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Les groupements d`achats : Une affaire de prix - Allize

1. 110 100 09 09 09 09 10 10 10 10 10 PP homopolym re s PP copolym re juil 09 ao t sept oct 09 nov d c janv f vr mars avr mai 10 juin 10 juil 10 ao t volution des cours du Polystyr ne indice base 100 d cembre 2003 200 178 180 160 140 120 100 80 juil ao t sept oct nov d c janv f vr mars avr mai juin juil ao t 09 09 09 09 09 09 10 10 10 10 10 10 10 10 volution des cours du PVC indice base 100 d cembre 2003 160 150 147 140 130 120 110 100 90 juil ao t sept oct nov d c janv f vr mars avr mai juin juil ao t 09 09 09 09 09 09 10 10 10 10 10 10 10 10 volution des cours du Polycarbonate indice trimestriel base 100 4 me trimestre 2003 125 123 121 119 117 115 113 111 109 107 105 124 115 112 112 108 108 108 1er trm2009 2e trim 2009 3e trim 2009 4e trim 2009 1er trim2010 2etrim 2010 3e trim 2010 volution des cours du PA 6 indice base 100 janvier 2004 125 120 118 117 116 115 110 105 100 95 4 90 85 80 75 70 65 juil 09 ao t sept oct nov d c janv f vr mars avr mai juin jui 10 ao t 09 09 09 09 09 10 10 10 10 10 10 10 PA 6 charg 30 fibres de
2. clients et de nouveaux mar ch s reste ponctuel Le degr de diversification a un impact direct sur la capa cit de d veloppement de l en treprise Parmi les entreprises disposant d un portefeuille client peu d velopp sur un march en particulier environ 55 ont connu un forte baisse d activit sup rieur 40 Par contre parmi les entreprises disposant d un portefeuille march et clients diversifi es les 2 3 sont en situation de croissance La notion de diversification g ographique est galement un facteur important Nous notons que 71 des entre prises en situation de d crois sance depuis 3 ans n ont aucune politique tourn e vers l ext rieur noter que 13 des entre prises sont g r es par un diri geant de plus de 55 ans n ayant pas encore pr par de plan de transmission Quelle capacit de d velop pement commercial Nous pouvons souligner que plus d un tiers 39 des 6 Plastilien O ctobre 2010 n 71 Pourcentage du CA consacr la R amp D entreprises ne poss dent pas de service commercial d di L action commerciale est ponctuelle voire bas e sur l attente du client A l inverse 83 des entreprises disposant E lt 1 E entre 1et5 E gt 5 d une organisation commer ciale structur e ont connu une croissance de leur chiffre d af faires sur les 3 derni res ann es La corr lation entre pro activit commerciale et d veloppement d entreprise est
3. en date du 31 08 2010 la FFB estime que jJ ean Claude Volot a bien compris la sp cificit de notre secteur M me si tout n estpas rose dans nos rela tions de sous traitance les textes existant fonctionnent plut t bien et il parait judicieux de r server les volutions de la r glementation aux entreprises industrielles Toutefois le rapport pr conise de mieux faire appliquer les n 71 Octobre 2010 Plastilien 2 1 textes et constatant que l arse nal juridique existant prohibe d j la plupart des mauvaises pratiques rapport es parles sous traitants le m diateur de la sous traitance propose au gouvernement une d marche en plusieurs tapes Tout d abord il s agirait de compl ter le dispositif actuel par des sanctions appropri es En effet le document passe en revue l ensemble du dispositif l gislatif en vigueur en mati re de sous traitance code civil loi de 1975 articles L 441 6 et L 442 6 du code de commerce loi Gayssot etc ainsi que son application et recense de mani re non exhaustive trente cinq pratiques abusives stigmatis es notamment par la Commission d Examen des Pra tiques Commerciales CEPC qui sont autant d entorses aux lois existantes A cet gard J ean Claude Volot ne manque pas de pointer du doigt la d faillance de l Etat qui n a pas su ou voulu utiliser les moyens d action dontil dis pose alors que les sous trai tants croient encore trop sou v
4. L apr s audit II convient de faire une r union de cl ture Cette r union se fait en principe imm diatement en fin d audit Il faut cependant se r server suffisamment de temps pour pr parer cette r union Les pistes de progr s qui seront propos es sont pr sen t es accompagn es d un des criptif des v nements qui les ont suscit s L auditeur aura soin galement pour faire preuve d objectivit de citer dans sa conclusion les mod les le r f rentiel aux quels aurait d se conformer l audit Cela peut tre un m ta mod le une proc dure un objectif une comp tence etc Le suivi des actions de progr s est en principe de la seule res ponsabilit des audit s mais dans la pratique les responsa bles qualit et les auditeurs participent aussi ce suivi L avantage de cette option est qu il est possible de constituer une base unique de donn es relatives l am lioration et que l efficacit des actions d am lioration puisse tre sui vie par la Direction G n rale Les relations auditeurs audit s Une relation de confiance L auditeur identifie les carts MANAGEMENT existants entre les pratiques du terrain et les mod les internes et externes attentes clients r glementations valeurs thiques proc dures r gles principes de fonction nement etc I est clair que si l auditeur d barque avec la casquette du gendarme les portes se fer meront les bouches auss
5. 39 710 professionnels de 78 pays et de tous les secteurs d activit Pr s de 100 conf rences techniques strat giques et conomiques LR Demandez votre badge Deniique Ty d entr e gratuit sur uuw midest com Code PZ CUT a INTEL ALTI simultan ment avec maintenance 2 Reed Expositions Plastilien O ctobre 2010 n 71 Travailler ensemble tralis e dessiccation cen D MARTIPLAST EQUIPEMENTS MARTIPLAST Equipements martimasi marbohasitir LA PLASTURGIE Cr ateurs du futur Mercurieles prix mati res Source F d ration de la Plasturgie selon ICISLOR volution des cours du PEHD indice base 100 d cembre 2003 180 170 160 150 140 130 120 110 100 juil ao t sept oct nov d c janv f vr mars avr mai juin juil ao t 09 09 09 09 09 09 10 10 10 10 10 10 10 10 s PEHD Inj t PEHD S volution des cours du PEBD indice base 100 d cembre 2003 juil ao t sept oct nov d c janv f vr mars avr mai juin juil ao t 09 09 09 09 09 09 10 10 10 10 10 10 10 10 PEBD PEBDL volution des cours du Polypropyi ne indice base 100 d cembre 2003 200 192 192 190 187 180 183 170 160 150 140 130 128 120
6. Polyfast ASA Mablex PC ABS Sicoklar PC Sicoblend PA ABS Sicoter PPO PBT y Aupr s des constructeurs AUTOMOBILE R f rencement officiel chez les quipementiers y Homologation au panel PP amp PA Recycl s PSA y Homologation chez les constructeurs europ ens VW Audi BMW Opel N h sitez pas nous contacter Fa RESINEX M Ensoft TPE S wWww resinex com Your trusted partner for Ravago Brands IIcona OLUTIA Performance Driven Solutions FE DSM ALBIS FRANCE DISTRIBUTION Nouveau chez ALBIS les polym res techniques de BASF F Ultramid PA6 PA66 Ultraform POM Ultradur PBT Ultrason PSU PPSU PESU La distribution nec plus ultra ALBIS PLASTIQUE FRANCE IMMEUBLE GEMINI Ii PARC TECHNOLOGIQUE DE SAINT AUBIN ROUTE DE ORME DES MERISIERS F 91195 GIF SUR YVETTE CEDEX aers T L 33 011 69 35 56 30 FAX 33 0 1 60 19 46 98 Mn que WMV ALEIS COM ALBISFRANCE ALBIS COM LES PLASTIQUES EN PERSPECTIVES PROFESSION e Cediplat Conseil uels enseignements sont retirer du dispositif FRAU Mis en place en mai 2009 ce dispositif le Fond R gional d Aide d Urgence avait pour objectif initialement d aider les entreprises surmonter les difficult s li es la conjoncture conomique que nous connaissons tous Cette ann e la R gion Rh ne Alpes le Medef et Alliz Plas turgie Rh ne Alp
7. En effet il est important que les institutions comme le minist re de la sant par exemple mais galement les industriels et les sites hospita liers int grent ces l ments aux nouvelles r flexions et projets venir Suite cette exp rimentation un guide rassemblant les retours d exp riences de tri s lectif des d chets plastiques hospitaliers a t r alis Contact Pour plus d information et obtention du guide Marion DRUET Service Hygi ne S curit et Environnement T l 04 74 12 19 09 m druet allize plasturgie com n 71 Octobre 2010 Plastilien 39 Pour atteindre l objectif d fi cit z ro d s 2018 le projet de r forme des retraites est construit autour de quatre grands axes augmentation de la dur e d activit d veloppement de l emploi des seniors renforcement de l quit du syst me par des mesures de recettes cibl es et une plus grande convergence entre le public et le priv am lioration des m ca nismes de solidarit Cette r forme ne sera toute fois pas inscrite dans une seule et m me loi Les mesures phares telles que le rel vement de l ge l gal de d part la retraite la prise en compte de la p nibilit le ren 40 Plastilien O ctobre 2010 n 71 SOCIAL Alliz Plasturgie Une rentr e sociale marqu e par la r forme des retraites Le projet gouvernemental sur la r forme des retraites adopt
8. LI ms n q Da T un nartip Ep EN ei is ur CT STE EEr lalale Eri ja tant ne seraient d sormais plus pris en compte au titre de la loi de police Selon le professeur Cyril Nou rissat seules des disposi tions d ordre public interne de direction et non les disposi tions d ordre public de protec tion pourront tre qualifi es de loi de police au sens de l arti cle 9 paragraphe 1 de la Convention de Rome le l gislateur europ en se r f rant d sormais aux int r ts publics 191 i mr Hi F e Ait Re 01100 F T h fs HAT T l f TA di CE A Es Fe L a d ar EE R a LE j F PE JES LE FL E DE r rera PEER t Li Ma 1 rai aE Per am Lies e ar Er F eTA EP Fer LS Ea n 71 Octobre 2010 Plastilien 2 7 Thierry Guillaume BARDIN Daniel BLANC Christian FABRE STRAT GIE P le Conseil Alliz Plasturgie Chor ge GO Between La performance industrielle au service de la satisfaction clients En effet au travers de nos accompagnements nous avons pu mesurer toute la pertinence de la synergie de nos domaines de comp tences Aussi nous partageons ici avec vous notre r flexion en s appuyant le t moignage d une entreprise accompa gn e par Chor ge Ce cas refl te galement des missions communes qui ont permis de d gager une plus grande valeur ajout e sur l ensemble du processus clients Dans un environnement que l on d crit depuis de nombreus
9. Source Techniques de l Ing nieur O que vous soyez nous avons la solution pour vos id es LIFOCOLOR 01100 Bellignat LIFOCOLOR FARBEN Lichtenfels Allemagne LIFOCOLOR FARBPLAST Bydgoszcz Pologne Appareils lectriques Articles de Jardin Articles M nagers Automobile B timent amp Construction lectrique lectronique Emballage Film Jouet Mobilier Chroma LIFO LIFOCOLOR s r o Brno R publique Tch que n 71 Octobre 2010 Plastilien 5 1 TECHNOLOGIE P le Europ en de la Plasturgie Le contr le process par l instrumentation L instrumentation des proc d s de production est un secteur d activit en d veloppe ment constant depuis plus de 20 ans Les proc d s continus ont t les premiers introduire ces techniques Le proc d d injection est par nature plus compliqu contr ler car il est discontinu et requiert la coordination de multiples p riph riques non communicants N anmoins les technologies permettant son contr le sont en plein essor et vont enva hir les ateliers dans les ann es qui viennent Les enjeux pour la profession la ma trise totale de la qualit Les industriels de la fili re plasturgie Fran aise sont plus que jamais pris en tau entre des exigences qualit sans cesse croissantes et des poli tiques d achat low cost de plus en plus agressives M me si la crise actuelle explique en partie les di
10. Alma Consulting Group vous propose d agir directement sur vos leviers de croissance par d partement e Finance fiscalit et comptabilit Optimisation des imp ts taxes et redevances g n ration de liquidit s e Ressources Humaines R duction des co ts sociaux gestion des risques professionnels et de l absent isme ma trise des enjeux de la protection sociale e Achats Rationnalisation du co t des frais de fonctionnement e Recherche amp D veloppement D veloppement des alliances scientifiques et financement des projets innovants Tel 01 41 49 41 00 2A MA WwwW almacg fr CA 2009 271 M 24 ann es 12 implantations 1600 collaborateurs d exp rience l international Alma Consulting Group s engage chaque fois que cela s av re n cessaire et aux fins d imp ratifs techniques ou l gaux faire appel tout cabinet d avocats ou d experts ind pendants choisi en accord avec ses clients Fournisseurs de l industrie de la transformation plastique rejoignez les leaders au sein de WwWw acdi plasturgie com Association des Constructeurs Distributeurs et importateurs de mat riel et de mati re premi re pour l industrie de la Plasturgie Les Fournisseurs partenaires de la fili re Sir ER ES DE 4 re p o TET E i LL ari m ns i i LL A DE Payr iLE ii aa AA AR EURI the first DEMAG ba ILLI O N NEGRI BOSSI Ssrror fE EARPLPRANCE lt amp 4 SIR
11. Des tudes portant sur la toxi cit humaine et aquatique les missions de gaz effet de serre la s questration de car bone indiquent que les taux sont plus faibles pour les fibres naturelles que pour les fibres de verre Cependant les missions de nitrates de phosphates et d oxydes d azote dus l utilisation d en grais sont sup rieures pour les fibres naturelles Ainsi il est n cessaire d avoir une vision multicrit re des impacts des produits Par ailleurs ces impacts seront largement influenc s par les choix de la fin de vie et des fili res de r cup ration possibles de mat riaux Les bio composites sont moins chers Le prix des bio composites est fonction du type de matrice et du type de fibre introduite Le prix de la fibre naturelle est d pendant du type des ton nages et capacit s de produc tion des fili res concurrentes utilisant ces fibres pap terie textile b timent de leur transport du degr de traite ment de la fibre et donc de ses caract ristiques techniques Le co t du composite devra galement inclure l tape compl mentaire de compoun dage Cependant pour tre tout fait optimis le co t final du mat riau doit tre ramen son poids ou l unit fonction nelle choisie masse pour une pi ce ayant des fonctions et des caract ristiques compa rables Les bio composites ont de meilleures pro pri t s m caniques Il est s
12. M ais l af faire est particuli re l usine va r cup rer aupr s des agriculteurs du Sud ouest leurs vieux plas tiques qu elle lavera et broiera avant de les exp dier l bas o la demande est en plein boom Pour y fabriquer des bidons tuyaux et caisses quireviendront ici mar qu s du fatal made in China Certes le fait reste anecdotique mais traduit n anmoins l incroya ble app tit chinois Il est aussi le reflet d une triste r alit c est celui de la perte dra matique de parts de march de notre industrie au cours des 10 derni res ann es comme le mon tre la comparaison entre 1999 et 2009 Cela appara t tr s claire ment lorsqu on observe le recul global des exportations des pro duits fran ais conjugu l aug mentation des importations de produits trangers dans notre consommation nationale Expor ter moins importer davantage c est le signe d une conomie qui s tait progressivement d tour n e du fabriqu en France Le r sultat nous le connaissons c est la perte de pr s de 600 000 emplois industriels en 10 ans La Chine n est pas le seul cou pable de cette d sindustrialisa tion fran aise les autres pays low cost ayant pris largement leur part dans ce ph nom ne C est pour tenter d enrayer cette tendance lourde que Christian ESTROSI lan ait le 30 ao t dernier l Observatoire du Made in France pr cisant que pour lui fabriquer en France ce n
13. Uniloy Milacron s r l via Alessandrini 43 20013 Magenta MI Italy T 39 02 970007 1 F 39 02 97200109 www uniloy com email info uniloy it ERLYS sas 320 Avenue Berthelot F 69371 Lyon cedex 08 France T 33 678 920 627 email info erlys fr
14. celle concernant la r glemen tation siles prestations r ali s es par votre organisme sont couvertes par une l gislation ou une r glementation Une seconde famille est celle de l exigence des clients Les m tas mod les relatifs aux clients existent obligatoire ment Tous les organismes tra vaillent pour l ext rieur c est a dire pour les autres ceux qui ach tent b n ficient utilisent influencent ses prestations c est dire pour les clients les usagers les citoyens les lus etc Vous devrez avoir identifi les entit s consid r es comme les clients et avoir identifi leurs exigences Une troisi me famille est celle de la performance interne Que l on soit public ou priv on a le devoir et l obligation d optimi ser l emploi des ressources afin de ne pas gaspiller les deniers public soit de survivre dans ce monde cruel Ceci est Plastilien O ctobre 2010 n 71 MANAGEMENT un m ta mod le car c estune exigence implicite de la soci t Une quatri me famille est celle de la sant et de la s cu rit des personnels Il peut s agir de la r glementation concernant les salari s ou un r f rentiel normatif tel que l OHSAS 18001 par exemple en cas d engagement dans une d marche de management de la sant et s curit au travail Une cinqui me famille est celle concernant le manage ment environnemental C est une option sauf bien entendu si votre organisme est un
15. flamme dans les produits lectriques lectroniques Or l actuel projet europ en vise inclure des interdic tions pures et simples du PVC du bisph nol A et d un phtalate le DEHP La position commune pr sent e aux minist res de l Industrie le 30 ao t et de l Ecologie le 9 septembre exprime tr s pr cis ment la dangerosit sur nos mar ch s et l inutilit de ces mesures En effet toutes les tudes valid es ce jour d mon trent l absence de dangers de ce polym re monom re ou substance dans ces applications et d autres En plus de la citation des der ni res tudes scientifiques il est aussi demand de res pecter les r gles et d lais prescrits par REACH en termes de recherche de substituts et d interdiction r glementaire d utilisation Ainsi l action vise viter ces interdictions car infond es scientifiquement et por teuses si valid es de possi bles futurs projets d extension d autres applications Contact Eric GRAVIER Responsable D partement HSE F d ration de la Plasturgie T 01 44 01 16 09 eric gravier fed plasturgie fr www enviroplast org PROJET LEONARDO PLASTIGREEN dans les bureaux d EuPC D avantage d in formations relatives au projet PLAST l GREEN sont disponibles sur le site Depuis deux ans la F d ration de la Plas turgie pilote le projet PLASTIGREEN en partenariat avec la conf d ration euro p enne de la Plasturgie EuPC
16. le 13 juillet en Conseil des Ministres et discut au parlement depuis le 6 septembre en vue de son adoption fin octobre vise combler le d ficit des r gimes d s 2018 La mesure la plus embl matique de ce projet est le report de l ge l gal de d part la retraite 62 ans forcement des syst mes de solidarit et l alignement de la fonction publique sur le sec teur priv seront l gif r es d s septembre Pour le reste notamment le calcul des all gements de charge il faudra attendre la publication des lois de finances et de financement de la s curit sociale pour 2011 et les d crets d applica tion qui suivront Focus sur les points cl s d un projet qui mobilise la rentr e Rel vement de l ge l gal de d part la retraite 62 ans La p rennit financi re du syst me de retraite fran ais est principalement menac e par le vieillissement d mogra phique L augmentation de l ge d ouverture des droits retraite parait tre la solution la plus adapt e et la plus juste face au d s quilibre des r gimes de retraite Le gouvernement souhaite donc porter l ge l gal de d part la retraite aujourd hui fix 60 ans 62 ans en 2018 Ce report serait progressif puisque l ge augmenterait selon l ann e de naissance au rythme de 4 mois par an avec un taux plein 67 ans ou pour une dur e de cotisations de 166 trimestres Aujourd hui l assur peut per cevoir une
17. niveau d activit de 2007 Le rebond de l activit indus trielle fran aise visible depuis l hiver 2009 soutenu par les plans de relance g n ralis s et la reconstitution des stocks semble avoir atteint son pic L ensemble de l industrie fran aise ayant m me progress de 1 7 en raison du bond de la production d nergie 9 8 et par l automobile 4 7 sur les 5 premiers mois de l ann e Les r centes enqu tes de conjoncture laissent pr sager un ralentissement de la pro duction dans les prochains mois Sur l ensemble de l ann e la production manufacturi re se redresserait de 4 3 apr s une chute de 11 8 en 2009 Seul un gros tiers du chemin perdu pendant la crise t r cup re Selon Fr d rique Cerisier conomiste BNP Pari bas la production manufactu ri re ne retrouverait pas son niveau d avant crise avant le second semestre 2011 Concernant la production des industries du plastique elle a globalement progress de 9 en volume sur les cinq pre miers mois de l ann e 2010 apr s 10 en 2009 la f d ration de la plasturgie souligne de fortes disparit s entre les secteurs Les pi ces destina tion de l industrie enregistrent n 71 Octobre 2010 Plastilien 7 un bond de 26 de sa production tir e par l automobile tandis que celle des tin e au march de la construction ne red marre pas Le plastique pour l emballage pro gresse de 6 sur
18. nous vous invitons prendre contact avec l antenne r gionale de Marseille Brigitte Rebourg ou Wil liam Hanquier au 04 91 14 30 83 _ Espace Pro du nouveau Ouvert depuis 2008 les adh rents de Plastifaf ont acc s depuis le site www plastifaf com un espace s curis permettant tr s facilement d effectuer certaines op rations la saisie en ligne anne des demandes de prise en charge les formalit s et versements a ci du bordereau du 28 f vrier le r glement des acomptesen g la chambre de coupe option la consultation des dossiers etfactures A fin 2009 50 des dossiers de formation trait s par PLASTI FAF le sont de mani re d mat rialis e et les retours des Adh rents sont tr s positifs P moditec Les derni res volutions ouvrent encore plus de fonctionnalit s commander un tat de compte qui est envoy sur la bo te mail du contact onglet Commande dans le domaine faire un versement compl mentaire ou r gulariser une situa tion d bitrice onglet Versement du broyage et du recyclage de vos mati res plastiques Pour toutes questions contacter votre antenne r gionale ou Karine MOTA au 01 47 66 99 56 n Y O S Y W a O U 7 Y D Y U S o 9 ALBRO Technologies ZAC de la Donni re 69970 France T l 04 78 02 66 00 Fax 04 78 02 66 13 e mail info albro fr Uilfmann Cr ateur d Innovations UNE GAMME COM
