La cration d`une maison d`Accueil Spcialise vise offrir ces
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1. Un partage clair entre ce qui rel ve des services de l h pital le quotidien l urgent et ce qui peut ou doit tre confi l ext rieur travaux de longue dur e pour les ateliers par exemple Une valuation syst matique sous forme de comptes rendus d activit s et de bilans voir en annexe 8 l exemple du traitement des d chets 13 De tout ceci a r sult une d flation des effectifs de maintenance et des services g n raux en particulier leur encadrement ce qui a permis de contribuer l quilibre budg taire des d penses du groupe 1 Mais aussi de cr er une cellule s curit 2 personnes sous l autorit du cadre technique d l gu la s curit De 2000 2005 un certain nombre de projets ou d op rations ponctuelles ont t ex cut s mise aux normes du service restauration de la blanchisserie mise aux normes du traitement des d chets agrandissement du restaurant du personnel pour accueillir les nouveaux effectifs de I F S I r novation compl te quipements et travaux de la blanchisserie r organisation de l imprimerie pour ramener les effectifs de 3 agents 1 agent r organisation du circuit livraison enl vement linge repas mat riels etc On trouvera en annexe 9 des l ments plus d taill s sur la situation du service Facilitaire et les perspectives de son volution En pla ant le service Facilitaire dans la perspective de nouveaux projets des2. Cela aboutit aux op rations suivantes A R organisation de l hospitalisation temps plein Objectif g n ral d semboliser la capacit d accueil en court et moyen s jour en ouvrant des unit s sp cifiques pour les malades chroniques stabilis s dans leur handicap mais dans l incapacit d assumer une autonomie de vie Ramener la capacit d accueil hospitali re stricto sensu 25 30 lits par secteur Al Am nagement du pavillon Claire Fontaine capacit actuelle de 15 lits pour la cr ation d une Unit de S jour Prolong de 30 lits 1 375 000 A2 Am nagement des pavillons La Cassine et Dames de Meuse qui se font face et peuvent b n ficier d un acc s autonome par la future rue G Brassens pour la r alisation de deux Foyers d Accueil M dicalis s F A M de 20 lits Charonne dt 1 650 000 Observation les F A M rel vent d une couverture m dico sociale A3 Am nagement du pavillon Argonne pour la cr ation d une unit d hospitalisation s curis e de 20 Nits ces 5888 eles sae eek Se en ne en ne de LE 1 650 000 A4 R novation int rieure des quatre pavillons d admission Roc La Tour Varennes La Goutelle Elan 750 000 B Structures Ext rieures B1 Acquisition d un b timent pour regrouper les structures p dopsychiatriques hors adolescents de
3. teliers et g n raux Avant 2000 les services g n raux les services h teliers et les services techniques taient rattach s des directions diff rentes selon le mod le classique En 2000 ces diff rents services tout en conservant leurs sp cialit s et leurs finalit s ont fait l objet d un regroupement sous le terme emprunt la Belgique de Service Facilitaire et plac s sous l autorit d un ing nieur en chef issu de la fili re h teli re Ils ont en commun d tre tous prestataires de services et d tre soumis des contraintes de ponctualit et r activit Cette organisation impliquait une nouvelle approche des fonctions en terme d efficacit de rentabilit de communication Nouvelle approche nouvel tat d esprit Les services demandeurs et b n ficiaires doivent tre consid r s comme des clients et trait s comme tels La qualit des t ches accomplies comporte notamment la r activit les d lais d ex cution l information lorsqu elle est utile au client Biens et services ont un co t il doit tre valu communiqu mais aussi compar en particulier avec le secteur commercial De cette conception ont r sult quelques innovations L interlocuteur unique pour recevoir les commandes donner les informations sur le suivi etc La polyvalence pour rentabiliser les effectifs mais aussi r duire les d lais pallier les absences etc
4. Charleville M zi res en vue d affecter la totalit du site Forest l accueil des adolescents non chiffr Observation d duire vente des Tournelles 220 000 B2 R novation du Centre Forest adolescents 820 000 B3 Travaux de r novation et r agencement dans diverses structures ext rieures psychiatrie g n rale et p dopsychiatrie 1 000 000 Observation l op ration B3 aurait pu figurer en rubrique III entretien et r novation du patrimoine Toutefois elle s inscrit davantage dans la logique et l objectif de l am lioration de l accueil du patient Pt Pt te ht te Pt Pt Pt III Entretien et r novation du patrimoine 3A Le patrimoine immobilier et sa gestion Le site central et les structures ext rieures du C H B lair occupent 43 000 m de surface habitable dont 41 800 m sont la propri t de l tablissement voir d tail annexe 4 La gestion de ce parc immobilier n cessite un entretien permanent Depuis 2000 cet entretien est organis comme suit 1 Responsables 2 L attach d administration chef des services conomiques gestion juridique et fiscale achats et ventes comptes budg taires d di aux batiments classe 2 et classe 6 loyers et baux Le contremaitre principal d l gu a la s curit et aux travaux veille juridique normes etc vigi
