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1. Nexity Foncier Conseil Examen des permis de 20 logements group s d Habitat 76 au lotissement Les Monts Foys 2 Gournay en Bray Examen des permis de construire du lotissement La porte des champs sur la commune de Sainte Marie des Champs Parc Naturel des Boucles de la Seine Normande Participation au conseil scientifique Participation au groupe de travail sur la strat gie d urba nisme multicommunale de la Boucle d Anneville Participation la r vision de la charte du parc commis sion Paysage Energie Urbanisme Participation la commission de s lection de la p pi ni re partenaire de l op ration haies r gionales pour les habitants Pr fecture de la Seine Maritime Membre de la Commission D partementale d Am nage ment Commercial Membre de la Commission D partementale de la nature des paysages et des sites R sidence Albert Jean Luneray Participation au concours de ma trise d uvre pour l extension de l tablissement d h bergement pour personnes g es d pendantes R sidence de retraite du jardin des plantes Rouen Conseils sur une possibilit d agrandissement Sainte Genevi ve en Bray Pleine FELE Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction des futurs SDIS du Havre Participation au concours de ma trise d uvre pour la cr ation d un plateau logistique pour le SDIS 76 Yvetot Pays Syndi
2. correspondant des par cours r guli rement emprunt s par l usager et rep rer les obstacles supprimer trottoir surbaisser cand labre ou poubelle d placer Des aires de stationnement adapt es devront tre projet es des panneaux de signalisation ajou t s pour s curiser un carrefour ou bien un signal sonore cr pour les malentendants Gr ce cette commission un calendrier de travaux peut tre mis en place sur plusieurs exercices au del de la date du 1 janvier 2015 Dans le cadre de ses missions d aide la d cision le C A U E a t sollicit par de nombreuses communes pour tudier la faisabilit de projets d am liorations des conditions d accessi bilit diff rents b timents communaux existants Mesnil Mauger l ensemble mairie cole salle polyvalente pr sente une configuration de son installation sanitaire tr s contraignante en termes d accessibilit Le C A U E a propos trois sc narios valuant pour chacun les avantages et incon MINE v nients les travaux r aliser et les incidences sur le fonction nement des diff rents quipements L attention a galement port e sur l int r t de cr er un stationnement proximit de ce p le de services pour assurer la continuit de la cha ne de d placement L accessibilit est une des conditions primordiales pour que tous puissent exercer les actes de la vie quotidienne Du loge ment aux espaces
3. des d rogations La disproportion manifeste entre les am liorations appor t es et leurs cons quences semble galement tre un motif admis pour l obtention d une d rogation L esprit du l gislateur incite penser les b timents seu lement en termes de performances techniques mais ga lement en termes de confort et d accueil pour tous sans discrimination On remarquera qu un am nagement bien pens et adapt une personne en fauteuil roulant facilite galement l acc s aux poussettes aux personnes g es aux tr s jeunes en fants c est dire chacun quel que soit son handicap La loi a d ailleurs largi la notion de handicap aux d ficiences visuelles auditives cognitives et motrices De fait cette loi va galement dans le sens d une meilleure prise en compte du vieillissement de la population Au travers des derni res r alisations la bonne prise en compte des d ficiences visuelles dans les am nagements ext rieurs notamment assure un v ritable confort pour les personnes g es qui conservent d autant plus leur autonomie Concr tement quand le rapport de l tat d accessibilit t dress par la commission le recensement des travaux r aliser permet d anticiper les d penses par phase avec une coh rence qui permet de r pondre aux attentes de la population La commission pourra par exemple identifier des cha nes de d placement
4. il est propos de constituer un tapis de plantes vre sol sur lequel sont r partis des arbustes libres ou taill s topiaires ainsi que des plantes rampantes et des bulbes Il est conseill de mettre un paillage naturel et biod gra dable Des plantes vivaces et des arbustes seront plant s par groupes pour former des masses buissonnantes ho mog nes Quelques arbustes isol s viendront animer ces ensembles Accessibilit aux ERP existants mairie coles communales salle des f tes Depuis la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances une importance nouvelle est donn e aux facteurs environnementaux urbain architectural et paysager montrant l int r t du travail pluridisci plinaire de r flexion et de concertation sur l environ nement physique pour diminuer voire supprimer les obstacles la participation de tous Les nes doivent tenir compte de ces nouvelles r gles d accessibilit aux ERP Etablissements Recevant du Public et IOP Installations Ouvertes au Public existants Les d lais sont maintenant pressants car les travaux pour rendre accessible les parties de b ti ment recevant du public doivent tre r alis s avant le 1 janvier 2015 Seuls des motifs techniques nature du terrain limite des risques inondations contraintes d urbanisme structure du b timent et de pr servation du patrimoine architectural urbain ou paysager peuvent donner lieu
5. Quand vous tes venu sur le terrain avec nous vous revenez souvent Si vous n tes pas encore venu voici les th matiques abord es d avril 2009 avril 2010 Architectures publiques durables r alisations r centes en Seine Maritime la Maison des For ts une cole une salle po lyvalente Visite comment e en pr sence des concepteurs et des ma tres d ouvrage Gestion diff renci e traitement alternatif des espaces publics Conf rence visite du parc et d monstration de mat riel Les Portes de la For t Bois Guillaume un quar tier r sidentiel structur par l hydraulique douce Visite comment e en pr sence des concepteurs et du ma tre d ouvrage Prot ger les l ments du paysage ma triser le patrimoine du quotidien une m thodologie initi e par le CAUE 76 Conf rence Fleurir autrement les villes et les villages dynamiques v g tales et espace public Conf rences et Visite d op rations de fleurissement communal Haies d essences locales d monstration de taille R habilitation cologique reconversion d un presbyt re en co g te Visite comment e Habitat performant d aujourd hui une vraie d marche glo bale Conf rence et visite comment e Architecture bioclimatique un dialogue avec l environnement Visites de maisons individuelles L habitat des s niors au c ur la vie sociale Conf rence et visite Nous vous donnons rendez vous pour une p
6. de Communes et Vienne Conseil sur la l gislation de l accessibilit d un b timent SIBEL Etude pr alable pour le choix du futur site d accueil de leurs locaux Participation la commission d appel d offres pour la construction d une maison des bassins versants de l Eaulne Plateau de Caux Fleur de Lin Participation la commission politique du logement et du cadre de vie Syndicat du SCOT Le Havre Pointe de Caux Estuaire Participation au groupe de travail agriculture Syndicat Mixte pour le SCOT de l agglom ration Rouen lbeuf Participation au groupe de travail technique sur l envi ronnement Syndicat Intercommunal de construction du casernement de gendarmerie de Fauville en Caux Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un casernement La municipalit de Sainte Genevi ve en Bray envisage de mettre en confor mit l accessibilit de la mairie aux Personnes Mobilit R duite Celle ci se situant au premier tage de l ensemble cole salle polyalente mairie la mise aux normes implique une r organisation globale de l ensemble com pos de deux b timents principaux contigus et de plusieurs annexes hitecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 page Syndicat mixte R gion Caux Seine Etude diagnostic du territoire dans le cadre de la commission cadre de vie Participation aux co
7. vant de paillage au talus r sistant mal l usure du temps a en effet pris un aspect un peu mit La configuration des lieux bien l abri au sein d un angle form par l implantation en L des b timents incite rechercher un autre am nagement peut tre plus min ral mais qui n exclurait pas pour autant le v g tal Si certains v g taux ont du mal se d velopper et ne pr sentent que peu d int r ts d autres comme la haie en pied de mur permettent d att nuer la pr sence d un important soubassement et m ritent donc d tre maintenus eme a H i 7 Principe du projet Le C A U E propose de limiter le talus plant et d y inscrire un petit amphith tre min ral orient vers la cour de l cole Les l ves et les enseignants profiteraient ainsi d un lieu convivial et abrit permettant de s asseoir et discuter Des gradins r alis s pourront tre utilis s dans le cadre sco laire pendant les r cr ations ou des animations p dagogi ques Les parties v g talis es sont repens es de fa on ce qu elles soient moins vuln rables Des petites jardini res p dagogiques peuvent remplacer certaines zones plant es La haie en pied de mur est conser v e car elle permet d habiller le soubassement la classe haute Q ML Projets de constructions publiques mode d emploi fonstructions La Cellule Economique R gionale
8. Commune de OISSEL l Eau de la Seine Maritime DISE qui coordonne l action des services de l tat dans la mise en uvre de la politique de l eau en Seine Maritime et est guichet unique pour les de mandes de subventions de projets de lutte contre les inon dations et la ma trise des ruissellements ainsi que l agence de l eau Seine Normandie qui a cr un label avec des finan cements pour des projets qualitatifs Vous pouvez consulter ou t l charger les fiches des am nagements pr sent s sur cette page sur www caue76 0rg rubrique r f rentiel Ma tre d uvre TN PLUS Ma tre d ouvrage Communaut d agglo Elbeuf Boucle de Seine Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Vieux Manoir repense ses ouvrages hydrauliques Le CAUE travaille aussi sur cette probl matique Ainsi la commune de Vieux Ma noir souhaitant valoriser mare et un bas sin de r tention situ s en limite d un ensemble pavillonnaire construit dans la cour d une ancienne ferme nous a consult pour r aliser un diagnostic en amont Le paysage alentour est marqu par la pr sence de haies d un ma noir et de structures arbor es remarquables convient de conforter cette ambiance buco lique de grande qualit Les deux plans d eau sont un atout de valorisation du site C est une opportunit pour la commune de proposer aux habitants un lieu de promenade e
9. Des orientations ont t d gag es afin de permettre aux lus d appr hender le futur possible La ma trise fonci re doit se faire par l interm diaire de l Etablissement Public Foncier de Normandie avec une tude de faisabilit confi e un bureau d tudes Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 L autre secteur l ouest de la place Carnot rend compte d une probl matique complexe de recomposition urbaine long terme Cet espace d environ 60000 m est occup aujourd hui par des installations sportives des quipements publics sous utilis s et des d laiss s d espaces publics Le CAUE a t interpell par la ville pour d finir un sch ma g n ral d am nagement permettant de visualiser un pr programme de restructuration L tude d terminera l affec tation possible et le fonctionnement global de ce quartier en regardant aussi les liens qu il entretient avec le reste de ville Le sch ma propos a mis en exergue quatre id es principales La cr ation d une grande place pour faire un v ritable es pace central servant la fois de place de march de lieu de stationnement et d esplanade pour les manifestations de toutes sortes ce pourrait tre le point charni re entre le nouveau quartier et les quartiers anciens La mise en place d une nouvelle entr e de ville barreau de liaison entre la place et la voie de contourn
10. agr ables et utiles Le co t d un bassin tampon et de canalisations a t mis profit pour constituer un jardin en creux et apporter une diversit d espaces pour le plaisir des promeneurs V ritable outil de projet le PLU permet d aller plus loin Dans le r glement crit et graphique du PLU la commune peut imposer la ma trise des eaux pluviales en incitant Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Pour cela la commune doit insister sur la n cessit pour les bureaux d tudes et les entreprises de travailler ensemble Les quipes d entretien doivent galement tre associ es au projet afin d anticiper sur les probl mes de gestion venir Le cahier des charges stipule les comp tences attendues dans l quipe de maitrise d uvre Elle devra tre pluridis ciplinaire afin de poss der les comp tences pour faire un projet d am nagement en utilisant l hydraulique douce et enrichir le projet par des regards crois s avec minima des comp tences en VRD Voiries R seaux Divers en am nage ments d espaces publics et en gestion des eaux pluviales D autre part la loi sur l eau rend obligatoire la gestion des eaux de pluie et de ruissellement g n r es par ment et l urbanisation des territoires Elle fixe deux seuils en fonction de la surface totale du projet et de la surface du bassin versant intercept Surface to
11. d une approche globale du b timent Les co mat riaux am lioration thermique du b ti ancien Parois perspirantes ENR et conomies d nergies co conception dans le domaine du b timent R novation thermique des pavillons Conception Bioclimatique Mise en ligne de documents ou dossiers Visite maison cologique Gainneville Effet de serre Rouen 3 samedis de l nergie Val de Saane Visite chantier paille Muchedent Rendez vous CAUE Benesville Conf rence Oliva Rouen Conf rence Jourda Rouen Animation Bois Energie Bremontier Merval Animation Bois Energie St Vincent de Cramesnil apport de gestion Recettes Taxe d partementale 10 Communes et autres partenaires Divers 4 Cotisations adh rents Le budget 2009 fait l objet d une r vision par le du 23 novembre sur propo sition du Bureau Cette r vision concerne uniquement la fusion sur une m me ligne budg taire de la Subvention D partement et du reversement de la Taxe D partementale En ce qui concerne les produits ils sont en tr s forte hausse l ex cution du budget d passe les pr visions de 47 2 La recette provenant de la T D CAUE est tr s importante et d passe les pr visions du budget de 28 Ces recettes proviennent de permis autoris s en 2007 avant la forte baisse des ouv
12. dans une logique fonctionnaliste au service de l automobile Les chauss es se sont largies au d triment des bas c t s et des trottoirs les virages se sont allong s et adoucis pour permettre un trafic plus fluide des arbres des murs ou m me des maisons ont t supprim s La pr sence de la voirie s est impos e pro gressivement alors que les autres usages de l espace ainsi que le paysage taient oubli s Des ann es de pratique dans ce sens ont fa onn une image un peu d grad e de nos villages et l on constate aujourd hui que les conditions d une circulation trop rapide st rilisent la vie aux abords des voies Des outils strictement routiers de type signalisations renforc es bordures hautes glissi res m talliques casse vitesse et autres chicanes n ont fait Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 qu ajouter confusion et surench re certains axes d j tr s routiers Les am nagements de travers e des bourgs doivent concourir une perception sans ambigu t des zones urbanis es et des zones naturelles de l entr e jusqu au point de sortie du village Ce n est pas la signal tique seule qui indique le ralentissement mais bien le traitement global de la voie et de ses abords qui incite et oblige au ralentissement Pour retrouver une vocation de lieu de vie ces travers es il faut programmer des am nagements importants qui pren
13. de l Etat e Odile BOBENRIETHER Directrice R gionale de l Alimentation de l Agriculture et de la For t e Marc HOELTZEL Directeur D partemental des Territoires et de la Mer e Brigitte LELIEVRE Directrice du Service D partemental de l Architecture et du Patrimoine e Roger SAVAJOLS Inspecteur d Acad mie Repr sentants des collectivit s locales d sign s par le D partement e Beno t ANQUETIN Maire de Saint Aubin Epinay e Dominique CHAUVEL Conseill re G n rale Vice Pr sidente du D partement Maire de Sotteville Sur Mer e Philippe CLEMENT GRANDCOURT Conseiller G n ral Maire de B narville e Dany MINEL Conseiller G n ral Maire de Mesni res en Bray e Nathalie NAIL Conseill re G n rale Vice Pr sidente du D partement Conseill re Municipale du Havre e Hubert WULFRANC Conseiller G n ral Maire de Saint Etienne du Rouvray Membres d sign s par le Pr fet en qualit de repr sentants des professions concern es Fabienne FENDRICH Directrice de l cole Nationale Sup rieure d Architecture de Normandie e Marc LE CHEVALIER Pr sident de l Ordre R gional des Architectes e Patrick LECOURT Repr sentant l Ordre des G om tres Experts e Dominique SUTRA DEL GALY Pr sident de la chambre de l ing nierie et du conseil de France Membres d sign s par le Pr fet en qualit des personnes qualifi es e Philippe Directeur R gional d
