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Rapport

1. efficace et plus rapide 141 Texte consultable sur http www oecd org dataoecd 53 38 34579826 pdf 23 juin 2008 142 La coop ration au d veloppement est vis e aux articles 177 181 du Trait instituant la Communaut europ enne TCE Dans le cadre de leurs comp tences respectives la Communaut et les Etats membres coop rent avec les pays tiers et les organisations internationales comp tentes gt art 181 1 du TCE Certains documents ont t adopt s en vue de faciliter cette coordination La coop ration avec les pays tiers et l aide humanitaire seront trait s aux articles 208 214 du Trait sur le fonctionnement de l Union europ enne apr s l entr e en vigueur du trait de Lisbonne 143 D claration conjointe du Conseil et des repr sentants des gouvernements des tats membres r unis au sein du Conseil du Parlement europ en et de la Commission sur la politique de d veloppement de l Union europ enne intitul e Le consensus europ en J O C E n C46 du 24 f vrier 2006 144 Communication de la Commission du 2 mars 2006 intitul e Aide de l UE Fournir une aide plus importante plus efficace et plus rapide COM 2006 87 final Non publi au Journal officiel http eur lex europa eu LexUriServ LexUriServ do uri COM 2006 0087 FIN FR PDF 5 mai 2008 47 2007 Le Code de conduite de Il s agit de principes Division du travail l UE sur la divisi
2. 78 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 18 mai 2000 7 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 18 mai 2000 art 1 80 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Commentaire des articles Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 20 81 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 18 mai 2000 art 1 82 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 18 mai 2000 art 2 33 b Les OIPCM s lectionn es AR du 27 avril 2000 AR du 2 avril 2003 AR du 9
3. Enfin l harmonisation de l action de l Etat f d ral des communaut s et des r gions pourrait se traduire dans la mise en place d un m canisme de coop ration ou de concertation sp cifique ou de principes directeurs dans la loi sp ciale du 8 ao t 1980 166 J POIRIER Le droit public survivra t il sa contractualisation Les accords de coop ration dans le syst me f d ral Rev dr ULB 2006 pp 286 395 M UYTTENDAELE Pr cis de droit constitutionnel belge 3 dition Bruxelles Bruylant 2005 pp 1016 1021 61 Annexes Termes de r f rence de l valuation Note m thodologique Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge version consolid e au 16 mai 2008 Guide d entretien Liste des personnes interrog es Classification Triple C des documents strat giques pays Liste des principaux acronymes Bibliographie WN O NLO we 63 UCL 4 vi Universit y catholique deLouvain 4 Louvain ne EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 1 TERMES DE REFERENCE DE L EVALUATION 1 Contexte La Loi du 25 mai 1999 relative a la Coop ration internationale belge avait t approuv e dans un contexte particulier marqu par une r forme en profondeur de la coop ration belge Il s agissait de conf rer celle ci une base l gale et d en d finir objectifs et principes La Loi de mai 1999 ci apr s la loi avait t pr c d e par une r forme
4. Loi du 24 d cembre 1993 relative aux march s publics et a certains march s de travaux de fourniture et de services M B 22 janvier 1994 Loi du 3 octobre 1983 portant cr ation d un Fonds de survie pour le Tiers Monde en vue d assurer l ex cution des r solutions du S nat et de la Chambre des Repr sentants sur le manifeste appel des prix Nobel contre l extermination par la faim et sur la contribution que la Belgique doit apporter a cette action M B 20 octobre 1983 Loi du 3 juin 1964 modifiant l arr t royal n 42 du 31 ao t 1939 r organisant l Office national du ducroire et autorisant le Ministre des Finances et le Ministre qui a les Relations commerciales ext rieures dans ses attributions consentir des pr ts des tats ou des organismes trangers M B 17 juin 1964 Loi relative l emploi des langues en mati re l gislative la pr sentation la publication et l entr e en vigueur des textes l gaux et r glementaires M B 21 juin 1961 D cret cadre du 22 juin 2007 relatif la coop ration au d veloppement M B 14 ao t 2007 Accord de coop ration du 1er juillet 2002 entre la R gion wallonne la Communaut fran aise la Communaut germanophone et la Commission communautaire fran aise de la R gion de Bruxelles Capitale relatif la cr ation du Conseil Wallonie Bruxelles de la coop ration internationale M B 8 mai 2003 A R du 9 mai 2008 d terminant les organisations internati
5. Si non pourquoi Le principe de concentration g ographique est il pertinent Les crit res de s lections des pays partenaires sont ils pertinents Le crit re bonne gouvernance est il en phase avec la d claration de Paris et notamment le principe d appropriation 91 Les crit res de s lection ont ils t r ellement mis en uvre Comment s explique la diff rence entre les pays de concentration repris dans l expos des motifs du projet de loi et les pays de concentration repris dans l arr t royal du 26 juin 2000 La concentration g ographique a t elle contribu a avoir de meilleurs r sultats dans la coop ration Si oui pourquoi Si non pourquoi Comment la concentration g ographique s est elle r percut e en termes budgetaires 2 1 3 Concentration sectorielle art 7 Les notes strat giques existent elles Ont elles t transmises et r vis es Comment les notes strat giques sectorielles sont elles r alis es et mobilis es Les notes sont elles r vis es dans les d lais pr vus par la loi Sinon pourquoi Le principe de concentration sectorielle est il pertinent Le choix des secteurs est il pertinent Soins de sant de base en ce compris la sant reproductive Enseignement et formation Agriculture et s curit alimentaire Infrastructure de base Pr vention des conflits et consolidation de la soci t en ce com
6. 2 1 1 D finitions et objectifs art 2 et 3 Les d finitions formul es par la loi suscitent elles des observations L objectif assign a la coop ration au d veloppement par la loi semble t il pertinent 2 1 1 Pertinence et valuation art 4 et art 5 Les objectifs de la loi et les strat gies de mise en ceuvre sont elles en concordance Comment la fonction d valuateur sp cial est elle mise en uvre O O O Est elle mise en uvre de mani re efficace Comment se passe l interaction avec le service interne d valuation Ces services sont ils compl mentaires Quel est le r gime sous lequel fonctionne l valuateur sp cial Comment la dissociation des missions de la DGCD et de la CTB est elle mise en uvre O La division du travail r partition des t ches est elle claire entre la CTB et la DGCD Si oui pourquoi Si non pourquoi La division du travail r partition des t ches est elle claire entre le si ge de la DGCD et le terrain Si oui pourquoi Si non pourquoi Comment la participation des pays partenaires dans la coop ration au d veloppement est elle entendue 2 1 2 Concentration g ographique art 6 Les notes strat giques existent elles Ont elles t transmises et r vis es Comment les notes strat giques pays sont elles r alis es et mobilis es Les notes sont elles r vis es dans les d lais pr vus par la loi
7. 25 50 Projet de loi programme pour l ann e budg taire 2001 Expos des motifs Doc Parl Ch repr sess ord 2000 2001 n 0950 1 Note de politique g n rale du secr taire d Etat a la Coop ration au D veloppement Doc Parl Ch repr sess ord 1999 2000 n 0812 3 Note de politique g n rale du secr taire d Etat a la Coop ration au D veloppement Doc Parl Ch repr sess ord 1999 2000 n 0812 1 Projet de loi relative a la coop ration internationale belge Rapport fait au nom de la commission des affaires trang res Doc Parl S n sess ord 1998 1999 n 1309 4 Projet de loi relatif a la coop ration internationale belge Rapport fait au nom de la commission des relations ext rieures Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 5 Projet de loi relatif a la coop ration internationale belge Amendements Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 4 Projet de loi relatif a la coop ration internationale belge Amendements Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1971 3 Projet de loi relatif a la coop ration internationale belge Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 Suivi des probl mes de l Administration G n rale de la Coop ration au d veloppement Rapport fait au nom de la commission sp ciale Doc Parl S n sess ord 1996 1997 n 1123 1 Liste des rapports annuels annonc s a la Chambre www lachambre be 24 juin 2008 C
8. Modification de l article 11 la notion d autres partenaires de la coop ration est pr cis e 2005 Loi du 19 juillet 2005 modifiant Modification de l article 8 la th matique l article 8 de la loi du 25 mai respect des droits de l enfant est 1999 relative la coop ration ajout e internationale belge en ce qui concerne l attention aux droits de l enfant M B 7 septembre 2005 2006 Loi du 20 juillet 2006 portant Modification de l article 10 les ONG ne dispositions diverses M B 28 sont plus s lectionn es mais agr es juillet 2006 12 2008 Loi du 6 avril 2008 visant Ajout d un article 11bis l ensemble des emp cher la saisie ou la fonds destin s l aide publique belge au cession des fonds publics d veloppement sont rendus insaisissables destin s la coop ration et incessibles internationale notamment par la technique des fonds vautours16 mai 2008 M B 16 mai 2008 L on constate que deux des r formes celles de 2001 et de 2006 visaient titre principal les dispositions de la loi relative aux acteurs de la coop ration bilat rale indirecte 2 2 Sur l existence de la loi L ensemble des acteurs interrog s s accorde dire que l existence m me d une loi est positive disposer d un cadre juridique permanent d objectifs de strat gies et de principes permet de mieux fonder les interventions Par ailleurs l existence m me de
9. de la s lection de la premi re liste de pays partenaires pr cise que Iles pays qui ne sont pas parmi le groupe de pays partenaires disposent n anmoins de diff rentes possibilit s de soutien via d autres canaux coop ration multilat rale coop ration indirecte aide humanitaire La coop ration bilat rale directe avec les pays qui n ont pas t s lectionn s en tant que pays partenaires est achev e progressivement comme pr vu dans les conventions concern es Toutes les obligations juridiques qui en d coulent seront respect es a Le principe m me de concentration g ographique En termes de principes la tr s grande majorit des personnes interview es appr cie positivement le principe de concentration g ographique Certains rel vent toutefois que cette concentration n a pas toujours permis d assurer la continuit de l aide ni sa pr visibilit pour les pays partenaires Par ailleurs jusqu il y a peu aucune strat gie de sortie exit strategy n tait syst matiquement labor e b Le nombre de pays partenaires de la coop ration bilat rale directe Le nombre de pays de concentration est en diminution Partant du constat de plus de 40 pays b n ficiaires la loi de 1999 fixait un nombre maximum de 25 pays ou organisations r gionales de concentration Depuis 2004 cette liste a t r duite 18 45 A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25
10. des dispositions particuli res doivent tre pr vues a Les objectifs La loi actuelle fait mention d une s rie d objectifs qualitatifs Ils ne sont pas contest s et leur mention dans la loi est regard e positivement Leur maintien semble convenir aux acteurs interrog s L objectif quantitatif de 0 7 du RNB n est pas repris dans la loi de 1999 mais est inscrit l article 10 6 des lois coordonn es sur la comptabilit de Etat Un rappel de cet objectif lors d une ventuelle r vision de la loi est envisag positivement par les acteurs et permettrait d insister sur cette volont politique b La r f rence aux engagements internationaux Consid rant I internationalisation progressive de l aide au d veloppement il serait judicieux de mentionner que la coop ration belge s inscrit dans un cadre et des dynamiques internationales Cette inscription devrait tre accompagn e de la mention d un ensemble de principes qui traduisent le paradigme de la coop ration au d veloppement tel qu il est envisag par la communaut internationale Parmi ces principes et notions mentionnons notamment l harmonisation l alignement l appropriation la gestion ax e sur les r sultats la responsabilit mutuelle la division du travail le partenariat et la pr visibilit de l aide A ce stade et compte tenu des volutions d j en cours des instruments refl tant cette nouvelle approche de l aide notamment l aide bu
11. devenue temporellement irr alisable Par ailleurs scinder les competences en la mati re serait difficile et il serait tr s ardu de d terminer des crit res qui ne compromettent pas la coh rence et l efficacit de la coop ration En outre les interviews r v lent une critique unanime de l id e d une division en parties de la coop ration au d veloppement l heure ou la fragmentation de l aide est d j questionn e par le principe d harmonisation En 2003 le Conseil d Etat a par ailleurs estim que l Etat f d ral les communaut s et les r gions disposaient de comp tences parall les en mati re de coop ration au d veloppement Ainsi les communaut s et les r gions ne peuvent par l exercice de leur comp tence en mati re de coop ration au 122 Loi du 24 d cembre 1993 relative aux march s publics et certains march s de travaux de fourniture et de services M B 22 janvier 1994 123 Loi du 15 juin 2006 relative aux march s publics et certains march s de travaux de fournitures et de services M B 15 f vrier 2007 124 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 p 72 125 Loi sp ciale du 13 juillet 2001 portant transfert de comp tences aux r gions et communaut s M B 3 ao t 2001 art 6 126 Pour une synth se des pistes envisag es en la mati re avant 2004 J C WILLAME Polycarpe et la coop ration au d veloppement A P T 2002 pp
12. ration internationale et non de coop ration au d veloppement Pourquoi est on par la suite revenu sur ce terme Quelles en ont t les cons quences institutionnelles l gales Prise en compte des changements de l architecture institutionnelle CTB BIO Fonds de survie Aide humanitaire etc r v lent ils une n cessit d amender la loi o Percevez vous une incoh rence entre la loi du 25 mai 1999 et la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la CTB la loi du 3 novembre 2001 portant cr ation de BIO les autres textes l gislatifs et r glementaires Prise en compte des pratiques administratives contrats publics octroi de subsides aux ONG etc r v lent ils une n cessit d amender la loi Quels sont les changements d orientation et de priorit s ventuelles du gouvernement f d ral qui ont pu avoir un impact sur la politique de coop ration au d veloppement et ou ses modalit s diminution du nombre de pays cible volution de la concentration th matique new public management etc De quelle mani re ont ils eu un impact La loi est elle en coh rence avec les nouvelles approches de l aide telles que o l aide budg taire o le r le central du pays partenaire appropriation o les principes d harmonisation et d alignement o le dialogue politique La loi permet elle d induire la coh rence entre les diff rents canaux de la coop ration belge 2 4 Adaptation aux beso
13. tences en droit administratif et coop ration au d veloppement exp rience et connaissance de la coop ration internationale au d veloppement connaissance et exp rience de la coop ration belge au d veloppement exp rience en mati re d valuation et connaissance des m thodes d valuation connaissance des langues fran ais n erlandais et anglais Les membres de l quipe d valuation doivent tre ind pendants quant au contenu de l valuation Dans l offre technique le chef de l quipe et le r dacteur du rapport final seront clairement identifi s 69 Universite catholique deLouvain 4 Louvain ne UCL 4 LYE A R EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 2 NOTE METHODOLOGIQUE L valuation de la loi du 25 mai 1999 relative a la coop ration internationale belge impose que l on rappelle l objectif poursuivi par le maitre de l ouvrage I que l on indique la structure d analyse destin e a atteindre cet objectif II et que l on voque enfin les moyens propres y parvenir III I L objectif de l valuation Il s agit en substance de v rifier si la loi du 25 mai 1999 pr cit e constitue l outil ad quat en vue d assurer dans les ann es venir la coop ration internationale de la Belgique II La structure d valuation En vue de proc der la v rification voqu e une analyse en trois temps s av re indispensable Il s agit dans un premier temps
14. volgens een procedure en modaliteiten vastgesteld door de Koning en die minstens beantwoorden aan de volgende criteria 1 opgericht zijn overeenkomstig de wet van 27 juni 1921 waarbij aan de verenigingen zonder winstoogmerk en aan de instellingen van openbaar nut rechtspersoonlijkheid wordt verleend of een vennootschap met een sociaal oogmerk zijn overeenkomstig de wet van 13 april 1995 tot wijziging van de wetten op de handelsvennootschappen geco rdineerd op 30 november 1935 2 de ontwikkelingssamenwerking als belangrijkste maatschappelijk doel hebben 3 een nuttige en actuele ervaring hebben in n of meerdere activiteitendomein en vastgesteld door de Koning en dit aantonen door neerlegging van de activiteitenrapporten over de werking van de laatste drie jaar en bereid zijn om zich te onderwerpen aan een evaluatie van haar werking overeenkomstig de procedure ingesteld door de Koning 87 4 een planmatige aanpak hebben die voortvloeit uit een meerjarenprogramma en die tevens een financieel plan inhoudt dat opgesteld is overeenkomstig de modaliteiten vastgesteld door de Koning 5 autonoom zijn overeenkomstig de modaliteiten vastgesteld door de Koning 6 de continuiteit van haar werking kunnen verzekeren overeenkomstig de voorwaarden vastgesteld door de Koning 7 een meerderheid van leden in de bestuursorganen hebben die de Belgische nationaliteit bezitten 8 activiteiten uitvoeren overeenkomstig de doelste
15. 2007 relatif la coop ration au d veloppement M B 14 ao t 2007 131 Ontwerp van decreet betreffende de microfinanciering in ontwikkelingslanden door middel van waarborgverlening aan ontwikkelingsfondsen Advies van de Raad van State Parl St VI Parl VI Parl sess ord 2003 2004 n 2098 1 p 36 132 Loi du 14 juin 2005 relative au suivi de l action gouvernementale en ce qui concerne les objectifs du mill naire pour le d veloppement M B 14 juillet 2005 13 Loi du 12 janvier 2007 visant au contr le de l application des r solutions de la conf rence mondiale sur les femmes r unie P kin en septembre 1995 et int grant la dimension du genre dans l ensemble des politiques f d rales M B 13 f vrier 2007 art 5 81 44 nous effectuons un relev de textes importants dans la construction du nouveau paradigme de la coop ration au d veloppement mais pas de l ensemble des engagements internationaux de la Belgique qui ont vocation a influer sur sa coop ration au d veloppement ni des engagements pris par la Belgique pour le financement d organisations internationales Dans un second temps nous livrerons une analyse notamment sur base des entretiens men s des grands l ments constituant ce nouveau paradigme dans la perspective de leur prise en compte lors d une ventuelle r vision de la loi b Textes marquants dans la construction du nouveau paradigme de la coop ration au d veloppement Nation
16. 228 234 127 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 pp 11 12 pp 26 28 43 d veloppement contrecarrer l exercice des comp tences f d rales en mati re de coop ration au d veloppement Puisqu il s agit de comp tences parall les il en va de m me pour l exercice de la comp tence f d rale l gard de la comp tence des communaut s et des r gions sous r serve du m canisme de contr le en mati re de conclusion de trait s pr vu par l article 81 de la loi sp ciale de r formes institutionnelles 7 Du reste les collectivit s f d r es ont adopt certaines dispositions r gissant la coop ration au d veloppement et il semble utile de souligner qu un d cret cadre r git d sormais la mati re en Flandre Le Conseil d Etat a rappel la place qui peut tre faite aux m canismes de concertation et de coop ration pr vu par le chapitre II du titre II de la loi de r forme institutionnelle du 9 ao t 1980 en vue de l exercice coh rent de ces comp tences parall les Les m canismes de rapportage Divers m canismes de rapportage sp cifiques certaines probl matiques sont pr vus La loi du 14 juin 2005 pr voit le d p t annuel par le gouvernement devant les assembl es f d rales d un rapport d terminant les tapes r alis es pour mettre en uvre les objectifs du mill naire pour le d veloppement La loi du 12 janvier 2007 pr
17. 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 art 3 43 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 52 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 44 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 52 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 art 2 18 La premi re s rie de notes strat giques devait tre transmise aux pr sidents de la Chambre des repr sentants et du S nat pour le 31 ao t 2002 Les constats relatifs a la mise en ceuvre de ces instruments sont int gr s a la partie de ce rapport relative aux concentrations de la coop ration bilat rale directe vis es par les notes strat giques 2 5 3 Concentration g ographique de la coop ration bilat rale directe art 6 L article 6 1er de la loi pr voit une concentration de la coop ration bilat rale directe sur un maximum de 25 pays ou organisations r gionales de pays condition que les programmes s adressent l ensemble des pays membres de ces organisations Ces 25 entit s g ographiques sont qualifi es de partenaires de la coop ration bilat rale directe La liste des partenaires est d termin e par un arr t royal d lib r en Conseil des ministres en fonction des crit res fix s par la loi Le rapport au Roi qui pr c
18. Fonds belge de survie qui est g r par le ministre qui a la Coop ration au d veloppement dans ses attributions et vise financer des programmes visant assurer la s curit alimentaire La cr ation de 8 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 2 3 et 4 9 Loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 30 d cembre 1998 10 Loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 30 d cembre 1998 art 2 1 11 Loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 30 d cembre 1998 art 9ter ins r par la loi programme du 27 d cembre 2005 M B 30 d cembre 2005 12 A R du 15 f vrier 1999 portant ex cution de l article 13 de la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public Coop ration technique belge soci t anonyme de droit public finalit sociale Statuts M B 27 f vrier 1999 15 Loi du 9 f vrier 1999 cr ant un Fonds belge de survie M B 27 f vrier 1999 14 Loi du 9 f vrier 1999 cr ant un Fonds belge de survie M B 27 f vrier 1999 art 3 14 ce Fonds s accompagnait de la suppression du Fonds de survie pour le Tiers Monde
19. La loi est elle coh rente avec les autres lois belges en la mati re telles que la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge et la loi du 3 novembre 2001 portant cr ation de la Soci t belge d Investissement dans les pays en d veloppement et avec les autres textes l gislatifs et r glementaires qui s appliquent la coop ration belge au d veloppement La loi ainsi que le cadre l gislatif et r glementaire qui l accompagne est elle coh rente avec la nouvelle approche de l aide La loi permet elle d induire la coh rence entre les diff rents canaux de la coop ration belge 4 3 Efficacit La loi et le cadre r glementaire sont ils efficaces par rapport aux objectifs mentionn s dans la loi Une actualisation de la loi peut elle accro tre cette efficacit et comment La loi est elle ad quate par rapport aux situations besoins et probl mes auxquels elle vise r pondre La loi met elle en place ou permet elle la mise en place de m canismes appropri s pour r pondre aux besoins et priorit s des pays en d veloppement 5 M thodologie Les chercheurs expliciteront dans l offre les m thodes et l approche envisag es pour l valuation et les d tailleront plus avant dans la note m thodologique Phase 1 Note m thodologique Sur la base des dispositions techniques et de l offre les chercheurs r digeront une note m thodologique fournissant toutes les pr ci
20. a travers les besoins que l Etat 73 b n ficiaire de l aide juge utiles pour le d veloppement de ses infrastructures et du bien tre de ses habitants Sur le plan national l on songe notamment aux volutions constitutionnelles depuis la promulgation de la loi aux m canismes de coordination entre les r gions les communaut s et le f d ral aux volutions institutionnelles la prise en compte des acteurs priv s quatri me pilier gt aux interventions d velopp es au sein d autres Minist res ainsi qu au tout r cent accord du Gouvernement f d ral belge qui place l valuation de la coop ration internationale parmi ses pr occupations politiques non sans rappeler que les concentrations g ographiques sectorielles et th matiques demeurent n cessaire la poursuite de la politique de l autorit f d rale belge en la mati re Les diff rents actes accomplis en mati re de coop ration internationale entre le 25 mai 1999 et aujourd hui gagneraient tre recens s par ordre chronologique en ayant gard tout la fois aux passages importants qu ils contiennent en vue de l valuation de la loi en cause et aux valeurs juridique politique et symbolique qu ils rec lent c t des actes accomplis la loi du 25 mai 1999 a donn lieu des pratiques administratives qui ne doivent pas tre sous estim es en vue de comprendre comment le syst me institu par la loi valu e fonctionne La description de
21. alignement de la DGCD la n cessit d une action commune avec les pays partenaires dans une situation donn e est soulign e Ce Plan souligne galement que le fait que poser des conditionnalit s de mani re unilat rale n est pas effectif 3 les conditionnalit s n cessitant elles aussi une r flexion commune L valuation mutuelle est une traduction du principe de responsabilit mutuelle Les ONG 11 11 11 remarquent que ce principe de responsabilit mutuelle pourrait tre accompagn de la cr ation d un Conseil strat gique sur la politique trang re ou du renforcement du r le du Conseil f d ral pour le d veloppement durable en la mati re Parmi les autres pistes envisag es 11 11 11 mentionne la possibilit d avis dans les commissions mixtes la possibilit de feed back par les pays partenaires ou encore d auditions r guli res sur l aide belge par le Parlement 152 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour I Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 p 16 153 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l
22. bilaterale samenwerking op maximum vijfentwintig landen of regionale organisaties van landen in zoverre de programma s zijn bedoeld voor alle lidstaten van die organisaties die worden gekozen middels een in Ministerraad overlegd koninklijk besluit als partnerland van de directe bilaterale samenwerking op basis van de volgende criteria 1 graad van armoede van het partnerland gemeten op basis van het peil van de socio economische ontwikkeling van de menselijke ontwikkelingsindex en van de menselijke armoede index 2 relevante en actuele ervaring van de Belgische internationale samenwerking met betrekking tot het partnerland 3 inspanningen die het partnerland levert met het oog op zijn socio economische ontwikkeling 4 inachtneming door het partnerland van het principe van goed bestuur 5 aanwezigheid van een crisissituatie in het partnerland waarvoor de Belgische internationale samenwerking op het internationale forum een rol kan spelen in het oplossen van het conflict en het voorkomen van verder geweld 6 graad van regionale integratie van het partnerland in het kader van de regionale samenwerking 7 het voeren door de overheden van het partnerland van een politiek ter wegwerking van discriminaties en van een beleid gericht op gelijke kansen 85 2 Voor elk partnerland van de directe bilaterale samenwerking zal een strategienota waarvoor de procedure en de modaliteiten volgens dewelke deze wordt o
23. cembre 2002 portant ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge art 10 11 Art 11bis 26 5 2008 Fonds vautours Loi du 6 avril 2008 visant a emp cher la saisie ou la cession des fonds publics destin s a la coop ration internationale notamment par la technique des fonds vautours et loi du 31 mai 1961 relative a l emploi des langues en mati re l gislative la pr sentation la publication et l entr e en vigueur des textes l gaux et r glementaires art 4 Formellement l on constate que toutes les dispositions n ont pas fait l objet d un arr t royal fixant leur date d entr e en vigueur et que les entr es en vigueur des dispositions initiales de la loi du 25 mai 1999 se sont tal es sur quatre ans 2 1 3 Les r formes de la loi du 25 mai 1999 La loi de 1999 a t r vis e quatre reprises Disposition modificatrice Objet de la r forme 2001 Modification de l article 2 une relation r glementaire et plus seulement conventionnelle est rendue possible avec les acteurs de la coop ration bilat rale indirecte Modification de l article 7 la Lai programme du lt Janvier concentration sectorielle devient une ZOOM Rer e AUVE AE EE concentration titre principal Erratum M B 13 janvier FACE Modification de l article 10 les crit res relatifs aux f d rations d ONG seront fix s par le Roi
24. dans la mesure o elles couvrent des programmes et projets dans un pays partenaire dans le sens que la loi conf re ces notions financ s par l Etat belge sur base d une convention entre les deux pays Il ressort des entretiens que le concept de coop ration internationale visait liminer le terme d veloppement mais qu il a galement t per u par certains acteurs comme pouvant viser de mani re plus inclusive les actions de l Etat belge vis a vis des b n ficiaires de notre coop ration La coop ration internationale telle que d finie par la loi ne recouvre pas l ensemble de l APD telle que d finie par le CAD Divers l ments qui influent sur l APD ne sont pas express ment inscrits dans le champ d application de la loi du 25 mai 1999 Parmi les lignes budg taires qui entrent dans le champ de l APD et ne sont pas explicitement rattach es aux principes de la loi du 25 mai 19997 ont t voqu es lors des interviews Pr vention aide d urgence r habilitation court terme et action humanitaire en faveur des pays en voie de d veloppement Pr vention des conflits consolidation de la paix __ Bonification d int r ts d Pr ts des Etats trangers Certaines de ces lignes sont inscrites au budget de la coop ration au d veloppement mais ne sont pas g r es ou pas g r es exclusivement pas le Ministre ayant la coop ration au d veloppement dans ses attributions Comme le soul
