Télécharger le journal - URPS ML PAYS DE LA LOIRE
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1. Angers les m decins pr sents la r union d change ont r v l une certaine m connaissance mutuelle les psychiatres entretenaient jusqu pr sent peu de relations avec les g n ralistes voyant des patients venant souvent d eux m mes tandis que les g n raliste confient le plus souvent leurs patients la structure hospitali re De ces deux rencontres l URPS ML a d gag l id e de r aliser un annuaire des psychiatres lib raux de la r gion indiquant pour chacun sa sp cificit en termes de th rapie L Union pourrait galement jouer un r le dans la meilleure connaissance que les g n ralistes devraient avoir de la psychiatrie avouait un g n raliste participant l une des r unions EXERCICE PROFESSIONNEL Un nouveau dossier communicant de canc rologie Utilis en oncologie depuis dix ans le DCC dossier communicant de canc rologie se modernise pour faciliter les changes de donn es m dicales Depuis 2004 le dossier communicant de canc ro logie DCC est un service qui permet le partage et l change de donn es m dicales entre professionnels de sant hospitaliers et lib raux Il est destin am liorer la qualit de la prise en charge des patients en facilitant notamment les r unions de concertation pluridisciplinaires RCP Ces changes constituent des facteurs importants d am lioration de la qualit des soins et de la continuit de la prise en charge des patie2. la m decine lib rale MEDECIN 00000000 Les lections aux URPS auront lieu par voie postale du 5 au 12 octobre Les lections aux URPS auront lieu par voie postale du 5 au 12 octobre prochain pour les URPS M decins Lib raux Au cours de ce scrutin les lib raux choisiront dans chaque r gion les confr res qui si geront dans les unions r gionales des professionnels de sant URPS pour un mandat de cinq ans Pour l URPS M decins Lib raux des Pays de la Loire 60 m decins seront lus Les r sultats devraient tre connus le 16 octobre 2015 C est un enjeu doublement important e pour montrer l engagement des professions de sant et donner de la voix leurs instances repr sentatives m me si leur r le n est pas toujours imm diatement visible il n en est pas moins important sur le terrain face la puissance des ARS les lib raux auront int r t plus que jamais disposer d URPS d autant plus l gitimes qu elles auront t lues avec une forte participation pour tablir la repr sentativit des syndicats de m decins La date de ce scrutin tait attendue depuis de longs mois par les syndicats de m decins lib raux qui r clament l ouverture de n gociations convention nelles or l assurance maladie et le minist re de la Sant renvoient ces n gociations tarifaires apr s la tenue de ces lections professionnelles Quel que soit votre choix syndical faites le choix
3. portant sur le nombre d internes en formation aujourd hui et pour les besoins des prochaines ann es Elle a propos aux internes des stages de qualit structur s et formateurs Diminuer l exposition aux rayonnements L URPS ML a rencontr l Autorit de Sant Nucl aire ASN des Pays de la Loire en mai dernier qui a fait part de sa pr occupation sur l importance des rayonnements ionisants dus la pratique des examens de sant C est une source d irradiation de la population trop sous estim e L URPS ML et l ASN sont d accord pour sensibiliser les m decins et lancer des actions d information peut tre de formation Ainsi l utilisation des IRM de pr f rence aux Scanners est elle pr conis e car ces appareils ne sont pas irradiants Chirurgie ambulatoire et droit de la sant Une r union a eu lieu le 10 juin l URPS ME en pr sence de nombreux m decins dont des anesth sistes et chirurgiens sur le cadre juridique et assurantiel de la pratique de la chirurgie ambulatoire Cette rencontre riche en changes tait organis e conjointement avec la Conf rence R gionale des Pr sidents de CME de l hospitalisation priv e des Pays de la Loire Des informations et r sum s seront disponibles sur le site internet de l URPS ML www urps ml paysdelaloire fr biaa esse eee eee see eee oo URPS 2016 2020 lections aux URPS donnez de la voix
4. decins g n ralistes des Pays de la Loire Panel en m decine g n rale 2014 2016 mai 2015 n 11 Publication t l charger sur les sites www santepaysdelaloire com et www urps ml paysdelaloire fr Vaccination un soutien massif avec un besoin d information et de formation Dans un contexte national marqu par l acc l ration des controverses sur l efficacit et les risques suppos s de certains vaccins l enqu te men e en 2014 aupr s d un chantillon de 487 m decins g n ralistes des Pays de la Loire permet de dresser un tat des lieux des opinions et des pratiques professionnelles en la mati re Le constat r gional reste rassurant Une large majorit des m decins g n ralistes lig riens d clare tre tres favorable la vaccination 81 Pr s de neuf praticiens sur dix consid rent que leur r le est d inciter leurs patients m me r ticents se faire vac ciner Pour m moire pr s de 80 de la population fran aise d clare tre favorable la vaccination en g n ral Inpes InVS 2015 interrog s propos de l obligation vaccinale pour tout ou seulement certaines pathologies du calen drier vaccinal 83 des praticiens lig riens restent attach s ce principe Environ un sur quatre indique plus particuli rement que l ensemble des vaccins du calendrier vaccinal devraient tre obligatoires Une proportion importante des g n ralistes fait ce pendant part de
