis un euro par jour pour les jeunes exclus du syst me bancaire et inscrits dans une d marche de formation ou d acc s l emploi Le montant des cr dits du programme 207 S curit et circulation routi res consacr s au dispositif Permis un euro par jour s est lev 5 3 M en 2011 PLF 2013 67 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits du programme 207 consacr s la politique transversale Jeunesse sont imput s sur l action n 02 D marches interminist rielles et communication et l action n 03 ducation routi re Ainsi au titre de l exercice 2011 le montant de ces cr dits s est lev 9 45 M se ventilant ainsi entre les deux actions 4 0 ME sur l action n 02 D marches interminist rielles et communication 5 5 M sur l action n 03 Education routi re COORDINATION DU TRAVAIL GOUVERNEMENTAL 129 Plac sous la responsabilit du secr taire g n ral du Gouvernement le programme 129 Coordination du travail gouvernemental rassemble des entit s diff rentes rattach es au Premier ministre dans un ensemble budg taire commun Au sein de ce programme l action 15 regroupe les cr dits permettant d impul
176. bles Leur mise en ligne sur le site gouvernemental www jeunes gouv fr constitue donc un enjeu important INDICATEUR 1 1 Part des exp rimentations ayant fait l objet d un rapport d valuation Programme 163 du point de vue du contribuable Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des exp rimentations ayant fait l objet sans objet sans objet sans objet 32 60 85 d un rapport d valuation trait et publi Nombre total d exp rimentations financ es Part des rapports finaux d valuation sans objet sans objet sans objet 60 68 70 trait s et publi s dans l ann e Nombre total de rapports attendus dans l ann e Les exp rimentations financ es par le FEJ donnent lieu la production syst matique de rapports finaux d valuation qui doivent tre transmis dans les trois mois suivant le terme de l exp rimentation Les premiers rapports finaux des exp rimentations ont t produits fin 2011 Ces rapports sont analys s par l quipe d animation du Fonds d exp rimentation pour la jeunesse service de la DJEPVA avant d tre publi s et mis disposition sur le site www jeunes gouv fr Mode de calcul Sous indicateur 4 1 1 nombre de rapports mis en ligne nombre total d exp rimentations financ es Le nombre de rapports mis en ligne est arr t au 31 d cembre de l ann e Le nombre total d exp riment
177. bre 2010 UNCLLAY union nationale des comit s locaux pour le logement autonome des jeunes Constitu e sous forme associative en 2002 l UNCLLAJ a pour objectif principal de f d rer l ensemble des comit s locaux pour le logement autonome des jeunes et services logement jeunes uvrant pour le logement des jeunes Elle f d re accompagne et repr sente ainsi une soixantaine de structures locales qui ont pour mission d accueillir d informer et d accompagner les jeunes dans leur projet de logement de d velopper des services techniques destin s faciliter l acc s au logement des jeunes et de faire de la probl matique du logement des jeunes un enjeu pour le d veloppement et l avenir des territoires Elle est en outre impliqu e et associ e dans les r flexions nationales et fait de plus en plus r f rence sur la probl matique des jeunes et notamment leur rapport au logement L UNCLLAYJ b n ficie du soutien de la DGALN depuis plusieurs ann es subvention de 9 690 en 2011 Par ailleurs en lien avec l agence nationale pour l information sur le logement ANIL les agences d partementales d information sur le logement ADIL facilitent la recherche d un logement par les conseils qu elles dispensent Ces agences qui devraient tre au nombre de 79 en 2013 et couvrir ainsi plus des trois quarts des d partements du territoire national agissent notamment en faveur du logement des jeunes PLF 2013 45 Politiqu
178. c ens ou d tudiants de CPGE INDICATEUR 5 1 Acc s l enseignement sup rieur des jeunes de 20 21 ans selon leur origine sociale Programme 231 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Employeurs cadres professions 78 77 79 5 78 5 gt 78 5 79 interm diaires Employ s Ouvriers 41 41 41 5 41 5 42 43 Ensemble des jeunes de 20 21 ans 56 56 56 5 56 5 57 58 Pourcentage de jeunes suivant ou ayant suivi des tudes sup rieures parmi l ensemble des jeunes g s de 20 21 ans en d but d ann e dont le p re rel ve de telle ou telle cat gorie socioprofessionnelle nomenclature INSEE Si le p re est socioprofessionnelle de la m re qui est prise en compte Source des donn es m nages tant interrog s sur six trimestres cons cutifs inactif ou au ch mage c est la cat gorie Il est tabli partir de l enqu te Emploi de l INSEE qui depuis 2003 est effectu e tout au long de l ann e en continu les Les valeurs d finitives ne sont disponibles pour une ann e n qu partir du mois de juin n 4 puisqu elles r sultent de donn es pond r es qui sont provisoires pendant quatre ans Ainsi les donn es 2010 et 2011 ne seront d finitives qu partir de 2014 et 2015 Les donn es indiqu es ci dessus pour 2010 et 2011 sont celles du RAP 2011 Les pr visions et
179. centres d arts se sont dot s de services des publics et souvent de services de m diation voire d un service p dagogique S ajoute ces missions de rencontre avec les uvres la participation aux dispositifs traditionnels d ducation artistique et culturelle ateliers jumelages classes projet artistique et culturel PAC r sidences etc au moyen desquels les enfants sont sensibilis s un domaine artistique et auxquels les artistes pr tent leur concours C est aupr s des r seaux d institutions centr s sur la production et la cr ation dont l tat assure la tutelle seul ou en partenariat avec les collectivit s tablissements publics EP centres dramatiques nationaux CDN centres chor graphiques nationaux CCN sc nes nationales orchestres op ras centres d art etc que l injonction du minist re prendre en compte les enfants et les jeunes peut donc tre la plus forte et imp rieuse Depuis dix ans la fr quentation des jeunes notamment des scolaires progresse et la demande reste globalement sup rieure l offre 58 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Dans le r seau des 70 sc nes nationales par exemple ce sont 462 909 scolaires qui ont assist aux repr sentations de spectacle vivant de la saison 2010 2011 soit plus 20 de la fr quentation tout public de ces tablissements De fa on g n rale il convient galement de souligner l importance des ac
180. centres en fin d ann e 2011 ACTION n 4 R novation urbaine et cadre de vie L Agence nationale pour la r novation urbaine ANRU dans le cadre du programme de r novation urbaine dote les quartiers en quipement destination de la jeunesse aires de jeux accueils collectifs maison des jeunes etc L ANRU participe galement au financement de la mesure d molition reconstruction des coll ges les plus d grad s de la dynamique espoir banlieues PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Minist re de l ducation nationale Minist re de l emploi ACS Agence nationale pour la coh sion sociale et l galit des chances ANRU Agence nationale pour la r novation urbaine FIPD Fonds interminist riel de pr vention de la d linquance EPIDe tablissement public d insertion de la d fense CONDITIONS DE VIE OUTRE MER 123 L outre mer est caract ris par la jeunesse de sa population dont la formation l insertion professionnelle et la sant demeurent des enjeux majeurs Les moins de 20 ans repr sentent 25 de la population fran aise mais 30 de la population en Guadeloupe 35 la R union 44 en Guyane et 54 Mayotte La proportion de jeunes actifs sans dipl me en 2011 est de 42 8 dans les DOM soit un niveau 3 2 fois sup rieur celui de la m tropole ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Le programme 123 Conditions de vie outre mer contr
181. champ France m tropolitaine DOM public priv enqu te r alis e par la DEPP en juin N correspondant l ann e scolaire N 1 N au moyen d un protocole exp rimental bas sur les attestations de ma trise des comp tences du socle telles que d clar es par les enseignants des l ves d un chantillon repr sentatif de 269 coll ges 8 070 l ves Les valeurs sont assorties d intervalles de confiance calcul s au seuil de risque de 5 dont il faut tenir compte pour interpr ter d ventuelles volutions Ces intervalles sont parfois tr s larges du fait de grandes diff rences observ es entre coll ges concernant les attestations Comp tences 2 et 4 champ France m tropolitaine DOM priv valeurs obtenues partir des remont es des r sultats au dipl me national du brevet Les donn es de l ann e N correspondent aux r sultats de l ann e scolaire N 1 N Valeurs 2011 Comme d cid en 2010 la DEPP a entrepris une d marche de fiabilisation des indicateurs du socle commun en commen ant par la comp tence 1 Comp tence 1 champ France m tropolitaine DOM priv preuve standardis e bas e sur des seuils de niveau de ma trise des comp tences du socle fix s l automne 2011 par un groupe d experts La valeur obtenue est assortie d un intervalle de confiance calcul au seuil de risque de 5 dont il faut tenir compte pour interpr ter d ventuelles volutions La fiabilisation entreprise en 20
182. cherche en partenariat avec d autres organismes de recherche nationaux ou internationaux dans le cadre des p les de comp titivit dans des programmes de l Agence nationale de la recherche et du programme cadre europ en de recherche et de d veloppement PCRD Les coles participent au d veloppement des entreprises et l essor des territoires en d veloppant des actions de cr ation d entreprises ou d activit s ainsi qu en mettant en place des incubateurs et des p pini res d entreprises en liaison avec les collectivit s locales les universit s et d autres grandes coles Les coles d ing nieurs jouent un r le particuli rement actif dans la mise en place et le d veloppement des p les de comp titivit notamment dans les grands domaines technologiques et pluridisciplinaires li s aux activit s des entreprises industrielles et de service technologies de l information et de la communication t l communications logiciels et syst mes complexes micro lectronique nergie environnement mat riaux avanc s mat riels et syst mes de transport optique physique et technologies du vivant Le management de l innovation et du risque technologique question cl pour le d veloppement des entreprises est galement au c ur de leurs comp tences Les coles sont en outre tr s impliqu es dans les p les de recherche et d enseignement sup rieur PRES des r gions dans lesquelles elles sont implant es Ain
183. ches Sant mentale dont suicide Une personne sur quatre d veloppe au cours de sa vie un trouble en sant mentale Le suicide est la deuxi me cause de mortalit en France chez les 15 24 ans apr s les accidents de la route et la premi re cause de mortalit chez les 25 34 ans Les actions de pr vention du suicide ont t poursuivies formations et sensibilisation des diff rents professionnels en contact avec les jeunes au rep rage de la crise suicidaire soutien financier aux associations actions de sensibilisation du grand public sur la pr vention du suicide financement de supports d information sur la pr vention du suicide organisation de la journ e nationale de pr vention du suicide destination des professionnels des coutants b n voles et des familles Les actions de rep rage de la souffrance psychique et des troubles du d veloppement chez l enfant et l adolescent vont tre renforc es par la mise disposition d un guide destination des personnels soignants non m decins et sociaux des tablissements d enseignement scolaire et agricole Action 15 Pr vention des risques li s l environnement au travail et l alimentation Il s agit d am liorer la sant de la population et de renforcer la lutte contre l ob sit en promouvant la nutrition alimentation et activit physique par la mise en uvre du programme national nutrition sant pr vu l article L 3231 1 du Code de la sant publique Le
184. ches d adoption internationale accompagn es s appuie notamment sur l agence fran aise de l adoption AFA cr e par la loi n 2005 744 du 4 juillet 2005 L AFA constitu e sous forme de GIP associant plus particuli rement l tat et les d partements a outre un r le d information et de conseil une mission d interm diaire pour l adoption des mineurs trangers de moins de quinze ans Le versement pr vu cet organisme pour 2013 s l ve 3 06 M PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME Caisse nationale des allocations familiale CNAF Caisse centrale de la Mutualit sociale agricole CCMSA Secteur associatif GIP Enfance en danger GIPED Conseils g n raux services de l aide sociale l enfance GIP Agence fran aise de l adoption PR VENTION DE L EXCLUSION ET INSERTION DES PERSONNES VULN RABLES 177 Les personnes confront es la pauvret 8 2 millions soit 13 5 de la population en 2009 ne constituent ni une population homog ne sur un territoire circonscrit ni un groupe marginal et r siduel mais une population vivant souvent hors de la sph re productive et d pendante pour l essentiel de revenus des politiques sociales Ces personnes se heurtent un ensemble de difficult s principalement d acc s au logement et aux soins mais aussi de participation la vie sociale Ces d fauts majeurs ne permettent plus ces personnes d exercer pleinement l ensemble de leurs d
185. ci t d assurer la mise en uvre d actions ducatives de contribuer susciter de nouvelles vocations pour les m tiers scientifiques et techniques ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L action n 3 Op rateurs de la culture scientifique et technique a vocation figurer au sein de ce document de politique transversale L tablissement Universcience assure les missions suivantes favoriser le rapprochement entre la recherche les sciences et la soci t offrir tous les publics les outils de compr hension des enjeux de la recherche scientifique et de l innovation dans la soci t et des d bats qui y sont li s contribuer accro tre la place de la recherche et de l innovation dans les m dias apporter son expertise aux scientifiques et aux chercheurs dans leur activit de diffusion de la recherche en direction du public assurer la conception la production et la diffusion de contenus mus ologiques in situ et en ligne la production d expositions la mise en uvre d actions ducatives la conception et la r alisation de m diations et d animations scientifiques et techniques la pr sentation d exp riences et de simulations scientifiques les rencontres du public avec les acteurs de la recherche et de l industrie l organisation de conf rences et de d bats la pr sentation de 30 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE l actualit scientifiq
186. cr dits de l ACS mobilis s sur la th matique emploi insertion et d veloppement conomique repr sentent pr s de 25 des cr dits CUCS en 2012 soit environ 12 M L ensemble de ces cr dits contribuent au financement de projets qui concernent sp cifiquement l insertion professionnelle des jeunes d veloppement des clauses d insertion dans la r novation urbaine clubs de jeunes chercheurs d emploi chantiers d insertion dans la r novation urbaine actions de d couverte des m tiers soutien l mergence et la cr ation d activit etc ACTION n 2 Revitalisation conomique et emploi L action Revitalisation conomique et emploi vise renforcer la mixit fonctionnelle des quartiers de la politique de la ville et favoriser l insertion professionnelle de leurs habitants notamment les jeunes Plusieurs programmes visant sp cifiquement l insertion professionnelle des jeunes sont mis en uvre Le contrat d autonomie financ sur les cr dits du minist re de l emploi vise ainsi l accompagnement vers l emploi et la formation qualifiante de 45 000 jeunes en 3 ans depuis mi 2008 PLF 2013 47 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Le secr tariat g n ral du comit interminist riel des villes contribue financi rement au fonctionnement de l tablissement public d insertion de la d fense EPIDe 23 7 M en 2012 3 269 volontaires ont t accueillis dans les 20
187. ctement l organisation des attestations de s curit routi re ASR destin es aux jeunes qui n ont pu passer les ASSR dans le cadre scolaire jeunes qui ne sont plus scolaris s trangers arrivant en France etc Le montant des cr dits ainsi consacr s la protection et la s curit des jeunes s est lev 4 2 M en 2011 3 6 M pour les actions de communication 0 4 M pour les subventions aux associations et environ 0 2 M pour le financement de l organisation des attestations de s curit routi re Accompagner les jeunes vers l autonomie Le programme 207 S curit et circulation routi res finance le dispositif Permis un euro par jour action n 03 qui vise aider les jeunes de moins de 26 ans dans le cadre du financement de leur apprentissage la conduite et du passage de l examen du permis de conduire http www permisauneuroparjour fr Ce dispositif permet aux jeunes de 16 25 ans d taler le co t de leur formation la conduite automobile sur plusieurs mois Il s agit d un pr t taux 0 accord par les tablissements bancaires partenaires l tat prenant en charge les frais financiers en payant directement les int r ts aux banques Quatre niveaux de pr ts sont propos s 600 800 1 000 et 1 200 Depuis 2006 et la mise en place du dispositif ce sont ainsi pr s de 80 000 jeunes qui b n ficient chaque ann e d un pr t Permis un euro par jour l o
188. ction n 08 Actions sociales en faveur des l ves Action n 09 Fonctionnement des tablissements Action n 10 Formation initiale et continue des enseignants Action n 11 Remplacement Action n 12 Soutien PLF 2013 21 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT L aide de l tat repr sente 7 081 Mds d euros en 2012 dont 89 35 correspondent des r mun rations directes de personnels En effet l tat prend en charge la r mun ration de 137 022 personnes physiques dans les classes sous contrat simple ou d association les charges sociales et fiscales de l employeur les d penses de formation initiale et continue des enseignants certaines d penses de fonctionnement d penses p dagogiques forfait d externat subvention permettant de couvrir la d pense de r mun ration des personnels non enseignants des classes du second degr sous contrat d association emplois de vie scolaire lorsqu ils sont consacr s l accompagnement d l ves handicap s contrats uniques d insertion contrats d avenir contrats d accompagnement dans l emploi des aides directes aux l ves bourses de coll ge et lyc e fonds sociaux Le financement par l tat ob it au principe de parit avec l enseignement public en application du dispositif l gislatif et r glementaire fix par le code de l ducation PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les collectivit s
189. d un passeport mobilit tudiants Ce dernier peut aussi financer le transport des l ves de Saint Pierre et Miquelon et de Saint Barth lemy du second cycle de l enseignement secondaire si la fili re choisie n est pas disponible dans la collectivit Parmi les dispositifs en faveur des jeunes ultramarins il faut galement signaler l action particuli re du Service Militaire Adapt implant dans les d partements d outre mer en Nouvelle Cal donie et en Polyn sie fran aise Le Service Militaire Adapt SMA est un dispositif militaire de formation professionnelle et comportementale vocation sociale Sa mission prioritaire vise d velopper les capacit s d insertion dans la vie active de pr s de 5 000 jeunes ultramarins fran ais par an les plus loign s du march de l emploi En s appuyant sur un projet ducatif et une p dagogie sp cifiques qui permettent de d velopper le go t de l effort et de r apprendre vivre ensemble le SMA est au service de l accomplissement personnel de ses jeunes volontaires et une r ponse adapt e aux besoins des entreprises d outre mer et de m tropole A ce titre le SMA est une composante unique et majeure du dispositif de formation dans les d partements et collectivit s d outre mer A cet effet les sept unit s du SMA dispensent une instruction adapt e s articulant autour d une formation citoyenne et militaire d une formation humaine et ducative ainsi que d une forma
190. d l gu e autonome ou partenariale Mission des structures culturelles La politique en faveur de la jeunesse et notamment du public scolaire est inscrite dans la charte des missions de service public pour le spectacle et celle pour les institutions d art contemporain Ces textes d finissent la responsabilit sociale des structures l gard des publics La politique volontariste de conventionnement qui se poursuit depuis 2009 met l accent sur des objectifs de d mocratisation culturelle et d augmentation de la fr quentation du jeune public Elle est encadr e par la circulaire relative aux labels et r seaux nationaux du spectacle vivant sign e en ao t 2010 ainsi que par deux circulaires relatives aux fonds r gionaux d art contemporain FRAC 2002 et aux centres d art 2010 Dans ce cadre r glementaire l accueil du public d ge scolaire dans le temps scolaire ou de loisirs constitue une part importante de l effort des tablissements culturels qu ils rel vent du spectacle vivant ou des arts plastiques Ils contribuent au renouvellement du public une ducation l art l mergence ou au maintien d une pratique artistique personnelle Cet accueil est compl t par un travail d accompagnement des jeunes spectateurs en amont comme en aval des repr sentations ou des expositions cette fin les organismes de cr ation et de diffusion du spectacle vivant comme les institutions d art contemporain notamment les FRAC et les
191. d 50 50 50 50 l ann e suivante Le champ du premier sous indicateur est celui des tudiants enseignement public universit s et assimil s inscrits en 1 ann e de licence de DEUG d un DUT ou d un autre dipl me de fin de premier cycle l ann e n 3 n 2 Le principe est de d nombrer parmi les tudiants dipl m s en licence l ann e n ceux qui taient inscrits l universit en L1 l ann e N 3 et qui ont donc obtenu leur licence en trois ans un licenci en 3 ans la session 2010 inscrit en L3 en 2009 2010 tait primo inscrit en 2007 2008 Le d nombrement n est donc pas r alis par le biais d un suivi de cohortes mais s effectue par un appariement sur l identifiant national tudiant INE du fichier des dipl m s en L3 l ann e n avec celui des inscrits en ann e n 3 Tous les dipl m s en licence n ont pas suivi l int gralit d un cursus L l universit ils peuvent aussi provenir de DUT de BTS ou de CPGE Les r orientations n tant pas int gr es dans le calcul un tudiant ayant sa licence en 3 ans ne sera pas comptabilis dans le num rateur s il n tait pas inscrit l universit la 1 ann e La valeur de l ann e n est disponible en novembre n 1 et pour analyse au RAP n 1 Source des donn es MESR DGESIP DGRI Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques SD SIES Diverses mesures ont t prises depuis 2008 dans le cadre du plan pluriannuel pour favoriser la r ussite en
192. dans la distribution des places dans la hi rarchie conomique et sociale La demande s amplifiant vis vis de l cole les enfants d origine modeste s engagent dans la scolarit avec des difficult s plus importantes Il n y a pas de fatalit l chec scolaire notre cole doit permettre tous les l ves de trouver et de prendre le chemin de la r ussite Conduire tous les l ves la ma trise des connaissances et des comp tences du socle commun constitue le premier objectif de l cole primaire Les difficult s devant tre rep r es le plus t t possible et trait es d s les premi res ann es d apprentissage une importance particuli re doit tre accord e l accueil des enfants de moins de trois ans qui doivent pouvoir tre scolaris s en particulier dans les zones qui rencontrent le plus de difficult s Cet accueil est l occasion d tablir des liens privil gi s avec les parents afin de b tir avec eux les conditions de la r ussite dans la dur e C est par une progression bien ma tris e et par des r ponses adapt es des besoins clairement identifi s que l cole maternelle remplira au mieux sa mission qui ne peut tre une simple pr paration l cole l mentaire L cole maternelle est celle des premiers apprentissages et de l installation de la confiance en soi Elle m rite de retrouver une attention particuli re et sp cifique pour que les l ves s y inscrivent dans un parcours de la r ussi
193. dans les DOM et Wallis et Futuna ainsi que les chantiers de d veloppement local CDL les jeunes stagiaires du d veloppement JSD et le programme de formation des cadres locaux Cadre Avenir en Nouvelle Cal donie en Polyn sie fran aise et aux les Wallis et Futuna 40 Cadres qui visent ainsi accro tre les comp tences afin de faciliter l inclusion dans l emploi PLF 2013 49 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT L acc s l emploi des jeunes est ainsi facilit par des actions de formation qualifiantes non disponibles pour la plupart d entre elles ou satur es dans les collectivit s d origine Les jeunes ultramarins qui souhaitent y acc der pour am liorer leur employabilit doivent s journer en m tropole dans l Union europ enne ou l tranger Le programme Emploi outre mer finance donc plusieurs dispositifs sp cifiques d aides la formation professionnelle en mobilit Le PMFP est compl t par la prise en charge des frais de transport du stagiaire Ce volet du dispositif est financ sur les cr dits de l action n 03 du programme 123 Conditions de vie outre mer de la mission outre mer Ce financement d un trajet aller retour partir de sa collectivit d origine concerne galement les tudiants inscrits dans un tablissement d enseignement sup rieur dans une fili re non disponible dans la collectivit de r sidence cette fois dans le cadre
194. de l acc s au logement Les aides personnelles au logement ont pour finalit de diminuer les d penses de logement loyers charges locatives ou mensualit s d emprunt des m nages disposant de revenus modestes Il importe donc de pouvoir en mesurer l impact par le calcul du taux d effort support par leurs b n ficiaires apr s versement des aides taux d effort net Les bar mes des aides personnelles au logement sont con us de fa on garantir une distribution qui soit la plus quitable possible en tenant compte au mieux des revenus et de la situation particuli re de chaque cat gorie de b n ficiaires Quelques dispositions et am nagements des r gles de calcul de l allocation sont toutefois plus sp cifiquement applicables aux jeunes tudiants actifs de moins de 25 ans jeunes en alternance L actualisation annuelle des bar mes des aides personnelles au logement avec une indexation compter de 2008 des param tres repr sentatifs de la d pense de logement sur l volution de l indice de r f rence des loyers IRL permet de r pondre l objectif de stabilisation des taux d efforts nets des m nages De surcro t depuis 2008 l IRL suit l inflation ce qui permet galement de limiter les taux d effort bruts c est dire avant versement des aides personnelles des diff rentes cat gories de b n ficiaires Pour 2012 la ventilation pr visionnelle des cr dits d aides personnelles au logement est quivalente 2
195. de l int gration Politique fran aise en faveur du d veloppement Politique immobili re de l tat Pr vention de la d linquance S curit civile S curit routi re Ville Conform ment cet article ce document comporte les l ments suivants Une pr sentation de la politique transversale la liste des programmes qui y contribuent et la pr sentation de la mani re dont ceux ci participent aux travers de diff rents dispositifs cette politique transversale et la mettent en uvre m une pr sentation qui expose la strat gie globale d am lioration des performances de la politique transversale suivie de la pr sentation par axe strat gique des objectifs et indicateurs de performance retenus et des valeurs associ es s agissant des politiques transversales territorialis es Outre mer Ville les indicateurs du document de politique transversale sont adapt s de sorte pr senter les donn es relatives au seul territoire consid r une pr sentation des principales d penses fiscales concourant la politique transversale une table de correspondance des objectifs permettant en tant que de besoin de se r f rer aux diff rents projets annuels de performances pour obtenir des compl ments d information annexe 1 une pr sentation d taill e de l effort financier consacr par l tat la politique transversale pour l ann e venir PLF 2013 l ann e en cours LFI 2012 et l ann e pr
196. de proximit 20 3 Centres collectifs de vacances 33 6 Camps de vacances 3 5 Accueil et loisirs ducatifs hors ALSH 5 8 Op ration Ville vie vacances 2 1 Fonction globale temps libre contrats temps libre et volet jeunesse des 419 9 CEJ FACE investissement Financement d actions en faveur des adolescents exp rimentation 3 5 Accompagnement la scolarit 21 3 2 PRESTATIONS AUX FAMILLES EN LIEN AVEC LES JEUNES DONT 399 6 Soutien la parentalit hors accompagnement la scolarit 42 0 Aide domicile 132 0 Centres sociaux 225 6 3 ACTIONS EN DIRECTION DES JEUNES ADULTES DONT 51 0 Foyers de jeunes travailleurs 32 5 Prestations extra l gales aux tudiants 3 8 TOTAL 1 367 8 POLITIQUES ET ACTIONS DES COLLECTIVIT S TERRITORIALES EN FAVEUR DE LA JEUNESSE Dans l laboration et la mise en uvre des politiques publiques en faveur de la jeunesse en propre ou en partenariat avec l tat les collectivit s territoriales occupent une place importante Leur intervention s inscrit dans le cadre de la d centralisation engag e par les lois Deferre de 1982 83 qui all geaient la tutelle de l tat sur les collectivit s donnaient au d partement et la r gion une autorit ex cutive et transf raient un certain nombre de comp tences Ce cadre institutionnel a t r nov par la loi constitutionnelle du 28 mars 2003 inaugurant l Acte II de la d centralisation la loi du 13 ao t 2004 relative aux libert s et aux respons
197. de r ussite 2011 a t appliqu par hypoth se En 2012 la session du baccalaur at professionnel a vu pour la derni re fois le cumul de deux flux de candidats ceux issus de l ancien cursus BEP bac pro en quatre ans et ceux issus du nouveau parcours en trois ans Du fait de ce cumul 48 271 candidats suppl mentaires taient attendus la session 2012 par rapport 2011 ce qui devrait provoquer une nouvelle hausse sensible du taux d acc s global 76 Les ann es suivantes devraient tre marqu es par un retour un r gime plus stable d o des chiffres 2013 et 2015 un peu moins lev s mais t moignant toutefois d un progr s significatif dans l acc s au baccalaur at par rapport au d but des ann es 2000 Le minist re fixe une cible pour le taux d acc s total au baccalaur at mais ne souhaite pas fixer de cible concernant la r partition par fili re Cette r partition fait l objet d changes avec les recteurs au dialogue annuel de gestion et de performance INDICATEUR 8 4 Taux d acc s un bac g n ral ou technologique des l ves de 2nde g n rale et technologique GT Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d acc s un bac g n ral ou 85 2 87 4 86 5 88 88 5 89 5 technologique des l ves de 2nde GT Source MEN DEPP Champ tablissements du second deg
198. de repr sentation que constitue le CVL Explication des valeurs cibles Les pr visions 2012 et 2013 ainsi que la cible 2015 sont fix es au regard du taux de participation aux lections de l automne 2011 et de la poursuite des effets attendus de la r forme du lyc e sur le r le des CVL INDICATEUR 17 2 Taux de satisfaction de l usager de la JDC Programme 167 du point de vue de l usager PLF 2013 141 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Qualit de la prestation offerte par la DSN 84 4 85 5 84 86 87 90 et par les arm es Impact de la JDC sur l image de la 86 3 86 1 85 86 87 90 D fense et des arm es Indicateur PLF2012 conserv au PLF2013 En application de la loi n 2010 241 du 10 mars 2010 la JAPD est d sormais appel e journ e d fense et citoyennet Cette appellation est g n ralis e au 1er janvier 2011 Indicateur 1 1 1 Qualit de la prestation offerte par la DSN et par les arm es Cet indicateur permet de mesurer la satisfaction de l usager l issue de sa JDC La Journ e D fense et Citoyennet g n ralis e en janvier 2011 pour remplacer la JAPD se caract rise par un contenu plus dynamique et moderne et permet une plus grande participation des jeunes Apr s une p riode d appropr
199. de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Proportion des missions de service civique Non 79 85 80 80 80 r alis es par rapport aux missions agr es significatif Une mission de service civique rev t un caract re de mission d int r t g n ral et prend place au sein de grandes th matiques et d actions reconnues prioritaires pour la Nation Mission agr e mission intitul de contenus localisation dur e organisme d accueil qui a t valid e par un agr ment d livr par l Agence du service civique ASC ou ses d l gu s territoriaux pr fets de r gion apr s instruction des DRJSCS et DCS DDCSPP Mission r alis e mission d engagement de service civique effectivement accomplie par un jeune pendant une dur e sup rieure un mois Mode de calcul nombre de mois effectivement engag s l ann e n nombre de mois agr s pour des missions d marrant l ann e n 142 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Sources des donn es le contr le du nombre de missions agr es par l ensemble des d l gu s territoriaux et pr sident de l ASC est tabli sur la base des restitutions de l application OSCAR mise en place par l ASC Le contr le du nombre de missions engag es est tabli sur la base des restitutions fournies par l ASP L ASC est responsable des agr ments de
200. des coles nationales sup rieures d art 3 ligne r sultats pour les dipl m s des tablissements d ESC dans le domaine du spectacle vivant et du cin ma 4 ligne r sultats globaux P rim tre des dipl mes pris en compte dans l enqu te Architecte DPLG DSA Architecture et patrimoine de l cole de Chaillot r alisateur designer DNAT cr ateur concepteur d expressions plastiques DNSEP concepteur cr ateur en arts d coratifs dipl me ENSAD dipl me national d arts plastiques dipl me ENSBA dipl me de l ENS de photographie Arles cr ateur industriel dipl me ENSCI designer textile dipl me ENSCI ANAT dipl me du Fresnoy 6 dipl mes du CNSMD de Paris danseur interpr te musicien interpr te chef d orchestre 130 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE musicologue notateur du mouvement dans musicien ing nieur du son 4 dipl mes du CNSMD de Lyon danseur interpr te musicien interpr te chef de ch ur musicologue dipl me du CNSAD dipl me d tat de professeur de danse dipl me d tat de professeur de musique dipl me de fin d tudes de l cole de danse de l Op ra de Paris directeur des coles de musique danse et art dramatique et des conservatoires nationaux de r gion CA professeur d enseignement artistique CA CA Musique CA Danse CA Art dramatique CA Direction d cole DMA cirque DMA marionnette DU de musicien intervenant Dipl
201. des entrants issus des CPGE ou titulaires du baccalaur at seul pour ne pas compter deux fois dans les dipl m s les tudiants y entrant sur titre Limites et biais connus C est un indicateur conjoncturel qui mesure le taux d acc s d une population fictive Il ne s agit pas du taux d acc s d une population r elle qui ne peut tre constat qu annuellement et ne pourrait tre obtenu que par un recensement de la population La r partition par ge des DEUG DEUST DUT BTS et licence est connue mais la r partition par ge pour les autres dipl mes n est pas connue et des r partitions th oriques sont appliqu es Source des donn es MESR DGESIP DGRI Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques SD SIES Si la pr vision 2012 du PAP 2012 est maintenue la pr vision 2013 est quant elle ajust e l volution constat e La cible 2015 reprend celle qui est inscrite dans la loi d orientation et de programme pour l avenir de l cole du 23 avril 2005 50 d une classe d ge dipl m e de l enseignement sup rieur d ici 10 ans L objectif de porter 50 d une classe d ge un dipl me de l enseignement sup rieur soit au moins un dipl me bac 2 BTS ou DUT ou bac 3 a t fix aux niveaux national et europ en Il suppose la fois d augmenter le taux de poursuite d tudes apr s le baccalaur at notamment technologique et d am liorer la r ussite dans le cursus licence Hist
202. des femmes la parit et l galit professionnelle Elle coordonne la mise en uvre de cette politique par l ensemble des d partements minist riels ce titre elle pr pare et suit les travaux du comit interminist riel charg des droits des femmes Au sein de la direction g n rale de la coh sion sociale DGCS le service des droits des femmes et de l galit entre les femmes et les hommes SDFE service d di cette politique en assure le pilotage par 1 une participation aux travaux d laboration des normes touchant l galit entre les femmes et les hommes tant au niveau national que sur le plan international et europ en 2 la pr paration et le suivi des travaux destin s la prise en compte tous les niveaux et dans toutes les politiques publiques de l galit entre les femmes et les hommes gender mainstreaming Ces travaux seront rythm s par les r unions du comit interminist riel aux droits des femmes qui arbitrera d s octobre 2012 un plan d action 2013 2017 fixant la feuille de route du Gouvernement en la mati re Pour ce faire chaque ministre d signera au sein de son administration un haut fonctionnaire en charge de l galit des droits qui aura la responsabilit de d finir et mettre en uvre la politique de chaque minist re en faveur de l galit dans le cadre des orientations g n rales du Gouvernement Ce haut fonctionnaire s appuiera sur les r sultats des travaux des co
203. des plates formes multim dia mon orientation en ligne permettant aux l ves d acc der ce service par internet ou t l phone ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits sont imput s sur toutes les actions du programme 214 mais figurent principalement sur les actions 6 et 8 En 2012 les cr dits en CP repr sentent 459 9 M soit 63 des cr dits hors titre 2 du programme L action 6 regroupe l ensemble des moyens d di s la mise en uvre de la politique des ressources humaines des minist res de l ducation nationale et de l enseignement sup rieur et de la recherche politique de recrutement de formation et de gestion des personnels notamment enseignants pilotage de la politique statutaire et indemnitaire et d finition de la politique d action sanitaire et sociale L action 8 comprend quant elle les moyens pour d finir mettre en uvre et piloter les politiques transversales relatives aux syst mes d information et aux quipements informatiques des programmes relevant du MEN et du MESR et l investissement immobilier dont notamment les constructions scolaires en Outre mer PLF 2013 23 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le programme est plac sous la responsabilit du secr taire g n ral du minist re Les acteurs concern s par la mise en uvre du programme sont les serv
204. dicateurs a connu en 2011 un d but d volution rendant impossible la comparaison entre 2010 et 2011 cf explications ci dessous Valeurs 2010 Comp tences 1 3 5 6 et 7 champ France m tro DOM public priv enqu te r alis e par la DEPP en juin N correspondant l ann e scolaire N 1 N au moyen d un protocole exp rimental fond sur les attestations de ma trise des comp tences du socle telles que d clar es par les enseignants des l ves d un chantillon repr sentatif de 269 coll ges 8 070 l ves Les valeurs sont assorties d intervalles de confiance calcul s au seuil de risque de 5 dont il faut tenir compte pour interpr ter d ventuelles volutions Ces intervalles sont parfois tr s larges du fait de grandes diff rences observ es entre coll ges concernant les attestations Comp tences 2 et 4 champ France m tro DOM public valeurs obtenues partir des remont es des r sultats au dipl me national du brevet Les donn es de l ann e N correspondent aux r sultats de l ann e scolaire N 1 N Valeurs 2011 Comme d cid en 2010 la DEPP a entrepris une d marche de fiabilisation des indicateurs du socle commun en commen ant par la comp tence 1 Comp tence 1 champ France m tro DOM public preuve standardis e bas e sur des seuils de niveau de ma trise des comp tences du socle fix s l automne 2011 par un groupe d experts La valeur obtenue est assortie d un interval
205. difi 08 Politique culturelle et ducative 1111130 1111130 1111 130 1111130 1111 130 1111130 libell modifi 152 Gendarmerie nationale 557 883 821 554 686 692 549 287 980 544 048 560 578 439 659 573 081 202 01 Ordre et s curit publics 252 817 772 251 364 963 249 635 246 247 200 365 262 842 522 260 407 641 02 S curit routi re 67 174 356 66 788 790 66 254 573 65 608 342 69 759 881 69 113 651 03 Missions de police judiciaire et 141 478 461 140 666 406 139 541 320 138 180 271 146 923 941 145 562 892 concours la justice 04 Commandement ressources 83 998 240 83 516 122 82 759 522 81 951 466 87 228 877 86 420 821 humaines et logistique 05 Exercice des missions militaires 12 414 992 12 350 411 11 097 319 11 108 116 11 684 438 11 576 197 176 Police nationale 242 630 016 242 630 016 225 109 328 225 109 328 269 783 948 269 783 948 01 Ordre public et protection de la 31 529 998 31 529 998 28 618 075 28 618 075 34 702 998 34 702 998 souverainet 02 S curit et paix publiques 86 111 994 86 111 994 79 366 557 79 366 557 95 147 964 95 147 964 03 S curit routi re 15 145 655 15 145 655 14731 291 14731 291 16 685 550 16 685 550 04 Police des trangers et s ret des 19 480 136 19 480 136 17 496 601 17 496 601 20 869 704 20 869 704 transports internationaux 150 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du p
206. dispositif 9 6 11 8 lt 12 lt 12 lt 10 sans insertion professionnelle PLF 2013 135 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Source des donn es Source interne tableau de suivi des corps du Service militaire adapt SMA Explications sur la construction de l indicateur Sous indicateur 2 1 1 Taux d insertion des volontaires du SMA en fin de contrat Cet indicateur mesure le taux de volontaires du SMA qui b n ficient d un emploi r mun r CDD CDI ou d un dispositif qualifiant de formation professionnelle dans les six mois suivant la sortie du SMA fin de contrat Le p rim tre de cet indicateur a t modifi au PAP 2013 l accueil par le SMA des volontaires techniciens 1 re exp rience professionnelle participant davantage une mission de soutien l emploi qu une mission d insertion les volontaires techniciens ont t sortis du calcul de ce sous indicateur Seuls les volontaires stagiaires sont d sormais pris en compte L historique des r sultats calcul s sur ce nouveau p rim tre a t int gr au PAP 2013 ce qui explique un affichage diff rent par rapport aux documents budg taires ant rieurs Sous indicateur 2 1 2 Taux de sorties anticip es du dispositif sans insertion professionnelle Ce sous indicateur cr au PAP 2013 compl te l analyse du pr c dent en indiquant le taux de sortie anticip e du SMA c est dire le pourcentag
207. dits de l action 6 destin s la mise en uvre des politiques de ressources humaines conduites au niveau minist riel accompagnent le personnel du minist re dans les domaines de la formation du personnel civil de l action sociale de la mise en uvre des mesures de restructurations ainsi que de l accompagnement et le reclassement professionnel du personnel militaire Ces cr dits permettent en partie de financer le dispositif PACTE JUNIOR Au travers de l action 8 le programme 212 contribue la promotion et la valorisation du patrimoine culturel Les cr dits associ s cette action sont ainsi destin s sensibiliser en particulier le jeune public l histoire militaire et la connaissance de l arm e d aujourd hui par la mise en uvre de la politique culturelle de la d fense et la mise en valeur de son patrimoine ACTION MEN E AU TITRE DU PROGRAMME Le programme 212 contribue la mise en uvre du parcours d acc s aux carri res territoriales hospitali res et de l tat PACTE Le PACTE JUNIOR est un mode de recrutement par contrat d une dur e de 1 2 ans avec possibilit de se voir proposer un emploi de fonctionnaire titulaire l issue du contrat Le PACTE JUNIOR s adresse aux jeunes de 16 25 ans sortis du syst me ducatif sans dipl me ou sans qualification professionnelle ou avec un niveau de qualification inf rieur au baccalaur at Dans le cadre de ce contrat les jeunes b n ficient d
208. e II donne en particulier une place significative aux primo entrants sur le march du travail dont les jeunes constituent une part importante ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Le programme 102 Acc s et retour l emploi regroupe l ensemble des politiques publiques visant favoriser l insertion professionnelle des personnes rencontrant des difficult s pour se maintenir ou acc der au march du travail Dans une logique europ enne d am lioration des taux d emploi ce programme ne limite pas son champ aux seuls demandeurs d emploi mais concerne galement les inactifs susceptibles d tre incit s se pr senter sur le march du travail jeunes sortis du syst me ducatif sans qualification travailleurs handicap s ch meurs de longue dur e b n ficiaires de minima sociaux dont les droits ont t renforc s par la loi n 2008 1249 du 1er d cembre 2008 g n ralisant le revenu de solidarit active II donne en particulier une place significative aux primo entrants sur le march du travail dont les jeunes constituent une part importante ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L action 1 Am lioration de l efficacit du service public de l emploi gt vise d une part utiliser l indemnisation comme levier d acc s l emploi et d autre part mobiliser les moyens d action du service public de l emploi et de ses op rateurs en faveur du rapprochement entre offres et demandes d
209. e au coll ge et au lyc e en luttant contre toute violence Ces deux grandes responsabilit s engagent l ensemble de la communaut ducative c est dire autant les usagers de l cole les l ves et leur famille ses partenaires que l institution scolaire elle m me et ses acteurs Les indicateurs retenus permettent de d examiner l volution de signaux d alerte particuli rement significatifs l absent isme et les manifestations de violence Les accueils collectifs de mineurs quant eux doivent offrir leurs participants des loisirs et des vacances ducatifs de qualit dans un environnement s curis Le nombre d accidents ou d infractions constat s y reste faible Les contr les op r s par diff rents services de l tat selon leurs domaines d intervention participent de cette situation Ils sont particuli rement orient s sur la qualit des activit s ducatives et sur la qualification de l encadrement sujet une forte rotation Il est donc n cessaire de maintenir un nombre suffisant de contr les et le cas ch ant de l augmenter L indicateur retenu donne le pourcentage de contr les effectu s par rapport au nombre d accueils d clar s 114 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Pour d velopper le rep rage des risques de maltraitance des enfants le service national d accueil t l phonique de l enfance en danger SNATED cr par la loi du 10 juillet 1
210. e de la s curit sanitaire des produits de la qualit nutritionnelle des denr es mais galement de leurs qualit s gustatives et de leur praticit ou encore de la r duction des emballages et de la lutte contre le gaspillage Am liorer la connaissance et l information sur l alimentation en formant les jeunes consommateurs de demain en informant et en duquant les consommateurs C est dans ce cadre que des classes du go t ont t d velopp es en 2011 et 2012 dans les CE2 pour lutter contre la n ophobie alimentaire et pour d velopper les capacit s psychosociales des enfants A titre exp rimental entre f vrier et d cembre 2011 des enseignants volontaires ont t form s pendant 4 jours dans 6 r gions pilotes Une centaine d enseignants et d infirmi res scolaires ont ainsi pu mener des classes du go t aupr s de 2 250 enfants de CE2 Plus de 300 classes du go t sont actuellement en cours sur l ensemble du territoire soit plus de 7 500 enfants de CE2 faisant partie essentiellement du r seau ECLAIR coles Coll ges Lyc es Ambition Innovation et R ussite du minist re de l ducation nationale L objectif de cette action est de d ployer les classes du go t dans l ensemble des 2 000 classes de CE2 du r seau ECLAIR soit 50 000 enfants Pr server et promouvoir le patrimoine alimentaire et culinaire fran ais en valorisant les produits et les savoir faire culinaires en faisant de l alimentation un axe fort du tourism