25. dans une large perspective de r forme du secteur Les acteurs que nous avons interview s et qui ont particip l laboration de la loi du 25 mai 1999 ajoutent que ce qui tait attendu du processus de r forme du secteur c tait surtout plus de stabilit et de professionnalisme des acteurs pour viter un fonctionnement conditionn par des coups de c ur sans coh rence avec les besoins des pays en voie de d veloppement ainsi que la fin de certaines d rives dans les relations avec le secteur priv but lucratif et de la confusion entre coop ration au d veloppement et commerce ext rieur Au fond disent ils cette loi n est qu un l ment d un processus qui avait d j t entam sous Erik Derijcke secr taire d Etat la coop ration au d veloppement de 1991 1995 poque de la cr ation du VLIR UOS et de la CUD CIUF et prolong par Reginald Moreels secr taire d Etat la coop ration au d veloppement de 1995 1999 poque de l adoption de l arr t royal du 18 juillet 1997 qui fixe les conditions d agr ment et de subvention des organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations et de la loi du 20 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge CTB sous la forme d une soci t de droit public charg e de l ex cution de la politique en mati re de coop ration au d veloppement A l poque disent les acteurs la base de la loi de 1999 la coo
26. des Nations 15 Programme des Nations 12 Programme des Nations Unies pour le Unies pour le Unies pour le D veloppement PNUD D veloppement PNUD d veloppement PNUD 16 Organisation des Nations 16 Organisation des Nations 13 Organisation des Nations Unies pour l Education la Unies pour l Education la Unies pour l Education la Science et la Culture Science et la Culture Science et la Culture UNESCO UNESCO UNESCO 17 Programme des Nation 17 Programme des Nation 14 Programme des Nations Unies pour Unies pour Unies pour l Environnement PNUE l Environnement PNUE l Environnement PNUE 18 Fonds des Nations Unies 18 Fonds des Nations Unies 15 Fonds des Nations Unies pour l Equipement FENU pour l Equipement FENU pour l Equipement FENU 19 Haut Commissariat des 19 Haut Commissariat des 16 Haut Commissariat des Nations Unies pour les Nations Unies pour les Nations Unies pour les r fugi s UNHCR r fugi s UNHCR r fugi s UNHCR 20 Banque Mondiale BM 20 Banque Mondiale BM 17 Banque Mondiale BM 21 Organisation Mondiale de 21 Organisation Mondiale de 18 Organisation Mondiale de la Sant OMS la Sant OMS la Sant OMS 22 Fonds fiduciaire pour la coop ration technique de l Organisation mondiale du Commerce OMC 22 Banque Ouest africaine du 23 Banque Ouest africaine du D veloppement BOAD D veloppement BOAD 19 Fonds Mondial pour combatt
27. des diff rences d indicateurs utilis s essentiellement entre le code secteur CAD Support to women s equality organisations and institutions et le Genre equality policy marker mesurant la part du budget gender sensitive b Le principe m me de concentration th matique Le principe de concentration th matique n est pas remis en question par les personnes interview es Pour certaines le terme de pr occupations transversales semble toutefois plus adapt garantir une r elle transversalit de l approche c Le choix des th mes Les themes ne sont pas remis en question par les interview s mais il y a un consensus pour dire que l conomie sociale aurait t plus facile aborder sous l angle d un secteur que sous l angle d un th me Aux trois th mes initialement pr vus par la loi il faut ajouter le th me des droits de l enfant int gr a la loi sous le Ministre Verwilghen et celui du VIH SIDA qui a fait l objet d une approche transversale sans tre repris dans la loi Pour certaines personnes interrog es des domaines comme la consolidation de la soci t ou la pr vention des conflits devait tre repris comme pr occupations transversales et non comme secteurs d Les notes strat giques th matiques Les notes strat giques existent pour les trois th mes inscrits dans la loi La note politique du Ministre Verwilghen relative aux droits de l enfant est consid r e comme une note strat gique par les inter
28. des fonds publics destin s la coop ration internationale notamment par la technique des fonds vautours Cet article est libell comme suit Les sommes et les biens destin s la coop ration internationale belge ainsi que les sommes et les biens destin s l aide publique belge au d veloppement autres que ceux relevant de la coop ration internationale belge sont insaisissables et incessibles 2 Formellement la position de cette disposition dans la loi n est pas pertinente puisqu elle se trouve int gr e dans la section qui traite de la coop ration bilat rale indirecte et plus sp cifiquement sous l intitul Autres partenaires alors qu elle vise l ensemble des biens destin s la coop ration internationale 2 5 9 Pertinence et valuation art 4 et 5 L article 4 de la loi d termine six principes de base en vertu desquels la pertinence au d veloppement doit tre mesur e l aide des crit res fix s par le CAD et qui doivent tre pris en compte par la coop ration internationale belge 1 Le renforcement des capacit s institutionnelles et de gestion 2 L impact conomique et social 3 La viabilit technique et financi re 4 L efficacit de la proc dure d ex cution pr vue 110 A R du 23 d cembre 2002 portant ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge M B 20 janvier 2003 art 7 8 111 A R du 23 d cembre 2002 porta
29. die toelaten na te gaan of de acties volgende basisprincipes in voldoende mate in acht nemen 84 1 versterking van de institutionele en beheerscapaciteit 2 economische en sociale impact 3 technische en financi le leefbaarheid 4 effici ntie van de geplande uitvoeringsprocedure 5 aandacht voor de gelijkheid tussen mannen en vrouwen 6 respect voor bescherming of vrijwaring van het leefmilieu Externe evaluatie Art 5 De Koning legt de instrumenten vast welke nodig zijn om de externe evaluatie te verzekeren van de Belgische internationale samenwerking in het licht van de objectieven van de Belgische internationale samenwerking zoals bedoeld in artikel 3 en van de criteria voor ontwikkelingsrelevantie bedoeld in artikel 4 alsmede van de overige Belgische offici le ontwikkelingshulp van de Belgische Staat andere dan die van de Belgische internationale samenwerking welke eveneens zal ge valueerd worden in het licht van de criteria voor ontwikkelingsrelevantie bedoeld in artikel 4 Een jaarverslag van de externe evaluatie wordt door de minister v r 30 april van het daaropvolgend jaar ongewijzigd aan de Kamer van volksvertegenwoordigers en aan de Senaat overgezonden vergezeld van zijn commentaar bij dit jaarverslag HOOFDSTUK II Basisprincipes Afdeling I Directe bilaterale samenwerking Onderafdeling I Geografische concentratie Art 6 1 De Belgische internationale samenwerking richt de directe
30. don SPF Finances SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement FINEXPO Rapport annuel 2006 p 29 29 Un pr t d Etat Etat correspond un pr t octroy des conditions tr s favorables par l Etat belge aux pays en d veloppement en vue de financement concessionnel l exportation de bien d quipement et de service connexes d origine belge Depuis 2002 les pr ts d Etat Etat aux Pays les Moins Avanc s sont d li s SPF Finances SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement FINEXPO Rapport annuel 2006 pp 36 37 30 L on pense notamment aux pr ts des tats trangers dont l octroi est conditionn l avis consultatif de FINEXPO 31 Nous reviendrons plus loin sur le cas particulier des acteurs indirects 16 Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement ou d autres SPF Pour ces derniers en particulier la question du champ d application de la loi se pose d autant plus que l on observe r cemment une forte augmentation de leurs contributions l APD de 38 millions d euros en en 2004 pres de 90 millions en 2006 2 5 Sur le contenu et la mise en uvre de la loi Pour appr cier la pertinence de la loi du 25 mai 1999 en vue de son ventuelle r vision il nous a sembl important de reprendre quelques donn es et appr ciations relatives a la mise en uvre de la loi de 1999 Pour ce faire nous n
31. e la recherche d un plus grand ciblage g ographique Cette proposition fait l objet de beaucoup de discussions au sein de la DGCD et avec les acteurs de la coop ration indirecte quant aux modalit s d ex cution d une telle harmonisation Du c t des ONG 11 11 11 en particulier on estime que les dispositions et modalit s d ex cution relatives aux ONG devraient rester en dehors de la loi Dans une ventuelle nouvelle loi les ONG souhaiteraient que la sp cificit et l autonomie des acteurs indirects soient mentionn es En termes d harmonisation les ONG 11 11 11 se disent ouvertes au dialogue mais pensent que l harmonisation devrait en premi re instance tre stimul e entre ONG et que l harmonisation entre acteurs directs et indirects n est pas possible dans tous les domaines c Les organisations non gouvernementales ONG L article 10 pr voit une proc dure d agr ment pour les organisations non gouvernementales et fixe des crit res de base La loi attribue au Roi la comp tence de d terminer la proc dure et les modalit s d agr ment A l exception de la conformit aux objectifs et de l attention aux crit res de pertinences fix s par la loi l ensemble des crit res repris dans la loi du 25 mai 1999 taient d j envisag s par l arr t royal du 18 juillet 1997 en son article 3 Cet arr t royal mettait en place un financement sur base de programmes quinquennaux concr tis s annuel
32. en uvre par le gouvernement lors de la s lection de 2000 la d marche n a plus t expos e lors de l adoption de l arr t royal du 26 janvier 2004 De l avis g n ral on reconna t donc que le choix reste politique Cette remarque a aussi t formul e par l valuation de la coop ration bilat rale directe r alis e en 2005 par Ecorys amp South Research Malgr des crit res de s lection tr s pr cis il n est pas toujours vident pour tout le monde de savoir pourquoi certains pays sont d sign s comme prioritaires aux yeux de la Coop ration bilat rale belge au d veloppement et d autres pas Du point de vue de la lutte contre la pauvret on explique difficilement par exemple pourquoi la Belgique est rest e au Vietnam mais a quitt le Laos et le Cambodge D autres consid rations politiques peuvent avoir jou un r le en la mati re gt Ainsi sur les 18 pays actuels de concentration sept ne font pas partie des pays bas revenus c est dire ayant PNB habitant lt US 905 Equateur Territoires Palestiniens Alg rie Afrique du Sud Maroc P rou Bolivie Des questions sont pos es sur le crit re relatif l exp rience pertinente et actuelle de la coop ration internationale belge relative au pays partenaire Cela signifierait il que la Belgique ne puisse intervenir dans un pays dans lequel elle n a aucune exp rience Par ailleurs certains s interrogent sur l application d un crit
33. et qui se distingue de l agr ment simple L agr ment simple est accord pour une p riode de 5 ann es tandis que l agr ment programme est accord pour une p riode de 10 ann es Un arr t royal du 24 septembre 2006 d finit les projets et programmes subsidiables des ONG agr es L article 9 de celui ci et l arr t minist riel du 30 mai 2007 pr voient une concentration g ographique pour les projets et non les programmes concentration qui recouvre mais va au del des pays de concentration de la coop ration bilat rale directe Un arr t royal du 7 f vrier 2007 r git l agr ment et la subvention des F d rations des organisations non Joe DER RS de d veloppement Une f d ration est reconnue par r gime linguistique L article 10 de la loi du 25 mai 1999 pr voit neuf crit res de s lection qui se voient pr cis s par l arr t royal du 14 d cembre 2005 et auxquels l octroi de l agr ment simple est subordonn 1 Le fait d tre constitu e sous la forme d une ASBL ou d une soci t finalit sociale 2 Le fait d avoir comme objet social principal la coop ration au d veloppement 3 Le fait d avoir une exp rience pertinente et actuelle dans un ou plusieurs domaine s d activit s d fini s par le Roi et le prouver en d posant des rapports d activit s sur le fonctionnement des trois derni res ann es et d tre pr t se soumettre une valuation de son fonctionnement suiv
34. la coop ration par voie de r gie et celle des regles locales lorsque la mise en ceuvre a lieu par voie de cogestion avec les partenaires locaux Certains acteurs font tat de la difficult de favoriser l alignement avec les besoins pratiques en raison de ces contraintes administratives ou voquent galement la difficult d appliquer certaines proc dures vis a vis des pays partenaires Les contraintes pesant sur certains acteurs avaient par ailleurs fait l objet d une remarque lors de l valuation par les pairs du CAD qui mentionne la possibilit de se limiter un contr le ex post pour certaines cat gories de d penses en mati re de coop ration b Evolutions du contexte national Certaines volutions de la l gislation nationale ont galement t voqu es comme influant sur le contexte dans lequel voluent les acteurs de la coop ration internationale belge Les comp tences des communaut s et des r gions En 1999 le l gislateur ordinaire estimait que des synergies devaient tre d velopp es avec les coop rations communales provinciales r gionales communautaires et europ ennes La r forme institutionnelle de 2001 et l introduction d un article 6ter dans la loi sp ciale du 8 ao t 1980 impliquait que des crit res de d marcation des comp tences entre Etat f d ral communaut s et r gions soient tablis avant le 1 janvier 2004 Cette disposition n a pas t mise en uvre ce jour et est
35. mai 2008 1 Bureau pour la 1 Bureau pour la Bureau pour la coordination de l aide coordination de l aide coordination de laide humanitaire OCHA humanitaire OCHA humanitaire OCHA 2 Groupe consultatif de 2 Groupe consultatif de Groupe consultatif de Recherche Agronomique Recherche Agronomique Recherche Agronomique International CGIAR International CGIAR International CGIAR 3 Bureau du Haut 3 Bureau du Haut Bureau du Haut Commissaire aux Droits Commissaire aux Droits Commissaire aux Droits de l Homme HCDH de l Homme HCDH de l Homme HCDH 4 Institut pour la 4 Institut pour la D mocratie et l Assistance D mocratie et l Assistance lectorale IDEA lectorale IDEA 5 Comit international de la 5 Comit international de la Comit International de la Croix Rouge CICR Croix Rouge CICR Croix Rouge CICR 6 Organisation 6 Organisation Organisation Internationale du Travail Internationale du Travail Internationale du Travail OIT OIT OIT 7 Organisation Organisation Internationale pour la Internationale pour la Migration OIM Migration OIM 7 Union mondiale pour la Nature UICN 8 Organisation des Nations 8 Organisation des Nations Organisation des Nations Unies pour l Alimentation Unies pour l Alimentation Unies pour l Alimentation et l Agriculture FAO et l Agriculture FAO et l Agriculture FAO 9 Programme commun des 9 Programme commun des Programme commun des Nations Unies
36. nat selon les modalit s fix es par le Roi Elles sont valu es et adapt es au moins tous les quatre ans au contexte modifi de la coop ration internationale selon les modalit s fix es par le Roi Sous section III Concentration th matique Art 8 ler La coop ration internationale belge dans les secteurs vis s l article 6 de la pr sente loi tient compte de fa on permanente des quatre th mes transsectoriels suivants 1 le r quilibrage des droits et des chances des femmes et des hommes 2 le respect de l environnement 3 l conomie sociale 4 le respect des droits de l enfant 80 2 Pour chacun de ces th mes transsectoriels une note strat gique dont la proc dure et les modalit s d laboration sont fix es par le Roi pr cise la strat gie de d veloppement Les notes strat giques vis es l alin a pr c dent sont transmises avec l avis du Conseil f d ral du d veloppement durable la Chambre des repr sentants et au S nat selon les modalit s fix es par le Roi Elles sont valu es et adapt es au moins tous les quatre ans au contexte modifi de la coop ration internationale selon les modalit s fix es par le Roi Section II Coop ration multilat rale Art 9 La coop ration internationale belge concentre la coop ration multilat rale sur une vingtaine d organisations internationales s lectionn es selon une proc dure et des modalit s fix es par le Roi co
37. part en termes d appropriation par les pays partenaires Est ce l avantage comparatif de l offre ou les besoins de la demande qui d terminent le secteur et les types d intervention et d autre 154 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 p 12 155 Cour des comptes Commentaires et observations sur les projets de budget de l Etat pour l ann e budg taire 2008 Rapport adopt en assembl e g n rale le 2 avril 2008 http www ccrek be docs Reports 2008 2008 09 Budget2008 pdf 8 juillet 2008 156 Code de conduite de l UE sur la compl mentarit et la division du travail dans la politique de d veloppement Conclusion du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du 15 mai 2007 http register consilium europa eu pdf fr 07 st09 st09558 fr07 pdf 5 mai 2008 p 12 Les versions ant rieures du texte voquaient une concentration sur deux secteurs 157 Code de conduite de l UE sur la compl mentarit et la division du travail dans la politique de d veloppement Conclusion du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du 15 mai 2007 http register consilium europa eu pdf fr 07 st09 st09558 fr07 pdf
38. pour la d finition des strat gies de coop ration au d veloppement de la Belgique pour la mise en uvre des canaux de coop ration directe indirecte et multilat rale pour l alignement de la Belgique sur les priorit s et les proc dures des pays partenaires et pour la concertation entre les pays donateurs Dans quelle mesure son actualisation peut elle la rendre davantage pertinente ces diff rents gards Les d finitions objectifs crit res et principes de base qui figurent dans la loi tels que les th mes transversaux les crit res de s lection pour la coop ration bilat rale directe les crit res de s lection pour la coop ration indirecte O O O o les crit res de s lection pour la coop ration multilat rale 67 o les objectifs de synergie avec la coop ration des communes provinces r gions et communaut s ainsi qu avec la coop ration europ enne o la concentration g ographique o la concentration th matique o la concentration th matique transversale sont ils adapt s aux besoins actuels de la coop ration au d veloppement 4 2 Coh rence Les d finitions objectifs crit res et principes de base qui figurent dans la loi sont ils coh rents avec le contexte international actuel constitu par o les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement la D claration de Monterrey la D claration de Rome la D claration de Paris le Consensus europ en sur le D veloppement Oo O
39. qui les concerne dans la mesure o leur ind pendance leur permet de jouer un r le sp cifique en termes d innovation ou de chiens de garde par rapport aux options adopt es par les pays du Sud Harmonisation Selon la D claration de Paris 842 les bailleurs devraient s employer rendre leurs actions mieux harmonis es plus transparentes et pertinentes et permettre une plus grande efficacit collective La question de l harmonisation se pose entre bailleurs internationaux mais aussi entre bailleurs gouvernementaux et non gouvernementaux issus d un m me pays Au niveau national nous avons d j mentionn la question de la r partition des comp tences entre l Etat f d ral les communaut s et les r gions laquelle s ajoute la n cessit du dialogue avec les acteurs indirects 151 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 p 7 50 Au niveau international l harmonisation de l action des diff rents donateurs doit tre envisag e en tenant compte simultan ment du principe d appropriation et du maintien du d bat d id es au niveau international Gestion ax e sur les r sultats Selon la D claration de Paris 8 43 46 tant les donneurs que les pays par
40. ration au d veloppement en Belgique coincid rent avec des changements majeurs de la politique de d veloppement au plan international En 2000 l Assembl e G n rale des Nations Unies adopta les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement qui visent la r duction d ici 2015 de la pauvret dans ses dimensions multiples et la promotion du d veloppement durable A la m me poque la Banque mondiale donna une impulsion une vision novatrice de la coop ration au d veloppement Si de 1960 1980 l accent avait t mis sur l aide projet et de 1980 2000 sur les politiques d ajustement structurel et l aide programme partir de 2000 de nouvelles modalit s de coop ration en particulier les strat gies de r duction de la pauvret et l aide budg taire s impos rent En 2002 une Conf rence internationale des Nations Unies adopta le Consensus de Monterrey qui fixa des objectifs ambitieux en mati re de financement du d veloppement notamment celui d atteindre 0 7 du P N B pour l aide publique au d veloppement En 2005 la D claration de Paris sur l efficacit de l aide au d veloppement constitua un autre texte fondateur qui mit en avant les principes d appropriation d harmonisation d alignement de gestion ax e sur les r sultats et de responsabilit mutuelle L Union europ enne et la Belgique appuient r solument la D claration de Paris Adopt lui aussi en 2005 le Consensus europ en sur le D veloppement tabl
41. rattach e au secteur priv mais aussi au caract re trop limit de l expertise th matique et son manque de continuit L examen par les pairs du CAD rel ve que la Belgique s est dot e au sein de la CTB et de la DGCD d une expertise th matique mais que celle ci est trop r duite exemple une seule personne est identifi e pour suivre la question du genre la DGCD Les interviews r v lent par ailleurs la difficult en termes de gestion du personnel de conserver des profils sp cialis s dans les th matiques pr vues par la loi En termes quantitatifs selon la Belgique les activit s strictement affect es au th me galit homme femme se monteraient 1 8 million EUR en 2003 soit 0 19 du total de l aide hors annulation de la dette Ceci constitue une progression par rapport a 2001 0 15 mais un recul par rapport 2002 0 26 Le marqueur galit homme femme utilis dans la notification de la Belgique au CAD l exception des donn es transmises par les entit s f d r es donne des r sultats un peu plus favorables plus de 10 de l aide au secteur population sant et fertilit vise l galit homme femme ce qui est le cas pour 5 10 de l aide l ducation de base et pour moins de 5 de l aide en ce qui concerne la sant de base et l eau et l assainissement A propos des th mes genre et environnement l examen par les pairs de l OCDE relevait qu il conviendrait de ve
42. relative la coop ration internationale belge en ce qui concerne l attention aux droits de l enfant M B 7 septembre 2005 Loi du 14 juin 2005 relative au suivi de l action gouvernementale en ce qui concerne les objectifs du mill naire pour le d veloppement M B 14 juillet 2005 Loi du 15 janvier 2003 portant assentiment l Accord de partenariat entre les Membres du Groupe des Etats d Afrique des Cara bes et du Pacifique d une part et la Communaut europ enne et ses Etats membres d autre part et aux Annexes Ire II III IV V et VI sign s a Cotonou le 23 juin 2000 M B 28 mars 2003 Loi du 3 novembre 2001 relative a la cr ation de la Soci t belge d Investissement pour les Pays en D veloppement et modifiant la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 17 novembre 2001 Loi sp ciale du 13 juillet 2001 portant transfert de comp tences aux r gions et communaut s M B 3 ao t 2001 art 6 103 104 Loi programme du 2 janvier 2001 M B 3 janvier 2001 et Erratum M B 13 janvier 2001 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 1 juillet 1999 Loi du 9 f vrier 1999 cr ant un Fonds belge de survie M B 27 f vrier 1999 Loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 30 d cembre 1998
43. subventions de l Etat belge pour leurs activites en matiere de coop ration au d veloppement 5 coop ration bilat rale directe programmes ou projets dans un pays partenaire finances par l Etat belge sur base d une convention entre les deux pays 6 coop ration bilat rale indirecte la coop ration financ e ou cofinanc e par l Etat belge dans laquelle un tiers qui n est pas un Etat tranger ni une organisation internationale r pond de l ex cution des programmes ou des projets sur la base d un syst me r glementaire de subventions ou d une convention 7 coop ration multilat rale programmes ou projets financ s par l Etat belge et ex cut s par une organisation internationale et des contributions belges des organisations internationales pour leurs programmes ou projets de d veloppement 8 programme ensemble coh rent d objectifs court ou moyen terme ax directement ou indirectement sur une am lioration structurelle et durable de la position de groupes d individus et d individus issus des cat gories sociales pauvres des pays partenaires 77 99 projet initiative qui peut notamment prendre la forme d interventions de dons d aides financi res ou de bourses 10 d veloppement durable d veloppement ax sur la satisfaction des besoins actuels sans compromettre les besoins des g n rations futures et dont la r alisation n cessite un processus de changements ada
44. sur leurs sites Internet respectifs L valuateur sp cial estime pouvoir exercer sa fonction en totale autonomie en termes de choix des valuations et d acc s l information mais que des efforts pourraient encore tre faits en mati re d interaction avec le Parlement et de ressources humaines composition du service D un aper u rapide des valuations men es par l valuateur sp cial il appara t qu elles se r f rent aux DAC Principles for Evaluation of Development Assistance Il faut cependant relever que si de nombreuses valuations sont men es on s accorde dire que des efforts doivent encore tre faits en termes de culture d valuation au sein du secteur de la coop ration et de la DGCD en particulier On rel ve particuli rement la trop faible prise en compte des r sultats des valuations pour orienter l action Cependant l laboration de notes sectorielles sant ducation en collaboration avec des r seaux transversaux d expertise voir concentration sectorielle est consid r e comme un indice positif dans ce sens En termes d valuation l un des l ments nouveaux par rapport la loi de 1999 et sur un plan international est la volont d aller vers une gestion ax e sur les r sultats Cette volont est affich e par l administration et souhait e par les acteurs interrog s mais ces derniers s accordent dire qu un tel mode de 113 Projet de loi relatif la coop ration international
45. 1 53 3 Conclusions et recommandations L objectif principal de cette valuation tait de r aliser une lecture critique de la loi en tenant compte des d veloppements survenus depuis 1999 dans les pratiques belges et internationales et de faire des suggestions en vue de son actualisation ventuelle Dans cette partie nous allons donc synth tiser les principales conclusions que l on peut tirer de cette valuation de la loi de 1999 et formuler des recommandations 3 1 Question centrale Faut il r viser la loi de 1999 L examen de la loi de 1999 s est ax autour de la question de savoir si cette loi devrait tre totalement remani e ou profond ment r vis e Clairement la r ponse a cette question est que par rapport aux besoins du secteur belge et international de la coop ration au d veloppement il n y a pas de n cessit de r viser profond ment la loi S il est vrai que la loi s av re lacunaire sur certains points elle n entre pas fondamentalement en contradiction avec les nouveaux paradigmes et instruments de l aide qui se sont d velopp s et ont t adopt s depuis 1999 et elle offre toujours un cadre pertinent pour les interventions de coop ration Il n y a donc aucune n cessit de proc der dans l urgence l adaptation de celle ci En l absence de r vision profonde de la loi de 1999 notons qu il conviendrait de prendre un arr t royal pr voyant explicitement l entr e en vigueur des disposi
46. 27 ao t 1997 A R du 30 mai 1997 relatif au renforcement de l efficacit des instruments de soutien financier l exportation pris en application de l article 3 1er 1 et 6 de la loi du 26 juillet 1996 visant r aliser les conditions budg taires de la participation de la Belgique l Union conomique et mon taire europ enne M B 27 juin 1997 105 A R du 19 novembre 1996 relatif a l aide d urgence et de r habilitation a court terme en faveur des pays en voie de d veloppement M B 22 novembre 1996 A R du 16 novembre 1994 relatif au contr le administratif et budg taire M B 17 janvier 1995 Arr t minist riel du 30 mai 2007 portant ex cution de l arr t royal du 24 septembre 2006 relatif la subvention des programmes et projets pr sent s par les organisations non gouvernementales de d veloppement agr es M B 13 juin 2007 Loi f d rale suisse du 19 mars 1976 sur la coop ration au d veloppement et l aide humanitaire internationales Recueil officiel du droit f d ral 1977 p 1352 Recueil syst matique n 974 0 Ley 23 1998 de 7 de julio de Cooperaci n Internacional para el Desarrollo BOE n 162 8 juillet 1998 http www boe es g es bases datos doc php coleccion iberlex amp id 1998 16303 7 juillet 2008 Legge 26 febbraio 1987 Nuova disciplina della cooperazione dell Italia con i Paesi in via di sviluppo Gazz Uff n 49 28 f vrier 1987 http www governo it Presidenz
47. 3 La Soci t belge d investissement pour les Pays en D veloppement BIO 2 3 4 Le SPF Affaires Etrang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement 2 4 Sur le champ d application de la loi 2 5 Sur le contenu et la mise en uvre de la loi 2 5 1 D finition des objectifs art 3 2 5 2 Notes strat giques 2 5 3 Concentration g ographique de la coop ration bilat rale directe art 6 2 5 4 Concentration sectorielle de la coop ration bilat rale directe art 7 2 5 5 Concentration th matique de la coop ration bilat rale directe art 8 2 5 6 Concentration de la coop ration multilat rale art 9 2 5 7 Coop ration bilat rale indirecte art 10 et 11 2 5 8 Protection contre la technique des fonds vautours art 11bis 2 5 9 Pertinence et valuation art 4 et 5 2 6 Sur l volution du contexte national et international 2 6 1 Remarques m thodologiques 2 6 2 Au niveau national 2 6 3 Au niveau international O Oo U1 U1 U1 U W 10 12 13 13 14 14 15 15 15 17 18 19 25 30 32 36 40 40 42 42 44 3 Conclusions et recommandations 3 1 Question centrale Faut il r viser la loi de 1999 3 2 Points d attention en cas de r vision 3 2 1 Processus 3 2 2 Champ d application 3 2 3 Type de loi 3 2 4 Contenu 3 2 5 Harmonisation des pratiques Annexes Bibliographie 55 55 55 56 56 57 61 63 103 1 Introduction Cette valuation de la loi du 25 mai 1999 relative la coop rati
