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LA PÊCHE SÉLECTIVE DU SAUMON Colombie

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1. COMPARAISONS DE LA MORTALIT ENTRE LES DEUX GROUPES EXP RIMENTAUX COHO SAUMON ARC EN QUINNAT CIEL Essais sur les dur es de 28 11 19 mouillage Essais sur le taux 49 26 34 d armement CAPTURE S LECTIVE DANS LA P CHE COMMERCIALE DU SAUMON AUX FILETS MAILLANTS EN COLOMBIE BRITANNIQUE Surveillance des captures Donn es sur les captures par secteur Nbre de bateaux la p che Prises moyennes par esp ce et par bateau Prises moyennes de coho par bateau X Nbre de bateaux Rencontres de cohos e de coho X R glements sur R glements sur les secteurs de les saisons de p che p che Taux de mortalit Fe Mortalit r elle des cohos Prises admissibles de cohos er des Dur e de mouillage Allocation de cohos aux engins fileyeurs CAPTURE S LECTIVE DANS LA P CHE COMMERCIALE DU SAUMON AUX FILETS MAILLANTS EN COLOMBIE BRITANNIQUE DORE Surveillance des prises Gestion des ressources Rencontres de cohos X PA de Allocation de cohos lt a a mortalit aux fileyeurs p che commerciale P che s lective et conservation du coho Figure 2 ANNEXE 7 P che au filet gueule dans le Fraser P che au filet gueule modifi Rapport provisoire 1998 Mark Petrunia Janvier 1998 Rapport sur le permis de p che commerciale 97 169 Objectif Utiliser un filet gueule modifi
2. L atelier technique sur la p che s lective du saumon s est tenu Richmond C B les 4 et 5 novembre 1998 L atelier se voulait un forum permettant le d bat et l examen de divers projets de p che s lective et d tudes connexes sur la mortalit du poisson lanc s en Colombie Britannique en 1998 Il tait ouvert au secteur de la p che commerciale aux halieutistes aux gestionnaires aux technologues et aux autres personnes ayant un int r t dans la p che du saumon Les r sultats pr liminaires d tudes sur la mortalit apr s remise l eau et sur les rencontres de cohos men es par des scientifiques du MPO ont t pr sent s en pl ni re Des exploitants commerciaux et des p cheurs des Premi res Nations ont expos des r sultats des travaux sur la s lectivit entrepris en 1998 notamment ceux de certaines exp riences portant sp cifiquement sur la senne le filet maillant les lignes tra nantes et d autres engins dans leurs deux secteurs L atelier a t propos et organis par le Comit technique de l industrie sur l exploitation commerciale du saumon dans le cadre d un plan pluriannuel soumis P ches et Oc ans Canada pour tenter de r gler les probl mes de conservation des p ches des saumons du Pacifique Pr sid par Bob Rezansoff pr sident du Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon et par Don Lawseth coordonnateur P ches s lectives P ches et Oc ans Canad
3. de 3 pouces con u de fa on permettre tous les saumons arc en ciel de le franchir sans dommage et aussi de r duire les prises accessoires de cohos de quinnats de saumons rouges et de saumons roses sans toutefois r duire de fa on trop s v re le nombre de saumons k tas vis s Apr s avoir utilis l an dernier le filet gueule de 3 pouces j ai pu observer que la plupart des saumons arc en ciel que nous avons pris se sont maill s dans la moiti sup rieure du filet Cette ann e j ai donc d cid d utiliser un filet gueule bimaille Ce filet tait fait de 2 nappes l une de 14 mailles de 17 pouces la partie sup rieure et l autre de 50 mailles de 3 1 2 pouces la partie inf rieure La nappe sup rieure de 17 pouces aurait pour taux d armement 2 1 et la nappe de 3 1 2 pouces 3 1 comme l an dernier En construisant le filet de cette fa on j esp rais que tous les poissons se trouvant dans la premi re tranche de 20 pieds d eau franchiraient le filet indemnes tandis que la nappe de 14 pieds de filet gueule de 3 2 pouces plac en bas ciblerait principalement lek ta car l exp rience de l an dernier m a montr que la plupart des k tas se prenaient dans la moiti inf rieure du filet Pour voir comment ce filet allait p cher j ai travaill avec 50 brasses du filet gueule modifi et 50 brasses du filet gueule standard employ l an dernier pour voir s il y avait une r duction des pris
4. hareng sp cialement con ue et un tambour hydraulique pour le hissage sur la plage de cegrand filet Chaque trait tait tr s court 10 12 minutes et capturait en moyenne 200 300 poissons chaque fois R sultats du projet Esp ces N poissons captur s N poissons remis l eau Arc en ciel 3 3 Eswgen J o a l a Truite e Tous les poissons remis l eau taient vivants et en excellente condition Un seul poisson est mort sur l ensemble des captures il a t tu par un phoque e Les cohos ont t gard s dans un vivier et on a valu les l sions ou le stress avant de les lib rer Des chantillons de tissu ont t pr lev s sur les cohos pour l analyse de l ADN e Les trois saumons arc en ciel ont t radiomarqu s puis lib r s e Sur les 4 331 k tas captur s 2 827 ont t r colt s pour la p che de subsistance des Autochtones e Pour viter de blesser les poissons captur s on a employ des puisettes sans n ud dont le devant tait entour de mousse de caoutchouc pour viter toute blessure Parmi les projets futurs on pr voit de tester la viabilit de ce grand filet pour la p che du saumon rouge et du saumon rose II RAPPORTS DES SEANCES DES GROUPES DE TRAVAIL GROUPE DE TRAVAIL SUR LA SENNE La p che commerciale doit savoir d finir sa place et son r le dans les p ches de la Colombie Britannique C est seulement ce moment l que les p cheu
5. la capture pourraient accomplir cette t che et fournir de l information au MPO Programme des observateurs Il est n cessaire de mettre en place un programme ad quat et ind pendant de surveillance des captures et d observateurs pour assurer la cr dibilit des donn es Le groupe de travail recommande la cr ation d une quipe zonale d observateurs organis e par zone plut t que par engin ou par secteur Une telle quipe volante et mobile pourrait surveiller tous les secteurs et tous les engins Exp riences L exp rience de la baie Barkley a montr que de petites modifications apport es aux engins peuvent avoir des effets significatifs Les exp riences sur diverses conceptions des filets devraient continuer sur toute la c te en fonction de la diversit des zones Les tudes devraient porter sur divers aspects e longueur et hauteur du filet de fa on viter les rencontres d esp ces non vis es tenir compte de la capacit visuelle du saumon coho e utilisation du maillage et de diff rents types de ficelle pour prot ger les stocks menac s e essais d autres technologies comme les exp riences men es sur le Fraser avec le filet gueule et la grande senne de plage tudes compl mentaires e viviers et techniques de manutention rapport des sexes dans les captures selon les engins taux de survie des esp ces menac es impact de la p che de jour et de nuit des vid os des documents distribuer et ou un cours p
6. tablissement d un groupe de travail technique un symposium en janvier 1999 des tudes sur la configuration des engins des tests pour am liorer les techniques de manutention une reprise des essais de p che de 1998 pour leur donner une assise scientifique et une recherche documentaire concernant les exp riences men es sur la s lectivit en dehors du Canada En plus des besoins communs tous les secteurs la p che aux filets maillants a des besoins qui lui sont propres un plus grand nombre d tudes ax es sur la construction des filets en raison de la vari t des lieux de p che longueur et hauteur du filet pour viter les rencontres maillage et technologie des fils les viviers et les techniques de manutention le taux de survie des esp ces vis es et le ratio entre les prises de femelles et de m les selon l engin Des tudes plus pouss es sont n cessaires dans la p che senne grilles s paratrices sacs en filet sans noeud salabardes et am lioration de la tenue des livres de bord et des rapports radio L ducation la formation et des programmes d observateurs sont indispensables comme pour les autres secteurs L importance de l change d information de l analyse collective et de la discussion des essais et des projets dans un forum technique comme l atelier de novembre 1998 a t soulign e par les participants l atelier qui ont exprim le d sir de continuer dans cette veine INTRODUCTION
7. 3 sennes de plage 4 p cheries fixes 1 TRAPPES POISSONS a Trappes marines fixes Co ts de construction 15 000 100 000 selon le site Main d oeuvre et bateaux co t inconnu vraisemblablement lev 10K semaine Efficacit inconnue S lectivit probablement lev e G rabilit probl me principal b Trappes flottantes mobiles Co ts de construction 5 000 25 000 selon la taille Main d oeuvre et bateaux co t inconnu vraisemblablement lev 10K semaine Efficacit inconnue S lectivit probablement lev e G rabilit probl me principal Innovations et probl mes e Syst mes de guidage du poisson rideaux de bulles barri res lectriques e Trappes de lacs e Trappes d rivantes e Pr dation par les phoques 2 TOURNIQUETS Co ts de construction 10 000 40 000 selon la conception Co t de main d oeuvre 4 000 8 000 par semaine Efficacit Selon le site S lectivit Excellente G rabilit Dans les cours d eau Analyse de rentabilit 4 tourniquets de la Nass e Captures annuelles 450 000 e Co ts annuels 150 000 e Rapport co t b n fice 100 des captures 3 0 10 emplois 75 des captures 2 0 12 emplois saumon rouge seul 1 6 12 emplois Innovations et probl mes e Syst me de guidage du poisson am lioration des barri res conductrices rampes e Syst mes m canis s e Variabilit de la conception et de l explo
8. 95 z 1 96 Conclusion Les taux de mortalit de l exp rience sont tous plus bas que les taux de mortalit standard TUDE SUR LA S LECTIVIT DES ENGINS POUR LE COHO DANS LE BRAS ALBERNI MORTALIT A LA CAPTURE PAR METHODE Filet maillant Dur e de mouillage t moin 30 minutes Note d finition de la dur e de mouillage de la mise l eau du dernier flotteur la sortie de l eau du premier flotteur Taux d armement t moin 2 15 1 Taux Dur e de d armement mouillage BATEAU TOTAL PAR METHODE min Morts Total captures mortalit 2 0 1 Tortuga Ocean Renegade Jester Myshkin 2 15 1 Pacific Sands Wild Canadian 2 3 1 Bojangles Too 2 15 1 Pacific Sands Wild Canadian 2 0 1 Ocean Renegade Bojangles Too 2 15 1 Myshkin Pacific Sands Wild Canadian 2 3 1 Jester TOTAL 623 1 414 44 1 TUDE SUR LA S LECTIVIT DES ENGINS POUR LE COHO DANS LE BRAS ALBERNI MORTALIT A LA CAPTURE PAR METHODE Senne TOTAL PAR M THODE M thode BATEAU Morts Total mortalit i captures TEMOIN Canadian Shores Silver Dawn 2 3 796 0 1 Ocean Destiny RELEVAGE SUR Canadian Shores 5 3 729 0 1 RAMPE Silver Dawn SAC MODIFI Tasska 0 4 268 0 0 Ocean Royal SALABARDE Ocean Venture 4 1 664 0 2 CHAUSSETTE SALABARDE Island Spirit 2 2 394 0 1 ETANCHE TOTAL 13 15 851 0 1 TUDE SUR LA S LECTIVIT DES ENGINS POUR LE COHO DANS LE BRAS ALBERNI MORTALIT LA
9. thode T moin chaussette accrochage lat ral Mortalit la capture Mortalit dans le parc Mortalit totale Calcul de z Niveau de confiance 95 Z 1 96 Conclusion Aucune des m thodes exp rimentales ne donne de r sultats significativement diff rent de la m thode t moin tude sur la s lectivit des engins pour le coho Donn es sur les captures coho seulement Cohos Cohos Total des cohos vivants morts Filets maillants 789 626 1415 Senne 15 921 13 15 934 Tra ne 369 11 380 17 079 17 729 Synth se sur la mortalit Coho T moin Exp rience Exp rience Exp rience mortalit mortalit la mortalit dans le mortalit long est capture parc terme F maillant Senne Tra ne Conclusion Les taux r els de mortalit des cohos remis l eau taient significativement plus bas que les estimations r alis es par le MPO pour la gestion des p ches 3 PROJETS CONCERNANT LA SENNE Efficacit des grilles s paratrices install es dans un sac de filet l ger sans n ud Pr sentation S T Ron de Silva Pacific Fisheries Research and Development Ltd L expos tait illustr de passages vid o montrant l exp rience et le comportement des poissons dans le sac Les premi res exp riences canadiennes faisant appel des grilles s paratrices install es dans le sac de la senne pour r duire les prises accessoires de poissons trop petits ont t r alis es
10. candidats Somass Qualicum Capilano Contexte Le 21 mai 1998 le ministre des P ches et des Oc ans a annonc son intention d orienter l industrie saumoni re de la Colombie Britannique vers des m thodes de p che plus s lectives et mieux capables de r pondre efficacement aux objectifs de la conservation Le MPO a mis en uvre de nouvelles mesures dont l industrie avait propos un bon nombre pour prot ger le coho et d autres esp ces non vis es p ex le saumon arc en ciel Plus de 90 projets de p che s lective ont t soumis au MPO Tous les projets ont t examin s par des membres du MPO Hypoth ses et probl mes Dans tous les cas on pose que ces nouvelles mesures de p che s lective permettront de r duire les prises accessoires et ou d am liorer les taux de survie du coho et des autres esp ces non vis es p ex le saumon arc en ciel qui ont t captur s et remis l eau Dans la plupart des cas toutefois il ne sera pas possible de v rifier ni de mesurer scientifiquement l efficacit r elle de ces nouvelles mesures au del du point de remise l eau L une des grandes incertitudes est l ampleur de la mortalit des cohos qui serait caus e par ces nouvelles mesures particuli rement pour les cohos qui sont remis l eau vivants mais dans des conditions diverses par les bateaux de p che Il est sans int r t que le Minist re exige ces changements importants ou que l industrie modifi
11. conseil conjoint MPO industrie sera mis en place il sera form de membres du MPO et des organismes suivants AFVOA PRVOA FVOA FCBC et NPA 2 Un avis I industrie sera achemin aux senneurs de la zone A il indiquera que ceux qui sont int ress s participer la p che dans la zone rouge devront constituer des groupes de trois bateaux de p che la senne poss dant leur permis et soumettre leur candidature P ches et Oc ans Canada Pour ce faire ils devront contacter le bureau du MPO de Prince Rupert avant 16 h le mercredi 15 juillet 3 Le conseil se r unira le jeudi 16 juillet en matin e afin de trier au sort parmi ces groupes et de dresser une liste num rot e le premier nom tre tir formera le premier groupe le deuxi me nom formera le second groupe et ainsi de suite Chaque groupe aura une chance gale d tre tir 4 Lorsque les approches de I embouchure de la Skeena entreront dans la cat gorie des zones rouges le 19 juillet le MPO effectuera un test visant d terminer s il est possible de p cher les surplus de saumons rose et rouge tout en prot geant le coho Pour 1 ouverture les dix premiers groupes tir s auront le droit de p cher dans la zone rouge aux endroits et aux heures fix es par le MPO dans les conditions suivantes e Chaque bateau du groupe se verra accorder un permis scientifique Celui ci autorisera le participant p cher durant deux journ es qui seront d termin es par la Gestion
12. d couvert que lorsqu il vente il est nettement plus difficile de maintenir la forme des ailes Il tait difficile pour les bateaux de maintenir la forme de la trappe par vent de travers Je ne suis pas s r que cet engin serait tr s utilisable lorsque le temps est plus mauvais Il convient certainement mieux pour les endroits raisonnablement abrit s Ou bien encore ne p chez que par beau temps et changez d endroit quand le temps se g te Perspectives d avenir Nous pensons que la trappe peut tre un outil tr s efficace dans la lutte pour la p che s lective Il reste voir si l op ration peut tre financi rement rentable pour trois bateaux Nous pensons aussi que pour le meilleur ou pour le pire c est une activit qui va demander beaucoup de main d oeuvre Pour l avenir en ce qui concerne le transport nous pensons exploiter un certain nombre de cages et peut tre un ou deux bateaux viviers Nous envisageons ceci quand les poissons sont tri s et pr ts partir on calerait l embarcation la pompe et une porte s ouvrirait sur le flanc des bateaux de transport Par cette porte la cage serait tir e l int rieur puis on fermerait la porte et un des bateaux am nerait la cage jusqu au port On pourrait ainsi r duire le stress exerc sur le poisson en vitant le salabardage ou le pompage dans un bateau de transport moins de manipulation En d autres termes les poissons ne seraient retir s de l eau qu
13. de r pondre aux leurs Source Commission mondiale rapport Brundtland Mettre en uvre des politiques et des progammes qui soutiennent les int r ts conomiques cologiques et scientifiques du Canada concernant les eaux marines et les eaux int rieures voir la conservation au d veloppement et l utilisation conomique durable des ressources halieutiques du Canada dans les eaux marines et int rieures au profit de ceux qui vivent ou b n ficient de ces ressources Source Budget principal des d penses MPO le principe directeur n est plus l optimisation du rendement maximum soutenu mais le meilleur usage possible des ressources de la soci t Le meilleur usage se d finit comme le total des avantages sociaux bruts provenant de la p che et des industries associ es Source Politique canadienne pour la p che commerciale e Donner aux populations un plus grand acc s aux ressources dont elles ont besoin pour vivre de fa on durable e Am liorer le niveau de vie des habitants des zones c ti res afin qu ils puissent aider prot ger l environnement marin du littoral e Mettre sur pied des politiques pour une utilisation durable des oc ans tout en tenant compte des besoins des communaut s locales et des populations indig nes e Les buts principaux du d veloppement sont la r duction de la pauvret une source de revenus stable une bonne sant et une bonne qualit de vie e In
