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Le guide Eco-habitat de la réhabilitation

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1. e Am lioration nerg tique des b timents les bon nes solutions Ademe FFB 2004 e Etude sur la basse nergie appliqu e aux b timents anciens Enertech 2005 programme Energivie e Lisolation cologique conception mat riaux mise en oeuvre Jean Pierre OLIVA editions Terre Vivante 2001 e Fraicheur sans clim Thierry SALOMON et Claude AUBERT ditions Terre Vivante 2004 e Lisolation thermique Guide ADEME 2005 e La maison des n ga watts Thierry SALOMON et St phane BEDEL editions Terre Vivante 2005 ISOLATION THERMIQUE ET INERTIE BATIMENTS ANTERIEURS A 1948 REHABILITER POUR APPROCHER LES LATION THERMIQUE ET INERTIE PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES BATIMENT E 1 ee oe LOGEMENTS NEUFS ET AMELIORER LEUR CONFORT BATIMENTS POSTERIEURS A 1948 z isati ourquoi gt B pe P reconisations e Plus de 50 des b timents des organismes adh rents l USHB ont t cons truits entre 1948 et 1975 Au niveau national 19 5 des 29 5 millions de logements ont t construits avant toute r glementation thermique Une diminution par 4 de nos missions de GES en 2050 ne pourra donc tre atteinte que si des efforts significatifs sont entrepris sur ces b timents e Prendre en consid ration la hi rarchisation des travaux tablie par le diagnostic nerg tique ou l audit nerg tique d taill e Renforcer les niveaux d isolation et pr e Une politique de demi mesures en mati re
2. chelle industrielle dans les r seaux de chaleur urbains e Les chaudi res bois sont toujours l origine de rejets dans l atmosph re aussi minimes soient ils Il convient donc d tre vigilant concernant notamment les rejets de poussi res surtout en milieu urbain en t chant d avoir un pas d avance sur les exigences Carte des points d approvisionnement r glementaires en combustibles bois rs z B Plaquettes et produits connexes A Granules 0 a km Carte Tekhn Architectes d apr s donn es ADEME Deux formes de combustibles bois S granul s de bois M plaquettes foresti res Conception r alisation Tekhn amp Architectes ESQ APS e Le b timent est quip d une chaudi re bois r pondant au label flamme verte Elle assurera tout ou partie des besoins de la chaudi re existante g n ralement di mensionn e pour couvrir 50 de la puissance de chauffage n cessaire et plus de 80 des besoins 15 Les granul s proviennent de sciure compress e et moul e sous forme de petits cylindres calibr s ils sont adapt s aux chaudieres de petite et moyenne puissance jusqu 150 kW soit la puissance requise pour le chauffage d une vingtaine de logements collectifs Le granul n cessite moins de place pour le stockage que le bois d chiquet Il est livr par soufflage depuis le camion livreur comme une livraison de fioul Son emplacement peut tre non contigu la chaufferie si un syst me de
3. e Faire r aliser un audit nerg tique d taill par un bureau d tudes comp tent e Faire r aliser une tude de faisabilit des approvisionnements en nergie e L audit nerg tique d taill permet d avancer des propositions d am lioration plus pr cises et ajustees Un audit nerg tique d taill est compose d un examen d taill du site de la construction et des installations thermiques et lectriques d une analyse approfondie des consommations nerg tiques ainsi que des propositions d am lioration avec investissements conomies et temps de retour sur investissement Une analyse des consommations d eau froide et d eau chaude peut compl ter cet audit e Une tude de faisabilit des approvisionnements en nergie pr sente les avantages et les inconv nients de chacune des solutions nerg tiques tudi es Elle permet de r v ler pour un b timent donn la solution pr sentant le meilleur compromis entre co t d in vestissement co t d exploitation amortissement et missions de gaz effet de serre GES Elle est obligatoire pour les b timents neufs de plus de 1000 m SHON et pour les r habilitations de b timents de plus de 1000 m SHON dont le montant pr visionnel des travaux d passe 25 de la valeur du b timent L arr t du 18 d cembre 2007 d taille le contenu reglementaire de cette tude Dans le cas o les travaux portent uniquement sur l enveloppe du b timent seules les variantes suivantes
4. NN Le N HOA NA Forte Evaporation et vapotranspiraton Toitures veq tal sees R tention de l eau et vaporaton Ecoule ment r duit dans les canalisatons Forte infiltration alimentation de la nappe phr atique Tercain perm able Toit v g talis ECOLOGIE ECONOMIE et CONFORT e Site g n ral sur les toits v g talis s en an glais Source Resosol org e Les toitures v g talis es Syst me Solaires N 177 janvier f vrier 2007 LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES MAITRISE DES CONSOMMATIONS D EAU USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ENERGIE EAU F3 ET RECUPERATION DES EAUX DE PLUIE r y 12 r reconisations onran j e Economiser l eau c est la pr server pour l avenir et prot ger l environnement L eau est une ressource pr cieuse qui se rar fie la moiti des d partements fran ais conna t depuis 5 ann es des p riodes de s cheresse en t et des e Limiter les consommations d eau en met restrictions pour l usage de l eau tant en oeuvre des moyens techniques adap t s e Favoriser les syst mes de r cup ration des eaux pluviales pour couvrir les besoins ext rieurs e La gestion de l eau potable a un co t environnemental et un co t financier pour la collectivit tant pour le captage et le traitement amont que pour la distribution ou le traitement aval des eaux us es La mise en oeuvre conjugu e de tous les dispositifs de r
5. e Am liorer les performances et ambiances e La premi re r glementation acoustique pour les b timents date de juin 1969 et concerne les logements construits entre 1970 acoustiques des logements et des parties et 1996 Une nouvelle r glementation acoustique NRA plus s v re s applique aux logements construits jusqu en 2000 date a ll Ses laquelle de tr s l g res modifications unit s indices furent introduites suite a la transposition de normes europ ennes Si l on e Identifier les modifications des performan ces acoustiques qui seront engendr es par les travaux projet s sur le b timent peut consid rer que les performances acoustiques r glementaires dans les logements neufs sont suffisantes pour r pondre aux pr occupations de la qualit environnementale il n en est pas de m me dans les b timents existants ou des corrections sont souvent n cessaires e Si des astuces de conception retrait b timents cran position des baies permettent en construction neuve de limiter l impact des nuisances ext rieures en r habilitation une limitation des ambiances sonores ne peut souvent tre obtenue qu avec la mise en place de dispositions correctives nature du vitrage ventilation par insuflation plut t que par extraction e Les travaux de r novation effectu s dans le b timent notamment ceux ayant traits l isolation thermique et aux baies peuvent diminuer consid rablement les nuisances acoustiqu
6. e L nergie solaire est gratuite non polluante abondante et durable disponible en tout lieu de Bourgogne e Une installation solaire thermique peut produire jusqu 70 des besoins d eau chaude d un b timent et jusqu 40 de ses besoins de chauffage Elle permet donc d eviter une consommation d Energie fossile ou fissile et sa production de polluants ou de d chets associ s e La r habilitation de b timents existants est souvent l occasion de mettre en place une installation solaire thermique ainsi qu en t moignent de nombreux exemples en France e La loi sur les orientations de la politique nerg tique du 13 juillet 2005 fixe un objectif d installation de 200 000 chauffe eau solai res par an en 2010 plan face sud article 12 L article 4 de cette loi vise satisfaire l horizon 2010 10 de nos besoins nerg tiques partir de sources d nergies renouvelables et une augmentation de 50 de notre production de chaleur renou velable e L installation a t dimensionn e pour viser un bon compromis entre productivit des capteurs environ 450 kWh m2 an et une couverture des besoins d au moins 30 La surface de capteur mis en uvre pour une installation d eau chaude collective est en g n ral d au moins 1 5 m2 par logement e L installation d eau chaude solaire collective b n ficie d un suivi de performance sur 3 ans r alis par l entreprise qui l a install e e L ins
7. 150m2 selon differents modes constructifs Source Confortbois Maison ossature bois Maison bois massif e Calculateur de CO2 d di au transport de marchandises e Exposition permanente de la mise en oeuvre de www carboneimpact com mat riaux cologiques Centre Terre Vivante www terrevivante org e L isolation cologique Jean Pierre Oliva di e Base de donn es Ecoinvent www ecoinvent ch tions Terre Vivante 2001 e Produits de construction issus des fili res de recyclage www produitrecycle info LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES QUALITE SANITAIRE DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT MATERIAUX F1 1 PRODUITS ET MATERIAUX ourquoi e Un mat riau naturel un mat riau cologique ou un mat riau recyclant les d chets ne sont pas toujours synonymes de mat riaux sains e Nous passons de 70 90 de notre temps voire plus pour certaines populations sensibles comme les jeunes enfants et les per sonnes g es l int rieur de locaux divers locaux d habitation de travail ou destin s recevoir le public et de moyens de transport o nous sommes expos s divers polluants principalement par inhalation r conisations e Recueillir une information sanitaire large et fiable sur les produits et mat riaux mis en ceuvre e Identifier les mat riaux existants qui pour raient nuire a la qualit de l air int rieur e Opter pour des mat riaux qui ne nuisent pas
8. Le guide Eco Habitat en Bourgogne pour la r habilitation Guide d analyse et de programmation de la qualit environnementale des logements collectifs 0 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT EDITO En Bourgogne le mouvement HLM est r solument engag sur le chemin du d veloppement durable Ce qui longtemps tait rest un slogan un v u concr tis a doses homeopathiques se traduit aujourd hui par des centaines de logements neufs ou rehabilites par des projets d eco quartiers toujours plus innovants et performants Avec plus de 108000 logements locatifs repartis sur les quatre d partements et plus de 1800 logements construits chaque ann e en locatif et en accession a la propri t l enjeu est de taille Developpement durable rime avec architecture raisonn e nouveaux modes constructifs mat riaux respectueux de l environnement etc mais aussi imp rieusement avec ma trise des charges ma trise des consommations d eau et d nergie tri des d chets Ce qui n cessite de travailler en bonne intelligence avec l habitant usager Pour acc l rer cette dynamique de progr s PUSH de Bourgogne a engag en 2007 une d marche qui vise d passer le stade des op rations embl matiques quelquefois exceptionnelles pour int grer des objectifs cibl s en terme d habitat durable dans tous les programmes de construction ou de r habilitation Partenaire des grandes et petites collectivit s territoriales de l
9. d lectricit par an hors chauffage Efficacit de s chage Lave vaisselle e La suppression des veilles de tous les appareils du Nombre de couverts a S che linge clairage site audio visuel peut g n rer une conomie allant SOON teen PENSE ae jusqu a 500 kWh an pour un m nage L ensemble Bruit 5 EEE R frig rateur R partition de la consommation des veilles en France repr sente la production an dB A re 1 pW Lavedinge cong lateur d lectricit sp cifique par usage nuelle d une tranche nucl aire ass dans l habitat e La production de froid m nager repr sente le pre A mier poste de consommation d lectricit sp cifique A A A d un logement Elle repr sente le tiers de la consom tiquette energie permet de situer un mation c est dire entre 400 et 1000 kWh an appareil au regard de sa consommation e Une lampe fluocompacte de 20W consomme 4 nerg tique fois moins que les lampes a incandescence pour le m me niveau d clairement Les appareils de froid po aller plus loin Les lampes a LED diodes lectro menagers performants consomment jusqu a 2 fois eS en a Equipements us aua ee las a does de de l ordre de 0 1W par diode ce qui La maison des n ga watts Thierry Salomon et St phane Bedel e Les lampes fluocompactes contiennent du mercure Lou en eons Veme yM ame E A j i a em Im cle vie ar else ar bureau de 36 LED ou 25 6 W pour un Logements faibles besoins en n
10. qui dresse la liste des solutions et moyens mis en uvre pour r pondre la pr conisation Chaque action conduite pour avancer dans la r solution de la probl matique du th me est cot e par des points indiqu s en face de chacune d elle Deux rubriques compl tent l information du lecteur toujours dans un souci p dagogique Le saviez vous permet d largir horizon des connaissances par des l ments du contexte local national ou international Pour aller plus loin o sont recens s quelques publications sites etc qui constituent des ressources in vitables lorsqu on souhaite approfondir le th me trait Un tableur sous format Excel qui reprend la partie Comment des fiches th matiques est propos avec le guide pour permettre une saisie rapide des l ments valu s En cochant la case correspondant l action r alis e les points correspondants sont cumul s automatiquement dans une synth se En outre le tableur pr voit une partie Programmation permettant au ma tre d ouvrage de pr ciser ses attentes en mati re de qualit environnementale une colonne concerne les dispositions qu il souhaite voir r alis es le maitre d uvre est incit r pondre ce souhait mais le choix final de mettre en uvre ou non la disposition lui incombe en fonction de l conomie du projet et de divers param tres r ponse des entreprises d lai de mise en oeuvre etc L autre concerne l
11. r alis e par l agence TEKHNE Architectes Philippe VAUFREY ingenieur QEB assist de Alexandra LEBERT ing nieure et Cristele SANCHEZ architecte sous la direction de Christian CHARIGNON architecte urbaniste Les groupes de travail r unis par l Union Sociale pour Habitat de Bourgogne avec la D l gation r gionale de l ADEME et le Conseil Regional pour participer la r alisation de cet outil ont rassembl des repr sentants des diff rents organismes suivants SCIC Habitat Bourgogne Champagne Opac de Dijon Oph 21 Le Foyer Dijonnais ICF Sud Est M diterran e N olia Opac Sa ne et Loire Logivie Ni vre Habitat Office Auxerrois de l Habitat Domanys Simad Ils ont su apporter toute leur experience de ma tres d ouvrage et du suivi d op ration qu ils en soient remerci s Nous remercions galement toutes celles et ceux qui s engagent en France comme a l Etranger dans la recherche du d veloppement durable appliqu au b ti sans lesquelles la capitalisation de leur exp rience et de leur initiative que refl te cet outil n aurait pas t possible Lyon juin 2008 Synoptique du guide ECO HABITAT en Bourgogne pour la rehabilitation D Etablir un diagnostic du patrimoine r habiliter Domaine Th matiques Pr conisations associes Diagnostic du e Regrouper l ensemble des tats constats et diagnostics dans un seul dossier technique afin de hierarchiser les patrimoine travaux de r novation
12. alables une mise en conformit n cessaire lectricit gaz tat des structures qui ne font pas l objet de ce guide La r alisation d un diagnostic de performance nerg tique DPE fera l objet de la Fiche D2 Pour les diagnostics non r glementaires il n est pas obligatoire de faire appel des comp tences ext rieures PROG e Un dossier de diagnostic technique a t constitu Le dossier rassemble physiquement l ensemble des diagnostics r glementaires n cessaires pour r aliser l op ration un diagnostic pollution des sols et ou des sous sols un diagnostic amiante un diagnostic plomb un diagnostic parasitaire m rules termites et autres insectes xylophages un Diagnostic de Performance 10 Energ tique DPE un diagnostic radon Phase op rationnelle Le dossier de diagnostic technique est un carnet d identit du b timent qui pr cise galement date de construction techniques de construction tat de la couverture des structures principaux mat riaux utilis s volution de l environnement proche depuis la date de construction conditions actuelles d accessibilit du b timent a 40 PROG e La qualit de l air int rieur tant devenue une pr occupation majeure le dossier prend en consid ration les risques sanitaires potentiels Ceux ci ne font pas l objet ce jour d une loi mais pr sentent pourtant un risque pour la sant des occupants Les points sont compt s si au m
13. chauffer l ECS e Le confort thermique ressenti par les occupants d pend de la temp rature des parois et de celle de l air po aller plus loin Oe ee ae Thermostat Chaud Froid Source Delta Dore ue Source DISPLAY Une tiquette telle que celle propos e par le pro Exemple de programmateur d am gramme europ en DISPLAY permet de comparer biance simple permettant de limiter les performances des b timents en mati re de les consommations de chauffage chauffage d mission de CO2 et de consomma par une bonne gestion des inter tion deau mittences e L entretien des chaudi res guide pratique La maison des n ga watts Thierry Salomon ADEME www ademe fr et St phane Bedel Editions Terre vivante e Logements a faibles besoins en nergie ambiant Cependant la composante la plus importan te est la temp rature des parois qui est ressentie par les occupants par les ph nom nes de rayonnement Qualit environnementale des b timents quide 9Uide de recommandation et d aide la con Conclusions du Grenelle de l Environnement Ainsi une pi ce dont les parois sont 20 C et Pair ASE 2002 u ception Cabinet Olivier Sidler mars 2000 http www legrenelle environnement fr gre 16 C est bien plus confortable que l inverse i nelle environnement 9 UNION KO EFD ES MAITRISE DES CONSOMMATIONS D ENERGIE j E Bourgogne F4 POUR LE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D ECS LIMITER
14. n raliser un nouveau confort plus sobre et nettement moins metteur de gaz effet de serre plus soucieux de limiter la vuln rabilit conomique des m nages les plus fragiles Merci tous les partenaires de cet ouvrage pour leur contribution pr sente et plus encore venir ce d fi Le D l gu regional de l ADEME Bourgogne Didier CHATEAU Agence de l Environnement et de la Maitrise de l Energie La philosophie generale du guide de PUSH de Bourgogne Enjeux Les enjeux environnementaux tels que le changement climatique l puisement des ressources nerg tiques bon march la pollution de Pair de l eau des sols et sous sols la perte de biodiversit deviennent chaque jour un peu plus pressants Les limites du supportable par la biosphere sont atteintes et m me d pass es A l horizon du si cle ce sont les conditions d accueil de la vie humaine par la planete qui sont mises en jeu Or l acte de construire est loin d tre neutre sur le plan environnemental le secteur du b timent est m me le plus gros consommateur d nergie avec 46 des consommations nerg tiques finales du pays Il consomme a lui seul 50 des ressources naturelles et 16 de l eau Il produit et g n re 50 des d chets plus que les ordures m nag res et 25 des missions de gaz effet de serre Ainsi il se trouve avec le transport autre gourmand d nergie fossile et grand metteur de CO au centre
15. ou celles ci ont t d finitivement condamn es Bonus e Lorsque la commune organise des collectes des encombrants un local de stockage distinct du local v lo est accessible aux locataires Conception r alisation Tekhn Architectes e En 2004 la production de d chets m nagers est de 353 kg hab an dont 290 kg hab an de dechets resi duels enfouis ou incineres Les objectifs fix s par le minist re de l cologie et du D veloppement dura ble concernent ce tonnage de d chets r siduels qui doit passer 250 kg hab an en 2010 et 200 kg hab an en 2015 ADEME e Plus d un tiers des d chets se trouvant dans la pou belle peut amp tre composte epluchures hors agrumes coquilles d oeuf fanes de l gumes mais aussi les mouchoirs en papier les essuie tout le papier jour nal Les d chets fermentescibles de jardin tontes de gazon feuilles mortes peuvent aussi participer au compost mais des volumes trop importants de vront amp tre mis en dechetterie e La collaboration entre Eco Emballages et l Union Sociale pour l Habitat USH est en place depuis 1997 Dans ce cadre les deux organismes ont signe un accord pour promouvoir 500 emplois d ambassa deurs du tri au sein des logements sociaux le 24 mai 2007 e LADEME a r alis une tude sur les quantit s de d chets g n r es par les achats des m nages dans la grande distribution Cinq chariots repr sentatifs de plusieurs tailles de
16. 00 M l philippe renon parcdumorvan org E G S D Q N I D 2 S Y Conception r alisation Tekhn Architectes Une olienne horizontale sur le toit d un im meuble d habitation a Equihen Plage OPAC du Pas de Calais permet de couvrir les be soins en l ctricit des parties communes des 40 logements d une r sidence AUTRES INITIATIVES EXEMPLE de BILAN de SYNTHESE pour la REHABILITATION Guide ECO HABITAT en Bourgogne pour la r habilitation Nom de l organisme OPAC de Dijon Nom de l op ration R habilitation ancienne Ann e de construction 1970 Nombre de logement 12 5 cr ation en superstructure sw pa BEE Jessen Nom de l valuateur Michel Bourgeois Date de l valuation 14 02 08 POINTS DE BASE SYNTHESE DE L EVALUATION Maximum th orique D Etablir un diagnostic du patrimoine a r habiliter D1 Diagnostic du patrimoine D2 Audit de performance nerg tique E R habiliter pour approcher les performances r glementaires des logements neufs et am liorer leur confort El a Isolation thermique et inertie b timents ant rieurs 1948 Ly on wo E1 b Isolation thermique et inertie batiments post rieurs a 1948 E2 Renouvellement d air E3 Acoustique Ed Fen tres et bales F Limiter les impacts des b timents et des usages sur l environnement F1 Am nagement de la parcelle F2 V g talisation F3 Maitrise des conso
17. 14 _ e Emballages en verre 7 Emballages en plastique 26 Emballages m talliques 4 Autres qu emballages Journaux magazines et prospectus 9 D chets putrescibles 16 Divers 24 chiffres donn s par rapport au volume Source ADEME Une limitation volontaire de nos d chets doit accompagner l am lioration de l efficacit du tri e Mieux consommer trier et le recyclage e Portail Internet pour l environnement l colo gie et les changements climatiques Source Eco emballage Source V olia LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES COMPORTEMENT DES USAGERS USAGERS F14 USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ET INFORMATION r 12 reconisations pP aus j e Le co t de l nergie augmente et continuera probablement d augmenter II est inutile d attendre d tre au pied du mur pour r agir nous pouvons et devons nous y pr parer d s maintenant en apprenant minimiser nos consommations e Mettre en uvre les moyens de communi La sensibilisation permet de rendre accessible au plus grand nombre les probl matiques du d veloppement durable et enseigne cation adapt s pour faire voluer le comporte chacun les comportements adopter au quotidien pour pr server notre environnement ment de l usager vers une meilleure prise en compte de la pression qu il exerce sur l envi e Les r sultats d un b timent aussi performant soit il seront toujours inf rieurs ceux escompt
