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RST 136, décembre 2013 - Références en santé au travail

1. nionsr glementaireset pour2296 20 18 il s est r uni plus souvent I 3 0 1 1 J Existence de Existence d lus Absence de d l gu s syndicaux non syndicaux repr sentants du personnel dans l tablissement 4 Ces proportions sont proches de celles Lecture selon les m decins du travail 56 des salari s travaillant dans des petits tablissements moins fournies par les repr sentants de la direc de 50 salari s couverts par un d l gu syndical sont aussi couverts par un CHSCT tion interrog s dans l enqu te REPONSE Champ salari s de France m tropolitaine et de la R union respectivement 28 43 et 29 Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 x Figure2 gt NOMBRE DE R UNIONS DU CHSCT SELON LA TAILLE DE L TABLISSEMENT D APRES LES MEDECINS DU TRAVAIL de salari s couverts 100 80 60 40 20 Lecture pour 12 6 des salari s travaillant dans des tablissements de 10 salari s ou moins et 0 couverts par un CHSCT le m decin du travail signale que ce dernier s est r uni moins de 4 fois 19 salari s Entre 11 et Entre 50 et Plus de Tous dans les 12 mois pr c dant l enqu te SUMER au moins 40 salari s 499 salari s 500 salari s 2015 WAGE 3 PE Champ salari s de France m tropolitaine et de 4r unions ne sait pas le nombre de r unions La R union moins de 4 r unions L plus de 4 r unions Source DGT DARES DGAFP enqu te SU
2. 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent Toujours 25 Au cours des 12 derniers mois quel a t votre kilom trage annuel de conduite professionnelle kilom tres 26 Au cours des 12 derniers mois combien de fois avez vous t oblig de dormir dans votre voiture nuits gt gt LORS DE VOTRE DERNI RE MISSION 27 Lors de votre derni re mission avez vous pu rentrer chez vous 2 Tous les soirs 2 Au moins une fois par semaine 2 Au moins une fois par quinzaine 2 Au moins une fois par mois 2 Moins d une fois par mois 28 Lors de votre derni re mission comment tiez vous h berg plusieurs r ponses possibles 2 Domicile 2 Famille proche du lieu de la mission 2 H tel Gite ou mobile home 2 Caravane camping car J Tente J Autres 29 Lors de votre derni re mission comment avez vous pris le plus souvent vos repas du midi une seule r ponse 2 Cantine d entreprise 2 Sandwich 2 Gamelle plats cuisin s 2 Dans le lieu de r sidence 2 Restaurant 1 Pas de repas le midi 30 Lors de votre derni re mission comment avez vous pris le plus souvent vos repas du soir une seule r ponse J Cantine d entreprise 2 Sandwich 2 Gamelle plats cuisin s 2 Dans le lieu de r sidence 1 Restaurant 2 Pas de repas le soir 62 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 31 Combien fumez vous de cigarettes par
3. de pr vention valuation mais ne sait pas si plan de pr vention document d valuation plan de pr vnetion illi Entre 11 et 40 salari s 10 salari s au moins Plus de 500 salari s Entre 5o et 499 salari s Tous Lecture pour 8 des salari s travaillant dans des tablissements de 10 salari s ou moins les m decins du travail signalent l existence d un document unique d valuation des risques et d un plan de pr vention et pour 50 de ces salari s les m decins ne savent pas r pondre Champ salari s de France m tropolitaine et de La R union Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 83 VU DU TERRAIN de pr vention qui pourraient y exister sont peu visibles et peut tre de ce fait peu op rants Enfin selon les m decins du tra vail 33 des salari s auraient b n fici de lintervention d un expert intervenant en pr ven tion des risques professionnels ou IPRP au cours des douze derniers mois figure 4 et tableau I LES DISPOSITIFS FORMALIS S DE PR VENTION SONT PLUS FR QUENTS DANS LES GRANDS TABLISSEMENTS ET LA FONCTION PUBLIQUE Plus la taille de l tablissement est importante plus les salari s disposent d une repr sentation collective du personnel et plus la pr vention est formalis e dans des dispositifs connus du m decin du travail figure 1 C es
4. estimer que son temps de repos quotidien est insuffisant OR185 1C 95 1024 333 p lt 0 05 ILestint ressant de noter qu il n est pas retrouv d association signifi cative l issue de l analyse multi vari e entre l ge et avoir des pathologies g nantes pour le travail dans le nucl aire et en rapport avec le travail P NIBILIT RESSENTIE Trouver le travail en secteur nu cl aire plus p nible que le travail hors secteur nucl aire 28 4 de l ensemble des salari s est signifi cativernent associ l organisation du travail avoir des travaux terminer dans l urgence OR 1 93 IC 95 13 27 p lt 0 001 ne pas se sentir toujours en s cu rit lors du travail en zone contr l e ou surveill e OR 1 66 IC 95 12 2 4 p lt 0 01 souhaiter changer de travail pour des raisons financi res OR 25 IC 95 1 4 4 3 p lt 0 01 e travailler dans l lectricit OR 0 5 IC 95 0 3 0 8 p lt 0 01 la climatisation le chauffage ou la plomberie OR 0 47 IC 95 0 24 0 91 p lt 0 05 qui apparaissent protecteurs L aussi il est int ressant de noter qu il n est pas retrouv d association significative l issue de l analyse multivari e entre l ge et trouver le travail plus p nible en secteur nu cl aire Trouver le travail en secteur nu cl aire moins p nible que
5. 4451 139 ne per mettent pas de r duire l exposition des travailleurs en dessous des niveaux mentionn s ces m mes articles la surveillance dosim trique consiste selon le cas en une mesure en temps diff r partir de dosim tres individuels sp cifiques et adapt s la nature du risque ou en une valuation par calcul 4 1 1 Lorsque l exposition est externe la surveillance dosim trique est r alis e au moyen d une dosim trie passive dans les conditions pr vues l annexe I du pr sent arr t 20 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 4 1 2 Lorsque l exposition r sulte de l inhalation des ra dionucl ides naturels en suspension dans l air descen dants vie courte des isotopes 222 et 220 du radon et ou metteurs alpha vie longue des chaines de l ura nium et du thorium pr sents dans les poussi res en suspension dans l air la surveillance dosim trique est r alis e au moyen d un dosim tre sp cifique adapt pour une mesure int gr e sur la p riode d exposition Le dosim tre doit estimer les activit s inhal es asso ci es la fraction alv olaire de l a rosol pr sent avec une mesure en temps diff r 4 1 2 1 Modalit s du port du dosim tre Le dosim tre est individuel et nominatif Lidentifica tion du travailleur doit exclure toute quivoque Il est port de fa on permettre un contr le repr sentatif du risque d inhalation rencontr par le
6. Des exercices r guliers et une bonne condition physique vous aident garder la forme et un dos en bonne sant gt Vous devez prendre votre vie en main Ne laissez pas votre mal de dos vous envahir 118 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 8 Drapeaux rouges jaunes bleus et noirs chez le travailleur lombalgique 8a Drapeaux rouges 16 1 Douleur de type non m canique douleur d aggravation progressive pr sente au repos et en particulier durant la nuit 2 Sympt me neurologique tendu d ficit dans le contr le des sphincters v sicaux ou anaux atteinte motrice au niveau des jambes syndrome de la queue de cheval 3 Paresth sie au niveau du pubis ou p rin e 4 Traumatisme important telle qu une chute de hauteur 5 Perte de poids inexpliqu e 6 Ant c dent de cancer pr sence d un syndrome f brile 7 Usage de drogue intraveineuse ou usage prolong de corticoides par exemple th rapie de l asthme 8 D formation structurale importante de la colonne 9 Douleur thoracique rachialgies dorsales 10 ge d apparition inf rieur 20 ans ou sup rieur 55 ans 1 Fi vre 12 Alt ration de l tat g n ral 8b gt Drapeaux jaunes indicateurs psychosociaux d un risque accru de passage la chronicit et ou d incapacit prolong e 17 Probl mes motionnels tels que la d pression l anxi t le
7. Le droit au travail un droit pour tous les hom mes Historique et l gislation sur le handicap au travail gt Travail et handicap de la pr vention de la d sinsertion professionnelle au maintien dans l emploi gt Faire avec un handicap dans le monde du travail tactiques et strat gies Handicap psychique et travail de l exception la r gle Regard sociologique sur un handicap pas comme les autres gt Insertion et pr vention de la d sinsertion professionnelle Politiques et missions institutionnelles Une d marche incontournable la pluridisciplinarit Table ronde La prise en compte du handicap en situation professionnelle regard sur les pratiques Comment d velopper les partenariats RENSEIGNEMENTS INMA 14 rue Auguste Comte 37000 TOURS T l 02 47 66 6107 Fax 02 47 66 08 28 corinne levy inma fr www inma fr 11 13 F VRIER 2014 ESPOO Finlande Conf rence internationale sur la pr vention et la surveillance des maladies li es l amiante Th mes Surveillance des expositions Maladies li es l amiante M canismes et causes pid miologie et volution des maladies li es l amiante gt Surveillance de la sant biomarqueurs et outils de diagnostic D pistage du cancer du poumon li l amiante Exposition l amiante dans les travaux de d samiantage RENSEIGNEMENTS Finnish Institute of Occupational Health FIOH International
8. 17 Au cours des 12 derniers mois avant de commencer un chantier avez vous eu des informations radiologiques fiables doses pr visionnelles individuelles cartographie de votre zone de travail pr sence de zones contamin es 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent Toujours 1 Non concern 18 Au cours des 12 derniers mois vous est il arriv de travailler plus de 8 heures par jour 1 Jamais l Occasionnellement Souvent 1 Toujours 19 Au cours des 12 derniers mois connaissiez vous votre ordre de mission date amp lieu suffisamment l avance pour vous organiser 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent Toujours 20 Au cours des 12 derniers mois vous est il arriv de travailler plus de 5 jours de suite 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent Toujours 21 Au cours des 12 derniers mois votre temps de repos quotidien a t il t suffisant 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent Toujours 22 Au cours des 12 derniers mois avez vous eu au moins deux jours par semaine de repos cons cutifs Jamais l Occasionnellement 1d Souvent 1 Toujours 23 Au cours des 12 derniers mois vos horaires de travail ont ils t d cal s post s de nuit week end astreintes 1 Jamais l Occasionnellement Souvent 1 Toujours 24 Au cours des 12 derniers mois avez vous roul de nuit d un site l autre ou pour retourner chez vous
9. SELON LES M DECINS DU TRAVAIL de salari s couverts 100 80 60 40 20 Entre 11 et 40 salari s 10 salari s au moins oui Lecture selon les m decins du travail 6 des salari s travaillant dans des tablissements de 10 salari s ou moins ont b n fici de l intervention d un expert ext rieur intervenant ou autre Entre 50 et 499 salari s Plus de 500 salari s Tous non ne sait pas consultant en pr vention des risques professionnels au cours des 12 derniers mois Champ salari s de France m tropolitaine et de la R union Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 84 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 mesure ces facteurs sont li s au d veloppement de la pr vention tel que le percoivent les m decins tableau I taille secteur et implantation syndicale identiques les CHSCT sont plus pr sents quand les sala ri s travaillent en quipes tra vail post 2x8 3x8 qu ils sont soumis un bruit intense ou des radiations la pr sence de ces risques professionnels qui font l objet dans le Code du travail de dispositions sp cifiques instau rant des obligations de pr ven tion pour les employeurs favo rise aussi des dispositifs comme l intervention d experts l valua tion des risques ou la d finition de plans de pr vention Ces pra tiques sont galement plus d ve
10. m thodes de l ergonomie et 02 06 2014 au 06 06 2014 et Neuves dans la d marche de Maisons pr vention ou 17 11 2014 au 21 11 2014 et 08 12 2014 au 12 12 2014 Paris hors site et Paris D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 197 AGENDA FORMATIONS D marches m thodes outils Code JA2301 JA2330 JAo130 JA1731 JA1770 JA2331 Stage Session Dur e Date Lieu Co t net S initier aux m trologies 1 4 jours 20 01 2014 au 24 01 2014 Neuves 1035 employ es pour Maisons la caract risation des expositions professionnelles Exp rimenter une 1 4 jours 20 10 2014 au 24 10 2014 d terminer 1035 m thode d identification et de pr vention des risques Analyser les accidents et 1 4 jours 17 02 2014 au 21 02 2014 Neuves 1035 incidents parla m thode ou 06 10 2014 au 10 10 2014 Maisons de l arbre des causes Vandoeuvre l s Nancy Analyser a posteriori des 1 4 jours 08 12 2014 au 12 12 2014 Vandoeuvre 1035 v nements graves dus l s Nancy aux risques psychosociaux Mettre en uvre 1 4 jours 24 11 2014 au 28 11 2014 Paris 0350 un entretien et une Observation dans le cadre d une action de pr vention des risques psychosociaux Savoir travailler en 1 5 jours 14 01 2014 au 16 01 2014 Paris 1294 pluridisciplinarit dans le champ de la sant et de la s curit au travail et 25 03 2014 au 26 03 2014 Risques sp cifiques Code Stage Session Dur e Date Lieu Co t net
11. nantes pour le travail en nucl aire c est dire questionnant le main tien dans l emploi Autrement dit le m decin du travail compte tenu de sa connaissance du milieu de tra vail et du suivi r gulier des salari s particuli rement pour les m decins qui surveillent les sous traitants du nucl aire est habitu dans sa pra tique pr ter la plus grande atten tion ce que dit un patient ou un salari peut alors d pister d s l entretien m dicoprofessionnel les pathologies potentielles cibles qui seraient la cons quence d un travail p nible PISTES DE PR VENTION Marie Curie disait dans la vie rien n est craindre tout est com prendre et on ne fait jamais at tention ce qui a t fait on ne voit que ce qui reste faire Comprendre faire comprendre agir concerne les pr venteurs les salari s et tous les acteurs des entre prises La formation et la circulation des informations sont des tapes essentielles la pr vention Cette tude qui contribue une meilleure compr hension de ce secteur professionnel incite pour suivre la d marche d am lioration des conditions de travail des salari s de la sous traitance du nucl aire Elle permet de d gager des pistes de pr vention dont certaines ont d j t prises en compte dans les strat gies industrielles comme l int gra tion d une d marche contractuelle de pr ve
12. tembre 2013 pp 14947 14948 Arr t du 23 ao t 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 4 sep tembre 2013 p 14948 Arr t du 23 ao t 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 4 sep tembre 2013 pp 14948 14949 Arr t du 2 octobre 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 12 octobre 2013 p 16868 Arr t du 2 octobre 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 12 octobre 2013 pp 16868 16869 Arr t du 2 octobre 2013 modifiant la liste des tablissements et des m tiers de
13. Enfin la contamination des bassins et circuits d eau par des micro organismes bact ries spores moisissures peut tre responsable de pneumopathie d hypersensibilit PHS ou de granulomatose pulmonaire PHS like Le diagnostic tiologique de ces sympt mes et affections respiratoires repose sur l histoire m dicale rapport e en particulier l existence d une rythmicit professionnelle av r e et sur la caract risation des expositions atmosph riques Dans le rare cas des pathologies immuno allergiques le dosage d IgE ou d IgG sp cifiques peut contribuer au diagnostic La pr vention repose essentiellement sur la r duction du niveau d exposition la trichloramine Affection respiratoire piscine ma tre nageur chloramine pneumopathie d hypersensibilit asthme baln oth rapie spa es personnels des pis cines centres de bal n oth rapie et de loisirs aquatiques rapportent fr quemment des symp t mes rhino conjonctivaux voire respiratoires en lien avec leur activi t professionnelle s agit principa lement de sympt mes d irritation des muqueuses li s notamment la pr sence de chloramines dans mosph re des bassins couverts d sinfect s au chlore Plusieurs tudes pid miologiques men es ces der ni res ann es en France et l tran ger ont montr lexistence d une relation dose effet entre l exposi tion aux chloramines en particulier la trichloramine et l existe
14. au res taurant 28 6 la gamelle 7 6 un sandwich 3 3 96 la can tine d entreprise 0 9 Quelques salari s ne prennent pas de repas le soir 1 6 HABITUS DE VIE Ces salari s d clarent en moyenne fumer 6 17 cigarettes par jour de o 50 les non fumeurs o ciga rette sont 56 5 et les fumeurs 43 5 En moyenne ils d clarent consom mer 0 9 verre d alcool par jour de o 11 les non buveurs o verre repr sentent 50 3 et les bu veurs 49 7 6 Pr s de 42 des salari s d clarent pratiquer une activit sportive SANT PERCUE PAR LES SALARIES Apr s regroupement des r ponses cf Analyse statistique p 54 25 6 des salari s d clarent tre fatigu s 17 ont des troubles du sommeil 16 8 sont anxieux tendus ou d prim s Quatre vingt onze pour cent des salari s jugent que leur tat de san N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 t est globalement bon 8 6 qu il est mauvais 0 4 tr s mauvais et 0 6 6 tr s bon Trente six pour cent des salari s d clarent avoir des difficult s pour acc der aux soins SOUHAIT DE CHANGER DE TRAVAIL ET P NIBILIT Trente neuf pour cent des salari s d clarent qu ils aimeraient chan ger de travail du fait des d placements 23 1 de motifs familiaux 124 dela p nibilit du travail 8 2 96 de raisons financi res 8 9
15. ce secteur Ils sont aussi pr occupants parce que les conditions de vie et de travail ne permettent pas toujours une hygi ne de vie ad quate et un suivi m dical r gulier qui pour raient les viter ou au moins les d pister assez t t pour qu ils soient soign s et ne s aggravent pas Cette tude porte sur l ensemble des m tiers du nucl aire et des dispari t s importantes existent entre des populations s dentaires en ho raires de jour travaillant sur un seul site et les populations nomades se d placant d un site l autre au gr des obligations d interventions en arr t de tranche C est surtout au sein de cette derni re popu lation qu ont t observ es tant des contraintes de vie et de travail qu une anciennet des salari s plus importante et que les difficult s de maintien au poste peuvent se pr senter compte tenu des r percus sions possibles de ce travail sur l tat de sant Les signes d appel d un travail v cu comme p nible pourraient tre d clarer travailler dans l urgence d clarer ne pas se sentir en s cu rit Estimer son temps de repos suffi sant est associ un v cu moins p nible du travail Ce qui est rap procher de l association retrouv e entre le temps de repos quotidien estim insuffisant et la pr sence de pathologies li es au travail et mettant en question le maintien en secteur nucl aire Le jugement du salari sur sa sant
16. d finies en cons quence et ont eu des effets positifs que r v le la comparaison des situations avant et apr s ici et ailleurs Les autres contributions partagent ce m me avis g n ral certaines empruntant des voies similaires pour le d montrer Ainsi en em ployant le m me mod le pour examiner la situation d autres po pulations plusieurs contributeurs apportent des preuves suppl mentaires du lien entre manque de reconnaissance et stress des travailleurs D autres locuteurs mobilisent ce m me mod le ainsi que d autres r f rentiels reconnus pour identifier les populations a priori les plus expos es aux fac teurs de risques psychosociaux sur lesquelles les efforts de pr vention pourraient s orienter C est ainsi que par exemple T Lesuffleur Chastang I Niedhammer Institut national de sant et de la recherche m dicale INSERM S Boini INRS et M B que Direc tion de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES attirent lattention sur le cas des cat gories professionnelles les moins qualifi es en France les ouvriers et les employ s D apr s l enqu te SUMER 2010 ils sont surexpos s la quasi totalit des facteurs psychosociaux au travail faible autonomie d cisionnelle faible utilisation des comp tences faible latitude d cisionnelle faible soutien social de la hi rarchie et faible soutien de la hi rarchie et de leurs coll gues pour les fe
17. et trouver le tra vail en secteur nucl aire moins p nible que hors secteur nucl aire est surprenante En effet la pr carit d emploi est un facteur de risque qui pourrait aggraver la perception de la p nibilit Mais il est possible aussi que ne pas tre en CDI laisse pour ces salari s la porte ou verte aux espoirs de changements et diminue ainsi la perception de la p nibilit La population tudi e comporte une majorit d employ s techni ciens agents de maitrise et cadres 85 5 Cette population de sala ri s des entreprises sous traitantes du nucl aire en le de France exclut une partie des ouvriers du nucl aire comme les salari s de la sous traitance en cascade et cer tains salari s venant d autres pays suivis au plus pres des sites hors le de France L tude nationale STED portait exclusivement sur les sous traitants d EDF et recensait 44 d ouvriers 1 Dans l chan tillon tudi qui s int resse aux sous traitants intervenant dans tous types d INB les ouvriers sont moins repr sent s que dans l tude STED mais l analyse montre qu ils sont les plus concern s par les ac tivit s multiples reflet d une cer taine polyvalence p 0 001 Il existe probablement un effet d auto s lection l embauche les salari s ne souhaitant pas travail ler en grand d placement pour des raisons de choix de vie et les salari s ayant une angoisse parti culi re face au
18. la fois la l gitimit et l obligation r glementaire de garantir la sant au travail de leurs employ s ainsi qu aux repr sentants des salari s Intervenants des soins de sant Ces recommandations sont gale ment destin es aux m decins trai tants et sp cialistes intervenant dans la prise en charge des per sonnes lombalgiques m decins traitants m decins sp cialistes tels que rhumatologues m decins de m decine physique et r duca tion orthop distes notamment en ce qui concerne la coordination des prises en charge des travail leurs lombalgiques et la lev e des obstacles au retour au travail Certaines recommandations peu vent concerner les auxiliaires m dicaux participant cette prise en charge kin sith rapeutes infir mi res ergoth rapeutes Intervenants dans le champ m dico social et administratif Ces recommandations selon les situations des personnes lom balgiques peuvent s adresser d autres professionnels partici pant leur prise en charge m dico sociale m decins conseils de l Assurance maladie travailleurs sociaux charg s d insertion et de maintien dans l emploi r f rents handicap psychologues 3 2 Travailleurs concern s Ces recommandations s ap pliquent tous les travailleurs expos s des activit s de MMC dans le cadre professionnel Elles concernent la population adulte en ge de travailler dans les dif f rents cas de figur
19. le type de temps de travail la cat gorie socioprofessionnelle le secteur d activit et la taille de l tablissement Les distributions de r f rence sont issues des d clarations annuelles de donn es sociales DADS de l enqu te Emploi de l Institut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE et de sources sp cifiques pour certains secteurs professionnels groupes EDF et GDF Suez SNCF La Poste Air France les trois fonctions publiques et la mutualit sociale agricole 2 L enqu te couvre environ 40 des agents de la fonction publique d tat Ne sont pas couverts les agents du minist re de la Justice ceux des minist res sociaux et les enseignants du minist re de l duca tion nationale 3 Ces r sultats sont tr s proches de ceux de l enqu te REPONSE 2010 sur le champ commun tablissements du secteur mar chand de plus de 10 salari s respective ment 61 et 59 de salari s couverts voir encadr 3 tableau A pages suivante D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 79 VU DU TERRAIN TableauI gt LA PR SENCE DES DISPOSITIFS DE PR VENTION D APR S LES M DECINS DU TRAVAIL SELON LES CARACT RISTIQUES DES TABLISSEMENTS ET DES POSTES DE TRAVAIL Tous salari s NATURE DU SERVICE DE SANT AU TRAVAIL Service interentreprises Service autonome M decine de pr vention CARACT RISTIQUES DE L TABLISSEMENT Taille Secteur
20. pour la d tresse psychologique Rolland 1998 Une autre tude r alis e aupr s de travailleurs sociaux N 346 porte sur le lien entre les dimen sions du travail valu es parl IDAP et le burnout valu par le MBI cf FRPS 26 Des r gressions mul tiples montrent que l puisement motionnel est pr dit au sens statistique du terme par trois chelles de l IDAP le feedback en provenance d autres personnes le conflit de r le et la clart de r le Ces trois chelles expliquent 14 2 de la variance de l puise ment motionnel La d shumani sation est pr dite parles stresseurs de r les clart et conflits de r les Ces deux chelles expliquent 8 de la variance de la d shumanisation L accomplissement personnel au travail est pr dit par la clart de r le et la vari t de la t che 13 de la variance expliqu e Pezet Langevin et Rolland 1999 e Validit de structure interne La validit interne de l IDAP a t test e par un ensemble d analyses factorielles confirmatoires sur un chantillon de 346 travailleurs so ciaux Pezet Langevin et Rolland 1999 Rolland 1995 Quatre chelles sur les six del adap tation francaise du Job Diagnostic Survey JDS sont satisfaisantes au regard de l unidimensionnalit des items et dela consistance interne s agit des chelles mesurant la vari t de la t che l impact de la t che l autonomie et le feedback de la part de
21. pro poser des mesures individuelles telles que mutations ou transformations de postes justifi es par des consid rations relatives notamment l ge la r sistance physique ou l tat de sant phy sique et mentale des travailleurs L employeur est tenu de prendre en consid ration ces propositions et en cas de refus de faire conna tre les motifs qui s opposent ce qu il y soit donn suite D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 109 PRATIQUES ET M TIERS sant au travail du maintien dans lemploi de l assurance maladie et de l entreprise une intervention sur l organi sation du travail dont le conte nu des t ches et les conditions de travail un programme de r adapta tion fonctionnelle incluant un reconditionnement physique intensif grade A Faisabilit d une pr vention int gr e du risque rachidien li aux MMC La pr vention du risque rachidien li la MMC doit s inscrire dans la politique de gestion des risques professionnels de l entreprise en int grant les trois niveaux de pr vention primaire secondaire et tertiaire afin de coordonner les actions et de les planifier en fonc tion de l valuation des risques Y compris dans les situations de tra vail o les interventions primaires manquent d efficacit il est pos sible de r duire la s v rit des cas et d am liorer leur pronostic par des actions de pr v
22. ipubli inserm inist fr bitstream handle 10608 154 expcol 2003_alcool pdf sequence 1 4 De Wir DJ EM OrrorD DR AC Age at first alcohol use a risk factor for the development of alcohol disorders Am J Psychiatry 2000 157 745 50 5 PicHeroT Muzstack Hazamr I Gras D ET AL Alcool et adolescence J P diatr Pu ric 2007 20 8 321 24 6 INSERM Alcool Effets sur la sant Expertise collective INSERM 2001 www ipubli inserm fr bitstream handle 10608 168 expcol 2001 alcool pdf sequence 1 7 HACHE P VALLADEAU AS Gavet C Pratiques addictives en milieu de travail Principes de pr vention dition INRS ED 6147 Paris INRS 2013 31 p D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 191 VOTRE SERVICE 193 AGENDA FORMATIONS p 201 LIRE VOIR P 208 JURIDIQUE N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 24 JANVIER 2014 PARIS France R union de la Soci t francaise de la m decine du travail SFMT Th me Nouveaut s sur les effets sur la sant de l exposition professionnelle aux pesticides RENSEIGNEMENTS SFMT Service de m decine du travail et des maladies professionnelles CHU de Rouen 1rue de Germont 76000 Rouen www chu rouen fr sfmt 31JANVIER 2014 TOURS France Colloque de l Institut national de m decine agricole INMA Handicap et travail Th mes
23. valuation visuelle analogique EVRP valuation des risques professionnels Fear Avoidance and Beliefs Questionnaire HAS Haute Autorit de sant HSE Health amp Safety Executive Grande Bretagne INRS Institut national de recherche et de s curit INSERM Institut national de la sant et de la recherche m dicale InVS Institut de veille sanitaire IPRP Intervenant en pr vention des risques professionnels 3v Encadr 1 IRSST Institut de recherche Robert Sauv en sant et s curit du travail Qu bec Canada MIRT M decin inspecteur du travail MMC Manutention manuelle de charges MP Maladie professionnelle NIOSH National Institute for Safety and Occupational Health USA OMPSO rebro Musculoskeletal Pain Screening Questionnaire OMS Organisation mondiale de la sant OPPBTP Organisme professionnel de pr vention du b timent et des travaux publics RFR Restauration fonctionnelle du rachis ROTH Reconnaissance de la qualit de travailleur handicap TMS MS Troubles musculosquelettiques des membres sup rieurs SAMETH Service d appui au maintien dans l emploi des travailleurs handicap s SFMT Soci t francaise de m decine du travail D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 91 PRATIQUES ET M TIERS INTRODUCTION Les recommandations de bonne pratique RBP sont d finies dans le champ de la sant comme de
24. www chu rouen fr sfmt pages Recommandations php Promoteur des recommandations soci t francaise de m decine du travail En collaboration avec Institut national de recherche et de s curit INRS Section rachis de la Soci t francaise de rhumatologie SFR Institut national de sant et de la recherche m dicale INSERM Service de sant au travail et ducation la sant STES de l Universit de Li ge gt ABR VIATIONS ET ACRONYMES ACOEM American College of Occupational and Environmental Medicine AFNOR Association francaise de normalisation AGEFIPH Association de gestion des fonds pour l insertion des personnes handicap es ANACT Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail ANAES Agence nationale d accr ditation et d valuation en sant ANSES Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail AT Accident du travail CNAMTS Caisse nationale de l Assurance maladie des travailleurs salari s CARSAT Caisse d assurance retraite et de sant au travail CHSCT Comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CISME Centre interservices de sant et de m decine du travail en entreprise DGT Direction g n rale du travail minist re du Travail DMST Dossier m dical en sant au travail ECF valuation des capacit s fonctionnelles ETUI Institut europ en pour la sant au travail EVA
25. 10 UT L sans d passer un total de six injections Un dosage des anticorps anti HBs est effectu un deux mois suivant la derni re injection 4 Dans le cas o la personne aurait d j recu six doses ou plus en vertu d un sch ma vaccinal pr c dem ment en vigueur le m decin du travail ou le m decin traitant d termine s il y a lieu de prescrire l injection d une dose de vaccin suppl mentaire Dans l affirma tive un dosage des anticorps anti HBs est effectu un deux mois suivant cette injection 5 Si l issue du dosage mentionn aux 3 et 4 le taux d anticorps anti HBs est sup rieur 10 UI L les per sonnes concern es sont consid r es comme immuni s es contre l h patite B sans qu il y ait lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vacci nale suppl mentaire d faut elles sont consid r es comme non r pondeuses la vaccination 26 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ATLAS DE DERMATOLOGIE PROFESSIONNELLE Les dermatoses professionnelles en images sur le site www atlasdedermatologieprofessionnelle com L Atlas de dermatologie professionnelle a t mis en ligne afin d apporter une aide aux m decins du travail dermatolo gues allergologues et m decins g n ralistes pour le diagnostic positif des derma toses par l analyse s miologique des l sions cutan es l mentaires et la pr sentation des principales dermatos
26. 2010 de fortes diff rences d exposition selon les secteurs Dares Anal 2013 10 1 12 galement publi dans Vu du terrain TF 207 R f Sant Trav 2013 133 59 74 2 Courror T Le r le des comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail en France une analyse empirique Trav Emploi 2009 117 25 38 3 Warrers D NicHors T Eps Workplace Health and Safety International Perspectives on Worker Representation Basingstocke Palgrave Macmillan 2009 248 p 13 valu e par la r ponse la ques tion comment est votre tat de sant g n ral ou par la d claration d tre limit e depuis au moins 6 mois cause d un probl me de sant dans les activit s que les gens font habituellement 14 Hospital Anxiety and Depression Scale HAD score nor malis d anxi t et de d pression D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 89 G KERBAOL INRS Infirmi re collage 800 Infirmi re soufflage Sujet 20 minutes collage 50 8 ppmy Infirmi re au soufflage 35 5 ppmy Sujet 26 9 ppmy ntration en oxyde de di thyle ppmy 8 Concei o L T T T T T 3500 370 3900 4100 430 450 470 490 5100 5300 550 Temps s Fig 2 Expositions individuelles durant un collage ppm partie par million en volume EDWIGE BSIP Vous avez r alis
27. Commission on Occupational Health ICOH helsinkiasbestos20140ttl fi www ttlfi en international conferences helsinki asbestos 2014 19 MARS 2014 PARIS France Journ e Recherche de l Institut interuniversitaire de m decine du travail de Paris le de France IIMTPIF Risques et pr vention dans les branches professionnelles Th mes Les m tiers de la propret D finition et donn es d mographiques en France et en le de France gt Les risques physiques pathologies outils pour l valuation du risque Les risques chimiques le rep rage des expositions les pathologies cutan es les pathologies respiratoires Les risques li s l organisation du travail Pr vention technique et pr vention m dicale en pratique Donn es d actualit s sp cifiques de branches professionnelles gt L valuation du risque li la pr paration et la manipulation de cytostatiques anticanc reux effets connus sur la sant biom trologie m trologie environnementale Tuberculose d pistage chez les personnels de sant Le milieu de la coiffure Bilan des tudes pid miologiques sur les troubles de la reproduction chez les professionnels de la coiffure valuation des risques et conduite tenir vis vis de la coiffeuse enceinte RENSEIGNEMENTS Secr tariat de l IIMTPIF T l 0157022304 sabina strazel chicreteil fr D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAV
28. Des tudes de s ropr valence ont t men es en population g n rale et en milieu professionnel dans de nombreux pays Les r sultats varient consid rablement mais les diff rences observ es doivent tre interpr t es avec pr caution car celles ci peuvent tre li es aux m thodes s rologiques utilis es type de test fixation du com pl ment ELISA enzyme linked immunosorbent assay immuno fluorescence indirecte nature de l antig ne utilis seuil de positivit retenu Les tudes ne sont pas com parables entre elles non plus si le contexte pid miologique diff re investigations en cas d pid mies humaines ou d avortements chez les animaux screening non orien t ou si la taille d chantillon est diff rente En France des enqu tes s ro pid miologiques ont rapport une s ro pr valence en population g n rale variant de 5 8 6 Marseille 13 14 et une pr valence plus lev e en zone rurale notamment dans les zones agricoles o l levage ovin et caprin est pr dominant 4 en C te d Or 8 en Charente et 30 6 dans un village des Alpes 15 17 Des pr valences encore bien sup rieures ont t relev es pour les professions risque 33 6 pour les leveurs de bovins et d ovins et 30 pour les employ s la sous traitance des produits dorigine animale en lainerie ou en abattoir en Charente 36 6 en C te d Or pour les leveurs pr sen tant des c
29. Document d accompagnement Document d information en cours D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 127 PRATIQUES ET M TIERS SYNTH SE Les manutentions manuelles de charges MMC sont largement r pandues en milieu de travail et sont la principale cause d acci dent du travail Elles exposent en particulier au risque de patho logies lombaires qui peuvent en cas de r cidive ou de chronicit compromettre le parcours professionnel des travailleurs Objectifs Ces recommandations visent optimiser la pr vention et le suivi m dical des lombalgies chez les travailleurs expos s des MMC 9 Elles portent sur le rep rage et l valuation des situations professionnelles expo sant des MMC la surveillance m dicale afin de d pister et limiter les atteintes lombaires li es l exposition des MMC dans le cadre d une stra t gie de pr vention int gr e collective et individuelle en milieu de travail Population cible Les recommandations ci dessous concernent les travailleurs expo s s des MMC indemnes de lombalgie souffrant de lombalgie et encore au travail ou bien en arr t de travail r p t et ou prolong en raison de leur lombalgie Professionnels concern s Intervenants en sant au travail M decins de sant au travail Infirmiers en sant travail M decins IPRP Ergonomes psychologues Employeurs CHSCT D l gu s du personnel Inte
30. F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 com valuer l exposition individuelle Le travailleur peut tre class uni ex P et d metteurs de photons Les mesures effectu es dans le quement du fait de l exposition ailleurs compte tenu de l vo cadre de la surveillance dosim des extr mit s lution r glementaire attendue re trique individuelle exposition ex titre indicatif en secteur re lative au cristallin une attention terne et interne conforteront ces cherche le classement en cat gorie particuli re doit tre port e sur valuations Best le plus couramment rencontr l valuation d exposition du cris Ces valuations dosim triques tallin lors de pratiques risque permettent le classement des tra 4 Choix de la surveillance pour celui ci vailleurs en r f rence aux valeurs dosim trique m Pour l exposition interne une limites r glementaires elles in surveillance adapt e par analyse t grent l ensemble des pratiques Une surveillance dosim trique radiotoxicologique ou par anthro extrapol sur une ann e consi individuelle adapt e la nature du poradiom trie pour les metteur d rant une marge de s curit li e rayonnement est mise place sur ou X sera mise en place et pla la variation de l activit indivi la base des analyses de poste detra
31. Faure P EDF et ses prestataires des partenaires au service de l arr t de tranche Rev G n Nucl 1997 2 36 41 33 GARRIGOU A TANNI RE C CARBALLEDA G Les activit s de contr le non destructifs par gammagraphie Une activit de l ombre sous les feux de l actualit Rapport de synth se de l tude ergonomique EDF GDL sur les END universit Bordeaux Sciences Technologie indigo Ergonomie 21 09 2006 87 p 34 Accord sur la sous traitance socialement responsable au sein d EDF SA EDF 2006 www epsu org IMG doc FR Agreement Sub contracting EDFdoc 35 DESBORDES JP Les pr caires du nucl aire ont leur dose Sant Trav 2011 75 6 9 36 TANDONNET J Rapport de l inspecteur g n ral d EDF pour la s ret nucl aire et la radioprotection EDF 2011 http rapport dd 2011 edf com fr surete 37 Avis n 6 relev d observations du HCTISN sur le processus d valuation compl mentaire de s ret men en France Haut Comit pour la transparence et l information en s curit nucl aire 2011 www hctisn fr IMG pdf avis 6 ecs cleo87c4b pdf 60 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 AN N EX E 1 Questionnaire Vie travail et sant des salari s de la sous traitance du nucl aire La r ponse aux questions avec un ast risque est obligatoire 1 Je participe une enqu te portant sur la sant les conditions de vie et t
32. JURIDIQUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 15 juillet au 31 octobre 2013 Recommandations aux auteurs D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 ACTUALIT S es INFOS RETENIR 2 NOUVEAUT S DE INRS 232 PARTICIPEZ LA RECHERCHE N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 INFOS RETENIR AC 59 Fiches toxicologiques de l INRS Bilan de l enqu te de lectorat 2012 2013 AUTEUR Sophie Robert d partement tudes et assistance m dicales INRS vant une modification de structure de la base d information Fiches toxicologiques FT une enqu te de lectorat relative cette collection a t lanc e sur 3 mois fin 2012 d but 2013 aupr s des acteurs de pr vention afin de recueillir leur avis sur les fiches actuelles et sur de futures volutions Les principales questions pos es portaient sur 1 L ad quation des FT avec les activit s de pr vention 2 L volution de la base de donn es au format lectro nique et le format d impression des FT 3 La cr ation d une fiche simplifi e compl mentaire des FT En 3 mois du 15 novembre 2012 au 15 f vrier 2013 128 r ponses ont t obtenues dont 39 issues des m decins du travail 24 6 des personnels de ser vices de sant au travail hors m decins et 22 des caisses d assurance retraite et de la sant au travail CARSAT
33. Litige Professionnels Satisfaction au travail Conditions de travail Caract ristiques du poste de travail Politique sociale En cas de lombalgie persis tante ou r cidivante constat e au cours de lexamen m di cal ou de l entretien infirmier lors des visites p riodiques de pr reprise ou de reprise il est recommand de grade valuer les facteurs pronos tiques savoir les facteurs psychologiques et comporte mentaux drapeaux jaunes susceptibles d influencer le passage vers la chronicit et les facteurs socio conomiques et professionnels drapeaux bleus et noirs suscep tibles d influencer l incapacit prolong e et de retarder le re tour au travail annexe 8 Noter la synth se des don n es m dico professionnelles dans le dossier m dical de sant au travail Cette valuation peut n ces siter plusieurs consultations entretiens dans les cas com plexes IV 4 Recommandations pour l examen de pr reprise ou de re prise du travailleur lombalgique en arr t de travail prolong au del de 4 semaines ou r p t Le salari peut solliciter une visite de pr reprise lorsqu il est encore en arr t de travail Cette visite peut aussi tre l initiative du m decin traitant ou du m decin conseil de l Assurance maladie C trav Art R 4624 20 et 21 Outre le fait de rassurer le salari avant sa reprise cette visite peut permettre de pr voir des mesures d
34. O Utilisation ventuelle de g n rateurs X ou sources scell es irradiateurs de tout type de particules Sources d talonnage O mission de rayonnements p y X et dispersion de radionucl ides 2 Risque SOURCES SOURCES SCELL ES SCELL ES ET G N RATEURS X O Exposition O Exposition interne inhalation externe ingestion ou voie cutan e O Exposition externe selon nature et nergie des rayonnements mis Cf tableau I des principaux radionucl ides utilis s en recherche 5 VALUATION DU RISQUE ET DETERMINATION DES NIVEAUX D EXPOSITION La collaboration entre le m decin du travail et la PCR est essentielle 1 l ments d valuation du risque La d marche repose sur l identifi cation des sources pr sentes leurs caract ristiques et l estimation des expositions potentielles asso ci es celles ci Pour la mise en uvre de nou veaux protocoles exp rimentaux les niveaux d exposition sont d ter min s par calcul en utilisant les formules pratiques en radioprotec tion des donn es issues de la litt rature ou des codes de calculs Par la suite les niveaux d exposi tion valu s seront confort s voire affin s sur la base des donn es collectives r sultats des contr les d ambiance y compris ceux relevant de 1 contamination des donn es individuelles r sul tats dosim triques de l analyse des incidents L valuation
35. RENCES EN SANT AU TRAVAIL 136 49 VU DU TERRAIN Vie sant travail des salari s de la sous traitance du nucl aire Tableau X gt TRAVAILLEURS INT RIMAIRES 76 SALARI S Ils exercent plus souvent dans les servitudes nucl aires les chafaudages et le lt 0 001 calorifugeage lls d clarent plus souvent dans ce cas gt 80 de leur temps de travail lt 0 01 travailler en zone orange 0 001 travailler plus de 5 jours de suite 0 001 travailler en horaires atypiques 0 001 d jeuner de sandwichs ou la gamelle 0 001 diner dans leur lieu de r sidence 0 001 ne pas consommer d alcool 0 001 Ils d clarent moins souvent ne pas connaitre leur ordre de mission suffisamment l avance pour s organiser lt 0 01 avoir des travaux terminer dans l urgence lt 0 01 se sentir anxieux tendus ou d prim s 0 01 souhaiter changer de travail 0 05 Ils ont plus souvent un indice de masse corporelle normal 0 01 Ils ont moins souvent une pathologie 0 001 cardiovasculaire 0 05 rhumatologique 0 05 50 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANALYSE MULTIVARI E Ne sont reprises ici que les caract ristiques significatives SANT ET MAINTIEN DANS L EMPLOI La pr sence de pathologies en rapport avec le travail selon l avis du m decin du travail 10 6 de l ensemble des salari s appara t significativement associ e aux a
36. Ses mains se trouvent au contact du flacon pendant 5 secondes La fiche INRS IRSN relative l iode 125 indique 30 cm d un flacon contenant 1 MBq 2 6 uSv h Formule de calcul et donn es de la litt rature retenues Protocole tapes tape n 1 ouverture du flacon de solution m re Exposition corps entier Dur e 2 minutes 2 610 x 40 1 x 307 20 x 2 60 Exposition des extr mit s au contact d un flacon contenant 1 MBq Hp o 07 2 210 uSv h l ensemble des calculs pour toutes les tapes peut tre pr sent sous forme de tableau Exposition par tape E 0 78 USV Flacon 30 cm Hp 10 2 610 uSv h MBq H 12 2 uSv Flacon au contact Hp o 07 2 2110 uSv h MBq Dur e 5 secondes H 2 210 x 40 1 X 5 3600 tapen 2 Exposition corps entier Exposition des extr mit s Total cumul pour une exp rimentation Exposition extr mit s H s Exposition corps entier E e Hp 10 d bit d quivalent de dose individuel sous 10 mm E dose efficace due l exposition externe Hp 0 07 d bit quivalent de dose individuel sous 70 um H dose quivalente aux extr mit s D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 173 4 On rappelle ici que la d marche d optimisation de la radioprotec tion aura d abord conduit recher cher des solutions pour tenter d vi terle contact direct
37. be publicationDefault aspx id 4212 11 MALCHAIRE J GAUTHY PIETTE STRAMBI F Classification de m thodes d valuation et ou de pr vention des risques de troubles musculosquelettiques Bruxelles European Trade Union Institute ETUI 2011 48 p 12 Manual handling assessment chart MAC tool Health and Safety Executive HSE 2003 www hse gov uk msd mac 13 L valuation du risque la FIFARIM In Mairiaux Demaret JP Masset D Vandoorne CH Manutentions manuelles Guide pour valuer et pr venir les risques Bruxelles Service public f d ral Emploi Travail et Concertation sociale 2008 37 53 96 p 14 DEL PINE A LEVERT C MEYER JP Zana Travail et lombalgie Du facteur de risque au facteur de soin dition INRS ED 6087 Paris INRS 2011 29 p 15 Ergonomie Manutention manuelle Partie 2 Actions de pousser et de tirer Norme fran aise homologu e NF ISO 11228 2 Novembre 2007 Indice de classement X 35 110 2 La Plaine Saint Denis AFNOR 2007 71 P 16 Wappzi A HUTCHINSON FEDER ET A1 Clinical guidelines for the management of acute low back pain London Royal College of General Practitioners 2001 17 Burton AK BALAGU CARDON G ERIKSEN HR ET AL Chapter 2 European guidelines for prevention in low back pain November 2004 Eur Spine J 2006 15 Suppl 2 136 68 18 SHaw WS VAN DER W
38. crire car ils renseignent sur la diversit des agents en cause dans les patholo gies respiratoires observ es e Cas d asthme Comme cela a t d crit plus haut plusieurs cas d exposition aigu des vapeurs chlor es chez des usa gers et des personnels de piscine ont t rapport s dans la litt ra ture en g n ral en lien avec un d faut d installation ou de main tenance des syst mes de chlora tion des bassins aboutissant au d gagement accidentel de chlore gazeux 15 18 L exposition de fortes concentra tions atmosph riques de trichlo ramine a galement t associ e plusieurs pid mies d affections respiratoires aigu s survenues dans des piscines municipales ou des h tels quip s de piscines int rieures mal ventil es 19 22 Les sympt mes rapport s vont de simples manifestations rhino conjonctivales une g ne respira toire franche de type RADS asso ciant toux sifflements sensations d oppression thoracique dyspn e voire dans certains cas d tresse respiratoire aigu Ces sympt mes sont le plus souvent transitoires et s amendent en quelques jours ou semaines Parfois dans les cas de RADS une inflammation et une hyperr activit bronchique per sistent plusieurs mois apr s l acci dent d exposition 18 Si plusieurs cas d asthme en rela tion avecletravailont t mention n s dans la litt rature ces 15 der ni res ann es notamment chez des maitres nage
39. de mani re pr douleur et du retentissement de et r p t e Les principaux cas d arr ts de travail r l incapacit fonctionnelle li e la outils valid s en fran ais sont les p t s ou d arr ts prolong s lombalgie questionnaires de Roland Morris au del de 4 semaines il est EIFEL dans sa version fran aise recommand d aborder expli Concernant l valuation de la annexe 11 d Oswestry et de citement avec le travailleur douleur li e la lombalgie il Dallas annexe 12 l chelle de Qu concern les repr sentations est recommand d utiliser une bec et le questionnaire de qualit croyances quant au lien chelle visuelle analogique de vie SF 36 Les modalit s de mise entre lombalgie et travail EVA en uvre de l valuation du reten tissement de l incapacit fonction Si une approche par question Les facteurs d incapacit prolon nelle parle m decin du travail lors naire est retenue l valuation g e li s au travail peuvent tre de la surveillance m dicale des des repr sentations li es la recherch s l aide de diff rents travailleurs lombalgiques en arr t lombalgie peut faire appel au outils difficilement applicables ne sont pas actuellement docu questionnaire Fear avoidance en pratique courante et rarement ment es belief questionnaire FABO valid s en fran ais hormis le notamment la sous chelle questionnaire dit rebro Muscu Si une approche par
40. des dispositifs manag tableaul D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 87 VU DU TERRAIN La pr vention des risques professionnels vue par les m decins du travail Figure 7 gt DISPOSITIFS DE PR VENTION ET PROTECTIONS MISES DISPOSITION DES SALARI S de postes de bonne ou tr s bonne qualit 85 75 65 55 45 35 Risques Risques Risques Risques Donne physiques chimiques biologiques Aucun dispositif E CHSCT Intervention IPRP ou consultant Document unique d valuation Plan de pr vention Participation du m decin du travail l valuation des risques Lecture selon les m decins du travail 72 6 des salari s expos s au bruit et non couverts par un dispositif de pr vention disposent de protec tions et 83 pour les salari s couverts par un plan de pr vention Champ salari s de France m tropolitaine et de La R union Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 12 En effet le coefficient de la variable le m de cin a t consult par la direction lors de l valuation des risques n influe pas de facon significative sur le jugement du m de cin concernant la qualit du poste de travail propos des risques chimiques et biologiques tableau II LA QUALIT DE LA PR VENTION DES RISOUES PHYSIOUES CHIMIOUES ET BIOLOGIQUES APPARA T MEILLEURE EN PR SENCE DE DISPOSITIFS DE PR VENTION Dans le cas des au
41. e Version abr g e 23 chelles 40 questions COPSOQ version courte francaise e Vi 32 items 17 chelles re group es en quatre domaines contraintes au travail relations interpersonnelles et leadership in fluence et d veloppement sant et bien tre La satisfaction au travail est finalement identifi e comme un domaine part enti re suite aux r sultats d analyses de validit effectu s Dupret et al 2012 b e V2 40 items 21 chelles regrou p es en six domaines contraintes quantitatives organisation et lea dership relations horizontales auto nomie sant et bien tre v cu pro fessionnel qui inclut la satisfaction au travail e V3 46 items 24 chelles regrou p es en six domaines les m mes que pour la V2 Modalit s de r ponse et cotation Il existe diff rentes modalit s de r ponses selon les chelles du ques tionnaire r ponses soit sur des chelles de fr quence soit sur des chelles d intensit de type Likert 5 modalit s le plus souvent Dans le COPSOO Lon retrouve galement des modalit s de r ponse binaire oui non Pour chaque dimension un score est calcul en faisant la moyenne des r ponses aux items consti tuant cette dimension puis est standardis de o 100 de telle sorte que 100 corresponde au plus haut niveau du concept explor Selon les dimensions le plus haut niveau sera donc soit favorable soit d favorable pour le s
42. e du risque pour le choix de la protection respiratoire contre les bioa rosols tudes et recherches Rapport R 766 La s lection d un appareil de protection respiratoire contre les bioa rosols peut s av rer une t che complexe compte tenu de l absence de valeurs limites d exposition et de donn es toxicologiques ainsi que des limites des techniques d chantillonnage actuelles et de la grande diversit des bioa rosols Dans ces circonstances une m thode qualitative d valuation et de gestion du risque fournit une alternative aux m thodes quantitatives utilis es en hygiene du travail Ce rapport propose un modele de gestion gradu e du risque pour le choix de la protection respiratoire contre les bioa rosols infectieux et non infectieux applicable lensemble des milieux de N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 4 travail mod le s appuie de ceux qui en ont t l origine du soutien social et des relations sur les connaissances relatives Cet ouvrage donne l occasion interpersonnelles dans l entreprise aux bioa rosols et s inspire de revisiter la SELF ses congr s Le chapitre 4 soul ve la question d approches de gestion gradu e du ses colloques ses relations du manque de respect au travail risque d velopp es notamment europ ennes et
43. e la ou les personnes comp tentes en radioprotection D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 21 INFOS RETENIR pour l envoi des donn es de dosim trie op rationnelle le cas ch ant et la consultation des donn es pr vues l article 27 eleoules m decins du travail pour l envoi des informa tions requises au second alin a de l article 5 et l ar ticle 7 pour l dition de la carte de suivi m dical pr vue l article 9 pour la transmission de la dose efficace ou dose quivalente pr vue l article 15 et pour la consul tation des donn es dosim triques des travailleurs pr vues l article 27 SISERI d livre chacune des personnes sus d sign es un certificat lectronique d authentification et de chif frement des donn es et un code d acc s confidentiel garantissant la s curit ainsi que la confidentialit des envois ou des consultations de donn es Les conditions de validit du certificat lectronique et du code d acc s confidentiel sont d finies par SISERI Les personnes d sign es par les organismes de dosi m trie les correspondants SISERI de l employeur les personnes comp tentes en radioprotection et les m decins du travail transf rent les informations ou donn es SISERI ou les consultent selon les modalit s techniques d finies par l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire dans un catalogue technique ANNEXE VI 6 Nomenc
44. entre produits La pr vention des affections li es la pr sence de micro organismes pathog nes ou non PHS patholo gies infectieuses comme la l gio nellose dans ce type de structure repose avant tout sur le respect des consignes de d sinfection de semble des installations eau des bassins circuits d eau et de ventila tion installations sanitaires et des mesures d hygi ne l mentaires de la part des usagers Le suivi d un certain nombre de param tres phy sico chimiques et microbiologiques est ainsi recommand pour valuer le risque microbiologique Cepen dant tous les micro organismes ne peuvent tre recherch s en pra tique courante et certains peuvent s adapter aux conditions environ nementales et acqu rir un certain degr de r sistance vis vis des d sinfectants employ s C est notam mentle cas de certaines moisissures ou des mycobact ries type Myco bacterium avium Ces dernieres se d veloppent particuli rement bien en ambiance chaude et r sistent 100 330 fois mieux la d sinfec tion par le chlore qu Escherichia coli 6 De fait ces pathog nes ne sont recherch s qu en cas de suspicion de contamination Dans les bains remous l ANSES recommande de maintenir une temp rature de l eau guide de l ordre de 32 33 C avec une limite sup rieure imp rative de 36 C 56 ce qui outre la protection des baigneurs des dangers directs de la baignade en e
45. es de pilotage du travail et ou de gestion des comp tences et ce contexte orga nisationnel est galement propice la formalisation de politiques de pr vention Ici encore ce r sultat demeure valide toutes choses gales par ailleurs De m me les salari s soumis des astreintes dontle temps de travail est donc organis de facon rigou reuse sont davantage concern s par les dispositifs de pr vention recens s par l enqu te l inverse ces dispositifs sont moins fr quents pour les salari s dont les horaires ne sont pas pr visibles une semaine l avance ce qui semble indiquer une gestion peu formalis e du temps de travail PR VENTION ET QUALIT DE L ORGANISATION DU TRAVAIL ENTRE TIENNENT UN LIEN AMBIGU Pour chaque salari enqu t les m decins enqu teurs ont port un jugement synth tique sur la qualit du poste et ou de l en vironnement de travail dans les quatre grands domaines de risques professionnels organi sationnel physique chimique et biologique Dans le domaine organisationnel 78 6 des postes de travail sont ainsi jug s de tr s bonne ou bonne qualit par les m decins Cette proportion semble d pendre assez peu des pratiques de pr vention signal es dans l tablissement figures 5 et 6 page suivante Toutefois ce constat masque deux ph nom nes contradic toires comme le montre l analyse toutes choses gales par ailleurs tableau
46. et dela Caisse r gionale d assurance maladie d le de France CRAMIF Les utilisateurs des FT ont largement appr ci de par ticiper cette tude de lectorat Les r sultats montrent que ces documents sont toujours en parfaite ad quation avec les attentes des lecteurs Ces fiches sont consult es essentiellement pour rechercher des informations sur une substance 84 des lecteurs v rifient en premier lieu l existence ou non d une fiche toxicologique avant de lancer une recherche plus g n rale sur Internet avoir une connaissance g n rale de la substance 38 96 et valuer les risques professionnels 37 96 Les utilisateurs pl biscitent cette collection r pondant leurs besoins professionnels tout en tant gage de Figure 1 Format de publication sans opinion 11 76 pdf 34 html 20 html pdf 35 cr dibilit Ce document reste une synth se de r f rence disponible en langue francaise Toutefois une critique majeure a t mise par les pr venteurs relative au nombre insuffisant de mises jour et au nombre de fiches produites plus de 83 demandent une augmentation des 2 types de produc tion Concernant la seconde partie du questionnaire rela tive aux perspectives d volution cf r sultats ci des sous les r sultats montrent qu une grande partie du lectorat est favorable au d veloppement de la base de donn es des fiches toxicologiques sous un
47. l embauche grade A Ces examens repr sentent une irradiation inutile ils peuvent conduire une discrimination l embauche sur l tat de sant qui n est pas d fendable sur le plan thique et juridique En cas d ant c dents de lombal gies communes simples c est dire n entrainant pas d incapacit fonctionnelle dans la vie priv e et ou au travail Compte tenu de la forte pr valence des lombalgies com munes dans la population il n est pas recommand d mettre une contre indica tion m dicale l embauche sur un poste risque lombaire en cas d ant c dent de lombalgie commune dite simple En cas d ant c dents de lombalgies s v res c est dire r cidivantes ou chroniques et ou entra nant une incapacit fonctionnelle dans la vie priv e et ou au travail L analyse de la litt rature indique que les l ments les plus forte ment pr dictifs de lombalgie et d absent isme sont les ant c dents de lombalgie fr quence et dur e des pisodes l intervalle libre depuis le dernier pisode la notion d irradiation vers un membre inf rieur un ant c dent de chirurgie les arr ts maladie pour lombalgie En cas d ant c dents lombal giques s v res pour valuer le risque lombaire il est recom mand que l examen d em bauche comporte l anamn se de l histoire lombalgique anciennet fr quence traite ment retentissement
48. la manutention firmier sont des moments propices pour donner au travailleur des D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 97 PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges Tableau III gt M THODES ET OUTILS D VALUATION DES RISQUES LOMBAIRES LI S AUX MMC 2 niveau Identification des dangers valuation hi rarchis e des risques li s aux MMC Estimation du niveau de risque des situations de travail des contraintes des situations de travail M thodes observationnelles M thodes d auto valuation de la charge de travail Entretiens Questionnaires Listes de contr le Grilles d observation des risques Normes EE ONE KR chelle de Borg RPE CR10 Echelle Visuelle Analogique Obligation r glementaire de l employeur obligation r glementaire du service de sant au travail 3 Structures de connaissances que le sujet s est construites sur la lombalgie et son travail par exemple une per ception n gative de l impact de l acti vit sur sa sant d une atteinte grave catastro phisme informations pr cieuses concer nant le diagnostic la prise en charge et le pronostic de la lom balgie Ce dialogue peut avoir en soi des effets positifs dans la mesure o sont abord es des repr sen tations erron es telles que les peur
49. la mise en uvre si n ces saire d une d marche d er gonomie participative Int grer dans l organisation du travail le retour progressif son poste du travailleur lombal gique mesure que ses capaci t s de travail physiques s am liorent notamment par la mise en uvre d un temps partiel th rapeutique grade C Encourager l employeur mettre en place un projet par ticipatif avec les employ s concern s et l encadrement de proximit pour identifier et contr ler les obstacles au retour au travail et adapter les conditions de travail Il est particuli rement recommand d anticiper et d accompagner les cons quences sur le col lectif de travail du retour du travailleur lombalgique son poste grade C 3 Concernant les interventions peutes lib raux structure antidouleur aucun type particulier d exercices ne peut tre re command grade C les professionnels de san t encadrant ces exercices doivent tre form s l iden tification et la prise en charge des repr sentations peurs et croyances li es la douleur Conseiller au travailleur en concertation avec le m decin traitant de reprendre le travail le plus pr cocement possible d s lors que les exigences du poste de travail peuvent tre adapt es aux capacit s r si duelles du travailleur grade A Proposer si n cessaire une coordination avec le m decin conseil avec l accord d
50. la reconnais sance de leur caract re profession nel est du ressort du Comit r gio nal de reconnaissance des maladies professionnelles CRRMP Si les manifestations de rhino conjonctivite ou d asthme sur viennent de facon aigu au d cours d un accident d exposition des vapeurs irritantes d gagement de chlore gazeux l vation importante et rapide du taux de trichloramine dans l air erreur de manipulation de produits de nettoyage une d cla ration d accident de travail doit tre effectu e POINTS RETENIR La majorit des piscines et autres centres aquatiques sont d sinfect s par des r actifs chlor s La d gradation de ces produits en pr sence de mati res organiques apport es par les baigneurs aboutit la formation de sous produits chlor s dont le plus irritant et le plus volatil est la trichloramine NCI Il existe une bonne corr lation entre la fr quence des sympt mes ORL et respiratoires chez les personnels de ces structures et les niveaux de pollution atmosph rique en trichloramine auxquels ils sont expos s au del de 0 3 0 5 mg m Seuls trois cas d asthme allergique la trichloramine ont t rapport s dans la litt rature sans que le m canisme immuno pathologique impliqu ait pu tre identifi Les produits d entretien et de d sinfection des locaux peuvent tre l origine de pathologies allergiques de type rhinite et ou asthme non seulement chez les a
51. la reconnaissance contributions au s minaire annuel et al au travail le soutien social le du d partement Ergonomie et Ergonomie Travail conception respect la conciliation travail cologie humaine de l Universit sant Cinquantenaire de la et vie personnelle la charge Paris 1 ayant pour th me Soci t d ergonomie de langue de travail la participation des Persistances et volutions les francaise 1963 2013 salari s aux d cisions la clart du nouveaux contours de l ergonomie Collection Le travail en d bats r le Le 1 chapitre introduit ces Les travaux de ce congr s ont Dans le cadre du cinquanti me pi ces manquantes et s int resse principalement concern les anniversaire de la Soci t la sant organisationnelle th mes suivants les effets d Ergonomie de langue fran aise de l entreprise Le second ergonomiques des nouvelles SELF cet ouvrage propose de chapitre aborde la notion de la technologies et leurs cons quences retracer l histoire de l ergonomie reconnaissance au travail Le surla perm abilit des activit s francophone traversla m moire chapitre 3 traite de l importance de travail et hors milieu de travail D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 205 LIRE VOIR l int gration des utilisateurs dans les projets de conception partir d une d marche ergonomique l ergonomie face aux volutions delinteraction homme machine le dialogue entre l ergon
52. lieux de formations l OPPBTP a concu Zoom Chantiers pour r pondre la question Comment g rer cet cart Cet outil destin aux formateurs dans les centres de for mation des apprentis du BTP vise d velopper chez eux la facult d ob servation et d analyse de certaines situations de travail Il s agit d une biblioth que de situations profes sionnelles comment es reportages photographiques proposant pr s de 60 modules int grant la pr ven tion des risques dans la pratique professionnelle COLORISK Il s agit d un outil multim dia r alis par un groupe de travail anim par le P le Sant travail de Lille sur la pr vention et l valua tion des risques li s l utilisation de peintures R pondant pour partie une de mande sp cifique de la branche professionnelle l objectif principal de ce site qui int gre la base TOXI MED est d am liorer la connais sance du risque chimique li e l activit de peintre en b timent La base de donn es de COLORISK contient la m me information que TOXIMED mais pr sent e de facon tre accessible et utilisable la fois par les entreprises et les pro fessionnels de la sant au travail L acc s au site s op re par cing pro fils salari s peintres en b timent artisans peintres en b timent professionnels de sant au travail peintres occasionnels profession nels de l enseignement Il permet une navigation personnalis e et donn
53. matique puisque l alcool a un effet d l t re sur le d veloppement de certainesr gions c r brales quineterminentleurma turation qu en fin d adolescence Ainsi lorsque l usage d alcool d bute d s 15 16 ans 8 des usagers atteignent rapidement le stade d abus consommation r guli re avec accidents et complications sanitaires sociales et S Boulet ou professionnelles tandis que 5 d veloppent une d pendance 4 Enfin l usage d alcool avant de 21 ans augmente de 70 le risque de consommer d autres substances psychoactives drogues 5 Sur le plan scolaire une expertise collective de l Ins titut national de la sant et de la recherche m dicale INSERM 3 rapporte que les l ves qui ont de mauvais r sultats sont nettement plus nombreux que les autres consommer r guli rement de l alcool De m me l ab sent isme scolaire concerne nettement plus les l ves qui consomment r guli rement La consommation pr coce est galement corr l e avec le risque d accident ult rieur li l alcool s Il convient de rappeler que l alcool serait responsable de 10 20 6 des accidents du travail De facon approxima tive un verre standard fait augmenter l alcool mie de 0 2 0 25 g L au sein de la population g n rale L limi nation de l alcool pr sent dans l organisme d pend de nombreux facteurs En moyenne l alcool mie diminue chaque heure de 045 g L 6 La reprise d une act
54. ne pas conna tre suf fisamment l avance son ordre de mission pour s organiser avoir des horaires de travail atypiques ne pas se sentir en s curit lors du travail en zone contr l e ou surveil l e ne pas d jeuner la cantine de l entreprise Ce dernier facteur constitue possiblement un sym bole d appartenance ou non d int gration ou non au collectif de tra vail et de reconnaissance ou non C est rapprocher du lien entre prendre ses repas la gamelle et le travail des sous traitants en maintenance de centrale nucl aire Ne pas connaitre son ordre de mission suffisamment l avance combin horaires de travail aty piques a des cons quences sur la gestion de la carri re profession nelle et sur l organisation de la vie personnelle de ces salari s diffi cult s pour trouver un logement proximit du site planifier les actes administratifs de la vie quo tidienne retentissement sur la vie personnelle suivi de la scolarit des enfants garde altern e pour les salari s divorc s acc s aux soins aux loisirs vie amicale et associa tive Le retentissement sur la san t des horaires atypiques est large ment d velopp dans la litt rature Cet l ment est un crit re de p ni bilit 9 Les contraintes de rythme et de temps dans les activit s de sous traitance connues dans le tra vail de maintenance sont particu li rement d crites par l
55. ne responsable est la r gle R PARATION Les rhinites et asthmes profession nels en lien avec une exposition habituelle aux d riv s des produits chlor s tels que les chloramines des piscines peuvent tre r par s au titre du tableau n 66 du r gime g n ral de la S curit sociale avec un d lai de prise en charge de 7 jours si les sympt mes r cidivent chaque nouvelle exposition ou sont confir m s par test L asthme doit par ail leurs tre confirm par des EFR x Encadr 3 3e Encadr 2 LE SCORE PAREO Le score clinique PAREO permet d valuer cliniquement la s v rit d une rhinite et de suivre son volution dans le temps et en fonction de la prise en charge th rapeutique Il consiste appr cier l intensit des sympt mes suivants en les cotant de o 2 aucun 1 l ger ou 2 g nant oP Prurit nasal troubles de l olfaction oR Rhinorrh e ant rieure coulement mouchage ou post rieure jetage post rieur OE ternuements Obstruction nasale ASTHMA CONTROL TEST LACT Asthma Control Test est un auto questionnaire destin aux personnes asthmatiques de plus de 12 ans qui vise appr cier le niveau de contr le de leur maladie 57 Il permet de quantifier en 5 questions portant sur les 4 derni res semaines la fois les sympt mes et l adaptation la vie quotidienne Les r ponses sont cot es
56. ni res chelles restent inchang es 22 items Modalit s de r ponse et cotation Les items se pr sentent sous la forme d affirmations pour les quelles la personne indique si elles d crivent plus ou moins son acti vit professionnelle ou sa mission principale sur une chelle visuelle analogique allant de absolument pas 3 tout fait 4 3 Temps de passation 1demi heure environ Disponibilit s et conditions d utilisation Demande adresser aux auteurs valerie langevin inrs fr Qualit s psychom triques Les qualit s psychom triques pr sent es ci dessous ont t v rifi es sur la version courte de l IDAP VALIDIT e Validit crit ri e concomitante Une tude r alis e sur un chantil lon d agents de maintien de l ordre N 754 met en vidence par des r gressions multiples une validit crit ri e concomitante des chelles de l IDAP satisfaisante au regard du stress percu valu par la PSS cf FRPS 4 de la d tresse psycho logique valu e par le GHO cf FRPS 17 mais aussi vis vis de la satisfaction au travail La valeur pr dictive au sens statistique du terme des chelles de l IDAP est plus lev e pour la satisfaction au travail 20 ou 41 de la variance expliqu e selon les mesures de la satisfaction au travail utilis es que pour le stress per u ou la d tresse psychologique 15 de la variance du stress per u expliqu e et 7
57. nifi e pour tre repr sentative du duelle vail du classement des travailleurs risque d exposition et du zonage radiologique d fini La d marche g n rale de r alisa m Pour l exposition externe corps tion d une tude de poste est pr entier cette surveillance est r ali 6 sent e en annexe s e par le port de dosim tres pas sifs auquel s ajoute une obligation STRATEGIE DE MAITRISE 3 2 Classement du personnel de dosim trie op rationnelle en DE RISQUE La d marche de classement s ap zone contr l e plique uniquement aux travail Lexposition externe corps entier 1 R duction des risques leurs exer ant une activit au sein li e aux missions p d nergie La d marche repose sur les prin d une zone r glement e moyenne inf rieure 100 keV ou cipes de pr vention vis vis d un Le classement s applique tout encore l mission de photons risque d exposition externe temps travailleur expos c est dire d nergie inf rieure 15 keV est cran distance et ou d un risque de tout travailleur susceptible de d consid r e comme n gligeable contamination ventilation confi passer dans le cadre de son activit nement et EPI professionnelle l une des valeurs Pour l exposition externe des Lelecteurest invit se reporter aux limites de dose fix es pour le public extr mit s et du cristallin le port fiches INRS IRSN 4 traitant des radio quelles que soient les conditions de d undosi
58. par les membres de la direction dans la m me enqu te Les m decins du travail dans SUMER 2010 signalent un peu plus Tableau A de CHSCT dans les petits tablissements ce qui peut s expliquer par une diff rence de formulation le questionnaire SUMER demande s il existe un CHSCT pour cet tablissement alors que REPONSE demande s il en existe un dans cet tablissement Les m decins du travail qui ont administr SUMER 2010 ont pu logiquement r pondre oui quand les salari s d un petit tablissement taient couverts par un CHSCT si geant dans un autre tablissement de l entreprise Par ailleurs un biais possible de l enqu te SUMER r side dans le fait que les salari s effectivement suivis par la m decine du travail sont susceptibles d tre plus souvent couverts par un CHSCT Mais la comparaison avec l enqu te REPONSE montre que ce biais est d ampleur limit e Concernant l existence d un document unique d valuation des risques professionnels actualis en 2010 les m decins du travail en signalent beaucoup moins souvent dans SUMER que les repr sentants de la direction dans REPONSE surtout dans les petites et moyennes unit s Dans ces derni res alors qu ils confirmaient la pr sence du CHSCT signal par leur direction les repr sentants du personnel r pondants l enqu te REPONSE indiquent moins souvent que leur direction l existence d un document unique actualis se rapprochant a
59. recrutement la discrimination la parit homme femme la formation professionnelle le management les r unions de travail la communication les relations du travail les valuations et la mobilit professionnelle les temps de travail la conciliation vie professionnelle et vie priv e la sant au travail les conditions de travail le dialogue social l allongement dela vie professionnelle les restructurations Le cherche midi diteur 23 rue du Cherche Midi 75006 Paris 2013 175 p MIAS A LEGRAND CARRICABURU D F LIU F et al Le travail de pr vention Les relations professionnelles face aux risques canc rog nes Collection Travail et activit humaine S appuyant sur une tude men e en Normandie cet ouvrage explore les diff rentes facettes de la pr vention des risques canc rog nes au travail les pratiques et les savoirs mis en ceuvre et les relations entre les diff rents acteurs employeurs encadrement pr venteurs salari s et leurs repr sentants m decins et inspecteurs du travail Sont abord s les repr sentations sociales associ es aux risques canc rog nes mutag nes et toxiques pour la reproduction ou les d marches de pr vention mise en conformit l gale processus de substitution quipements de protection information et communication le r le des comit s d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT et leurs relations avec l
60. riode d essai puis au moins une fois tous les deux ans Les entreprises du secteur priv doivent disposer d un m decin du travail soit en adh rant une association interentreprises de sant au travail soit en cr ant leur propre service de sant au travail En 2009 2010 une entreprise pouvait cr er un service autonome interne de sant au travail d s qu elle employait 412 salari s et tait tenue de le faire partir d un seuil de 2 200 salari s La r cente r forme de la m decine du travail impuls e par la loi du 20 juillet 2011 a port le premier seuil 500 salari s et supprim le second LES COMIT S D HYGI NE DE S CURIT ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL CHSCT Quand les tablissements d au moins 50 salari s disposent d un comit d entreprise ou de d l gu s du personnel ils doivent mettre en place un CHSCT qui doit se r unir tous les trimestres Ce comit est appel jouer un r le important dans la pr vention des accidents du travail et des maladies professionnelles et dans les r flexions sur l am lioration des conditions de travail Il est constitu du chef d tablissement et d une d l gation du personnel dont les membres sont d sign s pour deux ans par les lus du personnel lus au comit d entreprise et d l gu s du personnel LES TROIS VERSANTS DE LA FONCTION PUBLIQUE Les agents des trois versants de la fonction publique tat territoriale et hospitali re b n f
61. risques professionnels IV 2 Recommandations pour l examen m dical d embauche La marge de man uvre est troite entre le risque de discri mination par la sant et l obliga tion de pr vention inh rente la sant au travail Compte tenu de la forte pr valence des lombal gies communes en population g n rale et des repr sentations ou des croyances rattach es ces sympt mes l examen d em bauche est un moment privil gi pour d livrer une information pr cise et adapt e chaque travail leur notamment sur les risques professionnels leur pr vention et le suivi m dical ventuel Lexamen d embauche doit va luer l ad quation entre l tat de sant du travailleur et les exi gences du poste de la situation de travail envisag s en tenant compte du contexte m dico so cioprofessionnel Dans tous les cas chez les travail leurs appel s tre expos s aux MMC ILest recommand de noter la syn th se des donn es m dico profes sionnelles dans le dossier m dical de sant au travail DMST selon les recommandations de la HAS 2009 pour assurer la continuit du suivi m dical ainsi que la tra cabilit des expositions profes sionnelles des conditions de tra vail et des donn es sanitaires En l absence de valeur pr dic tive de l imagerie sur la sur venue ult rieure d pisodes lombalgiques il n est pas re command de faire pratiquer des examens d imagerie lom baire
62. son travail sa vie s en r f rant au m decin du travail peut indiquer ce dernier la pr sence de situations de travail dites p nibles L am lioration de l organisation du travail des entreprises sous trai tantes notamment lors des arr ts de tranche permettrait de favoriser le maintien dans l emploi des sala ri s exp riment s Le travail en sous traitance dans le nucl aire implique des conditions sp cifiques de vie qui ajout es aux conditions de travail ont des cons quences sur la sant L tat de sant des travailleurs de la sous traitance du secteur nucl aire est li en particulier leurs condi tions de travail et aux conditions sp cifiques de vie qui en d coulent Lam lioration des conditions de travail entrainerait lam lioration des conditions de vie et la sant des salari s des entreprises sous trai tantes 58 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 POINTS RETENIR o Une enqu te transversale a port sur 853 salari s de la sous traitance du nucl aire en fle de France o Pr s d un salari sur 4 a plus de 20 ans d anciennet o La mobilit caract ristique de certaines activit s du secteur est retrouv e 7 salari s sur 10 ne rentrent pas dormir chez eux tous les soirs o Plus du tiers des salari s passe au moins 80 du temps de travail en arr t de tranche o Travailler en arr t de tranche est li une anciennet sup rieu
63. sur la sant 3 4 5 6 7 12 Trouver le travail en secteur nu cl aire plus p nible est associ souhaiter changer de travail pour des raisons financi res avoir des travaux terminer dans l urgence et ne pas se sentir toujours en s cu rit lors du travail en zone contr l e ou surveill e Les salari s lors des consultations parlent de l intensi fication du travail de la tendance au raccourcissement des arr ts de tranche comme du niveau de confiance concernant leur s curit au travail et de la reconnaissance financi re Ces l ments pour raient influencer leur perception de la p nibilit et leur souhait de changer de travail Par ailleurs la mise en avant des raisons finan ci res pourrait tre une position d fensive vis vis de l id e de quit ter ce travail auquel ces salari s restent attach s Travailler dans l lectricit la climatisation le chauffage ou la plomberie appara t protecteur vis vis de la perception d une p nibilit accrue en secteur nucl aire Ces activit s moins saisonni res sont probablement soumises une pression temporelle moindre On peut se demander si ces salari s n ont pas des missions sur un sec teur g ographique plus restreint et seraient donc plus s dentaires On peut aussi penser qu il y a une cer taine homog n it de leurs condi tions de travail quel que soit le lieu d intervention Trouver l
64. tenir en milieu de travail Extrait de 31 Congr s national de m decine et sant au travail Toulouse 1 4 juin 2010 Arch Mal Prof Environ 2010 71 3 508 09 Exemple th se Derock C tude sur la capillaroscopie multiparam trique sous ungu ale des expositions chro niques professionnelles en radiologie interventionnelle Th se pour le doctorat en m decine Bobigny Universit Paris 13 Facult de m decine de Bobigny L onard de Vinci 177 Forme g n rale pour un document lectronique Auteur Titre du document Organisme metteur date du document adresse Internet Exemple M nard C Demorti re Durand E Verger P Eds et al M decins du travail m decins g n ralistes regards crois s INPES 2011 www inpes sante fr CFESBases catalogue pdf 1384 pdf Forme g n rale pour une base de donn es Nom de la base de donn es Organisme metteur ann e de mise jour de la base adresse Internet Exemple BIOTOX Guide biotoxicologique pour les m decins du travail Inventaire des dosages biologiques dis ponibles pour la surveillance des sujets expos s des produits chimiques INRS 2012 www inrs fr biotox Forme g n rale pour un CD Rom ou un DVD Auteurs Nom s pr nom s initiales Titre du CD Rom Num ro d dition Collection Ville d dition diteur ann e 1 CD ROM si donn es disponibles Exemple and BEls with 7 edition documentation CD ROM 201
65. tion valuer rapidement l importance de la contamination et mettre en 168 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ceuvre le protocole de d contami nation gt Si n cessaire contacter le dispo sitif d alerte de l IRSN 06 073156 63 m Protocole de d contamination Avant d entreprendre une action de d contamination contr ler ou faire contr ler avec une sonde adapt e les mains la blouse les cheveux les chaussures Proc der la d contamination cutan e par lavage l eau savon neuse sans frotter ou utiliser un d tergent de d contamination pH neutre En cas de douche laver les mains pr alablement de facon viter toute contamination cuta n e secondaire et contr ler l effica cit de cette d contamination En cas de projection oculaire laver abondamment sous l eau temp rature ambiante gt Si une contamination cutan e persiste le m decin du travail pourra mettre en place un panse ment tanche sur la zone conta min e et contactera le dispositif d alerte de l IRSN En concertation avec la PCR pr voir un examen radiotoxicologique et ou anthroporadiom trique se lon radionucl ide en cause en cas de r sultat positif le m decin du travail renouvellera la prescription pour suivre l volution de la conta mination interne S ille souhaite le m decin du travail peut contacter le dispositif d alerte de l IRSN qui l a
66. valeurs de d bit de dose au contact De plus l interac tion des rayonnements b ta avec les protections induit du rayonnement de freinage X et ce d autant plus que leur nergie est lev e Cette exposition associ e est difficile valuer par le calcul mais est g n ralement tr s faible 41 2 valuation par des mesures Pr ciser les moyens utilis s pour r aliser les mesures Exposition corps entier Deux alternatives sont possibles R aliser des mesures de d bit d quivalent de dose D une facon g n rale il est pr f rable de r aliser des mesures int gr es en avec des dosim tres passifs bagues ou mieux pastilles plac es au bout des doigts 1 Cas o il y a pr hension du contenant flacon fiole tube avec les doigts Dans ce contexte pour l valuation des doses aux extr mit s les mesures de d bit de dose avec un ra diam tre sont d conseill es En effet ces appareils mesurent en g n ral un d bit d quivalent de dose ambiant H 10 alors qu il s agit ici d valuer une dose la peau H o 07 Par ailleurs du fait dela dimension avec la 0 ambiant avec un radiam tre et chronom trerles du du volume sensible du d tecteur la valeur affich e r es pass es au voisinage des sources afin de calculer correspond une dose plusieurs cm de la surface de les doses efficace recues contact Cela peut conduire sous estimer tr s forte Mesurer les
67. ve lopper dans des eaux tr s chaudes au del de 42 C et de bien r sister la d sinfection par les d riv s chlor s Bien que la majorit des cas observ s concerne des particuliers propri taires de jaccuzzis quelques cas professionnels ont t d cris ces derni res ann es En 2005 Angenent et al citent ain si le cas de 9 employ s d un centre de cure thermale pr sentant tous des sympt mes rythm s par le tra vail type de toux dyspn e et sen sation f brile nocturne 30 Apr s investigation le diagnostic de gra nulomatose pulmonaire Myco bacterium avium germe retrouv dans les pr l vements d air et d eau effectu s dans la piscine thermale est confirm pour deux d entre eux En 2013 Moraga McHaley et al rapportent la survenue de deux cas confirm s de poumon des jacuz zis chez des ouvriers assurant la maintenance de ces installations chez des particuliers 31 TUDES PID MIOLOGIQUES e Dans des populations sp cifiques enfants fr quentant des piscines nageurs de comp tition Les r sultats des tudes pid miolo giques men es ces derni res ann es notamment aupr s d enfants et de nageurs de comp tition semblent conforter l hypoth se d une alt ration progressive de la muqueuse bronchique processus inflamma toires locaux et remodelage tissu laire du fait d une exposition r gu li re et prolong e la trichloramine 9 De r centes tudes de coho
68. 1 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 2 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 3 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 4 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 5 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 6 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 7 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art 8 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art ANNEXE Ab ARTICLE 8 Le directeur g n ral de la Sant est charg de l ex cu tion du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique francaise sup rieur ou gal 10 UI L La personne est consid r e comme d finitivement pro t g e contre l h patite B Il n y a pas lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire II 1 1 2 Le taux d anticorps anti HBs dans le s rum est inf rieur 10 UI L la conduite tenir est d finie dans l annexe II Il 1 2 La vaccination n a pas t r alis e est incompl te ou sans preuve documentaire 1 Siletauxd anticorps anti HBs est sup rieur 100 les personnes concern es sont consid r es comme immunis es contre l h patite B sans qu il y ait lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire 2 Si le taux d anticorps anti HBs est compris entre 10 et 100 UT L la vaccination doit tre compl t e l issue de cette vaccination les personnes concern es sont consi d r es comme immunis es contre l
