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PDF - Union Nationale des Mutualités Libres

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1. Ti bles i if v r re A Ce fm r r p EP Te j r Regina De Paepe Expert aux Mutualit s Libres Marc Moens Pr sident ABSYM Le couplage la convention d value l accr ditation Un m decin qui a adh r l accord m dico mut re oit 434 20 euros de plus qu un m decin non conventionn pour la m me accr ditation Pratiquement tous les m decins estiment toutefois que cette mesure constitue une d valuation du label de qualit accr ditation En tant que Pr sident du groupe de pilotage d accr ditation jai re u des lettres d indignation principalement de m decins g n ralistes qui se d m nent corps et me pour organiser une formation m dicale continue de haute qualit pour leurs coll gues mais qui sont moins r mu n r s parce qu ils refusent d adh rer l accord m dico mutualiste L Association Belge des Syndicats M dicaux ABSYM re pr sente la majorit absolue sur le banc m dical au sein de la commission nationale m dico mutualiste Sans notre accord aucune convention m dico mutualiste ne peut tre conclue L ABSYM a d s lors eu beaucoup de mal accepter l exigence mutualiste relative une in demnit d accr ditation forfaitaire discriminatoire C tait toutefois quitte ou double soit un extra d accr ditation pour les courageux m decins conventionn s soit pas d accord du tout En d autres mots personne n aurait de statut social avantages s
2. Aujourd hui certains de ces emplois ont presque dis environ 140 affections et risques reconnus par le gt Libres s des Mutualit LA L avis Le burn out n est pas encore reconnu comme maladie professionnelle Fonds des maladies professionnelles Il s agit notam ment des substances chimiques ammoniaque cobalt des inhalations de poussi re silicose amiante aluminium etc ou des maladies infec tieuses et parasitaires etc Avec le syst me ouvert il est n cessaire de faire la preuve de la maladie d une exposition nocive dans le cadre du travail et du lien direct entre les deux Dans les faits tr s peu de maladies sont reconnues dans le cadre du syst me ouvert et quasi aucun cancer En 2010 on comptait 8 2 reconnaissances de maladies professionnelles dans le syst me ouvert contre 54 271 dans le syst me liste C est notamment pour cette raison que les ten dinopathies sont sur le point de faire leur entr e dans le syst me liste Fin 2012 selon le FMP Un processus lent L inclusion de nouvelles maladies professionnelles dans la liste est en effet un processus lent Pour re prendre l exemple des tendinopathies leur ajout sur la liste se fait attendre depuis plus de deux ans et demi faute de gouvernement l heure actuelle seules les tendinites des artistes de spectacle sont reconnues Autant dire tr s peu N anmoins m me si elles ne sont pas encore officiellement inscrites s
3. change possible C est seulement lorsque toutes ces tapes seront r gl es que l on pourra sensibiliser former et mobiliser les prestataires Le R seau Sant Wallon eHealth l chelle d une r gion L id e du R seau Sant wallon RSW est n e fin 2005 Suite l annulation du projet f d ral de dossier de sant partag le minist re de la Sant d cide de subsidier les entit s r gio nales pour le d veloppement de r seaux En R gion wallonne tous les acteurs h pitaux associations de m decine g n rale ont d ci d de rassembler les subsides parpill s sur tout le territoire wallon Gr ce cela ils ont pu se f d rer pour mettre en place le R seau Sant Wallon mis en production fin 2010 La R gion de Bruxelles Capitale a cr le projet Abrumet qui fonctionne sur le m me mod le que Le RSW Actuellement 19 h pitaux wallons la moiti d entre eux sont en pro duction pour s int grer au RSW L am lioration des logiciels m dicaux n est elle pas primordiale pour permettre aux m decins d utiliser les outils eHealth V Effectivement Aujourd hui il n y a pas de plan national pour int grer les logiciels de m decine g n rale au syst me hubs m ta hubs Ce grand projet auquel les h pitaux adh rent progressive ment est amput de sa partie essentielle Il faut qu il y ait une communication dans les deux sens entre la premi re et la deuxi me ligne Pour le moment au
4. clar qu il y avait peu de chances de voir un jour un syst me de sant unique en Europe Autres th mes mis en avant lors de cette conf rence les nouvelles technologies la m decine personnali s e et pr dictive et le co t de l ob sit identifi comme un probl me peu pris en charge par les gouvernements pour accoucher Soit 2h de plus qu il y a 50 ans Selon une tude de l Institut national de sant am ricain National Institute of Reconnaissance de la sp cialisation infirmi re en p diatrie et n onatologie Les crit res d agr ment pour le titre d infirmier sp cialis en p diatrie et n onatologie permettent dor navant ces infirmiers de faire reconna tre leurs comp tences particuli res Cette mesure fait partie du plan d attractivit des m tiers infirmiers labor par la Ministre Onkelinx en 2008 L agr ment est accessible aux per sonnes titulaires d un dipl me d infirmier gradu de p diatrie ou aux infirmiers gradu s ou bacheliers ayant suivi une sp cialisation en p diatrie et n onatologie de minimum 900h apr s le dipl me de base Un certain nombre d heures de formation permanente et de pra tique professionnelle dans un secteur orient enfants sont pr vues pour conserver son agr ment Cette mesure entre en vigueur le 1 ao t 2012 http cemea economistconferences com Fausses prescriptions m dicales ont t constat es en 2011 par l Agence f d rale des M d
5. Co ts hospitaliers pour l accouchement e La diff rence du co t moyen total des c sariennes 5554 28 par rapport l accouchement par voie basse en hospitalisation classique 4004 53 est de 38 ce qui s explique par une dur e de s jour plus longue et des honoraires m dicaux plus le v s Ces deux postes repr sentent respectivement 60 et 25 des d penses de l assurance obliga toire AO Co ts moyens d une intervention par type d accouchement par type d hospitalisation en A l tude e L importance de la contribution des patientes aux d penses pour accoucher est tr s marquante en viron 28 du montant total des d penses lorsque l accouchement se fait l h pital quelle que soit la technique Cela reste encore lev Les sup pl ments en honoraires pour une c sarienne o pour un accouchement par voie basse repr sentent respectivement 62 et 72 des suppl ments pour la patiente noter que les suppl ments totaux varient fortement d un h pital l autre et peuvent aller de DE 9558 Assurance obligatoire 6000 5554 28 Ticket mod rateur Suppl ments 5000 1374 92 di 4004 53 4000 24 959 96 3000 3 EE ELNA 2000 1077 47 4013 31 73 221 23 592 56 1000 i 2909 13 0 04 848 00 99 96 592 33 0 Hospitalisation Hospitalisation One day A domicile c sarienne voie basse voie basse Co ts selon le statut socio conomique Le r
6. D tecter les faiblesses du syst me c est possible Avec sa gigantesque base de donn es l Agence Intermutualiste dispose d un tr sor encore largement sous exploit Pourtant en analysant plus syst matiquement cette masse d informations il est possible d extraire des donn es permettant de d tecter certaines faiblesses de notre syst me de soins de sant voire m me des abus Pr cieux dans un contexte de rationalisation des co ts r e par les sept organismes assureurs C l Agence Intermutualiste AIM IMA a pour mis sion d analyser les donn es des mutualit s et de fournir des informations sur la population et sur les d penses en soins de sant L AIM r alise des analyses th matiques sur demande des organismes assureurs de l INAMI du minist re de la sant ou du Centre d expertise des soins de san t KCE L AIM a par exemple publi des tudes sur les soins pr natals le d pistage du cancer du sein et a r alis toute une s rie d analyses command es par l INAMI feedback aux prestataires sur la prescription des antibiotiques les examens pr op ratoires etc Souvent ces tudes sont labor es sur base de l en semble des donn es dont disposent les organismes assureurs ce qui repr sente 99 de La population L AIM IMA g re aussi une base de donn es appel e l Echantillon permanent Il s agit d un chantillon de 305 000 personnes repr sentatives de la population belge L int r t de cet
7. Detavernier Experts aux Mutualit s Libres Espace prestataires Plus de pr vention Les Mutualit s Libres sont l unique groupe mutualiste avoir particip la r daction du programme belge Elles distinguent 4 priorit s pour l ann e europ enne 2012 1 Campagnes de sensibilisation aupr s du grand public par rapport la probl matique du vieillissement et les d fis qu il entra ne L objectif davantage de prise de conscience de la n cessit de solidarit entre les g n rations qui est insuffisante l heure actuelle Les Mutualit s Libres encadreront des campagnes de promotion de la sant et de pr vention par rapport cette mati re Une r vision du mod le de soins com prenant la n cessit de faire davantage d efforts en mati re de pr vention en raison du vieillissement et de l augmentation des affections chroniques certainement chez les jeunes pensionn s et l encadrement des affili s par des programmes de coaching et des trajets de soins Une attention particuli re pour la sant mentale des personnes g es en mettant l accent sur la poursuite du plan d mence ainsi que sur la pr vention et la prise en charge de la d pression chez la personne g e La cr ation d un cadre juridique int ressant pour les aidants proches avec une am lio ration de leur statut juridique maintien de droits au sein de la s curit sociale et bonne assurance des activit s de l aidant proche
8. L objectif de ce transfert de comp tences est d am liorer l efficacit de la politique de sant et l aide aux per sonnes Les entit s f d r es seront en outre financi rement responsabilis es Ce dossier re pr sente d s lors une opportunit pour les mutualit s D centraliser puis ref d raliser Les exp riences dans d autres pays nous clairent sur les risques que comporte la d centralisation des soins de sant Elle peut en effet avoir des r sultats diff rents selon la r gion Ce qui pourrait terme amener des arguments pour ref d raliser surtout si les citoyens des diff rentes r gions se rendent compte qu ils ne b n fi cient pas des m mes soins de sant D autre part on ne peut pas tre certain que la d centralisation permettra davantage d efficacit Dans plusieurs pays elle a m me entra n une hausse des frais administratifs et davantage de bureaucratie La Norv ge et le Danemark par exemple qui avaient d centralis leurs soins de sant par le pass ont finalement d cid de recentraliser les com p tences et moyens ces derni res ann es Il faut d s lors se demander si la d centralisation a du sens Les nouvelles technologies la n ces sit d une administration plus efficace et la recherche de droits similaires dans les diff rentes r gions marqueront elles le retour d un syst me de sant centralis Pas de solution miracle Il ressort galeme