14. des tudes sur la mortalit apr s remise l eau et des rencontres de cohos par les scientifiques du MPO et des tests de s lectivit effectu s avec les sennes les filets maillants les lignes de tra ne et les autres engins par les p cheurs de saumon du secteur de la p che commerciale et des Premi res Nations Les donn es scientifiques taient pr liminaires cependant les r sultats d un essai men pendant les tudes de survie apr s remise l eau de la baie Barkley montrent un taux initial de mortalit court terme des cohos beaucoup plus bas pour chaque secteur d engins que ceux attendus ou projet s par les chercheurs On a d termin le taux de mortalit court terme apr s remise l eau en conservant des poissons marqu s dans des parcs en filet pendant 48 heures apr s leur lib ration par les bateaux de p che Les tudes sur la mortalit ne sont pas termin es et les taux de mortalit long terme seront d termin s lorsque les donn es seront disponibles Sur la C te Sud les premiers r sultats sur les rencontres et les mortalit s des cohos pour la p che commerciale montrent que pour chaque coho conserv 0 0006 est lib r Ce nombre va changer apr s la fermeture de toutes les p ches Les p cheurs ont exprim un certain nombre de besoins communs L ducation et la formation en techniques de manutention des poissons constituent une priorit pour tous les groupes Un contr le des p
15. des p ches du MPO e Lorsque les dix premiers groupes ont p ch durant deux jours les dix groupes suivants sur la liste prennent le relais pour les deux jours subs quents si l effectif de la remonte la performance de la flotte ou d autres variables sont favorables Le MPO d termine si oui ou non la p che peut continuer e Chaque groupe devra accueillir bord un observateur pour toute la dur e de la p che Le groupe aura la responsabilit de le transporter jusqu aux lieux de p che et de le ramener terre et de le conduire d un bateau l autre si l observateur le d sire e Les trois bateaux doivent tre suffisamment rapproch s les uns des autres pour que l observateur puisse examiner le tri de chaque coup de senne e Une tude de survie des captures sera men e afin de d terminer si des cohos p ch s accidentellement meurent Chaque groupe et chaque bateau doit collaborer cette tude la performance et le succ s de la remise I eau des esp ces non d sir es seront v rifi s e P ches et Oc ans Canada d cidera du nombre de jours de p che accorder en fonction des indicateurs habituels de gestion en cours de saison parmi lesquels I abondance des esp ces vis es la logistique de toute tude scientifique actuellement en cours et la performance des vaisseaux quant la remise l eau des esp ces non d sir es Le MPO se r serve toujours le droit de fermer une p che le faisant parfois avec un pr avis tr s
16. en 1996 et 1997 Au milieu des ann es 90 la Norv ge avait test un syst me similaire dans une senne pour liminer les maquereaux juv niles Objectif du projet partir de travaux ant rieurs le Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon a propos de mener en 1998 une exp rience visant d terminer l efficacit des grilles s paratrices conjointement avec une op ration de salabardage pour permettre la lib ration des cohos et des poissons trop petits dans la p che la senne Description du projet Les essais qui devaient avoir lieu dans le d troit de Johnstone dans des conditions de p che commerciale ont t repouss s cause de diverses contraintes temporelles et environnementales L essai de s lectivit a donc d tre consid rablement modifi et il a t r alis par Pacific Fisheries Research and Development Ltd pour la Fishing Vessel Owners Association de Colombie Britannique pendant l tude sur la survie apr s remise l eau qui a t men e pendant sept jours dans la baie Barkley sur la C te Ouest de l le de Vancouver par le MPO et le Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon Le sac et les grilles mis au point pour l exp rience de 1998 avaient les caract ristiques suivantes 1 nappe de filet l ger et sans n ud pour r duire au minimum le dommage normalement caus par l abrasion due l emploi dans le sac de filet
17. et la communication peuvent accro tre le savoir et la sensibilisation Diverses mesures de s lectivit ont donn de bons r sultats ou n ont pas fonctionn mais peuvent tre am lior es dans l avenir 1 2 La p riode de p che ouverture fonctionne tr s bien mais pourrait tre am lior e par une meilleure surveillance et davantage de diff renciations et de pr cisions au niveau individuel Les zones de p che ouverture et fermeture ont donn de tr s bons r sultats mais il est n cessaire d imposer des fermetures de zones plus petites et mieux d finies individuellement et de mettre en commun le savoir La configuration des engins a un caract re sp cifique et tr s prometteur mais il est n cessaire de poursuivre les essais pour d terminer ce qui marche le mieux c est dire le nombre de lignes la vitesse la longueur de l avan on la taille des cuill res les leurres les hame ons etc Pour la gestion en cours de saison de p che les communications peuvent s am liorer si la flotte est plus petite et il est possible de renforcer la confiance entre la flotte et le MPO Techniques de manutention pour la remise l eau des poissons vivants ces r sultats ne sont pas clairs l exception des exp riences de tra ne men es dans le canal Alberni baie Barkley en 1998 il n y a pas eu d essais Il est n cessaire d en r aliser afin d tablir un coefficient cr dible pour les estimatio
18. exp riences seront men es en 1998 1999 pour tester et v rifier l efficacit de diverses modifications apport es aux sennes aux filets maillants et aux lignes tra nantes de p che commerciale ainsi qu aux pratiques de manutention pour r duire les captures de cohos et am liorer les taux de survie des cohos captur s dans les prises accessoires La premi re exp rience sera men e dans le d troit de Johnstone secteur 12 du 28 ao t au 4 septembre Crit res de s lection c est le meilleur endroit pour valuer la performance des engins de p che et des m thodes modifi es dans des conditions qui sont typiques des pratiques commerciales actuelles Il n est toutefois pas possible d valuer les taux de survie apr s remise l eau La survie apr s remise l eau sera valu e dans une deuxi me exp rience r alis e dans la baie Barkley C te Ouest de l le de Vancouver secteur 23 du 10 au 16 septembre C est le seul endroit o l on puisse valuer les taux de mortalit long terme apr s remise l eau Crit res pour les exp riences sur la mortalit des cohos apr s remise l eau Stock de cohos dont la conservation ne pose pratiquement pas de probl me Exp rience dans la zone jaune de conservation Stock de cohos provenant essentiellement d closerie Stock isol des autres stocks de cohos Possibilit de chiffrer les r cup rations de poissons marqu s apr s remise l eau Stocks
19. frappe des ballons pour la maintenir la hauteur voulue Elle est alors positionn e pr s de la barque pour le tri Quand il est certain que seules les esp ces recherch es se trouvent dansla cage elle est hiss e dans le bateau vivier qui transporte les poissons au port pour la transformation R sultats tant donn la conception particuli rement complexe et le fait que la proposition a t approuv e sur le tard il n tait pas pr vu de capturer des saumons cette ann e Nous avons effectu beaucoup d essais et de tests essentiellement pour arriver donner la trappe l apparence et le mode de fonctionnement que nous avions pr vus Tous les essais ont eu lieu dans les limites du port de Prince Rupert Nous avons r ussi capturer deux plies et un chabot ces poissons se trouvaient tous dans le cul de chalut ce qui tait tr s important Aspects op rationnels Avant l ajout des ailes la trappe tait facile man uvrer mais ne gardait pas bien sa forme moins d tre ancr e ou remorqu e doucement Avec l ajout des ailes elle tait difficile man uvrer mais gardait beaucoup mieux sa forme Il ne s agit pas simplement d une question de maintien en place Si nous avons des ailes d tachables elles seront plus faciles installer et enlever et le fait de pouvoir d tacher une partie des ailes ou les ailes au complet rendrait les man uvres plus faciles dans certaines situations Nous avons aussi
20. les moyens d ouvrir des possibilit s pour une flottille de fileyeurs mobile et adaptable La gestion des zones et des saisons de p che sera toujours l outil le plus efficace pour limiter les taux de rencontre des esp ces non vis es Les caract ristiques des engins et la dur e de mouillage peuvent influer sur les taux de mortalit figure 1 mais rien n est aussi efficace que le fait d viter les rencontres Il est tr s important que l industrie commerciale comprenne le concept de surveillance des captures et saisisse que c est la seule fa on dont nous pouvons influer sur notre aptitude capturer nos allocations de saumon rouge et de k ta Il est bien compr hensible que les p cheurs se plaignent d avoir un observateur bord ou d tre oblig s de faire des traits de 30 minutes seulement quand il n y a pas de cohos aux alentours mais nous devons prendre conscience d s aujourd hui de la n cessit de faire comprendre au public que nous ne capturons pas de cohos et que si nous en capturons notre taux de mortalit peut tre tr s faible Il me semble quitable d affirmer que si nous voulons atteindre nos objectifs de conservation il doit tre obligatoire dans tous les secteurs de rendre compte avec pr cision des captures Cette responsabilit ne repose pas seulement sur les paules du secteur commercial Partenaires pour la gestion Le d veloppement des partenariats de gestion avec le MPO et l
21. lourd et nou c est possible du fait que le sac n est plus remont sur la rampe comme les autres ann es 2 abaissement deux pouces du maillage du sac 3 15 grilles ovales faites de poly thyl ne haute densit constitu es de barres verticales espac es de deux pouces pour permettre aux cohos de s chapper ais ment et sans dommage 4 insertion des grilles dans le filet sans n ud pr s de la ralingue sup rieure et intervalles r guliers lestage du bas des grilles avec un peu de plomb pour les maintenir la verticale et 6 installation d un filet l ext rieur des grilles pour compter identifier et mesurer les poissons qui s chappent par les grilles un Constatations Voir annexe 3 1 Le filet sans n ud petit maillage de deux pouces plus l ger que le filet standard du sac a aide pr venir le maillage des poissons b cause moins de dommage au coho et aux autres esp ces 2 On observe que les grilles permettent l vasion de presque tous les petits saumons et d autres poissons de petite taille appartenant d autres esp ces p ex le maquereau et les sardines captur s pendant les essais peut tre 95 Il s agit l d une observation et non d une donn e statistique car la priorit tait au marquage et l chantillonnage du coho seulement 3 La priorit donn e l tiquetage et l chantillonnage ducoho n a pas permis l essai de se d
22. pourrait servir de point de d part une s ance de discussion Elle est certainement trop longue pour que nous l examinions tout de suite Mais pour ceux d entre vous qui ne seront pas aux s ances de discussion j aimerais conclure en examinant un seul facteur de progr s dans la p che s lective Financement 872k II n y a bien s r rien d tonnant ce que la plus grande partie du financement provienne de P ches et Oc ans Un int ressant choix de strat gies s offre nous Continuer puiser dans le puits le plus profond le MPO Ou diversifier notre portefeuille Nous devons certainement continuer investir dans la technologie de la p che s lective Pour cela il faut soutenir la sensibilisation la communication la coordination et les projets Et l valuation des stocks Et le Conseil pour la conservation Nous devons apprendre et rapidement quelles technologies fonctionnent le mieux et o Voil de la mati re pour une s ance de discussion J aurai grand plaisir collaborer avec tous les experts rassembl s dans cette salle Passons maintenant certains exemples sp cifiques d autres technologies ANNEXE 10 D veloppement de la p che s lective P CHES S LECTIVES DU FRASER CAPTURE DE POISSONS VIVANTS La capture s lective de poissons vivants sur le Fraser a commenc en 1994 le projet tait r alis par la Premi re Nation Katzie et la Fraser River Fishe
23. r duction de ce stress qui a t au c ur du plan de gestion de la derni re saison et qui sera l objectif de ce plan pour l avenir Le secteur de la tra ne a atteint certains de ses objectifs en instituant des techniques comme l emploi d hame ons sans ardillons ou ardillons cras s pour r duire les blessures et l espacement des engins ou des hame ons pour tenir compte des modes migratoires des diff rentes esp ces Ces pratiques ont permis de r duire un minimum encore jamais vu les prises accessoires d esp ces non vis es Ce qui reste toutefois implicite c est l effort et la volont chez chaque personne concern e de trouver une nouvelle fa on de p cher attitude indispensable si notre secteur veut garder sa place dans une p che saumoni re qui est encore une jungle La p che exp rimentale la tra ne de 1998 visait cet objectif Je ne voudrais pas m tendre sur le sujet pour le moment mais il semble que ce soit une foule de lubies administratives qui ont amen l interruption de l essai pour cause d absence de poisson c est un peu comme si on comparait des pommes et des oranges Il s agit dans ce cas d une mise en concurrence des exploitants potentiels du saumon de l avenir l aide d un jalon qui a t impos sur le plan de la manutention et qui ne correspond en rien la r alit Par exemple notre secteur soutient que la lib ration d un poisson pris avec un hame on sans
24. 2W et Centre Jaune lt 1 0 lt 1 Tra ne s lective Masset Rouge 0 0 Totaux 31 0 51 ANNEXE 6 CAPTURE S LECTIVE DANS LA P CHE COMMERCIALE DU SAUMON AU FILET MAILLANT EN COLOMBIE BRITANNIQUE document pr par par Les Rombough Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon Pr sident de l Association des saumoniers fileyeurs du secteur D Pour r pondre aux exigences de la p che s lective le secteur des saumoniers fileyeurs de Colombie Britannique avait un grand d fi relever Depuis plus d un si cle les filets maillants sont utilis s grande chelle sur la c te pour capturer le saumon cause de la s lectivit qui les caract rise Leur aptitude tre s lectifs par la taille permettait aux filets maillants d tre tr s efficaces pour cibler certaines remontes donn es et permettait d viter les saumons juv niles et immatures ce qu aucune autre m thode n autorisait Il y avait toujours des prises accessoires d esp ces non vis es aux filets maillants mais tant donn les inqui tudes croissantes suscit es par les stocks de saumons arc en ciel et de quinnats et le plan de gestion du coho de 1998 il est devenu vident que les fileyeurs devraient modifier leur fa on de fonctionner s ils voulaient survivre dans ce secteur La transition vers la s lectivit a t difficile pour les fileyeurs car elle demande un changement fondamental cibler une esp ce viter l
25. 48 995 386 668 F maillant S total 1 A 1 Do 463 417 13 348 086 3 818 828 625 0 002 Total p che commerciale 19 448 6 868 1266917 103 929 2 070 947 6 707 3 448 500 0 006 Les estimations pr liminaires pour 1998 de la mortalit totale de coho par secteur pour la C te Sud dans les zones rouge et jaune apparaissent l annexe un Note Tous les chiffres sont provisoires 24 octobre 1998 et seront appel s changer quand toutes les p ches seront ferm es 2 ETUDE SUR LA SURVIE APRES REMISE A L EAU Baie Barkley C te Ouest de l le de Vancouver Pr sentation Brent Hargreaves chef de projet P ches et Oc ans Canada Description du projet L tude sur la survie apr s remise l eau est un essai de 7 jours men dans la baie Barkley en septembre 1998 et qui faisait appel sept senneurs et six fileyeurs Une autre exp rience de cinq jours pour le secteur de la p che la tra ne qui faisait appel six ligneurs a t men e la quatri me semaine de septembre Le fait que l exp rience n ait pas t r alis e dans un contexte de p che commerciale a toutefois constitu un cueil important pour le projet Objectifs du projet 1 faire des essais de nouvelles techniques de p che et d engins plus s lectifs 2 valuer les effets des taux de survie long terme des cohos qui sont remis l eau vivants par les bateaux de p che commerciale apr s exposition des engins de p che et des m
