Home

l`obésité - Cliniquesdeleurope.be

1. 18 UROSG N 7 SEPTEMBRE 2006 Vue laparoscopique Comment participer Le Dr Marc Vertruyen est le coordinateur de Eurobesity Center du site St Michel Il encourage tous les m decins traitants participer ce projet d envergure court terme un site Internet sera publi sur le web www eurobesity be l attention des patients pour les informer des diff rents aspects du traitement Une cartographie fr quemment mise jour des omnipraticiens participants sera galement leur disposition Bon nombre de confr res g n ralistes approch s t l pho niquement ont marqu leur int r t pour cette exp rience pilote Le Dr Vertruyen est votre enti re disposition pour tous renseignements compl mentaires Revue de Presse m connues Dr Serge Landen Coordinateur du Centre de l Ob sit Site Ste Elisabeth Depuis 1993 date laquelle cette technique a commenc tre pratiqu e par laparoscopie plus de 200 000 patients de par le monde ont t op r s d un anneau gastrique ajustable Le grand avantage de cette technique est sa s curit car elle ne n cessite qu une intervention simple et de courte dur e pour la pose de l anneau Cependant les complications tardives sont fr quentes et surviennent chez 10 20 des op r s apr s plusieurs mois ou ann es Ces complications sont habituellement b nignes et ne n cessitent parfois que le desserrement de l
2. GUTOM S Boissons eau La pyramide alimentaire adapt de Diffu Sciences 2006 quantit s d aliments faire une estimation de son apport nerg tique total conna tre son hygi ne de vie et ses attentes par rapport sa demande de chirurgie bariatrique etc e de mieux orienter le choix de la technique chirurgicale e d informer le patient sur les contraintes di t tiques apr s la chirurgie Suite cette premi re consultation un avis quant une ventuelle op ration chirurgicale est transmis au chirurgien qui reverra ensuite le patient en consultation La veille de l op ration Le di t ticien rend visite au patient en chambre afin d expliquer le plan de r alimentation modalit s d initialisation volution de la texture des repas rappel du fractionnement de ceux ci explication du dumping syndrome pour certaines interventions etc Ce contact est essentiel afin de rassurer le patient Les jours qui suivent l op ration Malgr des s jours tr s courts particuli rement en cas d anneau gastrique les visites du di t ticien doivent se multiplier Elles motivent le patient et lui rappellent l essentiel quant son alimentation dans les jours qui suivent son hospitalisation Tableau 1 C est une tape importante dans l ducation du patient afin d viter des complications carences alimentation trop peu vari e non respect du fractionnement ou de la sensation de sati t Tableau 1
3. D Au e ap Sr Piei N 8 Septembre 2006 BUREAU DE D P T BRUXELLES X LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE DANS CE NUM RO L OB SIT ELROPE EL CH www cliniquesdeleurope be euroscoop cliniquesdeleurope be n eh D N io A M e XENICAL orlistat Moins de poids Flus de vie 7 ANS D EXP RIENCE M CLINIQUE ET PRATIQUE is SIMPLE E D NOMINATION DU M DICAMENT Xenice QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chague turquoise avec l inscription Indications th rapeutiques r ment hypocalorique dans le IMC sup rieur ou gal sgal 28 kg m associ des it tre arr t apr s 12 semaines ids initial mesur au d but inistration Adultes La de 120 mg prise avec Me heure apr s chacun ontiemt pas de graisses la re un r gime mod r ment at contenant environ 30 cr que le r gime 30 kg m ou du surpoids IMC sup rieur Q facteurs de risques Le traitement par orliste t do si les patients n ont pas perdu_au moins 5 du du traitement m dicamenteux Posologie etimod posologie recommand e pour orlistat est d de l eau imm diatement avant pendant o jus des principaux repas Si un r pas est saut lou T prise d orlistat doit tre supprim e Le patient do hypocalorique bien quilibr sur le alar tionn de l apport calorique sg grais soit riche en fruits etgig DOrt Jour des glucides et prot ines doit tre r par
4. Electrode de nucl oplastie un m diateur anabolique favorisant la prolif ration et la diff renciation fibroblastiques et donc la r g n ration du disque intervert bral INDICATIONS Les indications de la nucl oplastie d compressive par coablation sont le syndrome lombalgique et le syndrome lombosciatique discog niques Le syndrome lombalgique discog nique Les douleurs lombalgiques sont des douleurs lombaires pures qui pr sentent diverses origines dont dans 40 des cas une origine discale on parle alors de ombalgies discog niques Les disques intervert braux sont des coussinets servant amortir les chocs entre les vert bres ils sont compos s d un noyau g latineux le nucleus pulposus entour d une enveloppe multilamellaire fibreuse La douleur lombalgique est une v ritable inflammation accompagn e d une augmentation des concentrations intra discales de l interleukine 1 de cytokines et du TNF alpha ces substances provoquent l irritation d une n o innervation nociceptive induite par une d chirure annulaire Les douleurs lombaires discog niques sont difficiles dia gnostiquer Les sympt mes cliniques et l imagerie radiolo gique par RMN sont primordiaux A la RMN la valeur pr dictive de la pr sence d une discopathie hypersignal en T2 varie du simple au double selon les auteurs La pr sence d une atteinte inflammatoire des plateaux vert braux de type Modic 1 signe une discopathie qui e
5. Kin sith rapie Site St Michel R adaptation Cardiaque Actif Health Un d s quilibre de la balance nerg tique apport gt d pense engendre le d veloppement de l ob sit Le confort de vie moderne conduit une diminution des d penses nerg tiques alors que les modes alimentaires sont modifi s avec une mise disposition permanente d aliments et une augmentation de l apport lipidique L activit physique d pense nerg tique r pond non seulement un besoin de notre organisme mais aussi des efforts simples de la vie quotidienne comme monter une rue ou un escalier tondre la pelouse C est dans ces moments l que la personne ob se se voyant limit e dans son effort sera encore moins tent e de pratiquer une activit physique Pourquoi cette limitation Et surtout comment d samorcer ce cercle vicieux M canismes nerg tiques et dyspn e Lorsqueuneffortestr alis 3 types de m canismes nerg tiques sont mis en oeuvre en fonction de l intensit et de la dur e de celui ci Mode d emploi Chez les ob ses plusieurs tudes ont d montr e Une charge de travail musculaire augment par une augmentation du poids e une ventilation diminu e par diminution de la capacit pulmonaire CPT et CRF e une perfusion musculaire fortement diminu e par diminution du nombre de capillaires musculaires e une alt ration du potentiel m tabolique oxydatif par diminution du nombr
6. Ph Joyeux M Massart G Meert J M Merlin A Mirzabekiantz N Van Nieuwenhuyse LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 39 V NEMENTS La cinqui me rencontre Dr Alain Fournier de g riatrie D mences guide pratique La cinqui me rencontre de G riatrie intitul e D mences guide pratique s est d roul e le mardi 20 juin dans la tr s agr able salle de conf rence de la maison de repos Les Oliviers situ e c t du site des 2 Alice Comme l accoutum e de nombreux professionnels de sant int ress s par la personne g e taient pr sents ce soir l En premi re partie le Dr Inge Declercq neurologue nous a d crit de mani re tr s p dagogique les diff rents types de d mence en insistant sur leurs modes de pr sentation et de prise en charge sp cifiques Le Dr Marc L onard g riatre a ensuite abord de mani re accessible et nuanc e les troubles du comportement de la personne d mente en centrant la r flexion sur le respect de l autonomie et de la dignit En deuxi me partie St phanie Engels et Nathalie Pauwels neuropsychologues nous ont permis de mieux appr hender la finalit des bilans neuropsychologiques r alis s aux Cliniques de l Europe dans le cadre du d pistage et du diagnostic des d clins cognitifs Enfin en guise d ouverture la discussion Bernard Wautelet psychologue nous a fait part de sa longue exp rience en
7. 85 des cas pour 2 raisons essentielles 1 la dur e d unr gime la contrainte d un r gime di t tique m me bien quilibr est difficile soutenir pendant une longue p riode par un patient ob se 2 la faim une sensation grandissante et difficilement contr lable de faim va rapidement pousser ces patients replonger dans leurs anciennes habitudes En effet c est par leur unique volont qu ils devront lutter contre leurs pulsions de boulimie Le patient va non seulement reprendre le poids perdu mais le plus souvent d passera largement son poidsinitial Ainsi il est tabli l heure actuelle qu un traitement di t tique isol est inefficace dans le traitement long terme de l ob sit morbide Aussi avons nous d cid de mettre sur pied une strat gie diff rents chelons alliant traitement di t tique alimentaire de fond chirurgie bariatrique et suivi de proximit La r ussite d un tel programme d pend bien s r de la qualit et de la s curit de l intervention mais les b n fices long terme ne peuvent tre garantis que par des consultations fr quentes de bilan di t tique et de renforcement psychologique du patient Jusqu pr sent ceci tait pris en charge par l quipe multidisciplinaire du site St Michel comprenant e Dr Vertruyen Chirurgie laparoscopique de l ob sit Dr Hoebers Anesth siologie Dr Staumont Radiologie Dr Paul Gastroent rologie Dr Humblet M de
8. Dr Fr d ric Haven Dr Daniel Hublet Dr Luca Leone Dr Carl Salembier Dr Jean Marie van Caster Dr Frederike Van Raemdonck Dr Guy Vielle GRAPHISME amp IMPRESSION Maca Cloetens Illustrations P Maka ADRESSE DE R DACTION Euroscoop Site Ste Elisabeth Avenue De Fr 206 1180 Bruxelles T l 02 373 16 89 Fax 02 373 18 96 E mail euroscoop cliniquesdeleurope be Magazine r serv au corps m dical Les m decins qui ne re oivent pas Euroscoop et qui sont int ress s peuvent prendre contact avec la r daction Le contenu des articles n engage que la responsabilit de leur s auteur s Tous droits r serv s y compris la traduction E a LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P r 3 E j f s i LE EDITO La subtile saveur de la tsampa Tout magazine promeut en p riode estivale trucs et ficelles recettes l g res et cocktails minceur pour acqu rir une silhouette de sylphide top moulant short chancr ou un port altier d ph be hal H las ce fantasme se dissipe bien vite d s l loignement des plages dor es et les brefs efforts entrepris ne sont plus au retour de vacances qu un lointain souvenir qui s estompe doucement La probl matique de l exc s pond ral et de son lourd cort ge de cons quences d l t res pour la sant physique et psychique de l individu ne souffre pas d tre ainsi prise la l g re Elle ne
9. comme suit Lors d un effort prolong l augmentation de l activit adr ner gique l vation de l adr nalin mie va freiner la s cr tion d in suline et ainsi activer la glycolyse la glycog nolyse et la lipolyse L utilisation du glucose va forc ment induire une hypoglyc mie Appana tes ACHE tu dl ur kg mri Lilou ln HE ima nikas gueii kr min Evolution du d bit d utilisation des glucides et de lipides en fonction de l intensit relative de l exercice chez l homme D apr s Brooks et Trimmer 1996 relative qui va stimuler davantage la d gradation des graisses via la triglyc ride lipase TG lipase D s cet instant les AGNE sont utilis s pr f rentiellement comme substrat nerg tique inhibant les enzymes de la glycolyse L utilisation du glucose est alors ralentie garantissant une glyc mie tol rable Si l effort s intensi e la demande d nergie imm diate est telle que la glycolyse ana robie cette fois reprend le dessus nous sommes au del du seuil ventilatoire Ilexiste un point de croisement des 2 courbes Cross Over Concept qui informe quand l utilisation des glucides devient pr pond rante par rapport celle des lipides Fig 1 Ce croisement est perceptible pour des personnes s dentaires et ou ob ses aux alentours de 55 60 de la VO2 max et volue vers 80 de la VO2 max pour des personnes entra n es en endurance analogie avec le seuil ventilatoire Chez
10. musculaire progressif Elle est actuellement reconnue comme tantla th rapie la plus efficace long terme de la lombalgie chronique et r cidivante Le programme de r ducation du lombalgique r cemment reconnu par l INAMI comprend l information du patient sur les facteurs m caniques qui favorisent les rachialgies anatomie biom canique l explication des principes de soutien du dos et la discussion des facteurs motionnels et psychologiques qui peuvent entretenir la douleur e la formation pratique dans les techniques pour m nager le dos conomie et ergonomie rachidienne e une valuation fonctionnelle et psychosociale e une r ducation individualis e en kin sith rapie correc tion du maintien exercices d tirement renforcement analytique des muscles paravert braux etc e l am lioration de la condition physique tant au niveau puissance qu au niveau de l endurance musculaire Ce programme est r alis au sein d un service de M decine Physique et R adaptation il comporte 24 36 s ances et ne peut tre prescrit qu une seule fois par patient La s lection optimale des patients par l valuation diagnostique fonctionnelle et psychologique est primordiale le tableau ci joint reprend les principales indications et contre indications du programme E D A algie vert brale r cente pathologie associ e r cidivante ou chronique non stabilis e d origine discale et ou facett
11. plus de 65 ans En outre de nombreux patients g s de 40 65 ans pr sentent une l sion cartilagineuse invalidante pour laquelle il n existait pas jusqu pr sent de solution adapt e Une proth se ou une articulation artificielle n est pas indiqu e chez ces patients actifs tant donn leur niveau d activit s et la long vit de la proth se Proth se du genou L Arthrosurface permet de remplacer uniquement la zone de l sion cartilagi neuse en conservant le res te de l articulation encore intact EUROS OP N 7 SEPTEMBRE 2006 de l arthrose En voici deux exemples Genou Une patiente de 48 ans pr sente progressivement une g ne douloureuse au niveau du genou La mise au point d montre que cette g ne est provoqu e par une l sion cartilagineuse situ e hauteur du f mur au niveau du compartiment interne du genou Cette l sion a unesuperficie de l ordre d une pi ce de 50 euro cent Le compartiment externe et la rotule sont intacts Un traitement conservateur n apporte aucune am lioration Fig 1 L Arthrosurface nous permet de proc der uniquement au remplacement de la partie endommag e de la surface cartila gineuse introduction d une plaquette m tallique poss dant la m me courbure et les m mes mensurations que la partie de la surface cartilagineuse remplacer et fixation dans l os au moyen d une vis Titanium Fig 2 L Arthrosurface est r alis e en pr
12. tel point que les patients qui vomissent une deux fois par semaine n en sont pas incommod s Ensuite la perte de poids va entra ner une modification de l image corporelle Une meilleure image de soi peut amener la personne modifier son comportement social tenue vestimentaire sorties affirmation de soi au niveau professionnel relationnel familial Cette situation peut amener la famille et le couple reconsid rer la place et le r le de chacun et peut m me parfois aboutir une rupture au sein du couple intervention du psychologue au sein du centre de l ob site Enfin tous ces changements de vie au niveau familial professionnel et comportemental am nent la personne devoir faire le deuil de sa vie pass e ce qui n cessite une p riode d adaptation En quoi consiste la prise en charge psychologique propos e aux patients Nous intervenons la fois dans l information l valuation et le suivi des patients Tout d abord nous invitons le patient une s ance d information sur la nature de l intervention et ses cons quences Via un jeu de questions r ponses nous v rifions que la personne a bien compris les modalit s de l intervention et les r percussions de celle ci sur sa vie quotidienne future Ensuite au cours d un entretien individuel nous valuons les motivations les attentes parfoisirr alistes et la qualit de vie actuelle du patient Nous estimons sa capacit faire face aux