69. 10 mm ip 10 d bit d quivalent de dose individuel sous 10 mm E dose efficace due l exposition externe H 0 07 d bit d quivalent de dose directionnel sous 70 um Hp 0 07 quivalent de dose individuel sous 70 um H dose quivalente aux extr mit s 174 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 gt 4 2 Exposition interne Manipulation de 50 MBq de soufre 35 en hotte ventil e dans un laboratoire de 50 m En milieu professionnel la voie pr pond rante de h g 11 10 Sv Bq valeur la plus p nalisante pour contamination est l inhalation IAM A dem 7 A ES k 0 01 donn dans le guide Radionucl ide et Lordre de grandeur de l exposition par voie d inhala Um s t Radioprotection pour les compos s autre que les tion peut tre estim partir dela formule suivante gaz vapeurs ou le CS2 k donn pour la hotte ventil e dans le guide ET h g n Radionucl ide et Radioprotection Avec Pour le calcul on consid re que la manipulation dose efficace engag e par inhalation en Sv a lieu le matin et qu un travailleur peut s journer inh 4 DPUI pour la cat gorie travailleurs par voie dans le laboratoire pendant les 4 heures suivant la d inhalation en Sv Bq manipulation sans prendre en compte l pura
70. 1335 8 Vu le Code de l action sociale et de la famille notam ment ses articles L 31231 et L 344 1 Vu le Code de la S curit sociale notamment ses articles L 4414 L 441 2 et L 441 4 Vul arr t du 24 novembre 2003 modifi relatif aux em ballages des d chets d activit s de soins risque infec tieux et assimil s et des pi ces anatomiques d origine humaine Vu l avis du Conseil d orientation sur les conditions de travail commission sp cialis e relative la pr vention des risques pour la sant au travail en date du 16 janvier 2013 Vu l avis du Comit des finances locales commission consultative d valuation des normes en date du 4 avril 2013 Arr tent ARTICLE 1 Au sens du pr sent arr t on entend par Accident exposant au sang AES tout contact avec du sang ou un liquide biologique contenant du sang et comportant soit une effraction cutan e piq re cou pure soit une projection sur une muqueuse ceil ou surune peaul s e Sont assimil s des AES les accidents survenus dans les m mes circonstances avec d autres liquides biologiques tels que liquide c phalorachi dien liquide pleural secr tions g nitales consid r s comme potentiellement contaminants m me s ils ne sont pas visiblement souill s de sang Conteneur boite ou minicollecteur pour d chets d ac tivit de soins risques infectieux perforants tel que d fini par l arr t du 24 novembre 2003 modifi r
71. 2008 48 2 105 16 25 Kuzara VM KE RUOTSALAINEN EM HEIKKINEN Occupational asthma due to chloramine T solution Respir 1995 89 10 693 95 26 Rose CS Martyny JW NEwMAN LS Miron DK ET AL Lifeguard lung endemic granulomatous pneumonitis in an indoor swimming pool Am J Public Health 1998 88 12 1795 1800 27 MORENO ANCILLO A VICENTE J GOMEZ L MARTIN BARROSO JA ET AL Hypersensitivity pneumonitis related to a covered and heated swimming pool environment Int Arch Allergy Immunol 1997 114 2 205 06 28 PERDRIX S Brousse P VASSEUR C ET AL Fi vre d inhalation aux poussi res organiques organic dust toxic syndrome Personnel 1998 63 7 p 29 LUMB R STAPLEDON R Scroop A BOND P ET AL Investigation of spa pools associated with lung disorders caused by Mycobacterium avium complex in immunocompetent adults Appl Environ Microbiol 2004 70 8 4906 10 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 159 30 ANGENENT LT ST ST AMAND PACE NR AL Molecular identification of potential pathogens in water and air of a hospital therapy pool Proc Natl Acad Sci USA 2005 102 13 4860 65 31 Moraca McHarry SA LANDEN M SEWELL CM Hypersensitivity pneumonitis with Mycobacterium avium complex among spa workers Int J Occup Environ Health 2013 19 1 55
72. 6 464 78 10 Voisin C SARDELLA BERNARD Risks of new onset allergic sensitization and airway inflammation after early age swimming in chlorinated pools Int J Hyg Environ Health 2013 217 1 38 45 11 JH FUERTES E EJM SPITHOVEN J ET AL Swimming pool attendance and respiratory symptoms and allergies among Dutch children Occup Environ Med 2012 69 11 823 30 12 KM JS GERBER JM SADHRA S ET AL Occupational asthma caused by chloramines in indoor swimming pool air Eur Respir J 2002 19 5 827 32 13 Paris C NcarcHOU W ANDII J Luc A McNAMEE R ET AL Work related asthma in France recent trends for the period 2001 2009 Occup Environ Med 2012 69 6 391 97 14 Soop A SREEDHAR R Kurkanni P Nawoon AR Hypersensitivity pneumonitis like granulomatous lung disease with nontuberculous mycobacteria from exposure to hot water aerosols Environ Health Perspect 2007 115 2 262 66 15 Basu RV CARDENAS V SHARMA G Acute respiratory distress syndrome from chlorine inhalation during a swimming pool accident a case report and review of the literature J Intensive Care Med 2008 23 4 275 80 16 Acagrri Ancona C FORASTIERE F Di NAPOLI A ET AL Short term respiratory effects of acute exposure to chlorine due to a swimming pool accident Occup Environ Med 2001 58 6 399 404 17 ALMAGRO
73. 77 et ne doit pas tre sup rieure un mois pour les travailleurs de cat gorie A et trois mois pour les travailleurs de cat gorie B Dans un m me tablissement les p riodes de port de trois mois peuvent tre d cal es du trimestre calen daire 1 4 Expression des r sultats Les mesures et la restitution des r sultats sont indivi duelles et nominatives Les r sultats sont exprim s conform ment aux dispo sitions prises en application de l article R 4451 16 du Code du travail mSv dans la grandeur op ration nelle appropri e Hp 10 Hp 3 ou Hp 0 07 Pour l organisme entier et le cristallin la plus petite dose mesur e ne peut tre sup rieure mSv et le pas de mesure ne peut tre sup rieur 0 05 mSv Pour les extr mit s et la peau elle ne peut tre sup rieure 0 50 mSv et le pas de mesure ne peut tre su p rieur mSv Toute valeur inf rieure la limite d enregistrement du dosim tre d finie dans le certi ficat d accr ditation est consid r e comme nulle et transmise comme telle SISERI Les r sultats des doses des travailleurs sont exprim s apr s d duction de l exposition naturelle mesur e par le dosim tre t moin correspondant ou d faut par toute autre m thode d valuation pr cis e dans le dos sier d accr ditation et trac e lors dela transmission des r sultats SISERI ANNEXE II 2 Dosim trie pour le suivi de l exposition interne La d
74. 940 salari s parmi ceux qu ils voyaient en visite p riodique dont 47 983 soit 89 ont r pondu Ces salari s sont repr sentatifs de pr s de 22 millions de salari s soit 92 du nombre total de salari s En moyenne 22 questionnaires ont t r alis s par m decin enqu teur Le protocole de l enqu te SUMER 2010 est identique celui des enqu tes de 1994 et 2003 afin de permettre les comparaisons dans le temps Toutefois pour cette dition des efforts particuliers ont t mis en ceuvre pour tenir compte des limites possibles li es certaines caract ristiques de l enqu te notamment celles susceptibles de d couler du volontariat des m decins enqu teurs Au final l enqu te SUMER 2010 est entr e dans le cadre des grandes enqu tes statistiques reconnues par le conseil national de l information statistique CNIS puisqu un avis d opportunit et le label de qualit statistique lui ont t accord s respectivement en 2007 et 2008 En 1994 l enqu te couvrait l ensemble des salari s surveill s par la m decine du travail du r gime g n ral et de la mutualit sociale agricole En 2003 le champ a t tendu aux h pitaux publics EDF GDF La Poste la de pr vention des risques profes sionnels dans les tablissements enqu t s PLUS DE LA MOITI DES SALARI S SONT COUVERTS PAR UN CHSCT Pour 54 des salari s du champ del enqu te SUMER 2010 incluant le secteur priv les fonctions p
75. Agents chimiques amp biologiques BB1501 Bl1530 198 valuer et pr venir les 1 4 jours 31 03 2014 au 04 04 2014 Paris 1035 risques li s aux agents chimiques R aliser la surveillance 1 2 5jours 18 11 2014 au 20 11 2014 Paris 647 biologique de l exposition aux agents chimiques N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Risques sp cifiques Code Stage Session Dur e Date Lieu Co t net Agents chimiques amp biologiques Caract riser et pr venir 1 les risques li s aux nanomat riaux manufactur s 2 5 jours Cj1030 Pr venir les cancers 1 professionnels 4 jours JJo730 Mesurer la concentration 2 en fibres d amiante sur les lieux de travail 3 jours Cjo701 Rep rer valuer et pr venir 1 les risques biologiques en entreprise hors milieu de soins 2 5 jours 21430 16 09 2014 18 09 2014 Vandoeuvre 647 l s Nancy 19 05 2014 au 23 05 2014 Paris 1035 13 01 2014 au 16 01 2014 Paris 776 ou 02 06 2014 au 05 06 2014 14 10 2014 au 16 10 2014 Paris 647 Agents physiques valuer et pr venir 1 les risques li s aux champs lectromagn tiques 3 jours BBo531 valuer et am liorer 1 l clairage des lieux de travail 4 jours JJo504 09 09 2014 au 11 09 2014 Paris 776 23 06 2014 au 27 06 2014 Neuves 1035 Maisons Troubles musculosquelettiques et risques li s aux manutentions manuelles D velop
76. CEMBRE 2013 n es l article 7 l exclusion de celle mentionn e au point i relevant de la comp tence du m decin du travail Le travailleur ne peut s opposer au traitement de ses informations personnelles dans SISERL conform ment l article 38 de laloi du 6 janvier modifi e ARTICLE 3 des fins de centralisation des donn es dosim triques SISERI recueille et assure sous une forme d mat rialis e la gestion des informations figurant sur la carte individuelle de suivi m dical pr vue l article R 4451 91 en garantissant la s curit de ces informa tions ainsi que leur confidentialit par la mise en place d un acc s s curis ARTICLE 4 Dans le cadre de l examen m dical pr alable l affec tation d un travailleur des travaux l exposant des rayonnements ionisants pr vu l article R 4451 82 le m decin du travail communique l employeur son avis sur la proposition de classement du travailleur pr vu aux articles R 4451 44 et R 4451 46 ainsi que l absence de contre indications effectuer des travaux exposant ce dernier des rayonnements ionisants ARTICLE 5 Sous une forme d mat rialis e SISERI informe l em ployeur de la compl tude des informations recues ou en cas d informations manquantes de celles devant tre renseign es Le cas ch ant SISERI attribue lors de la d claration initiale le num ro d enregistrement de la carte de suivi m dical qui est notifi l
77. COPSOQ1 1 858 travailleurs danois g s de 20 60 ans 49 de femmes e 3 517 travailleurs danois g s de 20 60 ans 53 de femmes La version fran aise du COPSOQ a t utilis e dans des contextes particuliers V1 935 salari s d une grande entreprise de l industrie de l a ronautique francaise V2 3 166 salari s de la m me grande entreprise V3 698 salari s d une entreprise francaise dont l activit tertiaire est bas e sur le conseil l tude et la recherche Cela ne constitue donc pas des donn es d talonnage Biais critiques limites La validation des diff rentes ver sions du COPSOO ne se base pas uniquement sur des crit res statis tiques exemple les analyses facto rielles ne retrouvent pas forc ment la structure attendue et pourtant c est celle ci qui est privil gi e les coefficients alpha de Cronbach ne sont pas toujours satisfaisants L adaptation et la validation de la version francaise du COPSOO sont loin d tre achev es Seule la version courte a t adapt e il reste faire le m me travail pour les versions longue et moyenne il aurait d ail leurs fallu commencer par cela Les qualit s psychom triques de la ver sion courte n cessitent d tre confir m es notamment sur des chantil lons plus larges et plus diversifi s Le nombre d items par chelle de la version courte est limit deux voire un seul item par chelle ce qui ne const
78. Code de la sant publique ARTICLE 5 Sont exempt es de tout ou partie des obligations d immunisation mentionn es l article 3111 4 du Code de la sant publique les personnes mentionn es l article 1 du pr sent arr t qui justifient par la pr sen tation d un certificat m dical d une contre indication une ou plusieurs vaccinations Le m decin du travail appr cie le caract re temporaire ou non de la contre indication et l exposition au risque de contamination par des agents biologiques des pro fessionnels en poste au regard des actes que ceux ci sont amen s effectuer dans le cadre de leur activit professionnelle d termine s il y a lieu de proposer un changement d affectation de ces personnes ARTICLE 6 Les personnes l ves ou tudiants mentionn s aux articles 1 et 2 qui ont satisfait l obligation de vaccina tion mais qui ne pr sentent pas de r ponse la vacci nation contre l h patite B ainsi que cela est d fini au 5 de l annexe II jointe au pr sent arr t sont consid r s comme non r pondeurs et n cessitent une surveillance pr vue aux deuxi me et troisi me alin as du pr sent article Les personnes consid r es comme non r pondeuses la vaccination peuvent tre admises ou maintenues en ANNEXE I CONDITIONS D IMMUNISATION CONTRE L H PATITE 1 Les personnes mentionn es aux 1 et 2 de l article 1 du pr sent arr t sont consid r es comme immuni s
79. F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 95 PRATIQUES ET M TIERS CHAPITRE 11 PARAM TRES DE LA SITUATION DE TRAVAIL PRENDRE EN COMPTE CONCERNANT LE RISQUE RACHIDIEN LOMBAIRE CHEZ LES TRAVAILLEURS EXPOS S DES MANIPULATIONS DE CHARGES La surveillance m dico profes sionnelle des travailleurs expos s des MMC s inscrit dans une d marche de pr vention globale de la sant au travail L valuation des risques rel ve de la responsabilit de l employeur C trav Art R 4541 1 et r pond l obligation g n rale de l employeur de veiller la san t et la s curit des travailleurs C trav Art L4121 1 5 et de mettre en ceuvre une politique de pr ven tion trav Art R 4541 7 10 Elle r pond galement l obligation d valuer les facteurs de p nibilit au travail C trav Art L 4624 3 1 Les activit s de MMC doivent tre consid r es comme des activit s complexes et diversifi es expo sant un cumul de contraintes La variabilit des t ches les com p tences et les savoir faire de m tiers ainsi que les dimensions collectives ventuelles doivent tre pris en consid ration dans la caract risation des situations de travail D apr s la norme AFNOR NFX35 109 d octobre 2011 les param tres tudi s ne peuvent se limiter aux caract ristiques biorn ca niques des t ches de manuten tion masses unitaires et tonnages cumul s dur e et distances
80. Facteurs de stress et de bien tre au travail Horaires de travail et pression temporelle Relations interpersonnelles au travail gt Ins curit de l emploi et bien tre Satisfaction au travail et bien tre gt Sant mentale au travail gt Am lioration des conditions de travail et culture de pr vention dans les entreprises gt Pratiques et mod les de gestion des risques psychosociaux gt Approches et pratiques de pr vention de la violence au travail de l intimidation et du harc lement au travail gt Ant c dents et cons quences de l puisement professionnel RENSEIGNEMENTS icholas Andreou European Academy of Occupational Health Psychology nstitute of Work Health amp Organisations University of ottingham YANG Fujia Building Jubilee Campus Wollaton Road Nottingham G8 1BB UK www eaohp org contact us html www eaohp org conference html 15 19 JUIN 2014 MARSEILLE France Airmon 2014 The 8 International Symposium on Modern Principles for Air Monitoring and Biomonitoring Symposium sur le contr le de l air et le biomonitoring Parmi les th mes Pr l vement atmosph rique et surveillance de l air valuation de l exposition strat gies pics d expositions multi expositions Exposition cumul e et pid miologie Mod lisation de l exposition chantillonnage actif et passif des gaz organiques et inorganiques chantillonnage et mes
81. Germany 1947 1999 Emerg Infect Dis 2001 7 5 789 96 3 FRANKEL D H RzNvors A RAourr D fever in France 1985 2009 Emerg Infect Dis 2011 17 3 350 56 4 CanRIERI Tissor Duponr REY D Brousse P ET AL Investigation of a slaughterhouse related outbreak of O fever in the French Alps Eur J Clin Microbiol Infect Dis 2002 21 1 17 21 5 REY S ViaNNEZ GAIDE AM Saviuc P VAILLANT V ET AL Investigation sur des cas group s de fi vre O Montoison Dr me Saint Maurice INVS 2003 44 p 6 Rey S DENNETIERE Rousszr E AUBERT M ET AL Epid mie de fi vre O dans la vall e de Chamonix Haute Savoie Juin septembre 2002 Saint Maurice InVS 2005 68 p 7 Gormanp L KING L CoLARDELLE C DUQUESNE V ET AL Investigation de cas group s de fi vre O Florac 2007 Saint Maurice INVS 2009 72 p 8 Peter Dupuis G Suivi s rologique long terme d une population atteinte de fi vre O M d Hyg 1994 52 2015 434 40 9 DE R ROUSSET E TOURATIER AUDUSSEAU G ET AL Coxiella burnetii vaginal shedding and antibody responses in dairy goat herds in a context of clinical O fever outbreaks FEMS Immunol Med Microbiol 2012 64 1 120 22 10 Dusuc Fonrar C RousseT E CHAMPION JL Marois M ET AL D marche d appr ciation du risque d excr tion de Coxiella burnetii dans les troupeaux caprins laitiers dans l
82. II page suivante D un c t la qualit organisationnelle des postes de travail apparait bel et bien meilleure quand le m decin indique l existence de dispositifs formalis s de pr vention la pro babilit d un jugement favorable est accrue de 7 6 quand il signale un document unique d valuation D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 85 VU DU TERRAIN La pr vention des risques professionnels vue par les m decins du travail Figure 5 TYPE DE DISPOSITIFS DE PR VENTION ET JUGEMENT DU M DECIN SUR LA QUALIT DU POSTE DE TRAVAIL AU REGARD DES DIFFERENTS RISOUES PROFESSIONNELS de postes de bonne ou tr s bonne qualit 85 75 65 55 45 35 Risques Risques Risques Risques physiques chimiques biolof n s Aucun dispositif E CHSCT Intervention IPRP ou consultant Document unique d valuation Plan de pr vention Participation du m decin du travail l valuation des risques Lecture selon les m decins du travail 78 6 des salari s non couverts par un dispositif de pr vention ont des postes de travail de bonne ou tr s bonne qualit au regard du risque organisationnel et 80 6 pour les salari s couverts par un plan de pr vention la diff rence n est pas significa tive pour les risques organisationnels mais l est pour les autres risques Champ salari s de France m tropolitaine et de la R union Source DGT DARES DGAFP enq
83. Moins de 20 salari s Entre 20 et 49 salari s Entre 50 et 499 salari s 500 salari s ou plus Industrie Agriculture Construction Tertiaire Fonction Publique d tat Fonction Publique Hospitali re Fonction Publique Territoriale Organisation de l tablissement Norme de qualit ISO Travail mobile Astreintes Horaires impr visibles Objectifs individuels Entretiens d valuation REPR SENTATION SALARIALE Pr sence de d l gu s syndicaux Pr sence d lus non syndicaux Absence de repr sentants PR SENCE DE CHSCT EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES Travail post Contraintes machiniques Au moins 3 contraintes physiques intenses Bruit intense Rayonnement Produits chimiques au moins 3 Agent biologique Forte demande psychologique Faible latitude d cisionnelle Faible soutien social 54 42 97 80 25 78 95 67 27 45 91 98 74 65 41 64 44 63 72 87 38 X 76 62 48 60 59 48 56 60 56 56 Pr sence de CHSCT R f 3 58 LE R f 0 83 759 14 9 R f 058 NS 01660 Jg NS 0 68 131 1220 1 14 ES 99 0 Teis R f X 123 251055 0 88 1 34 36d NS 0 89 TS NS NS Intervention de pr ven teurs ou consultants 33 27 60 43 zil 44 58 55 13 21 25 40 B5 50 59 23 36 25 38 42 gt lt 53 48 43 32 50 37 34 33 B5 33 34 IPRP 9 Odds ratios Odds ratios
84. NPC dont 20 dans le secteur du BTP Il a t rappel que l laboration d un tel programme au niveau national fait partie des priorit s de l ARS Le secteur du BTP est class comme un des secteurs les plus g n rateurs d accidents Selon les diff rents intervenants les consignes de pr vention de sant et s curit doivent tre enseign es et appliqu es d s le d but de l apprentissage cette fin un programme d action vis e ducative ciblant les apprentis doit tre labor et g n ralis LE PUBLIC APPRENTI UN INVESTISSEMENT DURABLE P Frimat a rappel que l apprentis sage est un investissement dans lequel la sant est un param tre essentiel du d veloppement du rable des entreprises Il a insist par ailleurs sur la n cessit d un regard crois sur la pr vention entre ap prenti et formateur et soulign le r le particulier que peuvent jouer les services de sant au travail vis vis de l apprenti OUE NOUS DISENT LES APPRENTIS DU BTP T Br chon Institut de sant au tra vail du Nord de la France ISTNF Lille pr sente les donn es recueil lies aupr s des apprentis sur les addictions au travail et la connais sance et l application des consignes de s curit Il en ressort que les apprentis du BTP ne sont pas tous gaux face aux risques profes sionnels Si de nombreux efforts sont d ploy s pour apporter les informations de pr vention en re vanche les m
85. Nirkvas D AcUNA CASTILLO HERN NDEZ JEREZ RoBrEs MoNTEs Investigacion de un brote respiratorio agudo por exposicion a cloro gas en una piscina publica Gac Sanit 2008 22 3 287 90 18 Bonerro G Coggap M CARRARO S ZANCONATO S ET AL Longitudinal monitoring of lung injury in children after acute chlorine exposure in a swimming pool J Respir Crit Care Med 2006 174 5 545 49 19 KoPFERSCHMITT KUBLER B MARTINET Geny S ET AL Asthme professionnel et syndrome d irritation bronchique SIB chez des maitres nageurs Rev Mal Respir 2003 20 HS1 140 20 Kavpos Danizis SC MU Suwe T Macri J ET AL Health effects associated with indoor swimming pools a suspected toxic chloramine exposure Public Health 2008 122 2 195 200 21 Bowen AB Ku C KazEROUNI N ET AL Outbreaks of short incubation ocular and respiratory illness following exposure to indoor swimming pools Environ Health Perspect 2007 115 2 267 71 22 Danc CHEN L MUELLER C Dunn KH AL Ocular and respiratory symptoms among lifeguards at a hotel indoor waterpark resort J Occup Environ Med 2010 52 2 207 13 23 BADINIER PAGANON I DzscHAMPS Exposition des maitres nageurs aux d riv s chlor s Arch Mal Prof 2001 62 6 477 81 24 TAFRECHIAN S L asthme au chloramines chez le personnel des piscines Cah M d Interprof
86. R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 3 Lorsqu il y a un risque de projection de sang ou de produits biologiques potentiellement contaminants porter une tenue adapt e masque chirurgical anti projection compl t par des lunettes ou masque visi re surblouse 4 Utiliser de pr f rence du mat riel usage unique 5 Utiliser les dispositifs m dicaux de s curit mis disposition 6 Respecter les bonnes pratiques lors de toute mani pulation d instruments piquants ou coupants souill s ne jamais recapuchonner les aiguilles ne pas d sadapter la main les aiguilles des serin gues ou des syst mes de pr l vement sous vide jeter imm diatement sans manipulation les aiguilles et autres instruments piquants ou coupants dans un conteneur adapt conforme l arr t du 24 novembre 2003 modifi situ au plus pr s du soin dont l ouver ture est facilement accessible et en ne d passant pas le niveau maximal de remplissage en cas d utilisation de mat riel r utilisable lorsqu il est souill le manipuler avec pr caution et en assurer rapidement le traitement appropri 7 Les pr l vements biologiques le linge et les instru ments souill s par du sang ou des produit biologiques doivent tre transport s y compris l int rieur de l ta blissement dans des emballages tanches appropri s ferm s puis trait s ou limin s si n cessaire selon des fili res d finie
87. R f NS R f 24 329 5 8 R f 0S5 0 48 0 14 AS 0 48 LPO 065 5 0 90 NS LAS X X X 5 0 1 16 1 12 1 11 126 1 18 1 2 1 12 NS 0 96 NS Document unique d valuation actualis 52 44 1 89 63 20 41 67 80 67 AIL 41 46 73 77 52 62 41 S 43 58 64 gt lt Z 69 58 48 60 59 50 53 61 52 52 Odds ratios R f 1 53 1 30 R f 21 25 34 R f 06240 iL2XS 65158 0 54 0 28 027 1 26 0 74 iig 087 093 lap X X X 6 6 1 09 NS 0 92 NS gs 1 07 NS 0 96 0 92 1 IPRP intervenant en pr vention des risques professionnels ou autre consultant intervention au cours des 12 derniers mois significatif au seuil de 1 resp 5 et 10 96 NS non significatif X variable non prise en compte dans le mod le logit Plan de pr vention 35 28 72 48 DE 46 64 55 10 28 28 52 65 34 45 26 42 2m 42 47 gt lt 57 53 43 B3 44 45 36 37 40 35 35 actualis Odds ratios R f 144 1 49 R f 2 25 3 6 R f 0 47 JL Agr 55 DAS 1 26 0 78 1 14 0 85 NS 1 4595 X X X 5 9 110 NS 0 95 NS TES 1 06 TE 0 96 0 94 0 95 Lecture 97 des salari s b n ficiant d un service autonome de m decine du tr
88. al 2007 Risques psychosociaux outils d valuation professionnelle IDAP CAT GORIE SITUATIONS DE TRAVAIL PER UES R DACTEURS Langevin V d partement Expertise et conseil technique INRS Boini S d partement pid miologie en entreprise INRS Fran ois M d partement Homme au travail INRS Riou A d partement Expertise et conseil technique INRS FRPS 35 Inventaire de description de l activit Ce document appartient une s rie publi e r guli rement dans la revue Elle analyse les questionnaires utilis s dans les d marches de diagnostic et de pr vention du stress et des risques psychosociaux au travail L article par les m mes auteurs Les questionnaires dans la d marche de pr vention du stress au travail TC 134 Doc M d Trav 2011 125 23 35 pr sente cette s rie et propose au pr venteur une aide pour choisir l outil d valuation le mieux adapt Noms des auteurs Rolland J P Pezet Langevin V Objectifs valuation d un ensemble de di mensions du travail en lien avec le stress au travail selon le Modele des caract ristiques de la t che Hackman et Oldham 1976 et les stresseurs de r le conflits de r le et ambiguit de r le Ann e de premi re publication 1995 Cadre d finition mod le La premi re partie de l IDAP repose sur le Modele des caract ristiques de la t che Job Characteristics Model d Hackman et Oldham 197
89. associ s aux AES 2 Les mesures de pr vention y compris les pr cautions standard AES telles que d finies en annexe les processus de travail visant viter ou minimiser le risque d AES ANNEXEI PR CAUTIONS STANDARD AES Des pr cautions g n rales d hygi ne doivent tre ap pliqu es d s lors qu il existe un risque d AES 1 Respecter les recommandations en vigueur concer nant le lavage et la d sinfection des mains notam ment lavage imm diat en cas de contact avec des liquides biologiques potentiellement contaminants 2 Porter des gants si risque de contact avec du sang ou tout autre pro duit d origine humaine avec les muqueuses ou la peau l s e d un patient notamment l occasion de soins les proc dures correctes d utilisation et d limination des objets perforants l importance de la vaccination l utilisation correcte des dispositifs m dicaux de s cu rit conform ment au mode d emploi tabli parle fabri cant et aux consignes de l employeur 3 Les proc dures de d claration des AES d finies l ar ticle 6 du pr sent arr t 4 Les mesures prendre en cas d AES La formation des travailleurs sera renouvel e r guli re ment notamment en cas de modification de l organisa tion du travail ou des proc dures ARTICLE 6 Sans pr judice des dispositions relatives aux d clara tions d accident du travail dans les secteurs priv s et publics l emplo
90. au genre On constate globale ment une surd claration f minine de troubles psychologiques sou vent expliqu e par la construction sociale d un rapport au corps et au m dical diff renci entre hommes et femmes Pour comprendre les diff rences de genre il faut se r f rer aussi au mod le du travail qui domine analyse N Le Feuvre Universit de Lausanne Institut des sciences sociales Suisse En effet d un pays europ en l autre l expression des fernmes n est pas la m me et d pend fortement de la mani re dont historiquement le travail est divis entre les hommes et les femmes L expression du mal tre des femmes s est aussi accru r cemment sous limpact de l adoption progressive d un modele europ en dominant celui de l adulte citoyen travailleur qui assure son propre entretien par son propre travail auquel il est de plus en plus difficile de se confor mer du fait de la pr carisation du march du travail M Loriol Centre national de la recherche scientifique CNRS Institutions et dynamiques historiques de l conomie IDHE a montr pour sa part que le d ni de souffrance varie selon les milieux professionnels et que dans un milieu donn l expression du mal tre doit se conformer aux repr sentations collectives et partag es de ce qui constitue les difficult s sp cifiques du travail Par exemple en ne manifestant pas son stress face une situation conflictuelle lors d une arrestati
91. au traitement la moti vation au travail le sentiment d efficacit profession nelle l accueil par les coll gues et leur connaissance de la maladie le rapport que le patient entretient avec ses pens es et ce qui est important pour lui son inser tion sociale Crit res d inclusion En plus de son accord deux crit res sont n cessaires pour inclure un patient un arr t de travail ayant pour motif un syndrome d pressif ou quivalent une dur e d arr t sup rieur 15 jours cons cutifs Le plus grand choix possible de secteurs d activit ou de postes de travail sera le bienvenu Responsable d tude contacter Dr Jean Christophe Seznec T l 0617 816181 jcseznec yahoo fr INSERM U669 15 rue des Halles 75001 Paris D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 33 PARTICIPEZ LA RECHERCHE valuation des multiexpositions professionnelles aux solvants par la biom trologie es compos s organiques volatils COVs g n ralement regroup s sous le nom de solvants entrent dans la composition de beaucoup de produits couramment utilis s dans l industrie peintures colles encres produits nettoyants et d graissants Le plus souvent l valuation du risque chimique aux postes de travail passe parla recherche et la quantification de ces compos s dans l air La biom trologie qui consiste doser les toxiques industriels dans un fluide biologique urine san
92. bibliographie Apporter de la connaissance sur la mise en ceuvre du 1 3 butadi ne donn es g n rales origine quan tit produite consomm e les modalit s de travail et de fonctionnement Estimer qualitativement les actions de pr vention mises en ceuvre pour pr venir les risques li s la pr sence de 1 3 butadi ne dans les tablissements concern s Protocole LINRS r alise des interventions dans les tablisse ments des secteurs industriels identifi s pour recueil lir des informations n cessaires l tude Un ques tionnaire est envoy pr alablement la visite Les changes ont lieu au cours d une r union de travail et une visite des locaux permet de d couvrir l activit de l tablissement et d observer les situations r elles de travail Un rapport est ensuite r dig et adress aux acteurs de la pr vention impliqu s Les donn es g n rales du 1 3 butadi ne production consommation l observation des situations et des modalit s de travail et le bilan des actions en mati re d valuation actuellement mises en place permettent de faire tat de la mise en uvre du 1 3 butadi ne au niveau national et d avoir une meilleure connaissance des risques associ s son utilisation Secteurs recherch s Pour r aliser ses interventions l INRS recherche acti vement des entreprises volontaires issues des sec teurs de la production de 1 33 butadi ne son utilisation pour la pr
93. civil de b timent et de travaux publics Guide de pr vention l amiante est un mat riau min ral naturel fibreux pr sent dans les sols de plusieurs d partements en France pouvant se pr senter sous forme d affleurements Par ailleurs l exploitation industrielle de l amiante jusqu au 31 d cembre 1996 a laiss de nombreux sites industriels pollu s qui en raison du d veloppement de l urbanisme peuvent n cessiter des am nage ments ou des constructions Selon les classes d al a amiante d fi nies par le bureau d tudes g olo giques et mini res BRGM pour les terres naturellement amianti feres et le niveau de pollution des anciens sites industriels des me sures de pr vention appropri es pour prot ger les travailleurs et leur environnement devront tre mises en ceuvre par les entreprises intervenant sur ces terrains no tamment lors de travaux de g nie civil n cessitant la manipulation de quantit s importantes de terres amiantif res Ce document est destin informer et donner des r ponses pratiques de pr vention pour r aliser des tra vaux sur les terrains amiantif res notamment les op rations de g nie civil de b timent et de travaux publics que la pr sence d amiante soit d origine naturelle ou li e aux activit s humaines pass es Il s adresse tous les acteurs im pliqu s dans des travaux sur ces terrains donneur d ordre maitre d ouvrage ma tre d uvre en
94. compos s de la mani re suivante un sous groupe de 11 professionnels de sant au travail et autres intervenants en entreprise un sous groupe compos des 6 professionnels ou usagers de soins un sous groupe de 7 personnes communes aux deux autres sous groupes de travail pr sentes toutes les r unions 1 HAS Guide des d clarations d int r ts et de gestion des conflits adopt par le Coll ge le 3 03 2010 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 111 PRATIQUES ET M TIERS Les membres du groupe de travail ont recu des propositions de recommandation grad es et r dig es partir de l analyse critique de la litt rature avant chaque r union Cela afin que chaque membre du groupe puisse pr parer de mani re individuelle la r union venir Les membres du groupe de travail ont particip de mani re active au travail d analyse et de gradation des recommandations 4 gt Groupe de lecture Le groupe de lecture comprenait 5o participants ayant r pondu sur 63 sollicit s Le groupe de lecture tait multidisciplinaire et pluriprofessionnel Les participants avaient une bonne connaissance de la pratique professionnelle dans le domaine correspondant au th me des recommandations et taient capables de juger de la pertinence des tudes publi es et des diff rentes situations cliniques valu es Il tait compos qualitativement de la mani re suivante 16 m decins du
95. coordination des mesures de radioprotection entre les diff rents intervenants assur e par le chef de l entreprise utilisatrice o sont d te nues et utilis es les sources Ces me sures sont formalis es dans un plan de pr vention 3 D ROULEMENT DES PROC DURES m S assurer de l existence et de la validit du champ des autorisa 1 Dans la suite de la fiche le terme g n rique m decin du travail sera retenu tions administratives n cessaires ASN pr fecture m D signer parmi le personnel de l tablissement une ou plusieurs PCR b n ficiant du temps et des moyens n cessaires sa mission m Analyser en amont les protocoles exp rimentaux afin d tablir l va luation des risques les tudes de postes le programme de contr les et le plan de gestion des d chets effluents ainsi que les proc dures en cas d urgence m Mettre en place avant toute acqui sition de source une organisation permettant de v rifier le respect des prescriptions r glementaires notamment celles contenues dans l autorisation administrative la tra cabilit et le contr le des sources Lacquisition se fait aupr s d un fournisseur autoris m tablir les proc dures d acc s aux locaux concern s D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 161 DANGERS ET IDENTIFICATION DU RISOUE RAYONNEMENT IONISANT 1 Dangers SOURCES SCELL ES SOURCES SCELL ES ET G N RATEURS X
96. d mettre des r serves sur le d lai entre les 2 tudes et une observation longi tudinale de plusieurs ann es serait n cessaire pour consolider l inter pr tation Les t ches qui consti tuent un facteur de risque de s ro positivit sont le curage des locaux et les soins aux animaux mais pas la participation aux mises bas comme il pouvait tre attendu Outre le fait que cette tude n a pas mis en vidence de sur risque d infection active dans ce contexte d exposition professionnelle elle indique que dans un contexte en d mo pid mique de fi vre O la s rologie ne peut pas tre retenue comme un bon marqueur d expo sition pour les professionnels d le vage de petits ruminants quand ils sont expos s de facon r guli re et de longue date Cette tude soul ve galement la question de la relation entre la nature de l exposition C burnetii quantit d inoculum infectant et fr quence type de souches type d levage et l expression de l infec tion chez l h te Compte tenu du manque de don n es comparatives concernant la s ropr valence en milieu profes sionnel expos partir de m thodes identiques notamment en ce qui concerne les tests diagnos tiques et les crit res de positivit retenus des tudes s ro pid miologiques compl mentaires de vraient tre men es dans d autres zones end miques g ographiques pour le m me type d levage mais galement dans d autres secteur
97. d irritation des muqueuses respiratoires pour des concentrations plus faibles 4 5 Une valeur limite de trichloramine dans l air ambiant de 0 3 mg m a t propos e par l ANSES 6 146 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 pr coce des enfants au chlore et ses sous produits en particulier par le biais de la fr quentation des piscines chlor es participerait l augmentation d incidence des maladies allergiques ces derni res ann es dans les pays d velopp s 10 11 Enfin latrichloramine pourrait ga lement tre l origine d asthmes allergiques comme le sugg rent Thickett et al en 2002 dans leur analyse de 3 cas d asthmes profes sionnels chez des maitres nageurs cf pid miologie 12 Les auteurs n avancent toutefois pas d hypo th se quant au m canisme immu no allergique impliqu LES PRODUITS DE NETTOYAGE ET DE D SINFECTION DES LOCAUX Les abords des piscines et centres de baln oth rapie font lobjet de mesures de d sinfection minu tieuses et quotidiennes pour viter le d veloppement et la propagation de micro organismes Les produits de nettoyage utilis s sont irritants pour les voies respi ratoires et les autres muqueuses Lexposition aigu et unique une concentration lev e de vapeurs irritantes par exemple lors de luti lisation inad quate d un produit ou du m lange inappropri de deux produits eau de Javel et d tartrant WC lori
98. de donn es caract re personnel relatives la sur veillance des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants Vu l arr t du 1 septembre 2003 d finissant les mo dalit s de calcul des doses efficaces et des doses qui valentes r sultant de l exposition des personnes aux rayonnements ionisants Vu l avis du Conseil d orientation sur les conditions de travail du 13 mars 2012 Vu l avis de l Autorit de s ret nucl aire du 26 juillet 2012 Vu l avis de l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire du 25 juillet 2012 Vu l avis n 2012 466 de la Commission nationale de l informatique et des libert s du 13 d cembre 2012 Arr tent ARTICLE 1 Au sens du pr sent arr t 1 Sont d sign s par les organismes de dosim trie les organismes mentionn s l article R 4451 64 2 Est d nomm SISERI le syst me d information de la surveillance de l exposition aux rayonnements ionisants tel que d fini parle d cret n 2004 1489 du 30 d cembre 2004 g r par l Institut de radioprotec tion et de s ret nucl aire TITRE I MODALIT S DE D LIVRANCE ET CONTENU DE LA CARTE INDIVIDUELLE DE SUIVI M DICAL ARTICLE 2 Lemployeur enregistre dans SISERI pour tout tra vailleur expos aux rayonnements ionisants les informations n cessaires l tablissement de la carte individuelle de suivi m dical et mention 14 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D
99. de votre emploi actuel gt Douleur ressentie au cours d activit s physiques 2 l activit physique intensifie ma douleur 2 Quand ma douleur s intensifie je devrais arr ter mon activit jusqu ce qu elle diminue 2 ne devrais pas exercer mon travail habituel avec ma douleur actuelle D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 121 PRATIQUES ET M TIERS ANNEXE 11 valuation du retentissement de l incapacit fonctionnelle li e la lombalgie items de la version francaise du questionnaire de Rolland Morris questionnaire EIFEL 20 1 gt Je reste pratiquement tout le temps la maison 2 Je change souvent de position pour soulager 3 Je marche plus lentement que d habitude cause 4 cause de mon dos je n effectue aucune des t ches que j ai l habitude de faire la maison 5 cause de mon dos je m aide de la rampe pour montenles escaliers 6 cause de mon dos je m allonge plus souvent 7 gt cause de mon dos je suis oblig e de prendre un appui pour sortir d un 8 cause de mon dos j essaie d obtenir que d autres fassentidesiclyosesialmajplace eue 9 cause de mon dos je m habille
100. des comorbidit s de l histoire professionnelle Il est recommand d appr cier avec le travailleur les risques pour sa sant en tenant compte de l valuation des risques de la situation de travail des adaptations potentielles de la situation de travail du contexte socioprofession nel Les donn es de l examen clinique l embauche incluant le poids la taille la flexibilit lombaire et la souplesse des membres inf rieurs ont une faible valeur pr dictive de lombalgie et d incapacit La recherche d un trouble de la statique rachidienne cyphose lor dose scoliose lorsqu il est asymp tomatique ne pr sente pas d int D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 99 PRATIQUES ET M TIERS r t particulier pour la surveillance ou l aptitude En revanche dans les cas de trouble grave et ou symptomatique de la statique ra chidienne un avis sp cialis peut tre demand Dans les cas complexes ant c dents de chirurgie rachi dienne comorbidit s sont recommand s un examen clinique une concertation entre le m decin du travail et le m decin traitant et ou sp cialiste en accord avec le travailleur IV 3 Recommandations pour la surveillance p riodique ou la demande des travailleurs Le salari b n ficie d examens m dicaux par le m decin du tra vail ou d entretiens infirmiers Chez les travailleurs asymptoma tiq
101. devrais pas effectuer mon travail habituel avecinardouleurnactte e a 13 Je ne peux pas faire mon travail habituel avec iriardouleuvactuellem Md 14 Je ne peux pas faire mon travail habituel tant que ma douleur n est pas trait e 15 ne pense pas que je pourrais refaire mon travail habituel dans les 3 prochains mois 16 Je ne pense pas que je pourrais jamais refaire 124 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 14 pr vention tertiaire du risque rachidien lombaire li la MMC mod le du cadre vert de l INRS 14 La d marche dite du cadre vert est initi e par l INRS et les Services de pr vention des risques professionnels de l Assurance maladie dans le cadre du programme de pr vention de la d sinsertion professionnelle Le cadre vert d finit concr tement un environnement de travail adapt permettant une reprise du travail pour les salari s lombalgiques Ce cadre doit tre maintenu durant les 3 semaines qui suivent le retour du salari lombalgique ou partir de son pisode aigu si le salari n a pas t arr t Le cadre vert prend en consid ration plusieurs composantes de l activit le travail physique les postures les vibrations et les contraintes mentales et psychologiques Il fournit une s rie de valeurs cibles
102. doses re ues lors des diff rentes t ches ment l exposition des doigts au moyen d un dosim tre op rationnel adapt plus 2 Cas o il y a utilisation d un instrument pipette souple d utilisation L utilisation de dosim tres passifs pince est rarement possible en raison des seuils de d tection de ces dispositifs Dans ce contexte o les doigts sont distance des Exposition des extr mit s sources le radiam tre plac la position de la main L exposition des mains peut treinhomog neaucours peut convenir d s lors qu il donne des r sultats en de la mise en uvre du protocole Des mesures diff H o 07 ou que le rayonnement est suffisamment p rents points dela main peuvent donc tre n cessaires n trant pour pouvoir assimiler H 10 et H 0 07 afin de d terminer la dose la plus lev e gt tape de pr l vement avec une micropipette dans le flacon m re Protocole tapes D bit de dose mesur Exposition par tape Temps d exposition enregistr tapen 1 tape n 2 Exposition corps entier E 0 38 HSV pr l vement avec Fi 10 poitrine mesur 7 5 uSv h une micropipette Temps 3 min ou Hp 10 mesur Exposition des extr mit s H 6 Sv H 0 07 extr mit s mesur 120 uSv h Temps 3 min ou 7 mesur tape n 3 Total cumul pour une exp rimentation Exposition extr mit s H Exposition corps entier 10 d bit d quivalent de dose ambiant sous
103. du Haut Conseil des professions param dicales en date du 5 juillet 2013 Arr te ARTICLE 1 Les personnes exercant leur activit dans les tablis sements ou organismes publics ou priv s de pr ven tion ou de soins mentionn s dans l arr t du 15 mars 1991 susvis sont expos es un risque de contamina tion lorsqu elles exercent une activit susceptible de pr senter une exposition des agents biologiques l occasion du contact avec des patients avec le corps de personnes d c d es ou avec des produits biologiques soit directement y compris par projection soit indi rectement notamment lors de la manipulation et du transport de dispositifs m dicaux de pr l vements biologiques de linge ou de d chets d activit de soins risque infectieux Ces personnes sont soumises aux obligations d immu nisation mentionn es l article 3111 4 du Code de la sant publique et doivent apporter la preuve de leur immunisation au moment de leur entr e en fonction d faut elles ne peuvent exercer dans un tablisse ment ou organisme public ou priv de pr vention ou de soins une activit les exposant un risque de conta mination Le m decin du travail appr cie individuellement l expo sition au risque de contamination de ces personnes en fonction des caract ristiques du poste occup par celles ci et prescrit les vaccinations n cessaires ARTICLE 2 Les l ves ou tudiants mentionn s l articl
104. employeur ARTICLE 6 La carte individuelle de suivi m dical est remise par le m decin du travail chaque travailleur de cat gorie A OU B au sens des articles R 4451 44 et R 4451 46 lors de l examen m dical pr alable son affectation des tra vaux l exposant des rayonnements ionisants En cas de perte de vol ou de d t rioration de la carte le m decin du travail d livre un duplicata de cette carte ARTICLE 7 Aux fins de suivi m dical et dosim trique des travail leurs expos s aux rayonnements ionisants et d ta blissement de la carte individuelle de suivi m dical les informations suivantes sont transmises SISERI a Le nom le pr nom le sexe la date et le lieu de nais sance b Le statut d emploi travailleur en contrat dur e d termin e contrat dur e ind termin e contrat de tra vail temporaire ou travailleur non salari et la quotit de travail C Le secteur d activit et le m tier conform ment aux nomenclatures pr vues en annexe VI et aussi pr cis ment que possible d Le num ro d enregistrement du travailleur au registre national d identification des personnes physiques e Le classement du travailleur pr vu aux articles R 4451 44 et R 4451 46 f Le nom le pr nom et l adresse de l employeur ou de son repr sentant l gal g La d signation de l tablissement auquel est rattach le travailleur son nom sa raison sociale son num ro de SIRET et
105. en principe du comit d en treprise l existence d un CHSCT d pend troitement dela pr sence de repr sentants du personnel et surtout de d l gu s syndicaux encadr 1 87 des salari s des tablissements couverts par un d l gu syndical b n ficient d un CHSCT et 38 6 de ceux o existe une repr sentation lue mais pas de syndicats contre moins de 3 des autres salari s figure 1 page suivante Les m decins du travail qui r a lisent l enqu te SUMER disposent del information concernant l exis tence d un CHSCT pour 95 des D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 81 VU DU TERRAIN La pr vention des risques professionnels vue par les m decins du travail salari s enqu t s En revanche VFigurei ils connaissent moins bien l acti 2 vit cohcr te de ces comitis dans gt LA PRESENCE DE CHSCT DEPEND FORTEMENT DE LA PRESENCE SYNDICALE les tablissements qui disposent de salari s couverts d un CHSCT ils ignorent le nombre 100 94 annuel de r unions pour 45 des 87 salari s et m me 60 6 pour les plus petits tablissements f gure 2 Quand ils connaissent ce nombre ils signalent dans 29 60 des cas que le CHSCT a tenu moins de 4 r unions au cours des douze 40 39 derniers mois dans 49 des cas le CHSCT s en est tenu aux 4 r u _ moins de 50 salari s iid 5o salari s et plus 68 tous tablissements
106. es Le barom tre 2013 a port sur 1280 chantiers et ateliers Dix ques tionnaires en moyenne ont t remplis par chaque conseiller en pr vention au sein des 18 agences de l OPPBTP en janvier et f vrier 2013 Le questionnaire Hygi ne et conditions de vie 2013 est consti tu de 30 questions 10 questions concernent l organi sation du chantier 5 sur les condi tions d hygi ne 5 sur l organisation pratique 10 questions portent sur la tech nique 5 sur la technique princi pale 5 surla technique secondaire 10 questions ont trait l humain 5 relatives la sant et l hygi ne 5 relatives au bien tre Les premiers r sultats concernent essentiellement des travaux de b timents neufs pr s de 40 du gros ceuvre 40 96 des chantiers de plus de quinze jours environ 80 96 Deux facteurs influencent princi palement ces r sultats la dur e du chantier qui est un facteur discriminant de l analyse Les chantiers courts 2 jours se caract risent par des performances m diocres en termes d hygi ne et de condition de vie la taille de l entreprise qui joue sur la performance globale avec de bons r sultats pour les grandes entreprises 41 salari s Globalement les r sultats sont meilleurs qu en 2008 mais il per siste de r elles in galit s dans les conditions de vie selon plusieurs facteurs le secteur g ographique le nombre de salari s dans l entre pri
107. es ex Medline Les nonc s ont t publi s dans le num ro du 15 f vrier 1997 du JAMC Journal de l Association M dicale Canadienne Les directives aux auteurs sont galement disponibles en francais sur le site Internet dela CMA Canadian Medical Association l adresse suivante www cma ca LES R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES Les r f rences bibliographiques sont destin es conforter la cr dibilit scientifique du texte permettre au lecteur de retrouver facilement le document cit La bibliographie plac e en fin d article de pr f rence par ordre alphab tique est toujours saisie en minuscules Dans le texte les l ments bibliographiques sont indiqu s entre crochets auteurs ann e de publication et lettre alphab tique lorsque plusieurs articles du ou des m mes auteurs ont t publi s la m me ann e Si la bibliographie est num rot e elle suit l ordre d apparition des r f rences dans le texte Lorsqu il y a plus de quatre auteurs ajouter la mention et al Les titres des revues sont abr g s selon la liste de l Index Medicus www nlm nih gov Forme g n rale pour un article Nom s pr nom s initiales Titre de l article Titre de la revue abr g ann e volume num ro suppl ment ou partie premi re derni re pages de l article Si donn es disponibles Pour les auteurs anonymes la r f rence bibliographique commence par le titre de l article ou d
108. et 43 6 des levages 6 14 en 2006 et 12 28 en 2008 avaient plus de 30 d animaux s ropositifs Une typologie en fonction des ni veaux de circulation de l infection intra levage corr l s aux niveaux d excr tion des levages a gale ment t construite selon et la s rologie des animaux le type 1 correspond l absence de circula tion de l infection au sein de l le vage levages s ron gatifs ou avec 5 d animaux s ropositifs majori tairement g s dans le type 2 il n est pas retrouv de preuve signi ficative de circulation active de l infection mais la pr sence de cri t res voquant une phase d arriv e de l infection pourcentage d ani maux s ropositifs de l ordre de 5 majoritairement jeunes le type 3 correspond une circulation basse de l infection voire une volution vers le type 1 plus de 10 6 d ani maux moyennement s ropositifs r partis dans toutes les classes d ge l exception de celle des jeunes animaux dans le type 4 une circulation importante de l in fection est mise en vidence le vages avec plus de 40 d animaux infect s et fortement s ropositifs 10 Cet outil de classification des levages par typologie a t con u pour indiquer un niveau d expo sition pour les professionnels d levage et aider l valuation du risque de transmission l homme Sa pertinence d pend de la confir mation de l hypoth se d une rela tion
109. et est d fini dans la norme NF C 18 510 Aptitude m dicale du salari Au vu des l ments ci dessus le m decin du travail doit statuer la fois sur l aptitude du salari aux tra vaux de m canique automobile mais aussi sur l apti tude du salari la pratique d un m tier soumis au risque lectrique Sur le plan de la sant l lectricit peut induire plu sieurs types d atteintes e l lectrisation qui d signe les diff rentes manifes tations physiopathologiques dues au passage du cou rant lectrique travers le corps t tanie fibrillation ventriculaire trouble de la conduction br lure rhab domyolyse l sion neurologique e l lectrocution qui correspond la mort engendr e parle passage du courant dans l organisme des br lures et des atteintes oculaires li es au ph nom ne de flash lectrique 188 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Sur le plan r glementaire il n existe pas de crit res d ap L MENT BIBLIOGRAPHIQUE titude ni de contre indications formelles la pratique d un m tier soumis au risque lectrique Le contenu A LoMBARD M NARD A JL de la surveillance m dicale est laiss l enti re appr L habilitation lectrique dition INRS ED 6127 ciation du m decin du travail Il est recommand de Paris INRS 2012 44 p rechercher des ant c dents ou des facteurs de risque cardio v
110. et sanitaires non pagin 2007 8 BATAILLE C Sipo B Rapport de la mission parlementaire sur la s curit nucl aire la place de la fili re et son avenir Rapport tape la s curit nucl aire Assembl e nationale 2011 www assemblee nationale fr 13 pdf rap off i3614 pdf 9 LASFARGUES D part en retraite et travaux p nibles L usage des connaissances scientifiques sur le travail et ses risques long terme pour la sant Rapport de recherches Noisy le Grand Centre d tudes de l emploi 2005 39 p 10 2 E P nibilit du travail valuation statistique Document de travail n 55 Noisy le Grand Centre d tudes de l emploi 2006 84 p 11 FiLHOL E La Centrale Paris diteur POL 2010 141 p 12 Tere MA Huzz D NiIEDBALA JM AUCLAIR J AL Sant et arr t de tranche D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 59 VU DU TERRAIN en centrale nucl aire une tude pid miologique Radioprotection 1995 30 4 519 33 13 Sous traitance des conditions de travail plus difficiles chez les preneurs d ordre DARES Anal 2011 11 1 8 14 Dampierre avec les nomades du nucl aire Le Monde 2011 www lemonde fr planete article 2011 04 26 a dampierre avec les nomades du nucleaire 1510216 3244 html 15 SETBON M Risque et perception du risque enjeux et connaissances Contr
111. format num rique condition d avoir toujours la possibilit d imprimer sous un format maquett figure 1 La possibilit de disposer d une application sp ci fique pour tablettes et smartphones permettant le D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 INFOS RETENIR t l chargement direct de la collection FT les int ressent plus ou moins court terme en fonction des projets d quipement dans les diff rents ser vices figure 2 Quant la fiche simplifi e 74 se disent int res s s par un tel document qu ils pourraient empor ter lors des visites d entreprise pour une utilisa tion directe un affichage au poste de travail ou acc der tr s rapidement aux informations essen tielles figure 3 Parall lement les volutions d j mises en place des le d but 2013 tableau de suivi d taill des modifications liste compl te des FT publi es pr cisions sur les classifications dans la partie r gle mentation classement du Centre international de recherche sur le cancer CIRC ECHa ont corrobo r les demandes formul es dans la partie texte libre du questionnaire En conclusion l orientation tout num rique de la collection FT est tr s attendue car non seu lement la mise jour des FT sera facilit e et une meilleure r activit attendue mais la pr sence de liens hypertextes devrait faciliter la compr hension en permettant par exemple l
112. forme de questions r ponses les principales r gles ju ridiques concernant la mise sur le march des EPI ainsi que les condi tions de leur mise disposition par les employeurs Anrs iri pars ris de pros Leu bre ee HH R f INRS ED 6077 24 p 2 dition D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 29 NOUVEAUT S DE INRS clairage artificiel au poste de travail Fiche pratique de s curit Penser l clairage artificiel en fonc tion de caract ristiques des situa tions de travail est essentiel pour garantir un clairement suffisant et pour viter l inconfort la fatigue visuelle et des accidents Cette fiche a pour objectif de pr senter les principes de base et d aider au choix de dispositifs d clairage de luminaires et de lampes pour per mettre un clairement satisfaisant au poste de travail R f INRS ED 85 4 p 2 dition Le stress au travail Le point des connaissances SUL Le stress au travail apparait comme un risque professionnel auquel les entreprises quelle que soitleur im portance doivent faire face Vingt deux pour cent des travailleurs europ ens se plaignent de pro bl mes de sant li s du stress au travail Que recouvre exactement ce terme Quels sont les facteurs l origine du stress au travail Par quelles r ponses physiologiques l organisme humain r agit il Ouelles sont les cons quences d un t
113. gt 1600 contre les antig nes de phase I Bien que dans cette r gion la fi vre O soit connue pour tre end mique en levage de petits ruminants tr s peu de cas de maladie est recens chez les professionnels expos s Chez l animal plusieurs enqu tes s rologiques ont t r alis es mais l absence de standardisation des tests utilis s rend les comparaisons difficiles Par ailleurs peu d tudes se sont int ress es jusqu alors l excr tion de C burnetii par les ani maux infect s en levage asymp tomatique Les connaissances disponibles proviennent essentiel lement d investigations r alis es loccasion d pisodes d avorte ments animaux dus la fi vre O 9 Cependant en raison d une augmentation des avortements N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 dans des troupeaux caprins lai tiers observ e parles Groupements de D fense Sanitaire dans des d partements du sud est et d un manque de donn es sur l excr tion bact rienne par les troupeaux une tude s rologique et d excr tion a t effectu e dans des levages caprins laitiers sans ant c dent clinique de fi vre O en 2006 14 troupeaux et 2008 28 troupeaux dont 5 communs avec l tude de 2006 Une excr tion importante et une s ropr valence lev e ont t mises en vidence dans ces trou peaux asymptomatiques 88 des levages sond s en 2006 et 2008 avaient au moins un animal s ro positif
114. inrs fr N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PICOT A DUCRET J EDS S curit et pr vention des risques en laboratoire de chimie et de biologie 3 dition Cette troisi me dition enti rement actualis e et consid rablement augment e pour prendre en compte la plupart des risques pr sents dans les laboratoires int gre les nouvelles exigences r glementaires francaises et europ ennes et tient compte de l volution des connaissances dans le domaine des risques professionnels Elle conserve les qualit s et les principes fondamentaux des deux premi res ditions du Picot Grenouillet La multiplicit des produits et des activit s qui se c toient dans un tablissement de recherche engendre des risques sp cifiques S curit et pr vention des risques en laboratoire de chimie et de biologie traite ces risques dans leur globalit par une approche scientifique et pour mieux les appr hender et les maitriser cet ouvrage propose des solutions de pr vention appropri es et concr tes Les deux coordonnateurs Andr Picot et Jean Ducret se sont entour s d une quipe multidisciplinaire de scientifiques qui ont su mettre en commun leurs connaissances dans le but d laborer un recueil de bonnes pratiques de manipulation et de protection de la sant des op rateurs Un index en facilite l utilisation et permet la recherche de donn es sp cifique
115. internationales Le chapitre 5 s int resse la pour les contaminants chimiques et d aborder quelques unes des conciliation entre le travail et la et les nanoparticules Le mod le th matiques qui ont marqu vie personnelle Les enjeux li s est constitu des quatre groupes l volution de la discipline la charge de travail font l objet du de risques utilis s en bios curit L ouvrage est organis en 6 chapitre Le chapitre 7 aborde et de cing niveaux d exposition 4 grandes parties les la question de l autonomie des Le croisement d un groupe de pr liminaires la naissance et salari s et de leur participation risques et d un niveau d exposition l essor de la SELF lesactivit s dela aux d cisions Le conflit et donn correspond un facteur SELF et autour de la SELF quelques l ambigu t de r le sont discut s de protection caract ristique th mes majeurs illustrant dans le 8 chapitre Enfin le dernier permettant l utilisateur de l ergonomie francophone les chapitre pr sente une d marche choisir un appareil de protection r seaux qui se sont tiss s autour pour implanter des changements respiratoire appropri Le niveau de la recherche et de la pratique permettant de combler les vides d exposition est lui m me Octar s ditions 24 rue Nazareth laiss s par les pi ces manquantes le r sultat de la somme des 31000 Toulouse 2013 435 p du management Chaque chapitre pointages allou s aux niveaux de est assorti d un que
116. kit de mesure est utilisable par le personnel des tablissements Simple et rapide il fournit directe ment les r sultats dela concentration entrichloramine ce qui permet der aliser un suivi r gulier et de prendre rapide ment les mesures n cessaires pour maintenir cette concentration en dec dela valeur limite recomman d e parl ANSES de 0 3 mg m Une pompe pr l ve de l air qui traverse 2 filtres en fibres de quartz sur lesquels la trichloramine est retenue La trichloramine est ensuite lib r e dans de l eau d sio nis e L analyse est r alis e par colori m trie et permet ensuite de calculer la concentration entrichloramine de l chantillon d air pr lev Le pr l vement des chantillons est r alis sur une du r e de 45 minutes 8 heures un d bit de pompage de 2 litres minute Le kit de mesure Triklorame est commercialis par Syclope lectronique www syclopefr fiche php num 15 leur co t de mise en uvre de probl mes toxiques qui leurs sont propres et d un pouvoir d sinfec tant souvent moins bon que celui du chlore et de ses d riv s 6 En pratique la substitution du chlore par un autre compos bact ricide tout aussi efficace et bon march n a ce jour pas abouti Divers traitements compl men taires ont t d velopp s ces der ni res ann es pour tenter de limi ter l exposition du personnel et du public de piscines et centres de bal
117. l 2006 115 21 16 Nucl aire L ASN s int resse EDF Figaro 2011 www lefigaro fr flash eco 2011 01 12 97002 20110112FILWWW200595 nucleaire l asn s interesse a edf php 17 Les politiques sant et s curit du groupe des objectifs prioritaires pour le groupe AREVA 2011 www areva com FR groupe 2021 les politiques sante et securite du groupe des objectifs prioritaires pour le groupe htm 18 Charte de progr s et de d veloppement durable Partenariat renforc entre les entreprises prestataires et les centrales nucl aires EDF 2004 www ma zone controlee com wp content uploads 2011 01 Dossier charte pdf 19 Espace prestataires du nucl aire EDF http prestataires nucleaire edf com edf fr accueil prestataires du nucleaire edf 53667 html 20 Courror Worrr L impact des conditions de travail sur la sant une exp rience m thodologique Rapport de recherches n 23 Noisy le Grand Centre d tude de l emploi 2005 145 p 21 DE Samr Pot T L ob sit en France les carts entre cat gories sociales s accroissent INSEE 2007 www insee fr fr themes document asp ref id ip1123 22 T WALTISPERGER D Les pathologies li es au travail vues par les travailleurs DARES Anal 2010 80 1 10 23 FREUD A BERMAN Le moi et les m canismes de d fenses Paris PUF 2001 166 p 24 DEjouns C Travail usure mentale Essai d
118. l ANSES est applicable dans les locaux acces sibles au public Enfin l article R 4412 149 du Code du travail impose une valeur atmos ph rique contraignante dans les lieux de travail et dans la zone de respiration des travailleurs pour le chlore de 1 5 mg m ou 0 5 ppm sur 15 minutes VLCT ou valeur limite court terme Cette valeur est res pecter dans les locaux techniques o les salari s peuvent tre expos s des vapeurs chlor es par exemple lors d op rations de remplissage ou de maintenance du syst me de d sinfection La pr vention des affections li es l usage de produits de nettoyage passe par diff rentes mesures la substitution des produits les plus irritants et sensibilisants par d autres qui ne le sont pas ou le sont moins la r duction autant que possible de la fr quence d emploi des pro duits ainsi que des quantit s utili s es le choix des m thodes d appli cation les moins exposantes sur le plan respiratoire produit liquide vers sur un chiffon plut t qu appli qu en spray par exemple e la ventilation efficace des locaux de travail la r alisation des travaux de net toyage lors des p riodes de moindre affluence en usagers et personnels et si possible l a ration des locaux apr s d sinfection e l information du personnel de net toyage sur les risques li s aux pro duits de nettoyage et sur leur bon usage mode d emploi stockage incompatibilit
119. l employeur en cas de risque de blessure par objet perforant et de risque d infection mis en vidence par l valuation des risques L employeur doit viter le risque ou si ce n est pas possible le r duire en mettant en ceuvre les pr cautions standard AES d taill es l annexe de l arr t lavage et d sinfection des mains port de gants utilisation de dispositifs m dicaux de s curit limination des d chets en supprimant l usage inutile d objets perforants en mettant disposi tion des dispositifs m dicaux de s curit Les travailleurs recoivent une information sur les risques et la r glementation les bonnes pratiques de pr vention et les dispositifs m dicaux disposition le dispositif de d claration et de prise en charge des AES et les proc dures d limination des objets perforants L employeur organise la formation des travailleurs sus ceptibles d tre expos s d s l embauche y compris pour les travailleurs temporaires et les stagiaires Cette for mation porte notamment sur les risques li s aux AES les mesures de pr vention les proc dures de d claration des AES telles que pr cis es l article 6 et l annexe II de l arr t les mesures prendre en cas d AES Cette infor mation est renouvel e r guli rement Cet arr t encadre la prise en charge apr s un AES et l in formation des personnels de sant sur la conduite tenir d taill es l annexe l information de l
120. la perception des risques par les op rationnels en situation r elle individuellement d une part mais aussi collective ment au sein de l quipe l OPPBTP a pris l initiative d une tude asso ciant des pr venteurs et des m de cins GNMST BTP pour leur exp rience de terrain des chercheurs du centre de sociologie de l cole Centrale Paris et des entreprises volontaires qui ont accept d ouvrir leurs chantiers PME maconnerie gros ceuvre Bergamini d partement Sciences humaines cole Cen trale Paris pr cise que l objectif de l tude est de comprendre les conduites collectives et indivi duelles r elles dans leurs contextes professionnels sp cifiques y com pris les conduites habituellement qualifi es d irrationnelles Cette recherche action s est d rou l e en trois phases capitalisation des connaissances des m decins du travail et des conseillers de l OPPBTB laboration d un outil d accompa gnement des quipes de travail dans leur questionnement face au risque exploration des situations de travail avec les op rateurs films entretiens collectifs et individuels Se d gagent de cette tude 4 si tuations probl mes 9 risque reconnu per u mais les solutions de pr vention paraissent impraticables risque reconnu per u mais d li b r ment encouru les conduites de prise de risque erisque niconnu ni pris en compte parignorance erisque niconnu ni p
121. lat rale Destin aux m decins du travail l appareil met f et f2 enregistre 2f1 f2 tout en mesurant les seuils de d clenchement du r flexe acoustique Le proc d ne n cessite aucune participation active des sujets et peut tre utilis sans cabine audiom trique Les premiers r sultats montrent une grande sensibilit de l appareil la fatigue auditive Outil compl mentaire l audiom trie tonale liminaire il devrait am liorer le d pistage pr coce des effets du bruit et des substances ototoxiques sur l audition des salari s multi expos s bruit plus solvant Objectifs de l tude e Tester des salari s expos s soit des solvants aromatiques tolu ne styr ne thylbenz ne ou xyl ne soit au cumul bruit et solvants aroma tiques avec l choScan Audio pour en mesurer les performances et ses capacit s d terminer la fatigue auditive et les effets sur les r flexes acous tiques Secteurs concern s Fabrication de peintures de vernis mat riaux composites constructions navales imprimerie car rosserie Les secteurs bruyants sont vastes il faut galement une pr sence de solvants aromatiques M thodologie Apr s un questionnaire relatif l tat de sant des volontaires un examen otoscopique sera r alis pour v rifier l tat du tympan et l absence de bou chon de c rumen dans le conduit auditif externe Cette approche sera assur e par les membres de l quipe INRS ave
122. le but d identifier les salari s travaillant en maintenance de centrale nu cl aire c est dire au moins 80 du temps de travail pass en arr t de tranche De plus les quatre modalit s de r ponse jamais occasionnelle ment souvent toujours ont t regroup es en deux variables oui non selon le sens de la question apr s consensus entre les auteurs Par exemple en ce qui concerne la question relative au sentiment de s curit oui a t jug quivalent toujours en ce qui concerne la question relative aux moyens de bien faire son tra vail oui a t jug quivalent Souvent et toujours Dans un deuxi me temps l ana lyse a recherch des liens signi ficatifs entre les caract ristiques m dico professionnelles par croi sement Pour l tude des liens entre travail vie et sant la va riable salari s ayant des patholo gies en rapport avec les conditions de travail et g nantes pour le tra vail en nucl aire a t cr e ainsi que des sous groupes population nels tel que celui des salari s d clarant intervenir au moins 80 de leur temps de travail en arr t de tranche par rapport leur temps de travail en INB Enfin une analyse multivari e des variables significativement li es entre elles a permis de hi rarchiser les associations significatives R SULTATS L ensemble des r sultats ne pouvant
123. le domaine de la pr vention et sur le s minaire des tin aux apprentis Lensemble des communications relatives entre autres l approche physiopatho logique des fonctions barri res de la peau aux aspects cliniques aux recommandations concernant les EPI et les cr mes de protection est consultable dans les Archives des maladies professionnelles et de l environnement 9 DES CHIFFRES DES DONNEES En 2013 peut on encore parler de p ril cutan s interroge P Frimat m decin du travail Lille citant les propos du Pr Huriez lors du premier Symposium international sur les dermatoses professionnelles orga nis Lille en juin 1955 SUIVI POUR VOUS 1 32 Journ es nationales de sant au travail du BTP Le risque cutan Arch Mal Prof 2013 74 4 415 37 En 2011 35 dermatoses ont t d clar es et reconnues en maladies professionnelles 31 au titre du tableau n 8 des maladies profes sionnelles du r gime g n ral et 4 au titre du tableau n 65 On peut penser que ces chiffres ne repr sentent qu une toute petite partie de la r alit et que ces patholo gies demeurent sous d clar es 1l faut rappeler qu il n existe pas en France d tude nationale d valua tion de la pr valence des derma toses des mains dans le BTP Dans le cadre de ce congr s le GNMST BTP et 115 se sont associ s pour r aliser une tude prospective dans le secteur du BTP avec pour objecti
124. le travail hors secteur nucl aire 319 de l ensemble des salari s est signifi cativement associ ne pas tre en CDI OR 3 4 IC 95 1 3 9 1 p lt 0 05 l organisation du travail ne pas avoir eu des travaux terminer dans l urgence au cours des 12 derniers mois OR 2 02 IC 95 101 407 p 0 001 travailler plus de 5 jours de suite au cours des 12 derniers mois OR 33 IC 95 77 6 5 p lt 0 05 aux conditions de vie qui d cou leraient de l organisation du travail avoir eu un temps de repos quotidien suffisant au cours des 12 derniers mois OR 2 443 1C 9576 1 05 56 p lt 0 05 ne pas avoir dormi son domicile lors de la derni re mission OR 2 7 IC 95 1 2 63 p lt 0 05 avoir dormi dans une caravane OR 2 5 IC 95 1 26 517 p lt 0 01 TRAVAILLEURS INT RIMAIRES Apr s analyse multivari e aucune association significative n est re trouv e dans le groupe des travail leurs int rimaires cf Discussion infra DISCUSSION Loriginalit de cette tude repose SUI le champ de l tude qui porte sur les salari s des entreprises d ile de France sous traitantes de len semble des INB en France en com pl ment d tudes qui s int ressent exclusivement aux travailleurs des centres nucl aires de production d lectricit CNPE 1 3 4 5 6 l expertise de deux services
125. m dicaux et sociaux de sant au travail de la r gion le de France ACMS B Loussert M L Vibert B Wilbert m decins du travail Association paritaire de sant au travail du b timent et des tra PY Mont l on C Wargon membres du comit d tudes pid miologiques de l ACMS des centrales nucl aires arrive en fin de carri re Afin dobjectiver leur ressenti ces m decins ont mis en place une tude explorant certaines contraintes de travail et de vie plus sp cifiques au travail de sous traitance dans le nucl aire et le v cu de ces contraintes e l tat de sant de ces salari s eles difficult s potentielles de main tien au poste de travail et l tude des perspectives professionnelles L aspect dosim trique tant explo r par ailleurs il n a pas t tudi ici 2 MAT RIEL ET M THODE Il s agit d une tude transversale descriptive vis e exhaustive r a lis e au moyen d un questionnaire anonyme standardis concu pour cette tude Il a t propos par des m decins du travail habilit s et volontaires aux salari s des en treprises d le de France sous trai tantes de l ensemble des installa D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 39 VU DU TERRAIN 2 Font partie des INB les centres nucl aires de production d lectricit les centres de recherche civile ou militaire les centres de fabrication traitem
126. moins d un an 36 ans La m diane est 10 ans Vingt trois pour cent des salari s exercent depuis plus de 21 ans 37 5 6 depuis moins de 5 ans et 39 5 ont entre 6 et 20 ans d anciennet L ge d entr e dans le nucl aire est en moyenne de 27 ans de 18 55 ans m diane 25 ans SP CIFICIT S DU TRAVAIL EN SECTEUR NUCL AIRE En moyenne dans l ann e les sala ri s ont chang de site de travail 7 fois avec des extr mes de o 300 fois m diane 3 fois Le tableau page suivante montre la r parti tion selon le nombre de change ments de sites En moyenne le temps pass en INB parrapport au temps total de travail est de 64 8 avec des extr mes de 0 5 100 m diane 80 Dans le d tail 107 salari s 12 5 passent moins de 10 de leur temps de tra vail en INB 157 18 4 de 10 49 96 134 15 7 de 50 75 154 18 1 de 76 99 et 301 35 3 la totalit de leur temps de travail En moyenne 37 2 du temps pass en INB l est pour des travaux sur ar r t de tranche avec des extr mes de o 100 la m diane tant 20 Parmi les 576 salari s ayant travail l en arr t de tranche 114 19 8 y passent jusqu 15 6 du temps total de travail en INB 83 14 4 de 16 30 168 29 2 de 31 79 et 211 Figure 1 R partition par classes d ge oa B E Hn Claves d ge moins de 25 305 TableauI gt R PARTITION PAR ACTIV
127. munici pale 25 Cette derni re employ e depuis plusieurs ann es dans la m me structure rapporte l appa rition quelques mois apr s avoir commenc utiliser un nouveau produit d sinfectant en spray d une rhinite d une toux et d une dyspn e fluctuant avec le travail Le diagnos tic d asthme est confirm par la positivit du test de provocation non sp cifique lhistamine La relation avec le travail est objecti v e par la fluctuation franche du DEP en fonction de l activit pro fessionnelle La responsabilit de la chloramine T dans la gen se de cet asthme allergique IgE m di est tablie sur la base de la d tection d IgE sp cifiques dans le s rum un taux de 16 27 ULL et la 148 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 positivit d une part du prick test et d autre part du test de provoca tion bronchique sp cifique effec tu avec une solution de chlora mine T 0 5 e Cas de pneumopathie d hypersensibilit PHS et affections apparent es La d faillance du syst me de d sinfection de leau de baignade peut contribuer la colonisation des installations thermales par des micro organismes potentielle ment pathog nes pour l homme Certains peuvent tre l origine de cas isol s ou plus souvent group s d infections respiratoires chez les usagers voire chez les employ s de ces structures qui ne seront pas d taill s ici Certain
128. n rale du travail DGT et en son sein l inspection m dicale du travail et la direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES Cette enqu te pr sente le double int r t de reposer d une part sur l expertise professionnelle du m decin du travail qui peut administrer un questionnaire parfois tr s technique et d autre part sur le grand nombre de salari s enqu t s ce qui permet de quantifier des expositions des risques relativement rares Le m decin enqu teur s appuie d une part sur les d clarations du salari lors de la visite m dicale d autre part sur son expertise Cette expertise se fonde g n ralement sur sa connaissance du terrain et des proc d s de travail sp cifiques au poste l entreprise ou au m tier du salari En cas de doute sur une d claration du salari le m decin peut r aliser une visite du poste de travail chaque fois qu il le juge n cessaire et possible temps disponible accord de l entreprise En outre le salari remplit seul dans la salle d attente un auto questionnaire qui porte sur son v cu du travail et permet d valuer les facteurs psychosociaux de risques rencontr s sur le poste de travail La derni re dition de l enqu te s est d roul e de janvier 2009 avril 2010 Deux mille quatre cents m decins du travail soit plus de 20 6 des m decins du travail en exercice ont tir au sort selon une m thode al atoire 53
129. nucl aire peuvent refuser de s engager dans ce sec teur d activit Cinq groupes d activit s sont re pr sent s dans l tude bureau d tudes 213 contr le non destructif 32 7 servitudes nu cl aires dont chafaudage et calo rifugeage 19 8 maintenance industrielle 54 entretien des b timents dont climatisation chauffage et plomberie 15 4 Un tiers des salari s intervient dans plusieurs secteurs d activit Cette r partition est proche de celle d crite dans l tude STED 1 moyen d entr e dans le nu cl aire est plut t lev 27 ans et l anciennet moyenne est moins lev e qu attendu 12 ans Lobjec tif de l tude tait de s int resser aussi au maintien dans l emploi des salari s ayant plus de 20 ans d anciennet Ils repr sentent un peu moins d un quart 23 96 des r pondants Cette anciennet est li e au fait de travailler en mainte nance de centrale nucl aire passer au moins 80 6 de son temps de tra vailen arr t de tranche tre g de 50 ans et plus est retrouv associ l existence de pathologies en rap port avec le travail selon l examen m dical Il n a pas t retrouv d association significative l issue des r gressions logistiques entre l ge et le fait de trouver le travail plus p nible en secteur nucl aire ou celui d avoir des pathologies g nantes pour le travail dans le nucl aire La mobilit caract ristique de la so
130. p nibilit ressentie et d autre part aux pathologies li es au travail et interrogeant le maintien en secteur nucl aire des salari s qui en souffrent selon l avis du m decin du travail puisque ces maladies sont consid r es par ce dernier comme tant g nantes en secteur nucl aire Cette obliga tion de nomadisme a un impact sur la vie familiale et sociale de ces salari s loin de chez eux sur la facon dont ils se nourrissent font du sport ou se soignent et sur leur sant Dans l tude pr sente le tra vail en centrale nucl aire est asso ci au fait de d clarer prendre ses repas la gamelle Ces salari s subissent d une part une perte de rep res pr judiciable la sant et d autre part les cons quences des contraintes des horaires atypiques et de l organisation du travail sur site nucl aire restaurants et com merces alimentaires ferm s ou loign s cantine inaccessible Le fait de ne pas d jeuner la cantine est d ailleurs li chez les salari s au souhait de changer de travail cela il faut ajouter le co t major du repas pris l ext rieur du domi cile Cela peut aussi expliquer que pr s de 60 d entre eux n ont pas d activit sportive et que plus d un tiers a des difficult s d acc s aux soins Ces caract ristiques en lien en particulier avec les imp ratifs de production continue des cen trales nucl aires ont d j t d crites comme leurs cons quences
131. porteur Hors du temps de port le dosim tre est entrepos selon les conditions stipul es par l organisme de dosim trie Dans un tablissement chaque emplacement d entre posage comporte en permanence un dosim tre t moin identifi comme tel non destin aux travailleurs et qui fait l objet de la m me proc dure d exploitation que les autres dosim tres 4 1 2 2 M thodes de dosim trie Les dosim tres mesurent l nergie alpha potentielle des descendants vie courte des isotopes 222 ou 220 ou l activit incorpor e par inhalation des radionucl ides metteurs alpha vie longue des chaines de l uranium et ou du thorium La dose est estim e en appliquant les facteurs de conversion mentionn s dans l annexe III de l arr t du 1 septembre 2003 d finissant les modalit s de calcul des doses efficaces et des doses quivalentes r sultant de l exposition des personnes aux rayonnements ioni sants 4 1 2 3 P riodicit de port du dosim tre La p riode durant laquelle le dosim tre doit tre port est celle d finie l annexe I pour la dosim trie passive 4 1 2 4 Expression des r sultats Les mesures et la restitution des r sultats sont indivi duelles et nominatives La plus petite dose mesur e ne peut tre sup rieure 0 05 MSV Toute valeur inf rieure la limite de d tection du dosim tre est consid r e comme nulle et transmise comme telle SISERI Les r sultats des doses des travailleurs s
132. pour les situations de travail susceptibles de favoriser le maintien dans l emploi des sujets lombalgiques chroniques concernant les manutentions de charges et les actions de pousser ou de tirer le travail physique p nible les gestes r p titifs les vibrations corps entier le maintien de postures inconfortables dites pench es visibles le risque de chutes et les risques psychosociaux La d marche g n rique propos e par l INRS doit tre adapt e au contexte de l entreprise et c est l entreprise de d finir la m thode pour atteindre ces objectifs en fonction de ses moyens et de son environnement conomique g ographique Notes de la figure 1 Ces valeurs repr sentent la contrainte risque minimum tir e de la norme NF X 35 109 2 Norme NF EN 1005 5 3 Action technique Action manuelle l mentaire requise pour la r alisation des op rations eff ectu es au cours du cycle de travail telles que tenir tourner pousser couper saisir poser 4 Co t cardiaque absolu en battements par minute bpm II est calcul en faisant la diff rence entre la fr quence cardiaque FC moyenne de travail et la FC de repos 5 Pench visible Inclinaison visible du corps en avant en arri re ou lat ralement norme NF EN 1005 4 6 Vibrations transmises en position assise au corps entier La valeur est extraite de la directive europ enne 2002 44 EC Manutention C
133. pour les travailleurs expos s des manipulations de charges ANNEXE 6 valeurs seuils de r f rence pour le port de charges et le pousser tirer de charges selon les zones de risques normalis es Soulever porter 4 Valeurs seuils pour la manutention manuelle de charges Risque minimum 5 kg de charge par op ration 100 kg de poids d plac valeur maximale 3 tonnes jour personne Risque acceptable 15 kg de charge par op ration 200 kg de poids d plac valeur maximale acceptable 7 5 tonnes jour personne Risque acceptable sous conditions 25 kg de charge par op ration 400 kg de poids d plac valeur maximale sous condition 12 tonnes jour personne Risque inacceptable Au del Au del tonnage sur 8 heures ANNEXE 7 Messages cl s du Guide du dos 12 gt Le mal de dos est fr quent mais il est rarement li une maladie grave Les perspectives long terme sont bonnes gt M me si le mal de dos est tr s douloureux en g n ral cela ne veut pas dire que votre dos est abim Douleur ne signifie pas aggravation gt Le repos au lit pendant plus d une journ e ou deux n est pas bon pour vous Rester actif vous permettra d aller mieux plus rapidement et vous vitera d autres probl mes de dos gt Plus t t vous reprendrez vos activit s et plus vite vous vous sentirez mieux gt Si vous n arrivez pas reprendre vos activit s demandez une aide suppl mentaire
134. praticiens de sant au travail ont interrog plus de 5o ooo salari s repr sentatifs de 22 millions de travailleurs du r gime g n ral et des fonctions publiques Les r sultats pr sent s dans cet article renseignent de mani res quantitative et qualitative sur l existence de dispositifs de pr vention Document unique CHSCT plan de pr vention au sein des entreprises Un jugement synth tique manant des m decins enqu teurs portant sur la qualit du poste et ou de l environnement de travail est galement fourni pour les risques chimiques biologiques physiques et organisationnels Comme pour les ditions pr c dentes l enqu te SUMER est r alis e sur la base des donn es recueillies par les m decins du travail cf SUMER Pourquoi une nouvelle enqu te en 2009 tudes et enqu tes TF 177 Doc M d Trav 2008 116 521 24 Q Rocquebert cole nationale de la statistique et de l administration conomique ENSAE N Sandret Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi d le de France Selon les m decins du travail qui ont r alis l enqu te SUMER 2010 plus de la moiti des salari s est couvert par un comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT et dispose dans leur tablissement d un document d valuation des risques professionnels actualis Seul un peu plus d un tiers des salari s travai
135. professionnels s ron gatifs a t retrouv e lorsque la typologie de l levage traduisait une circu lation importante de l infection mais cette diff rence n tait ce pendant pas significative Aucune association significative n a t mise en vidence entre la proportion d animaux s ropo sitifs ou excr teurs et le statut s rologique des professionnels Cependant le statut excr teur de l levage a tendance tre un peu sup rieur chez les sujets s ron ga tifs que chez les sujets s ropositifs tableau II STATUT S ROLOGIQUE DES SUJETS TRAVAILLANT DANS DES LEVAGES SITU S DANS UN M ME P RIMETRE Parmi les levages n incluant qu un seul professionnel soit 22 il y avait 10 levages dont le sujet tait s ropositif et 12 dont le sujet tait s ron gatif Ouant aux le vages qui comptaient plusieurs professionnels inclusion de 2 8 sujets pour 37 levages 6 le vages ne comportaient que des su jets s ropositifs 12 uniquement des sujets s ron gatifs et 19 les deux De plus il n a pas t mis en vi dence de lien entre les statuts s rologiques des sujets travaillant dans des levages situ s moins de 2 km l un de l autre le constat d au moins un sujet s ropositif dans un levage ne s associait pas au constat d au moins un sujet s ropositif dans un levage voisin situ moins 2 km tableau ANALYSE MULTIVARI E Parmi toutes les variables d cri vant les suj