26. Alberni De la pointe Ten Mile au ruisseau China Dur e des essais de 7 h 18 h 30 chaque jour 5 Esp ces vis es coho et fortes prises accessoires de saumon rouge 5 Nombre total de traits 61 Captures 42 k tas 212 quinnats 11 saumons arc en ciel 3 saumons atlantiques 4 370 saumons rouges et 1 660 cohos Salabarde chaussette 42 pouces de diam tre int rieur Nous n avons eu que quelques modifications mineures apporter la salabarde La partie chaussette tait trop longue et nous l avons r duite pour qu elle s adapte bien au bac de tri La partie de filet tait mal accroch e au cerceau ce qui faisait s chapper une quantit excessive d eau au moment du hissage du poisson bord de sorte que le poisson tournait dans la chaussette avant de se d verser dans le bac de tri Nous avons modifi la salabarde en alignant le filet sur le cerceau et en serrant davantage le filet pour qu il retienne plus d eau Apr s ces modifications la salabarde a donn de bons r sultats dans les conditions m t orologiques que nous avons connues M me les jours de vent aucun probl me ne s est pos La salabarde soulevait environ 600 700 Ib de poissons Aucun poisson ne pr sentait de signes de l sions ni de pertes d cailles le volume d eau soulev avec le poisson tait suffisant pour permettre au premier tiers des poissons de nager jusque dans le bac de tri De plus les poissons entraient plus
27. CAPTURE PAR M THODE Tra ne TOTAL PAR M THODE M thode BATEAU Morts Total mortalit captures P CHE D ESSAI pas de tuyaux poissons tourdis marqu s et remis l eau directement Gentle Breeze 0 102 0 0 pas de tuyaux poissons tourdis marqu s et remis l eau directement Sherry C a commenc employer des tuyaux a un vivier Gentle Breeze 1 69 14 pas de tuyaux mais un vivier Sherry C VIVIER poisson transf r l puisette dans le vivier du ligneur tourdi marqu et remis Gentle Breeze 3 105 2 9 dans le vivier jusqu au moment o il est plac dans le tuyau pour le transfert au Sherry C parc par chaland PAS DE VIVIER Le poisson est pris l puisette et d pos directement sur la grille tourdi Porlier Princess 4 40 10 0 marqu et plac dans le tuyau pour le transfert vers le parc par chaland Vera 3 T MOIN Le poisson est pris l puisette et vers dans le vivier sur la barque non tourdi puis marqu et transf r au parc par la barque Dori Louise 3 64 4 7 Nina Ellen TOTAL 11 380 2 9 e ANNEXE 3 SENNE Efficacit des grilles s paratrices dans un sac de filet l ger sans n ud La probabilit de r tention c est dire le taux indiqu le long de l axe des Y dans les graphiques ci dessous donne la probabilit que les poissons soient retenus dans une certaine plage de longueur Les donn es sont insuffisantes pour permettre de tr
28. ES Annexe 1 Rencontres de cohos et mortalit s dans les p ches commerciales de la C te Sud r sultats provisoires Annexe 2 tude sur la survie apr s remise l eau essais de 1998 dans la baie Barkley r sultats provisoires Annexe 3 Senne Efficacit des grilles s paratrices dans un sac de filet l ger sans n ud Annexe 4 Senne Conception des salabardes Annexe 5 Senne Exp rience de p che la senne sur la C te Nord Annexe 6 Filets maillants Exp rience de p che aux filets maillants dans la baie Barkley Annexe 7 Filets maillants P che au filet gueule dans le Fraser Annexe 8 Tra ne C te Ouest de l ile de Vancouver Annexe 9 Projets des Premi res Nations Aper u des activit s de p che s lective des Autochtones Annexe 10 Projets des Premi res Nations P che s lective sur le Fraser Annexe 11 Autres engins Trappe flottante saumon C te Nord Annexe 1 C te Sud Pr sentation Rencontres de cohos et mortalit s R sultats provisoires au 24 octobre 1998 Bill Shaw biologiste gestion des p ches P ches et Oc ans Canada R SULTATS PROVISOIRES R sum de la mortalit totale du COHO en 1998 par secteur pour la C te Sud Note Les estimations vont jusqu la fin de la semaine statistique 10 4 24 octobre 1998 P CHE DANS LA ZONE JAUNE Total des rencontres de cohos Estimation des mortalit s de cohos P che commerciale 19 448 6 868 P che s
29. LA P CHE S LECTIVE DU SAUMON Colombie Britannique Rapport de l atelier technique La p che s lective du saumon 4 et 5 novembre 1998 Richmond C B Image Colombie Britannique La p che s lective du saumon Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon Organis par le Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon parrain par P ches et Oc ans Canada et Fisheries Renewal B C Pr par par le Secr tariat du Comit technique de l industrie Rapport pr par par Le Secr tariat Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon 1998 Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon 1401 675 West Hastings Street Vancouver C B V6B 1N2 Canada T l phone 604 684 4493 T l copieur 604 684 4339 AVANT PROPOS tant donn les restrictions sans pr c dent qui ont t impos es pour prot ger les stocks critiques de coho pendant la saison de p che de 1998 l exploitation commerciale du saumon conna t une transformation radicale Dans son combat pour r inventer sa pratique l industrie a fortement att nu son impact sur les esp ces non vis es en r duisant les interceptions et les mortalit s de coho Le secteur commercial de la Colombie Britannique a pris la t te des efforts de r tablissement des stocks de coho Pour cela les p cheurs con oivent et m nent des projets pilotes sur les techni
30. M thode T moin Vivier Pas de vivier Mortalit la capture 4 7 2 9 10 0 Mortalit dans le parc 11 1 12 9 23 1 Mortalit totale 15 8 15 8 33 1 Calcul de z 0 0 1 5 niveau de confiance 95 z 1 96 Conclusion Aucune des m thodes ne donne de r sultats significativement diff rents de la m thode t moin b Filet maillant t moin et autres m thodes Mouillage de 30 minutes Mouillage de 60 minutes Taux d armement 2 15 1 2 15 1 2 0 1 2 3 1 2 5 1 2 1 2 3 1 30min 45min 60min Mortalit la capture 168 15 20 176 83 65 168 96 176 Mortalit totale 432 35 54 398 145 116 432 234 398 Taux de mortalit 38 9 429 37 0 442 572 56 0 389 41 0 44 2 Calcul de z 0 5 0 3 2 7 2 3 0 5 1 6 Note mortalit la capture seulement ne comprend pas la mortalit dans le parc Conclusions 1 Pour un mouillage de 30 minutes les taux de mortalit pour des taux d armement de 2 3 1 et 2 0 1 ne sont pas significativement diff rents du t moin 2 15 1 2 Pour un mouillage de 60 minutes les taux de mortalit pour les taux d armement de 2 0 et 2 3 sont significativement plus lev s qu avec le taux d armement de 2 15 3 Pour le taux d armement de 2 15 les taux de mortalit pour les mouillages de 45 et 60 minutes ne sont pas significativement diff rents du r sultat du mouillage de 30 minutes c Senne t moin et autres m thodes Sac modifi Salabarde Salabarde M
31. T MORTALIT S C TE SUD 10 2 tude sur la survie apr s remise l eau 11 3 PROJETS CONCERNANT LA SENNE 14 Efficacit des grilles s paratrices install es dans un sac 14 Senne pompe Silkstream et salabarde tanche sise 15 Concepuon d la Salabard s nes ner E Sr nr ne ER Re nie 15 Sene ep reee d l CGte NOT SR RE tee Re er ne ne A 16 4 FILETS MAILLANTS 17 Essai de filets maillants dans la baie Barkley see 17 Fil t sueule dans l Fraser rit dd dd tn Si a ee dde don d ent Pet ent eee 18 5 TRA NE 19 6 PROJETS DE PREMI RES NATIONS 20 Tourniquets A E S S S S AEE ST 21 Projets de p che s lective sur le Fraser sise 22 7 AUTRES ENGINS 23 Frappe flottante saumon C t Nord sspe a e nt te nr 23 Trappe d p che n mer TiSOU kRE Mn nt Qt Te ne rt en rene E nero S 24 Fraser Rives Fish rmen Societyssa ET tn tte R AP AEE P S A Seine 24 II RAPPORTS DES S ANCES DES GROUPES DE TRAVAIL seen 25 GROUPE DE TRAVAIL SUR LA SENNE 25 FILETS 25 SALABARDES 25 TECHNIQUES DE GESTION OU DE P CHE 29 AUTRES MESURES DE S LECTIVIT 26 SOMMAIRE POUR LA DIRECTION L atelier technique La p che s lective du saumon tait ouvert l industrie de la p che du saumon aux Premi res Nations aux gestionnaires des p ches et aux scientifiques aux technologues et aux autres personnes int ress es la p che du saumon Il y eu pr sentation des r sultats pr liminaires
32. a R gion du Pacifique l atelier tait parrain par P ches et Oc ans Canada et par Fisheries Renewal B C Le pr sent rapport a t pr par par le secr tariat du Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon en vue de r sumer les expos s pr sent s l atelier sur les projets concernant la s lectivit des engins et les tudes sur la survie des poissons entreprises pendant la saison de p che de 1998 ainsi que l apport des participants ces projets et les orientations de la recherche future sur la s lectivit 1 Grilles s paratrices dans le sac de la senne 2 Trappe flottante saumon de la C te Nord CONTEXTE Le Comit technique de I industrie sur la p che s lective du saumon Au printemps 1998 les p cheurs commerciaux de saumon de la Colombie Britannique dans les secteurs de la p che la senne la tra ne et au filet maillant ont cr le Comit technique de Hindustrie sur la p che s lective du saumon Douze organismes uvrant dans le domaine ainsi que des membres de P ches et Oc ans Canada et du minist re des P ches de la Colombie Britannique y sont repr sent s Ce Comit est issu de la volont des p cheurs de s organiser entre eux afin de r agir aux principales pr occupations concernant le saumon du Pacifique en particulier la protection des stocks de coho durant la saison 1998 et celle du saumon arc en ciel qui suscite une inqui tude grandissante Les o
33. a rend difficile man uvrer La forme de l aile rend la man uvre difficile par vent fort Le bateau a aussi eu des difficult s maintenir la forme de la trappe ouverte par vent de travers Pour r gler ces probl mes on continuera examiner la conception de la trappe et la possibilit de la munir d ailes d tachables et ou de mettre au point une m thode permettant de retirer les ailes en totalit ou en partie Pour r duire le stress subi par le poisson on envisage de remplacer pour le transfert du poisson du pi ge au bateau de transport le salabardage ou le pompage par une m thode qui permettrait de maintenir le poisson dans l eau jusqu au moment de la transformation Trappe de p che en mer T Sou ke Pr sentation David Lightly Premi re Nation T Sou ke Une pr sentation de diapositives illustrait le fonctionnement de cette trappe Fraser River Fishermen Society FRFS Pr sentation Barry Manuck Fraser River Fishermen Society Description du projet Exploitation d une senne de plage sur le Fraser dans le parc Derby Reach Fort Langley Il s agit d un projet r alis en partenariat par les Premi res Nations Khatzie et Kwantlen et la Fraser River Fishermen Society Objectif du projet Tester la faisabilit d utilisation d une senne de plage de 900 pieds pour la capture s lective du k ta et la remise l eau vivante des esp ces non vis es Les essais ont t men s avec une barque
34. acer une courbe logistique car l exp rience a t limit e la mesure de la capacit de survie des cohos chapp s Le Comit technique sur la s lectivit a l intention de mener le projet conform ment aux protocoles en 1999 pendant la p che commerciale Nous avons toutefois une bonne indication que tous les juv niles de moins de 57 cm de longueur s chappent par les grilles ce qui confirme les observations visuelles ANNEXE 4 CONCEPTION DES SALABARDES Pr sentation Glen Budden SALABARDE COMBIN E ACCROCHAGE LAT RAL Description Cette salabarde permettra de lib rer les poissons plus d licatement dans le bac de tri en liminant la n cessit d exercer une pression de 150 1b pour lib rer la but e La salabarde enti re sera d pos e dans le parc de tri la poche sera d tach e puis les poissons sortiront par la manche de vinyle La perte d cailles est r duite par l emploi de vinyle dans la portion inf rieure de la salabarde et par l limination des lignes int rieures de boursage La m thode de lib ration r duit la pression et le traumatisme pour les poissons Les poissons restent dans l eau plus longtemps Cette conception limine aussi la n cessit de certains mat riels co teux Sp cifications 36 pouces de diam tre int rieur Bourse accroch e l ext rieur Sur 40 pouces le sac et la chaussette sont faits de tissu de polyester renforc recouvert de chlorure de polyvinyl
35. aient constitu s de nappes de 90 mailles de c bl Alaska avec un maillage de 4 La seule diff rence entre les trois filets tait le taux d armement Le filet t moin avait un taux d armement de 2 15 1 et les deux autres 2 1 et 2 3 1 Ici encore chaque bateau a travaill avec chaque filet pendant un tiers du temps de l exp rience Les premiers r sultats sur la mortalit sont pr sent s aux tableaux 1 et 2 et bien que la ventilation exacte des diff rences dans la mortalit entre les trois taux d armement et les trois dur es de mouillage ne soient pas encore disponibles nous avons suffisamment de donn es pour avoir une id e de ce que l emploi de diff rentes techniques peut apporter dans une p che aux filets ma llants Selon les premi res indications les fileyeurs peuvent r duire leurs prises accessoires et accro tre le taux de survie des poissons remis l eau Outre les diff rences r ellement observ es dans les rencontres et les mortalit s avec les diff rentes dur es de mouillage et les diff rents taux d armement il est devenu de plus en plus vident que les techniques de manutention utilis es par les p cheurs jouaient un r le tr s important dans les taux de survie Chaque p cheur avait personnellement int r t obtenir les meilleurs taux de survie possibles pour son bateau et il tait tr s gratifiant de voir que les techniques de chacun se sont am lior es de fa on spectaculaire entre le premier et l
36. ardillon directement dans l eau est la seule mesure valide Le probl me c est qu il fallait maintenant mesurer cette m thode Revenons aux lubies administratives Il a t signal que le fait de manipuler un saumon cinq fois au cours d une exp rience et d utiliser ces chiffres comme base pour mesurer les impacts futurs de la p che ne sont pas acceptables pour notre secteur Donc l interruption pr matur e de l exp rience de l an dernier aura peut tre eu des effets positifs car elle acc l re la courbe d apprentissage pour tous on peut maintenant mettre l accent sur les le ons ainsi apprises et l expansion de ces exp riences pourrait se poursuivre tout au long de l ann e de fa on ordonn e Je serais heureux d entendre les critiques positives et la contribution des membres lors de la s ance de discussion o tous les int ress s pourraient examiner la situation et parler de pr visions WILF CARON au nom de l Association des ligneurs du secteur G WEST COAST SUSTAINABILITY ASSOCIATION NCN WCVI REGIONAL AQUATIC MGMT SOC 4 novem bre 1998 RICHMOND C B ANNEXE 9 Orr Rapport de la BCAFC sur la p che s lective autochtone 6 Projets des Premi res Nations Survol des activit s de p che s lective autochtone Tourniquets Nass Skeena Fraser Klinaklini le de Vancouver Nass Les Nisga a utilisent 4 tourniquets pour la capture et l valuation des stocks Si quelqu un che
37. bjectifs du Comit sont les suivants identifier des modifications qui permettraient d am liorer la s lectivit des engins de p che actuellement utilis s tester et valuer des techniques s lectives trouver des m thodes permettant d assurer la remise eau en vie de toute prise accidentelle d esp ces qui posent des probl mes de conservation En juin 1998 pour tenter de r soudre ces probl mes le Comit a soumis au ministre des P ches et des Oc ans un plan tal sur plusieurs ann es plan qui pr voit certaines exp riences de s lectivit des engins de p che visant trouver des solutions pour am liorer les technologies et les pratiques de r colte Ce plan a d bouch sur un partenariat avec P ches et Oc ans Canada et son secteur des Sciences afin de mettre en place des projets de p che s lective et d effectuer des tudes sur la mortalit des poissons au cours de la saison de p che 1998 Le Code de conduite canadien sur les pratiques de p che responsable Le plan pluriannuel soumis par le Comit technique de 1 industrie est en accord avec le Code de conduite canadien sur les pratiques de p che responsable L appui accord aux travaux de s lectivit a t inscrit dans les principes et les lignes directrices qui r gissent ce Code tabli par I industrie M me si ce Code couvre tous les aspects de I activit de p che c est dire le rejet s lectif la perturbation des fonds marins la p che fant me e
38. cipalement pour capturer les exc dents de g niteurs et elle les utilise en combinaison avec des tourniquets et des filets maillants Les Katzie les Kwantlen et la Fraser River Fishermen Society m nent un programme de p che la senne de plage sur le Fraser Fort Langley Les Matsqui vont lancer leur projet de p che la senne de plage apr s l atelier Les sennes de plage sont utilis es depuis longtemps par les Chehalis l embouchure de la rivi re Chehalis et les Tzeachten poss dent une exploitation rentable de p che la senne de plage Les autres engins envisag s sont des carrelets les harpons et les filets sacs On souligne que l investissement doit se poursuivre dans la technologie de la p che s lective Il est prioritaire de d terminer quelles sont les technologies qui fonctionnent le mieux et o on peut les mettre en uvre Le financement la sensibilisation l ducation la coordination la communication et la formation jouent un r le essentiel pour la poursuite des travaux sur la s lectivit Tourniquets Pr sentation Susan Anderson Behn L expos fait un bref historique de l utilisation du tourniquet par la Premi re Nation Yale Le projet de 1998 qui a commenc le 31 ao t avec une s ance de formation de l quipe tait ax sur la gestion du poisson l valuation des stocks et la p che dans le Fraser L valuation des stocks comportait les l ments suivants e d nombrement seuleme