211. e de volontaires stagiaires qui renoncent effectuer la totalit du parcours SMA et qui partent sans tre ins r s INDICATEUR 14 7 Taux d insertion professionnelle des jeunes ayant b n fici d une mesure de formation professionnelle en mobilit 6 mois apr s la sortie de la mesure Programme 138 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d insertion professionnelle des jeunes 52 54 60 60 62 70 ayant b n fici d une mesure de formation professionnelle en mobilit 6 mois apr s la sortie de la mesure Source des donn es Source externe LADOM LADOM r alise des enqu tes aupr s des b n ficiaires des mesures de formation professionnelle en mobilit et le suivi est informatis L indicateur est calcul uniquement pour les b n ficiaires dont les situations sont connues Le pourcentage de r ponses aux enqu tes sur le devenir des b n ficiaires des mesures nombre des dossiers renseign s a donc une cons quence directe sur le calcul de l indicateur Explications sur la construction de l indicateur L insertion professionnelle laquelle l indicateur fait r f rence est une solution durable au regard de l emploi et se comprend donc au sens large car il peut s agir d un CDI d un CDD de plus de 6 mois ou d une action de formation qualifiante L indicateur est calc
212. e Nombre s o 2 472 s o s 0 s 0 s 0 de notifications d affectation en ULIS 6 2nd degr Pour information 1 3 1 4 s o s 0 s o s o Proportion d l ves handicap s parmi les l ves de coll ge 7 2nd degr Pour information 0 4 0 5 s o s 0 s o s 0 Proportion d l ves handicap s parmi les l ves de LEGT 8 2nd degr Pour information 0 9 1 2 s o s 0 s o s o Proportion d l ves handicap s parmi les l ves de LP Source MEN DEPP Champ Enseignement priv France m tropolitaine DOM Un nouvel indicateur a t introduit au PAP 2012 la suite de la recommandation 12 de l audit 122 du comit interminist riel d audit des programmes CIAP de remplacer l indicateur relatif la scolarisation des l ves handicap s par un indicateur correspondant un taux de satisfaction mesurant l cart entre les besoins exprim s en ce domaine et les int grations scolaires effectu es Mode de calcul Le taux de couverture des notifications d affectation en classes d int gration scolaire CLIS et en unit s localis es d int gration scolaire ULIS des commissions des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH rapporte le nombre d l ves scolaris s en CLIS et en ULIS au nombre total de notifications d affectation en CLIS et en ULIS exprim en pourcentage 100 x nombre d l ves handicap s scolaris s en CLIS et en ULIS nombre de notifications d affectation
213. e c toyer en se donnant pour objectif d accroitre le taux de licence des jeunes de moins de 20 ans l encadrement et la s curit des activit s physiques et sportives dans le cadre des accueils collectifs de mineurs ACM ou au service des ACM La direction des sports en lien avec la direction de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie associative veille la qualit et la s curit des activit s physiques et sportives au sein des accueils de mineurs en assurant l adaptation de sa r glementation et en orientant le contr le des tablissements et des ducateurs au niveau d partemental l adaptation de l offre de formation aux volutions des m tiers de l encadrement sportif qui contribue l insertion des jeunes Le recueil de donn es r gionales sur l emploi les m tiers et les qualifications dans les secteurs du sport et de l animation am liore la d finition des besoins en mati re de formation au regard de l emploi et contribue au pilotage r gional de l offre de formation Pour ce faire le minist re charg des sports finance et anime un r seau de dispositifs r gionaux d observation de l emploi et de la formation pilot s par les directions r gionales de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale Le programme Sport contribue au fonctionnement du groupement d int r t public Centre d analyse des formations des emplois des m tiers de l animation et du sport GIP CAFEMAS cr e par arr t
214. e cible particuli re Programme 212 Soutien de la politique de la d fense Les donn es de l action 6 du programme 212 correspondent aux d penses engag es au titre du PACTE JUNIOR Les donn es de l action 8 du programme 212 correspondent la mesure de gratuit des mus es Programme 152 Gendarmerie nationale La valorisation financi re est r alis e sur la base de co ts moyens complets appliqu s aux effectifs ETPT agissant en faveur de la politique transversale Ils sont obtenus partir des d penses de personnels y compris pensions auxquelles sont ajout s sur une base forfaitaire par ETPT des co ts de fonctionnement et des cr dits d investissement tels que d finis pas l ex cution 2011 la LFI 2012 et le PLF 2018 Le p rim tre des ETPT comprend ceux des brigades de pr vention de la d linquance juv nile BPDJ des gendarmes adjoints volontaires des classes pr paratoires int gr es des aspirants gendarmerie issus du volontariat d un prorata ceux de moins de 30 ans des r servistes op rationnels ainsi que ceux issus des activit s d accompagnement reconversion des personnels et d animation des pistes routi res en tablissement scolaire Programme 176 Police nationale La contribution financi re prend en compte les recrutements des adjoints de s curit ADS et des cadets de la r publique soit le titre 2 y compris les charges sociales Programme 151 Fran ais l trang
215. e d une part le montant moyen consacr par enfant scolaris des actions relevant de l EAC dirig s vers les territoires prioritaires et d autre part le montant par enfant des cr dits affect s l ensemble du territoire puis il d termine le rapport entre ces deux montants l indicateur mesure ainsi un coefficient Les chiffres obtenus se r partissent de part et d autre de 1 Ainsi un r sultat sup rieur 1 montre que l effort fait en direction des zones prioritaires est plus important que l effort g n ral en revanche un r sultat inf rieur 1 d notera que l effort en direction des zones prioritaires est moins important que l effort moyen en la mati re sur l ensemble du territoire D s lors s agissant des chiffres pr vus sur la p riode 2009 2011 pour chaque Euro investi sur l ensemble des territoires non prioritaires entre 1 et 2 environ sont investis dans les territoires prioritaires Sources des donn es L application OPUS du minist re permet le calcul de cet indicateur via la collecte d information par les DRAC 3 DRAC n ont pas t en mesure de renseigner les indicateurs relatifs l ducation artistique et culturelle PACA Bourgogne Limousin PLF 2013 123 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT ACCOMPAGNER LES JEUNES VERS L AUTONOMIE L acc s l autonomie est aujourd hui la confluence des envies et des besoins des jeunes Si les jeunes ne peuvent
216. e de l entreprise ou de l insertion sociale peuvent galement tre cit s titre d exemple la convention nationale liant la DPJJ avec le groupe La Poste sign e le 14 juin 2011 ou encore la convention nationale avec la Croix Rouge fran aise du 20 novembre 2008 qui pr voit notamment la mise en uvre de mesures de r paration de TIG et d activit s socioculturelles ou de sensibilisation aux probl matiques sociales et de sant Il en va de m me dans les champs du sport et de la culture dans lesquels la PJJ noue et d veloppe des partenariats favorisant la socialisation par le biais d activit s vari es dans un esprit d ducation la citoyennet ainsi les accords cadres entre la DPJ et l Union fran aise des uvres la ques d ducation physique f d ration multisports de la Ligue de l Enseignement UFOLEP ou encore l association Foot citoyen L accord cadre qui unit la DPJJ et l UFOLEP sign le 20 novembre 2009 permet notamment de mobiliser l important r seau de l UFOLEP pour soutenir l organisation d activit s sportives en lien avec les tablissements et services de la PJJ Le partenariat avec l association Foot citoyen renouvel le 22 mai 2012 se d cline essentiellement par l organisation de module de stages de citoyennet et de formation civique mais galement la mise en uvre mesures de r parations p nales PLF 2013 65 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT
217. e de l l ve 230 1 17 Liens entre la Nation et son arm e 167 1 PLF 2013 145 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT VALUATION DES CR DITS CONSACR S LA POLITIQUE TRANSVERSALE Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du programme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement d engagement de paiement d engagement de paiement 163 Jeunesse et vie associative 201 627 186 200 532 930 216 720 879 216 720 879 217 822 860 217 822 860 02 Actions en faveur de la jeunesse 77 665 397 78 008 546 78 071 500 78 071 500 72 822 860 72 822 860 et de l ducation populaire 04 Actions particuli res en direction 123 961 789 122 524 384 138 649 379 138 649 379 145 000 000 145 000 000 de la jeunesse 124 Conduite et soutien des 60 036 526 60 036 526 97 538 247 97 538 247 92 372 875 92 372 875 politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative 06 Soutien des politiques sanitaires 13 963 948 13 963 948 27 103 016 27 103 016 sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative ancien 09 Gestion des politiques de la 46 072 578 46 072 578 70 435 231 70 435 231 jeunesse et de la vie associative ancien 19 Personnels mettant en oeuvre les 76 759 568 76 759 568 politiques du sport de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie a
218. e de septembre de l ann e scolaire 2012 2013 Le dispositif de bourses sera pour sa part r form la rentr e 2013 2014 ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits de l aide la scolarit sont imput s sur une seule action l action 2 du programme 151 Acc s des l ves fran ais au r seau A FE Cette action ne fait pas pour l instant l objet d l ment de performance La mise en place progressive de la r forme de la prise en charge des frais de scolarit dans les classes de lyc e s est accompagn e d une augmentation des cr dits consacr s l aide la scolarisation 52 M en 2007 67 M en 2008 86 M en 2009 107 9 M en 2010 117 7 M en 2011 125 5 ME inscrits en LFI 2012 PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME L Agence pour l enseignement fran ais l tranger A FE le service de l aide la scolarit assure la gestion des deux dispositifs Les postes consulaires ils re oivent et instruisent les dossiers de demande de bourses scolaires et de prise en charge avant de les transmettre l A FE via l application informatique SCOLA Le programme PVT Des accords bilat raux visant permettre des changes de jeunes entre la France et diff rents tats partenaires dans le cadre d un programme vacances travail PVT ont t conclus entre la France et cinq pays depuis 1999 le Japon 8 janvier 1999 l
219. e en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT POLITIQUE DE LA VILLE LIBELL MODIFI 147 La mission galit des territoires logement et ville vise au travers du programme 147 Politique de la ville r duire les in galit s sociales et les carts de d veloppement entre les territoires et r int grer les habitants des quartiers sensibles dans la dynamique des agglom rations auxquelles ils appartiennent Les territoires concern s par la politique de la ville pr sentent en effet d importants carts de d veloppement par rapport leur environnement tant d un point de vue conomique que social ch mage chec scolaire probl mes de sant etc qu il convient de r duire en adaptant les interventions publiques leurs sp cificit s et aux besoins de leurs habitants La mise en uvre du programme Politique de la ville vise par cons quent r duire la vuln rabilit sociale et conomique des habitants des quartiers sensibles par l adaptation et le dimensionnement de l offre de services aux besoins des populations acc s aux droits acc s aux soins lutte contre l chec scolaire lutte contre l illettrisme et l analphab tisme pr vention de la d linquance et ce notamment afin de les accompagner plus efficacement dans leurs d marches d insertion socioprofessionnelle renforcer la mixit fonctionnelle et sociale de ces quartiers par la diversification de l o
220. e fran aise il convient d interpr ter les autres sous indicateurs avec prudence car leurs valeurs bas es sur les attestations des enseignants et sur les r sultats du dipl me national du brevet sont peu coh rentes avec d autres valuations En mati re de parcours et de certification l efficacit du second degr public se juge galement sa capacit faire r ussir les l ves sans allongement de la dur e de leur scolarit imputable des redoublements ou des r orientations et a fortiori son aptitude conserver ces l ves en son sein jusqu l obtention d un dipl me Le nouvel indicateur 3 5 rend compte du taux d acc s un CAP un baccalaur at professionnel ou un BTS des jeunes de 1 re ann e des cycles de formation correspondants par la voie scolaire d une part et par la voie de l apprentissage d autre part C est l le signe de la volont de l institution de proposer des modalit s de formation qui multiplient les chances des jeunes d acc der une qualification en tenant compte de leurs comp tences et de leurs souhaits Les sorties pr coces du syst me de formation initiale sont valu es par l indicateur 3 7 qui indique que 12 des jeunes de 18 24 ans ont quitt le syst me scolaire sans CAP BEP ou dipl me plus lev L attention port e la fluidit des parcours participe aux c t s d autres initiatives d une politique indispensable de pr vention du d crochage m me
221. e l apprentissage du versement de l indemnit formation professionnelle compensatrice forfaitaire 788 Contractualisation pour le Bertrand MARTINOT Financement national du d veloppement et 34 d veloppement et la modernisation D l gu g n ral l emploi et la de la modernisation de l apprentissage de l apprentissage formation professionnelle 789 incitations financi res en direction Bertrand MARTINOT Financement national du d veloppement et 35 des entreprises respectant les quotas en alternance D l gu g n ral l emploi et la formation professionnelle de la modernisation de l apprentissage 8 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Num ro et intitul du programme Responsable Mission cf page 155 Conception gestion et valuation Jo l BLONDEL Travail et emploi 35 des politiques de l emploi et du Directeur de l administration g n rale et de travail la modernisation des services 304 Lutte contre la pauvret revenu Sabine FOURCADE Solidarit insertion et galit des chances 36 de solidarit active et Directrice g n rale de la coh sion sociale exp rimentations sociales 137 galit entre les femmes et les Sabine FOURCADE Solidarit insertion et galit des chances 37 hommes Directrice g n rale de la coh sion sociale 106 Actions en faveur des familles Sabine
222. e la diff rence entre un prix dit de r f rence tenant compte de la politique commerciale et le prix moyen octroy au titre de la tarification sociale Sur la base du ratio voyageur km attribu aux abonnements l ve apprenti 38 de l action 13 Soutien r gulation contr le et s curit des services de transports terrestres sous action 7 Compensations sociales en faveur de la politique de mobilit participent la politique en faveur de la jeunesse soit 26 6 M en AE comme en CP PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le partenaire du programme est la Soci t nationale des chemins de fer fran ais SNCF PLF 2013 79 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT PR SENTATION DES PRINCIPALES D PENSES FISCALES CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE En millions d euros D penses fiscales concourant la politique transversale Chiffrage Chiffrage Chiffrage pour 2011 pour 2012 pour 2013 110242 R duction d imp t pour frais de scolarit dans l enseignement sup rieur 195 210 210 Imp t sur le revenu Objectif D velopper l enseignement sup rieur B n ficiaires 2011 1 143 520 m nages M thode de chiffrage Simulation Fiabilit Tr s bonne Cr ation 1992 Derni re modification 2002 Fin d incidence budg taire d pense fiscale non born e Fin du fait g n rateur d pense fiscale non born e CGI 199 quater F
223. e plus embl matique principalement en raison de l objectif de 80 d une g n ration au niveau du baccalaur at figurant dans le rapport annex la loi d orientation et de programme pour l avenir de l cole du 23 avril 2005 Cet objectif a t atteint pour la premi re fois et m me d pass en 2012 avec 85 1 d une g n ration au niveau du baccalaur at contre 79 1 en 2011 S agissant de l obtention du dipl me les chiffres provisoires de la session 2012 indiquent que la proportion d une g n ration obtenant le baccalaur at s tablit 77 5 Cette nouvelle progression historique s explique par la forte hausse du nombre des bacheliers de la voie professionnelle plus de 188 000 en 2012 hausse elle m me li e l augmentation importante entre 2010 et 2011 du nombre de candidats dans cette voie 31 soit pr s de 57 000 candidats cette situation particuli re d j observ e en 2011 s explique par le cumul des l ves ayant suivi le cursus en quatre ans BEP suivi d un baccalaur at professionnel pour environ la moiti d entre eux et de ceux ayant suivi le nouveau cursus en trois ans S agissant de l valuation du degr de ma trise par les l ves des connaissances et comp tences du socle commun en fin de troisi me l outillage statistique d velopp en 2012 continuera tre consolid en 2013 Suite la mise en place d valuations standardis es portant dans un premier temps sur la ma trise de la langu
224. e se modifient fortement ce taux conjoncturel est d form par rapport au taux d acc s r el d une g n ration En outre en l absence de bases de donn es d mographiques par PCS pour les bacheliers les r partitions par PCS sont estim es depuis 2010 sur les l ves entr s en 6 la rentr e pr c dant la session de baccalaur at ex rentr e 2010 pour baccalaur at 2011 Les taux d acc s au baccalaur at sont obtenus en rapportant les effectifs des admis cet examen aux effectifs d mographiques des g n rations correspondantes Ils sont donc tr s sensibles la qualit des donn es d mographiques Or ces donn es diffus es par l INSEE font souvent l objet de r visions int grant de nouvelles informations La diffusion des premiers r sultats du recensement permanent de la population RPP a ainsi provoqu des changements importants dans les estimations d mographiques Jusqu pr sent les donn es utilis es taient fond es sur le recensement de 1999 l tat civil et une estimation des flux migratoires Les donn es maintenant disponibles pour les valeurs 2010 et 2011 sont principalement cal es sur le RPP et sont le plus souvent sup rieures aux pr c dentes estimations les flux migratoires semblent avoir t sous estim s par le pass Explication des valeurs cibles le choix a t fait par souci de coh rence avec l indicateur 2 6 de cibler uniquement le taux d acc s global au baccalaur at et inversement
225. e sur nos territoires et en promouvant le patrimoine alimentaire fran ais l international Ces quatre axes sont compl t s de deux volets transversaux portant sur la recherche et la communication PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les collectivit s locales les tablissements scolaires SPORT 219 Les finalit s du programme Sport r sultent directement des dispositions des articles L 100 1 et L 100 2 du code du sport Les activit s physiques et sportives constituent un l ment important de l ducation de la culture de l int gration et de la vie sociale Elles contribuent notamment la lutte contre l chec scolaire et la r duction des in galit s sociales et culturelles ainsi qu la sant La promotion et le d veloppement des activit s physiques et sportives pour tous notamment pour les personnes handicap es sont d int r t g n ral Le programme Sport contribue la politique en faveur de la jeunesse essentiellement par la promotion de la pratique d activit s physiques et sportives notamment en direction des jeunes scolaris s Il s agit d accro tre la pratique d activit s physiques et sportives tout particuli rement au sein des clubs en renfor ant la dimension ducative et le r le du sport en mati re d insertion et de coh sion sociale et de permettre l acc s au plus grand nombre La mise en place progressive des diagnostics territoriaux approfondis v
226. effective des femmes face aux violences Ce fonds sera en appui de la feuille de route dress e l issue de la conf rence sociale La direction g n rale de la coh sion sociale SDFE est responsable du document de politique transversale galit entre les femmes et les hommes PLF 2013 39 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT ACTIONS EN FAVEUR DES FAMILLES VULN RABLES 106 Les parents peuvent tre soumis des contraintes diverses li es notamment aux conditions de leur activit professionnelle ou leurs choix conjugaux Il est parfois plus complexe que par le pass de s appuyer sur des mod les tablis de construction de la cellule familiale Aussi est il n cessaire d accompagner les parents dans leur fonction parentale dans un objectif de bien vivre pour les enfants et les jeunes Le programme 106 a pour objectifs d accompagner ces parents de leur offrir les services leur permettant d articuler leurs vies professionnelle et familiale et d assurer au mieux leur responsabilit ducative d assurer aux enfants une protection et des conditions de vie de nature permettre leur bon d veloppement Le programme vise plus particuli rement soutenir et suppl er les familles qui rencontrent des difficult s financi res sociales relationnelles dans l ducation de leurs enfants Il vise galement pr venir et lutter contre les maltraitances dont peuvent
227. el de la fr quentation des lieux de diffusion le spectacle vivant et les arts plastiques font l objet d enseignements qui se d clinent dans des partenariats avec le minist re de l ducation nationale et dans le suivi p dagogique des conservatoires et des coles d art Mis en uvre avec le concours des structures culturelles ou de compagnies conventionn es les enseignements de danse et de th tre comptent respectivement 40 sections pour la danse et 496 pour le th tre On peut consid rer que 10 000 l ves sont concern s par les cursus dits de sp cialit pour la fili re litt raire ou facultatifs ouverts l ensemble des lyc ens Hors temps scolaire plus de 1 5 million d enfants et de jeunes de moins de 15 ans sont inscrits dans les conservatoires et coles de musique de danse de th tre ou d arts plastiques Par ailleurs plusieurs milliers de th tres sp cialis s ou pluridisciplinaires compagnies th trales chor graphiques ensembles musicaux r seaux socio culturels proposent aux jeunes des activit s ducatives et de d couverte par la pratique Sensibilisation artistique et culturelle Le r seau des f d rations d ducation populaire les organismes d partementaux et r gionaux pour le d veloppement des arts vivants et f d ration d amateurs sont des leviers pr cieux pour d velopper les actions artistiques et ducatives ces associations qui s adressent l ensemble des temps de vie des enfants
228. ement sur l exercice des missions d insertion scolaire sociale et professionnelle confi es par le l gislateur l enseignement agricole par la loi d orientation agricole du 10 juillet 1999 et confirm dans la loi de modernisation de l agriculture et de la p che du 27 juillet 2010 Dans ces domaines l efficacit socio conomique de l enseignement agricole est mesur e travers l indicateur 12 2 qui permet de suivre deux finalit s de l enseignement agricole la vocation professionnelle de cet enseignement qui travaille en troite collaboration avec professionnelles pour r pondre aux besoins des diff rents secteurs d activit conomique le fait qu il assure court et moyen termes le volet insertion professionnelle de ses missions d insertion les fili res INDICATEUR 12 1 carts de pourcentages entre les jeunes en situation d emploi 7 mois apr s leur sortie du lyc e hors ceux qui poursuivent des tudes selon le dipl me et les 25 49 ans en situation d emploi Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e a Non dipl m s cart 60 3 58 7 s o s o s o s o b Titulaires du Brevet ou CFG cart 50 1 50 5 S O s o s o s 0 c Titulaires d un CAP ou BEP cart 42 9 43 2 S O s o s o S O d Titulaires d un Bac Pro cart 25 7 27 4 S O s o
229. emploi Aider les ch meurs et notamment les ch meurs de longue dur e retrouver un emploi durable proposer une offre de service adapt e la fois aux demandeurs d emploi et aux entreprises suppose de pouvoir compter sur un service public de l emploi toujours plus efficace premi re action du programme C est tout l enjeu de la nouvelle convention tripartite 2012 2014 sign e le 11 janvier 2012 entre l tat l UNEDIC et P le emploi R solument tourn e vers l atteinte de r sultats concrets en mati re de retour l emploi elle recentre la strat gie de P le Emploi autour de deux grandes orientations la personnalisation de l offre de service et le rapprochement de P le Emploi de ses usagers travers une plus grande territorialisation de son intervention Cette nouvelle convention s attache mesurer la performance de l activit de P le emploi destination des jeunes en d clinant un indicateur qui est la part des demandeurs d emploi de moins de 25 ans encore inscrits sur les listes de P le emploi 12 mois apr s leur inscription S agissant des publics jeunes une convention nationale quinquennale l accord cadre de partenariat renforc entre l tat DGEFP P le emploi et le conseil national des missions locales CNML du 26 janvier 2010 et ses d clinaisons territoriales conventions r gionales et locales de partenariat renforc vise accro tre la coh rence des actions entre P le emploi et les missions loca
230. en CLIS et en ULIS Les enqu tes en ligne DEPP DGESCO sur la scolarisation des l ves handicap s remplies par les enseignants r f rents de ces l ves permettent depuis 2011 de savoir la fois si les l ves sont scolaris s en CLIS et en ULIS et de comptabiliser le nombre des notifications correspondantes dans ces m mes classes Le calcul du taux de couverture est donc possible depuis 2011 Le nombre de notifications d affectation en CLIS et en ULIS la date de calcul du taux de couverture est donn pour information de mani re pouvoir interpr ter l volution de ce taux Il sera disponible en janvier N 1 pour l ann e scolaire N N 1 Les proportions d l ves handicap s parmi les l ves de l cole primaire du coll ge de LEGT et de LP qu ils soient scolaris s temps plein ou temps partiel restent donn es pour information et de ce fait ne font pas l objet d un ciblage Ces indicateurs sont construits comme suit 100 x nombre d l ves handicap s scolaris s nombre total d l ves Explication des valeurs cibles La cible 2013 a t r vis e et la cible 2015 fix e au regard de la valeur de r alisation de 2011 OBJECTIF n 5 Contribuer promouvoir l galit des chances pour l acc s aux formations de l enseignement sup rieur m Programme 231 Vie tudiante Les tudes statistiques montrent que les chances de r ussite pour l enfant sont corr l es la situation cono
231. enseignement sup rieur mais aussi la r duction des taux d abandon et d chec qui sont plus nombreux chez les jeunes issus de milieu d favoris OBJECTIF n 6 Encourager la poursuite d tudes et favoriser l obtention d un dipl me m Programme 141 Enseignement scolaire public du second degr m Programme 150 Formations sup rieures et recherche universitaire Dans les voies g n rale et technologique le baccalaur at constitue aussi le premier grade de l enseignement sup rieur ce titre sa vocation unique est bien de conduire ses laur ats poursuivre leurs tudes afin d obtenir un dipl me de niveau sup rieur L un des buts poursuivis par la r forme du lyc e d enseignement g n ral et technologique engag e la rentr e 2010 est pr cis ment de contribuer mieux pr parer les l ves la r ussite d tudes dans l enseignement sup rieur les lyc ens seront en effet form s aux m thodes et aux exigences sp cifiques de l enseignement sup rieur et aid s dans la construction de leur projet d orientation gr ce l accompagnement personnalis et au tutorat La cible inscrite dans la loi d orientation et de programme pour l avenir de l cole 2005 de 50 d une classe d ge dipl m e de l enseignement sup rieur tend l l vation globale du niveau de qualification sup rieure L ajustement formation emploi est un processus qui d pend non seulement de la formation des jeu
232. entiel Depuis la loi LRL du 13 ao t 2004 la r gion assure en outre l accueil la restauration l h bergement ainsi que l entretien g n ral et technique l exception des missions d encadrement et de surveillance des l ves Elle assure le recrutement et la gestion des personnels TOS exer ant leurs missions dans les lyc es La r gion est propri taire des locaux dont elle a assur la construction et la reconstruction L article 79 de la loi LRL a pr vu en sa faveur le transfert en pleine propri t des biens immobiliers des coll ges appartenant l tat titre gratuit La responsabilit de l organisation et du fonctionnement des transports scolaires est d finie l article L 213 11 du code de l ducation Hors p rim tre urbain le d partement est responsable de l organisation et du fonctionnement des transports scolaires quel que soit le niveau d enseignement concern l int rieur des p rim tres de transports urbains existant la date d entr e en vigueur du transfert de comp tences en la mati re 1 septembre 1984 cette responsabilit est exerc e par la commune ou le groupement de communes comp tent pour l organisation des transports urbains Cette r partition ne s applique pas la r gion le de France pour laquelle l organisation et le fonctionnement des transports scolaires rel vent de la responsabilit du Syndicat des transports d le de France Par ailleurs un droit d accueil des l
233. entis minist re de l ducation Nationale DEP enqu te aupr s de sortants de CFA Explication des valeurs cible Les actions en faveur du d veloppement de l apprentissage dans le cadre des contrats d objectifs et de moyens sign s entre l tat et les r gions ainsi que les m canismes incitatifs mis en place notamment pour les entreprises de plus de 250 salari s favoriseront l mergence d une culture de l apprentissage au sein des entreprises et permettront terme d accroitre les embauches cons cutives une formation en apprentissage et donc d am liorer le taux d insertion dans l emploi Les actions relatives la s curisation des parcours professionnels dans les COM apprentissage sont galement de nature favoriser le taux d insertion dans l emploi des apprentis INDICATEUR 15 2 Effectif d apprentis au 31 d cembre de l ann e consid r e Programme 788 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Effectif d apprentis au 31 d cembre de Nb 414 000 436 000 470 000 450 000 460 000 470 000 l ann e consid r e Source des donn es DARES bilan annuel des contrats d apprentissage mobilisant la fois la base issue de la saisie des formulaires Cerfa et le syst me de suivi des contrats d apprentissage application Ari ne Explication des valeurs cibles le nombre d apprentis pr vu en 2012 et 20
234. er et affaires consulaires Ces cr dits se r partissent entre le financement des bourses scolaires sur crit res sociaux et la prise en charge des frais de scolarit des l ves du second cycle du secondaire sans condition de ressources Pour 2011 sur 117 72 M 84 M ont t consacr s aux bourses scolaires des l ves de maternelle primaire coll ge et lyc e 33 7 M ont t consacr s la prise en charge des frais de scolarit des l ves de lyc e Programme 185 Diplomatie culturelle et d influence Les cr dits du programme 185 correspondent aux cr dits consacr s aux actions de mobilit sortante bourses Lavoisier et subvention vers e au Coll ge d Europe de Bruges et la part de la subvention pour charges de service public vers e l AEFE par application du pourcentage du nombre de jeunes fran ais fr quentant ces tablissements 48 6 Programme 209 Solidarit l gard des pays en d veloppement Les cr dits consacr s au volontariat des jeunes correspondent aux cr dits mis en uvre dans le cadre du programme Jeunesse Solidarit Internationale JSI et dans le cadre du programme Ville Vie Vacances solidarit internationale VVV SI ainsi qu la part des cr dits mis en uvre en mati re de Volontariat de Solidarit internationale calcul e sur la base de la part de jeunes volontaires internationaux g s de moins de 30 ans 67 Programme 203 Infrastruct
235. ersitaire et faire de la licence un dipl me qualifiant tremplin vers la poursuite d tudes ou vers le march de l emploi L action des tablissements d enseignement sup rieur s est organis e autour de trois principes d velopper l orientation active associ e la g n ralisation du dossier unique d acc s l enseignement sup rieur afin de favoriser une meilleure ad quation entre les aspirations et les capacit s des lyc ens et les formations d velopper la professionnalisation des enseignements par la g n ralisation du projet personnel et professionnel de l tudiant par la mise en place d unit s d enseignement professionnalisantes et de stages ainsi que par l acquisition de comp tences dites transversales notamment en langues vivantes trang res et en informatique et bureautique renforcer l encadrement p dagogique avec la d signation d enseignants r f rents assurant un suivi personnalis des tudiants l augmentation des horaires d enseignement et la mise en uvre de dispositifs de soutien aux tudiants en difficult notamment le tutorat afin de pr venir les situations de d crochage et le cas ch ant faciliter la r orientation dans une fili re mieux adapt e aux projets et capacit s de l tudiant 24 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Pour am liorer l insertion professionnelle des tudiants les tablissements d enseignement sup ri
236. ertise et de performances sportives CREPS Centre national pour le d veloppement du sport CNDS du minist re qui lui sont rattach s ainsi que sur le Mus e national du sport Les d penses de personnel uvrant pour ce programme sont inscrites au programme conduite et soutien des politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative Le minist re charg des sports assure sa mission de service public du sport en troit partenariat avec les autres acteurs du d veloppement du sport publics et priv s mouvement sportif collectivit s territoriales et leurs groupements entreprises etc Les trois p les ressources nationaux sport et handicaps sports de nature et sport ducation mixit s et citoyennet plac s sous la tutelle de la direction des sports sont situ s dans des CREPS Le partenariat avec les collectivit s territoriales est particuli rement marqu en mati re de coordination de l offre sportive de construction ou de r novation d quipements sportifs et d organisation de grands v nements sportifs Avec le mouvement sportif il est manifeste en mati re de d veloppement de la pratique des activit s physiques et sportives et de haut niveau Le partenariat avec les entreprises concerne principalement l insertion professionnelle des sportifs de haut niveau et la mise en place d un cadre s curis et r gul pour l investissement priv dans le sport PLF 2013 55
237. es tablis par les CAF permettent le d veloppement des centres de loisirs des d parts en vacances des actions d animation socioculturelles et sportives des projets cr atifs et innovants en direction des enfants et adolescents ainsi que d informations en direction des familles et de leurs jeunes d actions de coordination et de formation continue des professionnels notamment des formations au brevet d aptitude aux fonctions d animateur BAFA Ils ont t fusionn s en 2006 avec les contrats enfance sous la forme du contrat enfance et jeunesse Cej Les CAF participent galement au fonctionnement des centres de loisirs et des structures proposant de courts s jours au moyen de la prestations de service destin e aux accueil de loisirs sans h bergement PS ALSH Les r sultats de l valuation de ses dispositifs r alis e par la direction de la recherche de la CNAF en 2007 et 2008 montrent que les politiques d accueil p ri et extra scolaires pour les enfants scolaris s en primaire sont globalement adapt es et bien cibl es En effet le montant des enveloppes Cej partie jeunesse est modul pour mieux prendre en compte la nature des besoins et des sp cificit s territoriales en zone urbaine sensible ZUS et en zone de revitalisation rurale ZRR De plus les enqu tes men es au sein des centres de loisirs r v lent que la PS ALSH profite en priorit aux familles les moins ais es 154 PLF 2013 Politique en faveur de
238. es caract re professionnel PPCP PLF 2013 61 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Par ailleurs on peut noter que les services d archives l exception des Archives nationales de Paris proposent depuis la cr ation des services ducatifs une offre gratuite aux scolaires et aux jeunes en hors temps scolaire visites et ateliers le d veloppement d actions visant familiariser les enseignants en particulier les professeurs des coles avec le lieu patrimonial objectif qui est la premi re des actions de formation propos e par les services ducatifs des lieux patrimoniaux Ces actions de formation formation de personnes ressources lors des universit s d t des s minaires nationaux et des s minaires interacad miques s int grent le plus souvent dans le cadre des dispositifs de formations des enseignants initiale ou continue mis en place par les instances ducatives d l gation acad mique pour la formation des personnels et l innovation DAFI IUFM et CFP centre de formation p dagogique un encouragement au d veloppement de dispositifs de m diation destination des familles dans les tablissements patrimoniaux L organisation d un s minaire sur la mise en place de ce type d outils regroupant les services des publics de l ensemble des tablissements patrimoniaux nationaux et pilot par la direction g n rale des patrimoines permet des changes de pratiques et d
239. es aux jeunes seuls les montants 2011 tant connus ceux ci sont par d faut reconduits sur 2012 et 2013 et les subventions au p le ressource national Sport ducation mixit s citoyennet implant au CREPS de PACA Les cr dits imput s sur l action 4 concernent les dispositifs suivants observation des m tiers programme Parcours animation sportive cr dits destin s la formation initiale conduisant aux qualifications sportives subvention au GIP CAFEMAS Outre ces d penses budg taires le Centre national pour le d veloppement du sport CNDS op rateur sous tutelle de la direction des sports qui b n ficie de ressources extra budg taires consacre des moyens destin s des actions en faveur des jeunes Les cr dits mobilis s en 2011 l accompagnement ducatif s l vent pr s de 20 M 13 M d aide aux associations et 7 M aux quipements n cessaires la pratique sportive des jeunes scolaris s L action du CNDS en direction des jeunes scolaris s ne se r sume pas l accompagnement ducatif pr s de 34 M de ses cr dits hors accompagnement ducatif soit pr s de 27 de ses cr dits d intervention d concentr s sont consacr s des actions visant les jeunes scolaris s 152 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Programme 224 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture L action 02 Soutien la d mocratisation et l ducation artis
240. es f tes de fin d ann e une campagne radio internet et internet mobile sur la th matique de Sam celui qui conduit c est celui qui ne boit pas a t diffus e Parall lement aux actions de communication le programme 207 subventionne des associations menant des actions de pr vention et de sensibilisation aupr s des jeunes associations tudiantes au niveau national et au niveau local dans le cadre des plans d partementaux d actions de s curit routi re PDASR Par ailleurs le programme S curit et circulation routi res travers son action n 03 ducation routi re a pour objectif de mettre en uvre une formation la s curit routi re dans le cadre d un continuum ducatif d s la maternelle et tous les ges La d l gation la s curit et la circulation routi res DSCR travaille en partenariat avec le minist re de l ducation nationale la d finition des objectifs atteindre dans le cadre de ce continuum ducatif en milieu scolaire ainsi qu en soutien et en appui sur le terrain pour sa mise en uvre dans le cadre des PDASR Ces actions ducatives de s curit routi re sont mises en uvre dans les tablissements scolaires pr alablement la d livrance des attestations de premi re ducation routi re la route APER des attestations scolaires de s curit routi re ASSR et des brevets de s curit routi re BSR En outre le programme 207 finance dire
241. es in galit s de fait qui n cessitent encore des mesures positives en faveur des femmes Cette double approche n cessite donc une dynamique interminist rielle et partenariale traduite par des relations continues entre le minist re des droits des femmes et les autres minist res et organismes publics c est le sens de la r affirmation d un pilotage interminist riel concr tis par la d marche entreprise avec les conf rences de l galit et le comit interminist riel aux droits des femmes et l galit entre les femmes et les hommes le renforcement du dialogue social avec les partenaires sociaux qui a pris corps avec la r union de la grande conf rence sociale les 9 10 juillet 2012 et sera d clin es au travers d une s rie de mesures pour rendre effective l galit professionnelle un partenariat troit avec les entreprises et le secteur associatif engag pour mobiliser les acteurs sur les enjeux d galit professionnelle et de lutte contre les violences faites aux femmes une sensibilisation des lus nationaux et une mobilisation des lus locaux au travers de leurs associations ou dans le cadre d actions communes pour les droits des femmes et l galit entre les femmes et les hommes 38 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Dans ce cadre la ministre charg e des droits des femmes pr pare et met en uvre la politique du Gouvernement relative aux droits
242. es permet d accorder un jeune ins r dans la vie active et g de moins de 25 ans ge minimum jusqu alors requis pour ouvrir droit au RMI ou au RSA2 les m mes droits que ceux dont jouit un travailleur de plus de 25 ans exer ant la m me activit et percevant la m me r mun ration sans distinction d ge Plus pr cis ment la mesure cible les jeunes de moins de 25 ans r pondant une condition d activit pr alable attestant de leur insertion effective dans la vie active Ainsi l acc s au RSA concerne ceux qui auront travaill au moins deux ans soit l quivalent de 3 240 heures au cours des trois derni res ann es ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S La prise en charge financi re du RSA jeunes dans ses composantes socle et activit est assur e par le fonds national des solidarit s actives FNSA en application de la disposition l gislative qui cr e la mesure article 59 quater de la loi de finances pour 2010 instituant l article L 262 7 1 du CASF L action 1 Revenu de solidarit active du programme 304 participe au financement du RSA jeunes travers le versement d une contribution additionnelle au fonds garantissant l quilibre des comptes En 2012 la pr vision de d pense au titre de l extension du RSA jeunes s tablit 20 M Pour 2013 la pr vision de d penses est estim e 27 M compte tenu de la tendance constat e en 2011 PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN OEUVRE DU
243. es pour b n ficier de l ALF ou de l APL L aide personnalis e au logement APL est vers e aux occupants des logements dits conventionn s quelles que soient leurs caract ristiques familiales Le financement des prestations au titre de 2011 s est lev 16 3 Md hors frais de gestion dont environ 5 6 Md en provenance du budget de l tat Les aides personnelles au logement pr sentent un caract re universel Les jeunes b n ficient donc de ces aides dans les conditions de droit commun d s lors qu ils ont une d pense de logement et qu ils ne sont pas compt s la charge de leurs parents pour les prestations familiales Quelques dispositions et am nagements des r gles de calcul de l allocation sont toutefois plus sp cifiquement applicables aux jeunes les jeunes actifs de moins de 25 ans sont exon r s du dispositif d valuation forfaitaire des ressources lorsque leur revenu est modeste Cette exon ration leur permet de b n ficier d une aide au logement plus lev e au moment de leur entr e dans la vie active et de leur acc s l autonomie les jeunes en alternance peuvent b n ficier d une aide au logement major e lorsqu ils doivent assumer de mani re r guli re un deuxi me logement Les apprentis per oivent souvent une aide au logement maximale en raison de l exon ration fiscale dont ils b n ficient gale environ 1 SMIC De plus l loignement de la r sidence principale pour des raisons p
244. essources et des comp tences de la police participe r guli rement aux salons et forums organis s destination des jeunes pour les informer sur les caract ristiques des m tiers de la police et les concours qui permettent d y acc der Le blog police recrutement est galement un m dia facilement accessible par les jeunes qui souhaitent conna tre la diversit des m tiers exerc s dans la police nationale La MPRPC organise enfin des journ es d information et de sensibilisation pour des professeurs proviseurs et conseillers d orientation des acad mies d le de France ou destination des missions locales pour leur faire conna tre les diff rents modes de recrutement dans la police Pour participer l effort en faveur de l emploi des jeunes et favoriser leur entr e dans un emploi de la police nationale le recrutement des adjoints de s curit ADS permet depuis plusieurs ann es des jeunes de 18 30 ans sans condition de dipl me de b n ficier d une formation r mun r e accompagn e d un premi re exp rience de terrain par le biais d un contrat de trois ans renouvelable une fois depuis la loi d orientation et de programmation pour la performance de la s curit int rieure du 14 mars 2011 auparavant le contrat tait de cinq ans qui facilite pour beaucoup le passage des concours PLF 2013 73 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT En p rennisant le dispositif le
245. et des jeunes permettent de d multiplier les actions notamment en direction des territoires et des populations loign es d une d marche artistique ou culturelle pour des raisons g ographiques ou sociales Cet impressionnant maillage d initiatives est g n ralement encourag voire soutenu par les collectivit s territoriales et l tat travers des cahiers de missions et de charges ou des aides sp cifiques PLF 2013 59 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action n 01 Soutien la cr ation la production et la diffusion du spectacle vivant L action a pour objectif de favoriser la diversit de la cr ation et le maintien de conditions conomiques satisfaisantes pour la production de spectacles et la rencontre d un public large et diversifi Le minist re de la culture et de la communication fonde son intervention sur des appuis financiers cibl s aides aux artistes aux r seaux institutionnels et la cr ation ind pendante etc sur la base d une expertise artistique et veille ce que les structures artistiques puissent consacrer l essentiel de leurs subventions aux missions culturelles dont elles ont la charge notamment en termes de renouvellement de la cr ation et de rapport au public Charte des missions de service public pour le spectacle vivant contrats d objectifs dispositifs partenariaux d aides aux quipes artisti
