Home

Coup de projecteur sur le Forum 2010

1. Quant l avenir du capitalisme Mme Burrow le r sume ainsi Nous vivons dans une conomie mondiale et nous avons besoin de r gles mondiales d investissements internationaux dans l emploi et d un syst me capitalistique solide qui soit b n fique non seulement aux sp culateurs mais aussi aux travailleurs qui sont les v ritables cr ateurs de richesse Mme Burrow d clare galement mal s accommoder des arguments philosophiques en faveur d une limitation de la cr ation de richesse Ce sont g n ralement les travailleurs qui subissent une d gradation de leur niveau de vie pr cise t elle L id e qu un renforcement de la r glementation internationale et de la centralisation constitue une r ponse n cessaire ou probable aux transactions financi res suscite le scepticisme Certains de Renato Flores agents conomiques chapperont toujours la r glementation d clare t il La concentration du pouvoir dans les mains de l tat ne donnerait elle pas naissance un syst me plus totalitaire notamment l heure o les syst mes de communication modernes l emportent sur les diff rences r gionales Je constate une mont e en puissance de l anarchie l chelle mondiale gt Par ailleurs m me si la croissance est le seul antidote la pauvret qui soit largement admis M Flores observe qu elle peut aussi la concentration du pouvoir et de la pauvret dans diff rents seg
2. demand s par le G 20 Nous r affirmons notre volont de parvenir un r sultat positif lors de la CdP16 Cancun en nous appuyant sur les efforts pr c dents y compris la CdP15 Copenhague Innovation L innovation est une source essentielle de croissance long terme aussi bien dans les secteurs traditionnels que dans les secteurs de croissance forte valeur ajout e Elle peut contribuer pour une part d terminante l augmentation de la productivit et au traitement des probl mes globaux et sociaux C est pourquoi nous nous f licitons du rapport final sur la Strat gie pour l innovation Conscients que l innovation est un ph nom ne de grande envergure concernant un large ventail d activit s nous entendons tout en tenant compte des situations sp cifiques des pays a donner aux gens les moyens d innover gr ce l enseignement et la formation b adopter des conditions cadres telles que des mesures r glementaires et fiscales qui incitent l inmovation c stimuler l entrepreneuriat et aider les nouvelles entreprises et les petites OCDE 2010 et moyennes entreprises et d renforcer les dispositifs publics de recherche et d velopper des r seaux et march s de connaissances en assurant une protection efficace des droits de propri t intellectuelle l occasion de la mise en ceuvre de la Strat gie pour l innovation nous am liorerons la gouvernance afin d assurer la coh rence des p
3. d abord la poursuite de l aide au d veloppement ensuite l institution d un imp t sur les activit s bancaires une partie de l argent revient ceux qui sont les moins responsables de la crise financi re ou qui n y sont pour rien et qui en subissent les pires effets Enfin elle souligne l importance d encourager ces pays se doter de ressources propres actuellement le PIB des pays d Afrique n est tax qu 15 96 ce qui n est pas assez pour diriger un pays M Bryant fait observer que si le PIB de l Afrique augmentait ne serait ce que de 190 du fait du d veloppement de l aptitude entreprendre cette augmentation vaudrait trois fois l aide actuelle au d veloppement du continent Aleph Torres est tout fait d accord avec M Gallop sur l importance de la collaboration des parties prenantes en vue de d finir les Lecture compl mentaire comp tences qui conviennent aux r gions et aux travailleurs touch s La Fundaci n Proacceso a mis en place des centres d enseignement tr s efficaces que r unit le R seau innovation et apprentissage La d marche des centres consiste d finir en concertation avec les employeurs les comp tences les plus pr cieuses sur le march du travail Des cours modulaires ont t cr s et sont enseign s grande chelle Apr s s lection les stagiaires les plus brillants sont pr sent s aux employeurs Un programme ducatif de ce genre suppose une tr
4. l avenir pour bloquer les investissements du fonds souverain fonds qu il dirige et d autres importants Souverains Franco Bassanini explique qu il ne peut pas y avoir de croissance durable sans investissement long terme En raison des programmes d assainissement des finances publiques in vitables au cours des prochaines ann es le secteur priv devra imp rativement participer au financement de cette croissance N anmoins les pouvoirs publics ont un r le jouer en encourageant l investissement priv surtout dans les secteurs qui g n rent des externalit s positives comme ceux des infrastructures et des nergies renouvelables en recourant des aides fiscales en modifiant les r gles comptables et en autorisant de nouveaux instruments financiers pour les investisseurs stables En r ponse une question sur la volont des banques priv es de financer des projets faible rentabilit M Profumo rappelle la r gle financi re fondamentale selon laquelle les banques financent les investissements dont le rendement est suffisant pour couvrir leur co t du capital Il ajoute que l absence de march financier unique europ en freine les possibilit s de diversification des banques et par cons quent leur aptitude r duire leur co t du capital Un march financier unique europ en avec des autorit s de tutelle et des institutions exercant leur autorit sur De gauche droite Gao Xiqing et Peter Wal
5. laboration des politiques reconna tre la complexit et la diversit des aspects de la gestion des ressources en eau dans l agriculture ainsi que la vaste gamme des probl mes qui sont en jeu Il leur procure galement les outils pour le faire en offrant une profusion d informations sur les tendances r centes et des perspectives sur l utilisation des ressources en eau dans l agriculture en int grant notamment les impacts du changement climatique Il examine les r sultats obtenus par les pays de l OCDE en de gestion de leurs ressources en eau usage agricole en se concentrant sur l ampleur des subventions accord es aux agriculteurs pour leur besoin en eau les mesures de protection contre les inondations et les s cheresses et l organisation et la gestion des institutions li es l eau et au secteur agricole Le rapport propose des recommandations concr tes sur ce que les pays devraient faire et sur les raisons pour lesquelles ils devraient le faire ISBN 9789264083585 Disponible sur www oecd org bookshop 9789264083585 O OCDE 2010 En trois lettres hec Pas mieux HEC est class e premi re cole en Europe pour la 3 ann e cons cutive HE PARIS Apprendre oser www hec fr Le Forum de l OCDE tient remercier les tudiants d HEC pour leur aide pr cieuse apport e dans la pr paration des r sum s du Forum et de ce magazine OCDE 2010 Liste des intervenant
6. renforcer la coop ration internationale en mettant l accent sur l emploi Le r examen des Principes directeurs de l OCDE l intention des entreprises multinationales a t particuli rement riche d enseignements dans ce contexte Mme Jongerius esp re qu l avenir les pouvoirs publics pourront associer l ensemble des parties prenantes syndicats compris dans la r glementation du comportement des entreprises faudra pour cela faire preuve d ambition car il ne suffira pas de ramener la confiance d clare t elle Selon Carla Coletti i faut recourir des instruments efficaces pour r glementer l thique des affaires l chelle mondiale Le temps n est plus aux protestations spontan es de bonne volont explique t OCDE 2010 Agnes Jongerius elle La multiplication des codes de conduite unilat raux qui se limitent souvent des exercices de relations publiques ont entam la confiance du public La crise conomique mondiale est une cons quence de l incapacit du syst me d finir des r gles quitables afin de r glementer l conomie mondiale Les syndicats du monde entier avaient d nonc plusieurs reprises les risques inh rents au transfert des investissements de l conomique r elle productive vers les march s de capitaux avides de r aliser des profits faciles au d triment des emplois et du d veloppement Edward F Greene souligne que les pays du G 2
7. D veloppement commercial Vattenfall AB Suede C cile Maisonneuve Vice pr sidente Agenda international et prospective AREVA France Anatoly Moskalenko Membre du Comit de Direction LUKOIL F d ration de Russie Jeong Shik Shin Membre Comit pr sidentiel sur la croissance verte Cor e Discutants Cecilia Tortajada Vice pr sidente Centre du Tiers Monde pour la gestion de l eau Adam Wolfensohn Directeur g n ral Wolfensohn amp Company Etats Unis Les pan listes partagent l id e dela diversification des sources d nergie par l abandon des combustibles fossiles mais craignent que les efforts en cours bien qu importants ne soient insuffisants et trop tardifs Peter Kemp demande l avis des participants sur le panachage ad quat de sources d nergie la n cessit de De gauche droite Peter Kemp G ran Lundgren C cile Maisonneuve Anatoly Moskalenko et Jeong Shik Shin faire payer pour le carbone et les responsabilit s des parties prenantes Fatih Birol souligne que la part assigner aux diff rentes sources d nergie d pend de la situation des pays et de leur niveau de d veloppement conomique Luiz Carlos Corr a Carvalho met l accent sur la biomasse d chets biod gradables qui peuvent servir la production d nergie Le Br sil est maintenant un leader mondial dans le domaine de la biomasse et tire autant d nergie de cette source que du p trole Sa capacit de production est
8. Mais ce n est rien compar aux difficult s qui se posent lorsqu il est trop tard souligne t il pays la Nouvelle Z lande c est seulement lorsque Il rappelle que dans son propre s est av r l puisement des stocks qu un pius forte OCDE 2010 m canisme de contingentement des p ches fut mis en place l demande aux experts de donner des exemples de politiques et de m thodes efficaces ainsi que de mettre en vidence les politiques qui nuisent aux r sultats Tim Groser rappelle qu il vient d un pays qui ne consomme que 5 96 de son eau mais il souligne que la raret des ressources est l affaire de tous expose quelques lt motifs l gitimes gt d inqui tude l augmentation de la population mondiale le rythme de l urbanisation et un fl chissement de la productivit agricole Concr tement il recommande de r duire le gaspillage des aliments de moderniser les infrastructures de favoriser l ouverture des march s et d viter le protectionnisme vert L innovation environnementale vient aussi de r gions inattendues La Chine par exemple est le premier producteur mondial d oliennes Enfin il fait part de sa pr occupation au sujet de la production d thanol rappelant que le Gouvernement de la Nouvelle Z lande craint fort que la premi re g n ration de biocarburants n en vaille pas la peine John J Harris s int resse au probl me de la surconsommation d eau et pr
9. et pr visibilit des conditions propices la croissance et facilite la lutte contre la corruption Nous nous f licitons de la coop ration de l OCDE avec les pays en d veloppement pour soutenir l instauration de syst mes fiscaux plus efficaces et pour aider ces pays combattre la fraude fiscale extraterritoriale l OCDE ceuvrer r sultats en Nous en courageons l am lioration des favorisant une plus grande coh rence des politiques en mati re de d veloppement et le dialogue et la coop ration entre tous les partenaires du d veloppement Nous soutenons la poursuite des efforts de OCDE en vue dintegrer les dimensions du d veloppement dans tous les travaux de l Organisation y compris au moyen de son exercice en cours sur les objectifs de d veloppement Coop ration conomique mondiale Nous partageons l id e qu un approfondissement de la coop ration dans les travaux de substance de l Organisation sera pr cieux pour les pays Membres les pays candidats l adh sion et les partenaires de l Engagement renforc Nous allons travailler ensemble collaboration troite au sein des organes de l OCDE lors des futures r unions minist rielles ainsi que dans le cadre des instances mondiales et des dialogues r gionaux en vue d instaurer une croissance mieux partag e plus durable et plus quilibr e Nous nous efforcerons de d velopper plus avant des pratiques exemplaires et des normes exigeant
10. lev Mme Romer souligne que l ampleur actuelle du ch mage est conjoncturelle et non pas structurelle Elle rejette l id e qu un ch mage lev serait ou devrait tre la nouvelle normalit Elle r pete que le ch mage est lev parce que la production est tr s inf rieure la capacit de l conomie R tablissez la demande et l emploi suivra dit elle Mme Romer met en vidence quatre grandes difficult s auxquelles l conomie am ricaine se trouve confront e Tout d abord le probl me de l acc s au cr dit car de nombreuses petites entreprises se plaignent de la difficult d obtenir du cr dit Deuxi mement des d ficits publics auxquels les autorit s doivent r pondre par des r ductions de d penses et des augmentations d imp ts Troisi me difficult le comportement des consommateurs il ne faut pas s attendre ce que les consommateurs recommencent d penser sans compter et d ailleurs nous ne le souhaitons pas Mais il s ensuit que la consommation ne sera vraisemblablement pas le principal moteur de la reprise Enfin les exportations restent faibles La faible croissance de la consommation et les exc dents commerciaux persistants dans certains pays OCDE 2010 restreignent les exportations des tats Unis qui restent inf rieures de 10 96 leur pic d avant la Crise Mme Romer souligne l importance de la relance d cid e par les pouvoirs publics car une reprise acc l
11. nationales plut t un handicap que l assurance d un avantage concurrentiel Malgr l attirance du protectionnisme durant la crise la plupart des gouvernements ont r sist la tentation lt est aujourd hui difficile de d fendre l ouverture des march s tant donn les circonstances les 47 Tall gouvernements et les organisations comme doivent s employer plus activement communiquer sur l int r t du commerce gt Otaviano Canuto ajoute que l int gration sociale est l objectif ultime des politiques visant favoriser les changes la croissance et la r duction de la pauvret Il affirme quil importe de distinguer les chocs conomiques passagers de ceux qui durent car ils appellent des r ponses diff rentes de la part des pouvoirs publics Face un choc conomique qui dure comme celui que nous connaissons la priorit doit tre donn e la protection des travailleurs et non pas la protection des emplois Simon Crean soutient que si lAustralie s est mieux tir e de la r cession que de nombreux autres pays c est notamment parce que le gouvernement a mis en ceuvre un plan de relance budg taire afin d encourager l investissement dans les infrastructures physiques sociales innovation et comp tences et la consommation Autre facteur important l Australie avait d j ouvert ses march s et renforc sa comp titivit par des r formes labor es en concertation avec tou
12. pourrait r volutionner le paysage nerg tique comme il l a t dans les ann es 70 par l nergie nucl aire M Birol donne d autres arguments en faveur des nergies renouvelables lt est frappant de constater que la quantit d lectricit consomm e par la vile de New York qui compte 8 millions d habitants est quivalente cele que consomme la population enti re de Afrique subsaharienne 800 millions d habitants fait il observer besoins du 1 5 milliard de personnes qui n ont Couvrir les pas acces l lectricit est un d fi qui pourrait tre relev gr ce aux nergies renouvelables sans lesquelles la pollution locale d passerait les limites acceptables De plus la production de ces nergies est nationale et prot ge l conomie des variations du prix du p trole et elle pourrait m me viter des crises futures dues l instabilit politique B www oecd org croissanceverte _ 14 O OCDE 2010 Te T 5 gt o o x S ul Italian Trade Commission The Italian Trade Commission I C E Istituto nazionale per il Commercio Estero supports internationalisation of Italian firms and their consolidation in foreign markets provides information and assistance to those foreign companies that wish to develop business or investments with their Italian counterpart carries outan intense training activity for Italian and fo
13. At the University of Sydney we give our innovators the respect they deserve That s why the University is home to some oT the brightest minds in Australia and is a national leader competitive research funding At an International level we are gl established among the world s top 40 universities and are involved in worldwide university networks and research collaborations We are committed to innovative and focused partnerships with leading universities government industry and international lee leading to excellence in research teaching and tha development ol solutions to real world problems Find more information at snl m mn sis OU Commerce emploi et innovation Mod rateur Soumitra Dutta Directeur des relations ext rieures INSEAD France Intervenants Ken Ash Directeur changes et agriculture OCDE Sharan Burrow Pr sidente Conf d ration syndicale internationale Otaviano Canuto Vice pr sident R seau pour la r duction de la pauvret et la gestion conomique Banque mondiale Simon Crean Ministre du Commerce Australie Pascal Lamy Directeur g n ral Organisation mondiale du commerce OMC Borut Pahor Premier Ministre Slov nie Soumitra Dutta voit dans cette s ance l occasion d approfondir l analyse de ces questions qui ont d j t abord es lors des sessions pr c dentes par l examen des liens qui les unissent et des prochaines mesures prendre po
14. M Vittori demande ensuite aux participants de pr ciser le type de changements attendre de cette conomie plus verte Mme Knuppert souligne que le probl me est celui de l employabilit De nouveaux emplois seront cr s des emplois anciens seront cologis s et dans les deux cas il faudra une main d ceuvre flexible et adaptable De lourds investissements seront n cessaires d clare M Martin surtout dans le secteur de la technologie M Boulte ajoute que l tat doit fournir les outils n cessaires pour garantir une red finition des qualifications et une adaptation des comp tences aux emplois Lorsque M Vittori publics peuvent pr parer les populations demande comment les pouvoirs cette r volution Mme Knuppert souligne l importance du dialogue social Miroslav H jek Miroslav H jek estime que le financement public ne doit pas tre le seul moyen de soutenir l emploi vert citant l exemple de l Organisation ISO qui aide les entreprises r duire les d chets dans internationale de normalisation l utilisation de combustibles fossiles comme source d nergie la question de savoir comment les pouvoirs publics pourraient laborer des politiques et des r glementations de nature faciliter le changement M Martin r pond que la premi re mesure prendre est de faire payer le carbone ce qui peut se faire de diverses manieres La seconde mesure serait de se tourner vers ceux