39. court e Fn tout temps un seul bateau parmi le groupe peut p cher Pour les besoins de ce plan on entend par p cher la p riode coul e entre le moment o les flotteurs descendent sur 1 arri re du bateau et celui o la senne est bours e et les anneaux sont remont s e Une fois les anneaux remont s le deuxi me bateau du groupe peut se mettre p cher Le premier senneur dispose alors de tout le temps n cessaire pour trier les poissons sans avoir se presser pour remettre la senne l eau Dans tous les cas les poissons doivent tre tri s avant que le bateau ne puisse p cher nouveau e Pour p n trer dans la zone rouge les bateaux doivent avoir les cales vides c est dire qu ils ne peuvent transporter du poisson provenant d autres zones e Les vaisseaux doivent d barquer les poissons captur s dans une zone rouge avant de pouvoir p cher ailleurs Tous les bateaux participant cette p che veillent ce qu un observateur soit en place pour surveiller cette tape Le conseil peut se r unir divers moments pour r aliser les t ches suivantes e Revoir la performance des groupes qui p chent Si un groupe sp cifique ne respecte pas les normes lev es exig es dans les zones rouges le conseil peut recommander au MPO qu on lui refuse 1 acc s Des sanctions peuvent aussi tre prises contre le bateau fautif comme I interdire de p che dans toutes les zones rouges en 1998 ou pour les prochaines ann es tan
40. de poissons l embouchure de la Chehalis Tzeachten Le chef Ken Malloway est en train de devenir un expert de la senne de plage AUTRES Carrelet harpons filets poche sans conteste les meilleures m thodes Orr Rapport de la BCAFC sur la p che s lective autochtone Comment faire progresser la p che s lective Financement Sensibilisation et ducation Incitatifs Coordination et communication Formation R glement des conflits e J aimerais conclure sur quelques mots concernant les moyens de faire progresser la p che s lective e N oubliez pas que nous sommes tous dans le m me bateau e Si nous voulons r ellement progresser et accro tre la s lectivit quels sont les outils n cessaires pour maintenir et peut tre m me augmenter notre courbe de progression Ou encore quels sont les facteurs que nous devons viter si nous ne voulons pas tomber dans le n gatif e La liste ci dessus n est pas irr aliste Elle comporte divers points qui affectent fortement notre aptitude mettre en uvre une p che s lective e Facteur vident Le financement ou les carences de financement la sensibilisation et l ducation Les incitatifs toutefois peuvent signifier plus que de l argent Les incitatifs sont li s aux allocations la publicit la reconnaissance la concurrence au d fi au style de vie La coordination et la communication jouent aussi un r le essentiel C est une liste qui
41. e Produit de Ennis Fabrics Sampson 18 5 oz SALABARDE N 4 SALABARDE ACCROCHAGE LAT RAL no trip block required pas besoin de but e stay hauban hoop cerceau handle manche outside side purse bourse accroch e sur le c t 2 knotless filet sans n ud de 2 non porous material mat riau non poreux NDOJA W D VALUATION DE LA SALABARDE COMBIN E ACCROCHAGE EXT RIEUR Objectif L valuation de la salabarde combin e accrochage ext rieur a eu lieu du 10 au 17 septembre Le but de l valuation tait d tudier la mortalit des cohos que nous avons marqu s et remis l eau l aide de cette salabarde Zones Secteur statistique 23 du MPO sous secteurs 1 et 2 canal Alberni De la pointe Ten Mile au ruisseau China 5 Les essais ont dur de 7 h 18 h 30 chaque jour 5 Esp ces vis es saumon coho avec de fortes prises accessoires de saumon rouge Capture 59 k tas 269 quinnats 10 saumons arc en ciel 3 saumons atlantiques 7 142 saumons rouges et 2 381 cohos Salabarde combin e accrochage ext rieur 36 pouces de diam tre int rieur Aucune modification ni ajustement n tait n cessaire les essais pr alables avaient limin tous les probl mes Voici la r action du capitaine qui a utilis la salabarde pendant les sept jours de l essai J ai utilis un nouveau type de salabarde tanche dans une p che exp rimentale dans le bras de Port Alber
42. e on est d accord avec la suggestion des fileyeurs qui proposent qu une quipe mobile d observateurs surveille tous les engins et tous les secteurs 2 Viviers e Opinion unanimement favorable e Aspects critiques temp rature de l eau d bit et teneur en oxyg ne 3 Livres de bord et rapports radio e Fn 1998 les exigences taient plut t excessives on pourrait utiliser les t l phones cellulaires car les donn es en temps r el sont n cessaires pour accro tre le temps de p che AUTRES COMMENTAIRES 1 Application des r glements Certains membres pensent qu en 1998 le personnel du MPO a t un peu trop z l certains agents avaient le pistolet la main ou la main sur l arme lorsqu ils montaient bord des bateaux de p che Les p cheurs soulignent qu ils ne sont pas lennemi les agents d application devraient se rendre compte que les senneurs veulent p cher de fa on s lective par exemple si on trouve un seul coho dans la cale les agents pourraient tant dans leur comportement que dans la sanction prise montrer qu ils reconnaissent les efforts d ploy s pour bien g rer la ressource 2 Co ts En g n ral on s inqui te de la justification conomique des mesures de p che s lective TRAVAUX COMPL MENTAIRES Grilles s paratrices couleur et s curit Filets sans n ud pour les sacs des sennes r gler le probl me des sacs qui se d font 3 Programme des observate
43. e Nord tude pr liminaire sur l emploi d une trappe saumon par Fred Hawkshaw octobre 1998 Mes partenaires dans ce projet ma femme Linda Clarence Nelson Harvey Russell Marty Dudoward et Kristy Reece Ce rapport survole et r sume les activit s concernant la conception la construction la compr hension et les efforts de mise en service d une trappe flottante d rivante ou fixe saumon qui semble tre un engin efficace sur le plan de la s lectivit Nous trouvons les possibilit s de cette technique tr s prometteuses pour la p che commerciale au saumon sur les c tes de la Colombie Britannique Notre intention est de capturer s lectivement les esp ces vis es pour les transporter vivantes jusqu au port tout en lib rant les esp ces qui sont jug es non d sirables Les esp ces p ch es localement sont le saumon rouge le saumon rose le k ta le saumon arc en ciel et le coho Description de l engin e deux ailes 300 pi de longueur X 30 pi de hauteur e une trappe compos e de 3 barri res conductrices qui am nent le poisson dans une chambre armature rigide en surface e une cage ou plus de tri qui est attach e l arri re de la chambre par une barri re conductrice en entonnoir ins r e dans la cage e pour le moment trois embarcations pour le transport du poisson vivant e une barque hareng pour mouiller et relever la trappe e une ou deux barques pour travailler autour de la trappe
44. e dernier jour de l exp rience Il est aussi devenu vident que dans une p che commerciale la mortalit se produit vraisemblablement dans les 30 secondes qui s coulent entre le moment o le poisson sort de l eau et celui o il est plac dans un vivier En d autres termes les techniques de manutention vont jouer un r le norme dans notre capacit participer un programme de capture avec remise l eau L un des grands d fis de la p che aux filets maillants consistera convaincre les p cheurs de l importance d utiliser les meilleures techniques possibles de manutention et de r animation des poissons Comme le montrent bien les chiffres sur la mortalit notre filet n est vraiment pas le mur de la mort et les premi res donn es indiquent que nous pouvons adapter nos engins et nos m thodes de p che pour soutenir la concurrence commerciale dans une p che s lective Surveillance des captures Personne ne peut nier le fait que le meilleur outil du secteur des fileyeurs est la possibilit d viter les esp ces non vis es Les filets maillants ont d j un taux tr s faible de rencontre des esp ces non vis es et doivent dans l avenir mener leurs activit s de fa on r duire encore ces taux de rencontre Cela n est possible qu avec la mise en place d un programme pr cis et cr dible de surveillance des captures Une surveillance en temps r el peut donner l industrie et la gestion
45. e les engins ou les m thodes de p che actuelles si on ne peut pas confirmer que ces modifications rendent r ellement plus efficaces les engins de p che ou les m thodes en r duisant les prises accessoires et ou en am liorant la survie apr s remise l eau des cohos et des autres esp ces en p ril e Les tudes scientifiques qui seront men es vont permettre d valuer 1 Les taux r els de rencontre des cohos et des quinnats pour les filets maillants et les lignes de tra ne 2 L utilit des crit res de condition cinq niveaux qui ont t not s par les observateurs du MPO en 1997 et 1998 pour les saumons remis l eau vivants par les bateaux de p che commerciale 8 L utilit de la pr sence obligatoire de viviers pour accro tre les taux de survie 4 Les taux de mortalit apr s remise l eau court terme et long terme pour au moins une des modifications des engins et des m thodes indiqu es plus haut 5 Le succ s de reproduction et la fiabilit des ufs et de la laitance de saumon apr s remise l eau Le taux r el de rencontre des cohos avec les engins modifi s sera d termin pour les filets maillants et les lignes de tra ne par comparaison avec les taux simultan s de captures not es dans la m me r gion avec les sennes poche On d terminera l am lioration de la s lectivit des engins de p che en comparant les captures relatives et les taux de survie avant remise l eau
46. e recourir au salabardage quand le mauvais temps ou la taille du bateau sont d favorables par exemple si le nombre de cohos est minimal un trait de faible volume pourrait tre remont sur la rampe au lieu d tre salabard 2 Pompage Les membres s entendent pour reconna tre que le syst me de transfert par pompage co te trop cher et n est pas une solution court terme Il ne s applique pas tous les bateaux de la flotte de senneurs De plus il faut consid rer plus long terme la dimension de la commercialisation des prises TECHNIQUES DE GESTION OU DE PECHE 1 Exploitation en quipe Zones 3 et 4 L acc s cette p che suscite un d bat Pour certains le projet a commenc trop tard et toutes les personnes int ress es n ont pas pu y participer Pour l un des membres ce sont seulement quelques privil gi s qui ont eu le pas sur les autres On s entend toutefois pour reconna tre que l exploitation en quipe pourrait fonctionner si les pr occupations concernant l acc s la p che taient r gl es AUTRES MESURES DE SELECTIVITE 1 Programme des observateurs e Si certains membres du groupe de travail sont d avis que les p cheurs devraient jouer un r le dans le programme des observateurs la majorit pensent que ce programme devrait tre ind pendant des p cheurs e Le groupe de travail souligne que tous les observateurs doivent tre capables d identifier les esp ces e Dans l ensembl
47. e saumons rouges tout en maintenant une mortalit minimale sur les esp ces non vis es Bien que le filet de c bl Alaska se soit comport exactement comme nous l avions esp r et ait rapport deux fois plus de saumons rouges que le filet standard nous avons aussi observ nettement que les diff rentes configurations des filets allaient avoir un effet sur le taux de rencontre des esp ces non vis es Plus pr cis ment alors que les rencontres de cohos ont augment peu pr s dans les m mes proportions que celles de saumons rouges la proportion des rencontres de quinnats et de saumons arc en ciel a chut Il semble que les poissons de grande taille incapable de se mailler ne se prenaient pas dans les filets de c bl Alaska plus raides aussi facilement qu ils le faisaient dans le filet standard multibrins On a observ le m me ph nom ne avec l interception des oiseaux marins Cette baisse du nombre de rencontres n a pas t jug e scientifiquement valide par le Minist re du fait que les chiffres taient tr s bas mais les r sultats semblent vidents au niveau de l utilisation des filets Un des aspects les plus frustrants pour les fileyeurs vient du fait que chacun d entre eux sait bien que la p che commerciale aux filets maillants capture en fait tr s peu d esp ces non vis es Toutefois l impression que le taux de mortalit des poissons remis l eau est tr s lev e l image d favorable s
48. es accessoires de saumons arc en ciel Les filets ont t autant que possible mouill s en rotation de fa on que chacun ne p che pas tout le temps dans le m me secteur tant donn la faible abondance de cohos cette ann e j ai limit la dur e de mouillage 20 minutes ou moins pour r duire au minimum les mortalit s et les probl mes avec les phoques Nous avons commenc utiliser ces filets la semaine se terminant le 4 octobre 1977 et nous avons pu p cher au maximum 5 jours par semaine ou jusqu l atteinte du quota hebdomadaire Les limites de capture et les prises r elles sont indiqu es ci dessous Semaine se terminant le Prises maximales de k tas Nombre de k tas captur s 4 octobre 255 17 11 octobre 270 273 3 remis l eau 18 octobre 210 210 25 octobre 245 248 3 remis l eau 1 novembre 200 213 13 remis l eau 8 novembre 185 185 15 novembre 135 10 Les captures totales de k tas sont les suivantes Le filet standard p chant pendant 3 308 minutes a captur 590 k tas m les 116 k tas femelles Le filet modifi p chant pendant 2 663 minutes a captur 375 k tas m les Nombre pond r selon le temps 476 75 k tas femelles Nombre pond r selon le temps 106 Nombre total de cohos captur s Filet standard 159 Filet modifi 67 Nombre pond r selon le temps 69 Nombre total de quinnats captur s Filet standard 39 Filet modi
49. es mat riaux qui taient peu pratiques Nouveaux mat riaux Dans les tourniquets d aujourd hui on emploie des mat riaux qui sont consid rablement plus solides et plus polyvalents Filets qui respectent les poissons Pour remettre l eau les stocks de poissons non vis s en leur infligeant le moins de dommages possible nous utilisons pour les paniers des tourniquets du filet sans n ud C est ainsi que nous r duisons la perte de mucus et d cailles chez toutes les esp ces de poissons Vous remarquez que les glissoires d agglom r ont t remplac es par du tuyau de PVC qui est beaucoup plus lisse Un concept adaptable Ce tourniquet prototype de style Kitslas a t adapt pour l exploitation sur le Fraser par la Premi re Nation Lakahahmen dans le cadre d un contrat pass avec le minist re de l Environnement des Terres et des Parcs de la Colombie Britannique PARTICIPANTS CE PROJET Premi re Nation Lakahahmen Premi re Nation Skway Premi re Nation Squialla Premi re Nation Matsqui Minist re de l Environnement des Terres et des Parcs de Colombie Britannique D partement de g nie m canique de l Universit de Colombie Britannique Fraser River Fishermen Society J O Thomas and Associates Catherwood Towing Ltd Macs Towing Volontaires Modifications venir dans la conception des tourniquets 1 Utilisation d un moteur quand la vitesse de l ea
50. es rencontres d esp ces non cibl es et participer un programme de remise l eau des poissons vivants Projet de p che s lective Le projet de p che aux filets maillants mis de l avant pour 1998 par le Comit technique de l industrie visait mener des exp riences de s lectivit suivant les nouveaux protocoles qui permettent de valider scientifiquement les r sultats Il a t d termin que les domaines o on peut am liorer la s lectivit d une p che aux filets maillants sont limit s maillage type et taille du fil taux d armement longueur et hauteur du filet dur e du mouillage Le projet du Comit technique de l industrie vise mener des exp riences dans tous ces domaines pour fournir des donn es scientifiquement d fendables quant au niveau optimal de s lectivit qu on peut atteindre L approbation a t accord e pour examiner deux de ces variables cette ann e le taux d armement et la dur e de mouillage les autres devant tre examin es l ann e prochaine D troit de Johnstone L Association des fileyeurs du secteur D a men une p che pilote pendant la saison 1997 de p che au saumon rouge dans le d troit de Johnstone pour comparer l utilisation d un filet de c bl Alaska de 90 mailles celle d un filet standard multibrins de 60 mailles Le premier objectif de cet essai tait d am liorer la possibilit pour les fileyeurs de rapporter leur allocation d