246. ets associatifs jeunesse et ducation populaire Soutien la structuration des associations Le minist re apporte un soutien la structuration de l action associative p renne par des subventions allou es la r mun ration d un salari associatif vers es par l interm diaire du Fonds de coop ration de la jeunesse et de l ducation populaire FONJEP agissant pour le compte de l tat L attribution de ces subventions pluriannuelles s inscrit dans une d marche de maillage territorial plus de 2 800 implantations associatives en privil giant les associations faiblement dot es en personnel salari Soutien aux projets associatifs Le minist re attribue des subventions des associations nationales de jeunesse et d ducation populaire dont l activit correspond aux orientations minist rielles ainsi qu des associations locales dont les projets n entrent pas directement dans le champ des politiques ducatives territoriales concert es et partenariales notamment quand il s agit de tr s petites associations l action purement locale La politique de subventionnement prend en compte la fragilit et l importance du tissu associatif local et son action par le versement de subventions de montants parfois modestes mais adapt s aux projets pr sent s dans un objectif de renforcement du lien social Action n 3 Actions particuli res en direction de la jeunesse L action a pour objectifs de promouvoir le
247. eur ont d velopp plusieurs dispositifs g n ralisation dans chaque tablissement ou chaque site universitaire des observatoires ou appareils d enqu tes statistiques qui ont notamment pour mission de mesurer les taux d insertion pour chaque fili re g n ralisation de stages en entreprises en milieu associatif en administration dans tous les cursus notamment en 3 ann e de licence et d veloppement de partenariats avec le monde conomique mise en place depuis 2008 dans le cadre d un sch ma directeur d aide l insertion professionnelle de bureaux d aide l insertion professionnelle BAIP charg s de diffuser aux tudiants des informations sur les d bouch s des fili res et les entreprises et sur les offres de stages ainsi que de les assister dans leur recherche de stages et de premier emploi Une deuxi me tape a consist en la capitalisation et la p rennisation des actions ainsi mises en place l aide d une r novation du cadre juridique de la licence L arr t du 1 ao t 2011 relatif la licence remplace en effet l arr t du 23 avril 2002 relatif aux tudes universitaires conduisant au grade de licence Les dispositions du nouveau texte se fondent sur la double vocation de ce dipl me qu elles d clinent l insertion professionnelle et la poursuite d tudes La licence est r affirm e dans ses principes fondateurs elle est un dipl me national garant d un niveau d exigence acad mique
248. eur participation financi re l enseignement initial travers la mise en place de sch mas d partementaux de d veloppement des enseignements artistiques Les r gions organisent et financent dans le cadre du plan r gional des formations professionnelles les cycles d enseignement professionnel initial Il est choisi de pr senter ici les postes budg taires principaux en faveur de la jeunesse apparaissant dans les comptes administratifs pour les communes et les groupements de communes et les budgets primitifs pour les d partements et les r gions Pour l essentiel il s agit de cr dits relevant de comp tences obligatoires Les tableaux ci dessous ne visent pas l exhaustivit ils refl tent des masses budg taires davantage que des donn es fines D penses en faveur de la jeunesse PLF 2013 159 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT Pr sentation fonctionnelle des comptes administratifs 2010 des communes de plus de et des groupements de communes extrait Communes de 10 000 moins de 30 000 habitants en 2010 en millions d euros 10 000 habitants Fonctionnement Investissement Total Part dans le budget total de la collectivit Enseignement formation 1 1 972 435 2 407 13 8 Services communs 227 33 260 1 5 Enseignement du premier degr 955 319 1 274 7 3 Enseignement du deuxi me degr 8 4 13 0 1 Enseignement sup rieur 2 8 10 0
249. excellence de fa on les rendre visible et comp titive aux plans europ en et international Un grand nombre de doctorants b n ficient d un contrat doctoral qui constitue un vrai contrat de travail et permet son titulaire de mener bien sa recherche dans de bonnes conditions PLF 2013 25 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Action 04 tablissements d enseignement priv s L tat soutient financi rement 61 tablissements d enseignement sup rieur priv s tablissements d enseignement sup rieur libre et tablissements d enseignement sup rieur technique priv s reconnus par l tat r unis pour la plupart en f d rations ou unions Depuis 2010 58 tablissements b n ficient d un contrat avec le minist re assorti d objectifs et d indicateurs de performance Les objectifs assign s aux tablissements concourent au service public de l enseignement sup rieur et concernent essentiellement la qualit de la formation et de l insertion professionnelle l adossement la recherche et l ouverture sociale PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME L ensemble des op rateurs de l tat rattach s au programme 150 VIE TUDIANTE 231 Le programme 231 tout entier contribue par ses aides directes et indirectes aux tudiants la politique en faveur de la jeunesse Ce syst me d aide sociale a pour objectif de donner tous les tudiants les m mes cha
250. ffre de logements l enrichissement de l offre d quipements et l embellissement du cadre urbain le soutien au d veloppement conomique des secteurs les plus fragiles et l enrichissement du tissu commercial et artisanal de proximit Les quatre actions qui subdivisent le programme 147 correspondent ces orientations 1 Actions territorialis es et dispositifs sp cifiques de la politique de la ville 2 Revitalisation conomique et de l emploi 3 Strat gie ressources et valuations 4 R novation urbaine et am lioration du cadre de vie Parmi ces 4 actions trois visent particuli rement les jeunes il s agit des actions 1 2 et 4 Les moyens sont principalement mis en uvre au plan local dans le cadre de contrats urbains de coh sion sociale CUCS Les CUCS constituent le cadre partenarial de r f rence entre l tat et les communes ou EPCI et sont orient s vers les habitantes des quartiers les plus en difficult ils permettent d articuler les diff rents programmes mis en uvre par l agence nationale pour la coh sion sociale et l galit des chances ACS ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S ACTION n 1 Actions territorialis es et dispositifs sp cifiques de la politique de la ville ducation et acc s aux savoirs de base a programme de r ussite ducative 81 M en 2013 Afin de pr venir les situations de rupture ou d chec scolaire et de rep rer et accompagner dans des parc
251. fs au cours de l ann e d nominateur Les donn es couvrent le p rim tre de la France enti re Explication de la valeur cible 169 000 jeunes sont entr s en CIVIS en 2011 dont plus de 90 n ont pas le niveau bac permettant la construction avec l appui des missions locales et de P le emploi notamment de parcours d insertion d bouchant sur 40 1 d acc s l emploi et 25 9 d acc s l emploi durable contre PLF 2013 133 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT respectivement 39 5 et 25 en 2010 Le dispositif doit b n ficier en 2012 160 000 nouveaux jeunes et les r sultats en progr s malgr la crise laissent pr sager une augmentation sensible en 2012 et 2013 sans toutefois retrouver le niveau d avant la crise de 2008 L volution 2010 2011 de 4 points sur l acc s l emploi en sortie de CIVIS correspond l impact du plan de relance et l augmentation de 8 des ETP charg s de l accompagnement des jeunes en mission locale ce qui explique en partie les effets b n fiques sur l accompagnement et les sorties en emploi Cette volution s accompagne de la poursuite du chantier de modernisation du financement des missions locales avec la deuxi me g n ration de conventions pluriannuelles par objectifs 2011 2013 Les missions locales s engagent am liorer leur qualit de service dans une d marche de performance et d velopper et professionnaliser les relat
252. fuser aux tudiants une offre de stages et d emplois vari s en lien avec les formations propos es par l universit et de les assister dans leur recherche de stages et de premier emploi les plates formes d insertion professionnelle outil suppl mentaire au service de l acc s l emploi des dipl m s favorisent un travail en commun du monde professionnel et des milieux acad miques en particulier pour la d finition de l offre de formation elles ont galement pour fonction de caract riser l environnement socio conomique des tablissements d enseignement sup rieur en exploitant les diff rentes informations produites au niveau local Pr sent e dans l indicateur 13 2 l efficacit socio conomique de l enseignement sup rieur agricole et v t rinaire est appr ci e notamment par le taux d insertion professionnelle enqu t en d but de chaque ann e aupr s des tudiants des deux derni res promotions Apr s avoir bien r sist la d prise constat e par ailleurs sur le march de l emploi en 2009 l objectif est depuis de reprendre une volution la hausse en 2012 et 2013 L enseignement sup rieur en mati re conomique et industrielle se donne pour objectif d offrir des formations de haut niveau m me de conserver en France les meilleurs tudiants et d attirer les meilleurs enseignants chercheurs et tudiants trangers sachant que ces deux dimensions sont li es L indicateur 13 3 concerne les coles
253. g res de proximit qui offrent des prestations situ es en renfort des moyens d action de droit commun accueil inconditionnel gratuit confidentiel aux horaires adapt s aux besoins des jeunes et des parents coute et soutien centr sur la parole du jeune sans prestation de soin ou psychoth rapeutique mais pouvant pr parer une orientation vers une prise en charge m dicale ou sociale m diation avec les membres de la famille et ventuellement avec d autres instances et sensibilisation des jeunes tout public et en situations de risque 40 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L action 3 Protection des enfants et des familles concerne notamment les enfants et les adultes en risque de d laissement de maltraitance ou de n gligence grave que ce soit dans leur milieu familial ou leurs diff rents milieux de vie et notamment en tablissement social Cette mission de protection de l enfance rel ve de la responsabilit partag e des d partements et de la justice Un de ses axes majeurs est la pr vention et la lutte contre la maltraitance des enfants largement renforc es par la loi du 5 mars 2007 r formant la protection de l enfance dont les dispositions principales visent am liorer la pr vention le signalement de situations risques et la prise en charge des enfants concern s Un groupement d int r t public le GIP enfance en danger financ parit par l
254. gr et de presque 1 000 circonscriptions du premier degr France m tropolitaine et DOM Jusqu en 2009 2010 l chantillon ne comportait que 950 EPLE et 200 circonscriptions cette extension a t d cid e la suite des tats g n raux de la s curit l cole d avril 2010 pour assurer une repr sentativit d partementale Cependant le taux de r ponse s est d grad et la p riodicit mensuelle et non plus trimestrielle de d claration des incidents graves par les chefs d tablissement a galement complexifi le traitement des donn es en 2010 2011 Enfin l enrichissement de la nomenclature depuis la rentr e 2010 consommation d alcool suicides et tentatives de suicide conduit une l g re majoration des incidents d clar s 0 4 point globalement Les crit res d appr ciation pour l enregistrement d un acte donn notamment pour toutes les violences entre l ves sont pr cis ment d finis et permettent de limiter la part de subjectivit des responsables d tablissement qui ne peut tre totalement cart e Par l atteinte grave qu ils repr sentent pour l institution scolaire tous les incidents impliquant un personnel de l tablissement sont retenus Le sous indicateur relatif au premier degr a t renseign par une enqu te r alis e en 2009 2010 celle de 2010 2011 concerne les seuls tablissements publics du second degr Explication des valeurs cibles Les pr visions 2012 et 2013 ont t
255. he une diminution de la part des cr dits investis dans les zones prioritaires telles qu elles taient jusqu ici d finies La diminution observ e entre 2010 et 2011 s explique par plusieurs facteurs La mise en uvre en 2011 d actions sp cifiques dans le cadre de la culture partag e signatures de conventions de d veloppement culturel notamment a entra n une transversalisation des op rations soutenues Une part des actions d EAC est donc d sormais int gr e dans une d marche plus large et il devient difficile voire impossible d isoler dans ces actions la partie d di e sp cifiquement aux zones prioritaires Par ailleurs la nouvelle d finition du zonage qui s est achev e en 2011 s est traduite par une augmentation significative des zones prioritaires Ainsi la part des zones prioritaires sur le territoire global a cru plus vite que l augmentation des cr dits d EAC INDICATEUR 11 1 Fr quentation des lieux subventionn s Programme 131 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Spectacle vivant Fr quentation payante Nombre 5 378 521 5 410 728 5 330 000 5 350 000 5 400 000 gt 5 400 000 des lieux subventionn s Spectacle vivant Taux de places vendues 76 76 76 76 77 gt 76 par rapport la jauge mise en vente dans les lieux subventionn s Spectacle vivant Part du public scolaire 17 17
256. hors journ es d fense et citoyennet JDC des actions dont le seul objet est l ducation la citoyennet A titre d illustration cette activit a permis de former 50 208 l ves du primaire et 169 489 jeunes du secondaire en 2011 Par ailleurs une sensibilisation l cologie et au respect de l environnement a galement permis d duquer 3 333 l ves en 2011 A travers notamment l implication sp cifique des brigades de pr vention de la d linquance juv nile la gendarmerie contribue au dispositif interminist riel ville vie vacances A ce titre elle a particip 480 actions sp cifiques en 2011 activit s structurantes destin es promouvoir les valeurs de la citoyennet aupr s de 13 650 adolescents issus des quartiers sensibles Exp riment avec succ s le dispositif du service civique est mis en uvre dans 34 groupements de la gendarmerie d partementale avec 51 contrats sign s au 1 juin 2012 S agissant de l engagement sp cial dans la r serve ESR 24 537 r servistes au 30 mai 2012 renforcent la capacit op rationnelle des unit s parmi lesquels 9 901 ont moins de 30 ans soit 40 des effectifs La signature d un engagement dans la r serve est subordonn e au volontariat et la r ussite de la pr paration militaire gendarmerie Acteur incontournable de la mont e en puissance de la gendarmerie le r serviste est totalement int gr aux unit s op rationnelles dans des missions de ser
257. iation des nouveaux contenus par les animateurs une hausse r guli re de la satisfaction des jeunes sur la prestation offerte a t constat e La DSN se fixe donc un objectif ambitieux de 86 en 2012 de 87 en 2013 et de 90 de jeunes satisfaits l horizon 2015 soit 4 5 points r alisation 2011 Cette am lioration sera permise par les travaux conduits pour optimiser l implantation des sites la meilleure prise en compte des attentes des usagers avant et apr s la JDC labellisation Marianne en cours et la politique d am lioration continue men e par la DSN certification ISO 9001 pour toute la cha ne en cible en 2013 Ce taux peut tre calcul pour chaque site pour une p riode donn e R ponses issues du questionnaire d valuation JDC Source des donn es extraction issue de l enregistrement des r ponses des jeunes Fran aises et Fran ais aux questionnaires de satisfaction directement sur le syst me informatique via MOPATE au terme de la journ e Donn es agr g es dans la base de donn es de la DSN Explications sur la construction de l indicateur le num rateur ne prend en compte que les r ponses satisfait ou tr s satisfait la question Dans l ensemble je suis satisfait e de cette journ e Indicateur 1 1 2 Impact de la JDC sur l image de la d fense et des arm es L indicateur Impact de la JDC sur l image de la d fense et des arm es est renseign depuis le PAP 2010 Cet indic
258. ibue aux axes n 4 Participer au d veloppement personnel des jeunes et n 3 Favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse de la politique de l tat en faveur de la jeunesse au travers de ses actions n 03 Continuit territoriale et n 04 Sanitaire social culture jeunesse et sports Le comit interminist riel de l outre mer CIOM de novembre 2009 et la loi de d veloppement conomique pour l outre mer de mai 2009 ont pr vu des mesures sp cifiques en faveur de la jeunesse Le CIOM a d cid que seraient labor s des plans quinquennaux de lutte contre l illettrisme visant diminuer de moiti l cart la m tropole Depuis 2011 la r daction de ces plans est effective dans les 5 DOM Le CIOM a par ailleurs cr des postes de sous pr fets d di s la coh sion sociale et charg s notamment de piloter la lutte contre l illettrisme et toute action en faveur de l orientation des jeunes La loi du 10 mars 2010 a cr le dispositif du service civique qui pr sente certaines particularit s pour l outre mer Le minist re des outre mer s est particuli rement investi dans la pr paration des textes d application de ce dispositif pour les DOM et pour les COM Le nombre de volontaires conna t un essor croissant outre mer comme en 2010 en 2011 pr s de 1 000 jeunes y ont effectu un engagement de service civique Le fonds d exp rimentation pour la jeunesse FEJ cr par la loi RSA du 1
259. ices du secr tariat g n ral le service de l action administrative et de la modernisation SAAM le service des technologies et des syst mes d information STSI la direction g n rale des ressources humaines DGRH la direction de l valuation de la prospective et de la performance DEPP la direction des affaires financi res DAF la direction des affaires juridiques DAJ la direction des relations europ ennes et internationales et de la coop ration DREIC la d l gation la communication DELCOM la direction g n rale de l enseignement scolaire DGESCO les services acad miques et vice rectorats d outre mer Les autres acteurs du programme sont les inspections g n rales l inspection g n rale de l ducation nationale IGEN l inspection g n rale de l administration de l ducation nationale et de la recherche IGAENR et le M diateur de l ducation nationale pour l valuation le conseil et le contr le les tablissements publics nationaux SCEREN CNED ONISEP CEREQ CIEP pour l appui la politique ducative et le haut conseil de l ducation HCE charg de l expertise en mati re d valuation du syst me ducatif Par ailleurs l appui la politique ducative est assur par les tablissements publics nationaux SCEREN CNDP et CRDP CNED ONISEP CEREQ CIEP FORMATIONS SUP RIEURES ET RECHERCHE UNIVERSITAIRE 150 Le programme 150 Formations sup rieures et recherche
260. ices et dispositifs existants en leur faveur dans le d partement 3 6M pour les REAAP et 1 8M pour la m diation familiale L action 1 intervient galement au moment o les jeunes adolescents d couvrent la sexualit et s engagent dans leurs premi res relations pour construire les relations sur le mode de la responsabilit pr vention des grossesses non d sir es et du respect de l autre A ce titre le conseil conjugal et familial contribue directement la politique en faveur de la jeunesse 220 tablissements d information de conseil conjugal et familial EICCF sont conventionn s et subventionn s par l tat DDCSPP en vertu du d cret du 23 mars 1993 pour leur permettre d accomplir les missions suivantes accueil information et orientation de la population sur les questions relatives la sexualit pr paration des jeunes la vie de couple entretiens pr alables l interruption volontaire de grossesse accueil et conseil aux personnes confront es des dysfonctionnements familiaux 2 6 M Enfin l action 1 porte galement compter de 2013 le soutien aux dispositifs en faveur des jeunes constitu s principalement par les points d accueil et d coute jeunes PA J auparavant port s par le programme 177 pr vention de l exclusion et insertion des personnes vuln rables Ce financement des points d accueil et d coute des jeunes PA J hauteur de 5 M concerne environ 350 structures l
261. ier degr a scolaris plus de 5 760 000 l ves dont 2 231 000 en pr l mentaire dans 47 944 coles publiques ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Toutes les actions du programme sont concern es Action n 01 Enseignement pr l mentaire Action n 02 Enseignement l mentaire Action n 03 Besoins ducatifs particuliers Action n 04 Formation des personnels enseignants Action n 05 Remplacement Action n 06 Pilotage et encadrement p dagogique Action n 07 Personnels en situations diverses PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les communes propri taires des locaux assurent la construction les r parations l quipement et le fonctionnement des coles Le conseil municipal d cide de la cr ation et de l implantation des coles apr s avis du pr fet de d partement ENSEIGNEMENT SCOLAIRE PUBLIC DU SECOND DEGR 141 L am lioration des acquis scolaires la r duction des sorties sans qualification l insertion professionnelle de tous et l galit plus grande dans la r ussite des l ves tels sont les enjeux de la refondation de l cole auxquels l enseignement scolaire public du second degr est appel r pondre au travers des 6 objectifs qui lui sont fix s et des 13 actions qui en d coulent L ambition premi re du syst me ducatif demeure avant tout d assurer la ma trise par l ensemble des l ves des comp tences et connaissances du socle co
262. insertion ou la promotion sociale des jeunes et des familles notamment des actions dites de pr vention sp cialis e aupr s des jeunes et des familles en difficult ou en rupture avec leur milieu mener en urgence des actions de protection en faveur des mineurs en difficult pourvoir l ensemble des besoins des mineurs confi s au service et veiller leur orientation en collaboration avec leur famille ou leur repr sentant l gal mener notamment l occasion de l ensemble de ces interventions des actions de pr vention des mauvais traitements l gard des mineurs et organiser le recueil des informations relatives aux mineurs maltrait s et participer la protection de ceux ci 158 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Le service de l aide sociale l enfance peut ainsi proposer des interventions personnalis es pour chaque situation Le soutien apport peut prendre la forme d aide financi re allocation mensuelle d intervention domicile par un e technicien ne de l intervention sociale et familiale et ou de service d action ducative Dans sa mission de protection de l enfance en danger l ASE est en charge de signaler au procureur de la R publique ou au juge des enfants les cas d urgence dont elle a connaissance et participe au recueil d informations relatives aux enfants maltrait s Inversement le procureur de la R publique informe les services de l ASE des mesures urgentes qu il
263. interminist rielle passe par la mise en uvre de nombreux programmes relevant d autres minist res ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action n 2 Actions en faveur de la jeunesse et de l ducation populaire Information des jeunes le r seau information jeunesse a pour mission de mettre la disposition des jeunes une information de qualit objective g n raliste et fiable dans 1 600 structures de proximit r parties sur l ensemble du territoire L offre de ce r seau r pond une r elle attente d information et d accompagnement au projet exprim e par les jeunes Le minist re subventionne les associations structurant le r seau le centre d information et de documentation jeunesse CIDJ t te de r seau nationale ainsi que les centres r gionaux d information jeunesse CRI qui animent chacun un r seau r gional financ par les collectivit s territoriales constitu de bureaux et de points information jeunesse BIJ PIJ Le CIDJ et les CRI doivent participer au service public de l orientation en cours de mise en place Actions locales en faveur de la jeunesse et de l ducation populaire l acc s des loisirs ducatifs de qualit est en particulier pour les enfants et les jeunes qui en sont socialement ou g ographiquement les plus loign s un compl ment indispensable l ducation re ue en milieu scolaire Acteur du lien social le minist re participe ainsi l laboration et
264. internat d excellence occup es par des enfants originaires des quartiers prioritaires sur le nombre total de places Commentaires Sur l ann e scolaire 2011 2012 environ 515 projets de r ussite ducative sont actifs et financ s par l ACS 115 000 enfants environ en seront b n ficiaires dont plus de 71 000 dans le cadre d un parcours individualis soit un taux d individualisation de 62 INDICATEUR 4 7 volution de la scolarisation des l ves handicap s du premier degr Programme 140 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de couverture des notifications 92 1 96 5 92 5 93 95 d affectation en CLIS 100 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Pour information Nombre de notifications Nombre 42 730 s o s 0 s 0 d affectation en CLIS Pour information Proportion d l ves 2 2 s o S O S O handicap s parmi les l ves des coles du premier degr Source MEN DEPP DGESCO Champ Enseignement public France m tropolitaine DOM Mode de calcul A la suite de la recommandation 12 du comit interminist riel d audit des programmes CIAP remplacer l indicateur 2 6 relatif
265. ion au titre du transfert du versement de l indemnit compensatrice forfaitaire 01 P r quation des disparit s de la 200 000 000 200 000 000 200 000 000 200 000 000 200 000 000 200 000 000 taxe d apprentissage 02 Compensation au titre des 250 000 000 250 000 000 comp tences transf r es aux r gions en mati re d apprentissage nouveau 788 Contractualisation pour le 272 683 000 265 183 000 360 000 000 360 000 000 360 000 000 360 000 000 d veloppement et la modernisation de l apprentissage 01 Contrats d objectifs et de moyens 272 683 000 265 183 000 355 000 000 355 000 000 355 000 000 355 000 000 pour le d veloppement et la modernisation de l apprentissage 148 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT ANNEXES Ex cution 2011 LFI 2012 PLF 2013 Num ro et intitul du programme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement d engagement de paiement d engagement de paiement 02 Modernisation de l apprentissage 0 0 5 000 000 5 000 000 5 000 000 5 000 000 dans les CFA recrutement national 789 Incitations financi res en 1 298 588 1 159 472 15 000 000 15 000 000 15 000 000 15 000 000 direction des entreprises respectant les quotas en alternance 01 Aide de l tat aux entreprises 10 000 000 10 000 000 10 000 000 10 000 000 ayant un stock d
266. ions avec les entreprises afin de favoriser l acc s l emploi des jeunes Une attention particuli re est apport e l valuation de leur efficience Concernant l EPIDE dispositif deuxi me chance D fense 2 456 jeunes volontaires ont r alis un parcours d insertion au sein de l un de leurs 20 centres en 2011 d bouchant 12 mois sur 44 de sorties positives 22 sont des sorties en emploi En 2013 il est pr vu une enveloppe de 45 M pour la mise en uvre des objectifs du contrat d objectifs et de performance en cours de d finition INDICATEUR 14 3 Part des jeunes non qualifi s et des jeunes r sidant en ZUS dans le total des jeunes b n ficiaires d un dispositif sp cifique Programme 102 du point de vue du contribuable Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Jeunes non qualifi s niveaux VI V bis et 49 48 52 50 50 50 V sans dipl me dans le total des entr es en CIVIS Jeunes r sidant en ZUS dans le total des 16 15 21 17 18 20 entr es en CIVIS Jeunes non qualifi s niveaux VI V bis et 90 nd 93 nd nd V sans dipl me dans le total des entr es en EPIDe Jeunes r sidant en ZUS dans le total des 33 5 34 40 35 nd nd entr es en EPIDe Jeunes non qualifi s niveaux VI V bis et 80 80 V sans dipl me dans le total des entr es en emploi d avenir Jeunes r sidant en ZUS dan
267. ire Programme 142 Enseignement sup rieur et recherche agricoles Es m Programme 192 Recherche et enseignement sup rieur en mati re conomique et industrielle Programme 224 Transmission des savoirs et d mocratisation de la culture La formation des dipl m s doit leur permettre de s ins rer rapidement dans un emploi stable correspondant leur niveau de qualification L insertion professionnelle des dipl m s qui est depuis la promulgation de la loi n 2007 1199 du 10 ao t 2007 relative aux libert s et responsabilit s des universit s une mission du service public de l enseignement sup rieur constitue une priorit Pour am liorer cette insertion plusieurs leviers sont utilisables la g n ralisation de l orientation active qui prend en compte les d bouch s associ s chaque formation la g n ralisation dans chaque tablissement ou dans chaque site universitaire des observatoires qui ont notamment pour mission de mesurer les taux d insertion pour chaque fili re chaque niveau le d veloppement de la professionnalisation des formations d veloppement et g n ralisation de stages en entreprises en milieu associatif en administration dans tous les cursus notamment en 3 ann e de licence d veloppement de partenariats avec le monde conomique la cr ation dans chaque universit d un bureau d aide l insertion professionnelle des tudiants ce bureau est notamment charg de dif
268. isation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Pourcentage d une classe d ge titulaire 46 8 nd 48 48 49 50 d un dipl me de l enseignement sup rieur en formation initiale L indicateur 1 1 Pourcentage d une classe d ge titulaire d un dipl me de l enseignement sup rieur en formation initiale est un indicateur synth tique dont la valeur est obtenue en calculant pour chaque ge le rapport du nombre de laur ats la population totale de cet ge et en faisant la somme de ces taux par ge dans une tranche d ge de 17 33 ans La valeur int grant les dipl m s de la session n n est disponible qu en d cembre n 1 et n appara t donc qu au RAP n 1 La valeur 2010 qui int gre les dipl m s de la session 2010 n a t disponible qu en d cembre 2011 elle a t indiqu e au RAP 2011 La valeur 20111 sera indiqu e au RAP 2012 Les dipl mes retenus sont les premiers dipl mes de l universit DEUG DEUST et DUT la licence lorsque c est le premier dipl me dans le sup rieur les BTS et les autres dipl mes dipl mes des formations param dicales et sociales des coles sup rieures d enseignement artistique et culturel des coles d ing nieurs dipl mes des tablissements couverts par l enqu te sur les coles d enseignement sup rieur non rattach es aux universit s commerce administratives de journalisme juridiques v t rinaires ces derniers dipl mes au prorata
269. ise corriger les in galit s sociales et territoriales dans le cadre de politiques strat giques concert es et construites avec les collectivit s locales et le mouvement sportif Ces diagnostics territoriaux approfondis ont vocation articuler les politiques locales les priorit s f d rales et les priorit s d intervention du minist re Outre l attribution de subventions via le centre national pour le d veloppement du sport CNDS le minist re charg des sports entend conforter l expertise et l action structurante de ses personnels en mati re d analyse de l offre sportive et de propositions d actions aux acteurs locaux Le minist re charg des sports incite les associations et les f d rations sportives ainsi que leurs organes d concentr s d partementaux et r gionaux mettre en place de nouvelles offres de pratiques plus diversifi es pour les diff rents publics en portant une attention sp cifique notamment aux jeunes scolaris s via le dispositif de l accompagnement ducatif soutenu par le CNDS Le minist re soutient tr s prioritairement la pratique sportive licenci e en se recentrant sur le projet associatif ducatif sportif et 54 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE thique du club porteur de valeurs essentielles dans la construction des jeunes et outil de la mixit sociale il est espace de rencontres de personnes que rien ne pr destinait s
270. issage et du contrat de professionnalisation pour les jeunes sont des outils visant renforcer leur qualification et leur employabilit tout en r pondant aux besoins de main d uvre qualifi e des entreprises La r novation et l augmentation des capacit s d h bergement des jeunes rendue possible par la mobilisation des investissements d avenir et la contractualisation avec les Conseils r gionaux l vera ainsi l un des principaux obstacles l acc s des jeunes aux formations en alternance 34 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE De m me la mise en place prochaine du contrat de g n ration devra contribuer la fois am liorer l acc s des jeunes au march du travail et maintenir les seniors en activit L action 3 D veloppement de l emploi Les instruments du programme 103 pour ce faire sont essentiellement des actions de promotion d activit le soutien au d veloppement d emplois dans les structures associatives ou relevant du secteur de l conomie sociale et solidaire vivier d emplois non d localisables et l accompagnement la cr ation ou la reprise d entreprise PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME P le Emploi L AFPA Les conseils r gionaux Les OPCA Centre Inffo CARIF La Caisse des D p ts et Consignations P R QUATION ENTRE R GIONS ET COMPENSATION AU TITRE DU TRANSFERT DU VERSEMENT DE L INDEMNIT COMPENSATRIC
271. itant les apprentissages th oriques dispens s dans les formations l organisation modulaire des enseignements et l espace d initiative p dagogique laiss aux tablissements permettent de r aliser des enseignements pluridisciplinaires adapt s leur territoire Ceux ci pr sentent en effet l int r t de mieux refl ter la complexit rencontr e sur le terrain et vitent le cloisonnement des apprentissages avec la r novation de la voie professionnelle et la r forme du lyc e g n ral et technologique mises en uvre depuis 2009 ont t mises en place les mesures d accompagnement de tutorat et les stages passerelles pour am liorer le soutien et la prise en compte du projet de l l ve les l ves et tudiants sont aussi sensibilis s louverture l international au travers de stages ou de voyages d tudes L enseignement agricole mobilise 10 des fonds europ ens attribu s la France au titre du programme d ducation et de formation tout au long de la vie les actions pour limiter le d crochage sont un objectif prioritaire en lien avec les partenaires de l ducation et de l orientation L application SIECLE SDO permet de rep rer et identifier les jeunes sortis sans qualification afin de leur offrir une solution de formation ou d insertion Dans le cadre de la pr vention un appel projet Ancrochage scolaire recherche action pour deux ann es scolaires 2012 2013 et 2013 2014 est lanc PLF
272. iversitaire dont deux trimestres sur trois correspondent l ann e n Source des donn es DGESIP L enqu te est effectu e aupr s des services de m decine pr ventive et de promotion de la sant des universit s Elle ne prend pas en compte les tudiants inscrits dans les CPGE et les STS La politique de communication men e par les SUMPPS permet de mieux faire conna tre leur activit De plus des efforts importants sont r alis s en relan ant les tudiants par divers moyens pour que l cart entre le nombre d tudiants convoqu s au bilan de pr vention et le nombre d tudiants re us soit le moins important possible Une enqu te directe portant sp cifiquement sur cet indicateur a t lanc e aupr s des services pour calculer cet indicateur pour 2011 Le taux de r ponse faible 37 services sur 59 ont r pondu l enqu te conduit appr cier avec prudence la baisse sensible de l indicateur en 2011 Par ailleurs le repositionnement de certains SUMPPS 14 sur 59 en centres de sant les conduit mener aupr s des tudiants des actions curatives davantage que des actions pr ventives Cependant les consultations conservent le plus souvent un volet pr vention INDICATEUR 7 3 Taux d l ves b n ficiant de l action un fruit pour la r cr Programme 206 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actua
273. ix 3 ligne Centre des monuments nationaux CMN Observatoire des publics Domaine national de Chambord Cit de l architecture et du patrimoine CAPA mus es nationaux relevant du programme Patrimoines statistiques sur les mus es nationaux services comp tence nationale de l tablissement public de la R union des mus es nationaux et du Grand Palais des Champs lys es donn es des mus es nationaux op rateurs et services comp tence nationale Mode de calcul de l indicateur 1e ligne L indicateur est gal la somme des entr es payantes et gratuites des mus es nationaux des monuments nationaux ouverts la visite g r s par le CMN et du Domaine national de Chambord de la Cit de l architecture et du patrimoine CAPA la somme des s ances de travail effectu es par les lecteurs des services d Archives nationales des scolaires accueillis par les services ducatifs des Archives nationales des visiteurs re us dans le cadre de l offre culturelle 2 ligne I 11 12 exprim en avec l1 somme des personnes de moins de 18 ans ayant fr quent les mus es nationaux les monuments nationaux ouverts la visite g r s par le CMN et le Domaine national de Chambord la Cit de l architecture et du patrimoine CAPA somme des scolaires accueillis par les services ducatifs des Archives nationales I2 somme des visites payantes et gratuites collections permanentes expositions culturelles offres cultu
274. jeunes des milieux les moins favoris s Il pr sente donc la proportion de bacheliers g n raux technologiques et professionnels dans une g n ration de personnes qui pr senteraient chaque ge les taux de candidature et de r ussite observ s l ann e consid r e Ce nombre est obtenu en calculant pour chaque ge et pour la cat gorie socioprofessionnelle consid r e le rapport du nombre de laur ats la population totale de cet ge et de cette cat gorie socioprofessionnelle et en faisant la somme de ces taux par ge On distingue les bacheliers par ge mais les classes ou regroupements d ge sont diff rents selon le baccalaur at pour tenir compte de parcours scolaires diff rents On somme ensuite pour chaque PCS professions et PLF 2013 97 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT cat gories sociales le taux d acc s aux bacs g n raux Les origines sociales sont d finies partir de la nomenclature des PCS de l INSEE la cat gorie d favoris e correspond principalement aux ouvriers retrait s ouvriers et employ s ch meurs n ayant jamais travaill personnes sans activit professionnelle et PCS inconnue Cet indicateur mesure le taux d acc s d une population th orique Il ne s agit pas du taux d acc s d une g n ration r elle qui ne peut tre calcul que lorsque celle ci a atteint 30 ans En particulier si les taux de redoublement voluent et si les taux de r ussit
275. jeunes peu ou pas qualifi s Par le soutien des activit s cr atrices d emploi et forte utilit sociale l objectif des emplois d avenir est de proposer des solutions d emploi et d ouvrir l acc s une qualification aux jeunes peu ou pas qualifi s qui ne parviennent pas trouver le chemin de l insertion professionnelle Les jeunes sans dipl me de 16 25 ans en seront les premiers b n ficiaires en particulier dans les zones urbaines ou rurales les plus marqu es par le ch mage D autres jeunes en difficult d insertion ayant poursuivi leurs tudes jusqu un premier niveau de qualification CAP BEP ou jusqu au baccalaur at dans certaines zones particuli rement difficiles pourront galement acc der aux emplois d avenir Les emplois d avenir seront principalement cr s par des employeurs du secteur non marchand dans des activit s ayant une utilit sociale av r e et susceptibles d offrir des perspectives de recrutement durables fili res vertes et num riques secteurs social et m dico social aide la personne animation et loisirs tourisme etc L emploi d avenir pourra aboutir une p rennisation dans l emploi cr l acquisition de comp tences donnant au jeune des perspectives nouvelles dans une activit d avenir ou la reprise d une formation en alternance le plus souvent en lien avec la motivation trouv e pour un m tier Ce parcours de r ussite reposera sur un fort engagement des employeur
276. jeunes r sidant en ZUS baissent au sein du r seau des missions locales 1 6 points L objectif est fix progressivement 20 pour les jeunes en ZUS et l accent sera mis fortement sur cette dimension territoriale en 2013 S agissant de l emploi d avenir les crit res d orientation par les prescripteurs des jeunes vers ce dispositif devront en accord avec les priorit s fix es par le gouvernement largement privil gier les jeunes non qualifi s En outre l accent sera mis sur le ciblage des jeunes r sidant en ZUS de mani re leur offrir une solution alternative au contrat d autonomie pour les territoires concern s Cette population repr sentait en 2009 pr s de 14 des jeunes accueillis pour la premi re fois en mission locale 12 en en 2011 L objectif est donc en renfor ant les actions de sensibilisation et d approche de ces jeunes d augmenter progressivement et sensiblement leur part dans le total du public accueilli en mission locale et entrant en emploi d avenir INDICATEUR 14 4 Taux d insertion dans l emploi l issue du contrat de professionnalisation par tranche d ge de 26 ans 26 45 ans 45 ans Programme 103 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Moins de 26 ans nd nd 66 66 69 134 PLF 2018 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Unit 20
277. jeunes tr s loign s de l emploi et parfois peu connus du service public de l emploi SPE d acc der un emploi aid d une dur e de 12 mois minimum dans le secteur non concurrentiel ou concurrentiel Plus g n ralement l accompagnement personnalis des publics jeunes les plus loign s de l emploi est mis en uvre par les 486 missions locales du territoire fran ais Les missions locales s appuient notamment d une part sur le dispositif Contrat d Insertion dans la Vie Sociale CIVIS qui leur a permis depuis 2005 d accompagner plus de 1 2 millions de jeunes dont plus de 40 ont acc d l emploi et d autre part sur le partenariat renforc avec P le emploi qui leur a d l gu depuis 2006 le suivi de plus d un million de jeunes en cotraitance Depuis 2011 le CIVIS a t renforc L allocation CIVIS permet de s curiser financi rement les trajectoires d insertion pour les jeunes qui en ont besoin au cours du parcours Les actions de parrainage se poursuivent Elles renforcent l accompagnement vers et dans l emploi de jeunes tr s loign s du monde de l entreprise et ou victimes de discrimination l embauche A partir de 2012 conform ment la d cision du comit interminist riel des villes du 18 f vrier 2011 la part des jeunes r sidant en ZUS doit progresser de 20 en 3 ans parmi les b n ficiaires du parrainage En 2013 25 000 actions sont pr vues Enfin deux dispositifs dits de deuxi me chance sont desti
278. justice Une attention particuli re est port e aux jeunes sous main de justice avec des dispositifs sp cifiques mis en place gr ce la collaboration troite entre les DRAC et les services d concentr s de la protection judiciaire de la jeunesse PJJ Une convention avec le minist re de l agriculture a t sign e en 2011 avec une mise en uvre pr vue en 2012 Elle permet de valoriser la dimension culturelle tous les domaines d intervention du minist re de l agriculture en particulier les patrimoines au sens le plus large ainsi que les probl matiques li es l environnement PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Directions r gionales des affaires culturelles DRAC tablissements publics sous tutelle du minist re tablissements d enseignement sup rieur sous tutelle ou sous contr le du minist re CR ATION 131 Le programme 131 Cr ation vise assurer la diversit et le renouvellement de la cr ation ainsi que sa diffusion aupr s des publics les plus larges Il s agit l d un enjeu de d mocratie car la richesse de la cr ation et la capacit du public y participer et y acc der constituent lune des cl s de la coh sion de la soci t et en son sein de l panouissement de chaque individu L action du minist re de la culture et de la communication en mati re de soutien la cr ation repose sur une offre publique dans le cadre d une intervention directe
279. l me de l enseignement sup rieur les moyens financiers mis en place au titre du plan pluriannuel pour la r ussite en licence sont proportionnels au nombre de bacheliers technologiques et professionnels accueillis et favorisent un accompagnement p dagogique renforc de ces tudiants PLF 2013 107 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Historique des valeurs de l indicateur unit 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 l Taux de r ussite en BTS 74 7 74 3 73 5 74 9 76 4 76 5 78 2 79 8 dont bac g n ral 84 2 83 9 83 8 85 1 86 4 86 2 87 3 88 4 dont bac technologique 73 5 73 6 72 5 74 3 75 6 75 5 77 7 80 dont bac professionnel 57 6 56 1 56 4 56 6 58 1 58 4 60 3 62 9 Il Part des inscrits ayant obtenu 76 1 75 9 75 4 75 7 75 5 76 6 77 7 nd leur DUT en 3 ans et moins dont bac g n ral 81 7 81 8 81 5 82 0 81 5 82 0 81 6 nd dont bac technologique 66 7 66 6 66 3 66 9 67 1 67 8 67 1 nd dont bac professionnel 47 8 44 6 46 45 9 46 9 45 6 47 6 nd INDICATEUR 6 5 R ussite en L Programme 150 du point de vue du contribuable Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des licences obtenues en 3 ans apr s 33 8 nd 40 40 37 42 une premi re inscription en L1 dans le total des licenci s Part des inscrits en L1 acc dant en L2 42 3 n
280. l de la comp titivit de l industrie et des services au sein du minist re du redressement productif II est mis en uvre pour l action 1 qui concerne le pr sent DPT par les organismes de formation sup rieure et de recherche coles de l institut Mines T l coms anciennement coles des Mines et des T l communications cole sup rieure d lectricit SUP LEC cole nationale sup rieure de Cr ation industrielle ENSCI Les ateliers Groupe des coles nationales d conomie et Statistique G NES Toutes les coles de ce programme ont des activit s vari es tant de formation que de recherche au service du d veloppement des entreprises dans le cadre d une ouverture et de partenariats l international sans cesse renforc s Elles contribuent directement l am lioration de la comp titivit des entreprises notamment des petites et moyennes industries avec lesquelles de nombreux partenariats ont t nou s la cr ation d activit s lessor des territoires la diffusion de l innovation et au transfert technologique PLF 2013 31 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Cr es pour fournir au monde industriel et l tat des ing nieurs et des cadres de haut niveau scientifique poss dant aussi des connaissances technologiques correspondant l tat de l art et form s la vie et aux m thodes de l entreprise les coles ont naturellement d velopp
