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1. N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 61 COMITE DIRECTEUR Urs Sieber Chef de clinique l H pital r gional de Berthoud Ressorts Politique de la sant et professionnelle conditions de travail Patrick Wilson M decin assistant n phrologie CHUV Lausanne Ressorts Politique professionnelle et de la sant conditions de travail Nicola Ruegsegger Etudiant en 3 ann e de m decine l Universit de Bale Swiss Medical Student Association SwiMSA Ressort eHealth 62 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 Secr taire politique PHOTO SEVERIN NOWACKI WI Rosmarie Glauser avocate directrice de la section Berne et secr taire politique de VASMAC MANDATS La secretaire politique labore les fondements dans le domaine de la politique de la sant et professionnelle soutient les organes de l ASMAC Suisse lors des prises de d cisions en matiere de politique de la sant et professionnelle et communique les positions vis a vis des membres de l association et des tiers Elle assume certaines taches en collaboration avec le directeur de ASMAC Simon Stettler Taches e lobbying aupres des d cideurs dans le domaine de la politique de la sant e repr sentation de l ASMAC Suisse aupr s de tiers e participation dans les organes d autres organisations associations pour la d fense des int r ts de ASMAC e laboration de proc dures de consultation relatives des projets co
2. 10 M ller HJ Neuroleptikabehandlung in der Gerontopsychiatrie In F rstl ed Lehrbuch der Gerontopsychiatrie und psychothera pie Grundlagen Klinik Therapie Stutt gart New York Thieme 2003 227 239 11 Alexopoulos GS Streim J Carpenter D Docherty JP Expert Consensus Panel for Using Antipsychotic Drugs in Older Patients Using antipsychotic agents in older patients J Clin Psychiatry 2004 65 Suppl 2 5 99 12 O Brien J Antipsychotics for people with de mentia BMJ 2008 337 a602 13 Weyerer S Psychopharmakagebrauch und missbrauch im Alter In F rstl ed Lehr buch der Gerontopsychiatrie und psycho therapie Grundlagen Klinik Therapie Stuttgart New York Thieme 2003 507 515 14 Montgomery S Chatamra K Pauer L Whalen E Baldinetti F Efficacy and safety of pregabalin in elderly people with gene ralised anxiety disorder Br J Psychiatry 2008 193 389 394 15 Jacoby R Manie In F rstl ed Lehrbuch der Gerontopsychiatrie und psychothera pie Grundlagen Klinik Therapie Stutt gart New York Thieme 2003 432 435 16 Riemann D Dressing H Schlafst rungen In F rstl ed Lehrbuch der Geronto psychiatrie und psychotherapie Grund lagen Klinik Therapie Stuttgart New York Thieme 2003 484 496 17 Kamel NS Gammack JK Insomnia in the elderly cause approach and treatment Am J Med 2006 119 463 469 Korrespondenzadresse PD Dr med
3. N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 57 SECTIONS Valais ASMAVAL Membres 460 Presidence Vincent Remillieux Comit Marc Antoine Antille secr taire Luc Feider caissier Ludovic Melly chambre m dicale Jean Daniel Rouv Webmaster Dominique Tercier C cilia Fiori Fr d ric Golay Moez Beldi Secr tariat Vincent Remillieux H pital de Mal voz rte de Morgins 10 1870 Monthey t l phone 079 309 36 61 fax 024 473 33 49 remillieux vsao ch F r deutschsprachige Kollegen Luc Feider luc feider asmaval ch Juriste Antoinette Haldy avocate CP 234 60 avenue C F Ramuz 1001 Lausanne t l phone 021 721 80 60 fax 021 721 80 70 ahaldy vtx ch De gauche a droite Ludovic Melly Antoinette Haldy avocate Dominique Tercier Marc Antoine Antille d Vincent Remillieux i gt president 8 W We g C cilia Fiori Se e CC Frederic Golay Antoinette Haldy Luc Feider avocate Moez Beldi gv Comit Andreas Hirth Mathias R ssle Dragan Stojanov Eric Vultier juriste Membres 1088 Presidence Irene Burger Gert Printzen Secr tariat VSAO Sektion Zentralschweiz DAVID Sekretariat c o Anette Gasser Vorstettli 13 4524 G nsberg telephone 032 637 07 15 fax 032 637 07 16 e mail zentralschweiz vsao ch L I 2 fi KR De gauche a droite Dragan Stojanov Mathias R ssle Eric Vultier juriste Irene Burger copr sidente Gert Printzen copresident
4. ensemble des h pitaux inscrits sur la liste L ASMAC salue cette motion car elle cr erait enfin des conditions quitables pour les h pitaux priv s et publics Le Conseil ex cutif recommande d adopter la motion sous forme de postulat BRO Pour conclure PASMAC Berne souhaite a toutes et tous de joyeuses f tes de fin d ann e et une bonne ann e 2010 a Rosmarie Glauser directrice de L ASMAC Berne S minaires SwissDRG pour les m decins A partir de janvier 2010 la FMH et H proposeront une nouvelle fois conjointement deux s minaires de base sur SwissDRG destin s aux m decins hospitaliers Le seminaire d une journ e lt SwissDRG Grundlagen f r rzte est une bonne introduction 3 la th matique les participantes et les participants s y familiariseront avec les bases de SwissDRG et tudieront le cadre legal s y rapportant Ils elles seront sensibilises a l importance essentielle d un codage correct effectu avec les classifications CHOP et CIM 10 CH et de la comptabilit analytique en usage dans le syst me SwissDRG Quant au s minaire rzte und Kodierung Verantwortung unter SwissDRG il est con u comme une seconde tape et s adressera aux praticiens poss dant une premiere experience des DRG D une dur e d un jour lui aussi il permettra aux personnes qui le suivront de connaitre quelles bases sont n cessaires pour assumer la responsabilit du codage dans un petit h pital une clinique ou dan
5. i il N 6 D cembre 2009 Presque tout ce que les enfants voient entendent sentent et tiennent dans les mains se transforme en jeu Les enfants empilent des verres sur la table du d jeuner construisent avec plaisir des mon tagnes et des vall es dans la pur e de pommes de terre font des grimaces devant le miroir colorent des murs avec de la craie lancent des pierres dans un conduit d coulement des eaux ou marchent avec joie sur un mur troit Le comportement en situation de jeu reflete la confrontation des enfants avec leur environnement Les enfants veulent de couvrir et comprendre leur environne ment faire connaissance avec son fonc tionnement et se familiariser avec des choses inconnues Pour le dire plus simplement les enfants apprennent en jouant L apprentissage du jeu dans la petite enfance ne sert cependant pas seulement largir les connaissances Il ne peut pas tre plac au m me niveau que l apprentissage de l enfant scolaris ou de l adulte car il se manifeste par des actions sans but vident Cela ne signifie pas que le jeu de la petite enfance n a pas de sens L enfant int riorise par le jeu la fonction des objets et les caract ristiques de l environnement et apprend en m me temps en jouant les comp tences quoti diennes n cessaires Les connaissances relatives au jeu de la petite enfance sont importantes la fois pour les parents et pour les sp cialistes Elles nous p
6. p lt 0 05 A ce sujet le Professeur Tobias Welte Hanovre responsable de l tude CLIMB a observe Ces r sultats demontrent nettement que l association du tiotro pium au bud sonide formot rol permet un traitement am lior l imm diat et long terme chez les patients souffrant d une BPCO et de ses sympt mes L homologation pour la BPCO en Suisse pr voit 2 fois par jour 2 inba lations de 200 6 ug R f rences Global Initiative for Chronic Lung Disease Global strategy for the diagnosis manage ment and prevention of chronic obstruc tive lung disease Update 2008 www goldcopd com Calverley PM et al Maintenance therapy with budesonide and formoterol in chronic obstructive pulmonary disease Eur Respir J 2003 22 912 919 Lindberg A et al Fast onset of effect of budesonide formoterol versus salmeterol fluticasone and salbutamol in patients with chronic obstructive pulmonary disease and reversible airway obstruction Respirology 2007 12 732 739 Welte T et al Efficacy and tolerability of budesonide formoterol added to tiotro pium in patients with chronic obstructive pulmonary disease Am J Respir Crit Care Med 2009 180 741 750 Partridge MR et al Patient insight into the impact of chronic obstructive pulmo nary disease in the morning an internet survey Curr Med Res Opin 2009 25 8 2043 2048 bo LSS Un Privatklinik AA Meiringen Postfach 612 CH 3860
7. soulev par la section de Bale qui a constat de nombreuses incer titudes dans le cadre d entretiens avec les repr sentants cantonaux des h pitaux Rosmarie Glauser secr taire politique de l ASMAG a pr cis que le financement de la formation postgradu e devait comme jusqu pr sent tre assur par les co ts d int r t g n ral Elle a toutefois admis que de nombreux points ne sont pas en core r gl s et a en m me temps rendu attentif un autre probl me si le tarif de base base rate est fix trop bas de nombreux h pitaux vont tre soumis de fortes pressions sur les co ts Comme en Allemagne cela conduira une d t rioration des conditions de travail du dumping salarial et dans le pire des cas des licenciements Ceux qui auront en souffrir seront outre le personnel les pa tients qui subiront une d t rioration de la qualit de l approvisionnement LAG MAC va donc observer avec beaucoup d atten tion l introduction des DRG et suivre troitement les objectifs de la p tition aussi bien en ce qui concerne la forma tion postgraduee que les conditions de travail Soucis pour la rel ve et lections Les rapports des sections ont permis de d gager trois points importants la loi sur le travail et sa mise en uvre occupe de D mission au sein du Comit directeur nombreuses sections Ce sont actuelle ment avant tout les conditions de travail des chefs de clinique qui
8. 22 Le menu d aujourd hui spaghetti bolo gnaise salade et ensuite mousse au chocolat le plat pr f r d anniversaire Vanessa aura neuf ans et a donc pu choi sir le menu Sa place est d cor e et la f te aura lieu cet apres midi Une situation qu on connait dans des milliers d autres familles Mais Vanessa ne fete pas son anniversaire la maison mais au home pour enfants Schoren pres de Langenthal ou elle vit avec son frere ain et avec 24 enfants g s de 4 16 ans Ils se r partissent en trois groupes de logement et constituent en quelque sorte le noyau dur du home qui propose encore bien d autres prestations Ce sont des enfants sortant de milieux difficiles qui viennent vivre dans la maison situ e a la p riph rie de Langenthal Le placement au home a g n ralement t pr c d de drames de natures tr s diverses s parations divorces addiction maladies psychiques d tention ou tout simplement incapacit d assurer l ducation Parfois les enfants ont aussi t maltrait s par les parents ou le p re ou la m re ou ont t victimes d abus Ce ne sont pas nos enfants qui ont des probl mes mais les parents insiste Fred Dietrich qui dirige avec sa femme B atrice le home depuis plus de trente ans Il ne cache pas que les probl mes des parents deviennent souvent une lourde charge pour les enfants La plupart des enfants qui se rendent chez nous portent un sac dos assez lour
9. M Axel Wollmer Universitare Psychiatrische Kliniken Basel Wilhelm Klein Strasse 27 CH 4025 Basel marcaxel wollmer upkbs ch Der Artikel erschien urspr nglich in der Therapeutischen Umschau 2009 66 459 465 VSAO Mitglieder k n nen die Therapeutische Umschau zu usserst g nstigen Konditionen abonnieren Details siehe unter www verlag hanshuber com vsao N 6 D cembre 2009 PERSPECTIVES Une soir e pleine de d fis Lukas Staub membre de la r daction du Journal ASMAC Scott et moi sommes une nouvelle fois assis autour d une biere Etant donn que ma femme travaille depuis un certain nombre de mois aupres du Neonatal Emergency Transport Service NETS elle a tres souvent des horaires irr guliers et moi autant de soir es libres Le NETS est responsable du transport de patients n onatologiques et p diatriques l int rieur de l Etat de New South Wales La surface 4 couvrir correspond environ a deux fois la R publique f d rale d Allemagne ce qui n cessite de nom breuses sorties avec l helicoptere ou en avion Environ la moiti des transports s effectue dans la r gion de Sydney et g n ralement en ambulance A ma premi re bi re ma femme m appelle pour me dire qu elle est en route pour Rylstone un petit bled environ 30 minutes de vol a l ouest de Sydney Scott se montre in t ress et je lui raconte qu il y a une femme qui se trouve dans la 33 semaine de grossesse et qui a des contr
10. des comprim s aux Suspensions en passant par les ampoules injectables figurent au programme de Mepha En 2007 la gamme s est encore enrichie de formes en comprim s disper sibles que m me l original ne propose pas La position de leader de Co Amoxi Mepha est simple r sumer en quelques mots e Large assortiment facile utiliser e Des aides pratiques gratuites e Des prix int ressants Mepha Pharma SA Dornacherstrasse 114 4147 Aesch BL T l phone 061 705 43 43 www mepha ch THA Pharmapanel juin 2009 N 6 D cembre 2009 p compe s die mepha j Co Amoxi Mepha comprim s dispersibles Disponibles aux doses de 625 mg et de 1000 mg La prise se fait soit en avalant le comprim entier soit sous forme dispers e dissoute dans de leau avec son ar me de fruits tropicaux qui par cons quent convient notamment en cas de troubles de la d glutition Men ra asiy Fak pai ab bia Bay Liei La brochure destin e aux patients contient des infor mations compr hensibles pour tout le monde sur l antibioth rapie et des explications au sujet du probl me des r sistances Co Amoxi Mepha Dispersible C Lactab 375 625 1000 250 mg 500 mg 750 mg d Amoxicillinum anhydricum Acidum clavulanicum 125 m 125 mg 125 mg 1 comprim dispersible 625 500 mg d Amoxicillinum anhydricum 125 mg d Acidum clavulanicum ut Kalii clavulanas rapport amoxicilline acide clavulanique 4
11. dicamenteux d enfants n a encore jamais fait l objet d autant d attention du public qu aujourd hui Si on veut comprendre le pourquoi il convient alors de faire un petit retour sur le pass Le premier professeur ordinaire de p diatrie de langue allemande a t nomm en 1895 la Charit de Berlin C est au m me moment qu on a com menc fabriquer les premiers m dica ments modernes l poque encore par industrie chimique L introduction de pediatric disclaimers les mises en garde du fabricant indiquant que le m dicament n a pas t test sur des enfants s est faite aux Etats Unis dans les ann es 1960 avec la mise en place d une obligation de prouver la s curit et l efficacit par des tudes non cliniques et cliniques La mise sur le march de labels modernes co ncidait ainsi avec le d but de l usage hors tiquette de ces m dicaments chez les enfants Lexp rimentation sur les enfants a long temps t consid r e avec scepticisme Les crimes commis par les nazis ont eu un effet dissuasif notamment les exp rimen tations sur les jumeaux par Mengele ou les exp riences pratiqu es aux Etats Unis comme par exemple la contamination intentionnelle d enfants handicap s mentaux avec le virus de l h patite et en core bien d autres L interpr tation stricte de la premiere version de la d claration d Helsinki n autorisait aucune recherche sur les enfants Long
12. ment instrumentalise Une typisation HLA d un embryon en faveur d une s ur ou d un fr re malade ne devrait tre auto ris e que si toutes les autres options th ra peutiques don au sein de la famille re gistre des donneurs de moelle osseuse banque de sang de cordon ombilical ont t puis es Beau et intelligent Les centres qui proposent des spermato zo des et ovules de donneurs s lectionn s rzte Software ABSSUILAP Was z hlt ist Qualit t e Verlieren Sie keine Zeit e F r Ihre EKG im Behandlungs zimmer ist nur das Schnellste und Stabilste gut genug Wahlen Sie beste Qualit t 071 388 80 30 N 6 Decembre 2009 POINT DE MIRE laur ats du Prix Nobel scientifiques sportifs de pointe artistes mannequins etc semblent avoir une offre all chante pour obtenir un enfant sur mesure Et cela bien qu on sache que durant la divi sion m iotique les chromosomes de la m re et du p re peuvent tre r partis dans 223 combinaisons diff rentes sur les cel lules germinatives sans parler des recom binaisons entre les chromosomes et des mutations g n tiques spontan es Cela semble donc plut t sans espoir de vouloir d terminer l avance le ph notype d un enfant selon le principe ci apr s Marylin Monroe demande Albert Ein stein Ne serait ce pas fabuleux si nous avions des enfants ensemble intelligents comme vous et beaux comme moi Einstein r pond Et que faisons n
13. quents candidose mucocutan e osinophilie r versible naus es vomisse ments douleurs abdominales IA Prob n cide contraceptifs oraux antibiotiques bact riostatiques glucosides allopurinol Liste A Pour de plus amples informations consulter le Compendium des M dicaments VSAO JOURNAL ASMAC 49 PUBLIREPORTAGE Traitement optimis des BPCO VIENNE Les options th rapeutiques sont limit es dans le traitement des broncho pneumopathies chroniques obstructives Toutefois comme le montre l association de bud sonide formot rol avec le tiotropium bronchodilatateur longue dur e d action il est parfaitement possible d atteindre une bonne gestion de la maladie avec les m dicaments disponibles Chez les patients pr sentant une pro gression croissante de la broncho pneumopathie chronique obstructive BPCO les directives GOLD recon nues l Echelle internationale recommandent une intensification du traitement m dicamenteux Cela signifie qu on prescrira un traitement r gulier avec un ou plusieurs broncho dilatateurs a longue dur e d action b ta 2 mim tiques anticholinergi ques lors d une BPCO mod r e stade GOLD II et que l ajout d un corticost roide a inhaler CSI est recommande lors d une BPCO severe stade GOLD III avec des exacerbations r currentes Le m dicament associ Symbicort bud sonide formot rol qui contient a la fois un corticost roide a inhal
14. sultats d une s rie d tudes de ces 40 derni res ann es comme par exemple des tudes longitudinales zurichoises de Remo Largo des Bayley Scales of Infant Development II des chelles de Griffith ou du test de d veloppement SON Y KINDERSPITAL Z RICH Universit ts Kinderkliniken Eleonorenstiftung Departement de p diatrie du d veloppement Age mois 0 3 6 9 12 15 18 21 24 27 30 33 36 39 42 45 48 Exploration orale EXPLORATION Exploration manuelle Exploration visuelle Peur de l inconnu Permanence de l objet Trouve un objet cach R p te une s rie de chiffres Anneau suspendu un fil Canard suspendu un fil Sonne la cloche Tire la couverture pour obtenir un jouet Regarde des images Tourne les pages dans le livre Identifie des images Vide renverse un r cipient Remplit un r cipient Tour 2 cubes Tour 4 cubes Train 3 cubes Train 4 cubes avec chemin e Pont 3 cubes Puzzle trois l ments reconstituer Puzzle trois l ments retourn Attribue 2 couleurs Trie d apr s la taille Gribouille des points fonction crayon Gribouille des traits Gribouille en cercle Copie un trait vertical Copie un trait horizontal Copie un cercle Copie une croix Pieds t te sans ye
15. 33 PERSPECTIVES 34 gleicher Dosis und gleichen Dosierungs intervallen sp ter erreicht und liegt bei h heren Plasmaspiegeln Entsprechend m ssen die Dosen f r ltere Patienten niedriger gew hlt werden 3 Pharmakodynamik Abnehmendes Gehirngewicht reduzierte Synapsendichte und Ver nderungen in verschiedenen Transmittersystemen ver ndern die Reaktion des ZNS auf psy chotrope Substanzen Ein abnehmender Dopamingehalt und eine abnehmende Zahl von D Rezeptoren pr disponieren f r das Auftreten von extrapyramida len Nebenwirkungen dopaminrezeptor blockierender Neuroleptika Ein abneh mender Gehalt an Acetylcholin sowie eine abnehmende Zahl seiner Rezeptoren be g nstigen das Auftreten von anticholiner gen Nebenwirkungen unter Neuroleptika und trizyklischen Antidepressiva Auch in anderen Transmittersystemen im zentra len und peripheren Nervensystem kommt es zu altersassoziierten Ver nderungen Hom ostatische Mechanismen verlieren an Effizienz so dass der Organismus Arzneimittelwirkungen schwerer durch Gegenregulationen ausgleichen kann Nach Gabe von Psychopharmaka mit blutdrucksenkender Wirkung kommt es zum Beispiel leichter zu orthostatischen Reaktionen mit einem entsprechend erh hten Risiko von Synkopen und St rzen 2 Arzneimittelinteraktionen Im Alter besteht h ufig Multimorbidit t und eine entsprechende Polypharmazie Mit ihr k nnen komplexe schwer ber schaubare Wechselwirkungen verschie
16. ASMAC Fondation de pr voyance ASMAC Fondation ASMAC pour les independants PHOTO SEVERIN NOVACKI Catherine Aeschbacher R dactrice en chef du Journal de TASMAC N 6 D cembre 2009 DITORIAL La plus grande loterie au monde Au Moyen Age les choses s rieuses commencaient d j tr s tot pour nous humains a sept ou huit ans on considerait que les enfants taient suffisamment g s pour vivre en dehors de la famille Au fil du temps cette attitude vis a vis des enfants a chang et la p riode de m nagement a continuellement augment Au 19 si cle s est finalement tabli dans toutes les couches sociales ce que nous designons par enfance La vie en communaut Jamiliale depuis la naissance et au moins jusqu la fin de la scolarit obligatoire devint alors la regle Du moins en theorie Aujourd hui encore c est souvent la chance qui d termine si les enfants peuvent savourer une enfance plus ou moins longue dans une famille plus ou moins id ale ou s ils tirent le mauvais num ro Bien que la maltraitance ou les abus commis sur des enfants soient aujourd hui mal vus et soient punis plus severe ment ils ne sont pas pres de dispara tre Notre theme principal vous clairera donc sur le monde des enfants et ses diff rentes facettes Le p diatre Sepp Holtz nous montrera ainsi quels besoins particuliers les petits patients ont Ensuite nous nous int resserons la question de savoir s il est possible d
17. Anmeldung Information Mail info fomf ch Kursort Technopark Zurich Technoparkstrasse 1 8005 Zurich Credits 40 Credits SGIM SGAM Web www fomf ch N 6 Decembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 13 POINT DE MIRE L enfant sur mesure r ve ou r alit Intelligent comme un laur at du Prix Nobel et beau comme une star de cin ma Le r ve que poursuivent apparemment de nombreux parents l enfant parfait reste une utopie La situation est diff rente quand il s agit de l enfant en bonne sant Dans ce domaine la m decine de reproduction offre diff rentes options Les questions thiques et les r ponses du l gislateur doivent tre revues en permanence Sabina Gallati Prof D d partement de g n tique humaine clinique p diatrique universitaire H pital de l Ile Berne 14 Les slogans comme L enfant sur me sure sont fortement mis contribution dans le d bat relatif aux applications de la m decine de reproduction notamment en rapport avec le diagnostic pr implan tatoire DPI Ils donnent souvent une image non diff renci e voire fausse des possibilit s actuelles dans ce domaine L origine des d bats thiques politiques et sp cifiques qui se tiennent dans le monde entier au sujet du clonage reproductif et th rapeutique des cellules souches embryonnaires de la recherche sur les embryons ainsi que sur la biopsie embryonnaire ou l analyse des globules polaires deux m thodes
18. Meiringen Telefon 41 33 972 81 11 www privatklinik meiringen ch Ein Unternehmen der Michel Gruppe Arztliche Leitung Prof Dr med M Soyka N 6 D cembre 2009 MESSAGE DU PR SIDENT G ar I es uns son I Ce passage traduit de l Op ra de quatsous Die Dreigroschen oper de Bertolt Brecht n a rien perdu de son actualit dan A I Oo b scuri t Que celui qui veut se retenir avec distinction le fasse Car il y a sur nos routes aussi des personnes qui pr f rent toujours encore passer et les autres dans in L ASMAC veut par contre tre encore plus visible et pr sente Nos I d lumiere membres veulent tre ajfilies d une association a laquelle ils peuvent s adresser spontan ment et en laquelle ils peuvent avoir confiance Elle doit tre disponible et s engager pour eux Les instances politiques et administratives doivent se trouver face d un partenaire fort dans le d bat de la politique de la sant ainsi que pour la mise en ceuvre au quotidien des prescriptions au niveau national et cantonal Les probl mes urgents au quotidien comme en politique n ont rien faire dans un tirotr ils doivent tre mis sur la table et regles M me si les cons quences peuvent au premier abord paraitre d sagr ables il para t vident que toute tentative d occulter le d bat co te cher a long terme Dans ce contexte aussi l ASMAC peut apporter d importantes contributions en tant qu association jeune et economique
19. Oskar G Jenni Familiendynamik 2005 30 2 111 127 N 6 D cembre 2009 m decin g n raliste la mani re du m decin de traiter le patient a probablement moins d influence sur la fa on dont le patient traitera plus tard ses semblables Cela est diff rent dans la pratique p dia trique Les parents observent tr s exacte ment notre comportement vis vis des enfants et reprennent en partie nos modes de comportement Le fait de faire figure d exemple montre qu un p diatre en dosse une grande responsabilit qui va au del du traitement m dical Est ce qu il existe des parents difficiles Certainement que cela existe mais ils repr sentent une minorit L art de g rer l entretien r side dans le fait d appr cier sa juste valeur la souffrance de l enfant et des parents et de travailler sur cette base Cela permet de les ouvrir la coop ration A cela vient s ajouter qu il y a un nombre croissant de familles qui se trouvent dans des situations de d tresse Je ne pense pas seulement aux finances mais galement l isolement La famille nombreuse qui se soutient mutuellement n existe pra tiquement plus au sein de la population urbaine et bien helv tique Dans la petite famille les parents sont souvent laiss s enti rement eux m mes Ce sont ces Informations sur la personne Sepp Holtz est m decin sp cialiste FMH en p diatrie Son cabinet qu il a ouvert en 1993 Zurich Wollisho
20. The PainController et PainControlling sont des marques POLITIQUE NOUVELLES DU DOMAINE DE LA POLITIQUE DE LA SANT La libert de contracter n est encore pas enterree J ai t tr s choqu e en lisant dans les journaux apr s les vacances qu la surprise g n rale la CSSS N avait d cid lors de sa s ance du 27 ao t 2009 de supprimer l obligation de contracter dans le cadre du paquet de mesures urgentes Heureusement que le pl num a rejet ce projet Rosmarie Glauser secr taire politique de VASMAC 10 Lors de sa derni re s ance avant la session d automne la CSSS N a approuv par 13 voix contre 11 des dispositions transi toires explosives Celles ci pr voyaient que l obligation de conclure des conven tions avec tous les fournisseurs de presta tions ambulatoires a laquelle sont soumis les assureurs maladie ne serait main tenue qu en 2010 et 2011 encore Il tait donc pr vu d instaurer la libert de con tracter partir de 2012 mais pour une ann e seulement en raison du lien avec la loi limit e dans le temps La Commission souhaitait soutenir le Conseil f d ral qui avait d ja propos un assouplissement de l obligation de contracter en 2004 a declare le pr sident de la Commission Ce n est que de justesse c est a dire par 87 voix contre 80 que le Conseil national a rejet cette proposition qui tait sou tenue par UDC et certains d put s du PLR et du PDC Le paqu
21. Vorzug gegeben werden Den breitesten Einsatzbereich im Alter bietet wahrscheinlich Risperidon Es eig net sich f r die Behandlung von Psycho sen Delirien und Erregungszust nden bei Demenzen und hat sich auch in der Langzeitprophylaxe bew hrt Bei h heren Dosen nehmen extrapyramidale und or thostatische Nebenwirkungen gegen ber dem Niedrigdosisbereich deutlich zu Bei schweren psychotischen Zustandsbildern die eine intensive Behandlung erfordern k nnen durch Kombination zum Beispiel mit Clozapin synergistische Effekte auf die Zielsymptomatik bei gleichzeitiger Reduktion von Nebenwirkungen erreicht werden Erfahrungen bei lteren Patien ten mit der Depot Form und mit dem ak tiven Metaboliten Paliperidon der wegen srossenteils direkter renaler Elimination ein geringeres Interaktionspotenzial und durch eine neue Galenik konstantere Plasmaspiegel mit weniger Nebenwir kungen gegen ber der Muttersubstanz verspricht sind noch begrenzt Clozapin kann auch bei lteren Patienten zur Behandlung von Psychosen eingesetzt werden wenn andere Neuroleptika keine ausreichende Wirkung erbracht haben Clozapin wird wegen seiner fehlenden extrapyramidalmotorischen Nebenwir kungen zur Behandlung von psychoti schen Symptomen im Rahmen einer Par kinson Erkrankung eingesetzt die nicht auf das Absetzen von Anticholinergika und den Versuch einer Reduktion der dopaminergen Medikation ansprechen Analog wird Clozapin auch zur Be handlung
22. celle du m de cin en formation est requise Ce n est pas toujours facile pour les formateurs de donner une appr ciation et de faire part de celle ci de mani re constructive Et les m decins en formation ne sont pas toujours capables d accepter la critique sans la consid rer comme une attaque personnelle Ces capacit s ne peuvent pas tre acquises l universit On constate souvent au quotidien en clinique les cons quences n gatives d attaques per sonnelles pr sum es ou r elles C est peut tre ici que se situe la princi pale opportunit pour les jeunes m de cins A savoir d apprendre communi quer de mani re ouverte et honn te entre eux accepter leurs erreurs et leurs FOS FORUM F R MEDIZINISCHE FORTBILDUNG INNERE MEDIZIN UPDATE REFRESHER POLITIQUE carences et d en tirer des conclusions constructives pour leur apprentissage Et pour atteindre cela l effort ne saurait etre trop grand da Litt rature 1 Berendonk C Beyeler C Westk mper R Giger M Strukturiertes Feedback in der rztlichen Weiterbildung Mini CEX und DOPS SAEZ 2008 8932 p 1337 1339 2 Carr S The Foundation Programme assess ment tools an opportunity to enhance feed back to trainees Postgrad Med J 2006 82 971 p 576 579 3 Epstein R M Assessment in medical edu cation N Engl J Med 2007 356 4 p 387 396 4 Cassel C K Quality of care and quality of training a sh