5. fait qu il s agit d acquisitions ayant syst matiquement fait l objet d une r novation et mise aux normes compl tes avant leur mise en service Toutefois tous ces locaux ne sont pas forc ment adapt s soit du fait de l volution des activit s qui y sont d velopp es files actives plus importantes par exemple soit du fait de l volution de la r glementation de s curit ou encore en raison de la r organisation r sultant du projet m dical Il est donc plus que probable que d s l ann e 2006 dans le cadre de l actualisation permanente du projet d tablissement apparaissent des projets de vente d acquisition et de r agencement justifi s par ces motifs C est d j certain pour la p dopsychiatrie Dans cette optique le C H B lair a d j entrepris des d marches exploratoires aupr s de la Mairie de Charleville M zi res d agences immobili res et de promoteurs priv s A titre d exemple on retiendra une op ration qui consisterait regrouper sur un b timent acqu rir et am nager de 3000 m dans le quartier de la gare future gare TGV en cours de r habilitation par la ville pour y regrouper les structures infanto juv niles adolescents compris de Charleville M zi res et Nouzonville Cette acquisition serait compens e par la vente des sites Forest Arches Les Tournelles et Vaillant enfants Nouzonville Voir annexe 7 12 IV Maintenance services h
6. PROJET LOGISTIQUE Pr ambule La logistique au Centre Hospitalier B lair Le terme de logistique n est pas employ par tous les tablissements pour d signer les m mes domaines de moyens et de m thodes Il convient de pr ciser qu au C H B lair la logistique recouvre 1 La s curit 2 La circulation et le stationnement 3 L nergie les r seaux et les fluides 4 le patrimoine immobilier et sa gestion achats ventes constructions location grands travaux 5 Les quipements 6 Les fournitures et les services 7 La maintenance des immeubles et des quipements 8 Le parc de v hicules 9 La restauration 10 Le traitement du linge 11 La reprographie 12 Les espaces verts 13 Le traitement des d chets 14 Le nettoyage des locaux 15 Le service postal vaguemestre Les domaines 1 2 et 3 rel vent de la comp tence d un d l gu la s curit qui intervient galement dans les domaines 4 5 et 6 s qualit et titre d expert charg particuli rement de la veille r glementaire et du contr le de conformit Les domaines 4 5 et 6 constituent les Services Economiques plac s sous l autorit d un attach d administration hospitali re Les domaines 7 15 sont regroup s sous l appellation de Service Facilitaire expression usit e en Belgique confi un ing nieur en chef issu de la fili re h tellerie res
7. actuelle qui a pour base une convention et n est interhospitali re que par la mise disposition de la cuisine centrale de personnels du C H B lair l organisation et le fonctionnement de cette cuisine tant demeur es sous les seules autorit s et responsabilit s du C H de Charleville M zi res Outre cet aspect juridique le C H B lair se pose la question effectif constant de l opportunit de reprendre son compte la totalit de la gestion de la restauration du personnel self service approvisionnement production et service compris Les raisons techniques et financi res expliquant cette hypoth se seront d velopp es dans un ventuel projet qui rel vera de l actualisation du pr sent projet logistique Enfin on notera que l clatement de la prestation dans sa phase finale service des repas a motiv une attention particuli re port e aux conditions de son fonctionnement sur l ensemble des sites notamment sous forme d enqu te voir annexe 12 Ca i i hte te hte te Pt Pt Pt 15
8. es y compris de prix en facilitant leur propre r le de vendeurs commandes claires et pr cises interlocuteurs comp tents politiques d achats coh rentes et bien affich es d lais de paiement etc 2 Maintenance Raisonner en terme de service comme une soci t prestataire Am liorer la r activit et les d lais d ex cution Etre en mesure d informer le service client sur le devenir de sa commande Privil gier l interlocuteur unique et cr er des num ros verts Mettre disposition des services un mode d emploi Protocoliser les t ches voir en annexe 3 la plaquette comment fonctionne le service de Maintenance 3 S curit et pr vention La cellule s curit voir par ailleurs et l infirmi re hygi niste ne peuvent remplir leur mission qu en tant associ s voire int gr s aux actions activit s et instances qui n cessitent l apport de leur comp tence Leur implication totale dans les process d achats d immeubles et d quipements ou de travaux en est un bon exemple N anmoins la d finition de fonctions et l implication des personnes qui les occupent ne suffirait pas r aliser les objectifs s il n y avait pas une appropriation de leurs conditions de r alisation par l ensemble des acteurs A cet gard le relais de l encadrement celui des r f rents et le support de la communication campagnes de sensibilisation mois t