136. rature scientifique tant suffisamment abondante il est apparu plus adapt de choisir la m thode de Recommandations pour la Pratique Clinique propos e par la HAS 1 Cette m thode est l une des m thodes propos es par la HAS en pr sence de litt rature de fort niveau de preuve r pondant sp cifiquement aux questions pos es Elle a pour objectif de r diger un nombre limit de recommandations concises grad es en accord avec les niveaux de preuve identifi s non ambigu s r pondant aux questions pos es Elle repose d une part sur l analyse et la synth se critique de la litt rature m dicale disponible et d autre part sur l avis d un groupe multidisciplinaire de professionnels ayant une bonne connaissance de la pratique professionnelle dans le domaine correspondant au th me des recommandations 2 Gestion des conflits d int r t l ind pendance et l impartialit des experts vis vis du th me des recommandations ont t v rifi es Les experts sollicit s pour participer au groupe de travail ont communiqu leur d claration publique d int r ts Elles ont t analys es en fonction du th me par une entit d di e la gestion des conflits d int r ts de la HAS Aucun conflit d int r t direct ou indirect avec le th me des recommandations n a t mis en vidence l ind pendance des groupes entre eux a t respect e les groupes de travail et de lecture ayant chacun un r le sp ci
137. rinaire avait montr en effet que l volution d un profil d infection d un levage l autre pouvait tre rapide un troupeau avec 5 6 d animaux positifs type 2 pouvait passer vers un type 4 en deux ans mais que le profil de type 4 pouvait persister pendant plu sieurs ann es Il semble donc que pour les pro fessionnels d levage dont l expo sition C burnetii est r guli re et ancienne la s rologie ne peut tre retenue comme un bon marqueur biologique d exposition Par cons quent face au constat d une s ro n gativit chez certains profes sionnels d levage expos s depuis longue date en zone end mique et notamment dans des levages o la circulation de C burnetii est consid r e comme importante typologie de l levage dite risque lev et restant asymptomatiques se pose alors l hypoth se d une disparition de l immunit humo rale et du maintien d une immu noprotection via une immunit cellulaire sp cifique Cette hypo th se est renforc e par l absence de corr lation observ e dans cette tude entre l ge ou l anciennet professionnelle avec le statut s ro logique Les 2 cas de fi vre O aigu sont survenus dans le d partement 2 chez des sujets r cents dans leur poste et la fili re anciennet de 2 ans Sachant que l levage caprin est d introduction assez r cente dans ce d partement nouveaux install s levage biologique ces D CEMBRE 2013 R F RE
138. risque associ mani grade lombalgie Toutefois il n est pas pulation de charges possible actuellement de d termi Les interventions ciblant les ner les dimensions les plus perti conditions de travail visent li Interventions multidimensionnelles nentes ni leur proportion relative miner les t ches de manutention Les interventions multidimen Des travaux de recherche restent par automatisation ou r duire sionnelles pour la pr vention des n cessaires l exposition aux risques Elles lombalgies comprennent les com reposent sur des actions d ergo posantes et modalit s suivantes Il est recommand d encoura nomie de conception correction dans des proportions vari es ger les employeurs mettre comprenant dans des proportions 1 Cr ation d une structure de place des projets participatifs vari es un ou plusieurs des l conduite de projet ergonomique associant l encadrement les ments suivants D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 107 PRATIQUES ET M TIERS salari s leurs repr sentants et le service de sant au travail pour identifier et contr ler les fac teurs de risque rachidiens li s la MMC surveiller les indicateurs li s aux probl mes rachidiens am liorer les conditions de travail d velopper la culture de pr vention dans l entreprise Pour la pr vention primaire se condaire de la lombalgie grade C ces interventions multidi
139. salari s et fonder la risques de cancerog nicit pour politique sociale de l entreprise l homme et commentaires sur faut leurs yeux aller plus l utilisation des agents cit s loin et s inspirer des travaux Ce document propose une macro conomiques sur le traduction en francais de la liste d veloppement humain afin de des produits et circonstances les transposer la probl matique d exposition canc rog nes class s l entreprise Des conseils dans les groupes 1 2A et 2B selon pour mesurer la performance de les avis rendus dans les volumes l entreprise et faire des indicateurs 1 108 des monographies du de d veloppement humain IDH CIRC Centre international de un outil au service d une politique recherche sur le cancer En RH plus efficace sont propos s Six compl ment des donn es du chapitres structurent l ouvrage du CIRC sont galement mentionn s pouvoir d achat au d veloppement dans cette liste les synonymes humain les relations sociales dans les plus fr quents quelques l entreprise du pouvoir d achat au circonstances d utilisation les mieux vivre le bonheur au travail noms commerciaux pour les peut il tre mesur Une nouvelle m dicaments vendus en France fronti re dela politique RH IDH les formules chimiques pour les et valuation de la performance arylamines amines aromatiques durable de l entreprise les IDH un les num ros de tableaux de outil de pilotage de la performance maladies prof
140. situations de travail listes de contr le grilles d observation simples des risques annexe 4 les outils d auto valuation dela charge physique de travail annexe 5 les outils simples d analyse des contraintes des situations de travail entretiens question naires annexe 4 Ces analyses n cessitent la participation des travailleurs concern s et l expertise tech nique de l quipe pluridiscipli naire de sant au travail Troisi me niveau Pour lanalyse des situations complexes dont le risque n a pu tre d termin par l valuation de second niveau il est recom mand de faire appel des experts int gr s l quipe pluri disciplinaire ou ventuellement externes pour l analyse appro fondie de la situation de travail 2 Outils d valuation manuelle Guide du dos de la normalisation Normes NFX 35 109 4 CEN 1005 2 ISO 11228 2 15 peuvent tre utilis es titre indicatif annexe 6 Concernant la synth se m dico professionnelle r alis e l quipe pluridisciplinaire il est recommand de 1 Tenir compte de l valuation des risques et des donn es col lectivesissues dela surveillance m dicale des travailleurs expo s s en excluant les donn es identifiantes pour estimer le niveau de risque rachidien lom baire li la MMC 2 D utiliser ces r sultats collectivement pour conseil ler lentreprise dans la re cherche de solutions pr ven
141. statistique et qualitative ARISTAT d crivent les probl mes qu ils rencontrent quand ils sont sollicit s en tant qu experts par les CHSCT et notamment tous les enjeux autour de l objectivation des situations Plusieurs contribu teurs ont aussi analys les effets des volutions r centes du droit sur les domaines d action de chacune des parties en pr sence Ouelques ora teurs ont d crit comment les CHSCT mobilisent ou non les nouvelles dispositions l gislatives et les nou velles d cisions jurisprudentielles qui ont largi leur champ d action et qui leur ont offert de nouvelles possibilit s pour agir Les nou veaux jeux d acteurs qui se nouent dans les services de sant au tra vail ont t aussi d crits Alors que P Marichalar CNRS Soci t ac teurs gouvernement en Europe SAGE montre que les m decins du travail sont contraints quelquefois de n gocier la l gitimit de leur m tier et de leur intervention B Barlet INRS IDHE d crit les difficult s de leurs nouveaux coll gues IPRP qui ne b n ficient pas du m me statut de salari prot g ni de lappui d une profession institu e secret m dical code de d ontolo gie Conseil de l Ordre Dans ces conditions pour agir les IPRP sont amen s collaborer avec les m de cins du travail analysent Fantoni Universit de Lille J Kubiak Uni versit de Saint Quentin en Yvelines Printemps et P Roquet Universi
142. suite les v rifications p rio diques r glementaires relatifs aux locaux pollution sp cifique et ceux relatifs aux EPC doivent tre gale ment mis en ceuvre m Les contr les p riodiques d am biance comprennent les mesures des d bits de dose et la recherche de non contamination surfacique et atmosph rique ils s effectuent deux niveaux contr les internes en continu ou a minima mensuels par la PCR l IRSN ou un organisme agr gt contr les externes annuels effec tu s par un organisme agr ou l IRSN Il est recommand de proc der un contr le d ambiance initial r ception de l installation m En cas d anomalies et incidents ces contr les sont ventuellement compl ter m cas de d classement de la zone un contr le final de non contamina tion doit tre r alis apr s vacua tion des d chets et des sources 3 Mesures techniques concernantl instrumentation Il faut m s assurer de l ad quation d tec teur nature et nergie du rayonne ment y compris pour les dosim tres op rationnels contr ler les instruments de me sure de radioprotection contr ler les dispositifs de protec tion et d alarme 4 Mesures techniques concernant les sources 44 Contr les des sources Contr les r ception La plupart des transports de radio nucl ides utilis s pour la recherche se font en colis except s ou en colis de type A Il est n
143. surveillance m dicale adapt e pour les personnes expos es des manipulations de charges en distinguant les situations des travailleurs sains et lombal giques 5 Quelles sont les mesures col lectives et individuelles appro pri es dans le milieu du travail pour la pr vention du risque rachidien lombaire li aux manipulations de charges et le maintien et ou le retour dans l emploi des travailleurs souf frant de lombalgie La m thodologie d laboration des recommandations est d taill e dans l annexe 1 94 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 5 GRADATION DES RECOMMANDATIONS En fonction des donn es fournies par la litt rature et de l avis des professionnels les recommanda tions propos es sont class es en grade A B ou C selon les modalit s pr sent es dans le tableau II Dans ce texte les recommanda tions non grad es sont fond es sur un accord d experts AE RECOMMANDATIONS CHAPITRE 1 PRINCIPAUX RISQUES POUR LA SANT DES TRAVAILLEURS EXPOS S DES MANIPULATIONS DE CHARGES Principaux risques pour la sant Les risques pour la sant auxquels sont expos s les travailleurs mani pulant des charges sont multiples l sions accidentelles plaies cou pures contusions troubles musculosquelettiques des membres TMS notamment les TMS de l paule atteintes rachidiennes cales dorsales et lombaires atteintes d g n rativ
144. tives en coh rence avec la d marche g n rale de pr ven tion des risques professionnels individuellement pour d finir la surveillance m dico profes sionnelle CHAPITRE IV SURVEILLANCE M DICALE ADAPT E POUR LES TRAVAILLEURS EXPOS S DES MANIPULATIONS DE CHARGES 1 Information individuelle ment unique d valuation des risques analyse des accidents du travail donn es du bilan so cial et fiche d entreprise En fonction des tapes de l valua tion hi rarchis e des risques lom baires li s la MMC les outils pou vant tre utilis s sont pr sent s d livrer aux travailleurs expos s des manipulations de charges Linformation peut tre d livr e par le m decin du travail ou par analyse globale des difficul dans le tableau III page suivante l infirmier e en sant au travail t s de r alisation des t ches acte d l gu ou r le propre selon recueillies par les acteurs de Concernant la classification des les articles 4311 1 4312 49 du l entreprise niveaux d exposition aux risques Code de sant publique rachidiens lombaires des situa Deuxi me niveau tions de travail en l absence de Dans tous les cas pour les travail Pour les situations de travail validation pid miologique les leurs expos s aux MMC estim es comme tant poten valeurs rep res des zones de Lexamen clinique et l entretien in tiellement risque lombaire il risques li s
145. travail 8 ergonomes 3 m decins inspecteurs r gionaux du travail 3 m decins conseils 2 rhumatologues 2 m decins g n ralistes 2 m decins r ducateurs 2 radiologues 2 intervenants en pr vention des risques professionnels IPRP 2 pid miologistes 1 kin sith rapeute 1ing nieur conseil 1 chercheur 1 ergoth rapeute 1infirmi re en sant au travail 1 m decin ost opathe 1 repr sentant des malades Association francaise de lutte anti rhumatismale AFLAR 1 repr sentant des employeurs 5 gt Strat gie de recherche documentaire L laboration de ces recommandations s est attach e identifier l information de mani re rigoureuse et pertinente Une recherche documentaire syst matique hi rarchis e et structur e a permis une revue m thodique et objective de la litt rature ainsi qu une synth se des donn es scientifiques en tenant compte du poids des faits et du niveau de preuve scientifique fournis par la litt rature m dicale et non m dicale La recherche documentaire s est tendue aux articles publi s index s ou non la litt rature grise aux recommandations francaises et internationales existantes sur le th me ainsi qu aux rapports labor s par les agences gouvernementales les agences d valuation ind pendantes et les soci t s savantes Les banques de donn es biom dicales francaises et internation
146. travail promouvoir la confiance ouvrage pr sente des solutions diff rents usagers en entreprise par une d marche pour enrayer ce ph nom ne Presses de l Universit de Laval d appui au dialogue social notamment celle de dynamiser PUL Pavillon Maurice Pollack comment contr lerla performance les quipes autour de pratiques 2305 rue de l Universit bureau tout en pr servant des relations de sportives Des exemples 3103 Qu bec G1V 0A6 Canada confiance d actions mises en place dans 2013 270 p Les mod les d organisation et des entreprises sont pr sent s de management en question Au sommaire le bien tre dans pour un mod le de management l entreprise un enjeu conomique D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 203 LIRE VOIR PRUNIER POULMAIRE S d BONNEMAIN A GARNIER I MOGENET J L et al Le bonheur au travail Regards crois s de dessinateurs de presse et d experts du travail Trente cinq dessinateurs de presse et 25 experts du travail apportent dans cet ouvrage un clairage original sur les questions li es au travail l emploi et aux entreprises La confrontation entre dessins humoristiques et satiriques d une part et contributions de chercheurs en sciences humaines et sociales d autre part permet une mise en d bat du travail autour des th mes illustrant les diff rentes tapes d un parcours de vie professionnelle l orientation la politique de
147. travailleurs temporaires Ces mesures comprennent des actions de pr vention des risques professionnels d information et de formation ainsi que la mise en place d une organisation et de moyens adapt s Cet article met la charge du chef d tablissement une obligation g n rale d valuation et de pr vention des risques professionnels qui a t pr cis e par le d cret du 5 novembre 2001 celui ci impose l obligation pour les entreprises de toutes tailles d tablir ou de mettre jour chaque ann e un document unique d valuation des risques professionnels lequel doit servir de base au d veloppement d actions de pr vention dans l entreprise LA M DECINE DU TRAVAIL En France la m decine du travail est un service m dical institu par la loi du octobre 1946 pour toutes les entreprises du secteur priv au b n fice de leurs salari s Le m decin du travail est un sp cialiste en pathologies professionnelles et hygiene industrielle Son r le exclusivement pr ventif consiste viter toute alt ration de la sant des travailleurs du fait de leur travail Pour ce faire les activit s des m decins du travail sont r parties entre des examens m dicaux et des actions en milieu de travail visites d entreprises tudes et propositions d am nagement de poste Tout salari embauch dans une entreprise doit passer une visite m dicale avant l embauche ou au plus tard l expiration de la p
148. tre d taill ici le rapport global de l tude non publi est disponible sur demande au groupe d tudes pid miologiques de l ACMS DONN ES G N RALES Douze sur treize m decins habi lit s de l ACMS et de l APST ont t volontaires pour cette tude Ils ont saisi 855 questionnaires parmi lesquels deux refus ont t enregis tr s Au total 853 questionnaires ont donc t analys s Il s agit d une population majoritai rement masculine 814 hommes et 39 femmes Les salari s sont g s en moyenne de 39 4 ans de 19 64 ans m diane 40 ans Les salari s de 50 ans et plus repr sentent 21 6 de la popu lation de l tude figure 1 La tr s grande majorit des sala ri s 91 a un contrat de travail dur e ind termin e CDI 7 6 sont int rimaires 2 sont en contrat dur e d termin e CDD ou autre type de contrat pr caire 40 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Les employ s techniciens agents de maitrise repr sentent 55 des r pondants les cadres 30 5 et les ouvriers 14 5 Le tableau I pr sente la r partition des salari s selon les secteurs d ac tivit La majorit 65 8 exerce dans un seul secteur d activit 20 1 dans deux secteurs et 14 1 dans plus de deux secteurs d acti vit jusqu 5 L anciennet moyenne des salari s dans la sous traitance du nucl aire est de 12 3 ans avec des extr mes allant de
149. une fois par trimestre de 5 12 fois A chang sans d passer 1 fois semaine mais 69 81 plus d une fois par mois de 13 52 fois A chang plus d une fois par semaine plus 13 1 5 de 53 fois Le total est sup rieur 96 plusieurs r ponses tant possibles 80 5 ont les moyens de bien faire leur travail 9 39 5 se sentent en s curit lors du travail en zone contr l e ou sur veill e 501 ont des informations radio logiques fiables doses pr vision nelles individuelles cartographie de leur zone de travail pr sence de zones contamin es avant de commencer un chantier ORGANISATION G N RALE DU TRAVAIL Apr s regroupement des r ponses des salari s cf Analyse statistique 54 cette tude montre que 43 9 sont amen s travailler plus de 8 heures par jour 59 9 connaissent leur ordre de mission date et lieu suffisamment l avance pour s organiser 23 9 travaillent plus de 5 jours de suite 79 1 ont un temps de repos quo tidien suffisant 79 7 ont au moins deux jours par semaine de repos cons cutifs 271 ont des horaires de travail atypiques d cal s post s de nuit de week end d astreinte RISQUE ROUTIER Trois pour cent des salari s d clarent devoir toujours rouler de nuit pour rentrer chez eux ou pour aller d un site l autre 26 6 devoir le faire souvent et 36 9 6 occa sionnellement Il
150. 0 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 10 valuation des facteurs d incapacit prolong e li s au travail items de la version fran aise du questionnaire rebro 19 gt Au cours des 18 derniers mois combien de jours de travail avez vous manqu s cause de votre douleur gt Quelle a t l intensit de votre douleur au cours de la derni re semaine gt Quelle a t l intensit de votre douleur en moyenne au cours des trois derniers mois gt Quelle a t en moyenne la fr quence de vos pisodes douloureux au cours des trois derniers mois gt tes vous capable de traiter votre douleur d une mani re ou d une autre en vue de la r duire Basez vous sur une journ e ordinaire o vous feriez des choses ordinaires gt Capacit effectuer des activit s quotidiennes Faire un travail l ger pendant une heure gt Votre travail est il monotone lassant ennuyeux gt Durant la derni re semaine vous tes vous senti tendu ou anxieux Durant la derni re semaine vous tes vous senti un tant soit peu d prim Selon vous y a t il un risque pour que votre douleur ne disparaisse pas gt Selon vous est il possible que vous puissiez travailler dans six mois gt En prenant en consid ration votre travail habituel votre employeur votre salaire vos possibilit s de promotion et vos coll gues dans quelle mesure tes vous satisfait
151. 157 Plusieurs tableaux du r gime g n ral permettent la r paration des rhinites et asthmes professionnels provoqu s par les produits de net toyage en fonction de l agent en cause tableau n 66 pour la ben zisothiazoline 3 one et ses d riv s ou les ammoniums quaternaires tableau n 49 bis pour les amines aliphatiques L encore les symp t mes doivent r cidiver chaque nouvelle exposition ou tre m s par test et l asthme doit tre objectiv par EFR Le d lai de prise en charge est de 7 jours Une broncho alv olite aigu ou su baigu avec syndrome respiratoire dyspn e toux expectoration et ou signes g n raux fi vre amaigrisse ment de m me qu une fibrose pul monaire avec signes radiologiques peuvent tre r par es au titre du ta bleau n 66 bis du r gime g n ral si elles surviennent lors de travaux en milieux contamin s par des micro organismes a roport s bact ries moisissures algues comme des piscines ou des saunas La confirma tion diagnostique doit reposer sur les EFR et la pr sence de pr cipitines s riques contre l agent pathog ne responsable ou d faut par l exis tence d une lymphocytose au LBA Le d lai de prise en charge est de 30 jours dans le cas des broncho al v olites aigu s ou subaigu s et de 15 ans dans le cas des fibroses pul monaires Lorsque le d lai de prise en charge des affections inscrites dans les tableaux est d pass
152. 2 Seulement un salari sur dix se juge en mauvaise sant alors qu au moins une pathologie a t m di calement identifi e chez plus de quatre salari s sur dix Cette dif f rence de point de vue et d va luation peut s expliquer par le fait qu une pathologie bien trait e peut ne plus tre consid r e par l int ress comme un probl me de sant C est aussi le reflet possible d une strat gie de d fense la fois individuelle et collective passant par le d ni de l id e de maladie des motions qui y seraient asso ci es ou du risque et de ses cons quences 23 24 Les tudes de qua lit de vie apr s cancer utilisent la notion de d sirabilit sociale Celle ci consisterait surestimer inconsciemment sa qualit de vie afin de se situer pour les personnes interrog es dans la norme suppo s e attendue par les enqu teurs 25 Apr s analyse multivari e se juger en mauvaise sant apparait associ avoir des pathologies li es au travail et g nantes en sec teur nucl aire selon l avis du m de cin du travail Les m decins du travail estiment que plus de 10 6 des salari s ont une pathologie en rapport avec les conditions de travail Le m decin enqu teur a pu avoir des difficult s pour r pondre lorsqu une patholo gie lui semblait d origine polyfac torielle ce qui a peut tre constitu un biais L effet enqu teur n a pas t tudi On retrouve 18 f
153. 48 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau IX gt SALARI S D CLARANT SOUHAITER CHANGER DE TRAVAIL 333 SALARI S jg Ils exercent plus souvent des m tiers du contr le non destructif 0 001 de bureau d tudes 0 01 de l chafaudage 0 05 travailler en arr t de tranche 0 001 travailler en zone orange 0 001 avoir de longs temps d attente 0 001 n avoir jamais les moyens de bien faire leur travail 0 001 ne pas connaitre leur ordre de mission suffisamment l avance pour s organiser 0 001 un temps de repos insuffisant 0 001 avoir t oblig s de dormir dans la voiture 0 001 ne pas dormir leur domicile ou dans la famille 0 001 d jeuner de sandwichs 0 001 se sentir fatigu s 0 001 se sentir anxieux tendus ou d prim s 0 001 juger mauvais leur tat de sant 0 001 une anciennet dans le nucl aire 20 ans 0 05 travailler en horaires d cal s post s de nuit de week end ou d astreinte 0 05 travailler plus de 8 heures par jour lt 0 01 travailler plus de 5 jours de suite 0 01 que le travail en secteur nucl aire est plus p nible que le travail hors secteur lt 0 01 nucl aire 115 souffrent plus souvent de pathologies rhumatologiques 0 05 La pathologie est plus souvent une g ne pour le travail en g n ral 0 01 en rapport avec le travail g nante pour le nucl aire lt 0 01 D CEMBRE 2013 R F
154. 54 de postes Odds ratios debonne Odds ratios Odds ratios Odds ratios jua _ qualit _ qualit Ensemble 78 59 62 76 CARACT RISTIQUES DU SALARI CSP Cadres 82 1 17 55 73 74 alas 88 138 Professions interm diaires 79 R f 68 R f 70 R f 83 R f Employ s administratifs 81 68 NS 0 54 73 0 64 75 0 85 55 0 63 67 NS 74 071 Ouvriers qualifi s 78 0 90 59 0 67 57 0773208 0 81 Ouvriers non qualifi s 74 0 74 49 0 45 53 0 62 64 062 Sexe Femmes 77 0 90 58 0 87 1032050 Ty 0 76 CARACT RISTIQUES DE L TABLISSEMENT Nature Service interentreprise Je R f 69 R f 76 R f 89 R f quicum Service autonome 79 iipres 64 ipe 1 76 NS travail M decine de pr vention 78 NS 57 NS 58 72 0 62 Taille Moins de 20 salari s 81 R f 58 R f 54 R f 68 R f Entre 20 et 49 salari s 75 OT 56 oeg 61 Moi Up NS Entre 50 et 499 salari s 76 57 CHANT 61 NS 75 NS 500 salari s ou plus 79 831 66 NS 25 igi 85 NS Secteur Industrie 78 R f 58 R f 58 R f 79 R f Agriculture 86 158 65 AGE 58 205 5S 0772523 Construction 85 T53 56 NS 50 NS 56 0 43 Tertiaire 77 NS 58 NS 62 alae 7 22 065 Fonction Publique d tat 86 25575 75 1 98 74 T85 79 14550 Fonction Publique Hospitali re 75 NS 66 NS 82 T60 92 2 74 55 Fonction Publique Territoriale Jy 2515125 59 10298552 64 T52 TAL NS PR SENCE DE CHSCT Oui 78 085 62 NS 69 119255 81 EMO DISPOSITIFS DE PR VENTION Documen
155. 6 de raisons de sant 2 7 96 d autres raisons 7 2 Parmi ceux qui aimeraient changer de travail pr s de 80 des salari s voquent au moins deux raisons Concemant la comparaison de la p nibilit percue du travail entre secteur nucl aire et secteur hors nucl aire 594 salari s 69 6 se prononcent 128 15 d clarent ne pas savoir et 131 15 4 96 se disent non concern s car ils ne travaillent pas en secteur nucl aire Pour les salari s qui se prononcent 40 7 242 salari s d clarent que leur activit leur parait plus p nible en secteur nucl aire 45 8 272 sala ri s qu elle est moins p nible en secteur nucl aire et 15 5 80 sala ri s ne voient pas de diff rence DONN ES M DICO PROFESSIONNELLES DE L EXAMEN DU M DECIN DU TRAVAIL L indice de masse corporelle IMC moyen est 259 de 152 519 m diane 25 4 cart type 4 4 La figure 2 montre la r partition selon les crit res de l Organisation mon diale de la sant Les m decins du travail enqu teurs identifient l existence d une patho logie chez 42 8 6 des salari s inclus dans l enqu te En particulier 18 7 de ces salari s souffrent d une pathologie m tabolique comme le diab te ou une dyslipid mie 11 9 d une pathologie cardiovasculaire et 115 d une pathologie rhumato logique tableau III Les m decins du travail estiment que ces pathologies repr sentent une g ne pour le travail en mil
156. 6 concu l origine pour pr dire la motivation au travail Les travaux effectu s partir de ce mod le mettent en vidence cinq aspects de la t che susceptibles d engendrer un tat de stress mais galement de l insatis faction au travail de l absent isme une diminution de la performance du turnover Ces cinq dimensions de la t che concernent e vari t complexit de la t che l identit de la t che possibilit d identifier clairement le produit de son travail sa propre contribution dans la production des biens ou des services de l entreprise l impact de la t che port e ou importance des retomb es de son travail pour les autres e l autonomie e le feedback sur les r sultats de son travail provenant de son propre constat feedback de la t che ou pro venant d autres personnes feedback de tiers La seconde partie de l IDAP porte sur les stresseurs de r le Le conflit de r le correspond des attentes ou des exigences incompatibles ou contra dictoires entre elles ou avec les valeurs du salari dans le cadre du travail L ambigu t de r le renvoie au fait que les informations concer nant les attentes ou les exigences ne sont pas assez explicites pour que le salari puisse effectuer correcte ment son travail Conflits de r le et ambigu t de r le sont identifi s comme tant des facteurs de stress au travail Fisher et Gitelson 1983 Jackson et Schul
157. 61 32 L VESQUE B DucHzsNE JF GiNGRAs S LAVOIE R ET AL The determinants of prevalence of health complaints among young competitive swimmers Int Arch Occup Environ Health 2006 80 1 32 39 33 Boucaurr V TURMEL J Bouzer LP Airway hyperresponsiveness in elite swimmers is it a transient phenomenon J Allergy Clin Immunol 2011 127 4 892 98 34 Boucaurr V LouBAK1 L JouBERT P TURMEL J ET AL Airway remodeling and inflammation in competitive swimmers training in indoor chlorinated swimming pools J Allergy Clin Immunol 2012 129 2 351 58 35 BoucAurr V Bouer LP Is there a potential link between indoor chlorinated pool environment and airway remodeling inflammation in swimmers Expert Rev Respir Med 2012 6 5 469 71 36 Boucaurr V Bouer LP Airway dysfunction in swimmers Br J Sports Med 2012 46 6 402 06 37 BoucAurr V Bour LP Airways disorders and the swimming pool Immunol Allergy Clin North Am 2013 33 3 395 408 38 Herenius I SARNA S LUMME ET AL Effect of continuing or finishing high level sports on airway inflammation bronchial hyperresponsiveness and asthma a 5 year prospective follow up study of 42 highly trained swimmers J Allergy Clin Immunol 2002 109 6 962 68 39 Stav D Stav M Asthma and whirlpool baths N Engl J Med 2005 353 15 1635 36 40 Massin BoHADANA AB Wi P H ry M ET AL Respir
158. 7 6 12 29 3 18 41 9 20 47 6 7 3 8 24 35 8 19 51 4 25 53 2 18 31 6 6 24 0 13 32 5 31 50 8 13 27 7 13 40 6 24 51 1 16 31 4 5 71 4 29 42 6 0 03 0 05 0 02 0 03 0 04 0 04 0 002 0 008 0 09 0 66 0 04 0 43 0 05 0 81 0 07 0 04 0 60 0 02 0 14 0 03 0 08 0 28 72 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 associ es la s ropositivit la pra tique de l levage s dentaire de bo vins p 0 0004 un nombre plus lev d l ves introduits lors du renouvellement de l levage dans la derni re ann e p 0 0005 la r alisation de soins courants autres que v t rinaires si ces t ches sont pratiqu es de mani re habituelle c est dire lors des 12 derniers et du dernier mois p 0 04 la pra tique des mises bas en dehors de b timent proportion de sujets s ropositifs moins lev e lorsque les mises bas se font dans le b timent p 0 0019 le port de gants lors des mises bas p 0 02 Concernant ce dernier point le port de gants r v le un comportement de pr ven tion vis vis d une t che risque bien identifi e par le professionnel DISCUSSION La s ropr valence de la fi vre O chez les professionnels expos s estim e dans cette tude est le v e 39 7 et confirme la situation end mique de la fi vre O dans les levages de petits ruminants du sud est de la France
159. 71 Cincinnati ACGIH 2011 1 CD Rom La remise d un texte pour publication dans R f rences en Sant au Travail emporte cession du droit de reproduction de repr sentation de modification et d adaptation
160. 77 8 ns Contact avec des visc res de gibier T 50 0 T 50 0 22 17 5 ns T ches r alis es au cours des 12 derniers mois 70 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 T ANTS Tableau II RELATIONS ENTRE LE STATUT S ROLOGIQUE DES SUJETS ET LE STATUT SANITAIRE DES LEVAGES EE T TAE Typologie de l levage 1 3 50 0 50 0 9 7 caprins 2 4 80 0 1 20 0 5 8 1 3 8 444 10 55 6 18 eea 4 22 66 7 n 33 3 33 53 2 1 2 3 15 51 7 48 3 x 46 8 ns 4 22 66 7 33 3 53 2 Excr tion de l levage Moyenne 417 34 4 96 cart type 35 5 42 4 96 tendue de o 100 de o 100 1 levages s ron gatifs avec moins de 5 d animaux s ropositifs plut t g s Type 2 levages avec environ 5 d animaux s ropositifs plut t jeunes Type 3 levages avec environ 10 d animaux moyennement s ropositifs r partis dans toutes les classes d ge l exception des jeunes Type 4 levages avec plus de 40 d animaux infect s et avec un titre s rologique lev 10 Tableau gt RELATIONS ENTRE LES R SULTATS S ROLOGIQUES DES SUJETS DES LEVAGES INVESTIGU S ET DE PROXIMIT levage levage investigu avec au investigu o Statut s rologique des sujets moins 1 sujet s ro tous les sujets des leva
161. AIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 12 valuation du retentissement de l incapacit fonctionnelle li e la lombalgie items de la version francaise du questionnaire de Dallas 2 gt Activit s quotidiennes Dans quelle mesure avez vous besoin de traitements contre la douleur pour vous sentir bien Dans quelle mesure votre douleur perturbe t elle les gestes de votre vie quotidienne sortir du lit se brosser les dents s habiller Dans quelle mesure tes vous limit e pour soulever quelque chose Dans quelle mesure votre douleur limite t elle maintenant votre distance de marche par rapport celle que vous pouviez parcourir avant votre probl me de dos Dans quelle mesure votre douleur vous g ne t elle pour rester assis e Dans quelle mesure votre douleur vous g ne t elle pour rester debout de facon prolong e Anxi t d pression Dans quelle mesure votre douleur perturbe t elle votre vie sociale danser jeux et divertissements repas ou soir es entre amis sorties Dans quelle mesure votre douleur g ne t elle vos d placements en voiture Dans quelle mesure votre douleur perturbe t elle votre travail Activit s professionnelles loisirs Dans quelle mesure estimez vous que vous parvenez faire face ce que l on exige de vous Dans quelle mesure estimez vous que vous arrivez contr ler vos r actions motionnelles Dans quelle mesure vous sentez vous d prim e dep
162. AIL N 136 193 AGENDA FORMATIONS 25 28 MARS 2014 PARIS France 11 Journ es nationales d tudes et de formation du Groupement des infirmier e s du travail GIT Th me du pr congres organis par l INRS gt La p nibilit d finition pr vention plan d actions tra abilit des expositions professionnelles compensation Th mes des journ es volution des aspects r glementaires Code du travail Code de la Sant publique Vy v VV vx Formations et d veloppement professionnel continu DPC Infirmier Identit professionnelle Prendre soin en sant au travail Au del des entretiens infirmiers Sant La sant au travail m nage t elle la sant des infirmiers D finitions travers l histoire Souffrance et bien tre des soignants M canismes de d fense mis en jeu Travail Les missions et l activit des infirmier e s en sant au travail Restituer le travail infirmier entre pairs entre professionnels de sant dans l quipe pluridisciplinaire Communiquer accompagner duquer en sant au travail RENSEIGNEMENTS Groupement des infirmier e s du travail GIT 17 rue du Colis e 75008 Paris secretariat git france org www git france org infirmier php 14 16 AVRIL 2014 LONDRES Royaume Uni 11 conf rence de l European Academy of Occupational Health Psychology EAOHP conf rence europ enne sur la psychologie en sant au travail Principaux th mes gt
163. ARTICLE 16 Les r sultats individuels de dosim trie passive ou li e la radioactivit naturelle sont transmis par l orga nisme de dosim trie SISERI sans d lai et au plus tard vingt jours apr s l ch ance de la p riode de port d ex position des dosim tres Au del de cette ch ance l organisme de dosim trie communique les r sultats des dosim tres recus hors d lai SISERI un rythme au moins hebdomadaire II Les r sultats individuels des mesures de l exposition interne sont transmis par l organisme de dosim trie SISERI l ch ance du d lai d fini par les contraintes techniques du proc d d analyse des chantillons bio logiques III l ch ance des d lais fix s aux alin as I et II et par d rogation aux principes fix s ces alin as les or ganismes de dosim trie concern s signifient l absence de r sultat SISERI dans l attente de leur transmission effective ARTICLE 17 I la demande du travailleur les organismes de dosi m trie communiquent par un moyen d mat rialis permettant de garantir la s curit des donn es ainsi que leur confidentialit ou lorsque cette communica tion n est pas possible sous pli confidentiel l int ress et au m decin qu il a d sign les r sultats individuels dela dosim trie le concernant 16 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 II la demande du travailleur le m decin du t
164. Cette actualisation ne met pas en vidence d effet sanitaire av r et ne conduit pas proposer de nouvelles valeurs limites d exposition de la population Elle pointe toutefois avec des niveaux de preuve limit s diff rents effets biologiques chez l Homme ou chez l animal Par ailleurs certaines publications voquent une possible augmentation du risque de tumeur c r brale sur le long terme pour les utilisateurs intensifs de t l phones portables Compte tenu de ces l ments dans un contexte de d veloppement rapide des technologies et des usages l ANSES recommande de limiter les expositions de la population aux radiofr quences en particulier des t l phones mobiles notamment pour les enfants et les utilisateurs intensifs et de maitriser l exposition g n rale r sultant des antennes relais Elle va par ailleurs approfondir le travail concernant les sujets lectro sensibles en examinant plus sp cifiquement toutes les donn es disponibles en France et l international sur ce sujet qui m rite une attention particuliere ANSES 27 31avenue du g n ral Leclerc 94701 Maisons Alfort cedex 2013 428 p www anses fr fr documents AP2011sao150Ra pdf BATAILLE S Se reconstruire apr s un burn out Les chemins de la r silience professionnelle Sp cialis e dans le suivi de l puisement professionnel l auteur propose un guide pratique destin la personne ayant travers un pisode de burn ou
165. EN SANT AU TRAVAIL N 136 31 PARTICIPEZ LA RECHERCHE Evaluation des expositions percutan es aux bisph nols et S par biom trologie aupr s des agents de caisse nviron 186 ooo salari s agents de caisse dans la grande distribution seraient potentielle ment expos s aux bisph nols principalement A et S via l exposition des tickets thermiques Viennent galement s y ajouter les personnels des commerces de proximit L Agence nationale de s curit sani taire de l alimentation de l environnement et du travail ANSES a publi en avril 2013 les r sultats d une valuation des risques du bisph nol A pour la sant humaine Cette valuation centr e sur la femme enceinte conclut que la manipulation de tic kets thermiques pourrait conduire des situations risque pour 4 types d effets chez l enfant naitre touchant la glande mammaire le cerveau et les fonctions cognitives l appareil reproducteur f mi nin le m tabolisme ob sit hyperlipid mie Selon les hypoth ses retenues ce risque concernerait les enfants naitre des femmes enceintes manipulant des tickets thermiques au cours de leurs activit s professionnelles et ou du fait d expositions envi ronnementales essentiellement alimentaires Le niveau de confiance associ ces r sultats est quali fi de limit par les experts En effet les mod les et hypoth ses retenus contribuent probablement surestimer les exposition
166. ENT DURABLE Loi n 2013 619 du 16 juillet 2013 portant diverses dis positions d adaptation au droit de l Union europ enne dans le domaine du d veloppement durable Parlement Journal officiel du 17 juillet 2013 pp 11890 11920 Cette loi apporte des modifications diff rents Codes notamment en mati re de sant au travail et d environ nement En mati re de sant au travail Le livre V de la cinqui me partie du Code des transports est modifi Les conditions d acc s et d exercice de la profession de marin sont pr cis es notamment les conditions d aptitude m dicale et de formation professionnelle Le nouvel article L 5521 1du Code des transports pr voit que sauf d rogations l apti tude m dicale est contr l e titre gratuit par le service de sant des gens de mer Un d cret en Conseil d tat pris apr s avis des organisations les plus repr sentatives d armateurs et de gens de mer int ress es d termine les conditions d application de cet article notamment l or ganisation du service de sant des gens de mer les condi tions dagr ment des m decins n appartenant pas ce service pouvant par d rogation proc der au contr le de l aptitude m dicale les normes d aptitude m dicale selon les fonctions bord ou les types de navigation ainsi que les cas de dispense la dur e de validit du certi ficat d aptitude m dicale d livr l issue du contr le sa forme et les voies et d lais de rec
167. HBs est inf rieur 10 en l absence simultan e d antig ne HBs et de charge virale d tectable un avis sp cialis est deman d pour d terminer sila personne peut tre consid r e comme immunis e ou non ll 2 3 Si l antig ne HBs et ou une charge virale sont d tectables dans le s rum la personne est infect e parle virus de l h patite B et sa vaccination n est pas requise ANNEXE II CONDUITE TENIR SI UNE PERSONNE PR SENTE UN TAUX D ANTICORPS ANTI HBs INF RIEUR 10 UI L APR S AVOIR RECU UN SCH MA COMPLET DE VACCINATION CONTRE L H PATITE 1 Une dose additionnelle de vaccin contre le virus de l h patite B est inject e Un dosage des anticorps anti HBs est effectu un deux mois suivant cette injec tion 2 Si l issue du dosage mentionn au 1 le taux d an ticorps anti HBs est sup rieur 10 UI L les personnes concern es sont consid r es comme immunis es contre l h patite B sans qu il y ait lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire 3 Si l issue du dosage mentionn au 1 le taux d an ticorps anti HBs est toujours inf rieur 10 UI L une dose additionnelle de vaccin contre l h patite B est inject e Un dosage des anticorps anti HBs est effec tu un deux mois suivant cette injection Les injec tions vaccinales pourront tre ainsi r p t es jusqu obtention d un taux d anticorps anti HBs sup rieur
168. IAUX 186 VOS QUESTIONS NOS R PONSES N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Allergologie pneumologie professionnelle Affections respiratoires professionnelles non infectieuses chez les personnels de piscines et centres de baln oth rapie AUTEUR Emmanuelle Penven praticien hospitalier Centre de consultation de pathologies professionnelles CHU de Nancy Le travail en structures de loisirs et de soins aquatiques piscines spas centres de baln oth rapie repr sente une activit risque d affections respiratoires professionnelles Sont concern s les ma tres nageurs et surveillants de baignade mais aussi dans une moindre mesure les autres employ s de ces structures personnels de m nage et de maintenance agents d accueil Les sympt mes rapport s sont le plus souvent rhino conjonctivaux et respiratoires hauts mal de gorge extinction de voix toux et en relation avec une forte exposition atmosph rique un sous produit de d gradation du chlore la trichloramine Des cas d asthmes professionnels ce compos ont galement t rapport s sans que le m canisme physiopathologique sous jacent soit clairement tabli Les produits de d sinfection des locaux peuvent par ailleurs favoriser des manifestations d irritation ORLou respiratoire voire tre l origine d authentiques cas de rhinite et ou d asthme allergiques ammoniums quaternaires glutarald hyde chloramine T
169. IT Effectif N 855 d Bureau d tudes 154n5 34ans yam ans As ana d Gi ans 182 21 3 lectronique automatisme informatique 118 13 8 Servitudes nucl aires lectricit Tuyauterie soudage chaudronnerie Robinetterie industrielle chafaudage Calorifugeage 117 13 7 109 12 8 59 6 9 57 6 7 40 47 12 14 Le total est sup rieur 100 96 plusieurs r ponses tant possibles 36 6 de 80 100 La propor tion moyenne de temps pass en arr t de tranche s l ve 55 96 la m diane tant 50 6 Concernant les contraintes li es au travail en site nucl aire et apr s regroupement des r ponses des sa lari s cf Analyse statistique p 54 cette tude met en vidence que 39 9 travaillent dans un espace confin capacit trou d homme 36 7 6 travaillent en zone orange 30 7 ont des travaux terminer dans l urgence 72 6 ont de longs temps d attente pendant leur journ e de travail 55 ari dee plus D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 41 VU DU TERRAIN Tableau II gt R PARTITION DES SALARI S SELON LE NOMBRE DE CHANGEMENT DE SITES DE TRAVAIL NUCLEAIRE OU NON DANS LES 12 MOIS PR C DANTS Effectif N 853 N a pas chang o fois 216 25 3 A chang sans d passer 1 fois trimestre 295 34 6 de 1 4 fois A chang sans d passer 1 fois mois mais plus 260 30 5 d
170. Ils observent une chute significative bien que discr te du VEMS dans les deux groupes En 2012 toujours dans une tude men e aupr s de 146 employ s de 45 piscines et centres de loi sirs aquatiques Fornander et al observent 17 6 de sympt mes rhi no conjonctivaux ou respiratoires 46 L quipe relie cette proportion somme toute modeste au fait que les taux de trichloramine mesur s dans l air sont plut t bas allant de 0 04 mg m 0 36 mg m Les auteurs ne rel vent pas significa tivement plus de sympt mes chez les personnels les plus expos s et ne constatent pas non plus de dif f rence concernant le taux de NOe En revanche une diff rence signi ficative de profil prot ique pro in flammatoire dans les expectora tions induites est observ e ce qui sugg re un impact de la trichlora mine sur le syst me immunitaire y compris lorsque sa concentration dans l air semble bien maitris e Lorsque les syst mes de d sinfec tion sont pris en d faut le risque n est plus celui d un exc s d irri tants respiratoires dans l air mais celui du d veloppement de micro organismes pouvant tre l origine d infection respiratoire l gionelle ad novirus ou de pathologies im muno allergiques type PHS bact ries moisissures L essentiel de la litt rature scientifique concernant ces affections est constitu de rap port de cas plus ou moins d taill s Toutefois en 2007 suite la mul tipl
171. MER 2010 82 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 LES D MARCHES FORMALIS ES D VALUATION DES RISQUES ET DE PR VENTION NE SONT PAS G N RALIS ES Un document unique d valuation des risques professionnels doit en principe tre r dig puis actualis annuellement dans toutes les en treprises et donner lieu un plan de pr vention encadr 1 Les m decins du travail interrog s dans l enqu te SUMER 2010 signalent un document unique d valua tion jour pour 51 6 des salari s et la double d marche valua tion et plan de pr vention pour seulement 35 des salari s mais 64 dans les tablissements d au moins 500 salari s figure 3 6 Dans 11 des cas ils mentionnent l existence d un document unique actualis mais sans plan de pr vention correspondant Pour 18 des salari s les m decins du tra Figure 3 vail indiquent qu il n existe ni document d valuation ni plan de pr vention Toutefois dans 29 des cas ils d clarent ne pas savoir si le document unique a t labor ou actualis ni s il existe un plan de pr vention proportion qui atteint 50 dans les tablis sements de 10 salari s ou moins figure 3 Le degr de connaissance du m decin du travail concernant ces dispositifs d pend beaucoup de sa plus ou moins grande proximi t avec l tablissement 36 des m decins des services interentre prises signalent ne pas savoir
172. N 136 211 JURIDIOUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 15 juillet au 31 octobre 2013 Cette circulaire a notamment pour objet la description de l volution des proc dures administratives d parte mentales applicables aux appareils de pr traitement par d sinfection des d chets d activit s de soins risques infectieux DASRI Elle modifie la circulaire n 53 du 26 juillet 1991 relative la mise en ceuvre des proc d s de d sinfection des d chets contamin s des tablissements hospitaliers et assimil s Elle pr cise que dans l attente de la publication de l ar r t relatif aux modalit s de d livrance de l attestation de conformit des appareils de d sinfection des DASRI les dispositions de l article 88 du r glement sanitaire d partemental RSD portant obligation d incin ration des DASRI demeurent applicables En application de l ar ticle 164 du RSD les pr fets peuvent d roger par arr t cette obligation et autoriser l utilisation des appareils de d sinfection lorsqu il s agit d appareils internes un ta blissement ne traitant que les DASRIde cet tablissement LARS instruit la proc dure et est charg e du contr le des appareils Pour les installations qui traitent les DASRI de plusieurs origines un arr t pr fectoral peut d livrer une autori sation au titre de la rubrique 2790 de la nomenclature des ICPE la DREAL assure l instruction du dossi
173. N Association fran aise des intervenants en pr vention des risques professionnels de services interentreprises de sant au travail Le Mans MicHez Farcy D partement tudes et assistance m dicales Maria GONZALEZ Service de pathologie professionnelle h pital civil de Strasbourg NATHALIE GUILLEMY D partement tudes veille et assistance documentaires Guy H DELIN D partement pid miologie en entreprise CorzrrE Le B CLE D partement tudes et assistance m dicales MAH Tissor D partement Produits d information JEAN PIERRE MEVER D partement Homme au travail CHRISTOPHE Panis Centre de consultation de pathologie professionnelle h pital Fournier Nancy MARTINE PLAWNER D partement Formation Jean Louis PoyaRD D partement Expertise et conseil technique ALAIN ROBERT D partement Polluants et sant ONT PARTICIP LA FABRICATION DE CE NUM RO ATELIER CAUSSE D pot l gal 4 trimestre 2013 N 158456 ISSN 2261 544X R F PAGE AC 59 P 5 AC 60 P 7 AC61P 8 TO 14 P l1 15 P 14 TO 16 P 24 P 28 P 32 33 34 35 P 36 P 37 ACTUALIT S INFOS RETENIR Fiches toxicologiques de l INRS Bilan de l enqu te de lectorat 2012 2013 Un nouvel outil pour l valuation des RPS dans les structures du secteur sanitaire et social Amiante Un risque souvent non per u Arr t du 10 juillet 2013 pr vention des risques biologiques apr s con
174. NCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 73 VU DU TERRAIN levages pourraient tre consid r s comme plus na fs vis vis de la fi vre O et plus risque d infec tion pour les leveurs du fait d une exposition des quantit s mas sives de Coxiella lors des nombreux avortements qui caract risent ces levages en cas d infection En analyse univari e des facteurs professionnels ont t associ s si gnificativement la s ropositivit vis vis de la fi vre O comme cela avait t retrouv dans d autres tudes il s agit du sexe du curage du b timent de la manipulation du fumier des soins v t rinaires et des soins courants aupr s des animaux En revanche l aide la mise bas ou la manipulation de placenta et d avortons ne sont pas relev es comme facteurs de risque de s ropositivit Ils restent n an moins connus comme les princi pales t ches exposantes au risque de fi vre active Il existe une pr dominance mas culine parmi les sujets s roposi tifs vis vis de la fi vre O comme dans les tudes s ro pid miolo giques sur la fi vre O en g n ral mais de facon moindre Les cas de fi vre O maladie n ont touch que des hommes Les postes en levage restent majoritairement masculins surtout quand ils comprennent des contraintes physiques comme les mises bas les manipulations d animaux ou les t ches de curage ou nettoyage des b timents Les femmes se chargent en g n
175. NT AU TRAVAIL N 136 Ti INFOS RETENIR 5 Autres lieux o sont dispens s des activit s et actes de pr vention diagnostiques th rapeutiques mais qui ne r pondent pas la d finition d tablissements de sant publics ou priv s ou d tablissements sociaux et m dico sociaux ARTICLE 3 Lorsque les r sultats de l valuation des risques pr vue aux articles R 4423 1 R 4423 4 du Code du travail montrent un risque de blessure par objet perforant et d infection l employeur s assure que l exposition des travailleurs est vit e ou r duite si elle ne peut tre vit e gr ce aux mesures suivantes 1 La mise en uvre des pr cautions standard AES d crites l annexe I du pr sent arr t 2 La suppression de l usage inutile d objets perforants 3 La mise disposition de dispositifs m dicaux de s curit ARTICLE 4 L employeur informe les travailleurs sur 1 Les risques et la r glementation en vigueur relatifs l usage d objets perforants 2 Les bonnes pratiques en mati re de pr vention et les dispositifs m dicaux mis disposition 3 Le dispositif de d claration et de prise en charge des AES pr vu l article 6 du pr sent arr t 4 Les proc dures d limination des objets perforants ARTICLE 5 Lemployeur organise la formation des travailleurs d s l embauche y compris les travailleurs temporaires et les stagiaires portant notamment sur 1 Les risques
176. Octobre Novembre D cembre 2013 136 R F RENCES gt Revue trimestrielle de l INRS NUCL AIRE o ALLERGIES e R PARATION DE Vie travail sant RESPIRATOIRES EHICULES ELECTRIQUES des salari s gt Chez les personnels gt Une habilitation de la sous traitance de piscines et centres lectrique et une aptitude de baln oth rapie sp cifique sont elles n cessaires o ANTS Institut National de Recherche Ere R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL Abonnez vous en ligne la revue trimestrielle R f rences en Sant au Travail est DIRECTEUR DE LA PUBLICATION diffus e gratuitement aux acteurs des services de sant au travail L abonnement est tabli pour une dur e de deux ans Un avis de r abonnement R dactrice en chef GENEVI VE ABADIA BENOIST est envoy ch ance ST PHANE PIMBERT COMIT DE R DACTION R dactrice en chef adjointe ANNE DEL PINE D INFOS ww rst sante travail fr R dacteur PHILIPPE HACHE Secr taire de r daction ANNE SCHALLER Charg e de rubrique Allergologie professionnelle Napa NIKOLOVA PAVAGEAU aid e de CYNDIE JACQUIN BRISBART Charg e d tudes bibliographiques et de veille ANNIE Byaour Correctrice CYNDIE JACQUIN BRISBART COMIT SCIENTIFIQUE CATHERINE AUBRY Direction scientifique ISABELLE Barty D partement Expertise et conseil technique ANNE BARRIER Groupement des infirmier e s du travail Orl ans ARNAUD DESARMENIE
177. TP 32 journ es nationales du BTP Lille 28 30 mai 2013 Ouelles actions pour un autre travail soulager la souffrance radiquer les facteurs de risques soigner le travail 1 colloque international du DIM GESTES Montrouge 10 11 juin 2013 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 R F PAGE TR 55 P 145 FR 9 P 161 FRPS 35 177 FRPS 36 P 181 OR 82 P 186 OR 83 P 188 OR 84 P 190 OUTILS REP RES ALLERGOLOGIE PROFESSIONNELLE Affections respiratoires professionnelles non infectieuses chez les personnels de piscines et centre de baln oth rapie RADIOPROTECTION Secteur recherche Sources non scell es in vitro RISQUES PSYCHOSOCIAUX Inventaire de description de l activit professionnelle IDAP Copenhagen Psychosocial Questionnaire COPSOO Questionnaire psychosocial de Copenhague VOS QUESTIONS NOS REPONSES Quels sont les effets des rayonnements ultraviolets et infrarouges sur les implants intraoculaires d un soudeur Pour le travail sur v hicules lectriques une habilitation et une aptitude sp cifique du garagiste sont elles exigibles Comment pr venir le risque alcool en milieu de travail chez l apprenti PAGE 193 197 P 201 208 215 A VOTRE SERVICE AGENDA Janvier juin 2014 FORMATIONS Places disponibles dans les formations 2014 de l INRS LIRE VOIR S lection d ouvrages
178. Une atteinte bronchique peut galement tre voqu e en cas de toux de sifflement de sen sation fluctuante d oppression thoracique ou d essoufflement Les sympt mes apparaissent parfois imm diatement apr s une expo sition particuli rement intense des vapeurs irritantes notamment lors d accidents de maintenance ou d installation du syst me de d sinfection chlor e aboutissant au d gagement de chlore gazeux ou lors de la d faillance du sys t me de ventilation emp chant le renouvellement correct de l air et conduisant laugmentation rapide de la concentration en tri chloramine dans l air Le personnel d entretien peut galement tre victime d un accident d exposition aux irritants en cas d usage inap propri des produits de d sinfec tion m lange d hypochlorite de sodium eau de Javel avec un acide d tartrant pour WC aboutissant au d gagement de vapeur chlor e par exemple Le plus souvent toutefois les ma nifestations cliniques s installent progressivement apr s une p riode de latence plus ou moins prolong e de quelques semaines mois ou ann es Elles s accentuent progressivement au cours de la semaine de travail et s amendent lors des week ends ou des p riodes de cong s Elles surviennent de facon progressive ou paroxystique au cours de la journ e de travail ou dans le cas des manifestations asthmatiques apparaissent pr f rentiellement le soir Il convient alors de rechercher
179. a Direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES 13 En ce qui concerne travailler dans le contr le non destructif la popu lation est h t rog ne dans cette activit certains salari s ayant des activit s de terrain et d autres de surveillance La forte sp cificit de ces m tiers rend difficile une r o rientation professionnelle Ne pas se sentir en s curit pour les salari s sous traitants du sec teur nucl aire est probablement li l exposition possible aux rayon nements ionisants mais aussi aux autres risques professionnels auxquels ils peuvent tre poten tiellement expos s bruit chute chaleur explosion incendie risque chimique La r ponse cette question peut tre influenc e parla facon dont les salari s percoivent les risques aux quels ils sont expos s mais aussi parleur confiance dans les mesures de pr vention mises en place Cer taines th ories sur la perception du risque font apparaitre dans l inten sit du risque percu notamment le r le des croyances des motions la peur et de l importance accord e aux b n fices percus sens du tra vail par exemple 14 15 Avoir des travaux terminer dans l urgence selon le salari et ne pas se sentir toujours en s curit lors du travail en zone contr l e et surveill e sont significativement li s souhaiter changer de travail mais aussi tr
180. abi tuelle de la r gion lombaire se lon la d finition de l ANAES s Compte tenu des questions fr quemment pos es aux m decins du travail et intervenants en sant au travail les principaux risques d atteinte la sant sont voqu s dans le premier chapitre mais ne seront pas abord s sp cifique ment dans les chapitres suivants relatifs l valuation des risques la surveillance m dicale et la pr vention Ces derniers ne trai teront que des affections rachi diennes lombaires Par convention dans le texte sont d nomm s gt risque rachidien les aspects relatifs l exposition profession nelle des travailleurs gt atteinte rachidienne lom baire les aspects relatifs la di mension m dicale des lombalgies communes 4 QUESTIONS TRAIT ES Concernant les risques li s la manipulation de charges en g n ral 1 Ouels sont les principaux risques pour la sant TMS des membres sup rieurs exclus des travailleurs expos s des manipulations de charges Concernant le risque rachidien lombaire 2 Quels sont les param tres de la situation de travail prendre en compte chez les travailleurs expos s des manipulations de charges 3 Quels sont les m thodes et outils d valuation de l expo sition des manipulations de charges applicables en milieu de travail Et peut on proposer une classification des niveaux d exposition 4 Quelle est la
181. adaptation du poste et du temps de travail reprise temps partiel th rapeu tique et de rappeler les mesures de pr vention Cette visite est un moment essentiel pour s assurer de la compr hension partag e de la situation entre le travailleur le m decin traitant et le m decin du travail Cette compr hension partag e est indispensable pour laborer une strat gie concert e visant la reprise du travail Suite un arr t de travail de plus de 30 jours le salari doit b n ficier d une visite m dicale de reprise au poste de travail sous 8 jours Les objectifs de cette visite sont de v rifier l aptitude du sala ri reprendre son emploi et les questions de maintien en emploi sont particuli rement voqu es ce moment C trav Art R 4624 22 Pour tous les travailleurs il est recommand de s assurer que le travailleur lombalgique en arr t prolong ou r p t a t inform de la possibilit de b n ficier d une ou plusieurs consultations m dicales de pr reprise Entretien avec le travailleur lom balgique en arr t de travail pro long et ou r p t Il est admis dans la litt rature que la douleur chronique peut conduire au d conditionnement physique inactivit physique avec r duction des capacit s phy siques et la perte d emploi Elle peut finalement alt rer la qualit de vie et la participation sociale de facon majeure valuation des facteurs de ri
182. ainsi que les structures de normalisation francaises et internationales AFNOR European Committee for Standardization D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 113 PRATIQUES ET M TIERS ANNEXE 2 mt ts et limites des principaux mod les des situations de travail n cessitant des manipulations manuelles de charges Biom caniques simples 2 dimensions quation du NIOSH Biom caniques complexes statiques dimensions dynamiques Physiologique d pense nerg tique Physiologique fr quence cardiaque Psychophysique tables de donn es Psychophysique chelle subjective de perception de l effort RPE CR 10 Macro ergonomique NRC 2001 7 Dempsey 1998 8 Ergonomiques organisationnels ANACT 9 SOBANE 10 Quantification des contraintes Relative simplicit Quantification fine des contraintes Classification des professions tables valuation de la charge de travail physique Adapt aux t ches variables valuation a priori de la charge de travail physique valuation charge de travail physique Simplicit d usage Multidimensionnels Prise en compte des facteurs de risques psychologiques et sociaux Multidimensionnels Prise en compte des facteurs de risques psychologiques sociaux et organisationnels Recherche des d terminants macro des facteurs de risques Applicable au lever de charges L
183. alari Le score est consid r comme manquant si moins de la moiti des items de la dimension est renseign e Temps de passation Variable selon la version de 1 heure environ pour la version la plus longue 20 minutes environ pour la plus courte Disponibilit s et conditions d utilisation Domaine public Les diff rentes versions du COPSOQ II sont disponibles en anglais sur Internet www arbejdsmiljoforskning dk en publikationer spoergeskemaer psykisk arbejdsmiljoe La version originale moyenne destin e aux pr venteurs de terrain se pr sente galement sous forme informatis e logiciel payant Les V2 et V3 de la version fran aise sont disponibles en annexe de l article de validation Dupret et al 2012 a Qualit s psychom triques Les r sultats d taill s d analyse des propri t s psychom triques des trois versions du COPSOO II sont dispo nibles sur Internet wwwarbejds miljoforskning dk en publikationer spoergeskemaer psykisk arbejds miljoe VALIDIT L laboration du COPSOQ a t r a lis e partir de l tude approfondie de seize questionnaires psycho sociaux danois et internationaux Finlande Su de tats Unis Pays Bas Comme aucun de ces ques tionnaires ne r pondait parfaite ment aux attentes 145 questions de ces 16 questionnaires ont t s lectionn es et 20 nouvelles ont t ajout es version test Des ana lyses pour identifier la validit fac t
184. ale court ce qui pourrait en partie expliquer ce r sultat 21 Ces observations rejoignent celles de l tude r cente men e aux Pays Bas 20 Quant aux autres facteurs d exposi tion associ s la s ropositivit des leveurs en analyse multivari e la pratique associ e d levage s dentaire de bovins s explique difficilement Une analyse compl mentaire incluant un plus grand nombre de professionnels travail lant au contact de bovins est n ces saire pour confirmer ce r sultat N anmoins se posent les questions d une immunog nicit variable selon les souches de C burnetii cir culant en levage bovins et en le vage ovins ou caprins leurs degr s de virulence et leurs capacit s de r sistance environnementales le nombre d l ves agnelles che vrettes introduites lors du renou vellement de l levage dans la der ni re ann e augmente le risque de s ropositivit pour les profession nels expos s Une des hypoth ses serait une excr tion plus impor tante chez les jeunes animaux l in fection r cente semble associ e une excr tion lev e 9 ou la redy namisation d une infection par ces nouveaux animaux lors d une introduction importante en masse par rapport la taille de l levage la pratique de mise bas en b ti ment diminue le risque de s ro positivit Le fait qu elles soient r alis es en milieu ferm apparait comme un facteur protecteur vis vis d
185. ales et de donn es sp cifiques ont t interrog es Cette recherche a t compl t e par la contribution bibliographique des experts des groupes de travail et de lecture et les r f rences cit es dans les documents analys s La p riode de la recherche tait comprise entre 1990 et 2012 les langues retenues taient l anglais et le francais l interrogation des bases a t effectu e en mars 2012 et mise jour en mars 2013 Question 1 I a t identifi et analys 516 r f rences dans la base de donn es PubMed dont 73 revues syst matiques 6 m ta analyses et 43 essais cliniques avec les mots cl s suivants Moving and Lifting Patients adverse effects Mesh Lifting adverse effects Mesh OR Material handling Or manual handling OR heavy handling OR Moving and Lifting Patients Mesh OR Lifting Mesh AND Musculoskeletal Diseases Mesh OR Cardiovascular Diseases Mesh OR Back Pain Mesh OR Low Back Pain Mesh OR Abdominal Pain Mesh OR Pelvic Floor Disorders Mesh AND Risk Or complication Or adverse effect Questions 2 et 3 Parmi les 4 579 r f rences identifi es dans la base de donn es PubMed avec les mots cl s suivants 152 revues syst matiques 16 m ta analyses et 506 essais cliniques ont t analys s Mots cl s manuals material handling OR handling OR lifting OR carrying OR pulling OR pushing OR physical work OR heavy work OR manual workers AND obs
186. aleur de d bit de dose au contact du colis en tout point de la surface 5 uSv h pour les colis except s lt 2 mSv h pour ceux de type A 1 m du colis de type 0 1 mSv h 6 La contamination labile en metteurs b ta gamma ne doit pas d passer 4 Bq cm et pour les metteurs 0 4 Bq cm sur tout point dela surface externe du colis 164 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 m Pendant la manipulation gt privil gier les EPC sorbonnes et compl ter avec des EPI cf 6 6 1 gt manipuler si n cessaire derri re les crans de nature et d paisseur adapt es aux rayonnements et leur nergie Polym thacrylate de m thyle PMMA pour les met teurs p d nergie sup rieure 100 keV plomb pour les X et y manipuler si possible dans un pla teau bords relev s ou sur du papier absorbant avec une face tanche v rifier l absence d anomalie ou de contamination au cours de la manipulation m Manipulation termin e v rifier l absence de contamina tion des surfaces des quipements de laboratoire et des EPI et noter le r sultat g rer les d chets dans des pou belles adapt es 5 Gestion des d chets et effluents contamin s par des radionucl ides 7 Mise en place d un plan de gestion des d chets et effluents radioactifs de l tablissement 5 1 Organisation g n rale m Identifer des zones d chets contamin s en l
187. ance en centrale nucl aire comme la mobilit le risque routier la p nibilit et le risque organisationnel ainsi que les conditions de vie particuli res qui en d coulent d clarer travailler plus de 5 jours de suite changer fr quemment de site de travail rouler la nuit ne pas avoir les moyens de bien faire son travail d jeuner et d ner la gamelle 1 9 10 S ajoute ces caract ristiques la pr sence d une majorit de salari s dont l anciennet d passe 20 ans Les salari s des entreprises sous traitantes du nucl aire ont des conditions de vie particuli res d j en partie d crites 1 11 Dans l chantillon tudi plus d un sala ri sur dix d clare dormir dans sa Voiture en moyenne 7 nuits par an Lors de leur derni re mission plus des deux tiers des salari s interro g s d clarent n avoir pas pu rentrer chez eux tous les soirs Toutes les formes d h bergement sont vo qu es Selon la dur e des missions plusieurs types d h bergement sont possibles Dormir dans sa voiture ou dans un lieu pr caire selon les propos des salari s peut tre motiv non seulement par des difficult s financi res mais aussi par limpr visibilit de certains d placements changement de planning ordre de mission tardif ou non formalis par crit D cla rer ne pas rentrer chez soi tous les soirs et estimer son temps de repos quotidien insuffisant sont associ s d une part la
188. ans le laboratoire d une quipe de recherche ext rieure utilisation des sources et du mat riel ne pourra se faire qu apr s accord crit pr voyant les r gles de s curit m les obligations r glementaires concernant les rayonnements ioni sants Un plan de pr vention se substitue cet accord Dans tous les cas la PCR du labo ratoire doit d finir les proc dures d intervention formation proto coles en liaison troite avec la PCR du laboratoire ext rieur Il est en effet essentiel que les PCR partagent les informations en leur possession L application de ces proc dures doit tre contr l e avec une vigilance particuliere Les utilisations de sources de rayon nements ionisants par une per sonne ext rieure n cessitent d tre couvertes par une autorisation ad ministrative 7 SURVEILLANCE MEDICALE 1 Surveillance m dicale renforc e Tout travailleur class en cat gorie A ou B b n ficie d une surveillance m dicale renforc e sous r serve de la p riodicit r glementaire des examens m dicaux le m decin du travail est seul juge des modalit s de cette surveillance Le m decin du travail v rifie l ab sence de contre indication m di cale du travailleur au poste de tra vail occup Examen m dical pr alable doit avoir lieu avant affectation pour tous les travaux impliquant une exposition potentielle aux rayonnements ionisants gt quel que soit l
189. ant de rigueur scientifique que des cher cheurs Ils soul vent aussi des ques tions fondamentales auxquelles la recherche n apporte pour l instant pas de r ponses et pour lesquelles sous le sceau de la contrainte cer tains acteurs ont concu des solu tions riches quils ne demandent qu partager et discuter Ainsi par exemple on a entendu en apart des pr venteurs d crire comment au quotidien ils composaient avec le droit du travail pour permettre aux diff rentes parties impli qu es dans des conflits violents de renouer le dialogue et de mettre entre parenth ses toute juridicia risation de l affaire le temps d ana lyser les causes du probl me et de tenter de trouver une solution les diff rentes parties tant libres en suite d agir en justice pour d partir les responsabilit s si elles le sou haitent Forts de ce constat les or ganisateurs de cette rencontre ont d cid de r tablir ce d s quilibre et de consacrer le prochain colloque international du DIM GESTES au dialogue entre pr venteurs et cher cheurs Il aura lieu en juin 2015 Paris La plupart des allocutions et des changes sont disponibles sur le site du DIM GESTES http gestes net les actes du colloque interna tional dim gestes 10 et 11 juin 2013 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 143 OUTILS REP RES p 145 ALLERGOLOGIE PROFESSIONNELLE 161 RADIOPROTECTION p 177 RISQUES PSYCHOSOC
190. anutentions inutiles et all ger les charges INRS 2011 www inrs fr accueil risques activite physique prevention manutention manuelle html 4 Ergonomie Manutention manuelle de charge pour soulever d placer et pousser tirer M thodologie d analyse et valeurs seuils Norme francaise homologu e NF X 35 109 Octobre 2011 La Plaine Saint Denis AFNORS 2011 18 p 5 ANAES 2000 Recommandations pour la prise en charge des lombalgies www has sante fr portail upload docs application pdf lombal pdf 6 Rapport de Gestion 2011 Bilan financier et sinistralit 2011 CNAMTS 2011 www risquesprofessionnels ameli fr fileadmin user upload document PDF a telecharger brochures Rapport 620de 620 gestion 6202011 pd 7 Musculoskeletal disorders and the workplace low back and upper extremities Atlanta The National Academies Press 2001 512 p 8 Dempsey PG A critical review of biomechanical epidemiological physiological and psychophysical criteria for designing manual materials handling tasks Ergonomics 1998 41 1 73 88 9 FRANCHI P Les maladies professionnelles l exemple des troubles musculo squelettiques TMS Agir sur Lyon 1997 61 p www anact fr portal pls portal docs 1 30341 PDF 10 SOBANE Malchaire J et al Strat gie SOBANE et m thode de d pistage DEPARIS Service public f d ral Emploi Travail Concertation sociale 2007 www emploi belgique
191. ar la tenue par le patient lui m me d un suivi journalier de son DEP au moins 4 mesures par jours durant au moins 4 semaines cons cutives dont au moins 2 ch m es Il est galement possible de r aliser une surveillance spirom trique rappro ch e sur le lieu de travail afin de rechercher une alt ration du VEMS au cours de la journ e de travail ou entre le d but et la fin de la se maine de travail cf Diagnostic sur le lieu de travail e Pneumopathie d hyper sensibilit Dansles formes aigu s ou subaigu s de PHS le bilan fonctionnel respira toire objective le plus souvent un trouble ventilatoire restrictif TVR parfois associ une obstruction bronchique distale L anomalie fonc tionnelle la plus sensible est l alt ration de la capacit de transfert du CO DLCO Les formes chroniques se caract risent soit par un TVR en cas d volution vers une pneumopathie interstitielle fibrosante soit vers un TVO en cas d volution vers une ma ladie broncho emphys mateuse La d saturation l effort est classique en d but d volution pouvant vo luer vers une hypoxie de repos avec hypocapnie Lexamentomodensitom trique tho racique permet de visualiser des mi cronodules flous centro lobulaires des opacit s en verre d poli des D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 153 zones d hyperclart s lobulaires d as pect dit en mosaique voire dans certains cas des
192. ari s pour lesquels le m decin a estim qu elles sont g nantes pour le travail dans le nucl aire c est dire qui questionnent le maintien au poste en secteur nucl aire D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 47 VU DU TERRAIN Vie sant travail des salari s de la sous traitance du nucl aire xy Tableau VIII gt SALARI S JUGEANT LE TRAVAIL DANS LE NUCL AIRE PLUS P NIBLE 242 SALARI S um 115 ont plus souvent 50 ans et plus 0 05 115 sont plus souvent employ s techniciens ou agents de maitrise 0 01 Ils exercent plus souvent des m tiers de la climatisation chauffage plomberie 0 05 de la m canique 0 05 de l lectricit lt 0 01 n avoir jamais les moyens de bien faire leur travail 0 001 ne pas se sentir en s curit 0 001 travailler en espace confin 0 01 travailler en zone orange 0 01 un temps de repos insuffisant lt 0 01 se sentir fatigu s 0 01 souhaiter changer de travail lt 0 01 du fait de la p nibilit 0 001 pr senter des troubles du sommeil 0 05 se sentir anxieux tendus ou d prim s 0 05 Lorsqu ils pr sentent une pathologie il s agit plus souvent de pathologies 0 05 rhumatologiques Plus souvent la pathologie est en rapport avec le travail 0 05 Ces salari s repr sentent 28 4 de l ensemble des salari s de l chantillon soit 40 7 de ceux qui se prononcent sur la p nibilit ressentie
193. asculaire de pathologies chroniques articulaires la pr sence d un dispositif implantable dont le fonctionnement pourrait tre perturb parle courant O Garages automobiles R parer et entretenir les lectrique ou les champs lectromagn tiques une v hicules en s curit INRS 2011 www inrs fr accueil valuation pluridisciplinaire m dicale et technique secteurs commerce service garage html permettant d appr cier les risques au poste de travail O lectricit S curiser les installations et le mat riel sera alors pr conis e INRS 2012 wwwinrs fr accueil risques phenomene l existence d une pilepsie mal contr l e Des physique electricite html convulsions peuvent tre observ es lors d une lec trisation et il sera difficile d en connaitre l origine D autre part un accident est possible en cas de crise survenant lors d un travail sous tension et enfin d effectuer un examen clinique voire de demander des examens compl mentaires en fonc tion des l ments pr c demment recueillis ECG par exemple la recherche de contre indications li es un poste soumis au risque lectrique Il n y a pas lieu de proposer de surveillance m dicale renforc e D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 189 Alcool et travail Comment pr venir ce risque chez les apprentis La r ponse de Philippe Hache d partement tudes et assistance m dicales INRS Il arrive parf
194. asn fr cheminement Professionnels Les guides de d claration des v nements significatifs D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 169 RADIOPROTECTION Tableau gt RADIONUCL IDES UTILIS S EN SOURCES NON SCELL ES DANS LE SECTEUR DE LA RECHERCHE IN VITRO PROPRIETES PHYSIQUES ELSE Symbole LEM nergie max keV d mission P riode physique Tritium 12 3 ans 546 511 1275 m e Phosphore 32 1710 14 3 jours Soufre 35 87 5 jours Chrome 51 27 7 jours 8 475 Cobalt 58 58Co Pu Bn s vn 70 8 jours 273 466 46 53 1099 1292 56 44 5 27 31 36 114 26 7 23 31 20 11 14 Fiches IRSN INRS Radioprotection radionucl ides www inrs fr en tapant radionucl ides dans le moteur de recherche ou www irsn fr FR professionnels sante documentation Pages guides aspx Sodium 22 2 6 ans Fer 59 55Fe Iode 125 60 jours 170 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau II gt RADIONUCL IDES UTILIS S EN SOURCES NON SCELL ES DANS LE SECTEUR DE LA RECHERCHE APPLICATIONS COURANTES Protocoles exp rimentaux courants Radionucl ides Radio traceurs dans des tudes m taboliques 3H 4C 5S Techniques de liaison de ligands r ceptologie 3H 4C 355 5 Constitution de sondes mol culaires 355 32 Techniques de phosphorylation de prot ines Sources de r f rence traceurs internes 995 Am Hom ostasie i
195. ative Le faible nombre de femmes in cluses dans l tude ne permet pas de retrouver de diff rence signifi cative dans les donn es de sant l exception de leur indice moyen de masse corporelle significativement moins lev 22 8 vs 25 9 STATUT PROFESSIONNEL ET NOMBRE D ACTIVIT S EXERC ES Les ouvriers exercent significa tivement plus souvent plusieurs activit s polyvalence p 0 001 tableau IV APPROCHE PAR SOUS GROUPES POPULATIONNELS Les caract ristiques statistique ment significatives de sous groupes Tableau IV populationnels cibl s selon les ob jectifs de l tude ont t recherch es pour les salari s e travaillant en maintenance de centrale nucl aire tableau V e souffrant d une pathologie en rapport avec le travail tableau VI et g nante pour ce dernier en mi lieu nucl aire tableau VII selon l avis du m decin du travail jugeant le travail plus ou moins p nible en secteur nucl aire ta bleau VIII souhaitant changer de travail tableau IX int rimaires tableau X Il est noter que les salari s les plus anciens anciennet de plus de 20 ans travailleraient signifi cativement plus en maintenance de centrales nucl aires au moins 80 de leur temps de travail en INB en arr t de tranche Pour m moire lensemble des r sultats notamment concernant les sous groupes de salari s tels ceux g s de 50 ans et plus et ayant une anciennet de
196. atory symptoms and bronchial responsiveness in lifeguards exposed to nitrogen trichloride in indoor swimming pools Occup Environ Med 1998 55 4 258 63 41 Fantuzzi RIGHIE PREDIERI GiACOBAZZI P ET AL Prevalence of ocular respiratory and cutaneous symptoms in indoor swimming pool workers and exposure to disinfection by products DBPs Int J Environ Res Public Health 2010 7 4 1379 91 42 Fantuzzi G RIGHIE PREDIERI G GIACOBAZZI P ET AL Airborne trichloramine NCI 3 levels and self reported health symptoms in indoor swimming pool workers dose response relationships J Expo Sci Environ Epidemiol 2013 23 1 88 93 43 THOUMELN P Monn E ARMANDET D JULIEN MJ ET AL Troubles d irritation respiratoire chez les travailleurs des piscines tudes et enqu tes TF 138 Doc M d Trav 2005 101 43 64 44 DEMANGE V BOHADANA MassiN Wi P Exhaled nitric oxide and airway hyperresponsiveness in workers a preliminary study in lifeguards BMC Pulm Med 2009 9 53 45 NoRDBERG GF LUNDSTROM NG FORSBERG B HAGENBJORK GUSTAFSSON ET AL Lung function in volunteers before and after exposure to trichloramine in indoor pool environments and asthma in a cohort of pool workers BMJ Open 2012 2 5 1 9 46 ForNANDER GHAFOURIB LiNDAHL M GRAFF P Airway irritation among indoor swimming pool personnel trichloramine exposure exhaled NO and protein profiling of
197. atteints ont b n fici d un traitement 4 ont eu un arr t de travail cause de leur dermatose 2 ont fait une demande de recon naissance en maladie profession nelle 4 ont t reclass s et 1 5 ont t d clar s inaptes M me si cette tude n est pas repr sentative car r alis e sur un chantillon par des m decins volontaires elle constitue une pre mi re approche de la pr valence des dermatoses l chelon natio nal dans le BTP Elle met l accent sur la n cessit d une politique de pr vention soutenue technique et collective en association avec les quipements de protection indi viduelle EPI et en insistant sur le caract re primordial de l hygi ne cutan e compl t e par l utilisa tion de cr mes avant ou apr s le travail HYGIENE ET CONDITIONS DE VIE SUR LES CHANTIERS DU BTP BAROMETRE HYGIENE ET CONDITIONS DE VIE 2013 J P Braud m decin conseil OPPBTB Lyon pr sente ce barom tre mis en place par l OPPBTP Il a pour objectif de mieux connaitre l organisation les installations les mat riels et les quipements mis disposition des salari s par les entreprises du BTP pour pr server l hygi ne et les conditions de vie sur les lieux de travail 132 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Un premier barom tre ayant t r alis en 2008 il tait int ressant de surcro t d tablir un comparatif et de mesurer les volutions obser v
198. au chaude a galement pour effet de limiter la prolif ration de certains micro or ganismes e Pr vention individuelle Seul le personnel de service tech nique form sp cifiquement cet effet doit tre responsable du traitement de l eau ainsi que des op rations de maintenance Certaines op rations de mainte nance susceptibles d exposer les op rateurs des d gagements de gaz irritants ou d a rosols d eau potentiellement contamin e par des micro organismes n cessitent le port d un appareil de protec tion respiratoire adapt pour une exposition au chlore par exemple demi masque ou masque complet quip de filtre B voire d appareil de protection respiratoire isolant en situation accidentelle N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PR VENTION M DICALE lembauche on sera attentif rechercher une sensibilit parti culi re l exposition aux irritants telle qu un terrain atopique la pr existence d une rhino conjonctivite et ou d un asthme ou d une autre pathologie respiratoire chronique Lexamen clinique devra tre com pl t d EFR qui serviront d examen de r f rence Il ne s agit pas d ex clure a priori les sujets concern s d un emploi dans ce type d environ nement mais de les identifier afin de suivre de mani re rapproch e l volution de leur tat de sant res piratoire afin de d pister pr coce ment la moindre alt ration Concer nant le
199. avail en secteur nucl aire plus p nible que le travail hors secteur nucl aire Prendre en compte ces deux l ments dans une strat gie de pr vention permet d agir la fois sur la p nibilit du travail et sur la carri re profession nelle de ces salari s Des actions ont t engag es comme par exemple la cr ation d une charte entre les entreprises prestataires et les cen trales nucl aires la cr ation d un site internet destin aux presta taires 16 17 18 19 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 55 VU DU TERRAIN Les salari s sont 92 se juger en bonne sant bien que 25 6 d clarent tre fatigu s 17 6 avoir des troubles du sommeil et autant tre anxieux tendus ou d prim s D une facon g n rale le d ni de la survenue possible de maladies vise prot ger contre la peur cf plus bas Les troubles psychiques ou subjectifs peuvent tre aussi mini mis s en particulier dans les mi lieux professionnels masculins de facon d fensive Sur un autre plan Coutrot et al 20 ont mis en vi dence que les troubles psychiques tels la d pression ou l anxi t ainsi que les troubles musculosquelet tiques seraient des infrapatholo r versibles lorsque les expo sitions professionnelles cessent Ils pourraient ce titre tre consid r s comme des indicateurs de sant pr curseurs possibles et r versibles
200. avail sont couverts par un CHSCT Dans un mod le de type logit permettant d estimer l effet de chaque caract ristique autres caract ristiques identiques toutes choses gales par ailleurs la probabilit pour un salari couvert par un service autonome de disposer d un CHSCT plut t que de ne pas en disposer est multipli e par 3 58 Odds ratio relativement la situation de r f rence celle d un salari couvert par un service interentreprises de sant au travail champ salari s de France m tropolitaine et de La R union 80 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 3v Encadr 3 gt DISPOSITIFS DE PR VENTION COMPARAISON ENTRE SUMER 2010 ET REPONSE 2010 2011 Concernant la pr sence d institutions repr sentatives du personnel en particulier de CHSCT et de dispositifs de pr vention l enqu te SUMER 2010 peut tre rapproch e de l enqu te Relations professionnelles et n gociations d entreprise REPONSE dont la derni re dition a t r alis e en 2010 2011 En se restreignant au champ de REPONSE les tablissements de plus de 10 salari s du secteur marchand les deux enqu tes donnent des r sultats similaires concernant la proportion de salari s couverts par un CHSCT tableau A Les r ponses fournies par les repr sentants du personnel dans les tablissements o ils ont t interrog s par l enqu te REPONSE sont cet gard totalement coh rentes avec celles donn es
201. b dans les peintures Utilisation de jauges industrielles Utilisation de jauges industrielles poste fixe Utilisation de jauges industrielles avec mat riel mobile Utilisation de jauges industrielles fixes et mobiles Soudage par faisceau d lectrons Production et conditionnement de radio isotopes y compris industrie radio pharmaceutique e Radio polym risation et traitement de surface e St rilisations Contr les pour la s curit des personnes et des biens D tection g ologique well logging Logistique et maintenance dans le secteur industriel prestataires Logistique Maintenance Autres Sources naturelles Aviation e Mines et traitement des minerais e Manipulation et stockage de mati res premi res contenant des l ments des familles naturelles du thorium et de l uranium Activit s s exercant dans un lieu entra nant une exposition professionnelle au radon et ses descendants Sources thermales et tablissements thermaux Captage et traitement des eaux Autres e Industries du gaz du p trole et du charbon Autres Nucl aire Propulsion nucl aire quipage Maintenance terre Intervention et pr paration l intervention Armement Maintenance des installations Transport Intervention et pr paration l intervention Extraction et traitement du minerai d ura nium Enrichissement et conversion Fabrication du combustibl
202. baires li es l exposition des MMC dans le cadre d une strat gie de pr vention int gr e collective et individuelle en milieu de travail Adultes en ge de travailler expos s des activit s de MMC dans le cadre professionnel Dans les diff rents cas de figure suivants travailleurs indemnes de lombalgies souffrant de lombalgie et encore au travail ou en arr t de travail Intervenants en sant au travail m decins de sant infirmi res des services de sant au travail pr venteurs ergonomes psychologues ing nieurs intervenants en pr vention des risques professionnels IPRP et employeurs Intervenants des soins de sant m decins traitants et sp cialistes rnumatologues m decins r ducateurs orthop distes auxiliaires m dicaux kin sith rapeutes infirmi res ergoth rapeutes Intervenants dans le champ m dico social et administratif m decins conseils de l Assurance maladie travailleurs sociaux charg s d insertion et de maintien dans l emploi r f rents handicap psychologues Direction g n rale du travail DGT Soci t francaise de m decine du travail SFMT Fonds publics convention DGT SFMT Coordination Pr Yves Roquelaure et Dr Audrey Petit Centre de consultation de pathologies professionnelles du CHU d Angers De janvier 1990 mars 2013 strat gie de recherche documentaire d crite en Annexe 1 r alis e par Pr Yves Roquelaure et Dr A