14. futurs SDIS Service D partemental d Incendie et de Secours Canton de Lillebonne Lillebonne Etude sur le renouvellement urbain de la ville M lamare Projet de r am nagement de la travers e du village Saint Jean de Folleville Am nagement d une sente pi tonni re le long de la RD 81 Saint Maurice d Etelan Analyse d un secteur de la commune avec proposition d orientations d am nagement et r vision du zonage au PLU Saint Nicolas de la Taille Proposition d un sch ma d am nagement Trinit du Mont La Avis sur la r novation du presbyt re Canton de Londini res Londini res Principe de r organisation de la place haute Canton de Longueville sur Scie La Chauss e Participation au groupe de travail sur la carte communale Canton de Maromme Canteleu Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi des permis de construire Participation au concours de ma trise d uvre pour l ex tension et restructuration du foyer Handas Habitat 76 Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de 49 logements individuels collectifs Habitat 76 Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de 28 logements collectifs Habitat 76 Maromme Participation au concours de ma trise d uvre pour l EHPAD Les Aub pins Canton de Montivilliers Montivilliers Assistance et suivi des demandes d autorisati
15. harmonie en articulant les pleins dessin s la densit l ordonnancement et les volumes des constructions et les vides En outre des r gles concernant les futures constructions l am nagement des espaces libres des parcelles privatives et le traitement des limites parcellaires devront tre formul es dans le r gle ment de lotissement afin d assurer une qualit architectu rale et paysag re d ensemble et une image valorisante de future zone Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Propri t de la Communaut de Communes du Petit Caux l ensemble foncier et immobilier du ch teau de Derchi gny Graincourt est aujourd hui le si ge d un centre de loisirs La volont de valoriser la qualit exceptionnelle du site incite les lus r fl chir sur le d veloppement des activit s existantes et sur la recherche de vocations compl mentaires afin de constituer un v ritable p le d accueil et de loisirs h bergement restauration s minaires activit s pour adolescents bureaux de la Com La Communaut de Communes demand au CAUE d ta blir des sch mas d organisation du site pour l accueil de ces diverses activit s Elle souhaite aussi une r flexion sur vocation future du ch teau pi ce ma tresse des lieux qui un r le pr pond rant dans la composition du site Le ch teau a besoin d une r habilitation centre de s
16. lev s rev tus d un mat riau diff rent pav s De ces lieux la perception transversale du village est possible r sumant plus ainsi l ur banisation un simple Saint Jean de Folleville proposition d am nagement d un chemin pi ton La Route D partementale n 81 reliant Lillebonne Saint Romain de Colbosc traverse le lieu dit Le Ruel Meyer de la commune de Saint Jean de Folleville Cette voie semble tr s large du fait des accotements de largeurs variables uniform ment enherb s parfois d grad s et de l absence de mat rialisation du bord de chauss e Ces l ments renforc s par le d gagement visuel de la longue perspective d environ un kilom tre depuis le hameau Les Forges don nent l automobiliste une sensation de confort et de s curit qui l incite d passer les limites de vitesse autoris es De plus la pente allant jusqu 5 induit une r flexion sur la gestion des eaux de ruissellement Un foss discontinu existe d ailleurs en limite de parcelle La municipalit souhaite aujourd hui revoir l am nagement de cette voirie et envisager la cr ation d une sente pi tonne C est un contexte avec une marge de man uvre tr s r duite les exigences de visibilit et de s curit sont tr s importantes et l emprise est tr s limit e Cependant les qualit s paysag res du site et la diversit des espaces riverains agricoles r siden tiels etc repr sentent une
17. maximum cette tendance en favorisant la qualit des espaces plut t que leurs aspects struc turels De la m me mani re dans le cas d une urbanisation nouvelle pour nous c est une zone o il pleut d ja Alors il est utile de r fl chir au cycle actuel de l eau o va t elle Pourquoi l urbanisation devrait elle en modifier le cycle Pourquoi faudrait il la conduire ailleurs En loignant les effluents ou en les concentrant on prive le sol de sa ressource naturelle Nous illustrons r guli rement cette strat gie en affirmant que l ur banisation ne cr e pas la pluie Cela oblige les concepteurs mieux prendre en compte le terrain et surtout donner la priorit la conception des espaces publics dans leur dimension fonctionnelle et qualitative plut t que la priorit aux aspects techniques Ainsi dans la gestion int gr e des eaux pluvia les il n y a pas d ouvrage sp cifiquement et exclusivement d di l eau Nous tablissons un projet qui r pond au programme du ma tre d ouvrage compatible avec le budget et nous mettons la fonc tion eau dans un lieu ou un objet qui a d j une autre fonction Nous ne cr ons pas d entretien sp cifique contrairement au cas o l on d dierait une zone particuli re la gestion des eaux pluviales Les ouvrages sont entretenus pour leur fonction premi re Une chauss e r servoir pour sa fonction chauss e un espace vert inon dable pour sa fonction espace v
18. ments et transformations devront respecter l ordonnan cement int rieur originel afin d assurer une authenticit architecturale de l difice Le plan de masse propos est bas sur une nouvelle orga nisation du site notamment en ce qui concerne les acc s et le stationnement Il repose sur les principes suivants Constituer un bouclage pour la desserte des lieux avec deux acc s permettant de ne pas recourir au demi tour syst ma tique Organiser les acc s et le stationnement principalement vers l Est du site afin de rester fonctionnel et conome en voirie Mettre en place une liaison pi tonne lisible et structurante pour relier les diverses activit s du site R duire les emprises actuelles de voirie devant le ch teau tout en permettant un demi tour Le parti pris paysager prolonge l esprit du parc existant tout en proposant de mettre en uvre La valorisation du paysage l entr e du site en r duisant Le C A U E propose la municipalit d largir sa r flexion initiale d am nagement d un jardin c t mairie une r flexion plus globale sur la r organisation du c ur du bourg Une requalifi cation paysag re des espaces publics permettrait d am liorer leur qualit et leur lisibilit en ad quation avec leurs usages L am nagement du centre bourg propose une vision long terme Il s appuie sur un recalibrage de la voirie et une mise en relation des deux espaces situ s de part et d autre de
19. nouveaux crit res li s la typologie de la haie Une nouvelle opportunit pour les communes de valoriser leur paysage La nouvelle politique d partementale se d marque de la pr c dente en permettant maintenant aux communes d tre subventionn es pour des plantations r alis es chez des par ticuliers Une simple convention sera alors pass e entre le propri taire priv et la collectivit Cette possibilit facilite l mergence de programmes territoriaux coh rents en ma ti re de plantation de haies Ainsi une commune souhaitant am liorer le patrimoine v g tal de son territoire pourra saisir cette occasion en s engageant dans la r alisation de planta tions Saint Jouin Bruneval deuxi me s quence de la requalification des espaces littoraux Lors du mandat lectoral pr c dent les lus de Saint Jouin Bruneval accompagn s du C A U E et du Comit D partemental du Tourisme C D T avaient proc d un premier am nagement de leur front de mer La nouvelle quipe municipale a r affirm dans son programme sa volont de d velopper ces enjeux de requalification l ensemble des sites touristiques strat giques de son littoral Le C A U E et le C D T ont t de nouveau associ s la r flexion et au choix de l quipe de ma trise d uvre qui laborera ces divers am nagements la fois en termes d architecture et de paysage Ils ont ainsi pu accompagner les lus qui voulaient prendre e
20. opportunit de revaloriser le bourg C est pourquoi le C A U E propose la municipalit d largir la r flexion initiale une r flexion plus globale sur la travers e et les entr es de bourg Le C A U E conseille de mat rialiser l entr e de d agglom ration par la cr ation d une place traversante elle assurera une meilleure fonction nalit des abords permettra de casser la lin arit de la voie incitera les automobilistes ralentir et facilitera l acc s au centre bourg Le rev te ment diff renci de la plate forme accentuera l effet de rupture et de seuil urbain Une sente pi tonne sera cr e Elle sera le plus possible en retrait de la chauss e et donc proche des limites des parcelles privatives Ainsi elle assurera confort et s curit aux usagers et leur offrira une ambiance lu mineuse et une ouverture agr able Pour une gestion optimale des eaux de ruissellement elle pourra tre rev tue d un sol perm able et rustique adapt au contexte rural Entre la sente et la route d partementale une bande plant e sera cr e sous la forme d un trottoir haut ornement de gramin es ou de vivaces Ce trottoir plant agr mentera la sente mais surtout s curisera les pi tons sans poser de probl mes de visibilit aux autres usagers de la RD81 Entre la sente et les cl tures privatives une bande enherb e de largeur variable sera pr serv e Elle correspond au foss et plantations d ja en place Les riv
21. pi tons Lisible par le contraste de couleur et de mati re qu il procure il resterait cepen dant franchissable avec la facult d veiller le conducteur d s son approche En terme d inser tion une bonne solution surtout s il s agit de pierre naturelle elle remplace avantageuse ment la peinture qui elle reste tr s associ e un univers routier qu il convient d oublier dans les travers es de bourg Pr servation des rives valorisantes pour le paysage Certains bas c t s constitu s de haies tradition nelles de talus plant s et fleuris sont des atouts incontestables dans la perception du paysage de la commune Les supprimer ou les r duire trop fortement conduirait une alt ration de ce pay sage Parfois des petits murets de soubassement pourraient tre utilis s pour largir ponctuelle ment la chauss e C est aussi l occasion d un tel projet que certaines limites publiques priv es aujourd hui peu valorisantes peuvent tre re compos es par des haies de charmille par exem ple afin de conforter une image rurale soign e de la commune Identification de s quences par des traitements de voirie particuliers La mise en vidence des travers es pi tonnes le traitement particulier des d bouch s de certaines voies de desserte peuvent constituer des points singuliers qui vont permettre de recouper l aspect tr s lin aire de la rue principale plateaux l g re ment sur
22. placement de mai juillet des sommes vers es par REUNICA en remboursement de 30 ans de cotisa tions pour un total de 925 972 Le r glement des cotisations IRCANTEC pour la somme 698920 s est effectu de novembre d cembre par la liquidation de titres anciens de 3 ans qui ont g n r de ce fait de tr s fortes plus values tout en conservant le volume du por tefeuille Le compte Transferts de charges exceptionnels enregistre le diff rentiel positif de 138 277 entre le remboursement de 30 ans de cotisations REUNICA et la r gularisation des cotisations IRCANTEC sur la m me p riode pour la part employeur En ce qui concerne les charges elles sont conformes aux pr visions 1 29 Le d passement sur les pr vi sions de certaines lignes notamment les frais de formation est compens par des produits correspondants en transferts de charges l ex cution du budget est coh rente au niveau des charges Le produit de la Taxe D partementale des revenus de valeurs mobili res de placement et des transferts de charges est par contre tout fait exceptionnel L importance de l exc dent budg taire affect pour 400 000 au Report Nouveau permet une avance de tr sorerie qui nous aidera quilibrer les futurs budgets qui vont tre affect s par la baisse de la Taxe D partementale Le tr sorier Hubert Lecarpentier Composition du conseil d administration ist jour au 17 avril 2009 Repr sentants
23. publics aux transports l accessibilit toute forme de services n cessite la continuit dans la cha ne des d placements ou i s 3 Jr Bu 21 RAMPE D A Hermeville depuis la r alisation de travaux de r novation sur l cole alors devenue accessible tous et l instal lation d un d fibrillateur les lus ont souhait porter leur attention sur l accessibilit aux autres tablissements re cevant du public de la commune la mairie l glise et la salle polyvalente Pour accompagner la municipalit dans cette d marche le C A U E a r alis un pr diagnostic pour valuer la faisabilit de cet objectif On retrouve des probl matiques r currentes e g rer les d nivel s e cr er un stationnement adapt sur la cha ne de d place ment reliant les ERP e adapter la nature des sols des cheminements e modifier les am nagements int rieurs pour am liorer les espaces de circulation et rendre accessibles les sanitaires vestiaires D autres communes comme Bois l Ev que Manneville s 6 qui avaient initialement sollicit le C A U E pour des am nagements ponctuels de b timents ou d espaces publics ont vu leur premi re demande de conseil int gr e des propositions largies et inattendues tant les contraintes li es la question de l accessibilit s impo saient En effet la prise en compte de l accessibil
24. s 2009 Plus de 1000 particuliers rencontr s en architecture Les architectes ont rencontr 1076 personnes pour des conseils 1 Extension Construction neuve 2 77 Restauration Autre nature de projet Am nagements ext rieurs Cr ation de lotissement Conseils donn s par l Espace Info Energie 908 conseils donn s rdv t l phoniques mails courriers 50 B ti Chauffage Energie 227777 Eau chaude Transport Environnement R partition des actions 212777 Conseil aux communes dont pr s de 50 sans convention Conseil aux particuliers dont 36 Sensibilisation et communication Autres partenaires Site internet www caue 6 org Visiteurs par mois 99113 4760 4106 09 09 1009 11 09 SU 6612 Bois Guillaume Canton de Boos Thil Manneville Conseils dans les communes Conseil pour le projet d agrandissement du cimeti re en 2009 ce sont 185 interventions 51 jurys Canton de Bellencombre de concours qui ont concern 147 communes Bellencombre du d partement Principe de restructuration de l cole municipale Bosc le Hard Canton d Argueil Participation au groupe de travail sur le PLU Mesnil Lieubray Conseil laboration du cahier des charges Dour Proposition d am nagement d un terrain communal le choix d un bureau d tudes PLU et participation la h
25. S ER zm CE d m a r 2 inn j im MATE LE a TER TELL i le mn i Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 Aides la restauration et la plantation de haies une nouvelle politique en faveur des paysages Depuis de nombreuses ann es le D partement encourage la plantation de haies pour la sauve garde des paysages la r duction des inconv nients dus aux vents forts et aux ruissellements des eaux pluviales ainsi que la multiplication des habitats favorables la flore et la faune Les entit s pay sag res de la Seine Maritime sont caract ris es par diff rentes typologies de haies 2009 le D parte ment a souhait modifier sa politique en faveur des plantations de haies Les crit res adopt s visent favoriser la restauration ou l implantation de haies typiques des paysages seino marins et inciter la restauration de l existant Le D partement de Seine Maritime aide les particuliers agriculteurs entrepreneurs et collectivit s pour constituer ou p renniser le patrimoine paysager et environnemen tal Ainsi pour le Pays de Caux les subventions octroy es concourent la cr ation ou la r habilitation de haies de clos pour le Pays de Bray elles contribuent la r ali sation de haies bocag res et d alignements de t tards ces derniers son