9. facteurs d terminants ont t retenus Mise en avant des contraintes budg taires Recherche de performance dans les d lais Rentabilit De ce fait deux secteurs d activit ont retenu l attention le nettoyage des locaux et les garages Pour le nettoyage des locaux dont le co t r sulte plus de 95 de frais de personnel la r flexion a port sur L objectif de plus grande professionnalisation des agents de l tablissement ce qui suppose le recours des personnels permanents alors que les effectifs actuels comportent beaucoup de CES La pr f rence la sous traitance pour les services ext rieurs o le nettoyage peut tre effectu en dehors des heures ouvrables et o la dispersion des sites ne favorise pas le choix de la prestation en r gie 14 Pour le garage compte tenu du grand nombre de v hicules l objectif a t de r duire les charges d investissement et leur r percussion sur le groupe 4 de d penses tout en r duisant les co ts d entretien La solution de la location entretien adapt e par de nombreuses collectivit s a paru une piste pertinente On trouvera en annexes 10 et 11 les dossiers techniques relatifs ces projets Le cas particulier de la restauration doit galement faire l objet d un projet mais il implique la participation du Centre Hospitalier de Charleville M zi res Il s agit de r gulariser la situation juridique de la coop ration
10. h mes rubriques dans la revue interne jouent un r le d terminant qui ne concerne d ailleurs pas que le domaine de la s curit et de la pr vention D autres aspects de l organisation des services pourraient tre rappel s mais ils rel vent aujourd hui de l acquis et proc dent davantage d un tat d esprit que de techniques particuli res tout en se traduisant par des initiatives concr tes Il en est ainsi pour ne prendre qu un exemple de la transversalit si n cessaire dans une institution par nature sectoris e et multisites L attribution chaque cadre sup rieur de sant en plus de son r le propre dans un secteur ou service d une mission transversale en lien avec les services logistiques hygi ne quipements etc en constitue l exemple type mg mag Pag Pa te te te Pt Pt Pt II Les projets r sultant du Projet M dical Le projet m dical propose partir d une capacit d accueil temps complet totalement polyvalente hors M A S appartements th rapeutiques et communaut s d accueil th rapeutiques une r partition en unit s sp cifiques de cat gories de malades distingu es en fonction de la dur e du s jour et pour l une d entre elles du d ficit de sociabilit Afin de r duire les co ts au maximum il a t choisi de r affecter les pavillons existants en y engageant des travaux de r novation et de r am nagement plus ou moins importants
11. i me partie concerne la r novation et l entretien du patrimoine immobilier Enfin une quatri me partie recense trois projets innovants en mati re de logistique g n rale l autosuffisance en fourniture d eau non potable par r cup ration des eaux de sources du site central la location entretien du parc automobile la sous traitance partielle du nettoyage des locaux St Pt Pt te hte te Pt Pt Pt L 2000 2005 les projets ex cut s hors projet d tablissement A Les Investissements L attente d un projet d tablissement n a pas mis en sommeil une relance des investissements qui s av rait indispensable apr s une p riode de recours excessif l autofinancement de quelques op rations tr s co teuses la MAS et La Vence La nouvelle direction avait retenu des axes prioritaires d s janvier 2000 La s curit les mises aux normes diverses HACCP circuits d eau et d air etc l hygi ne L informatisation L adaptation des structures ext rieures leurs activit s En mati re d quipement tait retenue une politique de transversalit vitant la dispersion et l h t rog n it des achats Priorit a t donn e des programmes annuels ou pluriannuels mobilier des chambres chariots de nettoyage distributeurs d essuie mains mobilier de jardin etc Il en a t de m me pour le gros entretien tanch it fen tres serrures etc Le recensement ci
12. joint suppl ment au n 55 de la revue Fen tre sur n est pas totalement exhaustif mais il rend compte d un effort significatif et d une coh rence des op rations en phase avec les priorit s annonc es On trouvera en annexe 2 le d tail comptable des op rations d investissement On retiendra en particulier parmi les op rations les plus importantes que plus de 40 des d penses d investissement ont t consacr es l informatique qu un tiers des structures ext rieures a fait l objet de r novations compl tes de constructions nouvelles ou d achat que la s curit a fait l objet d une attention particuli re B L organisation des services D s 2000 des orientations et des principes ont t fix s aux services logistiques dans le cadre ou en pr alable la d marche qualit 1 Achats Les services conomiques doivent acqu rir une culture et une comp tence d acheteur L achat est une sp cialit comme la vente Les services utilisateurs doivent tre associ s l laboration des clauses techniques des cahiers des charges qui sont tablis pour tous les achats y compris hors march Toutefois les produits ou quipements vocation transversale doivent donner lieu des politiques coh rentes communes tous les services Le marketing d achat existe l tablissement peut tre attractif pour les fournisseurs et b n ficier de meilleures offr