23. constitution de provisions non techniques 6 0 0 9 Autres produits 0 4 0 5 Autres charges 0 0 0 0 Frais d administration 2 2 2 5 Exc dent des charges produits avant dissolution constitution de la r serve de fluctuation de valeurs 240 9 31 4 Dissolution constitution de la r serve de fluctuation de valeurs 196 0 31 0 Exc dent des charges produits 44 9 0 4 VSAO JOURNAL ASMAC 67 ORGANISATIONS Heinz Wullschl ger directeur Les principales donn es Fondation 15 avril 1986 Fondatrice ASMAC Association suisse des m decins assistant e s et chef fe s de clinique Organe de gestion Conseil de fondation compos de 4 repr sentants des employeurs m decins en pratique priv e et 4 repr sentants des employ s d sign s par les organisations d employ s Administration compos e de la direction de l adminis tration des assur s et du service de comptabilit Occupe 9 employ s taux d occupation total d environ 750 et 1 apprentie Pour des informations d taill es ASMAC Fondation pour ind pendants Brunnhofweg 37 case postale 319 3000 Berne 14 t l phone 031 560 77 77 fax 031 560 77 88 info asmac fondation ch www asmac fondation ch Les principaux chiffres au 31 ao t 2009 Personnes assur es env 6100 Contrats d affiliation env 2650 Somme du bilan env CHF 1 094 md Degr de couverture env 99 68 VSAO JOURNAL ASMAC E gt A O WEA Stiftung fir Seilbst ndigerwarbend
24. d un petit enfant et l intelligence l ge scolaire Chez les enfants risque par exemple les pr ma tur s ou les enfants atteints de maladies chroniques le pronostic semble toutefois tre plus s r Plus un retard du d veloppe ment dans la prime enfance est marqu plus grande est la probabilit de le retrou ver ult rieurement Il y a deux raisons qui expliquent pourquoi l valuation pr coce du d veloppement par le jeu est impr cise pour un pronostic ult rieur la proc dure diagnostique du d veloppement par exemple les capacit s cognitives d un enfant se fonde durant les premi res ann es de vie principalement sur les apti tudes motrices Le d veloppement mental durant les premi res ann es de vie est tr s variable et peut donc tre d termin avec moins de pr cision qu ulterieurement Question cl comment stimuler l enfant Comment peut on encourager le jeu et par la le d veloppement du petit enfant Ce ne sont pas seulement les parents qui souhaitent que leur enfant connaisse un d veloppement favorable afin qu il sur monte avec succ s les difficult s de la vie mais galement la soci t Les demandes pour un soutien a la formation dans la prime enfance se font de plus en plus entendre La derri re se cache en partie l id e que le cerveau de l enfant est mall able ou pour utiliser un terme neuroscientifique pr sente une plasti cit et qu il apprend tout conditi
25. de travail de dif f rents collaborateurs hospitaliers p ex m decins assistants quipes de soins Les changements plus fr quents d quipe conduisent un change d informations suppl mentaire entre celles ci Et pour finir il y a la pression conomique crois sante sur l h pital et les dur es de s jour de plus en plus courtes qui en r sultent pour le patient qui contribuent rendre encore plus complexe le processus de m dication qui est d j compliqu et dangereux Le risque d erreur augmente en cons quen ce Ici aussi le pharmacien hospitalier apporte une contribution importante en offrant un soutien en mati re d informa tion p ex par le traitement de questions sp cifiques par des tableaux d applica tion par des analyses de m dicaments etc Les experts sont sollicit s La s curit des patients prend toujours plus d ampleur On sait qu en Suisse et l tranger les erreurs de m dication re pr sentent le principal facteur isol qui est enregistr lors d annonces d erreurs Les collaborateurs sont sensibilis s ce sujet et dispos s r organiser ce proces sus Pour ce faire ils souhaitent pouvoir faire appel des experts qui disposent la fois de connaissances approfondies sur les m dicaments et les processus d informa tions y relatifs tout comme sur leur appli cation au chevet du patient Cela pr suppose que le pharmacien hos pitalier responsable et ses collab
26. et r veils nocturnes p lt 0 001 La m di cation de secours a t significative ment moins utilis e que dans le groupe de contr le p lt 0 001 et le risque d exacerbations s v res a pu tre r duit de 62 au cours de la p riode d obser vation de 12 semaines p lt 0 001 Heures du matin particuli re ment difficiles Le symposium de l ERS a accord une attention particuliere aux fluctuations des sympt mes un ph nomene fr quemment rapport par les patients souffrant d une BPCO Ainsi une tude de Martyn R Partridge et al a montr que les patients atteints d une BPCO s v re sont particuli rement affect s par les restrictions dues aux manifestations fr quentes de sympt mes matinaux L augmentation significativement plus rapide et durable du VEMS apr s l inha lation matinale p lt 0 001 pour les deux montre que Symbicort associ ban In der Privatklinik Meiringen finden Menschen mit allen Formen psychischen Leidens Aufnahme Abkl rung Behandlung Pflege und Betreuung erfolgen nach aktuellem medizinisch psychiatrischem und pflegerischem Wissensstand 50 VSAO JOURNAL ASMAC au tiotropium pourrait constituer une option therapeutique judicieuse En m me temps ce groupe a subi moins de sympt mes matinaux si bien que les personnes en question ont eu plus de facilit effectuer les divers gestes de la vie quotidienne par exemple se laver s habiller ou prendre le petit d jeuner
27. et caissier Andreas Hirth 58 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 SECTIONS Zurich Z rcher Spital rzte und Spital rztinnen VSAO Membres 4040 Pr sidence D iur Rudolf M Reck Comit Peter Steiger vice president Martin Johansson caissier Adrian Schibli Katharina Schiessl Angelo Barrile Ellen K gi Homayon Chaudhry Moreno Menghini Secretariat Association des medecins hospitaliers zurichois VSAO Rudolf M Reck Brandstrasse 6c 8610 Uster t l phone 044 941 46 78 fax 044 941 46 67 e mail vsao zh bluewin ch Networkerin Kerstin Knaack t l phone 079 669 69 88 fax 044 941 46 67 knaack vsao ch De gauche a droite Peter Steiger vice president Adrian Schibli Moreno Menghini Katharina Schiessl Reto Thomasin visiteur Angelo Barrile Rudolf M Reck pr sident manquent sur la photo Martin Johansson caissier Ellen Kagi Homayon Chaudbry Swiss Medical Student Association Membres 5800 dont 361 membres d AG MAC Presidence St phane Henninger Comit Philippe Carruzzo secr taire g n ral Roland Fischer formation Miro Raber caissier Maya Rhyn interne Marius Schlienger relations publiques Secr tariat SwiMSA Swiss Medical Student Association c o Fachschaft Medizin Bern case postale 28 3010 Berne office swimsa ch www swimsa ch De gauche a droite Roland Fischer Maya Rhyn Marius Schlienger St phane Henninger pr sident Manque
28. formations et perfectionne ments m dicaux pour tous nos employ s Nous nous effor ons galement de trans N 6 D cembre 2009 mettre nos exp riences par le biais d ac tivit s politiques au niveau des associa tions Nous avons ainsi lanc des offres de formation continue et de perfectionne ment pour le corps medical via la Societe Informations sur la personne Fredi Bacchetto est n en 1957 et a effectu ses tudes de m decine aux universit s de Fribourg et de Zurich avec examen f d ral en 1982 Jusqu en 1994 il a travaill dans des h pitaux et cabinets m dicaux Ensuite il a suivi la formation postgraduee pour devenir m decin sp cialiste en pr vention et sant publique En 1996 il a obtenu le Master of Public Health des universit s de Zurich B le et Berne partir de 1998 Fredi Bacchetto a travaill plusieurs ann es comme m decin conseil Aujourd hui il dirige en tant que directeur de l assuran ce maladie Assura le d partement des prestations du groupe en Suisse al manique En tant que membre du comit directeur de la Soci t Suisse des m decins conseils et m decins d assurance SSMC il est responsable de la formation postgradu e et continue des m decins conseils en Suisse MEDISERVICE VSAO ASMAC Suisse des m decins conseils et m decins d assurances SSMC Simultan ment nous avons labor avec la collaboration de santesuisse de tr s bonnes offres de for mation
29. illustrant la situation Trouver l quilibre sans d nigrer la maison parentale n est donc pas toujours facile Il faut ainsi r gler individuellement pour chaque enfant les horaires de visite et d une mani re g n rale le contact avec les parents La plupart des enfants pr f reraient sans aucun doute tre la maison plut t qu au home M me les enfants qui sont maltrait s aiment leurs parents constate Dietrich Le repas de midi est entre temps termin les enfants retournent dans leur chambre Pour se brosser les dents faire les devoirs Certains se rendent l entra nement au club de sport d autres ont rendez vous avec des amis Et un enfant re oit la visite de sa mere Ainsi se d roule un mercredi apr s midi tout fait normal pour les enfants du home Schoren I Pour de plus amples informations www kinderheim schoren ch VSAO JOURNAL ASMAC 23 POINT DE MIRE De grands efforts pour les petits Les enfants malades ont besoin de m dicaments au m me titre que les adultes malades Cependant les d fis sont bien plus importants que pour les adultes en ce qui concerne le d veloppement et la remise de m dicaments aux enfants Le d veloppement de l organisme de l enfant est extr mement complexe La recherche pr clinique et clinique sur l enfant doit en tenir compte Des efforts inter disciplinaires sont indispensables Klaus Rose Head Pediatrics F Hoffmann La Roche B le 24 Le traitement m
30. la technologie m dicale depuis 2007 m decin chef Medical Director Medi 24 centre de consul tation t l m dicale leader sur le march Mari p re d un fils Le projet de cr che maman de jour correspond d ailleurs notre philosophie du mod le des phases de vie selon lequel nous voulons offrir les solutions les mieux adapt es depuis les tudes jusqu au d part la retraite VSAO JOURNAL ASMAC 45 MEDISERVICE VSAO ASMAC Le manque de connaissances favorise l incompr hension Entre le corps m dical et les caisses maladie ne r gne g n ralement pas une profonde amiti Fredi Bacchetto lui m me m decin et directeur de la caisse maladie Assura voit les causes de la m fiance mutuelle principalement dans le manque de connaissances de l autre et de ses t ches En outre il plaide pour la mise en place d un service de m diation auquel il pourrait tre fait appel en cas de conflits Barbara Reber experte en caisse maladie MEDISERVICE VSAO ASMAC a men l entretien avec le D Fredi Bacchetto Vous tes m decin et travaillez aujourd hui comme directeur d une assurance maladie Pourquoi avez vous chang de front Fredi Bacchetto Je tiens tout d abord dire que je n aime pas vraiment l expres sion changement de front Car les four nisseurs de prestations et les assureurs maladie remplissent tous un mandat L o une collaboration est n cessaire il faudrait que cela se fa
31. obtenir un enfant sur mesure et de quelle maniere les petits enfants doivent tre encourag s dans leur d veloppement Un article consacr au groupe de protection de l enfant ainsi qu un reportage dans un home pour enfants nous feront conna tre les aspects plus sombres de l enfance Et finalement nous vous parlerons encore des m dicaments pour les enfants ainsi que de l enseignement scolaire dont b n ficient les enfants hospitalis s Ala fin novembre les delegues du Comit central se sont retrouves comme pr vu pour leur rencontre semestrielle Outre les sujets concernant la politique de la sant le CC s est pour une fois penche sur une question structurelle comment et dans quelle mesure les sections doivent elles tre organis es Vous trouverez la r ponse a celle question ainsi qu un commentaire du pr sident dans la partie politique Dans celle partie vous seront galement pr sent s de nouveaux instruments visant am liorer la forma lion posigraduee Comme vous tenez d j le dernier num ro de l ann e en cours entre vos mains la deuxi me partie du cahier contient comme toujours un aper u de l association des sections des organes et des organisations En guise de conclusion j aimerais ch res lectrices et chers lecteurs vous remercier vivement de votre int r t au nom de toute la r daction du Journal ASMAC Nous vous souhaitons de joyeuses f tes de fin d ann e et vous transmettons vous et votre famil
32. offrons une protection d assurance adapt e a vos besoins sans rechercher de gain Demandez nous une ordonnance Versicherung der Schweizer Arzte Genossenschaft Assurance des M decins Suisses soci t coop rative L nggassstrasse 8 CH 3000 Bern 9 Tel 031 301 25 55 Fax 031 302 51 56 versa versa ch www versa ch www versa ch Rapide et radical contre les bact ries Gram positif es CUBICIN Daptomycin H409 01 09 Bactericide galement contre les germes resistants Icin C r
33. par une reformulation Une autre t che consiste conseiller les m de cins traitants pour la posologie pour les enfants Au niveau acad mique la matu ration de l organisme de l enfant a fait et fait toujours encore l objet d une re cherche syst matique Un moment d cisif a t atteint avec la publication de Kearns relative la pharmacologie du d veloppe ment de 2003 2 Il existe deux soci t s sp cialis es dans le domaine de la pharma cologie du d veloppement Les organes et les processus qui sont la base de l ab sorption de la distribution de la m ta bolisation et de l excr tion ADME de m dicaments dans le corps de l enfant sont soumis des processus de matura tion Ces processus ne sont toutefois pas parall les Si les m dicaments sont dos s comme par le pass m caniquement par kilogramme et m de surface corporelle on s expose au risque de sous ou sur dosage cela s ajoute que la variabilit de PADME est bien plus grande chez les enfants en particulier lorsqu ils sont ma lades L administration de m dicaments chez les enfants requiert donc des tests syst matiques Les lois ouvrent la voie Depuis 1997 il existe aux Etats Unis une l gislation p diatrique qui a provoqu une v ritable explosion dans le domaine de la recherche clinique avec des m dica ments sur les enfants Cette l gislation a t particuli rement efficace pour les m dicaments bre
34. postale 9 1011 Lausanne CHUV www asmav ch asmav asmav ch ASMAVAL D Vincent Remillieux H pital de Mal voz route de Morgins 10 1870 Monthey t l phone 079 309 36 61 fax 024 473 33 49 remillieux vsao ch Suisse centrale ZH VSAO Sektion Zentralschweiz zentralschweiz vsao ch voir Secretariat DAVID Z rcher Spital rzte und Spital rztinnen VSAO Dr R M Reck Brandstrasse 6c 8610 Uster telephone 044 941 46 78 fax 044 941 46 67 vsao zh bluewin ch www vsao zuerich ch Secr tariat DAVID Anette Gasser Vorstettli 13 4524 G nsberg telephone 032 637 07 15 fax 032 637 07 16 david vsao ch N 6 D cembre 2009 La pr voyance li e Reconnaissons que les m decins acad miques sont des clients critiques Ils savent exactement ce qu ils veulent En pr voyance li e pilier 3a ils constituent aupr s de A un capital bonifi d int r ts et int r ts cumul s Ils obtiennent ainsi une s curit financi re pour eux et leur famille tout en amp conomisant des imp ts Cette assurance est ideale pour la constitution fiscalement avantag e d un capital propre en relation avec leur future activit professionnelle ind pendante pour l achat d un logement en propri t ou pour l amortissement indirect de leur cr dit hypoth caire En tant que soci t coop rative ind pendante dot e de plus de huitante ans d exp rience dans le domaine de la pr voyance priv e pour les m decins acad miques nous vous
35. sedierender Wirkung geeignet zur Behandlung von Unruhezust nden bei Demenz Orthostatische Nebenwirkungen Retardiert parenterale Darreichungs formen und Retardform verf gbar Pipamperon Sedierendes Neuroleptikum Gut geeignet zur Beherrschung von Unruhezust nden bei Demenz und zur Schlafinduktion Geringes Risiko f r extrapyramidalmotorische 20 160 und anticholinerge Nebenwirkungen H ufig deme Orthostatische Nebenwirkungen Melperon Sedierendes Neuroleptikum Gut geeignet zur Beherrschung von Unruhezust nden bei Demenz und zur Schlafinduktion Interaktionspotenzial Blutbildkontrollen Aripiprazol metabolische Nebenwirkungen Anwendungserfahrung begrenzt Ziprasidon metabolische Nebenwirkungen Kardiotoxische Nebenwirkungen Anwendungserfahrung begrenzt Geringes Potenzial f r anticholinerge extrapyramidale orthostatische und Geringes Potenzial f r anticholinerge extrapyramidale orthostatische und Die Tabelle bildet eine Auswahl von Medikamenten ab und erhebt keinen Anspruch auf Vollst ndigkeit Angaben zu Beson derheiten bei lteren Patienten sind als bersicht zu verstehen Die Angaben sind nicht vollst ndig Die angegebenen Dosie rungen sind Richtwerte und k nnen im Einzelfall ber oder unterschritten werden N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 37 PERSPECTIVES fall hilfreich sein Die generelle Wirksam keit ist jedoch nicht belegt Lamotrigin kann als mood stabilizer mit
36. sident 56 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 LIBERTE ET PATRIE SECTIONS Thurgovie Membres 362 Presidence Dominik Hauser Comit Franziska Businger Vogler d l gu e DAVID Anneb rbel Grosskopf d l gu e CC Stephanie Hoenigschmid Michaela Lentz caissi re Nadine Nieuwkamp deleguee FiV Eric Vultier juriste Secr tariat VSAO Sektion Thurgau DAVID Sekretariat c o Anette Gasser Vorstettli 13 4524 G nsberg t l phone 032 637 07 15 seulement lundi 14 h 16 h 30 et vendredi 9 h 30 12 h fax 032 637 07 16 e mail thurgau asmac ch De gauche a droite Anneb rbel Grosskopf Dominik Hauser president Nadine Nieuwkamp Michaela Lentz M Franziska Businger Vogler Stephanie Hoenigschmid Eric Vultier Vaud Membres 1833 Presidence Patrick Wilson Comit Sophie Comte co vice pr sidente Vincent Gattin co vice pr sident Mathias Widmer caissier Alexandre Dumusc Webmaster Semira Gonseth Jo lle Cornut Garance Behrens Vivien Contesse Maryline Foerster Alain Guidon Sylvain Julliand Fabrizio Marra Maud Tempia Julien Vaucher No mie Boillat Ioannis Rotas Avocat Patrick Mangold avocat asmav ch Secr tariat ASMA case postale 9 1011 Lausanne CHUV asmav asmav ch www asmav ch De gauche droite en haut Alexandre Dumusc Fabrizio Marra Semira Gonseth Vivien Contesse en bas Mathias Widmer Patrick Wilson pr sident Patrick Mangold avocat
37. sommes jamais entierement satisfaits MEDISERVICE VSAO ASMAC a eu une ann e mouvementee La nouvelle structure de vente a permis a l organisation de prestations de service de se rapprocher des membres Simultan ment la gamme d offres a encore t largie La pr sidence de MEDISERVICE VSAO ASMAC Katharina Gasser et Andrea Vincenzo Braga tire un premier bilan Catherine Aeschbacher r dactrice en chef du Journal ASMAC s est entretenue avec Katharina Gasser et Andrea Vincenzo Braga 44 Il y a tout juste une ann e MEDISERVICE VSAO ASMAC s est restructur e L entreprise administrative s est transfor m e en centre de prestations de service qui contacte activement les membres Quels taient vos objectifs en ce qui concerne la r orientation Andrea Vincenzo Braga AVB Nous avions constat et c tait la raison princi pale de la restructuration que les mem bres ne profitaient pas suffisamment de nos prestations En m me temps nous constations que le corps m dical tait en permanence contact par diverses organi VSAO JOURNAL ASMAC sations pour des offres parfois sans int r t Notre objectif tait d une part d augmen ter le nombre total de produits et d autre part d augmenter le nombre de produits par t te Katharina Gasser KG Avec la restruc turation nous voulions galement ren forcer MEDISERVICE Nous voulions que notre organisation de prestations de ser vice soit encore plus
38. vieillesse seront r mun r s en 2009 au taux mini mal LPP de 2 Dans ce contexte la com pensation du rench rissement des rentes a t suspendue partir du 1 janvier 2009 jusqu nouvel avis Au 31 ao t 2009 la performance cumul e du portefeuille se situe 8 57 et donc 0 32 au dessus du benchmark Le taux de couverture au 31 ao t 2009 d passe donc les 100 Le taux de la prime de risque 3 t r duit au 1 janvier 2009 de 1 5 1 2 La pri me globale est rest e inchang e Tous les assur s profitent ainsi d une cotisation d pargne plus lev e Peter Scotton directeur N 6 D cembre 2009 Les principaux chiffres Structure de la caisse de pension Fondation siege Forme juridique Couverture du risque Pr voyance vieillesse Pr voyance risque Donn es actuarielles Dossiers d assur s actifs Dossiers de rentiers Nombre de comptes de libre passage R mun ration du capital pargne vieillesse Avoirs pargne Capital de couverture pour rentiers Provisions techniques Principaux chiffres cl s Degr de couverture taux d int r t technique CFA PRASA 4 Charges administratives moyennes par dossier d assur ORGANISATIONS 1983 Berne Fondation autonome Primaute des cotisations Primaut des prestations 2008 15 662 408 2925 3 25 millions CHF 1092 7 112 0 14 2 2008 064 114 10 2007 14873 375 5157 2 50 millions CHF 1022 4 101 8 13 3 200
39. visant a renforcer le professionna lisme des employ s d assurance Et pour finir nous sommes actuellement en train d laborer au sein de la SSMC un s mi naire pratique consacr 2 la m decine des assurances D s que l offre sera disponi ble elle sera publi e via les canaux de MEDISERVICE VSAO ASMAC Voyez vous encore d autres possibilit s Oui Nous avons propos au pr sident de la FMH de cr er un service de m diation qui aurait pour t che d intervenir lors de divergences entre le corps medical et les assureurs Nous sommes m me dispos s a financer ce service Ce serait pour nous une maniere constructive de s attaquer aux divergences de vues Pour ce qui est de la satisfac tion de la client le K Tipp 13 2009 Assura n obtient pas de tres bonnes notes Quelles conclusions en tirez vous Assura ne fait pas partie de la grande masse des assureurs maladie Laissez moi donner un exemple admettons que vous avez choisi une franchise a option 2 1500 francs et que vous devez mainte nant retirer des m dicaments a la phar macie pour un montant de 100 francs Normalement l assurance rembourse d abord le m dicament au pharmacien directement via le tiers payant pour en suite 4 nouveau facturer le montant a l assur tant donn qu il n a pas encore puis sa franchise C est un bel exemple de travail administratif inutile Nous pouvons conomiser des co ts et ainsi des primes en fai
40. von psychotischen Symptomen bei der Lewy Body Demenz eingesetzt Clozapin besitzt allerdings relevante anticholinerge Eigenschaften die zu einem Delir f hren k nnen Bei der Lewy Body Demenz besteht ein starkes cholinerges Defizit mit entsprechender Delirneigung Deshalb sollte Clozapin hier niedrig dosiert eingesetzt oder alter nativ Quetiapin welches bei schw cherer antipsychotischer Potenz und sonst hn lichem Rezeptorprofil keine relevanten anticholinergen Eigenschaften besitzt verwendet werden Quetiapin eignet sich besonders f r die Behandlung von affektiven Psychosen Es zeichnet sich durch stimmungsauf hellende anxiolytische und initial sedie rende Eigenschaften bei allgemein guter Vertr glichkeit aus VSAO JOURNAL ASMAC Olanzapin bietet beim Einsatz bei lteren Patienten sowohl Vor als auch Nachteile gegen ber anderen Atypika Es weist entsprechend der schwach ausgepr gten al Blockade vergleichsweise wenig or thostatische Nebenwirkungen auf Es besteht allerdings eine schwache anticho linerge Wirkung und ein ausgepr gtes Potenzial zur Induktion einer Gewichts zunahme und Verschlechterung der Glukosetoleranz was vor allem im Zu sammenhang mit dem metabolischen Syndrom problematisch ist Mit Aripiprazol und Ziprasidon stehen neue Substanzen zur Verf gung die bei geringem Potenzial f r anticholinerge extrapyramidale orthostatische und me tabolische Nebenwirkungen zu einer ver tr glichen und wi
41. 1 350 44 22 fax 031 350 44 29 VSAO ASMAC info mediservice asmac ch www mediservice asmac ch transparence exclusivit individualit Nouveau concept de conseil Gr ce sa nouvelle orientation l association MEDISERVICE VSAO ASMAC a renforc sa palette de prestations Ainsi ses services de conseil ont t dif f renci s en fonction de leur complexit et encore mieux adapt s aux besoins des membres Une plus grande partie des prestations est trait e en interne Moins nombreux nos partenaires de conseil externes b n ficient d un statut r valu Ils doivent pou voir satisfaire des exigences de qualit lev es en mati re d orientation la client le et d thique de conseil Accueil central MEDISERVICE VSAO ASMAC a pour but d accompa gner ses membres tout au long de leurs phases de vie Pour toute question sur les prestations les mem bres composent directement le num ro de tel amp phone 031 350 44 22 En dehors des horaires de bureau usuels l association peut tre jointe via e mail l adresse info mediservice asmac ch Dans la mesure du possible les reponses sont fournies imm diate ment Quant aux requ tes de conseil plus complexes elles sont transf r es au partenaire de conseil com p tent sur accord du membre Lun des objectifs prin cipaux est de r duire au maximum le d lai entre de mande et r ponse Economie de co ts Entre autres t ches le service interne de MEDISERVICE VSAO AS
42. 1 7 comprim dispersible 1000 875 mg d Amoxicillinum anhydricum 125 mg d Acidum clavulanicum ut Kalii clavulanas rapport amoxicilline acide cla vulanique 7 1 I Infections des voies respira toires sup rieures et inf rieures infections de la peau et des tissues mous infections GI Unique en son genre le disque de dosage pour les trois suspensions de Co Amoxi Mepha ainsi calculer la dose correcte pour les petits patients devient un jeu d enfant maladies v n riennes infections gyn colo giques infections urinaires P Adultes et enfants de plus de 40 kg en cas d infections s v res 625 mg 3 x par jour ou 1000 mg 2 x par jour jusqu 1000 mg 3 x par jour au max En cas d insuffisance r nale consulter le Compendium Suisse des M dica ments CI Hypersensibilit aux p nicillines aux c phalosporines ou l un des compo sants de Co Amoxi Mepha Ict re ou dys fonction h patique lors de la prise ant rieure d un m dicament contenant cette associa tion de principes actifs Mononucl ose infectieuse leuc mie lymphatique produits inhibant le p ristaltisme PC Insuffisance r nale ou h patique Traitement de longue dur e possibilit de r actions d hyper sensibilit l acide clavulanique r actions anaphylactiques prise d anticoagulants diarrh e s v re et persistante colite pseudo membraneuse Grossesse allaitement EI 7r s fr quents diarrh e selles molles Fr
43. 50 43 23 fax 044 250 43 20 e mail vultier schai vultier ch Bio Analytica kompetent x BIOISJANALYTICA zuverl ssig pers nlich Medizinisches Labor Seit ber 50 Jahren steht der Name Bio Analytica f r Innovation Zuverl ssigkeit und erstklassigen Service im Bereich labormedizinischer Analysen Kunden und Partner sch tzen unser umfassendes Leistungsspektrum mit schneller Befund bermittlung die individuelle Beratung durch ausgewiesene Fachspezialisten und die hohen Qualit tsanspr che an die eigene Arbeit Bio Analytica ist der optimale Partner f r medizinische Leistungserbringer aller Bereiche Nehmen Sie mit uns Kontakt auf und berzeugen Sie sich selbst Bio Analytica AG Maihofstrasse 95a Postfach 6858 6000 Luzern 6 Tel 041 429 31 31 www bioanalytica ch 52 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 SECTIONS B le VBAO Verband Basler Assistenz und Ober rzte innen Membres 2229 Presidence Marco Bachmann Comit Sibyl Iso Susi St hr Sonja Truestedt Claudia von Wartburg secr taire g n rale Secr tariat Claudia von Wartburg avocate secr taire g n rale Hauptstrasse 104 4102 Binningen t l phone 061 421 05 95 fax 061 421 25 60 sekretariat vbao ch www vbao ch Marco Bachmann president Sonja Truestedt Susi St hr Sibyl Iso Claudia von Wartburg secretaire generale et avocate Berne Membres 3060 Pr sidence Christoph Bosshard Lars Frauchiger s occ
44. 7 1173 136 70 Au 1 janvier 2008 le d partement de la gestion immobili re a t transf r dans la nouvelle soci t PK Immo SA en raison de l assujettissement la TVA Les frais d administration se situent par cons quent un niveau plus bas Quant aux produits des prestations de service fournies ils se situent z ro La SA appartient cent pour cent la Fondation de pr voyance ASMAC Bilan en millions de francs suisses Actifs 2008 2007 Placement de la fortune 1171 9 1 336 5 Compte de r gulation actif 45 5 0 Total de l actif 1 176 4 1 341 5 Passifs Dettes Ki 1 4 Compte de regulation passif 0 1 0 2 Reserves de cotisations d employeur 0 0 0 0 Provisions non techniques 0 0 6 0 Capitaux de pr voyance et provisions techniques 1218 9 1137 4 Reserve de fluctuation de valeurs 0 0 196 0 Capital de la fondation fonds libres decouverts 44 4 0 5 Total du passif 1 176 4 1 341 5 Compte d exploitation en millions de francs suisses Activit d assurance 2008 2007 Apport des cotisations et prestations d entr e 238 3 206 2 D penses relatives aux prestations et versements anticip s 182 6 159 2 Dissolution constitution de capitaux de pr voyance provisions techniques et r serves de contribution 81 7 Produit des prestations d assurance et des charges d assurance 0 7 0 8 Resultat net de l activit d assurance 26 7 13 1 Activit de placement R sultat net des placements 218 4 47 5 Dissolution
