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Plan global de gouvernance numérique ouverte et intelligente

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1. long terme la p nurie de m decins de famille en Outaouais CONSEIL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER REGIONALES Il est r solu par le Conseil g n ral du Parti lib ral du Qu bec l Que soit poursuivi le d veloppement de la r gion et que les moyens soient pris pour rapatrier des milliers d tudiants fr quentant un tablissement d enseignement sup rieur Ottawa chaque ann e Que le MELS reconnaisse que les coll ges en Outaouais et l UQO sont des tablissements dont le d veloppement doit se poursuivre et dont la programmation reste encore compl ter dans des domaines cl s pour le d veloppement du Qu bec et de l Outaouais en particulier Que le MELS convienne avec les coll ges et l UQO d une planification strat gique et d un financement pour le d veloppement prochain des nouveaux programmes Que le MELS accorde aux coll ges et l UQO un financement de d marrage de nouveaux programmes afin de leur permettre de pouvoir r unir les quipes professorales requises et que le financement des espaces additionnels soit consid r en priorit et en dehors des cadres normatifs habituels Que le MELS et le minist re de la Sant et des Services sociaux prennent les moyens pour r aliser dans les plus brefs d lais l implantation de la Facult de M decine de l Universit McGill en Outaouais R SOLUTION DE LA COMMISSION JEUNESSE DU PARTI LIB RAL DU QU BEC 18 R solution concernant la repr
2. Augmenter le recours l aide directe plus qu l aide indirecte privil gier les subventions pr ts garanties de pr ts etc plut t que les cr dits d imp t Aide plus cibl e et dirig e davantage vers les r gions Viser la productivit des entreprises et non seulement la cr ation d emplois l augmentation de la productivit rendra les entreprises plus comp titives et entra nera la cr ation d emplois Revaloriser la formation technique Automatisation innovation Appuyer l acquisition et la mise niveau d quipements de pointe Sabin Boily directeur de l innovation et des relations avec l industrie cole de Technologie Sup rieure Universit du Qu bec Le Qu bec doit se concentrer sur l innovation ouverte gt S ouvrir sur le monde Tenir compte des probl matiques en mati re de propri t intellectuelle gt Prot ger la propri t intellectuelle Collaboration institutions entreprises gt Apprendre travailler ensemble Techniques manufacturi res de pointe gt Accompagner nos entreprises y acc der International march d exploitation gt Penser global Entrepreneuriat technologique gt Acc l rer le d veloppement Anne Marie Larose pr sidente directrice g n rale Aligo Innovation L tat doit apporter un support au niveau de la valorisation de la recherche soci t s de valorisation afin de mieux incorporer les inventions innovations au sein des PME d
3. 178 milliards de dollars par an ce qui est comparable des pays comme la Finlande ou l Irlande Le d veloppement du secteur de l innovation aux tats Unis est en grande partie d au fait qu il repose sur le syst me de financement des id es radicales ou non conventionnelles le plus sophistiqu au monde C est gr ce la disponibilit des capitaux que des entreprises comme Google ont r ussi voir le jour On fait tellement r f rence au cas des tats Unis qu on oublie de citer un autre pays pourtant consid r comme le champion de l innovation l Allemagne Les Allemands sont les chefs de file dans les secteurs des nergies renouvelables dans les biotechnologies mol culaires les lasers et le d veloppement de logiciels exp rimentaux La force de l Allemagne dans le secteur de l innovation ne repose pourtant pas sur le financement comme pour les tats Unis mais plut t dans la fa on dont est support le secteur par le gouvernement qui pourrait tre d crit en trois points Premi rement l Allemagne con oit que l innovation doit se traduire par des gains de productivit plut t que de se concentrer uniquement dans le secteur high tech du moment En cons quence l Allemagne ne cherche pas seulement former de nouvelles industries le gouvernement s assure que ses industries existantes soient plus innovantes Deuxi mement un r seau d institutions publiques s assure de coordonner tout cet effort avec comme objectif
4. MOT DU CHEF DU PARTI LIB RAL DU QU BEC ET PREMIER MINISTRE Il y a pres d un an nous nous r unissions a Montr al pour adopter notre plan de gouvernement Ce plan c tait celui des militants du Parti lib ral du Qu bec Les priorit s que nous avions identifi es ensemble r pondaient aux aspirations des Qu b cois de toutes les r gions et de tous les horizons Nous nous sommes mobilis s pour proposer la population qu b coise de suivre une nouvelle voie Apr s 18 mois de recul et de division il tait temps d unir les Qu b cois autour d un gouvernement qui s occupe des vraies affaires Durant la campagne lectorale nous avons pr sent nos orientations Pour nous la relance de notre conomie et le redressement de nos finances publiques taient incontournables si nous voulions retrouver notre capacit d investir dans les domaines qui nous tiennent tous c ur tels que la sant l ducation et le soutien aux familles qu b coises Les Qu b cois nous ont accord leur confiance et nous ont confi une grande responsabilit La situation financi re du Qu bec est s rieuse Ce qui aurait t souhaitable il y a 15 ans ce qui aurait t n cessaire il y a 10 ans devient aujourd hui une urgence Le chemin que nous devons prendre n est pas facile Cependant il est obligatoire pour se rendre notre destination un Qu bec prosp re libre de ses choix parce qu il en a les moyens La population qu
5. de gestion de la relation la client le 22 de gestion de la cha ne logistique 8 Les entreprises ne se donnent pas la peine de s y int resser afin de revoir leurs processus Solutions aider les entreprises de 25 employ s et moins qui n ont pas l expertise num rique ni les moyens financiers d aller chercher cette expertise II faut les aider Une fiscalit simplifi e et ax e sur les r sultats devrait tre mise en place De l aide devrait tre offerte aux PME pour qu elles acqui rent des outils informatiques logiciels afin d optimiser leur fonctionnement et revoir leurs processus se cr erait ainsi une industrie de la consultation num rique qui serait grandement b n fique au niveau de l expertise et de la productivit des entreprises ense INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM HORAIRE Ouverture de l inscription Affaires internes Lev e du huis clos Mot de bienvenue de M Jean Denis Girard ministre d l gu aux Petites et Moyennes Entreprises et ministre responsable de la r gion de la Mauricie Allocution de M Gilbert Grimard pr sident du PLQ Allocution d ouverture de M Philippe Couillard chef du Parti lib ral du Qu bec et premier ministre La relance conomique et le redressement des finances publiques Pr sentation de M Carlos Leitao ministre des Finances M Martin Coiteux Pr sident du Conseil du tr sor et M Jacques Daoust ministre de l conomie de l Innovation et des E
6. qu une telle strat gie ne doit pas relever du Conseil du tr sor mais d un minist re en particulier qu un tel projet engendrerait des b n fices transversaux impliquant tous les minist res et qu un mandat clair d agir face aux r sistances devrait tre donn Cette strat gie num rique d pend de la situation des infrastructures existantes et de l conomie du pays et elle doit tre ax e sur les besoins en fonction de la r alit des milieux Selon le CEFRIO au Qu bec plus de 80 des gens ont utilis internet en juillet 2014 85 des connexions sont haut d bit 97 des foyers avec enfants sont branch s et 75 de la bande passante sert au divertissement Le taux de branchement n est pas en cause c est l utilisation que l on en fait qui l est Il ne suffit pas d apporter les capacit s du num rique aux citoyens mais il faut que ces derniers puissent se les approprier La strat gie num rique au Qu bec doit tre centr e en priorit sur l appropriation du potentiel num rique par les intervenants en sant en ducation et au niveau des exportations id es services et biens Les entreprises sont nombreuses investir dans le domaine les infrastructures sont pr sentes mais les applications font d faut Par exemple les villes intelligentes Ses applications sont trop ax es sur le divertissement et la qualit de vie plut t que sur l conomie et le service aux citoyens Il faut s attaquer aux priorit s de bas
7. Ottawa De ce fait ils ne contribuent pas l conomie r gionale car leur exode repr sente une perte nette d au moins 25 000 000 par ann e pour les tablissements d enseignement sup rieur de l Outaouais la p nurie de programmes est la principale raison 85 motivant les jeunes poursuivre leur parcours scolaire Ottawa et ce malgr des frais de scolarit 3 fois plus lev s qu au Qu bec De plus l acc s l universit est possible apr s un minimum d un an de coll gial 25 des qualifications obtenues du c t ontarien n tant pas reconnues au Qu bec de nombreux tudiants r sidant en Outaouais et poursuivant leurs tudes sup rieures Ottawa ne r pondent pas aux besoins de main d uvre qualifi e du Qu bec Malgr plusieurs initiatives des tablissements d enseignement sup rieur de l Outaouais depuis 2003 le retard quant l offre de programmes aux infrastructures et au financement s est aggrav et continuera le faire plus de 100 partenaires repr sentant plusieurs dizaines de milliers de personnes des milieux ducatif conomique social culturel sportif associatif f d ratif et syndical ont adopt une r solution pour donner un appui formel la cause de l enseignement sup rieur en Outaouais et la rectification de l iniquit le projet de la Facult de M decine de l Universit McGill en Outaouais a r cemment t soumis au MSSS et fait l objet d un consensus comme solution
8. b coise le sait Nous le savons est maintenant temps d agir C est une responsabilit que nous avons envers nous m mes et envers ceux qui nous suivront Parce que nous partageons cette responsabilit nous profiterons galement des b n fices qui en d couleront Aujourd hui nous nous r unissons une fois de plus pour crire une nouvelle page de la grande histoire de notre Parti Au mois de septembre dernier nous avons tenu le 2e Forum des id es pour le Qu bec cette occasion des experts provenant de plusieurs pays sont venus nous pr senter leur vision de l innovation num rique Je serai l coute de vos propositions pour innover dans le but de mieux gouverner Ensemble continuons faire avancer le Qu bec Au plaisir de vous rencontrer Philippe Couillard Chef du Parti lib ral du Qu bec Premier ministre conselL INNOVER G N RAL POUR MIEUX 2014 GOUVERNER MOT DU PRESIDENT DU PARTI LIBERAL DU QUEBEC Cheres militantes chers militants La deuxieme dition du Forum des id es pour le Qu bec tenue en septembre dernier nous a permis de mieux comprendre le concept d innovation Sous l oreille attentive du premier ministre nous avons cout plus d une quarantaine de conf renciers renomm s de partout travers le monde sur le r le que doit jouer le gouvernement en mati re d innovation ainsi que sur ce en quoi devrait consister une strat gie num rique pour le Qu bec Nous avons beaucoup
9. de mener des campagnes de pr vention sur une panoplie de sujets en lien avec la sant aupr s de divers groupes cibles 3 De sensibiliser le citoyen au co t des services de sant qu il utilise en lui permettant de consulter en ligne le relev des services qu il utilise chaque ann e conse INNOVER R SOLUTIONS G N RAL p 2014 GOUVERNER REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION DES COMMUNAUT S CULTURELLES 10 Refaire du Qu bec un leader en mati re de lutte au tabagisme ATTENDU QUE ATTENDU QU ATTENDU QU ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QU ATTENDU QUE le tabac demeure la premi re cause de mortalit au Qu bec tuant plus de 10 000 Qu b cois par an au Qu bec le tiers des co ts encourus par les journ es d hospitalisation sont attribuables au tabac et que les co ts totaux associ s au tabagisme s l vent plus de 4 milliards de dollars par ann e en 2005 le gouvernement du parti lib ral a t l origine d une audacieuse r forme de la Loi sur le tabac salu e comme tant l une des plus avanc es en la mati re depuis cette r forme l industrie a adapt ses pratiques marketing pour maintenir son attractivit aupr s des jeunes de mani re assurer son renouv lement de client le depuis cette r forme de nouveaux ph nom nes tels que la cigarette lectronique l aromatisation l apparition de paquets stylis