19. r sistance thermique aug mentation des HDT et des points Vicat mais pr sentent des propri t s au choc sou vent plus faibles que les matrices employ es D un point de vue environne mental l incorporation de fibres naturelles permet la s questration de carbone pen dant toute la dur e de vie du produit diminuant l impact des gaz effet de serre M ais une d marche d identifi cation de l ensemble des impacts est souhaitable D un point de vue du march l utilisation de fibres naturelles agricoles pour les bio compo sites reste n gligeable par rapport l utilisation de la res source agricole pour des appli cations nergie qui repr sente en Allemagne 3 pr t de 74 de l utilisation des res sources agricoles non alimen taires les 26 restant tant d di s aux applications mat riaux Incluant la papeterie ou l ol o chimie Ainsi l volution du march des composites fibres natu relles ne peutse faire que de fa on raisonn e et responsa ble en prenant en compte de fa on globale l laboration la mise en uvre le ciblage et la fin de vie de l application Les bio plastiques sont partout Exemples et domaines d applications La prochaine journ e tech nique du PEP sera consacr e aux bioplastiques Elle se d roulera le jeudi 25 novembre 2010 Oyonnax Pour sa quatri me dition les applications et innovations int grant des bioplastiques seron
20. sites renforc s par des fibres de verre lors de leur re trans formation Les bio composites sont plus l gers Ils sont en effet plus l gers par rapport des composites fibres de verre Les fibres de verre ont une densit d environ 2 5 g cm alors que les fibres naturelles pr sentent des den sit s de l ordre de 1 5 g cm Cependant taux d incorpora tion identique les perfor mances des bio composites sont encore plus faibles que celles des composites fibres de verre dues une mauvaise adh sion entre fibres et matrice ilest donc souvent n cessaire d introduire plus de fibres naturelles pour obtenir des propri t s quivalentes Les bio composites sont meilleurs pour l environnement L impact environnemental d un produit ne peut tre valid qu en utilisant des outils appropri s comme l analyse de cycle de vie ACV L ACV en d finissant une unit fonc tionnelle et un cadre d tude pr cis permet la quantifica tion multicrit re de l impact de la fabrication du produit sur des param tres tels que la consommation de ressources fossiles l mission de CO2 la consommation d eau etc La difficult dans le cadre de ces biocomposites est la r colte des donn es d entr e sur l laboration de la fibre Ainsi l origine de la fibre les traitements subis la tra abi lit et les proc d s de trans formation vont impacter le bilan environnemental du composite
21. technique Les diff rents principes de l IAG l injection gaz par la buse ou l ICG sch ma n 1 ci contre On injecte le gaz par une buse sp ciale et donc par la carotte Le moule n a pas d quipement particulier L azote suit le chemin de moin dre r sistance Dans le cas d un moule multi empreintes l quilibrage doit tre parfait Si le canal d alimentation est assez long le gaz finira par avoir du mal aller au bout du parcours On aura alors besoin de mettre une aiguille de gaz dans le canal ou alors dans les empreintes L injection gaz avec aiguille dans le moule sch ma 2 On place des aiguilles directe ment dans les empreintes pour pouvoir alimenter l azote et faire progresser la mati re dans le m me sens ou pas sui vant la technique choisie L in jection dans ce cas est dite partielle TECHNOLOGIE L injection gaz avec aiguille dans le moule et masselotte sch ma 3 Une autre solution est de chas ser le polym re dans une anti chambre qui s appelle une masselotte L aiguille qui est implant e dans l empreinte va vider le surplus de polym re vacu par le gaz dans un volume escamotable pr vu cet effet Ce principe fait l objet d une licence mondiale Cinpress l injection gaz avec aiguille dans le moule par r tro injection sch ma 4 La r tro injection par la buse on place l aiguille en opposi tion par rapport au point d in jection et la mati re est
22. technologies et des innovations reposent d sormais sur des ensembles de brevets etnon plus sur une seule invention les inventeurs sont eux m mes dispers s ce qui renforce la n cessit des changes Si les grands groupes indus triels peuvent s organiser il n en est pas de m me pour les PME pour lesquelles l enjeu est double Valoriser les brevets La valorisation d un brevet d pos peut tre difficile En effet chaque PME ne dispose pas forc ment des moyens pour valoriser un breveten interne et une valorisation externe peut tre extr me ment difficile puisque la valori sation de chaque brevet d pend en grande partie de sa combinaison avec d autres brevets Obtenir de nouveaux brevets Pour des PME d veloppant de nouveaux services ou pro duits l enjeu est d arriver obtenir des brevets aupr s de ressources de propri t indus trielle C est pour ces diff rentes rai sons qu un fonds d investisse ment direct dans la valorisa tion internationale des brevets a t cr Il a principalement pour but d acqu rir des droits de licence sur les brevets aupr s d entre prises priv es ou aupr s d orga nismes de recherche publique de les valoriser en les r unis sant en grappes technologiques et d organiser leur commerciali sation sous forme de licences aupr s des entreprises euro p ennes et mondiales facilitant ainsi l acc s des PME au mar ch de la Propri t Intellec t
23. 1 du 17 juin 2008 Ce r glement pr serve en son article 9 l application de la loi de police du for voire celle de l ex cution du contrat si elle diff rente mais uniquement lorsque le respect de cette loi est crucial pour la sauvegarde des int r ts publics du pays une r daction sui semble r tr cir consid rablement la cat gorie des lois de police Elle devient presque une peau de chagrin de nature remettre en cause les pratiques nationales pr existantes qui se servent de l chappatoire des lois de police pour la protection cat gorielle des int r ts priv s particu liers d une partie jug e faible lire ce propos L D Avout Le sort des r gles imp ratives dans le r glement Rome I D 2008 Chron 2165 sp c n 11 26 Plastilien O ctobre 2010 n 71 police tel que d fini dans cet arr t par la Cour de cassation qui se r f re la d finition classique propos e par Fran ceskakis il y a 40 ans 2 loi dont l observation est n ces saire pour la Sauvegarde de l organisation politique sociale et conomique du pays au point de r gir imp rativement la situation quelle que soit la loi applicable Il est surprenant que l arr t de fasse aucune r f rence la Convention CMR du 19 mai 1956 propos de laquelle la Cour de cassation a pourtant pr cis qu il s agit d un texte d ordre public que le juge doit appliquer d office et qui exclut See PS 1 ner nan TE j POTOA LEC
24. 5 actuellement et la contribution de l entreprise 24 Plastilien O ctobre 2010 n 71 sur la valeur de l option lors de son attribution port e 14 au lieu de 10 La taxation des retraites cha peau serait renforc e actuel lement les retraites vers es aux b n ficiaires de ces dispositifs sont soumises au bar me progressif de l imp t sur le revenu et supportent 8 1 de pr l vements sociaux Une contribution sup pl mentaire de 14 devrait s ajouter ces pr l vements Une troisi me mesure concerne les revenus finan ciers etles plus values des particuliers La proposition de texte pr voit une taxation accrue des revenus du capital Les pr l vements proportion nels sur les revenus du capital etles plus values seraient rele v s d un point ce qui porterait de 18 19 le taux d imposi tion des plus values de ces sions de valeurs mobili res et de droits sociaux soit une imposition globale de 31 1 avec les pr l vements sociaux ainsi que le pr l ve ment forfaitaire lib ratoire applicable sur option sur les dividendes int r ts et autres revenus mobiliers etde 16 17 le taux d im position des plus values de cessions immobili res soit un taux global de 29 1 avec les pr l vements sociaux les exon rations actuelles notamment celle concernant la vente de la r sidence prin cipale tant maintenues Par ailleurs le seuil d imposi tion 25 830
25. au transporteur impay contre l exp diteur et le destinataire constitue t il une loi de police Non selon un arr t de la Cour de cassation du 13 juillet 2010 le recours du transporteur impay est donc r gi par la loi applicable au contrat de trans port En effet l article L 132 8 du code de commerce conf rant au transporteur routier une action en paiement de ses prestations l encontre de l exp diteur et du destinataire institu s garants du paiement 1 Source Com 13 juill 2010 n 10 12 154 webdata Fotolia com du prix du transport n est pas une loi dont l observation est n cessaire pour la sauve garde de l organisation poli tique sociale et conomique du pays au point de r gir imp rativement la situation quelle que soit la loi applicable et de constituer une loi de police Le paradoxe est qu l inverse et apr s moult controverses la Cour de cassation a r pondu de mani re affirma tive propos de l action directe conf r e au sous trai tant par l article 12 de la loi n 75 1335 du 31 d cembre 1975 dans le contexte d une sous traitance internationale Deux poids deux mesures L article L 132 8 n ob irait donc pas au crit re de la loi de 2 Lire Francescakis Ph Quelques pr cisions sur les lois d application imm diate et leurs rapports avec les r gles de conflits de lois Rev Crit DIP 1966 p 1 3 Remplac e depuis par le r glement dit Rome
26. aussi veiller ce que les chartes de bonnes pratiques qui se sont multipli es ne restent pas incantatoires mais connaissent une r elle mise en uvre L Etat souhaite multiplier l avenir les structures de m diation qui servent ainsi d aiguillon envers des entre prises qui restent cependant encore tr s partag es sur ce mode d intervention chau d es par l inertie de ces ins tances notamment dans le sec teur automobile qui a cr le Centre de m diation de la fili re automobile Il appartient d sormais au gou vernement de d finir les solu tions qui lui paraissent les plus opportunes Dans un communi qu de presse Christian Estrosi et Herv Novelli ont d ailleurs d clar accueillir favorable ment les propositions du rap port Volot Une large consultation est d ores et d j engag e avec les acteurs industriels etles organisations professionnelles et syndicales sur les suites 7 Lire Cr dit tourisme consommation l Etat m diateur s agrandit Les 8 Lire communiqu http www economie gouvfr discours presse discours communiques_finances phptype communique amp id 45 30 amp rub 1 concr tes donner aux conclusions etrecommanda tions du rapport Les arbitrages devront tre rendus d ici la fin octobre 2010 La bataille s annonce difficile mais d faut d actions concr tes le temps viendra pour les sous traitants d aban donner le terrain pour des
27. concerne sp cifi quement les groupements d achats d passer la m fiance des personnes en charge des achats qui craignent la remise en cause de leur fa on de mener les n go ciations ou pire de voir leurs comp tences mises l preuve de la comparaison R duire les rapports de forces en mutualisant les achats l exp rience Ronax La valeur ajout e d une mutualisation est tellement vidente qu elle pourrait presque en sembler simpliste massifier les volumes permet de n gocier de meilleurs tarifs abaissant ainsi le co t des mati res premi res des quipements des services Si obtenir de meilleurs prix par l effet volume est indiscutablement la motivation premi re de la constitution d un groupe ment d achats il serait r ducteur de consi d rer qu il s agit l de son seul bienfait Pour J ean M arc M ANDUCHER Directeur G n ral du Groupement d achats RONAX c est aussi un moyen de rationnaliser sa politique d approvisionnement en mati res premi res notamment par un travail d ana lyse sur la diversit et le nombre de r f rences d accompagner les membres du groupement dans une strat gie de double ou triple homologation de mati res de leur faire gagner du temps de garantir le res pect des engagements pris par les fournis n 71 Octobre 2010 Plastilien 1 7 DOSSIER CA Achats Mati res Pr Plastiques Tonnage Ma CA Int rim CA Transports CA Emballages c
28. de la relocalisa tion d une partie de la production de l Europe de l Ouest vers l Asie mont e en technicit et en savoir faire technologique des pays autrefois mergents pression continue sur les prix de la part des donneurs d ordres volatilit des mati res premi res et augmentation g n rale des co ts contraintes fiscales et r glemen taires en accroissement permanent Face cela les PME de la plasturgie manquent de marge de man uvre qu elles soient techniques organisation nelles elles agissent sou vent de mani re dispers e sans solidarit au sein de la fili re pensant que chacun individuellement pourra mieux tirer son pingle du jeu C est d ailleurs ce que regret tait G rard GOUJ ON Pr si dent d Alliz Plasturgie Rh ne Alpes et PDG de PRP Cr ation Oyonnax lors de son t moignage l occasion de la G rard GOUJON n y 16 Plastilien O ctobre 2010 n 71 Rencontre Annuelle d Alliz Plasturgie en J uillet dernier cf Plastilien Septembre 2010 II illustrait son propos en se r f rant la hausse des prix des mati res premi res que les entreprises subissent et peu vent difficilement r percuter sur leurs tarifs C est l enjeu de demain certaines entre prises connaissent des pro bl mes de r gularit de l ap provisionnement Nous achetons les mati res pre mi res des groupes beau coup plus puissants que nous Ila donc pr conis que chaque so
29. du Ti F P Pts i j k La sar Signature d une convention r gionale en PACA mobilisant les fonds publics pour la formation des salari s de la Branche Nous l avions annonc dans Plastilien de mai le projet est main tenant concr tis PLASTIFAF et ALLIZE PLASTURGIE PRO VENCE ALPES COTE D AZUR ont sign le 6 Ao t avec le M inis t re charg de l Emploi et de la Formation une convention r gionale visant aider les entreprises plasturgistes dans leur effort de formation Une convention avec le Fonds Social Euro ALERO Technologies L alliance des comp tences p en est galement en cours de signature Nous vous apportons Trois axes prioritaires ont t d finis notre savoir faire Renforcement des socles communs de comp tences Pano rama des mati res plastiques Hygi ne S curit Environnement le meilleur choix Qualit autocontr le Les outils de la performance Remise le service le plus complet du niveau en fran ais Calcul et lecture de plans Professionnalisation des quipes de production CQO1 Plastur gie Monteur R gleur niveau 2 e Gestion d quipe Tuteur en Plasturgie Management de proximit march PLASTIFAF apportera un financement sp cifique aux projets s inscrivant dans le cadre de p riodes de professionnalisation minimum 80 h de formation par salari Pour plus d information
30. fond sur la confiance mutuelle la transpa rence etla notion de long terme RONAX reste avanttout une structure ouverte capable d accueillir de nouveaux adh rents sur un p rim tre g ogra phique national dans le res pect des r gles du groupement des notions de confidentialit et d implication de la part des directions g n rales Les Membres de RONAX ALP BOUILLER CEMM THOM E COURANT EDA ERCE FAIVELEY PLASTURGIE FPSA GPI MARMILLON PLASTI BELL RDP ROVIP S3 TBI TECM APLAST Pour en savoir plus WWW ronax fr ou p picart ronax fr coordinateurs du GAP La Lettre des Achats 7 septembre 2010 PLASTURGIE DEUX GROUPEMENTS D ACHATS S ASSOCIENT Le GIE Alliance Plasturgie et la SAS GMB s unissent pour former le GAP Groupement achats plasturgie Objectifs s curisation des approvisionnements et r duction des co ts Constitu en soci t par actions simplifi es SAS le 17 mars 2010 le GAP regroupe les sept entreprises de l ancien GMB cr en 2001 Saint Martin du Fresne dans l Ain et les sept adh rents d Alliance Plasturgie fond e en 1996 Alen on dans l O rne Repr sentant 300 millions d euros de chiffre d affaires pour 2 000 salari s sur 37 sites la nouvelle entit est pr sid e par la PDG de Millet Christine Millet Son directeur g n ral est le patron du groupe Dedienne Multiplasturgy Pierre Jean Leduc Convergeant sur les m thodes achats et la phil
31. imparable et surtout impla cable ll est imp ratif de cr er les conditions pour aller cap ter l intention des clients et p renniser son d veloppe ment Et l innovation L effort des entreprises d pens dans le R amp D est loin d tre une g n ralit dans les entreprises de la profession Seules 19 des entreprises rencontr es consacrent plus de 5 de leur CA dans l innovation Le pilotage financier oui mais pas toujours Nous constatons pour 53 des entreprises une d grada tion de leur rentabilit au cours du dernier exercice En outre 23 des entreprises ont un r sultat net n gatif La gestion de la tr sorerie reste un r el probl me pour les entreprises en temps de crise La relation avec les banques est compliqu e Un lien est faire entre cette pro bl matique et la non formali sation d un business plan En Evolution de la rentabilit des entreprises M en croissance E stable M en d croissance en perte entre 0 et 3 entre 3 et 8 gt 8 effet ce dernier est un bon outil de n gociation tout comme les tableaux de bord financier Pour renforcer notre propos nous constatons que 38 des entreprises rencontr es ne for malisent pas de budget en com parant l activit en cours avec celles des ann es pr c dentes Etles Ressources Humaines dans tout a Deux principales probl ma tiques sont pr sentes dans la majorit des entreprises re
32. justifier d un nombre de trimestres valid s en d but de carri re avant l ge de 16 ou 17 ans selon les cas Le gouvernement souhaite prolonger et largir ce disposi tiftoutentenantcompte de l allongement de l esp rance de vie Ce dispositif serait donc n cessairement modifi Ces adaptations ne concerneraient que les classes d ges de 1956 et suivantes Pour ces g n ra tions l ge d acc s au disposi tif longues carri res serait Fotolia com ohanna Goodyear fix 58ou 59ansencasde d but d activit 14 ou 15 ans et 60 ans en cas de d but d ac tivit professionnelle 16 ans Le gouvernement indique que la dur e d assurance minimale requise pour b n ficier de ce d part anticip ne serait pas modifi e D autre part le gouvernement aspire largir le b n fice de ce d part anticip aux assur s ayant d but leur carri re 17 ans Ces assur s pourraient n 71 Octobre 2010 Plastilien ET R a f z ij partir la retraite 60 ans s ils remplissent les conditions de dur e d assurance applicable au dispositif La prolongation et l largisse ment du dispositif tels qu envi sag s par le gouvernement appellent plusieurs remarques les g n rations ant rieures 1956 b n ficieraient toujours du dispositif actuel pour la g n ration 1956 et les suivantes la possibilit de partir 56 ou 57 ans serait supp
33. la f d ra tion professionnelle espagnole AN AIP et les centres de formations hollandais Ken niscentrum PMLF italien Aris Formazione e Ricerca allemand EBG et polonais ZDZ et avec le soutien de la Commis sion Europ enne au travers d un cofinan cement du programme Leonardo da www plastigreen org Audrey N O BLE Charg e de mission Europe F d ration de la Plasturgie T 01 44 01 16 34 Email a noble fed plasturgie fr Vinci d i 2 m A m m Ce partenariat a permis de d velopper RE une nouvelle certification adapt e aux ii Eu 1 z 1 ANEU T T E FALSE besoins des op rateurs des entreprises m s s am RAA Lu de plasturgie sur les probl matiques li es au d veloppement durable Afin de pr senter les r sultats de ce pro nr BE jet les partenaires organisent une conf rence Bruxelles le 16 septembre 2010 n 71 Octobre 2010 Plastilien g 1 A B J PROFESSION Rapprochement de branches dans l objectif de cr ation d un nouvel OPCA commun La F d ration de la Plasturgie m ne depuis plusieurs mois un large processus de r flexion sur les rapprochements possi bles pour l OPCA Plastifaf Le choix de notre branche s appuie sur la volont de construire rapidement un OPCA industriel fort permet tant de renforcer le conseil et l ac compagnement de proximit des PME d velopper de l ing nierie des outils et des dispositifs permettant une formation des salari
34. les entreprises ont des priori structure non adapt e pas le temps a co te cher les jeunes ne sont pas fiables il n y a pas de r ponses formation c t de mon entreprise et ou adapt es mes techniques J e fais valoir les r els avantages du recru tement en contrat de professionnalisation Public largi les jeunes mais aussi les adultes demandeurs d emploi Effectivement il y a un co t mais gr ce aux financements mutualis s de Plastifaf etaux aides de l Etat la formation est compl tement prise en charge L objectif de formation est ouvert pas seulement aux m tiers techniques mais aussi aux m tiers supports comme la comptabilit l administratif en g n ral le commercial C est un moyen moindre co t d inves tir dans un recrutement et d avoir en fin de CDD une personne form e op ration nelle pr te tenir un poste en CDI si besoin C t pouvoirs publics avez vous pu constater que la d marche tait soutenue MB En ce moment l Etat par l interm diaire des Pr fectures et des Direccte mobilise les Opca les organismes tels que P le Emploi et Missions Locales sur ce sujet et organise des rencontres qui sont l occasion d changer avec les autres Opca sur les d marches qui peuvent tre mises en place dans les autres Branches Coordonn es de Marie Bessoud T l 06 19 36 96 00 JE Plastifaf Les ressources de la formation pour la plasturgie
35. masse du v hicule de 3 kg soit une r duction d environ 50 par rapport une aile en acier M ais hormis ce gain de poids la r sine offre une plus grande de libert de design que le m tal Gr ce au moulage par injec tion les concepteurs de Mit subishi ont t en mesure de cr er une g om trie d aile complexe dot e d une pointe avant et d une ouverture lat rale pouvant loger un feu cli gnotant Une telle conception aurait t difficile r aliser en m tal car elle aurait n cessit des outillages sp ciaux et de multiples op rations De plus la r sine Noryl GTX a permis aux concepteurs et ing nieurs de Mitsubishi d aug menter de mani re significative la flexibilit des ailes compar e aux mod les en acier Cette flexibilit am lior e devrait procurer d une part une excellente absorption lors de chocs la t te au cours d incidents avec des pi tons et d autre part la non d for mation de l aile suite des col lisions mineures ce mat riau a t r compens en 2009 par la division automobile de la Society of Plastics Engineers dans la cat gorie S curit pour la conformit en terme de protection des pi tons des ailes de la Ford Kuga Pendant la production de v hi cules la r sine N oryl GTX permet de r duire la com plexit etles temps de cycle Sa r sistance aux hautes tem p ratures et sa conductivit intrins que permettent la peinture des ailes sa