5. Pour les g n ralistes en privil giant l organisation interprofessionnelle des lib raux Pour les autres sp cialistes en renfor ant le maillage du territoire L actualit trait e dans ce num ro de notre journal t moigne comme toujours de la mani re dont nous agissons sur le terrain au c t de tous des M decins Lib raux Pays de la Loire Quels que soient les futurs lus l URPS ML devra toujours mieux se faire conna tre afin de l consolider sa l gitimit URPS ML est VOTRE MAISON Soyez encore plus nombreux N 2 2015 Et 2015 voter en 2015 qu en 2010 Plus que jamais l actualit l impose Le bureau de l URPS M decins Lib raux des Pays de la Loire 8 D 6 D 6 8 9 De 66 e 2 5e 0 o 0 seso 2 s 0 002006 0 0 0e 0 6 0 0 0 05 rur r eue 0 2 0 0 0 6 D 6 0 6 0 nd 0e 0 6 op 0 0 0 6 5 6 5 0 6e 0e 6 0 0 0 gt TUDES Panel M decine G n rale Pays de la Loire Situations et sentiments d ins curit une tude de victimation Comme tout professionnel en contact avec le public le m decin g n raliste peut tre confront des situations d ins curit dans le cadre de son exercice Les statistiques fournies par le Conseil de l Ordre des m decins font tat de 57 incidents survenus dans les Pays de la Loire en 2012 et 2013 Ce chiffre bas sur le re
6. aupr s des EHPAD pour que ces majorations soient r gl es LARS a accept de sensibiliser les EHPAD concern s mais il reste un d saccord LARS insiste sur le fait qu un contrat est obligatoire pour que cette majoration soit pay e par les EHPAD Pour l URPS ML au contraire les majorations sont dues aux m decins quel que soit le mode finan cement des EHPAD et sans contrat Les contrats entre m decins et EHPAD ne sont pas sign s par la tr s grande majorit des m decins et des EHPAD L intervention de m decins dans les EHPAD pour les patients dont ils sont m decins traitants est d ja une relation contractuelle de fait avec l EHPAD et la convention est une r f rence suffisante y compris pour les EHPAD sous dotation globale II n y a lieu de subordonner le r glement de ces 5 euros un contrat terme les m decins g n ralistes seront exclus de certains EHPAD Ni les professionnels ni les patients n ont demand une telle situation que bien souvent ils ignorent compl tement Actuellement ce probl me se situe au niveau de la relation entre le m decin et l EHPAD C est pourquoi il convient d s pr sent que les m decins se tournent vers les EHPAD concern s c est dire ceux auxquels ils facturent directement les soins pour facturer ces majorations y compris r troactivement depuis juillet 2014 pour les patients de plus de 80 ans juillet 2013 pour les plus de 85 ans Vous exercez en secteur 1 et n
7. avez pas encore factur ces actes depuis le 1 juillet 2013 que faire e S assurer que l EHPAD est sous dotation globale vous facturez directement vos actes cet EHPAD e R cup rer la liste des visites effectu es depuis le 1 juillet 2013 avec la date de naissance des patients si c est possible l aide de votre syst me d information e Pour les visites du 1 juillet 2013 la majoration concerne les personnes de plus de 85 ans e Pour les visites partir du 1 juillet 2014 la majoration concerne les personnes de plus de 80 ans e Adresser l EHPAD concern la note d honoraires en recommand cf courrier type Plus d information aupr s de l URPS ML T l 02 51 82 23 01 contact urps ml paysdelaloire fr Madame Monsieur le Directeur Je vous adresse un compl ment de note d honoraires relatives aux visites effectu es par mes soins pour les patients domicili s dans votre EHPAD depuis le 1 juillet 2013 Ces notes s appuient sur les tarifs conventionnels et comprennent en particulier La majoration des 5 euros pour les personnes g es de plus de 85 ans qui existe depuis le 1 juillet 2013 La majoration de 5 euros pour les personnes g es de plus de 80 ans qui existe depuis le 1 juillet 2014 L EHPAD dont vous assurez la gestion est redevable de ces majorations Les montants repr sentent ce jour un total de XXXX Je vous remercie en cons quence de bien vouloir adres