10. l que de nombreux stagiaires venaient combler des postes autrement salari s dans les temps de crise conomique Le Parti lib ral du Qu bec sur proposition de la Commission Jeunesse demande au gouvernement du Qu bec de Instaurer la notion de stagiaire dans la Loi sur les normes du travail l instar de la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles afin que les stagiaires b n ficient des m mes protections in cluses pour les employ s r guliers en 1 Obligeant toute entreprise r mun rer un stagiaire apr s 300 heures de travail 2 S assurant que la Commission des normes du travail reglemente les stages r mun r s en entreprise mais seulement si la dur e du stage exc de deux mois Cela donnerait aux entreprises une certaine flexibilit pour valuer leur besoin de stagiaire s 3 Garantissant que les stages finaux obligatoires dans le cadre d un parcours scolaire soient eux aussi r mun r s 4 Limitant 10 des effectifs de l entreprise le nombre de stagiaires en faisant exception des PME CONSEIL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE REGIONALE DE LOUTAOUAIS 8 Faciliter l exportation et la prospection de nouveaux investisseurs ATTENDU QU avec la mondialisation l un des d fis qui se pose pour les PME particuli rement en r gions est le d veloppement de nouveaux march s ATTENDU QUE l Outaouais urbain s appar
11. s qui minimisent et camouflent les avertissements de dangers du produit sont apparus depuis cette r forme plusieurs juridictions ont adopt des normes de lutte au tabagisme beaucoup plus audacieuses et efficaces que celles adopt es par le Qu bec et ont mis en place des objectifs nationaux chiffr s de diminution du tabagisme plusieurs provinces et municipalit s canadiennes ont adopt des r glementations sur les cigarettes lectroniques et que le Qu bec est l heure actuelle la seule province ne pas avoir l gif r par rapport au tabagisme dans un v hicule lorsque des enfants s y trouvent l ge moyen d initiation au tabagisme au Qu bec est de 12 7 ans et que 30 000 enfants et adolescents s initient au tabagisme chaque ann e le taux de tabagisme chez les jeunes au Qu bec passe de 12 20 lorsqu on tient compte de tous les produits du tabac comme les petits cigares le tabac priser et le tabac pour la pipe eau au Qu bec le taux de tabagisme a cess de diminuer et est demeur essentiellement stable autour de 23 au cours des derni res ann es les finances publiques du Qu bec sont actuellement sous pression et qu aucun effort ne doit tre m nag pour faire diminuer le poids du co t du tabagisme sur le syst me de sant CONSEL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER REGIONALES 29 30 Il est r solu 1 Que la Loi sur le tabac soit r vis e dans les plus brefs d lais 2 Que la r
12. vision de la Loi sur le tabac soit audacieuse et qu elle s inspire des meilleures pratiques mises en uvre l tranger pour refaire du Qu bec un leader en mati re de lutte au tabagisme 3 Que le gouvernement du Qu bec se dote d objectifs chiffr s de r duction du tabagisme court et long terme 4 Qu une politique de taxation planifi e et graduelle plut t que sporadique et non planifi e soit institu e au Qu bec 5 Que le gouvernement du Qu bec investisse dans la pr vention et la r duction du tabagisme de fa on permanente puisqu il s agit d un investissement rentable pour le Qu bec RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DE LA MAURICIE 11 Diversification conomique dans la Mauricie ATTENDU les nombreuses fermetures d usines des derni res ann es en Mauricie ATTENDU les pertes d emplois significatives subies dans la r gion au cours des derni res ann es ATTENDU l orientation prise par le premier ministre afin de favoriser le d veloppement des r gions ATTENDU le nouveau virage entrepris dans plusieurs MRC de la Mauricie afin de d velopper la culture entrepreneuriale et favoriser les nouveaux projets pour combler le d part des grandes entreprises La Commission politique r gionale de la Mauricie propose que le gouvernement du Qu bec 1 Mette sur pied un plan de diversification conomique r aliste et r alisable en encourageant la cr ation et le d veloppement de nouvelles
13. INNOVER RESOLUTION ag cower CADRE 13 14 2 1 2 2 2 3 L EST R SOLU QU 2 Le gouvernement adopte et mette en uvre une politique nationale de l innovation industrielle et des entreprises innovantes visant favoriser l mergence d un cosyst me propice l innovation en Jouant un r le de leader en rassemblant les milieux acad miques financiers et d affaires dans l identification des talents mergents dans le secteur num rique par la mise en place d un concours d envergure de type marathon de programmation hackothon o les candidats seraient appel s soumettre des solutions une s rie de probl mes qui leur seraient soumis touchant le gouvernement la soci t et les entreprises partenaires du concours Les auteurs des meilleurs projets seraient r cipiendaires de bourses de financement et de mentorat en plus de b n ficier du support d un incubateur d entreprises technologiques permettant de les accompagner dans la r alisation de leur projet et dans le d marrage de leur entreprise Am liorant la fibre innovante par l ducation en a b laborant un plan de lutte contre l analphab tisme fonctionnel et num rique incluant des interventions toutes les p riodes de la vie de la petite enfance l ge adulte Favorisant l acquisition de comp tences de base en entrepreneuriat et en mettant en place des programmes de type entrepreneuriat tude au secondaire Introduisant l acquisition d
14. appris de leurs exp riences Maintenant sous le th me Innover pour mieux gouverner c est vous ch res militantes chers militants de vous exprimer C est vous de d battre des r solutions propos es par la Commission politique afin d adopter de nouveaux moyens d innover qui guideront le gouvernement afin qu il se dote des meilleurs outils de d veloppement de notre soci t Ces nouvelles m thodes permettront d riger les fondations d une nouvelle re plus moderne et pour une gouvernance plus transparente et plus efficace Si le Parti lib ral du Qu bec a su s adapter et perdurer depuis plus de 147 ans c est qu il a toujours t en mesure d innover pour faire progresser notre soci t qu b coise Nous sommes un moment charni re de l histoire conomique et sociale du Qu bec Nous avons plusieurs d fis relever Les Qu b cois l ont compris en nous envoyant un message fort le 7 avril dernier Le plan du gouvernement de Philippe Couillard est clair responsable et n cessaire Son quipe allie qualit et d termination Ensemble nous rendrons au Qu bec sa vitalit socio conomique toutes et tous bon Conseil g n ral PASS Pen Gilbert Grimard Pr sident du Parti lib ral du Qu bec conselL INNOVER G N RAL POUR MIEUX 2014 GOUVERNER MOT DU PR SIDENT DE LA COMMISSION POLITIQUE Chers amis Le Qu bec traverse actuellement une p riode charni re de son histoire Une g n
15. avons n anmoins tendance augmenter la capacit globale de ces infrastructures plut t que d en optimiser l utilisation ce qui nous co te une fortune Des villes dans le monde ont adopt des solutions concr tes pour r soudre ce type de probl mes de fa on plus efficiente Par exemple l usage de la voiture autonome permet de faire entrer deux fois plus de v hicules sur les routes Le p age journalier Londres et le p age de cordon Stockholm entra nent une diminution consid rable du trafic au centre ville Des projets pilotes en Europe et aux tats Unis sont en cours qui font payer les conducteurs l usage selon le type de route emprunt e l heure et le niveau d utilisation etc Tokyo et Istanbul la technologie a permis une optimisation des transports en commun sur la base de donn es cellulaires M me ph nom ne Lyon o la centralisation d un grand nombre de donn es sur l utilisation du r seau routier des trains la disponibilit des stationnements et des v los libre service a permis de coordonner les diff rents syst mes Des outils existent qui permettent de pr voir le trafic une heure l avance de mani re pr venir efficacement les bouchons de circulation Par ailleurs Montpellier s est ouverte aux incubateurs pour permettre l exp rimentation d initiatives novatrices en mati re d optimisation du r seau de transport Cette ouverture a notamment favoris la croissance technologique la cr ati
16. entreprises et de nouveaux projets dans les fili res nerg tiques a ronautiques et maritimes d j existantes en Mauricie ainsi que la revalorisation de l industrie foresti re 2 Procede l valuation et a r vision des structures et organismes de d veloppement r gional CLD CRE CJE Forum Jeunesse Strat gie Carri res Femmessor etc afin que les r sultats soient au c ur des objectifs de toutes ces organisations asun INNOVER R SOLUTIONS couverner REGIONALES RESOLUTION DE LA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DES LAURENTIDES 12 Programme enrichi d apprentissage de la lecture de la maternelle la 2 ann e ATTENDU QUE les donn es recueillies dans le cadre de l tude longitudinale du d veloppement des enfants du Qu bec ELDEQ d montrent les difficult s en lecture l ge de 7 ans sont les premiers signes avant coureurs et des pr dicteurs fiables du risque de d crocher au secondaire ATTENDU QUE un enfant qui ne peut ma triser la lecture des la fin de la 1 re ann e risque de g n raliser ses difficult s l ensemble des mati res et peut aussi d velopper des probl mes de comportement ATTENDU QUE pr s de 80 des l ves qui ne savent pas lire au terme de leur 1 re ann e mettront plus de six ans terminer le primaire et se pr senteront au secondaire avec des retards d apprentissage ATTENDU QUE globalement c est en milieu d favoris que les difficult s en lecture sont les plus im
17. est en train de se produire et notre incapacit s y adapter ad quatement Les anti Wall Street Les carr s rouges Les casseroles les gens g s qui ont envie de parler mais que personne n coute Le gouvernement doit couter a gronde de partout En tant que peuple on ne s coute pas on ne communique pas mais on a des positions antagonistes et on ne comprend pas les manifestations violentes qui surviennent Lorsqu il y a des crises dans la soci t le chef doit parler au peuple Le Qu bec roule v lo sur un chemin de terre les tats Unis dans une Cadillac sur une autoroute UNE STRAT GIE NUM RIQUE POUR LE QU BEC LES VILLES INTELLIGENTES PR SIDENCE Sylvie Daniel CONF RENCIERS Pierre Fortin Jean Fran ois Barsoum David Hotte PAN LISTES Jos e Dallaire Marina Frangioni Michel Herv Jean Fran ois Barsoum consultant d l gu principal Villes intelligentes Eau et Transport IBM Canada Le concept de ville intelligente traduit aujourd hui des strat gies visant comprendre ce qui se passe autour de nous l interpr ter afin de pouvoir agir en cons quence pr voir le futur et s adapter En mati re de transport les villes actuelles ont des infrastructures qui ne sont que rarement utilis es pleine capacit Il arrive que leur capacit soit d pass e mais seulement quelques reprises et sur de courtes p riodes Pour r pondre ces pointes d utilisation nous
18. et relance L innovation permet une gestion plus rigoureuse du bien public par la mise en place d outils de gestion plus transparents ouverts et efficaces De plus l innovation permet par sa nature m me de faire cro tre l conomie en d couvrant aujourd hui les avantages comparatifs de demain Bref la mise en place d un chantier sur l innovation s ins re comme compl ment de la r vision des programmes et de la fiscalit en plus de bonifier nos plans de relance que sont le Plan Nord et la Strat gie maritime Je souhaite tous un excellent Conseil g n ral et des r flexions fructueuses Bon d bats J r me Turcotte MBA LL M M Sc Pr sident de la Commission politique conselL INNOVER GENERAL POUR MIEUX 2014 GOUVERNER PREAMBULE AXE 1 Plan global de gouvernance num rique ouverte et intelligente Le Parti lib ral du Qu bec travers son histoire a toujours uvr pour le progr s conomique et social du Qu bec Acteur des grandes transformations de la soci t le Parti a assum une responsabilit historique qui est celle du changement et du renouveau Il rel ve de la responsabilit premi re du gouvernement de rejeter l habitude et de faire en sorte que le Qu bec fasse toujours corps avec son poque pour en saisir toutes les possibilit s et en relever les d fis Le 21e si cle tant celui de la r volution num rique il est essentiel que le gouvernement lib ral assume de nouveau son r le de vision