18. 20 0 10 0 0 0 Etre en harmonie B Architecture bioclimatique C Empreinte cologique Cet arbitrage et les suivants ont tous t valid s au cours des diff rentes r unions du groupe de travail ouvertes tous les organismes de PUSH de Bourgogne Une seconde pond ration a permis ensuite de donner chaque th me une pes e relative Le graphe ci apr s montre l ensemble des 23 th mes tudi s en neuf et le nombre de points maximum atteignable pour chacun Distribution des points par theme C13 Usagers a0 C12 D chets 20 C11 Chantier propre 30 C10 Mat naux sant 35 C9 Mat naux env 45 C8 Solaire PV 20 C7 Solaire thermique 30 C6 Bois nergie 30 C5 VMC 40 C4 Conso lec 35 C3 Choix nergie 40 in C2 Chauffage 5 on co on C1 Conso eau B5 V g talisation 30 B4 Fen tres 70 5 B3 Isolation 92 o on B2 Morphologie B1 Implantation 55 A5 EP 35 Ad Biodiversit 40 A3 Analyse de site 55 A2 D placements 40 A1 Analyse co 40 O 20 40 60 80 100 Enfin dans un theme chaque r ponse a re u un nombre de points au regard de l importance strat gique qu elle rev t dans l avanc e vers une autre maniere de concevoir le b timent en tenant compte de la difficulte ala mettre en ceuvre Le nombre de points par reponse varie de 1 5 au minimum a 40 au maximum Ainsi il est clair qu aucune r ponse n est susceptible de r aliser seule une avanc e notable ceci
19. Depuis le Ter juillet 2002 seuls les d chets ultimes peuvent tre stock s en d charges Le donnant lieu l attribution de points Cotation Chantier Plan de r duction des nuisances e Les nuisances du chantier ont t identifi es et hi rarchis es Un plan de r duction des nuisances a t tabli 7 PR Chantier Mettre en place un plan de communication Les points sont compt s si les 2 propositions sont valid es D e Une charte chantier faibles nuisances a t tablie et a t sign e par l ensemble des intervenants du chantier gt e Les riverains ont t inform s sur les nuisances occasionn es par le chantier et leur dur e Le dialogue a t instaur en mettant a bw D en place des dispositifs comme des bo tes aux lettres permettant d changer et de fournir des r ponses aux ventuelles plaintes amp A DCE Conna tre et r duire la production de d chets Les points sont compt s si les 3 propositions sont valid es a e Une r flexion a t men e des la programmation de l op ration de r habilitation afin de limiter la production de d chets calepinage soign des blocs ma onn s des sols des cloisons par exemple pr fabrication en atelier D e Le tonnage et les cat gories de d chets du chantier ont t valu s au pr alable int grant ceux produits par la al gt 2 d construction et les nouveaux mat riaux 5 e Les produits dont les emballages sont r duits et facile
20. Les menuiseries exterieures et int rieures Les descentes d EP Eaux Pluviales d EU Eaux Us es d EV Eaux Vannes Les d pass es ou sous faces de toiture y B Les cl tures et portillons ext rieurs Le PVC est un polym re synth tis partir du chlore et de l thylene compos s d additifs plus ou moins nocifs pour la sant et l environnement stabilisants a base de plomb et de cadmium plastifiants comme les phtalates qui sont des compos s organiques semi volatils BONUS e Des isolants d origine v g tale chanvre laine de bois ouate de cellulose lin certifi s vont remplacer les isolants min raux laine de verre ou laine de roche a pS Total BBS 8 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT F 1 0 PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE B oy DES MATERIAUX L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE Bourgogne NF P01 010 Elles comportent trois volets une partie environnement r alis e a par tir de ACV une partie sant permettant l valuation du risque sanitaire et une par tie confort qui correspond aux performan ces techniques Ces FDES fournies par les fabricants ou les syndicats profession nels sont disponibles sur la base INIES du CSTB saviez vous e La norme NF P01 010 d crit les impacts envi ronnementaux et sanitaires selon dix indicateurs consommation de ressources nerg tiques pui sement des ressources consommation d eau d chets solides changeme
21. Un diagnostic qualit de l air pour d celer la pr sence de fibres en suspension Les fibres min rales des isolants laine de verre laine de roche doivent d sormais r pondre au test de canc rog n it taille et solubilit des fibres de la Directive Europ enne 97 69 CE de d cembre 97 mais il est toujours prudent de les isoler de Pair int rieur du logement ensachage calfeutement Les logements anciens 30 contiennent souvent des isolants en fibre min rale tr s d grad e qui peuvent tre dangereuse pour la sant Un diagnostic des quipements de ventilations Les gaines de ventilations les filtres et les humidificateurs peuvent parfois devenir des r servoirs de biocontaminants et de compos s organiques volatils lorsqu ils ne font pas l objet d une maintenance r guli re PROG e Tout bailleur ou occupant doit se conformer aux regles d habitabilite definies par le RSD Reglement Sanitaire Departemental e La loi pour Engagement National pour le Loge ment ENL du 18 01 2005 permet le renforcement des moyens de lutte contre les logements non de cents et l habitat indigne Elle contient le volet l gislatif du Pacte National pour le Logement et renforce le volet logement du plan de coh sion sociale Cette loi se r partit en 4 th mati ques aider les collectivit s construire augmen ter l offre de logements loyers maitris s favoriser l accession sociale la propri t pour les m
22. a la qualit de l air int rieur e Les mat riaux ou les produits mis en oeuvre dans les b timents peuvent d grader notablement la qualit de l air int rieur par les missions qu ils g n rent parfois durant de nombreuses ann es En outre les mat riaux peuvent avoir un impact direct sur la sant court terme mais aussi long terme les risques sont principalement de nature cancerogenes amiante benzene toxiques COV produits toxiques ou allerg nes micro organismes COV Les impacts sur la sant des polluants pris individuellement et des effets de synergie combinaisons de diff rents polluants sont souvent difficiles tablir e Des produits et des mat riaux de construction peuvent tre nuisibles pour la sant que ce soit lors de la fabrication de leur mise en uvre de leur dur e de vie ou lors de la d molition du b timent Cet aspect doit tre consid r lors du choix de mat riaux de proc d s constructifs ou de m thode de d molition C omment Choix donnant lieu a l attribution de points Le DCE largir le champ des connaissances des mat riaux R ception e Les indications sur la toxicit humaine des mat riaux et des produits ont t compil es et rassembl es Au minimum les donn es concernant les isolants et peintures ont t recueillies Ces indications doivent permettre non seulement de faire un choix entre plusieurs produits et mat riaux mais galement de d terminer quelle strat
23. b timent Edition 2006 e Petit m mento nerg tique les cahiers de Global Chance http www vrai debat org rubrique php3 id_ rubrique 3 e Qualit environnementale des b timents manuel l usage de la ma trise d ouvrage et des acteurs du b timent ADEME 2002 e Chauffage et eau chaude les utilisations Guides ADEME www ademe fr L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O DE Bourgogne aucun changement de comportement autres de chauffage r duire la consommation d eau chaude d autres appareils E estiment que le chauffage lectrique q Pe as 3 gq travaux d isolation n est pas une solution co teuse E estiment que le chauffage lectrique est une solution co teuse SOURCE SOFRES la chemin e d air froid E FE SF RT Y E O 5 10 15 20 25 30 35 Une chaudiere a condensation a un rendement de 40 sup rieur a une chaudiere classique Elle rejette un taux de gaz plus faible et moins polluant Son installation peut b n ficier de 25 de credit d imp t obturer les bouches de ventilation envisager de changer d nergie r duire la consommation sur utiliser ou utiliser davantage un autre chauffage d appoint r aliser ou envisager des utiliser ou utiliser davantage calfeutrer les entr es baisser la temp rature de chauffage Conception r alisation Tekhn Architectes Sous station de chauffage B timents administratifs de la Ville de Besan on
24. b timent et par l air avant d arriver jusqu votre oreille On distingue diff rents types de bruits les bruits a riens ext rieurs les bruits a riens int rieurs et bruits de chocs les bruits d quipements transmission directe Sc ma de transmission des bruits La transmission parasite se fait par des d fauts localis s fissure mauvaise tanch i t Pair transmission parasite fen tre transmission indirecte precxisGinte N ou lat rale gajourde tre quip e d un simple vitrage d epaisseur au moins gal 6 mm Norte piqueur Musique forte concert Seul de la douleur Bruits dangereux ACOUSTIQUE Source Ecologie gouv Conception r alisation Tekhn Architectes REHABILITER POUR APPROCHER LES PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES BATIMENT EA FEN TRES ET BAIES LOGEMENTS NEUFS ET AM LIORER LEUR CONFORT e La lumi re naturelle nous est n cessaire elle r pond des besoins physiologi ques et psychologiques De plus un clairage naturel suffisant vite de recourir la lumi re artificielle la journ e et contribue la r duction des consommations on z r conisations Ppoursue e Identifier les d ficits ventuels d clairage lectriques naturel dans les logements e Le remplacement des fen tres a simple vitrage par des fen tres a double ou triple vitrage permet de diminuer les consomma e Adopter des baies qui limite
25. constats et dia gnostics d un b timent facilite la programmation des travaux entreprendre et permet de conserver une m moire pour chaque b timent Certains diagnostics Regrouper l ensemble des tats constats r glementaires sont obligatoires alors que d autres sont r aliser suivant la situation et le patrimoine r habiliter et diagnostics dans un seul dossier technique afin de hi rarchiser les travaux de r novation e Pour les b timents construits avant 1948 faire une analyse compl te du b timent r habiliter en faisant appel si besoin aux comp tences d architectes du patrimoine e Lordonnance n 2005 655 du 8 juin 2005 relative au logement et a la construction r forme le diagnostic technique immobilier et ses modalit s de mise en uvre Elle pr cise que le dossier de diagnostic devra terme accompagner tout acte de vente de biens immobiliers e Les modes de construction de l poque surtout avant 1948 taient tr s diff rents de ceux d aujourd hui ils doivent tre pr cis ment identifi s afin que la r habilitation ne porte pas atteinte aux qualit s intrins ques du b timent et puisse concilier les enjeux souvent contradictoires de patrimoine et d environnement Ci donnant lieu l attribution de points CG Note les diagnostics list s ici concernent uniquement ceux qui ont trait a la qualit environnementale du b timent et a la sant Ils n excluent pas d autres diagnostics pr
26. d passe pas 20 de l ensemble des plantations afin de lutter contre le risque pid miologique sp cifique maladie ne s attaquant qu une seule esp ce Les volutions d aspect de couleurs et de parfum au fil des saisons ont t prises en compte Conception r alisation Tekhn Architectes e Les esp ces plant es ont t choisies dans un soucis d entretien et d arrosage minimal gazon a croissance lente arbustes libres non tailles e Diff rentes esp ces v g tales ont t plant es elles ont t choisies prioritairement dans la palette v g tale locale et dans les diff rentes strates v g tales bulbeuses vivaces arbustives grimpantes arbor es Ti e Les essences allergisantes classe 4 et 5 ne repr sentent pas plus de 20 des plantations e Une gestion diff renci e des espaces avec fa ons culturales conomes en nergie a t privil gi e espaces non tondus avec mise en valeur de la biodiversit espaces avec tonte par recyclage sans ramassage du gazon priorite donn e aux haies libres taillees manuellement mulching e Une surface sp cifique est d di e aux jardins potagers jardins familiaux jardins partag s Ces jardins seront confi s aux habitants par l entremise du syndicat Conception r alisation Tekhn Architectes gestionnaire ou a une association sp cialement cr e et un dispositif de compostage est pr vu pour l entretien des jardins a mO ESQ Residenti
27. de r novation test contre productive et d sastreuse Elle risque en effet de mobiliser server l inertie des structures en privil giant une part importante des budgets disponibles sans atteindre pour autant les objectifs du Facteur 4 Une deuxieme intervention isolation par l ext rieur lorsque le b timent lourde sur un m me b timent d ici 2050 serait difficile a mettre en uvre et plus co teuse qu une seule Il est par cons quent ne pr sente pas de caract re patrimonial pr f rable de se fixer des objectifs ambitieux pour un plus petit nombre de logement plut t que l inverse e Prendre en compte le confort d t qui ne doit pas tre perturb par les efforts d isola on e Lisolation par l ext rieur en cr ant une protection autour du gros uvre et en supprimant les ponts thermiques entre dalles fa a ion des et refends fagades notamment est le moyen le plus simple pour atteindre les objectifs de performance vis s De plus l isolation par l ext rieur permet au logement de b n ficier de l inertie de la structure et ne r duit pas le volume habitable Enfin une m me op ration permet le traitement thermique du b timent et le ravalement de fa ade e La temp rature dans un logement est d termin e par un quilibre entre apports thermiques et d perditions qui peut tre perturb par une intervention lourde comme le renforcement de l isolation Si l quilibre est mal g r les apports solaires et les apports d
28. des d chets dangereux RTE r utilisation des mat riaux in situ ou sur d autres chantiers il faut donc que les mat riaux soient aptes la d pose s lective recyclage sous forme de MPS Mati re Premi re dite Secondaire par exemple concassage des gravats sur place pour le b ton ou sous une autre forme valorisation nerg tique par incin ration e Le choix des mat riaux doit tre fait apr s avoir identifi la r elle n cessit d utilisation de ces mat riaux certains mat riaux n ont pas d autre fonction que l esth tique et des besoins selon l usage qui doit en tre fait selon la destination envisag e d gradations possibles ou mat riaux non accessibles les exigences quant aux propri t s des mat riaux sont diff rentes i de serre 7 0 8 Autres d chets j 0 6 necuperables I ies a D chets radioactifs Acidification Laine de bois et chenevotte bois de chanvre descnptron mesures limitalmes Source Tekhn Architectes Eau Smog Exemple de graphique radar pr sentant les diff rents impacts d un mat riau sur l environnement Eutrophisation Exemple de fiche de d claration de mat riaux Source ADEME TRIBU Conception r alisation Tekhn Architectes V O O Chon donnant lieu a l attribution de points Cotation E O lt PRO DCE Elargir le champ des connaissances des mat riaux e Pour les principaux mat riaux mi
29. des dispositifs d am lioration de l empreinte cologique de l humanit laquelle a cru de 80 depuis 1960 et d passe d sormais de 20 la capacit de la plan te nous livrer ce dont nous avons besoin et absorber ce que nous rejetons Ainsi construire ou r habiliter aujourd hui un b timent de logement suppose de prendre conscience de ces grands enjeux qui vont interagir fortement sur les co ts en fonctionnement du b timent rar faction et rench rissement des nergies de l eau sur le confort thermique d t par exemple et finalement sur la trace laiss e par notre mode d habiter sur la plan te dont nous devons nous rappeler que nous l empruntons nos enfants Toutes les solutions techniques existent aujourd hui pour diviser par 4 cette trace Encore faut il les conna tre avoir les moyens de les mettre en uvre et surtout en avoir la volont A cet gard la contribution du Grenelle de l Environnement en fixant des objectifs de performance a atteindre particuli rement ambitieux est notable m me si les moyens de financement envisag s pour les atteindre sont encore confirmer ce jour Pour le logement social une d clinaison concr te des mesures prendre a t labor e par le Comit Op rationnel COMOP n 2 et retranscrite dans le projet de loi de programme d avril 2008 relatif la mise en uvre du Grenelle de l Environnement Une r novation nerg tique de l ensemble de
30. duction des consommations et de r cup ration conduit une conomie appr ciable pour l usager et la collectivit e Les eaux pluviales peuvent remplacer l eau potable pour des usages ext rieurs arrosage et lavage et limiter les charges d entre tien du b timent Choix donnant lieu l attribution de points Cotes R duire les gaspillages e Des r ducteurs de pression calibr s a 3 bars ont t install s l entr e des logements sous r serve qu aucun dysfonctionnement ne puisse tre engendr pour les chauffe eau instantan s ou autres quipements ou la pression du r seau eau froide est inf rieure 2 5 bars e Les chasses d eau install es sont double commande ou des syst mes conomiseurs d eau ont t mis en place e L ensemble des points de puisage douches lavabos viers sont munis de r ducteurs de d bit de type a rateurs ou stop douche e Tous les logements disposent d une douche R cup rer les eaux pluviales EP e Des dispositifs de r cup ration des EP ont t install s pour couvrir les besoins d arrosage des espaces verts et des jardins de lavage des locaux etc Syst me complet avec cuve enterr e syst me de filtration et de pompage et r seau ext rieur au b timent Simple r servoir sur descente d EP Phase op rationnelle BONUS e Le r seau d alimentation en eau du b timent est quip d un syst me de d tection de fuite avec alarme pa
31. en mati re de consommation d nergie DCE Ajuster les temp ratures au plus pr s des besoins les points sont compt s si au moins 2 des 3 propositions sont valid es e Une gestion technique centralis e performante a t mise en place e La gestion de l intermittence a permis d adopter une temp rature de consigne de 19 C dans les logements occup s de 16 C pour la nuit et les logements inoccup s et de 8 C pour le hors gel ou les absences prolong es lt a gt La r gulation de temp rature int gre une mesure de temp rature ext rieure et adapte la consigne de la chaudi re Phase op rationnelle APD Eviter le chauffage lectrique par effet joule e Si le chauffage lectrique n a pas pu tre vit des dispositifs permettant de limiter les consommations de chauffage ont t adopt s isolation du logement remplace ment des convecteurs par des metteurs plus efficaces mesure de temp rature d ambiance programmateur mesure de temp rature ext rieure etc Les points sont octroyes si le chauffage n est pas lectrique al gt DCE R duire les consommations d eau chaude sanitaire les points sont compt s si au moins 2 des 3 propositions sont valid es e Les tuyauteries d eau chaude sont calorifug es sur toute leur longueur hors plancher e Les robinets des douches et des lavabos des logements sont quip s de mitigeurs avec but e de chaud et position de repos du c t froid ou de mitigeurs thermosta
32. entr es d air situ es sur une fa ade bruyante ont t remplac es par des entr es d air acoustiques soumis des exigences r glementaires indice d isolement normalis Dn10route sup rieur 36 dB A Phase op rationnelle Limitation des nuisances acoustiques int rieures et li es aux quipements e Si le diagnostic a identifi que la transmission des bruits passe par les portes pali res celles ci ont t remplac es par des portes dont les performances acoustiques sont certifi es e Les cloisons s paratives entre le logement et le palier ou entre deux logements pr sentant des faiblesses acoustiques ont t doubl es acoustiquement e Des solutions techniques ont t apport es pour les planchers et plafonds qui le n cessitaient rev tement de sol absorbant les points sont compt s si les 3 propositions sont valid es Conception r alisation Tekhn Architectes e Les nuisances li es au fonctionnement des quipements ventilation ascenseurs etc ont t trait es e La robinetterie r pond au marquage NF qui constitue aussi une garantie de qualit de performance acoustique e Les bruits de chute d eau et de chasse d eau ont t trait s o P Y i saviez vous e Les bruits sont class s selon leur source et leur mode de propagation S ils sont cr es par une source sonore voix avion et se propagent dans l air on parle de bruit a rien Si le bruit es
33. foyers et d une consommation plus ou moins co reponsable en mati re de preven tion ont t caract ris s 1 chariot des produits les plus achet s ramen la consommation d un mena ge moyen 2 3 personnes selon l INSEE 2 chariots g n rant le maximum de d chets pour des foyers de 1 et 4 personnes et 2 chariots g n rant le minimum de d chets pour des foyers de 1 et 4 personnes Les produits minid chets ont t choisis suivant la grille hi rarchique suivante produit r utilisable absence d emballage co recharge grande contenance re cyclabilit des emballages selon les consignes de tri s lectif et enfin poids des emballages Cette tude reproductible permettra de suivre l volution de l offre et le comportement le plus courant des consomma teurs L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE Bourgogni Un espace suffisant dans la cuisine permet d utiliser des bacs a compartiments pour le tri e Campagne r duisons nos d chets Ci dessus Point de collecte des d chets en centre ville de Dijon Les bacs enterr s permettent de limiter les nuisances visuelles et de diminuer l espace utilis e Consulter le service propret de la col lectivit d implantation de la maison afin de conna tre leur guide du tri les services de ramassage des ordures m nag res et la d chetterie la plus proche e ADEME La composition de nos poubelles Le d tail a Emballages en papier carton
34. gie adopter concernant les mat riaux d j en place faut il les liminer les confiner ou les conserver comme tels Choisir les mat riaux en connaissance et en conscience selon une analyse multicrit res e Les missions de COV dans les logements ont t limit s e le PVC a t exclu Des rev tements de sol Des papiers peints e Les peintures int rieures utilis es ont l colabel europ en qui garantit des missions de COV inf rieures 30 g l ou un colabel quivalent Ange Bleu ou Cygne Blanc e Les moquettes et autres mat riaux favorisant la prolif ration d acariens de bact ries et de moisissures ont t vit s E e Les isolants min raux fibreux laine de verre ou laine de roche ne sont pas mis en uvre dans le logement ou des pr cautions sont prises afin de limiter la diffusion de fibres dans l air isolants ensach s pare vapeur scotch avec soin Les points sont compt s si au moins 1 e Les bois agglom r s lamelles stratifies latt s coll s qui contiennent du formaldehyde ont t cart s au profits de produits proposition est valid e contenant des substituts tels que des bioadh sifs base de plantes ou des biocolles a base d amidon Phase op rationnelle Conception r alisation Tekhn Architectes LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F1 4 QUALITE SANITAIRE DES PRODUITS ET MATERIAUX USAGES SUR L ENVIRONNEMENT MATERIA UX LIMITER LES IMPACTS DES B T
35. l nergie l eau les d chets et les comportements sont trait s correspondant aux fiches suivantes Eau C1 Ma trise des consommations d eau et r cup ration des eaux pluviales Energie C2 Maitrise des consommations d nergie pour le chauffage et la production d eau chaude sanitaire C3 Choix d nergie et des moyens de production et de distribution de chaleur Systeme de chauffage C4 Maitrise des consommations d lectricit sp cifique C5 VMC ventilation double flux et puits canadien C6 Bois Energie C7 Solaire thermique C8 Solaire photovoltaique Materiaux C9 Performance environnementale des materiaux C10 Performance sanitaire des materiaux Dechets C11 Chantier propre C12 Dechets menagers Usagers C13 Comportement des usagers et information Au total ce sont ainsi 23 fiches qui composent le guide en construction neuve Un synoptique plac en t te des fiches th matiques permet de retrouver d un seul coup d il les pr conisations correspondantes Les dispositions pr vues pour r pondre aux pr conisations des diverses th matiques au nombre de 175 en construction neuve 141 dispositions en r habilitation chacune se voyant attribuer un certain nombre de points Le poids relatif donn chacune d elles a tout d abord t tabli par un arbitrage entre les 3 familles d objectifs selon la r partition suivante 60 0 477 5 Pts 50 0 40 0 312 5 Pts 30 0 210 Pts