8. dont la loi pr voit que l ordre du jour soit d sormais fix par le ministre de la Sant l inscrive l agenda pour que l affaire soit faite En mati re d acc s aux soins tout comme l Ordre nous trouvons inqui tantes les dispositions de l article 19 visant mieux valuer l importance et la nature des pratiques de refus de soins aux b n ficiaires de la couverture maladie universelle CMU ou de l aide m dicale d Etat AME Nous avons chapp de peu l instauration de patients myst res II n est pas dit que ces pratiques ne reviennent sous une forme ou sous une autre d s lors que les m decins n auront plus de lib raux que le mot soumis et encha n s l Etat aux financeurs voire aux associations de patients On comprend que l Ordre s inqui te des cons quences sur le respect de la d ontologie m dicale Ce quoi nous n avons en revanche pas chapp c est au r tablissement du Service public hospitalier SPH dont seront exclues les cliniques cause des d passements d honoraires qui peuvent y tre pratiqu s Mais ces d passements resteront autoris s l h pital public Ils sont en r alit la cons quence du blocage des tarifs des honoraires des m decins et sp cialistes depuis vingt ans a soulign la F d ration de l Hospitalisation Priv e De toute fa on ce sera l h pital public que seront confi es l ensemble des missions d volues aux tablissements de sant Ne par
9. r t participer un programme de rencontres avec ces derniers Le but tait de renforcer les relations entre eux L int r t suscit par cette d marche a pouss l URPS ML construire un programme visant favoriser le d veloppement des coop rations entre les m decins g n ralistes lib raux et les psychiatres Deux r unions ont alors t propos es en mars et en avril 2015 Nantes puis Angers Chacune a rassembl une dizaine de psychiatres lib raux et une quinzaine de m decins g n ralistes Nantes le tour de table a montr que les deux sp cialit s voluent en milieu de connaissance mais ignorant parfois les probl matiques propres chacun des deux m tiers Face un patient atteint de troubles relevant de la psychiatrie le g n raliste ressent un sentiment d urgence et souhaite pouvoir recueillir dans les meilleurs d lais l avis de son confr re psychiatre De son c t le psychiatre est confront la difficult de lib rer du temps de soin Sa sp cialit rel ve par nature d une logique d accompagnement du patient dans la dur e Chaque nouveau patient peut g n rer un besoin de suivi et donc un engagement en termes de disponibilit pour le psychiatre Mais surtout il existe une grande variabilit des pratiques et des modes d organisation des psychiatres certains r pondant directement aux m decins g n ralistes d autre non certains effectuant un suivi d autres non
10. rologie a un r le de coordination de l ensemble des op rateurs de la prise en charge des patients atteints de cancer Ses objectifs fix s par l Institut National du Cancer sont d harmoniser et d am liorer la qualit des pratiques de promouvoir des outils de communication communs au sein de la r gion de d velopper l valuation et l information des professionnels et des patients Plus d informations sur internet www oncopl fr La page d accueil du DCC telle que l utilisent les m decins lib raux intervenant en canc rologie Une fiche RCP document tra ant la d cision prise en r union de concertation pluridisciplinaire adress au m decin traitant INFOS PRATIQUES La coordination des soins la carte Les Unions R gionales de professionnels de sant lib raux des Pays de la Loire proposent ensemble une Carte de Coordination des soins pour les patients de notre r gion tant quotidiennement au service de la population les professionnels de sant lib raux se coordonnent pour offrir aux patients des soins de qualit en proximit Pour renforcer cette organisation les URPS proposent aux patients une carte outil simple permettant d optimiser la coordination des soins de premier recours mais aussi avec les m decins sp cialistes de second recours ainsi qu avec les tablissements de sant ou avec le secteur m dico social Un outil simple Cette carte pr sente 3 volets au format carte d
11. ses incertitudes 60 ne s estiment pas l aise pour changer avec leurs patients sur le r le des adjuvants vaccinaux Plus g n ralement un praticien sur cinq ressent un besoin de formation sur la vaccination Par ailleurs certains profils de m decins en particulier ceux pratiquant de mani re occasionnelle un mode d exercice particulier MEP acupuncture hom opathie Sont nettement moins enclins aux pratiques de vaccination De sorte que certaines vaccinations recommand es apparaissent ne pas tre propos es de mani re syst matique par l ensemble des g n ralistes R f Attitudes et pratiques des m decins g n ralistes vis vis de la vaccination dans les Pays de la Loire Panel en m decine g n rale 2014 2016 juillet 2015 Publication t l charger sur les sites www santepaysdelaloire com et www urps ml paysdelaloire fr partir de juillet 2015 Enqu te de victimation aupr s des m decins g n ralistes des Pays de la Loire Lens eq pe mme maiii g Panel CPP at en m decine g n rale LE m rE samepa E came E i CR CLR LES e ue alu mn bm eree TT CD n l LE a Port par l Observatoire r gional de la sant ORS et l URPS M decins Lib raux des Pays de la Loire ce panel interroge un chantillon de 500 g n ralistes sur diff rents th mes propres leur activit ou d int r t de sant publique Il est mis en uvre en partenariat avec la DREES Direct