13. 6 sessions de groupe de techniques de motivation et de 6 sessions de groupe de di t tique durant chaque fois une heure Pendant toute la dur e du programme vous restez en tant que m decin traitant responsable du suivi et du traitement des divers facteurs de risques comme l hypertension art rielle le taux de cholest rol et de triglyc rides et la glyc mie Si vous souhaitez recevoir de plus amples renseignements ou si vous avez des patients qui peuvent entrer en ligne de compte n h sitez pas nous contacter par t l phone au n 02 737 84 30 par fax au n 02 737 84 29 ou par mail multisliim actifhealth be LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs P 37 Imagerie m dicale St Michel Nouveau scanner 64 barrettes Dr Vincent Staumont Radiologie Sites Ste Elisabeth St Michel Apports de ce nouveau scanner e Gr ce la multiplication des barrettes et la vitesse de rotation du tube il permet de travailler en coupes fines pour l ensemble des examens r alis s sans augmenter les doses en rayons X tout en diminuant le temps d acquisition Les acquisitions en coupes fines permettent d obtenir une analyse volum trique et une analyse de type post processing pouss e afin d acc der de nouvelles applications telles que le CT scan cardiaque ou le CT c lon virtuel Nouveaux axes d velopp s en routine St Michel 3 le CT colon virtuel avec analyse gr ce cette techniqu
14. B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 Quand Jean Paul et tout son quip vont s attaquer au thrombus vive la vie c est fantastiqu pas un infarctus de plus O ooh ohohohooooh baoum baw Par le bout de son cath ter il d bouch les coronaires nous admirons son savoir faire c est le roi de nos art res B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 B1 B2 H las par fois a n marche pas le caillot ne s en va pas le my ocard est n cros et l lectro est tout plat O ooh ohohohooooh baoum baw T as pas eu de chanc aujourd hui mon pauvre gars c est fini que c est triste adieu l artiste tu ne band ras plus ce soir Trop mang trop fum et pas a ssez bais et voil c est fatal fun railles nationales ou jet dans l canal mon ami c est gal Paradis ou enfer c est trop tard pour t en fair bis ou ter La chorale de Bruxelles Sud LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE URO 6P 41 avai ne sort pas des Bjurines ans notre colonie de zats Je plane largement au dessus du lot par mon intelligence ma vista et mon autorit le prophe des chefs e suis donc la ratte en chef incontest e le tsunami des rats bref le rat de mar e C est donc en responsable et toujours avide de nouvelles que tapte dans un coin de la salle des lections du Conseil M dical j obserwais ce va et vient tout en regrettant l absence de ma copine de St Michel Bien loin des
15. Il a une dur e de vie limit e 6 mois apr s lesquels il doit tre retir de l estomac Indications La dur e de vie relativement courte du BIB limite ses indications aux trois cas de figure suivants 1 Patients ob ses refusant toute forme de chirurgie gastrique Le BIB permet chez ceux ci de faciliter l adoption d une modification des habitudes alimentaires 2 Patients d sireux de b n ficier d une gastroplastie chi rurgicale mais dont le surpoids est tel qu il augmente le risque chirurgical dans ce cas le BIB permet de dimi nuer le poids de mani re suffisante pour que le risque op ratoire soit de nouveau acceptable 22 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 Le BIB Bioenterics Intragastric Balloon 3 S lection des patients ob ses qui seront des bons candidats pour une gastroplastie chirurgicale celle ci implique en effet une bonne compliance des patients aux r gimes alimentaires prescrits en phase post op ratoire les patients qui montrent une mauvaise compliance au r gime associ au BIB sont souvent de mauvais candidats pour la chirurgie Contre indications 1 C lRelatives Maladies peptiques du tractus digestif sup rieur oesophagite gastrite ulc res gastro duod naux etc et infection Helico bacter Pylori dans ces conditions le patient n cessite un traitement m dicamenteux ad quat de sa pathologie avant la pose du ballon 2 C lFormelles anomalies structurelles de l
16. Sch mas de r alimentation 1 alimentation liquide 1 alimentation semi liquide fractionn e et petites molle fractionn e et quantit s jusqu 2 3 petites quantit s jusqu 3 semaines apr s l op ration semaines apr s l op ration 2 partir de la 3 ou 4 2 semaine passage une alimentation mix e et molle Les aliments comme les l gumes fruits cuits mix s viandes et poissons moulus et pain de mie peuvent tre r introduits partir de la 3 semaine l alimentation reste fractionn e en petites quantit s mais on largit la texture progressivement Elle sera moulue coup e normale en fonction du plat saine vari e et caract re hypocalorique Ex fruit cuit moulu compote gt fruit cuit entier fruit frais coup fruit frais entier apr s 4 semaines le chirurgien pratique le resserrage de l anneau ce moment il faut revenir l alimentation du point 1 et puis 2 et tre attentif la sensation de rassasiement 3 apr s 5 6 semaines 3 passage progressif une alimentation plus solide riche en prot ines et caract re hypocalorique vari e et saine Le suivi long terme Ce suivi permet de parfaire l ducation du patient afin de pr venir les complications au niveau de la nutrition carences en vitamines prot ines min raux fibres Tableau 2 Des suppl ments vitaminiques et des compl ments alimentaires riches en prot ines s
17. Un entra nement correct pratiqu de mani re r guli re e augmente le potentiel oxydatif musculaire capillaires mitochondries enzymes e augmente l activit de la TG lipase x 3 e augmente l affinit des r cepteurs insuliniques et ainsi diminue la s cr tion d insuline e normalise les concentrations des prot ines adipocytaires l adiponectine Bluher 2006 Pour une m me intensit relative d exercices le sujet entra n oxyde plus de lipides 10 15 que de glucides 10 15 que le s dentaire Holloszy Kohrt et Hansen 1998 o LE METABOLISME EST MODIFIE la perte de poids de masse graisseuse est in luctable avec une meilleure protection cardio vasculaire Rappel Tous les lundis entre 13h00 et 14h00 l infrastructure de la salle de r adaptation cardiaque Dr Dethy sur le site de St Michel est mise la disposition des membres du personnel de la clinique Dr Marc Vertruyen Dr Val rie Cavenaile Le d partement est dirig par une quipe de 2 chirurgiens le Dr Val rie Cavenaile et le Dr Marc Vertruyen Ces deux protagonistes travaillent de concert et prennent en charge la totalit des probl mes digestifs tant carcinologiques que fonctionnels De par leur formation ils privil gient chaque fois que possible l abord laparoscopique afin d augmenter le confort postop ratoire du patient en minimisant son agression pari tale DANS ILE Le d parte
18. changements qu entra nera l intervention Nous observons son attitude par rapport l activit physique le soutien dont il peut b n ficier dans son entourage rencontrer le conjoint est souvent souhaitable et sa motivation respecter le suivi post op ratoire Nous nous int ressons aussi la place et la fonction que la nourriture occupe dans sa vie grignotage gestion de son stress de ses angoisses de son vide int rieur Nous retra ons l histoire de l ob sit et des troubles psychiatriques ventuels boulimie alcoolisme psychose maladie mentale non stabilis e d pression Nous proc dons un ventuel testing afin d valuer la capacit du patient bien appr hender les suites de son op ration Apr s l intervention nous assurons le suivi des patients en les sou tenant dans les ventuelles difficult s motionnelles psychologi ques sociales et relationnelles qu ils peuvent rencontrer Nous leur proposons de participer des s ances de groupe au cours desquel les diff rents th mes sont abord s Cette d marche facilite l expres sion du v cu de chacun et favorise les changes entre les patients Le groupe peut ainsi servir de lieu de soutien et de resocialisation Finalement quel est le but de notre intervention Quand un patient s adresse nous avec une demande de gastroplastie nous tablissons un bilan global de ses ressources et de ses difficult s actuelles au niveau psychologi
19. en place si la dur e de l intervention est estim e plus de 3 heures et en cas de lifting des cuisses permettant de prot ger les plaies les premiers jours Post op ratoire En g n ral un s jour post op ratoire de 2 jours au moins est n cessaire Une anesth sie pidurale pour chirurgie extensive par exemple une abdominoplastie circulaire augmente le confort au cours des 24 premi res heures Une m dication antalgique peut galement tre administr e par voie intraveineuse ou intramusculaire Quel que soit le type d intervention le patient est mobilis d s le premier jour post op ratoire Risques et complications La chirurgie visant corriger la silhouette est une chirurgie lective Les patients doivent tre soigneusement inform s des risques et des complications ventuelles La plupart des complications sont mineures et peuvent tre trait es lors des consultations post op ratoires Il existe cependant des complications majeures qui peuvent ventuellement mener une nouvelle admission une chirurgie ult rieure ou la prolongation des soins des plaies au del de 6 mois La plupart des infections post op ratoires peuvent tre r solues par des soins de plaie rigoureux et un traitement antibiotique par voie orale Une antibioth rapie par voie orale est administr e en routine jusqu l ablation de tous les drains CONCLUSIONS Des s romes font tr s souvent leur apparition en raison d
20. frustrations e Dans le cas de by pass il peut y avoir une intol rance au lactose Utiliser du lait de soja ou d lactos demander conseil la di t ticienne e Augmenter l activit physique jusqu au moins 30 minutes par jour Celle ci doit tre mise en place progressivement toujours avec l accord du m decin ventuellement selon les conseils des kin sith rapeutes Penser que l activit physique peut d j tre major e au quotidien viter l ascenseur faire les courses pied se garer plus loin de l endroit o l on va Nous proposons des entrevues mensuelles au cours des six mois qui suivent l intervention puis deux fois par an A chaque entrevue des objectifs r alisables sont tablis entre les deux parties permettant ainsi de soutenir la motivation du patient Chaque consultation di t tique est rapport e au chirurgien et au m decin traitant afin d assurer un suivi optimal du patient CONCLUSIONS Le conseil et le suivi nutritionnels sont des l ments importants dans la prise en charge du candidat la chirurgie de l ob sit et ce tant avant qu apr s l acte chirurgical Pour tre optimale cette prise en charge doit s inscrire dans une d marche pluridisciplinaire C est ce mode de fonctionnement qui a t adopt par le nouveau centre de l ob sit des sites Ste Elisabeth et 2 Alice LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs P 29 SPORT ET OBESITE Anne Marie Poliart
21. introduit d gonfl dans l estomac comme une sonde gastrique et positionn juste en dessous du cardia Il est ensuite rempli progressivement la seringue sous contr le endoscopique par un syst me de cath ter de 500cc de solution saline teint e de bleu de m thyl ne le bleu de m thyl ne permet de d tecter une ventuelle fuite dans le ballon en colorant les urines en bleu vif Une fois le ballon rempli le cath ter de remplissage est d connect et le ballon flotte librement dans l estomac Le patient est ensuite ramen dans sa chambre o il devra encore rester jeun jusqu au lendemain matin avec hydratation parent rale Le patient peut ensuite se r alimenter progressivement suivant le r gime prescrit des anti m tiques sont n cessaires la premi re semaine vu les naus es s v res fr quentes au cours des jours qui suivent la pause du BIB CONCLUSIONS PACA JR vas FiA Le patient peut ensuite quitter l h pital Il sera revu en consultation au minimum une fois par mois jusqu au retrait du BIB 3 Effets secondaires et complications 76 des patients pr sentent de fortes naus es pendant la semaine qui suit la pause du BIB traitement par anti m tiques et spasmolytiques 22 des patients d veloppent une oesophagite peptique par reflux n cessitant un contr le endoscopique et l instauration d un traitement par IPP 1 de perforations gastriques d crites cause ind te
22. les ob ses plusieurs tudes ont d montr une insulino r sistance li e une production anormale des prot ines adipocytaires leptine adiponectine Corollaire Les personnes ob ses pr sentent une alt ration du m tabolisme Glucose Acides Gras Un des objectifs de l entra nement est de stimuler le cycle Glucose Acides Gras Comment d caler son seuil ventilatoire ou comment s entra ner Dans la vie quotidienne il faut pouvoir faire face 2 types d effort La puissance porter ou soulever une charge et l endurance course mont e d escaliers Renforcement musculaire augmentation de la taille des fibres musculaires i PLT Pess FEIR AFA Augmentation de l activit et du nombre des enzymes du potentiel a robie au niveau des hypertrophie fibres musculaires Protocole 3 s ries INTERVAL TRAINING de 10 r p titions espac es d 1 minute de r cup ration pour chaque groupe musculaire M thode Travail 70 de Alternance de travail la CMV Contraction mod r et intense selon Maximale Volontaire un rapport 2 1 ex 2 min 1 min Appareils Appareils V lo rameur step de musculation tapis roulant jogging natation etc Un bon r entra nement l effort doit donc r unir ces 2 types d effort en fonction du d ficit de l un ou de l autre O r side l int r t de l Interval Training La charge intense niveau seuil ventilatoire permet d le
23. mod ration des r unions 6006 Soir e magique Moments d ivresse Nous avons d j v cu ainsi deux ateliers de chirurgie deux ateliers de pneumologie un atelier multidisciplinaire et un atelier de radiologie Ce n est pas tout sont en cours de pr paration les ateliers multidisciplinaires du 25 novembre 2006 qui traiteront des atteintes art rielles p riph riques des nouveaux traitements des maladies inflammatoires et des nouvelles perspectives pour les cancers du poumon du sein et du colon les ateliers d orthop die du 29 janvier 2007 qui parleront des entorses de flash th rapeutiques et de prop deutique Pour terminer je tiens vous dire combien nous sommes heureux g n ralistes motiv s au sein de nos associations de pouvoir collaborer de fa on aussi troite et conviviale avec les divers sp cialistes des Cliniques de l Europe Les ateliers permettent chaque participant d acqu rir de fa on pratique et en rencontrant ceux avec qui il a choisi de travailler chaque jour les connaissances et les r flexes la bonne pratique de la m decine g n rale J esp re que les ateliers gr ce votre participation toujours plus active vivront encore tr s longtemps Dr Robert DOBBELAERE Pr sident de l Association des M decins G n ralistes de BRUXELLES SUD Participent r guli rement la pr paration des divers ateliers les docteurs H de Meester R Dobbelaere Ph Gillis J F Grimmiaux
