Juin 2003 - L`accident et les assurances
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1. Dr Gilles Rivier M decin chef du Service de r adaptation g n rale Clinique romande de r adaptation SuvaCare Son Jeudi de la Vaudoise 25 septembre 2003 Auditoire C sar Roux CHUV Lausanne da mort vivre Organisation Dr Lazare Benaroyo et Professeur G rard Waeber 9 h 9 h 25 9 h 25 9 h 50 9 h 50 10 h 15 Th me de la mort et relation m decin malade Professeur Patrice Guex Reconnaissance des valeurs en jeu dans l approche de la mort Professeur Eric Fuchs Vision historique et anthropologique de la mort Professeur Vincent Barras 10 h 15 10 h 45 Pause 10 h 45 11 h 10 Approche palliative de la mort domicile Dresse Claudia Mazzoccato 11 h 10 11 h 30 Fin de vie et mort en institution Ds Lazare Benaroyo et Christophe B la 11 h 35 12 h Du r le du m decin l giste pour vivre le deuil Professeur Thomas Krompecher Ce cours est soutenu par la firme MSD CMV 4 2003 Dossier 6 Les l sions assimil es selon l article 9 2 OLAA Un probl me m dico uridique volutif Historiquement la LAA d finit l accident de mani re pr cise I existe un certain nombre de l sions caract re traumatique vi dent qui ne peuvent tre prises en charge selon la d finition de l accident Le l gislateur a donc pr vu d introduire une liste de l sions qui sont prises en charge et qui sont appel es d sions assimil es Nous vous proposons ici une liste exhaustive de ces l sions2. L accident et les assurances 1 CMV 4 2003 Editorial ditorial TETE LAA nouveaut s amp TarMed blues E tiologie notion m dicale s efface devant l lt v ne ment assimil notion juridique la nouvelle lecture de Dossier la d sion assimil e propos e par la jurisprudence n est Evaluation des aptitudes pas anodine Elle largit significativement la comp ten physiques li es au travail DE r i ae By apr s un accident ce administrative dans la d signation des l sions cit es ae a l article 9 2 OLAA Flle am ne galement un subtil un probl me transfert de charges du secteur LAMal vers celui plus m dico juridique volutif robuste de la LAA New Case Management Arr t de travail et invalidit p sent plus de 70 sur les prestations de la Suva Une op ration au bon mo ment une r adaptation cibl e favorisent la gu rison ac Sedie tivent le retour au travail et r duisent les s quelles Les techniques d valuation fonctionnelle d velopp es la Clinique romande de r adaptation s inscrivent dans cet te logique La r cente m tamorphose de l aust re inspec teur CNA en coach pour cas complexes aussi En clair E le traitement m dical est un investissement La concerta AERON PESE tion intelligente entre assureur et m decin apporte une vidente plusvalue Il y a bien entendu TarMed Accident et maladie enfin rer soumis la m me structure tarifaire
3. nissent des m dicaments ou des moyens et appareils diagnostiques ou th rapeutiques Si le fournisseur de prestations ne r percute pas cet avantage l assur ou l assureur peut en exiger la res titution Dans un souci de trans parence la Commission de d on tologie recommande aux m decins b n ficiant de telles offres de s an noncer aupr s de sant suisse Nous rappelons aussi que de telles offres doivent laisser le m decin libre de s adresser au laboratoire de son choix pour la r alisation d ana lyses qu il ne peut faire au cabinet Nous rappelons ici l article 36 du code de d ontologie de la FMH amp e m decin ne promet et n accepte pas de r mun ration ni d autre avantage pour se procurer des pa tients ou en adresser d autres confr res ni pour se voir confier des actes diagnostiques ou th ra peutiques analyse de laboratoire etc ou donner de tels mandats des tiers Afin d viter toute suspi cion de comp rage le m decin de vrait s adresser plusieurs labora toires alternativement Ces mesures paraissent peu r ali sables et contraignantes la Com mission de d ontologie De ce fait la Commission de d ontologie re commande de renoncer de telles propositions et encourage le m decin garder toute sa libert Commission de d ontologie CMV 4 2003 Actualit ctualit M decins et m decins assistants font recours au TF contre l application de la c
4. decins de premier recours est capital pour motiver les ind cis Dr Ch B la m decin chef Division de g riatrie et r adaptation g riatrique CHUV Pour plus d informations sur les dates et lieux des prochains cours dans votre r gion contactez Pro Senectute Vaud au 021 646 17 21 entre de confiance Du nouveau sur le module de facturation de la SVM Quatre s ances de deux heures auront permis quelque 800 membres de la SVM de faire connaissance avec le jeune module de facturation li au Centre de confiance que DBCOM est en train de mettre au point sera op rationnel pour commencer les tests de facturation LAA entre le 10 et le 15 juillet Le centre des congr s de La Lon geraie Morges a accueilli entre les 12 et 23 juin derniers plusieurs cen taines de m decins souvent accom pagn s de leurs assistantes d sireux T d Salle T La ne Morges de se faire une premi re id e du mo dule de facturation li au Centre de confiance CdC de la SVM C est Jean Claude Mouly de la soci t DBCOM en charge de r alisation du module qui a pr sent cette premi re version au public Rappelons que ce module de facturation CdC est mis gratuite ment c est le CdC que vous payez la disposition de tous les m decins ne poss dant pas de logiciel de fac turation Tout comme les banques et leur syst me d e banking ou les so ci t s de vente par correspondance via Internet c
