CP41 - Rapport 2, Rapport d`informations & Cahier des Charges
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1. collecte s lective du verre Les Citybulles pour verre sont munis d obturateurs escamotables con us de mani re viter les projections ext rieurs de d bris de verre lors des impacts dus aux chutes de verres l int rieur du conteneur collecte selective des textiles citybulle Ouverture de la visi re assist e par v rins La banque de chargement fait basculer le sac contenant les textiles vers la partie inf rieure rendant le vandalisme Les sacs sont r cup r s par une porte en face avant collecte de piles usag es PAE T k Pi E 4 y Jane gi M EH T A de ail an alj LS je lt He Je papier a collecte s lective du papier Les Citybulles pour papier et carton sont quip es d un syst me d obturation paroi pleine et fermeture automatique propre limiter la circulation de lair collecte s lective des bo tes m talliques Ce Citybulle poss de en dessous d un syst me de vidage par pyramide Ce sont des bornes install es proximit des revendeurs de piles tels que photographes bijoutiers horlogers grandes surfaces ce produit contient deux r ceptacles destin s l un la r cup ration des piles bouton et l autre celle des piles alcalines et salines collecte s lective des huiles V v collecte du papier et journaux magazines pour le compactage des papiers des cartons et des collecte selective du plastique poss den2. Certaines d chetteries sont mal g r es peu ou pas de surveillance heures d ouverture peu pratiques personnel non form bacs trop petits emplacements peu accessibles infrastructure incompl te insertion environnementale insuffisante autant d l ments qui au final peuvent d naturer compl tement l objectif fix b Le compostage Le volume de d chets verts produits chaque ann e est en accroissement constant Collect la plupart du temps s par ment ils se pr tent naturellement au compostage sans adjonction de mati res ext rieures Ce mode de traitement conna t un fort d veloppement avec pratiquement un triplement du nombre de plate formes depuis 1994 Les d chets verts constituent aujourd hui en France une production de l ordre de 7 millions de tonnes On consid re que la quantit de d chets verts mobilise gr ce aux collectes au porte porte est de 0 3 m par habitant et par an soit 60 kg Au niveau national la quantit de d chets verts ainsi mobilisable est de 17 millions de m environ 3 4 millions de tonnes chiffre de l ADEME Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie Les traitements biologiques ont pour but de transformer la mati re organique v g tale ou animale en un produit utilisable en agriculture gr ce un syst me de populations a robies compos de bact ries thermophiles et de champignons Le compostage appara t donc comme un sol appropri qui permet de valoriser
3. E OEA 7 Di PONCIOQUE D COU sesa a T SR 7 4 ACHONS G ODJECU Sra e a a E E OA 7 amp Collecte des dechet cirerer ner a e a ON a r E 7 Doservice de d Cher Teresa Re a A a a A teintes se 8 C Proposer des alternatives efficace S hdi E N a onu a aa aa Mine 8 ds SensibiUSaon ES C OVENS arere riesenia naen TEE A EE A AEE 8 D Moyens amp modalit s de collecte nn es RS te nn iae a aai a 8 Les produits existants ss iles Le crier niet ee E EEEN 9 1 Les poubelles mterieUr eS dedans vols sets dilu 9 Za Les poubelles Xt rIeures ni en nelle etes besoins menus ebuee 9 3 Les Drov urs et les Dresses 5 ii un sde see nacelle este ee coca cite 10 4 Les poubelles de tri des COlleCtIVIt S sisi ia same tin nt tt ddl tiens 10 5 Personnalisation des COnt enelrs sessions celine etienne tease E 11 6 Solutions contre les nuisances SONOFeS 2 0255 nn nee nn en a eus ietute 11 1 La puce electronique escra a Ce sets 11 Cahier des charoes CONC pDEURl se Rd idees 12 le Marc NE VIS E sie na aid ne pas 2 ne See tree sta ecigo destine ce cebedesno aies 12 2 Produits CONEUFFeNES s eines DR Re ne a lee die siennes 12 3 CONTANTE S saine dust nonlinear it nnencE te 12 O EXI ENCOS Sr TU mens Done sd lo nes Ce ne lande Monet le DR pe Neo die 12 DA SOUNATS ne Robien ones dede G ant deb de 12 ANNEXOS RE A OE AN E E E EEA 13 1 Statistiques sur le comportement des fran ais ssssesesesescececececesoecececececeececececececcececeseceeoeo 13 2 Sondag
4. La valorisation se dit d une fili re qui permet de donner une valeur positive un d chet Trois grandes m thodes de valorisation existent la valorisation nerg tique toute action qui permet de tirer de l nergie d un d chet introduit dans une unit d incin ration l utilisation de d chets comme mati res premi res de substitution Un nouvel usage de la mati re pourra tre fait L utilisation des d chets qui permet de fabriquer le m me produit de d part apr s valorisation verres papiers Actuellement les d chets inertes gt sont soit mis en d p t sans pr caution particuli re soit valoris s en technique routi re Les d chets banals sont limin s dans les m mes conditions que les ordures m nag res La quasi totalit des d chets sp ciaux est trait e en France selon trois proc d s l incin ration les traitements physico chimiques la mise en d charge contr l e Ainsi voyons les diff rents modes de traitement des d chets a Les d chetteries C est un espace am nag gardienn et clos o les particuliers peuvent d poser gratuitement leurs d chets non pris en compte par la collecte des ordures m nag res On peut ainsi recueillir des d chets dans des conteneurs sp cifiques en vue de les valoriser ou de les liminer mieux Elle peut en effet accueillir les mati res recyclables verre papier carton des encombrants des d chets verts Inconv nients
5. de forte neige celle ci ne doit pas s amasser sur le couvercle verrouillage du couvercle si le produit tombe ou se renverse Facile d placer et basculer pour gagner du temps sur le ramassage et l entretien Roues adh rentes quelque soit le temps Insonore pour viter les d sagr ments du ramassage matinal les probl mes de voisinage inf rieur 25dB Recyclable pour respecter l environnement Herm tiques aux animaux nuisibles pour la salubrit du syst me Poign es ergonomiques antid rapantes cache main mati re isolante b Souhai its i 2 SOLE Prix 300F maximum variable selon dimensions achat effectu par les collectivit s responsables de la collecte investissement long terme Compatibilit camion EN 840 5 apr s accrochage d chargement automatique du contenu du produit dans le camion Modulable diversit de la gamme en terme de dimensions optimisation de l espace utilis possibilit de rajout d extensions sp cifiques Signalisation ou code couleurs pour chaque cat gorie de d chets pour avoir un tri s lectif clair et sans quivoque Relativement l ger pour les manipulations diverses entre 1 et 5 kg Rapide vider pour gagner du temps sur le ramassage inf rieur 10s Attractif et ludique gros boutons pour inciter les plus jeunes au recyclage des d chets 12 Annexes 1 Statistiques sur le comportement des fran ais Les fran ai
6. Les toilettes Les cartons de reprographie Contraintes IL FAUT QUE notre produit concevoir respecte les conditions suivantes a Exigences l a a 8 2 10 11 12 13 14 R sistance aux intemp ries m t orologiques respect de la norme IP54 prot g contre les poussi re et les jets d eau de toutes directions mat riaux r sistants aux temp ratures qui oscillent de 40 40 C dilatation contraction louverture doit tre rendue possible en cas de temps verglac et neigeux et en cas de grande chaleur limitation des d gagements de mauvaises odeurs le mat riau doit tre un bon isolant thermique et avoir une bonne tenue aux ultra violets R sistance au vandalisme les mat riaux utilis s ne doivent pas s enflammer mais fondre viter les graffitis rev tement sp cial ou allouer une zone sur le produit pour le nom du propri taire par exemple Int gration de plusieurs cat gories de d chets au sein du syst me sans m lange Utilisation basique sans mode d emploi pour tre utilis par tout individu m me non familiaris Pour tous types d habitation produit g n ralis une collectivit Respect des normes EN 840 0x d tailler normes AFNOR en vigueur sur ce type de syst me Facilit d entretien roues couvercle et syst me de fermeture d montable pour la maintenance du produit bonne tenu aux d tergents et s chage rapide pour l entretien Couvercle en cas
7. cette mati re pour un co t raisonnable et de contribuer la protection de l environnement Cependant les d chetteries restent encore la destination principale des d chets verts c La m thanisation La d gradation de la mati re organique en pr sence d oxyg ne c est le compostage en l absence d oxyg ne on parle de m thanisation produit un m lange de m thane et de gaz carbonique d L incin ration L autre fa on de valoriser les mati re organiques est l incin ration on les br le dans des usines sp cifiques Les camions bennes d versent leur cargaison dans une fosse dans un hall de d chargement Ensuite les ordures sont br l es dans des fours sp ciaux et sp cifiques chaque d chet selon leur taux d humidit le pouvoir calorifique leur composition Les d chets br lent de 800 900 C sans combustible compl mentaire On aboutit alors une r duction de 70 de la masse des d chets entrants et de 90 de leur volume 5 Cependant tout n est pas calcin et les m chefers scories ferrailles verres et mat riaux imbr l s n cessitent un traitement particulier Il en est de m me pour les fum es rejet es qui doivent tre pur es pour en liminer des poussi res les gaz acides et les m taux lourds Les m chefers peuvent tre valoris s sous certaines conditions en techniques routi res 1 tonne d ordures br l es 300 kg de m chefers r sidus solides 50 kg de Re
8. e effectu aupr s de 93 personnes sesesescececececescececececocoececececesoccececececeececececeseeo 14 D chets amp traitement 1 Les d chets du g n ral au particulier Qu est ce qu un d chet Cette interrogation est au centre de nombreux conflits juridiques et commerciaux La r ponse para t pourtant simple un d chet c est ce qui est jet Mais ce qui est jet par certains ici peut tre r utilis e par d autres ailleurs Un d chet est un bien sans valeur exprim e dans un espace de r f rence r sume Jean Gouhier directeur de l institut de rudologie de l universit du Mans Un produit devient un d chet partir du moment o il est mis la poubelle c est dire partir du moment o il perd toute valeur sociale ou marchande donc tout usage Ainsi le type d organisation sociale ou le milieu de vie influencent le devenir de ce que l on jette Une premi re approche nous am ne a distinguer les d chets suivant leur origine v Les d chets urbains v Les d chets industriels v Les d chets agricoles Les d chets urbains regroupent les d chets m nagers et les d chets des collectivit s locales comme les boues des stations d puration les d chets des espaces verts L industrie est elle la principale source de d chets Ce sont tous les d chets produit par l industrie et les transports Enfin les d chets agricoles sont les d chets produits par les exploitations agric
9. effluent ultimes dernier maillon de la cha ne de traitement C est la loi du 13 juillet 1992 qui fixe la nouvelle politique de gestion des d chets dangereux et donc qui a introduit la notion de d chets ultimes Une certaine limite est mise quant la nature des d chets admis en d charge A partir de 2002 seuls les d chets ultimes qui ne peuvent tre ni recycl s ni limin s pourront y tre stock s Nous nous int resserons pour notre tude tout particuli rement aux d chets m nagers c est dire les d chets produits par la famille dans notre soci t En France les d chets m nagers comprennent les ordures m nag res 25 millions de tonnes et les encombrants m nagers 4 5 millions de tonnes La moyenne fran aise s tablit 350 kg par an et par habitant en 1995 contre 340 en 1993 soit une hausse de 1 75 par an Elle est aujourd hui de 450 kg par an soit 1 2 kg par jour En 25 ans la quantit de d chets m nagers re us par les installations collectives de traitement a tripl L analyse d une poubelle montre que les diff rents composants des ordures m nag res sont Organiques purs 30 mati re d origine animale et v g tale Papiers cartons 33 Plastiques 5 PVC PET PEHD etc sont en g n ral recyclable Verres 8 M taux 8 Textiles 8 Autres 13 KR RUN a 2 Traitement et valorisation des d chets Que signifie exactement la valorisation de nos d chets
10. ets les a rapidement convaincues que ces d chets n taient pas seulement une source de nuisances mais qu ils constituent d importants gisements de mati res et d nergie Les collectes s lectives permettent ainsi de soumettre les diff rents d chets des fili res d limination diff rentes des anciennes Les soci t s de retraitement sont donc pouss es par les collectivit s qui les emploient de r elles innovations en terme de collecte de communication et de proc d s de valorisation Notre sujet se situe donc au c ur d un probl me d actualit IL nous pose comme une interface entre les collectivit s les entreprises et la famille cible et acteur principal du recyclage des d chets m nagers Cadre de la conception Secteur du sujet gestion familiale des d chets gt Sommaire D chets amp traitement ss Min Ne Liens iii 4 1 s d chets d g n ral an b rticuner assis ei a ne te 4 2 Traitement et valorisation des d chets sssssessecsesossoscososcoscoesoesoeoscoesoesoeseeossoesososesesossoeso 5 d Les U ChEl CTIOS Es 2 anae E E AA aR 5 DECO DOS OO TE EEE EEEE OO ae oo ane de ed da AOE E 5 amp Lamet hani sati ON siiani a a Loic lens a Al a 5 d EINN raO nirai EEE EEE 5 e LETONIO O Sn EOE TEOT E TTA T T E TT OO 6 Acteurs moyens G solutions erisiore nus Mn AE a N a E 7 3 Presentation des CONectiViteS isoye E R ire 7 D DEL EN 016 LP UE aarian E ENT E T ENEE EE TE E E E
11. fiom fum es d incin ration L incin ration permet une valorisation nerg tique des d chets la chaleur r cup r e pendant la combustion des d chets est transform e en vapeur Cette vapeur est utilis e dans la production de l lectricit et dans l alimentation des r seaux de chauffage Ainsi la Communaut urbaine de Strasbourg s est engag e avec l entreprise Protires sp cialis e dans la valorisation de la vapeur et des m chefers produits par la combustion des d chets Aujourd hui un peu plus de 11 millions de tonnes de d chets m nagers sont trait s dans 300 incin rateurs e Le recyclage Le recyclage permet de diminuer de fa on importante la quantit de d chets traiter r aliser des conomies de mati res premi res et d nergie Il est important de ne pas br ler les mat riaux recyclables Les collectivit s proposent des outils et des moyens susceptibles d encourager la r duction de la production des d chets m nagers Pour modifier les comportements d achat ou les habitudes de gestion domestique des op rations de sensibilisation la r duction des flux de d chets peuvent tre envisag es Ce tri revient donc l habitant lui m me avant toutes les ordures taient rassembl es dans un m me sac d sormais on trie les d chets par type Papier carton verre plastique m tal constituent pour plus de la moiti de notre poubelle Trier ces d chets sont envoy s dans des centres de tr
12. i Belfort Montb liard Rapport 2 Cahier des Charges Thibault DURAND Camille JACQUOT David PERRIN Jean Baptiste RIVIERE GMO2 DA 1 La gestion familiale des d chets Rapport d informations Introduction Dans le cadre de l unit de valeur Cp41 m thode de conception notre sujet concerne la gestion familiale des d chets Cons quence directe de notre mode de vie l augmentation des d chets p se de plus en plus sur notre environnement Ainsi les activit s humaines sont dans la plupart des cas g n ratrices de d chets ce quoi contribuent largement cet tat de fait La gestion des d chets c est dire tous les processus de traitement apr s utilisation sont r gis par deux grandes lois celle du 15 juillet 1975 n 75 633 et du 13 juillet 1992 Le recyclage appara t aujourd hui non seulement comme une n cessit mais aussi comme une obligation pour les collectivit s En 1995 80 des fran ais se disaient pr t s investir dans une politique de recyclage Aujourd hui deux m nages sur trois trient le verre un sur cinq trie r guli rement le plastique sous r serve d une mise en place d un dispositif de tri s lectif domicile Les courants vocation cologique prennent un place pr pond rante dans la vie politique et sociale comme lont montr les derni res lections Les collectivit s se sont donc ainsi pench es sur le sujet la multiplication des tudes d ch