48. 5 mai 2008 pp 12 13 52 part en termes de standardisation des approches mises en ceuvre dans certains secteurs Renforcement de capacit s Le renforcement de capacit s est l un des principes transversaux des paradigmes dominants de l aide au d veloppement Ce principe tait d j repris dans l article 4 de la loi de 1999 comme un des crit res de pertinence au d veloppement des actions de coop ration pos s par le CAD de l OCDE Dans leur majorit les personnes interview es insistent galement sur la n cessit de prise en compte du renforcement de capacit s pour l ensemble des acteurs des pays partenaires gouvernement parlement soci t civile tout comme de la notion de long terme Dans son Plan pour l harmonisation et l alignement la DGCD pr voit un ensemble de mesures visant au renforcement de capacit s dont le choix pr f rentiel de la modalit d ex cution nationale du b n ficiaire et non d un syst me parall le mis en place par le donateur l int gration des structures de concertation dans les enceintes nationales et le passage une approche programme pour les projets encore en cours d ex cution 158 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 p 1
49. 6934 19485110 17158045 Total 5 secteurs 28 83 26 34 27 66 27 35 24 93 Total Education 6156427 4870110 8528590 9178295 17482628 Total 5 secteurs 13 66 9 50 12 45 12 88 25 40 Total final par ann e 45057146 51271306 68488177 71242254 68826981 belge Statistique DGCD Analyse des services de D penses 2003 14146189 21 63 760635 1 16 21582013 33 00 12918658 19 76 15983451 24 44 65390946 D penses 2004 12685245 19 47 1990054 3 05 18363715 28 18 12773632 19 60 19351057 29 70 65163703 D penses 2005 19191994 19 79 3611896 3 72 36279731 37 40 19811377 20 42 18104270 18 66 96999268 D penses 2006 34965223 26 73 1385005 1 06 42561424 32 54 23220479 17 75 28667619 21 92 130799749 D penses 2007 28086608 21 04 2236430 1 68 50665134 37 95 19409388 14 54 33115070 24 80 133512630 TOTAL ISECTEUR 157639694 19 79 15063884 1 89 292388892 36 70 170222174 21 36 161437516 20 26 796752160 29 Comme nous l avons mentionn les secteurs de concentration inscrits dans la loi de 1999 taient avant cette date d j des domaines dans la plupart desquels la Belgique tait d j fortement pr sente tant en termes de montants allou s qu en termes d expertise Le tableau 1 d montre la mise en uvre de la concentration sectorielle puisque l on observe d un
50. 9 joint act pdf 19 juin 2009 ley 23 1998 de 7 de julio de Cooperaci n Internacional para el Desarrollo BOE 162 8 juillet 1998 http www boe es g es bases_datos doc php coleccion iberlexgid 1998 16303 7 juillet 2008 legge 26 febbraio 1987 Nuova disciplina della cooperazione dell Italia con i Paesi in via di sviluppo Gazz Uff n 49 28 f vrier 1987 http www governo it Presidenza DICA ottopermille aggiornamento legge 49 87 pdf 7 juillet 2008 loi f d rale suisse du 19 mars 1976 sur la coop ration au d veloppement et l aide humanitaire internationales Recueil officiel du droit f d ral 1977 p 1352 Recueil syst matique n 974 0 13 Ce qui frappe a la lecture de la loi du 25 mai 1999 c est qu elle ne fait quasiment pas r f rence aux engagements internationaux de l poque si ce n est pour l identification des pays en voie de d veloppement par l OCDE et les principes d valuation fix s par le CAD De plus bien que l objectif de 0 7 du RNB et le principe du d liement de l aide aient t deux l ments importants dans l esprit des acteurs de l poque on ne retrouve pas mention de ceux ci dans la loi du 25 mai 1999 Enfin la loi ne mentionne pas certains leviers importants dans le d ploiement de l APD Divers textes instituant des acteurs institutionnels et instruments qui participent l APD f d rale font toutefois r f rence la loi du 25 mai 1999 ou a ses principes directeurs N
51. Alignement de l aide 8 juin 2007 p 16 51 Pr visibilit de l aide Ce principe vise a ce que les bailleurs de fonds fassent en sorte de rendre pr visible l aide qui sera fournie dans l avenir Des interviews et de l analyse il ressort que ce principe est fondamental pour l efficacit et la construction de partenariat avec les pays partenaires mais aussi pour les acteurs directs et indirects qui se heurtent dans leur programmation au manque de pr visibilit et de continuit de l aide La loi de 1999 ne prenait pas en compte cette donn e Les accords de coop ration successifs pr vus pour une courte dur e avec les pays partenaires n int grent pas la notion de pr visibilit Les strat gies de sortie exit strategies qui sont maintenant labor es traduisent une r flexion autour de la probl matique de la pr visibilit de l aide Dans le Plan pour l harmonisation et l alignement de la DGCD l am lioration de la pr visibilit de l aide belge est pos e comme une n cessit prioritaire et des modalit s dans ce sens sont envisag es en termes de communication en temps utile aux Minist res concern s des pays partenaires et en termes d aide budg taire En dehors de m canismes de coop ration avec le pays partenaire un r alisme budg taire est requis pour assurer la pr visibilit Division du travail La division du travail est un principe introduit par le Code de conduite de l Union europ enne L une d
52. La loi pr voit que les projets qui visent un des pays de concentration de la coop ration bilat rale directe sont pr f r s Sans toutefois faire express ment r f rence la loi du 25 mai 1999 puisqu elle est post rieure la loi cr ant le FBS 2 3 3 La Soci t belge d Investissement pour les Pays en D veloppement BIO La loi du 3 novembre 2001 pr voit la cr ation de la Soci t belge d Investissement pour les Pays en D veloppement Cette loi pr voit express ment que BIO devra respecter les crit res de pertinence au d veloppement pr vu par l article 4 de loi du 25 mai 1999 et que les d cisions contraires pourront tre suspendues par lun des commissaires du gouvernement puis annul es par le membre du gouvernement ayant en charge le budget ou la coop ration au d veloppement 2 3 4 Le SPF Affaires Etrang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement L arr t royal du 8 mars 2002 cr e le SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement qui se voit explicitement confier la mission d organiser et d laborer la coop ration internationale au d veloppement conform ment la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge qui est de la sorte un instrument de r f rences important pour ce SPF 2 4 Sur le champ d application de la loi L article 2 de la loi du 25 mai 1999 d finit la coop ration internationale belge et par l m
53. Methode Banque Mondiale 22 pr sence dans ce qui est qualifi de pays laboratoire dans lesquels des donateurs exp rimentent de nouveaux concepts et modalit s de l aide Plus largement la liste de crit res repris l art 6 1 n a pas t assortie d un mode d emploi Ceux ci font l objet d une appr ciation globale qui offre une large marge de man uvre lors de la s lection Ceci soul ve diverses questions Combien de crit res doivent tres cumul s Certains crit res ont ils plus de poids que d autres d Les notes strat giques g ographiques AU minimum quatre notes strat giques n ont pas t r alis es B nin Maroc Mozambique Niger La note Alg rie a t annonc e la Chambre des repr sentants le 9 octobre 2007 mais nous n avons pas pu en prendre connaissance Pr s de la moiti des notes ont t labor es l g rement hors d lai et aucune n a fait l objet de r vision Des entretiens il ressort un quasi consensus pour dire que ces notes n ont que peu t utilis es et que les pays concern s n ont pas eu de droit de regard lors de leur laboration ce que l arr t royal du 17 septembre 2000 ne pr voyait d ailleurs pas Une valuation conjointe conduite par DFID dans le cadre de l valuation par les services d valuation de l Union europ enne des 3C du Trait de Maastricht comporte une appr ciation des notes strat giques pays de plusieurs Etats membres dont la B
54. ON DE LA LOI PROMULGATION D UNE NOUVELLE LOI 4 1 4 2 4 3 La loi de 1999 devrait elle tre r vis e Si non pourquoi Si oui quel type de cadre juridique devrait tre envisag loi cadre etc Les nouveaux paradigmes de la coop ration au d veloppement sont ils pris en compte par la loi Quels nouveaux paradigmes devraient tre pris en compte dans un prochain cadre juridique Comment prendre en compte ces nouveaux paradigmes int grer les nouveaux instruments tels que les objectifs du Mill naire pour le D veloppement la D claration de Monterrey la D claration de Rome la D claration de Paris le Consensus europ en sur le D veloppement Si la loi est r vis e que faudrait il en termes d objectifs de contenu de strat gies de proc dures administratives de coordination etc et pourquoi conserver de la loi de 1999 ne pas conserver de la loi de 1999 fixer dans la loi ou laisser au gouvernement la possibilit d adapter Quels domaines devraient tre pris en compte Quid de l aide humanitaire en particulier 4 4 Que pourrait on apprendre des autres lois existantes autrichienne et suisse sur la cooperation au d veloppement 95 Universit catholique deLouvain 4 Louvain ne UCL A LEUVEN ie EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 5 LISTE DES PERSONNES INTERROGEES L quipe en charge de l valuation remercie l
55. ROYAUME DE BELGIQUE Service Public F d ral Affaires etrangeres Commerce exterieur et Coop ration au D veloppement valuation de la loi du 25 mai 1999 relative a la cooperation internationale belge Service de l valutation sp de la Coop ration au D velop Coop ration a m nh g W m Z A N fo oo lt gt es 5 Z g m i gt T 2 g N ul m gt lt m gt en gt N U m 5 o Z Z m Pas 5 o Z gt us m WW m T a m Service de l valuation sp ciale de la Coop ration au D veloppement Egmont e rue des Petits Carmes 15 B 1000 Bruxelles e www diplomatie be www dgcd be ses dbe diplobel fed be La coop ration belge D p t l gal n 0218 2008 48 d cembre 2008 au d veloppement Couverture Rapport Loi 1999 inddl 1 18 12 2008 14 06 17 PM Service d valuation sp ciale SFP Affaires Etrangeres Commerce ext rieur et Coop ration au d veloppement Evaluation de la loi du 25 mai 1999 relative a la coop ration internationale belge fe UCL 3 eal babe i catholique sss de Louvain or U C Louvain D partement de droit public U C Louvain D partement des Sciences de la Population et du D veloppement EWEN m Ste K U Leuven Hoger Instituut voor de Arbeid Le Service de l Evaluation Sp ciale a assur la conformit de l valuation aux termes de r f r
56. a DICA ottopermille aggiornamento legge 49 87 pdf 7 juillet 2008 Austrian Federal Act on Development Cooperation 2002 including its Amendment 2003 traduction en anglais traduction officieuse http www bmeia gv at fileadmin user upload bmeia media 2 Aussenpolitik Zentrale EZA englisch 269 joint act pdf 19 juin 2008 DOCUMENTS PARLEMENTAIRES 106 Note de politique g n rale du ministre de la Coop ration au D veloppement Doc Parl Ch repr sess ord 2007 2008 n 0995 22 Projet de budget g n ral des d penses pour l ann e budg taire 2008 Doc Parl Ch repr sess ord 2007 2008 n 0994 1 Expos g n ral des budgets des recettes et des d penses pour l ann e budg taire 2008 Doc Parl Ch repr sess ord 2007 2008 n 0992 1 Proposition de loi visant a sauvegarder la coop ration au d veloppement et l allegement de la dette a la suite de l intervention de fonds vautours Doc Parl S n sess ord 2007 2008 n 4 482 Expos g n ral des budgets des recettes et des d penses pour l ann e budg taire 2007 Doc Parl Ch repr sess ord 2006 2007 n 2703 1 Ontwerp van kaderdecreet inzake ontwikkelingssamenwerking Parl St VI Parl VI Parl sess ord 2006 2007 n 1033 1 Ontwerp van decreet betreffende de microfinanciering in ontwikkelingslanden door middel van waarborgverlening aan ontwikkelingsfondsen Advies van de Raad van State sess ord 2003 2004 n 2098 1 pp
57. ainsi que du respect de la dignit humaine des droits de l homme et des libert s fondamentales avec une attention particuli re pour la lutte contre toute forme de discrimination pour des raisons sociales ethniques religieuses philosophiques ou fond es sur le sexe En outre la coop ration f d rale se voit galement confier la mission de favoriser les synergies avec les coop rations communales provinciales r gionales communautaires et europ ennes dans un but d amplification favorable vis vis des b n ficiaires de l assistance oe Statistiques de l APD publique belge au d veloppement 2003 2007 chiffres provisoires http www dgcd be fr statistiques index html consult le 12 juin 2008 33 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 3 34 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Expos des motifs Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 5 35Loi du 25 mai 1999 relative a la coop ration internationale belge art 3 al 2 361 oj du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 3 al 3 17 Enfin la coop ration internationale belge doit favorise r le d veloppement socio conomique et socioculturel ainsi que le renforcement de l assise soci tale des pays partenaires et sensibilise r l opinion publique belge Des interviews il ressort que ces objectifs sont percus positivement II
58. aire A RES 55 2 2000 136 Objectifs du Mill naire pour le d veloppement http unstats un org unsd mifre pdf mdglist_f pdf 5 mai 2008 45 2002 Le Consensus Conf rence sur le financement 22 mars 2002 Monterrey issu de internationale d veloppement adopt s le Une r solution de l Assembl e g n rale de l Organisation des Nations Unies du 9 juillet 2002 a adopt le Consensus de Monterrey fruit d une Conf rence internationale sur le financement du d veloppement Financement du D veloppement 2002 La D claration Johannesburg sur D veloppement ainsi que le mondial pour d veloppement adopt 2002 durable d application du Sommet durable le 4 septembre Ces textes ont t adopt s par le Sommet mondial pour le d veloppement durable 8 D veloppement Durable Forums Internationaux 2003 La D claration de Rome Ce texte est le fruit d un Harmonisation sur l harmonisation du 25 Forum de Haut Niveau f vrier 2003 organis Rome les 24 et 25 f vrier 20031 2004 Le M morandum Le M morandum conjoint de Gestion ax e sur les du 5 f vrier 2004 conjoint de Marrakech Marrakech est le fruit de la Deuxi me table ronde internationale sur la gestion ax e sur les r sultats r sultats 137 A RES 56 210 B 2002 R solution adopt e par l Assembl e g n rale Conf rence internationale su
59. aires de la coop ration multilat rale M B 2 avril 2003 A R du 17 f vrier 2003 portant cr ation d un service Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale M B 19 f vrier 2003 A R du 23 d cembre 2002 portant ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative a la Coop ration internationale belge M B 20 janvier 2003 A R du 23 octobre 2002 portant assentiment au deuxi me contrat de gestion entre l Etat belge et la soci t anonyme de droit public finalit sociale Coop ration technique belge M B 21 novembre 2002 A R du 25 avril 2002 portant ex cution de l article 12 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale M B 30 avril 2002 A R du 8 avril 2002 modifiant l A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 30 avril 2002 A R du 8 mars 2002 portant cr ation du Service public f d ral Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement M B 15 mars 2002 A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25 mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge M B 31 ao t 2000 A R du 27 avril 2000 d terminant les organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale M B 16 juin 2000 A R du 25 avril 2000 portant ex cution de la loi du 9 f vrier 1999 cr ant le Fo
60. alement confectionn e en vue d assurer une unit de lecture et de recueil de donn es Des r unions r guli res seront organis es avec Dominique de Crombrugghe Evaluateur sp cial Service de l Evaluation sp ciale SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au d veloppement afin de pr senter le niveau d avancement de l valuation et les r sultats interm diaires 76 ji LUN EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 3 VERSION CONSOLID E DE LA LOI Universit i catholique deLouvain 4 Le UCL op 25 MAI 1999 Loi relative la coop ration internationale belge Mise jour au 16 05 2008 TITRE I Dispositions g n rales Article 1 La pr sente loi r gle une mati re vis e l article 78 de la Constitution D finitions Art 2 Dans la pr sente loi on entend par 1 coop ration internationale belge les actions et contributions de l Etat belge en mati re de coop ration bilat rale directe multilat rale et bilat rale indirecte 2 ministre le membre du gouvernement qui a la Coop ration internationale belge dans ses attributions 3 pays partenaire pays consid r comme pays en voie de d veloppement par le Comit d aide au d veloppement de l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques 4 organisations autres que gouvernementales organisations qui peuvent tre agr es par le ministre et qui peuvent b n ficier de
61. ales en mati re de coop ration au d veloppement et a faire des suggestions en vue de son actualisation 1 2 M thodologie et limites de l valuation 1 2 1 M thodologie La note m thodologique relative cette valuation est reprise en annexe 2 1 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 1 juillet 1999 Pour conduire cette valuation l quipe a labor un processus constitu de quatre phases 1 tablir la photographie de la loi du 25 mai 1999 dans l tat dans lequel elle se trouve aujourd hui 2 recenser les faits et les actes nationaux et internationaux qui se sont produits entre la date de promulgation de la loi du 25 mai 1999 et aujourd hui 3 mesurer ce qui s pare les faits et les actes qui se sont produits depuis le 25 mai 1999 du dispositif actuellement en vigueur de la loi du 25 mai 1999 4 valuer si et dans quelle mesure la loi du 25 mai 1999 m riterait d tre amend e Les principales sources d informations sont une analyse documentaire l gislation statistiques valuations enqu tes litt rature scientifique reprises en bibliographie en annexe 8 et des entretiens avec des acteurs ayant contribu la formulation de la loi de 1999 et des acteurs directement indirectement concern s par la loi de 1999 liste des personnes interrog es en annexe 5 Ces entretiens ont t conduits sur base d un guide d entretien annexe 4 Nous avons galement assist
62. alification peut tre envisag e dans la loi elle m me mais la place de documents strat giques ou op rationnels que ceux ci soient ou non pr vus par la loi peut galement tre significative Une loi r vis e pourrait galement mentionner l importance de la compl mentarit sectorielle entre acteurs belges pour aller vers plus d efficacit de l aide en accord avec la D claration de Paris En outre des lieux de rencontres entre acteurs pourraient tre propos s mais pas n cessairement impos s et couvrir largement les pratiques qui influent sur la coop ration Enfin en termes de plus value ou d expertise justifiant l avantage comparatif d un pays il convient d tre relatif M me pour un secteur l expertise belge est parfois plus d velopp e dans certaines niches de ce secteur que dans son ensemble Par ailleurs l expertise n est pas une donn e statique Il convient donc d adopter une approche dynamique afin de maintenir et sp cialiser l expertise 163 min du 30 mai 2007 portant ex cution de l arr t royal du 24 septembre 2006 relatif la subvention des programmes et projets pr sent s par les organisations non gouvernementales de d veloppement agr es M B 13 juin 2007 39 existante et de ne pas fermer la porte au d veloppement d expertise dans des secteurs pour lesquels des besoins sont d j identifi s ou se r v leront l avenir f Pr occupations transversales Formul es com
63. ant la proc dure tablie par le Roi 95 A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 27 ao t 1997 art 9 96 Loi programme du 2 janvier 2001 M B 3 janvier 2001 et Erratum M B 13 janvier 2001 art 79 97 AR du 8 avril 2002 modifiant I A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 30 avril 2002 38 A R du 14 d cembre 2005 relatif aux agr ments d organisations non gouvernementales de d veloppement M B 30 d cembre 2005 99 A R du 14 d cembre 2005 relatif aux agr ments d organisations non gouvernementales de d veloppement M B 30 d cembre 2005 art 6 100 AR du 24 septembre 2006 relatif la subvention des programmes et projets pr sent s par les organisations non gouvernementales de d veloppement agr es M B 6 octobre 2006 101 Arr t minist riel du 30 mai 2007 portant ex cution de l arr t royal du 24 septembre 2006 relatif la subvention des programmes et projets pr sent s par les organisations non gouvernementales de d veloppement agr es M B 13 juin 2007 102 AR du 7 f vrier 2007 r gissant l agr ment et la subvention des F d rations des organisations non gouvernementales de d veloppement M B 22 f vrier 2007 103 AR du 7 f vrier 2007 r gissant l agr ment et la subvent
64. ar les principaux donateurs Enfin le rapport d valuation de la coop ration bilat rale directe pose galement la question de la fragmentation g ographique des activit s dans un pays partenaire La Belgique est par exemple active dans toutes les r gions de la RDC 60 ECORYS Nederland BV et South Research Belgium Belgique Evaluation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l valuation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 p 39 61 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 p 32 62 ECORYS Nederland BV et South Research Belgium Belgique Evaluation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l valuation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 63 Source http www oecd org countrylist 0 3349 fr 2649 33721 25602317 1 1 1 1 00 html 8 juillet 2008 24 2 5 4 Concentration sectorielle de la coop ration bilat rale directe art 7 L article 7 de la loi du 25 mai 1999 pr voit une concentration de la coop ration bilat rale directe sur cing secteurs a titre principal Les secteurs de concentratio
65. ationales P riode 2001 2006 DGCD ao t 2007 8 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Rapport fait au nom de la commission des relations ext rieures Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 5 pp 12 et 26 Projet de loi relative la coop ration internationale belge Rapport fait au nom de la commission des affaires trang res Doc Parl S n sess ord 1998 1999 n 1309 4 p 8 36 a Remarques m thodologiques La coop ration bilat rale indirecte est r gie par la loi mais galement par divers arr t s royaux d ex cution L analyse qui est op r e ici s axe sur la loi et son ex cution directe et d autres dispositions d ex cution qui r gissent les acteurs indirects ne sont qu voqu es L effet de la loi sur la coop ration bilat rale indirecte n a pas fait l objet d une appr ciation quantitative b Sur l harmonisation entre acteurs directs et indirects Des entretiens men s on d gage une volont de la DGCD comme du Ministre actuel d aller vers plus d harmonisation entre les actions des acteurs directs et indirects Cette plus grande harmonisation pourrait se traduire par l application de certains principes de concentration de la coop ration bilat rale directe aux acteurs indirects En 2005 l examen par les pairs du CAD recommandait en particulier de voir dans quelle mesure l aide indirecte compte tenu de son importance peut tre davantage associ
66. au 1 Part globale des 5 secteurs de concentration dans les montants de la coop ration bilat rale directe Statistique DGCD Analyse des services de I Evaluateur sp cial 6388928 9254667 10992202 12961575 8967064 14146189 12685245 19191994 34965223 28086608 157639694 312099 1019587 1186709 2119739 441730 760635 1990054 3611896 1385005 2236430 15063884 19207561 22620522 28833742 27497535 24777514 21582013 18363715 36279731 42561424 50665134 292388892 12992131 13506419 18946934 19485110 17158045 12918658 12773632 19811377 23220479 19409388 170222174 6156427 4870110 8528590 9178295 17482628 15983451 19351057 18104270 28667619 33115070 161437516 45057146 51271306 68488177 71242254 68826981 65390946 65163703 96999268 130799749 133512630 796752160 28 Tableau 2 Affectation sectorielle de l aide bilat rale l Evaluateur sp cial Secteurs de D penses D penses D penses D penses D penses concentration 1998 1999 2000 2001 2002 Total Infrastructures de bases y compris l eau 6388928 9254667 10992202 12961575 8967064 Total 5 secteurs 14 18 18 05 16 05 18 19 13 03 Totaal Pr vention des conflits et consolidation de la soci t 312099 1019587 1186709 2119739 441730 Total 5 secteurs 0 69 1 99 1 73 2 98 0 64 Totaal Soins de sant 19207561 22620522 28833742 27497535 24777514 Total 5 secteurs 42 63 44 12 42 10 38 60 36 00 Total Agriculture S curit alimentaire 12992131 13506419 1894
67. aux auditions conjointes de la Commission des Relations ext rieures et de la D fense du S nat et de la Commission des Relations ext rieures de la Chambre men es dans le cadre de la r flexion sur le cadre l gislatif de la Coop ration au D veloppement ainsi qu aux Assises de la Coop ration au D veloppement organis es sous l gide du Ministre de la Coop ration au D veloppement les 14 et 15 mai 2008 1 2 2 Pr cautions pr liminaires et limites de l tude Mener l valuation d une loi sur la coop ration internationale est un exercice complexe et dont les limites se doivent d tre pos es Evaluer une loi ce n est pas valuer un domaine politique ou un secteur particulier Les conditions de r alisation de cette valuation ne permettaient d ailleurs pas un tel examen Quelles que soient les appr ciations que l on peut faire de la pertinence de la loi de 1999 de son adaptation au contexte actuel et de son contenu cela ne dit rien sur l efficacit ou la pertinence de la coop ration belge Dans le cadre de cette valuation il nous a galement t demand d appr cier dans quelle mesure la loi de 1999 tait adapt e aux conceptions actuelles de la coop ration au d veloppement tant au niveau belge qu au niveau international Dans notre analyse nous avons t ch de refl ter fid lement les propos des personnes interrog es et le contenu officiel des textes internationaux Le contenu de ces textes officiels ou les paradi
68. belge relative au pays partenaire 3 La contribution du pays partenaire son d veloppement socio conomique 4 Le respect par le pays partenaire du principe de bonne gouvernance 5 L existence d une situation de crise dans le pays partenaire pour laquelle la Coop ration internationale belge peut intervenir sur le plan international dans la r solution du conflit et la pr vention de nouveaux actes de violence 6 Le degr d int gration r gionale du pays partenaire dans le cadre de la coop ration r gionale 21 7 La politique en vue de faire disparaitre des discriminations et la politique d galit des chances men e par les autorit s du pays Ces crit res doivent faire l objet d une appr ciation globale Des interviews et de l analyse divers l ments ressortent sur l application de ces crit res dans le choix des pays partenaires A l origine 1999 certains r pondants r v lent que l exercice s est fait l envers on savait dans quels pays la Belgique concentrait son action et on a labor des crit res qui y correspondaient Par la suite il semble que ces crit res n aient pas t strictement appliqu s M me si des efforts ont t faits sous le secr taire d Etat Boutmans pour justifier le choix des pays partenaires sur base de ces crit res le rapport au Roi pr c dant l arr t royal du 26 juin 2000 nonce la mani re dont les crit res de s lection fix s par la loi ont t mis
69. cation des crit res de Listes des ONG s lection des ONG s lectionn es Justification du choix en fonction des crit res fix s par la loi Notes politiques des ministres successifs Autres partenaires Application des crit res de Listes des autres non s lection des autres partenaires partenaires gouvernementaux et s lectionn s universit s Justification du choix en fonction des crit res fix s par la loi Notes politiques des ministres successifs Pertinence et valuation Prise en compte des crit res fix s Rapports du CAD par le CAD Evaluations externes R alisation d valuations externes La v rification de ces diff rents indicateurs se fera par un desk study compl t par des informations collect es aupr s d informateurs cl s de la coop ration belge essentiellement des fonctionnaires collaborateurs DGCD et des collaborateurs CTB 2 Evolution du contexte national et international Un certain nombre d actes ont t pos s entre le 25 mai 1999 date de promulgation de la loi valu e et aujourd hui Sur le plan international l on songe notamment ce qu il est convenu d appeler les Objectifs du Mill naire dont la vision part de l Etat qui entend procurer une aide aux pays en voie de d veloppement Toujours sur le plan international l on songe la D claration de Paris qui l inverse des Objectifs du Mill naire appr hende la coop ration internationale
70. cette loi intensifie les possibilit s de contr le par les assembl es parlementaires Aucune disposition l gislative ne visait jusqu alors la coop ration au d veloppement de mani re sp cifique et notre connaissance seuls quatre autres pays la Suisse Italie l Espagne et l Autriche disposent d une l gislation sp cifique en la mati re Il faut cependant remarquer que les interviews ont r v l que bien souvent les personnes interrog es ne connaissaient pas pr cis ment le contenu de la loi ou l tendue de son champ d application On pourrait ainsi dire que si les acteurs approuvent globalement le contenu de la loi ils appr cient plus la symbolique de son existence que le d tail de ses dispositions 2 3 Sur le contenu g n ral de la loi De mani re globale la loi du 25 mai 1999 subdivise la coop ration en trois cat gories a savoir la coop ration bilat rale directe la coop ration multilat rale et la coop ration bilat rale indirecte et fixe les principes de base pour chacun de ces modes de coop ration Certains acteurs regardent les principes de base d finis par la loi comme tant trop laches mais pr f rent cette souplesse a une technocratisation excessive 7 Austrian Federal Act on Development Cooperation 2002 including its Amendment 2003 traduction en anglais version non officielle http www bmeia gv at fileadmin user_upload bmeia media 2 Aussenpolitik Zentrale EZA englisch 26