5. e Fractures e D bo tements d articulations e D chirures de m nisques e D chirures de muscles e Elongations de muscles e D chirures de tendons e L sions de ligaments e L sions des tympans Ces l sions doivent tre prises en charge comme tant des l sions sem blables celles provoqu es par un ac cident sauf si elles sont caus es par une maladie ou une affection d g n rative L interpr tation de cette liste de l sions et les conditions n cessaires leur prise en charge ont volu depuis l introduction de la loi en 1984 En effet il y a d abord eu une p riode que l on peut appeler d sionnelle ou m dicale suivie d une p riode dite de d sion soudaine qui correspondait une approche m dico administra tive Actuellement nous sommes dans une p riode dite ncident qui est pu rement administrative La prise en charge de l sions assimil es est condi tionn e par la pr sence d un incident ou quasi accident qui est d fini de la mani re suivante Le quasi accident doit avoir toutesles caract ristiques de l accident sauf la cause ext rieure extraordinaire Un arr t du Tribunal f d ral a pr vu que ces conditions taient essentielles pour la prise en charge Cela signifie que des l sions qui taient accept es par l assureur acci dent LAA jusqu pr sent peuvent tre actuellement refus es et que d autres l sions qui n taient pas prises en charge peuvent
6. la SVM est encore en pourparlers avec Management Booster l heure o l article est mis sous presse Pour toutes informations et ou pr inscriptions info svmed ch ou 021 651 05 05 aupr s de la SVM ou encore consultez le site www cabinethooster com Raphael Cohen Management Booster UniGe tante peut tre sujette une accumu lation de FDG et doit tre signal e pour viter des r sultats faussement positifs Chez les patients diab tiques l accumulation tumorale de l analogue du glucose peut tre moindre Cela n emp che g n ralement pas de pra tiquer des examens d assez bonne qualit mais la sensibilit de d tection est l g rement diminu e Enfin cer tains patients claustrophobes n cessi tent une prise en charge particuli re comprenant l administration de tran quillisants voire tr s exceptionnelle ment l intervention d un anesth siste Une telle condition devrait tre signa l e lors de prise de rendez vous CMV Sur le plan du d roulement de l examen comment se passe une s ance ABD Les patients se pr sentent en M decine nucl aire jeun et sont pris en charge par l quipe m dicale et technique Apr s mise en place d une voie veineuse ils sont mis au repos pour viter une accumulation muscu laire du FDG qui est inject environ 30 minutes plus tard apres contr le de la glyc mie Entre l injection etl enregis trement il y a environ une heure d at tente pour permettre l a
7. CMV 4 2003 Confiance que la facturation se fasse en ligne la confidentialit des donn es concer nant les patients est assur e et reste propri t du m decin aucun mo ment le nom du patient ne sera ac cessible au CdC la SVM Deuxi me ment le transfert des donn es est s curis de la m me mani re que celui des op rations bancaires lors de paie ments en ligne et le syst me de s cu risation est parfaitement fiable Pour toutes vos questions trois moyens de nous joindre Forum sur notre site www svmed ch Fax 021 651 05 00 E mail cdc svmed ch Texte et photos Catherine Borgeaud Mme Sandrine Oliveira etle Dr Charles A Steinh uslin CMV 4 2003 Calendrier La SVM VOUS souharte un bel Photo Fariba De Francesco Calendrier m dical vaudois P riode du 28 juillet au 12 septembre 2003 VENDREDI 29 AO T 2003 N B Pour toute information suppl mentaire 12 h 15 13 h 50 Croisi re croq midi psy D D Zullino G n riques des antid presseurs oui ou concernant l agenda vous pouvez consulter non lausanne Ouchy au d barcad re CGN Renseignements et inscriptions M J J Marmier notre site dans sa partie membres www t l 079 321 15 31 svmed ch agenda JEUDI 11 SEPTEMBRE 2003 Prochain d lai de r daction pour annoncer RS PP o les manifestations ayant lieu entre le 15 sep 13 h 30 18 h 2e apr s midi de r flexion et de formation de psychiatrie Est vaudois
8. D s R Bour tembre et le 25 octobre 2003 nous vous geois et N de Coulon Psychiatrie publique priv e et soins de premier recours Dialogue inter prions de bien vouloir nous faire parvenir face et mode d emploi 2e dition situations aig es en ambulatoire Renseignements et inscriptions vos textes avant le 28 juillet 2003 Fondation de Nant secr tariat du D N de Coulon fax 021 925 27 26 C linique C hirurgicale Centre de traumatologie et de chirurgie r paratrice de la main et des extr mit s et Permanence de Longeraie Chirurgie reconstructive des nerfs p riph riques et du plexus brachial S O S MAIN Microchirurgie Chirurgie orthop dique Chirurgie plastique et reconstructive Chirurgie esth tique Physioth rapie et r ducation fonctionnelle Ergoth rapie Urgences jour et nuit 1001 Lausanne Avenue de la Gare9 T l phone 021 321 0300 Fax 021 321 03 01 16
9. Non la situation des m decins suisses n est pas scandaleusement confortable Non les m decins ne se d chirent pas entre eux Les remous justifi s suscit s par l ditorial du Bulletin des m decins suisses du 21 mai 2003 d ailleurs d menti depuis lors montrent quelles fables circulent propos de la situa tion financi re des m decins et l in troduction du TarMed Il faut r p ter qu on se trompe lour dement en croyant que da situation d ensemble du corps m dical est ex t mement confortable et peu loi gn e de ceux dont des revenus hors normes et les scandales p riodiques font la une de la presse people Y Guisan BMS 2003 N 21 p 1081 Cette affirmation est contredite par les donn es conomiques tant de la FMH elle m me que d autres sources statis tiques Selon les statistiques de ces der ni res ann es et les calculs pr para toires au TarMed le chiffre d affaires moyen des m decins suisses en 2001 d passe peine 250 000 francs par an Vaud 234 000 francs Sachant que les frais d exploitation du cabinet attei gnent au minimum 50 du chiffre d af faires le revenu net des m decins suisses est du m me ordre que le sa laire d un cadre moyen d entreprise De plus ce revenu a diminu de plus de 25 en termes r els depuis 1971 sur l ensemble de la Suisse BMS 2001 N 28 p 915 etde 9 79 dans le can ton de Vaud de 1997 2001 donn es du SCRIS VD En regard des