26. aire Sainte Genevi ve en Bray Principe de r organisation de l ensemble cole mairie et salle polyvalente Saint Sa ns Pr sentation des principes du PLU et de la carte communale Sommery Principe de restructuration de la mairie Canton de Saint Val ry en Caux Pleine S ve Etude de faisabilit pour l am lioration du fonctionne ment du g te la Charretterie Sainte Colombe Proposition d am nagement des r serves fonci res communales Saint Val ry en Caux Assistance et suivi des demandes d autorisation d urbanisme Avis sur la villa Saint Parre Participation au concours de ma trise d uvre pourle r am nagement du front de mer et avis sur l avant projet d finitif Veules les Roses Elaboration d un cahier de recommandations en faveur du patrimoine v g tal et du paysage Canton de Saint Etienne du Rouvray Saint Etienne du Rouvray Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une r sidence tudiante de 80 logements Habitat 76 Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de 84 logements Vente Olivier Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une unit pour malades difficiles Centre Hospitalier du Rouvray Canton de Sotteville l s Rouen Sotteville l s Rouen Participation au concours de ma trise d uvre pour la restauration s
27. aiter en prenant soin d utiliser des mat riaux adapt s et de les mettre en uvre de fa on ne pas engendrer de nouvelles pathologies L tat des lieux suivi d un pr diagnostic a mis en vidence les points fai bles parois froides humidit courant d air et les points forts bonne expo sition inertie thermique L enjeu des prescriptions est de pallier l inconfort thermique et hygrom trique principaux inconv nients sans se couper des avantages li s la masse volumique et la capacit hygrom trique de ces murs En d autres termes les murs anciens manquent souvent d isolation mais leur inertie permet de stocker les calories Id alement l isolation doit tre soit r partie mortier chaux chanvre torchis all g soit ext rieure pour permettre une restitution des calories vers l int rieur TUE ass Lane PRE UT F Le b ti ancien en mat riaux traditionnels commun ment les constructions d avant 1948 n avaient pas de fondations tanches et les pieds de mur ab sorbent par succion l humidit des sols Ces modes constructifs laissaient migrer l humidit capillarit Il est crucial de ne pas emp cher la mi gration de la vapeur d eau et de respecter un bon quilibre hygrothermique Appliquer des m thodes de restauration non adapt es pourrait engendrer des probl mes majeurs Il faut choisir des mat riaux perm ables la vapeur d eau et des enduits tanches l eau mai
28. asse de l avant projet L implantation du C A U E va renforcer la vocation de service de ce secteur La desserte en transports en commun est as sur e par le m tro 5mn pied Compte tenu du potentiel architectural de ce b timent et de sa position dans la ville le conseil d administration du CA U E r uni le 16 mars 2009 a vot l unanimit son achat Apr s avoir effectu un programme d taill de nos besoins un appel candidature pour le march de ma trise d uvre a t lanc en septembre dernier Un jury constitu d lus du conseil d administration du pr sident de l ordre des architectes du maire de Petit Quevilly d un ing nieur du d partement de quatre architectes du C A U E choisi le cabinet ALIQUANTE Laurent Protois architecte et le cabi net Folius paysagiste Apr s la phase Diagnostic l architecte est en train d labo rer son projet pour que ce nouveau si ge serve de vitrine pour le C A U E Il favorisera un accueil de qualit pour les usagers du centre de documentation et le public qui vient consulter un architecte ou l Espace Info Energie Les nou veaux locaux doivent donner galement la possibilit de r aliser in situ des actions de communication ou de p da gogie expositions journ es d change et de formation aupr s des particuliers des lus et des professionnels Le b timent doit tre irr prochable voire innovant dans tous les domaines qui touchent la vocati
29. bres Ces rideaux v g taux monumentaux se per oivent de loin L arbre tant une composante essentielle du paysage en vironnant il doit tre pris en compte dans la composition g n rale de la zone d activit s Le v g tal doit pas tre r duit au remplissage d espaces d laiss s ou une simple fonction d agr ment Les arbres structureront l espace marqueront les limites de la zone Ils contribueront re donner une image valorisante des abords tout en pr ser vant des vues signalant les entreprises Une h t rog n it architecturale Les b timents des entreprises install es sur la ZI pr sentent des hauteurs des mat riaux et des coloris de fa ades tr s divers L architecture est souvent strictement fonctionnelle Les parkings peu int gr s et en visibilit directe sur la rue devront tre pris en compte dans la r flexion paysag re et dans la gestion des eaux pluviales Les pr conisations du C A U E pour la future extension fa vorisent l insertion de la zone d activit s en composant une trame paysag re en lien avec le paysage environnant En lisi re il est recommand de cr er une zone plant e int grant des arbres de haut jet sur plusieurs rang es et sur une bande suffisamment large et dense Des transparences et des ouvertures seront am nag es ponctuellement afin d ouvrir des vues vers les entreprises Constituer une coul e verte l Est le long du hameau Gournay Afin
30. cats Communaut de Communes Campagne de Caux Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un Dojo Communaut de Communes Caux Austreberthe Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un quipement nautique Communaut de Communes de la C te d Alb tre Participation la commission OPAH Conseils paysagers pour la construction d une station d puration Saint Val ry en Caux Communaut de Communes de F camp Etude paysag re pr alable l extension de la Zone Industrielle de Basbeuf Communaut de Communes du Pays Neufch telois Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une maison m dicale Neufch tel Communaut de Communes du Petit Caux Principe d am nagement d un ensemble p le d accueil et de loisir au ch teau de Derchigny Graincourt Communaut de Communes Plateau de Caux Fleur de lin Participation la commission politique du logement et du cadre de vie Communaut de Communes de Saint Romain de Colbosc Conseils pour des plantations autour d am nagements hydrauliques Communaut de Communes de la C te d Alb tre Participation un groupe de travail pour la construction de trois maisons Communaut de Communes Caux Vall e de Seine Etude pr diagnostic sur le cadre de vie pour alimenter le d bat du SCOT Suivi des autorisations d urbanisme Communaut
31. ciale est utile de le r p ter encore et encore l nergie la moins ch re est celle que ne consomme pas Apr s cette analyse g n rique de la fonctionnalit du b ti il est n cessaire de r fl chir sur l optimisation de l enveloppe de la gestion du syst me de chauffage et de l clairage Enfin dans la mesure du possible le passage aux nergies renouvelables est envisag L exemple d Ancourt La commune d Ancourt souhaite am liorer l accueil de sa salle polyvalente construite sur un plan type des ann es 80 et r duire sa facture d nergie Sensibilis en amont par une conf rence du C A U E le maire a souhait s engager dans une d marche de pr programmation avec l architec te conseiller en ma trise de l nergie L tude a permis de soulever un probl me fonctionnel majeur Polyvalent sa conception ce b timent ne r pond plus aux besoins actuels notamment un accueil de qualit du club des s niors et des r unions festives Trois variantes ont t propos es afin de permettre aux lus de visualiser un ensemble de potentialit s et de d finir un programme et une enveloppe de travaux Ainsi la place d anciens vestiaires sportifs utilis s la r organisation spatiale a permis de d gager une salle de r union de 25m de cr er une salle pour les em ploy s municipaux et un espace de rangement et de mettre au norme les sanitaires Cette nouvelle organisation permet
32. ciplinarit de l quipe du CAUE permis lors d une lecture transversale des diff rentes th matiques de mettre en exergue des pistes d actions pour la requa lification de ces espaces Elles ont t au del de ce que les lus avaient envisag Certaines propositions venaient conforter ou compl ter les ambitions de la ville D autres pistes pouvaient laisser perplexe par exemple celle de densifier un lot en centre ville la place d une aire de stationnement pour r pondre au manque de loge ments aid s et renforcer l activit commerciale Si cette ventualit de construire la ville sur la ville a t envi sag e par le C A U E lors de cette tude elle d coule ga lement du diagnostic du PLU qui a identifi le besoin de r appropriation du centre ville par les habitants En effet ne sont pas les touristes de passage ou les r sidents de vill giature qui participent la dynamique de la ville en toute p riode de l ann e Cette premi re tape de travail a galement d montr me complexit de d marrer fa on coh rente des inter ventions sur ces m mes espaces o un grand nombre de domaines interf rent accessibilit d placement circu lation requalification paysag re et qui de plus ont la particularit de se trouver l articulation de certains qui pements communaux pour lesquels des interrogations techniques ou strat giques sont pos es C
33. colaire et municipale Canton de T tes Beauval en Caux Pr sentation des principes du PLU T tes Etude d implantation d une salle de sports Avis sur les travaux effectuer l glise Saint Martin Val de Sa ne Participation la consultation pour le choix d un bureau d tudes pour la r vision du POS en PLU Canton de Valmont Colleville Projet d urbanisation d un terrain communal Th rouldeville Conseils pour la v g talisation d un mur le long d une sente pi tonne Thiergeville Projet d am nagement de travers e de bourg Toussaint Projet de modification desr glements de deuxlotissements Elaboration d un pr diagnostic pour le PLU Canton de Yerville Ouville l Abbaye et Criquetot sur Ouville Syndicat d cole Accompagnement des lus sur le projet de regroupement des coles sur un site unique Autres partenaires Agglo d Elbeuf Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un quipement culturel jeune public Saint Pierre l s Elbeuf Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une cole de musique Saint Aubin l s Elbeuf Participation la pr sentation du Programme d Int r t G n ral PIG Agglom ration Rouen Participation au festival Graines de jardin Conf rence la maison des for ts sur invitez la nature dans le jardin avec plantations Pa
34. concertation sur le sch ma d partemental des Espaces Naturels Sensibles Participation la r union sur la RD 145 Br montier Merval et Hodeng Ho denger Etude phytosanitaire note sur le patrimoine arbor Participation au comit de pilotage sur l am nagement des abords la gare de Br aut Direction des Routes Participation au comit de pilotage concernant la pr sentation de l tude engag e pour am liorer la s curit de l itin raire de la RD 6015 entre Le Havre et la limite du d partement de l Eure Participation au comit de pilotage sur la requalification de la RD 173 avis sur les projets d am nagement paysager de la RD 173 liaison entre la RD 487 et Port J r me ainsi que l itin raire RD 110 28 29 40 Avis sur l tude d am nagement paysager de la RD 95 sur le plateau de Boos Participation une r union d changes sur l valuation de la politique de fauchage diff r men e sur le Pays de Bray par la Direction des Routes Participation au concours de ma trise d uvre pour la reconstruction du gymnase H bert au coll ge Le C dre Canteleu Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un gymnase d une salle d volution et d une piste d athl tisme au coll ge Branly de Grand Quevilly Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un p le administratif et d une cr che Participation au concours de ma trise d uvre pour la
35. construction d une gendarmerie Pavilly Participation au concours de ma trise d uvre pour l am nagement du coll ge Franco britannique au coll ge Claude Monet Saint Nicolas d Aliermont Espace Info Energie En 2009 plus de 900 personnes ont fait appel au conseiller nergie avec 276 RDV 350 RDV t l phoniques et 279 par mail La tr s grande majorit de ces contacts sont des particuliers le conseil apport aux professionnels est destin aux petites entreprises petites collectivit s territoriales banques etc 95 de la demande provient du particulier contre 5 de la part des professionnels Animations sp cifiques Rouen A D T E R Gites de France formation choisir et ma triser son projet ner g tique destination des futurs propri taires d h bergements touristiques Transformation de b timents agricoles en g tes r habilitation ou r novation de maisons anciennes constructions neuves ADTER formation des porteurs de projets Sainte Marguerite sur Fauville le 19 mai ADTER formation des porteurs de projets Rouville le 19 novembre SMAD du Pays de Bray Journ es de sensibilisation des artisans brayons l isolation du b ti ancien Cette op ration a t cl tur e par la tenue d un stand dans le cadre du salon des Brayonnades Label Ecog tes Expertise d un g te pour labellisation Eco G te Atelier scientifique lyc e Le Corbusier Sensibilisat
36. de Haute Normandie CERHN Construction a f d r un groupe de travail associant les partenaires publics et priv s de l ing nierie de la construction pour r aliser un outil p dagogique l usage des ma tres d ouvrage publics Dans ce cadre le C A U E 76 et la D D T M ont co r dig une plaquette qui s intitule Fiche Rep res l usage des ma tres d ouvrage Ce document a pour objectif de proposer une premi re aide aux lus locaux d crit sch matiquement le sc nario de d roulement d une op ration des premi res r flexions jusqu l ach vement du b ti ment Cette plaquette donne des rep res d ordre g n ral sur l acte de faire construire On y trouve par exemple les diff rentes tapes d une op ration avec en correspondance le r le de l lu pour cha que phase les difficult s fr quemment rencontr es et les missions des principaux prestataires du ma tre d ouvrage Enfin le document liste les ouvrages et les sites de r f rences ainsi que l ensemble des partenaires pour approfondir la d marche d aide la d cision Do cument en ligne sur www caue76 org Les principales tapes d une op ration VERRA NPI SAR ER LAAN EE DES CR RE SE E e E pe be l bee F pi M phei Gobelet g a pe E MU G E RS DU ON E ES LEURS m ce en E re ji 2 If 1 ES
37. de r duire les nuisances que pourraient occasionner la cr ation d une zone d activit s proximit des habitations du hameau il serait int ressant de cr er une coul e verte qui associe des zones arbor es et des prairies g r es de fa on extensive Elle offrira des liaisons douces en continuit des chemins existants et int grera des espaces de gestion alternative des eaux pluviales Entre les habitations et la future zone d activit s il est conseill de mettre en place une zone paysag re de protection de type bande bois e Cet espace formant une zone tampon pourra s organiser en diff rentes s quences afin de cr er une transition et de limiter les g nes Des mouvements de terrain pourraient tre associ s aux plantations de mani re renforcer l ef fet d cran Un ourlet bois att nuerait l impact de la zone d activit s de fa on plus efficace qu une bande de recul beaucoup plus large mais non paysag e Assurer un traitement qualitatif des espaces publics La voie centrale qui desservira la future ZA devra s ac compagner de cheminements doux v los et pi tons Le gabarit de la voie carrossable l am nagement de ses abords le choix des mat riaux les plantations d accom pagnement sont autant de crit res prendre en compte Des plantations d arbres tiges pourront tre r alis es de part et d autre la voie Les entr es dans les parcelles privatives ainsi que les cl tu res devront pr senter
38. de rendre l ensemble accessible et fonctionnel une ges tion plus rationnelle des espaces chauffer L exemple de Saint Georges sur Fontaine pr programmation urbaine et solution ENR La commune souhaitant d m nager la biblioth que mu nicipale dans une ancienne table proximit du site sco laire a fait appel au CAUE pour tudier la faisabilit de ce projet Celui ci s inscrivant dans un ancien corps de ferme il est vite apparu qu une tude plus large sur l affectation des autres b timents tait n cessaire Le plus grand b timent en briques sera affect aux logements et dans les autres constructions les services municipaux la les vestiai res pourront s y loger Une solution chaufferie centrale bois pour le chauffage de l ensemble des b timents est apparue l gitime d autant qu terme elle pourra aussi alimenter le groupe scolaire 9 Saint Georges sur Fontaine Hydrauli u k PN et esp Fau et paysage troitement m l s Eau et urbanisation l urbanisation a fait appara tre la n cessit d vacuer les eaux us es et plus r cemment les eaux pluviales Devenue une contrainte il faut cacher l eau dans des tuyaux Avec l arriv e des zones r sidentielles com merciales et d activit s en p riph rie des villes la multiplication des r seaux s est r v l e tr s on reuse pour les collectivit s Le changement des techniques culturales et l apparit