36. ment d exp rimenter le tri s lectif des d chets au sein du milieu hospitaliers de la r gion Rh ne Alpes Au travers de ce dispositif exp rimental l chelle de 3 services hospitaliers cette exp rimentation a mis en exergue un certain nombre de points essentiels e Le personnel hospitalier est pr t et volontaire pour effec tuer ce geste de tri s lectif est en revanche fondamen talde faire participer d ac compagner de former de sen sibiliser au mieux le personnel afin que les consignes soient bien comprises et bien accep t es dans le quotidien e Les locaux sont galement un facteur d terminant mais pas bloquant e Le choix des dispositifs m di caux trier est galement un facteur important d terminer et peut d pendre des habi tudes de gestion des d chets d j en place sur le site hospi talier ou du site de traitement des d chets Au vu de ces principaux l ments l exp rimentation pour rait tre d ploy e l ensemble des h pitaux Les structures pourraient ainsi s appuyer sur le retour d exp rience etles outils de ce projet exp rimen tal men par ALLIZE Plasturgie Rh ne Alpes En r ponse ces points essen tiels le retour d exp rience peut permettre de transf rer ces conditions aux acteurs concern s ENVIRONNEMENT e L int gration et ou le renfor cement de ces aspects au sein de la formation initiale du per sonnel soignant e La prise
37. modul s par secteur d ac tivit dans des conditions d termin es par d cret Renforcement de la pr vention des situations de p nibilit Le d part anticip pour p nibi lit serait compl t par un ren forcement des mesures de pr vention qui pourraient tre d velopp es partir d un car net individuel de sant au tra vail dans lesquels seraient enregistr es les expositions aux facteurs de p nibilit Concr tement un dossier m dical en sant au travail constitu par le m decin du travail retracerait les informa tions relatives l tat de sant du travailleur aux expositions auxquelles il a t soumis ainsi que les avis et proposi tions du m decin du travail Une nouvelle obligation d cla rative seraitimpos e l em ployeur ce dernier devrait en lien avec le m decin du travail consigner sur un formulaire les risques auxquels le salari est expos et la p riode au cours de laquelle cette exposition est survenue Une copie de ce document serait remise au salari son d part de l tablissement Cette tra abilit des exposi tions servirait notamment v rifier l exigibilit de la majo ration de cotisation dont les employeurs seront redevables au titre de chaque salari occupant au del d une dur e d termin e un poste de travail pr sentant des facteurs de risques professionnels Ces mesures seraient applica bles aux expositions prenant eff
38. pourraients inscrire dans le cadre de la politique de fili res voulue par le gouvernement II conviendrait galement l instar des professions du BTP qui ont su selon le m diateur s organiser pour tablir en leur sein des relations apai s es et r gler en interne et par la voie de la conciliation la plu part des conflits qui peuvent na tre entre leurs adh rents de d velopper les bonnes pra tiques au sein des branches professionnelles I faut selon lui faire monter en puissance la m diation interentreprises industrielles et de la sous traitance en la dotant de pouvoirs et inciter les branches professionnelles d velopper une m diation interne La m diation offre en effet l norme avantage de 5 Sont galement voqu s une volution n cessaire de la clause de r serve de propri t et le probl me sp cifique des approvisionnements en mati re premi res qui a aliment le d bat de l t 2010 Lire Des puces au nylon les p nuries ponctuelles se multiplient dans l industrie Les Echos 15 06 2010 6 A titre d exemples r daction et diffusion de contrats type de sous trai tance ou de chartes de comportement actions de sensibilisation et de for mation mise en place de structures de m diation etc Echos 11 08 2010 laisser la relation client four nisseur dans le cadre contrac tuel et de ne pas la porter imm diatement au niveau contentieux Il faut
39. s imaginent Des r seaux se testent via des exp riences de sous trai tance Pour CVA plus que le consultant il y a l homme qui partage les succ s comme les checs qui g re les baisses de moral les moments de d couragement comme les moments d emballement et l aussi on g re le temps etle cash Plastdecor SECOND HAND PLASTIC MACHINERY d Bourgogne Conseil r gional Dx ES Libert galit e Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE PLASTDECOR ZI Sud 741 Rue de l ange 01100 Bellignat Tel 00 33 4 74 81 80 98 Fax 00 33 4 74 77 93 90 Mail contact plastdecor com n 71 Octobre 2010 Plastilien 1 3 gt IND PENDANCE Libert de choix des fournisseurs gt ECOUTE Analyse et compr hension de vos besoins travers une relation personnalis e gt R ACTIVIT Anticiper les volutions et proposer des solutions innovantes gt EXPERTISE R daction et suivi des contrats Gestion des sinistres gt THIQUE Rigueur transparence confiance t Partenaire totalement US NS ind pendant des compagnies constitu d une quipe _de professionnels avec l acc s des r seaux nationaux et internationaux Philippe QUETIER p quetier sofras conseil com Jacques BOISSONNET j boissonnet sofras conseil com DOMMAGES AUX BIENS Incendie et risques annexes Pertes d exploitation Tous risques moules Dommage ouvrage Tous ris
40. site class auquel cas il aura des obligations de conformit s r glementaires et ventuelle ment normatives Une sixi me famille peut tre celle du d veloppement dura ble Le r f rentiel ISO 26000 sur la responsabilit soci tale des entreprises est un guide r cemment publi et peut ser vir de m ta mod le Les autres familles de m tas mod les concernent tous les autres contraintes engage ments ou valeurs qui peuvent tre utilis s de mani re obliga toire ou volontaire par l orga nisme dans le cadre de ses activit s Cela peut tre une veille technologie ou concur rentielle par exemple Il n existe pas de liste exhaustive et c est l entreprise de pr ci ser ce qui doit tre pris en consid ration dans ses objec tifs et son fonctionnement Les organismes doivent alors se structurer pour r pondre au plus juste ces contraintes satisfaire les clients les action naires la r glementation l envi ronnement suivre les volutions technologiques la concur rence etc Pour ce faire ils doivent laborer des mod les internes bonnes pratiques de travail qui peuvent selon le risque de mal faire devenir des proc dures des protocoles ou des modes op ratoires Les mod les internes sonten fait la traduction op ration nelle des m tas mod les externes Les pratiques d audits internes Les audits internes servent donc s assurer que la strat gie le management l or
41. verre s PA 6 non charg volution des cours du PA 6 6 indice base 100 janvier 2004 180 170 160 150 140 130 120 110 100 90 juil 09 ao t sept oct 09 nov 09 d c 09 janv 10 f vr 10 mars avr 10 mai 10 juin 10 jui 10 ao t 09 09 10 10 PA 66 30 PA 66 non charg n 71 Octobre 2010 Plastilien 69 AGENDA Les journ es de l innovation 2010 Les Journ es de l innovation du CFP sont destin es aux dirigeants acheteurs ing nieurs concepteurs de produits chefs de projet techniciens plasturgistes des entreprises donneurs d ordres des entreprises transformatrices de mati res plastiques des entreprises productrices de mat riaux polym res et des bureaux d tude chercheurs tudiants ensei gnants Pour en savoir plus www plasturgie formation com journees innovation html Mat riaux polym res et lectricit lectronique Dijon 23 novembre Innovations mat riaux et proc d s au service de ce secteur Mat riaux polym res et emballage Lyon 5 octobre Innovations mat riaux et proc d s au service de ce secteur J ourn e co organis e CFP et ARDI Les journ es Techniques 2010 Rencontre d acteurs des professions du Textile Technique et de la Plasturgie Atouts et progr s de la technique de thermo Lyon 2 d cembre formage parois fines et fortes paisseurs Pour changer vo
42. 10 Du 27 oct au 3 nov 2010 Hall 10 stand N 10G56 BEWE PLAST Z I 15 rue des Cressonni res B P 123 F 95505 Gonesse Cedex T l 33 0 1 39 87 06 60 Fax 33 0 1 39 87 14 32 beweplast beweplast com www beweplast com Les fiches m tiers et le r pertoire des certifications de la plasturgie sont accessibles en ligne sur le site de l Observatoire de la Branche www observatoire plasturgie com Le r pertoire des m tiers et des certifi cations de la branche plasturgie est maintenant accessible en ligne sur le site internet de l O bservatoire Ce r pertoire pr sente 24 fiches m tiers et 123 fiches de certifications d crites de mani re d taill e Contact Florence BO N N ET TO URE D l gu G n ral Adjoint F d ration de la Plasturgie T 01 44 01 16 19 Email fbonnet fed plasturgie fr PROFESSION Action contre la refonte de la directive produits lectriques et lectroniques Le d partement HSE de la F d ration de la Plasturgie m ne une action en collabo ration avec Plastic Europe le syndicat des producteurs de mati res plastiques contre le projet de refonte de la directive RoHS Pour m moire cette direc tive 2002 95 EC sur la limita tion de l utilisation de cer taines substances dangereuses dans les qui pements lectriques et lec troniques interdisait et interdira l utilisation de cer taines substances notam ment des retardateurs de
43. 50 La conception des engrenages en plastique en toute s curit D2 TECHN O LO GIE 52 Le contr le process par l instrumentation 55 L injection gaz GO MATI RES 60 Halte aux id es pr con ues sur les biocomposites OA REPORTAGE 64 DPH International ambassadeur du savoir faire des moulistes fran ais GG CONOMIE 66 Tendances Plasturgie 69 Mercuriales 70 Ac EN DA Les groupements r DOSSIER DU MOIS une affaire de prix Nouveau Plastilien est aussi accessible en ligne pour les adh rents d Alliz Plasturgie uniquement Vous pouvez retrouver les num ros parus pour les t l charger les transmettre vos coll gues et collaborateurs librementsur www plastic way com Espace Communaut Base Economie crit re Plastilien re N p Il6 Plastilien est dit par Cediplast Communication Plastilien 39 rue de la Cit 69441 LYON cedex 03 T l 04 72 68 28 28 Fax 04 72 36 00 80 Directeur de la publication Anne de Lansalut Comit de R daction Dominique Appert Amandine Authier Thierry Guillaume Bardin Thierry Charles Val rie Clayton Christophe Contini Beno t Dorsemaine M arion Druet Samir Fodil Elisabeth Garnier Guillaume Robert Emmanuel Rossi Yannick Saint Roch Ulrich Thomir Secr tariat de r daction Christine Poupon Graphisme maquette et r alisation PAO C cilie Felt Service publ
44. C est une comparaison entre une situation de terrain etun mod le Aujourd hui les mod les sont les contraintes de notre monde environnant II faut rap peler que tous les organismes quels qu ils soient priv s ou publics existent parce qu ils ont une mission soci tale accomplir produire des biens ou des services qui am liorent le cot mat riel culturel ou plus g n ralement la qualit de notre vie quotidienne Pour les organismes publics il s agit de faire appliquer les r gles et les valeurs de notre soci t au b n fice de tous les citoyens L efficacit d un organisme est donc de r pondre ces contraintes qu elles soient constitu es par les attentes des usagers ou par le respect d une r glementation ou les deux la fois comme c est n 71 Octobre 2010 Plastilien 3 3 souventle cas Aujourd hui toutes les entreprises sont comparables des tres vivants qui doivent s adapter en permanence leur milieu environnant sous peine de dis paraitre Les mod les et m ta mod les Nos organisations fonction nent dans un environnement contraignant c est le moins que l on puisse dire Un organisme qui dure est un organisme qui s adapte en per manence aux contraintes de son environnement socio co nomique Ces contraintes qui deviennent alors des mod les satisfaire et que l on nomme m ta mod les sont les sui vants Une premi re cat gorie est
45. E M AG PROFESSION Ling IPE se mobilisent en Sa ne et Loire A l initiative d Alliz Plasturgie Bourgogne dans le cadre du CAP CO 1 5 TPE de la fili re implant es en Sa ne et Loire se sont engag es autour du th me Gagner du temps pour gagner du cash La conduite de cette action est confi e CVA membre du R seau Expert Alliz Plasturgie Le constat initial Quand on est dirigeant de TPE on s parpille beaucoup car on estau centre de tout et onne consacre pas forc ment son temps sur l essentiel sur des actions qui font r elle ment avancer l entreprise Un programme adapt Le parcours de 8 mois alterne des journ es terrain et des 12 journ es collectives au rythme d une par mois afin de respecter les contraintes de l activit et les besoins sp cifiques des dirigeants de TPE Les 2 journ es terrain sui vent le cheminement suivant dans un premier temps sont caract ris s les besoins de temps et les pollueurs de temps dans un second temps les pol lueurs de temps sont limin s dans un troisi me temps les besoins sont satisfaits et la bonne organisation garantis sant la p rennit des progr s se meten place Les journ es collectives sont des moments o les recettes gagnantes sont parta g es 12 Plastilien O ctobre 2010 n 71 Les Entreprises participantes Engag e depuis avril 2010 les 5 TPE sont de tailles tr s
46. ET Plastics Machinery Inc ASHLANDIEPS P ppolymix D measure analyse innovate MO Mold Masters DA IVI P GROUPE alpha mati res plaitiquer d GAZEC HIM Kynventivee wli ace Yuno ERS a ER EI Biesterfeld E I 9 Brocess fi perse JP p N N TY a P jmil y THERMOPLAY n E t T m d DN Het Runner Systema IR RESINEX E AW povan p r UNIPSYSBurraroun Syst mes d injection Pr cision et fiabilit La contribution de Piovan dans chaque composant critique du produit Alessandro Dal Bello President des chaussures de ski Dalbello La solution d velopp e par Dalbello fait de la flexibilit et de la facilit d utilisation les deux variables clefs pour optimiser les temps l espace et les co ts de production La strat gie de faire toujours plus confiance de mani re croissante la technologie des mati res plastiques est depuis longtemps le principal succ s de Dalbello qui a choisi PIOVAN pour g rer le process complet de la deshumidification du transport et du dosage de ses mati res Case history www piovan com dalbello Piovan inside performance outside PIOVAN Customers The core of our innovation WwWw piovan com sales piovan com T1 i i CATIONS pi ces de rechange assistance manutention conseils formation retrofit apr s vente SIES injection soufflage extrusion soufflage en continu avec pr accumulation multi couches
47. O f POINT DE VUE l application du droit national Reste que la loi nationale retrouve son empire sur les points o la CMR s y r f re ou sur ceux qu elle ne r gle pas Or la CMR est muette sur la question du prix du transport etde son d faut de paiement Aussi la d signation de loi nationale en vertu de la r gle de conflits de loi ainsi que son viction ventuelle au profit de la loi de police s op rent logi quement dans la mesure o nous sommes en mati re contractuelle en application de la Convention de Rome du 19 juin 1980 sur la loi applicable aux obligations contractuelles qui repr sente le droit international priv fran ais en la mati re 3 Etla Convention de Rome en son article 7 8 2 r serve le jeu de la loi de police du for lorsque la situation en cause pr sente un lien troit avec l tat qui a dict cette loi Reste que la qualification de loi de police appr ci e selon les crit res pos s par la loi du for en l esp ce la loi fran aise est cart e par la Cou de cassation dans sa d cision du 13 juillet 2010 En conclusion on observe que les int r ts priv s notamment ceux d une partie r put e fai ble dans la relation contrac tuelle exemple du sous trai pnianuelle syst me de d palettisation LABORSAVE entierement automatique gt pour la mise en silo ou en bac gt rendement jusqu a 1200 sacs h gt vid o disponible sur www martiplast com
48. PL TE UNE PR SENCE MONDIALE Presses d injection WITTMANN BATTENFELD FRANCE SAS Robots de d chargement 27 Rue de la Tuilerie Syst mes d automatisation ZI Tuilerie Il R gulateurs de d bit 38170 Seyssinet Pariset Thermor gulateurs France Alimentateurs S cheurs Doseurs T l 04 76 84 27 27 Broyeurs Fax 04 76 84 27 20 Robots et Moules IML info wittmann group fr www wit mann qroup fr www wittmann battenfeld com Tajo m m gjiza Innovative Injection Molding INNOVATIONS Une r sine all ge de 50 les ailes du futur RUR de Mitsubishi En rempla ant l acier par une r sine haute performance Mitsubishi a r duit de pr s de 50 la masse des ailes avant de son futur v hicule et pu r aliser une g om trie sp cifique et complexe permettant de distinguer le design du v hicule et d am liorer la conformit en termes de protection des pi tons En d veloppant le RVR le crossover compact le plus r cent de l entreprise qui sera commercialis en Europe d ici la fin de l ann e les ing nieurs de Mitsubishi ont d ploy tous les efforts possi bles afin de r duire la masse des composants et de parve nir au meilleur rendement nerg tique de la cat gorie Pour la seconde fois apr s le minivan Delica D 5 en 2007 ils ont choisi la r sine Noryl GTX de SABIC Innovative Plastics pour la fabrication des ailes avant Ce mat riau a jou un r le important en r duisant la
49. PLASTILIEN Le magazine d Alliz Plasturgie Octobre 2010 n 71 Dossier p 16 e de prix mais surtout ne affaire d hommes DROIT DES AFFAIRES p 21 ENVIRONNEMENT p 38 Faire bouger les choses ensemble comment doit fonctionner une collaboration efficace De mani re simple et fiable Cela vaut pour les partenariats d velopp s avec nos clients tout comme pour les solutions d injection ARBURG compl tes destin es toutes les applications Maintenant encore plus performantes avec des extensions uniques en leur genre dans la ARBURG S A S Z I Fosse la Barbi re 1 Rue Louis Saillant 93605 Aulnay sous Bois T l 33 0 1 48 65 15 07 Fax 33 0 1 48 65 13 54 e mail france arburg com ARBURG www arburg fr CU0 000 plasturgistes venant du monde entier s appr tent converger vers D sseldorf ne manque sur la liste des exposants Il est vrai que c est l occa sion pour les professionnels de s informer sur l offre mondiale du march et de d couvrir les derni res avanc es technologiques en mati re de construction m canique fabrication des mati res pre mi res et usinage des mati res plastiques et du caoutchouc noter pour ceux qui auront encore suffisamment de curiosit et de courage apr s ce p riple une exposition sp ciale Visions in Polymers quoi ressemblera notre quotidien dans 20 ans Quelle contribution les mati res plastiques peuvent elle
50. Road Cambridge CB4 OGU UK Tel 44 1223 423141 E mail vente datapaq co uk e www datapaq fr Plastilien O ctobre 2010 n 71 e L ger et compact e Optimisation des proc d s de rotomoulage PAQ A Fluke Company SELECT BILLION ty 4 COMGACE est aussi __ conome en energie recise silencieuse Gamme SELECT Presses injecter 100 lectriques Mono et Bi mati res O 50 300 Tonnes BILLI O N www billion fr BILLION SAS France Injection molding machines from 40 to 2650 t Marion DRUET ENVIRONNEMENT Alliz Plasturgie D chets m dicaux post consommation une exp rimentation in dite En mati re de valorisation des d chets on distingue la valorisation post production et la valorisation post consommation La valorisation post production correspond la r cup ration de d chets propres carils ne sont pas souill s par la mise en uvre du produit fabriqu par le consommateur ce sont les d chets et rebuts de production en sortie de site industriel purges rebuts de production La valorisation post consom mation quant elle corres pond la r cup ration des d chets suite leur utilisation par le consommateur Ce sont donc essentiellement des d chets salis ou d grad par leur usage Dans ce cas la valorisation est techniquement plus d licate en fonction de la nature du produit Si certaines fili res de valorisation so
51. Vous tes vraiment comp tent pour faire cela Ainsi que les affirmations n gatives ou les jugements a ne marche pas votre truc Mais c est nul de faire comme a Conclusion Les bons auditeurs ne sont pas des pr dateurs des individus qui prennent du plaisir nuire aux autres Ils montrent un profil atypique dans nos organisations et dans nos soci t s o l on nous apprend malgr un dis cours officiel de fraternit tre les meilleurs les plus forts et cela au d triment des autres Les nouvelles organisations efficientes ne peuvent plus fonctionner sur ces mod les Syst me RotoPaq Profils thermiques pour le rotomoulage qui sont g n rateurs de gaspil lage de temps perdusetde stress Les l ments moteurs seront ceux qui savent communiquer entrainer aider et soutenir Les nouveaux auditeurs travaillent dans cet esprit Les nouvelles pratiques des audits de management QSEDD Publi par les Editions AFNOR 2008 Contact Yvon M OUGIN Cap Entreprise 4 rue J ean Baptiste upille 39600 VILLERS FARLAY yvon mougin cap entre prise com Syst me embarqu pour mesurer la temp rature lors des cycles de chauffe et de refroidissement dans les phases de transformation de la mati re e Pr cision 0 3 C e Dix voies de mesure max e Lecture et analyse en direct par transmission radio e Protection thermique Datapaq Ltd Deanland House 160 Cowley
52. achats des crit res objectifs seront privil gi s taille volume march s viter la concurrence frontale entre les membres la nature du porte feuille d achats et la localisa tion g ographique M ais ce dernier crit re ne sera pas priori discriminant car des solutions pratiques peu vent toujours tre trouv es cela demande des adapta tions mais cela n est pas un handicap dans la n gocia tion souligne ean M arc M ANDUCHER noter aussi qu en ce qui concerne le crit re de la taille le groupement actuel qui tota lise au travers de ses 16 soci t s adh rentes 4 500 sala ri s r partis sur 56 sites de production 42 en France et 14 l tranger comprend pour l essentiel des PME dont l ef fectif varie entre 50 et 500 per sonnes mais n est pas hostile l id e d tudier des solutions sp cifiques sur mesure destin es des TPE Mais ces crit res purement quantitatifs ne sont pas l es groupement d achats sile facteur humain n est pas aussi au rendez vous De fait la personnalit du diri geant sa philosophie ses valeurs est un crit re d termi nant Car un groupement d achat est un co syst me Implantations des membres sentiel car m me la plus id ale combinaison de ceux ci ne suffira pas pour rallier un SEINE amp MARNE 77 JURA 39 AIN 01 y IS RE C 38 HAUTES ALPES 05 AUTE SAVOIE 74 avant tout