24. motiv s et compliants au r gime alimentaire n cessairement associ ce type de traitement LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 23 Le r le de la chirurgie plastique dans le traitement Dr Stefanie Bosselaers Chirurgie plastique Sites Ste Elisabeth 2 Alice St Michel L incidence grandissante de l ob sit estactuellementun probl me reconnu tant en Belgique que dans le monde entier ce qui m ne un nombre croissant de personnes essayer de perdre du poids Tandis qu une partie de celles ci y parvient en suivant un r gime et en pratiquant une activit physique le nombre d interventions bariatriques a mont en fl che Aux Etats Unis on note un accroissement allant de 28 800 interventions en 1999 63 000 en 2002 jusqu plus de 140 000 en 2004 Parall lement on observeunenette majoration des demandes de corrections de silhouette En effet les patients sont souvent d sagr ablement surpris en constatant des plis cutan s affaiss s suite une perte de poids consid rable Situation suite une perte de poids Ind pendamment du mode de perte pond rale les patients peuvent pr senter un rel chement de la paroi abdominale et un tablier cutan affaiss un exc s de peau au niveau du dos des flancs et des hanches des plis cutan s le long de la paroi thoracique lat rale une ptose des seins une ptose de la r gion pubienne un exc s de peau rel ch e au ni
25. populaires dans le traitement des douleurs lombaires ou lombosciatiques mettant en cause une discopathie lombaire Le but est de traiter le disque intervert bral tout en gardant au mieux sa fonction d amortir les chocs au sein de la colonne lombaire et en respectant la r partition des forces au niveau de l axe vert bral La nucl oplastie discale d compressivepar coablation est une technique mini invasive combinant coagulation et ablation au sein du nucleus discal gr ce l utilisation de radiofr quences bipolaires La coablation r alise une dissociation mol culaire des tissus discaux par une couche ionis e le plasma permettant la cr ation d un tunnel au sein du nucleus discal avec un contr le thermique entre 40 et 70 C l extr mit de l lectrode bipolaire Cette tunnellisation entra ne une d compression m canique intra discale ayant pour cons quence une facilitation du retour spontan de la hernie ou de la protrusion discale vers le disque intervert bral La g n ration de chaleur lors de la coablation provoque galementun effet biochimique entra nant une r duction du taux intra discal des interleukines 1 m diateurs chimiques incontournables de l inflammation Par ailleurs on peut galement observer une augmentation de la concentration de l interleukine 8 dans le disque trait L interleukine 8 est 08 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 La nucl oplastie discale d compressive par coablation
26. qu l avenir cette chirurgie puisse tre tendue certains adolescents et patients dont l indice de masse corporelle est inf rieur 35 Les crit res d exclusion tableau 2 sont importants respecter particuli rement dans les techniques dites restrictives Tableau 2 Chirurgie de l ob sit Assu tudes Pathologie psychiatrique d compens e D ficit intellectuel Attentes irr alistes Parmi les techniques chirurgicales il y a e celles qui r duisent la quantit d aliments que le patient est capable d avaler l anneau gastrique ajustable gastroplastie entre dans cette cat gorie e celles qui r duisent la capacit d absorption des aliments par l intestin la plus connue tant la diversion biliopancr atique e le bypass gastrique qui est une technique mixte L anneau gastrique Fig 1 a pour avantage de ne n cessiter qu une op ration simple pour sa pose le plus souvent par chirurgie mini invasive Par ponction percutan e du r servoir sous cutan en consul tation il peut tre serr ou desserr en fonction de l amaigrissement et de la tol rance alimentaire Le patient peut ainsi esp rer perdre environ 50 de son exc s de poids apr s 2 ans Comme d savantage on retient un taux d chec de 20 d des probl mes techniques et ou un manque de discipline alimentaire du patient Une s lection et un suivi r gulier des patients sont susceptibles de r duire ce taux d chec Souvent on note
27. se r sume pas quelques efforts ponctuels mais n cessite un changement au long cours des habitudes de vie Peut tre invite t elle galement poser un autre regard sur notre mani re d tre cr ant l v nement heureux autour d un petit rien plut t que consommant avec voracit une quelconque satisfaction l instar d un trop copieux plateau de fast food Partir la d couverte de saveurs insolites dans d autres contr es partager un repas frugal au cours d un lointain p riple cr er de nouvelles rencontres c est apprendre appr cier le go t subtil de la tsampa Cette ind finissable bouillie d orge d aspect gluant et parfois peu engageant est l aliment de base dans les r gions pres au wi climat rude sises aux confins du toit du monde Elle r po exigences caloriques de l effort quotidien que repr sente vie de telles altitudes Equilibre pr cieux entre les apports et les d penses nerg tiques solide D activit physique et partage d un moment d exception autour d un mets rustique C est aussi une approche alternative de la notion de satisfaction alimentaire que nous laissons votre appr ciation W CABANE PUS i i P a Tachi de lek v ux tib tains de bienvenue dans notre Euroscoop automnal qui vous invite d couvrir une exp dition en quipe pour la prise en charge pluridisciplinaire de l exc s pond ral Chaque intervenant y apporte ses
28. site St Michel le Dr Vertruyen pr f re se baser sur un panel largi de donn es pour poser ses indications op ratoires Ces donn es tiennent compte de l historique d installation de l ob sit de la rapidit d volution au cours des derni res ann es des traitements ant rieurs d j utilis s et surtout de la motivation accepter non seulement une aide chirurgicale mais surtout tout un programme de prise en charge long terme L ge d ligibilit est galement au centre de la controverse Est il logique de refuser d aider un adolescent de 14 ans mesurant 1m80 et pesant 150 kgs issu d une famille d ob ses et dont la d tresse psychologique due aux regards des autres peut aller jusqu des pulsions suicidaires Et ceci parce qu il n a pas 18 ans Ces cas particuliers n cessitent une approche personnalis e et surtout parentale du patient A l inverse une mammie enrob e bon pied bon il de 70 ans qui doit se gaver d AINS pour une gonalgie particuli rement invalidante ne pourrait elle pas b n ficier d un traitement bariatrique a minima et retrouver ainsi son autonomie d antan Chaque cas est unique et doit retenir toute l attention afin d int grer le plus de d terminants possibles dans la d cision Cette strat gie d approche permet une s lection rigoureuse des patients et optimise les r sultats long terme Quel traitement La technique chirurgicale propos e sur le site St Michel par le Dr Marc Ve
29. un affaiblissement tendu des tissus Du liquide s accumule sous les couches cutan es Tant que les drains sont en place ce liquide est drain mais ult rieurement il peut s accumuler Une collection minime de liquide est spontan ment r sorb e mais d importants s romes sont tr s inconfortables Le traitement consiste en la ponction de la collection parfois titre r p titif Des h matomes peuvent faire suite un manque d h mostase de la toux des vomissements ou des troubles de la coagulation De petits h matomes restent souvent inaper us par contre des h matomes tendus s accompagnent de gonflement et doivent parfois tre aspir s Dans de rares cas il est n cessaire d orienter le patient nouveau vers la salle d op ration Des probl mes de gu rison des plaies sont toujours possibles tant donn que toutes les plaies sont maintenues consciemment sous pression De petites zones de d hiscence gu rissent gr ce des soins ad quats Une zone plus importante sera ferm e secondairement Il est important de pr venir les patients qu un l chage de la plaie peut appara tre jusqu 4 semaines post op ratoires et ce principalement lors de mouvements brusques Occasionnellement la circulation sanguine est compromise par la fermeture de la plaie sous traction ce qui induit une n crose cutan e et tissulaire qu il est parfois n cessaire de d brider Les cicatrices sont ind niablement li es aux inte
30. une difficult dig rer la viande rouge le pain frais et les p tes pouvant conduire des carences en fer long terme Jusqu pr sent le co t de l anneau reste charge du patient irma a Pira JR pane AAA Le bypass gastrique Fig 2 est une technique chirurgicale mixte qui r duit la capacit de l estomac et la longueur d intestin utile pour la digestion Bien que pouvant se faire par chirurgie mini invasive cette technique est plus longue et difficile que la pr c dente et comporte un risque accru de complications Apr s cette op ration des suppl ments journaliers defer calcium vitamine B12 et multivitamines doivent tre pris vie Elle s adresse plut t aux patients les plus ob ses ceux qui consomment beaucoup de sucreries et ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas tol rer des contraintes alimentaires Elle peut aussi tre envisag e apr s chec de gastroplastie anneau gastrique Ses r sultats sont meilleurs que ceux de l anneau gastrique et le patient peut esp rer perdre 70 80 de son exc s de poids end ans les 2 ans Son action sur la sati t semble plus physiologique que celle obtenue avec l anneau gastrique permettant au patient de maigrir sans devoir limiter consciemment son alimentation La diversion biliopancr atique Fig 3 associ e parfois aux termes Scopinaro duodenal switch ou sleeve gastrectomy est une technique qui obtient un amaigrissement par malabsorption de
31. 0 Herzele Dr Philippe Natens Dr Marc Bosquet Chirurgie orthop dique Sites Ste Elisabeth 2 Alice 02 373 17 20 B amp CO Hospital LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE URO 6P IMRT IMRT Intensity Modulated Radiation Therapy une nouvelle technique de radioth rapie disponible aux Cliniques de l Europe La radioth rapie d intensit modul e est une th rapeutique de haute pr cision permettant d irradier les tumeurs de mani re s lective pour obtenir une diff rence de dosage plus importante entre la tumeur et les tissus avoisinants par rapport aux techniques conventionnelles Parle biais de l IMRT les tissus sains sont mieux prot g s ceci implique d une part une diminution de l importance des effets secondaires et d autre part une possibilit d administration de doses plus lev es La r paration des hernies par laparoscopie se pratique depuis dix ans et pr s de 2000 patients ont t op r s par cette technique qui a comme caract ristiques e un court s jour en clinique 1 2 nuits e peu de douleur et d invalidit physique _une reprise rapide des occupations e des efforts physiques lourds et sports d j autoris s apr s 3 semaines e un taux de r cidive de moins de 5 Le patient entre en clinique la veille de l op ration pour faire ses examens pr op ratoires et tre examin par l anesth siste Le patient est ras et il vide sa vessie juste avant l op
32. S MOINS INVASIVES e i Les syst mes d anneaux gastriques Lap Bana et Lap Band VG CARACT RISTIQUES ET AVANTAGES DR ECHNIQUE Perte de poids long terme prouv e Plus de 200 000 proc dures r alis es dans le monde Une litt rature scientifique tr s compl te Le seul anneau gastrique ajustable ayant re u l approbation de la FDA Une fiabilit prouv e depuis de nombreuses ann es et une qualit de fabrication irr prochable p i AR 6 D r Etu A pP R M E n i A 24 24 Fax 32 T0255 Medical amp Surgical Supplies info aprime com www aprime com
33. a surcharge pond rale Une modification des comportements alimentaires un encouragement une activit physique r guli re et volontaire ainsi qu une meilleure prise en compte des mauvaises habitudes de vie sont les cl s de cette prise en charge Avec les jeunes le travail s articule autour d une stabilisation du poids la perte pond rale n est indiqu e que chez l adolescent en fin de croissance ou dans les ob sit s s v res Glucose insuline Cholest rol LDL HDL triglyc rides GOT GPT T4 TSH LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 27 Nadia Stevens Coordinatrice du service di t tique Sites Ste Elisabeth 2 Alice St Michel L ob sit est un fl au en progression continue Les Etats Unis en sont l exemple le plus criant mais l ob sit touche d sormais tous les pays m me les plus pauvres de la plan te Selon la Food and Agriculture Organization Il y aurait dans le monde plus d ob ses que d affam s En Belgique on estime que trois adultes sur dix souffrent de surcharge pond rale ou d ob sit La surcharge pond rale infantile ne cesse de cro tre elle aussi Approche di t tique dans la chirurgie bariatrique Perdre du poids n est pas une mince affaire et l origine de l ob sit tant multifactorielle sa prise en charge est r alis e de mani re optimale par une quipe pluridisciplinaire comprenant le chirurgien le di t ticien le psychologue le m decin t
34. aire risque professionnel algie vert brale aigu li la rachialgie et invalidante d marche motiv e du patient probl matique psychologique pr dominante Consultation r orientation Dos th rapeutique Evaluation fonctionnelle Evaluation Ecole du dos active comportementale 24 s ances 2x semaine Dr Eug ne Camerman Dr Denis Lemaitre Rendez vous prendre dans le service de m decine physique et r adaptation Site 2 Alice T l 02 373 47 60 Site St Michel T l 02 737 85 21 LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 07 INTRODUCTION Les douleurs lombaires etlombosciatiques sont des douleurs extr mement fr quentes dans la population g n rale elles motivent au moins une consultation m dicale chez environ 80 des Belges Diverses origines tiopathog niques peuvent expliquer ces douleurs au sein desquelles la pathologie du disque intervert bral occupe une place majoritaire La chirurgie du rachis se r v le d cevante avec un taux d chec post op ratoire qui reste lev entre 20 et 30 selon les tudes au point d en avoir cr un syndrome le FBSS Failed Back Surgery Syndrome Dans ce syndrome la chirurgie est souvent parfaitement r ussie mais les esp rances que le patient y avait mises sont rat es avec des douleurs post op ratoires inchang es voire exacerb es Les techniques mini invasives deviennent de plus en plus
35. anneau Dans d autres cas il est n cessaire de repositionner l anneau chirurgicalement ou m me de l enlever le plus souvent par laparoscopie Concomitamment l introduction de l anneau gastrique ajustable sont apparues des complications nouvelles sp cifiques la technique et jusqu alors inconnues du corps m dical les chirurgiens bariatriques mis part Bon nombre de ces patients consultent d abord leur m decin de famille ou se pr sentent aux urgences avec des sympt mes qui peuvent tre trompeurs et donner le change pour une affection cardiothoracique Il peut en r sulter un retard diagnostique avec de graves cons quences m dicales voire l gales L article des Cliniques de l Europe site Ste Elisabeth publi r cemment dans l American Journal of Emergency Medicine a pour but de familiariser les m decins urgentistes aux complications de l anneau gastrique et la gestion de celles ci afin d viter les retards diagnostiques pr judiciables aux patients Il a galement suscit un int r t dans la presse populaire am ricaine et a fait l objet d une analyse comment e dans Merck Medicus mM Pira JR Fake CRE pe E Lu Complications of gastric banding presenting to the emergency department Serge Landen et al American Journal of Emergency Medicine 2005 23 368 370 Anneau gastrique Attention aux complications Un cas v cu sur le site Ste Elisabeth illustre bien l importance d une prise en charge ad qua