45. D autre part nous avons pu convenir des rendez vous avec 900 mem bres suite l action C est un chiffre tr s important qui montre un besoin impor tant Nous allons par cons quent l ave nir aussi utiliser sporadiquement le t l phone pour informer les membres sur des offres sp ciales en plus des publipostages traditionnels et des annonces dans le Journal Mais seulement pour ceux qui le souhaitent Remarque de la r daction L interview a t r alis e avant l Assembl e des d l gu s de MEDISERVICE VSAO ASMAC N 6 D cembre 2009 MEDISERVICE VSAO ASMAC Quelles sont les taches prioritaires de MEDISERVICE pour l ann e venir AVB Bien s r que nous voulons consoli der notre nouvelle structure et analyser la durabilit du d veloppement Et pour finir nous avons un important projet Celui de la prise en charge externe des enfants Le sondage a montr qu il existe une demande de la part des membres Il s agit maintenant d claircir dans quelles conditions nous pouvons r aliser le projet de creche maman de jour La FMH a d j manifest son int r t pour notre projet Cela montre que les projets de MEDI SERVICE attirent l attention au dela du cercle de nos membres Le projet de creche maman de jour correspond d ail leurs a notre philosophie du modele des phases de vie selon lequel nous voulons offrir les solutions les mieux adaptees depuis les tudes jusqu au depart
46. ISS9L 2121 U99 3ss ng pozuoddy 289 1S amp Sa 21n910S eine suos aAdUay lt 6inoqiid eu195g ajeg lAoBiv SUOIPSS ST 1 DVWSYV I OP se 1qwow 008 81 LATE RE PWO Sje19uaB J9Iqwassy OVNSV il 196EIUDSIINM ZUISH 10 UONOIS 19794 410 op s1ue1 U9S91d9 4 aD np 1ue1 u s id T ww 1N93291IP JPW 1N93291IP JUO 619qs166n9 UIMI3 210 uonepuog ap I Ssuoo 1A 33 13S UOWIS 10 5u pis id jz5u pis id 9 OuUuoISS9J01d UOINEIIOSSY s uepu d pu Inod S9VNSV ULA n d IVWSV OVSA uol epuo4 IYWSYV ap uonepuo WW SV JIIAYISIAIN OVWSV II 8P SUOHDSIUDB1IO p se N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 64 Simon Stettler directeur Fondation siege 1945 Berne Forme juridique association Membres env 18500 Organes Comit central l gislatif Comit directeur ex cutif Collaborateurs au secr tariat central 11 Contact secretariat asmac ch Nouvelle collaboratrice ORGANISATIONS Association ASMAC En tant qu association ind pendante l association professionnelle ASMAC d fend les int r ts professionnels politiques et conomiques des m decins employ s en particulier des m decins assistant e s et chef fe s de clinique en Suisse Elle est galement ouverte aux tudiants en m decine LASMAC se compose de l associa tion centrale et de 15 sections r gionales qui constituent chacune une association
47. LI ep ao Y lt x A O 2 m m m m ms BE w E m is Ielielelelelelelelelelele Planification de carri re Carri re de medecins e e e eee e ejoje e e MEDILEASING v hicules elelelelele e e e e e MediFuture O lt dp lt G c O 33 oj ojo oj ojo oj oj ojo oj oj ojo oj oj DE Caisse maladie assurance de base LAMal assurances accident pour l employeur LAA assurance du mobilier v hicule et assurance responsabilit civile assurance responsabilit civile professionnelle assurance du cabinet m dical VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 Fondation de pr voyance ASMAC La caisse de pension de l Association suis se des m decins assistant e s et chef fe s de clinique Fondation de pr voyance ASMAG croyait pouvoir faire face la crise financiere globale avec une r serve de 17 3 de l ann e 2007 La baisse du taux de couverture au 31 d cembre 2008 de 117 3 96 4 r sulte des pertes comptables dues l volution n gative sur les march s financiers internatio naux Ce sont en particulier les actions suisses et trang res qui sont touch es Malgr la crise financi re la fondation n a jusqu ici aucun moment d vendre des placements perte ou en ramener la valeur comptable z ro En raison du taux de couverture la fin 2008 et de l absence de la r serve de fluc tuation de valeurs les avoirs de
48. MAC aide les membres a r aliser des amp cono mies Par exemple via l outil de v rification Check up il est possible de comparer les contrats d assurance existants afin de trouver les solutions plus avanta geuses Ses contrats cadres et collectifs conclus avec des soci t s d assurances de renom permettent a MEDISERVICE VSAO ASMAC de proposer des offres attrayantes Conseil comp tent et neutre En cas de demandes complexes concernant l assu rance la pr voyance ou les imp ts les membres de MEDISERVICE VSAO ASMAC sont orient s vers un par tenaire de conseil comp tent Le premier entretien d environ une heure est gratuit Les contrats de tra vail collectif tablis par MEDISERVICE VSAO ASMAC avec chaque partenaire garantissent la comp tence et la neutralit du conseil fourni Les soci t s de con seil sont autoris es convenir d honoraires pour leurs prestations Cette nouvelle orientation ne con cerne pas les contrats existants avec les anciens par tenaires de conseil M decins ind pendants En tant que sp cialistes les partenaires de conseil mettent leurs comp tences au service des membres ayant opt pour l ind pendance professionnelle Un partenariat qui au vu des diff rentes offres at trayantes d assurances et de prestations l inten tion des m decins ind pendants pr sente beau coup d avantages Peter Scheidegger Vice directeur Responsable assurances MEDISERVICE VSAO ASMAC Nous ne
49. No 6 d cembre 2oo9 JOU RNAL ASMAC Le monde des enfants Po Pour des nuits sereines sans crampes des mollets BioMed Biomed AG CH 8600 D bendorf T l 41 0 44 802 16 16 Fax 41 0 44 802 16 00 biomed biomed ch www biomed ch Simplement 1x par jour 10 mmol vane Br ve information scientifique Magnesiocard pr paration de magn sium sans effet sur l amp quilibre acido basique Indications Carence en magn sium troubles du rythme cardiaque besoins accrus dans le sport de comp tition et pendant la grossesse clampsie et pr clampsie t tanie et crampes dans les mollets Posologie 10 20 mmol par jour en 1 3 prises orales selon la forme d administration granul s comprim s effervescents comprim s Restrictions d emploi Troubles de la fonction r nale Eviter l administration concomitante de t tracyclines Effets ind sirables Une magn sioth rapie orale a fortes doses peut entra ner un ramollissement des selles Pr sentation Comprim s film s 2 5 mmol 50 100 granul s 5 mmol citron et granul s 5 mmol orange 20 50 500 comprim s effervescents 7 5 mmol 20 60 granul s 10 mmol grapefruit et granul s 10 mmol orange 20 50 ampoules i v 10 ml 10 liste B Informations d taill es dans le Compendium Suisse des M dicaments Prestation obligatoire des caisses maladie ergoasw ch 10 12 A VS VS N 6 D cembre 2009 DITORIAL La plus grande loterie a
50. Pour garantir que Noah et sa m re b n ficient d une aide apr s la sortie de l h pital et que le d veloppe ment de Noah soit accompagn la clinique p diatrique r dige un avis de d tresse l attention de l autorit tut laire incluant une demande pour que Noab et sa m re obtiennent le soutien n cessaire et pour pr venir toute nou velle n gligence des besoins de l enfant Ce cas illustre le travail en r seau au sein de la clinique p diatrique dans le cadre duquel les infirmi res les m decins et le groupe de protection de l enfant colla borent avec les parents ainsi qu avec les services sp cialis s externes Noah tait en grave danger et n tait pas suffisamment aliment par sa m re Dans ce cas de figu re nous parlons de n gligence il s agit de la forme la plus fr quente de maltraitance de l enfant Le groupe de protection de l enfant existe depuis plus de 30 ans la Clinique p dia trique universitaire de Berne Il a t fon d par un groupe de p diatres psycho logues et travailleurs sociaux engag s avec pour objectif de mieux tenir compte de la maltraitance des enfants l h pital p diatrique et d apporter une aide aux familles concern es Il existe depuis 2002 un concept cantonal de protection de l enfant dans le canton de Berne qui a t adopt par le Conseil ex cutif Le groupe de protection de l en fant y figure comme service cantonal d valuation en cas de suspic
51. a la retraite KG Le Comit directeur de MEDISER VICE n est jamais vraiment satisfait car il souhaite des offres en plus grand nombre encore et de meilleure qualit pour les membres Grace a un Comit directeur qui aime d battre elle rit mais qui cherche toujours des solutions construc tives et aux collaborateurs de MEDI SERVICE qui sont pr ts s engager sur de nouvelles voies et qui fournissent un travail important gr ce leur savoir bien des choses sont possibles Personnelle ment j attache de l importance un lien encore plus troit avec l association politique et ses organes Car l ASMAC et MEDISERVICE poursuivent le m me but travailler dans l int r t des membres I Informations sur la personne Katharina Gasser Etudes de m decine Fribourg et Berne ensuite formation postgraduee avec obtention du titre en m decine pharmaceutique D s 2006 chez Novartis Pharma Suisse depuis avril 2009 comme Medical Director M re d un fils de 10 ans Le Comit directeur de MEDISERVICE n est jamais vraiment satisfait car il souhaite des offres en plus grand nombre encore et de meilleure qualit pour les membres Informations sur la personne Andrea Vincenzo Braga Etudes de m decine Berne et Sydney avec obtention du titre de m decin sp cia liste en chirurgie Obtention d un MBA en finances Rochester Berne Apr s une op ration du dos carri re dans l industrie pharmaceutique et
52. actions raison pour laquelle l quipe de n onatologie a t appel e Immediatement apres sa naissance l enfant sera trans port par avion a Penrith un bled un peu plus grand avec un h pital qui dispose d un service de soins intensifs de n onatologie Nous retournons notre bi re Une bi re plus tard arrive un SMS avons effray un trou peau de kangourous l atterrissage l enfant n est pas encore n pas de m decin disponible l h pital r gional Beg your pardon L enfant citadin Scott n en croit pas ses yeux En effet le seul m decin g n raliste du village qui est galement m decin chef du minih pital quip de deux petits locaux est actuellement en route pour des visites domicile Heureusement que l administratrice de l h pital est aussi sage femme et qu elle s occupe de la naissance difficile Entre temps ma femme se bat par t l phone avec les chefs de clinique de Penrith qui ne comprennent pas pourquoi il n a pas t proc d une c sarienne d urgence Il s agit manifestement aussi d enfants citadins Scott et moi commandons une portion de Fish amp Chips pour accompagner la bi re suivante La prochaine mise jour nous parvient peu avant minuit naissance vaginale impossible transport in utero et c sarienne pr vue Mudgee au lieu de Penrith un orage rend le vol impossible ambulance demand e Le chef de clinique inexp riment Mudgee refuse l admission
53. ahme zu gew hrleisten und Aus lassungen Mehrfacheinnahmen und Verwechslungen zu verhindern Es k n nen Tendenzen bestehen alte Medika mentenvorr te noch aufzubrauchen oder Medikamente des Lebenspartners ohne entsprechende Verordnung ebenfalls ein zunehmen Pharma sharing unter Eheleuten Eine gut vertr gliche und wirksame Therapie von deren Sinn der Patient berzeugt ist ist eine wichtige Voraussetzung f r eine gute Compliance Antidepressiva Eine subsyndromale oligosymptomati sche wenig typische Auspr gung der Depression mit somatischen oder kogniti ven Beschwerden ist im Alter haufig und verhindert oftmals die Diagnose und damit die Therapie der Erkrankung Die Pharmakotherapie der Depression im Alter st tzt sich auf dieselben Medika mente die auch bei jiingeren Erwachse nen eingesetzt werden Trizyklische Antidepressiva sind aufgrund h heren Alters nicht kontraindiziert soll ten aber vor allem dann nicht eingesetzt werden wenn ein cholinerges Defizit zum Beispiel im Rahmen einer begin nenden dementiellen Erkrankung zum Auftreten von anticholinergen Neben wirkungen bis hin zum anticholinergen Delir pr disponiert Auch andere Er krankungen wie etwa ein Engwinkel glaukom treten im Alter h ufiger auf und k nnen durch anticholinerge Medi kamentenwirkungen verschlimmert wer den Bei kardialer Vorsch digung k nnen kardiotoxische Wirkungen leichter zum Tragen kommen besonders dann wenn d
54. ainsi que celle des parents Bigna Keller cbeffe de clinique du groupe de protection de l enfant Clinique pediatrique universitaire de Berne 26 Noah est g de 6 semaines Apres sa naissance il a t renvoy en bonne sant a la maison Depuis lors il a deja d tre hospitalis deux fois a la clini que p diatrique en raison de troubles m taboliques aigus Tous les examens montrent que Noah est en bonne sant facile vivre et qu il peut tre bien nourri a la clinique A la maison Noah pleurait souvent et il n tait pas possible de le calmer Il n tait appa remment pas suffisamment nourri au sein par sa mere Les personnes en charge du suivi la clinique p diatri que ont alors constat que la m re tait d pass e par sa t che C est pourquoi il a t fait appel au groupe de protection de l enfant Que se passe t il avec Noah La mere de Noah M M a 20 ans vit seule et a d quitter le logement parental apres la naissance de Noah ant donn que l appartement de trois pieces tait trop petit pour elle Noah le p re et ses s urs M M a trouv un vieil appartement VSAO JOURNAL ASMAC bon march qu elle a alors commenc r nover M M est pr te s entretenir avec nous Nous cherchons ensemble des so lutions Avant que Noah puisse quitter l h pital avec sa m re nous mettons en place un r seau de soutien avec l aide du service social de la commune de domicile
55. als Richtungen begriffen werden in die sich die Therapie mit dem fortschreitenden biologischen Alterungs prozess entwickelt Pharmakokinetik Die diffusionsvermittelte enterale Resorp tion von Pharmaka ist im Alter nicht rele vant eingeschr nkt Bei abnehmender Muskelmasse und abnehmendem Was sergehalt des K rpers kommt es zu einer relativen Zunahme des K rperfetts Damit vergr ssert sich das Verteilungsvolumen f r lipophile Wirkstoffe In sehr hohem Alter kann der Fettanteil am K rperge wicht wieder abnehmen Das Verteilungs volumen ndert sich entsprechend Die altersassoziierte Abnahme der Albu minkonzentration im Plasma welche zu einem grossen Teil die Plasmabindungs kapazit t f r proteingebundene Wirk stoffe bestimmt ist gering und meist von untergeordneter klinischer Bedeutung die Erh hung des Anteils an freiem Wirk stoff beschleunigt kompensatorisch seine Elimination Mit dem Alter schreitet die Glomerulo sklerose in der Niere fort Die Anzahl funktionst chtiger Glomerula der renale Blutfluss die glomerul re Filtrationsrate und die tubul re Sekretion nehmen deut lich ab Es kommt zu einer altersab h ngigen Abnahme der Ausscheidung von vorwiegend renal eliminierten Wirk stoffen mit einem relevant erh hten Risiko von Arzneimittelkumulation und nebenwirkungen Gr sse und Durchblutung der Leber neh men im Alter ab Der Phase 1 Metabolis mus einiger Psychopharmaka ist durch die reduzierte Le
56. and trusted handbook can be used as a core text a revision aid and a quick reference guide for medical students junior doctors and other health professsionals Orwoll E S ed Atlas of 0steoporosis 3rd ed 2009 240 p ill Bez cloth about CHF 166 Springer 978 1 57340 296 5 dsteancnasts aie We hu Now in full color this new third edition includes photographs slides of pathology and histology specimens radiographic images flow charts schematics anatomical illustrations tables and charts Yeung S C J C P Escalante R F Gagel Medical Care of Cancer Patients 2009 772 p ill cloth about CHF 113 McGraw Hill 978 1 55009 312 4 Designed as an essential companion to standard medical and oncology texts this book defines and advises treatments for the broad spectrum of acute and chronic comorbidities that occur in cancer patients and in survivors Zylicz Z R Twycross E A Jones Hrsg Pruritus Diagnostik und Therapie von chronisch systemischem Hautjucken 2009 256 S kart ca CHF 59 Hans Huber 978 3 456 84644 6 Huber amp Lang dem Schweizer Spezialisten f r Fachinformation in der Medizin Telefonischer Bestellservice 0848 482 482 Webshop www huberlang com In Bern BUBENBERGHAUS Schanzenstrasse1 vis vis Schanzenpost 3000 Bern 9 In Z rich HUMANA Stadelhoferstrasse 28 beim Bahnhof Stadelhofen 8001 Z rich VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D
57. arbara Reut Raphael Stolz Ralph Litschel Andreas Infanger Secretariat Section St Gall Appenzell Anette Gasser Vorstettli 13 4524 Giinsberg telephone 032 637 07 15 lundi 14 h 16 h 30 et vendredi 9 h 30 12 h fax 032 637 07 16 e mail st gallen_appenzell asmac ch D Arnoud Templeton Medizinische Onkologie Kantonsspital St Gallen 9007 St Gallen arnoud templeton kssg ch N 6 Decembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 55 SECTIONS Soleure Membres 396 Pr sidence Felix Kurth Comit Yves Brand Karen Gutscher Daniel Schr pfer Cirus Schahab Eric Vultier juriste Secr tariat VSAO Solothurn Anette Gasser Vorstettli 13 4524 Giinsberg t l phone 032 637 07 15 seulement lundi 14 h 16 h 30 et vendredi 9 h 30 12 h fax 032 637 07 16 e mail solothurn asmac ch De gauche a droite en haut Yves Brand Karen Gutscher Daniel Schr pfer Cirus Schahab en bas Eric Vultier Felix Kurth pr sident Tessin ASMACT Membres 495 Pr sidence Edoardo Bisio Comit Michel Conti Andrea Donadini Nicola Donati Davide Fadini Nicola Ferrari secretaire Nicola Ghisletta deleguee OMCT Sonia Lucini contr leuse des comptes Mario Manganiello Barbara Noembrini Secr tariat ASMACT Lugano Aw Marina Pietra Ponti Viale S Franscini 17 6904 Lugano telephone 091 922 95 22 fax 091 923 61 71 e mail mpietraponti ticino com Juriste Marina Pietra Ponti pietraponti ticino com Edoardo Bisio pr
58. ared vision for internal medicine Ann Intern Med 2004 140 11 p 927 928 5 Weller J M et al Investigation of trainee and specialist reactions to the mini Clinical Evaluation Exercise in anaesthesia impli cations for implementation Br J Anaesth 2009 40 Credits SGIM SGAM Wissenschaftliche Leitung Prof Dr Bernhard Meier Inselspital Bern Prof Dr Gerd Kullak Ublick Universit tsspital Z rich Prof Dr Thomas Cerny Kantonsspital St Gallen Prof Dr Christa Meyenberger Kantonsspital St Gallen Prof Dr Beatrice Amann Vesti Universit tsspital Z rich Prof Dr Thomas Fehr Universitatsspital Z rich Dr Annette Thommen Universitatsspital Basel Prof Dr Ralf Baumgartner Universitatsspital Zurich Dr Martin S Taheri Forum fur medizinische Fortbildung Dr Thomas Rohrbach Heimenschwand Prof Dr Roger Lehmann Universitatsspital Z rich Prof Dr Kathrin M hlemann Inselspital Bern gt Update in den neuesten diagnostischen und therapeutischen Leitlinien gt Refresherkurs fur Internisten Allgemeinmediziner und Assistenzarzte uber 40 Stunden umfassende Fortbildung gt umfassende Themenreview fur Assistenzarzte als Vorbereitung auf die Facharztprufung Behandelte Themenbereiche Kardiologie Pharmakologie Hamato Onkologie Geriatrie Endokrinologie Gastroenterologie Pneumologie Angiologie Nephrologie Versicherungsmedizin Rheumatologie Neurologie Infektiologie Tel 0844 95 95 95
59. avers en particulier lors qu il sourit J ai donc d me faire un peu violence pour me rendre malgr tout a mon cabinet Quand les enfants venaient a ma consultation ils me demandaient VSAO JOURNAL ASMAC spontan ment Pourquoi fais tu une telle grimace Je leur ai expliqu la situation ce qui a tout de suite r solu le probleme Pourquoi as tu choisi de devenir pediatre Je voulais faire quelque chose avec des enfants Les raisons qui ont orient mon choix vers la m decine p diatrique sont nombreuses J aurais tout aussi bien pu devenir ma tre d cole maternelle Je crois que j ai le contact tr s direct avec les enfants je comprends et sens bien dans quel tat ils se trouvent Et je n ai pas de difficult s les classer dans un ge de d veloppement J ai d couvert ces apti tudes d j tr s t t Est ce que les enfants sont vraiment des patients parti culiers Oui En raison de l ge de d veloppement Qu il s agisse de nourrissons ou d adoles cents il faut aborder les enfants en fonc tion de leur ge de d veloppement Le m decin doit donc toujours r fl chir pr alablement l acc s qui correspond le mieux chaque patient Celui qui veut coucher de mani re r p t e un enfant d un an en bonne sant pour l examiner manque probablement de connaissances Mais ce m decin manque galement d intuition Qu est ce qui caracterise ton quotidien professionnel Norma
60. berdurchblutung bei nahezu unver nderter Kapazit t der be teiligten Enzyme des Zytochom P450 Systems deutlich eingeschr nkt und be eintr chtigt in relevantem Ausmass ihre Pharmakokinetische und pharmakodynamische Ver nderungen im Zusammenhang mit dem Alterungsprozess und altersassoziierten Erkrankungen m ssen bei der Auswahl und Dosierung von Psychopharmaka bei der Behandlung lterer Menschen ber cksichtigt werden Eingeschr nkte Eliminationsfunktionen von Niere und Leber sowie eine zumeist erh hte Sensibilit t gegen ber pharmakologischen Effekten erfordern bei vielen Psychopharmaka eine niedrige Einstiegsdosis und eine langsame Aufdosierung Auch die Zieldosis liegt h ufig unter der blicherweise in der Behand lierungen und Glukuronidierungen um lung j ngerer Erwachsener eingesetzten Dosis Wegen h ufig bestehender Polypharmazie m ssen fassen bleiben weitgehend unver ndert Arzneimittelinteraktionen besonders beachtet werden Besonderheiten in der Behandlung lterer 2 Patienten mit Antidepressiva Neuroleptika Anxiolytika Mood stabilizers und Hypnotika werden Als Folge der beschriebenen pharma beschrieben kokinetischen Ver nderungen wird der steady state vieler Arzneimittel bei Elimination Insgesamt sind die inter individuellen Unterschiede in der Phase 1 vermittelten Arzneimittelelimination jedoch gr sser als altersbedingte Unter schiede Phase 2 Reaktionen die Azety N 6 Decembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC
61. ble que les p diatres et cliniciens disposent de connaissances approfondies du d veloppement normal et anormal de l enfant pour assurer une prise en charge complete de l enfant et de son environnement POINT DE MIRE son environnement Il n est pas possible d apprendre l enfant construire une tour avec des plots La construction de la tour sera une r ussite pour l enfant lorsqu il parviendra la r aliser de sa propre initiative et dans le cadre d un jeu choisi par lui m me Cette action auto d termin e de l enfant doit tre le point de d part pour des propositions d encou ragement Si l enfant rejette une id e d encouragement il faut partir du prin cipe que l offre m me si elle a t bien pens e passe c t des int r ts des pos sibilit s et des particularit s de l enfant Quel r le jouons nous en tant qu adultes Nous devons accorder du temps et de l espace l enfant pour ses id es spon tan es et devons viter d avoir des objec tifs d finis sur la base de mod les de d ve loppement th oriques Nous avons besoin de connaissances sur le d veloppement du jeu de l enfant et devons faire en sorte que le mat riel de jeu propos soit adapt au niveau de d veloppement d un enfant Il est regrettable de constater que dans notre soci t est propag e l id e qu une stimulation pr coce des apprentissages garantira un avantage plus tard dans la vie Il nous inco
62. bulatoire des h pitaux et de les con tr ler En ce qui concerne la structure tarifaire le Conseil national a accord au Conseil f d ral de nouvelles comp tences lui per mettant de baisser les tarifs ambulatoires en cas de forte hausse des co ts Il est par ailleurs pr vu d appliquer des valeurs de points taxes uniformes pour les m decins en pratique priv e et les services hospita liers ambulatoires au sein d un m me canton 91 voix contre 88 La diff rence entre les valeurs de points taxes ne doit pas d passer 10 au niveau suisse Comme d ja expliqu dans le dernier num ro du Journal cette disposition conduit a des in galit s et 3 un nivelle ment vers le bas Les prix seront adapt s bien que les cotits varient d une r gion a l autre Les frais de location d un cabinet dans les villes de plus grande taille d passent de bien plus que 10 ceux des r gions rurales A cela s ajoutent les ni veaux diff rents des salaires et des co ts de la vie En outre le Conseil national a d cid que le m dicament le plus avantageux devait tre prescrit en cas d efficacit gale ce qui correspond dans les grandes lignes la r glementation actuelle 111 contre 63 voix Le Conseil national s est d clar favorable a un service t l phonique gratuit et a approuv une contribution de tous les assur s pour financer les frais de nourri ture en cas de s jour hospitalier Le projet sera disc
63. cembre 2009 AUS DER lt THERAPEU US D SEE Universitare Psychiatrische Kliniken Basel M Axel Wollmer Franz M ller Spahn Wie im fr hen und mittleren Erwachse nenalter spielt die Pharmakotherapie auch im h heren Lebensalter eine wich tige Rolle bei der Behandlung psychischer St rungen Sie unterscheidet sich nicht grunds tzlich von der bei j ngeren Erwachsenen H he res Alter an sich stellt keine absolute Kontraindikation gegen bestimmte Psy chopharmaka dar Dennoch gibt es eine Reihe von Substanzen die f r die Be handlung lterer Patienten wenig geeig net sind 1 Ver nderungen in Pharma kokinetik und Pharmakodynamik im Zuge von Alterungsprozess und alters assoziierten Erkrankungen beeinflussen die Auswahl und die Dosierung von Psy chopharmaka Oft isteine Polypharmazie gegeben die das Risiko f r Arzneimittel interaktionen erh ht F r eine sichere nebenwirkungsarme und erfolgreiche Psychopharmakotherapie sollten unter Ber cksichtigung des Einzelfalls einige Wirkstoffe bevorzugt andere vermieden werden Es werden niedrige Einstiegs dosen langsame Aufdosierungs Schema ta und angepasste Ziel und Erhaltungs dosen gew hlt Die Grenze zum h heren Lebensalter wird zusammen mit dem bergang von der Berufst tigkeit in den Ruhestand bei 65 Jahren festgelegt Die beschriebenen Besonderheiten der Psychopharmakotherapie beziehen sich nicht kategorisch auf diese Altersgrenze sondern sollen
64. condition pour obtenir sa collaboration dans l int r t de son enfant Les tapes suivantes sont possibles lors des interventions pour la protection de l enfant e cooperation avec la famille volontaire e coop ration avec l autorite tut laire voie de droit civil POINT DE MIRE e coop ration avec la justice voie de droit p nal La maniere dont nous nous adressons aux familles est tr s importante Nous nous efforcons de respecter tous les parents et de les couter Il est tr s important d avoir de la patience et de savoir couter pour accomplir le travail de protection de l enfant Nous essayons le plus possible de respecter la comp tence des parents ainsi que les r ves auxquels ils aspirent pour eux m mes et leurs enfants Nous travail lons afin d obtenir des solutions et pre nons activement connaissance des petits succes obtenus Dans le travail de protection de l enfant nous devons toujours nous rappeler des bases l gales de notre action La pro tection de l enfant est r gl e par le Code civil suisse art 307 et suivants Il y est tenu compte des droits des parents tout comme de ceux des enfants Une collabo ration avec les parents est explicitement exig e par la loi Cela influence gale ment notre travail avec les familles Nous sommes conscients du fait que nous en tant que soutien quittons 4 nouveau la famille alors que les parents restent les parents Le travail de protecti
65. ctre Co Amoxi Mepha Au coursv de ces neuf ann es Mepha est parvenu a faire de ce produit l antibio tique le plus utilis en Suisse Un cabinet m dical ou une pharmacie qui n en disposerait pas est chose impensable dans notre pays Notre succes est parfaitement justifie par tradition Mepha va a la rencontre des besoins de ses clients et leur apporte son soutien en pratique quotidienne Diverses prestations de service une large gamme de m dicaments et des formes gal niques innovantes sont autant d exemples de la volont de Mepha de toujours en proposer davantage l instar du Co Amoxi Mepha qui est lui aussi un produit particulier Parmi les tr s utiles prestations de service figurent les brochures sur les antibiotiques destin es aux patients ainsi que le tr s pratique disque de dosage pour la suspension de Co Amoxi Mepha pour enfants qui facilite la vie quotidienne l h pital au cabinet m dical et la pharmacie Une aide pour le dosage facilite le traitement par Co Amoxi Mepha suspensions pour enfants Il est ainsi tr s facile de d terminer le nombre de millilitres n cessaires par kilo de poids corporel sans l aide du Compendium ou d une calculette Une gal nique innovante qui r pond tous les besoins Les nombreuses formes d administration de Co Amoxi Mepha sont une autre raison expliquant le succes de notre pro duit Pas moins de 12 formulations de Co Amoxi Mepha
66. d sur eux Ils n ont plus d estime de soi et doivent nouveau apprendre avoir con fiance en eux et dans leur environne ment estime Fred Dietrich Ecole publique Ce sac dos ne doit tout de m me pas tre trop lourd pour qu un enfant soit admis au home Schoren La condition est que les enfants puissent suivre les coles sur place Les enfants pr sentant des VSAO JOURNAL ASMAC troubles s v res du comportement doivent tre envoy s dans d autres institutions La scolarisation l ext rieur est un avan tage Si d j l enfant doit quitter son mi lieu familial il peut au moins rester dans son ancienne cole et ne perd pas en plus encore ses amis d clare Fred Dietrich On attache d une mani re g n rale beau coup d importance un lien troit avec la commune Les enfants peuvent inviter des camarades d cole d ner au home et sont pri s de participer activement la vie associative locale Dans le meilleur des cas la camaraderie permet l enfant d avoir une famille de substitution qui lui permet de temps autre de passer un week end ski ou d effectuer une excursion Fred Dietrich admet que la barri re de la scolarit normale conduit une s lec tion Trois quarts de nos enfants repr sentent un v ritable succ s pour nous parce qu il ne viennent pas chez nous avec un pass trop lourd Mais les d fi cits restent importants ce sont souvent des choses basiq
