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Production végétale

1. BIOBASE BASE DE DONN ES DOCUMENTAIRE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE a AbioDoe M cTe Centre d expertise et de transtert M E RESSO Plus de 26 000 r f rences bibliographiques en agriculture biologique sont accessibles gratuitement sur la Biobase base de donn es documentaire francophone issue d une veille internationale franco qu becoise en agriculture biologique et de proximit La BIOBASE Allez vite les consulter sur le site d ABioDoc www abiodoc com www cetab org biobase Produits documentaires d ABioDoc COMPILATIONS BIBLIOGRAPHIQUES 16 8 m 16 8 Revue bibliographique sur la Fili re Viande Biologique qui regroupe 251 r f rences bibliographiques inscrites dans la Biobase la date du 15 mars 2011 et class es en 6 th mes Tarif Agriculteurs Etudiants joindre un justificatif Abonn s Biopresse Revue bibliographique sur l introduction de produits biologiques en Restauration Collective qui regroupe 291 r f rences biblioraphiques inscrites dans la Biobase la date du 15 mars 2011 et class es en 7 th mes Tarif Agriculteurs Etudiants joindre un justificatif Abonn Biopresse 15 GUIDE TECHNIQUE Cr er ou d velopper une activit de transformation de produits biologiques Destin aux agriculteurs et artisans engag s dans la bio ce guide aide pr voir en amont tous les aspects n cessaires cette ac
2. BIOPRESSE lt Num ro 189 Mai 2013 _Abio Dec CETAB et de trai Contre dapatin di OA ambition lunare Bologique ot de proximi L actualit bibliographique de l agriculture biologique et durable Plan Ambition Bio 2017 et nouvelle conomie Production animale cologie et ruralit PL a Le ministre fran ais de l Agriculture St phane Le Foll a pr sent l occasion de louverture du Printemps bio le programme Ambition Bio 2017 voir Rubrique Br ves Ce programme n a pas pour vocation de fixer de nombreux objectifs chiffr s mais d initier ou d accompagner une dynamique Les objectifs chiffr s annonc s sont le doublement des surfaces en 2017 et les 20 de produits bio dans la restauration collective d Etat Le ministre a insist sur le fait que le programme s inscrit dans la d marche globale de l agro cologie avec des mesures qui se font cho ind pendance prot ique pour l alimentation animale transferts entre les agricultures bio et conventionnelle M me si les budgets ne sont pas extensifs comme a rappel S Le Foll des financements vont tre orient s sur l agriculture biologique pour le financement des MAE li es la bio la structuration des fili res Seront notamment concern s les agences de l eau la banque publique d investissement le fonds CasDar L chelle r gionale est nettement mise en avant Les r gions ont t sollicit es d s la
3. Croissance continue dans un march satur les donn es production et march bio la pr sentation de la communaut d exploitation Biohof Zug le rapport annuel 2012 de Bio Suisse http www bio suisse ch fr bioinzahlen php Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE SUISSE DEVELOPPEMENT DE L AB STATISTIQUES MARCHE PRODUCTION AGRICOLE EXPLOITATION AGRICOLE DURABILITE CONVERSION ORGANISATION DE L AB 2013 41 p d BIO SUISSE r f 189 100 R daction ABioDoc M Biopresse 189 Mai 2013 L Union europ enne favorise l agriculture bio en Pologne LaRevueDurable En Pologne l agriculture biologique progresse vite notamment gr ce l impulsion donn e par l Union Europ enne et ses subventions Ainsi entre 2000 et 2010 la surface bio du pays a t multipli e par 15 atteignant 3 3 de la surface agricole totale en 2010 Pourtant les d bouch s dans le pays sont tr s restreints En effet chaque Polonais ne d pense en moyenne que 1 30 euro par an en produits bio les consommateurs estimant que l agriculture conventionnelle est suffisamment cologique Par ailleurs les prix excessifs des produits bio et l absence de transformateurs sur le territoire national sont galement p nalisants pour la fili re Piotr et Urzsula Osik convertis la bio en s auto formant travers divers ouvrages sur l cologie ou la biodynamie cultivent des l gumes vendus en Allemagne Mots cl s POLOGNE
4. GEOPOLITIQUE FONCIER FORMATION PROFESSIONNELLE SEMIS SOUS COUVERT INFORMATION AGRICOLE L n 865 01 03 2013 10 pages p 10 19 r f 189 126 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Vie professionnelle GOMA Global Organic Market Access Asia regional organic standard AROS GOMA Acc s des produits biologiques au march mondial Normes r gionales de l agriculture biologique en Asie Anglais UNCTAD IFOAM FAO La norme r gionale relative l agriculture biologique en Asie AROS qui d crit les exigences relatives la production biologique a t d velopp e gr ce un partenariat public priv entre plusieurs parties prenantes dans l Est le Sud est et le Sud de l Asie Cela a t possible dans le cadre du projet GOMA Global Organic Market Access 2009 2012 dirig conjointement par la FAO lIFOAM et la Conf rence des Nations Unies sur le commerce et le d veloppement CNUCED galement auteurs et diteurs de ce document Cette norme commune a pour objectifs de faciliter l quivalence entre les diff rentes normes existantes et les programmes de certification et ainsi de d velopper la coop ration interr gionale entre les diff rentes zones concern es et m me au del en mati re d tiquetage et de commercialisation des produits biologiques Ce document pr sente la norme AROS et les principes g n raux de la production et de la transformation de produits bi
5. Pour en savoir plus http www actu environnement com ae news proposition loi prejudice ecologique adoptee unanimite senat 18526 php4 http www actu environnement com ae news prejudice ecologique arnaud gossement 18527 php4 Source Actu Environnement 16 mai 13 UE bient t le septi me programme d action pour l environnement Les discussions sont en cours au sein de l Union europ enne pour l adoption d un septi me programme d action pour l environnement Le climat et la mise en uvre effective de la l gislation europ enne sont les axes privil gi s Intitul Bien vivre dans les limites de notre plan te ce septi me PAE a t propos par la commission europ enne le 7 d cembre 2012 sous la pression des parties int ress es Il est actuellement soumis la consultation du public Le 7 PAE devrait couvrir la p riode 2014 2020 Pour en savoir plus http www actu environnement com ae news ue bientot septieme programme action environnement 18518 php4 Source Actu Environnement 16 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 Agriculture bio les pistes du Conseil Agriculture Europ en Alors que la Commission a pr vu cette ann e de pr senter une proposition de r vision de la r glementation s appliquant l agriculture biologique le Conseil europ en des ministres de l Agriculture r uni le lundi 13 mai 2013 a plaid pour un d veloppement ambitieux de ce secteur Les mini
6. de nouvelles r flexions sur l optimisation des successions culturales Mots cl s GRANDE CULTURE LUZERNE ROTATION DES CULTURES AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE PRECEDENT CULTURAL BLE D HIVER ESSAI RELIQUAT AZOTE BIOFIL n 87 01 05 2013 1 page p 38 r f 189 009 R daction ABioDoc Le dossier du mois Grandes cultures La fili re se d veloppe dans le Grand Ouest FRAB BRETAGNE CAB DES PAYS DE LA LOIRE Pr sentation de la fili re Grandes cultures telle qu elle se d veloppe dans le Grand Ouest Evolution de la production en Bretagne et en Pays de La Loire Statistiques c r ales et ol oprot agineux bio collecte 2012 Prix finaux 2011 et acomptes 2012 Bretagne et Pays de la Loire analyse des prix 2011 et perspectives 2012 Photographie du march l chelle nationale Les exp rimentations au sein du r seau bio les engrais verts en grandes cultures biologiques essais de modalit s de lutte contre le taupin culture du chanvre choix vari taux et dates de semis adapt s au contexte breton adaptation de l itin raire technique des c r ales au binage faible cartement syst mes de cultures innovants ma s population semences acquisition de r f rences et s lection participative vers des techniques cultures simplifi es animation d un groupe cophyto en Mayenne Mots cl s FILIERE GRAND OUEST GRANDE CULTURE BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE CEREALE OLFOPROTEAGINEUX
7. Agriculture cologique biologique en Afrique Le Groupement Interprofessionnel Panafricain Biologique GIP Bio a organis en avril 2013 Bamako une rencontre sur l agriculture cologique et biologique Pour Abdrahamane Tamboura membre dudit groupement l agriculture cologique biologique est une r ponse aux crises multiformes changement climatique crise alimentaire endettement massif des paysans d s quilibres d ordre sanitaire environnemental et cologique l offensive des organismes g n tiques modifi s en ce qui concerne sp cifiquement l agriculture il a t question de promouvoir les modes de production dans les conditions cologiques et biologiques Un atelier tenu Dakar en ao t 2012 a amen les acteurs poser les diagnostics Lesquels diagnostics ont permis de mettre l accent sur l institutionnalisation de cette agriculture dans les politiques nationale r gionale africaine et mondiale En d finitive l Agriculture Ecologique Biologique AEB a pour objectif de mettre au point des techniques des technologies et des m canismes de production de transformation et de commercialisation visant maintenir et renforcer les ressources environnementales et les interactions naturelles qui les lient pr server la sant des producteurs et des consommateurs et garantir des revenus justes et solidaires et des conditions d existence meilleure et durable En savoir
8. POURRITURE NOBLE ALSACE PROTECTION DES VEGETAUX RECHERCHE VIVRE LA VIGNE EN BIO VINI VITIS BIO n 111 112 01 01 2013 2 pages p 20 21 r f 189 018 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 18 Production v g tale nologie Les prot ines de pois au banc d essais Demain de nouvelles solutions de collage KORALEWSKI Magali Eve Le cabinet Natoli amp C a test l emploi de prot ines de pois pour le collage des mo ts et des vins S bastien Pardaill oenologue conseil au cabinet Natoli amp C explique le contexte dans lequel s est inscrit ce test ainsi que l alternative int ressante des prot ines de pois sur mo ts blancs et ros s et leur efficacit sur rouge l ger La soci t Laffort dont Virginie Moine est directrice scientifique teste de nouvelles pr parations pour le collage des vins rouges dans le cadre de ses recherches pomme de terre prometteuse et extraits prot iques de levures valid s par l OIV Organisation internationale de la vigne et du vin Mots cl s OENOLOGIE VIN BOISSON ALCOOLISEE PROTEINE DE POIS COLLAGE VITICULTURE REUSSIR VIGNE n 194 01 03 2013 1 page p 38 r f 189 076 R daction ABioDoc R le des champignons dans lesca de la vigne HOFSTETTER V BUYCK Bart CROLL Daniel et al L esca est une maladie du bois de la vigne pr sente dans toutes les r gions du monde Les sympt mes n croses du bois et des feuilles son
9. agriculture et l alimentation Il existe un bar me f d ral pour les aides qui peut ensuite tre ajust selon les r gions Actuellement l Allemagne est le premier march europ en pour les produits bio Elle compte 7 8 des exploitations en bio soit 6 1 de la SAU La situation est tr s contrast e selon les r gions avec des petites fermes parfois en zone de montagne et tourn es vers les circuits de proximit notamment en Bavi re et des grandes exploitations ax es sur les circuits longs et l export l Est Les productions principales sont en valeur le lait les c r ales les l gumes la viande de b uf et les ufs Les rendements moyens en bio sont inf rieurs aux rendements conventionnels Mois cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE ALLEMAGNE HISTORIQUE POLITIQUE AGRICOLE POLITIQUE PUBLIQUE DEVELOPPEMENT DE L AB STATISTIQUES MARCHE AIDE INFORMATION COMMUNICATION PROGRAMME DE RECHERCHE FINANCEMENT FORMATION CONTROLE CONSEIL ORGANISATION DE L AB CHAMBRES D AGRICULTURE n 1017 01 11 2012 4 pages p 33 36 r f 189 092 R daction ABioDoc Arboriculture biodynamique dans le Tyrol du sud FLORIN Jean Michel Le Tyrol du sud en Italie est r put pour sa production fruiti re Erich et Anna Vill poss dent Schlanders dans la vall e du Vintschgau un domaine la fois arboricole et mara cher de 6 5 ha une ferme questre et un h tel bio Erich s est converti la biod
10. l apiculture la cueillette la p che et l aquaculture garantissant ainsi le droit l alimentation alimentation saine et un niveau de vie d cent l agriculteur Le r seau compte galement 10 membres repr sentant des associations but non lucratif comme l association Bio Kef l association Notre Agriculture Notre Futur de Siliana l association de sauvegarde de l oasis de Chneni Gab s ou encore le Centre d Etudes strat giques et de d veloppement Sidi Bouzid qui compte des projets tourn s vers l agriculture biologique Sources L Economiste Maghr bin http www bio marche info 23 mai 13 La teneur en nitrates dans les eaux souterraines Les teneurs en nitrates ont augment dans les nappes phr atiques jusqu en 2004 puis se sont stabilis es fait observer le Service de l observation et des statistiques SOeS du minist re en charge de l Ecologie qui a mesur la qualit des eaux souterraines entre 1996 et 2011 Le SOeS met galement en avant les fortes disparit s r gionales Les teneurs diminuent dans les nappes phr atiques de Bretagne mais augmentent dans de nombreuses nappes du nord de l Hexagone et dans des nappes encore peu contamin es du Massif central et de la R union Les r ductions d apports d engrais azot s observ es ces derni res ann es ne se traduiront pas court terme par une am lioration de la qualit des eaux souterraines compte tenu des d lais de tr
11. le 27 septembre 2012 Lanxade attirant pr s de 70 techniciens producteurs chercheurs Ax es autour de deux grands th mes le biocontr le et la gestion du sol les pr sentations de la journ e ont permis aux participants de faire le point sur les volutions r glementaires concernant le biocontr le les produits alternatifs comme les stimulateurs de d fense des plantes ou le soufre la biodiversit fonctionnelle travers des tudes sur l influence des l ments du paysage sur la r gulation naturelle de certains auxiliaires ou encore sur l efficacit de nouvelles souches de Trichogramme la fertilit du sol avec les pr sentations de la nouvelle r forme des programmes d actions nitrates du minist re de l Agriculture et de travaux de recherche consacr s la dynamique de min ralisation de diff rents engrais et amendements organiques au diagnostic et l valuation de la fertilit des sols la gestion durable des bioagresseurs du sol avec des travaux sur les r sistances aux maladies apport es par les porte greffes ou encore sur la protection physique par solarisation et occultation Mois cl s RECHERCHE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUCTION LEGUMIERE MARAICHAGE LEGUME DE PLEIN CHAMP JOURNEE TECHNIQUE FERTILIT DES SOLS REGLEMENTATION PRODUIT ALTERNATIF BIODIVERSITE FONCTIONNELLE BIOAGRESSEUR GESTION DES SOLS PROTECTION DES VEGETAUX INFOS CTIFL n 288 01 01 2013
12. r f 189 135 R daction ABioDoc Statistiques Observatoire de la bio dans les bassins versants Edition 2012 Chiffres 2011 Etat des lieux de la bio dans les SAGE en Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE L Observatoire de la bio dans les bassins versants dit par la FRAB Bretagne est un outil pour guider les actions locales du fait que l agriculture biologique ait t identifi e comme un moyen permettant de garantir une eau de qualit Dans le cadre d un partenariat entre l Agence de l Eau Loire Bretagne et le R seau GAB FRAB Bretagne des actions sont men es l chelle locale afin d atteindre les objectifs de reconqu te de la qualit de l eau Sommaire Carte de localisation des SAGE La bio un levier pour une eau de qualit Actions du r seau GAB FRAB dans les BV en 2011 Les donn es par SAGE de Argoat Tr gor Go lo Vilaine Glossaire et tableaux synth tiques M thodologie Mots cl s OBSERVATOIRE BASSIN VERSANT ETAT DES LIEUX AGRICULTURE BIOLOGIQUE BRETAGNE STATISTIQUES QUALITE DE L EAU RESEAU FERME CONVERSION SURFACE AGRICOLE METHODOLOGIE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT 2012 48 p d FRAB BRETAGNE F d ration R gionale des Agrobiologistes de Bretagne r f 189 044 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 22 L Observatoire C r ales et ol oprot agineux bio 3 4 des surfaces dans les levages SYMBIOSE En Bretagne les grandes cul
13. 10 pages p 22 31 r f 189 007 R daction ABioDoc Les plantes source de vie COUPLAN Fran ois Fran ois Couplan ethnobotaniste qui organise des stages de d couverte des plantes sauvages comestibles et m dicinales en Belgique en France et en Suisse et est l auteur d ouvrages sur les plantes et la nature pr sente La phytolaque Phytolacca americana La gesse sylvestre Lathyrus sylvestris Le robinier Robinia pseudacacia La massette Typha latifolia Il d crit ces plantes et leur utilisation culinaire et indique pour chacune d elles une recette Mois cl s PLANTE SAUVAGE PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE RECETTE DE CUISINE PHYTOLAQUE GESSE SYLVESTRE ROBINIER MASSETTE VALERIANE n 101 01 05 2013 2 pages p 34 35 r f 189 098 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Le portrait du mois Ils ont opt pour le GIE Avec les produits transform s nous gagnons en valeur ajout e JOURDAN Virginie Fr d rique Trochereau avait 29 ans en 2011 Apr s avoir travaill cinq ans dans des jardineries elle a choisi de s installer en plantes parfums aromatiques et m dicinales bio dans le Finist re PPAM Pour d velopper cette activit marginale en Bretagne s assurer de meilleures conditions de travail et mutualiser le mat riel n cessaire cette production Fr d rique a opt avec 3 autres producteurs pour le groupement d int r t conomique Dans un entretien elle re
14. AGRICOLE AGRICULTURE DURABLE 2012 234 p d EDITIONS QUAE CTA Centre Technique de Coop ration Agricole et Rurale r f 189 087 R daction ABioDoc a Biopresse 189 Mai 2013 24 cologie et ruralit Dossier L agro cologie le paradis perdu de la bio PEGEAULT Nelly STASSART Pierre M LOHEST Guillaume et al Pour beaucoup l institutionnalisation de la bio notamment travers le cahier des charges europ en a fait perdre de vue certains principes fondamentaux pourtant l origine de AB notamment l approche globale ou les valeurs sociales Ceci se concr tise par le d veloppement d un bio business d clinaison biologique du mod le agro industriel qui pr vaut en agriculture conventionnelle Aussi l agro cologie avec ses principes et son approche globale et interdisciplinaire allant de la ferme dans son milieu la soci t devient un champ d actions pouvant permettre de d velopper l ensemble des fondamentaux originels de l AB voire d aller au del Ce dossier travers divers articles et points de vue explique ce qu est l agro cologie ses principes ses acteurs comment cela peut se concr tiser au quotidien en quoi elle peut porter un mod le social Ainsi l agro cologie est un cadre scientifique regroupant plusieurs champs de recherche de l cologie l agronomie en passant par les sciences sociales pour permettre d tudier concevoir et g rer autremen
15. AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRIX MARCHE EXPERIMENTATION BINAGE VARIETE POPULATION TAUPIN ENGRAIS VERT PROTECTION DES VEGETAUX CHANVRE SYSTEME DE CULTURE MAIS SEMENCE VEGETALE SELECTION PARTICIPATIVE TECHNIQUE CULTURALE SIMPLIFIEE STATISTIQUES SYMBIOSE n 175 01 01 2013 5 pages p 10 14 r f 189 049 R daction ABioDoc Jardinage biologique D marrer son jardin au printemps LECLAIRE Michel Au printemps pour r ussir les diff rentes cultures de son potager il faut programmer les rotations et la place de chaque l gume et de chaque fleur dans le jardin et travailler le sol l auteur est partisan de fa onner la terre en d but d hiver Concernant le semis les l gumes racine doivent tre sem s avec un intervalle de 30 40 cm entre les rangs Il faudra ensuite claircir Les conseils de l auteur portent sur les pr cautions prendre pour les plants en mottes les indications pour les semis et repiquages pour le premier trimestre semis racine semis feuille semis fruit semis fleur Mots cl s TRAVAIL DU SOL SEMIS JARDINAGE RE PIQUAGE PLANT EN MOTTE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE PRINTEMPS BIODYNAMIS n 81 01 04 2013 5 pages p 3 7 r f 189 131 R daction ABioDoc 13 Production v g tale La pomme d or une courge essayer DREYFUS Laurent La pomme d or est une vari t ancienne de cucurbitac e Selon l auteur on la s me en avril en godet pour la
16. Belgique Stakeholder agriculture http www tporganics eu upload TPOrganics StakeholderForu m2013 AGENDA pdf Forum Organic solutions for sustainable Les 26 et 27 juin 2013 au Parlement europ en et l Universit de Bruxelles Belgique Agroecology for sustainable food systems in Europe a transformative agenda http www ensser org increasing public information agroecology conference Du 2 au 4 juillet 2013 Vilnius Lithuania 7th european organic congress http www organic congress ifoameu org Du 18 au 19 septembre 2013 Bourg l s Valence 26 Salon Tech amp Bio http www tech n bio com Du 18 au 19 septembre 2013 Bourg l s Valence 26 Dans le cadre du salon Tech amp Bio Assises Nationales de l Agriculture Biologique organis es par l Agence Bio http www agencebio org agenda assises de la bio Le 19 septembre 2013 Bourg l s Valence Dr me Dans le cadre du salon Tech amp Bio Conf rence de restitution du projet CASDAR Montagne Bio Sch ma de d veloppement du lait bio en montagne outils et t moignages http www tech n bio com Le 22 septembre 2013 Montfort en Chalosse 40 F te Bio dans les Landes T l 05 58 98 71 92 civambio40 wanadoo fr http www civambiodeslandes fr Du 2 au 4 octobre 2013 Clermont Ferrand 63 Sommet de l levage http www sommet elevage fr Du 9 au 13 octobre 2013 en Hongrie 4th international conference on organi
17. En 2013 seul l atelier laitier est encore en place avec 58 UGB sur 44 hectares Afin de se d gager des revenus stables les deux associ s p re et fils ont fait le choix d orienter leur ferme vers un syst me conome et autonome Ceci se traduit par une augmentation de la part des prairies la production de m langes c r aliers pour l autoconsommation une r duction du chargement et des intrants L autonomie en prot ines et la conversion l agriculture biologique sont les deux prochains objectifs des leveurs du GAEC La Niro Mots cl s AGRICULTURE DURABLE ELEVAGE LAITIER FERMOSCOPIE VEND E SYST ME ECONOME EN INTRANTS AUTONOMIE AUTONOMIE DE L EXPLOITATION EFFICACIT ECONOMIQUE ATOUT TREFLE L n 69 12 03 2013 2 pages p 8 9 r f 189 029 R daction ABioDoc Petite surface grande 25 cologie et ruralit Conservation des p turages bois s du Jura d fis climatiques et agro politiques BUTTLER Alexandre GAVAZOV Konstantin PERINGER Alexander et al cosyst mes fa onn s par l homme les p turages bois s du Jura offrent une double production de fourrages et de bois Ces milieux sont galement pourvoyeurs de services cosyst miques en lien avec l environnement purification de l eau ou les loisirs paysages attractifs Aujourd hui ils sont soumis deux facteurs de changement importants qui pourraient influencer leur quilibre et leur gestion le r chau
18. conduit leur d p rissement les passages de d sherbage thermique peuvent tre effectu s avant la lev e de la culture en plein ou apr s avec une application localis e C t constructeurs les avantages pour l agriculteur sont multiples pas de retournement du sol r chauffement du sol C t prix il existe une grande variabilit en fonction des besoins et des m thodes de chacun Mots cl s CONTROLE DES ADVENTICES DESHERBAGE THERMIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE MATERIEL AGRICOLE ITINERAIRE TECHNIQUE TEMOIGNAGE MARAICHAGE CULTURE LEGUMIERE MAINE ET LOIRE MANCHE GARD BIOFIL n 87 01 05 2013 3 pages p 44 46 r f 189 012 R daction ABioDoc Une alternative qui D sherbage m canique en grandes cultures Gagner en confort et facilit d utilisation POUPEAU Jean Martial Les c r aliers biologiques et conventionnels sont demandeurs de mat riels leur permettant de gagner en confort et en facilit d utilisation Cet article pr sente un tour d horizon des innovations pl biscit es et pr sent es lors du SIMA les syst mes de guidage des bineuses notamment par cam ra par doigts palpeurs ou encore par suivi de trace ce dernier tant encore peu r pandu le r glage hydraulique de linclinaison des dents de herse trille permettant une adaptation de l outil l h t rog n it des terres et la densit des adventices les bineuses frontales permettant une visibilit du
19. dans leur recette des OGM comme les cr mes glac es avec la l cithine de soja ou les huiles issues de colza ou de soja GM En cas de non respect par le producteur la p nalit a t tablie 100 par jour et par produit non correctement tiquet Contact Christophe Noisette T l 05 55 31 21 33 06 28 27 33 91 noisette infogm org Source Inf OGM juin 13 Un bl OGM non autoris d couvert aux Etats Unis Le 29 mai 2013 le d partement am ricain de l Agriculture l USDA a indiqu sur son site que le service d inspection des v g taux et des animaux APHIS a d couvert du bl OGM r sistant au glyphosate dans une exploitation de l Oregon Si ce bl de Monsanto a t test dans 16 tats de 1998 2005 il n est pas autoris la commercialisation La Food and Drug administration FDA rassure ce bl ne pose pas de probl me pour la sant Une enqu te est toutefois ouverte pour comprendre les raisons de la pr sence de ce bl transg nique et demander d ventuelles sanctions en cas de violation de la loi sur la protection des v g taux Source www campagnesetenvironnement fr 6 juin 13 L appel projets Mobilisation collective pour l agro cologie pour l ann e 2013 Cet appel projets a pour ambition de pr parer la mise en place des GIEE Groupements d int r t conomique et environnemental en soutenant et amplifiant la diffusion de d marches collectives terri
20. dicaments et des revenus L agriculture biologique semble pouvoir r pondre ces enjeux condition de faciliter l innovation locale et l acc s au savoir et aux ressources appropri es aux personnes vivant avec le SIDA Mots cl s SANTE SIDA AFRIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE SECURITE ALIMENTAIRE NUTRITION SOCIETE 2008 56 p d IFOAM International Federation of Organic Agriculture Movements r f 189 109 R daction ABioDoc Ca Biopresse 189 Mai 2013 Le chou ACREMANT Joel Le chou appartient la famille des crucif res pr s de 2 000 esp ces et sa richesse en souffre varie entre 70 et 140 mg pour 100 g selon les esp ces Le chou vert ou fris est utilis en cataplasme contusions plaies diverses La mani re de pr parer cette m dication est expliqu e Le chou rouge vert ou blanc est utilis en usage interne riche en vitamines A et B il favorise la nutrition cellulaire riche en fer il combat les tats an miques Le chou cru le jus frais de chou sont galement b n fiques pour la sant Les effets toniques de la choucroute sont notamment rappel s ainsi que des conseils culinaires selon les types de choux cuisson assaisonnement Une recherche du chou rouge aux pommes et raisins secs est propos e Mots cl s CHOU VALEUR NUTRITIVE CUISINE LEGUME SANTE UTILISATION RECETTE DE CUISINE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE BIODYNAMIS n 81 01 04 2013 4 pages p 42 45
21. flexion au niveau europ en pour permettre aux vignerons bio de faire face lors des ann es climatiques difficiles Au sein de l AOC Champagne seulement pr s de 1 des surfaces sont certifi es bio Mois cl s VITICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRATIQUE AGRICOLE VINIFICATION R GLEMENTATION VIN DE CHAMPAGNE MARNE T MOIGNAGE BIOFIL n 87 01 05 2013 2 pages p 48 50 r f 189 013 R daction ABioDoc Viticulture Maladies du bois TROUILLARD Karine En conventionnel comme en bio il n y a aujourd hui aucune sp cialit commerciale homologu e pour lutter contre les maladies du bois en viticulture l Esca ou le BDA Black Dead Arm Il s agit donc de mettre en oeuvre plusieurs m thodes de lutte prophylactiques choix de porte greffes vigoureux au niveau du d veloppement racinaire raisonner les apports d azote adapter la taille d hiver Les moyens de lutte venir concerneraient la lutte biologique la s lection g n tique de mat riel v g tal moins sensible parmi les c pages existants Dans le cadre du congr s de la f d ration fran aise de la p pini re viticole Val rie Hofstetter chercheuse suisse la station de recherche Agroscope Changins a annonc que l Esca ne serait pas d des champignons En partenariat avec l universit de Reims le d partement de biologie v g tale de l universit de Fribourg Suisse travaille sur l origine des sympt mes du BDA facilement confondu a
22. le faire rapidement Son entr e en vigueur sera ensuite conditionn e par l adoption de lois similaires dans au moins cinq autres tats dont deux voisins du Connecticut et repr sentant au total 25 millions d habitants A l heure actuelle InfOGM a comptabilis 16 projets de loi en d bat Arizona Colorado Floride Illinois Indiana lowa Maine Minnesota New Jersey New Hampshire Oregon Pennsylvanie Rhode Island Tennessee Virginie et Washington Et dans trois tats ces lois ont d j t adopt es par les D put s et sont actuellement examin es par le S nat Alaska Hawa et Vermont La loi pr voit que nul ne peut vendre ou distribuer soit de la nourriture destin e l alimentation soit des semences pour produire des aliments enti rement ou partiellement g n tiquement modifi s moins d tre tiquet es comme tel Cette r gle est assortie de nombreuses exceptions l alcool les produits pr par s pour tre consomm s imm diatement la restauration collective les produits agricoles en vente directe ou semi directe et surtout les produits issus d animaux nourris aux OGM lait viande uf Cette derni re exception r duit consid rablement la port e de cette loi tant donn qu aux Etats Unis comme dans l Union europ enne les OGM servent principalement nourrir le b tail Cependant la diff rence de l Union europ enne de nombreux produits destin s l alimentation humaine int grent
23. triticale bersim tr fle d Alexandrie ou de triticale vesce Les r sultats les plus int ressants aussi bien en termes de production qu en termes de MAT ont t obtenus avec l association Triticale 25 Vesce 75 Mots cl s AGRICULTURE TROPICALE TUNISIE STATION D EXPERIMENTATION ASSOCIATION FOURRAGERE TRITICALE TREFLE D ALEXANDRIE VESCE SYSTEME FOURRAGER MATIERE AZOTEE ELEVAGE ALIMENTATION DES ANIMAUX FOURRAGES n 212 Faire p turer les ch vres Retour vers le futur 01 12 2012 6 pages p 337 342 r f 189 113 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 L agro cologie plan te DAUTRAIX Laurence CARDON Fabrice GAILLARD Francis et al A l occasion d un s jour au S n gal des enseignants et apprentis de l enseignement agricole public fran ais se sont arr t s au Centre de formation agro cologique de N Di mane Dans un contexte difficile pour l agriculture et l levage en Afrique ce Centre g r par une association paysanne constitue un lieu d changes sur les pratiques et enjeux agricoles de formation l agro cologie et d exp rimentation de ces pratiques L agro cologie y est pratiqu e sans engrais chimiques avec des pesticides naturels et avec des vari t s locales produites en polyculture Une charte cologique sign e avec une centaine de paysans des alentours permet de faire appliquer ces techniques respectueuses de l environnement au