15. Mme Romer Toutefois une compression budg taire imm diate aurait in vitablement pour effet de tuer la reprise conomique dans l eeuf D s lors il faut prendre maintenant des mesures concretes gt qui permettront de r duire le d ficit progressivement et de freiner l augmentation des programmes de d penses obligatoires tout en retardant les principales mesures d aust rit court terme Elle donne l exemple du principe de neutralit des d penses nouvelles gt adopt par le Congr s pour veiller ce que le d ficit ne s aggrave pas Elle voque aussi l expiration des r ductions d imp ts d cid es en 2001 et 2003 en faveur des contribuables hauts revenus La loi historique portant sur la r forme de l assurance maladie promulgu e en f vrier tend l assurance sant des millions d am ricains et devrait ainsi permettre de r duire le d ficit de plus d un milliard de dollars sur les deux prochaines d cennies Elle rappelle l auditoire que pour parvenir un consensus et mettre en ceuvre les dispositions qu impose la ma trise du d ficit il faudra prendre des d cisions difficiles et des mesures impopulaires Lorsque M Gurr a demande Mme Romer si d autres pays pourraient se permettre d assainir leur budget ce rythme elle observe que la situation nationale varie d un pays l autre Les pays qui sont confront s des contraintes financi res court terme n ont gu re d autre cho
16. de globalit march et monnaie elle doit maintenant en adopter de nouveaux propri t int grit et transparence Un certain nombre de participants s interrogent sur les perspectives plus optimistes qui sont pr sent es et doutent que le monde ait repris son cours normal avec une r forme tr s limit e des r gles et des institutions M Gurr a r pond que ces pr occupations ne sont pas confirm es par les faits soulignant la restructuration du pouvoir de vote la Banque mondiale et au FMI et I engagement renforc gt de l OCDE vis vis de lAfrique du Sud du Br sil de la Chine de l Inde et de l Indon sie ainsi que sa politique de participation active en Afrique comme exemples concrets d volution positive M Tremonti fait valoir que ce que nous observons aujourd hui est tout fait exceptionnel et que cela exige une modification des mod les de base et des hypoth ses sous jacentes dans le syst me Le monde est la crois e des chemins de l histoire M Tremonti pense aussi qu il y un enseignement clair tirer de la crise Le message de cette crise est que la dette est dangereuse qu il s agisse de la dette publique ou de la dette priv e Un pays qui a une norme dette publique mais aussi une norme pargne priv e se trouve dans une position fort diff rente de celle d un pays qui a une norme dette publique et une norme dette priv e gt IB _ L
17. emissions Creating Information Systems that assist in ensuring more efficient management of existing infrastructures Establishing New Horizons for development and innovation To this end we invest in Research Development and Innovation R amp D amp I Globally extend the technologies with the greatest potential and attract and develop the necessary Talent Moreover through the Focus Abengoa Foundation we dedicate human and economic resources to promoting social action policies that contribute to social and human progress By doing this we create Long Term Value for our shareholders contribute to the development of society in the areas in which we conduct our activities and help to make the globe a better and more sustainable place for future generations www abengoa com Innovative Solutions for Sustainable Development 10 O OCDE 2010 1509001 15014001 and OHS5A518001 certified But what really matters to us is and OCDE 2010 Croissance verte et nergie Mod rateur Peter Kemp Directeur de r daction Energy Intelligence Royaume Uni Intervenants Fatih Birol conomiste en chef Agence internationale de l nergie Luiz Carlos Corr a Carvalho Consultant FGV Projetos Funda o Getulio Vargas Br sil Jos Dom nguez Abascal Directeur technique Abengoa Espagne Nobuaki Koga Pr sident Conf d ration syndicale japonaise RENGO Goran Lundgren Vice pr sident
18. gime mondial des pr cipitations ce qui p se un peu plus encore sur les ressources en eau Les autorit s doivent trouver des accords avec l ensemble des partis afin que l industrie et l agriculture sachent dans quelles directions voluent des r gles du jeu aujourd hui et demain Il ajoute qu il est favorable une taxe sur le carbone afin d encourager l utilisation des combustibles de remplacement John J Harris Pour Andrew Seidl sila biodiversit paie la biodiversit reste Les valeurs de la biodiversit doivent tre mesur es pour mettre en vidence les possibilit s et les failles entre les prestataires de services de l cosyst me et les b n ficiaires La valeur marchande de nombreuses choses qui nous sont ch res est nulle gt observe t il L valuation tablit un pont entre les valeurs cologiques et conomiques Pour prot ger les cosyst mes il faudrait que chacun assigne une valeur ce que ces syst mes lui apportent puis essale de prendre des d cisions clair es sur l utilisation de ces apports L action publique doit permettre aux b n ficiaires ext rieurs de r compenser la protection de l cosyst me local par le biais de paiments pour la biodiversit de certifications des banques de la technologie de l information et d autres instruments En g n ral D nous pensons que la carotte marche mieux car de nombreux berceaux de la biodiversit sont auss
19. il faut contraindre les pays respecter les normes d environnement par exemple celles qui r gissent l am nagement forestier durable En conclusion il recommande des mesures qui favorisent la constitution de groupes l appui de la gestion des for ts et qui en fassent un p le de l conomie locale Pour donner un exemple de lt progr s r el gt dans la protection concr te des ressources rares Pascal Husting cite l accord r cemment sign par la Norv ge et l Indon sie pour imposer un moratoire sur la d forestation reproche l Europe de n avoir aucun projet politique dans le domaine des ressources rares recommande de lt r veiller le civisme gt et d instaurer de nouveaux rapports entre les autorit s publiques et leurs lecteurs afin de presser les responsables politiques d agir en faveur de la conservation des ressources Thomas Kaissl pense que la plan te vit en situation de d passement cologique absolu Il fait valoir que notre systeme conomique actuel n est pas viable mais que l on n a pas encore pris conscience de l urgence du besoin de empreinte cologique mais ce n tait pas assez pour faire voluer l ensemble des march s Il a toutefois constat que lorsque l initiative d un partenariat pour la conservation venait des plus grosses entreprises d un secteur elle ouvrait la voie la conservation des ressources dans l ensemble du secteur Ahmed Lahlimi Alami d
20. le d veloppement des savoir faire et des comp tences et la formation Cela permettra aux travailleurs d tre bien arm s pour leurs futurs emplois notamment ceux qui r sultent du passage une conomie du savoir et faibles missions de carbone ainsi que de l expansion des secteurs de la sant et de la protection sociale Nous nous f licitons de l accent mis par la Strat gie pour l innovation et par la Strat gie pour une croissance verte sur les dimensions touchant au capital humain et ses comp tences et nous pensons la lumi re de l expertise pluridisciplinaire de l OCDE que cela constituera une bonne base pour de nouveaux travaux de l Organisation ad Nous saluons le travail pr cieux de l OCDE sur l emploi et sa contribution permanente et sans quivalent la coop ration avec des organisations concern es comme OIT Nous attendons les nouveaux travaux de l OCDE sur la question pressante de l emploi des jeunes car il faut adopter des mesures pour aider les jeunes prendre solidement pied sur le march du travail notamment en am liorant leurs comp tences et partant leurs perspectives de carri re Nous attendons galement d autres travaux de l Organisation notamment des propositions de solutions pour accroitre les opportunit s conomiques offertes aux femmes et am liorer l quit entre les sexes R formes structurelles Nous r affirmons notre volont de mettre en uvre des
21. plore que les pays en d veloppement subissent les cons quences d une crise provoqu e par les pays riches le cr dit tant devenu cher Il pr voit que les manquements aux normes d environnement augmenteront car les nouvelles technologies qui contribuent pr server les ressources n cessitent des investissements alors que les moyens de financement servent d sormais att nuer la crise dans les pays riches Bl changement Son organisation tait parvenue conclure un accord juridiquement contraignant avec certaines entreprises en vue de r duire leur Lecture compl mentaire Gestion durable des ressources en eau dans le secteur agricole Gestion durable des ressources en eau dans le secteur agricole L agriculture est le principal utilisateur d eau dans la plupart des pays Ce secteur est galement confront l norme d fi d augmenter la production de produits alimentaires de presque 50 96 d ici 2030 et de la faire doubler d ici 2050 Ceci devra probablement tre r alis en consommant moins d eau principalement en raison des pressions croissantes r sultant de l urbanisation de l industrialisation et du changement climatique Dans ce contexte il est important qu l avenir les agriculteurs re oivent les bons signaux pour augmenter l efficacit de l utilisation de l eau et am liorer sa gestion usage agricole tout en pr servant les cosyst mes aquatiques Ce rapport incite les responsables de l
22. r e emp chera le fort ch mage conjoncturel actuel de devenir structurel Elle cite alors un certain nombre de mesures budg taires responsables qui peuvent faire la diff rence entre une reprise molle et une reprise vigoureuse La premi re mesure qu elle met en vidence est la HIRE Act loi qui pr voit des incitations fiscales pour que les entreprises embauchent des ch meurs et de facon durable Cette loi contient aussi des dispositions visant stimuler les d penses d infrastructure Autre type tr s voisin de relance cibl e la prolongation des prestations d assurance ch mage d urgence Troisieme mesure cibl e l apport de ressources financi res aux petites banques afin de favoriser les pr ts aux petites l effort continu visant ouvrir les march s aux produits des tats Unis entreprises Quatri me action cibl e Mme Romer fait observer que les aides publiques ne sont pas illimit es toute action compl mentaire devra tenir compte de la situation budg taire des tats Unis Or comme de nombreux autres pays les tats Unis ne sont pas sur une trajectoire budg taire viable Il s agit donc de parvenir concilier la n cessit de traiter les probl mes budg taires long terme et la n cessit de poursuivre l aide une conomie qui a encore besoin d une demande globale plus forte Le moyen judicieux de s attaquer au d ficit courant et pr vu c est un plan cr dible indique
23. r formes structurelles pour largir notre potentiel de croissance r gler des probl mes comme l assainissement budg taire le ch mage le vieillissement d mographique et les in galit s ainsi que pour renforcer notre capacit de r sistance face des chocs futurs cet gard nous reconnaissons l avantage comparatif des travaux de l OCDE consacr s aux politiques structurelles De plus alors que la reprise de l conomie mondiale poursuit les d s quilibres internationaux risquent de se creuser Nous sommes convaincus que la promotion de r formes des march s des produits du travail et des capitaux dans les conomies Membres et non Membres de l OCDE ainsi que l adoption de mesures macro conomiques judicieuses contribueront en fin de compte l instauration d une croissance mondiale plus quilibr e Sources de croissance Croissance verte La croissance verte suscite une adh sion dans les diff rents pays en tant que paradigme apportant la croissance conomique et le d veloppement tout en relevant des d fis environnementaux comme le changement climatique la perte de biodiversit et le gaspillage des ressources naturelles Nous soulignons l importance d une acc l ration de notre passage une croissance verte par des mesures conomiquement efficientes en tenant d ment compte des changements structurels tout au long de la transition et en veillant la n cessaire coh rence des politiques No
24. rable En moyenne le taux de rotation des actifs g r s par les Fonds communs de placement FCP qui sont activement n goci s donc non fond s sur des indices ressort 200 96 ce qui donne penser que les entreprises am ricaines n appartiennent plus personne Dans le m me temps elle d clare que l UE a fortement h sit faire talage de sa puissance financi re Concernant les attentes suscit es par le mod le d entreprise thique elle laisse entendre que la crise r cente a eu pour effet d teindre toute lueur d espoir dans les esprits et que la question est d sormais de savoir comment faire changer les mentalit s Et d ajouter que si la finance dessert les objectifs que sont la dignit humaine et le d veloppement durable les pouvoirs publics et la soci t civile ne parviendront pas ramener la confiance O OCDE 2010 Anne Catherine Husson Traor Agnes Jongerius propose d inscrire le d bat dans une perspective lt travailleur citoyen et souligne que les mouvements syndicaux devraient tre davantage associ s l laboration des programmes de responsabilit sociale des entreprises Tout en constatant que le secteur priv a commenc travers diff rentes mesures satisfaisantes s acheter une conduite gt vis vis du public elle reconna t que de nombreux syndicats ont eu le sentiment d tre tenus l cart du processus La solution pourrait consister
25. ral adjoint Caisse des D p ts et Consignations France Dawn Graham Pr sidente EUCan Il MSD Edward F Greene discutant Associ Cleary Gottlieb Steen amp Hamilton LLP tats Unis Tim Groser Ministre du Commerce Nouvelle Z lande Miroslav H jek Vice ministre Directeur g n ral Minist re de l Environnement R publique tch que Bob Harris Conseiller principal aupr s du Secr taire g n ral Internationale de l ducation John J Harris PDG Nestl Waters Brian Hoskins Directeur Institut Grantham pour le changement climatique Royaume Uni Anne Catherine Husson Traor Directrice g n rale Novethic France Pascal Husting discutant Directeur ex cutif Greenpeace France Barbara Ischinger Directrice ducation OCDE O OCDE 2010 Agnes Jongerius Pr sidente Pays Bas Thomas Kaissl discutant Responsable du programme Economie verte WWF International Anatole Kaletsky Journaliste conomique The Times Royaume Uni Mikael Karlsson Pr sident Bureau europ en de l environnement Peter Kemp Directeur de r daction Energy Intelligence Royaume Uni Marie Louise Knuppert Secr taire conf d rale Conf d ration syndicale danoise Nobuaki Koga Pr sident Conf d ration syndicale japonaise RENGO Ahmed Lahlimi Alami discutant Haut commisssaire au Plan Maroc Pascal Lamy Directeur g n ral OMC G ran Lundgren Vice pr sident D veloppement comme
26. suffisante pour satisfaire les besoins en nergie O OCDE 2010 ER TEN wth Luiz Carlos Corr a Carvalho et Jos Dom nguez Abascal Fatih Birol OCDE 2010 du Royaume Uni M Corr a Carvalho encourage les responsables gouvernementaux offrir un cadre de soutien cette technologie et en acc l rer la mise en uvre Jos Dominguez Abascal fait observer que pour la premi re fois dans l histoire monde reconnait que le probl me environnemental exige une solution mondiale Faire payer pour le carbone est la garantie d un avenir sobre en carbone Le prix de l nergie photovolta que panneaux solaires et de l nergie thermo lectrique solaire baisse dit il deuxi me g n ration se d veloppent notablement Les biocarburants de Le probl me complexe de l nergie ne sera pas r solu par un seul d cideur Nobuaki Koga rappelle aux participants qu il faut prendre en compte toutes les parties prenantes Il indique aussi que les d cisions d pendent grandement du cadre temporel Les d cisions strat giques doivent tre prises compte tenu de leur impact sur la main d ceuvre et sur l conomie des risques environnementaux et de l acceptation par la soci t souligne l importance du dialogue social IIn existe pas de solution unique pour tous Tous lesinstruments de l orchestre doivent contribuer Anatoly Moskalenko au concert d clare G ran L
27. 0 ont chou imposer des normes internationales contraignantes aucun pays n tant dispos renoncer sa souverainet au b n fice de la r glementation financi re Les organisations comme l OCDE ou le FMI ont eu des difficult s cerner les contours de leur action Selon M Greene la crise r cente a montr que les march s sont interd pendants et par cons quent qu il y a lieu de d finir des normes mondiales et non nationales Les modifications qui seront apport es la r glementation pourraient n tre qu un coup de poker notamment parce que les nouvelles r gles de la finance seront dict es par ceux l m mes qui avaient concu hier un syst me d faillant M Greene pr conise donc d am liorer le fonctionnement des autorit s de contr le ainsi que la r glementation Il reste convaincu que Nicolas Arpagian les actionnaires n ont que peu d influence sur les entreprises et rappelle qu ils ne sont gu re parvenus faire voluer les choses lorsqu ils ont t invit s se prononcer sur la r mun ration des administrateurs En r action Mme Domini fait remarquer que voil 15 ans il aurait t impossible de d terminer avec exactitude quelles entreprises b n ficiaient d un recours des ateliers clandestins Depuis cependant la pression exerc e par les actionnaires a contraint les entreprises communiquer les informations n cessaires aux investisseurs pour mieux discerner celles qui