67. dans le quotidien l h pital L interview avec Andrea Lang a t conduite par Catherine Aeschbacher r dactrice en chef du Journal ASMAC Quand les enfants sont malades ils ont cong Alors pourquoi existe t il une cole r serv e aux patients Andrea Lang Tous les enfants qui sont hospitalis s pour une dur e d passant cinq jours ont de par la loi droit une for mation c est dire un enseignement scolaire L cole des patients leur garantit ce droit Y a t il des restrictions La condition est bien s r que cela soit pos sible du point de vue m dical Je donne des cours le matin en groupe pour les en fants qui peuvent se rendre dans la salle de classe Pour les autres je me rends dans leur chambre pour leur prodiguer un enseignement au chevet du lit Je vais m me aux soins intensifs Si je remarque qu un enfant est fatigu ou qu il a des douleurs l enseignement n a bien s r pas lieu Quels horaires pratiquez vous Chez nous dans le service de chirurgie les enfants suivent l cole de 9 h 15 11 h 30 L apr s midi je travaille environ une heure avec chacun des enfants qui ne peuvent pas quitter leur chambre Comment se passe l cole le matin Souvent les enfants vont et viennent Les enfants sont parfois amen s dans les lits ou dans une chaise roulante Les soi enants viennent chercher certains enfants qui doivent suivre des traitements ou subir des examens Ou alors ils o
68. de ner Arzneimittel auftreten Behandlungs indikationen sollten kritisch gestellt und die Anzahl der Medikamente m glichst gering gehalten werden Substanzen mit geringem Interaktionspotenzial sollte be vorzugt werden Interaktionen k nnen anhand der Arzneimittelinformationen zu den gegebenen Medikamenten anti zipiert werden Bei mehreren Medika menten k nnen Computerprogramme die Absch tzung von Interaktionen er leichtern z B jap Arzneitherapie Sicherheits Check i fox Doctors AID mediQ Open Drug Database ODDB Es sollten eine sorgf ltige klinische Beob achtung gegebenenfalls EKG Kontrollen VSAO JOURNAL ASMAC und Laboruntersuchungen sowie ein Drugmoniloring in Form von Spie gelbestimmungen erfolgen Compliance Die Verordnung zu vieler Medikamente wirkt der Compliance des Patienten be z glich ihrer Einnahme entgegen Ein fache Verordnungen mit wenigen Medi kamenten und wenigen Dosierungszeit punkten erh hen die Wahrscheinlichkeit einer zuverl ssigen und regelm ssigen Einnahme Sind mehrere rzte an der Verordnung beteiligt ist eine Koordina tion wichtig Bei der Verordnung und der Wahl der Darreichungsform sollte auf kognitive sensorische und motorische Defizite des Patienten R cksicht genom men werden Die Verwendung von Tages oder Wochen Dosetten die gegebenen falls vom Angeh rigen oder der abgeben den Apotheke best ckt werden k nnen helfen eine zeitgerechte Medikamenten einn
69. de ce cas trop complexe il faut donc aller Bathurst aussi un bled mais au moins avec un h pital quip d une salle d op ration d urgence la prochaine bi re Scott veut savoir quel type d h lico pt re poss de le NETS Je lui promets d claircir cette ques tion lors du prochain appel Appel qui ne tarde pas a venir ambulance enfin en route quipe chirurgicale pr te a Bathurst il sera probablement tres tard Et ma femme ne sait pas de quel type d helicoptere il s agit c est typique Nous commandons encore une autre bi re Mise a jour apres un trajet d une heure et demie c sa rienne r alis e avec succ s M re et enfant en bonne sant L enfant a ensuite t transport Penrith pour le suivi n onatologique avec un Medicopter BK 117 nous fait savoir le pilote Ma femme est rentr e 3 heures du matin Et heureusement qu il existe de l aspirine 2 N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 39 ASMAC SECTION BERNE La loi sur le travail une chance saisir Motion Respect de la loi sur le travail dans les h pitaux bernois Le Grand Conseil est certes entr en mati re sur la motion lt Respect de la loi sur le travail dans les h pitaux bernois gt mais l a ensuite consid r e comme tant r gl e Cela parce que le Conseil ex cutif avait indiqu que le beco Office cantonal de l conomie pr voyait de faire des contr les dans les cliniques et h pitau
70. der Wundheilung 2008 110 S Abb Tab kart ca CHF 46 Urban amp Fischer 978 3 437 24710 1 Hening W A etal Restless Legs Syndrome 2009 312 p ill cloth about CHF 121 Saunders 978 0 7506 7518 5 The text provides comprehensive overviews of both pharmacologic and non pharmacologic approaches covering benefits limitations and side effect profiles LeBlond R F Spree D D Brown 7 R L DeGowin DeGowin s Diagnostic Examination board about CHF 63 50 McGraw Hill 978 0 07 147898 4 The classic point of care guide to the undifferentiated patient completely revised and easier to navigate than ever Includes Full Text Download for Your Mobile Device Madler C etal Hrsg Akutmedizin Die ersten 24 Stunden Das NAW Buch 4 Aufl 2009 1 000 S 90 Abb 100 Tab mit dem Plus im WEB geb ca CHF 198 Urban amp Fischer 978 3 437 22511 6 Das Buch informiert Sie ber die h ufigsten traumatologischen interni stischen und p diatrischen Notf lle Dar ber hinaus geht es auf spezielle Notfallsituationen wie z B Katastro pheneins tze ebenso ein wie auf psychiatrische und psychosoziale Problemsituationen Diese Titelauswahl wurde f r Sie zusammengestellt von 9th ed 2009 915 p ill Nicholl C K J Wilson S Webster Lecture Notes Elderly Care Medicine 7th ed 2008 196 p board about CHF 50 Blackwell 978 1 4051 5712 4 This tried
71. du DPI sont chercher dans le d veloppement ful VSAO JOURNAL ASMAC ourant de la m decine de reproduction Celui ci permet de proposer des traite ments efficaces pour le probl me crois sant de l infertilit dans les pays in dustrialises comme par exemple la fer tilisation in vitro FIV et l injection in tracytoplasmatique de spermatozoides ICSI Comme pour ces m thodes la f conda tion et les premieres divisions cellulaires se passent dans l Eprouvette diff rentes questions sont rapidement apparues comme p ex Que faire des embryons surnum raires ou consid r s comme non transferables ou Est ce que des d fauts chromosomiques ou g n tiques doivent et peuvent d j tre diagnostiqu s au stade des huit cellules c est dire avant l implantation de l embryon dans l uterus Ces questions ont d clench une dispute thique et ainsi ouvert la porte toutes les visions d horreur pos sibles et imaginables Simultan ment s est d clench le d bat autour de la l gis lation y relative mettre en place qui doit d une part permettre aux couples con cern s de mettre profit les possibilit s m dicales et diagnostiques et d autre part encourager la recherche et emp cher des abus Une s lection est r alisable sous conditions Quelles attentes sont donc li es l en fant sur mesure Certainement ce qui est sugg r par cette expression c est dire de cr e
72. e ASMAC Fondation pour ind pendants ASAC Fondazione per indipendenti L ASMAC Fondation pour independants L ASMAC Fondation pour ind pendants a t fondee en tant que caisse de pr voyance d association pour les m decins en pratique priv e et leur personnel La forme juridique d tablissement collectif permet une administration simple et effi cace Gr ce sa politique prudente la fondation a connu pendant toutes ces ann es une croissance r jouissante et un d veloppement solide L ASMAC Fondation pour ind pendants met en application la pr voyance pro fessionnelle dans le cadre de la LPP et de ses ordonnances d ex cution pour la couverture des cons quences cono miques en cas de vieillesse d c s et inva lidit Peuvent adh rer la fondation 1 les m decins ind pendants avec per sonnel 2 les m decins ind pendants sans per sonnel 3 le personnel m dical de m decins en pratique priv e 4 les cliniques priv es h pitaux et autres employeurs du secteur m dical 5 cadres et directions du secteur m dical 6 les organisations professionnelles du corps m dical ainsi que les organisa tions de l ASMAC et les autres prestatai res m dicaux selon la LAMal Afin de pouvoir couvrir les besoins tr s divers de ses clients la Fondation offre huit plans de pr voyance Les propri taires de cabinet peuvent ainsi en tout temps choisir l offre d assurance risque d c s invalidit et l parg
73. elatifs a la m dication deviennent de plus en plus complexes on reux et sp cifiques En m me temps les prescriptions dict es par les autorit s se multiplient 3 une cadence rapide Les exigences en mati re de qualit des pro cessus augmentent d ailleurs fortement avec l introduction de syst mes lectroni ques dans le domaine hospitalier C est pr cis ment dans ce secteur que les con naissances des sp cialistes sont tr s de mand es Le champ d activit du pharma VSAO JOURNAL ASMAC cien hospitalier a par cons quent connu d importantes transformations ces der ni res ann es une volution qui va se poursuivre l avenir L image du pharmacien hospitalier 4 volu de celle du simple acheteur et fabricant de s ries celle de courtier d informations et fabricant d applica tions sp cifiques pour les patients p ex cytostatiques formes parent rales pour la p diatrie th rapie g nique L environ nement particulier des h pitaux avec des patients instables n cessitant des soins aigus avec des m dicaments administr s par voie parent rale ou via une sonde avec des voies d application tr s diff ren tes pompes perfuseurs etc ainsi que des m dicaments avec spectre d action th ra peutique tr s troit chimioth rapies thrombolyse etc compliquent fortement le processus de m dication cela s ajou tent des facteurs externes comme la r organisation des horaires
74. en m decine g n rale Conform ment au programme de formation postgradu e et la d cision du Comit central de la FMH du 3 f vrier 1999 la r ussite de l examen de sp cialiste est une condition requise pour les candidats au titre FMH en m decine g n rale qui ont termin leur formation postgradu e apr s le 31 d cembre 2001 Il est recommand de passer l examen de sp cialiste au plus t t durant la derni re ann e de la formation postgradu e r gle mentaire art 22 RFP Une journ e d information pour la pr paration l examen est organis e depuis 2004 Partie crite th orique V rification des connaissances dans le domaine de la m decine g n rale l aide d un examen constitu de questions deman dant des r ponses courtes Lieu Auditoire Ettore Rossi Clinique p diatrique H pital de l Ile Berne Date Le jeudi 27 mai 2010 de 10h 13 h Examen oral pratique Appr ciation des aptitudes importantes pour le domaine de la m decine g n rale le candidat est observ pendant une consul tation de m decine g n rale N 6 D cembre 2009 Lieu Organisation de mani re d centralis e dans des cabinets de m decine g n rale Date Dans l ann e suivant l examen crit Taxe d examen La SSMG pr l ve une taxe d examen de Fr 1350 pour l ensemble des deux examens Inscription Les formules d inscription peuvent tre obtenues l adresse suivante Secr taria
75. ent du Journal a lavenir a Notre coll gue Jo lle Cornut quitte la Suisse et de ce fait le Comit directeur de AG MAC en direction de Haiti pour y mettre 2 disposition dans des conditions inimaginables pour la plupart d entre nous son savoir m dical en faveur des plus pauvres de notre plan te Nous lui tenons tous les pouces pour cette mission Notre respect l accompagne et en m me temps aussi la fiert et l espoir que l ASMAC sera d sormais galement repr sent e dans cet endroit du globe Ch re Jo lle au nom du Comit directeur et de la Pr sidence de l ASMAC je te remercie vivement pour les services rendus VSAO JOURNAL ASMAC Christoph Bosshard pr sident N 6 D cembre 2009 G y O X C O na t na PainControlling avec OXYCONTIN comprim s retard permet le mun di contr le efficace de la douleur en cas de douleurs chroniques Opioide fort SS Pr The PainController du palier Ill de l OMS Admis par les caisses maladie www oxycontin ch Mundipharma Medical Company Hamilton Bermuda Succursale Bale St Alban Rheinweg 74 CH 4052 Bale T 41612051111 OXYCONTIN comprim s retard Principe actif Oxycodoni hydrochloridum Pr sentations comprim s retard a 5 10 20 40 ou 80 mg Titulaire de l autorisation Mundipharma Medical Company Hamilton Bermuda Succursale B le St Alban Rheinweg 74 4052 B le Indications douleurs prolong es moyen nement fortes fortes ou e
76. ent effec tu es dans le domaine du financement de la formation postgradu e des salaires et de l indemnisation financi re ou par du temps libre et du service de piquet il n y a toujours qu un petit nombre de membres VSAO Bu ASMAC Nouveau comit de la section Suisse centrale La section Suisse centrale a renouvel son comit Outre les membres actuels Dragan Stojanov et Mathias R ssle ont t nouvellement lus au comit De gauche droite Dragan Stojanov medecin assistant LUKS representant clinique qui viennent demander une aide l ASMAC en cas de probl mes Le comit de la section des Grisons a entam cette ann e les travaux pour la mise en place d un site web pour les r gions de montagne On espere ainsi mal gr la distance et les ressources en temps limit es de pouvoir mieux am nager la collecte de demandes manant des m de cins et qui concernent tous les membres Un bureau permanent est actuellement galement en cours de planification Ce lui ci aura pour but d assurer la conti nuit au dela des changements au sein Mathias R ssle chef de clinique service de pathologie LUKS Eric Vultier juriste Irene Burger m decin assistante en m decine nucl aire USZ Zurich co pr sidente Gert Printzen Analytica Zurich co pr sident et caissier ASMAC du comit et fera office d interlocuteur pour les membres Cela permettra gale ment de simpl
77. enwirkungen die beachtet werden sollten Serotonin und Noradrenalin Wiederauf nahmehemmer SNRI wie Venlafaxin in h heren Dosen oder Duloxetin sind f r die Behandlung von depressiven St run gen im Alter ebenfalls gut geeignet Die noradrenerge Wirkkomponente scheint Vorteile zu bieten wenn Schmerz oder kognitive Defizite vorhanden sind was bei Depressionen im h heren Lebensalter h ufig der Fall ist 4 6 Die M glichkeit einer Blutdrucksteigerung kann ange sichts der im Alter steigenden Pr valenz der arteriellen Hypertonie die Anwendung einschr nken Besonders bei Prostata N 6 D cembre 2009 hyperplasie kann es zum Harnverhalt kommen Die Tonisierung des Blasen ausgangs kann bei Stressinkontinenz die bei lteren Frauen h ufig vorkommt er w nscht sein Duloxetin ist auch als Medikament zur Behandlung der Stress inkontinenz zugelassen Hyponatri mien im Rahmen des Syn droms der inad quaten ADH Sekretion treten bei lteren Patienten unter Be handlung mit SSRI und m glicherweise auch SNRI relativ h ufig auf 8 Deshalb ist bei lteren Patienten eine ber wachung des Natrium Spiegels im Serum vor allem zu Beginn einer Therapie mit Vertretern der beiden Substanzgruppen besonders wichtig Mirtazapin ist ein meist gut vertr gliches und gut wirksames Medikament zur Be handlung einer depressiven St rung bei lteren Patienten Niedrig dosiert wirkt es schlafanstossend und kann auch in der Behandlung v
78. er des cas de maltraitance d enfants au quoti dien au cabinet et l h pital e Les signes doivent tre d tect s et recherch s activement e Une faut pas faire cavalier seul lors de l eclaircissement ou de l intervention e Il faut viter les d cisions rapides mais si possible appliquer une ma ni re de proc der r fl chie calme et planifi e N 6 D cembre 2009 Qu est ce que la maltraitance d enfants On entend par maltraitance d enfants un dommage physique et ou psychique port l enfant par des tiers et qui conduit a des blessures a des troubles du d ve loppement ou m me a la mort Le terme de dommage comprend galement sa forme passive c est a dire la n gligence On diff rencie cing formes de maltrai tance d enfants e maltraitance physique e violence sexuelle e n gligence e maltraitance psychique syndrome de Miinchhausen par procu ration Ces cing formes de maltraitance peuvent survenir a n importe quel age Elles ne surviennent que rarement de mani re isol e il s agit g n ralement d une com binaison de plusieurs formes La n gli gence est la forme de maltraitance la plus fr quente Elle n est pas facile d tecter et est souvent consid r e tort comme pas tr s grave La maltraitance d enfants se passe dans la plupart des cas dans l en vironnement imm diat de l enfant Notre attitude Alors qu on appliquait autrefois le prin cipe Il vaut mieu
79. er et un b ta 2 mim tique alliant une prise d effet rapide et une longue dur e d action LABA a permis dans des tudes une am lioration rapide et persistante de la fonction pulmonaire avec r duction des exacer bations s v res L tude CLIMB pr sent e Vienne dans le cadre du congr s annuel de ERS European Respiratory Society montre pr sent que le bud sonide formot rol associ au bronchodilatateur anti cholinergique tiotropium Spiriva longue dur e d action peut contribuer de fa on d cisive l am lioration du traitement de la BPCO Le Professeur Roland Buhl de Mayence a comment les r sultats de l tude ainsi L asso ciation de deux bronchodilatateurs longue dur e d action qui pr sentent des m canismes d action diff rents permet une am lioration de la fonction pulmonaire telle qu elle tait encore impensable lors de mes d buts en m decine Meilleure fonction pulmonaire moins de sympt mes L tude CLIMB une tude multi centrique en double aveugle par grou pes parall les a t men e sur une p riode de 12 semaines aupr s de 660 patients souffrant d une BPCO de grade mod r s v re VEMS pr dose 50 Le traitement individuel des partici pants a t stopp plusieurs semaines avant le d but de l etude deux semai nes pour l arr t de LABA quatre semai nes pour l arret des CSI Dans la phase de deux semaines de run
80. ermettent d am nager len vironnement en fonction de l enfant de nous en occuper de fa on ad quate et d valuer le niveau de d veloppement d un enfant Car le comportement en situation de jeu pendant la petite enfance est un v ritable miroir du d veloppement cognitif de l enfant L observation du jeu de l enfant nous renseigne sur le niveau actuel de la pens e et des aptitudes d un enfant La mani re dont s occupe un enfant nous montre quelles sont ses re pr sentations en termes d organisation spatiale de cat gorisation ou de comp tences sociales Le jeu structur est donc un l ment important du diagnostic du d veloppement qui est r alis a l h pital ou au cabinet m dical Caract ristiques du jeu de la petite enfance Chaque enfant commence l ge de 2 ans a gribouiller l ge de 3 ans a VSAO JOURNAL ASMAC 19 POINT DE MIRE reproduire des traits et a l ge de 4 ans a dessiner des figures Ces tapes du d ve loppement sont les m mes pour chaque enfant Il existe cependant une grande variabilit en ce qui concerne la premiere manifestation d une acquisition C est ainsi que de nombreux enfants sont d ja en mesure de reproduire une croix l ge de 27 mois d autres par contre seulement 45 mois L illustration montre un aper u relatif la premi re manifestation d acquisitions du d veloppement pendant les quatre premi res ann es de vie L aper u resume des r
81. esondere wenn zerebrovas kul re Ver nderungen zu einer depressi ven St rung beitragen kommt es nach Absetzen einer medikament sen Therapie leicht zu R ckf llen oder Wiedererkran kungen Deshalb ist h ufig eine mittel bis langfristige Behandlung indiziert 6 Die Tabelle 1 gibt eine bersicht ber h ufig eingesetzte Antidepressiva Neuroleptika Indikationen f r die Behandlung mit Neuroleptika im Alter bestehen in der Weiterbehandlung von Psychosen die bereits im fr heren Erwachsenenalter begonnen haben in der Behandlung von Psychosen mit Erstmanifestation im Alter in der Behandlung von Delirien und in der Behandlung von Verhaltensst rungen bei Demenzen In den meisten F llen sollte atypischen gegen ber konventio Tabelle 1 u SS Wirkstoff Besonderheiten bei lteren Patienten Dosis mg die depressiva Nortriptylin Von den Trizyklika f r die Anwendung bei lteren Patienten wegen geringer im Alter anticholinerger Effekte am ehesten geeignet Kardiotoxisch bei berdosierung 25 150 Spiegelkontrolle Vorsicht bei Suizidalit t Maximale Selektivit t f r Serotonin Wenig Interaktionen Wegen m glicher Hyponatri mien Elektrolytkontrollen erforderlich Thromozytenaggregations hemmung extrapyramidalmotorische Symptome m glich Citalopram Escitalopram 10 30 5 20 Etwas erweitertes Spektrum mit Wirkung auf Noradrenalin und Dopamin wiederaufnahme Wenig Interaktionen Wegen m glicher Hyponatri m
82. estions Les col laborateurs administratifs demeurent volontiers votre disposition contact cf infobox N 6 D cembre 2009 College de M decine de Premier Recours CMPR Groupe de travail Recherche en m decine de premier recours ReMPR Prix CMPR de recherche en m decine Sp cialit Crit res des travaux soumis Prix Participant e s D lai de soumission Remise du prix Comit Information Lieu de contact de premier recours 2010 avec le soutien de mepha M decine de premier recours Travaux scientifiques achev s en Suisse ou par des auteurs suisses habitant l tranger qui apportent une contribution importante aux soins de base offerts par le m decin de premier recours notamment e la qualit du traitement et de la prise en charge des patients de premier recours e la pratique m dicale des m decins de premier recours th matique valable pertinente et r alisable en pratique e la recherche sur le cabinet du m decin de premier recours fondements conditions de travail gestion et pr servation des ressources CHF 30 000 Le prix sera accord a un seul laur amp at pour son travail scientifique ou r parti parmi plusieurs auteurs sans possibilit de recours aux tribunaux Auteurs en Suisse ou personnes suisses habitant l tranger ayant achev un travail scientifique majeur sur la m decine de premier recours dans les trois derni res ann es 28 f vrier 2010 Lo
83. et comprend les examens de d pistage pr coce pour la d tection d enfants pr sentant des troubles du d veloppement ainsi que l valuation le traitement et le conseil d enfants pr sentant des variantes du d veloppement et du comportement 2 Za p diatrie du d veloppement sp cialis e garantit en tant que sous sp cialit p diatrique un bilan m dical complet pour les troubles complexes du d veloppement et du com portement un diagnostic approfondi en collaboration avec les sp cialistes en g n tique neuro p diatrie endocrinologie et psychiatrie de l enfant et de l adolescent ainsi que la coordination de mesures m dico th rapeutiques et de p dagogie sp cialis e La p diatrie du d veloppement assure en outre le suivi d enfants pr sentant des risques d veloppementaux par exemple les enfants n s pr matur ment dans les centres de p diatrie du d veloppement Les porteurs d un titre de formation approfondie en p diatrie du d veloppement assurent la forma tion postgradu e des futurs m decins sp cialistes en p diatrie en Suisse La formation postgradu e dans ce domaine central de la p diatrie rev t une importance toute particuli re Il ne s agit pas de transmettre des connaissances d une sous sp cialit p diatrique mais d acquerir les aptitudes de base caract ristiques de la p diatrie qui permettent de la distinguer de la m decine des adultes en tant que sp cial t enti re Il est en effet indispensa
84. et de mesures a ete labor Apres un d bat de huit heures lors de la session d automne le Conseil national a adopt le paquet de mesures visant a r duire les co ts dans l assurance obliga toire des soins par 113 voix contre 58 Le paquet d conomies urgent doit entrer en vigueur au d but 2010 Sa validit est limit e jusqu en 2012 VSAO JOURNAL ASMAC Le Conseil national a supprim la taxe de consultation de CHF 30 propos e par le ministre de la sant Pascal Couchepin Celle ci aurait d retenir les assur s de se rendre inutilement chez le m decin Seul le PLR a soutenu cette taxe A titre d alternative le Conseil national a d cid l introduction d une quote part diff renci e Cela doit permettre d inciter les assur s s adresser en premier lieu au medecin de famille Les personnes qui s adressent directement a un sp cialiste ou a un service hospi talier ambulatoire paieront Pavenir une quote part de 20 Les traitements chez les m decins de famille demeureront par con tre soumis une quote part de 10 Les patients envoy s par le m decin de famille chez le sp cialiste ne paieront galement qu une quote part de 10 La Conseil national a par ailleurs adopte une proposition minoritaire du president de santesuisse Claude Ruey PLR VD et a refus par 82 contre 74 voix d octroyer aux cantons la comp tence d dicter des mandats de prestations pour le domaine am
85. f r die Behandlung von Delirien und vorwiegend aggressiv gepr gten Verhaltensst rungen bei Demenz Mit zu 0 5 4 nehmender Dosis deutliches Risiko extrapyramidalmotorischer Nebenwirkungen Clozapin Wie in anderen Bereichen der Psychiatrie noch wirksam wenn andere Anti psychotika keinen ausreichenden Effekt gezeigt haben Wegen Risikos einer Agranulozytose nie Mittel der ersten Wahl Wegen fehlender extrapyramidal 12 5 400 motorischer Nebenwirkungen geeignet zum Einsatz bei vorbestehendemParkin sonismus Relevante anticholinerge Eigenschaften Senkung der Krampfschwelle Quetiapin Olanzapin Wegen fehlender extrapyramidalmotorischer Nebenwirkungen und anticholinerger Nebenwirkungen gut f r den Einsatz bei der Zewy Body Demenz geeignet Wegen orthostatischer Nebenwirkungen niedrige Einstiegsdosis und langsame Aufdosierung erforderlich Wegen initial sedierender anxiolytischer und stimmungsaufhellender Eigenschaften zur Beherrschung von Unruhezust nden geeignet Wenig orthostatische Nebenwirkungen Schwache anticholinerge Wirkung Ausgepr gtes Potenzial zur Induktion einer Gewichtszunahme und Verschlechterung der Glukosetoleranz Haloperidol Flupentixol Niedrig dosiert nach wie vor Mittel der ersten Wahl bei der Behandlung des Delirs Gut wirksames Antipsychotikum vor allem bei Bedarf einer Depot Medikation eingesetzt Extrapyramidalmotorische und orthostatische Nebenwirkungen Zuclopenthixol Bei
86. fen est depuis 2001 un cabinet de formation dans lequel des assistants de l h pital universitaire p diatrique sont form s Sepp Holtz est p diatre du d veloppement et a t nomm en 2007 enseignant clinique de l Universit de Zurich Il poss de en outre une attestation de forma tion compl mentaire en psychoth rapie d l gu e et en hypnose m dicale N 6 D cembre 2009 parents qui sont mes yeux des parents difficiles Que fais tu si le bien de len Jant et la d cision des parents ne concordent pas Premi rement je tente de comprendre les parents Ce sont souvent des circonstances externes ou le surmenage qui conduisent de telles situations Car je ne connais pas de parents qui ne sont pas en premier lieu bien intentionn s vis vis de leurs enfants Dans une deuxi me tape je ten te de faciliter les choses pour ces parents Si je constate que le bien de l enfant est malgr tout gravement en p ril je peux faire appel mon r seau comme par exemple au groupe de protection de l en fant La plus grave erreur est de vouloir r gler la situation de son propre chef J ai cependant aussi d j d proc der des d nonciations parce qu il n y avait pas d autre option Cela m a fait perdre ces enfants comme patients Je ne suis alors pas parvenu faire comprendre aux parents qu il s agissait du bien tre de l enfant et non pas de salir leur r puta tion aupr s de l aut
87. font l objet d une attention particuliere La gestion des fonds du pool manque de transparence dans de nombreux tablissements Et pour finir il y a de nombreuses sections qui se battent pour assurer la rel ve dans leurs comit s Dans ce contexte il est r jouissant que les d l gu s du CC aient lu Guillaume Favre comme repr sentant de la section de Gen ve au Comit directeur voir en cadr Ont galement t lus une d l ou e ordinaire ainsi que plusieurs d l gu s suppl ants la Chambre m dicale Plus d argent pour le Journal Le m me jour a galement eu lieu l as sembl e des d l gu s de MEDISERVICE VSAO ASMAC La r orientation de MEDI SERVICE a certes t un succ s car elle a permis d atteindre un nombre plus important de membres En m me temps cette attitude plus offensive a aussi ren contr certaines oppositions Les d l gu s ont ainsi approuv la motion de la section St Gall Appenzell visant interdire les actions de marketing t l phonique a l avenir La proposition demandant une augmentation de la cotisation de CHF 8 pour une dur e limit e 4 deux ans a t acceptee Cela doit permettre de com penser la baisse des recettes publicitaires du Journal ASMAC Simultan ment l organe de conduite en charge du Journal a t invit a laborer en colla boration avec l association politique et MEDISERVICE ASMAC des propositions pour assurer le financem