13. i des d chets m nagers en vue d une ventuelle r utilisation A titre d exemple les m taux collect s sont recycl s pour la fabrication de pi ces automobiles les briques de boisson pour des panneaux d agglom r carton pour de nouveaux cartons d emballage e Inconv nients De l option choisie par la commune d pend le type de mat riaux collect s Ainsi une commune qui s engage dans la fili re du compostage choisit la collecte s par e des mati res organiques 29 de nos poubelles Acteurs moyens amp solutions 3 Pr sentation des collectivit s a Introduction l limination des d chets comporte les op rations de collecte transport stockage tri et traitement n cessaire la r cup ration code de l environnement Les modifications des modes de vie et de consommation ont des cons quences sur la quantit et la composition de d chets que nous produisons Cela n cessite une nouvelle politique l urbanisation ayant fait dispara tre la r utilisation et le recyclage pratiqu s en milieu rural Pour cette raison les lois et normes sur le recyclage des d chets notamment la loi de 1975 qui oblige les communes collecter les ordures m nag res et la loi de 1992 sur l engagement de d marches pour la valorisation des ordures m nag res en 2002 les d charges n accepteront plus que des d chets dits ultimes et aussi plus g n ralement le contexte r glementaire europ en imposent quasime
14. ns les tranches d ges et plus cette participation augmente avec ces taux maximums pour la tranche des personnes de plus de 60 ans Les plus jeunes moins de 20 ans trient le moins exception faite des piles pour lesquelles ils enregistrent la meilleur moyenne toutes tranches confondues 13 2 Sondage effectu aupr s de 93 personnes Dans quelle zone habitez vous OZone rurale E Zone urbaine Comment s organise votre tri E Tri s lectif individuel O Containers municipaux votre tri En quelle quantit en fonction des produits tri s et de la place que vous pouvez leur accorder 1 14 Quel type de poubelle pr fereriez vous avoir pour E En dehors E Au sein de l habitat B 1 poubelle H 2 poubelles O3 poubelles O4 poubelles ou Que consid rez vous comme contraignant dans le fait de recycler en g n ral 4 13 6 6 24 M Eloignement des containers E L encombrement au sein de l habitat Le nettoyage pr alable des d chets B Le manque de moyens M Le temps n cessaire B Le fait d y penser M Le pliage d pliage des emballages 14
15. nt aux communes de d l guer la gestion de leurs d chets soit aux organismes publics intercommunaux ou syndicats intercommunaux soit une soci t priv e Ces collectivit s n s dans les ann es 60 g rent ind pendamment peu pr s une dizaine de communes souvent impos es par le p rim tre g ographique assurent ensemble l limination annuelle de 44 millions de tonnes de d chets b Politique amp co t Afin d assurer une coh rence aux politiques locales d limination des d chets m nagers chaque r gion labore un plan r gional ou inter r gional d limination d partemental pour les d partements Ces plans se con oivent comme un puzzle dont chaque pi ce est le plan l mentaire labor par chaque collectivit locale Ce plan pr voit la collecte le tri le traitement mais aussi le stockage des d chets ultimes L ind pendance des collectivit s conduit des politiques vari e l efficacit de la collecte diff re alors selon les modes de collecte qui font varier les quantit s Il ne faut pas confondre les collectivit s avec les usines de traitement dont les vocations sont diff rentes le territoire de Belfort est d coup g ographiquement en 3 zones g r es par les collectivit s e Communaut de l Agglom ration de Belfort 33085 T en 98 424 kg hbt e _ SICTOM 14486 T en 94 410 kg hbt e SIVOM 9170 T en 98 295 kg hbt Le retraitement des d chets s effectuant ailleurs du t
16. ocales sur les moyens et les m thodes de tri existants sont les principales contraintes leur participation au recyclage Pourtant 67 des personnes interrog es nous ont d clar pr f rer un syst me de collecte au sein de l habitat un syst me ext rieur De plus 37 seraient pr t avoir un syst me de tri 2 poubelles et 47 un syst me 3 poubelles pour une contenance totale de 40L 20 60L 24 et 80L 36 Ces chiffres sont cependant nuancer du fait que pr s de la moiti des personnes sond es vivent dans un milieu rural et une tr s importante part dans une maison particuli re Cette m me enqu te de l INSEE montre que les habitudes de tri sont tr s variables selon l importance des villes Ainsi plus les communes sont rurales et plus le tri du verre par les m nages est important de l ordre de 80 pour les milieux ruraux contre 55 Cette tendance s inverse compl tement en ce concerne le papier les piles et le plastique Le revenu annuel du m nage ainsi que la cat gorie socioprofessionnelle semblent avoir un lien direct avec la participation au tri On remarque que les familles ayant plus de 240 000FF de revenu par an trient significativement plus que celle moins de 60 000FF an de l ordre de 69 contre 53 pour le verre 42 contre 27 pour le papier et 21 contre 15 pour le plastique L ge est aussi un l ment d terminant des pratiques et habitudes en mati re de tri Plus on monte da
17. oles foresti re et de la p che Une seconde classification se base elle sur le degr et la nature des dangers que les d chets peuvent faire courir l environnement On a ainsi des d chets inertes qui ne pr sentent aucun risque pour l environnement Ils sont constitu s principalement de d blais et de d chets min raux divers provenant des industries extractives des d chets banals tels les papiers les plastiques les cartons le bois Ils sont assimilables aux ordures m nag res ainsi qu leurs techniques d limination et de valorisation compostage incin ration mise en d charge e les d chets sp ciaux qui pr sentent un danger potentiel pour l homme ou l environnement Ils peuvent contenir des l ments polluants cela peut tre des boues de peinture ou d hydroxydes m talliques des cendres d incin ration Des pr cautions quant leur limination doivent tre prises e Les d chets consid r s comme vraiment dangereux pour le milieu naturel et la sant humaine et contenant des substances tr s toxiques comme les d chets radioactifs ou certains d chets hospitaliers par exemple Enfin une troisi me approche permet de distinguer une derni re classification qui se base sur la position du d chet dans le processus de traitement On en note trois sortes e primaires d chets avant traitement e secondaires ce sont les d chets issus du traitement d un d chet ou d un
18. omme les amortisseurs impossible ralentit l ouverture et la r duisant la r sonance de la fermeture du couvercle cuve lors de la manipulation i effet de coussin d air mousse de poly thyl ne expans e une mousse de polyur thane avec Gr ce une cr ation d une et extrud e Citybulle masse lourde en surface Cityspot surpression dans la cuve qui ralentit Cette mousse est coll e sur les M me proc d que le pr c dent la fermeture du couvercle et r duit parois du conteneur pour att nuer ainsi les nuisances sonores le bruit par la chute des bouteilles 7 La puce lectronique Citinfo 4 Chaque conteneur est quip d une puce lectronique qui devient une carte d identit du bac Les informations relev es portent sur plusieurs points v Le nombre total de conteneurs mis en place par type v Le volume total le volume par type de conteneur i v La transmission des ordres de maintenance et modifications volumes i w Ceci permet T une facilit et une rapidit des demandes d intervention l une optimisation de la collecte r organisation des bacs roulant une diminution de la facturation individuelle SKK S S 11 Cahier des charges conceptuel 1 March vis la famille gt mais aussi les collectivit s locales qui utilisent les syst mes de tri LKKKKKIK IN 5 Produits concurrents Poubelles Bennes Containers Sachets plastiques de distribution Sacs poubelles