19. juste et quitable par le processus d appels d offres le gouvernement du Qu bec souhaite favoriser une saine comp titivit dans le march qu b cois il est n cessaire d apporter un gage de qualit et de professionnalisme au sein des contrats octroy s aux entrepreneurs et fournisseurs le processus actuel n accorde pas assez d importance aux crit res tels que la qualit et l historique des prestations par rapport au crit re du plus bas soumissionnaire que le gouvernement du Qu bec bonifie la m thode d attribution des appels d offresafinquecelle cifavoriseuneplusgrandecomp titivit desentrepreneurs etfournisseurs bas e sur la qualit etla prestation de service historique etnon seulement ou moins d importance pour le crit re du plus bas soumissionnaire asun INNOVER RESOLUTIONS couverner REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION DES COMMUNAUT S CULTURELLES 4 R solution visant l int gration des enfants sans papiers la soci t qu b coise ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE tout au long de son histoire le PLQ a fait de l ducation l un de ses chevaux de bataille les valeurs lib rales pr nent que toutes les personnes aient une chance raisonnable de se d velopper dans la mesure de leurs talents et de leurs aspirations les enfants d immigrants et r fugi s vivant au Qu bec sans papiers peuvent tre marginalis s et exclus socialement faute d
20. ration s appr te passer le flambeau et avant d crire un nouveau chapitre de notre histoire il est essentiel de revoir l difice social qui sera l gu Pr parer l h ritage du Qu bec de demain est un devoir dont nous devons nous acquitter rapidement Les enjeux sont multiples La dette publique le vieillissement de la population et le retour d une croissance conomique soutenue sont autant de d fis que doivent relever les Qu b coises et les Qu b cois C est en choisissant de donner un mandat fort au Parti lib ral du Qu bec qu ils ont d cid de faire face ces d fis et nous nous devons d tre la hauteur de leurs attentes Des d cisions difficiles sont venir mais je demeure optimiste l aube du 150e anniversaire de fondation du PLO il est rassurant de voir comment au fil de l histoire du Qu bec notre parti a su tre un vecteur de changements importants Nous avons le chef l quipe et la d termination n cessaires pour accomplir les changements qui s imposent et ensemble nous arriverons entra ner tout le Qu bec avec nous dans ce changement essentiel La rigueur et la relance sont les piliers actuels de l action gouvernementale et d sireuse de contribuer aux changements qui s imposent la Commission politique du Parti lib ral du Qu bec a d cid de mettre de l avant la th matique de l innovation pour ce Conseil g n ral Ce th me s est impos puisqu il s agit du point de jonction entre rigueur
21. une meilleure ma trise du fran ais sera s lectionn 2 Renforcer l ad quation entre les besoins et les ressources en francisation pour tous les Qu b cois en a Assouplissant les crit res temporels d admissibilit aux cours de fran ais pour les nouveaux arrivants notamment afin de tenir compte de l entr e souvent tardive des femmes sur le march du travail et de leurs besoins de concilier travail famille b Permettant aux immigrants s tant d abord tablis dans une autre province canadienne pendant plus de cinq ans et aux Canadiens d expression anglaise provenant d une autre province d avoir acc s aux services de francisation gouvernementaux pendant l ann e suivant leur domiciliation au Qu bec c int grant les services de francisation dans les programmes d aide aux devoirs parents coliers d j offerts dans les quartiers cibl s CONSE INNOVER R SOLUTIONS 2014 gouverner REGIONALES 21 22 R SOLUTION DE LA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DE QU BEC 3 Refonte du syst me d attribution des appels d offres ATTENDU QU ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QU ATTENDU QUE IL EST PROPOS il importe de r tablir la cr dibilit du processus d appels d offres publics la population qu b coise est au fait des faiblesses li es au processus actuel d attribution des appels d offres les entrepreneurs et fournisseurs du Qu bec souhaitent tre consid r s de fa on encore plus
22. 5 50 ans les jeunes et les b b s Ces 4 g n rations divisent le Qu bec en deux d un c t les cheveux gris qui r sistent au changement de l autre ceux qui foncent pour innover On sent qu on ne va nulle part parce que nous les cheveux gris freinons les changements qui s en viennent Le dialogue interg n rationnel est bloqu au Qu bec Les personnes plus g es ne sont plus capables de communiquer avec les jeunes en raison du gouffre qui les s pare en termes de fa ons de communiquer On peut donc constater que le Qu bec change Les jeunes pensent diff remment de leurs a n s Ils ont une culture de l image et non plus du texte Ils sont multi t ches La technologie du num rique est l ADN des jeunes Imaginez quelle sera celle de la g n ration suivante On assiste la seconde R volution tranquille Apr s Hydro Qu bec le num rique Tout sera connect Politiquement les jeunes n ont plus la m me vision que leurs parents Le r le de l tat a chang depuis l poque m di vale Jusqu tout r cemment il y avait trois pouvoirs dans nos soci t s depuis le d clin du pouvoir religieux le l gislatif l ex cutif et le judiciaire Un 4e pouvoir arrive et c est un ph nom ne mondial l opinion le peuple Le politique n agit maintenant qu en simple administrateur il a de moins en moins d autorit ense INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM Trois col res manifestent le changement qui
23. LD pour qu elles puissent b n ficier du support de professionnels lors de certaines tapes cl s de leur d veloppement comme la mise en march l analyse de productivit et la protection de la propri t intellectuelle Consolidant le r seau des parcs technologiques et scientifiques existant au Qu bec et en d veloppant les syst mes locaux d innovation Soutenant les incubateurs d entreprises innovantes Ins rant l innovation dans nos forces strat giques et projets d envergure en cours en a Soutenant l implantation au Qu bec de centres de donn es provenant de grands clients Tl internationaux Notre climat la disponibilit d nergie lectrique fiable verte et faible co t et la s curit favorisent ce genre de projets La disponibilit de bande passante et de la main d uvre qualifi e doit cependant tre assur e ins rant en partenariat avec les milieux acad mique financier et d affaires un volet de soutien l innovation dans le secteur de l exploration et de l exploitation des ressources naturelles au Plan Nord ainsi qu un volet de soutien l innovation dans le secteur du d veloppement maritime Strat gie maritime Incitant les talents venus d ailleurs s installer et contribuer toujours davantage au Qu bec en a Offrant aux tudiants trangers d sirant rester au Qu bec un cr dit d imp t repr sentant un remboursement partiel de leurs frais de scolarit quivalant la diff rence
24. U QUE des acteurs conomiques principaux de la r gion se sont regroup s pour d velopper une vision conomique de l Outaouais accompagn e d un plan d affaires r gional pour mettre en uvre cette vision Une des composantes de la vision et le besoin de diversifier l conomie ATTENDU QU un fonds de 3 4 millions de dollars est inutilis dans les coffres de l ex soci t de diversification conomique de l Outaouais SD O Ces fonds devaient servir soutenir les entreprises de l Outaouais dans leurs efforts de diversification conomique et d expansion dans de nouveaux march s internationaux ATTENDU QU aucun des organismes D veloppement conomique Canada minist res des Finances et de l conomie du Qu bec CR O CLD Gatineau Soci t d aides au d veloppement des collectivit s SADC et Centre de d veloppement d entreprises technologiques CDET n est vou au soutien conomique ni ne fait de la prospection d entreprises Emsa IN INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER REGIONALES Il est r solu par le Conseil g n ral du Parti lib ral du Qu bec 1 Qu on assure la p rennit du financement de l organisme Export Outaouais cofinanc avec le f d ral dont le mandat est d aider ouvrir de nouveaux march s et trouver des partenaires l international 2 Que l on mandate un organisme vou aux services aux entreprises de l Outaouais effectuer de la prospection d investissements aupr s d inve
25. a vie priv e et de la protection des int r ts strat giques en a incitant les organismes publics ordonner leurs informations en bases de donn es facilement manipulables b Rendant accessible en ligne sur un portail web tout document pouvant tre obtenu en vertu de la Loi sur l acc s l information c Rendant accessibles en ligne les tableaux de bord les indicateurs de performance et autres outils d aide la prise de d cision mis la disposition des administrateurs publics d Rendant accessibles en ligne les informations anonymis es que d tiennent les syst mes d ducation et de sant et de services sociaux sur les populations qu ils desservent e Rendant accessibles en ligne les informations non strat giques que d tiennent les principales soci t s d tat telles qu Hydro Qu bec et la SAQ Donnant un acc s WiFi gratuit dans les palais de justice et les difices gouvernementaux Favorisant le t l travail au sein de la fonction publique lorsque possible et lorsque cela ne suscite pas d enjeux de supervision et de s curit d information Mettant en place un portail permanent o les citoyens et employ s de l tat pourront efficacement faire part de leurs suggestions lorsqu ils observent des inefficiences dans la gestion des deniers publics Travaillant long terme la mise en place d un identifiant citoyen unique partir duquel chaque Qu b cois pourrait administrer l ensemble de ses relat
26. al de favoriser la collaboration entre la science les technologies et le capital de risque l heure actuelle il est essentiel de s ouvrir sur le monde et d accueillir les grandes compagnies internationales Le Qu bec ne doit pas h siter saisir les opportunit s innovantes qui se pr sentent ll ne doit pas craindre le march mondial On doit attirer les talents de l ext rieur du pays qu ils veulent venir tudier ici d velopper l entrepreneuriat et ainsi faire du Qu bec un centre comp titif d innovation Jacques Nantel professeur titulaire en marketing HEC Montr al Selon M Nantel trois facteurs sont consid rer lorsqu on aborde le th me de l innovation Cr ativit Financement en capital de risque Capacit viser les march s cibl s Marketing La plus grande probl matique selon M Nantel se trouve en mati re de commercialisation et marketing Des inventions bien capitalis es ne verront jamais le jour en raison de la difficult de percer les march s vis s Nos innovateurs et entrepreneurs ont besoin de se doter d une vision beaucoup plus large quant aux march s qu ils convoitent La mani re dont on d finit les march s manque de vision C est une erreur fondamentale que de s arr ter au march du Qu bec et m me du Canada On doit viser le march mondial CONSE INNOVER RESUME 014 gouverner FORUM 41 42 Comment en arriver acc der au march mondial viter de maintenir des barri res au c