53. am tres qualit produit syst me de vision contr le qualit Param tres process complet ZOOM Techno le produit PSP D velopp conjointement par Sise etle PEP le produit PSP est le dernier n des syst mes de contr le de la cellule d in jection avec un seul objectif LT NL E gt s Ce Less de ss d passe pui PURES FRS mu Gaal mamn TE Li EE QU mas FRERE i Gestion des signaux de commande lot de contr le de Finpecton s quentielle Le pam TE oy p d BE Camisi de jinej s s nes Hg Exemple d cran de suivi des param tres du logiciel PSP Am liorer la qualit de la pi ce produite D velopp par des plastur gistes le syst me allie la fois une lectronique robuste faite pour affronter la vie des ate liers et une interface gra phique conviviale orient e vers tous les utilisateurs d ate lier pour leur apporter des informations temps r el et per tinentes La qualit de la pi ce ne peut pas se r duire la perfor mance des r glages machine PSP acquiert en permanence des donn es li es la machine l outillage et aux p riph riques Voici un aper u de ses fonc tionnalit s Analyse multi vari e PSP analyse en temps r el les n 71 Octobre 2010 Plastilien 5 3 variations de l ensemble des donn es les unes par rapport aux autres met en vidence l interd penda
54. ance la Chine n a pas gagn car malgr les bonnes notes qu elle affiche croissance moyenne 9 8 et 11 1 au cours de la p riode en cours la Chine reste toujours la centi me place en termes de PIB par t te d habitant Malgr des succ s conomiques la Chine a donc des progr s historiques r aliser dans les domaines poli tiques social d mocratique et en mati re de droits de l homme et de l Etat de droit Il faudra galement qu elle adapte sa culture pour qu elle respecte les lois internatio nales sur la propri t industrielle Certes depuis son entr e l OMC la Chine ouvre davantage CHRONIQUE son march au monde mais la forte pression internationale qu elle subit en mati re de res sources d nergies et d environ nement fait de la Chine un vaste eldorado qui aspire tous les investissements conomiques dans tous les secteurs Assoiff e de mati res premi res elle va aussiles chercher l o elles se trouvent investissant mas sivement en Afrique M ais pas seu lement Dans son livre Quand la Chine change le monde Erik Izrae lewicz cite cette anecdote Sur prise Cahors dans le ZI sud de la ville une usine chinoise vient de s installer en 2004 Elle y fera tra vailler une soixantaine de per sonnes Le Lot comme le reste de la France a plut t l habitude de voir ses entreprises migrer vers l Empire du Milieu o les salaires sont tellement plus bas
55. ance suivre le chemin de la moindre r sistance c est dire les parties de la pi ce o l paisseur est la plus grande et donc ou la mati re est encore en fusion La pres sion du gaz pendant la solidifi cation vite la formation des retassures provoqu es par le retrait de la mati re plus important dans les parties paisses et notamment au droit des nervures de renfort Les effets obtenus sont Un meilleur aspect de surface une r duction des tensions r siduelles et du gauchisse ment une rigidit plus lev e et un gain de poids Connu depuis quelques d cennies le proc d d injec tion avec aide par insufflation F de gaz est apparu aux Etats Unis au d but des ann es soixante dix dans le monde de la Plasturgie en 1971 date du premier brevet La premi re application a t d velopp e dans le domaine de la chaussure pour femme dans le but d conomiser de la mati re et de gagner en sou plesse au niveau des semelles Ce n est que vers les ann es 80 que l industrie automobile s est int ress e cette tech nique particuli re En 1982 le proc d Cinpress est mis au point par la soci t Peerless et est pr sent Kunstoffe en 1986 C est donc cette poque que l industrie de la Plasturgie Europ enne com mence exploiter cette tech nique d injection assist e par le gaz IAG Cette technique d injection gaz s utilise le plus souvent n 71 Oc
56. ans Pour atteindre ce r sultat le dirigeant d veloppe 64 Plastilien O ctobre 2010 n 71 deux axes strat giques la mai trise de technologies de plus en plus pointues et une prospec tion intensive Actuellement l export repr sente 7 du CA L objectif court terme est une repr sentation de 15 20 L investissement en quipe ment industriel pour augmenter la pr cision et la productivit est de m me 15 20 du CA Technico conomique un nouveau concept Micro injection injection bi ou tri mati res injection silicone mono et bi mati res injection compression surmoulage d in serts autant d expertises pour la conception d outillages r pondant aux exigences des plasturgistes positionn s sur des march s techniques m dical pharmacie cosm tique lectrique connectique b timent automobile Cependant dans la chaine de valeurs assur es par l entre prise qualit r activit res pect des d lais l l ment d terminant reste bien souvent le prix Aussi l quipe projets de DPH International recherche les solutions les plus cono miques pour r pondre aux attentes clients Dans un souci d am lioration du conseil et un renforcement des partenariats avec ses clients le bureau d tude s est quip d un logiciel de rh ologie pour une meilleure prestation d tude et de conception de pi ces ou ensemble de pi ces tr s en amont des projets Avant la r ali
57. artons p CA Fournitures industrielles CA Colorants CA Fournitures de bureau CA Autres achats TOTAL ACHATS NEGOCI S LES GRO UPEMENTS D ACHATS UNE AFFAIRE DE PRIX MAIS SURTOUT UNE AFFAIRE D HOMMES 81 000 K 13 500 K 12 500 K 7 000 K 2 800 K 1800 K 250 K 4 150 K Chiffre d affaires vente des adh rents 450 M en 2010 seurs d anticiper les variations venir car le groupement dis pose par nature de multiples capteurs qui sont autant de sources d information Il met galement disposition de ses membres des outils des statistiques des accords cadres consultables par eux surunintranet s curis pro pose des r unions achats favorise l organisation de r u nions individuelles entre membres et anime des groupes de travail et des commissions 18 Plastilien O ctobre 2010 n 71 Emmanuelle BOIZET Pr si dente de RONAX et PDG de la Soci t ROVIP y voit aussi d autres vertus particuli re ment vis vis des clients qui r agissent tr s positivement au fait que leur fournisseur fasse partie d un groupement d achats cela donne du poids cela les rassure sur notre capacit tre approvisionn s et sur notre comp titivit Et parmi les autres effets induits tous les deux s accor dent penser que le groupe 123 000 K ment favorise aussi une solida rit entre les me
58. ation engage ment exemplarit etc e La satisfaction clients thique coute adaptation etc eLa bonne adaptation au milieu R glementation envi ronnement d veloppement durable technologie etc e L implication du personnel Ambiance motivation sant et s curit satisfaction l optimisation des ressources Information infrastructures investissements fournisseurs etc e L organisation Valeur ajou t e communication interne m thodes am lioration etc e Les r sultats indicateurs et tableaux de bord efficacit efficience etc I convient que les responsa bles directs des domaines audit s soient pr sents En effet un cart observ ne doit pas tre contest I doit tre tay par une preuve tangible Parfois l cart est constat lors d un travail effectu devant les yeux de l auditeur Le responsable direct lorsqu il est pr sent sert de t moin etil n est pas possible ensuite de contester la r alit de ce qu a vu l auditeur En l absence l auditeur risque de voir son constat discut au cours de la r union de cl ture Les actions propos es alors par l audit seront not es pour figurer dans le rapport d audit Ces actions ne sont pas forc ment des solutions car le plus souvent il faudra un d lai de r flexion l audit pour formu ler des actions d am lioration Ce qui est not est une volont un engagement faire quelque chose
59. bles pour donner une r alit tangible cette politique du Fabriqu en France suivant ainsi les recom mandations du rapport d Yves J go sur la mise en place d un label marque France Une mission administrative travaille actuelle ment l laboration des textes l gislatifs et r glementaires sur la transparence et la tra abilit et conduira la r daction d un m morandum exposant la position de la France aupr s de la Commis sion europ enne et de ses ser vices en faveur d une r vision de la l gislation europ enne sur le marquage d origine Christian ESTROSI soulignait enfin que les Fran ais ont le droit de savoir d o proviennent les produits qu ils ach tent Dans une r cente enqu te command e par mon minist re pr s de 95 des Fran ais jugeaient d ailleurs important que les entreprises indiquent si leurs produits ont t ou non fabri qu s en France Reste savoir si ce crit re aura un impact concret lors de l acte d achat la r alit du porte mon naie risquant bien de l emporter sur le civisme affich n 71 Octobre 2010 Plastilien 1 5 DOSSIER Les groupements d achats Une affaire de prix La concentration des clients et des fournisseurs s ac centue et les volutions de leurs strat gies ne sont pas toujours compr hensibles Dans le m me temps les mutations structurelles qui impactent la fili re plastur gie sont toujours en cours poursuite
60. bre 2003 210 190 170 150 130 110 90 g l l l l l l l l l l k D k X L ki S S S D S RN F d O S S O D S yY Ko ON o O S S O o PEBD PEHD injection PEHD S A l exportation les ventes de plasturgie se sont accrues de 11 en valeur sur le pre mier semestre 2010 un an d intervalle A court terme les pr visions d activit sont plus mitig es Toujours une incertitude sur les approvisionnements de mati res plastiques Parall lement l am lioration de l activit les entreprises de la plasturgie ont t confron t es d importantes hausses des prix de leurs principales mati res plastiques avec des augmentations comprises entre 10 et 30 selon les mati res depuis le d but de l ann e A ceci se sont ajout s d impor tants probl mes d approvision nements qui ont g n r pour les entreprises co ts suppl mentaires d sorganisation de la production et difficult s avec leurs clients Les d faillances demeurent un niveau sup rieur celui constat au cours des ann es pr c dentes avec notamment 132 d faillances d entreprises enregistr es sur le 1 semes tre 2010 contre 51 en 2009 sur la m me p riode Evolution de l indice des prix la consommation en juillet source Insee En donn es brutes 0 1 un mois et 1 7 un an Evolution des d faillances d entrepri
61. chines pens es pour votre process e Lignes et machines de production sur mesure Enroulage non stop D roulage non stop e Perforation Soudure de films Coupe au format e Enduction Complexage mn Transfert flexographique Toutes nos solutions vont vous emballer Emballage de bobines ou plaques Palettisation des bobines Syst mes de convoyage Solutions logistiques sur mesure D roulement et enroulement SAS MONDON ZI de Courtanne 2 F 43620 SAINT PAL DE MONS T l 33 0 4 71 75 14 50 Fax 33 0 4 71 66 18 36 PLASTIFAF INFOS Plastifaf infos dans la Plasturgie Les res pour la plasturgie Deux personnes d di es l alternance sont sur le terrain depuis quelques mois pour promouvoir les contrats de professionnalisation aupr s des entreprises plasturgistes En Bourgogne Alsace Lorraine Franche Comt Rh ne Alpes Auvergne PACA et Languedoc Roussillon c est M arie BESSOUD qui travaille sur cette mission Nous l avons interrog e et voici son premier bilan En quelques mots quelle est votre mission Marie Bessoud informe et j accom pagne les entreprises adh rentes sur le contrat de professionnalisation explica tion du dispositif son financement le montage du dossier En effet cette formule a souffert de la crise et Plastifaf a constat depuis 2008 une baisse significative du nombre de dossiers pris en charge ll s agit donc de re sensibilise
62. ci t fasse partie d un groupement d achat et de mettre part face aux clients l aspect indexation des tarifs sur la fluctuation des prix des mati res premi res afin de cesser de toujours s opposer les uns aux autres Le groupement d achats RONAX est ce titre pr cur seur puisque d s 1996 neuf soci t s se regroupaient au sein d un GIE puis fusionnait en 2006 avec LINKPLAST pour repr senter aujourd hui 16 soci t s Le groupe G PACK a galement franchi le pas d s 2002 en cr ant un groupement d achat GM B eten poussant en 2010 la strat gie de regroupement encore plus loin en fusionnant celui ci avec un groupement similaire Alliance Plasturgie bas dans l ouest de la France voir encadr p 19 La synth se de l tude Benchmarking Plasturgie France Allemagne Italie mais Surtout une affaire d hommes pr sent e dans le cadre de cette m me manifestation a d ailleurs mis en exergue un enseignement principal la plasturgie fran aise a beaucoup apprendre de ses voisines Notamment en ce qui concerne la capacit des soci t s de la plasturgie italienne et allemande se regrouper de mani re formelle ou informelle pour nouer des partenariats r pondre en commun des appels d offres mutualiser les achats Force est de reconna tre qu en France il faudra bien un jour surmonter l individua lisme g n tique de trop de chefs d en treprises eten ce qui
63. cinq mois Dans l en semble la f d ration note un palier la fin du premier semestre Cependant en juin la production industrielle a chut de 1 7 et dans une moindre mesure de 1 2 dans la fabrication de produits en caoutchouc et plastique La tendance reste n an moins positive sur l ensemble En Europe le bilan est mitig En Alle magne le deuxi me trimestre 2010 a t ponctu par une croissance du PIB allemand de 2 2 la plus forte depuis la r unification de 1990 Le gouvernement pourrait revoir 3 sa pr vision pour 2010 contre 1 4 pr c demment Mais la croissance ne va pas tre aussi forte pour les deux trimestres venir et au del En comparaison au deuxi me trimes tre le PIB italien a connu une l g re croissance de 0 4 donc inf rieure la croissance de 1 pour l ensemble de la zone euro La bonne surprise allemande ne suffit pas rassurer sur l avenir de l cono mie europ enne Si l Allemagne se porte aujourd hui aussi bien cela a voir avec la PROFESSION vigueur de son industrie qui contribue pour 25 la richesse cr e contre 14 en France En effet la production industrielle allemande a enregistr une progression de 5 4 sur l ensem ble du trimestre La capacit de nos entreprises se projeter b tir une vision claire et investir dans la performance la fois interne industrielle financi re humaine et commerciale est un enjeu pour to
64. core les paisseurs de pi ces mettre en uvre des mati res nouvelles am liorer le proc d progresser en faveur du d veloppement durable Le thermoformage pourrait se montrer plus adapt et moins on reux dans de nombreuses applications s il n tait pas parfois d laiss des industriels au profit de l injection ou du soufflage Contact Journ e propos e par l ASSOCIATION THERMOFORMER et le CFP Organisation Dominique Appert 06 74 14 16 01 d appert cfp france com Gestion Administrative Constance Cottin 04 26 68 28 61 c cottin cfp france com n 71 Octobre 2010 Plastilien 65 ECONOMIE e F d ration de la Plasturgie Plasturgie tendance a MAMPI IA I O ME a O DAV 2 I N i LO vO W OVIIAINEN Evolution de la production mensuelle indice base 100 2005 140 120 100 80 60 40 20 0 Source F d ration de la Plasturgie selon INSEE partir de donn es brutes en volume D lt 0 A AL NUS A N Na S e c X w Xo cu A O O A S O ST AN D Ke ANN N r NORS y S S y NS AN X O RO Vre OX oP lt S Na N KO SSS NA Tubes plaques feuilles et profil s Construction Kk Produits de consommation divers E Emballages Pi ces techniques e Total Plasturgie Un redressement de l activit qui reste confirme
65. d m l s d une politique indus trielle dont ils ne se sentiront plus solidaires FISCALIT Alliz Plasturgie Volet fiscal de la r forme Fe AVE mo e E IA l f AN T N l En LA Y J AN Lt Wa LW A IV IN des retraites Plusieurs mesures fiscales ont t annonc es par le minist re du Travail afin d apporter des recettes suppl mentaires d s 2011 aux r gimes de retraite Aucune information n a pour l instant t fournie sur l entr e en vigueur des mesures propos es qui devraient tre inscrites dans les prochaines lois de finances Du c t des m nages le texte pr voit plusieurs mesures distinctes destin es accroi tre la taxation des hauts revenus Premi re mesure la cr ation d une contribution suppl men taire sur les hauts revenus Cette contribution prendrait la forme d une hausse d un point du taux applicable la derni re tranche du bar me de l imp t sur le revenu 41 au lieu de 40 aujourd hui etne serait pas prise en compte dans le calcul du bouclier fiscal Compte tenu du bar me d im position actuel elle frapperait les contribuables d clarant plus de 69 783 pour une seule part ou 139 566 pour deux parts La deuxi me mesure vise ceux qui d tiennent des stock options Les pr l vements sur les stock options seraient alourdis la contribution du b n ficiaire la lev e de l op tion serait port e 8 au lieu de 2
66. dans la gestion APICIL www apicil com PROT GEZ L AVENIR DE CEUX QUI COMPTENT LE PLUS POUR VOTRE ENTREPRISE Repe one con ues sp cialement pour Alliz Plasturgie Alliz Sant et Alliz Pr voyance de votre protection sociale d entreprise afin d optimiser votre budget Profitez en pour d couvrir les nouvelles solutions d pargne retraite k l HS sil Vos collaborateurs b n licient de solutions Sant el Pr voyance APICIL Bourg en Frosse UT OUI BOUT H Hesse 2 4 MN C est aussi une r ponse des pr occupations tr s actuelles de vos ressources humaines en mati re de sant de pr voyance d pargne et de retraite rue du 4 seplemhEhr Lk Votre conseiller r alise avec vous un diagnostic complet que nous r servons l ensemble de votre personnel i an jen i E F MATI RES OMC RACE NU P le Plasturgie Halte aux id es nr con ues sur les bio composites Les composites renforc s par des fibres naturelles commencent investir diff rents march s tels que l automobile le sport et loisirs l ameublement ou l emballage rigide Les avantages apport s aux produits sont d ordres conomiques techniques ou envi ronnementaux Cependant attention ne pas faire de raccourcis et ainsi v hiculer de fausses bonnes id es sur ces bio composites Ainsi cet article propose un clairage sur des id es pr con ues pro
67. de l injection partielle Donc apr s le top gaz on retrouve 4 phases distinctes TECHNOLOGIE e Le per age de la bulle eLa r partition de la bulle dans la pi ce e Le temps de maintien gaz L chappement jusqu une pression de 1 bar Les principaux param tres de l IAG e La viscosit du polym re e Le top gaz ou retard gaz e La pression du gaz e Le profil de pression de gaz Des temps D injection gaz De r partition du gaz De maintien gaz D chappement du gaz jusqu 1 bar M thodologie de r glage On retrouve beaucoup de simi litudes entre l injection et l in T E m A le materiau du XXI siecle Depuis que le premier d entre eux a t mis au point il y a environ un si cle les plastiques ont r volutionn notre vie quotidienne La communication les voyages les loisirs l habitat l hy gi ne la sant ou bien encore la protection de l environ nement toutes les activit s humaines sont redevables ce mat riau Car les plastiques nous rendent la vie plus confortable et parfois plus agr able et en plus ils sont bien meilleurs pour l environnement qu on ne le croit Chaque jour les chercheurs continuent d largir les fron ti res du savoir des nano technologies la m decine et dans tous les domaines o les plastiques peuvent nous aider Ils travaillent sur des solutions que nous sommes encore incapables d imaginer mais qui feront bient t notre quotidi
68. de pro duction de 30 avec les m mes machines et effectifs soit un gain de 7 M an Au plan de la performance commerciale L accroissement des capacit s de production de 30 iso outil de production a permis 100 90 a04 ri ED 50 09 06 1206 309 4S globale je tif GE de fournir aux commerciaux plus de quantit s vendre pendant que la r duction de notre temps de cycle fournis sait un argument de poids dans la n gociation client et la conqu te de prospects Au plan de la satisfaction client Le directeur commercial tait la cible habituelle des clients I nous informait r guli rement de leur m contentement voire de leur exasp ration quand malgr nos efforts entrepris d s avril rien ne changeait Fin 2008 il a bien s r not une premi re embellie sans crier victoire sans m me indiquer ses clients que nous avions pris les grands moyens Plus 6s g5 01 10 hoy mobile GS 12 sem Evolution de l indicateur de qualit de service hebdomadaire de discours disait il seuls des r sultats peuvent nous sauver La fin de l ann e 2009 lui a apport des r sultats au del de toute esp rance Nous n avions jamais franchi 80 qui plus est de fa on aussi sta bilis e Rassur e confiante l quipe commerciale est repartie de l avant avec des arguments de Valeur Nous avions en effet acquis un avantage concurrentiel de pre mier ordre dans notre m tier les ve
69. diff rentes 1 12 personnes tr s jeunes pour certaines ou d j confirm es sur leur march Leurs activit s sont galement diversifi s chaudronnerie plastique conception et r ali sation de moules d essais Bureau d Etudes rotomoulage etinjection modelage n go ciation et ma trise des flux d approvisionnement Pollueurs et objectifs La visite initiale et les r flexions individuelles mon trent que les pollueurs de temps et donc de cash sont de nature tr s diff rente et Alexey Afanasyev Fotolia com 1 CAP CO Contrat d Appui la Performance Economique et l Evolution des Comp tences sign s par Alliz Plasturgie avec l Etat la R gion P le Emploi et l Acad mie tr s li s l ge la maturit la taille et la nature des projets de l Entreprise Pour les entreprises les plus jeunes les pollutions provien nent du positionnement sur le march pas encore suffisam ment pr cis et la maitrise d un nouveau m tier e Pour les autres la charge administrative du dirigeant le management et l organisation et la transmission Les objectifs portent sur la via bilit de l activit pour les jeunes entreprises et pour tout les dirigeants se d gager du temps pour se consacrer au commercial et au d velop pement ou tout simplement prendre du recul pour se consacrer d autres projets Point mi parcours Qu en est il aujourd hui Pour les jeu