10. decin conseil Suva Les Jeudis de la Vaudoise Programme de formation continue Septembre 2003 mai 2004 J eudi 25 septembre 2003 La mort vivre J eudi 30 octobre 2003 Nouveaut s en imagerie jJ eudi 27 novembre 2003 N phrologie J eudi 29 janvier 2004 H patologie J eudi 19 f vrier 2004 Infectiologie J eudi 25 mars 2004 Troubles anxieux J eudi 29 avril 2004 P dagogie m dicale analyse d incidents J eudi 27 mai 2004 Orthop die Renseignements Commission de la formation continue Soci t vaudoise de m decine Rte d Oron 1 CP 76 1010 Lausanne T l 021 651 05 05 Fax 021 651 05 00 E mail formationcontinue svmed ch Visitez notre site Internet www svmed ch Soci t vaudoise de m decine Comit de la SVM Dr Charles A Favrod Coune pr sident Dr Charles Alexandre Steinhauslin vice pr sident Dr Jean Philippe Grob secr taire Dr Jean Marc Lambercy Dr Philippe Munier Professeur Alain P coud Dr Bertrand Vuilleumier Dr Lennart Magnusson Comit de r daction du CMV Dress Jacqueline Caillat Dr Charles A Favrod Coune Dr Carlos Lima Dr Jean Pierre Randin Dr Patrick Olivier Rosselet Dr Touis Alphonse Crespo Dr Georges Buchheim Secr tariat g n ral P A Repond secr taire g n ral Catherine Borgeaud secr tariat de r daction CMV Soci t vaudoise de m decine Route d Oron 1 Case postale 76 1010 Lausanne 10 T l 021 651 05 05 CCP Lausanne 10 1500 5 Fax 021 651 05 00 E m
11. groupe 12 personnes au maximum et l encadrement par deux monitrices sp cifiquement form es permettent dans une large mesure d adapter l in tensit des exercices en fonction des performances individuelles Une va luation avant et apr s le programme permet chaque participant de se rendre compte de ses progr s Des fiches sont aussi distribu es qui per mettent aux plus motiv s d effectuer 13 quelques exercices adapt s domicile dans le cadre de leur activit habi tuelle Finalement outre les b n fices escompt s sur le plan de l quilibre ce programme peut certainementaussi jouer un r le social en favorisant les contacts entre les participants Outre la Division de g riatrie du CHUV plusieurs partenaires sont as soci s ces ateliers dont l OMSV qui les a incorpor s dans son programme de pr vention des chutes et de la mal nutrition Apr s une p riode de d marrage o les ateliers se sont d rou l s dans quelques r gions pilotes pri vil gi es l offre sera progressivement ouverte l ensemble du canton Des Ateliers Equilibre sont pr vus ou ont d ja d marr Nyon Lausanne Aigle Montreux La Tour de Peilz Biere Sainte Croix Yverdon Renens et Le Mont Il s agit donc d une opportunit saisir pour les m decins vaudois et les CMV 4 2003 Confiance nombreux participants potentiels de leur consultation Comme toujours en mati re de pr vention le r le des m
12. professionnelle et autres donn es pouvant compl ter les donn es cliniques dans l valua tion de la capacit de travail L avenir La m thode est porteuse d espoir Consciente de ses limites et de l importante mutation qu elle im plique au niveau des mentalit s la Suva ne fait pourtant pas dans l ang lisme Elle a d ores et d j mis en place Vous EES fou k A Retiel y DOV une structure de formation d infor mation et d valuation qui terme montrera si son pronostic et ses ob jectifs taient bons offrir de meilleures solutions ses assur s tout en contri buant une plus saine gestion des co ts Bernard Simon Suva Agence d arrondissement de lausanne Conseiller d entreprises CMV 4 2003 Dossier A propos de comp rage Le laboratoire est une source de revenus non n gligeable pour le m decin g n raliste A la suite de la d fection il y a deux ans de la maison Ab bott un certain nombre de m decins de premier recours se sont vu lt offrir un appareil type Reflotron Nous rappelons que de telles offres peuvent tre assimil es des ris tournes D s lors l article 56 al 3 et 4 de la LAMal doit tre appliqu de fournisseur de prestations doit r percuter sur le d biteur de la r mun ration les avantages directs ou indirects qu il per oit a d un autre fournisseur de prestations agissant sur son mandat b de per sonnes ou d institutions qui four
13. touche les jeunes m decins ourtant sensibilis s aux probl mes d conomicit dont la formation fut longue et co teuse favorise une p nurie de m decins d j constat e en Europe et g n rera une augmentation des listes d attente en cabinet m dical qui ne fera qu accentuerl engorgement des urgences Pour la SVM et l ASMAV cette mesure risque donc au contraire de produire une nouvelle augmenta tion des co ts de la sant avec de sur croit une p joration de la qualit et de l accessibilit des soins Communiqu de presse SVM ASMAV du 12 juin 2003 9 Prof Silla M Consoli professeur de psychiatrie l Universit Pierre et Ma rie Curie Paris VI chef du Service de psychologie clinique et psychiatrie de liaison de l H pital Europ en Georges Pompidou de Paris France dnterniste et psychiatre gourou d une consultation pluridiscipli naire de la douleur o elle consulte depuis de nombreuses ann es et medecin chef d une clinique de soins chroniques et r habilitation Anne Fran oise Allaz part du somatique des faits objectifs observe attentivement la cohorte des patients r f r s et construit partir de cette clinique les Le Docteur Etienne Rivier dans le cadre de l H pital Riviera et de l Associa tion de soins coordonn s de la Riviera et du Pays d Enhaut Ascor publie un guide de poche valuation g riatrique globale La diffusion de ce guide est assur