36. la sante mais il est prudent de connaitre leur composition Les peintures minerales a la chaux ou au silicate de potassium n met tent pas de COV pendant et apr s applica tion e Les fibres d origine naturelle ou artificielle et de nature min rale ou organique sont a cau se de leur structure susceptibles d amp tre patho genes Le danger est fonction des caracteris tiques physico chimiques des fibres de leur persistance dans les tissus biologiques et des liants et additifs utilis s Le G2SAT Groupe Scientifique pour la Surveillance des Atmos pheres de Travail a tabli un classement du danger par ordre decroissant presente par les fibres min rales Amiante gt Fibres c ra miques r fractaires gt Laine de roche gt Laine de verre et Laines de laitier e L air int rieur est souvent riche en vapeur d eau qui se condense sur les surfaces froi des L exces d humidit favorise le d velop pement des moisissures et des acariens Les acariens sont des tres vivants microscopi ques qui se developpent dans la poussiere de maison en se nourrissant des squames de peau humaine Les substances allergeniques se trouvent essentiellement dans les dejec tions des acariens et les debris de carapace microparticules de 5 um qui p n trent en pro fondeur dans les poumons Hiie Ph e La directive REACH enRegistrement l Eva luation et l Autorisation des substances CHi miques oblige d sormais l i
37. le b timent ne pr sente pas de caract re patrimonial e Prendre en compte le confort d t qui ne doit pas tre perturb par les efforts d isolation e Parfaire l tanch it l air des b timents e Mettre en uvre une ventilation efficace qui apporte le d bit hygi nique n cessaire aux occupants des logements tout en limitant les consommations et les d perditions d nergie e Am liorer les performances et ambiances acoustiques des logements et des parties communes e Identifier les modifications des performances acoustiques qui seront engendr es par les travaux projet s sur le b timent e Identifier les d ficits ventuels d clairage naturel dans les logements e Adopter des baies qui limitent les d perditions d nergie en syst matisant les protections solaires par l ext rieur pour les ouvertures expos es Total Synoptique du guide ECO HABITAT en Bourgogne pour la rehabilitation F Limiter l impact des b timents et des usages sur l environnement Domaine Thematiques Preconisations associes Ext rieur 5 D njat 0 O er D LLI Am nagement de la parcelle V g talisation Ma trise des consommations d eau et r cup ration des eaux de pluies Ma trise des consommations d energie pour le chauffage et PECS Choix d energie et des moyens de production et de distribution de chaleur e Analyser les am nagements actuels de la parcelle au reg
38. ne pas souiller sur le site les plasti ques cartons palettes et polystyrene Des syst mes d vacuation affect s chacun des types de d chets ont t install s Une signal tique lisible a galement t mise en place pour optimiser l utilisation des bennes Le taux de collecte des bordereaux de suivi doit tre de 100 pour les d chets dangereux Enfin le nombre la taille et la fr quence de rotation des bennes ont t optimis s en fonction de l avancement du chantier lt a E gt Chantier Limiter les pollutions et les nuisances Les points sont compt s si au moins 3 propositions sont valid es e Des dispositifs ont t mis en oeuvre pour limiter la pollution des sols e Des precautions ont t prises pour limiter les nuisances sonores aupr s du personnel et des riverains et le chantier et ses abords sont nettoyes quotidiennement e Une cl ture a t pr f r e aux palissades en bac acier ou celles ci sont entretenues et des ouvertures d observation a destination a E du public sont pr vues En revanche l aire de stockage des d chets est convenablement prot g e de la vue depuis la voie publique e Une zone de lavage des roues en sortie de chantier a t mise en place afin de limiter la dispersion des boues et poussi res sur la voie publique Conception r alisation Tekhn Architectes Limiter les consommations de ressources a gt e Un suivi mensuel des consommations d eau et d nergie avec mesu
39. pour notamment son logiciel de dimensionne ment en ligne CALSOL www ines solaire fr AT Vide entre e Espaces Info Energie http www ademe fr particuliers PIE InfoEnergie html gwen e Enerplan Association professionnelle de l nergie solaire www enerplan asso fr e Annuaire de l nergie solaire en France www portail solaire com Tube ext rieur Tube int rieur avec rev tement s lectif O nk ee ia FS SOLAIRE THERMIQUE POUR L ECS LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ENERGIE EAU F9 PHOTOVOLTA QUE RACCORDE AU RESEAU m B s 1 reconisations gt Une centrale photovolta que permet de produire de l lectricit au plus pr s des besoins sans pollution locale et partir d une nergie abondante et illimit e la lumi re du soleil e tudier l opportunit d installer une centrale photovolta que raccord e au r seau lors e En tant qu nergie renouvelable l lectricit photovolta que b n ficie d un tarif d achat fix par le gouvernement sup rieur au tarif que le site est favorable pour couvrir une de vente de l lectricit ordinaire En 2007 le tarif d achat de l lectricit photovolta que est de 0 30 kWh pour une installation part significative des besoins d lectricit du classique et 0 55 kWh si les capteurs sont int gr s l architecture garanti par un contrat sur 20 ans b timent e De conception modulaire et d un co t pro
40. riaux et sur les techniques constructives quels sont les mat riaux liminer du b ti ment ceux r utiliser et ceux qui sont ins e Le choix d un mat riau est g n ralement fond sur des crit res extra environnementaux fonctionnalit performance technique taller esth tique co t mais prend rarement en compte les impacts sur l environnement et la sant au moment e Privil gier des mat riaux qui limitent les im de la fabrication du mat riau disponibilit rar faction des ressources consommation d eau et d nergie utilisation de pacts sur l environnement MPS d chets g n r s co conception de son transport pollution li e au moyen de transport utilis et aux distances parcourues de sa mise en oeuvre d chets et effluents g n r s nuisances occasionn es de sa vie en uvre pollution li e l entretien fr quence des interventions dur e de vie ou de la d molition du b timent mat riau valorisable ou non classe du d chet nuisances occasionn es Fiche composant produit mat riaux D signation e Lors d une r habilitation il est n cessaire de prendre en compte la fin de vie des mat riaux que l on souhaite remplacer liminer O e ee ou utiliser et adopter le cycle de mati re le plus court avec l ordre de priorit suivant AAA AA r duction de la production de d chets minimiser les chutes exclure dans le choix des mat riaux de remplacement ceux g n rant
41. s si les efforts n cessaires pour ronnement informer et sensibiliser les usagers ne sont pas consentis e Un livret fixant les caract ristiques du b timent et pr conisant des conseils d usages est un moyen efficace de rendre l utilisation du b timent optimale II doit informer sur les propri t s du b timent techniques mat riaux de construction principes d architecture bioclimatique mis en oeuvre et sur le fonctionnement des divers quipements Ce livret doit galement faire r agir sur des pro bl matiques qui ne sont pas propres a l utilisation du b timent comme par exemple la question des d placements et les impacts li s l usage de la voiture Croix donnant lieu l attribution de points a Livraison et Des r unions d information r unissant l ensemble des usagers les habitants le g rant et le bailleur et permettant de les informer du fonctionnement du b timent ou au cours de de l am nagement sont organis es Lors de ces r unions les enjeux nerg tiques et environnementaux et le potentiel d conomies annuelles que les usagers peuvent la vie du b escompter de l utilisation sobre d quipements efficaces sont rappel s Les espaces Info Energie peuvent tre associ s ces r unions timent selon une fr quen ce adapt e Livraison e Des moyens de sensibilisation panneaux d affichage mailing ont t mis en place ils donnent des indications concernant les volutions des c
42. transfert pneumatique est utilis Le bois d chiquet est adapt aux installations de moyenne et grosse puissance partir de 50 kW En raison de son faible co t il est particuli rement pr conis pour les gros b timents dont la consommation de chauffage est importante Le bois d chiquet doit respecter un cahier des charges tr s strict fixant notamment l origine du bois son degr d humidit et sa granulom trie e Les missions de poussi res sont inf rieures 60 mg m pour les chaudi res granul s ou 90 mg m3 pour les chaudi res bois d chiquet recommandations de DCE Energie Bois Suisse PROG e La for t couvre 28 du territoire national soient 15 3 millions d hectares Elle s accro t de 85 millions de m par an pour une consommation nationale de 35 millions de m e En 2005 la part des nergies renouvelables dans le bouquet nerg tique fran ais repr sentait pr s de 6 de la consommation totale d nergie primaire Dans ce bouquet le bois nergie repr sente 3 4 des consommations ADEME 2006 e consommation gale le bois nergie d veloppe une activit locale 4 fois sup rieure aux nergies fos siles e Une chaufferie collective au bois comprend g n ra lement une chaudi re principale au bois fonctionnant en base et une chaudi re auxiliaire habituellement au gaz ou au fioul pour assurer les pointes ou les r gimes basse puissance Des mises en cascade de plusieur
43. villes cyclables org e Minist re de l Ecologie et du D veloppe 2 ment Durable www ecologie gouv fr 2 D e Office international de l eau E 5 Un jardin partage est gere par les habitant www oieau fr free fr P du quartier regroup s en association e R seau National de Surveillance E C est un lieu ouvert sur le quartier un pro A robiologique www rnsa asso fr Fr jet commun qui favorise les rencontres entre e Federation Nationale des Jardins Familiaux q les g n rations et les cultures Le respect de FNJF www jardins familiaux asso fr E gt l environnement et d veloppement de la bio e Biodiversit et Botanique www botanique A diversit sont de mise org 9 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT z 1 AMENAGEMENT DE LA PARCELLE DE Bourgogne F LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT VEGETALISATION EXTERIEUR A r conisations e V g taliser les toitures cinqui me fa ade expos e la vue lorsqu elles sont plates ou de faible pente pour offrir une qualit visuel le au voisinage participer la r gulation des eaux pluviales et prot ger les tages inf rieurs des surchauffes estivales e V g taliser les pieds de fa ades et les fa a des afin de favoriser les atmosph res fra ches en t Phase op rationnelle e Les pieds de fa ade sont v g talis s sur une largeur d au moins 3m P e Une toiture v g talis
44. www effet de serre gouv fr e R seau action climat France www rac f org e Calcul de l empreinte cologique www agir21 org e Le top des appareils WWF France http www wwf fr topten Exemple de documents d information et de sensibilisation cr par Bruxelles Environnement 9 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT COMPORTEMENT DES USAGERS j oe Bourgogne ET INFORMATION Autres initiatives AUTRES INITIATIVES reconisations Encourager des initiatives qui n ont pas pu tre d taill es dans ce guide mais qui per mettent cependant de r pondre aux grands enjeux environnementaux mentionn s pr c demment avec une efficacit identique voire sup rieure D e Le parti pris de cet outil de prescription et d valuation environnementale est de propo ser des dispositions adapt es la majorit des logements collectifs Pour autant toutes les dispositions qui conduisent am liorer la performance d un b timent ne peuvent pas tre list es ici si certaines dispositions non mentionn es ici sont adapt es un projet particulier elles ne le seront pas forc ment pour tous les projets et ne justifient donc pas d une place dans ce guide e Permettre chacun de proposer des mesures adapt es la particularit d un projet pour renforcer sa performance environnementale est n cessaire pour faire progresser la connaissance collective et favoriser la diffusion des le ons d exp riences ll para
45. 10 O APS Remplacer les fen tres D e Toutes les baies simple vitrage ont t remplac es minima par des baies a double vitrage peu missif U lt 1 70 W m K et elles poss dent toutes un marquage CEKAL sur le champ interne du vitrage d ki D e Les profils menuis s ont t choisis troits pour limiter les pertes en lumi re naturelle qui seront d autant plus grandes que les ch ssis seront pais Les sections des 8 chassis ont donc t optimis es en fonction des tailles de baies er Q e Le facteur solaire FS recherch du vitrage sera dans la mesure du possible Pour une inertie l g re ou moyenne 0 25 pour les orientations Sud Est et Ouest et 0 45 pour une orientation Nord a gt Pour une inertie lourde 0 45 pour les orientations Sud Est et Ouest et 0 65 pour une orientation Nord ar APS Syst matiser les protections solaires externes des baies pour atteindre les niveaux de facteur solaire de la r glementation thermique Pour les baies Est et Ouest de Nord Est Sud Est et de Sud Ouest Nord Ouest tr s expos es au soleil en d but et fin de journ es de mi saison et d t un vitrage a contr le solaire a t retenu ar e Les protections solaires externes ont t syst matis es avec l une de ces solutions les points sont compt s si au moins 1 des 3 cases sont coch es Volets roulants a projection a lames jointives en pr f rant dans l habitat ancien une solution ou le m canism
46. Aptitude favoriser la croissance F fongique Produit inerte Aptitude favoriser la croissance bact rienne B optionnel Produit inerte Emissions d odeurs optionnel 0 sanitaires our aller plus loin R Fortes missions Faible intensit d odeur Les mat riaux sont class s par le CESAT selon leurs performances n autorise plus depuis le 1er janvier 2004 l utilisation de produits trait s aux CCA Chro me Cuivre Arsenic dans les habitations Les Pays Bas l Indon sie la Suisse et la Nouvel le Zelande interdisent totalement l utilisation du lindane et du PCP e En Allemagne les laines min rales ont t exclues de l attribution des marches publics et les autorit s recommandent l abandon du PVC souple qui lib re en permanence des M thodes de r f rence Normes prEN 13419 parties 1 3 et ISO 16000 parties 3 et 6 Protocole europ en Radiation Protection 112 M thode adapt e a partir de la norme EN ISO 846 oxydes d azote M thode adapt e partir de la norme EN ISO 846 Normes prEN 13419 parties 1 3 et NF X 43 103 cules poussieres et parti plastifiants comme les phtalates dans les applications pour lesquelles il existe des al ternatives plus s res En Su de une liste de substances interdites comme le PVC par exemple est diffus e par l Inspection su doi se de chimie En Espagne Barcelone et une cinquantaine d
47. CHAUDI RE CONDENSATION CHAUDI RE CLASSIQUE Pouvoir calorifique inf rieur 100 1144444404 Pouvoir calorifique sup rieur 111 Pouveir calorifique sup rieur 111 CHOIX D ENERGIE ET DES MOYENS DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION DE CHALEUR USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ENERGIE EAU LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F6 MAITRISE DES CONSOMMATIONS D ELECTRICITE SPECIFIQUE e La ma trise des consommations d lectricit sp cifique c est dire hors chauf fage et eau chaude permet de reduire la facture Energetique des locataires Et m me si le prix de l lectricit nergie aujourd hui la plus ch re ne varie pas er u r conisations pourguo e Cibler pour les b timents un objectif de con directement avec le cours du petrole il suit ineluctablement une variation a la hausse comme toutes les energies sommation d lectricit des communs inf rieur 10 kWh m habitable an e Les consommations d lectricit sp cifique g n rent des surchauffes dans les logements Celles ci sont sources d inconfort l t e Favoriser une limitation des consommations et induisent souvent des consommations suppl mentaires pour les vacuer ventilation rafra chissement Leur impact sur la tem d lectricit dans les logements par des dispo perature int rieure des logements sera d autant plus grand que le b timent sera bien isol sitions adapt es e Gr ce des appareils perf
48. IMENTS ET DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT MATERIAUX F11 QUALITE SANITAIRE DES PRODUITS ET MATERIAUX e saviez vous e La pollution de l air int rieur mission de subs tances chimiques toxiques rayonnements lec tromagn tiques pr sence de micro organismes mauvaise ventilation a t reconnue comme nocive pour la sant humaine Ainsi le syndrome des b timents malsains Sick Building Syndrome SBS a t d fini par l OMS en 1982 comme une pa thologie complexe inconnue jusqu alors et sp ci fiquement li e l occupation de locaux insalubres Derni rement l Agence danoise de protection de l environnement vient de reconna tre le syndrome de sensibilit chimique multiple Multiple Chemical Sensitivity MCS e Dans le cadre d une r habilitation ou r novation il est possible d tre confront des mat riaux qui se sont r v l s avec les ann es comme dangereux pour la sant Pour limiter les risques il est n ces saire de se renseigner sur les dispositions prendre avant certaines op rations pon age vacuation e Le risque d a un mat riau est la combinaison du danger toxicit intrins que du mat riau de l expo sition des individus et de la sensibilit individuelle de chacun e Un mat riau de construction sain est un mat riau dont les risques sur la sant ont t d termin s par des tudes scientifiques renouvel es au fur et mesure de l vol
49. LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F5 CHOIX D ENERGIE ET DES MOYENS DE USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ENERGIE EAU PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION DE CHALEUR r m m 1 reconisations onran j e Les choix nerg tiques conditionnent les impacts du b timent sur l environne ment en termes de d mission de polluants de toxicit des d chets d epuisement des ressources naturelles cf tableaux ci dessous et illustration e Prendre en consid ration les am liorations propos es par le DPE et l tude de faisabilit nerg tique et anticiper l volution du contexte nerg tique venir e Analyser l int r t le cas ch ant du rempla cement des chaudi res existantes e Privil gier les installations collectives de chauffage a eau chaude ou de l lectrique in dividuel performant e Mettre en uvre des moyens de production et de distribution de chaleur haut rendement e Anticiper l volution du contexte nerg tique e Une remise en cause du choix d nergie qui prend en compte l volution du cours des nergies fossiles et les pollutions associ es peut conduire a des conomies importantes et a une limitation des impacts sur l environnement e Les installations de chauffage collectives offrent un meilleur rendement nerg tique que les chaudi res individuelles car elles fonc tionnent g n ralement pr s de leur r gime nominal et b n ficient de contrat d entretien rigoureux Elles permette
50. a tions de la commission charg e de formuler des avis techniques note d information du GS20 du 24 06 04 disponible sur le site du CSTB doivent tre respect es et son utilisation en cran sous toiture est proscrite e Lisolation des parois pour laquelle on pourra se contenter d une isolation par l int rieur si la nature patrimoniale du b timent l exige Un Uparoi verticale 0 30 W m K a t recherch lt Eis Phase op rationnelle APS Veiller l quilibre hygrom trique du b timent e L quilibre hygrothermique du b timent a t respect des mat riaux tanches n ont pas t ajout s aux parois ou aux combles g n ralement respirants des b timents anciens ou si une correction hygrothermique a t n cessaire les freine vapeurs ont t pr f r s aux pare vapeurs p rennit des mat riaux et du b ti com promise risque d apparition de moisissure an Conception r alisation Tekhn Architectes e Le complexe isolant mis en uvre respecte l ordre des perm abilit s le coefficient de diffusion de vapeur est 5 fois plus lev pour la paroi int rieure que pour la paroi exterieure regle des 5 pour 1 e L tanch ification l int rieur et l ext rieur d un mur porteur a t vit e celle ci risquerait de pomper par capillarite l humidit du sol sans pouvoir l vaporer ensuite ESQ APS Stocker la chaleur ou la fraicheur e Si la renovation est complete et si la structur
51. a r gion du Conseil R gional de Bourgogne le mouvement HLM fait ainsi sienne l une de leur pr occupation essentielle Ce guide con u et r dig avec l appui de TEKHNE Architectes le soutien de l ADEME et du Conseil R gional est un outil l usage des quipes techniques des ma tres d ouvrage Il leur permettra de s assurer de la bonne prise en compte de la qualit environnementale tout au long du d roulement d un projet de mani re offrir aux habitants un habitat s inscrivant harmonieusement dans son environnement Andr QUINCY Pr sident de USH de BOURGOGNE L UNION SOCIALE POUR L HABITAT k DE Bourgogne Depuis 2004 le conseil regional de Bourgogne a fait du d veloppement durable l une de ses priorit s majeures Que ce soit dans son fonctionnement ou nous avons souhaite tre exemplaires en int grant systematiquement dans le cahier des charges de toute commande publique des criteres sociaux environnementaux ou dans nos nombreuses politiques d intervention jai souhait que notre collectivit s engage r solument Nous avons ainsi multipli par 5 le budget l environnement et au d veloppement durable plus de 15 ME en 2008 celui d di aux nergies renouvelables par 10 Et la Bourgogne fut l une des premi res r gions fran aises adopter un plan Energie Climat d envergure pour les 7 ann es a venir un plan de 140 ME auxquels il convient d ajouter 20 ME de l ADEME et 30 ME de l Uni
52. a thematique traitee Enfin pour ceux desireux d approfondir le sujet des adresses Internet ou une bibliographie sont donn es dans le champ Pour aller plus loin Le texte les nombreux schemas ou photographies qui illustrent l outil ont t con us pour que le lecteur le parcoure comme il le ferait d un guide pratique fourmillant de conseils Progressif le guide d analyse et de programmation de PUSH de Bourgogne a pour ambition d tablir une chelle d appreciation graduelle et transparente centr e sur les r sultats obtenus par la construction ou la r habilitation Par cet outil a points on enregistre chaque progr s r alis marche apr s marche on sait ainsi pr cis ment o l on se trouve dans son avanc e vers l habitat durable sans attendre le grand soir o l on viserait un impossible b timent id alement environnemental Cette cotation permet de sortir des valuations binaires qui stigmatisent ceux qui font pourtant de nombreux efforts dans la direction du durable sans parvenir passer une barre dont on ne sait trop par qui comment et pourquoi elle a t plac e l ni m me si elle est garante d une avanc e significative La gradation de l valuation permet chacun de se positionner en fonction de ses moyens et tout le monde est valoris on cr e ainsi une dynamique pour entrainer vers le haut l ensemble des acteurs du projet Le comment du guide Ce guide est constitu de deux pa