39. de se former et de s informer sur les exigences et les solutions li es un d veloppement durable se concr tise dans ce mouvement Le C A U E a eu l occasion d y participer lors de la r alisation d un pr diagnostic sur la qualit du cadre de vie pour le SCOT des communes de Caux Vall e de Seine Vision urbaine des pistes pour am liorer la qualit du cadre de vie Le concept de la qualit de vie tant vaste il requiert avant tout d tre d fini entre les acteurs d un territoire Il peut se d cliner en composantes telles que la redynamisation des centres et la cr ation de formes urbaines plus qualitatives applicables dans La travers e de bourg une nouvelle plaquette les villes les bourgs et les villages Sous l clairage des objectifs que l on veut atteindre il existe un choix possible d actions Si l objectif est de redynamiser des centres urbains on peut r habiliter les im meubles et les devantures commerciales requalifier les espaces publics de lutter contre l talement urbain on peut conforter la cen tralit du village limiter la construction dans les hameaux concevoir un habitat plus compact et du lien social viter la multiplication des extensions urbaines ancrer un nouveau quartier autour d un b timent patrimonial r affecter fonder la vocation d un secteur sur l identification et la protection du patrimoine b ti et naturel tirer partie des contraintes environ ne
40. des seniors au c ur la vie sociale Comment bien vieillir Entre le maintien domicile qui ne permet pas de r pondre au probl me de l isolement et les tablissements d h berge ment pour personnes g es solutions lourdes qui permet tent d accueillir les plus fragiles quels types de logements doit on cr er aujourd hui Question d autant plus complexe en milieu rural et en p riph rie des villes zones o le vieillis sement la population est le plus fort Comment permettre cette population d avoir un r le utile dans la soci t Comme certaines initiatives le proposent la solidarit permet elle de compenser de nombreuses pertes d autonomie Autant de questions auxquelles le CAUE de Seine Maritime a tent d apporter des clairages dans le cadre du Rendez vous du CAUE du 7 avril dernier Inscrit dans le cadre de la semaine du D veloppement Du rable ce Rendez vous r uni plus de 80 personnes profes sionnels de la sant et du cadre de vie lus techniciens des collectivit s Luce Pane Vice Pr sidente du D partement de Seine Maritime a pr sent la politique du D partement en terme d habitat et les aides aux personnes g es et handicap es B atrice Chancereul Pr sidente l association HELENA nous a permis de d couvrir une initiative priv e d habitat solidaire pour les a n s Nous avons eu ensuite la pr sentation de l op ration par Brigitte Maillard et Na
41. du CAUE Vieillissement de la population quels logements pour demain Lhabitat des seniors au c ur de la vie sociale Rapport d activit s 2009 Rapport de gestion 2009 Les rendez vous du C A U E 5 rue Louis Blanc 1283 76178 Rouen cedex 1 T l phone 02 35 72 94 50 T l copie 02 35 72 09 72 E mail caue caue 6 0rg Site Internet www caue 6 org R daction 76 Directrice de la publication Evelyne Forest Impression Mai 2010 de la Seine Maritime b B a Paysage des zones d activit s ML consell pour la future extension de F camp Basbeuf La zone industrielle de Basbeuf d connect e des zones urbanis es de l agglom ration de F camp s inscrit dans le paysage ouvert du plateau cauchois Le projet d extension n cessaire sur le plan conomique aura un impact tr s fort sur le plan paysager l urbanisation s installera l Est de la Route D partementale et cr era une continuit b tie part et d autre de la voie En effet cette derni re va traverser la zone et non plus la longer Sollicit par la Communaut de Communes de F camp le C A U E analys le site et propos des conseils pour une int gration paysag re du projet L arbre omnipr sent Le paysage environnant la Zone Industrielle est typique de campagne cauchoise plaine agricole ponctu e de clos masures entour s de talus plant s d ar
42. e l Environnement de l Am nage ment et du Logement eFran ois ERLENBACH Directeur R gional des Affaires Culturelles Repr sentants lus par l Assembl e G n rale du 28 05 08 e Herv CATTEAU Directeur du Centre D partemen tal d Am lioration de l Habitat e Samuel CRAQUELIN Maire d Auberville la Campagne e Hubert LECARPENTIER Maire de Saint Eustache la For t Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 e Jean Yves MERELO Maire d H berville Brigitte RINC Maire de Gonnetot e Nathalie THIERRY Maire de Cl res BUREAU Conseil d Administration du 30 06 08 e Dany MINEL Pr sident e Hubert LECARPENTIER Tr sorier e Samuel CRAQUELIN Secr taire e Brigitte RINC e Nathalie THIERRY Membres L quipe du Directrice Evelyne FOREST Architectes Anne ARCHAMBAULT Emmanuel Alain EOCHE DUVAL Olivier GOSSELIN Daniel LE BOCQ Fr d rique PETIT Eric PIARD Virginie TIRET Charg de mission urbanisme Philippe GRENON Architectes conseillers Val rie LOPES Isabelle VALTIER FOUQUET Architectes Paysagistes Jean Christophe GOULIER Virginie MAURY DELEU Perrine MORIN Responsable service environnement Sophie de CHAMPSAVIN Urbaniste Annie Jo lle JASION Documentaliste Charg e de communication Sylvie LECROQ Infographiste Micha l PATON Dessinateur Graphis
43. e 7 dans le cadre de la Ceinture Verte commission d appel d offres Participation au groupe de travail sur le PLU Canton de Blangy sur Bresle Avis consultatif sur le projet de r glementation du PLU Sigy en Bray Hodeng au Bosc Participation au concours de ma trise d uvre pour la Projet d am nagement d une aire de stationnement construction d une classe devant la salle des f tes Participation au pr diagnostic et au groupe de travail sur R alcamp la carte communale Avis sur le projet de r fection de toiture de la nef de l glise Saint Riquier en Rivi re Auppegard Proposition de r am nagement du presbyt re en Participation au groupe de travail sur la carte communale logements Gonnetot Elaboration d un pr diagnostic sur le PLU Bihorel Saint Mards Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi Participation au groupe de travail sur la carte communale des permis de construire Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi Bonsecours des permis de construire Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et Participation la commission de ma trise d uvre pour examen des permis de construire l extension et la mise en accessibilit de la biblioth que Les Authieux sur le Port Saint Ouen Isneauville Proposition d am nagement du parc du Cormie
44. e d uvre Grainville Ymauville Projet de r novation de la salle des f tes Manneville la Goupil Proposition de requalification urbaine et paysag re du centre bourg Saint Maclou la Bri re R union d information sur le PLU Proposition d am nagement paysager d une cour plant e attenante la cour d cole Canton de Gonfrevillel Orcher Gainneville Conseils sur les enjeux architecturaux et urbanistiques Gonfreville l Orcher Proposition d am nagement du centre bourg hameau de Gournay Harfleur Avis sur les projets de devantures commerciales Participation la commission fa ades Canton de Gournay en Bray Dampierre en Bray Pr sentation des principes d un PLU Gournay en Bray Participation au concours de ma trise d uvre pour la requalification de l espace marchand du c ur de ville Examen des permis de construire du lotissement Les Monts Foys 11 Nexity Foncier Conseil Participation au comit de pilotage du programme de r novation des vitrines et fa ades commerciales etanimation d une conf rence Comment optimiser l attractivit de votre commerce Canton de Grand Quevilly Grand Quevilly Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une cr che Canton du Havre Le Havre Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de deux
45. ement RD 173 pourrait faciliter l irrigation de ce nouveau quartier et donner une meilleure accessibilit au c ur de ville favori sant l acc s direct au centre culturel Pour retenir le trac de cet axe de liaison une mise en perspective de l glise sera privil gi e La fabrication d un urbanisme d ilot l image du centre ancien a t l option retenue dans l tude La densit de chacun d entre eux est tudier en fonction de leur proxi mit avec le centre ville jusqu se d cliner sous forme d implantations ponctuelles en frange de la ville L am nagement d un parkway en interface la ville et la voie de contournement qui pourrait alors devenir un boulevard urbain Cette disposition paysag re per met de mettre la ville distance des nuisances directes d une voie de circulation importante tout en proposant un potentiel de stationnement Elle rend possible un traitement valorisant compatible avec une certaine ur banit Dans cet espace la mise en valeur de la rivi re Commerce sera un atout pour favoriser la qualit paysag re du secteur Cette tude a ouvert des portes sur les potentialit s de ce territoire m me si elle est tr s prospective elle permet de s dimenter une premi re r flexion qui fera son chemin en envisageant des sc narios long terme sur la ville Plans de r f rences Etretat Alors que le site est mondialement connu
46. er dans des secteurs inondables Les catastrophes r centes ont montr les cons quences de ces d rives Aujourd hui une nouvelle approche globale est propos e la gestion int gr e des eaux plu viales Cette r flexion l chelle du bassin versant s op re dans une optique transversale de l am nagement du territoire qui se concr tise dans les documents d urbanisme Les solutions int gr es s orientent vers un rejet z ro dans le r seau d assainissement avec pandage la parcelle des espaces publics inondables des structures r servoirs et des espaces verts d accompagnement de voirie eux aussi inondables Cette nouvelle gestion allie les int r ts techniques des int r ts conomiques paysagers cologiques sociaux et ducatifs Pour l agriculture on s oriente aussi vers des solutions mixtes replantations de haies cr a tions de bandes enherb es et de bassins L eau n est plus v cue comme une contrainte mais devient un v ritable atout pour nagement qu il est n cessaire de prendre en compte tr s en amont dans la r flexion Dor navant le recours l hydraulique douce est n cessaire la cr ation de paysages durables donc qualitatifs Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 La gestion int gr e l la gi outre la qualit qu elle g n re est l conomie qu elle produit En effet les quipements techniques ta
47. erains pourront aussi assurer le fleurissement et l entretien de cet espace comme c est le cas aujourd hui au pied de certaines ha bitations Cette bordure v g talis e donnera un caract re champ tre et agr able la sente Le foss existant sera prolong dans la mesure du possible re d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 prn m rs 1 Tir Conseil sur la restauration et l am lioration thermique de l ancien presbyt re Gonzeville Les lus de la commune de GONZEVILLE envisagent la requalifica tion de leur presbyt re en habitat locatif Il s agit d un patrimoine architectural int ressant de beau volume qu il est urgent de res taurer car non occup et non chauff Localis en face de l glise sa remise en tat lui redonnerait une seconde vie et repr senterait une pi ce suppl mentaire l inventaire du patrimoine architectu ral de Gonzeville La demande porte essentiellement sur la restauration dans les r gles de l art du b ti dans le souci de sa pr servation Ce b timent a subi une restauration ily a 15 ans essentiellement un placage ciment en guise d enduit ext rieur entre colombage qui a caus pas mal de d g ts cause de sa non perm abi lit la vapeur d eau L am lioration de la performance thermique de l enveloppe est galement tr
48. ert En 2005 INFRA Services s est engag dans une politique de valori sation de ses acquis et de ses exp riences et a ainsi r dig son pro cessus projet pour aboutir ce que celui ci soit certifi ISO 14001 en f vrier 2010 paysag re l chelle du hameau dans laquelle la mare constitue le point d attractivit majeur mare envas e recouverte d une v g tation semi aquatique bord e de deux grands arbres Elle se situe dans un contexte de hameau assez pr serv compos d habitations et d acti vit s agricoles avec des haies champ tres entourant la ma jorit des parcelles donc un environnement globalement bucolique et de qualit L enjeu pour la commune est ici de savoir si la mare servira de r serve incendie et comment la r habiliter dans cet objectif Compte tenu de l enjeu pay sager du site et de ses qualit s intrins ques il apparaissait au conseiller du C A U E n cessaire d aborder diff remment le projet Sans doute il fallait retrouver ici une image tradi tionnelle de mare normande bord e par des tagements de v g tation adapt e sur ses rives fallait tenir compte des passages de chemins de randonn es et de la route d partementale qui longe une de ces berges Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Ainsi le C A U E a propos un sch ma d organisation de l espace favorisant une image v g tale forte pour
49. ertures de chantiers l incidence de la chute de l activit de la construction se fera sentir partir de 2010 Le nombre de conventions ponctuelles sign es avec les communes est en hausse 25000 de r alisation pour 150004 approuv s La demande des communes est toujours tr s soute nue Les produits des conventions annuelles est en baisse malgr la signature de 4 nouvelles conventions en 2009 Bihorel Gainneville St Romain de Colbosc et le Syndicat Mixte R gion Caux Seine la ville de Bois Guillaume ayant r duit le temps de mission du CAUE et donc le montant de la convention annuelle Le montant des cotisations est en hausse gr ce 25 nouvelles adh sions Le CAUE compte 589 communes adh rentes et 39 autres membres Les vacations de jurys de concours ont t importantes en 2009 Le CAUE a particip 51 jurys en 2009 42 en 2008 La Subvention ADEME porte sur deux postes Rouen et La Subvention R gion porte sur un poste itin rant et sur 6 mois 2009 financement de l itin rance du poste Rouen sur le Pays de Bray et le Pays Entre Seine et Bray partir de juillet 2009 Pleine D penses Salaires et charges Fonctionnement Honoraires Immobilier quipement Produits financiers et Transferts de charges le caract re important et exceptionnel de ces comptes n cessite les informations suivantes Le montant exceptionnel des produits financiers enregistr s en 2009 provient du
50. est pourquoi il nous a sembl int ressant de proposer aux lus d Etretat de poursuivre la r flexion par la mise en place d un Plan de R f rences qui permettra d tablir une programma tion de ces am nagements Un cahier des charges r alis conjointement par les services de l Etat et le C A U E a t mis en place pour la consultation d une quipe de ma trise d uvre pluridisciplinaire Cette volont d associer des comp tences diverses permettra d aborder dans toute sa transversalit les diff rents domaines sans oublier les dimensions touristique et patrimoniale si particuli res de ce territoire nn nt PL Reconversion du presbyt re et cr ation de logements un nouveau quartier au centre de la Mailleraye La commune de la Mailleraye souhaite r aliser une op ration de construction de logements et la r habilitation de son presbyt re datant du XVIII si cle pour y implanter des locaux associatifs Elle a donc demand au C A U E de r fl chir un sch ma d am nagement Plac en plein c ur du bourg ancien ce terrain de 9300 se situe dans un contexte privil gi Il est bord au Nord Est par l glise du village et une sente permet tant l acc s au terrain il est long au Sud Ouest par un espace agricole et au Sud Est il est en limite d une zone de jardins potagers priv s Enfin au Nord Ouest l ancienne cole transform e en logements communaux souligne la parcelle son alignement s