36. ans la recherche nutritionnelle Elle initie des r flexions sur l quilibre calorique r actualise certaines recettes et collabore avec une di t ticienne pour proposer une pyramide alimentaire revisit e en fonction des plats consomm s permettant d optimaliser l apport alimentaire quotidien Les sandwiches de ce fast food sain s duisent bien s r les femmes actives mais aussi de plus en plus de jeunes consommateurs et des hommes d affaires soucieux de leur harmonie alimentaire D clinant un concept de restauration rapide en frais naturel et tout pr t EXKi se d veloppe au del de nos fronti res et conquiert Paris Turin et Milan Dans cet Euroscoop consacr la probl matique de l exc s pond ral nous avons souhait mettre l honneur l audacieuse cr ativit conjointe d un jeune groupe belge et d un fleuron de notre h tellerie au c ur de l Europe Gageons que vous y passerez de d licieux moments de travail performants et bienfaisants Dr Roxane Audist re LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs 35 de AA JA i es z mma IN fires o Le syndrome m tabolique une bombe retardement Dr Peter Vandergoten Cardiologie Site St Michel Notre mode de vie occidental associant une large disponibilit et la facilit d acc s une nourriture hyper nerg tique bon march ajout un besoin limit d activit s physiques est l origine d u
37. antal et Delphine d avoir v cu un moment exceptionnel expression des relations privil gi es qui nous unissent tous Qui aurait pu imaginer il y a 11 ans qu un tel lien allait s tablir Notre ami Jean Paul Melchior d sirant donner du c ur ses amis g n ralistes avait imagin organiser une conf rence A la demande de Jean Fran ois Grimmiaux et de moi m me vu l exp rience positive connue la SSMG sont n s les ateliers de cardiologie Succ s inimaginable d s la premi re ann e participation fid le et enthousiaste d un public motiv et avide de p n trer dans le monde de la vie rythm e r guli rement ou irr guli rement d cal e ou sous d cal e fibrill e ou d fibrill e antiagr gu e ou h parin e dilat e ou pont e stabilis e ou d compens e Chaque ann e dans un souci de perfection et de communication nous pr parons g n ralistes r d s au syst me et sp cialistes ces fameux ateliers annuels tant attendus Nous avons v cu les 11 les 12 sont d j en gestation et je remercie toute l quipe des cardiologues qui par leur comp tence et leur disponibilit nous apportent chaque ann e ce grand petit plus au service des patients L exp rience est ce point positive qu un certain nombre de clones ont vu le jour le plus souvent avec la m me quipe de g n ralistes choisissant les sujets d finissant les messages importants et collaborant la pr paration et la
38. au patient un traitement agressif minimal Mais le geste chirurgical seul n est pas suffisant et ne constitue qu un des volets de la prise en charge Le suivi postop ratoire d un patient n cessite des visites r guli res des discussions fouill es et un constant renforcement de sa motivation Si le site St Michel a su se pourvoir des meilleurs atouts pour proposer un traitement chirurgical s r et efficace il n en reste pas moins que c est toujours un h pital Cet aspect institutionnel est encore source d appr hension Bon nombre de patients op r s dans le service viennent de province voire de pays voisins et un suivi en consultation engendre pas mal de soucis d organisation Ainsi est n e l id e d optimiser la collaboration avec les m decins traitants afin de prendre en charge ce r le long terme D autre part d innombrables patients n ont pas de m decin traitant attitr Dans ce cas l id e est sur base d une cartographie des g n ralistes participants d adresser directement ce type de patients l omnipraticien le plus proche de leur domicile Un projet de tables rondes r guli res avec les confr res de terrain est actuellement l tude pour harmoniser cette strat gie Un calendrier de r unions informelles l gard des patients est galement en cours d laboration Au cours de ces meetings le patient pourrait s informer directement et gratuitement aupr s du chirurgien et des m decins g n ralistes
39. ceptation il est important d couter leur discours et d en appr cier toute la d tresse Certes des calculs d exc s pond ral sont n cessaires pour juger de la gravit de l ob sit Mais le dialogue avec le patient est primordial pour d terminer sa motivation et sa capacit future adh rer pleinement un traitement pluridisciplinaire Les crit res d acceptation pour un traitement chirurgical les plus souvent invoqu s et surtout retenus par les compagnies d assurance sont le Body Mass Index BMI Poids en kg BMI Taille 2 m L ob sit morbide est consid r e partir d un BMI de 40 kg m Un BMI sup rieur 35 kg m est accept s il s assortit de la pr sence d un facteur de comorbidit comme le diab te l hypertension l apn e du sommeil ou l arthrose d montr e radiologiquement La critique formuler l gard de ce crit re est la pr pond rance accord e la taille En effet d s que le patient pr sente une grande taille le facteur au carr l oblige atteindre un poids consid rable voire dangereux pour pouvoir acc der une aide chirurgicale Le respect stricto sensu de ce crit re peut conduire des situations caricaturales voire dramatiques Refuser d aider un patient parce qu il ne p se que 110 kgs et que le calcul du BMI lui en impose 120 peut souvent pousser ce dernier pers v rer dans ses exc s alimentaires afin d atteindre le seuil d acceptation Ainsi sur le
40. chirurgie de la silhouette L ob sit chez l enfant Le point de vue di t tique Sport Mode d emploi SOMMAIRE Dr Serge Landen Dr Marc Vertruyen Dr Serge Landen Mme Isabelle Andr Dr Michel Fiasse Dr Stefanie Bosselaers Dr Fr d ric Motte Mme Nadia Stevens Mme Anne Marie Poliart 10 DANS LE COLLIMATEUR Les services de chirurgie digestive 33 COUP DE C UR Les saveurs di t tiques du Crowne Plaza Brussels 35 IN ELECTRO VERITAS Le syndrome m tabolique A QUOI SERT CETTE TECHNIQUE Imagerie m dicale St Michel A VOS PLUMES Les ateliers des Cliniques de l Europe EVENEMENTS 5 me rencontre de g riatrie du 20 juin 2006 Le ch ur de Bruxelles Sud BILLET D HUMEUR D EUMENEGUYL DANS LE PROCHAIN NUMERO Le patient g Avenue De Fr 206 1180 Bruxelles T l 02 373 16 11 Fax 02 373 18 96 Urgences 24h 24 T l 02 373 16 00 36 38 39 40 41 42 43 Rue de Linthout 150 1040 Bruxelles T l 02 737 80 00 Fax 02 737 80 01 Urgences 24h 24 T l 02 737 89 00 Groeselenberg 57 1180 Bruxelles T l 02 373 45 11 Fax 02 373 46 86 FT ELIROIPE Ace EL RCIFA Ed hdi ford AE iiher es EDITEUR RESPONSABLE Dr Marc Van Campenhoudt R DACTEURS EN CHEF Dr Roxane Audist re Dr Pierre Nys COORDINATION Chantal Dekempeneer Delphine Castelain COMIT DE LECTURE Dr Ga tane Boon Dr Frank De Wolf Dr Leopold Ghijselings
41. cine Interne et Endocrinologie Mme Norkiewicz Di t tique e Mme Martin Di t tique N anmoins certains patients prouvent parfois des difficult s revenir r guli rement l h pital en raison d une certaine appr hension des tablissements de soins de sant On entend encore souvent Je ne vais l h pital que si je suis malade Des patients venant de l autre c t de la capitale voire m me de provinces loign es peuvent rencontrer des difficult s se d placer Ainsi a germ l id e d une collaboration plus troite entre praticiens hospitaliers et m decins g n ralistes de proximit les uns assurant la premi re partie du traitement et les seconds le suivi long terme de l affection Les m decins traitants sont par d finition plus proches plus disponibles et mieux inform s du contexte socio conomique des patients L Eurobesity Center est n Pour qui Les patients entrant en ligne de compte pour un traitement chirurgical bariatrique tra nent souvent derri re eux un long pass de r gimes multiples parfois des plus farfelus ainsi que des p riodes de prise m dicamenteuse dont les vertus miraculeuses sont vant es dans les publicit s Ce sont fr quemment des patients au bout du rouleau qui d sirent apporter une solution d finitive leur probl me remontant parfois la prime enfance Avant toute consid ration de poids et taille de crit res ou non d ac
42. comp tences particuli res pour aider le patient modifier profond ment et durablement son comportement alimentaire et ainsi sa fa on d tre au monde Dr Roxane Audist re R dacteur en Chef Dr Pierre Nys R dacteur en Chef Dr Marc Van Campenhoudt Aministrateur d l gu Directeur M dical Dr Myriam De Bie Aministrateur d l gu Directeur G n ral p Les nouveaux collaborateurs Dr Val rie Cavenaile Dr C line de Halleux Dr Leen Swijgers Dr Augustine Bessomo Dr St fanie Bosselaers ULB 1998 UCL 2005 Leuven 2005 UCL 2005 Leuven 2000 Site St Michel Sites Ste Elisabeth Sites Ste Elisabeth Site St Michel Sites Ste Elisabeth Tropisme 2 Alice St Michel 2 Alice Tropisme 2 Alice St Michel proctologie Tropisme Tropisme endocrinologie Tropisme et chirurgie colorectale dermato oncologie Depuis environ 5 ans le secteur de l h modialyse en Belgique est en pleine mutation et devient de plus en plus un m tier de proximit Ces derni res ann es on assiste en effet une augmentation constante du nombre de patients en dialyse chronique dans nos pays industrialis s Ceci est d au vieillissement de la population ainsi qu l augmentation de la pr valence du diab te de type II et de ses complications Par ailleurs les patients en dialyse ont un grand besoin de facilit s ils doivent se rendre leur traitement 3 fois par semaine 52 semai
43. de l anneau et mise au repos de l estomac pendant 2 3 mois L anneau peut ensuite tre regonfl prudemment un volume inf rieur L rosion de la paroi gastrique et la migration progressive de l anneau dans la lumi re gastrique surviennent chez 1 des op r s Le patient peut tre asymptomatique ou ne signaler qu une reprise de poids avec perte de la sensation de pl nitude post prandiale Un signe pathognomonique de la migration intragastrique est l infection du site d implantation du r servoir sous cutan La radiographie montre sur certaines incidences le produit de contraste qui ruisselle au contact direct de l anneau Fig 4 et la gastroscopie permet de visualiser la partie de l anneau ayant migr dans la lumi re gastrique Le traitement habituellement simple consiste enlever l anneau par laparoscopie ou par gastroscopie Les autres complications b nignes concernent les fuites et ruptures de la tubulure qui relie le r servoir sous cutan l anneau Fig 5 ainsi que le retournement du r servoir dans son site sous cutan ce qui emp che son acc s par ponction l aiguille Le diagnostic est assur par une simple radiographie de l abdomen et il suffit de reconnecter la tubulure ou de r implanter le r servoir par une courte intervention ventuellement sous anesth sie locale an Pire I Fane ELLES Isabelle Andr Psychologie clinique Site 2 Alice A quels aspects de la vie de la pe
44. dentaire 4 m Probl me gingival 4 1 2 9 urinaire 7 5 7 3 R gles irr guli res 9 8 74 Fatigue 7 2 6 49 une jure mieus g une Eo de 4 ans le profil p ia Le lt v des effets ind sirables rapport s spontan ment depuis la PT i L Rare 0 01 lt 0 1 Hypersensibilit ex prurit rash cutan urticait s angioedeme bronchospasme et r action anaphylactique Tr s lt 0 01 Diverticulites Tr s rare amp 0 01 Cholelithiase potentiellement graves Tr s rare lt O 1 Eruptions bulleuses lt 0 01 Augmentation des transaminases et des phosphata es h patiques Diminution du taux de proth ieys augmentatio d s quiliore du traitement mana s param tres de l h mosta oj ont t rappo og en_ass oya me Uni NUM ROS MED AUS EU 1 98 071 001 BR 7702 diteur responsable Dr Ch Lenaerts 05 2006 XENICAL LE PREMIER DE SA CLASSE ADULTES ET ADOLESCENTS ADMIS EDITO E NEWS Nouveaux collaborateurs Batinews Nouveau centre de dialyse Waterloo Le nouveau lithotripteur de Ste Elisabeth Le point sur l cole du dos La nucl oplastie une technique d avenir L arthrosurface IMRT La chirurgie des hernies Radioth rapie oncologie DOSSIER OB SIT La chirurgie de l ob sit L Eurobesity center de St Michel Les complications de l anneau L intervention du psychologue Le ballon intragastrique La
45. e ar d roulement en bandes du colon 1 la coronogaraphie par CT scanner a d couverte d un polype b reconstruction virtuelle du colon en double contraste c d roulement en bande de la lumi re colique Reconstruction de l arbre coronarien en 3D b et en vue planaire c 4 le Dental scanner avec simulation de pose d implants 2 l angiographie par scanner Reconstructions angiographiques faites en routine a membres inferieurs Simulation de pose d implants b apr s rep rage du nerf dentaire a b aorte abdominale c troncs supra aortiques UROSGP N 7 SEPTEMBRE 2006 ATELIER quand tu nous tiens Dr Robert Dobbelaere Ambiance survolt e et B1 B2 r son nants devant un public conquis Un animateur de soir e hors pair d couvert par le toujours pr sent Andr Mirzabekiantz les petits chantres adeptes de Pierre Perret de l association Auboi et la chorale Bruxelles Sud se lan ant le c ur serr et palpitant mais combien g n reux dans un spectacle qui a tonn et surtout conquis La troisi me mi temps des ateliers de cardio a emport tous les participants dans le tourbillon de la magie du chant du spectacle du rire et surtout de la bonne humeur partag e Du jamais vu Et le sentiment pour chacun en passant par les docteurs De Bie et Van Campenhoudlt les cardiologues les m decins g n ralistes les conjoints et les deux efficaces relations publiques Ch
46. e de mitonchondfries Corollaire les personnes ob ses ont un seuil ventilatoire bas et sont donc plus vite essouffl es l effort Un des objectifs de l entra nement doit tre de d caler vers la droite ce seuil ventilatoire ou seuil de dyspn e M canismes nerg tiques et mobilisation des graisses Le glucose et les acides gras AGNE sont les principales sources d nergie cellulaire Le concept du cycle Glucose Acides Gras a t g n ralis l effort par Newslome en 1973 Phosphag ne myofibrillaire Glycolyse ana robie Source nerg tique imm diatement disponible au niveau du muscle stri Temps de latence en recherche de glycog ne h patique d grader en glucose Krebs Bonne adaptation Dyspn e Le seuil ventilatoire ou seuil ana robie est le seuil de transition entre la glycolyse a robie et la glycolyse ana robie lors de l effort prolong Il correspond au d but de la dyspn e et annonce la fin de l effort Plus il est bas plus vite on est essouffl 30 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 Glycolyse a robie Utilisation de glycog ne et d acides gras en pr sence d O cycle de Bonne adaptation SEUIL VENTILATOIRE Glycolyse ana robie Pouvoir d O att nu production d acide lactique non tamponn qui s accumule acidose m tabolique Dyspn e D crochage ventilatoire Crampes musculaires Le m canisme de cette r gulation est r sum
47. e pratiqu e en tant que proc dure compl mentaire S lection des patients Les candidats ayant opt pour une correction chirurgicale de la silhouette doivent tre s lectionn s et inform s avec grande minutie Les patients doivent avoir des perspectives r alistes La perfection n est pas un objectif r aliste De longues incisions donnent lieu des cicatrices souvent tendues que les patients doivent tre pr ts accepter Ils doivent galement s attendre une longue p riode de r cup ration Des complications importantes peuvent survenir et le patient doit faire preuve de suffisamment de stabilit mentale et physique pour y faire face Pour certains patients une consultation psychologique pr op ratoire est conseiller Le poids du patient doit tre stable Si une perte de poids ult rieure est pr voir mieux vaut postposer la chirurgie plastique Les meilleurs r sultats seront obtenus lorsque que le patient aura acquis un poids proche de son poids corporel id al Par ailleurs le risque de complications est moindre en cas de poids plus l ger Le meilleur moment pour r aliser une chirurgie plastique se situe entre 6 et 12 mois apr s l obtention d un poids stable S il existe un d sir de grossesse on postposera la chirurgie de correction Il convient d examiner au pr alable les probl mes m dicaux chroniques Un diab te contr l et une hypertension ne sont pas des contre indications absolue