53. alisation e Des espaces collectifs ont t convertis en jardin privatifs pour les logements de rez de chauss e a Ep e Un jardin privatif collectif est mis a la disposition des locataires et entretenu par le bailleur 3 R ESQ BONUS e Une offre d habitat interm diaire est propos e sur la parcelle en compl ment de l offre actuelle 30 Total e saviez vous e Une parcelle regroupant des barres d immeubles collectifs n est pas forc ment synonyme de densit b ti les espaces verts qui bordent n cessairement les immeubles sont souvent tr s vastes et peuvent li miter la densit b tie moins de 80 100 logements l ha Anne Architectes Plan de masse pr sentant les voies pour v hicules motori s s les places et chemine ments pi tons ainsi que les e Une tude a t r alis e en partenariat avec le RE espaces v g talis s PUCA Plan Urbanisme Construction Architecture et PUSH Union Sociale pour l Habitat afin d tudier habitat interm diaire dans le Grand Est ra 2 MD le Y pa Photo Tekhn Architectes el Fe Er Site du PUCA voir l onglet D veloppement Dura Ad ob ea ancceuP degian or our aller plus loin Placettes publiques et v g talisation Quartier Vauban Fribourg ble la partie du site d di e l habitat interm diaire Villa Urbaine Durable http rp urbanisme equipement gouv fr puca e Club des villes cyclables www
54. amilles d objectifs et entre les differentes thematiques sont les suivantes 60 0 50 0 30 0 20 0 10 0 0 0 D Audit p atrimoine 40 0 E R nab ation D 411 F13 D chets F12 Chantier F11 Q sanitaire F10 Perf enviro F9 PV F8 Solaire thermique F7 Bois nergie F6 Conso lec F5 Choix nergie 570 Pts F4 Conso chauf ECS F3 Eau F2 V g talisation F1 Parcelle E4 Baies E3 Acoustique E2 Renouv air E1b Isol gt 48 Ela Isol lt 48 D2 Audit nerg tique D1 Patrimoine F Imp act b timent et usage 40 45 w o ns 80 a Te a A A A 9 A See Seer u m EEE A 0 20 40 60 80 100 Le mode d emploi du guide Les fiches qui composent le guide sont pr sent es au format paysage sur 2 pages en regard autour de la reliure horizontale Les fiches de la premiere famille d objectifs sont identifiables par la couleur verte de leurs bandeaux la seconde famille par la couleur bleu la troisi me famille par une d clinaison des couleurs rouge orange et jaune Chaque fiche est num rot e ainsi ex A 2 la lettre renvoie la famille d objectifs le chiffre renvoie au th me trait et valu Toutes les fiches commencent par l nonc de la ou des pr conisation s qui permettra de trait le th me Vient ensuite le Pourquoi de cette pr conisation o l on trouvera ici les justifications de laction entreprendre Puis le Comment
55. ard des pr occupations d taill es dans la partie logement neuf stationnement biodiversit locale et entretien des espaces ext rieurs limitation des surfaces imperm ables e Favoriser une d marche de r sidentialisation qui consiste notamment transformer en pied d immeuble des espaces collectifs en jardins privatifs pour les logements attenants e Etudier l opportunit d introduire de l habitat interm diaire plus en accord avec la demande sociale actuelle qui permet plus de densit e V g taliser les toitures cinqui me fa ade expos e la vue lorsqu elles sont plates ou de faible pente pour offrir une qualit visuelle au voisinage participer la r gulation des eaux pluviales et prot ger les tages inf rieurs des surchauffes estivales e V g taliser les pieds de fa ades et les fa ades afin de favoriser les atmosph res fra ches en t e Limiter les consommations d eau en mettant en oeuvre des moyens techniques adapt s e Favoriser les syst mes de r cup ration des eaux pluviales pour couvrir les besoins ext rieurs e Cibler pour les logements un objectif de consommation de chauffage et d eau chaude de 80 kWh d nergie primaire par m2 habitable par an e Ma triser les consommations de chauffage par une r gulation adapt e et une bonne gestion des intermittences e Ma triser les consommations d ECS par la mise en place de moyens techniques adapt s e Prendre en consid ration les am li
56. auffage de 50 kWhep m habitable an 2 2 e Si le b timent ne pr sente pas de caract re particulier l isolation par l ext rieur a t pr f r e l isolation par l int rieur moins efficace qui coupe de l inertie des 2 structures et augmente le risque de surchauffe en t Un Uparoi verticale 0 25 W m K a t recherch HL Trois m thodes dites de mur manteau permettent d isoler un b timent existant par l ext rieur lenduit mince sur isolant coll la v ture avec isolant incorpor et le bi bardage sur isolant e Lisolation des planchers bas a t trait e Un U 0 25 W m K a t recherche LL e Lisolation des toitures par un traitement des combles perdus qui pr serve les logements de l tage sup rieur de l inertie de la dalle a t pr f r e a une isolation des z plafonds par l int rieur un Uparoi haute 0 15 W m K a t recherch ul Ha e Lisolation des toitures terrasse a t refaite par l ext rieur notamment lorsque l tanch it doit tre revue Un Uparoi haute 0 15 W m K a t recherche ae ki SO O a O O O ESQ APS Stocker la chaleur ou la fraicheur e Si la renovation est complete et si la structure permet les surcharges les mat riaux adopt s pour les murs et les sols sont des mat riaux lourds capables de stocker la chaleur brique carrelage dalle de b ton E e Les isolants mis en oeuvre pr sentent par leur masse importante une inertie interessante
57. autres communes ont directe ment banni le polychlorure de vinyle PVC Type de polluant Effets possibles composes organiques volatils hydrocarbu res alcools formal d hyde irritations peau muqueuse appareil respiratoire r actions allergiques atteintes du sys teme nerveux ou reproducteur cancers irritation des bronches asthme fibres min rales artificielles mal connus faible dose irrita tions cancers allergies irritations empoison nements Les sources de pollution interieure sont multiples et d ori gine diverses activites humaines equipements installes mat riaux utilis s e Alliance de groupes environnementaux et d organisations diverses Reach pour un ave nir sain www chemicalreaction org e Association pour la Recherche Th rapeutique Anti Canc reuse travaux scientifiques sur les causes environnementales de la maladie www artac info e Le guide de l habitat sain Dr Suzanne et Pierre Deoux Medieco Editions 2004 e Agence fran aise de s curit sanitaire de l environnement et du travail www afsset fr e Le site de l Observatoire de la qualit de Pair int rieur propose des fiches de polluants avec une hi rarchisation de ceux ci www air interieur org e Oikos Les cl s de la maison cologique Edition Terre Vivante Mens France 2002 157 p F11 e Site grand public mis en ligne par l Afsset dans le cadre du Plan National Sa
58. contre les surchauffes estivales laine de bois chenevotte laine de roche haute densit di E gt e L inertie des dalles hautes a t pr serv e et les faux plafond continus ont pu tre vit s idem pour les faux planchers qui sont plus rares a E gt 2 TYPES D ISOLATIONS DES COMBLES PERDUS e En trente ans la consommation nerg tique des batiments de logement a ete divisee par 2 1A7 9 E saviez vous Total i Conception r alisation Tekhn Architectes e L ensemble du parc de logement consomme aujourd hui en moyenne 150 350 kWh m an en nergie primaire pour le chauffage et ECS Le sc nario n gaWatt 2006 pour la r habilitation propose de revenir une fourchette de 50 80 kWh m an m 4 Le x s P 2 gt 4 a Le N 4 lt AS tr Isolant d roul en deux couches crois es Isolant souffl e Selon ce sc nario un rythme de 450 000 logements r nov s par an une seule intervention pour atteindre 50 kWhep m habitable an pour le chauffage permet de respecter l ch ance du Facteur 4 en 2050 Photo Tekhn Architectes Architectes Tekhn Architectes po aller plus loin Pose d un isolant coll Rev tement rapport en bardage bois e Documents t l chargeables sur le Grenelle de l Environnement COMOP n 2 www legrenelle environnement fr Mn e Am lioration nerg tique des b timents les u a bonnes solutions Ademe FFB 2004 OMONse
59. d Pinclinaison optimale tant environ 30 Cepen dant une orientation de Sud Est Sud Ouest et une inclinaison entre 10 et 50 ne r duit que de quelques pourcents la production d lectricit par rapport une situation optimale e l lectricit d origine photovolta que ne doit pas tre utilis e pour le chauffage des logements La surface n cessaire de capteur serait beaucoup trop grande Pour la production de chaleur les syst mes solaires thermiques sont bien plus efficaces e Le temps de retour nerg tique d un capteur photo voltaique le temps qu il met pour restituer l nergie consomm e pour sa production est d un an et demi 3 ans Photovoltaigue sur r hablilitation L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE 2 LL i a Ee i gt ZT VU Pr ra TL f y La 2 d A ig 4 n T Ei i J af 4 7 bl NJ y ASS ve fai UTN ill ie Installation double fonction en toiture et brise soleil a Fribourg Source ASDER Application en verriere Tenesol a la Tour de Salvagny Installations en fa ade inclin s ou horizontaux sur logements collectifs Il existe des membranes souples qui poss dent une double fonction ces membranes d tanch it integrent des capteurs photovolta ques en Silicium amorphe Ces membranes sont adaptees au grandes surfaces planes Source ASDER Tuiles photovoltaiques integrees sur toiture ardoises ei Vente 7 gt i 7 Ci con
60. de distribution ne doivent permettre aucune confusion avec le r seau d eau potable Lavage Soins vaisselle corporels 9 Bain Douche 4d Lavage linge de pluie Eau du r seau e La maison des n ga watts Thierry Salomon St phane Bedel ditions Terre Vivante 2005 Cuisson boisson Des dispositifs de mesure permettent d indiquer de mani re simple le d bit de fuite d un b timent Autres 8 Les mousseurs traditionnels doivent tre remplaces par des mousseurs conomiques auto r gul s ou auto limit s e Inventaire de mat riels hydro conomes disponible sur e Ensemble de techniques pour la gestion durable de l eau dans l habitation e L eau la maison mode d emploi cologi a Lavage Ceux ci n affichent que la consommation d eau E voiture qui rel ve de fuites et non le d bit instantan en 4 Arrosage eau d un usage normal que Sandrine Cabrit Leclerc ditions Terre Vivante e M mento sur l eau en Bourgogne disponible sur e Ma trise des consommations d eau Guide pratique ADEME LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES MAITRISE DES CONSOMMATIONS D ENERGIE ENERGIE EAU FA USAGES SUR L ENVIRONNEMENT POUR LE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D ECS A r 12 z reconisations onran e L nergie la moins ch re est celle qui n est pas consomm e videmment il ne s agit pas de r duire le confort mais d am liorer le service rendu en ajustant la p
61. e chaleur interne lectrom nager chauffe eau mal isol ou une ventilation inadapt e peuvent devenir source d inconfort des la mi saison par effet thermos alors qu ils n occasionnaient pas de surchauffe lorsque le b timent tait plus d perditif C omment Cie donnant lieu a l attribution de points CG Deux m thodes permettent d isoler une toiture terrasse par l ext rieur l isolation peut tre plac e sous l tanch it cas le plus courant ou sur l tanch it On parle alors de toiture invers e Cette derni re m thode est int ressante lorsque l tanch it du b timent n est pas reprendre e Si l isolation de toiture terrasse doit tre refaite l int r t d une v g talisation qui participe l inertie du b timent et prot ge le complexe d tanch it d un vieillissement acc l r a t tudi e cf F2 V g talisation u gt o ESQ D finir un programme d intervention adapte e Les interventions ont t choisies en prenant en consid ration l audit nerg tique tabli cf Fiche D2 Audit de performance nerg tique sans oublier pour autant les pr occupations de confort d ete ou d clairage naturel lt a k gt ESQ APS Isoler thermiquement l enveloppe afin de r duire les d perditions 1 L isolation des parois verticales des planchers bas des combles des rampants et des menuiseries ext rieures a t revue de mani re cibler une consommation de a ch
62. e suppl mentaire apport e cet difice Ensemble b tissons une Bourgogne durable Francois Patriat Bourgogne President du Conseil regional SUS Conseil r gional L ADEME a inscrit la qualit environnementale du b ti au c ur de son action en Bourgogne Avec 45 des consommations nerg tiques finales de la r gion 21 des missions de gaz effet de serre 600 000 tonnes de d chets produits mais aussi 7 de la valeur ajout e r gionale et premier poste de d penses des m nages le b timent constitue un enjeu majeur de d veloppement durable Ce guide tabli avec les bailleurs sociaux bourguignons t moigne de l implication d acteurs du logement conscients que leurs d cisions engagent l avenir l avenir des individus d une part en terme de s curit de sant et de confort et celui de notre environnement qu il est indispensable de pr server et de mettre en valeur Cet outil a t con u de fa on permettre chaque maitre d ouvrage d int grer la qualit environnementale tout au long de son projet et de l valuer grace a un syst me de notation R solument positif et progressif il constitue un v ritable outil d aide a la creation et la d cision et servira j en suis convaincu bien au del des projets des logeurs sociaux A lheure ou la raret de l nergie et des mati res premi res s inscrit dans la dur e ou le r chauffement climatique menace notre plan te il est temps de g
63. e Pour les b timents construits avant 1948 faire une analyse compl te du b timent r habiliter en faisant appel si besoin aux comp tences d architectes du patrimoine Audit de e Faire r aliser un audit nerg tique d taill par un bureau d tudes comp tent performance e Faire r aliser une tude de faisabilit des approvisionnements en nergie nerg tique E Rehabiliter pour approcher les performances reglementaires des logements neufs et ameliorer leur confort Domaine Thematiques Preconisations allen associes B timent Isolation thermique et inertie b timents ant rieurs 1948 Isolation thermique et inertie b timents post rieurs 1948 Renouvellement d air Acoustique Fen tres et baies e Prendre en consid ration la hi rarchisation des travaux tablie par le DPE ou l audit nerg tique d taill en consid rant les pr occupations de confort d t et d clairage naturel e Renforcer les niveaux d isolation selon une strat gie adapt e aux b timents anciens en pr servant autant que possible l inertie des structures n cessaire la r gulation des ambiances thermiques int rieures e Prendre en consid ration la hi rarchisation des travaux tablie par le diagnostic nerg tique ou l audit nerg tique d taill e Renforcer les niveaux d isolation et pr server l inertie des structures en privil giant l isolation par l ext rieur lorsque
64. e Une VMC hygror glable a t install e a gt e Des fen tres oscillo battantes ou avec ventail soufflet ont t install es permettant ainsi une ventilation en toute s curit er E O a Bonus APS e Les logements sont quip s d une ventilation double flux avec un rendement minimal de l changeur de 80 cette option ne sera comptabilisable que si un test d tanch it des logements a t effectu montrant un d bit de fuite inf rieur 0 8 m h m de fa ade sous 4 Pa EL Il existe d sormais des changeurs individuels de VMC double flux un par logement ou plus r cemment un par pi ce bien adapt s en r habilitation Ces syst mes pr sentent l avantage d tre faciles mettre en oeuvre et pr sentent une bonne efficacit On veillera cependant a ce qu ils ne g n rent pas un mitage des fa ades particuli rement expos es la vue saviez vous Total I s Le syst me de chemin es e Dans le cas d une r novation lourde tout travail Conception r alisation Tekhn Architectes A oeral e a amp associ un changeur de chaleur eo qui permet de r cup rer environ 50 ke SEE q Q des calories provenant de l air d viter la d gradation du b ti par des probl mes p i a m vicie vacu fonctionne avec la seule d humidit ou autre 3 a nergie du vent et assure le renouvel e lement de lair int rieur e Dans un b timent non ou peu isol les pert
65. e et son coffre sont int gr s la ma onnerie c t int rieur du mur Volets en bois lames jointives de mani re tre plus performant en thermique d hiver mais disposant d un systeme d accroche permettant de le maintenir nu 1 0 semi ouvert en t Volets v nitiens jalousies stores a la lyonnaise ou autres types de protection mobile en veillant a ce que la qualit thermique de la baie soit renforc e si celle ci n est pas ou peu prot g e l hiver Conception r alisation Tekhn Architectes Pour les baies au Sud de Sud Est a Sud Ouest Li e Divers syst mes de protection n occultant pas la vue qui laissent passer le soleil en hiver alors qu il est bas dans le ciel mais pas en t quand il est haut ont t choisis une casquette un balcon dont les ponts thermiques seront trait s un d bord de toiture un brise soleil horizontal une pergola au dessus de l ouverture APS Bonus e La configuration du ou des b timents a permis la cr ation d un atrium sur le principe de la serre froide e Si des grandes baies sont orient es Nord elles ont t quip es de triple vitrage peu missif a lame d argon Conception r alisation Tekhn Architectes e saviez vous DOUBLE VITRAGE A ISOLATION RENFORCEE peu amp missif Face 1 Face 2 Face 3 Face 4 Uw window correspond au coefficient de transmis sion thermique de la fen tre et Ug glass a celui du y LS a 1 vitrage se
66. e extensive qui modifie peu la charge subie par la toiture est mise en uvre La toiture v g talis e extensive associe des plantes qui se r g nerent et s entretiennent d elles m mes mousses sedums sans nutriment ajout L paisseur du subs trat min ralo organique est faible 5 15 cm et la surcharge est comprise entre 70 et 170 kg m2 le chiffre exclut le poids de l eau L entretien est restreint il se limite a un desherbage annuel et ne n cessite pas d arrosage sauf en cas de s cheresse prolong e Ce syst me de v g talisation est adapt aux grandes superficies et est compatible avec tout type de toiture terrasses plates ou en pente Ce genre de v g talisation est rapidement install moins on reuse que la terrasse jardin classique e Une toiture v g talis e des fa ades est pr vue La vegetalisation des fa ades est bas e sur utilisation de plantes grimpantes ou guid es le long de structures treillage en bois treillage m tallique c ble et fil de fer Les plantes grimpantes auxquelles il est reproch d entretenir une atmosph re humide sur les murs emp chent en r alit les eaux de pluie d atteindre les fa ades La v g talisation d une mani re g n rale permet de e Reguler l coulement des eaux pluviales et soulager les r seaux en d velop pant un effet retard sur l coulement des eaux d orage et une diminution des volumes d eau par vapotranspiration e Favoriser l vap
67. e permet les surcharges les mat riaux adopt s pour les murs et les sols sont des mat riaux lourds capables de stocker la chaleur brique carrelage dalle de beton e Les isolants mis en oeuvre pr sentent par leur masse importante une inertie interessante contre les surchauffes estivales laine de bois chenevotte laine de roche haute densit saviez vous e Selon l arr t du 3 mai 2007 les caract ristiques thermiques et les performances nerg tiques des quipements installations ouvrages ou syst mes mis en uvre lors de la r habilitation d un b timent doivent respecter des performances nerg tiqueS minimum e Le principe g n ral est de toujours disposer les ma t riaux les plus tanches la vapeur c t chaud de l isolant Pour respecter l quilibre hygrom trique d un complexe mur isolant il suffit que la paroi ext rieure soit 5 fois plus perm able la vapeur d eau que la paroi int rieure Les mat riaux hygroscopi ques peuvent absorber une grande quantit d eau rev tements la chaux ou en terre crue mais cette quantit s absorb e reste faible au regard de la va peur produite dans les logements ce principe doit donc tre respect pour permettre le mouvement de vapeur de l int rieur vers l ext rieur e Les pare vapeurs ont le d faut de concentrer lhu midit au niveau des raccords techniques avec les huisseries et les diff rentes parois les gaines d
68. els Le CSTB vient de cr er son propre outil ELODIE Evaluation a L echelle de l Ouvrage Des Impacts Environ nementaux qui base ses calculs pour cha que solution choisie sur les FDES e La mise en place d un marquage CE des produits de construction se basant sur les FDES et sur une d marche volontaire devrait permettre l tiquetage de 50 des produits de construction d ici 2010 Cet tiquetage fait partie des priorit s du Plan Sant Environne ment 2004 2008 du gouvernement fran ais e Pour le traitement du bois une mol cule produite a base de colza ou de tournesol DES MATERIAUX ASAM ou anhydride succinique d alk noate de m thyle se comporte comme un leurre faisant croire l insecte que le bois n est plus de la cellulose mais qu il a un go t d acier Quant au sel de bore ou borax c est un pro duit naturel extrait des mines d Egypte et de Californie Il a des propri t s insecticides et fongicides qui en font un bon moyen de pro tection des bois neufs Mais il est hydroso luble et ne se d grade pas dans le sol Des doutes ont t emis quant a ses effets sur la reproduction des mammif res et il fait l objet d une valuation Quantit de CO2 stock e dans une maison de O 50 E 45 0 40 oO co 35 5 Ly E n 30 E S 5 Lu E 20 TE 15 O 5 10 O 5 0 Maison conventionnelle e Comit National pour le D veloppement du Bois CNDB www cndb org
69. ergie guide de recommandation ganismes de collecte sp cialis s Favoriser l achat clairage ext rieur de 296 LED Ce et d aide la conception Cabinet Olivier Sidler mars 2000 de lampe faible teneur en mercure minimise les pendant elles sont p nalis es par un e Qualit environnementale des b timents manuel l usage de la risques pour l environnement clairement focalis un mauvais ne ma trise d ouvrage et des acteurs du b timent ADEME 2002 dice de rendu des couleurs et un prix e Fournisseur d lectricit verte Enercoop Soci t Coop rative d In encore lev t r t Collectif SCIC www enercoop fr 8 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT F6 MAITRISE DES CONSOMMATIONS D ELECTRICITE SPECIFIQUE O DE Bourgogne Conception r alisation Tekhn Architectes LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT ENERGIE EAU Bois ENERGIE A r 1 r conisations D ourquol Aspects environnementaux e Le bois est une ressource locale naturelle et renouvelable issue du rayonnement solaire qui engendre le cycle v g tal Sa consommation raisonn e n entame pas e Prendre en consid ration les orientations le patrimoine des g n rations futures et permet d conomiser les ressources fossiles charbon p trole gaz naturel uranium dont propos es par le diagnostic nerg tique et les stocks sont limit s Le bois nergie s inscrit donc dans une fili re bois coh rente et du
70. erses solutions d approvisionnement en nergie pour le chauffage la ventilation le refroidissement la production d eau chaude sanitaire et l clairage des locaux Cette tude examine notamment Les points sont compt s si au moins 2 des 4 propositions sont valid es le recours a l nergie solaire et aux autres nergies renouvelables le raccordement un r seau de chauffage ou de refroidissement collectif ou urbain s il existe proximit SE 20 l utilisation de pompes a chaleur et de chaudi res condensation le recours a la production combin e de chaleur et d electricite saviez vous e Le DPE doit tre obligatoirement annex a la pro messe de vente depuis le 1er juillet 2006 par le vendeur Depuis juillet 2007 il doit egalement tre annexe a tout nouveau contrat de location par le bailleur L objectif est de qualifier sur une chelle de A conome en nergie a G nergivore la performance Energetique du bien en termes de con sommation annuelle d energie primaire en kWh par m habitable et en euros d mission de gaz effet de serre en kg CO m an e Le d cret n 2007 363 du 19 mars 2007 en appli cation de la loi d orientation de politique nerg tique du 13 juillet 2005 fixe le cadre g n ral sur les tudes de faisabilite des approvisionnements en nergie les caracteristiques thermiques et sur la performance energetique des b timents existants L anne