9. Lobjectif de ce projet est double stimuler la comp titivit et relever les d fis sociologiques gr ce la recherche et l innovation Comment les personnes g es peuvent elles vivre plus longtemps en bonne sant et de mani re autonome Comment pouvons nous am liorer la durabilit et l efficience des soins de sant Ces initiatives doivent permettre d augmenter de 2 ans le nombre moyen d ann es de vie en bonne sant d ici 2020 Quelles actions concr tes vont permettre de r aliser cet objectif Trouver des solutions innovantes pour une meilleure gestion de sa propre sant et pr venir les chutes des personnes g es font entre autres partie des projets D autres pistes concernent le d ve loppement rapide de normes pour l interop rabilit en mati re de technologies de l information et pour l accessibilit de l environnement b ti Travail d quipe Plus de 50 organisations europ ennes ont uni leurs forces pour cette ann e europ enne L Association Internationale de la Mutua lit AIM dont les Mutualit s Libres sont membres apporte galement sa contribution DITS SPRINT SR 000 000000 0 000 Quid de la Belgique En Belgique cette ann e europ enne dont le coup d envoi officiel a t donn en mars 2012 ne passera certainement pas inaper ue Les partenaires sociaux ont t troitement impliqu s dans l identification des priorit s et l tablissement du programme L inves tissement e
10. ainsi que la planification de moments de r pit Libres des Mutualit s L avis 6 Vous pouvez consulter le programme belge complet via www beactive2012 be Une aide pour am nager son logement Le lancement d un point de contact web pour soutenir l am nagement du logement des seniors Steunpunt Woningaanpassing Brussel est un bel exemple d initiatives concr tes dans le cadre de cette ann e euro p enne Les Mutualit s Libres Euromut et Partena Ziekenfonds ont d velopp ce projet en collaboration avec d autres mutualit s et organisations Le point de contact propose un encadrement toute personne qui souhaite rendre son habitation s re confortable et accessible Depuis le 1er mars 2012 les personnes g es peuvent appeler Le point de contact pour toutes leurs questions en mati re d adaptation des logements Bruxelles Si souhait un ergoth rapeute se rend au domicile pour des conseils personnalis s gratuits Un service de petit entretien du logement peut ensuite mettre Les conseils de l ergoth rapeute ex cution WWW wWoningaanpassing be disponible en fran ais ou au 02 240 80 81 Jean Paul Allonsius Espace prestataires O en est on en termes de traitement m dicamenteux de l ob sit Jean Paul Allonsius Apr s le retrait du march de deux m dicaments seul l orlistat dis ponible tant en vente libre ndlr sous le nom d Alli que sous prescription ndlr sous le nom d
11. air r sistants aux intemp ries Par St phanie Brisson et Steven Vervaet NCA R gionalisation mod le de concertation abus hnd Le mod le de concertation sous pression p 7 R gionalisation un cadeau pour les soins de sant p 10 E D tecter les faiblesses du syst me c est possible p 12 o Avenir des soins de sant sous pression Dossier Le mod le de concertation Notre pays peut tre fier de proposer des soins de sant de qualit Mais le contexte budg taire triqu et les nombreux d fis de soci t mettent le syst me belge sous pression Economies et mesures structurelles sont indispensables mais comment joindre le geste la parole Le mod le belge de concertation en soins de sant est il capable d imposer de telles mesures Un dossier pour faire le point n acc s quitable des soins m dicaux de 5 haute qualit et des filets de s curit sociaux comme le statut omnio et le maximum factu rer MAF t moignent de la qualit de notre syst me de soins de sant Le contexte conomique actuel et les d fis de soci t comme le vieillissement de la population ou l explosion des maladies chroniques ne facilitent toutefois pas les choses remettant en question la durabilit de notre syst me Comment conserver les atouts de notre syst me de sant tout en relevant les d fis de l avenir Il faudra oser faire des conomies l o c est n cessaire et pro
12. de cigarettes n y est pas trang re Il ne reste plus qu faire de m me sur les paquets de tabac rouler la majorit des Belges est d ores et d j en faveur de cette mesure www tabacstop be 5 5 des enfants francophones de 3 ans sont ob ses cartes de stationnement pour personnes handicap es ont t d livr es en 2011 Le diab te de type 1 influence le cerveau Le diab te de type 1 peut provo quer des changements dans le L _n cerveau selon une tude de AIM l Universit d Amsterdam Les petits vaisseaux san guins sont endommag s par les taux lev s de glyc mie et ces d g ts peuvent se manifester dans le cerveau Les patients ont souvent plus de difficult s faire plusieurs choses en m me temps et ont plus de mal retenir des Informations Ce genre de recherches offre des perspectives de traitements possibles de la r gression du cerveau en cas de diab te de type 1 Www vumc nl Ob sit des appareils de musculation en acces libre et gratuit 65 4 des Sud Africains sont en surpoids En Afrique du Sud l pid mie d ob sit gagne du terrain Pour permettre ses habitants de s exercer la municipalit de Soweto a financ et install une salle de musculation en plein air Ce qui permet ceux qui n ont pas le moyens de se payer l entr e d une salle de sport de bouger de se d penser et de retrouver un poids de forme sur des quipements de plein
13. et les diff rents types de prises en charge Les lieux pou vant offrir des Informations sur l autisme et sur le handicap mental e Les services sp cifiques existant en Belgique fran cophone pouvant r pondre aux diff rents besoins de prise en charge tout au long de la vie e Les manifestations les congr s et conf rences les publications les formations au sujet de l autisme L aide collective e L inventaire et la priorit des besoins et leur relais aupr s des autorit s politiques et des fournisseurs de services e La promotion de la cr ation de services adapt s tous les stades de la vie eLa promotion de la cr ation de r seaux d aide adress s aux familles personnes atteintes d au tisme professionnels associations afin de favoriser l entraide et l change d informations Le contact et le soutien individuel e Le contact t l phonique ou les consultations e L aide concr te aux personnes pour tablir les contacts avec les services comp tents et d velop per des solutions dans les situations d urgence et long terme O WWW inforautisme com par Pascale Janssens pascale janssens d mloz be wWww mloz be Plus de 2 000 0 00 d assur s nous font confiance Les Mutualit s Libres regroupent kA elui Securex PAR TEN MUT CFA 7 mutualit libre human capital matters a 5 MUT eie Krankenkasse
14. oivent une subvention f d rale de l INAMI et du SPF Sant publique en plus d aides r gionales Ces deux plateformes collaborent troitement pour toutes les mati res f d rales et si gent dans divers organes o elles font entendre la voix des patients Commission f d rale Droits du patient Agence f d rale des M dicaments et des Produits de sant Conseil sup rieur de Promotion de la Sant Strate gische Adviesraad voor het Welzipns Gezondheids en Ge zinsbeleid Leviers pour une meilleure participation Un rapport de la Fondation Roi Baudouin propose aux associa tions un aper u de pistes d inspiration et de leviers pour les aider concr tiser leur participa tion notamment en structurant mieux leur action Il souligne aussi l urgence de d velopper une vision d avenir et une approche coh rente Cela ne pourra se faire que par un dialogue avec tous les acteurs concern s pouvoirs pu blics mutualit s associations de patients repr sentants des pro fessionnels de la sant tablissements de soins parte naires sociaux Mieux structurer En d pit des d veloppements in tervenus dans le paysage des associations de patients et des diverses initiatives publiques la participation des associations de patients en Belgique reste une r alit peu transparente et mal structur e Le contraste est frap pant avec la situation dans la plupart des pays environnants qui peuvent eu
15. s aux enjeux souvent banals mais par cins exploitent ils si peu ou avec fois angoissants de la maladie et de la mort Le patient tant de mauvaise conscience ce que l on respecte nous dit l auteur est capable d assumer ce que ph nom ne Une enqu te passion l on va lui dire pour peu qu on ait un mode de communication adap nante dans le monde de la maladie t Le propos de Peter Tate est simple Aimez vos patients Aimez et des m dicaments et soyez fiers de votre m tier r Soigner Bi za corntitiunbcation Le myst re placebo par Patrick Soigner aussi sa communication par Peter Tate Lemoine aux Editions Odile Jacob aux Editions De Boeck Une source d informations sur l autisme 30 l asbl Infor Autisme est n e d un constat malgr le d vouement de quelques professionnels il manque aujourd hui encore en Belgique francophone des informations et des services adapt s aux besoins des personnes souffrant d autisme et de leur famille l association est constitu e de parents et autres b n voles et n a aucune appartenance politique reli gieuse ou philosophique Ses objectifs sont l information l aide et le soutien aux personnes at teintes d autisme ou de troubles apparent s et leur famille ainsi qu toutes les personnes concern es Voici une liste de leurs activit s L information e l autisme son diagnostic l tat actuel de la re cherche au niveau scientifique l ducation