88. guere baisser a l avenir La dur e de s jour est parfois r duite mais le turn over plus lev Un nombre equivalent d examens d entretiens de traitements et d autres prestations doit Sympathisch einfach effizient etre effectu en moins de temps Etant donn que les conditions de travail du personnel de la sant sont d j difficiles d d eleme aujourd hui il ne faut pas que les effectifs 21 gt Delemed AG m Talstrasse 4 Postfach 99 CH 3122 Kehrsatz du personnel soient r duits avec la ferme Tel 031 950 27 27 Fax 031 950 27 29 info delemed ch www delemed ch ture des h pitaux notamment pas ceux des m decins LASMAC va s engager en cons quence et suivre troitement vo lution de la chose a N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 11 POLITIQUE Les nouveaux Instruments de la formation postgradu e Des projets pilotes avec de nouveaux instruments pour compl ter la formation m dicale postgradu e sont en cours dans diff rents h pitaux depuis trois ans Il s agit des Mini CEX Mini Clinical Evaluation Exercise et DOPS Direct Observation of Procedural Skills De quoi s agit il et que signifie leur intro duction pour les m decins assistants et chefs de clinique Raphael Stolz vice pr sident de l ASMAC responsable du ressort Formation postgradu e 12 Un petit sondage de l auteur dans son h pital a produit un r sultat clair quasi ment aucun des douze m dec
89. he fortement du mo d le de l interlocuteur personnel de sant soutenu par l ASMAGC Il reste esp rer que le mod le sera reconnu comme v ri table alternative sens e la libert de contracter et la clause du besoin Cela permettrait aussi de r pondre enfin la p nurie de m decins en particulier la p nurie de m decins de premier recours L OFSP approuve la fermeture d h pitaux Thomas Zeltner directeur de l Office f d ral de la sant publique OFSP a d clar peu avant son d part la retraite qu il existait 100 h pitaux de trop en Suisse Selon ses d clarations on pourrait donc fermer un tiers des cliniques Quant aux autres cliniques elles devraient se sp cialiser Cet avis est galement partag par les conomistes de la sant les cais ses maladie l association H et bien d autres protagonistes encore P E I I L ASMAC n est pas oppos e la fermeture ou au regroupement de certains h pitaux et cliniques On nous dit souvent que les petits h pitaux ne sont pas capables de Die s ympa thische respecter la loi sur le travail et que les con S ditions de travail et de formation post Arztesoftware gradu e y sont souvent mauvaises Les aspects qualitatifs doivent galement tre pris en compte Et il faut souligner que les petits h pitaux ne sont pas forc ment moins bons Dans toute cette histoire il faut n an moins tenir compte du fait que le nombre de patients ne va
90. herapie Grundlagen Klinik Therapie Stuttgart New York Thieme 2003 240 248 6 Un tzer J Late life depression N Engl J Med 2007 357 2269 2276 7 Loke YK Trivedi AN Singh S Meta analy sis gastrointestinal bleeding due to inter action between selective serotonin uptake inhibitors and non steroidal anti inflam Psychopharmacotherapy of the elderly Pharmacokinetic and pharmacodynamic changes related to aging and age associated disorders influence the choice and dosage of psychotropic drugs in the treatment of the elderly Renal and hepatic clearance is limited and the sensitivity to pharmacological effects is increased To avoid side effects most psychotropic drugs should be introduced in a start low go slow approach The final dose may also be lower than in the treatment of younger adults Drug interactions may occur as a consequence of a complex medication Peculiarities of the treatment of older adults with antidepres sants antipsychotics anxiolytics mood stabilizers and hypnotics is described 38 VSAO JOURNAL ASMAC matory drugs Aliment Pharmacol Ther 2008 27 31 40 8 Diem SJ Blackwell TL Stone KL et al Use of antidepressants and rates of hip bone loss in older women the study of osteo porotic fractures Arch Intern Med 2007 167 1240 1245 9 Berra C Torta R Therapeutic rationale of antidepressant use in the elderly Arch Ge rontol Geriatr 2007 44 Suppl 1 83 90
91. iedener psychischer St rungen Die Verschreibung sollte im mer zeitlich begrenzt erfolgen Durch Sedation und Muskelrelaxation besteht besonders bei lteren Patienten eine er h hte Sturzgefahr Es kann zu Einschr n kungen kognitiver Funktionen kommen Die Gefahr solcher Nebenwirkungen steigt wenn Benzodiazepine mit langer Halbwertszeit verwendet werden die bei gleichzeitig abnehmender Funktion der oxidativen Metabolisierung akkumulie ren k nnen Deshalb sollten in erster Linie Benzodiazepine mit kurzer bis mitt lerer Halbwertszeit die durch direkte Glu kuronidierung eliminiert werden einge setzt werden Lorazepam und Oxazepam erf llen diese Bedingungen Bei fehlender zeitlicher Begrenzung und unscharfer Indikation der Verschreibung besteht die Gefahr einer iatrogenen Benzodiazepin Abh ngigkeit zumeist in Form einer N 6 D cembre 2009 Tabelle 2 Neuroleptika im Alter low dose Benzodiazepin Abh ngig keit Diese ist bei vielen lteren Men schen anzutreffen Paradoxe Reaktionen auf Benzodiazepine sind auch bei lteren Patienten selten 3 13 Pregabalin wird auch bei lteren Patien ten als Anxiolytikum in der Therapie der generalisierten Angstst rung eingesetzt 14 Auch unter dieser Substanz besteht erh hte Sturzgefahr aufgrund eines se dierenden Effekts Mood stabilizers Lithium kann mit gleicher Indikation und hnlicher Wirksamkeit wie bei j n geren Erwachsenen eingesetzt werden Wi
92. ien Elektrolytkontrollen erforderlich Thromozytenaggregationshemmung extrapyramidalmotorische Symptome m glich Sertralin Venlafaxin Wie SSRI In h herer Dosis ausserdem Harnverhalt und Blutdrucksteigerung m glich Vorsicht bei Glaukom Gute Wirksamkeit bei Schmerzsymptomatik M glicherweise Vorteile bei kognitiven Defiziten 37 5 300 Wie SSRI Ausserdem Harnverhalt und Blutdrucksteigerung m glich Vorsicht bei Glaukom Gute Wirksamkeit bei Schmerzsymptomatik M glicherweise Vorteile bei kognitiven Defiziten Duloxetin Initial sedierend Vor allem in niedriger Dosis schlafanstossend Appetit und Gewichtszunahme m glich aber keine direkte Verschlechterung der Glukosetoleranz Mirtazapin Reboxetin Harnverhalt m glich M glicherweise Vorteile bei kognitiven Defiziten Sedierende Eigenschaften Auch zur Behandlung von Unruhezust nden bei Demenz einsetzbar Kardial gut vertr glich Auch bei Prostatahyperplasie oder Engwinkelglaukom Augmentierend bei Behandlung mit anderen Antidepressiva Trazodon Die Tabelle bildet eine Auswahl von Medikamenten ab und erhebt keinen Anspruch auf Vollst ndigkeit Angaben zu Beson derheiten bei lteren Patienten sind als bersicht zu verstehen Die Angaben sind nicht vollst ndig Die angegebenen Dosie rungen sind Richtwerte und k nnen im Einzelfall ber oder unterschritten werden N 6 Decembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 35 PERSPECTIVES 36 nellen Neuroleptika der
93. ier ch t l phone 044 250 43 23 fax 044 250 43 20 aargau asmac ch VBAO Verband Basler Assistenz und Ober rzte innen Gesch ftsleiterin und Sekretariat lic iur Claudia von Wartburg Advokatin Hauptstrasse 104 4102 Binningen Telefon 061 421 05 95 Fax 061 421 25 60 sekretariat vbao ch www vbao ch VSAO Sektion Bern Gesch ftsf hrerin Rosmarie Glauser F rsprecherin Schwarztorstrasse 22 3007 Berne t l phone 031 381 39 39 fax 031 381 82 41 bern asmac ch www vsao bern ch ASMAF Section Fribourg case postale 1708 Fribourg webmaster asmaf ch www asmaf ch AMIG c o HUG case postale 23 rue Micheli du Crest 24 1211 Gen ve 14 amig amig ch www amig ch VSAO Graub nden c o Dr med Claudia Heintze Psychiatrische Dienste Graub nden Ambulanter Dienst Ilanz 7130 Ilanz graubuenden asmac ch ASMAC Section Jura D med Carlos Munoz chemin des Vauches 7 2900 Porrentruy telephone 032 465 65 65 cfmunoz bluewin ch VSAO Sektion St Gallen siehe DAVID Sekretariat st gallen_appenzell asmac ch VSAO Sektion Solothurn Dr med Felix Kurth Pr sident Oberarzt Medizin Spital Dornach 4143 Dornach telephone 061 704 43 92 solothurn asmac ch ASMACT Associazione Medici Assistenti e Capiclinica Ticinesi Avv Marina Pietra Ponti Viale S Franscini 17 6904 Lugano telefono 091 922 95 22 fax 091 923 61 71 pietraponti ticino com VSAO Sektion Thurgau siehe DAVID Sekretariat thurgau asmac ch ASMAV case
94. ifier le travail du comit a l avenir grace au soutien administratif du bureau Un bilan de l ann e 2009 sera pr sent en janvier 2010 a l occasion de l assembl e g n rale C est toujours une bonne oc casion comme en janvier dernier de nouer des contacts de s informer et de discuter des probl mes actuels Vous re cevrez une invitation ult rieurement L Claudia Heintze pr sidente de la section des Grisons Andreas Hirth medecin assistant en psychiatrie LUPS Nous nous engageons pour la d fense de vos int r ts et souhaitons avoir un chan ge d informations intensif avec vous Contact Dragan Stojanov repr sentant clinique ASMAC Suisse centrale Dragan Stojanov ksl ch da N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 41 ASMAC SECTION ZURICH Charge de cours l il Depuis toujours c est un honneur de devenir charg de cours l Universit de Zurich Depuis le semestre d automne 2009 il se pourrait que cela reste plus ou moins purement honorifique C est au moyen d un tableau joliment mis en page que les charg s de cours se sont vus inform s par le d partement des ensei enants de l Universit de Zurich des titres et des programmes de leurs mandats Dans les colonnes H bezahlt heures pay es et Betrag in CHF montant en CHF ne figurent que des z ros Le d canat de la facult de m decine crit dans sa lettre que des adaptations finan ci res
95. ile priv e e eee Accident ind pendant B z 5 8 HI CO 0 g o RE a 2993 Cro el el DEE el ce Seis ojojo ojojo ojojo ele eee e o eo e e ee e eee Indemnit s journali res ele ele ele Accident employ qui se fonde sur lt l empathie cono mique gt la capacit des collaborateurs 2 comprendre et prendre pleinement en compte le quotidien priv et professionnel des m decins et de ce fait reconna tre leurs besoins en mati re de prestations de service Le membre b n ficie ainsi de solutions optimales adapt es aux besoins individuels MEDISERVICE VSAO ASMAC accompagne le membre sur la base d un partenariat La d cision finale incombe toujours au membre Les prestations de service sont fournies de mani re ad quate efficace et avec comp tence Gr ce une collaboration troite avec diff rents partenaires de prestations et de conseil MEDISERVICE VSAO ASMAC reste mal gr une large palette de produits une organisation petite et efficace Tous les partenaires de conseil doivent satisfaire aux exigences lev es en mati re de qua lit en ce qui concerne l orientation selon la client le et l thique de conseil Erwin Guggisberg directeur Prestations de services e eee 1 Administration du cabinet m dical e ee e e e eee ele Conseil en assurances finances fiscalit eisleleslel Je e e e e S minaires L
96. in par la suite tous les participants ont re u du tiotropium 18 pg 1 bouff e 1 fois par jour A la fin de cette phase les partici pants ont t assign s par randomisa tion l un ou l autre groupe de traitement dont l un tait trait par Symbicort 1 inhalation de 400 12 pg 2 fois par jour en plus du tiotropium tandis que l autre ne recevait que le tiotropium et un placebo Les partici pants avaient le droit d utiliser de la terbutaline de fa on compl mentaire pour combattre les sympt mes L examen du crit re primaire a montr que le traitement suppl mentaire par Symbicort tait associ une aug mentation significativement sup rieure du VEMS pr dose mesur avant l in halation en comparaison avec le trai tement au tiotropium seul p lt 0 001 Zentrum f r seelische Gesundheit Wo Patienten auch G ste sind Sous le traitement associant bud so nide formot rol et tiotropium am lioration du VEMS tait sup rieure de 6 65 ml au traitement de compa raison En comparaison avec le tiotro pium seul la trith rapie a conduit dans les 5 et 60 minutes post dose apres l inhalation 3 une augmentation du VEMS de 123 ml et de 131 ml respec tivement Les participants trait s par tiotropium en association avec Symbicort ont souffert nettement moins souvent des sympt mes typiques d une BPCO comme par exemple d tresse respira toire sensation d oppression toux
97. indeutigen Beweise f r Selbstverletzungen Selbst mordgedanken oder Depressionen unter Vareniclin oder Bupropion vor Die Autoren der Studie wiesen jedoch darauf hin dass trotz des fehlenden Nachweises eines erh hten Selbstverletzungsrisikos unter Vareniclin die begrenzte Aussagekraft der Studie nicht ausschliesse dass m glicherweise eine Halbierung oder Verdopp lung eines entsprechenden Risikos bestehe Sie forderten somit weitere Unter suchungen der Auswirkungen von Vareniclin auf das Selbstmordtisi ko auf der Grundlage anderer Da tenbanken und Sekund ranalysen aller in klinischen Studien berichte ten unerw nschten Ereignisse Abschliessend zogen die Autoren den Schluss dass alle m glicher weise bestehenden Risiken auch im Zusammenhang mit dem lang fr stigen Nutzen einer Raucher entw hnung f r die Gesundheit der jeweiligen Patienten und der Wirksamkeit von Vareniclin als Mittel zur Nikotinentw hnung zu betrachten seten Varenichn wird m Handel unter dem Namen Champix vertrie ben Quellen 1 www bmj com Varenicline and suicidal behaviour a cohort study based on data from the General Practice Research Database Gunnell D Irvine D Wise L Davies C Martin R M BMJ 2009 339 b3805 dot 10 1136 bmj b3805 PUBLIREPORTAGE Co Amoxi Mepha un nom bien connu dans le monde des antibiotiques C est depuis 2000 que Mepha propose dans son assortiment l antibiotique large spe
98. ine laisser leurs enfants et aime raient bien les accompagner pendant toute la dur e de l enseignement Cela n est tout simplement pas possible en rai son du manque d espace cela s ajoute qu une attention excessive des parents a plut t tendance a inhiber les enfants Qu est ce qui rend votre travail attrayant Ce que la plupart des gens consid reraient comme un inconv nient elle rit Il faut L cole r serv e aux patients l h pital p diatrique de Berne 3 t fond e en 1963 par son directeur de l poque le professeur Ettore Rossi Aujourd hui l quipe est compos e de huit p dagogues hospitalie res quatre pour les branches scolaires quatre pour les branches manuelles Respectivement quatre en seignants travaillent au d partement de m decine et quatre au d partement de chirurgie tre tr s flexible et avoir de l intuition Je ne sais jamais de quoi ma classe aura l air de ce qui m attend et si je serai en mesure de mettre profit ce que j ai pr par Si un enfant a une perfusion dans un bras et l autre bras dans le pl tre l ensei gnement se limitera l oral Il faut tirer profit de l instant present Il ne suffit pas de suivre tous les deux ans le m me plan d en seignement Le plus beau c est de pouvoir apporter un peu d ambiance quotidienne dans la vie de l h pital Nous sommes les seuls repr senter la normalit car pour les enfants l cole fait
99. ins assis tant e s ne connaissait la signification des abreviations Mini CEX ou DOPS Un besoin urgent d information semble donc exister d autant plus que l introduc tion de ces outils d valuation doit tre r alis e dans toute la Suisse d apres l Institut suisse pour la formation m di cale postgradu e et continue ISFM Que signifient Mini CEX et DOPS Dans le cadre de Mini CEX Mini Clinical Evaluation Exercise et DOPS Direct Observation of Procedural Skills le m decin assistant est observ par un forma teur dans le cadre de son travail clinique Cette phase dure environ 15 minutes l assistant recoit ensuite un feed back constructif L observation est limit e a une activit d crite et est r p t e avec d autres formateurs dans des configura tions les plus diff rentes possibles pen dant la formation postgradu e Mini CEX focalise son attention sur les aspects communicatifs et sur l examen clinique VSAO JOURNAL ASMAC DOPS se focalise sur les aptitudes ma nuelles et les interventions 1 2 Mini CEX et DOPS ont t d velopp s partir de l ann e 2000 aux Etats Unis et introduits par l American Board of Internal Medi cine Le Royal College of Physicians a mis en place ce syst me simultan ment en Grande Bretagne La structure pour garantir la qualit Les changements actuels des conditions de travail des jeunes m decins en forma tion postgradu e mettent forte
100. ion de mal traitance d un enfant et a ainsi obtenu plus de ressources en personnel Cela est r jouissant et pas vident dans le con texte actuel d conomies financi res dans le domaine de la sant Travail en r seau Une quipe multidisciplinaire compos e de sp cialistes en psychologie psychiatrie et travail social effectue des claircisse ments chez des enfants hospitalis s tra vaille de mani re ambulatoire sur man dat des autorit s tut laires des offices de la jeunesse ou de la police et intervient en cas de crises Les p diatres et g n ralistes install s envoient les familles pour des claircissements ou des conseils ou font appel aux conseils t l phoniques du groupe de protection de l enfant Le groupe de protection de l enfant tra vaille en r seau Il existe ainsi une troite et bonne collaboration avec l Institut de m decine l gale et la police cantonale L Institut de m decine l gale nous aide examiner et d crire les indices recueillis sur les personnes et 3 valuer les descrip tions d accidents La police cantonale ainsi que les autorit s civiles donnent des mandats au groupe de protection de l en fant pour prendre en charge des enfants qui ont ventuellement t victimes d abus Nous proposons en outre de la formation pr et postgraduee consacr e la protection de l enfant et au questionne ment des enfants Principes importants e Il faut galement envisag
101. iques ad quates tant donn que les enfants ne peuvent g n ralement ava ler des comprim s qu partir de l ge de sept ans e Modeling amp Simulation pour calculer partir des posologies pour adultes celles pour les adolescents et ensuite partir de celles ci celles pour les petits enfants e Etudes cliniques surveillance long terme pour minimiser le risque et plans particuliers pour r duire les risques dans la mesure o ceux ci sont d j connus L entreprise en charge du d veloppement se voit accorder une prolongation du brevet de six mois l ch ance de celui ci titre d indemnite pour ses efforts Aussi bien la l gislation am ricaine que celle de PUE s efforcent d encourager la recherche n cessaire pour les m dica ments qui ne sont plus prot g s par un brevet Ceux ci se trouvent aujourd hui comme g n riques sur le march Les g n riques sont exclus de la l gislation p diatrique aux Etats Unis et dans TUE Ces programmes de recherche doivent donc tre financ s par des fonds publics ces fonds sont toutefois limites La l gislation europ enne tente par ail leurs de convaincre les entreprises de developper des formules sp ciales pour les N 6 Decembre 2009 ek a i ie SC Petits enfants 28 jours 23 mois Enfants 2 11 ans POINT DE Adolescents 12 16 18 ans US 16 ans UE 18 ans enfants L entreprise se voit ainsi acc
102. is I Bachmann Holzinger ib Esther Camenzind ec Homayon Chaudhry he Kerstin G nther kg Stefanie Kohli sk Lukas Staub Is Jan Vontobel jv Sophie Yammine sy Comit directeur Christoph Bosshard pr sident Raphael Stolz vice pr sident Christiane Arnold Fabrice Dami Guillaume Favre Corina Kim Fuchs Gert Printzen Urs Sieber Patrick Wilson Nicola R egsegger SwiMSA Impression et expedition Vogt Schild Druck AG Gutenbergstrasse 1 4552 Derendingen T l phone 058 330 11 11 fax 058 330 11 78 Maquette Werner Kocher Annonces Dominik Lauber Axel Springer Schweiz AG Fachmedien F rrlibuckstrasse 70 case postale 8021 Zurich T l phone 043 444 51 02 fax 043 444 51 01 dominik lauber fachmedien ch vsao fachmedien ch Tirage 20816 exemplaires imprimes 19 496 exemplaires certifi s REMP base 2008 Fr quence de parution 6 numeros par ann e L abonnement est inclus dans la contribution annuelle pour les membres de l ASMAC ISSN 1422 2086 L dition n 1 2010 para tra en janvier 2010 Sujet Alternatives 2009 by ASMAG 3001 Berne Printed in Switzerland G tesiegel Q Publikation des Verbandes Schweizer Presse DRE TE et a ES 70 VSAO JOURNAL ASMAC ADRESSES DE CONTACT DES SECTIONS AG BL BS BE FR GE GR JU SG AI AR SO TI TG VS VSAO Sektion Aargau Verbandssekret r Eric Vultier lic iur Auf der Mauer 2 8001 Zurich vultier schai vult
103. juridiquement autonome L organisation d centralis e encourage la proximit avec les membres et la d fense directe de leurs int r ts sur place L association centrale soutient et coordonne les efforts entrepris au niveau local Gr ce son important effectif des membres et une bonne mise en r seau ASMAC fait figure de partenaire reconnu dans le domaine de la sant et s engage pour un syst me de sant de haute qualit pro gressiste et financable Elle s implique activement dans le d bat concernant la politique de la sant et s efforce de l in fluencer positivement par un travail de lobbying cibl Les sujets de pr occupa tion principaux de l ASMAG sont les conditions de travail des m decins tra vaillant l h pital ainsi que la forma tion m dicale postgraduee En outre elle au secr tariat central de l ASMAC Nous nous r jouissons d accueillir Su sanna Moor partir du 1 novembre 2009 dans notre quipe Elle y prendra ses fonctions de juriste d tat major au secr tariat central de ASMAC avec un taux d occupation de 60 Ces derni res ann es Susanna Moor a travaill comme avocate aupres d une grande compagnie d assurance de protec tion juridique Grace a ses vastes connais N 6 D cembre 2009 sances juridiques et linguistiques ainsi qu a sa large exp rience professionnelle elle va d s maintenant apporter son sou tien la direction et aux organes de l as sociation cent
104. le nos meilleurs v ux pour la nouvelle ann e VSAO JOURNAL ASMAC 5 POLITIQUE COMENTAIRE Donner un visage l ASMAC Christoph Bosshard president de VASMAC Nous aurions toutes les raisons d tre satisfaits ASMAC est solide Dans le domaine de la politique de la sant l ASMAC a conquis une position qui rend difficile de l ignorer Nous sommes repr sent s dans de nombreux organes et pouvons y faire valoir notre point de vue L effectif des membres demeure un niveau lev et stable voire m me croissant La base financi re est assur e et nous permet gr ce une gestion parcimonieuse des fonds aussi d entreprendre des projets d envergure Alors lout baigne Ou quand m me pas Les ph nom nes actuels comme l individualisation la soci t multi optionnelle et la d solidarisation laissent aussi leurs traces dans notre association C est ainsi que les organes au niveau national et r gional ont parfois de la peine trouver des membres pr ts s engager Dans les petites sections il est clair que c est encore plus difficile de trouver des membres actifs Il faut cependant bien pr ciser que ce n est pas la faute des comit s Ils accomplis sent un travail remarquable et nous ne pouvons que leur exprimer notre gratitude et notre respect Et je n aimerais pas non plus reprimander les membres Pour de nombreux membres l ASMAC reste en effet anonyme part la facture annuelle et le Journal ils ne
105. lement je vois environ 20 patients par jour parfois 30 a 35 patients dans des jours tres charges J essaie 3 chaque consultation d avoir une v ritable ren contre avec le patient et ses parents Je n aimerais pas que les enfants viennent seulement vite pour un contr le ou pour une vaccination Il m importe que les enfants retirent quelque chose de positif de leur visite dans mon cabinet C est ce que je consid re comme de la m decine de bonne qualit Peut tre avec pour inconv nient que les enfants aiment aller chez le m decin il rit Quel role les parents jouent ils dans la m decine pediatrique On traite toujours un systeme et pas seule ment le patient de maniere isol e Je me consid re comme interm diaire entre l enfant et ses parents L art consiste cr er une situation Fit une situation favorable Le concept Fit tente d eta blir une concordance entre les capacit s et les possibilit s de l enfant et les attentes des parents J essaie de me placer dans l optique de l enfant et de trouver une concordance pour ce systeme enfant parents Une mauvaise p diatrie bricole avec les enfants et tente de les adapter Bien stir qu il est plus simple d imposer une situation 3 un enfant que de changer l environnement Je prends toujours plus conscience que le p diatre fait figure d exemple dans son comportement avec les enfants Chez un Das Z rcher Fit Konzept Remo H Largo und
106. llinger Ellison P Adultes et adolescents de plus de 12 ans ulc re gastrique et duod nal oesophagite de reflux 20mg 1 x par jour si pas de r ponse d autres formes de traitement 40mg 1 x par jour prophylaxie des r cidives de l ulcere gastrique et duod nal 20 40mo 1 x par jour Prophylaxie des r cidives de l oesophagite de reflux 10mg 1 x par jour si n cessaire 20 40mg 1 x par jour Ulc res et rosions associ s aux ARNS 20 40mg 1 x par jour prophylaxie des r cidives 20mg 1 x par jour Reflux gastro oesophagien symptomatique 20mg 1 x par jour Omezol Mepha 40 i v pour perfusion Ulc re duod nal ulc re gastrique et oesophagite de reflux si un traitement oral n est pas indiqu la perfusion intraveineuse d Omezol Mepha 40 i v une fois par jour est recommand e Syndrome de Zollinger Ellison la dose doit tre adapt e individuellement Pour les posologies sp ciales voir le Compendium Suisse des M dicaments Cl Hypersensibilit connue l gard de l om prazole PC Exclure un cancer en cas de perte de poids significative vomissement incoercible dysphagie h mat m se ou m l na Chez l enfant uniquement si indication imp rieuse El R actions cutan es alop cie c phal e fatigue vertige apathie paresth sie insomnie troubles gastro intestinaux x rostomie stomatite anomalies de la formule sanguine r actions d hypersensibilit Angioed me ascension de la temp rature constriction des voies respi
107. mbe en tant que sp cia listes de remettre en question cette id e et d expliquer de quelle mani re doit tre am nag un encouragement pr coce ad quat L encouragement l ge pr scolaire doit obligatoirement s orienter selon l enfant et son niveau de d veloppe ment m Rehaklinik AA Zentrum f r Rehabilitation und Erholung Wo Patienten auch G ste sind Die Rehaklinik Hasliberg ist eine fachkompetente und pers nliche Klinik im Herzen der Schweiz Ein Team aus rzten Pflegefachpersonen und Physiotherapeuten steht beratend und begleitend zur Verf gung N 6 D cembre 2009 Hasliberg Rehaklinik Hasliberg AG CH 6083 Hasliberg Hohfluh Telefon 41 33 972 55 55 www rehaklinik hasliberg ch Ein Unternehmen der Michel Gruppe Arztliche Leitung PD Dr med H A von Kurnatowski VSAO JOURNAL ASMAC 21 POINT DE MIRE Etre la maison sans tre chez sol Autrefois c taient principalement les orphelins qui vivaient dans des homes pour enfants Aujour d hui ce sont le plus souvent des enfants qui sortent de familles qui n assurent pas ou ne parviennent pas assurer leur ducation Comme par exemple les 24 enfants qui vivent dans le home pour enfants Schoren pr s de Langenthal Outre une structure journali re ils b n ficient aussi d un environnement qui leur permet de conna tre un d veloppement normal Catherine Aeschbacher r dactrice en chef du Journal ASMAC Photos Marco Zanoni
108. ment ind pendante Dans de nombreuses discussions concernant diverses questions ayant trait au systeme de sant il n y a toujours pas consensus g n ral concernant la question de base Que voulons nous vraiment Il existe encore un cart tr s important entre la solution du tout gratuit et la rentabilit maximale Tout cela demande r flexion Mon appel a tous est donc sans quivoque Allumez la lumi re quand l obscurite arrive Christoph Bosshard pr sident de l ASMAC Et Von voit ceux qui sont dans la lumiere ceux dans l obscurite restent invisibles Bertolt Brecht N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 51 SECTIONS Argovie Membres 941 Presidence Philipp Rahm Comit Susanne Delmenico Markus Guzek Corina Kim Fuchs Elena Kralidis Andr Paul Beatrice Paul Eric Vultier juriste Secr tariat VSAO Aargau Vorstettli 13 4524 G nsberg t l phone 032 637 07 15 seulement lundi 14 h 16 h 30 et vendredi 9 h 30 12 h fax 032 637 07 16 e mail aargau asmac ch De gauche a droite Markus Guzek Corina Kim Fucbs Beatrice Paul Susanne Delmenico Philipp Rahm president Elena Kralidis manquant Andre Paul Eric Vultier Lic iur avocat consultant juridique des sections David de PASMAC AG SO ZS SG AR AI TG Prestations pour les membres des sections conseil juridique gratuit pour les questions de droit du travail Auf der Mauer 2 8001 Zurich t l phone 044 2
109. ment sous pression le syst me traditionnel de forma tion postgraduee Les r ductions du temps de travail une charge de travail adminis tratif croissante et une pression accrue sur les co ts du personnel par l introduction de nouveaux modeles tarifaires rendent obligatoire une meilleure exploitation des ressources Car ce sont pr cis ment les simples r ductions du temps de travail qui pr sentent le danger d une d t rioration de la formation postgradu e vu qu on ne proc de g n ralement pas la r organi sation des d roulements de travail Lacomp tence m dicale est acquise par le travail clinique quotidien sur et avec les patients Une r flexion personnelle sur les activit s ainsi qu un feed back des col legues et experts favorisent le d veloppe ment personnel et l elargissement des comp tences Il n y a toutefois pas seule ment l exp rience qui est importante pour acqu rir une comp tence m dicale mais galement une formation post gradu e de bonne qualit 4 Si on veut viter une d t rioration durable de la qualit de l activit m dicale il faut cher cher et valuer de nouvelles approches pour l apprentissage et la formation post gradu e Il faut galement structurer et optimiser les d roulements traditionnels L importance d une formation post gradu e clairement structur e et efficace ne saurait tre suffisamment prise en consid ration 2 3 Car la comp tence consti