51. et d alimenter la nappe tique Les surfaces v g tales en creux de 60 cm par rapport aux all es constitu es de massifs de gramin es d iris et saules nains et quelques 50 esp ces diff rentes re oi vent et infiltrent les eaux pluviales r guli res environ 500 Lors des fortes pluies les all es sont progressi vement couvertes et la capacit globale du site d passe alors 2000 m Surplombant le jardin en creux une passerelle bois permet l accessibilit de tous la terrasse haute et son jardin de la lande qui constitue un belv d re sur la ville Dans le cas d un projet communal lotissement ZAC zone d activit s Il faudra tablir un cahier des charges tr s contraignant qui fixe les objectifs que l tude doit satisfaire avec ses contrain tes et ses exigences La commune pourra donc y affirmer sa volont de d velopper la gestion int gr e des eaux pluvia les et de privil gier la multifonctionnalit des espaces Le cahier des charges d crit pr cis ment la mission du mai tre d uvre en d finissant le projet et les conditions dans lesquels il faudra le r aliser Un projet r ussi est un projet ma tris toutes les ta pes Cela implique des tudes non g n riques faites en rapport avec le projet ainsi qu une r flexion sur les travaux et la gestion future d s la conception des am nagements Ce parc prouve que la gestion des eaux pluviales peut g n rer des lieux
52. et de cr ation d un nouveau cimeti re Canton de Caudebec en Caux La Mailleraye sur Seine Participation au jury de concours pour l am nagement de la travers e Elaboration d un sch ma d am nagement d un nouveau quartier et r alisation d une tude de faisabilit pour la reconversion du presbyt re Etude critique du PLU existant Proposition d orientations d am nagement Touffreville la C ble R flexion sur les zones d urbanisation future dans le cadre de l laboration du PLU Saint Aubin de Cr tot Proposition d am nagement d une zone d urbanisation en centre bourg Canton Caudebec l s Elbeuf Saint Pierre l s Elbeuf Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un quipement culturel jeune public Canton de Cl res Cl res Elaboration d un pr diagnostic l laboration d un PLU Etude sur l accessibilit et le confort thermique de l cole primaire me Rocquefort La commune de Rocquefort a sollicit le CAUE pour un conseil ponctuel le d pla cement du terrain de sport Apr s une visite sur place nous avons souhait largir la demande et tudier l ensemble des abords de la salle des f tes pour cr er un am nagement de qualit qui r ponde aux usages et mette en valeur les l ments de paysage la suite d un diagnostic nous avons tabli des orientations d am nagement Les pr c
53. ion d une vingtaine de futurs professionnels de la construction bois et l ments ma onn s aux enjeux du d veloppement durable construc tion Bioclimatique mat riaux Animations CAUE dans le cadre de la semaine du d veloppement durable du 1 au 7 avril Conf rence de Jean Pierre Oliva sur la conception bioclimatique et isolation cologique 1 avril 2009 Stage de formation de deux jours au CAUE anim par Jean Pierre Oliva Communaut d Agglom ration de la r gion dieppoise Mise en place du salon Viva Climat et conf rences construire bioclimatique etrestaurer sa maison Conf rence et visite d une r habilitation cologique en chaux chanvre Gainneville Salon Viva climat le 5 avril Dieppe Conf rence Thermique et b timent 125 personnes Participation des salons et actions Ademe EIE Manifestations Visite PAC eau eau pour pr paration des 3 samedis de l nergie 23 f vrier 20 juillet 17 septembre interview courrier Dieppois et enfin le grand jour le 26 septembre ouverture de la visite ADEME Salon des nergies renouvelables Foire de Rouen 10 au 13 avril Rencontres r seau local 4 f vrier 10 mars 16 avril 26 mai 30 juin 8 septembre 17 novembre 10 rencontre du R seau EIE Angers les 25 et 26 juin ADEME Salon habitat de Rouen du 9 au 12 octobre permanencele 9 Formations Participation une journ e de formation su
54. ion de l agriculture intensive a engendr la cr ation d openfield par l arra chage des haies provoquant des probl mes de ruissellement et de coul es de boue L explosion des surfaces imperm abilis es a provoqu des d bordements de r seaux et parfois des inondations r v lant ainsi les limites du syst me tout au r seau Cette gestion des eaux pluviales dite classique co te toujours tr s cher en terme de main tenance Pour ralentir l coulement des eaux dans les zones urbanis es un nouveau concept draulique se d veloppe la gestion alternative L eau est vacu e dans des tuyaux puis dans des foss s pour tre enfin dirig e vers un bassin de retenue Ce principe mixte souterrain et a rien est un progr s mais il a galement ses limites La gestion alternative s av re tr s consom matrice d espace La question de l eau est vacu e de la r flexion de projet par la mise en uvre syst matique de bassins de r tention Ces trous de bombe forment des enclaves dans le paysage urbain que leurs cl tures p riph riques et s curitaires renforcent De plus cette concentration des flux d une part cumule les pollutions et d autre part ne r sout pas enti rement les probl mes d inondations Ces trente derni res ann es la confiance aveugle des ing nieurs dans la technicit et l absence de prise en compte des caract ristiques naturelles des sites ont conduit urbanis
55. ises nationales de la construction en terre Carentan Conf rence Approche globale et conomies d nergies Municipalit Bois d Ennebourg Conf rence co conception dans le domaine du b timent Lyc e Pablo N ruda Dieppe Conf rence R novation thermique EIE agglo d Elbeuf Conf rence Conception Bioclimatique PQEB Petit Quevilly En qualit d invit Colloque Qualit de l air et VMC Salon Paris R union Comit R gional des Professionnels de la Construction DREAL CETE Colloque Bonnes pratiques dans le b timent Salon B tir cologique Paris Organisation Ev nementiel Visite de chantier paille pour pr paration de la journ e porte ouverte au RDV du CAUE Visite pour fili re Lin locale de l usine SUTTER Participation au voyage d tudes de l AREHN EDUC TOUR Visite de long re r habilitation cologique en chaux chanvre Visite maison bois d architecte Caroline Bonnet nouveau proc d d isolation 1 sp cimen en France Dossier de prescriptions communales Visite du presbyt re de Gonzeville conseil sur la r habilitation cologique et thermique le 6 octobre rendu du dossier le 12 novembre en conseil municipal Documents de r f rence et outils cr s Diaporama Missions et r les des EIE comment j isole mon logement ancien les besoins
56. isme ner Urban conomie 2010 Mar iNe 9 O Pleine Depuis sa cr ation 1978 le C A U E tait install rive gauche Rouen dans le quartier Saint Sever Les tations urbaines du quartier nous obligent chercher un autre lieu Une commission locaux s est mise en place avec nos administrateurs Au bout de trois ann es de re cherches nous avons l opportunit d acqu rir une maison Petit Quevilly pr s du m tro des grands axes de l agglo et du centre Le quartier est en plein renouvellement et nous pensons pouvoir apporter notre contribution cette volution Le b timent est ancien et n cessite une extension La conception du projet a t confi e un jeune architecte Laurent Protois qui a une bonne exp rience et un regard tr s novateur Dans ce nouveau lieu notre quipe trou vera de meilleures conditions de travail pour remplir ses missions et pourra vous accueillir efficacement renfor ant ainsi sa capacit de service public d assistance en ar chitecture en urbanisme et en environnement aupr s des particuliers et des collectivit s C est une nouvelle page qui va se tourner La constante augmentation du nombre de nos adh rents 8 communes sur 10 nous soutiennent t moigne que nous devons tre au plus pr s des pr occu pations des acteurs de l am nagement du territoire Ainsi notre maison sera la v t
57. it pour tous aux espaces publics modifie durablement notre mani re de concevoir l ensemble des am nagements de notre cadre de vie partag Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Pleine Construire la ville Extension urbaine sur des terrains en voie de mutation une tude Lillebonne Depuis les ann es 1970 l extension des villes et des villages s op re sur les couronnes urbaines grignotant les terres agricoles utilis es sans tat d me comme r serves fonci res Avec un argumentaire rod chaque jour l talement urbain continue de progresser gangrenant la campagne La loi SRU n a pas profond ment modifi mode op ratoire et rares sont les documents d urbanisme qui contrant cet urbanisme d parpillement r v lent dans leurs diagnostics des secteurs disposant d un fort potentiel de valorisation permettant une urbanisation rationalis e l heure du D veloppement Durable l utilisation efficace et raisonn e du foncier disponible en zones d j urbanis es devient une priorit Ainsi intra muros l o il y a d j des quipements des commerces et du lien social il faut identifier les terrains dits mutables c est dire tous les terrains dont l affectation actuelle est en inad quation avec les objectifs de dynamisation du secteur sont les friches industrielles l secteurs en d sh rence les secteurs d hab
58. itats v tustes les secteurs d quipements publics sous utilis s inadapt s au contexte urbain les espaces publics surdimen sionn s Il n est plus admissible aujourd hui de continuer construire des lotissements perte de vue en laissant les centres urbains se vider Le renouvellement n est pas mode ou un concept c est une n cessit dont les g n rations futures nous seront redevables y TE 7 25 nr 1 Ainsi la commune de Lillebonne d sireuse de renfor cer l attractivit de son centre ville souhaite r fl chir au devenir moyen et long terme de deux secteurs dont l utilisation n est plus optimis e Les lus ont demand au CAUE une r flexion en amont afin de d terminer le tre tudier et l laboration de pistes d am nagement sur chaque zone en faisant appara tre les moyens de recoudre et prolonger le tissu urbain tout en prenant en compte les potentialit s paysag res Le premier secteur d tude se situe au nord de la place Carnot l int rieur du tissu urbain dense de ville Il s agit d un lot traditionnel dont certains espaces sont en cours de mutation L tude du CAUE a permis d analyser de mani re fine la parcelle les b timents conserver no tamment en front de rue afin de garder l image du centre ancien et ceux qu il fallait d molir pour reconstruire morceau de ville
59. la voie l articulation des placettes et des all es permet de faciliter les d placements des pi tons entre les diff rents p les et de mieux valoriser les espaces ext rieurs tout en favorisant une mise en sc ne de la mairie Pour mieux mettre en valeur cette derni re l all e d acc s est largie et s ouvre sur un parvis des les emprises de voirie et en constituant devant le ch teau un parc jardin qui int gre les am nagements de la mare La r alisation d un syst me d acc s et de stationnement dans un paysage de sous bois le long du chemin actuel La limitation des emprises b ties la partie Nord Est du site afin de pr server le paysage et les perspectives existantes L am nagement d un axe pi tonnier paysag mettant en relation les diff rentes activit s avec une grande lisibilit Le secteur urbanis dans lequel se situe une grande partie du domaine permet d envisager des nouvelles constructions sans contrainte particuli re au niveau du droit des sols La qualit paysag re du site implique de rester vigilant quant l implantation de ces constructions en limitant le grigno tage de la prairie Le syst me v g tal constitu de haies et d arbres de haut jet permet d int grer efficacement les b timents et de servir de guide l insertion paysag re des nouvel les constructions Q sinant une placette semi pi tonni re Une all e bord e d un double alignement d arbres de haut jet e
60. le C E Extension urbaine sur des terrains en voie de mutation une tude Lillebonne Plans de r f rences Etretat 2 Reconversion du presbyt re et cr ation de logements un nouveau quartier au centre de la Mailleraye Travailler l chelle intercommunale les int r ts du SCOT La travers e de bourg une nouvelle plaquette R flexion sur le projet d am nagement de la travers e de M lamare Saint Jean de Folleville proposition d am nagement d un chemin pi ton Conseil sur la restauration et l am lioration thermique de l ancien presbyt re Gonzeville P10 S Economiser l nergie dans les b timents communaux une question d organisation spatiale Hydraulique douce et espaces publics AED La gestion int gr e une d marche d hydraulique douce intelligente repense ses ouvrages hydrauliques Bosc Edeline mare paysag re ou bassin de r tention Infraservices les bonnes pratiques par un concepteur Patrimoine communal reconversion en deux logements Saint Riquier en Rivi re Meulers un amphith tre dans la cour de l cole Projets de constructions publiques mode d emploi Aides la restauration et la plantation de haies une nouvelle politique en faveur des paysages Saint Jouin Bruneval deuxi me s quence de la requalification des espaces littoraux R habilitation d une maison de ma tre pour accueillir le si ge
61. le site En r coltant les eaux de surface et en am nageant la voirie pour cr er un effet de signal marquage au sol plantation en accotements foss s il s agit de cr er une s quence Si l on pr conise de pr server le ch ne et le fr ne pr sents sur l un des c t s des berges ailleurs les profils sont modi fi s des fascines sont mises en place et le fond de la mare est remodel De cette fa on par l tagement de la v g ta tion rivulaire et la plantation de plantes aquatiques en c ur de mare une image paysag re forte pourrait tre mise en place La restructuration des voiries autour de la mare doit favoriser un espace de d tente et de repos avec une vue panoramique sur le site et quelques bancs dans le prolon gement du chemin de randonn e L ensemble des orientations propos es dans ce projet n cessite maintenant une concertation avec notamment les services du D partement de la Seine Maritime Et c est dans cet accompagnement de l quipe municipale que le C A U E se propose de continuer sa mission Patrimoine communal reconversion en deux logements Saint Riquier en Rivi re Le presbyt re de Saint Riquier en Rivi re fait partie du patrimoine de la commune Datant de la premi re moiti du XIX me si cle il n a re u que peu modifica tions depuis sa construction Sa structure g n rale et sa charpente sont en bon tat Par contre les menuiseries et l ensemble du second uvre ne co
62. ma tre pour accueillir le si ge du CAUE Il y a 3 ans le C A U E d cid d acqu rir ses propres locaux Apr s une longue recherche effectu e dans l ag glom ration rouennaise la mairie de Petit Quevilly a pro pos de nous vendre une maison de ma tre sise au 2rue Victor Hugo Cette propri t a t construite en 1876 par l industriel Auguste Lemarchand constructeur d appareils vapeur Petit Quevilly l industriel Mal tra a ult rieure ment fait l acquisition de cette belle demeure l poque un immense parc verdoyant de 1 6 hectares entourait la propri t dont le square Marcel Paul faisait partie jus qu en 1988 partir de 1922 Monsieur Mal tra confie cette maison la congr gation des s urs franciscaines qui l adaptent et am nagent leur lieu de vie La salle manger dont les murs sont recouverts de cuir de Cordoue devient la sacristie Des vitraux remplacent les vitres et la salle de bal est transfor m e en chapelle Les s urs franciscaines ont occup cette propri t jusqu fin 2008 Elle se situe aujourd hui la fois sur laxe culturel de la ville m diath que th tre de la Foudre et dans la pers pective du square qui vient d tre enti rement recompos et dans lequel deux nouveaux quipements publics salle d activit s et restauration municipale ont t construits Une op ration de 100 logements HQE va venir confirmer le cadre urbain de ce projet Plan de M
63. me l esprit du lieu Avec la gestion int gr e la n cessit de g rer les eaux pluvia les peut tre le point de d part d un projet d espace public Parc de l Or e du Rouvray la gestion des eaux pluviales articulation entre les quartiers existants et futurs Outils des lus pour imposer la gestion int gr e De nombreuses dispositions r glementaires dans les do maines de l eau et de l urbanisme cadrent la gestion des eaux de pluie La gestion int gr e est en parfaite coh rence avec ces textes L utilisation des outils de l am nagement pour ma triser la gestion des eaux pluviales sur le territoire est indispensable Les documents supracommunaux dont le SAGE Sch ma d Am nagement et de Gestion des Eaux le PPRI Plan de Pr vention des Risques d Inondations s imposent aux docu ments d urbanisme communaux PLU ou carte communale Noue enherb e en eau Avremesnil l utilisation de techniques int gr es une gestion des eaux la parcelle avec un rejet 0 ou 2 litres par hectare par se conde au maximum quand il est d montr que le rejet 0 n est pas possible l utilisation de mat riaux perm ables pour ne pas aggraver les probl mes de ruissellements etc Un zonage d assainissement pluvial peut tre annex au P L U Il d limite les zones o des mesures doivent tre pri ses pour limiter l imperm abilisation des sols et pour assu rer la ma trise du d bit et de l coulement de