48. er orienter les patients pr sentant un risque cardio vasculaire lev tel que le syndrome m tabolique Vous pouvez recruter ces patients en proc dant tout simplement une anamn se selon les directives FID voir tableau 1 S ils remplissent les conditions du syndrome m tabolique ils entrent en ligne de compte pour le set de multislim start Ce set est compos d un test d effort sp cial associ un programme de fitness personnalis et un entretien pr liminaire avec le di t ticien et le psychologue Ult rieurement ils ont le choix entre un set multislim light ou un multislim regular conform ment leur pr f rence de suivre un programme d entra nement externe ouinterne En outre les deux sets sont compos s de an i PLIN Fane FEAA Tableau 1 F d ration Internationale du Diab te FID crit res pour le syndrome m tabolique Berlin 2005 1 ob sit abdominale ou circonf rence de la taille de plus de 94 cm pour un homme et de plus de 80 cm pour une femme 2 en association avec au moins deux des facteurs de risques suivants un taux de glyc mie jeun lev gt 110 mg dl ou un diab te connu une tension art rielle en moyenne sup rieure 130 85 mm Hg ou une hypertension connue une triglyc rid mie lev e gt 150 mg dl ou tre en traitement pour celle ci une cholest rol mie HDL basse de lt 40 mg dl pour un homme ou lt 50 mg dl pour une femme
49. eront prescrits le cas ch ant e du poids perte r guli re de poids sans reprise de poids pratique d une activit physique avec accord m dical etc e de la qualit de vie alimentaire en vitant le dumping syndrome attention aux concentr s sucr s et les vomissements Tableau 2 Carences ventuelles Martiales av r es Martiales possibles Vitaminiques B9 B12 en Folates possibles folates av r es Prot iques suite l op ration elles ne sont plus r sorb es au niveau de l intestin n cessit d enrichir l alimentation en prot ines Prot iques par viction non justifi es de certains aliments toujours r essayer celui qui ne passe pas Les r gles hygi no di t tiques bien observ es peuvent am liorer la qualit de vie alimentaire et la perte de poids du patient e Manger lentement dans le calme et veiller bien m cher les aliments e Respecter la sensation de rassasiement D s qu elle est atteinte arr ter de manger e Fractionner l alimentation en 6 prises par jour au moins e Boire pr f rentiellement entre les repas par petites gorg es lentement La boisson id ale reste l eau plate et la quantit est de 1 5 litre jour e Eviter les boissons gazeuses car elles favorisent le reflux Si un aliment n est pas support ou ne passe pas r essayer un peu plus tard Ne pas le mettre de c t d finitivement car cela peut cr er des carences ou des
50. es En plus des anneaux gastriques qui restreignent la quantit d aliments pouvant tre ing r s nous pratiquons chez certains patients des techniques mixtes bypass gastrique ou des techniques qui r duisent la capacit d absorption des aliments par l intestin diversion biliopancr atique Jusqu pr sent le suivi tait assur par le chirurgien lui m me aid d une di t ticienne et si n cessaire d un psychologue Depuis cette ann e la prise en charge du patient ob se est effectu e par une quipe multidisciplinaire compos e de chirurgiens di t ticiennes psychologues internistes p diatres gastro ent rologues et physioth rapeutes chaque membre ayant re u une formation sp cifique l ob sit Les objectifs de l quipe sont valuer les patients candidats la chirurgie assurer le suivi des op r s proposer des alternatives aux patients non candidats la chirurgie et jouer un r le de pr vention destin e surtout aux enfants et adolescents A l avenir nous pr voyons d organiser des journ es portes ouvertes o m decins g n ralistes et futurs patients pourront s informer et recueillir des t moignages d anciens op r s de Ste Elisabeth Ainsi nous esp rons r pondre la demande croissante de nos m decins g n ralistes pour un soutien dans la gestion de leurs patients ob ses y compris les enfants et adolescents 14 UROS P N 7 SEPTEMBRE 2006 A l occasion de l inaugura
51. heure 02 373 46 19 LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P Arthrosurface un tout nouveau concept dans le traitement Une quipe de chirurgiens orthop distes du site Ste Elisabeth oeuvre en vue d am liorer la technique arthrosurface L arthrosurface n est pas une nouvelle technique quelconque mais une innovation susceptible de traiter l arthrose et les l sions cartilagineuses Elle permet d viter le remplacement d une articulation dans sa totalit par une proth se chez des patients trop jeunes pour subir unetelleinterventionetayantunniveaud activit stropimportant L avantage m dico conomique r side dans la revalidation et l hospitalisation de tr s courte dur e arthrosurface 2 jours proth se de hanche 7 jours proth se de genou 10 jours En outre si cela s av re n cessaire ult rieurement l articulation douloureuse pourra toujours tre remplac e par une proth se On ne br le donc pas les ponts derri re soi Pour traiter l arthrose l orthop diste dispose des moyens suivants le traitement conservateur par kin sith rapie m dications antalgiques et anti inflammatoires appareillages appareils de kin semelles orthop diques etc e les transplantations cartilagineuses pr conis es chez les patients jeunes moins de 30 ans le remplacement de l articulation et l implantation d une proth se de hanche ou de genou chezles patients plus g s
52. i rigide ou souple combin e ventuellement au laser Holmium le choix du traitement d pendra du tableau clinique ainsi que de la taille de la localisation et de la nature du calcul RICHARD 06 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 Complications et contre indications de la LEC Les complications apr s lithotripsie extracorporelle sont rares mais ne peuvent tre ignor es il s agitessentiellement de probl mes septiques et d h matomes L infection urinaire les troubles d h mostase et la prise d anticoagulants contre indiquent donc laLEC et les mesu res ad quates doivent tre prises avant tout traitement Une crise de colique n phr tique est toujours possible apr s fragmentation d un calcul r nal Le risque est proportionnel la taille du calcul Pour des calculs dont la taille exc de 1 cm la mise en place pr alable d une sonde ur t rale JJ est conseill e Dr Christophe Assenmacher Dr Daniel Hublet Dr Sylvain Nesa Dr Jan Benijts Responsable de l unit lithiase urinaire Dr Sylvain Nesa Prise de rendez vous secr tariat d urologie Ste Elisabeth T l 02 373 17 40 ln _ PLR vas FEAA Le point sur L cole du dos active L E D A est bas e sur la r ducation pluridisciplinaire des rachialgies int grant une structure ducative biom canique et ergonomie rachidienne et une kin sith rapie ax e sur une restauration fonctionnelle du rachis et un r entra nement
53. ith TRANSFORMING A ETHICON ENDO SURGERY PATIENT CARE a men tommen company THROUGH 4 X INNOVATION MEDICAL VELOCI Y INJECTION PORT AND APPLIEPR SAGB QuickClose Just Got Quicker Taking less than one minute placement of the Velocity injection port saves operative time PO 126 A Suture less anchors provide er 3 66 greater attachment W an strength than four 2 0 Prolene N ds sutures The Velocity offers greater F tubing protection than competitive ports The larger septum area provides a larger needle target area during adjustments in cooperation with TRANSFORMING afohmen compan K 1 1136 H PATIENT CARE BARIATRICZDGE SPEC mes Les saveurs di t tiques Plaza Brussels du Crowne Les ingredients Pour le bien tre le somptueux d cor d un fleuron de l h tellerie bruxelloise Pour l quilibre la qualit des produits EXKi partenaire sant Pour le plaisir la talentueuse cr ativit d un Chef L gumes Pr paration S lectionner rigoureusement tous les produits et proscrire dulcorants et colorants D cliner les l gumes au gr de votre fantaisie en plats sauces ou garnitures Veiller r v ler leurs subtiles saveurs et chatoyantes couleurs Incorporer les autres ingr dients dans le respect d un quilibre nerg tique Accompagner d une sauce d licate ou d une savoureuse vinaigrette dans laquelle u
54. mani re significative en raison de l incapacit de la peau tir e se r tracter La chirurgie visant corriger la silhouette est galement utile en pr sence d autres probl mes associ s Outre l aspect esth tique peu agr able il est souvent malais de garder les plis cutan s surplombants secs et propres Letraitement d une dermatiteintertrigineuse en particulier partemps chaud n est pas ais malgr une bonne hygi ne personnelle If n est pas facile de trouver des v tements ad quats car les diff rentes zones corporelles ne sont pas toujours proportionn es Des douleurs dorsales persistantes peuvent galement tre la cons quence d un exc s de peau abdominale Une chirurgie visant remodeler la silhouette doit tre faite sur mesure afin de corriger les zones probl matiques sp cifiques Souvent plusieurs op rations s quentielles sont n cessaires Dans un premier temps une abdominoplastie circulaire est r alis e pour correction des r gions abdominale et lombaire am J A CAT DFE makes DIRES SRE Lu Parfois une mastopexie compl mentaire est effectu e associ e ou non une mammoplastie augmentative Une reverse abdominoplastie est plus rarement r alis e pour corriger la r gion thoracique Un lifting des bras brachioplastie ou un lifting des cuisses y est fr quemment associ Un lifting facial corrige la laxit de la peau au niveau du visage et du cou Une liposuccion peut tr
55. ment sur la sant et de leur fr quence croissante Bien plus ce probl me de sant autrefois surtout confin aux adultes touche actuellement davantage d adolescents et d enfants en bas ge Le nombre d enfants atteints de surpoids et d ob sit est de plus de 10 et ne cesse d augmenter d ann e en ann e rejoignant grands pas les statistiques am ricaines L volution du mode de vie tant au niveau de l alimentation que de l exercice semble responsable de ce fl au Ce surpoids engendre outre des probl mes m taboliques et m caniques de lourdes cons quences sociales chez l enfant victime de moqueries sources d une perte d estime de soi et d un tat d isolement Acanthosis nigricans cervical chez une adolescente ob se signant une insulino r sistance Actuellement plus de la moiti des adolescents ob ses demeurent ob ses l ge adulte Une prise en charge pr coce est indispensable pour permettre ces enfants de franchir leur adolescence et d entrer dans le monde adulte d barrass s de cette surcharge La recherche de facteurs de risque cardio vasculaire au sein de la famille est une tape importante de la d marche Une approche multidisciplinaire m dicale psychologique et di t tique est indispensable Un bilan m tabolique est r alis chez certains en vue de rechercher bien plus les cons quences m taboliques diab te hyperlipid mie st atose h patique que les causes de l
56. ment de chirurgie digestive du site St Michel Si l ensemble de la pathologie abdominale lourde est g r sur le site Saint Michel toutefois chaque chirurgien affiche clairement des p les d int r ts diff rents Le Dr Cavenaille s est fix pour mission de d velopper la chirurgie proctologique en collaboration avec les gastroent rologues du site Le Dr Vertruyen met un point d honneur prendre en charge le versant chirurgical du traitement de l ob sit Il coordonne l Eurobesity Center qui optimise la prise en charge pluridisciplinaire du traitement de l exc s pond ral Un vaste r seau bas sur l inclusion des m decins traitants dans la dynamique th rapeutique est en train de voir le jour afin d offrir aux patients une solution compl te fiable et durable quelle que soit la gravit de leur exc dent pond ral Le service de chirurgie digestive des sites Ste Elisabeth et 2 Alice Dr Serge Landen Dr de Neve de Roden Dr Koen Van Belle Le service de chirurgie digestive effectue 1000 op rations chirurgicales par an dans les domaines chirurgicaux suivants e sophage et estomac e colon et rectum e foie voies biliaires et pancr as e chirurgie de l ob sit e chirurgie des hernies e pathologies de l anus e surr nales Depuis dix ans le service s est sp cialis dans les nouvelles technologies en particulier la chirurgie mini invasive qui repr sente actuellement 80 des inte
57. milieu g riatrique et a partag quelques r flexions sur la psychologie de la personne g e Cette cinqui me rencontre g riatrique s est ensuite traditionnellement cl tur e par une discussion ouverte permettant d enrichir nos points de vue pour au final am liorer la prise en charge de nos a n s Dr Marc Leonard Mr Bernard Wautelet M Nathalie Pauwels M St phanie Engels et Dr Inge Declercq EUROS N 7 SEPTEMBRE 2006 Dr Nicole Van Nieuwenhuyse Puisque cette journ e du c ur place le c ur au c ur de l histoire Je vais vous raconter l histoire du ch ur de Bruxelles Sud Au d but nous tions quelques petits docteurs Et l id e de devenir enfin ma tres chanteurs Dans cette jungle nous tenait fort c ur Nous avons d cid de jouer la carte du c ur Mais pour diriger ces dames et ces rois de c ur Il nous fallait absolument un as de c ur Qui ait le c ur bien accroch Pour prendre la t te de notre ch ur Et nous l avons trouv Il a un c ur en or et ses encouragements nous vont droit au coeur C est Paul c est notre coup de c ur Merci de tout c ur Le dimanche soir la maison nous r p tons du fond du coeur Pour notre plus grand bonheur Sans ranc ur et jamais contrecoeur D ailleurs tout le monde arrive bien l heure Nous avons l eau la bouche et la bouche en c ur Car notre resto du ch ur tous apportent d infinies douceurs Qu ils ont pr par e
58. ncements fugaces l aine lors d efforts au cours des trois premiers mois Dr Serge Landen Chirurgie digestive et laparoscopique Site Ste Elisabeth 02 373 17 20 Le service de radioth rapie oncologie des Cliniques de l Europe prend son envol Depuis le mois de novembre 2001 notre clinique propose la brachyth rapie de la prostate consistant en l implantation de grains radioactifs dans le tissu prostatique en cas de carcinome localis cf Euroscoop n 1 comme traitement alternatif de la prostatectomie radicale Une excellente collaboration avecle service d Urologie nous a d j permis de traiter plus de 200 patients et contribue au d veloppement et au perfectionnement de cette technique Cette volution n est pas pass e inaper ue dans le monde m dical En interne et parmi les communaut s urologiques et radioth rapeutiques de Belgique des signes manifestes d appr ciation nous sont parvenus De nombreux urologues et radioth rapeutes d autres centres ont suivi les interventions avec int r t et certains ont adopt la proc dure que nous avions labor e Notre service aaussi t sollicit de mani re spontan e par certains centres pour travailler en troite coop ration Des contrats de collaboration ont t tablis avec les services d urologie de trois cliniques l AZ Jan Portaels de Vilvoorde la Heilig Hartziekenhuis de Leuven et la Sankt Nikolaus Krankenhaus d Eupen Au sein de chacune de ces cliniq