16. s dans les d ci sions qui les concernent Tous les acteurs repr sentant les patients et d fendant leurs droits associa tions de patients organisations de consommateurs mutualit s en sont conscients Les profession nels de la sant et Les d cideurs politiques prennent galement de plus en plus conscience que la qualit des soins peut tre am lio r e en faisant du patient une partie prenante dans le processus de d cision De plus depuis quelques ann es des instances internationales telles que l Organisation Mondiale de la Sant et l Union europ enne soulignent l importance de cette participation et plaident pour que les soins de sant soient organis s non seulement pour le patient mais aussi par le patient Des interlocuteurs incontournables Il existe en Belgique environ 400 associations de patients Pour mieux faire entendre leur voix deux plateformes d associations de patients ont vu le jour ily a une dizaine d ann es d j la Ligue des Usagers des Services de Sant LUSS du c t francophone et son pendant n erlandophone la Vlaams Pati ntenplatform VPP La cr ation de ces plateformes a permis aux associations de pa Les associations de patients assurent une pr cieuse fonction d information d entraide et de pont entre les _ patients et le monde de la sant tients d tre plus facilement reconnues comme interlocuteurs par les pouvoirs publics Toutes deux per
17. su k sas si sisi Les Jeux Olympiques de Londres l tape ultime pour le sportif de haut niveau approchent et avec eux une alternance de pics d endorphine et d preuves motionnelles et physiques Pour pr venir les blessures redout es nos athl tes peuvent heureusement compter sur un encadrement m dical optimal Entretien avec Le Dr Marc Vangrinsven responsable du suivi m dical des champions belges Dr Marc Vangrinsven Depuis 2000 l encadrement m dical a connu une r elle m tamorphose Auparavant l accent tait mis sur le suivi pur et simple des tests en laboratoire mais aujourd hui len cadrement de l entourage m me de l athl te est devenu une prio rit IL y a plus de comp titions olympiques multidisciplinaires qu avant on en d nombre 24 pour tre tout fait pr cis Jeux d hiver et d t Jeux Olympiques de la Jeunesse Jeux mondiaux et stages de pr paration correspon dants Notre r le consiste princi palement encadrer ces stages et comp titions M V Tous les m decins sportifs ne peuvent videmment pas accompagner les athl tes lors des stages et comp titions Il est donc important de bien s entendre avec eux Dans la mesure o nous n en cadrons pas nous m mes les sportifs nous prenons le temps de faire connaissance avec le groupe d une centaine d athl tes avant qu ils ne commencent les stages ou comp titions Durant un entre tien d environ une demi he
18. H rti 1 Ford Le magazine de l Union Nationale des Mutualit s Libres trimestriel t Bruxelles X P911 186 I e e R gionalisation mod le de concertation abus p O 0 J o s Min des Sol en questions Ed resp Xavier Brenez Union Nationale des Mutualit s Libres Rue Saint Hubert 19 1150 Bruxelles Health Forum trimestriel mars avril mai 2012 Bureau de d Mutualit Libres Les Mutualit s Libres Faites connaissance avec les Mutualites Libres Avec plus de 2 000 000 d affili s les Mutualit s Libres constituent le troisi me organisme assureur du pays Les Mutualit s Libres regroupent 7 mutualit s een slimme zet 2 OMNIMUE mutualit libre de wallonie euromut ziekenfonds mutualit DA Freie Krankenkasse Securex je human capital matters PARTENA ww onafhankelijk ziekenfonds PARTENA MUT On vous simplifie la sant 0Z Boomsesteenweg 5 2610 Antwerpen www oz be Omnimut Mutualit Libre de Wallonie Rue Natalis 47 B 4020 Li ge www omnimut be Euromut Mutualit Libre Boulevard Louis Mettewie 74 76 1080 Bruxelles www euromut be Freie Krankenkasse Hauptstrasse 2 4760 B llingen www freie be Onafhankelijk Ziekenfonds Securex Verenigde Natieslaan 1 9000 Gent Avenue de Tervueren 43 1040 Bruxelles www securex ziekenfonds be Partena Ziekenfonds Coupure Links 103 9000 Gent www partena z
19. I organise la concertation entre les diff rents acteurs de l assurance soins de sant et indemnit s mutualit s repr sentants des professionnels de la sant m decins kin sith rapeutes pharmaciens des institutions de soins h pitaux maisons de repos et des syndicats des travailleurs et employeurs Tous ensemble ils n gocient La nomenclature les tarifs les accords et conventions et font une proposition de budget de soins de sant la ministre Des projets pilote sont sans cesse prolong s m me sans preuve de leur efficacit ou plus value Les exemples sont l gion la probl matique des outliers forte surconsom mation de prestations chez certains dentistes et autres prestataires le score sur valu de l chelle de Katz par les infirmiers domicile etc Regina De Paepe et Chris Van Hul Experts aux Mutualit s Libres D a L avis des Mutualit s Libres Dossier La sixi me r forme de l Etat pr voit le transfert aux R gions de comp tences li es aux soins de sant D autres pays avant la Belgique ont r gionalis leurs soins de sant par souci d efficacit avec des r sultats mitig s La cl Que pouvons nous apprendre de l tranger Et que faut il attendre de la r forme belge a r gionalisation concerne le Ernster d un paquet de comp tences homog nes en mati re de soins de sant aux R gions pour un montant total de 4 2 milliards d euros
20. Mutualit s Libres sur les co ts hospitaliers de l accouchement a mis en vidence que 19 des femmes ont accouch par c sarienne en 2010 Ce taux est relativement constant depuis trois ans mais reste sup rieur aux recommandations de l OMS Organisation Mondiale de la Sant estime en effet qu il y a un risque de sant global pour les femmes lorsque le taux de c sariennes d une population est sup rieur 10 15 Notons que le nombre de c sariennes pour 1000 naissances d en fants vivants constitue un indicateur de performance du syst me de sant belge puisque ce chiffre reste bien en dessous de la moyenne europ enne Malgr tout le taux croissant de c sariennes a un impact sur les d penses de l assurance maladie invalidit AMI l h pital ainsi que sur celles assumer par les patientes elles m mes ticket mod rateur et suppl ments Caract ristiques de l hospitalisation Les jeunes mamans affili es aux Mutualit s Libres accouchent dans 98 8 des cas lors d une hospi talisation classique dans 0 7 domicile et 0 5 en hospitalisation de jour La raison en est que l h pital et sa technologie ainsi que la disponibi lit des prestataires pour parer tout probl me lors de l accouchement restent un gage de s cu rit pour les parturientes Toutefois nous pouvons nous interroger sur la tr s grande diff rence avec le taux d accouchement domicile de nos voisins n erlandais 30 De mani re frapp
21. achets de poudres les br leurs de graisse ne sont que des suppl ments nutrition nels qui chappent toute tude s rieuse Les firmes qui commer cialisent ces produits se cachent bien derri re des tudes qui ne sont pas r alis es en double aveugle et ne se basent pas sur un chantillon assez large Nous aimerions d fendre l id e qu partir du moment o une firme propose un produit li l ob sit et promet des pertes de poids sup rieures de 5 10 du poids initial que ce produit soit automa tiquement soumis l AFMPS et fasse l objet d tudes pouss es en double aveugle de pr f rence aux niveaux europ en ou mondial Le pharmacien a t il un r le jouer dans ce domaine J P A Je voudrais que le pharmacien redevienne un vrai pharmacien Que son m tier aille au del de la vente de pilules Un conseil venant du pharmacien est toujours appr ci et cela fait L avis des Mutualit s Libres d ailleurs partie de sa mission renseigner et ne pas nuire Or ici dans le cadre de l ob sit le fait de vendre des solutions quinen sont pas nuit gravement la sant durable des patients Le pharma cien devrait aussi avoir pour r le de conseiller une visite chez le m decin aux personnes en ob sit morbide o en surpoids afin de leur permettre d acc der des solutions valid es Mais ce n est pas le cas et il faudrait que cela change Quelle est finalement la meilleu
22. aladies comme le burn out par exemple Une r solution d pos e La Chambre par Ecolo Groen encourage d ailleurs le gouvernement revoir ce syst me institution publique en charge de la pr vention maladies continuent encore faire l objet de nouvelles et de l indemnisation des reconnaissances de maladie pro fessionnelle Et les maladies actuelles telles que le burn out les e Fonds des maladies professionnelles est une paru mais tant donn leur temps de latence les dommages dus une maladie professionnelle Lorsqu on a cr le Fonds des Maladies Profession DEEM CEILE troubles musculo squelettiques nelles la Belgique tait encore tr s peu de maladies les tendinites sont elles prises dot e dune industrie pr cise sont reconnues dans en consid ration dans le syst me Joeri Luts Directeur du service l de reconnaissance des maladies d termination des risques et le cadre du syst me professionnelles pr vention du Fonds des Maladies ouvert et quasi Deux syst mes Professionnelles FMP A aucun cancer l poque les travailleurs encou raient des risques tr s clairs tels Actuellement il existe deux que l exposition au plomb la sili syst mes de reconnaissance d une cose pour les mineurs des arthroses du dos li es aux maladie professionnelle le syst me liste et le sys vibrations pour les conducteurs d engin m canique t me ouvert Dans le premier syst me sont list es
23. ante on constate que le taux de c sariennes augmente en moyenne de presque 5 par ann e d ge de la femme La litt rature mentionne que des taux lev s de c sarienne sont lier avec l augmentation de l ge moyen de la 1 re grossesse de l ge des femmes enceintes ainsi que du recours aux programmes de procr ation m dicale assist e PMA Notre analyse ne permet pas de confirmer ces r sultats Nous ne voulons pas juger les d cisions des pres tataires quant au choix du type d accouchement Cependant on observe dans les tudes am ri caines que la douleur ressentie lors d un premier accouchement par voie basse constitue une indica tion de c sarienne pour le second accouchement Nos donn es confirment ce que la cellule technique de l INAMI banque de donn es relatives l utili sation des moyens m dicaux dans les h pitaux renseigne la dur e de s jour pour une c sarienne est comprise entre 6 et 7 jours factur s ind pen damment du type de chambre ou du statut social b n ficiaire de l intervention major e ou non de la patiente tandis qu elle est de 4 6 jours en moyenne pour un accouchement par voie basse Comparaison en fonction de l ge des taux de c sariennes et d accouchement par voie basse C sariennes Accouchements par 100 voie basse 80 60 40 20 0 lt 20 2 a 24 25 29 30 34 39 39 40 44 lt 45