70. e entre eux pour tre efficient ensemble Le R seau Experts d Alliz Plasturgie est votre coute pour vous aider identifier les axes d am liorations sur les quels vous souhaitez agir Il est par nature disponible pour vous rencontrer et poser avec vous vos enjeux de demain Aussi n h sitez pas nous sol liciter par l interm diaire de vos D l gu s R gionaux Contact Daniel Blanc Chor ge daniel blanc Chor ge com e Christian Fabre GO Between c fabre gobetween marke ting com e Thierry Guillaume Bardin P le Conseil Alliz Plasturgie tg bardin allize plasturgie com Un apprenti A L spprentisssae Une formstion Sur mesure Y CIRFAP Une entit Alliz Plasturgie solution 24 25 26 21 ment mi pha re LYON EUREXPO 4 AA mana MA ea NI Yvon MOUGIN gt Les nouvelles pratiques MANAGEMENT e Cap Entreprise de l audit de management Pour des audits int gr s bien veillants efficaces et g n ra teurs d am liorations majeures Le principe des audits internes de management Les principes g n raux Il est parfois plus facile de commencer par d finir ce que n est pas l audit Ce n est pas une v rification de conformit pure et dure Il ne s agit pas d identifier les proc dures existantes dans le domaine auditer et de v ri fier b tement si elles sont b tement appliqu es L audit est
71. e meilleure per formance Le premier ensemble de mat riaux LNP de SABIC Innova tive Plastics tre valid com prend les grades renforc s utilisant des fibres de verre et carbones courtes et longues des technologies de lubrifica tion vari es et huit polym res de bases diff rentes Les donn es pour ces grades comprennent les valeurs d pendant de la temp rature pour le module la r sistance la flexion statique et les valeurs d usures caract ris tiques pendant le fonctionne ment sec Par exemple les compos s Lubricomp LNP et Lubriloy LNP avec lubrification interne peuvent tre utilis s dans des engrenages fonctionnant sec pour des applications ne permettant par l application externe d huile et de graisse Les secteurs de la sant et de la restauration sontles mar ch s cl s pour ces mat riaux du fait des exigences en mati re d hygi ne et de s cu rit D autres avantages li s aux compos s lubrifi s de mani re interne tiennent la r duction des co ts du fait nn P i LIFOCOLOR MASTERBATCHES COMPOUNDS T l 00 33 4 74 77 26 97 Fax 00 33 4 74 77 46 12 www lifocolor fr d un entretien moindre et une meilleure protection environ nementale Enfin les grades renforc s en fibre de verre des compos s de SABIC Inno vative Plastics peuvent am liorer la r sistance l usure et la fatigue et permettre la transmission de couples de serrage plus lev s
72. e mettre en avant le manque de donn es au sujet des r gles de conception des outillages pour l injection des bio composites peu sont dis ponibles pour la conduite de simulations sur ces mat riaux et la pr diction de leur com portement pendant le proc d reste limit e Les bio composites ont beaucoup d applications En fait les bio composites inject s ont beaucoup d appli cations potentielles mais les tonnages transform s sont encore faibles 62 Plastilien O ctobre 2010 n 71 MATI RES 8000 Matrice vierge MH composites 30 fibres de chanvre 7000 6000 5000 4000 3000 Module de traction en MPa 2000 1000 PEHD PEBD PCL PLA PBAT Module de traction de matrice vierges ou charg es 30 en masse de fibres de chanvre Les secteurs pr sentant aujourd hui des applications en bio composites inject s r f 4 sont l automobile composites fibres de chanvre l ameu blement chaises co con ues l lectrom nager capotage le sport et loisirs chaussures et d autres mar ch s de niche Ces mat riaux renforc s fibres naturelles sont aujourd hui dis ponibles et formulables fa on par de nombreux com poundeurs fibres et matrices variables Conclusion D un point de vue technique les bio composites peuvent r pondre des besoins d aug mentation de propri t s de modules de contraintes de
73. ements fondamentaux que sont la presse injecter et l outillage thermor gulateurs dessicca teur injection s quentielle etc Chaque quipement parti cipe au processus de mise en forme et doit faire l objet d un contr le strict pour garantir des conditions de fabrication stables ma itris es Le r le d un syst me de contr le est de collecter l en semble des variables proc d repr sentatives du fonction nement de la cellule de pro duction afin de Contr ler le point fonctionnel du proc d de fabrication e D tecter les anomalies d calage d rives etc Identifier les causes possi bles de d faillances lorsqu une anomalie a t d tect e On rappellera qu un syst me de contr le de proc d n a pas pour vocation de se subs tituer l op rateur de produc tion Le syst me de contr le a TECHNOLOGIE Configuration g n rale d un syst me PSP Sigmu Gublinge Configuration G n rale d un syst me PSP pour fonction principale d ai der l op rateur en lui apportant les informations n cessaires d aide la d cision On notera que la principale dif ficult de la ma trise des proc d s est d identifier les variables cl s du processus de mise forme c est dire celles qui impactent majoritairement la qualit des produits et sur les quelles les efforts de contr le devront tre focalis s Param tres moule Param tres cellule d injection e Par
74. en 5 8 Plastilien O ctobre 2010 n 71 jection gaz En effet il existe une phase dynamique d intro duction et de r partition du gaz et une phase statique de maintien e Cependant en cas de mau vaise r partition de la bulle dans la pi ce des paisseurs r siduelles peuvent tre importantes ces d fauts peu vent alors engendrer dans les pi ces des retassures des d formations et des d fauts d aspect et alors annuler les effets recherch s par cette technique convient donc de d velop per un projet injection gaz dans les services techniques mais d avoir aussi les comp tences indispensables sur le terrain en production et en maintenance des syst mes pour pouvoir optimiser le plus possible le proc d et atteindre le niveau d efficience souhait Contact Pascal Schomblond Formateur au CFP pascal schomblond cfp france com Pas tonnant que les plastiques soient le mat riau du XXIe si cle LLIZ PLASTURGIE Nouvelle nergie Capteur d innovations catalyseur de comp tences l nergie d Alliz Plasturgie c est l acc l rateur de votre d veloppement 39 rue de la Cit 69441 Lyon cedex 03 T l 04 72 68 28 28 Email contact allize plasturgie com Li L www plasticway com www allize plasturgie org APICILENTREPRISES sante Pr voyance Epargne Retraites Le choix de la protection sociale de vos salari s est un l ment important
75. en 2010 des plus values de cession de valeurs mobili res et de droits sociaux serait supprim les plus values tant d sormais tax es l imp t sur le revenu d s le premier euro de ces sion comme c est d j le cas pour les pr l vements sociaux Ces diff rentes hausses seraient exclues du m ca nisme du bouclier fiscal Enfin le cr dit d imp t dont b n ficient les dividendes impo s s au bar me progressif de l imp t sur le revenu serait pure ment et simplement supprim Egal 50 du montant des revenus per us ce cr dit d imp t est plafonn annuelle ment 115 pour les contri buables c libataires divorc s ou veufs et 230 pour les cou ples soumis une imposition commune FISCALIT Alliz Plasturgie innovation Cr ation du fonds d investissement France Brevets et nouvel all gement propos sur la fiscalit des brevets L Etat vient de cr er un nou veau fonds d investissement public sp cialis dans la pro pri t industrielle France Bre vets I est dot d une centaine de millions d euros financ parts gales par la Caisse des d p ts et le grand emprunt Il a pour vocation de consti tuer de larges portefeuilles de propri t intellectuelle en acqu rant des droits de licence d tenus par les uni versit s et les instituts de recherche L conomie de la propri t intellectuelle est en train de se transformer La plupart des
76. en compte parles architectes des besoins rela tifs aux locaux d chets des unit s de soins ou aux locaux principaux des b timents e De m me la prise en compte des besoins concernantles chariots de soins pour ajouter ventuellement des flux de d chets pourrait tre tudi e par des fabricants e Le choix des dispositifs m di caux trier est troitement li aux technologies existantes au niveau des prestataires d chets et de leur capacit d adaptation pour tre en mesure d accepter ce nouveau gisement dans de bonnes conditions Les produits actuels choisis en vu du tri s lectif pr sentent bien entendu des caract ris tiques techniques sp cifiques fonctionnelles et de compati bilit contenant contenu per mettant l essentiel le soin du patient A cette dimension de base il faut ajouter une dimension environnementale de compati bilit cologique ou co com patibilit qui permettrait de valoriser ces produits En effet l extrac tion de ce gise ment valorisa ble sera facilit par une d marche globale de r flexion d co conception et d organisation tous les niveaux depuis les donneurs d ordre jusqu l li minateur final en passant par les utilisateurs et l ensemble des acteurs Notre volont est donc que les le ons de ce projet puissent tre prises en compte tous les niveaux de d cision afin de promouvoir et de g n raliser la m thode
77. ent la r alit de leur faute pour pouvoir agir avant de l gif rer il faut commencer par faire appliquer la loi telle qu elle existe aujourd hui m me si un certain nombre d articles demandent l vi dence tre modifi s compl t s ou pr cis s Ensuite le rapporteur propose une nouvelle loi cadre sur le mod le de la loi italienne du 18 juin 1998 sur la sous traitance qui d finisse les relations interentreprises industrielle et fixe les grandes orientations pour lutter contre les mau vaises pratiques dans ce 22 Plastilien O ctobre 2010 n 71 DROIT DES AFFAIRES domaine une loi qui fixe les grandes orientations comme l obligation d tablir un contrat crit une pr somption d ac ceptation des sous traitants connus du donneur d ordres le respect des droits de propri t intellectuelle ou encore l inter diction de clauses r pertori es comme abusives etc Ce nouveau dispositif permet trait selon J ean Claude Volot de rendre le droit applicable aux relations interentreprises industrielles plus visible et plus lisible et surtout d viter de r pondre au cas par cas de simples pr occupations secto rielles un jour le b timent le lendemain les transports rou tiers le secteur du luxe ou encore la grande distribution etc En pratique cette recomman dation n cessiterait la d si gnation ou la mise en place de structures de r gulations qui
78. ent C2P et Plastifaf ont rencontr le 14 septembre les repr sentants des branches du Forthac tex tile habillement cuir pour leur pr senter les conclusions des travaux men s pour la cr ation d un OPCA commun dans la perspective d un rap prochement possible Les branches du Forthac doi vent tudier cette proposition et d cider leur position d ici le mois de novembre 2010 LA PLASTURGIE F D RATION Evolution de la politique formation de la branche et modification La F d ration de la Plasturgie va engager des n gociations paritaires pour laborer un avenant l accord du 24 novembre 2004 relatif la formation professionnelle tout au long de la vie dans les entreprises de la plasturgie La loi relative l orientation et la formation profession nelle adopt e le 14 octobre 2009 a transform un certain nombre de dispositifs de formation ce qui implique des modifications importantes dans l accord de branche notam ment sur les contrats de professionnalisation les certificats de qualifications professionnelles ou le droit individuel la formation La F d ration de la Plasturgie a d j men des actions avec les organisations syndicales de salari s depuis un an pour permettre une adaptation de plusieurs dispositifs g r s par Plastifaf pour faciliter la gestion de ces actions Mais l adaptation de certains dispositifs n cessite une n go ciation paritaire pour un avenant l acco
79. eprises qui n auront pas fait un diagnostic en mati re d galit profes sionnelle et salariale entre les hommes et les femmes Les entreprises disposant d un comit d entreprise sont tenues de lui transmettre chaque ann e des informa tions sur la situation compar e des femmes et des hommes dans l entreprise Cette information se fait dans le cadre du rapport de situa tion compar e C trav art L 2323 57 pour les entreprises d au moins 300 salari s et pour les entreprises de 50 moins de 300 salari s dans le cadre du rapport sur la situa tion conomique de l entre prise C trav art L 2323 47 Le gouvernement envisage de p naliser les entreprises d au moins 300 salari s qui n auront pas proc d ce diagnostic cette sanction prenant la forme d un pr l vement de 1 de la masse salariale brute d s le 1 janvier 2012 Ces m mes entreprises auraient jusqu au 31 d cembre 2011 au plus tard pour organi ser apr s consultation du CE la publicit des indicateurs et des objectifs de progression qui leur ont permis d analyser la situation compar e des femmes et des hommes etson volution n 71 Octobre 2010 Plastilien 43 d faut elles devraient com muniquer ces l ments toute personne qui en fait la demande Am lioration de l information des assur s Chaque assur a droit une information individuelle de sa future retraite Cette information ind
80. ermoformage un secteur diversifi De la paroi fine la forte paisseur de la petite pi ce celle avoisinant 2 m tres carr du prototype la tr s grande s rie le thermoformage permet la mise en uvre de polym res souples rigides charg s ou non de mat riaux mono multicouche ou en combinaison avec du textile ou des TPU Les techniques utilis es sont larges et les pi ces obtenues pr sentent des aspects vari s Les produits thermoform s r pondent aux march s de l emballage alimen taire de l emballage des biens de consommation et des biens industriels le packaging des produits m dicaux et pharmaceutiques les coques de pro tection les pi ces techniques carrosseries de v hicules dalles pour le b ti ment et bien d autres Des atouts et des progr s Compar d autres techniques de moulage le thermoformage est dot d atouts ind niables comme la rapidit dans le lancement d une produc tion la simplicit de conception et de r alisation des outillages et donc des outillages moins co teux On constate de plus des progr s pour des pi ces plus performantes plus pr cises un proc d plus rapide plus conome en mati re des outillages optimis s Depuis longtemps le thermoformage est une tech nologie respectueuse de l environnement avec une consommation r duite en nergie et un recyclage int gr dans les process Les tendances actuelles se situent dans la capacit r duire en
81. es Pour la finance les d marches conseill es ont t entre autres la mise en place d un pr visionnel de tr sorerie l actualisation du taux horaire ou la mobilisation des aides aux financements type OSEO De mani re non exhaustive les autres pr conisations sug g r es aux entreprises por R partition des pr conisations y ressources humaines finance production _ commercial strat gie S taient sur les points suivants la formalisation d un busi ness plan le d veloppement de la part exportation la conduite des entretiens professionnels la mise en place d une d marche GPEC l analyse des indicateurs de production optimisation de la gestion des stocks Les perspectives En France l volution du PIB a enregistr une progression de 0 2 au premier trimestre 2010 puis de 0 6 au deuxi me Cette croissance est en partie li e un ph nom ne de res tockage des entreprises Le troisi me trimestre devrait voir la croissance ralentir puis croitre un rythme mod r jusque mi 2011 Au global le gouvernement pr voit une progression de 1 4 cette ann e apr s une r cession historique de 2 9 en 2009 Le ministre de l Economie Christine Lagarde maintient la pr vision d une croissance du PIB de 2 5 en 2011 Les co nomistes plus r alistes pr voient une croissance autour de 1 5 Am lioration qui ne permettra pas de retrouver le
82. es ann es comme en perp tuel changement il est facile d ima giner qu en p riode de crise les facteurs de pression concurren tielle soient exacerb s Ce n est pas tant que le chan gement soit permanent mais que son rythme s acc l re qui plus est dans un environne ment toujours plus complexe Dans ce contexte la maitrise de mani re distincte et isol e de chaque poste de l entre prise production achats d veloppement commercial R amp D logistique facturation etc ne suffit plus Elle ne r pond ni la com plexit ni au niveau d exi gence attendu par les clients 2 8 Plastilien O ctobre 2010 n 71 L entreprise estun syst me son efficience passe par une prise en compte pleine et enti re de l interaction de tous les services entre eux La flui dit des relations internes va d terminer sa capacit s adapter son environne ment pour assurer son d ve loppement Sommes nous conscients par fois du manque de coh rence de l ensemble Les objectifs donn s au ser vice de production sontils par exemple compatibles avec ceux du service commercial Le processus client mobilise la plupart des services de l en treprise C est donc autour de lui que doivent se construire les liens Son pine dorsale constitu e du Commercial BE Produc tion sur lequel pourront venir se greffer d autres services cr e les conditions de la r ussite en tenant compte d s la gen
83. es orga nismes porteurs du dispositif ont d cid de prolonger ce dis positif dans l objectif premier d accompagner la reprise Ainsi ce dispositif permet aux entreprises de b n ficier d un diagnostic gratuit de 2 3 jours L enjeu est de d tecter les points d alerte afin de pro poser des actions d am liora tion mettre en uvre A ce jour 61 entreprises de la Profession ont t ou sont encore accompagn es Dans le cadre de cette restitution nous avons analys 49 diagnostics afin de mettre en exergue les principales probl matiques rencontr es par les entreprises et de vous les faire partager Les principales probl matiques strat gie commercial finance AH Comme nous pouvons l imagi ner dans le contexte cono mique au cours duquel nous avons r alis les diagnostics Evolution du CA sur le dernier exercice M en d croissance stable M en croissance de 0 5 M en forte croissance gt 5 la probl matique principale estune forte baisse d activit En effet 49 des entreprises de la profession rencontr es ontconnu une d croissance de leur chiffre d affaires Nous avons pu enregistrer des baisses pouvant aller jusqu 80 Au regard des diff rents l ments collect s nous souli gnons une forte corr lation entre l intensit de la baisse du CA le secteur march la diversification march etle niveau d organisation g n rale de l entre
84. est pas concevoir en France des pro duits qu on fera r aliser ailleurs Ce n est pas assembler en France des composants import s de pays trangers bas co ts Ce n est pas non plus apposer sur un produit fabriqu l tranger le nom d une grande entreprise fran aise bien connue des consommateurs Fabriquer en France c est r unir tout le savoir faire et toute la diver sit du tissu industriel fran ais dans la chaine de valeur des produits qui portent cette appellation De m me fabriquer en France ce n est pas se mettre en repli des volutions du monde mais bien au contraire chercher tirer le meil leur parti des volutions de la mon dialisation Ce n est pas de protec tionnisme qu il s agit mais d une volont de placer notre industrie au c ur d un mod le de crois sance conomique Ainsi parmi les propositions issues des Etats g n raux de l In dustrie on soulignera le dispositif d aide la r industrialisation qui permet de cofinancer jusqu 60 de l investissement des PME et des ETI lorsqu elles d cident de r investir en France et y cr er des emplois Gr ce aux 200 mil lions d euros qui lui ont t consa cr s ce dispositif devrait permet tre de soutenir une quarantaine de projets de r industrialisation avec la cr ation de 2 000 emplois d ici trois ans Parall lementil convient de se doter des outils l gislatifs et r gle mentaires qui sont indispensa
85. et compter d une date fix e par d cret et au plus tard le 1 janvier 2012 Calcul des all gements g n raux de charges sociales partir de la r mun ration globale annuelle Actuellement le calcul des all gements g n raux de charges patronales est appli qu mois par mois Le projet de loi pr voit de l ap pliquer aux salaires et primes vers s par l employeur sur toute l ann e En pratique pour un m me niveau de salaire annuel les employeurs qui chappent la d gressivit des all gements parce qu ils versent des primes lev es sur un ou deux mois de l ann e acquitteraient les m mes coti sations patronales que celles qui r mun rent leurs salari s sur 12 mois Cette mesure devrait concerner la r duction g n rale des coti sations patronales mais gale ment les r ductions de cotisa tions patronales applicables dans les zones de redynamisa tion urbaine ZRU les zones de revitalisation rurale ZRR les zones franches urbaines ZFU et dans les bassins d emploi redynamiser BER Cette mesure devrait tre pr sent e par le gouvernement dans le projet de financement de la s curit sociale pour 2011 Le montant de l all gement serait calcul chaque mois en partant du douzi me de la r mun ration annuelle Une r gularisation en fin d ann e serait alors souventn cessaire Cette mesure ne remet pas en cause a suppression de la r duc tion de cotisations
86. europ ens Ainsi les brevets exploit s par des filiales fran aises pourraient tre tax s 15 au lieu de 33 Ce taux r duit tait d j applicable aux revenus tir s par les entreprises qui c dent leurs brevets l une de leurs filiales trang res Mais ce r gime fiscal pro voque des effets pervers puisqu il incite les entreprises localiser leurs activit s de production hors de France Le gouvernement a donc d cid d harmoniser la fisca lit des redevances sur les brevets quel que soit leur lieu d exploitation au taux unique de 15 La mesure figurera semble t il dans la loi de finances pour 2011 Afin de pr venir les tentatives d opti misation un dispositif anti abus sera maintenu le r gime de 15 ne sera accord que si le brevet conc d est r elle ment exploit noter que le patronat qui aurait souhait que ce taux r duit soit tendu aux entre prises qui exploitent elles m mes leurs brevets n a pas t suivi En attendant la loi de finances pour 2011 n 71 Octobre 2010 Plastilien 2 5 POINT DE VUE LR CAO LUN liz Plasturgie e lt trou noir des lois de police pour les sous traitants Rien de plus difficile en droit international priv que de cerner une loi de police Ainsi dans l hypoth se d un contrat transport routier inter national de marchandises l article L 132 8 du code de commerce quiconf re une action directe