27. ans les processus de r clamation lorsque n cessaire Demandant Investissement Qu bec de revoir ses crit res de soutien aux entreprises innovantes afin de pond rer davantage les facteurs non fond s sur les ratios financiers tels que le potentiel de mise en march la qualit des membres du conseil d administration et la pr sence d autres investisseurs de capitaux de risque dans le projet cons INNOVER RESOLUTION es tana CADRE 2 4 2 5 2 6 2 7 Demandant l AMF de r viser ses r gles afin de permettre le financement participatif crowdfunding tout en gardant en t te sa mission de protection des investisseurs Si n cessaire l AMF pourrait d velopper son propre portail pour faciliter le financement participatif en toute l galit Soutenant les efforts de recherche commerciale et de commercialisation des entreprises innovantes en e f Travaillant r duire les obstacles au commerce interprovincial eten travaillant l mergence de nouvelles ententes de libre change internationales Multipliant pour certains secteurs strat giques de l industrie qu b coise les missions commerciales Jouant un r le de leader dans l Organisation internationale de la francophonie pour le d veloppement de r seaux d changes et de contenus num riques francophones sur le Web Offrant aux entreprises en d marrage davantage de support travers les structures existantes telles qu Investissement Qu bec et les C
28. ar exemple au niveau des villes intelligentes il est important d assurer une certaine coordination entre les diff rentes municipalit s du Qu bec Il faut entre autres assurer une interop rabilit entre les donn es g n r es par chaque ville pour tre en mesure de les regrouper pour en faire l analyse Il y a aussi avantage d finir des outils de bases qui pourraient tre mis en place dans chaque municipalit premi rement par souci d conomies d chelle en regroupant les achats entre plusieurs municipalit s et deuxi mement pour ne pas que des petites municipalit s qui n ont pas les ressources de grands centres urbains soient p nalis es dans le passage la ville intelligente Le transport est aussi un secteur o plusieurs mesures peuvent tre mises en place rapidement L innovation pour r duire la congestion et favoriser la s curit sur les routes apporte beaucoup d espoir Sans tout repenser il est possible d innover dans l utilisation des infrastructures existantes afin de faciliter la circulation Une meilleure diffusion de l information aupr s des usagers est un exemple int ressant de piste exploiter Au niveau de la s curit la mise disposition des donn es des sites accidentog nes pourrait par exemple permettre la cr ation d applications indiquant la dangerosit de certaines portions de routes lors d un trajet L innovation peut r pondre plusieurs enjeux de la soci t les pistes de solution sont dive
29. diquement le gouvernement consulter la population dans le cadre de l laboration d une strat gie de gouvernance num rique ouverte et intelligente Cr e un v hicule de coordination pouvant prendre la forme d un secr tariat la gouvernance num rique ouverte et intelligente relevant directement du premier ministre du Qu bec en r utilisant les ressources d j existantes de mani re r aliser des conomies substantielles dans la gestion des ressources de l Etat Rend le premier ministre responsable de d poser la strat gie gouvernementale de gouvernance num rique ouverte et intelligente l Assembl e nationale et d en pr senter p riodiquement le bilan Demande aux minist res et organismes vis s de r fl chir et d identifier les actions qu ils m neront pour contribuer l atteinte des objectifs gouvernementaux de la strat gie et de rendre compte annuellement au secr tariat des r sultats de leurs d marches Institue des m canismes d valuation et de reddition de comptes en mati re de gouvernance num rique ouverte et intelligente afin de mesurer les progr s accomplis en i adoptant un syst me d indicateurs li cr ant un poste de commissaire la gouvernance num rique ouverte et intelligente relevant du bureau du V rificateur g n ral du Qu bec afin d assurer une valuation externe et transparente des d penses effectu es en mati re de gouvernance num rique ouverte et intelligente et de l attei
30. e Montr al une ville universitaire par excellence qui attirerait les jeunes dipl m s d ailleurs Par ailleurs il est de plus en plus n cessaire d adapter le march du travail aux personnes plus g es dot es d exp riences entre autres en recherche et d veloppement conse INNOVER R SUM 20 GOUVERNER FORUM 46 Bref cr er le talent l attirer le g rer et le retenir Il serait opportun d accentuer les changes internationaux d encourager les scientifiques d ailleurs s installer ici de d velopper des applications commerciales reli es leurs brevets Il nous faut nous montrer ouverts sur le monde terre d accueil par excellence Le Qu bec a d ailleurs un avantage comp titif sur ce plan du fait de son attrait particulier pour la francophonie UNE STRAT GIE NUM RIQUE POUR LE QU BEC LE POINT DE VUE D UN DE NOS GRANDS INTELLECTUELS PR SIDENCE St phane Dion CONF RENCIER Michel Cartier Michel Cartier conf rencier international minent copr sident d honneur de l Institut de gouvernance num rique et professeur au d partement de communication de l UQAM Le num rique repr sente 8 000 entreprises 175 000 emplois et 30 milliards de dollars en 2013 Ce secteur cl doit tre directement issu du bureau du premier ministre Le Qu bec est en crise car il change mais tarde s adapter ll y a 4 g n rations au Qu bec Les cheveux gris 50 ans et plus les mordus et les cr ateurs de 2
31. e comp tences de base en programmation dans le cursus scolaire secondaire R visant les programmes techniques afin de mieux arrimer la formation aux besoins du march du travail Valorisant les m tiers techniques et professionnels o un manque de main d oeuvre a t identifi Soutenant les centres coll giaux de transfert technologique les bureaux de liaison entreprise universit et les soci t s de valorisation universitaires visant favoriser la commercialisation des innovations technologiques provenant des tablissements d ducation postsecondaire R visant les incitatifs fiscaux et le soutien financier offert par le gouvernement en Mettant en place une politique d achats favorisant l utilisation de biens et services innovants d velopp s au Qu bec R valuant les cr dits d imp t en recherche et d veloppement afin que ces derniers ciblent les innovations commercialisables et aident davantage certains secteurs cl s de l conomie qu b coise Mettant en place un incitatif fiscal soutenant la robotisation la modernisation de la machinerie et l implantation de progiciels de gestion int gr e ERP afin d aider r duire le retard de productivit du Qu bec Reconsid rant les processus de r clamation des cr dits d imp t existants visant stimuler les tr s petites entreprises et en offrant du support travers les structures existantes telles qu Investissement Qu bec et les CLD pour les accompagner d
32. e qui vont influencer directement l augmentation du PIB et la richesse collective sant ducation exportations Sant constatations et solutions La fa on de transmettre l information est m sadapt e au num rique Il faut harmoniser les fa ons de communiquer afin de r colter les b n fices du num rique II y a une forte r sistance aux changements laquelle il faudra faire face Les directives issues d un plan gouvernemental sont essentielles Certaines initiatives du CEFRIO en mati re de sant permettront de cr er des mod les qui pourront tre appliqu s plus grande chelle Constatation actuelle la courroie de transmission entre les initiatives du CEFRIO et les champs d application n est pas assez puissante et a ne se limite pas au domaine de la sant conser INNOVER R SUM GENERA 205 gouverner FORUM 49 90 Education constatations et solutions Donner la libert aux enseignants de la m thode d enseignement pour permettre une am lioration de la performance scolaire et une diplomation accrue Le but est de revaloriser le godt d innover le d sir d entreprendre et la cr ativit S attaquer l analphab tisme et au d crochage scolaire 25 si l on veut b tir une conomie ax e sur le num rique Encadrer l enseignement num rique plut t que de laisser la libre initiative des enseignants d utiliser cette technologie ou pas L encadrement structur du num rique est n cessaire obli
33. e statut les familles vivant dans la clandestinit sont souvent dans une situation conomique pr caire les enfants ne devraient pas souffrir des agissements de leurs parents des provinces et pays tels que l Ontario les tats Unis et la France assurent depuis plusieurs ann es d j l acc s au syst me d ducation aux enfants de parents sans papiers La Commission des communaut s culturelles du PLQ propose Que le gouvernement du Qu bec r vise la Loi sur l instruction publique afin de permettre aux enfants de parents sans papiers de pouvoir s instruire gratuitement dans le syst me d ducation qu b cois aux niveaux primaire et secondaire CONSEIL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER REGIONALES 23 24 RESOLUTION DES TROIS COMMISSIONS POLITIQUES R GIONALES DE LA MONTEREGIE ET DE L ASSOCIATION LIBERALE DE MONTARVILLE 5 Pour une meilleure fluidit du transport dans la CMM ATTENDU QUE l am lioration de la fluidit du transport routier vient en t te de liste des priorit s pour le territoire de la Mont r gie ATTENDU QUE l am lioration du transport en commun des personnes constitue l l ment cl permettant d y parvenir ATTENDU les besoins financiers r currents des diff rentes soci t s de transport en commun existantes en mati re d entretien de leur r seau respectif ATTENDU les contraintes budg taires importantes auxquelles le Qu bec est confront ATTENDU QUE le transport des marchandi
34. eil g n ral du Parti lib ral du Qu bec Que le gouvernement du Qu bec confirme sa volont de soutenir la m tropole pour 1 Mettre en place un programme sp cial de mise niveau des tablissements d enseignement 2 Mettre en place un programme sp cial de mise niveau des quipements sportifs plus pr cis ment dans les quartiers d favoris s 3 Mettre en place une planification accrue de l offre d quipements pour les quartiers en d veloppement 4 Mettre en place une disponibilit accrue des quipements les fins de semaine et les p riodes de vacances CONSE INNOVER R SOLUTIONS 2014 gouverner REGIONALES 25 RESOLUTION DE LA COMMISSION JEUNESSE DU PARTI LIB RAL DU QU BEC 7 R solution concernant l encadrement des stages ATTENDU QUE les stages constituent un excellent mode d apprentissage en enrichissant les comp tences apprises dans un cadre scolaire et en d veloppant un r seau de contacts dans un environnement professionnel De plus ils constituent souvent une porte d entr e au monde du travail ATTENDU QU actuellement dans la Commission des normes du travail il n existe aucune mention du statut de stagiaire ni de sp cificit avec d autres modes d apprentissage par exp rience comme les types de stages pratiques que certaines professions r glement es telles que l enseignement ou le travail social l exigent Les stagiaires ne sont donc pas prot g s contre les abus et ne sont pa
35. einent la cr ativit au sein du syst me de sant et services sociaux La notion de capital intelligent doit guider tant l appareil gouvernemental que l industrie priv e c est dire que les initiatives doivent viser renforcer l objectif premier d am liorer la qualit des services et des soins Il y a galement lieu d adapter le syst me de sant la r alit num rique afin d augmenter sa productivit Dans une optique d optimisation l tat a int r t investir dans de nouveaux quipements et de nouveaux processus en pensant par exemple une nouvelle mani re de fournir la m dication Une meilleure coh sion de l industrie et du syst me de sant est n cessaire afin de partager le savoir faire des diff rents intervenants Nous nous devons d innover afin de cr er des ponts entre le silo conomie finance et celui du syst me de sant pour tirer avantage du savoir faire de l autre Il y a lieu de se pencher sur un projet pour que les acteurs du syst me de sant puissent mieux collaborer ensemble Comment cr er davantage de partenariats entre PME h pitaux et universit s Cela pourrait passer par l laboration de moyens facilitant la cr ation d entreprises afin de briser les barri res du syst me de sant lesquelles ralentissent l interface entreprise PME universit s Divers moyens pourraient permettre d atteindre cette cible par exemple la cr ation de projets pilotes la facilitation des premi res