13. lance visites de contr le pr vention relations avec les architectes projets et avec les entreprises suivi des gros travaux voirie r seaux circulation et stationnement L ing nieur en chef charg du service facilitaire organisation et fonctionnement de la maintenance interventions de premier chelon Intervenants Pour la maintenance le corps des personnels techniques affect s aux ateliers Pour les travaux de gros entretien les entreprises titulaires des march s a bons de commande Pour les cr ations les r novations l architecte et les entreprises titulaires des march s relatifs aux op rations concern es Pour les audits les tudes techniques les contr les les soci t s et organismes qualifi s retenus ponctuellement 10 3 Urgences Des astreintes hebdomadaires de personnels techniques assurent les interventions en urgence de jour et de nuit Les m mes personnels par ailleurs log s par utilit de service sont tous titulaires de la qualification ERP 1 ou 2 pour les interventions s curit 4 Programmation La programmation de l entretien des immeubles est g r e l aide du logiciel GESPLAN voir annexe 5 5 Orientations et projets Les probl matiques sont diff rentes pour le site central et les sites ext rieurs Le seul point commun concerne l impact du projet m dical qui implique pour tous les sites soit des r agencements soit des achats
14. ou constructions nouvelles SA Site central Il s agit d un ensemble de constructions qu on peut qualifier d homog ne m me anciennet m me architecture m mes mat riaux l exception bien s r du chateau et du restaurant du personnel Le probl me majeur des pavillons de soins et des b timents administratifs et logistiques ainsi que des logements de fonction est celui de la v tust importante des fa ades et des infiltrations qui d gradent les murs y compris l int rieur Les infiltrations sont dues la conception des couverts toitures peu propice une bonne vacuation des eaux pluviales ainsi qu un entretien insuffisant des circuits d coulement pas de contrat d entretien avant 2000 soit depuis 30 ans 11 Il convient donc d envisager la reprise des couverts et ensuite seulement la r novation des fa ades Les deux op rations ne n cessitent cependant pas un d calage important dans la dur e et rel vent donc d un projet unique D un audit confi un organisme ext rieur ind pendant il ressort que l ensemble des b timents peut faire l objet d une telle op ration tal e sur quatre exercices Le co t total est valu 1 596 328 voir annexe 6 5B Sites ext rieurs Les b timents des sites ext rieurs qui sont propri t du Centre Hospitalier sont dans un tat g n ral satisfaisant soit du fait qu il s agit de constructions neuves soit du
15. r devra porter sur la r novation et l entretien pr ventif du patrimoine immobilier Les objectifs pr c dents sont reconduits des marges d am lioration pouvant encore tre mises profit p P Le Centre Hospitalier B lair a int gr dans ses orientations strat giques les objectifs environnementaux conomiques et sociaux notamment par son adh sion la politique des nergies renouvelables choix de la chaufferie bio masse bois en 2001 et projet de r cup ration des eaux pluviales et de sources voir annexe 1 Le pr sent projet est d velopp en quatre parties La premi re partie pr sente synth tiquement les op rations r alis es depuis 2000 hors projet d tablissement Ce rappel a paru n cessaire double titre d une part montrer que dans l attente d un projet d tablissement et d un plan directeur le C H B lair s est engag dans une dynamique de modernisation et d adaptation tout en ob issant une coh rence d autre part permettre d examiner les projets propos s la lumi re d un contexte d achats de travaux et d quipements laissant appara tre qu ils s inscrivent dans la continuit d une politique patrimoniale ax e sur quatre objectifs l adaptation aux activit s l entretien permanent la recherche de l efficacit La deuxi me partie pr sente les projets d investissements immobiliers et mobiliers r sultant du projet d tablissement La trois
16. tauration Cette r partition des responsabilit s arr t e en 2000 fait suite une organisation assez confuse rassemblant les services conomiques et les services techniques et h teliers D embl e a t affirm e la place de la s curit en tant que fonction part enti re vocation transversale Les services techniques initialement structur s de mani re classique articul s par corps de m tier ayant chacun sa hi rarchie propre ont volu vers une organisation plus souple et plus r active m nageant la part de la polyvalence et celle de la sp cialit La r partition entre prestations internes et sous traitance en mati re de travaux et d entretien a t clarifi e galement Les services conomiques ont volu vers la distinction entre la gestion budg taire et comptable et la fonction achat Dans la perspective de la Nouvelle Gouvernance la plus grande partie des t ches et des effectifs des services conomiques sera transf r e et clat e sur les futurs p les d activit des services de soins A noter que les services techniques actuel service Facilitaire ont connu une d flation de 6 postes depuis 2000 4 supprim s deux affect s la cellule s curit De 2000 2005 les efforts ont port sur la s curit et les mises aux normes l am lioration de la communication avec les services la r activit l informatisation Dans les ann es venir un effort particulie
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