51. et aider trier le poisson e une puisette e un syst me de refoulement pour faire entrer le poisson dans la cage de tri de l arri re etc e une ancre marine Discussion Cet engin peut tre ancr dans un endroit strat gique et tre tr s efficace Toutefois de par sa conception chalut il pourrait tre tr s efficace comme trappe d rivante Toute la tension de la mise en place de la trappe s exerce sur la ralingue plomb e de sorte que quelle que soit l action du courant la trappe va garder sa forme En d autres termes plus on tire sur la trappe pour la remorquer ou plus le courant est fort mieux elle garde sa forme Comme un filet maillant cet engin d pend en quelque sorte de la force du courant pour garder sa forme Si le courant qui touche un filet maillant est trop fort la ralingue plomb e va se soulever et si on remorque un filet maillant la nappe de filet va tre distordue Les poissons sont dirig s vers la trappe par les ailes et se retrouvent dans une chambre armature solide en surface l arri re de la trappe Nous avons l une cage rattach e par un entonnoir de filet cadre solide 1 pi X 3 pi ins r dans la cage par une ouverture sp cialement adapt e Les poissons restent alors nager dans cette cage jusqu au moment du tri On d tache alors la cage on l loigne de la trappe en la remorquant et on la remplace par une autre cage On soul ve alors de 4 pieds la premi re cage et on y
52. facilement dans la salabarde du fait qu il n y avait pas de c ble de boursage ni de crochet Suivi mise l essai de la salabarde dans des conditions commerciales en pr sence de houle ou si des m duses ou d autres types de prises accessoires sont pr sents modification de la chaussette qui doit mieux s arrimer au bac de tri ANNEXE 5 Exp rience de p che la senne sur la C te Nord Pr sentation Dave Peacock PLAN EXP RIMENTAL DE P CHE S LECTIVE LA SENNE POUR LA ZONE ROUGE SECTEURS 1 3 4 ET 5 Ce plan de p che est con u pour la saison 1998 il ne doit pas faire pr juger de la teneur des plans de p che ult rieurs Objectifs Mettre en place une p che s lective exp rimentale qui nous donne des informations sur la faisabilit et I efficacit de certaines m thodes permettant de capturer les esp ces vis es tout en vitant de prendre du coho ou d autres esp ces non d sir es et en les remettant I eau si cela survient Effectuer une p che s lective qui d montre que les senneurs sont en mesure d viter de prendre du coho et s ils en capturent accidentellement de toujours le remettre I eau vivant D montrer que les senneurs peuvent participer des ententes de partenariat avec P ches et Oc ans Canada laborer un processus transparent quitable et non exclusif en vue de la mise en uvre et du d roulement de la p che s lective la senne de 1998 Plan de p che 1 Un
53. fi 15 Nombre total de saumons arc en ciel captur s Filet standard 7 Filet modifi 0 Nombre total de saumons rouges captur s Filet standard 6 Filet modifi 1 Nombre total de saumons roses captur s Filet standard 27 Filet modifi 3 Comme vous pouvez le voir le filet modifi a r ussi 100 viter de capturer le saumon arc en ciel La perte d efficacit des captures de k tas tait de seulement 17 6 avec la formule pond r e selon le temps et 36 6 d apr s les prises r elles La baisse des autres prises accessoires est tr s encourageante puisqu on note une r duction de 58 des prises de cohos de 61 des prises de quinnats de 83 des prises de saumons rouges et de 89 des prises de saumons roses Il est tr s vident que ce filet gueule modifi a une efficacit de 100 pour r duire les prises accessoires de saumons arc en ciel Il faut noter que le filet gueule de 3 1 2 pouces a donn jusqu maintenant une mortalit z ro pour le saumon arc en ciel Sur les neuf saumons arc en ciel qui ont t radiomarqu s cette automne huit ont t rep r s alors qu ils remontaient une rivi re Bien que les autres prises accessoires aient aussi t r duites nous ne disposons des taux de mortalit que pour les captures combin es du filet standard et du filet modifi R trospectivement nous aurions d garder les prises accessoires de chaque filet dans des viviers s pa
54. filet bimaille Saumon arc en ciel 7 1998 seulement 0 0 Note Ces chiffres l exception du quinnat peuvent tre confirm s par J O Thomas and Associates En 1998 aucun saumon arc en ciel n a t captur dans le filet bimaille tandis que sept ont t pris par le filet t moin On a not une baisse de 58 des prises de cohos une baisse de 61 des prises de quinnats et une baisse de 83 des prises de saumons rouges dans le filet modifi Il serait possible de r duire encore les prises accessoires de cohos de quinnats de saumons rouges et de saumons roses en ajustant le taux d armement ou en utilisant un maillage plus petit par exemple de 3 pouces ou en employant du monofilament au lieu de nylon Des tudes sur la mortalit long terme sont n cessaires si l on veut mesurer r ellement la s lectivit Avantages de cet engin les poissons captur s sont de meilleure qualit ce qui apporte une plus value au p cheur 5 TRAINE C te Ouest de l le de Vancouver Pr sentation Kathy Scarfo Wilf Caron Association des ligneurs du secteur G Cette pr sentation faisait le point sur des tudes et des rapports r cents et sur les politiques concernant la p che durable et signalait les lignes directrices pertinentes du Code international pour la p che responsable Voir l annexe 8 L Association des ligneurs du secteur G C te Ouest a t constitu e en 1996 Diverses propositions on
55. geant des informations sur la s lectivit L atelier pr voyait la tenue d une session pl ni re permettant la revue et la pr sentation de tous les projets de s lectivit suivie de s ances de groupes de travail pour les secteurs de la senne du filet maillant de la tra ne et des autres engins Les comptes rendus de chaque groupe de travail ont t pr sent s lors d une seconde pl ni re I PLENIERE 1 COHOS RENCONTRES ET MORTALITES COTE SUD Estimations pr liminaires 24 octobre 1998 Pr sentation Bill Shaw biologiste gestion des p ches P ches et Oc ans Canada Les estimations pr liminaires montrent que sur les trois secteurs celui des filets maillants a rencontr moins de cohos que ceux de la senne et de la p che aux lignes Les estimations de la survie des cohos taient plus lev es dans les secteurs de la senne et des lignes que dans celui des filets maillants P che Total des Mortalit s Estimations pr liminaires des captures nombre Total autre Rapport cohos commerciale rencontres de cohos Rouge Rose K ta Quinnat que cohos lib r s poissons de cohos est gard s Tra ne Zone G 219 000 21 400 990 2 300 243 690 Tra ne Zone H 128 500 18 000 86 100 450 233 050 Tra ne Sous total 347 500 39 400 87 090 2750 476 740 Senne Zone B 456 000 51225 1 635771 139 2 143 135 Senne Sous total 456 000 1 635 771 2 143 135 F maillant Zone D 229 417 199 091 441 957 F maillant Zone E 234 000 1
56. iculi re devrait tre accord e aux effets de ces mesures sur les communaut s de p cheurs notamment sur leur capacit d exploiter la ressource e Lors de la prise de d cision concernant l utilisation la conservation et la gestion des ressources halieutiques il faudrait tenir d ment compte des pratiques traditionnelles des besoins et des int r ts des populations indig nes et des communaut s locales de p cheurs qui sont largement tributaires des ressources halieutiques pour assurer leur subsistance e Lors de l valuation des diverses mesures possibles de conservation et d am nagement leur rapport co t efficacit et leur impact social devraient tre pris en consid ration Les objectifs du Code sont e d tablir des principes pour une p che responsable en tenant compte de leurs aspects biologiques technologiques conomiques sociaux environnementaux et commerciaux e de promouvoir la contribution de la p che la s curit alimentaire et la qualit des aliments tout en donnant la priorit aux besoins nutritionnels des communaut s locales e de fournir des normes de conduite tous ceux impliqu s dans le secteur de la p che Source Code de conduite des Nations Unies extraits des articles 1 8 De plus le Canada a sign d autres ententes internationales qui nous aident mieux d finir nos objectifs comme r pondre aux besoins du pr sent sans compromettre la capacit des g n rations futures
57. iff rents groupes d int r t Ce qui ressort constamment dans cette tude c est l animosit qui impr gne les discussions et les relations de l industrie cependant pour que les p ches commerciales et sportives puissent survivre et peut tre m me prosp rer en Colombie Britannique il est urgent que les membres de l industrie se serrent les coudes pour le bien de tous Un nouvel esprit de coop ration et de confiance est indispensable pour une p che et une industrie durables Pour instaurer la confiance il faudra faire preuve de leadership et mettre de c t les positions tranch es et les controverses C est le seul moyen pour que les p ches commerciales et sportives atteignent leur potentiel Source Fishing for money Rapport du commissaire la protection de l emploi 1998 Quelques projets auxquels les ligneurs du secteur G ont particip Programme de formation surveillance et analyse des donn es P che d essai et information sur la composition des stocks laboration des plans de p che Projet de p che durable avec les tats baltes et la CEE Cartographie et inventaires projet de perfectionnement LA RECHERCHE DE L IMMORTEL SAUMON DU PACIFIQUE OU LA P CHE S LECTIVE LA TRA NE EN 1998 L id e d une p che s lective du saumon semble tre au c ur m me de la p che moderne Dans ma propre bo te outils pour utiliser la terminologie de la gestion la mode au MPO j ai un gros invest
58. issement qui doit me permettre de r pondre toutes les conditions possibles pour cibler ce saumon insaisissable qui j en suis s r se trouve juste sous mon bateau Demandez n importe quel p cheur au monde et il vous dira qu il faut toute une vie pour perfectionner cette technique de p che l app t La protection des esp ces menac es est quelque chose de tout fait diff rent mais qui a t reconnu par le secteur de la p che la tra ne dans le cadre du processus consultatif et coop ratif qui a permis d tablir des fermetures par zone et par saison Nous pensons toujours qu il s agit l de la fa on la plus efficace d atteindre ces objectifs de conservation Dans une p che ouverte qui cherche capitaliser sur la qualit la plus haute de la ressource ce qui est appr ci par le consommateur averti il revient l industrie et au minist re des P ches et des Oc ans de mettre de l avant et de valoriser cette m thodologie pour s assurer que le d nominateur le plus lev va continuer tre la norme dans l avenir Cela nous permettra aussi de tirer de notre propri t commune les gains les plus lev s pour le public canadien comme l a soulign le v rificateur g n ral du Canada Dans n importe quelle p che la s lectivit pose un probl me Tout r gime de tri occasionne un stress qui joue un r le important lorsqu on vise remettre l eau des stocks non cibl s C est la
59. itation 3 SENNES DE PLAGE Co ts de construction Co t de main d oeuvre Efficacit S lectivit G rabilit 4 P CHERIES FIXES Co ts de construction Co t de main d oeuvre Efficacit S lectivit G rabilit 4 000 10 000 selon le site 6 10 personnes 30K par bateau Selon le site Selon le fonctionnement Dans les cours d eau 6 000 100 000 selon le site 2 4 personnes selon la taille de la remonte Tr s lev e Excellente P ches en estuaire Innovations et probl mes sennes de plage et p cheries fixes e beaucoup d exp rience acquise e impact de la senne de plage sur les esp ces benthiques e s lectivit fonction du mode d op ration e qualit du poisson dans les parcs d estuaire R SUM Jusqu maintenant les trappes n ont donn que de tr s faibles captures et n ont pas vraiment t essay es Les tourniquets et les sennes de plage sont efficaces et peuvent tre conomiques dans certaines situations Les p cheries fixes ne peuvent servir que dans les p ches en estuaire De fa on g n rale le groupe de travail conclut que tout nouveau projet doit tirer parti de l exp rience acquise et mettre l accent sur les am liorations la technologie existante plut t qu une r invention de la trappe ou du tourniquet 4 et 5 novembre 1998 Cl ture de l atelier technique sur la p che s lective de 1998 ANNEX
60. le tourniquet Il est indispensable d utiliser les anciennes m thodes pour exploiter s lectivement les poissons et les capturer vivants Il ne s agit pas vraiment de r inventer la roue mais d apporter aux engins les modifications n cessaires pour que toutes les m thodes employ es pour p cher s lectivement respectent davantage les poissons Les Premi res Nations ont d fini leur position en ce qui concerne le d veloppement d engins de p che servant la capture s lective tant donn le grand nombre de stocks qui sont pr sents dans le syst me ensemble et en m me temps que des stocks de diverses esp ces en p ril les Premi res Nations s inqui tent fortement de voir graduellement roder leurs droits constitutionnels de p che Nous pensons aussi que notre culture tant tourn e vers la conservation nous devons tre en t te de la vague de changement et prouver que nous sommes pr ts faire notre part dans l effort de conservation et de protection Nous sommes fermement persuad s que ceux qui choisissent de ne pas participer la p che s lective de poissons vivants vont se retrouver seuls sur la gr ve et regretter am rement de n avoir pas particip ce mouvement Pour assurer l avenir de tous les stocks de poissons nous devons poursuivre nos efforts de d veloppement d une p che s lective avec la collaboration des gouvernements provincial et f d ral ANNEXE 11 Trappe flottante saumon C t
61. lit de la diversit et de la disponibilit des ressources halieutiques en quantit s suffisantes pour les g n rations pr sentes et futures dans un contexte de s curit alimentaire de r duction de la pauvret et de d veloppement durable Les mesures d am nagement ne devraient pas seulement assurer la conservation des ressources vis es mais aussi celle des esp ces appartenant au m me cosyst me que ces esp ces ou qui d pendent d elles ou leur sont associ s e Les tats devraient emp cher la surexploitation e Les d cisions portant sur la conservation et l am nagement dans le domaine de la p che devraient tre fond es sur les donn es scientifiques les plus fiables disponibles en tenant compte galement des connaissances traditionnelles relatives aux ressources et leur habitat ainsi que des facteurs environnementaux conomiques et sociaux pertinents Les tats devraient accorder la priorit la conduite de recherches et la collecte des donn es pour am liorer les connaissances scientifiques et techniques sur les p cheries y compris sur leurs interactions avec l cosyst me e Des engins et pratiques de p che s lectifs et respectueux de l environnement devraient tre mis au point et utilis s dans la mesure du possible pour pr server la biodiversit et conserver la structure des populations et les cosyst mes aquatiques et prot ger la qualit du poisson e Les tats devraient rassembler et diffu
62. mps pour les inscriptions dans les journaux de bord analyse des donn es qui tiennent compte de l heure de la p che jour nuit et de la date de l exp rience Il est aussi reconnu que les techniques de manutention sont cruciales pour la p che s lective Les avantages sont des produits de meilleure qualit et des prix plus lev s pour toutes les esp ces Les p cheurs demandent davantage de temps de p che pour maintenir leur productivit quand ils pratiquent une p che s lective p ex changement d engins temps de manipulation etc La conservation exige une am lioration de l valuation des stocks Dans ce domaine on pourrait d velopper un partenariat entre le MPO et l industrie par exemple on pourrait changer des possibilit s de p che contre des contributions la gestion de la ressource Le d bat a aussi port sur le r tablissement du droit prot ger les engins et les prises des phoques et sur l laboration d incitatifs la p che s lective comme des quotas individuels de prises accessoires par bateau TRAVAUX FUTURS PRIORIT S POUR 1999 Gestion pendant la saison Dans les p ches futures un processus consultatif en temps r el pendant la saison de p che permettrait une flottille de fileyeurs plus petite et plus mobile de se d placer rapidement d une zone l autre vitant les rencontres avec les cohos et capturant s lectivement les esp ces cibles Des p cheurs qui ne travaillent plus