71. ciel http eur lex europa eu LexUriServ LexUriServ do uri COM 2006 0087 FIN FR PDF 5 mai 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Note politique La contribution belge a la lutte internationale contre le VIH SIDA mars 2006 D claration conjointe du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du Parlement europ en et de la Commission sur la politique de d veloppement de l Union europ enne intitul e Le consensus europ en J O C E n C46 du 24 f vrier 2006 Evaluation services of the European Union Triple C Evaluations N 3 Evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national development priorities Maastricht aksant 2006 http www three cs net 3cs publications triple c evaluations n 3 evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national develo pment priorities 25 juin 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Rapport d activit s 2006 SPF Finances SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement FINEXPO Rapport annuel 2006 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppeme
72. cis de droit constitutionnel belge 3 dition Bruxelles Bruylant 2005 VAN DER HEIDEN H Zambian Policy Making in the donor Community 1990s ReformingAfrica s institutions Ownership incentives and capabilities United Nation University Press Tokyo New York Paris 2003 pp 77 101 VERHOEVEN J Droit international public Bruxelles Larcier 2000 WILLAME J C Polycarpe et la coop ration au d veloppement Administration publique Trimestriel 2002 pp 228 234 ZIEGLER J L Empire de la honte Paris Fayard 2005 AUTRES SOURCES CONSULT ES 108 Site Internet de la DGCD www dgcd be et notamment les documents produits lors Assises de la Coop ration belge au d veloppement Bruxelles 13 14 mai 2008 http www dgdc be assises documents html Site Internet du SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement www diplomatie be Site Internet de l OCDE www oecd org Cour des comptes Commentaires et observations sur les projets de budget de l Etat pour l ann e budg taire 2008 Rapport adopt en assembl e g n rale le 2 avril 2008 http www ccrek be docs Reports 2008 2008 09 Budget2008 pdf 8 juillet 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement DGCD Rapport annuel 2007 Bruxelles DGCD mai 2008 Accord du gouvernement du 18 mars 2008 http premier fgov be files FRVERKLARINGtiendef zo
73. concentration La fonction de ces documents devrait tre pr cis e et notamment la distinction entre documents strat giques et op rationnels La consultation de divers acteurs concern s par le secteur et la th matique pourrait tre utilement pr vue Les notes strat giques par pays semblent particuli rement inutiles sachant que des organismes multilat raux Union europ enne auxquels la Belgique est partie prenante produisent galement de tels documents Par ailleurs on peut conclure de la mise en uvre de la loi de 99 que les notes strat giques n ont pas t la base pertinente partir de laquelle le Parlement pouvait exercer un droit de regard ou de contr le sur la coop ration au d veloppement Il faudrait donc distinguer la fonction d laboration de strat gie de la fonction de rapportage au Parlement et veiller ce que les m canismes de rapportage mis en place ne soient pas trop lourds et ne fassent pas double emploi avec des m canismes existants d Concentration g ographique Le principe de concentration g ographique est un principe reprendre lors d une ventuelle r vision de la loi sans pour autant fixer la liste des pays dans la loi Les crit res de s lection de la loi du 25 mai 1999 n ont pas toujours t appliqu s ou ont tout le moins t interpr t s diff remment d un ex cutif l autre Une liste de crit res pr vue dans la loi devrait tre assortie d un mode d emploi pr cisant s il s agit
74. d Investissement pour les Pays en D veloppement et modifiant la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 17 novembre 2001 art 5 et 8 19 A R du 8 mars 2002 portant cr ation du Service public f d ral Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement M B 15 mars 2002 20 A R du 8 mars 2002 portant cr ation du Service public f d ral Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement M B 15 mars 2002 art 2 2 21 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration international belge art 2 1 22 Loi du 25 mai 1999 relative a la coop ration international belge art 2 5 15 laquelle un tiers qui n est pas un Etat tranger ni une organisation internationale r pond de l ex cution des programmes ou des projets sur la base d un syst me r glementaire de subventions ou d une convention Enfin la coop ration multilat rale recouvre les programmes ou projets financ s par l Etat belge et ex cut s par une organisation internationale et des contributions belges des organisations internationales pour les programmes ou projets de d veloppement La loi de 99 vise les contributions de l Etat f d ral belge l exclusion des communaut s et des r gions Formellement les termes de la loi permettent de r gir les actions et contributions de l ensemble des SPF
75. d tablir la photographie de la loi du 25 mai 1999 dans l tat l gislatif dans lequel elle se trouve aujourd hui A Il s agit dans un deuxi me temps de recenser les faits et les actes nationaux et internationaux qui se sont produits entre la date de promulgation de la loi du 25 mai 1999 et aujourd hui B Il s agit dans un troisi me temps de mesurer ce qui s pare les faits et les actes qui se sont produits depuis le 25 mai 1999 avec le dispositif actuellement en vigueur de la loi du 25 mai 1999 C En conclusion il s agit d valuer la mesure dans laquelle la loi du 25 mai 1999 m riterait d tre amend e A Les termes de la loi du 25 mai 1999 La loi du 25 mai 1999 est adopt e en vue d tablir un cadre l gislatif pour la coop ration au d veloppement Il s agit d en rappeler les termes Encore faut il observer que la loi du 25 mai 1999 a subi des modifications depuis la date de sa promulgation Les modifications en cause doivent tre prises en compte d s lors que ces modifications font par hypoth se partie int grante du cadre l gislatif dont la Belgique est dot e La loi du 25 mai 1999 dans sa mouture originelle de m me que les modifications intervenues depuis lors traduisent tout la fois des pr occupations et les moyens de mettre en uvre celles ci en termes structurels substantiels et proc duraux La premi re partie de l tude vise photographier tout la fois le cadre l gislatif dont s e
76. de crit res permettant l inclusion ou l exclusion de pays ou s il s agit de points d attention dans la s lection des pays partenaires Cette recommandation vaut d ailleurs pour tout crit re qui serait fix par une ventuelle loi r vis e L appui l int gration r gionale pourrait constituer l une des lignes directrices de la concentration g ographique afin notamment de jouer un r le dans le renforcement des capacit s des institutions r gionales Pour ne pas tre en opposition avec le principe de pr visibilit de l aide le principe de concentration g ographique devrait tre accompagn de strat gies de sortie dont l laboration syst matique devrait tre pr vue par la loi 162 Ce point m riterait d autant plus d tre abord l heure o certains anciens bailleurs de fonds pourraient tre amen s r viser leur position sur le d liement de l aide face aux pratiques de certains nouveaux bailleurs 58 En ce qui concerne l application du principe de concentration g ographique aux acteurs indirects il faut noter que des m canismes d incitation existent d j puisque la subvention des projets des ONG fait l objet d un crit re limitatif d ordre g ographique m me si des exceptions sont pr vues Un ventuel alignement plus approfondi devrait tre pens de mani re quilibr e facilitant la coordination tout en respectant l autonomie les sp cificit s et les logiques particuli res d intervention
77. de democratie en van de rechtsstaat met inbegrip van het principe van goed bestuur alsook tot het respecteren van de menselijke waardigheid van de rechten van de mens en van de fundamentele vrijheden met een bijzondere aandacht voor het bestrijden van elke vorm van discriminatie omwille van sociale etnische religieuze levensbeschouwelijke redenen dan wel op basis van het geslacht De federale samenwerking bevordert de synergie met de samenwerking vanwege de gemeenten de provincies de gewesten de gemeenschappen en Europa met de bedoeling er uitbreidende effecten van te verkrijgen die op termijn voordelig zijn voor de bevolkingsgroepen die de bijstand genieten Teneinde de doelstelling van duurzame menselijke ontwikkeling te realiseren zal de Belgische internationale samenwerking de socio economische en socio culturele ontwikkeling en de versterking van het maatschappelijk draagvlak in de partnerlanden helpen bevorderen alsook de Belgische publieke opinie sensibiliseren TITEL III Strategie n HOOFDSTUK I Ontwikkelingsrelevantie en evaluatie Criteria voor ontwikkelingsrelevantie Art 4 Met het oog op het bijdragen aan een mensgerichte duurzame ontwikkeling wordt door de Belgische internationale samenwerking de ontwikkelingsrelevantie in rekening gebracht die gemeten wordt met de hulp van de criteria welke zijn vastgesteld door het Comit voor ontwikkelingshulp van de Organisatie voor Economische Ontwikkeling en Samenwerking
78. dg taire pourraient tre mentionn s titre indicatif 159 Const art 167 81 160 Cfr les remarques formul es par le Conseil d Etat Ontwerp van kaderdecreet inzake ontwikkelingssamenwerking Advies van de Raad van Staat Parl St VI Parl VI Parl sess ord 2006 2007 n 1033 1 p 32 projet de loi relatif la coop ration internationale belge Avis du Conseil d Etat Doc parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 32 161 M B du 31 d cembre 2002 57 Quant a la prise en compte dans une loi des objectifs du mill naire pour le d veloppement ces derniers sont consid r s par certains comme d ja d pass s ou repr sentant trop partiellement l ensemble des probl matiques des pays en d veloppement Par cons quent ils ne semblent pas devoir tre int gr s comme tels D autre part le principe de l aide d li e n est pas explicitement repris dans la loi du 25 mai 1999 mais pourrait tre envisag dans une l gislation r vis e c Le principe de documents strat giques Les notes strat giques g ographiques sectorielles et th matiques pr vues dans la loi n ont pas r ellement rempli leur fonction Lors d une ventuelle r vision de la loi il serait judicieux de conserver le principe de documents strat giques quelle que soit leur appellation qui servirait de cadre de r f rence aux acteurs en particulier en ce qui concerne les pr occupations transversales et les secteurs de
79. dination nous relevons que quelques fiches par organisations reprises dans le livre jaune mentionnent certains de ces crit res ainsi que la participation de la Belgique au suivi valuation mais nous n avons pas trouv ni dans les documents ni partir des interviews d indices d une prise en compte syst matique de l ensemble de ces crit res Comme pour les autres crit res fix s par la loi en termes de s lection des pays partenaires en particulier cela pose la question du mode de prise en compte des crit res et de l absence de m thodologie d application pr cise 2 5 7 Coop ration bilat rale indirecte art 10 et 11 Les articles 10 et 11 de la loi du 25 mai 1999 fixent les r gles de base qui r gissent la coop ration bilat rale indirecte Les concentrations g ographique sectorielle et th matique pr vues par la loi n ont pas t rendues applicables la coop ration bilat rale indirecte afin de pr server l ind pendance des organisations La loi distingue les organisations non gouvernementales article 10 des autres partenaires article 11 86 Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Aper u des contributions aux organisations internationales P riode 2001 2006 DGCD ao t 2007 87 Tl ne nous a pas t possible d effectuer cette v rification pour le quatri me crit re 88 Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Aper u des contributions aux organisations intern
80. e belge Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 40 Communiqu de presse du Conseil des ministres du 19 d cembre 1997 http www residencepalace be archive 19971219 403413 lang fr 25 mars 2008 114 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 5 Cfr galement A R du 17 f vrier 2003 portant cr ation d un service Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale M B 19 f vrier 2003 art 2 81 1 projet de loi relatif la coop ration internationale belge Amendements et Rapport fait au nom de la commission des relations ext rieures Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 4 p 2 et n 1791 5 pp 20 22 25 26 115 A R du 17 f vrier 2003 portant cr ation d un service Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale M B 19 f vrier 2003 116 Selon les interviews men es la r partition des t ches serait la suivante A l valuateur sp cial les valuations politiques de processus et d impact pays Au service d valuation interne reviennent les valuations sectorielles et celles pr vues par le contrat de gestion de la CTB 17 Pour le service interne http www dgos be fr dgcd suivi evaluation rapports html 23 juin 2008 pour le service d valuation sp ciale http www diplomatie be fr FOD dbe detail asp TEXTID 75319 23 juin 2008 118 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direct
81. e capaciteiten voor de decentralisering van de interventies naar de doelgroepen toe en voor een grotere responsabilisering van het partnerland inzonderheid door de overheidsdiensten de civiele maatschappij en de economische priv sector van het partnerland bij het ontwikkelingsproces te betrekken 12 goed bestuur methode die beoogt het beheer van de institutionele capaciteiten het besluitvormingsproces van de overheden en het beheer van de overheidsgelden te optimaliseren met inachtneming van de democratie de rechtstaat alsmede van de mensenrechten en de fundamentele vrijheden 13 Belgische offici le ontwikkelingshulp het geheel van de inspanningen van de verschillende Belgische federale zowel als gedecentraliseerde bestuursniveaus op het gebied van de ontwikkelingssamenwerking welke door het Comit voor Ontwikkelingshulp DAC van de Organisatie voor Economische Samenwerking en Ontwikkeling volgens zijn normen als offici le ontwikkelingshulp ODA worden erkend TITEL II Doelstellingen Definitie van de doelstellingen Art 3 De Belgische internationale samenwerking heeft als hoofddoel de duurzame menselijke ontwikkeling te realiseren door middel van armoedebestrijding op basis van het concept partnerschap en met inachtneming van de criteria voor ontwikkelingsrelevantie De Belgische Internationale samenwerking draagt in dit kader bij tot de algemene doelstelling van ontwikkeling en versterking van
82. e directe par th matiques transsectorielles Les th matiques de concentration retenues sont les suivantes 1 Le r quilibrage des droits et des chances des femmes et des hommes 2 Le respect de l environnement 3 L conomie sociale 4 Le respect des droits de l enfant 70 ECORYS Nederland BV et South Research Belgium Belgique Evaluation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l valuation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 p 93 30 a Remarques m thodologiques L allocation budg taire est difficile a appr cier en raison du caract re transversal de ces themes et du fait que ces domaines sont souvent inclus dans des programmes et projets sans en tre l objectif premier Selon les informations dont nous disposons la Belgique ne s est d ailleurs pas dot e d un syst me de monitoring permettant d appr cier l volution de la concentration th matique Ni les rapports annuels de la DGCD ni le m morandum de la Belgique au CAD en 2005 ne donnent de d tail sur ces th mes transversaux et leur mise en uvre en termes quantitatifs Nous nous limiterons a donner quelques indications sur l effet de la concentration th matique pour le genre lesquelles doivent tre interpr t es avec prudence en raison
83. e la coop ration bilat rale directe une note strat gique dont la proc dure et les modalit s d laboration sont fix es par le Roi pr cise la strat gie de d veloppement Les notes strat giques vis es l alin a pr c dent sont transmises avec l avis du Conseil f d ral du d veloppement durable la Chambre des repr sentants et au S nat selon les modalit s fix es par le Roi Elles sont valu es et adapt es au moins tous les quatre ans au contexte modifi de la coop ration internationale selon les modalit s fix es par le Roi Sous section Il Concentration sectorielle Art 7 8 ler La coop ration internationale belge concentre la coop ration bilat rale directe principalement sur les cing secteurs suivants 1 les soins de sant de base en ce compris la sant reproductive 2 l enseignement et la formation 3 l agriculture et la s curit alimentaire 49 l infrastructure de base 5 la pr vention de conflits et la consolidation de la soci t en ce compris le soutien au respect de la dignit humaine des droits de l homme et des libert s fondamentales 2 Pour chaque secteur une note strat gique dont la proc dure et les modalit s d laboration sont fix es par le Roi pr cise la strat gie de d veloppement Les notes strat giques vis es l alin a pr c dent sont transmises avec l avis du Conseil f d ral du d veloppement durable la Chambre des repr sentants et au S
84. e part une augmentation de celle ci et d autre part que la majorit des montants de la coop ration bilat rale directe est investie dans les secteurs inscrits dans la loi de 1999 La sant reste le secteur auquel la Belgique alloue le plus de fonds suivi quasiment au m me niveau de l agriculture s curit alimentaire de l ducation et des infrastructures de base La part relative de chaque secteur dans les 5 secteurs de concentration suit des volutions vari es Ainsi la part occup par les infrastructures de base est relativement stable tandis que celle de la sant et de l agriculture s curit alimentaire est plut t en diminution La part octroy e au secteur de l ducation et celui de a pr vention des conflits consolidation de la soci t sont quant eux plut t en augmentation En 2005 le rapport d valuation sur la coop ration bilat rale directe relevait une fragmentation sectorielle par pays A l exception du Niger la Belgique tait g n ralement active dans quatre secteurs ou plus Actuellement des efforts sont faits pour arriver plus de concentration sectorielle par pays en suivant la politique actuelle de concentration sur deux secteurs par pays Code de Conduite de l UE sauf d rogation pour la RDC le Rwanda et le Burundi 2 5 5 Concentration th matique de la coop ration bilat rale directe art 8 L article 8 de la loi du 25 mai 1999 pr voit une concentration de la coop ration bilat ral
85. e pr sent rapport est une pi ce au dossier 3 2 2 Champ d application Dans l analyse nous avons relev le flou qui existait entre les intentions per ues en 1999 conduisant un intitul coop ration internationale et un champ d application qui se concentre sur l acception classique de la coop ration au d veloppement Il convient d avoir une discussion approfondie et de poser des choix clairs dans une ventuelle nouvelle loi quant au fait de savoir si l ensemble de l APD y compris celle qui n est pas budg tis e aupr s ou pas contr l e par la DGCD est vis e par les r gles fix es Si l on choisit de viser directement les instruments CTB BIO FBS par la loi relative la coop ration au d veloppement et non de maintenir ou d instaurer une r f rence la loi relative la coop ration au d veloppement dans le texte qui les institue ce qui est plus proche du r gime actuel il conviendra galement d tre clair sur les principes applicables a chaque instrument Il ne semble pas qu un r gime uniforme soit souhaitable pour l ensemble des lignes budg taires et des instruments de mise en uvre de l APD Les lignes de d marcation entre r gimes devraient tre clairement r fl chies puis exprim es notamment eu gard aux sp cificit s de certaines lignes budg taires int gr es l APD mais ayant une vocation sp cifique comme l aide d urgence ou ce qui rel ve du financement l exportation 3 2 3 Ty
86. elge au D veloppement dans le domaine de la Sant et des Droits Sexuels et Reproductifs mars 2007 Communication de la Commission au Conseil et au Parlement europ en du 28 f vrier 2007 intitul e Code de conduite de l UE sur la division du travail dans la politique de d veloppement COM 2007 72 final Non publi au Journal officiel http eur lex europa eu smartapi cgi sga doc smartapilcelexplus prod DocNumber amp l g fr amp type doc COMfinal amp an doc 2007 amp nu doc 72 5 mai 2008 CAD Egalit des genres et la mise en uvre de l aide Paris OCDE 2007 ECORYS Nederland BV SLOB A DEWAELE A MARLEYN O et ROTHMANN I et ZEVENBERGEN J et South Research Belgium Belgique Evaluation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l Evaluation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Apercu des contributions aux organisations internationales P riode 2001 2005 DGCD juin 2006 http www dgdc be fr acteurs cooperation multilaterale pdf gele boek li vre jaune 2005 pdf 25 juin 2008 Communication de la Commission du 2 mars 2006 intitul e Aide de l UE Fournir une aide plus importante plus efficace et plus rapide COM 2006 87 final Non publi au Journal offi
87. elgique en se concentrant particuli rement sur la note Tanzanie Le rapport propose une typologie des notes strat giques Traditional CSP Working document CSP Minimal CSP and Outdated CSP Comme celles des autres pays tudi s Danemark Su de Allemagne et Espagne la note strat gique pays consid r e pour la Belgique rel ve du type traditionnel Il est relev que ce type de note ne contribue pas vraiment la coordination et la compl mentarit tandis que les Working Document CSPs et les Minimal CSPs permettent dans une plus grande mesure une discussion ouverte avec le pays partenaire en question Le fait d avoir notamment au niveau europ en des notes pays remplissant la m me fonction que les notes strat giques belges renforce l id e que le principe des notes strat giques g ographiques devrait tre abandonn l avenir e Remarques m thodologiques L appr ciation des effets de la loi en mati re de concentration g ographique doit se faire en conservant l esprit un ensemble de biais Tout d abord les chiffres refl tent un effet de retard dans le sens o un ensemble de projets ont t mis en uvre avant 1999 et se sont poursuivis apr s cette date Ensuite les remises de dette accord es un ensemble de pays partenaires et non partenaires se traduisent galement dans les chiffres annuels des investissements par pays b n ficiaires de l aide bilat rale directe 57 Evaluation se
88. elles qu elles taient pr vues par la loi et l arr t royal du 17 septembre 2000 la particularit de ces nouvelles notes qualifi es de cadre conceptuel pour le secteur de la sant est d avoir t labor es en utilisant des r seaux transversaux d expertise au sein et en 67 Health Research for Action Evaluation th matique Evaluation du secteur de la sant de la coop ration belge La coop ration belge au d veloppement d cembre 2005 68 Education for Change et South Research Evaluation th matique de la coop ration belge au d veloppement dans le secteur de l ducation Rapport final La coop ration belge ao t 2007 26 dehors de la DGCD et d avoir pris en compte les r sultats des valuations sectorielles men es par le DGCD e L effet en termes de concentration sectorielle de l aide bilat rale directe Bas s sur les donn es de la DGCD et produits par les services de l Evaluateur sp cial les tableaux suivants pr sentent la part des montants de la coop ration bilat rale directe allou s aux cing secteurs de concentration inscrits dans la loi de 1999 69 Be cause Health Cadre conceptuel de la coop ration belge en sant Investir dans la sant pour un meilleur bien tre Bruxelles d cembre 2007 http www itg be becausehealth uploads 20080131 149741106 cadreconceptuelcooperationsant pdf 25 juin 2008 Le processus est en cours pour le secteur de l ducation 27 Table
89. ence L valuation a b n fici de l appui d un comit de pilotage Bruxelles Les opinions exprim es dans ce document repr sentent les points de vue du Service de VEvaluateur sp cial et de ses experts et ne refl tent pas n cessairement celles du SPF Affaires Etrang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Louvain le 14 juillet 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement D cembre 2008 Production graphique Sandra Fernandez Bernardo Service Communication SPF Impression Service Imprimerie SPF Evaluation N S4 2008 4 D p t l gal 0218 2008 48 Ce document est disponible en format pdf sur le CD ROM en annexe sur les sites www diplomatie be ou www dgcd be ou aupr s du Service de l Evaluation Sp ciale Table des mati res Table des mati res 1 2 Introduction 1 1 Objectif de l valuation 1 2 M thodologie et limites de l valuation 1 2 1 M thodologie 1 2 2 Pr cautions pr liminaires et limites de l tude Principaux constats 2 1 Rappel sur le contexte d mergence l entr e en vigueur et les r formes de la loi du 25 mai 1999 2 1 1 Le contexte d mergence de la loi du 25 mai 1999 2 1 2 L entr e en vigueur de la loi de 1999 2 1 3 Les r formes de la loi du 25 mai 1999 2 2 Sur l existence de la loi 2 3 Sur le contenu g n ral de la loi 2 3 1 La Coop ration technique belge CTB 2 3 2 Le Fonds belge de survie FBS 2 3
90. ensemble des personnes rencontr es pour le temps accord et les informations fournies M Alain BAETENS M Franck BLOMME M Eddy BOUTMANS M Paul CARTIER M Johan DEBAR M Dominique DE CROMBRUGGHE DE LOORINGHE M Mark DENEER M Jean Fran ois DENEF M Marteen Desmet Mme Danielle FRONVILLE M Franciscus GODTS M Pierre GREGA Mme Els HERTOGEN M Philippe JALET Collaborateur coop ration au d veloppement Secr tariat du Ministre des Affaires trang res Karel DE GUCHT Inspecteur g n ral des finances accr dit aupr s du SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Ancien Secr taire d Etat la Coop ration internationale 1999 2003 Ministre Conseiller Ambassade de Belgique Kinshasa Directeur adjoint Cellule bilat rale Cellule strat gique de la coop ration au d veloppement Evaluateur sp cial Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale Cellule management DGCD Pr sident CUD Programmes Sant RDC Conseiller g n ral Direction de l Aide financi re l Exportation FINEXPO Administrateur Questions Financi res Internationales et Europ ennes SPF Finances Ancien Chef de Cabinet adjoint du Secr taire d Etat Reginald MOREELS Collaborateur politique Coop ration au d veloppement officielle 11 11 11 Directeur Programmes non gouvernementaux DGCD 97 M Jean Pierre LOIR Mme Jacqueline LIENARD M Car
91. ent t consid r es comme des documents de r f rence par les acteurs concern s Les rapports d valuation r dig s pour le secteur de la sant et pour le secteur de l ducation soulevaient un certain nombre de commentaires sur ces notes commentaires que l on peut synth tiser comme suit En ce qui concerne le secteur de la sant La pertinence de la note est mise en doute La note est peu utilis e par les acteurs concern s Le champ d application de la note strat gique n est pas clair La note ne renforce pas de coh rence interne des interventions de la coop ration belge Le caract re strat gique de la note est mis en question Permet elle vraiment d op rer des choix en particulier selon les contextes transition tats fragiles En ce qui concerne le secteur de ducation S La note a un caract re g n ral et est partiellement caduque depuis 2002 La note est peu utilis e par les acteurs concern s La pertinence de la note est mise en doute par les acteurs indirects ambigu t du champ d application Le renouvellement de la note strat gique devrait impliquer toutes les parties prenantes et donner des directives op rationnelles utiles pour tous les acteurs cl s Cette derni re recommandation a t suivie d effets tant pour le secteur de la sant que pour le secteur de l ducation De nouvelles notes sont labor es Contrairement aux notes strat giques t
92. es Quant l intitul de la loi coop ration internationale ils expliquent galement que cette expression tait tenue pour plus respectueuse des pays partenaires dans la mesure o la question de notre propre d veloppement celui des pays du Nord se pose aussi Enfin les acteurs de l poque rapportent que la loi de 99 a t labor e et vot e en derni re minute avant la fin de la l gislature Selon eux cela explique pourquoi la loi promulgu e n est pas vraiment un produit fini et pourquoi certains articles notamment ceux relatifs au multilat ral et au bilat ral indirect sont un peu b cl s 2 1 2 L entr e en vigueur de la loi de 1999 L entr e en vigueur de la loi de 1999 s est effectu e de mani re progressive L article 12 pr voit une entr e en vigueur par arr t royal Article Date Disposition pr voyant l entr e en d entr e vigueur en vigueur _ Dispositions g n rales Art 2 sauf 6 D finitions Art 2 6 3 1 2001 Loi programme du 2 janvier 2001 art 82 D finition de la coop ration bilat rale indirecte Art 3 D finition des objectifs oaa Crit res de pertinence Art 5 A R du 17 f vrier 2003 portant cr ation d un service Evaluation sp ciale de la 10 Evaluation externe Art 6 81 Concentration g ographique 31 8 2000 9 2 2001 9 2 2001 9 2 2001 18 5 2000 3 4 2002 3 1 2001 1 1 2003 s lection des pays A
93. es mis a la disposition du membre du gouvernement ayant en charge la coop ration au d veloppement Celui ci a notamment pour mission de remettre un avis pr alable sur les propositions dont la r alisation est de nature a entrainer une r percussion financi re directe ou indirecte sauf les exceptions pr vues l article 15 de l arr t royal du 16 novembre 1994 Les r gles relatives aux march s publics L Etat belge et singuli rement le SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au d veloppement ainsi que la CTB et BIO sont soumis aux r gles relatives aux march s publics lorsqu ils agissent comme acqu reurs Les d penses de march s publics doivent tre effectu es dans le respect des principes de la concurrence du forfait et du service fait et accept 119 Const art 174 120 A R du 16 novembre 1994 relatif au contr le administratif et budg taire M B 17 janvier 1995 121 A R du 16 novembre 1994 relatif au contr le administratif et budg taire M B 17 janvier 1995 art 14 2 42 Les obligations proc durales largement pr tablies au niveau de l Union europ enne sont fix es ce jour par la Joi du 24 d cembre 1993 jusqu l entr e en vigueur de la loi du 15 juin 2006 La pratique administrative admise tant par l inspection des finances que par la Cour des comptes consiste dans l application des r gles de march s publics belges lorsque la CTB met en ceuvre