203. bserv s avec la mise disposition de protections individuelles contre le bruit ou les agents chimiques ou biolo giques qui est logiquement plus fr quente quand des dispositifs de pr vention sont signal s Ici en core le plan de pr vention comme Cest pr visible semble avoir un impact plus fort que le seul docu ment d valuation des risques 88 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PRATIQUES DE PR VENTION ET SAN T DES SALARI S NE SEMBLENT PAS DIRECTEMENT CORR L ES Cinquante quatre pour cent des salari s estiment que leur travail n a pas d impact sur leur sant Figure 8 19 6 qu il a un impact positif et 27 96 un effet n gatif figure 8 En pr sence de CHSCT 29 des sala ri s attribuent leur travail un impact n gatif sur leur sant La diff rence semble faible mais est gt DISPOSITIFS DE PR VENTION ET JUGEMENT DU SALARI SUR L INFLUENCE DE SON TRAVAIL SUR SA SANT de salari s 100 80 60 40 20 Salari s couverts par un CHSCT Salari s couverts Tous par un plan de pr vention salari s mon travail est plut t mauvais pour ma sant mon travail est plut t bon pour ma sant mon travail n influence pas ma sant Lecture 52 des salari s couverts par un CHSCT estiment que leur travail n influence pas leur sant et 54 de l ensemble des salari s Champ salari s de France m tr
204. c M d Trav 2012 129 7 17 54 Maro JL LARCHEV QUE J CASTELLANOS L LAVOIE K ET AL Long term outcomes of acute irritant induced asthma Am J Respir Crit Care Med 2009 179 10 923 28 55 G RARDIN F MULLER RoDRIGUEZ QUENIS B Strippage de la trichloramine dans les bacs tampon des piscines Etude de diff rents contacteurs gaz liquide Note documentaire ND 2153 Cah Notes Doc Hyg S cur Trav 2001 184 25 36 56 valuation des risques sanitaires li s aux piscines Partie II bains remous Avis de l Anses Rapport d expertise collective Avis de l ANSES Rapport d expertise collective Maisons Alfort ANSES 2013 202 p 57 NATHAN RA SonxNzss CA Kosinski M SCHATZ M ET AL Development of the Asthma Control Test a survey for assessing asthma control 7 Allergy Clin Immunol 2004 113 1 59 65 160 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Radioprotection secteur recherche l ensemble de cette collection a t r alis par un groupe de travail cf composition 171 auquel ont particip l ASN Autorit de s ret nucl aire la DGT Direction g n rale du travail l IRSN Institut de radioprotection et de s ret nucl aire et INRS Institut national de recherche et de s curit Cette fiche qui fait partie d une collection r alis e par type d activit dans le secteur de la recherche concerne l utilisation de sources no
205. c la participation du m decin du travail s il est disponible Un audiogramme sera r alis en milieu calme infir merie ou bureau Par ailleurs des mesures de pro duits de distorsion et de seuils de d clenchement du r flexe seront galement r alis es avec l EchoScan Audio Ouarante cinq minutes seront consacr es cette phase d inclusion des salari s volontaires Le lendemain les salari s seront test s pendant 20 mi nutes avant et apr s leur prise de poste Durant leur travail les salari s volontaires seront quip s d ex posim tres et de badges Gabie pour enregistrer le bruit et les solvants pr sents sur les lieux de travail Responsable d tude contacter pierre Campo ou Thomas Venet T l 03 83 50 2155 Fax 03 83 50 20 96 Pierre campo inrs fr thomas venet inrs fr D partement Polluants et Sant INRS rue du Morvan CS 60027 54519 Vand uvre les Nancy Cedex D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 35 PARTICIPEZ LA RECHERCHE valuation de l exposition professionnelle au phtalate de di isononyle DINP e phtalate de di isononyle DINP est un des substituts de choix du phtalate de di 2 thyl hexyle DEHP utilis comme plastifiant du PVC Plus de 500 ooo tonnes ont t utilis es dans l Union Europ enne en 2004 Le DINP n est pas class parmi les agents canc rog nes mutag nes toxiques pour la reproduction CMR mais certains auteurs le citent com
206. ce du droit d acc s et de rectification du travail leur toutes les informations individuelles le concer nant et centralis es dans SISERI l exercice du droit d acc s du m decin du travail tous les r sultats individuels de la dosim trie des travailleurs dont il exerce la surveillance m dicale l exercice du droit d acc s de la personne comp tente en radioprotection la dose efficace recue par les tra vailleurs et aux r sultats de la dosim trie op ration nelle de ceux ci l exercice du droit d acc s aux inspecteurs mentionn s l article R 4451 125 L Institut de radioprotection et de s ret nucl aire d livre une cl qui donne acc s aux informations rela tives aux travailleurs ANNEXEI MODALIT S DU SUIVI DOSIM TRIQUE INDIVIDUEL 1 Dosim trie passive pour le suivi de l exposition externe La surveillance par dosim trie passive consiste en une mesure en temps diff r de l exposition externe irra diation partir de dosim tres individuels passifs Elle a pour objet de s assurer que l exposition indivi duelle du travailleur aux rayonnements ionisants est maintenue en dec des limites prescrites aux articles 4451 12 et suivants au niveau le plus faible qu il est raisonnablement possible d atteindre Elle est adap t e aux caract ristiques des rayonnements ionisants auxquels sont susceptibles d tre expos s les travail la personne comp tente en radiopro
207. cessaire de v rifier l tat g n ral du colis int grit les docu ments de transport et de livraison et de mesurer le d bit de dose au contact 5 I faudra effectuer le contr le de non contamination du colis et du flacon contenant la solution radioactive par la technique de frottis 6 Contr les p riodiques gt des sources non scell es externe annuel et interne mensuel bas s sur la recherche de contamination et de mesure du d bit de dose des sources d talonnage semes triel ou annuel bas s surla recherche de contamination d faut d tan ch it et la mesure du d bit de dose 4 2 Manipulation des radionu cl ides viter ou d faut encadrer stricte ment le travail isol Pr paration de la manipulation gt planifier son travail et respecter les protocoles tablis gt toujours effectuer une manipula tion pr alable froid disposer d une poubelle de pail lasse adapt e sur le plan de travail limiter l encombrement du poste de travail limiter la surface du plan de tra vail d di e la manipulation gt limiter le temps de sortie des sources m res hors de leur lieu d en treposage r duire la fr quence des manipu lations au strict n cessaire disposer d un d tecteur adapt et fonctionnel gt sila manipulation n cessite une boite gants v rifier la bonne d pression pr alable et l tat des gants 5 V
208. chercher un changement des conditions de travail 2 S assurer que l on dispose de donn es actualis es sur la situation de travail 3 valuer le retentissement professionnel de la lombalgie 4 Appr cier avec le travailleur les risques pour sa sant en tenant compte de l valuation des risques de la situation de travail des adaptations poten tielles et du contexte m dico socioprofessionnel Afin de d terminer en concer tation avec le travailleur s il y a lieu de pr coniser un am nage ment de la situation de travail et ou des restrictions m di cales d aptitude d orienter vers le m decin traitant de modifier le suivi m dico professionnel En cas de lombalgie persistante ou r cidivante Bien que la plupart des travailleurs se r tablit compl tement d un pi sode rachidien 2 7 d entre eux sont susceptibles de d velopper une lombalgie chronique partir d un nouvel pisode aigu Par ail leurs le taux de r currence durant l ann e suivant un pisode aigu est valu de 24 80 selon les tudes Les lombalgies chroniques com munes cest dire voluant pen dant au moins 3 mois sont sources d alt rations des capacit s de tra vail d absent isme de rupture des parcours professionnels et de r percussions socio conomiques importantes Certains facteurs individuels no tamment l intensit de la douleur et professionnels constituent des facteurs
209. chnicien de contr le ressuage US Technicien de laboratoire laborantin assis tant de recherche e T l op rateur Tuyauteur chaudronnier Autres D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 23 INFOS RETENIR Arr t du 2 ao t 2013 fixant les conditions d immunisation des personnes mentionn es l article L 3111 4 du Code de la sant publique Journal officiel du 13 ao t 2013 pp 13795 97 La ministre des Affaires sociales et de la Sant Vule Code dela sant publique notamment ses articles L 3111 1 L 3111 4 et L 4151 2 Vu le Code du travail notamment ses articles L 4621 31 et suivants Vu l arr t du 15 mars 1991 fixant la liste des tablisse ments ou organismes publics ou priv s de pr vention ou de soins dans lesquels le personnel expos doit tre vaccin modifi par l arr t du 29 mars 2005 Vu l arr t du 6 mars 2007 relatif la liste des l ves et tudiants des professions m dicales et pharmaceu tiques et des autres professions de sant pris en appli cation de l article L 3111 4 du Code de la sant publique Vu le rapport du Haut Conseil de la sant publique de juin 2011 relatif la pr vention de la transmission du virus des h patites virales B et C et du virus de l immu nod ficience humaine aux patients par le personnel de sant Vu l avis du Haut Conseil de la sant publique en date du 21 d cembre 2012 Vul avis
210. collectives soient coh rentes avec les mes sages d livr s au niveau indivi duel 3 cette information s int gre dans une d marche structur e de pr vention des risques pro fessionnels Chaque membre de l quipe plu ridisciplinaire en sant au travail peut tre amen d livrer l infor D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 105 PRATIQUES ET M TIERS mation dans son domaine de com p tences en veillant la coh rence des messages cette fin laborer un document crit commun au service de sant au travail peut s av rer utile V 2 Interventions de pr vention primaire secondaire des risques rachidiens lombaires chez les tra vailleurs expos s aux manuten tions manuelles de charges L quipe pluridisciplinaire de san t au travail doit promouvoir la mise en place par l entreprise de strat gies de pr vention primaire secondaire des risques rachidiens lombaires chez les travailleurs expos s aux risques li s la MMC Les strat gies d crites dans la litt rature peuvent comporter plusieurs volets interventions ci blant le travailleur et ou les condi tions de travail interventions mul tidimensionnelles en milieu de travail Interventions ciblant le travailleur ducation et formation des tra vailleurs la manutention La plupart des programmes de for mation vis e pr ventive consiste former les travailleurs pour mo difier leurs comport
211. d hygiene de s curit et des conditions de travail Plusieurs interventions se sont attach es d crire quels taient les enjeux les buts et les modalit s d actions de chacun de ces groupes d ac teurs comment ils voluaient et comment ils interagissaient Le constat est unanime l int rieur de chacun de ces groupes d acteurs il existe une grande h t rog n it de profils mais quel que soit son mode d action ordinaire chacun voit ses pratiques bouscul es par la prise en charge des probl mes de RPS qui sont la fois vari s et complexes Ainsi plusieurs orateurs soulignent la difficile position des experts externes A Mahan Sy cole des hautes tudes en sciences sociales EHESS Institut de recherche inter disciplinaire sur les enjeux sociaux IRIS observe par exemple que les psychologues cliniciens en cabinets sp cialis s oscillent entre pr ven tion tertiaire des risques psycho sociaux au travail et objectivation d une nouvelle figure d indignation sociale T Chakor Universit d Aix Marseille Laboratoire d conomie et de sociologie du travail LEST d crit les difficult s des cabinets conseil sp cialis s en pr vention des RPS plac s face aux controverses et aux blocages qui traversent les organi sations S Reggui et R Tenachi Conseil tude et d veloppement appliqu s aux entreprises et aux territoires CEDAET et X Zunigo Agence de re cherche et d ing nierie
212. de d int grer au contr le sanitaire dans les piscines d sinfect es au chlore notamment le suivi de la trichloramine dans l air avec une valeur limite de 0 3 mg m et le suivi du d bit de ventilation et du d bit d air neuf 6 Il est recom mand de r aliser la mesure de la trichloramine dans l air deux fois par an dont l une au moins en hiver Pour chaque mesure il conviendra de r aliser deux pr l vements en deux lieux diff rents situ s l un 30 cm au dessus de la surface de l eau et l autre dans la zone de respi ration des travailleurs soit 170 m de hauteur Dans les bains remous qui pr sentent une configuration et un mode de fonctionnement sp ci fique faible volume d eau forte fr quentation concentration fluc tuante du d sinfectant temp rature de leau lev e formation d a rosols lANSES recommande d int grer en plus du suivi de la concentration atmosph rique en trichloramine celui de la concentra tion en chloroforme seuil maximal de 0 25 mg m et en bromoforme pour les bassins ferm s aliment s par de l eau de mer riche en ions bro mure seuil maximal de 0 5 mg m 56 M me si ces valeurs limites n ont pas t tablies pour prendre en compte le pouvoir irritant pour les voies respiratoires de ces subs tances le suivi des concentrations atmosph riques peut t moigner de l efficacit de la ventilation g n rale des locaux L ensemble de ces valeurs propos es par
213. de manutention transport de charges pousser tirer de charges postures Elle souligne l importance de tenir compte galement des caract ris tiques suivantes caract ristiques de la charge absence de prises difficult s de pr hension rigidit de la charge encombrement volume charge mobile car ne liquide charge ex centrique facteurs de contrainte port d quipements de protection indi viduelle obstacles sur le parcours accessibilit sol glissant produits toxiques facteurs li s l environnement ambiance thermique vibrations clairage bruit poussi res facteurs li s l organisation de la t che contraintes de temps marges de manceuvre exigence de qualit autres caract ristiques du travail telles que le travail pos t isol Il est recommand que l va luation des risques lombaires li s la manipulation de charges prenne en compte la globalit des situations de tra vail y compris les caract ris tiques psychosociales et orga nisationnelles et des risques postures vibrations en raison de la pluralit des expo sitions professionnelles Concernant l analyse de l exposi tion des MMC les mod les bio m caniques et physiologiques utilis s seuls sont insuffisants pour appr hender la complexit des activit s de manipulations de charges Lannexe 2 r capi tule les int r ts et les limites des principaux mod les d analyse des situatio
214. de sant au travail qui surveillent des populations de sous traitants du D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 51 VU DU TERRAIN nucl aire depuis la cr ation des INB et qui constatent des volutions sur les d terminants de sant e l arriv e en fin de carri re de toute une classe d ge ayant par ticip aux premi res mises en ser vice et la maintenance des INB En particulier l ge moyen de la population enqu t e est sup rieur de 5 ans et demi celui de l tude STED de 1998 1 Les m decins du travail des deux services assurent un suivi r gulier de ces populations Cette surveil lance m dicale renforc e leur ap porte une bonne connaissance de ce milieu professionnel particulier de son savoir faire de ses condi tions sp cifiques d intervention et de ses contraintes La moiti des salari s inclus dans l tude passe au moins 80 de son temps sur site nucl aire Compte tenu de l avanc e en ge de l anciennet de certains salari s et des difficult s de maintien au poste les m decins du travail dans cette enqu te ont mis en parallele les conditions de vie de travail et l tat de sant dela population tu di e par la juxtaposition du v cu du salari et de l avis du m decin du travail Concernant la m thode le carac t re transversal descriptif de l tude qui ne permet pas la re cherche de causalit est compl t par une approche
215. de 1 5 et un score inf rieur 20 est consid r comme le reflet d un mauvais contr le de l asthme Au cours des 4 derni res semaines votre asthme vous a t il g n dans vos activit s au travail l cole universit ou chez vous 1 tout le temps 2 la plupart du temps 3 quelquefois 4 rarement 5 jamais O2 Au cours des 4 derni res semaines avez vous t essouffl e 1 plus d une fois par jour 2 1 fois par jour 3 3 6 fois par semaine 4 1 ou 2 fois par semaine 5 jamais Au cours des 4 derni res semaines les sympt mes de l asthme sifflements dans la poitrine toux essoufflement oppression ou douleur dans la poitrine vous ont ils r veill pendant la nuit ou plus t t que d habitude le matin 1 4 nuits ou plus par semaine 2 2 3 nuits par semaine 3 1 nuit par semaine 4 10u 2 fois en tout 5 jamais Au cours des 4 derni res semaines avez vous utilis votre inhalateur de secours o pris un traitement par n bulisation par exemple salbutamol 1 3 fois par jour ou plus 2 1 ou 2 fois par jour 3 2 ou 3 fois par semaine 4 1 fois par semaine ou moins 5 jamais O 5 Comment valueriez vous votre asthme au cours des 4 derni res semaines 1 pas contr l du tout 2 tr s peu contr l 3 un peu contr l 4 bien contr l 5 totalement contr l D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136
216. de de poste L tude de poste est r alis e pr alablement la mise en ceuvre d un protocole dans des conditions habituelles de travail int grant les al as probables L tude dosim trique des postes de travail prend en compte l activit et la nature des radionucl ides mani pul s sur la base de la dur e d ex position Elle doit galement tenir compte des EPC et EPI utilis s et de l ergonomie des postes de travail S agissant de sources non scel l es il est important de prendre en compte le risque d exposition interne Par ailleurs concernant l exposition externe une atten tion particuli re sera port e au risque d exposition des extr mi t s ex P Cette valuation pr alable des doses externe interne sera v ri fi e le cas ch ant affin e lors de sa mise en ceuvre et renouvel e si besoin la premi re mise en uvre chacune des tapes du protocole donne lieu des mesures de d bit de dose en diff rents points judi cieux et du temps d exposition ou des mesures de dose int gr e pour 2 Circulaire DGT ASN n o1 du 18 janvier 2008 relative l arr t du 15 mai 2006 relatif aux conditions de d limitation et de signalisation des zones surveill es et contr l es et des zones sp cialement r glement es ou interdites compte tenu de l exposition aux rayonnements ioni sants ainsi qu aux r gles d hygi ne de s curit et d entretien qui y sont appos es 162 N 136 R
217. de l INRS Les stages dont le code est suivi d un ast risque dans le tableau ci apr s sont ceux soumis l OGDPC pour le d veloppement professionnel des m decins et ou des infirmiers Code AB1230 AB1231 BB2230 JJ2331 RR2801 Organisation et management de la pr vention Stage D coder l organisation et la strat gie de l entreprise D couvrir les principes et pratiques des syst mes de management de la sant et de la s curit au travail Mieux appr hender les relations entre vieillissement sant et travail D velopper la fonction pr vention en entreprise Assurer les conditions de r ussite d une formation action PRAP en entreprise ou en tablissement Session Dur e 4 jours 6 jours 3 jours 12 jours 1jour Date 03 02 2014 au 07 02 2014 22 09 2014 au 26 09 2014 et 05 11 2014 au 07 11 2014 28 10 2014 au 30 10 2014 10 03 2014 au 14 03 2014 et 07 04 2014 au 11 04 2014 et 12 05 2014 au 16 05 2014 14 01 2014 ou 3 06 2104 Lieu Co t net Neuves 1035 Maisons Vand uvre 1555916 l s Nancy Paris 776 Neuves 3106 Maisons Paris Co t pris hors site en charge par l INRS D marches m thodes outils Code Stage Session Dur e Date Lieu Co t net Bl2330 Mieux conduire une visite 1 2 5jours 07 04 2014 au 09 04 2014 Paris 647 d entreprise JJ2301 Int grer les concepts et 2 8 jours 12 05 2014 au 16 05 2014 d terminer 2071
218. de maladies cons quences de la p nibilit Dans l chantillon tu di il existe une association entre la constatation par le m decin d affections rhumatologiques se sentir anxieux tendu ou d prim et avoir des pathologies li es au travail et g nantes en secteur nu cl aire risquant de grever le main tien dans l emploi selon l examen m dico professionnel et qui pour raient alors traduire une p nibili t r elle lorigine de pathologies Plus de la moiti des salari s est en surpoids facteur de risque connu des pathologies m taboliques 19 et cardiovasculaires 12 96 retrou v es dans la pr sente tude LIMC moyenretrouv est sup rieur l IMC de la population adulte g n rale fran aise 21 Ces r sultats taient attendus compte tenu de l avanc e en ge des salari s des conditions de vie et de travail L tude pr sente retrouve une association entre les troubles m taboliques le surpoids facteurs de risque cardiovascu laires ne pas rentrer chez soi tous les soirs estimer son temps de repos quotidien insuffisant et avoir des pathologies li es au tra vail et g nantes en nucl aire selon l avis du m decin du travail Une publication de la DARES concernant les pathologies li es au travail vues par les travailleurs met en vidence une association entre les patholo gies cardiovasculaires et la p nibi lit psychosociale en particulier 2
219. de radioprotection et de s ret nucl aire ou un organisme de dosim trie titulaire d un certificat d accr ditation et agr par l Autorit de s ret nu cl aire 1 1 Choix des m thodes de dosim trie repose sur l analyse des postes de travail r alis e par l employeur qui comprend notamment la caract risa tion des rayonnements ionisants susceptibles d tre mis L employeur d termine au mieux des techniques dis ponibles et dans les conditions techniquement et co 18 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 nomiquement acceptables le syst me de dosim trie adapt d s lors que les rayonnements auxquels sont expos s les travailleurs compte tenu des moyens de protection collective et individuelle mis en ceuvre pr sentent au moins l une des caract ristiques suivantes rayonnement X d nergie sup rieure 15 keV mis par un g n rateur fonctionnant sous une tension su p rieure 30 KV rayonnement gamma et X d nergie sup rieure 15 keV mis par un radionucl ide rayonnement b ta d nergie moyenne sup rieure 100 keV rayonnement neutronique depuis les neutrons ther miques nergie sup rieure 0 025 eV jusqu aux neu trons rapides nergie jusqu 100 MeV 1 2 Modalit s de port du dosim tre Le dosim tre passif est individuel et nominatif Liden tification du porteur doit exclure toute quivoque Il est port sous les quipem
220. de travail avec une optimisation des mat riels et des process et uti liser de facon plus pertinente les retours d exp rience am liorer les lieux de vie faciliter l acc s aux installations collectives du site et de maniere g n rale simplifier les proc dures adminis tratives L avis n 6 du Haut Comit pour la transparence et l information sur la s curit nucl aire inter venu en 2012 dans les suites de la catastrophe nucl aire survenue au Japon qui pr voit une surveillance accrue des contraintes organisa tionnelles des sous traitants du nucl aire accompagne les constats relev s dans cette tude 37 CONCLUSION Cette tude transversale r alis e en 2008 2009 permet une meilleure connaissance de la population des sous traitants du nucl aire suivis en le de France notamment en ce qui concerne leurs conditions de vie et de travail et leur tat de sant Elle donne un tat des lieux de la situation m dicoprofessionnelle de ces salari s et identifie plusieurs indicateurs potentiels de p nibilit et de sant Le m decin du travail s av re un observateur privil gi des condi tions de travail de leur volution et de leurs r percussions sur la sant des personnes Il est le seul pou voir faire le lien entre le travail et la sant L tude retrouve des probl mes de sant pouvant tre g nants pour le travail en secteur nucl aire compte tenu des contraintes inh rentes
221. de travail pour un syn drome d pressif pr sentent une vuln rabilit la reprise du travail La succession d arr ts dans ce cadre conduit souvent la mise en invalidit Le retour l emploi de ces personnes est donc un moment sen sible dont les ressorts sont peu connus Pourtant il s agit d un enjeu majeur en termes de sant de bon fonctionnement de l entreprise et de co t pour la soci t Cette p riode est source de risques psycho so ciaux sp cifiques L Institut national de sant et de la recherche m dicale INSERM U 669 initie une tude prospective pour connaitre plus pr cis ment ces risques afin de mieux accompagner ces salari s Objectifs de l tude Identifier les facteurs pr dictifs de reprise du travail chez les personnes en arr t maladie pour syndrome d pressif Proposer aux m decins traitants et aux m decins du travail des crit res objectifs pour accompagner ces patients lors de la reprise de travail Protocole L tude s effectue en deux temps Lors de la visite de reprise un autoquestionnaire de 15 minutes remplir par le salari dans la salle d at tente un h t roquestionnaire de cinq minutes rempli par le m decin du travail pendant la visite m dicale trois mois un h t roquestionnaire de 15 minutes mener par le m decin du travail soit par t l phone soit en face face Ces questionnaires valid s exploreront les symp t mes r siduels la tol rance
222. des noms et coordon n es de la PCR et du m decin du travail service de sant au travail e mise disposition des notices de fonctionnement des appareils de mesure de contamination et consignes d utilisation 6 3 Fiche individuelle d exposition tablie sous la responsabilit de l employeur avec l aide de la PCR et du m decin du travail en colla boration avec le travailleur il est recommand qu une copie lui soit d livr e Comportant la nature du travail et des rayonnements les caract ristiques des sources les p riodes d exposition et les autres risques m Support de la tracabilit des ex positions anormales ventuelles m Mention souhaitable de l valua tion de dose pr visionnelle indivi duelle ainsi que de la cat gorie du travailleur 6 4 Mise en ceuvre de la dosim trie Chaque employeur inscrit le tra vailleur SISERI avant toute de mande de dosim tre 6 4 1 Dosim trie passive e Mise en place chaque employeur y compris le chef d entreprise ext rieure ou detravail temporaire est respon sable de la dosim trie passive des salari s qu il emploie ce titre est tenu de leur fournir les dosim tres passifs Stagiaire la dosim trie passive est assur e par l employeur du ma tre de stage e Communication des r sultats le m decin du travail commu nique et commente les r sultats dosim triques individuels au tra vailleur la PCR a acc s aux r
223. des risques doit tre r guli rement actualis e pour int grer l volution de l activit les nouvelles donn es disponibles mesures et le retour d exp rience REX 2 D limitation et signalisation des zones contr l es et surveill es La d limitation des zones doit tra duire la gradation du risque Elle est d finie par l employeur sur proposition de la PCR sur la base de l valuation des risques radiolo giques Cette valuation s appuie notam ment sur les caract ristiques des sources et les niveaux d exposition potentiels les plus p nalisants m dans les conditions normales d utilisation m incluant les v nements mineurs susceptibles de se produire avec une forte probabilit m tenant compte de la pr sence des gipements de protection collec tive EPC En revanche les quipements de protection individuelle EPI et le temps de travail effectif ne sont pas pris en compte La zone r glement e peut tre res treinte une partie dulocalou un espace de travail paillasse boite gants sous r serve d une d limi tation continue visible et perma nente et garantissant la maitrise du risque de dispersion La d marche relative la d limi tation des zones r glement es est consign e dans un document interne et le r sultat de cette d marche est int gr au document unique d valuation des risques 3 tude de poste et classement des personnels 3 1 tu
224. des travailleurs sur leur propre activit pour chan ger le travail et son organisation ont tout particuli rement int ress l auditoire La capacit recr er par ce moyen les conditions de dialogue et de travail dans des situations particuli rement d l t res comme l ont fait K Kostulski Conservatoire national des arts et m tiers CNAM Centre de recherche sur le travail et le d veloppement CRTD avec des juges d instruction ou E Reille Baudrinet M Zittoun CNAM CRTD avec des inspecteurs du travail a t sp cialement appr ci e Interve nant aupr s de groupes de travail leurs plac s dans des situations souvent extr mes comme celles cit es ou encore celles de personnes atteintes de maladies chroniques A M Waser D Lhuillier J Mezza K Hermand CNAM CRTD les te nants de cette d marche innovent sans cesse et proposent des solu tions op rationnelles pour rendre possible cette expertise des travail leurs observations autoconfronta tions instructions au sosie LES AUTRES PARTIES PRENANTES Cependant plusieurs observateurs ext rieurs s interrogent sur la ma ni re d associer les autres parties prenantes Comment composer avec les diff rents groupes de travailleurs constituant une m me organisation demande A Jacquelin CRESPPA GTM travers l exemple d un mus e marqu par des conflits vio lents et plusieurs suicides l inter venante montre que s il faut tenir compt
225. distinguer formellement des ordonnances de soin crites et comment es devant le patient va lid es par les visites sur les lieux de travail Par ailleurs il est important de faire en sorte que tous les ac teurs dans l entreprise soient partie prenante dans la r alisation effec tive et constructive des conseils de pr vention pr conis s La pr vention n cessite des chan gements de pratiques qui ne sont incontournables que si leur fonde D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 133 SUIVI POUR VOUS ment estint gr Le salari doit tre instruit de la physiopathologie de sa dermatose et recevoirles conseils pertinents applicables dans son activit professionnelle C est ce qu a rappel M Vigan GERDA Besancon se fondant sur l valua tion du programme de l cole de la main tel que celui mis en place au CHU de Besancon en 2000 Il s agit d une prise en charge pluridiscipli naire dont l objectif principal est l acquisition des connaissances au moyen de s ances d informa tion individuelles et collectives Dans un premier temps est effec tu un recueil des pratiques et des connaissances sur la dermatite chronique des mains des patients Ensuite un programme adapt est mis en place pour chaque patient avec un suivi r gulier L valuation faite en 2007 a objectiv une bonne acquisition des connaissances pour 97 des patientsetun changement des pratiques chez 68 6 d entre e
226. dosim trique utilis e Hp H H DDD est le d bit de dose dans la grandeur dosim trique correspondant celle dela dose D exprim pour une activit A et une distance d de la source testla dur e d exposition Cette formule n est valable que pour les missions photoniques et des distances suffisantes plus de 5 fois la plus grande dimension de la source pour que la source puisse tre consid r e comme ponctuelle S agissant des missions b ta il n est pas possible d appliquer la loi de l inverse carr de la distance pour valuer l exposition associ e En pratique elle peut g gt n ralement tre rendue quasi nulle par l utilisation de protections adapt es En effet les parois des contenants des sources flacons pais et ou des protections compl mentaires crans en PMMA 9 peuvent permettre d arr ter compl tement les b tas Silexposition corps entier est g n ralement quasi nulle l valuation de l exposition des extr mit s bien que difficile valuer par le calcul ne doit pas tre n glig e Par exemple en cas de prise en main d un flacon l exposition de la peau par des rayonnements b ta d nergie lev e 1 MeV traversant la paroi peut tre significative Les fiches INRS IRSN etle guide Radionucl ides amp Radioprotection donnent des Ouverture du flacon de solution m re de 40 MBq L op rateur reste durant 2 minutes environ 20 cm du flacon
227. du mode d action e Pneumopathie d hyper sensibilit La recherche dans le s rum d anti corps pr cipitants ou pr cipitines sp cifiques d une ou plusieurs souches antig niques pr sentes dans lenvironnement profession nel du patient est un outil diagnos tic majeur lorsqu elle est associ e des manifestations cliniques voca trices de PHS puisqu elle confirme la sensibilisation allerg nique 50 Cependant la sensibilit et la sp cificit de cet examen sont tr s va riables en fonction des techniques immunologiques utilis es et du type de PHS l absence d objectiva tion de pr cipitines dans le s rum n exclut donc pas la responsabilit d une des souches antig niques tes t es dans la gen se de l affection Seul un test de provocation respi ratoire sp cifique peut permettre d affirmer la responsabilit d une N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 substance antig nique particu li re dans la gen se de la maladie Il consiste exposer le patient une solution a rosolis e du micro organisme incrimin Ce n est tou tefois pas un examen de pratique courante carla technique et l inter pr tation des r sultats ne sont pas standardis es VOLUTION Les rhino conjonctivites irritatives li es des accidents aigus d expo sition r gressent habituellement rapidement en quelques jours ou quelques semaines Le pronostic des syndromes d irritation bronchi
228. e R acteurs de production d nergie Retraitement e D mant lement des installations nucl aires Effluents d chets et mat riaux r cup rables y compris ne provenant pas du cycle Traitement des effluents Traitement et conditionnement des d chets Entreposage 22 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Stockage Logistique et maintenance du nucl aire prestataires Logistique Logistique dont le personnel est attach aux sites Logistique dont le personnel est itin rant Maintenance Maintenance dont le personnel est attach aux sites Maintenance dont le personnel est itin rant e Installations de recherche li es au nucl aire Autres Autres domaines Recherche autre que nucl aire et m dicale et enseignement 6 2 Nomenclature M TIERS M tiers Aide soignant brancardier Assistant dentaire Assistant m dical auxiliaire m dical di t ticien kin sith rapeute ou autre m tier du secteur m dical Auxiliaire sp cialis v t rinaire auxiliaire v t rinaire C bleur Calorifugeur Chauffeur conducteur seulement roulage Chauffeur conducteur effectuant de la ma nutention Chef de chantier chef de travaux Chercheur directeur attach charg ing nieur e Chimiste physicien biochimiste g ologue e Commercial e D contamineur Dentiste chirurgien dentiste Directeur che
229. e naires d j disponibles m mos sant dit s par IRIS ST et dispo nibles sur son site www iris st org la fiche m tier amiante sp cifique la profession de plombier chauffagiste do cument INRS ED 4270 disponible avec de nombreuses informations d di es aux profes sionnels du second ceuvre du b timent Par ailleurs IRIS ST valorisera galement aupr s des entreprises artisanales son appli cation Smartphone Les m mos premi re application d di e la pr vention qui per met de disposer sur les chantiers de tous les m mos pr vention disponible sur l AppStore et Google Play Le site www amiante inrs fr regroupe toutes les informations pour sensibiliser les ac teurs en rappelant d une part la sinistralit chez les professionnels du second ceuvre et d autre part les r gles de bonnes pratiques d intervention en coh rence avec les r centes volutions r glementaires dans le domaine de l amiante e ANTS ad R SULTATS DE L TUDE BADGES AMIANTE 2013 15 dans les entreprises artisanales 46900 P araso de plomberie chaultage LES RESULTATS ETS r de 63 p T 41 6 Li nur ya D nn 67 dam id be tes bras ipta iar EZ Pos House ur S D sl PR Luis mie rim ine
230. e le geste professionnel afin de recr er les conditions habituelles d exposition la substance suspec t e sur le lieu de travail aspersion d un produit d sinfectant en spray contenant un ammonium quater naire sur une surface astiqu e en suite au chiffon par exemple ou faire inhaler des doses d termin es de celle ci de mani re standardis e et contr l e La positivit du test est appr ci e par la chute du VEMS et l apparition ventuelle de sibi lants l auscultation La r ponse peut tre imm diate retard e de 4 6 heures ou double imm diate et retard e ce qui explique la n cessit d une surveillance en milieu hospi talier Un test de provocation avec un placebo lactose par exemple est en g n ral r alis au pr alable afin de conforter la pertinence d un r sultat positif au test r aliste Si les produits de nettoyage et leurs constituants peuvent en g n ral ais ment tre test s il n en est pas de m me de la trichloramine dont la synth se est difficile reproduire artificiellement tout en ma trisant les concentrations administr es Seul Thickett rapporte l exp rimentation d une technique de production d a rosols de trichlo ramine une concentration fixe de 0 5 mg m pour la r alisation de test de provocation r aliste 12 Comme pour le test de provocation nasale un r sultat positif permet de confir mer la responsabilit d une subs tance mais pas de pr juger
231. e psychopathologie du travail 4 dition augment e Paris Bayard ditions 2008 298 p 25 Mancnt J FABRE R PELLEGRINI I CHABANON C ET AL Qualit de vie d clar e par les survivants de cancer influence de la d sirabilit sociale Marseille 2009 Rev pid miol Sant Publique 2010 58 S2 53 26 Priorit s en radioprotection Propositions pour une meilleure protection des personnes contre les dangers des rayonnements ionisants Rapport de la commission VROUSOS ASN 2004 www asn fr index php S informer Actualites 2004 Rapport VROUSOS sur les priorites en radioprotection 27 T Rouxa C Emploi et sant des s niors durablement expos s des p nibilit s physiques au cours de leur carri re l apport de l enqu te Sant et itin raire professionnel DARES Anal 20117 20157 28 Areva et l OPPBTP s associent dans le domaine de la sant et la s curit au travail Dossier de presse Courbevoie AREVA 2010 11 p 29 La charte des valeurs AREVA 2012 www areva com FR groupe 1261 la charte des valeurs des droits et devoirs pour tous au quotidien html 30 ALEMANNIJB DESPIEGEL D Les entreprises prestataires d EDF dans la maintenance des centrales nucl aires Rev G n Nucl 2001 2 36 39 31 Gonin M La surveillance des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants dans les centrales nucl aires Rev G n Nucl 2001 2 58 59 32
232. e 1 de l arr t du 6 mars 2007 susvis sont soumis aux obli gations d immunisation mentionn es l article L 3111 4 du Code de la sant publique Au moment de leur ins cription dans un tablissement d enseignement et au plus tard avant de commencer leurs stages dans un tablissement ou organisme public ou priv de pr vention ou de soins ils apportent la preuve qu ils satis font aux obligations d immunisation mentionn es l article L 3111 4 d faut ils ne peuvent effectuer leurs stages ARTICLE 3 La preuve de l immunisation contre la dipht rie le t tanos la poliomy lite et la fi vre typhoide est appor t e par la pr sentation d une attestation m dicale de vaccination pr cisant la d nomination des sp cialit s vaccinales utilis es les num ros de lots ainsi que les doses et les dates des injections La preuve de l immunisation contre l h patite B est ap port e par la pr sentation d une attestation m dicale tablie dans les conditions d finies en annexes I et II du pr sent arr t ARTICLE 4 La vaccination des personnes mentionn es aux articles 1 et 2 peut tre effectu e au choix de l int ress notam ment par le m decin du travail ou de pr vention le m decin traitant ou une sage femme 24 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Cette vaccination est r alis e conform ment au calen drier des vaccinations mentionn l article L 3111 1 du
233. e ED 6147 Pratiques addic tives en milieu de travail principes de pr caution d taille l laboration 7 De m me l examen m di cal d embauche dont b n ficie lapprenti article R 6222 40 1 du Code du travail est l occasion de le sensibiliser aux risques li s aux pratiques addictives O M NARD Droit en pratique Apprentis et stagiaires les obligations de s curit Trav S cur 2006 664 30 31 O Consommateur d alcool et de drogues Vigilance alerte en cas de danger et prise en charge INRS 2012 www inrs fr accueil situations travail travailleurs particuliers alcool drogues html O Dossier Pratiques addictives et travail Un cocktail particuli rement dangereux Travail et S curit 2012 www travail et securite fr R f rences en Sant au Travail www rst sante travail fr rst header sujets az parindex html recherchelndexAZ addicti on X ADDICTION BIBLIOGRAPHIE 1 LEGLEYE S SPILKA S Le N zeT HASSLER C ET AL Alcool tabac et cannabis 16 ans OFDT 2009 www ofdt fr BDD publications docs eftxslp1 pdf 2 LE Gar O Les jeunes et la consommation de substances psychoactives enqu te aupr s de 1153 jeunes scolaris s dans un centre de formation des apprentis Th se pour le doctorat en m decine Caen universit de Caen Basse Normandie facult de m decine 2011 3 INSERM Alcool Dommages sociaux Abus et d pendances Expertise collective INSERM 2003 http
234. e FT 43 Ozone Pour obtenir en pr t les audiovisuels et multim dias et pour commander les brochures et les affiches de l INRS adressez vous au service Pr vention de votre CARSAT CRAM ou CGSS 30 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 IRSH Thea R f INRS ED 4312 12 p Radioprotection radionucl ides Cinq nouvelles fiches Thallium 201 Chrome 51 Gallium 67 Indium 11 Phosphore 33 Ces fiches font partie d une s rie qui se rapporte l utilisation de radionucl ides essentiellement en sources non scell es Lobjectif n est pas de se substituer la r glementation en vigueur mais d en faciliter la mise en uvre en r unissant sur un support unique pour chaque radionucl ide les informations les plus pertinentes ainsi que les bonnes pratiques de pr vention mettre en ceuvre R f INRS ED 4314 12 Ces fiches sont r alis es l inten tion des personnes en charge de la radioprotection utilisateurs per sonnes comp tentes en radiopro tection m decins du travail Sous ces aspects chacune d entre elles traite 1 des propri t s radiophysiques et biologiques 2 des utilisations principales 3 des param tres dosim triques 4 du mesurage 5 des moyens de protection 6 de la d limitation et du contr le des locaux 7 du classement de la formation et de la surveillance du personnel 8 des e
235. e SISERI ARTICLE 12 Les organismes de dosim trie associent chaque don n e dosim trique individuelle les informations sui vantes a Le nom le pr nom et le num ro d enregistrement du travailleur au registre national d identification des per sonnes physiques b Le nom de son employeur et de l tablissement au sein duquelil est rattach c Les informations relatives l exposition les r sultats et le cas ch ant le ou les organes ou tissus expos s les caract ristiques du dosim tre la p riode d int gration dela dose ARTICLE 13 I Lemployeur prend toutes les dispositions pour que les dosim tres soient transmis d s la fin de la p riode de port aux organismes de dosim trie et au plus tard dix jours apr s l ch ance de cette p riode En cas d im possibilit technique l employeur en informe les orga nismes de dosim trie et transmet sans d lai les dosi m tres d s leur r ception II En cas de surveillance de l exposition interne par analyses radiotoxicologiques l employeur prend toutes les dispositions pour que les chantillons biologiques pr lev s ou recueillis soient transmis sans d lai ces organismes de dosim trie dans des conditions assurant leur pr servation En cas d exposition professionnelle la radioacti vit naturelle l employeur prend les dispositions fix es au I ou en cas d exposition aux rayonnements ionisants bords d a ronefs en vol et en cas d
236. e acc s aux r ponses aux questions les plus fr quemment pos es des ressources docu mentaires la base TOXIMED actualis e avec une signal tique indiquant si le produit est canc rog ne mutag ne ou reprotoxique CMR et pr cisant les valeurs limite d exposition Il contient des fiches et des supports p dago giques t l chargeables accessibles aux enseignants et aux apprentis KIT DE PR VENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS LI S AUX M TIERS DU BOIS Ce kit mis en place par une quipe multidisciplinaire de profession nels de l enseignement et de la san t au travail est destin tre uti lis pendant les cours th oriques dispens s aux apprentis des m tiers du bois Il est compos d une cl USB contenant les informations servant de support p dagogique et de deux films tourn s par la Caisse d assurance retraite et de la sant au travail Nord Picardie pr sen tant les risques li s aux m tiers du bois de maniere plus interactive Le caract re primordial du travail en quipe professionnels de la sant au travail et de l enseignement a t soulign afin de commencer la pr vention le plus t t possible SE MOBILISER POUR LA PR VENTION D s le d but de l ann e dans le cadre de la pr paration de ce s mi naire pr congr s l ISTNF a solli cit les apprentis sur le th me des risques cutan s dans le BTP Cette mobilisation a pris la forme d un concours d affiches de pr v
237. e de l imbrication de tous dans les causes de mal tre il n est pas possible de les faire travailler tous ensemble Par ailleurs quelle place donner au gestionnaire dans une telle mise en discussion de l or ganisation demandent F Garcia C Dalmasso et J C Sardas Centre de gestion scientifique cole des Mines de Paris en France et J P Brun C Biron Universit Laval et M Saint Hilaire Universit de Sherbrooke au Qu bec Le risque pourrait tre de voir le manager totalement d poss d de son r le penser l organisation Comment au del des fronti res de l organisa tion composer avec les acteurs par ticipant de la d finition des condi tions de travail Aucune approche existante ne propose de d marche holiste capable de penser le tra vail et la souffrance au travail diff rentes chelles Au contraire chaque discipline a tendance se centrer sur une chelle particu li re l atelier voire le poste pour l ergonomie l individu etle groupe pour la psychologie du travail l or ganisation etle syst me complexe dans lequel elle est ench ss e D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 141 SUIVI POUR VOUS pour la sociologie et la sociologie des organisations en particulier Aussi les quelques actions rela t es qui se sont donn es pour am bition d agir sur l organisation et son environnement pour transfor mer le travail sont fonci rement pluridiscipl
238. e l ouvrage Pour un article ou un ouvrage non encore publi mais d j accept par l diteur joindre la mention paraitre Si volume avec suppl ment 59 suppl 3 Si num ro avec suppl ment 59 5 suppl 3 Si volume et partie 59 Pt Exemple article de revue Souques M Magne Lambrozo J Implantable cardioverter defibrillator and 50 Hz electric and magnetic fields exposure in the workplace Int Arch Occup Environ Health 2011 84 1 1 6 Forme g n rale pour un ouvrage Nom s pr nom s initiales Titre de l ouvrage Num ro d dition Collection Ville d dition diteur ann e nombre total de pages Si donn es disponibles Exemple ouvrage Gresy JE Perez Nuckel R Emont P G rer les risques psychosociaux Performance et bien tre au travail Entreprise Issy les Moulineaux ESF Editeur 2012 223 p Exemple chapitre dans un ouvrage Coqueluche In Launay O Piroth L Yazdanpanah Y Eds E Pilly 2012 Maladies infectieuses et tropicales ECN Pilly 2012 Maladies infectieuses et tropicales 23 dition Paris Vivactis Plus 2011 288 90 607 p On entend ici par Ed s le ou les auteurs principaux d un ouvrage qui coordonnent les contributions d un en semble d auteurs ne pas confondre avec la maison d dition Exemple extrait de congr s Bayeux Dunglas MC Abiteboul D Le B cle C Guide EFICATT exposition fortuite un agent infectieux et conduite
239. e la s ropositivit la disper sion a rienne de Coxiella tant par cons quent plus limit e l abri du vent le port de gants lors des mises bas est associ la s ropositivit vis vis de la fi vre Q Ce r sultat confirme quil s agit d un moyen de protection inadapt contre la transmission de C burnetii qui est essentiellement respiratoire Alors qu une tude lors de l pid mie aux Pays Bas a mis en vidence que le risque d infection tait plus important pour la population g n rale environnante dans un rayon de 5 km du point source d infection 20 il n a pas t observ dans l tude actuelle d association entre le statut s rologique des leveurs des levages caprins et le statut s rologique des leveurs d exploi tations situ es dans un rayon de 2 km L analyse spatiale reste n an moins toujours d licate car le point de source n est pas unique 74 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 CONCLUSION Cette tude sur la fi vre O en mi lieu expos rapporte une s ropr valence consid r e comme lev e chez des professionnels d levage de petits ruminants dans une r gion end mique Le risque de s ropositivit n est pas associ la typologie d levage risque pour l homme d finie selon des crit res biologiques v t rinaires c est dire avec un niveau de circulation de Coxiella lev dans le troupeau N anmoins il convient
240. e reproduction Mises bas dans le b timent Incin ration des produits de mises bas Curage du b timent Manipulation du fumier Aide la mise bas Port de gants lors des mises bas Soins v t rinaires Autres soins Traite Homme Femme Oui Non Moyenne Ecart type tendue Oui Non Oui Non Moyenne Ecart type tendue Naturelle Ins mination Oui Non Oui Non Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois Oui Non Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois Jamais 12 derniers mois 12 derniers mois et dernier mois S ron gatifs ESEGEEEREECN 36 52 2 40 70 2 58 57 4 18 72 0 2 5 13 de1 5 2 28 6 58 63 0 2 25 0 25 62 5 67 3 180 9 de1 1550 68 63 0 4 40 0 73 63 5 3 27 3 4 80 0 72 59 5 29 65 9 33 67 3 14 42 4 29 70 7 25 58 1 22 52 4 15 68 2 43 64 2 18 48 6 22 46 8 39 68 4 19 76 0 27 67 5 30 49 2 34 72 3 19 59 4 23 48 9 35 68 6 2 28 6 39 57 4 S ropositifs 33 47 8 17 29 8 43 42 6 7 28 0 18 12 de1 5 5 71 4 34 37 0 6 75 0 15 37 5 125 0 319 7 de1 1550 40 37 0 8 60 0 42 36 5 8 72 7 1 20 0 49 40 5 15 34 1 16 32 7 19 5
241. e statut de cette personne titulaire ou contractuel public ou priv m Examen p riodique gt un examen de nature m dicale est obligatoire au moins tous les 2 ans sauf pour les travailleurs clas s s en cat gorie A qui b n ficient d un suivi annuel de leur tat de sant gt il est de la responsabilit de lemployeur de s assurer que les personnes expos es b n ficient de l examen pr vu en sant au travail 2 Orientation de la surveillance m dicale La surveillance m dicale s appuie sur les informations contenues dans la fiche individuelle d expo sition Elle comprend un examen clinique et des examens compl mentaires dont la nature et la fr quence sont d termin es par le m decin du travail Elle int gre la surveillance des autres risques identifi s 9 Examen clinique recherche de pathologies pou vant favoriser la p n tration de radionucl ides et limiter l effica cit d une ventuelle d contami nation gt d pistage et suivi des diverses pathologies susceptibles d tre d clench es ou aggrav es par un ventuel accident irradiation ou contamination ou susceptibles de modifier le risque d exposition aux rayonnements ionisants m Examens compl mentaires gt une NFS num ration formule sanguine l embauche est recom mand e comme examen de r f rence puis sa fr quence sera adap t e la surveillance individuelle en fonction de l tude de pos
242. e sud est dela France Epid miol Sant Anim 2009 55 117 36 SUITE DE LA BIBLIOGRAPHIE gt gt gt D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 75 11 CHAILLON A BiND JL DELAVAL J HAGUENOER AL Aspects pid miologiques dela fi vre O humaine en Indre et Loire entre 2003 et 2005 et confrontation la fi vre O caprine M d Mal Infect 2008 38 4 215 24 12 M Lermi Raourr D Fi vre actualit s diagnostiques et th rapeutiques M d Mal Infect 2009 39 2 82 94 13 Raourr D Toca B CHAUDET CHICHE C Rickettsial antibody in southern France antibodies to Rickettsia conorii and Coxiella burnetii among urban suburban and semi rural blood donors Trans R Soc Trop Med Hyg 1987 81 1 80 81 14 Tissor Duponr H Raourr D BRouour P JANBON F ET AL Epidemiologic features and clinical presentation of acute O fever in hospitalized patients 323 French cases Am J Med 1992 93 4 427 34 15 CHAVANET P PECHINOT A NussBAUM C PORTIER H Enqu te s rologique et pid miologique sur la fi vre M d Mal Infect 1983 13 4 207 11 16 DINDINNAUD G VAILLANT V Cisse MF Aaius G ET AL Enqu te s ro pid miologique de la fi vre O en Charente M d Mal Infect 1990 20 11 546 50 17 Bru JP SraHL JP J FAVIER A ET AL Enqu te pid miologique de la fi v
243. e suites html D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 187 Travailler sur des v hicules lectriques dans un garage Une habilitation et une aptitude m dicale sp cifiques sont elles exigibles pour un m canicien S Boulet La r ponse de Genevi ve Abadia Benoist d parte ment tudes et assistance m dicales INRS et Sandrine Hardy d partement Expertise et conseil technique INRS Est il n cessaire de d finir sp cifiquement pour le risque lectrique une aptitude d un garagiste tra vaillant sur des v hicules lectriques suite une requ te de son employeur Risque lectrique et habilitation Le risque lectrique est pr sent dans un garage au tomobile du fait de la pr sence d nergie lectrique dans les batteries des v hicules en plus de l installa tion lectrique des b timents qui n est pas l objet de cette r ponse Les batteries diff rent selon le type de v hicule e Dans un v hicule thermique classique la batte rie est une batterie dite de d marrage le plus sou vent de tension 12 V cc courant continu e Dans un v hicule lectrique ou hybride la batte rie est une batterie de traction dont la tension est de l ordre de 360 V cc Un m canicien automobile en g n ral n intervient pas directement sur la batterie mais il est amen r aliser des op rations proximit de ces batteries et par cons quent se trouver au voisinage d in
244. e suivants gt travailleurs indemnes de lom balgies gt travailleurs souffrant de lom balgie et encore au travail gt travailleurs souffrant de lom balgie et en arr t de travail gt PROFESSIONNELS CONCERN S PAR LES RECOMMANDATIONS Intervenants en sant au travail Intervenants des soins de sant Intervenants dans le champ m dico social D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 93 PRATIQUES ET M TIERS 3 3 D finitions et limites du th me Exposition professionnelle Le pr sent document s applique l activit de manipulation de charges dans un cadre profession nel avec ou sans utilisation d aide la manutention On entend par manipulation la manutention manuelle d finie comme gt toute op ration de transport ou de soutien d une charge dont le le vage la pose la pouss e la traction le port ou le d placement qui exige l effort physique d un ou plusieurs travailleurs par la l gislation francaise Art R 4541 2 du Code du travail gt toute op ration de transport ou de soutien d une charge par un ou plusieurs travailleurs dont le le vage la pose la pouss e la traction le port ou le d placement d une charge qui du fait de ses carac t ristiques ou de conditions ergo nomiques d favorables comporte des risques notamment dorsolom baires pour les travailleurs parla l gislation europ enne Art 2 de la S
245. e travail en secteur nu cl aire moins p nible est associ ne pas travailler dans l urgence association en miroir de celle re trouv e pour trouver le travail pius p nible en secteur nucl aire La variable travailler dans l ur gence v cu du salari sur son travail pourrait tre un indicateur de situations de p nibilit en parti culier en secteur nucl aire pour les valuations futures D clarer son temps de repos quotidien suffisant est associ trouver le travail moins p nible en secteur nucl aire Cela peut cor respondre ce qui est d crit dans la litt rature en ce qui concerne la pression temporelle dans le tra vail de maintenance en centrale N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 nucl aire 1 3 et qui est coh rent avec les autres r sultats comme l association p nibilit ressentie et travail dans l urgence Le risque li l organisation du tra vail apparait associ une percep tion de p nibilit accrue en secteur nucl aire Travailler plus de 5 jours de suite ne pas dormir au domicile dormir en caravane sont asso ci s la perception d une p nibi lit moindre en secteur nucl aire Cette association surprenante pourrait s expliquer par un senti ment fort d appartenance de ces salari s leur m tier consid rant les conditions de travail et de vie particuli res dans ce s
246. e volon taire dynamiques ou statiques de certaines r gions du corps ou de l ensemble du corps avec ou sans mise en charge externe La logique de ce type de traitement est g n ralement fond e sur l hypoth se qu une capacit cardiorespiratoire r duite et une musculature du tronc affaiblie tant au niveau ab dominal que dorsal peuvent jouer un r le dans le d clenchement et le maintien de la douleur dorso lombaire 24 Les programmes structur s d exer cices physiques en pr vention primaire en milieu de travail re l vent de la promotion de la sant au travail autant sinon plus que de la pr vention des risques pro fessionnels De nombreuses tudes ont valu l int r t des exercices physiques pour la pr vention des lombalgies mais relativement peu concernent le milieu de travail proprement dit il existe des preuves pid miolo giques de l efficacit des exercices physiques pour pr venir les lom balgies et leurs r cidives et pour r duire les arr ts de travail sans quil soit possible de pr ciser le type d exercices recommander il est n cessaire de distinguer les sujets lombalgiques pour les quels les exercices semblent plus efficaces et les sujets non lombal giques pour lesquels les r sultats des exercices en pr vention pri maire sont plus nuanc s il n est pas possible de pr ciser les modalit s de mise en uvre de ces programmes dans les en treprises Se
247. ecins du travail pour que les examens p riodiques soient assur s par le m decin du travail de l entreprise utilisatrice 4 Femme enceinte ou allaitante m Femme enceinte De nombreuses substances uti lis es en recherche peuvent tre toxiques pour la reproduction gt Aussi il est n cessaire que le personnel f minin informe le plus t t possible de sa grossesse le m decin du travail pour permettre la mise en place des mesures m di cales pr ventives n cessaires gt L am nagement du poste de tra vail ou le changement d affecta tion est laiss l enti re appr cia tion du m decin du travail apres concertation avec l int ress e mais aucune femme enceinte ne peut tre maintenue un poste impli quant un classement en cat gorie A et l exposition de l enfant na tre doit dans tous les cas rester inf rieure 1 mSv entre la d claration dela grossesse et l accouchement m Femme allaitante Tout risque d exposition interne doit tre proscrit pendant l allaite rent possibilit d excr tion dans le lait maternel 5 Dossier m dical et suivi post professionnel m Le dossier m dical comporte no tamment le double des fiches d exposition tablies par l employeur compre nant les caract ristiques des nui sances radiologiques et des autres risques potentiels les dates et les r sultats des exa mens anthroporadiom triques et radiotoxicologiques effectu s le re
248. econde ver sion de ce questionnaire COPSOO toujours disponible en trois lon gueurs Pejtersen et al 2010 a En langue francaise seule la ver sion courte abr g e a t valid e partir du COPSOO II Dupret et al 2012 a et b Le d veloppement et la validation de la version francaise ont t r alis s en plusieurs tapes donnant lieu trois versions V1 V2 V3 qui se sont enrichies successive ment Dupret et al 2012 Structuration de l outil COPSOQI e Version longue 141 questions 30 chelles regroup es en six domaines contraintes au travail organisation et contenu du travail relations interpersonnelles et lea dership interface travail individu satisfaction au travail et ins curit au travail sant et bien tre fac teurs de personnalit e Version moyenne 95 questions 26 chelles e Version abr g e 44 questions 8 chelles COPSOQ II e Version longue 127 questions D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 181 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX 41 chelles regroup es en six do maines contraintes au travail organisation et contenu du travail relations interpersonnelles et lea dership interface travail individu satisfaction au travail ins curit au travail conflit famille travail valeurs au travail sant et bien tre e Version moyenne 87 questions 28 chelles
249. ecteur comme des l ments de cette iden tit professionnelle inversant ainsi le signifiant p nibilit dans le but de rester en coh rence avec une repr sentation positive de ce travail sous tendant leur identit m me attachement au milieu 3 5 6 En effet travailler plus de 5 jours de suite est li au travail de maintenance de centrale nu cl aire caract ris par l arr t de tranche et une anciennet plus importante des salari s ce qui peut expliquer en partie l attachement de ces salari s exp riment s dans le domaine de la maintenance de centrales nucl aires la construc tion desquelles ils ont pour cer tains particip Ces facteurs exprim s par les sous traitants d crits dans la litt ra ture en ce qui concerne le travail en arr t de tranche en particulier et retrouv s dans l tude pr sente ne pas travailler dans l urgence se sentir en s curit en zone contr l e avoir un temps de re pos quotidien suffisant rentrer chez soi tous les soirs constituent des pistes de r flexion en mati re de pr vention pour agir sur la p nibilit ressentie avec une at tention particuli re porter sur les cons quences possibles du travail dans l urgence 1 3 9 11 Souhaiter changer de travail est significativement li travailler dans le contr le non destructif avoir des travaux terminer dans l urgence
250. ection I de la Directive euro p enne 90 269 CEE On y entend par charge tout objet ou tre vivant assorti d une masse unitaire La notion de charge lourde n est pas d finie dans la r glementation Il n y a pas de valeur consensuelle dans la lit t rature du seuil de charge lourde qui d pend notamment des condi tions de la manutention position de la charge fr quence de manu tention La norme AFNOR NF X 35 109 4 propose des valeurs de 5 kg de charge par op ration pour le risque dit minimum de 15 kg de charge par op ration pour le risque dit acceptable et de 25 kg sous conditions pour le soule ver porter de charges lourdes Les manutentions r p titives de charges inf rieures 3 kg ne sont pas prises en compte dans ce document car elles renvoient principalement la probl matique des gestes r p ti tifs sous contraintes de temps qui rel veraient d autres recommanda tions sur les troubles musculosque lettiques des membres sup rieurs N anmoins ces manutentions r p titives de charges inf rieures 3 kg doivent tre prises en compte dans l analyse globale de la situa tion de travail Atteintes la sant Seules les lombalgies com munes sont consid r es dans ce document excluant les cas de lombalgies symptomatiques secondaires une maladie inflammatoire infectieuse ou tumorale La lombalgie est une sympto matologie douloureuse inh
251. ectives L 1152 1 protection contre le harc lement moral 1 1153 1 protection contre le harc lement sexuel 6 D cret n 2013 915 du 11 octobre 2013 relatif aux tra vaux interdits et r glement s pour les jeunes g s de moins de dix huit ans Minist re charg du Travail Journal officiel du 13 octobre 2013 pp 16901 16903 L article 4153 8 du Code du travail interdit d employer les jeunes travailleurs de moins de 18 ans certaines cat gories de travaux les exposant des risques pour leur sant leur s curit leur moralit ou exc dant leurs forces Ce d cret vient r viser enti rement la liste de ces travaux interdits ou r glement s pour les jeunes travail leurs et les jeunes en formation professionnelle g s d au moins 15 ans et de moins de 18 ans articles D 4153 2 D 4153 4 et D 4153 15 D 4153 37 du Code du travail Ainsi sont notamment interdits ces jeunes les travaux les exposant des vibrations m caniques dont la valeur d exposition journali re sur 8 heures est sup rieure aux valeurs d clenchant l action de pr vention d finies l article R 4443 2 du Code du travail 25 m s pour les vibrations transmises aux mains et aux bras et o 5 m s pour les vibrations transmises l en semble du corps les travaux les exposant des agents biologiques de groupe 3 0u 4 les travaux les exposant aux rayonnements ioni sants requ rant un classement en cat g
252. elatif aux emballages des d chets d activit s de soins risque infectieux et assimil s et des pi ces anatomiques d ori gine humaine Dispositif m dical de s curit dispositif m dical dot de m canismes de protection int gr s dont l objectif est d viter une blessure accidentelle avec un objet perfo rant Pr cautions standard AES pr cautions g n rales d hy gi ne respecter d s lors qu il existe un risque d AES Recapuchonnage action consistant repositionner manuellement un embout ou un capuchon sur un objet perforant apr s usage ARTICLE 2 Les dispositions du pr sent arr t sont applicables aux activit s de pr vention et de soins et aux activit s de soins de conservation au cours desquelles des travail leurs vis s l article 4111 1 du Code du travail sont sus ceptibles d utiliser ou d tre en contact avec des objets perforants que l activit ait lieu au sein ou en dehors de l tablissement s agit des 1 tablissements de sant publics et priv s tels que d finis aux articles 611131 et L 6111 2 du Code de la sant publique 2 tablissements sociaux et m dico sociaux tels que d finis aux articles 312 1 et L 344 1 du Code de l action sociale et de la famille 3 Transports sanitaires tels que d finis l article L 6312 1 du Code de la sant publique 4 tablissements qui r alisent des soins de conser vation D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SA
253. ements afin qu ils adoptent des techniques de manutention jug es s cu ritaires Certains programmes cherchent galement enrichir les comp tences des personnes dans le domaine de l ergonomie et de la pr vention des risques profession nels Les tudes d interventions dispo nibles dans la litt rature concluent l inefficacit des programmes de formation bas s uniquement sur l apprentissage des techniques de manutention formations de type gestes et postures pour pr ve nir les risques rachidiens li s la MMC Les programmes de formation comportant uniquement une information traditionnelle de type biom dical et biom ca nique en particulier des ins tructions sur les bons gestes de manutention ne sont pas recommand s dans la pr ven tion de la lombalgie grade B Lorsque des formations vis e pr ventive sont envisag es il est recommand d en largir le contenu dans une perspective ergonomique et de les int grer dans des programmes multidi mensionnels de pr vention des risques de lombalgie Ces formations ne peuvent se substituer une pr vention des risques la source gt Programmes d exercices phy siques pour les travailleurs expos s aux MMC Les programmes d exercices phy siques peuvent tre d finis comme des programmes pr ventifs ou th rapeutiques dans lesquels le travailleur ou le patient se voit demander de r aliser des mouve ments r p t s de natur
254. employeur sur tout AES et celle du m decin du travail sur les causes et circonstances de l AES Ilassocie le CHSCT l analyse de ces AES VACCINATIONS 6 TO Arr t du 2 ao t 2013 fixant les conditions d im munisation des personnes mentionn es l article L 3111 4 du Code de la Sant publique Minist re charg de la Sant Journal officiel pp 13795 13796 Cet arr t abroge le pr c dent arr t du 6 mars 2007 Ilcompl te et modifie les dispositions ant rieures concer 212 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 nant les conditions d immunisation contre l h patite B la dipht rie le t tanos la poliomy lite et la fi vre ty phoide impos es par l article L 3111 4 du Code de la Sant publique L obligation d immunisation concerne toute personne expos e un risque de contamination du fait de son activit dans les tablissements ou organismes publics ou priv s de pr vention ou de soins num r s dans l arr t du 15 mars 1991 modifi ainsi que les l ves ou tudiants des professions m dicales et pharmaceu tiques et des autres professions de sant relevant de la liste fix e par arr t du 6 mars 2007 La preuve de l immunisation conditionne l entr e en fonction des personnes concern es et l inscription et le stage des l ves et tudiants cet effet une attestation m dicale doit tre pr sent e Les annexes I et II de l arr t pr cisent les conditio
255. en d une dosim trie pas sive dans les conditions pr vues l annexe I du pr sent arr t prenant en compte les caract ristiques parti culi res des champs de rayonnements auxquels sont expos s ces travailleurs 4 2 2 P riodicit dosim trique La p riode pour laquelle le calcul de dose individuelle est r alis ne doit pas tre sup rieure un mois 4 2 3 Expression des r sultats Les calculs et la restitution des r sultats sont indivi duels et nominatifs Les r sultats sont exprim s conform ment aux dispo sitions prises en application de l article R 4451 16 du Code du travail en mSv dans la grandeur op ration nelle appropri e Hp 10 La plus petite dose mesur e ne peut tre sup rieure mSv et le pas de mesure ne peut tre sup rieur 0 05 mSv Toute valeur inf rieure 0 10 mSv est consid r e comme nulle ANNEXE V 5 Modalit s techniques des changes avec SISERI L employeur ou l organisme de dosim trie tablit un protocole d change d information avec SISERI Autitre de ce protocole elorganisme de dosim trie d signe la oules personnes qui seront autoris es se connecter SISERI pour l en voi des r sultats dosim triques e l employeur d signe les personnes qui seront autori s es se connecter SISERI e le ou les personnes d sign es comme correspon dantes SISERI de l employeur pour l envoi et la consul tation des informations requises l article 7
256. en sous groupes populationnels Le questionnaire inspir de STED 1 refl te aussi l exp rience clinique des m decins du travail marqu e par la diversit de l exp rience professionnelle dans le domaine nucl aire des populations suivies Il a pour but de r v ler les r alit s du travail et leurs cons quences sur la sant des salari s sous trai tants Cependant la formulation de certaines questions a pu induire des r ponses Par exemple celles relatives au travail en secteur nucl aire d crivent plus pr cis ment le travail de maintenance en centrale nucl aire La question au cours des 12 derniers mois avez vous eu des travaux terminer dans l urgence met en exergue la notion d urgence Ces l ments peuvent cr er un biais de mesure surestimation La question vous sentez vous anxieux tendu ou d prim explore une dimension habituellement tudi e l aide d un questionnaire standardis en sant mentale l utilisation d une question unique peut aussi entrai ner un biais de mesure Le but tait de limiter la longueur du question naire faisabilit et de se rappro cher des formulations utilis es par les salari s et les m decins Le cadre du colloque singulier lors de la consultation permet une cer taine libert d expression du sala ri qui pourrait tre censur e au sein du collectif de travail en par ticulier dans l abord de son v cu Cela a aussi permis de juxtap
257. ent et stockage du combustible et de ses d chets les sous marins tions nucl aires de base INB en France lors de leur visite m dicale annuelle Une partie est compl t e par le salari une autre portant sur les donn es de l examen cli nique et du dossier m dicoprofes sionnel par le m decin LABORATION DU QUESTIONNAIRE Ce questionnaire pr sent en annexe I a t inspir par celui de l tude STED 1 Lexp rience des m decins du travail travers leurs consultations et les visites de chan tiers a t utilis e pour l labora tion des questions Il comporte 44 questions explo rant les sp cificit s du travail de sous traitance dans le nucl aire les conditions de vie qui en d coulent la perception de la p nibilit et de la sant par les salari s la sant constat e par le m decin en inte raction avec le travail Ce questionnaire porte sur les 12 derniers mois travaill s et sur la derni re mission en ce qui concerne les conditions de vie Les donn es m dicales ou relatives l habitus de vie sont issues de l exa men du salari le jour de l enqu te et de son dossier m dical POPULATION TUDI E Du 1 octobre 2008 au 30 septembre 2009 les m decins du travail habi lit s ont propos le questionnaire aux salari s d entreprises sous trai tantes ayant travaill en INB au cours des douze derniers mois Pour des raisons de faisabilit seuls les salari s francophone
258. ention Fais gaffe ta peau Une phase d information sur les risques cuta n s et les moyens de pr vention a pr c d la phase de conception Au total treize affiches ont t cr es expos es dans l espace posters pendant toute la dur e du congr s par les diff rents groupes d ap prentis participants Cette action ludique et participative a permis aux jeunes apprentis un investis sement effectif dans un projet de pr vention cibl Au final ce s minaire a permis de sensibiliser tous les partenaires sociaux sur le r le primordial de la pr vention dans le maintien de la sant et de la s curit au travail et sur l int r t d instaurer cette du cation tr s t t d s l apprentissage En s adressant directement aux ap prentis les diff rents intervenants ont pu pr senter les outils dyna miques mis leur disposition et issus dela collaboration fructueuse des diff rents acteurs investis dans l enseignement et la pr vention CONCLUSION Ce congr s a t au travers d un th me a priori tr s m dical l oc casion de regards crois s entre les diff rents acteurs dela sant sant au travail et sant publique sur ces pathologies aux cons quences hu N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 maines et professionnelles parfois lourdes pour les travailleurs du BTP L enqu te nationale r alis e avec les SIST BTP outre qu elle a confir m la r alit du ri
259. ention int gr e tous les stades de la lombalgie Cette pr vention collective int gr e du risque lombaire li la n cessite la coordination des prises en charge m dico so ciales et des actions sur le milieu de travail Pour cela il est recom mand d tudier les modalit s et les conditions d une coop ration territorialis e p renne et efficace des acteurs et institutions impli qu s dans le retour au travail et le maintien en emploi Pour les tr s petites entre prises il est recommand de d cliner la pr vention int gr e du risque lombaire li la MMC l chelle de l entreprise des entreprises du m me sec teur d activit suivies par le service de sant au travail de la branche professionnelle 110 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 1 M thodologie d laboration des recommandations Dans l objectif d obtenir l attribution du label de la Haute autorit de sant HAS pour ces recommandations la m thode suivie a t la suivante 1 gt Choix de la m thode Ces recommandations s inscrivent dans un objectif d am lioration de la qualit et de la s curit des soins et des actes m dicaux l argumentaire scientifique met la disposition des diff rents acteurs du syst me de sant professionnels patients et usagers d cideurs une synth se rigoureuse de l tat des connaissances sur le sujet La litt
260. entre le statut sanitaire de ces troupeaux et le statut s rologique voire clinique des professionnels concern s D autre part une r par tition g ographique tr s proche des cas humains et des levages ca prins infect s avait t mise en vi dence dans une tude r alis e en Indre et Loire ce qui tablissait un lien troit entre le risque de trans mission pour l homme expos et l infection d un levage 11 M THODE POPULATION TUDI E L tude t men e dans deux d partements du sud est nom m s par la suite d partement 1 et d partement 2 aupr s de professionnels d levages caprins laitiers investigu s sur le plan v t rinaire entre 2006 et 2009 soit 37 levages lesquels repr sen taient 30 des levages caprins laitiers de plus de 25 t tes dans les deux d partements d tude et au pr s de professionnels travaillant dans un levage de ruminants voi sins situ dans un rayon maximal de 2 km Les sujets inclus taient des pro fessionnels affili s au r gime agri cole MSA g s d au moins 14 ans travaillant sur l exploitation et volontaires signature du formu laire de consentement clair Les participants sans questionnaire ou sans pr l vement sanguin ont t exclus de l analyse OUESTIONNAIRES Le recueil des donn es a t effec tu au cours d une visite de sur veillance m dicale sp ciale de m decine du travail au moyen d un ques
261. ents de protection individuelle lorsque ceux ci sont mis en uvre la poitrine ou en cas d impossibilit la ceinture pour l valuation de la dose efficace au plus pr s de l organe ou du tissu expos pour l estimation des doses quivalentes extr mit s peau au niveau des yeux pour la mesure de la dose au cris tallin Lorsque plusieurs dosim tres sont port s et valuent la m me grandeur de protection dose quivalente l organisme de dosim trie transmet SISERI la valeur la plus lev e Les autres r sultats ne rev tant alors plus de statut de r f rence sont transmis la personne comp tente en radioprotection par l organisme de do sim trie Lergonomie du dosim tre doit tre telle qu il occa sionne une g ne minimale au travailleur Hors du temps de port le dosim tre est entrepos selon les conditions stipul es par l organisme de dosim trie Dans un tablissement chaque emplacement d entre posage comporte en permanence un dosim tre t moin identifi comme tel non destin aux travailleurs et qui fait l objet de la m me proc dure d exploitation que les autres dosim tres 1 3 P riodicit de port du dosim tre La p riode durant laquelle le dosim tre doit tre port est d termin e par l employeur en fonction de la na ture et de l intensit de l exposition Elle doit permettre de s assurer du respect des valeurs limites d exposition vis es l article R 4451
262. ents intervenants profes sionnels de sant et intervenants en milieu de travail voire ras surante quant au pronostic Surveillance des travailleurs asymptomatiques Anamn se de l histoire lombalgique ventuelle et de l volution des expositions professionnelles En l absence d pisode lombalgique r cent l examen clinique n est pas informatif mais peut constituer un moment propice au recueil ou la d livrance d informations Surveillance des travailleurs lombalgiques l embauche il n est pas recommand d mettre de contre indica tion m dicale ni de faire pratiquer des examens d imagerie lom baire en cas d ant c dent de lombalgie commune dite simple La p riodicit du suivi d terminer par le m decin du travail en accord avec le travailleur en fonction de la persistance de la lom balgie de son retentissement psychosocial et professionnel et de l valuation des risques de la situation de travail Sur le plan m dical il est recommand de pratiquer un examen m dical la recherche de signes de gra vit ou d une pathologie sous jacente aux stades aigu subaigu et chronique de la lombalgie encourager la poursuite ou la reprise des activit s physiques en tenant compte des caract ristiques de la situation de travail et des possibilit s d am nagement du poste de travail Sur le plan professionnel il est recommand de situer l pisode lombalgique actuel dans l hist
263. er 1985 Niveau d investigation Diagnostic Langue d origine Anglais pour les deux question naires d origine ayant fait l objet d une adaptation dans l IDAP Traduction Francais Vocabulaire Certains items peuvent tre diffi ciles appr hender pour les bas niveaux de qualification Versions existantes Version courte 48 items Version longue 61 items Structuration de l outil Pour la version courte 8 chelles 48 items r partis de la facon sui vante 1 Vari t de la t che 4 items D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 177 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE SITUATIONS DE TRAVAIL PER UES 2 Identit de la t che 6 items 3 Impact de la t che 4 items 4 Autonomie 4 items 5 Feedback de la t che 4 items 6 Feedback de la part de tiers 4 items 7 Clart de r les 15 items 8 Conflit de r les 7 items Linventaire est divis en deux parties la premi re partie les 6 premi res chelles correspond aux caract ristiques du mod le de Hackman et Oldhman 1975 et est une adaptation du questionnaire de ces auteurs Job Diagnostic Sur vey La seconde partie les 2 der ni res chelles correspond aux stresseurs de r le adaptation des chelles de Rizzo et al 1970 Pourla version longue 8 chelles 61items Les six premi res chelles com portent 39 items au lieu de 26 pour la version courte Les deux der
264. er ant au sein de piscines ou de centres de baln o th rapie Les PHS sont des granulo matoses pulmonaires d origine im muno allergique dues l inhalation chronique de substances antig niques le plus souvent organiques prot ines animales spores moisis sures Plusieurs m canismes im munologiques sont impliqu s dans leur gen se Apr s une premi re phase de sensibilisation une r ac tion immunologique semi retard e type III selon la classification de Gell et Coombs aboutit la pr ci pitation de complexes immuns au niveau du parenchyme pulmonaire et des bronchioles terminales acti vant ainsi les cellules de l inflam mation et la s cr tion de cytokines responsables des l sions tissulaires Puis une r action immunologique retard e m diation cellulaire type IV de Gell et Coombs entra ne une activation des macrophages alv olaires et des lymphocytes T Une r action immunologique im m diate type I de Gell et Coombs pourrait galement jouer un r le en provoquant notamment l appa rition d un bronchospasme Dans le cas des quelques PHS rapport es dans ce secteur professionnel d crites plus loin la nature exacte de la ou des substances organiques en cause n a pas pu tre affirm e les auteurs voquant la possible impli cation de spores de moisissures ou d endotoxines bact riennes retrou v es en grand nombre dans les pr l vements d eau et d air effectu s sur les lieux de t
265. er pontier docker e M decin radiologue m decine nucl aire radioth rapeute e M decin anesth siste e M decin du travail Autres m decins cardiologue chirurgien e Mineur le plus pr cis sous secteur ou d tail du sous secteur n est pas connu il convient d indi quer le secteur d activit correspondant Si le secteur d activit est inconnu il convient d attribuer l activit intitul e Autres du domaine d activit correspondant e Dans la rubrique Autres domaines sont indiqu s les codes utiliser pour les activit s n tant pas list es dans les domaines princi paux e Dans les situations o plusieurs domaines ou plusieurs secteurs dans un m me domaine pourraient convenir choisir le domaine o le secteur est r put le plus p nalisant en termes de dose d faut de connaissance pr cise choisir le secteur d ac tivit principal Op rateur de fabrication Op rateur de tir radio mobile Op rateur de tir radio poste fixe gamma graphiste eOp rateur d exploitation conduite contr le commande contr le de pile rondier Personnel navigant pilote steward e Pharmacien Professeur coll ge lyc e universit forma teur PSRPM radiophysicien physicien m dicaux Radiopharmacien technicien en analyses biom dicales Robinetier plombier installations nucl aires e Sapeur pompier Scaphandrier plongeur Soudeur Te
266. er r dige l arr t pr fectoral avec ses instructions techniques et prend en charge les inspections sur le site Lors de la publication de l arr t en attente l article 88 du RSD sera abrog ce qui rendra caduque la d rogation l obligation d incin ration De nouvelles informations concernant les appareils ne relevant pas de la rubrique 2790 seront alors donn es TO Arr t du 10 juillet 2013 relatif la pr vention des risques biologiques auxquels sont soumis cer tains travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants Ministere charg du Travail Journal officiel du 31 ao t 2013 pp 14799 14801 Larr t pris en application de l article R 4424 11 nouveau du Code du travail d finit l accident exposant au sang AES tout contact avec du sang ou un liquide biolo gique contenant du sang et comportant soit une effrac tion cutan e piq re coupure soit une projection sur une muqueuse il ou sur une peau l s e Sont assimil s des AES les accidents survenus dans les m mes circons tances avec d autres liquides biologiques tels que liquide c phalorachidien liquide pleural secr tions g nitales consid r s comme potentiellement contaminants m me s ils ne sont pas visiblement souill s de sang Il num re les activit s de pr vention et de soins et les ac tivit s de soins de conservation entrant dans son champ d application Il d taille les obligations de
267. ervation OR posture OR workload OR risk assessment OR task analysis OR occupational exposure OR job exposure OR ergonomic OR questionnaire OR biomechanic OR work related OR measurement AND low back OR back OR musculoskeletal OR MSDs Questions 4 et 5 Parmi les 2 822 r f rences dans la base de donn es PubMed avec les mots cl s suivants 5 guidelines 159 revues syst matiques 34 m ta analyses et 279 essais cliniques ont t analys s Mots cl s low back pain OR backache OR sciatica AND occupational health OR occupational medicine OR occupational disease OR occupational accident AND interventions OR prevention OR return to work OR absenteeism OR sick leave OR disability OR retirement OR employment OR job change OR job adaptation OR job loss OR light duty OR ergonomic OR rehabilitation OR back school OR lumbar support 112 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Une recherche compl mentaire a t effectu e dans les bases de donn es suivantes Embase NIOSHtic 2 base de donn es du National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Cochrane Library Expertise collective de l Institut national de la sant et de la recherche m dicale INSERM Expertise collective de l Institut national de recherche et de s curit INRS Les principales revues d ergonomie et de sant au travail francophones non index es ont t analys es pour la p
268. es BB1501 JA2331 JJo730 Sylvie Braudel gt T l 01 40 44 30 42 Fax 0140 44 14 19 E mail secretariat forp inrs fr Pour les stages JJ2030 BI2131 Christine Hartmann gt T l 0140 44 30 11 Fax 0140 44 14 19 E mail secretariat forp inrs fr Pour les stages BBo531 BI1131 BI1132 Bl1530 JJo504 JJ1430 lisabeth L al gt T l 0140 441411 Fax O1 40 44 14 19 E mail secretariat forp inrs fr Pour le stage BBo470 T l 0140 44 3158 Fax 0140 4414 19 E mail secretariat forp inrs fr 200 Session Dur e 3 5 jours 3 jours Date Lieu Co t net 29 09 2014 au 02 10 2014 Paris 906 02 06 2014 au 05 06 2014 Paris 776 INRS d partement Formation Rue du Morvan CS 60027 54519 Vand uvre l s Nancy Cedex Pour les stages BB2230 2330 JJ2301 JA2330 JJ2331 Dominique Armand gt T l 03 83 50 2169 Fax 0383 50 2188 E mail secretariat forl inrs fr Pour le stage AB1230 Myriam Aymonin gt T l 03 83 50 2298 Fax 03 83 50 2188 E mail secretariat prap inrs fr Pour les stages AB1231 CJ1030 JA2301 CJo701 Nathalie Lallou gt T l 03 83 50 21 70 Fax 03 83 50 2188 E mail secretariat forl inrs fr Pour les stages JA1730 JA1770 N12002 Agn s Matecki gt T l 03 83 502172 Fax 03 83502188 E mail secretariat forl inrs fr Pour le stage RR2801 JA0130 JA1731 Chantal Sapinia gt T l 03 83 50 21 71 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat prap