36. ente une r gion mono industrielle en raison de la forte proportion d emplois d pendants de la fonction publique f d rale et est vuln rable aux coupes d emplois p riodiques dans ce secteur ATTENDU QUE les trois MRC rurales de l Outaouais sont parmi les plus pauvres du Qu bec et n cessitent une intervention imminente pour am liorer leur situation socio conomique ATTENDU QU avec la fermeture de plusieurs entreprises du secteur forestier l Outaouais poss de de moins en moins d entreprises dans le secteur manufacturier pouvant cr er de la valeur ajout e et exporter l Outaouais est l une des r gions du Qu bec qui exportent le moins ATTENDU QU avec la proximit frontali re avec Ottawa les entreprises de l Outaouais ont une faible part des contrats du f d ral ATTENDU QUE si quelques innovations ont t r alis es en Outaouais dans des domaines tels que la for t l agroalimentaire la transformation et les nouvelles technologies elles ont t peu commercialis es ATTENDU QUE conjugu s avec la deuxi me et troisi me transformation les secteurs agricole et forestier en Outaouais rec lent un potentiel d innovation d terminant pour le d veloppement conomique de la region ATTENDU QUE m me si le tourisme le secteur r cr otouristique et la culture g n rent plusieurs activit s et retomb es conomiques la fois pour les milieux urbain et rural ils n ont pas encore atteint leur plein potentiel ATTEND
37. entre les frais de scolarit pay s par un tudiant tranger et ceux pay s par un tudiant qu b cois s ils d cident de vivre au Qu bec pour au moins 5 ans apr s l obtention de leur dipl me Mettant en place un programme d immigrant inventeur favorisant la venue d immigrants d tenteurs de brevets avec un bon potentiel de commercialisation Facilitant la reconnaissance des dipl mes obtenus l tranger par les immigrants et la mise niveau de leurs comp tences si n cessaire tout en permettant l mission de permis de pratique restreinte lorsqu ils ne rencontrent pas tous les crit res requis par l ordre professionnel afin de permettre une int gration rapide au march du travail Facilitant et publicisant davantage le processus d mission des certificats de s lection pour les tudiants trangers Valorisant davantage la formation les qualifications et les comp tences dans la grille de s lection des immigrants consei INNOVER R SOLUTION ag cower CADRE 15 PREAMBULE AXE 3 Modernisation des fa ons de faire dans l accomplissement des diverses missions de l Etat Combin aux 2 grands axes pr c dents qui adressent la gouvernance et l innovation industrielle et des entreprises innovantes ce 3e et dernier axe porte sur diff rents points qui n ont pas forc ment de liens entre eux mais qui m ritent de s inscrire dans un politique de l innovation et qui peuvent tre mis en place relativement rapidement P
38. es proc d s d entreprises ense INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM INNOVATION EN SANT ET SERVICES SOCIAUX PR SIDENCE Lise Denis CONF RENCIERS J David Campbell Claude vin PAN LISTES C dric Bisson Richard Lemieux Les intervenants sont unanimes l effet que les besoins en sant ne cessent de cro tre II importe donc d innover afin de r pondre aux besoins qui voluent tout en contr lant les d penses Le mod le de la France pr sente un syst me de sant universel lequel pr voit un financement proportionnel au revenu alors que les prestations de services sont les m mes pour tous Les d penses reli es au syst me de sant en France repr sentent 12 du PIB Afin de contr ler l augmentation perp tuelle des d penses la France a d innover au cours des derni res ann es de la mani re suivante Limitation des dotations pour les tablissements publics de sant Baisse de remboursement de certaines prestations par l assurance maladie Cr ation de l Objectif national des d penses d assurance maladie D veloppement des pratiques exemples t l m decine r duction des escarres Cr ation en 2009 de l Agence nationale d appui la performance des tablissements de sant et m dico sociaux laquelle vise mutualiser les besoins et optimiser les processus Am liorer l efficience des investissements Les pan listes font valoir que les structures et la r glementation fr
39. ette L objectif fix est de r duire de moiti le poids de la mauvaise dette d ici 2025 La dette passera alors de 35 du PIB en 2012 17 en 2025 ATTENDU QUE la Commission Jeunesse a d cid de militer en faveur d une r partition quitable de la hausse des co ts des programmes entre les g n rations de fa on viter d avoir sabrer significativement dans les programmes ou d avoir replonger le Qu bec dans la spirale des d ficits chroniques ATTENDU QUE le versement des redevances mini res p troli res et gazi res au Fonds des g n rations permettra d assurer l quit interg n rationnelle du pr sent d veloppement conomique pour les prochaines g n rations Le Parti lib ral du Qu bec sur proposition de la Commission Jeunesse demande au gouvernement du Qu bec de Maximiser l attribution des ressources financi res au Fonds des g n rations en 1 Versant 100 des redevances mini res p troli res et gazi res au Fonds des g n rations moins l impact sur la p r quation 2 R affirmant l engagement de ne pas prendre les fonds d di s au Fonds des g n rations pour quelque mesure budg taire ou pour financer l atteinte de l quilibre budg taire 3 Modifiant la Loi sur l quilibre budg taire pour faire en sorte que le gouvernement soit contraint d accumuler des surplus une fois l quilibre budg taire atteint et dont l ampleur de ces surplus devra tre d termin e en fonction des pro
40. gatoire et urgent Les programmes coll giaux et universitaires ne sont pas bien align s sur les besoins des secteurs des technologies de l information une lacune que le minist re de l ducation peut ais ment pallier Un cours de sensibilisation l conomie doit tre remis l avant plan au secondaire Le secteur des TIC risque un d ficit de 180 000 emplois en 2018 et nous n avons pas la main d uvre comp tente pour le pallier Exportations constatations et solutions Seulement 4 des entreprises qu b coises sont actives sur les march s internationaux et 92 des exportations sont r alis es dans 12 de ces 4 d entreprises Ily a une sous exploitation chronique des TIC et de leur potentiel dans les entreprises du Qu bec incluant les exportateurs La promotion des TIC doit devenir prioritaire ll ya 8 milliards d achats internationaux par les Qu b cois sur le Web Seulement 15 des 2 3 des entreprises du Qu bec ayant un site Internet font du commerce en ligne Donc ce ne sont pas les entreprises qu b coises qui en profitent Il faut s am liorer pour profiter du potentiel qu offre le Web Dans le secteur manufacturier les quipements de production de nos petites et grandes entreprises sont la fine pointe mais ils ne sont pas reli s au systeme de gestion de l entreprise L utilisation des syst mes de gestion qui sont peu adapt s la r alit des march s est faible logiciel de gestion int gr 32
41. ion de plusieurs mani res peut notamment il Se concentrer sur le capital humain Avec une fiscalit adapt e des mesures qui permettent une bonne qualit de vie des travailleurs une bonne ducation etc le gouvernement donne des moyens aux entreprises de mieux retenir et attirer des talents en vue d innover 2 Encourager l investissement Outre les cr dits d imp t en recherche beaucoup peut tre fait en ce domaine Par exemple Isra l est une v ritable p pini re d entreprises et d innovation start up nation gr ce une politique tr s progressiste 23 incubateurs financ s 85 par le gouvernement R sultat Isra l est un leader mondial en mati re d innovation 3 Mettre en place un cosyst me d innovation durable Avec la mise en place des conditions n cessaires la collaboration des diff rents intervenants le gouvernement peut favoriser les changes le partage des bonnes pratiques et ainsi entrainer une saine mulation entre les entreprises pour l innovation Au Qu bec l un des enjeux en mati re d innovation r side dans l adaptation du syst me d ducation la r alit du march l re du num rique L immigration rec le galement de belles opportunit s de richesse dont il importe d informer la population Notre syst me universitaire est reconnu il pourrait tre avantageux d en faciliter davantage l acc s aux tudiants trangers pourrait par exemple tre possible de faire d
42. ions avec l Etat et ses organismes SAAQ RAMA imp ts etc Mettant jour les l gislations afin de permettre l op ration des sites de consommation collaborative AirBnB Uber Amigoexpress etc en toute l galit tant qu il ne s agit pas d une activit commerciale principale Mettant fin a la concurrence d loyale envers les entreprises qu b coises provenant de l vasion fiscale ayant lieu lors de l achat en ligne en a tudiant la possibilit de demander aux interm diaires de paiement PayPal Cartes de cr dit etc de percevoir les taxes lors d un achat effectu sur Internet aupr s d un commer ant qui n est pas enregistr aupr s de Revenu Qu bec et qui ne retient pas la TVQ b Jouant un r le de leader afin que l ensemble des provinces canadiennes et que le gouvernement f d ral se dotent d une politique similaire conse INNOVER RESOLUTION es tana CADRE PREAMBULE AXE 2 Politique nationale de l innovation industrielle et des entreprises innovantes L exemple le plus probant qui nous vient en t te lorsqu on parle d innovation dans le secteur priv reste tr s souvent les Etats Unis II n est pas n cessaire d laborer sur les nombreux succ s qui on fait de la Silicon Valley ce qu elle est aujourd hui mais il est int ressant de se pencher sur les causes de cette r ussite qui caract rise la vall e californienne En chiffres la Silicon Valley repr sente 1 5 million d emplois une conomie valu e
43. isonnement au sein des diff rentes instances de l administration publique afin d assurer une meilleure coh sion des d cisions et politiques publiques Exemples concrets de l ouverture des donn es en France et objectifs vis s par les mesures Renouveler les relations entre l tat et les citoyens gt Se traduit par la transparence de la vie publique notamment par la publication des comptes des partis politiques Donn es qui font la promotion de l innovation et de la cr ation de la valeur gt Se traduit notamment par l ouverture des donn es concernant les logements le d veloppement durable l nergie etc Donn es visant am liorer la prise de d cisions politico administratives et la mise en uvre des politiques publiques gt Se traduit par l ouverture des donn es concernant la population les imp ts l immigration l conomie et l emploi En France on observe de plus en plus la mont e d une nouvelle science soit la science des donn es laquelle permet d innombrables possibilit s pour donner un sens et faire parler ces donn es Dans un esprit de collaboration la France a proc d la cr ation de start up d tat lesquelles visent des projets limit s dans le temps afin de cr er des applications Web pour r pondre des probl mes concrets et r sorber des irritants Enfin la France a rejoint r cemment l Open Government Partnership organisation d initiative internationale qui s attache promouvoir
44. jections actuarielles qui auront alors t faites afin d amortir l impact financier du choc d mographique 4 Prenant l engagement de verser au Fonds des g n rations un pourcentage des surplus budg taires d gag s annuellement une fois l quilibre budg taire atteint asun INNOVER R SOLUTIONS GOUVERNER REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DE MONTR AL 14 Assurer le d veloppement de l activit portuaire de Montr al ATTENDU QUE les activit s du Port de Montr al assurent 18 000 emplois directs et indirects et g n rent des retomb es conomiques annuelles de pr s de 1 5 milliard de dollars ATTENDU QUE le Port de Montr al se classe au cinqui me rang en Am rique du Nord pour le volume de ses activit s ATTENDU QU en 2012 le Port de Montr al a t l un des instigateurs de la grappe m tropolitaine de logistique et transport de Montr al appel e CargoM ATTENDU QUE CargoM vise accro tre autour du Port de Montr al la coh sion la comp titivit la croissance et le rayonnement des acteurs de la logistique et du transport de marchandises dans la grande r gion de Montr al ATTENDU QUE le secteur des croisi res est aussi appel cro tre ayant connu une hausse d activit s de plus de 45 en accueillant 70 000 passagers Il est r solu par le Conseil g n ral du Parti lib ral du Qu bec Que le gouvernement du Qu bec confirme sa volont de 1 Favoriser le d velop