24. aux pharma ciens industrie pharma travaillent chacun pour leurs propres int r ts e La d fense syndicale des int r ts se n gociant par secteur en silos la conclusion d accords tarifaires et la garantie des acquis sont prioritaires plus encore en p riodes de disette budg taire Chaque secteur pensant tre le plus touch par la vague d cono mies il fait en effet primer ses int r ts propres sur l int r t collectif L avis des Mutualit s Libres Des accords transversaux impliquant tous les acteurs de la sant et visant Le long terme devraient primer sur cette concertation centr e sur les revenus et les raisonnements budg taires par secteur Dossier Peu de flexibilit Le mod le de La politisation du syst me de concertation concertation des soins joue galement des tours au secteur des de sant n est pas soins entre autres en raison du finance i ment des soins de sant tel quorganis en 4 suffisamment flexible Belgique et dynamique pour oser e Conflit d int r t certains organismes remettre en question assureurs mutualit s sont la fois assu NS ETES To Eole Es reurs de soins et prestataires de soins Ils PET globalit ne sont donc pas suffisamment en mesure de prendre des d cisions neutres e Politisation le financement des soins de sant repose trop sur les revenus de la s curit sociale issus des cotisations sociales des travailleurs e
25. celles install es dans une chambre deux lits ou commune Ces sup pl ments sont essentiellement dus aux suppl ments des frais de s jours et d honoraires m dicaux sur les prestations de chirurgie et d anesth sie Synth se Nous avons constat que le type d accouchement la dur e de s jour le type d h pital et la situation socio conomique de l accouch e sont des facteurs qui influencent les d penses rembours es Deux obser vations sont confirm es par notre tude sur les co ts hospitaliers pour l accouchement Le taux tr s lev de c sariennes qui n est pas sans danger pour la sant des jeunes mamans 3 fois plus de risques de complications post partum mais qui permet parfois de sauver la m re et ou son ses b b s Nous d fendons la promotion de recom mandations scientifiques en la mati re Selon des recommandations r centes de la Haute Autorit de sant France en cas de c sarienne programm e apr s 37 semaines d am norrh e environ 50 des cas certaines indications devraient faire l objet d une remise en question tandis que d autres indica tions pratiqu es en urgence ou programm es avant terme doivent tre maintenues sans contestation Nous ne disposons pas de donn es nous permet tant d estimer les indications de c sarienne et nous ne jugeons donc pas ce taux lev mais nous infor mons Le taux d accouchements hors h pital 0 7 est faible contrairement aux Pays Bas o le s
26. cun logiciel ne peut se connecter au syst me hub m ta hub Le connecteur conna t des probl mes techniques D autre part la gestion du processus n est pas au point il n a pas encore t d cid que la connexion avec les hubs m tahubs devienne un crit re obligatoire pour la labellisation des logiciels Donc non seulement il n est pas possible pour les g n ralistes de participer mais en plus la date laquelle ce Le sera n est pas encore d finie La confidentialit et la s curit des donn es restent elles au c ur des pr occupations des prestataires A V Cela reste une pr occupation majeure Nous ne sommes jamais l abri d un probl me de s curit des donn es Nous devons rester tr s vigilants L usage qui sera fait de ces donn es li es au num ro de registre national inqui te galement les presta taires de soins Ce manque de confiance est un frein norme au d ploiement des projets eHealth Ce qui ralentit aussi le projet eHealth aujourd hui est la port e du consentement clair du patient qui n est pas encore clairement d finie entre les diff rents acteurs eHealth En tant que prestataires nous ne voulons pas que le consentement permette d ouvrir la porte d autres applications que celle de la conti nuit des soins St phanie Brisson stephanie brisson d mloz be Espace prestataires Perc e dans le traitement de la fertilit Les ovaires contiennent des cellules souc
27. e Xenical ou d Orlistat Sandoz est actuellement autoris par l Agence F d rale des M dica ments et des Produits de Sant AFMPS pour combattre l ob sit On conna t les avantages et inconv nients de ce produit qui n est pas neuf Mais je consid re personnellement qu il faut tre aid et suivi par un m decin avant de prendre de l orlistat Ce m di cament est recommand partir d un IMC de 28 Ce qui repr sente 18 de la population belge prati quement 2 millions de personnes I Mais on s est quand m me rendu compte que les gens se tournaient vers l orlistat en vente libre All parce qu ils attendent une solution miracle Cela pose la question de l information du consommateur Ob sit et med a a la P Paroten pati fits On entend couramment parler d de l ob sit passe par une approche multidisciplinaire dans laquelle le m dicament peut parfois jouer un r le Mais pas n importe quel prix ni n importe comment Sans tre des sp cialistes de la question les patients ont aussi Leur opinion sur ce th me Rencontre avec Jean Paul Allonsius pr sident de l Association belge des patients ob ses Bold Le suivi m dical est donc la pierre angulaire du traitement de l ob sit J P A Effectivement le seul moyen de traiter l ob sit est d avoir un m decin o un sp cia liste de sant aux commandes Quand un m dicament est auto ris par l AFMPS il a subi toutes les ana
28. e actuelle n a qu une dur e restreinte Elle est en effet financ e par des conomies Des mesures doivent de toute fa on tre prises en vue d encourager le conventionnement Ou est il temps de consid rer que la date de p remption du syst me est d pass e Espace prestataires DE Dans le Health Forum de mars 2012 nous avions interrog Frank Robben administrateur d l gu de la plateforme eHealth Selon lui il est temps que les autorit s incitent Les prestataires de soins utiliser Les outils eHealth Mais pour le Dr Andr Vandenberghe directeur du R seau Sant Wallon le syst me n est pas pr t tre utilis et nombre d tapes restent franchir avant m me de mobiliser le monde m dical Selon vous est on pr t d marrer avec les outils eHealth Dr Andr Vandenberghe En ce qui concerne le pro jet hubs et m ta hubs il reste encore des tapes cl turer Actuellement le serveur central m ta hub nest pas encore accessible aux hubs comme celui du R seau Sant Wallon Sans compter le probl me de connexion des logiciels m dicaux Il reste en outre des d marches administratives finaliser comme la d finition de la port e du consentement du patient et la proc dure d inscription au m ta hub Enfin il faut aussi faire la promotion d eHealth aupr s de la population notamment en mati re de consente ment ce niveau l rien n a encore t entam Sans consentement pas d
29. emboursement de la mutualit est syst matiquement sup rieur pour les patientes BIM par rapport aux non BIM ce qui n est pas tonnant Pour les tickets mod rateurs et les suppl ments aussi les patientes non BIM payent en moyenne un montant sup rieur aux patientes BIM et ce d autant plus s il s agit d une c sarienne par rapport un accouchement par voie basse 6000 Co ts moyens d une intervention selon le statut social de la 3000 ALRT 473 53 58 26 4000 177 25 265 15 3000 41 87 2000 4258 13 3911 75 3002 61 1000 BIM Non BIM BIM Hospitalisation c sarienne Hospitalisation voie basse 1036 17 145 71 2847 03 Non BIM patiente le type d hospitalisation et le type d accouchement en Assurance obligatoire Ticket mod rateur Suppl ments 20 88 239 65 8 69 0 22 i 830 25 589 70 BIM Non BIM BIM Non BIM One Day A domicile voie basse h 26 Libres s des Mutualit L avis 1 Co ts selon le type de chambre Nous n avons pas constat de diff rences statistique ment significatives entre les moyennes des d penses de L AO entre les BIM et les non BIM selon le type de chambre Par contre pour les tickets mod rateurs et les suppl ments les patients non BIM paient sta tistiquement beaucoup plus que les patients BIM et les patientes install es dans une chambre particu li re paient plus de suppl ments que
30. ens de plus de Priorites Cette ann e europ enne poursuit 3 grands objectifs e Le vieillissement actif sur Le lieu de travail Riches de leur exp rience les travailleurs plus g s ont beaucoup de valeur au sein d une entreprise Cela suppose un environnement de travail adapt et un arr t progressif de leur carri re Il est en outre essentiel de pr parer les syst mes de pension de mani re optimale la vague de pensions venir Le vieillissement actif au sein de la soci t L iso lement et l exclusion sociale sont un risque r el pour les personnes g es Il faut d s lors accor der davantage d attention au tissu social de notre soci t Travail b n vole accessibilit des services et environnement y jouent un r le important Le vieillissement actif vieillir en bonne sant et de mani re autonome Nous vivons plus longtemps il est d s lors essentiel d observer un mode de vie sain La promotion de la sant relative des th mes comme le bien tre mental et les affec tions chroniques constituent la cl du succ s Il est galement important de revoir le logement et le mod le de soins Les personnes g es peuvent ainsi vivre et habiter plus longtemps de mani re autonome European Innovation Partnership La Commission europ enne a entre temps lanc un projet particulier qui entre dans le cadre de la strat gie Europe 2020 le European Innovation Partnership for Active and Healthy Ageing
31. enter le logiciel ADAMS De quoi s agit il M V Adams est un logiciel infor matique qui doit permettre aux wWwWw olympic be athl tes d introduire leurs infor mations de localisation en mati re d entrainement Dans le cadre de la lutte contre le dopage des contr les inopin s sont r alis s et les athl tes doivent compl ter les informations sur leur pr sence tel ou tel endroit Ces informations sont ensuite transmises au Comit Internatio nal Olympique CIO Le probl me est que les athl tes n erlando phones sont oblig s de compl ter leurs localisations alors que ce nest pas encore le cas des francophones Toutefois tous les athl tes belges s lectionn s pour les Jeux Olympiques de Londres sont oblig s de remplir ces formalit s La d l gation belge Londres sera plus importante qu aux derniers JO Combien de m decins et de param dicaux assureront l encadrement m dical et quelle infrastructure sera disponible au village olympique M V En comparaison avec P kin la Belgique comptera en effet davantage d athl tes La pr sence unique d une quipe de hockey masculine et d une quipe f mi nine n y est bien videmment pas pour rien Une quipe de 3 4 doc Les Mutualit s Libres sont partenaires du COIB The road to London applaudissez votre athl te pr f re teurs sera pr sente en fonction du nombre d accr ditations octroy es Environ une dizaine de ki