94. es traductions concr tes est que les bailleurs de l UE s efforceront de faire porter leur participation active dans un pays partenaires sur un nombre r duit de secteurs Selon le Code de conduite l avantage comparatif peut se d terminer en vertu de crit res tels que la pr sence sur le terrain la connaissance du pays du secteur ou du domaine la confiance des gouvernements partenaires et des autres donateurs l expertise technique et la sp cialisation du donateur la volume de l aide au niveau du pays ou du secteur la capacit d aborder des politiques ou des secteurs nouveaux ou tourn s vers l avenir la capacit de r agir rapidement et ou la pr visibilit a long terme l efficacit des m thodes de travail des proc dures et la qualit des ressources humaines les r sultats relativement meilleurs sans que cela soit n cessairement un avantage absolu le co t inf rieur par rapport aux autres donateurs pour un niveau de qualit satisfaisant l acquisition d une exp rience et de capacit s nouvelles en tant que donateur mergeant La Belgique a d j adopt le principe de deux secteurs par pays tout en n excluant pas totalement la possibilit d agir dans plus de secteurs en fonction des pays partenaires notamment ceux de l Afrique des Grands Lacs Guid par un souci de plus d efficacit et d allocation efficiente des ressources ce principe n est toutefois pas d nu d enjeux d une
95. ette valuation a galement tenu compte des auditions conjointes de la Commission des Relations ext rieures et de la D fense du S nat et de la Commission des Relations ext rieures de la Chambre men es dans le cadre de la r flexion sur le cadre l gislatif de la coop ration au d veloppement Les comptes rendus analytiques de ces auditions tenues le 11 mars 2008 le 29 avril 2008 les 3 10 17 et 24 juin 2008 peuvent tre consult s sur le site des chambres www senate be www lachambre be OUVRAGES GENERAUX AILI MARI TRIP Non formal institutions informal economies and politics of inclusion ReformingAfrica s institutions Ownership incentives and capabilities United Nation University Press Tokyo New York Paris 2003 pp 301 321 BALLET G DUBOIS J L et MAHIEU F R L Autre d veloppement Le d veloppement socialement soutenable L Harmattan Paris 2005 BEZES P L Etat et les savoirs manag riaux Essor et d veloppement de la gestion publique en France 30 ans de r formes de l Etat Exp riences fran aises et trang res Paris Dunod 2005 pp 9 40 BURCHELL S CLUBB C HOOPWOOD A HUGHES J et NAHAPIET J The role of Accounting in Organization and Society Accounting in Organisation and Society 1980 5 1 pp 5 27 CHARNOZ O et SEVERINO J M L aide publique au d veloppement Paris La D couverte 2007 DELPEREE F et DEPRE S Le syst me constitutionnel de la Belgiq
96. gmes qui les sous tendent ne refl tent pas forc ment les opinions et valeurs des membres de l quipe d valuation La particularit de cette valuation tient galement au champ d application de la loi de 1999 En effet la particularit de la loi est de ne pas couvrir explicitement certains instruments centraux du dispositif de l aide belge la CTB et BIO en particulier Ici encore nous nous sommes tenus l objet de notre valuation la loi de 1999 au risque de n apporter que des l ments d analyse partiels En termes juridiques l objet de la pr sente valuation tant la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge le travail de recherche n a pas pu 6 couvrir l ensemble de l appareil normatif qui encadre la coop ration internationale belge mais la loi elle m me les arr t s royaux qui assurent son ex cution et les dispositions voqu es par les acteurs lors des interviews r alis es et qui ont pu tre abord es dans le temps imparti En termes d appr ciation de la mise en uvre de la loi nous avons fait le choix de nous r f rer principalement a plusieurs tudes ou sources statistiques existantes essentiellement DGCD Rapports d valuation et OCDE Nous pr ciserons syst matiquement de quelles sources sont tir es les donn es pr sent es ainsi que l analyse qui en est faite Ces d tails ont de l importance car m me si les tendances se rejoignent les interpr tations peuvent d
97. i sous forme d une D claration conjointe du Conseil du Parlement et la 65 Commission d finit une nouvelle politique europ enne en mati re de coop ration au d veloppement qui met l accent sur l radication de la pauvret et souligne notamment comme la D claration de Paris l importance de la relation de partenariat avec les pays en d veloppement L Union europ enne insiste galement sur la n cessit d harmoniser en son sein l aide qu elle fournit tant entre Etats membres qu avec la Commission Dans le droit fil de la D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement de 1992 la Loi de mai 1999 relative la Coop ration internationale belge mentionnait le d veloppement durable comme objectif prioritaire Depuis lors ce concept a acquis une importance cruciale avec la perception de plus en plus aigu que les changements climatiques constituent un enjeu essentiel pour le d veloppement Vu que son adoption a pr c d la nouvelle vision de la coop ration internationale la loi d finit un certain nombre de notions essentielles mais ne mentionne pas les autres concepts et objectifs importants qui se sont impos s par la suite En outre elle ne mentionne pas la Coop ration Technique Belge cr e par une autre loi six mois auparavant La loi de mai 1999 d finit ainsi un cadre politique g n ral dans lequel doit s inscrire notre coop ration au d veloppement sans d finir au del de quelques principes g
98. ie is instaat voor de uitvoering van de programma s of projecten op basis van een reglementair stelsel van subsidi ring of op basis van een overeenkomst 7 multilaterale samenwerking programma s of projecten gefinancierd door de Belgische Staat en uitgevoerd door een internationale organisatie en Belgische bijdragen aan internationale organisaties voor hun ontwikkelingsprogramma s of projecten 8 programma samenhangend geheel van doelstellingen op korte of middellange termijn rechtstreeks of onrechtstreeks gericht op een structurele en duurzame verbetering van de positie van groepen individuen en individuen uit arme sociale categorie n van de partnerlanden 99 project initiatief dat onder meer de vorm kan aannemen van interventies giften financi le steun of beurzen 10 duurzame ontwikkeling ontwikkeling gericht op de bevrediging van de actuele behoeften zonder de behoeften van de komende generaties in gevaar te brengen en waarvan de verwezenlijking een veranderingsproces vergt waarbij de aanwending van de hulpbronnen de bestemming van de investeringen de gerichtheid van de technologische ontwikkeling en de institutionele structuren worden afgestemd op zowel toekomstige als huidige behoeften 83 11 partnerschap actieve en participatieve manier van samenwerking tussen partners in het kader van de ontwikkelingssamenwerking dit gebeurt met een bijzondere aandacht voor de ontwikkeling van de lokal
99. iff rer en fonction de ce qui est consid r comme aide publique au d veloppement comme aide publique au d veloppement bilat rale directe ou comme aide publique au d veloppement bilat rale directe uniquement plac e sous la responsabilit du Ministre en charge de la Coop ration au D veloppement Enfin l appr ciation de la loi de 1999 particuli rement en termes de mise en uvre aurait b n fici de la comparaison avec la situation d autres pays donateurs Il aurait galement t profitable et logique que cette appr ciation prenne en compte la perception et l analyse de pays b n ficiaires de l aide belge Dans les deux cas les conditions de r alisation de cette valuation notamment les d lais impos s par l Evaluateur sp cial n ont pas permis cette double perspective internationale 2 Principaux constats 2 1 Rappel sur le contexte d mergence l entr e en vigueur et les r formes de la loi du 25 mai 1999 2 1 1 Le contexte d mergence de la loi du 25 mai 1999 Le 6 novembre 19977 la Chambre des repr sentants a approuv un rapport de suivi des probl mes de l Administration G n rale de la Coop ration au D veloppement rendu le 8 juillet 1997 Le rapport recommandait express ment la mise en place d une loi organique pour la coop ration au d veloppement La loi du 25 mai 1999 a t adopt e suite ce qu il convient de qualifier de crise de la coop ration au d veloppement Elle s est inscrite
100. ifs poursuivis par la loi La loi a t elle permis des avanc es en termes de professionnalisation des acteurs indirects moins d valuation ex ante dialogue politique approche programme plut t qu approche projets etc La loi a t elle permis des avanc es en termes de responsabilisation des acteurs 2 1 7 Autres partenaires art 11 Quelle est la liste des autres partenaires Quel bilan peut on faire de la loi concernant les autres partenaires o Est ce que la loi offre un cadre ad quat pour un travail avec des institutions tels que le VLIR CIUF le Mus e de Tervuren etc o Est ce que la loi offre un cadre ad quat pour le travail avec de nouveaux partenaires nouveaux acteurs quatri me pilier acteurs non sp cialis s dans la coop ration syndicats diaspora etc 2 2 Efficacit de la loi e Une actualisation de la loi et du cadre r glementaire peut elle accro tre l efficacit de la loi par rapport aux objectifs e La loi est elle ad quate par rapport aux situations besoins et probl mes auxquels elle vise r pondre 2 2 3 La loi permet elle la mise en place de m canismes appropri s pour r pondre aux besoins et priorit s des pays en d veloppement 2 3 Autres questions g n rales 93 Quels acteurs officiels sont tenus de se soumettre a la loi de 1999 DGCD Affaires trang res autre Dans quelle mesure cette loi cadre t elle votre action Pourquoi parlait on de coop
101. ignent certains r pondants cette particularit de la loi est source d ambiguit Plus largement il ressort des entretiens que seuls les acteurs directement impliqu s dans la coop ration bilat rale directe et en partie les acteurs impliqu s dans la coop ration multilat rale et bilat rale indirecte se sentent vis s par la loi Il semble que la loi de 99 soit per ue comme visant les actions de la DGCD et de la CTB mais pas celle d autres services que ce soit au sein du SPF 23 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration international belge art 2 6 24 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration international belge art 2 7 25 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 2 5 26 Pour une d finition de la notion OCDE Direction de la coop ration pour le d veloppement Comit d aide au d veloppement Directives pour l tablissement des rapports statistiques au CAD DCD DAC 2007 34 6 avril 2007 http www oecd org dataoecd 6 41 38507939 pdf p 12 27 Pour une liste des postes budg taires http www dgcd be fr statistiques apd belge 2007 xls 18 juin 2008 28 Une bonification d int r t est une intervention op r e par Finexpo qui a pour effet de r duire consid rablement les taux d int r t li s aux cr dits l exportation et d assurer la stabilit de ces taux pendant toute la dur e du remboursement Ces bonifications d int r t peuvent tre avec ou sans l ment
102. iller ce que les politiques transversales en particulier celle sur l galit homme femme qui fait l objet d une attention particuli re de la Belgique soient davantage refl t es dans les programmes ce qui suppose une r flexion nouvelle appuy e par des directives ad quates des capacit s techniques appropri es des m canismes de mise en uvre coh rents et des outils de suivi pertinents 6 Cette recommandation refl te bien ce qui ressort des interviews que nous avons men la savoir la n cessit de red finir le processus de mise en uvre de la transversalit 2 5 6 Concentration de la coop ration multilat rale art 9 L article 9 de loi du 25 mai 1999 vise une concentration de la coop ration multilat rale sur une vingtaine d organisations internationales dont les objectifs coincident avec les priorit s d finies par la loi 74 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 75 Creditor reporting system OCDE Activit s d aide visant l galit homme femme Paris OCDE 2005 76 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 p 46 77 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Expos des motifs Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 5 32 L arr t royal du 7 avril 2000 fixe les proc dures de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration mul
103. ins actuels de la coop ration au d veloppement 94 dela concentration g ographique de la coop ration bilat rale directe de la concentration sectorielle de la coop ration bilat rale directe de la concentration th matique de la coop ration bilat rale directe des crit res de s lection de la coop ration multilat rale des crit res de s lection de la coop ration bilat rale indirecte avec les ONG avec les autres partenaires PERTINENCE DE LA LOI COMME CADRE JURIDIQUE La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour la d finition des strat gies de coop ration au d veloppement de la Belgique Si oui pourquoi Si non pourquoi La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour la mise en ceuvre des canaux de coop ration directe Si oui pourquoi Si non pourquoi La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour la mise en ceuvre des canaux de coop ration indirecte Si oui pourquoi Si non pourquoi La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour la mise en ceuvre des canaux de coop ration multilat rale Si oui pourquoi Si non pourquoi La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour l alignement de la Belgique sur les priorit s et les proc dures des pays partenaires Si oui pourquoi Si non pourquoi La loi fournit elle un cadre juridique ad quat pour la concertation entre pays donateurs Si oui pourquoi Si non pourquoi 4 REVISI
104. ion des notes strat giques pays Evolution des investissements interventions par pays de concentration Listes des pays de concentration Justification du choix en fonction des crit res fix s par la loi Notes Pays Notes politiques des ministres successifs Statistiques DGCD strat giques Concentration sectorielle Secteurs de concentration Evolution des investissements interventions par secteur de concentration Existence valuation adaptation des notes strat giques sectorielles Listes des secteurs de concentration Justification du choix en fonction des crit res fix s par la loi Notes strat giques sectorielles Notes politiques des ministres successifs Statistiques DGCD Concentration th matique Evolution des investissements interventions par th me transsectoriel Existence valuation adaptation des notes strat giques th matiques Statistiques DGCD Notes strat giques sectorielles Notes politiques des ministres successifs 72 Coop ration multilaterale Nombre d organisations Listes des internationales b n ficiaire de la organisations coop ration multilat rale internationales Application des crit res de b n ficiaires de la s lection coop ration multilat rale Justification du choix en fonction des crit res fix s par la loi Notes politiques des ministres successifs Coop ration bilat rale indirecte ONG Appli
105. ion des F d rations des organisations non gouvernementales de d veloppement M B 22 f vrier 2007 art 3 104 AR du 14 d cembre 2005 relatif aux agr ments d organisations non gouvernementales de d veloppement M B 30 d cembre 2005 38 4 Le fait d avoir une approche planifi e qui doit ressortir d un plan pluriannuel en ce compris un plan financier etabli conformement aux modalites fixees par le Roi 5 Le fait d tre autonome conform ment aux modalit s fix es par le Roi 6 Le fait d tre m me d assurer la continuit de son fonctionnement conformement aux conditions fixees par le Roi 7 Le fait d avoir une majorit des membres des organes de direction qui possedent la nationalit belge 8 Le fait de mener des activit s conformes aux objectifs de la coop ration internationale belge en tenant compte des crit res de pertinence 9 Le fait de g rer une comptabilit transparente L agr ment programme est accord sur base de crit res plus pr cis fix s par l arr t royal du 14 d cembre 2005 et d une expertise ind pendante Le site de la DGCD fait tat de l agr ment de 135 organisations non gouvernementales belges d Les autres partenaires L article 11 pr voit la concentration de la coop ration bilat rale indirecte sur d autres partenaires de la coop ration au d veloppement que les ONG l adoption d une proc dure et des modalit s de s lection par la Roi et de
106. ion g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 p 16 41 management repr sente un d fi tr s important pour une administration et un secteur qui y sont peu pr par s et outill s 2 6 Sur l volution du contexte national et international 2 6 1 Remarques m thodologiques Aborder de mani re syst matique l ensemble des volutions ayant marqu la coop ration au d veloppement tant au niveau national qu international n tait pas envisageable dans le temps imparti pour effectuer la pr sente valuation qui se concentre donc sur les l ments saillants qui sont ressortis la lecture des documents et lors des interviews 2 6 2 Au niveau national a Donn es du contexte national Certaines dispositions applicables pour toutes autorit s publiques font parties des contraintes qui encadrent l action des intervenants publics en mati re de coop ration Il s agit ici d voquer les contraintes mentionn es lors des pes Il convient galement de rappeler que le budget de l Etat est annuel Le contr le de l Inspecteur des finances En vertu de l article 19 de l arr t royal du 16 novembre 1994 7 les d cisions d ex cution du budget par SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au d veloppement sont soumises au contr le de l Inspecteur des financ
107. ires le milieu associatif et les populations du Sud Elles ajoutent que la Belgique pourrait d passer la d finition du country ownership reprise par la D claration de Paris en n envisageant pas exclusivement les autorit s tatiques mais galement le principe d appropriation d mocratique par les parlements organisations civiles et citoyens des pays partenaires La notion d appropriation est aussi interrog e par les pratiques de nouveaux bailleurs de fonds comme la Chine et les discours des pays du Sud S agit il d une aide sans conditionnalit appliquant le principe business is business ou 149 DEVELTERE P The unbearable lightness of public support for traditional development cooperation working paper Leuven HIVA 2008 150 Code de conduite de l UE sur la compl mentarit et la division du travail dans la politique de d veloppement Conclusion du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du 15 mai 2007 http register consilium europa eu pdf fr 07 st09 st09558 fr07 pdf 5 mai 2008 p 11 49 simplement d un autre type de conditionnalit que celles pos es par les bailleurs classiques Alignement En prolongement de la notion d appropriation la D claration de Paris 16 labore la notion d alignement qui pose comme principe que les bailleurs de fonds s engagent a faire reposer l ensemble de leur soutien sur les strat gies nationales de d veloppemen
108. ispositions de la pr sente loi entrent en vigueur a la date fix e par le Roi 82 25 MEI 1999 Wet betreffende de Belgische internationale samenwerking Tekstbijwerking tot 16 05 2008 TITEL I Algemene bepalingen Artikel 1 Deze wet regelt een aangelegenheid als bedoeld in artikel 78 van de Grondwet Definities Art 2 In deze wet wordt verstaan onder 1 Belgische internationale samenwerking het beleid en de acties van de Belgische staat inzake directe bilaterale multilaterale en indirecte bilaterale ontwikkelingssamenwerking 2 minister het regeringslid dat de Belgische internationale samenwerking onder zijn bevoegdheden heeft 3 partnerland land dat door het Comit voor Ontwikkelingshulp van de Organisatie voor Economische Samenwerking en Ontwikkeling wordt beschouwd als een ontwikkelingsland 4 organisaties andere dan de gouvernementele organisaties die door de minister kunnen erkend worden en die in aanmerking kunnen komen voor subsidi ring door de Belgische Staat van hun activiteiten op het gebied van ontwikkelingssamenwerking 5 directe bilaterale samenwerking programma s of projecten in een partnerland gefinancierd door de Belgische Staat op basis van een overeenkomst tussen beide landen 6 indirecte bilaterale samenwerking samenwerking gefinancierd of medegefinancierd door de Belgische Staat waarbij een derde die niet een vreemde staat of internationale organisat
109. l MICHIELS M Peter MOORS M Reginald MOREELS M Kris PANNEELS Mme M lanie SCHELLENS M Walter STEVENS M Philippe SUINEN Mme Marleen TEMMERMAN M Luc TIMMERMANS M Bogdan VANDEN BERGHE M Dirk VAN DER MAELEN M Bruno VAN DER PLUIJM Mme Martine VAN DOOREN M Paul VERLE 98 Directeur Programmes sp ciaux DGCD Chef de service Evaluation interne DGCD Pr sident du Comit de Direction CTB Directeur g n ral DGCD Ancien Secr taire d Etat a la Coop ration internationale 1995 1999 Directeur Programmes multilat raux et europ ens DGCD Ancienne collaboratrice du Secr taire d Etat Eddy BOUTMANS Chef de cabinet Organes strat giques et Secr tariat du Ministre des Affaires trang res Karel DE GUCHT Commissaire g n ral CGRI Directeur g n ral DRI S natrice Pr sidente de la Commission Relations ext rieures et de la D fense Directeur ff Programmes gouvernementaux DGCD Secr taire g n ral 11 11 11 D put Vice Pr sident de la Commission des Relations ext rieures Ancien Pr sident de la commission sp ciale charg e du suivi des probl mes de Vadminsitration g n rale de la coop ration au d veloppement Directeur Cellule strat gique de la coop ration au d veloppement Ministre Conseiller Repr sentant permanent adjoint du Royaume de Belgique aupr s du FIDA Rome Ancienne Directrice G n rale de la DGCD Chef de d parte
110. la loi valu e L analyse de ces diff rents l ments se fera par un desk study compl t par des informations collect es aupr s d informateurs cl s de la coop ration belge essentiellement des fonctionnaires collaborateurs DGCD et des collaborateurs CTB 74 3 Interpr tations sur le contenu l ex cution et la pertinence de la loi de 1999 Une troisi me d marche cons cutive aux deux premi res consistera a interpr ter le contenu et l ex cution de la loi de 1999 Cela se fera essentiellement au moyen 1 d interviews avec des acteurs ayant contribu la formulation de la loi de 1999 et d acteurs directement indirectement impliqu s par la loi de 1999 2 de l analyse documentaire valuations enqu tes litt rature scientifique etc 3 des connaissances des chercheurs impliqu s Des guides d entretien seront labor s Le contenu portera sur l utilit de la loi en tant que telle le contenu de la loi rapport entre les objectifs et les strat gies choix des th mes secteurs pays et crit res de s lection l ex cution de la loi r alisation des objectifs et interpr tation sur les diff rences observ es entre la loi et son ex cution r elle la pertinence de la loi au regard du contexte actuel la promulgation le contenu et les principes d une future loi sur la coop ration belge C La mesure qui s pare la loi du 25 mai 1999 des actes et faits pass s entre le 25 mai 1999 et aujou
111. lement par un plan d action et r glait l agr ment et la subvention des ONG et f d rations d ONG 30 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 p 13 1 Le terme agr e a t substitu au terme s lectionn e par l article 184 de la loi du 20 juillet 2006 portant dispositions diverses M B 28 juillet 2006 92 A R du 8 avril 2002 modifiant I A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 30 avril 2002 3 A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 27 ao t 1997 94 A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 27 ao t 1997 art 8 37 En 2001 l article 10 de la loi du 25 mai 1999 a t compl t par un second alin a de mani re ce que la loi vise expressement les f d rations d ONG et un arr t royal du 8 avril 2002 a consacr une premi re s rie d adaptations au moment ou les premiers plans quinquennaux des ONG devaient tre valu s Un arr t royal du 14 d cembre 2005 r forme totalement le processus d agr ment des ONG il met en place une procedure d agr ment programme qui ouvre le droit a un financement pluriannuel
112. les 4 Canevas de questions Les valuateurs s appuieront sur le canevas de questions indicatif ci dessous et les approfondiront et ou les compl teront dans leur note m thodologique 1 re tape de l valuation L valuation examinera les questions dans une double optique celle de la loi existante et en second lieu celle de son actualisation ventuelle Les crit res utilis s seront la pertinence la coh rence et l efficacit Ces notions r pondent aux d finitions du CAD L valuation examinera dans quelle mesure la loi forme un cadre juridique ad quat pour la coop ration au d veloppement telle qu elle est mise en uvre par la Belgique S il appara t que des modifications de la loi sont souhaitables notamment en vue de l adaptation de la r glementation au nouveau contexte de la coop ration l valuation expliquera clairement les probl mes qui se posent et la mani re de les rencontrer Au cours de cet examen il sera tenu compte galement des engagements multilat raux de la Belgique strat gies de r duction de la pauvret Objectifs de D veloppement du Mill naire Consensus de Monterrey D claration de Paris Consensus europ en sur le D veloppement etc L valuation s appropriera les r sultats des diff rentes valuations men es par le Service de l valuation sp ciale par le service de suivi et valuation de la DGCD 4 1 Pertinence La Loi constitue t elle un cadre juridique ad quat
113. lle se pr sente actuellement Constate t on des diff rences entre les objectifs poursuivis lors de l laboration d une telle loi et la loi elle m me Processus d laboration o Quels ont t les acteurs publics et priv s impliqu s dans la pr paration et l laboration de cette loi Comment ont ils t choisis o Quels ont t les principaux enjeux ou les points qui ont fait l objet du plus de discussion et pourquoi Quels taient les acteurs en pr sence o Quelle a t la logique sous jacente au choix des secteurs et th mes prioritaires de la coop ration 89 Cette loi visait elle aussi a exclure certaines pratiques ou certains domaines Lesquels et pourquoi Comment a t on pris en compte le contexte international de l poque Quels l ments ont t retenus Quels l ments n ont pas t retenus et pourquoi La participation des pays partenaires fut elle effective dans les discussions ayant pr c d l adoption de la loi et ses trois r visions depuis 1999 Si oui comment Sinon pourquoi Questions sp cifiques O 90 L absence de mention dans la loi elle m me du 0 7 est elle un choix d lib r Pourquoi n est il fait aucune mention du d liement de l aide dans la loi Pourquoi a t on choisi l expression coop ration internationale et non cooperation au developpement 2 EXECUTION ET APPRECIATION DE LA LOI 2 1 Contenu de la loi
114. llingen van de Belgische internationale samenwerking bedoeld in artikel 3 en zulks rekening houdend met de criteria van ontwikkelingsrelevantie bedoeld in artikel 4 9 een transparante boekhouding voeren Voor de federaties van niet gouvernementele organisaties worden de criteria door de Koning vastgesteld Andere partners Art 11 De Belgische internationale samenwerking richt de indirecte bilaterale samenwerking op maatschappijen groeperingen verenigingen of instellingen van publiek recht zoals de gemeenschappen de gewesten de provincies en de gemeenten of van privaatrechtelijke aard andere dan de organisaties bedoeld in artikel 10 die uitgekozen worden als partners van de indirecte bilaterale samenwerking volgens een procedure en modaliteiten vastgesteld door de Koning en die minstens beantwoorden aan de volgende criteria 1 een planmatige aanpak hebben die voortvloeit uit een programma waarvan de procedure en de modaliteiten van uitwerking worden vastgesteld door de Koning en waardoor een evaluatie van de bijdragen van de indirecte bilaterale samenwerking overeenkomstig de modaliteiten vastgesteld door de Koning mogelijk wordt 2 activiteiten uitvoeren overeenkomstig de doelstellingen van de Belgische internationale samenwerking bedoeld in artikel 3 en zulks rekening houdend met de criteria van ontwikkelingsrelevantie bedoeld in artikel 4 Art 11lbis De bedragen en de goederen bestemd voor de Belgische inter
115. mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge M B 31 ao t 2000 art 2 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 art 5 et 7 46 Les notes strat giques ont t consult es sur le site de la DGCD au 6 mai 2008 mais n y sont plus publi es ce jour 47 Rapport au Roi pr c dant I A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25 mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge M B 31 ao t 2000 48 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Expos des motifs Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 5 19 Projet de loi AR du 26 juin AR du 26 janvier 1998 2000 2004 Afrique 1 Afrique du Sud R publique El Afrique du Sud d Afrique du Sud 1 2 R publique 2 Alg rie alg rienne d mocratique et populaire 2 Angola S B nin 4 Burkina Faso 4 Burkina Faso Burundi 6 R publique 5 R publique d mocratique du d mocratique du Congo Congo J eee d Ivoire 8 MR ous a 9 Kenya y O 10 Mali 9 R publique du Mali Mali 11 Royaume du Maroc Maroc NE hl na Mozambique a ad 12 Niger l Ouganda ruandaise S n gal 15 16 i Pe een A ia R publique unie de Tanzanie 16 Tunisie J 17 R gion de la SADC 17 Southern African De
116. me son champ d application Elle couvre les actions et contributions de l Etat belge en mati re de coop ration bilat rale directe multilat rale et bilat rale indirecte Tout d abord la coop ration bilat rale directe est d finie comme les programmes ou projets dans un pays partenaire financ s par l Etat belge sur base d une convention entre les deux pays Ensuite la coop ration bilat rale indirecte est d finie comme la coop ration financ e ou cofinanc e par l Etat belge dans 15 Loi du 3 octobre 1983 portant cr ation d un Fonds de survie pour le Tiers Monde en vue d assurer l ex cution des r solutions du S nat et de la Chambre des Repr sentants sur le manifeste appel des prix Nobel contre l extermination par la faim et sur la contribution que la Belgique doit apporter cette action M B 20 octobre 1983 16 Loi du 9 f vrier 1999 cr ant un Fonds belge de survie M B 27 f vrier 1999 art 6 Il ressort des auditions parlementaires en cours que cette pr f rence signifie que 80 des fonds doivent tre affect aux pays de concentration 17 Loi du 3 novembre 2001 relative la cr ation de la Soci t belge d Investissement pour les Pays en D veloppement et modifiant la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 17 novembre 2001 18 Loi du 3 novembre 2001 relative la cr ation de la Soci t belge