64. ment du d veloppement durable des habitants d une m me petite ville qui ont accompagn leurs parents en fin de vie et qui conscients des probl mes d isolement proposent le concept habitat solidaire des a n s principe d une r sidence adaptable en fonction de l chelle des communes d accueil et des possibilit s fonci res dans des contextes plus urbains certains particuliers vont jusqu partager des appartements pour r pondre la vie ch re et la solitude Le C A U E retient comme point commun ces initiatives une r flexion globale qui r pond la fois aux usages domesti ques la proximit des services et au lien avec la ville Ce sont donc tous les aspects de l autonomie qui sont abord s Car bien vieillir c est permettre de disposer d un logement confortable et pourvoir y vieillir en toute s curit tout en restant en relation avec les autres souhait de tous notam ment dans l avanc e en ge tants de la commune de l h pital local des futurs utilisa teurs et usagers Forts de cette visite comment e par l architecte et les res ponsables de la r sidence nous avons compris l impor tance du lien social recherch par les personnes en perte d autonomie crit re que nous devons revaloriser dans l ensemble des projets tant il a t oubli ces derni res ann es bien qu un des trois piliers du D veloppement Durable Pleine kfl apport d activit
65. mentales pour laborer un sch ma d am nagement de lutter contre les ruptures spatiales on peut recoudre les deux p les d une commune articuler une extension urbaine en continuit d un quartier existant s inspirer du paysage local clos masures pour dessiner des nouvelles formes b ties cr er des transitions entre les espaces urbain et agricole Pour valoriser le territoire d autres pistes seraient de qualifier les entr es de ville d am nager les travers es de bourg de traiter les cl tures d identifier les points de vue prot ger vers le grand pay sage de promouvoir l hydraulique douce L action locale doit pouvoir b n ficier d une vision globale et en amont pour faire des choix plus justes Les collectivit s les am nageurs les particuliers les agriculteurs peuvent tous contri buer l am lioration du cadre de vie en adoptant une d marche de projet bien r fl chi Pour mener vos projets vous trouverez aupr s de l quipe du C A U E des publications et des conseils techniques La rue principale des bourgs et des villages subi l volution des modes de d placement et la circulation routi re est fac teur de nuisances et d ins cu rit pour les habitants riverains Les voies ont d r pondre de nouvelles exigences de gabarit et sont devenues des axes de transit o tous les l ments de paysage qui s opposaient au trafic croissant ont t rabo t s effac s
66. minaire lieu de r ception salles de r union ou bureaux autant d id es qui n cessitent au del des choix politiques une mise en parall le avec les surfaces disponibles et les caract ristiques des espaces rencontr s Quelle que soit la vocation venir du ch teau les ventuels r am nage R organisation du c ur de bourg Vieux Manoir Le c ur du village s organise autour de la voie princi pale proximit de laquelle se concentrent les b ti ments publics et les commerces De vastes espaces libres forment un espace vert que la commune souhaite valo riser en jardin rural Ils constituent un v ritable atout et un potentiel urbain et paysager de qualit Pourtant l analyse du site r v le quelques dysfonctionnements chauss es surdimensionn es cr ant une rupture entre les p les du bourg manque de continuit dans les nagements accentuant la sensation de morcellement mairie peu mise en valeur et mal signalis e Flores d plc des de 4 cr es de Mr ET 4 vr pe mi 4 iper pra mime a Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Devenir du ch teau de Derchigny Graincourt des changements de destination possibles
67. mmissions du SCOT Caux Vall e de Seine Animations Association des amis de la vall e de la Ganzeville Conf rence sur le clos masure et paysage cauchois Association Beauvoir Avenir en Pays de Bray Conf rence sur l exposition Paysage et architecture Association EFFET DE SERRE TOI MEME Animation des Rencontres de l Habitat Durable 29 janvier Mon logement est il nergivore 26 F vrier Comment j isole mon logement ancien 26 Mars Comment choisir mon artisan 30 Avril Comment financer mes travaux d conomie d nergie 28 Mai Comment je chauffe mon logement 24 Juin Comment bien r ussir mes travaux de r novation 24 septembre Par quoi je commence ma r novation thermique 22 octobre Comment j isole mon logement par l ext rieur 26 novembre Comment je choisis mon chauffage au bois Lyc e agricole d Yvet t Animation sur le th me de la haie et des clos masures Centre de formation de techniciens agricoles Coquer aumont Animation sur le th me de haie Maison des For ts Conf rence Des jardins aux espaces verts la place de la nature en ville Conf rence Invitez la nature dans le jardin plantez une haie champ tre Association des Amis de la Vall e de la Ganzeville Conf rence sur les clos masures Mairie de la Haye Routot Conf rence sur l exp rience de fleurissement de Veules les Roses Op ration brise vent Hive
68. n compte d s le d but des tudes les pr occupations nouvelles en mati re d environnement en les aidant clairement exprimer les enjeux aupr s des quipes candidates Le C A U E a propos la r alisation d un document pr cisant les objectifs retranscrire dans les futurs projets de la commune amont de la consultation Celui ci permettra l quipe de concep teurs retenue de cibler ses r ponses en fonction des attentes du ma tre d ouvrage et lui vitera des allers et retours incessants de cadrage d objectifs risquant de compromettre le respect du ti ming de l op ration Les premiers travaux de l am nagement de la promenade Saint plage r alis s par le cabinet FOLIUS avaient d j l poque int gr des solutions respectueuses du cadre paysager de la ges tion des eaux pluviales et de l emploi de mat riaux naturels La nouvelle quipe de ma trise d uvre pilot e par l Atelier de Saint Georges a su d s le stade des esquisses privil gier des r pon ses architecturales et paysag res sur des principes tr s affich s de d veloppement durable utilisation de mat riaux renouvela bles comme le bois brut sans produit polluant ou disponibles sur Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 place tels que les galets conomie de l eau avec la mise en place de toilettes s ches d un syst me de pompage pour les douches et
69. nent en compte les atouts du paysage local Le C A U E est souvent appel par les lus pour travailler sur cette probl matique Nous pensons que le projet est l occasion de reconsid rer les enjeux abord s g n ralement sur le seul aspect de la s curit Il convient d largir le regard en d passant le simple cordon de voirie et de prendre en compte ce qui se passe dans l paisseur du bourg Il est n cessaire de sortir de la logique routi re et de comprendre le site en s appuyant sur les usages possibles des lieux en valorisant l existant et en recher chant la qualit de l espace et du paysage Pour faire partager cet tat d esprit nous avons souhait abor der cette th matique dans une nouvelle publication r alis e en partenariat avec le D partement de la Seine Maritime et plus particuli rement avec la Direction des Routes Elle va tre largement diffus e tous les lus et partenaires de notr r gion 0 Commen prona U aminn Te 08 Org 9 p mas 1 LE SET j 22 R flexion sur le projet d am nagement de la travers e de M lamare Lurbanisation commune de Melamare s est constitu e le long d une route qui s tire sur plusieurs kilom tres Ses habitants subissent les nuisances et l ins curit d une circulation souvent trop rapide a d j t r am nag sur le tr
70. nt minima les co ts de r a lisation sont r duits La gestion int gr e tant ciel ouvert les probl mes de fonctionnement sont visibles les inter ventions plus ais es et l entretien moins co teux Ce principe efficace d un point de vue hydraulique gomme l aspect technique et ajoute une fonction de r gulation des eaux aux espaces publics Cette polyvalence d usages r duit ainsi la consommation de terrain et constitue un environnement urbain de qualit Les am nagements ont galement un r le ducatif Le parcours visible de l eau sur un territoire met en vidence sa topographie et sa capacit d infiltration et permet d ex pliquer le fonctionnement du cycle de l eau Formant de nouveaux milieux diversifi s ces am nage ments sont favorables la biodiversit 115 ont aussi un im pact sur la qualit de l eau qui ruissellant peu et s infiltrant rapidement ne se charge pas en pollution Des plantes puratrices peuvent galement am liorer la qualit de l eau voir encadr Phytorem diation ci dessous Enfin elle constitue une trame bleue dans le territoire Ce conducteur apporte une continuit tout en cr ant des am biances et des s quences paysag res diversifi es L hydraulique douce qui se d cline en de nombreux outils al liant technique et esth tique doit tre tudi e dans le cadre du projet global en coh rence avec le site afin que l am na gement subli
71. nville Participation au groupe de travail sur la carte communale Canton d Elbeuf sur Seine Elbeuf sur Seine Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi des permis de construire Participation au jury de concours pour la r alisation de 24 logements et la r habilitation de 64 logements Canton d Envermeu Envermeu Proposition d am nagement paysager pour des ouvrages hydrauliques li s au lotissement Le Courtillier Freulleville Avis sur un projet de division parcellaire Meulers Propositions d am nagement de la cour de l cole Saint Nicolas d Aliermont Etude de faisabilit sur une parcelle en vue de la construction de logements locatifs Saint Ouen sous Bailly R union d information sur le PLU Elaboration d un pr diagnostic pour le PLU Criel sur Mer Assistance et suivi des demandes d autorisation d urbanisme Avis sur un projet de lotissement Mesnil R aume Proposition d am nagement paysager d un terrain communal Canton de Fauville en Caux Bermonville Principe d am nagement du terrain de sport Envronville Proposition d am nagement paysager de la route d partementale N 5 Fauville en Caux Conseils aupr s de la commission d urbanisme Ricarville Participation au groupe de travail sur la carte communale Rocquefort Projet d am nagement des abords de la salle des f
72. on on Ouest Aujourd hui les lus ont programm la poursuite du projet de travers e de village sur la partie Est Interrog ce sujet le C A U E de Seine Mari time pr sente ici quelques l ments de r flexion concernant l approche d un tel projet Mise en place d un seuil d entr e de village C est une porte qui co ncide avec les limites ur banis es de la commune signifiant l entr e dans une zone habit e impliquant le ralentissement et une conduite adapt e Ce seuil devra tre r alis dans l esprit de l entr e Ouest la commune afin que se d gage une certaine coh rence dans le traitement des am nagements communaux Un dispositif de voirie brisant la lin arit du parcours avec un lot central que l on contourne affirmera cette notion de porte Du v g tal cadrant l entr e pourra compl ter efficacement cette lecture Cr ation d un cheminement pi ton Il s agit de mat rialiser un cheminement des tin aux pi tons qui doivent se d placer en s curit Les emprises lat rales tant limit es 5 m 5 50 la difficult est de faire coexister trottoirs et voies de circulation On recherchera donc une solution avec un traitement de sol particulier o le pi ton b n ficie d un espace d limit laissant la possibilit aux voitures de le franchir occasionnellement Le pav peut tre le mat riau choisi pour la r a lisation de cette bande de 1 1 5 d di e aux
73. on et aux com Pleine THIR H DT i W i j VE FE at 4 J p tences du C A U E Ainsi les th matiques architecture urbanisme paysage et conomies d nergie devront s ex primer travers le projet pour fonder l image sp cifique et l identit du Le d fi majeur est l am lioration ther mique dans le respect du patrimoine que repr sente cette b tisse du XIX me Celle ci offre une image valorisante mais n est actuellement pas compatible avec l activit du C A U E Le projet comprend donc une extension qui r pond aux at tentes la fois en terme de surface de lumi re d ad qua tion technique Elle affichera une image contemporaine qui inscrira le futur si ge dans le XXI me si cle Repr sentative sans tre ostentatoire l architecture sera bien entendu exemplaire en terme de qualit environnementale respect du site qualit des espaces int rieurs et ext rieurs choix de proc d s et de mat riaux durables gestion conome de l eau et des nergies Par ailleurs elle ouvrira le site sur la ville valorisant la qualit urbaine des lieux Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 page Vieillissement de la population quels logements pour demain La politique du maintien domicile n incite pas les per sonnes vieillissantes se tourner tant qu elles
74. onisations visent maintenir les limites paysag res l chelle du grand paysage l image des clos masures et att nuer la pr sence des b timents d exploitation s agit galement d af firmer la proximit des quipements publics par des liaisons physiques et vi suelles de cr er un terrain de sport sur une parcelle plus grande et accessible pour tous Un accompagnement paysa de qualit permettra de structurer l ensemble artnet de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une salle de sport La Rue Saint Pierre Projet d extension de l cole primaire Montville Participation au concours de ma trise d uvre pour le r am nagement du centre bourg Saint Georges sur Fontaine Etude de faisabilit pour le transfert de la biblioth que communale Proposition d am nagement paysager d un ouvrage hydraulique dans la cour de l cole Yquebeuf Etude sur le r am nagement de la mairie et la construc tion d une salle des arts et de la musique Canton de Criquetot l Esneval Criquetot l Esneval Etude de faisabilit pour la construction d une maison m dicale en centre bourg Etretat Analyse architecturale urbaine et paysag re de la commune et des pistes d actions Hermeville Pr diagnostic relatif l accessibilit aux personnes mobilit r duite p
75. ons d urbanisme Octeville sur Mer Participation la commission urbanisme Saint Martin du Manoir Participation au concours de ma trise d uvre pour l extension de la mairie Canton de Mont Saint Aignan D ville l s Rouen Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une r sidence de 50 logements et r habi litation d une maison en 6 logements Habitat 76 Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une cole l mentaire Participation au concours de ma trise d uvre pour la reconstruction des salles des associations Canton de Neufch tel en Bray Mesni res en Bray Participation au groupe de travail sur le PLU Neuville Ferri res R flexion sur les principes d accessibilit du complexe Mairie Ecole Cr che Canton de Notre Dame de Bondeville Malaunay Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi des permis de construire Montigny Elaboration d un pr diagnostic pour le PLU et partici pation au choix du bureau d tude pour l laboration d un PLU Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d un groupe scolaire Canton d Offranville Arques la Bataille Elaboration d un pr diagnostic pour le PLU Martigny Avis sur le Pont de la Varenne Offranville Elaboration d un pr diagnostic pour le PLU Tourville sur Arques Pr sentation des principe
76. our trois b timents communaux Pierrefiques Elaboration d un pr diagnostic pour choisir entre carte communale et PLU Saint Jouin Bruneval Participation au groupe de travail sur le PLU Participation la r flexion sur la valorisation des espaces littoraux touristiques et au choix de l quipe de ma trise d uvre Saint Martin du Bec R flexion globale sur le fonctionnement et l optimisation des quipements communaux Villainville Participation au groupe de travail sur le PLU Canton de Darn tal Bois d Ennebourg Conseils pour la r novation de l glise Saint Martin Bois L Ev que Principe d extension de l cole l mentaire Participation au choix de l quipe de ma trise d uvre Grainville sur Ry Proposition d am nagement d un terrain communal Saint Denis le Thiboult Etude de faisabilit pour la cr ation d h bergement dans un b ti ancien Saint Jacques sur Darn tal Participation au groupe de travail sur le PLU Canton de Dieppe Ancourt R organisation agrandissement et am lioration thermi que de la salle polyvalente Canton de Doudeville B nesville Proposition d am nagement et d agrandissement de la mairie Canville les Deux Eglises R habilitation de logements et cr ation d un espace d exposition Doudeville Conseils aupr s du service urbanisme Gonzeville Avis technique sur la restauration de la fa ade de l ancien presbyt re Harca