32. errain Soutenue par la Fondation Roi Baudouin la LUSS a mis sur pied les Journ es des associations de patients au sein des ta blissements de soins pour faire conna tre ses membres aupr s des professionnels de sant afin de cr er voire d am liorer la collaboration entre le corps m dical et les associations de patients Les tablissements de soins tant le lieu id al La LUSS a d cid de contacter les h pitaux afin de leur proposer d tre par tenaires des Journ es des associations de patients Les h pitaux sont de plus en plus r ceptifs aux invitations de la LUSS ce qui refl te une volution des mentalit s et une meilleure connaissance du secteur asso ciatif Le but final tant de favoriser la participation long terme des associations de patients au sein des tablissements de soins en encourageant la mise en place de collaborations durables entre une asso ciation l institution et les professionnels Pour plus d info et le calendrier des journ es contactez la LUSS au 081 74 44 28 ou via lussfaluss be www luss be h se La reconnaissance des maladies professionnelles un syst me d suet La question a r cemment fait couler beaucoup d encre D apr s les conclusions du rapport de l Institut syndical europ en le syst me de reconnaissance des maladies professionnelles refl te de moins en moins bien l volution r elle des conditions de travail en ne reconnaissant pas des m
33. es au sein de chaque mutualit Donc tout est possible condition de donner plus de moyens l AIM en temps en personnes et expertise interne 200000000600 00000000000e0 e UAIM est elle en mesure de d tecter des abus du syst me de soins Jusqu pr sent l AIM n a jamais jou le r le du gen darme M me si nous sommes capables d identifier les outliers savoir les prestataires qui consom ment trop Dans le cadre du contexte d conomies deux demandes concr tes d analyses font partie du programme de l AIM Ces demandes proviennent des prestataires eux m mes les dentistes et Les Kin s Les commissions de conventions de ces prestataires souhaitent d tecter les abus dans leur profession afin de rechercher les conomies chez ces personnes sans p naliser tout le monde L AIM travaille donc en troit partenariat avec l INAMI Pour 2012 l AIM est en mesure de mener des tudes pour valuer les politiques mises en place Elle peut aussi faire des recommandations dans le cadre d une politique de ma trise des co ts et simuler les impacts afin de veiller ce que ces conomies n aient pas d effet d l t re sur le patient Le D bat Depuis cette ann e les prestataires de soins qui acceptent E l accord m dico mutualiste re oivent un forfait plus lev pour leur accr ditation Regina De Paepe et Marc Moens tentent de tirer cette mesure controvers e au clair LP ms OR r m i i i F Fe
34. h Forum Vous voulez recevoir le magazine r guli rement Ecrivez nous Union Nationale des Mutualit s Libres Health Forum Rue Saint Hubert 19 1150 Bruxelles T 02 778 92 11 F 02 773 94 02 Ou envoyez nous un mail health forumfamloz be Sommaire N 10 Juin 2012 Dossier L avenir des soins de sant en questions Edito PPT TEE TESTER EEE EEE LEE s l Notre pays peut tre fier de proposer 4 1 Le saviez vous des soins de sant de qualit Mais le contexte budg taire triqu et les nombreux d fis de soci t mettent le syst me belge sous R gionalisation mod le de pression Economies et mesures structurelles concertation abus sont indispensables mais comment joindre L avenir des soins de sant en le geste la parole Le mod le belge de questions concertation en soins de sant est il capable d imposer de telles mesures Dossier Espace prestataires Le d bat eHealth ne pas se pr cipiter Bien vieillir place l action Europe Ob sit et m dicaments La parole aux patients Bien vieillir place l action Partenaires de soins Avec les patients c est mieux La probl matique du vieillissement de notre soci t n est pas neuve Les soins de sant La reconnaissance des vont devoir faire face de nombreux d fis maladies professionnelles exigeant des solutions concr tes D sign e un syst me d suet Ann e europ enne du vieilli
35. hes qui peuvent permettre aux femmes de continuer produire des ovules tout au long de leur vie affirme le chercheur am ricain Jonathan Tilly Jusqu pr sent il tait scientifiquement admis que les femmes recevaient un nombre fixe d ovules la naissance qui tait puis aux alentours de 50 ans Le scientifique est parvenu implanter des cellules souches humaines d ovaires chez des souris adultes st riles Apr s quelques semaines les cellules souches se sont transform es en ovules Les souris ont pu ainsi donner naissance des jeunes en pleine forme Selon certains chercheurs il est encore trop t t pour crier victoire et il nest pas dit que le nouvel ovule pourra atteindre le stade d embryon www maguza be Le prix de la survie des 6 3 0 syst mes de sant europ ens R duire les r hospitalisations assurer l acc s C est le temps moyen qu une femme met imm diat des dossiers m dicaux lectroniques fonder la r mun ration des prestataires sur les r sultats et la satisfaction des patients et res ponsabiliser les professionnels en mati re de consommation des ressources Ce sont quelques Health www nichd nih gov unes des recommandations des participants La conf rence Healthcare in Europe 2012 pour p renniser les syst mes de sant europ ens Issus nono ns nono nsc sos sons ocsscsesoesse des milieux politiques acad miques institution nels ou des entreprises les participants ont aussi d
36. icaments et des Produits de Sant principalement pour des benzodiaz pines et apparent s des analg siques morphiniques et des associations parac tamol cod ine www Infirmieres be Par St phanie Brisson CEE Espace p C LCLEUEE Dre Lee ja hu La probl matique du vieillissement de notre soci t n est pas neuve Les soins de sant vont devoir faire face de nombreux d fis exigeant des solutions concr tes D sign e Ann e europ enne du vieillissement actif et de la solidarit entre les g n rations 2012 constitue le moment id al pour sensibiliser Le grand public et encourager les Etats membres et les parties concern es mutualit s comprises agir 69 ans va doubler lors des cinquante prochaines ann es passant de 87 millions en 2010 148 mil lions en 2060 Pour chaque personne de 65 ans o plus on compte actuellement 4 personnes actives D ici 2060 ce rapport va passer 1 pour 2 L impact du vieillissement se fera d autant plus sentir au cours de la p riode 2015 2035 moment o les baby boo mers prendront massivement leur pension Consid rant que cette volution aura d importantes cons quences sur notre syst me de sant et sur les finances publiques des mesures sont indispensables En Belgique par exemple une augmentation de 5 du PNB des d penses li es l ge pensions soins de sant soins long terme est attendue d ici 2060 e nombre de citoyens europ
37. iekenfonds be Partenamut Boulevard Anspach 1 1000 Bruxelles wWww partenamut be Mutualit s Libres OFFICIAL PARTNER BELGIAN OLYMPIC TEAM 10 cl s pour l avenir des soins de sant Ce num ro de Health Forum est particulier puisqu il est largement consacr la vision des Mutualit s Libres sur notre syst me de soins de sant En tant qu acteur ind pendant et apolitique nous avons d li b r ment choisi de publier ce document en dehors de toute ch ance politique en esp rant que le temps qui nous s pare des lections de 2014 pourra tre mis profit pour une r flexion de fond partag e par les diff rents acteurs de la sant IL est n cessaire de d finir un cadre global pour s assurer une bonne utilisation des Partant des d fis auxquels notre syst me est confront pour garantir sa durabilit et r pondre aux besoins croissants en termes de soins de sant notre secteur exige plus que de actions ponctuelles d am lioration Les qualit s certes largement reconnues de notre syst me de sant ne doivent pas occulter certaines de ses faiblesses et la n cessit de d finir une vision glo bale assortie d objectifs concrets et mesurables La fragmentation croissante des comp tences et des 10 cl s pour l avenir des soins de sant Vision des Mutualit s Libres sur l volution des soins de sant en Belgique 2012 R dactrice en chef Karima Amrous karima amr
38. ipation des patients Fondation Roi Baudouin est disponible gratuitement sur www kbs frb be Un Guide des bonnes pratiques pour les soignants Les associations Similes Wallonie et Similes Vlaanderen ont labor ensemble un guide bilingue l intention des professionnels de la sant mentale Les deux associa tions sont convaincues de la n cessit de consid rer la famille comme partenaire de soins ceci afin d am liorer la prise en charge globale du patient souffrant de mala dlememeale e lenen tre de amet En ea a famille comme source essentielle d informations est incontournable pour la bonne qualit des soins Lorsqu ils sont consult s le bien tre des proches s am liore et donc celui du patient galement Pour r diger ce guide les associations ont tenu compte la fois de l exp rience et de l avis e des familles sur la mani re dont se passe la collabo ration avec les soignants e des patients sur la participation de leurs proches leur prise en charge e des soignants par rapport leurs exp riences de ter rain avec les familles Les soignants se posent de nombreuses questions sur ce qu implique l accompagnement de familles comment et jusqu o collaborer avec les proches Quels sont les obstacles et les difficult s surmonter A quels outils peut on faire appel Ce guide constitue un outil pr cieux pour les soignants www similes org Les patients font leur promotion sur le t