28. E e e Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE Pier Carlo Padoan Secr taire o n ral adjoint et Chef conomiste OCDE Angel Gurr a et Pier Carlo Padoan pr sentent la derni re dition des Perspectives ZE raffermissement de la reprise mais un rythme conomiques qui pr voit un modeste Selon le sc nario de r f rence la croissance atteindra 2 75 96 dans la zone OCDE en 2010 et 2011 la reprise tant plus marqu e au Japon etaux tats Unis qu en Europe Bien que le ch mage ait moins augment que pr vu il reste lev et ne devrait d croitre que lentement Pour am liorer la situation conomique g n rale et faire baisser le ch mage l OCDE appelle de ses voeux une coop ration internationale en faveur de r formes structurelles autour de trois De gauche droite Pier Carlo Padoan et Angel Gurr a gt A d Ti KA Du i 0 Ge So d or axes r duction des d s quilibres mondiaux exploitation de nouvelles sources de croissance et r sorption de la dette publique Au cours du d bat g n ral un journaliste demande si les pr visions tiennent compte de la faiblesse actuelle de l euro M Padoan r pond que l OCDE a bien tenu compte de la baisse r cente de l euro mais qu il est difficile de d terminer dans quelle mesure il pourrait continuer s affaiblir l avenir Il est possible que sa d pr ciation se poursuivre auquel cas la croissance
29. EPTION GRAPHIQUE ditions de l OCDE IMPRESSION ditions de l OCDE Les demandes de reproduction ou de traduction totales ou partielles des articles doivent tre adress es Directeur des ditions de l OCDE 2 rue Andr Pascal 75775 Paris Cedex 16 France Les articles reproduits ou traduits doivent tre accompagn s de la mention Reproduit ou traduit du magazine Coup de projecteur sur le Forum 2010 de l OCDE La r daction n est pas tenue de retourner les manuscrits non sollicit s OCDE 2010 Table des mati res Message d Angel Gurr a u uuu a 2 Secr taire g n ral OCDE E Session d ouverture innovation emploi amp croissance salne 4 I Perspectives conomiques de l OCDE 6 D bat sur les Perspectives conomiques comment viter une reprise sans emploi JA 8 Ee iubar 12 E go cig eee at oe et 16 cem lis T m 20 E Y 22 Conclusions de la R union du Conseil de l OCDE au niveau des ministres 2010 26 OR 32 M thique d entreprise restaurer la confiance 34 _ Session sp ciale emploi eb6rolssall Ge a 36 i On i dn 38 potentie S Lu u 42 Le Q o pc 46 E O rce durables Tode d EE 50 Liste des intervenants 54 Vers la r
30. Habip Asan Dawn Graham Juan Carlos Romero Hicks Luca de Biase Martin Schuurmans Gabriel Solomon et Andrew Wyckoff la reprise e eee B 422 zn 2 one E e eri APRI i rangig ti E d Cut O OCDE 2010 Gabriel Solomon n cessaire gt d clare t il Cependant l innovation ne doit pas d pendre seulement des incitations publiques fait faut parfois que les pouvoirs publics lt restent l cart gt Un large ventail d acteurs doit intervenir pour cr er un lt cosyst me d innovation gt Des acteurs philanthropiques par exemple doivent aussi se joindre leurs efforts lt Ils jouent un r le int ressant de tierce partie gt qui diff re de celui des gouvernements ou du secteur priv En tant que telle l innovation pourrait tre ax e sur la recherche de solutions des probl mes sociaux et pas seulement sur la r alisation de b n fices Martin Schuurmans indique qu en Europe la pens e consensuelle ne cadre pas avec l innovation En Europe nous pr f rons le contr le la recherche d un quilibre entre le contr le et le risque qui nous permettrait d aller de l avant Des pays comme la Chine et les tats Unis arrivent mieux cr er un climat propice l entrepreneuriat que l Europe qui selon lui est incapable de d velopper l esprit d entreprise au niveau postse
31. La Chine est bien plus subtile et nuanc e et dot e de multiples organisations hybrides dignes d int r t nous serions bien inspir s de tirer les enseignements de son exp rience Enfin M Tormey se d clare surpris par l absence de forces d opposition au capitalisme 33 Cd EI thique des affaires ramener la confiance Mod rateur Nicolas Arpagian R dacteur en chef Prospective Strat gique Centre d tude et de Prospective Strat gique CEPS France Intervenants Amy Domini Fondatrice et Directrice g n rale Domini Social Investments tats Unis Anne Catherine Husson Traor Directrice g n rale Novethic France Agnes Jongerius Pr sidente de la Conf d ration syndicale des Pays Bas Federatie Nederlandse Vakbeweging FNV Discutants Carla Coletti Directrice Commerce emploi et d veloppement F d ration internationale des organisations de travailleurs de la m tallurgie Edward F Greene Associ Cleary Gottlieb Steen amp Hamilton LLP tats Unis Roland Schatz Fondateur et Directeur g n ral Media Tenor International Suisse Les repr sentants des syndicats et du secteur priv analysent en quoi l thique des affaires pourrait contribuer redonner confiance au public dans les institutions financi res et les Amy Domini ZEE 34 entreprises En d pit de divergences de vues sur les racines de la crise actuelle chaque camp en pr sence s accorde penser
32. Vers la reprise Innovation emploi et croissance Coup de projecteur Forum de 2010 R union du conseil de l OCDE au niveau des ministres La Semaine de POCDE 26 27 28 Mai 2010 Paris www oecd org forum2010 fr www oecd org mcm2010 fr OCDE ocde L bservate f SPONSOR PRIVILEGIE haih LONG TERM INVESTORS SPONSORS UM LUKOIL MSD Be well SUPPORTERS AVEC LE SOUTIEN DE ITALIA Nestle Italian Trade Commission Good Food Good Life OCDE 2010 Tel 33 0 1 45 24 82 00 Fax 33 0 1 44 30 63 46 sales oecd org Publi en fran ais et en anglais par l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques LES EDITIONS DE l OCDE 2 rue Andr Pascal 75775 Paris cedex 16 France www oecd org DIRECTEUR DU FORUM DE LOCDE Anthony Gooch RESPONSABLE DU FORUM DE Willemien Bax REDACTEURS EN CHEF Rory Clarke Ricardo Tejada ASSISTANTS EDITORIAUX Claire Berthier Christine Clement Andrew Gentry Emilie Goux Sue Kendall Bilicki Grainne Mooney REDACTEURS Clarisse Douaud Brian McGarry llan Moss Michael Sykes Lyndon Thompson et les tudiants de HEC Paris MISE EN PAGE Vif Argent COORDINATRICE DE LA PRODUCTION milie Goux DITEUR PHOTO Luisa Constanza ASSISTANT DITEUR PHOTO Michael Dean PHOTOGRAPHES Herv Cortinat Benjamin Renout Victor Tonelli VERSION INTERNET milie Goux CHEF DES DITIONS DE L OCDE Toby Green LOGO ET CONC
33. an MSD Merck Sharp amp Dohme Chibret Juan Carlos Romero Hicks Directeur g n ral Conseil national de la science et de la technologie Mexique Martin Schuurmans Pr sident Institut europ en de l innovation et de la technologie EIT Gabriel Solomon Vice pr sident principal Politiques publiques GSMA Andrew Wyckoff Directeur Science technologie et industrie OCDE Les participants se montrent g n ralement enthousiastes quant l avenir de l innovation mais ils pensent que des politiques plus flexibles en renforceraient l impact potentiel Les intervenants sont d accord sur la n cessit de stimuler la culture de l innovation et de simplifier les proc dures r glementaires Le d bat coincide avec la publication de la Strat gie de l innovation de l OCDE qui examine le r le potentiel de l innovation pour la cr ation de nouveaux types d industries d entreprises et d emplois Au cours du d bat Andrew Wyckoff appelle les pouvoirs publics encourager l innovation dans une optique allant au del des programmes de recherche d veloppement Il sugg re de modifier les programmes d enseignement primaire et secondaire pour mettre l accent sur l innovation et l entrepreneuriat Le r le des autorit s publiques ajoute t il est aussi de faciliter la cr ation de conditions propices l innovation L tat peut user de ses propres pouvoirs pour montrer l o l innovation est De gauche droite
34. condaire Selon M Schuurmans l Europe a besoin de nouvelles forces motrices dans ce domaine est indispensable de mettre en place un leadership gt Il insiste aussi sur la n cessit de simplifier les proc dures En Europe on consacre norm ment d argent l innovation mais il faudrait en allouer une plus grande partie la maximisation de l impact des r sultats Cela OCDE 2010 Dawn Graham am liorerait la comp titivit du continent En r alit la pi ce se joue principalement en Chine et en Inde constate t il Selon Dawn Graham l innovation est Vitale pour l industrie pharmaceutique La mise au point de nouveaux m dicaments est un processus de recherche tr s long tr s co teux et haut risque gt l issue duquel une mol cule seulement sur 10 000 atteint le march Une foule de m dicaments innovants sont apparus lors des 60 derni res ann es ce qui a aid pr venir la morbidit et retarder la mortalit pour des millions de patients lt l reste cependant beaucoup faire et nous devons continuer d innover d clare t elle voquant la vague de maladies qui s vissent partout dans le monde comme la maladie d Alzheimer le cancer et les maladies mentales L action publique a pour r le essentiel d acc l rer la mise disposition des traitements pour les malades Apr s des ann es de d veloppement clinique une fois qu un produit innovant existe il appart
35. coup sur l importance des comp tences et d un passage r ussi de l enseignement au march du travail pour assurer un pays le retour sur investissement dans la formation rappelle l auditoire que la recherche infructueuse d un premier emploi augmente la probabilit de rester longtemps au ch mage ou de devoir se contenter d un faible revenu demande l avis des experts sur trois sujets pr cis Le premier a trait aux programmes d apprentissage Comment s assurer que les entreprises s en servent pour donner aux jeunes gens une chance r elle et des qualifications reconnues Comment s assurer que ces programmes s appliquent des secteurs de nouveaux emplois seront cr s Le deuxi me sujet porte sur la formation 392 S A0 professionnelle qui n atteint pas ses objectifs et il demande aux experts ce que l on pourrait faire pour adapter les programmes d enseignement aux r alit s du march Sa derni re question a trait l exp rience professionnelle acquise en cours de formation demande ce que l on pourrait faire pour l encourager Anna Thomas partage l id e d encourager l esprit d entreprise mais elle insiste sur l importance d investir dans l enseignement de base Elle rappelle qu l chelle de la plan te une femme sur quatre ne peut pas lire une phrase l mentaire Elle propose trois moyens de trouver des ressources pour financer l enseignement dans les pays en d veloppement
36. d terminant pour la reprise au sortir de la crise et pour le d veloppement conomique en g n ral Nous relevons en outre l importance de l investissement en tant que puissant moteur des flux d change et des cr ations d emploi et nous appelons porter plus d attention sa contribution l largissement de la croissance 20 CRI E lt conomique et du d veloppement Nous saluons la contribution centrale de l OCDE la promotion des pratiques exemplaires en mati re d investissement international et ses travaux analytiques sur les r gles en mati re d investissement Ces travaux doivent se poursuivre et s intensifier gr ce une plus grande collaboration avec d autres institutions Nous nous f licitons du lancement officiel de la mise jour des Principes directeurs de l OCDE l intention des entreprises multinationales et prenons note de leur contribution importante la conduite responsable des entreprises et ainsi au large soutien apport par le corps social l ouverture des march s Mesurer les progr s de la soci t tant donn la n cessit de promouvoir une croissance durable et quilibr e nous entendons b n ficier de m thodes de mesure qui tiennent compte des dimensions sociales et environnementales du d veloppement conomique Nous invitons l OCDE proposer de nouveaux travaux sur cette question importante afin de mieux lier le programme de mesure aux besoins des d cide
37. davantage de progr s reste accomplir en mati re de r glementation et de surveillance des march s de capitaux Nous nous f licitons des mesures nergiques qui ont t prises pour pr server la stabilit financi re en Europe ainsi que de la d cision de renforcer la gouvernance conomique Nous poursuivrons nos efforts pour faciliter la reprise par des mesures appropri es jusqu ce qu une croissance durable de la demande priv e se soit install e Parall lement il convient de minimiser les risques et les probl mes inh rents un maintien des mesures de soutien au del de ce qui est n cessaire Nous allons laborer et faire conna tre des strat gies de sortie tenant compte de la situation des diff rents pays et une fois que la reprise sera assur e nous les mettrons en ceuvre en tant attentifs leurs retomb es internationales Les pays qui en ont la capacit devraient d velopper leurs sources internes de croissance Cela contribuerait amortir un recul de la demande de la part de pays qui doivent stimuler leur pargne et r duire leurs d ficits budg taires En outre pour assurer l ancrage de la reprise et r ussir la transition vers une croissance durable 1 Ministres et Repr sentants de l Allemagne de l Australie de l Autriche de la Belgique du Canada du Chili de la Cor e du Danemark de l Espagne de l Estonie des tats Unis de la F d ration de Russie de la Finlande de la France
38. de la Gr ce de la Hongrie de l Irlande de l Islande d Isra l de l Italie du Japon du Luxembourg du Mexique de la Norv ge de la Nouvelle Z lande des Pays Bas de la Pologne du Portugal de la R publique slovaque de la R publique tch que du Royaume Uni de la Slov nie de la Su de de la Suisse et de la Turquie et de l Union europ enne EN 26 OCDE 2010 et quilibr e il faudra recourir de nouvelles politiques et strat gies en particulier pour mettre en ceuvre des r formes structurelles permettant de renforcer la comp titivit et exploiter de nouvelles sources de croissance Nous saluons le travail accompli par l OCDE pour nous aider dans ces d marches et nous l encourageons continuer de formuler des analyses et recommandations strat giques pertinentes notamment au moyen de ses examens par les pairs sur les questions macro conomiques et structurelles et leurs interactions cet gard nous nous f licitons du document sur les Orientations strat giques du Secr taire g n ral dans lequel il rappelle les d fis et les r alisations de l an dernier et qui nonce sa strat gie de renforcement de l impact de l OCDE Assainissement budg taire Les positions budg taires de la plupart des pays de l OCDE se sont sensiblement d t rior es sous l effet de la crise elles sont en proie des tensions croissantes li es au vieillissement d mographique et il convient de les ramener sur une t
39. de la production sera probablement plus forte que pr vu pier Cari PRIORA Un autre journaliste souhaite savoir si l OCDE entend jouer un r le important de supervision du processus d assainissement des finances publiques M Gurr a souligne que l OCDE coop re d j avec ses pays membres sur les questions budg taires La situation budg taire de d part varie d un pays l autre et le rythme d assainissement ne sera donc pas le m me partout Toutefois le processus doit tre coordonn car si tous les pays m nent une politique restrictive au m me moment l conomie risque de retomber en r cession Ce rapport fait r f rence des pr visions publi es en mai 2010 Pour les derni res pr visions www oecd org economie O OCDE 2010 FUNDAGAO GETULIO VARGAS Fundacao Getulio Vargas Excellence Credibility and Innovation e Founded in 1944 with the purpose of promoting economic and social development in Brazil Getulio Vargas has played a remarkable role in the country s history e Having developed the country s key economic indicators FGV is a reference of excellence in Administration Economics Documentation Historical Research and Law e FGV invests in and fosters academic research thus yielding relevant academic production acknowledged both in Brazil and internationally First institution in Latin America to offer undergraduate courses in Public Administration and Business Adm
40. dorff l ensemble du territoire europ en n est pas encore devenu r alit Martin Tlapa se demande si l examen des perspectives de croissance future n est pas excessivement focalis sur la question du financement Selon lui la comp titivit est le principal probl me de l Europe Il appelle donc de ses vceux un renforcement de l int gration europ enne en un march unique tous secteurs confondus avec davantage de concurrence au del des fronti res Un autre participant soul ve la question de l impact des activit s commerciales ill gales et de la fraude fiscale et fait observer qu elles peuvent tre tr s pr judiciables aux bases d imposition des diff rents pays Mme Akpofure convient que ces activit s repr sentent un grave probl me pour les conomies en d veloppement en les privant de recettes fiscales qui leur sont indispensables Des solutions existent notamment la simplification des syst mes administratifs et la r duction des co ts de discipline qui rendraient les activit s ill gales moins attractives Citant l exemple du Plan Marshall en Europe apr s la guerre un participant se demande si les pouvoirs publics ne pourraient pas intervenir plus directement pour canaliser l investissement vers les secteurs de l conomie les plus productifs Mme Ervin fait observer que le Plan Marshall reposait autant sur la coop ration que sur l apport de fonds et qu il est n cessaire de b tir un cadre d act
41. e Carolyn Ervin Directrice Affaires financieres et entreprises OCDE Gao Xiging Pr sident et Directeur de l investissement China Investment Corporation H publique populaire de Chine John Monks Secr taire g n ral Conf d ration europ enne des syndicats CES Alessandro Profumo Directeur g n ral Unicredit Group Italie Discutants Akpofure Repr sentante sp ciale pour l Europe Soci t financiere internationale SFI Martin Tlapa Vice ministre Minist re du Commerce et de l Industrie R publique tch que Peter Waldorff Secr taire g n ral Internationale des services publiques En guise d introduction Larry Elliot souligne les nouveaux d fis que doivent relever les pouvoirs publics l heure o l conomie mondiale sort de la crise financi re La question de la dette publique a pris le pas sur celle de la dette priv e Alors que les tats engagent des programmes de restrictions budg taires il est De gauche droite John Monks et Alessandro Profumo EN 20 n cessaire de r tablir la confiance dans le syst me financier afin d encourager l investissement priv John Monks r sume les conomiques qui ont soutenu le d veloppement politiques au cours des vingt derni res ann es y compris la transition vers un syst me plus lib ral Bien que ce syst me ait permis des phases de croissance conomique rapide il a galement t marqu par plusieurs p riodes de r cess