269. es lectroniques 3 1 Choix des m thodes de dosim trie repose sur l analyse des postes de travail r alis e par l employeur qui comprend notamment la caract risa tion des rayonnements ionisants susceptibles d tre mis notamment leur nergie et leur intensit Lemployeur d termine au mieux des techniques dis ponibles et dans les conditions techniquement et co nomiquement acceptables le syst me de dosim trie adapt d s lors que les rayonnements auxquels sont expos s les travailleurs compte tenu des moyens de protection collective et individuelle mis en ceuvre pr sentent au moins l une des caract ristiques suivantes rayonnement X d nergie sup rieure 15 keV mis par un g n rateur fonctionnant sous une tension su p rieure KV rayonnement gamma et X d nergie sup rieure 15 keV mis par un radionucl ide rayonnement b ta d nergie moyenne sup rieure 100 keV rayonnement neutronique depuis les neutrons ther miques nergie sup rieure 0 025 eV jusqu aux neu trons rapides nergie jusqu 100 MeV Le dosim tre op rationnel doit permettre de mesurer en temps r el la dose recue par les travailleurs Il doit tre munis de dispositifs d alarme visuels ou sonores permettant d alerter le travailleur sur le d bit de dose et sur la dose cumul e recue depuis le d but de l op ration Le dosim tre op rationnel affiche en continu la dose recue par le trava
270. es 19 chelles initiales sur l environnement du travailont t confirm es De m me les deux chelles de sant percue sant mentale et vitalit n ont pas t confirm es Les r sultats de ces analyses ont t combin s ceux de consistance interne cf plus bas pour aboutir la version longue du 182 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 141 questions 30 chelles dont 18 sur l environnement de travail Ces 18 chelles couvrent trois domaines principaux de l environnement psychosocial contraintes au travail organisation et contenu du travail relations interpersonnelles et leadership Les deux chelles de sant percue ont galement t conserv es sans modification pour permettre des comparaisons avec d autres tudes gt Dansla version moyenne du 95 items 26 chelles les chelles portant sur les facteurs de personnalit n ont pas t conserv es et les chelles restantes ont t r duites si n cessaire 4 items maximum saufles chelles de sant percue qui ont gard leurs items Les chelles r duites expliquent entre 85 et 96 6 de la variance totale des chelles compl tes Kristensen et al 2005 gt Concernantla version abr g e du I 44 items 8 chelles une analyse factorielle a t r alis e sur les 18 chelles de l environnement de travail 3 domaines ont t identifi s comme pou
271. es contre l h patite B si elles produisent une attesta tion m dicale comportant un r sultat m me ancien indiquant la pr sence dans le s rum d anticorps anti HBs une concentration sup rieure 100 Il Si les personnes susmentionn es ne pr sentent pas le r sultat mentionn au I il est effectu un dosage des anticorps anti HBc et des anticorps anti HBs en vue de la d livrance d une attestation m dicale attestant ou non de l immunisation contre l h patite B ll 1 Les anticorps anti HBc ne sont pas d tectables dans le s rum Il 1 1 La vaccination a t men e son terme selon le sch ma en vigueur dans le calendrier vaccinal II 1 1 1 Le taux d anticorps anti HBs dans le s rum est poste sans limitation des actes qu elles sont amen es effectuer dans le cadre de leur activit profession nelle sous r serve de l avis du m decin du travail ou de pr vention Elles sont soumises une surveillance au moins annuelle des marqueurs s riques du virus de l h patite B Les l ves ou tudiants consid r s comme non r pon deurs la vaccination peuvent cependant tre admis dans un tablissement d enseignement Dans ce cas ils sont soumis une surveillance au moins annuelle des marqueurs s riques du virus de l h patite B ARTICLE 7 A modifi les dispositions suivantes Abroge Arr t du 6 mars 2007 Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 Annexes Ab Abroge Arr t du 6 mars 2007 art
272. es de radioprotection des r gles de s curit et des bonnes pratiques de manipulation de produits ra dioactifs Un programme des contr les concernant les installations les sources et les appareils de mesure doit tre tabli Les r sultats de ces contr les font l objet d un enregistrement syst matique toute anomalie doit tre analys e le cas ch ant trait e et trac e 2 Mesures techniques concernant l installation 2 1 Conception de l installation Les activit s de laboratoire doivent tre r alis es dans des locaux dis tincts des activit s de bureau L installation doit tre adapt e aux produits manipul s aux activit s mises en ceuvre aux proc d s utili s s et doit permettre une optimisa tion des flux Les r gles de base de conception de locaux pour une utilisation donn e doivent tre respect es privil giant les EPC ventilation g n rale forc e adap t e au risque garantissant notam ment un renouvellement complet du volume du local filtres adapt s la forme physi co chimique des radionucl ides utilis s m surfaces des sols murs et plans de travail facilement d contaminables lisses et non poreuses imper m ables et lessivables sans joints et remont e sur plinthe des sols 2 2 Contr les de l installation m Lad quation de l installation avec l utilisation qui va en tre faite doit tre v rifi e r ception ventilation EPC Par la
273. es des arti culations portantes hanche ge nou gt atteintes cardiovasculaires atteintes de la paroi abdominale risques psychosociaux li s au contenu des t ches de manuten tion cervi Les manutentions de charges sont la premi re cause d accident du travail AT repr sentant environ le tiers des AT principalement des atteintes lombaires des contu sions et des plaies ou coupures Les lomboradiculalgies en rapport avec la manutention de charges Tableau II GRADATION DES RECOMMANDATIONS Niveau de preuve scientifique fourni par la litt rature Grade des recommandations Niveau 2 Essais comparatifs randomis s de faible puissance a Etudes comparatives non randomis es bien men es En l absence d tudes les recommandations sont fond es sur un accord entre experts du groupe de travail apr s consultation du groupe de lecture l absence de gradation ne signifie pas que les recommandations ne sont pas pertinentes et utiles Elle doit en revanche inciter engager des tudes compl mentaires lourdes sont la troisi me cause de maladie professionnelle en France source CNAMTS 6 L2 Atteintes rachidiennes lombaires Selon la litt rature biom canique un fort niveau de contraintes ra chidiennes lombaires est g n r par les t ches de manutention de charges lourdes en situations ex p rimentales ou r elles de travail Celles ci entrainent une astreinte physiologique cardi
274. es pr venteurs les ing nieurs HSE et les acteurs institutionnels le positionnement et les actions engag es par l inspection du travail la place de la m decine du travail et les logiques de pr vention dans le cadre sp cifique des relations de sous traitance Octar s ditions 24 rue Nazareth 31000 Toulouse 2013 194 p MONNEUSE D Le surpr sent isme Travailler malgr la maladie Collection M thodes amp Recherches Cet ouvrage dresse un tat des lieux du supr sent isme c est dire le fait de travailler malgr un tat de sant qui n cessite un arr t maladie Cette enqu te r v le que le surpr sent isme s l verait en moyenne 10 jours par personne et par an Un premier chapitre propose de d finir le surpr sent isme travers les divers sens que rev t le pr sent isme Le second chapitre expose les causes de ce ph nom ne et dresse une typologie des surpr sent istes Le troisi me chapitre s interroge sur l ampleur et la fr quence du supr sent isme Un quatri me chapitre souligne les dangers que ce type de comportement repr sente pour soi mais aussi pour ses coll gues Et un dernier chapitre propose des pistes aux entreprises pour limiter l ampleur et les effets nocifs de ce ph nom ne De Boeck rue des Minimes 39 B 1000 Bruxelles Belgique 2013 120 p LAVOIE J NEESHAM GRENON DEBIA M CLOUTIER Y et al D veloppement d un mod le de gestion gradu
275. es professionnelles le diagnostic diff rentiel par l illustration des dermatoses non professionnelles le diagnostic tiologique et la d termination de l imputabilit par l illustration des cas observ s en fonction des postes de travail et des principales nuisances Cet outil Dr Baeck M iconographique Dermatite de permet l acc s plus de 500 photographies aux benzodiaz pines par diff rents t traz pam E localis e au mots cl s maladie visage chez une nandi localisation picutan positif au t traz pam rofession Pr Tennstedt D Dermatophytie Trichophyton Verrucosum chez un fermier signe clinique Dr Cr py M N Dermatite de contact allergique des mains et avant bras chez une agent de service hospitalier aux additifs de gants vinyl phosphate de tricr syle et de gants en caoutchouc thiurames Dr Cleenewerck M B Hyperk ratose palmaire unilat rale chez une fourreuse de gaufres Trois fiches agents biologiques Risques biologiques en milieu de travail et maladies respiratoires d origine allergique et ou toxinique Cette fiche est une aide l valua tion du risque d apparition de cer taines maladies respiratoires dues la pr sence d agents biologiques sur les lieux de travail Il y est fait un rappel des principales activit s professionnelles concern es des diff rentes pa
276. es regroupant au maximum m Afficher des consignes relatives la collecte de d chets et effluents radioactifs m Utiliser un local d entreposage adapt r tention confinement sur faces facilement d contaminables Encas de mutualisation du local une convention devra tre tablie m S assurer de la date de p remption ANDRA Agence nationale pour la gestion des d chets radioactifs des emballages maximum de 4 ans apr s la date de fabrication grav e sur chaque emballage et respec ter les sp cifications g n rales du guide d enl vement ANDRA m Effectuer des contr les internes semestriels et externes tous les 3 ans des conditions d limination Tenir des registres des flux de d chets et des contr les effectu s 5 2 Processus de gestion de d chets et effluents radioactifs YT T amp ien jours TE Par radionucl xde Par nature pleico chimique CONODITIHWNEMENT Volume adapt Freitection rayannement TIQUETAGE Caract ristiques P ctogramene radioactit Dangers subsidiaires MESURLALSTIMATICHN DEL ACTIVIT ET DEBIT Date de tomplage pars L m volumique io Bo p riodes minimum iso fL i ax Bi NU P D CHET RADISGACTIF UT e gt i TRI Pas Selon sp cifictions ANDEA Selon sp cifications ANDRA m en Pet pendant u p riodes minimum p
277. es titulaires d un contrat de profession nalisation les stagiaires de la formation professionnelle les l ves et tudiants pr parant un dipl me profession nel ou technologique les jeunes accueillis dans les tablissements d ensei gnement qui assurent titre principal une ducation adapt e et un accompagnement social ou m dico so cial aux mineurs certains tablissements et services d aide par le travail les centres de pr orientation pour travailleurs handicap s les centres d ducation et de r ducation professionnelle les tablissements ou ser vices caract re exp rimental et les tablissements ou services g r s conventionn s ou habilit s par les ser vices de la protection judiciaire de la jeunesse Letexte substitue la d rogation pour chaque jeune en formation qui tait annuelle et accord e a priori par l inspecteur du travail une proc dure selon laquelle l employeur ou le chef d tablissement peut tre auto ris par d cision de l inspecteur du travail affecter des jeunes des travaux interdits pour une dur e de trois ans La d rogation concerne donc un lieu celui dans lequel le jeune est accueilli et non plus chaque jeune La d rogation est accord e sous r serve pour l employeur ou le chef d tablissement de respecter certaines condi tions avoir proc d l valuation des risques et mis en ceuvre les mesures de pr vention appropri es respecter les obliga
278. es visent gale ment l adaptation des conditions de travail dans certaines situa tions ou du maintien dans l em ploi et l animation de campagnes d information et de sensibilisation aux risques li s la MMC Enfin en cas de constat d un risque pour la sant des travailleurs le m de cin du travail propose par un crit motiv et circonstanci des me sures visant la pr server C trav Art L 4624 3 Information collective des tin e aux employeurs aux tra vailleurs expos s des mani pulations de charges et leurs repr sentants L quipe pluridisciplinaire de sant au travail peut contribuer l animation de campagnes d infor mation et de sensibilisation des employeurs et des travailleurs sur les risques li s la MMC et les moyens de leur pr vention Des campagnes d information de masse ont montr leur efficacit pour am liorer les repr sentations li es la lombalgie dans la popu lation g n rale mais les donn es sont discordantes sur la r duction du recours aux soins et de l impact financier des lombalgies Les don n es sur l valuation de l impact de telles campagnes pour les po pulations en milieu de travail sont encore insuffisantes Si une information collective est d livr e il est recommand que 1 lemployeur s appuie sur l quipe pluridisciplinaire de sant au travail pour v rifier la pertinence du contenu et pour la d livrer 2 les informations
279. essionnelles globale de l entreprise canc reuses ditions EMS Management et Institut de sant au travail du Soci t 17 rue des m tiers 14123 Nord dela France Nord Pas de Cormelles le Royal 2013 137 p Calais Picardie P le sant travail M tropole Nord ISTNE 118 rue Solf rino 59000 Lille 2013 35 p www istnf fr LANDIER H MERCK B Travail et d veloppement humain Les indicateurs de d veloppement humain appliqu s l entreprise Collection Ouestions de soci t Cet ouvrage est une r flexion sur le d veloppement humain etle mieux vivre au travail et sur la facon pour l entreprise D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 207 JURIDIOUE Juridique Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 15 juillet au 31 octobre 2013 SITUATIONS PARTICULI RES DE TRAVAIL JEUNES 6 Loi n 2013 660 du 22 juillet 2013 relative l ensei gnement sup rieur et la recherche Parlement Journal officiel du 23 juillet 2013 pp 12235 12258 Cette loi apporte des modifications au Code de l duca tion notamment son article L 612 8 dont le dernier alin a pr voit d sormais que les stagiaires b n ficient des protections et droits mentionn s aux articles sui vants du Code du travail dans les m mes conditions que les salari s L 11214 protection contre les atteintes disproportion n es aux droits et libert s individuelles et coll
280. est noter que 34 6 des salari s d clarent n avoir jamais conduire de nuit pour rentrer chez eux ou aller d un site l autre Cinquante salari s d clarent ne pas avoir de conduite profession nelle Le kilom trage professionnel annuel moyen est de 26 310 avec des extr mes de o 130 km la m diane se situant 25 ooo km CONDITIONS SP CIFIQUES DE VIE LORS DE LA DERNI RE MISSION Trente pour cent des salari s rentrent chez eux tous les soirs 40 au moins une fois par semaine 17 au moins une fois par quinzaine 9 au moins une fois par mois et 4 moins d une fois par mois Moins d un tiers des salari s 30 6 dort son domicile 3 6 6 chez de la famille proche du lieu dela mission 41 5 6 l h tel 28 6 6 en gite ou mobile home 12 8 en caravane ou camping car 19 6 dans une tente 4 9 6 dans un autre type d h ber gement Pr s de 18 6 des salari s d clarent avoir eu plusieurs lieux d h bergement au cours de la m me mission Dormir dans sa voiture a concern 11 4 des salari s pour 1 52 nuits moyenne 6 8 m diane 3 nuits Les salari s d jeunent le plus sou vent d un sandwich 25 96 au res taurant 24 4 96 la cantine d entre prise 21 96 la gamelle 12 5 96 dans le lieu de r sidence 11 6 96 Ouelques salari s ne prennent pas de repas le midi 5 3 6 Ils dinent le plus souvent dans le lieu de r sidence 58 5
281. ets et les levages seize variables avaient une p value lt 0 10 en analyse univari e et ont t in cluses dans la mod lisation multi vari e tableau IV lissue de cette mod lisation seules cinq d entre elles taient D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 69 VU DU TERRAIN Fi vre Q tude de s ropr valence chez des professionnels d levage de petits ruminants dans le sud est de la France TableauI gt RELATIONS ENTRE LES R SULTATS S ROLOGIQUES ET LES CARACT RISTIQUES SOCIOD MOGRAPHIQUES ET PROFESSIONNELLES DES SUJETS POUR LES T CHES EFFECTU ES AU COURS DES 12 DERNIERS MOIS CI ES CHERE Sexe Hommes 36 52 1 33 47 8 69 54 8 0 03 Femmes 40 70 2 17 29 8 57 45 2 D partement 1 47 66 2 24 33 8 71 56 3 29 52 7 26 473 55 4377 T ches Mise en p turage 59 3 40 6 76 2 Curage nettoyage 57 3 42 7 i 65 1 ns Manipulation de fumier 47 55 3 44 7 67 5 ns pandage du fumier 24 54 5 38 45 5 85 34 9 ns Aide la mise bas 61 58 7 20 413 44 82 5 ns Manipulation de placenta 57 57 6 43 42 4 104 78 6 ns Soins v t rinaires 56 4 42 43 6 99 80 2 ns Autres soins 57 53 2 44 46 8 101 62 7 ns Traite 54 7 37 453 79 59 5 0 03 Pr l vements de lait 42 56 9 34 43 1 75 51 6 ns Manipulation de d pouilles 67 1 28 42 9 2 72 2 ns Consommation base de lait cru 62 63 3 36 36 7 98
282. eur la n cessit d enga ger une d marche de maintien en emploi et de concertation avec le m decin traitant le s sp cialiste s et ventuellement le m decin conseil et ou les acteurs du maintien en emploi Mesures collectives et individuelles pour la pr vention du risque lombaire li aux MMC et le maintien dans l emploi des travail leurs expos s aux MMC et souffrant de lombalgie Il est recommand privil gier la r duction des contraintes des situations de travail la source d cliner la pr vention int gr e des risques li s aux MMC l chelle de l entreprise et de la branche professionnelle notam ment pour les tr s petites entreprises Interventions de pr vention primaire et secondaire ILest recommand d encourager les employeurs mettre en place des projets d ergonomie participative associant employ s enca drement employeur pour surveiller les indicateurs li s aux lom balgies identifier et contr ler les facteurs de risques lombaires li s aux MMC am liorer les conditions de travail et d velopper la culture de pr vention dans l entreprise Les interventions multidimensionnelles combinant de mani re simultan e une composante ducative une intervention sur l or ganisation du travail le contenu des t ches ou les conditions de travail associ es ou non un entrainement physique sont recom mand es Interventions de pr vention tertiaire L quipe pluridisc
283. exe 8 permettant le d pistage d une pathologie sous jacente 4 Rechercher la pr sence d une composante radiculaire asso ci e la lombalgie grade A En pr sence d un drapeau rouge et ou d une irradiation radiculaire il est recommand de 1 Pratiquer un examen cli nique sp cifique du rachis quel que soit le stade de la lom balgie grade A 2 Adresser le travailleur son m decin traitant pour explo ration et ou prise en charge adapt e Sur le plan des examens compl mentaires L analyse de la litt rature concer nant les bonnes pratiques relatives aux explorations paracliniques montre qu elle concerne plus par ticuli rement des soins primaires En pratique le m decin du travail adresse le salari au m decin trai tant qui prescrit les examens com pl mentaires le cas ch ant En cas de lombalgie commune chez les sujets de 20 55 ans la prescription d examens biologiques n est pas recom mand e la prescription de radiogra phies standard n est pas re command e Cependant en cas de signes cliniques suspects dra peaux rouges ces exa mens compl mentaires voire d autres examens d imagerie de seconde intention sont indiqu s grade A et rel vent alors du m decin traitant ou du sp cialiste Sur le plan professionnel Il est recommand 1 Situer l pisode lombalgique actuel dans l histoire profes sionnelle et notamment re
284. exposition mesu r e par l valuation num rique de la dose prend toutes les dispositions pour que les informations n cessaires soient transmises sans d lai aux organismes de dosi m trie d s la fin de la p riode d exposition IV En cas de suspicion d exposition anormale l em ployeur prend toutes les dispositions pour que cette exposition puisse tre valu e sans d lai ARTICLE 14 Les m decins du travail de l entreprise utilisatrice de l entreprise ext rieure et le cas ch ant de l entreprise de travail temporaire changent tous les renseigne ments n cessaires l accomplissement de leurs mis sions ARTICLE 15 I Les organismes de dosim trie transmettent SISERI les r sultats individuels de la dosim trie passive ou li e la radioactivit naturelle II En cas de surveillance de l exposition interne les organismes de dosim trie transmettent galement les r sultats individuels au m decin du travail qui a pres crit les mesures ainsi qu SISERI Le m decin du travail le cas ch ant en ayant recours l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire d termine la dose efficace engag e ou la dose quiva lente engag e r sultant de l exposition interne du tra vailleur si les conditions de l exposition le permettent et transmet les r sultats de cette valuation SISERI Les l ments de calcul de celle ci sont conserv s dans le dossier m dical du travailleur
285. f ing nieur projet produit affaires tudes ing nieur recherche indus trielle et ou d veloppement essai interve nant qualit s ret e chafaudeur lectricien lectronicien instrumentiste installations nucl aires Centre d enseignement et formation tablissements de recherche autre que nucl aire et m dicale Situations de crise pompiers protection civile Organismes d inspection et de contr le Organismes d inspection et de contr le publics Organismes de contr le priv s Activit s l tranger Activit s s curit environnement radioprotection Les r gles appliquer pour renseigner la nomenclature sont les suivantes Le choix d une activit unique est obligatoire Il est n cessaire de renseigner cette acti vit le plus pr cis ment possible Si le niveau e Employ s des thermes e Employ s excavations e tudiant stagiaire Foreur e Gendarme policier douanier agent de contr le e Infirmier e Infirmier anesth siste IBODE Inspecteur agent de contr le e Intervenant du b timent peintre ma on e Intervenant logistique entretien nettoyage servitudes e Intervenant maintenance appareil met teur rayonnements ionisants Intervenant s curit radioprotection envi ronnement e Manipulateur lectroradiologiste techni cien de m decine nucl aire ou de radioth rapie e Manutentionnaire magasinier cariste gru ti
286. f principal la d termination de la pr valence des dermatoses des mains toutes tio logies confondues chez les salari s du BTP L enqu te s est d roul e de mars 2012 mars 2013 avec les m decins du travail volontaires des services interentreprises SIST du BTP Ils ont renseign pour chaque salari un questionnaire tat des mains en ligne Parall lement les pr venteurs r alisant des visites de chantiers ont rempli eux un questionnaire Chantiers pour chaque visite Les m decins enqu teurs ont rem pli 1566 questionnaires La pr va lence des dermatoses des mains dans cet chantillon est de 127 96 Elle est de 18 chez les ma ons Lindex et le pouce sont touch s pr f rentiellement et l atteinte pr do mine droite La pr valence augmente avec l an ciennet dans le m tier Il convient cependant de nuancer cette donn e les salari s les plus g s ce jour ne s tant probablement pas ou peu prot g s en d but de carri re Parmi les causes principales se retrouvent la protection inadapt e les condi tions climatiques lutilisation du ciment les traumatismes Les chantiers disposent pour leur majorit d un cantonnement et de moyens d hygi ne Des gants 81 et des v tements en bon tat 87 3 sont en grande majorit disposition des salari s Les cons quences professionnelles de ces dermatoses sont variables et peuvent tre lourdes 16 des salari s
287. fessionnel technicit quali fication d veloppement durable l heure o la sant au travail vo lue consid rablement dans son or ganisation et ses objectifs ax s sur la pr vention primaire et une dimi nution des possibilit s de colloque singulier m decin salari une tude permettant l am lioration des connaissances sur les conduites humaines face aux risques pro fessionnels est une opportunit D velopper des outils nouveaux d analyse et de pr vention de ces risques avec la participation active des acteurs eux m mes fait partie int grante des missions compl mentaires des services de sant du BTP et des institutionnels de la pr vention en sant au travail SANT ET S CURIT DES APPRENTIS DANS LE BTP EN NORD PAS DE CALAIS Lobjectif affich de ce s minaire auquel participaient des apprentis leurs formateurs et ma tres d ap prentissage en plus des acteurs de la sant au travail est de r pondre aux d fis de la sant au travail durant l apprentissage favoriser la dynamique partenariale au niveau r gional et encourager l adoption de bonnes pratiques sur le terrain LA PR VENTION TOUT AU LONG DELA VIE PROFESSIONNELLE DES L ENTR E DANS LA CARRI RE CELA S APPREND L COLE Tous les intervenants ont soulign l importance du programme de sant et s curit au travail concer nant actuellement 22 ooo jeunes en apprentissage dans la r gion Nord Pas de Calais
288. ffections m dicales sui vantes recens es par le m decin du travail affections rhumatologiques OR145 1C 95 77 270 p lt 0 001 troubles m taboliques OR 5 1C 95 27 9 6 p lt 0 001 surpoids OR 2 36 1C 95 14 3 9 p lt 0 01 du salari 5o ans et plus OR 2 75 IC 95 16 47 p lt 0 001 la perception par le salari d un mauvais tat de sant OR 2 95 IC 95 16 5 5 p lt 0 05 travailler plus de 8 h jour OR 17 IC 95 108 2 86 p lt 0 05 La pr sence de pathologies en rapport avec le travail et g nantes pour le travail en nucl aire selon l avis du m decin du travail 7 96 de l ensemble des salari s appa rait significativement associ e aux affections m dicales sui vantes recens es par le m decin du travail affections rhumatologiques 18 9 1 95 10 3 34 5 p lt 0 001 troubles m taboliques OR 2 97 1C 95 15 56 p lt 0 001 surpoids OR 2 1C 95 11 3 6 p lt 0 05 la perception par le salari d un mauvais tat de sant OR 3 2 1 95 564 6 25 p lt 0 01 anxieux tendu ou d prim OR 2 24 IC 95 155 4 35 p lt 0 05 certaines conditions de vie qui d couleraient de l organisation du travail ne pas pouvoir rentrer chez soi tous les soirs OR 24 1C 95 1 06 5 5 p lt 0 05
289. ffluents et d chets 9 des proc dures administratives d autorisation et d claration 10 du transport 11 de la conduite tenir en cas d in cident ou d accident R f INRS ED 4316 12p un DVD intervenants ext rieurs Leur s curit n ert par une optics R f INRS DVD 0397 Intervenants ext rieurs Leur s curit n est pas une option Les entreprises font appel des intervenants ext rieurs pour une part croissante de leurs activit s Ceci ne cr e pas en soi des risques professionnels nouveaux mais peut induire des conditions de tra vail complexes qui rendent la pr vention des risques professionnels plus difficile mettre en ceuvre Ce DVD propose l utilisateur 4 spots et 4 reportages Les spots sont de courtes fictions qui d livrent un message cl Les reportages pr sentent diverses initiatives mises en place par des entreprises Chaque spot ou reportage est auto nome et peut tre vu et compris ind pendamment des autres Les messages sont n anmoins compl mentaires et le tout propose une d marche de pr vention globale Ce DVD a t con u avant tout pour les entreprises utilisatrices dans la mesure o ce sont elles qui d ter minent l essentiel des conditions de travail Pour autant les messages concernent galement les entre prises ext rieures responsables de la sant et s curit de leurs salari s D CEMBRE 2013 R F RENCES
290. fique qu ils accomplissent ind pendamment l un de l autre 3 gt Groupe de travail Le groupe de travail comprenait 24 participants dont le Pr sident du groupe de travail Professeur Yves Roquelaure le Chef de projet de la HAS Madame Karine Petitprez et le Charg de projet Docteur Audrey Petit Le groupe de travail tait multidisciplinaire et pluriprofessionnel Les participants avaient une bonne connaissance de la pratique professionnelle dans le domaine correspondant au th me des recommandations et taient capables de juger de la pertinence des tudes publi es et des diff rentes situations cliniques valu es Il tait compos qualitativement de la mani re suivante 8 m decins du travail 2 rhumatologues 2 m decins conseils 2 m decins r ducateurs 1 m decin g n raliste 1 m decin inspecteur r gional 1 m decin ost opathe 1 kin sith rapeute 1ergoth rapeute 1 infirmi re en sant au travail 1ergonome 1 chercheur en pid miologie des risques professionnels 1 chercheur en physiologie du travail et ergonomie 1 chef de projet HAS Le groupe de travail s est r uni en sous groupes de travail questions 2 et 3 et en r unions pl ni res questions 1 et 4 selon les questions abord es Au total 2 r unions en sous groupes et 7 r unions pl ni res ont eu lieu entre avril 2012 et mai 2013 Les sous groupes de travail taient
291. g est souvent compl mentaire la surveil lance atmosph rique Elle permet de prendre en compte la charge et les habitudes de travail toutes les voies d absorption de l agent chimique respi ratoire cutan e et digestive d valuer l efficacit des mesures de protection et pr sente l avantage de pouvoir tre r alis e a posteriori lorsque cela est n cessaire par exemple lors d expositions acciden telles Le plus souvent la biom trologie est r alis e sur l urine fluide biologique le plus facile collec ter sur le terrain et non invasif Les COVs absorb s par le salari sont essentiellement excr t s sous forme de m tabolites mais galement sous forme non m tabolis e fraction r siduelle de l ordre de 0 1 1 de la quantit effectivement absorb e Le laboratoire de Surveillance biologique des expo sitions aux substances organiques SBSO INRS dis pose de la technique analytique pour r aliser en une seule analyse urinaire le suivi de salari s tra vaillant dans des secteurs industriels les exposant simultan ment plusieurs COVs de structures et propri t s chimiques diff rentes Objectifs de l tude valuer l exposition simultan e des salari s plu sieurs COVs parmi les suivants dichlorom thane chloroforme trichloro thyl ne perchloro thyl ne hexane benz ne tolu ne thylbenz ne xyl nes et m thyl thylc tone Protocole 9 Pendant une semaine de travail des recue
292. g du Travail Journal officiel du 29 octobre 2013 pp 17765 17771 Ce d cret abroge le d cret n 79 846 du 28 septembre 1979 portant r glement d administration publique sur la protection des travailleurs contre les risques particuliers auxquels ils sont soumis dans les tablissements pyro techniques Il cr e dans la partie Sant et s curit au tra vail du Code du travail un chapitre fixant les exigences relatives la s curit des travailleurs qui r alisent des activit s pyrotechniques Sont concern es les activit s de fabrication d tude d exp rimentation de contr le de conditionnement de conservation de destruction de D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 213 JURIDIOUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 15 juillet au 31 octobre 2013 substances ou d objets explosibles destin s tre utilis s pour les effets de leur explosion ou des fins pyrotech niques activit s de d molition ou de d mant lement d quipements ou d installations pyrotechniques Les dispositions introduites concernent notamment la r alisation de l tude de s curit en compl ment de l valuation des risques en vue de d celer les possibili t s d v nements pyrotechniques et pr venir les risques encourus par les travailleurs Sont pr vus notamment un r examen par l employeur de l tude de s curit au moins tous les cinq ans une approba
293. g n ratives et travail gt Tra abilit et service de sant autravail gt Les m tiers de l aide et de l assistance domicile L valuation des capacit s cardiorespiratoires TIC technologies d information et de communication et organisation du travail P nibilit pr vention professionnelle ou compromis soci tal e changer et dialoguer sur des actions en entreprise e Connaitre les solutions en sant travail disponibles pour les entreprises RENSEIGNEMENTS Claire Verfaillie T l 03 28 55 06 26 contact santetravail lille2014 fr D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 195 UNE EXPOSITION AU MUS E DU CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET M TIERS CNAM Organis e par le mus e du CNAM produite par l INRS et Ferraille l exposition regroupe une vingtaine d affiches marquantes r alis es par l INRS entre 1947 et 1985 Cette exposition est bas e sur un livre reprenant 200 affiches de l Institut dit par Les Requins marteaux Danger Tr sors de l Institut national de recherche et de s curit est l occasion de voir voluer en images les notions de danger de risque et de s curit du travail ainsi que les codes ou les messages retenus pour v hiculer l information de pr vention N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Formations 2014 Sant et s curit au travail Places disponibles dans les stages
294. gag e due l exposition interne Comparaison des r sultats de l tude avec ceux du suivi Dose quivalente aux extr mit s D eA Ice i dosim trique La dose quivalente aux extr mit s H a t valu e au 4 1 En concertation le m decin du travail et la PCR s as surent de la coh rence des valeurs d exposition ex 5 Classement des travailleurs terne et interne avec celles estim es dans le cadre de 2 l tude de poste exposes En cas de discordance notable r examiner les hypo th ses de calculs et les diff rentes tapes du protocole Le produit de cette dose efficace globale E par la fr plus souvent l valuation par le calcul surestime quence annuelle de mise en ceuvre du protocole par le risque d exposition En revanche dans le cas d une un m me personnel aboutit la dose efficace annuelle constatation de r sultats de suivi dosim trique nota re ue par ce dernier du fait de la mise en uvre r p blement plus lev s que les conclusions de l valua t e de ce seul protocole tion une analyse doit tre men e D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 175 ABONNEZ VOUS D UN SIMPLE CLIC www rst sante travail fr UN ABONNEMENT GRATUIT POUR UNE DUR E DE 2 ANS 1 La validit de ces caract ristiques motivationnelles dutravail pour pr dire galement l tat de stress et delasant mentale a t tablie voir parexemple la m ta analyse de Humphrey et
295. gents d entretien qui les manipulent mais galement chez les autres cat gories de personnels qui travaillent de facon habituelle dans ces locaux soumis des cycles pluriquotidiens de d sinfection Une forme de granulomatose pulmonaire dite PHS like Mycobacterium avium est d crite chez les utilisateurs et professionnels travaillant au contact de bains remous favoris e par la temp rature lev e de l eau et l insuffisance de d sinfection et de ventilation des installations La pr vention des affections respiratoires irritatives ou immuno allergiques li es aux produits d entretien et de d sinfection des piscines repose sur la substitution lorsque celle ci est possible ou d faut la r duction de l exposition ventilation efficace des locaux traitements compl mentaires pour diminuer les concentrations en sous produits de d sinfection par exemple traitement par strippage Lesuivi de la concentration atmosph rique de trichloramine est recommand avec une valeur limite propos e de 0 3 mg m L utilisation de d sinfectants des locaux en spray est proscrire N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 BIBLIOGRAPHIE 1 BRUNET M PORTANGUEN EDEL PP GILBERT JP ET AL Facteurs associ s l exposition de maitres nageurs aux chloramines Arch Mal Prof Environ 2009 70 6 646 47 2 H ry M GERBER JM GENDRE JC ET AL Exposition aux chloram
296. ges voisins positif sont s ron gatifs S ropositifs 10 34 5 2 20 0 12 30 8 Total 29 100 0 10 100 0 39 100 0 Lecture deux cat gories d levages ont t d finies partir des r sultats s rologiques des sujets travaillant dans les levages investigu s n 79 au total levage comportant au moins 1 sujet s ropositif car tous les professionnels d un m me levage n ont pas le m me statut s rologique et levage comportant uniquement des sujets s ron gatifs Les sujets des levages voisins correspondants ces derniers n 39 au total ont t class s en fonction de leur r sultat s rologique dans l une de ces cat gories selon qu ils travaillaient proximit de l un ou l autre de ce type d levage Ainsi parmi les 39 sujets d levages voisins inclus 10 taient s ropositifs et travaillaient proximit d un levage dans lequel au moins un sujet tait s ropositif et 8 taient s ron gatifs et proximit d un levage o tous les sujets taient s ron gatifs D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 71 Tableau IV gt LISTE DES VARIABLES RETENUES DANS L ANALYSE MULTIVARI E P 0 10 Sexe Habitat sur le lieu d exploita tion Nombre d levages proximit Conduite de l levage caprin en syst me intensif Conduite de l levage bovin en s dentaire Renouvellement de l levage dans la derni re ann e nombre d l ves Mode d
297. gie ou Une valuation des risques nomie afin d am liorer les comp d une rechute de la lombalgie comprenant une analyse du tences des travailleurs pour faire et n est donc pas recommand travail est recommand e pour face aux contraintes des situa grade C identifier au pr alable les prin tions de travail valuer les risques L utilisation de semelles ortho cipaux facteurs de risque cf rachidiens et rechercher des pistes p diques n a pas d effets tablis Chapitre III p 92 de solutions ergonomiques sur la pr vention dela survenue Les interventions ergono souvent des programmes de la lombalgie et n est donc miques portant sur les seules d exercices physiques pas recommand e grade C caract ristiques physiques des 4 Suivi de l impact de l interven L utilisation de tapis amortis t ches de manutention sont tion seurs ou antifatigue n est pas insuffisantes pour pr venir Des interventions multidimen recommand e pour la pr ven l apparition de la lombalgie sionnelles combinant une compo tion de la lombalgie grade C est recommand qu elles com sante ducative une intervention prennent une dimension orga ergonomique ou une modifica nisationnelle et l implication tion des t ches et ou un entrai Interventions sur les conditions de des travailleurs concern s dans nement physique ont montr leur travail et visant supprimer ou une d marche participative efficacit pour la pr vention de la r duire le
298. gine de d gagement de chlore gazeux par exemple peut entra ner un syndrome d irritation bronchique aigu ou RADS essen tiellement par des m canismes inflammatoires aigus touchant l pith lium bronchique De m me une exposition une concentration moins importante que dans le cas pr c dent mais r p t e ces agents irritants a t incrimin e dans la survenue progressive de l sions pi th liales bronchiques quivalentes On parle alors d asthme induit par les irritants ou low dose RADS Enfin ces produits contiennent fr quemment des substances allergisantes pouvant provoquer un asthme immuno allergique apr s une phase latente de sensi bilisation Une augmentation de l incidence des asthmes en rap port avec les produits de d sinfec tion a d ailleurs t rapport e en France ces dix derni res ann es i3 Certains agents impliquent un m canisme immuno aller gique IgE m di chlorhexidine chloramine T oxyde d thyl ne alors que d autres ne le semblent pas bien que leur responsabilit dans la gen se d asthmes ait t attest e par la positivit de tests de provocation bronchique r alistes amines aliphatiques ammoniums quaternaires LES AGENTS ORGANIQUES IMPLIQU S DANS LES CAS DE PNEUMOPATHIE D HYPERSENSIBILIT PHS OU AFFECTIONS APPARENT ES Plusieurs cas de PHS isol s ou sous forme d pid mies ont t rappor t s chez des usagers ou des pro fessionnels ex
299. groupes Pour l analyse il a t notamment proc d des regroupements des diff rentes modalit s de r ponse Par exemple concernant le fait d avoir des informations radiolo giques fiables avant de commencer un chantier c est la r ponse tou jours qui a t jug e quivalente oui Largument avanc tait le fait de ne pouvoir transiger en mati re de radioprotection Unseulm decin habilit n a pas par ticip au recueil des donn es M me si l exhaustivit recherch e n a pu tre atteinte en raison de la densit de lactivit m dicale chaque fois que possible les deux premiers sala ri s INB ont t sollicit s La population incluse repr sente 31 6 des salari s de la sous trai tance du nucl aire en le de France suivis par les deux services de san t au travail Cette tude confirme qu il y a peu de femmes dans ce secteur d acti vit Les 39 femmes recens es sont plus jeunes ont une anciennet moindre un niveau de responsa bilit plus lev et un IMC plus bas que les hommes Deux hypoth ses peuvent tre mises le secteur nucl aire n est qu au d but de son ouverture aux femmes ou bien elles n y restent pas N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 La population suivie exerce dans diff rents domaines du nucl aire comme la production d lectricit la recherche l expertise le stockage et la production de combustible le d ma
300. h patite B sans qu il y ait lieu de r aliser de dosage s rologique ult D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 25 INFOS RETENIR rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire 3 Si le taux d anticorps anti HBs est inf rieur 10 UI L la vaccination doit tre r alis e ou compl t e Un dosage des anticorps anti HBs est effectu un deux mois suivant la derni re injection 4 Si l issue du dosage mentionn au 3 le taux d anti corps anti HBs est sup rieur ou gal 10 UI L les per sonnes concern es sont consid r es comme immuni s es contre l h patite B sans qu il y ait lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire 5 Si l issue du dosage mentionn au 3 le taux d anti corps anti HBs est inf rieur 10 UI L la conduite tenir est d finie l annexe II Il 2 Les anticorps anti HBc sont d tect s dans le s rum Une d tection de l antig ne HBs et une d termination de la charge virale du virus de l h patite B sont n ces saires Il 2 1 Si le taux d anticorps anti HBs est compris entre 10 et 100 UI L en l absence simultan e d antig ne HBs et de charge virale d tectable les personnes concern es sont consid r es comme immunis es contre l h patite B Il n y a pas lieu de r aliser de dosage s rologique ult rieur ni d injection vaccinale suppl mentaire Il 2 2 Si le taux d anticorps anti
301. harge Teenage Pousser Tirer Paid d plac Travail r p titif Travail lourd cardiaque OCA Fr quence cardiaque IFEI Pasture Vibrations du corps entier Lr IPLE TII Chutes gt Objectifs 55 sit z 100 kg sur 4 roues sections techr ques min 30 1h par four d 0 05 EH Z ro pench visible Eri cas de posture prolonge 13 min die pause toutes les heure TET EZ Z ro obitacie Z ro d nivel f ro cours leiformationd tar les d placements Eva Minem INRS D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 125 PRATIQUES ET M TIERS M thode de travail Objectifs Patients ou usagers concern s Professionnels concern s Demandeurs Promoteurs Financement Pilotage du projet Recherche documentaire Auteurs de l argumentaire Participants Conflits d int r ts FICHE DESCRIPTIVE Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges Recommandations pour la pratique clinique RPC Am liorer le rep rage et l valuation des situations professionnelles exposant des manutentions manuelles de charges MMC afin de limiter et ou contr ler l exposition aux risques d atteintes rachidiennes lombaires D finir la surveillance m dicale adapt e afin de d pister et limiter les atteintes rachidiennes lom
302. hloramines de l exposition des micro organismes a rosolis s et de l hyperventilation prolong e in duite par l entrainement a t avan c e pour expliquer ce ph nom ne Lexposition aux sous produits volatils de la chloration peut ga lement jouer un r le dans la d s tabilisation d un asthme pr exis tant En 2005 Stav exposait huit volontaires souffrant d asthme persistant l ger durant 12 minutes dans un bain remous chlor 39 Les tests la m tacholine r alis s avant et apr s l exposition mon traient une augmentation signifi cative de l HRBNS e Chez les professionnels de ce secteur d activit L tat de sant respiratoire des personnels de piscines semble galement impact par l exposi tion professionnelle quotidienne aux chloramines 2 11 40 43 Les sympt mes rapport s sont princi palement rhino conjonctivaux ou respiratoires hauts mal de gorge extinction de voix toux Aucun auteur n a en revanche clairement montr ce jour un sur risque d asthme chez ces professionnels En 1994 H ry et al tudient les concentrations atmosph riques des principaux sous produits de chloration dans 7 piscines muni cipales 5 centres de loisirs aqua tiques et 1 centre de soins thermal 2 L essentiel de la pollution de l air est le fait des chloramines et plus particuli rement de la trichlora mine et para t clairement influen c e par le nombre de baigneurs l agitation des bass
303. hloro thyl ne Dossier Pr venir les allergies professionnelles des solutions existent Veille et prospective La fabrication additive un empilement de risques Fiche HST Comment estimer la dur e de vie des cartouches des appareils de protection respiratoire Et d autres articles et infos dans les nouvelles rubriques Actualit juridique Focus Normalisation Notes techniques tude de cas Congr s Formation S lection bibliographique INFOS RETENIR Arr t du 10 juillet 2013 relatif la pr vention des risques biologiques auxquels sont soumis certains travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants Journal officiel du 31 ao t 2013 pp 14799 802 La ministre des Affaires sociales et de la Sant et le ministre du Travail de l Emploi de la Formation pro fessionnelle et du Dialogue social Vu la directive 2000 54 CE du Parlement et du Conseil du 18 septembre 2000 concernant la protection des travailleurs contre les risques li s l exposition des agents biologiques au travail Vu la directive 2010 32 UE du Conseil du 10 mai 2010 portant application de l accord cadre relatif la pr vention des blessures par objets tranchants dans le sec teur hospitalier et sanitaire conclu par l HOSPEEM et la FSESP Vu le Code du travail notamment son article R 4424 11 Vu le Code de la sant publique notamment ses articles L 6111 1 L 6111 2 L 6312 1 et R 1335 1 R
304. i vre O en contexte professionnel Alors que la maladie ne s exprime que de facon sporadique chez les professionnels d levage elle se manifeste le plus souvent dans la population g n rale sous forme d pid mies de plus ou moins grande ampleur partir d une m me source infectante levages abattoirs pandages La plupart de ces pid mies humaines a t r pertori e dans le quart sud est dans les Hautes Alpes Brian on 1996 29 cas la Dr me Montoi son 2000 10 cas en Haute Savoie Chamonix 2002 126 cas et plus r cemment en Loz re Florac 2007 18 cas 4 7 proximit gale ment en Suisse une importante pid mie A415 cas a t rapport e en Valais Val de Bagnes 1983 pro voqu e par pr s de 900 moutons provenant de 12 troupeaux redes cendant des alpages 8 En milieu professionnel expos des investigations ont t men es localement dans les d partements des Alpes de Haute Provence et des Hautes Alpes Un suivi m di cal individuel a t r alis par la Mutualit sociale agricole MSA entre d cembre 2003 et mai 2004 aupr s de 515 professionnels d le vages de ruminants ovins et bo vins principalement Le d pistage d anticorps de phase tait positif pour 282 54 8 des s rums tes t s par le CNR Douze 2 3 sujets avaient une infection aigu et 10 19 96 sujets taient atteints de fi vre O chronique dont 1 sujet avec un titre d IgG
305. ication des cas rapport s de poumon des jacuzzis Glazer et al tudient la contamination de 18 jacuzzis et piscines d eau ther male en mycobact ries 47 Treize des 18 lieux de pr l vement 72 96 apparaissent contamin s par des colonies de mycobact ries non tu berculeuses MNT La d sinfection par d riv s du chlore ou du brome ainsi que le renouvellement fr quent de l eau sont associ s des taux significativement plus faibles de contamination en MNT Au cours de son enqu te men e autour de deux cas professionnels de poumon des jacuzzis Moraga McHaley a interrog 57 ouvriers de maintenance de piscine sauna et spa travaillant dans diff rentes soci t s sur les caract ristiques de leur travail notamment la fr quence d intervention sur des jacuzzis et leurs ant c dents res piratoires 31 Les employ s le plus souvent amen s nettoyer des jets et des filtres de jacuzzis dans des espaces clos rapportent plus fr quemment des sympt mes voca teurs de PHS DIAGNOSTIC EN MILIEU DE TRAVAIL DIAGNOSTIC POSITIF e Rhino conjonctivite et asthme L interrogatoire est la phase cl du diagnostic Les sympt mes rappor t s peuvent tre de simples mani festations d irritations conjoncti vales rougeur larmoiement prurit oculaire nasales ternuements r p t s rhinorrh e occlusion na sale fluctuante prurit ou pharyn golaryng es enrouement raucit dela voix
306. icient des dispositions du Code du travail en mati re de pr vention des risques professionnels depuis le d but des ann es 1980 lois Auroux Les agents de la fonction publique d tat b n ficient en principe d une visite m dicale tous les cinq ans mais les enseignants de l ducation nationale sont encore insuffisamment suivis faute de m decins de pr vention La p riodicit des visites est de trois ans pour les agents de la fonction publique territoriale et d un an pour ceux de la fonction publique hospitali re Le d cret n 2011 774 du 28 juin 2011 a r nov le dispositif d hygi ne et de s curit applicable dans les administrations de l tat et les tablissements publics administratifs dans le cadre de la mise en uvre de l accord du 20 novembre 2009 relatif l hygi ne la s curit et la pr vention m dicale dans la fonction publique Ce d cret pr voit notamment la cr ation de CHSCT 78 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 SV Encadr 2 gt L ENQU TE SUMER L enqu te SUMER dresse une cartographie des expositions des salari s aux principaux risques professionnels en France 1 Elle permet de r aliser des outils d aide au rep rage des expositions et de d finir des actions de pr vention prioritaires pour les acteurs impliqu s dans le domaine du travail et de la sant au travail Elle a t lanc e et g r e conjointement par la direction g
307. ico logie d finies l annexe IT c Lorsque l exposition est li e au radon d origine g olo gique ou r sulte de l emploi ou du stockage de mati res contenant des radionucl ides naturels par une m thode de dosim trie d finie l annexe III d Lorsque l exposition est li e aux rayonnements cos miques bords d a ronefs en vol par une m thode d valuation num rique dela dose d finie l annexe IV Lorsque cette m thode ne peut tre mise en ceuvre D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 15 INFOS RETENIR pour des raisons techniques le suivi dosim trique des travailleurs est r alis par une m thode de dosim trie passive pr vue au a Le suivi dosim trique individuel et nominatif est adap t la nature et aux conditions de l exposition ARTICLE 11 Apr s avoir rempli les conditions fix es l article 2 l employeur communique aux organismes de dosi m trie l ensemble des informations mentionn es l article 7 l exception de celles figurant aux points b et i ainsi que l ensemble des informations n cessaires la mise en place du suivi dosim trique II Lemployeur informe le travailleur concern de la nature des informations enregistr es dans SISERI et communiqu es aux organismes de dosim trie de leur finalit et de leur destination cet effet il commu nique au travailleur les coordonn es des organismes de dosim trie ainsi que celles d
308. idera dans la prise en charge 3 Partie administrative m Pr venir les diff rents respon sables concern s l employeur la PCR ainsi que le m decin du travail m En cas d v nement significatif en radioprotection ESR pr venir la division territorialement com p tente de l ASN et d clarer l inci dent 5 m En cas d urgence radiologique v nement grave contacter l ASN 0800 804 135 m En cas de d passement des valeurs limites r glementaires pr venir l inspecteur du travail si concern etle CHSCT ou d faut les d l gu s du personnel m Respecter les proc dures de d claration des accidents du travail secteur priv d claration la CPAM ou inscription pour les inci dents mineurs sur le registre des accidents b nins gt secteur public d claration l employeur en g n ral via les res sources humaines et inscription sur le registre de sant et s curit au travail m Quelles que soient la nature et la gravit de l incident il est n ces saire d en analyser les causes en vue de faire progresser la radio protection sur le site 9 RISQUES ASSOCI S Risque biologique humain cellules sang ou or ganes risque de pig re coupure ou projection lors des manipulations gt animal cellules sang ou organes gt OGM Risque chimique utilisation si multan e de solvants de cytosta tiques de substances CMR m Produits cryog nique
309. ien reste la charge du salari Concernant les repas les salari s se soucient davantage de leur hy giene alimentaire ils ne sont plus que 11 s en d sint resser contre 60 6 en 2008 et les repas type fast food sont en r gression Le transport et la circulation sur les chantiers restent probl matique puisque 40 des entreprises n or ganisent pas le transport de leurs salari s sur chantier et dans 27 des cas aucun emplacement pour le stationnement de leur v hicule n est pr vu Ces r sultats montrent que l cart se creuse entre les petits et les grands chantiers Par ailleurs un probl me r current demeure o installer les bases vie sur le domaine public en particulier en centre ville DUCATION ET PR VENTION DES MOYENS PRIVIL GI S POUR VITER LES PATHOLOGIES CUTAN ES Les diff rents intervenants ont rap pel la primaut qui doit tre accor d e chaque fois que possible la pr vention collective La suppres sion de l agent causal permet la gu rison d finitive mais cela vaut pourles cas o une cause unique et pr cise a t identifi e Comme l a soulign C G raut GER DA Nantes dans la majorit des cas l origine de la dermatose est multifactorielle facteurs d agres sion cutan e gestes professionnels n fastes m thodes de nettoyage des mains Il faudra alors agir sur tous ces l ments Ainsi il pr ne la r daction d ordonnances de pr vention
310. ient au syst me d information de la surveillance de l exposition aux rayonnements io nisants SISERI g r par l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire les modalit s et les conditions de mise en ceuvre du sui vi dosim trique individuel des travailleurs expos s un risque d aux rayonnements ionisants r sultant d activi t s nucl aires vis es au 1 de l article R 4451 1 du Code du travail ou de la radioactivit naturelle mentionn e aux articles R 4451 131 et suivant du m me Code les d lais les fr quences et les moyens mat riels mis en ceuvre relatifs l acc s aux informations relatives au suivi dosim trique individuel recueillies et la transmis sion de celles ci au SISERI pour l ex cution de ses missions en application de l article R 4451 125 du Code du travail Cet arr t entre en vigueur le 1 juillet 2014 cette date l arr t du 30 d cembre 2004 relatif la carte indivi duelle de suivi m dical et aux informations individuelles de dosim trie des travailleurs expos s aux rayonne ments ionisants sera abrog Par ailleurs avant le 1 juillet 2016 les employeurs de vront mettre jour les informations relatives aux tra vailleurs expos s b n ficiant d un suivi radiologique EXPLOSION D cret n 2013 973 du 29 octobre 2013 relatif la pr vention des risques particuliers auxquels les travail leurs sont expos s lors d activit s pyrotechniques Minist re char
311. ieu nucl aire pour 15 5 des salari s et une g ne pour le travail en g n ral pour 15 6 des salari s Ces pathologies g nantes pour le travail en milieu nucl aire sont en rapport avec les conditions de tra vail pour 9o salari s 10 6 96 Tableau III VFigure2 R partition de l indice de masse corporelle selon les classes de l Organisation mondiale de la sant Maigreur Ob sit Normal Surpoids gt PATHOLOGIES RECENS ES PAR LE M DECIN DU TRAVAIL EN Pathologies Trait e Total Pee Cardiovasculaire Rhumatologique H pato gastro ent rologique Dermatologique Pneumologique Allergologique Oto rhino laryngologique H matologique Ophtalmologique Oncologique Dentaire Gyn cologique 9 7 212 11 9 6 9 4 6 11 5 2 3 0 6 2 9 1 5 0 2 1 7 12 0 2 14 1 3 0 1 1 4 0 7 0 5 1 2 0 7 0 2 0 9 0 6 0 6 0 4 0 4 0 1 0 1 0 1 0 1 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 43 Vie sant de la sous traitan CROISEMENTS ENTRE LES CARACT RISTIQUES M DICO PROFESSIONNELLES LES FEMMES Les 39 femmes 5 incluses dans l tude sont plus jeunes que les hommes 314 ans vs 39 8 ans Leur anciennet professionnelle moyenne est moins importante 5 ans vs 12 6 ans Elles occupent plus fr quemment des emplois de cadres 53 8 vs 29 5 96 Sur les autres param tres professionnels il n a pas t retrouv de diff rence signific
312. iff rentes 2 phase valuation des expositions Une centaine d agents sont recherch s ainsi qu un nombre quiva lent de t moins Les t moins devront travailler dans la m me entreprise mais ne pas manipuler de tickets Dans cette phase d tude seules les urines des deux derni res heures de travail seront r cup r es Dans tous les cas un questionnaire court sera rempli en fin de journ e par les participants les tickets seront ana lys s pour v rifier la pr sence de bisph nol Des agents INRS viendront sur place r cup rer les urines qui doivent tre congel es imm diatement Personnels recherch s Agents de caisse Personnels en contact fr quent avec des papiers ther mosensibles tickets de cartes bancaires r sultats d exa mens m dicaux changement des rouleaux de tickets de cartes bancaires Responsables d tude contacter Sophie Ndaw Alain Robert D partement Polluants et sant laboratoire Surveillance biologique de l exposition aux substances organiques INRS Vandoeuvre T l 03 83 50 85 13 sophie ndaw inrs fr alain robert inrs fr Dominique Lafon D partement tudes et assistance m dicales chef du projet Bisph nol A INRS Paris T l 01 40 443127 dominique lafon inrs fr 32 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PARTICIPEZ LA RECHERCHE SR Reprise de travail apr s arr t maladie pour syndrome d pressif es patients en arr t
313. iligente alors une enqu te avec le concours de l employeur et de la per sonne comp tente en radioprotection Il informe SISERI et l organisme de dosim trie du d clenchement d une enqu te et des conclusions de celle ci III Sans pr judice des dispositions pr vues l alin a pr c dent en cas de r sultat jug anormal le m decin du travail diligente une enqu te avec le concours de la personne comp tente en radioprotection et informe SISERI et l organisme de dosim trie des conclusions de celle ci TITRE IlI MODALIT S ET CONDITIONS DE MISE EN CEUVRE DU SUIVI DOSIM TRIQUE INDIVIDUEL OP RATIONNEL ARTICLE 20 Conform ment l article R 4451 67 le suivi individuel par dosim trie op rationnelle destin optimiser le poste de travail est mis en ceuvre par la personne com p tente en radioprotection sous la responsabilit de l employeur et dans les conditions pr vues l annexe pour chaque travailleur expos ARTICLE 21 I La personne comp tente en radioprotection d si gn e par l employeur exploite les r sultats des dosi m tres op rationnels des travailleurs et transmet SISERI au moins hebdomadairement tous les r sultats individuels de la dosim trie op rationnelle II Lorsqu un accord pr vu l article R 4451 8 est conclu entre le chef de l entreprise utilisatrice et le chef d une entreprise ext rieure ou des travailleurs non sa lari s la personne comp tente en radioprotec
314. illeur 3 2 Modalit s de port Le dosim tre op rationnel est individuel et identifi au porteur Il est port sous les quipements de protection individuelle lorsque ceux ci sont mis en uvre Lergonomie du dosim tre doit tre telle qu il occa sionne une g ne minimale au travailleur 3 3 Traitement de donn es Les r sultats de la dosim trie op rationnelle recue lors de toute op ration sont enregistr s nominativement chaque sortie de zone des travailleurs 3 4 Expression des r sultats Les r sultats individuels et nominatifs sont exprim s conform ment aux dispositions prises en application de l article R 4451 16 du Code du travail en mSv dans la grandeur op rationnelle appropri e Hp 10 Hp 3 ou Hp 0 07 La plus petite dose non nulle enregistr e pour les photons et les rayonnements b ta ne peut tre sup rieure 0 01 mSv et le pas d enregistrement ne peut tre sup rieur 0 001 MSV Pour les rayonne ments neutroniques la plus petite dose non nulle en registr e ne peut tre sup rieure 0 02 mSv et le pas d enregistrement ne peut tre sup rieur 0 005 mSv ANNEXE IV 4 Dosim trie pourle suivi de l exposition profession nelle la radioactivit naturelle 4 1 Exposition r sultant de l emploi ou du stockage de mati res contenant des radionucl ides naturels ou au radon d origine g ologique Lorsque les mesures de pr vention des risques men tionn es aux articles R 4451 131
315. illeurs et montrent que les professionnels du b timent ne sont pas tou jours conscients du risque 40 6 des individus expo s s pensaient ne jamais avoir t en contact avec des fibres d amiante Les professionnels intervenant dans des b timents ou sur des quipements anciens sont susceptibles d inhaler des fibres d amiante Pr s d un million de travailleurs dans le secteur du b timent seraient concern s par ce risque Pour les m tiers dont l acti vit n est pas directement li e l amiante lectricien plombier couvreur les expositions ce polluant sont occasionnelles et souvent fortuites L objectif de l tude tait de qualifier un nouveau moyen de pr l vement dont la mise en ceuvre est plus simple qu un dispositif de pr l vement conventionnel et particu li rement adapt a un pr l vement sur une longue p riode Cette m thode tr s innovante n avait t exp riment e qu une seule fois en Angleterre aupa ravant L tude a n cessit des travaux de validation avant d effectuer la campagne de mesure Elle n avait pas pour objet de contr ler le respect de la r glemen tation et ne fournit donc aucune indication ce sujet L INRS valu les performances d un dispositif de pr l vement utilisant un badge passif en le faisant porter par une population de salari s potentielle ment expos s les plombiers chauffagistes Ce badge qui collecte les fibres par attraction lectrostatique est au
316. ils uri naires seront r alis s en d but et fin de poste par une quipe de l INRS aupr s de salari s potentiel lement expos s plusieurs COVs Les chantillons pr lev s seront conditionn s et congel s sur place par l quipe de l INRS puis analys s plus tard au laboratoire Secteurs recherch s Tout secteur industriel exposant potentiellement ses salari s au moins deux COVS par exemple les industries des mati res plastiques fabrication et transformation Responsable d tude contacter Amandine Erb T l 0383508511 amandine erb inrs fr Laboratoire de surveillance biologique des expositions aux substances organiques SBSO D partement Polluants et Sant INRS rue du Morvan CS 60027 54519 Vand uvre les Nancy Cedex N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PARTICIPEZ LA RECHERCHE D valuer la fatigue auditive au terme d une journ e de travail ilon sait que le bruit est nocif pour l audi tion des substances chimiques commeles solvants aromatiques peuvent galement avoir un impact sur le r cepteur auditif et les centres nerveux qui pilotent les r flexes de l oreille moyenne stap dien et interne olivo cochl aire EchoScan Audio est un proc d qui repose sur la mesure d oto mis sions sons mis par l oreille et plus particuli re ment sur les produits de distorsion acoustique 2f1 f2 dans une oreille associ e une stimulation contro
317. iment de manque de reconnaissance de la soci t pour ces activit s Dans le m tier de ma con la prise de risque n est pas une valeur constitutive de la profession Ces constatations am nent quel ques pistes de r flexion le rapport des salari s leur san t en fonction de l ge Les jeunes semblent plus tre attentifs et s conomiser un peu plus Les pra tiques vis vis de l hygi ne de vie en g n ral changent e la culture des quipes le r le des chefs d quipe et des chefs de chantier Le rappel des r gles de pr vention doit leur tre fait au sein m me de l quipe entre les ouvriers eux m mes les chefs d quipe et de chantier Ces r gles doivent aussi tre inculqu es aux apprentis et jeunes ouvriers d s le d but de leur carri re afin qu elles deviennent naturelles et soient int gr es au process de travail 9 la variabilit des quipes pour des raisons de production pose la question des effets de ruisselle ment notamment pour l hygi ne les EPI la formation Il serait int ressant de d velopper des tudes avec d autres m tiers du b timent Les diff rences significa tives de conduites entre jeunes et anciens m ritent d tre explor es afi de mieux cerner la nature et le sens des conduites des jeunes L image et la valorisation du m tier influent sur l image de soi et sur la propension prendre des risques Il faut valoriser la mutation de ce sec teur pro
318. in 75240 Paris Cedex 05 travail GIS EVREST c o ISTNF 235 questions partir de points 2013 315 p avenue dela recherche CS 50086 de vue compl mentaires et 59373 Loos cedex 2013 125 p pluridisciplinaires evrest alamarge org Octar s ditions 24 rue Nazareth RIOUX L d LE ROY J d 31000 Toulouse 2013 207 p RUBENS L d LE CONTE J d et al n Le confort au travail Que KARSENTY L d BARCELLINI F nous apprend la psychologie BONNIN D CHABAUD C et al BENOUMEUR J environnementale La confiance au travail La pluridisciplinarit en sant Collection Ressources humaines Collection Le travail en d bats travail Freins et leviers comportement au travail et Hors s rie Logiques sociales pratiques innovantes Cet ouvrage collectif s int resse Fruit d une minutieuse recherche Passer d un environnement de la notion de confiance au travail men e en Haute Normandie cet travail viable un environnement en cherchant r pondre 3 ouvrage se pr sente comme un de travail confortable qui questions principales comment outil d aide la compr hension g n re satisfaction et bien d finir et penser la confiance au des multiples formes de tre mais aussi performance travail comment comprendre coop ration et ou de concurrence productivit est un enjeu sonimportance etcommentagir qu entretiennent les membres majeur pour les entreprises Cet pour favoriser son d veloppement du large ven
319. inaires M Favaro et J Marc INRS en ont d velopp une premi re dans une entreprise de transport en commun mar qu e par des probl mes de vio lences et d isolement M Lapoire Chasset INRS en a exp rimen t une seconde dans un groupe in dustriel lui aussi marqu par des conflits violents V Zara Meylan Centre de recherche sur rience l ge et les populations au travail CREAPT Centre d tudes de l emploi CEE en a concu une autre dans l horticulture La force de cette derni re exp rimenta tion a t d amener les diff ren tes parties se concentrer sur les configurations les plus redout es les situations de forte tension au printemps quand il faut la fois suivre le rythme des ventes et porter la plus grande attention aux plantes pour ouvrir des pos sibles d ployer une gestion active et prospective des situations La transformation de l organisa tion se fait aussi avec une multi tude d acteurs qui interviennent pour r former le travail agir sur ses conditions et lutter contre la souffrance au travail et qui repr sentent les directions les travail leurs les pouvoirs publics ou se situent en position d experts les organisations d employeurs les di rections des ressources humaines les syndicats les inspecteurs du travail les m decins du travail les IPRP Intervenants en pr vention des risques professionnels les cabinets conseil les CHSCT Comi t s
320. incipales patholo gies vert brales s exprimant ini tialement par une lombalgie dite secondaire et potentiellement graves sont les fractures vert brales les tumeurs rachidiennes les infections et les maladies in flammatoires La phase de tri diagnostique s applique le plus souvent en soins primaires mais galement en m decine du travail cette fin l analyse de la litt rature permet d identifier une s rie de signes de gravit m dicale drapeaux rouges annexe 83 signes de probabilit d une cause organique sous jacente la lombalgie pou vant justifier des explorations compl mentaires N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Il est recommand que le tra vailleur lombalgique symp tomatique b n ficie d une consultation par le m decin du travail Cet examen m dical aura les ob jectifs m dico professionnels sui vants Sur le plan clinique Dans le cadre de l interroga toire des travailleurs lombal giques il est recommand de 1 Situer l pisode lombalgique actuel dans l histoire m dicale 2 Rechercher une cause sp cifique sous jacente la lom balgie grade A en gardant l esprit que les lombalgies se condaires une tiologie sp cifique sont rares 3 Au stade aigu comme aux stades subaigu et chronique de la lombalgie rechercher l interrogatoire les signes de gravit m dicale drapeaux rouges grade A ann
321. ines dans les atmosph res des halls de piscines Note documentaire ND 1963 Cah Notes Doc 1994 156 285 92 3 Guidelines for safe recreational water environments Volume 2 Swimming pools and similar environments WHO 2006 http whglibdoc who int 4 CHU TS CHENG SF Wana GS Tsar SW Occupational exposures of airborne trichloramine at indoor swimming pools in Taipei Sci Total Environ 2013 461 462 317 22 5 Parkar J Donz G Isgu C PERRET D ET AL Assessment of occupational and public exposure to trichloramine in Swiss indoor swimming pools a proposal for an occupational exposure limit Ann Occup Hyg 2012 56 3 264 77 6 Risques sanitaires li s aux piscines valuation des risques sanitaires li s aux piscines Partie 1 piscines r glement es Avis de l AFSSET Rapport d expertise collective Maisons Alfort AFSSET 2010 244 p 7 GacNaiRE S P HzcHr ET AL Comparison of the sensory irritation response in mice to chlorine and nitrogen trichloride J Appl Toxicol 1994 14 6 405 09 8 RosENBERG N Syndrome de Brooks Asthmes induits par les irritants Allergologie pneumologie professionnelle TR 25 Doc M d Trav 2000 82 153 58 9 CARBONNELLE S FRANCAUX M I DUMONT X ET AL Changes in serum pneumoproteins caused by short term exposures to nitrogen trichloride in indoor chlorinated swimming pools Biomarkers 2002 7
322. ins jets d eau toboggans bains remous la temp rature de l eau et l efficacit du syst me de ventilation et de renouvellement de l air En interro geant les employ s de ces tablis sements sur leur tat de sant et en corr lant leur r ponse aux mesures atmosph riques r alis es les au teurs proposent une valeur limite de confort de 0 5 mg m en dessous de laquelle aucun sympt me irrita tif n est rapport Cette valeur a plus tard t reprise par l OMS dans ses recommanda tions concernant la s curit sani taire des piscines et centres de loi sirs aquatiques 3 D autres tudes observationnelles transversales ont depuis objectiv un sur risque d irritation ORL et respiratoire chez les personnels expos s de facon habituelle des concentrations de trichloramine encore plus faibles de l ordre de 0 2 03 mg m 4 5 En 1998 Massin et al tudient la sant respiratoire de 334 maitres nageurs de 46 piscines publiques et 17 centres de loisirs aquatiques partir de questionnaires de symp t mes et de tests de provocation bronchique la m thacholine 40 Des mesures atmosph riques r alis es dans chaque tablisse ment montrent une concentration plus forte de trichloramine dans les centres de loisirs o les bassins sont habituellement plus chauds et plus agit s Les irritations des yeux du nez et de la gorge sont significativement plus fr quentes chez les employ s des structu
323. inscrit dans une d marche de pr vention des risques professionnels Lobjectif de cette brochure est de pr senter la m thode de l arbre des causes qui permet de rechercher de fa on structur e les facteurs ayant contribu l accident d en com prendre le sc nario et de proposer des actions de pr vention Cette brochure s adresse toute personne ayant en charge des ques tions de sant et s curit au travail dans l entreprise Ames R f INRS ED 6163 24 p Entreprises artisanales du b timent Comment pr venir les risques professionnels Lobjectif de ce guide est de donner au chef d entreprise artisanale du b timent les cl s pour comprendre et mettre en ceuvre une d marche de pr vention des risques adapt e son entreprise Les r ponses aux questions les plus fr quemment pos es par les artisans du b ti ment s y trouvent Ce guide sera compl t par une col lection de d pliants qui apportent de mani re illustr e des infor mations pratiques et sp cifiques 28 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 chaque m tier du b timent macons carreleurs charpentiers couvreurs menuisiers plombiers chauffagistes lectriciens Un premier d pliant Mon m tier ma on est d j disponible sous la r f rence ED 6119 cm R f INRS ED 6157 38 p Travaux en terrain amiantif re Op rations de g nie
324. insi des fr quences mentionn es par les m decins du travail Concernant l intervention d experts ext rieurs les deux sources donnent globalement des r sultats proches m me si REPONSE signale davantage d interventions dans les petits tablissements et SUMER dans les grands gt COMPARAISON DES VALUATIONS FOURNIES PAR DEUX SOURCES SUMER 2010 ET REPONSE 2010 en 96 Taille de l tablissement CHSCT 2010 2010 direction du personnel Moins de 20 salari s 8 15 65 46 28 20 49 salari s 16 23 71 54 41 50 99 salari s 61 64 84 64 61 100 199 salari s 83 84 86 71 70 200 499 salari s 94 89 90 76 76 500 salari s ou plus 97 96 92 77 86 Ensemble 59 61 81 67 61 CHSCT REPONSE SUMER Document d valuation REPONSE repr sentant Document REPONSE tablissements o un repr sentant du personnel a t interrog La somme des r ponses oui et ne sait pas fournit une valeur maximum pour la fr quence concern e Champ tablissements de plus de 10 salari s Sources enqu te SUMER 2010 et enqu te REPONSE 2010 2011 Doc d valuation SUMER Expert ext rieur SUMER Expert oui nsp OS oui 78 23 11 30 82 30 21 38 88 36 34 51 90 35 46 62 92 40 55 70 98 54 68 77 87 36 39 55 ceux ci appartiennent en g n ral des entreprises de plus grande taille S agissant d une instance ma nant
325. ion chronologique est moins fr quente dans les cas d hypersen sibilit non IgE m di e et n est pas montr e lorsque le m canisme est purement irritatif 49 Le faible nombre de cas d asthme profes sionnel rapport s au regard de la fr quence des sympt mes ocu laires et ORL attribu s principale ment l exposition la trichlora mine dans ce milieu professionnel est en accord avec ces observations e Pneumopathie d hyper sensibilit PHS Les cas de PHS professionnelle dans ce type d environnement semblent pr f rentiellement survenir de facon pid mique chez des per sonnes r guli rement expos es l a rosolisation d eau chaude en milieu confin ou mal ventil La survenue d une PHS n cessite une exposition chronique une source antig nique sp cifique allant de quelques jours plusieurs mois n cessaire la sensibilisation du sujet La forme aigu de la mala die se caract rise cliniquement par l apparition quelques heures seulement apr s l exposition anti g nique d un syndrome pseu do grippal f brile accompagn de toux et de dyspn e D autres sympt mes tels que des c phal es des douleurs articulaires ou mus culaires des douleurs thoraciques ou une photophobie peuvent tre pr sents auscultation pul monaire les r les cr pitants sont constants La radiographie pulmo naire est souvent normale lors des premiers pisodes Les sympt mes s amendent en quelques heure
326. ions de travail ont justement des condi tions de vie et de travail qui cr ent des difficult s pour acc der aux soins Ces difficult s sont qualifi es de pathog nes dans le rapport de la commission Vrousos 26 qui constate que les conditions de travail et de vie tels les horaires atypiques ou l loignement des structures de soins rendent plus N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 difficiles l acc s aux soins et donc la prise en charge de leur sant par les salari s Dans l tude pr sente 36 des salari s sont dans cette situation Ces r sultats 42 8 de salari s ont une pathologie m dicalement identifi e 35 d entre elles sont une source de g ne pour le travailet 10 6 des salari s ont une patho logie en lien avecles conditions de travail confirment le constat par les m decins d un tat de sant alt r de certains salari s Il est noter en particulier que parmi les pathologies d pist es les plus fr quentes les pathologies m tabo liques la moiti d entre elles n est pas encore trait e La question de lobservance th rapeutique est complexe surtout pour des patho logies silencieuses Cela est aussi rapprocher d un autre r sultat de l tude qui identifie des difficult s d acc s aux soins pour plus d un tiers des salari s difficult s possi blement induites par cette organi sation du travail et influencant la prise en charge th ra
327. iplinaire de sant au travail doit promouvoir la mise en place par l entreprise de strat gies de pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travailleurs en arr t de travail Ces interventions de pr vention doivent comporter plusieurs volets une coordination pr coce des prises en charge m dicale et socio professionnelle une intervention ciblant le travailleur programme de r adap tation fonctionnelle incluant un reconditionnement physique intensif un accompagnement et un retour pr coce progressif et programm au travail une intervention sur l organisation du travail le contenu des t ches et les conditions de travail visant supprimer ou r duire l exposition aux facteurs de risques lombaires et augmenter les marges de manceuvre des travailleurs 1 Articles R 4541 1 4541 11 du Code du travail 2 Article R 4541 2 du Code du travail D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 129 PRATIQUES ET M TIERS BIBLIOGRAPHIE 1 NOUYRIGAT E Laurence M laboration de recommandations de bonne pratique Recommandations pour la pratique clinique Guide m thodologique Saint Denis la Plaine HAS 2010 24 p 2 Froury MC RouxeL C Vinck MaGauD CaMus I La manutention manuelle de charges la m canisation n a pas tout r gl Prem Inf Prem Synth 2006 11 3 1 7 3 Pr vention des risques li s aux manutentions manuelles Supprimer les m
328. ire en raison de l intensit dela douleur il ne doit pas exc der un ou deux jours car il peut favori ser la chronicit et ralentir la r cu p ration fonctionnelle Pour les travailleurs lombal giques expos s aux manipula tions manuelles de charges il est recommand de 1 D livrer une information concernant le risque lombaire grade B et la lombalgie car elle am liore leurs connaissances et fait voluer positivement leurs repr sentations peurs et croyances et leurs compor tements inadapt s vitement du mouvement li s la lom balgie 98 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 2 Expliquer et d dramatiser les ventuels termes m dicaux et techniques compte tenu de l absence de parall lisme ana tomoclinique en cas de lombal gie commune 3 D livrer une information ras surante quant au pronostic 4 Encourager la poursuite ou la reprise des activit s phy siques et si possible du travail en tenant compte des caract ristiques de la situation de tra vail et des possibilit s d am nagement du poste de travail grade A 5 Accompagner l information d un support crit conforme aux pr conisations actuelles par exemple le Guide du dos annexe 7 grade A 6 S assurer de la compr hen sion par le travailleur des mes sages essentiels 7 Renouveler l information et la sensibilisation sur les principes g n raux de pr vention des
329. ises un travail p nible se raient en moins bonne sant et au raient un arr t plus pr coce de leur vie professionnelle 27 Compte tenu des conditions de travail de vie d anciennet et d avanc e en 8ge des salari s ces r sultats atten dus sont possiblement sous esti m s par l effet travailleur sain La comparaison entre les facteurs significativement associ s aux pathologies en rapport avec le tra vail et ceux associ s aux patho logies en rapport avec le travail et g nantes pour le travail en secteur nucl aire met en vidence la per sistance des probl mes de sant diagnostiqu s par le m decin du travail rnumatologiques m tabo liques surpoids et du v cu de sa sant globale par le salari juger mauvais son tat de sant Appa rait l association entre se sentir anxieux tendu ou d prim et avoir des pathologies en rapport avec le travail et g nantes pour le travail Le facteur ge salari s g s de 5o ans et plus disparait Ne pas pouvoir rentrer chez soi tous les soirs et estimer son temps de repos quotidien insuffisant ap paraissent Cela met en vidence d une part la relation possible entre l examen m dical et l avis du salari sur sa sant dans son contexte de travail et de vie qui en d coule et d autre part le poids des conditions de travail par rap port au facteur ge sur l existence de pathologies li es au travail et g
330. istique p va lue tait inf rieur o 20 n a pas t possible le mod le ne conver geant pas Les mod les taient convergents apr s inclusion des seules variables dont la p value tait inf rieure 0 10 en analyse univari e Lorsque la typologie de l levage le statut s rologique ou le statut excr toire de l levage ont t in clus de mani re forc e car les p values taient tr s sup rieures 040 les mod les ne fonction naient pas Une proc dure descendante a ensuite t r alis e en liminant une une les variables les moins significatives jusqu ce que le mod le ne contienne plus que des variables significatives au seuil de 5 76 R SULTATS DESCRIPTION DE L CHANTILLON Lenqu te s est d roul e entre le 28 avril 2010 et le 7 septembre 2010 dans 59 levages dont 30 avaient particip des investiga tions s rologiques et d excr tion entre 2006 et 2009 Au total 133 sujets ont t interro g s dont 7 ont t exclus de l ana lyse 6 sujets sans questionnaire ou sans pr l vement et 1 sujet g de moins de 14 ans Le taux de participation des sujets par le vage a t en moyenne de 82 9 Le nombre de participants par le vage variait de 1 8 m diane 2 Parmi les 126 sujets retenus pour l tude 71 taient r partis dans le d partement 1 et 55 dans le d par tement 2 Il y avait 69 hommes et 57 femmes g s en moyenne de 43 8 a
331. ition annuelle sp cifique de chaque travailleur 1 Dose efficace engag e par unit d incorporation 2 Diam tre a rodynamique m dian en activit 1 Description du ou des protocoles 2 Caract ristiques de la source Radionucl ide A xBpenocdesmphysiquerm Les valeurs d activit s prises en compte dans l tude doivent tre choisies comme raisonnablement p na lisantes gt Donn es sur la source fiches de donn es de s curit Donn es sur le radionucl ide Fiches radionucl ides INRS IRSN 355 9oSr 5 Am Guide pratique Radionucl ides amp Radioprotection Delacroix et al EDP Sciences 2006 2 dition Arr t du 1 septembre 2003 d finissant les modalit s de calcul des doses efficaces et des doses quivalentes r sultant de l exposition des personnes aux rayonnements ionisants tableau 3 1 tables de DPUI Pour les DPUI inhalation par d faut prendre le DPUI inhalation pour des particules de 5 um et pour l absorption pulmonaire la plus appropri e tableau 3 3 3 Moyens de protection et de contr le mis en ceuvre quipements de protection collective Sorbonne boite gants crans fixes ou mobiles quipements de protection individuelle V tements de protection blouses gants Lunettes antiprojection Lunettes ou visi re de protection radiologique Pinces longues Moyen
332. itue plus en soi une chelle ce qui affaiblit la pr cision dela mesure L adaptation fran aise du COPSOO r alis e par Dupret et al 2012 a et b n est pas l exact transposition des versions sources danoise et anglaise Le nombre d items par chelle et les chelles elles m mes peuvent diff rer ce qui am ne prendre des pr cautions si l on souhaite tablir des comparaisons internationales Les regroupements par domaine ne sont pas strictement identiques d une version linguistique l autre Il est plus prudent de consid rer les chelles directement Dans les versions francaises le do maine intitul v cu professionnel refl te assez mal son contenu sens du travail engagement dans l entre prise satisfaction au travail le do maine sant et bien tre m le la fois des mesures de sant de stress et d puisement professionnel et des mesures de facteurs de risques psychosociaux exigences motion nelles conflit famille travail Observations particuli res La V3 francaise du COPSOQ couvre les domaines concernant l environ nement de travail identifi s par le coll ge d expertise pour le suivi des risques psychosociaux intensit et temps de travail exigences mo tionnelles autonomie et marge de man uvre rapports sociaux et rela tions de travail conflits de valeur ins curit socio conomique Gollac et Bodier 2011 Les diff rences minimales impor tantes co
333. ivit dangereuse apr s la prise d un ou plusieurs verres doit tenir compte de ce d lai Sur le plan r glementaire l article L 3353 4 du Code de la sant publique dispose que le fait de faire boire jusqu l ivresse un mineur est puni d une amende de 7 500 euros ou plus Quel que soit de l apprenti l article 6223 1 du Code du travail dispose que toute entreprise peut engager un apprenti si l employeur d clare l autorit administrative prendre les mesures n cessaires l organisation de l apprentissage et s il garantit que l quipement de l entreprise les techniques utilis es les conditions de travail de sant et de s curit les comp tences professionnelles et p dagogiques ainsi que la moralit des personnes qui sont responsables de 190 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 la formation sont de nature permettre une formation satisfaisante De m me l article 6225 4 pr voit la suspension du contrat d apprentissage en cas de risque s rieux d atteinte la sant ou l int grit phy sique ou morale de l apprenti Au total la pr vention de la consommation d alcool par l apprenti est n cessaire La sensibilisation ou l information du maitre d apprentissage et de l en semble des salari s de l entreprise peut s appuyer sur les l ments abord s ci dessus Cette action peut s int grer dans une d marche de pr vention col lective dont la brochur
334. iwpr DA Man CJ LoiseL ET AL Early patient screening and intervention to address individual level occupational factors blue flags in back disability J Occup Rehab 2009 19 1 64 80 19 BERQUIN A Predicting chronicity in acute back pain Validation of a French translation of the rebro Musculoskeletal Pain Screening Ouestionnaire Ann Phys Rehabil Med 2012 55 4 263 78 20 Coste J Le Parc JM BERGE E DELECOUILLERIE G ET AL Validation francaise d une chelle d incapacit fonctionnelle pour l valuation des lombalgies EIFEL Rev Rhum Ed Fr 1993 60 5 335 41 21 Marty M BIOTMAN Avouac B ROZENBERG S ET AL Validation of the French version ofthe Dallas Pain Questionnaire in chronic low back pain patients Rev Rhum Engl Ed 1998 65 2 126 34 22 CHAoRY Rannou LEF VRE CoLAU MM Validation of the French version ofthe fear avoidance belief questionnaire Spine Phila Pa 1976 2004 29 8 908 13 23 D marche pr coce d insertion socioprofessionnelle en tablissements de soins de suite et de r adaptation sp cialis s relevant des champs de comp tences de la m decine physique et de r adaptation HAS 2011 www has sante fr portail jcms c 1096505 fr label de la has demarche precoce dinsertion socioprofessionnelle en etablissements de soins de suite et de readaptation specialises relevant des champ
335. jour cigarette s 32 En moyenne combien buvez vous de verre d alcool par jour vin ap ritifs digestifs bi res verre s 33 Pratiquez vous habituellement une activit sportive Oui Non 34 Vous sentez vous fatigu 2 Jamais 1 Occasionnellement 1 Souvent Toujours 35 Avez vous des troubles du sommeil 1 Jamais 1 Occasionnellement Souvent 1 Toujours 36 Vous sentez vous anxieux tendu ou d prim 1 Jamais 1 Occasionnellement L1 Souvent 2 Toujours 37 Globalement comment jugez vous votre tat de sant 1 Mauvais Tr s bon Tr s mauvais 1 Bon 38 Vos conditions de travail et de vie vous permettent elles d acc der sans difficult aux soins m decins dentistes examens Oui 4 Non 39 Aimeriez vous changer de travail Oui 2 Non 39 1 si oui pour quelle raisons 2 D placements 2 P nibilit du travail 2 Raisons familiales 2 Raisons financi res 2 Raisons de sant 2 Autres 40 Si vous exercez votre activit en secteur nucl aire et hors secteur nucl aire vous parait elle 2 Plus p nible en secteur nucl aire 2 Plus p nible hors secteur nucl aire 2 Pas plus p nible en secteur nucl aire que hors secteur nucl aire 2 Ne sait pas 2 Non concern PARTIE REMPLIR PAR LE M DECIN DU TRAVAIL 41 Taille 42 Poids Kg 43 Existence d une pathologie L1 Oui pr cisez 1 Non 43 1 tio