24. 176 01 02 2013 1 page p 8 r f 189 063 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 38 GOMA Global Organic Market Access Organic equivalence tools International Requirements for Organic Certification Bodies IROCB and Guide for Assessing Equivalence of Organic Standards and Technical Regulations EquiTool Version 2 GOMAOutils d quivalence Exigences internationales applicables aux organismes de certification en agriculture bio IROCB et Guide pour l valuation de l quivalence des normes et r glementations Anglais UNCTAD IFOAM FAO Le projet GOMA Global Organic Market Access 2009 2012 est issu d un partenariat entre la FAO lIFOAM et la Conf rence des Nations Unies sur le commerce et le d veloppement CNUCED galement auteurs et diteurs de ce document Face au d veloppement et la multiplication des normes et r glementations relatives l agriculture biologique dans le monde l objectif de ce partenariat est de faciliter la commercialisation des produits biologiques En effet un groupe de travail international d di l harmonisation et l quivalence en agriculture biologique ITF a reconnu ces deux l ments comme des facteurs cl s du d veloppement des produits bio sur le march mondial Ainsi deux outils ont t d velopp s pour favoriser les valuations d quivalence les exigences internationales pour les organismes de certification en agriculture biol
25. 18 02 2013 6 pages p 21 26 r f 189 037 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 cologie et ruralit Proceedings of the International Seminar on Land use Conflicts and Natural Resources Management in Rural Areas Actes du colloque international sur Conflits d usage des terres et gestion des ressources naturelles dans les zones rurales Anglais GREENWOOD Daniel JEANNEAUX Philippe MANN Carsten et al Un s minaire international sur les probl matiques de gouvernance dans le domaine de l environnement a t organis le 7 mars 2013 l tablissement VetAgro Sup dans le cadre d un module d tudiants ing nieurs sp cialis s sur ling nierie et le d veloppement du territoire A travers cinq interventions rapport es dans ces actes cinq th matiques ont t abord es La gouvernance et le d fi des dirigeants le cas des logements z ro mission de carbone en Angleterre L utilisation des terres dans les r gions de montagne fran aises quel est le sens de la protestation contre les politiques publiques de protection du loup Conflit et gestion des espaces prot g s un exemple de gestion de conflits face diff rents usages r cr atifs dans la For t Noire Allemagne Le potentiel de l action collective pour le contr le de la pollution diffuse dans les zones rurales europ ennes Les obstacles institutionnels et le d veloppement d outils politiques bas s sur le
26. 2013 au Conservatoire national des arts et m tiers en pr sence de Vincent Peillon ministre de l Education nationale Source www campagnesetenvironnement fr 28 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 48 Les Br ves Bilan du plan de d veloppement de l agriculture biologique 2008 2012 Le minist re de l Agriculture a r dig un rapport sur le bilan du plan Agriculture biologique horizon 2012 qui incluait les engagements du Grenelle de l environnement de septembre 2007 Ce plan en cinq axes avait deux objectifs quantifi s 20 de produits bio dans les commandes de la restauration collective publique en 2012 6 de la SAU Surface agricole utile en agriculture biologique la m me ch ance et 20 en 2020 A partir du bilan qu il tablit le rapport tire galement quelques r flexions sur lavenir Pour t l charger le rapport http agriculture gouv fr Bilan du plan de developpement de Source Minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t mai 13 Pesticide Efsa pointe les risques du fipronil pour les abeilles L Autorit europ enne pour la s curit des aliments Efsa a rendu lundi 27 mai 2013 un avis d non ant le risque aigu lev du fipronil pour la survie des abeilles Le fipronil est la substance active du pesticide R gent fabriqu par le groupe allemand BASF et utilis en tant que traitement de semences de ma s Cet insecticide large sp
27. Groupement de d fense sanitaire Grand Ouest sur la pratique de m decines alternatives L objectif tant de faire une valuation de la demande des leveurs et de permettre aux v t rinaires d acqu rir des comp tences Par ailleurs l ANAREV Association Nationale pour l Am lioration des Relations Eleveurs V t rinaires d plore que les prescripteurs de m dicaments tirent en moyenne 75 de leur revenu de la vente de ces m dicaments Elle souhaite que ce mode de r mun ration volue afin de privil gier l accompagnement des leveurs pour plus de pr vention L ANEREV demande galement une volution de la r glementation fran aise pour dynamiser la concurrence entre pharmaciens et v t rinaires et ouvrir le march des m dicaments aux importations intracommunautaires Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE ELEVAGE LAITIER SANTE ANIMALE HYGIENE VETERINAIRE VACHE LAITI RE MEDECINE ALTERNATIVE CONDITION D ELEVAGE OBSERVATION DIAGNOSTIC VETERINAIRE TEMOIGNAGE AGRICULTEUR MAMMITE LOIRE MAYENNE MORBIHAN BRETAGNE NORMANDIE PAYS DE LA LOIRE HUILE ESSENTIELLE AROMATHERAPIE PRATIQUE ALTERNATIVE FRANCE ENSEIGNEMENT ASSOCIATION MEDICAMENT VOIX BIOLACTEE LA n 71 01 01 2013 9 pages p 5 13 r f 189 093 R daction ABioDoc Le point technique levage l ann e et respect du ruminant GUERRAND Eric Eric Guerrand technicien Agrobio 35 et Agrobio Conseil a pu rencontrer sur les fe
28. Jean Claude BATTAIS Fran ois ET AL 4p Biopresse 189 Mai 2013 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s suite MINIST RE DE L AGRICULTURE L AGROALIMENT AIRE ET DE LA FORET DGPAAT Service de la Production Agricole Sous direction des entreprises agricoles Bureau des Soutiens directs 3 Rue Barbet de Jouy 75 349 PARIS SP 07 FRANCE http agriculture gouv fr LS Circulaire DGPAAT SDEA C2013 3052 15 mai 2013 http agriculture gouv fr IMG pdf DGPAATC2013305 2Z _cle454838 pdf DGPAAT Direction g n rale des Politiques agricole agroalimentaire et des territoires 27 p DE PASSERELLE CO Corcelle 71 190 LA CHAPELLE SOUS UCHON FRANCE asso passerelleco info http www passerelleco info LS Introduction la permaculture MOLLISON Bill GASNIER Muriel GIRARD Jean Luc 240 p 23 RESEAU GAB FRAB BRETAGNE FRAB ZI SUD EST 17 Rue du Bas Village CS 37725 35 577 CESSON SEVIGNE CEDEX FRANCE T l 02 99 77 32 34 Fax 02 23 30 15 75 frab agrobio bretagne org http www agrobio bretagne orq B gt L Agriculture Biologique Un choix pour une eau de qualit en Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE gratuit frais d envoi 5 Les fiches Observatoire du r seau GAB FRAB Observatoire Chiffres 2011 Fiche Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE 2 p 3 la fiche Observatoire Consultable mais non imprimable depuis le site du r seau 8 p Biopresse 189 M
29. PATHOGENE SUISSE RECHERCHE EXPERIMENTATION PATHOGENE DU SOL PROTECTION DES VEGETAUX REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE n vol 44 n 6 01 11 2012 5 pages p 344 348 r f 189 152 R daction ABioDoc MARTINEZ Dossier Les quatre chemins du biocontr le DECOIN Marianne LACORDAIRE Anne Isabellle DAMOISEAU Louis et al L ABIM la rencontre annuelle de l industrie du biocontr le a tenu sa septi me dition en octobre 2012 en Suisse Apr s une courte partie consacr e l investissement des grandes industries phytopharmaceutiques dans ce domaine ce dossier pr sente quelques exemples issus des quatre grandes voies de biocontr le les micro organismes les substances naturelles les m diateurs chimiques et les macro organismes auxiliaires Les r sultats d exp rimentation pr sent s concernent les Pseudomonas fluorescents qui ont des r les de bioprotectants de biofertilisants et de biostimulants la bact rie Burkholderia phytofirmans contre le botrytis de la vigne l inventaire des acariens pr dateurs ou phytos iides dans les vergers fran ais l utilisation de laminarine liciteur naturel contre la tavelure secondaire le programme de lutte biologique base du parasito de Torymus sinensis contre le cynips du ch taignier des m thodes alternatives de lutte contre la processionnaire du pin pi geage des adultes ou des chenilles mise en place
30. REGLEMENTATION FRANCE POLITIQUE AGRICOLE SOUTIEN A L AGRICULTURE BIOLOGIQUE AIDE MAINTIEN AIDE AU SOUTIEN CONVERSION AIDE A LA CONVERSION CIRCULAIRE 2013 27 p d MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET r f 189 097 R daction ABioDoc La r glementation Contr les sur les fermes bio Les producteurs ont confiance en leur O C MAR CHAL Goulven Le 31 janvier 2013 l INAO a organis une r union tripartite avec les repr sentants des organismes de certification OC et les structures professionnelles du secteur de l agriculture biologique dont la FNAB A l ordre du jour la qualit des contr les en bio Pour l occasion SymBlOse fait le point sur les contr les d livr s par les organismes certificateurs et leur perception par les producteurs biologiques bretons Les r sultats d une enqu te sont retranscrits dans trois tableaux Les trois quarts des producteurs biologiques bretons se disent tout fait satisfaits de la qualit et du s rieux de leurs contr les Parmi les organismes certificateurs c est Certipaq qui recueille le plus de satisfaction Les taux d insatisfaction sont l g rement plus lev s dans les fili res plus sp cifiques comme l apiculture l levage porcin ou l levage ovin caprin Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE EXPLOITATION AGRICOLE CONTROLE BRETAGNE ENQUETE RESULTAT QUALITE ORGANISME CERTIFICATEUR SYMBIOSE n
31. biomasse l hectare de lus Mots cl s AGROFORESTERIE SOL ARBRE GRANDE CULTURE MARAICHAGE FRANCE T MOIGNAGE BIOMASSE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT ENTRAID OUEST n 409 01 02 2013 2 pages p 54 55 r f 189 054 R daction ABioDoc Recherche Influence of fresh composted and vermicomposted Parthenium and poultry manure on the growth characters of sesame Sesamum indicum Influence de Parthenium et de fumier de volaille en frais compost s et vermicompost s sur les caract ristiques de croissance du s same Sesamum indicum Anglais VIJAYAKUMARI B HIRANMAI Y R Cette tude indienne avait pour objectif d valuer la durabilit de l utilisation de Parthenium hysterophorus esp ce de camomille et de fumier de volaille en syst mes de cultures biologiques Ainsi les influences du Parthenium et du fumier de volaille frais compost s et vermicompost s ont t valu es sur une culture de s same Les mesures effectu es portent sur le taux de germination du s same la longueur des racines la longueur des feuilles les poids frais et sec de s same et la vigueur des plants La biomasse v g tale issue d adventices ici le Parthenium et le fumier de volaille ont tous les deux permis d am liorer la croissance du s same par rapport aux t moins sans fertilisation d montrant la possibilit d utiliser certains d chets compost s comme mati re fertilisante Les e
32. bon de commande ABioDoc vous fera parvenir une facture et vous pourrez alors proc der au paiement ch que l ordre du R gisseur ABioDoc VetAgro Sup Pour tout abonnement r abonnement ou service documentaire l tranger les frais bancaires et les frais de change sont enti rement la charge de l acheteur 55 Biopresse 189 Mai 2013 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s AGENCE BIO Agence Fran aise pour le D veloppement et la Promotion de l Agriculture Biologique 6 Rue Lavoisier 93 100 MONTREUIL SOUS BOIS FRANCE T l 01 48 70 48 30 Fax 01 48 70 48 45 contact agencebio org http www agencebio org LS Communiqu de presse J 10 Printemps Bio 2013 AGENCE BIO 4p Dossier de presse Printemps Bio 2013 La bio made in France gagne du terrain et prend un nouvel lan avec le plan Ambition Bio 2017 http www agencebio org actualites la bio made france gagne du terrain et prend un nouvel elan avec le plan ambition bio AGENCE BIO 61 p AGROBIO POITOU CHARENTES 12 bis Rue Saint Pierre BP 22 79 500 MELLE FRANCE T l 05 49 29 17 17 Fax 05 49 29 17 18 http www penser bio fr LS Je m installe en mara chage biologique http www penser bio fr IMG pdf Kit_ info maraichage 140213 pdf RAGOT JOUBERT Astrid GAZEAU St phanie 28 p BIO CENTRE Cit de l Agriculture 13 Avenue des Droits de l Homme 45 921 ORLEANS CEDEX 9 FRANCE T l 02 38 71 90 52 F
33. chauffeur sur son outil et donc une meilleure pr cision moindre co t un nouveau diam tre de doigts rotatifs de 29 cm de diam tre adapt s des inter rangs de 35 50 cm l largissement de la gamme de bineuses propos e et une nouvelle houe rotative En encart Olivier Bouilloux r f rent technique grandes cultures au Sedarb s exprime sur la place que prend l innovation du mat riel en agriculture biologique place qui fait parfois d bat Selon lui aucune technologie de d sherbage m canique ne remplacera la strat gie globale de gestion de l exploitation et l importance de la rotation de la r ussite d une luzerne avant c r ales etc Mots cl s MATERIEL AGRICOLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE DESHERBAGE MECANIQUE BINEUSE HERSE ETRILLE HOUE ROTATIVE CONTROLE DES ADVENTICES GRANDE CULTURE SYSTEME DE GUIDAGE INNOVATION BIOFIL n 87 01 05 2013 5 pages p 52 57 r f 189 015 R daction ABioDoc 11 Production v g tale Ecophyto Chardons des champs et rumex la lutte continue Un travail du sol adapt la lutte contre les vivaces CLOAREC Maud Le chardon des champs a un syst me racinaire particuli rement d velopp qui lui permet de se renouveler l infini Le rumex quant lui se multiplie par ses graines et se d veloppe partir du collet Pour ces deux esp ces la coupe est un moyen de lutte mais qu il convient de pratiquer au bon
34. conclusions au cours d ateliers interviews et sondages Dix mois apr s le lancement du projet il a t indiqu Inf OGM qu une version mise jour du programme de travail est en cours de discussion avec la Commission europ enne mais que sa version initiale devrait tre rendue publique dans les semaines qui viennent Concr tement ni la description pr cise du travail effectuer ni la liste des structures et des scientifiques impliqu s ne sont donc encore exhaustivement connues Un d marrage quelque peu opaque selon Inf OGM Pour en savoir plus http www infogm org spip php page imprimer amp id_ar ticle 5385 Source Inf OGM mai 13 Tunisie nouveau r seau agro cologique Le RAET R seau Agro Ecologique Tunisien a t lanc le 9 mai 2013 au salon Bio Expo ciblant les acteurs de l agriculture conventionnelle et biologique Le RAET est une r ponse un besoin ressenti par les acteurs de l agriculture biologique d engagement dans Un processus de structuration professionnelle se voulant ainsi un r seau soutenant un d veloppement conomiquement viable cologiquement durable et socialement quitable En effet ce projet naissant constitue un groupement d associations d aide d encadrement de promotion et de d veloppement de producteurs valorisant les ressources naturelles et humaines des secteurs tels que l agriculture l arboriculture la sylviculture l horticulture l levage
35. d exploitations agricoles biologiques a quasiment doubl et les surfaces ont augment de 75 Toutefois malgr cette dynamique la d prise agricole persiste et repr sente un frein important aux installations notamment en bio En effet les candidats l installation en agriculture biologique sont rarement issus du monde agricole et n ont donc pas de patrimoine foncier leur disposition Dans ce contexte les collectivit s territoriales ont un r le jouer aussi bien d un point de vue conomique que foncier Les exp riences pr sent es pour illustrer ce dossier montrent qu elles sont d ailleurs de plus en plus nombreuses s investir pour le d veloppement d une agriculture locale et souvent biologique Ainsi quatre grands types d actions sont pr sent s stimuler l activit conomique faciliter l acc s aux terres conforter les installations structurer les fili res Enfin Xavier Guiomar ing nieur d tudes et g ographe fait part de son t moignage sur l investissement des collectivit s territoriales dans la gouvernance alimentaire Mots cl s D VELOPPEMENT RURAL AGRICULTURE BIOLOGIQUE FONCIER COLLECTIVITE TERRITORIALE DEVELOPPEMENT DE L AB INITIATIVE LOCALE TEMOIGNAGE ECONOMIE STRUCTURATION DE LA FILIERE ACCES A LA TERRE INSTALLATION A LA TERRE AIDE FRANCE CIRCUIT LONG ESPACE TEST GOUVERNANCE LA GAZETTE DES COMMUNES DES DEPARTEMENTS DES REGIONS n 7 2161
36. daction ABioDoc Elevage Co t de production en viande bovine Une meilleure efficacit conomique en bio BISSON Pascal Les r seaux d levage Pays de la Loire Deux S vres Chambres d agriculture et Institut de l levage ont conduit un travail d analyse sur les co ts de production en levage bovin viande biologique L objectif de l tude a t la mise en comparaison des syst mes naisseurs biologiques et conventionnels assez proches en termes de caract ristiques et de fonctionnement et d identifier les leviers d optimisation envisageables Le travail a repos sur une tude de groupe qui se compose de 15 exploitations naisseurs en agriculture biologique des r seaux d levage et de 27 exploitations conventionnelles issues de groupes de formation co ts de production r alis s sur la campagne 2009 Il appara t que le niveau moyen de r mun ration est sup rieur en agriculture biologique pour les syst mes naisseurs par rapport aux levages conventionnels extensifs L cart provient essentiellement des aides suppl mentaires Les moindres charges contribuent galement l cart de revenu http www penser bio fr L auxiliaire bio Mots cl s BOVIN VIANDE COUT DE PRODUCTION AGRICULTURE BIOLOGIQUE EFFICACIT ECONOMIQUE RESEAU PAYS DE LA LOIRE DEUX S VRES ANALYSE METHODE ELEVAGE BIOLOGIQUE COMPARAISON BIO CONV ELEVAGE CONVENTIONNEL ETUDE NAISSEUR L AUXILIAIRE BIO n 20
37. de chardons le sont galement cirsium arvense chardon commun ou des champs et cirsium vulgare L article pr sente les moyens de pr vention et les leviers curatifs pour limiter l implantation du rumex p turage pr coce surveillance des entr es de parcelles et des zones d affouragement fauche des plantes avant l apparition de la hampe florale pour limiter la diss mination des graines emblavement de cultures dites concurrentielles vis vis du rumex comme les m teils la luzerne l avoine le seigle et le chanvre textile Il indique galement les moyens pour pr venir la propagation des semences du chardon fauche des refus et bords de champs et ceux mettre en uvre en grandes cultures implantation d une luzerni re Des conseils portent sur le travail du sol Mots cl s CONTROLE DES ADVENTICES RUMEX CHARDON GRANDE CULTURE GRAINE PREVENTION LUZERNE TRAVAIL DU SOL PATURAGE ELEVAGE BIOLOGIQUE BIOBR VES n 97 01 04 2012 3 pages p 21 23 r f 189 066 R daction ABioDoc D sherbage thermique gaze RIVRY FOURNIER Christine En agriculture biologique le d sherbage thermique peut apporter sa contribution aux itin raires techniques en mara chage et cultures l gumi res Afin d en optimiser l efficacit il doit tre int gr dans une strat gie globale de gestion des adventices comme en t moignent plusieurs agriculteurs Consistant en un choc thermique sur les plantules qui
38. de nichoirs m sanges la lutte biologique contre la scl rotiniose de la salade par Coniothyrium minitans l utilisation d un parasitoide larvaire Stenomesius japonicus en association avec le pr dateur Macrolophus pygmaeus contre la mineuse de la tomate Tuta absoluta Mots cl s PROTECTION DES VEGETAUX MEDIATEUR CHIMIQUE PSEUDOMONAS BOTRYTIS CINEREA VIGNE ACARIEN AUXILIAIRE BACTERIE AUXILIAIRE INSECTE AUXILIAIRE MICRO ORGANISME AUXILIAIRE POMMIER ELICITEUR TAVELURE LUTTE BIOLOGIQUE PARASITOIDE CYNIPS CHATAIGNIER PROCESSIONNAIRE PIEGEAGE SCLEROTINIA SALADE TOMATE TUTA ABSOLUTA RECHERCHE EXPERIMENTATION INDUSTRIE ENTREPRISE ARBORICULTURE PHYTOMA LA SANT DES VEGETAUX n 662 01 03 2013 40 pages p 9 48 r f 189 128 R daction ABioDoc 17 Production v g tale Viticulture Champagne Georges Laval Tout en sobri t pour la qualit RIPOCHE Fr d ric Vigneron sur le domaine familial conduit en bio depuis 1971 Vincent Laval produit du champagne en limitant au maximum les intrants en mod rant les rendements en vinifiant au plus juste et ce dans l objectif de produire des vins purs et l gants Dans cet article il d crit ses pratiques de la vigne la bouteille Malgr sa recherche d une minimisation de l impact sur l environnement il estime que le cahier des charges ne doit pas se durcir baisse des doses de cuivre autoris es en r
39. du d partement L environnement crit re n 1 attribution d une note de performance environnementale par la cit scolaire de Nyons signature d un partenariat entre la Dr me et le Puy de D me qui s est quip en 2012 de la plateforme en ligne Magali Baconnier gestionnaire de la cit scolaire de Nyons coll ge et lyc e indique dans un encart comment la performance environnementale est le crit re dominant Mots cl s FILIERE DROME OFFRE DEMANDE PRODUIT BIOLOGIQUE PLATEFORME CIRCUIT COURT MARCHE PUBLIC ENVIRONNEMENT RESTAURATION SCOLAIRE INTERNET PRODUIT CONVENTIONNEL DEVELOPPEMENT DE L AB PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE FRANCE AGRICULTURE BIOLOGIQUE LA GAZETTE DES COMMUNES DES D PARTEMENTS DES REGIONS n 17 2171 29 04 2013 1 page p 34 r f 189 053 R daction ABioDoc Sant 200 plantes qui vous veulent du bien MINKER Carole Tout le savoir actuel sur 200 plantes m dicinales d Europe et du monde facilement disponibles et reconnues pour leurs vertus Gr ce ses 200 fiches illustr es ce guide propose une riche s lection de plantes de France et d ailleurs appr ci es depuis toujours ou d couvertes depuis peu en vente libre dans les herboristeries ou seulement disponibles dans les pharmacies Pour chaque plante sont d taill s Les usages traditionnels qui ont fait sa r putation O la trouver dans la nature en pharmacie herboristerie magasins bio S
40. e de vie DLC ou DLUO Comment fixer une DLC Comment fixer une DLUO Que faire si la DLC ou si la DLUO est d pass e Temp rature de conservation http www penser bio fr L auxiliaire bio Mois cl s R GLEMENTATION DATE LIMIT DE CONSOMMATION PRODUIT ALIMENTAIRE TRANSFORMATION HYGIENE SECURITE DATE LIMIT D UTILISATION OPTIMALE CONSERVATION DES ALIMENTS QUALITE L AUXILIAIRE BIO n 20 01 11 2012 2 pages p 6 7 r f 189 057 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Vie professionnelle Circulaire DGPAAT SDEA C2013 3052 15 mai 2013 DGPAAT Direction g n rale des Politiques agricole agroalimentaire et des territoires L objet de cette circulaire est le Soutien l agriculture biologique mis en place en France m tropolitaine pour la campagne 2013 Dans le cadre de l article 68 du r glement CE n 73 2009 du Conseil du 19 janvier 2009 cette circulaire expose les conditions d octroi de la mesure de soutien sp cifique soutien l agriculture biologique en France m tropolitaine La circulaire pr sente notamment les conditions d ligibilit des demandeurs et des surfaces l engagement des demandeurs et pi ces justificatives le montant des aides par cat gorie de culture les enveloppes financi res et stabilisateur les contr les sp cifiques l aide http agriculture gouv fr IMG pdf DGPAATC20133052Z cle 454838 pdf Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE
41. et cibler la client le en fonction des produits qu on souhaite vendre 20 des produits font 80 du chiffre d affaires Conseils Le stand id al Ne pas confondre d co et vente Etre vu pour bien vendre Animer son stand pour fid liser sa client le Des encarts sont consacr s l acte de vente ainsi qu des t moignages sur la formation assur e par T Fernandez Mots cl s COMMERCIALISATION MARCHE FILIERE ILLE ET VILAINE VENTE DIRECTE CONSEIL CLIENTELE FIDELISATION PRODUIT AGRICOLE COMMERCE FORMATION TEMOIGNAGE SYMBIOSE n 175 01 01 2013 2 pages p 18 19 r f 189 052 R daction ABioDoc au 19 Dossier de presse Printemps Bio 2013 La bio made in France gagne du terrain et prend un nouvel lan avec le plan Ambition Bio 2017 AGENCE BIO Alors que toute la France va vivre au rythme de la Bio du er au 15 juin durant la quinzaine nationale d information et de valorisation des produits issus de l agriculture biologique St phane Le Foll ministre de l Agriculture de lAgroalimentaire et de la For t annonce les grands axes du plan Ambition Bio 2017 nouvelle tape du d veloppement de l agriculture biologique en France La Bio va ainsi prendre un nouvel lan apr s 5 ans de croissance soutenue confortant sa place dans le paysage agricole et alimentaire fran ais En coh rence avec les objectifs du plan Ambition Bio 2017 la 14e dition de Printemps Bio mobilise l ensemb
42. galement diverses Les auteurs de cet article ont cherch faire le point sur l utilisation agricole et les r les fourragers de ces prairies permanentes Pour cela une enqu te a permis de caract riser les profils de leurs r les alimentaires saisonniers d crits en cinq p riodes et de d finir dix types principaux de fonctions fourrag res Ces derniers ont t int gr s dans un r f rentiel permettant de rep rer les aptitudes des prairies permanentes rendre diff rents services fourragers et environnementaux Mots cl s PRAIRIE PERMANENTE ELEVAGE FRANCE RUMINANT SYSTEME FOURRAGER SYSTEME D LEVAGE TYPOLOGIE DES PRAIRIES MODE D EXPLOITATION PRAIRIE FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain Il 01 09 2072 8 pages p 205 212 r f 189 024 R daction ABioDoc Elevage Mettre en place un atelier poules pondeuses bio sur sa ferme JOIN LAMBERT Madeg Sur la ferme de Marcel Jolivel leveur de vaches limousines Timoth e Dupont et Marie Jolivel ont pu d velopper il y a trois ans un atelier de poules pondeuses bio sur 3 ha En moyenne 660 poules pondeuses sont pr sentes l ann e parcours plant s de pommiers moyenne tige poulaillers mobiles et pondoirs gestion sanitaire par des mesures pr ventives et des m decines alternatives coulement de 27 30 000 bo tes an d ufs en vente directe Les charges principales sont li es l alimentation et au poste
43. lien social pr servation des ressources JM Meynard a mis galement en avant l importance de la construction de partenariats dans la dur e et sur la base d un projet partag la fois conomique social thique transparence confiance Les circuits courts sont pour lui un l ment int ressant et le ministre a d ailleurs rappel l int r t d initiatives telles que le site agrilocal fr cr au d part dans la Dr me mais ces circuits ne sont pas suffisants actuellement Enfin le pr sident du CSAB a insist sur la n cessit d utiliser les exemples r ussis pour d finir les conditions de r ussite de l action publique Alain Delangle un administrateur de la Fnab a cit lors de cette journ e Philippe Lacombe Nous sommes la fin d un syst me mais nous n avons pas encore trouv le suivant Il semble que ce soit aussi lavis dun nombre de personnes de plus en plus important et dans ce domaine nous pouvons esp rer que l agriculture biologique sera l encore un levain d id es mais pas seule car toutes les bonnes volont s et toutes les initiatives sont rassembler pour imaginer et tablir ce nouveau syst me L enjeu est de taille mais il est vital Le d fi est grand mais il est aussi enthousiasmant Sophie Valleix Responsable ABioDoc ISSN 1698 8399 le num ro 10 AGENDA FRANCE EUROPE Le 25 juin 2013 au Parlement europ en Bruxelles
44. plus http www journaldumali com article php aid 6304 Sources Le Journal du Midi htip www bio marche info 17 mai 13 Gamme porc bio Syst me U Le distributeur Syst me U lance une nouvelle gamme de produits marque U bio base de viande de porc Cette initiative associe tous les maillons de la fili re en partenariat avec l objectif de rationnaliser les co ts pour offrir des produits qualitatifs prix accessibles R unies autour d une association commune Les porcs bio de France les trois principales fili res de porcs bio fran aises Un bio Biodirect et Tradival ont livr leurs premi res pi ces Syst me U en d cembre 2012 La volont de l enseigne est de s engager dans un approvisionnement constant et de qualit et de contribuer ainsi au d veloppement de l agriculture biologique fran aise Le r f rencement des produits concerne ainsi une large gamme 15 produits susceptible de valoriser l ensemble de la carcasse Sources Lequotidienlesmarch s http www bio marche info 21 mai 13 Produit pour ma triser la v g tation Le 11 avril Alidad Invest pr sentait un projet de produit de ma trise de la v g tation lui m me d origine v g tale et obtenu par proc d physique La soci t souhaiterait faire reconna tre ce produit comme utilisable en agriculture biologique or la cat gorie n existe pas pour l instant Cod WH 86086 ce produit de contact n est pas c
45. pouvons en d cider Mots cl s ECOLOGIE D CROISSANCE SOCIETE ECONOMIE MONNAIE CROISSANCE ENERGIE ENERGIE RENOUVELABLE CONSOMMATION POLITIQUE DEVELOPPEMENT DURABLE 2013 228 p d EDITIONS SANG DE LA TERRE r f 189 096 R daction ABioDoc Biod chets restauration gestion pr vention ADEME Avec 900 000 tonnes de d chets produits annuellement le secteur de la restauration commerciale et collective est un des plus importants producteurs de biod chets Ainsi les restaurants sont fortement concern s par la politique nationale de gestion des d chets et pour ceux qui produiront plus de 10 tonnes de biod chets par an en 2016 leur tri et leur traitement seront une obligation Deux solutions principales existent d j et sont pr sent es dans ce dossier le compostage et la m thanisation Lydie Ougier chef de service adjoint Pr vention et Gestion des d chets l ADEME parle des quatre axes d action de l Ademe sur les questions relatives aux biod chets Mots cl s ENVIRONNEMENT GESTION DES DECHETS BIODECHET TRI SELECTIF RESTAURATION COLLECTIVE RESTAURATION COMMERCIALE RESTAURATION POLITIQUE PUBLIQUE TRAITEMENT DES DECHETS COMPOSTAGE METHANISATION FRANCE REGLEMENTATION ADEME amp VOUS n 61 01 12 2012 6 pages p 7 13 r f 189 114 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 La Permaculture une br ve introduction BURNETT Graham Cet ou
46. r flexion pr alable et assureront une part de l animation et du suivi du programme notamment sur leur territoire en lien avec le national Les partenariats d passant les clivages habituels sont encourag s conseil et accompagnement selon des initiatives du type des p les de conversion contractualisation en amont et aval pour organiser et structurer la fili re sensibilisation du jeune public en lien avec l Agence Bio mobilisation d acteurs vari s dans les projets de recherche agriculteurs conseillers aval enseignants intervention des acteurs bio dans l enseignement agricole L Agence Bio dont la gouvernance repose sur plusieurs structures bio et non bio production et fili re est confort e dans son r le Ce programme fait en partie cho la journ e Fnab organis e sur la nouvelle conomie et qui a eu lieu Paris le 21 mai Cette nouvelle conomie concerne le changement d chelle de l agriculture biologique et la n cessit de ne pas perdre son thique parall lement l augmentation des volumes bio produits et commercialis s A la fin de cette journ e JM Meynard pr sident du Conseil scientifique de l agriculture biologique a conclu que les r ussites de changements d chelle reposaient sur trois piliers un projet thique la mobilisation d acteurs diversifi s la contribution au d veloppement territorial avec une valeur ajout e socio environnementale emploi