45. la commercialisation de l innovation dans tous les secteurs Troisi mement la main d uvre allemande est form e en permanence ce qui permet au secteur priv d utiliser et d adopter rapidement l innovation pour am liorer sans cesse les produits et services que les clients voudront acheter des prix plus lev s Au Qu bec on a une obligation d innover ce n est pas une option ce n est pas un choix Philippe Couillard vendredi 12 septembre 2014 Le Qu bec accuse un certain retard si l on parle d innovations dans le secteur industriel et des entreprises innovantes on n a pas encore de Google qu b cois mais certaines entreprises d ici arrivent tout de m me innover pour s imposer face la concurrence mondiale Le Qu bec a aussi l avantage de pouvoir s inspirer des meilleures pratiques si l on veut soutenir davantage l innovation comme le mod le am ricain qui repose sur le financement ou le mod le allemand qui adresse principalement la commercialisation de l innovation et la formation de la main d uvre Le r le du gouvernement dans la mise en place d une politique nationale de l innovation industrielle et des entreprises innovantes est donc indispensable si l on veut favoriser l mergence d un cosyst me propice l innovation Sans touffer l innovation le gouvernement se doit de fournir les outils et l aide n cessaire pour l encourager et ce de mani re coordonn e entre divers secteurs strat giques conse
46. la transparence et l int grit des gouvernements et l utilisation des nouvelles technologies en particulier d Internet pour faciliter cette ouverture Enfin la France s affaire actuellement laborer une loi sur le num rique laquelle s associent bon nombre de minist res et dont l acteur central est le Conseil national du num rique commission consultative ind pendante nouvellement cr e ayant pour mission de formuler de mani re ind pendante et de rendre publics des avis et recommandations sur toute question relative l impact du num rique sur la soci t et sur l conomie ense INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM UNE STRAT GIE NUM RIQUE POUR LE QU BEC L EXP RIENCE NEW YORKAISE ET LES LE ONS TIRER POUR LE QU BEC PR SIDENCE Fran oise Bertrand CONF RENCIERS Jean Raby Martin N Kon PAN LISTES Suzanne Fortier R mi Racine Jean Raby premier vice pr sident et chef des op rations financi res et juridiques du Groupe Alcatel Lucent Dans le contexte actuel d accroissement d mographique important l innovation devient le facteur cl de la comp titivit des entreprises Le d veloppement technologique mais galement celui d une strat gie marketing optimis e d un service apr s vente la fine pointe et de fonctions de support pour les entreprises ressources humaines droit finances deviennent n cessaires la survie d une entreprise Un gouvernement peut soutenir l innovat
47. main d uvre Favoriser la collaboration entre les chercheurs et les entreprises Accompagner les entreprises pour qu elles croissent start up prendre en consid ration Les pays les plus d centralis s sont les plus innovants La centralisation nuit l innovation Les PME sont la source avant les grandes entreprises de l innovation On doit leur simplifier la vie notamment en all geant le fardeau administratif par l interm diaire des nouvelles technologies imp ts minist re des Transports Environnement Se servir de l re num rique pour accompagner les PME Favoriser certains secteurs de recherche profitables au secteur priv en vitant de s immiscer dans le choix des secteurs mais plut t en agissant titre de facilitateur en tant l coute de l industrie ense INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM Le r le du gouvernement est il d orienter les investissements Faut il privil gier les cr dits d imp t en mati re de recherche et d veloppement accessibles tous ou devons nous privil gier les investissements cibl s R ponse En Europe les deux mod les existent Cr dits d imp t en mati re de recherche et d veloppement et d investissements cibl s sur les entreprises soumises la concurrence internationale Force est de constater que c est le mod le d investissements cibl s qui a le plus de succ s Qu en est il de la formation de l entrepreneuriat On doi
48. naire en fa onnant le Qu bec moderne l image de notre temps La pertinence d embrasser la r volution num rique n est aujourd hui plus d montrer Le secteur repr sente 30 milliards de dollars pour 175 000 emplois au Qu bec Les entreprises priv es ont t les premi res se tourner vers les nouveaux outils qu offre le num rique plusieurs petits joueurs d alors sont devenus des acteurs importants de leur secteur en misant beaucoup sur les avantages que procure l innovation num rique l inverse les acteurs qui n ont pas su saisir l occasion temps sont aujourd hui tr s occup s rattraper leur retard Si les b n fices g n r s par l int gration du num rique dans le secteur priv sont aussi appr ciables pourquoi ne le sont ils pas pour le secteur public La r ponse cette question nous rappelle les particularit s qui caract risent l appareil public et qui rendent certainement moins vidents les b n fices et la situation d urgence d un passage un gouvernement num rique Pourtant il s agit d une opportunit unique de transformer l organisation des administrations publiques au b n fice de tous les contribuables D autres pays se sont pos les m mes questions avant nous ils font aujourd hui figure d exemples en la mati re La Finlande a t un des premiers pays instaurer un guichet unique pour faciliter les relations des particuliers et des entreprises avec le gouvernement Pour en arriver l le go
49. nte des r sultats Travaillant ce que toutes les r gions du Qu bec puissent tre desservies par un service d Internet haute vitesse de qualit et abordable Investissant dans ses ressources humaines afin d augmenter l expertise l interne en mati re de gestion des ressources informatiques et informationnelles et en mati re de gestion de projet et d implantation de syst mes informatiques de fa on effectuer des conomies en diminuant la n cessit d avoir recours des ressources externes plus co teuses et en am liorant la capacit du gouvernement d valuer ses besoins r els et le co t estim de la r alisation de ces projets Faisant en sorte que soient int gr s dans tous les appels d offres du gouvernement touchant les ressources informatiques et informationnelles des crit res d interop rabilit et en adoptant une pond ration favorisant le logiciel libre et le logiciel labor au Qu bec lorsqu ils sont disponibles consei INNOVER R SOLUTION a cower CADRE 11 1 10 1 11 1 12 Adoptant au fil du renouvellement des licences pour les logiciels de bureautique logiciels de type Word Excel PowerPoint etc le logiciel libre comme logiciel d usage par d faut Tout minist re et organisme d sirant utiliser un logiciel de bureautique a licence prot g e devra alors justifier cette d pense en fonction de ses besoins r els Augmentant la transparence du gouvernement dans le respect du droit l
50. oi 41 sur l largissement du r le des pharmaciens De mettre fin la pratique des budgets historiques dans les h pitaux pour que l argent suive le patient D abolir le programme de primes aux m decins pour la prise en charge de patients De consid rer la possibilit d instaurer un syst me d utilisateur payeur cibl pour qu une partie des co ts de certains soins soient la charge de l utilisateur tout en exon rant de toute charge les personnes dont la situation conomique est pr caire conse INNOVER R SOLUTIONS GENERAL p 2014 GOUVERNER REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DE QU BEC 16 Mentorat et transfert de connaissances ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE IL EST R SOLU QUE NOTES le transfert d expertises au sein des entreprises a t consid rablement n glig par le pass les retrait s et les travailleurs pres de la retraite souhaitent pouvoir transmettre leur expertise pour les personnes en fin de carri re une retraite progressive et active serait opportune pour les jeunes travailleurs une introduction au march du travail avec une approche ax e sur une formation pratique cibl e et support e par un mentor serait tout aussi b n fique pour les entreprises il est rentable et essentiel de conserver le maintien d un historique de connaissances afin d assurer une bonne transition l importance de favorise
51. ommerce interprovincial Ne pas r glementer le Web Ne pas penser uniquement en termes d exportations mais plut t aux possibilit s de produire ailleurs dans le monde Permettre la rel ve d ouvrir leurs horizons le plus t t possible notamment en favorisant les changes tudiants On doit avoir une id e tr s document e de ce qu il se passe dans le monde en mati re de strat gie num rique afin de suivre la parade Selon les estimations de M Nantel le Qu bec perd 400 millions en taxes en raison de la consommation via le Web Louis J Duhamel pr sident du Comit manufacturier de la F d ration des Chambres de Commerce du Qu bec Le Qu bec doit innover dans le secteur manufacturier puisque 52 de toute l innovation provient de ce secteur 89 des exportations qu b coises Il importe donc de financer les investissements en automatisation robotisation et de faire de la productivit un enjeu prioritaire On se doit de revaloriser et encourager la formation technique et professionnelle Le Qu bec aurait avantage prendre exemple sur l Allemagne sur les formations en alternance Syst me Dual et lequel est un mod le mondial en mati re d conomie notamment gr ce son secteur manufacturier et aux exportations Le Qu bec poss de toutes les conditions gagnantes pour faire du secteur manufacturier un moteur conomique Le secteur manufacturier a besoin de l tat pour avancer en fonction de ces principes directeurs
52. on d emplois de qualit et l expertise mondiale conser INNOVER R SUM GENERA 205 gouverner FORUM 41 48 Certains l ments contribuent la r ussite des projets implant s par les villes intelligentes Il importe de bien pr parer les projets et leur pr sentation de mani re minimiser les confrontations face au changement L objectif est de favoriser l innovation et l exp rimentation tout en vitant de bouleverser le milieu La r alisation d tudes et la mise en uvre de projets pilotes favorisent l acceptabilit sociale Standardiser la technologie plut t que de multiplier les types de syst mes peut galement aider Enfin il importe d int grer les initiatives technologiques une vision globale de la ville intelligente ax e sur les besoins des citoyens Cr er un cosyst me des transports David Hotte vice pr sident Propri t intellectuelle secteur des services publics CGI La r ussite d un projet de ville intelligente repose sur la collaboration de toutes les entit s concern es surtout entre le gouvernement et le citoyen Ce dernier doit demeurer au centre de la Strat gie num rique Il importe de concilier les int r ts des diff rents intervenants dans une approche syst mique de d finir une gouvernance participative qui favorise le partage d id es et les interactions constructives de fa on assurer la g n ration des meilleures solutions CGI a mis en place des projets qui ont de
53. ormation aux pouvoirs publics par exemple le programme voisins vigilants b Multipliant les tribunes Web invitant la population faire part au gouvernement de ses r flexions commentaires et suggestions comme pour les travaux de la commission de r vision permanente des programmes consei INNOVER RESOLUTION a cower CADRE 17 RESOLUTION DE L ASSOCIATION LIB RALE DU COMT DE MARQUETTE 1 C l brations du 150e anniversaire du Parti lib ral du Qu bec en 2017 ATTENDU QUE le Parti lib ral du Qu bec est le plus ancien parti de l histoire du Qu bec et l un des plus anciens au Canada et ce depuisles d buts de la Conf d ration canadienne ATTENDU QUE depuis 1867 aujourd hui le Parti lib ral du Qu bec veille sans rel che la promotion des int r ts des Qu b cois ATTENDU QUE son rayonnement dans le d veloppement aux quatre coins de la province se traduit travers de grands projets innovateurs qui contribuent aux d veloppements culturel conomique social et politique ATTENDU QU il demeure un acteur incontournable dans l histoire politique du Qu bec et du Canada ATTENDU QU il apporte ses membres et ses militants un fort sentiment de fiert et d appartenance qu il convient de souligner ATTENDU QUE le Parti lib ral du Qu bec souhaite reconna tre l engagement et l activisme politique de ses militants ATTENDU QU il s inspire des g n rations pr c dentes pour moti