14. tre accept es Ce ph nomene d pend principalement de crit res administratifs sur lesquels le m decin n a aucune influence Aussi en cas d absence d accident lorsqu un m decin conseille son pa tient face un diagnostic qui corres pond l une des l sions qui sont men tionn es plus haut il est important qu il sache qu il existe des conditions d acceptation Dans le doute avant d entreprendre un traitement impor tant il est donc pr f rable de deman der la confirmation de l acceptation du cas par l assureur accident Dr Didier Gonseth Chirurgie orthop dique FMH New Case Management Sensible au chant des sir nes anglo saxonnes c est sous l appel lation de New Case Management que la Suva pr sente sa NOU velle approche de la gestion des cas complexes Cela n est gu re tonnant dans la mesure o pour ce faire elle s est largement ins pir e d exp riences faites au Canada notamment par la soci t ICBC Insurance Corporation of British Columbia soutenue dans cette d marche par le D Henry Harder psychologue et directeur d une soci t de conseil en mati re de gestion des handicaps Lors d une approche m dicale et juridique traditionnelle l individu s v rement atteint dans sa sant est l ob jet de la th rapie ou celui du conflit Cela a pour effet d occulter la probl matique fondamentale qui veut que les probl mes existentiels se situent au premier plan chez les assur s grave men
15. L apparente sim plification accouche d un catalogue amphigourique et prometteur d empoignades La prestation intellectuelle sera dor navant d bit e la tranche au d triment d un acte chirurgical d valoris au point de dissuader le chi CAPE REC OANGE rurgien d op rer bonjour les files d attente Ft que dire Prochaines parutions 1 O Calendrier m dical vaudois Informations No 5 2003 22 ao t 2003 d lai r dactionnel 11 juillet 2003 N 6 2003 9 octobre 2003 d lai r dactionnel 29 ao t 2003 CMV 4 2003 Editorial de cet impossible partage de la dignit qui sur fond d Internet exhume d archa iques querelles de barbiers et physiciens TarMed perturbe aussi les rapports jusqu ici plut t paisibles entre assureurs LAA et orthop distes Dommade que la proposition de la Soci t suisse d or thop die de travailler une tarification chirurgicale r aliste vienne si tard Ft dommage que les assureurs LAA fix s sur les engagements pris par la FMH n aient pas d chiffr le message de partenaires desservis par leur dissidence mais incontournables sur le terrain La fronde des orthop distes laissera sans doute un go t amer Accordons au moins leur baroud le m rite d avoir expos des incoh rences corriger d urgence si l on veut viter l escalade dans la dysfonction l effet per vers et l affrontement Situation connue o tout le mon de perd Dr L A Crespo Vevey M
16. TCA CABG pour mala die coronarienne document e des trois vaisseaux par exemple apr s pontage d anatomie complexe des co ronaires comme mesure pr op ratoire avant une transplanta tion cardiaque En oncologie lymphome malin staging diagnostic de tumeurs r si uelles et de r cidives staging des carcinomes pulmonaires non petites cel tumeur des cellules germinales chez l homme staging diagnostic de tumeur r siduelle apr s th rapie cancer colorectal restaging en cas de suspicion fon d e parexemple ascension des marqueurs tumoraux de r cidive locale de m tastases ganglionnaires ou distance diff renciation entre cicatrice et tumeur Dia gnostic de tumeur r siduelle apr s th rapie cancer du sein staging ganglionnaire diagnostic de m tastases distance chez les patientes risque lev En neurologie valuation pr op ratoire de tumeurs c r brales valuation pr op ratoire pour chirurgie de revascula risation complexe en cas d isch mie c r brale valuation de d mences chez les patients g s de moins de 70 ans pilepsie focale r sistante la th rapie Les examens doivent tre pratiqu s dans le cadre de l tude suisse sur l effet outcome de la TEP sur le co t lules et du m lanome malin et le b n fice dans la prise en charge des patients illet du Pr sident Le vrai revenu des m decins ne permet pas la perennite des cabinets m dicaux
17. ail secgen svmed ch Internet www svmed ch Fondation pour la garde m dicale S O S M decin de garde T l 021 213 77 77 24 heures sur 24 Abonnements de d viation et de t l communications au service des m decins de la r gion lausannoise Administration et r daction Case postale 76 1010 Lausanne 10 R gie des annonces Suisse romande inEDIT Publications SA Chemin des Jordils 40 Case postale 74 1025 Saint Sulpice T l 021 695 95 95 Fax 021 695 95 51 R alisation inEDIT Publications SA OSSIer CMV 4 2003 Dossier Evaluation des aptitudes physiques li es au travail apr s un accident La vitesse de cicatrisation d une m me l sion traumatique de l ap pareil locomoteur change peu d un patient l autre en l absence de complications ou de co morbidit physique diab te par exemple Par contre apr s une m me l sion traumatique de l appareil locomoteur et profession quivalente le d lai entre l accident et la reprise du travail varie grandement d un patient l autre Ce d lai est parfois conditionn par des facteurs person nels et contextuels sortant du champ m dical mais il est aussi fonction de la qualit de l valuation des aptitudes fonctionnelles faite par le m decin et les th rapeutes Lorsqu on aborde la question de l valuation des aptitudes physiques au travail sur la base d un simple in terrogatoire et d un examen physique de routine il peut tre tr s difficile