336. jour des valeurs limites de r f rence adopt es par l ACGIH American Conference of Governmental Industrial Hygienists 1 Substances chimiques liste de valeurs limites dans l air concentrations moyennes pond r es TWA valeurs limites d exposition de courte dur e STEL et avis de proposition de modification de valeurs En annexe classification des substances canc rog nes substances composition variable m langes et particules 2 Indices biologiques d exposition 3 Agents physiques ultrasons froid vibrations chaleur rayonnement visible et infrarouge bruit continu impulsif radiofr quences et micro ondes champs magn tiques et lectriques rayonnement ultraviolet Autres agents physiques en cours d tude 4 Polluants biologiques en suspension dans l air American Conference of Govermental Industrial Hygienists ACGIH 1330 Kemper Meadow Drive Cincinnati Ohio 45240 4148 tats Unis 2013 240 p N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 7 FONTAINE B d y contribuer En effet pour les Traduction de la liste des auteurs de ce livre la notion de valuations faites par le Centre bien tre au travail demeure international de recherche sur le insuffisante pour r pondre aux cancer groupe 1 2A 2B surles attentes des
337. l TC 134 Doc M d Trav 2011 125 23 35 pr sente cette s rie et propose au pr venteur une aide pour choisir l outil d valuation le mieux adapt Noms des auteurs Kristensen TS Borg V Hannerz Objectifs valuation des facteurs psychoso ciaux de l environnement de travail conditions de travail de la sant physique et mentale du bien tre Ann e de premi re publication 2002 pour la version danoise 2005 pour la version anglaise Cadre d finition mod le Questionnaire qui s appuie sur dif f rents mod les de l environnement psychosocial du travail notamment celui de la Demande Autonomie au travail Karasek et celui du burnout Maslach ainsi que sur diff rentes dimensions au niveau de l individu sant sant percue stress puisement professionnel strat gies d adaptation face un v nement stressant satisfaction au travail Niveau d investigation Diagnostic Langue d origine Danois Traduction Le COPSOO a t traduit entre autres en anglais japonais espa gnol allemand n erlandais Il existe galement une version fran aise Dupret et al 2012 a et b Vocabulaire Pas de difficult particuli re rap port e Versions existantes e Dans sa langue originale il existe la premi re version COPSOO I d clin e en trois formats long moyen et abr g comme voulus par les auteurs Kristensen et al 2005 Il existe galement une s
338. l gique r cent survenu dans les 4 derni res semaines l examen m dical sp cifique du rachis n est pas informatif y com pris en pr sence de trouble de la statique rachidienne peut en revanche consti tuer un moment propice pour recueillir ou donner au tra vailleur des informations pr cieuses Chez les travailleurs lombalgiques P riodicit de la surveillance pour les travailleurs expos s aux MMC Pour les travailleurs lombal giques expos s aux manipula tions de charges il est recom mand 1 Que la p riodicit du suivi soit d termin e par le m decin du travail en fonction de la persistance de la lombalgie son retentissement psycho social et professionnel l valuation des risques des situations de travail 2 De v rifier que les travail leurs soient correctement in form s de la possibilit de ren contrer le m decin du travail leur demande notamment en cas de persistance et ou d aggravation de la lombalgie ou d arr t de travail gt Contenu de la surveillance pour les travailleurs expos s La premi re tape de l valuation du sujet lombalgique dite de tri diagnostique consiste s assurer du caract re non sp cifique de la lombalgie en liminant une ven tuelle cause organique de la lom balgie m connue ou susceptible de se d velopper avec le temps Ces causes organiques sont rares parmi les adultes en ge de tra vailler Les pr
339. l 2012 a Les nouvelles chelles concernant l environnement de travail de la version longue du COPSOO II sont galement capables de discriminer les individus dans le sens attendu selon leur cat gorie professionnelle Pejtersen et al 2010 a FID LIT e Fid lit test retest La fidelit test retest de la version moyenne du COPSOO II avec un intervalle m dian de 22 jours est satisfaisante pour toutes les chelles sauf une Thorsen amp Bjorner 2016 e Consistance interne Les coefficients alpha de Cronbach varient respectivement de 0 59 0 93 de 059 06 87 et de 0 68 06 81 pourla version longue moyenne et abr g e du COPSOOL Les coefficients alpha sont inf rieurs 0 70 pour 7 chelles de la version longue mais peuvent s expliquer en partie par le faible nombre d items constituant ces chelles Kristensen et al 2005 Les coefficients alpha de Cronbach varient respectivement de 0 50 0 89 pourla versionlongue du COPSOO II Pejtersen et al 2010 a La Vi fran aise du COPSOO pr sente des coefficients alpha de Cronbach compris entre 0 37 et 0 78 pour les chelles de l environnement de tra vail Dupret et al 2012 b La V2 fran caise du COPSOO pr sente des coef ficients alpha de Cronbach compris entre 0 57 et 0 84 pour les chelles de l environnement de travail m me ordre de grandeur que le question naire danois Les corr lations inter items au sein de chaque chelle sur l environne
340. l article R 445131 du Code du travail ou dela radioactivit naturelle mention n e aux articles R 4451 131 et suivant du m me Code 3 Les d lais les fr quences et les moyens mat riels mis en ceuvre relatifs l acc s aux informations rela tives au suivi dosim trique individuel recueillies et la transmission de celles ci SISERI pour l ex cution de ses missions en application de l article R 44513125 du Code du travail Entr e en vigueur le pr sent arr t entre en vigueur le 1 juillet 2014 R f rences le texte modifi par le pr sent arr t peut tre consult dans sa r daction issue de cette modifica tion sur le site L gifrance www legifrance gouv fr Le ministre du Travail de l Emploi de la Formation professionnelle et du Dialogue social le ministre de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t et le ministre d l gu aupr s du ministre de l cologie du D veloppement durable et de l nergie charg des Transports de la Mer et de la P che Vu le Code du travail notamment ses articles R 4451 75 4451 92 R 4451 142 et 4451 144 Vu la loi n 78 17 du 6 janvier 1978 modifi e relative l informatique aux fichiers et aux libert s Vu le d cret n 2004 1489 du 30 d cembre 2004 autori sant l utilisation par l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire du r pertoire national d identification des personnes physiques dans un traitement automa tis
341. la V3 trois chelles concernant l envi ronnement de travail conflits de r le exigences cognitives et ins curit socioprofessionnelle ont t ajout es et se retrouvent dans trois des six domaines les m mes domaines que ceux de la V2 iden tifi s par les analyses factorielles exploratoires et confirmatoires Dupret et al 2012 e Validit de structure externe convergente Les corr lations du score au niveau du domaine sant et bien tre du COPSOO francais V1 avec les scores d anxi t et d pression du questionnaire HADS et le score de stress sur une chelle visuelle analogique sont sup rieures 0 60 Dupret et al 2012 b Les m mes r sultats sont retrouv s sur la V2 Dupret et al 2012 a La validit de structure externe convergente dela V3 a galement t confirm e avec le questionnaire PSS cf fiche FRPS 4 Dupret et al 2012 a e Validit discriminante Concernant la version francaise V1 les diff rences classiques attendues entre hommes et femmes concernant les chelles relatives la sant des individus ont t retrouv es scores moins bons chez les femmes Pour les chelles relatives l environnement de travail les diff rences attendues se retrouvent en fonction de la cat gorie professionnelle Dupret et al 2012 b Il en est de m me pour la V2 19 chelles sur 21 diff rencient les individus en fonction de leur cat gorie professionnelle Dupret et a
342. la construction et de la r paration navales susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 12 octobre 2013 p 16869 210 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 POUSSI RES 9 D cret n 2013 797 du 30 ao t 2013 fixant certains compl ments et adaptations sp cifiques au Code du travail pour les mines et carri res en mati re de poussi res alv olaires Minist re charg de l Industrie Journal officiel 1 sep tembre 2013 pp 14862 14863 Conform ment aux dispositions de l article L 41114 du Code du travail ce d cret compl te et adapte les prescriptions du Code du travail relatives la sant et s curit au travail pour leur application aux travailleurs et employeurs des entreprises et des tablissements relevant des mines et des carri res En ce qui concerne l empoussi rement le d cret pr voit que la valeur maximale de concentration moyenne en poussi res alv olaires de l atmosph re inhal e par un travailleur valu e sur une p riode de huit heures 5 milligrammes par m tre cube d air selon l article 4222 10 du Code du travail s applique l ensemble des lieux de travail situ s l ext rieur Un arr t du ministre charg des Mines viendra fixer les conditions de contr le annuelde respect de cette valeur limite par un organisme accr dit o
343. lature des secteurs d activit et nomenclature des m tiers d finies pour SISERI 6 1 Nomenclature ACTIVIT S Utilisations m dicales et v t rinaires e Radiodiagnostic Radiologie conventionnelle Radiologie conventionnelle scanner Soins dentaires e M decine du travail et dispensaires Radiologie interventionnelle bloc op ratoire inclus Cardiologie Neurologie Vasculaire Autres e Radioth rapie Radioth rapie avec cobalt ou acc l rateur Radioth rapie autre protons neutrons Curieth rapie bas d bit Curieth rapie puls e ou haut d bit e M decine nucl aire Services sp cialis s en diagnostic Sans TEP Avec TEP Services mixtes th rapie diagnostic Laboratoire d analyse m dicale avec radio immunologie e Irradiation de produits sanguins e Recherche m dicale v t rinaire et pharmaceutique e M decine v t rinaire Logistique et maintenance du m dical prestataires Logistique Maintenance Autres Transport de mati res radioactives e Nucl aire M dical Sources usages divers industriel etc Usages industriels et de services hors entreprises de transport Contr les utilisant des sources de rayonnements Utilisation de gammagraphes et g n rateurs X Utilisation de gammagraphes et g n rateurs X fixes Utilisation de gammagraphes et g n rateurs X mobiles Utilisation de gammagraphes et g n rateurs X fixes et mobiles D tection de plom
344. lev dosim trique avec les doses efficaces et les doses quiva lentes gt l ensemble des r sultats des examens cliniques et compl men taires effectu s conserv pendant au moins 50 ans apr s la fin de la p riode d exposition potentielle gt ce dossier est communiqu sur sa demande au m decin inspec teur r gional du travail et peut tre adress avec l accord du tra vailleur au m decin choisi par celui ci gt si l tablissement vient dispa raitre ou si le travailleur change d tablissement l ensemble du dossier est transmis au m decin inspecteur r gional du travail charge pour celui ci de l adresser la demande de l int ress au m de cin du travail d sormais comp tent 5 le travailleur a acc s sa de mande aux informations conte nues dans son dossier m dical mLattestation d exposition profes sionnelle aux rayonnements ioni sants est tablie par l employeur etle m decin du travail conform ment l arr t du 28 f vrier 1995 modifi INCIDENT ET DYSFONCTIONNEMENT Prendre imm diatement les dis positions pour arr ter l exposition des personnes impliqu es et si n cessaire assurer en priorit sa prise en charge m dicale 8 2 10 Article L 1111 7 du Code de la Sant publique 11 Pris en application de l article D 461 25 du Code de la S curit sociale fixant le mod le type d attestation d exposition et les modalit s d e
345. llerait dans un tablis sement qui a mis jour un plan de pr vention Cependant pour pr s d un tiers des salari s les m decins du travail ignorent si un document d valuation des risques profes sionnels ou un plan de pr vention a t labor dans leur tablissement Ces dispositifs de pr vention formalis s ou leurs quiva lents sont plus souvent cit s dans les grands tablissements et dans la fonction publique Lorsqu ils existent la qualit de la pr vention en mati re de risques physiques chimiques et biologiques appara t meilleure L tat de sant d clar parles salari s ne semble en revanche pas corr l avec la pr sence de dispositifs formalis s de pr vention Ce texte a d j fait l objet d une publication dans Dares Anal Septembre 2013 n 55 pp 1 10 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 77 VU DU TERRAIN 1 Dans la suite du texte l expression m decin du tra vail sera utilis e pour d signer la fois les m decins dutravail du secteur priv etles m decins de pr vention des fonc tions publiques n France environ 6 ooo m decins du travail assurent le sui vi sanitaire des salari s Leur r le exclusivement pr ventif consiste viter toute alt ration de la sant des travailleurs du fait de leur tra vail Ils recoivent les salari s en visite m dicale et proc dent des actions en milieu de travail visites d ent
346. logie Trait Non trait Cardiovasculaire a M tabolique diab te a Q dyslipid mie Rhumatologique a a Psychiatrique a a Autre pr cisez 43 8 Est ce une g ne pour le travail en nucl aire Oui 2 Non 43 9 Est ce une g ne pour le travail en g n ral Oui 2 Non 43 10 Est ce en rapport avec les conditions de travail Oui 2 Non 44 Commentaires D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 63 VU DU TERRAIN Fi vre O tude de s ropr valence chez des professionnels d levage de petits ruminants dans le sud est de la France AUTEURS N E Rigaud E Rousset J L Champion M Marois T Rico Blot V Barri re Y Cosset Une tude de s ropr valence de la fi vre O chez des professionnels d levage de petits ruminants a t men e en 2010 dans les suites d investigations v t rinaires r alis es dans ces levages entre 2006 et 2009 dans deux d partements du sud est Une s ropr valence lev e a t observ e chez ces professionnels expos s Le curage des locaux et les soins aux animaux taient significativement associ s la s ropositivit des sujets Il n a pas t observ de concordance entre le statut s rologique des sujets et la typologie d infection des levages li e au niveau d excr tion tablie par une tude v t rinaire pr c dente Dans un contexte end
347. lon gement des carri res profession nelles constituent des facteurs sociod mographiques qui rendent n cessaire une surveillance m dico professionnelle accrue des travailleurs expos s aux manipu lations de charges 1 Tableaux n 98 du r gime g n ral et n 57 Bis du r gime agricole de la S curit sociale 2 Les termes manipulation de charges et manu tention de charges sont synonymes dans ce document 1 3 Justification du th me Il s agit de r pondre une pr oc cupation constante des institu tions de pr vention des risques professionnels En effet il existe une l gislation sp cifique concer nant la sant et la s curit au tra vail relative aux manutentions manuelles de charges MMC comportant des risques notam ment dorsolombaires pour les travailleurs pr vue par les articles R 454131 4541 11 du Code du tra vail CT Mais ces textes ont une port e limit e quant aux recom mandations pr cises mettre en ceuvre tant pour le rep rage et l valuation du risque que pour la surveillance m dicale par le m decin du travail Des interroga tions r sident tant dans les moda lit s de pr vention que dans les modalit s de surveillance clinique n cessaire recommand e non conseill e et d valuation du risque des situations de travail 2 OBJECTIFS DES RECOMMANDATIONS Ces recommandations ont pour but d am liorer le rep rage et l va luation des si
348. lopp es en pr sence de risques chimiques ou biologiques mais le sont un peu moins l o les sala ri s connaissent une forte p nibi lit physique et une faible autono miel 9 En pr sence de bruit intense l cart de probabilit de disposer d un document unique ou d un plan de pr vention n est pas statistiquement significatif 10 L intervention d autres pr venteurs IPRP est cependant plus probable en pr sence de p nibilit physique Ces r sul tats ainsi que ceux pr sent s ci dessous concernant la qualit de la pr vention et la sant des salari s rejoignent ceux d une tude qui s appuyait sur les enqu tes SUMER 2003 REPONSE 2005 et Conditions de travail 2005 2 et sont coh rents avec la litt rature scientifique internationale sur ces questions 3 11 La certification ISO garantit que l tablissement suit des proc dures per mettant la tracabilit des processus et des produits l EAOF valuation d aptitude la qualit pour les fournisseurs est une norme sp cifique au secteur automobile L accr ditation est une reconnaissance par un organisme tiers de la comp tence d une organisation dans le domaine de la qualit elle s est par exemple d velopp e dans le secteur hospitalier LES SALARI S MOBILES SONT MOINS SOUVENT COUVERTS PAR UNE POLI TIQUE DE PR VENTION DES RISQUES Pr s d un quart des salari s signale quil travaille plus souvent chez un client sur un chantier o
349. m e par un examen nasal id ale ment r alis par endoscopie Cet examen permet de rechercher d autres pathologies rhino sinu siennes pouvant tre confondues avec ou accompagner la rhinite polypose naso sinusienne d via tion septale pathologie tumo rale Bien quil n existe pas de signe sp cifique d examen permet tant d affirmer l origine allergique de la rhinite une muqueuse p le et d mati e ainsi qu un mucus clair sont des signes vocateurs En l absence de signe de complication sinusienne aucun examen d ima gerie n est recommand Lexistence d un asthme est confir m e par la r alisation d un bilan fonctionnel respiratoire de base la recherche d une obstruction bron chique distale voire d un trouble ventilatoire obstructif TVO glo bal r versible sous f2 mim tiques Cependant dans certains cas les EFR de base peuvent tre normales ce qui ne permet pas d liminer le diagnostic En l absence de TVO r versible ob jectivable l tat de base le degr d HRBNS sera appr ci par la pra tique d un test de provocation asp cifique m tacholine histamine Ce demier est habituellement abaiss mais peut tre normal au d but de l volution de l asthme ou lorsque dans le cas d un asthme allergique le test est pratiqu dis tance de l exposition l allergene responsable La fluctuation de la fonction respi ratoire en fonction du travail peut galement tre objectiv e p
350. m tre d extr mit bague nucl ides concern s r alisation de l op ration habi est essentiel dans le cas d emploi Elle s appuie galement sur la tuelles ou bien li es un incident d metteurs b ta de haute nergie connaissance par le personnel des Le classement en cat gorie A concerne les travailleurs dont l ex position est susceptible de d pas gt CARACTERISTIQUES DES RAYONNEMENTS NECESSITANT ser dans des conditions habituelles SUIVI D EXPOSITION EXTERNE de travail les 3 10 d une des limites EEE TET EE r glementaires de dose sont clas CARACT RISTIOUE s s en cat gorie B les travailleurs VIRES Sm E ne relevant pas de la cat gorie A DUUM par un radionucl ide AM nergie E 15 keV ou mission Le classement est d fini par l em par g n rateur fonctionnant sous ployeur apr s avis du m decin du une tension 30 kV travail y E gt 15 keV Il sera appr ci avec la PCR selon les analyses des postes sp cifiques p E moyenne 100 keV l activit du laboratoire neutrons Toute nergie 3 Circulaire DGT ASN n o4 du 21 avril 2010 relative aux mesures de pr vention des risques d exposition aux rayonnements ionisants 4 Fiches IRSN INRS Radioprotection radionucl ides www inrs fr en tapant radionucl ides dans le moteur de recherche ou www irsn fr FR professionnels sante documentation Pages guides aspx D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 163 r gl
351. matoses professionnelles dans le BTP ont t abord s l chelon individuel ducation hygi ne protection de la peau mais aussi et surtout l chelon collectif pr vention technique hygi ne sur les chantiers L importance de la compl mentarit des comp tences au sein de l quipe en san t au travail mais aussi avec les autres professionnels de la pr vention a t soulign e Enfin des D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 131 outils pratiques et des ressources documentaires destin s aux pr venteurs ont t pr sent s En pr lude ce congr s et avec le soutien financier du contrat d ob jectifs et de moyens tat r gion pour le d veloppement de l ap prentissage Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi DIRECCTE Rectorat R gion Nord Pas de Calais et de l Agence r gionale de sant ARS tait organis un s minaire sp ci fiquement d di la sant et la s curit des apprentis du BTP en Nord Pas de Calais Ces derniers leurs formateurs et maitres d ap prentissage ainsi que les acteurs de sant au travail ont t nom breux venir changer sur ces aspects de plus en plus souvent abord s au cours de la formation Ce compte rendu met l accent sur les expos s traitant plus particu li rement des sp cificit s de cette branche professionnelle notam ment dans
352. me perturbateur endocrinien En France aucune donn e d exposition profession nelle au DINP n est renseign e Nous vous proposons de participer une tude de l INRS qui vise valuer l exposition professionnelle au DINP et au DEHP en cas de co expositions par le biais d une surveillance biologique Objectifs de l tude Les objectifs de cette tude sont d obtenir des donn es d exposition professionnelle au DINP via la surveillance biologique puis d estimer les doses internes journali res DJA des salari s expos s et de les comparer avec les doses admissibles propos es par les instances europ ennes 150 ug kg j et am ricaines 120 ug kg j Secteurs concern s Lindustrie du PVC souple o sont produits ou uti lis s les compounds vinyliques et ou les plastisols ces applications renfermant g n ralement de 20 40 de DINP Celles ci sont destin es la plasturgie pour de nombreuses utilisations industrielles dans des domaines vari s comme les articles de loisirs la c blerie l ameublement les rev tements de sols divers l automobile les chaussures M thodologie Dans chaque entreprise participante une quipe de l INRS r alisera des pr l vements urinaires au pr s de salari s expos s et non expos s au DINP Ces recueils auront lieu en d but et fin de poste de tra vail pendant 5 jours cons cutifs Trois m tabolites repr sentatifs de l exposition au DINP seront dos s le ph
353. mensionnelles combinent si multan ment une composante ducative une intervention sur l organi sation du travail le contenu des t ches ou les conditions de tra vail associ es ou non un pro gramme d exercices physiques V 3 Pr vention tertiaire des risques lombaires pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travailleurs en arr t de travail Les programmes de retour au travail d crits dans la litt rature font r f rence au mod le biopsy chosocial de la lombalgie et de l incapacit lombalgique Les pro grammes dont l efficacit a t prouv e comportent 1 une intervention m dico psy chologique ciblant les individus 2 une intervention ciblant le tra vail associant dans des propor tions vari es un programme de r entraine ment l effort pour am liorer les capacit s fonctionnelles rachi diennes et r duire le d condition nement physique secondaire la lombalgie chronique un programme de type cogniti vo comportemental afin de lutter contre les repr sentations n ga tives de la maladie contre les peurs et croyances et d abor der les difficult s de la r insertion sociale et professionnelle une action en milieu de travail allant de la simple visite sur le lieu de travail favorisant l inte raction troite des partenaires la conduite d un projet ergono mique Les principes des interventions ciblant le travail sont les suiva
354. ment de travail se situent D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 183 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX entre 0 40 et 0 72 et sont globalement plus lev es que les corr lations inter chelles Dupret et al 2012 a Les trois chelles suppl mentaires de la V3 ont des coefficients alpha de Cronbach sup rieurs 0 70 Dupret et al 2012 a Sensibilit Les moyennes et cart types ainsi que les pourcentages de donn es manquantes par item et par chelle sont d crits pour la version longue du COPSOO I 1 858 travailleurs da nois g s de 20 60 ans 49 de femmes Pour 24 des 30 chelles les pourcentages de donn es man quantes sont inf rieurs 5 Les 6 chelles avec des pourcentages de donn es manquantes sup rieurs 5 6 appartiennent au domaine des relations interpersonnelles et lea dership Kristensen et al 2005 Les moyennes et cart types les effets plancher et plafond ainsi que les pourcentages de don n es manquantes par item et par chelle sont d crits pour la version longue du 3 517 travail leurs danois g s de 20 60 ans 53 6 de femmes Pour les chelles sur l environnement de travail les pourcentages de donn es man quantes sont toujours inf rieurs 5 et les effets plancher et pla fond sont tr s limit s Pejtersen et al 2010 a talonnage Pour les versions originales e
355. mique de fi vre s rologie ne peut tre retenue comme un bon indicateur d exposition pour ces professionnels d levage dont l exposition est r guli re et ancienne Abadia Benoist chelon national de sant s curit au travail Caisse centrale de la Mutualit sociale agricole MSA Bagnolet Unit pathologie des petits ruminants Agence nationale de s curit sanitaire alimentation environnement travail Sophia Antipolis Groupe ment de d fense sanitaire Digne les Bains Service de sant s curit au travail MSA Draguignan 5 Service de sant s curit au travail MSA Avignon 5Service de sant s curit au travail MSA Gap 7 INRS ant rieurement Caisse centrale de la MSA Bagnolet Fi vre zoonose immunisation Remerciements D Raoult du Centre national de r f rence des Rickettsia Coxiella et Bartonella Marseille pour la r alisation des analyses et la relecture de cet article au Cabinet S pia sant pour l aide apport e l analyse statistique Remerciements aux enqu teurs Dr V Barri re Dr B Blanchet Dr M A Duphloux Mme A Legoff Dr M F Moraldi Dr P S gura Dr N Villecroze a fi vre O est une zoonose bact rienne qui circule de facon ubiquitaire sauf en Nouvelle Z lande Elle est due Coxiella bur netii dont le r servoir principal est constitu par les ruminants La bact rie se transmet par voie a rienne et sa forme sporul e peut
356. mmes mod le de Karasek faibles pers pectives de promotion et de salaire ins curit de l emploi pour les deux genres et violences psychologiques et cons quences d erreur pour les hommes M Pedaci Universit de Teramo Italie d une mani re com parable a tudi de facon d taill e une entreprise textile italienne en restructuration et ses sous trai tants en cascade et montr que les salari s les plus loign s de l entre prise donneuse d ordre et ayant les emplois les plus pr caires sont les plus expos s Comme tous les autres ils sont marqu s par l inten sification du travail et l aggravation des d s quilibres entre vie priv e et vie professionnelle mais ils ont aussile moins de perspective d vo lution le moins d opportunit de partage de savoir et de formation LES REPR SENTATIONS DES RISQUES MIEUX APPREHENDEES Cependant il a t plusieurs fois d montr que l interpr tation des d clarations des travailleurs doit s effectuer avec prudence Selon les populations tudi es certaines difficult s au travail sont explici tement formul es et m me reven diqu es voire surd clar es ou au contraire tues masqu es voire d ni es Plusieurs interventions so ciologiques ont montr que de mul tiples variables interviennent pour expliquer ce qui tant t rend pos sible tant t interdit l expression des difficult s Ainsi le mal tre conna t des modalit s d expression li es
357. mpagne l article ainsi que des points retenir il s agit quelques phrases br ves de pointer les l ments essentiels que le ou les auteurs souhaitent que l on retienne de leur article La liste des auteurs noms initiales des pr noms est suivie des r f rences du service et de l organisme ainsi que la ville o ils exercent leur fonction Des remerciements aux diff rents contributeurs autres que les auteurs peuvent tre ajout s LES ILLUSTRATIONS ET LES TABLEAUX Les figures photos sch mas ou graphiques sont num rot s et appel es dans le texte Tous les l ments visuels sont clairement identifi s et l gend s Les photographies sont fournies sous format num rique PDF EPS TIFF OU JPG compress s zipp s et envoy s par mail Leur r so lution est obligatoirement de qualit haute d finition 300 dpi Ces recommandations aux auteurs s inspirent des exigences uniformes dit es par le groupe de Vancouver Ce groupe de r dacteurs de revues biom dicales r uni en 1978 afin d tablir des lignes directrices sur le format des manuscrits est devenu depuis le Comit international des r dacteurs de revues m dicales CIRRM et a produit une cinqui me dition des exigences uniformes Le style Vancouver de ces exigences est inspir en grande partie d une norme ANSI American National Standards Institute que la NLM National Library of Medicine a adopt e pour ses bases de donn
358. n oth rapie la trichloramine notamment le d gazage de la tri chloramine pr sente dans l eau par installation au niveau du bac tampon d un syst me de strippage proc d d extraction de compos s volatils par entrainement l aide d un gaz ou d air Cette technique d extraction apparait particuli re ment efficace comme le montrent les r sultats d une tude men e par l INRS qui a objectiv en fonction du syst me de strippage tudi jusqu 70 de r duction du taux atmos ph rique de trichloramine NDLR 55 La mise en ceuvre d une d chlo ramination par rayonnement ultra violet n est pas pr conis e 6 Enfin il est possible de r duire la formation des chloramines en encourageant l am lioration de l hygi ne des baigneurs douche savonn e passage aux toilettes avant d aller l eau port effectif du bonnet de bain en limitant les sources d agitation dans les bas sins et en r gulant la temp rature del eau de baignade Compte tenu de la toxicit des sous produits volatils lANSES re commande de classer les piscines collectives dans la cat gorie des b timents pollution sp cifique et dimposer un d bit d air neuf minimum de m h par occupant les locaux techniques pouvant faire l objet d une ventilation forc e et D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 155 ind pendante de celle du b timent principal 6 De plus l agence recomman
359. n active r cente taient g s de 26 ans et travail laient depuis deux ans dans un levage caprins exclusif compos de 64 ch vres Ils d claraient des douleurs musculaires et articu laires le mois pr c dant l enqu te Les deux cas de fi vre Q chronique concernaient des hommes de 48 et 53 ans avec une anciennet dans l levage de plus de 15 ans Il s agis sait de cas de fi vre O chronique diagnostiqu s ant rieurement STATUT S ROLOGIQUE DES SUJETS SELON LES CARACT RISTIQUES SOCIOPROFESSIONNELLES La proportion de sujets s roposi tifs tait significativement plus lev e chez les hommes 47 8 96 que chez les femmes 29 8 ainsi que chez les sujets ayant pratiqu au cours de l ann e coul e des soins aux animaux autres que v t rinaires tonte parage net toyage tableau 1 C tait gale ment le cas chez les sujets portant des gants lors des mises bas En revanche il n a pas t mis en vidence d association significative entre le statut s rologique et l ge des sujets l esp ce animale de l le vage le lieu de r sidence lien entre s ropositivit et r sidence sur le lieu de l exploitation la limite de la significativit la consomma tion de lait cru ou de produits au lait cru des levages locaux l expo sition d autres animaux r ser voirs que ceux de l levage piq re de tique manipulation de visc res ou d coupe de gibier possession d animaux de compag
360. n de rayonnements et de particules li e cette activit Les rayonnements mis proviennent de l nergie tr s concentr e qui est produite par l arc lectrique ainsi que par la fusion du m tal et d pendent donc de l intensit du courant de soudage et de la nature du m tal soud Ces rayonnements sont caract ris s par leur longueur d onde et leur panoplie compose le spectre lectromagn tique Ce sont les proc d s l arc lectrique qui produisent surtout les rayonnements infrarouges et ultraviolets Dans le cas de l utilisation des rayonnements laser lumi re am plifi e par stimulation de rayonnements les rayon nements mis sont plus intenses 1 2 3 Les rayonnements ultraviolets provoquent principa lement le coup d arc qui est une atteinte de la cor n e et peuvent galement provoquer une cataracte par effet cumulatif Les rayons infrarouges peuvent provoquer une cataracte par effet cumulatif des ex positions ainsi que des br lures de la corn e et ou de la r tine Pour la question sur les effets de ces rayonnements sur les implants intraoculaires seuls quelques l ments de r ponse ont t trouv s Leur composition est d taill e dans un document de la Haute Autorit S Boulet de sant qui traite sp cifiquement des implants intraoculaires utilis s dans le traitement chirurgical de la cataracte 4 D apr s ce rapport ces derniers sont compos s de r sines polym ris es
361. n des risques professionnels afin d tre r guli rement ajust e en fonction des volutions de l entreprise et des situations de travail 96 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 L valuation des risques ne doit pas retarder la re cherche de solutions pr ventives lorsqu un niveau d exposition lev aux risques lombaires est vident doit permettre de mesurer l efficacit des solutions pr ventives mises en uvre au moyen de retours d informa tion directs de la part de l enca drement et du personnel de l entreprise Cette hi rarchie dans l valua tion peut tre d clin e de la mani re suivante Premier niveau Pour le rep rage syst matique des situations probl me dans l entreprise il est recom mand de 1 Analyser les situations de tra vail afin d identifier celles qui pr sentent des risques lombaires av r s nombreuses plaintes lombalgiques ou potentiels nombreuses contraintes lom baires d clar es 2 Faire appel des outils utili sables par les intervenants de l entreprise dans le cadre de l valuation des risques r gle mentairement d finie analyse des documents d va luation pr existants docu est recommand de 1 Identifier les dangers et esti mer le niveau de risque 2 D finir une strat gie d va luation utilisant des outils lar gement diffus s parmi les outils d observation des
362. n progres sive de l pith lium bronchique ce qui favoriserait d une part l afflux de cellules et de m diateurs pro inflammatoires travers la mu queuse et d autre part la p n tra tion sous pith liale de diff rents polluants y compris des allerg nes 9 Ce m canisme physiopatholo gique pourrait s apparenter celui du syndrome d mitation bron chique li des expositions r p t es mais de plus faible intensit des irritants bronchiques encore appel low dose RADS Il sous tend galement l hypoth se dite du chlore selon laquelle l exposition LES CHLORAMINES DANS LES PISCINES En France la chloration est la m thode la plus utilis e de d sinfection des piscines l adjonction de chlore ou d un de ses d riv s eau de Javel acide trichloroisocyanurique dichloroisocyanurate hypochlorite de calcium dans l eau permet non seulement sa d sinfection mais galement l oxydation de compos s r ducteurs introduits par les baigneurs La r action de ces produits chlor s avec des mati res organiques comme l urine la sueur ou les squames conduit la formation de diff rents sous produits tels que des ald hydes des haloformes dont les trihalom thanes et notamment le chloroforme et des chloramines simples monochloramine NH CI dichloramine trichloramine NCI La trichloramine ou trichlorure d azote est le sous produit de chloration le plus volatil et le
363. n scell es Elle est destin e aux personnes impliqu es dans la radioprotection des travailleurs personnes comp tentes en radioprotection PCR m decins du travail de pr vention et responsables employeurs Elle s adresse aussi aux utilisateurs de ces techniques chercheurs techniciens Chaque fiche pr sente les diff rentes proc dures les types de dangers sp cifiques l analyse des risques et leur valuation ainsi que les m thodes de pr vention La d marche g n rale de la mise en ceuvre d une tude de poste est pr sent e en annexe 1 TYPES DE PRATIQUE Tous types d activit s o sont mis en uvre in vitro des radionucl ides en sources non scell es tableaux I et II 2 PERSONNEL CONCERN PAR LE RISOUE m Toutes personnes utilisant les sources chercheurs techniciens in g nieurs th sards post doctorants stagiaires m Toutes autres personnes amen es intervenir dans les locaux d di s la manipulation ou au stockage de radionucl ides services tech niques entreprises ext rieures personnel de maintenance et ou de contr le L ensemble des dispositions ci apr s mettre en ceuvre par l employeur s applique aux agents et salari s de l tablissement aux travailleurs in d pendants aux int rimaires et aux salari s des entreprises ext rieures Dans le cas d entreprises effectuant des travaux ou des prestations de service ces dispositions imposent une
364. nasal lavage fluids Int Arch Occup Environ Health 2013 86 5 571 80 47 Grazer CS Martyny JW LEE B SANCHEZ TL ET AL Nontuberculous mycobacteria in aerosol droplets and bulk water samples from therapy pools and hot tubs J Occup Environ Hyg 2007 4 11 831 40 48 Gannon PF NEWTON DT BELCHER J PANTIN CF ET AL Development of OASYS 2 a system for the analysis of serial measurement of peak expiratory flow in workers with suspected occupational asthma Thorax 1996 51 5 484 89 49 AMEILLE J HAMELIN ANDUJAR P BENSEFA CoLas L ET AL Occupational asthma and occupational rhinitis the united airways disease model revisited Occup Environ Med 2013 70 7 471 75 50 ManzscAUx A THAON I DarPHIN JC Les pneumopathies d hypersensibilit PHS professionnelles In Bessot JC Pauli G Vandenplas L asthme professionnel 2 dition Paris ditions Margaux Orange 2012 501 17 631 p 51 THAON I REBoux MouLoNGuET S DALPHIN JC Les pneumopathies d hypersensibilit en milieu professionnel Rev Mal Respir 2006 23 6 705 25 52 BzAcH J Rows BH S CRUMLEY ET AL Diagnosis and management of work related asthma Evid Rep Technol Assess Summ 2005 129 1 8 53 J DIDIER A SERRANO E DE BLAY F ET AL Recommandations pour la pr vention et la prise en charge de la rhinite allergique professionnelle Pratique et d ontologie TM 20 Do
365. nce de plaintes oculaires et respiratoires chez ces employ s Linduction d asthme par les chloramines reste en revanche plus controvers e En effet si des cas d asthmes profes sionnels attribu s latrichloramine ont t rapport s dans la litt rature les quelques tudes pid miolo giques r cemment publi es sur le sujet nont pu clairement d mon trer un risque accru de survenue d asthme professionnel chez les personnels expos s De plus les m canismes physiopathologiques O Serge Morillon INRS qui pourraient tre lorigine de ces asthmes ne sont pas clairement tablis De facon plus anecdotique des cas d infections respiratoires non trait es dans cette fiche et de pneumopathies d hypersensibilit soit isol s soit survenant de ma ni re pid mique ont t rapport s chez ces personnels D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 145 3v Encadr 1 PHYSIOPATHOLOGIE Plusieurs agents susceptibles d en trainer des manifestations respi ratoires de m canisme immuno allergique ou non sont pr sents dans les atmosph res des piscines et autres lieux de loisirs aquatiques ou de soins chloramines divers produits de nettoyage et d sinfec tion des locaux agents organiques impliqu s dans les pneumopathies d hypersensibilit PHS ou affec tions apparent es D autre part dif f rents agents infectieux comme des ad novirus ou des l gionelles non trai
366. nfectieux notamment VIH VHB et VHC et si besoin initier rapidement un traite ment prophylactique Une recherche du statut s rologique du patient source notamment vis vis du VIH par test rapide avec l ac cord du patient doit tre possible en urgence Dans les tablissements ne disposant pas des res sources n cessaires en interne m decin r f rent pr sent sur place service d urgences fonctionnant 24 h 24 des dispositions doivent tre prises pour que le personnel puisse b n ficier de cette valuation du risque et si besoin d un traitement prophylac tique au mieux dans les quatre heures les consignes doivent comporter les coordonn es du service d ur gence le plus proche la conduite tenir y compris la proc dure permettant de quitter l tablissement au cours du poste autorisation administrative relais par un autre soignant afin que la continuit des soins soit assur e La coordination entre le m decin prenant en charge la personne bless e celui du patient source et celui charg du suivi est essentielle pour apporter la vic time d un AES le plus de s curit et le meilleur soutien possibles 3 D claration de l accident Lemployeur rappelle au travailleur que la d claration de l accident de travail doit tre effectu e dans les meil leurs d lais car elle est indispensable la garantie les droits dela victime 4 Suivi m dical et biologique Les personnes accident es doivent en
367. ngers 186 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 et l ventuelle charge physique importante son poste De plus compte tenu des effets visuels poten tiels des rayonnements mis en particulier au niveau 1 Guide de mise en ceuvre des technologies du de la corn e et de la r tine et m me en dehors de tout soudage coupage Paris La D fense Syndicat des probl me de sant il est obligatoire qu il porte des entreprises de technologie de production SYMOP quipements de protection visuelle adapt s lunettes 2006 136 p ou masques visuels lors de son activit profession 2 Le soudage manuel l arc avec lectrodes enrob es nelle Dans le cadre de la reprise du travail l op rateur 4 dition Fiche pratique de s curit ED 83 Paris doit revoir son m decin du travail visite de reprise INRS 2011 4 p obligatoire r glementaire si l arr t est sup rieur 3 M REAU P DORNIER SERVENT JP ET AL Les 30 jours ou visite la demande du salari Cette visite lasers 2 dition Le point des connaissances sur permettra de v rifier la bonne volution m dicale et dition INRS ED 5009 Paris INRS 2004 4 p de conseiller utilement le salari et l employeur sur 4 Mise au point sur les implants intraoculaires l am nagement du poste de l op rateur ou sur les monof
368. nie La s ro pr valence de la fi vre O tait plus lev e dans le d partement 2 47 3 que dans le d partement 1 33 8 mais cette diff rence n tait pas significative tableau 1 En consid rant les t ches effec tu es au cours du dernier mois et de l ann e pr c dente le curage nettoyage des b timents et les soins v t rinaires pratiqu s r guli rement taient galement associ s au statut s rologique des sujets avec une proportion plus lev e de sujets s ropositifs chez les sujets effectuant ces t ches par rapport ceux ne les ayant pas r alis es Pour la manipulation du fumier l association tait la limite dela significativit STATUT S ROLOGIQUE DES SUJETS SELON LA TYPOLOGIE DES LEVAGES L tude du lien entre le statut sa nitaire des troupeaux typologie bas e sur les donn es des s ro logies d excr tion post mise bas et d ge des animaux et le sta tut s rologique des sujets a t r alis e partir des donn es qui taient disponibles pour 23 le vages caprins et 62 sujets travail lant dans ces levages Aucune association significative n a t mise en vidence entre le statut s rologique des professionnels et la typologie d finie de l levage ou le niveau d excr tion du troupeau L hypoth se selon laquelle le type 4 d levage repr sentait le niveau d exposition le plus lev pour l homme n a pas t confirm e une proportion plus importante de
369. nique ou une cicatrice s ro logique ont t class s parmi les sujets s ropositifs ANALYSE STATISTIQUE Une analyse descriptive de la po pulation tudi e et des levages a t r alis e L ensemble des va riables des questionnaires a t d crit et crois avec les r sultats s rologiques des sujets de l tude Une analyse des relations entre le statut sanitaire des troupeaux et la r action s rologique des sujets galement t r alis e partir des donn es s rologiques et d excr tion disponibles obtenues lors des investigations animales en 2008 et 2009 aupr s de 23 levages Les analyses comparatives uni vari es ont t effectu es l aide du test du Chi2 ou le test exact de Fisher pour les variables qualita tives et du test de Student pour les variables quantitatives Des analyses univari es de type GEE Generalized Estimating Equa tions ont galement t effec tu es pour tenir compte du fait que plusieurs individus travaillent dans un m me levage et prendre en compte l effet grappe Des mod les logistiques de type GEE ont t utilis s ensuite pour expliquer le statut s rologique des sujets Pour les variables plus de deux modalit s t ches exposantes notamment une des modalit s est prise en r f rence pour estimer l influence des autres modalit s par rapport celle ci Lindusion dans le mod le de variables dont le degr de signifi cation du test stat
370. ns remplir pour l immunisation contre l h patite B La vaccination au choix de l int ress peut tre effectu e par un m decin du travail de pr vention traitant ou par une sage femme conform ment au calendrier des vaccinations tabli apr s avis du Haut Conseil de la Sant publique Les exemptions aux obligations d immunisation sont inchang es L arr t introduit des dispositions sur les personnes l ves ou tudiants qui ont satisfait l obligation vac cinale mais qui ne pr sentent pas de r ponse la vacci nation contre l h patite B L affection ou le maintien de ces personnes dans un poste est possible sous r serve de l avis du m decin du travail ou de pr vention L admis sion des l ves ou tudiants est galement possible Une surveillance au moins annuelle des marqueurs s riques du virus de l h patite B est pr vue dans ces situations RISQUE PHYSIQUE RAYONNEMENTS IONISANTS TO Arr t du 17 juillet 2013 relatif la carte de suivi m dical et au suivi dosim trique des travailleurs expo s s aux rayonnements ionisants Minist re charg du Travail Journal officiel du 6 ao t 2013 pp 13401 13407 Cet arr t fixe en application des dispositions relatives la protection des travailleurs contre les dangers des rayonnements ionisants le contenu de la carte individuelle de suivi m dical les modalit s de sa d livrance ainsi que de la transmission des donn es quelle cont
371. ns m diane 45 5 ans min 16 0 76 0 Les sujets travail laient dans des levages caprins exclusifs 51 ovins exclusifs 27 mixtes ovins caprins bovins 48 L anciennet dans l levage tait en moyenne de 16 6 ans et la m diane de 12 0 ans min max 1 0 50 0 S ROPR VALENCE GLOBALE DE LA FI VRE Q Cinquante sujets taient s ro positifs pour la fi vre O soit une s ropr valence de 39 7 50 126 46 sujets 36 5 6 avaient une cica trice s rologique 2 sujets 16 un profil s rologique de fi vre O aigu et 2 sujets 16 un profil s rologique de fi vre O chronique titre s rologique des anticorps an ti phase I gt 1 pour un sujet et gt 3 200 pour l autre des sujets s ropositifs variait de 21 ans 62 ans m diane 49 5 ans La r partition selon le sexe tait de 33 hommes et 17 femmes L analyse N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 des sympt mes ant rieurs d clar s par les sujets enqu t s rapportait une asp cificit des signes avec en particulier une moindre fr quence des troubles d clar s chez les sujets s ropositifs par rapport aux sujets s ron gatifs Les cas de fi vre O aigu ou chro nique concernaient des hommes uniquement Aucun ne pr sentait de pr disposition ou de facteur de risque de complication val vulopathie proth se valvulaire immunod pression Les sujets ayant une infectio
372. ns de travail n cessitant des manipulations manuelles de charges En compl ment des mod les biom caniques et physiolo giques il est recommand de recourir des mod les ergo nomiques pour analyser les situations de manutention de charges par exemple le mo d le organisationnel propos par l Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail annexe 2 CHAPITRE III M THODES ET OUTILS D VALUATION DE L EXPOSITION DES MANIPULATIONS DE CHARGES APPLICABLES EN MILIEU DE TRAVAIL Ill 1 M thodes d valuation Les donn es de la litt rature ne permettent pas de s lectionner une m thode d valuation des risques en particulier Concernant l valuation de l ex position des MMC en milieu de travail il est recommand de 1 valuer le risque lombaire dans le cadre d une d marche ergonomique participative afin de favoriser une approche glo bale des risques et la coh rence dela pr vention des risques pro fessionnels dans l entreprise 2 Utiliserune strat gie hi rarchi s e d valuation du risque lom baire li la MMC par exemple la strat gie SOBANE Gestion des risques professionnels bas e sur une d finition claire des objectifs et des moyens n cessaires l valuation ainsi que les ressources n cessaires combinant de mani re hi rarchis e les m thodes et outils d valuation int gr e dans un processus permanent de pr ventio
373. ns l ann e 9 Au cours des 12 derniers mois quel est le pourcentage de votre temps de travail pass sur site nucl aire par rapport la totalit de votre temps de travail exemple 40 en nucl aire 10 Au cours des 12 derniers mois quel est le pourcentage de votre temps de travail en INB pass en arr t de tranche si pas de travail en arr t de tranche 11 Au cours des 12 derniers mois avez vous travaill dans un espace confin capacit trou d homme Jamais 1 Occasionnellement 1 Souvent 12 Au cours des 12 derniers mois avez vous travaill en zone orange Oui 11 Non 13 Au cours des 12 derniers mois avez vous eu des travaux terminer dans l urgence I Jamais L Occasionnellement L Souvent L Toujours 14 Au cours des 12 derniers mois pendant vos journ es de travail avez vous eu de longs temps d attente 1 Jamais 1 Occasionnellement 1 Souvent 15 Au cours des 12 derniers mois pensez vous avoir eu les moyens de bien faire votre travail Jamais 2 Occasionnellement L1 Souvent Toujours D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 61 VU DU TERRAIN Vie travail sant des salari s de la sous traitance du nucl aire 6 Au cours des 12 derniers mois lors du travail en zone contr l e ou surveill e vous tes vous senti en s curit Jamais Occasionnellement Souvent 1 Toujours 1 Non concern
374. ns ma jeures qu ils ont abord es Com ment prendre la mesure tant de la souffrance que du travail Com ment agir en s inspirant de quelle approche Avec quels acteurs Pour quels r sultats La question du dialogue entre chercheurs et pr venteurs est revenue aussi de mani re r currente tout au long de ces deux jours LES EFFETS DU STRESS MIEUX CONNUS J Siegrist Universit de D sseldorf Institut f r Medizinische Soziologie Allemagne rappel en s ance pl ni re comment depuis 20 ans la mise en vidence scientifique des effets n fastes du stress sur la sant des travailleurs et sur l co nomie des entreprises a permis de faire reconna tre le probl me et de susciter plusieurs actions d enver D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 139 SUIVI POUR VOUS gure Le succ s international du mod le dont il est l auteur et du questionnaire qui lui est associ a permis en particulier d accumuler des preuves pid miologiques de l impact du manque de reconnais sance au travail sur l tat de sant des travailleurs La proportion de salari s pr sentant des troubles psychiques et physiques li s au stress au travail est aussi mieux connue Certains des effets induits sur l conomie des entreprises ont t galement mis en vidence Des strat gies d action mises en uvre l chelle de certaines nations comme le Danemark ou de certaines entreprises ont t
375. nsid rer pour interpr ter des changements observ s dans une population ont t calcul es pour les chelles du COPSOO II Pejtersen et al 2010 b Ces l ments sont rarement disponibles pour les questionnaires Dans sa conception le COPSOO est assez proche du questionnaire V cu du travail VT cf fiche FRPS 34 184 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 X X P m DUPRET E BOCEREAN C TEHERANI M PEJTERSEN JH KRISTENSEN TS FELTRIN M Le COPSOQ un nouveau BORG V BJORNER JB The second questionnaire francais d valuation version of the Copenhagen des risques psychosociaux Sant Psychosocial Questionnaire Scand J Publique 2012 24 3 189 207 Public Health 2010 38 3 Suppl 8 24 DUPRET E BOCEREAN C TEHERANI M PEJTERSEN JH BJORNER JB FELTRIN M ET AL Psychosocial HASLE P Determining minimally risk assessment French validation important score differences in scales ofthe Copenhagen Psychosocial ofthe Copenhagen Psychosocial Questionnaire COPSOO Scand J Ouestionnaire Scand J Public Health Public Health 2012 40 5 482 90 2010 38 3 Suppl 33 41 GOLLAC M BODIER M Mesurer les a RUGULIES R AUST B PEJTERSEN JH facteurs psychosociaux de risque au Do psychosocial work environment travail pour les ma triser Rapport du factors measured wi
376. nt lement les activit s mili taires m dicales commerciales avec chacune des conditions et des organisations sp cifiques par exemple les arr ts de tranche sont caract ristiques des centres nu cl aires de production d lectricit La population incluse dans l enqu te est constitu e majoritairement de salari s embauch s en CDI 91 96 Aucune association significative n a t retrouv e dans le groupe des salari s int rimaires apr s analyse multivari e peut tre cause du faible nombre de personnes concer n es Il est possible que les travail leurs sous traitants et les salari s in t rimaires soient deux populations qui se ressemblent en termes de caract ristiques m dico profession nelles car pour retrouver une diff rence entre ces deux populations du fait du petit nombre d int ri maires il aurait fallu qu elles soient tr s dissemblables En revanche concernant la mobilit en secteur nucl aire il semble que les travail leurs int rimaires soient plut t embauch s par des agences situ es proximit des sites nucl aires et soient assez longtemps sur un m me site dans les servitudes surtout Il est noter que certains int rimaires ont d clar avoir tra vaill en zone orange alors que cela leur est interdit Deux hypoth ses peuvent tre voqu es un contour nement de la r glementation ou un d faut d information L association retrouv e entre ne pas tre en CDI
377. ntion des risques en cas de recours des entreprises sous trai tantes visant un niveau de pr ven tion quivalent pour les salari s des entreprises utilisatrices et ceux des D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 57 VU DU TERRAIN entreprises prestataires 8 17 18 19 28 29 30 31 32 Beaucoup d efforts sont faits malgr les dysfonctionne ments point s aussi par cette tude concernant les conditions sp ci fiques de travail et de vie de certains salari s du secteur nucl aire 33 34 35 36 La situation de sous traitance en elle m me complique la mise en uvre sur le terrain de ces d cisions Il importe d insister sur les axes de pr vention suivants e int grer les diff rents acteurs donneurs d ordre sous traitants services de sant au travail des entreprises utilisatrices et ext rieures dans la recherche de solu tions Le point de d part de cette tude tait d ailleurs d avoir un ou til de travail et de discussion avec les entreprises suivies e renforcer la formation initiale sur le risque nucl aire pour une meil leure connaissance des risques sp cifiques la mission am liorer la pertinence des infor mations de leur transmission et de leur hi rarchisation mieux organiser chronologique ment les chantiers r duction des temps d attente pr vision de situa tions possibles d urgence en vue de les limiter adapter les m thodes
378. ntracellulaire du fer 5 Fe Composition du PAR Minist re du Travail Experts comit scientifique de l Emploi dela Formation P Barbey universit de Caen professionnelle et du Dialogue Basse Normandie Autorit de s ret nucl aire social Direction g n rale du C Thieffry CNRS IN2P3 ASN Paris travail DGT Paris S Rigaud Institut de recherche J Fradin T Lahaye Pierre Fabre A Damiens P Mathieu P Robert CNRS P Labarre Inserm Institut de radioprotection Institut national derechercheet Frot Inserm et de s ret nucl aire IRSN de s curit INRS Paris F Testas Institut Curie Recherche B Aubert C Gauron D C lier E Less 1 palos Foriro mi AUTORIT e DE S RET 1 i aS NUCL AIRE imme Minist re du Travail S B lt E Bis AETIDA de l Emploi de la Formation BE professionnelle et du x aes ET DE CLEAN Dialogue social astitut National de Recherche D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 171 D marche g n rale de r alisation d une tude de poste dans le domaine de la recherche in vitro avec des sources non scell es Dans le cadre des activit s de recherche o l exposition des travailleurs est g n ralement li e la mise en ceuvre de plusieurs protocoles il est recommand de faire l valuation de l exposition protocole par protocole pour ensuite estimer l expos
379. nts 1 Identifier pr cocement apr s 2 3 mois d arr t les salari s lom balgiques risque d voluer vers le handicap au travail 2 Intervenir rapidement dans l entreprise pour faciliter la reprise du travail au stade subaigu de la lombalgie en d m dicalisant la prise en charge autant que pos sible et en am nageant le poste de travail si n cessaire 3 Mettre en ceuvre une reprise graduelle intervention mixte de r adaptation et retour th rapeu tique au travail au stade chro nique de la lombalgie 4 Favoriser l harmonisation et la coh rence des interventions et la coop ration des diff rents acteurs Le cadre vert INRS d finit de mani re pragmatique les para m tres des situations de travail adapt es permettant une re prise du travail pour les salari s lombalgiques annexe 14 Lefficacit et la rentabilit de ces programmes multidimensionnels de retour au travail pour r duire la dur e d incapacit ont t prouv es la phase subaigu et la phase chronique en cas d arr t de travail de plus de 3 mois de la lombalgie Limplantation de l intervention en entreprise est une phase par ticuli rement d licate condition nant son efficacit Elle n cessite une r flexion strat gique et tac tique pour en identifier les ven tuels obstacles et les l ments facilitateurs de l intervention Lefficacit et la p rennit des pro grammes structur s de
380. ocaux utilis s dans le traitement chirurgical mesures de protection individuelle mettre en place de la cataracte HAS 2008 www has sante fr portail upload docs application pdf 2008 10 rapport _ devaluation implants cristalliniens monofocaux pdf 5 Wa ker JR BURTON L Polyvinyl acetate alcohol and derivatives polystyrene and acrylics In Bingham E O Rayonnement optique Savoir prot ger ses yeux et sa peau Corhssen B Powell CH Eds Patty s toxicology INRS 2011 wwwinrs fr accueil risques phenomene physique 5th edition Volume 7 New York John Wiley and Sons rayonnement optique html 2001 487 520 1008 p Fiches toxicologiques INRS www inrs fr fichetox Silicone In Bingham E Corhssen B Powell CH Eds O Ricaud M Les fum es de soudage et des techniques Patty s toxicology 5th edition Volume 7 New York connexes Aide m moire technique dition INRS ED 6132 John Wiley and Sons 2001 452 54 1008 p Paris INRS 2012 25 CAVENDER FL Synthetic polymers Cellulosics Other O Dossier Travaux de soudage Graver la pr vention dans le Polysaccharides Polyamides and Polyimides In m tal Travail et S curit 2010 www travail et securite fr Bingham E Corhssen B Powell CH Eds Patty s toxicology 5th edition Volume 7 New York John Wiley and Sons 2001 521 72 1008 p 6 Cataracte L op ration de la cataracte Ophtamologie 2011 www ophtalmologie fr cataracte chirurgi
381. oduction de caoutchoucs polybutadi ne PB styr ne butadi ne SBR nitrile butadi ne NBR et autres d adiponitrile de latex sty r ne butadi ne de n opr ne CR de r sines acryloni trile butadi ne styr ne ABS la synth se d autres produits chimiques peintures colles la manufacture de polym res ou de produits conte nant du 1 3 butadi ne l utilisation manipulation de butane et ou de gaz de p trole liqu fi s GPL Responsable d tude contacter Sarah Burzoni T l 03 83 50 85 60 sarah burzoni inrs fr D partement M trologie des polluants INRS 1 rue du Morvan CS60027 54519 Vand uvre l s Nancy Cedex D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 37 CONNAISSANCES ET R F RENCES VU DU TERRAIN PRATIQUES amp M TIERS 2131 SUIVI POUR VOUS N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 VU DU TERRAIN D Vie travail sant des salari s de la sous traitance du nucl aire AUTEURS vaux publics de la r gion parisienne APST Industrie Une enqu te transversale a port sur 853 salari s de la sous traitance du nucl aire en le de France Outre leurs conditions de vie et de travail ont t analys es leur perception de la p nibilit de leur travail et celle de leur sant Cette derni re a t compar e celle constat e par le m decin du travail lors des visites p riodiques Des
382. oire profession nelle et notamment de rechercher une modification r cente des conditions de travail valuer le retentissement professionnel de la lombalgie appr cier avec le travailleur les risques pour sa sant en tenant compte de l valuation des risques de la situation de travail des adaptations potentielles de cette situation et du contexte m dico socioprofessionnel Surveillance des travailleurs atteints de lombalgie persistante ou r cidivante Il est recommand d valuer les facteurs de risque biopsychoso ciaux et socioprofessionnels susceptibles d influencer le passage vers la chronicit l incapacit prolong e et l absence de retour au travail et si n cessaire d adresser le travailleur son m decin traitant pour prise en charge adapt e Travailleurs en arr ts de travail prolong s et ou r p t s pour lombalgie Au cours d une visite de pr reprise il est recommand de valuerla douleur l incapacit fonctionnelle et leur retentissement ainsi que les principaux facteurs d incapacit prolong e au travail inciter et aider le travailleur s inscrire dans une dynamique de retour au travail sans attendre la disparition des sympt mes pour reprendre le travail car la reprise pr coce du travail am liore le pronostic identifier les principales difficult s li es au travail et les adapta tions possibles du poste de travail valuer en concertation avec le travaill
383. ois plus de patho logies en rapport avec le travail et g nantes pour le travail en secteur nucl aire selon l avis du m decin du travail lorsque le salari souffre de pathologies rhumatologiques p 0 001 entre 2 et 3 fois plus en cas de troubles m taboliques p 0 01 de surpoids p 0 05 lorsque le salari juge son tat de sant mauvais p lt 0 01 s adres sant au m decin du travail lorsqu il exprime une anxi t ou un affect d pressif p lt 0 05 lorsqu il d clare ne pas pouvoir rentrer chez lui tous les soirs p 0 05 ou s il estime son temps de repos quotidien insuf fisant p 0 05 ces deux facteurs de vie cons cutifs l organisation du travail tant associ s aussi une p nibilit ressentie en secteur nucl aire Les affections rhumatologiques ou les troubles m taboliques d pist s par le m decin du travail pour raient donc tre des indicateurs de sant au travail voire de p nibilit Un autre indicateur pourrait tre l avis du salari sur son tat de san t global et psychique son travail et sa vie lorsqu il en parle son m decin du travail dans le contexte de la consultation Ces indicateurs qui seraient valider lors d tudes ult rieures compl mentaires valo risent la place unique du m decin du travail dans sa connaissance singuli re de la personne de sa sant et de son travail Les salari s ayant une pathologie en rapport avec les condit
384. ois que des apprentis se voient offrir au cours d un repas un verre ou plus d alcool par les salari s de l entreprise o ils sont en formation Ceci entraine un risque pour leur s curit lors de la reprise du travail Ouelles actions sp cifiques de pr vention pouvent tre mises en place Les apprentis sont g s de 16 25 ans article L 6222 1 du Code du travail Sous certaines conditions l appren tissage peut d buter d s l ge de 15 ans Les pratiques addictives existantes dans cette tranche d ge sont un probl me de sant publique mais aussi de sant et de s curit au travail En France les r sultats de l enqu te ESPAD Euro pean school survey project on alcohol and other drugs montrent que parmi plus de 2400 l ves g s de 16 ans 88 6 ont d j bu de l alcool au cours de leur vie 1 Une autre tude ayant port plus sp cifiquement sur 1153 apprentis fait apparaitre que 26 6 d entre eux ont une consommation r guli re soit au moins 10 usages par mois 2 Au cours de l ann e qui a pr c d l enqu te 56 des apprentis ont connu un pisode d ivresse Tout cornme en population g n rale il existe chez ces tudiants une polyconsommation 75 des consommateurs r guliers d alcool ont galement un usage de tabac et ou de cannabis En milieu de travail l usage d alcool est parfois un moyen d int gration au sein du groupe de coll gues 3 Toutefois la consommation pr coce est probl
385. ologiques et socioprofessionnelles Les activit s de manipulation de charges sont tr s r pandues chez les travailleurs D apr s l enqu te SUMER 2003 2 pr s de quatre salari s sur dix manipulent au moins pisodiquement 2 heures par semaine ou plus des charges dans le cadre de leur travail et 7 5 96 tr s r guli rement pendant plus de 20 heures par semaine soit en moyenne 4 heures par jour La est ubiquitaire et aucun sec teur d activit particulier n est ca ract ristique de ce type de t che Elle concerne de nombreuses ca t gories professionnelles en pre mier lieu les cat gories ouvri res puisque la moiti des ouvriers et le tiers des ouvri res est expos aux ports de charges Parmi les affections r sultant de l exposition habituelle des mani pulations de charges les patholo gies rachidiennes sont les plus fr quentes 3 Bien que la plupart des travailleurs se r tablit compl te ment d un pisode rachidien pr s de 2 7 d entre eux sont sus ceptibles de d velopper une lom balgie chronique ou r cidivante Les arr ts de travail r p t s ou de longue dur e pour maladie mala die professionnelle 9 accident de travail ou invalidit peuvent com promettre la poursuite de l acti vit professionnelle L volution du monde du travail intensification du travail manque d acc s la formation emplois de courte dur e le vieillissement de la population active et l al
386. ombo ra diculalgie chronique si les d marches n ont pas d j t effectu es La visite de pr reprise doit tre planifi e suffisamment 104 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 en amont de la date pr vue de la reprise afin de mettre en ceuvre les d marches n ces saires avant la reprise effective du travail Plusieurs visites de pr reprise peuvent tre n ces saires Lors de la visite de reprise sp cifi quement est recommand 1 Appr cier avec le travailleur les risques pour sa sant en tenant compte de l valuation des risques de la situation de travail des adaptations ap porter la situation de travail des actions de maintien en em ploi engag es et du contexte m dico social 2 D terminer les modalit s du suivi m dico professionnel CHAPITRE V MESURES COLLECTIVES ET INDIVIDUELLES APPROPRI ES DANS LE MILIEU DE TRAVAIL POUR LA PR VENTION DU RISQUE LOMBAIRE LI AUX MANIPULATIONS DE CHARGES ET POUR LE MAINTIEN DANS L EMPLOI DES TRAVAILLEURS LOMBALGIOUES Les MMC concernent pr s de 40 des travailleurs de mani re r guli re et pr s du tiers des tra vaileurs souffre de lombalgies au cours de l ann e coul e La pr vention des risques rachidiens lombaires li s la MMC implique en cons quence un tr s grand nombre d entreprises dans tous les secteurs d activit La surveillance m dico profes sionnelle des travailleur
387. omie et la psychodynamique du travail concernant la subjectivit dans le travail les volutions de l intervention ergonomique par les pratiques gestionnaires la place de l ergonomie dans la s curit industrielle exemple de la catastrophe d AZF l ergonomie face aux nouveaux troubles du travail exemple des risques psychosociaux Octar s ditions 24 rue Nazareth 31000 Toulouse 2013 120 p DOUILLET P Pr venir les risques psychosociaux Outils et m thodes pour r guler le travail Agir sur Les approches de pr vention centr es sur l individu et sur des batteries d indicateurs quantitatifs ayant montr leurs limites cet ouvrage propose de s attaquer aux causes profondes des risques psychosociaux RPS le travail et son organisation R duire le d s quilibre entre les contraintes et les ressources n cessaires pour r aliser un travail de qualit n cessite de s int resser de pr s au travail et ses conditions d exercice cet effet l ouvrage propose une m thode et des outils pour identifier et comprendre les difficult s du travail mais aussi d gager des marges de manceuvre et d am lioration Trois parties structurent l ouvrage le travail au c ur de la pr vention des RPS un processus de mobilisation durable une d marche et des outils pour agir sur le travail ditions ANACT 4 quai des troits 69321 Lyon cedex 05 2013 159 p KIEFFER C Ouelle reconnaissance de
388. on tem p rature ambiante ou de fa on hebdomadaire conservation 4 C vers un laboratoire d ana lyse unique le CNR des Rickettsia Coxiella Bartonella Marseille Les s rums ont t analys s par la D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 67 VU DU TERRAIN m thode de r f rence d immuno fluorescence indirecte qui permet la d tection et la quantification des anticorps IgG IgM et IgA dirig s contre les deux phases de C bur netii Les antig nes de phases I et utilis s proviennent de la souche de r f rence Nine Mile cultiv e sur souris et sur cellules HEL fibro blastes d embryon humain Le d pistage de la fi vre O a t effectu avec des antig nes de phase II En cas de positivit les s rums ont t test s pour la pr sence d IgG et d IgM et d IgA contre les antig nes de phases I et II Les r sultats ont t interpr t s d apr s les seuils retenus par le CNR 12 r sultat n gatif Ig totales n ga tives e infection r cente ou faux positif IgM gt 50 et IgG lt 200 pour les anti corps anti phase II e fi vre O aigu IgM z 50 et IgG 200 pour les anticorps anti phase e fi vre Q chronique IgG gt 800 pour les anticorps anti phase cicatrice s rologique Ig totaux z 50 et IgM 5o quel que soit le taux en IgG anti phase II Les sujets pr sentant un profil s rologique de fi vre O aigu ou chro
389. on un policier se montre digne de la confiance de ses coll gues l inverse une infir mi re qui adopte une posture sem blable en r action l agressivit d un patient s oppose aux valeurs collectives de son groupe profes sionnel N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Dans ces conditions ne pas prendre en consid ration les mani res vari es dont chaque groupe professionnel construit socialement sa perception des liens existants entre l tat de san t des travailleurs et leur activit peut faire chouer une action de pr vention L Goussard Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris Genre travail mobilit s CRESPPA GTM Centre Pierre Naville montre ainsi com ment paradoxalement dans trois grandes entreprises des conseil lers ressources humaines des m decins du travail et des mana gers de terrain tr s impliqu s dans les r flexions sur la souffrance au travail en viennent propo ser des solutions aux salari s en situation de mal tre qui ne par viennent pas r soudre leurs difficult s Plus encore certains arrangements pratiques propos s ne font qu aggraver la situation en stigmatisant les salari s en souffrance Par exemple la muta tion de salari s en situation de mal tre les isole de leur collectif de travail auquel ils taient atta ch s et bouleverse leurs rep res professionnels Dans ce cas pr cis le probl me tient a
390. on du BTP se sont tenues Lille du 28 au 30 mai 2013 sur le th me Le risque cutan dans le BTP De nombreux sujets ont t abor d s qui entre autres ont permis aux participants d actualiser leurs connaissances sur la peau notam ment en ce qu elle constitue une interface majeure avec l environ nement quil soit professionnel ou non Ainsi diff rents conf renciers du GERDA Groupement d tudes et de recherches en der mato allergologie sp cialistes du domaine ont trait des aspects physiologiques physiopatholo giques et cliniques des derma toses Le retentissement de cer C Lebaupain D Leuxe Association paritaire de sant au travail du b timent et des travaux publics de la r gion parisienne W Boughattas d partement de m decine du travail et pathologie professionnelle Facult de m decine Sousse Tunisie D Levisse interne en sant au travail Lille taines dermatoses pr existantes sur l aptitude professionnelle a galement t trait Concernant le th me majeur de ces journ es le risque cutan P Frimat a rappel la n cessit d un double diagnostic celui de la nature de la l sion et celui de la relation avec le travail Ainsi d marches individuelle et collective sont li es car lorsqu un facteur professionnel est identifi il faut mettre en uvre la pr vention Cette derni re fut donc largement l honneur Tous les ressorts d une pr vention efficace des der
391. onditions particuli res d exposition avortement bovin ou membre de l entourage s ropositif pour la fi vre 37 chez des pro fessionnels d levages caprins et 25 chez des v t rinaires situ s dans le centre de la France 18 En Europe les tudes conduites aupr s d leveurs entre 1970 et 2010 montrent une s ropr valence variant de 3 6 Danemark plus de 70 Italie Pays Bas 19 20 D autres groupes professionnels expos s comme les v t rinaires ont t tudi s chez lesquels une s ropr valence variant de 11 6 en Espagne 84 aux Pays Bas a t rapport e L tude pr sente retrouve une s ro pr valence moins lev e dans le d partement 1 alors que la circula tion de C burnetii tait consid r e comme plus importante d apr s les donn es d investigations v t rinaires en 2009 s rologies et ni veau d excr tion de la bact rie par rapport au d partement 2 Paralle lement le statut s rologique des professionnels des levages caprins vis vis de la fi vre O n tait pas associ la typologie d infection des levages L hypoth se du lien entre la s ropositivit des sujets expos s et la typologie d levage correspondant au niveau d exposi tion le plus lev profil d levage de type 4 n a pas t confirm e Cependant une des limites de l tude est li e au d calage dans le temps des pr l vements animaux 2008 2009 et humains 2010 L tude v t
392. ong et argumentaire scientifique quation r vis e du NIOSH pour les levers de charges voir annexe 2 1 du texte long et argumentaire scientifique Tables psychophysiques voir annexe 2 1 du texte long et argumentaire scientifique 116 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 ANNEXE 5 Echelle subjective de perception gt de l effort de Borg d apr s 14 gt Echelle subjective de perception de l effort CR 10 b gt Echelle subjective de perception de l effort RPE category rating scale rating perceived exertion gradu e de o pas d effort 10 effort le plus important gradu e de 6 20 ressenti utilisable pour valuer la charge physique d un travail utilisable pour les diff rents types d efforts et pour chaque g n ral comme la MMC zone corporelle rien pas d effort du tout as tr s tr s l ger tr s l ger extr mement l ger 2 l ger tr s l ger 3 mod r 10 4 un peu dur Or 11 l ger 5 dur D V C 13 un peu dur q 14 7 tr s dur 15 dur 8 16 8 UE 17 tr s dur 10 tr s tr s dur 19 extr mement dur 20 puisant effort local p gt effort valuation de l effort per u selon les chelles de Borg Eva Minem INRS D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 117 PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire
393. ont exprim s apr s d duction de l exposition mesur e par le dosi m tre t moin correspondant et sont transmis SISERI parles organismes de dosim trie 4 2 Dosim trie individuelle des travailleurs affect s l ex cution de t ches bords d a ronefs en vol La dosim trie individuelle de l exposition des travail leurs aux rayonnements ionisants bords d a ronefs en vol est mise en ceuvre par l employeur lorsque les mesures de pr vention des risques mentionn s aux articles R 4451 140 44513142 ne permettent pas de r duire l exposition des travailleurs en dessous de 1 mSv sur une p riode de douze mois glissants 4 2 1 Choix de m thode de dosim trie Le suivi individuel de l exposition externe est r alis au moyen d un calcul prenant en compte l ensemble des composantes du rayonnement cosmique y compris celui d origine galactique l activit solaire normale ou exceptionnelle ainsi que l ensemble des param tres des vols consid r s Cette valuation num rique est r alis e par lorga nisme de dosim trie cette fin l employeur lui transmet les informations relatives chacun des vols r alis s par les travailleurs durant la p riode consid r e Cette transmission est organis e conform ment aux sp cifications fix es par l organisme de dosim trie Lorsque cette m thode ne peut tre mise en ceuvre pour des raisons techniques le suivi dosim trique des travailleurs est r alis au moy
394. opacit s kystiques Ces l sions sont habituellement bila t rales et sont quasi constantes dans les premi res semaines d volution des formes aigu s et dans les formes chroniques o elles peuvent c toyer des images d emphys me Le lavage broncho alv olaire LBA recherche une hypercellularit al v olaire en moyenne 400 500 cel lulesmm pr dominance lym phocytaire de 30 60 constante dans les PHS 50 Les lymphocytes T sont habituellement majoritaires avec un rapport CD4 CD8 abaiss 51 Dans certains cas douteux une biopsie pulmonaire transbron chique ou par chirurgie vid o as sist e avec analyse histologique peut mettre en vidence un aspect vocateur de granulomatose non cas euse avec infiltrat lymphocy taire des septa plus ou moins asso ci e une fibrose Il y a toutefois peu d indications et en pratique compte tenu de son caract re inva sif ce type d examen n est quasi ment jamais r alis DIAGNOSTIC TIOLOGIQUE e Rhino conjonctivite et asthme Il n existe pas de test immunolo gique permettant d objectiver une sensibilisation allergique aux chlo ramines Il en est de m me pour la plupart des composants de pro duits de nettoyage et de d sinfec tion susceptibles d induire des rhi nites ou des asthmes allergiques les m canismes immuno patholo giques en cause tant semble t il rarement m di s par les IgE Des IgE sp cifiques peuvent toutefois tre
395. opolitaine et de la R union Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 BIBLIOGRAPHIE significative toutes choses gales par ailleurs en contr lant par les caract ristiques de l tablis sement du salari et du poste de travail expositions le rapport de chances que le salari juge son tra vail mauvais pour sa sant plut t que le contraire est accru de 10 en pr sence d un CHSCT Il s agit d un effet indirect qui peut tre in terpr t de deux fa ons 2 D une part comme on l a vu les CHSCT sont plus pr sents quand les sala ri s sont expos s D autre part la pr vention peut avoir pour effet que les salari s deviennent davan tage conscients des expositions et des risques pour la sant Cependant le signalement d un CHSCT ou d un autre dispositif de pr vention par le m decin du tra vail ne semble pas avoir d effet si gnificatif sur les aspects de la san t d crits par l enqu te SUMER ni l occurrence d un accident du tra vail au cours des 12 derniers mois ni la dur e des ventuels arr ts pour maladie ni la sant percue 9 ni la sant mentale diagnostiqu e par un score statistique ne sont statistiquement li es au signale ment de dispositifs de pr vention m me dans une analyse toutes choses gales par ailleurs en contr lant par la pr sence d expo sitions professionnelles 1 ARNAUDO B L ONARD M SANDRET N CAVET M ET AL Les risques professionnels en
396. ore le pronostic sous r serve de l adaptation du poste de travail si n cessaire grade A 5 valuer en concertation avec le travailleur la n cessit d envisager une d marche de maintien en emploi cf Cha pitre p 104 6 S assurer de la compr hen sion partag e de la situation et des objectifs de la prise en charge entre le travailleur le m decin traitant et le m decin du travail Synth se m dico professionnelle Le travailleur doit tre au centre de la d marche du maintien dans l emploi son accord est indispen sable au partage des informations de sant le concernant 23 Il est recommand de faciliter la transition du travailleur du milieu de soins vers le milieu de travail grade C en l incitant et en l aidant s inscrire dans une dynamique de retour au travail en valuant les exigences physiques percues du poste de travail et le soutien social per cu par le travailleur en identifiant les principales difficult s li es au travail et les adaptations possibles du poste de travail dans l objectif de pr voir une p riode de transition pour la reprise du travail pro gressive et planifi e une am lioration de sa capa cit g rerles sympt mes r si duels au travail La coordination des acteurs de la prise en charge m dico socio professionnelle a une influence positive sur le taux de retour au travail ainsi que sur l incapacit et la douleu
397. orie A ou B Les valeurs qui permettent le classement d un travailleur en cat gorie A correspondent des doses susceptibles d tre re ues par le travailleur en situation normale de travail Elles sont exprim es l article R 4451 44 du Code du travail dose efficace sup rieure 6 mSv par an ou dose quivalente annuelle sup rieure 150 mSv pour les mains avant bras pieds et chevilles sup rieure 150 MSV sur tout cm de peau ou sup rieure 45 mSv pour le cristallin les travaux d abattage d euthanasie et d quarrissage des animaux Ne figurent plus dans les interdictions les manutentions manuelles de charges qui taient dict es auparavant pour les jeunes travailleurs en fonction de leur sexe de leur et du poids transporter tirer ou pousser ticle D 4153 4 du Code du travail n autorise d sormais ce pendant l emploi des mineurs g s de 14 ans moins de 16 ans pendant les vacances scolaires qu des travaux l gers qui ne sont pas susceptibles de porter pr judice leur s curit leur sant ou leur d veloppement En application de larticle L 4153 9 le d cret pr cise galement les travaux interdits aux jeunes g s de 15 moins de 18 ans pour lesquels une d rogation est pos sible Il pourra s agir alors soit d une d rogation tempo raire accord e par l inspecteur du travail pour les jeunes en formation professionnelle soit d une d rogation per manente pour le jeune t
398. orielle de cette version test ont t r alis es aboutissant la premi re version longue du COPSOO avec 141 questions r parties en 30 chelles COPSOO I Kristensen et al 2005 Une seconde version COPSOO a t labor e sur la base des nombreux retours d exp riences d ajouts d chelles non explor es dans le COPSOO I et de nouvelles analyses psychom triques tude du fonctionnement diff rentiel des items sur les donn es recueillies Pejtersen et al 2010 a e Validit crit ri e pr dictive Trois des 18 chelles concernant l environnement de travail de la version longue du COPSOOTI pr disent l absence pour maladie d une dur e d au moins trois semaines Rugulies et al 2010 e Validit crit ri e concomitante Dans la version francaise du COPSOO V1 on retrouve des corr lations significatives entre 9 des 13 chelles relatives l environnement de travail et l une et ou l autre des chelles relatives l individu sant percue stress puisement professionnel et satisfaction Dupret et al 2012 b Onretrouve globalement les m mes r sultats pour la V2 Dupret et al 2012 e Validit de structure interne gt La version test du COPSOO 165 questions regroup es a priori en 31 chelles a t soumise un chantillon repr sentatif de 1 858 salari s danois Kristensen et al 2005 Les analyses factorielles n ont pas confirm la structure interne th orique seules 4 d
399. oser l expression du salari et l analyse clinique du praticien Certaines contraintes sp cifiques de populations de sous traitants peu repr sent es dans les salari s suivis par exemple les sous mari niers n ont pas t explor es Les salari s trangers non franco phones intervenant dans les INB francaises vus en visite m dicale dans le but d acc der aux sites en plus de la surveillance m dicale organis e dans le pays d origine n ont pu tre inclus dans l enqu te compr hension du questionnaire Le nombre de ces salari s n a pu tre valu ce qui repr sente un biais de s lection d autant plus que les m decins du travail font part de pathologies lourdes chez certains de ces salari s non francophones Les crit res d inclusion se calquent sur la p riodicit annuelle des exa mens m dicaux du travail des per sonnes exercant en INB De ce fait les salari s se souvenaient bien des v nements professionnels des douze mois pr c dents De plus la dur e de recrutement une ann e a permis de les interroger tous les moments de l activit de sous traitance et d int grer les varia tions saisonni res d activit Cette tude repose sur ce qui est dit par le salari et constat par le m decin afin de tenter d appr hender la r alit complexe du travail et la sant globale compte tenu du caract re transversal de cette en qu te compl t par une approche en sous
400. osim trie interne consiste en l valuation de la dose efficace engag e ou de la dose quivalente enga g e suite l incorporation de radionucl ides partir de la mesure directe examen anthroporadiam trique ou indirecte analyses radiotoxicologiques de la contami nation interne de l organisme Le m decin du travail d termine la dose efficace enga g e ou la dose quivalente engag e partir des r sul tats de ces examens ou analyses et des conditions d exposition 24 Conditions d exposition La surveillance individuelle de l exposition interne est mise en ceuvre par l employeur d s lors que le travail leur expos op re dans une zone surveill e ou contr l e o il existe un risque de contamination par inha lation ingestion ou toute autre forme de transfert de radionucl ides vers l organisme L employeur s assure que l organisme de dosim trie est en capacit de mesurer les radionucl ides identifi s lors de l analyse des postes de travail 2 2 Choix du programme de surveillance Le programme de surveillance de l exposition inteme repose sur l analyse des postes de travail qui comprend la caract risation physicochimique et radiologique des radionucl ides susceptibles d exposer les travailleurs ainsi que leur p riode biologique leur radiotoxicit et les voies d exposition D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 19 INFOS RETENIR La surveillance de l exposition in
401. oudre un probl me mal d fini objectif et strat gie se construisent au fil de l intervention et la qualit de celle ci s value en termes de capacit d ajustement D Chouani re S Boini INRS et P Douillet Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail ANACT analysent les fi nalit s des diff rentes disciplines mobilis es en pr vention des RPS et des TMS et comparent leurs dif f rentes modalit s d valuation possibles Lobjectif terme est de doter les acteurs de terrain d outils pour objectiver l efficacit et l effi cience des actions qu ils engagent VERS UN DIALOGUE PLUS FECOND ENTRE RECHERCHE ET PREVENTION Enfin la question du dialogue entre les chercheurs et les pr venteurs est revenue de mani re r currente tout au long des d bats Les collabo rations entre les deux mondes sont nombreuses et souvent longues Plusieurs chercheurs s immergent durablement dans l observation et l action Certains comme J Kubiak Universit de Versailles Saint Quen tin en Yvelines parviennent ainsi rendre compte du travail de pr ven tion comme on tudie en sociologie du travail toute activit profession nelle Cependant il subsiste un net d s quilibre Lors de ce colloque les pr venteurs qui constituaient l essentiel du public taient rares la tribune alors qu ils mobilisent au quotidien les m mes approches souvent avec beaucoup de cr ati vit et quelquefois avec aut