47. repiquer en mai ou en juin On peut aussi la semer en mai ou d but juin pour la mettre en place en pleine terre vers la fin juin Des indications sont donn es concernant le semis en poquets de 2 3 graines la culture du plant de courge pomme d or ainsi que sa consommation Mots cl s JARDINAGE COURGE SEMIS PLANTATION CUCURBITACEE VARIETE RECETTE DE CUISINE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE BIODYNAMIS n 81 01 04 2013 2 pages p 8 9 r f 189 132 R daction ABioDoc Quelques incontournables du petit jardin DELWICHE Philippe GREVISSE D sir Les auteurs sugg rent quelques l gumes dits faciles pour le potager du d butant ainsi ils d crivent et donnent les avantages de la tomate Joyau d Idaho la laitue feuilles de ch ne blonde ou brune graine noire la m che Vit le radis de 18 jours le navet rouge plat de Milan la claytone de Cuba ou pourpier d hiver Mots cl s BELGIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE LEGUME VARIETE JARDIN POTAGER JARDINAGE TOMATE LAITUE MACHE RADIS NAVET CLAYTONE DE CUBA DESCRIPTION AVANTAGE VALERIANE n 101 01 05 2013 2 pages p 20 21 r f 189 099 R daction ABioDoc Mara chage Je m installe en mara chage biologique Guide destination des porteurs de projets l installation et la conversion en mara chage biologique sur la R gion Poitou Charentes RAGOT JOUBERT Astrid GAZEAU St phanie Ce guide dispense les inform
48. service de la ville et de la campagne projet europ en Foodlinks une nouvelle source de prot ines pour nourrir les poissons destin s la consommation d partement aquaculture du FiBL la r union de l exp rience des producteurs et le savoir faire des s lectionneurs pour des lign es de poules pondeuses adapt es l levage en plein air projet europ en LowinputBreeds des solutions globales dans le cas de modifications de b timents d levage service de vulgarisation du FiBL lAfrican Organic Agriculture Training Manual destination notamment des paysans africains confront s aux changements climatiques et dans le cadre des exportations de produits bio de la Turquie vers l Europe le renforcement de la qualit et du transfert de savoir http www fibl org fr portrait rapport activite html Mots cl s RAPPORT D ACTIVITE RECHERCHE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE FORMATION VOLAILLE PLEIN AIR QUALIT SELECTION BATIMENT D LEVAGE PROTECTION DES VEGETAUX VARIETE ANCIENNE POULE RESSOURCE GENETIQUE AQUACULTURE ALIMENTATION DES ANIMAUX NON TRAVAIL DU SOL AUTRICHE ALLEMAGNE SUISSE PROJET AFRIQUE TURQUIE ORGANISATION DE L AB CIRCUIT COURT CHANGEMENT CLIMATIQUE 2013 57 p d FIBL Institut de recherche de l agriculture biologique r f 189 080 R daction ABioDoc CA 35 Vie professionnelle Conf rence de presse
49. sont consid rer pour ces agro cosyst mes qui doivent encore tre tudi s et qui doivent tre g r s comme des pourvoyeurs de services multiples Mots cl s PRAIRIE PRAIRIE PERMANENTE BIODIVERSIT SERVICE ECOSYSTEMIQUE ECOLOGIE FERTILITE DES SOLS STOCKAGE DE CARBONE MULTIFONCTIONNALITE SOL AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 10 pages p 229 238 r f 189 027 R daction ABioDoc Cons quences possibles des changements climatiques sur la production fourrag re en France Il Exemples de quelques syst mes d levage RUGET Fran oise CLASTRE Philippe MOREAU Jean Christophe et al La production de ressources fourrag res et le calendrier de celle ci sont perturo s par les changements climatiques Un premier article paru dans Fourrages n 210 a pr sent les simulations de productions d herbe de luzerne et de ma s obtenues via un mod le de culture et selon le sc nario A2 du GIEC IV 2007 Groupe d Experts Intergouvernemental sur l Evolution du Climat Ces simulations sont combin es dans ce second article aux repr sentations mod lis es des besoins de treize types de syst mes d levage Les questions d alimentation des animaux d levage sont abord es notamment en ce qui concerne le besoin en stocks et la place du ma s dans les rations deux l ments dont l importance devrait s accro tre Dans l
50. un Staphylocoque dor dans les analyses individuelles de lait r forme des animaux atteints traitement antibiotique des quartiers atteints pour les autres Mots cl s SYSTEME FOURRAGER HERBE IRRIGATION ELEVAGE BIOLOGIQUE T MOIGNAGE MAINE ET LOIRE RACE NORMANDE VACHE LAITI RE ELEVAGE LAITIER SANTE ANIMALE BOVIN LAIT MAMMITE VOIX BIOLACTEE LA n 71 01 01 2013 2 pages p 14 15 r f 189 078 R daction ABioDoc Les semences paysannes fourrag res CHEVEAU Aur lie Les actions collectives ou non d leveurs pour produire leurs propres semences fourrag res se d veloppent Cet article pr sente diverses initiatives de ce type motiv es par des aspects conomiques baisse du co t des semences techniques d veloppement de prairies plus p rennes ou encore thiques Pour beaucoup des agriculteurs concern s la s lection telle qu elle est faite ce jour par les semenciers nest pas adapt e aux besoins d une agriculture durable Parmi les exemples pr sent s citons le cas du projet DIVERBA port par l AVEM association leveurs v t rinaires du Millavois et l INRA afin de d velopper par la s lection participative des semences paysannes de sainfoin luzerne et c r ales p turer adapt es aux conditions climatiques changeantes de l Aveyron Si ces initiatives se multiplient elles demandent temps et nergie mais aussi un travail pour faire voluer la l gislation portant s
51. 0 e Frais de photocopies par corres la 1 2 2 pondance incluant le co t de la page 0 30 2 0 30 recherche documentaire des les sui 0 30 photocopies et les frais vantes d exp dition Questionnement par t l phone ou gratuit gra gratuit mail et r ponse imm diate ne n cessi tuit tant pas de recherche particuli re joindre un justificatif Pour tout abonnement r abonnement ou service documentaire l tranger les frais bancaires et les frais de change sont enti rement la charge de l acheteur Pour les demandes au niveau des services documentaires nous vous remercions de ne pas joindre de r glement votre bon de commande ABioDoc vous fera parvenir une facture et vous pourrez alors proc der au paiement ch que l ordre du R gisseur ABioDoc VetAgro Sup Biopresse 189 Mai 2013 54 Bon de commande Identification du demandeur NOM n e E near ouh LE CE LE DE PP Te Organis ME SR ne Re EL AE en ne E r TA en Re td nc a AT S e a a a E A A S A u L Abonn L Non abonn Agriculteur tudiant Pr t d ouvrage limit 1 ouvrage pour une dur e commands de photocopies maximale de 2 semaines Nombre N Biopresse N notice de pages Auteur Titre Total des pages Montant Pour les demandes au niveau des services documentaires nous vous remercions de ne pas joindre de r glement votre
52. 01 11 2012 3 pages p 18 20 r f 189 058 R daction ABioDoc M thode Obsalim Ch vres et brebis leur laisser le temps de ruminer CHEVEAU Aur lie 18 leveurs caprins et ovins se sont r unis Plouguenast dans les C tes d Armor pour participer une formation sur la m thode Obsalim Bas e sur l observation des animaux individuellement et du troupeau dans sa globalit engraissement poils comportement cette m thode permet de d celer un mauvais fonctionnement du rumen en lien avec une alimentation d s quilibr e ou inadapt e Au del de l adaptation de la ration aux animaux le cycle de 8 h d ingestion 8 h de rumination 8 h de sommeil et autres activit s est essentiel pour le bien tre et la sant du troupeau Mots cl s ELEVAGE ALIMENTATION DES ANIMAUX BIEN ETRE METHODE OBSALIM DIAGNOSTIC COTES D ARMOR OVIN CAPRIN RUMINANT SANTE ANIMALE OBSERVATION ECHO DU CEDAPA L n 105 01 01 2013 1 page p 8 r f 189 020 R daction ABioDoc Production animale Place et utilisation des prairies permanentes dans les levages en France FARRIE Jean Pierre LAUNAY Fabienne DEVUN Jean En France 50 de la surface fourrag re principale est couverte par des prairies permanentes Leur importance dans les syst mes fourragers est variable en fonction des syst mes d levage et de la situation g ographique De m me les attentes des leveurs envers ces surfaces sont
53. 3 r f 189 116 R daction ABioDoc Dossier Comment vivre plus simplement BOUKHARAEVA Louiza MARLOIE Marcel PEREZ VITORIA Silvia et al Avec des modes de vie qui endommagent les cosyst mes les hommes pourraient tre amen s se tourner vers plus de simplicit et d autonomie A travers ce dossier plusieurs initiatives mises en place partout dans le monde sont pr sent es Parmi celles ci les collectifs de jardins urbains en Russie terrains administr s par des associations ou des coop ratives et cultiv s par les citoyens ont jou un r le essentiel contre les famines En termes d nergie le p dalier pourrait rendre de grands services avec sa puissance 20 60 fois sup rieure celle d un homme En France alors que le crit re d approvisionnement local est interdit dans les commandes de march public en restauration collective deux plateformes interactives sur internet se sont d velopp es dans la Dr me et le Puy de D me pour mettre en relation acheteurs publics et producteurs locaux Enfin les auteurs rappellent que de nombreux l gumes vivaces existent et pourraient fleurir nos jardins Autres th matiques abord es l autonomie des populations locales au Mexique l avenir des tr s petites communes fran aises la lecture sur papier l arbre paysan aux multiples usages Mots cl s AUTONOMIE ALIMENTAIRE RUSSIE MEXIQUE FRANCE JARDIN COLLECTIF COMMUNE RURALE ENERGIE ALT
54. 3 pages p 10 12 r f 189 115 R daction ABioDoc A comparison of organic and chemical fertilizers for tomato production Comparaison d engrais organiques et chimiques pour la production de tomates Anglais KOCHAKINEZHAD H PEYVAST Gh KASHI AK etal La tomate est le l gume le plus populaire dans le monde et de nombreux producteurs bio aimeraient la produire avec des rendements et une qualit lev s Cette tude iranienne a test l impact de quatre types d engrais diff rents engrais chimiques compost de d chets municipaux fumier de bovins compost de champignons organiques ou chimiques sur quatre cultivars commerciaux de tomates En moyenne les r sultats obtenus avec les engrais d origine biologique et ceux d origine chimique sont peu diff rents soulignant le fait que les engrais organiques repr sentent une alternative int ressante aux engrais chimiques http www organic systems org journal Vol 7 282 29 abstracts 14 25 Kochakinezhad html Mots cl s SOL MARAICHAGE ENGRAIS CHIMIQUE ENGRAIS ORGANIQUE TOMATE COMPARAISON BIO CONV FERTILISATION FUMIER COMPOST IRAN AGRICULTURE BIOLOGIQUE ETUDE RECHERCHE JOURNAL OF ORGANIC SYSTEMS n vol 01 11 2012 12 pages p 14 25 r f 189 102 R daction ABioDoc 7 n 2 Petits fruits Diversification La tentation des petits fruits RIVRY FOURNIER Christine Les petits fruits ont le vent en poupe et de nombreux pro
55. 7 01 12 2012 1 page p 71 r f 189 124 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 20 Rapport d activit s 2012 BELIARD Eric AUTRE MOT Jean Fran ois Vincent pr sident de Bio Centre en introduction du rapport d activit s 2012 voque la fili re biologique r gionale et fran aise rappelant comment l annonce d une Ambition pour la bio devrait aider la structuration qualitative des fili res ainsi qu la ma trise de la production Plusieurs aspects sont abord s dans ce rapport d activit s Amont une strat gie interd partementale mise en uvre labor e par les producteurs administrateurs du GRAB et structur e en trois axes le GRAB de Bio Centre au c ur d un r seau r gional et national Toutes fili res projet de fili re grandes cultures les propositions bio du Cap Fili re apicole Fili res animales un projet pour soutenir la fili re ovine biologique Porc Bio C ur de France soutien aux leveurs s lectionneurs dans le cadre du Cap Fili re bovin viande Fili res v g tales programme CasDar l gumes de plein champ biologiques LPC Bio formations et informations destination des mara chers biologiques projet r gional fili re semences enjeux et perspectives de la fili re viticole biologique Restauration collective premiers signataires de la charte Du nouveau dans mon assiette Bio Fruits une animation cr e par Bio Centre et le
56. A R PUBLIQUE FRAN AISE MINIST RE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FOR T l Europe O Oas le Massif Central
57. AGE CALENDRIER DE PATURAGE GESTION DU PATURAGE T MOIGNAGE COTES D ARMOR VACHE LAITI RE ECHO DU CEDAPA L n 106 01 03 2013 2 pages p 6 7 r f 189 120 R daction ABioDoc Le Rami fourrager nouvel outil d accompagnement MULLER F lix Mis en place par une quipe de linra le Rami fourrager est un outil jeu interactif qui permet de simuler le fonctionnement d un syst me d levage herbager et de l valuer en fonction de diff rents param tres autonomie adaptabilit aux conditions climatiques Dans le cadre du projet PraiCos consacr aux m thodes de conseil dans les syst mes fourragers trois groupes du R seau Agriculture Durable ont pu tester ce jeu le CIVAM du Haut Bocage le CEDAPA et le CIVAM AD58 Apr s une pr sentation du fonctionnement du Rami fourrager les retours des paysans joueurs globalement positifs sont exprim s lls ont particuli rement appr ci l aspect convivial de ce jeu qui permet d changer plus facilement entre paysans sur diff rents syst mes Mots cl s ELEVAGE RUMINANT SYSTEME HERBAGER ALIMENTATION DES ANIMAUX APPROCHE PEDAGOGIQUE JEU FRANCE OUTIL D AIDE A LA DECISION SYSTEME D LEVAGE SIMULATION ECHANGE AUTONOMIE FOURRAGERE CONSEIL TECHNIQUE SYSTEME FOURRAGER RECHERCHE PARTICIPATIVE LA LETTRE DE L AGRICULTURE DURABLE n 65 01 04 2013 2 pages p 6 7 r f 189 121 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Prod
58. AGRICULTURE BIOLOGIQUE STRUCTURATION DE LA FILIERE STRUCTURATION DE L AB CONVERSION EXPORTATION TEMOIGNAGE BIODIVERSITE UNION EUROPEENNE SUBVENTION IMPORTATION DEVELOPPEMENT DE L AB LaRevueDurable n 47 01 12 2012 3 pages p 48 50 r f 189 123 R daction ABioDoc Dossier Les agriculteurs pour la paix alimentaire RENOUARD G rard JEANNE Delphine CHARON Eric et al Ce dossier s int resse la probl matique de la s curit alimentaire dans le Monde et aux d fis alimentaires relever dans les ann es venir Apr s deux analyses politiques de l analyste g opolitique S bastien Abis et du pr sident de la plateforme nationale des riziculteurs du Mali Faliry Boly les questions de l acc s au foncier agricole et de la formation technique des paysans sont abord es La diffusion des techniques et du mat riel est par exemple au c ur du travail des associations Fert et Afdi au Maroc et au Mali En collaboration avec des ing nieurs locaux elles ont mis en place des essais du semoir semis direct semis sous couvert du Cemagref adapt aux tracteurs de faible puissance en pr vision de sa diffusion La reconnaissance du m tier de paysan appara t galement comme un enjeu majeur pour la s curit alimentaire Mots cl s SECURITE ALIMENTAIRE SOUVERAINETE ALIMENTAIRE MONDE PAYSAN AGRICULTURE PAYSANNE INTERVIEW MALI MAROC COTE D IVOIRE CAMBODGE COLOMBIE AFRIQUE
59. ANCE T l 01 44 39 43 92 tleridon larousse fr http www editions larousse fr B gt 200 plantes qui vous veulent du bien MINKER Carole 448 p 19 90 75 283 PARIS DITIONS LLL LES LIENS QUI LIB RENT 2 Impasse de Conti 75 006 PARIS FRANCE T l 01 43 29 10 39 http www editionslesliensquiliberent fr LS Un million de r volutions tranquilles MANIER B n dicte 326 p 22 90 DITIONS QUAE c o Inra RD 10 78 026 VERSAILLES CEDEX FRANCE T l 01 30 83 35 48 Fax 01 30 83 34 49 josiane quillemot qauae fr http www quae com LS Apprendre innover dans un monde incertain COUDEL Emilie SOULARD Christophe Toussaint DEVAUTOUR Hubert ET AL 234 p 45 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s suite DITIONS SANG DE LA TERRE 18 Impasse Mousset BP 60001 75 560 PARIS CEDEX 12 FRANCE T l 01 40 01 09 49 Fax 01 40 01 09 94 info ellebore fr http www sangdelaterre fr B gt Croissance et cologie VETILLARD Alban 228 p 14 FIBL Institut de recherche de biologique Ackerstrasse Postfach CH 5070 FRICK SUISSE T l 41 0 62 865 72 72 Fax 41 0 62 865 72 73 info suisse fibl org http www fibl org LS De nouvelles histoires livr es par la recherche http www fibl org fileadmin documents fr actualites 2 013 broschuere coop fibl pdf PFIFFNER Lukas NOTZ Christophe MADER Paul 24 p LS Rapport d activit 2012 http www fibl org
60. AUMGARTNER Isabelle LEUMANN Lucie et al La bact rie Erwinia amylovora est l agent responsable du feu bact rien une maladie des arbres fruitiers destructrice et laquelle nombres de vari t s commerciales sont sensibles Le projet de recherche ZUEFOS en Suisse s est d roul de 2008 2011 dans le but de promouvoir le d veloppement et l utilisation pratique de vari t s de pommiers et de poiriers tol rantes au feu bact rien Pour cela plusieurs partenaires de la recherche mais aussi de la pratique ont collabor Ainsi des sources r sistantes identifi es via divers travaux de recherche internationaux et des pommiers sauvages ont t crois s avec des vari t s de bonne qualit gustative Les vari t s ainsi obtenues sont en phase d valuation dans des vergers pilotes afin d valuer leur comportement en production et dans le commerce Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE VARIETE RESISTANTE VARIETE SENSIBLE POMMIER POIRIER FEU BACTERIEN RECHERCHE EXPERIMENTATION SUISSE PROTECTION DES VEGETAUX SELECTION VARIETALE CROISEMENT ARBORICULTURE REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE n vol 44 n 6 01 11 2012 7 pages p 350 356 r f 189 153 R daction ABioDoc Les vignes sauvages am ricaines VIALA Pierre Cet article pr sente 11 vari t s de vignes sauvages am ricaines milieux et conditions de d veloppement description botanique caract ristiques organolept
61. Agronomique CRA W pour la mise en place d un plan de recherche global Agriculture Biologique Concr tement cette convention a donn lieu la constitution d une Cellule de recherches et d veloppement Agriculture Biologique ou cellule Bio enti rement d di e ce domaine et qui regroupe et organise l ensemble des comp tences et actions des diff rentes unit s de recherche n cessaires la r alisation du programme de recherche AB A court terme la Cellule Bio a pour mission de mettre en place et de piloter un programme de recherche sur la p riode 2013 2014 couverte par la convention Les actions concerneront l analyse des syst mes de production biologique dans leur globalit et leur diversit Trois grands axes de recherche sont programm s 1 La constitution de cinq groupes d une douzaine de fermes pilote par type de production Arboriculture et cultures de l gumes de plein champs ou mara chage Elevage allaitant et production de viande bovine Elevage laitier Elevage de monogastriques porcs et volailles _ Grandes cultures et polyculture levage 2 La r alisation d exp rimentations d monstratives en ferme sur des th matiques cibl es et identifi es avec les acteurs du terrain 3 La mise en route d une recherche action c est dire une d marche de recherche qui prend en compte l ensemble des acteurs impliqu s dans une fili re de production jusqu au consomma
62. Audoin ing nieure agronome de formation et salari e de l association En plus des stages organis s par le Mouvement de l Agriculture Biodynamique le domaine de Saint Laurent accueille des familles des classes vertes Les agriculteurs et les responsables de l association porteuse de la maison d accueil semblent avoir trouv un juste quilibre entre temps de travail sur la ferme et ouverture sur le public Mots cl s SAONE ET LOIRE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE ACCUEIL A LA FERME FONCIER STATUT JURIDIQUE FERME T MOIGNAGE BIODYNAMIS n 81 01 04 2013 5 pages p 25 29 r f 189 133 R daction ABioDoc 39 he et syst me sp cifique Agriculture tropicale Dry season crop residue management using organic livestock repellents under conservation agriculture in Zimbabwe Gestion des r sidus de culture de saison s che par l utilisation de r pulsifs biologiques contre les animaux d levage en agriculture de conservation au Zimbabwe Anglais MUTSAMBA E F NYAGUMBO I MAFONGOYA P L Au Zimbabwe l agriculture de conservation pr conise le maintien d un couvert v g tal permanent notamment via les r sidus de culture afin de conserver une certaine humidit dans le sol Pourtant le maintien de ces r sidus est limit car ils sont consomm s par le b tail paissant dans les environs Ainsi cette tude avait pour objectif d valuer l efficacit de r pulsifs d origine organique pour pr server ces
63. DE L AB MARCHE RESTAURATION COLLECTIVE RESTAURATION COMMERCIALE ANIMATION COMMUNICATION AGROECOLOGIE POLITIQUE AGRICOLE REGLEMENTATION PRODUCTION AGRICOLE 2013 61 p d AGENCE BIO Agence Fran aise pour le D veloppement et la Promotion de l Agriculture Biologique r f 189 156 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Communiqu de presse J 10 Printemps Bio 2013 Deux semaines sous le signe de la Bio dans toute la France AGENCE BIO Du ter au 15 juin 2013 la Bio va faire parler d elle partout en France Les acteurs de l agriculture biologique invitent le grand public et les professionnels s informer et changer sur la Bio et ses principes ainsi qu savourer des produits bio de toutes sortes durant la 14 me dition de Printemps Bio Au programme de ce grand rendez vous annuel qui prend de l ampleur des centaines d v nements dans toutes les r gions de France d gustations portes ouvertes animations en magasins repas bio conf rences foires et march s Ap ros Bio ateliers culinaires jardinage rencontres professionnelles A Paris le Parc de la Villette accueillera une exposition photos sur la Bio avec notamment la pr sentation des 15 uvres pr s lectionn es par un jury dans le cadre de la 2 me dition du concours photos Les Terroirs Bio de France Au del de ces actions men es sur le terrain la Bio sera galement pr sente la radio et sur internet not
64. DIAGNOSTIC ARBORICULTURE AMENAGEMENT PARCELLE ALTER AGRI n 117 01 01 2013 3 pages p 19 21 r f 189 090 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 14 Production v g tale Criblage des vari t s de l gumes en agriculture biologique Dixi me ann e d valuation PORTENEUVE Christian REY Fr d ric MAZOLLIER Catherine et al Un r seau national de criblage vari tal de l gumes en agriculture biologique existe depuis 10 ans co anim par l Itab et le Ctifl En 2010 il r unissait 14 stations exp rimentales qui ont valu cette ann e l 416 vari t s dans les conditions de l agriculture biologique Les principales esp ces tudi es sont les salades les choux fleurs les tomates et les endives et une partie des r sultats obtenus pour ces trois derni res sont pr sent s Les r sultats des essais compl t s de tests de validation chez des producteurs permettent d optimiser le conseil concernant le choix vari tal en l gumes bio Mots cl s MARAICHAGE RECHERCHE CRIBLAGE VARIETAL LEGUME AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE STATION D EXPERIMENTATION SALADE TOMATE CHOU FLEUR ENDIVE VARIETE INFOS CTIFL n 287 01 12 2012 7 pages p 24 30 r f 189 106 R daction ABioDoc Rencontre technique Ctifl Itab L agriculture biologique L gumes PIERRE Sandra Prisca Les rencontres techniques Ctifl Itab consacr es la production l gumi re biologique se sont tenues
65. ERNATIVE SOURCE D NERGIE ARBRE LEGUME MOUVEMENT SOCIAL APPROVISIONNEMENT LOCAL ARBRE FRUITIER INITIATIVE LOCALE RESTAURATION COLLECTIVE SOCIETE ECOLOGISTE L n 39 01 01 2013 21 pages p 21 47 r f 189 127 R daction ABioDoc Energie Les biocarburants sur la sellette POULAIN C cile Dans son paquet Energie climat de 2008 la Commission europ enne s tait donn pour objectif l int gration de 10 d nergie renouvelable dans les transports d ici 2020 y compris les biocarburants Face aux nombreuses controverses sur le bilan environnemental des biocarburants de premi re g n ration il a t d cid le 17 octobre 2012 de limiter la part de ces derniers 5 dans les transports Ce revirement de position a pour origine plusieurs tudes sur le bilan environnemental des biocarburants de premi re g n ration prenant en compte l impact du changement d affectation des sols fortement p nalisant En encart plusieurs projets de recherche dont l Inra est partenaire sur les biocarburants de deuxi me et troisi me g n rations sont pr sent s Pour tous l approche biotechnologique est combin e des approches agronomiques et syst miques Mots cl s AGROCARBURANT ENERGIE IMPACT ENVIRONNEMENTAL GAZ A EFFET DE SERRE EUROPE RECHERCHE CONTROVERSE POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE INRA MAGAZINE n 23 01 12 2012 2 pages p 8 9 r f 189 103 R daction ABioDoc 31 col
66. SON BIO CONV AGRICULTURE BIOLOGIQUE CROP MANAGEMENT 18 03 2011 6 pages p 1 6 r f 189 301 R daction CETAB Ressources g n tiques Le monast re de Solan GARREL Dominique En 1992 une communaut de moniales form es la vie monastique athonite s est install e dans le mas et les terres de Solan Gard Le domaine agricole repose sur soixante hectares de bois terres landes et une ch taigneraie A l origine seuls taient cultiv s 8 ha de vignes et 3 ha d abricotiers Par conviction la communaut d cide d embl e de convertir tout le domaine l agriculture biologique Pierre Rabhi leur dit en juillet 1993 La Terre c est l avenir C est ainsi que les religieuses avec l aide de Pierre Rabhi et de personnes ressources apprennent le m tier Pr sentation Les choix pr server la biodiversit privil gier les savoir faire La vigne Les abricots Les figuiers Les pommiers Les cerisiers Les oliviers Les pruniers plaqueminiers compl tent le verger Les religieuses disent Nous restons des apprentis l coute de notre terre Mots cl s ARBORICULTURE T MOIGNAGE AGRICULTURE BIOLOGIQUE BIODIVERSITE GARD VIGNE ABRICOTIER FIGUIER POMMIER CERISIER OLIVIER PROTECTION DES VEGETAUX CONDUITE TECHNIQUE APPRENTISSAGE SAVOIR FAIRE RESSOURCE GENETIQUE ARBRE FRUITIER FRUITS OUBLIES n 54 01 02 2013 3 pages p 1 3 r f 189 041 R dac
67. Sophie VALLEIX BIOPRESSE _ABio Doc _ Revue dit e et imprim e par ABioDoc Centre National de Ressources en Agriculture Biologique VetAgro Sup Campus agronomique de Clermont 89 Avenue de l Europe BP 35 63370 LEMPDES France T l 04 73 98 13 99 Fax 04 73 98 13 98 abiodoc educagri fr www abiodoc com Y CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit Revue r alis e en collaboration avec le CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit C gep de Victoriaville 475 Rue Notre Dame Est Victoriaville Qu bec G6P 4B3 Canada T l 819 758 6401 poste 2772 veille cetab org www cetab org Biopresse 189 Mai 2013 PRODUCTIONS ANIMALES Elevage Technique Exploitation laiti re de Damien Olivier Viser l autonomie alimentaire BOUDEAU BLANCHARD Claire Damien Olivier s est install sur l exploitation laiti re familiale situ e dans le Bocage calvadosien en 1996 avec une surface de 45 ha et un quota de 215 000 L Le syst me tait repr sentatif des fermes laiti res du secteur prairies temporaires cultures D Olivier a r cemment converti son levage l agriculture biologique et d s 2000 avait cherch gagner en autonomie prot ique pour le troupeau Son orientation vers une meilleure valorisation des surfaces en herbe s est traduite par la signature en 2003 d un CTE Contr
68. TURE ET ENVIRONNEMENT RECHERCHE AGRONOMIQUE SUISSE n 7 8 01 07 2012 6 pages p 340 345 r f 189 035 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 28 cologie et ruralit Mesure et calcul de l empreinte carbone Vers des outils plus large spectre CARANTINO Sabine Depuis d j quelques ann es les industries laiti res mesurent et calculent leur bilan carbone D sormais nombre d entre elles veulent aller plus loin en entreprenant une d marche continue de progr s en mati re environnementale et de d veloppement durable Pour r pondre ces besoins plus de soixante diteurs de logiciels ont cr des outils de gestion et de suivi des missions de carbone et de gaz effet de serre Quelques uns d entre eux sont pr sent s dans cet article ainsi que les d marches mises en place dans deux entreprises laiti res Mots cl s BILAN CARBONE INDUSTRIE LAITIERE FILIERE LAIT FRANCE EMPREINTE CARBONE EMPREINTE ENVIRONNEMENTALE OUTIL DE MESURE LOGICIEL ENVIRONNEMENT AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT ENTREPRISE REVUE LAITIERE FRAN AISE n 728 01 01 2013 3 pages p 30 32 r f 189 118 R daction ABioDoc Dossier Agriculture et biodiversit la trame politique se dessine AYRAULT St phanie DEGER Catherine GILET A Les relations entre agriculture et biodiversit sont complexes l agriculture pouvant la fois jouer un r le n faste et un r le b n fique Le mill
69. UITS OUBLIES n 54 01 02 2013 4 pages p 4 7 r f 189 071 R daction ABioDoc Organisation de l AB Les fili res OP Lait Bio Seine et Loire Une adh sion massive et rapide attendue SACHET lvan Forts de la reconnaissance en tant qu organisation de producteurs OP depuis sa publication au journal officiel le 14 janvier 2013 les responsables des sept associations fondatrices de l Association des producteurs de lait bio Seine et Loire en appellent une adh sion massive et rapide des producteurs Secteur concern le Nord Ouest de la France o pr s de 400 producteurs de lait bio sont concern s L OP lait bio Seine et Loire est transversale inter laiteries et de mandat non commerciale L enjeu de cette structuration en OP est de participer activement la gestion partenariale de la fili re laiti re bio avec les transformateurs Les trois associations de producteurs Lactalis Vitr Triballat Noyal et Saint P re souhaitaient que 100 de leurs adh rents signent rapidement un mandat POP Un point est fait sur les prix en baisse du lait bio en 2012 Mots cl s ORGANISATION DE PRODUCTEURS FRANCE ASSOCIATION NORMANDIE BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE PRIX LAIT AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE ORGANISATION DE L AB SYMBIOSE n 176 01 02 2013 1 page p 13 r f 189 064 R daction ABioDoc Regards crois s Quel avenir pour la bio GAUDIN Ga lle Dans cet article Henri Th paut pr
70. VILLAGE COHABITAT ECOLOGIE ENVIRONNEMENT SANTE RELOCALISATION DEMOCRATIE SOCIETE CIVILE AGRICULTURE DURABLE CITOYENNETE MOUVEMENT CITOYEN 2012 326 p d EDITIONS LLL LES LIENS QUI LIBERENT r f 189 085 R daction ABioDoc Ca Biopresse 189 Mai 2013 Le portrait du mois Christelle Gu rin Le respect de l environnement est la premi re motivation JOURDAN Virginie 35 ans Christelle Gu rin s est install e en levage bio de brebis viande ferme p dagogique et chambre d h te Vannes Morbihan A l origine se situe son envie de devenir agricultrice ainsi que la volont du Conservatoire du littoral et de la ville de Vannes Basse Bretagne d installer une personne sur une ferme c ti re Dans un entretien sont voqu s plusieurs aspects de son parcours choix d un travail dans l agriculture motivation pour un projet en agriculture biologique type d accompagnement pendant son installation conseils pour un porteur de projet int gration sur son territoire Mots cl s BRETAGNE CONSERVATOIRE DU LITTORAL T MOIGNAGE INSTALLATION A LA TERRE CONSEIL PROJET TERRITOIRE OVIN VIANDE ELEVAGE BIOLOGIQUE FERME PEDAGOGIQUE CHAMBRE D HOTE MORBIHAN TOURISME RURAL SYMBIOSE n 175 01 01 2013 2 pages p 16 17 r f 189 051 R daction ABioDoc Dossier D veloppement local L agriculture bio gagne du terrain MADOUI Laurence Entre 2008 et 2012 le nombre