12. LIB RAUX URPS M decins Lib raux 2016 2020 lections professionnelles Octobre 2015 Lire en page 8 MEDECIN lections aux URPS donnez de la voix la m decine lib rale Les prochaines lections professionnelles des m decins lib raux sont fix es au 12 octobre 2015 En plein d bat sur la loi de sant nous ne sommes pas dupes du caract re tactique de cette d cision qui vise nous diviser Mais si cette ch ance se confirme ne manquez pas l occasion d exprimer ce que vous souhaitez pour votre avenir de m decin lib ral Votez pour les candidats de votre choix votez parce que la l gitimit de notre Union R gionale des Professionnels de Sant M decins Lib raux des Pays de la Loire en d pend Elle est la seule organisation vous repr senter aupr s de l Agence R gionale de Sant dont les pouvoirs vont encore s accro tre L URPS M decins Lib raux est votre service depuis fin 2010 Avec une participation forte d environ 50 selon les coll ges les lections de 2010 avaient lanc une nouvelle structure succ dant l URML En 5 ans notre quipe s est renouvel e puisque le Pr sident et le Secr taire de l Union ont t l un et l autre lus des fonctions nationales au sein de leurs syndicats m dicaux Le bureau en place depuis fin 2014 s est fix pour priorit de donner envie aux jeunes m decins de s investir dans l exercice lib ral
13. cueil de signalements spontan s sous estime tr s certainement l ampleur du ph nom ne car bien des victimes ne se signalent pas l Ordre Bas es sur une m thodologie diff rente les enqu tes dites de victimation permettent d obtenir des informations plus proches de la r alit L enqu te men e en 2014 aupr s d un chantillon de 475 m decins g n ralistes des Pays de la Loire permet ainsi de dresser un tat des lieux des actes de d linquance et du sentiment d ins curit au sein de la profession Selon cette enqu te pr s du tiers des praticiens 31 d clarent avoir v cu au moins une situation d atteinte la personne violence physique ou verbale au cours des deux derni res ann es dans le cadre de leur exercice Sur la m me p riode 28 d clarent la survenue d au moins une atteinte mat rielle vol ou vanda lisme au sein de leur cabinet Au total pr s d un g n raliste sur deux 44 indique avoir t victime d atteinte la personne ou aux biens Les m decins travaillant dans un grand p le urbain mais aussi ceux exer ant en cabinet de groupe ou en maison de sant pluripro fessionnelle d clarent plus fr quemment tre la cible d atteintes En outre 14 des m decins g n ralistes lig riens indiquent craindre pour leur s curit personnelle un sentiment nettement corr l aux atteintes la personne subies R f Enqu te de victimation aupr s des m
14. de voter Donnez de la voix notre profession si malmen e par la loi de sant en cours de vote au Parlement LARS charg e d organiser les op rations lectorales Une commission d organisation lectorale est mise en place pr sid e par le directeur g n ral de l ARS et compos e de repr sentants des m decins lib raux Ses missions tablir les listes lectorales recevoir et enregistrer les candidatures contr ler la propagande lectorale diffuser les documents n cessaires la campagne lectorale et aux op rations de vote Les URPS en place depuis 2010 qu en dit la nouvelle loi de sant Instaur es par la loi HPST les Unions R gionales de Professionnels de Sant URPS ont t lues en 2010 Le projet de loi de sant adopt par l Assembl e Nationale et qui est maintenant examin au S nat comprend plusieurs dispositions concernant les URPS Les d put s ont adopt plusieurs amendements qui visaient tirer les cons quences de la loi du 15 janvier dernier qui a r duit de 22 13 le nombre de r gions Ainsi l un d eux permet d organiser le regroupement entre certaines Agences R gionales de Sant ARS compter du 1 janvier 2016 Un autre amendement permet de faire de m me pour les URPS en pr voyant le transfert total des droits et obligations des anciennes aux nouvelles unions Ce point n affecte pas les Pays de la Loire dont le territoire reste inchang La loi rend
15. e 85 ans en 2014 pour les plus de 80 ans Notre Union s est donc tourn e vers les EHPAD adressant un questionnaire aux 150 tablissements concern s en Pays de la Loire Pr s de la moiti d entre eux ont r pondu dont 45 affirmant verser cette majoration 9 autres ne le faisant que si les m decins le demandent sp cifiquement et 12 ne la versant pas Il est tentant d imaginer que les tablissements qui n ont pas r pondu soient en majorit des non payeurs Pour approfondir cette question l URPS ML va donc d sormais interroger les m decins g n ralistes Cette majoration n est pas seulement symbolique Elle repr sente une part d activit non n gligeable Mais surtout elle cr e entre les personnes g es une in Proposition de courrier type adresser aux EHPAD e Recommand avec accus de r ception e Objet r glement des majorations pour les visites e Copie ARS des Pays de la Loire et URPS des Pays de la Loire galit de fait Entre les personnes g es r sidant dans les EHPAD hors dotation globale dont les m decins traitants b n ficient d une r mun ration homog ne pour tous financ e par l Assurance maladie et les autres r sidant en EHPAD sous dotation globale dont les m decins traitants devraient n gocier prement des contrats individuels avec les EHPAD pour que leur visites Soient reconnues Une relation contractuelle de fait L URPS ML a demand l ARS d agir