117. me th mes dans la loi de 1999 certaines dimensions auraient avantage tre abord es comme pr occupations transversales Par ailleurs la mise en uvre r elle de ces pr occupations transversales devrait tre assortie de ressources et de m thodologies particuli res et la loi pourrait mieux d finir le processus de transversalit afin de le distinguer de l approche sectorielle A titre d exemple il serait plus coh rent et ais d aborder l conomie sociale comme un secteur ou par sous secteurs plut t que comme une pr occupation transversale Concernant le genre et vu les difficult s de mise en uvre du mainstreaming rencontr es par la plupart des agences de coop ration il conviendrait peut tre de r fl chir des approches diff renti es certains instruments comme le gender budgeting ont d montr de bons r sultats notamment en termes de distribution plus galitaire de ressources un niveau local ou r gional tandis que des approches trop g n ralistes et mal outill es ne conduisent parfois qu appauvrir les actions li es l galit homme femme g Coop ration multilat rale La contribution de la Belgique aux organisations multilat rales doit tre envisag e en termes de compl mentarit et de coh rence avec les principes inscrits dans la loi Il convient en outre de garder l esprit la distinction entre contribution obligatoire et volontaire et ses r percussions h Evaluation La l
118. ment CTB UCL 4 ka A H ns R f de Louvain 4 Le EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 6 CLASSIFICATION TRIPLE C DES DOCUMENTS STRAT GIQUES PAYS Nous reprenons ici la classification tablie dans le document suivant Evaluation services of the European Union Triple C Evaluations N 3 Evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national development priorities Maastricht aksant 2006 pp 45 46 Four different types of CSPs The CSPs are very different Basically there are four main types sometimes the strategy papers have other names 1 Traditional CSPs are national strategy documents containing arguments and reflections for long term donor planning which reflect and ensure the coherence of a full range of development policies strategies of a donor country in relation to a partner country Normally such CSPs are finally approved at the donor headquarters and often a first draft for the CSP or at least a rigid format for contents and form has been elaborated by the headquarters Such CSPs are public documents used mainly for four purposes a To form a basis for allocation of funds from the donor to the partner country b To form the formal basis for decentralisation by defining a framework for delegation of competencies and responsibilities from headquarters to the delegation embassy in the partner country c To be used for information and debate among politician
119. minstens om de vier jaar ge valueerd en aangepast aan de gewijzigde context van de internationale samenwerking volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Onderafdeling III Thematische concentratie Art 8 1 De Belgische internationale samenwerking houdt in de sectoren bedoeld in artikel 6 van deze wet telkenmale rekening met de vier volgende sectoroverschrijdende thema s 1 het op een evenwichtige wijze rechten en kansen geven aan vrouwen en mannen 2 de zorg voor het leefmilieu 3 de sociale economie 4 eerbied voor de rechten van het kind 8 2 Voor elk van deze sectoroverschrijdende thema s zal een strategienota waarvoor de procedure en de modaliteiten volgens dewelke deze wordt opgesteld door de Koning worden bepaald het ontwikkelingsbeleid nader bepalen 86 De strategienota s bedoeld in de voorgaande alinea worden met het advies van de Federale Raad voor duurzame ontwikkeling overgezonden naar de Kamer van volksvertegenwoordigers en naar de Senaat volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Zij worden minstens om de vier jaar ge valueerd en aangepast aan de gewijzigde context van de internationale samenwerking volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Afdeling II Multilaterale samenwerking Art 9 De Belgische internationale samenwerking richt de multilaterale samenwerking op een twintigtal internationale organisaties die door de Koning uitgekozen worden als internationale partner
120. mme organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale qui r pondent au moins aux crit res suivants 1 les objectifs g n raux de l organisation internationale doivent tre compatibles avec ceux de la coop ration internationale belge vis s l article 3 2 les domaines d activit s de l organisation internationale doivent co ncider avec un ou plusieurs secteurs ou th mes prioritaires de la coop ration bilat rale directe vis s aux articles 6 et 7 3 l organisation internationale doit avoir une approche planifi e qui ressort de programmes de d veloppement permettant une valuation de l utilisation des contributions de la coop ration multilat rale selon les modalit s fix es par le Roi 4 les contributions de la coop ration multilat rale doivent tre coh rentes par rapport l ventuel apport fourni l organisation internationale par d autres acteurs de la coop ration au d veloppement en vue d harmoniser l ensemble des apports de la coop ration internationale et de maximaliser leurs effets dans le respect des crit res de pertinence pour le d veloppement vis s l article 4 Section III Coop ration bilat rale indirecte Organisations non gouvernementales Art 10 La coop ration internationale belge concentre la coop ration bilat rale indirecte sur les organisations non gouvernementales agr es selon une proc dure et des modalit s fix es par le Roi qui r ponde
121. n raux les modalit s pratiques de sa mise en uvre Les changements majeurs intervenus en mati re de coop ration au d veloppement depuis le vote de la loi tant au plan national qu international concertation entre donateurs concept de partenariat etc invitent une relecture de cette l gislation pr s de neuf ans plus tard Le Service de L Evaluation sp ciale souhaite examiner dans quelle mesure le texte l gislatif est adapt aux conceptions actuelles de la coop ration au d veloppement tant au niveau belge qu au plan international L valuation de la loi et de son adaptation au nouveau contexte ne peut s effectuer en laissant de c t la question de son actualisation Parmi les am liorations possibles au titre du renforcement de la fonction de proposition politique de l administration de la coop ration l valuation de la coop ration bilat rale directe men e en 2006 avait d j soulign que la n cessit d une am lioration de l adh sion l international de la coop ration belge pourrait inclure une r vision de la loi de 1999 qui n est plus adapt e au contexte actuel La concentration g ographique et sectorielle constitue sans conteste un des points saillants de la loi Or cette m me valuation de la coop ration bilat rale directe a soulign que malgr les progr s accomplis en mati re de concentration g ographique sectorielle et th matique ces derni res ann es la coop ration belge est enc
122. n retenus sont les suivants 1 Les soins de sant de base en ce compris la sant reproductive 2 L enseignement et la formation 3 L agriculture et la s curit alimentaire 4 L infrastructure de base 5 La pr vention de conflits et la consolidation de la soci t en ce compris le soutien au respect de la dignit humaine des droits de l homme et des libert s fondamentales a Remarques m thodologiques Il est difficile d obtenir une image claire des secteurs auxquels la Belgique contribue les secteurs tels qu ils sont d finis dans la loi du 25 mai 1999 sont relativement fourre tout et ne sont pas toujours compatibles avec les codes du CAD Le multisectoriel notamment les actions li es la d centralisation territoriale est aussi difficile identifier Robrecht Renard 2008 rel ve que les donn es relatives la Belgique sont difficiles int grer dans les comparaisons internationales en raison de ces probl mes conceptuels et empiriques Par ailleurs il faut relever que les rapports annuels de la DGCD ne prennent pas comme r f rence les secteurs identifi s par la loi rendant ainsi difficile le monitoring de la mise en uvre de la loi de 1999 b Le principe m me de concentration sectorielle La concentration sectorielle est consid r e de mani re positive dans son principe par la majorit des acteurs interrog s 64 ECORYS Nederland BV et South Research Belgium Belgique Eval
123. nationale samenwerking alsmede de bedragen en goederen bestemd voor de overige Belgische offici le ontwikkelingshulp andere dan die van de Belgische internationale samenwerking zijn niet vatbaar voor beslag noch voor overdracht TITEL IV Slotbepaling Inwerkingtreding Art 12 De bepalingen van deze wet treden in werking op de datum vastgesteld door de Koning 88 UCL 4 ui Fi Universit i 4 ie catholique deLouvain ne Louvain n EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 4 GUIDE D ENTRETIEN 1 ELABORATION DE LA LOI Quelles ont t les raisons la base de l adoption de la loi du 25 mai 1999 Comment tait organis e la coop ration belge au d veloppement avant la loi du 25 mai 1999 Comment fonctionnait la coop ration belge avant l adoption de cette la loi forces et faiblesses Quelles taient les limites politiques administratives et op rationnelles qui r duisaient son efficacit Quels ont t les grands themes du d bat dans la proc dure d laboration de la loi Quels ont t les difficult s d ordres politiques administratives et sociales rencontr es dans la mise en place de cette loi Par quels m canismes la loi du 25 mai 1999 met elle fin aux carences de l ancienne politique de coop ration belge La loi aurait elle du inclure certains aspects qui n y figurent pas Lesquels Pourquoi Quelles sont les forces et les faiblesses de la loi telle qu e
124. nder 20voettekst pdf 7 mai 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Rapport d activit 2007 Bruxelles SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement f vrier 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Service Evaluation sp ciale Evaluation de la Loi de mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge Commentaires recueillis au SPF affaires trang res et coop ration au d veloppement notamment la DGCD aupr s des attach s de la coop ration et des f d rations d ONG 2008 D claration de Lisbonne du 9 d cembre 2007 http ec europa eu development services events eu africa summit 2007 index_en cfm CFID 159728 amp CFTOKEN 32471209 amp jsessionid 2430 b44a2b2c546bidie 23 juin 2008 Be cause Health Cadre conceptuel de la coop ration belge en sant Investir dans la sant pour un meilleur bien tre Bruxelles d cembre 2007 http www itg be becausehealth uploads 20080131 149741106 cadrecon ceptuelcooperationsant pdf 25 juin 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Rapport au Parlement sur l action de la Belgique en vue de la r alisation des Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD octobre 2007 Direction g n rale de la Coop ration au d
125. nds belge de survie M B 31 mai 2000 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 18 mai 2000 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 A R du 5 mai 1999 portant assentiment au premier contrat de gestion entre l Etat belge et la soci t anonyme de droit public finalit sociale Coop ration technique belge M B 28 mai 1999 A R du 4 mai 1999 portant nomination d un Evaluateur sp cial de la Coop ration internationale aupr s du Minist re des Affaires trang res du Commerce ext rieur et de la Coop ration internationale et fixant son statut administratif et p cuniaire M B 3 juin 1999 A R du 15 f vrier 1999 portant ex cution de l article 13 de la loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public Coop ration technique belge soci t anonyme de droit public finalit sociale Statuts M B 27 f vrier 1999 A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B
126. nt M morandum de la Belgique pr sent au Comit d Aide au D veloppement Ann es 2001 2004 juin 2005 D claration de Paris sur l efficacit de l aide au d veloppement du 2 mars 2005 http www oecd org dataoecd 53 38 34579826 pdf 23 juin 2008 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 http www oecd org dataoecd 1 51 35890553 pdf 25 juin 2008 Creditor reporting system OCDE Activit s d aide visant l galit homme femme Paris OCDE 2005 Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Apercu des contributions aux organisations internationales P riode 2001 2004 DGCD avril 2005 http www dgdc be fr acteurs cooperation multilaterale pdf gele boek li vre jaune 2004 pdf 25 juin 2008 Le M morandum conjoint de Marrakech du 5 f vrier 2004 www mfdr org 5 mai 2008 La D claration de Rome sur l harmonisation du 25 f vrier 2003 http www1 worldbank org harmonization romehlf Documents languages FR 20 20Rome Declaration pdf 23 juin 2008 Health Research for Action Evaluation th matique Evaluation du secteur de la sant de la coop ration belge La coop ration belge au d veloppement d cembre 2005 Ministre Marc VERWILGHEN Note politique Entreprendre contre la pauvret et pour le d veloppement avril 2004 http www dgdc be fr themes secteur_prive index html to 26 juin 2008 Coop ration universitai
127. nt au moins aux crit res suivants 1 tre constitu e conform ment la loi du 27 juin 1921 accordant la personnalit civile aux associations sans but lucratif et aux tablissements d utilit publique ou tre une soci t finalit sociale conform ment la loi du 13 avril 1996 modifiant les lois sur les soci t s commerciales coordonn es le 30 novembre 1935 2 avoir comme principal objet social la coop ration au d veloppement 3 avoir une exp rience pertinente et actuelle dans un ou plusieurs domaine s d activit s d fini s par le Roi et le prouver en d posant des rapports d activit s sur le fonctionnement des trois derni res ann es et tre pr te se soumettre une valuation de son fonctionnement conform ment la proc dure tablie par le Roi 4 avoir une approche planifi e qui doit ressortir d un programme pluriannuel en ce compris un plan financier tabli conform ment aux modalit s fix es par le Roi 81 5 tre autonome conform ment aux modalit fix es par le Roi 6 tre a m me d assurer la continuit de son fonctionnement conform ment aux conditions fixees par le Roi 7 avoir une majorit des membres des organes de direction qui poss dent la nationalite belge 8 mener des activit s conformes aux objectifs de la coop ration internationale belge vis s a l article 3 et tenant compte des crit res de pertinence vis s a l article 4 9 g rer une comptabilit
128. nt ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge M B 20 janvier 2003 art 9 112 Loi du 6 avril 2008 visant emp cher la saisie ou la cession des fonds publics destin s la coop ration internationale notamment par la technique des fonds vautours M B 16 mai 2008 art 2 40 5 L attention port e l galit entre hommes et femmes 6 Le respect pour la protection ou la sauvegarde de l environnement L article 5 de la loi pr voit la cr ation d instruments d valuation externe au regard des crit res de pertinence vis s par la loi Il tait initialement pr vu une valuation de l ensemble de l APD mais les d bats parlementaires ont soulign un probl me de comp tences du l gislateur f d ral vis vis des entit s f d r es N anmoins le champ couvert par l valuation externe est non seulement la coop ration internationale belge mais galement l aide publique belge au d veloppement de l Etat belge autre que celle de la coop ration internationale belge gt 3115 L arr t royal du 17 f vrier 200 a cr le service Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale Des interviews il ressort que le service d valuation externe vis par la loi est fonctionnel Il coordonne ses t ches avec le service d valuation interne de la DGCD Ces deux services r alisent de nombreuses valuations qui sont rendues publiques
129. oi de 1999 avait pos l importance de l valuation Ce principe doit tre mis en perspective avec les m canismes de rapportage au Parlement Une loi r vis e devrait reprendre ce principe Elle pourrait utilement pr voir la publicit des valuations conduites par les acteurs couverts par le champ d application de la loi La gestion ax e sur les r sultats devrait galement tre pos e comme principe r gissant le secteur de la coop ration et ventuellement assortie de m canismes progressifs de rapportage des r sultats de la coop ration belge en veillant une d finition d indicateurs alliant perspective quantitative et qualitative Le principe d valuations conjointes tant avec les pays partenaires qu avec d autres bailleurs de fonds pourrait tre pr vu par la loi ou ses arr t s d ex cution Elle pourrait inclure d une part une prise en compte des processus et m thodes locales de monitoring et valuation et d autre part un m canisme d identification des freins et contraintes qui p sent sur les acteurs et des pistes de r flexion incluant les solutions trouv es dans d autres pays 164 importance de la politique de gestion des ressources humaines est cruciale sur ce point 165 CAD Egalit des genres et la mise en uvre de l aide Paris OCDE 2007 60 i Acteurs indirects Les acteurs indirects appellent une reconnaissance de leur autonomie de leurs sp cificit s et du caract re compl mentaire de leurs ac
130. on internationale belge prend en compte la pertinence au d veloppement mesur e a l aide des crit res fix s par le Comit d aide au d veloppement de l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques qui permettent de v rifier si les actions tiennent compte d une mani re suffisante des principes de base suivants 1 renforcement des capacit s institutionnelles et de gestion 2 impact conomique et social 3 viabilit technique et financi re 4 efficacit de la proc dure d ex cution pr vue 59 attention port e l galit entre hommes et femmes 6 respect pour la protection ou la sauvegarde de I environnement Evaluation externe Art 5 Le Roi d termine les instruments n cessaires afin de garantir l valuation externe de la coop ration internationale belge au regard des objectifs de la coop ration internationale belge vis s l article 3 et des crit res de pertinence vis s l article 4 ainsi que de l aide publique belge au d veloppement de l Etat belge autre que celle de la coop ration internationale belge qui sera galement valu e au regard des crit res de pertinence vis s l article 4 Le ministre transmet la Chambre des repr sentants et au S nat un rapport annuel d valuation externe avant le 30 avril de l ann e suivante ce rapport sera accompagn de ses commentaires y relatifs CHAPITRE II Principes de base Section I Coop ration bilat rale directe S
131. on du directeurs approuv s par le dans la politique de travail dans la politique de Conseil et les repr sentants d veloppement d veloppement approuv des Etats membres par le Conseil le 15 mai Ce code recommande 2007 la concentration de l action sur un nombre r duit de secteurs focaux principe directeur 1 2007 Le sommet UE Afrique de Ce sommet a conduit Strat gie conjointe Lisbonne des 8 et 9 l adoption d une strat gie d cembre 2007 conjointe d un plan d action 2008 2010 et de la D claration de Lisbonne c Compatibilit g n rale de la loi avec les volutions du contexte international En mettant en perspective les l ments et notions issues de ces diff rents textes avec la loi de 1999 on ne constate pas d incompatibilit majeure Dans une certaine mesure on peut m me dire que la loi de 1999 s inscrivait d j a l poque dans une dynamique de r forme internationale de la coop ration au d veloppement pour renforcer son efficacit En cons quence la loi n apparait pas d pass e par rapport aux volutions actuelles bien qu elle n explicite pas certaines notions qui ont merg depuis En marge de la lettre de la loi de 1999 la DGCD a trouv des moyens ad hoc pour se mettre en coh rence avec le paradigme dominant actuel voir le troisi me contrat de gestion de la CTB sur les notions de partenariat et d appropriation ou le Plan p
132. on internationale belge a t sollicit e par le service de Evaluateur sp cial du SPF Affaires Etrang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement cahiers des charges n S04 2008 1 Cette valuation a t confi e a trois quipes universitaires le D partement des Sciences de la Population et du D veloppement et le D partement de droit public de l Universit Catholique de Louvain et le Hoger Instituut voor de Arbeid de la Katholieke Universiteit Leuven Cette valuation s est d roul e de mi mars a mi juillet 2008 Le pr sent rapport a t r dig par B n dicte Fonteneau HIVA K U Leuven et Sarah Koval D partement de droit public et D partement des Sciences de la Population et du D veloppement U C Louvain sous la direction des Professeurs Patrick Develtere HIVA K U Leuven Fr d ric Lapeyre D partement des Sciences de la Population et du D veloppement U C Louvain et David Renders D partement de droit public U C Louvain et avec la collaboration de Thierry Amougou D partement des Sciences de la Population et du D veloppement U C Louvain et Jessica Wyckmans K U Leuven 1 1 Objectif de l valuation Les termes de r f rence de la pr sente valuation sont int gralement repris en annexe 1 L objectif principal de cette valuation tait de r aliser une lecture critique de la loi de 1999 en tenant compte des d veloppements survenus depuis 1999 dans les pratiques belges et internation
133. onales partenaires de la coop ration multilat rale non publi ce jour 26 juin 2008 A R du 7 f vrier 2007 r gissant l agr ment et la subvention des F d rations des organisations non gouvernementales de d veloppement M B 22 f vrier 2007 A R du 24 septembre 2006 relatif la subvention des programmes et projets pr sent s par les organisations non gouvernementales de d veloppement agr es M B 6 octobre 2006 A R du 5 ao t 2006 portant assentiment au troisi me contrat de gestion entre l Etat belge et la soci t anonyme de droit public finalit sociale Coop ration technique belge M B 27 septembre 2006 A R du 14 d cembre 2005 relatif aux agr ments d organisations non gouvernementales de d veloppement M B 30 d cembre 2005 A R du 26 janvier 2004 modifiant l arr t royal du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 1 de la loi du 25 mai 1999 concernant la coop ration internationale belge M B 19 mai 2004 A R du 19 d cembre 2003 relatif aux obligations comptables et la publicit des comptes annuels de certaines associations sans but lucratif associations internationales sans but lucratif et fondations M B 30 d cembre 2003 A R du 4 avril 2003 portant la d signation d un valuateur sp cial aupr s du service Evaluation sp ciale de la Coop ration internationale M B 2 mai 2003 A R du 2 avril 2003 d terminant les organisations internationales parten
134. ore tr s fragment e 2 Objectif de l valuation L valuation vise r aliser une lecture critique de la loi en tenant compte des d veloppements survenus depuis 1999 dans les pratiques belge et internationale en mati re de coop ration au d veloppement et faire des suggestions en vue de son actualisation 3 Domaine de l valuation 66 L valuation situera la loi dans la cadre de la r glementation belge en mati re de coop ration au d veloppement en prenant en compte entre autres la loi sur la CTB la loi portant cr ation de BIO les dispositions relatives a la coop ration non gouvernementale les engagements internationaux se rapportant au d veloppement que la Belgique a pris ainsi que les engagements de la Belgique dans le cadre de la coop ration multilat rale L valuation prendra galement en compte les contraintes qui s imposent la coop ration belge en vertu notamment de la loi sur les finances publiques la r glementation sur le contr le des pouvoirs publics Le cas ch ant elle examinera la port e de ces r glementations sur la coop ration au d veloppement en particulier sur une possible d centralisation visant rencontrer les engagements pris Paris en 2005 L valuation fera une lecture critique de la loi et pointera le cas ch ant les dispositions qui m riteraient d tre modifi es supprim es ou ajout es L valuation justifiera dans le d tail ses recommandations ventuel
135. organisaties van de multilaterale samenwerking volgens een procedure en modaliteiten vastgesteld door de Koning en die minstens beantwoorden aan de volgende criteria 1 de algemene doelstellingen van deze internationale organisatie moeten aansluiten bij deze van de Belgische internationale samenwerking bedoeld in artikel 3 2 de actiedomeinen van de internationale organisatie dienen overeen te stemmen met een of meerdere prioritaire sectoren of thema s van de directe bilaterale samenwerking bedoeld in de artikelen 6 en 7 3 de internationale organisatie moet een planmatige aanpak hebben die voortvloeit uit ontwikkelingsprogramma s welke een evaluatie van de aanwending van de bijdragen van de multilaterale samenwerking toelaten volgens de modaliteiten vastgesteld door de Koning 4 de bijdragen van de multilaterale samenwerking dienen coherent te zijn met de steun die eventueel door andere actoren van de ontwikkelingssamenwerking aan de internationale organisatie wordt gegeven teneinde het geheel der financieringen in het kader van de Internationale samenwerking te harmoniseren en het effect ervan te maximaliseren met inachtneming van de criteria voor ontwikkelingsrelevantie bedoeld in artikel 4 Afdeling III Indirecte bilaterale samenwerking Niet gouvernementele organisaties Art 10 De Belgische internationale samenwerking richt de indirecte bilaterale samenwerking op de niet gouvernementele organisaties die erkend worden
136. our l harmonisation et l alignement de l aide de la DGCD Des interviews il ressort que la majorit des r pondants consid rent que la loi n entre pas fondamentalement en contradiction avec les principes voqu s par ces textes internationaux et que des strat gies ont t mises en uvre pour permettre de s adapter ces nouveaux paradigmes Si la loi devait tre r vis e une majorit de r pondants s accordent pour dire que les principes de ces textes notamment appropriation alignement harmonisation gestion ax e sur les r sultats responsabilit mutuelle division du travail devraient tre explicitement repris mais pas les textes dont ils sont issus en raison de leur caract re trop conjoncturel ou rapidement d pass Il n y a pas 145 Code de conduite de l UE sur la compl mentarit et la division du travail dans la politique de d veloppement Conclusion du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du 15 mai 2007 http register consilium europa eu pdf fr 07 st09 st09558 fr07 pdf 5 mai 2008 146 Consultables sur http ec europa eu development services events eu africa summit 2007 index_en cfm CFID 159728 amp CFT OKEN 32471209 amp jsessionid 2430b44a2b2c546bidile 23 juin 2008 147 A R du 5 ao t 2006 portant assentiment au troisi me contrat de gestion entre l Etat belge et la soci t anonyme de droit public finalit sociale Coop ration techniq
137. ous reprenons ici les quatre principaux leviers non mentionn s dans la loi 2 3 1 La Coop ration technique belge CTB La loi du 21 d cembre 1998 cr e la Coop ration technique belge qui est charg e de l ex cution de la politique en mati re de coop ration au d veloppement d finie par le membre du Gouvernement qui a la Coop ration au d veloppement dans ses attributions et des missions de d veloppement dans des pays partenaires en vertu de conventions conclues avec une personne morale de droit public belge tranger ou international Cette loi ne faisait pas r f rence la loi du 25 mai 1999 puisqu elle lui est ant rieure Toutefois la loi pr voit depuis 2005 que la CTB prend en charge le service volontaire de la coop ration au d veloppement qui est effectu dans un des pays de concentration g ographique et dans le cadre duquel les personnes recrut es peuvent tre affect es au suivi de ou int gr es dans des programmes ou projets rentrant dans la concentration sectorielle ou th matique pr vue par la loi du 25 mai 1999 L article 9 des statuts de la Coop ration technique belge qui en fixe la finalit sociale fait lui r f rence aux objectifs prioritaires de la coop ration internationale belge et la concentration g ographique sectorielle et th matique m me si c est sans r f rence expresse la loi du 25 mai 1999 2 3 2 Le Fonds belge de survie FBS La loi du 9 f vrier 1999 r git le
138. ous section I Concentration g ographique Art 6 ler La coop ration internationale belge concentre la coop ration bilat rale directe sur un maximum de vingt cinq pays ou organisations r gionales de pays pour autant que les programmes s adressent l ensemble des pays membres de ces organisations s lectionn s par arr t royal d lib r en Conseil des ministres comme pays partenaires de la coop ration bilat rale directe sur la base des crit res suivants 1 degr de pauvret du pays partenaire mesur sur la base du niveau de d veloppement socio conomique de l indicateur du d veloppement humain et de l indicateur de la pauvret humaine 2 exp rience pertinente et actuelle de la coop ration internationale belge relative au pays partenaire 3 contribution du pays partenaire son d veloppement socio conomique 4 respect par le pays partenaire du principe de bonne gouvernance 79 5 existence d une situation de crise dans le pays partenaire pour laquelle la Coop ration internationale belge peut intervenir sur le plan international dans la r solution du conflit et la pr vention de nouveaux actes de violence 6 degr d int gration r gionale du pays partenaire dans le cadre de la coop ration r gionale 7 politique en vue de faire disparaitre des discriminations et politique d galit des chances men e par les autorit s du pays partenaire 2 Pour chaque pays partenaire d
139. ous sommes essentiellement focalis s sur l un des principes centraux de cette loi savoir les concentrations g ographique sectorielle et th matique auxquelles la coop ration bilat rale directe doit se soumettre Les sources des donn es sur lesquelles nous nous sommes bas s sont pr cis es dans chaque sous partie Dans une moindre mesure et de mani re tr s partielle nous nous sommes galement attach s appr cier la mise en uvre d autres dispositions de la loi savoir l valuation la coop ration multilat rale et la coop ration bilat rale indirecte 2 5 1 D finition des objectifs art 3 L article 3 de la loi du 25 mai 1999 d finit l objectif prioritaire de la coop ration internationale belge savoir le d veloppement humain durable r aliser par le biais de la lutte contre la pauvret sur la base du concept de partenariat et dans le respect des crit res de pertinence pour le d veloppement Cet objectif a t d fini en partant du constat que les pays qui ont investi dans les secteurs centr s sur l individu correspondent ceux o l Indice du d veloppement humain IDH des Nations Unies PNUD a r alis l avanc e la plus importante De plus la coop ration internationale belge doit apporter dans ce cadre une contribution a l objectif g n ral de d veloppement et de consolidation de la d mocratie et de l Etat de droit en ce compris le principe de bonne gouvernance