71. es dispositions pour lesquelles le maitre d ouvrage exige une r ponse de son maitre d uvre et restera intransigeant quant a sa r alisation effective La synth se met en vidence pour l ensemble des themes les points de base maximum th oriques les points obtenus les bonus obtenus et le cumul points de base bonus La note totale de l valuation s affiche en bas de page Un graphique de type radar permet de donner une image globale de cette cotation en montrant le niveau de r ponse apport par theme et par objectif il illustre le profil cologique du b timent En fonction du score total obtenu on trouvera dans cette synth se la visualisation de la performance atteinte par le b timent sur une chelle qui va de 200 1000 points R solument con u dans une perspective d ouverture qui favorise l innovation le guide a pr vu la possibilit de valoriser toutes les initiatives qu il n a pas nonc es Pour cela il suffit de d crire dans la fiche en fin de volume Autres Initiatives la mesure mise en uvre et d indiquer celle la plus approchante propos e par l outil la valorisation sera celle de la mesure approchante Enfin un addendum d aide l valuation a t r alis pour cadrer le travail de l valuateur en pr cisant lorsque cela est n cessaire ce qui est attendu au travers des actions entreprendre nonc es dans la rubrique Comment des fiches La conception r alisation de ce guide a t
72. es par infiltrations d air incontr l es peuvent atteindre 20 O du total des d perditions Afin d y rem dier il s agit lt d assurer l tanch it l air des joints des portes et E 4 2 DA A D des fen tres de pr voir un clapet pour les hottes un mar TA E yfl sas d entr e etc JEW Al Mae LA D Le en nn ue HUS PRE eae a a La ventilation naturelle hygroreglable adapte la circu N P ee EIRE Dy OOS en lation naturelle de l air aux besoins i particules ozone des materiaux composant a le b timent compos s organiques volatils COV as r a o 7 m formaldehyde plomb des equipements vapeur Air neuf _ y Ag d eau monoxyde de carbone poussi res particules Cuisine ozones micro organismes de l occupation va Source peur d eau CO fum e de cigarette odeurs du E a i sous sol radon Ainsi lair est toujours plus pollu a E bol a l int rieur des logements qu l ext rieur D ue pl O f A L zi i Le dioxyde de carbone CO doit tre maintenu 2 Exemple de dispositif permettant de Organes de ventilation double des niveaux acceptables par un d bit de renouvel tester l tanch it lair du logement flux plac s sous comble lement d air adapt l homme au repos consomme environ 0 5m d air par heure pour respirer et selon Syst me de ventilation double flux le type d activit ce taux peut monter a 5m h Un tel d b
73. es provenant de l ext rieur L ambiance plus calme dans les logements peut alors r v ler des nuisances int rieures bruit d impact entre tages bruits des parties communes des ascenseurs qui passaient inapergues auparavant e L volution d un quartier du trafic d une avenue ou la r alisation d une infrastructure bruyante peut engendrer une l vation des ambiances sonores autour d un b timent n cessitant une correction acoustique qui n taient pas n cessaire lors de la construction eee E du b timent C hoix donnant lieu a l attribution de points otation DIAG e Un acousticien a t mandat pour identifier les sources de bruit leur cheminement et d terminer les travaux r aliser par ordre de priorit ou il ny a pas de nuisances accoustiques u Eu Chantier Limitation des nuisances acoustiques exterieures les points sont comptes si les 4 propositions sont valid es e Les fen tres ont t calfeutr es par des joints d tanch it permettant de gagner jusqu 5 dB A e Les fen tres existantes ont t remplac es de mani re atteindre 40dB A soit par une double fen tre avec deux chassis s par s par un vide d air de 150 mm mini mum soit par une fen tre tr s isolante quip e d un vitrage haute performance de type feuillet acoustique al e Les coffres des volets roulants ont t isol s acoustiquement avec des absorbants acoustiques l int rieur ou l ext rieur du coffre e Les
74. et le rendre plus attrayant la fois pour Stationnement biodiversit locale et entretien les locataires du rez de chauss e qui b n ficient directement de ces jardins mais aussi pour les autres locataires de l immeuble des PAPERS ext rieurs limitation des surfa e Une op ration de renouvellement urbain lorsqu elle est r alis e sur un secteur qui pr sentait une densit moyenne de logement ces impermeables an a l hectare malgr la pr sence de grands ensembles peut tre l occasion d implanter une typologie d habitat interm diaire Cette Favoriser une d marche de r sidentialisation typologie est caract ris e par une offre d habitat individuel group qui pr sente un compromis entre la maison individuelle et l habitat qui consiste notamment transformer en pied collectif d immeuble des espaces collectifs en jardins acc s privatif des logements privatifs pour les logements attenants un jardin ou une grande terrasse pour chaque logement e Etudier l opportunit d introduire de l habitat absence de partie commune interm diaire plus en accord avec la demande compacit sociale actuelle qui permet plus de densite Cette offre d habitat interm diaire est une bonne r ponse pour limiter l talement urbain et offrir dans les quartiers une certaine qualit de vie Choix donnant lieu l attribution de points eisen ESQ D placements Une juste place pour la voiture e La capacit n a pas t augme
75. icative des besoins d lectricit du b timent Performance e Recueillir une information environnementale large et fi able pour prescrire en conscience les mat riaux environnementale Privil gier des proc d s constructifs et mat riaux qui limitent les impacts sur l environnement des materiaux Performance e Recueillir une information sanitaire large et fiable pour prescrire en conscience les produits et mat riaux itai e Opter pour des produits et mat riaux qui ne nuisent pas la qualit de l air int rieur sanitaire des Pe p q materiaux NEIGEN Chantier propre e Mettre en place des m canismes de gestion qui permettent d assurer un chantier propre de r habilitation D chets m nagers Adapter autant que possible l organisation des logements et du b timent afin de permettre le tri des d chets m nagers UY PR Q o O C13 Comportement e Mettre en oeuvre les moyens de communication adapt s pour faire voluer le comportement de l usager vers des usagers et une meilleure prise en compte de la pression qu il exerce sur l environnement information D1 Diagnostic du patrimoine D2 Diagnostic de performance nerg tique ep LLI ep a lt Zz lt D ETABLIR UN DIAGNOSTIC DU PATRIMOINE A REHABILITER ETABLIR UN DIAGNOSTIC DU Dee ANALYSES D41 _Diacnosric DU PATRIMOINE y a 17 reconisations pP aus J e l tablissement d un dossier regroupant l ensemble des tats
76. ilateurs a vitesse variable asservis aux besoins et avec des r seaux faible perte de charge Favoriser une limitation des consommations d electricite dans les logements les points sont accord s si au moins 3 des 4 propositions sont valid es DCE e Les logements ont t quip s de lampes fluocompactes r pondant a l colabel europ en except pour les pi ces occup es de mani re temporaire toilettes d bar ras DCE e Dans les logements l entr e du s jour et des chambres un interrupteur commandant l ensemble des appareils audio visuels et informatiques a t plac c t de a l interrupteur destin a l clairage de mani re a couper les veilles en quittant la pi ce DCE e La cuisine a t con ue de mani re viter la juxtaposition chaud froid du poste de cuisson et du r frig rateur arriv e des fluides organisation de la cuisine etc DCE e Les compteurs d lectricit avec tele relevage sont a vue dans les logements pour inciter les locataires suivre l volution de leur consommation Conception r alisation Tekhn amp Architectes BONUS DCE e Des LED sont pr vues pour l clairage ext rieur a gt Exploitation e Un contrat de fourniture d lectricit verte a t souscrit pour les consommations des communs aupr s d un fournisseur garantissant que cette lectricit est issue d une production d nergie renouvelable hors grande hydraulique et s engage a met
77. inlande Belgique France Ja 145 6 Autriche Espagne p Portugal Royaume Uni 2 Su de Portugal Gr ce irlande Source EEA Traitement _ dd ell Finlande 87 Gr ce Tri pour recyclage air 33 biologique C omment cer Choix donnant lieu l attribution de points Actions de sensibilisation Livraison e Une sensibilisation efficace sur le tri des d chets a t mise en uvre aupr s des locataires par le bailleur social le syndic les gardiens ou le personnel de nettoyage gt otation Pr voir des locaux adapt s au tri des d chets e Un espace d di au tri s lectif est pr vu dans la cuisine un espace suffisant sous l vier par exemple ou dans le cellier de l ordre de 1 m i di 5 e Le nombre de bacs des aires de tri a t d termin en fonction du nombre de logements du type d habitat des caract ristiques du b timent et de la fr quence de ramassage q 9 Les points compt s e L aire de stockage ou le local ont t dimensionn s en fonction du nombre de bacs utiles pr voyant une zone libre pour la manipulation des bacs EEE RE Gl Ho e Le local d chets non recyclable est dissoci du local recyclable ou leurs acc s sont diff renci s afin de limiter les erreurs de tri prop sitions sont valid es Phase op rationnelle e Le b timent ne dispose pas de canalisations vide ordure qui constituent une source de nuisances multiples acoustique olfactive risque sanitaire
78. int gr e au b ti qui servira produire de l lectricit aura pour quivalence de cocher dans la fiche C8 Photovoltaique raccord au r seau l installation d une centrale photovolta que qui permet de produire de l lectricit Conception r alisation Tekhn Architectes Mesure propos e par le maitre d ouvrage Description Mesure approchante propos e dans le guide Nombre Indiquer la reference de la fiche et l action de points correspondants Total pour ce theme Nombre de points correspondant au nombre de points de la mesure la plus approchante pr vue dans le guide D aller plus loin e Liste des Espaces Info Energie au 1er avril 2008 cette liste est actualis e l adresse suivante http www ademe fr particuliers PIE InfoEnergie html HABITAT amp DEVELOPPEMENT 58 Cote d Or Dijon BOURGOGNE ENERGIES RENOUVELABLES 102 Rue d Auxonne 21000 Dijon T l 03 80 59 12 80 M l infoenergie ber asso fr Sa ne et Loire Montceau les Mines CAUE 71 6 Quai Jules Chagot BP 225 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O DE Bourgogne 71308 Montceau les Mines C dex T l 03 85 69 05 26 M l infoenergie caue71 wanadoo fr Ni vre Nevers 5 Boulevard Saint Exup ry 58000 Nevers T l 03 86 23 00 37 M l eie hd58 wanadoo fr Ni vre Saint Brisson SYNDICAT MIXTE DU PARC NATUREL REGIONAL DU MORVAN Maison du Parc 58230 Saint Brisson T l 03 86 78 79
79. it difficile mettre en uvre et plus co teuse qu une seule Il est par cons quent pr f rable de se fixer des objectifs ambitieux pour un plus petit nombre de logement plut t que l inverse C omment Choix donnant lieu a l attribution de points Ce ESQ D finir un programme d intervention adapt e Les interventions ont t choisies en prenant en consid ration le diagnostic ou l audit nerg tique tabli cf Fiche D2 Diagnostics de Performance Energ tique sans oublier pour autant les pr occupations de confort d t ou d clairage naturel a E e Les recommandations issues de l analyse du b ti r alis e le cas ch ant avec l aide d un architecte du patrimoine ont t prises en compte Li ESQ APS Isoler thermiquement l enveloppe afin de r duire les d perditions Une attention particuliere a t apport e en priorit aux surfaces g n rant les d perditions les plus grandes e Lisolation des rampants par dessus ou par dessous l isolation des combles perdus Un Uparoi haute 0 15 W m K a t recherche li Note Si les travaux devaient tre r alis s sur les rampants s assurer au pr alable de la bonne sant de la charpente qui ne sera plus accessible par la suite et pour laquelle il sera difficile de juger de l tat de conservation Attention un isolant mince multicouches ne constitue qu une correction thermique et ne peut tre consid r que comme un compl ment d isolation Les recommand
80. it donc important que de cet outil d valuation reste ouvert incite l initiative et puisse proposer dans l valuation finale du nombre de points des mesures quivalentes ou encore plus efficaces a celles propos es dans l outil A donnant lieu l attribution de points e L outil d valuation permet de proposer des mesures sp cifiques on parlera de mesures propos es quivalentes en mati re d objectif et de pond ration a celles d crites dans le guide que l on appellera mesures approchantes Les mesures propos es par le ma tre d ouvrage qui n ont donc pas t pr vues par l outil d valuation sont d velopper dans la premi re colonne de la fiche ci contre Lorsqu une mesure est propos e par le ma tre d ouvrage celui ci doit indiquer dans la deuxi me colonne de la fiche la mesure approchante quivalente par exem ple le captage d eau dans un canal en remplacement d une r cup ration d eau pluviale La comptabilisation du nombre de points correspondant ne se fait pas sur la fiche Autres initiatives du tableur mais dans l onglet de la mesure approchante correspondante e Exemples Dans l exemple du captage d eau dans un canal on cochera donc la mesure approchante de la fiche C1 Ma trise des consommations d eau et r cup ration d eau pluviale correspondant au Syst me complet de r cup ration d EP avec cuve enterr e 15 pts bonus Autre exemple une olienne
81. it ne suffit pourtant pas assurer la qualit de l air modul e en fonction de occupation www air interieur org ADEME 03 01 06 e Suzanne et Pierre D oux Le guide de I habi autres polluants e Ventilation des b timents existants Pr co tat sain Medieco ditions 2 me dition 2004 A nisations pour am liorer les performances des Agence R gionale de l Environnement et des La premiere source de pollution dans les logements Am lioration nerg tique des b timents les installations propos par l association AIR H Nouvelles Energies ARENE lle de France est la fum e de tabac qui se compose de 3800 subs Sonnes solutions Ademe FFB 2004 mars 2007 sur www cetiat fr www areneidf org tances absorb es par les mat riaux puis restitu es j ER e Observatoire de la Qualit de l Air Interieur dans l air ambiant au fil du temps Fiche Ventilation performante double flux ou puisqu il ne prend pas en compte les missions des po aller plus loin LUNION SOCIALE POUR L HABITAT E2 RENOUVELLEMENT D AIR DE REHABILITER POUR APPROCHER LES PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES BATIMENT ACOUSTIQUE LOGEMENTS NEUFS ET AM LIORER LEUR CONFORT r conisations ourquoi e Le bruit est consid r par la population fran aise comme une atteinte la qua lit de vie Il est la premi re nuisance domicile d clar e par 54 des person nes r sidant dans des villes de plus de 50 000 habitants ADEME
82. jusqu pour certains compos s presenter des risques cancerogenes et mu tagenes Les COV sont largement utilis s dans la fabrication de nombreux produits mat riaux d am nagement et de d coration peinture vernis colles nettoyants bois ag glom r s moquette tissus neufs Ils sont galement mis par le tabagisme et par les activit s d entretien et de bricolage Le for mald hyde pr sent dans de tr s nombreux produits d usage courant appartient la fa mille des COV Depuis 2004 il est consid r par l OMS comme canc rog ne certain du nasopharynx et des fosses nasales P trole Industries P tes et pie 1 3 foresti res Autres 1 8 0 a uf 2 7 My Autres E ki Ma E a een BR industries f 4 8 Wa nay Transport 36 8 Chauffage au bois 14 8 Yo COV e Pour diminuer les missions de COV des bois de nouveaux procedes de collage ont ete mis au point mais les applications indus trielles ont du mal a se d velopper Ce sont surtout des tannins extraits du mimosa ou de l pic a qui des propri t s d auto conden sation qui permettent la formation un r seau durci entres les particules du bois e Les peintures alkydes en emulsions utili sees au Danemark depuis plus de 10 ans et present commercialisees en France contien nent seulement 0 01 a 0 03 de solvant Les peintures naturelles peuvent presenter globa lement moins de risques pour l environnement et
83. l usage des eaux pluviales r cup r es g n re le rejet d eaux us es dans le r seau public de collecte C est le cas par exemple lorsque les toilettes sont aliment es par le r servoir de stockage des eaux r cup r es Le service d assainissement peut alors r clamer la mise en place d un compteur au frais de l usager et la transmission des relev s Si l usager refuse le service d assainissement est habilit a ap pliquer une tarification forfaitaire bas e sur des crite res permettant d valuer la consommation L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE b L acc l rateur 3 allettes permet d augmenter la vitesse d entr e de l eau Entr e de l air par d pression cr ant de ce fait l effet VENTURI Source www lavitrinedeleau fr Douchette effet Venturi Le m lange air eau permet d obte Source GRAF nir pour une sensation identique ma Fa se A A de confort une conomie d eau Les cuves en poly thylene peuvent tre plac es en ext rieur ou enterr es Celles en b ton sont pouvant aller jusqu a 40 enterr es et pr sentent l avantage de neutraliser l acidit de l eau de pluie et de la charger en sels min raux Il est possible d alimenter les toilettes avec cette eau N anmoins en logement collectif le lin aire de r seau a tirer est g n ralement trop important pour tre acceptable conomiquement D autre part un accord de la DASS est toujours n cessaire A minima les circuits
84. leur F6 Ma trise des consommations d lectricit sp cifique F7 Bois energie F8 Solaire thermique pour l ECS F9 Photovoltaique raccord au r seau Performance environnementale des mat riaux Qualit sanitaire des produits et mat riaux Chantier propre D chets m nagers Comportement des usagers et information or LW ag LL E x LL lt L LL LW a LL Fu LL x lt ad ii lt 09 m LL als amp LL O 09 O LLI lt 09 F LIMITER LES IMPACTS DES BATIMENTS ET DES USAGES SUR L ENVIRONNEMENT LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F USAGES SUR L ENVIRONNEMENT EXTERIEUR F1 AMENAGEMENT DE LA PARCELLE gt 12 reconisations pP aus e Le b timent r habiliter a t construit a une poque o les exigences en mati re de d placement de biodiversit et de gestion des eaux pluviales taient diff rentes Les travaux de r habilitation peuvent tre l occasion de r examiner e Analyser les am nagements actuels de ces questions de mani re favoriser l usage des modes de d placement doux r introduire une biodiversit locale dont l entretien la parcelle au regard des pr occupations est limit mettre en uvre les moyens n cessaires pour g rer autant que possible les EP la parcelle d taill es dans la partie logement neuf e Une d marche de r sidentialisation peut modifier en profondeur la perception d un b timent
85. met de limiter les temp ratures des surfaces les plus expos es notamment Ouest Par ailleurs la v g talisation par les plantes grimpantes caduques des parois ensoleill es permet de b n ficier en t d une occultation qui prot ge du rayonnement solaire et de profiter en hiver de ces apports La v g talisation des parois non ensoleill es par des plantes persistantes contribue les isoler et les abriter du vent ola Croix donnant lieu l attribution de points Conception r alisation Tekhn Architectes Total e En France alors que 150 000 m de toitures v g talis es ont t recens es en 2002 22 millions de m de toitures tanch es sont potentiellement trans formables en toitures vertes selon le CSTB source Actu Environnement Plantes grimpantes e Une glycine peut habiller une fa ade jusqu au 4eme etage Bien conduite elle procure un ombrage l emplacement desire La glycine de chine fleuri plusieurs fois par an au contraire de la glycine du japon ne fleuri qu une seule fois e Le parfum des plantes grimpantes chevrefeuilles glycines rosiers est ideal pour envo ter les chau des soir es d t sur les terrasses et balcons le parfum est encore plus perceptible juste apr s le coucher du soleil e Certains rosiers appel s Rambler peuvent grim per 12m tres Wedding day Kew Rambler Toby Tristam Bobbie James Laisser les rosiers escala der la fa ade
86. mmations d eau et r cup ration des eaux de pluie F4 Maitrise des consommations d nergie pour le chauffage et la production d ECS on O F5 Choix d nergie et des moyens de production et de distribution de chaleur F6 Maitrise des consommations d lectricit sp cifiques F7 Bois energie F8 5olaire thermique pour l ECS F9 Photovoltaique raccord au r seau ho F10 Performance environnementale des mat riaux F11 Qualit sanitaire des produits et mat riaux F12 Chantier propre F13 D chets m nagers M F14 Comportement des usagers et information Position sur l chelle d valuation Obtenus Obtenus Obtenus hm M O 5 ha O tv O on un mio in
87. nages modestes renforcer l acc s de tous un logement confortable e Minist re du logement et de la ville e Suzanne et Pierre D oux Le guide de l Habitat sain Medieco Editions 2004 e DRASS Direction Regionale des Affaires Sanitai res et Sociales Bourgogne 11 rue de l H pital 21035 DIJON CEDEX T l 03 80 44 30 30 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O DE Bourgogne f Source Fiabitat Concept Si i H q 3 i Detection du plomb dans les parois d un b timent avec un analyseur fluorescence X Er L Op ration de d samiantage n cessitant le port d quipements de protection Localisation des termites en France et des arr t s pr fectoraux Les arr t s pr fectoraux Source Dendrogrove Departements infest s par les termites Base par de communes infest es de 052 aucunes infestations Bann DM de soars ee as asx de 104155 de 2 410 Source Corthay bois Diagnostic de l tat des structures de la couverture ETABLIR UN DIAGNOSTIC DU AUDIT DE PERFORMANCE D PATRIMOINE A REHABILITER ANALYSES D2 ENERGETIQUE r conisations ou rquol e Le simple Diagnostic de Performance Energ tique DEE reglementaire permet de conna tre de mani re rapide et simplifi e les performances nerg tiques du b timent Cependant il n est souvent pas assez pr cis pour permettre au gestion naire de prendre une d cision en connaissance de cause
88. ndensation sur d autres surfaces du local et favoriser l apparition de champi Architecte Y Hoffert C pas de protections requises protections mobiles ext rieures avec un Ali A Zr At R facteur solaire lt 0 20 Am lioration nerg tique des b timents Le guide de l habitat sain Suzanne et Pierre gnons et moisissures ll convient donc d tudier les o m les bonnes solutions FFB F d ration Fran Deoux Medieco ditions 2 me dition 2004 diff rentes r novations ventilation chauffage isola ae aise du b timent ADEME 2004 e EnviroBAT M diterran e www envirobat tion conjointement pour viter ces d sagr ments 3 e Etude sur la basse nergie appliqu e aux med net ees b timents anciens Enertech 2005 program La maison des n gaWatts Thierry Salomon 3 S0 S SE r nie R Lie e Avec les vitrages haut rendement le ch ssis S me Energivie E et St phane Bedel Editions Terre vivante devient la partie la moins bien isol e de la fen tre e Qualit environnementale des b timents 2005 Guide ADEME 2002 0 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O De rites l FEN TRES ET BAIES F1 Am nagement de la parcelle F2 V g talisation F3 Maitrise des consommations d eau et r cup ration des eaux de pluie F4 Ma trise des consommations d nergie pour le chauffage et la pro duction d ECS F5 Choix d nergie et des moyens de production et de distribution de cha