39. ler en pr vention sont beaucoup plus pr sents dans les entreprises qu auparavant En outre les g n rations d aujourd hui sont plus conscientes des risques et plus attentives leur int grit physique ce qui est globalement positif pour la sant et qui repr sente aussi une forme de pr vention Nathalie Renna nathalie rennaldmloz be Le rapport de l Institut syndical europ en est disponible sur le site www etui org Programme de pr vention des maux de dos La pr vention fait galement partie des missions du Fonds des maladies professionnelles Dans ce cadre il organise un programme de pr ven tion des douleurs lombaires Ce programme s adresse toute personne salari e qui effectue un travail contraignant pour le dos et est en ar r t de travail depuis plus de 4 semaines et moins de 3 mois 97 des personnes qui participent au programme reprennent le travail dans les 3 mois t moigne Anne Kirsch administratrice g n rale adjointe au FMP L objectif est gale ment de permettre davantage de collaboration entre la m decine du travail le m decin traitant le m decin conseil et les sp cialistes afin d offrir le meilleur traitement possible au patient wwWw fmp fbz fgov be prev preventiondos 24 A l tude C sarienne Depuis de nombreuses ann es le taux d accouchement par c sarienne en augmentation fait l objet d analyses et de critiques Une nouvelle tude men e par les
40. lyses n cessaires Le m decin prescripteur de son c t peut v rifier si vous avez ou non des probl mes cardiaques pr existants ets il faut faire attention d autres facteurs comme les interactions m dicamenteuses Sans l aspect m dical on va droit dans le mur Il faut aussi se faire suivre par un di t ticien car il est imp ratif de respecter un r gime hypo calorique en cas de prise d orlistat Qu en est il des autres traitements que l on peut trouver chez le pharmacien J P En dehors de l orlis tat tout ce que l on peut trouver en pharmacie ne constitue rien d autre que des compl ments Icamen nts pid mie d ob sit Le traitement nutritionnels qui nont absolu ment pas leur place dans le suivi de l ob sit Au contraire ce sont des produits ob sog nes ils cr ent de l ob sit plut t que de la faire diminuer En prenant ce genre de produit on se lance dans des r gimes r p tition qui entra nent un effet yoyo Ce qui un moment donn n autorise plus le corps perdre du poids Et donc on renforce le probl me de l ob sit avec ces fausses solu tions qui ne font pas perdre de la graisse mais de l eau Il est tota lement irresponsable aujourd hui de continuer mettre sur le mar ch des produits qui renforcent l ob sit alors que chaque ann e les chiffres s aggravent Que reprochez vous ces produits J P Les s
41. n d objectifs et de priorit s constitue en effet le plus grand reproche faire notre syst me Un institut intergouvernemental et interinstitutionnel au sein duquel tous les acteurs de la politique de sant peuvent tre repr sent s doit permettre la coh rence et l efficacit des soins de sant Cet institut pourra ainsi permettre de mettre en place un plan politique de sant Ce plan doit proposer des solutions structurelles pour les grands d fis que sont le vieil lissement ou l explosion des affections chroniques Les orga nismes assureurs devront se profiler comme des experts en mati re de soins de sant et comme repr sentants des pa tients De mani re g n rale l impl men tation de cette r forme de l Etat constitue l opportunit de moder niser le mod le de concertation f d ral pour chapper aux rai sonnements budg taires en silos et pour encore plus responsabili ser l ensemble des acteurs Avec l objectif d obtenir des soins de sant plus efficaces tout en res pectant le maintien de la solidarit entre affili s et entre les r gions et autorit s f d rales Fragmentation Un aspect moins positif de la r forme belge est l interpr tation que le gouvernement fait de com p tences homog nes La r gionalisation de la politique des personnes g es f l exception des soins infirmiers domicile est tout sauf une approche homog ne Ilen va de m me pour le tran
42. n sith rapeutes compl tent l quipe d encadrement belge Le niveau de l infrastructure m di cale sera tout comme Atlanta Sydney ou P kin excellent Le vil lage olympique londonien com porte une polyclinique quasi com pl te quip e de scanners de services ophtalmologiques d une pratique dentaire etc Les athl tes pourront faire appel cette infras tructure m dicale la plus sophisti qu e 24 h 24 Enfin avez vous un conseil pour profiter de ces Jeux Olympiques M V Londres est ma 8e participa tion et je peux vous l assurer c est toujours un merveilleux v ne ment m me si je le vis essentiel lement depuis les coulisses Savourez pleinement ce combat de titans Pas seulement la t l vi sion mais galement via les moyens de communication modernes actuels comme les appareils mobiles et le streaming via ordinateur Interview par Piet Van Eenooghe piet vaneenoogheldmloz be Mutualit Libres OFFICIAL PARTNER BELGIAN OLYMPICTEAM Une sympathique action destin e donner un coup de pouce nos champions belges est actuellement visible sur Le site du Comit Olympique et Interf d eral Belge Comment les supporter Surfez sur http www roadtolondon be fr applaus installez vous derri re votre ordinateur quip d une webcam suivez une s ance d entra nement avec l inspirant ma tre des applaudissements et applaudissez votre athl te pr f r ou votre quipe favo
43. n mati re de sant et de bien tre y est d crit comme suit Il s agit de permettre aux per sonnes g es de b n ficier d une bonne qualit de vie dans leur environnement familier le plus long temps possible Cela concerne le maintien de l autonomie par une politique pr ventive alimenta tion exercices physiques mais aussi une offre de soins et de services r pondant aux besoins physiques psychiques et sociaux des seniors e La Belgique a identifi 5 th mes pour cette ann e europ enne travail participation des personnes g es la soci t sant autonomie et solidarit entre les g n rations e En mati re de sant l accent sera mis sur l organisation du syst me de sant et la pr ven tion pour viter le recours certains soins Les personnes g es ne sont souvent consid r es que comme une source de d penses alors qu elles peuvent apporter une contribution pr cieuse notre soci t Via le travail b n vole ou l activit d aidant proche elles peuvent jouer un r le essen tiel dans notre syst me de sant e Rompre l isolement de nombreuses personnes g es est galement un d fi important Selon une tude r cente de la Fondation Roi Baudouin 10 des 65 ans et plus se sentent souvent seuls 8 nont en outre parfois pas de contact social durant une semaine compl te Le suicide chez les personnes g es est galement un probl me sous estim n Christian Horemans et Luc
44. nt d une tude internationale que la d centralisa tion est souvent davantage une d cision politique qu une d cision bas e sur les preuves d efficacit l instar de l evidence based en m decine En un mot il ne s agit pas d une formule magique qui va tout coup r soudre tous les pro bl mes politiques et structurels Quelles le ons pouvons nous tirer des exp riences d autres pays e n y a pas de concept ou mod le parfait applicable chaque pays e La d centralisation demande du travail elle n est pas une don n e statique elle est difficile ex cuter et requiert une adapta tion continue pour tre durable La l gitimation des autorit s r gionales d pend pour la popu lation locale de leur capacit proposer les services n ces saires Si les autorit s locales ne peuvent pas r aliser les attentes apr s la d centralisation leur l gitimit est branl e La d centralisation a un impact sur l galit des droits de la po pulation issue des r gions d un pays Des plus et des moins L annonce de la cr ation d un institut f d ral pour garantir des r ponses concert es aux grands d fis en mati re de soins de sant est un point positif de la r forme attendue en Belgique La fragmen tation actuelle des comp tences entre l Etat f d ral et les entit s f d r es emp che la mise en place d une politique de sant globale et coh rente Le manque de visio
45. ociaux personne n aurait per u ne fut ce qu une fraction des 217 4 mil lions d euros de la masse d index mais les 130 millions d euros d conomies que le gouvernement avait d cid de faire en 2012 serait r alis es La proposition n enle vait rien personne et gr ce un accord l impact budg taire s lectif pouvait tre vit sur 5 disciplines Apr s d interminables concertations internes l ABSYM a donc approuv la proposition Les mutualit s pensaient que cette indemnit suppl mentaire encouragerait le conventionnement Le r sultat est toutefois insignifiant par rapport l accord pr c dent 83 13 seul 0 1 de m decins suppl men taires ont adh r 83 23 Si nous comparons avec la moyenne 83 39 des 12 conventions depuis que l ac cr ditation existe fin 1993 0 16 de m decins en moins ont marqu leur accord avec la convention L id e des mutualit s est donc une mesure inutile et discrimina toire qui confond en outre quantit et qualit la premi re occasion nous essayerons donc de l annuler Avertissement Les opinions exprim es dans cette rubrique n engagent que leur signataire Il faut stimuler le conventionnement Les m decins et organismes assureurs avaient d j ex prim dans l accord national 2011 leur pr occupation quant au faible taux de conventionnement de certaines sp cialit s et dans certains arrondissements Nous sou haitions d s lors rendre le c
46. onventionnement plus attractif pour les m decins Le moyen traditionnel et pr vu cet effet dans notre r glementation estle statut social Pour rendre le conventionnement financi rement plus attractif que les suppl ments demand s aux pa tients nous pourrions donc consid rablement augmenter le statut social Ce n est toutefois pas faisable du point de vue budg taire et cela cr erait en outre un ennuyeux pr c dent D autres prestataires ne souhaiteraient en effet pas tre discrimin s Les organismes assureurs souhaitent galement pro mouvoir la qualit des soins L accr ditation est un moyen de le faire Il nous semblait d s lors int ressant de faire d une pierre deux coups et d encourager aussi bien le conventionnement que l accr ditation L accord m dico mut le reprend galement Le terrain d action tait en outre restreint Le stimulant devait tre recherch au sein de la rang e de comp tences de la m dico mut et le choix de mesures n tait donc pas tr s large Les organismes assureurs ont ainsi galement permis que le surplus d conomies soit redirig vers les m de cins qui s taient bien videmment accr dit s et qui se montraient dispos s se conventionner compl tement tait ce juste Car on n a rien sans rien IL n y avait en outre aucune autre proposition alternative du banc m dical reprenant de meilleurs incitants en vue de favoriser davantage le conventionnement La mesur