110. n Nous devons tr s souvent faire face a une certaine hostilit Mais tout de m me ou se situent les causes de cette m fiance mutuelle Personne n aime les contr les Un grand probl me concerne cependant l asymetrie des connaissances on trouve ainsi d un c t des connaissances juridico techni ques et de l autre des connaissances m dicales Il en r sulte un manque de sensi bilit mutuel et l incapacit de se com prendre Qu est ce que les m decins pourraient faire pour am liorer la situation Le corps m dical devrait toujours tre conscient du fait que nous mettons en L assurance Assura fond e en 1978 compte avec plus d un demi million d assur s parmi les dix plus srands assureurs de Suisse 700 collaborateurs assurent le suivi de la client le dans 12 filiales Assura offre un rapport primes prestations tr s comp titif avec des produits d assurance attrayants Elle s ef force de limiter les augmentations de primes continuelles C est pourquoi elle renonce de la publicit on reuse et en appelle au sens des responsabilit s des assur s Elle tait la premi re assurance mala die proposer ses clients des franchises option Les membres de MEDISERVICE ASMAC ont la pos sibilit de s affilier des conditions pr f rentielles au contrat collectif d Assura 46 VSAO JOURNAL ASMAC uvre un mandat de droit public et que nous sommes par cons quent li s des prescription
111. n cas d efficacit insuffisante des analg siques non opioides Posologie Mode d emploi la dose initiale usuelle est de 10 mg toutes les 12 h Adaptation progressive de la dose de mani re individuelle Ne pas partager ni croquer les comprim s Contre indications hypersensibilit l un des constituants maladies h patiques aigu s d pression respiratoire maladies obstructives chroniques des voies respiratoires asthme bronchique aigu et severe hypercapnie il us paralytique syndrome abdominal aigu ralentissement de la vidange gastrique traumatisme intracr nien coma grossesse Contre indiqu pendant l utilisation et jusqu 2 semaines apr s l arr t d inhibiteurs de la MAO Mises en garde pr cautions en cas de patients faibles troubles de la fonction r nale et h patique insuffisance thyroidienne et surr nalienne hypertrophie prostatique choc dyspn e hypotension hypovol mie maladies des voies biliaires pancr atite maladies inflammatoires de l intestin hypertension intracranienne troubles convulsifs une d pendance des opio des ou un alcoolisme aigu L apparition confirm e ou soup onn e d un il us paralytique en cours de traitement impose l arr t imm diat d OXYCONTIN comprim s retard Comme pour tous les opio des la prudence est conseill e apr s toute intervention chirurgicale Les comprim s retard OXYCONTIN 80 mg ne sont pas recommand s pour les patients na fs aux opio des M me employ a bon escie
112. ncernant la politique de la sant e r daction d articles visant expliquer les positions de AG MAC Suisse en mati re de politique de la sant et professionnelle e collaboration pour la pr paration et l ex cution de projets manifestations de l ASMAC Suisse dans le domaine de la politique de la sant ou professionnelle Mandat relatif la loi sur le travail La mandataire s acquitte des t ches importantes pour l ASMAC Suisse en rapport avec la loi sur le travail LTr Il s agit principalement e de la repr sentation de T AG MAC Suisse aupr s de tiers e de l laboration de documents en particulier de r sum s e de la r daction d articles sur le th me de la loi sur le travail pour le Journal ASMAC e d autres activit s en rapport avec la loi sur le travail pour la d fense des int r ts des membres de l ASMAC Suisse Les conseils juridiques ceux ci sont organis s sur le plan cantonal et les projets et questions relatifs la mise en application ne font pas partie de ce mandat Bitte verlangen Sie wir drucken unseren Katalog m f r rzte N 6 D cembre 2009 P Schmid Co AG Papiere und Drucksachen f r rzte 9122 Mogelsberg Tel 071 375 60 80 Fax 071 375 60 81 info schmid mogelsberg ch www schmid mogelsberg ch VSAO JOURNAL ASMAC 63 ORGANISATIONS 15 6007 319090 IVWSV OVSA 3DIAU3SIAIN OP SeAquisul LATE A u3 1inz pneA siejeA AoBinul U
113. nd niedrigere Do sierung als bei j ngeren Erwachsenen Summary ausreichend wirksam Die genannten Substanzen haben im Alter keine relevant verl ngerte Eliminationshalbwertszeit und gegen ber Benzodiazepinen ein re duziertes aber nicht fehlendes Abh ngig keitspotenzial Niedrige Dosen von Anti depressiva mit sedierender Komponente zum Beispiel Mirtazapin oder Trazodon k nnen abends als schlafanstossende Medikation gegeben werden Sie k nnen unter Umst nden auch mittelfristig ein gesetzt werden 17 Q Literatur 1 Fick DM Cooper JW Wade WE Waller JL Maclean JR Beers MH Updating the Beers criteria for potentially inappropriate medi cation use in older adults results of a US consensus panel of experts Arch Intern Med 2003 163 2716 2724 2 Turnheim K When drug therapy gets old pharmacokinetics and pharmacodyna mics in the elderly Exp Gerontol 2003 38 843 853 3 M ller WE Sedativa als Beispiel f r die Besonderheiten der Psychopharmakothe rapie im Alter In F rstl ed Lehrbuch der Gerontopsychiatrie und psychotherapie Grundlagen Klinik Therapie Stuttgart New York Thieme 2003 220 226 4 Lautenschlager MM Lautenschlager NT F rstl H Psychopharmaka im Alter In Holsboer E Gr nder G Benkert O eds Handbuch der Psychopharmakothera pie Berlin Heidelberg Springer 2008 1081 1091 5 Laux G Antidepressiva In F rstl ed Lehr buch der Gerontopsychiatrie und psycho t
114. ndi tion pour pouvoir travailler l cole des patients Y a t il des devoirs faire ou des notes En principe non Nous ne sommes pas forc ment orient s sur les performances Il peut s av rer utile de donner des devoirs certains enfants ou adolescents Il n y a cependant ni examens ni notes Est ce que les enfants aiment venir l cole quelques exceptions pr s ils viennent tous volontiers la maison l cole est souvent une obligation qui fait concur rence de nombreuses autres offres Ici par contre les enfants se r jouissent d avoir un divertissement Cela leur permet aussi de d couvrir qu ils sont capables de faire quelque chose malgr leur maladie La t te fonctionne encore m me si les reins ne fonctionnent plus ou que la marche n est plus possible La formation prend ainsi une autre signifi cation Comme la classe est petite je peux facilement enseigner l aide de jeux et m occuper de chaque enfant en particu lier Et finalement ils peuvent nouer des contacts avec d autres enfants D apr s les r actions des parents et des enfants je sais que l cole des patients constitue un l ment tr s important du s jour hospitalier Comment se comportent les parents De fa ons tr s diff rentes Il y a des parents qui sont tr s reconnaissants et N 6 D cembre 2009 qui mettent profit le temps libre pour r cup rer un peu de forces D autres ont de la pe
115. ne vieillesse la mieux adapt e leur situation Gr ce un ge moyen de seulement 44 ans et le rapport attractif entre assur s actifs et rentiers tous les assur s b n ficient de primes de risque avantageuses Un grand nombre d employeurs assur s ont tir profit des modifications du r gle ment de pr voyance entr es en vigueur au 1 janvier 2007 afin d encore mieux am nager leur contrat LPP Vous trou verez ci apr s un aper u des principales nouveaut s e Possibilit s suppl mentaires d pargne dans les plans de pr voyance actuels L assur a ainsi la possibilit d aug menter sa contribution d pargne e Financement de la retraite anticip e Dans ce domaine l assur peut enga ger des sommes de rachat supplemen taires et s assurer ainsi le paiement de la rente vieillesse enti re en cas de re traite anticip e e Elargissement des possibilit s d admis sion pour cliniques m decins hospi taliers cadres et autres prestataires m dicaux p ex instituts de radiologie laboratoires Afin de pouvoir proposer nos assur s et nos futurs clients des solutions de pr voyance optimales nous examinons actuellement d autres possibilit s d ex tension de notre offre Les suggestions et propositions diverses de notre client le nous r jouissent et sont les bienvenues Vous trouverez encore d autres informa tions sur le site Internet www asmac fondation ch Avez vous encore des qu
116. nnent apres avoir r ussi leur examen final le titre MD qui est courant dans les pays anglo saxons La SwiMSA estime qu une adaptation dans ce sens serait plus judi cieuse Les trois associations SwiMSA ASMAC et FMH sont d accord sur le fait que la for mation pour devenir m decin y compris la these ne doit tre ni prolong e ni ren due plus difficile Il y a encore un autre point sur lequel la SwiMSA l ASMAG et la FMH doivent collaborer pour emp cher que d autres obstacles viennent entraver la formation des m decins dans le contexte de p nurie des m decins le D partement f d ral des finances a d cid d augmenter massive ment les taxes d examen pour le nouvel examen f d ral qui sera organis pour la premiere fois en 2011 La charge supple mentaire de 3200 francs en r sultant est intol rable pour les tudiants et doit tre combattue a N 6 D cembre 2009 publix ch publix ch Accueil central 031 350 44 22 www mediservice asmac ch Un conseil en toutes situations Partenaires de conseil Partenaires d assurance e Academix Consult AG e Allianz Suisse e Sanitas e R C Pont Assurances s r l e Assura e SWICA e NEUPA Beratungs AG e Caisse Maladie e Sympany des M decins Suisses e VAUDOISE e CONCORDIA e Visana e EGK Caisse de sant e Winterthur ARAG e Groupe Mutuel e Zurich e Helvetia e Zurich Connect e Innova Bahnhofplatz 10 A case postale 7255 3001 Berne V T l 03
117. nt OXYCONTIN comprim s retard peut modifier la facult de r action Grossesse allaitement contre indiqu durant la grossesse L allaitement est contre indiqu Effets ind sirables fr quent constipation x rostomie naus e vomissement Angoisse confusion vertiges c phal es tressaillements nervosit somnolence Hypotension orthostatique Bronchospasmes dyspn e Prurit sudation Occasionnel spasmes au niveau des voies biliaires dysphagie il us Agitation amn sie dysthymie hallucinations hypertension paresth sies tremblements syndrome de sevrage Am norrh e baisse de la libido impuissance troubles de la miction Hypotonie tachycardie D pression respiratoire R actions allergiques d pendan ce myosis d veloppement d une tol rance Il faudrait interrompre le traitement par OXYCONTIN comprim s retard progressivement Interactions L oxycodone renforce les effets des anesth siques hypnotiques s datifs tranquillisants myorelaxants antihypertenseurs et de l alcool IMAO voir Contre indications L oxycodone est partiellement m tabolis e via le CYP2D6 Cette d gradation est bloqu e par diff rents m dicaments Cat gorie de remise liste A Soumis a la loi f d rale sur les stup fiants et les substances psychotropes Remarques pour d autres informations veuillez consulter le Compendium Suisse des M dicaments Mise jour de l information mai 2007 OXYCONTIN est une marque enregistr e TM
118. nt de la visite Souvent je les renvoie dans leur chambre parce que la visite est plus im portante que l cole Les enfants qui doi 28 VSAO JOURNAL ASMAC Informations sur la personne Andrea Lang n e en 1974 a accompli l cole normale du Muristalden Berne et obtenu son brevet en 1995 Ensuite elle a enseign tous les niveaux de l cole pri maire et g n rale y compris les petites classes de l cole obligatoire bernoise Depuis f vrier 2008 elle travaille temps partiel l cole des patients de l H pital de lIle Berne Andrea Lang est mari e et m re de deux enfants vent rester hospitalis s longtemps re oi vent des horaires hebdomadaires dans les quels l cole est pr vue des heures fixes Il y a alors moins d agitation dans la classe Les enfants sont d ges diffe rents et suivent des ecoles tres diverses Comment parvenez vous a coordonner cela Nous sommes quip s avec tout le mat riel p dagogique de l cole publique ber noise ainsi que celui de certaines coles d autres cantons L enseignement corres pond celui d une petite classe Le nom bre d l ves varie toutefois fortement Par fois j ai six ou sept l ves le jour suivant seulement deux J enseigne tous les niveaux de la premi re ann e d cole primaire jusqu au gymnase Auparavant j ai enseign tous les niveaux de l cole primaire et secondaire C est une co
119. nt fortement augment Mais c est d autre part probablement aussi l expres sion des progr s que ASMAG a r alis s ces derni res ann es en particulier dans le domaine des conditions de travail M me si le droit du travail n est pas respect par tout de la m me mani re les conditions se sont tout de m me fortement am lior es presque partout Il reste a voir si cela sera galement le cas l avenir Lors d une r union strat gique le prin temps pass a t discut outre d autres sujets le probleme de la motivation des membres 3 s impliquer A la suite de cela a t labor un document qui a ensuite t discut par le Comit directeur et au sein des sections La solution envisag e est la suivante il est pr vu que toutes les sections exploitent un bureau permanent ou soient affili es un tel bureau Les comit s des sections b n ficieront ainsi N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 7 POLITIQUE d un soutien et seront notamment d charges des t ches administratives Les membres auront ainsi un interlocuteur qui s adresser qui assurera la continuit en cas de changements au sein des co mit s Lors de la session d automne du 21 no vembre Berne les d l gu s du Comit central ont donc statu sur cette proposi tion Ils ont adopt la motion du Comit directeur et approuv le principe voir le commentaire du pr sident En cons quence une modification de
120. nt sur la photo Philippe Carruzzo Miro Raber N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 59 COMITE DIRECTEUR Christoph Bosshard President de ASMAC M decin sp cialiste FMH en chirurgie orthop dique et traumatologie de l appareil locomoteur M decin d arrondissement la Suva Berne Responsable a i de groupe pratique medecine des assurances Suva Berne Fribourg Sion Soleure Ressort pr sidence politique de la sant et professionnelle Raphael Stolz Vice pr sident de P ASMAC d l gu du Comit directeur de ASMAC au Comit directeur de MEDISERVICE ASMAC Chef de clinique au Centre d urgences de l H pital cantonal de St Gall Ressort Formation postgradu e PHOTO MARCO ZANONI Christiane Arnold Cheffe de clinique en m decine interne H pital cantonal d Olten Ressort Formation postgradu e 60 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 COMIT DIRECTEUR Fabrice Dami M decin associ Service des Urgences du CHUV m decin r pondant centrale 144 Vaud Ressort Politique de la sant et professionnelle Corina Kim Fuchs Cheffe de clinique adjointe 3 la Clinique universitaire de chirurgie visc rale et de m decine l H pital de l Ile a Berne Ressort Formation postgradu e Gert Printzen D med et biochimiste dipl responsable FAMH Analytica med Lab AG Zurich Ressort responsable de la qualit dans le domaine de la politique de la sant et professionnelle
121. occuper de syst mes en bonne sant car on accompagne de nombreux enfants en bonne sant dans le cadre de la pr vention Celui qui s orien te plus vers les pathologies ne sera pas tr s heureux dans un cabinet de p diatrie g n rale Il faut galement prouver un r el int r t pour l enfant Et ce que je re commande pour finir c est d effectuer un assistanat en cabinet Seul celui qui a travaill dans un cabinet saura si ce travail correspond ses attentes VSAO JOURNAL ASMAC 17 admis par les caisses maladie Capsules 10 Aussi disponible sous 20 et 40mg forme parent rale Omezol Mepha 40 i v Omezol Mepha MT Omezol Mepha i v Omezol Mepha MT 10 20 40 mg Omezol Mepha 40 i v solution pour perfusion C Omeprazolum 10 20 40mg pro capsule Omezol Mepha 40 i v flacons ampoules I Inhibiteur s lectif de la pompe protons Omezol Mepha MT 20 40 Ulcere duod nal ulc re gastrique oesophagite de reflux aussi traitement long terme syndrome de Zollinger Ellison ulc res peptiques ou rosions gastro duod nales dus aux ARNS Reflux gastro oesophagien symptomatique Prophylaxie des r cidives d ulc re gastrique Prophylaxie des r cidives d ulc re duod nal si Helicobacter pylori r fractaire au traitement Omezol Mepha MT 10 Prophylaxie des r cidives apr s oesophagite de reflux gu rie Pour Omezol Mepha 40 i v Ulc re duod nal ulc re gastrique oesophagite de reflux et syndrome de Zo
122. oder ausgesuchten Farben Swiss Furniture D UA D Praxiseinrichtungen Werkstrasse 29 CH 3250 Lyss Telefon 032 385 17 24 Telefax 032 384 53 40 purino ch haeubi ch N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 31 Aktuelle Buchtipps Livres lire Ehlers J F7 C P Shah ed The Wills Eye Manual Office and Emergency Room Diagnosis and Treatment of Eye Disease 5th ed 2008 455 p ill board about CHF 99 Lippincott 978 0 7817 6962 4 The logically structured chapters of this classic reference follow a consistent format using color photographs and illustrations to critically review over 200 ophthalmic conditions Fauci A S et al ed Harrison s Manual of Medicine 17th ed 2009 1 244 p ill board about CHF 92 McGraw Hill 978 0 07 147743 7 Gilbert D N et al The Sanford Guide to Antimicrobial Therapy 2009 39th ed 2009 211 p board about CHF 30 Antimicrobial Therapy Inc 978 1 930808 52 2 H Greenberger N J E Ed R S Blumberg R Burakoff Current Diagnosis amp Treatment Gastroen terology Hepatology amp Endoscopy 2009 570 p ill board about CHF 106 McGraw Hill 978 0 07 149007 8 Clinically relevant up to date coverage of digestive and liver disorders and related medical and surgical procedures including endoscopy Preisanderungen vorbehalten Grey J E K Harding Hrsg Arztlich Wundversorgung Das ABC
123. on Schlafst rungen ausser halb einer Depression eingesetzt werden Bei unzureichender Wirkung einer Monotherapie ist Mirtazapin gut kombi nierbar Insbesondere die Kombination mit Venlafaxin hat sich bew hrt Appetit steigerung und Gewichtszunahme unter Mirtazapin k nnen in manchen F llen erw nscht sein Neben den genannten Wirkstoffen und Wirkstoffgruppen haben auch andere Antidepressiva wie Reboxetin Bupropion Trazodon oder Moclobemid ihren Platz in der Behandlung von depressiven St run gen im Alter Reboxetin beansprucht eine besonders g nstige Wirkung auf kogniti ve Defizite im Rahmen einer Depression Trazodon wird auch zur Behandlung von Unruhezust nden bei Demenzen einge setzt Bei der medikament sen Behand lung von depressiven St rungen im Alter sollte eine niedrige Einstiegsdosis gew hlt werden start low und eine langsame Dosissteigerung erfolgen go slow die Zieldosen der neueren Antidepressiva f r die Induktion einer Remission die R ck fallprophylaxe und Erhaltungstherapie liegen bei lteren Patienten nicht grund s tzlich unter denen f r j ngere Erwach sene Die Zeit bis zum Ansprechen auf eine antidepressive Therapie kann im Alter verl ngert sein Deshalb ist eine aus PERSPECTIVES reichend lange und ausreichend hoch dosierte Behandlung mit einem Medika ment erforderlich bevor Unwirksamkeit angenommen werden kann und eine Umstellung erfolgt Im h heren Lebens alter und insb
124. on de l enfant demande du courage Il faut avoir le cou rage de regarder de poser des questions d sagr ables tout en respectant les famil les et d tre toujours conscient du risque que m me les d cisions prises par les sp cialistes et qui d terminent l avenir des enfants peuvent ult rieurement s av rer etre defavorables d Contact bigna keller insel ch Eine fr hzeitige Objektevaluation mit unseren Spezialisten spart Zeit Geld und Nerven Gemeinsam finden wir eine optimale L sung Sie bringen Ihre Vorstellungen und Bed rfnisse ein und wir unser Know how Ka A ties 3 AG L Z 2 1 m J Killer AG Lei e L i AG Konzept Architektur Baumanagement KillerLe Se Einrichtungen f r Arzt und Zahnarztpraxen NerLei A Killer e KillerLei AG Altstetterstrasse 186 CH 8048 Z rich T 41 0 43 311 83 33 F 41 0 43 311 83 34 www killerlei ch info killerlei ch N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 27 POINT DE MIRE La formation prend une autre signification Chaque jour d autres l ves et d autres niveaux de l l ve de premiere ann e jusqu au gymnasien Telle est la composition de la classe d Andrea Lang Elle est pedagogue hospitali re et enseigne l cole des patients de la clinique p diatrique bernoise Outre l allemand les math matiques le francais ou l anglais elle aimerait surtout transmettre une chose ses l ves un peu de normalit
125. on que cela soit pr sent sous une forme ad quate Une telle vision explique les cas de d ficit d veloppemental primaires li s 3 une carence de stimulation Cela suppose galement que l enfant est moins un ac teur dot d une motivation propre qui agit dans son environnement mais que son N 6 D cembre 2009 d veloppement peut bien plus tre en courag de l ext rieur En d autres ter mes les enfants doivent tre encourag s de maniere cibl e et les sp cialistes en connaissent le but Un jeu que l enfant choisit lui m me est un jeu important pour son d veloppe ment Lenfant est le plus apte savoir ce qui l int resse et ce qu il sait faire Il choisit des activit s et taches qu il est capable d accomplir et connait ainsi une r ussite qui renforce sa confiance en lui et qui lui donne une motivation durable pour continuer appr hender activement Formation approfondie en p diatrie du d veloppement comme compl ment au titre de sp cialiste en p diatrie FMH La formation approfondie en p diatrie du d veloppement a t accept e par la FMH comme 10 formation approfondie en p diatrie La sp cialit correspond dans une large mesure la p diatrie sociale en Allemagne et la p diatrie du d veloppement aux Etats Unis La p diatrie du d veloppement est divis e en deux parties 1 La p diatrie du d veloppement g n raliste constitue une grande partie de la t che du p diatre
126. orateurs soient en plus de leur activit pour garan tir l approvisionnement et la fabrication des pr parations galement r guli re ment pr sents dans les diff rents services aupr s des m decins des soignants et des patients Ce n est que par ses contacts directs et gr ce aux connaissances appro fondies de l ensemble du processus de m dication de la prescription en passant par lachat et la pr paration jusqu l admi nistration et l limination qu il est pos sible de d tecter d ventuelles sources d erreur et de contribuer de mani re interdisciplinaire les viter Cela am ne des nouvelles t ches pour les pharmaciens hospitaliers ils sont de plus en plus impliqu s dans les processus N 6 D cembre 2009 cliniques p ex pour l analyse des dossiers de m dicaments du malade pour l in formation et la formation du personnel soignant ou pour les visites m dicales au chevet du malade En tant que partenai res des m decins et des soignants ils peu vent contribuer de mani re cibl e 4 un traitement plus efficace et plus s r par leur savoir pharmaceutique C est ainsi que les prescriptions sont examin es quant a leurs risques et interactions d un point de vue pharmaceutique Implique dans le processus Les pharmaciens hospitaliers qui colla borent r guli rement avec les quipes de soins dans les diff rents services en paral l le aux prestations pharmaceutiques centralis es qu il
127. order une protection des donn es de dix ans pour un PUMA Pediatric Use Marketing Autorisation de mani re a ce qu un m dicament disponible comme g n rique pour les adultes ne puisse tre utilis chez les enfants que sous sa formule p dia trique sp ciale Seules quelques entre prises ont jusqu a pr sent fait usage de cette possibilite La collaboration est importante En quoi tout cela concerne le m decin praticien qui traite les enfants Il est re command de n utiliser que les indica tions posologiques les plus r centes Les recommandations posologiques natio nales britanniques BNF British National Formula ont maintenant un quivalent pour les enfants BNFC Elles sont pu bli es en commun par la British Medical Association la Royal Pharmaceutical Society of Great Britain le Royal College of Paediatrics and Child Health et le Neo natal and Paediatric Pharmacists Group Ce genre de collaboration interdiscipli naire ne constitue h las pas encore la norme dans la plupart des autres pays europ ens Il est donc galement toujours recommand d entretenir un contact r gulier avec la pharmacie de l h pital Dans chaque pays la collaboration entre les m decins et les pharmaciens varie ce qui a pour cons quence que dans les ann es et d cennies venir de nombreu ses choses vont encore changer dans le domaine de la formation et de l enseigne ment Les indications relatives au
128. orit tut laire C est pourquoi c est g n ralement une institu tion comme l h pital qui se charge de la denonciation afin que je puisse rester l interlocuteur de l enfant et des parents Qu est ce qui differencie ton cabinet par rapport a d autres J ai un cabinet de formation Les assistan tes et assistants de l h pital p diatrique apprennent chez moi pendant neuf mois la pratique au cabinet dans le cadre d une rotation Il y a des parents qui n ac ceptent pas que les consultations sont effectu es par diff rents m decins et qu ils ne sont pas toujours pris en charge par mes soins Ces parents preferent alors s adresser un autre cabinet Ma client le sait et appr cie par contre le fait de b n ficier d une prise en charge compl te et r fl chie dans mon cabinet C est princi palement dans le domaine de la pr ven tion que cela est important Qu est ce que tu aimes parti culi rement dans ta profession Les surprises tu ne sais jamais ce qui t attend Et malgr tout je peux am nager mes consultations comme bon me sem ble Bien s r que cela ne serait pas possi ble sans mes assistantes m dicales Elles savent exactement comment je veux tra POINT DE MIRE vailler et me disent quel moment je ne dois plus accepter de nouveaux patients Qu est ce qui te d range dans ton quotidien professionnel Le travail administratif qui prend de plus en plus d ampleur me d range Et je n a
129. orm von erh hter Mortalit t und erh hter Inzidenz von zerebrovaskul ren Ereignissen Es ist mit einer kognitiven Verschlechterung unter Behandlung mit Neuroleptika zu rechnen Aus diesen Gr nden ist die Indikation f r eine neu roleptische Therapie von demenzassozi ierten Verhaltensst rungen streng und erst nach Scheitern psychosozialer Inter ventionen zu stellen Die Indikation f r eine Weiterbehandlung sollte sp testens nach sechs Monaten anhand eines Re duktions und Auslassversuchs gepr ft werden 12 Wie bei den Antidepressiva sollte bei der Behandlung lterer Personen mit Neuro leptika mit niedrigen Dosen begonnen werden und die Aufdosierung langsam erfolgen Anders als bei den neueren Anti depressiva liegen die Zieldosen einer Medikation mit atypischen oder konven tionellen Neuroleptika bei der H lfte bis zwei Dritteln der bei j ngeren Erwachse nen eingesetzten Dosen teilweise noch darunter Dies gilt besonders f r die Be handlung von St rungsbildern mit Erst manifestation im h heren Lebensalter Patienten die seit dem jungen Erwachse nenalter an einer Psychose leiden be n tigen zum Teil auch sp ter unver n dert hohe Dosen ihrer neuroleptischen Medikation 4 10 11 Die Tabelle 2 gibt eine bersicht ber h ufig eingesetzte Neuroleptika Anxiolytika Eine begleitende anxiolytische Therapie mit Benzodiazepinen ist auch im fortge schrittenen Alter Bestandteil der Pharma kotherapie versch
130. ourg case postale H pital cantonal de Fribourg 1708 Fribourg Consultant juridique D Tarkan G ksu avocat rue St Pierre 10 case postale 822 1701 Fribourg t l phone 026 322 37 37 fax 026 323 29 55 e mail tarkan goeksu unifrch Geneve AMIG Membres 1080 Pr sidence Yannick Mercier a i Vice pr sidence Alain St phane Eichenberger Christina Fokianos Comit Thomas Agoritsas Guillaume Favre Christophe Marti Denis Rentsch Laetitia Ribordy Tatiana Roiron Herv Spechbach Webmaster Jerome Goncerut Secr taire vacant Secr tariat Association des M decins d Institutions de Gen ve case postale 23 rue Micheli du Crest 24 1211 Gen ve 14 e mail amig amig ch www amig ch De gauche a droite en haut Alain St phane Eichenberger Thomas Agoritsas Herv Spech bach en bas Laetitia Ribordy Yannick Mercier president a i Tatiana Roiron 54 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 SECTIONS Grisons Membres 858 Presidence Claudia Heintze Comit Mathias Knoll Willi Walker Secr tariat graubuenden asmac ch De gauche a droite Mathias Knoll Claudia Heintze et Willi Walker Jura Membres 143 Presidence vacant Comit Carlos Munoz Secretariat Carlos Munoz chemin des Vauches 7 2900 Porrentruy telephone 032 466 72 67 e mail cfmunoz bluewin ch St Gall Appenzell Membres 964 Pr sidence Arnoud Templeton Daniel Engeler Comit Habib Kherb che B
131. ous si nos enfants sont intelligents comme vous et beaux comme moi gt da Habersaat Brauchle KERN CONCEPT AG Wilerstrasse 75 9200 Gossau T 071 388 80 30 F 071 388 80 31 info kernconcept ch www kernconcept ch VSAO JOURNAL ASMAC 15 POINT DE MIRE On traite toujours un systeme Les enfants sont des patients particuliers Suivant leur age ils requi rent une autre approche et ont des besoins diff rents Sans oublier les parents qu il faut toujours prendre en compte pour le traitement C est pourquoi Sepp Holtz p diatre en pratique priv e et chef de clinique enseignant a l h pital p diatrique universitaire de Zurich attache une grande importance a ce que les enfants et les parents vivent la consultation comme quelque chose de positif Iris I Bachmann Holzinger r dactrice du Journal ASMAC s est entretenue avec Sepp Holtz Photos Martin Guggisberg 16 Le sujet de ce num ro s intitule Le monde des enfants En quoi se differencie le monde des enfants de celui des adultes Une diff rence fondamentale r side dans la spontan it Trois mois avant l ouver ture de mon cabinet j ai t op r d un neurinome de l acoustique Tat ensuite souffert d une paralysie faciale unilat rale presque totale Je n tais pas stir de la r action des enfants et des parents cette situation Je me suis demand s ils voulaient consulter un m decin qui avait le visage de tr