63. ni L objectif tait de capturer des poissons puis de les salabarder dans le bac de tri pour pouvoir s parer les cohos pour le marquage et lib rer toutes les autres esp ces La salabarde tait de type tanche Le syst me d accrochage est ext rieur de sorte qu il n y a pas de ligne ni de cha ne qui passe au milieu des poissons ce qui est une bonne chose Quand elle est pleine la salabarde peut contenir une centaine de poissons ce qui correspond 600 Ib de poissons et 600 800 Ib d eau Les poissons qui sont lib r s dans le bac de tri ne montrent absolument aucun signe de dommage et aucune perte d cailles Ils taient en aussi bonne condition quand ils ont atteint le bac de tri qu ils l taient dans le filet Le seul d savantage de cette salabarde c est que si l on travaille par vent fort ou forte houle elle est un peu difficile man vrer essentiellement cause du poids suppl mentaire de l eau qu on doit soulever Je recommande d utiliser ce type de salabarde dans toutes les zones rouges o les p cheurs vont rencontrer des prises accessoires en grands nombres Je peux faire cette recommandation apr s avoir employ cette salabarde pendant sept jours et avoir manutentionn ainsi plus de 10 000 poissons sans qu un seul ait t tu ou bless Lloyd Baines Island Spirit IT Suivi z Essai de la salabarde dans des conditions commerciales en pr sence de houle ou de m duses ou d autres p
64. nofilament au lieu du nylon pour le filet En ce qui concerne la faisabilit financi re de l emploi d un tel filet l exp rience a montr qu il est tr s rentable et que les profits apport s par la r colte de poissons vivants de poissons non marqu s de premi re qualit et de poissons qu on peut saigner vivants peuvent rapporter aux p cheurs de nettes augmentations de gains Pour conclure je voudrais remercier toutes les personnes qui ont rendu possible la r alisation de ce projet ANNEXE 8 Projets de p che la tra ne C te Ouest de l le de Vancouver P ches s lectives L industrie telle que nous la connaissons ne survivra pas moins que des changements fondamentaux ne soient accept s et implant s Il faut poursuivre la restructuration au niveau de la capture et de la transformation cependant la restructuration en tant que telle ne r soudra pas les probl mes de l industrie Des changements sont recommand s sur deux aspects 1 adopter des pratiques de p che durable pour prot ger les stocks faibles 2 tre motiv par la qualit au lieu de la quantit La cl d une p che durable est le ralentissement de la capture Source Fishing for money rapport du Commissaire la protection de l emploi 1998 command par le minist re f d ral des P ches et des Oc ans et le minist re des P ches de la Colombie Britannique Un changement permanent s impose pour la p che du saumon Nous tra
65. ns de la mortalit TRAVAUX FUTURS PROPOSITIONS A Gestion 1 W Cr er un groupe de travail technique partenariat entre les associations de ligneurs et le MPO pour mettre le savoir en commun Entreprendre conjointement l laboration d un plan Organiser en janvier 1999 un symposium pour mettre en commun les id es et diffuser l information Poursuivre la mise sur pied d un programme d observateurs pendant la saison et un syst me permanent de collecte de donn es B Exp riences l 2 Entreprendre d autres tudes sur la configuration des lignes de tra ne Faire des essais pour mettre au point les techniques les plus efficaces de manutention remise l eau viviers Reprendre certaines des p ches exp rimentales de 1998 pour leur donner une justification plus scientifique Faire des recherches documentaires sur les essais de s lectivit de la tra ne men s ailleurs examiner leur possibilit d application ou de modification pour la flotte de ligneurs de Colombie Britannique Trouver des sources de financement GROUPE DE TRAVAIL SUR LES AUTRES ENGINS Les travaux du groupe sur les autres engins ont port sur les co ts la main d oeuvre l efficacit la s lectivit et la g rabilit des engins suivants ainsi que les possibilit s d innovation et les probl mes dans chaque cas 1 trappes poissons oc an estuaires cours d eau 2 tourniquets d bit fort d bit faible
66. nt t salabard s pendant l essai d une dur e de sept jours Aucun n a t tu ni bless tape suivante Mise l essai de la salabarde dans des conditions commerciales c est dire en cas de forte houle ou en pr sence de m duses ou d autres prises accessoires 2 Salabarde chaussette Pendant les essais environ 6 000 7 000 livres de poissons ont t relev es l aide de cettesalabarde On n a observ aucun stress ni perte d cailles chez les poissons Les poissons entraient facilement dans la salabarde Le volume d eau soulev en m me temps que les poissons tait suffisant pour que le premier tiers de la charge puisse nager directement jusque dans le bac de tri Les poissons taient pleins de vie leur sortie de lasalabarde et taient difficiles attraper pour le marquage On n a not aucun probl me de fonctionnement en pr sence de vents forts Viabilit commerciale mat riel existant plus la chaussette 500 700 S curit il n y a pas de balancement du fait que la salabarde est attach e au bac de tri ce qui est plus s curitaire tape suivante mise l essai de la salabarde dans des conditions commerciales et modification de la conception pour permettre un meilleur arrimage au bac de tri Senne exp rience de la C te Nord Zones 1 3 4et 5 Pr sentation Dave Peacock P ches et Oc ans Canada Description du projet Des groupes de trois senneurs ont partici
67. nt pour le saumon rouge le k ta et le quinnat e d nombrement et chantillonnage de l ADN pour le coho e d nombrement et radiomarquage pour le saumon arc en ciel e marquage de l esturgeon Il n y a pas eu de capture s lective cette ann e toutes les prises ont t lib r es vivantes Il est n cessaire de d velopper la capacit d valuation des stocks d accro tre la surveillance d apprivoiser le changement de roder la technologie servant pour la capture et de mettre au point des produits valeur ajout e Plans pour l avenir 1999 e tablir un plan long terme d finir les besoins de la communaut e D terminer comment les tourniquets peuvent tre utilis s de fa on plus efficace e laborer des protocoles e Calculer les rapports capture remise l eau pour r pondre aux besoins de la conservation Projets de p che s lective sur le Fraser Pr sentation Joe Seymour Le conf rencier pr sente un survol et un historique du projet de p che s lective sur le Fraser La pr sentation compl te se trouve l annexe 10 La capture s lective de poissons vivants sur le Fraser a t lanc e en 1994 par la Premi re Nation Katzie et la Fraser River Fishermen Society qui ont men plusieurs projets 1 Sennes de plage Projet men sur le territoire de la Premi re Nation Skway par trois Premi res Nations et par la Fraser River Fishermen Society p cheurs commerciaux autochtones et non autochtone
68. p la p che dans la zone rouge les approches de la Skeena pour d terminer la viabilit de la capture de l exc dent de saumon rouge et rose tout en prot geant le coho Chaque groupe son tour a p ch pendant deux jours Dans chaque groupe un observateur surveillait le tri de chaque trait sur chacun des trois bateaux Le plan de d part pr voyait que le projet serait r alis plus t t mais il a eu lieu seulement au mois d ao t Voir l annexe 5 Objectifs du projet e d montrer l aptitude de la flottille de senneurs viter le coho ou si elle rencontre ce saumon le lib rer avec une mortalit z ro e tablir une proc dure transparente globale et quitable pour ce projet exp rimental R sultats du projet Les 3 bateaux ont bien travaill Ils n ont pas vit le coho personne n avait pr vu la forte abondance de cohos qui a t observ e 4 FILETS MAILLANTS Essai de filets maillants dans la baie Barkley Pr sentation Les Rombough Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon Pr sident Association des saumoniers fileyeurs du secteur D Description du projet Cet essai a fait appel six fileyeurs dont chacun travaillait avec un filet sp cialement con u voir aussi l tude sur la survie apr s remise l eau essais de 1998 dans la baie Barkley Trois bateaux ont men des exp riences ax es sur la dur e de mouillage et trois ont fait des essais s
69. ploite un filet de haut fond du c t du lac du passage Nitinat conjointement avec une senne de plage Total des captures r alis es ce jour 9 000 k tas et 7 000 quinnats Les Haisla ont aussi bri vement mis l essai un filet de haut fond pr s de Kitimat Il est n cessaire d en am liorer la conception Skeetchestn Programme de p che la trappe de filet dirig e par Pat Matthew qui s inspire de la technologie des Micmacs de la Miramichi Sliammon Cartographie des sites historiques des trappes quinnats Tsimshian en pr paration Orr Rapport de la BCAFC sur la p che s lective autochtone Sennes de plage Skeena Katzie Kwantlen FRFS Matsqui Chehalis Tzeachten Skeena P cheurs experts dans l utilisation de la senne de plage La Commission des p ches de la Skeena utilise les sennes principalement pour la p che des exc dents de g niteurs Combinaison avec les tourniquets et les filets maillants Les Kitsumkalum pr voient aussi d utiliser la senne Katzie Kwantlen Fraser River Fishermen Society Le consortium de p che la senne de plage est dans sa troisi me ann e La p che se pratique Fort Langley dans le parc de Derby Reach Nous aurons le plaisir d assister un vid o sur cette p che dans un peu plus d une heure Matsqui Lancement des essais de p che la senne de plage Joe Seymour nous donnera des d tails Chehalis Longue histoire de p che la senne des surplus
70. portive 69 322 6 932 Premi res Nations 70 18 P ches d essai 3 561 978 P ches exp rimentales 18710 2 065 Total zone jaune 111111 16 861 P CHE DANS LA ZONE ROUGE Total des rencontres de cohos Estimation des mortalit s de cohos Premi res Nations 04 10311 832 0 P che d essai 939 P ches exp rimentales 1 183 Total zone rouge 15 935 2 122 Total zone jaune et zone rouge 127 046 18 983 Annexe 2 tude sur la survie apr s remise l eau baie Barkley C te Ouest de l le de Vancouver Pr sentation Brent Hargreaves chef de projet P ches et Oc ans Canada EXP RIENCE CONJOINTE DE P CHE S LECTIVE INDUSTRIE MPO Objectifs 1 2 Encourager et soutenir le d veloppement d engins de p che plus s lectifs r duction des prises accessoires et ou accroissement du taux de survie des esp ces non vis es valuer l efficacit jusqu la remise l eau des poissons vivants des nouvelles mesures obligatoires de conservation du coho qui ont t impos es ou propos es par le MPO et l industrie en 1998 p ex salabardes et viviers pour les sennes r duction du temps dans l eau des filets maillants valuer les effets des taux de survie plus long terme des cohos qui sont remis l eau vivants par les bateaux de p che commerciale apr s exposition des engins et des pratiques de manutention standard et modifi es R sum de l exp rience Deux grandes
71. pour les bateaux t moins utilisant des engins et des m thodes standard et les bateaux exp rimentaux utilisant des engins et des m thodes modifi s On analysera la chimie du sang et des chantillons de tissus de cohos et de quinnats lactate glucose phosphocr atine pH cortisol chlorure bord des bateaux de p che et les r sultats serviront de mesures quantitatives du stress des poissons pour d terminer 1 l efficacit des viviers embarqu s que le MPO a impos s en 1998 et 2 la validit des crit res de condition qui ont servi valuer en 1997 et 1998 les cohos remis l eau vivants par les bateaux de p che commerciale On mesurera les taux de mortalit apr s remise l eau court terme aux deux endroits en gardant des sp cimens de poissons marqu s dans des parcs de filets pendant 48 heures au maximum apr s remise l eau par les bateaux de p che Pour ce qui est des taux de mortalit relative long terme entre les engins ou les m thodes standard et exp rimentaux c est seulement dans la baie Barkley qu on pourra les valuer en r cup rant des poissons marqu s qui ont t remis l eau par les bateaux de p che puis ont franchi l chelle poissons de Stamp Falls sur la rivi re Somass Pour mesurer le succ s relatif de la reproduction dans la baie Barkley on examinera les poissons marqu s observ s dans le grand d nombrement de l chapp e ainsi que les poissons marqu s q
72. ques et les engins de p che s lective en vue de r duire encore les prises accessoires tout en permettant d exploiter de fa on optimale les stocks de saumon vis s Le pr sent document r sume les travaux d un atelier technique qui est le fruit des initiatives prises par le secteur commercial pendant la saison de p che de 1998 Bon nombre de ces initiatives ont t mises de l avant par le Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon Les opinions exprim s ici sont celles des auteurs des pr sentations et ne sont pas n cessairement endoss es par le Comit L atelier a t propos et organis par le Comit technique de l industrie sur la p che s lective du saumon gr ce des fonds fournis par P ches et Oc ans Canada et par Fisheries Renewal BC et il tait ouvert tout le secteur de la p che et au public dans son ensemble Les Premi res Nations ont jou un r le particuli rement significatif et des repr sentants du secteur de la p che sportive et des environnementalistes taient pr sents TABLE DES MATI RES SOMMAIRE POUR LA DIRECTION eeesseeseesseerseesoeesoeeeseeeseesoeesoeesoeesoeesoesoeeeesoeesoeoeesoeesoeesoeesoeesoesesoeesoeesoeseeee 5 INTRODUCTION in dem ndne ttes A cesse dette Dates conne rence bdaseiet anne delle ne tetes d eee 7 CONTEXTE ne N aride coin sin rs med ace se ati nn ls dede sonne med ten E 8 Le CRD NIENE SU onu NT a M dd dut ue 10 1 COHOS RENCONTRES E
73. r s ce qui nous aurait permis d valuer le pourcentage de mortalit de chaque filet ce qui est d principalement au fait que les poissons se comportent diff remment dans la partie sup rieure du filet et dans la partie inf rieure Les mortalit s des prises accessoires taient les suivantes Prises totale de cohos 226 mortalit nette de cohos 9 soit 4 0 mortalit due aux phoques 23 soit 10 2 mortalit totale 32 soit 14 2 Prises de quinnats 54 mortalit nette 0 soit 0 0 mortalit due aux phoques 1 soit 1 9 mortalit totale 1 soit 1 9 Prises de saumons rouges 7 mortalit nette 1 soit 14 3 mortalit due aux phoques 2 soit 28 6 mortalit totale 3 soit 42 8 Prises de saumons roses 130 mortalit nette 0 soit 0 0 mortalit due aux phoques 0 soit 0 0 mortalit totale 0 soit 0 0 Prises de saumons arc en ciel 7 Mortalit nette 0 soit 0 0 Mortalit due aux phoques 0 soit 0 0 Mortalit totale 0 soit 0 0 Pour conclure je suis d opinion que ce filet modifi donne de tr s bons r sultats pour la r duction des prises non vis es Les mortalit s de prises accessoires de cohos de quinnats de saumons rouges et de saumons roses sont mon avis acceptables mais je sais aussi qu il serait possible de r duire ces nombres en modifiant les taux d armement ou en utilisant un maillage plus petit par exemple de 3 pouces ou du mo
74. ratique Cette formation devrait tre obligatoire et il faudrait d montrer sa capacit de manipuler le poisson pour obtenir le permis o 2 La communication avec les m dias et le grand public est indispensable si l on veut duquer et informer avec exactitude sur la p che au filet maillant Un site Web pourrait tre construit 3 Etablir un glossaire des termes pour s assurer que l usage et les d finitions sont universels Ateliers sur la s lectivit Des s ances d change d informations et des groupes de travail comme cet atelier sur la s lectivit de novembre 1998 devraient tre organis s chaque ann e GROUPE DE TRAVAIL SUR LA TRA NE Il ressort des d bats du groupe de travail sur la tra ne que l objet de la p che s lective consiste capturer les stocks vis s et viter ou r duire un niveau acceptable l impact sur les stocks non vis s Cette ann e l effort de conservation concerne le coho Mais l ann e prochaine ou la suivante il pourrait s agir d une autre esp ce Pour rendre s lective la p che la tra ne de nombreuses variables peuvent tre g r es les ouvertures et les fermetures de saisons ou de zones peuvent r duire les rencontres et viter les esp ces en p ril la configuration des engins peut r duire les rencontres viter les esp ces en p ril et en r duire la mortalit les techniques de manutention peuvent r duire la mortalit l ducation
75. rche un mode d emploi nous l avons J ai ici un document qui explique comment tout cela fonctionne De plus nous avons ici parmi les participants l un des architectes du programme Harry Nyce Skeena La bande Kitselas et la Commission des p ches de la Skeena Gitksan Wet suwet en ont install sur la Nass un tourniquet qui constitue un outil important de p che s lective Chris Barnes est parmi nous Fraser Yale Vous aurez dans quelques minutes des d tails fournis par le responsable du programme du tourniquet de Yale qui s inspire de celui des Nisga a Les Leidli Tenneh exploitent aussi un tourniquet de d nombrement et de capture pr s de Prince George Plus loin en aval les Sto lo Skway Somas Lakahahmen progressent dans leur projet de p che au tourniquet Des d tails seront fournis par Joe Seymour Klinaklini entr e du bras Knight Inlet capture du quinnat le de Vancouver Sites potentiels de capture sur la Somass Port Alberni autres sites de d nombrement et de capture limit e Orr Rapport de la BCAFC sur la p che s lective autochtone P cheries fixes Nlaka pamux Mowachaht Huu ay aht Shuswap Musqueam Nlaka pamux Une p cherie a t construite sur la Nicola juste en amont du confluent de la Thompson pour la capture et le d nombrement du quinnat La derni re barri re construite dans cette r gion datait de 1936 Exploitation pendant 3 semaines en 1998 Emploi de mat riaux