47. ous damloz be T 02 778 94 33 Coordination St phanie Brisson stephanie brisson dmloz be T 02 778 95 11 Comit de r daction Val rie Vander Veken Steven Vervaet Anne Viroux Lay out Leen Verstraete layout dmloz be Photos Reporters Traduction Annemie Mathues Emilie Van Isterdael Barbara Van Ransbeeck Editeur responsable Xavier Brenez xavier brenez dmloz be ns Karima Amrous St phanie Brisson Ann Ceuppens Annemie Co me Regina De Paepe Luc Detavernier Christian Horemans Claire Huygebaert Pascale Janssens Chantal Neirynck Evelyne Macken Nathalie Renna Piet Van Eenooghe Jan Van Emelen Christiaan Van Hul Emilie Vanderstichelen Rudy Van Tielen Ingrid Umbach processus de d cision renforce la n cessit de d fi nir ce cadre global pour s assurer que les moyens publics soient correctement utilis s et que les be soins de la population soient rencontr s Ce document de vision est consid rer comme une premi re esquisse que nous esp rons enrichir avec les id es et les exp riences d autres acteurs du secteur C est un appel ceux qui anim s par l int r t g n ral et sans parti pris veulent inscrire notre syst me de sant dans une perspective moyens d avenir durable publics et la satisfaction des besoins de la population Bonne lecture Xavier Brenez Directeur G n ral de l Union Nationale des Mutualit s Libres Vous tes s duit par Healt
48. ovants comme les soins transmuraux impos s la t l m decine ou encore le t l coaching ont du mal d marrer Au d but ils entra nent effectivement toujours une perte de revenus pour l une des parties concern es Par exemple un syst me de t l suivi performant des malades chroniques pourrait raccourcir les admis sions l h pital et r duire les r admissions mais serait dans la logique de remboursement actuelle probablement financi rement d savantageux pour l h pital Les organes de concertation d fendront plus facilement les demandes de remboursement de prestations techniques examens etc que le financement de prestations intellectuelles exigeant un travail plus intensif Les prestations les techniques ou certains rem boursements s av rant superflus et obsol tes restent trop longtemps d application Notre sys t me de concertation est plus efficace pour ajouter des prestations que pour en supprimer Limiter le remboursement de certaines techniques aux indications pour lesquelles une plus value a t prouv e est galement difficile instaurer dans notre pays via le syst me de concertation ha n a a Tous les acteurs de la sant doivent tre responsabilis s et poursuivre des objectifs de soins de sant concrets dans l int r t du patient j Concertation la belge mode d emploi EP Poursuivre des objectifs de soins de sant visant l int r t du patient LINAM
49. poser des mesures structurelles Un budget ax sur les conomies Le budget 2012 fix par le gouvernement est marqu du sceau de la rigueur Rien que pon le secteur des soins de sant des conomies pour un montant de 2 3 mil liards d euros sont pr vues Ces conomies ont t planifi es comme sult evia des techniques budg taires objectif budg taire moins lev r sultant de la sous utilisation des moyens et du gel des montants r serv s evia des conomies struc turelles pour un montant total de 424 8 millions d eu ros r aliser au sein de 6 secteurs de la sant honoraires m dicaux implants bandagistes orthop distes sp cialit s pharmaceutiques oxy g noth rapie et h pitaux Le contexte conomique actuel et les d fis de soci t ne facilitent pas les choses remettant en question la durabilit de notre syst me Pas de vision long terme Pouvoir r aliser ces conomies et mettre ces mesures structurelles en pratique ne sera pas simple notamment parce que le syst me de concer tation la belge lire encadr est confront ses propres limites e L organisation des soins en Belgique n est pas ax e autour d une vision globale de l avenir des soins de sant et un plan de soins de sant pluriannuel avec des objectifs court et moyen terme fait cruellement d faut e En l absence de ce cadre visuel global les acteurs de la concertation m decins h pit
50. re approche pour traiter l ob sit J P A Une approche multidisci plinaire Changer son style de vie semble facile dans les mots mais ce n est pas vident de passer au La chirurgie Bariatrique diminue les comorbidit s Health Forum septembre 2011 concret La base du traitement de l ob sit est fond e sur l axe psy chologie visant aider le patient comprendre comment et pour quoi Il a pris du poids et adopter de meilleurs comportements IL est galement n cessaire de red couvrir une certaine mesure quant aux aliments que l on mange tant au niveau des fr quences de prises alimentaires que des por tions c est l axe di t tique Et de progressivement r apprendre bouger c est l axe mouvement Voil le v ritable traitement de l ob sit y compris quand on b n ficie d une aide m dicamen teuse ou chirurgicale qui doivent rester des compl ments Interview par St phanie Brisson stephanie brisson mloz be 20 Espace prestataires le Avec Les patients p c est mieux De nos jours le patient ne veut plus tre r duit un malade qui subit un traitement IL souhaite avoir son mot dire sur ce qui le concerne Et lorsque le patient est impliqu dans son traitement il a tendance Le suivre de mani re plus rigoureuse avec La cl une plus grande efficacit th rapeutique es soins de sant sont meil B leurs lorsque les patients sont impliqu
51. rite Chaque mois il est possible de remporter un ticket duo pour les Jeux Olympiques de Londres Partagez votre enthousiasme sur Facebook et Twitter De nombreux Belges c l bres ont d ailleurs d j applaudi Retroussez vous les manches Kiosque O O OOOO Livres Une communication adapt e chaque patient Le myst re du placebo ce livre prend soin de ses jeunes et moins jeunes confr res Il explore avec eux le labyrinthe des consultations en les initiant pas pas aux subtilit s de la relation m decin patient P illusion en m decine C P est avec humour et tendresse que le Dr Tate auteur de De la consultation inaugurale aux ultimes rencontres porte le joli nom de il d cortique les comportements les appr hensions placebo Elle soigne les r ussites et les checs du praticien d butant ou gu rit m me parfois Elle exp riment autant de situations qu il a v cues au fait dispara tre l ecz ma cours de sa longue carri re Il explique les peurs les o dormir le nourrisson id es et les attentes du malade insomniaque Elle apaise Il croque des portraits dr les et incisifs mais jamais l anxi t ou soulage la m chants de l inquiet qui veut tout contr ler de sa douleur Comment sans action vie du fataliste qui s en remet aux m decins mais n en chimique un tel pouvoir est il pos fait qu sa t te de l motif maladroit ou de l agressif sible Et pourquoi donc les m de tous confront
52. s tance par robot sont r serv es des centres agr s En 2010 18 centres taient agr s pour cette technique Le co t pour la mutualit d un s jour hospitalier pour une prostatectomie totale par robot revient 6 983 soit 20 de plus qu une prostatectomie totale traditionnelle qui revient 5 801 en moyenne Le co t de la chirurgie de la prostate en Belgique en 2010 La chirurgie de l ob sit ne peut pas tre une solution miracle La chirurgie bariatrique comme l ensemble des chirurgies n est jamais anodine Certains crit res ont t mis en place pour viter les recours cette chirurgie sans r elle n ces sit mais aussi pour permettre d identifier clairement parmi les prestations de chirurgie abdomi nale celles qui sont de type bariatrique L efficacit de la chirurgie bariatrique n est pas contest e Les effets sur la perte de poids et l att nuation des co morbidit s long terme 10 ans du patient ont t mis en vi dence dans plusieurs tudes Mais les co ts sont fort variables selon la tech nique utilis e Les co ts hospitaliers de la chirurgie ba riatrique en Belgique en 2010 Ces deux tudes sont consultables sur le site www mloz be 28 Focus Jeux Olympiques b ArT 4 De Le medecin sportif une boussole pour atteindre Londres Esp us Ssssaus PAR er EBBss S kaasece
53. se en plaques autonomes ou relati vement autonomes avec peu ou pas de sympt mes visibles Les conjoints aidants proches et enfants des participants sont les bienvenus afin de profiter en famille de ce moment de ressour cement Au programme des adultes e Relaxation et pens e positive astuces appliquer au quotidien e Bouger en musique via un atelier bas sur l expres sion corporelle et la pleine conscience e Echange d exp riences avec l accompagnement d un psychologue sans les conjoints e Promenades en groupe dans la r gion Des animateurs s occuperont des enfants afin qu ils puissent aussi profiter d activit s collectives Infos pratiques Dates du vendredi 10 ao t au dimanche 12 ao t 2012 Lieu Au Flor al La Roche en Ardenne Avenue de Villez 6 6980 La Roche Info et inscriptions via t l phone au 02 778 93 43 ou par mail promotionsanteldamloz be avant le 9 juillet 2012 Attention le nombre de participants est limit 20 familles non comprises Nouvelles tudes O 34 Jo des prostatectomies totales sont r alis es avec l assistance du robot On estime que 10 000 interventions sur la pros tate sont r alis es chaque ann e Ce nombre est en constante progression du fait du vieil lissement de la population et de l am lioration du d pistage 34 des prosta g m tectomies totales sont r alis es avec l assistance du robot Les prostatectomies avec assi