77. p diluves conomie de l nergie avec installation sur le p le nautique de panneaux d eau chaude solaire d une olienne de pompage pour alimenter en eau de mer un bassin de jeux et d ob servation pour les enfants plateforme de tri des d chets Ces principes et une architecture tr s contemporaine prenant en compte le caract re particulier des lieux o dialoguent activit industrielle port d Antifer et cadre naturel falaises de la c te d Alb tre seront traduits par diff rentes terrasses th matiques Ces derni res sur lesquelles seront difi s des l ments b tis n cessaires pour les activit s de la plage centre de secours p le nautique cabines plage seront reli es par un chemi nement pi tonnier Sous r serve de l obtention des autorisations en vue de la r ali sation de ces divers quipements les futurs usagers de la plage de Saint Jouin dont la capacit d accueil avoisine 2 3000 personnes en p riode estivale pourront b n ficier d am nage ments r solument tourn s vers l avenir et qui devront induire de nouveaux comportements en termes de citoyennet ET ET ea eg A Plan de Masse de l avant projet Vue partielle Ma tres d oeuvre Atelier Saint Georges et Atelier du Paysage Et Marta irai R habilitation d une maison de
78. pour la beaut prestigieuse de ses falaises les lus de la ville d Etretat sont pr occup s par l image que refl te aujourd hui une grande partie des espaces publics de leur territoire communal Ils ont donc souhait avoir un regard ext rieur de la part de professionnels de l am nagement avant d enga un certain nombre d interventions de requa lification Ces espaces caract ris s par des vides peuvent tre abor d s sous diff rents angles de lecture lecture spatiale et pay sag re qui doit prendre en compte trois chelles celle de la rue celle de la structure urbaine r v l e par le parcours dans la ville et celle du site lecture urbaine et sociale qui permet de d celer les pratiques et les usages de ces espaces Autrefois attribu s selon des desseins politiques et des affectations cibl es la place du march par exem ple certains espaces aujourd hui ont perdu leur vocation premi re La multiplication des fonctions pratiqu es com plexifie leur lisibilit et leur utilisation d autres issus d es paces r siduels r pondent quant eux provisoirement des attentes qui ne sont pas forc ment partag es et va loris es Une compr hension la fois sensitive fonction nelle et urbanistique de ces espaces est donc n cessaire pour proposer des am nagements qui traduiront le projet politique de la commune en accord avec les besoins et les attentes des citoyens La pluridis
79. r 2009 2010 31 5 km de haies plant s dont 36 sur talus 1583 dossiers de plantations Les donn es localis es gr ce au SIG permettent de d livrer des informations sur le type de haies sur ble du D partement Pour l hiver 2008 2009 les haies taill es repr sentent 40 du lin aire plant les haies bris vent 22 les alignements d arbres 16 les haies arbustes 15 Stagiaires Anne Laure DELWARDE tudiante en Master 2 Architecture l cole Nationale Sup rieure d Architecture de Paris la Villette Du 16 f vrier au 24 avril 2009 J r my MORIN tudiant en Master 2 Architecture l cole Nationale Sup rieure d Architecture de Normandie Du 4 mai au 30 juin 2009 Sophie SEMENT Etudiante en Master Droit Public l Universit de Rouen Du 20 avril au T7 juillet 2009 Marion ROUSSEL tudiante en DPEA Achitecture et Philisophie l cole Nationale Sup rieure d Architecture de Paris la Villette Du 20 octobre au 27 f vrier 2010 Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page 2010 Mairie de Mesni res en Bray Conf rence Quel avenir pour le paysage bocager la pr servation des l ments de paysage D partement de Seine Maritime Participation aux commissions communales d am nagement foncier CCAF Participation la commission intercommunale d am nagement foncier de 150 Participation au comit
80. r et prise en compte des cibles HQE pour un quipement durable La Neuville Chant d Oisel Information sur la r daction d un avis d appel public Canton de Bolbec concurrence B ville la euzeville la Grenier Elaboration d un sch ma d am nagement d un secteur Suivi des tudes d am nagement et d urbanisme et suivi des permis de construire Bosc Edeline en centre bourg N Mise en conformit des locaux de la mairie par rapport Bolbec l accessibilit des personnes mobilit r duite Assistance et suivi des demandes d autorisation R actualisation d un projet d am nagement de parc d urbanisme centre bourg Participation au concours de ma trise d uvre pour la Catenay reconstruction de la halle aux sports Participation au groupe de travail du PLU Raffetot H ronchelles Sch ma d am nagement de deux secteurs en centre Participation au groupe de travail du PLU bourg Longuerue Saint Eustache la For t Principe d am nagement du centre bourg Participation la r flexion sur des orientations d am Vieux Manoir nagement Proposition de requalification paysag re du centre bourg Pine Canton de Cany Barville Butot Venesville R union d information sur la carte communale Cany Barville Participation la commission urbanisme conseils sur les autorisations d urbanisme et les am nagements urbains Ouainville Proj
81. r le chauffage bois le 10 septembre Actions compl mentaires Salons Viva climat Agglo de Dieppe pr paration du salon 6 f vrier 2009 coconstruction Patrick Gabriel Domus mat riaux St Romain deColbosc conf rence d bat sur la r novation du b ti ancien dimanche 13 septembre Intervention participation des conf rences colloques r unions En qualit de partenaire COPIL 5 journ e du d veloppement durable AREHN 31 mars 2009 4 septembre 2009 COPIL Etude prospective de la fili re du B timent DRE Haute Normandie 12 f vrier 23 avril 2009 3 juillet s minaire le 15 septembre COPIL Am liorations thermiques dans le respect du b ti traditionnel nor DREAL et 12 f vrier restitution le 20 juillet COPIL Normambat Pr paration du salon professionnel de Nor mandie mars 21 septembre 27 octobre 22 d cembre En qualit d intervenant Conf rence Comment j isole mon logement ancien Effet de Serre Toi M me 26 f vrier Conf rence Les besoins d une approche globale du b timent Intervention dans le cadre de la remise de dipl me Eco Artisans Conf rence mat riaux Sous Pr fecture de Dieppe Sensibilisation des agents Conf rence Am lioration thermique du b ti ancien PNR Conf rence Parois perspirantes Ass
82. re vous aurez la possibilit de venir suivre des formations et trouver des documents au centre de ressources Le b timent programm autori sera l accueil de groupes dans un espace quip lumineux et peu et m me dans un jardin pour des ani mations en ext rieur Les locaux seront bien entendu ac cessibles tous nous portons une attention particuli re ce point tr s actuel dans nos communes comme vous le savez Cette op ration soutenue financi rement par le D par tement se fait dans un contexte conomique difficile la taxe sur les permis de construire accusant une forte baisse ne nous autorise aucun d passement budg taire L architecture sera contemporaine dans le respect du patrimoine selon la d finition m me de notre mission Le projet est porteur et constituera un renouveau pour toute l quipe que je f licite ici pour sa motivation et son professionnalisme Dany Minel Pr sident du C A U E 76 Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Paysage des zones d activit s conseil pour la future extension de F camp Basbeuf Devenir du ch teau Derchigny Graincourt des changements de destination possibles P4 R organisation du c ur de bourg Vieux Manoir Accessibilit aux ERP existants mairie coles communales salle des f tes Construire La ville sur la vil
83. rochaine rencontre autour d une id e neuve ou d un projet innovant Le prochain programme sera diffus cet t Il sera galement disponible sur notre site internet www caue76 org N oubliez pas de cocher vo tre agenda 589 communes et 39 autres partenaires adh rent au C A U E En adh rant notre association les communes montrent l int r t qu elles t moignent pour notre d marche et plus g n ra lement pour l am nagement de leur cadre de vie Dans ce but nous vous proposons d adh rer notre association dont la cotisation annuelle est pour 2010 de 46 46 de forfait pour les communes de moins de 430 habitants et 0 106 par habitant pour les communes dont la population est comprise entre 430 et 100 000 habitants arrondi l euro sup rieur Pour les autres partenaires cotisation d un montant forfaitaire 101 N h sitez pas nous contacter pour obtenir un bulletin d adh sion 02 35 72 94 50 Communes de Seine Maritime adh rentes au C A U E la date du 5 Mai 2010 Adh rentes Non adh rentes
84. rrespondent plus aux attentes actuelles Les lus ont souhait valoriser cette b tisse et la recomposer en deux logements loca tifs La commune a fait appel au C A U E pour conna tre le potentiel de l difice et les pr conisations adopter Le projet consiste diviser le b timent en deux logements de 80m en duplex Ces logements sont con us pour b n ficier d une totale autonomie d acc s ainsi que d une ouverture directe sur un espace ext rieur privatif Compte tenu de la qualit architecturale de ce presby t re ainsi que de son implantation en vis vis de l glise sa r habilitation ne devra pas compromettre la fa ade publique de l difice Les am nagements ext rieurs devront notamment sur l avant rester relativement mesur s et pr server l identit de la fa ade principale en gardant ses caract ristiques de maison unique Les prestations surtout en ce qui concerne les fen tres devront tre de qualit le PVC sera proscrire Cette obligation qualitative sera il est vrai un facteur de sur co t court terme Mais ne devons nous pas construire durablement Meulers un amphith tre dans la cour de l cole La cour de l cole Meulers pr sente une certaine d clivi t Ce d nivel se concentre essentiellement sur un talus qui a b ch et plant Investis par les enfants le talus et les plan tations sont quelque peu grignot s la b che plastique ser
85. rticipation la commission d am lioration de l habitat Association Syndicale de la Bresle Etude de faisabilit d am nagement de bureaux Nesle Normandeuse Dans le cadre de la commission fa ade la Communaut de Communes Fleur de lin visite sur place des fa ades Chambre de Commerce et d Industrie de Rouen Participation au concours de ma trise d uvre pour l extension de l cole d ing nieurs ESIGELEC Centre Interr gional de Formation Professionnelle CIFP Formation des instructeurs des autorisations d urba nisme la lecture de plans Participation au groupe de travail sur des fiches d informa tion sur des constructions publiques destination des lus Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction d une d chetterie dans les quartiers sud du Havre Conseil R gional Participation au lancement de l tude relative l labora tion d un atlas des paysages et au comit de pilotage DDTM Participation l laboration de la charte Agriculture urbanisme Estuaire de la Seine Participation au concours de ma trise d uvre pour le projet de construction du logement locatif Grandcamp Fondation du Patrimoine Participation au Comit D partemental d Orientation Grenelle de l Estuaire Participation au groupe de travail Cadre de vie et biodiversit Habitat 76 Membre du Bureau et du Conseil d Administration
86. s du PLU Saint Aubin sur Scie Proposition de requalification de deux parkings Canton d Ourville en Caux Robertot Conseils sur des travaux de l glise Thiouville Propositions de plantations des abords de monuments publics et pr conisations pour l extension du cimeti re Veauville Lesquelles Animation sur le th me de la pr servation des l ments du paysage Canton de Pavilly Fresquiennes R flexion initiale sur le PLU Lim sy Participation au groupe de travail sur le PLU Pavilly Participation au jury de concours pour la construction d une gendarmerie Participation la r flexion sur zone d activit s Canton de Rouen Rouen Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de 130 logements ZAC Aubette Martainville Immobili re Basse Seine Participation au concours de ma trise d uvre pour la construction de 83 logements rue aux Anglais Rouen Habitat Participation au Conseil Rouennais de D veloppement Durable Participation au concours de ma trise d uvre pour les travaux de r sidentialisation du quartier des Sapins et du groupe Ch telet 2 Canton de Saint Romain de Colbosc Epretot Elaboration d un projet de lotissement communal centre bourg Saint Romain de Colbosc Avis sur un b timent agricole du XVIII me si cle Canton de Saint Sa ns Rocquemont Avis sur le projet de l cole prim
87. s eaux pluvia les et de ruissellement Le choix de moyens rel ve donc du pouvoir d appr ciation des collectivit s qui peuvent alors inciter une d marche de gestion int gr e Parc de l Or e du Rouvray Saint Etienne du Rouvray Ma tre d uvre D Comont ARC EN TERRE Ma tre d ouvrage Commune de Saint Etienne du Rouvray Dans le cadre de l laboration ou de la r vision d un document d urbanisme Afin de lutter contre les risques d inondation li s aux d bordements des cours d eau aux ruissellements et aux remont es de nappes le d partement de Seine Maritime pr conise la r alisation d un sch ma de gestion des eaux pluviales par commune Il localise sur la base du cadastre les secteurs de risque d inondation li aux axes de ruisselle ments Cette d marche fortement conseill e peut b n fi cier d un financement sp cifique Le code de l urbanisme permet toute commune qu elle soit couverte ou par un document d urbanisme de pr server son patrimoine naturel et b ti en dressant un inventaire Cet outil est un atout suppl mentaire dans la gestion des eaux pluviales En effet outre leurs int r ts pay sagers et cologiques les v g taux et les mares limitent les inondations Les haies ainsi que les ripisylves v g tations de bords de cours d eau freinent les eaux de ruissellement et participent au maintien des sols Les mares quant elles jouent
88. s pas la vapeur d eau Ult rieurement une r flexion plus pouss e pourra tre men e sur les solutions nerg tiques mettre en place selon les proc d s d isolation choisis m onseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Saint Georges sur Fontaine Economiser l nergie dans les b timents communaux une question d organisation spatiale Lorsque nous sommes interrog s par les lus sur la consommation d nergie des b timents communaux leur attente est souvent strictement technologique Pourtant quel que soit le projet au risque de les d cevoir notre pre mier r flexe n est pas de nous concentrer uniquement sur le syst me de chauffage mais d appr hender l difice dans sa globalit et dans son environnement Avant d engager des travaux sur un b timent une r flexion pr alable sur la fonctionnalit de celui ci s impose La solution est dans pr hension globale du b timent pas uniquement dans la chaufferie Posons nous les bonnes questions le b timent r pond t il encore aujourd hui aux attentes Le volume chauffer pour l activit pratiqu e est il adapt Le b timent vaut il la peine d tre r habilit Un tat des lieux objectif des besoins est plus que jamais indispensable pour les col lectivit s afin de hi rarchiser les actions mener Le C A U E apporte un regard neutre et ind pendant d architecte sans d marche commer
89. sont encore autonomes vers des formes d habitats diff rentes qui leur permettraient de bien vieillir chez elles tout en restant en relation avec les autres Actuellement encourag s par les pouvoirs publics des pro grammes priv s d h bergement destination des person nes g es voient r guli rement le jour sans raisonnement l chelle du territoire principalement au gr des opportuni t s fonci res Certes ils pr sentent une architecture adapt e au confort et la s curit mais ces papys ghettos se d veloppent loin des services du quotidien parfois dans des environnements g ographiques hostiles mal desservis par les transports en commun Ces projets refl tent notre diffi cult collective consid rer les s niors comme des acteurs potentiels de la vie sociale Et pourtant d un point de vue purement conomique ils participeront de plus en plus la dynamique des territoires L mergence de nouveaux types d habitats Desinitiatives priv es et publiques tentent d apporter des r ponses alternatives qui s apparentent aux foyers logements Car il s agit bien de proposer un v ritable logement on parle d habitat solidaire de r sidences interg n rationnelles de maisons des a n s Un des grands int r ts de ces initiatives est entre autres de participer diversifier l offre de logement Car derri re les termes s niors personnes g es retrait s la population Lhabitat