281. le a chang de signification et d signe maintenant la premi re ann e du baccalaur at professionnel en trois ans et non plus la premi re ann e du BEP Ce contexte de transition a emp ch le calcul du taux d acc s de seconde professionnelle au baccalaur at professionnel pour 2010 En outre en ce qui concerne l apprentissage les r alisations de l ann e N ne sont connues qu au 4 trimestre de l ann e N 1 4 trimestre 2012 pour les taux d acc s 2011 Explication des valeurs cibles Taux d acc s un CAP En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 a t actualis e pour tenir compte du l ger recul not entre 2010 et 2011 Le ciblage l horizon 2015 a t op r sur la base d un rythme de progression raisonnable Le taux d acc s par apprentissage a t cibl en faisant l hypoth se d une poursuite de la r duction de la diff rence avec la voie scolaire telle qu observ e entre 2008 et 2010 2008 10 6 points 2009 9 6 points 2010 8 2 points Taux d acc s un baccalaur at professionnel En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 fix e avec prudence lors de la mise en place de la r forme de la voie professionnelle 43 a t r ajust e la hausse un niveau plus conforme aux observations r alis es depuis 64 Les cibles reposent par ailleurs sur les hypoth ses suivantes reconduction pour les ann es 2012 2014 des taux de redoublement consta
282. le de confiance calcul au seuil de risque de 5 dont il faut tenir compte pour interpr ter d ventuelles volutions La fiabilisation entreprise en 2011 se poursuivra en 2012 pour les comp tences 2 langue vivante 3 math matiques et culture scientifique et 5 culture humaniste et les valeurs de r alisation pour ces trois comp tences devraient tre disponibles au RAP 2012 Comp tence 4 B2i l indicateur reste calcul partir des remont es du B2i coll ge Explication des valeurs cibles Pour la comp tence 1 application d un rythme de progression r aliste partir de la r alisation 2011 pour les comp tences 2 et 5 les cibles ont t fix es par extrapolation de niveaux de ma trise estim s partir des r sultats des valuations CEDRE Cycle des valuations disciplinaires r alis es sur chantillon pratique d une langue vivante trang re en 2010 55 culture humaniste 57 pour la comp tence 3 qui sera mesur e en 2012 l aide de tests standardis s il a t tenu compte d une baisse d environ 11 points constat e pour la comp tence 1 lors de l adoption des tests standardis s puis d une remont e progressive en raison des progr s attendus dans l accompagnement des l ves en difficult pour la comp tence 4 B2i maintien du niveau d j tr s lev pour les comp tences 6 et 7 renseignement l aide du LPC livret personnel de comp tences progression mod r
283. le dispositif d fense deuxi me chance La DSN est depuis 2009 engag e dans les travaux relatifs au plan Agir pour la jeunesse qui fait de la lutte contre le d crochage scolaire une priorit Depuis le 1 novembre 2011 les centres du service national CSN transmettent aux responsables d partementaux des plates formes de suivi et d appui aux d crocheurs les coordonn es de l ensemble des jeunes rep r s en situation de d crochage lors de la JDC Toujours dans un souci d accompagnement des jeunes en difficult s le minist re de la d fense a conclu en 2011 un partenariat avec le minist re de la justice direction de la protection judiciaire de la jeunesse afin d organiser des JDC en faveur des jeunes en tablissements ferm s ce qui permet ainsi de participer la pr paration de leur r insertion Enfin la cr ation du service civique loi n 2010 241 du 10 mars 2010 relative au service civique se traduit pour la JDC par une information donn e aux jeunes au moyen d un film sp cifique d une dur e de 7 minutes r alis et fourni par l agence du service civique A l issue de la JDC de nombreux jeunes 43 735 m tropolitains et 3 230 ultramarins en 2011 manifestent ainsi leur int r t pour ce dispositif Pour la politique de m moire action 2 du programme la sensibilisation des jeunes la m moire combattante est un axe prioritaire au m me titre que le d veloppement de la culture de d fense Un protocole unit
284. le programme adultes relais permet de d velopper des actions de m diation ducation transports sant tranquillit publique le programme ville vie vacances permet aux jeunes des quartiers de la politique de la ville de b n ficier d activit s culturelles sportives et de loisirs pendant les vacances scolaires enveloppe de 8 M en 2012 Pr vention de la d linquance et justice Ces cr dits concernent le financement du volet pr vention de la d linquance des contrats urbains de coh sion sociale CUCS La part concernant les jeunes n est pas isolable pr cis ment mais on peut l estimer environ 80 Un CLS contrat local de s curit ou une strat gie territoriale de s curit et de pr vention de la d linquance STSPD constitue le volet pr vention de la d linquance et citoyennet du CUCS Les cr dits de la politique de la ville d l gu s par l ACS participent au financement des actions mises en uvre dans ce cadre C est notamment le cas de nombreuses mesures d ploy es en direction des jeunes dans les domaines suivants la pr vention de la d linquance 13 M en 2011 dont 3 3 M sp cifiquement d di s aux mineurs la pr vention de la r cidive 1 4 M en 2011 le soutien la fonction parentale et l accompagnement des jeunes 6 M en 2011 la pr vention sociale primaire et secondaire 4 4 M en 2011 Emploi et d veloppement conomique Les
285. les collectivit s territoriales afin de d finir la strat gie la mise en r seau et le pilotage des institutions qui interviennent en direction des quartiers En ce qui concerne les pratiques num riques les actions de cr ation des jeunes re oivent un soutien particulier En 2011 une exp rimentation Jeunesse amp num rique a t men e afin de soutenir des projets r alis s par des op rateurs culturels destination des publics jeunes mettant en place des processus originaux combinant acc s la culture et pratiques de cr ation avec les outils num riques En 2012 le soutien aux projets num riques a t int gr dans un PLF 2013 57 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT autre appel projet lanc en 2011 afin d identifier et de soutenir des op rations innovantes en termes de pratiques amateurs et de nouvelles pratiques culturelles et artistiques Cet appel projet cible notamment le public jeune et mobilise les f d rations d ducation populaire les associations de solidarit et les associations de pratique en amateur Le minist re participe galement des actions culturelles destination des jeunes dans les tablissements de sant et les tablissements m dico sociaux accueillant des personnes handicap es ainsi que dans les tablissements p nitentiaires travers la signature de conventions interminist rielles avec les minist res charg s de la sant et de la
286. les dans l accueil et l accompagnement des jeunes en difficult face au march du travail L action 2 Am lioration des dispositifs en faveur de l emploi des personnes les plus loign es du march du travail refl te l effort particulier de l tat envers les publics les plus en difficult et notamment envers les jeunes sans qualification Un effort significatif sera poursuivi en 2013 en direction des jeunes qui rencontrent des difficult s particuli res d entr e sur le march du travail et subissent plus fortement le ch mage que d autres cat gories de population 22 2 de ch meurs chez les moins de 25 ans au premier trimestre 2012 PLF 2013 33 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Public prioritaire des contrats aid s les jeunes repr sentaient 47 5 des b n ficiaires des contrats unique d insertion contrats initiative emploi CUI CIE et 27 des contrats uniques d insertion contrats d accompagnement dans l emploi CUI CAE Ils repr sentent fin 2011 33 des b n ficiaires de CUI CIE et 25 des b n ficiaires de CUI CAE Les contrats aid s dans leur forme actuelle ne satisfaisant que partiellement les besoins des jeunes et des employeurs pour une insertion professionnelle de qualit le Gouvernement a d cid de mettre en place en 2013 100 000 emplois d avenir pour les jeunes les plus loign s de l emploi Les emplois d avenir auront pour objectif de permettre des
287. licence Si le premier sous indicateur permet d appr cier globalement l efficacit terme de ce plan le second permet de mesurer sp cifiquement celle des mesures prises pour lutter contre un taux d abandon actuellement lev en premi re ann e Historique des valeurs de l indicateur unit 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Part des licences obtenues en trois ans apr s 37 9 37 7 38 7 38 3 37 8 36 4 33 8 disponibles une premi re inscription en L1 1ere ann e de au RAP licence ou de Deug ou d IUT dans le total des 2012 licenci s Part des inscrits en L1 acc dant en L2 l ann e 47 7 46 6 43 2 44 3 42 3 suivante INDICATEUR 6 6 R ussite en M Programme 150 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de r ussite en M2 77 8 nd 77 3 77 3 78 80 Cet indicateur rapporte le nombre d tudiants ayant obtenu leur dipl me dans le courant de l ann e n au nombre d tudiants inscrits pour la premi re fois en M2 ann e n 1 Les valeurs de r alisation sont disponibles en novembre de l ann e n 1 pour la session de l ann e n Sources des donn es MESR DGESIP DGRI Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques SD SIES 108 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Historique des valeurs de l indic
288. licences en ZUS Ce travail a t fait en collaboration avec l INSEE pour l affectation des codes communes et pour la g olocalisation des licences en ZUS 81 f d rations ont envoy leur fichier de licences et 11 505 732 licences ont servi de base au calcul du taux de licences en ZUS La population en ZUS utilis e pour le calcul de l indicateur est celle de 2009 derni re ann e disponible Le nombre de licences en ZUS des f d rations n ayant pas fourni de fichiers d taill s a t estim partir de l ensemble des f d rations ayant transmis un fichier d taill en dehors de la f d ration fran aise de football celle ci tant atypique par son nombre lev de licences localis es en ZUS L cart entre 2010 et 2011 peut s expliquer en partie par le fait que l estimation de 2010 a t r alis e sans les donn es de la f d ration fran aise de football non disponible cette ann e l La r alisation 2010 du taux de licences en ZUS a galement t revue dans le pr sent document budg taire 11 1 contre 10 3 mentionn dans le PAP 2012 partir des taux de licences des diff rents types de publics on calcule des carts de pratique sous forme d indice en comparant le taux de licences au plan national et le taux de licences d une cat gorie particuli re jeunes de moins 20 ans femmes habitants des ZUS carts de pratique sportive constat s Unit 2009 2010 2011 pour les publics prioritaires R alisation R
289. lis e Taux d l ves b n ficiant de l action un 3 2 3 9 8 5 2 8 fruit pour la r cr Source des donn es FranceAgriMer minist re de l ducation nationale Mode de calcul de l indicateur Num rateur nombre d l ves r pertori s correspondant aux l ves inscrits dans le cadre du dispositif de distribution Un l ve est r pertori s il re oit au moins 6 fruits pendant un trimestre D nominateur nombre d l ves cibl s Depuis 2010 l op ration s tend l ensemble des l ves du premier et du second degr y compris les apprentis soit 12 680 718 l ves chiffres pour l ann e scolaire 2011 2012 nombre d l ves dans les coles coll ges et lyc es 12 126 278 nombre d apprentis 554 440 Explication des pr visions A d nominateur constant on note une acc l ration de la progression de l op ration un fruit pour la r cr L op ration est d sormais connue et la souplesse introduite dans les modalit s d inscription concourent sa diffusion De plus en raison de l ouverture du dispositif aux tablissements du second degr l op ration va continuer s tendre La Lorraine Midi Pyr n es la Bretagne le Nord Pas de Calais figurent parmi les r gions o la progression est la plus forte et le Limousin et La R union demeurent les r gions o la proportion d l ves touch s par l op ration est la plus lev e Le dispositif en place coordonn par le mi
290. lissements coles d ing nieurs par exemple d livrent des dipl mes qui conf rent le grade de master Les titulaires de tels dipl mes ne sont pas dans le champ de l enqu te Au niveau Doctorat le renseignement de l indicateur n est possible que tous les trois ans en raison du caract re triennal de l enqu te G n ration il y a donc deux ann es blanches sur trois au PAP RAP Cet indicateur est particuli rement sensible la conjoncture du march du travail dont les volutions ne peuvent tre correctement anticip es sur une dur e triennale L exercice de pr vision 3 ans et de fixation de cible est donc tr s difficile Source des donn es MESR SIES sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques pour les sous indicateurs 1 3 4 5 MEN DEPP pour le sous indicateur 2 CEREQ Centre d tudes et de recherche sur les qualifications pour les sous indicateurs 6 et 7 Tous ces sous indicateurs sont extr mement sensibles la conjoncture conomique M me si les jeunes dipl m s de l enseignement sup rieur sont moins expos s que les autres aux al as de la conjoncture l tat du march du travail est galement pour eux un facteur d terminant de l insertion professionnelle 128 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Historique des valeurs de l indicateur Enqu te sur l insertion professionnelle des dipl m s de l universit Enqu
291. litique de la jeunesse Ainsi ont t cr es en 2009 au sein des directions d partementales de la s curit publique puis tendues la Pr fecture de police en 2011 les brigades de protection de la famille unit s op rationnelles sp cialis es dans le traitement des affaires de personnes vuln rables victimes violences commises en milieu scolaire mineurs d linquants lorsque ceux ci sont particuli rement jeunes ou auteurs d infractions les plus graves Elles assument en outre partiellement ou totalement les missions anciennement r serv es aux brigades des mineurs Par ailleurs ces unit s diligentent la demande des magistrats du si ge et du parquet sp cialis s dans la protection des mineurs des enqu tes sociales notamment en cas de fugues ou de non fr quentation scolaire 74 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Outre l activit judiciaire ces brigades ont galement pour vocation d initier et d animer les actions de pr vention et d informations en s appuyant sur le r seau associatif ou directement policiers r f rents en milieu scolaire stage court d accueil au sein de ses services organis par la Pr fecture de police pour les mineurs primo d linquants Au 31 d cembre 2011 il existait 205 brigades pour la DCSP et 79 pour la pr fecture de police Les petites circonscriptions de s curit publique ne pouvant cr er de brigade locale disposent de r f ren
292. lternants sachant que l atteinte de ce quota est sanctionn e par un dispositif de bonus malus r forme de la contribution suppl mentaire l apprentissage et cr ation du bonus par la loi n 2011 900 de finances rectificative du 29 juillet 2011 INDICATEUR 15 1 Taux d insertion dans l emploi l issue du contrat d apprentissage Programme 103 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d insertion dans l emploi l issue du 51 5 55 5 63 59 5 63 66 contrat d apprentissage Le taux d insertion dans l emploi est mesur 7 mois apr s la fin du contrat d apprentissage Il prend en compte les apprentis ayant obtenu ou non le dipl me pr par ayant achev leur contrat ou l ayant rompu avant terme Il est beaucoup plus favorable pour ceux qui ont r ussi leur dipl me Par ailleurs l enqu te ne touche que des sortants d tudes initiales elle ne prend en compte ni les apprentis qui poursuivent leurs tudes apr s l acquisition d un premier dipl me par la voie de l apprentissage ni les apprentis du secteur agricole Les emplois retenus ici pour mesurer l insertion dans l emploi sont ceux en CDD CDI et contrats en alternance L int rim et les autres emplois aid s sont exclus du p rim tre de l emploi consid r Sources des donn es Donn es d claratives issues de l enqu te insertion professionnelle des appr
293. m me que l acc s au premier grade universitaire s est objectivement largi depuis les ann es 1970 Dans ce contexte la refondation de l ducation prioritaire engagement important du pr sident de la R publique et le maintien du cap fix aux lyc es d enseignement g n ral et technologique r cemment r form s pour mieux accompagner les l ves mieux les pr parer l enseignement sup rieur permettre une fluidit des parcours sont deux points d appui essentiels pour b tir une cole plus juste Parall lement l inclusion scolaire des l ves en situation de handicap doit pr sent s am liorer qualitativement Au del des indispensables moyens humains qu appelle ce d fi une attention toute particuli re sera port e la formation des enseignants et des auxiliaires de vie scolaire La capacit de l tat promouvoir un am nagement quilibr du territoire ducatif en optimisant les moyens allou s participe aussi de cette volont d offrir tous les m mes chances de r ussite Dans ce domaine si une diffusion plus homog ne des outils contenus et services num riques constitue un puissant levier le d veloppement des lyc es polyvalents et la mise en place de r seaux de lyc es permettent galement de rompre avec une logique de concurrence et au contraire de mettre les moyens de l tat en synergie en partenariat troit avec les collectivit s territoriales Pour relever ces d fis l cole a bes
294. mandeurs d emploi gr ce un contrat conciliant exercice d une activit professionnelle et formation en lien avec la qualification recherch e Il permet aux branches professionnelles qui pilotent la mise en uvre de ce dispositif de mieux r pondre aux besoins des entreprises en main d uvre qualifi e par la construction d un outil d acc s aux qualifications distinct de l apprentissage Ce contrat est tr s privil gi pour l embauche de jeunes travailleurs En 2011 140 674 jeunes sont entr s dans ce dispositif soit 80 du total des entr es en contrat de professionnalisation en 2011 Le d veloppement des comp tences cl s compr hension et expression crites techniques l mentaires en math matiques et sciences utilisation des technologies de l information et de la communication aptitude d velopper ses connaissances et comp tences de fa on autonome constitue un s rieux atout pour l insertion professionnelle durable des jeunes La part des jeunes dans les entr es en 2011 est de 22 95 L insertion professionnelle des jeunes repr sente un enjeu essentiel des politiques publiques men es par l tat dans les d partements et collectivit s d outre mer Deux acteurs principaux du programme sont mobilis s pour assurer l insertion durable des jeunes dans le march du travail le service militaire adapt SMA et l Agence de l Outre mer pour la mobilit LADOM L action du SMA se caract rise par deux d marches compl
295. me de l cole sup rieure d art dramatique du TNS dipl mes de l cole du Louvre dipl me de restaurateur du patrimoine Dipl me de la F mis Sources des donn es enqu te DESC men e par le minist re entre d cembre 2011et janvier 2012 OBJECTIF n 14 Accompagner les jeunes vers l emploi durable par des dispositifs de professionnalisation COETIGI m Programme 102 Acc s et retour l emploi m Programme 103 Accompagnement des mutations conomiques et d veloppement de l emploi Programme 138 Emploi outre mer Un effort significatif doit tre poursuivi en 2013 en direction des jeunes qui rencontrent des difficult s particuli res d entr e sur le march du travail et subissent plus fortement le ch mage que d autres cat gories de population 22 2 de ch meurs chez les moins de 25 ans au premier trimestre 2012 L objectif du gouvernement est donc bien de permettre la construction d un parcours personnalis dans une perspective d acc s l emploi D s lors la politique gouvernementale envers les jeunes issus des ZUS notamment ceux sans qualification s exerce dans le cadre de dispositifs sp cifiques adapt s aux caract ristiques de ce public le contrat d autonomie le contrat d insertion dans la vie sociale CIVIS et l tablissement public d insertion de la d fense EPIDe Les parcours propos s aux jeunes notamment dans le cadre du dispositif CIVIS s appuient de fa on privil gi e sur la palet
296. ment au financement du Plan national de lutte contre le VIH SIDA et autres maladies sexuellement transmissibles Enfin des appels projets associatifs en direction de la jeunesse peuvent b n ficier d un soutien du minist re des outre mer En 2012 23 projets ont t soutenus dans le domaine de la jeunesse et du sport S agissant de l action n 03 deux dispositifs contribuent am liorer les conditions de vie des jeunes ultramarins les aides du fonds de continuit territoriale dont la charge revient l Agence de l outre mer pour la mobilit LADOM cet op rateur octroie des Passeports mobilit tudes et de Passeports mobilit formation professionnelle dans les DOM Saint Martin et Saint Barth lemy le fonds d changes but ducatif culturel et sportif F BECS Ce fonds soutient le d placement des habitants des Antilles Guyane de la R union de Saint Pierre et Miquelon et de Wallis et Futuna vers la m tropole ou l environnement r gional sur les champs jeunesse culture et sport Cr par la loi du 13 d cembre 2000 il s adresse prioritairement aux jeunes de ces territoires dans le cadre de projets associatifs En 2011 le quart des d placements soutenus concernaient le th me jeunesse et ducation plus de 50 la participation aux comp titions sportives et 21 la culture PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME Fonds d exp rimentation pour la jeunesse Agence du service ci
297. ments culturels et scolaires et notamment les r sidences d artistes les changes et les partenariats en association avec les collectivit s territoriales est l objectif prioritaire du minist re 56 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L accent est mis sur le d veloppement des ressources culturelles num riques Afin de soutenir l enseignement de l histoire des arts un portail sp cifique www histoiredesarts culture fr est aliment par les tablissements publics du minist re et des structures artistiques et culturelles r parties sur l ensemble du territoire biblioth ques mus es archives fonds r gionaux de l art contemporain Frac centres d art etc II comprend d sormais plus de 4000 ressources et 350 partenaires L largissement du champ de l ducation artistique et culturelle EAC l ensemble de la jeunesse s appuie sur une nouvelle r flexion d passant la segmentation entre temps scolaire et hors temps scolaire et s adresse l ensemble des publics jeunes Cette politique repose sur un partenariat tendu et de fortes synergies coop ration entre collectivit s entre acteurs ducatifs sociaux et culturels afin de prendre en compte la totalit des temps de vie Sur un territoire donn se rassemblent les organismes culturels sociaux et ducatifs afin de cr er une v ritable dynamique entre les diff rents acteurs Une exp rimentation de Parcours d ducatio
298. ments de peine le lien avec les familles et avec les services ext rieurs la participation aux commissions ainsi que le partenariat avec les intervenants externes en d tention Ces activit s sont en sus de celles qui figurent ci dessus Source des donn es GAME 2010 Mode de calcul ratio entre le total des demi journ es par semaine effectivement suivies par les mineurs d tenus et le nombre total de mineurs d tenus sur la p riode consid r e La dur e hebdomadaire est celle qui para t la plus significative C est la moyenne sur l ann e qui est calcul e INDICATEUR 16 3 Part des jeunes g s de moins de 17 ans la cl ture d une mesure p nale qui n ont ni r cidiv ni r it r dans l ann e qui a suivi Programme 182 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Rapport entre le nombre de jeunes qui 71 75 72 75 76 78 dans l ann e qui suit la sortie de la mesure n ont ni r cidiv ni r it r et le total des jeunes pris en charge dans les services de la PJJ en N 1 Il est n cessaire d attendre plus d un an pour calculer cet indicateur En effet certaines r it rations peuvent appara tre avec un d calage dans le temps et tre saisies post rieurement dans les outils de suivi Le r sultat pr sent pour l ann e N correspond au panel des mineurs dont la mesure s
299. minist re de l int rieur a ainsi affich sa d termination favoriser l acc s de jeunes issus de diff rents milieux sociaux aux m tiers de la police nationale et promouvoir l galit des chances dans l organisation de ses recrutements Diverses mesures ont t progressivement adopt es en vue de favoriser la r insertion des ADS non seulement au sein de la police nationale et de la fonction publique mais galement dans les secteurs parapublic et priv De plus des pr parations aux concours sont d sormais ax es sur les concours des polices municipales et l administration p nitentiaire Par ailleurs a t mise en place au sein de la direction des ressources et des comp tences de la police nationale DRCPN la mission reconversion et reclassement professionnel M2RP qui pilote un r seau de conseillers mobilit carri re sur l ensemble des structures r gionales de formation Enfin le nouveau parcours de cadet de la R publique option police nationale cr en 2004 par le minist re de l int rieur en partenariat avec le minist re de l ducation nationale vise aussi aider des jeunes acqu rir la formation initiale d ADS et pr parer le concours de gardien de la paix gr ce une formation professionnelle sp cifique de douze mois dispens e en alternance dans une structure de formation de la police et un tablissement de l ducation nationale L ensemble de ces dispositifs offrent ainsi des jeunes
300. mique de sa famille En France m tropolitaine et dans les DOM l origine sociale des tudiants fran ais volue tr s peu d une ann e sur l autre Les tudiants des cat gories socio professionnelles les plus favoris es continuent tre plus 102 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE fortement repr sent s toutes formations confondues 30 des tudiants ont des parents cadres sup rieurs ou exer ant des professions intellectuelles sup rieures alors que ces cat gories socio professionnelles ne repr sentent que 11 de la population totale en revanche seulement 10 3 d tudiants sont enfants d ouvriers ces derniers repr sentant 25 de la population totale Ce ph nom ne est accentu dans les classes pr paratoires aux grandes coles o environ la moiti des tudiants est issue des cat gories sociales les plus favoris es alors que le pourcentage d enfants d ouvriers s l ve 6 3 Permettre la r ussite de tous les tudiants quelle que soit la situation conomique de leur famille constitue donc un objectif prioritaire Le syst me d organisation des formations LMD concourt cet objectif par la souplesse apport e notamment au niveau de la licence en vitant en particulier les orientations trop pr coces qui r duisent les chances de r ussite des tudiants issus de milieux modestes n ayant pas toujours une connaissance suffisante du syst me universitaire
301. mmun r affirm comme le cadre de r f rence de la scolarit obligatoire Le coll ge est un maillon indispensable au service de cet objectif pour mieux r pondre la diversit des parcours et s imposer comme le creuset de la r ussite de tous il est au centre de la concertation sur la refondation de l cole de la R publique lanc e le 5 juillet 2012 par le Premier ministre 18 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE En coh rence avec la strat gie Europe 2020 qui met en avant l ducation comme facteur d am lioration de l insertion professionnelle et de r duction de la pauvret la lutte contre le d crochage scolaire est plus que jamais une priorit nationale Pour la France l objectif de r duction 9 5 l horizon 2020 du pourcentage de jeunes de 18 24 ans ne poss dant pas au moins un BEP ou un CAP suppose une mobilisation de tous les acteurs du second degr afin que s organise une r ponse globale et coordonn e Ainsi coll ges lyc es centres de formation d apprentis tablissements intervenant dans le champ de la formation tout au long de la vie centres d information et d orientation tous ont un r le primordial jouer dans cette bataille qui se gagnera autant sur le versant de la pr vention que sur celui des nouvelles chances La voie professionnelle n cessite une attention particuli rement vigilante En effet cette voie conna t encore de trop
302. mp tences structurels ou de rayonnement tant en outre mer qu en m tropole II se concr tisera par des partenariats formalis s avec l ensemble des acteurs de l orientation de la formation de l emploi et de l entreprise PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME Le Service Militaire Adapt SMA au sein de la D G OM l Agence de l Outre mer pour la mobilit LADOM le GIP Cadre Avenir 50 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE PR VENTION S CURIT SANITAIRE ET OFFRE DE SOINS 204 Le programme 204 Pr vention s curit sanitaire et offre de soins pilot par le directeur g n ral de la sant est structur autour des trois axes des politiques de sant conduites par l tat la modernisation de l offre de soins la pr vention et la s curit sanitaire Le programme poursuit d sormais les finalit s suivantes promouvoir l acc s et l ducation la sant diminuer par des actions de pr vention la mortalit pr matur e et la morbidit vitables garantir le niveau et la qualit de l offre de soins moderniser le syst me de soins ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Plusieurs actions du programme concourent cette politique en faveur de la jeunesse Action 12 Acc s la sant et ducation la sant L tat de sant des enfants demeure globalement satisfaisant mais des in galit s sociales et
303. n cessitent des enseignants bien form s l accueil et la scolarisation des l ves en situation de handicap La cr ation de nouveaux emplois d auxiliaires de vie scolaire AVS i permettra une meilleure couverture des besoins d accompagnement La professionnalisation des personnels charg s de l accompagnement des l ves en situation de handicap sera engag e Apr s les suppressions massives de postes intervenues ces derni res ann es la cr ation d s la rentr e 2012 de nouveaux emplois de professeurs des coles permettra un premier renforcement de l encadrement des classes notamment dans les coles qui sont confront es aux situations les plus complexes Ces emplois seront mobilis s pour am liorer l accueil des l ves favoriser leur r ussite en particulier dans les coles de l ducation prioritaire et dans les zones rurales isol es Ils permettront de renforcer les dispositifs d aide aux l ves en difficult La concertation sur la refondation de l cole traitera aussi des modalit s de mise en uvre de l engagement pr sidentiel relatif au plus de ma tres que de classes PLF 2013 17 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Disposer d enseignants motiv s et comp tents est une condition indispensable la r ussite des l ves Elle implique de donner aux personnels et en particulier aux enseignants les moyens de s acquitter de cette mission difficile en les dotant d
304. n es enqu te annuelle adapt e de l enqu te Conf rence des Grandes coles effectu e par les coles Les anciens tudiants sont interrog s en d but d ann e soit 15 18 mois apr s la sortie pour les dipl m s l ann e n 2 et 3 6 mois apr s la sortie pour les dipl m s n 1 Mode de calcul Num rateur nombre de dipl m s occupant un emploi au moment de l enqu te D nominateur population totale des dipl m s de la m me ann e qui sont en emploi ou en recherche d emploi hors poursuite d tudes et volontariat international Explication des pr visions L objectif pour les ann es 2013 2015 est de revenir des valeurs en augmentation apr s le contexte de tension sur le march de l emploi des ann es 2009 2011 INDICATEUR 13 3 Taux d insertion des l ves dipl m s des coles apr s leur sortie de formation Programme 192 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 Taux d insertion des dipl m s dans les 90 94 1 92 92 gt 92 gt 92 12 mois suivant l obtention du dipl me 2 Taux d insertion des dipl m s dans les 96 96 8 97 97 97 97 2 ans suivant l obtention du dipl me 3 Part des docteurs form s dans les 39 41 1 50 50 gt 45 45 coles employ s par une entreprise ou un tablissement industriel dans l ann e qui suit le doctorat
305. n s aux jeunes de moins de 26 ans loign s de l emploi sortis du syst me scolaire sans qualification ni dipl me il s agit d une part des coles de la deuxi me chance E2C dont l objectif cible est d atteindre une capacit d accueil de 12 000 places et d autre part de l tablissement public d insertion de la d fense EPIDe qui permet des jeunes volontaires 2 456 en 2011 en voie de marginalisation sociale ou professionnelle de b n ficier d un accompagnement renforc vers l emploi ou et vers des formations qualifiantes PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME P le Emploi L Agence de Services et de Paiement Les missions locales Les conseils r gionaux Les conseils g n raux ACCOMPAGNEMENT DES MUTATIONS CONOMIQUES ET D VELOPPEMENT DE L EMPLOI 103 Le programme 103 Accompagnement des mutations conomiques et d veloppement de l emploi donnera la priorit en 2013 en direction des jeunes au d veloppement de la formation en alternance qui doit rapidement conduire une meilleure insertion dans le march du travail ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L action 2 Am lioration de l insertion dans l emploi par l adaptation des qualifications et la reconnaissance des comp tences vise faire en sorte que l appareil de formation soit toujours plus r actif et mieux orient vers les besoins des entreprises et des demandeurs d emploi Les voies de l apprent
306. n artistique et culturelle permettant un nouveau sch ma territorial associant les professionnels des arts et de la culture l ensemble des professionnels du milieu ducatif est men e en 2012 Pour mieux r pondre aux enjeux un grand projet national en faveur de l EAC est en pr paration Il sera construit en lien troit avec les minist res concern s minist res de l ducation nationale de l enseignement sup rieur et de la recherche de l agriculture de l agroalimentaire et de la for t des sports de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie associative et impliquera pleinement les collectivit s territoriales Il traitera l ensemble des ges de la petite enfance l universit pendant le temps scolaire et hors temps scolaire et fera en sorte que chaque futur citoyen soit en mesure de d velopper un regard et une sensibilit sur l art et la culture qui lui permette de s orienter de mani re autonome dans la vie Il favorisera le rapport direct aux uvres la pratique artistique et une acceptation large de la culture couvrant tous les domaines de comp tence du minist re En outre diff rents programmes en faveur des publics loign s de la culture mettent l accent sur les jeunes Dans le cadre de la politique de la ville le minist re propose plusieurs dispositifs aux jeunes des quartiers prioritaires Les tablissements publics culturels associ s la mission Vivre ensemble mettent en place des actions leur i
307. n charge La PJJ a pour objectif que chaque jeune qui lui est confi soit accompagn sur la voie de l insertion sociale et professionnelle Cet indicateur ne permet pas d valuer de fa on qualitative les effets de l accompagnement mis en uvre L inscription dans un dispositif de formation est cependant un pr alable n cessaire Source des donn es le taux indiqu jusque l dans les documents budg taires est tir d une estimation faite par l Inspection des services de la DPJJ dans un rapport d valuation sur les activit s de jour et d insertion de 2007 Ceux des ann es ult rieures ont t extrapol s Ils sont avant tout indicatifs Le renseignement de cet indicateur sera rendu possible la fin de l ann e 2012 de fa on partielle et en 2013 par le d ploiement du nouveau logiciel Game 2010 intervenu au printemps 2012 Les premiers r sultats mesur s pourront conduire revoir les estimations et pr visions ant rieures et en cons quence les cibles 2013 et 2015 L objectif terme est d approcher 100 Compte tenu du public accueilli et des estimations actuelles 95 repr sente un objectif coh rent Mode de calcul ratio entre le nombre de mineurs pris en charge par les services du secteur public de la PJJ en milieu ouvert et en h bergement et inscrits dans un dispositif d insertion de la PJJ ou de formation de droit commun ducation nationale formation professionnelle formations propos es par les missions locales
308. n de ces axes des objectifs particuliers sont d finis et associ s des indicateurs permettant de s assurer de leur r alisation Ces indicateurs reprennent les indicateurs pr sents dans les projets annuels de performance des programmes concern s Seuls les plus significatifs pour la politique transversale ont t retenus 82 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE RENFORCER L ANIMATION INTERMINISTERIELLE DES POLITIQUES PUBLIQUES EN FAVEUR DE LA JEUNESSE Le d veloppement d une politique de jeunesse au niveau interminist riel r pond l ambition de construire une politique nationale concert e adapt e l enjeu que constitue l insertion sociale et professionnelle des jeunes Dans cet objectif l action prioritaire consiste mettre en coh rence les actions publiques en direction des jeunes et tablir une meilleure collaboration entre les services de l tat Les politiques et dispositifs mis en uvre en faveur des jeunes tant pour permettre l acc s l autonomie la prise de responsabilit s que la r paration des in galit s sont multi partenariaux et s appuient sur un ancrage territorial structurant en mati re de coh sion sociale N anmoins ils souffrent d une grande diversit et d un parpillement qui en p nalise la lisibilit pour les acteurs publics les professionnels du secteur et les jeunes eux m mes L h t rog n it des besoins et des r ponse
309. n de salari s des entreprises de plus de 250 salari s en contrat de professionnalisation en contrat d apprentissage et de jeunes accomplissant un volontariat international en entreprise r gi par les articles L 122 1 et suivants du code du service national ou b n ficiant d une convention industrielle de formation Au d nominateur figurent les effectifs de salari s d entreprises de plus de 250 salari s appr ci s dans les conditions pr vues par les articles L 1111 2 L 1111 3 et L 1251 54 du code du travail Explication des valeurs cibles valeur cible en coh rence avec l objectif de d veloppement du nombre d alternants 700 000 fin 2017 INDICATEUR 15 4 Part des entreprises de plus de 250 salari s employant plus de 4 d alternants Programme 789 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des entreprises de plus de 250 9 10 salari s employant plus de 4 d alternants Source des donn es Les donn es sont issues des d clarations annuelles de donn es sociales CNAV remplies par les employeurs qui doivent obligatoirement d clarer avant le 31 janvier de chaque ann e les traitements vers s au cours de l ann e pr c dente les effectifs employ s et une liste nominative des salari s en indiquant pour chacun leur statut et leurs r mun rations Mode de calcul Au num
310. n des arts plastiques subventionn s de l ann e civile n INDICATEUR 11 2 Fr quentation des institutions patrimoniales et architecturales Programme 175 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e volution de la fr quentation physique Nombre en 35 94 38 42 gt 36 gt 38 gt 38 gt 39 payante et gratuite des institutions millions patrimoniales et architecturales Part des moins de 18 ans dans la 16 53 16 18 gt 17 17 17 5 18 fr quentation totale des institutions patrimoniales et architecturales Part des 18 25 ans r sidents de l Union 8 96 9 21 gt 9 5 gt 9 5 10 gt 10 Europ enne dans la fr quentation des collections permanentes des institutions patrimoniales et architecturales Sources des donn es 1 et 2 lignes Centre des monuments nationaux CMN Observatoire des publics Domaine national de Chambord Cit de l architecture et du patrimoine CAPA mus es nationaux relevant du programme Patrimoines statistiques sur les mus es nationaux services comp tence nationale de l tablissement public de la R union des mus es nationaux et du Grand Palais des Champs lys es donn es des mus es nationaux op rateurs et services comp tence nationale Archives nationales SCN AN Site Paris Fontainebleau SCN ANOM site Aix en Provence SCN ANMT site Rouba
311. n des coll ges pour y assurer une permanence FRAN AIS L TRANGER ET AFFAIRES CONSULAIRES 151 La direction des Fran ais l tranger DFAE du minist re des affaires trang res contribue la politique en faveur de la jeunesse au travers de plusieurs actions dont la principale est l aide la scolarit octroy e aux l ves fran ais scolaris s l tranger dans les tablissements scolaires du r seau de l Agence pour l enseignement fran ais l tranger A FE D autres mesures contribuent la politique en faveur de la jeunesse tels des accords bilat raux visant permettre des changes de jeunes entre la France et diff rents tats partenaires dans le cadre d un programme vacances travail PVT L aide la scolarit La sous direction de l expatriation de la scolarisation et de l action sociale de la DFAE a depuis 2007 la responsabilit de g rer l enveloppe destin e financer l aide la scolarit octroy e aux l ves fran ais scolaris s l tranger dans les tablissements scolaires du r seau de l A FE Cette aide inscrite l action 2 du programme 151 est bas e sur les articles D531 45 D531 51 du Code de l ducation Elle prenait jusqu 2012 2 formes les bourses scolaires attribu es sur crit res sociaux dans toutes les classes la prise en charge des frais de scolarit des l ves du second cycle du secondaire Ce dispositif cr en 2007 a t
312. n populaire et de la vie associative en mati re de jeunesse d ducation populaire et de d veloppement de la vie associative illustrent un r le moderne de l tat qui labellise habilite dispense un conseil expert accompagne contr le value met en uvre des actions d am lioration du contexte dans lequel voluent les acteurs les f d re autour de plans d actions construits en commun et la marge apporte un soutien pour d velopper des logiques structurantes du territoire mises en uvre par d autres acteurs associations et collectivit s notamment En mati re de jeunesse le programme regroupe des actions qui concernent une large tranche d ge de 3 30 ans avec des objectifs vocation transversale contribuer la qualit ducative de leurs activit s pendant leurs loisirs et assurer leur protection physique et morale en accueils collectifs assurer leur information soutenir leurs initiatives favoriser leur mobilit internationale et leur engagement dans une soci t qui a besoin de leur dynamisme de leur g n rosit et de leur imagination L objectif premier est de favoriser l autonomie des jeunes notamment par l engagement Cette autonomie passe par l acc s une information de proximit gratuite anonyme et de qualit label Information jeunesse et soutien au r seau l aide la mobilit internationale accords internationaux concernant l Office franco allemand pour la jeunesse et l Office franco qu b c
313. n sociale et l insertion professionnelle des jeunes Dans ce cadre ces tablissements et services doivent coordonner leurs interventions avec celles des conseils g n raux protection administrative et pr vention et avec celles de divers partenaires publics ou priv s qui peuvent contribuer l insertion des jeunes en difficult particuli rement l ducation nationale les missions locales et les conseils r gionaux comp tents pour la formation professionnelle des jeunes de plus de 16 ans Aussi pour les mineurs ne pouvant b n ficier d embl e des dispositifs de droit commun la circulaire d orientation du 3 avril 2012 relative l action d ducation structur e par les activit s de jour pr voit la construction d un parcours personnalis pour chaque jeune partir d un emploi du temps structur L organisation d activit s de jour a pour objectif le maintien ou la r inscription des mineurs sous protection judiciaire dans les dispositifs de droit commun en mati re de formation et d insertion professionnelle Quelle que soit la mesure prononc e ces mineurs sont accueillis sans d lai et sans pr alable dans le Dispositif Accueil Accompagnement DAA puis le cas ch ant dans le module des acquisitions compos s de s quences de socialisation de bilan scolaire professionnel et de construction d un projet professionnel dans un emploi du temps rep r Par ailleurs la loi d orientation et de programmation pou
314. nce la s curit routi re Le document de politique transversale Politique en faveur de la jeunesse prend en compte une population allant de 3 ans 30 ans avec un c ur de cible 6 25 ans afin de n exclure aucune tranche d ge de ce travail de synth se et d agr gation Les jeunes sont ainsi recens s dans leurs diff rentes cat gorisations enfant l ve tudiant mineur apprenti jeune majeur jeune travailleur etc La limite basse fix e 3 ans se r f re l ge de la premi re scolarisation et donc la possibilit d tre inscrit en accueil collectif de mineurs La limite haute de 30 ans correspond celle retenue pour un grand nombre de dispositifs europ ens Gr ce une entr e transversale par public qui transcende la segmentation sectorielle des politiques de l tat le DPT Politique en faveur de la jeunesse r pond deux objectifs d crire les lignes directrices de la politique de l tat en faveur de la jeunesse pr senter les actions et les moyens qui s inscrivent dans ces lignes directrices afin de permettre la repr sentation nationale de mieux appr cier les choix soumis son examen 12 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE PR SENTATION DES PROGRAMMES CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE JEUNESSE ET VIE ASSOCIATIVE 163 Les politiques port es par le minist re des sports de la jeunesse de l ducatio
315. nces plut t que sur des connaissances et de promouvoir louverture sociale des grandes coles et la diversit des profils recrut s De plus depuis 2011 les concours agronomique v t rinaire et du paysage sont gratuits pour les candidats boursiers Des efforts sont men s pour accro tre la lisibilit de l offre de formation et de ses diff rentes formules Une brochure Paroles de jeunes du sup est parue fin 2011 ainsi qu une plaquette sur l acc s l enseignement sup rieur Une plaquette sp cifique aux BTSA devrait para tre fin 2012 Ces supports participent la r alisation des mesures orientation et culture scientifique et technique Le dispositif des cord es de la r ussite a pris une dimension interminist rielle et aujourd hui 18 des 326 cord es labellis es impliquent un tablissement d enseignement agricole 5 1 La progression et la valorisation de la mobilit l tranger des tudiants est d velopp e au travers du dispositif ECTS European Credit Transfert System dans lequel l enseignement sup rieur agricole est pleinement engag L enseignement sup rieur agricole s implique galement fortement dans la nouvelle g n ration d actions de mobilit europ enne Erasmus pour tous pr vue par le nouveau programme pour l ducation et la formation tout au long de la vie 2014 2020 Pour diversifier les r ponses qu elles peuvent apporter en termes d offre de formation 9
316. nces d acc s et de r ussite dans l enseignement sup rieur Le programme est dot de cr dits destin s principalement allouer des bourses aux tudiants inscrits dans des fili res relevant du minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche Il s articule autour d aides vers es directement aux tudiants bourses sur crit res sociaux attribu es en fonction des ressources et charges des parents aides au m rite pour les tudiants les plus m ritants en compl ment des bourses sur crit res sociaux aides la mobilit internationale en faveur d tudiants boursiers souhaitant suivre une formation ou un stage l tranger s inscrivant dans leurs cursus d tudes et dans le cadre d un programme d changes aides ponctuelles en faveur d tudiants rencontrant de graves difficult s ou aides annuelles pour les tudiants rencontrant des difficult s durables dans le cadre du Fonds national d aide d urgence FNAU Par ailleurs le programme finance des dispositifs d aides indirectes li es au logement et la restauration assur s par le r seau des uvres universitaires Centre national des uvres universitaires et scolaires CNOUS et Centres r gionaux des uvres universitaires et scolaires CROUS Le programme est galement dot de cr dits destin s aux services de m decine pr ventive et aux services d activit s physiques et sportives dans les universit s ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR
317. nd des besoins vidents de l cole primaire qui ne dispose d aucun outil de r gulation Pour lavenir la concertation traitera tant de la refondation de l valuation du syst me ducatif que des acquis des l ves Pour les enseignants notamment il s agirait d une valuation permettant de les accompagner dans leur m tier et de les aider au moyen de la formation faire voluer leurs pratiques p dagogiques en particulier dans le traitement de la difficult scolaire L cole devant tre au service de la promotion de tous elle se doit d accro tre la r ussite scolaire des l ves en zones difficiles et des l ves besoins ducatifs particuliers L objectif central de l ducation prioritaire est l acquisition par tous les l ves des connaissances et des comp tences du socle commun la r duction des carts en mati re de r sultats scolaires mais aussi le d veloppement de l excellence et de l ambition scolaire pour tous Pr s d un l ve sur cinq sera concern par l ducation prioritaire la rentr e scolaire 2012 Des moyens importants de l ordre de 10 15 plus lev s que dans les coles hors ducation prioritaire sont mobilis s enseignants et assistants p dagogiques suppl mentaires mesures indemnitaires sp cifiques classes effectifs all g s Le programme des coles coll ges et des lyc es pour l ambition l innovation et la r ussite CLAIR mis en place la rentr e 2011 compre
318. nd 2189 coles la rentr e 2012 L observation des r sultats et des parcours scolaires des l ves scolaris s dans l ducation prioritaire montre certaines am liorations mais des carts subsistent avec les l ves scolaris s hors ducation prioritaire L exigence d une plus grande justice sociale au sein de l cole demande que les dispositifs d ducation prioritaire existants soient revus dans le sens d une plus grande coh rence avec l ensemble des dispositifs prioritaires de l tat et d une plus grande clart Le dispositif ECLAIR notamment a vocation tre repens La r ussite de tous implique la prise en compte par l cole des besoins ducatifs particuliers pr vention et traitement des difficult s scolaires notamment par les RASED r seaux d aide aux l ves en difficult int gration des primo arrivants dans des classes sp cialis es classe d initiation CLIN prise en compte des l ves intellectuellement pr coces scolarisation des l ves malades ou handicap s qui s est d velopp e gr ce la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es Toutefois de nombreux progr s restent accomplir renforcement des effectifs de personnels d accompagnement qualit de la scolarisation personnalisation des r ponses p dagogiques et validation des comp tences socle commun comp tences professionnelles qui
319. nd compte des r sultats de l ensemble des modes d acc s ce dipl me enseignement scolaire public enseignement priv sous contrat ou non enseignement agricole public ou priv candidatures libres Cette d clinaison rend compte de la diversit des voies de formation emprunt es pour acc der cette certification ainsi que des volutions des quilibres entre elles Exemple d interpr tation pour le taux d acc s au baccalaur at de la session 2011 en France m tropolitaine et DOM l indicateur vaut 71 6 cela signifie que si les taux de candidature et de r ussite par ge observ s la session 2011 restaient inchang s l avenir 71 6 de la g n ration des jeunes g s de 15 ans en 2011 obtiendraient le baccalaur at Tous les sous indicateurs sont calcul s selon le m me proc d Explication des valeurs cibles la pr vision actualis e 2012 la pr vision 2013 et la cible 2015 ont t fix es en tenant compte des pr visions d mographiques jusqu en 2014 des pr visions des effectifs scolaris s et en faisant l hypoth se de proportions constantes d apprentis de candidats libres et de candidats scolaires Les r partitions par ge ont t galement conserv es pour les baccalaur ats g n ral et technologique Pour le baccalaur at professionnel les candidats scolaires ont t un peu rajeunis partir de 2013 pour tenir compte du raccourcissement du cursus conduisant ce dipl me de 4 3 ans et le taux
320. ndividuelles dans la fr quentation totale des lieux culturels pour atteindre la cible de 18 en 2015 et 120 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE d autre part maintenir autour de 10 la fr quentation des 18 25 ans r sidant dans l Union europ enne dans les collections permanentes des institutions patrimoniales et architecturales gr ce aux mesures de gratuit en faveur de ce public mises en place depuis avril 2009 Ces deux sous indicateurs mesurant une part relative il importe d analyser leur volution galement en valeur absolue D une mani re g n rale outre l impact des mesures de gratuit l augmentation de la fr quentation du jeune public passe par le d veloppement d actions ducatives adapt es qui n cessitent la professionnalisation des personnels et le d veloppement d outils d information aupr s des enseignants publications sites Internet Le choix de favoriser un acc s quitable la culture est issu de la volont de veiller maintenir l galit de traitement vis vis des publics en corrigeant les d s quilibres La politique du minist re de la culture en faveur de l ducation artistique et culturelle EAC vise renforcer la capacit d intervention des structures artistiques et culturelles qu il subventionne en mati re d action ducative et culturelle Elle s exerce dans le cadre d un partenariat renforc avec les collectivit s territoriales
321. nes sortant du syst me ducatif mais galement de la conjoncture du march du travail Les marges de man uvre existent cependant pour viser une meilleure insertion des jeunes dipl m s dans les prochaines ann es L insertion professionnelle des dipl m s est depuis la promulgation de la loi n 2007 1199 du 10 ao t 2007 relative aux libert s et responsabilit s des universit s une mission du service public de l enseignement sup rieur Par ailleurs la construction de l espace europ en de l enseignement sup rieur permet d assigner chacun des cursus licence master et doctorat des objectifs diff renci s d crits dans les actions du programme C est en fonction de ces objectifs que l excellence doit tre garantie pour chacun des niveaux 104 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE L am lioration de l orientation et des taux de succ s des tudiants en cursus licence constitue un enjeu majeur Le plan pluriannuel pour la r ussite en licence s est traduit dans les contrats par un effort cumul de 730 millions d euros sur la p riode 2008 2012 Ces moyens suppl mentaires attribu s aux tablissements sont modul s en fonction de la qualit des projets et de l valuation des r sultats obtenus dans la mise en uvre de ce plan Il pr voit la mise en uvre conjointe de plusieurs actions le d veloppement de l orientation active associ e la g n ralisation du do
322. nettes explicitement orient vers les adultes Les arts de la rue du cirque et du conte se sont renouvel s en s adressant un large public familial ou transg n rationnel qui renforce une approche plus fr quente et vari e de l art vivant de la part des enfants Pour les compagnies chor graphiques un mouvement en direction de la jeunesse s amorce depuis une dizaine d ann es si on ne conna t pratiquement pas d exemples de compagnies chor graphiques sp cialis es dans l adresse au jeune public nombre d entre elles proposent dor navant des versions r duites ou am nag es de certaines de leur cr ation l usage du public scolaire On se rappellera par ailleurs que louverture sur les danses urbaines a dans un premier temps tr s majoritairement trouv un cho aupr s d un public adolescent et jeune Dans le secteur musical c est dans la chanson qu un r pertoire est cr destination particuli re des enfants Mais plus largement certains secteurs des musiques actuelles entretiennent un rapport non exclusif mais toujours privil gi avec la jeunesse Dans le secteur des arts plastiques on rappellera l importance de la production artistique et esth tique en direction de l enfance travers les arts graphiques illustrations bandes dessin es voire le design et le ph nom ne r cemment pris en consid ration par le minist re des jeux vid o qui concerne massivement la jeunesse Les enseignements artistiques Au d
323. nf rences de l galit qui permettront de d finir les feuilles de routes de chaque minist re En outre Il participera la r alisation d tudes d impact sexu es prenant en compte la dimension de genre dans les projets de lois et les textes r glementaires Enfin il veillera la prise en compte de la question des droits des femmes et de l galit dans les indicateurs de performance des programmes de l tat 3 une contribution l animation des travaux d finis dans le cadre de la conf rence sociale sur la croissance et sur l emploi des 9 et 10 juillet 2012 le SDFE est mobilis entre autres pour la mise en uvre des plans d actions r gionaux exp rimentaux qui porteront sur la dynamisation de la n gociation des entreprises tout particuli rement des PME et l am lioration de la qualit de ces accords pour la participation au suivi des n gociations interprofessionnelles pour le suivi du groupe de travail sur les classifications et pour prise en compte des questions li es la sant et aux conditions de travail des femmes 4 la mise en uvre et le suivi en lien avec les autres services minist riels du 3 plan interminist riel de lutte contre les violences faites aux femmes 2011 2013 5 le soutien la territorialisation de la politique des droits des femmes via l laboration et le suivi par les d l gu es et charg s de mission aux droits des femmes et l galit entre les femmes et les hommes de Plans
324. nisation de l agriculture et de la p che assurer la population l acc s une alimentation s re diversifi e en quantit suffisante de bonne qualit gustative et nutritionnelle produite dans des conditions durables et dans des conditions conomiquement acceptables par tous Elle est mise en uvre de fa on op rationnelle par le programme national pour l alimentation PNA Le PNA est d clin au niveau local par les directions r gionales de l alimentation de l agriculture et de la for t DRAAF et les directions de l alimentation de l agriculture et de la for t DAAF en concertation avec l ensemble des parties prenantes publiques priv es ou associatives Il existe 4 axes principaux d intervention dont un concerne plus particuli rement les jeunes Faciliter l acc s des cat gories de consommateurs captifs c est dire n ayant pas le choix de leur alimentation ou particuli rement sensibles savoir les plus d munis les jeunes les personnes hospitalis es les s niors les d tenus Pour l action concernant plus sp cifiquement les jeunes le dispositif repose sur l op ration un fruit pour la r cr qui sera poursuivie Il s agit d assurer avec les collectivit s territoriales volontaires la distribution de fruits dans les tablissements scolaires et les centres de loisirs associ s l cole avec un accompagnement p dagogique Ce programme de distribution mis en place titre exp riment
325. nist re ne permet pas d atteindre terme une couverture totale de la population cibl e D autres actions de m me nature sont en effet men es par d autres acteurs collectivit s territoriales associations La couverture de la population cibl e par le dispositif pourrait tre de l ordre de 12 en 2015 ce qui ne signifie pas que seuls 12 de la population cibl e b n ficieront d une action de distribution gratuite de fruits la population cibl e pouvant b n ficier d autres dispositifs 112 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 7 4 Qualit de l alimentation en restauration collective du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de conformit constat en SO SO SO 60 80 restauration scolaire lors des inspections nutritionnelles Source des donn es SIGAL application m tier du minist re Mode de calcul de l indicateur Num rateur nombre d inspections nutritionnelles conformes c est dire des inspections o les 8 points incontournables de la qualit nutritionnelle des repas servis en restauration scolaire sont respect s D nominateur nombre total d inspections relatives la qualit nutritionnelle des repas servis en restauration scolaire effectu es De 2010 2012 le contr le des r gles nutritionnelles n existait pas le
326. nnels le sous indicateur rapporte le nombre de nouveaux bacheliers technologiques et professionnels inscrits dans le p rim tre observ au nombre de nouveaux bacheliers technologiques et professionnels inscrits dans l ensemble de l enseignement sup rieur enseignement sup rieur public et priv sous et hors contrat Limites et biais connus Ces indicateurs de r ussite ne sont pas construits de m me Seul le second r sulte d un suivi de cohorte qui permet d appr cier la r ussite de ceux qui suivent la formation dipl mante Le premier mesure seulement un taux de succ s l examen de ceux qui s y pr sentent et qui d ailleurs peuvent n avoir pas suivi la formation correspondante Source de donn es MESR DGESIP DGRI Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques SD SIES Les dipl mes Bac 2 professionnalis s ont un poids important dans le nombre total de dipl m s en France Le taux de r ussite dans ces fili res doit donc augmenter afin de participer pleinement la r alisation de l objectif de 50 d une classe d ge dipl m e de l enseignement sup rieur Si les taux de r ussite sont variables selon le type de baccalaur at obtenu les STS sont par la p dagogie mise en uvre les plus propices faire r ussir les bacheliers des fili res technologique et professionnelle En ce qui concerne les IUT fili re importante au regard de l objectif de conduire 50 d une classe d ge un dip
327. nombreuses sorties sans qualification et on constate pour la deuxi me ann e cons cutive une baisse sensible du taux de r ussite au baccalaur at professionnel C est par un accompagnement renforc des parcours instaur s par la r forme du baccalaur at professionnel et la mise en uvre de nouveaux parcours adapt s aux besoins de chacun que seront favoris es la motivation la pers v rance la r ussite et l l vation du niveau de qualification de tous ceux qui s engagent dans cette fili re Le taux d acc s au baccalaur at vient d atteindre en 2012 un nouveau record historique avec 77 5 de bacheliers dans une g n ration Cette nouvelle progression doit beaucoup la forte hausse du taux d acc s au baccalaur at professionnel elle m me li e l augmentation importante et exceptionnelle entre 2010 et 2011 du nombre de candidats dans la voie professionnelle cons quence de l ach vement de la r forme de cette voie Cette situation ne se reproduira pas et le taux d acc s au baccalaur at ne se situera vraisemblablement pas ce niveau en 2013 De plus l augmentation inqui tante du taux d chec au baccalaur at professionnel en 2012 justifie une attention particuli re Enfin des progr s restent accomplir pour l ouvrir davantage encore aux l ves issus des familles d favoris es dont le pourcentage de bacheliers par g n ration demeurait en 2011 5 points en retrait de celui de l ensemble de la population alors
328. nt suscit des critiques et des r serves l cole doit n anmoins b n ficier d un outil d valuation standardis afin d identifier les domaines dans lesquels les l ves rencontrent des difficult s La concertation pour la refondation de l cole traitera cet enjeu majeur Enfin la question des rythmes ducatifs joue aussi un r le d terminant dans la r ussite des l ves Il s agit de concevoir un projet ducatif global articulant temps scolaires temps p riscolaires travail personnel activit s culturelles et sportives Le coll ge qu aborde galement la concertation pour la refondation de l cole pr pare la diversit des parcours et s impose comme le creuset de la r ussite de tous notamment en attestant la ma trise des comp tences et connaissances de l ensemble du socle commun en fin de 3 me En coh rence avec la strat gie Europe 2020 qui met en avant l ducation comme facteur d am lioration de l insertion professionnelle et de r duction de la pauvret la lutte contre le d crochage scolaire est plus que jamais une priorit nationale La voie professionnelle qui conna t encore de trop nombreuses sorties sans qualification n cessite une attention particuli rement vigilante C est par un accompagnement renforc des nouveaux parcours instaur s par sa r cente r forme que seront favoris es la motivation la pers v rance et la r ussite de tous ceux qui s y engagent Le taux d acc s au
329. ntention L op ration Les portes du temps cofinanc e par l Agence nationale pour la coh sion sociale et l galit des chances Acs propose des enfants des adolescents et leurs familles issus des zones prioritaires urbaines comme rurales une sensibilisation aux patrimoines d hier et d aujourd hui Le dispositif Passeurs d images est un dispositif d ducation l image et au cin ma vocation culturelle et sociale associant l tat le centre national de la cin matographie et de l image anim e CNC et l ensemble des r gions m tropolitaines et d Outre mer Il regroupe dans une logique de partenariat les salles de cin ma les structures culturelles les maisons des jeunes et de quartiers les services publics les collectivit s territoriales les associations caritatives ou sociales les professionnels du cin ma les f d rations d ducation populaire etc Le soutien aux initiatives sur les territoires est assur par les directions r gionales des affaires cultuelles DRAC Les DRAC soutiennent des projets artistiques et culturels destination des populations des quartiers Ce financement sur l action 4 du programme 224 repr sente environ 2 9 M en 2012 dont 1 3 M provenant de l appel projets Pour une dynamique culturelle dans les quartiers qui vise impulser et consolider des initiatives exemplaires mises en place dans les quartiers les plus d ficitaires Par ailleurs les DRAC sont engag es avec
330. ntribuant ainsi aux efforts de r insertion des jeunes d tenus en outre les dispositifs comme D fense 2 chance font l objet d une promotion affirm e 11 520 dossiers de candidats potentiels transmis l PIDe en 2011 une information plus active sur le don du sang ou d organes d j envisag e lors de la discussion de la loi sur la bio thique devrait tre introduite et un partenariat avec l tablissement fran ais du sang est pr vu pour 2012 Par ailleurs des contacts avec l agence de biom decine sont en cours pour formaliser une information sur ces domaines La JDC a galement servi de cadre en avril 2012 une campagne d information sur les vaccinations qui pourrait tre p rennis e un partenariat concret avec la d l gation g n rale la s curit routi re est envisag enfin la DSN est partenaire de la DGME dans le dispositif de recensement citoyen obligatoire en ligne via mon servicepublic fr SOUTIEN DE LA POLITIQUE DE LA D FENSE 212 Le programme 212 Soutien de la politique de la d fense sous la responsabilit du Secr taire g n ral pour l administration regroupe les fonctions de direction et de soutien mutualis es au profit du minist re de la d fense et a pour objectif de garantir le plus efficacement possible et au meilleur co t l ensemble des fonctions indispensables au soutien de la politique de d fense ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr
331. oblige en vue de l obtention de sa qualification travailler pour la structure d accueil pendant la dur e du contrat et suivre la formation dispens e en CFA l offre culturelle destin e la jeunesse dans le cadre de la promotion et de la valorisation de son important patrimoine monuments historiques mus es musiques archives biblioth ques PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Pour promouvoir et valoriser le patrimoine culturel de la D fense aupr s des jeunes le programme s appuie sur ses op rateurs tablissements publics sous la tutelle principale du ministre de la d fense le mus e de l arm e le mus e national de la marine et le mus e de l air et de l espace mettent la disposition des jeunes visiteurs des collections pr sent es dans un cadre r nov et propice la diffusion des connaissances dans les domaines de l histoire et des techniques civiles et militaires La loi n 2002 6 du 4 janvier 2002 relative aux mus es de France qui organise la gratuit d acc s aux jeunes de moins de 18 ans puis le dispositif gouvernemental d extension de la gratuit d acc s aux jeunes de l Union europ enne g s de 18 25 ans et aux enseignants du premier et second degr depuis le 4 avril 2009 ont permis ces mus es d adapter leur offre culturelle au jeune public programmes interactifs accompagnant la d couverte des collections ateliers visites animations pour les groupes scolaire
332. ocratisation de la culture Programme 131 Cr ation Programme 175 Patrimoines Le minist re de la culture et de la communication entend d velopper la fr quentation des lieux culturels subventionn s et notamment du public jeune L indicateur 11 1 mesure la proportion du public scolaire au sein du public dans les domaines du spectacle vivant et des arts plastiques L accueil du public scolaire constitue une part importante de l effort des tablissements de spectacle vivant et d arts plastiques pour agir sur le renouvellement du public et sur la sensibilisation des jeunes spectateurs et visiteurs Le d veloppement des politiques d ducation artistique conduites en lien avec le minist re de l ducation nationale doit permettre d lever progressivement la valeur de cet indicateur Mais la part du public en sorties scolaires ne mesure qu une partie de leurs efforts dans le travail qu ils conduisent en direction du jeune public et qui inclut l accueil du jeune public hors temps scolaire les op rations d ducation artistique en collaboration avec l ducation nationale etc Le minist re vise galement accro tre la fr quentation de ses institutions patrimoniales tout en recherchant la diversification de ses publics et en garantissant une place importante au jeune public Ainsi travers l indicateur 11 2 le minist re s engage d une part d velopper encore la part de fr quentation des moins de 18 ans en visites scolaires et i
333. oin de personnels remobilis s dans la confiance et le respect La refonte de la formation initiale des professeurs dans le cadre de la cr ation des coles sup rieures du professorat et de l ducation de leur formation continue fortement orient e vers le num rique et de leur valuation constituent pour le second degr public trois leviers essentiels au service de cette ambition En 2011 2012 l enseignement scolaire public du second degr a scolaris 4 234 400 l ves dans 7 893 tablissements publics locaux d enseignement EPLE ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action n 01 Enseignement en coll ge Action n 02 Enseignement g n ral et technologique en lyc e Action n 03 Enseignement professionnel sous statut scolaire Action n 04 Apprentissage PLF 2013 19 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Action n 05 Enseignement post baccalaur at en lyc e Action n 06 Besoins ducatifs particuliers Action n 07 Aide l insertion professionnelle Action n 08 Information et orientation Action n 10 Formation des personnels enseignants et d orientation Action n 11 Remplacement Action n 12 Pilotage administration et encadrement p dagogique Action n 13 Personnels en situations diverses PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME tablissements publics locaux d enseignement EPLE coll ges lyc es d enseignement g n r
334. ois pour la jeunesse ainsi que par les chantiers de jeunes L acc s l autonomie peut galement tre favoris par des actions men es dans le cadre des exp rimentations sociales initi es dans le cadre du fonds d exp rimentation pour la jeunesse FEJ visant notamment articuler l apprentissage scolaire ou universitaire et l insertion professionnelle L appr ciation de la pertinence et du caract re transf rable de ces exp rimentations est en cours Le soutien actif l engagement s effectue galement gr ce au service civique dispositif cr en 2010 qui doit concerner terme 10 d une classe d ge et qui s inscrit dans la continuit d actions partenariales locales Le second objectif est le contr le de la qualit des accueils collectifs de mineurs travers l valuation du projet p dagogique des s jours mais aussi de l habilitation des organismes qui d livrent les formations pr parant aux dipl mes non professionnels brevets d aptitude aux fonctions d animateur et de directeur Cet objectif passe par l adaptation des textes l gislatifs et r glementaires qui encadrent ce champ d activit s la mise en place d un t l service d di et titre accessoire par l attribution de bourses BAFA ou BAFD Les orientations retenues pour 2013 en mati re de jeunesse sont les suivantes 1 d velopper une politique int gr e et transversale de jeunesse associant l ensemble des minist res en partenariat avec le
335. omotion de l apprentissage Une aide de l tat ou bonus a t instaur e pour les entreprises de 250 salari s et plus qui d passent le seuil d alternants actuellement fix 4 de l effectif annuel moyen article 230H du code g n ral des imp ts ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S ACTION n 01 Aide de l tat aux entreprises ayant un stock d alternants d passant le quota de 4 ACTION n 02 Actions nationales de communication et de promotion de l apprentissage CONCEPTION GESTION ET VALUATION DES POLITIQUES DE L EMPLOI ET DU TRAVAIL 155 Le programme 155 g re les activit s mutualis es d encadrement de mise en uvre et de soutien aux trois programmes de politiques publiques de la mission minist rielle Travail et emploi Ces diff rentes politiques sont mises en uvre par un r seau unique de services de l tat fortement d concentr e sur l ensemble du territoire A ce titre le programme 155 porte les emplois les moyens de fonctionnement d tudes et de statistiques des directions des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi situ es outre mer Guadeloupe Martinique R union Guyane et Mayotte et du p le travail et emploi de la direction de la coh sion sociale du travail de l emploi et de la population Saint Pierre et Miquelon Chacune d elles est responsable d un budget regroupant des cr dits de personnel de fonctionnement et d inve
336. on des proc dures de signalement en participant aux c t s des parquets aux instances cr es par la loi relative la protection de l enfance notamment aux protocoles concernant les cellules de recueil des informations pr occupantes CRIP et aux observatoires d partementaux Renforcer l intervention de la DPJJ en direction des jeunes confi s au p nal conform ment aux orientations donn es par la repr sentation nationale La tr s grande majorit 95 des jeunes suivis par les tablissements et services de la DPJJ le sont au titre de mesures de milieu ouvert et d investigation c est pourquoi il est essentiel d am liorer encore les d lais de prise en charge comme le pr voit la loi de programmation sur l ex cution des peines Pour les autres mineurs qui font l objet de mesures de placement et qui concentrent les situations les plus difficiles il est n cessaire d augmenter le nombre de places au sein de structures contenantes notamment les capacit s des Centres ducatifs Ferm s CEF tout en pr servant un quilibre avec les tablissements de placement plus classiques et les r seaux territoriaux de familles d accueil qui doivent tre consolid s mais galement de diversifier les modalit s de prise en charge ducative au service de l insertion des mineurs PLF 2013 63 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Garantir l autorit judiciaire aux usagers et aux citoyens par le c
337. ons d ducation artistique et culturelle men es par ou avec des structures subventionn es par le minist re Le p rim tre des actions EAC a t modifi afin de ne plus comptabiliser les actions peu peu abandonn es par le minist re de l ducation nationale classes PAC classes culturelles ou ateliers L indicateur comprend les classes options les actions inscrites dans les conventions avec les collectivit s territoriales les actions d ducation l image coles coll ges lyc ens au cin ma les projets f d rateurs r sidences d artistes jumelages etc Cette modification de p rim tre explique la diff rence entre les chiffres du RAP et ceux du PAP NB2 Du fait de la modification de p rim tre d crite ci dessus il est noter que l augmentation d 1 2 point du r sultat de l indicateur revient faire b n ficier d actions d ducation artistique et culturelle pr s de 60 000 enfants suppl mentaires contre 50 000 en 2012 Le ratio affich prend en compte au num rateur le nombre de b n ficiaires de ces dispositifs Le d nominateur d compte le nombre d enfants et de jeunes scolaris s dans le primaire et le secondaire dans les tablissements scolaires publics et priv s en France Sources des donn es l outil de collecte et d analyse OPUS permet de remonter les informations des DRAC 3 DRAC n ont pas t en mesure de renseigner les indicateurs relatifs l ducation artistique et culturelle PACA
338. ontr le l audit et l valuation la qualit de l aide aux d cisions et celle de la prise en charge dans les services publics ou associatifs habilit s par la DPJJ Les quipes d audit constitu es pendant le PSN 2 sont d sormais pleinement op rationnelles afin de garantir un audit tous les cinq ans de chaque structure relevant exclusivement de l tat Concevoir des normes et des cadres d organisation de la justice des mineurs qui conjuguent la contrainte judiciaire et l objectif de socialisation En 2013 la DPJJ mettra en uvre son PSN 2012 2014 qui s inscrit dans la continuit et l approfondissement des r formes engag es Ses axes th matiques mettent l accent sur l am lioration continue des m thodes ducatives en privil giant l adaptation des m thodes professionnelles en d veloppant la politique des ressources humaines et la formation la coordination des acteurs de la justice des mineurs sur chaque territoire le management et le pilotage des missions et des activit s des services d concentr s L objectif est d en consolider la mise en uvre dans chacun des territoires constitu s affirm s comme lieu essentiel du pilotage de l action et d en mesurer l impact notamment quant la qualit de l action ducative engag e aupr s des mineurs ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L une des missions confi es aux tablissements et services de la PJJ est d uvrer l int gratio
339. orique des valeurs de l indicateur unit r alis r alis r alis r alis r alis r alis r alis 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Pourcentage d une classe d ge disponible titulaire d un dipl me de l enseignement sup rieur en 42 5 43 8 44 4 44 7 46 4 46 8 SATA formation initiale INDICATEUR 6 3 Jeunes sortant de l enseignement sup rieur sans dipl me post bac Programme 150 du point de vue du contribuable Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des sortants de DUT BTS ou nd nd 17 17 17 17 quivalent sans dipl me en pourcentage de l ensemble des sortants du sup rieur Les donn es sont tir es d une enqu te INSEE aupr s des m nages l enqu te emploi en continu la donn e annuelle est la moyenne des r sultats des quatre trimestres La valeur de l indicateur est un ratio obtenu en divisant le nombre de sortants de formation initiale ayant d clar avoir suivi des tudes dans l enseignement sup rieur et ne pas avoir obtenu de dipl me sup rieur au baccalaur at dipl me national ou dipl me d tablissement par le nombre total de sortants de formation initiale ayant d clar avoir suivi des tudes dans l enseignement sup rieur Les sortants de formation initiale sont les jeunes qui d clarent avoir interrompu pour la premi re fois leurs tudes l ann e pr c dant celle de l enqu te
340. ormation sur le suivi de l tudiant SISE Il repose sur des informations donn es par les tudiants eux m mes Sa limite tient donc la fiabilit des renseignements et leur effectivit Source des donn es Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques DGESIP DGRI Si une baisse de la valeur de l indicateur au niveau L est enregistr e et pourrait tre imput e une baisse du nombre de bacheliers issus de parents employ s et ouvriers on assiste un maintien pour le niveau M et une augmentation des valeurs de l indicateur pour le niveau D donc la poursuite des tudes longues qui traduit un allongement de la dur e des tudes de ces tudiants En effet le taux de r ussite est moins lev quelle que soit la s rie du bac chez les l ves des milieux ouvriers retrait s ou sans activit que chez les l ves d enfants de cadres et professions interm diaires sup rieures Les effets de la politique volontariste men e pour aider les jeunes issus des milieux d favoris s et des classes moyennes revenus modestes feront voluer ces indicateurs Les aides accord es aux jeunes issus des milieux d favoris s et des classes moyennes revenus modestes le plan licence l orientation active les cord es de la r ussite l accompagnement plus personnalis des tudiants au moyen notamment du tutorat jouent un r le pr pond rant ces dispositifs contribuent la d mocratisation de l acc s l
341. ort de l Observatoire des finances locales 2012
342. orties anticip es du dispositif sans insertion professionnelle a t cr afin de compl ter les donn es existantes et de r pondre aux observations des rapporteurs parlementaires I correspond un taux d chec et met en avant le nombre de jeunes qui abandonnent le dispositif sans insertion dans l emploi La question de la formation professionnelle en mobilit est galement centrale dans les d partements et collectivit s d outre mer pour des raisons qui tiennent l troitesse de l offre de formation et au fait que toutes les fili res qualifiantes ne sont pas toujours disponibles LADOM op rateur rattach e titre principal au programme 138 est charg e de g rer la politique de formation professionnelle en mobilit pour l tat L indicateur 14 7 mesure le caract re durable de l insertion professionnelle des jeunes ayant b n fici du dispositif passeport mobilit formation professionnelle 132 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 14 1 Part des demandeurs d emploi encore inscrits sur les listes de P le emploi douze mois apr s leur inscription Programme 102 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2014 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Jeunes de moins de 25 ans 28 4 27 1 25 7 24 7 23 7 S niors de plus de 50 ans 45 3 49 2 46
343. ou territoriales d acc s la pr vention et aux soins aggrav s par les probl mes de d mographie m dicale persistent La France comme d autres pays europ ens cherche prendre en charge d s le plus jeune ge l ensemble de la population et la sensibiliser gr ce des campagnes de pr vention cibl es C est le cas par exemple de la sant bucco dentaire l objectif fix par la loi relative la politique de sant publique du 9 ao t 2004 de r duire de 30 l indice carieux des enfants de 6 12 ans est d sormais atteint La loi n 2004 806 du 9 ao t 2004 relative la politique de sant publique pr voit un cours obligatoire sur les gestes de premiers secours pour tous les coll giens et les l ves De m me la loi n 2004 811 du 13 ao t 2004 relative la modernisation de la s curit civile fixe l obligation dans la scolarit de tout l ve d une sensibilisation la pr vention des risques aux missions des services de secours la formation aux premiers secours et l enseignement des r gles g n rales de s curit Dans le cadre du renouvellement de la convention entre les minist res charg s de la sant et de l ducation nationale la formation de formateurs et d enseignants au sein des quipes ducatives des coles va tre d velopp e afin que soit dispens e aux l ves la formation aux premiers secours pr vue dans les programmes La plupart des programmes th matiques int grent des objec
344. our 2012 pr vision actualis e sont une augmentation des taux d effort en comparaison de ceux de l ann e 2011 en raison essentiellement de l indexation des bar mes AL et APL au 1er janvier 2012 selon un taux forfaitaire de 1 inf rieur l IRL ce qui ne permet pas de compenser l augmentation des loyers lorsque ceux ci sont augment s l IRL OBJECTIF n 9 Prot ger les jeunes dans toutes leurs activit s quotidiennes Programme 163 Jeunesse et vie associative Programme 230 Vie de l l ve Actions en faveur des familles vuln rables m b m Programme 106 Ec Programme 207 S curit et ducation routi res La collectivit nationale met en uvre son devoir de protection vis vis des jeunes dans toutes les circonstances de leur vie au sein des diff rentes structures que ceux ci sont amen s fr quenter dans leur vie quotidienne et dans l espace public Les actions mises en uvre par les diff rents minist res rel vent de la protection en tant que telle et de l ducation la responsabilit pour permettre la prise de conscience chez les jeunes des risques qu ils encourent Au premier chef l cole doit accomplir sa mission dans un climat de s r nit Pour r pondre cet objectif qui contribue l ambition de r ussite de tous les l ves l institution scolaire doit veiller assurer et faire respecter le caract re obligatoire de l instruction et garantir la s curit l col
345. ourage le passage des logements foyers FJT en r sidences sociales FJT L association f d re 308 personnes morales adh rentes qui g rent et animent 336 FJT et 27 services pour jeunes travailleurs et participent aux comit s de r flexion de diagnostic et d laboration de la politique locale mis en place par les missions locales et aux autres instances d laboration des politiques de la jeunesse et du logement L UNHAJ est impliqu e et associ e dans les r flexions nationales et fait de plus r f rence sur la probl matique des jeunes leur rapport au logement les conditions de leur insertion sociale et leur acc s l autonomie Dans le cadre de la convention annuelle d objectifs 2011 l UNHAY s est engag e r aliser les objectifs suivants d velopper quantitativement l offre Habitat Jeunes accompagner les adh rents UNHAJ pour l obtention des agr ments n cessaires au d ploiement de l offre Habitat Jeunes promouvoir la transformation des logements foyers FJT en r sidences sociales FJT poursuivre l effort du mouvement UNHAJ en faveur du logement des jeunes en insertion professionnelle mieux identifier la diversification des solutions Habitat Jeunes propos es Outre le partenariat avec la DGALN subvention de 28 310 en 2011 PUNHAJ poursuit les objectifs fix s par l accord cadre avec l tat la Caisse des d p ts et consignations la CNAF et Action Logement renouvel e le 22 octo
346. ours individualis s les enfants en fragilit et leurs familles l tat apporte son soutien au financement d quipes de r ussite ducative qui rassemblent des professionnels de l enseignement de l ducation du sanitaire et du social b diverses mesures relatives l ducation Ces cr dits concernent notamment le financement des internats d excellence 6 7 M en 2013 l objectif est de relancer l internat scolaire de droit commun pour y r server des places aux l ves des zones urbaines sensibles afin de favoriser la r ussite de leur cursus scolaire L ACS soutient les actions mises en place en direction des l ves des quartiers prioritaires de la politique de la ville scolaris s dans les internats d excellence Dans le cadre du grand emprunt une enveloppe de 500 ME a t affect e la cr ation d internats d excellence et au d veloppement de projets dans le domaine de la culture scientifique et technique Vingt six internats ont ouvert en septembre 2011 avec une capacit totale de 2 320 places le financement des cord es de la r ussite consiste en un accompagnement soutenu de lyc ens et de coll giens par des l ves des grandes coles ou universit s 326 cord es ont t labellis es en 2012 4 4 M en 2013 46 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Sant et acc s aux soins Les programmes d actions de sant en faveur des habitants des qua
347. ous les acteurs concern s la construction des politiques publiques sous l gide du Gouvernement L enjeu est d impulser une politique globale et transversale et de d passer l addition des politiques sectorielles de jeunesse pour en assurer la coordination dans une dimension interminist rielle mais aussi partenariale avec les collectivit s territoriales les associations les caisses d allocations familiales UNE POLITIQUE INTERMINIST RIELLE Le d cret n 2012 782 du 24 mai 2012 charge la ministre des sports de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie associative de pr parer et mettre en uvre la politique du Gouvernement relative aux actions en faveur de la jeunesse La politique en faveur de la jeunesse s appuie sur de nombreux dispositifs et actions pilot s et financ s par diff rents minist res Ces dispositifs sont pluriels dans leur contenu et leur mode d ex cution centralis s ou d concentr s purement tatiques ou inscrits dans un cadre conventionnel impliquant des organismes publics parapublics des collectivit s territoriales ou des associations Cette vari t transpara t dans le nombre de programmes 46 et de missions 21 concern s La politique transversale en faveur de la jeunesse est videmment li e aux autres politiques transversales disposant d un volet jeunesse notamment les politiques concernant la ville l inclusion sociale l outre mer la pr vention de la d linqua
348. ous protection judiciaire Compte tenu de ce double objectif l implication de la DPJJ porte prioritairement sur les politiques interminist rielles de sant publique d insertion d emploi de formation de sports de loisirs de culture de coh sion sociale et de pr vention de la d linquance 64 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les actions d insertion des jeunes en difficult n cessitent un partenariat fort A titre d exemple de politiques partenariales en mati re d action d insertion le d veloppement du programme CIVIS peut tre cit Ce programme de r insertion est suivi en lien avec le SG CIV et la DGEFP dans le cadre des d cisions du comit interminist riel des villes du 20 juin 2008 confirm par celui du 11 f vrier 2011 Aussi depuis le 19 janvier 2010 une convention nationale de partenariat est sign e entre l tablissement public d insertion de la D fense EPIDE et la direction de la protection judiciaire de la jeunesse DPJJ Cet accord favorise l acc s la formation et l insertion leur majorit de jeunes pris en charge par les services de la protection judiciaire de la jeunesse PJJ Dans le prolongement de cette convention a galement t vot e la loi du 26 d cembre 2011 visant instaurer un service citoyen pour les mineurs d linquants Le service citoyen ou contrat de service en t
349. pas toujours suivies d une condamnation d finitive Sources des donn es Le panel des mineurs suivi en justice qui exploite les donn es des fichiers issus des applications informatiques utilis es par les tribunaux pour enfants chantillon au 1 24 L indicateur est tributaire des limites intrins ques de cette source Les mineurs sortent du panel leur majorit En cons quence le d lai d un an d observation apr s la fin de la derni re mesure exerc e par la PJJ impose de r duire dans le panel l observation aux jeunes qui ne d passent pas 17 ans cette date 140 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE OBJECTIF n 17 Promouvoir l exercice de la citoyennet des jeunes Programme 163 Jeunesse et vie associative m Programme 230 Vie de l l ve Programme 167 Liens entre la Nation et son arm e La prise de responsabilit et l engagement dans la vie de la cit sont autant de moyens permettant l acquisition progressive de l autonomie pour un passage harmonieux de l enfance l ge adulte Les instances de repr sentation et d expression tels les d l gu s de classe et les instances lyc ennes favorisent l acquisition de valeurs civiques pour permettre aux l ves de devenir des acteurs responsables de notre d mocratie L indicateur 17 1 relatif la participation des lyc ens aux lections des conseils des d l gu s pour la vie lyc
350. physiques se confortent particuli rement chez les jeunes pour qui la pratique des unes augmente fr quemment la pratique des autres Il est n cessaire de prendre en compte ces caract ristiques dans l acc s aux quipements culturels et sportifs dans la mise en uvre de l ducation artistique et culturelle et dans l encadrement des pratiques sportives Le jeune public demeure ainsi une priorit faisant l objet d une attention particuli re Les activit s physiques et sportives et les pratiques culturelles constituent des l ments tr s importants de la socialisation des jeunes elles contribuent d velopper leur compr hension du monde de la soci t et de la place qu ils peuvent y trouver Elles sont des outils de la mixit sociale Elles participent notamment la lutte contre l chec scolaire la r duction des in galit s sociales et culturelles ainsi qu la sant et au bien tre physique et moral La promotion et le d veloppement des activit s physiques sportives et culturelles pour tous sont d int r t g n ral dans la mesure o elles permettent une construction harmonieuse de l enfant et du jeune adulte en lui apportant des capacit s de d veloppement personnel et d int gration sociale OBJECTIFS CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE OBJECTIF n 10 Encourager la pratique sportive pour tous les jeunes m Programme 219 Sport La strat gie volontariste suivie depuis plusieurs ann e
351. plus particuli rement au financement de la politique en faveur de la jeunesse 42 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Ainsi l action 4 compensation des cons quences du handicap vise r pondre aux besoins qui figurent dans le plan personnalis de compensation de la personne Ceci impose de d velopper une offre qui laisse le libre choix de son projet de vie la personne et qui permette dans la mesure du possible l int gration en milieu ordinaire La compensation des cons quences du handicap conjugue un instrument de compensation individuelle travers la prestation de compensation du handicap Elle est la charge des conseils g n raux qui re oivent cet effet une contribution de la CNSA financ e gr ce aux recettes de la journ e de solidarit un instrument de compensation collective travers une offre d tablissements et de services d accompagnement Elle est essentiellement financ e par des cr dits de l assurance maladie compl t s par une partie du produit de la contribution de solidarit pour l autonomie L ensemble de ces cr dits qui constitue l objectif global de d pense OGD est g r par la CNSA Le programme 157 participe cette action de compensation des cons quences du handicap par le versement d une subvention pour charges de service public aux instituts nationaux pour jeunes d ficients visuels et jeunes sourds INJ dont la DG
352. pr s d environ 100 000 sortants par an ayant obtenu un avis d opportunit favorable au Cnis Conseil national de l information statistique en 2010 Les r sultats de l enqu te sp cifique men e par la DARES ne sont pas encore disponibles compte tenu des d lais de traitement des donn es La cible 2015 est prendre en compte avec prudence en effet les chiffres sont issus des statistiques produites par un panel d OPCA et sont donc partiels INDICATEUR 14 5 Taux d acc s l emploi ou une formation qualifiante l issue d une formation aux comp tences clefs Programme 103 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d acc s l emploi ou une formation 54 58 50 45 50 55 qualifiante l issue d une formation aux comp tences clefs Num rateur Nombre d apprenants qui six mois apr s avoir suivi une formation comp tences cl s sans abandonner ont un emploi suivent une formation qualifiante ou sont laur ats d un concours de la fonction publique D nominateur Nombre total d apprenants ayant achev une formation comp tences cl s six mois auparavant sans abandonner Compte tenu des partenariats nou s avec P le emploi les Missions locales et le r seau des Cap emploi dans ce domaine le service public de l emploi oriente chaque semaine vers le programme comp tences cl s plus de 1000 app