18. ccumulation du radiopharmaceutique dans les tis sus cibles et l limination r nale du reste limination qui est favoris e par un apport hydrique le patient est in vit boire un litre d eau sauf en cas 11 de contre indication m dicale une surcharge hydrique L examen en globe g n ralement le corps entier l exception des membres inf rieurs ces derniers tant inclus s ils sont le si ge de la tumeur connue ou sus pect e m lanomes sarcomes et dure environ une demi heure CMV Et pour conclure existe t d autres unit s PET en Suisse CMV 4 2003 Billet ABD Oui les h pitaux de Zurich Saint Gall B le Berne et Gen ve en poss dent galement une Renseignements techniques etrendez vous Unit PET du CHUV BHO7 Conditions remplir pour la prise en charge des prestations au sens de l Ordonnance de l assurance obligatoire des soins OPAS de la tomographie par mission de positrons TEP En cours d valuation d cision valable du 01 01 2001 jusqu au 31 12 2005 9 N R alisation dans des centres qui remplissent les exi gences de qualit selon les directives de la Soci t suisse de m decine nucl aire SSMN au 1e juin 2000 Pour les indications suivantes En cardiologie en cas de suspicion de hibernating myocardium apr s infarctus document par scintigraphie chographie ou coronographie pour confirmer ou exclure une isch mie avant une intervention P
19. d tablir celles d un patient se plai gnant d une douleur persistante alors que sa fracture de dos ou de jambe est consolid e et que son activit profes sionnelle est physiquement exigeante Etant assez r guli rement confront s de telles situations nous avons choisi d aborder le probl me de la fa on sui vante Lorsqu un patient accident a achev ou a quasi achev la p riode de cicatrisation tissulaire qu il ne par 1 Atelier menuiserie vient pas reprendre son travail pour des raisons apparemment m dicales et qu une classique valuation inter disciplinaire n a pas montr de com plication somatique ou de co morbi dit psychiatrique significative il reste appr cier si la r ducation peut ap porter une sensible am lioration fonc tionnelle Si cela n est pas le cas il s agit de r pertorier les limitations ou d ficiences physiques examens m dicaux valuation de l ergoth ra peute et du physioth rapeute et ten ter d identifier les facteurs personnels ou socioprofessionnels pouvant favo riser ou constituer un obstacle la r int gration D EE Finale L 2 Atelier fer ment il faut encore appr cier les ap titudes fonctionnelles soit les apti tudes accomplir des t ches profes sionnelles Sur ce dernier point notre choix s est port en priorit sur une valuation dans nos ateliers profes sionnels valuation parfois coupl e ce que nous avon
20. d le 27 mars La volont du Conseil d Etat vaudois d aggraver son application en y ajou tant des restrictions la remise des ca binets a d finitivement incit la SVM et l ASMAV s opposer juridiquement cette mesure Au mois de mars la section zurichoise de l ASMAC avait aussi d pos un recours aupr s du TF contre l application de la clause du be soin dans son canton Au del d une d cision qui pour rait contraindre le Conseil d Etat vau dois revoir sa copie les m decins comptent aussi sur les consid rants du Tribunal f d ral qui pourraient selon leur teneur tre utiles aux m decins qui se verraient refuser concr tement nformations de r flexions subtiles et de recommandations pratiques nourries du fruit de son ex p rience reconnue dans ce domaine une formidable le on de m decine d hu manisme et de vie Ex trait de la pr face par le une ouverture de cabinet A l heure o la suppression de l obligation de contracter est devenue une r alit la SVM et l ASMAV estiment pour le moins n cessaire un cadrage juridique des mesures de limitation de pratiquer appliqu es aux m decins de mani re garantir le respect de certains prin cipes fondamentaux du droit suisse Il est aujourd hui d j d montr que la clause du besoin ne permettra pas de r duire les co ts de la sant d autant plus qu elle a t labor e sur des bases statistiques contestables Par contre elle
21. e batterie de 29 tests reproduisant des activit s fr quem ment effectu es par un travailleur ma nuel se tenir debout ou assis le tronc inclin en avant soulever une charge du sol hauteur de la taille photo 4 soulever une charge de la taille hau teur des yeux travailler avec les mains au dessus de la t te porter une charge d une main porter une charge deux mains monter et descendre d une chelle s accroupir plusieurs re prises se tenir genoux tenir en qui libre monter et descendre une rampe d escaliers valuer la dext rit ma nuelle etc Durant chaque test il est demand au patient d effectuer un ef fort maximal et de ne pas interrompre l activit en cours en raison de la dou leur L valuateur appr cie wbjective ment l effort fourni Il augmente pro gressivement les charges manipuler laisse le patient accomplir le test comme il l entend et le conseille le rassure lorsque la douleur apparait et qu il n y a aucun danger poursuivre puis l arr te d s que l effort maximal sans danger est atteint ou que le risque de se blesser appara t La standardisa tion des tests garantit une bonne re productibilit des r sultats Un rapport complet est tabli et contresign parun m decin sp cialiste CABINET DE G N RALISTE O INTERNISTE REMETTRE sp cialiste en ob sit Situation Rond Point de Plainpalais Gen ve Pour renseignements s adresser espace b