19. point Attribution des conteneurs maintenance des copoints SSS CACAL UK lt UI Service de d chetterie Pour tous types de d chets verres papiers plastiques gravas encombrants huiles toxiques batteries Proposer des alternatives efficaces Compostage individuel R parer r utiliser les produits usag s organismes de statut associatif Emma s Sensibilisation des citoyens Explication des modes de gestion des d chets tri des verres papiers ou encore emballage corps gras produits toxiques Op rations de pr tri effectuer pliage des cartons ter les bouchons Modification des habitudes de consommation Horaires et fr quence de passage des enl vement des d chets Rechercher un partenariat avec les distributeurs monoprix Informer les m nages sur les d chets toxiques Inciter les m nages prendre conscience de leur responsabilit par des r flexes apprendre lors de l achat du produit la participation des foyers fran ais la collecte d passe rarement 10 e R parer et utiliser des biens d quipement e Pr f rer les produits durables aux produits usage classique e Privil gier l achat de produits colabellises e Utiliser raisonnablement les sacs de caisse jetables e Eviter les boissons distribu es en conditionnement individuels Moyens amp modalit s de collecte Collecte au porte a porte de r cipients normalis s et herm tiques conteneur
20. s Collecte selective de points d apport volontaire Selon les modes de collecte adopt s les r cipients utilis s doivent satisfaire en particulier aux prescriptions suivantes TAAS Poubelles Sacs perdus en papier ou en plastique Bacs roulants pour d chets solides Autres types de r cipients Les conteneurs sont sortis sur le lieu de collecte soit par les usagers soit par le personnel des immeubles charg s de ce service La gestion tant fix e par les collectivit s celles ci d cident de leurs politique et peuvent arr ter des dispositions si liste exhaustive La benne de collecte ne peut se rendre moins de 15 m du lieu de collecte La configuration d un immeuble ne permet pas l entreposage des conteneurs Mauvaise gestion de tri pr sence de mauvais d chets dans les conteneurs Ce sont les collectivit s qui mettent les conteneurs disposition des usagers Fonction de la nature de l habitat collectif ou individuel du nombre d usagers production moyenne 6 L personne jour et de la fr quence de collecte du lieu Les produits existants 1 Les poubelles int rieures modulobac 10 litres collecte la source des d chets organiques 2 Les poubelles ext rieures bac a cloison verticale ou horizontale Des bacs de 180 ou 260 litres sont sacs de d chets bac double couvercle Les bacs pr c dents peuvent tre quip s d un couvercle en deux de couleurs sp cifiq
21. s se d barrassent en moyenne de 24 5 millions de d chets par an Dans les pays d velopp et particuli rement en France la poubelle s alourdit au fil du temps du fait de la prolif ration des emballages De plus il s av re que pr s de 60 des d chets municipaux proviennent des m nages Les collectivit s locales se doivent donc d instaurer une politique de gestion adapt e de ces ordures notamment par l tude du comportement des fran ais vis vis du recyclage Une enqu te men e par l INSEE en janvier 1998 nous montre que les fran ais r sidant en maison individuelle ont des habitudes de tri beaucoup plus importantes que ceux qui r sident en immeuble de l ordre de 75 contre 46 en ce qui concerne le verre ou encore de 41 contre 29 pour le tri du papier De plus les personnes quip es d un syst me de tri s lectif domicile trient beaucoup plus r guli rement leurs d chets que les autres la disposition de bennes municipales et des d chetteries 76 contre 68 pour le tri du verre 60 contre 41 pour le papier ou encore 40 contre 25 pour le plastique Plusieurs explications nous sont propos es par notre sondage Tout d abord il nous montre que les personnes ne disposant pas de syst me de tri s lectif au sein de leur habitat 74 des cas consid rent que l loignement des containers municipaux verre papier plastiques le stockage et l encombrement li ainsi que le manque d informations l