71. a pulv risation d infra doses de sucre a montr son int r t comme moyen de r gulation du carpocapse en pommiers mais pas comme moyen de lutte Courant 2013 une convention devrait tre sign e entre le Ctifl et l Itab afin de renforcer la collaboration entre les deux instituts Mois cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIOLOGIQUE RECHERCHE f CAMPAGNOL PROVEN AL TAVELURE CARPOCAPSE PIEGEAGE MELANGE VARIETAL POMMIER VERGER FRANCE METHODE DE LUTTE PROTECTION DES VEGETAUX EXPERIMENTATION SUCRE MALADIE BIOFIL n 87 01 05 2013 2 pages p 42 43 r f 189 011 R daction ABioDoc Technique Journ e d changes techniques verger cidricole bio dans le Perche BOUDEAU BLANCHARD Claire Le 6 d cembre 2012 les partenaires du programme de recherche cidricole ont organis une journ e destination des arboriculteurs bio Cette rencontre avait pour but de faire le point sur ce programme conduit depuis 2007 par la Chambre r gionale d agriculture de Normandie et l IFPC Institut Fran ais des Productions Cidricoles en partenariat avec les GRAB de Haute et Basse Normandie 32 personnes se sont rencontr es dans la cidrerie de Nathalie et Dominique Plessis au Theil sur Huisne dans le Perche Normandie 3 interventions la lutte contre l anthonome contre la tavelure en stop la fertilit du sol en verger bio La journ e s est poursuivie par la visite de la cidrerie et du verger conduit en ag
72. ai 2013 58 UNCTAD United Nations Conference on Trade and Development Palais des Nations 8 14 Av de la 1211 GENEVE 10 SUISSE T l 41 22 917 1234 Fax 41 22 917 0057 info unctad org http www unctad org B Global Organic Market Access Asia regional organic standard AROS http www goma organic org four new goma publications available UNCTAD IFOAM FAO 44 p B Global Organic Market Access Organic equivalence tools International Requirements for Organic Certification Bodies IROCB and Guide for Assessing Equivalence of Organic Standards and Technical Regulations EquiTool Version 2 http www goma organic org four new goma publications available UNCTAD IFOAM FAO 64p Paix VETAGRO SUP Clermont 89 Avenue de l Europe BP 35 63 370 LEMPDES FRANCE T l 04 73 98 13 13 Fax 04 73 98 13 00 http www vetagro sup fr node 158 B Proceedings of the International Seminar on Land use Conflicts and Natural Resources Management in Rural Areas GREENWOOD Daniel JEANNEAUX Philippe MANN Carsten ET AL 24 p Campus Agronomique de LES DITIONS ECOSOCI T CP 32053 Comptoir Saint Andr MONTREAL CANADA T l 1 514 521 0913 Fax 1 514 521 1283 info ecosociete org http www ecosociete org B gt La Permaculture une br ve introduction Permaculture A Beginners Guide http www ecosociete org t168 php BURNETT Graham 144p 10 ou 8 H2L 4Y5
73. alisation des surfaces 18 000 Ha en Ille et Vilaine Types de production des fermes 438 fermes en bovins lait dont 25 nouvelles fermes 399 fermes en l gumes dont 59 nouvelles fermes Circuits de commercialisation des fermes 58 en circuits courts tout ou partie Le r seau GAB FRAB constate que si la Bretagne a perdu un tiers de ses exploitations ces 10 derni res ann es le nombre de fermes engag es en bio a augment de 75 entre 2001 et 2011 Les surfaces bio ont augment de 11 entre 2010 et 2011 apr s deux ann es de croissance 20 Les objectifs initiaux du Grenelle de l Environnement 20 de surfaces bio en 2020 supposeraient une croissance annuelle de 20 ou la conversion de 30 000 ha par an Mois cl s BRETAGNE OBSERVATOIRE EXPLOITATION AGRICOLE SURFACE AGRICOLE ASSOLEMENT CIRCUIT DE COMMERCIALISATION PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE CIRCUIT COURT STATISTIQUES AGRICULTURE BIOLOGIQUE 2012 2 p d RESEAU GAB FRAB BRETAGNE r f 189 068 R daction ABioDoc M ECOLOGIE amp RURALITE Agriculture durable L agro cologie en Argentine et en France Regards crois s GOULET Fr d ric MAGDA Dani le GIRARD Nathalie et al Les mod les de d veloppement agricole entendus ici aussi bien dans leurs dimensions techniques conomiques que sociales sont plus que jamais pluriels L agro cologie appara t dans ce contexte comme l une des alternatives le
74. amment via la page facebook de l Agence Bio qui rassemble plus de 106 000 fans et le site internet consacr au printemps Bio www printempsbio com Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE DEVELOPPEMENT DE L AB COMMUNICATION ANIMATION PRODUIT BIOLOGIQUE PRINTEMPS BIO INFORMATION FILIERE 2013 4 p d AGENCE BIO Agence Fran aise pour le D veloppement et la Promotion de l Agriculture Biologique r f 189 094 R daction ABioDoc Le grand retour du vrac LaRevueDurable Alors qu un tiers des d chets m nagers sont des emballages la vente de produits en vrac se d veloppe dans tous les circuits de distribution En s appuyant sur des exemples d initiatives cet article en pr sente les principaux avantages moins de poids de d chets d emballage primaire des conomies de 10 45 par rapport aux emballages classiques Toutefois quelques l ments d tude notamment sur l analyse compl te du cycle de vie et sur la construction des prix manquent encore pour conna tre l impact r el de ces emballages en vrac Un rapport r dig par Mes courses pour la plan te et l Agence fran aise de l environnement et de la ma trise de l nergie traite de ce sujet et propose des moyens d inciter les distributeurs se tourner vers le conditionnement en vrac Mots cl s EMBALLAGE VRAC IMPACT ENVIRONNEMENTAL IMPACT ECONOMIQUE CONSOMMATION DISTRIBUTION ETAT DES LIEUX FILIERE LaRevueDurable n 4
75. anisables avec des niveaux de productivit faibles l administration qui distingue prairies peu productives et productives mais avec un seuil inf rieur celui des leveurs les cologues qui consid rent ces milieux herbac s permanents comme des lieux d quilibres cologiques dynamiques entre des organismes v g taux et animaux Le cadre r glementaire fran ais s appliquant aux surfaces toujours en herbe est galement pr sent ainsi qu une analyse des liens entre ce cadre et les diverses d finitions de la prairie permanente Mots cl s PRAIRIE PERMANENTE DEFINITION FRANCE REGLEMENTATION ECOLOGIE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT MESURE AGRIENVIRONNEMENTALE MULTIFONCTIONNALITE POLITIQUE AGRICOLE FOURRAGE ELEVAGE FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 13 pages p 181 193 r f 189 022 R daction ABioDoc nouveaux enjeux POTTIER Eric Place et atouts des prairies permanentes en France et en Europe PEYRAUD Jean Louis PEETERS Alain DE VLIEGHER Alex En d clin depuis une quarantaine d ann es les prairies repr sentaient en 2009 plus de 40 de la surface agricole europ enne Elles s y caract risent par une grande diversit et ce sous plusieurs aspects couverts sem s ou v g tation indig ne niveaux de production multifonctionnalit travers la production d aliments pour le b tail mais aussi la s questratio
76. annuelle de Bio Suisse Le bio poursuit sa croissance BIO SUISSE BRANDLI Urs BARTSCHI Daniel et al La conf rence de presse annuelle de Bio Suisse o sont pr sent s les chiffres de l agriculture biologique en Suisse a eu lieu le 10 avril 2013 Le succ s de l agriculture biologique et du march bio se confirme et leur d veloppement se poursuit Avec 245 nouveaux producteurs Bourgeon le nombre d agriculteurs ayant enregistr la conversion bio d but 2013 a presque doubl par rapport l ann e pr c dente En 2012 5 731 entreprises agricoles travaillaient selon le Cahier des charges de Bio Suisse et de sa marque le Bourgeon En ajoutant ces entreprises les 389 producteurs qui appliquent l Ordonnance bio de la Conf d ration la part de l agriculture biologique atteint maintenant 11 3 de l ensemble des domaines agricoles suisses Quant au commerce de d tail il signe un nouveau record avec une croissance de 5 3 et un chiffre d affaires total de 1 83 milliard de francs suisses Le dossier de presse comprend le communiqu de presse de Bio Suisse un expos d Urs Br ndli pr sident de Bio Suisse Notre voie vers l avenir Maintenir et renforcer la cr dibilit un expos de Daniel B rtschi Directeur de Bio Suisse Organiser activement l avenir Une croissance plac e sous le signe de la durabilit un expos de J rg Schenkel responsable du marketing de Bio Suisse Nouveau record pour le march bio
77. ansferts des nitrates vers les nappes pr vient le SOes Source www campagnesetenvironnement fr 23 mai 13 Les Br ves Proposition de loi sur le pr judice cologique adopt e au S nat La proposition de loi du s nateur Bruno Retailleau UMP visant inscrire la notion de pr judice cologique dans le code civil a t adopt e l unanimit des groupes et sans amendement en premi re lecture au S nat le jeudi 16 mai 2013 Si la jurisprudence avait reconnu l existence du pr judice cologique pur le l gislateur devait le consolider en ouvrant le code civil au pr judice cologique explique Bruno Retailleau Le texte envisage d ins rer un titre IV ter intitul De la responsabilit du fait des atteintes l environnement dans le code civil Ce titre comprendrait un article 1386 19 disposant que toute personne qui cause un dommage l environnement est tenue de le r parer Un article 1386 20 pr ciserait que la r paration du dommage l environnement s effectue prioritairement en nature Lorsque celle ci n est pas possible pr cise t il la r paration se traduit par une compensation financi re vers e l Etat ou un organisme d sign par lui et affect e la protection de l environnement D sormais l Assembl e nationale pourrait tre saisie de la proposition de loi qui vient d tre adopt e au S nat ou le gouvernement pourrait d poser un projet de loi
78. apide l entreprise Love Local Food vend les produits de 37 fermes et artisans du Devon sur des march s via des paniers et dans des magasins de producteurs Riverford Organic Farms qui avec ses 500 hectares et 40 autres agriculteurs bio d Angleterre et d Espagne livre 40 000 paniers semaine Dans le Dorset des agriculteurs de la r gion qui vendent leurs produits sous une marque locale se sont associ s avec des entreprises de transformation sur cette m me marque Mois cl s FILIERE COURTE GRANDE BRETAGNE EXPERIENCE T MOIGNAGE CIRCUIT COURT PRODUIT LOCAL PANIER MAGASIN DE PRODUCTEURS AGRICULTURE BIOLOGIQUE BIOFIL n 87 01 05 2013 2 pages p 15 16 r f 189 004 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Salon Biofach de Nuremberg La Roumanie pays l honneur BOURDAIS Marie BERTHOMIEU Cindy LODETTI K vin et al En 2013 la Roumanie tait le pays l honneur du salon international Biofach Depuis l adh sion du pays l Union Europ enne en 2007 la production biologique y a connu un v ritable essor avec comme productions principales les c r ales 35 la cueillette 31 les ol oprot agineux 18 et les prairies 15 En 2012 350 000 hectares et plus de 26 600 fermes taient certifi s bio avec une progression annuelle d environ 20 Ce d veloppement a t permis gr ce au soutien de l tat et aux aides de l Europe pourtant jug es mal r parties selon l as
79. at territorial d exploitation gestion extensive des prairies La reprise de 15 ha suppl mentaires en 2007 lui ont permis d envisager plus sereinement l autonomie alimentaire du troupeau Pr sentation de l exploitation 2012 Assolement Rationnement du troupeau Composition des prairies temporaires Mots cl s ELEVAGE BIOLOGIQUE EXPLOITATION LAITI RE AUTONOMIE ALIMENTAIRE CONDUITE TECHNIQUE ASSOLEMENT ALIMENTATION DES ANIMAUX PRAIRIE TEMPORAIRE RATIONNEMENT EXPLOITATION AGRICOLE VACHE LAITI RE BOVIN LAIT T MOIGNAGE CALVADOS BIO NORMANDIE n 119 01 03 2013 2 pages p 14 15 r f 189 045 R daction ABioDoc Sant animale et solutions alternatives Gilles Grosmond Faire quipe avec le vivant RIVRY FOURNIER Christine A l occasion de la sortie de son livre Sant animale et solutions alternatives Gilles Grosmond est interview sur les points forts d velopp s dans son approche de la sant en levage Pour ce v t rinaire l essentiel est la pr vention et le respect du bien tre animal Offrir l animal les conditions n cessaires son bien tre non seulement limite les probl mes de sant mais permet ce dernier d exprimer au mieux son potentiel de production Pour y arriver il faut en particulier prendre en compte la qualit de l eau de l air des b timents d levage et l alimentation Des soins en m decine alternative pour stimuler par exemple l i
80. ations n cessaires l installation en mara chage biologique Sommaire Les tapes de l installation Les formations et exp riences Les moyens humains Les moyens financiers et les principales d marches administratives La commercialisation Les moyens de production Les aspects techniques de la production Organisation du travail et gestion de son entreprise http www penser bio fr IMG pdf Kit_ info maraichage 140213 pdf Mots cl s MARAICHAGE POITOU CHARENTES AGRICULTURE BIOLOGIQUE FORMATION INSTALLATION A LA TERRE ORGANISATION DU TRAVAIL GESTION TECHNIQUE CULTURALE COMMERCIALISATION DEMARCHE ADMINISTRATIVE FINANCEMENT PROJET MOYEN DE PRODUCTION 2012 28 p d AGROBIO POITOU CHARENTES MAB Maison de l Agriculture biologique 16 r f 189 069 R daction ABioDoc MA Biopresse 189 Mai 2013 Biodiversit fonctionnelle en zone m diterran enne R sultats concrets et perspectives prometteuses en mara chage LAMBION J r me LEFEVRE Am lie BERRY Dominique La biodiversit fonctionnelle est la biodiversit qui a un impact positif aux niveaus cologique conomique et social des exploitations des fili res et des territoires Des r sultats d tudes sur la biodiversit fonctionnelle en lien avec le mara chage sont pr sent s ici Ainsi le GRAB m ne depuis 2007 des essais de biodiversit fonctionnelle afin de renforcer la pr sence de mirides aux
81. aussi par l adoption de techniques d levage durables Mots cl s AGRICULTURE TROPICALE ELEVAGE CAPRIN ANTILLES CHARGEMENT PATURAGE GESTION DU PATURAGE GUYANE PRAIRIE INTENSIFICATION LUTTE INTEGREE MALADIE PARASITAIRE ZONE TROPICALE FOURRAGES n 212 Faire p turer les ch vres Retour vers le futur 01 12 2012 11 pages p 307 317 r f 189 112 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 40 gt et syst me sp cifique The economics of maize production under different cowpea based green manure practices in the derived savanna zone of Nigeria Potentiel conomique d une production de ma s avec la mise en place de diff rents engrais verts base de ni b dans la zone de savane d riv e du Nig ria Anglais FABUNMI T O AGBONLAHOR M U Face aux prix lev s ou la non disponibilit des engrais au Nigeria cette tude a t r alis e dans le but d valuer la durabilit et le potentiel conomique d une production de ma s avec la mise en place d engrais verts base de ni b Fabac es Les essais men s sur deux ans dans la zone de savane d riv e ont port sur les vari t s Drum et Oloyin de ni b Les r sultats montrent que les rendements en grain de ma s sont significativement am lior s suite l application d engrais verts Les r sultats conomiques de la culture de ma s en question sont galement accrus Les r sultats les plus int ressants et les pl
82. avoir effectu des analyses de sang et d urine sur environ 400 adultes g s de 18 74 ans Trois grandes familles de pesticides taient recherch es les organochlor s pour la plupart interdits les organophosphor s toujours utilis s et les pyr thrino des qui sont d sormais les insecticides les plus employ s Les niveaux d exposition de la population aux organophosphor s et plus encore aux pyr thrino des se r v lent pr occupants Pour les organophosphor s l tude a pu faire le lien entre la contamination des personnes et l importance de la viticulture dans le d partement Concernant les pyr thrino des les niveaux d impr gnation d pendent de fa on notable de l alimentation avec une forte contribution des produits c r aliers base de bl et des tomates non pel es et de l usage domestique de ces insecticides travers les antipuces des animaux domestiques ou les traitements du jardin potager Source Que Choisir n 515 juin 13 R vision de la Norme Biologique Canadienne NBC Une entente a t sign e entre l Office des Normes G n rales du Canada ONGC et le Conseil Canadien des Normes CCN pour le financement de la r vision de la Norme Biologique Canadienne NBC L ONGC est responsable des proc dures appliqu es pour faire la r vision mais c est le secteur biologique qui est responsable de r viser le contenu de la norme par le biais d une vaste consultation aupr s de
83. ax 02 38 71 91 06 contact bio centre org http www bio centre org LS Rapport d activit s 2012 http www bio centre org userfiles files Qui20sommes 20nous ra pport 2012 pdf BELIARD Eric AUTRE MOT 8 p BIO SUISSE Peter Merian Strasse 34 CH 4052 BALE SUISSE T l 41 0 61 204 66 66 Fax 41 0 61 204 66 11 bio bio suisse ch http www bio suisse ch LS Conf rence de presse annuelle de Bio Suisse Le bio poursuit sa croissance http www bio suisse ch fr bioinzahlen php BIO SUISSE ET AL BARTSCHI BR NDLI Urs 41 p Daniel Biopresse 189 Mai 2013 56 BIODYNAMIE SERVICES Les Cr ts 71 250 CH TEAU FRANCE T l Fax 03 85 59 31 95 biodynamie services wanadoo fr http www biodynamie services fr B gt Pratiques de l agriculture biodynamique MASSON Pierre GRIENENBERGER Lionel MASSON Vincent DVD video 83 min 15 DITIONS DE TERRAN BP 60004 31 160 ASPET FRANCE T l 05 61 88 81 08 Fax 05 61 88 80 36 info terran fr http www terran fr B gt L ortie f e de la r sistance BERTRAND Perrine GRILL Yan DVD video 2 h 12min 15 DITIONS L HARMATTAN 5 7 Rue de l Ecole Polytechnique 75 005 PARIS FRANCE contact harmattan fr http www librairieharmattan com LS L agro cologie en Argentine et en France GOULET Fr d ric GIRARD Nathalie MAGDA Dani le ET AL 258 p 27 DITIONS LAROUSSE 21 Rue du Montparnasse CEDEX 06 FR
84. c agriculture sciences ICOAS http icoas2013 org Du 16 au 18 octobre 2013 La Roche sur Yon 85 Rencontres 2013 du r seau FORMABIO T l 05 49 73 42 92 06 83 01 91 38 http www reseau formabio educagri fr Les 20 21 et 22 octobre 2013 au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte 93 Salon Natexpo http www natexpo com Du 9 au 17 novembre 2013 au Parc Floral de Paris 75 Salon Marjolaine http www salon marjolaine com Les 13 et 14 novembre 2013 Tours 37 Colloque Dinabio INRA ITAB visant diffuser et mettre en d bat les acquis r cents des recherches en agriculture biologique https colloque inra fr dinabio2013 AGENDA QUEBEC AMERIQUE DU NORD Le 13 juin 2013 Victoriaville QC Journ e de la pomiculture biologique 2013 T l 1 819 758 6401 poste 2782 noemie gagnon lupien cetab orq http www cetab org activites journee de la pomiculture biologique 2013 aspx Le 28 juin 2013 Gatineau 2 visite entre fermes 2013 d quiterre T l 1 514 522 2000 poste 294 www cetab org UserFiles Documents Rapport 20final20 20Paturage 20 2009 INN01 09 20Public pdf Du 5 au 7 juillet Frelighsburg QC Convergence de Permaculture du Nord Est am ricain http neconvergence com Le 3 ao t 2013 Victoriaville QC Journ e porte ouverte Verger Bois des fr res et ferme cole du c gep de Victoriaville T l 1 819 758 6401 poste 2782 noemie gagn
85. cation aborde les principaux services environnementaux rendus par l agriculture biologique diversit biologique qualit de l air et r chauffement climatique qualit des sols qualit de l eau explique pourquoi reconna tre ces services environnementaux et apporte des pistes de r flexion http www gabnor org images stories Documents Document ation services environnementaux pdf Mots cl s IMPACT ENVIRONNEMENTAL AGRICULTURE BIOLOGIQUE BIODIVERSIT QUALITE DE L AIR RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE QUALITE DES SOLS QUALITE DE L EAU SERVICE ECOSYSTEMIQUE ENVIRONNEMENT TEMOIGNAGE FRANCE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT 2013 8 p d GABNOR Groupement des Agriculteurs Biologiques du Nord Pas de Calais r f 189 062 R daction ABioDoc M La prairie permanente nouvelles d finitions PLANTUREUX Sylvain CARRERE Pascal Apr s un si cle d expansion continue les surfaces en prairies permanentes ont connu une phase de r gression depuis les ann es 70 En parall le le regard port sur ces productions fourrag res a galement volu r volution fourrag re av nement des pr occupations environnementales premiers effets du changement climatique Ainsi les auteurs analysent dans cet article les d finitions et les points de vue des diff rents acteurs li s aux prairies permanentes les leveurs et agronomes qui voient ces prairies comme des surfaces herbag res de longue dur e peu m c
86. cipal enjeu consiste d velopper une fili re d agneaux biologiques fran aise dynamique performante et durable Parmi les r sultats sont attendus un observatoire national la mise en place d un r seau d levage d agneaux biologiques par grand bassin de production En Poitou Charentes Agrobio suivra 5 fermes ovines r parties sur le territoire sp cialis es ou mixtes avec une dominante fili re longue http www penser bio fr L auxiliaire bio Mots cl s RECHERCHE AGNEAU ELEVAGE BIOLOGIQUE FILIERE FRANCE PARTENARIAT POITOU CHARENTES OBSERVATOIRE RESEAU OUTIL D AIDE A LA DECISION EVALUATION ENVIRONNEMENTALE OVIN L AUXILIAIRE BIO n 22 01 03 2013 1 page p 4 r f 189 059 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 42 ne et syst me sp cifique Comparing Organic and Conventional Farming Systems Metrics and Research Approaches Comparer les syst mes agricoles biologiques et conventionnels indicateurs et approches de recherche Anglais REGANOLD John P De plus en plus d tudes comparent les syst mes biologiques et conventionnels en se servant de divers mesures et indicateurs et avec diff rentes approches de recherche Les tudes comparatives peuvent tre faites sur des stations exp rimentales ou sur des fermes commerciales La premi re option est plus facile pour le dispositif exp rimental en revanche les conditions de production n y sont pas aussi repr sentatives de la r al
87. cle identifie les atouts des syst mes herbagers Les auteurs pr conisent la construction d un mod le de d veloppement qui concilierait les services de fa on harmonieuse Une nouvelle expertise multidisciplinaire et impliquant les acteurs du territoire et les b n ficiaires des services rendus devra tre d velopp e Mots cl s BIODIVERSIT MULTIFONCTIONNALITE PRAIRIE PERMANENTE AGRICULTURE DURABLE SYST ME D ELEVAGE SYSTEME FOURRAGER SERVICE ECOSYSTEMIQUE FRANCE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT ELEVAGE FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain Il 01 09 2012 6 pages p 213 218 r f 189 025 R daction ABioDoc 27 cologie et ruralit La multifonctionnalit de la prairie pour la fourniture de services cosyst miques AMIAUD Bernard CARRERE Pascal Plus seulement consid r s comme des supports de production les agro cosyst mes prairiaux fournissent des services vari s pr servation de l environnement gestion d externalit s immat rielles comme le paysage Ces milieux constitu s de nombreux organismes vivants en interaction sont influenc s par les pratiques d levage Dans cet article deux exemples de r gulations entre biodiversit milieu et pratique sont pr sent s le service de stockage de carbone en prairie et le r le des relations plantes micro organismes dans la fertilit des sols Ainsi de nouvelles perspectives de valorisation
88. de commercialisation David L ger quant lui s est install en 2011 sur une ferme o il conduit de front vaches allaitantes poules pondeuses bio fili re Cocorette et cultures L atelier pondeuse est organis dans un b timent fixe unique de 300 m o 1 800 poules sont log es lumi re artificielle pour un clairage journalier de 16 h pondoirs sur les murs int rieurs garnis de foin L aliment est achet chez Novial et le parcours compte 5 m poule Economiquement cet atelier permet de d gager un demi salaire avec un temps de travail de 2h 2h30 jour en moyenne Mots cl s PARCOURS ELEVAGE BIOLOGIQUE POULE OEUF T MOIGNAGE ATELIER DE PRODUCTION VENTE DIRECTE FILIERE LONGUE BATIMENT D ELEVAGE SANTE ANIMALE CHARGE TEMPS DE TRAVAIL VOLAILLE HAUTE NORMANDIE BIOBR VES n 97 01 04 2012 2 pages p 24 25 r f 189 067 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Dossier M decine v t rinaire en AB GUIOUILLIER Lo c SEYCHAL Yannick GICQUEL R my et al Ce dossier sur la sant animale en levage laitier bio aborde diff rents points importance de se pr occuper de l ensemble des conditions d levage d observer les animaux d tre prudent dans l utilisation des huiles essentielles risque de toxicit Il regrette le faible enseignement des m decines alternatives dans les lyc es agricoles et les coles v t rinaires Un groupe de travail a t mis en place par le GDS
89. del du Centre de N Di mane Mots cl s AGRICULTURE DURABLE SENEGAL AGRO ECOLOGIE FORMATION PROFESSIONNELLE ASSOCIATION DE PRODUCTEURS CHARTE TECHNIQUE ALTERNATIVE AFRIQUE L ENSEIGNEMENT AGRICOLE n 2 pages p 6 7 r f 189 122 R daction ABioDoc une solution pour nourrir la 352 01 04 2013 Int r ts et limites des syst mes p tur s pour caprins en zone tropicale ALEXANDRE Gis le MAHIEU Maurice MULCIBA Pierre et al Pr s de 95 des caprins vivent en zones tropicales o lev s pour leur viande mais aussi pour leur lait leur poil ou encore leur peau ils valorisent principalement des zones arbustives et des parcours Toutefois leur levage sur des p turages herbac s est de plus en plus tudi comme le montre l ensemble des recherches pass es en revue dans cet article Les travaux r alis s par la station URZ Antilles Guyane de lInra sont pr sent s plus en d tail Ils montrent l int r t d un syst me bas sur le p turage en rotation du pangola par des ch vres allaitantes ou des jeunes en croissance ou en engraissement La gestion de ce syst me est bas e sur la conduite des prairies les strat gies de compl mentation la ma trise int gr e du parasitisme l efficience agro cologique L avenir de l levage caprin en zones tropicales n cessite de concilier l augmentation de la productivit par une intensification de la surface et des ressources disponibles mais
90. ducteurs se tournent vers cette voie de diversification comme l a montr le succ s de la conf rence consacr e cette production au Sival Angers Toutefois il ne faut pas perdre de vue que ces cultures sont tr s chronophages et n cessitent une forte valeur ajout e pour une production durable A travers son exp rience Jean Luc Thibault producteur de petits fruits bio depuis 1998 dans le Maine et Loire d crit les points cl s de la production de petits fruits temps et co ts de main d uvre choix vari tal et plantation gestion de l enherbement fertilisation gestion des maladies et ravageurs qualit recherch e en fonction des circuits de vente Mots cl s PETIT FRUIT AGRICULTURE BIOLOGIQUE MAINE ET LOIRE TEMOIGNAGE ITINERAIRE TECHNIQUE DIVERSIFICATION TEMPS DE TRAVAIL PEPINIERE QUALITE ORGANOLEPTIQUE BIOFIL n 87 01 05 2013 3 pages p 39 41 r f 189 010 R daction ABioDoc 15 Production v g tale Plantes aromatiques et m dicinales Dossier PPAM GOULETTE Myriam Voie de diversification les plantes parfum aromatiques et m dicinales PPAM se d veloppent peu peu dans les fermes fran aises avec 12 3 des surfaces de PPAM certifi es bio soit 4 616 hectares Si aujourd hui les petites surfaces et les circuits courts sont porteurs pour les PPAM bio il reste beaucoup faire du c t des circuits longs malgr une demande importante en mati res premi re
91. e et al Le 27 f vrier 2013 avaient lieu les rencontres de l Inra au Salon de l agriculture sur le th me Quelles recherches pour accompagner le d veloppement de l agriculture biologique Pr sentation du programme de la journ e I Des recherches d di es AB Dynamique d volution des recherches sur l AB S lection de vari t s adapt es AB deux nouvelles vari t s de bl tendre inscrites au catalogue Il Des recherches mobilisables pour l AB Lev e de verrous techniques la protection biologique contre Tuta absoluta ravageur invasif de la tomate Commercialisation de proximit en appui au d veloppement de l agriculture locale le projet Coxinel Mots cl s RECHERCHE DEVELOPPEMENT DE L AB AGRICULTURE BIOLOGIQUE ACCOMPAGNEMENT VARIETE S LECTION VEGETALE PROTECTION DES VEGETAUX TUTA ABSOLUTA TOMATE COMMERCIALISATION 2013 10 p d INRA MAR S ITAB Institut Technique de l Agriculture Biologique r f 189 056 R daction ABioDoc Elevage Agneaux bio d veloppement concert et durable de la production d agneaux biologiques GEORGET Denis Le CASDAR Agneaux Bio est un projet de recherche et de d veloppement multi partenarial pilot par l ITAB 2013 2015 Il rassemble des organisations professionnelles agricoles des instituts techniques des organismes de recherche et des tablissements d enseignement sup rieur Parmi les objectifs le prin
92. e sc nario envisag le maintien des syst mes herbagers serait particuli rement difficile du fait dune r duction des pr cipitations estivales La connaissance par des experts de terrain des pratiques pr sentes et possibles permet d envisager des solutions techniques et de d gager les questions de recherche et d exp rimentation privil gier Mots cl s BOVIN CHANGEMENT CLIMATIQUE FRANCE HERBE LUZERNE MAIS FOURRAGE PRAIRIE OVIN SYST ME FOURRAGER SYST ME D LEVAGE MODELISATION SIMULATION AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 9 pages p 243 251 r f 189 028 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 La for t comestible ou lagro jardin d Eden NATHIE Franck Franck Nathi travaille depuis une dizaine d ann es sur la permaculture bas e sur la synergie entre esp ces v g tales et animales Ainsi il d crit dans cet article comment nos modes de vie actuels vont l encontre de ces synergies monoculture milieux en d s quilibre et apporte quelques propositions pour les restaurer organisation en petits groupes retour l autonomie globale Il s inspire notamment des peuples premiers qui en vivant de la cueillette ont su tirer profit d quilibres naturels Ceux ci pourraient tre restaur s notamment en favorisant la reforestation pour limiter l rosion ou l enrichissement du sol par des
93. e sensibilisation et faire conna tre les initiatives de grande envergure comme l Ann e internationale de l agriculture familiale qui sera c l br e en 2014 Les deux organisations travailleront ensemble pour faciliter l acc s des petits agriculteurs aux march s en renfor ant les organisations de producteurs et les coop ratives La FAO et Slow Food soulignent aussi qu il existe un lien vident entre le bien tre animal et les revenus des agriculteurs Le r le de Slow Food consistera laborer et pr senter des directives et des outils sp cifiques pour favoriser l application de bonnes pratiques Source www campagnesetenvironnement fr 16 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 52 Les Br ves Les archives de la revue Fourrages en acc s libre Le site Internet www afpf asso org de PAFPF vous permet pr sent d acc der librement aux 1 800 articles publi s jusqu en 2009 Fourrages se situe l interface de la Recherche et du D veloppement c est la seule revue scientifique et technique d di e aux prairies et cultures fourrag res Outre leur valorisation par l levage Fourrages traite galement des multiples fonctionnalit s de ces couverts dans la gestion des territoires la pr servation de l environnement et la mise en uvre d une agriculture conome et durable Le site proposera nombre d articles de synth se ou de t moignages manant du D veloppement Source Communiqu AFPF mai 13
94. echniques et mouvements sociaux Mots cl s AGROECOLOGIE FRANCE ARGENTINE DEVELOPPEMENT AGRICOLE SOCIETE SECURITE ALIMENTAIRE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT DIMENSION SOCIALE POLITIQUE PUBLIQUE RECHERCHE HISTORIQUE DEVELOPPEMENT LOCAL SOCIOLOGIE MOUVEMENT SOCIAL DEVELOPPEMENT RURAL TECHNIQUE DEVELOPPEMENT DURABLE ASPECT ECONOMIQUE AGRONOMIE SCIENTIFIQUE FORMATION PARADIGME ASPECT ENVIRONNEMENTAL CARACTERISTIQUE TECHNIQUE 2012 258 p d EDITIONS L HARMATTAN r f 189 081 R daction ABioDoc A 23 cologie et ruralit Introduction la permaculture MOLLISON Bill GIRARD Jean Luc Traducteur GASNIER Muriel Traducteur La permaculture est une philosophie et une approche de l usage de la terre visant la conception de lieux de vie et d activit s cologiquement soutenables En s inspirant des cosyst mes naturels la permaculture tablit des interactions favorables entre les composantes des sites dont elle con oit l am nagement les humains et leurs besoins le territoire et ses caract ristiques les plantes annuelles et p rennes qui y poussent les animaux les sols les microclimats l eau En connectant ces l ments elle forme des associations productives r silientes et aussi autonomes que possible Les sujets abord s dans cet ouvrage sont L analyse efficace d un site les m thodes de planification et de conception L emplacement de la mais