89. ndustrie chimique analyser l impact sur la sant des mol cules qu elle fabrique si celles ci sont produites ou import es plus d une tonne par an et com mercialis es depuis plus de 20 ans Ce sont environ 30 000 mol cules qui sont concern es par cet enregistrement Cette information sera valu e et les substances les plus dangereuses dites ex tr mement pr occupantes seront sujettes a une proc dure d autorisation e La Directive Europ enne Produits de construc tion DPC 89 106 transpos e en droit fran ais par le d cret d application N 92 647 du 8 juillet 1992 exprime deux exigences concernant la sant hy gi ne sant et environnement et la protection Activit s humaines Occupation Entretien V tements Tabagisme des locaux produits techniques cosm tiques poussi res gt eae humidit CON M tabolisme LOW monoxyde de carbone humain allerg nes coydes d azote hurniclit gaz carbonique formald hyde gaz carbonique jocides goudrons biocontaminants nicotine Bricolage Plantas poussi res pollens Oo pesticides toxiques S chage Toilettes Animaux du linge humidit biocontaminants humidit cov Moquette allerg nes formald hyce hurnidit Cuisine Mobilier CON formald hyde Source ADEME Graphics lsolar ts fibres g finge 7 issellel Ventilation polluants externes fibres min rales Climatisation biocantaminants o
90. nst piia e BREL T d tonS erre plafonnage Vivante 2005 int rieur mur Interieur isolation 3 TYPES DE MUR MANTEAU POUR ISOLATION DES FACADES e Lisolation cologique conception mat riaux mise en oeuvre Jean Pierre OLIVA ditions Terre Vivante 2001 e Fra cheur sans clim Thierry SALOMON et Treillis m tallique ou synth tique film perm able la vapeur R habilitation Henri Wallon St Martin d Heres OPAC 38 Enduit fa ade Isolant avec peau Claude AUBERT ditions Terre Vivante 2004 pete RAR wager incorpor e e Eco conception des b timents Bruno PEU nore PORTIER Presses de l Ecole des Mines de a Paris 2003 Enduit mince sur isolant coll e Lisolation thermique Guide ADEME 2005 ISOLATION THERMIQUE ET INERTIE b B TIMENTS POST RIEURS 1948 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE REHABILITER POUR APPROCHER LES PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES BATIMENT E2 RENOUVELLEMENT D AIR LOGEMENTS NEUFS ET AMELIORER LEUR CONFORT reconisations ourquoi e Les b timents anciens sont g n ralement tr s peu tanches a l air Pour autant la qualit de l air int rieur n y est pas toujours satisfaisante et la situation peut se d grader encore si des travaux d isolation sont entrepris sans une r flexion e Parfaire l tanch it lair des b timents approfondie sur la ventilation e Mettre en uvre une ventilation efficace qui e Une bonne tanch it lai
91. nt Environnement www sante environnement travail fr e Memorandum de l Appel de Paris Environnement et sant durable UNESCO Paris QUALITE SANITAIRE DES MATERIAUX LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F1 2 USAGES SUR L ENVIRONNEMENT DECHETS CHANTIER PROPRE e Un chantier de construction g n re tout type de nuisances aupr s des ouvriers des riverains et induit des effets sur l environnement L objectif d un chantier propre est la limitation de ces nuisances bruit pollutions visuelles de en u r conisations pourguo e Mettre en place des m canismes de gestion Pair du sol et de la nappe phr atique circulations de v hicules et encombrements qui permettent d assurer un chantier propre de e La charte chantier vert sign e par tous les intervenants du chantier repr sente un engagement contractuel efficace pour r habilitation limiter les nuisances occasionn es e La d construction s lective consiste a d shabiller et d manteler un ouvrage en veillant lors du d montage une possible r cu p ration des mat riels dans le but d en assurer le tri et la valorisation Elle permet une r duction significative des co ts de gestion par la valorisation des d chets et favorise la pr servation des ressources en mati res premi res et nerg tiques e Les d chets de b timent font l objet d un renforcement de la r glementation en mati re d limination qui insiste sur leur valorisa tion
92. nt e plus de 1 place par logement et ou la part exc dentaire a t transform e pour un usage d agr ment jeu d enfants jardins ou Sp V los e Un espace couvert et s curis est d di sp cifiquement l entr e du b timent ou proximit au stockage des v los des habitants afin de faciliter leur usage quotidien ES Autres modes doux e Une offre d am nagement favorisant l usage des modes doux a t mise en oeuvre ou r habilit e all es pi tonnes all es cyclables raccordement aux pistes existan tes accessibilit pens e pour les personnes mobilit r duite 3 Be Phase op rationnelle ESQ Gestion de l eau la parcelle e Le pourcentage des surfaces perm ables est au moins gal a 60 de la surface non construite ou respecte les recommandations du PLU si celui ci est plus exigeant e La perm abilit du sol sur la parcelle est connue et l un des syst mes suivants correctement dimensionn est mis en uvre pour infiltrer les eaux pluviales bassins de r tention et ou d infiltration tranch e drainante foss enherb noues e Un rev tement de surface poreux est mis en uvre pour les nouvelles all es d acc s les nouvelles surfaces de stationnement ESQ Biodiversit les points sont compt s si au moins 4 ou 5 propositions sont valid es e Les arbres haies existantes et les plantations nouvelles totalisent au moins 10 esp ces diff rentes dont chacune ne
93. nt climatique acidification atmosph rique pollution de l air pollution de l eau destruction de la couche d ozone stratosph rique formation d ozone photochimique e Les logiciels de simulation tels qu EQUER d velopp par l Ecole des Mines de Paris et PINERIS Institut d valuation des risques industriels permettent d effectuer ACV a l chelle de l ouvrage en mod lisant la construction l utilisation le renouvellement des composants et la d construction d un e Les Fiches de D clarations Environnementales et Sanitaires FDE amp S qui r sultent d une d marche volontaire du fabricant sont tablies selon la norme Energie Primare Totale en MU Ci dessus les co certifications sont la garantie d une for t g r e durablement Mi3 1 Maison en Monomur Terre cute de 30 Mi3 4 Maison en magonnerie couronte Bom PSE Th 38 Aud 8 Maison en ma onnerie courante 10 cm PST Th 38 e Plateforme de ressources en ligne de l office Suisse de la Construction www bbl admin ch voir Publications ainsi que ECO BAU Cons truction Durable en suisse inclu un tableur Excel d cobilan www eco bau ch e Base de donn es DEAM www ecobilan com po aller plus loin e Le guide de l habitat sain Drs Suzanne et Pierre D oux Medieco Editions 2004 e Base donn es INIES fiches FDES www inies fr F1 0 PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE b timent en tenant compte de la r utilisation et du recyclage ventu
94. nt les d perdi tions d nergie Il permet d autre part d augmenter le confort en limitant l effet de paroi froide transmis par rayonnement et limite les tions d nergie en systematisant les protec risques de condensation sur le vitrage tions solaires par l ext rieur pour les ouver tures expos es i l re ee ee l e L occultation par l ext rieur du rayonnement solaire l aide de volets persiennes stores etc plus efficace que l occultation par l int rieur limite les risques de surchauffe qui appara tront d autant plus facilement que le b timent aura t bien isol e Une am lioration des performances thermiques du b ti peut r v ler des situations d inconfort l t si les apports solaires et les apports internes ne sont pas correctement pris en compte e L volution d un quartier du trafic d une avenue ou la r alisation d une infrastructure bruyante peut engendrer une l vation des ambiances sonores autour d un b timent n cessitant une correction acoustique qui n tait pas n cessaire lors de la construction du b timent Choix donnant lieu l attribution de points Cotton APS Analyser les performances d clairage naturel offertes par le b timent 2 e Les ventuels d ficits d clairage naturel ont t identifi s non seulement dans les pi ces vivre des logements mais aussi dans les pi ces humides salle de bain WC 2 et les communs et un plan d intervention a t tabli P 1
95. nt une volution dans le temps des choix d nergie au contraire des installations de chauffage individuel qui necessiteraient de remplacer autant de chaudi res qu il ya de logements e Le remplacement d un g n rateur ancien par un g n rateur plus r cent permet de b n ficier des technologies modernes des nou veaux mat riels dont les rendements ont consid rablement augment et dont les missions polluantes ont largement diminu Choix donnant lieu a l attribution de points otation Examiner les choix d nergie effectu s lors de la premi re vie du b timent e Si l tude d approvisionnement l a jug pertinente la solution d un raccordement au r seau de chaleur de la ville a t retenue ou un mini r seau de chaleur a t cr pour raccorder plusieurs b timents 20 e Si l tude d approvisionnement l a jug pertinent un transfert vers une Energie renouvelable a t d cid u HS e Si l tude d approvisionnement l a jug pertinent un transfert vers une nergie gaz naturel a t d cid d Ds Renouvellement de la sous station cas d un r seau de chaleur La sous station existante a t renouvel e au profit de mat riel plus efficace Remplacer tout ou partie de la chaudiere collective existante e Si la chaudi re a plus de 15 ans d ge ou si le diagnostic nerg tique l a jug pertinent la chaudi re a t remplac e La nouvelle chaudi re e
96. oins 3 des 5 diagnostics sont r alis s ou sont sans objet Les diagnostics suivants ont t r alis s ou les l ments fournis au dossier montrent que la pr occupation est sans objet Un diagnostic biocontaminants Bact ries virus moisissures allerg nes des animaux domestiques sont pr sents l int rieur comme l ext rieur Ils sont presents dans les moquettes rev tements muraux mat riaux d isolation syst me de climatisation et prolif rent grace la chaleur et l humidit Il existe un lien probable entre les biocontaminants et les diff rentes pathologies mais il reste difficile d terminer Un diagnostic monoxyde de carbone CO Le CO gaz incolore et inodore difficile d tecter est tr s toxique Il se forme lors d une combustion incompl te Sa pr sence l int rieur des locaux est g n ralement due a une mauvaise vacuation des gaz br l s l utilisation d appareils v tustes ou a une mauvaise ventilation Un diagnostic Compos s Organiques Volatils COV Le terme COV englobe de nombreux compos s chimiques comme les hydrocarbures alcools ther benzenes Leur pr sence dans les b timents peuvent provenir de sources tr s diverses mat riaux de constructions appareils de chauffage mobiliers v hicules Certains sont toxiques et canc rig nes Le formald hyde est consid r comme un COV part car il est encore plus volatil Conception r alisation Tekhn Architectes
97. ois est compens par un prix du combustible tr s comp titif et peu d pendant des fluctuations du march des nergies fossiles Malgr un investissement et des co ts de maintenance sup rieurs long terme le choix du bois nergie s av re moins on reux que celui des nergies conventionnelles e Encourager le d veloppement du bois nergie contribue cr er ou maintenir des emplois locaux dans la fili re foresti re e Un des crit res de qualit environnementale exig s pour b n ficier de la prolongation de 5 ans de l exon ration de taxe fonci re sur les propri t s b ties en logement social d cret 2005 1174 du 16 septembre 2005 est l utilisation d nergies renouvelables comme l nergie bois qui doit r aliser une part de consommation conventionnelle d nergie sup rieure 15 de la consommation conventionnelle correspondant au chauffage des parties communes et des parties privatives l clairage des parties communes et au chauffage de l eau chaude sanitaire w Auxerre ities Sant Benoa Aspects techniques e Les syst mes modernes offrent le m me degr de confort et de fiabilit que les nergies conventionnelles Ils n utilisent pas de b ches trop contraignantes mais du bois sous une forme fluide permettant l alimentation automatique de la chaudi re e Aujourd hui le bois nergie peut chauffer un immeuble de logements ou plusieurs b timents grace un micro r seau de chaleur Il est galement exploit
98. ommande age Total e saviez vous SR as Di 70 y 2 ee Source CEDEO e Les temp ratures de chauffage sont fix es par les decrets du 3 decembre 1974 et du 22 decem bre 1979 en p riode d occupation la temperature moyenne de l ensemble des locaux du b timent est y de 19 C aucun local ne devant d passer 22 C en D bit inoccupation de 24 48h 16 C en inoccupation de Le robinet thermostatique est un appareil plus de 48 h 8 C dot de deux poign es une poign e servant e La pose d un thermostat d ambiance programmable r gler la temp rature de l eau avec une la place d un thermostat v tuste peut faire cono but e fix e 38 C limitant les risques de miser jusqu 12 de la consommation annuelle br lures l autre sert au r glage du d bit e Au del de 19 C chaque degr suppl mentaire pS dans les locaux entra ne une surconsommation de 7 Les fonctions de programmation et r gulation permettent d conomiser jusqu 25 de la consom mation d nergie e L entretien annuel de la chaudi re prolonge sa du r e de vie et r duit sa consommation de 8 12 e Une temperature d eau chaude sanitaire 55 C est suffisante pour limiter le d veloppement des bact ries pathog nes et permet d viter l entartrage du chauffe eau L arr t du 30 novembre 2005 fixant pour les pi ces destin es la toilette la temp rature des points de puisage 50 C il est inutile de sur
99. on europ enne Les b timents consommant 45 de l nergie finale et rejetant 21 des gaz effet de serre en Bourgogne le d veloppement durable de lhabitat est au c ur de nos pr occupations C est pourquoi nous avons voulu galement tre pionniers dans les appels projets de b timents basse energie pour les particuliers comme pour les collectivit s les bailleurs sociaux les entreprises Des initiatives qui s duisent bien au del de nos fronti res une d l gation de journalistes autrichiens tant venue derni rement se faire l cho de ce qui se fait d exemplaire dans ce domaine en Bourgogne Dans le cadre de la r novation urbaine pour laquelle plus de 9000 logements sociaux seront r habilit s sur la p riode 2007 2011 nous avons prioris au sein m me de la convention avec lANRU la ma trise de l nergie Dans notre nouveau dispositif Villages d Avenir compl tant C ur de Village la m me coh rence sur la qualit environnementale nous est galement apparue essentielle Sur l ensemble de notre territoire qu il soit urbain ou rural nous agissons avec nos partenaires pour que l habitat d aujourd hui mais aussi celui de demain soient durables ll en va du d veloppement socio environnemental de notre cadre de vie Ce guide tabli avec les bailleurs sociaux bourguignons qui permettra chaque maitre d ouvrage d int grer la qualit environnementale dans son projet repr sente une pierr
100. onsommation BBC pour tous les batiments neufs a partir de 2012 et par anticipation a partir de 2010 pour les batiments publics et tertiaires Norme batiment a Energie Positive BEPOS pour tous les batiments neufs a partir de 2020 acteurs du projet de construction ou de r habilitation l envie d avancer vers un monde plus responsable et plus durable en leur montrant le champ des possibles plut t que de denoncer leurs mauvaises pratiques voire les sanctionner Simple et concret car l outil labor remplira v ritablement son r le si toutes les parties interessees par le projet de construction ou de rehabilitation se l approprient autrement dit le comprennent du charge d operation au monteur de projet ou aux directeurs de service Ce qui parle a tout le monde ce sont les actions engag es et les r sultats obtenus En cons quence l valuation porte sur les solutions concr tes mises en oeuvre qui sont valorisees chacune par un certain nombre de points dont le total theorique maximal est 1000 Le batiment ideal est un b timent a 1000 points Pourquoi 1000 Pour faire simple parce qu il est possible alors de situer simplement chaque effort entrepris sur l chelle des possibles 30 points repr sentant par exemple directement 3 du total id al Global et partag car le dispositif propos est complet en ce qu il conserve l id e maitresse que la qualit cologique d un b timent est un syst me o tou
101. onsommations eau lectricit et gaz sur les moyens mis en oeuvre pour r duire ces consommations et sur le comportement attendu des usagers concernant la qualit de l air dans les logements le confort d t Phase op rationnelle A l arriv e e Un livret d accueil est remis au locataire pour sensibiliser celui ci l environnement et le renseigner sur les sp cificit s du b timent et les r gles d usage pour les loge de chaque ments et espaces communs nouveau Celui ci pourra mettre en perspective Les points compt s si au moins 4 propositions sont valid es locataire les grands enjeux environnementaux changement climatique effet de serre puisement des ressources naturelles eau la r ponse apport e par le constructeur concernant ces grands enjeux lors de l laboration du b timent le comportement attendu des locataires pour atteindre effectivement les objectifs fix s par rapport au confort d t aux consommations d nergie et d eau aux productions de d chets l importance des choix de consommations lectrom nager tr s performant absence d appareils nerg tivores de vie choix des transports en communs ou modes doux et les avantages de pratiques comme le compostage individuel par exemple Total IS Conception r alisation Tekhn Architectes e saviez vous 1 2 e L empreinte cologique value la pression exerc e par l homme sur son environnement C est la s
102. oration et contribuer au rafra chissement local e Am liorer la qualit de l air ambiant par fixation des poussi res en suspension e Favoriser la biodiversit et la cr ation de corridors cologiques en offrant des points de passage pour la faune e Sur la toiture la v g talisation protege du rayonnement solaire direct et augmente l inertie du toit pour favoriser le confort d t En outre la pr sence de v g talisation permet d accro tre la dur e de vie du complexe d tanch it du b timent en r duisant les chocs thermiques Enfin elle habille les toitures la cinqui me fa ade lorsqu elles sont plates ou de faible pente pour offrir une qualit visuelle aux voisinages e En rehabilitation le renouvellement de l tanch it d une toiture terrasse peut tre l occasion de v g taliser e La v g talisation des pieds de fa ades qui consiste r server une bande de pleine terre sur une largeur d au moins 3 m autour du b timent participe a la r duction des surfaces imperm ables et permet d viter l accumulation de chaleur des sols min raux enrob asphalte b ton ainsi que la r verb ration du rayonnement solaire dans les logements en pied d immeuble Enfin la porosit du sol l approche du b ti contribue l att nuation des r flexions phoniques En outre elle peut constituer une protection des abords imm diats des logements en rez de chauss e e Sur les fa ades la v g talisation per
103. orations propos es par le DPE et l tude de faisabilit nerg tique et anticiper l volution du contexte nerg tique venir Analyser l int r t le cas ch ant du remplacement des chaudi res existantes e Privil gier les installations collectives de chauffage eau chaude ou de l lectrique individuel performant e Mettre en uvre des moyens de production et de distribution de chaleur a haut rendement e Anticiper l volution du contexte nerg tique e Cibler pour les b timents un objectif de consommation d lectricit des communs inf rieur a 10 kWh m2habitable an e Favoriser une limitation des consommations d lectricit dans les logements par des dispositions adapt es Ma trise des consommations d lectricit sp cifique Bois Energie e Prendre en consid ration les orientations propos es par le diagnostic nerg tique et l tude de faisabilit nerg tique e Mettre en uvre une installation utilisant le bois nergie en tant qu alternative ou compl ment a la production de chaleur Solaire thermique Mettre en oeuvre pour les b timents dont la toiture est exploitable une installation d eau chaude solaire collective correctement dimensionn e permettant de couvrir une part significative des besoins d ECS Solaire e tudier l opportunit d installer une centrale photovolta que raccord e au r seau lorsque le site est favorable photovolta que pour couvrir une part signif
104. ormants et des dispositifs judicieux r duire les consommations lectriques ne signifie pas diminuer le niveau de confort et de service Geil Choix donnant lieu a l attribution de points tion DCE R duire la consommation d clairage des parties communes les points sont accord s si au moins 2 des 3 propositions sont valid es e Les halls d entr e les circulations et l clairage ext rieur sont quip s de sources lumineuses performantes supportant des cycles d allumage extinction fr quents et justifiant de l colabel europ en az 19 e Les halls d entr e les circulations et l clairage ext rieur sont command s par des d tections de pr sence avec en outre une detection cr pusculaire e Les BAEH Bloc Autonome d Eclairage pour les b timents d Habitation sont quip s de LED DCE Reduire les consommations d lectricit des quipements techniques les points sont accord s si au moins 2 des 3 propositions sont valid es Phase op rationnelle e Les ascenseurs remplacer le sont par des ascenseurs a contrepoids avec variation de vitesse sans r ducteur et avec extinction de la cabine a vide ou il n y a pas d ascenseur e Dans le cas de circuits secondaires de chauffage quip s d une r gulation du d bit la r gulation est faite au moyen d un circulateur a vitesse variable et non d une sou as pape de pression differentielle e La ventilation m canique si elle existe est assur e par des vent
105. permet d changer des roses avec ses voisins en plus de lombrage qu il procure il est un vecteur de lien social se m fier des pines malgr tout e Sur une fa ade ombrag e ou au nord vous pouvez adopter l hortensia grimpant hydrangea p tiolaris qui r siste bien au froid grimpe 15 m tres et fleurit de mai juillet L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE b Le tapis de s dum pr cultiv v g talise le toit d s la pose V g talisation des fa ades et toitures d un b timent rchitectes V g talisation en pied de facade e Toits et murs v g taux Nigel Dunnett Noel Kingsbury Editions du Rouergue dr A4 gt EA nS dl A z 7 RE nen Terrasse accessible avec v g talisation extensive extensive Tran E gt Ma ut i I vi at abil AAA E MAA AA A Teibure non vig talitte vu ry y ala ka 4 144145 Fos de refence de Uns AA N hun us CRE EU yh Surcharge des canaltabons Wa DANGER d inondation Altaiblisement de knappe phr atique Toit non vegetalise et terrasse betonnee DANGER d inondations e Association pour le d veloppement et l innovation en vegetalisation extensive de toiture ADIVET e Lignes directrices de conception de toits verts Steven Peck et Monica Kuhn Complexe de v g talisation Exemple de ME v g talisation WE intensive oto Tekhn Archit A SE MAN AAA WAV hy WAV AAA ANY Mya AL M qui WA MN
106. portionnel au nombre de module install une centrale photovolta que peut facilement s adapter aux moyens financiers du ma tre d ouvrage ou voluer avec le temps au fil des besoins e La r habilitation de b timents surtout lorsqu elle concerne des travaux sur la toiture remplacement d une tanch it sur toiture terrasse par exemple se pr te bien la mise en place d une installation photovolta que e Une installation photovolta que est un bon support p dagogique et de communication pour une utilisation rationnelle de l nergie C omment Croix donnant lieu l attribution de points CPE e Une centrale photovolta que a t install e Une centrale photovolta que est constitu e d un ensemble panneaux solaires et d un ou plusieurs onduleurs Les panneaux solaires assurent la conversion de l nergie lumineuse en nergie lectrique et sont r alis s partir de cellules semi conductrices en silicium Sans pi ce m canique en mouvement les panneaux photovolta ques sont extr mement fiables et ont une dur e de vie sup rieure 30 ans Il existe 2 grandes familles de capteurs photovolta ques Les capteurs de silicium polycristallin le proc d le plus r pandu l aspect bleut et d un rendement de l ordre de 12 14 ou monocristallin l aspect gris bleu d un rendement de l ordre de 16 18 Les capteurs de silicium amorphe le plus souvent sous forme de rouleau assurant la fois le r le de ca