59. nde majorit des cas semble de meilleur pronostic que pour des douleurs 85 90 non chirurgical lombaires pures Aucune complication majeure l sions La douleur n est jamais sauf dans une forme hyperalgique nerveuses ou vasculaires n a t rapport e une indication m dicale pour une chirurgie le patient est seul face sa d cision chirurgicale en toute connaissance CONCLUSIONS Ea La nucl oplastie discale d compressive par coablation M THODE repr sente une bonne alternative pour un patient chez qui une indication chirurgicale a t pos e Cette technique mini invasive n est actuellement pas rembours e en Belgique contrairement d autres pays europ ens Cette technique est trop r cente pour disposer de r sultats long terme mais les suivis actuels Le patient est plac en position ventrale Une aiguille 17Gaugeestpositionn e l entr e du disqueintervert bral traiter sous contr le radioscopique L lectrode bipolaire est introduite dans l aiguille 17Gauge en activant l ablation au mouvement aller et la coagulation au mouvement retour Douze canaux sont ainsi cr s dans le noyau discal sont d j tr s prometteurs en tournant l lectrode dans le sens horaire avec un arr t chaque heure La dur e totale du traitement est de Dr Serge Prudhomme 20 minutes par niveau discal Cette technique se r alise Anesth siologie sous anesth sie locale et le patient quitte l h pital apr s Site 2 Alice 1
60. ne infime touche d huile sert essentiellement de liant Dresser artistiquement le mets compos et servir dans un environnement d di l harmonie et au bien tre Suggestions Le Crowne Plaza Brussels City Centre Le Palace a choisi depuis juin 2006 d accorder sa confiance EXKI jeune entreprise belge pour inviter les clients de sa nouvelle philosophie h teli re Balanced Senses se prendre en charge par rapport la nourriture Le concept Balanced Senses propose un cadre sp cifique pour optimaliser les r unions de travail dans un souci de performance et de convivialit La participation active et le maintien de l attention sont au centre des pr occupations Tout y est soigneusement tudi la technologie audiovisuelle de pointe les coloris du d cor l accord des lumi res les senteurs et la qualit de l ambiance sonore pour aiguiser les sens augmenter la motivation et diminuer le stress Au cours des pauses d tente une attention particuli re est accord e aux collations accompagn es de jus de fruits ou l gumes frais de boissons de r gime ou nergisantes et d un vrai bon caf La restauration d EXKi souhaite mettre les l gumes en exergue sources de cr ativit in puisable et d innombrables saveurs si amusants travailler selon le dire de Frank Fol le Chef L gumes L entreprise membre d Eurotoques qui promotionnent les produits de terroir s investit d
61. ne nouvelle pid mie le syndrome m tabolique De r centes tudes ont d montr que 10 15 de la population belge pr sentent les signes caract ristiques de ce syndrome m tabolique L incidence est encore plus importante chez les personnes g es de plus de 50 ans et atteint 20 25 dans ce groupe de population Aux Etats Unis ce chiffre s l ve d j 50 dans certains groupes d ge Ce syndrome m tabolique semble voluer vers un r el d sastre conomique et m dical Un d sastre m dical apr s 10 ans le risque de maladies cardio vasculaires augmente de 30 Un d sastre conomique chez les patients ob ses les risques cardio vasculaires sont augment s de 40 les risques de thrombose c r brale de 27 et les risques d tre atteints de certains cancers de 20 Des calculs ont d montr que durant une carri re compl te le Belge ob se co te davantage jusqu 36 l assurance maladie par rapport ses coll gues non ob ses Les particularit s la base de ce syndrome sont les graisses situ es au niveau de la cavit abdominale et qui par leurs caract ristiques m taboliques et hormonales sp cifiques provoquent des taux lev s de glyc mie dans le sang une hypertension art rielle et une atteinte des vaisseaux sanguins Le tableau 1 mentionne les actuels crit res FID utilis s depuis 2005 A ce jour il n existe aucun traitement attaquant directement la cause d
62. nement pr f rentiellement en endurance et ou en puissance Exemple de protocole d entra nement Premier objectif durant les 4 premi res semaines l objectif est d augmenter le seuil ventilatoire pour diminuer la sensation de dyspn e typique des personnes en surcharge pond rale On utilise dans un 1 temps des engins qui portent le poids de la personne soit le VELO ou le RAMEUR nterval Training raison de 3x semaine minimum 30 minutes puissance le muscle doit avoir la puissance a robie pour avoir la capacit a robie Deuxi me objectif utilisation des graisses En plus du v lo on peut introduire par exemple la marche sur TAPIS ROULANT avec l volution suivante alternance de marche normale 4 0 km h et de marche rapide 6 0 km h marche rapide 6 0 km h en continu alternance de marche rapide 6 0 km h et course Dans ce cas on ex cute un travail d intensit moindre de 50 60 de la VO2 max mais de dur e plus longue min 1h00 sans interruption raison de 2 3x semaine Troisi me objectif phase d entretien allier entra nement en endurance et mobilisation des graisses Le sport roi est incontestablement le JOGGING les alternatives comme le step le v lo randonn e la natation pratiqu es de mani re r guli re minimum 1H00 1 2 fois par semaine en fonction de la disponibilit socio professionnelle permettent de garantir le maintien de l acquis seuil ven
63. nes sur 52 Enfin les techniques de dialyse elles m mes sont en progr s constant Pour toutes ces raisons le service de n phrologie dialyse des Cliniques de l Europe situ sur le site des 2 Alice Uccle a ouvert une extension sur le site de Saint Michel Etterbeek fin 2002 cho morphologique diab tologie chirurgie plastique BATI NEWS nouveau centr de dialyse au coeur de Waterloo Notre service a maintenant le plaisir de vous annoncer l ouverture depuis juillet 2006 d un centre de dialyse Waterloo en collaboration avec le service de n phrologie des cliniques universitaires Saint Luc Pr M Jadoul Ce centre situ en plein c ur du centre commercial de Waterloo est quip d une infrastructure ultramoderne dans un environnement agr able spacieux et tr s lumineux I comporte 8 postes permettant de dialyser jusqu 32 patients Un grand parking situ devant l entr e permet les all es et venues sans difficult s Gr ce des infirmi res chevronn es et une pr sence m dicale quotidienne le traitement peut s effectuer dans des conditions de s curit maximale Des consultations de n phrologie g n rale sont galement organis es au sein de ce service Dr Fran ois Reginster Dr An Van Audenhove Dr Ga tan Clerbaux Centre de dialyse de Waterloo Chauss e de Bruxelles 410 1410 Waterloo T l et Fax 02 357 17 97 LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs 05 Le
64. nouveau lithotripteur des Cliniques de l Europe Depuis le mois de juin 2006 un nouveau lithotripteur extracorporel compl te notre arsenal th rapeutique des lithiases urinaires Il s agit du PIEZOLITH 3000 de la firme Wolf L appareil est op rationnel sur le site de Ste Elisabeth Principe de la Lithotripsie extracorporelle LEC L nergie g n r e par le lithotripteur prend naissance dans plusieurs milliers d l ments c ramiques pi zo lectriques Les ondes de choc produites sont alors focalis es et dirig es vers le calcul l aide d un syst me de rep rage soit chographique soit radiographique bidimensionnel La r p tition des impacts sur le calcul 1000 3500 coups en moyenne par s ance entra ne sa destruction progressive en fins fragments que le patient liminera par les voies naturelles Les perfectionnements apport s aux lithotripteurs de der ni re g n ration comme le Piezolith 3000 ont sensiblement am lior les r sultats de fragmentation des calculs et per mettent un traitement quasi indolore Le traitement ne n cessite pas de pr paration particuli re s effectue en ambulatoire et ne requiert aucune anes th sie Indication de la LEC La LEC est certainement l approche th rapeutique de choix des calculs r naux En ce qui concerne les calculs ur t raux la LEC occupe une place compl mentaire par rapport aux autres traitements que sont le traitement m dical et l ur t roscopie sem
65. ob urologue Sankt Nikolaus Krankenhaus Eupen Sur le plan international l volution ult rieure de notre technique et les r sultats favorables obtenus ont galement t mis en vidence La firme Oncura l un des leaders de l volution du mat riel radioactif nous a s lectionn s parmi quatre centres de r f rence europ ens pour laborer un DVD relatif cette m thode Lors de congr s et de formations continues ce DVD est distribu au sein de la communaut urologique et radioth rapeutique internationale Apr s avoir visualis ce mat riel un centre de Durban Afrique du Sud a opt pour notre technique nous y f mes invit s en f vrier pour traiter ensemble les quatre premiers patients Tous ces signes d appr ciation les bons r sultats et la satisfaction des patients trait s nous stimulent poursuivre dans cette voie Dr Carl Salembier Oncologie radioth rapie Sites Ste Elisabeth 2 Alice St Michel Mr Alex Rijnders Physicien Site 2 Alice LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 13 Le site Ste Elisabeth se dote d un centre de l ob sit Dr Serge Landen Dr Koen Van Belle Chirurgie abdominale et laparoscopique Centre de l Ob sit Le premier anneau gastrique ajustable fut pos en 1995 la clinique Ste Elisabeth Depuis lors de nombreux patients ont b n fici du bien tre physique et psychologique que procurent ces interventions chirurgical
66. oc dant une petite incision permettant au pa tient d entamer des exercices le jour m me D s le lendemain il peut prendre appui Deux jours apr s l intervention _ il peut rentrer domicile Hanche Un patient de 50 ans d veloppe une n crose avasculaire de la t te f morale Plusieurs affections par exemple la goutte le diab te la prise de cortisone peuvent occasionner une diminu tion partielle de l apport sanguin au niveau de la t te f morale g n rant une d formation cet endroit Les patients se plai gnent de douleurs de claudication et sont aussi tenant compte de leur ge limit s dans leurs activit s quotidiennes Fig 3 Jusqu ce jour la solution r sidait dans le remplacement de l articulation de la hanche en pla ant une proth se avec implantation d une t te m tallique et d un cotyle en mati re plastique sp cifique L arthrosurface permet de remplacer uniquement la partie affect e de la t te Fig 4 La zone affect e est remplac e par une plaquette pr sentant la m me courbure que la t te f morale J AFAT JE ren DIRES ER Lu Autres articulations L paule et bient t la cheville peut b n ficier de la m me technique Fig 5 Les Drs Filip Natens et Marc Bosquet contribuent au d velop pement de cette technique et son introduction au Benelux Ce d veloppement s effectue en collaboration avec la firme B amp CO Mustaardstraat 47 B 955
67. occupetarent l avenir d un bac sable Ces types ont un grain On avait affaire des lecteurs intelligents car deux bulletins seulement allaient tre consid r s comme nuls ar contie aucune insctuiption du style la d tatisation d abord les rats des mutuelles au feu o Demot rate gratis ce qui eut d not un tat le bol des obligations lectorales Ma susceptibilit f minine fut largement satisfaite lorsque j appris in fine qu un tiers des membres du Conseil M dical tait des femelles n ne s ennuieta pas dans le bac sable dans le style pouiquot as tu plant ton r teau dans les moules Te Pravo les filles Le ER dre Rs aA En KE ya i R F i a a he femelle est lavenir du rat Jen d plaise certains E Cum neguyl 2 DANSILE PROCHA LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE URO P Le syst me de ballon intragastrique BIB BioEnterics Intragastric Balloon System CARACT RISTIQUES DE LA TECHNIQUE INDICATIONS De Ale IA MAMLIPFIR a 3 HAA a T C ALA earar m A P indad ue P ur InauiIre une ae DOI s ava nt un NIter vention bariatrique ou pr alablement une op ration chirurgicale chez les patients super ob ses afin d en diminuer les risques Plus de 20 000 syst mes BIB plac s actuellement dans le monde Une centaine d articles scientifiques disponibles lOD SIE LES SOLUTIONS M DICALES LE
68. que et social Nous mettons celles ci en balance avec les b n fices dont le patient profitera suite l intervention et nous l informons des r percussions potentielles de celle ci Enfin nous l accompagnons tout au long du processus post op ratoire afin que les modifications de sa silhouette aillent de pair avec une am lioration de sa qualit de vie LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs 21 Le BIB Bioenterics Intragastric Balloon Dr Michel Fiasse Gastro ent rologie Sites Ste Elisabeth 2 Alice Introduction Selon l OMS plus d un milliard de personnes dans le monde sont en surpoids et 300 millions d entre elles pr sentent un surpoids suffisamment important pour les qualifier d ob ses On estime m me que 115 millions d entre elles seront affect es par des probl mes m dicaux s rieux diab te maladies cardio vasculaires embolie cancer et hyper tension art rielle Les tudes ont d montr que certaines pathologies peuvent s am liorer une fois le poids exc dentaire limin Pour rappel l ob sit est d finie par un BMI Body Mass Index c d le rapport entre le poids exprim en kg par la taille au carr exprim es en m tres sup rieur 30 Au del de 40 on parle d ob sit morbide Le BIB est un ballon souple en silicone que l on ins re dans l estomac avant de le remplir de solution saline ce ballon procure une sensation de sati t et emp che donc d avoir faim
69. raitant le kin sith rapeute l endocrinologue l infirmier et le patient lui m me Cette liste n est pas exhaustive d autres intervenants pouvant rejoindre l quipe en fonction des besoins du patient Dans cet article nous nous limiterons d crire le r le du di t ticien chez le patient candidat la chirurgie c est dire dans les ob sit s les plus s v res Le di t ticien intervient en pr op ratoire lors de l hospitali sation et en post op ratoire Ses objectifs sont de trois ordres 1 faire perdre du poids en couvrant les besoins nutritionnels de l organisme emp cher les victions alimentaires sources de carences red finir les bases d une alimentation quilibr e avec la pyramide alimentaire et rappeler les r gles hygi no di t tiques Le bilan di t tique pr op ratoire Cette premi re consultation permet e de s informer gr ce une enqu te alimentaire bien men e aupr s du patient conna tre l histoire de son ob sit les r gimes d j entrepris et leurs r sultats s il est grignoteur quelle est sa structure de repas s il consomme de grandes 28 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 LA PYRAMIDE ALIMENT AIRE Les temps en temps Agr ables pas indispensables Mati res grasses lipides nn Viandes volailles poissons oeufs et d riv s Produits laitiers A prot ines L gumes et fruits vitamines min raux fibres et eau F culents
70. ration Celle ci se pratique sous anesth sie g n rale et dure 45 minutes Le chirurgien effectue trois petites incisions 5 mm 5 mm 10 mm sur l abdomen en dessous du nombril par lesquelles il introduit la cam ra les instruments et la proth se enroul e Le contenu de la hernie est repositionn dans l abdomen et la hernie est r par e en intercalant une proth se filet de 15x12 cm qui est d ploy e entre deux couches de la paroi abdominale Si le patient le sou haite il peut rentrer domicile le soir m me avec comme seul traitement des antidouleurs parac tamol prendre si n cessaire 12 UROSG N 7 SEPTEMBRE 2006 Cure de hernie par laparoscopie approche mini invasive sur la tumeur laissant esp rer un meilleur contr le de celle ci et un taux plus lev de survie Les principaux champs d application de cette technique sont les carcinomes prostatiques les tumeurs gyn cologiques les tumeurs au niveau de la t te et du cou ainsi que les tumeurs rectales R cemment un important investissement financier a t r alis dans le service de radioth rapie pour l achat du module IMRT et pour la modernisation de l appareil de radioth rapie et de l appareillage p riph rique correspondant Aussi depuis le d but de cette ann e notre clinique est la premi re parmi les autres institutions priv es bruxelloises utiliser l IMRT dans les carcinomes prostatiques et les tumeurs rectales D aut