42. e Robert Skidelsky Membre de la Chambre des Lords Royaume Uni La croissance conomique est de retour mais peine s affirmer et des inqui tudes demeurent Chris Giles demande aux membres du groupe de commenter les Perspectives conomiques de l OCDE ainsi que la situation actuelle des finances publiques et du march du travail dans leurs pays respectifs Antoine Gosset Grainville convient que les Perspectives conomiques de l OCDE sont encourageantes mais constate de nombreuses incertitudes Les conomies mergentes connaissent une forte progression et dans la zone euro il existe des motifs d optimisme notamment l efficacit des mesures prises De gauche droite Antoine Gosset Grainville Chris Giles Pier Carlo Padoan et Richard Trumka FORUM 2010 innovation emploi amp croissance same Road to Rec Iinhovatuon dons amp Clears pour lutter contre la crise financi re Toutefois cet optimisme est quelque peu occult par la menace d une rechute des march s financiers Un des enjeux du d bat est de faire en sorte que la reprise g n re des emplois Richard Trumka souligne la diff rence entre les statistiques et la vie quotidienne des gens Tant qu un ch meur n a pas retrouv un travail pour lui la reprise reste une fiction Il estime que l analyse de l OCDE concernant les tats Unis est trop optimiste car la reprise y est fragile et plus de la moiti de la croissance am ricaine e
43. e l Internet mobile le prochain grand domaine d innovation dans ce secteur M Solomon demande instamment aux gouvernements de stimuler l innovation dans le domaine des Technologies de l information et de la communication TIC en int grant leur utilisation de facon innovante dans les initiatives de tous les services publics Il ajoute que Lecture compl mentaire l innovation non seulement favorise la croissance conomique mais elle est aussi un facteur positif de progr s social Le d veloppement du microfinancement mobile par exemple dans les pays en d veloppement a permis aux sans banque de mettre le pied l trier de l inclusion Luca de Biase indique que les m dia comme les autres secteurs doivent maintenant innover la crise ayant touch les m dia traditionnels Nous avons l occasion d innover pour r soudre les probl mes que nous avons cr s Ce faisant les m dias pourraient aussi gagner en cr dibilit r clamer de l innovation dans les autres secteurs et mieux rendre compte de ce qui s am liore et de ce qui ne s am liore pas La strat gie ao our lVinnovau ree HOME LME O AWARE La Strat gie de l OCDE pour l innovation Pour prendre une longueur d avance Innover au moment opportun et de mani re cibl e stimule la productivit favorise la croissance conomique et aide r soudre les probl mes de soci t Mais comment les gouv
44. e l attention sur l importance d une l gislation r glementant les op rations offshore et la responsabilit sociale Jeong Shik Shin propose un lt systeme bancaire vert gt pour soutenir les projets nerg tiques tr s rentables et haut risque comme les centrales nucl aires Autrement ces projets pourraient rester confin s aux pays o l tat garantit les pr ts comme la Chine la Cor e ou la France Il explique la strat gie nationale de la Cor e pour une croissance verte qui pr voit d accorder une aide de 100 milliards EUR de 2009 2013 en vue de donner un coup de pouce au nucl aire et aux nergies renouvelables l mentionne aussi le lancement par le gouvernement d un Institut mondial de la croissance verte qui lt diffusera le mod le de croissance verte dans le monde entier et aidera les pays en d veloppement mettre sur pied leur propre programme de croissance verte Cecilia Tortajada demande instamment aux participants de s parer la croissance verte du changement climatique afin ne pas passer c t des possibilit s qu offre la croissance verte Dans certains pays les d cisions relatives Fatih Birol l investissement dans la croissance verte et les sources d nergie plus propres ne semblent pas tenir compte directement des impacts du changement climatique mais seulement des avantages conomiques Compte tenu de la d pendance l gard des combustibles fossiles il est te
45. e que des comparaisons internationales permettraient de cerner les pratiques exemplaires et invite l Europe am liorer la coordination en mati re budg taire C est maintenant ou jamais ajoute t elle Un autre participant s interroge sur l opportunit de r duire progressivement la dette pour viter que les travailleurs soient les seuls en supporter le fardeau M Trumka est d accord et souligne que les responsables politiques devront consacrer autant de moyens recr er des emplois qu sauver les banques car les travailleurs refuseront de subir les cons quences d un probl me dont ils ne sont pas responsables gt Bi Lord Skidelsky E Robert zT ILU www oecd org perspectiveseconomiques 90 rorum 201 n Aa nm rm e U e J Uv LJ L ABENGOA e ES Our Commitment In Abengoa we believe that the globe requires Solutions that allow our development to be more sustainable Scientists tell us that Climate Change is a reality and from Abengoa we believe the time has come to pursue and put these solutions into practice More than ten years ago Abengoa decided to focus its growth on the creation of new technologies that contribute to Sustainable Development by Generating Energy from renewable resources Recycling Industrial Wastes and Water production and management Creating Infrastructures that prevent new investments in assets that generate
46. easing factoring and transaction services Public finance Asset management Financial advisory Angola Brazil Cape Verde z Colombia Let Czech Republic b Hungary Ireland a d Malawi d Mexico Mozambique Peru Poland E A World Portugal Romania of Inspiration S Tom and Pr ncipe Slovakia Spain white com pt D www mota engil pt Pc gb et National Leaders In the civil construction public works port operations waste water and logistics sectors Present in 17 countries We invest in a strategy of growth internationalization and diversification MOTAENGIL Engineering amp Construction Environment amp Services Transport Concessions Three major business areas three areas of Success GROUP 24 OCDE 2010 Des perspectives qui comptent Souscrivez d s maintenant Cr en 1962 un magazine et son site Internet pour vous tenir inform des enjeux conomiques politiques et sociaux L Observateur de l OCDE fournit des analyses concises jour et qui font autorit sur les grandes questions conomiques et sociales travers le monde C est un outil pr cieux qui TT permet aux hommes d affaires aux ONG aux E universitaires et aux journalistes de rester la pointe de l information en mati re politique N 272 Avril 2009 Analyse d experts sur des questions internati
47. efl te les derni res Perspectives conomiques de l OCDE sur les questions d emploi l aspect humain le plus visible de la Kik Jx De gauche droite Angel Gurr a et Christina Romer ECH L i L Ag Dip crise M Gurr a pr sente Mme Romer comme l un des plus importants conomistes de la Grande d pression et l invite exposer sa conception sous forme de feuille de route pour lutter contre les pertes d emplois Mme Romer commence par rappeler la brutalit du choc de la crise aux tats Unis Entre novembre 2008 et mars 2009 l conomie am ricaine a perdu pr s de trois millions d emplois et sur le premier trimestre 2009 le 1 m i Ont T PIB r el a baiss au rythme annualis de 6 4 En r ponse la crise le Gouvernement des Etats Unis a fait adopter l American Recovery and Reinvestment Act la relance budg taire contracyclique la plus massive de l histoire des tats Unis Au deuxi me trimestre 2009 le PIB avait presque cess de baisser puis il a progress r guli rement pendant trois trimestres aujourd hui augment de 2 5 96 par rapport au premier trimestre 2009 Cependant si l conomie nationale am ricaine est en nette Fay VL es m OCDE 2010 Christina Romer am lioration elle rappelle l auditoire que les tats Unis sont loin d un redressement complet et que le taux de ch mage y reste douloureusement
48. elsky quant la moralit d une cr ation de richesse sans limite car ce n est pas r aliste En effet il ne tient pas compte d une part du nombre consid rable de pauvres qui vivent dans les pays d velopp s et de l autre du fait que l ambition et la comp titivit soient des caract ristiques fondamentales du syst me capitaliste M Kaletsky pense que le syst me actuel n a pas autant souffert qu on le croit g n ralement Selon moi les r formes de l conomie de march vont se poursuivre 1 l essentiel de la cr ation de richesse n avait rien d illusoire l endettement tait fonci rement sain la crise n a pas t provoqu e par un d s quilibre profond mais par une d faillance de la r glementation financi re gt Sharan Burrow redoute profond ment que l on revienne deux ans seulement apr s l clatement de la crise des doctrines de l action publique qui ont perdu tout cr dit On a pu www oecd org daf fin fr OCDE 2010 observer les bienfaits de la relance budg taire mais on dit d j que l assainissement des finances publiques atteint un niveau insens les doctrines d hier seront vaines d clare t elle Mme Burrow d plore que le secteur financier ait renou avec ses habitudes d hier et qu on ait fait peu de cas des propositions visant taxer les transactions financi res Je suis outr e qu on en soit encore attendre l tablissement de nouvelles r gles gt
49. ement confiant dans la capacit des entreprises et des consommateurs de se lancer dans le changement L attitude des nouvelles g n rations de consommateurs est fondamentalement diff rente de celle de leurs pr d cesseurs et cela oblige les grandes marques tre l coute de leurs pr occupations De fait selon M Berthon des changements importants et des retournements radicaux du march peuvent se produire beaucoup plus vite qu on ne le croit souvent comme dans le cas du tabac il y a trente ans personne n aurait pu imaginer une salle de conf rence interdite aux fumeurs Mikael Karlsson souligne qu il nous faut aujourd hui consid rer que l environnement a un prix Une strat gie viable pour obtenir un d veloppement durable consisterait mettre fin aux subventions dommageables comme celles offertes dans le cadre de la politique agricole commune de l UE cologiser les politiques en mati re de march s publics et alourdir la charge fiscale sanctionnant les comportements qui nuisent l environnement tout en all geant celle qui p se sur certains facteurs comme le travail M Karlsson insiste sur le fait que les industries exag rent g n ralement le co t des politiques plus cologiques par peur du Leonardo Radicati changement Pourvu que les pouvoirs publics planifient soigneusement leurs r formes il n y a pas forc ment d antinomie entre la comp titivit et la crois
50. emple d un enseignement de qualit de la r duction des taux d abandon scolaire d un meilleur acces l enseignement sup rieur et de nouvelles passerelles entre le syst me ducatif et le march du travail et il faudra encore un an ou deux pour que l OCDE formule des recommandations officielles La crise conomique a r v l une lacune alarmante la m connaissance des questions financi res constate John Hope Bryant lt Plus qu une r cession j y vois une remise z ro du syst me conomique tout entier l compare la situation actuelle celle qui existait au lendemain de la Seconde Guerre mondiale lors de la cr ation du Plan Marshall Pour rem dier cette situation il avait fallu dispenser une ducation financi re lt La maitrise des questions financi res est aujourd hui l imp ratif qu taient hier les droits civils 1 et il nous faut nous m fier des chiffres qui disent que la reprise conomique est en bonne voie ajoute t il Il doute du redressement de l emploi aux tats Unis parlant d un redressement statistique masquant des trag dies personnelles L ampleur du ch mage s explique notamment par l inad quation des comp tences avec Christine pense qu un effort de coordination entre les les emplois Evans Klock employeurs et les formateurs permettrait de rem dier la situation car il faciliterait le passage des jeunes dilp m s sur le march du travail La formation p
51. ennstr m souligne l importance d une bonne information et le r le crucial des TIC cet gard lt en grande partie l Internet et la rapidit des Niklas Zennstr m Lecture compl mentaire communications les consommateurs des pays d velopp s sont mieux inform s sur les produits et sur leurs effets potentiellement nuisibles tant pour la sant que pour l environnement gt Les entreprises qui s adaptent ces changements gagneront en comp titivit dans le moyen terme am liorant ainsi leurs b n fices et cr ant davantage d emplois Selon M Zennstr m nous sommes tout proches d un point d inflexion o les consommateurs du monde d velopp commencent consid rer le contact avec la nature et la consommation d aliments d origine locale comme le luxe supr me Michele Pappalardo cherche mieux comprendre la position des autorit s publiques et les difficult s qu elles prouvent expliquer et appliquer les cotaxes comme par exemple aux entreprises et aux consommateurs dans le climat conomique actuel Andrew Wyckoff s interroge aussi sur l optimisme de nombreux participants qui pensent que le comportement des consommateurs peut changer de facon radicale facilement Selon lui des changements de cette ampleur ne se produisent r ellement qu en p riodes de guerre ou d autres crises imm diates estime important de stimuler la concurrence ce qui signifie permettre de nouveaux e
52. ental Union internationale pour la conservation de la nature Jeong Shik Shin Membre Comit pr sidentiel sur la croissance verte Cor e Robert Skidelsky Membre Chambre des Lords Royaume Uni Gabriel Solomon Vice pr sident principal Politiques publiques GSMA Cesare Spreafico Directeur g n ral COREPLA Italie Anna Thomas discutant Chef du D veloppement conomique et social ActionAid UK Royaume Uni Martin Tlapa discutant Vice ministre Minist re du Commerce et de l Industrie R publique tch que Simon Tormey discutant Directeur cole des Sciences sociales et politiques Universit de Sydney Australie Aleph Torres discutant Pr sident Fundaci n Proacceso Mexique Cecilia Tortajada discutant Vice pr sidente Centre du Tiers Monde pour la gestion de l eau Richard Trumka Pr sident F d ration am ricaine du travail Congres des organisations industrielles Simon Upton Directeur Environnement OCDE Jean Marc Vittori ditorialiste Les Echos France Peter Waldorff discutant Secr taire g n ral Internationale des services publics Avivah Wittenberg Cox Directrice g n rale 20 first France Adam Wolfensohn discutant Directeur g n ral Wolfensohn amp Company tats Unis Andrew Wyckoff Directeur Science technologie et industrie OCDE Ambet Yuson discutant Secr taire g n ral Internationale des travailleurs du b timent et du bois Ni
53. enue dans les pays membres Cette dition pr sente des perspectives jusqu fin 2011 pour les pays de l OCDE et certaines conomies non membres Compl t es par un large ventail de statistiques au niveau international les Perspectives conomiques de l OCDE constituent un instrument sans quivalent pour suivre les volutions conomiques mondiales En plus des themes trait s r guli rement cette dition des Perspectives pr sente trois chapitres sp ciaux Le premier porte sur les perspectives de croissance et de d s quilibre au del du court terme le second sur le retour l emploi apres la crise et le troisieme examine la politique conomique contra cyclique Perspectives conomiques de l OCDE ISBN 9789264085237 Disponible sur www oecd org bookshop 9789264085237 OCDE 2010 D bat sur les perspectives conomiques comment viter une reprise sans emploi Mod rateur Chris Giles R dacteur chef pour les affaires conomiques Financial Times Royaume Uni Intervenants Antoine Gosset Grainville Directeur g n ral adjoint Caisse des D p ts et Consignations France Pier Carlo Padoan Secretaire g n ral adjoint et Chef economiste OCDE Richard Trumka Pr sident F d ration am ricaine du travail Congres des organisations industrielles Discutants Agnes Directrice France Luca Scarpiello Membre du Conseil Forum europ en de la jeuness
54. eprise Innovation emploi amp croissance saine Message d Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE 2 OCDE 2010 OCDE 2010 La R union minist rielle de cette ann e et le Forum de OCDE intitul lt Vers la reprise Innovation emploi et croissance saine gt ont ouvert un nouveau chapitre dans l histoire de l Organisation le Chili a rejoint l OCDE et trois autres pays Estonie Israel et Slov nie ont t formellement invit s devenir membres Les 26 et 27 mai 2010 1 400 participants au Forum de l OCDE parmi lesquels des entreprises syndicats personnalit s de la soci t civile universitaires et ministres se sont r unis pour d battre des grands enjeux conomiques internationaux Les discussions et solutions propos es lors du Forum ont aliment la R union minist rielle de l OCDE qui s est tenue dans le prolongement de cette manifestation Le Forum tait centr sur la mission de l OCDE d aider les pouvoirs publics laborer une strat gie de sortie de crise et tablir une croissance soutenue partag e et durable La session consacr e aux perspectives conomiques a soulign les choix complexes auxquels les pays sont confront s la n cessit d associer des strat gies de sortie de crise et d assainissement des finances publiques l heure la croissance est faible et le ch mage lev l imp ratif de concilier expansion conomique et r duction des missions de CO en adoptant un n
55. ermanente est tr s utile car elle permet aux travailleurs d acqu rir de nouvelles comp tences tout au long de leur carri re M Harris estime lui aussi que l acquisition des comp tences doit se faire tout au long de la vie et qu il faut l organiser avec soin et non pas l abandonner en cas de crise Lorsque l activit conomique ralentit c est le moment de se perfectionner fait il remarquer Les entreprises trouveront le recyclage plus rentable que le licenciement Nous n avons plus les moyens d une jeunesse perdue ajoute t il De gauche droite St phanie Antoine Geoffrey L Gallop Bob Harris et Barbara Ischinger a OCDE 2010 Geoffrey I Gallop Geoffrey 1 Gallop appelle l attention de tous sur le probl me de l exclusion sociale Pour le r soudre il pense que des strat gies localis es sont pr f rables des programmes nationaux II cite l exemple d East Kimberley en Australie o 25 96 de la population est autochtone L industrie mini re y est puissante mais les autochtones ne rep sentaient seulement que 5 96 des effectifs Or la coop ration entre les autorit s la collectivit locale et l industrie mini re a permis de porter cette proportion 25 96 Les populations migrantes rec lent elles aussi un gisement de comp tences M Gago pense qu elles offrent d normes possibilit s Elles n ont rien perdre et tout gagner Stefano Scarpetta insiste beau