95. ectre appartient la famille chimique des ph nylpyrazoles Il est utilis pour contr ler divers insectes du sol au cours de la phase de croissance des larves et agit par contact et par ingestion rappelle l Efsa La Commission europ enne avait demand cet avis l Agence en ao t 2012 L Efsa rel ve un risque aigu lev identifi pour le ma s associ l exposition des abeilles aux missions de poussi res issues des semences trait es par l insecticide La France a d j interdit depuis 2004 le R gent utilis pour le ma s et le tournesol pour son impact sur les abeilles Selon l AFP cinq pays de PUE utilisent encore cet insecticide pour le ma s l Espagne la Hongrie la Bulgarie la R publique Tch que et la Slovaquie Il est galement utilis en Belgique en Roumanie et aux Pays Bas mais pour d autres cultures que le ma s Le groupe BASF a d sormais trois semaines soit jusqu au 14 juin 2013 pour r pondre cet avis La Commission europ enne soumettra ensuite le cas du fipronil un comit d experts de PUE pour une d cision le 15 ou le 16 juillet ont indiqu les services du commissaire charg de la Sant Tonio Borg Source Actu Environnement 28 mai 2013 Une cellule Bio au Centre wallon de recherche agronomique Dans le cadre du plan strat gique de la fili re biologique en Wallonie le ministre wallon de l Agriculture a engag une convention avec le Centre wallon de Recherche
96. efeuille r glementaire qui r git leurs relations est lui aussi complexe mais pour tablir une l gislation sp cifique les donn es disponibles sont insuffisantes notamment en ce qui concerne la notion de services environnementaux Ceux ci mis en lien avec une plus value conomique pourraient inciter les agriculteurs se tourner vers des pratiques plus respectueuses de l environnement Laurent Roy directeur de l eau et de la biodiversit au minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable pr sente les contours de la loi cadre sur la biodiversit qui devrait voir le jour l t 2013 Cette loi pr voit notamment la cr ation d une Agence de la biodiversit Ce dossier aborde galement la politique alimentaire de la FAO en lien avec la pr servation de la biodiversit la fa on de quantifier et de pr server la biodiversit travers le t moignage de divers acteurs de la fili re agricole et il d crit les actions d une exploitation type refuge pour la biodiversit Un publi reportage r dig par le GNIS pr sente les conditions de libre acc s aux ressources g n tiques Mois cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT BIODIVERSIT REGLEMENTATION RELATION HOMME BIODIVERSIT SERVICE ECOSYSTEMIQUE FRANCE POLITIQUE AGRICOLE LEGISLATION CAMPAGNES ET ENVIRONNEMENT n 22 01 02 2013 10 pages p 19 28 r f 189 151 R daction ABioDoc Zoom botanique sur la Camargue De la riziculture et des plante
97. ement et la conversion la bio Pr sentation de r sultats Synth se des actions technico conomiques et de l animation mises en uvre de 2006 2012 Un point sur le territoire de l Avesnois entre 2008 et 2012 Des encarts pr sentent Le r le de l animateur L exp rience de l Orque Saint Aubin Sars Poteries http www gabnor org images stories Documents Document ation methodo et resultats orques pdf Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AGRICULTURE BIOLOGIQUE QUALITE DE L EAU CONVERSION CAPTAGE EAU POTABLE DEVELOPPEMENT DE L AB PROJET PICARDIE PAS DE CALAIS TERRITOIRE 2013 12 p d GABNOR Groupement des Agriculteurs Biologiques du Nord Pas de Calais r f 189 061 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 26 cologie et ruralit Les services environnementaux pour construire une conomie agricole durable GABNOR Cette publication expose le point de vue des agriculteurs bio du Nord Pas de Calais sur les services environnementaux qu ils fournissent Leur volont est de les voir reconnus et inscrits dans la construction d une conomie agricole durable au sein du territoire Le Gabnor a fait de cette th matique le point central de sa derni re Journ e d Automne organis e le 29 novembre 2011 A travers les t moignages recueillis lors de cet v nement se dessinent les opportunit s que repr sente cette d marche pr ventive pour les territoires Cette publi
98. ent and Communication of Evidence Ce programme est d une importance notoire il pourrait amener d finir l valuation sanitaire des OGM conduire partir de 2016 Le r glement consacr cette valuation fra chement adopt le 25 f vrier 2013 fait d ailleurs directement r f rence ce programme et aux conditions attendues fin 2015 Comprendre ses objectifs son organisation et ses moyens de travail est donc fondamental pour comprendre ce que pourrait tre l valuation des OGM dans les ann es venir une valuation qui se passerait des analyses de toxicologie Pr vu pour une dur e de trois ans et demi rendu des conclusions pr vu pour le 30 novembre 2015 le projet GRACE dispose d un financement de 5 9 millions d euros fourni par la Commission europ enne sur un budget global de 7 8 millions d euros Ses deux objectifs sont conduire un travail de bibliographie sur les impacts sanitaires environnementaux et socio conomiques des PGM et tester diff rents modes d analyses sur animaux et m thodes alternatives afin d tablir le type d informations que chaque m thode procure et leur pertinence scientifique dans le cadre d une valuation des risques sanitaires Des repr sentants d organisations parties prenantes dont l identit n est pas encore connue seront associ s son travail pour planifier et pr parer les activit s de recherche discuter les r sultats et participer l tablissement des
99. entretien de ces espaces pastoraux l initiative d leveurs ou d lus le programme Espaces embroussaill s Biodiversit la mise en place d un groupe de travail Perspectives Lot 2020 la cr ation d une association fonci re pastorale libre l association Transhumance en Quercy ou encore la transhumance Rocamadour Luzech Mots cl s DEVELOPPEMENT RURAL PASTORALISME TRANSHUMANCE RESSOURCE NATURELLE DEVELOPPEMENT ASSOCIATION FONCIERE PASTORALE LUTTE CONTRE L INCENDIE BIODIVERSITE FOURRAGE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT PASTUM n 98 01 07 2012 11 pages p 20 30 r f 189 033 R daction ABioDoc OVIN LOT PROGRAMME DE 29 cologie et ruralit Un million de r volutions tranquilles Travail Argent Habitat Sant Environnement Comment les citoyens changent le monde MANIER B n dicte Ils sortent de la faim et de la pauvret des centaines de milliers de personnes Ils sauvent des entreprises Is construisent des habitats coop ratifs cologiques et solidaires Ils ouvrent des cliniques gratuites des microbanques des piceries sans but lucratif ou des ateliers de r paration citoyens lls reverdissent le d sert et r g n rent les co syst mes Ils financent des emplois ou des fermes bio Et partout dans le monde ils changent sans argent des biens des services et des savoirs redynamisent l conomie locale ou rendent leur village autonome gr ce aux n
100. epenser nos soci t s nos habitations nos modes de vie et nos syst mes agricoles afin de r duire notre impact sur la plan te favoriser la biodiversit et assurer un avenir aux g n rations futures Traduit de l anglais par St phane Groleau http www ecosociete org t168 php Mots cl s AMENAGEMENT DE L ESPACE PERMACULTURE ENVIRONNEMENT AMENAGEMENT PAYSAGER JARDINAGE QUEBEC SOCIETE 2013 144 p d LES EDITIONS ECOSOCIETE r f 189 300 R daction CETAB Biopresse 189 Mai 2013 32 cologie et ruralit VIE PROFESSIONNELLE Etranger De nouvelles histoires livr es par la recherche Biodiversit du lait et de la viande l herbe et respectueuse du climat PFIFFNER Lukas NOTZ Christophe MADER Paul Le FiBL Institut de recherche de l agriculture biologique et le Fonds Coop pour le d veloppement durable en Suisse collaborent depuis 20 ans la modernisation de l agriculture biologique Pr sentation de projets Un projet consacr la cr ation de biotopes gr ce au soutien du Fonds Coop Bio Suisse a pu lancer en 2010 le projet Promotion de la biodiversit dans les fermes Bio Suisse le bio a besoin de diversit entretien avec Lukas Pfiffer FiBL la biodiversit est utile la diversit pure des fleurs sauvages l eau c est la vie Un projet visant limiter les aliments concentr s l objectif du projet Feed no Food est de renoncer l utilisatio
101. er Caillaud les 10 commandements pour r ussir le purin d ortie Mots cl s ORTIE TEMOIGNAGE PURIN D ORTIE PLANTE SECHEE EXTRAIT VEGETAL ALIMENTATION DES ANIMAUX ALIMENTATION HUMAINE BIOLOGIE PROTECTION DES VEGETAUX HORTICULTURE JARDINAGE ELEVAGE PROPRIETE PLANTE SAUVAGE REGLEMENTATION PREPARATION NATURELLE PEU PREOCCUPANTE FRANCE PORTRAIT RESISTANCE CITOYENNE 2008 DVD video 2 h 12 min d EDITIONS DE TERRAN r f 189 070 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 16 Production v g tale Le Thym Thymus vulgaris DUMAS M lissa Le thym commun ou encore thym cultiv ou Farigoule est un sous arbrisseau des garrigues et des steppes du pourtour m diterran en Utilis aussi bien par les Egyptiens les Grecs ou encore les Romains il pr sente diverses propri t s en fonction de ses ch motypes entit s chimiques distinctes au sein de l esp ce Ainsi apr s une description botanique de son milieu et de son histoire cet article pr sente les principaux usages m dicinaux du thym Mots cl s PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE THYM BOTANIQUE HISTOIRE PROPRIETE MEDICINALE MEDITERRANEE SANTE ATOUT TREFLE L n 69 12 03 2013 1 page p 14 r f 189 031 R daction ABioDoc L Eglantier Rosa canina L ZAMOSJSKI Sara L article fait une pr sentation du Rosier Sauvage Description botanique Habitats Cueillette et S chage Principes acti
102. ergies renouvelables Qui sont ils De simples citoyens et citoyennes Mais ils sont les pionniers de nouveaux modes de vie qui sont en train de transformer la plan te B n dicte Manier journaliste a parcouru plusieurs pays et observ la r ussite de ces r volutions silencieuses Son livre appr hende la dimension mondiale de ces alternatives qui foisonnent depuis trois d cennies et ne cessent de se d velopper Des initiatives qui n manent pas de groupes marginaux mais de classes moyennes bien int gr es aspirant vivre dans un monde plus juste Il s agit l d un mouvement in dit men par une soci t civile lucide ayant d cid de reprendre en main les enjeux qui la concernent et qui des tats Unis l Inde du Canada la France de l Argentine au Japon fait merger des solutions innovantes la plupart des maux de la plan te Peu peu elle dessine ainsi les contours d une soci t plus participative plus solidaire plus humaine Mots cl s CITOYEN SOCIETE DEVELOPPEMENT RURAL MONDE DEVELOPPEMENT LOCAL GESTION DE L EAU COOPERATIVE PAUVRETE SOLIDARITE FEMME ECONOMIE INITIATIVE LOCALE CONSOMMATION LOCALE FILIERE LOCALE ECHANGE VILLE JARDIN EN VILLE AGRICULTURE URBAINE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FONCIER BIODIVERSIT AGROECOLOGIE DROIT A L ALIMENTATION SOUVERAINETE ALIMENTAIRE FINANCE FINANCE SOLIDAIRE ECONOMIE SOLIDAIRE ENERGIE ENERGIE RENOUVELABLE ECO
103. es populations d acariens pr dateurs Mots cl s VITICULTURE LUTTE ALTERNATIVE ARGILE KAOLINITE TRAITEMENT PHYSIQUE GIRONDE DORDOGNE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE CICADELLE INSECTE RAVAGEUR ESSAI PROTECTION DES VEGETAUX RECHERCHE VIVRE LA VIGNE EN BIO VINI VITIS BIO n 111 112 01 01 2013 3 pages p 17 19 r f 189 017 R daction ABioDoc Teilung Couper une portion de grappes pour limiter le botrytis SCHWAERZLER Fr d ric A cause de leur pellicule fine les baies des grappes de pinot sont sensibles l clatement ph nom ne favorisant l entr e de pourriture comme le botrytis Le Teilung est une technique qui consiste couper les baies du tiers inf rieur de la grappe les plus sensibles l clatement avant la fermeture des grappes Des essais r alis s par le CETA Centre Alsace et la Chambre d Agriculture du Haut Rhin ont permis de d montrer l efficacit du Teilung sur l intensit du botrytis Quelques limites cette pratique la pourriture noble est galement r duite par le Teilung les co ts de main d uvre sont importants Le rendement quant lui est peu impact gr ce une compensation des baies restantes qui deviennent plus grosses maturit ce qui entra ne toutefois une dissolution des ar mes tanins et anthocyanes Mots cl s VITICULTURE PINOT NOIR PINOT GRIS BOTRYTIS CINEREA LUTTE ALTERNATIVE ESSAI POURRITURE GRISE
104. et 889 2008 valid es par le Comit National de l Agriculture Biologique le 19 d cembre 2012 Celles ci concernent la mixit bio non bio en cultures interdite pour des m mes vari t s ou des vari t s diff rentes non distinguables et le lien au sol des levages de monogastriques D sormais 20 des aliments doivent provenir de l exploitation elle m me lorsque cela est possible c est dire si l exploitation dispose de surfaces suffisantes et de conditions p doclimatiques adapt es Mots cl s R GLEMENTATION EUROPEENNE MIXITE BIO NON BIO LIEN AU SOL ELEVAGE BIOLOGIQUE MONOGASTRIQUE ALIMENT DU BETAIL AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE REGLEMENT CE BIOFIL n 87 01 05 2013 1 page p 17 r f 189 005 R daction ABioDoc Transformation Pourquoi noter une date sur un produit alimentaire GUIHO B atrice La dur e de vie microbiologique d un aliment est la dur e pendant laquelle le nombre de germes pr sents dans laliment est en dessous de seuils fix s r glementairement ou d termin s par l analyse des dangers propre l entreprise et au process concern Le r glement CE n 1441 2007 fixe ainsi deux sortes de crit res les crit res de s curit et d hygi ne Pr sentation des diff rents termes pour une limite de consommation ou d utilisation des aliments DLC Date limite de consommation et DLUO Date limite d utilisation optimale quelle diff rence Quand d finir une dur
105. et de la commercialisation que les citoyens Fruit d une dynamique initi e par l Etat et les R gions et labor en troite concertation avec l ensemble des acteurs concern s ce plan s articule autour de six axes strat giques 1 D velopper la production notamment par des dispositifs incitatifs d di s pour la conversion et le maintien des surfaces en bio financ s hauteur de 160 millions d euros par an sur la p riode 2014 2020 aides la conversion et au maintien dans le 2 pilier de la PAC 2 Structurer les fili res avec deux grandes priorit s donn es au d veloppement des grandes cultures et des ol o prot agineux colza soja tournesol visant l ind pendance prot ique pour l alimentation animale et humaine l horizon 2017 Le Fonds Avenir Bio g r par l Agence Bio sera ainsi financ hauteur de 4 millions d euros par an 3 D velopper la consommation et conqu rir les march s atteindre 20 de produits bio dans la restauration collective d Etat et sensibiliser l ensemble des citoyens avec un accent sur les plus jeunes 4 Renforcer la recherche et le d veloppement son pilotage et la diffusion des r sultats en renfor ant notamment les projets de recherche et de d veloppement d di s l agriculture biologique dans la programmation CASDAR 2014 2020 5 Former les acteurs agricoles et agroalimentaires en renfor ant notamment le lien entre l enseignement agr
106. exp rimentale Biophyto membre du r seau ITAB Institut Technique de l Agriculture Biologique le CIVAM Bio 66 Sud et Bio Languedoc Roussillon et le Lyc e Agricole de Th za ont invit leurs partenaires r gionaux et nationaux visiter cette station d di e sp cifiquement l exp rimentation en mara chage biologique Les travaux qui y sont men s visent dans une approche syst mique et inscrite dans un temps long accompagner les mara chers bio du Languedoc Roussillon dans leurs pratiques et probl matiques de terrain Source Civambio 66 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 Bulletin d Abonnement NOM donna et An aar A rater sat ge 2 Pr n m 2223822 nain BIOPRESSE Je m abonne BIOPRESSE O Abonnement ou r abonnement en format papier courrier pour 1 an soit 11 num ros 50 60 pour l tranger tarif l unit 10 O Abonnement ou r abonnement en format pdf Internet pour 1 an soit 11 num ros gratuit Tarifs du Service Documentaire Nombre Abonn s Non Agriculteurs de pages abonn s Etudiants Pr t d ouvrages e indemnit forfaitaire si non retour 80 80 80 forfait 8 8 6 Liste bibliographique th matique e sur place effectu e par l utilisateur gratuit gra gratuit effectu e par une documentaliste 4 tuit 4 e par courrier 8 6 8 16 Photocopies e Frais de photocopies sur place la page 0 10 0 10 0 1
107. ffement climatique et les politiques agricoles notamment la r forme agraire PA 14 17 Afin d en valuer les cons quences une exp rience de transplantation de m socosmes et l utilisation de mod les de simulation ont t mises en place Les r sultats obtenus sugg rent que le r chauffement climatique induira une diminution de la production fourrag re en milieux non bois s mais un maintien de celle ci en milieux bois s Par ailleurs la r forme agraire PA 14 17 devrait favoriser l extensification de la p ture pouvant induire une fermeture des paysages Mots cl s AGRICULTURE DURABLE AGRICULTURE DE MONTAGNE SUISSE JURA PASTORALISME BOIS CHANGEMENT CLIMATIQUE POLITIQUE AGRICOLE RECHERCHE PATURAGE EXTENSIF DYNAMIQUE DE LA VEGETATION SERVICE ECOSYSTEMIQUE PRAIRIE RECHERCHE AGRONOMIQUE SUISSE n 7 8 01 07 2012 8 pages p 346 353 r f 189 036 R daction ABioDoc Agriculture environnement L Agriculture Biologique Un choix pour une eau de qualit en Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE Ce document dit par le r seau GAB FRAB Bretagne sur L agriculture biologique Un choix pour une eau de qualit en Bretagne est compos comme suit Les chiffres de la bio en Bretagne une part importante de surfaces en herbe et de nombreux mara chers Le point sur la qualit de l eau en Bretagne pas de pesticides aux champs pour moins de pesticides dans l eau Zoom sur les
108. ffets les plus b n fiques sont li s l utilisation de compost et de vermicompost qui en agissant sur la qualit du sol influencent de mani re significative la culture mise en place http www organic systems org journal Vol 7 281 29 abstracts 14 19 Vijayakumari html Mots cl s GRANDE CULTURE SOL RECHERCHE SESAME CAMOMILLE FUMIER DE VOLAILLE COMPOST AGRICULTURE BIOLOGIQUE INDE FERTILISATION ETUDE JOURNAL OF ORGANIC SYSTEMS n vol 01 05 2012 6 pages p 14 19 r f 189 002 R daction ABioDoc 7 n 1 Dossier Controverse science soci t SABBAGH Claire PUJOL Jean Luc BARBIER Marc et al La controverse scientifique est un moteur pour l avanc e scientifique mais elle peut aussi tre une source de probl mes aigus de communication lorsqu elle concerne la soci t Dans ce dossier les m canismes de la controverse scientifique sont tudi s notamment travers l exp rience de cinq acteurs de l Inra qui y sont parfois confront s Claire Sabbagh codirectrice de la D l gation l expertise la prospective et aux tudes de l Inra est organisatrice d expertises collectives qui en s appuyant sur des connaissances scientifiques pluridisciplinaires peuvent mettre jour certaines controverses Jean Luc Pujol de la Mission d anticipation Recherche Soci t de l Inra apporte son exp rience sur le d bat public des nanotechnologies en 2009 et 2010 et s exprime sur
109. fr portrait rapport activite html ALFOLDI Thomas HANSEN Hella HERRMANN David ET AL 57 p l agriculture FRAB BRETAGNE F d ration R gionale des Agrobiologistes de Bretagne ZI SUD EST 17 Rue du Bas Village CS 37725 85 577 CESSON SEVIGNE CEDEX FRANCE T l 02 99 77 32 34 Fax 02 23 30 15 75 frab agrobio bretagne org htip www agrobio bretagne org E gt Observatoire de la bio dans les bassins versants Edition 2012 Chiffres 2011 Etat des lieux de la bio dans les SAGE en Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE 48 p 8 GABNOR Groupement des Biologiques du Nord Pas de Calais Le Paradis 59 133 PHALEMPIN FRANCE T l 03 20 32 25 35 Fax 03 20 32 35 55 http www gabnor org LS Orque Op ration de reconqu te de la qualit de l eau et d veloppement de l agriculture biologique Des synergies au service des territoires http www gabnor org images stories Documents Do cumentation methodo et resultats orques pdf GABNOR 12 p B gt Les services environnementaux pour construire une conomie agricole durable http www gabnor org images stories Documents Do cumentation services environnementaux pdf GABNOR 8p Agriculteurs 57 GROUPE STUDYRAMA VOCATIS 34 38 Rue Camille Pelletan 92 309 LEVALLOIS PERRET CEDEX FRANCE T l 01 41 06 59 00 Fax 01 41 06 59 09 http www studyrama vocatis fr LS Ouvrir une boutique bio BIENAIM H l ne 216 p 15 IFOAM Inter
110. franceagricole fr actualite agricole certiphyto 82 des exploitants conventionnels sont certifies etude 72841 html Source Lafranceagricole fr mai 13 Trousse outils pour r duire les missions de GES la ferme Apr s quatre ann es d accompagnement du secteur agricole dans la lutte aux changements climatiques Nature Qu bec publie sa trousse outils La trousse Agriculture et climat est un outil complet permettant de proc der une d marche d accompagnement de fermes vers la r duction de leurs missions de gaz effet de serre GES Cette trousse est destin e aux conseillers agricoles et aux intervenants du secteur qui se questionnent sur le lien entre l agriculture et les changements climatiques Elle inclut un audit GES permettant d estimer les r ductions d missions de GES de la ferme selon des pratiques agroenvironnementales retenues Elle contient galement une multitude de fiches d informations pour informer sur les sources d missions de GES la ferme ainsi que sur les pratiques b n fiques Site Internet http www agrireseau qc ca agroenvironnement navig ation aspx id 85325 Sources Agri http www bio marche info 22 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 50 Les Br ves Grace un programme d valuation sanitaire des OGM Le 1 juin 2012 d marrait le programme europ en d valuation des risques li s aux OGM et communication des preuves GRACE Gmo Risk Assessm
111. fs Utilisations m dicinales Recettes Mots cl s EGLANTIER BOTANIQUE CUEILLETTE S CHAGE PRINCIPE ACTIF UTILISATION PROPRIETE MEDICINALE RECETTE DE CUISINE PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE FRUITS OUBLIES n 54 01 02 2013 3 pages p 27 29 r f 189 074 R daction ABioDoc Protection phytosanitaire Souche de Lactobacillus utilis e comme agent de lutte biologique contre Pythium ultimum sur tomate CAMPS C MICHEL Vincent Chlo et al Le champignon Pythium ultimum est un pathog ne des cultures mara ch res et ornementales qui peut entra ner la mort de jeunes plants ou un affaiblissement chronique de la plante La capacit de la bact rie Pseudomonas fluorescens PF CHAO lutter contre cet agent pathog ne est connue Dans cette exp rimentation elle a t compar e celle d une bact rie de souche Lactobacillus LAB WT2 issue de la rhizosph re suisse L objectif de cette tude est en effet d identifier des agents de lutte biologique pr sents naturellement dans les sols suisses Alors que la capacit r duire l apparition de sympt mes de Pythium sur tomate du Pseudomonas est de 90 celle du Lactobacillus est de 70 Suite ces r sultats prometteurs de prochains essais testeront l efficacit de la souche de Lactobacillus sur des souches de Pythium pr sentes dans les sols mara chers suisses Mots cl s MARAICHAGE TOMATE LUTTE BIOLOGIQUE BACTERIE AUXILIAIRE CHAMPIGNON
112. gie amp ruralit asasnnsnnsunnunnnnunnnnnunnnnnunnnnnunannnnnnnnnnn 23 Agriculture durable 23 Agriculture environnement 25 D veloppement rural 29 LE 112170 LE PR RE EEE 31 Environnement 31 Vie professionnelle 33 Etranget PAPE EP ee 33 G n ralit s 36 Organisation de l AB esseeseeeeeeseeeeeeeeeersiesresrrsrrnerneeeeee 37 R glementation 37 Recherche amp syst me sp cifique s sssssussusnurensnnrnrnnns 39 Agriculture biodynamique 39 Agriculture tropicale sssseseeesseenneeneeeenennnnneeeerrnnrnrsseee ee 39 Agroloresterie 3 s sssiesceretreneeteeheteensesapenieseeesngtentei eee 40 R Cher Che huile dis linsshieienss 41 Ressources g n tiques seeeeeeeeeeeeererirereerreriesreesee 43 BR VES ABIODOC 45 Bulletin d Abonnement seeneeeneeneeeennennnennnennnnnnnnnnnnnnne 54 Tarifs du Service Documentaire 54 Bon de command 332082vuscutiumsunenanesnennnennenseunsess 55 Coordonn es des diteurs des ouvrages cit s 56 Directeur de publication Etienne JOSIEN Directeur g n ral adjoint de VetAgro Sup R dactrice en chef Sophie VALLEIX R alisation Esm ralda RIBEIRO Louis ROUSSEAU amp Geoffroy MENARD Ont collabor ce num ro Aur lie BELLEIL Julie GRENIER Geoffroy MENARD Esm ralda RIBEIRO Louis ROUSSEAU Elisabeth ROUX Myriam VACHER VALLAS
113. i t Infaco Mots cl s MATERIEL AGRICOLE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE DESHERBAGE MECANIQUE BINEUSE PROTECTION DES VEGETAUX ADVENTICE CONTROLE DES ADVENTICES BOTRYTIS CINEREA LUTTE ALTERNATIVE MALADIE EPAMPRAGE VITICULTURE GRANDE CULTURE LEGUME DE PLEIN CHAMP INNOVATION BIOFIL n 87 01 05 2013 1 page p 52 r f 189 014 R daction ABioDoc Orque Op ration de reconqu te de la qualit de l eau et d veloppement de l agriculture biologique Des synergies au service des territoires GABNOR Les Orques Op ration de reconqu te de la qualit de l eau comme pr cis en introduction du document I sont initi es par l Agence de l Eau Artois Picardie dans le but de diminuer toutes les sources de pollution d une Aire d Alimentation de Captage AAC afin de reconqu rir la qualit de l eau potable L Orque Saint Aubin Sars Poteries fut la premi re du bassin Artois Picardie Pr sentation du document IL Orque et d veloppement de l agriculture biologique des d marches convergentes 1 Orque une d marche projet proche du dialogue territorial 2 Le d veloppement de l agriculture biologique une d marche territoriale 3 A la confluence des deux d marches les producteurs d eau potable Il Les ingr dients de la r ussite de l Orque de Saint Aubin Sars Poteries 1 La qualit du dialogue territorial 2 La d marche d accompagnement vers le chang
114. icole et les r seaux professionnels stages interventions des professionnels dans les formations visites de terrain et en d veloppant la formation continue pour les agriculteurs bio 45 Les Br ves 6 Adapter la r glementation par une meilleure prise en compte des sp cificit s de l agriculture biologique dans la r glementation g n rale et un accompagnement des acteurs bio pour l appliquer et par une am lioration de la r glementation sp cifique AB Pour t l charger Ambition Bio 2017 http www agriculture gouv fr ambition bio 2017 le programme Sources Minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t juin 13 Russie cr ation de deux syndicats bio Selon RIA Novosti Agence russe d information internationale deux syndicats sp cifiques bio ont vu le jour au printemps 2013 en Russie Les acteurs de la fili re russe de l agriculture biologique se sont r unis autour d un seul et m me but cr er un secteur de l agriculture bio civilis et r gul Ainsi le 17 mai 2013 la compagnie Agranta le supermarch haut de gamme Azbouka Vkoussa la corporation Organik et Arivera ont sign un m morandum sur la cr ation de l Union nationale du bio NOS Cr e par une vingtaine d acteurs du march une autre structure a vu le jour dans la foul e l Union nationale de soutien et de d veloppement de l agriculture biologique Les deux associations aura
115. ient commenc travailler conjointement sur un projet de loi encadrant la production agricole bio La Russie ne dispose jusqu pr sent pas de base juridique en mati re de production bio et aucun standard n a t fix du c t des pouvoirs publics Selon Ria Novosti en l absence d un syst me de standardisation en Russie il est difficile de mesurer le volume du march bio russe Il repr senterait environ 100 millions de dollars par an contre 30 milliards de dollars en Europe et un volume peu pr s quivalent aux Etats Unis D apr s les donn es d Evromonitor international les ventes de produits bio en Russie ont augment de 7 8 en 2012 par rapport 2011 atteignant 148 millions de dollars En savoir plus http fr ria ru business 20130529 198416861 print html Sources Ria Novosti http www bio marche info 5 juin 13 Biopresse 189 Mai 2013 Prolongation du cr dit d imp t pour l Agriculture Biologique La derni re loi de finances rectificative pour 2012 a prorog jusqu en 2014 le cr dit d imp t en faveur de l Agriculture Biologique Son champ d application est d taill dans la note fiscale du 31 mai 2013 http bofip impots gouv fr bofip 1585 PGP datePubl 03 06 2013 Ce cr dit d imp t est r serv aux entreprises agricoles imposables sur les b n fices dont 40 au moins des recettes proviennent du mode de production biologique quels que soient leur mode d exploitation en
116. iliaires et de permettre leur pr sence de fa on pr coce proximit des cultures Ces essais ont permis de s lectionner des plantes h tes Des bandes florales ont t plant es sous abri et l ext rieur et ont donn des r sultats concluants sans que cela ne soit trop contraignant pour les producteurs L INRA a mis en place une tude afin de mieux comprendre le processus de colonisation d une culture sous abri par les insectes auxiliaires Cette tude a mis en vidence que la composition de l environnement paysager 200 ou 300 m influence le potentiel de colonisation des cultures mara ch res sous abri par les mirides Ce facteur semble aussi important que le type de pratiques r alis es Enfin un groupe de producteurs passionn s d veloppe et diffuse des pratiques de r gulation naturelle des ravageurs gr ce aux auxiliaires Une m thodologie de diagnostic simple a t mise en place Ce diagnostic value l int r t des am nagements existants pour la biodiversit de parcelles mara ch res et arboricoles et permet de donner ensuite des pr conisations d am nagements compl mentaires ventuels Mots cl s MARAICHAGE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT BIODIVERSITE FONCTIONNELLE ZONE MEDITERRANEENNE RECHERCHE PUNAISE AUXILIAIRE BANDE FLEURIE PLANTE HOTE MIRIDE ESSAI PAYSAGE TOMATE PRATIQUE AGRICOLE CULTURE SOUS ABRI COLONISATION ROUSSILLON RHONE PROTECTION DES VEGETAUX RAVAGEUR
117. inuent s tendre avec les promesses d un futur bas sur les technologies vertes Ces volutions posent des questions Quel type de d veloppement durable les soci t s veulent elles Comment choisir les innovations qui leur permettront d y parvenir Quels r les peuvent jouer la recherche et les politiques publiques pour favoriser l mergence de ces innovations Au del de l analyse des options techniques cet ouvrage s int resse aux innovations sociales et institutionnelles Il d montre que l innovation est le r sultat d une confrontation entre des visions port es par des acteurs aux int r ts parfois divergents Il n y a pas de chemin unique vers un d veloppement durable il faut la fois encourager l mergence et la coexistence de diff rents modes d agriculture et de syst mes alimentaires Le succ s ne d pendra pas uniquement de notre capacit repenser les mod les existants mais galement de notre volont nous engager dans un processus d apprentissage dont nous sortirons forc ment transform s Mots cl s INNOVATION SOCIETE DEVELOPPEMENT DURABLE RECHERCHE AGRICULTURE NORME RECHERCHE AGRONOMIQUE SYSTEME DE CULTURE SYSTEME DE PRODUCTION INSERTION SOCIALE PAUVRETE MILIEU RURAL POLITIQUE QUALIT MONDE GOUVERNANCE TERRITOIRE RURAL DEVELOPPEMENT REGIONAL DEVELOPPEMENT TERRITORIAL PERIURBAIN ESPACE RURAL AGROALIMENTAIRE AGROBIODIVERSIT EQUITE DEVELOPPEMENT