76. rises accessoires SALABARDE CHAUSSETTE Description Ce type de salabarde limine la n cessit de transporter et de rel cher le poisson dans le bac de tri Les poissons sont simplement soulev s jusqu ce qu ils commencent glisser par une chaussette de vinyle pour aboutir directement dans l aire de tri La combinaison des mat riaux fait que les poissons glissent sur la surface lisse du vinyle tandis que la partie en filet laisse chapper suffisamment d eau pour que la salabarde soit man vrable tout en permettant de limiter la pression et la perte d cailles Sp cifications 38 pouces de diam tre int rieur 40 pouces de sac et la chaussette faits de tissu de polyester recouvert de chlorure de polyvinyle Produit Ennis Fabrics Sampson 18 5 oz SALABARDE N 6 SALABARDE CHAUSSETTE no trip block required pas besoin de but e Stay hauban hoop cerceau handle manche 2 knotless filet sans n ud de 2 non porous material mat riau non poreux Boat railing rambarde Chute to sorting box vers le bac de tri ONDARON VALUATION DE LA SALABARDE CHAUSSETTE Objectif L valuation de la salabarde chaussette a eu lieu du 10 au 17 septembre L objectif de l valuation tait de rep rer tout probl me qui pourrait se poser et d tudier la mortalit chez les cohos que nous avons marqu s et remis l eau R gion Secteur statistique 23 du MPO sous secteurs 1 et 2 canal
77. rises ind pendant et pr cis et la mise en place de programmes d observateurs sont jug s indispensables pour la s lectivit des p ches futures Les programmes d observateurs pourraient refl ter l organisation par r gion au lieu d tre d coup s par engin ou par secteur ceci afin de permettre la cr ation d une quipe mobile pour surveiller tous les engins et secteurs La gestion par saisons et par zones est une tr s bonne solution pour r duire les rencontres et viter les esp ces vis es Il serait n cessaire d tablir un processus consultatif pendant la saison de p che et en temps r el qui augmenterait l efficacit de cette approche Le co t la main d oeuvre l efficacit la s lectivit et la maniabilit des autres engins ont t tablis Des probl mes sp cifiques et des innovations ont t pr sent s Jusqu pr sent les trappes capturent en g n ral tr s peu de poissons et ont peu t test es Les tourniquets et les sennes de plage sont efficaces et rentables dans certaines situations Les p cheries fixes sont utilis es seulement pour les r coltes en estuaire Il serait bon que tout nouveau projet soit labor partir d exp riences r elles en am liorant la technologie existante et non en r inventant la trappe ou le tourniquet Dans la p che la tra ne on signale un certain nombre d am liorations pour les mesures de s lectivit et des propositions ont t formul es l
78. rmen Society FRFS La photo de droite repr sente une senne de plage qui a t en op ration sur le territoire de la Premi re Nation Skway L quipe qui s occupait de la senne est compos e de membres des Premi res Nations Skway Katzie et Lakahahmen et de la FRES qui rassemble des p cheurs commerciaux autochtones et non autochtones La photo de gauche repr sente un tourniquet qui a t construit par la Premi re Nation Lakahahmen dans le cadre d un contrat pass avec le minist re de l Environnement des Terres et des Parcs de la Colombie Britannique Des membres de quatre Premi res Nations et de la FRFS ont particip la construction de ce tourniquet avec la collaboration de personnel du d partement de g nie m canique de l Universit de Colombie Britannique Collaboration entre les Premi res Nations et des p cheurs commerciaux non autochtones La premi re p che du tourniquet mis en place par le minist re de l Environnement des Terres et des Parcs dans la r serve Skway Chilliwack en 1997 Pendant des g n rations les Premi res Nations ont utilis des tourniquets des trappes des p cheries fixes et d autres m thodes s lectives de capture des poissons vivants Gr ce la technologie et aux mat riaux modernes on am liore autant que possible ces m thodes anciennes Une vieille id e Les anciens tourniquets remis en service en Colombie Britannique utilisaient du bois et d autr
79. rouler conform ment au protocole visant la s lectivit De tels essais devraient tre r alis s en 1990 4 tant donn l usage obligatoire de la salabarde le sac tait ass ch ce qui a augment la densit des poissons et forc presque tous les petits saumons et les autres petits poissons s chapper On peut acheter un enregistrement vid o de cet essai en s adressant Pacific Fisheries Research and Development Ltd 140 6660 Graybar Road Richmond C B Canada V6W 1H9 T l 604 270 6387 Senne pompe Silkstream et salabarde tanche Pr sentation Sid Quinn Bande indienne Sechelt Description du projet Il s agissait d un projet pilote men par la Bande indienne Sechelt avec Target Marine Products and Ocean Fisheries visant essayer une nouvelle technique de manutention et de tri dans une p che de stocks mixtes l aide d une pompe Silkstream et d une salabarde tanche pour pr lever le poisson captur par un senneur commercial Au moment de l atelier les r sultats n taient pas encore d finitifs Objectifs du projet e faire l essai sur le terrain de la pompe Silkstream et de la salabarde tanche e valuer la condition du poisson transport par la pompe et la salabarde au syst me de tri et de classement valuation Le projet pilote a t valu selon les crit res suivants e vitesse et efficacit des syst mes de manutention du poisson e syst me de tri des e
80. rs pourront s adapter au changement Cette d claration a fait consensus parmi le groupe de travail sur la senne Les priorit s sont e des plans de gestion des p ches conomiques et durables et e une allocation du MPO FILETS 1 Filet sans n ud pour le sac On sugg re d installer un syst me de zipper et de br ler les bords pour emp cher les sacs de se d faire 2 Grilles s paratrices Le groupe de travail est favorable l emploi de grilles dans le sac des sennes et juge que cette technique de s lectivit est prometteuse pour l avenir Certains ont toutefois des inqui tudes quant la couleur et la s curit SALABARDES 1 Diff rents types de salabardes ont t employ s avec un succ s variable e Les tests ont fait s interroger sur la pertinence d employer un seul type de salabarde pour tous les bateaux e Selon les circonstances un type de salabarde peut tre plus favorable qu un autre par exemple certains membres du groupe de travail jugent que le relevage sur la rampe doit tre autoris par mauvais temps D autres pensent que cela pourrait nuire la p che e La taille du bateau doit aussi tre consid r e quand on choisit un type de salabarde par exemple une salabarde tanche peut tre trop lourde et dangereuse pour un petit bateau Il faudrait modifier la salabarde et adapter sa taille celle du bateau e On peut aussi miser sur le volume de la capture au lieu d
81. s 2 Tourniquets Le tourniquet construit dans le cadre d un contrat pass avec le minist re de l Environnement des Terres et des Parcs par quatre Premi res Nations et par la Fraser River Fishermen Society avec l aide du d partement du g nie m canique de l UBC a t employ pour la premi re fois en 1997 dans la r serve des Skway Chilliwack Modifications Modernisation de technologies anciennes Les Premi res Nations utilisent depuis longtemps des tourniquets des trappes des parcs de p che et d autres m thodes s lectives de capture de poissons vivants Des technologies nouvelles et de nouveaux mat riaux ont t int gr s aux techniques anciennes pour en am liorer la performance et pour r duire les dommages aux esp ces non vis es qu on veut remettre l eau vivantes Le remplacement des glissi res de contreplaqu par des tuyaux de PVC et l emploi de filets sans n ud dans les paniers a r duit la perte de mucus et d cailles chez toutes les esp ces On envisage de modifier encore la conception des engins pour am liorer leur performance On peut par exemple ajouter un moteur quand la vitesse de l eau est trop faible et mettre au point un syst me plus s r et plus efficace de relevage 3 Autres d veloppements e Trappes flottantes Parcs de p che Trappes de haut fond Trappes poissons de la C te Est modifi es Tourniquets Kitselas modifi s Les Premi res Nations tra
82. s consiste viter les esp ces non vis es Il est possible de r duire le taux de rencontre en tablissant un programme pr cis et cr dible de surveillance des captures La surveillance en temps r el peut donner l industrie et la gestion les moyens d offrir des possibilit s de p che une flottille defileyeurs mobile et adaptable Le projet de la baie de Barkley n tait qu une composante du dossier sur la s lectivit des filets maillants Il reste n cessaire de tester la s lectivit des engins dans des conditions de p che commerciale Filet gueule dans le Fraser Pr sentation Mark Petrunia Description du projet Nous avons propos d utiliser un filet maillant modifi de 3 pour capturer s lectivement le saumon k ta dans le Fraser en laissant s chapper tous les saumons arc en ciel et en r duisant les prises accessoires de cohos de quinnats et de saumons rouges et de saumons roses Les exp riences ont t r alis es sur trois ans 1996 1997 1998 Voir l annexe 7 le rapport provisoire pour 1998 En 1998 nous avons construit un filet bimaille la partie sup rieure comportant 14 mailles de 17 pouces et la partie inf rieure 50 mailles de 3 Un filet de pleine longueur servait de t moin R sultats Captures et mortalit des essais de 1996 1998 Mortalit poissons tu s dans le filet et mortalit imm diate 2 134 63 29 Esp ce Captures filet t moin de 3 et
83. s s lectives autochtones qui sont en cours en Colombie Britannique Voir l annexe 9 Des projets des Premi res Nations font appel quatre grandes technologies s lectives e Tourniquets Les tourniquets servent la capture s lective l valuation des stockset ou au d nombrement effectu s sur la Nass par les Nisga a sur la Skeena par la Bande de Kitselas et la Commission des p ches de la Skeena Gitksan Wet suwet en dans le Fraser Yale pr s de Prince George et dans le cours inf rieur et l entr e du bras Knight des sites potentiels de capture ont t identifi s sur l le de Vancouver e P cheries fixes Les p cheries fixes sont utilis es pour la capture et ou le d nombrement par les Nlaka pamux sur la Nicola par les Mowachaht et les Huu ay aht pr s de Bamfield et par les Shuswap et les Musqueam e Trappes Les T Sou ke Tsawwassen ont r cemment mis l essai la trappe marine T Sou ke Queensborough Slough La premi re trappe flottante du bassin du Fraser doit tre mise l essai dans la rivi re Stave par les Lakahahmen et la Fraser River Fishermen Society FRFS Les Ditidaht exploitent un filet de haut fond dans la passe de Nitinat et les Skeetchestn ont un projet de trappe en filet Les Sliammon s occupent actuellement de cartographier les sites historiques et trappes quinnats e Senne de plage Dans la Skeena la Commission des p ches de la Skeena mouille des sennes prin
84. ser ces donn es e Pour assurer l am nagement durable des p cheries et faire en sorte que les objectifs conomiques soient atteints il faudrait acqu rir une connaissance suffisante des facteurs sociaux conomiques et institutionnels par le biais de la collecte de donn es de l analyse et de la recherche e Les tats devraient s assurer que leurs int r ts en mati re de p che y compris la n cessit de conserver les ressources soient pris en compte dans les utilisations multiples de la zone c ti re et soient int gr s dans l am nagement la planification et la mise en valeur des zones c ti res e Les tats devraient par l ducation et la formation des p cheurs promouvoir leur prise de conscience de la notion de la p che responsable Ils devraient veiller ce que les p cheurs participent au processus de formulation des politiques et de leur application e Reconnaissant l importance de l apport de la p che artisanale et de la p che aux petits m tiers en mati re d emploi de revenu et de s curit alimentaire les tats devraient prot ger de mani re ad quate les droits des p cheurs particuli rement de ceux qui pratiquent une p che de subsistance artisanale et aux petits m tiers des conditions de vie s res et justes ainsi que le cas ch ant un acc s pr f rentiel des fonds de p che traditionnels et aux ressources se trouvant dans les eaux relevant de la juridiction nationale e Une attention part
85. sp ces e dommages externes aux poissons e stress induit et effet sur la survie apr s la remise l eau On a examin la condition du poisson en mesurant la mortalit imm diate la mortalit apr s sept jours la perte d cailles et le niveau de stress gr ce des indicateurs physiologiques cl s comme le cortisol le sodium plasmique et le glucose plasmique R sultats provisoires e aucune mortalit n a t observ e pendant la capture et la manutention e Ja perte d cailles tait minimale pas de l sions e la mortalit apr s manutention est n gligeable lt 1 Conception de la salabarde Pr sentation Glen Budden Capitaine de l Ocean Venture Description du projet Concevoir tester et valuer une salabarde adapt e visant r duire au minimum la mortalit du coho dans la p che commerciale la senne Lors des essais pr liminaires on a test cinq conceptions diff rentes et les deux meilleures ont t retenues pour l tude sur la survie apr s remise l eau r alis e en 1998 dans la baie Barkley la salabarde accrochage lat ral et la salabarde chaussette Voir l annexe 4 Observations 1 Salabarde accrochage lat ral Les poissons captur s n ont pr sent aucun signe de l sion ni de perte d cailles lorsqu ils sont pass s de la salabarde au bac de tri Il serait toutefois difficile d utiliser la salabarde par vent fort ou forte houle Plus de 10 000 poissons o
86. t gration des pr occupations sociales conomiques et environnementales Source Agenda 21 D claration de Rio 1992 NOTRE OBJECTIF EST DE D VELOPPER DES P CHES DURABLES QUI RECONNA TRONT ET INTEGRERONT LES VALEURS SOCIALES CULTURELLES ENVIRONNEMENT ALES ET ECONOMIQUES DANS LA GESTION DES PECHES Il y a eu beaucoup de discussions propos de la durabilit et de la s lectivit Nous voulons en faire une r alit dans les plans de gestion aussi bien que durant la saison de p che Afin de r aliser nos objectifs nous devons e Reconna tre que toutes les p ches m me dans les zones de fraye sont des p ches de stock mixtes e Reconstruire la biodiversit des cosyst mes e Int grer les connaissances des universitaires des gestionnaires et des populations locales dans les plans de p che e Am liorer la collecte et l analyse des donn es e Utiliser toutes les ressources notre disposition pour r duire les prises accessoires ce qui comprend les technologies s lectives et des changements dans la gestion des saisons et des zones de p che e Adopter un point de vue global en d veloppant une strat gie de planification cosyst mique L Association des ligneurs du secteur G de la C te Ouest a t form e en 1998 Nous sommes depuis cette date engag s dans des projets ax s sur l utilisation durable de nos ressources aquatiques et sur la communication la coop ration la coordination et l ducation parmi les d
87. t sur la C te Nord que sur la C te Sud Analyser l volution de la p che en cours Sugg rer des changements au plan Les groupes choisis pour p cher dans une zone rouge doivent se pr senter au complet Si 1I un des bateaux quitte alors toutes les activit s de p che du groupe doivent cesser Tout incident qui surviendra sera tudi au cas par cas en cours de saison Tout bateau qui ne respecte pas les normes peut se voir interdire de p che dans toutes les zones rouges et ce pour toute I ann e En cours de saison le plan peut tre r vis et des ajustements apport s quant la taille des groupes ou d autres param tres P ches et Oc ans Canada dirigera cette exp rience en se servant de toutes les donn es disponibles y compris l effectif de l chapp e de coho indiqu par la p che d essai de Tyee de m me que les indicateurs en cours de saison obtenus Tree Point par les fileyeurs d Alaska Si l chapp e de coho semble faible l on proc dera la fermeture totale de la p che avec un pr avis tr s court 1998 TAUX D EXPLOITATION DU COHO DU COURS SUP RIEUR DE LA SKEENA PECHES COMMERCIALES P che Zone D cennie En saison d exploitation d exploitation estim moyen Secteur 3 Filet maillant et senne Jaune 5 0 06 Secteurs 4 et 5 Filet maillant et Jaune 5 0 34 senne Senne s lective 1 3 4et5 Rouge 0 lt 01 Trappe s lective Rouge 0 0 Tra ne secteurs 1 3 4et5 Ferm e 20 0 Tra ne