140. p ration tait vue par beaucoup comme un moyen au service d autres objectifs commerce diplomatie Le cabinet 2 Suivi des probl mes de l Administration G n rale de la Coop ration au d veloppement Doc Parl Ch repr sess ord 1996 1997 n 1123 2 3 Suivi des probl mes de l Administration G n rale de la Coop ration au d veloppement Rapport fait au nom de la commission sp ciale Doc Parl Ch repr sess ord 1996 1997 n 1123 1 pp 220 221 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 1 juillet 1999 5 A R du 18 juillet 1997 relatif l agr ment et la subvention d organisations non gouvernementales de d veloppement et de leurs f d rations M B 27 ao t 1997 Loi du 21 d cembre 1998 portant cr ation de la Coop ration technique belge sous la forme d une soci t de droit public M B 30 d cembre 1998 9 voulait surtout que la coop ration devienne plus demand driven et ent rine certaines notions comme l appropriation et le partenariat Selon les acteurs de l poque la loi de 1999 n a pas tellement suscit de discussions de contenu car la cr ation de la CTB et les r gles applicables aux ONG qui faisaient le plus d bat l poque taient d j ent rin es respectivement par une loi et un arr t royal Dans une grande mesure on peut dire que la loi du 25 mai 1999 a b n fici d un large soutien tant du secteur que des partis politiqu
141. pe de loi La loi actuelle est une loi qui fixe des principes g n raux et laisse un champ d action l ex cutif En cas de r vision de la loi le choix d une l gislation fixant les l ments essentiels semble pr f rable Tout d abord il convient de rappeler 56 que le Roi a comp tence pour diriger les relations internationales et que l intervention du l gislateur est subordonn e au respect de la Constitution ce qui doit conduire une intervention mesur e du l gislateur En outre le choix d une l gislation qui entre largement dans les d tails rend l adaptation aux volutions internationales plus difficiles Toutefois le risque d ventuels retards dans la mise en uvre d une l gislation laissant une large marge de man uvre a l ex cutif en l absence de mesures d ex cution requises ne doit pas tre n glig L entr e en vigueur de la loi actuelle a t tal e dans le temps en raison de la n cessit de nombreuses mesures d ex cution et il faudra veiller prendre les dispositions transitoires ad quates afin de ne pas paralyser les actions du secteur en cas de r forme profonde 3 2 4 Contenu Sur base de notre valuation il semble que le contenu d une ventuelle nouvelle loi pourrait inclure les l ments que nous reprenons ci apr s Bien entendu il faut avoir l esprit que la mention de certains principes dans la loi n est pas encore la garantie de leur mise en uvre et que pour ce faire
142. pgesteld door de Koning worden bepaald het ontwikkelingsbeleid nader bepalen De strategienota s bedoeld in de voorgaande alinea worden met het advies van de Federale Raad voor duurzame ontwikkeling overgezonden naar de Kamer van volksvertegenwoordigers en naar de Senaat volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Zij worden minstens om de vier jaar ge valueerd en aangepast aan de gewijzigde context van de internationale samenwerking volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Onderafdeling II Sectorale concentratie Art 7 1 De Belgische internationale samenwerking richt de directe bilaterale samenwerking in hoofdzaak op de volgende vijf sectoren 1 basisgezondheidszorg met inbegrip van reproductieve gezondheidszorg 2 onderwijs en vorming 3 landbouw en voedselzekerheid 4 basisinfrastructuur 5 conflictpreventie en maatschappijopbouw met inbegrip van ondersteuning van de eerbied voor de menselijke waardigheid de mensenrechten en de fundamentele vrijheden 2 Voor elke sector zal een strategienota waarvoor de procedure en de modaliteiten volgens dewelke deze wordt opgesteld door de Koning worden bepaald het ontwikkelingsbeleid nader bepalen De strategienota s bedoeld in de voorgaande alinea worden met het advies van de Federale Raad voor duurzame ontwikkeling overgezonden naar de Kamer van volksvertegenwoordigers en naar de Senaat volgens de modaliteiten bepaald door de Koning Zij worden
143. pp 437 456 MATTHIJS H Overheidsbegrotingen I Federale Staat gemeenschappen en gewesten en bijzondere begrotingsstelsels Brugge die Keure 2005 MICHAILOF S et SEVERINO J M A quoi sert il d aider le Sud Economica Paris 2006 MICHEL S et BEURET M La Chinafrique P kin la conqu te du continent noir Paris Grasset 2008 OST F La r gulation des horloges et des nuages Elaborer la loi aujourd hui mission impossible Bruxelles Publication des Facult s Saint Louis 1999 PLIHON D Le nouveau capitalisme Flammarion Paris 2001 POIRIER J Le droit public survivra t il sa contractualisation Les accords de coop ration dans le syst me f d ral Rev dr ULB 2006 pp 262 314 RENARD R Should Belgian aid be more focused support de l intervention lors des tats g n raux de la coop ration Bruxelles Palais d Egmont 2008 http www dgdc be documents assises Robrecht_Renard ppt 543 2 OUTL INE 25 juin 2008 ROSANVALLON P La contre d mocratie La politique l heure de la d fiance Broch Paris 2006 SEVERINO J M L aide au d veloppement vestige du si cle March s Tropicaux 1990 pp 5 21 TSIKATA Y Owning Economic Reforms A comparative study of Ghana and Tanzania Reforming Africa s institutions Ownership incentives and capabilities United Nation University Press Tokyo New York Paris 2003 pp 30 53 UYTTENDAELE M Pr
144. priorities 25 juin 2008 99 and development They are living documents supplying a point of departure for local dialogue and allowing for the local embassy or delegation to raise issues for debate with headquarters on the basis of the specific conditions in the partner country 3 Minimal CSPs are national indications of overall strategic principles for development co operation in the partner country formulated very briefly so as to allow for maximum alignment with partner country strategies and for joint strategic planning and implementation of development aid with other donors Ideally the Minimal CSP will be substituted by references to agreements on alignment and joint implementation strategies These CSPs are public documents aiming at the clarification of overall principal strategic positions of the donor Being brief and confined to the level of principles these CSPS may be revised or adjusted with short notice if need be 4 Outdated CSPs are CSPs which initially were approved as Traditional CSPs but for different reasons were not updated as planned and in a number of aspects have been outdated Reasons for not updating might for instance be that the donor agency is awaiting clarification of key questions in relation to the future development co operation in the partner country or that the development co operation with the partner country is about to be scaled down and therefore does no
145. pris le soutien au respect de la dignit humaine des droits de l homme et des libert s fondamentales Comment la concentration sectorielle s est elle r percut e en termes budgetaires Quid des l actions des autres acteurs du Nord et du Sud dans ces domaines 2 1 4 Concentration th matique art 8 Les notes strat giques existent elles Ont elles t transmises et r vis es Comment les notes strat giques th matiques sont elles r alis es et mobilis es Les notes sont elles r vis es dans les d lais pr vus par la loi Sinon pourquoi Le principe de concentration th matique est il pertinent Le choix des th mes est il pertinent R quilibrage des droits et des chances des femmes et des hommes Respect de l environnement Economie sociale Respect des droits de l enfant 92 Ces themes prioritaires sont ils effectivement pris en compte Comment Comment la concentration th matique s est elle r percut e en termes budgetaires 2 1 5 Coop ration multilat rale art 9 La fourchette d une vingtaine d organisation internationale est elle num riquement pertinente Les crit res de s lections des OIPCM sont ils pertinents Les crit res de s lection ont ils t r ellement mis en uvre Comment la concentration s est elle r percut e en termes budg taires 2 1 6 ONG art 10 En mati re d ONG quels taient les object
146. ptant l utilisation des ressources l affectation des investissements le ciblage du d veloppement technologique et les structures institutionnelles aux besoins tant actuels que futurs 11 partenariat mode de coop ration actif et participatif entre partenaires dans le cadre de la coop ration au d veloppement avec une attention particuli re pour le d veloppement des capacit s locales la d centralisation des interventions au niveau des groupes cibles vis s et la responsabilisation du pays partenaire notamment par l association au processus de d veloppement des pouvoirs publics de la soci t civile et du secteur conomique priv du pays partenaire 12 bonne gouvernance m thode qui vise optimaliser la gestion des capacit s institutionnelles le processus de d cision des autorit s publiques et la gestion des fonds publics dans le respect de la d mocratie de l Etat de droit de m me que des droits de l homme et des libert s fondamentales 13 aide publique belge au d veloppement L ensemble des contributions des diff rentes autorit s belges la fois f d rales et d centralis es en mati re d aide au d veloppement qui sont reconnues par le Comit d aide au D veloppement CAD de l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques selon ses normes comme aide publique au d veloppement APD TITRE II Objectifs D finition des objectifs Art 3 La coop ration inte
147. r la dimension l gale Qui est propri taire et la dimension perte profit Qui profite le cas ch ant des b n fices et Qui paie la facture si les choses tournent mal Le Code de conduite de l Union europ enne insiste quant elle sur la dimension eadership Il incombe au premier chef aux gouvernements des pays partenaires de jouer le r le moteur en mati re de division du travail et d exercer la ma trise de ce processus au niveau national A d faut il revient l UE de favoriser un tel processus Dans l histoire de la coop ration au d veloppement la notion d appropriation peut tre envisag e comme une r ponse aux conditionnalit s qui ont caract ris l aide au d veloppement pendant des d cennies au niveau multilat ral les programmes d ajustement structurel en sont un bon exemple Sans vacuer compl tement la question des conditionnalit s les crit res de s lection des pays partenaires constituent d j une forme de conditionnalit on peut dire que la notion d appropriation met l accent sur la non imposition unilat rale de conditions et sur le dialogue quant au contenu et aux modalit s de l aide Des interviews il ressort de la part de certains acteurs la n cessit de poser la question des niveaux de l appropriation dans les pays du Sud Les ONG 11 11 11 insistant ainsi pour dire que la meilleure d finition serait celle d une appropriation impliquant les parlementa
148. r le financement du d veloppement 138 Rapport du Sommet mondial pour le d veloppement durable Johannesburg Afrique du Sud 26 ao t 4 septembre 2002 A CONF 199 20 13 Texte consultable sur 20Rome Declaration pdf 23 juin 2008 140 www mfdr org 5 mai 2008 46 http www1 worldbank org harmonization romehlf Documents languages FR 20 2005 La D claration de Paris Ce texte est le fruit d un Efficacit de l aide au sur l efficacit de l aide au Forum de Haut Niveau d veloppement d veloppement du 2 mars organis Paris du 28 2005 f vrier au 2 mars 2005 appropriation de l aide par les pays partenaires alignement des bailleurs de fonds et des pays partenaires harmonisation entre les bailleurs de fonds et gestion ax e sur les r sultats et responsabilit mutuelle Union Europ enne 2005 Le Consensus europ en II s agit d une d claration Politique de sur le d veloppement de conjointe du Conseil d veloppement 2005 europ en des repr sentants des Etats membres du Parlement europ en et de la Commission europ enne sur la politique de d veloppement de l Union europ enne 2006 La Plan d action pour Il s agit d une Fournir une aide plus l efficacit de l aide de Communication de la importante plus 2006 Commission intitul e Aide efficace et plus rapide de l UE Fournir une aide plus importante plus
149. rd hui L examen des termes et de la philosophie de la loi du 25 mai 1999 d une part des actes et des faits qui se sont produits depuis lors d autre part permettent alors de mesurer deux ordres de pr occupations Un premier ordre de pr occupations tient dans le recensement de l ensemble des l ments l gislatifs qui manquent la loi du 25 mai 1999 pour coller aux actes et aux faits pertinents accomplis depuis lors Un second ordre de pr occupations tient l inverse dans le recensement de l ensemble des l ments l gislatifs que la loi du 25 mai 1999 contient et qui ne collent plus aux actes et aux faits pertinents accomplis depuis cette date L addition des deux analyses doit d boucher en termes de conclusion sur l valuation proprement dite qui en quelques pages va tablir les lignes de force de l valuation laquelle il aura t proc d tout en indiquant en substance les lignes suivre en vue de r former la loi du 25 mai 1999 III Les moyens ressources d valuation Trois quipes universitaires sont mobilis es en vue de proc der l valuation en cause L une juridique est particuli rement charg e de la confection de la premi re et de la troisi me parties de l tude Les deux autres sp cialis es en mati re de coop ration au d veloppement au sein de la K U Leuven HIVA et de l U C Louvain DVLP sont particuli rement charg es de la confection de la deuxi me et troi
150. re volutif par essence comme le respect par le pays partenaire du principe de bonne gouvernance De fait d s la premi re s lection le rapport au Roi pr cisait que ce crit re serait utilis de mani re pragmatique comme crit re d exclusion dans des cas extr mes Certains r pondants trouveraient aussi judicieux de prendre en compte d autres crit res comme la capacit d absorption de l aide par les pays b n ficiaires et de veiller la diversification du portefeuille de l aide notamment en maintenant une 52 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Commentaire des articles Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 15 53 Rapport au Roi pr c dant I A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25 mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge M B 31 ao t 2000 54 A R du 26 janvier 2004 modifiant l arr t royal du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25 mai 1999 concernant la coop ration internationale belge M B 19 mai 2004 55 ECORYS Nederland BV et South Research Belgium Belgique Evaluation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l valuation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 p 92 56 Altlas
151. re au D veloppement Construire ensemble le savoir comme moteur de d veloppement Plan quinguennal 2003 2007 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Note strat gique Economie sociale novembre 2002 Rapport du Sommet mondial pour le d veloppement durable Johannesburg Afrique du Sud 26 ao t 4 septembre 2002 A CONF 199 20 R solution adopt e par l Assembl e g n rale Conf rence internationale sur le financement du d veloppement A RES 56 210 B 2002 Rapport du Sommet mondial pour le d veloppement durable Johannesburg Afrique du Sud 26 ao t 4 septembre 2002 A CONF 199 20 2002 R solution adopt e par l Assembl e g n rale A RES 55 2 2000 Convention g n rale entre l Etat belge et les Universit s francophones CIUF concernant la coop ration au d veloppement non publi Communiqu de presse du Conseil des ministres du 19 d cembre 1997 http www residencepalace be archive 19971219 403413 lang fr 25 mars 2008 111
152. re le Sida la Tuberculose et la Malaria GFATM 20 Programme Alimentaire Mondial PAM 21 Agence des Nations Unies R fugi s Proche pour les palestiniens au Orient UNRWA c L effet en termes de concentration de la coop ration multilat rale On remarque une r duction progressive du nombre d OIPCM Il faut cependant noter que la loi mentionne les contributions de la Belgique alors que l arr t royal couvre les contributions volontaires et r currentes de la Belgique 35 d Le principe m me de concentration de la coop ration multilat rale De mani re g n rale les personnes interrog es soutiennent ce principe e Le choix des OIPCM Dans 5 cas sur 23 les contributions volontaires sont combin es avec des contributions obligatoires Pour ces organisations pr cis ment la part des contributions volontaires en 2006 allait de 13 5 Banque Mondiale a 68 5 FAO Pour les autres OMS 51 UNESCO 25 OIT 49 f L application des crit res de s lection L ensemble des organisations auxquelles la Belgique contribue volontairement remplissent de mani re g n rale les trois premiers crit res Les organisations s lectionn es sont aussi conformes aux crit res de choix fix s par l arr t royal du 7 avril 2000 En ce qui concerne les crit res pour lesquels l arr t royal pr cise qu il en sera tenu compte fonctionnement fonction de catalyseur et r le de coor
153. ressort galement que le choix affich de la r duction de la pauvret comme objectif de la coop ration au d veloppement aurait mis fin aux discussions sur une centralisation de la coop ration sur le d veloppement conomique des pays partenaires et afficher un choix d op rer une coop ration au d veloppement ax e sur le sort des groupes les plus pauvres L objectif de consacrer 0 7 du RNB est inscrit dans un texte de loi depuis 2002 puisque l article 10 des lois coordonn es sur la comptabilit de l Etat nonce L expos g n ral du budget contient notamment 6 une note de solidarit dans laquelle le gouvernement explique quelles mesures il pr voit en vue d atteindre selon un calendrier de croissance maintenue et annuelle au plus tard partir de 2010 0 7 du Revenu national brut pour les moyens affect s l aide au d veloppement officielle belge selon les crit res tablis au sein du Comit d aide au d veloppement de l OCDE N anmoins divers acteurs se prononcent en faveur de l int gration de ce principe dans une loi traitant sp cifiquement de la coop ration 2 5 2 Notes strat giques Les articles 6 2 7 2 et 8 2 de la loi pr voient la r daction de notes strat giques relatives aux pays secteurs et th matiques de concentration qui doivent tre r vis es tous les quatre ans et transmises aux pr sidents de la Chambre et du S nat L objectif des notes strat giques est de fo
154. rnationale belge a pour objectif prioritaire le d veloppement humain durable r aliser par le biais de la lutte contre la pauvret sur la base du concept de partenariat et dans le respect des crit res de pertinence pour le d veloppement La coop ration internationale belge contribue dans ce cadre l objectif g n ral de d veloppement et de consolidation de la d mocratie et de l Etat de droit en ce compris le principe de bonne gouvernance ainsi qu l objectif du respect de la dignit humaine des droits de l homme et des libert s fondamentales avec une attention particuli re pour la lutte contre toute forme de discrimination pour des raisons sociales ethniques religieuses philosophiques ou fond es sur le sexe La coop ration f d rale favorise la synergie avec les coop rations communales provinciales r gionales communautaires et europ ennes afin d en obtenir des effets amplificateurs favorables terme aux populations b n ficiaires de l assistance De mani re r aliser l objectif de d veloppement humain durable la coop ration internationale belge favorise le d veloppement socio conomique et socioculturel et le renforcement de l assise soci tale des pays partenaires de m me qu elle sensibilise l opinion publique belge 78 TITRE III Strat gies CHAPITRE I Pertinence et valuation Crit res de pertinence Art 4 En vue de contribuer a un d veloppement humain durable la coop rati
155. rt 6 2 Concentration g ographique notes strat giques Art 7 Concentration sectorielle Art 8 Concentration th matique Art 9 Coop ration multilat rale Art 10 alin a 1 ONG Art 10 alin a 2 F d rations d ONG Art 11 Autres partenaires Coop ration internationale A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 81 de la loi du 25 mai 1999 concernant la coop ration internationale belge art 2 A R du 17 septembre 2000 portant l ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 7 A R du 17 septembre 2000 portant l ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 7 A R du 17 septembre 2000 portant l ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 7 A R du 7 avril 2000 d terminant les proc dures et modalit s de s lection des organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale au sens de l article 9 de la loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 6 A R du 25 avril 2002 portant ex cution de l article 12 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge art 1 Loi programme du 2 janvier 2001 art 82 A R du 23 d
156. rvices of the European Union Triple C Evaluations N 3 Evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national development priorities Maastricht aksant 2006 58 Voir Annexe 6 pour le descriptif de chaque type de note 59 Evaluation services of the European Union Triple C Evaluations N 3 Evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national development priorities Maastricht aksant 2006 p 14 23 f L effet en termes de concentration g ographique de l aide bilat rale directe A partir de l valuation de la coop ration bilat rale directe l on constate une concentration progressive mais partielle de l aide bilat rale directe De 2001 2004 la part des d penses dans les pays actuellement non partenaires a t ramen e de 48 26 En ne prenant pas en compte les remises de dette cette proportion passe de 43 en 2001 30 en 2004 En se r f rant l indicateur du ranking des pays donateurs on observe depuis 1999 que la Belgique monte dans le top 10 pour les pays de concentration En effet l on constate une volution positive pour 7 des pays de concentrations Alg rie B nin Burundi P rou S n gal Afrique du Sud une volution n gative pour 4 pays de concentration RDC Mozambique Rwanda Vietnam l absence d volution pour un pays Niger Malgr cette progression il faut noter que la part de la Belgique comme pays dona
157. s Unies 2000 La D claration du Une r solution de Objectifs chiffr s de mill naire adopt e le 8 l Assembl e g n rale de r duction de la septembre 2000 l Organisation des Nations pauvret Unies du 8 septembre 2000 consacre l adoption de la D claration du mill naire qui comporte une s rie de r solutions consacr es au d veloppement Les indicateurs des Les objectifs du Mill naire objectifs du mill naire sont tir s de la D claration pour le d veloppement du mill naire et fixent un effectifs le 8 septembre programme concentr sur 2003 18 cibles r parties en 8 objectifs Chaque cible est dot e d indicateurs Ce texte doit servir de rep re pour la construction d objectifs nationaux 134 nos yeux l ensemble des textes abord s n expriment pas une volont juridique de se lier et doivent d s lors tre tenus pour des accords non juridiques Ils n ont d ailleurs pas fait l objet d une loi d assentiment Ceci ne retire rien l obligation de la Belgique de respecter l ensemble des engagements internationaux g n raux qu elle a souscrit notamment en mati re environnementale dans la cadre de sa politique de coop ration Sur la distinction entre r solutions trait s et accords non juridiques J VERHOEVEN Droit international public Bruxelles Larcier 2000 pp 356 357 et 371 373 135 R solution adopt e par l Assembl e g n rale D claration du Mill n
158. s and civil society in the donor country a justification for use of taxpayers money and a basis for holding the donor agency accountable d To be used for information to the partner country and to other donor agencies at partner country level It is a very resource demanding process to have such a paper elaborated and the normal life time of a paper is at least five years probably with a mid term review to allow for the most needed adjustments 2 Working document CSPs are national strategy documents containing analysis and reflections on options for donor strategies and planning for development co operation with a partner country Such documents are elaborated mainly by the local embassy delegation in the partner country and after consultation with headquarters they are often approved at embassy delegation level These CSPs often contain an action plan for the first year or two and are so flexible that they allow for adaption to local opportunities for policy development and dialogue The documents may be updated as need be for instance on a biannual basis They are often fairly brief and outspoken and to allow for that they may not be made public As indicated by the name such CSPs are mainly thought as working papers for discussion and constant adjustment 168 http www three cs net 3cs publications triple c evaluations n 3 evaluating co ordination and complementarity of country strategy papers with national development
159. s des acteurs indirects e Concentration sectorielle D j pr sent dans la loi de 1999 le principe de concentration sectorielle s est vu renforc par le Code de conduite de l Union europ enne division du travail sur base des avantages comparatifs des pays donateurs La Belgique est en train de mettre en uvre ces principes Nous attirons l attention sur les remarques d j mentionn es pr c demment savoir la n cessit de faire concorder ce principe de division du travail avec le principe d appropriation et d alignement sur les priorit s du pays partenaire Sur l approche adopter en termes de choix et de mentions des secteurs diverses options ressortent Identifier des secteurs voire des niches par secteurs et les mentionner dans la loi comme secteurs de concentration exclusifs Citer des secteurs sur lesquels la Belgique se concentre principalement comme le fait la loi de 99 Etablir une liste de secteurs d finis et pr ciser que selon le contexte national et les besoins nationaux deux ou trois de ces secteurs seront choisis Se limiter la mention de la concentration sur deux ou trois secteurs par pays et d finir les secteurs en concertation avec les pays partenaires Ajoutons que la d finition des secteurs et la distinction par rapport aux pr occupations transversales devrait tre plus pr cise que dans la loi de 1999 notamment afin de faciliter le d veloppement de strat gies Cette qu
160. s le cadre de la r flexion sur le cadre l gislatif de la coop ration au d veloppement depuis le d but de l ann e 2008 Sans pr sager de l issue de ces r flexions nous allons dans cette partie voquer une s rie de points d attention qui devraient tre consid r s en cas de r vision de la l gislation actuelle 3 2 1 Processus La loi de 1999 est n e dans un contexte bien particulier de crise du secteur de la coop ration au d veloppement et de n cessit de restructuration Les travaux pr paratoires avaient b n fici d un large consensus Il n est pas assur qu un tel consensus puisse se reproduire l heure actuelle car diff rentes conceptions s affrontent en mati re de coop ration au d veloppement Ceci explique que le processus soit regard avec suspicion par les acteurs qui semblent globalement approuver la loi actuelle Par ailleurs le secteur de la coop ration ne semble face aucune urgence objective qui justifierait de revoir cette loi dans des d lais tr s brefs Il faut viter que ne se perdent les acquis de la loi de 1999 notamment en termes de dissociation de la coop ration au d veloppement des activit s li es au commerce ext rieur Les le ons qui peuvent tre tir es du pass et de la mise en uvre de la loi ainsi que les points de vue des diff rents acteurs du secteur de la coop ration doivent tre m ris pour permettre une r forme efficace Comme les diff rentes valuations disponibles l
161. s pratiques pertinentes en la mati re m rite d tre voqu e dans la mesure o elle pourrait servir amender le dispositif l gislatif actuellement en vigueur L quipe se propose dans cette partie e D analyser sur le plan international l volution de la coop ration au d veloppement entre 1999 et aujourd hui en insistant sur les volutions majeures qui ont pris place OMD DSRP Accords de Cotonou D claration de Paris Conf rence de Monterrey approche int gr e dans le cadre du post conflit humanitaire et d veloppement e D analyser les engagements pris sur le plan international par la Belgique qui ont t susceptibles de modifier sa politique coop ration au d veloppement et ou ses modalit s op rationnelles OMD d claration des conf rences internationales Johannesburg D claration de Paris etc e D analyser les changements d orientation de priorit s ventuels du gouvernement f d ral sur le plan national qui ont pu avoir un impact sur la politique de coop ration au d veloppement et ou ses modalit s diminution du nombre de pays cibles volution de la concentration th matique new public management etc e D analyser des changements de l architecture institutionnelle CTB BIO Fonds de survie Aide humanitaire etc et des pratiques administratives contrats publics subsidiassions des ONG valuations etc depuis 1999 qui ont pu avoir un impact sur le fonctionnement du syst me institu par
162. si me partie et des conclusions Il va de soi que chacune des parties de l tude est tablie en troite collaboration entre les trois quipes universitaires L on reconna t cependant que certaines parties sont pr dominance plus juridique d autres pr dominance plus conomique et sociologique 75 Un questionnaire sera labor et une s rie d interviews effectu e avec tous les partis prenants de la coop ration au d veloppement en Belgique Directeur g n raux DGCD et CTB Responsables DGCD programmes gouvernementaux programmes sp ciaux programmes non gouvernementaux programmes multilat raux et europ ens Responsables CTB march s th matiques sectoriels F d rations d ONG CNCD ACODEV Directeur de BIO Directeur de la CUD membres des cabinets respectifs Responsable au Minist re des Affaires Etrang res Responsables au niveau des r gions etc Les interviews seront effectu es par les deux quipes en tenant compte des pr f rences linguistiques des personnes interview es Un calendrier des interviews et le questionnaire seront disponibles pour le 18 avril au plus tard Une grande partie du travail se fera a partir d un desk study reposant sur tous les documents pertinents disponibles et ou mis la disposition de l quipe d valuation pour effectuer son travail En vue d assurer la coordination entre les quipes des r unions sont organis es r guli rement Une fiche de lecture type est g
163. sions et tous les claircissements utiles concernant les questions de l valuation et l approche suivie Phase 2 Rapport final 167 Notamment l aide budg taire le r le central du pays partenaire les principes d harmonisation et d alignement et le dialogue politique 68 Le rapport final contiendra les constats de l valuation et des conclusions et des recommandations II devra des lors se presenter comme suit Introduction M thodologie Constats Analyses et facteurs explicatifs Conclusions Am liorations souhaitables OUUNH Les constats et les analyses seront d abord formul s de mani re concise et ensuite d taill s Les conclusions devront indiquer sur quels num ros de paragraphe dans les constats et les analyses elles sont fond es Toute am lioration ventuelle propos e devra avoir un lien direct avec les conclusions Le rapport final sera valu sur la base de son contenu de sa force probante de sa coh rence interne et de sa lisibilit La partie narrative du rapport ne pourra d passer 50 pages Tout mat riel important sera annex Phase 3 Restitution Le rapport final sera comment par les valuateurs durant un s minaire de restitution avec les acteurs associ s 6 Profil des valuateurs L quipe d valuation devra remplir les conditions suivantes la pr f rence ira vers une quipe qui combine une institution flamande et une institution francophone et des comp
164. st dot e la Belgique en mati re de coop ration internationale mais aussi 71 de circonscrire les objectifs poursuivis et de d crire les moyens destin s a atteindre ces objectifs B Les actes et les faits pass s entre le 25 mai 1999 et aujourd hui La partie B se construite autour d une triple d marche 1 El ments d appr ciation de l ex cution de la loi de 1999 2 Evolution du contexte national et international 3 Interpr tations sur le contenu l ex cution et la pertinence de la loi de 1999 1 El ments d appr ciation de l ex cution de la loi de 1999 Afin de pouvoir proc der a une lecture critique de la loi de 1999 objectif de l valuation il est indispensable d appr cier dans quelle mesure cette loi a t appliqu e Les conditions de r alisation de cette valuation ne permettront pas d appr cier exhaustivement l application de la loi C est pourquoi nous proposons de baser cette appr ciation sur quelques indicateurs relatifs chaque disposition reprise dans la loi L accent sera mis sur les strat gies titre III telles que d finis par la loi Voir le tableau indicatif ci dessous attention les instruments tels que BIO ou la CTB ne sont pas repris dans le tableau CONTENU Coop ration bilat rale directe INDICATEURS MOYENS V RIFICATION DE Concentration g ographique Pays de concentration Application des crit res de s lection Existence valuation adaptat
165. structurelle de l administration de la coop ration au d veloppement qui avait scind en deux ses missions traditionnelles D une part la Direction g n rale de la coop ration au d veloppement DGD int gr e au sein du Service Public F d ral Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au d veloppement issu de la r forme Copernic de l administration f d rale fut charg e de la pr paration des strat gies et des programmes du contr le de la coop ration indirecte ainsi que de la gestion de la coop ration multilat rale et l valuation D autre part la Coop ration Technique Belge CTB cr e par la loi du 21 d cembre 1998 re ut l exclusivit de l ex cution de la coop ration bilat rale directe avec les pays partenaires La Soci t belge d Investissement pour les pays en d veloppement fut fond e en d cembre 2001 Des arr t s d ex cution s appliquent la coop ration indirecte et un ensemble de conventions r gle le domaine de la coop ration multilat rale La Loi de mai 1999 avait pr vu l adoption des instruments n cessaires afin de garantir l valuation externe de la coop ration belge Un Arr t Royal cr a en f vrier 2003 le Service de l Evaluateur sp cial Par ailleurs depuis 1999 la politique de coop ration men e par les Communaut s et les R gions ainsi que les initiatives d centralis es des provinces et des communes ont connu une expansion notable Ces transformations de la coop
166. sur le Nations Unies sur le Nations Unies sur le VIH SIDA ONUSIDA VIH SIDA ONUSIDA VIH SIDA ONUSIDA 10 Fonds des Nations Unies 10 Fonds des Nations Unies Fonds des Nations Unies pour la Population pour la Population pour la population FNUAP FNUAP FNUAP 11 Centre des Nations Unies 11 Centre des Nations Unies pour les Etablissements pour les Etablissements Humains CNUEH Humains CNUEH 12 Centre des Nations Unies 12 Centre des Nations Unies pour le Commerce et le pour le Commerce et le D veloppement CNUCED D veloppement CNUCED 83 A R du 27 avril 2000 d terminant les organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale M B 16 juin 2000 84 A R du 2 avril 2003 d terminant les organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale M B 2 avril 2003 85 A R du 9 mai 2008 d terminant les organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale non publi ce jour 14 juin 2008 34 13 Fonds des Nations unies 13 Fonds des Nations unies 10 Fonds des Nations Unies pour l Enfance UNICEF pour l Enfance UNICEF pour l Enfance UNICEF 14 Fonds de d veloppement 14 Fonds de d veloppement 11 Fonds de d veloppement des Nations Unies pour la des Nations Unies pour la des Nations Unies pour la Femme UNIFEM Femme UNIFEM Femme UNIFEM 15 Programme
167. t les institutions et les proc dures des pays partenaires Selon le Plan pour l harmonisation et l alignement de l aide la coop ration au d veloppement devra s inspirer du Cadre strat gique de lutte contre la pauvret ou tout document assimil du pays partenaire et s alignera sur les options de ce document qui font partie de ses propres priorit s L op rationnalisation de cet alignement est envisag e terme et en principe pour autant que le pays partenaire en ait l galement la possibilit et dans la perspective d une aide on budget Certaines personnes interview es soulignent que la Belgique devrait rester critique sur un alignement bas sur les cadres strat giques de lutte contre la pauvret d une part parce que contrairement a leur principe ces documents ne r sultent pas toujours de r els processus participatifs et d autre part parce qu ils refl tent sans toujours les interroger certaines options macro conomiques Par ailleurs l id e de mentionner l aide budg taire dans une loi ne fait pas l unanimit ceux qui h sitent insistant sur le degr de libert que la Belgique devrait conserver dans l utilisation de ce type de modalit et donc sur le fait que cette modalit ne devrait tre mentionn e que comme l un des instruments dont la Belgique dispose Enfin les acteurs indirects en particulier insistent sur le fait que le principe d alignement doit se traduire de mani re distincte en ce
168. t justify the costly exercise of CSP elaboration updating 100 APD AR BIO CAD CIUF CSP CTB CUD DGD DFID FBS FIDA IDA IDH OCDE OIPCM ONG PNB PNUD RDC RNB SPF UOS USA VLIR Universit UCL 4 LUN catholique N de Louvain 4 Louvain EVALUATION DE LA LOI DE 1999 ANNEXE 7 LISTE DES PRINCIPAUX ACRONYMES Aide publique au d veloppement Arr t royal Soci t belge d investissement pour les Pays en D veloppement Comit d aide au d veloppement de l OCDE Conseil interuniversitaire de la Communaut fran aise Country strategy paper Coop ration technique belge Commission universitaire pour le D veloppement Direction g n rale de la coop ration au d veloppement Department for International Development United Kingdom Fonds belge de survie Fond international de d veloppement agricole Association Internationale de D veloppement de la Banque mondiale Indice du d veloppement humain Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques Organisations internationales partenaires de la coop ration multilat rale Organisation non gouvernementale Produit national brut Programme des Nations Unies pour le d veloppement R publique d mocratique du Congo Revenu national brut Service public f d ral Universitaire Ontwikkelingssamenwerking Etats Unis d Am rique Vlaamse Interuniversitaire Raad 101 Bibliographie LEGISLATION Trait instituant la Communa
169. tenaires g rent les ressources et am liorent le processus de d cision en vue d am liorer les r sultats Nous avons d j partiellement abord cette question dans la section consacr e l valuation La gestion ax e sur les r sultats fait partie du Plan pour l harmonisation et l alignement de la DGCD Il y est notamment indiqu que la Belgique examinera comment la culture de d cision existante peut s ouvrir une prise de d cision ax e sur les r sultats 2 De l avis g n ral des personnes interview es le principe de la gestion ax e sur les r sultats pourrait tre repris dans une loi et viser l ensemble des acteurs mais son op rationnalisation devrait tre pr vue par d autres instruments juridiques et administratifs En termes de processus les interviews font tat d une prise en compte progressive mais perfectible des r sultats des valuations men es dans l orientation des politiques et interventions men es par la Belgique De mani re g n rale les acteurs soulignent la n cessit mais aussi la difficult de d finir des indicateurs qui ne soient pas seulement quantitatifs et particuli rement budg taires mais incluent galement des param tres plus qualitatifs et sociopolitiques Responsabilit mutuelle Selon la D claration de Paris 8 47 70 les bailleurs de fonds et les pays partenaires sont responsables des r sultats obtenus en mati re de d veloppement Dans le Plan pour l harmonisation et l
170. teur reste modeste y compris en Afrique centrale En moyenne sur 2002 2003 les pays partenaires situ s dans cette r gion b n ficiaient de plus de 60 de l aide vers e par la Belgique L valuation de la coop ration bilat rale directe rel ve qu il n existe qu un nombre r duit de pays dans lesquels la Belgique repr sente plus de 5 de l ensemble de l aide p ex RDC Rwanda Burundi et Equateur Dans certains pays cette proportion est de moins de 1 Alg rie Territoires Palestiniens Vietnam Ouganda et Mozambique Il n y a que six pays partenaires dans lesquels la Belgique fait partie des dix plus importants donateurs RDC Burundi Rwanda B nin Maroc et Equateur Cela signifie que la Belgique est un donateur relativement modeste dans la plupart des pays partenaires et qu elle ne peut donc assurer qu un apport relativement limit en termes financiers Le rapport d valuation de la coop ration bilat rale directe soulignait aussi que l effet de concentration reste limit En RDC les efforts belges ne repr sentent en 2005 2006 que 15 de l ensemble des sommes apport es par la Belgique et les bailleurs situ s au dessus de la Belgique dans le ranking des donateurs Au Burundi cela repr sente 14 et au Rwanda seulement 3 2 et peine 2 au B nin Dans un certain nombre de pays la Belgique fait partie du top 10 des pays donateurs mais l aide belge ne repr sente qu une petite fraction des fonds octroy s p
171. tilat rale OIPCM et ajoute aux crit res de s lection fix s par la loi Ces OIPCM b n ficient de contributions volontaires et r currentes de la coop ration multilat rale 7 a Les crit res de s lection des OIPCM L article 9 de la loi pr voit quatre crit res 1 La compatibilit des objectifs de l organisation internationale avec ceux de la coop ration internationale belge 2 Une activit qui coincide avec un ou plusieurs secteurs ou themes prioritaires de la coop ration bilaterale directe 3 Une approche planifi e qui permette une valuation des contributions de la coop ration multilat rale selon des modalit s fix es par le Roi 4 Une coh rence de l apport financier par rapport a l apport d autres acteurs de la coop ration au d veloppement en vue d harmoniser l ensemble des apports de la coop ration internationale en ad quation avec les crit res de pertinence pr vus par la loi L arr t royal du 7 avril 2000 ajoute d autres crit res 1 Les OIPCM sont choisies parmi les organisations sp cialis es intergouvernementales les fonds et programmes des Nations Unies les instituts de recherches internationaux le Comit International de la Croix Rouge CICR 2 Il est galement tenu compte de leur fonctionnement de leur fonction de catalyseur de la politique internationale du d veloppement ou de leur fonction normative et de leur r le de coordination
172. tionale belge M B 20 janvier 2003 109 Rapport au Roi pr c dant l A R du 23 d cembre 2002 portant ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration internationale belge M B 20 janvier 2003 39 Le statut de partenaire de la coop ration bilat rale indirecte est pr vu pour une dur e ind termin e sauf absence de subsides pendant trois ann es cons cutives ou retrait L arr t royal du 23 d cembre 2002 pr voyait la s lection comme partenaires de la coop ration bilat rale indirecte sur simple approbation des programmes a ex cuter ou en cours en 2003 de 11 organisations a condition que leur programme soit approuv par le Ministre Toutefois l arr t royal du 23 d cembre 2002 art 6 83 pr voit la publication par arr t royal en cas d octroi du statut et on ne trouve pas trace d une telle publication Les syst mes de conventions avec l Etat belge d inscription dans la loi budg taire annuelle et d introduction de demandes de subsides appr ci es en vertu de directives administratives qui sont ceux dont nous avons connaissance ne sont pas proprement parler une ex cution de l article 11 mais ne sont pas contradictoires avec les termes de la loi 2 5 8 Protection contre la technique des fonds vautours art 11bis L article 2 de la loi du 6 avril 2008 a introduit dans la loi du 25 mai 1999 un article 11bis visant emp cher la saisie ou la cession
173. tions par rapport celles des autres acteurs La multiplicit des acteurs indirects autres que les ONG n est pas clairement refl t e par la loi et la connaissance de leurs actions comme la reconnaissance de leurs actions devrait passer par une meilleure identification de ceux ci Il s agit du secteur pour lequel le texte initial de la loi de 99 a fait l objet du plus grand nombre de remaniements Une r forme serait l occasion de dresser un bilan de l action des acteurs indirects et de les identifier mais aussi de produire un texte apte assurer une stabilit court et moyen terme m me si l mergence de nouveaux acteurs semble toujours possible La r flexion sur l harmonisation de l action entre acteurs indirects tout comme avec les acteurs directs doit tre men e plus avant En effet il n y pas de consensus sur le degr d harmonisation qui serait souhaitable 3 2 5 Harmonisation des pratiques Sur une harmonisation de l action du F d ral et des Entit s f d r es L harmonisation peut avoir lieu par un biais non contraignant tel qu un code de conduite L harmonisation pourrait aussi se traduire par la conclusion d accords de coop ration entre l Etat les communaut s et les r gions sur base de l article 92bis de la loi sp ciale du 8 ao t 1980 La mesure dans laquelle ces accords peuvent tre r vis s par l action unilat rale d un des partenaires fait toutefois l objet de discussions juridiques lt
174. tions qui ne le sont pas encore formellement Par ailleurs si l article 11 de la loi du 25 mai 1999 n est pas appliqu en tant que tel la question de son amendement et de l ventuelle r vision de l arr t royal du 23 d cembre 2002 peut tre pos e m me si des pratiques contradictoires la loi ne ressortent pas des informations dont nous disposons L article 11 semble embrasser un grand ventail d acteurs potentiels et une ventilation des destinataires au regard des b n ficiaires effectifs du soutien de la DGCD par exemple serait peut tre ad quate m me si l mergence de nouveaux acteurs ne doit pas tre bloqu e par le texte Enfin l article 11bis m riterait sans doute de b n ficier d un intitul particulier et d tre ainsi t de la partie relative aux autres partenaires dans la mesure o il vise l ensemble des biens destin s la coop ration internationale 3 2 Points d attention en cas de r vision Depuis quelques mois et parall lement la r alisation de cette valuation la volont de r fl chir la n cessit de moderniser la loi de 1999 se fait jour tant dans le chef du Ministre que dans celui du Parlement Cette volont s est notamment exprim e dans la note politique du Ministre de la coop ration au 35 d veloppement et par les auditions conjointes de la Commission des Relations ext rieures et de la D fense du S nat et de la Commission des Relations ext rieures de la Chambre men es dan
175. transparente Pour les f d rations d organisations non gouvernementales les crit res sont fix s par le Roi Autres partenaires Art 11 La coop ration internationale belge concentre la coop ration bilat rale indirecte sur les soci t s groupements associations ou institutions de droit public notamment les communaut s les r gions les provinces et les communes ou de droit priv autres que les organisations vis es a l article 10 s lectionn s selon une proc dure et des modalit s fix es par le Roi comme partenaires de la coop ration bilat rale indirecte qui r pondent au moins aux crit res suivants 1 avoir une approche planifi e qui doit ressortir d un programme dont la proc dure et les modalit s d laboration sont fix es par le Roi permettant une valuation des contributions de la coop ration bilat rale indirecte selon les modalit s fix es par le Roi 2 exercer des activit s compatibles avec les objectifs de la coop ration internationale belge vis s l article 3 et tenant compte des crit res de pertinence au d veloppement vis s a l article 4 Art 11bis Les sommes et les biens destin s la coop ration internationale belge ainsi que les sommes et les biens destin s a l aide publique belge au d veloppement autres que ceux relevant de la coop ration internationale belge sont insaisissables et incessibles TITRE IV Disposition finale Entr e en vigueur Art 12 Les d
176. uation de la Coop ration bilat rale directe au d veloppement 1999 2005 Rotterdam Service Public F d ral des Affaires trang res Commerce Ext rieur et Coop ration au d veloppement Belgique Service de l valuation sp ciale de la coop ration au d veloppement 22 d cembre 2006 p 44 65 RENARD R Should Belgian aid be more focused support de l intervention lors des tats g n raux de la cooperation Bruxelles Palais d Egmont 2008 http www dgdc be documents assises Robrecht_Renard ppt 543 2 OUTLINE 25 juin 2008 66 Notons que le rapport par les pairs de l OCDE Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 bas sur les donn es du m morandum 2001 2004 DGCD M morandum de la Belgique pr sent au Comit d Aide au D veloppement Ann es 2001 2004 juin 2005 fournit une autre analyse que celle pr sent e ici 25 c Le choix des secteurs De l avis g n ral les secteurs inscrits dans la loi refl tent ceux dans lesquels la Belgique tait d ja active avant 1999 et pour lesquels elle disposait d une expertise plus ou moins labor e selon les cas d Les notes strat giques sectorielles Toutes les notes sectorielles existent elles ont t g n ralement produites dans les d lais ou avec un l ger retard Aucune note n a t r vis e Selon les interviews il semble que ces notes g n ralement jug es de bonne qualit n ont pas r ellem
177. ue Bruxelles Larcier 1998 DEVARAJAN S DOLLAR D et HOLMGREN H Aid and Reform in Africa World Bank Washington DC 2001 DEVELTERE P De Belgische ontwikkelingssamenwerking Leuven Davidsfonds 2005 DEVELTERE P The unbearable lightness of public support for traditional development cooperation Working paper Leuven HIVA 2008 DONZELOT J Refonder la Coh sion sociale Esprit 2006 n 330 pp 5 23 EASTERLY W et PFUTEZ T Where does the money go Best and Worst Practices in Foreign Aid Journal of Economics Prospectives vol 22 n 2 FUKUYAMA F State Building Gouvernance et ordre du mon du XXI 7 si cle La Table ronde Paris 2005 107 JOHNSON O E G et Wasty S S Borrower Ownership of Adjustment Programs and Political Economy of Reform World Bank discussion Paper n 19 World Bank Washington DC 1993 KAYIZZI MUGRRWA S et SULEMANE J A The Mozambican civil service Incentives reforms and performance Reforming Africa s institutions Ownership incentives and capabilities United Nation University Press Tokyo New York Paris 2003 pp 199 223 KLEIN P La r forme de la coop ration au d veloppement Revue belge de droit international 2002 pp 421 438 LIENERT I Civil service Reform in Africa mixed results after 10 Years Finance and Development 1998 35 2 MANZO K Africa in the rise of rights based development Goeforum 2003 34
178. ue belge M B 27 septembre 2006 148 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et l Alignement de l aide 8 juin 2007 48 de consensus sur la prise en compte dans une loi des objectifs du mill naire pour le d veloppement ces derniers tant consid r s par certains comme d ja d pass s ou repr sentant trop partiellement l ensemble des probl matiques des pays en d veloppement d Analyse des concepts centraux du nouveau paradigme de la coop ration Nous passons ici en revue quelques unes des principales notions issues de l volution internationale particuli rement celles reprises par la D claration de Paris et relevons des points d attention relatifs leur prise en compte dans une nouvelle l gislation ventuelle ou dans le dispositif belge de coop ration au d veloppement Appropriation Dans la D claration de Paris 814 et 15 l appropriation est d finie comme la r elle ma trise par les pays partenaires de leurs politiques et strat gies de d veloppement et la mise en uvre de la coordination de l action l appui du d veloppement Cette d finition se centre essentiellement sur la dimension gouvernance Qui contr le En allant au bout du raisonnement on pourrait ainsi distingue
179. urnir des instruments particuli rement pr cis et adapt s la sp cificit de l activit de la coop ration internationale belge en d crivant de mani re technique et d taill e la strat gie et les moyens a mettre en ceuvre par la coop ration internationale belge pouvant permettre un suivi et un contr le efficients Ces notes doivent tre soumises pour avis au Conseil f d ral du d veloppement durable et la Commission femmes et d veloppement La proc dure et les modalit s d laboration des notes strat giques sont fix es dans l arr t royal du 17 septembre 2000 tout comme leur contenu minimum 37Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge art 3 al 4 38 Loi programme I du 24 d cembre 2002 M B du 31 d cembre 2002 art 458 qui ajoute un 6 l article des 10 des lois coordonn es sur la comptabilit de l Etat 39 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 82 et des articles 7 et 8 de la loi du 25 mai 1999 relative a la coop ration internationale belge M B 9 f vrier 2001 art 6 40 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Expos des motifs Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 11 41 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 1 juillet 1999 art 6 7 et 8 82 al 2 42 A R du 17 septembre 2000 portant ex cution de l article 6 52 et des articles 7 et 8 de la loi du
180. ut europ enne art 177 a 181 Constitution art 167 174 Loi sp ciale de r formes institutionnelles du 8 ao t 1980 Loi de r forme institutionnelle du 9 ao t 1980 Loi du 6 avril 2008 visant emp cher la saisie ou la cession des fonds publics destin s la coop ration internationale notamment par la technique des fonds vautours M B 16 mai 2008 Loi du 28 d cembre 2006 contenant le budget g n ral des d penses pour l ann e budg taire 2007 M B 9 mars 2007 Loi du 8 mai 2007 portant assentiment a divers actes dont l JAccord modifiant l Accord de partenariat entre les membres du Groupe des Etats d Afrique des Cara bes et du Pacifique d une part et la Communaut europ enne et ses Etats membres d autre part sign Cotonou le 23 juin 2000 et Acte final faits Luxembourg le 25 juin 2005 M B 30 avril 2008 Loi du 12 janvier 2007 visant au contr le de l application des r solutions de la conf rence mondiale sur les femmes r unie P kin en septembre 1995 et int grant la dimension du genre dans l ensemble des politiques f d rales M B 13 f vrier 2007 Loi du 20 juillet 2006 portant dispositions diverses M B 28 juillet 2006 Loi du 15 juin 2006 relative aux march s publics et certains march s de travaux de fournitures et de services M B 15 f vrier 2007 Loi programme du 27 d cembre 2005 M B 30 d cembre 2005 Loi du 19 juillet 2005 modifiant l article 8 de la loi du 25 mai 1999
181. ux crit res cumulatifs pour cette s lection l approche planifi e et la compatibilit aux objectifs et aux crit res de pertinence fix s par la loi La loi envisage les soci t s groupements associations ou institutions de droit public notamment les communaut s les r gions les provinces et les communes ou de droit priv autres que les ONG L arr te royal du 23 d cembre 2002 ne fixe la proc dure de s lection que pour les provinces les ASBL et les institutions d utilit publique Il s agit donc d une ex cution partielle de l article 11 Selon le rapport au Roi pr c dant cet arr t royal l octroi de subsides pour des activit s ponctuelles et li es des projets et l octroi de subsides pour la coop ration par approche programmatique avec d autres organisations que celles vis es par l arr t royal peuvent tre ou continuer tre financ es sur base d une allocation budg taire sp cifique pr vue dans la loi budg taire annuelle 1 105 AR du 14 d cembre 2005 relatif aux agr ments d organisations non gouvernementales de d veloppement M B 30 d cembre 2005 art 3 5 106 http www dgcd be fr acteurs cooperation_indirecte index html 18 juin 2008 107 Loi du 25 mai 1999 relative la coop ration internationale belge M B 1 juillet 1999 art 11 108 A R du 23 d cembre 2002 portant ex cution de l article 11 de la loi du 25 mai 1999 relative la Coop ration interna
182. velopment Community SADC 4 Projet de loi relatif la coop ration internationale belge Commentaire des articles Doc Parl Ch repr sess ord 1998 1999 n 1791 1 p 15 50 A R du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 1 de la loi du 25 mai 1999 concernant la Coop ration internationale belge M B 31 ao t 2000 51 A R du 26 janvier 2004 modifiant l arr t royal du 26 juin 2000 portant ex cution de l article 6 1 de la loi du 25 mai 1999 concernant la coop ration internationale belge M B 19 mai 2004 20 Moyen Orient palestiniens palestiniens palestiniens Asie 19 R publique populaire Bangladesh Cambodge 20 Laos 21 R publique d mocratique populaire Lao 21 Philippines S o 22 Vi tnam 22 R publique Vietnam socialiste Vietnam Am rique latine 23 R publique de Bolivie Bolivie 24 R publique de Equateur l Equateur 25 25 P rou R publique du 18 P rou P rou c Les sept crit res de s lection en vue de la concentration g ographique L article 6 81 de la loi fixe sept crit res pour la s lection de pays en vue de la concentration g ographique 1 Le degr de pauvret du pays partenaire mesur sur la base du niveau de d veloppement socio conomique de l indicateur du d veloppement humain et de l indicateur de la pauvret humaine 2 L exp rience pertinente et actuelle de la coop ration internationale
183. veloppement Apercu des contributions aux organisations internationales P riode 2001 2006 DGCD ao t 2007 http www dgdc be fr acteurs cooperation multilaterale pdf livre jaune 2001 2006 doc 25 juin 2008 Education for Change et South Research Evaluation th matique de la coop ration belge au d veloppement dans le secteur de l ducation Rapport final La coop ration belge ao t 2007 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Augmentation de l efficacit de l aide gouvernementale bilat rale belge Plan pour l Harmonisation et lAlignement de l aide 8 juin 2007 Code de conduite de l UE sur la compl mentarit et la division du travail dans la politique de d veloppement Conclusion du Conseil et des repr sentants des gouvernements des Etats membres r unis au sein du Conseil du 15 mai 2007 109 110 http register consilium europa eu pdf fr 07 st09 st09558 frO7 pdf 5 mai 2008 Direction de la coop ration pour le d veloppement Comit d aide au d veloppement OCDE Directives pour l tablissement des rapports statistiques au CAD DCD DAC 2007 34 6 avril 2007 http www oecd org dataoecd 6 41 38507939 pdf 19 juin 2008 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Note politique La Coop ration b
184. view s Aucune des notes th matiques n a fait l objet de r vision Bien que la concentration th matique vise uniquement la coop ration bilat rale directe certaines notes strat giques th matiques celle 71 Comit d aide au d veloppement OCDE Examen par les pairs Belgique OCDE 2005 1 1 1 72 SPF Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Direction g n rale de la Coop ration au d veloppement Note politique La contribution belge la lutte internationale contre le VIH SIDA mars 2006 73 Le 9 avril 2008 le d p t une note strat gique droits de l enfant a t annonc e la Chambre et la note est aujourd hui publi e Service public f d ral Affaires trang res Commerce ext rieur et Coop ration au D veloppement Note Strat gique Le Respect des Droits de l Enfant dans la Coop ration au D veloppement DGCD http www diplomatie be fr pdf rechtenkindfr pdf 25 juin 2008 31 sur le genre notamment ont t r dig es en tenant compte d autres canaux de l aide e L effet en termes de concentration th matique de l aide bilat rale directe Le constat pos par l valuation de la coop ration bilat rale directe ainsi que l examen par les pairs de l OCDE rel ve que la mise en uvre de l approche transversale est tr s partielle Ce qui semble d en partie la nature de certains th mes l conomie sociale est tant t vue comme secteur tant t
185. voit la remise par le gouvernement aux assembl es f d rales de deux rapports par l gislature sur l int gration de la dimension genre dans la politique f d rale et sp cifiquement en mati re de coop ration au d veloppement De mani re g n rale il ressort des interviews que la multiplication des m canismes de rapportage vers le Parlement peut rendre difficile un suivi effectif et repr sente une contrainte lourde pour les administrations qui y sont soumises 2 6 3 Au niveau international a Remarques m thodologiques Par essence un nombre important de dynamiques et textes internationaux ont vocation influer sur la coop ration internationale belge Dans un premier temps 128 Ontwerp van decreet betreffende de microfinanciering in ontwikkelingslanden door middel van waarborgverlening aan ontwikkelingsfondsen Advies van de Raad van State Parl St VI Parl VI Parl sess ord 2003 2004 n 2098 1 pp 35 36 traduction libre Cfr galement ontwerp van kaderdecreet inzake ontwikkelingssamenwerking Parl St VI Parl VI Parl sess ord 2006 2007 n 1033 1 pp 28 29 129 Notamment l accord de coop ration du 1 juillet 2002 entre la R gion wallonne la Communaut fran aise la Communaut germanophone et la Commission communautaire fran aise de la R gion de Bruxelles Capitale relatif la cr ation du Conseil Wallonie Bruxelles de la coop ration internationale M B 8 mai 2003 130 D cret cadre du 22 juin

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