22. t une porte en face avant permettant le vidage du contenu par aspiration elle facilite les la maintenance et le compactage Comporte deux ouvertures une circulaire et l autre rectangulaire En partie basse de ce citybulle pour huiles usag es un r servoir tanche trait anti corrosion est quip d un syst me de vidage par aspiration Sous le d me en partie haute une visionni re actionn e par deux v rins donne acc s un r ceptacle qui recueille l huile usag e et la zone de stockage des bidons vides 10 Cityspots Le Cityspot est un conteneur de grande capacit dont la cuve est enterr e Seule une borne d introduction aux dimensions r duites d passe du sol Cityspot est destin tre implant dans les zones o les conteneurs de surface ont du mal trouver leur place 5 Personnalisation des conteneurs 1996 00042762 2 Eee fi jOE attocollants gravure marquage num rotation photo chaud injection 6 Solutions contre les nuisances sonores nn CSSS les plots de collerette les but es de les patins d ouverture les compensateurs En mat riau souple couvercle axe charni re insonorisants insonorisant Mont s par En lastom re moul Encliquet s sur les Mont s sur l axe de roue processus sp cial sur le Formes tudi es afin de poign es Un axe charni re avec des roues sp ciales pourtour de la collerette rendre le d montage fix sur le couvercle c
23. ues aux diff rentes classes de d chets bac pliable Bac r pondant aux exigences des utilisateurs disposant de locaux exigus Il peut galement tre employ comme bac de substitution Il reste adaptable tous les syst mes de l ve conteneurs standard quip s d une cloison verticale ou horizontale de s paration de d chets dans le cadre d une collecte s lective parties bac multicompartiments pour la collecte s lective en 4 modulobac Concept modulaire adapt au tri des d chets la source compatible avec fractions la majorit de bennes compartiment es wo CE U CN VI I a f me ORE TEs w de collecte du verre ou des bo tes m talliques collecte du papier et journaux magazines collecte des flaconnages collecte de compostage bac 2 roues pour la collecte 90 330 litres Les bacs peuvent comporter un couvercle de couleur sp cifique chaque type de d chets V bac 4 roues pour la collecte 500 a 1100 litres bio composteur Re r EELE A e n collecte du verre ou des bo tes m talliques collecte des flaconnages collecte de compostage compostage individuel pour mati re organique arbres plantes et autres mati res organiques 3 Les broyeurs et les presses le broyeur g n ralement utilis pour les plastiques les bois et les m taux la presse plastiques 4 Les poubelles de tri des collectivit s LH ll
24. ype de l copole de Bourogne Le service d enl vement des d chets m nagers et d chets assimil s est financ par la taxe d Enl vement de Ordures M nag res TEOM imposition forfaitaire et la Redevance Sp ciale RS facturation au juste prix Le principe de la RS est nettement plus incitatif que celui de la TEOM car l informatique embarqu e permet l identification et la mesure du contenu des r cipients collect s et la redevance peut le prendre en compte lors de la facturation du service Les m nages seront d autant plus impliqu s dans la r duction de leur production de d chets m nagers ou assimil s que cette diminution aura un effet direct sur les sommes qu ils payent au titre de la collecte En effet en 1997 le traitement des d chets co t plus de 800 F tonne la commune et le triage pr alable verre notamment permis aux collectivit s de Grenoble l conomie de 900 000 FF 4 Actions amp objectifs Pour diminuer la production trois types d action peuvent tre mis en uvre cet effet par les collectivit s e Actions sur leurs propres tablissements Actions aupr s des distributeurs Actions apr s des m nages des artisans et petits commer ants Dans le cadre de notre sujet d finissons quelques objectifs du troisi me point Collecte des d chets en Camions bennes passages hebdomadaires fonction du lieu tri effectu Gestion des d chetteries porte porte co
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