402. our certains auteurs Il ne faut enfin pas n gliger la possibilit de rhino conjonctivite et ou d asthme immuno aller giques par sensibilisation une substance allergisante utilis e pour la d sinfection des instal lations bord de bassin tribunes vestiaires et sanitaires Il faut l voquer non seulement chez les personnels de nettoyage mani pulant ces produits mais gale ment chez les autres cat gories d employ s passant tout ou partie de leur temps de travail dans ces locaux d sinfect s de facon plu riquotidienne enseignants sur veillants de baignade caissiers Parfois le salari concern incri mine de lui m me un produit en particulier qui d clenche une g ne imm diate lors de son utilisation C est toutefois rarement le cas et il est important de r pertorier l ensemble des produits de net toyage et de d sinfection utilis s ainsi que les modalit s d emploi recommand es et celles r elle ment appliqu es De tr s nom breux constituants de ces produits peuvent tre en cause et il est donc n cessaire de se renseigner sur leur composition chimique Les fiches de donn es de s curit de ces produits mises la disposition de l employeur et du m decin du travail qui en fait la demande par le fabricant apporte un certain nombre de renseignements Elles N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Ga l Kerbaol INRS sont toutefois de qualit variable De
403. ourdeur de mise en ceuvre si t ches multiples de manutention Complexit Lourdeur mise en ceuvre Non adapte aux t ches variables Impr cision Indicateur d effet Non sp cificit Lourdeur de mise en ceuvre des enregistrements continus Impr cision Indicateur d effet Peu applicables l valuation des risques en pratiques Relative complexit Lourdeur de mise en ceuvre Manutentions peu r p titives valuation des risques par pr venteur sp cialis IPRP ergonome Recherche r server aux valuations des risques n cessitant une expertise importante Non recommand Manutentions r p titives valuation de l astreinte physiologique li e aux manutentions valuation des risques par pr venteur sp cialis IPRP ergonome et le m decin du travail Conception des situations de travail ing nieur pr venteur valuation des risques et des effets infracliniques li s aux manutentions Conception des situations Analyse des risques Recherche Analyse des risques lors des interventions de pr vention par expert ergonome IPRP CR 10 Category rating scale RPE Rating perceived exertion NRC National Research Council SOBANE strat gie SOBANE gestion des risques professionnels 114 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 _ _ _ _ _ An
404. ours en cas de refus de d livrance du certificat 214 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS LA REVUE La revue R f rences en Sant au Travail a pour objet d apporter aux quipes des services de sant au travail des informations m di cales techniques et juridiques utiles l accomplissement de leurs missions Cette revue p riodique trimestrielle est publi e par l INRS Institut national de recherche et de s curit La r daction se r serve le droit de soumettre l article au comit de r daction de la revue ou un expert de son choix pour avis avant acceptation LE TEXTE Le texte r dig en francais est adress la r daction sous la forme d un fichier Word envoy par mail ou fourni sur une cl USB Les r gles l mentaires de frappe dactylographique sont respec t es le formatage est le plus simple possible sur une colonne sans tabulation ni saut de pages La frappe ne se fait jamais en tout majuscules Titre intertitre ou noms d auteurs sont saisis en minuscules La bibliographie est plac e en fin de texte par ordre alphab tique de pr f rence suivie des tableaux et illustrations et enfin des annexes Tout sigle ou abr viation est d velopp lors de sa premi re appa rition dans le texte Les sous titres de m me niveau sont signal s de facon identique tout au long du texte Un r sum en francais maximum 10 lignes acco
405. ouverture d une fen tre explicative ou bien un renvoi vers les bases de donn es compl mentaires de l INRS Figure 2 Application pour tablettes smartphones 19 sans avis 46 non mais 35 int ress s Figure 3 Fiche simplifi e 26 pas int ress s 74 int ress s N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 INFOS RETENIR 1 AC 60 Un nouvel outil pour l valuation des RPS dans les structures du secteur sanitaire et social INRS a mis en ligne un nouvel outil Faire le point pour le secteur sanitaire et social Celui ci a t d velopp afin d aider les petites structures de moins de 50 salari s du secteur sanitaire et social valuer les risques psychosociaux RPS et int grer ces risques dans leur document unique L outil se compose 9 d une application sous Excel comprenant une quarantaine de questions rensei gner collectivement le responsable de la structure et ses salari s Elle permet de s interroger et d identifier la pr sence ou non d ventuels RPS d un tableau de r sultats qui est g n r lorsque l ensemble des r ponses aux ques tions a t report dans l outil Celui ci permet de se situer par rapport aux princi paux facteurs de RPS d une synth se qui fournit des cl s de compr hension et des pistes d actions pour planifier des mesures de pr vention des RPS Cet o
406. ovasculaire m tabolique importante Selon la litt rature pid miolo gique le port de charges au travail est un facteur de risque de lombal gie et de lomboradiculalgie sans qu il soit possible de faire la part des diff rentes sous t ches de manutention se pencher pivoter soulever pousser tirer maintien de postures La quantification de la relation dose effet entre l inten sit et la fr quence de MMC et le risque de lombalgie reste impr cise NP2 Il existe une relation entre l expo sition professionnelle aux MMC et la d g n rescence discale visua lis e par limagerie Cependant la majorit des hernies discales apparait sans v nement d clen chant sp cifique tel qu un acci dent de travail et un ant c dent d v nement d clenchant n est pas associ une pr sentation cli nique plus s v re Les facteurs psychosociaux inter viennent probablement comme facteurs pronostiques de lombal gies en milieu de travail Les fac teurs li s l organisation du tra vail interviennent probablement comme d terminant des facteurs tiologiques ou pronostiques de lombalgies en milieu de travail Il est recommand d valuer le risque rachidien lombaire lombalgies et lomboradicu lalgies dites communes ou non sp cifiques chez les travailleurs expos s des ma nutentions de charges Pr somption scientifique B AE Accord d experts D CEMBRE 2013 R
407. oyens de pr vention en entreprises ne sont pas toujours disposition des apprentis Selon lenqu te men e aupr s de 1 500 apprentis de la r gion NPC d octobre 2012 mars 2013 concer nantles connaissances de consignes de s curit 70 6 ont affirm avoir lu ces consignes Concernant les EPI 70 ont d clar tre oblig s de porter des gants Selon cette tude plus le nombre de coll gues portant des EPI est lev plus les chances d en porter sont importantes La consommation de tabac et d alco ol tait plus importante chez les D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 135 SUIVI POUR VOUS apprentis que chez les salari s ou les jeunes Cette consommation tait plus fr quente chez les apprentis du secteur BTP par rapport aux autres secteurs QUELLES R PONSES APPORTER Pour apporter des r ponses concr tes aux probl matiques de sant et de s curit des apprentis les acteurs de l apprentissage et de la sant au travail ont r uni leurs comp tences dans le cadre d ac tions communes L importance de l int gration de cetype de d marche dans le cadre de projets d tablisse ments a t soulign e Ouelques exemples de ressources p dagogiques et d outils d aide vis e ducative ont t pr sent s ZOOM CHANTIERS Parti du constat quil existe au jourd hui un cart important entre les situations v cues dans l entre prise par les apprentis et sur les
408. per la 1 pluridisciplinarit dans le cadre d une d marche de pr vention des troubles musculosquelettiques 5 jours Bl2131 12 05 2014 au 15 05 2014 Paris 1294 et 22 09 2014 au 24 09 2014 Facteurs psychosociaux Participer la pr vention 1 des risques li s aux pratiques addictives en milieu professionnel 2 5 jours Bl1132 Ma triser la technique 1 de rep rage pr coce et d intervention br ve pour la pr vention des pratiques addictives en milieu professionnel 2 jours Bl1131 Participer une d marche 1 de pr vention des risques psychosociaux N12002 3 jours Mettre en uvre 1 une action de pr vention des risques psychosociaux en pluridisciplinarit 8 jours JA1730 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 08 04 2014 au 10 04 2014 Paris 647 24 11 2014 au 26 11 2014 Paris 518 07 04 2014 au 10 04 2014 Neuves 776 Maisons 12 05 2014 au 16 05 2014 Neuves 2071 et 06 10 2014 au 10 10 2014 Maisons et Vandoeuvre l s Nancy SUITE EN PAGE SUIVANTE 199 AGENDA FORMATIONS Secteurs sp cifiques Code Stage valuer et pr venir 1 les risques dans les laboratoires de recherche et d veloppement en biotechnologies BBo470 Am liorer les situations 1 de travail sur poste informatis dans les activit s de bureau JJ2030 INRS d partement Formation 65 boulevard Richard Lenoir 75011 Paris Pour les stag
409. peutique D autres pathologies ont t recen s es parmi lesquelles 0 9 d affec tions h matologiques dont 02 n taient pas trait es et 0 4 d af fections oncologiques celles ci tant trait es Les investigations concer nant ces cas n ont pas t approfon dies dans le cadre de cette tude Cet tat de sant peut expliquer les difficult s de maintien au poste constat es dans leur pratique par les m decins enqu teurs en parti culier pour les salari s intervenant en arr t de tranche qui ont la plus grande anciennet dans l chantil lon tudi Les affections rhumatologiques les troubles m taboliques et le Surpoids se sentir anxieux ten du ou d prim et se juger en mau vais tat de sant apparaissent associ s aux pathologies g nantes pour le travail en nucl aire et li es au travail selon l examen m di cal comme d clarer ne pas pou voir rentrer chez soi tous les soirs estimer son temps de repos quoti dien insuffisant ces deux facteurs organisationnels tant associ s aussi une p nibilit ressentie en secteur nucl aire Travailler dans l urgence et ne pas se sentir tou jours en s curit en zone contr l e ou surveill e sont associ s une perception accrue de la p nibilit en secteur nucl aire Selon une publication de la DARES en 2011 portant sur le travail des seniors les personnes durablement soum
410. pistes de pr vention sont propos es nucl aire questionnaire conditions de travail sous traitance 1 Le suivi des salari s intervenant en INB n cessite une formation sp cifique es conclusions de qu te longitudinale STED 1993 et 1998 r alis e aupr s des sala ri s directement affect s des travaux sous rayonnements ioni sants DATR des seules entreprises sous traitantes d EDF montraient les effets des contraintes organisa tionnelles en plus des contraintes physiques et environnementales du travail sur l tat de sant de ces salari s 1 Dix ans plus tard les m decins du travail de l ACMS et de l APST percoivent une d grada tion de l tat de sant des condi tions de vie et une augmentation des contraintes professionnelles chez les salari s d entreprises de la sous traitance du nucl aire en le de France Le maintien au poste soul ve tout ge des probl mes thiques du fait des contraintes professionnelles et de leur r p titivit Cette question se pose d autant plus dans une popula tion de salari s qui vieillit et dans ce secteur professionnel o toute une classe d ge ayant particip la construction et la maintenance D Barbat D Bejeau F Bergaut M H Boulay Devaux Diem Lam J M Hemery A Meyer A Rousselet J Sauvag re R Sud B Thomas A M Zimmermann m decins du travail Association interprofessionnelle des centres
411. plus de 20 ans ne pouvant tre d taill ici le rap port complet est disponible sur demande aupr s de l ACMS gt STATUT PROFESSIONNEL ET NOMBRE D ACTIVIT S EXERC ES Nombre d activit s Statut professionnel exerc es Employ technicien ou agent de ma trise 2 activit s 32 80 16 80 19 70 20 10 3 activit s 9 30 10 20 5 activit s 5 00 1 10 0 00 1 40 9 40 9 70 44 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau V gt SALARI S D CLARANT INTERVENIR AU MOINS 80 DE LEUR TEMPS DE TRAVAIL EN ARRET DE TRANCHE PAR RAPPORT LEUR TEMPS DE TRAVAIL EN INB 211 SALARI S ES 115 sont plus souvent employ s techniciens ou agents de maitrise 0 001 115 sont plus souvent en CDI 0 05 Ils d clarent plus souvent changer de site 0 001 travailler en zone orange 0 001 travailler dans l urgence 0 001 n avoir jamais les moyens de bien faire leur travail lt 0 001 ne pas se sentir toujours en s curit lt 0 001 travailler plus de 5 jours de suite lt 0 001 un temps de repos insuffisant lt 0 001 travailler en horaires d cal s post s de nuit de week end ou d astreinte 0 001 avoir roul de nuit d un site l autre ou pour retourner chez eux 0 001 ne pas dormir leur domicile ou chez la famille lt 0 001 ne pas rentrer tous les jours chez eux 0 001 se sentir fatigu s 0 001 juger mauvais leur
412. plus irritant Il est l origine de l odeur caract ristique des halls de piscine Le niveau de trichloramine dans l air d pend 1 ode la qualit de l eau degr de chloration la r glementation francaise impose un taux de chlore actif entre 0 4 et 1 4 mg L et de chlore combin maximal de o 6 mg L temp rature pH niveau de contamination par des compos s azot s influenc par le nombre de baigneurs et leur degr d hygi ne du degr d agitation de l eau remous toboggans ode la qualit du renouvellement de l air o de l existence d un syst me de d gradation ou de d gazage des chloramines pr sentes dans l eau par exemple syst me de strippage ou a ration Il n existe actuellement pas de valeur limite d exposition professionnelle VLEP r glementaire en France concernant la concentration de trichloramine dans l air des halls de piscine Cependant sur la base de travaux concernant le seuil d apparition des premiers sympt mes d irritation oculaires et respiratoires chez les employ s expos s l INRS a propos en 1994 une valeur limite de confort de 0 5 mg m 2 qui a par la suite t reprise par l Organisation mondiale de la sant OMS World Health Organization ou WHO dans ses recommandations concernant la s curit sanitaire des atmosph res de piscines spas et centres de loisirs aquatiques en 2006 3 Depuis lors d autres tudes ont montr une augmentation du risque
413. plus lentement 10 gt Je ne reste debout que de courts moments cause 0 A E 11 gt cause de mon dos j essaie de ne pas me baisser HE NM ENOU LEE 12 gt cause de mon dos j ai du mal me lever m INT PEU CREER 13 gt J ai mal au dos la plupart du lt d 14 gt cause de mon dos j ai des difficult s me retourner dans MONS eee eec ere d 15 gt J ai moins d app tit cause de mon mal de dos 16 gt cause de mon dos j ai du mal mettre mes chaussettes ou bas collants d 17 gt Je ne peux marcher que sur de courtes distances arcauserdemuonimalideidos UNUM a 18 gt Je dors moins cause de mon mal de dos d 19 gt cause de mon dos quelqu un m aide peurimihabillengssererr dr EE d 20 cause de mon dos je reste assis e la plus a 21 cause de mon dos j vite de faire de gros ibravau callaimaisonj ecco uL d 22 cause de mon dos je suis plus irritable que d habitude et de mauvaise humeur avec les gens a 23 Je monte les escaliers plus lentement que dilabit de EE E 24 gt cause de mon dos je reste au lit la plupart 5 RER M d 122 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAV
414. population environ nante autour des levages atteints population g n rale essentiel lement Une v ritable pid mie humaine a t alors observ e avec plus de 4 ooo cas humains de fi vre O rapport s au total sur cette p riode avec des pics an nuels saisonniers L incidence de la maladie au sein de la popula tion g n rale a t favoris e par la conjonction de plusieurs facteurs zootechniques climatologiques et socio g ographiques En revanche aucun groupe risque profession nel particulier n a t affect 1 En Allemagne o les donn es de surveillance sont disponibles l in cidence moyenne annuelle de la fi vre O est pass e de 0 8 par mil lion d habitants entre 1979 et 1989 1 4 par million d habitants entre 1990 et 1999 2 En France la circulation de la fi vre Q est galement active et ubiqui taire avec une expression end mo pid mique localis e dans les r gions forte activit d levage de petits ruminants Cela dit les don n es pid miologiques relatives la fi vre O animale ou humaine restent parcellaires En effet bien que la fi vre O animale soit r per tori e par l Office international des pizooties OIE elle ne b n ficie pas de syst me de surveillance r glementaire et les atteintes des levages sont peu signal es Les seules donn es disponibles sont is sues d enqu tes pid miologiques ponctuelles Sur le plan humain la fi vre O ne figure pa
415. pose en particulier la question de leur faisabilit dans les entreprises de petite taille La plupart des tudes n ont valu ni l observance au long cours des travailleurs participant aux pro grammes d exercices ni leur moti vation participer Or ces facteurs jouent sans doute un r le cl dans l efficacit de ce type d interven tion Les programmes structur s d exercices physiques orga nis s en milieu de travail ou en relation avec celui ci sont recommand s pour la pr ven tion des lombalgies et des r ci dives grade B sans qu il soit possible de pr ciser leurs mo dalit s leur contenu et leur ap plicabilit dans les entreprises Lorsque des programmes d exercices vis e pr ventive sont envisag s ils doivent tre organis s col lectivement 106 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 S ils ne peuvent se substituer am nagements techniques et 2 Intervention ergonomique par la pr vention des risques la physiques des situations de travail ticipative sur les situations de tra source ou d faut mise disposition vail portant sur ils doivent s int grer dans d aides la manutention palans l am nagement du poste de tra une d marche structur e de l vateurs quilibreurs l ve pa vail dimensions espace accessi pr vention des ri
416. pr sence de nom breuses colonies d Actinomyces de Neurospora et d Aspergillus dans plusieurs pr l vements r alis s la piscine fr quent e par l un de leurs patients atteint d une PHS L identification en parall le dans son s rum de pr cipitines anti Neurospora permet de conclure que l exposition ces moisissures dans l atmosph re de la piscine est l origine de cette PHS 27 En France les investigations me n es chez trois employ s d une piscine municipale rapportant des sympt mes communs type de toux fi vre et asth nie mais sans manifestations fonctionnelles radiologiques ou immunologiques typiques de PHS conduisent au dia gnostic de syndrome toxique des poussi res organiques ou Organic Dust Toxic Syndrome ODTS li la colonisation du syst me de venti lation de la piscine par des spores de Cladosporium et de nombreux germes 28 Depuis une dizaine d ann es une forme particuli re de granulomatose pulmonaire PHS like due des mycobact ries non tuberculeuses dont principalement Mycobacte rium avium et baptis e poumon des jacuzzis a t d crite chez des personnes expos es des a rosols d eau chaude 14 29 Les caract ris tiques anatomopathologiques et immunologiques de ces granuloma toses sugg rent certains auteurs un m canisme physiopathologique plut t infectieux qu immuno aller gologique Mycobacterium avium a la particularit de pouvoir se d
417. pronostiques de la lom balgie car ils influencent le risque d volution vers la chronicit et l incapacit prolong e au travail Sur la base du mod le biopsy chosocial de la lombalgie 9 il a t propos de rechercher chez le sujet lombalgique un certain nombre de facteurs pronostiques tableau IV page suivante de nature psychosociale dra peaux jaunes annexe 8b de nature socio conomiques et professionnels drapeaux bleus et noirs annexes 8c et 8d 4 Le modele biopsychosocial tient compte non seulement de la composante phy sique ou micro l sionnelle de la lom balgie mais aussi de ses composantes psychologiques et sociales D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 101 PRATIQUES ET M TIERS Tableau IV gt PRINCIPAUX INDICATEURS RECHERCHER CHEZ LE TRAVAILLEUR LOMBALGIQUE a nnexe 8 Principaux indicateurs rechercher chez le travailleur lombalgique indicateurs Faces Poeme Drapeaux rouges Drapeaux jaunes Drapeaux bleus Drapeaux noirs Biom dicaux Pathologie organique sous jacente Maladie concomitante Psychologiques Croyances inappropri es ou comportemen Strat gie de coping comportement face taux la douleur et ajustement la maladie Stress Volont de changer Sociaux Soutien familial et conomiques Statut professionnel Prestation de sant et d assurance
418. que aigus ou subaigus est plus variable Certains sujets deviennent rapide ment asymptomatiques tandis que d autres pr sentent un asthme per sistant plusieurs ann es apr s l ac cident d inhalation 54 Le facteur pronostic essentiel est le niveau d exposition initial la substance incrimin e concentration et dur e d exposition Lexistence pr alable d un asthme ou d une simple hyper r activit bronchique HRB peut galement influencer l volution de m me que le tabagisme Les rhino conjonctivites chro niques li es lexposition habi tuelle des niveaux plus faibles d irritants bronchiques tels que la trichloramine peuvent favoriser les infections loco r gionales La dimi nution du niveau d exposition per met en g n ral la disparition des sympt mes Les manifestations d irritation bronchique chronique HRB isol e ou asthme en lien avec ce type d exposition semblent le plus souvent r gresser rapidement l arr t de l exposition comme le montrent les tudes r alis es chez les nageurs de comp tition Les asthmes de m canisme immu no allergique li s une sensibili sation une substance sp cifique sont d volution variable en fonc tion de la dur e d exposition du retard au diagnostic et du devenir du sujet une fois le diagnostic pos viction compl te r duction du niveau d exposition ou poursuite inchang e de celle ci Il n existe pas de donn es g n rales sur le ca
419. question FABO travail annexe 13 qui loskeletal Pain Screening Question naire est retenue pour l va est un outil valid naire OMPSQ annexe 10 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 103 PRATIQUES ET M TIERS Examen m dical du travailleur lombalgique en arr t de travail prolong et ou r p t Sur le plan clinique L entretien et lexamen phy sique peuvent tre informatifs sur le contexte biopsychoso cial du travailleur lombalgique chronique car ils peuvent refl ter le v cu et le retentisse ment de la lombalgie L examen clinique peut consti tuer un moment propice pour d livrer au travailleur des in formations pr cieuses concer nant le diagnostic la prise en charge et le pronostic de la lombalgie Sur le plan professionnel Sur le plan professionnel il est recommand de 1 Situer l pisode lombalgique actuel dans l histoire profes sionnelle et rechercher un ventuel facteur d clenchant ou aggravant 2 S assurer que dispose de donn es actualis es sur la situation r elle de travail 3 Estimer la capacit du tra vailleur reprendre le travail et les conditions de la reprise en fonction du retentissement professionnel de la lombalgie valu pr c demment 4 Rappeler au travailleur qu il n est pas n cessaire d attendre la disparition compl te des sympt mes pour reprendre le travail et que la reprise pr coce du travail am li
420. qui sont le PMMA le polysiloxane silicone l ester d acide acrylique et de m thacrylate l ester d acrylamide et d acide acrylique La consultation de bases de don n es toxicologiques sp cifiques la recherche des effets des rayonnements sur ces mat riaux n a pas retrouv d effets significatifs 5 Ces mat riaux ne r agiraient donc pas a priori lors de l exposition aux rayonnements infrarouges et ultraviolets Pour ce qui est des effets et des complications post op ratoires li s ce type d intervention ils sont tr s sp cifiques et li s l intervention ou des processus inflammatoires ou infectieux opacification de la par tie post rieure du cristallin endophtalmie rupture de la capsule post rieure d placement ou luxation de l implant 5 Les ophtalmologistes recommandent surtout leurs patients de respecter les traitements prescrits instillation de collyres de respecter leurs rendez vous de contr le avec le chirurgien et d viter tous chocs et activit s sportives et physiques intenses pendant la p riode de cicatrisation 6 En conclusion il n existe donc pas a priori de contre indication la pratique de la soudure chez un op rateur ayant t op r d une cataracte et ayant des implants intraoculaires Par contre il est souhaitable quil ne reprenne le travail qu une fois la cicatrisation de son ceil bien termin e compte tenu du risque de projection de poussi res ou autres corps tra
421. r chez les travailleurs qui retournent au travail Cette coordination peut tre facili t e par un contact entre les acteurs de soins et le m decin du travail le maintien d un lien entre le milieu de travail et le travailleur durant la p riode d arr t de travail une tude du poste de travail et d ventuelles propositions d am nagement du poste la concertation des acteurs sur le lieu de travail la r solution d ventuels pro bl mes m dico administratifs et sociaux Il est recommand de 1 valuer avec l accord du sala ri la n cessit d une concerta tion avec le m decin traitant le s sp cialiste s et ventuel lement le m decin conseil et ou les acteurs du maintien en emploi 2 Veiller la coh rence des messages d livr s par les diff rents intervenants 3 Informer l employeur avec l accord du salari des condi tions souhaitables de reprise du travail 4 Programmer une visite du poste de travail si possible en pr sence du travailleur 5 Organiser une concertation entre le travailleur l encadre ment l employeur et ventuel lement les coll gues sur le lieu de travail 6 S assurer dela mise en ceuvre des d marches n cessaires au maintien dans l emploi avant la reprise effective du travail 7 Informer le cas ch ant le travailleur sur les avantages et inconv nients de la recon naissance en maladie profes sionnelle en cas de l
422. r la version longue Toutefois les items ont finalement t choisis sur des bases th oriques et non statistiques les items appartenant aux trois domaines identifi s et issus de la version moyenne ont t s lectionn s par deux experts Kristensen et al 2005 gt Lastructure interne de version test du COPSOO II a t tudi e par analyses factorielles ou par l tude du fonctionnement diff rentiel des items pour aboutir aux 127 questions r parties en 41 chelles dela version longue du COPSOQ II Cette nouvelle version du COPSOO repr sente 57 des items du COPSOOI Pejtersen et al 2010 gt Concernant la version fran caise V1 les analyses factorielles aboutissent une structure quatre facteurs contraintes au travail relations interpersonnelles et leadership influence et d ve loppement et sant bien tre La satisfaction au travail domaine interface travail individu dans la version originale ne ressort pas comme un facteur part enti re elle contribue la fois au facteur relations interpersonnelles et lea dership et au facteur influence et d veloppement Dupret et al 2012 b Concernant la V2 des analyses factorielles exploratoires font apparaitre une structure six facteurs expliquant 68 de la variance Les analyses facto relles confirmatoires renforcent ces r sultats mais en admettant des corr lations entre les items Dupret et al 2012 a Dans
423. r les coordonn es de la ou des personnes comp tentes en radioprotection en charge de la dosim trie op rationnelle ARTICLE 23 La personne comp tente en radioprotection de l en treprise ext rieure cornmunique ou d faut organise l acc s du travailleur concern ses r sultats de dosi m trie op rationnelle au moins hebdomadairement ARTICLE 24 La personne comp tente en radioprotection tient dis position du m decin du travail dont rel ve le travailleur et de l employeur tous les r sultats Elle leur commu nique ces r sultats sans d lai lorsqu elle les consid re anormaux D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 17 INFOS RETENIR ARTICLE 25 Lemployeur s assure de la s curit des donn es re cueillies dans son tablissement ou transmises au sens des articles 21 24 conform ment l article 34 de laloidu 6 janvier 1978 modifi e ARTICLE 26 L employeur s assure du respect des dispositions de la loi du 6 janvier 1978 modifi e sila conservation des r sultats individuels de la dosim trie op rationnelle fait appel un traitement automatis des informations TITRE IV ACC S AUX R SULTATS INDIVIDUELS DE LA DOSIM TRIE ARTICLE 27 Conform ment aux dispositions du chapitre V de la loi du 6 janvier 1978 modifi e et aux articles R 4451 69 et suivants du Code du travail l Institut de radioprotec tion et de s ret nucl aire organise l exerci
424. ract re volutif des PHS survenant dans des structures telles que les piscines ou les centres de baln oth rapie comme c est le cas pour des entit s plus connues comme le poumon de fermier ou poumon d leveur d oiseaux Il semblerait que la majorit des cas rapport s dans la litt rature ait volu favorablement l arr t de l exposition l agent antig nique en cause Le risque volutif en cas de diagnostic retard et donc d viction tardive pourrait tre comme pour la plupart des PHS la survenue d une fibrose pulmonaire PR VENTION PR VENTION TECHNIQUE e Pr vention collective La pr vention des affections li es l exposition chronique la trichlo ramine passe par le choix ventuel d une technique de d sinfection alternative l usage du chlore et de ses d riv s et par la gestion de la qualit de l air dans les tablisse ments concern s Les produits de d sinfection des eaux de piscines sont soumis au torisation Ceux actuellement auto ris s en France outre les produits chlor s sont le brome sous sa forme chimique pure Br l ozone et le chlorhydrate de polyhexa m thyl ne biguanide PHMB Ces compos s restent toutefois utili s s de facon tr s marginale dans les centres aquatiques recevant du public notamment du fait de NDLR L INRS a d velopp Triklorame un kit de mesure de la trichloramine dans l air des piscines et dans l agroalimentaire Ce
425. rait Rev Eur Psychol Appl 1999 49 3 239 48 m ROLLAND JP L usure professionnelle des travailleurs sociaux approche psychosociologique In L usure professionnelle des travailleurs sociaux Paris INPACT 1995 88 131 131 p non publi m ROLLAND JP Du stress au bien tre subjectif proposition d une approche int grative Habilitation Diriger les Recherches 1 volume soutenue l Universit de Paris X Nanterre 1998 132 p non publi m RIZZO JR HOUSE RJ LIRTZMAN SI Role conflict and ambiguity in complex organizations Adm Sci 1970 15 2 150 63 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 179 FRPS 36 Risques psychosociaux outils d valuation Copenhagen Psychosocial Questionnaire COPSOOQ Questionnaire psychosocial Copenhague CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX R DACTEURS Langevin V d partement Expertise et conseil technique INRS Boini S d partement pid miologie en entreprise INRS Francois M d partement Homme au travail INRS Riou A d partement Expertise et conseil technique INRS Ce document appartient une s rie publi e r guli rement dans la revue Elle analyse les questionnaires utilis s dans les d marches de diagnostic et de pr vention du stress et des risques psychosociaux au travail L article parles m mes auteurs Les questionnaires dans la d marche de pr vention du stress au travai
426. ral des t ches de gestion administrative ou encore celles li es la traite qui sont moins exposantes la trans mission de C burnetii Parmi les t ches exposantes les soins v t rinaires gestes invasifs traitement des mammites et les soins courants tonte parage n cessitent une contention de l animal responsable le plus sou vent d une mise en suspension de poussi res pouvant tre contami n es L exposition est dans ce cas major e par le contact troit avec l animal avec un inoculum respi ratoire de poussi re contamin e plus important De m me une s ropr valence lev e est retrou v e chez les v t rinaires dans les diff rentes tudes Elle a t de 7 pour les pareurs dans une tude men e au Danemark vs 2 pour les ins minateurs et 3 6 pour les leveurs L influence de la ma nipulation du fumier contamin par les d jections animales ou en core la quantit de fumier r alis e dans une exploitation a t retrou v e comme facteur de risque dans plusieurs tudes 16 En analyse multivari e parmi les t ches exposantes l association entre la r alisation des soins cou rants aux animaux le curage et la s ropositivit a t confirm e Par contre le contact avec le fumier n y apparaissait plus comme fac teur de risque de transmission de Coxiella Une tude de survie de la bact rie dans le fumier de caprins montr en effet un temps de r duc tion d cim
427. rat gies coordon n es m dico socioprofessionnelles de retour et ou maintien dans l emploi des travailleurs lombal giques expos s des MMC et en arr t de travail afin de lutter contre le risque de d sinsertion sociale et professionnelle chapitre V Les b n fices attendus de ces recommandations sont de r duire l incidence des patholo gies rachidiennes lombaires d ori gine professionnelle limiter l volution vers la chroni cit et l incapacit li es aux patho logies rachidiennes lombaires favoriser les actions de pr vention en milieu de travail pour am liorer les situations de travail exposant aux MMC faciliter le retour et le maintien au travail des sujets lombalgiques en situation d incapacit prolon g e Tableau I 3 CIBLES DES RECOMMANDATIONS 3 1 Professionnels concern s Intervenants en sant au travail Ces recommandations sont des tin es en premier lieu aux m de cins de sant au travail qui ont la responsabilit du suivi m dico professionnel des travailleurs et animent une quipe pluridisci plinaire Ces recommandations s adressent galement aux infr mi res des services de sant au travail ainsi qu aux pr ven teurs qui interviennent dans les milieux de travail ergonomes psychologues ing nieurs interve nants en pr vention des risques professionnels IPRP tableau I Ces recommandations s adressent enfin aux employeurs qui ont
428. ravail communique par un moyen permettant de garantir la s curit des donn es ainsi que leur confidentialit l int ress et au m decin qu il a d sign les r sultats individuels de la dosim trie le concernant III En cas de d c s ou d incapacit du travailleur ses ayants droit peuvent demander aux organismes de dosim trie ou au m decin du travail communica tion sous pli confidentiel des r sultats individuels de la dosim trie concernant le travailleur sous les condi tions pr vues l article L 1110 4 du Code de la sant publique ARTICLE 18 Les organismes de dosim trie communiquent au m decin du travail dont rel ve le travailleur sous une forme d mat rialis e pr servant la s curit des don n es ainsi que leur confidentialit les r sultats indivi duels de la dosim trie la fin de la p riode de port des dosim tres Par ailleurs la demande du m decin du travail ces organismes de dosim trie peuvent communiquer ces r sultats sous pli confidentiel ARTICLE 19 1 Lorsqu un r sultat individuel de la dosim trie d passe l une des valeurs limites d exposition vis es l article R 4451 77 l organisme de dosim trie informe imm diatement le m decin du travail concern de ce d passement et communique cette information SISERI II Le m decin du travail informe galement confor m ment la proc dure pr vue l article L 4624 3 l employeur de ce d passement Il d
429. ravail des patients Depuis une quinzaine d ann es des cas de granulomatoses pulmo naires PHS like ont t d crits chez des sujets expos s des a ro sols d eau chaude contamin s par des mycobact ries non tubercu leuses dont principalement Myco bacterium avium Les premi res descriptions concernant des usa gers de jacuzzis cette affection a t baptis e poumon des jacuz zis Le m canisme physiopatholo gique en cause est encore d battu certains plaidant pour une origine infectieuse en particulier du fait de la forme de la localisation pr f rentiellement p ribronchiolaire et de l aspect volontiers n cro tique des granulomes pulmonaires observ s de l absence d anticorps pr cipitants ou pr cipitines sp cifiques ou encore de l identifica tion par culture de Mycobacterium avium dans les expectorations et ou le s rum de certains patients Les caract ristiques cliniques bio logiques et radiologiques restent toutefois tr s proches de celle des PHS classiques et l volution rapidement favorable l arr t de D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 147 l exposition ainsi que l efficacit de la corticoth rapie semblent plut t en faveur d un m canisme immu no allergique 14 PID MIOLOGIE RAPPORTS DE CAS Bien que parfois anecdotiques les cas cliniques rapport s chez les professionnels de ce secteur d acti vit sont int ressants d
430. ravail des salari s sous traitants des installations nucl aires de base INB Vous avez travaill au moins une fois en INB au cours des 12 derniers mois acceptez vous de r pondre ce questionnaire anonyme pour vous et votre entreprise Oui Lj Non 2 ge ans 3 Sexe Homme 1 Femme 4 Contrat de travail CDI CDD 1 Int rimaire 1 Autres 5 Statut professionnel LI Ouvrier 2 Employ Technicien Agent de maitrise Cadre 6 Votre travail habituel en INB se rapporte quelle s activit s professionnelles Plusieurs r ponses possibles 2 Contr les non destructifs radiologues industriels 2 Servitudes nucl aires nettoyage d contamination gardiennage logistique B timent et son entretien g nie civil ma onnerie peintures r sines Climatisation chauffage plomberie chafaudage Calorifugeage Tuyauterie soudage chaudronnerie Robinetterie industrielle lectricit lectronique automatisme informatique M canique Bureau d tudes dont charg s d affaires agents de planification ing nieur de projet M dical Autre ENENENENENENENENE 7 Anciennet professionnelle dans le nucl aire ans si moins d un an saisir o gt gt AU COURS DES 12 DERNIERS MOIS 8 Au cours des 12 derniers mois combien de fois avez vous chang de site de travail nucl aire ou hors nucl aire changements de site o si un seul site da
431. ravail stressant sur la sant Ouelles r percussions ont elles sur la productivit des entreprises Comment concevoir le travail pour viter ou r duire le stress Des questions cl s qui sont abor d es dans ce document R f INRS ED 5021 4 p 5 dition Les laines min rales d isolation Bonnes pratiques d utilisation Fiche pratique de s curit Pr venir les risques dus l exposi tion des travailleurs aux laines mi n rales c est avant tout s lection ner les produits et les m thodes de travail permettant de r duire au minimum l mission de fibres et poussi res Les principales donn es relatives aux laines min rales d isolation sont pass es en revue composi tion utilisation mise en uvre et risques associ s la suite les bonnes pratiques concernant l organisation des chantiers les conseils pour l quipement des tra vailleurs sont illustr s par quatre situations de travail Ces conseils s adressent aux trans formateurs et aux utilisateurs des laines min rales R f INRS ED 93 4 p 2 dition Les fiches toxicologiques de l INRS Nouvelles fiches e FT 298 Acide perfluoro octanesulfonique PFOS et ses sels e FT 299 Abamectine e FT 300 Acide perfluoro octanoique PFOA et ses sels Refontes FT 55 Mercure et compos s FT 162 Isocyanate de m thyle Mises jour e FT 11 Pentachloroph nol et sels de sodium et potassium
432. ravailleur titulaire de certains dipl mes ou titres professionnels en rapport avec l acti vit exerc e Peuvent ainsi tre notamment concern s par des d ro gations l interdiction les travaux exposant les jeunes aux rayonnements ionisants requ rant un classement en cat gorie B la conduite d quipements de travail mobiles automoteurs et d quipements de travail servant au le vage ou les travaux de montage ou d montage d cha faudages Enfin le d cret modifie les conditions d emploi des mi neurs g s de 14 moins de 16 ans pendant les vacances scolaires Les articles D 4153 2 et D 4153 4 du Code du tra vail pr voient d sormais que l emploi de ces mineurs est autoris pendant les vacances scolaires comportant au 208 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 moins 14 jours ouvrables ou non et la condition qu ils b n ficient d un repos continu d une dur e gale au moins la moiti de la dur e totale des dites vacances D cret n 2013 914 du 11 octobre 2013 relatif la proc dure de d rogation pr vue l article L 4153 9 du Code du travail pour les jeunes g s de moins de dix huit ans Ministere charg du Travail Journal officiel du 13 octobre 2013 pp 16900 16901 Ce d cret a pour objet de modifier la proc dure de d ro gation aux travaux interdits pour les jeunes de 15 ans 18 ans en formation professionnelle Sont concern s les apprentis et l
433. re 20 ans la mobilit au risque routier et aux contraintes organisationnelles ne pas avoir eu les moyens de bien faire son travail avoir travaill plus de 5 jours de suite avoir pris ses repas la gamelle o 272 salari s d clarent qu il est moins p nible de travailler en secteur nucl aire 242 que c est plus p nible et 80 qu il n y a pas de diff rence o Trouver le travail plus p nible en secteur nucl aire est associ avoir eu des travaux terminer en urgence ne pas s tre senti toujours en s curit en zone contr l e ou surveill e o Les m decins du travail constatent des pathologies chez 4 salari s sur 10 alors que ceux ci se d clarent en bonne sant rapportant cependant des difficult s d acc s aux soins o Les pathologies g nantes pour le travail en nucl aire et en rapport avec le travail sont associ es ne pas pouvoir rentrer chez soi tous les soirs estimer son temps de repos quotidien insuffisant juger mauvais son tat de sant se sentir anxieux tendu ou d prim pr senter des affections rhumatologiques des troubles m taboliques un surpoids o Cette tude confirme la perception des m decins quant aux conditions de travail et de vie pouvant avoir des cons quences sur l tat de sant et le maintien dans l emploi des salari s de la sous traitance du nucl aire Elle permet de d gager des pistes d am liora
434. re O dans une commune rurale Lyon M d 1983 249 459 61 18 M Virus V Sououz P DAUTRY VARSAT ET AL High incidence of Coxiella burnetii markers in a rural population in France Eur J Epidemiol 1996 12 5 509 13 19 Risk assessment on O fever Technical report ECDC 2010 http ecdc europa eu en publications Publications 1005 TER Risk Assessment Ofever pdf 20 SCHIMMER B LENFERINK SCHNEEBERGER P AANGENEND H ET AL Seroprevalence and risk factors for Coxiella burnetii Q Fever seropositivity in dairy goat farmers households in The Netherlands 2009 2010 PLoS One 2012 7 7 42364 21 Roest HJ A VAN ROTTERDAM DE BRUIN ET AL Survival of Coxiella burnetii in goat manure Final report Government of the Netherlands 2011 www rijksoverheid nl documenten en publicaties rapporten 2011 07 14 overleving van coxiella burnetii in geitenmest eindrapportage html 76 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 VU DU TERRAIN La pr vention des risques professionnels vue par les m decins du travail AUTEURS T Coutrot Direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques minist re en charge du Travail En 2010 2 400 m decins du travail ou de pr vention soit Enqu te SUMER 20 de l effectif total ont particip l enqu te SUMER Au cours des examens p riodiques ces
435. recherch es dans le s rum pour l oxyde d thyl ne la chlo ramine T ou encore le formald hyde bien que la sensibilit de ces dosages soit m diocre compar e celle observ e pour les dosages d IgE sp cifiques d allergenes de haut poids mol culaire 31 vs 73 3 52 Lorsqu une rhinite allergique est suspect e un test de provocation nasale TPN sp cifique peut tre r alis consiste appliquer le produit incrimin sur la muqueuse nasale et mesurer lobstruction nasale induite par rhinomanom trie Cet examen consid r comme la m thode de r f rence pour le dia gnostic des rhinites allergiques pro fessionnelles est particuli rement int ressant pour tester des subs tances pour lesquelles il n existe pas de tests immunologiques ammo niums quaternaires glutarald hyde amines aliphatiques ou que ceux ci sont peu performants 53 Un r sultat positif ne peut toutefois pas permettre de pr juger du m ca nisme d action en cause Aucune exp rience de test de provocation nasal sp cifique la trichloramine n a t retrouv e dans la litt rature Dans le cas d un asthme un test de provocation bronchique r aliste peut permettre de confirmer l iden tit de la substance responsable Il doit tre r alis avec prudence en cabine aupr s d un op rateur exp riment et dans le cadre d une hos pitalisation br ve Il peut consister reproduire lorsque cela est pos sibl
436. reprises tudes et proposi tions d am nagement de poste encadr 1 Les entreprises du secteur priv doivent disposer d un m decin du travail soit en adh rant une asso ciation interentreprises de sant au travail soit en cr ant leur propre service de sant au travail alors dit service autonome En outre les tablissements d au moins 50 salari s qui disposent d un comit d entreprise ou de d l gu s du per sonnel doivent mettre en place un comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT Les agents des trois fonctions pu bliques tat territoriale et hospita li re b n ficient des dispositions du Code du travail en mati re de pr vention des risques profession nels et sont en principe suivis par des m decins de pr vention enca dr 1 En 2009 2010 2 400 m decins du travail et de pr vention ont r a lis l enqu te SUMER 1 encadr 2 dont un volet d crit de facon succincte les pratiques formalis es 3v Encadr 1 gt LA PR VENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS DANS LE CODE DU TRAVAIL L obligation de pr vention des risques professionnels s applique tous les employeurs de droit priv les articles 4121 1 et suivant du Code du travail loi du 31 d cembre 1991 pr voient que le chef d tablissement prend les mesures n cessaires pour assurer la s curit et prot ger la sant physique et mentale des travailleurs y compris les
437. res les plus pollu es en trichloramine En revanche les r sultats des tests la m tacholine ne permettent pas de conclure un risque accru d HRBNS chez ces sujets En 2007 dans une tude transver sale men e aupr s de 624 employ s de 28 piscines Jacobs et al observent un risque accru de sympt mes res piratoires hauts sinusite enroue ment voix voil e par rapport la population g n rale et ce ind pen damment du statut atopique des sujets 1 En 2009 Demange et al ont tu di l tat de sant respiratoire de 39 ma tres nageurs par le biais d un autoquestionnaire de symp t mes d EFR d un test de provo cation bronchique asp cifique la m tacholine et d une mesure du NO dans l air exhal NOe 44 Le 150 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 O Serge Morillon INRS taux de NOe apparait corr l avec l existence d une HRBNS appr ci e par la r ponse au test la m ta choline ce qui sugg re que la me sure du NOe pourrait avoir sa place dans le d pistage des travailleurs de ce secteur d activit pr sentant une HRBNS consid r e comme un facteur de risque de d velopper des sympt mes d asthme En 2012 Nordberg et al ont deman d deux groupes de volontaires 17 employ s de piscine et 34 sujets t moins non expos s de facon ha bituelle un environnement irri tant d effectuer 2 heures d exercice physique dans une piscine 45
438. retour au travail n cessitent la coor dination et le d cloisonnement des acteurs et des institutions concern es entreprises services de sant au travail caisses de S curit sociale partenaires sociaux du maintien en emploi Pour cela le travail en r seau peut tre une solution int ressante sous r serve d un financement p renne et d une formation adapt e L quipe pluridisciplinaire de sant au travail doit pro mouvoir la mise en place par lentreprise de strat gies de pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travail leurs expos s aux risques li s la manipulation de charges afin de favoriser le retour pr coce au travail d s qu un arr t de travail pour lombalgie d passe quatre semaines Ces strat gies de pr vention ter tiaires doivent comporter plu sieurs volets 1 Coordination des prises en charge 2 Interventions ciblant les condi tions de travail 3 Interventions ciblant le travail leur 4 Interventions multidimension nelles de pr vention de l incapa cit lombalgique 1 Concernant la coordination des prises en charge dans le cadre de la d marche de pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travailleurs en arr t de travail N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 expos s aux risques li s la MMC il est recommand de Informer le travailleur en ar r t de l int r t de solliciter
439. riode comprise entre 2005 et 2012 ctivit s revue de la Soci t d ergonomie de langue francaise SELF PISTES Archives des Maladies Professionnelles Documents pour le M decin du Travail INRS Cette recherche a t compl t e par l tude des sites WEB rapports institutionnels et documentations des institutions en charge de la pr vention des risques professionnels car l interrogation des bases de donn es ne permet pas d identifier certaines m thodes d valuation et tudes d interventions en milieu de travail faute de publication dans des revues index es minist re du Travail site Web travailler mieux gouv Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail ANACT Caisse nationale de l Assurance maladie des travailleurs salari s CNAMTS Agence europ enne pour la sant et la s curit du travail OSHA eu Institut europ en pour la sant au travail ETUI conf d ration des syndicats europ ens Agency for Healthcare research and Quality AHRO Grande Bretagne Health amp Safety Executive Grande Bretagne Finnish Institute of Occupational Health Finlande Institut de recherche Robert Sauv en sant et s curit du travail IRSST Qu bec Canada National Institute for Safety and Occupational Health NIOSH USA Liberty Mutual Research Institute for Safety USA Nous avons galement consult la documentation des institutions de normalisation francaise et europ enne
440. ris en compte par banalisation att nuation ou d ni Cette tude confirme des r sultats d j connus Les risques effets diff r s sont peu pris en compte par les ouvriers troubles musculosquelettiques TMS bruit risque chimique alors qu ils sont souvent cit s La concentration sur la t che et le rabattement sur le pr sent oc cultent le contexte de travail On note un ruissellement du manque de d cisions organisation nelles et de gestion de chantier la prise de risque donne parfois le sentiment d autonomie de gain de temps e Une r partition in gale de la parole au sein de l quipe y com pris du chef d quipe peut avoir une influence avec des prises de risque plus importantes pour les plus timides les int rimaires ou en raison de barri res linguistiques La dynamique de l quipe de tra vail intervient pouvant tre un facteur facilitant ou aggravant les tensions relationnelles constituent un facteur de risque alors que le groupe peut tre facteur de s curi t lorsque la bonne entente r gne Le fonctionnement de l quipe ap parait comme d terminant sur la gestion des risques en situation de travail Il existe des normes collec tives de rapport au risque cultures d quipe des d rives lentes im perceptibles normalisation de la N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 d viance parfois des comp titions entre quipes ellyaunsent
441. rs ANNEXE 3 Mod le organisationnel des situations g n ratrices de troubles musculosquelettiques des membres et du rachis TMS d apres 9 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 115 PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges ANNEXE 4 m thodes d valuation et ou de pr vention des risques musculosquelettiques du rachis recommand es par l Institut syndical europ en 11 Orientation principale 00 Quamifationdurkque Recherche de solutions 1 D pistage Collectif de travail MAC 12 FIFARIM 13 KIM 9 Risk filter and assessment ART 0 worksheets PLIBEL 2 Analyse Tout pr venteur Equation r vis e du NIOSH 2 SOBANE observation Tables psychophysiques 3 Expertise Ergonome IPRP OWAS RULA 9 1 Corps entier 2 Rachis Key indicator method ART Assessment tool for repetitive tasks of the upper limbs FIFARIM Cette fiche permet l valuation rapide des principaux param tres de la situation de travail par le travailleur lui m me La fr quence d exposition chaque param tre est valu e par une chelle visuelle analogique et des sch mas faciles utiliser par les travailleurs et leur encadrement SOBANE tape observation de la strat gie SOBANE gestion des risques professionnels voir annexe 2 1 du texte l
442. rte me n es aupr s d enfants sugg rent ainsi que la fr quentation pr coce avant de 3 ans de piscines D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 149 ALLERGOLOGIE PROFESSIONNELLE chlor es serait associ e un plus grand risque de sensibilisation aux acariens domestiques et de modi fication de marqueurs biologiques de l inflammation bronchique tels que la teneur en monoxyde d azote NO de l air exhal 11 Ces constatations conforteraient donc l hypoth se dite du chlore selon laquelle l exposition pr coce des enfants au chlore et ses sous pro duits en particulier par le biais de la fr quentation des piscines chlor es participera it l augmentation d in cidence des maladies allergiques observ e ces derni res ann es dans les pays d velopp s Les tudes men es aupr s de na geurs de comp tition ont quant elles permis de constater une plus forte pr valence d hyperr ac tivit bronchique non sp cifique HRBNS et d asthme par rap port des sportifs de haut niveau d autres disciplines 32 Les symp t mes d asthme comme l HRBNS semblent toutefois avoir tendance voluer de fa on fluctuante en fonction des p riodes d entraine ments intensifs en piscine 33 37 et s amender voir dispara tre l arr t de la carri re de haut niveau 38 L action pro inflam matoire conjugu e de l exposition atmosph rique chronique aux tri c
443. rte une s rie dadaptations au r glement CLP n 1272 2008 En particulier il modifie le libell du conseil de prudence P 210 qui devient Tenir l cart de la chaleur des surfaces chaudes des tincelles des flammes nues et de toute autre source d inflammation Ne pas fumer ceci afin de tenir compte de la 5 r vision du syst me g n ral harmonis de classification et d tiquetage des produits chimiques SGH remplace une s rie d entr es dans les tableaux 31 et 3 2 figurant dans la partie 3 de l annexe VI du reglement CLP qui tablissent des listes de substances dangereuses faisant l objet d une classification et d un tiquetage harmonis s Les modifications concernent notamment l ars niure de gallium CAS 1303 00 0 le trichlorom thane CAS 67 66 3 ou l acrol ine CAS 67 02 8 RISQUE BIOLOGIOUE D CHETS D ACTIVIT S DE SOINS Circulaire interminist rielle DGS EA1 DGPR n 2013 173 du 1 mars 2013 relative la mise en uvre de l ap pareil de pr traitement par d sinfection des d chets d activit s de soins risques infectieux DASRI ECO DAS T100 de la soci t ECODAS et la proc dure ad ministrative d partementale applicable aux appareils de pr traitement par d sinfection des d chets d activi t s de soins risques infectieux Minist re charg de la Sant www circulaires legifrance gouv fr 7 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL
444. rvenants des soins de sant M decins traitants M decins sp cialistes Kin sith rapeutes infirmiers ergoth rapeutes Intervenants dans le champ m dico social M decins conseils de l Assurance maladie Charg s d insertion et de maintien dans l emploi Psychologues Assistantes sociales D finition On entend par manutention manuelle de charges MMC toute op ration de transport ou de soutien d une charge dont le levage la pose la pouss e la traction le port ou le d placement qui exige l effort physique d un ou plusieurs travailleurs 9 Les manutentions r p titives de charges inf rieures 3 kg ne sont pas prises en compte dans ce document car elles renvoient princi palement la probl matique des gestes r p titifs et des troubles musculosquelettiques des membres sup rieurs On entend par lombalgie commune simple une lombalgie n ayant pas de r percussion importante sur les activit s quoti diennes et ou de travail et par lombalgie commune s v re une lombalgie r cidivante ou chronique et ou entrainant des res trictions de participation pour les activit s de la vie quotidienne et ou de travail valuation de l exposition des MMC pour le risque lombaire Les activit s de MMC doivent tre consid r es comme des activi t s complexes et diversifi es exposant un cumul de contraintes Une strat gie d valuation hi rarchis e doit prendre en compte la globalit des si
445. s ANNEXE II ORGANISATION DE LA PRISE EN CHARGE APR S ACCIDENT EXPOSANT AU SANG AES ET INFORMATION SUR LA CONDUITE TENIR Un dispositif de prise en charge des personnels vic times d AES permettant un ventuel traitement prophylactique dans les meilleurs d lais et un suivi m dical adapt doit tre organis dans tous les tablis sements 24 heures sur 24 L information des personnels de sant est essentielle la conduite tenir pratique doit tre affich e ou mise disposition dans tous les services La responsabilit de ce dispositif incombe au chef d tablissement Il prendra conseil aupr s du m decin du travail et des instances concern es CLIN CHSCT 1 Conduite tenir imm diate Piq re coupure ou contact direct sur peau l s e ne pas faire saigner nettoyer imm diatement la zone cutan e l s e l eau et au savon puis rincer puis d sinfecter pendant au moins cinq minutes avec un d riv chlor Dakin ou eau de Javel 2 6 6 de chlore actif dilu au 1 5 ou d faut polyvidone iod e en solu tion dermique ou alcool 70 Projection sur muqueuses et en particulier les yeux rincer abondamment au s rum physiologique ou l eau au moins cing minutes 2 valuation du risque apr s AES et prophylaxie post exposition Un avis m dical est indispensable le plus pr cocement possible au mieux dans les quatre heures pour valuer l importance du risque i
446. s quelques jours apr s arr t de l ex position et r apparaissent en cas de nouvelle exposition ils peuvent se chroniciser et s aggraver pro gressivement si celle ci persiste Les formes subaigu s et chroniques correspondent l apparition pro gressive sur quelques semaines mois ou ann es d une dyspn e et d une alt ration de l tat g n ral asth nie anorexie amaigrisse ment Ces sympt mes s accom pagnent parfois d une toux plus ou moins productive et d pisodes f briles r currents DIAGNOSTIC TIOLOGIQUE e Rhino conjonctivite et asthme Lorsque des sympt mes de sur venue brutale sont rapport s ils sont g n ralement associ s une exposition accidentelle de fortes concentrations de vapeurs irri tantes d gagement accidentel de chlore gazeux lors de la mainte nance du syst me de chloration d faillance du syst me de ventila tion des locaux entrainant un arr t du renouvellement d air Toutes les personnes expos es sont alors concern es des degr s divers en fonction de la dur e et de l intensit de leur exposition et de facteurs de sensibilit individuels tels qu une rhinite ou un asthme pr existant Des plaintes plus chroniques de la part de plusieurs employ s en particulier ceux passant le plus de temps au bord des bassins doit orienter vers une exposition quo tidienne un taux atmosph rique trop lev de trichloramine sup rieur 0 5 mg m voire 0 3 mg m p
447. s Cet ouvrage s adresse tout particuli rement l ensemble des personnels des laboratoires de recherche ou d analyse Chercheurs ing nieurs techniciens mais aussi ing nieurs de s curit m decins de pr vention et du travail conseillers et assistants de pr vention hygi nistes et d une facon g n rale tout encadrant y trouveront des r ponses concr tes aux situations risques rencontr es dans ces laboratoires Lavoisier 14 rue de Provigny 94236 Cachan cedex 2014 1120 p www lavoisier fr Cancer du sein professions et epositions professionnelles aux solvants organiques R sultats de deux tudes pid miologiques sur les cancers du sein chez l homme et chez la femme GU NEL P VILLENEUVE S Cancer du sein professions et expositions professionnelles aux solvants organiques R sultats de deux tudes pid miologiques sur les cancers du sein chez l homme et chez la femme Des causes professionnelles ont t voqu es propos du cancer du sein Ce travail sur les facteurs de risque professionnels des cancers du sein a t r alis partir de deux tudes cas t moins en population g n rale portant l une sur les cancers du sein f minins et l autre sur les cancers du sein chez l homme Le cancer du sein chez l homme est un cancer rare mais constitue dans le contexte des facteurs de risque professionnels un modele int ressant du fait des expositions profes
448. s de competences de la medecine physique et de la readaptation 24 Maraux P MaziNa D Prise en charge de la lombalgie en m decine du travail Recommandations de bonnes pratiques Direction g n rale Humanisation du travail Bruxelles Service public f d ral Emploi Travail et Concertation sociale 2008 44 p 130 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 SUIVI POUR VOUS Le risque cutan dans le BTP 32 Journ es nationales du BTP Lille 28 30 mai 2013 AUTEURS Le risque cutan est encore tr s pr sent dans le secteur du b timent et des travaux publics l hygi ne qu elle soit individuelle ou collective sur les chantiers reste un l ment fondamental pour pr venir la survenue de dermatoses professionnelles La compr hension et l appr hension du risque parles travailleurs comme parles apprentis sont des l ments importants pour la mise en place de moyens de pr vention efficace La compl mentarit des comp tences est galement un atout majeur d velopper Dermatose peau BTP B timent et travaux publics apprenti hygi ne es 32 Journ es natio nales du b timent et des travaux publics BTP organis es conjoin tement par 115 Institut sant travail du nord de la France et le GNMST BTP Groupement natio nal multidisciplinaire de sant au travail du BTP avec le soutien de l OPPBTP Organisme profession nel de pr venti
449. s br lures asphyxie Gaz inertes argon ou toxiques monoxyde de carbone dioxyde de carbone m Agents physiques laser UV champs magn tiques m Travail isol 10 VALUATION DE LA MAITRISE DES RISQUES Afin d optimiser la radioprotection des travailleurs et de l installation l employeur tablit l ensemble des bilans n cessaires l valua tion de la maitrise des risques Les bilans font notamment tat des d passements des valeurs limites et des moyens mis en ceuvre pour y rem dier m Le CHSCT ou d faut les d l gu s du personnel a acc s au bilan statistique des exposi tions au bilan des dysfonctionnements relev s au bilan des contr les techniques de radioprotection effectu s La consultation r guli re de SISE RI des fins d optimisation et d in formation par le m decin du travail et par la PCR ainsi que la consulta tion des relev s annuels des doses individuelles permettent d appr cier l volution des expositions ex ternes et internes des travailleurs m Les r sultats des diff rents contr les techniques et d ambiance ainsi que l analyse pr alable du niveau d exposition sont int gr s dans le document unique d valua tion des risques 12 Le pansement a pour r le de faire transpirer la peau en cas de contamination cutan e qui r siste au lavage et faciliter ainsi l limina tion du radionucl ide contaminant 13 Site ASN www
450. s d levage La r ponse immunitaire chez l h te infect et le m canisme d immu noprotection volution de l immu nit humorale et m diation cel lulaire sp cifique chez des sujets r guli rement expos s devraient tre davantage investigu s Des tudes sur la r action immunitaire chez des individus naturellement ou exp rimentalement infect s ont sugg r que limmunit cel lulaire et la synth se d interf ron gamma sont essentielles pour le contr le de l infection C burnetii tandis que l immunit humorale est capable d acc l rer le processus BIBLIOGRAPHIE POINTS RETENIR o Dans le sud est de la France la s ropr valence vis vis de Coxiella burnetii est lev e chez les professionnels d levage de petits ruminants o La s rologie peut tre n gative chez des professionnels d levage expos s intens ment et depuis longue date Elle ne peut tre retenue comme un marqueur biologique formel d exposition en zone end mique o L indication de la s rologie reste limit e au diagnostic de la fi vre O en pr sence de signes cliniques chez les sujets ne pr sentant pas de facteurs de risque de complications 1 Roest HI TILBURG JJ VAN DER Hork W VELLEMA P ET AL The O fever epidemic in The Netherlands history onset response and reflection Epidemiol Infect 2011 139 1 1 12 2 HELLENBRAND W BREUER T PETERSEN L Changing epidemiology of O fever in
451. s pathologies psychiques li es au travail Une tude sur 10 pays europ ens EUROGIP 81 F EUROGIP a men une enqu te dans 10 pays de l Union Europ enne afin d valuer les possibilit s de reconnaissance des pathologies psychiques li es au travail soit au titre de maladies professionnelles ou en tant qu accident du travail notamment en cas de suicide convient d tablir une proc dure de reconnaissance en d finissant les conditions l instruction de la demande mais aussi l valuation et l indemnisation du dommage psychique permanent Les statistiques ont t compil es pour les pays pris en compte des comparaisons ont t r alis es et les cas particuliers abord s La derni re partie liste la typologie des cas reconnus de pathologies psychiques en maladies professionnelles les facteurs de risque les plus fr quents les secteurs d activit et les professions les plus touch s ainsi que l influence de l ge et du genre Groupement de l Institution pr vention de la S curit sociale pour l Europe EUROGIP 55 rue de la F d ration 75015 Paris 2013 55 p www eurogip fr TLVs and BEls based on the documentation of the threshold limit values for chemical substances and physical agents and biological exposure indices 2013 Valeurs limites d exposition des substances chimiques et des agents physiques Indices biologiques d exposition 2013 ANGLAIS Cet ouvrage pr sente les mises
452. s propositions d velopp es m tho diquement pour aider le praticien et le patient rechercher les soins les plus appropri s dans des cir constances cliniques donn es Une synth se rigoureuse de l tat de l art et des donn es de la science un temps donn est rap port e dans l argumentaire scien tifique Elle ne saurait dispenser le professionnel de sant de faire preuve de discernement dans sa prise en charge du patient ou du travailleur qui doit tre celle qu il estime la plus appropri e en fonc tion de ses propres constatations Ces RBP ont t labor es selon la m thode des Recommandations pour la pratique clinique propo s e par la Haute Autorit de sant HAS 1 r sum e dans l argu mentaire scientifique 1 CHOIX DU TH ME DES RECOMMANDATIONS CONTEXTE 1 1 Saisine L laboration de ces recommanda tions de bonne pratique en sant au travail r pond la demande de la Direction g n rale du travail DGT Le th me de la Surveil lance m dico professionnelle du risque rachidien chez les travail leurs expos s des manipulations de charges est l un des 5 th mes prioritaires retenus par le conseil scientifique de la Soci t francaise de m decine du travail SFMT partir d une enqu te r alis e par les m decins inspecteurs du tra vail sur les besoins ressentis en mati re de recommandations par les m decins du travail de terrain 1 2 Donn es pid mi
453. s de contr le adapt s aux missions du radio nucl ide utilis Appareils de recherche de contamination Appareils de mesure de d bit de dose Autres moyens crans adaptables sur pipettes 4 valuation de l exposition 4 Exposition externe 4 11 valuation th orique Les fiches radionucl ides INRS IRSN et le guide Ra dionucl ides amp Radioprotection donnent des valeurs de d bit de dose distance ou au contact pour une activit donn e dans plusieurs conditionnements flacons seringues En estimant le temps de mani pulation par exemple par des manipulations blanc il est possible d avoir une estimation grossi re de l ex position D autres r f rences bibliographiques des donn es d autres installations pratiquant de la m me facon ou une extrapolation de donn es locales concernant des manipulations similaires peuvent compl ter ou pr ciser ces donn es par exemple avec des valeurs de d bit de dose derri re un cran L valuation th orique peut galement tre r alis e totalement ou en partie au moyen d un code de calcul pour ceux qui disposent de cet outil Pour un calcul sans code on utilisera notamment la formule D DDD x A A x d d x t o D est la dose valuer la distance d d une source 172 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 3 Polym tha crylate de m thyle d activit A quelle que soit la grandeur
454. s de dix huit ans et de quinze ans au moins et qui ne sont pas elles conditionn es par une d cision de l inspecteur du travail Ce sont des d rogations permanentes qui permettent d affecter les jeunes travailleurs certains travaux inter dits lorsqu ils sont titulaires d un dipl me ou d un titre professionnel correspondant l activit qu ils exercent et lorsque leur aptitude m dicale ces travaux a t constat e Dans ce cadre le jeune travailleur peut tre affect la conduite d quipements de travail mobiles automoteurs et d quipements de travail servant au levage s il a recu la formation la conduite ad quate et s il est titulaire de l autorisation de conduite requise lorsque la conduite de l quipement est subordonn e l obtention d une telle autorisation De m me les jeunes travailleurs titulaires d une habili tation lectrique peuvent ex cuter des op rations sur les installations lectriques ou des op rations d ordre lec trique ou non dans le voisinage de ces installations dans les limites fix es par l habilitation D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 209 Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 15 juillet au 31 octobre 2013 RISQUES PSYCHOSOCIAUX SUICIDE D cret n 2013 809 du 9 septembre 2013 portant cr ation de l Observatoire national du suicide Minist re charg de la Sant Journal officiel du 10 sep
455. s de travail et de vie 0 01 souhaiter changer de travail du fait des d placements 0 01 ne pas pratiquer habituellement d activit sportive 0 05 que le travail en secteur nucl aire est plus p nible que le travail hors secteur 0 05 nucl aire 46 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau VII gt SALARI S SOUFFRANT D UNE PATHOLOGIE EN RAPPORT AVEC LE TRAVAIL ET GENANTE POUR L ACTIVIT EN MILIEU NUCLEAIRE SELON L AVIS DU MEDECIN DU TRAVAIL 60 SALARIES EH Le plus souvent ils n exercent pas des m tiers de servitudes nucl aires 0 05 115 sont plus souvent en surpoids ou ob ses 0 01 juger mauvais leur tat de sant 0 001 travailler plus de 8 heures par jour lt 0 05 avoir roul de nuit d un site l autre ou pour retourner chez eux 0 05 ne pas pratiquer habituellement d activit sportive lt 0 05 souhaiter changer de travail 0 05 du fait des d placements 0 01 travailler plus de 5 jours de suite 0 01 un temps de repos insuffisant 0 01 se sentir fatigu s 0 01 se sentir anxieux tendus ou d prim s 0 01 Lorsqu ils pr sentent une pathologie il s agit plus souvent de pathologies m taboliques 0 001 Plus souvent la pathologie est une g ne pour le travail en g n ral 0 001 Ce groupe est constitu de l intersection des salari s pour lesquels le m decin a retenu l existence de pathologies en rapport avec les conditions de travail et des sal
456. s et croyances qui pour ront alors tre identifi es et discu t es Il peut aussi aider redonner confiance aux travailleurs parfois d sorient s par des informations ou des discours m dicaux contra dictoires Le professionnel de sant doit tre conscient de l influence que peuvent avoir ses propres repr sentations sur le contenu du mes sage qu il d livre Pour les travailleurs lombal giques ou non expos s aux manipulations manuelles de charges il est recommand de 1 Que le professionnel de sant soit attentif au contenu du message d livr grade B compte tenu de son impact potentiel sur les repr senta tions et le comportement du travailleur 2 Indiquer que la lombalgie est commune et fr quemment r cidivante mais que les pi sodes de lombalgie sont habi tuellement courts et d volu tion spontan ment favorable grade B 3 Indiquer que la survenue des lombalgies est d origine multi factorielle et que les facteurs professionnels sont un des fac teurs modifiables influencant l incidence de la lombalgie grade B 4 Veiller la coh rence des messages au sein de l quipe pluridisciplinaire de sant au travail en raison du caract re d l t re des discours discor dants Pour les travailleurs lombalgiques expos s aux MMC Il existe un consensus sur l inu tilit du repos strict au lit en cas d pisode aigu de lombalgie non sp cifique Si le repos au lit est n cessa
457. s expo s s des MMC s inscrit dans la d marche de pr vention globale selon les trois niveaux de pr ven tion Primaire limiter en priorit l incidence des lombalgies chez les travailleurs expos s aux MMC par r duction des risques la source Secondaire faire en sorte que ceux qui en souffrent d j ne s ag gravent pas ou ne r cidivent pas gt Tertiaire faciliter la poursuite de l activit professionnelle et le maintien durable dans l emploi de ceux qui pr sentent des douleurs chroniques Compte tenu de la forte pr va lence des lombalgies et de la diffi cult faire la part de ce qui rel ve de la pr vention primaire et de la pr vention secondaire chez les tra vailleurs en activit il est licite de regrouper ces deux aspects de la pr vention La pr vention du risque rachidien lombaire li la MMC s inscrit r glementairement dans les obli gations de l employeur en mati re de s curit et de sant au travail C trav Art 4121 1 en respectant les principes g n raux de la pr vention des risques professionnels C trav Art L 422131 L 4122 2 donnant la primaut la pr ven tion la source Les actions sur le milieu de travail s inscrivent dans la mission des services de sant au travail SST C trav Art 1 4622 2 Elles com prennent en particulier l tude de postes en vue de l am lioration des conditions de travail C trav Art R 4624 1 Ell
458. s financiers Manque de contact avec le milieu de travail Dur e de l arr t maladie Cet l ment peut tre mesur gr ce l chelle de Borg Cet l ment peut tre mesur gr ce l autoquestionnaire de Karasek D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 119 PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges ANNEXE 9 Synth se des principaux facteurs de risque d incapacit prolong e li s au travail Exigences physiques du travail Rythme de travail soutenu Travail physique lourd Exigences physiques sup rieures aux capacit s Climat social au travail Soutien social Soutien hi rarchique Manque d autonomie Contrat de travail de courte dur e Conflits au travail Impossibilit de faire des pauses de sa propre initiative Perceptions de la douleur Insatisfaction au travail et du travail Travail monotone Stress au travail Croyance que le travail est dangereux Charge motionnelle au travail Croyance qu il vaudrait mieux ne pas travailler avec la douleur Peur de la rechute Faible espoir de reprise du travail Gestion de l incapacit Compensation financi re au travail ATCD de compensation financi re Plainte de d couragement Retard la d claration d accident Faible prise en charge m dicale imm diate Impossibilit de modifier le poste Salaire de compensation important 12
459. s informations compl men taires peuvent tre demand es au pr s des Centres antipoison CAP ou de l INRS Pneumopathie d hyper sensibilit Les cas de PHS chez les employ s de piscines et centres de baln o th rapie peuvent survenir de fa on isol e ou bien group e en cas de forte exposition antig nique 26 La confirmation de l origine pro fessionnelle de l affection n cessi terait de r aliser des pr l vements d eau et d air en diff rents points des locaux afin de mesurer leurs teneur en bact ries et moisissures et de faire des recoupements avec les pr cipitines retrouv es dans le s rum des patients D autres tech niques exp rimentales proposent plut t de mesurer des indicateurs de pr sence bact rienne endo toxines ou fongique ergost rols Malheureusement labsence de valeur de r f rence et les difficult s de mesurage font que ces mesures ne sont pas r alis es en pratique courante DIAGNOSTIC EN MILIEU SPECIALISE DIAGNOSTIC POSITIF e Rhinite et asthme Face une suspicion de rhinite et ou d asthme en relation avec le tra vail le clinicien recherchera un ter rain atopique par linterrogatoire notion de rhinite d asthme ou de dermatite atopique dans l en fance la r alisation de prick tests aux pneumallerg nes courants de l environnement acariens domes tiques pollens phan res de chat et chien etle dosage des IgE totales L existence d une rhinite est confir
460. s internes calcul es en lien avec la manipulation de tickets thermiques L INRS a mis au point une technique d analyse dans les urines du bisph nol A et du bisph nol S utilis en substitution du bisph nol A et propose d valuer en collaboration avec les services de sant au travail l exposition des personnels ces compos s suite l utilisation de tickets thermiques Objectif e valuer les expositions aux bisph nols A et S de populations professionnellement expos es suite la manipulation de tickets thermiques principalement les agents de caisse en les comparant des popula tions non professionnellement expos es t moins Protocole Sur prescription du m decin du travail l INRS effec tuera des recueils urinaires de personnes expos es et de t moins issus des m mes entreprises un questionnaire sur les modalit s d exposition et les facteurs de contami nation environnementale sera galement rempli Une analyse des tickets sera r alis e afin de v rifier la pr sence de bisph nol A ou S 9 Les r sultats seront transmis au m decin du travail analys s et publi s de mani re collective et anonyme Phasage de l tude 1 phase r alisation de la cin tique d limination vingt agents de caisse devront fournir leurs urines pen dant 24 h 10 personnes utilisant des tickets base de bisph nol A 10 avec du S Les agents pourront apparte nir la m me entreprise ou des entreprises d
461. s micro organismes thog nes ou non pour l homme peuvent galement tre des sources antig niques l origine de lasurvenue de casisol s ou group s de PHS Plusieurs auteurs ont d crit des pathologies de ce type chez des usagers et employ s de piscines et centres de baln oth rapie En 1990 sur 31 employ s d une pis cine r cr ative du Colorado se plai gnant d un syndrome pseudo grip pal 11 cas de PHS sont confirm s par un faisceau d arguments cli niques et anatomopathologiques 26 Ouelques ann es plus tard une 2 pid mie de PHS survient dans cet tablissement et concerne cette fois pr s de 65 6 des maitres nageurs L analyse microbiologique de plusieurs pr l vements d eau et d air permet de constater au moment de chaque pisode pi d mique l augmentation du taux d endotoxines mesur dans l air et du taux de bact ries Gram n ga tif principalement Pseudomonas aeruginosa dans l eau issue de jets situ s proximit des bassins de baignade et aliment s en eau par un circuit distinct Ces jets g n rant de puissants a rosols d eau responsables d une majoration importante de lhygrom trie du hall les maitres nageurs avaient pris l habitude de couper r guli rement l alimentation de certains d entre eux Ces p riodes de non utilisation des circuits d alimenta tion d eau pourraient avoir favoris leur colonisation bact rienne En 1997 Moreno Ancill et al ont identifi la
462. s mine A xx GDF qhimigues pu biologique AGE 1 Caract ristiques Ficbesgramme radioactif Daecspers subsidiair ENL VEMENT PAR L AMORA ATTESTATION UN CHARGE 7 Arr t du 23 juillet 2008 portant homologation de la d cision n 2008 DC 0095 de l Autorit de s ret nucl aire du 29 janvier 2008 fixant les r gles techniques auxquelles doit satisfaire l limination des effluents et des d chets contamin s par des radionucl ides ou suscep tibles de l tre du fait d une activit nucl aire prise en application des dispositions de l article R 1333 12 du Code de la Sant publique D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 165 6 Mesures concernant le personnel 6 1 Mesures techniques individuelles Porter les EPI n cessaires blouse lunettes gants les quitter pour tout d placement hors de la zone d utilisation des radionucl ides gants usage unique adapt s la nature des solut s utilis s blouseferm e manches longues lunettes antiprojection gt lunettes de protection radiolo gique notamment en cas de pra tiques susceptibles d exposer le cris tallin Changer de gants fr quemment voire rapidement en cas de suspi cion de contamination Se laver les mains avant de quit ter une zone de travail Respecter l interdiction de boire manger d utiliser des cosm tiques ainsi que d amener des articles de fumeurs e
463. s ont t inclus dans lenqu te compr hension du questionnaire Il n a t rempli qu un seul questionnaire par sala ri L exhaustivit des salari s tait recherch e mais en cas d impossibi lit lors d une vacation le question naire n tait propos qu aux deux premiers salari s INB recus En cas de refus de r pondre celui ci tait enregistr et le questionnaire tait propos au salari suivant ANALYSE STATISTIQUE Les donn es ont t saisies au fil de l tude par les m decins enqu teurs via le logiciel tudSant puis analys es l aide du logiciel SPSS Cette tude s int resse particuli re ment aux effets ventuels dans la dur e du travail en INB et des condi tions de vie des salari s concern s sur leur sant Dans un premier temps il a t pro c d une analyse descriptive Pour cela ont t cr es des classes d ge et d anciennet L ge d en tr e dans le nucl aire a t calcul par la soustraction de l anciennet l ge au moment de l enqu te selon le nombre de changements de sites de travail nucl aire ou non dans l ann e coul e chaque nouvelle mission dans un lieu dif f rent du pr c dent comptant pour un changement de site ceci afin didentifer le nomadisme et ses effets e selon le temps de travail pass sur site nucl aire et selon celui pas s en arr t de tranche par rapport au temps pass en INB dans
464. s parmi les maladies d claration obligatoire mais une recherche renforc e est r alis e depuis 1985 par le Centre national de r f rence CNR des Ric kettsia Coxiella et Bartonella Mar seille Ainsi les donn es de sant publique rapportent qu entre 2000 et 2009 2 454 cas de fi vre aigu ont t diagnostiqu s ou confir m s par le CNR sur l ensemble du territoire soit une moyenne de 245 nouveaux cas par an Les cas se dis tribuent essentiellement dans la r gion Provence Alpes C te d Azur o l incidence de la maladie est plus forte tant estim e 16 cas pour 1 million d habitants Concer nant l endocardite due C burnetii son incidence est estim e par le CNR 1 cas pour un million d habi tants dans la population g n rale francaise 5 Par ailleurs la fi vre O est une maladie professionnelle indemni sable au r gime g n ral tableau n 53B et au r gime agricole tableau n 49B Alors qu on d nombre environ 350 profes sionnels potentiellement expos s travaillant en levage de rumi nants les statistiques nationales des registres de maladies profes sionnelles du r gime agricole ne rapportent au total que 80 cas de fi vre entre 2002 et 2011 dont deux tiers concernent des profes sionnels de la fili re levage de ru minants N anmoins ces donn es manquent d exhaustivit en raison d une sous d claration probable et d un sous diagnostic fr quent dela f
465. s sujets aux ant c dents de rhino conjonctivite et ou d asthme il conviendra d valuer d s l em bauche le degr d activit de ces af fections et de suivre parla suite leur niveau de contr le On peut pour cela s aider du score de sympt mes PAREO dans la rhinite encadr 2 ou de l ACTM encadr Asthma Control Test dans l asthme Au cours des visites p riodiques l inter rogatoire recherchera des signes vocateurs de rhino conjonctivite ou d asthme de novo ou aggrav par le travail et appr ciera le contexte d apparition de ces sympt mes ventuels Il conviendra galement de rechercher l apparition de symp t mes vocateurs de PHS La r p ti tion intervalles r guliers des EFR permettra d identifier une obstruc tion bronchique d butante Lapparition de manifestations res piratoires devra conduire rapide ment des avis et examens com pl mentaires sp cialis s Apr s confirmation du diagnostic de rhinite asthme professionnel la d marche de pr vention secondaire d pendra de la nature de l affection En cas d aggravation d une rhino conjonctivite et ou d un asthme pr existant par exposition aigu ou plus fr quemment chronique une atmosph re pollu e par des irritants il conviendra de r duire au minimum les niveaux d exposition en particulier la trichloramine En cas de rhino conjonctivite et ou d asthme de nature allergique de m me qu en cas de PHS l viction de l allerg
466. sant la transformation des situations de travail Tous les acteurs devront tre associ s l analyse et la mise en ceuvre de solutions Des outils capables d valuer les actions de pr vention sont attendus pour permettre aux pr venteurs de mieux se guider Risque psychosocial souffrance stress M Lapoire Chasset d partement Homme au travail INRS a souffrance au travail devenant une question majeure dans le d bat public la pr vention des risques psychosociaux RPS tait le th me central du premier colloque international organis parle Groupe d tudes surletravail et la souffrance au travail consti tu en Domaine d int r t majeur DIM GESTES Quelles actions pour un autre travail soulager la souffrance radiquer les facteurs de risques soigner le travail telle taitla question au centre des d bats Depuis une vingtaine d an n es la mise en vidence des ph nom nes de souffrance de stress de harc lement a permis l mer gence de r ponses et d approches vari es quelquefois compl men taires d autres fois divergentes dont t moignent les 70 interven tions et les r actions de 600 par ticipants chercheurs et acteurs de la pr vention venus d horizons et disciplines tr s vari s ergonomie psychologie pid miologie socio logie gestion droit sciences poli tiques Cet article rend compte de leurs principaux apports et traite des quatre questio
467. se la dur e du chantier le corps d tat le type de lieu de travail Les ateliers et les ouvrages d art sont toujours les lieux de travail qui ont les meilleures performances En conclusion il parait n cessaire de faire la part des choses entre les diff rences inh rentes certaines conditions sp cifiques de travail qui permettent d obtenir de bons r sultats et le r le jou par les diff rences de mentalit ou les carences d information afin de cibler plus efficacement les champs d action prioritaires QUELLE AM LIORATION DES CONDITIONS D HYGI NE SUR LES CHANTIERS ENTRE 2008 ET 2013 C Gr n ing nieur pr vention OPPBTP a compar quelques r sul tats entre les enqu tes de 2008 et 2013 Concernant les bases vie 20 des chantiers n en ont toujours pas Au cun entretien n est pr vu pour 1 3 des bases vie install es Les quipe ments sont plus complets en 2013 qu en 2008 douches vestiaires WC quipements pour la restaura tion cependant la mixit des ins tallations d hygi ne n est int gr e que sur 15 6 des chantiers L utilisation de solvants pour le lavage des mains est en net recul 1 96 en 2013 contre 7 en 2008 recul probablement li l appa rition des peintures en phase aqueuse Les v tements de travail sont four nis par 85 des entreprises Quand ils ne sont pas foumis il s agit dans 4 Cas sur 5 d entreprises de moins de 20 salari s Dans 80 des cas l en tret
468. si le document unique a t labor ou actualis contre seulement 15 des m decins de pr vention et 5 des m decins de services autonomes propres aux grandes entreprises du secteur priv Cependant le fait qu un m decin du travail d un service interentre prises ne puisse r pondre une question concernant la politique de pr vention d un tablissement dont il surveille les salari s m me apr s avoir interrog sur ce point un salari de cet tablissement laisse penser que les dispositifs 5 champ identique l enqu te REPONSE 2010 donne des indications plus opti mistes notamment celles bas es sur les d clarations des repr sentants de la direction des tablissements enqu t s 81 d entre eux d clarent avoir actualis un document d valuation des risques en 2010 encadr 3 6 En 2009 2010 une entreprise pouvait cr er un service autonome interne de sant au travail d s qu elle employait 412 salari s et tait tenue de le faire partir d un seuil de 2 200 salari s Dans SUMER 2010 9 des salari s sont couverts par un service autonome 17 par un service de pr vention et 74 6 par un service interen treprises gt VALUATION ET PR VENTION DES RISQUES SELON LES M DECINS DU TRAVAIL de salari s couverts 100 80 ne sait pas s il y a eu valuation ou plan de pr vention ni valuation ni plan de pr vention valuation mais pas de plan