56. ernements peuvent ils encourager davantage de personnes innover et accroitre le temps consacr l innovation Et comment rendre les administrations elles m mes plus innovantes La Strat gie de l OCDE pour l innovation propose un ensemble de principes visant encourager l innovation par les individus aussi bien dans le cadre de leur travail qu en tant que consommateurs dans les entreprises et au sein des administrations Elle examine en profondeur l volution de l innovation son ampleur sa g ographie et ses modalit s partir de recherches et de donn es r centes elle propose un large cadre d action en faveur de l innovation ISBN 9789264083486 Disponible sur www oecd org bookshop 9789264083486 Pour en savoir plus www oecd org innovation strategie EN 44 OCDE 2010 Mobile Communications an Enabler for Recovery Increasing internet connectivity and driving productivity through widespread mobile broadband access Investing 800 billion during the next five years and creating up to 25 million jobs around the globe Building a greener planet by cutting greenhouse gas emissions and reducing carbon footprint through mobile machine to machine technologies FOCUSED ON INNOVAIION OCDE 2010 Engaging consumers and improving efficiency by mobilising commercial and public services Transforming society through innovative services such as mHealth and mEducation d t n 2
57. es gr ce des discussions ouvertes fond es sur les faits Nous avons l intention d laborer et d appliquer des programmes sp cifiques d engagement et de nous rencontrer examiner les r gulierement pour progres accomplis Nous nous f licitons de la contribution de l OCDE a diverses instances internationales comme le G 20 ou le G 8 y compris le Cadre pour une croissance forte durable et quilibr e et nous encourageons l Organisation poursuivre ses travaux de qualit Nous nous r jouissons la perspective de nous retrouver lors de la prochaine r union du Conseil de l OCDE au niveau des Ministres qui coincidera avec les c l brations du 50e anniversaire de l Organisation gt OCDE 2010 GN a LI T th E CR ele L m D jajajajaj B on W n i KAN Zuch SH alt Rep OG E Nb T d ch LO N G TE INVESTO Ambiance au Forum 2010 de l OCDE O OCDE 2010 L avenir du capitalisme Mod rateur Gideon Rachman ditorialiste en chef des Affaires trang res Financial Times Royaume Uni Intervenants Adrian Blundell Wignall Directeur adjoint Affaires financi res et entreprises OCDE Sharan Burrow Pr sidente Conf d ration syndicale internationale CSI Anatole Kaletsky Journaliste conomique The Times Royaume Uni Robert Skidelsky Membre de la Chambre des Lords Royaume Uni Discu
58. ew Seidl Chef de l conomie mondiale et du programme environnemental Union internationale pour la conservation de la nature Cesare Spreafico Directeur g n ral COREPLA Italie Discutants Pascal Husting Directeur ex cutif Greenpeace France Thomas Kaissl Responsable du programme conomie verte WWF International Ahmed Lahlimi Alami Haut commissaire au Plan Maroc Ambet Yuson Secr taire g n ral Internationale des travailleurs du b timent et du bois Face unesurconsommation d eau insoutenable l inefficience de la production agricole et au rythme de l accroissement d mographique la communaut internationale doit prendre des mesures concr tes pour pr server les ressources naturelles concluent les experts de cette table ronde Les questions d environnement semblent avoir t rel gu es au second plan du fait de la crise conomique mais les participants ont fait valoir que l OCDE doit prendre la t te des efforts visant stimuler l innovation pour pr server les ressources naturelles tout en pressant la mise au vert de la croissance Simon Upton observe que les autorit s semblent prouver des difficult s mettre De gauche droite Tim Groser John J Harris Brian Hoskins Simon Upton Andrew Seidl et Cesare Spreafico 50 nome Te un prix sur les ressources afin de r duire les d chets et la pollution Naturellement il est difficile de mettre cette politique en ceuvre
59. i l endroit o habitent des communaut s vuln rables mais une carotte ne saurait tre efficace sans un cadre de gouvernance appropri qui peut pr voir le baton gt La gestion des d chets est une autre pi ce du puzzle de l environnement Comme l indique Cesare Spreafico chaque habitant produit en Italie 500 kg de d chets par an L objectif est de trouver une nouvelle strat gie de traitement des d chets qui associerait la pr vention la r utilisation le recyclage et la r cup ration Les programmes nationaux de recyclage comme par exemple les entreprises vert com se sont av r s tres efficaces pour atteindre les objectifs environnementaux dans l Europe enti re sans faire appel des financements publics ou priv s Andrew Seidl 51 CER SS 52 Ambet Yuson rappelle que la d forestation est la deuxi me source d missions de carbone l estime que les normes non contraignantes adopt es par les gouvernements ne sont pas suffisantes n y a pas de lt substituts aux instruments r glementaires Il pr conise le d veloppement de syst mes de certification qui encouragent les entreprises exercer leurs activit s sans porter atteinte l environnement ni aux personnes Il approuve aussi le programme des Nations unies visant r duire les missions qui r sultent de la d forestation Pour ce qui est des accords commerciaux internationaux il fait observer que lt convaincre ne suffit pas
60. ient aux pouvoirs publics de faire en sorte qu il parvienne ceux qui en ont besoin Juan Carlos Romero Hicks explique l influence qu a eue l OCDE sur l approche Juan Carlos Romero Hicks mexicaine en mati re d innovation un examen externe et des tudes r gionales r alis s par l OCDE ont aid le Mexique tablir son Programme d innovation La mise en ceuvre de ce programme qui va jusqu la fin de 2012 comprend des r formes l gislatives la mise en place de mesures budg taires directes et la cr ation de groupes repr sentant diverses parties prenantes Les autorit s mexicaines se sont fix comme nouveaux objectifs en mati re d innovation de renforcer les liens entre les secteurs et d changer des informations par le biais d un mod le d innovation ouvert indique M Romero Hicks Un fonds de capitaux mixtes a aussi t cr r unissant des ressources nationales r gionales et du secteur priv afin d encourager la productivit dans les entreprises l ducation et l entrepreneuriat Les pouvoirs publics doivent servir de facilitateurs dans le processus d innovation Habip Asan souligne le progr s accompli par la Turquie en mati re d laboration d une strat gie g n rale de protection de la propri t intellectuelle M Asan estime que pour stimuler davantage l innovation les pouvoirs publics doivent encourager une innovation ouverte en rassemblant un certain nombre d acteurs te
61. inistration Technical and academic partnership with some of the best universities worldwide FGV is considered the top Think Tank in Latin America and the Caribbean and 28th in the world outside the US Three of its schools and institutes are ranked among the top five Brazilian learning centers Source Fundac o Getulio Vargas was mentioned as number one among the Top 4o Think Tanks in Latin America and the Caribbean and 28th in the Top 5o Think Tanks Worldwide Non US in the survey The Leading Public Policy Research Organizations in the World announced this year by the Think Tanks and Civil Societies Program TTCSP which considered a total of 6305 institutions in 169 countries 7 WW GETULIO VARGAS FGV PROJETOS FGV Projetos undertakes administrative economic and financial projects that help enhance the efficiency of the management practices of public and private institutions in Brazil and abroad FGV Projetos applies the academic knowledge generated at the learning Waj and research institutes of Getulio Vargas KN m oe e Ve TED www fgv br www fgv br fgvprojetos Lecture compl mentaire Perspectives conomiques de l OCDE Volume 2010 Num ro 1 Les Perspectives conomiques de l OCDE analysent la situation conomique actuelle et examinent les politiques conomiques mettre en oeuvre pour favoriser une reprise sout
62. ion comme celle qui a suivi l clatement des lt bulles Internet et de l immobilier Un syst me qui fonctionne en coups d accord on n est pas viable Apr s la derni re r cession il n tait plus possible de faire comme si de rien n tait le changement s imposait Pour b tir une conomie plus durable il faut consacrer des moyens financiers des activit s essentielles comme la m decine et les nergies nouvelles au lieu d alimenter la sp culation sur les march s de valeurs mobili res Examinant la question sous l angle des pays en d veloppement Carolyn Ervin souligne leurs besoins consid rables en investissements dans les infrastructures La participation d acteurs priv s doit tre envisag e compte tenu de l chelle des investissements requis et du manque de ressources dont souffrent ces gouvernements N anmoins les investisseurs restent m fiants surtout pour les projets d infrastructures avec un long d lai de retour sur investissement les biens immeubles et les environnements politiques hauts risques Surmonter ces obstacles pr sente des difficult s de taille mais des exemples de O OCDE 2010 r ussite montrent qu un cadre r glementaire favorable une bonne r putation en mati re de lutte contre la corruption et la participation des entreprises et institutions locales sont des conditions essentielles Peter Waldorff s interroge sur le r le futur des banques et sur ce qui pourrait changer l
63. ion plus efficace et susceptible d attirer l investissement l o il est le plus rentable Bi Imoni Akpofure OCDE 2010 Mod rateur Jean Marc Vittori Editorialiste Les Echos France Intervenants Patrick Boulte Vice pr sident Association solidarit s nouvelles face au ch mage France Miroslav H jek Vice ministre Directeur g n ral Minist re de l Environnement Republique tcheque Marie Louise Knuppert Secr taire conf d rale Conf d ration syndicale danoise John P Martin Directeur Emploi travail et affaires sociales OCDE Avivah Wittenberg Cox Directrice g n rale 20 first France Le d bat fait ressortir le foss qui s pare la conception visionnaire de l emploi vert et la r alit du ch mage des d localisations et des valeurs apparemment contradictoires de ce type d emploi Le mod rateur Jean Marc Vittori ouvre la session en demandant aux participants de d finir lt ce qu est l emploi vert gt John P Martin compare les 2 96 d emplois verts qui existent en Europe selon Eurostat le bureau statistique officiel de l Union europ enne aux 20 96 donn par l Organisation mondiale du commerce qui utilise une d finition lt Un emploi qui modifie la nature de la production plus large propose comme d finition et de la consommation afin d acheminer l conomie vers la neutralit carbone Aux yeux de Marie Louise Knuppert la d finition est moins i
64. ix que d assainir imm diatement En revanche les pays qui n ont pas besoin de resserrer imm diatement leurs finances peuvent faire ceuvre utile en assurant la demande de biens et services et contribuer ainsi au soutien de la reprise dans le monde entier Elle pense que l OCDE peut continuer jouer un r le capital d information et de coordination au profit de la communaut internationale aujourd hui et demain B Ajuster comp tences et emplois Mod rateur St phanie Antoine Pr sentatrice France24 France Intervenants John Hope Bryant Fondateur Pr sident directeur g n ral Operation HOPE Etats Unis Christine Evans Klock Directrice D partement des comp tences et de l employabilit Organisation internationale du travail Jos Mariano Gago Ministre des Sciences des Technologies et de l Enseignement sup rieur Portugal Geoffrey I Gallop Professeur et Directeur Graduate School of Government Universit de Sydney Australie Bob Harris Conseiller principal aupres du Secr taire g n ral Internationale de l ducation Barbara Ischinger Directrice ducation OCDE Discutants Stefano Scarpetta Chef Emploi analyse et politiques OCDE Anna Thomas Chef du D veloppement conomique et social ActionAid UK Royaume Uni Aleph Torres Pr sident Fundaci n Proacceso Mexique De gauche droite John Hope Bryant Christine Evans Klock et Jos Mariano Gago la re St phanie Antoine
65. klas Zennstr m Directeur g n ral et partenaire fondateur Atomico Ventures Royaume Uni NE MANQUEZ PAS LE FORUM DU 50 ANNIVERSAIRE DE L OCDE EN 2011 24 25 mai 2011 FRANCE C LesEchos Europe sWorld it ACA International mE Herald Eribune _Media India E NE IKKE PARLIAMENT NIKKEI PARLIAMENT CN S Le D POLSKA AGENCJA PRASOWA SA n 7 Te levisa PARTENAIRES E M yt TER m leur LI d A ef IE QE A e zs L aa ees min eret LS f CEPS L Carre z Ez rss iz Pere nns INSEAD The Business School MED IA TEN R for the World DONATEURS gt ABENGOA accenture High performance Delivered d a y Je Ken A dus INTESA SNNPAOLO ge MOTAENGIL 74 UniCredit Group VATTENFALL 22 PARTENAIRES gt lt IHE UNIVERSII Y OF uio SYDNEY
66. lat raux pour parvenir une conclusion heureuse de ces n gociations la lumi re de notre int r t commun de favoriser une croissance viable au profit de tous R union du Conseil de l OCDE au niveau des ministres 2010 nous poursuivrons nos efforts pour faciliter les changes et l investissement dans les biens et services environnementaux et pour promouvoir une aide efficace en faveur des changes En outre nous continuerons d encourager tous les grands pays exportateurs appliquer le dispositif et les approches convenus l chelle internationale dans le domaine des cr dits l exportation b n ficiant d un soutien public Nous redoublerons d efforts pour d velopper plus avant un dispositif concernant les cr dits l exportation b n ficiant d un soutien public relatif aux technologies conjuguant faibles missions de carbone et efficience nerg tique Nous insistons sur le r le crucial de l ouverture des march s pour acc l rer le rythme de la 2 Hong Kong Chine a approuv les conclusions nonc es dans cette section OCDE 2010 croissance conomique et en derni re analyse la cr ation d emplois de plus grande qualit et mieux r mun r s Nous saluons les travaux de l OCDE sur les avantages des changes notamment sur la relation entre changes croissance et emploi et nous attendons les r sultats de ces efforts dans l ann e qui vient L investissement international tre
67. lness Company Nestl is committed to manufacturing marketing high quality nutritous products Our global R amp D network uses the latest advances in food and nutrition sciences to develop products for consumers with different nutritional needs at every stage of life Nestl s responsibility to consumers extends beyond products to sound labelling of nutrition information on pack as well as nutrition education programmes in communities worldwide www nestle com csv DUTY FREE SHOPPING D TAXE A L EXPORTATION PRIVATE WEEKLY FASHION SHOWS D FIL S DE MODE HEBDOMADAIRES CURRENCY EXCHANGE OFFICE BUREAU DE CHANGE e WELCOME SERVICE BUREAU D ACCUEIL MTERPRETERS INTERPRETES LAFAYETTE GOURMET DE LUXE GROCERY PICERIE FINE RESTAURANTS 40 BD 75009 PARIS METRO CHAUSS E D ANTIN LA FAYETTE OPER MONDAY THROUGH FROM 9 30 AM TO 7 30 PH LATE NIGHT OPENING EVERY THURSDAT UNTIL 9 PIS OLVERT DE 9H 30 A 19H 30 DU LUNDI ALI SAMEDI NOCTURNE JUSQU A 21H LE JEUDI TEL 0 42 82 36 40 le quond agen capuale de ia mode galer eslafayetre com O OCDE 2010 49 Ressources durables mode d emploi Mod rateur Simon Upton Directeur Environnement OCDE Intervenants Tim Groser Ministre du Commerce Nouvelle Z lande John J Harris Pr sident directeur g n ral Nestl Waters Brian Hoskins Directeur Institut Grantham pour le changement climatique Royaume Uni Andr
68. longs mais que tout a explos soudainement ces 20 derni res ann es il n y a jamais eu autant de changements en si peu de temps gt Il r sume ces bouleversements en deux mots mondialisation et crise Au d part la mondialisation n tait qu une utopie mais en cette fin de d cennie elle nous a pr cipit s dans la crise M Tremonti souligne toutefois que le contexte actuel offre une possibilit d action La crise en grec signifie la rupture et elle peut se r v ler positive ou n gative selon la r ponse qui y sera apport e Selon le Ministre pour nous acheminer vers la reprise il faut faire des efforts la fois sur le plan technique et sur le plan juridique S il est vrai que le progr s conomique est toujours li au progres technique lt il y a toujours galement eu des regles suivre dans le paysage conomique gt M Tremonti laisse entendre que la crise actuelle est partiellement une cons quence du d couplage entre la l gislation qui reste locale et les forces du march qui op rent l chelle mondiale Selon lui il faut corriger cette asym trie lt Il faut des normes juridiques d application mondiale pour faire pendant aux forces du march et l OCDE est un lieu de discussion id al pour tablir des normes juridiques mondiales M Tremonti conclut en disant que la soci t occidentale est pass e des principes d galit libert et fraternit ceux
69. ls que les petites entreprises les universit s et les consommateurs potentiels Le gouvernement turc a cr un conseil de coordination destin encourager l innovation par le biais d une utilisation efficace des droits 43 de propri t intellectuelle Il s agit d un projet en cours conduit par l Institut turc des brevets et auquel participent les milieux universitaires les entreprises et l tat Cet institut a labor une strat gie publique g n rale couvrant les brevets ainsi que les marques de fabrique et le design les l ments cl s de la propri t intellectuelle encourager et prot ger encourage aussi l change de savoir entre des organisations internationales telles que l OCDE l OMS l Organisation mondiale de la propri t intellectuelle OMPI et les pouvoirs publics On voit d j l impact d une innovation dynamique dans le secteur des t l phones mobiles GSM d clare Gabriel Solomon Aujourd hui environ 90 96 de la population mondiale a acces aux r seaux de t l phonie mobile stimulant l innovation dans des domaines comme l acc s aux soins et favorisant l inclusion financi re M Solomon estime qu une augmentation de 10 96 de la connectivit mobile s est traduite par une progression de 12 96 du PIB des pays en d veloppement L industrie va d penser 200 milliards USD cette ann e pour compl ter la couverture des r seaux mobiles et poursuivre le lancement d