353. prendre mesurer les risques li s ses habitudes de vie et son comportement tre en bonne sant correspond non seulement un tat objectif d absence de maladie mais aussi un tat ressenti de bien tre physique et moral Le ressenti est plut t positif dans la population jeune 9 jeunes de 23 ans sur 10 se d clarent en bonne ou tr s bonne sant source Panel d l ves entr s en 6 en 1995 enqu te compl mentaire sant 2007 DEPP INSEE Il l est beaucoup moins parmi les jeunes en insertion 30 des jeunes hommes et 33 des jeunes femmes de 25 ans en insertion se d clarent en mauvaise sant en 2009 source La sant mentale des jeunes en insertion CETAF CNML 2009 En mati re de logement le constat est connu les jeunes sont particuli rement expos s la pr carit Leurs revenus sont souvent inf rieurs aux niveaux exig s pour l acc s au logement autonome et les garanties demand es d p t de garantie cautionnement familial sont r dhibitoires pour nombre d entre eux En outre leurs besoins sont souvent sp cifiques et l offre de logements n y est pas adapt e Ainsi que ce soit sur le march priv ou dans le parc social le nombre de logements de petite taille est insuffisant pour r pondre la demande des jeunes la taille de leurs m nages n exc dant pas deux personnes le plus souvent Par ailleurs leur statut d tudiant d apprenti de stagiaire ou de jeune travailleur en contrat pr
354. ques convergent vers une m me mission de soutien la cr ation et la diffusion Action n 02 Soutien la cr ation la production et la diffusion des arts plastiques L action 2 concerne la politique de soutien la cr ation la production et la diffusion des arts plastiques dans toutes ses formes d expression plastique telles que la peinture la sculpture les arts graphiques la photographie les m tiers d art la mode le design les nouveaux m dia avec une attention port e la sc ne artistique mergente et aux projets novateurs Elle repose essentiellement sur une politique de commandes d uvres pour l espace public d acquisitions sur des dispositifs d aides directes aux artistes et aux professionnels attribu es par les directions r gionales des affaires culturelles DRAC et le Centre national des arts plastiques CNAP sur un soutien aux lieux de cr ation diffusion ou r sidences et enfin sur l organisation de grandes manifestations visant permettre l acc s du public le plus large la cr ation contemporaine PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME les administrations centrales les directions r gionales des affaires culturelles DRAC les tablissements publics les structures de cr ation et de diffusion r parties sur l ensemble du territoire financ es en partenariat avec les collectivit s territoriales Le montant des cr dits du programme 131 destin
355. r public et priv d pendant du minist re de l ducation nationale France m tropolitaine DOM Mode de calcul Cet indicateur appr cie la capacit des lyc es d enseignement g n ral et technologique conduire leurs l ves de seconde jusqu l obtention du baccalaur at m me au prix d un ventuel redoublement Il ne s agit pas du taux d acc s au baccalaur at d une promotion d l ves de seconde mais d un taux d acc s transversal produit des taux d acc s de seconde en premi re de premi re en terminale et de terminale au baccalaur at l ann e scolaire consid r e Par exemple un l ve de seconde de 2009 2010 a plus de 85 2 de chance d obtenir le baccalaur at s il rencontre dans sa scolarit au lyc e les m mes conditions de passage en classe sup rieure et de redoublement que celles constat es entre les ann es 2009 2010 et 2010 2011 et les m mes conditions de r ussite au baccalaur at que celles de la session 2010 92 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE PLF 2013 N v D Ua S EE France m tro DOM hors Mayotte INDICATEUR 8 5 Taux d acc s un CAP un baccalaur at professionnel ou un BTS des l ves et apprentis de 1 re ann e des cycles de formation correspondants Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision
356. r s l obtention de leur dipl me La valeur n de l indicateur porte donc sur les dipl m s de l ann e universitaire n 3 n 2 Pour les titulaires du doctorat on utilise l observation triennale r alis e par le CEREQ dans le cadre des enqu tes g n ration qui s int ressent l entr e dans la vie active des jeunes moins de 35 ans sortis du syst me ducatif L enqu te interroge un chantillon de ces jeunes sur leur situation trois ans apr s leur sortie de formation initiale Le champ de l enqu te est donc celui des tudiants inscrits dans un tablissement en n 4 n 3 et n ayant pas repris leurs tudes pendant l ann e qui a suivi leur entr e sur le march du travail On retient pour le renseignement de cet indicateur les tudiants dipl m s en D l ann e n 3 L ann e de r f rence n pour les valeurs de l indicateur est celle de la r alisation de l enqu te mais ces valeurs ne sont pas disponibles du fait des d lais d exploitation de l enqu te avant le RAP de n 1 Limites et biais connus Par construction sont exclus de l observation les dipl m s de l ann e n qui ont poursuivi leurs tudes en n 1 Les valeurs peuvent donc varier en fonction de la variation du taux de poursuite d tudes des dipl m s concern s Pour les dipl m s de master seuls sont enqu t s les titulaires d un dipl me de master d livr par les universit s qui ont en la mati re un quasi monopole Par ailleurs un certain nombre d tab
357. r sultat est donc SO sans objet Les d partements d outre mer sont exclus du p rim tre de cet indicateur car les normes nutritionnelles et les productions alimentaires tant diff rentes de celles de la m tropole ils font objet de dispositions sp cifiques Explication des pr visions Les services de restauration scolaire ont t inform s de leurs obligations et ont dispos du d lai n cessaire pour s adapter la nouvelle r glementation C est pourquoi la valeur cible d s la 1 ann e soit 2013 a t fix e un niveau relativement lev 60 Le minist re estime ensuite que la progression devrait tre significative 10 par an car il dispose de leviers d action qui consistent en des mesures d accompagnement voire de sanction Ainsi une formation con ue pour les petits services de restauration moins de 80 couverts par jour labor e par le minist re sera propos e par le centre national de formation de la fonction publique territoriale CNFPT De m me un logiciel destination des gestionnaires de restaurants scolaires sera mis disposition en 2013 Parall lement en cas de non conformit s d tect es lors des inspections des mesures coercitives telles que l obligation de formation relative l application des r gles nutritionnelles ou encore l affichage des r sultats seront prises OBJECTIF n 8 Am liorer l acc s au logement des jeunes en poursuite d tudes m Programme 109 Ai
358. r de contexte ne permet pas de conclure une am lioration ou une d gradation des conditions de s curit des mineurs accueillis sur le territoire consid r Une augmentation de ce pourcentage peut tre li e soit une plus grande exigence ou vigilance des fonctionnaires lors des contr les soit un meilleur ciblage des contr les hi rarchisation des priorit s dans l organisation des visites soit une d gradation de la qualit de certaines pratiques sur le terrain On entend par injonction toute injonction prononc e dans le cadre de l article L 227 11 du code de l action sociale et des familles contr les toutes les visites et inspections r alis es dans un d partement au cours d une m me ann e civile par tout fonctionnaire d un m me service d concentr DDCS ou DDCSPP Source des donn es Informations communiqu es par les directions d partementales de la coh sion sociales et par les directions d partementales de la coh sion sociale et de la protection des populations aux directions r gionales de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale charg es de les transmettre l administration centrale INDICATEUR 9 4 Taux d appels trait s par le dispositif d accueil t l phonique de suivi et de traitement des situations de maltraitance envers les enfants SNATED et suites donn es par les Conseils g n raux Programme 106 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012
359. r la justice du 9 septembre 2002 a renforc l action ducative aupr s des mineurs d tenus en inscrivant l intervention continue des ducateurs de la PJJ au sein des quartiers des mineurs et en cr ant des nouveaux tablissements p nitentiaires enti rement vou s l accueil de ces publics EPM L intervention ducative en d tention vise donc l laboration du dispositif d accompagnement individualis du mineur afin de faire du temps de l incarc ration un temps impr gn d un contenu ducatif qui lui permette entre autres objectifs d appr hender sa situation p nale et de pr parer dans les meilleures conditions sa sortie La mise en uvre de ce programme s effectue galement en inscrivant l action de la DPJJ au sein des politiques publiques men es par les autorit s administratives ou les collectivit s locales La circulaire du 2 septembre 2010 relative l inscription des services de la PJJ au sein des politiques publiques pr cise le r le et les comp tences des chelons territoriaux de la protection judiciaire de la jeunesse PJJ dans ce domaine Les objectifs de cette implication sont d une part de renforcer et de diversifier la palette des supports de l action d ducation men e aupr s des mineurs pris en charge d autre part il s agit de contribuer ce que l action publique des autres minist res et collectivit s territoriales puisse tenir compte des besoins sp cifiques des publics en difficult plac s s
360. rage le suivi et l accompagnement des jeunes d crocheurs de la formation initiale de 16 ans et plus Les services d concentr s de la PJJ engagent galement des actions dans le cadre de conventions bilat rales pour lutter contre les violences scolaires La PJJ participe galement notamment par des mises disposition l accompagnement des jeunes dans le cadre des classes et ateliers relais Le d veloppement et le pilotage de ces classes et ateliers repr sentent un axe fort de la politique de lutte contre l chec scolaire et la marginalisation sociale des jeunes Le maintien des jeunes dans un cursus scolaire avec une ambition de socialisation et d acquisition de savoirs participe pleinement la pr vention de la d linquance C est ce titre que la PJJ s implique dans ces dispositifs particuli rement aux classes relais La PJJ a par ailleurs sign une convention nationale avec la SNCF renouvel e le 21 septembre 2011 qui pr voit l accueil de condamn s majeurs et mineurs des stages de citoyennet des mesures de r paration p nale et de peines de travaux d int r t g n ral Cette convention constitue un engagement fort du groupe SNCF en faveur de l insertion et de la pr vention de la r cidive offrant aux mineurs sous protection judiciaire des opportunit s de d couverte de monde du travail et de valorisation de soi Dans la m me perspective la fois de cr ation de postes de TIG mais galement d ouverture sur le mond
361. rd des femmes CEDAW d claration et programme de P kin 1995 qui a fix douze domaines d actions prioritaires et d fini une m thode d action le Gender mainstreaming approche int gr e de l galit Pacte europ en 2011 2020 pour l galit entre les femmes et les hommes du Conseil de l Union europ enne strat gie de l galit 2010 2015 de la Commission europ enne strat gie europ enne pour l emploi et la croissance dite strat gie Europe 2020 Charte des droits fondamentaux de l Union europ enne qui consacre dans son article 23 le principe de l galit entre les femmes et les hommes dans tous les domaines et pr voit la possibilit de mettre en uvre des actions positives La France en tant qu tat membre de l Union europ enne se doit d int grer la totalit de l acquis communautaire en mati re d galit entre les femmes et les hommes lequel prend sa source dans les trait s europ ens et se traduit par un important corpus de textes juridiques transpos s dans le droit interne D sormais l objectif du Gouvernement est d inscrire l galit entre les femmes et les hommes au c ur de l action publique dans une approche transversale qui doit tre la fois int gr e car il s agit d inscrire l galit entre les femmes et les hommes au c ur de toutes les politiques publiques dans la phase de conception comme dans la mise en uvre sp cifique puisqu il subsiste d
362. re de la convention de la fondation Culture et Diversit avec les minist res charg s de la culture et de l ducation nationale L ducation artistique et culturelle est une composante essentielle de la formation des enfants et des jeunes Elle vise la formation de la sensibilit la capacit mettre un jugement esth tique personnel et argument la formation d un regard et d un discours critiques sur les productions artistiques et culturelles Elle constitue l un des principaux aspects des politiques de d mocratisation de l acc s la culture et contribue galement enrichir et diversifier les pratiques artistiques et culturelles Dans un contexte de d veloppement massif des m dias des industries culturelles et des pratiques de l internet le minist re favorise l acc s des enfants et des jeunes l offre culturelle et vise stimuler le potentiel cr atif par l acc s la cr ation contemporaine et l accompagnement des pratiques culturelles Les actions du minist re ont pour priorit les enfants et les jeunes en difficult ne b n ficiant pas toujours d un environnement familial et social propice aux fr quentations et pratiques culturelles L objectif est la rencontre des pratiques amateurs exp riment es par les jeunes avec les contenus artistiques et culturels produits par les artistes dont les institutions artistiques et culturelles sont les garantes Le d veloppement de projets communs entre tablisse
363. re et de la for t MAAF conduit des actions destin es assurer la ma trise des risques sanitaires et phytosanitaires promouvoir la qualit et la diversit des produits alimentaires garantir la transparence sur la composition l origine et le mode de production des denr es et des aliments pour animaux notamment par la mise en uvre de contr les et d inspections De plus la loi du 27 juillet 2010 de modernisation de l agriculture et de la p che LMAP instaure une v ritable politique publique de l alimentation Cette derni re au travers de sa d clinaison op rationnelle le programme national pour l alimentation PNA pilot au niveau central par la direction g n rale de l alimentation vise appr hender l alimentation sous toutes ses dimensions et constitue donc un v ritable enjeu de soci t Cette politique s articule avec d autres politiques publiques et notamment avec la direction g n rale de la sant pour la pr vention de l ob sit programme national nutrition sant PNSS et plan ob sit et avec l ducation nationale direction g n rale de l enseignement scolaire pour les actions d ducation alimentaire ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les actions en faveur de la jeunesse sont imput es sur l action 8 Qualit de l alimentation et offre alimentaire du programme 206 s curit et qualit sanitaires de l alimentation Cette action vise conform ment la loi de moder
364. re professionnelle constat la rentr e 2011 maintien pour les ann es 2012 2014 du taux de passage de la premi re professionnelle la terminale professionnelle constat la rentr e 2011 diminution des taux de sortie en raison d une meilleure pr vention du d crochage scolaire Faute de donn es de r alisation le taux d acc s par apprentissage a fait l objet d une actualisation de sa pr vision 2012 et a t cibl en faisant l hypoth se d un cart avec la voie scolaire du m me ordre que pour le CAP et galement en voie de r sorption Taux d acc s un BTS En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 et le ciblage du sous indicateur ont t effectu s avec prudence en raison de l augmentation observ e ces derni res ann es de la part de bacheliers professionnels en 1 re ann e de section de techniciens sup rieurs STS d apr s une tude du minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche cette proportion a cr de 10 6 points entre 2005 et 2011 Or toujours selon cette tude bas e sur un panel de bacheliers 2008 28 des bacheliers professionnels inscrits en 1 re ann e de STS n ont pas poursuivi en 2 me ann e contre 17 des bacheliers technologiques et 13 des bacheliers g n raux source note d information enseignement sup rieur amp recherche MESR DGESIP DGRI SIES no12 04 Les bacheliers professionnels dans l enseignement sup rieur Paris DEPP DVE
365. rectrice g n rale pour l enseignement sup rieur et l insertion professionnelle 231 Vie tudiante Simone BONNAFOUS Recherche et enseignement sup rieur 25 Directrice g n rale pour l enseignement sup rieur et l insertion professionnelle 143 Enseignement technique agricole Marion ZALAY Enseignement scolaire 26 Directrice g n rale de l enseignement et de la recherche 142 Enseignement sup rieur et Marion ZALAY Recherche et enseignement sup rieur 27 recherche agricoles Directrice g n rale de l enseignement et de la recherche 186 Recherche culturelle et culture Christopher MILES Recherche et enseignement sup rieur 29 scientifique Secr taire G n ral adjoint du minist re de la culture et de la communication 192 Recherche et enseignement Luc ROUSSEAU Recherche et enseignement sup rieur 30 sup rieur en mati re conomique Directeur g n ral de la comp titivit de et industrielle l industrie et des services 102 Acc s et retour l emploi Bertrand MARTINOT Travail et emploi 32 D l gu g n ral l emploi et la formation professionnelle 103 Accompagnement des mutations Bertrand MARTINOT Travail et emploi 33 conomiques et d veloppement de D l gu g n ral l emploi et la l emploi formation professionnelle 787 P r quation entre r gions et Bertrand MARTINOT Financement national du d veloppement et 34 compensation au titre du transfert D l gu g n ral l emploi et la de la modernisation d
366. relles des mus es nationaux des monuments nationaux ouverts la visite g r s par le CMN et du Domaine national de Chambord de la Cit de l architecture et du patrimoine CAPA somme des s ances de travail effectu es par les lecteurs des services d Archives nationales des scolaires accueillis par les services ducatifs des Archives nationales des visiteurs re us dans le cadre de l offre culturelle 3 ligne I 11 12 exprim en avec l1 somme des 18 25 ans r sidant dans l Union europ enne ayant fr quent les collections permanentes des mus es nationaux des monuments nationaux et des collections permanentes de la CAPA 12 somme des visites dans l ann e des collections permanentes des mus es nationaux des monuments nationaux et des collections permanentes de la CAPA 122 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 11 3 Part des enfants et adolescents ayant b n fici d une action d ducation artistique et culturelle Programme 224 du point de vue de l usager Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Part des enfants et des jeunes en ge 19 7 22 4 20 5 22 5 23 24 scolaire ayant b n fici d une action ducative d une structure subventionn e par le minist re de la Culture et de la Communication NB1 il s agit d acti
367. renants Le pilotage quantitatif et qualitatif de ce programme est assur au moyen d un extranet ROSACE Cet outil permet de suivre depuis 2010 et en temps r el les entr es en formation et le devenir des apprenants pendant la formation et post formation six mois On d nombre dans ROSACE 107 075 entr es en formation depuis le 01 01 2010 dont 59 943 formations termin es sans abandon Sources des donn es Le lancement du programme comp tences cl s s est chelonn selon les r gions de mi 2009 d but 2010 Afin de garantir la pertinence et la fiabilit des donn es cet indicateur est d sormais aliment par un outil informatique L extranet ROSACE mis en ligne en janvier 2010 permet de disposer de donn es significatives pour les apprenants entr s en formation partir de janvier 2010 L actualisation de la pr vision pour 2012 2013 ainsi que la cible horizon 2015 tient compte du ciblage renforc des formations en faveur des demandeurs d emploi de longue et tr s longue dur e ainsi que de l volution de la conjoncture conomique INDICATEUR 14 6 Taux d insertion des volontaires du SMA en fin de contrat Programme 138 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d insertion des volontaires du SMA 75 6 76 3 79 76 77 80 en fin de contrat Taux de sorties anticip es du
368. res 2011 Explication des valeurs cibles pour la comp tence 1 les pr visions 2012 ont t actualis es au vu des valeurs 2011 obtenues la suite de l volution m thodologique mise en uvre en 2011 cf indicateur 1 4 Pour la comp tence 3 il a t appliqu un diff rentiel avec la comp tence 1 de 6 points en 2012 en ECLAIR et de 2 points en RRS ces carts ayant t estim s partir des valeurs de l ancien indicateur relatif aux comp tences de base indicateur 2 2 du PAP 2012 Pour les deux comp tences les cibles ont t fix es pour traduire le maintien d un objectif de r duction des carts de niveaux de comp tence entre les l ves de l ducation prioritaire et ceux scolaris s hors de ce champ INDICATEUR 4 4 cart des taux de r ussite au brevet en ECLAIR hors EP et en RRS hors EP Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 Ecart ECLAIR hors EP cart 13 4 12 2 12 12 11 5 10 5 2 Ecart RRS hors EP cart 7 6 7 8 6 7 5 7 6 Pour information r ussite au DNB en 70 1 71 1 s 0 ECLAIR Pour information r ussite au DNB en 75 9 75 5 s o 5 RRS Source MEN DEPP Champ enseignement public France m tropolitaine DOM Mode de calcul Cet indicateur devrait permettre sous r serve d tre a
369. ricoles 01 Enseignement sup rieur 244 560 369 246 991 126 252 775 408 254 297 408 343 937 636 256 977 636 186 Recherche culturelle et culture 114 878 950 114 589 294 114 130 000 114 740 000 107 100 000 110 100 000 scientifique 03 Culture scientifique et technique 114 878 950 114 589 294 114 130 000 114 740 000 107 100 000 110 100 000 192 Recherche et enseignement 4 433 606 4 437 296 4 538 366 4 538 366 4 667 787 4 667 787 sup rieur en mati re conomique et industrielle 01 Organismes de formation 4 433 606 4 437 296 4 538 366 4 538 366 4 667 787 4 667 787 sup rieure et de recherche 102 Acc s et retour l emploi 1 071 130 780 857 212 345 889 115 591 839 090 284 3 146 185 597 1 225 520 509 02 Am lioration des dispositifs en 1 071 130 780 857 212 345 889 115 591 839 090 284 3 146 185 597 1 225 520 509 faveur de l emploi des personnes les plus loign es du march du travail 103 Accompagnement des 1 528 916 771 1 530 921 723 1 380 546 373 1 380 546 373 2 981 931 380 2 979 540 692 mutations conomiques et d veloppement de l emploi 02 Am lioration de l insertion dans 1 526 430 250 1 528 485 736 1 377 282 061 1 377 282 061 2 976 276 380 2 976 276 380 l emploi par l adaptation des qualifications et la reconnaissance des comp tences 03 D veloppement de l emploi 2 486 521 2 435 987 3 264 312 3 264 312 5 655 000 3 264 312 787 P r quation entre r gions et 200 000 000 200 000 000 200 000 000 200 000 000 450 000 000 450 000 000 compensat
370. ris es en CPGE x 100 et le nombre total d l ves de CPGE classes pr paratoires aux grandes coles Explication des valeurs cibles sur la base d une pr vision 2012 actualis e la baisse il a t tenu compte d un rythme de progression prudent en coh rence avec les hypoth ses sur la ma trise des comp tences du socle commun indicateur 2 2 INDICATEUR 4 2 R ussite des l ves issus de familles appartenant aux PCS d favoris es Programme 139 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e 1 Taux d acc s au baccalaur at des s o 66 4 s o 67 5 68 7 70 enfants de familles appartenant aux PCS d favoris es total Pour information au baccalaur at g n ral 19 1 20 4 21 21 s 0 s 0 Pour information au baccalaur at s o 16 8 s o s o s o S O technologique Pour information au baccalaur at s 0 29 2 s 0 s 0 s 0 s 0 professionnel 2 Proportion d l ves issus de familles 6 7 6 5 8 8 8 5 10 appartenant aux PCS d favoris es parmi les l ves de classes pr paratoires aux grandes coles CPGE 1 Source MEN DEPP Champ Enseignements public priv France m tropolitaine DOM Mode de calcul Cet indicateur est destin v rifier dans une optique de d mocratisation de l enseignement secondaire la progression du niveau de formation des
371. rme de 2008 qui vise diviser par deux ce pourcentage entre 2008 et 2013 La cr ation d s la rentr e de 2012 de nouveaux emplois de professeurs des coles et l engagement pr sidentiel relatif au plus de ma tres que de classes permettront de renforcer les dispositifs d aide aux l ves en difficult Le redoublement ne devrait subsister qu en fin de cycle CE1 CM2 et de mani re exceptionnelle 86 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 2 1 Proportion d l ves ma trisant en fin de CM2 les comp tences du socle commun palier du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e comp tence 1 ma trise de la langue 86 4 2 78 7 2 9 87 79 5 80 5 82 fran aise comp tence 2 pratique d une langue 83 5 45 2 78 3 5 4 86 63 64 66 vivante trang re comp tence 3 principaux l ments de 77 6 4 6 70 8 3 1 87 72 5 74 76 math matiques et culture scientifique et technologique comp tence 4 brevet informatique et 90 5 5 3 93 6 3 1 89 90 91 92 internet cole comp tence 5 culture humaniste 81 8 5 8 87 5 3 5 81 81 82 83 comp tence 6 comp tences sociales et 91 6 5 3 93 8 2 1 94 94 94 5 95 civiques comp tence 7 autonomie et initiative 89 6
372. rmet pas de mesurer la totalit de la pratique sportive Ainsi l enqu te r alis e en 2010 sur la pratique physique et sportive en France permet d estimer que plus des 2 3 des pratiquants de plus de 15 ans ne sont pas adh rents d une structure association ou club priv marchand Sur la base des r ponses des 115 f d rations concern es par le recensement le nombre de licences et d autres titres de participation ATP y compris COM est de 17 5 millions en 2011 15 6 millions de licences 1 9 million d ATP Le taux de licences des jeunes de moins de 20 ans 19 ans et moins au regard de la population totale de la m me classe d ge est estim en 2011 37 6 Le taux de licences f minines est estim en 2011 19 4 6 5 millions de licences f minines et ATP hors COM 33 3 millions de femmes hors COM alors que le taux de licences y compris ATP au plan national en 2011 est estim 27 1 17 5 millions de licences et ATP hors COM 64 6 millions de personnes Le taux de licences en ZUS hors COM est estim en 2011 12 1 de la population r sidante en ZUS La m thode de collecte des donn es a t enti rement modifi e depuis 2 ans Le calcul s appuie sur les fichiers d taill s de licences transmis par les f d rations sportives agr es par le minist re des Sports Le traitement a consist en une affectation du code commune l adresse de chaque licence et la g olocalisation des adresses pour d terminer les
373. rofessionnelles ou de formation fait l objet d une d rogation la r gle g n rale d occupation de 8 mois par an les aides au logement vers es aux tudiants sont calcul es sur la base de planchers de ressources diff rents selon que l tudiant r side en logement ordinaire ou en foyer Le bar me est plus favorable pour les tudiants boursiers les jeunes habitant en colocation peuvent chacun b n ficier d une aide au logement hauteur de leur contribution et en fonction de leurs ressources Action n 02 Information relative au logement et accompagnement des publics en difficult Le r le des associations aux c t s de celui jou par les pouvoirs publics est d terminant pour promouvoir l insertion par le logement des personnes en difficult Celles ci disposent en effet de nombreuses possibilit s d intervention accompagnement social li au logement gestion de places d accueil et d h bergement d urgence et temporaire m diation locative ma trise d ouvrage de logements d insertion etc Afin d aider au d veloppement de ces r seaux et plus particuli rement leur professionnalisation le minist re charg du logement apporte chaque ann e des subventions de fonctionnement leurs instances nationales 44 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Dans le cadre de l action n 02 Information rela
374. rogramme Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits Autorisations Cr dits ou de l action d engagement de paiement d engagement de paiement d engagement de paiement 05 Missions de police judiciaire et 68 965 485 68 965 485 63 887 304 63 887 304 76 217 919 76 217 919 concours la justice 06 Commandement ressources 21 396 748 21 396 748 21 009 500 21 009 500 26 159 813 26 159 813 humaines et logistique 151 Fran ais l tranger et affaires 117 718 831 117 718 831 125 500 000 125 500 000 110 300 000 110 300 000 consulaires 02 Acc s des l ves fran ais au 117718 831 117 718 831 125 500 000 125 500 000 110 300 000 110 300 000 r seau AEFE 209 Solidarit l gard des pays en 12 841 272 11 306 061 13 817 082 13 817 082 12 849 887 12 849 887 d veloppement 02 Coop ration bilat rale 12 841 272 11 306 061 13 817 082 13 817 082 12 849 887 12 849 887 185 Diplomatie culturelle et 205 116 147 205 116 147 204 554 212 204 554 212 204 554 212 204 554 212 d influence 04 Attractivit et recherche 376 740 376 740 367 356 367 356 367 356 367 356 05 Agence pour l enseignement 204 739 407 204 739 407 204 186 856 204 186 856 204 186 856 204 186 856 fran ais l tranger 203 Infrastructures et services de 25 270 000 25 270 000 26 600 000 26 600 000 26 600 000 26 600 000 transports 13 Soutien r gulation contr le et 25 270 000 25 270 000 26 600 000 26 600 000 26 600 000 26 600 000 s curit des services de transports terrestres
375. roits et de leurs devoirs de citoyens La loi d orientation relative la lutte contre l exclusion de 1998 le plan national de coh sion sociale de 2004 la loi de 2007 instituant un droit au logement opposable la loi du 1 d cembre 2008 g n ralisant le revenu de solidarit active RSA ainsi que la loi du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l exclusion ont chacune contribu am liorer l acc s effectif des personnes aux droits fondamentaux et promouvoir un traitement global et personnalis de chaque situation PLF 2013 41 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Dans ce cadre l tat joue un r le essentiel d animation et de pilotage des politiques publiques ainsi que d observation et d analyse des ph nom nes de pr carit et de pauvret Cette action prend plusieurs formes puisqu il s agit de cr er les conditions favorables une sortie de l assistance r pondre l urgence mais galement soutenir la professionnalisation des intervenants notamment du secteur social renforcer le partenariat avec les acteurs charg s de l aide directe aupr s des personnes En 2013 la responsabilit de l tat est encore renforc e en mati re d h bergement et de logement autonome qui constitue une des derni res politiques sociales non d centralis es Elle s est notamment traduite par un effort sans pr c dent entrepris ces derni res ann es pour
376. rtiers prioritaires dont les jeunes sont labor s dans le cadre des volets sant des CUCS ou des contrats locaux de sant CLS coordonn s et mis en uvre principalement par les ateliers sant ville ASV et cofinanc s par les collectivit s locales l ACS et les programmes de pr vention des agences r gionales de sant ARS Concernant les jeunes ils d veloppent notamment la lutte contre les discriminations dans l acc s aux soins et aux droits et l information sur le syst me de sant la promotion de la sant la pr vention des toxicomanies et des conduites addictives L objectif est de contribuer une meilleure synergie des actions men es localement et de d livrer des informations et des formations afin de sensibiliser les professionnels et les consommateurs aux dangers li s la consommation de tabac d alcool ou de produits illicites la pr vention bucco dentaire Culture Il s agit du financement du d veloppement et de la p rennisation d une offre culturelle diversifi e et de son ouverture aux populations qui en sont loign es pour des raisons sociales conomiques territoriales Il est possible de citer dans ce cadre l op ration les portes du temps et des projets d tablissements patrimoniaux ou d quipements culturels subventionn s pour l accueil de jeunes Lien social citoyennet et participation la vie publique Les financements concernent les domaines suivants
377. rtion dans l emploi des jeunes b n ficiaires d un dispositif sp cifique Programme 102 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux d insertion dans l emploi la sortie 36 40 1 50 41 42 44 d un CIVIS Dont taux d insertion dans l emploi durable 28 25 9 40 26 27 29 la sortie d un CIVIS Taux d insertion dans l emploi durable 18 19 22 nd nd nd moins d un an apr s l entr e en CIVIS Taux d insertion dans l emploi la sortie 39 44 50 nd nd nd d un EPIDe Dont taux d insertion dans l emploi durable 22 22 35 nd nd la sortie d un EPIDe L indicateur n est plus exploit en raison de son manque de fiabilit biais importants dans le calcul Une proposition de nouvel indicateur sera faite en 2013 Source des donn es DARES Parcours Ill pour le CIVIS EPIDE DGEFP pour l EPIDE et DGEFP pour le contrat d autonomie Mode de calcul des indicateurs La situation de chaque jeune est d termin e au moment de sa sortie du dispositif Les donn es sont obtenues en faisant le rapport entre le nombre de jeunes entr s en CIVIS l EPIDE ou en contrat d autonomie au cours de l ann e et ayant acc d un emploi durable CDD ou CDI de plus de 6 mois la sortie d un de ces dispositifs num rateur et le nombre total de jeunes entr s dans chacun de ces dispositi
378. s En 2011 la fr quentation globale des visiteurs g s de moins de 25 ans dans les trois mus es s est lev e 680 091 visiteurs contre 338 464 en 2008 avant la mise en uvre de ces mesures Les pertes de recettes de billetterie des trois mus es ont t compens es par le minist re de la d fense en 2009 pour un montant de 880 015 Depuis 2011 le budget annuel d di au financement de la compensation des pertes de recettes li es la gratuit d acc s des 18 25 ans repr sente 1 111 130 GENDARMERIE NATIONALE 152 Le programme Gendarmerie nationale appartient la mission S curit et rel ve du minist re de l int rieur Plac sous la responsabilit du directeur g n ral de la gendarmerie nationale l objectif principal du programme consiste r duire l ins curit sous toutes ses formes au b n fice de nos concitoyens de mani re permanente et sur pr s de 95 du territoire national Dans ce cadre la gendarmerie nationale s attache assurer un service de proximit permettant d assurer la protection et la s curit des plus vuln rables notamment les plus jeunes Ses dispositifs internes de recrutement et de reconversion ont par ailleurs pour effet de favoriser l insertion professionnelle des jeunes Enfin la gendarmerie contribue la promotion de la citoyennet au travers d actions ducatives mais galement via la possible souscription d un engagement sp cial dans la r serve
379. s la politique en faveur de la jeunesse r sulte d une estimation Il est impossible d identifier pr cis ment les cr dits destin s sp cifiquement cette politique Plut t que d appliquer un ratio global par exemple la part de la population g e de 3 30 ans une estimation a t r alis e de la fa on suivante sur la base de l enqu te Pratiques culturelles des Fran ais de 15 ans et plus en 2008 et sur la totalit estim e des publics ayant fr quent dans l ann e des lieux de spectacles vivants et d art contemporain la part des jeunes de 15 30 ans a t calcul e elle est de 30 05 Ce ratio a donc t appliqu aux montants des subventions de fonctionnement des op rateurs des institutions de cr ation et de diffusion et des quipes artistiques financ es sur le programme Ce montant est de l ordre de 160 M et ne comprend donc pas les actions men es destination des jeunes de 3 14 ans ce public scolaire est toutefois pris en compte dans l indicateur de fr quentation voir la pr sentation strat gique PATRIMOINES 175 Le programme 175 Patrimoines finance les politiques publiques destin es constituer pr server enrichir et mettre en valeur le patrimoine de la Nation Ces actions visent familiariser le grand public avec la richesse de l h ritage des g n rations pr c dentes lui permettre d y trouver des l ments d ducation ou de loisir et d terminer ce qu il entend
380. s de la m diation familiale du conseil conjugal du soutien la parentalit R seau d coute d appui d accompagnement des parents REAAP parrainage point information famille des contrats locaux d accompagnement la scolarit CLAS des maisons des adolescents des chantiers jeunes b n voles des aides la pr vention etc Ces dispositifs sont d velopp s en partenariat avec la CNAF pour permettre d agir sur l environnement familial de l enfant ou du jeune Les dispositifs financ s par les caisses d allocations familiales CAF au titre de leur action sociale en direction des jeunes adultes A la fin des ann es 1990 le public des jeunes adultes 18 25 ans tait clairement renvoy pour l action sociale vers d autres acteurs que la branche famille de la S curit sociale les r ponses apporter devaient l tre en premier lieu dans le cadre des prestations l gales et l initiative d autres collectivit s publiques qui en ont principalement la responsabilit Cette cat gorie n a donc pas repr sent une cible prioritaire de l action sociale des caisses Les orientations en faveur de cette population ont souvent oscill et ce public a t diversement investi par les CAF en fonction des besoins locaux Un changement d orientation a t op r par la convention d objectifs et de gestion COG couvrant la p riode 2001 2004 le soutien au projet d autonomie des jeunes adultes figurant parmi les
381. s difficult s sp cifiques La r alisation des objectifs du programme implique particuli rement les personnels d ducation de sant et sociaux ainsi que les enseignants avec lesquels ils travaillent L ensemble de la communaut ducative dans les coles et les tablissements participe la responsabilit d duquer que l cole partage avec les parents des l ves Des acteurs externes au syst me ducatif concourent aussi la r alisation des actions de ce programme dans le cadre de partenariats La compl mentarit et la coh rence des actions p dagogiques et ducatives contribuent au bien tre des l ves et la qualit du climat scolaire La concertation pr alable l laboration d un projet de loi portant refondation de l cole place les l ves au c ur de cette refondation c est l objet du deuxi me groupe de travail parmi les quatre mis en place le 5 juillet 2012 Il aborde cinq th matiques des rythmes ducatifs adapt s une cole attentive la sant des l ves un accompagnement efficace pour les l ves en situation de handicap un climat scolaire apais dans les coles et les tablissements la vie scolaire et l ducation la citoyennet Une r flexion sur la co ducation avec les parents partenaires de l cole est conduite au sein du troisi me groupe de travail sur le syst me ducatif La vie scolaire qui rythme et cadre la vie des l ves dans et en dehors de la classe
382. s tutorat formation et sur un accompagnement renforc assur essentiellement par les missions locales 100 000 emplois d avenir seront cr s en 2013 chiffre port 150 000 en 2014 D s 2013 l tat s engage hauteur de 2 3 milliards d euros pour financer ces emplois 75 du montant brut de la r mun ration du jeune seront pris en charge pendant une dur e de 3 ans L emploi d avenir sera pour l essentiel temps plein en CDI ou en CDD Plus largement l insertion des jeunes dans la soci t suppose que ceux ci puissent conna tre les valeurs de la R publique faire l apprentissage de la d mocratie et concr tiser leur engagement citoyen Le service civique instaur par la loi du 10 mars 2010 doit contribuer cette int gration et renforcer la coh sion nationale En offrant un cadre et des moyens l engagement la soci t soutient les jeunes avec un objectif de mixit qui implique que toutes les cat gories de la population puissent cohabiter se m langer et se rencontrer la faveur de cette r forme Depuis la loi du 10 mars 2010 ils ont t 6 000 en 2010 et 15 000 en 2011 s engager dans ce nouveau dispositif et pourraient tre 20 000 en 2012 124 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE PLF 2013 OBJECTIFS CONCOURANT LA POLITIQUE TRANSVERSALE OBJECTIF n 12 Am liorer l insertion professionnelle l issue de la scolarit secondaire mm Programme
383. s acquis du niveau A1 Pour la comp tence 5 qui sera en 2012 mesur e l aide de tests standardis s il a t tenu compte pour la pr vision 2012 d une baisse de 6 8 points constat e pour les comp tences 1 et 3 lors de l adoption des tests standardis s Pour la comp tence 4 B2i niveau d j lev la progression est li e la meilleure int gration des TICE dans les enseignements Pour les comp tences 6 et 7 maintien des valuations par les enseignants au travers du livret personnel de comp tences LPC en remplacement de l chantillon web d attestations progression mod r e d un niveau d j lev INDICATEUR 2 2 Proportion d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard Programme 140 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Proportion d l ves entrant en sixi me 13 7 12 6 10 11 5 10 8 avec au moins un an de retard PLF 2013 87 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT L volution constat e et pr vue pour cet indicateur peut tre visualis e gr ce la repr sentation graphique suivante France m tro DOM hors Mayotte Source MEN DEPP Champ Enseignement public France m tropolitaine DOM Mode de calcul num rateur l ves venant d une cole publiq
384. s acteurs locaux et nationaux collectivit s locales associations organisations de jeunes 2 favoriser l engagement et la prise de responsabilit des jeunes avec en particulier la mont e en charge du service civique 3 veiller la qualit ducative des accueils collectifs et la s curit des mineurs accueillis 4 poursuivre la politique de soutien au d veloppement de la vie associative travers les outils d information et de conseil aux associations tout en assurant une meilleure lisibilit et coh rence entre les dispositifs existants R instaurer un dialogue continu et une relation de confiance et d appui avec le mouvement associatif PLF 2013 13 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT 5 am liorer la capacit des exp rimentations pr figurer des politiques de jeunesse innovantes 6 assurer un travail en r seau et une veille interminist rielle experte pour r fl chir aux volutions souhai itables des textes l gislatifs et r glementaires relatifs au p rim tre jeunesse et l activit des partenaires et interlocuteurs associatifs contrat d engagement ducatif mod les de conventions d objectifs socle commun d agr ment Haut Conseil la vie associative Fonds pour le d veloppement de la vie associative Le programme 163 regroupe une partie limit e des cr dits allou s la politique de l tat en faveur de la jeunesse qui compte tenu de sa dimension
385. s axes prioritaires de ce plan sont la lutte contre l ob sit le d veloppement de l activit physique la lutte contre les in galit s sociales de sant la lutte contre la d nutrition PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME INPES tablissement public administratif de l tat plac sous la tutelle du minist re charg de la sant l INPES a pour missions de mettre en uvre le volet pr vention et ducation pour la sant des programmes de sant publique d exercer une fonction d expertise et de conseil en mati re de pr vention et de promotion de la sant d assurer le d veloppement de l ducation pour la sant sur l ensemble du territoire d tablir les programmes de formation l ducation la sant 52 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE S CURIT ET QUALIT SANITAIRES DE L ALIMENTATION 206 Parce que la sant de l homme est troitement li e son alimentation et que la qualit de celle ci d pend beaucoup de l tat de sant des v g taux et des animaux dont elle est issue ce programme vise contribuer l am lioration de la qualit sanitaire des productions agricoles pour pr server la sant des consommateurs Ainsi dans le domaine de la s curit des aliments de la sant et de la protection des animaux et des v g taux le minist re de l agriculture de l agroalimentai
386. s centres d art du Palais de Tokyo du Jeu de Paume et de S vres Cit de la c ramique t re ligne N1 Nombre de places vendues au si ge pour l ensemble d une saison dans les structures subventionn es du spectacle vivant consid r es 2 me ligne N1 N2 en o N1 Nombre de places vendues au si ge pour l ensemble d une saison dans les structures subventionn es du spectacle vivant consid r es N2 Nombre de places mises la vente au si ge pour l ensemble d une saison dans les structures subventionn es du spectacle vivant consid r es 8 me ligne N1 N2 en o N1 Nombre de places vendues au si ge dans le cadre de sorties scolaires classes accompagn es pour l ensemble d une saison dans les structures subventionn es du spectacle vivant consid r es hors CND et th tres lyriques nationaux en r gion N2 Nombre de places vendues au si ge pour l ensemble d une saison dans les structures subventionn es du spectacle vivant consid r es hors CND et th tres lyriques nationaux en r gion 4 me ligne N1 Nombre cumul de visiteurs dans les murs et hors les murs des lieux de cr ation et de diffusion des arts plastiques subventionn s de l ann e civile n 5 me ligne N1 N2 en o N1 Nombre cumul de visiteurs en sortie scolaire classes accompagn es dans les murs et hors les murs N2 Nombre cumul de visiteurs dans les murs et hors les murs des lieux de cr ation et de diffusio
387. s conditions de scolarisation des enfants en situation de handicap une partie des recrutements sera d di leur accompagnement ainsi d s la rentr e scolaire 2012 1 500 auxiliaires de vie scolaire individuels suppl mentaires seront recrut s Par ailleurs 2 000 assistants d ducation et 500 assistants de pr vention et de s curit viendront renforcer la pr sence d adultes dans les tablissements Afin de permettre aux familles de faire face la hausse du co t de la rentr e scolaire l allocation de rentr e scolaire dont b n ficient 3 millions de familles et 5 millions d enfants est revaloris e de 25 Mesure phare pour 2013 les emplois d avenir professeur constitueront un dispositif de promotion sociale et d aide l insertion professionnelle dans les m tiers du professorat Il vise attirer davantage d tudiants issus de milieux modestes vers les m tiers de l enseignement en leur proposant une entr e progressive dans le m tier de professeur avec un projet professionnel et un parcours professionnalisant ainsi qu une aide financi re leur permettant de faire face l allongement de la dur e du cursus d tudes due la r forme de la masterisation Le dispositif vise galement renforcer l attractivit de certaines fili res ou de certaines acad mies o le nombre des candidats appara t insuffisant au regard des besoins de recrutement Le dispositif sera cibl en faveur de 18 000 tudiants boursiers d ici
388. s d velopp une activit de formation continue qu elles proposent aux entreprises sous forme de formations inter ou intra entreprises Des formules de formation longue et qualifiante ont aussi t cr es en collaboration entre les coles et les entreprises ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits des coles sont imput s sur l action 1 Organismes de formation sup rieure et de recherche Cette action regroupe l ensemble des financements apport s aux diff rents organismes de formation sup rieure et de recherche plac s sous la tutelle exclusive ou non du minist re de l conomie des finances et de l industrie coles de l institut Mines T l coms anciennement coles des Mines et des T l communications cole sup rieure d lectricit SUP LEC cole nationale sup rieure de Cr ation industrielle ENSCI Les ateliers Groupe des coles nationales d conomie et Statistique G NES PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Les coles int grent d importants p les de recherche sur des domaines qui correspondent des enjeux forts de l conomie et de la soci t Leur recherche r pondant essentiellement des besoins d entreprises est principalement men e de fa on partenariale Les coles de l institut Mines T l com ont obtenu ce titre la reconnaissance du label Carnot Leur excellence acad mique leur permet galement de d velopper des actions de re