132. p pr cie pas non plus de devoir collaborer avec des coll gues qui agissent contre sens Je ne pense pas en premier lieu aux m decins mais d autres professionnels qui travaillent avec des enfants Et finale ment c est l attitude exigeante qui me d range Tout doit tre vite r gl tout doit toujours tre parfait Est ce que tu veux par l dire les exigences des parents Oui Les exigences augmentent et on s attend souvent une gu rison rapide Et d un autre c t je remarque une pro gression d une attitude consommatrice et la tendance rejeter la responsabilit sur des tiers Si tu pouvais encore une fois choisir est ce que tu choisirais nouveau de devenir p diatre Oui tr s certainement Aujourd hui je fais exactement ce qui correspond mes aptitudes et ce que je voulais faire depuis toujours Et je peux pleinement mettre profit mes capacit s d enseignant au quotidien Cela notamment parce que j ai un cabinet de formation et que je suis depuis quelques ann es enseignant cli nique en p diatrie du d veloppement l Universit de Zurich Quelles sont ton avis les trois principales recommandations pour les futurs p diatres Il faut diff rencier entre le p diatre l h pital et celui en cabinet priv Je dirais un futur p diatre en cabinet qu il doit avoir du plaisir accompagner les famil les dans leur environnement Je veux dire par la le plaisir s
133. partie de leur vie quand ils sont en bonne sant Quels sont les inconv nients Savoir garder ses distances Apprendre g rer empathie et ne pas emporter tous ces destins parfois difficiles chez soi le soir l cole nous souhaitons transmettre une vision de la vie quotidienne c est dire ouvrir une porte sur un monde different de celui de l h pital On veut si possible ne pas se focaliser sur la maladie POINT DE MIRE Les enfants qui ont subi de graves acci dents ou qui souffrent d une maladie chronique ne peuvent cependant pas si facilement oublier leur tat r el Nous devons donc tenter de concilier la nor malit avec la situation particuli re de l enfant L quipe qui proc de mon nettoyage psychique m apporte alors un soulagement elle rit Avant j en seignais dans une petite classe de niveau sup rieur avec des enfants difficiles C tait globalement beaucoup plus dif ficile g rer parce que j tais souvent seule avec mes soucis concernant ces l ves Ici on profite d un important r seau qui prend en charge l enfant Il inclut la m decine les soins les traite ments le groupe de protection de l enfant et le service social Que souhaitez vous pour les enfants de l cole des patients Un peu moins de st rilit Parfois j aime rais apporter aux enfants un panier plein de petits chats a Examen de sp cialiste pour l obtention du titre de sp cialiste FMH
134. per oivent gu re l association C est ce que nous voulons changer L ASMAC doit avoir un visage dans toutes les sections Ces t ches ne peuvent toutefois pas tre accomplies par les comit s d j surcharg s C est pourquoi les sections auront l avenir l obligation soit de mettre en place un bureau permanent soit des affilier un bureau permanent existant Ceux ci sont cens s soutenir les comit s et faire office d interlocuteur pour tous les membres En raison de l autonomie des sections il leur incombe en principe de trouver une forme adequale pour la mise en ceuvre Il n y a que certains standards minimaux qui sont prescrits Le Comit central a approuv la proposition du Comit directeur et ainsi la mise en place de bureaux permanents dans les sections Je suis reconnaissant que celte decision ait t prise Car si la base n a pas de lien troit avec l association ASMAC ne pourra que difficilement remplir sa mission travailler au service et dans l int r t des membres VSAO JOURNAL ASMAC Plus de proximit avec les membres A l avenir il est pr vu que toutes les sections exploitent un bureau permanent ou soient affili es un tel bureau C est la plus importante d cision prise par les d l gu s lors du Comit central CC du 21 novembre Berne En outre ils ont galement discut de la question des DRG et donc du financement de la formation post gradu e Catherine Aeschbacher r dact
135. per ue par les mem bres comme faisant partie de TAG MAC Avez vous atteint ces objectifs KG A l heure actuelle il est certainement encore trop t t pour donner une r ponse d finitive Mais les chiffres sont sans qui voque Dans le cadre des offres propos es directement par l entremise de MEDI SERVICE nous enregistrons aussi bien pour la totalit des produits que pour les produits par t te une croissance remar quable de 40 50 Comment expliquez vous ce Succ s AVB D une part par le fait que MEDI SERVICE vend maintenant elle m me ses produits Nous sommes le premier inter locuteur pour nos membres Cela nous permet de mieux conna tre les besoins Le check up des assurances s est av r tre un succ s Nos membres appr cient de pouvoir faire classer et v rifier toutes leurs assurances sans engagement Y a t il encore eu d autres Succ s KG Ce qui me r jouis tout particuli re ment c est que nous avons lanc avec succ s la manifestation MediFuture en remplacement de Medico vadis En 2008 MEDISERVICE a pour la premi re fois organis la manifestation sur mandat de l ASMAC Cette ann e MediFuture sera organis en collaboration par lasso ciation politique et par MEDISERVICE N 6 Decembre 2009 Cette collaboration est tr s positive Et pour finir j aimerais encore une fois ren dre attentif 3 www carrieremedicale ch Notre outil de planification de carriere e
136. r l tranger Carri re hospitali re Activit en cabinet Maison individuelle Alternatives professionnelles Formation des enfants Remise du cabinet Retraite Assurances obligatoires e e e e e e o e o e e e Assurance maladie MEDISERVICE VSAO ASMAC L Association suisse des m decins assistant e s et chef fe s de clinique ASMAC est garante d un engagement dans le domaine de la politique profes sionnelle et de prestations de service ad quates Elle couvre ainsi les deux princi paux besoins de ses membres Alors que l ASMAC s occupe avant tout de politique professionnelle l organisation de presta tions de service 4 but non lucratif auto nome MEDISERVICE VSAO ASMAC a t fond e pour s occuper du domaine des prestations de service Cette organisation a pour objectif de mettre disposition des membres de l ASMAG des offres sp ci fiques apportant des avantages concrets Un membre peut donc profiter directe ment de prestations de service adapt es a ses besoins et indirectement de lengage ment en faveur de l association fa ti re par exemple pour le financement du Journal ASMAC La philosophie de MEDI SERVICE VSAO ASMAC est bas e sur les deux piliers individualite et conseil On entend par la un principe commercial Assurances emploi D 3 gt amp gel ei P F DW simi Interruption d eee eeeoel Protection juridique elelelelel e ele e Responsabilit civ
137. r un enfant sur mesure sur la base des possibilit s de la m decine de reproduction et du g nie g n tique selon les d sirs des parents Si on consid re que le ph notype humain ne d pend pas seulement des environ 20 000 25 000 g nes mais de leur interaction de fac teurs pig n tiques imprinting inter f rence ARN histones de diff rents m canismes d pissage sites alternatifs d pissage enhancer silencer ainsi que des facteurs environnementaux on ne peut pas imaginer que tous ces d roule ments d ja hautement complexes et en core bien plus complexes dans leurs inter actions puissent tre d termin s dans l eprouvette selon notre bon vouloir S il s agit par contre de constater si un enfant na tre est porteur d une aberra tion chromosomique ou d une mutation g n tique qui cause une grave maladie mentale et ou physique cela est possible avec les m thodes actuelles du diagnostic pr implantatoire et pr natal Cela signifie qu une s lection cibl e est r alisable pour une question pr cise et que le diag nostic pr natal invasif amniocent se choriocent se durant une grossesse est tabli depuis des d cennies Probl mes thiques La situation est diff rente pour le DPI qui a pour objectif de diagnostiquer une maladie g n tique grave avant le d but de la grossesse et de s lectionner l embryon qui a les meilleures chances de grandir pendant la grossesse et de na
138. rale dans diff rents projets et domaines Elle vit Berne avec son partenaire et son fils Finn g d un an Simon Stettler directeur soutient syst matiquement l galit des sexes En tant que principale organisation de base ASMAC est galement repr sent e dans les organes importants au sein de la FMH Chambre m dicale ISFM etc Il y a de bonnes raisons d tre membre de ASMAC e d fense des int r ts professionnels et politiques des m decins employ s au sein du corps m dical et dans la soci t e organisation de base pour affiliation la FMH pour les membres actifs e conseil juridique e acc s aux prestations de MEDISERVICE VSAO ASMAC et des caisses de pension de ASMAC e plate forme pour les offres et demandes d emploi www jobmed ch e networking tablir et entretenir des contacts au sein de l ASMAC e Journal ASMAC 6 fois par ann e e actualit s de l association e possibilit de s engager activement dans la politique de la sant et de parti ciper l am nagement de l environne ment professionnel via les sections et l association centrale Simon Stettler directeur VSAO JOURNAL ASMAC 65 ORGANISATIONS 66 Erwin Guggisberg directeur Correctement assure a chaque phase de vie IN MEDISERVICE VSAO ASMAC Situation professionnelle de vie Etudes de m decine M decin assistant Propre appartement M decin en chef Famille enfants S jou
139. ratoires n phrite interstitielle hypersudation oed mes p riph riques et dysgueusie Dans des cas isol s troubles visuels irr versibles apr s hautes doses d om prazole intraveineuses IA K toconazole itraconazole diaz pam et m dicaments m tabolis s essentiellement par oxydation dans le foie cytochrome P450 2C19 clarithromycine Liste B Pour les informations compl tes voir le Compendium Suisse des M dicaments Vous trouverez d autres informations sur Omezol Mepha MT l adresse de notre Service Litt rature medizinschweiz mepha ch Mepha Pharma SA CH 4147 Aesch BL T l 061 705 43 43 Fax 061 705 43 85 www mepha ch 1 OFSP LS 1 5 2009 40mg EO 100 admis par les caisses maladie avec Limitatio seulement chez les r cidives gt Les m dicaments a l arc en ciel had Er me B DEEN a ZA H er Plus qu un simple jeu d enfant Qu il s agisse de construire des tours avec des plots ou de creuser des trous dans de la pur e de pommes de terre le comportement en situation de jeu est un miroir du d veloppement de l enfant Jouer signifie aussi apprendre Celui qui veut stimuler les enfants ne doit pas avoir des buts pr tablis mais doit tenir compte du niveau de d ve loppement d un enfant et finalement soutenir l enfant dans son jeu spontan Oskar Jenni m decin adjoint et responsable du d partement de p diatrie du developpement cliniques pediatriques universitaires de Zurich
140. res suppl mentaires qui doivent tre com pens es parce que le paiement de celles ci serait plus cher que de payer des vacances ou des pauses Le temps de repos ne comp te soudain plus comme temps de travail Pour nous il est clair que les mesures d conomie ne doivent pas se faire au d triment du personnel Nous sommes volontiers l pour apporter notre aide si n cessaire Motion Hausse des primes de l assurance maladie Le d put au Grand Conseil Daniel Pauli PBD a d pos la motion suivante Le Conseil ex cutif est charg de ne plus admettre sur la liste des h pitaux partir du 1 janvier 2010 que les h pi taux qui sont pr ts signer un contrat de prestations selon le mod le de contrat utilis comme instrument de pilotage pour les centres hospitaliers r gionaux Il devra obligatoirement contenir les l ments essentiels suivants 1 D compte avec les assureurs dans le domaine de l assurance obligatoire des soins selon le syst me DRG et r tribu tion selon le m me tarif de base que dans les h pitaux publics r gionaux du canton de Berne cette r tribution devant ainsi contenir une part pour les co ts d utilisation des installations et d investissements Plafonnement du nombre de cas d comptes chaque ann e au moyen d un monitoring du nombre et de la gravit des cas case mix index par analogie avec la pratique actuelle dans les centres hospitaliers r gionaux et ce pour l
141. rice en chef du Journal ASMAC photos Marco Zanoni Le chceur masculin de R eggisberg est une association traditionnelle qui est fi re de l tre Depuis pres de cent ans les hommes du village y chantent en c ur L avenir n est toutefois pas tr s r jouis sant la plupart des membres ont atteint l ge de la retraite et la rel ve se fait attendre Les partis les associations de protection des animaux ou profession nelles sont toutes confrontees au m me probleme que le ch ur masculin de R eggisberg la baisse de l effectif des membres L ASMAC ne se trouve heu reusement pas dans cette situation car l effectif de ses membres augmente toujours encore Ge qui unit cependant PASMAC de nombreuses associations est la difficult de motiver les membres a participer activement au travail de l as sociation et a si ger dans les organes C est d une part un ph nom ne li Nouveau membre du Comit directeur Guillaume Faure section de Geneve Guillaume Favre est medecin assistant en p dopsychiatrie de liaison aux H pitaux Universitaires de Gen ve HUG _ e J et d l gu de l ASMAC PAD FMH Ms N 6 D cembre 2009 POLITIQUE notre poque Depuis un demi si cle en viron la soci t s est individualis e et l appartenance aux differents groupes est devenue moins contraignante Simul tan ment les possibilites et offres per mettant d am nager ses loisirs selon ses envies o
142. rksamen Neuroleptika Therapie im Alter beitragen k nnen Konventionelle Neuroleptika sollten vor allem wegen ihrer extrapyramidalmoto rischen Nebenwirkungen einschliesslich Sp tdyskinesien f r die im h heren Lebensalter eine erh hte Vulnerabilit t besteht zur ckhaltend eingesetzt werden Haloperidol kommt in der Akutbehand lung von Psychosen zum Einsatz Haloperidol ist in niedriger Dosierung nach wie vor ein Medikament der ersten Wahl bei der Behandlung von Delirien Neben Haloperidol spielen Flupentixol und Zuclopenthixol auch in der Dar reichungsform des intramuskul ren Depots eine Rolle bei der Behandlung lterer Patienten mit Psychosen Extra pyramidalmotorische Nebenwirkungen sollten Anlass zum Versuch einer Umstel lung auf ein Atypikum sein Nieder bis mittelpotente konventionelle Neurolepti ka wie Pipamperon oder Melperon wer den als Alternative zu Benzodiazepinen zur Sedierung eingesetzt und eignen sich gut zur Beherrschung von Unruhezust n den bei Demenzen 4 10 11 Neuroleptika werden breit und oft nieder schwellig zur Behandlung von verschie denen Verhaltensst rungen bei Demen zen gegeben Ihre Wirksamkeit in dieser Indikation wird oft bersch tzt Einige Studien stellen die Wirksamkeit von Neuroleptika auf Verhaltensst rungen bei Demenz Patienten in Frage oder zeigen nur moderate Effekte Gleichzeitig meh ren sich Hinweise auf Sicherheitsrisiken bei der Behandlung dieser Patientengrup pe in F
143. rkstoff Risperidon Eingeschr nkt wird die Therapie mit Lithium durch im Alter h ufig gegebene Kontraindikationen wie Niereninsuffi zienz Herzerkrankungen insbesondere Herzinsuffizienz und eine unbehandelte Hypothyreose Bei der Behandlung lterer Patienten ist besonders auf zuverl ssige Compliance ausreichende Fl ssigkeits zufuhr und regelm ssige Spiegelkontrol len zu achten Es sollten niedrige Lithi um Spiegel um 0 5 mmol l angestrebt werden zu deren Einstellung in der Regel niedrigere Dosen als bei j ngeren Er wachsenen ben tigt werden Gegen ber diesen besteht bereits bei niedrigen Lithi um Spiegeln ein erh htes Risiko f r das Auftreten von Nebenwirkungen 15 Besonderheiten bei lteren Patienten PERSPECTIVES Carbamazepin wird in der Behandlung lterer Patienten wegen kardialer renaler und vor allem hepatischer und h mato logischer Risiken sowie wegen seines brei ten Interaktionspotenzials kaum mehr eingesetzt Valproat wird auch bei lteren Patienten als Antimanikum verwendet Die Dosis liegt bei etwa Dreivierteln der Dosis f r j ngere Erwachsene Hinsichtlich des In teraktionspotenzials bei Komedikation und Polypharmazie ist die Hemmung der Zytochrom P450 Isoenzyme CYP2C9 und CYP3A zu beachten 4 Die Gabe von Valproat zur Behandlung von agitierten und insbesondere aggressiven Verhaltens st rungen bei Demenzen kann im Einzel Dosis mg die Breites Indikationsspektrum Gut geeignet
144. rs ajoutent Malgr tout et malgr des invitations r p t es de loin pas tous les m decins assistants ont effectu r guli rement un Mini CEX ou un DOPS 1 Les resul tats optimistes relatifs la satisfaction N 6 D cembre 2009 doivent donc amp tre consideres avec une cer taine prudence Cr er une culture de discussion Deux objectifs importants doivent tre atteints avec Mini CEX et DOPS e premi rement mieux structurer les pro cessus d apprentissage dans le traite ment des patients par l valuation e et deuxi mement cr er par un feed back honn te et ouvert une culture d entreprise dans laquelle aussi bien les m decins en formation que les forma teurs savent exactement ou ils se situent et qu ils sont en mesure de se le com muniquer Il ne semble pas utopique de vouloir atteindre ces objectifs ambitieux 5 Que signifie concr tement l introduction pour les m decins assistants et chefs de clinique R aliser de telles observations am ne sans aucun doute une charge organisationnelle et de temps suppl men 28 April 02 Mai 2010 Technopark Z rich taire Il est en m me temps cr une situation d examen La peur de se trouver en mauvaise posture face au formateur peut inciter appliquer des strat gies visant emp cher de telles situations C est dans ce contexte que la capacit de communication des deux parties c est a dire celle du formateur et
145. rs du Colloque de formation continue du CMPR les 24 25 juin 2010 Lucerne et le 2 septembre 2010 Lausanne Jury ind pendant nomm par le conseil de fondation du CMPR sur la base d une proposition du groupe de travail Recherche en m decine de premier recours D tail des conditions de participation dossier fournir sous forme lectronique ou CD pas de disquettes et sous forme papier e formulaire d inscription www kollegium ch rd f html e curriculum vitae de l auteur principal e manuscrit e br ve lettre d accompagnement importance de ce travail pour la m decine de premier recours Nous ne prendrons pas en consid ration les travaux ayant d j t soumis une fois et il n y aura pas d change de courrier au sujet de l attribution des prix Coll ge de m decine de premier recours CMPR Secr tariat du groupe de travail Recherche en m decine de premier recours ReMPR Ursula Laubscher Landhausweg 26 3007 Berne foham kollegium ch www kollegium ch rd t html Recherche clinique 1 avec le soutien de mepha mepha N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 69 IMPRESSUM N 6 e 28 ann e D cembre 2009 Editeur IN MED SERVICE VSAO ASMAC MEDISERVICE VSAO ASMAC Bahnhofplatz 10 A case postale 7255 3001 Berne T l phone 031 350 44 88 fax 031 350 44 89 journal asmac ch journal vsao ch www asmac ch www vsao ch Sur mandat de l ASMAC Redaction Catherine Aeschbacher redactrice en chef ca Ir
146. s Verhalten und Suizid erh hen k nnte Trotz entsprechender Warnhinweise von Arzneimittelbeh rden weltweit zu einem m glicherweise erh hten Risiko wird Vareniclin weiterhin h ufig f r die Raucherentw hnung eingesetzt Um eine umfassendere Evidenz zu Vareniclin zu gewinnen verglichen Wissenschaftler der Universit t Bristol und der britischen Arz neimittelbeh rde MHRA Me dicines and Healthcare Products Regulatory Agency das R siko f r selbstverletzendes Verhalten unter Vareniclin mit dem entsprechen den Risiko bei Bupropion einem anderen Raucherentw hnungspr parat und Nikotinersatzprodukten Nikotinpflaster Inhalatoren Kau gummis Tabletten und Lutschtab letten Mithilfe von Daten der General Practice Research Database wur den 80 660 M nner und Frauen zwischen 18 und 95 Jahren identi fiziert denen zwischen September 2006 und May 2008 ein neues Pr parat f r die Raucherentw hnung verordnet wurde Die Studienteilnehmer erhielten entweder em Nikotinersatzpr parat n 63 265 oder Varenic l n n 10 973 bzw Bupropion n 6 422 Alle fur den Zeitraum der medi kamentosen Behandlung und die drei Monate nach dem Zeitpunkt der letzten Arzneimittelverord nung vorliegenden elektronischen Patientenakten wurden auf t dl che und nichtt dliche Selbstverlet zungen Selbstmordgedanken und Depressionen untersucht Nach Bereinigung der Ergebnisse in Bezug auf verzerrende Faktoren lagen keine e
147. s claires qui ne laissent gu re de marge de man uvre Les conflits avec les assureurs se d clenchent souvent en raison du manque de connaissances des m decins en mati re de prescriptions l gales et donc par cons quent galement du manque de compr hension pour le contexte L o on dispose de connais sances en m decine des assurances le potentiel de conflit baisse fortement C est pourquoi nous sommes d avis que tous les coll gues devraient acqu rir de telles con naissances de base pour autant qu ils ne les poss dent pas d j Que peuvent faire les assureurs maladie Les medecins ne veulent toujours que le meilleur pour leurs patients Pour eux l aspect des co ts est souvent secondaire Nous devons apprendre nos collabora teurs que ce comportement n est pas mal intentionn La grande majorit des medecins a un comportement a la fois correct et honn te et fournit un travail d une excellente qualit Nous devons en premier lieu partir de ce principe C est d ailleurs une raison pour laquelle Assura ne s est jamais oppos e l obliga tion de contracter Un autre probl me est constitu par le manque de connais sances m dicales qui caract rise de nom breux employ s de la branche C est mon avis un domaine qui n cessite un certain rattrapage Est ce que votre compagnie Assura entreprend des efforts pour am liorer la situation Oui bien s r Nous proposons en perma nence des
148. s fournissent s tablis sent malgr des ressources limit es On fait galement de plus en plus souvent appel aux pharmaciens lors de l entr e et de la sortie du patient Ils proc dent ainsi une anamn se m dicamenteuse don nent des commentaires ou instructions sur la prescription de sortie ou alors ta blissent des contacts avec les services ex t rieurs charg s du Continuum of care Les prestations pharmaceutiques clini ques telles que la participation la visite ou la mise en uvre de directives th ra peutiques standardis es ont un impact tr s positif sur la mortalit les frais de m dicaments et le co t global d un traite ment r duction de la dur e de s jour r duction des co ts en vitant des erreurs La pharmacie clinique analyse les proces sus de m dication dans les diff rents ser vices et fournit des aides sp cifiques pour la mise en uvre des traitements pr vus Cela d une part pour le personnel soi gnant mais d autre part aussi pour le corps m dical Elle est avant tout orient e selon les processus et peut contribuer r duire le taux d erreurs lors de la distri bution de l administration et de la docu mentation La pharmacologie clinique par contre assure un soutien pour le m decin qui prescrit le m dicament par un examen du patient et de ses risques sp cifiques en ce qui concerne l am nagement pharmaco dynamique et pharmacocin tique du traitement e
149. s leur discipline Elles s y feront une vue d ensemble de la structure et de la teneur des classifications CHOP et CIM 10 CH ainsi que des directives de codage A l aide de multiples exemples elles pourront s exercer sur place au codage directement a l amp cran Ces s minaires reconnus par la FMH donneront droit chacun a 6 5 credits de formation continue Vous tes int ress e par les s minaires SwissDRG Vous en trouverez un descriptif d taill ainsi que les dates sur www fmh ch Tarifs SwissDRG Des informations g n rales sur SwissDRG sont galement disponibles a cet endroit 40 VSAO JOURNAL ASMAC N 6 D cembre 2009 SECTION DES GRISONS Ce fut une ann e riche en v nements Le nouveau comit de la section des Grisons a entam ses activit s en janvier 2009 Avec Mathias Knoll Claudia Heintze et Willi Walker photo de gauche droite ce sont des interlocuteurs directs de l h pital cantonal de Coire KSC du site de Fontana et des cliniques psychia triques qui y sont representes Dans le courant de l ann e la r glemen tation concernant les horaires de travail et les heures suppl mentaires de l h pital d Illanz a pu tre mise en place Des r sultats satisfaisants ont pu tre obtenus au KSC et pour le site de Fontana en ce qui concerne les d comptes d honoraires Bien que la pression sur les co ts que subissent les h pitaux se r percute sur les m decins et que des coupes soi
150. s options comme ac compagnement de la famille les familles d accueil etc C est pourquoi le home pour enfants Schoren dispose aussi de places d accueil de jour qui offrent une structure normale aux enfants en situa tion difficile A cela s ajoutent des places d urgence pour les enfants qui doivent imm diatement tre sortis de leur en vironnement familial Le fait que ce soit justement pour ces places que nous avons une liste d attente montre la situation dramatique dans laquelle nous nous trouvons Fred Dietrich est par contre sceptique au sujet de la tendance actuelle vouloir renvoyer le plus vite possible les enfants N 6 D cembre 2009 dans leurs familles Son exp rience de plus de trente ans montre que les enfants ont avant tout besoin de structures fixes et de s curit Une situation instable est dommageable leur d veloppement Les parents souhaitent certes g n rale ment le meilleur pour leurs enfants mais leurs d sirs ne sont souvent pas les meil leurs pour eux fait il remarquer D j apr s une ou deux semaines de vacances les enfants reviennent au home et pr sentent des troubles La consommation t l visuelle sauvage n est ou un facteur qui laisse des traces Les enfants appr cient la libert apparente chez eux notamment lorsque les parents la citent comme avantage par rapport au home Papa dit aussi que je ne dois pas aller si t t au lit est un des nombreux exemples
151. s statuts a t d cid e Le point 5 des statuts sera donc compl t comme suit Chaque section exploite un bureau permanent ou est affili e un tel bureau permanent Une motion de la section Berne deman dant que chaque section exploite son pro pre bureau permanent a t rejet e La motion chargeant le Comit directeur de la d finition des t ches d une section a par contre t approuv e Les d l gu s discuteront la proposition relative aux t ches lors du Comit central du prin temps prochain P tition d pos e En rapport avec l introduction des DRG dans toute la Suisse diff rentes associa tions professionnelles du domaine de la sant dont ASMAC ont lanc une peti tion commune Celle ci tait motiv e par la crainte d assister une baisse de la qualit de l approvisionnement avec l introduction des forfaits par cas En viron 30 000 signatures ont t r colt es Elles ont t d pos es la Chancellerie f d rale le 1 d cembre La remise tait accompagn e d une action des associa tions professionnelles sur la place f d rale Les parlementaires ont re u une bo te de m dicaments contenant outre un bonbon une notice sur laquelle taient encore une fois r capitul es les principales exigences Les DRG ont galement occup les d l gu s du CC notamment en ce qui con cerne la question centrale du finance ment de la formation postgradu e Le probleme a t
152. sant payer les frais de m di caments directement par les assur s a la pharmacie Ceux ci peuvent ensuite en voyer les factures de mani re group e l assurance lorsqu elles atteignent la franchise C est exactement ce qu Assura demande ses clients Nous sommes ce jour la seule assurance qui renonce en core au remboursement direct avec les pharmacies bien que cela permettrait de r duire consid rablement les co ts Et on oublie d ailleurs toujours encore que la LAMal pr voit la facturation des presta tions au patient c est a dire le tiers ga rant et que nous respectons donc simple ment la loi Il existe de nombreux exemples de ce type chez Assura Mais nos id es ne sont pas toujours bien comprises De nombreux clients estiment que nous offrons de mau vaises prestations aux clients parce que nous leur imposons certaines contraintes Les assur s doivent tre responsabilis s et contribuer conomiser des co ts Les clients qui passent d une autre assurance maladie chez nous ne sont pas habitu s cela Ils ont donc parfois de la peine l accepter lorsqu ils parviennent nous via un service de comparaison par Inter net et que nous n avons pas pu leur faire comprendre les fondements de notre philosophie d entreprise Nous leur proposons en contrepartie des primes avantageuses depuis maintenant trente ans En moyenne suisse nous avons toujours eu les primes les plus avantageuses C es