469. sionnelles g n ralement beaucoup plus lev es que chez la femme et de l absence de facteurs de risque reproductifs et hormonaux Les objectifs sp cifiques du travail D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 201 LIRE VOIR sont l analyse des risques de cancer du sein par profession permettant de fournir des hypoth ses sur les expositions professionnelles sp cifiques qui pourraient avoir un effet canc rog ne l tude des risques de cancer du sein en fonction de l exposition professionnelle aux solvants p troliers et chlor s en particulier le benzene et le trichloro thyl ne Toutes les analyses ont t effectu es en parall le pour les cancers du sein chez l homme et chez la femme Au total les r sultats confortent l hypoth se que l exposition aux solvants organiques des niveaux relativement lev s peut jouer un r le dans l apparition du cancer du sein InVS 12 rue du Val d Osne 94415 Saint Maurice cedex 2013 55 p www invs sante fr Radiofr quences et sant Rapport d expertise collective octobre 2013 Dans ce rapport l Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail ANSES pr sente les r sultats de l valuation des risques li s l exposition aux radiofr quences sur la base d une revue de la litt rature scientifique internationale actualisant ainsi l tat des connaissances publi e en 2009
470. son adresse h Le nom le pr nom et l adresse du m decin du travail en charge du suivi m dical du travailleur i La date du dernier examen m dical pr vu aux articles R 4451 82 et R 4451 84 j Le nom le pr nom et l adresse professionnelle de la personne comp tente en radioprotection k Le num ro d enregistrement attribu par SISERI si celui ci a d j t attribu ARTICLE 8 Lemployeur actualise dans SISERI les informations mentionn es l article 2 en tant que de besoin chaque mise jour des donn es par l employeur ou le m decin du travail SISERI informe sous une forme d mat rialis e l interlocuteur concern de leur prise en compte ARTICLE 9 chaque examen m dical p riodique le m decin du travail remet au travailleur une mise jour de la carte sur laquelle figure les informations pr vues aux alin as 3 d e f ietkdelarticle 7 ainsi que l information relative l absence de contre indications effectuer des travaux exposant le travailleur des rayonnements ionisants TITRE 11 MODALIT S ET CONDITIONS DE MISE EN CEUVRE DU SUIVI DOSIM TRIQUE INDIVIDUEL DE R F RENCE ARTICLE 10 Conform ment l article R 4451 62 le suivi dosim trique de r f rence est assur a Lorsque l exposition est externe par une m thode de dosim trie passive d finie l annexe I b Lorsque l exposition est interne par des mesures d anthroporadiam trie ou des analyses de radiotox
471. sque de chronicit ou d incapacit pro long e Lannexe 9 d taille les principaux facteurs dincapacit prolong e li s au travail regroup s en 4 clas ses Lors de l entretien il est recom mand de 1 Situer l pisode lombalgique actuel dans l histoire m dicale et professionnelle 2 Demander au salari la com munication des l ments m dicaux relatifs sa lombalgie et sa prise en charge 3 valuer la douleur l incapa cit fonctionnelle et leur reten tissement tableau V grade B 102 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau V valuer les principaux fac gt OUTILS RECOMMAND S D VALUATION DE LA DOULEUR ET DU teurs d incapacit prolong e RETENTISSEMENT DE L INCAPACIT FONCTIONNELLE LI E LA LOMBALGIE li s au travail demande physique au travail qualit des relations de tra Outils d valuation de la douleur et de l incapacit fonctionnelle EL One recommand repr sentations et comporte ments adaptation vitement Douleur valuation visuelle analogique EVA li s la douleur Facteurs d incapacit Questionnaire OMPSQ annexe 10 politique collective de gestion prolong e en lien A avec le travail de l incapacit au travail 5 valuer la situation m dico Incapacit fonctionnelle Questionnaire Roland Morris EIFEL annexe 11 administrative et socioprofes Questionnaire de DALLAS DRAD anne
472. sque cutan dans les m tiers de ce secteur a montr l int r t d une d marche ciblant un secteur professionnel au sein des SIST L int r t d une prise en charge plu ridisciplinaire et cette probl ma tique du risque cutan s y pr te particuli rement a bien t mis en vidence ducation par les infir miers valuation des risques par les intervenants en pr vention des risques professionnels IPRP pr vention par les m decins du travail en lien avec la prise en charge th rapeutique par les m decins g n ralistes et les dermatologues Pour conclure P Frimat a rappel qu une pr vention adapt e devrait permettre une diminution de 50 des dermatoses professionnelles Dans ce contexte il est important de souligner que la sant au travail n est pas un co t mais un investis sement et que le salari doit tre acteur de sa propre sant D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 137 R F RENCES progeta aschiologiqumt lap Boum da CNT ET AT EU Sa mibyad Us d ursi guidance geris als PE pen tUm g agree E i enm abc H prete ani D OR ce Fa de b Lire le mri J vea bebra de spe prina e Ram
473. sques rachi tient bilit disposition des lieux diens li s la MMC am nagements de l organisation l organisation du travail rythme du travail afin de r duire l exposi horaire de travail situation d ur Moyens de protection indivi tion aux risques rachidiens de fa duelle des travailleurs expos s aux voriser l autonomie d cisionnelle les outils quipements de travail MMC et la qualit des relations de travail disponibilit entretien concep Le port de protection individuelle hi rarchiques et entre coll gues tion maniabilit est propos en entreprise pour et d largir les comp tences des les produits charges poids pr venir ou traiter les lombalgies travailleurs contenu dimensions variabilit de mani re souvent combin e l environnement de travail bruit d autres interventions ce quirend L intervention ergonomique vise humidit temp rature clairage difficile l valuation de leurs effets augmenter les marges de ma 3 Interventions ciblant les indi respectifs n uvre des travailleurs pour faire vidus et comprenant selon des face aux impr vus et aux situa modalit s vari es Le port d un corset ou d une tions fluctuantes et ou d urgence ducation et formation aux tech ceinture lombaire n a pas d ef lors des MMC niques de manutention de charges fets tablis surla pr vention de ducation et formation l ergo la survenue de la lombal
474. st Tgeeuanim auta bor rui net MISE EM UVRE DE L PREVENTION RR 14 dex trmleurs 2 3 wien Si Sont penpeges des Er rsadleurs iru pasear Par pri de mesure de prone ton Ra mms 1 Cas sur 2 let meer de adagi s au risque PRIGRITES D ACTIONS le ieifermar et amp onsibilisar lex artisans plambiars chau agistes aisi ris cgo ed 1 pour lan abcher amp des bleu men sapis du cine d den var urie bep Be convie des Par eit las riozues gt Formar les trzeaillaurs e e pratique en utiiant les m thaden Oo au risque d amiante rain La dones prre d lari curtis et bm deuiperrmeaerita de peceectian adapisias e Scares Anrs Pris Couracrs INRS C LINE EYPERT BLAISON d partement M trologie des polluants INRS ANITA ROMERO HARIOT d partement Expertise et conseil technique INRS D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 9 Abonnez vous LA REVUE TRIMESTRIELLE TECHNIQUE DENNES Nouvelle formule Des informations plus op rationnelles et plus diversifi es Des articles d analyse Des outils et des m thodes Pour vous aider mettre en uvre la pr vention des risques professionnels en entreprise Au sommaire du n 233 d cembre 2013 D cryptage Pressings quelles alternatives au perc
475. stal lations lectriques Le voisinage est d fini comme l espace compris entre la pi ce nue sous tension ici les bornes de la batterie et la distance limite de voisi nage qui peut tre assimil e une distance de s cu rit L arr t du 9 juillet 2013 relatif aux dimensions de la zone de voisinage autour d une pi ce nue sous tension pr cise Pour les v hicules automobiles et les engins automo teurs motorisation thermique lectrique ou hybride ayant une nergie lectrique embarqu e la notion de voisinage est consid rer d s lors que deux pi ces nues en champ libre pr sentent une diff rence de potentiel sup rieur V en courant continu Dans ce cas la zone de voisinage est fix e 1 m tre de la p riph rie du v hicule ou de l engin jusqu 1 kV inclus en courant alternatif et 1 5 kV inclus en courant continu sous r serve de la pose d un balisage mat ria lis Un m canicien automobile qui intervient sur des v hicules lectriques et hybrides se trouve donc au voisinage d installations lectriques contrairement au m canicien automobile classique Il doit tre habilit pour intervenir dans cette zone de voisi nage et l habilitation lectrique est subordonn e entre autres l aptitude m dicale du salari Pour remarque le symbole d habilitation est fix en fonc tion du type d op rations d ordre lectrique ou non que le m canicien r alise
476. stiment le risque Il apparait donc n cessaire de rappeler l importance du r le du donneur d ordre professionnel ou priv dans la tracabilit des informations li es l amiante ainsi que de mettre en ceuvre les bonnes pratiques telles que l utilisation de mat riel d aspiration ap propri au risque et le port des quipements de pro tection individuelle EPI N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 S Morillon INRS INFOS RETENIR l Cette tude confirme en effet le besoin d in formation et de formation des travailleurs dont les t ches sont susceptibles de provo quer l mission de fibres d amiante Ces r sultats divergent de ceux de l exp ri mentation anglaise qui concluaient notam ment une exposition plus importante des travailleurs Cet cart pourrait s expliquer par la diff rence de population et de param tres de mesure la lumi re de ces r sultats l INRS la CAPEB et IRIS ST ont d cid de s engager fortement pour la sensibilisation et l in formation des entreprises artisanales de plomberie chauffage en mettant en place des actions cibl es Une sensibilisation des artisans plombiers chauffagistes au risque amiante sera mise en ceuvre avec la diffusion d un kit au sein du r seau de la CAPEB Ce kit regroupera une synth se de l tude une pr sentation per mettant l animation de r unions de sensibi lisation ainsi que les documents des part
477. stionnaire contr le et aux taux de g n ration d autodiagnostic et de 10 actions des bioa rosols La protection BRUN J P concr tes que le manager pourra respiratoire est donc choisie en Management d quipe Sept mettre en place pour am liorer fonction du danger que repr sente leviers pour am liorer bien tre bien tre et efficacit au travail le bioa rosol du niveau de contr le et efficacit au travail Eyrolles 61 boulevard Saint dans le milieu de travail et de la Cet ouvrage s interroge sur Germain 75240 Paris cedex nature des activit s qui y sont les pi ces manquantes du 2013 174 p r alis es management des personnes et Institut de recherche Robert des organisations et propose Sauv en sant et en s curit du une d marche et des solutions HUBAULT d BARKAT S M De travail IRSST 505 boulevard de concr tes pour am liorer le GASPARO S LEDUC S et al Maisonneuve Ouest Montr al bien tre et l efficacit au travail Persistances et volutions Qu bec H3A 3C2 Canada 2013 45p Sept cat gories de probl mes les nouveaux contours www irsst qc ca associ s au bien tre autravailet de l ergonomie Actes du l efficacit des entreprises ont ainsi S minaire Paris 11 13 juin 2012 t identifi es par l auteur comme Collection Le travail en d bats DROUIN A Ed ARNAUD tant les pi ces manquantes du Cet ouvrage r unit les principales RONSSIN B BOUISSET S GROSSE C management
478. stress une tendance une humeur d pressive et le retrait des activit s sociales Attitudes et repr sentations inappropri es par rapport au mal de dos comme l id e que la douleur repr senterait un danger ou qu elle pourrait entrainer un handicap grave un comportement passif avec attente de solutions plac es dans des traitements plut t que dans une implication personnelle active Comportements douloureux inappropri s en particulier d vitement ou de r duction de l activit li s la peur Probl mes li s au travail insatisfaction professionnelle ou environnement de travail jug hostile ou probl mes li s l indemnisation rente d invalidit 8 gt Drapeaux bleus facteurs pronostiques li s aux repr sentations percues du travail et de l environnement par le travailleur 18 Charge physique lev e de travail Forte demande au travail et faible contr le sur le travail Manque de capacit modifier son travail Manque de soutien social Pression temporelle ressentie Absence de satisfaction au travail Stress au travail Espoir de reprise du travail Peur dela rechute 8d Drapeaux noirs facteurs pronostiques li s la politique de l entreprise le syst me de soins et d assurance 18 Politique de l employeur emp chant la r int gration progressive ou le changement de poste Ins curit financi re Crit res du syst me de compensation Incitatif
479. suite pouvoir b n ficier d un suivi adapt en fonction du risque va lu afin de d pister une contamination suivi s rolo gique et de rep rer d ventuels effets secondaires en cas de traitement post exposition ILestrecommand de d clarer l Institut de veille sani taire les contaminations d pist es lors du suivi D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 13 INFOS RETENIR Arr t du 17 juillet 2013 relatif la carte de suivi m dical et au suivi dosim trique des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants Journal officiel du 6 ao t 2013 pp 13401 13 Publics concern s entreprises dans lesquelles les tra vailleurs sont expos s ou susceptibles d tre expos s aux rayonnements ionisants Objet le pr sent arr t fixe en application des disposi tions relatives la protection des travailleurs contre les dangers des rayonnements ionisants 1 Le contenu de la carte individuelle de suivi m dical les modalit s de sa d livrance ainsi que de la transmission des donn es qu elle contient au syst me d information de la surveillance de l exposition aux rayonnements ionisants SISERI g r par l Institut de radioprotection et de s ret nucl aire 2 Les modalit s et les conditions de mise en uvre du suivi dosim trique individuel des travailleurs expos s un risque d aux rayonnements ionisants r sultant d activit s nucl aires vis es au 1 de
480. sultats de la dose efficace SISERI sur 12 mois glissants 6 4 2 Dosim trie op rationnelle obli gatoire en cas d intervention en zone contr l e e Mise en place il appartient chaque employeur de fournir les dosim tres op ra tionnels aux salari s qu il emploie entreprise ext rieure des accords peuvent tre conclus entre le chef de l entreprise utilisatrice et le chef de l entreprise ext rieure pour la foumiture des dosim tres op ra tionnels entreprise de travail temporaire la dosim trie op rationnelle est la charge de l entreprise utilisatrice stagiaire la dosim trie op ration nelle est assur e par lemployeur du maitre de stage e Param trage Les dosim tres op rationnels sont param tr s par la PCR qui d finit des seuils d alarme 8 Arr t du 17 juillet 2013 relatif la carte de suivi m dical et du suivi dosim trique des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants 166 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 e Communication des r sultats La PCR communique les r sultats aux int ress s au m decin du tra vail et hebdomadairement SISE RI En cas de mise disposition de dosim tres op rationnels par l en treprise utilisatrice la PCR de l en treprise utilisatrice communique ces r sultats la PCR de l entreprise ext rieure 6 5 Sp cificit concernant le personnel ext rieur au laboratoire Lintervention d
481. t de Montpellier VERS UNE MEILLEURE EVALUATION DES ACTIONS DE PREVENTION Une autre question a domin le d bat celle de la difficile valua tion des actions de pr vention En partant d exemples particuliers plusieurs auteurs ont soulign quels pouvaient tre les effets per vers de certaines interventions Ainsi S Bernard Universit Paris Dauphine IRISSO analyse par exemple les effets n gatifs des caisses automatiques con ues initialement pour limiter les risques de troubles musculos quelettiques TMS des caissi res et qui de facto augmentent leur p nibilit physique et psycholo gique PS Fournier 5 Montreuil M Villeneuve et JP Brun Uni versit Laval Qu bec valuent les effets pervers provoqu s par N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 l adoption d un nouveau logiciel de gestion dans un tablissement pu blic con uinitialement pour all ger la charge de travail du personnel administratif Il existe cependant d autres mani res d valuer une action de pr vention L conomie donne d autres outils pour valuer la fois les effets attendus d une action et ses effets induits ses co ts cach s et ses co ts vit s et chaque discipline mobilis e en pr vention d veloppe sa propre conception de l intervention qui implique une valuation diff renci e Ainsi par exemple en ergonomie linter vention tant concue comme un moyen de r s
482. t rep rer l existence de signes cliniques ou plaintes dans les principaux domaines cardiorespiratoire neuropsychique digestif ost o articulaire dermatologique et auditif et leur expression dans l activit de travail g ne ventuelle Pour chacun de ces appareils est galement not e la prise d un traitement ou d un autre soin Lobjet de ce rapport est de mettre disposition des r sultats descriptifs partir des donn es recueillies par les m decins du travail en 2011 et 2012 dans le cadre de l observatoire EVREST pour le niveau national et pour 15 r gions dans lesquelles le dispositif est d j bien implant chantillon N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 M 4 proche ou d passant 500 salari s par le travail engendrant la respecter donner du sens et tre En annexe sont disponibles le confiance quelle d marche cr atif d velopper la pratique questionnaire 2012 et un guide de d accompagnement pour sportive mesurer le mieux vivre remplissage destin l ensemble favoriser la construction de les bonnes pratiques ce qu ils ont des m decins participants relations de confiance dans un fait Groupement d int r t scientifique projet de conception Louvrage Eyrolles 61 boulevard Saint volutions et relations en sant au apporte des r ponses ces Germa
483. t Ce manuel de reconstruction lui permettra de trouver les cl s pour surmonter son puisement professionnel comprendre les raisons de son burn out et trouver les bons points d appui pour son retour Vrai guide de r silience professionelle l ouvrage comprend de nombreux exemples et exercices Il int ressera galement toute personne devant agir titre professionnel pour la pr vention de l puisement professionnel et ou sa gu rison RH m decins Les librairies InterEditions www intereditions com LEROYER A EVREST volutions et relations en sant au travail Rapport descriptif national 2011 2012 Le dispositif EVREST volutions et relations en sant au travail est un observatoire pluriannuel par questionnaire construit par des m decins du travail Ce questionnaire explore les conditions de travail changement dans le travail en lien ventuel avec l tat de sant horaires de travail et leur r gularit contraintes de temps et pression temporelle sens et v cu du travail charge physique exposition certains types de risques professionnels la formation recue et dispens e le mode de vie sport tabac caf et l tat de sant des salari s La facon de conduire le travail est la fois large par la diversit des domaines abord s et tr s succincte compte tenu du faible nombre de questions dans chacun de ces champs De m me les informations recueillies sur la sant visen
484. t s dans cette fiche d aller gologie professionnelle ont t rapport s comme tant l origine d affections respiratoires isol es ou sous forme d pid mies LES CHLORAMINES Les chloramines sont des sous pro duits li s au traitement de l eau des piscines par le chlore ou ses d riv s encadr 1 La trichloramine est la plus volatile des chloramines et galement la plus irritante pour les voies respiratoires et les muqueuses en g n ral Son pouvoir irritant res piratoire est du m me ordre que celui du chlore gazeux comme cela a pu tre montr par le test d Alarie 7 On a ainsi observ chez la sou ris une diminution de 50 de la fr quence respiratoire RD pour une exposition la trichloramine une concentration de 12 2 mg m 5 alors que la RD du chlore est de 10 2 mg m chez cet animal Lexposition accidentelle au chlore gazeux ou la trichloramine lors d erreurs de maintenance des sys t mes de chloration ou de ventila tion notamment peut tre l ori gine d un syndrome d imitation bronchique aigu Reactive Airways Dysfunction Syndrome ou RADS du fait d une destruction del pith lium bronchique aboutissant la lib ra tion de m diateurs pro inflamma toires et l activation directe des voies de linflammation via les r flexes axoniques 8 Plusieurs auteurs ont par ailleurs avanc qu une exposition r guli re et prolong e la trichloramine en gendrerait une alt ratio
485. t d valuation des risques 79 107 63 134 68 126 81 126 Plan de pr vention 80 128 66 156 71 145 84 145 Intervention d IPRP ou consultant 78 095 62 NS 68 NS 81 NS Participation du m decin du travail 79 110 64 1 11 71 NS 84 NS l valuation des risques Significatif au seuil de 1 resp 5 et 10 6 NS non significatif Lecture 79 6 des salari s b n ficiant d un service autonome de m decine du travail ont un poste de bonne ou tr s bonne qualit au plan organisationnel selon les m decins du travail Dans un mod le de type logit permettant d estimer l effet de chaque caract ristique autres caract ristiques identiques toutes choses gales par ailleurs la probabilit pour un salari couvert par un service autonome d avoir un poste de bonne ou tr s bonne qualit plut t que non est multipli e par 1 12 Odds ratio relativement la situation de r f rence celle d un salari couvert par un service interentreprises de sant au travail Champ salari s de France m tropolitaine et de La R union Source DGT DARES DGAFP enqu te SUMER 2010 des risques et de 28 6 pour un de 15 en pr sence d un CHSCT riaux qui accroissent la pression plan de pr vention En revanche C est en partie li au fait que la surles salari s normes de qualit la probabilit que le jugement du pr sence d un CHSCT est souvent objectifs individuels quantifi s m decin soit favorable est r duite associ e
486. t d utiliser son t l phone portable en zone r glement e Faire attention ne pas manipu ler avec une plaie non cicatris e au niveau des mains 6 2 Formation et information Une information cibl e et le cas ch ant une formation doivent tre d livr es aux membres du laboratoire de recherche au per sonnel des services techniques et d entretien concern s 6 2 1 Information et formation des personnels e information par la PCR et le m decin du travail lorsque n cessaire nouvel arrivant changement de poste femme enceinte e formation sp cifique la radio protection pour les travailleurs susceptibles d intervenir en zone r glement e adapt e au poste de travail occup et organis e avec l implication de la PCR et du m de cin du travail Elle est renouveler si la situation l exige et au moins tousles 3 ans enotice d information sp cifique chaque personne susceptible d in tervenir dans les zones contr l es y compris les entreprises ext rieures e sensibilisation des femmes sur les risques pourl enfant naitre et sur la n cessaire d claration pr coce des grossesses 6 2 2 Affichage et autres consignes e consignes g n rales de s curit e balisage et signalisation des zones r glement es au niveau des acces du local e affichage des consignes de tra vail adapt es et de la conduite tenir en cas d accident du travail et ou radioactif e affichage
487. t naturel lement le cas pour les CHSCT car leur constitution d pend de l exis tence d un comit d entreprise en principe obligatoire au del de 50 salari s dans les tablissements de 50 499 salari s 78 6 des sala ri s sont couverts par un CHSCT et 95 au dessus de 500 sala ri s tableau I C est galement le cas pour les autres dispositifs de pr vention ainsi dans les ta blissements de 1 10 salari s les m decins enqu teurs signalent l existence d un document unique d valuation des risques pour seu lement 16 des salari s contre 80 6 dans les unit s de 500 sala ri s ou plus figure 3 et tableau I La diffusion des dispositifs for malis s de pr vention est in gale selon les secteurs d activit L agri culture y recourt relativement peu notamment du fait de la pr domi nance de petits tablissements l inverse ces dispositifs ou leurs quivalents sont largement diffu s s dans les fonctions publiques d tat et hospitali re et dans une moindre mesure dans l industrie et la fonction publique territoriale Ces carts tiennent pour une part des diff rences dans la taille moyenne des tablissements de ces secteurs Dans une analyse toutes choses gales par ailleurs neutralisant notamment cet ef fet de la taille la construction et l industrie manufacturi re se dis tinguent par une probabilit plus lev e d avoir mis en place des dis positifs de pr ven
488. tact avec des objets perforants Arr t du 17 juillet 2013 carte de suivi m dical et suivi dosim trique des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants Arr t du 2 ao t 2013 conditions dimmunisation des personnes mentionn es l article L 3111 4 du Code de la sant publique NOUVEAUT S DE L INRS PARTICIPEZ LA RECHERCHE Evaluation des expositions percutan es aux bisph nols A et S par biom trologie aupr s des agents de caisse Reprise de travail apr s arr t maladie pour syndrome d pressif valuation des multiexpositions professionnelles aux solvants par la biom trologie valuer la fatigue auditive au terme d une journ e de travail valuation de l exposition professionnelle au phtalate de di isononyle DINP Caract risation des situations d exposition au 1 3 butadiene R F PAGE TF 212 P 39 TF 213 P 65 TF 214 P 77 TM 30 P 91 TD 203 P 131 TD 204 P 139 CONNAISSANCES ET R F RENCES VU DU TERRAIN Vie travail sant des salari s de la sous traitance du nucl aire Fi vre O tude de s ropr valence chez des professionnels d levage de petits ruminants dans le sud est de la France SUMER La pr vention des risques professionnels vue par les m decins du travail PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pourles travailleurs expos s des manipulations de charges SUIVI POUR VOUS Le risque cutan dans le B
489. tail d organisations ouvrage explore les diff rentes et son maintien voire pour la et de groupes professionnels facettes du confort au travail restaurer Une premi re partie impliqu s dans la pr vention en s appuyant sur des revues invite repenser le travail sous des risques professionnels et de la litt rature des recherches l angle de la confiance comment l am lioration des conditions de scientifiques et des tudes de cas appr hender la confiance au travail dans le champ de la psychologie travail r ciprocit des enjeux de L Harmattan 5 7 rue de l Ecole environnementale Sept chapitres confiance au travail le cas des Polytechnique 75005 Paris 2013 illustrent cette notion la coursiers et de leur dispatcheur 219 p conception architecturale de coop ration et climat de l espace de travail le bruit dans confiance la relation de confiance l environnement de travail le en radioth rapie un d terminant GENOT S TALLOIS P v g tal dans l environnement de essentiel la coproduction d un L humain dans l entreprise un travail quand l environnement soin s r et efficace La seconde capital pr server de travail change quand l espace partie de l ouvrage est consacr e Le pr sent isme est consid r de travail est chez soi comment des pistes d action pour favoriser le comme l un des probl mes garder ses employ s comment d veloppement de la confiance au majeurs des entreprises Cet concilier les attentes des
490. talate de mono 4 m thyl 7 hydroxy octyle 7OH MMeOP le phtalate de mono 4 m thyl 7 oxo octyle 70xo MMeOP et le phtalate de mono 4 m thyl 7 carboxyheptyle 7carboxy MMeHP En cas de co exposition 4 autres m tabolites du DEHP seront galement dos s Responsable d tude contacter Ren Gaudin T l 03 83 50 85 12 rene gaudin inrs fr D partement Polluants et sant INRS rue du Morvan CS60027 54519 Vand uvre les Nancy Cedex 36 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 PARTICIPEZ LA RECHERCHE D S Caract risation des situations d exposition au 1 3 butadi ne e 13 butadi ne est un gaz produit lors de la fabrication d thyl ne et utilis en synth se orga nique dans la fabrication de caoutchoucs de r sines d mulsions latex et du n opr ne Il est galement contenu sous forme de traces d mpuret s notam ment dans le butane et les gaz de p trole liqu fi s GPL Les sources d expositions professionnelles peuvent tre observ es au cours de la production l utilisation en tant que mati re premi re caout choucs synth tiques interm diaires de fabrication la manufacture de polym res en contenant le transport et le stockage du 1 3 butadi ne ou des produits en contenant l tat de trace ou d impuret Objectifs de l tude Confirmer la pr sence de 13 butadi ne dans des secteurs d activit s pr alablement identifi s par la
491. tat de sant 0 001 souhaiter changer de travail 0 001 du fait des d placements 0 001 du fait de raisons familiales 0 01 travailler 100 6 de leur temps de travail sur site nucl aire 0 01 se sentir anxieux tendus ou d prim s 0 05 pr senter des troubles du sommeil 0 01 cardiovasculaires 0 05 m taboliques 0 01 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 45 VU DU TERRAIN Vie sant travail des salari s de la sous traitance du nucl aire Tableau VI gt SALARI S SOUFFRANT D UNE PATHOLOGIE EN RAPPORT AVEC LE TRAVAIL SELON L AVIS DU MEDECIN DU TRAVAIL 90 SALARIES E Le plus souvent ils n exercent pas des m tiers de servitudes nucl aires 0 001 Ils ont une anciennet dans le nucl aire gt 20 ans 0 001 Ils sont plus souvent en surpoids ou ob ses 0 001 Lorsqu ils pr sentent une pathologie il s agit plus souvent de pathologies m taboliques 0 001 de pathologies rhumatologiques 0 001 une g ne pour le travail en g n ral lt 0 001 une g ne pour le travail dans le nucl aire 0 001 Ils d clarent plus souvent travailler plus de 8 heures par jour 0 01 un temps de repos insuffisant 0 01 tre oblig s de dormir dans la voiture 0 05 ne pas rentrer tous les jours chez eux 0 01 consommer de d alcool 0 01 se sentir plus fatigu s lt 0 01 avoir des troubles du sommeil 0 01 un acc s aux soins rendu difficile par leurs condition
492. te gt les examens de surveillance dosim trique interne anthropora diom triques et ou radiotoxicolo giques seront adapt s aux radio nucl ides utilis s l valuation du risque de contamination et la p riode d utilisation Les femmes en ge de procr er doivent tre inform es de la n cessit de d clarer au plus t t leur grossesse m Une carte individuelle de suivi m dical est remise par le m decin du travail tous les travailleurs de cat gorie A ou B www siseri com 3 Sp cificit s des entreprises ext rieures m Les m mes exigences de suivi m dical existent pour ces salari s m Cadre g n ral le m decin du travail de l entre prise utilisatrice assure pour le compte de l entreprise ext rieure la r alisation des examens com pl mentaires rendus n cessaires par la nature et la dur e des tra vaux effectu s par le salari de l entreprise ext rieure dans l en treprise utilisatrice gt les r sultats en sont commu niqu s au m decin du travail de l entreprise ext rieure qui d ter minera l aptitude au poste gt le chef de l entreprise utilisatrice doit faciliter l acc s au poste de travail au m decin du travail de l entreprise ext rieure Entreprise ext rieure intervenant D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 167 de mani re durable dans une entre prise utilisatrice accord possible entre les entreprises etles m d
493. tection d si gn e par l employeur au m decin du travail qui exerce la surveillance m di cale ARTICLE 28 Les modalit s techniques des changes d information entre SISERI les employeurs les personnes comp tentes en radioprotection les m decins du travail et les organismes de dosim trie sont d finies en annexe V TITRE V DISPOSITIONS FINALES ARTICLE 29 Larr t du 30 d cembre 2004 relatif la carte indi viduelle de suivi m dical et aux informations indi viduelles de dosim trie des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants est abrog compter du juillet 2014 ARTICLE 30 Le pr sent arr t entre en vigueur le 1 juillet 2014 Avant le 1 juillet 2016 les employeurs mettent jour les informations mentionn es l article 7 relatives aux travailleurs expos s b n ficiant d un suivi radiologique ARTICLE 31 Le directeur g n ral du Travail le directeur des Af faires financi res sociales et logistiques du minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t et le directeur g n ral de l Aviation civile sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique francaise leurs notamment leur nergie et leur intensit ainsi qu aux conditions d exposition corps entier peau cris tallin ou extr mit s Les dosim tres passifs sont fournis et exploit s par l Institut
494. tembre 2013 pp 15199 15200 Ce d cret cr e un Observatoire national du suicide au pr s du ministre charg de la Sant Il a pour mission de coordonner et d am liorer les connaissances sur le suicide et les tentatives de suicide d valuer l effet des politiques publiques en mati re de pr vention du sui cide de produire des recommandations notamment en mati re de pr vention RISQUE CHIMIQUE VALEURS LIMITES D EXPOSITION PROFESSIONNELLE 9 Arr t du 21juin 2013 supprimant des valeurs limites d exposition professionnelle indicatives pour certains agents chimiques Ministere charg du Travail Journal officiel du 4 juillet 2013 p 11143 L arr t modifie l annexe de l arr t du 30 juin 2004 fixant la liste des valeurs limites d exposition profes sionnelle VLEP contraignantes indicatives pr vues l article R 4412 150 du Code du travail Il retire deux substances de cette liste l ac tate de 2 butoxy thyle et le 2 butoxy thanol Ces substances ont en effet t dot es de VLEP r glementaires contrai gnantes par le d cret n 2012 746 du 9 mai 2012 qui modifie l article R 4412 149 du Code du travail AMIANTE Arr t du 23 ao t 2013 modifiant la liste des tablissements et des m tiers de la construction et de la r paration navales susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 4 sep
495. terne du travailleur fait l objet de prescriptions du m decin du travail selon un programme tabli par celui ci dans le cadre de la surveillance m dicale renforc e et en ad quation avec l activit du travailleur 2 3 Expression des r sultats Les mesures de l activit retenue ou de l activit excr t e sont individuelles et nominatives Leurs r sultats sont communiqu s au m decin du travail prescripteur ettransmis SISERI par l organisme de dosim trie Le m decin du travail d termine la dose efficace enga g e ou la dose quivalente engag e selon les modalit s de calcul d finies par l arr t du 1 septembre 2003 compte tenu des param tres connus de l exposition d s lors que les r sultats des mesures de l exposition interne sont non nuls Les r sultats des mesures sont conserv s dans le dossier m dical du travailleur Sous une forme non nominative et des fins statis tiques ces r sultats sont communiqu s l employeur Le m decin du travail communique SISERI la dose ef ficace engag e ou la dose quivalente engag e calcul e d s lors qu il la juge significative et dans tous les cas lorsqu elle est gale ou sup rieure 1 mSv ANNEXE III 3 Dosim trie op rationnelle pour le suivi de l expo sition externe La surveillance individuelle de l exposition par dosim trie op rationnelle consiste en une mesure en temps r el de l exposition externe irradiation partir de dosim tr
496. th scales from Coll ge d expertise sur le suivi des the Copenhagen Psychosocial risques psychosociaux au travail 2011 Questionnaire predict register based m KRISTENSEN TS HANNERZ Sickness absence of 3 weeks or more A BORG V The Copenhagen in Denmark Scand J Public Health Psychosocial Questionnaire A tool for 2010 38 3 Suppl 42 50 the assessment and improvment of a THORSEN SV BJORNER JB Reliability the psychosocial work environment of the Copenhagen Psychosocial Scan J Work Environ Health 2005 31 Questionnaire Scand J Public Health 6 438 49 2010 38 3 Suppl 25 32 Comment in Assessing the psychosocial work environment subjective versus objective measurement Scand J Work Environ Health 2005 31 6 405 08 D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 185 Implants intraoculaires et activit de soudure Ouels sont les effets des rayonnements ultraviolets et infrarouges La r ponse de Marie Anne Gautier et Sophie Robert d partement tudes et assistance m dicales INRS Ouels sont les effets ventuels sur les implants intraoculaires de l exposition aux rayonnements ultraviolets et infrarouges lors de l activit de sou dure d un ouvrier ayant t op r de la cataracte Avant tout pour rappel l activit de soudure com porte des risques pour la sant et en particulier pour les yeux Les principaux risques ophtalmiques sont dus l missio
497. thologies respira toires d origine immunoallergique ou toxinique des possibilit s de reconnaissance en maladie profes sionnelle des grandes orientations en mati re de pr vention Cette fiche se veut tr s g n raliste Des fiches plus sp cifiques vien dront compl ter la collection Risques biologiques allergiques ou toxiniques li s aux poussi res d origine animale et v g tale Cette fiche est une aide l valuation des risques de manifestations res piratoires non infectieuses de type allergique et toxinique dues la pr sence d agents biologiques notam ment dans le secteur agricole Il y est fait un rappel des diff rents agents biologiques respon sables de ces atteintes bact ries moisissures endotoxines des diff rentes pathologies allergiques et toxiniques des activit s concer n es des grandes orientations en mati re de pr vention Endotoxines en milieu de travail Cette fiche est une aide l valua tion du risque d apparition de mala dies respiratoires dues la pr sence d endotoxines en quantit trop importante sur les lieux de travail Il y est fait un rappel de l origine des endotoxines des principales acti vit s professionnelles concern es des diff rentes pathologies respira toires des grandes orientations en mati re de pr vention L analyse de l accident du travail La m thode de l arbre des causes L analyse des accidents du travail s
498. tiers l adaptation des deux chelles feeback de la t che et identit de la t che du JDS ne r pond pas de mani re satisfaisante aux conditions d unidimensionna lit et de consistance interne L adaptation des deux chelles de Rizzo et al 1970 mesurant les stresseurs de r le est satisfaisante au regard des m mes crit res que pr c demment Fid lit e Consistance interne Les coefficients alpha de Cronbach des six chelles de l IDAP sur les huit cit es dans le paragraphe pr c dent varient entre 0 66 et 0 86 indiquant donc une consistance interne de ces chelles satisfai sante Pezet Langevin et Rolland 1999 Rolland 1995 Sensibilit Pas d information disponible talonnage En France l IDAP n a pas t utilis sur une diversit de secteurs d activit suffisante pour constituer un talonnage 178 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Biais critiques limites Des tudes compl mentaires se raient n cessaires la fois pour confirmer les qualit s psycho m triques des chelles de l IDAP et pour am liorer le contenu des deux chelles identit de la t che et feedback de la t che qui ne r pond pas aux exigences psycho m triques Observations particuli res L IDAP a t utilis dans le cadre de plusieurs tudes aupr s d agents de maintien de l ordre par exemple Engelhart et Rolland 2000 Ses qualit s psychom
499. tion tableau 1 LA PR SENCE DE CERTAINS RISQUES PROFESSIONNELS FAVORISE LA MISE EN PLACE DE DISPOSITIFS DE PR VEN TION Les dispositifs de pr vention des risques sont donc plus souvent signal s par les m decins du tra vail dans les tablissements de grande taille disposant d une repr sentation lue du personnel Figure 4 gt INTERVENTION D UN EXPERT EXT RIEUR AU COURS DES 12 DERNIERS MOIS et de d l gu s syndicaux Mais d autres facteurs jouent la nature des risques le mode de manage ment de l entreprise Une analyse toutes choses gales par ailleurs permet de pr ciser dans quelle 7 L IPRP est un sp cialiste de la pr ven tion des risques professionnels ergo nome m decin du travail psychologue ing nieur de pr vention appartenant soit un service de sant au travail une caisse d assurance retraite et de la sant au travail CARSAT une Agence r gio nale pour l am lioration des conditions de travail ARACT soit un organisme priv habilit d cret n 2003 546 du 24 juin 2003 Sur ce point les r ponses des m decins du travail enqu teurs de SUMER rejoignent presque exactement les d cla rations des directions d tablissement l enqu te REPONSE 2010 36 de salari s concern s par l intervention d un expert ext rieur selon ces derni res 8 Ceci est v rifi que l on inclue ou non les expositions aux risques dans les variables de contr le
500. tion de l entreprise utilisatrice transmet les r sultats de la do sim trie op rationnelle des travailleurs de l entreprise ext rieure ou des travailleurs non salari s SISERI La personne comp tente en radioprotection de l entre prise utilisatrice communique ou d faut organise galement l acc s ces r sultats la personne comp tente en radioprotection de l entreprise ext rieure ou des travailleurs non salari s pour lui permettre notam ment de prendre connaissance des informations dosi m triques non encore transmises SISERI ARTICLE 22 Lemployeur prend toutes les dispositions pour que chaque donn e dosim trique individuelle transmise parla personne comp tente en radioprotection SISERI soient associ es les informations suivantes a Les l ments d identification du travailleur le nom le pr nom et le num ro d enregistrement du travailleur au registre national d identification des personnes phy siques b Les informations relatives l exposition les r sultats la date de d but et de fin ou la p riode consid r e le ou les organes ou tissus expos s et le lieu de l exposition c Les l ments d identification de l employeur et le cas ch ant de l entreprise utilisatrice et de l entreprise exploitante Lemployeur informe le travailleur concern de la na ture des informations recueillies de leur finalit et de leur destination cet effet il communique au travail leu
501. tion des conditions de travail de ces salari s BIBLIOGRAPHIE 1 SanDrer Huzz D DoNior SHAW G DERRIENNIC F ET AL Enqu te STED 1993 1998 Enqu te pid miologique longitudinale aupr s de salari s DATR des entreprises sous traitantes d EDF intervenants lors des arr ts de tranche des centrales nucl aires Document de synth se Paris minist re de l Emploi et de la Solidarit 2001 31 p 2 La radioprotection des travailleurs Exposition professionnelle aux rayonnements ionisants en France bilan 2009 Rapport DRPH DIR 2010 14 Fontenay aux Roses IRSN 2010 108 p 3 TH saup Mony A Les conditions de travail des prestataires dans les centrales EDF Contr l 2001 140 69 71 T Compromis temporels dans la gestion de projets 1 cas dela maintenance nucl aire Rev Fr Gestion 2004 30 152 81 96 5 D cor V T GIRIN J Les intervenants de maintenance nucl aire comp tences conditions de vie et de travail attachement au milieu Rapport d tude Palaiseau Centre de recherche en gestion de l cole Polytechnique 1999 97 p 6 TH BAUD MoNY A L industrie nucl aire Sous traitance et servitude Questions en sant publique Paris ditions INSERM 2000 272 p 7 EDF Division Production Nucl aire Dossier labor parle groupe de travail Guide pratique arr t de tranche Aspects techniques organisationnels
502. tion n cessaire des tudes de s curit r alis es la suite de modifications notables des installations la communication de l tude de s curit des activit s r alis es par les entreprises ext rieures celles ci la mise en annexe de l tude au plan particulier de sant et de protection de la sant pour les activit s r alis es sur les chantiers du b timent les consignes g n rales de s curit port des quipe ments de protection individuelle interdiction de por ter tout article de fumeurs circulation des personnes conduite tenir en cas d incendie ou d explosion choix des modes op ratoires prenant en compte la n cessaire attention soutenue des travailleurs et emp chant les variations brusques de cadences l implantation des installations et des postes de travail mat rialisation des installations itin raires de trans port s paration des installations les caract ristiques des installations pyrotechniques absence d tages et de sous sol disposition des issues et d gagements installations lectriques pr cautions contre l lectricit statique la formation du personnel formations initiales et compl mentaires habilitation des travailleurs pour la conduite et la surveillance ou l ex cution d activit s pyrotechniques ainsi que d activit s de maintenance ou de transport interne de substances ou d objets explosifs renouvel e tous les cinq ans D VELOPPEM
503. tion par NU don la ventilation A activit totale mise en uvre en k coefficient de volatilit sans dimension Wee RET V volume du local en D debit respiratoire en le d bit respiratoire La dose efficace engag e par inhalation du fait de du travailleur est pris 1 2 m h cette pratique est donc estim e 5 Sv environ du t temps d exposition dans le local en h fait du risque a rosols k coefficient de s curit introduit par la nature de sans dimension cela il faudra ventuellement ajouter d autres va 4 3 Dose totale leurs de dose efficace recues du fait de la mise en ceuvre d autres radionucl ides dans le cadre d autres proto Dose efficace coles et calcul es de facon similaires La dose efficace globale E re ue par un travailleur La dose efficace annuelle calcul e pour le corps entier dans les conditions habituelles de travail du fait de sera compar e avec la valeur limite r glementaire de la mise en uvre de cette pratique est d finie parla 20 mSv et en int grant la r gle des 3 10 pour les tra somme des expositions vailleurs class s en cat gorie B Quant la dose quivalente annuelle calcul e pour E E tEn les extr mit s elle sera corr l e de la m me fa on avec la valeur limite r glementaire propre aux extr Avec mit s dose efficace due l exposition externe dose efficace en
504. tionnaire qui renseignait 9 les caract ristiques sociod mo graphiques d partement de l ac tivit professionnelle sexe ge e l activit professionnelle poste de travail anciennet profession nelle t ches exposantes port de protection individuelle et applica tion des mesures g n rales d hy gi ne des facteurs d exposition extra professionnelle proximit des lieux d habitation et de travail consommation des produits d le vages locaux contact avec des visc res de gibier d tention d ani maux de compagnie piq re de tique les ant c dents m dicaux rela tifs aux sympt mes de fi vre O les facteurs de risque de complication grossesse valvulopathie immu nod pression la symptomatolo gie pass e et r cente compatibles avec une fi vre l existence d un traitement m dical pour fi vre O le r sultat s rologique de l enqu te Un questionnaire tait galement renseign pour chacun des le vages Il portait sur les caract ris tiques et la conduite de l levage les modalit s de gestion des mises bas et du fumier ainsi que sur l tat sanitaire du troupeau ANALYSES S ROLOGIQUES Un pr l vement sanguin de 1 ml sur tube sec anonymis a t r a lis par une infirmi re aupr s de chaque participant m me jour de pr l vement pour les sujets inclus des levages voisins Les pr l ve ments ont t transport s apr s chaque journ e de vacati
505. tions r glementaires en mati re d hygi ne et de s curit du travail et d assurer l encadrement du jeune en formation durant l ex cution de ces travaux Pr alablement son affectation aux travaux en prin cipe interdits mais qui ont fait l objet d une d rogation un avis m dical d aptitude doit tre d livr au jeune soit par le m decin du travail pour les salari s soit par le m decin charg du suivi m dical des l ves et des tu diants des stagiaires de la formation professionnelle ou des jeunes accueillis notamment dans les tablissements d enseignement assurant une ducation adapt e et un accompagnement social ou m dico social aux mineurs Cet avis m dical est renouvel chaque ann e Il appartient ensuite alors l employeur ou au chef d ta blissement auquel une d rogation a t accord e de transmettre l inspecteur du travail dans un d lai de huit jours compter de l affectation de chaque jeune aux travaux en cause les informations relatives l identit du jeune la formation professionnelle suivie l avis m dical d aptitude proc der ces travaux l informa tion et la formation la s curit dispens es au jeune et l identit et qualit ou fonction de la personne ou des personnes comp tentes charg es d encadrer le mineur pendant l ex cution des travaux en question Le d cret pr cise galement les autres d rogations qui sont possibles pour les jeunes g s de moin
506. tonome Il permet de r aliser des pr l vements de longue dur e favorisant la d tection d pisodes de pollution occasionnels D utilisation simple il permet galement par envoi postal d valuer simultan ment l exposition de salari s de nombreuses petites entre prises Associ aux campagnes de pr l vements un S Morillon INRS Les actions r alis es taient majoritairement soudage percage nettoyage finition et les mat riaux manipul s joints tresses et pl tre questionnaire a conduit une meilleure compr hension du niveau de connaissance et de conscience des op rateurs vis vis du risque amiante Au total 63 badges ont t analys s et 22 soit 35 ont mis en vidence la pr sence d amiante Lorsque des fibres ont t d tect es sur des badges 41 des op rateurs ont indiqu n avoir jamais t en pr sence de mat riaux contenant de l amiante MCA lors d une intervention photo ci dessus Pr s de 2 3 63 6 des volontaires concern s n ont jamais mis en uvre de moyens de pr vention contre 14 qui en ont pris syst matiquement Enfin ces volontaires taient majoritairement des chefs d entreprise avec une exp rience de plus de 10 ans et jugeant leur niveau de connaissance des MCA d assez bon 33 6 m diocre 37 Ainsi dans certaines activit s l exposition l amiante est encore trop peu pr sente l esprit des profession nels concern s qui en sous e
507. tre prise employeur m decin du tra vail salari pr venteur g ologue sp cialis R f INRS ED 6142 122 p Salari e s en bonne sant enfants bien gard s Garde individuelle d enfants deo 6ans S occuper d enfants peut pr senter certains risques pour la sant des salari s tr buchement chute dou leur chronique du dos et des articu lations li e au portage des enfants dobjets L utilisation d appareils lectriques expose des risques de br lure De m me les produits d entretien peuvent provoquer irri tations allergies et br lures Selon leur environnement et la sant des enfants les salari e s sont expos e s des risques infectieux bact ries virus Ce document vise sensibiliser salari e s et employeurs la pr vention de ces risques profession nels en leur proposant des bonnes pratiques pour mettre en place des actions de pr vention tz Hisi R f INRS ED 6162 d pliant 8 volets Les quipements de protection individuelle EPI R gles d utilisation Les quipements de protection individuelle EPI sont destin s prot ger le travailleur contre un ou plusieurs risques Leur utilisation ne doit tre envisag e qu en compl ment des autres mesures d limina tion ou de r duction des risques Les r gles relatives leur concep tion et leur utilisation sont d finies par le Code du travail Ce document pr sente sous
508. tre a roport e distance selon les caract ristiques g oclimatiques lo cales Chez l homme l infection est le plus souvent inapparente 60 des cas Les formes symptoma tiques sont vari es allant du syn drome pseudogrippal des signes pulmonaires ou h patiques La gra vit de l infection est domin e par le risque de complications de gros sesse chez les femmes enceintes et de d veloppement d une forme chronique endocardite chez les sujets risque Afin de mieux appr cier le niveau de risque professionnel de trans mission de C burnetii une tude transversale descriptive de s ro pr valence a t men e Les objec tifs taient d estimer la s ropr valence de la fi vre O chez des professionnels expos s dans deux d partements du sud est de la France d analyser les facteurs d expo sition professionnels environne mentaux associ s la fi vre O au sein et au contact des levages d objectiver une relation entre la typologie des levages et le niveau de s ropr valence des profession nels des levages correspondants D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 65 VU DU TERRAIN PID MIOLOGIE En Europe une augmentation de l incidence de la maladie et du nombre d pid mies est observ e Aux Pays Bas entre 2007 et 2009 une pizootie de grande ampleur en levage caprin a d clench une alerte de sant publique en conta minant la
509. tres exposi tions physiques chimiques et biologiques le fait de signaler un CHSCT un document d va luation des risques et surtout un plan de pr vention am liore sen siblement l opinion des m decins du travail sur la qualit des postes de travail toutes choses gales par ailleurs Par exemple pour les salari s expos s des risques chimiques ou biologiques la pro babilit d un jugement favorable sur la qualit de la pr vention au regard de ces risques est accrue de 45 6 dans le cas o est signal un plan de pr vention tableau II Cette corr lation provient elle d une propension des m decins valoriser de facon trop subjective leur propre action Il semble que ce ne soit pas le cas les m decins jugeant dela m me facon la quali t des postes de travail qu ils aient particip l valuation des risques ou En outre ce r sultat est confirm concemant la pr sence de protec tions individuelles ou collectives mises disposition des salari s ainsi parmi les salari s expos s un produit chimique 51 de ceux couverts par un CHSCT b n f cient d une protection collective ventilation g n rale aspiration la source vase clos ils sont 54 6 quand un plan de pr ven tion est signal contre 45 en moyenne et 38 6 seulement parmi ceux pour lesquels le m decin ne signale aucun dispositif de pr vention hgure 7 Des r sultats analogues sont o
510. triques ont t confirm es pour six des huit chelles les m mes que celles cit es plus haut sur un chantillon de 754 agents Rolland 1998 Toutefois les r sultats de ces analyses de validit et de consistance interne n ont pas t publi s ce jour BIBLIOGRAPHIE m ENGELHART D ROLLAND JP tude dela forme psychologique dans les Forces A riennes Strat giques In Cahiers du Centre d tudes en Sciences Sociales de la D fense Paris La Documentation Francaise 2000 num ro sp cial Les Champs de Mars n 7 77 84 m FISHER CD GITELSON A meta analysis of the correlates of role conflict and ambiguity J Appl Psychol 1983 68 2 320 33 m HACKMAN JR OLDHAM GR Development of the Job Diagnostic Survey J Appl Psychol 1975 60 2 159 70 m HACKMAN JR OLDHAM GR Motivation through the design of work test of a theory Organ Behav Hum Perform 1976 16 2 250 79 m HUMPHREY SE NAHRGANG JD MORGESON FP Integrating motivational social and contextual work design features a meta analytic summary and theoretical extension of the work design literature J Appl Psychol 2007 92 5 1332 56 m JACKSON SE SCHULER RS A meta analysis and conceptual critique of research on role ambiguity and role conflict in Work settings Organ Behav Hum Decis Process 1985 36 1 16 78 m PEZET LANGEVIN V ROLLANDJP Caract ristiques des situations de travail burnout et attitude de ret
511. tuations de travail et des risques en respectant les principes de l ergonomie valuation hi rarchis e des risques li s aux MMC M thodes 1 niveau Rep rage Analyse des Document unique syst matique documents d valuation des des situations d valuation risques risque lombaire Analyse des accidents de travail Fiche d entreprise av r ou potentiel Analyse globale des difficult s de r alisation des t ches Analyses des retours des acteurs de l entreprise 2 niveau Identification M thodes Listes de contr le des dangers observationnelles Grilles d observation des risques stimation du Normes niveau de risque des M thodes d auto chelle de Borg RPE situations valuation CR10 de travail dela charge de Echelle Visuelle travail Analogique des contraintes des Entretiens situations de travail Questionnaires Analyse des Analyse Analyse situations approfondie de la ergonomique de complexes situation de travail l activit Entretiens individuels collectifs Vid o Instrumentation physiologique ou biom canique N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 SYNTH SE Contenu de la surveillance m dicale en sant au travail Importance de l information d livr e sur la lombalgie Compte tenu de son impact potentiel sur les repr sentations peurs et croyances du travailleur concernant la lombalgie elle doit tre coh rente entre les diff r
512. tuations profession nelles exposant des MMC afin de limiter et ou contr ler l exposi tion aux risques d atteintes rachi diennes lombaires de d finir la surveillance m di cale adapt e afin de d pister et limiter les atteintes rachidiennes lombaires li es l exposition des dans le cadre d une strat gie de pr vention int gr e collective et individuelle en milieu de travail Les objectifs sp cifiques de ces recommandations sont de d finir les param tres de l ana lyse du risque des situations pro fessionnelles exposant des MMC 92 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 afin d envisager une approche globale de la situation de travail et des risques chapitre 1 proposer des outils et m thodes de rep rage et d valuation des situations professionnelles expo sant des MMC afin de limiter et ou contr ler les risques d at teintes rachidiennes lombaires chapitres II et III d finir la surveillance m dicale adapt e aux situations d exposi tion chez les travailleurs sains ou lombalgiques et proposer une sur veillance hi rarchis e aux m de cins qui animent et coordonnent une quipe de sant au travail chapitre IV proposer des strat gies de pr vention collective et individuelle en milieu de travail afin de limiter les atteintes rachidiennes lom baires li es l exposition des MMC chapitre V proposer des st
513. u te SUMER 2010 Figure 6 gt NOMBRE DE DISPOSITIFS DE PR VENTION ET JUGEMENT DU M DECIN SUR LA QUALIT DU POSTE DE TRAVAIL AU REGARD DES DIFFERENTS RISOUES PROFESSIONNELS de postes de bonne ou tr s bonne qualit 100 Lecture selon les m decins du travail 78 6 des salari s non couverts par un dispo 80 4 sitif de pr vention ont des 78 7 postes de travail de bonne ou 70 tr s bonne qualit au regard 60 66 65 des risques organisationnels et 80 pour les salari s couverts par 3 dispositifs de 51 pr vention ou plus La diff 40 rence n est pas significative pour les risques organisa tionnels mais l est pour les 20 autres risques Pour chaque graphique le champ est limit aux salari s 0 expos s au risque consid r Champ salari s de France Risques Risques Risques Risques tropolitaine et del organisationnels physiques chimiques biologiques a TOP aE OLOR A eunion m um 7 m Source DGT DARES DGAFP aucun dispositif Lliou 2 dispositifs 130u 4 dispositifs enqu te SUMER 2010 86 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 Tableau II gt JUGEMENT DES M DECINS SURLA QUALIT DE LA PR VENTION PAR RAPPORT AUX DIFF RENTS RISQUES SELON LES CARACTERISTIOUES DES SALARIES DES ETABLISSEMENTS ET DES POSTES DE TRAVAIL Risque organisationnel Risque physique Risque chimique Risque biologique 46347 n 235 85 n 14 242 n 90
514. u agr Larticle 3 oblige les employeurs identifier les sources d mission de poussi res tant silicog nes que non silicog nes et mettre en place de mani re permanente des moyens propres viter leur propagation dans l atmosph re des lieux de travail qui se trouvent l ext rieur La permanence de ces moyens fait l objet de v rifications p riodiques dont le r sultat est report dans le document unique d valuation des risques Enfin l arr t impose que les informations que l employeur doit fournir aux travailleurs concernant les regles de conduite propres limiter la mise en suspension des poussi res dans les lieux de travail les r sultats de l valuation des risques dus l exposition au bruit et aux vibrations m caniques soient regroup es dans un dossier de prescriptions et expos es de facon p dagogique Les dispositions des titres Bruit et Vibrations et Empoussi rage EM 1 R du r glement g n ral des industries extractives sont abrog es dans certaines conditions TIQUETAGE R glement UE n 944 2013 du 2 octobre 2013 modifiant aux fins de son adaptation au progr s techniqueetscientifique le r glement CE n 1272 2008 du Parlement europ en et du Conseil relatif la classification l tiquetage et l emballage des substances et des m langes Commission europ enne Journal officiel de l Union Europ enne n L 261 du 3 octobre 2013 pp 5 22 Ce texte appo
515. u dans un autre lieu voie publique v hi cule que dans les locaux de leur employeur Une fois contr l es les caract ristiques de l tablissement et du poste de travail expositions ces salari s mobiles ne sont pas moins nombreux tre couverts par un CHSCT en revanche ils b n ficient moins souvent de dis positifs de pr vention connus du m decin du travail Ainsi celui ci signale l existence d un document d valuation des risques pour seu lement 41 d entre eux contre 55 pour les travailleurs s den taires un plan de pr vention pour 26 96 contre 38 et l interven tion d un expert pour 23 6 contre 35 tableau I L clatement des lieux de travail semble rendre plus difficile la d finition d une poli tique de pr vention LA DIFFUSION DES DISPOSITIFS DE PR VENTION VARIE SELON LES MODES DE MANAGEMENT Les salari s qui indiquent devoir suivre des proc dures de qualit strictes certification ISO accr dita tion EAQF W sont plus souvent couverts selon les m decins du travail par un CHSCT et par les divers dispositifs de pr vention ici recens s tableau I le respect des obligations l gales en mati re de sant s curit fait souvent par tie des crit res d accr ditation ou de certification Il en va de m me pour les salari s qui disent avoir au moins un entretien individuel d valuation par an leurs em ployeurs ont mis en place des pro c dures formalis
516. u tra vailleur pour planifier un re tour programm et progressif au travail dans le cadre d une reprise du travail temps par tiel th rapeutique grade C 4 Concernant les interven tions multidimensionnelles ciblant le travailleur lors de la d marche de pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travailleurs en arr t de travail expos s aux risques li s aux MMC il est recommand de Conseiller au travailleur d augmenter progressivement son niveau d activit physique lors de son arr t de travail grade B les exercices r aliser pour cette fin peuvent tre super vis s par des personnes et ou des structures diff rentes selon le contexte local ser vice hospitalier centre de r adaptation kin sith ra de pr vention de l incapacit due aux lombalgies lors de la d marche de pr vention de la d sinsertion professionnelle chez les travailleurs en arr t de travail expos s aux risques li s la MMC il est recommand d identifier et d impliquer les diff rents acteurs du contexte local Quels que soient ces diff rents acteurs qui peuvent tre diff rents d une r gion l autre il est recommand de conseiller la mise en ceuvre d interven tions multidimensionnelles combinant simultan ment une coordination des interve nants du secteur de soins de la 5 D apr s le Code du travail Art L 4624 1 le m decin du travail est habilit
517. ubliques hospitali re et territo riale et une partie de la fonction publique d tat le m decin du travail signale la pr sence d un CHSCT ou quivalent dans la fonc tion publique tableau page suivante Cette proportion atteint 85 pour les tablissements de 50 salari s ou plus auxquels le Code du travail enjoint d en disposer en revanche seuls 11 des salari s des tablissements de moins de 20 salari s sont couverts alors que SNCF et Air France Les salari s de la RATP les gens de mer des collectivit s territoriales et une grande partie des agents de la fonction publique d tat ont t int gr s l enqu te SUMER 2010 avec une exception majeure concernant les enseignants de l ducation nationale dont le r seau de m decine de pr vention ne dispose pas de la couverture suffisante l autoquestionnaire a t propos tous les salari s enqu t s alors qu il ne concernait qu salari sur 2 dans l enqu te de 2003 97 6 des salari s r pondants l enqu te l ont rempli La pond ration a t r alis e en plusieurs tapes redressement en fonction des caract ristiques des m decins enqu teurs correction du biais induit par la corr lation entre la fr quence des visites et les fr quences des expositions correction de la non r ponse totale et enfin calage sur marge des salari s Pour cette derni re tape les crit res utilis s sont le sexe la tranche d ge la nationalit
518. udrey Petit Pr Yves Roquelaure et Dr Audrey Petit Organismes professionnels et associations de patients et d usagers groupe de travail pr sident Pr Yves Roquelaure groupe de lecture et autres personnes consult es d taill s en annexe 1 Les membres du groupe de travail ont communiqu leurs d clarations publiques d int r ts la HAS Elles ont t analys es selon la grille d analyse du guide des d clarations d int r ts et de gestion des conflits d int r ts de la HAS Les int r ts d clar s par les membres du groupe de travail ont t consid r s comme tant compatibles avec leur participation ce travail 126 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 FICHE DESCRIPTIVE Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges Avis de la Commission des recommandations de bonne pratique Validation Attribution du label HAS par le Coll ge de la HAS en septembre 2013 L actualisation de la recommandation sera envisag e en fonction des donn es publi es Actualisation dans la litt rature scientifique ou des modifications de pratique significatives survenues depuis sa publication Argumentaire scientifique et synth se de la recommandation de bonne pratique Autres formats t l chargeables sur le site de la Soci t francaise de m decine du travail SFMT www chu rouen fr sfmt pages Recommandations php
519. ue test sp cifique restaient n gatifs titre de t moin un patient atteint d un asthme professionnel av r Le N chloro 4 m thylbenz ne sulfonamide de sodium ou chloramine T est un sel de sodium de l acide p tolu nesulfona mide monochlor utilis comme biocide dans des antiseptiques et des d sinfectants La chloramine T ne doit pas tre confondue avec la trichloramine des piscines au formald hyde mais non expos de fa on habituelle la trichlora mine a galement b n fici d un test de provocation la m me solu tion de trichloramine qui se r v lait n gatif Les auteurs estimaient que vu les r sultats observ s une action purement irritative des trichloramines sur la muqueuse bronchique ne pouvait expliquer elle seule ces trois cas d asthme et voquaient une probable r action immunologique sp cifique asso ci e sans pour autant pouvoir en pr ciser la nature Concernant les asthmes immuno allergiques li s aux produits d sin fectants bien que les cas ne soient pas exceptionnels compte tenu de l importance de l usage de ces pro duits dans ce secteur un seul cas d taill t retrouv dans 1a lit t rature En 1995 un cas d asthme professionnel au N chloro 4 m thylbenz nesulfonamide de so dium ou chloramine T biocide contenu dans un spray d sinfec tant a t rapport chez une femme de m nage effectuant l entretien des douches d une piscine
520. ues P riodicit de la surveillance pour les travailleurs expos s Il n existe pas de donn es scien tiques permettant de d termi ner une p riodicit sp cifique au risque lombaire pour l examen m dical ou les entretiens infir miers chez les travailleurs asymp tomatiques Quelle que soit la p riodicit re tenue pour les examens m di caux en l absence de lombalgie il est recommand 1 de donner la priorit l ac tualisation de la connaissance des risques de la situation de travail 2 d utiliser pour cela les don n es issues des outils de veille sanitaire collective et indivi duelle registre d infirmerie entretiens infirmiers 3 de v rifier que les travail leurs soient correctement in form s de la possibilit de ren contrer le m decin du travail leur demande notamment en cas d apparition de lombalgie ou d arr t de travail gt Contenu de la surveillance pour les travailleurs expos s aux MMC Pour les travailleurs asympto matiques expos s aux MMC il est recommand 1 que la surveillance com porte l anamn se de l histoire lombalgique ventuelle et de l volution des expositions pro fessionnelles depuis le dernier examen ou entretien 2 de renouveler l information et la sensibilisation sur les principes g n raux de pr ven tion des risques professionnels notamment sur les risques li s aux manutentions manuelles de charges En l absence d pisode lomba
521. uis que vous avez mal Sociabilit Dans quelle mesure pensez vous que votre douleur a chang vos relations avec les autres Dans quelle mesure avez vous besoin du soutien des autres depuis que vous avez mal travaux domestiques pr paration des repas Dans quelle mesure estimez vous que votre douleur provoque chez vos proches de l irritation de l agacement de la col re votre gard D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 123 ANNEXE 13 valuation des repr sentations de la lombalgie au travail items de la version francaise du questionnaire FABO 22 FABO Physique 1 Ma douleur a t provoqu e par l activit physique 2 L activit physique aggrave douleur 2 3 L activit physique pourrait abimer mon dos 4 Je ne voudrais pas faire d activit s physiques qui peuvent ou qui pourraient aggraver ma douleur 5 Je ne devrais pas avoir d activit s physiques qui peuvent ou qui pourraient aggraver ma douleur gt FABO Travail 6 Ma douleur a t caus e par mon travail ou pagunraccidentideitravail ese 7 Mon travail a aggrav ma 9 Mon travail est trop lourd pour moi 10 Mon travail aggrave ou pourrait aggraver ccce de E R Ti Mon travail pourrait endommager abimer mon dos 12 ne
522. un ant c dent d asthme dans l enfance devenu asymptomatique ou ayant t sta bilis par un traitement de fond La r apparition ou la d stabilisation de cet asthme pr existant plaide rait alors en faveur du diagnostic D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 151 d asthme aggrav par le travail La mesure r p t e du d bit expira toire de pointe DEP de facon pluri quotidienne sur plusieurs semaines peut permettre de conforter l hypo th se d un asthme en lien avec le travail qu il soit aggrav ou direc tement induit par l activit pro fessionnelle R alis par le patient lui m me le journal de DEP s effec tue id alement sur 4 6 semaines dont au moins 2 semaines non tra vaill es et cornprend au minimum 4 mesures par jour Le programme d analyse informatique OASYS 2 peut aider son interpr tation en appr ciant sa qualit intrins que et en calculant des indices et des algorithmes sp cifiques capables de d terminer la probabilit d asthme professionnel 48 Il est galement possible d objectiver une alt ration progressive du VEMS au cours d une journ e ou d une semaine de travail en r alisant un suivi spirom trique rapproch sur le lieu de travail ILest noter queles manifestations rhino conjonctivales pr c dent souvent l apparition d un asthme lorsque le m canisme physiopa thologique sous jacent est de type IgE m di En revanche cette vo lut
523. undi inire gl pror ahy a dd TE TOT aurca derdishr me arbor Da Pret ar m da qc vac ia ingeni 7 An PL bebes secca d a e Tante PTE TER LUS D s Ms ore Sues e ACT mius ai p rils Zinn de peer een Lm cuneo un cla corn e Pom gemina ETROUVEZ SUR LE SITE st sante travail fr R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SUIVI POUR VOUS Ouelles actions pour un autre travail soulager la souffrance radiquer les facteurs de risques soigner le travail Premier colloque international du DIM GESTES Montrouge 10 11 juin 2013 AUTEUR La pr vention des risques psychosociaux tait le th me de ce colloque organis par le Groupe d tudes sur le travailet la souffrance au travail constitu en Domaine d int r t majeur DIM GESTES Les d bats ont port sur les d marches existantes pour prendre la mesure de la souffrance analyser l activit agir en pr vention et mesurer les effets des actions engag es Une meilleure connaissance des effets n fastes du stress sur la sant des travailleurs et l conomie des entreprises de m me que des repr sentations qu en ont les travailleurs et les autres parties prenantes managers donneurs d ordre pr venteurs sont les conditions n cessaires des actions vi
524. une tude men une enqu te de terrain Vous souhaitez publier vos r sultats faire partager votre exp rience ou solliciter d autres quipes La rubrique vous est ouverte Contactez nous sur le site Proposer un article G Kerbaol INRS PRATIQUES ET M TIERS Surveillance m dico professionnelle du risque lombaire pour les travailleurs expos s des manipulations de charges octobre 2013 Ces recommandations de MOTS CL S bonne pratique ont pour Surveillance m dicale objectifs d am liorer le rep rage et l valuation des situations professionnelles exposant des manutentions manuelles de charges afin de limiter et ou contr ler l exposition aux risques d atteintes rachidiennes lombaires et de d finir la surveillance m dicale adapt e afin de d pister et limiter les atteintes rachidiennes lombaires li es ces expositions dans le cadre d une strat gie de pr vention int gr e collective et individuelle en milieu de travail labor es par la Soci t francaise de m decine du travail SEMT en partenariat avec plusieurs autres soci t s savantes elles ont recu le label dela Haute Autorit de sant en octobre 2013 Sont reproduits ici le texte court suivi m dical manutention manuelle lombalgie manutentionnaire recommandation et la fiche de synth se Ces deux documents ainsi que l argumentaire sont consultables sur le site de la SFMT
525. une visite de pr reprise pr coce m me si la reprise n est pas en visag e dans un futur proche cf Chapitre IV 4 p 102 Organiser un change pr coce apr s 4 semaines d arr t avec l accord du travailleur entre le m decin traitant et le m decin du travail et ven tuellement le m decin conseil grade B changer pr cocement avec l accord du travailleur avec le chef d entreprise ou ses repr sentants si un am nagement de la situation de travail ou un retour progressif au travail est envisag grade B changer dans les cas com plexes avec les acteurs du maintien en emploi grade C 2 Concernant les interventions ciblant les conditions de travail lors de la d marche de pr ven tion de la d sinsertion profes sionnelle chez les travailleurs en arr t de travail expos s aux risques li s aux MMC il est re command de Conseiller l employeur les travailleurs et leurs repr sentants sur les strat gies de r duction temporaire de la charge de travail physique afin de faciliter le retour pr coce au travail grade B Demander la mise en ceuvre d adaptations temporaires du travail pouvant comprendre grade B une diminution temporaire de la dur e de travail temps partiel th rapeutique un am nagement de la situation de travail t ches all g es adaptation ergono mique du poste de travail un changement temporaire de poste de travail
526. ure des 194 N 136 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL D CEMBRE 2013 santetraval a rosols et des bioa rosols chantillonnage et mesures des phases mixtes chantillonnage et mesure des nano a rosols Sp ciation chimique Qualit des mesures incerti tudes Surveillance biologique biomarqueurs de l exposition L INRS est l un des co organisateurs du symposium airmon2014G nrs fr www inrs airmon2014 fr E T 17 20 JUIN 2014 MILAN Italie Conf rence sur l intimidation et le harc lement au travail Parmi les th mes Identifier et mesurer l intimidation Facteurs de risques Organisation du travail et intimidation Effets sur la sant et r habili tation Psychophysiologie Adaptation l intimidation Difficult avec le management D nonciation L lille2014 fr gt Discrimination gt Incivilit s Diff rences entre les sexes Violence physique Intimidation et r sultats gt Pr vention et intervention R le des acteurs sociaux l gislation et indemnisation gt Harc lement sexuel Co ts de l intimidation pour l organisation la soci t et l individu RENSEIGNEMENTS Universit de Milan ergonomia unimi it www bullying2014 unimi it about conference html Objectifs des journ es Sant Travail Lille 2014 eFaire le point des connaissances sur Audition et travail Pathologies neurod
527. urs 23 et m me en une occasion chez une h tesse de caisse 24 c est en 2002 que Thickett et al ont rapport les trois premiers cas d asthmes pro fessionnels clairement attribu s la trichloramine 12 Deux sur veillants de baignade et un pro fesseur de natation exercant dans 3 piscines distinctes trait es au chlore rapportaient divers symp t mes vocateurs d asthme ryth m s par le travail Des mesures atmosph riques effectu es dans chaque tablissement ont permis d observer des niveaux de trichlo ramine dans l air allant de o 2 0 57 mg m3 concentrations relati vement habituelles dans ce type de lieux Deux des patients ont r alis un suivi pluriquotidien de leur d bit expiratoire de pointe DEP sur quatre semaines cons cutives permettant d observer une variabilit franche en fonction de l activit professionnelle Le degr de r activit bronchique appr ci plusieurs semaines apr s l arr t de l exposition la trichloramine s est r v l normal chez les trois sujets Deux d entre eux ont b n fici enfin d un test de provocation bronchique r aliste par exposition en milieu hospitalier une solu tion n bulis e de trichloramine la concentration de 0 5 mg m tandis que le troisi me a effectu un test de r exposition sur le lieu de travail Les trois tests taient positifs alors que les tests de provo cation asp cifiques lhistamine r alis s avant et apr s chaq
528. us traitance du nucl aire notam ment en r gion le de France 1 3 6 est retrouv e dans cette tude plus des trois quarts des salari s d clarent changer plusieurs fois de sites dans l ann e etle changement fr quent de sites est li au travail en maintenance de centrale nucl aire au moins 80 du temps de tra vail en arr t de tranche La moiti des salari s dit parcourir au moins 25 ooo kilom tres dans l ann e avec leur v hicule personnel ou professionnel La forte dispersion des donn es recueillies concer nant le kilom trage moyen pro fessionnel annuel parcouru de o 130 000 km ne permet pas de re trouver un lien avec la survenue de pathologies li es au travail Les mis sions sont courtes puisque pres de la moiti d entre elles est inf rieure au trimestre ce qui est rapprocher de la diminution de la dur e des arr ts de tranche et de l augmenta D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 53 VU DU TERRAIN tion de la pression temporelle 4 7 8 Le risque routier est augment par le fait de rouler de nuit d un site l autre ou pour rentrer chez soi Il est particuli rement mis en vidence dans cette tude pour les salari s qui travaillent en mainte nance de centrale nucl aire Le fait de passer 80 de son temps ou plus en arr t de tranche est significativement li aux caract ristiques d j d crites dans le tra vail de sous trait
529. ussi au fait que les actions men es se centrent sur les individus il leur est propos de prendre du recul de changer de poste ou de service de partici per un atelier de coaching ou des s ances de formation la ges tion du temps sans que jamais les sources organisationnelles de leurs p nibilit s ne soient inter rog es Ces diff rents r sultats de recherche am nent ainsi re commander des actions centr es davantage sur l organisation et le collectif comme la plupart des interventions lors de ce colloque LES DIFF RENTES PARTIES PRENANTES MIEUX ASSOCI ES A L ACTION LES TRAVAILLEURS C est en effet l un des traits domi nants de ces deux journ es organi s es par le DIM GESTES Par del la multiplicit des disciplines et des approches dont ils se sont inspir s les contributeurs ont concentr leur attention sur les actions qui visent un changement organisationnel et qui associent les travailleurs l analyse de leur situation et la mise en ceuvre de solutions Deux hypoth ses majeures taient ainsi tr s largement partag es les ac tions engag es auront d autant plus d effet sur le long terme qu elles viseront transformer les sources organisationnelles des p nibilit s des travailleurs et que ces derniers auront t associ s au diagnostic et l action Dans ces conditions les nombreuses exp riences men es en clinique de l activit qui visent d velopper l expertise
530. util peut servir de support au dialogue dans les structures du secteur sanitaire et social autour de la probl matique des conditions de travail et de la pr vention Le document est t l chargeable cette adresse www inrs fr accueil produits mediatheque doc outils html refINRS outil42 Il est une d clinaison sectorielle de l outil g n rique Faire le point Une aide pour valuer les risques psychosociaux dans les petites entreprises destin aux entreprises de moins de 50 salari s tous secteurs confondus disponible cette adresse www inrs fr accueil produits mediatheque doc outils html refINRS outil37 Son utilisation s inscrit dans une d marche d accompagnement des petites entre prises dans la compr hension et la pr vention des RPS Elle est expos e de mani re compl te sur le site www travailler mieux gouv fr Petites entreprises html D CEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 136 INFOS RETENIR Amiante Un risque souvent non percu INRS en collaboration avec la Conf d ra tion de l artisanat et des petites entreprises du b timent CAPEB et l Institut de recherche et d inno vation sur la sant et la s curit au travail IRIS ST a men une tude sur l exposition l amiante de plombiers chauffagistes Les r sultats de la cam pagne de mesure r alis e l aide de badges de pr l vements ont t crois s avec les r ponses un questionnaire soumis aux trava
531. ux Une exp rience similaire men e en Allemagne s est av r e particu li rement concluante en termes de maintien au poste de travail d une diminution des arr ts de travail et d une importante am lioration de la qualit de vie Le port de gants de protection et l utilisation des cr mes de protec tion sont des mesures recomman d es dans la pr vention des derma tites de contact professionnelles M N Cr py GERDA Paris a rappel l int r t de ces mesures de protec tion individuelle Les crit res de choix et les recommandations sur la bonne utilisation de ces moyens de protection ont t d taill s en insistant notamment sur le niveau de protection apport efficacit et limite et sur les effets ind sirables possibles On retiendra que le port de gants de protection ne garantit pas une protection efficace 100 Bien s r il est indispensable de v rifier que leurs caract ristiques sont adapt es la t che et qu ils sont correctement port s et chang s Concernant les cr mes de protec tion le b n fice apport appa ra t encore controvers du moins quant leur effet barri re leur capacit de r g n ration de la bar ri re cutan e tant elle reconnue Leur utilisation ne doit donc pas freiner la mise en ceuvre d autres mesures pr ventives plus efficaces LES CONDUITES COLLECTIVES ET INDIVIDUELLES FACE AUX RISQUES DANS LE BTP Afin de g n rer des connaissances pr cises sur
532. xamen dans le cadre du suivi post professionnel des salari s ayant t expos s des agents ou proc d s canc rog nes 1 Contamination des locaux et ou du mat riel Pr venir la PCR sans d lai Confiner le d versement ou la fuite avec un mat riau absorbant D terminer l tendue de la zone contamin e et si n cessaire d li miter et baliser un p rim tre de s curit D contaminer de l ext rieur vers l int rieur avec du mat riel jetable conform ment la proc dure pr a lablement tablie et disponible sur place port de gants surblouse et surchaussures obligatoires Puis contr ler au fur et mesure l efficacit de la d contamination par des contr les sondes adapt es afin de v rifier l absence de conta mination r siduelle Ces r sultats feront l objet d une tracabilit m Tous les l ments issus de la d contamination seront trait s comme d chets radioactifs 6 2 3 m Toute contamination de locaux de surface de travail ou de v te ment doit tre limin e d s sa d tection puis son origine recher ch e Elle doit faire suspecter une contamination ventuelle de per sonne 2 Contamination de la personne m Principes g n raux gt Dans tous les cas la PCR le res ponsable du laboratoire et le m de cin du travail doivent tre pr venus sans d lai La prise en compte de l urgence vitale m dico chirurgicale prime sur toute action de d contamina
533. xe 12 sionnelle du salari Repr sentations Sous chelle FABO travail annexe 13 6 Le cas ch ant informer le du travailleur vis vis travailleur des avantages et gelallombalgie inconv nients de la reconnais sance en maladie profession nelle en cas de lomboradiculal gie chronique si les d marches L incapacit fonctionnelle li e la luation du retentissement de n ont pas d j t effectu es lombalgie peut tre objectiv e par l incapacit fonctionnelle les 7 S assurer de la compr hen des tests physiques Il n y a pas de questionnaires Roland Morris sion partag e de la situation donn es scientifiques permettant EIFEL annexe 11 ou Dallas et des objectifs de la prise en de recommander ces tests lors de DRAD annexe 12 peuvent charge entre le travailleur le 1 surveillance m dico profes tre utilis s m decin traitant et le m decin sionnelle des travailleurs lombal du travail giques par le m decin du travail Les repr sentations li es la ou l quipe pluridisciplinaire de lombalgie au travail tant chez le Outils d valuation des facteurs sant au travail salari que chez les autres inter de risque de chronicit ou d incapa venants en sant et pr vention cit prolong e Le retentissement de l incapacit constituent un facteur influen Le tableau V pr sente les outils fonctionnelle li e la lombalgie ant le retour au travail recommand s d valuation de la doit tre valu
534. yeur organise 1 La prise en charge imm diate du travailleur bless telle que d finie l annexe II 2 Les modalit s d information de l employeur par les travailleurs de tout AES impliquant des objets perfo rants 3 Les modalit s de transmission au m decin du tra vail des informations relatives aux causes et circons tances de l AES L employeur le cas ch ant en lien avec le Comit d hy gi ne de s curit et des conditions de travail analyse les causes et les circonstances de dans le but de mettre en ceuvre les mesures de pr vention adapt es ou de les r viser ARTICLE 7 Le directeur g n ral du Travail le directeur g n ral de la Sant et le directeur g n ral de l Offre de soins sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi ainsi que ses annexes au Journal officiel de la R publique francaise risque de piq re et lors de la manipulation de tubes ou de flacons de pr l vements biologiques linge et mat riel souill et syst matiquement en cas de l sion cutan e des mains Les changer entre deux patients deux activit s Certaines situations peuvent n cessiter des pr cau tions compl mentaires port de deux paires de gants notamment pour les op rateurs au bloc op ratoire port de sous gants r sistants aux coupures pour les gestes particuli rement risque notamment en ana tomo pathologie 12 N 136

RST 136, décembre 2013 - Références en santé au travail

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