389. s dans le cadre de contrats d objectifs et de moyens COM sign s dans chaque r gion par le pr fet de r gion et le pr sident du conseil r gional En 2011 une deuxi me g n ration de COM couvrant la p riode 2011 2015 a t conclue avec les 26 r gions sur le principe d un financement quivalent de l tat de la R gion aboutissant un engagement de l tat de 1 7 milliard d euros sur l ensemble de la p riode PLF 2013 35 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Dans un contexte conomique qui reste difficile les effectifs d apprentis ont n anmoins progress de 9 802 apprentis par rapport l ann e 2010 ce qui aboutit un total de 436 082 apprentis au 31 d cembre 2011 source DEPP proche des pr visions effectu es dans le cadre du projet annuel de performance 440 000 ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S ACTION n 01 Contrats d objectifs et de moyens pour le d veloppement et la modernisation de l apprentissage ACTION n 02 Modernisation de l apprentissage dans les CFA recrutement national INCITATIONS FINANCI RES EN DIRECTION DES ENTREPRISES RESPECTANT LES QUOTAS EN ALTERNANCE 789 Ce programme est compos de deux actions l aide de l tat aux entreprises ayant un stock d alternants d passant le seuil d ligibilit d fini l article 230 H du code g n ral des imp ts les actions nationales de communication et de pr
390. s de l accompagnement des jeunes en mission locale ce qui explique en partie les effets b n fiques sur l accompagnement et les sorties en emploi La pr vision prudente d volution de 1 point pour 2012 et 2013 participe d un maintien d une dynamique de performance sans moyens suppl mentaires Cette volution s accompagne de la poursuite du chantier de modernisation du financement des missions locales avec la deuxi me g n ration de conventions pluriannuelles par objectifs 2011 2013 Les missions locales s engagent am liorer leur qualit de service dans une d marche de performance et d velopper et professionnaliser les relations avec les entreprises afin de favoriser l acc s l emploi des jeunes Une attention particuli re est apport e l valuation de leur efficience Concernant l EPIDe dispositif deuxi me chance D fense 2 456 jeunes volontaires ont r alis un parcours d insertion au sein de l un de leurs 20 centres en 2011 d bouchant 12 mois sur 42 de sorties positives 22 sont des sorties en emploi durable En 2013 il est pr vu une enveloppe de 45 M pour la mise en uvre des objectifs du contrat d objectifs et de performance en cours de d finition Pour les ann es qui suivent la contribution sera reconduite en tenant compte de l inflation 1 75 chaque ann e sur la p riode consid r e PLF 2013 131 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT
391. s le total des 20 30 entr es en emploi d avenir Source des donn es DARES logiciel Parcours 3 pour le CIVIS EPIDE DGEFP pour l EPIDE et DGEFP pour le contrat d autonomie Mode de calcul des indicateurs Ratio nombre de jeunes de niveaux VI V bis et V sans dipl me entr s en CIVIS en EPIDE en contrat d autonomie ou emploi d avenir nombre total de jeunes entr s en CIVIS en EPIDE en contrat d autonomie ou en emploi d avenir Ratio nombre de jeunes r sidant en ZUS entr s en CIVIS en EPIDE ou en emploi d avenir nombre total de jeunes entr s en CIVIS en EPIDE ou en emploi d avenir R alisations 2010 et 2011 certaines valeurs ont t actualis es par rapport celles affich es au sein du RAP 2011 du fait notamment de la consolidation des donn es disponibles au sein des diff rents syst mes d information alimentant cet indicateur L EPIDE et la DGEFP sont en cours d laboration d un contrat d objectif et de performance qui aboutira sur la d finition de cibles en termes de public fr quentant ces tablissements Celles ci restent donc ce jour indisponibles Explication des valeurs cibles Les entr es en CIVIS entre 2010 et 2011 restent relativement stables pour les publics de bas niveau de qualification 0 6 points Face ce constat les pr visions nationales pilot es par la DGEFP resteront fix es sur 50 entre 2013 et 2015 pour les publics de bas niveaux de qualification Les entr es de
392. s par le minist re charg des sports se traduit par un appui humain mat riel et financier aux f d rations et aux clubs sportifs Le minist re soutient tr s prioritairement la pratique sportive licenci e car le club est porteur de valeurs essentielles dans la construction des jeunes et outil de la mixit sociale il est espace de rencontres de personnes que rien ne pr destinait se c toyer Le minist re soutient ainsi activement les politiques men es en faveur de la pratique sportive des jeunes scolaris s en uvrant accroitre leur taux de licence Par ailleurs il est demand au CNDS d apporter un soutien particulier aux projets permettant de toucher ces types de publics prioritaires Ainsi le minist re mesure la proportion des subventions de la part territoriale du CNDS affect e aux publics prioritaires en distinguant les projets en direction notamment des jeunes scolaris s L volution des taux de licences de ce public fait l objet d un suivi rigoureux permettant d identifier et de mettre en vidence les carts de pratique par rapport au taux de licences d livr es au plan national le minist re et le CNDS s effor ant conjointement de r sorber ces d s quilibres 118 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE INDICATEUR 10 1 Licences d livr es par les f d rations sportives nombre et taux par publics prioritaires du point de vue de l usager
393. s selon les territoires implique donc d offrir une prise en compte adapt e des probl matiques pour concr tiser l objectif d galit des chances C est pourquoi le Gouvernement souhaite r unir d s d but 2013 un comit interminist riel de la jeunesse Cette instance cr e en 1982 et r unie pour la derni re fois en 2009 est pr sid e par le Premier ministre et a pour objet de proposer au Gouvernement toute mesure propre am liorer les conditions de vie des jeunes Pour faire merger de nouvelles politiques publiques en faveur des jeunes le Fonds d exp rimentation pour la jeunesse cr par la loi du 1er d cembre 2008 soutient et value selon des modalit s pr cises des actions et d marches innovantes en faveur de leur insertion sociale et professionnelle dans l optique d une g n ralisation L exploitation des premiers r sultats sera disponible en 2013 L Institut national de la jeunesse et de l ducation populaire Injep a pour missions l observation l analyse et l valuation des pratiques et des attentes des jeunes ainsi que des politiques publiques et des actions qui leur sont destin es Outre les minist res les plus directement concern s par les probl matiques de jeunesse ducation nationale enseignement sup rieur emploi sant et affaires sociales sports culture les collectivit s territoriales qui agissent fortement dans le domaine de la jeunesse participent d sormais au conseil d administra
394. scolaire relevant du minist re de l ducation nationale En 2012 2 15 milliards d euros sont consacr s ce programme en AE et 2 09 en CP dont 1 37 milliard d euros pour le titre 2 Si les missions du programme 214 rel vent du productif indirect toutes ont pour finalit d accompagner la r ussite des jeunes dans leur parcours de formation travers diff rents aspects r ussite pour tous la r forme du lyc e et la r novation de l enseignement professionnel s inscrivent dans une d marche de r duction des sorties du syst me scolaire sans qualification d une augmentation du nombre de bacheliers et de la facilitation de la poursuite d tudes sup rieures Les sites de ressources pour un soutien scolaire gratuit Acad mie en ligne et AtouCned d di s aux l ves en difficult du CP la terminale et proposant l ensemble des programmes dans les disciplines de l enseignement g n ral accompagnent cette r forme volet galit des chances depuis la rentr e 2011 le programme Eclair cumule la mise en uvre simultan e d innovations dans les champs des ressources humaines de la p dagogie et de l action ducative dans les coles coll ges et lyc es o se concentrent les difficult s sociales et scolaires insertion professionnelle en 2011 les cr dits consacr s au fonctionnement des CIO d tat se sont lev s 5 3 millions d euros L ONISEP met galement disposition
395. se en uvre du dispositif est fond e sur la base du volontariat alors qu il est impos dans d autres pays de l Union europ enne Au travers de cet indicateur c est la capacit du minist re jouer un r le de pilote animateur sur des projets qui n cessitent de mobiliser de nombreux acteurs autres minist res collectivit s locales associations qui est mesur e Le nombre d l ves b n ficiaires de l action d pend de la mobilisation des acteurs locaux qui font la d marche volontaire d inscrire leur action selon un cahier des charges sp cifique l op ration g r e par FranceAgriMer Le principe du respect d exigences nutritionnelles en restauration collective a t instaur par la loi de modernisation de l agriculture et de la p che du 27 juillet 2010 Pour ce qui concerne la restauration scolaire le d cret n 2011 1227 et l arr t du 30 septembre 2011 imposent des obligations dans la composition des repas et de privil gier lors du choix des produits entrant dans la composition de ces repas les produits de saison L objectif est d am liorer la qualit nutritionnelle constat e en restauration scolaire et la mesure de cette am lioration se fera lors des contr les nutritionnels effectu s l occasion des inspections sanitaires de ces tablissements INDICATEUR 7 1 Proportion d l ves ayant b n fici du bilan de sant dans leur 6 me ann e Programme 230 du point de vue du citoyen
396. semble des inscrits en D puisque ne sont pas comptabilis s les doctorants n ayant pas soutenu pour diverses raisons qui ne sont d ailleurs pas toujours significatives d un chec dans le parcours de formation et rel vent souvent d une insertion professionnelle anticip e Source des donn es MESR DGESIP DGRI Sous direction des syst mes d information et des tudes statistiques SD SIES Le 3 sous indicateur permet d approcher a contrario un taux d abandon Historique des valeurs de l indicateur R alis R alis R alis R alis 2008 2009 2010 2011 Part des doctorats obtenus en moins de 40 mois 344 35 1 35 3 37 2 Part des doctorats obtenus en moins de 52 mois 67 3 70 2 68 7 70 0 Part des doctorats obtenus en moins de 72 mois 86 4 88 8 88 2 87 9 PLF 2013 109 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT FAVORISER UN CADRE DE VIE PROTECTEUR POUR LA JEUNESSE La construction de chacun en tant qu individu responsable et autonome est li e la conjonction de nombreux l ments parmi lesquels de bonnes conditions en mati re de sant de logement et de s curit jouent un r le important Pour grandir et s panouir la jeunesse doit pouvoir s appuyer sur des dispositifs lui offrant de bonnes conditions de vie et une protection optimale dans toutes ses activit s quotidiennes Les actions men es doivent galement lui permettre d ap
397. ser et de coordonner les actions de l tat en mati re de lutte contre les drogues et les toxicomanies Afin de mieux articuler les trois approches de la lutte contre la drogue pr vention application de la loi et prise en charge sanitaire et sociale et de d passer ainsi les cloisonnements et les diversit s des cultures au sein des administrations la Mission interminist rielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie MILDT impulse et coordonne la r flexion des acteurs publics Elle leur donne aux niveaux national et d concentr les outils interminist riels n cessaires la conduite d une politique coh rente et lisible permettant de faire baisser durablement l usage de drogues illicites et l abus d alcool Pour la mise en uvre de cet objectif la MILDT s appuie au niveau central sur l ensemble des minist res membres du comit interminist riel de lutte contre les drogues et les toxicomanies et au niveau d partemental sur ses chefs de projet en pr fecture En 2012 apr s une large campagne de consultation de nombreux partenaires parties prenantes sur les questions des drogues et des toxicomanies partenaires institutionnels op rateurs milieu associatif un nouveau plan pluriannuel sera adopt par le gouvernement et mis en uvre jusqu en 2015 Ce nouveau plan de lutte contre les drogues et les toxicomanies s inscrira dans la continuit du pr c dent r duction des exp rimentations chez les plus jeunes limitation de l ab
398. ses missions Permettre la r ussite de tous les tudiants quelle que soit la situation conomique de leur famille constitue une mission prioritaire Le syst me d aide sociale permet de tendre vers cet objectif PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le CNOUS et les CROUS sont les principaux op rateurs de ce programme intervenant tant sur le champ des aides sociales du logement de la restauration que de l action culturelle et du soutien l engagement tudiant ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AGRICOLE 143 L enseignement technique agricole accueille la rentr e scolaire 2011 174 054 l ves au titre de la formation initiale scolaire auxquels s ajoute un nombre important d apprentis 34 700 et assure plus de 20 3 millions d heures de formation pour les stagiaires de la formation continue Ces apprenants sont r partis dans des formations allant de la 4 me de l enseignement agricole au brevet de technicien sup rieur agricole BTSA assur es par 173 tablissements publics et 622 tablissements priv s couvrant l ensemble du territoire national ainsi que les collectivit s ultramarines Cet enseignement se caract rise notamment par ses missions d insertion en faveur de la jeunesse tant pour ce qui est de l insertion et de la r ussite scolaire que de l insertion professionnelle ensuite Pour faciliter la r ussite scolaire l enseignement technique agricole s appuie sur plusieurs dispositifs qui faciliten
399. si Mines ParisTech Telecom ParisTech et l E NSAE sont membres fondateurs du p le de recherche et d enseignement sup rieur ParisTech aux c t s d autres grandes coles parisiennes et Sup lec est membre du PR S UniverSud Paris ces coles sont aussi tr s actives dans le projet de campus de Paris Saclay Les coles des Mines de Saint Etienne Douai et Nantes sont pour leur part membres fondateurs des PRES Universit de Lyon Universit Lille Nord de France et Universit s Nantes Angers Le Mans T l com Bretagne et l ENSAI du PRES Universit europ enne de Bretagne 32 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE ACC S ET RETOUR L EMPLOI 102 Le programme 102 Acc s et retour l emploi regroupe l ensemble des politiques publiques visant favoriser l insertion professionnelle des personnes rencontrant des difficult s pour se maintenir ou acc der au march du travail Dans une logique europ enne d am lioration des taux d emploi ce programme ne limite pas son champ aux seuls demandeurs d emploi mais concerne galement les inactifs susceptibles d tre incit s se pr senter sur le march du travail jeunes sortis du syst me ducatif sans qualification travailleurs handicap s ch meurs de longue dur e b n ficiaires de minima sociaux dont les droits ont t renforc s par la loi n 2008 1249 du 1 d cembre 2008 g n ralisant le revenu de solidarit activ
400. si sur le versant du traitement la France est relativement en avance sur ses partenaires europ ens depuis la mise en place en 2011 du Syst me interminist riel d change d informations SIEI et des plates formes de suivi et d appui PLF 2013 89 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 3 1 Proportion d l ves ma trisant en fin de troisi me les comp tences du socle commun Programme 141 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Comp tence 1 ma trise de la langue 86 7 3 3 75 4 3 7 87 76 77 79 fran aise Comp tence 2 pratique d une langue 89 8 92 56 58 60 vivante trang re niveau A2 Comp tence 3 math matiques et culture 78 9 3 8 82 5 69 70 72 scientifique Comp tence 4 brevet informatique et 95 9 96 5 97 5 97 5 98 98 internet coll ge Comp tence 5 culture humaniste 77 4 5 78 58 59 61 Comp tence 6 comp tences sociales et 88 2 3 90 90 91 94 civiques Comp tence 7 autonomie et initiative 84 9 3 4 86 86 87 90 Source MEN DEPP Champ enseignements public priv sauf pour les comp tences 2 et 4 portant sur le public uniquement France m tropolitaine DOM Mode de calcul dans un souci de fiabilisation de l indicateur le mode de calcul de ses sous in
401. si psychologiques et sanitaires plus pr gnantes qu autrefois Les services de m decine pr ventive et de promotion de la sant SUMPPS mettent en uvre la politique poursuivie qui vise am liorer le suivi sanitaire des tudiants et d velopper les actions de pr vention et d ducation la sant Les programmes prioritaires de pr vention et d ducation la sant dans les domaines du tabagisme de l alcoolisme des d pendances ou de la toxicomanie de la nutrition de la contraception mis en place dans les tablissements aident les tudiants devenir des acteurs part enti re de leur sant Dans le cadre du programme national pour l alimentation PNA les actions men es en particulier aupr s des populations jeunes ont pour objectif de leur permettre de prendre de bonnes habitudes alimentaires par la distribution de fruits en milieu scolaire et l offre de repas quilibr s au restaurant scolaire L op ration n fruit pour la r cr r pond cet objectif en duquant les jeunes la consommation de fruits Cette mesure est aid e par l Union europ enne pour les d penses li es l achat des fruits l achat d quipement la communication et l valuation du dispositif Les l ves de l enseignement primaire et de l enseignement secondaire ainsi que les apprentis soit une population potentielle de 12 5 millions peuvent b n ficier de l op ration un fruit pour la r cr En France la mi
402. sid rant l anciennet de leur permis au moment de l accident Les conducteurs sans permis et les conducteurs dont la date d obtention du permis n est pas renseign e ne sont pas comptabilis s Le suivi de cet indicateur est d sormais r alis pour un an deux ans et trois ans d anciennet du permis en vue d un meilleur suivi de l accidentalit des conducteurs novices dont la diminution est une priorit en mati re de s curit routi re PLF 2013 117 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT PARTICIPER AU DEVELOPPEMENT PERSONNEL DES JEUNES Les pratiques culturelles et les pratiques sportives sont tr s li es l tat de jeunesse Malgr les id es re ues les tudes montrent que les jeunes ont une vie culturelle plus intense que les adultes et qu ils sont deux fois plus nombreux d tenir une licence sportive Les vecteurs qu ils utilisent pour l acc s la culture ont volu et font aujourd hui la part belle aux outils num riques Leur consommation s est modifi e passant par un usage la demande davantage individualis fond majoritairement sur la culture populaire et qui questionne les modes traditionnels de transmission de la culture L engagement sportif lui aussi a volu au sein du public jeune la pratique en dehors des associations formelles se d veloppe et on assiste une diversification des modes d acc s au sport En outre activit s culturelles et activit s
403. sion Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de poursuite des nouveaux 78 74 6 79 5 72 80 82 bacheliers dans l enseignement sup rieur Taux de poursuite des filles 78 7 75 6 s 0 s 0 s 0 s 0 Taux de poursuite des gar ons 77 2 73 5 s o S 0 S O s o Source MEN DEPP MESR SIES Champ bacheliers des tablissements publics y compris de ceux qui rel vent du minist re de l agriculture et priv s France m tropolitaine DOM tablissements d enseignement sup rieur quel que soit le minist re de tutelle Toutes les inscriptions dans le cadre de l apprentissage et des contrats de qualification ne sont pas prises en compte Mode de calcul Num rateur 100 x bacheliers de la session N inscrits dans un tablissement d enseignement sup rieur public et priv l ann e scolaire N N 1 D nominateur bacheliers session N Du fait des diff rentes sources exploit es il existe des risques de double comptes Les remont es des effectifs d tudiants dans l enseignement sup rieur sont r alis es partir d une dizaine d enqu tes qui se d roulent en avril La synth se de toutes les donn es recueillies concernant l ann e scolaire n n 1 pour les l ves qui ont obtenu leur bac l ann e n est effectu e en juin n 1 C est partir de cette synth se que l on calcule le taux de poursuite des bacheliers dans l enseignement sup rieur Explication des cibles la pr vision 2012 a t actualis e au vu de la r alisa
404. sions 2013 et les cibles 2015 s appuient sur la lutte contre l absent isme et le d crochage dans les tablissements scolaires et sur la refonte du r gime disciplinaire dans ces tablissements notamment la mise en place de mesures de responsabilisation pour limiter le recours aux exclusions temporaires de la classe ou de l tablissement et aux exclusions d finitives de l tablissement qui peuvent conduire un processus de d scolarisation Le recrutement de 100 conseillers principaux d ducation suppl mentaires la rentr e 2012 contribuera la mise en uvre d une politique plus efficace en ce domaine INDICATEUR 9 2 Proportion d actes de violence grave signal s Programme 230 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e a l cole pour 10 000 l ves ho 3 9 n d 3 n d 3 2 b au coll ge pour 1 000 l ves Ao 12 2 14 1 9 13 12 10 c au LEGT pour 1 000 l ves o 4 3 4 6 2 5 4 5 4 3 d au LP pour 1 000 l ves o 17 2 17 4 12 16 5 15 14 Source MEN DEPP enqu te SIVIS PLF 2013 115 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT Mode de calcul Champ enseignement public France m tropolitaine DOM L enqu te SIVIS est r alis e aupr s d un chantillon repr sentatif de 6 315 tablissements du second de
405. socioprofessionnelle et en faisant la somme de ces taux par ge On distingue les bacheliers par ge mais les classes ou regroupements d ge sont diff rents selon le baccalaur at pour tenir compte de parcours scolaires diff rents On somme ensuite pour chaque PCS Professions et cat gories sociales le taux d acc s aux bacs g n raux Les origines sociales sont d finies partir de la nomenclature des PCS de l INSEE la cat gorie d favoris e correspond principalement aux ouvriers retrait s ouvriers et employ s ch meurs n ayant jamais travaill personnes sans activit professionnelle et PCS inconnue Cet indicateur mesure le taux d acc s d une population th orique Il ne s agit pas du taux d acc s d une g n ration r elle qui ne peut tre calcul que lorsque celle ci a atteint 30 ans En particulier si les taux de redoublement voluent et si les taux de r ussite se modifient fortement ce taux conjoncturel est d form par rapport au taux d acc s r el d une g n ration En outre en l absence de bases de donn es d mographiques par PCS pour les bacheliers les r partitions par PCS sont estim es depuis 2010 pour les l ves entr s en 6 la rentr e pr c dant la session de baccalaur at ex rentr e 2010 pour baccalaur at 2011 Les taux d acc s au baccalaur at sont obtenus en rapportant les effectifs des admis cet examen aux effectifs d mographiques des g n rations correspondantes Ils sont donc
406. sont disponibles que pour 74 d partements dans 27 acad mies 57 d partements dans 20 acad mies en 2010 Le taux calcul sur cette base est de 70 9 en 2011 Pour les l ves des coles en RAR en 2010 2011 le taux de r alisation de 81 est calcul sur la base des donn es disponibles pour 23 acad mies Explication des valeurs cibles Les pr visions 2012 et 2013 pour l ensemble des l ves et pour les l ves des coles du programme ECLAIR ont t revues la baisse au regard des donn es de r alisation de 2011 et des difficult s pourvoir les emplois de m decins et d infirmi res scolaires dans certains d partements La cible 2015 est 100 pour les l ves des coles du programme ECLAIR compte tenu de la priorit accorder ces l ves dans la progression n cessaire du taux de r alisation de ce bilan obligatoire pour tous les l ves INDICATEUR 7 2 Pourcentage des tudiants du cursus licence ayant b n fici d une visite m dicale au cours de l ann e Programme 231 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Pourcentage d tudiants inscrits dans les 3 33 22 34 34 35 36 premi res ann es d tudes ayant b n fici au cours de l ann e d une visite m dicale de pr vention Les r sultats de l ann e n sont calcul s par rapport l ann e un
407. sont faits depuis 2004 pour quatre cat gories de b n ficiaires Pour chacune de ces cat gories les valeurs des loyers plafonds et des charges prises comme r f rence en 2003 sont les suivantes b n ficiaires de minima sociaux isol au RSA locataire en zone 2 loyer de r f rence loyer plafond 2003 charges de r f rence 75 euros en 20083 salari couple sans enfant dont un salari percevant le SMIC locataire en zone 2 loyer de r f rence loyer plafond 2003 charges de r f rence 90 euros en 2003 tudiants non boursiers loyer de r f rence loyer plafond 2003 charges de r f rence 75 euros en 2003 revenu gal au revenu minimum pris en compte pour le calcul de l aide des tudiants non boursiers tudiants boursiers loyer de r f rence loyer plafond 2003 charges de r f rence 75 euros en 2003 revenu gal au revenu minimum pris en compte pour le calcul de l aide des tudiants boursiers Pour actualiser ces valeurs les calculs sont r alis s chaque ann e au 1er juillet de l ann e N les loyers augmentent comme l volution de l indice de r f rence des loyers IRL derni re volution connue au 1er janvier de l ann e N les charges voluent comme l inflation N 1 N 2 Niveau de l indicateur Un taux d effort peu lev et sa stabilit voire sa diminution traduisent dans le temps un maintien de l efficacit des aides personnelles Les volutions attendues p
408. ssairement au montant de la fonction car certaines d penses ventil es par fonction ne le sont pas par sous fonction Source Rapport de l Observatoire des finances locales 2012 Pr sentation fonctionnelle des budgets primitifs 2012 des d partements et des r gions extrait D partements en millions d euros Fonctionnement Investissement Total Part dans le budget total de la collectivit Enseignement 1 3 091 2 647 5 738 7 9 Dont coll ges 2 182 2 369 4 551 6 3 Dont lyc es 5 6 11 0 Dont enseignement sup rieur 76 157 233 0 3 Vie sociale jeunesse sports et loisirs 2 781 265 1 046 1 4 Action sociale famille et enfance 3 7 253 101 7 354 10 1 Transports scolaires 4 1 925 8 1 933 2 7 Total 1 2 3 4 13 050 3 021 16 071 22 1 Budget total 56 857 15 700 72 557 100 R gions en millions d euros Fonctionnement Investissement Total Part dans le budget total de la collectivit Formation professionnelle et apprentissage 1 5 100 309 5 409 18 7 Dont formation professionnelle 2 142 38 2181 7 5 Dont apprentissage 1 927 217 2 144 7 4 Dont sanitaire et social 929 46 975 3 4 Enseignement 2 3 589 3015 6 604 22 8 Dont lyc es publics 2 661 2 342 5 003 17 3 Dont lyc es priv s 301 136 436 1 5 Dont enseignement sup rieur 113 374 487 1 7 Total 1 2 8 689 3 324 12013 41 4 Budget total 17 769 11218 28 988 100 Source Rapp
409. ssier unique d acc s l enseignement sup rieur afin de favoriser une meilleure ad quation entre les aspirations et les capacit s des lyc ens et les formations leur offrant les plus grandes chances de r ussite le d veloppement de la pluridisciplinarit coupl e l apprentissage de la m thodologie du travail universitaire notamment au d but du cycle licence afin de permettre aux nouveaux tudiants de choisir leur mention en connaissance de cause et le cas ch ant de se r orienter le renforcement de l encadrement p dagogique avec la d signation d enseignants r f rents assurant un suivi personnalis des tudiants l augmentation des horaires d enseignement et la mise en uvre de dispositifs de soutien aux tudiants en difficult l organisation au sein de chaque licence d un nombre limit de parcours pour permettre la mise en place d quipes p dagogiques homog nes assurant un accompagnement suivi des tudiants un renouvellement des m thodes p dagogiques se traduisant par la g n ralisation des groupes de petite taille un suivi individualis du travail personnel et par le d veloppement du contr le continu qui favorise la progression de l tudiant INDICATEUR 6 Programme 141 du point de vue du citoyen ux de poursuite des nouveaux bacheliers dans l enseignement sup rieur Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vi
410. ssionnelle Action n 2 Soutien l ducation artistique et culturelle Action n 4 Actions en faveur de l acc s la culture Les m tiers de la culture exercent sur les jeunes une attraction bien connue Le minist re de la culture a d velopp un enseignement sup rieur qui pr pare ces m tiers Il rassemble 36 000 tudiants et 101 tablissements parmi lesquels les conservatoires nationaux sup rieurs de musique et de danse de Paris et de Lyon CNSMDP CNSML l cole de danse de l Op ra national de Paris l cole du Louvre l Institut national du patrimoine INP les 20 coles d architecture les 58 coles d art l cole nationale sup rieure des m tiers de l image et du son ENSMIS L insertion professionnelle mesur e trois ans apr s l obtention du dipl me est satisfaisante 82 3 des tudiants ont un emploi en lien avec leur dipl me et ce taux s l ve 87 en consid rant tous ceux qui sont ins r s professionnellement Les coles sup rieures relevant de ce secteur sont majoritairement inscrites dans le processus licence master doctorat LMD Par ailleurs outre cette politique globale de soutien aux tablissements d enseignement sup rieur le minist re a mis en uvre des mesures pour renforcer l galit des chances dans l acc s l enseignement sup rieur sensibilisation des l ves du secondaire programmes de diversification sociale dans les coles tutorat monitorat notamment dans le cad
411. ssociative nouveau 22 Personnels transversaux et de 15 613 307 15 613 307 soutien nouveau 140 Enseignement scolaire public 18 083 627 917 18 084 434 165 18 140 767 339 18 140 767 339 18 862 857 930 18 862 857 930 du premier degr 01 Enseignement pr l mentaire 4 689 359 502 4 689 364 604 4 677 787 162 4 677 787 162 4 860 870 115 4 860 870 115 02 Enseignement l mentaire 9 076 707 989 9 076 971 624 8 944 722 601 8 944 722 601 9 291 202 121 9 291 202 121 03 Besoins ducatifs particuliers 1 410 604 902 1410616 138 1 643 318 380 1 643 318 380 1 707 611 453 1707 611 453 04 Formation des personnels 387 819 204 388 020 831 294 753 585 294 753 585 322 190 447 322 190 447 enseignants 05 Remplacement 1 414 896 162 1 414 897 179 1 527 658 636 1 527 658 636 1 587 549 009 1 587 549 009 06 Pilotage et encadrement 1 049 979 948 1 050 003 579 980 126 092 980 126 092 1 018 195 495 1 018 195 495 p dagogique 07 Personnels en situations diverses 54 260 210 54 560 210 72 400 883 72 400 883 75 239 290 75 239 290 141 Enseignement scolaire public 29 256 860 339 29 256 648 252 29 524 824 203 29 524 824 203 30283515 745 30 283 515 745 du second degr 01 Enseignement en coll ge 10 414 323 414 10414333 639 10675523 200 10675523 200 10938 763 261 10 938 763 261 02 Enseignement g n ral et 7 804 663 458 7 804 488 634 6 706 020 439 6 706 020 439 6 874 966 249 6 874 966 249 technologique en lyc e 03 Enseignement professionnel sous 3 725 313 385 3 725 2
412. stissement L action du programme s articule autour de quatre axes de performance caract re transversal et pluriannuel la satisfaction des usagers l am lioration de l efficience de la gestion des moyens le d veloppement de la gestion des emplois des effectifs et des comp tences la qualit de l valuation des politiques 36 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les cr dits se rattachant la politique en faveur de la jeunesse sont imput s sur trois actions l action miroir qui porte les cr dits de personnel des services d concentr s du programme 102 acc s et retour l emploi action n 02 l action regroupant les moyens d tat major et de soutien de la mission action n 05 l action d di e aux activit s d tudes statistiques valuations et recherches action n 06 PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le Centre d tudes de l emploi CEE Le Centre d tudes et de recherches sur les qualifications CEREQ LUTTE CONTRE LA PAUVRET REVENU DE SOLIDARIT ACTIVE ET EXP RIMENTATIONS SOCIALES 304 L extension du RSA aux jeunes a t introduite par l article 135 de la loi de finances pour 2010 sa mise uvre tant assur e depuis le 1 septembre 2010 en m tropole et depuis le ter janvier 2011 dans les d partements d outre mer Le RSA jeun
413. suivants de la politique transversale favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse accompagner les jeunes vers l autonomie 66 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE Favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse Le programme finance des campagnes de communication destination des jeunes afin de les sensibiliser sur les multiples risques routiers alcool fatigue drogue vitesse risques multi factoriels Ainsi la S curit routi re a propos au cours de l t 2012 un dispositif de communication sp cifique envers les jeunes pour les inciter d signer avant de sortir celui ou celle qui s engagera rester sobre pour reconduire ses amis l issue de la soir e Sam celui qui conduit c est celui qui ne boit pas http www ckisam fr Les campagnes de communication sont accompagn es par la participation des v nements nationaux qui permettent de viser directement les jeunes notamment les festivals musicaux Solidays Francofolies de La Rochelle Eurock ennes de Belfort Printemps de Bourges Des messages de pr vention destination des jeunes spots de 30 secondes ont galement t diffus s dans douze des principaux festivals de musique l t 2012 Enfin un partenariat avec la radio NRJ a permis de participer une tourn e des plages accompagn e d une campagne diffus e sur ses ondes Au cours de l hiver 2012 l occasion d
414. sulaire PLF 2013 9 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Num ro et intitul du programme Responsable Mission cf page 209 Solidarit l gard des pays en Jean Baptiste MATTEI Aide publique au d veloppement 76 d veloppement Directeur g n ral de la mondialisation du d veloppement et des partenariats 185 Diplomatie culturelle et d influence Jean Baptiste MATTEI Action ext rieure de l tat 76 Directeur g n ral de la mondialisation du d veloppement et des partenariats 203 Infrastructures et services de Daniel BURSAUX cologie d veloppement et am nagement 77 transports Directeur g n ral des infrastructures des transports et de la mer durables 10 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE PR SENTATION DE LA POLITIQUE TRANSVERSALE La politique en faveur de la jeunesse regroupe l ensemble des actions en direction des jeunes concourant notamment l ducation la formation l insertion sociale et professionnelle le logement la sant la s curit les loisirs ducatifs sportifs et culturels Dans les derni res ann es les conditions de passage de l enfance l ge adulte se sont profond ment transform es En particulier par rapport celles qui l ont pr c d la g n ration des 16 25 ans se caract rise aujourd hui la fois par une l vation rapide du niveau glo
415. t entre les femmes et les hommes l acquisition d une culture g n rale et d une qualification reconnue est assur e tous les jeunes filles et gar ons quelle que soit leur origine g ographique ou sociale l ducation est obligatoire pour les enfants g s de 6 16 ans tout l ve qui l issue de la scolarit obligatoire na pas atteint un niveau de formation reconnu doit pouvoir poursuivre des tudes afin d atteindre un tel niveau les coll giens les lyc ens et les tudiants peuvent b n ficier d aides financi res pour faire face des situations difficiles pour assurer les d penses de scolarit et de vie scolaire le droit au conseil en orientation et l information sur les enseignements et les professions fait partie du droit l ducation Le Pr sident de la R publique a fait de la refondation de l cole une priorit afin d engager des changements p dagogiques et ducatifs importants La cr ation de 60 000 emplois suppl mentaires sera mise au service de cette priorit Des mesures ont t prises en vue de la rentr e 2012 1 000 professeurs des coles suppl mentaires sont recrut s pour att nuer les tensions constat es dans le premier degr Des am nagements de services sont accord s aux enseignants stagiaires des premier et second degr s pour favoriser leur entr e dans le m tier 100 conseillers principaux d ducation seront recrut s pour le second degr Pour am liorer le
416. t s la rentr e 2011 pour les classes de seconde premi re et terminale professionnelles 94 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE augmentation de 0 6 point pour les ann es 2012 2014 du taux de passage de la seconde professionnelle la premi re professionnelle constat la rentr e 2011 maintien pour les ann es 2012 2014 du taux de passage de la premi re professionnelle la terminale professionnelle constat la rentr e 2011 diminution des taux de sortie en raison d une meilleure pr vention du d crochage scolaire Faute de donn es de r alisation le taux d acc s par apprentissage a fait l objet d une actualisation de sa pr vision 2012 et a t cibl en faisant l hypoth se d un cart avec la voie scolaire du m me ordre que pour le CAP et galement en voie de r sorption Taux d acc s un BTS En ce qui concerne la voie scolaire la pr vision 2012 et le ciblage du sous indicateur ont t effectu s avec prudence en raison de l augmentation observ e ces derni res ann es de la part de bacheliers professionnels en 1 ann e de section de techniciens sup rieurs STS d apr s une tude du minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche cette proportion a cr de 10 6 points entre 2005 et 2011 Or toujours selon cette tude bas e sur un panel de bacheliers en 2008 28 des bacheliers professionnels inscrits en 1 re ann
417. t aux dangers des drogues 261 525 l ves du secondaire et 10 743 l ves de primaire Ces actions de pr vention s appuient sur des personnels des unit s territoriales sp cialement qualifi s ainsi que ceux servant dans les 42 brigades de pr vention de la d linquance juv nile BPDJ et les 450 formateurs relais anti drogue FRAD pr sents sur le territoire national Participer l ducation routi re la gendarmerie met en uvre un ventail important de formations destin es aux enfants et aux adolescents pour les sensibiliser aux dangers de la voie publique L op ration permis pi ton qui a pour but de sensibiliser les enfants de 8 9 ans aux dangers li s la route a touch un public d environ 200 000 l ves estimation Ce sont aussi plus de 8 000 jeunes de 14 18 ans qui ont b n fici au sein de leur coll ge d une sensibilisation aux r gles de la circulation routi re et de conduite responsable gr ce la piste 10 de conduite La politique de recrutement et de reconversion constitue galement un levier l insertion professionnelle Au 31 d cembre 2011 14 628 personnels servaient sous le statut de volontaire 14 485 gendarmes adjoints volontaires GAV et 143 aspirants de gendarmerie issus du volontariat AGIV Recrut s par souscription d un premier contrat de deux ans avant 26 ans renouvelable une fois pour un contrat de trois ans ces personnels voluent soit en unit op rationnelle en
418. t d une organisation de l enseignement et des tablissements qui maintient en permanence un lien troit avec les secteurs professionnels et qui participe pleinement l animation territoriale Ainsi la part des stages est importante dans toutes les formations ce qui contribue non seulement acqu rir les gestes et comp tences professionnels mais permet galement aux jeunes de trouver plus rapidement un emploi apr s leur formation des repr sentants professionnels participent la vie des tablissements notamment en pr sidant le conseil d administration au niveau local l enseignement agricole travaille avec les structures dont les missions portent sur l orientation et l insertion professionnelle en particulier les chambres r gionales d agriculture et l association pour l emploi des cadres ing nieurs et techniciens de l agriculture et de l agroalimentaire APECITA au niveau national des conventions de coop ration avec les branches professionnelles incluent un volet insertion orientation attractivit des m tiers Enfin l ensemble de ces mesures est suivi par un r seau de correspondants en r gion et en tablissements sp cifiquement charg s des questions d insertion en faveur des jeunes ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les actions concourant la politique en faveur de la jeunesse sont celles finan ant la r mun ration des personnels titre 2 des actions 1 et 2 et l action
419. t les apprentissages et permettent d apporter chaque jeune une r ponse en termes de formation adapt e son projet et ses comp tences chaque apprenant est accueilli dans le cadre d un travail d orientation tout d abord puis d identification de son projet de formation Dans ce cadre le livret exp rimental de comp tences LEXC soutenu par le fonds d exp rimentation pour la jeunesse et test durant deux ann es scolaires sur 4 043 l ves et apprentis dans 26 tablissements fera l objet d un rapport au parlement l automne 2012 les tablissements ou les r seaux d tablissements proposent toujours plusieurs modalit s de formation voie scolaire formation par apprentissage formation continue pour adultes ou jeunes adultes Un tiers des tablissements les Maisons familiales rurales MFR proposent galement des formations en alternance par voie scolaire les pratiques p dagogiques laissent une large part l enseignement bas sur des approches de terrain Pour ce faire l enseignement s appuie sur la pr sence d une exploitation agricole ou d un atelier technologique au sein de l tablissement et sur des partenariats d actions territoriales ou d exp rimentation agricole conclus avec des repr sentants de la vie locale ou des organismes professionnels agricoles Ces supports exploitations ateliers partenariats permettent aux l ves de prendre part des activit s concr tes facil
420. t les volontaires au ch mage durant les trois ann es apr s leur d part la mise en uvre d un recruting permet de diffuser des offres d emploi en direct En 2011 46 conseillers au sein de la cha ne de reconversion ont accentu leur effort en direction des jeunes en accompagnant 5 943 GAV pour un retour l emploi et en reclassant 2 382 militaires dont 1 779 GAV dans des emplois et m tiers p rennes Le dispositif de classe pr paratoire int gr e a offert 15 jeunes gens issus de milieux modestes l opportunit de pr parer le concours externe d officier de gendarmerie et du corps technique et administratif ainsi que les concours de la fili re s curit et de la cat gorie A de la fonction publique tout en b n ficiant d un statut militaire r mun r et d un h bergement La moiti des l ves de la 1 re promotion 2010 2011 ont r ussi un concours de niveau cat gorie A au terme de leur scolarit Ce dispositif de pr paration universitaire se traduit par un accompagnement personnalis dans la dur e leur permettant de poursuivre l laboration de leur projet professionnel en cas d checs aux concours 72 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE La gendarmerie participe aussi la promotion de la citoyennet en r alisant des actions de sensibilisation en milieu scolaire et en permettant aux jeunes de souscrire un contrat de r serviste En effet elle d veloppe et participe
421. t priv value la ma trise des comp tences du socle commun au nombre de sept en fin de CM2 Il permet de mesurer les acquis des l ves la fin de leur scolarit l mentaire Concernant les langues vivantes trang res le r f rentiel choisi en fin de CM2 est le niveau A1 du cadre europ en commun de r f rence ce qui permettra terme de situer le niveau de nos l ves parmi l ensemble europ en S agissant de la ma trise des technologies de l information et de la communication la r f rence est le B2i brevet informatique et Internet l attestation du niveau 1 du B2i tant d livr e apr s valuation de chaque l ve selon un protocole fix au niveau national Les indicateurs 2 2 et 2 3 proportion d l ves en retard l entr e de la sixi me mesurent la fluidit des parcours scolaires Les diff rentes modalit s d aide aux l ves et de personnalisation des parcours mises en place par la loi d orientation de 2005 PPRE la r forme de l cole de 2008 aide personnalis e stage de remise niveau ou mises en place la rentr e 2011 PPRE passerelles en sixi me doivent permettre de faire baisser les taux de redoublement et par la m me de r duire le retard l entr e au coll ge On sait en effet que les redoublements sont le plus souvent inefficaces socialement injustes et co teux L objectif tr s volontariste de 8 d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard provient de la r fo
422. tant le pourcentage de dipl m s de nationalit fran aise issus de la formation initiale ayant mis fin leurs tudes apr s l obtention de leur dipl me et occupant un emploi quel qu il soit par rapport l ensemble des dipl m s v rifiant les m mes crit res et pr sents sur le march du travail c est dire en emploi ou en recherche d emploi On entend par emploi stable les emplois de fonctionnaires d ind pendants et les contrats dur e ind termin e du secteur priv Pour les dipl m s de BTS les donn es des deux enqu tes IVA et IPA sont retravaill es afin de renseigner un indicateur synth tique sur l ensemble des dipl m s du BTS sous statut scolaire ou par apprentissage La situation d emploi est observ e au 1 f vrier soit 7 mois apr s l obtention du dipl me La valeur n de l indicateur porte donc sur les dipl m s de l ann e universitaire n 2 n 1 Pour les valeurs 2010 et 2009 la compilation des deux enqu tes est en cours d expertise Les crit res du champ sont identiques aux crit res du champ du 1 dispositif Pour les dipl m s DUT Licence professionnelle Master a t construite avec l ensemble des universit s une enqu te d insertion homog ne enqu te r alisable annuellement par universit et consolidable au niveau du programme Ce dispositif d enqu te d insertion porte sur les dipl m s Ils sont interrog s sur leur situation professionnelle au 1 d cembre de l ann e n soit 30 mois ap
423. te 16 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE L acquisition des savoirs fondamentaux reste l objectif intangible de l cole l mentaire Dans tous les domaines d enseignement avec l appui des corps d inspection chacun veillera une progression coh rente et efficace des apprentissages La p dagogie doit tre attentive aux travaux de la recherche Elle doit voluer et favoriser l panouissement de l l ve son activit sa motivation et sa pleine implication dans les apprentissages Le travail en quipe doit tre encourag et l encadrement p dagogique doit accompagner les coles dans cette ambition Le livret personnel de comp tences qui permet aux enseignants d enregistrer progressivement la validation des comp tences du socle pour chaque l ve est trop complexe dans sa version actuelle Il conna tra rapidement des simplifications indispensables et des volutions A l avenir les programmes de l cole primaire devront tre con us non plus de mani re ind pendante mais en troite relation avec la d finition des contenus d enseignement au coll ge dans le cadre d un socle commun repens dans sa conception et ses composantes Si les objectifs la forme le contenu et la date des valuations nationales conduites depuis 2009 en fin de CE1 et de CM2 ont suscit des critiques et des r serves justifi es le principe m me d un dispositif d valuation standardis r po