70. ments de la soci t un ph nom ne qui est source d in galit s croissantes et d exclusion durable moins de sortir de ce paradoxe le capitalisme de demain sera marqu par une in galit croissante entre et au sein des diff rents systemes capitalistes Pour en savoir plus Renato Flores Avivah Wittenberg Cox appelle de ses v ux un plus grand quilibre hommes femmes dans les structures qui contr lent nos syst mes financiers Elle se demande si les caract ristiques suppos es du capitalisme l individualisme la concurrence l ambition sont typiquement masculines Un capitalisme fond sur des valeurs plus f minines ou plus universelles aurait peut tre t moins vuln rable face la crise Si Lehman Brothers tait dirig par des femmes serions nous toujours dans ce p trin gt s enquiert Mme Wittenberg Cox Simon Tormey affirme que le capitalisme rev t diff rentes formes chaque syst me reposant sur des valeurs diverses capitalisme n olib ral capitalisme social d mocrate capitalisme chinois capitalisme indien capitalisme fond sur le micro cr dit etc La crise financi re qui a clat en Europe n est donc pas celle qui a touch l Asie Pacifique ou l Afrique M Tormey met galement en garde contre la tendance st r otyper les syst mes capitalistes trangers arguant que m me si elle n est pas une d mocratie lib rale la Chine n est pas une entit monolithique lt
71. mistes mais par des responsables politiques et que le probl me tient des consid rations de politique int rieure En r ponse une question de la salle au sujet du manque d attention pour les accords d aide au commerce par lesquels les pays d velopp s offrent une aide financi re en change d accords commerciaux M Lamy fait observer que ces programmes ont augment de 10 96 par an depuis 2005 L un des avantages de la formule est que l aide peut servir r duire les obstacles aux changes par exemple en financant la modernisation des infrastructures de transport afin de stimuler les courants d changes Pour ce qui est de la question du commerce et de Lure 4 ras WS Ki l innovation il estime que lt le commerce est un moyen de transmettre l innovation et le progr s tout en admettant que ce serait une erreur de penser que les avantages d un r gime commercial plus lib ral apparaitraient imm diatement Ken Ash estime qu il serait r ducteur de ne pas consid rer l ensemble des m canismes des changes gt Il souligne que l on s arr te trop souvent aux exportations sans tenir compte de l int r t des importations Du fait de l interd pendance des activit s mondiales de transformation la plupart des changes internationaux portent sur les biens et services interm diaires intrants du processus de production Imposer des restrictions sur les importations est pour les entreprises
72. mportante que le contenu de l emploi auquel cas une d finition plus large est pr f rable Avivah Wittenberg Cox demande si le concept d emploi vert a une utilit et propose d aborder la question sous l angle de trois probl mes cl s du XXIe si cle lt le web les femmes et le climat La r volution technologique de la fin du XXe si cle a fait na tre le concept d emplois com mais aujourd hui l Internet et le web font partie int grante de tous les emplois la r volution f minine qui s est op r e ces 50 derni res ann es a fait des femmes la majorit des dipl m s de l universit De gauche droite Patrick Boulte Miroslav H jek Marie Louise Knuppert Jean Marc Vittori John P Martin et Avivah Wittenberg Cox ERU 1h L rk cet REN S 22 ranger Center tainer Four une d WT d bli id mri soc OtE Mis ehk it Tut nae phus Torta pu sas plus puis OCDE 2010 mais ce changement ne trouve pas son reflet dans le monde du travail et nous devons tous nous pr occuper du climat les changements environnementaux et les cons quences climatiques qui ont d clench le d bat vert Pour Patrick Boulte un emploi vert est avant tout un emploi et qu il soit vert ou non il doit aussi tre stable M Vittori conclut que en v rit Te emploi vert semble tre
73. mps de se concentrer sur l importance de la s curit nerg tique sans la lier directement au changement climatique La promotion de la croissance verte servirait la double cause de la s curit nerg tique et de la lutte contre le changement climatique dans le moyen terme Adam Wolfensohn indique qu aux tats Unis les subventions pour le charbon sont plus lev es que pour les nergies renouvelables Si ces derni res taient autant subventionn es ce secteur se d velopperait plus vite En 2008 557 milliards USD de subventions ont t offerts en faveur de la consommation de combustibles fossiles alors que les subventions mondiales en faveur de l nergie sans carbone se sont lev es 43 46 milliards USD en 2009 M me si l on a l impression que les nergies renouvelables sont le segment le plus subventionn du secteur de l nergie les chiffres d mentent manifestement cette supposition Parmi les questions pos es par l assistance un des participants demande comment alimenter Pour en savoir plus G ran Lundgren la croissance conomique dans l avenir alors que la production de p trole a atteint son maximum M Birol d clare march est r volue et les conomies doivent L re du p trole bon simplement faire avec En ce qui concerne le gaz il indique que le rapide d veloppement de l exploitation du gaz de schiste un gaz naturel produit par le schiste une roche s dimentaire
74. n publique d clare Pier Carlo Padoan en guise d ouverture de la session Pour tre efficace la strat gie adopt e doit faire intervenir trois principales parties prenantes les consommateurs les entreprises et les pouvoirs publics selon un mode interactif Cela am ne M Padoan poser au groupe trois questions principales Quel est le r le des pouvoirs publics dans le choix de l ensemble des mesures appliquer Comment l interaction entre la diffusion des TIC Technologies de l information et de la communication et les processus d innovation modifie t elle de facon radicale le comportement des consommateurs Et comment donner la croissance verte l importance qu elle m rite dans l avenir Esko Aho souligne qu il est essentiel de distinguer l innovation des activit s de recherche et d veloppement R amp D La R amp D transforme l argent en savoir l innovation transforme le savoir en argent Ce qui importe r ellement fait valoir M Aho c est de responsabiliser les utilisateurs des nouvelles technologies O OCDE 2010 Esko Abo De gauche droite Esko Aho et Bruno Berthon Rappelant l ouvrage de Malcolm Gladwell Outliers il cite les cing facteurs cl s des r ussites exceptionnelles des technologies r volutionnaires le bon moment un talent sp cial la capacit de prise de risques et le bon cosyst me gt Selon lui le syst me ducatif actuel produit trop de sp cialiste
75. n internationale des organisations de travailleurs de la m tallurgie Luiz Carlos Corr a Carvalho Consultant FGV Projetos Funda o Getulio Vargas Br sil Simon Crean Ministre du Commerce Australie Luca de Biase R dacteur Technologie de l information et science Sole 24 Ore Italie Jos Dom nguez Abascal Directeur technique Abengoa Espagne Amy Domini Fondatrice et Directrice g n rale Domini Social Investments tats Unis Soumitra Dutta Directeur des relations ext rieures INSEAD France Larry Elliott R dacteur en chef pour les affaires conomiques The Guardian Royaume Uni Carolyn Ervin Directrice Affaires financi res et entreprises OCDE Christine Evans Klock Directrice D partement des comp tences et de l employabilit Organisation internationale du travail Renato Flores discutant Professeur Funda o Getulio Vargas EPGE Br sil Jos Mariano Gago Ministre des Sciences des Technologies et de l Enseignement sup rieur Portugal Geoffrey I Gallop Professeur et Directeur Graduate School of Government Universit de Sydney Australie Gao Xiqing Pr sident et Directeur de l investissement China Investment Corporation R publique populaire de Chine Chris Giles R dacteur en chef pour les affaires conomiques Financial Times Royaume Uni Anthony Gooch Directeur Relations ext rieures et communication OCDE Antoine Gosset Grainville Directeur g n
76. ntrants de p n trer sur les march s afin de faire na tre l innovation Bl Beaune du Conseil TUSCZIE nies dis ministre T l charger sur www oecd org croissanceverte Pour en savoir plus Le Rapport int rimaire de la Strat gie pour une croissance verte t discut a la R union du Conseil de l OCDE au niveau des ministres les 27 et 28 mai 2010 nonce des constatations pr liminaires concernant un certain nombre de probl mes importants auxquels sont confront s les d cideurs d sireux de promouvoir une croissance verte www oecd org innovation fr s DM 18 OCDE 2010 ww f you innovate they will come Kach bc how aurresearch can help yau C C e nt u r e become high performance business visit accenture com k Ba k m Consulting Technology Outsourcing High performance Delivered UniCredit is making a huge commitment to meet the challenge of enviromental sustainability including 4 billion euros in funding for project in the field of renewable energy sources lo learn more Source UniCredit Group 2009 Sustainability Report 2 UniCredit Group O OCDE 2010 19 Financer la croissance future Mod rateur Larry Elliott R dacteur en chef pour les affaires conomiques The Guardian Royaume Uni Intervenants Franco Bassanini Pr sident Cassa Depositi e Prestiti Itali
77. oite collaboration entre les secteurs public associatif et priv M Torres souligne l imp rieuse n cessit de renforcer les changes entre les ducateurs et les employeurs Bl Perspeclives de l emploi de l OCDE SCHEER LA CRISE DE pau 2010 Perspectives de l emploi de l OCDE 2010 Sortir de la crise de l emploi Les Perspectives de l emploi 2010 est un rapport annuel de l OCDE sur l emploi et les march s de l emploi dans la zone OCDE et au del L ditorial analyse les d fis politiques actuels et fournit des conseils aux gouvernements de l OCDE et le premier chapitre pr sente les faits et chiffres li s aux d veloppements les plus r cents dans le domaine de l emploi les placant dans un contexte conomique plus g n ral L ouvrage pr sente ensuite des analyses dans trois domaines sp cifiques l impact de ces d veloppements sur les emplois et les r ponses politiques dans les pays mergents les facteurs institutionnels et conomiques influen ant les flux des march s de l emploi et la qualit du travail temps partiel L ouvrage contient galement un annexe statistique qui pr sente les derni res donn es disponibles sur l emploi Sont galement inclus des StatLinks des liens sous chaque tableau et chaque graphique permettant d acc der aux donn es brutes sur lesquelles ils sont bas s ISBN 9789264086159 Disponible sur www oecd org bookshop 9789264086159 Donnez nous votre avis ht
78. olitiques et favoriser davantage la coop ration internationale La Strat gie pour l innovation n est certes pas une fin en soi mais elle trace des orientations pour de futurs travaux Nous demandons l OCDE de poursuivre ses efforts l appui de l laboration et de l am lioration de nos politiques de l innovation notamment en affinant les instruments de mesure et les statistiques correspondantes et en mettant au point un m canisme d valuation des politiques de l innovation tout en maintenant un lien solide avec la Strat gie pour une croissance verte changes et investissement Malgr la crise le protectionnisme ne s est pas r pandu aussi largement que nombre d observateurs l avaient craint notamment grace nos efforts de coordination internationale Nous r affirmons notre volont de rester vigilants et de r sister toutes les formes de protectionnisme cet gard nous nous f licitons des recommandations de l OCDE sur les r ponses strat giques la crise qui touchent au commerce Nous soutenons la poursuite des travaux sur le commerce et l investissement men s en collaboration par l OCDE l OMC et la CNUCED Nous restons attach s une conclusion rapide ambitieuse quilibr e et compl te du Cycle de n gociations de Doha qui ouvre les march s de la croissance conomique et s appuie sur les progres d j accomplis Nous soutenons les efforts multilat raux plurilat raux et bi
79. on du Conseil de l OCDE au niveau des ministres de 2010 RCM nous les Ministres nous sommes r unis sous la pr sidence du Pr sident du Conseil italien M Silvio Berlusconi et la vice pr sidence de l Australie et de la Norv ge Nous nous f licitons de l adh sion du Chili et de l invitation faite l Estonie Israel et la Slov nie ce qui contribue faire de l OCDE une organisation plus globale et plus diversifi e Les d lib rations dela RCM ont consid rablement b n fici de la participation de la F d ration de Russie qui poursuit son processus d adh sion l Organisation ainsi que des cinq pays relevant du processus d Engagement renforc Afrique du Sud Br sil Inde Indon sie et R publique populaire de Chine Nous nous r jouissons de voir nos conomies se redresser sous l effet des r actions nergiques des pouvoirs publics dans le cadre d une coordination internationale sans pr c dent Toutefois la reprise demeure fragile avec un taux de ch mage lev et un ajustement en cours des bilans du secteur financier et des m nages dans de nombreux pays Nous sommes conscients que des risques continuent de peser sur la stabilit conomique comme en t moignent les v nements r cents En particulier les tensions actuelles sur les march s de la dette souveraine illustrent bien la grande incertitude qui continue d entourer les perspectives conomiques dans certains pays Nous convenons que
80. onales Dossiers sp ciaux Donn es conomiques sociales environnementales et scientifiques clefs Liens r f rences et bibliographies Listes et r sum s des nouvelles publications des travaux pr paratoires des discours des conf rences etc Recevez en suppl ment L OCDE en chiffres un recueil de donn es publi tous les ans par l OCDE d une valeur de 20 gratuit pour tout nouvel abonn SPECIAL CONSEIL MINISTERIEL ET FORUM DE L OCDE De la la reprise Souscrivez d s maintenant sur www ocde org librairie ou sur www observateurocde org abonnement html OU vous pourrez beneficier de notre D remise sp ciale pour tout abonnement Pour une d une dur e de 2 ans croissance verte Recommand par le jury au Prix 2002 de the Association of Learned and Professional Society Publishers Royaume Uni O OCDE 2010 25 CE R union du Conseil au niveau des ministres 27 28 mai 2010 CONCLUSIONS MINIST RIELLES De gauche droite Andrus Ansip Premier Ministre Estonie Felipe Larrain Ministre des Finances Chili Benjamin Netanyahu Premier Ministre Isra l Silvio Berlusconi Premier Ministre Italie Borut Pahor Premier Ministre Slov nie et Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE au si ge de l OCDE Veuillez trouver ci dessous le texte complet des conclusions de la R union du Conseil au niveau des ministres RCM 2010 lt l occasion de la R uni
81. opose trois grands axes d attaque un effort d efficience la fixation d un prix de march et l innovation technologique Les activit s agricoles expliquent elles seules 70 96 de la consommation d eau l exhorte le secteur et les autorit s collaborer avec les agriculteurs afin de r duire la consommation d eau par une production plus Simon Upton OCDE 2010 efficace Les 30 96 restants de la consommation d eau sont le fait de l industrie de transformation et de la consommation des m nages Il indique L eau nous habille pr s de 1 200 litres d eau sont consomm s pour produire un T shirt en coton gt Il poursuit lt Nous devons revoir notre mode de vie ce qui suppose la fixation d un prix de march de l eau et de ne pas m nager l innovation Du point de vue du cdlimatologue Brian Hoskins affirme que la ressource la plus pr cieuse est l atmosph re ou nous d posons nos d chets Chaque fois que l on utilise du carbone la quantit de CO s en trouve augment e et nous consommons une partie du contingent atmosph rique disponible explique t il M Hoskins est partisan d aborder la question des ressources de facon globale au lieu de consid rer s par ment l eau l nergie et les questions de changement climatique Par exemple lorsque l on utilise de l eau il faut de l nergie pour la purifier cette consommation d nergie agit sur l atmosph re et finit par modifier le r
82. orment au sein de l UE certains pays avancant dans les r formes structurelles d autres les retardant Il souligne aussi le probl me que pose une reprise sans emploi mais ajoute je doute qu aucun de nous n ait la recette gt son avis chaque gouvernement doit s attaquer ce probl me de son c t pour Pour en savoir plus le moment Pour conclure il affirme que le capital humain est celui qui compte le plus pour notre d veloppement Sharan Burrow insiste sur la n cessit de r examiner les questions que soul vent le commerce et le d veloppement soulignant qu il faut r quilibrer le sc nario et s y tenir pour viter de revenir aux m thodes classiques anciennes Elle fait valoir que contrairement ce que l on pense souvent la dimension et la viabilit sociales rev tent de plus en plus d importance dans les pays en d veloppement et non pas seulement dans le monde d velopp Elle n en pense pas moins que les pays riches devraient faire plus pour encourager les filets de protection sociale et l quit des politiques suivies dans les pays en d veloppement reprochant certaines entreprises occidentales de compter parmi les adversaires les plus acharn s des droits des travailleurs dans certains pays comme la Chine www oecd org echanges OCDE 2010 Us Sh Creating Shared Value Nestle and Nutrition E a e iP P responsible Nutrition Health and Wel
83. ors de la prochaine crise Il souhaite que les banques sp culent moins et s efforcent de combler les disparit s de revenu au lieu de les aggraver En r ponse Alessandro Profumo souligne que les banques ne poursuivent pas toutes la m me logique et ne se livrent pas toutes la sp culation ajoute que m me si le secteur priv et les institutions financi res peuvent tre l origine d une cr ation durable de valeur pour l ensemble des int ress s il incombe aux responsables lus et aux agents de l tat de s attaquer aux questions plus g n rales d galit et de disparit s de revenu Imoni Akpofure fait observer que la croissance stable en Europe et dans le monde d velopp est une condition pr alable importante une croissance durable sur Ainsi absorbe 60 96 des exportations des pays en le march s mergents l Europe d veloppement En outre les budgets allou s l aide ext rieure d pendent de la croissance dans les pays d velopp s Selon Gao Xiqing la croissance future n est pas une simple question de financement elle fait galement intervenir l innovation L innovation s applique aussi au secteur financier qui doit pouvoir laborer de nouveaux instruments Franco Bassanini r pondant aux besoins de financement des entrepreneurs M Gao s inqui te du risque que les pressions actuelles en faveur de la mise sous tutelle publique de toutes les institutions financi res servent de pr texte