16. facultative les f d rations d URPS qui taient cens es regrouper dans chaque r gion les unions de chaque profession de sant Constitu es dans seulement six r gions elles semblent avoir dif ficilement trouv leur place selon le Gouvernement De fait les URPS ont plusieurs reprises d nonc le manque de moyens et juridiques n cessaires pour cr er ces structures En 2010 le taux de participation a t en moyenne de 54 35 sur 5 536 lecteurs inscrits dont 56 83 des 3171 m decins g n ralistes 54 43 des 757 m decins anesth sistes obst triciens chirurgiens 44 47 des 1608 autres sp cialistes Le mat riel de vote Le mat riel de vote vous sera adress au plus tard le 5 octobre Il contiendra o circulaire de propagande lectorale par liste e bulletin de vote par liste e enveloppe de vote e enveloppe retour e notice explicative du vote par correspondance main e18 Comment voter Le vote s effectue exclusivement par correspondance 1 Placer le bulletin de vote dans l enveloppe de vote fournie Ne porter aucune mention Ne pas clore l enveloppe 2 Placer l enveloppe de vote contenant votre bulletin dans l enveloppe retour Clore cette enveloppe 3 Renseigner l encadr figurant au verso 4 Signer dans l emplacement pr vu cet effet obligatoire sous peine de nullit du vote 5 Poster votre enveloppe sans l affranchir ant rieurement a
17. identit contenant e les coordonn es des principaux professionnels de sant crire sur la carte ou en faisant apposer leur cachet e des informations m dicales utiles not es par le patient e un texte explicatif Un exemplaire de cette carte est joint ce num ro de votre journal Economie de la sant Les Rencontres de La Baule 2015 Horizon 2025 quelles volutions Vendredi 4 et samedi 5 septembre 2015 Centre des Congr s Atlantia 44500 La Baule Renseignements et inscriptions contact urps ml paysdelaloire fr Retrouvez les Rencontres de La Baule sur le web www colloque urps m12014 com Vendredi 4 septembre 2015 Une carte quels avantages Renforcer notre r seau lib ral de proximit la carte facilitera l information des professionnels install s des nouveaux professionnels de sant des rempla ants 2 Am liorer la coordination avec les m decins sp cialistes de second recours et les tablisse ments de sant la carte permettra aux profes sionnels de sant des tablissements de mieux coordonner la sortie d hospitalisation Diffusion et mode d emploi Les pharmaciens d officine distribueront les cartes aux patients prioritairement aux personnes atteintes de maladies chroniques au moment de la d livrance de leur traitement Les patients pourront ensuite faire apposer les cachets des professionnels de sant de leur choix qui les suivent habituellement lls po
18. ins Les m decins vont d pendre pour leur niveau de vie pour leur r mun ration du financeur Le tiers payant cha non manquant Au moins c est clair Le tiers payant est le dernier l ment indispensable un contr le total du syst me de soins ll instaure l tatisation donne les pleins pouvoirs l administration confie la ma trise des donn es de sant de nouveaux acteurs Comment ne pas voir qu il conduit tout droit la perte du libre choix du m decin et l ouverture des donn es m dicales aux compl mentaires Par exemple AXA propose aujourd hui d ouvrir des t l consultations Mais cet assureur n apporte aucune r ponse sur la qualit de telles consultations r alis es hors de tout lien personnel entre le m decin et le patient de tout dossier m dical et aussi de toute ind pendance professionnelle Est ce vraiment ce syst me totalement verrouill la fin du colloque singulier que d sirent nos concitoyens Allons plus loin Nous ne tombons pas dans la science fiction quand nous crivons que les soci t s Google Amazone Orange Samsung General Electric Healthcare ont des vues sur le march de la sant puisqu elles m mes l affirment haut et fort Anticipant les lois fa onnant le management care qui S imposera demain si nous laissons faire leur prise de contr le des soins mettra en cause l ind pendance des soignants Des comp tences bafou es La nou