424. te des outils d insertion destination des jeunes soit la fois sur les prestations de service que les missions locales mettent en uvre sp cifiquement ateliers de recherche d emploi immersion en entreprise etc sur celles de P le Emploi acc s aux plates formes de vocation aux EMT etc sur l offre de formation construite avec les r gions dans les contrats de plan r gionaux pour le d veloppement de la formation professionnelle CPRDFP sur les contrats en alternance contrats de professionnalisation et d apprentissage sur les mesures d accompagnement financ es par le fonds pour l insertion professionnelle des jeunes et destin es compl ter l offre des partenaires territoriaux aide l acc s au logement aides la mobilit acc s au parcours de soins 169 000 jeunes sont entr s en CIVIS en 2011 dont plus de 90 n ont pas le niveau bac permettant la construction de parcours d insertion d bouchant sur 40 1 d acc s l emploi et 25 9 d acc s l emploi durable contre respectivement 39 5 et 25 en 2010 Le dispositif doit b n ficier en 2012 160 000 nouveaux jeunes et les r sultats en progr s malgr la crise pr sagent raisonnablement d une augmentation sensible en 2012 et 2013 sans toutefois retrouver le niveau d avant la crise de 2008 L volution 2010 2011 de 4 points sur l acc s l emploi en sortie de CIVIS correspond l impact du plan de relance et l augmentation de 8 des ETP charg
425. te forme France Volontaires La part des cr dits mis en uvre ce titre est calcul e au prorata de la part des jeunes volontaires g s de moins de 30 ans participant ce programme le programme JSI jeunesse solidarit internationale et VVV SI ville vie vacances solidarit internationale Depuis 1998 ces deux dispositifs du MAE favorisent la mise en place de projets de solidarit internationale s inscrivant dans une dynamique d change et de coop ration entre jeunes du Nord et jeunes du Sud Il s agit de chantiers courts 3 semaines en g n ral impliquant des groupes d une dizaine de jeunes chaque fois ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S La totalit des cr dits consacr s au volontariat est regroup e sur l action 2 coop ration bilat rale du programme 209 Ils sont estim s 14M en 2012 et 13M en 2013 PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Le Fonds de coop ration de la jeunesse et de l ducation populaire FONJEP assure pour le compte du minist re la gestion technique et administrative des dispositifs d appui au volontariat de solidarit internationale VSI tel que pr vu par la loi de 2005 relative au contrat de VSI au volontariat d change et de comp tence s nior et au volontariat d initiation et d change programmes Jeunesse Solidarit Internationale et Ville Vie Vacances Solidarit Internationale Ces trois types de volontariat sont d
426. tifs et des orientations ciblant sp cifiquement les jeunes En effet les probl mes de sant de cette population sont souvent en lien avec des comportements dont les cons quences peuvent tre invalidantes plus ou moins long terme sur le plan physique psychique ou social L objectif est donc de pr venir ces comportements ou de r duire leurs cons quences en termes de morbidit et de mortalit La lutte contre les comportements risque et la prise en compte des besoins des jeunes les plus vuln rables constituent des axes d intervention prioritaires Dans ce cadre la r glementation de l offre de boissons alcooliques a t renforc e La th matique retenue pour la 2 dition de la conf rence biennale sur la sant des jeunes d cembre 2011 a t la consommation de substances psycho actives avec un clairage sur la consommation d alcool Action 13 Pr vention des risques infectieux et des risques li s aux soins La lutte contre l antibio r sistance plan national d alerte sur les antibiotiques 2011 2016 comporte des actions destin es informer et sensibiliser au bon usage des antibiotiques les personnes s occupant de jeunes enfants en diffusant des outils p dagogiques adapt s aux parents et aux professionnels de la petite enfance Le programme national d am lioration de la politique vaccinale 2012 2017 a t labor partir du constat de la couverture vaccinale correcte des jeunes enfants mais de la d gradation de ce
427. tion 2011 en tenant compte de l augmentation sensible aux sessions 2011 et 2012 de la part de bacheliers professionnels dans l ensemble des candidats admis En effet les bacheliers professionnels ne poursuivant dans l enseignement sup rieur que pour 25 d entre eux leur surrepr sentation dans l ensemble des laur ats de ces deux sessions affecte la baisse le taux de poursuite dans l enseignement sup rieur compter de 2013 la proportion de bacheliers professionnels devrait retrouver un niveau plus mod r ce qui devrait ramener l indicateur son volution tendancielle ant rieure De plus les cibles 2013 et 2015 ont t fix es en consid rant l effet attendu de la r forme de la voie technologique notamment des s ries STI2D et STL dont la vocation de pr paration la poursuite post baccalaur at a t r affirm e Les taux de poursuite dans l enseignement sup rieur pour les filles et les gar ons ne font pas pour l instant l objet de cibles m me si des objectifs existent assortis d actions pour encourager les filles poursuivre des tudes dans les fili res scientifiques et techniques PLF 2013 105 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT INDICATEUR 6 2 Pourcentage d une classe d ge titulaire d un dipl me de l enseignement sup rieur en formation initiale Programme 150 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R al
428. tion de l institut L Injep conduit des travaux dans une approche transversale la fois interminist rielle et partenariale afin d apporter un clairage pertinent aux diff rents minist res dans leurs travaux de conception des politiques gouvernementales en faveur des jeunes OBJECTIF TRANSVERSAL OBJECTIF n 1 Am liorer la capacit des exp rimentations pr figurer des politiques de jeunesse innovantes Programme 163 Jeunesse et vie associative Le Fonds d appui aux exp rimentations en faveur de la jeunesse FEJ permet de soutenir et d valuer selon des modalit s pr cises des dispositifs innovants concourant l autonomie des jeunes dans l optique de la mise en place de nouvelles politiques publiques en direction des jeunes Le FEJ fonctionne principalement sur le mode d appels projets portant sur des th matiques cibl es L valuation externe et scientifique de ces projets si possible contr l e fait partie int grante des conditions de s lection des projets financ s PLF 2013 83 Politique en faveur de la jeunesse PR SENTATION STRAT GIQUE DPT L indicateur 1 1 mesure la diffusion des r sultats des exp rimentations soutenues dans le cadre du FEJ afin d apporter des l ments utiles de r flexion aux d cideurs publics dans le cadre de l laboration des politiques de jeunesse les r sultats des exp rimentations soutenues dans le cadre du FEJ doivent tre disponibles et accessi
429. tion professionnelle certifiante pr certifiante qualifiante ou encore pr professionnelle Cette formation globale d une dur e moyenne de 10 mois est fond e sur les r gles de vie et de discipline militaires Elle est renforc e par l accompagnement permanent des volontaires et un suivi individualis En f vrier 2009 le pr sident de la R publique avait annonc le doublement de la capacit de formation du SMA Aussi pour accueillir chaque ann e 6 000 volontaires de 18 25 ans contre 2 900 pour l ann e 2009 plusieurs volutions ont t simultan ment mises en uvre largissement des crit res d ligibilit des candidats au SMA outre les jeunes sans aucun dipl me le SMA accueille des jeunes dipl m s niveau V loign s de l emploi ch mage de longue dur e hauteur de 25 30 adaptation de la dur e de formation 6 10 ou 12 mois de formation la pertinence du besoin conomique et la qualification vis e en fin de parcours par les volontaires formation certifiante pr certifiante qualifiante ou encore pr professionnelle augmentation de 57 du nombre d ETPT de volontaires du SMA Au 31 d cembre 2011 on d nombrait 3 238 stagiaires b n ficiaires d une mesure SMA Enfin en vue de maintenir au plus haut le taux d insertion la cr ation d un r seau de partenaires du SMA est en cours de d veloppement Ce r seau se d cline entre partenaires de performance d influence de co
430. tions qui sont men es en direction des jeunes hors temps scolaire cr ches centres de loisirs etc Cr ation jeune public Les missions en direction des publics sont articul es la mission principale de cr ation et de diffusion artistiques adress e tous les publics Dans le domaine du th tre par exemple les centres dramatiques nationaux CDN doivent assurer de mani re r guli re une aide la cr ation et la diffusion de spectacles destin s au jeune public Dans le m me domaine artistique les cr ations d une centaine de compagnies subventionn es s adressent principalement l enfance ou la jeunesse Depuis une dizaine d ann es plus d un tiers des compagnies g n ralistes produisent en alternance des spectacles pour adultes ou tous publics et des cr ations plus particuli rement destin es la jeunesse La long vit des propositions adress es au jeune public dont certaines peuvent tourner pr s d une dizaine d ann es la suite de leur cr ation favorise la cr ation d un r pertoire connu sur lequel peuvent se construire les rep res culturels et artistiques partag s par une classe d ge Cette dynamique en faveur du jeune public s est notamment manifest e dans l institution en 2006 d un Moli re spectacle jeune public On notera la permanence d une cr ation marionnette de haute qualit destination des enfants en m me temps que se d veloppait un mouvement affirm de cr ations en marion
431. tiques et culturelles est issue de la fusion des ex actions 02 et 04 Soutien l ducation artistique et culturelle et Actions en faveur de l acc s la culture Programme 131 Cr ation Le montant des cr dits du programme 131 destin s la politique en faveur de la jeunesse r sulte d une estimation Il est impossible d identifier pr cis ment les cr dits destin s sp cifiquement cette politique Plut t que d appliquer un ratio global par exemple la part de la population g e de 3 30 ans une estimation a t r alis e de la fa on suivante sur la base de l enqu te Pratiques culturelles des Fran ais de 15 ans et plus en 2008 et sur la totalit estim e des publics ayant fr quent dans l ann e des lieux de spectacle vivant et d art contemporain la part des jeunes de 15 30 ans a t calcul e elle est de 30 05 Programme 175 Patrimoines Le ratio R a t appliqu 34 4 correspondant la part de la population jeune bas sur les derni res estimations INSEE de la population au 1 janvier 2012 jeunes g s de 3 30 ans sur un total de 65 026 885 habitants France enti re Programme 334 Livre et industries culturelles Action n 02 la carte musique a mobilis des CP report s et ne g n rera pas de d penses en 2013 Programme 182 Protection judiciaire de la jeunesse La valorisation financi re correspond la totalit des cr dits du
432. tive au logement et accompagnement des publics en difficult le minist re charg du logement soutient deux associations qui uvrent en faveur de l insertion des jeunes par le logement Afin de permettre aux jeunes d acc der un logement autonome mais galement de s y maintenir durablement les r seaux associatifs comme l union nationale des comit s locaux pour le logement autonome des jeunes UNCLLAJ et l union nationale pour l habitat des jeunes UNHAJ ont mis en uvre des actions pour mobiliser des logements en particulier dans le parc priv Ces actions s appuient sur la r habilitation de logements vacants ou des projets de constructions nouvelles de logements adapt s en taille en co t et en localisation aux besoins des jeunes Ces dispositifs int grent g n ralement un accompagnement social de ces derniers en tant que de besoin et une aide la gestion locative pour le gestionnaire des logements concern s UNHAY union nationale pour l habitat des jeunes L UNHAJ est une association nationale dont l objectif est de mieux r pondre aux besoins des jeunes en mati re de socialisation par l habitat Ses actions visent notamment la consolidation des projets locaux et le d veloppement qualitatif et quantitatif de l offre de logement d di e aux jeunes Elle veille l actualisation des comp tences joue un r le de conseil d expertise et d animation du r seau poursuit les objectifs fix s par la convention et enc
433. transport existant pour limiter autant que possible la cr ation de nouvelles infrastructures am liorer les performances du syst me de transport dans la desserte des territoires am liorer les performances nerg tiques du syst me de transport r aliser les infrastructures nouvelles indispensables et adapter les existantes en visant l excellence environnementale Cela se traduit aujourd hui par l organisation de la compl mentarit des modes sur l ensemble de la cha ne de transport dans le respect du champ de pertinence conomique de chacun d entre eux l utilisation optimale des infrastructures existantes pour desservir le territoire gr ce une meilleure exploitation un meilleur entretien et un choix plus s lectif des projets dans un souci alliant l am lioration de la s curit des usagers la protection de l environnement et la r duction de la fracture territoriale ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Action 13 Soutien r gulation contr le et s curit des services de transports terrestres Sous action 7 Compensations sociales en faveur de la politique de mobilit Le programme 203 Infrastructures et services de transport contribue l accompagnement conomique et social des l ves apprentis ainsi que des tudiants par le biais de compensations vers es la SNCF au titre des tarifications sp cifiques pratiqu es vis vis de ces cat gories d usagers
434. ts locaux affect s au sein des brigades de s ret urbaine soit un total national de 232 L ensemble de ce dispositif repr sente 1 198 fonctionnaires pour la DCSP et 271 pour la PP Le r seau dense et locale favorise l change d information entre les unit s sur un m me territoire et permet un traitement de proximit Par leur action en milieu scolaire les correspondants police s curit de l cole qui couvrent la totalit des tablissements scolaires sont les interlocuteurs privil gi s des chefs d tablissements et participent la pr vention de la violence en milieu scolaire tablissements et abords imm diats Au nombre de 878 au 31 d cembre 2011 ils contribuent l laboration des diagnostics de s curit des tablissements scolaires au recueil des signalements relatifs aux faits de violence au sein de ceux ci l organisation des s ances d information la programmation des actions de pr vention et d information sur les toxicomanies et la mise en uvre des actions sp cifiques la s curit routi re Depuis la rentr e scolaire de septembre 2010 des r f rents s curit cole ont t install s dans les tablissements jug s prioritaires 37 r f rents pour les 41 tablissements relevant de la s curit publique sur un total de 53 au plan national La mise en place d un cahier des charges pr cis pr voit notamment qu ils travaillent en uniforme et disposent d un bureau au sei
435. tte couverture chez les adolescents et les jeunes adultes Les efforts men s avec l assurance maladie pour combler le retard vaccinal des 18 31 ans en ce qui concerne la rougeole en atteste Le programme comporte des actions qui permettront une r flexion sur le statut vaccinal des enfants et leur accueil dans des collectivit s et sur la responsabilit des professionnels de l enfance en ce qui concerne leur propre statut vaccinal Il pr voit galement de r fl chir aux modalit s d offre de vaccination sur les lieux de vie tablissements d enseignement services universitaires de m decine pr ventive et de promotion de la sant et d intervention dans le cadre de la journ e de d fense et de citoyennet dans un cadre interminist riel PLF 2013 51 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT Action 14 Pr vention des maladies chroniques et qualit de vie des malades Pratiques addictives et risques notamment tabac et alcool Alcool il s agit d viter les risques li s aux consommations de boissons alcooliques par une politique active de pr vention et de prise en charge visant r duire la consommation d alcool moyenne par habitant et les usages risques et nocifs associ s L objectif est notamment une diminution du nombre de d c s attribuables l alcool estim en France 37 000 Un axe important de la politique en direction des jeunes est mis en uvre dans le cadre de l
436. ttentif aux conditions de comparabilit li es notamment aux caract ristiques sociales des publics concern s d analyser l ampleur et l volution des carts entre les r sultats au brevet des d l ves des deux types de coll ges de l ducation prioritaire et les r sultats des l ves des autres coll ges publics L indicateur est fond sur les deux carts a c et b c avec a Nombre d admis au brevet dans les tablissements situ s en ECLAIR nombre de pr sents au brevet dans les tablissements situ s en ECLAIR 100 b Nombre d admis au brevet dans les tablissements situ s en RRS nombre de pr sents au brevet dans les tablissements RRS 100 c Nombre d admis au brevet dans les tablissements hors EP nombre de pr sents au brevet dans les tablissements hors EP 100 Explication des valeurs cibles il a t tenu compte d un rythme raisonnable de progression en ECLAIR comme en RRS INDICATEUR 4 5 volution des chances de r ussite scolaire des l ves scolaris s en ZUS Programme 147 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Taux de r ussite au brevet des coll ges 73 9 nd des l ves scolaris s en ZUS et sur lesquels intervient une ERE a Taux de r ussite au brevet des coll ges 74 1 74 6 des l ves scolaris s en ZUS b Taux de r ussite au brevet des
437. ture et de la communication 131 Cr ation Michel ORIER Culture 57 Directeur g n ral de la cr ation artistique 175 Patrimoines Bertrand Pierre GALEY Culture 59 Directeur g n ral des patrimoines par l int rim 334 Livre et industries culturelles Laurence FRANCESCHINI M dias livre et industries culturelles 61 Directeur g n ral des m dias et des industries culturelles 182 Protection judiciaire de la jeunesse Jean Louis DAUMAS Justice 62 Directeur de la protection judiciaire de la jeunesse 207 S curit et ducation routi res Fr d ric PECHENARD S curit 65 D l gu la s curit et la circulation routi res 129 Coordination du travail Serge LASVIGNES Direction de l action du Gouvernement 67 gouvernemental Secr taire g n ral du Gouvernement 167 Liens entre la Nation et son arm e Jean Paul BODIN Anciens combattants m moire et liens 67 Secr taire g n ral pour l administration avec la nation 212 Soutien de la politique de la Jean Paul BODIN D fense 69 d fense Secr taire g n ral pour l administration 152 Gendarmerie nationale G n ral d arm e Jacques MIGNAUX S curit 70 Directeur g n ral de la gendarmerie nationale 176 Police nationale Claude BALAND S curit 72 Directeur g n ral de la police nationale 151 Fran ais l tranger et affaires Fran ois SAINT PAUL Action ext rieure de l tat 74 consulaires Directeur des Fran ais l tranger et de l administration con
438. uation conomique par le minist re de l ducation nationale il a t convenu de ne pas fixer de cible pour cet indicateur INDICATEUR 12 2 Taux d insertion professionnelle Programme 143 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e Insertion 7 mois BTSA 71 9 78 3 73 5 74 0 75 0 75 0 Insertion 7 mois Bac Pro BTA 72 6 70 8 73 72 5 68 0 71 0 Insertion 7 mois CAPA 54 7 51 4 55 54 0 50 0 52 0 Insertion 33 mois BTSA 93 5 96 0 96 0 Insertion 33 mois Bac Pro BTA 95 95 0 93 0 Insertion 33 mois CAPA 68 7 70 0 Il est noter que les trois niveaux de dipl mes ne seront pas enqu t s dans l ann e Les valeurs indiqu es correspondent celles attendues l ann e o le dipl me sera enqu t 2012 pour les baccalaur ats professionnels Bac Pro brevet de technicien agricole BTA 2013 pour les brevets de technicien sup rieur agricole BTSA Le brevet d aptitude professionnelle agricole BEPA ne sera plus enqu t dans la mesure o avec la r novation de la voie professionnelle il n est plus un dipl me terminal A partir de 2011 les dipl m s BEPA ne sont plus interrog s dans le cadre des enqu tes insertion Pour le niveau V seuls les certificats d aptitude professionnelle agricole CAPA seront d
439. ucation en direction des mineurs d linquants ainsi que des mesures d investigation Si les investigations judiciaires concernant les mineurs en danger restent de la comp tence de l tat la DPJJ n a plus de mission d op rateur direct de la protection des jeunes majeurs et des mineurs en danger Pour autant elle est charg e dans le cadre de la comp tence du minist re de la justice de l ensemble des questions int ressant la justice des mineurs et de la concertation entre les institutions intervenant ce titre que ce soit en mati re civile ou p nale d cret du 9 juillet 2008 C est pourquoi au del des efforts r alis s au profit des mineurs d linquants elle poursuivra en 2013 la mise en uvre des r formes engag es dont l objectif est de garantir cette coordination et la qualit du parcours de tous les mineurs faisant l objet d une d cision judiciaire travers quatre objectifs Garantir l autorit judiciaire directement ou par le secteur associatif qu elle habilite une aide la d cision plus efficace tant en mati re civile que p nale La mesure judiciaire d investigation ducative s est d finitivement substitu e en 2012 l enqu te sociale et l investigation d orientation ducative comme m thode pour r unir tous les l ments dont le magistrat a besoin pour valuer la situation d un mineur et pour prendre la d cision la mieux adapt e La DPJJ contribue par ailleurs l am liorati
440. ue entrant en 6 hors SEGPA section d enseignement g n ral et professionnel adapt dans les tablissements publics et priv s dont l ge est sup rieur l ge normal d nominateur l ves venant d une cole publique entrant en 6 hors SEGPA dans les tablissements publics et priv s Cet indicateur appr cie globalement la fluidit des parcours scolaires en l mentaire Les donn es sont extraites des bases l ves tablissements BEE qui alimentent les bases l ves acad miques BEA Explication des valeurs cibles La pr vision 2013 a t r actualis e pour tenir compte de la diminution moins rapide que pr vue du pourcentage d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard La cible 2015 de 8 provient de la r forme de 2008 qui visait diviser par deux ce pourcentage par rapport 2008 gr ce notamment la mise en place de dispositifs d accompagnement personnalis Les mesures prises d s la rentr e de septembre 2012 cf supra indicateur 1 2 vont permettre de renforcer les dispositifs d aide aux l ves en difficult et contribuer la baisse de la proportion d l ves entrant en sixi me avec au moins un an de retard INDICATEUR 2 3 Proportion d l ves venant du priv et entrant en sixi me avec au moins un an de retard Programme 139 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr
441. ue et technique l accueil de manifestations scientifiques industrielles et culturelles l information sur les m tiers et les fili res la mise disposition de ressources documentaires et de services sous toutes formes et tous supports la participation des activit s de recherche et de formation et en particulier la contribution l enseignement des sciences l cole mettre en valeur les d marches de la science stimuler la curiosit et l initiation des l ves et des jeunes publics la d marche d exp rimentation scientifique et contribuer susciter de nouvelles vocations pour les m tiers scientifiques et techniques d velopper dans ce cadre des innovations p dagogiques et contribuer la formation des enseignants et des formateurs participer la diffusion de la culture scientifique et technique aux niveaux national et international en prenant part des r seaux et en mettant en uvre des partenariats avec les autres acteurs intervenant dans ce domaine concourir la recherche scientifique et en diffuser les r sultats dans les domaines de l histoire des sciences et des techniques de la mus ologie des rapports entre science et soci t et entre science et art Les choix de programmation de l tablissement sont labor s en concertation avec des quipes d experts et clair s par un conseil scientifique de haut niveau La diversit des sujets abord s et des approches propos es permettra de
442. ues cibl es L valuation externe et scientifique si possible contr l e tait int gr e aux projets d s leur conception En 2013 il s agit d assurer la transition vers le droit commun l objectif majeur sera donc de capitaliser les r sultats probants des exp rimentations en vue de leur essaimage dans les collectivit s ou promoteurs volontaires Le fonds n a pas vocation assurer le fonctionnement p renne des projets soutenus titre exp rimental PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Institut national de la jeunesse et de l ducation populaire INJEP Agence du service civique ASC CONDUITE ET SOUTIEN DES POLITIQUES SANITAIRES SOCIALES DU SPORT DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE 124 Le programme 124 Conduite et soutien des politiques sanitaires sociales du sport de la jeunesse et de la vie associative porte l ensemble des moyens de fonctionnement des administrations des secteurs sant et solidarit ainsi que des secteurs sports jeunesse et vie associative depuis l exercice 2011 Ce programme apporte par cons quent un soutien logistique et humain important la politique en faveur de la jeunesse Y est rattach l ensemble des d penses de personnel concourant au programme 163 jeunesse et vie associative conduit par la direction de la jeunesse de l ducation populaire et de la vie associative DJEPVA par les services d concentr s ainsi que par l inspection g n rale
443. ul pour les jeunes ayant b n fici du dispositif de formation professionnelle en mobilit 6 mois apr s la sortie de la mesure OBJECTIF n 15 Promouvoir l acc s des jeunes l emploi par l apprentissage Programme 103 Accompagnement des mutations conomiques et d veloppement de l emploi Programme 788 Contractualisation pour le d veloppement et la modernisation de l apprentissage Programme 789 incitations financi res en direction des entreprises respectant les quotas en alternance Le d veloppement de l apprentissage b n ficie d un soutien financier exon ration des cotisations salariales et patronales avantages fiscaux et d un appui de l tat en faveur de l am lioration de l attractivit de ce dispositif pour les jeunes En 2011 295 644 jeunes sont entr s en apprentissage soit une hausse de 3 par rapport 2010 L tat veille en particulier avec ses partenaires la pertinence des fili res et des niveaux de formation retenus la bonne articulation des diff rentes voies de formation professionnelle des jeunes formation sous statut scolaire apprentissage formation continue ainsi qu la mixit des apprentis Le taux d insertion dans l emploi des b n ficiaires de contrat en alternance est g n ralement lev autour de 55 et ne cesse d augmenter 136 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT PR SENTATION STRAT GIQUE Les moyens suppl mentaires cons
444. ulturelles 645 144 645 144 646 277 646 277 594 930 594 930 01 Livre et lecture 645 144 645 144 646 277 646 277 594 930 594 930 182 Protection judiciaire de la 763 566 812 764 101 174 792 051 180 772 051 180 800 708 643 790 708 643 jeunesse 01 Mise en oeuvre des d cisions 554 442 642 553 769 177 602 377 512 582 377 512 606 605 761 602 370 431 judiciaires mineurs d linquants 03 Soutien 108 234 266 109 886 754 89 572 099 89 572 099 89 372 105 87 667 435 04 Formation Ecole nationale de 31 951 128 31 616 145 31 361 569 31 361 569 31 216 778 31 216 778 Protection judiciaire de la jeunesse 05 Aide la d cision des magistrats 68 938 776 68 829 098 68 740 000 68 740 000 73 513 999 69 453 999 mineurs d linquants et mineurs en danger 129 Coordination du travail 6 789 530 6 789 530 6 000 000 6 000 000 5 000 000 5 000 000 gouvernemental 15 Mission interminist rielle de lutte 6 789 530 6 789 530 6 000 000 6 000 000 5 000 000 5 000 000 contre la drogue et la toxicomanie 167 Liens entre la Nation et son 96 895 635 96 895 635 107 139 377 96 166 566 89 642 573 95 547 663 arm e 01 Journ e d fense et citoyennet 96 670 635 96 670 635 106 914 377 95 941 566 89 417 573 95 322 663 02 Politique de m moire 225 000 225 000 225 000 225 000 225 000 225 000 212 Soutien de la politique de la 1 523 342 1 366 783 1 762 330 1 762 330 1 641 130 1 641 130 d fense 06 Politiques des ressources 412 212 255 653 651 200 651 200 530 000 530 000 humaines libell mo
445. une poursuite d tudes r ussie l exercice de la citoyennet et la vie dans une soci t d mocratique C est elle qui doit pr venir les difficult s et les traiter en apportant tous les l ves une r ponse adapt e des besoins clairement identifi s Elle dispose pour cela d atouts sur lesquels s appuyer des enseignants comp tents et d vou s un corps d encadrement et une administration efficaces un r seau d coles fortement implant dans les territoires et un partenariat bien tabli avec les lus locaux Pourtant les diverses tudes internationales et nationales sur l cole en France effectu es dans les vingt derni res ann es convergent vers un double constat les r sultats des l ves ne sont pas la hauteur des attentes l gitimes d un grand pays d velopp Ainsi l issue de leur scolarit l cole primaire 21 de nos l ves ne ma trisent pas la langue fran aise et 29 ne ma trisent pas les principaux l ments de math matiques et culture scientifique et technologique enqu te DEPP standardis e relative aux acquis du socle commun en fin de CM2 2011 les l ves en chec sont principalement issus des couches les plus modestes On ne peut accepter que l cole de la R publique reproduise voire aggrave les in galit s sociales de d part Notre cole doit tre la fois plus efficace et plus juste La formation et la qualification sont aujourd hui les cl s majeures
446. une formation de qualit initiale et continue qui les pr pare aux nombreuses facettes de leurs futures missions Pour r pondre la quasi disparition de la formation pratique des jeunes enseignants des mesures d am nagement de service et des formations sp cifiques pour les stagiaires nouvellement recrut s en septembre 2012 seront mises en place Dans le cadre de la future loi de refondation de l cole des coles sup rieures du professorat et de l ducation seront cr es et seront op rationnelles d s 2013 Tous les professeurs quel que soit le niveau d enseignement auquel ils se destinent partageront un moment de formation commun dans ces coles sup rieures D s la rentr e 2012 tout sera mis en uvre pour que le cours pr paratoire ne soit confi qu des enseignants dot s d une exp rience d enseignement et non des d butants Enfin la question des rythmes ducatifs joue aussi un r le d terminant dans la r ussite des l ves La France reste l un des pays dont la scolarit est la plus concentr e et ce en d pit des conclusions du rapport sur les rythmes scolaires de juillet 2011 qui pr conisaient un all gement des heures d enseignement dans la journ e avec un talement sur 9 demi journ es Il s agit donc de concevoir un projet ducatif global articulant temps scolaires temps p riscolaires travail personnel activit s culturelles et sportives En 2011 2012 l enseignement scolaire public du prem
447. une formation qualifiante en alternance pendant au moins 20 de la dur e du contrat dans un centre de formation centre de l AFPA GRETA CFA par exemple et d un suivi par un agent du minist re servant de tuteur A l issue du contrat les jeunes ont vocation devenir fonctionnaires titulaires dans l emploi occup s ils ont fait preuve de leur aptitude professionnelle sur la base de l avis de leur chef de service 70 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE l offre d apprentissage L apprentissage est une formation en alternance combinant la fois une formation pratique en entreprise et une formation th orique en centre de formation et destin e en principe aux jeunes entre 16 ans et de moins de 26 ans Le contrat d apprentissage est un contrat de travail dur e d termin e de type particulier Il a pour objectif de permettre un jeune d acqu rir une qualification professionnelle sanctionn e par un dipl me de l enseignement professionnel ou technologique de l enseignement du second degr ou de l enseignement sup rieur un titre d ing nieur ou un titre homologu L employeur de l apprenti s engage assurer une formation professionnelle compl te dans la structure d accueil et en centre de formation d apprentis CFA et verser un salaire Le responsable de la formation de l apprenti dans la structure d accueil est le ma tre d apprentissage En contrepartie l apprenti s
448. une partie des cr dits CUCS dont Internats d excellence Cord es de la r ussite cole ouverte pr vention de la d linquance et 25 des cr dits emplois et d veloppement conomique Les cr dits de l action 2 correspondent au financement de l EPIDe Les cr dits de l action 4 correspondent au financement de la mesure am lioration des coll ges d grad s et quipements sportifs en Seine Saint Denis Programme 123 Conditions de vie outre mer et 138 Emploi outre mer Source des donn es D G OM SMA LADOM GIP Cadre Avenir Les cr dits de la Mission Outre mer sont ouverts sur deux programmes le 138 une seule action concourt au DPT Politique en faveur de la Jeunesse l action 2 Aide l insertion et la qualification professionnelle Cette derni re est compos e en majorit de cr dits de personnel du Service militaire adapt SMA destin s aux salaires indemnit s des stagiaires SMA Cette action comprend galement des cr dits de fonctionnement subvention pour charges de service public et d intervention de l op rateur du minist re des outre mer l agence de l outre mer pour la mobilit LADOM servant financer le dispositif Passeport mobilit formation professionnelle qui a remplac fin 2010 les dispositifs PIJ et FIM Enfin l action 2 finance des dispositifs locaux de soutien l emploi pour des jeunes en difficult comme les Jeunes stagiaires du d veloppement en
449. universitaire rassemble l int gralit des moyens cr dits et emplois consacr s par l tat aux missions de formation et de recherche d volues aux tablissements d enseignement sup rieur plac s sous la tutelle du ministre de l enseignement sup rieur et de la recherche lever le niveau g n ral de qualifications de fa on porter en 2013 50 d une classe d ge le taux de dipl m s de l enseignement sup rieur et articuler fortement les formations avec l insertion professionnelle constituent deux des objectifs principaux de l enseignement sup rieur Pour y r pondre l orientation des bacheliers et l insertion professionnelle des dipl m s sont des priorit s inscrites dans la loi n 2007 1199 du 10 ao t 2007 relative aux libert s et responsabilit s des universit s Au travers de ces deux axes d action le programme 150 contribue la politique transversale en faveur de la jeunesse L accueil dans les universit s d tudiants non ou insuffisamment pr par s aux exigences de la fili re choisie se traduit par un taux d chec important au cours du 1 cycle universitaire Une information plus pertinente sur la nature des formations qui leur sont propos es et une connaissance plus pr cise des r alit s des m tiers devraient leur permettre d laborer un projet de formation en toute connaissance de cause Pour accompagner cette politique des moyens ont t mobilis s pour lutter contre l chec en 1er cycle univ
450. ur 17 4 vise v rifier que les jeunes peu ou pas dipl m s b n ficient de ce dispositif INDICATEUR 17 1 Taux de participation des lyc ens aux lections des Conseils des d l gu s pour la vie lyc enne CVL Programme 230 du point de vue du citoyen Unit 2010 2011 2012 2012 2013 2015 R alisation R alisation Pr vision Pr vision Pr vision Cible PAP 2012 actualis e a en LEGT 36 41 s o s o 48 50 b en LP 40 4 49 5 s o s o 53 55 Ensemble 37 45 51 48 49 51 Source MEN DGESCO Mode de calcul Champ enseignement public France m tropolitaine DOM Num rateur nombre de lyc ens votant dans l ensemble des tablissements publics pour chacune des cat gories LEGT LP D nominateur nombre de lyc ens inscrits sur les listes lectorales de l ensemble des tablissements publics pour chacune des 2 cat gories LEGT LP les lyc es polyvalents sont comptabilis s avec les LEGT Ces lections qui avant 2010 avaient lieu tous les deux ans sont d sormais organis es tous les ans Cet indicateur est tabli partir d informations remontant directement des tablissements par l interm diaire d un formulaire informatique mis en ligne sur le site de la vie lyc enne La comparaison des taux de participation permet normalement de donner une indication de la vigueur de la vie lyc enne dans les tablissements et de l int r t que les lyc ens portent l instance
451. ures et services de transport La m thode de calcul de la part jeunesse du programme 203 est int gr e dans le texte PLF 2013 153 Politique en faveur de la jeunesse ANNEXES DPT POLITIQUE EN FAVEUR DE LA JEUNESSE ESTIMATIONS DES CR DITS HORS TAT ACTIONS MEN ES PAR LE R SEAU DES CAISSES D ALLOCATIONS FAMILIALES DANS LE CADRE DE LEUR MISSION D ACTION SOCIALE Dans le cadre des dispositifs de l action sociale men e par les caisses d allocations familiales on entend par jeunes deux cat gories de publics sp cifiques l ensemble des jeunes enfants g s de 6 17 ans r volus et les jeunes adultes g s de 18 25 ans Les dispositifs financ s par les caisses d allocations familiales CAF au titre de leur action sociale en direction des enfants g s de 6 17 ans r volus L action sociale familiale porte une attention particuli re aux enfants g s de 6 17 ans Elle intervient aupr s d eux afin de contribuer leur d veloppement et leur panouissement sans se substituer au r le des parents elle intervient galement aupr s de leurs parents pour leur apporter un soutien dans leurs responsabilit s parentales et ducatives tout en conciliant au mieux vie familiale vie professionnelle et vie sociale Initialement l action de la branche famille se traduisait par des aides individuelles pour partir en vacances bons vacances et par un soutien aux centres de loisirs afin d offrir
452. us des drogues licites lutte contre les usages de drogues illicites et contre l ensemble des trafics maintien de l quilibre d une approche int gr e pr vention application de la loi soins et recherche forte implication des adultes Il donnera galement un nouvel lan la pr vention des conduites addictives en prenant en compte les nouvelles formes de consommation et d offre et la r duction des dommages associ s aux usages La MILDT participe la politique de lutte en faveur de la jeunesse par le biais des actions financ es dans les d partements par ses chefs de projets Ceux ci ont consacr en 2011 81 des cr dits MILDT la pr vention dont plus de 75 destination du public scolaire LIENS ENTRE LA NATION ET SON ARM E 167 Le programme 167 Liens entre la Nation et son arm e sous la responsabilit du Secr taire g n ral pour l administration du minist re de la d fense couvre les politiques concourant l esprit de d fense et la relation entre la nation et les forces arm es 68 PLF 2013 Politique en faveur de la jeunesse DPT LA POLITIQUE TRANSVERSALE ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S A travers l action 1 journ e d fense et citoyennet JDC l ensemble d une classe d ge 750 000 jeunes environ est chaque ann e sensibilis e aux nouveaux enjeux de d fense et de s curit au travers d une p dagogie interactive qui incite les jeunes devenir
453. ver des preuves de son activit ainsi que des comp tences d velopp es PLF 2013 29 Politique en faveur de la jeunesse LA POLITIQUE TRANSVERSALE DPT De m me d autres actions sont r alis es telles que des forums de l emploi ou des journ es m tiers En outre les tablissements entretiennent en permanence des liens troits avec les entreprises notamment lors des stages r alis s dans le cadre des cursus de formation mais aussi travers les p les de comp titivit Les coles de l enseignement sup rieur agricole sont tr s impliqu es dans ces derniers parmi lesquels on peut citer Agrimip Innovation Valorial Vitagora C r ales Vall e V g polys et Industries Agro Ressources Le cas d Agrimip Innovation en r gion Midi Pyr n es par exemple est marqu par une forte pr sence de l INRA et par des tablissements d enseignement sup rieur diversifi s cole nationale v t rinaire de Toulouse et deux coles d agronomie Il a ainsi mis en r seau avec succ s de nombreuses entreprises avec l enseignement sup rieur et la recherche publique ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S Les actions en faveur de la politique transverse sont financ es sur les dotations de fonctionnement et en personnels des coles et ne font pas l objet de cr dits sp cifiques PARTENAIRES PARTICIPANT LA MISE EN UVRE DU PROGRAMME Autres tablissements d enseignement sup rieur organismes de recherche
454. veur de la jeunesse TABLE DE CORRESPONDANCE DES OBJECTIFS DU DPT ET DES OBJECTIFS DES PAP N de l objectif Axe sous axe Code du N de l objectif du DPT Programme programme du PAP Renforcer l animation interminist rielle des politiques publiques en faveur de la jeunesse 1 Jeunesse et vie associative 163 4 Assurer tous les jeunes l acc s l ducation l orientation et la formation 2 Enseignement scolaire public du premier degr 140 1 2 Enseignement priv du premier et du second degr s 139 1 3 Enseignement scolaire public du second degr 141 1 3 Enseignement priv du premier et du second degr s 139 2 4 Enseignement scolaire public du premier degr 140 2 4 Enseignement scolaire public du second degr 141 2 4 Enseignement priv du premier et du second degr s 139 3 4 Politique de la ville 147 2 5 Vie tudiante 231 1 6 Enseignement scolaire public du second degr 141 3 6 Formations sup rieures et recherche universitaire 150 1 6 Formations sup rieures et recherche universitaire 150 2 Favoriser un cadre de vie protecteur pour la jeunesse 7 Vie de l l ve 230 2 7 Vie tudiante 231 3 7 S curit et qualit sanitaires de l alimentation 206 4 8 Aide l acc s au logement 109 1 9 Jeunesse et vie associative 163 3 9 Vie de l l ve 230 1 9 Actions en faveur des familles vuln rables 106 2 9 S curit et
455. vice public au contact de la population et au service de la nation ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L ensemble des unit s op rationnelles participe cette politique transversale ainsi que le commandement des coles de la gendarmerie nationale et la fonction ressources humaines des entit s de soutien En l absence d action d di e la r partition des cr dits est effectu e au sein des actions 01 S curit et ordre publics 02 S curit routi re 03 missions de police judiciaire et concours la justice 04 Commandement ressources humaines et logistique et 05 exercice des missions militaires POLICE NATIONALE 176 La police nationale a pour missions d assurer la s curit des personnes et des biens et de veiller au respect de la loi Cette mission passe par une pr sence de terrain r active et adapt e dans le temps et dans l espace la r alit de la criminalit La police nationale a le souci de faire conna tre ses missions et de participer l effort national en faveur de l emploi des jeunes en donnant aux scolaires et aux tudiants une image dynamique attractive et concr te du m tier de policier Tous les services de police participent aux actions men es en ce sens qui aboutissent aux mesures prises pour faciliter l entr e de jeunes dans la police nationale La mission de la politique du recrutement et de la promotion des carri res MPRPC la direction des r
456. vique EMPLOI OUTRE MER 138 La finalit du programme Emploi outre mer est de faciliter la cr ation d emplois et l acc s au march du travail des ultramarins Ce programme s inscrit dans une r alit conomique des r gions d outre mer marqu e par des taux de ch mage nettement plus lev s qu en m tropole savoir 21 pour la Guyane 22 6 pour la Guadeloupe 20 8 pour la Martinique et 29 5 pour la R union au deuxi me trimestre 2011 et 17 6 pour Mayotte en 2009 avec un nombre important de ch meurs de longue dur e de b n ficiaires du RMI 140 183 fin 2010 et de jeunes de moins de 30 ans 46 9 de la population domienne au 1 janvier 2010 dont beaucoup en situation d chec scolaire Cette situation impose l tat de poursuivre son effort en faveur d une politique quilibr e de d veloppement conomique et social des collectivit s d outre mer dans une perspective de r duction des carts constat s avec la m tropole ACTIONS SUR LESQUELLES LES CR DITS SONT IMPUT S L action n 02 Aide l insertion et la qualification professionnelle du programme 138 contribue l axe n 5 Accompagner les jeunes vers l autonomie de la politique de l tat en faveur de la jeunesse Cette action regroupe les dispositifs de formation des stagiaires du Service Militaire Adapt SMA le dispositif Passeport Mobilit Formation Professionnelle PMFP dont la gestion incombe l op rateur LADOM
457. vision Cible PAP 2012 actualis e Moyens financiers consacr s des actions 4 2 4 7 4 6 4 8 5 0 5 5 en direction des personnes handicap es total des moyens mobilis s Moyens financiers consacr s des actions 5 2 5 3 5 2 5 4 5 6 6 0 en direction des jeunes filles et des femmes total des moyens mobilis s Moyens financiers consacr s des actions 28 4 27 1 24 5 27 3 27 5 28 5 en direction des publics socialement d favoris s total des moyens mobilis s Moyens financiers consacr s des actions 34 6 33 5 41 0 34 0 35 0 36 5 en direction des jeunes scolaris s total des moyens mobilis s Sous indicateur 1 3 1 Statistique ORASSAMIS personnes handicap es dans la rubrique statuts des b n ficiaires directs Sous indicateur 1 3 2 Statistique ORASSAMIS pratique f minine et acc s aux responsabilit s dans la rubrique objectifs op rationnels Sous indicateur 1 3 3 Statistique ORASSAMIS ZUS Education prioritaire r seau ambition r ussite compris communes DSR et quartiers de la Dynamique Espoir Banlieue compter de 2009 dans la rubrique statut du territoire administratif concern Sous indicateur 1 3 4 Statistique ORASSAMIS toutes tranches d ge des populations mineures et scolaris es dans les rubriques tranche d ge des b n ficiaires Pour 2009 les Items retenus sont les suivants 11 ans 11 15 ans 16 19 ans 11
458. zone de recouvrement Les tablissements patrimoniaux ont au fil du temps renforc leur dispositif d accueil des scolaires de la maternelle au lyc e Plus r cemment ils se sont int ress s aux familles pour lesquelles ils ont con u une offre sp cifique propre g n rer de la co ducation La r flexion actuelle vise la fois renforcer et d multiplier les dispositifs et penser le continuum des temps de l enfance via des dispositifs passerelles Le minist re de la culture et de la communication poursuit ainsi une politique active en faveur des jeunes qui outre la mesure de gratuit l gard des moins de 25 ans s appuie notamment sur la mise en place d outils destin s une meilleure connaissance des publics et de leurs pratiques culturelles en contexte scolaire ou en hors temps scolaire une politique volontariste de diffusion culturelle reposant sur le d veloppement de services des publics et services ducatifs au sein des institutions patrimoniales et architecturales et des services d archives un souci constant de proposer une offre adapt e aux diff rents publics particuli rement les jeunes en situation d exclusion ou d loignement de la culture on peut citer titre d exemple l op ration les Portes du temps qui a touch 27 000 jeunes en 2011 en veillant l am lioration des conditions de visite des lieux patrimoniaux et architecturaux notamment pour les personnes handicap es et en ay

POLITIQUE EN FAVEUR DE LA JEUNESSE

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