22. e module permettra tout m decin poss dant une connexion Internet de faire sa factu ration en ligne en se connectant au site de la SVM Dans un premier temps durantla phase de tests le nom d utilisateur et le mot de passe seront les m mes que ceux que chaque membre poss de d j pour acc der www svmed ch Ecoute attentive de la pr sentation de M Jean Claude Mouly de DBCOM Soulignons que le TarMed tant en tr en vigueur le 1 mai dernier pour toute la facturation LAA AT AM le mo dule qui sera soumis aux essais des utilisateurs entre les 10 et 15 juillet 2003 ne concernera que cette factura tion l Puis d s le d but du troisi me trimestre les essais d buteront pour toute la facturation LAMal Des la fin du mois de juin le mo dule sera galement soumis aux essais de plusieurs m decins testeurs dont les commentaires seront pris en compte pour proc der aux derni res modifications et am liorations n ces saires Notons galement que le pro gramme permettant d laborer le mo dule laisse en tout temps la flexibilit n cessaire aux changements inh rents la phase d application d un produit en d veloppement Enfin et sans entrer dans les d tails qui constituent les diff rentes rubriques du module de facturation rappelons tout de m me deux points importants qui refl tent bien les ques tions r currentes pos es lors des ren contres de juin Premi rement bien
23. e par l H pital Riviera et par l Ascor il a t sponsoris par Novartis et il peut tre command gratuitement au pres de H pital Riviera site de Mottex p a Mme Nathalie Zwahlen CH 1807 Blonay nathalie zwahlen hopital nviera ch Il a pour but premier de favoriser une culture g riatrique en permettant au lecteur de se fa miliariser de fa on pragmatique avec les grands axes de r flexion de la g riatrie moderne Autres informations erivier bluewin ch da publication par le D E Rivier de ce petit opuscule de poche consa cr l valuation g riatrique globale est une rare opportunit de souligner une fois de plus la sp cificit de la m decine de l ge avanc Le principe majeur de la g riatrie la plus jeune des grandes disciplines m dicales est d essayer d appr hender l adulte vieillissant g ou tr s g sous trois aspects que le parcours de vie rend CMV N 8 La m decine humanitaire Vous tes membres de la SVM la m decine humanitaire vous concerne ou vous int resse de pres Vous avez envie de vous ex primer sur le sujet et ou vous avez des images montrer Le Comit de r daction du CMV attend avec plaisir que vous vous manifestiez par le truchement de l e mail catherine borgeaud svmed ch ou du t l phone 021 652 05 06 Nous pourrons ainsi pr parer ensemble notre num ro de No l Le d lai r dactionnel de ce num ro est fix au 31 octobre 2003 mais toutes vos pro
24. ercices ou de gymnastique offerts aux a n s s adressent souvent des per sonnes d j bien entra n es Pour les seniors plus fragiles qui souhaitent r duire leur risque de chuter Pro Senec tute propose justement un programme adapt d entrainement de l quilibre appel Ateliers Equilibre Depuis plusieurs ann es Pro Se nectute a organis dans quelques r gions pilotes des Ateliers Equilibre sur la base d un mod le d velopp par une quipe de g riatres de Dijon Ce programme a pour objectif de r duire le risque de chutes et d am liorer la mobilit des participants Il est destin en priorit aux seniors qui constatent une diminution de leurs capacit s phy siques et de leur performance d qui libre et qui souhaitent enrayer le ph nom ne Ceux ayant r cemment chut ou qui prouvent des difficul t s se lever d une chaise sans l aide des mains se tenir sur un pied plus de 10 secondes ou marcher dix pas les yeux ferm s sont donc particuli rement concern s Ce programme ne s adresse par contre pas a priori des personnes d j bien entraln es et de fait la plupart des participants ces ateliers n ont plus d activit physique r guli re au moment o ils d cident de s inscrire Le programme se d roule sur 10 se maines raison d une heure par se maine au cours de laquelle les exer cices permettent d entra ner la force la souplesse et l quilibre La taille du
25. es Dr Charles Abram Favrod Coune pr sident de la SVM CMV 4 2003 Pr vention r vention Pr vention des chutes chez les seniors Les Ateliers Equilibre de Pro Snectute une offre saisir Il devient presque banal de rappeler qu au cours d une ann e en viron un tiers des personnes de 65 ans et plus qui vivent domi cile chutent plusieurs reprises pour la moiti d entres elles Labondante litt rature concernant la pr vention des chutes a aussi contri bu nous faire mieux conna tre les in terventions pr ventives possibles re vue des m dicaments adaptation de l environnement programme d exer cices physiques etc Les vidences concernant l efficacit de ces interven tions s accumulent mais il est difficile de les transposer dans le monde r el Vous Avez un FEnc ANT Pouk MoI 1D AccHDr MAG N EN FATES fas TROP HI 12 o nous pratiquons Ainsi l exercice physique est la composante de ces pro grammes pr ventifs pour laquelle il existe les plus solides vidences de b n fices R cemment une revue syst matique valuant les b n fices des in terventions de pr vention des chutes a d montr une r duction de pr s d un quartdu nombre de chutes chez les per sonnes ayant suivi un programme d en trainement physique http cms hhs gov healthyaging FallsPI asp Il est ce pendant difficile de conna tre les pres tations disponibles et les programmes d ex
26. he posi trons Actuellement nous n avons qu un seul traceur disposition l ana logue du glucose F 18 fluoro d sox glucose FDG nous informe la pro fesseure Angelika Bischof Delaloye Ce traceur s accumule dans le cerveau et une moindre mesure dans le myo carde puis dans toute l sion n opla siqueet inflammatoire qui montre une augmentation de la glycolyse Interview de la professeure Angelika Bischof Delaloye Courrier du m decin vaudois Quelle est l utilit premi re du PET ABD Cette methode est particu li rement utile dans le staging et ou le contr le de l volution d un grand nombre de maladies tumorales en particulier les cancers bronchiques du sein du c lon et du rectum le m lanome et les lymphomes ainsi que les tumeurs germinales de l homme Pr cisons que ces indications ont t retenues pour la prise en charge au sens de l Ordonnance de l assurance obligatoire des soins OPAS et que les examens sont factur s selon Tar Med CMV Existetil d autres patholo gies que l on peut diagnostiquer gr ce au PET ABD Pour d autres tumeurs le PET s estr v l un moyen diagnostique im portant tels les cancers ORL de l so phage et de l estomac les cancers d diff renci s de la thyro de certains sarcomes Mais ces indications ne sont actuellement pas rembours es par l as surance de base et l accord pr alable de l assurance du patient est n ces saire avant