71. res indications de l IMRT seront d velopp es plus amplement au sein du service dans les ann es venir Dr Marina Debecker Oncologie Radioth rapie Site 2 Alice 02 373 47 58 Les fils de suture cutan e peuvent tre enlev s aux alentours du 10 jour post op ratoire En attendant le pa tient peut se doucher avec des pan sements plastifi s tanches qu il peut conserver jusqu l ablation des fils Une activit physique normale esca liers voiture est autoris e imm dlia tement l est recommand d attendre trois semaines avant de faire du sport et des efforts lourds soulever gt 10 kg Les suites op ratoires normales comportent toujours e un ballonnement abdominal pendant deux semaines e des plaies qui restent dures pendant plusieurs mois Le patient ne doit pas s inqui ter s il pr sente transitoirement e une ecchymose des organes g nitaux qui dispara t apr s deux semaines e une boule de la m me taille et l endroit m me o se situait la hernie A l inverse d une hernie cette boule est dure indolore et ne peut pas tre repouss e l int rieur Il ne s agit pas d une r cidive mais simplement de liquide qui se met dans la loge qu occupait la hernie Cette boule dispara t spontan ment sans traitement apr s deux mois e une sensibilit des bourses au frottement qui dispara t end ans le mois et ne justifie que la prise ventuelle d antidouleur e de rares la
72. rmin e n cessitant une intervention chirurgicale en urgence 2 d intol rance compl te du ballon n cessitant son retrait pr coce 4 Retrait du BIB Apr s 6 mois le BIB est retir de l estomac galement sous anesth sie par Diprivan hospitalisation de 24h au moyen d une aiguille creuse introduite endoscopiquement dans le ballon et reli e un cath ter par lequel la solution saline est aspir e et le ballon ainsi vid Une fois vid le BIB est extrait endoscopiquement de l estomac par une anse polypectomie 5 R sultats La perte de poids moyenne au cours des 6 mois est de 20 kilos extr mes situ s entre 2 kg et 35 kg BMI BMI 1 36 83149449 35 4724235 3499083772 3434765454 3384077597 3303445529 32 04982948 Temps BMI 2 BMI 3 BMI 4 BMI 5 BMI 6 Evolution du BMI au cours des 6 mois suivant la mise en place du BIB Le BIB est une m thode ais e peu invasive et relativement efficace du traitement de l ob sit mais il doit tre associ une modification des habitudes alimentaires du patient n cessitant la prise en charge par une quipe multi disciplinaire comp tente et motiv e Le BIB peut faire office de pont vers la chirurgie restrictive de l estomac en initiant une perte de poids initiale qui permet de diminuer les risques op ratoires LeBIBaide galement s lectionner les bons candidats pour la chirurgie restrictive de l estomac c est dire les patients
73. rsonne ob se nous int ressons nous Outre ses effets sur la sant l ob sit a souvent de lourdes cons quences sur la qualit de la vie quotidienne des personnes qui en souffrent Parmi celles ci des difficult s de mobilit la fatigue la peur du regard des autres la d valorisation de l image de soi l isolement social le laisser aller hygi ne corporelle les troubles du comportement alimentaire r gimes hyperphagie noctophagie acc s boulimiques grignotage ainsi que des modifications de la vie sexuelle et professionnelle Ces ph nom nes peuvent amener la personne d velopper diff rents troubles tels que anxi t et ou phobie sociale sympt mes d pressifs id ation parano de hypersensibilit motionnelle La gastroplastie a t elle une influence favorable sur ces diff rents facteurs Oui L effet de celle ci sur le v cu psychologique et social du patient est globalement positif Elle permet une am lioration de la qualit de vie et de l humeur d pressive une diminution de l anxi t et de l hypersensibilit sociales ainsi qu une am lioration de la vie relationnelle affective et sexuelle Concr tement quelles peuvent tre les r percussions de l intervention sur la vie des patients Tout d abord le patient va devoir modifier et limiter d finitivement son comportement alimentaire Ceci peut tre frustrant mais est largement compens par le bien tre apport par l amaigrissement
74. rtruyen est la mise en place par laparoscopie d un anneau en silicone ajustable autour de la partie sup rieure de l estomac fig 1 Le but est de r aliser une partition de l estomac avec la cr ation d une petite poche gastrique au dessus de l anneau Le remplissage de celle ci par des petites quantit s alimentaires permet d obtenir une sensation de sati t pr coce Ce dispositif s attaque directement au m canisme de la faim en redonnant nouveau au patient des limites ses exc s alimentaires LapBand plac par laparoscopie LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS P 17 Les avantages en sont e la s curit de l intervention suite une exp rience personnelle d environ 2000 cas e le respect de la paroi abdominale gr ce la laparoscopie Fig 2 le respect de l int grit de l estomac e les possibilit s de r glage de l anneau permettant un confort accr et un contr le permanent de la perte pond ral e une mise en stand by du dispositif en cas de grossesse par ouverture totale du syst me e la r versibilit totale si n cessaire par abord laparoscopique e un court s jour d hospitalisation 24 heures Avec qui Depuis le d but de son activit au site St Michel en avril 2000 le Dr Vertruyen s est attel d velopper la prise en charge chirurgicale du patient ob se L exp rience de la pratique lui a permis d optimiser l approche laparoscopique afin de proposer
75. rventions LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs 33 DANS H La chirurgie mini invasive diminue tr s sensiblement les douleurs post op ratoires la dur e d hospitalisation et de convalescence ainsi que les cicatrices qui pour la plupart ne d passent pas 10 mm Appendicites hernies calculs biliaires reflux gastro oesophagien ob sit diverticulites tumeurs du colon et pathologie surr nalienne peuvent tous b n ficier de l approche mini invasive La chirurgie carcinologique est un des p les d int r t du service La prise en charge des tumeurs du tube digestif du pancr as et du foie fait appel une collaboration multidisciplinaire entre chirurgiens gastroent rologues canc rologues et radioth rapeutes et un plateau technique performant comprenant scanner r sonance magn tique et PET scan Les suites op ratoires sont assur es par des soins intensifs de haute technicit et rompus la chirurgie digestive Ainsi la clinique compte parmi le nombre restreint de centres qui pratiquent la chirurgie de l sophage en Belgique La chirurgie de l ob sit est en plein essor surtout depuis l av nement des techniques mini invasives Le premier anneau gastrique ajustable fut pos en 1995 aux Cliniques de l Europe Depuis de nombreux patients ont b n fici du bien tre physique et psychologique que procurent ces interventions chirurgicales En plus des anneaux gastriques qui restreignent la q
76. rventions chirurgicales Les cicatrices associ es la chirurgie visant corriger la silhouette sont souvent tendues et ne peuvent pas toujours tre camoufl es par les v tements Les patients doivent tre pr ts les accepter Les cicatrices sont initialement rouge tres et boursoufl es mais elles blanchiront et s galiseront progressivement On note souvent une sensibilit r duite au niveau des cicatrices et des zones de liposuccion qui dispara t g n ralement Des complications majeures telles qu une thrombose veineuse profonde et une embolie pulmonaire sont rares elles peuvent tre pr venues gr ce une mise au point pr op ratoire des facteurs de risques Dans la plupart des cas les patients sont tr s satisfaits du r sultat obtenu malgr la chirurgie extensive et la longue p riode de r cup ration Les v tements sont plus faciles trouver on observe en moyenne une diminution de 1 2 tailles Une vie plus active est envisageable et l image corporelle est am lior e Les efforts du patient pour perdre du poids sont finalement r compens s par la silhouette corrig e tant esp r e 26 URO N 7 SEPTEMBRE 2006 Ob sit chez l enfant a PACA JR ne CEE peter HE LE une pid mie enrayer Dr Fr d ric Motte P diatrie Site Ste Elisabeth L ob sit et le surpoids constituent un probl me majeur de sant publique en raison de leur retentisse
77. s En pr sence d ant c dents d arythmies car diaques ou de thrombophl bite une mise au point pr op ratoire tendue s impose Il faut galement investiguer les m dicaments les allergies et le mode nutritionnel une ad quation de celui ci est n cessaire la gu rison de la plaie post op ratoire Certains types de chirurgie bariatrique provoquant une malabsorption l avis d un sp cialiste en di t tique est recommand Fumer est une contre indication absolue Le succ s d une chirurgie visant corriger la silhouette est d termin par la survie d importantes zones de peau affaiblie D s lors il est primordial que les patients arr tent de fumer au moins 4 semaines avant l op ration et jusqu l obtention de la gu rison compl te de toutes les plaies LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROS OP Modalit s pratiques Pr op ratoire Pourun patienten bonnesant une analyse de sang standard est suffisante En g n ral l admission a lieu la veille de l intervention Le tra age pr op ratoire par le chirurgien plastique est tr s important et le temps n cessaire cette fin doit tre pr vu ce qui permettra galement au patient de discuter avec son chirurgien et de lui faire part de ses inqui tudes ventuelles avant l op ration Per op ratoire Avant d entrer en salle d op ration une ligne intraveineuse et ventuellement un cath ter pidural sont plac s Une sonde v sicale est mise
78. s aliments Cette technique a les m mes indications que celles du bypass gastrique et elle est r serv e aux patients les plus r fractaires Elle est tr s efficace puisqu elle permet une rapide perte d exc s pond ral d environ 80 au cours de la premi re ann e postop ratoire Les effets secondaires principaux sont les 2 4 selles molles et malodorantes par jour et les flatulences que pr sentent souvent les patients Plus encore qu avec le bypass gastrique il est important de prendre des suppl ments de fer calcium vitamine B12 et multivitamines mais aussi de la vitamine D et des suppl ments en prot ines Un suivi m dical et di t tique rigoureux est indispensable vie Concomitamment la perte de poids le diab te l hypertension art rielle et l hyperlipid mie dont souffrent beaucoup d ob ses disparaissent rapidement Maux de dos et de genoux s am liorent et l essoufflement l effort s estompe ce qui permet au patient de reprendre une activit physique Sur le plan psychologique on note une meilleure estime de soi et souvent une vie sociale et professionnelle plus satisfaisante Dr Serge Landen Dr Koen Van Belle LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs 15 Les Cliniques de l Europe Dr Marc Vertruyen Chirurgie digestive laparoscopique et chirurgie de l ob sit Site St Michel Le site St Michel accueille Eurobesity Center qui propose une politique de prise en charge compl
79. s eux m mes avec c ur Des c urs de cabillaud des c urs d artichaut pleins de saveur Des petits c urs de palmier des petits c urs de beurre Ou encore des c urs de nouvel an avec quelques liqueurs Sans un haut le c ur nous mangeons ma foi de bon c ur Sans que cela nous coeure Comment Ce que nous buvons non sauf erreur votre honneur cela reste un secret de ch ur Ecoutez pour le moment notre c ur bat la chamade Entre vous et nous c est une grande histoire de c ur Pour l atelier du c ur pour la compagnie du coeur il nous fallait une balade Pour parler c ur ouvert de cette histoire de coeur Alors nous avons dit oui avec le c ur Et le c ur l ouvrage nous avons tout tudi par c ur Le c ur serr et la main sur le c ur Nous avons promis de toujours chanter en ch ur Unis dans un seul et m me c ur Plus qu hier et moins que demain le c ur sur la main Voici au c ur de la jungle le ch ur de Bruxelles Sud Docteur Nicole Van Nieuwenhuyse Fondatrice de la chorale et Vice Pr sidente des G n ralistes de Bruxelles Sud Sur l air de Le Lion est mort ce soir 1 Dans ce c ur ce terrible c ur le galop n en fi nit pas mon c ur l ch j ai une telle angoiss je n sais plus quoi faire ce soir O ooh ohohohooooh baoum baw Si tu manges beaucoup de graiss prends garde ton B MI surveill la rondeur de tes fess voil un fameux pari
80. slogans des affiches des d clarations d magogiques propres toute lection en g n ral tout ici se passait dans une ambiance calme et tatssurante vtai dire au premier abord Je ne compienais uen Tr s attach e aux principes d mocratiques l mentaires c est avec suip use que je constatats que le nombre de bulletins de vote variait pour une m me personne de un huit S essayais vaguement de mettre cela en tappoit avec le tour de taille le tour de portune ou l ge la r flexion Je concluais que cela aussi faisail partie du meilleur statut m dical hospitalier du monde Pans l isoloir o au trat du sol je pouvais apercevoti les pattes de celui ou celle qui votatt il tait apparemment facile de distinguer les m les des femelles La couleur des souliers la hauteur des talons la minceur des chevilles la pr sence de poils sut les jambes quoique et le port du stung quoique me permettaient avec une quasi certitude quoique de pr ciser le sexe de l lecteur C est ainsi que d apr s mon boulier Je d nombiai 54 femelles et 102 m les soit plus de 60 de votants Lorsque leur jlux eut cess j assistai enfin au d ouillement J P EUROS N 7 SEPTEMBRE 2006 ans une ambiance plut t ludique et gastronomique cinq individus sous la direction d un juge arbitre ont d clin pendant deux heures une Kyrielle de noms pour lire un Conseil M dical dont les lus se pir
81. sophage strictures ou diverticules oesophagiens volumineuse hernie hiatale varices oesophagiennes cirrhoses avec hypertension portale avec risques h morragiques anomalies cong nitales gastro intestinales comme l atr sie ou la st nose gastrique ant c dents de chirurgie gastrique prise d aspirine ou d anti inflammatoires non st ro diens alcoolisme ou toxicomanie d sordres psychiatriques s v res grossesse ou allaitement Prise en charge du patient d sireux de b n ficier du BIB 1 Enr lement Lorsque le patient correspond aux crit res d indication il est mis en rapport avec le gastro ent rologue qui lui explique la proc dure de placement du ballon et de son retrait ainsi que les effets secondaires et complications possibles une oeso gastro duodenoscopie est galement pratiqu e afin d exclure l existence de contre indications cf ci dessus Enfin le patient est galement mis en rapport avec le service de di t tique qui instaure un r gime standard de 800 calories pendant toute la dur e du traitement par BIB 6 mois 2 Mise en place du BIB Admission hospitali re du patient qui doit tre jeun depuis la veille au soir le jour pr vu pour la mise en place du BIB pour 24 48h la dur e d hospitalisation d pendant de la tol rance imm diate du BIB Le BIB est mis en place en d but d apr s midi sous anesth sie g n rale par Diprivan le ballon est
82. st n anmoins trop avanc e pour tre trait e par nucl oplastie Le meilleur test pr dictif reste encore l heure actuelle nans FiA E E e Discographie L4 L5 vue de profil Position intra discale del lectrode de nucl oplastie la discographie avec test de provocation de la douleur CRIT RES DE S LECTION habituellement ressentie par le malade en provoquant une augmentation subite de la pression intra discale mais cette technique poss de galement ses limites Douleurs discog niques lombaires ou lombosciatiques e douleurs voluant depuis plus de 3 mois avec chec Le syndrome lombosciatique discog nique du traitement conservateur nn EPONE e hauteur intervert brale minimale de 50 La lombosciatique est une douleur provoqu e par l irritation d une racine du nerf sciatique par une excroissance ou une st noseosseuse ou par un disque intervert bral pr sentant e hernie et ou bulging discal comblant maximum 30 du canal lombaire et non exclue une herniation hernie discale et ou une protrusion absence de remaniement fibro vasculaire de type Modic 1 bulging discal post rieures de son contenu Le diagnostic est pos par l examen clinique et neurologi RESULTATS que l lectromyographie et l imagerie m dicale scanner Selon les tudes les patients sont am lior s dans 48 80 et RMN des cas Le traitement pour des douleurs lombosciatiques Le traitement doit rester dans la gra