87. fficul t s rencontr es aujourd hui la production d objets manufac turiers est v ritablement mise mal depuis une vingtaine d ann e avec l mergence des 52 Plastilien O ctobre 2010 n 71 Boitier PSP d acquisition et de traitement des signaux pays manufacturiers low cost L entreprise doit exceller dans l art de produire vite et bien et moindre co t Pour cela l entreprise doit disposer d un outil de production pr cis et flexible pour tendre vers une ma trise totale de la qualit Les proc d s de fabrication se sont consid rablement complexifi s ces derni res ann es Les produits plastiques int grent couramment un nombre important de fonctions et doi vent r pondre des tol rances qui sont de plus en plus la limite des aptitudes intrin s ques des proc d s de mise en forme de polym res Cette mutation pousse les indus triels de la plasturgie largir leur champ de comp tences M aitriser globalement la com plexit d un processus de fabrication n est pas un exer cice simple dans la mesure o il faut faire face un nombre de param tres tr s important Comprendre les raisons du bon et ou du mauvais fonc tionnement d un proc d n cessite un travail d analyse approfondi des processus physiques de fabrication Les param tres contr ler Une cellule d injection est classiquement compos e de multiples quipements centr s autour de deux quip
88. gani sation et les pratiques r elles de travail r pondent au plus juste n cessaire toutes les contraintes ext rieures m ta mod les et de ce fait toutes les contraintes internes mod les Les audits internes sont des activit s majeures qui permet tent en permanence d tre en phase avec l environnement socio conomique et de remet tre en question la strat gie le management l organisation et les pratiques de travail Ils s or ganisentet se structurenten cinq phases bien d finies l avant audit programmation et pr paration Il convient de proc der une programmation des audits internes Un audit n est pas une op ration que l on effectue lorsqu on a le temps A la base c est une pratique r currente des fr quences r guli res il convient donc de proc der une planification des audits de la p riode venir La programmation doit tre effectu e sur la base de la connaissance des risques montr s parles domaines auditer et modifi e selon des v nements qui sont de nature changer cette perception des risques Pendant l audit L auditeur est un poseur de questions etil doit s entretenir avec un chantillonnage repr sentatif des m tiers exerc s dans le domaine qu il doit audi ter Selon l activit de ses inter locuteurs il posera des ques tions sur la comp tence et sur un certain nombre de sujets tels que Le pilotage et strat gie Vision planific
89. i En revanche s il parvient ins taurer une relation de confiance qu il prendra soin de ne pas d truire par la suite la mission sera plus facile Les audit s connaissent d j la moiti des probl mes qu ils vivent au quotidien L autre moiti celle qu ils ne voient pas ou ne voient plus parce qu ils ont le nez dans le guidon c est l auditeur qui leur fera d couvrir gr ce ses ques tions pertinentes H las la confiance ne s ins talle pas facilement Elle se construit et se travaille chaque instant travers les discours bien entendu cela tout le monde sait faire mais aussi et surtout travers les comportements En mati re de communication c est l exem ple que nous donnons qui parle le plus L int r t que nous por tons aux choses est propor tionnel au temps que nous y accordons En ce qui concerne la confiance il convient d instal ler d abord le d cor par le dis cours habituel Nous ne sommes pas l pour juger mais pour comprendre votre activit qui nous int resse en esp rant que notre regard de candide nous per mettra ensemble de recher cher les moyens de vous facili ter le travail Etc Ensuite il faut passer l acte en faisant attention aux ques tionnements aux attitudes aux r flexions aux rapports aux comptes rendus etc 3 Par exemple lorsque un audi teur affirme tre l pour aider l audit ce qui est vrai et que dans le rappor
90. icit Cediplast Communication Impression Ferr ol Routage Routage Rh ne Alpes Diffusion de ce num ro 1300 exemplaires Tous droits r serv s La reproduction partielle ou totale des articles illustrations sch mas photos est soumise autorisation crite pr alable de l diteur Cr dits photographiques couverture Yuri Arcurs fotolia com R pertoire des Annonceurs ACDI p 72 Akeoplus p 63 Albis p 4 Albro p 47 Alma p 71 AMP p 20 Apicil p 59 Arburg 2 couv Bewe Plast p 8 Billion p 37 Datapaq p 36 Farpi p 44 Idice p 32 Lifocolor p 51 Lypsis p 23 M artiplast p 27 p 68 M ondon p 45 Piovan France 3 couv Plastdecor p 13 Reed expo p 68 Resin Express France p 3 Setaram p 54 Sofras Conseil p 14 Sumitomo Demag p 11 Uniloy Milacron 4 couv Wittmann p 48 2 Plastilien O ctobre 2010 n 71 RESIN EX Z A des Lavours Martignat 01117 Oyonnax Cedex France T l 33 474 81 46 46 Fax 33 474 81 46 47 France Vous recherchez une solution conomique RESINEX est galement producteur de compounds 1 choix et industriels Ravalene PE Scolefin Mafill PP Sicostrirolo PS Sicoran SAN E Sicoflex ABS Dow Plastics RESINEX France votre partenaire pour vous accom projets pagner dans le d veloppement de vos aupr s des plus grands donneurs d ordres
91. is l efficacit et leur ai fix un seul et unique objectif Passer notre Qualit de Service de 50 85 sous 3 mois puis 95 les mois sui vants Les r sultats En tant que directeur de site je suis naturellement tr s satis fait de la collaboration avec le prestataire Elle a permis l ensemble de mes managers d acqu rir de nouvelles com p tences techniques et com portementales Ils sont pass s du je subis j agis et j anti cipe Devenus autonomes et passionn s ils sont leur tour devenus obnubil s par la per formance et ne parlent plus de retard Au plan conomique Du point de vue conomique les r sultats sont exceptionnels L action a d marr une telle vitesse et avec une telle effica cit que 2008 s est termin avec 13 mois de facturation Au plan de la performance industrielle L effet sur notre Qualit de Service QS ne s est pas fait attendre peine 2 mois apr s le d marrage de notre collabo ration notre QS touchait d j les 85 Une telle vitesse de STRAT GIE progr s nous tous surpris M me les fluctuations consta t es fin 2008 d but 2009 se sont att nu es pour finalement ne repr senter que 3 quand la performance s est stabilis e 95 en moins de 9 mois voir graphique joint Nous avons r duit notre temps de cycle de 12 8semaines et conomis 1 5 M de cash il tait le bienvenu tout en aug mentant notre capacit
92. it au d part taux plein avant 62 ans pour les assur s dont l tat de sant est d grad la suite d expositions des facteurs de risques profes sionnels d termin s par d cret et li s des contraintes physiques mar qu es un environnement physique agressif ou cer tains rythmes de travail Il serait accord de mani re individuelle et le salari devrait justifier d un taux d in capacit ayant donn lieu l attribution d une rente pour maladie professionnelle ou pour accident du travail pro voquant des troubles de m me nature au moment du d part la retraite Le taux d incapa cit permanente serait calcul comme actuellement Ce dispositif serait applicable aux pensions prenant effet compter du 1 juillet 2011 Financement patronal Le financement de ce disposi tif serait assur par la branche accidents du travail et mala dies professionnelles donc exclusivement par des cotisa tions patronales Quelle forme prendra ce finan cement Une augmentation g n rale des cotisations J ohanna Goodyear Fotolia com ATM P quel que soit le mode de tarification applicable l entreprise Une modification des param tres de calcul de la tarification mixte et r elle La contribution due par la branche AT M P serait pris en compte dans les l ments de calcul du taux net de la cotisa tion accidents du travail Ces l ments de calcul pourraient tre
93. ividuelle porte sur les droits retraite acquis dans le r gime g n ral des salari s dans les r gimes compl mentaires de l Agirc et de l Arrco dans le r gime g n ral des salari s agricoles dans les r gimes des travail leurs ind pendants RSI CNAVPL CNBF r gimes des non salari s agricoles dans les trois fonctions publiques l Ircantec etla CRNPAV dans les r gimes sp ciaux Elle prend la forme de deux documents envoy s chaque assur un ge donn une estimation indicative globale et un relev de situation indivi duelle Le gouvernement souhaite encore renforcer ce droit d s le 1 juillet 2011 en mettant en uvre trois mesures tous les assur s validant pour la premi re fois un ou plusieurs trimestres aupr s des r gimes de retraite l gale ment obligatoires recevraient un document d information sur le syst me des retraites d tail des r gles d acquisition des droits retraite etimpact des v nements affectant le d roulement de la carri re tel que le ch mage la maladie le temps partiel etc un ge d termin vraisem blablement 45 ans les assur s pourraient sur demande b n ficier d un entretien por tant sur les droits retraite qu ils ont acquis sur les dis positifs d incitation et de pro longation d activit ainsi que sur les dispositifs leur permet tant d am liorer le montant futur de leur retraite les assur s pourraien
94. l attitude est respec tueuse II vite de montrer des signes d impatience de rica ner b tement de sourire ironi quement de hausser les paules m me lorsque l audit fait part d l ments qui sem n 71 Octobre 2010 Plastilien 35 blent peu importants ou stu pides ou faux Les questionnements I convient d adopter une rela tion d apprentissage envers l audit Un auditeur n auditant jamais un domaine dans lequel il travaille il connait moins bien le poste de travail etson environnement que l audit Il faut privil gier cette relation de non sachant l auditeur sachant l audit pour poser des questions d apprenti Ces questions commencent toujours par des termes tels que Comment En quoi Combien Quand O Qui Etc CONTACTEZ NOUS Devant de telles questions l audit aura c ur de r pon dre sans d tour puisque l audi teur est l pour d couvrir et apprendre ce qu il fait En prin cipe les gens aiment leur tra vail et aiment en parler II devra viter les questions qui commencent par Pourquoi Ce sont des questions d inqui siteur qui appellent toujours des r ponses de justification L audit alors r pondra en essayant de fournir une expli cation plausible sur la perti nence de sa pratique I faut viter galement toutes les questions ferm es ettendan cieuses du genre Vous avez trafiqu les chif fres ou quoi
95. leaders 1 Lire Sous traitance l indispensable r forme Thierry Charles Les Echos 1er09 2010 p 15 Lire galement revue de presse M idest septembre 2010 http lb7 reedexpofr Data kmreed_industrie block F 467e4aeb41f7a187a3329e codf2085ba4c80a744ce5 dc pdf 2 Voir http www ladocumentationfrancaisefr rapports publics 104000462 venir 3 Il ainsi proc d une large consultation des organismes professionnels int ress s et notamment l auteur de cette chronique en tant que repr sentant de la F d ration de la Plasturgie Il a pu constater que les parties en pr sence taient loin d avoir un avis uniforme sur la question ce qui augure d j des d bats 4 Voir http wwwlemoniteurfr 161 marches prives article actualite 76 7286 remise du rapport volot sur la sous traitance la loi de 1975 serait preservee d examiner les pratiques de la sous traitance au regard des r gles du droit et d tudier l op portunit d engager une modifi cation de la l gislation qui lui est applicable En synth se le m diateur recommande dans ses conclu sions de ne pas r former la loi de 1975 qui donne toute satisfaction au secteur du BTP pour lequel elle a t con ue l origine et qui ne concerne les autres secteurs d activit qu la marge ce dont s est imm diatement f licit e la f d ration du BTP attach e la loi du 31 d cembre 1975 Dans un article du M oniteur
96. mbres les liens r guliers entretenus entre eux autorisent des collaborations informelles des changes de bonnes pratiques des d pan nages Au sein du groupe ment les gens construisent fina lement une aventure commune aventure qui finit par rayonner sur d autres th matiques qui ne font pas partie de la vocation de RONAX constate ean M arc M ANDUCHER Dans la pratique RONAX estle seul n gociateur de l ensemble des conditions d achats et le garant des engagements pris par les fournisseurs lors de la n gociation Les membres g rent les com mandes les approvisionne ments et les conditions de r gle ment aupr s des fournisseurs qui les facturent directement En ce qui concerne le fonction nement du groupement qui emploie 9 salari s son budget d exploitation est financ par les cotisations des adh rents Les remises de fin d ann e issues des fournisseurs n go ci es et collect es par RONAX sont revers es 100 aux adh rents L ensemble du processus est encadr par des statuts un r glement int rieur une charte de principes fondamentaux et des accords de confidentialit Budget des principales familles de mati res 2010 PE PA 21600T 04007 6600T 28007 SAN PVC POM ABS PC PS 1800T 13007 890T 2000T SMMA TPE PCTA AUTRES Un groupement d achat est avant tout une aventure humaine Certes l origine de la consti tution d un groupement d
97. ment b tir dans notre pays des fili res des cosyst mes qui permettront les vrais gains de productivit Les grands groupes doivent se sentir une responsabilit dans l animation des fili res indus trielles dont ils sont les leaders J ean Claude Volot M diateur des relations inter entreprises et de la sous traitance M diateur de la sous trai tance des sanctions et une loi cadre titrait d s le 31 ao t l Usine nouvelle Les Echos prenaitle relais d s le lendemain dans un article sous forme de point de vue Sous traitance l indispensa ble r forme o l auteur de cette chronique pr cisait il faut veiller la mise en place d un nouveau cadre l gislatif permettant un r quilibrage v ritable des relations entre donneurs d ordre et sous trai tants Le m diateur de la sous trai tance Jean Claude Volot remettait en effet le 30 ao t 2010 son rapport sur le dis positif juridique concernant les relations interentreprises et la sous traitance cette livr e de servitude Par lettre du 22 juin dernier il lui avait t demand par le M inis tre charg de l Industrie Chris tian Estrosi et le Secr taire d Etat charg du commerce de l artisanat des PME du tou risme des services et de la Consommation Herv Novelli Les grands groupes doivent se sentir une responsa bilit dans l animation des fili res industrielles dont ils sont les
98. n contr es D une part les difficult s de recrutement sont un frein au d veloppement des entre prises 73 des interrog es ont du mal recruter les com p tences n cessaires leur croissance PROFESSION les 3 derni res ann es etce malgr la crise La notion de Capital Humain n est pas encore int gr e comme un levier de d veloppement futur de l entreprise Les pr conisations Pour accompagner les probl matiques d tect es des plans d actions ont t construits afin d aider les entreprises les surmonter En cons quence des l ments expos s dans notre introduc tion nous retrouvons 3 familles de pr conisations le commer cial 29 et la finance 25 et la strat gie 18 Par exemple dans le domaine commercial la formalisation d un plan d actions commer ciales la cr ation de supports de communication ou l largis Niveau de difficult li au recrutement 2 D autre part la structuration de la gestion des ressources humaines et l anticipation des comp tences n cessaires la r ussite des projets de l entre prise 65 des entreprises n ont pas mis en place de d marche de GPEC Par ailleurs l analyse montre que les entreprises investis sant dans la formation ont connu une meilleure volution de leur chiffre d affaires sur M tr s faible faible M lev m tr s lev sement de la zone de prospec tion ont t des actions recom mand
99. nce des para m tres et anticipe sur les d rives process et leurs causes probables e Surveillance mono vari e de chaque param tre avec seuils de surveillance et g n ration d alarmes e Commutation par la pression empreinte pour une meilleure stabilit du process et s af franchir des fluctuations de lots mati re Commande d injection s quentielle par la pression empreinte en option e Archivage des donn es pour analyse comparative des ordres de fabrication CARACTERISATION DES MATIERES PLASTIQUES Fusion TECHNOLOGIE e Tra abilit pi ce par pi ce ou par carton par dition code barres en option e Les r sultats visualis s sous forme graphique b n ficient de toute l exp rience de SISE dans la mise en forme de don n es complexes Les activit s du PEP dans le domaine Le PEP m ne des activit s de R amp D et d expertise sur ces sujets depuis plus de 10 ans Les programmes de recherche PSP Scopp et maintenant M old4prodE ont permis au PEP d acqu rir une expertise unique sur le sujet Le PEP a co con u le produit PSP commercialis par Sise Les experts injection du PEP peuvent accompagner les entreprises d sirant mener une d marche de ma trise de leur process par l instrumenta tion Contact P le Europ en de Plasturgie info poleplasturgie com www poleplasturgie com P le Europ en IHN Plasturgie Contact Directeur G n ral Pascal Viel
100. nces des collaborateurs Cela suppose l efficience et l innovation permanente dans la relation habitu s d abord prioriser les retards l action des consultants a chamboul nos pratiques visualisation de nos charges capacit s sur diff rents hori zons matrice de poly comp tence nombreux jeux formations et mises en situation pour nous apprendre synchroniser tout instant M ati re M achine et M ain d uvre tout comme manager efficacement les flux une fois la preuve faite En conclusion Cet exemple montre combien la notion de performance 30 Plastilien O ctobre 2010 n 71 industrielle n a de sens que si elles impliquent les acteurs du processus clients minima le service commercial le BE la production les achats pour assurer une parfaite articula tion des d cisions qui seront prises En faisant coop rer les acteurs entre eux en parta geant la m me pr occupation du taux de service et de la satisfaction client le para digme change et l on d cou vre qu une meilleure compr hension des attentes des uns et des autres assure le d ve loppement homog ne du chif fre d affaires avec une vraie performance interne au ser vice de l externe En ce sens r duire ses co ts pour tre au prix du march ne peut s envisager que dans un sch ma de satisfaction et de performance plus globale L enjeu de l entreprise est bien de faire que chaque proces sus communiqu
101. nes entreprises Les projets sont devenus lisi bles Des jeux de r le en s ances collectives en ont valid contenus et argumenta tions L approche commerciale est de ce fait plus efficace et les rendez vous mieux cibl s plus faciles prendre La prospection avance des jalons solides sont pos s et des perspectives tangibles se profilent court terme Pour les autres Entreprises et terme pourquoi pas toutes Les causes de surcharges administratives sont identi fi es et des solutions sont en cours de test Ex Multiplication des devis gt Automatisation partielle du chiffrage Les probl mes de manage ment et d organisation sont caract ris s gt Manque de cadre de management l aussi e ACHAT e VENTE DE MAT RIEL D OCCASION POUR LA TRANSFORMATION DES MATI RES PLASTIQUES e IMPORT EXPORT selon les Entreprises des solu tions sont l essai Gain de temps via une am lioration du rangement et de la propret Gain de temps via une planifi cation n goci e Gain de temps via une exten sion de la polyvalence Gain du temps via une mobili sation des troupes Objectifs n goci s Projets MT partag s R gles du jeu fix es Une aventure humaine Gagner du temps gagner du cash est pour tous les partici pants une aventure humaine Les exp riences se transmet tent les anciennes comme les nouvelles Des flux de CA
102. ns appr t conducteur sur la ligne de pro duction en obtenant une fini tion de peinture quivalente l acier Pour optimiser la pein ture en ligne de production des ailes en plastique en m me temps que la carrosse rie en acier la conception a fait l objet d un soin minutieux SABIC Innovative Plastics a aid Mitsubishi en partageant son expertise en mati re de simulation assist e par ordi nateur des performances et du moulage des pi ces Selon l entreprise de strat gie environnementale GreenOrder qui a audit la r sine Noryl GTX sice mat riau quipait les ailes de toutes les voitures roulant aujourd hui en Europe il permettrait d conomiser 530 millions de litres de carbu rant et viterait 1 3 millions de tonnes d missions de dioxyde de carbone En attendant depuis 1988 plus de 20 millions de v hicules ont d j t fabriqu s avec des ailes en r sine Noryl GTX en Europe aux tats Unis au J apon en Am rique du Sud et en Chine n 71 Octobre 2010 Plastilien 49 INNOVATIONS La conception des engrenages en plastique en toute s curit L association d un diteur de logiciels de calcul et d un fournisseur de solutions de plastiques techniques permet aux entreprises de rationaliser la conception des engre nages en plastique en utilisant des donn es valid es selon des param tres tels que la r sistance la r sistance la temp rature et l usure des flancs des dents Pr