19. ion de la recherche des tudes de l valuation et des statistiques du Minist re charg de la sant et les ORS ainsi qu avec les URPS ML de deux autres r gions gt Les tudes du panel sont disponibles sur www santepaysdelaloire com et www urps ml paysdelaloire fr rubrique Publications propos de l URPS M decins Lib raux des Pays de la Loire L Union r gionale des professionnels de sant M decins Lib raux des Pays de la Loire repr sente l ensemble des 5800 m decins lib raux exer ant en ville ou en tablissements de soin Son Assembl e comprend 60 membres lus pour cinq ans par tous les m decins lib raux en exercice dans la r gion L URPS ML PL participe la mise en uvre du Projet r gional de sant PRS Elle est l interlocuteur privil gi de l Agence r gionale de sant ARS sur toutes les questions qui impliquent la m decine lib rale dans notre r gion L URPS est aussi un laboratoire d id es au service des m decins lib raux Sa priorit promouvoir l entreprise m dicale lib rale au service de toute la population Www urps mI paysdelaloire fr LOI DE SANT Ceux pour qui la mort annonc e du syst me lib ral est une bonne chose Elle dresse l ensemble des syndicats pro fessionnels contre elle mais rien n y fait La loi de sant poursuivra d s la rentr e ses navettes parlementaires Seule l opposition de la population fran aise pourrait en modifier
20. la derni re lev e du jour de l lection soit avant le 12 octobre 2015 Le journal de l URPS M decins Lib raux Pays de la Loire N 2 2015 t 2015 Para t trois fois par an URPS Parc de la Gibraye 13 rue de la Loire B t C2 44 230 ST S BASTIEN SUR LOIRE T l 02 51 82 23 01 Fax 02 51 82 23 15 Courriel contact urps ml paysdelaloire fr www urps ml paysdelaloire fr LIB RAUX Directeur de la Publication Dr Jean Baptiste Caillard R daction URPS Intelligible Maquette PAO www naturine fr Cr dit photos Jean Remy Fotolia Impression Imprimerie Allais 30 Rue Atlantique 44115 Basse Goulaine Distribution La Poste Tirage 6 500 exemplaires D p t l gal juillet 2015 ISSN 2106 8232 M DECINS PAYS DE LA LOIRE
21. la destin e mais force est de reconna tre que l opinion n est pas ce jour mobilis e Leurr s par les avantages apparents du tiers payant nos concitoyens ne voient pas que la nouvelle loi de sant met en place un nouveau syst me o r gneront autant l tatisation que les assurances compl mentaires et de plus en plus ouvertement les grandes firmes issues de la ma trise des nouvelles technologies Pour se convaincre de ce que donnera le pouvoir conjugu de l Etat et des assureurs mieux vaut encore laisser la parole aux partisans de la nouvelle loi tels Brigitte Dormont membre du Conseil d Analyse Economique plac pr s du Premier ministre responsable de la chaire Sant l universit Paris Dauphine membre galement du think tank Terra Nova Cette conomiste d clare sur France Culture le 19 avril 2015 La g n ralisation du tiers payant est une mesure extr mement structurante c est d une certaine mani re la mort annonc e du syst me lib ral qui est une bonne chose car la m decine lib rale est compl tement incompatible avec un syst me d assurance maladie comme le n tre Les circuits financiers vont changer l assureur paye directement le m decin et a a change tout et a rend les m decins effectivement d pendant du financeur Si donc l assurance maladie veut faire pression sur les m decins elle a les moyens financiers pour faire pression sur les m dec
22. lons pas des m decins sp cialistes lib raux la loi semble les avoir d finitivement laiss s de c t Dans l id e g n rale qui a guid la main du l gislateur ce n est pas une bonne nouvelle Secr taire Dr Jean G rald Bertet au Mans Sarthe Chateaubriand m decin g n raliste SML Loire Atlantique Bouaye SML Loire Atlantique Secr taire adjoint Tr sorier Tr sori re Dr Laurent Pons Dr Fran ois adjointe m decin Gassin Dr Marie Lugand g n raliste p diatre Nantes m decin Saint Nazaire Loire Atlantique SML Loire Atlantique SML g n raliste Dompierre sur Yon Vend e CSMF ACTUALIT Quand les EHPAD oublient de verser les majorations pour les soins aux plus de 80 ans Les consultations de patients de plus de 80 ans en EHPAD doivent tre major es de 5 euros Constatant que cette majoration n est pas toujours vers e l URPS ML des Pays de la Loire a alert l ARS des Pays de la Loire C est en enqu tant sur la pratique m dicale lib rale dans les EHPAD que l URPS ML a constat que beau coup de ces tablissements parmi ceux sous dotation globale qui r glent directement les honoraires aux m decins ne versent pas la majoration de 5 euros pr vue pour les soins donn s aux personnes g es de plus de 80 ans Beaucoup de confr res ignorent en r alit cette disposition prise par avenant conven tionnel en 2013 pour les plus d
23. nts sur le terrain La mise en uvre du DCC inscrite aux Plans cancer se succ dant depuis 2003 doit tre totalement assur e pour fin 2015 Seule une RCP sur deux environ l utilisait jusqu pr sent en Pays de la Loire Un outil unique Afin de mieux r pondre aux besoins des profession nels le r seau ONCO Pays de la Loire a fait voluer le support de ce DCC dans le respect du cadre national d termin par l Institut National du Cancer et l ASIP Sant Agence des Syst mes d Information Partag s de Sant et du droit des patients Le nouvel outil Support va renforcer la tra abilit de ce document Hepmonpabip Secrarste Calie vp ranonmeits JC ice CPP Const Taa EF AP JS A CR Pa Cr PT Turar Tueseus malgre de La d abord en facilitant le travail des intervenants en can c rologie tous disposeront d un outil unique qui de plus va g n rer automatiquement un compte rendu de RCP sous format PDF souligne le Dr Fabienne Empereur m decin coordonnateur du r seau ONCO Pays de la Loire ONCO PL Plus de 350 m decins lib raux de notre r gion exer ant dans de multiples sp cialit s participent aux RCP r unions de concertation pluridisciplinaires et sont ainsi directement concern s par ce volet Comme les m decins g n ralistes doivent eux aussi disposer d une information de qualit sur le suivi de leurs patients le nouveau DCC est galement fait pour eux ils recevront un no