118. ion laiti re en Pays de la Loire illustre ces informations avec l introduction de m lange c r alier ensil en remplacement d un quart du ma s ensilage dans la ration des vaches laiti res et en remplacement de l ensilage d herbe dans la ration des g nisses Les r sultats et cons quences technico conomiques sont pr sent s La conduite prise en exemple est en agriculture conventionnelle mais ce m lange c r alier ne n cessite toutefois pas de traitements phytosanitaires Seul l apport de fertilisation min rale est revoir pour une application en AB http idele fr domaines techniques economie et gestion de lexploitation systemes dexploitation publication idelesolr recommends impacts de lintroduction de melange cerealier ensile en elevage laitier html Mots cl s ELEVAGE LAITIER PAYS DE LA LOIRE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE FOURRAGE MELANGE CEREALIER CULTURE FOURRAGERE ANNUELLE BOVIN LAIT ITINERAIRE TECHNIQUE RESULTAT TECHNICO ECONOMIQUE VALEUR NUTRITIVE RATION COUT DE PRODUCTION ASSOLEMENT ENSILAGE 2013 4 p d INSTITUT DE L E LEVAGE r f 189 032 R daction ABioDoc Technique Utilisations possibles du marc de pommes POUSSET Joseph Joseph Pousset fait un point sur les meilleures fa ons de tirer partie du marc r sidu de l extraction du jus de pommes Apr s pr sentation de la composition des marcs frais et s ch s Joseph Pousset pr cise leurs utilisations pos
119. iques des raisins r sistance aux maladies et ravageurs utilisation dans la cr ation d hybrides Ces informations sont issues d un cours de viticulture donn par la professeur Viala de l Institut National Agronomique lors de l ann e scolaire 1904 1905 Elles ont t transmises par un de ses l ves et conserv es par Albert L ger Courmont Mots cl s RESSOURCE GENETIQUE VIGNE VARIETE DE VIGNE VITICULTURE AMERIQUE BOTANIQUE PLANTE SAUVAGE VIVRE LA VIGNE EN BIO VINI VITIS BIO n 111 112 01 01 2013 3 pages p 14 16 r f 189 016 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Recherche et syst me sp cifique Biopresse 189 Mai 2013 44 BR VES ABIODOC Pr sentation du Programme national Ambition Bio 2017 St phane Le Foll ministre de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t a pr sent le 31 mai 2013 les grandes orientations du programme Ambition Bio 2017 Avec un objectif d ici fin 2017 la fois de doubler les surfaces et d augmenter fortement la consommation fran aise de produits issus de l agriculture biologique ce plan vise donner une nouvelle impulsion au d veloppement et la structuration de cette fili re en France S inscrivant pleinement dans le projet agro cologique pour la France initi par la d marche Agricultures Produisons autrement ce plan entend mobiliser tout autant les acteurs de la production de la transformation
120. it L id al est de trouver des fermes o les deux syst mes biologique et conventionnel sont utilis s afin de valider les donn es Des indicateurs mesurables doivent tre choisis afin d valuer des composantes quantifiables des syst mes agricoles Ceux ci peuvent tre conomiques profitabilit co ts de production variabilit des revenus risque financier environnementaux efficacit nerg tique qualit de l eau et du sol rosion biodiversit ou sociaux rendements qualit nutritionnelle des aliments salaires Une recherche peut tre disciplinaire faisant appel une seule discipline acad mique multidisciplinaire plusieurs disciplines impliqu es chacune avec leur propre objectif interdisciplinaire int gration des disciplines pour atteindre un objectif commun ou transdisciplinaire int gration en un objectif commun en int grant galement des participants non acad miques L auteur appelle davantage de recherche comparant les syst mes agricoles biologiques et conventionnels avec une approche interdisciplinaire ou transdisciplinaire et tudier davantage d autres syst mes de production alternatifs comme l agroforesterie le p turage l agriculture de conservation et les c r ales vivaces http www plantmanagementnetwork org pub em symposiu m organic farm compare compare pdf Mots cl s SCIENCES ET TECHNIQUES RECHERCHE RECHERCHE AGRICOLE INTERDISCIPLINARITE COMPARAI
121. l AB Des recherches d di es l AB S lection v g tale ou animale adapt e l AB Syst mes de culture et d levage Trajectoires et d veloppement de l AB Qualit des produits bio Consommation l agriculture biologique Des d di es des recherches fili res et march s Des recherches mobilisables pour l AB Verrous techniques Commercialisation distribution Le dispositif de recherche et d exp rimentation d di l AB AgriBio D vAB Core Organic accord cadre Inra ltab Des encarts sont notamment consacr s aux innovations en AB http wwwd inra fr psdr midi pyrenees d infos Documents L inra et l agriculture biologique Mois cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE RECHERCHE FRANCE EUROPE SELECTION VEGETALE SELECTION ANIMALE SYSTEME DE CULTURE SYSTEME D ELEVAGE AUTONOMIE DEVELOPPEMENT DE L AB ORGANISATION DE L AB QUALITE CONSOMMATION FILIERE MARCHE PROTECTION DES VEGETAUX EXPERIMENTATION INTERNATIONALISATION COMMERCIALISATION DISTRIBUTION RESEAU INNOVATION REPRODUCTION ANIMALE ELEVAGE BIOLOGIQUE 2013 12 p d INRA Institut National de la Recherche Agronomique r f 189 055 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Quelles recherches pour accompagner le d veloppement de l agriculture biologique Les rencontres de l Inra au salon de l agriculture Mercredi 27 f vrier 2013 GUYOMARD Herv BELLON St phane PENVERN Servan
122. l et la date de mise l herbe sont apparues comme des l ments d terminants et le maintien de la qualit de l herbe passe par un ajustement des chargements permettant une bonne valorisation des prairies Une tude comparative entre p turage tournant et p turage continu compl te ces donn es avec peu de diff rence entre les deux si ce n est que le p turage tournant facilite la constitution de stocks Mots cl s ELEVAGE CAPRIN CHEVRE SUD EST FRANCE PRAIRIE TEMPORAIRE PATURAGE GESTION DU PATURAGE MISE A L HERBE ARDECHE SYSTEME FOURRAGER PRODUCTION LAITIERE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE FOURRAGES n 212 Faire p turer les ch vres Retour vers le futur 01 12 2012 10 pages p 279 288 r f 189 111 R daction ABioDoc Production animale 1 m tier 1 000 pratiques La Normande l herbe et le Staph dor Chronique d une ferme angevine CLOAREC Yann Yann Cloarec du Gaec Lortagne leveur en bio depuis 2001 est associ depuis 2007 Jean Luc Denis sur la commune de Plessis Mac dans le Maine et Loire Ce partenariat en levage laitier a d but par l volution du troupeau Holstein vers la race Normande Un bilan est pr sent dans l article Un troupeau Holstein en absorption Normande Un syst me fourrager bas sur l herbe et s curis par l irrigation Un protocole draconien pour arriver bout des derni res mammites subcliniques Cas particulier pr sence d
123. la difficult de d battre avec un public non inform ou mal inform Marc Barbier directeur de l unit Inra Sciences en Soci t a co organis une 41 he et syst me sp cifique formation la controverse destin e aux ing nieurs Pierre Beno t Joly sociologue clarifie les d bats sur la sociologie des controverses autour de trois th ses Jean Fran ois Launay directeur de la communication de l Inra s appuie sur l exemple des OGM pour illustrer la fragile fronti re entre controverse scientifique et pol mique Mots cl s CONTROVERSE SCIENCE SOCIETE SOCIOLOGIE EXPERTISE DEBAT POLEMIQUE RECHERCHE RECHERCHE PUBLIQUE INRA MAGAZINE n 23 01 12 2012 12 pages p I XII r f 189 104 R daction ABioDoc L INRA et recherches mobilisables TOUREAU Val rie PENVERN Servane SAVINI Isabelle et al Comme le rappelle Fran ois Houllier Pr sident Directeur g n ral de l Inra dans l ditorial de ce dossier l effort de recherche et d exp rimentation de l Inra en faveur de l agriculture biologique se traduit depuis plus de dix ans par des projets de recherche sp cifiquement d di s l AB portant aussi bien sur la g n tique les pratiques et les fili res que sur les attentes des consommateurs ou les politiques publiques Apr s un point statistiques sur l agriculture biologique en France chiffres 2011 et en Europe chiffres 2010 le dossier pr sente L Inra et
124. le des acteurs de la Bio producteurs transformateurs distributeurs collectivit s locales citoyens et consommateurs Un Printemps Bio plein de vitalit et marqu par la diversit des animations et des v nements grand public et professionnels dans toute la France De 2007 2012 les surfaces bio ont progress de 85 passant de plus de 557 000 hectares plus de 1 million d hectares Le nombre de producteurs bio a plus que doubl entre 2007 et 2012 104 passant de pr s de 12 000 pr s de 24 500 et atteignant au 15 mai 2013 les 25 000 A l aval de la fili re bio le nombre de pr parateurs et de distributeurs a connu une volution similaire passant de plus de 6 400 plus de 12 300 en 2012 Au total le nombre d op rateurs bio est ainsi pass de pr s de 18 400 en 2007 plus de 36 700 en 2012 Cette croissance de la Bio en France permet de r pondre aux attentes des Fran ais dont la consommation de produits bio a doubl au cours des 5 derni res ann es Dans un contexte conomique difficile elle est pass e de 2 milliards d euros en 2007 plus de 4 1 milliards en 2012 Au sommaire de ce dossier de presse La Bio en chiffres Printemps Bio 2013 En savoir plus sur la Bio http www agencebio org actualites la bio made france gagne du terrain et prend un nouvel elan avec le plan ambition bio Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE PRINTEMPS BIO STATISTIQUES FRANCE DEVELOPPEMENT
125. lor es et gourmandes Des go ters bio seront galement organis s dans les classes participantes Une deuxi me dition du concours sera lanc e l automne 2013 Pour en savoir plus http www leblogdelabio com article resultats du concours les petits reporters de la bio 118114522 html Source Le blog de la bio de l Agence Bio mai 13 Prochaine conf rence environnementale La prochaine conf rence environnementale rendez vous annuel instaur par Fran ois Hollande sera consacr e au principe de l conomie circulaire et des emplois de la transition cologique selon la ministre de l Ecologie Delphine Batho La conf rence se tiendra les 20 et 21 septembre 2013 au Conseil conomique social et environnemental Cese Il s agit de toute la question de la nouvelle politique industrielle faisant de l conomie de mati res premi res un levier de comp titivit et de cr ation d emplois a expliqu la ministre L conomie circulaire se veut un syst me alternatif l actuel extraire fabriquer consommer jeter qui ne prend pas en compte la finitude des ressources Elle propose un autre paradigme inspir des cosyst mes naturels o les d chets des uns sont les ressources des autres Ce syst me implique notamment de penser le recyclage d s la conception des produits Parmi les autres chantiers de r forme figureront galement la politique de l eau l ducation l environnement et la biodi
126. mati res organiques Des exemples d associations fruiti res pour la cr ation d cosyst mes comestibles sont pr sent s Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT QUILIBRE NATUREL PERMACULTURE FORET REFORESTATION ASSOCIATION DE CULTURES ASSOCIATION ANIMAL VEGETAL SOCIETE FRUITS OUBLIES n 54 01 02 2013 5 pages p 8 12 r f 189 034 R daction ABioDoc Changements climatiques et utilisation durable du sol en montagne HUBER R BEBI Peter BRINER Simon et al L agriculture de montagne a t le sujet de divers projets de recherche en Suisse Parmi eux le projet de recherche inter et transdisciplinaire Mountland tudie les impacts venir des changements climatiques et de Putilisation des terres sur les prestations cosyst miques en r gion de montagne Initi en 2008 il associe des exp rimentations scientifiques des mod les de simulation cologique un mod le agro conomique de l utilisation des terres et une analyse du contexte agro politique et des processus de d cision Ainsi les effets de r troaction entre des processus cologiques et des processus de d cisions peuvent tre tudi s Cet article pr sente ce projet et les r sultats obtenus l issue d une premi re phase de travail 2008 2012 Mots cl s AGRICULTURE DURABLE AGRICULTURE DE MONTAGNE SUISSE RECHERCHE CHANGEMENT CLIMATIQUE UTILISATION DURABLE DES SOLS SERVICE ECOSYSTEMIQUE AGRICULTURE FORET AGRICUL
127. mmunit compl tent la d marche Mais le principal reste la pr vention point que d veloppe l auteur dans son ouvrage Mots cl s ELEVAGE ELEVAGE BIOLOGIQUE SANTE ANIMALE SOLUTION ALTERNATIVE EAU LUMIERE AIR BIEN ETRE PREVENTION SOIN ALIMENTATION DES ANIMAUX ONDE LECTROMAGNETIQUE MICRO ORGANISME MEDECINE ALTERNATIVE BIOFIL n 87 01 05 2013 3 pages p 32 34 r f 189 088 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Production animale Services fourragers des prairies permanentes production d herbe et valeur alimentaire pour les ruminants BAUMONT Ren MICHAUD Audrey DELABY Luc M me si elles constituent encore la premi re ressource alimentaire des levages d herbivores et offrent des services fourragers majeurs les surfaces en prairies permanentes sont en d clin notamment cause d un manque de connaissances sur leur potentiel fourrager production et valeur alimentaire Pourtant ce potentiel est parfois quivalent celui de prairies sem es Ainsi pour mieux conna tre ces prairies permanentes diff rents types ont t d finis partir des descripteurs de la v g tation aux chelles r gionale et nationale en France Malgr certains handicaps notamment en termes de production ou de milieux les prairies permanentes fournissent diff rents services l chelle de la parcelle de l exploitation et du territoire appr ci s des leveurs et leur dive
128. modifications des concentrations urinaires de compos s tels que des acides amin s ou d autres acides organiques ont en effet t observ es sugg rant un stress oxydant et une modification du m tabolisme nerg tique Cette tude a t r alis e sur 83 femmes enceintes de la cohorte PELAGIE Bretagne r parties en trois groupes en fonction du lieu de r sidence des femmes dans des communes o les cultures de c r ales sont plus ou moins pr sentes Le d tail de ces travaux est publi dans la revue PLOS ONE du 23 mai 2013 Metabolomics tools for describing complex pesticide exposure in pregnant women in Brittany France Source Inra juin 13 L agro cologie dans l enseignement agricole Dans le cadre de la concertation pour lavenir de l enseignement agricole qui s est cl tur e le 16 mai 2013 et de l enseignement produire autrement le ministre de l Agriculture s est engag ce que les exploitations des tablissements agricoles deviennent des lieux d exp rimentation et d innovation en mati re d agro cologie performantes la fois sur le plan conomique et cologique Il souhaite que ces axes soient pleinement int gr s dans les r f rentiels de formation Cette concertation s inscrit dans le cadre de la pr paration du volet enseignement agricole de la loi d avenir pour l agriculture l agroalimentaire et la for t Elle avait t ouverte par St phane Le Foll le 29 mars
129. moment Quelques rotations de cultures et des plantes concurrentes peuvent aussi participer la lutte contre ces deux adventices Un travail du sol adapt permet galement de limiter la pr sence d adventices vivaces par exemple via le d stockage de graines ou le faux semis deux m thodes d crites dans cet article et dont la mise en pratique est illustr e par un exemple En encart une technique de Joseph Pousset paysan agronome consistant semer du tr fle incarnat en m me temps que le bl est pr sent e Mots cl s CONTROLE DES ADVENTICES CIRSE RUMEX COUPE ROTATION DES CULTURES LUTTE ALTERNATIVE DESHERBAGE MANUEL TRAVAIL DU SOL FAUX SEMIS ORNE DESTOCKAGE GRAINE CHARDON ECHO DU CEDAPA L n 106 01 03 2013 2 pages p 4 5 r f 189 119 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Fertilisation Effets des composts de d chets verts d chets agricoles apport s avant plantation de vignes p chers abricotiers et artichauts synth se SIRJEAN Laurence GORIUS Estelle Cinq essais ont t r alis s dans le cadre de la troisi me phase du programme d exp rimentations sur le compostage des d chets verts avec des d chets agricoles ou min raux mis en place par la Chambre d Agriculture du Roussillon Celui ci a pour objectif d identifier des voies de valorisation des quantit s importantes de d chets produits par les entreprises agricoles et agroalimentaires Ainsi sept composts
130. n de denr es alimentaires utilisables par les hommes pour nourrir les animaux de l herbe pour nos ruminants entretien avec Christophe Notz FiBL comment les animaux sont ils nourris les vaches du Lindenhof ne mangent que de l herbe et un peu de malt Un projet de protection du climat le Fonds Coop soutient le projet Grandes cultures et cultures mara ch res climatiquement neutres de l humus pour le climat entretien avec Paul M der FiBL l agriculture biologique peut prot ger le climat Nos sols sont rest s fertiles http www fibl org fileadmin documents fr actualites 201 3 br oschuere coop fibl pdf une agriculture Mots cl s RECHERCHE BIODIVERSITE AGRICULTURE BIOLOGIQUE EAU MALT AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT HERBE RUMINANT ALIMENTATION DES ANIMAUX VACHE GRANDE CULTURE HUMUS PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT SOL SUISSE CHANGEMENT CLIMATIQUE SYSTEME HERBAGER 2013 24 p d FIBL Institut de recherche de l agriculture biologique r f 189 042 R daction ABioDoc 33 Vie professionnelle Conversion from conventional to organic production case study of China s paddy rice farmers in Wuchang City Conversion de la production conventionnelle la production biologique tude du cas des producteurs de riz paddy chinois dans la ville de Wuchang Anglais CHEN Yongfu XIN Jialin ZHANG Xinmin et al A partir d enqu tes de terrain r ali
131. n de carbone le maintien de la biodiversit la qualit des sols et de l eau Ces services environnementaux et sociaux sont de mieux en mieux reconnus par la soci t et sont progressivement pris en compte par les politiques publiques Ce texte vise repr ciser l importance actuelle des surfaces en prairies permanentes et leur volution ainsi qu rappeler leurs services cosyst miques La plupart des donn es pr sent es font r f rence aux premi res synth ses effectu es dans le cadre du projet europ en Multisward Mots cl s PRAIRIE PERMANENTE EUROPE FRANCE BIODIVERSIT AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT ELEVAGE MESURE AGRIENVIRONNEMENTALE MULTIFONCTIONNALITE POLITIQUE AGRICOLE SERVICE ECOSYSTEMIQUE SYST ME FOURRAGER FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 10 pages p 195 204 r f 189 023 R daction ABioDoc Concilier les services rendus par les prairies pour assurer la durabilit des syst mes d levage herbagers CARRERE Pascal PLANTUREUX Sylvain POTTIER Eric Les cosyst mes prairiaux rendent une large gamme de services de production mais aussi environnementaux qu il est possible de concilier travers une approche multifonctionnelle Ainsi l int gration du r le fonctionnel de la biodiversit dans le raisonnement des pratiques de gestion offre de nouvelles opportunit s au monde de l levage Face aux enjeux actuels cet arti
132. national Federation of Organic Agriculture Movements Charles de Gaulle Strasse 5 53113 BONN ALLEMAGNE Tel 49 228 926 50 10 Fax 49 228 926 50 99 headoffice ifoam org http www ifoam org Agriculture biologique et VIH SIDA en Afrique subsaharienne WRIGHT Julia 56 p T l chargement de la publication via la boutique en ligne d IFOAM http shop ifoam org bookstore INRA institut Agronomique 147 Rue de l Universit 75 338 PARIS CEDEX 07 FRANCE T l 01 42 75 90 00 Fax 01 42 75 91 72 B gt L INRA et l agriculture biologique recherches d di es des recherches mobilisables http www4 inra fr psdr midi pyrenees d infos Documents L inra et l agriculture biologique TOUREAU Val rie SAVINI Isabelle PENVERN Servane ET AL 12p LS Quelles recherches pour accompagner le d veloppement de l agriculture biologique GUYOMARD Herv PENVERN Servane BELLON St phane ET AL 10 p National de la Recherche Des INSTITUT DE L ELEVAGE 149 Rue de Bercy 75 595 PARIS CEDEX 12 FRANCE T l 01 40 04 51 50 http www idele fr B gt Impacts de l introduction de m lange c r alier ensil en levage laitier Exemple en zone faible potentiel http idele fr domaines techniques economie et gestion de lexploitation systemes dexploitation publication idelesolr recommends impac ts de lintroduction de melange cerealier ensile en elevage laitier html DESARMENIEN Didier HUCHON
133. ns vari t peu sensible prophylaxie r alis e etc Un atelier a permis de r fl chir aux atouts de la diversification r partition des risques et mise en place de synergies Ainsi l int r t de l agroforesterie et de la haie fruiti re a t pr sent valorisation de bois d uvre de champignons bourgeons brise vent refuge pour les auxiliaires par diff rents t moignages Mots cl s ARBORICULTURE RECHERCHE AGRICULTURE BIOLOGIQUE PROTECTION DES VEGETAUX DIVERSIFICATION MONILIA ABRICOTIER EXPERIMENTATION CUIVRE SOUFRE ESSAI TRAITEMENT AGROFORESTERIE HAIE FRUITIERE TAVELURE POMMIER PROPHYLAXIE VARIETE VERGER JOURNEE TECHNIQUE ALTER AGRI n 117 01 01 2013 4 pages p 22 25 r f 189 091 R daction ABioDoc Production v g tale Journ e Ctifl Itab Les exp rimentations en cours GOULETTE Myriam A l occasion d une journ e organis e au Ctifl de Lanxade en partenariat avec l Itab certains r sultats de recherche int ressants pour larboriculture biologique ont t pr sent s La lutte contre le campagnol proven al notamment a fait l objet de plusieurs exp rimentations pi ges Topcat barri res de pi geage Stanby syst me de lutte Rodenator En vergers de pommiers ce sont les effets d un m lange vari tal sur la tavelure l o dium et le puceron cendr qui ont t mesur s avec une efficacit essentiellement contre la tavelure L
134. nsommation responsable notamment en privil giant l achat de produits biologiques Vendre des coproduits c est donc tre s r d avoir une client le en qu te de qualit pr te investir pour son bien tre Cependant ouvrir une boutique bio ne s improvise pas Il faut une bonne connaissance de la fili re des comp tences en termes de cr ation d entreprise et de gestion ainsi qu une ma trise de la r glementation Pour aider bien d marrer ce guide dresse le panorama du secteur et apporte des r ponses concr tes sur l tude de march le lancement et le d veloppement d un commerce bio Mots cl s ENTREPRISE MAGASIN BIO DISTRIBUTION AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUIT BIOLOGIQUE FRANCE FILIERE FORMATION ETUDE DE MARCHE COMMERCE REGLEMENTATION INTERNET BOUTIQUE CREATION D ENTREPRISE VENTE DEVELOPPEMENT DURABLE LABEL CONSOMMATEUR PANIER TEMOIGNAGE COMMUNICATION CONTACT 2012 216 p d GROUPE STUDYRAMA VOCATIS r f 189 086 R daction ABioDoc CA consommateur Bien vendre sur un Du producteur Commercialisation march a s apprend BESNARD Antoine Ing nieur conseil en mergence agricole Thierry Fernandez sait que vendre ses produits est tout un art En d cembre 2012 il a mis en situation de vente une dizaine de producteurs d llle et Vilaine Selon lui le seuil de rentabilit d un march c est 350 400 II faut donc choisir la nature du produit vendre
135. oDoc SES MISSIONS Cr en 1993 ABioDoc service de VetAgro Sup et soutenu par le minist re fran ais de l Agriculture a pour missions de r aliser la veille le traitement et la diffusion d information int ressant les acteurs de l agriculture biologique l chelle fran aise et inter nationale LES SERVICES Gestion du fonds documentaire Gestion et alimentation de la Biobase Gestion de la base des Acteurs de la Bio regroupant organismes et personnes Edition du Biopresse Service questions r ponses Participation des projets de recherche d veloppement AbioWDoe J www abiodoc com Le partenariat entre ABioDoc et le CETAB SES MISSIONS L entente permet d amplifier pour tous la mise disposition d informations en lien avec l agriculture biologique et de renforcer la mise en r seau entre les deux zones g ographiques SES REALISATIONS Un partage de la veille Le CETAB voit couvrir les documents produits en Am rique du Nord et ABioDoc r pertorie les publications d Europe et du reste du monde Une alimentation commune de la Biobase la base de donn es documentaire L dition commune du Biopresse Des synergies dans le cadre des services questions r ponses Des transferts d informations et de contacts C gep V de Victoriaville VetAgro Sup Agriculture P cheries et Alimentation 2 Qu bec Datar E Massif central ET
136. ogie et ruralit Environnement Croissance et cologie Concilier l homme avec la soci t de demain VETILLARD Alban Comment se pr tendre cologiste sans tre d croissant s interroge l auteur Pour lui la croissance nous propose un march de dupes elle nous fait des promesses qu elle ne peut tenir et est incapable de r pondre aux risques encourus et d y rem dier Notre conomie est fond e sur la reproduction des comportements pass s vision videmment fausse sinon comment expliquer les crises qui se succ dent Une soci t de croissance ne peut engendrer des attitudes cologiques conomes en ressources et pr servant les milieux naturels L cologie doit s appuyer sur trois facteurs indissociables l efficacit les nergies renouvelables et la sobri t Pour envisager l cologie comme ducation alternative et stabilit une sortie de la croissance est indispensable l id e doit grandir et les cologistes doivent voluer pour accepter certains compromis permettant la transformation de la soci t Il faut d finir un projet de soci t d passant les fronti res politiques et id ologiques Si le constat cologique est largement partag le projet de soci t ne l est pas Nous aurons encore traverser bien des crises avant de reconqu rir une autonomie cologique mon taire nerg tique et alimentaire Le choix d une soci t future s impose comme une vidence mais nous seuls
137. ogique IROCB qui a pour objectif de soutenir l valuation de l quivalence entre les diff rents syst mes de certification et le guide pour l valuation de l quivalence des normes et r glementations en agriculture biologique EquiTool destin soutenir l valuation de l quivalence entre les conditions de production et de transformation des produits bio Mis au point par l ITF ces deux outils ont ensuite t diffus s et mis en uvre dans le cadre du projet GOMA qui avait aussi pour but de sensibiliser les utilisateurs potentiels Ce document pr sente les deuxi mes versions de chacun de ces outils apr s quatre ans d existence de leurs premi res versions http www goma organic org four new goma publications available Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUIT BIOLOGIQUE MONDE ACCORD D QUIVALENCE ORGANISME CERTIFICATEUR REGLEMENTATION CERTIFICATION OUTIL NORME 2012 64 p d UNCTAD United Nations Conference on Trade and Development FAO Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture r f 189 040 R daction ABioDoc RECHERCHE amp SYSTEME SPECIFIQUE Agriculture biodynamique Pratiques de l agriculture biodynamique MASSON Pierre MASSON Vincent GRIENENBERGER Lionel Ce DVD est un compl ment au Guide pratique pour l agriculture biodynamique de Pierre Masson Il permet de visualiser des gestes et des mani res de faire sp cifi
138. ologiques qui concernent les productions v g tales la cueillette de plantes sauvages la transformation et l tiquetage http www goma organic org four new goma publications available Mots cl s ASIE R GLEMENTATION CAHIER DES CHARGES AGRICULTURE BIOLOGIQUE PRODUIT BIOLOGIQUE PRODUCTION VEGETALE NORME CUEILLETTE E TIQUETAGE TRANSFORMATION 2012 44 p d UNCTAD United Nations Conference on Trade and Development FAO Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture r f 189 039 R daction ABioDoc M G n ralit s Recettes pour garder des fruits toute l ann e GARREL Dominique Des recettes pour conserver les fruits longtemps apr s leurs r coltes ont t relev es dans un manuel du XIX me si cle Elles concernent plusieurs modes de conservation selon les fruits Conservation l tat frais pommes poires ou raisins par dessiccation les raisins les figues les p ches et abricots les poires tap es les groseilles en grappes ou gr n es les cerises les framboises les m res et les cassis les abricots par l eau de vie la plupart des fruits noyau et quelques autres comme les poires les coings par le sucre marmelades p tes confitures s ches gel es par le vinaigre achards par le sel olives tomates Mois cl s RECETTE FRUIT EAU DE VIE PETIT FRUIT CONSERVATION DES ALIMENTS VINAIGRE SEL SUCRE DESSICATION FR
139. on et son plan selon le climat La permaculture urbaine dessins de jardins acc s collectifs la terre et financements solidaires Usage des cl tures treillis serres et ombri res conomiques Syst mes fourragers pour les cochons et les poules culture mixte d arbres et prairies pour les troupeaux Verger et bois domestiques sous climats temp r s secs et tropicaux Jardins en permaculture techniques et conceptions conomes en nergie Cr ation de microclimats autour de la maison et du jardin Liste d esp ces v g tales s lectionn es informations sur leur adaptation au climat leur taille et leurs usages Mois cl s PERMACULTURE PRINCIPE AGRICULTURE DURABLE CONCEPTION POTAGER JARDIN JARDINAGE VERGER AGROFORESTERIE CEREALE SYSTEME FOURRAGER AQUACULTURE ELEVAGE JARDIN EN VILLE MAISON D HABITATION ZONE URBAINE VILLE ECONOMIE SOLIDAIRE 2012 240 p d PASSERELLE ECO r f 189 082 R daction ABioDoc Ca Economie des fermes laiti res herbag res L autonomie un choix gagnant en 2011 CHEVEAU Aur lie En 2011 2012 le prix du soja a augment de mani re plus importante que celui du lait valeurs relatives p nalisant les exploitations laiti res les plus d pendantes de cet aliment Dans ce contexte les syst mes herbagers ont su se d marquer et leur strat gie d autonomie a t payante dans la gestion des charges d alimentation C est notamment ce que montrent le
140. on lupien cetab org Information venir Du 5 au 17 ao t 2013 Frelighsburg QC Cours de design en permaculture T l 1 450 536 0422 poste 305 permaculture rha quebec org http www cetab org UserFiles CalendarActivitiesPDF DepliantR HA Cours Design Perma2013 pdf Du 21 au 28 septembre 2013 au CANADA Semaine bio 2013 www semainebio ca Pour plus d informations sur les v nements bio de l ann e www abiodoc com Biopresse 189 Mai 2013 Pour plus d informations www cetab orq SOMMAIRE Agenda France Europe 2 Agenda Qu bec Am rique du Nord 2 Productions animales 4 Elevage eenn eara a aE EE EEEa E E OEE 4 Productions v g tales 9 Arboriculture Rs 9 Contr le des adventices ssssseeeseeessetrsetreeerenerrnnnne nee 10 Fertilisation 12 Grandes C IUTeS 22223 2 02 dbtese ste nb anse DA dons due onnn e ares 12 Jardinage biologique 13 Mara chage e eseeeneeeeeeeeeseeernenesentettnttnstrnrtneenntnnsrnnsnnne 13 PETITS IRS 3458 de sl 15 Plantes aromatiques et m dicinales 15 Protection phytosanitaire n 16 VITICURUTE 25 26228 25 iipitin in dosettes este asoci eeigen ieas 17 Matce h ssssiscssssssucrsrrraeresenssssenanersassenenesssmasnsanreseareens 19 EAE E E SE E EE E 19 Sant E EE E EE 21 Statistiques sipinki ei aaia esi ianea 22 Ecolo