103. nt maintenant rod es bouteille plastique verre papier car ton ce n est pas le cas pour tous les d chets plastiques et notamment dans le domaine dans la sant Les plastiques n ont cess de montrer au fil du temps les avantages qu ils apportent aux professionnels de la sant mais les d chets issus des activit s de soins ne sont aujourd hui que tr s peu valo 38 Plastilien O ctobre 2010 n 71 ris s La r glementation fran aise impose aux h pitaux l in cin ration ou l enfouissement des d chets plastiques qu ils produisent Parmi ces d chets des gisements de recyclabilit et de biod grada bilit existent mais ne peuvent tre valoris s en raison de la r glementation De plus le manque de moyens d incin ration implique que des actions soient men es pour maitriser la fin de vie des pro duits plastiques Les industriels du secteur de la sant et de la plasturgie doi vent se concerter et s organi ser pour maitriser le cycle de vie des dispositifs m dicaux en mati res plastiques Les acteurs de la fili re doivent se mettre en synergie pour tre force de propositions La rencontre de mondes C est dans ce cadre qu Alliz Plasturgie Rh ne Alpes avec l aide financi re de la r gion Rh ne Alpes de la DIRECCTE et de l ADEME a d cid de favoriser la rencontre entre des industriels de la plasturgie et des repr sentants du domaine de la sant et notam
104. ntes se sont envol es Des modifications dans les processus Par sa culture du r sultatle Cabinet Chor ge a instantan ment pris la ma trise des op rations et a modifi nos pra tiques IIS nous ont imm diatement apport une autre philosophie de l action en nous d montrant qu il vaut mieux moins de pr visions et plus de pr paration pour sans cesse faire face et s adapter la r alit commerciale terrain Avec d termination et doigt les Chor giens nous ont appris raisonner avec des hypoth ses sans cessese projeter mais surtout d ci der en toute connaissance des cons quences De tels r sultats ne doivent cependant rien au hasard De nombreuses r alisations ont t faites Renforcement des relations entre le service commercial et la production pour partager une vision commune mise en place d un indicateur QS coh rent avec la percep tion client management visuel avec une signal tique Vert Orange Rouge v ritable outil de priori sation terrain nous tions _ n 71 Octobre 2010 Plastilien 2 g STRAT GIE Organisation g n rale de l entreprise et int raction entre les processus pan BUREAU D TUDES p N COMMERCIAL c EFFICIENCE DE LA RELATION CLIENT ET SATISFACTION La satisfaction r side et se d veloppe au travers de l interaction entre les services de l entreprise la solidit de l organisation la motivation et la comp te
105. on d engre nage Que les engrenages soient destin s aux syst mes de funiculaires au mat riel de construction aux transmis sions pour Formule 1 ou aux engins spatiaux les clients peuvent d sormais choisir et valuer les compos s de sp cialit de SABIC Innovative Plastics rapidement et avec pr cision poursuit il Tirer parti de l avantage des engrenages en plastique La socit KISSsoft applique d s ormais des calculs de dimen sionnement d engrenages pour 17 grades de compos s de sp cialit LNP de SABIC Innovative Plastics sp cialiste des solu tions thermoplastiques tech niques y compris des grades haute temp rature des grades lubrifi s de mani re interne et des grades renforc s la fibre de verre D sormais les ing nieurs et les concepteurs peuvent rem placer les essais et viter les t tonnements et les erreurs en utilisant des donn es valid es selon des param tres tels que la r sistance la r sistance la temp rature et l usure des flancs de dent afin de rationa liser de mani re significative le processus de conception d engrenage Cette nouvelle solution peut aider un large ventail d in INNOVATIONS dustries allant du domaine de la sant et de l automobile la restauration Une solution qui tire parti des avantages des engrenages en plastique en vue de r duire les co ts du syst me d augmenter forte ment la libert de conception et d offrir un
106. osophie entrepreneuriale les 14 PME toutes plasturgistes mais non concurrentes visent plus de s curisation des approvisionnements et de r duction des co ts tre plus nombreux permet aussi d avoir plus facilement acc s aux gros four nisseurs d changer des informations march plus fiables et de p renniser le groupement d achats rel ve Marie Dominique Poggi l un des deux Les achats de mati res plastiques 35 000 tonnes par an d emballages d int rim et de fournitures de bureau atteindront en 2010 pr s de 50 mil lions d euros Soit une moyenne de 20 25 du montant total des achats des entreprises membres dont 80 poss dent un service achats Un taux de couverture amen voluer la hausse Alen on Plastic Appliplast Groupe T nB Beaba Bihr Bouillard Caliplast Dedienne Multiplasturgy Group Evolutif Gpack M anuplast Millet Plastiques 2005 Standard Gum et Tournaire n 71 Octobre 2010 Plastilien 1 9 AN alpha mati res plastiques 6 rue de l Industrie 68126 BENNWIHR GARE T L 33 0 3 89 20 13 90 FAX 33 0 3 89 20 13 99 matiere amp fr DROIT DES AFFAIRES IS MS e liz Plasturgie ous traitance ean Claude Volot au rapport Comment ne pas vouloir ce que veut l ordre des choses NDLA Une strat gie industrielle ne peuten effet pas se r duire une strat gie d achat elle m me r duite la compres sion des prix Il faut gale
107. ouvent retenu que les biocomposites ont de meil leures propri t s m caniques Certes lors de l introduction de fibres naturelles les pro pri t s de modules et de contraintes augmentent signi ficativement par rapport la matrice seule r f 1 Afin de diminuer la chute des propri t s au choc des agents de couplage sont ajou t s tels que des polym res fonctionnalis s par des anhy drides mal iques Cependant bien que cela am liore l adh sion entre les fibres et la matrice et augmente les modules les propri t s au choc sont peu am lior es n 71 Octobre 2010 Plastilien O Les bio composites sont plus compliqu s transformer et n cessitent des pro c d s de transforma tion diff rents Les bio composites ne sont pas radicalement diff rents des autres types de compo sites thermoplastiques L intro duction de fibres naturelles ou pas contribue augmenter tr s fortement la viscosit des produits Ainsi il est moins vident de remplir des pi ces fines ou pr sentant des seuils d injec tion peu pais L augmentation de la taille des seuils est pertinente en fonc tion des applications L utilisation de proc d s tels que l injection compression peut galement aider au rem plissage de pi ces trop fines tout en r partissant de fa on plus homog ne les contraintes et ainsi r duisant la d forma tion des pi ces Cependant il faut tout de m m
108. patronales pour les entreprises qui n au ront pas engag une n gocia tion sur les salaires au cours des ann es 2009 et 2010 et selon les cas le remplace ment du montant mensuel du Smic dans les formules de cal cul du coefficient de la r duc tion g n rale des cotisations soit par un salaire de r f rence r put gal au Smic applica ble soit gal au salaire mini mum national professionnel des salari s sans qualification applicable l entreprise Emploi des seniors un nouveau dispositif d aide l embauche pour les ch meurs de plus de 55 ans Afin de favoriser l emploi des seniors le projet de loi pr voit un dispositif d aide l em bauche pour les demandeurs d emploi de plus de 55 ans Cette aide l embauche devrait tre gale 14 du salaire brut dans la limite du plafond de la S curit sociale Elle serait accord e pour toute embauche d un demandeur d emploi senior de 55 ans ou plus sous contrat dur e ind termin e CDI ou contrat dur e d termin e CDD d au moins 6 mois Cette mesure est destin e tenir compte de la plus faible r employabilit des seniors en cas de ch mage les seniors sont pr s de deux fois moins nombreux que les autres demandeurs d emploi retrou ver un emploi apr s 6 mois de ch mage Obligation de diagnostic sur l galit professionnelle et salariale hommes femmes Le gouvernement envisage de sanctionner les entr
109. pos de ces mat riaux Les bio composites Module de Traction en MPa sont recyclables Les composites fibres natu 3000 relles ontla capacit de se retransformer plusieurs fois en perdant un minimum de 2500 propri t s Le graphique pr sente les propri t s m ca niques d un composite PP ren forc par 20 de fibres de lin Ce PP lin estre broy et r g inject plusieurs fois Le Z module initial est de 2800 M Pa 1500 O La premi re r g n ration montre une l g re augmenta 1000 tion du module qui peut tre attribu e une meilleure dis persion des fibres ou une s paration des faisceaux de fibres Les r g n rations sui vantes pr sentent une diminu tion progressive du module 0 Cette r gularit est mettre en regard avec la chute beau coup plus rapide des propri Evolution du module de traction apr s 1 injection 1 re broyage injection 7 re broyage injection 2 e e e e e A lt e e e i e e e 60 Plastilien O ctobre 2010 n 71 MATI RES POLYM RE VIERGE 0 EN MASSE DE FIBRE 0 EN MASSE DE FIBRE DE VERRE DE CHANVRE PPh 0 90 1 12 1 00 PEHD 0 95 1 04 ABS 1 05 1 30 0 99 PS choc 1 05 1 20 1 10 C PVC rigide 1 38 1 50 1 36 J Ordre de grandeur des densit s de polym res vierges renforc s par 20 en masse de fibres de verre ou renforc s par 30 en masse de fibres de chanvre t s m caniques des compo
110. position affichent complet et aucune entreprise renomm e n 71 Octobre 2010 Plastilien 1 Plastilien Octobre 2010 n 1 OZL A LA UNE 01 200 000 plasturgistes venant du monde entier s appr tent converger vers D sseldorf OB Pro FESSIO N 05 Quels enseignements sont retirer du dispositif FRAU 09 Actions contre la refonte de la directive produits lectriques et lectroniques 09 Projet Leonardo Plastgreen 09 Les fiches m tiers et le r pertoire des certifications de la Plasturgie 10 Rapprochement de branches 10 Evolution de la politique formation de la branche et modification de l accord de formation de 2004 12 Cinq TPE se mobilisent en Sa ne et Loire 1S CHRONIQUE 15 Madelin 21 0 RO IT DESAFFAIRES 21 Sous traitance ean Claude Volot au rapport 24 FiSC ALIT 24 Voletfiscal de la r forme des retraites 25 Cr ation du fonds d investissement France Brevets 26 P0 INT DEVUE 26 Le trou noir des lois de police pour les sous traitants 28 STRAT GIE 28 La performance industrielle au service de la satisfaction clients 33 MAN AGEMENT 33 Les nouvelles pratiques de l audit de management 38 EN VIRO N NEMENT 38 D chets m dicaux post consommation une exp rimentation in dite Sommaire 40 50 CIAL 40 Une rentr e sociale marqu e par la r forme des retraites AG PLASTIFAF INFOS A9 iNNovATIONS 49 Une r sine all ge de 50 les ailes du futur RVR de Mitsubishi
111. pril 2010 M P le Europ en Plasturgie INGENIERIE de PERFORMANCE INDUSTRIELLE Am liorer vos comp tences 20 sur la r activit de vos quipes 30 sur le temps de r solution des causes racines Accompagnement de montage de dossiers de financement en innovation Directeur d entreprise R duire les co ts de votre outil industriel autrement qu en r duisant vos effectifs Responsable de bureau d tudes Comment liminer tous risques lors de la r duction des co ts et des temps de d veloppement de vos produits AK O CH CELCOCE EE LEU TION Am liorer votre performance industrielle de vos produits et de vos proc d s 15 sur votre productivit 20 sur vos co ts de d veloppement 15 sur vos co ts de maintenance Mise en place de projets d am lioration des performances industrielles Responsable de production Comment aider votre quipe technique r soudre des probl mes complexes et ou r currents sur vos lignes de production Responsable de maintenance Comment est ce possible de g rer vos pannes de mani re pr ventive plut t que curative tout en r duisant vos d penses Responsable Qualit Etre pr venu d entretiens automatiquement avant que vos machines production ne fassent de la non qualit METHODES Lean Manufacturing riser vox choix techniques AMDEC Progr s continu PDCA D marche Kaizen R alit augment e Andon l
112. prise En effet les entreprises mono march s peu structur es au niveau commercial peu sensi bles l innovation ont t plus fortementimpact es par la crise Le niveau des comp tences interne joue galement un r le important dans la capacit de l entreprise s ouvrir sur de nouvelles opportunit s et g rer la complexit croissante Commentse porte la strat gie La formalisation de la strat gie dans une feuille de route ou un business plan reste encore un exercice r alis uniquement par 54 des dirigeants Nous pouvons constater que 67 des entreprises en situation de d croissances n ont pas for malis leur strat gie Autre probl matique la d pendance de l entreprise son march principal 43 des r pondants r alisent plus de la moiti de leur chiffre d affaires sur un seul march d activit de surcroit avec souventun faible nombre de clients En effet 81 des r pondants valuent leur degr de d pen dance par rapport leurs prin cipaux clients comme fort ou tr s fort Dans les TPE le dirigeant est le repr sentant de plusieurs fonctions administratif com mercial achat conception Ainsi le temps imparti cha cune des t ches notamment la conqu te de nouveaux n 71 Octobre 2010 Plastilien 5 PROFESSION Part du CA r alis sur le principal march M gt 10 E entre 10 et 30 M entre 30 et 50 MH gt 50
113. pviel sise fr http www sise fr fr 5 5S E ANALYSE THERMIQUE POUR LA Transition R ticulation Cristallisation Polym risation Temps induction oxydation Stabilit thermique D composition LABL SETARAM mms INStrumentation K E P Technologies SETARAM INSTRUMENTATION 7 rue de l Oratoire 69300 Caluire France T l phone 04 72 10 25 25 ax 04 78 28 63 55 sales setaram com WWW seftsrsm fr Pour tout besoin de FORMATION ou de PRESTATION D ANALYSE n h sitez pas nous contocter Inspiring Imagination for Material Science 54 Plastilien O ctobre 2010 n 71 TECHNOLOGIE VEDZ Centre de Formation de la Plasturgie Parmi les proc d s sp ciaux d injection connaissez vous l injection gaz L insufflation d azote dans le c ur fondu d une pi ce inject e permet de r aliser un produit plastique comportant une cavit se rapprochant d un corps creux Cet article a pour but de vous faire d couvrir cette technique par une pr sentation de son histoire et de ces principes I est important de noter que l injection assist e par le gaz n est pas une technique d adaptation de l injection mais bien une technologie sp cifique o le produit doit tre con u sp cialement pour cela Principe et historique de l injection 9232 L injection assist e par le gaz consiste introduire de l azote dans le flux de mati re fondue au moment du remplis sage du moule Le gaz ayant tend
114. quer les innovations et envisager J ourn e co organis e CFP et Association E des d veloppements en commun ourn e co organis e CFP et Clubtex e Les d veloppements du Thermoformage Lyon 14 octobre Thermoformer Les journ es techniques du f Journ es Techniques P le Europ en de Plasturgie du Rotomoulage 6 et 7 octobre 2010 Lyon Le PEP organise une J ourn e Technique en lien avec chacune des th matiques de ses lignes programmes qui constituent ses axes prioritaires de R amp D et d expertise Produire plus mieux avec moins Benchmarking technologique et conomique entre le process 25 novembre Bioplastique du Rotomoulage et celui du Soufflage 9 d cembre Plastronique Programme et bulletin d inscription sur www rotomoulage org d Pour tout contactet inscription aux ourn es Techniques du PEP T l 04 74 81 92 60 info poleplasturgie com v Association Francophone du Rotomoulage e K TRADE FAIR e MIDEST FIP SOLUTION PLASTIQUE Dusseldorf Paris Lyon 27 oct au 3 novembre 2010 2 au 5 novembre 2010 24 au 27 mai 2011 L agenda mondial des salons professionnels est en ligne sur www eventseye com salons html 70 Plastilien O ctobre 2010 n 71 _ S dr Vos conomies d aujourd hui sont vos investissements de demain Notre objectif est d aider les dirigeants d entreprises am liorer leur rentabilit sans remettre en cause leur organisation ni leurs effectifs
115. ques chantiers Marchandises transport es RESPONSABILITE CIVILE Responsabilit civile professionnelle Responsabilit civile produit Responsabilit civile dirigeants Assurances SOFRAS Conseil La maitrise des risques de l entreprise GESTION SOCIALE Absent isme MENSUPLAST Pr voyance compl mentaire sant Missions l tranger Homme cl 62 rue Montgolfier 69006 LYON T l 04 78 37 57 17 Fax 04 78 38 09 05 sofras sofras conseil com www sofras conseil com EMMANUEL ROSSI Made in 22 La Chine un pays merG ant la formule n est pas de moi Elle est de Christine Lagarde qui l a prononc e lors de l Universit du M EDEF le 1 septembre dernier sur le th me L tranget du monde mode d emploi et lors de la table ronde La Chine a t elle d j gagn Il aura suffit de quelques ann es pour que l Empire du Milieu devienne une v ritable puissance mondiale ettout laisse penser que la Chine a surmont les cons quences les plus graves de la crise conomique Dans le monde en profonde mutation la Chine a non seulement maintenu son propre d veloppement mais galement contribu e au progr s du reste du monde A titre d exemple le volume des changes commerciaux entre la Chine et la France est pass de 100 millions de dollars an 100 millions de dollars jour sur la p riode 1964 2009 M ais selon Kong Quan Ambas sadeur de Chine en Fr
116. r au second semestre Au cours du 1 semestre 2010 le redressement de l activit 26 sur le 1 semestre 2009 Plaques feuilles tubes ue P T annonc par les entreprises a provientessentiellement de et profil s Ad We ne bien eu lieu avec une augmen l am lioration de la conjoncture OIE 11 7 4 6 5 tation de la production en dans le secteur automobile volume de 8 pour l ensemble Sur le 1 semestre 2010 l in Construction 22 1 1 5 8 de l industrie de la plasturgie dustrie de la plasturgie a ga Biens de consommation E pany Er un an d intervalle lement b n fici d une orien et produits divers tation plus favorable de la Pi ces techniques 15 7 13 7 23 4 La croissance a notamment demande sur les march s de 15 6 7 8 8 4 t tir e par le secteur des pi ces techniques dont la pro gression des volumes a t de 66 Plastilien O ctobre 2010 n 71 23 sur les 6 premiers mois de 2010 un an d intervalle Ce redressement intervient apr s un recul qui avait t de l emballage A l oppos la reprise tarde dans le secteur de la construction Par march les principales volutions en volume sont les suivantes Juin 2070 Juin 2010 1ersem 2010 p TOTAL PLASTURGIE Source F d ration de la Plasturgie selon l INSEE partir de donn es brutes en volume ECONOMIE Evolution de l indice des prix des principales mati res plastiques indice base 100 d cem
117. r les employeurs surles avantages et b n fices de cette forme d embauche Depuis votre arriv e vous avez pu contacter combien d entreprises etquel type d entreprise MB Environ 90 entreprises ont t contact es de toute taille TPE comme PME et sur tout mon secteur g ogra phique J ai rencontr 32 employeurs qui souhaitaient des informations ou un accompagnement sur un projet pr cis ou un besoin recens Comment les entreprises plasturgistes ont elles accueilli cette d marche et quels sont leurs besoins MB Toutes les entreprises n ont pas la m me r action certaines ne connaissent pas le contrat de professionnalisation et sont curieuses de savoir quels sontles avantages et d autres sont r fractaires 46 Plastilien O ctobre 2010 n 71 l alternance en g n ral du fait de leur exp rience pass e D autres sontint res s es optimiser un projet et tre conseil l es concr tement au niveau financier administratif et mise en place du dossier Les entreprises appr cient le fait que je me d place cela les rassure et permet d avancer r ellement sur le sujet en apportant toutes les informations utiles G n ralement elles sont favorables au fait de former un nouvel arrivant avec une solution qui les aide financi rement Quels sont selon vous les freins et quelles solutions vous pouvez apporter MB Bien que sensibles au principe de la formation en alternance
118. rd de branche Plastilien O ctobre 2010 n 71 de l accord formation de 2004 Les modifications apport es par la loi ne permettent plus Plastifaf de prendre en charge tous les contrats de profes sionnalisation sans n gociation d un nouvel accord de branche L une des cons quences de la loi est la restriction des actions de formation susceptibles d tre financ es par Plas tifaf dans le cadre des contrats de professionnalisation ceci aura pour cons quence la diminution de moiti du nombre de contrats de professionnalisation financ s par Plastifaf II est donc important qu un avenant l accord de branche soit sign sur ce sujet dans les meilleurs d lais mais cette n gociation paritaire doit galement aborder tous les autres sujets formation r form s par la loi Une plate forme puissante Une des lignes de production mondiales les plus puissantes et efficientes au niveau nerg tique i Loos FFEA Lorsque le high tech japonais rencontre l engineering allemand le r sultat ne peut tre qu exceptionnel Trois technologies d entra nement hydraulique hybride et tout lectrique sont bas es sur une plate forme commune et couvrent une gamme de forces de fermeture de 250 20 000 KN Combin es avec un tr s large catalogue d options elles apportent la solution chacune de vos demandes sp cifiques et chacun de vos besoins de production lt Sumitomo www sumitomo shi demag eu a D
119. refoul e dans ma buse de la presse Le proc d Airmould contour Dans ce cas le gaz n est pas introduit dans la pi ce paroi fine nervur e mais sous la pi ce caril y a des risques de fuites ou de per age La pres sion de gaz dans le moule est appliqu e au niveau du noyau donc entre le moule et la mati re et plaque la pi ce contre la paroi de l empreinte emp chant la formation de retassures inesth tiques On remarquera que la g om trie de la pi ce est simple et s ap parente plut t un capotou couvercle Sch ma 5 Le proc d Aquamould ou injection eau non trait dans cetarticle C est une technique qui s ap parente l IAG mais avec de l eau sous pression la place de l azote En dehors de l effet thermique on dit que l eau a un r le de projectile et l aspect de la bulle form e est assez lami n 71 Octobre 2010 Plastilien 5 y naire Bien que cette technique soit assez ancienne elle conna t un nouveau d veloppement dans l industrie automobile Les 4 principales phases de l injection gaz Le cycle d injection gaz d marre Soit la fin de l injec tion dynamique de la pi ce dans le cas o la pi ce doit tre rem plie enti rement cas de la mas selotte ou de la r tro injection Soit pendant cette m me phase et ce temps de retard gaz s ap pelle aussi le top gaz dans le cas de l ICG ou