153. sont n cessaires a tous les niveaux en raison des difficult s budg taires de l Universit Et que cela s applique h las Collaboration fructueuse de la SwiMSA de l ASMAC et de la FMH Marius Schlienger SwiMSA 42 Les repr sentants des tudiants en m de cine de Suisse ont rencontr le 28 septem bre 2009 Simon Stettler ASMAC et Hans peter Kuhn FMH afin de coordonner la mani re d agir en ce qui concerne l obtention du doctorat en m decine La mise en ceuvre de la r forme de Bologne dans les facult s de m decine de Suisse n a pas seulement supprim las paration traditionnelle entre la partie pr clinique et la partie clinique des tu des On a galement cr de nouvelles conditions cadres plus exigeantes pour l obtention du titre de docteur en m de cine Maler cela la confusion r gne des r gles diff rentes s appliquent dans les cinq facult s suisses Cela conduit a ce que les tudiants de certaines facult s doivent supporter une charge de travail bien plus importante pour obtenir leur titre Le laps de temps durant lequel la these de docto rat doit tre r dig e peut s lever une VSAO JOURNAL ASMAC ann e enti re de travail de recherche apr s l obtention du dipl me f d ral Il est tonnant que jusqu ici les facult s de m decine n aient pas t en mesure de trouver un consensus quant aux exi gences exactes pour la r daction de la th se de doctorat Es
154. sse sous forme d un partenariat sans que des fronts se cr ent Mais revenons votre question c est dans le cadre de la direction d un h pital en Afrique que j ai d couvert ma pr f rence pour la gestion de syst mes complexes Assura est une entreprise moderne en plein d veloppement et qui poss de un important potentiel de d veloppement J y ai donc trouv ma deuxi me vocation de manager Comme m decin j apporte mon avis les conditions id ales pour exercer une telle fonction Je parle la m me langue que le corps m dical les patients ainsi que les assureurs et peut donc construire des ponts importants entre les diff rents acteurs Pour de nombreux m decins les assureurs maladie repr sentent une pierre d achoppe ment permanente Est ce que vous comprenez leur d fiance L assurance maladie Assura Les assureurs maladie sont soumis a de fortes pressions en ce qui concerne le controle des co ts Ils ont par ailleurs pour mandat d appliquer la loi sur l assu rance maladie Ce qui est D 3 une forte activit de controle en particulier aussi des fournisseurs de prestations Si nous attirons l attention du corps m dical sur une restriction de prestation nous ren controns souvent l incompr hension Et quand nous pr sentons chaque ann e sous forme des primes la facture pour les prestations command es c est le tolle g n ral dans les m dias les milieux poli tiques et la populatio
155. st tr s sollicit Qu est ce qui n a pas Jonctionne AVB Il y a quelques ann es nous avons lanc une offre du nom d Eulenberg Eulenberg tait un prestataire de services financiers sp cialis dans la gestion de fortune Nous avons t forc s de consta ter que la demande tait tres faible parmi nos membres Nous nous sommes donc retir s d Eulenberg Cela a pu tre r gl sans difficult s c est a dire que MEDI SERVICE respectivement les membres n ont subi aucun inconvenient Une action t l phonique de la caisse maladie Swica effectu e au nom de MEDISERVICE a pro voque quelques reactions nega tives Comment avez vous r agi AVB Je tiens tout d abord 2 mettre les choses au point Ce ne sont que certains membres qui se sont adress s nous et qui se sont plaints de l action Nous avons per sonnellement contact ces membres Nous avons par ailleurs fait tablir une expertise juridique pour v rifier si notre comporte ment tait r glementaire D un point de vue purement juridique tout s est pass correctement Nous n avons malgr tout pas l intention de contrarier nos mem bres C est pourquoi nous avons envoy un courrier tous les membres Les mem bres qui ne souhaitent plus tre contact s t l phoniquement par nos partenaires a l avenir peuvent donc nous le faire savoir KG Je comprends que les appels tele phoniques le soir a domicile sont parfois d sagr ables
156. t SSMG M L Schneider Oberplattenstrasse 73 9620 Lichtensteig t l phone 071 988 66 40 fax 071 988 66 41 e mail info sgam ch D lai d inscription l examen 31 janvier 2010 Journ e d information et de pr paration Le jeudi 4 f vrier 2010 Lausanne Frais Fr 60 Inscription la journ e d information jusqu au 15 d cembre 2009 aupr s du Secr tariat SSMG A partir de d but novembre 2009 vous aurez la possibilit de vous inscrire par Internet qa VSAO JOURNAL ASMAC 29 PERSPECTIVES S RIE MUSIQUE D AVENIR Le d veloppement de la pharmacie hospitali re Les pharmaciennes et pharmaciens hospitaliers ne sont plus seulement de simples acheteurs et fabricants de s ries En tant que partenaires du corps m dical et des quipes de soins ils deviennent des acteurs importants du quotidien clinique Car ce n est qu en contact direct avec l quipe en charge du traitement et le patient qu ils peuvent utiliser leur savoir de mani re optimale viter les erreurs et r duire la mortalit ainsi que les frais de traitement Enea Martinelli pharmacien chef Institut de pharmacie hospitaliere et d approvisionnement en produits medicaux spit ler fmi ag Interlaken 30 La medication est sans aucun doute une des mesures th rapeutiques les plus fr quentes l h pital Quasiment aucun patient n chappe a la prise d un m di cament durant son s jour l h pital Les d roulements r
157. t d ailleurs ce que K Tipp confirme qa Le projet de prise en charge des enfants rencontre un vif int r t Le sondage effectu par MEDISERVICE VSA0 ASMAC concernant le projet de creche maman de jour a pris fin le 15 9 2009 Plus de 1100 membres ont particip au sondage Les r sultats sont sans quivoque 96 des membres approuvent en principe une telle offre 75 feraient appel une telle offre de MEDISERVICE VSAO ASMAC Nous laborons actuellement un concept g n ral et vous informerons en cons quence Nous vous remercions de votre participation et de votre int r t N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 47 PUBLIREPORTAGE Arzneimittel zur Raucherentwohnung f hrt nicht zu erhohtem Risiko f r Selbstverletzungen oder Depressionen Wissenschaftliche Studie zu suizidalem Verhalten unter Vareniclin Kohortenstudie bas erend auf Daten der General Practice Research Database Laut neuer w ssenschaftlicher Daten die soeben auf bmj com ver ffentlicht wurden liegen keine berzeugenden Beweise daf r vor dass das beliebte Raucherentw h nungsmittel Vareniclin das Risiko f r selbstverletzendes Verhalten oder Depressionen m Vergleich zu anderen Arzneimitteln f r die Ni kotinentw hnung erh hen k nnte Im Zusammenhang mit dem k rzlich zugelassenen nach gewiesenermassen wirksamen Raucherentw hnungsmedikament Vareniclin wurden Bedenken ge ussert dass das Arzneimittel das Risiko f r suizidale
158. t il judicieux que diff rentes r glementations relatives l obtention du doctorat s appliquent dans notre petite Suisse pour les environ 600 tudiants qui obtiennent leur dipl me f d ral chaque ann e Les tudiants suisses craignent juste titre d tre d savantag s par cette r gle mentation non seulement par rapport aux autres tudiants des facult s suisses mais galement par rapport l tranger Ce n est en effet que la Suisse qui exige en plus du travail de Master une th se de doctorat Nos coll gues allemands obtien nent ainsi le titre de Dr med des conditions bien moins contraignantes Et cela ne changera pas non plus si nos galement au budget des charg s de cours de l Universit et des h pitaux universi taires L indemnit d finitive sera quant elle communiqu e vers la fin du se mestre Pas un mot de gratitude ou de regrets pas un mot sur les causes de la cri se financi re l Universit Les m decins hospitaliers zurichois ASMAC ont deman d l Universit de prendre position Peut tre que celle ci permettra d clairer cette obscurit acad mique a Rudolf M Reck president des mede cins hospitaliers zurichois ASMAC voisins du Nord decident aussi d appli quer le systeme de Bologne pour la mede cine Au Danemark et en Hollande qui sont outre la Suisse les seuls pays a avoir deja introduit le systeme de Bologne en m decine les tudiants obtie
159. t ou de l effet clinique d une m dication sp cifique pour le patient La pharmacologie clinique est en premier PERSPECTIVES lieu orient e sur le r sultat et s occupe moins du processus de m dication pro prement parler Les deux disciplines se compl tent donc de mani re optimale C est pour cette raison que la Soci t suisse des pharmaciens de l administra tion et des h pitaux GSASA a d velopp des programmes de formation continue sp cifiques pour les pharmaciens hospita liers La sp cialisation comme Pharma cien d h pital FPH et le certificat de capa cit FPH en pharmacie clinique donnent aux pharmaciennes et pharmaciens les comp tences n cessaires pour se posi tionner dans l environnement complexe d un h pital et pour largir et am liorer leurs prestations vis vis des malades du personnel soignant et des m decins P h pital a i Fu OI bes aid 1 Weiterbildung in Psychotherapie zum Facharzttitel FMH Psychiatrie und Psychotherapie Das C G Jung Institut Zurich Kusnacht bietet den nachsten dreyahrigen Weiterbildungskurs in Analytischer Psychotherapie nach C G Jung an Beginn Marz 2010 Unterlagen und Informationen C G Jung Institut Zurich Hornweg 28 8700 Kusnacht Tel 41 0 44 914 10 40 Fax 41 0 44 914 10 50 E Mail cg junginstitut ch mia em Eine neue Generation on von M bel Ede stahl in h chste ter Vollendung kombiniert mit Edelh lzer
160. temps a domine l id e que les enfants devaient tre pro t g s contre toute recherche Cette vision volue lentement Aujourd hui on con sid re galement comme non thique de pr server les enfants d une recherche qui pourrait potentiellement leur donner acc s un meilleur traitement Les progres de l oncologie pediatrique constituent un des plus grands succ s de la recherche m dicale au 20 si cle Les m dicaments chimioth rapeutiques ont VSAO JOURNAL ASMAC t d velopp s dans les ann es 1940 50 Au d but on faisait preuve d une grande prudence avec les enfants La recherche clinique syst matique avec des poso logies et des associations avec d autres m dicaments avec la radioth rapie et la chirurgie a conduit une baisse drama tique du taux de mortalit Il y a 50 ans le diagnostic d une leuc mie chez len fant quivalait quasiment une condam nation mort Aujourd hui environ 90 des enfants touch s survivent Dans de nombreux autres domaines aussi le traitement m dical des enfants a connu une r volution durant ces derni res decennies notamment dans le domaine de la chirurgie cardiaque pour le d ve loppement de vaccins ou pour la correc tion de la position des dents Une discipline autonome La pharmacologie clinique p diatrique est devenue une discipline acad mique autonome A l h pital les formes gal niques n cessaires sont souvent mises a disposition
161. traitement pour les enfants dans l information sur les m dicaments vont progressivement s am liorer et se pr ciser Chaque m de cin devrait tre conscient de ces d fis et aussi admettre que nos connaissances sont encore limit es La plupart des en fants dans les pays d velopp s b n ficient aujourd hui de la qualit d approvi sionnement en soins la meilleure qui soit Mais il reste encore beaucoup faire pour nous et pour les g n rations venir Contact rose granzer biz Litt rature Rose K Ethical Regulatory and Scientific Challenges in Paediatric Drug Development Pharm Med 2008 22 4 221 234 Kearns G et al Developmental Pharmacolo oy NEJM 2003 349 1152 1167 www esdppp org www ppag org http www emea europa eu htms human paediatrics introduction htm Clinical Investigation of Medicinal Products in the Pediatric Population ICH E 11 http www ich org LOB media MEDIA487 pdf www bnf org BNF for Children www bnfc org gt oN N VSAO JOURNAL ASMAC 25 POINT DE MIRE Avoir le courage de regarder Rares sont les parents qui ont l intention de nuire leurs enfants Malgr tout il y a toujours encore des cas de maltraitance d enfants sous des formes tr s diff rentes Les cliniques p diatriques dispo sent de groupes de protection de l enfant qui interviennent dans de telles situations Ils tentent avec courage mais aussi avec doigt d am liorer la situation des enfants
162. tre Cela a d clench une discussion thique qui 4 N 6 D cembre 2009 principalement trait au statut moral de l embryon et aux intentions eug niques mais galement au fait difficilement com pr hensible et dans une certaine mesure contradictoire qu une grossesse d ja en cours peut tre interrompue sur la base d un diagnostic pr natal mais qu un em bryon in vitro ne peut pas tre test quant 2 la pr sence d une mutation g n tique ou chromosomique En Suisse cette dis cussion est actuellement en cours dans le cadre de la r vision pr vue de la loi sur la procr ation m dicalement assist e LPMA qui dans sa forme actuelle inter dit la biopsie embryonnaire comme m thode de DPI La r vision de la LPMA offre la possibilit de r viser et de modifier en cons quence des dispositions l gales qui se sont entre temps av r es inad quates Sont d sign s dans les m dias comme enfants sur mesure les enfants qui sont test s apres une FIV quant a leur constel lation HLA et s lectionn s de mani re pouvoir sauver une s ur ou un fr re atteint d une maladie incurable sur la base des cellules souches obtenues partir du sang de cordon ombilical au moyen d une transplantation de cellules souches Cette application du DIP fait galement l objet de r serves thiques car on engendre un enfant pour obtenir un don de cellules souches et on le s lection ne comme embryon Il est donc double
163. tue finalement la base d un traite ment de haute qualit des patients 4 Mini CEX et DOPS sont de nouveaux proc d s qui ont t sp cialement d ve lopp s pour la formation m dicale post gradu e et qui correspondent dans une large mesure l id e d une formation postgraduee structur e Premi re tude suisse Il existe jusqu ici que peu d informa tions pertinentes concernant l accepta tion de ces outils dans les cliniques de notre pays tant donn que l introduc tion se trouve encore dans la phase pilote en Suisse Mini CEX a t test lors de pre miers essais au d partement de m decine interne l h pital cantonal de Lucerne l h pital cantonal des Grisons et la cli nique psychiatrique de Lucerne L h pital universitaire de B le a galement test le DOPS en plus de Mini CEX L Institut pour l enseignement de la m decine de l Universit de Berne 1 tait charg de la direction et de l valuation du projet pilote On peut constater d une mani re g n rale qu apr s des d bats empreints d un certain scepticisme les instruments ont t consid r s comme positifs aussi bien par les m decins en formation que par les formateurs Berendonk et al ont en registr une satisfaction lev e en ce qui concerne l utilisation de Mini CEX dans le cadre de leurs projets pilotes toutefois avec de nettes diff rences entre les diff rentes cliniques Et les auteu
164. u monde POLITIQUE Plus de proximit avec les membres La libert de contracter n est encore pas enterr e Les nouveaux instruments de la formation postgradu e POINT DE MIRE Lenfant sur mesure r ve ou r alit On traite toujours un systeme Plus qu un simple jeu d enfant Etre a la maison sans tre chez soi De grands efforts pour les petits Avoir le courage de regarder La formation prend une autre signification PERSPECTIVES Le developpement de la pharmacie hospitaliere Psychopharmaka im Alter no worries VSAO ASMAC Section Berne Section des Grisons Section Suisse centrale Section Zurich SwiMSA MEDISERVICE VSAO ASMAC Nous ne sommes jamais entierement satisfaits Le manque de connaissances favorise l incompr hension IMPRESSUM 51 52 53 53 54 54 55 55 55 56 56 57 57 58 58 59 59 60 60 60 61 61 61 62 62 62 63 64 65 66 67 68 H VSAO JOURNAL ASMAC SOMMIAIRE MESSAGE DU PR SIDENT SECTIONS Argovie B le Berne Fribourg Geneve Grisons Jura St Gall Appenzell Soleure Tessin Thurgovie Vaud Valais Suisse centrale Zurich SwiMSA COMITE DIRECTEUR Christoph Bosshard Raphael Stolz Christiane Arnold Fabrice Dami Corina Kim Fuchs Gert Printzen Urs Sieber Patrick Wilson Nicola R egsegger MANDATS Secr taire politique ORGANISATIONS Organigramme Association ASMAC MEDISERVICE VSAO
165. ues qui manquent De nombreux enfants ne connaissaient ni repas en commun ni journ e r gl e avant leur arriv e au home Alors qu midi tous les enfants mangent ensemble avec toutes les personnes en charge du suivi le matin et le soir les repas sont pris au sein des groupes Chaque groupe dispose ainsi de sa propre cuisine d une salle manger et d un salon Ce sont les enfants qui sont tour de r le responsables du repas du soir Les enfants apprennent ainsi avec le soutien des animateurs planifier eux m mes un repas effectuer des achats et pr parer un repas Suivant leur age les enfants gagnent en autonomie et s oc cupent seuls de certaines t ches Jusqu la fin de l apprentissage Contrairement d autres homes les groupes au Schoren sont m lang s entre gar ons et filles de tous ages Cela permet aux fr res et s urs de rester si possible ensemble Les enfants sont admis partir de l ge de deux ans dans des cas urgents aussi avant Les enfants restent souvent pendant de nombreuses ann es au home Apr s la fin de la 9 ann e scolaire la sortie du home devrait th oriquement avoir lieu ce qui est cependant souvent illusoire Les enfants ne peuvent en effet pas retourner dans leur famille ou vivre de mani re autonome l ge de 16 ans C est pourquoi l appartement du couple Dietrich dans le b timent annexe a t transform de mani re pouvoir recevoir un gro
166. upe d adolescents Cela leur permet d accomplir leur formation avec une certaine autonomie tout en tant suivis et surveill s Les enfants vivant dans un home n ont d ailleurs pas plus de difficult s trouver une place d apprentissage que d autres enfants La place de formation est cepen dant parfois accord e la condition que les candidats restent au home Car ceci garantit un d roulement r gulier de l apprentissage Nos enfants ne sont pas stigmatis s du fait qu ils vivent au home souligne Fred Dietrich Cela est notamment d la bonne int gration dans la commune Les enfants par contre consid rent souvent leur situation comme difficile Par exemple lorsque leurs camarades de classe racontent ce qu ils ont v cu en vacances Un enfant a t au bord de la mer avec ses parents l autre dans les montagnes et nos enfants n ont peut tre que v cu du stress et des conflits chez eux Maison parentale et home Un grand d fi repr sente la collaboration avec les parents Il n y a que de tr s rares cas dans lesquels les parents contactent le home de leur propre initiative I admis sion s effectue g n ralement sur d cision N 6 D cembre 2009 F des autorit s comp tentes Autrefois les enfants taient assez vite plac s dans des homes aujourd hui cela constitue la mesure ultime Si un avis de d tresse est mis on proc de d abord l valuation de toutes les autre
167. upe depuis octobre 2009 des affaires de la pr sidence Comit Philipp Achermann Christiane Arnold vice presidente Anja Bohr Christian Britschgi Nino Brunner Konstantin Burg mann Marie Claire Desax Sebastian Gathmann Corinne Geppert vice pr sidente Philipp Grob Blum Franziska Grunder Christoph Leitner Anna NVgren Tim Saier Adrian Schneider Urs Sieber Sancha Sp rri Lisa Strahm Anne Stuhlert Kristina Tanzler Jan Vontobel Secr taire generale Rosmarie Glauser avocate Rosmarie Glauser se tient aussi disposition des membres de la section pour des questions juridiques Secr tariat VSAO Bern Rosmarie Glauser avocate directrice Schwarztorstrasse 22 3007 Berne t l phone 031 381 39 39 fax 031 381 82 41 e mail bern asmac ch glauser vsao ch Page d accueil www vsao bern ch Christopb Bossbard president Christiane Arnold vice presidente Lars Frauchiger vice president Gabriela Meister Vogt secretaire generale suppleante avocate Rosmarie Glauser secr taire g n rale avocate vice pr sidente N 6 D cembre 2009 VSAO JOURNAL ASMAC 53 SECTIONS Fribourg Membres 340 Presidence Wenceslao Garcia Comit Ch Becker Christophe Berchier vice pr sident Marc Blondon Anne Luisoni secr taire Murielle Ottiger caissi re J M Steithy Pascal Vuilleumier Webmaster Secr larial Association des m decins assistants et chefs de clinique section Frib
168. urch eingeschr nkte Elimination hohe Medikamentenspiegel vorliegen Trizykli ka gelten nicht mehr als Medikamente der ersten Wahl bei der Behandlung depressiver St rungen bei lteren Patien ten Sollen Trizyklika dennoch zum Ein satz kommen zeigen die sekund ren Amine insbesondere Nortriptylin ver gleichsweise g nstige Nebenwirkungs profile 4 6 Selektive Serotonin Wiederaufnahme hemmer SSRI geh ren zu den Substan zen der ersten Wahl in der Behandlung depressiver St rungen im Alter Die Kons tellation von Wirksamkeit Interaktions armut und Vertr glichkeit ist m glicher weise bei Citalopram Escitalopram und Sertralin besonders g nstig SSRI werden wie bei j ngeren Erwachsenen auch bei der Behandlung von Angst und Zwangs st rungen im Alter eingesetzt Die Rele vanz einer unter Gabe von SSRI m gli cherweise verst rkten Blutungsneigung und einer m glicherweise beschleunigten Abnahme der Knochendichte f r die Aus wahl eines Antidepressivums im fortge schrittenen Alter ist noch nicht abschlies send gekl rt 7 8 Im h heren Lebens alter k nnen die sonst seltenen extra pyramidalen Nebenwirkungen von SSRI h ufiger auftreten 9 Sexuelle Funk tionsst rungen als Nebenwirkungen von SSRI werden gerade bei und von lteren Patienten nicht thematisiert oder vom Behandler als irrelevant eingesch tzt Sexuelle Funktionsst rungen sind auch in dieser Altersgruppe belastende und therapiegef hrdende Neb
169. ut par le Conseil des Etats lors de la session d hiver 2009 Celui ci souhaite galement une mise en vigueur en 2010 Le Conseil national a charg le Conseil f d ral contre la volont de celui ci de lancer une r forme structurelle profonde du systeme de sant suisse Le Conseil national a approuv une motion corres pondante du PS par 128 contre 25 voix Il sera int ressant de voir quelles id es en r sulteront Le Conseil des Etats a galement trait des sujets du domaine de la politique de la sant Il a ainsi charg le Conseil f d ral de formuler le catalogue des prestations de l assurance de base sous une forme positive et de le soumettre 3 un examen rigoureux bas sur les trois crit res que sont l efficacit l ad quation et l cono micit criteres EAE Les nouvelles pres tations propos es ne seront int gr es dans le catalogue que s il peut tre d montr de facon suffisante qu elles constituent r ellement un atout suppl mentaire Le Conseil des Etats a approuv la motion par 17 voix contre 13 Elle sera mainte nant discut e par le Conseil national N 6 D cembre 2009 POLITIQUE Burkhalter suscite des espoirs Le nouveau conseiller f d ral Didier Burkhalter a d clar lors des premiers interviews qu il saluait la promotion d un approvisionnement int gr tel qu il a maintenant t d cid par le Conseil national avec la quote part diff renci e Ce modele s approc
170. ux Pieds t te avec yeux 0 3 6 9 12 15 18 21 24 27 30 33 36 39 42 45 48 Premi re 10 E 90 manifestation 50 ge mois D partement de p diatrie du d veloppement Premi re manifestation d une acquisition du d veloppement durant les quatre premi res ann es de vie r sum de diff rentes tudes Est repr sent e la premi re manifestation d un comportement moyenne de tous les enfants quadrilat re noir P50 et les limites d ge barre grise dans lesquelles se situent 80 de tous les enfants P90 90 percentile et P10 10 percentile Les comportements de jeu suivants sont r sum s exploration capacit de perception liens de causalit reconnaissance d images appr hension de l espace cat gorisation et dessin Le jeu avec des contenus symboliques ou sociaux n est pas mentionn ici 20 VSAO JOURNAL ASMAC Le domaine d age durant lequel les en fants en bonne sant franchissent pour la premi re fois une tape d cisive est large et s tend dans de nombreux cas sur une p riode de 8 12 mois voire plus Comportement en situa tion de jeu et d veloppe ment intellectuel ult rieur d un enfant La valeur pr dictive du jeu de la petite en fance est relativement faible Il n existe qu une faible relation entre le niveau du d veloppement du jeu
171. vet s Aujourd hui nous disposons de connaissances bien plus importantes relatives la posologie aux effets secondaires et en particulier l utilisation chez les enfants En 2007 une l gislation semblable a t mise en vigueur dans l UE gt L agence euro p enne des m dicaments EMEA traite les demandes d admission de nouveaux m dicaments seulement si l entreprise a pr alablement d pos temps un plan de d veloppement p diatrique Pediatric Investigation Plan PIP et que celui ci est approuv par le comit p diatrique Paediatric Committee PDCO Le PIP doit comporter tous les groupes d ges p diatriques les pr matur s lt 36 se maine de grossesse les nouveau n s 1 27 jours les petits enfants 28 jours 23 mois les enfants 24 mois 11 ans et les adolescents 12 17 ans Ces grou pes d ge ont t fix s au niveau inter national et sont caract re contrai onant Le PIP doit comporter sp cifique ment pour les enfants tous les examens essentiels qui jouent un r le dans le d ve loppement g n ral des m dicaments Sont exig s e Des tudes non cliniques et tudes sur les jeunes animaux pour d tecter N 6 D cembre 2009 ICH E 11 Groupes d ges p diatriques Pr matur s lt 36 semaine de grossesse Nouveaux nes 0 27 jours temps les dangers potentiels pour les organes en croissance chez l animal e Le d veloppement de formes gal n
172. vorwiegend antidepressiven Eigen schaften analog zur Therapie bei j nge ren Erwachsenen eingesetzt werden Hypnotika Im h heren Lebensalter nimmt die Schlafdauer leicht ab Der Anteil von Tiefschlafphasen ist zugunsten leichter Schlafstadien reduziert Der Schlaf ist fragmentiert und n chtliche Wach phasen werden durch kurze Schlafphasen am Tag kompensiert Oft bestehen gleich zeitig hohe Erwartungen an die Dauer und die Qualit t des Schlafs Die Abl ufe in Institutionen und Heimen stellen us sere Zeitgeber dar an die sich ltere Men schen in ihrem Schlafverhalten anpassen m ssen Schafst rungen nehmen im Alter zu Ein Grossteil besteht im Zusam menhang mit k rperlichen und psychi schen Erkrankungen in etwa 20 der F lle liegt eine prim re Insomnie vor Rund 30 der ber 65 J hrigen ist mit dem eigenen Schlaf unzufrieden und etwa jeder dritte von ihnen nimmt ein verschreibungspflichtiges Hypnotikum ein Es ist davon auszugehen dass ein Grossteil der Schlafmitteleinnahme miss br uchlich erfolgt 16 Der Einsatz von Hypnotika sollte zeitlich begrenzt und erg nzend zur Behandlung der somatischen oder psychischen Ur sachen der Insomnie sowie schlafhygieni schen Massnahmen erfolgen Unrealisti sche Erwartungen an Dauer und Regel m ssigkeit des Schlafs sollten abgebaut werden Zur Behandlung von Einschlaf st rungen hat sich Zolpidem zur Be handlung von Durchschlafst rungen Zopiclon bew hrt Oft si
173. x une priorit d s 2010 Nous sommes bien s r int ress s de voir si ces contr les auront lieu et si oui dans quels tablissements Nous prions donc nos membres de nous infor mer des ventuels contr les La loi sur le travail n am liore pas seulement les conditions de travail mais repr sente aux yeux de l ASMAC gale ment une chance saisir pour claircir d importantes questions ayant trait la structure et aux entreprises pour opti miser des processus pour d finir des interfaces et pour bien d autres choses encore Nous esp rons donc que cette opportunit va enfin tre mise profit Pour cela il faut cependant une volont de mise en uvre au plus haut niveau des ressources en personnel une quipe disposant d un large appui une gestion des changements et du courage Mise en uvre des mesures d conomie Les h pitaux somatiques publics doivent comme rapport dans l avant dernier num ro du Journal conomiser 3 l ann e prochaine les institutions psy chiatriques au total 14 millions Les h pi taux s attellent de mani re tr s variable cette t che Certains r visent leurs struc tures d autres transmettent tout simple ment le mandat de faire des conomies aux diff rents d partements ou tentent de r aliser des conomies mesquines sur le dos du personnel L augmentation salariale n est donc plus accord e confor m ment la CCT Et ce sont les heu
174. x aider que punir nous appliquons aujourd hui le principe Toujours aider souvent contr ler rarement punir Nous tentons de sauvegarder l int grit de la famille et si possible d obtenir la co operation des parents La protection de l enfant est toujours prioritaire Nous tentons cependant dans la plupart des cas d assurer cette protection dans Ten vironnement familial Ce n est que tres rarement qu un enfant est immediate ment place en dehors de sa famille Nous considerons la maltraitance d un enfant comme le point final d une volu tion qui peut aller d une prise en charge ad quate par les parents en passant par des formes mod r es d un comportement parental n faste p ex l enfant se fait souvent gronder il est isol titre de puni tion jusqu a la maltraitance et dans le cas extreme m me jusqu a la mort de l enfant La maltraitance ne survient presque jamais soudainement mais con na t g n ralement une volution Et c est ce qui permet alors d intervenir Comment intervient on Chaque cas relevant de la protection de l enfant est unique et exige un claircisse ment approfondi du cas et une planifica tion de la mani re de proc der dans l int r t de l enfant et de sa famille La collaboration avec les parents est g n ralement fondamentale et n cessite beau coup de patience et de compr hension Une attitude valorisante vis a vis de la famille est une

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