84. ouveau mod le de croissance verte dont les principaux moteurs sont les changes internationaux l investissement et l innovation Le Forum 2010 a r v l que l innovation tait un pilier essentiel de la productivit de l emploi et de la croissance durable L OCDE a pris l initiative en lancant la Strat gie de l OCDE pour l innovation en vue d aider les pouvoirs publics mettre en place les conditions propices l innovation et optimiser le processus d innovation En outre le Forum a fourni des informations pr cieuses qui viendront enrichir le rapport d tape sur la Strat gie de l OCDE pour une croissance verte qui sera finalis l ann e prochaine Parmi les principaux enjeux abord s citons la suppression des subventions aux combustibles fossiles pr judiciables l environnement la prise en compte de l environnement dans le soutien l agriculture l utilisation des taxes ou des redevances li es l environnement et des syst mes d change de droits d mission Enfin les d bats lors du Forum ont renforc notre conviction que le maintien de politiques favorables aux changes et l investissement y compris l ach vement du cycle de Doha cr era les conditions propices une reprise plus vigoureuse Le Forum de l OCDE est un volet essentiel de nos efforts pour nouer un dialogue avec tous les secteurs de la soci t et tenir compte de leurs attentes afin de une conomie mondiale plus forte plus saine e
85. que pour tre plus saine l conomie de demain doit tre fond e sur la confiance sur la transparence et sur la coop ration internationale afin d tablir un ensemble de r gles r gissant l thique du monde des affaires Les pan listes esp rent que l OCDE continuera travers ses Principes directeurs l intention des entreprises multinationales jouer un r le moteur en d finissant des normes mondiales en mati re de responsabilit des entreprises Pour Anne Catherine Husson Traor l thique des affaires symbolise aujourd hui le retour du bon sens dans un monde qui en manquait cruellement Elle observe qu il est impossible de faire comme si rien ne s tait pass car en cas d chec le prix payer serait consid rable S agissant de la mise en ceuvre de normes d thique Mme Husson Traor propose que les parties prenantes usent de contrepouvoirs c est dire du pouvoir qu elles ont sur la valeur d une marque Amy Domini indique que la finance est un facteur d cisif de la r ussite du mod le de l entreprise thique tout comme les initiatives destin es accroitre la transparence et l mergence de pratiques comptables responsables Mme Domini souligne que les actionnaires militants peuvent jouer un r le d terminant dans l application de normes de gouvernement d entreprise plus strictes Elle note galement que les fonds de pension et les fonds communs de placement exercent un pouvoir consid
86. qui r coltent un double dividende en utilisant les recettes obtenues pour encourager de nouvelles entreprises cr er des emplois et se d velopper Selon lui pour adapter les comp tences aux nouvelles qualifications les pouvoirs publics doivent non seulement s int resser leurs systemes d ducation et de formations mais aussi veiller l existence de filets de s curit sociaux suffisants pour que les ch meurs recherchent de nouveaux emplois dans un climat de confiance Mme Knuppert estime que les pouvoirs publics doivent investir dans la technologie l ducation et la formation afin de d velopper de nouvelles gammes de comp tences et de nouvelles facons de penser Leader in Italy thanks to its incomparable branch network Intesa Sanpaolo is a major International Banking Group present in over 40 countries with 11 International Subsidiary Banks 2 International Corporate Banks 14 Foreign Branches and 19 Representative Offices The Group is capable of satisfying various levels of assistance and meeting the requirements of a highly diverse clientele supplying operations and financial activities addressed to both households and enterprises as at 03 2010 Retail and SME banking private banking bancassurance consumer and industrial credit payment systems pension funds fiduciary services non profit entities relations Corporate banking capital market s and investment banking merchant banking l
87. rajectoire plus viable L assainissement budg taire est une tache essentielle cet gard ll convient d laborer des plans cr dibles et transparents d assainissement budg taire moyen terme en recourant des m canismes institutionnels appropri s comme des r gles budg taires tenant compte des situations sp cifiques des pays notamment le rythme et la viabilit de leur reprise et l tat de leurs finances publiques Nous appliquerons ces plans de facon ne pas mettre en p ril la croissance la faveur de ces efforts d assainissement budg taire nous am liorerons les soldes budg taires structurels et nous stabiliserons et r duirons le poids de la dette publique moyen et long termes Nous sommes conscients qu il importe de pr server le potentiel de croissance en hi rarchisant les d penses publiques et en appliquant une r forme fiscale propice la croissance Nous attendons les r sultats des travaux de l OCDE sur la contribution de l assainissement budg taire et de l ajustement structurel l instauration d une croissance soutenue OCDE 2010 Bas de gauche a droite Sigbjorn Johnsen Ministre des Finances Norv ge Giulio Tremonti Ministre de l Economie et des Finances Italie et Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE Haut de gauche droite Mario Amano Secr taire g n ral adjoint OCDE Ali Babacan Vice Premier Ministre Turquie Simon Crean Ministre du Commerce Aust
88. ralie Emploi Nous nous efforcons d viter une reprise sans emploi et une croissance sans emploi Nos mesures ont contribu att nuer les pires effets de la crise mais les taux de ch mage demeurent lev s dans la plupart des pays de l OCDE Nous allons laborer des politiques sociales et de l emploi globales innovantes et f d ratrices afin de traiter cette crise de l emploi et de promouvoir une reprise et une croissance pour tous En ce qui concerne les priorit s de l heure nous allons mettre en ceuvre des politiques actives du march du travail en soutenant les programmes de recherche d emplois renforcant l ducation et la formation et mettant en place des syst mes de protection sociale et des filets de s curit convenables conjugu s des incitations au travail et en nous attachant tout particuli rement aux groupes et r gions les plus vuln rables moyen et long termes nous allons soutenir et encourager une croissance qui cr e davantage d emplois et de meilleure qualit et augmenter les taux d activit afin de relever les d fis d mographiques et de r duire les in galit s cet effet nous allons ceuvrer am liorer le fonctionnement du march du travail du c t tant de l offre que de la demande Nous r affirmons l engagement pris en septembre 2009 lors de la r union des ministres de l Emploi et du Travail des pays de l OCDE de mettre en place des mesures favorisant
89. rcial Vattenfall AB Suede C cile Maisonneuve Vice pr sidente Agenda international et prospective AREVA France John P Martin Directeur Emploi travail et affaires sociales OCDE John Monks Secr taire g n ral Conf d ration europ enne des syndicats Anatoly Moskalenko Membre du Comit de Direction LUKOIL F d ration de Russie Pier Carlo Padoan Secr taire g n ral adjoint et Chef conomiste OCDE Borut Pahor Premier Ministre Slov nie OCDE 2010 Mich le Pappalardo discutant Commissaire g n rale au D veloppement durable Minist re de l cologie France Alessandro Profumo Directeur g n ral Unicredit Group ltalie Gideon Rachman ditorialiste en chef des Affaires trang res Financial Times Royaume Uni Leonardo Radicati Directeur ICE Paris Institut italien pour le commerce ext rieur Christina Romer Pr sidente Council of Economic Advisers tats Unis Juan Carlos Romero Hicks Directeur g n ral Conseil national de la science et de la technologie Mexique Stefano Scarpetta discutant Chef Emploi analyse et politiques OCDE Luca Scarpiello Membre du Conseil Forum europ en de la jeunesse Roland Schatz discutant Fondateur et Directeur g n ral Media Tenor International Suisse Martin Schuurmans Pr sident Institut europ en de l innovation et de la technologie EIT Andrew Seidl Chef de l conomie mondiale et du programme environnem
90. reign managers operating on international markets fostering the promotion of made in Italy products is located in Rome the Head Office operates in connection with a wide network of offices in Italy and abroad ICE is on line on www ice gov it www italtrade com The Made in Italy Official Portal OCDE 2010 15 i Croissance verte et innovation Mod rateur Pier Carlo Padoan Secr taire g n ral adjoint et Chef conomiste OCDE Intervenants Esko Aho Vice pr sident ex cutif Nokia Corporation Finlande Bruno Berthon Directeur Accenture Services d veloppement durable Accenture Mikael Karlsson Pr sident Bureau europ en de l environnement Leonardo Radicati Directeur ICE Paris Institut italien pour le commerce ext rieur Niklas Zennstr m Directeur g n ral et partenaire fondateur Atomico Ventures Royaume Uni Discutants Mich le Pappalardo Commissaire g n rale au D veloppement durable Minist re de l cologie France Andrew Wyckoff Directeur Science technologie et industrie OCDE Esko Aho De gauche droite Mikael Karlsson et Pier Carlo Padoan eo EN 16 www oecd aam erc G dent WWW O Mikael Karlsson VU Pier Carto Padoan L innovation consiste modifier nos modes de production la nature de nos produits et notre mode de consommation et la croissance verte implique une red finition de l offre et de la demande par le biais de l actio
91. s Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE Giulio Tremonti Ministre de l conomie et des Finances Italie Esko Aho Vice pr sident ex cutif Nokia Corporation Finlande Imoni Akpofure discutant Repr sentante sp ciale pour l Europe Soci t financi re internationale St phanie Antoine Pr sentatrice France24 France Nicolas Arpagian R dacteur en chef Prospective Strat gique Centre d tudes et de Prospective Strat gique France Habip Asan Pr sident Turkish Patent Institute Turquie Ken Ash Directeur changes et agriculture OCDE Franco Bassanini Pr sident Cassa Depositi e Prestiti Italie Agn s B nassy Qu r discutant Directrice CEPII France Loick Berrou R dacteur en chef France 24 France Bruno Berthon Directeur Accenture Services d veloppement durable Accenture Fatih Birol conomiste en chef Agence internationale de l nergie Adrian Blundell Wignall Directeur adjoint Affaires financi res et entreprises OCDE Patrick Boulte Vice pr sident Association solidarit s nouvelles face au ch mage France S 54 John Hope Bryant Fondateur et PDG Operation HOPE tats Unis Sharan Burrow Pr sidente Conf d ration syndicale internationale Otaviano Canuto Vice pr sident R seau pour la r duction de la pauvret et la gestion conomique Banque mondiale Carla Coletti discutant Directrice Commerce emploi et d veloppement F d ratio
92. s et pas assez de talents pluridisciplinaires Les pouvoirs publics doivent reconnaitre que l innovation sans risque est impossible et qu une politique organis e de haut en bas doit tre associ e une croissance qui s op re de bas en haut M Aho d fend aussi la n cessit d avoir une r glementation avis e et une fiscalit intelligente qui r compensent ceux qui se conduisent bien et punissent ceux qui se conduisent mal Il a la conviction que l OCDE peut jouer un r le de premier plan dans la diffusion des types appropri s de r glementation et d imp ts sachant que les consommateurs sont ouverts au changement mais que l absence de politiques publiques clair es et de r glementation freine souvent l innovation Bruno Berthon rappelle ce que la France avait d clar face la crise du p trole de 1973 On n a pas de p trole mais on a des id es OCDE 2010 e E L JM Gei N Bruno amp garthan Dour montrer que des contraintes peuvent stimuler l innovation Et c est pr cis ment ce qu il se produit dans le domaine des nergies renouvelables ou la Chine est devenue un leader de l innovation gr ce aux efforts d ploy s pour assurer son ind pendance nerg tique d clare t il La productivit long terme croit Niklas Zennstr m sous la pression de la raret des ressources M Berthon se dit g n ral
93. s les protagonistes consommateurs syndicats et entreprises en r sulte une productivit plus lev e et une augmentation des salaires r els De plus l Australie s est r solument tourn e vers l Asie tant pour exporter que pour permettre ses entreprises de trouver leurs consommations interm diaires dans cette r gion dynamique tout en encourageant le flux des services et des investissements De m me qu elle a ouvert ses march s internationaux l Australie s est attach e la r forme structurelle menant une politique sociale plus quitable au moyen de programmes d intervention sur le march du travail et par la mise en place de filets de s curit s il y avait lieu MEE 48 De gauche droite Simon Crean Pascal Lamy et Borut Pahor Enfin M Crean fait part de son attachement ce que l aide au commerce permette aussi aux pays en voie de d veloppement de renforcer leur propre comp titivit affirmant que le multiplicateur le stimulant c est le commerce gt Apr s avoir expos les grands axes de la loi slov ne qui trace une strat gie de sortie de crise Borut Pahor r fl chit la difficult de d fendre la dimension sociale de l action publique dans son pays sans nuire la comp titivit nationale surtout lorsque d autres pays en d veloppement paraissent beaucoup moins pr occup s par les questions sociales et environnementales l voque la possibilit que des clubs se f
94. sance verte M Karlsson est convaincu qu il est relativement ais d adopter des politiques vertes et que dans des domaines comme l efficience nerg tique nous ne cueillons m me pas les fruits qui sont notre port e Leonardo Radicati voque la difficult de trouver un quilibre entre la volont d aider les entreprises italiennes am liorer leur comp titivit internationale et les co ts des mesures prendre pour les encourager adopter des pratiques respectueuses de l environnement Toutes les entreprises sont pr tes au changement mais elles ont besoin d incitations et d un cadre r glementaire positif Les pouvoirs publics doivent tablir une feuille de route et d taxer les entreprises qui adoptent un comportement cologique d clare M Radicati mais pas trop vite Le changement demande du temps et il faut pr server l emploi Niklas Zennstr m se fait l cho du point de vue selon lequel faire passer la productivit avant les pr occupations environnementales reviendrait suivre le m me mod le que celui qui est existe depuis la r volution industrielle lt Nous devons changer de mod le et les grands changements cr ent des possibilit s d innovation gt Il reprend aussi son compte la n cessit de supprimer les subventions dommageables et de faire payer ceux qui d truisent la plan te affirmant que cela incitera les entreprises innover M Z
95. soul ve la question vers de l int gration de l entrepreneuriat et de dto Recovery Innovation l innovation dans le syst me ducatif et Roa c amp Clean Growth SE demande aux intervenants comment assurer l ad quation des comp tences aux emplois dans l conomie mondialis e Jos Mariano Gago pense que vouloir adapter les comp tences aux emplois est une id e un peu simpliste et trop administrative dans une conomie en perp tuelle volution En r alit ce sont les emplois qui cr ent des besoins en personnel qualifi Dans de nombreuses professions techniques les comp tences ont devanc les emplois Si de nouvelles comp tences n avaient pas merg il n y aurait pas de nouveaux types d emplois Il faudra s adapter et acqu rir des comp tences nouvelles Le meilleur moyen d y parvenir passe par l education et la sp cialisation via la O OCDE 2010 formation en cours d emploi Bob Harris ajoute qu laborer des th ories sur l utilit des comp tences s av re tout aussi simpliste Pour assurer l adaptation des comp tences aux emplois il faut r assortir la gamme des aptitudes souligne Barbara Ischinger cr ativit esprit critique aptitude trouver des solutions prendre des d cisions comp tences g n riques que mesurent d j les programmes de l OCDE sur l enseignement par exemple PISA Or il faut du temps pour d velopper ces comp tences au moyen comme par ex
96. st due aux mesures de relance Sans intervention des pouvoirs publics de nouvelles suppressions d emplois sont in vitables avertit M Trumka Il plaide en faveur de r ductions d imp ts conjugu es des investissements dans les infrastructures et les prestations sociales notamment les allocations de ch mage et les prestations de maladie Il pr conise d utiliser le remboursement des deniers publics pr t s aux banques en difficult pendant la crise pour relancer le cr dit et la cr ation d emplois O OCDE 2010 Antoine Gosset Grainville Richard OCDE 2010 Luca Scarpiello explique que la jeunesse d aujourd hui est dans une situation paradoxale malgr un niveau de formation sans pr c dent elle est la principale victime de la crise cause du recours g n ralis aux contrats dur e d termin e et d une transition chaotique de l cole au monde du travail Faute d int gration des jeunes dans la population active il ne sera pas possible de lutter contre le vieillissement d mographique ce qui engendrera des pertes structurelles dans les budgets de la s curit sociale et des retraites Agn s B nassy Qu r d plore l absence de strat gie commune l chelle europ enne Elle compare la situation une crise d adolescence et esp re que nos conomies en sortiront renforc es sur le plan de la gouvernance Tout en reconnaissant que la reprise est l oeuvre les pan listes ne son