27. l examen D autres indi cations rembours es concernent la neurologie pilepsie d mences et la cardiologie viabilit du myocarde CMV En dehors de ces conditions de remboursement d autres condi tions sont elles remplir ABD Oui d abord les patients doi vent tre jeun depuis la veille au soir minimum 8 heures De plus la der ni re chimioth rapie doit avoir eu lieu au moins 2 semaines avant l examen et une radioth rapie ventuelle doit avoir t termin e au moins 6 8 se maines pr f rablement 3 mois avant l examen Par ailleurs toute atteinte in flammatoire ou infectieuse concomi 10 que des conseils Une vraie opportu nit de poser certaines questions qu on n a jamais os poser mais surtout d ap prendre ce qui permettra de pr server ses revenus et sa qualit de vie Cette formation n est pas gratuite mais son prix reste modeste compar aux conomies qu elle devrait per mettre de r aliser Son co t est m me insignifiant lorsqu on le compare ce lui d une erreur de gestion Si la parti cipation CabinetBooster permet d obtenir des unit s pour la formation continue reconnue par la Soci t m dicale et la Soci t vaudoise de m de cine c est en fin de compte un inves tissementrentable Le nombre de places est limit pour favoriser les changes N B en ce qui concerne notamment la reconnaissance des cours comme uni t s de formation continue le Comit de
28. lanc s a 2525 Le Landeron M J D Oppliger t l 032 751 56 15 mail espace blanc ch 4 Un des 29 tests de l ECPLT le poids des sacs d pos s dans la caisse n est connu que de l valuateur en r adaptation Ce rapport rend compte de la coop ration du patient de la coh rence de ses performances de son comportement face la dou leur et de sa gestuelle Les principales CMV 4 2003 Dossier aptitudes et inaptitudes fonctionnelles sont donn es Dans le cas o le pa ent a un emploi les aptitudes fonc tionnelles mesur es sont compar es aux exigences physiques des princi pales t ches accomplir au travail et quelques propositions d adaptation simples du poste peuvent ventuelle ment tre faites Il est vident qu une appr ciation des aptitudes physiques li es au tra vail est d autant plus fiable que le pa tient y voit son int r t par co ns quent participe activement la d marche Lorsqu il est difficile d tablir les apti tudes physiques au travail sur la base des bilans m dicaux et param dicaux traditionnels ainsi que des entretiens avec le patient et son employeur une valuation aux ateliers professionnels coupl e parfois une ECPLT a le m rite de pr ciser les aptitudes et inapti tudes fonctionnelles ce qui peut tre d cisif pour l aboutissement du pro cessus de r adaptation autrement dit pour la r int gration professionnelle de la personne accident e
29. lause du besoin dans le canton de Vaud La Soci t vaudoise de m de cine SVM et l Association suisse des m decins assistants et chefs de clinique section Vaud ASMAV continuent leur combat contre la clause du besoin Apr s leurs homo logues zurichois les deux as sociations vaudoises de m decins ont fait recours aupr s du Tribunal f d ral contre l ar r t d application du Conseil d Etat vaudois de l ordon nance du Conseil f d ral L ASMAV et la SVM ont d pos le 24 mai un recours aupr s du Tribunal f d ral TF contre l application dans le canton de Vaud de l ordonnance du amp Hygi ne de messager boiteux approche pratique des douleurs chroniques Diffusion et distribution en Suisse Servidis SA Geneve Prix informatif 42 fr Autres informations livres medecinehygiene ch Dans son remarquable ouvrage clair lectrique pond r g n reux Anne Fran oise Allaz nous guide pas pas dans la prise de conscience des complexit s et des paradoxes de la douleur chronique lt Elle nous donne travers cet ensemble de don n es scientifiques d outils th oriques La Doctoresse Anne Fran oise Allaz publie aux ditions M decine Conseil f d ral dite de la clause du be soin Introduit pour une dur e initiale de trois ans en juillet 2002 ce mora toire touchant notamment les cabinets m dicaux a fait l objet d un arr t d ap plication du canton de Vau
30. posi tions sont les bienvenues d s au jourd hui indissociables le fonctionne ment du corps les activi t s d ploy es dans la vie quotidienne et l int gration de cette personne vieillis sante g e ou tr s g e dans la soci t Extrait de la pr face par le Prof Jean Pierre Michel H pi taux universitaires de Gen ve D partement de g riatrie CMV 4 2003 Informations multiples facettes indispensables la compr hension de la probl matique qu elle d veloppe Extrait de la post face par le Prof Patrice Guex profes seur de psychiatrie la Facult de m decine de Lausanne directeur du D partement de psychiatrie du CHUV Lausanne CMV 14 2003 Informations Pour surmonter le nouveau handicap des medecins ind pendants Avec TarMed les m decins ne peu vent plus s offrir le luxe d ignorer la composante conomique de leur acti vit Suite au succ s rencontr aupr s des m decins de Gen ve la formation CabinetBooster est maintenant pro pos e aux m decins vaudois pour les aider mieux g rer leur cabinet TarMed impose aux m decins d ajouterune nouvelle corde leur arc la dimension conomique Un cabinet m dical correspond qu on le veuille ou non une PME petite ou moyenne entreprise Comme les m decins ne re oivent pas une formation suffisante pour g rer leur PME ils sont en fin de compte des handicap s Cela n avait pas