107. pteur et de produit d tanch it d aspect gris fonc ou noir d un rendement plus faible de l ordre de 6 Cependant le Wc a un co t relativement similaire quelle que soit la fili re de l ordre de 6 a 8 Wc HT install Phase op rationnelle L onduleur est l l ment qui transforme le courant photovolta que en courant conforme au r seau Il peut tre consid r comme le maillon faible du syst me les fabri cants assurent cependant statistiquement que la premi re panne ne surviendra pas avant 10 ann es de fonctionnement BONUS e Un dispositif permettant d afficher la production photovolta que production instantan e production du jour production cumul e ainsi que la consommation du b timent a ete installe de maniere a sensibiliser les usagers a la maitrise des consommations Total Conception r alisation Tekhn Architectes e Avant d envisager une installation photovolta que il convient de r duire fortement les consommations electriques du b timent en choisissant des materiels economes en nergie e La puissance nominale d une installation photovol taique s exprime en Wc Watt cr te ou kWc 1 kWc repr sente environ 10 m de panneaux et permet de produire de l ordre de 1000 kWh d lectricit par an Cela repr sente environ 50 des besoins d lectri cit d une famille moyenne attentive ses consom mations d lectricit e L orientation optimale des capteurs est plein Su
108. r mesure de d bit Conception r alisation Tekhn Architectes Total MO e Dans un immeuble de 15 ou 20 ans sans politique d economie particuliere les fuites peuvent repre senter en moyenne 20 de la consommation d eau source Actu Environnement Des dispositifs de detection de fuite existent sous diff rentes formes e Une fuite d eau chaude de deux gouttes d eau la seconde consomme 1 litre d eau l heure soient 9 met 500 kWh an e En moyenne un Fran ais utilise 150 litres d eau potable par jour Un couple avec deux enfants con somme environ 360 litres par jour e Un robinet ordinaire a un debit de l ordre de 12 L par minute Un robinet mitigeur conomise 10 d eau par rapport un robinet m langeur classique un robinet thermostatique jusqu 30 et certains a rateurs jusqu 50 L utilisation d une chasse d eau double commande 3 ou 6 L contre 10 L habi tuellement permet pour une famille de 4 personnes une conomie de 35 000 L d eau par an e En France 60 de l eau potable provient des eaux souterraines et 40 est produite partir de l eau des fleuves des rivi res et des lacs L eau potable est le produit alimentaire le plus surveill e La hauteur totale de pr cipitation annuelle varie de 600 mm en plaine de Sa ne ou dans le Senonais a plus de 1600 mm dans le Morvan La recuperation des EP se justifie partout e La redevance assainissement est exigible des lors que
109. r permet d viter des surconsommations de chauffage mais n cessite la mise en place d une ventilation apporte le d bit hygi nique n cessaire aux pour renouveler l air int rieur vacuer les polluants et l humidit produite par les occupants dont on pouvait encore se passer avant occupants des logements tout en limitant les travaux consommations et les d perditions d ener gie e Une ventilation classique simple flux extrait l air int rieur chaud par d pression et provoque des entr es d air ext rieur froid dans le b timent source de surconsommation de chauffage La ventilation double flux permet de r cup rer la chaleur de l air extrait pour pr chauffer l air neuf gr ce un changeur de chaleur dont le rendement doit tre sup rieur 80 e Une ventilation mal con ue ou mal entretenue engendre des surconsommations d lectricit sabns assurer une bonne qualit de Pair Gio donnant lieu a l attribution de points Las Chantier Garantir comme en neuf une bonne tanch it lair des logements e Un travail en amont de sensibilisation aupr s des intervenants du chantier de r habilitation suivi de la mise en uvre d une d marche qualit tout au long des travaux ont permis d atteindre un bon niveau d tanch it pour le b timent u Lo e L tat des joints d tanch it des menuiseries conserv es a t v rifi en particulier pour les portes palieres et les coffres de volets roulants et les calfe
110. rable l tude de faisabilit nerg tique e Utiliser le bois nergie revient valoriser des d chets produits par l entretien des for ts des haies des espaces verts l industrie du e Mettre en uvre une installation utilisant le bois branches corces D un bout l autre de la cha ne 20 seulement du volume d un arbre sur pied est utilisable comme bois bois nergie en tant qu alternative ou compl d oeuvre Le reste auquel il faut ajouter le bois de rebut palettes peut tre valoris sous forme d nergie ment la production de chaleur e Gr ce au cycle du carbone les rejets de CO du bois sont consid r s comme nuls dans la mesure o le carbone lib r lors de la combustion est celui qui a t capt tout au long de la vie de l arbre Si le bois tait rest en for t sa d composition aurait g n r du m thane un gaz effet de serre au pouvoir de r chauffement global 20 fois sup rieur celui du CO e L exploitation du bois nergie participe l entretien des for ts qui sans cela se d gradent Aspects conomiques et l gislatifs e L article 4 de la loi fixant les orientations de la politique nerg tique du 13 juillet 2005 vise satisfaire l horizon 2010 10 de nos besoins nerg tiques partir de sources d nergies renouvelables et une augmentation de 50 de notre production de chaleur renouvelable e Le surco t de l investissement initial pour une chaufferie au b
111. rdition thermique Logement conome Logement 91 a 150 gt 151 a 230 D XXX 231 a 330 logement energivore Ce type d tiquette nergie dont le mod le tait utilis jusqu pr sent pour l lectrom nager ou les v hicules permet de situer les performances des logements sur une chelle de mesure DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE D2 Source Flir Systems Conception r alisation Tekhn Architectes E1 a Isolation thermique et inertie batiments anterieurs a 1948 E1 b Isolation thermique et inertie batiments posterieurs a 1948 E2 Renouvellement d air E3 Acoustique E4 Fen tres et baies BATIMENT REHABILITER POUR APPROCHER LES PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES LOGEMENTS NEUFS ET AMELIORER LEUR CONFORT REHABILITER POUR APPROCHER LES LATION THERMIQUE ET INERTIE PERFORMANCES REGLEMENTAIRES DES BATIMENT e 1 a Be LOGEMENTS NEUFS ET AM LIORER LEUR CONFORT B TIMENTS ANT RIEURS 1948 z i i reconisations D dE AE e Les b timents anciens ont t con us une poque o les modes de vie taient diff rents de ceux d aujourd hui composition des familles dur e journali re pass e dans les logements activit s exigence de confort et doivent tre adapt s aux besoins et usages actuels tout en int grant les n cessit s environnementales e Prendre en consid ration la hi rarchisa tion des travaux tablie par le DPE ou l audit nerg tique d
112. re bioclimatique et offrent de bons niveaux de confort concentre l attention sur l ensemble des dispositions architecturales et constructives qui permettent au b timent de r pondre de mani re intrins que au confort de ses habitants en recourant le moins possible aux syst mes actifs consommateurs de fluides lectricit eau et co teux l usage Tout ce qui concerne l enveloppe du b timent doit faire l objet de la plus grande attention et des priorit s budg taires car il est tr s difficile de revenir ult rieurement sur ces ouvrages 5 th mes sont trait s correspondant aux fiches suivantes B1 Orientation et morphologie des b timents sur la parcelle B2 Morphologie et organisation int rieure des b timents B3 Syst mes constructifs isolation thermique et inertie B4 Fen tres et baies B5 V g talisation La troisi me s rie d objectifs visant Concevoir des b timents faible empreinte cologique qui limitent les charges de fonctionnement et ne nuisent pas la sant des occupants concerne l ensemble des dispositifs techniques et mesures que l on peut mettre en uvre pour que les entr es et sorties de mati res n cessaires au fonctionnement des b timents soient les plus faibles possibles cela concerne bien s r l nergie sous toutes ses formes y compris les renouvelables mais aussi l eau les d chets m nagers et m me le flux g n r par le chantier 13 th mes concernant
113. res correctives a t mis en place saviez vous Les d chets de chantiers de b timent Total IB Trois cat gories de d chets de chantier sont identifi es 4 chacune d elle convient un type d limination ou de valorisation sp cifique Le ratio de production de d chets de chantiers de D chets dangereux 5 Emballages 1 b timents est valu a 540 kg hab an contre 370 kg DU r gis par ke d cret n 2002 Depuis septembre 1566 les hab an pour les d chets m nagers Les d chets de 2 a 1B avril 2002 en Se demolition et de depose en chantier de rehabilitation PERS m ende representent environ 85 des d chets de chantier ebsile soit 27 millions de tonnes sur un total de 31 millions de tonnes e Les co ts suppl mentaires dus la technique de deconstruction peuvent tre partiellement compen ses par la valorisation de certains materiaux notam ment les d chets inertes e Les co ts lies a la collecte par tonne HT sont en viron de 10 a 25 pour les d chets inertes DI 50 euros pour les d chets industriels banals DIB valo dangereux risables 120 euros pour les DIB non valorisables et set non inertes 28 150 a 230 euros pour les d chets dangereux Un tri pig d chets industriels banals efficace a la source est donc n cessaire afin d viter sa ease en en d chets dange D chets de chantier 31 millions de tonnes e La responsabilit concernant l limination des d ob chets es
114. roduction de chaleur au plus pr s des besoins e Cibler pour les logements un objectif de consommation de chauffage et d eau chaude de 80 kWh d nergie primaire par m habita ble par an e Ma triser les consommations de chauffage par une r gulation adapt e et une bonne ges tion des intermittences e Ma triser les consommations d ECS par la mise en place de moyens techniques adaptes C omment eo donnant lieu a l attribution de points aia APS Consommation de chauffage et d eau chaude e La consommation de chauffage et d eau chaude du b timent est inf rieure ou gale a 80 kWh d nergie primaire par m habitable et par an 100 kWh d nergie primaire par m habitable et par an 130 kWh d nergie primaire par m habitable et par an e Le chauffage des locaux et l eau chaude sanitaire repr sentent 89 de la consommation d nergie des m nages La facture nerg tique annuelle repr sente en moyenne environ 7 du budget familial mais cette part est beaucoup plus lev e pour les familles aux revenus modestes La ma trise des consommations permet ainsi de r duire les charges qui incombent aux usagers et limite les impay s e Les consommations d nergie des b timents repr sentent 25 de nos missions de gaz effet de serre et 46 de nos con sommations d nergie finale e l tiquette energie pour les logements mise en place en 2006 donne les moyens de comparer la performance des logements
115. rties distinctes l une concerne la construction neuve l autre la r habilitation de b timent Chacune d cline 3 familles d objectifs En CONSTRUCTION NEUVE Les 3 grands objectifs environnementaux vis s en construction neuve sont A Etre en harmonie avec le milieu d accueil en considerant ses atouts et contraintes B Concevoir des b timents qui prennent en consideration l architecture bioclimatique et offrent de bons niveaux de confort C Concevoir des b timents faible empreinte cologique qui limitent les charges de fonctionnement et ne nuisent pas la sant des occupants La premiere s rie d objectifs Etre en harmonie avec le milieu d accueil en consid rant ses atouts et contraintes est tourn e d abord vers la programmation et les d placements puis vers la connaissance du site la biodiversit locale et la gestion des eaux pluviales la parcelle Il s agit ici de v rifier que le programme a bien les moyens de ses ambitions environnementales et n est pas en contradiction avec les atouts et contraintes relev es autour et sur le site 5 th mes sont trait s correspondant aux fiches suivantes A1 Analyse conomique et programmatique A2 D placements A3 Analyse de site A4 Biodiversit locale et entretien des espaces ext rieurs A5 Gestion des eaux pluviales la parcelle La deuxi me s rie d objectifs pour Concevoir des b timents qui prennent en consid ration l architectu
116. s valoriser ont t pr f r s aux autres La reprise ou la consigne lt des emballages ayant t n goci e avec le fournisseur Se DCE Realiser une deconstruction selective et organiser le stockage et le tri des dechets sur le site Chantier e Lorsque cela est possible privil gier la valorisation des mat riaux par le r emploi ex bois non souill avant le recyclage ou la reintroduction dans le cycle de fabrica S tion lt a gt E e Concernant le r le des entreprises celles ci ont t responsabilis es financi rement la gestion et l limination des d chets de chantier Et la r partition du co t des E d chets de chantier entre les entreprises se fait selon une r partition en fonction du volume et du type des d chets estim s par chaque entreprise Une entreprise gestion naire a galement t d sign e pour assurer la qualit du tri de fa on limiter le nombre de bennes refus es d class es e 5 3 TCT rr ee ee ee Ai ee eer ree AAA S e Concernant la gestion des d chets les fili res locales d limination et de valorisation des d chets ont t identifi es et le Plan d partemental de gestion des d chets du BTP a t consult Des aires de stockage des mat riaux et d chets ainsi que des aires de circulation et de stationnement des v hicules charges de l vacuation des d chets ont t pr vus Un espace a galement t r serv au d ballage des flux entrants de produits afin de
117. s chaudi res bois sont possibles e Les exigences concernant les missions de pol luants sont plus s v res pour les grosses chaudi res que pour les petites et les performances environne mentales sont encore plus s v res pour les chaudi res de puissance sup rieure 4 MW ou lorsqu elles sont situ es dans des agglom rations de plus de 250 000 habitants L UNION SOCIALE POUR L HABITAT DE e La source d approvisionnement est situ e a moins de 100 km Combustible Conversion en kWh Plaquette d industrie 2200 kWh PCI par tonne Plaquettes forestiere 2760 kWh PCI par tonne Granul s briquettes 4600 kWh PCI par tonne 1680 kWh PCI par stere Selon arr amp te du 15 09 06 relatif au DPE A 4h O 5 c 10 O E 7 2 Pt lt seer Er CRT r i eS 5 ra he ma a x ve E E zer s D Mall a ria ales e AMORCE Association sp cialis e dans les r seaux de chaleur au bois 10 R gulation Vis d extraction S curit STOCKAGE e AJENA e CLER Comit de Liaison des Energies Renouvelables e ITEBE Association internationale des professionnels et usagers des bioenergies TRANSPORT COMBUSTION Source Agenda21 Isere e Pour plus d information concernant les presta taires sp cialis s dans le bois nergie con tactez les Espaces Info Energie de Bourgogne dont la liste est disponible sur ESQ DCE Exploitation Capteurs sous vide
118. s conditions en fonction du climat l conomie due l nergie solaire est la m me quelle que soit la r gion Schema de fonctionnement d un chauffe eau solaire collectif e L orientation optimale des capteurs est plein Sud mais une orientation sud ouest ou sud est est encore satisfaisante L inclinaison optimale est de 60 pour le chauffage solaire et de 30 a 60 pour ECS e Barcelone un arr t municipal rend obligatoire l utilisation de l nergie solaire dans tout b timent neuf ou en r habilitation dont la consommation d eau chaude d passe les 2000 litres par jour L installation solaire doit couvrir au minimum 60 des besoins e Si l on ram ne pour chaque pays de l Union Euro p enne la surface solaire thermique en m au nom bre d habitants Chypre d tient la 1 re place avec 582 4 m 1000 habitants devant l Autriche dont le Conception et photo Louis Voto Architecte Source ADEME ratio est de 297 m pour 1000 habitants La France a AS pl quant elle se classe en 11 me position avec 13 2 Les capteurs tubes sous vide m 1000 habitants exemples d installations en pare soleil our aller plus loin e En 2006 46 500 chauffe eau solaires individuels ont t install s m tropole et DOM et la capacit install e en mati re de photovolta que a doubl en France en 3 ans pour atteindre une puissance cu mul e totale de 45 MW en 2006 e Institut national de l nergie solaire
119. s en oeuvre dans la r habilitation une analyse de cycle de vie ACV ou une FDES Fiche de D clarations Environnementales et i Sanitaires ou des donn es issues de bases de donn es trang res indiquant les impacts sur l environnement aux diff rentes tapes du cycle de vie ont t remises E par les fournisseurs et sont jointes a la presente valuation a o 9 D L analyse de cycle de vie ACV du mat riau conform ment la norme ISO 14040 d termine l impact du mat riau a toutes les tapes de sa vie du berceau a la E tombe L analyse de cycle de vie se d roule en 4 phases la d finition des objectifs inventaire l valuation des impacts sur l environnement norme NF P01 010 et 2 l interpr tation Pour avoir du sens ACV de deux produits diff rents doit comparer le comparable comparer 1 litre de peinture A et 1 litre de peinture B n a de S A sens que si dans les deux cas la surface a peindre est prot g e de la m me maniere si la peinture A est 2 fois moins polluante que la peinture B mais n cessite deux D couches au lieu d une pour obtenir la m me protection aucune des deux peintures ne se d marque 8 Choisir en connaissance et en conscience selon une analyse multicritere e Certains mat riaux brique bois l ments de toiture ont t r cup r s et seront utilis s pour la r habilitation ou sur d autres chantiers e Si la ressource r gionale est disponible les mat riau
120. s les facteurs interagissent entre eux Le risque de certaines approches de type label qui isolent un theme comme l nergie ou les mat riaux par exemple est de r duire la compr hension et la r solution des enjeux Qui peut dire si l eau ou la biodiversit ne seront pas demain les priorit s absolues Complet et partag galement car le durable en mati re de logement d pend non seulement de la conception et de la r alisation ou de la r habilitation du b timent par les diff rents acteurs mais aussi de son utilisation par l habitant Aussi le guide pr voit il des actions de sensibilisation et d information des usagers diff rentes th matiques sensibles li es l eau l energie ou les d chets P dagogique car on aura d autant plus de plaisir mettre en uvre une recommandation si on en comprend le sens et si on la voit mise en uvre Cette approche est d autant plus n cessaire que les preoccupations environnementales dans l habitat sont nouvelles et que la culture en ce domaine est a constituer Or c est bien cette derniere qui permettra de progresser rapidement en changeant nos r flexes Aussi le guide d analyse de PUSH de Bourgogne formule des pr conisations puis les explicite dans la rubrique Pourquoi et les precise par des dispositions concretes dans une rubrique Comment Au paragraphe le Saviez vous il propose des elements de connaissance qui elargissent notre comprehension de l
121. s les plus utilis es pour le chauffage sont le gaz 44 l lectricit 28 et le fioul 19 Pour l eau chaude sanitaire les nergies les plus utilis es sont l lectricit 43 le gaz 38 et le fioul 11 5 Source ADEME les chiffres cl s du b timent 2006 e Le chauffage urbain a fait une perc e remarquable 22 1 million des appartements ayant un chauffage central collectif sont chauff s par son interm diaire en 2002 28 dans les immeubles r cents contre 9 5 moins de 0 5 million en 1982 et 11 0 5 mil lion en 1990 source Minist re de l industrie e En 2002 4 7 millions d appartements sont chauffes avec un chauffage central collectif Ce nombre a diminu entre 1982 4 8 millions et 1995 4 4 millions et progresse l g rement depuis source Minist re de l industrie e En 2000 53 des chaudi res des logements qui p s d un chauffage central ont moins de 9 ans d an ciennete et 67 4 moins de 14 ans ll reste encore 21 5 de chaudi res datant de plus de 20 ans bien que leur nombre ait diminu de 2 5 en un an Sour ce ADEME les chiffres cl s du b timent 2006 e Les chaudi res a condensation repr sentent 7 a 10 des ventes de chaudi res individuelles gaz en 2005 contre 83 du mat riel pos en 2001 au Pays bas et 33 en Allemagne our aller plus loin e Am lioration nerg tique des b timents les bon nes solutions Ademe FFB 2004 e Les chiffres cl s du
122. s logements sociaux en commen ant par les 800 000 logements dont la consommation est sup rieure 230 kWh m2 an est ainsi pr vue avec comme objectif une consommation finale comprise entre 90 et 15 kWh m2 an C est donc dans ce cadre g n ral que l id e de d finir pour le logement social de Bourgogne une mani re d analyser et d valuer la qualit environnementale des b timents QEB prend tout son sens Pour r aliser cet outil PUSH de Bourgogne a mis en place avec la d l gation r gionale de l ADEME et le Conseil R gional un groupe de travail ouvert l ensemble des organismes de l Union qui ont d sign un ou plusieurs repr sentants pour y participer 16 r unions de travail ont ainsi t organis es entre 2007 et 2008 pour enrichir amender valider les diff rentes options prises Les lignes qui suivent s attachent montrer comment Rendre le plus l ger possible le pas que laisse notre mani re d habiter cette terre Le guide d analyse de la QEB de PUSH de Bourgogne s inscrit r solument dans une approche positive simple et concr te globale et partag e p dagogique et progressive de la r solution des questions soulev es par la construction ou la r habilitation d un b timent de logement dans la perspective du durable Positif le guide veut l tre en mettant en avant les solutions possibles plut t que les probl mes Il est beaucoup plus efficace de donner aux 1 Norme Batiment Basse C
123. sont reglementairement a tudier solaire thermique solaire photovolta que syst mes oliens Croix donnant lieu l attribution de points Cotation J O e Un audit nerg tique d taill a t r alis par un professionnel ind pendant et competent les points sont compt s si toutes les propositions sont valid es Cet audit comportera minima 3 parties Un relev sur site d taill du b ti et des installations techniques thermique et lectricit sp cifique incluant une analyse des consommations Une analyse approfondie de chaque poste d am lioration qui presente des objectifs ambitieux de consommation on s efforcera de fixer un objectif de 80 kWh 40 m2 an pour tous usages et inclue une approche financiere budget de travaux et temps de retour brut Une synthese en co t global e L audit nerg tique est complete par une thermographie infrarouge du b timent un test d tanch it du b timent Phase op rationnelle FF Conception r alisation Tekhn Architectes e Une tude de faisabilit technique et conomique des diverses solutions d approvisionnement en nergie du b timent a t r alis e m me dans le cas o le d cret n 2007 363 ne s appliquait pas l op ration surface inf rieure ou travaux limit s Cette tude peut tre r alis e en interne si les comp tences sont disponibles L tude de faisabilit technique et conomique doit analyser div