54. over mais de cr er un climat favorable l innovation notamment en investissant dans la recherche et en cr ant des liens avec les entreprises M Rousset nous explique comment il en est arriv cr er une soci t permettant de cr er un lien entre la recherche l enseignement sup rieur l innovation technologique et le d veloppement conomique Son discours est ax sur l importance de favoriser l mergence et la cr ation d activit s industrielles innovantes en symbiose avec la communaut scientifique universitaire D s son arriv e au pouvoir 10 de son budget total tait affect la recherche th ses laboratoires de recherche etc Il mise sur l importance de cibler des secteurs industriels d tre attentifs aux besoins du march et favoriser la recherche dans ces secteurs en s assurant qu il y ait un transfert des connaissances au c ur des entreprises en cr ant des centres technologiques par exemple Selon M Rousset et de son exp rience au sein de la r gion d Aquitaine si la politique n tait pas intervenue pour mettre sur pied un centre de transfert entre la recherche et l industrie la r gion ne serait pas devenue une r gion d innovation comme elle l est aujourd hui M thode privil gier Effort de financement de la recherche gt ax sur la recherche pouvant servir la soci t adapt e la r alit de la r gion et r pondant un objectif social Se concentrer sur la formation de la
55. pement des activit s du Port de Montr al en tant que vecteur de l essor conomique de Montr al 2 Am liorer les voies d acc s au port et de transport de conteneurs hors du port et de l le CONSE INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER R GIONALES 34 RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE REGIONALE DE MONT R GIE CENTRE 15 Financement du syst me de sant ATTENDU ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QU ATTENDU QU ATTENDU QUE la cr ation par le gouvernement du Qu bec de la Commission sur la fiscalit et de la Commission de r vision permanente des programmes pour trouver des moyens d liminer le d ficit budg taire du Qu bec la sant accapare pr s de 50 du budget des d penses du gouvernement du Qu bec si la tendance actuelle se poursuit les co ts de la sant d passeront les revenus du Qu bec en 2038 en France et en Belgique entre autres les utilisateurs de certains soins de sant prennent en charge une partie des co ts reli s et que cette prise en charge repr sente un mode de financement important des soins assur s par le r gime public il est imp ratif d utiliser les fonds publics bon escient afin de r pondre le mieux possible aux besoins des patients dans les tablissements de soins la prestation de soins par le professionnel comp tent le plus accessible aiderait d sengorger la profession m dicale Il est propos 1 2 De r habiliter le projet de l
56. portantes ATTENDU QUE des exp riences d implantation d approches efficaces pour l enseignement de la lecture ont eu lieu au Qu bec et ont permis de r duire de fa on significative le nombre d l ves consid r s en difficult en lecture de r duire les carts de r ussite entre filles et gar ons et entre l ves issus de milieux favoris s et d favoris s ATTENDU QUE tous les enfants du Qu bec devraient pouvoir profiter d un enseignement efficace et pr coce de la lecture notamment les l ves les plus vuln rables ATTENDU QU il existe un consensus quant l importance d agir de fa on pr ventive ATTENDU les r alit s du d crochage scolaire lev et de la d favorisation dans les Laurentides Il est r solu par le Conseil g n ral du Parti lib ral du Qu bec que le gouvernement du Qu bec 1 Experimente dans la r gion des Laurentides un curriculum enrichi en lecture pour les l ves de la maternelle la 2e ann e fond sur les avanc es scientifiques en mati re d enseignement et d apprentissage de la lecture 2 Qu il proc de aussi une tude longitudinale en vue d valuer l efficacit de ce curriculum CONSEL INNOVER R SOLUTIONS aut MEX R GIONALES a 32 RESOLUTION DE LA COMMISSION JEUNESSE DU PARTILIBERAL DU QUEBEC 13 R solution pour renforcer l quit interg n rationnelle des finances publiques ATTENDU QUE le Fonds des g n rations a pour objectif de r duire le poids de la d
57. r la collaboration interg n rationnelle et d avoir un effet positif sur la sant financi re des fonds de pension le gouvernement du Qu bec priorise l implantation de mesures transitoires favorisant le transfert d expertise interg n rationnelle CONSEIL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER R GIONALES 36 RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE REGIONALE DE LOUTAOUAIS 17 Pour une bonification de l offre de programmes des tablissements d enseignement sup rieur en Outaouais ATTENDU QUE ATTENDU QU ATTENDU QU ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE ATTENDU QUE les tablissements d enseignement sup rieur de l Outaouais doivent composer avec une situation frontali re unique au Qu bec on assiste un accroissement du nombre d emplois disponibles en Outaouais comme dans l ensemble du Qu bec Environ 61 des nouveaux postes disponibles dans la r gion de l Outaouais n cessitent une formation coll giale ou universitaire dans des domaines tels que les affaires la finance l administration les m tiers le transport les sciences naturelles et appliqu es les arts la culture le sport ainsi que dans le secteur n vralgique de la sant il y a 29 formations techniques et 38 programmes universitaires de moins en Outaouais qu en r gion comparable comme le Saguenay Lac Saint Jean des milliers d tudiants de l Outaouais poursuivent annuellement leurs tudes sup rieures
58. ransport de la grande r gion de Montr al et de la CMM 2 Harmoniser les services de transport en commun de mani re assurer une meilleure offre compl mentaire et optimiser leur utilisation 3 Uniformiser imm diatement les titres de transport sur l ensemble du territoire de la CMM 4 Moderniser l approche usager l aide d outils technologiques transport intelligent permettant d accro tre l int r t pour le transport collectif et de favoriser la transmission d informations facilitant les d placements cons INNOVER R SOLUTIONS G N RAL p 2014 GOUVERNER REGIONALES RESOLUTION DELA COMMISSION POLITIQUE R GIONALE DE MONTR AL 6 Mise niveau des coles tablissements d enseignement et de sports et loisirs de la m tropole du Qu bec ATTENDU QUE plusieurs probl mes r cents reli s aux moisissures de certains tablissements d enseignement affectent la sant des occupants et pr occupent les familles de Montr al ATTENDU QUE plusieurs quipements publics n cessaires pour soutenir la vie communautaire de la jeunesse et de la population en g n ral sont en tat de d su tude ATTENDU QUE les familles contribuent la diversit sociale et conomique de Montr al et que la pr sence de parcs et d coles salubres est essentielle la vitalit de notre m tropole ATTENDU QU une grande m tropole s panouit si les citoyens ont acc s des quipements de qualit Il est r solu par le Cons
59. re r utilis s par l ensemble des municipalit s relativement certains enjeux partag s par un vaste nombre de villes municipalit s et MRC au Qu bec C Acc l rant la mise en place d un outil informatisant le r le d valuation fonci re de fa on ce qu il soit continuellement mis jour lors de l mission de permis de construire ou lors de la vente d un immeuble afin de r duire les pertes fiscales li es la sous estimation de la valeur fonci re des immeubles entre les mises jour du r le d valuation foncier 3 6 Mettant en place un r seau lectrique intelligent smart grid permettant d optimiser la consommation d nergie 3 7 Optimisant les infrastructures de transport existantes en a Favorisant une meilleure gestion des flux informationnels b Assurant une diffusion de l information pertinente et efficace aupr s des usagers par exemple en pr voyant la circulation une heure l avance pour permettre aux citoyens de s adapter 6 Mettant sur pied un centre de gestion des accidents pour avertir simultan ment tous les services concern s d Permettant aux citoyens de participer a la gestion des accidents en signalant les accidents et les bris e Offrant des tarifs et des abonnements adapt s pour le transport en commun lors de pics de congestion routi re 3 8 Favorisant la participation citoyenne en a Favorisant la mise en oeuvre de projets ou le citoyen est mis contribution pour transmettre de l inf
60. rses mais il est important de rappeler qu il n est pas n cessaire de tout changer pour provoquer l innovation Il y a tr s souvent possibilit de faire les choses autrement pour atteindre l objectif II n y a pas de mode d emploi pour favoriser l innovation dans une soci t il ne tient qu aux Qu b cois de d finir ensemble ce que repr sente le Qu bec de l innovation conse INNOVER RESOLUTION ay tana CADRE L EST R SOLU QU 3 Le gouvernement du Qu bec modernise ses fa ons de faire dans l accomplissement des diverses missions de l tat en 3 1 Mettanten place un syst me de gestion des files d attente et de la prise de rendez vous par internet dans le syst me de sant 3 2 Favorisant l informatisation du syst me de justice et la mise en place de cybertribunaux 3 3 Mettant graduellement en place les infrastructures n cessaires pour permettre le vote en ligne lors des lections scolaires puis municipales et ventuellement provinciales 3 4 Rendant publiques les donn es des sites les plus risque sur les routes du Qu bec et en installant davantage de photos radar sur les portions de routes propices aux accidents 3 5 Mandatant le MAMOT de travailler au d veloppement de la ville intelligente en a D veloppant des normes d interop rabilit permettant aux donn es des outils d velopp s par les villes municipalit s et MRC d tre analys es grande chelle b D veloppant des outils de base pouvant t
61. s couverts par la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles ATTENDU QUE les stagiaires au Qu bec devraient b n ficier au moins du salaire minimum et ou de compensations financi res afin qu ils puissent participer pleinement la croissance conomique nationale Aussi cette mesure permettrait l galit des chances car les stages non r mun r s nuisent aux couches sociales plus fragiles de la soci t telles que les jeunes professionnels et les nouveaux arrivants ATTENDU QUE le Qu bec fait face aux immenses d fis que repr sente le fait d avoir une population vieillissante II faut encourager et encadrer les stages afin d assurer une passation des connaissances et r duire la perte structurelle de savoir u am nent n cessairement les d parts massifs la retraite qui commencent d ja a sop rer dans plusieurs industries ATTENDU QUE la France vient d mettre une s rie de lois pour prot ger les stagiaires non r mun r s tout en proposant une flexibilit aux entreprises car les stages de moins de deux mois ne sont pas obligatoirement r mun r s Au del de cette limite le salaire minimum est requis ATTENDU QUE bien que certaines organisations estiment 300 000 le nombre de stagiaires non r mun r s au Canada il n existe aucune statistique officielle car les donn es administratives concernant la notion de stagiaire sont inexistantes Toutefois des recherches au niveau canadien ont r v
62. s retomb es positives e Navici Trip Planner est un planificateur d itin raire qui permet de r duire l utilisation de la voiture par l usage de tous les autres modes de transport disponibles Ce projet a pour effet de favoriser le d veloppement des nouveaux services d accro tre l utilisation du transport en commun et de diminuer le trafic Une application a t d velopp e comme projet pilote sous forme d un jeu qui met en sc ne des citoyens l uvre dans leur quartier Les personnages ont la possibilit de financer des projets qui am liorent leur qualit de vie en effectuant des t ches qui leur rapportent des points Ce projet vise mobiliser les citoyens et les fid liser l am lioration active de leur quartier L application Burgernet est une coproduction qui permet aux citoyens de jouer un r le actif dans la s curit de leur quartier La mise en place d un r seau social facilite la possibilit pour les citoyens d avertir les policiers qu un acte criminel est en train de se produire Ce projet a permis une meilleure lutte contre la criminalit la mise en place d un environnement s curitaire des renseignements collect s a contribu changer l image des policiers et changer l attitude de ces derniers face aux r seaux sociaux De nouvelles applications supportent une connectivit entre les objets les lieux et les citoyens de mani re optimiser les services Elles permettent notamment l anal