88. t d j t formul es pour tudier les probl mes de mortalit dans les conditions r elles de p che commerciale L Association a aussi particip aux projets suivants e Collecte informatis e de donn es en temps r el Formation pour la surveillance et l analyse des donn es P che exp rimentale et information sur la composition des stocks laboration des plans de p che Projet de p che durable avec la CEE et les tats baltes Soci t r gionale pour la gestion des ressources aquatiques C te Ouest de l le de Vancouver Cartographie et inventaire projet de compl ment de formation Le secteur de la p che la tra ne a atteint certains des objectifs du plan de gestion de la saison 1998 en instituant des pratiques comme l emploi d hame ons sans ardillon ou d hame ons cras s pour r duire les blessures et l espacement des engins ou des hame ons pour tenir compte des habitudes migratoires de poissons Ces activit s ont permis de r duire un niveau jamais atteint les prises accessoires d esp ces non vis es Le programme exp rimental d essais de p che la tra ne pour d terminer la fa on de mesurer la validit des hame ons sans ardillon a pris fin cette ann e 6 PROJETS DES PREMI RES NATIONS Survol des activit s de p che s lective des Autochtones Pr sentation Craig Orr Le rapport de la BCAF Le conf rencier pr sente un aper u g n ral par type d engin de certaines des p che
89. t la manipulation des poissons bord il met surtout accent sur le d veloppement d engins s lectifs et la n cessit de mener les travaux de s lectivit dans des conditions commerciales Le plan labor par le Comit technique de I industrie refl te les lignes directrices du Code laborer des protocoles concernant notamment dans les cas qui l exigent l utilisation de pratiques et d engins de p che s lectifs au sujet de la prise de ressources non vis es qui menace la sant des stocks Ligne directrice 2 1 Code de conduite canadien sur les pratiques de p che responsable LA R UNION Au cours de 1 atelier technique 1998 on a pr sent parmi autres choses les r sultats pr liminaires des tudes sur la mortalit apr s remise eau et sur les rencontres de cohos ainsi que des exp riences de s lectivit des engins men es dans les p ches la senne au filet maillant la tra ne et d autres engins par les p cheurs de saumon du secteur commercial et des Premi res Nations Les recherches entreprises en Colombie Britannique par le Comit technique de I industrie sur la p che s lective du saumon en collaboration avec P ches et Oc ans Canada au sujet de la modification des engins de p che commerciale comptent parmi les plus avanc es et innovatrices du genre dans le monde Environ 230 p cheurs gestionnaires des p ches scientifiques et technologues ont particip cet atelier technique s chan
90. thodes de manutention standard t moins et modifi s Techniques de p che mises l essai a tra ne efficacit des viviers pour la remise l eau des cohos vivants b filet maillant performance des filets maillants selon divers taux d armement longueur de la nappe de filet par rapport la longueur de la ralingue sup rieure e valuation de l effet de diff rentes dur es de mouillage c senne e efficacit du sac modifi par l ajout de grilles s paratrices e efficacit et comparaison d une salabarde chaussette et d une salabarde accrochage lat ral On a valu les taux de mortalit court terme apr s remise l eau en gardant des sp cimens de poissons marqu s dans des parcs de filets pendant 48 heures apr s leur lib ration par les bateaux de p che Les taux de mortalit long terme seront valu s quand les donn es seront disponibles voir l annexe 2 Les tudes sur la mortalit ne sont pas termin es Les r sultats taient provisoires au moment de l atelier et sont appel s changer mesure qu avance l analyse statistique des donn es recueillies La direction des Sciences du MPO produira un rapport final sur le sujet Cette exp rience a eu lieu dans une p che prot g e et non traditionnelle La p che n tait pas concurrentielle la mer tait tr s calme et le temps tait beau R SULTATS PROVISOIRES 4 novembre 1998 a Tra ne t moin et autres m thodes
91. traditionnels saule peuplier l exception du fil de fer utilisent maintenant des liens de fibres de Spatsun saule et am lanchier Mowachaht Envisagent d installer une p cherie pour la capture et le d nombrement du saumon rouge Huu ay aht Subvention de FishRBC pour construire une p cherie sur le ruisseau Sugsaw rivi re Pachena pr s de Bamfield afin de capturer du k ta issu d closeries Shuswap Exploitent plus d une douzaine de barri res de d nombrement du coho Musqueam Emplacement absolument id al pour l installation de p cheries fixes Orr Rapport de la BCAFC sur la p che s lective autochtone Trappes T Sou ke Tsawwassen Lakahahmen FRES Ditidaht Haisla Skeetchestn Sliammon Tsimshian T Sou ke Tsawwassen Les p cheurs de l le de Vancouver et du Fraser ont collabor cette ann e pour mettre l essai la trappe marine T Sou ke sur le territoire des Tsawwassen Queensborough Slough J ai h te d entendre le rapport de David Lightly sur ce projet qui est un partage interculturel de technologies faisant appel ces deux Premi res Nations et des p cheurs de Scandinavie et de Terre Neuve Lakahahmen Fraser River Fishermen Society Voici un autre partenariat cette fois entre une Premi re Nation et des fileyeurs non autochtones La premi re trappe flottante du r seau du Fraser doit tre mise l essai dans la rivi re Stave Ditidaht Cette Premi re Nation ex
92. u est trop faible 2 Syst me de relevage plus s r et plus efficace Id es de modification Autres possibilit s Trappes flottantes P cheries fixes Trappes de la C te Est modifi es Tourniquets Kitslas modifi s Filets de haut fond La faible abondance des stocks suscitant de plus en plus d inqui tude de nombreuses Premi res Nations collaborent avec des p cheurs commerciaux autochtones et non autochtones des projets qui vont donner aux p cheurs de tous les secteurs les moyens de p cher lorsque se trouvent dans le r seau hydrographique des stocks d abondance diverse ou des stocks en p ril Il est de plus en plus clair que les obstacles qu ont connus de nombreuses g n rations de p cheurs autochtones et non autochtones doivent dispara tre autant pour prot ger les stocks de poissons que pour assurer un avenir durable la p che Il est important de noter que c est seulement dans de telles circonstances que les organismes de financement et les gouvernements vont parrainer ces projets exp rimentaux Les responsables des projets de capture s lective de poissons vivants continuent chercher des moyens contemporains d utiliser les m thodes anciennes de capture du poisson en se pr occupant de prot ger au maximum les esp ces non cibl es et de donner aux p cheurs les moyens d exploiter les stocks qui sont abondants Nous n h sitons pas dire que nous r inventons la roue ou plut t
93. ui reviennent l closerie de Robertson Creek On valuera la viabilit des ufs et de la laitance des poissons marqu s et non marqu s chez les cohos qui reviennent l closerie de Robertson Creek TUDE DE S LECTIVIT POUR LE COHO DU BRAS ALBERNI SOMMAIRE DES ESSAIS PAR TYPE D ENGINS FILETS MAILLANTS SENNES ET TRAINES FILETS MAILLANTS Dur e de mouillage e _30 minutes T MOIN e 45 minutes e 60 minutes Taux d armement e 2 0 1 2 15 1 T MOIN e 2 3 1 SENNE e Sac et salabarde standard T MOIN e Relevage sur la rampe e Sac modifi e Salabarde chaussette e Salabarde accrochage lat ral TRAINE e Vivier coho r cup r l puisette tourdi marqu maintenu dans le vivier puis transf r par des tuyaux au chaland qui le transporte au parc de filet e T MOIN Coho r cup r l puisette et plac dans un bac sur la barque marqu et transf r au parc de filet e Pas de vivier le coho est r cup r l puisette et vers directement sur une grille bord du bateau tourdi marqu et transf r par des tuyaux au chaland qui le transporte au parc Test statistique Mortalit totale capture parc par rapport aux taux de mortalit standard du MPO en 1998 Standard Capture Parc Total Z Rejet Filets maillants 60 0 37 4 152 52 6 3 3 oui Sennes 25 0 0 1 71 7 8 25 1 oui Tra nes 26 0 2 9 16 4 19 3 2 0 oui Niveau de confiance
94. un des grands l ments du plan de redressement de la flottille Il est de plus en plus vident que l industrie devra jouer un r le beaucoup plus fort dans la gestion de la p che du saumon ce qui est d avant tout aux restrictions budg taires qui limitent fortement les moyens de gestion du MPO Les partenariats de gestion doivent tourner autour des allocations et de la s curit d acc s la recherche figure 2 L activit conomique a un prix et tous les secteurs commerciaux doivent b n ficier d un volume de capture admissible ou d une allocation d esp ces non vis es pour assurer la s lectivit dans nos p ches Cette allocation peut et doit tre accord e une fois que sont respect s les objectifs de conservation les obligations impos es par l article 35 et les besoins d une p che sportive responsable Les filets maillants ont un avenir sur cette c te mais seulement pour ceux qui acceptent le changement et sont pr par s construire rapidement une p che durable s lective et d fendable devant l opinion publique TUDE DE S LECTIVIT DE LA BAIE BARKLEY SEPTEMBRE 1998 TAUX DE MORTALIT INITIALE DES FILETS MAILLANTS ESPOUSES N DE POISSONS N DE POISSONS TAUX DE _ CAPTURES RELACHES VIVANTS MORTALITE 1 446 905 10 6 COHO Saumon rouge 941 841 10 6 K ta 72 63 12 5 Quinnat 123 95 22 1 Saumon arc en ciel 92 74 19 5 Saumon atlantique 69 Maquereau 113
95. une fois rendus au port Nous pensons qu il faut deux personnes pour installer et relever la trappe Il faut deux personnes pour mener les deux unit s qui tirent la trappe Il faudrait deux personnes pour amener le poisson au port en toute s curit piloter le bateau et surveiller le poisson Si l on consid re que la m t o pourrait interrompre l activit pour la journ e et que deux personnes transportent le poisson au port qu il en faut deux sur les autres bateaux et deux pour s occuper de la trappe il faut compter au minimum sur six personnes R sum Nous pensons que ces premiers essais ont donn d excellents r sultats Les efforts que nous avons d ploy s cette ann e nous ont permis d accumuler beaucoup de savoir Nous jugeons aussi que cette m thode offre la possibilit d tablir de bons partenariats de travail entre les p cheurs et ou les entreprises de transformation le MPO et nos march s qu ils soient traditionnels ou nouveaux En tant que professionnels nous jugeons que cette technique pourrait ouvrir de nouvelles possibilit s pour l exploitation des surplus des petites remontes comme des grandes remontes La nature s lective de cet engin contribuera aussi r duire la concurrence avec le secteur de la p che sportive pour certaines esp ces
96. ur le taux d armement Voir l annexe 6 Dans l essai sur le temps de mouillage chaque bateau a travaill avec un filet de 90 mailles de c bl Alaska maillage de 4 avec un taux d armement de 2 15 1 430 brasses de filet Toutes les nappes taient de la m me couleur et taient faites de fil de m me taille Chaque filet tait accroch directement sur la ralingue sup rieure Les dur es de mouillage taient de 30 45 et 60 minutes Chaque bateau a travaill selon ces trois horaires diff rents pendant deux jours chacun Dans l exp rience sur le taux d armement les trois bateaux ont maintenu la m me dur e de mouillage 30 minutes pendant la premi re moiti de l essai et 60 minutes pendant la deuxi me moiti Dans les trois cas les filets taient faits de c bl Alaska maillage de 4 chacun avec un taux d armement diff rent le filet t moin 2 15 1 les deux autres de 2 1 et 2 3 1 Chaque bateau a travaill avec chacun des filets pendant 1 3 de la dur e de l essai R sultats Tableau 1 Taux de mortalit initiale aux filets maillants projet sur la s lectivit de la baie Barkley N p captur s N p rel ch s vivants Taux de mortalit 1446 374 106 125 Alig e o a o S e o G o I Maquereaa S m d d Autres constatations Les techniques de manutention du poisson sont l un des grands facteurs qui d terminent le taux de survie La meilleure strat gie des fileyeur
97. urs examiner la proposition du secteur des fileyeurs une quipe d observateurs par zone qui serait mobile et qui surveillerait tous les engins et secteurs 4 Am lioration du syst me de journaux de bord et de rapports radio 5 ducation des p cheurs et des observateurs ax e sur la conservation les techniques de remise l eau et l identification des saumons 6 Salabardes Poursuite des essais sur les salabardes chaussettes et les salabardes accrochage lat ral dans une p che commerciale o on peut tre en pr sence de conditions m t orologiques difficiles de fortes houles de m duses ou d autres types de prises accessoires De plus il faut modifier la salabarde chaussette pour mieux l arrimer au bac de tri N e GROUPE DE TRAVAIL SUR LE FILET MAILLANT La p che au filet maillant est diverse les probl mes et les solutions diff rent d une r gion l autre De ce fait la gestion et les exp riences doivent tre adapt es la situation et la r gion Les exp riences de s lectivit ont montr que les filets maillants peuvent viter les rencontres de cohos Les fermetures de saison et de zones restent un important outil de s lectivit pour la flottille de fileyeurs Les membres du groupe de travail sur le filet maillant ont soulign un certain nombre de besoins qui doivent tre examin s si les fileyeurs veulent participer la p che de l avenir allocation de coho par le MPO plus de te
98. uscit e dans l opinion publique par les reportages sur les p ches de haute mer aux filets maillants d rivants et le fait que ces filets ont t baptis s les murs de la mort nous ont mis dans une position difficile Baie Barkley L tude sur la s lectivit men e la baie Barkley offrait la premi re possibilit aux fileyeurs de travailler directement sur les questions de s lectivit et en particulier d examiner certains des facteurs qui influent sur la mortalit dans un programme de capture avec remise l eau des poissons vivants Le programme a fait appel six fileyeurs dont chacun utilisait un filet sp cialement con u Trois bateaux ont particip l exp rience sur la dur e de mouillage et trois l exp rience sur le taux d armement Dans l exp rience sur la dur e du mouillage chaque bateau utilisait un filet de 90 mailles de c bl Alaska de 4 et un taux d armement de 2 15 1 430 brasses de longueur Tous les filets taient de la m me couleur et taient faits de fils de m me taille Chacun tait attach directement la ralingue sup rieure Les dur es de mouillage taient de 30 45 et 60 minutes Chaque bateau a p ch selon ces trois horaires diff rents pendant deux jours chaque fois Les trois autres bateaux ont tous eu le m me horaire 30 minutes de mouillage pendant la premi re partie de l exp rience et 60 minutes pendant la deuxi me partie Les trois filets t
99. vaillent en collaboration avec des p cheurs commerciaux autochtones et non autochtones des projets qui donneront aux p cheurs de tous les secteurs les moyens de p cher en pr sence de stocks mixtes ou de stocks en p ril 7 AUTRES ENGINS Trappe flottante saumon C te Nord Pr sentation Fred Hawkshaw Clarence Nelson Objectif du projet Le but vis par l essai de la trappe flottante saumon est de capturer s lectivement les esp ces cibles pour les transporter vivantes jusqu au point de transformation et de remettre l eau vivantes les esp ces non vis es Description du projet L engin comporte deux ailes 300 pieds de longueur par 30 pieds de hauteur un pi ge constitu de trois panneaux qui am nent le poisson dans une cage structure rigide en surface Les poissons sont orient s vers le pi ge par les ailes et se retrouvent dans la cage qui est d tach e de la trappe et tir e dans l eau jusqu l endroit o aura lieu le tri Voir l annexe 11 cause des probl mes de conception et du retard dans les approbations l exp rience commerciale de capture du saumon n a pas pu avoir lieu cette ann e L engin a toutefois t mis l essai dans le port de Prince Rupert Les poissons captur s ont tous t entra n s jusque dans le pi ge L ensemble de l op ration demande beaucoup de main d oeuvre au moins six personnes Travaux futurs L ajout des ailes la trappe l
100. vaillons pr parer un avenir dans lequel la p che rapportera de bons revenus aux p cheurs et contribuera aux conomies locales Certains disent que restructuration signifie gros plut t que petit grande entreprise plut t que p cheur ind pendant ou int r ts urbains plut t que village c tiers La cl c est la s lectivit Gros ou petit urbain ou c tier si vous pouvez p cher de fa on s lective vos perspectives d avenir seront florissantes Source D claration du ministre David Anderson 19 juin 1998 Nos objectifs Lorsqu on r fl chit la ligne de conduite adopter il convient avant tout de d terminer les buts vis s Notre principal objectif c est la conservation afin de prot ger nos ressources marines pour les g n rations venir Nous visons galement une p che durable Source Discours du ministre David Anderson au Comit permanent 20 janvier 1998 Qu est ce qu une p che durable En 1995 le Canada en tant que membre des Nations Unies a ratifi le Code de conduite pour une p che responsable qui aide poser certains principes g n raux e Les tats et les utilisateurs des ressources bioaquatiques devraient conserver les cosyst mes aquatiques Le droit de p cher implique l obligation de le faire de mani re responsable afin d assurer effectivement la conservation et la gestion des ressources bioaquatiques e L am nagement des p cheries devrait promouvoir le maintien de la qua

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