124. st une chaudi re a condensation qui a t dimensionn e non pas par rapport a la puissance de la chaudiere qu elle remplace mais par rapport aux besoins de chauffage du b timent dont l enveloppe a t pr alablement am lior e lt a b e Si la chaudi re a moins de 15 ans d ge ou si le diagnostic nerg tique a jug pertinent seul le br leur a t remplac a Phase op rationnelle Remplacement d un chauffage lectrique par une installation de chauffage central avec chaudiere a condensation e Les installations de chauffage individuelles ont t remplac es par une installation de chauffage collective zz Mio Mettre en oeuvre des appareils de distribution a haut rendement Conception r alisation Tekhn Architectes DCE e Les distributions ont t calorifug es et les installations d eau chaude collective ont t boucl es ES R ception e Un quilibrage fin du r seau de distribution a t r alis la fin des travaux l DCE BONUS e Les metteurs ont t remplac s par des metteurs basse temp rature et les temp ratures de d part des chaudi res seront r gl es de mani re ce qu ils fonctionnent effectivement en basse temp rature a i e Les r seaux de distribution monotubes ont t remplac s par une distribution bitubes ou une distribution de chauffage individuel centralis CIC a HS Total B e saviez vous e En 2005 pour le r sidentiel les energie
125. t cr par un choc coup de marteau chute d un vase et que la vibration se propage dans les ouvrages du b timent puis dans l air on parle d un bruit de choc Enfin s il agit d un bruit cr par une vibration m ca nique ventilateur coulement dans les tuyauteries propag e par les ouvrages du b timent et puis l air on parlera d un bruit d quipement e Le bruit rencontre lors de sa propagation des obstacles qui lattenuent ou des particularit s appel es pont phoniques qui opposent au con traire peu de r sistance son cheminement Ainsi une cloison int rieure l g re peut tre mise en vibra tion facilement et transmettre le bruit dans la pi ce voisine La facult d une paroi isoler d un bruit a rien est caract ris e par un indice d affaiblissement acous tique po aller plus loin e CIDB Centre d information et de documentation sur le bruit www infobruit org e GIAC Groupement de l ing nierie Acoustique pour effectuer un diagnostic pour les tudes de solutions le suivi et la garantie de r sultat www cicf fr giac e ADEME Guide pratique la lutte contre le bruit telechargeable sur www ademe fr LUMIOM SOCIALE POUR L HABITAT DE Source ADEME ext rieurs es AH VRRRRpRRR 5 en ES bruits a riens SCH ext rieurs E ut Hy Cl w N tn E L E de y N amp Source ADEME Dans un logement le bruit est transmis par la structure du
126. t partag e entre le maitre d ouvrage et les po aller plus loin e Bac de r tention pr vu pour recueillir les Systeme de lavage des roues en huiles de decoffrage afin d viter une pollu sortie de chantier pour limiter la tion des sols dispersion des boues et poussieres e D tail d une benne de tri Afin de faciliter la par les camions sur la voie publi pratique du tri aux usagers du chantier une que Signal tique doit tre pr vue pour chaque type de d chet Co t d limination 2 54 miliards d euros par an soit 3 5 du chif fre d affaires du b timent ou encore 1 8 du montant des lots selon les corps d tat e Chantiers respectueux de l environnement Commission Europ enne www giraudbtp entreprises source I MAGE Institut de Management et com de Gestion de l Environnement e CSTB www cstb fr e Qualit environnementale des b timents www chantiervert fr e ADEME www ademe fr Manuel l usage de la ma trise d ouvrage et Guide de bonnes pratiques des D chets de des acteurs du b timent ADEME GIRAUD Programme LIFE Environnement 0 L UNION SOCIALE POUR L HABITAT F 1 2 CHANTIER PROPRE O DE Bourgogne LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES F1 3 USAGES SUR L ENVIRONNEMENT DECHETS DECHETS MENAGERS gt We reconisations poro i e Le b timent r habiliter a t con u une poque o la gestion des d chets ne constituait pas une pr occupation a
127. taill en consid rant les pr occupations de confort d t et d clairage e Les modes de construction de l poque taient tr s diff rents de ceux d aujourd hui Pour autant les performances des b timents naturel anciens comme celles li es au confort d t par exemple sont souvent sup rieures a celles obtenues dans les standards de cons e Renforcer les niveaux d isolation selon une truction actuels Strat gie adapt e aux b timents anciens en pr servant autant que possible l inertie des e Les techniques de r habilitation doivent tre optimis es pour approcher les niveaux de performance du neuf en prenant en structures n cessaire la r gulation des am compte les qualit s intrins ques du b timent ancien performance des mat riaux inertie et en veillant ce que les techniques biances thermiques int rieures utilis es ne conduisent pas des contre performances ou des d g ts inattendus Conna tre la nature des mat riaux qui composent le b ti permet de ne pas engager de travaux qui pourraient remettre en cause la p rennit du b timent par rupture de l quilibre hygrothermique e Une politique de demi mesures en mati re de r novation thermique est contre productive et d sastreuse Elle risque en effet de mobiliser une part importante des budgets disponibles sans atteindre pour autant les objectifs du Facteur 4 Une deuxi me intervention lourde sur un m me b timent d ici 2050 sera
128. tait recherch pour viter les strategies de conception qui ne miseraient que sur un nombre limite de disposition C est un ensemble d actions tout azimut qui permettra de realiser un score significatif favorisant ainsi la prise en compte d un maximum de thematiques avec une grande diversite dans les approches Cependant pour les plus nerg ticiens de nos observateurs on notera que l nergie repr sente 250 des 1000 points et qu associ e aux qualit s de l enveloppe elle agr ge pr s de 480 points Certaines r ponses qui ne sont pas encore de pratique courante mais qui m ritent d tre encourag es sont appr ci es au travers de bonus qui totalisent pres de 200 points en neuf soit 1 5 du maximum th orique de base 280 points en rehabilitation plus d 1 4 du maximum Ces points supplementaires viennent abonder ceux de base dans la limite du maximum de points attribuables a chaque famille d objectifs sans changement du score final qui reste a 1000 points Ils agissent donc comme des points de rattrapage En REHABILITATION Les 3 grands objectifs environnementaux vises en rehabilitation de batiment sont D Etablir un diagnostic du patrimoine r habiliter E R habiliter pour approcher les performances r glementaires des logements neufs et am liorer leur confort F Limiter les impacts des b timents et des usages sur environnement F14 Comportement Les repartitions de points entre les 3 f
129. tallation b n ficie d un contrat d entretien Capteurs plan vitr s A nd er gt sin ec m Zu 4 ur ii y z m 1 E E ea j d P NE gt ks FA 15 10 30 e saviez vous e Diff rents types de capteurs existent Les capteurs plan vitres les plus courants ont un rendement moyen et sont bien adaptes a la pro duction de chaleur basse temp rature 40 a 50 C Les capteurs a tubes sous vide ont un rendement sup rieur lls permettent d augmenter la production Bilan nerg tique KWh solaire pour une m me surface lorsque la surface Consommationi totale disponible est r duite ou lorsque un ciel sans nuage Source Le Moniteur Source ASDER Conception r alisation Tekhn Architectes ae ue on al nn ee ese cs me Lotissement Les Solaires a Aubou nergie sous un ciel couvert nn ene de Mein new occie e Une nergie d appoint reste toujours n cessaire 1 2200 a 2300 R partition pour assurer en toute saison une production d eau Les chaude ou de chauffage conforme aux besoins Pour Economie dues solaire autant le dimensionnement de l installation solaire m Consommation d appoint ne doit pas tre sur valu pour ne pas conduire une surproduction d nergie lorsque les besoins sont r duits et limiter ainsi la productibilite des capteurs Performances d un m me chauffe eau solaire utilis dans les m me
130. tanch it au niveau des d fauts d assemblage des l ments de paroi et peuvent compromettre la p rennit des mat riaux et du b ti ou favoriser les moisissures La mise en oeuvre d une isolation par l int rieur combin e avec un pare vapeur int rieur ne peut tre r alis e que si le mur est sec prot g des pluies battantes et qu il dispose d une barri re d tanch it contre l humidit ascensionnelle L UNION SOCIALE POUR L HABITAT 4 DE Bourgogne Photos Tekhn Architectes hi R sultat de la r habilitation profonde d un batiment ancien Un extracteur mont sur un con duit de ventilation existant permet d augmenter sensiblement le debit d air extrait dans le logement A viter une isolation renforc e des plafonds de ce logement a n cessit l occultation de la partie sup rieure des fen tres limitant par cons quent l clairage naturel E1 Bi ul TN ik Conception r alisation Tekhn Architectes Total M5 La teneur maximale de vapeur d ez u dans lair d pend de la temp rature Pour une teneur en eau donn e point A si la tem pr rature diminue en dessous du point de ros e indiqu par la courbe point B il y a condensation de l eau sous forme liqui de appara t et peut d grader le mat riau avec lequel elle est en contact moisissu sean res pourissement gel Source Jean Pierre Oliva po aller plus loin
131. tiques double d bit pe e La temp rature de stockage de l ECS est r gl e a 55 C Exploitation Assurer une maintenance efficace e Un contrat d exploitation de chauffage a t tabli aupr s d une entreprise qualifi e Qualibat les options du contrat ont t tudi es et seront r vis es r guli rement par un bureau d tudes sp cialis et une clause d interessement avec le chauffagiste a t tablie afin de garantir la ma trise des consommations Conception r alisation Tekhn amp Architectes Dans le cas d installations de chauffage lectrique un contrat de maintenance a t galement tabli pour l entretien des appareils la v rification des thermostats et des sondes 1 gt e Une p riodicit d intervention selon l quipement au minimum 2 fois par an en collectif variable suivant la taille des installations et le type d nergie utilis a t fix e all gt Exploitation Informer et sensibiliser les usagers e Une sensibilisation est faite dans le b timent afin d inciter les locataires a ne pas gaspiller l nergie a gt DCE BONUS e Si le chauffage est collectif des compteurs de chaleur sont pr vus dans chaque logement e Les syst mes de r gulation traditionnels compos s de vannes thermostatiques ont t remplac es par des sondes de temp rature pilotant des vannes lectriques sur les metteurs de chaleur Conception r alisation Tekhn Architectes Le gn de c
132. tre Sch ma d une cen Be trale photovolta que raccord e y au r seau Tableau lectrique Panneaux photovoltaiques E Ure Onduleur EA Panneaux ala gt i nt ala sy Ben photovoltaiques sur toiture Utilisations 4 Consommation e Association Hespul initiateur du concept de PV raccord r seau en France e Espaces Info Energie e Institut national de l nergie solaire pour notamment son logiciel de dimensionnement en ligne CALSOL e Systemes photovolta ques raccord s au r seau Guide de r daction du cahier des charges techniques de consultation destination du ma tre d ouvrage ADEME 2004 AA Panneaux photovoltaiques en garde corps LIMITER LES IMPACTS DES B TIMENTS ET DES MATERIAUX F1 0 i PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE USAGES SUR L ENVIRONNEMENT DES MATERIAUX e Le mat riau id al n existe pas La bonne approche concernant le choix d un ma t riau consiste donc trouver le bon compromis entre des crit res environnemen taux conomiques techniques architecturaux et patrimoniaux durabilit entre o r conisations pourguo e Recueillir une information environnementa tien souvent oppos s en n oubliant pas que la phase d utilisation plusieurs dizaines d ann es p se encore lourdement sur le le large et fiable pour d cider en conscience bilan global Par ailleurs il est important de mener des r flexions en parall le sur les mat
133. tre en uvre de nouvelles installations de production d nergies renouvelables olien solaire az a DCE e Si les logements restent quip s d un chauffage lectrique des syst mes de delestage automatique qui coupent l alimentation des appareils non prioritaires du loge ment certains radiateurs cumulus lave linge lave vaisselle par exemple et permettent de souscrire des abonnements de fourniture d lectricit de puissance inf rieure moins on reux ont t install s pour chaque logement an A gt Total IDO n rg Lave vaisselle saviez vous Le comparatif colo Watt de Fabricant See Greenpeace r v le de fortes Mod le disparit s entre les fournis seurs d lectricit Enercoop appara t de tres loin comme le seul a proposer aux con sommateurs une offre colo gique s rieuse e Lorsqu on double le d bit d un circulateur de chauf fage ou d un ventilateur sa consommation d electri cit est multipli e par 8 e Un ascenseur c bles et contrepoids a une con sommation de 2 3 fois inf rieure celle d un as censeur hydraulique v rin alors que son courant d appel lui est 5 fois inf rieur D autre part r duire les valeurs d acc l ration g n ratrices d appels de courant permet de r duire les surconsommations d lectricit e Une famille de 4 personnes attentive aux co nomies d energie consomme moins de 2000 kWh Efficacit de lavage LL
134. u tion des connaissances comme accepta bles et contr lables Ces risques sont con nus non seulement moyen terme mais aussi long terme Ils ont t identifi s tout au long du cycle de vie du mat riau et leur valuation durant sa dur e de vie int gre son mode d utilisation e Un mat riau naturel n est pas toujours synonyme de mat riau sain Par exemple l amiante qui est un mat riau d origine na turelle est reconnu comme canc rigene Il existe deux classifications du caractere canc rogenes des mat riaux une tablie par le CIRC Centre International de Re cherche sur le Cancer qui comprend 5 groupes et une de l Union Europ enne de 3 categories Quant aux isolants d origine animale com me la laine de mouton ils recoivent un trai tement antimite qui peut avoir des effets sur la sante e L Observatoire de la qualit de lair int rieur a effectue une hi rarchisation des polluants les substances sont class es comme hautement prioritaires formal d hydes benz ne particules radon tres prioritaires dioxyde d azote aca riens plomb monoxyde de carbone prioritaires biocides champs lectro magnetiques tres basse fr quence COV fibres min rales artificielles non prio ritaires ou inclassables e Les COV compos s organiques volatils possedent de multiples effets sur la sante pouvant occasionner de simples g nes ol factives
135. ul Plus Uw ou Ug est petit plus l l ment nT est isolant Couche neutre peu emissive 4 x O N BE LE QU AIME e le En t le soleil ne p n tre pas dans le b timent En hiver il le de 5 7 W m K Celui d un double vitrage classique est compris entre 2 1 et 2 6 W m K Celui d un dou ee oe je i Il existe d autres nombreux syst mes de protection brise so ble vitrage isolation thermique renforc e peut des Ext gt UR leil v lum tonnelle cendre jusqu 1 4 W m K 4 16 4 lame d air ou 1 1 W m K 4 16 4 lame argon et un triple vitrage E jusqu 0 55 Wim2 K Exigences pos es aux vitrages de protection solaire de tres haute qualit transmission lumineuse relativement lev e du vitrage pour la plage visible de la lumi re facteur solaire bas et remarquable iso lation thermique Exemple de protection solaire par casquette a lames horizontales e La temp rature de surface int rieur du double vitra ge peu emissif est au minimum de 10 C sup rieure a celle d un simple vitrage en hiver e Dans le cas particulier d une r novation partielle 45 N il ne faut pas oublier que le simple vitrage contribue l quilibre hygrom trique d un local en constituant une surface o le ph nom ne de condensation se d roule de mani re pr f rentielle Son remplacement par un double vitrage perturbe cet quilibre et peut entra ner la formation de co
136. urface n cessaire une personne pour produire les ressour ces naturelles qu elle consomme et pour liminer les d chets qu elle produit L empreinte cologique de la France est proche de 2 c est dire que le rythme actuel de consommation n cessite une deuxi me France pour subvenir nos besoins Lo _ E Nombres de plan tes Em Source WWF 1964 1967 1970 1973 1976 1979 1982 1985 1988 1991 1994 1997 Empreinte cologique mondiale en nombre de plan tes Conception r alisation Tekhn Architectes Source Casseurs de pub e Les habitants de l archipel de Tuvalu situ dans l oc an Pacifique constituent les premiers r fugi s climatiques de la plan te La mont e des eaux sa lees qui menace de disparition l archipel d ici 50 ans a pouss les habitants conclure officiellement un accord avec la Nouvelle Z lande pour l accueil des r fugi s e Une famille fran aise moyenne compos e de 4 5 personnes consomme 4 000 kWh an d lectricit sp cifique hors chauffage et eau chaude Une fa mille conome en nergie n en consomme que la moiti sans diminuer son confort our aller plus loin e ADEME www ademe fr e Liste des Espaces Info Energie http www ademe fr particuliers PIE InfoEnergie html e Gestes au quotidien www defipourlaterre org e Association Amis de la Terre www amisdelaterre org e Mission interminist rielle de l effet de serre http
137. ussi sensible qu aujourd hui e Adapter autant que possible l organisation e La production annuelle de d chets m nagers a doubl en 40 ans et peut tre r duite la source par la mise en place d un tri des logements et du b timent afin de permet s lectif qui pr sente le double int r t de permettre une valorisation mati re et une prise de conscience des volumes de d chets tre le tri des d chets m nagers rejet s e La valorisation mati re des emballages permet de limiter les pr l vements sur les ressources de mati res premi res De plus le fait de m langer les d chets impose d appliquer le traitement le plus co teux tous les d chets Le tri repr sente donc un moyen de r duire le co t global de traitement Beaucoup d emballages peu de recyclage D chets d emballage par personne Taux de recyclage des d chets d emballage Devenir des ordures m nag res en France et par an en 2002 en kilogrammes en 2002 en en 2004 selon les fili res de traitement en 4 f irlande ams 217 Allemagne 74 nn me hi pays Europ en produisant le plus de un nella a TETE Enfoulssement en chets d emballage Hallo k ER D une part cette croissance est en augmentation forte Pays Bas Su de tandis que dans d autres pays elles est progressivement Allemagne k Pays Bas p ralentie Union 15 176 Danemark Bn D autre part en France moins de la moiti de ces d chets dios rn 54 ce est recycl e Espagne Les F
138. utrements n cessaires ont t effectu s ai e Un test d tanch it r alis selon les r gles indique un d bit de fuite de 1 2 m h m de fa ade sous 4 Pa aL D 0 8 m h m de fa ade sous 4 Pa A liv Mettre en oeuvre une ventilation efficace en termes de qualit de Pair E ESQ Bonus En r novation lourde d pose des cloisons int rieures par exemple la distribution des logements permet une ventilation traversante u kp E v a APD e Un r seau de ventilation a t con u pour garantir dans tous les logements un renouvellement de l air conforme la r glementation u Ev 2 Chantier e L tanch it du r seau de ventilation existant ou neuf a t contr l e et corrig e de mani re ce que le d bit de fuite soit inf rieur ou gal 10 du d bit nominal Li Ta R ception e Le syst me de ventilation du b timent b n ficie d un contrat de maintenance incluant un contr le des d bits et des interventions dans les logements ar 5 lt DCE Mettre en oeuvre une ventilation qui limite les d perditions d nergie e Les extracteurs v tustes ont t remplac s par des ventilateurs centrifuges qui conservent des pressions constantes sur une plus grande plage de d bit en veillant ce que les moteurs ne soient pas surdimensionn s si le b timent ne disposait pas de systeme de renouvellement d air ventilation naturelle des extracteurs de type centri fuge ont t install s ab
139. v CON formald byde Rev tements chauffage de sols et murs ufage H RDORE poussi peinture vernis igaz p micro organismes Appareils enduits colles alae ry carbone combustions fibres humidit Stockage et er CON gaz carbonique vacuation des de carbone biocontaminants oxydes d azote d chets gaz carbonique acariens et poussi res micro organismes oxydes d acte autres biocides cow poussi res quipements allerg nes insectes humidit B timent et am nagements mat riaux et produits de construction Les relations entre sant et environnement Les tuyaux en PVC peu vent tre remplac s selon l usage par des tuyaux en gr s en poly thyl ne en polypropene L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O pe Bourgogne contre le bruit Cette directive concerne les emissions COV fibres humidite radia tions les performances acoustiques et la proliferation de micro organismes pendant la phase d utilisation des produits e La preservation du bois contre les alt rations biologiques du materiau doit eviter des desordres biologiques humains et en vironnementaux C est pourquoi aux USA l Agence de Protection de l environnement Caract ristiques Classification Intitul valu es Emissions chimiques C r Faibles missions Fortes missions ECA rapport n 18 1997 Emissions Protocole europ en radioactives R naturelles Faibles missions
140. x seront d origine locale e Le bois qui va tre mis en uvre dans le b timent est d origine locale ou d faut cocertifi PEFC Certification Foresti re gestion durable des for ts ou FSC Forest Stewardship Council pour ce qui concerne Les points sont compt s si les 4 propositions sont valid es la structure et ou charpente les sols les parois int rieures les portes et les escaliers les fen tres et les volets en te les bardages e L ensemble du bois qui va tre mis en oeuvre a t trait avec des produits faible impact sur l environnement produits naturels ou b n ficiant d un colabel euro p en ou quivalent ou selon des techniques alternatives au traitement classique du bois s chage ou chauffage du bois haute temp rature ol othermie ASAM ou encore volontairement laiss sans traitement particulier ai gt e Les fen tres tout alu en raison de l importance de l nergie grise de l aluminium seront vit es au EB L nergie grise d un mat riau repr sente la quantit d nergie n cessaire a son extraction ou a sa r colte sa transformation son transport et sa mise en uvre sur le chantier sans toutefois oublier que cette nergie grise sera toujours d un ordre de grandeur tr s inf rieur l nergie consomm e par le b timent au cours de sa vie e Le PVC sera vit pour Les points sont compt s si au moins 3 des 4 propositions sont valid es
141. xe 4 de l arr t du 15 septembre 2006 relatif au DPE fixe les niveaux d mission de CO pour chauge type d nergie po aller plus loin e Lois d crets arr t s parus au J O www journal officiel gouv fr frameset html e Minist re du logement et de la ville www logement gouv fr e Etude sur la basse Energie appliqu e aux b timents anciens Enertech 2005 programme Energivie www energivie fr rubrique documentation e Am lioration nerg tique des b timents les bonnes solutions FFB F d ration Francaise du b timent ADEME 2004 e R habilitation guide d valuation des travaux ANAH t l chargeable www anah fr L UNION SOCIALE POUR L HABITAT O pe Bourgogne Consommation d nergie secondaire reelle et sans amelioration de l efficacit nerg tique de 1990 2004 1 40 1 00 Ez Valeur indice de 1940 1900 1991 1990 1900 1904 1905 1906 1997 1958 1099 1000 2001 2002 2003 2004 ANPE gt Cor en at d energie malra Sor Amcor alan de l efficacit nerg tique Consommation d nergie r elle Notre consommation nerg tique augmente d ann e en annee elle peut tre significativement r duite en am liorant la performance nerg tique du b timent Toiture 30 Source ADEME Sols 7 D perditions thermiques d une maison non isol e La Thermographie Infrarouge est une technologie efficace pour localiser les probl mes de d pe

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