141. ont t pandus sur sols viticole arboricole ou mara cher en un seul apport avant la plantation Le dispositif exp rimental les caract ristiques des composts et les doses pandues sont d crits Les r sultats pr sent s concernent l effet des composts sur la mati re organique MO du sol sur les fractions granulom triques de la MO du sol sur la biomasse microbienne du sol sur le phosphore et la potasse sur l azote sur d autres param tres et enfin sur les cultures Ils montrent des effets int ressants sur les sols qui permettent d envisager une r duction de la fertilisation compl mentaire pendant un cinq ans En revanche aucun effet n a t observ sur les cultures Les analyses en laboratoire des composts semblent n cessaires pour faire progresser le conseil agronomique sur la fertilisation organique Mots cl s COMPOST DECHET ORGANIQUE DECHET AGRICOLE MATI RE ORGANIQUE DU SOL AZOTE MINERALISATION EXPERIMENTATION FERTILISATION ORGANIQUE VITICULTURE RECHERCHE PYRENEES ORIENTALES GESTION DES SOLS SOL MARAICHAGE ARBORICULTURE ECHO MO n 100 01 03 2013 7 pages p 6 12 r f 189 129 R daction ABioDoc Grandes cultures Perte de c r ale d hiver Quelles alternatives DUMAS M lissa Suite un hiver pluvieux comme ce fut le cas en 2012 2013 certaines cultures de c r ales se retrouvent partiellement ou totalement noy es et les plus touch es pourront difficilemen
142. otoxique Question toxicit il est juste irritant du fait de son acidit type vinaigre Tout pour la soci t pour tre inscrit sur la liste Nodu Vert Biocontr le Mais il faut d abord le faire autoriser Le dossier a t d pos aupr s des autorit s pour le d sherbage et l pamprage de la vigne le d fanage de la pomme de terre et le d sherbage des cultures tropicales et en zones non agricoles ZNA Source Phytoma n 663 avr 13 Le projet Rafu sur les d chets agricoles Sur les 28 000 tonnes de films plastiques souill s paillage notamment r cup r es chaque ann e aupr s des producteurs l gumiers plus de 12 000 se composent d un amalgame de terre et d eau Huit partenaires participent au projet Rafu Recyclage agricole films usag s Leurs travaux permettront notamment d am liorer les techniques et mat riel de d pose des films sur les terres et de cr er de nouveaux process dans le traitement de ces d chets explique Pierre de L pinau directeur g n ral d Adivalor L enjeu est de taille une meilleure ma trise des films souill s viterait un surco t de 10 millions d euros aux producteurs qui gagneraient alors en comp titivit Ce projet de recherche re oit l appui de l ADEME Source ADEME amp VOUS n 64 avr 13 53 Les Br ves BIOPHYTO La station d exp rimentation mara ch re du CIVAM BIO a f t ses 20 ans A l occasion du 20 anniversaire de la station
143. oupeau et de r duire les charges Ainsi des prairies multisp cifiques ont t implant es et la part des concentr s a diminu tout en maintenant le niveau de production gr ce l am lioration g n tique et la qualit de la ration A l avenir le couple d leveurs souhaite atteindre compl tement l autonomie en c r ales et en fourrages et tendre vers l autonomie prot ique Une conversion l agriculture biologique est galement programm e Mots cl s ELEVAGE CAPRIN AGRICULTURE CONVENTIONNELLE CHEVRE MAIS ENSILAGE PATURAGE AUTONOMIE ALIMENTAIRE CONVERSION EVOLUTION MAINE ET LOIRE GESTION DU PATURAGE RATION SYSTEME DE PRODUCTION ALTERNATIVE FOURRAGES n 212 Faire p turer les ch vres Retour vers le futur 01 12 2012 4 pages p 275 278 r f 189 110 R daction ABioDoc Utilisation des prairies par les ch vres laiti res dans les conditions du Sud Est de la France LEFRILEUX Yves POMMARET A MORAND FEHR P et al Longtemps restreints l levage en b timents les levages caprins montrent de plus en plus d int r ts pour le p turage Ainsi la station exp rimentale du Pradel en Ard che a men une s rie d essais et d observations sur des troupeaux caprins afin de montrer et comprendre la capacit des ch vres atteindre un bon niveau de production en valorisant des prairies temporaires et avec une faible quantit de concentr s L observation du couvert v g ta
144. ous quelles formes plantes fra ches ou s ch es teintures m res g lules huiles essentielles Des recettes et des posologies pr cises pour l utiliser efficacement et sans danger Un point sur la recherche les vertus confirm es par la science les nouvelles propri t s d couvertes les recherches en cours Mots cl s PLANTE PLANTE MEDICINALE PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE SANTE UTILISATION PROPRIETE VERTU RECHERCHE 2013 448 p d DITIONS LAROUSSE r f 189 084 R daction ABioDoc CA 21 Focus sur Le lien entre alimentation et sant Des pesticides dans nos assiettes DENIS Sophie Comme le montre une enqu te r alis e en 2010 par G n rations Futures et le r seau europ en Heal les mol cules chimiques des pesticides se retrouvent dans les aliments que nous consommons Ainsi 128 r sidus de pesticides ont t identifi s dans les repas types d une journ e r alis s avec des produits issus de l agriculture conventionnelle Les m mes repas pr par s avec des aliments issus de l agriculture biologique pr sentaient 223 fois moins de r sidus Une mission commune d information sur les pesticides et leur impact sur la sant mise en place au S nat en 2012 a galement mis en avant la sous valuation des dangers des pesticides pour la sant Ainsi ce ne sont plus seulement les associations environnementales qui mettent un message d alerte mais aussi les scientifique
145. principes cl s de l agriculture biologique en Bretagne l int r t de la bio pour les zones humides des rotations longues et diversifi es les engrais verts l apport de mati re organique le d sherbage m canique Les avantages des pratiques bio sur la qualit de l eau Le document est compl t par une synth se sur la bio en Bretagne et les 10 propositions du r seau Fnab pour une nouvelle politique de l eau Mois cl s BRETAGNE QUALITE DE L EAU AGRICULTURE BIOLOGIQUE STATISTIQUES PRATIQUE AGRICOLE PRINCIPE DE L AB RUISSELLEMENT LESSIVAGE MINERALISATION PREVENTION AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT 2012 8 p d RESEAU GAB FRAB BRETAGNE r f 189 043 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Nouveaut s Mat riels POUPEAU Jean Martial Cette rubrique pr sente quatre innovations en mat riel agricole utilisable en agriculture biologique la bineuse VCO Intelli de Kongskilde quip e d un syst me permettant un relevage automatique des l ments dans les bordures ou pointes et d un syst me de guidage par cam ra optique le site internet www infloweb fr labor par le Cetiom et ses partenaires qui pr sente les principales adventices des cultures et des m thodes de lutte y compris applicables en agriculture biologique Botector un nouveau produit anti botrytis base de champignons antagonistes une pampreuse lectrique et lectroportative mise au point par la soc
146. ques ainsi que des outils adapt s Il s agit de quelques t moignages parmi d autres qui ont fait la preuve de leur efficacit L ing niosit et la cr ativit font voluer en permanence les techniques en particulier en ce qui concerne la pulv risation des pr parations et des badigeons Mots cl s AGRICULTURE BIODYNAMIQUE PREPARATION BIODYNAMIQUE PRATIQUE TEMOIGNAGE TECHNIQUE CONSERVATION EAU COLLECTE CHAUFFAGE BRASSAGE PULVERISATION MATERIEL AGRICOLE OUTIL COMPOST LISIER COMPOSTAGE EPANDAGE BADIGEON BADIGEONNAGE 2012 DVD video 83 min d BIODYNAMIE SERVICES ECO DYN r f 189 083 R daction ABioDoc Concilier accueil et agriculture Le domaine de Saint Laurent en Sa ne et Loire s y emploie depuis plus de 20 ans BIODYNAMIS Le 6 mai 2012 le domaine de Saint Laurent levage c r ales et mara chage en Sa ne et Loire f tait ses 20 ans D s sa cr ation cette ferme se voulait embl matique de la biodynamie Le fonctionnement social s est av r complexe mais d sormais quatre associ s et quatre salari s y uvrent sur les quelque 150 hectares Concernant la question fonci re la structure juridique de la ferme a volu d une structure collective de type SCI vers une acquisition par Terre de Liens o tout le monde peut devenir actionnaire du domaine en prenant une action dont la valeur est de 100 La gestion de la maison d accueil est assur e par Sylvie
147. r sidus du b tail d jections de vaches ou de ch vres piment poussi re de tabac s che et tabac tremp Les r sultats montrent que ces r pulsifs peuvent tre efficaces dans les r gions forte production de biomasse o des sources d alimentation alternatives existent pour le b tail http www organic systems org journal Vol 7 281 29 abstracts 05 13 Mutsamba html Mois cl s AGRICULTURE DE CONSERVATION ZIMBABWE HUMIDITE DU SOL BETAIL RESIDU DE CULTURE COUVERT VEGETAL ALIMENT DU BETAIL REPULSIF NATUREL RECHERCHE AFRIQUE PROTECTION DES VEGETAUX ETUDE ELEVAGE JOURNAL OF ORGANIC SYSTEMS n vol 7 n 1 01 05 2012 9 pages p 5 13 r f 189 001 R daction ABioDoc Performances de deux associations fourrag res triticale bersim et triticale vesce dans un milieu semi aride de Tunisie BEJI Sadreddine KHEMIR E En Tunisie les leveurs sont confront s un d ficit fourrager chronique Dans ce pays l orge et l avoine seules ou associ es la vesce constituent pr s de 85 des surfaces fourrag res sem es Le triticale est galement de plus en plus utilis mais ses teneurs en mati res azot es totales MAT sont particuli rement faibles La station exp rimentale de l cole Sup rieure d Agriculture du Kef Nord ouest du pays a alors mis en place des essais pour mesurer la production fourrag re la r partition annuelle et la teneur en MAT de trois associations base de
148. rgue quatre r flexions sur ces prairies Les prairies permanentes sont des objets complexes diversit des v g tations dans l espace et dans le temps diversit des points de vue sur une m me prairie et diversit des modalit s d action sur celle ci Les prairies permanentes et les cosyst mes fournissent des services divers production de fourrages mais aussi stockage de carbone par exemple Les concepts de l cologie participent la compr hension du fonctionnement des prairies permanentes Les prairies permanentes sont troitement li es aux activit s d levage pour lesquelles elles sont exploit es et qui conditionnent leur maintien Ainsi ce maintien d pend des services de production et des services cosyst miques qu il faudra objectiver dans une vision globale du syst me herbe herbivores et pour lesquels il faudra d finir des modalit s de gestion Mots cl s AGRICULTURE DURABLE PRAIRIE PERMANENTE SERVICE ECOSYSTEMIQUE PRODUCTION FOURRAGE ECOSYSTEME DIVERSITE ECOLOGIE ELEVAGE RUMINANT RECHERCHE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 2 pages p 179 180 r f 189 021 R daction ABioDoc prairies GAEC la Niro efficacit DUMAS M lissa Le GAEC La Niro situ sur la commune du Boup re en Vend e a t cr en 1981 avec un atelier de vaches allaitantes et un atelier de vaches laiti res
149. riculture biologique depuis 2008 Mots cl s PRODUCTION CIDRICOLE VERGER JOURNEE TECHNIQUE ARBORICULTURE RECHERCHE PROTECTION DES VEGETAUX ANTHONOME TAVELURE NORMANDIE FERTILITE DES SOLS AGRICULTURE BIOLOGIQUE POMMIER CIDRE BOISSON ALCOOLISEE BIO NORMANDIE n 119 01 03 2013 2 pages p 16 17 r f 189 046 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 T moignage Greffez les friches TANGUI Tangui jardinier est install dans les C vennes En qu te de terre et d autonomie il a rencontr Maurice Chaudi re botaniste visionnaire apiculteur po te sculpteur Dans une jeune for t en devenir Tangui exp rimente toutes sortes de greffes en utilisant comme porte greffes les essences spontan es du terrain Il pr sente quelques g n ralit s sur les techniques de greffes greffe en couronne il dormant Il pr sente galement les principaux porte greffes L aub pine Crataegus Le Sorbier et l alisier Sorbus Le cerisier de sainte Lucie Prunus mahaleb Les pruniers Prunus domestica et les pruneliers Prunus spinosa Le pommier sauvage Malus sylvestris ainsi que les modes de greffage utilis s Mots cl s GREFFE GREFFAGE PORTE GREFFE FRICHE NATURE SAUVAGE NATURE ARBRE FRUITIER T MOIGNAGE ARBORICULTURE RELATION HOMME NATURE CEVENNES MASSIF CENTRAL FRANCE FRUITS OUBLIES n 54 01 02 2013 2 pages p 17 18 r f 189 073 R dac
150. ritoires ainsi que de l ensemble des enjeux conomiques sociaux et environnementaux Treize r gions ont d ores et d j labor leur PRAD l Alsace l Auvergne la Bretagne le Centre la Franche Comt la Haute Normandie l le de France le Languedoc Roussillon le Nord Pas de Calais les Pays de la Loire la Picardie Poitou Charentes et Rh ne Alpes La Basse Normandie et la Bourgogne sont en cours de finalisation et devraient publier leur PRAD prochainement Quant aux autres r gions les travaux sont en cours Source www campagnesetenvironnement fr 29 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 46 Les Br ves Thierry Mercier nouveau pr sident de l ITAB Thierry Mercier a t lu pr sident de Flinstitut Technique de l Agriculture Biologique Agriculteur leveur repr sentant de la r gion Pays de la Loire au conseil d administration de l ITAB il est impliqu depuis 8 ans lITAB au sein de plusieurs commissions techniques Source http www itab asso fr juin 13 Etats Unis Connecticut Etiquetage des OGM dans le La question de l tiquetage des produits alimentaires contenant des OGM agite depuis plusieurs ann es les tats am ricains L tat du Connecticut les d put s vient de voter une loi qui rend cet tiquetage obligatoire sous conditions D autres tats devraient lui embo ter le pas prochainement Cette loi doit d sormais tre sign e par le gouverneur de l tat engag
151. rmes une cinquantaine de producteurs laitiers en individuel ou dans les groupes de formation Des points communs apparaissent dans les difficult s optimiser les fourrages de l ann e E Guerrand donne des indications sur le mode d emploi du ruminant et son alimentation II aborde ensuite le comportement des animaux en p ture ou l auge fait un rappel sur les prairies et indique comment s organiser pour produire des fourrages sur pied en stocks humides ou en sec Mots cl s FOURRAGE RUMINANT FRANCE ELEVAGE BIOLOGIQUE VACHE LAITIERE PRAIRIE ALIMENTATION DES ANIMAUX PATURE AUGE BRETAGNE SYMBIOSE n 175 01 01 2013 1 page p 9 r f 189 048 R daction ABioDoc Fourrages de Biopresse 189 Mai 2013 Production animale Impacts de l introduction de m lange c r alier ensil en levage laitier Exemple en zone faible potentiel DESARMENIEN Didier HUCHON Jean Claude BATTAIS Fran ois et al Dans certaines zones p doclimatiques les rendements en ma s ensilage peuvent tre limit s et tr s variables d une ann e l autre Dans ce contexte lorsque les leveurs cherchent s curiser leur syst me fourrager l ensilage de m lange c r alier peut repr senter une solution int ressante Dans cette fiche technique la culture est d crite de son implantation la r colte ainsi que ses valeurs nutritives et sa valorisation par le troupeau Un exemple concret sur une exploitat
152. rsit participe l quilibre des syst mes Mois cl s ELEVAGE PRAIRIE PERMANENTE FRANCE TYPOLOGIE DES PRAIRIES PRAIRIE SERVICE ECOSYSTEMIQUE SYSTEME FOURRAGER VALEUR ALIMENTAIRE BIODIVERSIT RUMINANT REFERENCE TECHNICO ECONOMIQUE ESP CE PRAIRIALE FOURRAGES n 211 Prairies permanentes De nouveaux atouts pour demain I 01 09 2012 10 pages p 219 228 r f 189 026 R daction ABioDoc Stress pr natal chez les brebis GASSER Sabrina En 2012 l unit de recherche sur les herbivores de l Inra bas e Clermont Ferrand a mis en place diff rents tests destin s valuer l impact du stress subi par des brebis sur elles m mes et sur leurs agneaux Ainsi deux groupes de brebis avec des sensibilit s au stress diff rentes ont t soumis diff rentes contraintes pendant leur gestation isolement transport Apr s la mise bas leur comportement maternel et celui de leurs agneaux ont t observ s tests de s lectivit de reconnaissance de motivation Les premiers r sultats qui devraient tre obtenus courant 2013 permettront d largir les connaissances sur les effets du stress pr natal et de faire voluer les pratiques d levage en cons quence Mois cl s ELEVAGE BREBIS AGNEAU STRESS RECHERCHE BIEN ETRE COMPORTEMENT DE L ANIMAL PUY DE DOME CONDITION D LEVAGE OVIN CONDUITE D ELEVAGE INRA MAGAZINE n 23 01 12 2012 2 pages p 30 31 r f 189 105 R
153. s es chez des producteurs de riz paddy biologique install s autour de la ville de Wuchang Chine cette tude avait pour but d valuer l efficacit technique de ces riziculteurs lors de leur conversion l agriculture biologique Les r sultats montrent que sur les deux premi res ann es de conversion il my a pas eu de changements significatifs des rendements pas de diff rence significative entre les rendements du syst me conventionnel et de la premi re ann e de conversion ni entre ceux de la premi re et de la seconde ann e de conversion http www organic systems org journal Vol 7 281 29 abstracts 20 29 Chen html Mots cl s CONVERSION COMPARAISON BIO CONV CHINE RENDEMENT RIZ EFFICACIT AGRICULTURE BIOLOGIQUE ETUDE TECHNIQUE JOURNAL OF ORGANIC SYSTEMS n vol 7 n 1 01 05 2012 10 pages p 20 29 r f 189 003 R daction ABioDoc Circuits courts en Angleterre Des id es plein les paniers POYADE Ga lle Cordiale est un programme de coop ration transmanche cofinanc dans le cadre des fonds europ ens InterReg Dans ce contexte des membres du Civam 29 et de l Amap du Bout du Monde Crozon Finist re se sont rendus en Angleterre la rencontre de producteurs biologiques ma trisant la vente directe la ferme Five Penny et 51 micro fermes voisines disposent d une grange commune pour la transformation de leurs productions et d une camionnette qui sert la restauration r
154. s exploitants et intervenants canadiens Le Comit sur l agriculture biologique aussi appel le Comit technique qui a la responsabilit de soumettre des amendements la NBC dans le but d am liorer les directives impr cises ou ajouter de nouvelles directives sera recompos et les travaux de r vision seront lanc s C est la premi re fois qu une r vision compl te de la NBC est planifi e depuis l implantation du R glement sur les produits biologiques et des ententes d quivalence biologique avec les Etats Unis et l Union europ enne En savoir plus http www organicfederation ca fr Sources F d ration Biologique du Canada htip www bio marche info 29 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 Etude Pesticides chez des femmes enceintes Une tude exploratoire publi e par Sylvaine Cordier et son quipe Unit mixte Inserm Universit de Rennes 1 et Ecole des Hautes Etudes en Sant Publique Institut de recherche sant environnement et travail avec des chercheurs de lInra de Toulouse sugg re qu une exposition environnementale des m langes complexes de pesticides pourrait conduire des perturbations m taboliques chez les femmes enceintes Pendant la grossesse le f tus est particuli rement vuln rable aux facteurs environnementaux et de faibles doses de substances toxiques pourraient tre responsables d atteintes au d veloppement et d effets sanitaires trans g n rationnels Des
155. s une biodiversit est n e LABOUS Kristell Avec ses 150 000 hectares la Camargue est une mosa que de divers milieux favorables une biodiversit tr s riche aussi bien floristique que faunistique et dont l existence est troitement li e aux activit s agricoles comme la riziculture Le CIRAD et le Centre Fran ais du Riz ont publi un ouvrage pr sentant plus de mille esp ces v g tales pr sentes en Camargue des adventices des rizi res aux plantes des milieux environnant ces cultures Mots cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT BOTANIQUE CAMARGUE FLORE RIZICULTURE BIODIVERSITE VEGETAL PLANTE SAUVAGE INFORMATION AGRICOLE L n 864 01 01 2013 1 page p 25 r f 189 117 R daction ABioDoc D veloppement rural Dossier Pratiques pastorales et ressources des territoires dans le Lot ROMAGNY Thomas LAPEZE Isabelle En 2011 l Association fran aise de pastoralisme AFP avait organis sa rencontre nationale annuelle dans le d partement du Lot l occasion pour les participants de d couvrir l histoire du pastoralisme dans ce d partement qui s est fortement d velopp suite des incendies ayant ravag plusieurs centaines d hectares dans les ann es 80 90 En effet ces incendies ont permis aux acteurs du territoire de prendre r ellement conscience de la situation de d prise et d embroussaillement dans le Lot Ce dossier pr sente les diverses op rations de r habilitation et d
156. s et certains politiques Une proposition de loi en cours de construction vise interdire l utilisation de pesticides dans les espaces publics et en proscrire la vente aux particuliers http www interbiobretagne asso fr lettre d information 2 112 html Mois cl s RESIDU DE PESTICIDE PESTICIDE SANTE ALIMENTATION HUMAINE FRANCE PERTURBATEUR ENDOCRINIEN PROJET DE LOI IL FAIT BIO DANS MON ASSIETTE n 23 01 03 2013 1 page p 3 r f 189 107 R daction ABioDoc Agriculture biologique et VIH SIDA en Afrique subsaharienne WRIGHT Julia Le virus du VIH SIDA est particuli rement pr sent en Afrique subsaharienne Dans ce contexte l agriculture biologique peut pr senter divers avantages En effet alors que la sant est un des objectifs majeurs de ce mode de production il est av r qu une alimentation saine et riche en nutriments permet l organisme de mieux faire face aux maladies et de renforcer ses d fenses naturelles y compris contre le virus du SIDA Des tudes pid miologiques ont d ailleurs montr le lien entre les micronutriments et la progression du VIH SIDA et galement entre une nutrition saine et l efficacit de la th rapie m dicale antir trovirale En termes de production le SIDA d cime des familles rurales d agriculteurs qui doivent alors s adapter L agriculture doit alors fournir des techniques conomiques et peu contraignantes des aliments accessibles et nutritifs des m
157. s fran aises innovantes et de qualit Pr sents lors du forum professionnel organis par le Cpparm au Pont du Gard de nombreux acteurs de la fili re t moignent dans ce dossier de la contradiction des march s et du d veloppement de la contractualisation Le projet de fili re longue Sud Aroma Bio est notamment pr sent Deux producteurs install s respectivement dans le Gard et le Lot et Garonne pr sentent dans la suite de ce dossier leurs productions et leurs m thodes de travail itin raires techniques transformation la ferme circuits de commercialisation avec un zoom sur la difficile tape du d sherbage Claude Alain Carron de la station de recherche Agroscope de Changins W denswil ACW en Suisse apporte galement son expertise et apr s avoir donn les axes de recherche de sa structure d crit les crit res d terminant la qualit d une PPAM Ceux ci sont d pendants du type de produit transform huile essentielle tisane Enfin troitement li e ces questions de qualit la r glementation en PPAM est abord e avec des volutions vers de plus en plus de contraintes qui inqui tent petits et gros producteurs Mots cl s PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE AGRICULTURE BIOLOGIQUE FILIERE QUALITE DU PRODUIT CIRCUIT COURT CIRCUIT LONG FRANCE R GLEMENTATION RECHERCHE ITINERAIRE TECHNIQUE T MOIGNAGE COMMERCIALISATION DESHERBAGE MECANIQUE SUISSE BIOFIL n 87 01 05 2013
158. s petits d brouillards Aval cr ation de synergies l information des op rateurs de l aval une action en faveur de la boulangerie artisanale biologique Communication Bio Centre au c ur d un r seau http www bio centre org usertiles files Qui20sommes 20nous rapport 2012 pdf Mots cl s CENTRE FILIERE ELEVAGE BIOLOGIQUE PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE RESTAURATION COLLECTIVE COMMUNICATION RESEAU RAPPORT D ACTIVITE ORGANISATION DE L AB LEGUME DE PLEIN CHAMP MARAICHAGE 2013 8 p d BIO CENTRE r f 189 079 R daction ABioDoc Pratiques locales Une plateforme rapproche la demande et l offre locale de produits bios LACOUR Genevi ve de Premier d partement bio de France au regard du nombre d exploitations la Dr me est aussi pionni re en mati re d achats publics Pour rapprocher la demande de l offre le conseil g n ral a d velopp une plateforme internet de mise en relation des gestionnaires de coll ges avec les agriculteurs Un agent du service du d veloppement conomique a con u l outil agrilocal fr Ce service gratuit a t exp riment en 2011 sur deux sites pilotes volontaires le coll ge de Chabeuil 6 700 hab et la cit scolaire de Nyons 7 000 hab Depuis trente autres coll ges sur cinquante ont int gr le dispositif Pr sentation Une consultation ouverte cueils viter validation de la plateforme par les services juridiques
159. s plus en vue Mais qu entend on exactement par cette notion Quels sont les acteurs qui la d fendent la con oivent la mettent en uvre Et surtout si l agro cologie est aujourd hui voqu e sur tous les continents et dans les institutions internationales l est elle finalement dans les m mes termes et soul ve t elle les m mes d bats partout dans le monde L ambition de cet ouvrage est de mettre en regard autour de ces questions les situations de deux grands pays agricoles dans lesquels l agro cologie a connu r cemment d importants d veloppements l Argentine qui doit sa croissance conomique r cente l essor d une agriculture d exportation sp cialis e dans la production de soja et la France puissance agricole traditionnelle qui a connu au cours des deux derni res d cennies une transformation radicale des relations entre agriculture et soci t au travers notamment des questions environnementales Cet ouvrage r alis avec le soutien du CIRAD de l INRA de l IRD et du laboratoire international franco argentin Agriterris s adresse tous ceux producteurs agents de d veloppement chercheurs entreprises ou d cideurs publics tudiants qui s interrogent sur l agro cologie et sur les transformations contemporaines des syst mes agricoles Au del des mondes agricoles il int ressera tous ceux qui s attachent penser dans leur globalit les transformations des syst mes productifs entre processus t
160. s r sultats comparatifs entre un groupe d exploitations laiti res herbag res du CEDAPA et les r sultats du CER dans le d partement des C tes d Armor avec un co t alimentaire moyen de 56 1000L pour le premier groupe et de 86 1000 L pour le second Les autres r sultats conomiques produits revenu EBE sont galement pr sent s Mois cl s ELEVAGE LAITIER AGRICULTURE DURABLE RESULTAT ECONOMIQUE SYST ME HERBAGER AUTONOMIE COMPARAISON COTES D ARMOR CHARGE ALIMENT DU BETAIL ECHO DU CEDAPA L n 105 01 01 2013 1 page p 7 r f 189 019 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 monde futurs de Apprendre innover dans un incertain Concevoir les l agriculture et de l alimentation COUDEL Emilie DEVAUTOUR Hubert SOULARD Christophe Toussaint et al L agriculture est aujourd hui interpell e par la soci t qui exige bien plus qu une simple production alimentaire aliments de qualit services environnementaux insertion de populations marginalis es revitalisation des territoires ruraux d veloppement de productions nerg tiques Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux exp rimenter de nouveaux syst mes de production et valorisation faisant ainsi preuve de cr ativit et d obstination pour exister face aux mod les de d veloppement dominants Parall lement ces mod les dominants fond s sur la production de masse moindre co t cont
161. s services cosyst miques dans le secteur de la protection de l environnement au Cambodge Mots cl s DEVELOPPEMENT RURAL COLLOQUE RESSOURCE NATURELLE TERRE AGRICOLE FRANCE GRANDE BRETAGNE CAMBODGE ALLEMAGNE LOUP HEBERGEMENT GAZ A EFFET DE SERRE GOUVERNANCE POLITIQUE PUBLIQUE TERRITOIRE RURAL EUROPE AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ACTION COLLECTIVE POLLUTION SERVICE ECOSYSTEMIQUE 2013 24 p d VETAGRO SUP Campus Agronomique de Clermont r f 189 038 R daction ABioDoc Commissions d partementales de consommation des espaces agricoles Bilan d une ann e de fonctionnement ROBERT Carole Mises en place par la loi du 27 juillet 2010 de modernisation de l agriculture et de la p che les commissions d partementales de consommation des espaces agricoles CDCEA sont des outils juridiques destin s r duire le rythme de consommation des terres agricoles de 50 d ici 2020 Apr s une pr sentation des principaux r les des CDCEA cet article fournit un bilan de leur activit r alis en 2012 par le minist re de l Agriculture apr s un an de fonctionnement de ces commissions M me si celui ci semble globalement positif le r le des CDCEA m riterait d tre renforc Mois cl s AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT FONCIER ARTIFICIALISATION DES TERRES AGRICOLES BILAN FRANCE DEVELOPPEMENT RURAL ORGANISATION AGRICOLE CHAMBRES D AGRICULTURE n 1019 01 01 2013 2 pages p 2
162. sibles en aliment du b tail pour les bovins les moutons les porcs La richesse nutritive du marc de pommes est comparable celle de la betterave fourrag re quoique moins grande en nergie Son faible prix le rend conomiquement int ressant Si une grande quantit de marcs est disponible il est alors possible de le d shydrater ou de l ensiler Le marc de pommes peut s utiliser en engrais pour le sol en le compostant en surface comme du fumier par exemple Certains reconnaissent une efficacit au marc de pommes pandu en fine couche sur une prairie envahie de mousses Mots cl s MARC DE POMMES ALIMENTATION DES ANIMAUX BOVIN OVIN PORCIN ENSILAGE DESHYDRATATION SOL FERTILISANT PRAIRIE ELEVAGE BIOLOGIQUE DIVERSIFICATION ALIMENT DU BETAIL UTILISATION BIO NORMANDIE n 119 01 03 2013 2 pages p 18 19 r f 189 047 R daction ABioDoc Changement de syst me fourrager en levage caprin du ma s ensilage au p turage MIMAULT Claire BONNES Agathe Tiffany et J r mie Errien sont deux jeunes leveurs non issus du milieu agricole qui se sont install s en 2009 sur une exploitation caprine du Maine et Loire apr s un an de contrat de parrainage Pour des raisons conomiques et personnelles ils ont fait le choix de r orienter le syst me qu ils ont repris ax jusque l sur une ration base de ma s ensilage vers le p turage Les objectifs sont d optimiser l autonomie alimentaire du tr
163. sident de Bio Coh rence et Jacques Pior responsable agriculture biologique de l APCA confrontent leur point de vue sur l agriculture biologique d veloppement r glementation accompagnement par les Chambres d Agriculture Pour le premier le d veloppement de la bio est indispensable mais ne doit pas se faire sur le mod le intensif de l agriculture conventionnelle Ainsi travers la marque Bio Coh rence il pr ne la prise en compte d exigences environnementales mais aussi conomiques et sociales Jacques Pior souligne que celle ci s appuie tout de m me sur la base commune et obligatoire pour les 27 pays de l UE qu est le cahier des charges europ en M me si les deux protagonistes sont d accord sur le fait que celui ci a permis une harmonisation des pratiques il fait d bat avec pour l un l ouverture de possibles d rives et pour l autre un niveau d exigences rehauss pour certains pays de l UE Mots cl s DEVELOPPEMENT DE L AB ORGANISATION DE L AB FRANCE EUROPE REGLEMENTATION DEBAT CONVERSION FILIERE AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAHIER DES CHARGES CAMPAGNES ET ENVIRONNEMENT n 22 01 02 2013 2 pages p 14 15 r f 189 130 R daction ABioDoc Vie professionnelle R glementation Le point avec Bureau Veritas Guide de lecture les derni res modifications BILLON Gilles Cet article pr sente les principales modifications du Guide de lecture des r glements CE n 834 2007