63. sentativit des jeunes professionnels dans les instances d cisionnelles des ordres professionnels ATTENDU QUE l Office des professions proc de pr sentement une r forme de la gouvernance des ordres professionnels ATTENDU QUE la r alit des jeunes professionnels est unique par rapport leurs coll gues dont la carri re est d j bien entam e ATTENDU QUE la pr sence d au moins un jeune professionnel permettra aux divers conseils d administration d avoir une meilleure vue d ensemble des membres de leur profession afin de mieux r pondre l objectif primordial d un ordre professionnel soit la protection du public Le Parti lib ral du Qu bec sur proposition de la Commission Jeunesse demande au gouvernement du Qu bec de R server au moins un si ge dans le cadre de la r forme de la gouvernance des ordres professionnels initi e par l Office des professions sur le conseil d administration de tous les ordres professionnels un jeune professionnel selon les crit res tablis pour d signer ces derniers CONSEL INNOVER R SOLUTIONS 2014 GOUVERNER R GIONALES 37 NOTES LE REFUS DE LA FATALIT ET LE R LE DU POLITIQUE DANS L INNOVATION PR SIDENCE Ronald Poupart CONF RENCIER Alain Rousset PAN LISTES Michel Audet ric Forest Le discours de M Rousset est l effet que l innovation est le facteur principal dans le d veloppement conomique Le r le des acteurs politiques n est pas d inn
64. ses et des personnes est la clef de vo te du d veloppement conomique des 82 municipalit s de la Communaut m tropolitaine de Montr al CMM ATTENDU la n cessit d une vision long terme pour le transport des marchandises et des personnes ATTENDU QU il est inacceptable qu il existe pr s de 700 titres de transport diff rents sur le territoire de la CMM et qu il n existe pas de d finition standard pour les tudiants et les a n s ATTENDU la difficult pour plusieurs usagers des villes limitrophes de s int grer au r seau existant cause des co ts et de la multiplication des titres et des r glements ATTENDU le besoin d interconnexion intermunicipale et intermodale ATTENDU la n cessit d une planification harmonieuse et d une vision plus long terme tenant compte des besoins de la population et favorisant des mesures propres diminuer l intensit de la circulation automobile et att nuer les inconv nients majeurs d coulant des travaux de construction du futur pont sur le Saint Laurent et de la r fection du tunnel Louis Hippolyte Lafontaine Il est propos d optimiser les services existants en prenant les mesures n cessaires pour 1 R viser les multiples structures de gouvernance afin de les simplifier de les all ger et d assurer une vision globale du d veloppement du transport des personnes sur le territoire de la CMM entre autres en consolidant les multiples commissions intermunicipales de t
65. stisseurs potentiels tant en Outaouais qu ailleurs au Qu bec et au Canada ainsi qu l tranger 3 Que son champ d action inclue l industrie de la transformation en g n ral et le secteur forestier en particulier l industrie touristique ainsi que le secteur des services et couvre l ensemble du territoire de la r gion administrative de l Outaouais avec un effort particulier pour les MRC de Papineau de Pontiac et de La Vall e de la Gatineau 4 Cet organisme devra entretenir des rapports troits avec les autres instances de soutien au milieu des affaires de la r gion et agir en tant que catalyseur R SOLUTION DE LA COMMISSION POLITIQUE REGIONALE DE MONT R GIE CENTRE 9 Pr vention et informatisation du syst me de sant ATTENDU QUE l acc s aux dossiers m dicaux en ligne faciliterait les d cisions au point d intervention de la part des divers professionnels de la sant ATTENDU QUE la pr vention permet d viter des co ts importants plus long terme ATTENDU QUE la stabilisation de l tat de personnes en perte d autonomie ou de personnes atteintes de maladies chroniques permet d viter ou de r duire les co ts associ s aux cas lourds qui accaparent une bonne partie des budgets Il est propos 1 De prendre les mesures n cessaires pour assurer la mise en uvre court terme du dossier de sant informatis l chelle du Qu bec 2 De d velopper un cosyst me num rique permettant notamment
66. t assurer la coh sion entre la formation dans les tablissements d enseignement sup rieur et les besoins des entreprises La formation doit se poursuivre au sein des entreprises et l alternance tudes et exp rience en entreprise est privil gier pour assurer un meilleur pont entre les deux OIF Peu d activit s au point de vue des activit s conomiques Alliance entre la France Qc Canada permettrait elle de d velopper une strat gie innovante afin d accroitre les changes commerciaux entre les diff rents pays de l OIF R ponse Force est de constater que la coop ration d centralis e est efficace dans le domaine de la francophonie On a avantage collaborer au sein de la francophonie afin de favoriser les changes et la formation distance Le Sommet de Dakar ne doit pas tre seulement une rencontre culturelle mais bien ax e sur la politique et l activit conomique QU ESP RER DE L INNOVATION L HEURE ACTUELLE ET COMMENT LA SOUTENIR PR SIDENCE Suzanne Fortier CONF RENCIERS Sabin Boily Jim De Wilde Louis J Duhamel Jacques Nantel PANELISTES Anne Marie Bourgeois Anne Marie Larose Jim De Wilde investisseur en capital de risque et professeur de strat gie la Rotman School de l Universit de Toronto ainsi qu la Ted Rogers School of Management de l Universit Ryerson Dans un contexte de comp tition mondiale nous devons saisir les opportunit s pour le Qu bec de sy positionner Il est primordi
67. uvernement finlandais s est dot en 2006 d un plan sur 10 ans Aux tats Unis la migration des syst mes d achat de biens et services sur des plateformes lectroniques dans la plupart des tats a permis de regrouper les achats et de r aliser des conomies d chelle non n gligeables Ces exemples de succ s soulignent le retard du Qu bec ce niveau Le Qu bec a pourtant les ressources n cessaires les infrastructures existent mais demandent s rement tre am lior es Les Qu b cois sont aussi des utilisateurs assidus des nouvelles technologies depuis plusieurs ann es qui n ont plus besoin d tre convaincus Les militants du Parti lib ral du Qu bec ont aujourd hui l opportunit d tre nouveau les acteurs des transformations de la soci t qu b coise S il fallait l poque construire des barrages pour assurer l approvisionnement en nergie lectrique il est aujourd hui essentiel de se donner les moyens d une soci t l image de notre temps avec toujours cette volont de changer la soci t pour l am liorer consi INNOVER RESOLUTION es tana CADRE L EST R SOLU QU 1 L tat qu b cois se dote d un plan global de gouvernance num rique ouverte et intelligente en Adoptant sa premi re Loi sur la gouvernance num rique ouverte et intelligente qui D finit et tablit les principes devant guider la gouvernance num rique ouverte et intelligente pour le gouvernement du Qu bec Engage p rio
68. ventes sur le march la simplification des processus d appels d offres actuellement contre productifs pour les PME laboration d outils de d veloppement num rique Il y a galement lieu d innover en mati re de pr vention afin de lutter contre l engorgement du systeme Plusieurs efforts sont d j fournis en mati re de pr vention mais ces efforts doivent tre plus coordonn s et mieux cibl s conser INNOVER R SUM GENERA 205 gouverner FORUM 43 44 UNE STRAT GIE NUM RIQUE POUR LE QU BEC L EXP RIENCE FRAN AISE DE LA GOUVERNANCE NUM RIQUE PR SIDENCE Jean Francois Gauthier CONFERENCIERS Michel Herv Daniel Ratier PANELISTES Mario Asselin Michelle Blanc Selon M Daniel Rathier secr taire g n ral d talab le service du premier ministre de la R publique fran aise charg de l ouverture des donn es publiques open government nous sommes en plein c ur d une r volution num rique d un d luge de donn es qui am ne l tat se poser de nouvelles questions tant en mati re de vie priv e que de cr ation de valeur d open data et qui soul ve un d bat tant soci tal que fiscal L open data consiste ouvrir utiliser et faire circuler les donn es num riques L ouverture des donn es est une opportunit pour renouveler les relations entre l tat et les citoyens afin d impliquer davantage la soci t civile dans l action publique De plus l ouverture des donn es permettrait le d clo
69. ver et impliquer les jeunes qui sont nos dirigeants de demain Il est propos par les membres de l Association lib rale du comt de Marquette De cr er un comit ayant le mandat D organiser un v nement soulignant le 150e anniversaire du Parti lib ral du Qu bec 2 D valuer la pertinence de la r daction d un ouvrage caract re historique qui relate les 150 ans d histoire lib rale 3 Denommer un repr sentant du caucus lib ral qui si gera sur ledit comit ais INNOVER RESOLUTIONS 20 couverner REGIONALES RESOLUTION DE LA COMMISSION JEUNESSE DU PARTI LIB RAL DU QU BEC 2 R solution sur la s lection des immigrants et une meilleure ad quation des ressources en francisation ATTENDU QUE les besoins en main d uvre notamment dans le secteur manufacturier sont en constante augmentation depuis quelques ann es ATTENDU QUE le vieillissement grandissant de la population va augmenter la demande en main d uvre ATTENDU QUE le Qu bec n a attir que 51 959 immigrants l ann e derni re une diminution par rapport l ann e pr c dente Le Parti lib ral du Qu bec sur proposition de la Commission Jeunesse demande au gouvernement du Qu bec de 1 Adopter comme crit res prioritaires lors de la s lection des immigrants leurs comp tences et les besoins du march du travail dans le cadre d une r vision de la grille de s lection des immigrants o comp tence gale l immigrant ayant
70. xportations Pause diner Le plan culturel num rique du Qu bec Pr sentation de Mme H l ne David ministre de la Culture et des Communications Allocution de M J r me Turcotte pr sident de la Commission politique R solutions caract re politique et r gional Prix Lucienne Saillant Allocution de cl ture de M Nicolas Perrino _ pr sident de la Commission jeunesse du Parti lib ral du Qu bec Mot de cl ture de M Philippe Couillard chef du Parti lib ral du Qu bec et premier ministre Fin du Conseil g n ral
71. yse en temps r el de l achalandage du r seau de transport ou la captation des all es et venues certains endroits L application permet aux citoyens de la commenter de sugg rer des pistes d am lioration Il est d une grande importance d avoir des donn es ouvertes et crois es Par exemple la mission Etalab en France facilite la diffusion et l utilisation gratuite de l information publique Un tel m canisme transparent et accessible simplifie la relation entre les citoyens et le gouvernement en permettant aux premiers de mieux suivre les actions du second en favorisant l autonomie de chaque administration et en facilitant le d veloppement de nouveaux services par les entrepreneurs Avec les contraintes budg taires l enjeu n est pas de faire plus avec moins mais d largir les conversations sur les villes intelligentes pour faire du nouveau avec moins et offrir des possibilit s conomiques et sociales aux citoyens ese INNOVER R SUM ERA 2044 gouverner FORUM UNE STRAT GIE NUM RIQUE POUR LE QU BEC SYNTHESE ET VISION D UN ENTREPRENEUR ET LEADER D AFFAIRES DU QU BEC DANS LE DOMAINE PR SIDENCE Monique Savoie CONF RENCIER Louis Audet PAN LISTES Sylvain Carle David Nault Jan Peeters Louis Audet pr sident et chef de la direction COGECO COGECO consid re qu il faut que nous nous dotions d une strat gie num rique formelle et que nous engagions dans ce projet tous les membres de la soci t

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