24. paysdelaloire fr Les sites utiles Nous invitons nos lecteurs consulter e le site de l URPS ML Pays de la Loire www urps ml paysdelaloire fr e le site des Ad AP htip lesadap fr o trouver les outils d autodiagnostic l agenda d accessibilit partag e et les nouveaux documents CERFA e le site du minist re du D veloppement durable indique les correspondants accessibilit nomm s dans chaque d partement http www developpement durable gouv fr Contactez le correspondant html GC EXERCICE PROFESSIONNEL Vif succ s des rencontres suscit es par PURPS ML entre m decins g n ralistes et cardio logues lib raux de la r gion sud nantaise et de la Sarthe La coop ration entre m decins du premier et du second recours tait inscrite l ordre du jour de la rencontre entre m decins g n ralistes et cardiologues lib raux organis e le 28 mars dans les locaux de l URPS ML Saint S bastien sur Loire La quasi totalit des cardiologues tait pr sents et du c t des g n ralistes de nombreux jeunes praticiens Les g n ralistes ont t nombreux demander des protocoles et le renforcement des pratiques de t l m decine pour interpr ter les ECG difficiles Pour la rentr e une commission fera des propositions en ce sens visant faire reconna tre par ARS la t l m decine en lib ral proposer aussi le mode de r mun ration dans le cadre d une intervention de t l expe
25. rtise Cette commission S engagera aussi sur la protocolisation du suivi conjoint par le g n raliste et le cardiologue des malades chroniques valvulo pathies insuffisance cardiaque etc Le but est d am liorer les d lais de rendez vous pour les patients et la facilit pour le g n raliste joindre le cardiologue dans le cadre de la prise en charge de certains soins par les m decins g n ralistes L URPS ML va galement diter une fiche de suivi un dossier m dical port par le patient permettant aux praticiens de disposer des derni res analyses et traitements que ce dernier aura re us Une r union de m me nature a t organis e en Sarthe le 18 juin essentiellement l aussi sur la t l expertise en cardiologie et l am lioration de la coordination entre m decins L ensemble de cette d marche s inscrit dans le renforcement d une coo p ration qui fonctionne d j de mani re informelle mais qui gagnera se structurer encore plus M decins g n ralistes et cardiologues lib raux du sud nantais des changes fructueux et une r elle envie de coop rer toujours plus efficacement Les projets visant rapprocher les psychiatres des g n ralistes pour renforcer le r seau lib ral informel se poursuivent en Pays de la Loire En 2014 l URPS ML a interrog les psychiatres lib raux afin d analyser la qualit de leur coop ration avec leurs confr res g n ralistes et de conna tre leur int
26. ser mon cabinet dans un d lai imp ratif de 15 jours la somme qui m est due et vous joins cet effet mes notes d honoraires concern es sur cette p riode Comptant sur votre compr hension veuillez croire Monsieur le Directeur en l assurance de ma consid ration respectueuse Handicap et loi accessibilit le cap 2015 L Agenda d Accessibilit Programm e Ad AP impose cette ann e de rendre accessible son tablissement aux personnes handicap es La loi sur l accessibilit des cabinets aux personnes handicap es continue de susciter nombre de ques tions de la part des m decins sachant que l Agenda d Accessibilit Programm e Ad AP permet tout tablissement concern de r aliser l accessibilit de son tablissement au del du 1 janvier 2015 Lisez le feuillet joint ce num ro de votre journal et n h sitez pas nous communiquer votre adresse de messagerie en crivant e Tout tablissement recevant du public un cabinet m dical par exemple est concern e La demande de d rogation figurera dans l Ad Ap e Dur e d ex cution de l Ad Ap de un trois ans selon dur e pr vue des travaux Un d lai suppl mentaire est n gociable en cas de difficult majeure par exemple financi re e Les sanctions p nales pr vues compter du 1 janvier 2015 seront suspendues pour ceux qui se seront engag s dans cette d marche avant le 26 septembre 2015 contact urps ml