31. respon sabilit s vitales de la longue forma tion du risque conomique et des ho raires irr guliers assum s ces revenus ne sont pas extr mement confor tables ni m me corrects Ils sont car r ment insuffisants long terme et ne permettent clairement pas le renou vellement des PME que sont les cabi nets m dicaux Les jeunes g n rations ne s y trom pent pas puisque le nombre d tu diants en m decine diminue chaque ann e tandis que d autres voies plus prometteuses sciences conomiques et sociales notamment attirent tou jours plus de jeunes Il est galement faux de dire que les responsables des soci t s canto nales sont surtout confront s des d bats internes difficiles et autres contestations explosivesx Au niveau cantonal nous constatons principale ment que l introduction du TarMed la clause du besoin et d autres me sures politico administratives en cours d stabilisent compl tement la majorit de nos membres La complexit quasi compulsive du TarMed la brutalit de la clause du besoin et le chaos induit par la LAMal sont incompr hensibles pour la majorit Dans ce cadre le r le des pr si dents et comit s cantonaux n est pas de calmer la contestation mais d aider les m decins s adapter un envi ronnement hostile tout en continuant exercer leur noble profession Quant au r le du BMSet de la FMH il est de les y aider par des publications de qua lit et positiv
32. s nomm une lt va luation des capacit s physiques li es au travail Evaluation aux ateliers professionnels photos 1 3 Cette valuation fait appel l ob servation par des ma tres socioprofes sionnels de la fa on d ex cuter di verses t ches dans des ateliers profes sionnels comprenant divers secteurs bois m tal construction et bureau tique Le comportement en particu lier la facult de faire face aux limita tions fonctionnelles et la douleur la r sistance au stress l endurance la qualit des gestes accomplis la qua lit du travail l application des me sures de s curit et la motivation re tourner au travail ou retrouver une activit professionnelle sont parmi les l ments appr ci s 3 Atelier b timent J Evaluation des capacit s physiques li es au travail ECPLT C est dans le b timent des th ra pies qu un physioth rapeute sp ciale ment forme cet effet m ne une va luation des capacit s physiques li es au travail ECPLT Cette ECPLT d bute par une anamn se profession nelle fouill e visant retracer le par cours professionnel et si le patient a toujours un emploi pr ciser les exi gences physiques des t ches ac complir sur la place de travail L va luation continue par un examen dirig de l appareil locomoteur et l adminis tration de questionnaires portant sur la douleur et le handicap fonctionnel subjectif Suit un
33. t atteints Partant de l la Suva a d cid de r orienter le management de ces cas en faisant de l assur un acteur essen tiel et en engageant un processus d as sistance active dans les plus courts d lais apr s l accident Elle confie ainsi la gestion du cas un collaborateur sp cialement form cet effet qui g rant le dossier du d but la fin gar dera un contact troit avec l assur D embl e ce collaborateur d sign Case Mana er Va avec ledit assur entour galement des autres acteurs int ress s employeur m decin trai tant famille m decin conseil r unis en Case Team engager un pro cessus d assistance active et soutenir intensivement celui de r int gration dans le cycle du travail en troite col laboration dans certains cas avec l AT Il tombe sous le sens que le m decin traitant occupe dans cette op tique une position cl Membre part enti re du Case Team il se verra sol licit par le Case Manager pour des rapports m dicaux ponctuels compor tant des questions toujours plus ci bl es en fonction de la dur e de l in capacit voir CMV 8 2002 p 5 mais aussi au besoin pour un na son cabinet Un dialogue va donc s ins taurer entre ce sp cialiste et le m de cin qui vise offrir ce dernier des renseignements pr cieux portant par exemple surla description du poste de travail du bless les possibilit s ven tuelles de r insertion
34. trop d importance tant qu on ne leur demandait pas de rendre des comptes et tant que les honoraires re us permettaient d absorber une bonne partie des lt erreurs de gestion Malheureusement avec TarMed les r gles du jeu ont chang Les m decins doivent faire face des attentes de plus en plus lev es en mati re de gestion des co ts Autrement dit on attend des m decins qu ils optimali sent la gestion de leur cabinet pour contenir les co ts de la sant Plus fa cile dire qu faire quand on n a pas t form maitriser les r gles du jeu C est pour pr parer ses membres relever ces multiples d fis que la SVM envisage de leur proposer une forma tion sp cifique pour optimaliser la ges tion d un cabinet m dical Cabinet Booster Si ce programme compact et interactif est surtout destin aux prati ciens d j install s de longue date il s adresse aussi ceux qui vont ou vien nent de s tablir leur compte R so lument orient vers la pratique il aborde la gestion des impay s des re venus des co ts du personnel de la planification de la retraite ou encore des aspects juridiques et financiers Les in tervenants sont des experts ayant une grande exp rience de la pratique qui apportent des outils de gestion ainsi Nouvelle unit PET au Service de medecine nucleaire du CHUV Le Service de m decine nucl aire du CHUV b n ficie de l installation d un PET d di tomograp
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