54. sfert des institutions psychiatriques et des initiatives d habitations prot g es comme section des soins de sant mentale sans transf rer les soins hospitaliers psychiatriques La r ducation psychosociale devient donc r gionale tandis que le reste est maintenu au f d ral La poli tique hospitali re reste donc fragment e et la complexit admi nistrative continue triompher Aussi paradoxal que cela puisse para tre cette r partition impr cise des domaines de comp tences a toutefois de bons c t s Les au torit s devront en effet continuer se concerter pour garantir la coh rence ce qui m nera peut tre un nouveau mod le de concertation Il s av rera encore plus n cessaire d enregistrer et de suivre les soins ce qui pourrait tre un important atout pour am liorer l enregistrement l ex ploitation et l utilisation des donn es enregistr es Les r les des organismes assureurs et de l Agence Intermutualiste AIM qu ils ont cr e peuvent ainsi tre renforc s L am lioration du principe de la qualit des soins par l valuation permanente des prestations de l acc s aux soins de sant par la simplification du statut OMNIO et la reconnaissance d un statut de malade chronique tous ces l ments peuvent rendre le syst me efficace Regina De Paepe et Christian Horemans Experts aux Mutualit s Libres Libres s des Mutualit L avis Dr Ann Ceuppens
55. ssement actif et de la solidarit entre les g n rations Etude 2012 constitue le moment id al pour Accouchement par c sarienne sensibiliser le grand public et encourager les toujours justifi au regard des Etats membres et Les parties concern es co ts mutualit s comprises agir L Actu des Mutualit s Libres Partenaire Focus Jeux Olympiques le m decin sportif une boussole SL E Ob sit et m dicaments Kiosque la parole aux patients On entend couramment parler d pid mie d ob sit Le traitement de l ob sit passe par une approche multidisciplinaire dans laquelle le m dicament peut parfois Jouer un r le Mais pas n importe quel prix ni n importe www M YA comment Sans tre des sp cialistes de la question les patients ont aussi leur opinion sur ce th me Rencontre avec Jean Paul Allonsius pr sident de l Association belge des patients ob ses Bold Le saviez vous DISS SS Tabacstop 66 d appels t l phoniques en plus L obligation l gale de mentionner le num ro de Tabacstop 0800 111 00 sur les paquets de cigarettes fait son effet Depuis l introduction de cette mesure la ligne t l phonique ne recoit pas moins de 66 d appels t l phoniques en plus On notera que 30 des appelants ont moins de 26 ans Le nombre total de visiteurs du site internet augmente m me de plus de 50 La mention du site Internet www tabacstop be sur tous les paquets
56. t employeurs Les organisations de travailleurs syndicats et d employeurs ont d s lors une tr s forte position dans les n gociations budg taires L avis des Mutualit s Libres Le mod le de concertation en soins de sant n est pas suffisamment flexible et dynamique pour oser remettre en question l organisation des soins dans sa globalit et briser ainsi certaines valeurs consa cr es droits acquis des professions honoraires Le contexte economique en bref e Les d penses li es aux soins de sant augmentent plus vite que la croissance conomique En Belgique elles repr sentent 11 de notre PNB et 15 de nos d penses publiques De plus le patient paye lui m me environ 23 7 du co t total de ses soins e Les d fis de soci t sont nombreux et l impact financier est l avenant Le co t de la prise en charge de la d pendance augmente et les affections chroniques explosent non seulement en raison du vieillissement de la population mais galement de nos habitudes de vie et alimentaires Cons quences concr tes Des mesures structurelles d conomie bas es sur des standards reconnus Evidence Based Medicine et sur l efficience des soins sont par ticuli rement difficiles concr tiser au sein des organes de concertation actuels Les nombreux lobbies influencent trop souvent le contenu de ces propositions au nom d int r ts syndicaux finan ciers ou politiques Des mod les de soins inn
57. te base de donn es est que les d penses et consommations de soins de sant de ces personnes sont suivies depuis 2002 Toutes les infor mations disponibles au sein des mutualit s tant au niveau des caract ristiques socio conomiques BIM OMNIO ch mage que des donn es de consommation en soins de sant prestations m dicaments biologie m dicale hospitalisations m dicaments sont dispo nibles pour cette cohorte anonymis e Cet chantillon permanent est accessible pour diverses recherches Selon le sujet d tude on utilise soit les donn es exhaustives des organismes assureurs soit l chan tillon permanent Cependant les donn es disponibles sont encore lar gement sous exploit es aujourd hui comme le souligne Ann Ceuppens M decin Expert l Union Nationale des Mutualit s Libres voir interview ci dessous St phanie Brisson Avec la collaboration de Chantal Houtman 2 questions au Dr Ann Ceuppens M decin Expert l Union Nationale des Mutualit s Libres et m decin surveillant aupr s de AIM Ne pourrait on pas encore mieux utiliser les don n es g n r es par lAIM L AIM fournit beaucoup de donn es dans le cadre de diverses tudes Mais il est vrai que l on pourrait faire davantage d analyses et d tudes si tout le monde tait d accord de donner plus de moyens cette instance Pour chaque projet il faut consti tuer une quipe de recherche en fonction des disponibilit s des personn
58. ur la liste elles font d j l objet d une reconnais sance syst me liste et depuis lors le nombre de dossier accept est multipli par cinq En outre contrairement aux maladies plus anciennes telles que la silicose ou le m soth liome les maladies actuelles ne sont plus unicausales elles sont multi factorielles Il n est pas exclu que le burn out fasse un jour partie de la liste des maladies profession nelles reconnues par le FMP Nous sommes en train d valuer les possibilit s Mais cela demandera du temps et de l exp rience pour prouver l existence d un lien vident entre le travail stressant et le burn out et pour d finir des crit res objectifs Espace prestataires La pr vention La lenteur du processus d inclusion de nouvelles maladies professionnelles et la disparition progres sive des anciennes affections peuvent elles expliquer la chute du nombre de nouvelles maladies profes sionnelles reconnues ces derni res ann es Oui d apr s Joeri Luts mais pas uniquement L arr t de la reconnaissance de l arthrose comme maladie pro fessionnelle a provoqu une diminution significative Dor navant le FMP reconna t uniquement le syn drome radiculaire li aux vibrations et au port de charge Il faut avouer que les crit res sont relative ment s v res A c t de cela on ne peut pas nier que les conditions de travail actuelles sont plus favorables qu il y a 30 ans Les services externes de conseil
59. ure nous v rifions qu il n y a pas de contre indications en raison d une prise de m dicaments et surtout si aucun produit dopant n est consomm M V Les sportifs de haut niveau sont tr s bien pr par s contraire ment la plupart des sportifs amateurs Ils sont par ailleurs sul vis par des entra neurs particuli rement comp tents Les sportifs amateurs sont principalement confront s des blessures dues une surcharge un entrainement TS ZA HLO a e m p EN en l trop intensif durant une p riode trop courte C est un ph nom ne r current l approche des 20 km de Bruxelles ou d un marathon Le nombre le plus lev de blessures revient aux disciplines olympiques judo et hockey Existe t il certains crit res d encadrement para m dical durant les entra nements les camps d entra nement et les comp titions M V Nous essayons d assurer la pr sence d un m decin et d un kin sith rapeute Vous devez savoir que nous ne pouvons pas r aliser des actes m dicaux comme a l tranger Pour les Jeux Olympiques d t de Londres nous avons d suivre une proc dure de demande pour l adminis tration m dicale locale L interven tion m dicale doit se limiter aux athl tes Le sport sans dopage est l adage du Dr Jacques Rogge Pr sident du Comit International Olympique CIO En Belgique 4 agences sont actives par r gion et tentent d impl m
60. x s appuyer sur un cadre juridique clair En effet dans un certain nombre de pays voisins dont la France le Royaume Uni l Allemagne et les Pays Bas on est convaincu que la participation du patient se traduit par une meilleure qualit et une plus grande efficacit des soins En t moignent de nombreuses ini tiatives politiques qui d limitent le cadre juridique dans lequel ont t d finies les t ches et les comp tences qui incombent aux patients et leurs organisations repr sen tatives La participation peut prendre diff rentes formes depuis l information jusqu la cod cision en passant par la consultation le conseil ou l valuation En Belgique les patients ou les usagers peuvent aussi exercer une influence sur la politique au tra vers de ces diverses formes de participation Mais les pratiques d valuation et de cogestion restent davantage l exception que Espace prestataires la r gle avec pour cons quence que les associations de patients continuent pour l instant graviter surtout dans la p riph rie du pro cessus d cisionnel Dans l tat actuel des choses et malgr des moyens limit s les associations de patients assurent une pr cieuse fonction d informa tion d entraide et de pont entre les patients et le monde de la sant Pascale Janssens pascale janssens mloz be avec la collaboration de la Fondation Roi Baudouin Le dossier Leviers pour une meilleure partic
61. yst me d organisation des soins de sant pr ne l accouche ment en dehors de l institution hospitali re sur le principe que la grossesse nest pas une maladie Cela peut sembler tre un retour en arri re mais certains pays souhaitent r fl chir la r habilitation de cette pratique afin de non seulement valoriser les comp tences des sages femmes mais galement de pouvoir contr ler les d penses dans ce domaine Ces accouchements se feraient dans des maisons d accouchements proches mais en dehors de l hG pital afin de d m dicaliser cet acte sans faire courir de risques la m re et l enfant En Belgique on ne compte actuellement que 7 maisons d accou chement L acte d accouchement non hospitalier est bien s r r serv des indications pr cises Adil Lamarti et Chantal Neirynck Service Etudes des Mutualit s Libres amp O D L actu des Mutualit s Libres personnes sont affili es l une des 7 Mutualit s Libres A 12072 Nouveau Week end de d tente pour les patients atteints de scl rose en plaques et leur famille Un moment de ressourcement dans un environne ment serein tel est le concept du week end de d tente dans les Ardennes Vu le succ s rencontr par le pr c dent s jour une nouvelle dition est pr vue au mois d ao t Organis par les Mutualit s Libres en collaboration avec la Ligue Belge contre la Scl rose en plaques le week end s adresse aux patients atteints de scl ro

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