97. t pas d accord sur le rythme de d mant lement des mesures de soutien Pier Carlo Padoan pense que c est la situation de d part qui doit dicter l action des diff rents pays En r ponse une question du mod rateur sur les risques de rechute induits par l abandon des aides il estime que laisser filer les d penses serait pire pour la croissance long terme Robert Skidelsky convient que la crise a mis au jour des faiblesses structurelles ant rieures mais n est pas convaincu que la r duction des d ficits budg taires puisse stimuler la reprise lt il n y a gu re d l ments pour montrer que l assainissement des finances publiques soit un rem de contre la r cession M Padoan r pond qu il faut plusieurs ann es pour qu une r forme structurelle produise tous ses effets et qu court terme la r forme structurelle am liore la cr dibilit M Gosset Grainville propose de r orienter les d penses vers les secteurs qui contribuent le plus la croissance conomique comme l ducation ou la recherche et le d veloppement Pour en savoir plus Au cours d une s ance anim e de questions et r ponses un participant s inqui te du risque que les tats recourent uniquement aux suppressions de postes de fonctionnaires pour r duire leur d ficit Mme B nassy Qu r r pond que les fonctionnaires apportent certes un service conomique utile mais contribuent galement la charge fiscale Elle estim
98. t plus juste l avenir une vision strat gique est n cessaire afin de concilier efficience conomique int grit environnementale et quit sociale l chelle nationale comme internationale En mai 2011 le Forum de l OCDE coincidera avec notre 50e anniversaire Nous pr voyons un programme sp cial cette occasion Notez cette date dans votre agenda 2 gt Vous souhaitez en savoir plus www oecd org forum2010 fr www oecd org mcm2010 fr Session d ouverture innovation emploi et croissance saine Mod rateur Loick Berrou R dacteur en chef France 24 France Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE Giulio Tremonti Ministre de l conomie et des Finances Italie Giulio Tremonti Loic Berrou ouvre le Forum 2010 de l OCDE en le pr sentant comme une occasion de faire le point sur ce qui a t accompli et d envisager l avenir Malgr un paysage conomique pas trop optimiste M Berrou appelle les participants saisir l occasion de prendre du recul par rapport la situation actuelle et de regarder vers l avenir travers le prisme d une diversit d opinions et d expression gt fait l loge du processus d largissement de l OCDE Angel Gurr a souhaite la bienvenue aux participants au Forum de l OCDE et souligne que aux derni res nouvelles l conomie mondiale semble aller mieux que pr vu voir r sum de la session consacr e aux Perspectives De ga
99. tants Renato Flores Professeur Funda o Getulio Vargas EPGE Br sil Simon Tormey Directeur cole des Sciences sociales et politiques Universit de Sydney Australie Avivah Wittenberg Cox Directrice g n rale 20 first France En guise d introduction cette session Gideon Rachman voque la surprenante absence de d bats id ologiques observ e depuis la crise financi re internationale lt il semble que nous ayons t trop occup s lutter contre l incendie pour avoir le temps d en tudier les cons quences personne n a entrepris d en tirer les lecons qui s imposent Adrian Blundell Wignall d finition du capitalisme selon laquelle les rappelle la gouvernements sont adeptes du laissez faire Le syst me financier qui lt pr sente un gage de rentabilit a t fauss par l introduction d instruments qui ont permis de transf rer les Anatole Kaletsky d crit le capitalisme comme un syst me volutif qui a connu trois grandes phases qui pr sentent des analogies videntes mais aussi des diff rences manifestes Au cours de la premi re phase l conomie et la politique occupaient des espaces tr s distincts Durant la deuxi me partir des ann es 30 certains ont acquis la conviction que les march s se fourvoyaient La troisi me phase engag e dans les ann es 70 s est caract ris e par le dogme selon lequel les march s ont toujours raison et les gouvernements to
100. tirent avantage de pratiques r pr hensibles sur le march du travail M Greene r pond que sur les march s d actions la majorit des n gociations portent sur des indices ou sont fond es sur des algorithmes et non sur des entreprises En d autres termes le march des transactions est domin par des personnes qui n ont nullement c ur de contr ler les pratiques des entreprises qui nuisent fortement l efficacit du contr le exerc par les actionnaires Concernant l effritement de la confiance observ depuis la crise financi re Roland Schatz livre un point de vue qui n incite gu re l optimisme Ce n est pas une crise de confiance mais un v ritable naufrage gt appelle de ses v ux l tablissement de relations nouvelles entre le secteur priv et les pouvoirs publics Il souligne l importance du r le de l OCDE cet gard comme en t moignent tout derni rement les succes qu elle a rencontr s dans la lutte contre les paradis fiscaux et la corruption BI Christina Romer Pr sidente Council of Economic Advisers tats Unis Angel Gurr a Secr taire g n ral OCDE Angel Gurr a ouvre la s ance en pr sentant Christina Romer Pr sidente du Council of Economic Advisers Mme Romer est une conseill re conomique pr minente du Pr sident Obama Elle est galement Pr sidente du Comit de politique conomique de l OCDE M Gurr a fait observer que cette session extraordinaire r
101. tps community oecd org community educationtoday OCDE 2010 Vers la reprise Innovation emploi amp croissance saine At MSD we work hard to keep the world well How By providing people all around the globe with Innovative medicines vaccines and over the counter consumer and animal health products We also provide leading healthcare solutions that make a difference And we do it by listening to patients physicians and our other partners and anticipating their needs Not just healthcare We believe our responsibility includes making sure that our products reach people who need them regardless of where they live or their ability to pay So we ve created many far reaching programs and partnerships to accomplish this You can learn more about them at msd com Our recent merger with Schering Plough expands and strengthens our capabilities to help make the world a healthier place Our goals are clear and our commitment is fierce We are dedicated to solving problems and pursuing new answers MSD Be well Copyright 2010 Merck Sharp amp Dohme Corp a subsidiary of Merck amp Co Inc Whitehouse Station NJ USA All Rights Reserved OCDE 2010 Innovation lib rer les potentiels Mod rateur Luca de Biase R dacteur Technologie de l information et science II Sole 24 Ore Italie Intervenants Habip Asan Pr sident Turkish Patent Institute Turquie Dawn Graham Pr sidente EUC
102. travail de l OCDE vue d am liorer l efficacit de nos engagements en mati re d aide Nous reconnaissons en outre que les progr s vers la r alisation des appellent aussi des mesures effectives de la part des pays en d veloppement en vue de mobiliser leurs ressources internes et mettre en place les strat gies et institutions n cessaires pour soutenir une croissance largement partag e Nous sommes favorables une approche g n rale et coh rente du d veloppement qui recouvre l aide au d veloppement souligne l importance d une bonne gouvernance et dont la viabilit sera assur e en dernier ressort par la promotion d une croissance mieux partag e de l conomie mondiale Nous nous f licitons galement des efforts en vue d aller au del de la mesure des contributions et nous convenons de la n cessit de mettre plus l accent sur la mesure de l impact et des r sultats de la coop ration pour le d veloppement Nous appelons un renforcement du dialogue avec les donneurs traditionnels et mergents y compris une coop ration triangulaire un change d informations et une diffusion des pratiques exemplaires et des lecons de l exp rience Nous reconnaissons qu il est urgent de progresser dans les domaines de la fiscalit et du d veloppement L existence de syst mes fiscaux efficaces et transparents am liore la responsabilit des pouvoirs publics vis vis des citoyens contribue la stabilit
103. uche droite Angel Gurr a Loick Berrou et Giulio Tremonti conomiques Il se d clare n anmoins pr occup par une reprise trois vitesses avec les march s mergents qui affichent des taux de croissance deux chiffres les tats Unis et le Japon qui progressent plus vite que les autres pays de l OCDE et l Europe qui connait une croissance plus lente M Gurr a souligne aussi la n cessit d assainir progressivement O OCDE 2010 Clean d De gauche droite Angel Gurr a et Giulio Tremonti les finances publiques signalant que certains facteurs moyen et long terme ont t n glig s dans l urgence des mesures imm diates prises face la crise Selon le Secr taire g n ral de l OCDE il est temps maintenant d op rer une transformation structurelle centr e sur une action en faveur de l innovation de l ducation de la croissance verte et de la recherche d veloppement Paraphrasant L onard de Vinci selon lequel il ne suffit pas de savoir il faut appliquer M Gurr a d clare que la bonne volont ne suffit pas ce qu il faut c est agir Enfin M Gurr a loue le courage politique de Giulio Tremonti Ministre italien de l conomie et des Finances invit au Forum concernant les mesures d aust rit annonc es la veille par le gouvernement italien OCDE 2010 Giulio Tremonti rappelle que l histoire est toujours faite de cycles
104. ujours tort La quatri me phase qualifi e de lt capitalisme 4 0 gt par M Kaletsky devrait tre marqu e par l id e que les gouvernements comme les march s ont fait fausse route M Kaletsky estime que lt prendre conscience de cette faillibilit permet de se prendre en main cela ouvre la voie au pragmatisme l exp rimentation et au bon sens M Kaletsky conclut dans un premier temps que le fait de se rendre compte qu il n existe pas de v ritable religion permet galement d carter toute h r sie et dans un deuxi me temps que la coordination l chelle internationale est plus importante mais plus difficile que jamais De gauche droite Avivah Wittenberg Cox Adrian Blundell Wignall et Sharan Burrow to innovation empiora us cr dits contract s vers d autres pays ou d autres D secteurs comme l assurance lt Les march s EE T daten rowth de capitaux ont fini par fonctionner sans te capitaux gt M Blundell Wignall reste pr occup par l avenir lt Les march s de capitaux sont des virtuoses de l innovation si nous ne parvenons pas supprimer les op rations d arbitrage et endiguer ces transferts de promesses de remboursement nous connaitrons une autre crise Ce qu il faut poursuit il c est un dispositif institutionnel permettant de r glementer et d imposer ces engagements de la m me mani re dans le monde entier et dans to
105. un mythe Quelle est alors la r alit gt demande t il Mme Knuppert indique que le Danemark qui a d j entrepris des r formes voit d j apparaitre les r sultats Le d veloppement de l nergie olienne en est un excellent exemple Ces quelques derni res ann es l emploi vert a progress de 19 96 tandis que l emploi dans l industrie traditionnelle a diminu Elle pr cise toutefois que certains emplois n taient pas durables citant l exemple des mineurs polonais qui voulaient conserver leurs emplois et qui se sont entendu r pondre ce n est pas possible car l exploitation du charbon cessera progressivement dans quelques ann es Les changements porteurs d emplois verts sous quelque forme que ce soit seront gigantesques et il y en a d j d clare M Martin Dans un environnement sobre en carbone les modes Avivah Wittenberg Cox OCDE 2010 de consommation et de production doivent changer cest une r volution mondiale Mme Wittenberg Cox demande quelles doivent tre les priorit s la cr ation d emplois doit elle l emporter sur la pr servation de la plan te Et la croissance verte est elle une campagne commerciale la mode En ce qui concerne l ianovation elle d clare je suis m fiante face l innovation gt car lt elle n apporte pas toujours les r sultats escompt s Elle cite le secteur financier comme exemple r cent d une innovation ayant mal tourn
106. undgren au sujet du panachage de source d nergie adopter Au cours des 10 15 prochaines ann es la question centrale sera celle de l usage final Dans 50 ans les sources d nergie renouvelables et le nucl aire repr senteront une grande part de l approvisionnement nerg tique qui devra reposer en totalit sur des sources renouvelables et durables d ici 100 ans Il voque l occasion manqu e de remplacer le charbon par la biomasse et souligne la n cessit court terme de r soudre le probl me de l efficience nerg tique Le p trole et le gaz traditionnels de 20 96 de l approvisionnement en nergie d ici 2030 raient repr senter moins gr ce aux technologies sans carbone d clare C cile Maisonneuve Elle souligne le projet d Areva visant offrir un portefeuille de technologies sans CO compl mentaire allant du nucl aire au photovoltaique Ce portefeuille se composera de technologies comp titives s res et enti rement sans carbone Au sortir de la crise la s curit nerg tique est essentielle Anatoly Moskalenko pense que les nergies renouvelables sont prometteuses mais qu elles ne remplaceront pas int gralement les combustibles fossiles souligne l importance de continuer de chercher d autres sources 13 058 Jeong Shik Shin d nergie et voque l engagement pris par LUKOIL explorer ce domaine Le probl me actuel de la fuite de p trole dans le Golfe du Mexique attir
107. ur l avenir l propose d articuler la s ance autour de trois grands themes li s l volution qui touchera les changes la reprise mondiale l innovation et la dimension humaine Pascal Lamy remarque un changement d atitude l gard des changes de la d fensive au d but de la crise une attitude plus r ceptive Il ajoute que le maintien des changes est m me l un des facteurs qui De gauche droite Ken Ash Sharan Burrow Otaviano Canuto Soumitra Dutta Simon Crean Pascal Lamy et Borut Pahor P a one Tl ET El z lt Zu ix _ ood wasa Tums P 1 a lt H OCDE 2010 De gauche droite Ken Ash Sharan Burrow Otaviano Canuto et Soumitra Dutta Pascal Lamy att nuent les effets de la crise car la croissance mondiale reste soutenue par les changes avec les pays en d veloppement lt Ils ont besoin d ouvrir leurs changes et nous avons besoin qu ils poursuivent leur croissance gt Il en va tout autrement aux Etats Unis au Japon et dans l UE o la croissance de la demande int rieure OCDE 2010 reste faible En r ponse M Dutta qui lui demande pourquoi les gouvernements ont pu d gager un consensus pour un plan de relance mondial tandis qu ils n ont pas pu se mettre d accord lors des n gociations commerciales du cycle de Doha sous l gide de l Organisation mondiale du commerce M Lamy rappelle que le monde n est pas dirig par des cono
108. urs Probit int grit et transparence La profondeur et l ampleur de la crise ont d montr la n cessit de renforcer notre attachement aux principes fondamentaux de probit d int grit et de transparence Notre croissance et notre stabilit futures doivent reposer sur un ensemble commun de principes sous tendant les transactions conomiques et financi res internationales C est dans cet esprit que les Membres de l OCDE ainsi que le Br sil l Estonie la F d ration de Russie Isra l et la Slov nie ont adopt la D claration sur la probit l int grit et la transparence dans la conduite des affaires et de la finance internationales D veloppement La coop ration conomique mondiale contribue pour une part essentielle soutenir le d veloppement conomique et le progr s social dans les pays en d veloppement Nous 30 r affirmons notre forte volont de r aliser les Objectifs du mill naire pour le d veloppement OMD en 2015 qui engage la responsabilit commune de tous les partenaires cet gard l APD joue un r le essentiel et l OCDE continuera de suivre et d encourager les progr s vers le respect des engagements internationaux en mati re d APD Cela tant nous sommes conscients que l APD ne peut elle seule assurer la r alisation des OMD et nous nous efforcerons de tirer parti de m thodes de financement innovantes et de promouvoir efficience et efficacit Nous saluons le
109. us les secteurs lt Quelle doit tre l ampleur de la crise financi re pour que nous r formions la gouvernance Manifestement la crise qui nous a frapp s n a pas t assez profonde ESE 32 OCDE 2010 Robert Skidelsky partage un grand nombre des th ories de M Kaletsky sur les diff rentes tapes de l histoire du capitalisme Apr s cette crise quelle que soit la prochaine phase du capitalisme il annonce que la domination de la finance prendra fin gt M Skidelsky reste n anmoins prudent quant l analyse de l histoire en termes de cycles et pr f re la m taphore d un lt escalier en colimacon riche d occasions d apprendre Nous nous sommes rendus compte que les Etats et les march s peuvent chouer il nous faut trouver une troisi me voie nous ne r ussirons pas mais nous devons essayer telle doit tre la qu te de notre g n ration M Skidelsky plaide galement en faveur d un retour la morale au sens philosophique du terme d montrant qu une plus grande richesse ne fait pas n cessairement le bonheur Quelle est la finalit de la richesse quel moment peut on consid rer qu elle est suffisante Il nous faut r introduire la morale et l thique dans la question de la cr ation de richesse En outre plus une soci t est marqu e par les in galit s plus l envie domine faut donc davantage d galit M Kaletsky r cuse les doutes de M Skid
110. us sommes r solus faire en sorte que les mesures prises en vue d instaurer une croissance verte soient compatibles avec nos obligations en mati re de commerce international est vital d encourager l innovation verte et la diffusion l chelle mondiale des biens et services environnementaux ainsi que des Session publique pour inviter les pays candidats l adh sion rejoindre l OCDE technologies environnementales y compris des technologies efficientes en mati re d utilisation de ressources et d nergie dans les pays d velopp s et en d veloppement Nous nous f licitons du Rapport int rimaire sur la Strat gie pour une croissance verte et attendons la remise lors de la RCM de 2011 d un Rapport de synth se s appuyant galement sur les conclusions de la Strat gie pour l innovation et d livrant des messages concrets et des instruments Nous encourageons l OCDE continuer de jouer un r le essentiel dans les efforts mondiaux pour promouvoir une croissance verte Nous reconnaissons qu il faut viter liminer ou r former les dispositifs susceptibles de porter pr judice la transition vers la croissance verte comme les subventions dommageables pour l environnement Nous soutenons l initiative prise par le G 20 pour rationaliser et liminer moyen terme les subventions inefficientes aux combustibles fossiles qui encouragent la surconsommation et nous attendons la suite des travaux de l OCDE et de

Coup de projecteur sur le Forum 2010

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents