Compte-rendu du 27 mars 2009
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1. trop importantes et de discrimination insuffisante pour montrer des variations 2 4 significatives Il ne semble pas qu il y ait aujourd hui une technique probante de nez lectroniques applicable l industrie Il est pr cis que dans le bilan de RESPIRALYON les am liorations apport es par les industriels et le Grand Lyon afin de r duire les rejets atmosph riques et les odeurs seront recens es e Manifestation nez pour agir du 7 avril 2009 Le programme est pr sent Cette manifestation en pr sence des membres du r seau de nez et des personnes ayant signal plusieurs odeurs sera l occasion de lancer officiellement la plate forme t l phonique et de signer devant la presse la charte d engagement des industriels Une plaquette a t r alis e cet effet et est pr sent e aux membres du SPIRAL AIR En conclusion M BOUVIER rappelle les orientations 2009 de RESPIRALYON e la g n ralisation de la plate forme t l phonique pour le grand public n Vert 0800 800 709 permettant potentiellement 1 2 millions de personnes de signaler les odeurs en temps r el e La poursuite de la confection des fioles avec d autres entreprises et la mise disposition des mallettes plus de monde M AGOSTINI pense que des mairies seraient volontaires ainsi que des associations M HERNANDEZ pense galement aux conseils de quartier Une pr sentation num rique pourrait tre r alis e l usage des diff rente2. de Rh ne Alpes En l absence de la CIRE cellule interr gionale d pid miologie M BOUVIER pr sente cette tude dont la plaquette d information est incluse dans le dossier de s ance Il rappelle le contexte et les r sultats synth tiques voir plaquette 3 zones multi mettrices tudi es Sud lyonnais sud grenoblois pays roussillonnais 85 polluants mesur s une valuation des risques sanitaires associ e l inhalation de 41 polluants cibl s En r sultat tr s synth tique il ny a pas de niveaux alarmants sur la qualit de lair il y a n anmoins quelques probl mes sur les polluants classiques tels que l ozone et les particules concernant l valuation de l impact sanitaire il appara t que les risques en terme de sant sont loin d tre catastrophiques n anmoins 6 ou 7 polluants sur 85 pourraient faire appara tre un risque sanitaire Il est pr vu une pr sentation officielle des r sultats dans chacune des zones les membres du SPIRAL AIR seront invit s celle du sud de Lyon 3 4 Il est pr cis suite une question de M HERNANDEZ que l valuation des risques sanitaires ne concerne que la population du quartier tudi et ne refl te pas l ensemble de la commune Mme FORMISYN indique que les capteurs ont t positionn s en fonction de la population la plus expos e M CHENU demande comment se documenter sur la probl matique des particules en particulier l efficacit des filtres partic
3. nord sud il pense n anmoins aujourd hui que plut t que rechercher l emplacement id al il vaudrait mieux s quiper pour assainir l air l int rieur des appartements Secr tariat du SPIRAL DRIRE Rh ne Alpes 2 rue Antoine Charial 69426 Lyon Cedex 03 T l 04 37 91 44 00 Fax 04 37 91 28 03 E mail secretariat spiral industrie gouv fr internet http www lyon spiral org http www respiralyon org http www clic rhonealpes com M BOUVIER pr cise que l enqu te ne montre pas le lien entre la qualit de lair et la facilit du stationnement M BERNE insiste sur le fait que cette enqu te ne fait que confirmer la n cessit d agir sur la qualit de l air 3 Point sur le dispositif RESPIRALYON M BOUVIER intervient successivement voir copie des transparents sur l tat du r seau en 2008 27 000 observations odeurs ont t enregistr es les 34 provenant du r seau de nez le 1 4 provenant des autres habitants La plate forme t l phonique le prestataire choisi tablissement de 30 conseillers a t form un suivi qualit est instaur et le co t devrait tre compris entre 200 et 500 mois Pour l instant la plate forme non connue du grand public est encore peu utilis e La charte d engagement des industriels 3 signatures en 2008 Total Rhodia Organique Carbone Savoie sur une quinzaine d industriels sollicit s La participation financi re des industriels volontaires est d
4. SPIRAL AIR Secr tariat Permanent pour la Pr vention des Pollutions Industrielles et des Risques dans l Agglom ration Lyonnaise GB CR SPIRAL AIR 27 03 09 R union du 27 mars 2009 Participants M Michel REPPELIN Vice Pr sident du Grand Lyon Pr sident du SPIRAL AIR Mmes Val rie FORMISYN DDASS 69 Annie RAGOT Pr fecture 69 SDIS V ronique STARC UIC Rh ne Alpes MM Fr d ric BOUVIER COPARLY Jean Marie BOUILLOT DRIRE Rh ne Alpes DEN Pierre GAGNEUX UCIL Jean Charles MARIOTTI TOTAL Jean VILLIEN Grand Lyon Direction Ecologie Pierre CREPEAUX Grand Lyon Charg de mission air Philippe RITTER Ville de Lyon R mi PATOUX Rhodia sp cialiste sant environnement Jean Claude CHENU FRAPNA Rh ne Bruno AGOSTINI Nez Respiralyon V nissieux Ernest HERNANDEZ Ville de V nissieux Thomas DE CHARENTENAY Personne qualifi e et G rard BERNE secr tariat du SPIRAL DRIRE Rh ne Alpes Excus e s MM Alain CHABROLLE FRAPNA Rh ne Mmes Marie France BENASSY CRES Solaize Anne Marie LAURENT Conseil G n ral 69 1 Approbation du compte rendu de la r union du 12 d cembre 2007 Aucune observation n est formul e 2 Pr sentation du volet air de la derni re enqu te d opinion du Grand Lyon M CREPEAU rappelle que l Observatoire du d veloppement durable du Grand Lyon fait r aliser r guli rement depuis 2002 une enqu te de perception de l environnement r s
5. e l ordre de 2 3000 Le bilan 2006 2008 de RESPIRALYON il est constat une tr s forte baisse des signalements d odeurs explicables peut tre par la baisse des odeurs mais aussi par le manque de participation des nez cette baisse qui est aussi constat e pour les signalements en dehors du r seau de nez incite dire qu il y a peut tre une am lioration mais elle est difficilement quantifiable Les zones les plus sensibles aux odeurs restent toujours le 7 et le 8 arrondissement de Lyon et le secteur de V nissieux St Fons les signalements sont aussi plus importants au printemps qu un autre moment de l ann e Les exploitants souhaitent une r activit importante entre le moment o une odeur est constat e et celui o l information leur est transmise Concernant l op ration pilote les fioles des odeurs caract ristiques pour l instant les fioles concernent 2 entreprises Rhodia et Raffinerie Total permettent d affiner le ressenti des 17 nez qui en disposent actuellement Il a t recherch le lien entre les odeurs ressenties des fioles et les qualificatifs utilis s par les habitants pour les m mes odeurs Une question se pose sur la suite de l op ration avoir un usage plus public des mallettes qsui seraient compl t es par d autres odeurs caract ristiques avec mise disposition dans des mairies ou lors de journ es de pr sentation ou disposer de mallettes sp cifiques selon les zones g ograp
6. hiques M AGOSTINI t moigne de l utilisation b n fique qu il fait de la mallette pour reconna tre les odeurs Il est rappel que depuis 2005 chaque mois des pr l vements de COV sont r alis s sur 3 points de l agglom ration et concernent 31 pr curseurs d ozone et une dizaine de chlor s afin de caract riser un fond d odeur Il est constat notamment que l augmentation du nombre de signalements d odeurs est corr l e avec l augmentation de certains COV mais cette augmentation est tr s mod r e ce qui rend d licat une conclusion Cette incertitude est li e aux types de COV pr lev s pas forc ment caract ristiques d odeurs particuli res et de la p riodicit des pr l vements 1 fois mois qui sont pertinents pour surveiller un niveau moyen mais pas pour une tude des pisodes olfactifs Il est pr vu un renforcement de la surveillance en continue par analyseur automatique 2 analyseurs en plus de Feyzin Pierre B nite et Vernaison la poursuite des pr l vements sur Lyon Centre avec une fr quence plus lev e D autres techniques sont l tude pour mesurer les compos s odorants en particulier l utilisation d un jury de nez pour qualifier un pr l vement fait dans un sac sp cifique En r ponse une question sur les nez lectroniques il est pr cis que la raffinerie a exp riment ce type de technologie mais a t confront e des difficult s techniques temp rature et humidit
7. me FORMISYN rapporte les actions de la DDASS en la mati re et indique que pour certains sujets le travail a commenc d marrer M REPPELIN rappelle que le Grand Lyon n est pas impliqu dans le PPA et qu il ne souhaite pas faire le travail la place de l Etat il mentionne que COPARLY pilote un seul groupe de travail sur la mesure 6 Points divers M BERNE fait un point d tape sur la restructuration de la DRIRE en fusionnant avec la DIREN et la DRE Un projet de macro organigramme DREAL direction r gionale de l environnement de l am nagement et du logement est pr sent Il indique qu il y a une forte volont faire bouger les choses suite au Grenelle et en particulier sur le changement climatique en s appuyant notamment sur une nouvelle gouvernance ce qui laisse pr sager que le type de structure telle que le SPIRAL devrait jouer un r le important Quand la DREAL sera cr e une information sera faite aux membres du SPIRAL La date de la prochaine r union pl ni re du SPIRAL AIR sera fix e ult rieurement 4 4
8. s structures cit es pour informer leurs adh rents sur cette op ration et le mode d emploi de la mallette Le comit de pilotage r examinera cette question en lien avec plusieurs partenaires de terrain M HERNANDEZ demande que les fonderies soient contact es notamment celle du constructeur de v hicules situ V nissieux ARVIL MERITOR e Mise en place d un processus d actions en partenariat avec les industriels en cas d pisode d odeur communication rapide investigation sur site par l exploitant pr l vement possible par canister information publique via le site Internet e Nouvelles orientations de suivi des COV renforcement de la surveillance en continue avec 2 analyseurs automatiques suppl mentaires dans le sud lyonnais renforcement des campagnes de pr l vement dans Lyon Centre Par ailleurs il est envisag de tester un nouveau logiciel actuellement utilis en PACA autour de l tang de Berre qui permettrait en cas d un nombre suffisant de signalements de remonter la source de l odeur Mme STARC regrette le retard de l information sur la date de la manifestation et sur la r alisation de la plaquette MM REPPELIN et BERNE rappellent que le comit de pilotage de RESPIRALYON au sein duquel participent les industriels a travaill sur ce projet n anmoins la d cision sur la date n a pas t facile trouver 4 Pr sentation des r sultats de l tude des polluants mergeants sur 3 zones d activit
9. ules des automobiles En r ponse il est indiqu que de nombreuses informations existent d j sur des sites Internet sp cialistes voir site de COPARLY n anmoins M REPPELIN propose que ce probl me de particules fasse l objet d une pr sentation lors d une r union du SPIRAL AIR 5 Point sur l implication du SPIRAL AIR dans le PPA de l agglom ration lyonnaise M BOUILLOT rappelle le contexte de mise en place du Plan de Protection de l Atmosph re approuv le 30 juin 2008 et son objectif de fournir un panel de mesures pour reconqu rir la qualit de l air Le comit de suivi a t r uni une fois mais il n appara t pas un sentiment d une volont forte de faire avancer le PPA M BERNE rappelle les 4 fiches actions dans lesquelles le SPIRAL AIR doit s impliquer en particulier sur la n cessaire concertation avec les milieux conomiques e La r duction de 20 des missions de particules en suspension pour le secteur industriel d ici 2010 e La concertation avec les professionnels pour tendre le dispositif de r cup ration des vapeurs d essence des stations services e Le renforcement du contr le des chaudi res rejets atmosph riques et contr le du rendement e Les odeurs RESPIRALYON Par manque de moyens actuels au niveau de la DRIRE il n a pas encore t possible de lancer les groupes de travail ad quats La question se pose sur les moyens que le SPIRAL pourrait mettre en place pour avancer M
10. ulte de la derni re enqu te r alis e en novembre 2008 que la qualit de lair reste la pr occupation majeure des habitants pr occupation dans 81 des cas suivie par la qualit des eaux de rivi re pr occupation due aux PCB La qualit de lair le bruit et surtout la qualit des eaux de rivi re sont per us comme se d gradant Il ny a pas de diff renciation entre les zones g ographiques mais les habitants install s r cemment sont significativement plus pr occup s voir document joint M HERNANDEZ n est pas surpris de la position des nouveaux arrivants qui cherchent savoir quelle est la qualit environnementale de tel quartier Il est remarqu que la qualit de l air n a pas t d finie pr cis ment odeur industrie automobile et qu elle semble correspondre un ressenti sur son cadre de vie M REPPELIN rappelle que les autres enqu tes y compris celles du SPIRAL men es depuis une dizaine d ann es montrent que la pr occupation majeure reste la m me Il pr cise qu il faut faire une diff rence entre ce que les gens subissent la pollution atmosph rique qu ils per oivent comme se d gradant et quand ils sont acteurs par exemple le tri des d chets qu ils per oivent comme s am liorant M DE CHARENTENAY fait part de son exp rience personnelle due sa sensibilit physique la pollution qui l a amen rechercher la commune la moins pollu e c est en dehors de l axe
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