27. urront galement noter des informations m dicales utiles sur les conseils de leur m decin traitant 08h45 Ouverture C cile Courreges Directrice G n rale ARS Pays de la Loire 09h00 TABLE RONDE 1 Le m tier de m decin et l volution des missions 11h15 TABLE RONDE 2 Le m tier de m decin et l volution des technologies 14h30 TABLE RONDE 3 Le m tier de m decin l volution du m tier avec quels moyens 16h30 Luc Ferry philosophe La mise en perspective du m tier de m decin l ch ance 2025 Samedi 5 septembre 2015 08h30 Accueil des participants Philippe Boutin Pr sident CN URPS ML 08h45 Ouverture Pierre Ricordeau Secr taire G n ral des minist res charg s des affaires sociales 09h15 TABLE RONDE 4 Les territoires 11h30 Grand t moin Alain Jupp ancien Premier ministre seen eee CC ol Nouveau bureau l APMSL PDL L association rassemble 26 Maisons de sant pluriprofessionnelles soit plus de 700 professionnels de sant Elle a emm nag dans de nouveaux locaux d but 2015 et op r la refonte de son site internet Son nouveau bureau lu le 9 avril se compose de Dr Pascal Gendry M decin G n raliste au P le Sant Sud Ouest Mayennais 53 Pr sident Emmanuelle Chaidron Di t ticienne P le sant Loire et Sillon Savenay 44 Vice pr sidente Dr Didier Ki n M decin G n raliste Maison de Sant Pluriprofessionnelle Sant et Avenir Blain Le G
28. uveau type de courrier beaucoup plus accessible ajoute Solen Pel chef de projet DCC au sein d ONCO PL Une mise en place rapide dans toute la r gion Ce nouveau dossier communicant de canc rologie qui b n ficie du financement de l ARS s est d j substitu l ancien en Vend e et dans le bassin de Saint Nazaire et le sera tout prochainement dans les bassins de sant de Nantes Angers Laval et Le Mans i htn Ts Ps apn e Bis Parti Chinini c ika r cisnitiaier NT Since paiho pT ph t pTphi dre de Ce Fa da ac ca Deere os ur ce i er linsan crabe de as DE ti paiya du oaio Le choix de l outil est le fruit d une large concertation r alis e par un groupe r gional d acteurs de la canc rologie m decins soignants secr taires directeurs DIM et repr sentants des usagers Ce choix r alis l issu d un appel d offre formel a t valid par le Conseil d Administration d ONCO PL en mai 2014 Plus largement ONCO PL s emploie galement en collaboration avec le GCS e sant renforcer l interfa age entre le DCC et les autres dossiers d ta blissements hospitaliers La fiche RCP qui constitue la synth se d entr e du patient en traitement pourra tre directement int gr e dans les logiciels professionnels La production du PPS Programme personnalis de soins pourra terme tre g n r e partir de ce DCC ONCO Pays de la Loire Le r seau r gional de canc
29. velle loi voque longuement les quipes de Soins primaires mais les d finit de mani re trop large estompant les diff rences qui existent non seulement entre les professions de sant elles m mes elle pousse la d l gation de t ches pratiqu e sans concertation mais aussi entre les professions de sant du social et du m dico social L Ordre des M decins s est lui aussi inqui t de certaines dispositions peu claires cens es garantir un acc s facilit et prot g un grand syst me national des donn es de sant regroupant le Syst me national d information inter r gimes de l Assurance maladie Sniiram et les donn es hospitali res contenues Bureau de l URPS M decins Lib raux des Pays de la Loire Pr sident Dr Jean Baptiste Caillard cardiologue Angers Maine et Loire CSMF Secr taire adjoint Dr Jacques Mainfray radiologue Saint Nazaire Loire Atlantique CSMF Vice Pr sident Dr William Joubert m decin g n raliste Vice Pr sident Dr Louis Pizzalla anesth siste dans le Programme de m dicalisation des syst mes d information PMS comme les m dicaments consomm s le nombre de consultations chez un m decin le type d op ration subie par un patient aux libert s grignot es L article 37 relatif aux sch mas territoriaux de sant contient en germe la suppression de la libert d installation Il suffira qu une convention
30. vre 44 Secr taire Laurent Runigo Infirmier Maison de Sant Pluri professionnelle Jean Bernard Cholet 49 Tr sorier Les administrateurs sont Dr Gilles Barnab M decin G n raliste P le Sant Clisson 44 Charlotte Dubois Herv Di t ticienne P le Sant Clisson 44 Dr Jean Fran ois Moreul M decin G n raliste P le Sant Ouest Anjou B con les Granits 49 Nolwenn Vandenbergue Orthophoniste P le Sant Ouest Anjou B con les Granits 49 APMSL PDL Le carr de Cou ron 57 rue des Vignerons bureau 17 1 tage 44220 Cou ron T l 02 28 21 97 35 contact apmsl paysdelaloire com L www apmsl paysdelaloire com ri Des probl mes de second recours en Mayenne Le Dr Jean Baptiste Caillard Pr sident de l URPS ML a particip une r union portant sur le manque de m decins sp cialistes du second recours en Mayenne L URPS ML a propos de reprendre des travaux d j engag s en 2013 avec le CDOM 53 Le but est de rendre l exercice lib ral des sp cialit s plus attractif dans ce d partement en favorisant les regroupements plurisp cialistes l accueil des internes de sp cialit s la coop ration entre premier et second recours Une rencontre avec le CDOM 53 et ARS aura lieu dans le courant de cette ann e pour faire avancer cet objectif Stages d internes L URPS ML participe la vie du Comit r gional de l observatoire de la d mographie des professions de sant
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