120. retraite taux plein automatiquement et quel que oa M ilphoto Fotolia com soit le nombre de trimestres d assurance acquis partir de 65 ans Ou avant 65 ans condition d avoir acquis un nombre mini mal de trimestres d assurance tous r gimes confondus ce nombre de trimestres aug mente progressivement d un trimestre par an depuis le 1 janvier 2009 pour atteindre 164 trimestres en 2012 soit 41 ans Le gouvernement souhaite faire voluer l ge du taux plein automatique au m me rythme que l ge l gal de d part la retraite 4 mois par an compter du 1 juillet 2016 Quant la dur e d assurance requise pour le taux plein elle devrait continuer sa progres sion apr s 2012 raison d un tri mestre en 2013 pour atteindre 166 trimestres 41 5 ans en 2020 Prolongation et largissement de la retraite anticip e pour longue carri re Depuis le 1e janvier 2004 le droit un d part anticip avant 60 ans est ouvert au salari qui a commenc travailler jeune SOUS r serve de justifier d une dur e d as surance minimale tous r gimes confondus savoir la dur e d assurance n ces saire pour l obtention du taux plein major e de 8 trimestres de justifier d une certaine dur e d assurance ayant donn lieu cotisations tous r gimes confondus variable selon son ge la date d effet de sa pension etson ge de d but d activit et de
121. rim e les conditions d obtention du d part anticip se durciraient m caniquement du fait de l al longement du temps d tude de l obligation de scolarit port e 16 ans partir de la g n ration 1953 et surtout par la progression de la dur e Sculpies Fotolia com d assurance minimale iden tique celle requise pour le taux plein la dur e d assu rance n cessaire pour le taux Plastilien O ctobre 2010 n 71 plein continuant d augmenter en 2013 et 2020 D part la retraite 60 ans taux plein en cas de p nibilit av r e Dans un souci de justice sociale l augmentation de la dur e d activit ne doit pas tre la m me pour les salari s qui ont une vie professionnelle plus dure que les autres C est la raison pour laquelle les pou voirs publics proposent de faire de la p nibilit une com posante de la r forme des retraites de 2010 Toutefois le m canisme propos est loin de faire consensus P nibilit justifi e m dicale ment et titre individuel Aujourd hui moins de rem ll f plir les conditions draco niennes des dispositifs de retraite anticip e pour longues carri res ou pour handicap lourd le salari n ayant pas totalis le nombre de trimestres requis n a qu une seule alternative pour partir 60 ans avec une pen sion taux plein tre reconnu inapte au travail au sens de la S curit sociale Le projet de loi institue un dro
122. s appor ter la r solution de certaines grandes questions Quelles utilisations au caract re aujourd hui visionnaire seront d j introduites dans deux d cennies Ces questions seront au c ur de l exposition sp ciale organis e dans le cadre de K 2010 C est l aide d exemples issus de divers domaines de la vie et sous la devise Visions in Polymers que les tendances qui se dessi nent en mati re de d veloppement et les innovations qui se pr pa rent dans l industrie seront d voil es au visiteur L accent sera mis sur l efficience nerg tique et la pr servation des ressources La grande Messe des Plastiques ouvrira ses portes le 27 octo bre et pendant 8 jours sans discontinuer jusqu au 3 novembre les quelques 3 000 exposants de la K 2010 pr senteront leurs nouveau t s aux 200 000 visiteurs qui arpenteront vaillamment les 19 halls du salon K tout est Kolossal L v nement s est tellement impos au fil des ditions comme LE salon incontournable qu il lui suffit d sormais de se nommer sim plement par une lettre K pour Kunststoff le comble de la r ussite A noter La Materiautech de la Plasturgie sera bien entendu pr sente ce grand rendez vous de la profession retrouvez M algr la situation tendue que conna t l conomie mondiale les ses quipes sur le stand 8AF12 6 entreprises de tous les continents misent sur ce salon les 19 halls d ex
123. s orient e vers les besoins du secteur conserver l ind pendance de la politique et de la gestion des fonds de la plasturgie Un processus de rapproche ment engag avec les branches de C2P qui doit per mettre de tenir des n gocia tions paritaires interbranches pour la cr ation d un nouvel OPCA Des travaux ont t men s dans ce sens au printemps 2010 avec les branches de l OPCA C2P chimie p trole et industries pharmaceutiques et avec les organisations syndi cales de salari s des diff rentes branches concern es Ces travaux ont permis de fixer dans chaque domaine mis sions et strat gie gouver nance sch ma organisation nel le cadre consensuel du futur OPCA commun Les branches ont donc convenu de n gocier un accord interbranches qui doit poser les bases de ce nouvel OPCA Les n gociations pari taires devraient d buter au mois d octobre 2010 La loi relative l orientation et la formation professionnelle adopt e le 14 octobre 2009 impose ce travail aux branches Cette loi fixe de nou velles r gles pour les OPCA partir du 1 janvier 2012 et a fix la date limite du 1 sep tembre 2011 pour effectuer les demandes d agr ment aupr s du Minist re du Travail pour les nouveaux OPCA f Des changes avec les branches du Forthac pour tu dier la possibilit d ouvrir le p rim tre du champ du futur OPCA commun Les repr sentants des branches qui compos
124. sation de l outillage s rie l entreprise propose un avant projet via un moule prototype une empreinte ou un moule REPORTAGE pilote quelques empreintes pour valider le maximum de param tres avant de passer en phase s rie Le moule s rie est garanti pour la production de 1 2 5 millions de pi ces injec t es avec l assurance d un SAV tout au long de la vie des outil lages Une culture r seau Jean Marc Sanguesa esten veille permanente R amp D nou veaux proc d s et applications nouveaux march s Pour cela il est adh rent de Plastipolis et acteur dans plusieurs projets pilotes accompagn s parle PEP adh rent d Alliz Plastur gie pour son r seau d affaires et aussi membre du French M old Cluster groupement de moulistes qui vont ensemble l international Russie M Turquie etc S il d plore que son portefeuille clients ne comprenne que peu de plasturgistes de la Plastics Vall e en revanche lorsqu il est choisi comme ma tre d uvre pour la r alisa M tion de pi ces inject es sa culture r seau le guide vers ses voisins plastur gistes Contact DPH International 305 rue de la prairie ZI Sud 01100 Groissiat 04 74 73 43 37 jm sanguesa dph moule com www dph moule com Photo p 60 61 Moule cin matique complexe pour secteur m dical JOURNEE TECHNIQUE Les D veloppements du E in m F j IT nn um se le 14 octobre 2010 LYON Le th
125. se de la relation des facteurs cl s de succ s majeurs que sont Qualit Co t D lai Pro activit inno vation La coh sion de ce processus va assurer le d veloppement de l entreprise en mettant la performance au service du client Nous allons essayer de le montrer au travers du cas sui vant Propos recueillis aupr s du directeur de site d une soci t accompagn e par la cabinet Chor ge L histoire En septembre 2008 notre entreprise a connu comme beaucoup d autres une bru tale chute des ventes entrai nant une forte baisse d acti vit et de nos r sultats Un seul secteur d activit 50 M gan pour 150 personnes conservait des volumes convenables etcompensait une partie de nos pertes Il tait par contre dans l im possibilit chronique de res pecter ses engagements en termes de d lais La situation tait devenue insupportable pour nos clients qui expri Pour des raisons de confi dentialit nous ne pouvons divulguer le nom de la soci t maient vivement leur m con tentement nos quipes com merciales Nous avions engag plusieurs actions en interne mais notre grande d ception elles n avaient donn aucun r sultat Dans ce contexte critique la survie de notre entreprise tait menac e nous devions imp rativement redonner confiance nos clients pour les conser ver ai alors pris la d cision d appeler le Cabinet Chor ge dont je connaissa
126. sentation La ulien Laurent 7 La conversion du m tal vers le plastique estune tendance majeure et un progr s signifi catif dans la technologie de l engrenage Les engrenages en plastiques offrent beaucoup d avantages par rapport au m tal tradition nel commencer par une plus grande libert de conception La substitution de l usinage par le moulage permet de nou 50 Plastilien O ctobre 2010 n 71 velles configurations touten vitant les co ts d op rations secondaires La masse plus l g re du plastique r duit aussi l inertie pour une plus grande efficacit de l engrenage En outre les pi ces en mouve ment sont beaucoup plus silencieuses que celles en m tal contribuant ainsi la r duction du bruit ambiant des machines Toutefois le manque de don n es fiables a mis un frein la conception d engrenages en plastique pr cise le Dr Ste fan Beermann PDG de KISS soft AG diteur suisse de logi ciels Les calculs de dimensionne ment pour engrenages en m tal ne peuvent tre appli qu s leur quivalent en plas tique car les propri t s de per formance du plastique peuvent varier avec la temp rature Le travail accompli avec SABIC Innovative Plastics a permis KISSsoft d incorporer les propri t s d une grande partie des compos s haut de gamme de l entreprise dans notre logiciel de calculs ce qui a radicalement simplifi le pro cessus de concepti
127. ses ennbre Source F d ration de la Plasturgie selon l Observatoire de la Plasturgie 140 132 120 100 80 60 40 Proc dure de sauvegarde Judiciaire Redressement Radiation Liquidation Judiciaire m 1er sem 2010 O 1er sem 2009 O 1er sem 2008 En donn es CVS Corrig es des Variations Saisonni res 0 3 un mois et 1 7 un an Contact Sylvie Domenech Responsable Economie F d ration de la Plasturgie T 01 44 01 16 12 sylvie domenech fedplas turgie fr a y n 71 Octobre 2010 Plastilien 6 I MIB SSE 2 5 NOVEMBRE 2010 PARIS Le N 1 mondial des salons de sous traitance industrielle ue b k 11 15 E e Ler Vous Cherchez une solution performante pour un projet en cours SOuhaitez r f rencer de nouveaux sous traitants Voulez rencontrer vos fournisseurs en une journ e VOUS informez des mutations conomiques et technologiques Trouvez des r ponses efficaces et comp titives en 4 jours de rencontres Tous les savoir faire de la sous traitance industrielle mondiale en un m me lieu Transformation des m taux ransformation des plastiques caoutchouc composites lectronique Electricit Microtechniques raitements de surfaces a Fixations industrielles Services l industrie MIDEST 2009 en chiffres 1 700 exposants dont 40 d trangers venus de 37 pays
128. t tout moment consulter par voie lectronique le relev de carri re indiquant le nombre de trimestres valid s aupr s de l ensemble des r gimes de retraite Le relev de carri re du r gime g n ral des salari s estconsultable depuis 2001 sur le site internet de la CNAV www retraite cnav fr au moyen d un code confidentiel Une actualit sociale qui mobilisera sans doute fortement la rentr e Nous vous informerons de l volution et de l aboutisse ment de cette r forme notam ment sur les impacts induits aide financi re l embauche des plus de 55 ans modifica tion des all gements de charges mise en place d indi cateurs pour remplir l obliga tion de diagnostic sur l galit professionnelle suivre Lorsque l ajout qd additifs dans vos pi ces devient un vecteur Reproductibilit _ Homog n it Rentabilit Auto Calibration FARPI FRANCE Plastics Processing Machinery 44 Plastilien O ctobre 2010 n 71 gr shot 0 65 0 60 l 0 55 0 50 0 45 0 40 0 35 7 vis de dosage moyenne vis de rentabilit 7 10 10 12 14 15 moyenne cylindre doseur cylindre Jusqu 30 d conomie de colorant Z l Le Chanay B P 3 69720 SAINT BONNET DE MURE T l 33 0 4 78 40 81 32 Fax 33 0 4 78 40 79 73 E mail info farpi fr MACHINERY FOR WEB PROCESSING Urccotex eco A Www mondon com www macotex fr Les ma
129. t d audit il est fait tat de trois non conformi t s ou carts ou dysfonction nements il ne l aide pas En effet ce faisant il induit le fait que l audit est incomp tent il n a pas d tect que son pro cessus fonctionne avec des carts majeurs par rapport aux mod les ou bien n gligent il conna t les carts mais il s en fiche ou encore pas tr s fut il n a pas r ussi cacher ces dysfonctionnements Dans tous les cas la situation n est pas valorisante pour l au dit Et lorsque l auditeur transmet ce rapport la direc tion celle ci portera certaine ment un jugement d favorable envers le responsable du domaine audit En cons quence il y a de fortes chances que lors du prochain audit les portes ne s ouvrent pas aussi facilement que la premi re fois Nous devons absolument adopter des pratiques bien veillantes pour que la confiance accord e par l au dit ne se d truise pas Les pratiques bienveillantes Pour que la confiance perdure il convient de respecter les quelques r gles et principes suivants l attitude Il convient d adopter une atti tude d coute active Le pre mier outil de l auditeur est son oreille les deux bien entendu Il doit donc couter attentive ment l audit et lui montrer son attention II le regarde dans les yeux il hoche la t te pour signifier qu il suit son expos il reformule pour signaler qu il le comprend etc En bref
130. t mises l honneur Du secteur de l automobile jusqu l emballage en passant par le sport et loisir l agricul ture ou le b timent les bioplas tiques s duisent des domaines de plus en plus larges R elle pr occupation environ nementale ou argument mar keting Diff renciation technique ou gain conomique R ponse et anticipation des exigences l gislatives ou normatives Les industriels de diff rents secteurs d applications vien dront t moigner et faire parta ger leur exp rience dans leur domaine respectif MATI RES Cette journ e se veut tre une occasion d changes entre partenaires scientifiques et industriels PME et donneurs d ordres Contact Charlyse POUTEAU Responsable Ligne Programme Eco mat riaux charlyse pouteau poleplas turgie com www poleplasturgie com R f rences 1 Charlyse Pouteau Quelles avanc es pour les composites fibres naturelles Colloque chanvre Poitiers M ars 2010 2 S V J oshi etal Are natural fiber composites environmen tally superior to glass fiber reinforced composites Composites Part A 35 2004 371 376 3 Michael Carus A new assessment of the material use of renewable raw materials Press text from the nova Insti tut GmbH www nova institut de H rth M ay 5th 2010 4 Ignaas Verpoest The future of bio based composites lear ning from today and planning for tomorrow J EC confe rences A
131. tobre 2010 Plastilien 5 5 dans le cas de pi ces parois paisses ou comme renfort partiel ou total Les objectifs de l IAG sont multiples All gement des pi ces et donc conomie de mati res premi res e Augmentation des cadences de production produit gal e Am lioration de l aspect des pi ces par r duction des retassures Renforcement m canique des pi ces par l effet tube e Diminution des contraintes de moulage e Simplification des pi ces donc des outillages e R alisation des pi ces pos s dant des volumes apparents importants e Diminution de la force de verrouillage ou du tonnage de la presse Quelques exemples d applications actuelles Dans le secteur automobile Poign es de porti re etde soutien int rieur P dales Volants Entourage de r troviseurs Barreaux de grille de calandre Supports de si ge Appuis t te Panneaux de si ge D flecteurs d essuie glace Les mati res sont le PA le PBT charg etle PP Dans l industrie du meuble Accoudoirs de fauteuil Plateaux de table de salon de jardin Chaises Ch ssis de chaises Pieds de chaises Mati re PP 5 6 Plastilien O ctobre 2010 n 71 TECHNOLOGIE Chaise vegetal de Ronan et Erwan Bouroullec Dans le mat riel industriel Palettes plastiques Bo tes d emballage Galet de chariot Mati re PP et PA Dans les produits de consom mation Cin
132. tres Mati re PP etPsS Dans le secteur jouet Fourche de tricycle Mati re PP Dans le sport loisir Raquettes B ton de hockey Chaussures de ski Les mati res plastiques injectables en IAG Tous les polym res thermo plastiques avec ou sans charges sont transformables en IAG partir du moment que la viscosit de la mati re est adapt e au proc d Les familles de pi ces en IAG Il existe principalement deux familles de pi ces en IAG Les pi ces parois paisses comportant des cavit s o l azote cr e le corps creux o le volume est pr pond rant pour la r duction de la masse de la pi ce et du temps de cycle Les pi ces parois faibles poss dant des canaux et des nervures o la surface et l as pect sontimportants et o le gaz est utilis comme maintien en pression pour l aspect ou la g om trie de la pi ce Sur la photo n 1 ci dessus on peut clairement voir l influence de la technique sur l aspect de face de la pi ce malgr la pr sence de nervures o les retassures ont disparu Le mat riel indispensable pour faire de l IAG Un syst me de g n ration d azote membrane ou de stockage de l azote en bou teilles Un pupitre ind pendant ou int gr la presse compre nant des vannes proportion nelles de distribution Un outillage quip d injec teurs d azote ou aiguilles Une buse sp ciale IAG dans le cas de l utilisation de cette
133. uelle Les redevances tir es de ces licences sont revers es aux propri taires du brevet apr s r mun ration des fonds propres engag s par le fonds Concr tement pour acqu rir des droits de propri t intellec tuelle France Brevets dis pose d une diversit de moyens juridiques et financiers Il est pr vu que le fonds acquiert des licences avec droit de sous licencier de pr f rence des brevets ceci afin de limiter ses investissements France Brevets pourra gale ment rechercher pour le compte des entreprises les bre vets qui lui manquent en pros pectant l chelle mondiale et dans l ensemble des secteurs et devenir ainsi pour les entre prises un agr gateur de bre vet en acqu rant un tr s grands nombre de brevets ou de licences en les licenciant ensuite aux entreprises des conditions de march pour permettre ces entreprises de s curiser leur exploitation et pour optimiser la valorisation de ces portefeuilles Le fonctionnement du fonds d investissement France Bre vets la nature de l action ses dispositions financi res et comptables son processus de pilotage viennent notamment d tre pr cis s dans une convention sign e entre l Etat l Agence nationale de la recherche ANR et la CDC le 2 septembre 2010 Au del de la cr ation de ce fonds le gouvernement envi sage d all ger la fiscalit pesant sur les brevets afin de s aligner sur ses principaux voisins
134. un outil de manage ment au service de l audit et au service du commanditaire qui est la Direction G n rale L audit etle commanditaire sont les clients des op rations d audit IIs ont eux m mes une mission accomplir celle de piloter l organisation dontils ont la responsabilit avec effi cacit etefficience L efficacit est la capacit d un organisme atteindre les objectifs qui lui sont assign s L efficience consiste attein dre les objectifs avec une opti misation de moyens La vraie difficult se situe d ailleurs Endostock Fotolia com dans la recherche de l effi cience car s il est facile d tre efficace lorsque que l on dis pose d une pl thore de moyens vous avez carte blanche et des cr dits illimi t s il est en revanche plus complexe de r aliser ce qui est pr vu avec un minimum de gaspillage Cela estle v rita ble r le d un manager L audit interne est donc un outil qui permet d valuer l ef ficacit et l efficience d un syst me et d identifier des pistes de progr s Le postulat mettre en uvre est qu au cun organisme n est parfait Il y a toujours des points sensi bles des maillons faibles qu il nous faut non pas liminer comme dans une certaine mission de t l vision mais renforcer L valuation L audit est un outil d valuation de la performance d un orga nisme ou d une partie d un organisme Nous l avons dit ce n est pas un jugement
135. ut de suite En effet la crise de quelque nature qu elle fut a acc l r plus encore le rythme etaccru le changement de paradigme conomique auquel nous tions habitu s L innovation sous toute ses formes est un alli l impermanence n a jamais t aussi pr gnante avec galement son potentiel d opportunit construire Contact e Thierry Guillaume Bardin Cediplast Conseil tg bardin cediplast fr e Audrey Viricel Cediplast Conseil a viricel cediplast fr e Guilhem Deleuze Cediplast Conseil g deleuze cediplast fr Ce dispositif est encore disponible jusqu fin 2010 Comme support la d marche nous utilisons un outil permettant de balayer l ensemble des grands domaines d une entreprise strat gie commercial production finance et ressources humaines 8 Plastilien O ctobre 2010 n 71 first choice in temperature control Les p tes al dente demandent la fois une temp rature de cuisson pr cise et un timing exact Ce qui est vrai pour la cuisson des p tes l est galement pour la r gulation ther mique des moules Les thermor gulateurs SINGLE sont puissants tout en restant peu gour mands en nergie appareils eau jus qu 200 C et huile jusqu 350 C Ils poss dent un affichage du d bit une commande multilingue ainsi que de nombreuses interfaces et options Avec SINGLE prenez go t aux cono mies www single temp de Rendez nous visite la K 20
136. yse causes profondes 5 Pourquoi SPC Proactif Formation action de INGENIERIE Conception CAO Calcul 3D Structure lin aire ou non lin Choix mati re Plastique et C ramiqt MAP sur site moule proc d co Aide la r alisation de machine sp Maquettage de syst me et d algori Prototypage de contr le commande Une synergie Mesure Physique pour AK O PERFORMANCE ENGIKREERING www akeoplus com LA PRODUCTIVIT DE VOS PROC D S LA PERFORMANCE DE VOS PRODUITS L EFFICIENCE COLLECTIVE DE VOS QUIPES n 71 Octobre 2010 Plastilien 63 REPORTAGE DPH International ambassadeur du savoir faire des moulistes fran ais DPH International exporte le savoir faire des moulistes fran ais l international par un positionnement sur la conception et r alisation d outillages de haute pr cision pour l injection des mati res plastiques techniques INTERNATIONAL OUI le secteur des moulistes a connu une crise sans pr c dent NON la profession n est pas morte OUI les moulistes fran ais ont une carte mai tresse en main la haute tech nologie l image de DPH Inter national situ e Groissiat Ain La crise 30 d augmentation du CA J ean Marc Sanguesa est seul la direction de l entreprise depuis 2008 En d pit d une conjoncture extr mement diffi cile la soci t a connu une augmentation de son chiffre d affaires de plus de 30 en deux

Les groupements d`achats : Une affaire de prix - Allize

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