164. sociation de producteurs Bio Romania avec une aide identique pour toutes les fermes de plus de 100 hectares p nalisant les tr s grandes exploitations bio de plusieurs centaines d hectares et limitant les conversions de ces derni res L article s interroge sur les conversions opportunistes qui pourraient d couler d un changement dans ce domaine Ainsi 90 des op rateurs certifi s seraient de petites exploitations vivri res 17 organismes certificateurs contr lent les fermes biologiques roumaines dont Ecocert l un des plus importants Mots cl s ROUMANIE DEVELOPPEMENT DE L AB AGRICULTURE BIOLOGIQUE AIDE COMMUNAUTAIRE SOUTIEN A L AGRICULTURE BIOLOGIQUE DEBOUCHE EXPORTATION CERTIFICATION SALON PROFESSIONNEL BIOFIL n 87 01 05 2013 2 pages p 18 19 r f 189 006 R daction ABioDoc Agro cologie en Espagne Des brebis duqu es qui ne touchent pas aux oliviers HARDY Damien Des chercheurs espagnols de l Universit autonome de Barcelone ont r ussi d go ter ch vres et brebis des feuilles d olivier en leur administrant du chlorure de lithium Les animaux gardent ensuite une aversion pour ces arbres et les oliveraies peuvent tre utilis es pour le p turage des brebis Ces recherches ouvrent la voie un d sherbage plus cologique alors que la vigne et les oliveraies couvrent plus du quart de la surface agricole d Espagne Pour mettre au point cette m thode l quipe de scientifiques s e
165. st servi du m canisme de l apprentissage op r sur des brebis de race Manchega mais la m thode serait applicable toutes les races Pr sentation du protocole et du chlorure de lithium limin en 24 heures Mots cl s ESPAGNE OVIN BREBIS OLIVERAIE AGRO ECOLOGIE ASSOCIATION ANIMAL VEGETAL CONTROLE DES ADVENTICES CHLORURE DE LITHIUM AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT PATURAGE DESHERBAGE EXPERIMENTATION PROTOCOLE RESULTAT REUSSIR PATRE n 602 01 03 2013 2 pages p 38 39 r f 189 075 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Vie professionnelle L agriculture biologique en Allemagne SCHAUB Christiane DASPRES Nicolas L agriculture biologique est n e notamment de plusieurs courants de pens e d origine allemande au d but du XX me si cle Son d veloppement a connu une forte acc l ration depuis 10 ans en Allemagne avec la mise en place d un plan bio ambitieux en 2002 L objectif de ce plan tait d atteindre 20 de la SAU en bio en 2020 Ce plan de 15 ans dot de moyens importants au d part comprend un programme d actions coordonn es sur la recherche la communication le conseil la formation la structuration des fili res ainsi que des soutiens financiers aide la certification aide au conseil lors de la conversion Deux institutions f d rales interviennent dans l appui PAB le BMELV minist re f d ral de l agriculture et la BLE agence f d rale pour l
166. stres de l Agriculture europ ens souhaitent que l agriculture biologique soit reconnue de mani re sp cifique dans le cadre de la r forme de la PAC et que de nouvelles possibilit s de financement soient envisag es Afin de garantir la bonne image des produits bio et la confiance des consommateurs le Conseil demande la Commission d explorer diff rentes pistes pour l adoption d un syst me de contr le efficace du point de vue de la qualit des produits mais aussi des co ts Un r gime de sanctions harmonis doit galement tre envisag l chelle europ enne Les m canismes facilitant le commerce international des produits biologiques doivent tre am lior s note le Conseil et le plan d action europ en pour l alimentation et l agriculture biologique mis jour Le soutien la recherche et l innovation de ce secteur dynamique doit tre poursuivi rel ve galement le Conseil notamment dans le cadre du partenariat europ en d innovation Source Actu Environnement 13 mai 13 Accord entre la FAO et Slow Food pour les agriculteurs L organisation des Nations unies pour l alimentation et l agriculture FAO et l organisation internationale Slow Food ont sign le 15 mai 2013 un accord de partenariat pour mener des actions communes qui devraient am liorer les conditions de vie des petits exploitants agricoles en zone rurale Les actions envisag es consisteront principalement mener des campagnes d
167. t tre men es leur terme Ainsi cet article pr sente l alternative qui consiste implanter une culture de remplacement que ce soit en sortie d hiver orge de printemps pois de printemps m lange c r alier prairie temporaire ou au printemps tournesol sorgho sucrier pour ensilage Pour chacune de ces cultures les conditions de mise en place sont explicit es Mots cl s GRANDE CULTURE CEREALE D HIVER ALTERNATIVE VENDEE IMPLANTATION ORGE DE PRINTEMPS POIS DE PRINTEMPS MELANGE CEREALIER PRAIRIE TEMPORAIRE TOURNESOL SORGHO CULTURE FOURRAGERE ANNUELLE ATOUT TREFLE L n 69 12 03 2013 2 pages p 12 13 r f 189 030 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 12 Production v g tale La luzerne un pr c dent exceptionnel Comment optimiser ses qualit s POUPEAU Jean Martial La luzerne est de plus en plus cultiv e comme t te de rotation dans les syst mes c r aliers biologiques Toutefois pour b n ficier au mieux de ses qualit s de pr c dent am lioration de la structure des sols r duction des adventices fourniture d azote quelques conditions sont respecter Si elle est g n ralement implant e pour une dur e de trois ans certains producteurs se contentent de la garder deux ans avec des r sultats tout fait satisfaisants Par ailleurs elle est presque toujours suivie d un bl d hiver avant la mise en place de rotations diverses et vari es La destr
168. t g n ralement attribu s un groupe de champignons de plusieurs esp ces dont le mode d action est encore mal connu Ainsi l objectif de cette tude tait de d terminer quelles esp ces de champignons devenaient invasives lors de l apparition de sympt mes de lesca en comparant les communaut s fongiques associ es des plants atteints et des plants sains Les champignons pr sum s responsables de l esca sont pr sents dans les deux groupes ce qui laisse supposer que les sympt mes de lesca seraient li s des stress physiologiques et que les champignons d graderaient du bois d j s nescent ou mort Ces champignons ne seraient pas des agents pathog nes Par ailleurs la comparaison des communaut s fongiques de plantes adultes et de plantes en p pini re a permis de montrer que les esp ces de champignons g n ralement associ es l esca ne sont pas transmises lors du greffage Mois cl s VITICULTURE MALADIE CRYPTOGAMIQUE ESCA SYNDROME DE L ESCA RECHERCHE EXPERIMENTATION CHAMPIGNON CHAMPIGNON PATHOGENE VIGNE SUISSE REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE n vol 44 n 6 01 11 2012 7 pages p 386 392 r f 189 155 R daction ABioDoc MARCHE Fili re Ouvrir une boutique bio Cr er et lancer son entreprise Identifier les types de commerce bio D velopper son activit bio durable BIENAIME H l ne De plus en plus de Fran ais adoptent un mode de co
169. t les syst mes agricoles durables chelle de la ferme mais aussi des syst mes agroalimentaires chelle de la fili re dans les territoires ou encore pour tudier les rapports entre production alimentaire et soci t au sens large chelle de la soci t L agro cologie est donc une pratique scientifique sp cifique pouvant tre d finie aussi par ses principes ex recyclage de la biomasse garantie de la vie du sol autonomie des agriculteurs et souverainet alimentaire recherche participative diversit des savoirs Cette agro cologie doit poursuivre son d veloppement en cr ant son espace de recherche et de formation afin notamment de pouvoir devenir minima une alternative au mod le dominant Mots cl s AGRO ECOLOGIE AGRICULTURE BIOLOGIQUE AGRICULTURE DURABLE DEFINITION SCIENCE PRINCIPE RECHERCHE SOCIETE DIMENSION SOCIALE PLURIDISCIPLINAIRE ECOLOGIE MODELE AGRICOLE SYSTEME ALIMENTAIRE APPROCHE GLOBALE POLITIQUE MOUVEMENT SOCIAL MONDE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT PRATIQUE BELGIQUE AGROINDUSTRIE AGROECOSYSTEME INSTITUTIONNALISATION ECONOMIE AGRICULTURE CONVENTIONNELLE VALERIANE n 100 01 03 2013 16 pages p 6 21 r f 189 089 R daction ABioDoc Nouveaux regards sur les permanentes des atouts pour demain JOSIEN Etienne La diversit des interventions l occasion des Journ es AFPF sur les prairies permanentes en avril 2012 a permis de mettre en exe
170. teur D autres missions ont t confi es au CRA W telles que la constitution d un centre de documentation en partenariat avec Biowallonie la structure d encadrement des fili res biologiques l inventaire des comp tences de recherche en r gion wallonne l int gration de la Wallonie dans l espace europ en de la recherche en agriculture biologique et la constitution d un plan de recherche sp cifique long terme Elles seront prises en charge par la nouvelle cellule Bio Pour en savoir plus http www cra wallonie be fr 52 brochures et dossiers 174 Source CRA W mai 13 Les Br ves R sultats du concours les Petits reporters de la Bio De novembre 2012 mars 2013 les classes du CE1 au CM2 taient invit es par l Agence Bio participer au concours Les Petits Reporters de la Bio en r alisant un reportage exclusif sous forme d un magazine sur le th me Manger Bio c est dans ma nature Les deux classes laur ates ex quo pour lesquelles un atelier gourmand bio sera organis avec la participation d un chef pendant le Printemps Bio sont La classe de CM2 de l cole l mentaire Boileau Montrouge pour le magazine Biotifull Mag La classe de CM1 de PEREA Jacques Brel Garches pour le magazine Bio c est bien pour la terre et pour nous Lors de cet atelier gourmand les l ves seront invit s r aliser puis d guster des recettes bio simples co
171. tion ABioDoc Protection des pommiers contre la tavelure La b che antipluie un moyen innovant l tude ZAVAGLI Franziska FAVAREILLE J etal La pluie est un vecteur essentiel dans l expression et le d veloppement de la tavelure une maladie majeure dans les vergers Depuis 2010 le Ctifl tudie sur son centre de Lanxade Dordogne la possibilit de prot ger les vergers par une b che antipluie dans le but de limiter les sympt mes de tavelure et les interventions phytosanitaires De bons r sultats ont t obtenus avec une nette r duction des sympt mes sur les modalit s b ch es Apr s ces premi res observations les exp rimentations doivent se poursuivre dans le cadre d un projet Ecophyto Dephy Exp rimentation afin de d terminer l influence de ces b ches antipluie sur le rendement et la qualit des fruits ainsi que l impact conomique d une telle pratique Mots cl s ARBORICULTURE POMMIER TAVELURE LUTTE ALTERNATIVE BACHE VERGER EXPERIMENTATION DORDOGNE REDUCTION D INTRANTS AGRICULTURE CONVENTIONNELLE PROTECTION DES VEGETAUX INFOS CTIFL n 289 01 03 2013 8 pages p 22 29 r f 189 125 R daction ABioDoc GIRAUD Michel Biopresse 189 Mai 2013 10 Production v g tale M thodes d valuation de la moniliose sur fleurs et sensibilit des vari t s d abricots CHRISTEN D MOTRY Lo c DEVENES G rard La moniliose est une maladie importante en c
172. tion ABioDoc Un entretien avec Maurice Chaudi re sur la For t Fruiti re Ressources sauvages TONELLI Jean CHAUDIERE Maurice Maurice Chaudi re est int ress par le rapport qui s est instaur au cours des ges entre Nature et Culture S il greffe des arbres c est dans leur propre milieu En Ard che il a transform une for t en verger mais il pr f re le mot garrigue C est au Maroc qu il a particip un projet de d veloppement sans investissement en conseillant des habitants d observer les plantes qui environnaient un jardin rocailleux escarp et sans eau o les plantes mara ch res implant es n avaient pas surv cu il a par exemple greff un Lyciet de Chine goji sur un simple lyciet Dans un entretien il exprime la fois son merveillement face l opini tret du vivant et son inqui tude vis vis de la recherche scientifique sur les organismes g n tiquement modifi s Il a r dig par ailleurs un article sur ce qu voque la notion de ressources sauvages Mots cl s NATURE FRUIT GREFFAGE VERGER T MOIGNAGE PHILOSOPHIE VALEUR DU VIVANT PLANTE SAUVAGE ARBRE FRUITIER FORET RELATION HOMME NATURE DEVELOPPEMENT RURAL MAROC ARDECHE FRUITS OUBLIES n 54 01 02 2013 4 pages p 13 16 r f 189 072 R daction ABioDoc 43 che et syst me sp cifique S lection de vari t s de fruits tol rantes au feu bact rien KELLERHALS M B
173. tivit Prix format lectronique 12 ANNUAIRE DES ORGANISMES EUROP ENS DE LA BIO D 20 Cet annuaire regroupe les coordonn es des organismes europ ens de l agriculture biologique en recherche formation d veloppement et certification Edition 2012 Prix format lectronique 18 GUIDE DES PRINCIPAUX ORGANISMES FRAN AIS INTERVENANT EN AB Q 15 Ce guide pr sente 39 organismes fran ais intervenant en agriculture biologique des administrations et GIP des organismes de recherche et exp rimentation de formation de documentation de d veloppement et d organisation de la fili re des associations gestionnaires de marques priv es et des organismes certificateurs Edition 2012 Prix format lectronique 12 59 Biopresse 189 Mai 2013 CETAB LA MISSION La raison d tre du CETAB est de soutenir le d veloppement et la p rennit de l agriculture biologique dans la province de Qu bec au Cana da Le CETAB se donne aussi pour mission d appuyer l agriculture de proximit et la valeur ajout e la ferme LES SERVICES Information et veille technologique Transfert technologique Soutien aux intervenants Recherche appliqu e Formation continue Services conseils personnalis s Analyses sectorielles CETAB Centre d expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximit www cetab orq ABi
174. toriales ascendantes en faveur de l agro cologie et de formes d agricultures performantes sur les plans conomique et environnemental Il vise en outre en ciblant des collectifs d agriculteurs et ventuellement d autres acteurs soutenir des formes d innovation issues d un processus ascendant compl mentaire des d marches descendantes plus traditionnelles Les candidatures doivent porter sur des projets caract re agricole et rural impliquant des collectifs d agriculteurs et ventuellement d autres acteurs et ayant pour objectif la mise en place et la diffusion d innovations contribuant am liorer significativement et collectivement les impacts des syst mes d exploitations sur l environnement tout en pr servant ou am liorant leurs performances conomiques La date limite de d p t des dossiers de candidature en DRAAF est fix e au 15 juillet 2018 Circulaire http agriculture gouv fr IMG pdf Circulaire DGPAAT C2013 3048 cle826d77 pdf Plus d informations http agriculture gouv fr appels a projets Source Minist re de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t juin 13 47 Les Br ves Des pesticides dans notre sang Les Fran ais sont plus impr gn s de pesticides que les Allemands les Am ricains ou les Canadiens C est le r sultat de l tude que linstitut de veille sanitaire InVs vient de publier sur l exposition de la population fran aise aux pesticides apr s
175. treprise individuelle ou soci t et leur r gime d imposition forfait agricole r gime r el simplifi ou r el normal Le montant du cr dit d imp t est de 2 500 pour l imposition des b n fices des exercices clos compter du 30 d cembre 2011 Les entreprises b n ficiant d une aide la conversion ou au maintien de l agriculture biologique peuvent b n ficier du cr dit d imp t lorsque le montant de l ensemble n exc de pas 4 000 au titre de chacune des ann es 2011 2014 Le cas ch ant le montant du cr dit d imp t est diminu concurrence du montant de ces aides et mesures de soutien exc dant 1 500 Source http www interbiobretagne asso fr 31 mai 13 Plans r gionaux de l agriculture durable Pour relever le d fi d une agriculture comp titive respectueuse de l environnement et int gr e dans le d veloppement durable des territoires les PRAD Plans r gionaux de l agriculture durable ont t institu s par la loi de modernisation de l agriculture en 2010 Les PRAD permettent de disposer au niveau r gional d une r flexion sur une vision de l agriculture durable conciliant efficacit conomique et performance cologique partag e par l ensemble des acteurs concern s Ces PRAD fixent sur une p riode de 7 ans les grandes orientations de la politique agricole agro alimentaire et agro industrielle de l Etat dans la r gion en tenant compte des sp cificit s des ter
176. tures repr sentent la production principale de 159 fermes soit moins de 10 des fermes bio bretonnes Sont situ es sur ces fermes 18 des surfaces en c r ales bio destin es l alimentation animale 34 des surfaces en c r ales bio destin es l alimentation humaine et 33 des surfaces en ol oprot agineux bio Un point statistique est fait sur les levages o sont produits la majorit des grandes cultures fermes laiti res levages de porcs bio et de volailles Des encarts pr sentent notamment la r partition des surfaces en c r ales parmi les fermes r partition en fonction de la production principale de chaque ferme Mots cl s AGRICULTURE BIOLOGIQUE CEREALE OLEOPROTEAGINEUX ELEVAGE BIOLOGIQUE GRANDE CULTURE ELEVAGE LAITIER PORCIN VOLAILLE SURFACE AGRICOLE STATISTIQUES FERME ALIMENTATION DES ANIMAUX ALIMENTATION HUMAINE BRETAGNE EXPLOITATION AGRICOLE SYMBIOSE n 175 01 01 2013 1 page p 15 r f 189 050 R daction ABioDoc Les fiches Observatoire du r seau GAB FRAB Observatoire Chiffres 2011 Fiche Bretagne RESEAU GAB FRAB BRETAGNE Cette fiche fournit des donn es statistiques chiffres 2011 concernant l agriculture biologique en Bretagne Elle aborde diff rentes caract ristiques Evolution du nombre de fermes et des surfaces 1 682 fermes en 2011 1 529 en 2010 pr s de 60 000 Ha en AB en 2011 Assolement Herbages Fourrages 40 450 Ha Loc
177. uction animale PRODUCTIONS VEGETALES Arboriculture Zoom recherche arboriculture GOMEZ Christelle WARLOP Fran ois ONDET Sophie Joy et al Cet article reprend des l ments des journ es techniques fruits l gumes et viticulture bio de lITAB GRAB et Bio de Provence 2012 Des exp rimentations ont t men es en vergers d abricotiers pour trouver comment limiter le d veloppement du Monilia Laxa dans les fleurs d abricotiers en bio Il appara t que le cuivre seul est insuffisant et que la strat gie cuivre soufre soit plus appropri e Bakour Goldrich TomCot et Malice sont des vari t s r sistantes Les travaux montrent qu il existe deux m canismes de r sistance l un au moment de la floraison et l autre au niveau du rameau Le type de taille pourrait galement jouer sur la contamination par les monilioses Deux m thodes de prophylaxie ont t compar es pour r duire les contaminations primaires de tavelure du pommier le ramassage ou le broyage des feuilles de l inter rang et enfouissement des feuilles sur le rang Le ramassage des feuilles a t plus efficace et a permis de limiter plus fortement le d veloppement des pid mies de tavelure au printemps suivant Enfin un r seau de parcelles de pommiers a permis d analyser les strat gies de protection mises en place par les agriculteurs Il est possible de stopper les traitements sans avoir plus de d g ts la r colte dans certaines conditio
178. uction de la luzerne est une tape cl afin d viter d avoir une terre creuse et une faim d azote pour les cultures suivantes Quelques strat gies de d sherbage m canique sont galement pr sent es la propret de la luzerne tant importante pour le rendement et la propret des cultures suivantes Mots cl s GRANDE CULTURE LUZERNE ROTATION DES CULTURES AGRICULTURE BIOLOGIQUE FRANCE PRECEDENT CULTURAL BLE D HIVER SYSTEME CEREALIER CONTROLE DES ADVENTICES TEMOIGNAGE ITINERAIRE TECHNIQUE BIOFIL n 87 01 05 2013 3 pages p 35 37 r f 189 008 R daction ABioDoc Strat gie de rotations Apr s une luzerne Pint r t du bl d hiver remis en cause POUPEAU Jean Martial M me si la luzerne est un excellent pr c dent bl d hiver et qu elle est majoritairement utilis e en tant que telle dans les rotations des essais men s par Arvalis Institut du V g tal viennent de d montrer que le bl d hiver n est pas la culture qui valorise le mieux les fournitures d azote d une luzerne En effet 70 de l azote min ralis est disponible pendant les 5 6 mois qui suivent la destruction de la luzerne alors que le bl d hiver n en a besoin qu partir du mois de mars Ainsi les chercheurs pr conisent des cultures besoins pr coces comme le colza ou une destruction de la luzerne au printemps avant l implantation d une c r ale de printemps ou d un ma s Ces travaux ouvrent la voie
179. ultures d abricotiers notamment en agriculture biologique car aujourd hui aucune vari t cultiv e en Valais Suisse n est r sistante cette maladie dont les agents pathog nes sont les champignons Monilia laxa et Monilia fructicola Apr s une description du m canisme de la moniliose l tude mise en place est pr sent e ainsi que les r sultats obtenus L objectif tait de d terminer une m thode d valuation de la moniliose sur fleurs d abricotiers et ainsi d identifier des vari t s peu sensibles Pour cela une inoculation artificielle a t r alis e pour obtenir une infestation homog ne sur les 68 vari t s observ es La pes e des bois momifi s s est r v l e la m thode d valuation la plus efficace m me si elle est laborieuse mettre en place Cinq groupes de sensibilit vari tale ont pu tre identifi s Mois cl s ARBORICULTURE ABRICOTIER SELECTION VARIETALE SUISSE RESISTANCE AUX MALADIES SENSIBILIT MONILIOSE RECHERCHE EXPERIMENTATION EVALUATION VARIETALE PROTECTION DES VEGETAUX REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE n vol 44 n 6 01 11 2012 7 pages p 370 376 r f 189 154 R daction ABioDoc Contr le des adventices Rumex et chardon sacr es vivaces DUHAMEL Joseph En France parmi les esp ces de rumex les plus fr quentes deux sont particuli rement probl matiques en agriculture rumex obtusifolius et rumex crispus Deux esp ces
180. ur les semences Mois cl s ELEVAGE SEMENCE VEGETALE SEMENCE FOURRAGERE SEMENCE PAYSANNE PRAIRIE SELECTION PARTICIPATIVE SELECTION VEGETALE PAYS BASQUE LARZAC LUZERNE SAINFOIN AVEYRON VARIETE ANCIENNE VARIETE PRODUCTION DE SEMENCES FRANCE AGRICULTEUR TEMOIGNAGE BANQUE DE SEMENCES SECHERESSE SECHAGE REGLEMENTATION PERENNITE RAY GRASS ECHO DU CEDAPA L n 105 01 01 2013 3 pages p 4 6 r f 189 095 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Herboscopie P turer l herbe flux tendu LERAY Fran ois Les leveurs qui convertissent leur syst me vers un syst me herbager ont parfois des difficult s faire du stock sur pied ou fonctionner avec des intervalles longs toute l ann e comme le pr conise la m thode Pochon Dans ces cas l un p turage flux tendu avec une hauteur d herbe de 13 14 cm l entr e des animaux dans la parcelle peut tre mis en place C est ce qui a t tent en 2012 chez Dominique et V ronique Sadoc leveurs laitiers dans les C tes d Armor L ensemble de la strat gie et de la d marche de p turage est d crit dans cet article Les r sultats ont r pondu aux objectifs meilleure valorisation de l herbe et maintien des objectifs de production Toutefois ils sont relativiser ayant t obtenus sur une ann e 2012 particuli rement favorable la pousse de l herbe Mots cl s ELEVAGE LAITIER SYST ME HERBAGER PATUR
181. us rentables ont t obtenus avec la vari t de ni b Drum cultiv e une densit au moins gale 80 000 plantes ha Cette pratique pourrait permettre aux petits producteurs d augmenter durablement leurs revenus et de promouvoir la sant du sol comme une alternative aux engrais chimiques http www organic systems org journal Vol 7 282 29 abstracts 05 13 Fabunmi html Mots cl s SOL MAIS GRAIN NIGERIA ENGRAIS VERT NI BE ESSAI RESULTAT TECHNICO ECONOMIQUE RENDEMENT RENTABILIT E AGRICULTURE DURABLE AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT AFRIQUE FERTILISATION RECHERCHE AGRICULTURE TROPICALE GRANDE CULTURE ETUDE JOURNAL OF ORGANIC SYSTEMS n vol 01 11 2012 9 pages p 5 13 r f 189 101 R daction ABioDoc N 2 Agroforesterie Production culture L agroforesterie a marche DEMONT Gwena l Bien choisis et bien plant s les arbres ne seraient pas aussi concurrents des cultures qu on ne le pense parfois selon les rapides t moignages du Charentais Benoit Biteau agriculteur bio en grandes cultures de Valentin Beauval agronome et ex agriculteur en Maine et Loire du Mayennais Dominique Bordeau entr en agroforesterie en 1990 de Denis Flor s mara cher bio dans le Gard Administrateur de l association fran aise d agroforesterie Alain Canet rappelle notamment que l agroforesterie est un syst me tr s haute qualit environnementale et capable de produire 40 de
182. vec l Esca Eliane Abou Mansour en th se Fribourg a engag des travaux http www penser bio fr L auxiliaire bio Mots cl s VITICULTURE MALADIE DU BOIS AGRICULTURE BIOLOGIQUE MESURE PROPHYLACTIQUE RECHERCHE ESCA BDA METHODE DE LUTTE PERSPECTIVE FRANCE SUISSE PROTECTION DES VEGETAUX L AUXILIAIRE BIO n 22 01 03 2013 2 pages p 12 13 r f 189 060 R daction ABioDoc Biopresse 189 Mai 2013 Gestion des cicadelles vertes Utilisation de l argile kaolinite calcin e comme insectifuge FULCHIN Emma MAILLE Eric La cicadelle verte est un insecte ravageur dont les adultes et les larves provoquent des sympt mes de grillure sur les feuilles de vigne Une m thode de traitement sp cifique cet insecte et alternative est en cours d essai en Gironde et en Dordogne dans le cadre du RESAQ BIO Elle consiste pulv riser une solution d argile kaolinite calcin e qui en formant un fim blanc sur les feuilles prot gerait celles ci des piq res des cicadelles Les essais r alis s depuis 2009 ont donn des r sultats prometteurs avec une r duction significative de la population de larves de cicadelles sur les parcelles trait es de 50 90 Toutefois les essais ont t men s sur des ann es avec des conditions de faible pression et ils devront tre compl t s L application d argile kaolinite calcin e ne semble pas avoir d impact sur la maturation et la qualit des raisins produits ni sur l
183. versit marine Source www campagnesetenvironnement fr 28 mai 13 Biopresse 189 Mai 2013 Enqu te Datagri aupr s des agriculteurs bio et conventionnels La soci t Datagri a communiqu les r sultats d une enqu te r alis e entre le 1 et le 15 mai 2013 aupr s de 932 personnes dont 637 agriculteurs conventionnels et 295 agriculteurs en production biologique Parmi les pr occupations professionnelles des agriculteurs conventionnels arrivent en premier lieu la r mun ration li e au prix de vente des produits 87 puis le prix des intrants 49 et les exigences r glementaires 46 Pour les bio les pr occupations professionnelles diff rent puisque la protection de l environnement 71 est class e premi re suivie de la r mun ration li e au prix de vente 57 et enfin la tra abilit 29 Quant aux pr occupations personnelles les conventionnels souhaitent par ordre d importance augmenter la rentabilit de leur activit 71 am liorer leur qualit de vie 69 et pr server leur sant 61 Les exploitants bio ont comme pr occupations personnelles de fournir des produits de qualit 63 de pr server l environnement 55 et d am liorer leur qualit de vie 53 Il ressort par ailleurs qu accro tre ses rendements n est plus une forte pr occupation des agriculteurs 8 des agriculteurs conventionnels et 4 des bio Pour en savoir plus http www la
184. vient sur son parcours choix du m tier d agricultrice d roulement de son installation vidence de l agriculture biologique syst me du GIE accompagnement pendant son installation conseils pour les porteurs de projets en plantes m dicinales principaux cueils rencontr s et surmont s int gration sur le territoire local Mots cl s PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE INSTALLATION A LA TERRE AGRICULTURE BIOLOGIQUE T MOIGNAGE PORTRAIT ACCOMPAGNEMENT PROJET TERRITOIRE FINISTERE SYMBIOSE n 176 01 02 2013 2 pages p 14 15 r f 189 065 R daction ABioDoc L ortie f e de la r sistance BERTRAND Perrine GRILL Yan Pourquoi en quelques ann es l ortie est elle devenue le symbole de luttes aussi vari es que celle contre la marchandisation outrance l uniformisation de nos modes de penser culturels et agriculturels ou la confiscation de notre patrimoine semencier et de notre biodiversit Ce film sur l ortie dresse le portrait de personnes faisant usage de cette herbe folle pour ses vertus au jardin dans l alimentation des animaux la protection des v g taux sous forme d herbe s ch e d extrait v g tal de purin en association avec d autres plantes L ortie a pour propri t s de r quilibrer le sol et dynamiser les plantes Parmi les bonus un livret accompagne le DVD video et pr sente les principaux protagonistes intervenant dans le film Bernard et Annie Jeanne Bertrand Rog
185. vrage traduit au Qu bec pr sente de mani re succincte en quoi consiste la permaculture et comment l appliquer La permaculture y est mise en contexte d finie expliqu e et abondamment illustr e De nombreux dessins aident comprendre les diverses notions expos es Dans un premier temps l auteur explique les principaux principes de la permaculture travailler avec la nature plut t que contre elle viser un minimum d effort pour un maximum de r sultats transformer les probl mes en solutions chaque fonction devrait tre remplie par plusieurs l ments chaque l ment devrait rempli par plusieurs fonctions tout fait partie d un cycle le positionnement selon les zones etc S inspirer de la nature et d velopper sa propre capacit d observation est la base de toute d marche permaculturelle Dans un deuxi me temps on explique comment appliquer les principes diverses chelles maison jardin ferme communaut gr ce au processus de conception design On retrouve aussi une liste de fruits et de l gumes pouvant tre cultiv s r colt s ou consomm s au Qu bec pour chaque mois de l ann e Enfin de nombreuses r f rences francophones et anglophones sont offertes pour les lecteurs et lectrices d sirant approfondir les notions et concepts pr sent s Bref la fois une philosophie et une approche de travail la permaculture ne se limite donc pas qu au jardinage elle propose plut t diverses strat gies pour r
186. ynamie en 1989 Il existe aussi plus au Sud Meran une petite coop rative sp cialis e dans les produits biodynamiques Osiris o des producteurs se sont regroup s pour commercialiser notamment leur production de fruits et l gumes Dans cette r gion du Tyrol Franz Pfeifhofer cultive 3 ha de fruits et de vigne en bio depuis 1990 et en biodynamie depuis 2000 Il a choisi de tout transformer pour valoriser lui m me sa production Mots cl s ARBORICULTURE AGRICULTURE BIODYNAMIQUE DEVELOPPEMENT RURAL ITALIE VITICULTURE COOPERATIVE TOURISME RURAL TEMOIGNAGE MARAICHAGE BIODYNAMIS n 81 01 04 2013 6 pages p 30 35 r f 189 134 R daction ABioDoc Rapport d activit 2012 ALFOLDI Thomas HERRMANN David HANSEN Hella et al Apr s un entretien avec les repr sentants du comit du FiBL sur la recherche en agriculture biologique le rapport d activit 2012 du FiBL aborde plusieurs sujets dont le travail r duit du sol am liorant le potentiel de protection climatique de l agriculture biologique la reconnaissance de vari t s anciennes de l gumes et de fruits projet ProSpecieRara les espoirs offerts notamment par des extraits de plantes la place du cuivre comme agent de phytoprotection l identification et la pratique de m thodes analytiques pour confronter la valeur d un produit bio l encouragement la mise en place de nouveaux r seaux et de circuits de distribution plus courts au

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