90. st cr e Reliant la placette de la mairie aux coles elle forme un axe structurant au centre du jardin et constitue un fond de perspective arbor orientant la vue vers la mairie Sur la place de l glise la zone de stationnement actuelle serait am nag e en une placette multi fonctionnelle permettant la fois le stationnement et l accueil d animations Le r am nagement du c ur du village pourra tre planifi sur le long terme et se faire par tapes L am nagement du jardin en concertation Il est propos de finaliser l am nagement du jardin en organi sant des parterres arbustifs des all es pi tonnes des espaces enherb s et du mobilier autour de l all e centrale Quelques sch mas sont propos s Il est recommand pour cette tape d associer les personnes charg es de l entretien afin de bien prendre en compte leurs attentes et leur savoir faire Il serait aussi int ressant d associer les enfants en programmant des activit s p dagogiques sur le th me du jardin de la diversit des plantes Pour la valorisation ult rieure une dimension p dagogique pourrait tre donn e ce jardin en mettant en place des supports d information divers tiquettes d identi fication des v g taux panneaux d information sur la faune des jardins Choix des v g taux pour un entretien limit Pour faciliter l entretien des parterres limiter les travaux de taille et donner au jardin un caract re simple mais soi gn
91. t galement aid s en Vall e de Seine Pour tablir la correspondance entre typologie des haies et territoires les services du D partement et le technicien forestier du C A U E se sont appuy s sur le Sch ma D parte mental des Paysages Un cahier de plantation a t r alis pour accompagner les imprim s de demande de subvention et exposer les nouveaux crit res mis en application essen ces utiliser espacement entre les plants entretien ap porter Le montant des aides s l ve pour les particuliers 30 du montant des travaux sub vention plafonn e 5 ml pour les haies de clos masures et 1 80 ml pour les haies bocag res pour les collectivit s 60 du montant des travaux sub vention plafonn e 11 ml pour les haies de clos masures et 6 ml pour les haies bocag res Les p titionnaires s engagent sur l honneur conserver et entretenir la haie Les collectivit s devront dans leur docu ment d urbanisme prot ger les haies cr es au titre de l ar ticle L 123 1 7 du Code de l urbanisme pour les communes dot es d un PLU ou au titre de l article 421 23 du m me Code en prenant une d lib ration apr s enqu te publique pour les communes couvertes par une carte communale ou sans document d urbanisme L aide technique du C A U E dans l instruction des deman des de subvention reste attentive de mani re individuelle chaque projet et respecte les
92. t de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 page page Travailler l chelle intercommunale les int r ts du SCOT R mi d an ir Vers quoi orienter et comment am liorer la qualit du d veloppement des bourgs villages et hameaux Lorsque ces questions sont abord es l chelle intercommunale les quipes municipales redoutent de perdre une certaine autonomie sur la gestion et le devenir de leur commune Ils ressentent une g ne s impliquer dans l laboration d un Sch ma de COh rence Ter ritoriale Pourtant dans un environnement en construction per p tuelle la fabrication du SCOT offre un moment privil gi pour m rir une vision de territoire et identifier des objectifs l chelle d un bassin de vie Ces questions souvent regroup es sous le th me de la qualit du cadre de vie font r f rence l environnement dans lequel nous trouvons habitat emplois services quipements loisirs modes de d placement paysage Sous l impulsion de nouveaux principes d am nagement issus de la loi Solidarit et Renouvel lement Urbain et de la loi Urbanisme et Habitat ainsi que des orientations du Grenelle de l Environnement une nouvelle tra jectoire se dessine Les lus qui s impliquent dans ces travaux rel vent le d fi d une nouvelle mani re de d velopper le territoire Leur volont
93. t de rencon tre proximit imm diate du centre bourg Sa requalification paysag re recouvre des enjeux d am lioration du paysage et du cadre de vie des habitants ainsi que de valorisation cologi que et p dagogique du milieu 8 Bosc Edeline le C A U E d couvre sur le hameau d Hucleu une bs Ma tres d uvre INFRA Services D Hulak D Larue J Cha b Ma tre d ouvrage Foncier Conseil les bonnes pratiques par un concepteur concepteur et ma tre d uvre de l espace public Cr 1986 par Michel BENARD le bu reau d tudes a toujours abord l espace public avec un autre regard sur la gestion des eaux pluviales Cela tait extr mement difficile car cette poque la prise en compte de l environnement n tait pas loin s en faut d terminante N anmoins cela a forg notre tat d esprit de contestation constructive notre sens de la r flexion alternative Nous avons travaill en justifiant les techniques en ma trisant les co ts nous avons r fl chi aux am liorations des produits et nous avons tou jours cherch renforcer notre sensibilit environnementale Notre motivation et notre travail sont issus d un constat simple et pragmatique l am nagement de l espace public lorsqu il tait trait de fa on traditionnelle aboutissait souvent des projets o sur 100 de travaux d am nagement 90 taient sous terre Nous avons toujours essay d infl chir au
94. t l eau De m me des surfaces en herbe constituent des plages vertes et des aires de stationnement pour les visiteurs L eau exc dentaire est collect e et infiltr e par des noues Une faille plant e de v g taux voque la pr sence de En amont de l tude il faudra se rapprocher des bassins versants structures intercommunales suivant les lignes de cr tes afin de pouvoir g rer les probl mes d inondations et de coul es boueuses de fa on coh rente de l amont vers l aval L AREAS Association R gionale pour l Etude et l Am lioration des Sols poss dant une grande exp rience de la gestion des ruissellements et de la lutte contre les inondations pourra tre associ e et apporter ses conseils techniques pour les choix les m thodes l expertise et les formations Il faudra galement solliciter la D l gation InterServices de l ancienne berge avant Sur tout le quai de Seine l ancien mail plant de plata nes essence adapt e la fois aux zones humides et au milieu urbain est conserv Le projet traduit la volont de garantir le respect des milieux naturels et la valorisation du patrimoine archi tectural urbain et paysager des bords de Seine En r introduisant le rapport l eau cet espace public r cr e un lien entre la ville et son territoire lt Quais de A Ma tres d uvre L Protois ALIQUANTE B SAAS FOLIUS INGETEC Ma tre d ouvrage
95. tale comprise entre 1 et 20 ha d claration Surface totale sup rieure ou gale 20 ha autorisation Ainsi un projet d am nagement de 17 ha est soumis auto risation s il intercepte les coulements d un bassin versant naturel d une surface sup rieure 3 ha le bassin intercept d passant alors les 20 ha Quais de Seine la cr ation de zone humide articulation entre la ville et son milieu naturel L am nagement constitue du centre ville avec son environnement naturel de vall e de Seine D clinant le vocabulaire de l eau il r introduit les usages pass s li s au fleuve promenade en bord de Seine tourisme fluvial mise l eau des bateaux L intervention respecte et renforce l identit du milieu fragile du bord de fleuve notamment par ment d un jardin humide Formant une d pression il joue le r le de bassin de r cup ration des eaux pluvia les Une grande terrasse en bois sur pilotis traverse le jardin humide en son centre marquant l axe entre la place l glise et la Seine son extr mit un ponton forme un belv d re sur le fleuve Le centre de l op ration est marqu par une placette donnant acc s la cale de mise l eau des bateaux Les rev tements sont majoritairement perm ables cr ant des espaces polyvalents Ainsi la place des Saules peut re cevoir de nombreux usages boulodrome bals populaires ou spectacles tout en infiltran
96. te Gilles PESQUET Agent comptable Catherine VERDURE Secr taire de direction Ga tane PREVOT Secr taire Information EIE Anne SEVESTRE de la Seine Maritime rue Louis Blanc BP 1283 76178 Rouen cedex 1 T l phone 02 35 72 94 50 T l copie 02 35 72 09 72 E mail caue caue 76 org Site Internet www caue76 org Bone een 0 0 0 nel ement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 Les rendez vous du C A U E R f rentiel de visites visites de r f rences Nous nous mobilisons chaque ann e pour vous proposer les Rendez vous du C A U E conf rences visites rencon tres qui ont pour objectif de vous sensibiliser aux probl mati ques actuelles du cadre de vie La mise au point de ce programme comportant une action par mois repr sente de nombreuses heures de travail de concer tation de recherche et de prise de contact pour notre quipe Nous pensons que notre investissement repr sente pour vous un enrichissement et des id es pour l avenir de votre commune de vos administr s Ce vivier d id es vous pourriez le chercher dans les revues ou sur internet Mais cela vaudrait il r ellement une exp rience v cue ou une rencontre humaine De plus des documents d crivant le projet ou la th matique abord e vous sont remis un dossier sp cifique ou bien les fiches r f rentiel les cr s par le C A U E Vous gardez ainsi une trace et vous vous constituez une documentation tr s utile
97. tes et du terrain de sport Tr mauville Conseils sur la r novation de murs ext rieurs de la mairie Canton de F camp F camp Participation la r flexion sur l am nagement du front de mer Gerville Pr conisations pour la r alisation d un talus autour d un futur lotissement Participation au groupe de travail sur le PLU Les Loges Participation au groupe de travail sur le PLU Senneville sur F camp Participation au groupe de travail sur la r alisation d une r sidence s niors Tourville les Ifs Participation au groupe de travail sur le PLU Canton de Fontaine le Dun Saint Aubin sur Mer Avis sur les travaux de l glise Saint Pierre le Vieux Proposition d am nagement de la traverse de bourg Canton de Forges les Eaux Compainville Principe de r am nagement de l acc s l glise Gaillefontaine Principe d extension de la mairie avec accessibilit handicap s Mauquenchy Proposition d am nagement d une aire de stationnement Conseils pour l int gration d un b timent usage commercial Mesnil Mauger Etude sur l accessibilit des b timents communaux Serqueux Etude pour la requalification de l ancien presbyt re en mairie Canton de Goderville Bretteville du Grand Caux Avis sur le projet d extension d un lotissement Ecrainville Projet de construction d une salle polyvalente et partici pation l laboration du march de ma tris
98. thalie Lepiller de la r sidence Agora et Odile Bermond architecte de cette r alisation Situ e dans le c ur de Bourg Achard cette r alisation re groupe 52 logements pour personnes g es initialement autonomes des services lingerie restaurant logement d h tes et est associ e une biblioth que municipale et des logements sociaux Organis e sous forme de maisonn es de 10 logements la r sidence s int gre dans la continuit des constructions existantes et offre chaque r sident une vue sur des espaces publics L ind niable r ussite de cette r alisation tient tant au ma tre d uvre qui a su tirer partie du contexte et r pondre aux usages qu la d marche de programmation lors de laquelle l ensemble des acteurs t associ concepteur repr sen Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnement de la Seine Maritime Pleine Page mai 2010 d sign e recouvre une vari t d ges de situations et ces exp riences s inscrivent chacune dans une logique d une offre de logement personnalis en r ponse une demande identifi e cibl e Avec le d sir de se prendre en main et de choisir son lieu et son mode d habiter on trouve par exemple des femmes qui se sont regroup es pour construire des logements dans un village avec des espaces et des quipe ments mis en commun pour r duire les co ts d investisse ments de maintenance principes du volet
99. un r le tampon Les travaux de modification ou de suppression d un l ment identifi doivent tre pr c d s d une d claration pr alable aupr s de la mairie Le r glement crit du PLU permettra d instaurer en plus des prescriptions Le C A U E dit une m thodologie consultable sur www caue76 org dossier paysages seinomarins Le parc s inscrit dans la Boucle verte offrant aux pi tons et cyclistes un itin raire de six kilom tres l abri de la circulation automobile Il constitue galement le trait d union entre les quartiers nouveaux et anciens La carte communale ne comportant pas de r glement elle ne peut pas dicter de r gles relatives au raccordement aux r seaux d assainissement Cependant elle peut classer en secteur non constructible les rivi res et ruisseaux ainsi que les berges et les zones humides les axes de ruissellement thalwegs d pression naturelle 65 zones n cessaires au stockage des eaux de ruisselle ment exc dentaires La d clivit du site a t utilis e pour g rer les eaux plu viales articuler le tissu existant et le quartier en projet et proposer trois espaces compl mentaires en creux ou en balcon reli s par des promenades Ainsi le jardin en creux situ sur la terrasse basse recueille les eaux pluviales du nouveau quartier et des rues voisines Il permet la fois de r duire les coulements d eau vers la ville d arroser les v g taux
100. un traitement homog ne Celui ci de vra tre r fl chi dans une logique d ensemble en prenant soin de donner une place de choix au v g tal Elles contri buent en effet valoriser la propri t priv e donc l image des entreprises et qualifier l image de la Veiller la qualit d am nagement des parcelles privatives Per ue dans sa globalit l organisation ma tris e du b ti donne une image coh rente et valorisante de la ZA qui contribue sa qualit architecturale et paysag re Les es paces libres en visibilit avec la rue devront tre trait s avec soin gestion alternatives des eaux pluviales situation et traitement des zones de stationnement l arri re des aires de service des aires de repr sentation et des zones de d p t ou de stockage L impact des b timents industriels ou de bureaux est pr pond rant dans le paysage de la ZA Si la qualit formelle de chacun d eux peut s valuer s par ment la zone se juge aussi dans leur capacit coexister harmonieusement Cet te coexistence ne peut tre ma tris e que si elle est g r e par quelques r gles simples qui cadrent l implantation de la construction sur la parcelle sa hauteur et ses proportions la couleur des enduits les mat riaux les variations archi tecturales des fa ades Une composition d ensemble d fi nie au travers d un sch ma d am nagement de certaines r gles simples permet de cr er une
101. ur la rue pr sente un caract re architectural int ressant Le futur am nagement doit tre en ad quation avec ce paysage et reprendre les principes 8 cer gt 2 1 d implantation des b timents existants proches du site Le terrain concern class en zone UR du PLU permet un habitat individuel jumel ou un habitat caract re col lectif niveau urbanistique la densification est donc possible Les habitations reprendront le caract re align des b ti ments voisins et elles seront dispos es de pr f rence le long des axes de circulation de mani re d gager au Sud les jardins privatifs L ensemble sera ponctu de petites placettes de sentes pi tonnes et d espaces verts qui per F r i 4 T l me E 25 mettront de hi rarchiser ces diff rents espaces publics Le r seau viaire assurera la liaison entre le nouveau quartier et le centre du bourg en utilisant toutes les potentialit s existantes sur le site sera structur hi rarchis le bou clage en sera assur La mise en relation du presbyt re et son parc avec le futur quartier d habitation permet d envisager un projet d am nagement d ensemble Il a t s lectionn dans le cadre des op rations pilotes au titre du Pacte D partemental pour le D veloppement Durable Conseil d Architecture d Urbanisme et d Environnemen

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