83. t est certes rare et repr sente la seule complication r ellement grave del anneau gastrique mais elle illustre bien les pi ges diagnostiques ainsi que les retards de traitement viter Il faut tre attentif tout sympt me abdominal sup rieur ou thoracique chez ces patients et ne pas h siter recourir en urgence une opacification oesogastrique et une gastroscopie Parmi les autres complications il y a le glissement de l estomac au travers de l anneau Celui ci se manifeste par une dilatation souvent asym trique de la poche gastrique au dessus de l anneau Fig 2 Son incidence a diminu de 22 5 suite l am lioration de la technique chirurgicale et des protocoles de gonflement postop ratoire de l anneau Le glissement se manifeste par de l intol rance alimentaire des vomissements des r gurgitations du pyrosis et ou des douleurs pigastriques Attention Ce dernier sympt me peut d j indiquer un risque de n crose gastrique imminente Dans un premier temps l anneau est compl tement d gonfl entra nant la disparition des sympt mes Comme il s agit d une d formation irr versible il est n cessaire de repositionner chirurgicalement l anneau par la suite La dilatation concentrique de la poche gastrique et de l sophage Fig 3 s associe des sympt mes identiques ceux rencontr s lors du glissement de l estomac Il s agit cependant d un tat encore r versible apr s d gonflement complet
84. te Il s agit d une femme de 45 ans op r e dans un autre h pital trois ans auparavant Elle se plaint depuis 48 heures de douleurs r trosternales transfixiantes Adress e aux urgences m dicales d un h pital bruxellois on soup onne un infarctus du myocarde ou une embolie pulmonaire Les examens comprenant prise de sang radiographie de thorax et angiopneumographie comput ris e permettent d exclure ces diagnostics Transf r e Ste Elisabeth c est seulement apr s une nouvelle anamn se que la patiente mentionne ses ant c dents de gastroplastie ainsi que l apparition concomitante d une dysphagie pour les solides La radiographie de l sophage Fig 1 montre une strangu lation de la partie sup rieure de l estomac par l anneau au travers duquel le produit de con traste ne passe plus La gastros copie r v le un d but de n crose muqueuse de la poche gas trique L anneau qui ne contenait que 0 5 ml est imm diatement d gonfl mais cela ne suffit vi demment pas lever l trangle ment La patiente est donc op r e en urgence sous la paroscopie pour d sagrafer l an neau qui sera laiss en place LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs P 19 EUROS OP N 7 SEPTEMBRE 2006 autour de l estomac Nous attendrons la cicatrisation de la n crose gastrique avant de repositionner l anneau par lapa roscopie quelques semaines plus tard La n crose gastrique par tranglemen
85. te et durable de l ob sit Pourquoi L ob sit est le trouble m tabolique le plus fr quemment rencontr en Belgique et dans les pays occidentaux Cette pathologie affecte pas moins de 20 de la population et est responsable d une augmentation du risque d affections e m taboliques diab te hypercholest rol mie e cardiovasculaires hypertension art rielle infarctus du myocarde e respiratoires asthme apn e du sommeil e rhumatologiques arthrose hernie discale e n oplasiques cancer du sein de l sophage e psychologiques d pression L ob sit cause galement une marginalisation du patient dans son contexte professionnel et modifie les rapports au sein de sa cellule familiale Un traitement efficace de l ob sit doit permettre d obtenir une perte de poids significative et surtout de maintenir celle ci long terme La base de toute prise en charge d un patient ob se doit s atteler modifier son comportement alimen taire Ce trouble du comportement trouve son origine dans un subtil m lange de facteurs h r ditaires g n tiques environnementaux et psychologiques Un traitement m dical di t tique est le premier chelon proposer aux patients ob ses Il allie un r gime hypocalorique des exercices physiques 16 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 site St Michel d clarent la guerre l ob sit Malheureusement ce traitement m dical isol choue dans
86. ti su aS princip aux L S posologies sup rieures 120 mg trois fois pal mal Dortent pas delil sh fic suppl mentaire Orlistat entra ne une augmentation d la quantit de graisse dans les selles 24 48 heures apr s la prise A l arr t du traitement le contenu des selles en graisses revient habituellement aux valeurs initiales en 48 72 heures Population sp ciale Les effets d orlistat n ont pas t tudi s chez les insuffisants h patiques et ou r naux chez les enfants et les sujets g es Orlistat ne doittpas tre utilis chez les enfants Contre indications Syndrome de malabsorptic onic Cholestase Allaitement Hypersensibilit au principe actif ou l un des amp Effets ind sirables Les effets ind sirables de l orlistat sont essentiellement d orc gastro intestinal L incidence des effets ind sirables diminuelor prolong e d orlistat Liste des v nements ind sirables traitement survenus au cours des tudes cliniques avec an et une incidence gt 1 par rapport au groupe placebo au CO cliniques d une dur e de 1 et 2 ans Kenical Placebo Gripp e 89 Hypoglyc mie chez les patients ob ses diab tiques de y 1 u Los 120 mg d oristal Be 120 mg QA 76 85 23 9 1 4 Selle imp rieuse 22 1 6 7 Selle grasse huil pue Mg 0 13 1 Selle liquide 15 8 11 an Emi K 60 4 0 Douleur g ne rectale 5 2 Probl me
87. tilatoire et utilisation des graisses Lors de tout entra nement il faut pouvoir tol rer un essoufflement qui permet de soutenir une conversation TRUCS ET ASTUCES 1 l hypoglyc mie facilite l activit de la TG lipase et donc l oxydation des graisses gt Eviter de manger 1h00 avant l entra nement 32 URO N 7 SEPTEMBRE 2006 2 l activit de la TG lipase se maintient 30 min 1h00 apr s l effort gt Eviter de manger 1h00 apr s l entra nement on maigrit en r cup ration 3 toute lib ration d insuline freine la mobilisation des graisses gt Eviter de manger pendant l entra nement Boire suffisamment d eau au cours de l entra nement soit 100 150 ml quart d heure PROSCRIRE absolument les boissons dites nergisantes qui contiennent 60 110 gr de sucres litre selon la marque 4 lors de l arr t de l effort le cycle Glucose Acides Gras red marre z ro lors de la reprise gt Eviter de faire des pauses durant l entra nement 5 apr s l effort il y a accumulation de d chets m taboliques acides lactate responsables des crampes du lendemain Pour am liorer la cin tique d limination du lactate qui va tre utilis par le muscle cardiaque comme substrat nerg tique et par le foie et les reins pour la resynth se du glycog ne gt Pratiquer des tirements stretching ou une r cup ration active Effet de l entra nement EFFET ANTI OBESITE
88. tion du centre de l ob sit sur le site Ste Elisabeth il nous est paru opportun de vous pr senter les hommes et femmes qui composent cette nouvelle quipe ainsi que leur domaine d activit Dr Serge Landen Coordinateur du Centre de L Ob sit La chirurgie de l ob sit Avec 25 de la population qui pr sente une surcharge pond rale l ob sit se profile comme un des d fis sanitaires majeurs des ann es venir En effet il est actuellement bien d montr que l ob sit est dommageable pour la sant par la diminution de l esp rance de vie et de la qualit de vie qu elle entra ne L ob sit a galement un co t lev pour notre syst me de sant publique L interdiction des m dicaments coupe faim et la m diocrit des r sultats obtenus par les r gimes ont contribu au d veloppement de la chirurgie de l ob sit en plein essor surtout depuis l av nement des techniques mini invasives Sans pr tendre tre la solution miracle il n en reste pas moins que pour les ob sit s s v res la chirurgie est le seul traitement efficace dont on dispose actuellement Les crit res de s lection actuellement retenus pour une chirurgie bariatrique sont repris dans le tableau 1 Tableau 1 Chirurgie de l ob sit ON NN BMI gt 40 ou 35 40 si comorbidit s Age 18 65 ans Ob sit depuis gt 5 ans Echec de r gimes Absence pathologie endocrinienne Risque op ratoire acceptable Il est probable
89. u syndrome m tabolique C est la raison pour laquelle nous concentrons tous nos efforts uniquement sur la r duction des risques cardio vasculaires dans leur totalit D une part nous combattons les facteurs de risques classiques comme l hypertension art rielle l l vation du taux de glyc mie ou une l vation du taux de mauvaises graisses dans le sang 36 URO N 7 SEPTEMBRE 2006 M canismes sous jacents du syndrome m tabolique D autre part nous visons apporter des changements rigoureux dans le life style mode de vie de ces patients Cela implique une perte de poids de 5 10 durant la premi re ann e l acquisition d habitudes alimentaires saines et vari es et davantage d exercices physiques Il est clair que seule une approche multidisciplinaire peut contrer un probl me d une telle complexit En tant que m decin traitant vous jouez un r le primordial comme coordinateur et lien indispensable entre les divers sp cialistes cardiologque endocrinologue di t ticien kin sith rapeute et psychologue En r alit vos activit s quotidiennes sont d j surcharg es par votre client le si bien qu il ne vous reste plus beaucoup de temps pour guider de telles modifications de style de vie radicales Risque cardio vasculaire fortement lev pour des patients pr sentant un syndrome m tabolique Notre programme multislim r cemment labor est m me de vous aid
90. uantit d aliments ing r s nous pratiquons chez certains patients des techniques mixtes bypass gastrique ou des techniques qui r duisent la capacit d absorption des aliments par l intestin diversion biliopancr atique Cette activit chirurgicale s inscrit dans le contexte plus large du Centre de l Ob sit r cemment cr la clinique Ste Elisabeth et qui regroupe l ensemble des sp cialit s impliqu es dans le traitement de l ob sit Les urgences repr sentent une part non n gligeable de l activit du service Au m me titre que les op rations lectives les urgences b n ficient d une prise en charge personnalis e par un des chirurgiens du service qui est responsable du patient durant tout son s jour et devient l interlocuteur privil gi de la famille et du m decin traitant En dehors de leur activit de soignants les chirurgiens duservicesontactifsdansdiversessoci t sscientifiques tels la Soci t Royale Belge de Chirurgie Belgian Group for Endoscopic Surgery Belgian Section of Colorectal Surgery et la Belgian Section of Upper Gastrointestinal Surgery http www belsurg org Chaque ann e plusieurs publications sont issues du service dont certaines rapportent des innovations en technique chirurgicale ou des approches th rapeutiques nouvelles qui ont t d velopp es dans le service 34 URO G N 7 SEPTEMBRE 2006 m pan CMS a TOTAL CHOICE FOR PATIENT CARE in cooperation w
91. ues les patients sont trait s par une quipe pluridisciplinaire r unissant l urologue local un radioth rapeute et un physicien des Cliniques de l Europe Les urologues locaux nous livrent les motifs de cette collaboration avec notre quipe Met hun specifiek gemodificeerde Dr Alex Breugelmans urologie H Hartziekenhuis Leuven Traduction Le traitement d un carcinome prostatique diagnostiqu pr cocement par brachyth rapie modifi e sp cifique entra ne des effets secondaires nettement moindres par rapport uneprostatectomie radicale mais pr sente des r sultats de pronostic quivalents La technique labor e par les coll gues Salembier et Rijnders est nettement plus minutieuse et rapide que la plupart des autres m thodes sans toutefois modifier les hautes exigences de s curit et efficacit pr conis es en m decine Dr Alex Breugelmans urologie H Hartziekenhuis Leuven Gr nde der Zusammenarbeit Dr Frank Jacob urologue Sankt Nikolaus Krankenhaus Eupen Traduction Motifs de collaboration 1 le souhait de travailler avec un partenaire probant ayant une grande exp rience en brachyth rapie 2 le souha t de travailler avec un partenaire ayant une connaissance exceptionnelle de la m decine et traitant les patients avec s rieux 3 la confiance dans leur mani re de penser 4 la chimie humaine concorde et est large d esprit Dr Frank Jac
92. veau des bras un exc s de peau au niveau des cuisses EUROS OP N 7 SEPTEMBRE 2006 de l ob sit La r gion abdominale est la r gion la plus probl matique Outre des plis cutan s on constate souvent un rel chement de la sangle abdominale et des hernies associ es La r gion thoracique incluant les seins tant chez les hommes que chez les femmes pr sente un exc dent de peau qui se situe principalement la face lat rale du thorax A ce niveau la peau est tr s adh rente au sternum et la colonne vert brale ce qui entra ne une ptose tant verticale qu horizontale Il convient d en tenir compte lors de l intervention visant corriger la silhouette L exc s de peau au niveau des bras s tend des coudes aux aisselles et forme une jonction avec la cage thoracique Les cuisses ne pr sentent pas toujours des modifications lors d une prise ou d une perte de poids Le Body Mass Index BMI nous donne un aper u des r percussions de la perte de poids sur la silhouette corporelle une diff rence notoire entre le BMI avant et apr s la perte de poids laisse pr voir plusieurs zones modifi es Il existe diff rents modes de perte de poids g n tiquement d finis et cette diminution n est g n ralement pas uniforme Toutes les zones qui p tissent de la perte de poids doivent tre abord es de mani re circonf rentielle Une liposuccion est insuffisante pour transformer la silhouette corporelle de
93. ver le seuil ventilatoire en sollicitant au maximum les enzymes du cycle de Krebs La charge mod r e offre une phase de r cup ration Elle permet de limiter la fatigue pendant l exercice en pr servant le glycog ne de limiter l acidose m tabolique en freinant la production et l accumulation d acide lactique et de faciliter la r cup ration apr s l entra nement Comment d terminer l intensit de l entra nement ou les charges ad quates Un travail trop l ger n a pas d effet d entra nement Un travail trop lourd peut nuire tant sur les plans cardio vasculaire et respiratoire que sur le plan orthop dique Test de VO2 Max ou Ergospirom trie LE MAGAZINE DES CLINIQUES DE L EUROPE UROs P 31 Il est donc essentiel de d terminer les charges ad quates par une ergospirom trie ou test de VO2 max L ergospirom trie Fig 2 ou test de VO2 max sur cycloergom tre permet d valuer la capacit physique en comparant la quantit d O utilis e par l organisme parrapport la quantit th oriquement disponible en fonction de l ge du sexe du poids et de la taille L ergospirom trie permet aussi de d terminer le seuil ventilatoire afin de conna tre le niveau d effort ad quat et le profil de capacit physique puissance ou endurance Enfin la d tection de l origine du d ficit de capacit physique cardiaque pulmonaire p riph rique par l analyse des changes gazeux permet d orienter le r entra

l`obésité - Cliniquesdeleurope.be

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

l`ob&eacute;sit&eacute; - Cliniquesdeleurope.be

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

l`obésité - Cliniquesdeleurope.be